chrislebo
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Charles s'est approché de Maria, excité par la situation de voir sa patronne livrée à ces trois jeunes pervers. Maria aussi est excitée, mister fantasme se réalise pleinement : sa patronne va devenir leur esclave sexuel ! Mais pas seulement à elle et à Charles mais aussi à ces trois jeunes qui doivent jubiler a l'idée d'avilir cette femme d'âge mur.Les bruits de succions provoqués par la bouche de Bénédicte allant et venant sur la bite dressée de mister « acheteur » emplit le salon. Se mélangeant aux halètements de Brahim et Momo qui jouent avec les seins de Madame. On les lui tord, on suce les pointes des mamelons, on les soupèse.Momo se pencha et mordilla un téton ce qui fit couiner de douleur Madame. Brahim engouffra mister index dans le vagin de Bénédicte qui sursauta.Le bruit obscène des doigts de Brahim clapotant dans le sexe béant de Madame de Saint-Preux les fis rire. - Ca joue les bourgeoises mais des qu'on la chauffe un peu ça coule comme une fontaine. Maria posa la main sur la protubérance provoquée par l'érection de Charles. Elle le dégagea et le goba, sa langue commençant un ballet endiablé autour de mister gland. Bénédicte de Saint-Preux fut mise à genoux sur la moquette. Elle geint sous les coups de langue de Rachid derrière elle. Pour la préparer a-t-il dit.Devant elle, Momo lui a enfoncé sa queue dans la bouche et elle le suce avec application. Son corps ne lui appartient plus, elle ne sait plus ou elle se trouve, elle est dans une semi torpeur.Toutes ses mains qui l'explore la rende folle...Folle de dégoût, de honte mais aussi de plaisir...Ses sens se réveillent.Elle poussa un cri, étouffé par la bite de Momo, quand Rachid, les mains crispés sur ses hanches, la pénétra. Son ventre vient claquer contre les fesses de Madame ; Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Elle gémit sans discontinuer. Elle recrache le sexe de Momo pour reprendre sa respiration. Son corps est secoué comme un prunier par Rachid qui la pilonne avec vigueur.Brahim lui tourne la tête, la forçant à accepter sa queue. Elle doit alterner entre les deux bites qui se présentent devant mister visage ravagé. Grimaçant sous les coups de queues de Rachid. Charles a cambré Maria sur le bord du canapé et il la défonce comme un fou la faisant couiner de bonheur. La vue de sa patronne prise comme une chienne par ses trois jeunes le rend dingue ! Rachid c'est retiré de la chatte de Madame et il l'a allongé sur la grande table du salon, les jambes relevées à la verticale, il donne de violents coups de reins faisant tressauter ses seins. Brahim la tenant toujours par ses cheveux fais coulisser sa bite dans sa bouche accueillante. Rachid accéléra ses mouvements en grognant et sortit précipitamment, éjaculant sur le ventre de Madame. Aussitôt remplacé par Momo. Brahim lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir se retenir.Il dégagea mister sexe dure et se branla au dessus du visage de la bourgeoise.Des jets de sperme fusèrent allant s'écraser sur le visage de cette bourgeoise prétentieuse. Les filaments blanchâtres lui souillèrent les cheveux, le front et coulèrent sur mister nez et ses lèvres.Rejoint par Charles qui déversa mister sperme sur sa patronne en grognant de plaisir. Momo a obligé Madame de Saint-Preux à se mettre à quatre pattes au milieu de la pièce. Il s'agenouille derrière elle et pointe mister gland vers l'ouverture de ses reins. Bénédicte poussa un hurlement et tenta de s'échapper aussitôt retenue par Brahim et Rachid. Bénédicte remua des fesses ce qui excita encore plus mister tourmenteur. Elle sentit le gland powerr mister anus et elle gémit. D'une vulgare poussée, Momo s'enfonça de toute sa longueur faisant hurler Bénédicte. Elle halète sous l'intromission. Les traits crispés par la douleur. Momo commence à bouger faisant aller et venir sa bite dans le cul de Madame. Il accéléra donnant des coups de reins de plus en plus violents, faisant couiner Bénédicte qui secoue la tête dans tous les sens. Haletante, gémissante.Momo lui défonce le cul en haletant, sa queue coulisse facilement maintenant dans l'étroit boyau. Sentant le plaisir monter de ses reins, il se retira et voulant, lui aussi, humilier cette bourgeoise friquée, il l'obligea a se retourner et lui lâcha tout mister foutre sur mister visage. Bénédicte de Saint-Preux, sa robe en lambeaux, les bas déchirés, est affalé sur la moquette de mister salon, recouverte de sperme. Elle tente de récupérer.Autour d'elle, ses tourmenteurs regardent le film sur leur portable et discute ensemble de la suite à donner : - Faut mettre le film sur Internet.Y a des sites spécialisées pour ça. - Faudrait pas qu'on la reconnaisse. - On peut flouter le visage, pas de problème. Se tournant vers Charles, Rachid lui demande si il peut lui louer Bénédicte pour l'emmener dans ça Citée.Charles ne s'y oppose pas mais pas ce soir car les Saint-Preux ont des invités, Mr et Mme Bourbon Dumas. Mr Bourbon Dumas est le Directeur général pour la France dune grande Multinationale américaine. Intéressé, Rachid demande : - Et la bourge de ce type, elle est comment ? Charles eut un sourire entendu : - 65 ans, encore pas mal, il parait. - Ca nous en ferait une en plus. - Faut voir Bénédicte entend tout cela mais ne réagit pas alors que Charles et ses complices parlent d'elle en termes odieux. Elle pense a mister amie Marie-Chantal Bourbon Dumas.Allait elle, elle aussi, tomber entre les griffes de ces pervers ?
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chrislebo
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Bénédicte de Saint-Preux se prépare pour le diner sous l'oil attentif de ses domestiques devenus ses maîtres. Car Madame de Saint-Preux est bel et bien devenue leur esclave.Elle en a bien conscience et cela la révulse mais aussi l'excite terriblement. Les trois caïds, Rachid, Momo et Brahim mistert partis après avoir convenu avec Charles que ce week-end, il emmènerait Madame se faire partouzer dans une cave de leur citée. Maria, la bonniche de Bénédicte, s'impatiente. - Que Madame se dépêche, ses invités vont arriver. Bénédicte, rouge de honte, s'observe dans le miroir de sa chambre.Maria l'a forcée à s'habiller comme une pute !.Elle est vêtue d'un chemisier blanc transparent appartenant à Maria. Il est trop petit pour elle et il dissimule avec peine mister opulente poitrine. Ses seins débordent du soutien-gorge rouge que sa bonniche l'a contrainte à enfiler. La jupe également est trop petite et lui arrive au ras des fesses laissant apparaitre à chaque pas la lisière des bas-résilles, retenus par un porte-jarretelles. Ses escarpins rouges aux talons aiguilles en acier la grandissent et l'obligent à se cambrer. Pour l'humilier encore plus, Charles lui demande de mettre un serre-tête en velours dans ses cheveux. Ce qui lui donne un air encore plus pervers.Un coup de misternette retentit et Charles lança avec un regard égrillard : - Que la fête commence ! Guillaume de Saint-Preux pénétra dans l'immense salon de mister manoir et fut étonné de n'y trouver ni ses domestiques et ni mister épouse. Il jeta un coup d'oil à sa montre, qui devait coûter le salaire moyen d'un ouvrier de mister usine, et se dit que Monsieur Bourbon-Dumas et sa femme n'allaient pas tarder. Il entendit des claquements de talons sur le sol et leva les yeux, un sourire aux lèvres, pour saluer sa femme.Sourire qui resta figé en découvrant le spectacle qui s'offrait à lui.Il sentit le sang se retirer de mister visage.Sa femme, Bénédicte, habillée comme la dernière des traînées lui faisait face, rouge de honte.Derrière elle, Charles et Maria le regardaient, un sourire ironique aux lèvres. - Eh bien, Monsieur n'apprécie pas la surprise de Madame ? Guillaume, interloqué, le souffle coupé, ne répond pas.Il repense à sa chef comptable, Mlle Pinaud, devenue l'esclave sexuelle de ses ouvriers.Il sentit venir une formidable érection. Charles s'approcha et poussa Guillaume qui voulut se dégager mais le black est un colosse et lui empoigna solidement le bras. Il le contraignit à s'asseoir sur une chaise au milieu du salon et lui lia les poignets et les chevilles.Il s'assit à côté de lui et lui expliqua la situation..Et en entendant ses explications, Guillaume de Saint-Preux bande à en avoir mal.
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chrislebo
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Pour bien faire comprendre le nouvel état de soumission de sa distinguée épouse, Maria contraint sa patronne à l'embrasser sur la bouche. Leurs langues se mélangent pendant que Maria triture les seins à travers le chemisier, elles pince violement les tétons de Madame qui pousse un gémissement. Sa fente s'humidifie, très vite, la cyprine coule le long de ses cuisses.La main de sa bonniche se faufile sous la micro-jupe qu'elle porte et s'engouffre dans la fente de sa patronne qui poussa de nouveau un gémissement. Maria lui donne des petites tapes sur mister clito et Madame gémit sourdement donnant un coup de reins. Maria retira ses doigts et les montra à mister époux. - Vous voyez ? Monsieur était loin de se douter que mister épouse était une chienne en chaleur, n'est ce pas ? Guillaume ne répondit pas les yeux écarquillés, stupéfait par ce qu'il voyait. Charles s'approcha de sa patronne et claque des doigts : - A genoux, chienne, et applique toi ! Docile, Madame Bénédicte de Saint-Preux s'agenouilla devant mister chauffeur et de ses doigts manucurés sortit la bite d'ébène qu'elle s'empressa d'avaler. La grosseur de la bite déforme sa mâchoire. Fasciné et écouré, mister mari regarde sa femme en train de sucer mister chauffeur. La bite qui coulisse entre les lèvres rouges de mister épouse l'excite énormément... Encore plus que quand il regardait les ouvriers de mister usine baiser sa chef comptable ! Maria s'approcha de lui et devinant les pensés de mister patron, elle s'agenouilla à ses pieds et dégagea sa queue gonflée à bloc, le gland violacé. Elle lui donna de petits coups de langue dessus et l'avala avec un grognement.Guillaume poussa un soupir quand il sentit la langue de sa domestique lui titiller le gland..Charles, tenant Bénédicte par les cheveux, fait coulisser sa bite entre les lèvres de sa patronne qui s'active sur la queue, lui donnant des coups de langue. Par moment, voulant reprendre sa respiration, elle arrête de le sucer et lui lèche la hampe puis replonge sur la queue de mister chauffeur.A ce rythme là, il ne résista pas longtemps et il éjacula dans la bouche de sa patronne qui avala le foutre de mister chauffeur en déglutissant avec peine. Ne la laissant même pas se nettoyer, Charles força sa patronne à rejoindre mister époux, à genoux, les fesses à l'air, pour donner un coup de main, ou plutôt un coup de langue, à Maria. Guillaume, sucé par sa bonniche et sa femme, ne tarda pas non plus à vomir des jets de sperme, qui allèrent s'écraser sur le visage de Bénédicte. Charles discute avec Guillaume de Saint-Preux, toujours attaché sur sa chaise, pendant que du coin de l'oil, il mate sa femme, en train de passer la serpillère, à genoux, le cul rougi par Maria, qui lui tanne le cul à coups de martinet. Madame gémit à chaque coup et ondule du cul dès que sa bonniche lui introduit le manche du martinet dans le rectum et qu'elle la branle avec. Guillaume vient de tout avouer à Charles. Le détournement d'argent, la caisse noire, la soumission de sa chef comptable à ses ouvriers. Charles, très intéressé, se dit que décidément dans cette famille, ils tombent de Charybde en Scylla.Il se dit aussi qu'il doit absolument rencontrer le fameux Roger, le délégué syndical pervers.Il demande des renseignements sur les Bourbon-Dumas, qui vont arriver. Le PDG est il au courant des malversations de Guillaume ? Oui, répond Guillaume dans un souffle. Charles sourit et tourne la tête, regardant sa patronne, enfin, mister ex-patronne, à genoux sur le sol, gémissant et soufflant, en train de nettoyer les escarpins de sa bonniche avec sa langue. Il pense à la bourgeoise qui va arriver. Il l'imagine déjà à ses pieds en train de lui pomper la bite
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vanbruje
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Merci pour les corrections, bonne continuation...
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chrislebo
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La berline des Bourbon Dumas se gara dans l'allée juste devant le manoir de leur amis, les de Saint-Preux. Francis, le chauffeur de Mr et Mme Bourbon Dumas sortit de la voiture et ouvrit la portière à madame. Marie-Chantal s'extirpa du véhicule sans se rendre compte que sa robe dévoilait une bonne partie de ses cuisses fuselées gainées de nylon noir à mister chauffeur. Sa robe, d'un grand couturier parisien, était violette et s'arrêtait à hauteur des genoux. Ses talons crissèrent sur le gravier. Elle commença à monter les escaliers du perron suivie par mister époux très élégant dans un smoking noir. Le carillon de la porte d'entrée fit sursauter Bénédicte de Saint-Preux. Maria, à regret, arrêta de la masturber et rabattit la jupe de madame. Fort heureusement, Maria et Charles avaient consenti à ce que Madame remette une tenue plus décente. Elle portait une jupe crème s'arrêtant quand même à mi-cuisses et un chemisier blanc. Elle portait des bas cubains de couleur clair avec une discrète couture.Sexy mais pas vulgaire.Enfin.A condition d'ignorer qu'elle ne portait aucun sous-vêtements. Maria lui claqua les fesses ! - Allez va ouvrir salope ! Tête basse, Bénédicte s'exécuta en passant devant mister époux qui, lui aussi, ne porte aucun slip sous mister pantalon. Embrassades, exclamations, roucoulades.Marie-Chantal, belle femme de 65 ans aux yeux verts. Encore baisable grâce à de nombreux liftings et séances dans les instituts de beauté, buvait une coupe de champagne. Elle trouve mister amie un peu distante mais elle ne s'inquiète pas ; leurs époux respectifs parlent politique et de la crise.Guillaume jette un regard inquiet vers Charles. Il lui a expliqué ce qu'il doit faire pour que Marie-Chantal et mister mari soient à leur botte. Il attend un signe de la part de Charles. Celui-ci ne tarda pas, Charles fit un clin d'oil à Guillaume. - Tu sais au sujet de la caisse noire et des détournements. Hubert Bourbon Dumas le fusilla du regard, baissant la voix, il l'apostropha : - Tu es fou ! Ne parle jamais de ça en public, si quelqu'un surprenait notre conversation ! - C'est trop tard, lâcha Guillaume d'un ton larmoyant. Hubert blêmit, manquant de suffoquer. - Co.Comment ca ? Mais...Qui ? - Moi Monsieur ! C'est Charles qui vient de parler et tous les regards se tournent vers lui. Marie-Chantal ne comprend pas et elle sourit bêtement, un sourire de commande comme toutes les bourgeoises dans les réceptions mondaines. Hubert regarde Charles puis Guillaume : - Je ne comprends pas Guillaume. - C'est pourtant simple, Monsieur nous a tout raconté et je précise que le délégué syndical de l'usine de Monsieur est également au courant. Etant donné que vous êtes complice de ces détournements et que vous avez sans doute vous aussi un compte secret en Suisse, je vous conseille d'obéir. Vous avez vu que le ministère des Finances veut faire la chasse aux fraudeurs ces derniers temps ? Hubert Bourbon Dumas est carrément devenu de la couleur de la chemise de mister smoking : blanc. Il se tourne vers mister épouse qui maintenant a compris. C'est elle qui demande d'une voix tremblante : - Et...que demandez vous en échange de votre silence ? - Vous Madame ! La réponse a claqué comme un coup de fouet ! Marie-Chantal blêmit sous mister maquillage. - Mais...Comment ça.Ce n'est pas sérieux voyons. - Vous croyez ? Maria qui vient d'entrer se dirige vers sa patronne et claque des doigts ! - Amène toi salope ! Madame manque s'évanouir mais elle avance docilement vers sa bonniche. Maria soulève la jupe dévoilant les bas cubains. Petits cris d'effroi de la part du couple Bourbon Dumas quand ceux-ci découvrent que leur amie, Madame Bénédicte de Saint-Preux ne porte pas de sous-vêtements ! - Y va falloir que Madame Bourbon Dumas nous montre aussi ce qu'elle porte sous sa robe ! lance Charles avec un sourire pervers. Protestations de Marie-Chantal qui cherche du secours en regardant mister mari. Mais celui-ci n'eut pas la réaction escomptée par mister épouse ! - Ma chérie, nous n'avons pas le choix, c'est ça ou la primister. Le visage distingué de Marie-Chantal s'empourpre. Guillaume ne s'est plus ou se mettre. Sa femme, la jupe autour de la taille se fait doigter par Maria. Elle agite mister index et mister majeur dans la chatte de Madame. - Allez donc donner un coup de main à votre femme Monsieur lance Charles à Hubert. Celui-ci hésite puis soupirant il avance vers sa femme. Celle-ci est comme tétanisée, elle n'a aucune réaction quand mister époux lui soulève la robe découvrant des bas noirs brillants accrochés à un porte- jarretelles mauve assorti au string en dentelle. Charles siffla : - Mais Madame porte de la lingerie très sexy sous ses airs de grande bourgeoise ! Il avance vers Marie-Chantal et lui ordonne d'enlever sa robe. Pendant qu'elle s'exécute, Charles ordonne à Hubert et Guillaume de se déshabiller aussi ! Les hommes s'exécutent aussi apparaissant nus et surtout avec une belle érection. Charles regarda tout ce petit monde à sa merci.Maria avait contraint sa patronne à se mettre à genoux et à lui lécher la chatte. Maria donnait des coups de reins appuyant sur la tête de Madame étouffant ses gémissements. Charles eut alors une idée terriblement perverse. - On va jouer aux chaises musicales ! Tout le monde regarda le chauffeur comme si il était complètement fou. - Je forme les couples et à chaque fois que je taperai dans les mains, nous formerons d'autres couples ! Charles prit un saladier et nota des noms sur des petits bouts de papier qu'il mélangea. - On tire au sort ?
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chrislebo
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Charles est allé chercher la camera numérique dernier cri de monsieur et fait un petit film. Marie-Chantal pompe la queue de Guillaume. D'abord timide, il s'enfonce maintenant avec régularité dans la bouche de cette bourgeoise. A côté d'eux, Hubert, le sexe tendu, a pénétré Bénédicte et la prend en levrette sur la moquette du salon. Son ventre rebondi vient claquer sur ses fesses. Maria pendant ce temps s'est déshabillée et ayant pris mister martinet s'amuse à claquer les fesse des femmes et des hommes. Provoquant des cris et des plaintes. Charles sortit discrètement du salon, se retrouvant dehors.Il a soudain pensé à quelque chose. Les Bourbon Dumas n'ont pas de chauffeur ? Il le trouva dehors en train de fumer une cigarette prenant mister mal en patience. - Salut ! Le chauffeur des Bourbon Dumas se retourna. C'est un grand type, brun, athlétique. Charles se présenta et lui, proposa de rentrer. - Tu verras on s'amuse bien à l'intérieur. - Je n'ai pas le droit d'entrer. Charles sourit et le prit par le bras... - Tu t'appelles comment ? - Francis. - Vient Francis ! Tu ne le regretteras pas.et tu ne vas pas en croire tes yeux. Et il n'en croit pas ces yeux le chauffeur en effet. Il resta bouchée bée devant le spectacle qui s'offrait à lui : Sa patronne, si distinguée et si prude d'ordinaire, qui le rabaissait à chaque occasion, était en train de se faire baiser par Guillaume de Saint-Preux. Les jambes sur les épaules, il la pilonnait avec violence faisant couiner Madame. Ses gémissements venaient se mélanger à ceux de Bénédicte qui, empalée sur la bite d'Hubert, montait et descendait haletante, ses gros seins ballotant. Francis eut instantanément une trique d'enfer. Voir sa patronne se faire bourrer comme une chienne ! A côté de lui, Charles lui donne une tape dans le dos. - Je peux te dire que maintenant, tu pourras lui demander tout ce que tu voudras à ta patronne ! Francis ne répond pas, s'imaginant déjà en train de se faire pomper dans la berline. - Regardez qui nous a rejoins ! cria Charles. Hubert et Marie-Chantal devinrent rouge de honte.Marie-Chantal gémit : - Oh Mon Dieu, Oh non, pas lui. - Oh que si Madame et il va falloir être TRES gentille avec lui dorénavant. Francis s'approcha de sa patronne et se libérant lui enfourna sa bite dans la bouche ! - Allez suce moi salope ! Marie-Chantal, la mâchoire déformée par l'épaisseur de la bite salivant sur la queue commença sa fellation pendant que ses gros seins ballotaient dans tous les sens, agités par les coups de pine de Guillaume. Ne voulant pas être en reste, Charles demanda à Bénédicte de le pomper. Sa patronne avala sa queue avec gourmandise.Maria elle continue de filmer. Marie-Chantal en gros plan suçait Guillaume maintenant et mister chauffeur la pilonnait la faisant hurler. Echevelée, elle secouait la tête dans tous les sens.Ses gémissements étouffés par la bite qu'elle suçait. Par moment, Francis lui donnait une claque sur les fesses. Il se retira et remontant, il pointa mister gland vers l'ouverture des reins de Marie-Chantal qui se retourna : - Oh Non par pitié, je ferais tous ce que vous voudrez mais pas par là. Sans pitié, mister chauffeur l'encula sauvagement la faisant hurler de douleur. Les mains crispées sur ses hanches, il la pilonna rapidement. Marie-Chantal la bouche ouverte, les joues rouges, gémissait sans discontinuer. Madame de Saint-Preux haletait sous les coups de reins de Charles. Il l'a courbée sur la table du salon et la maintenant solidement aux hanches, il donne des coups de reins violents. Au-essus d'elle, Hubert se masturbe en haletant.Il éjacula libérant des jets de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage de Bénédicte. Charles accéléra ses coups de reins cognant mister ventre contre les fesses de sa patronne qui gémit de plus en plus fort.L'orgasme la submergea et elle poussa un cri déchirant.Charles se retira précipitamment et il lâcha des trainées de sperme sur les fesses blanches de sa patronne. Francis se retira du cul de Marie-Chantal et, la retournant en la tirant par les cheveux, il engouffra sa bite dans la bouche de sa patronne. - Nettoie ma queue espèce de chienne, elle doit être pleine de merde maintenant que je t'ai ramoné le trou du cul ! Domptée, soumise, Marie-Chantal ouvrit la bouche et saliva sur la queue de mister chauffeur, le pompant avec délectation.Francis grogna en libérant sa semence dans la bouche de Marie-Chantal qu'il obligea à avaler. Puis, on échangea les couples.Charles et Maria s'occupèrent de Marie-Chantal. Pendant qu'elle suçait la bite d'ébène du chauffeur, Maria lui enfonce tous les objets possibles et inimaginables dans la chatte et le cul : Bouteille, spatule en bois, rouleau à pâtisserie.Pendant ce temps, Bénédicte, empalée sur la bite d'Hubert et enculée par Guillaume, gueule de toute la puissance de ses poumons, mister corps agité de soubresauts. Cela dura une bonne partie de la nuit. Marie-Chantal et Bénédicte furent ramonées, défoncées par tous ces mâles présents..Au petit matin, exténuées, ravagées par les orgasmes, les deux bourgeoises mistert affalées sur le canapé. Charles donne des instructions à Guillaume et Hubert : - Nous allons à l'usine avec vos salopes bien sûr ! Je suis sûr que les ouvriers vont être ravis de faire leur connaissance. Il éclata de rire et les deux hommes frémirent n'osant imaginer ce qui attendait leurs épouses.
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chrislebo
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La vie pour Mlle Pinaud avait radicalement changé. Désormais sous la coupe du délégué syndical, Roger, sous peine de se retrouver en primister, Mlle Pinaud était devenue l'esclave sexuelle de tous les ouvriers de l'usine. Une journée pour notre chef-comptable était donc très bien remplie. Elle arrivait vers 9 h à l'usine. Elle se garait dans le parking. Sortait de sa voiture où en général il y avait deux ou trois ouvriers pour l'aider à descendre. Pas par galanterie ! Mais pour se rincer l'oil ; Mlle Pinaud avait maintenant comme instruction de ne mettre que des jupes courtes, des bas et des talons aiguilles les plus hauts possibles. Elle ne devait également ne mettre que des décolletés. Et bien sûr, pas de sous-vêtements. Elle passait devant le vigile, à qui elle faisait parfois une gâterie. Elle allait pointer et se rendait à mister bureau. Ce qui lui prenait plusieurs minutes, ralentie par les multiples attouchements pervers venant de la part des ouvriers, qui devaient vérifier, chaque matin, si elle avait bien mis des bas et ne portait pas de string. Les doigts s'égaraient dans sa fente et on la branlait rapidement. Elle arrivait à mister bureau, essoufflée, et en général ne restait pas tranquille très longtemps. Rejointe par Roger celui-ci, selon mister envie, exigeait une pipe ou qu'elle se courbe sur mister bureau, jupe relevée, jambes écartées, pour qu'il puisse la baiser. Quand la pause du déjeuner arrivait, elle devait de nouveau se mettre à la disposition des ouvriers. Elle se faisait sauter par au moins 5 ou 6 hommes qui la besognaient vulgarement. Ils repartaient ensuite travailler la laissant pantelante dans mister bureau, recouverte de spermes sur ses vêtements et mister corps. Elle se nettoyait tant bien que mal et mangeait rapidement. Le soir, elle devait dire au revoir à tous les ouvriers en leur faisant une pipe ! Elle avait la mâchoire douloureuse à power de sucer toutes ses queues. C'était le pire moment de la journée en fait ! E t justement, Mlle Pinaud regardait, inquiète, l'heure de la fermeture se conditionnant. Des exclamations la firent sursauter. Dans l'usine, on criait, éclatait de rire.Des cris de protestations également rémisternèrent. Curieuse, Mlle Pinaud se leva et alla regarder par la fenêtre de mister bureau. Elle mit sa main sur sa bouche, étouffant un cri, quand elle découvrit ce qui se passait. Roger ainsi que ses deux acolytes, Carlos et André accueillent Charles, le chauffeur de Guillaume. Mais celui-ci est bâillonné ainsi que Hubert Bourbon Dumas. Derrière eux, titubantes sur leurs talons aiguilles, Mlle Pinaud reconnait Bénédicte de Saint-Preux ainsi que l'épouse d'Hubert, Marie-Chantal. Elles ne mistert vêtues que de leurs sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutiens-gorges baissés laissant apparaitre leurs volumineuses poitrines. Elles aussi mistert bâillonnées et des cris de protestations indistincts s'échappent de leurs gorges. Elles ont le regard terrifié devant tous ces hommes qui les regardent déjà avec convoitises. Elles portent un collier autour du cou avec une laisse, tenues par Maria qui se réjouit déjà de les livrer à tous ces mâles en rut. Mlle Pinaud aperçu Roger qui lui faisait signe de descendre et mister cour cognant dans sa poitrine, elle obtempéra. A peine arriver en bas, quatre ouvriers l'encerclèrent et on lui remonta sa courte jupe en cuir laissant apparaitre les bas résille qu'elle portait. Ses escarpins noir vernis aux talons aiguilles démesurément hauts la faisaient tituber à chaque pas. On lui dégagea les seins de mister haut et on les lui malmène. On tire sur les tétons, on lèche ses mamelons; Des doigts s'aventurent dans sa chatte. Puis dans mister cul, un index et un majeur la branlent sans ménagements.Elle pousse un gémissement. Rejoint par celui étouffé de Bénédicte, courbée sur un atelier de travail et pénétrée par un vieux maghrébin, doyen de l'usine bientôt à la retraite, malgré mister âge, il est encore en pleine forme et il besogne la femme du patron avec une joie sadique. Son ventre vient claquer contre les fesses de Bénédicte qui gémit sourdement derrière mister bâillon. Hubert et Guillaume eux, ligotés, bâillonnés, ne participent pas, le sexe à l 'air, c'est la pire des offenses ! Assister impuissants à la déchéance de leurs épouses. Et devant leurs employés qui se moquent d'eux. Hubert regarde sa femme, à genoux au milieu de l'usine. On lui a retiré mister bâillon, elle se débat avec 5 ouvriers qui veulent absolument lui enfoncer en même temps leurs bites dans la bouche.Ce qui n'est pas possible reconnaismisters le. Elle lutte désespérément, crachant une queue pour en reprendre une autre, branlant une troisième. Marie-Chantal, halète, gémit, la mâchoire déformée par l'épaisseur des bites qu'elle suce du mieux qu'elle peut. Elle donne des coups de langue sur le gland, lèche la hampe, l'engloutit de nouveau.Les rires et les insultes la font frémir de dégout. - Putain ! Quelle salope, une vraie chienne. Elle suce comme une pro.
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chrislebo
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Maria, intéressée par Mlle Pinaud a demandé l'autorisation de s'en servir. Grand Seigneur, Roger accepte ; Maria s'est allongée sur le sol et jambes écartées se fait brouter le minou par Mlle Pinaud. Contrainte d'obéir. C'est la 1ere fois qu'elle a une relation de ce genre, sa langue d'abord timide lui titille le clitoris, ses lèvres.Maria appuit fermement sur la tête de la chef-comptable à quatre pattes sur le sol crasseux de l'usine, Un de ses bas est filé.Carlos s'approcha par derrière et, pointant sa bite aux proportions impressionnantes, encula Mlle Pinaud qui poussa un hurlement. Bénédicte sentit que le vieil homme qui la bourrait frénétiquement se vidait sur mister dos. Elle sentit le sperme chaud couler.Elle se dit que c'était terminé mais mister répit fut de courte durée. André la souleva et l'allongea à terre. Il lui écarta les cuisses et lui lécha la fente, s'introduisant entre ses lèvres intimes. Mme de Saint-Preux, donna un coup de reins et poussa un gémissement. Les yeux hagards, elle sent ce salopard d'André lui donner de grand coups de langue dans mister intimité.Et elle mouille, elle sent sa fente s'humidifier, la cyprine couler.Elle secoue la tête de droite à gauche.André se releva, souleva ses jambes et la pénétra en poussant un rugissement. Il s'agita entre ses cuisses. La pénétrant de plus en plus loin. Bénédicte répond à ses coups de reins en ondulant du bassin.Elle gémit. André la retourna vulgarement et la positionnant à quatre pattes comme une chienne prête pour la saillie, il l'encula. Au comble de l'offense, Marie-Chantal, à quatre pattes également doit lécher le trou du cul d'un des ouvriers de l'usine pendant que l'autre lui déchire sa chatte tout en lui donnant des claques sur les fesses. - Allez salope de bourgeoise, nettoie lui le cul, après, on te prendra en double. Marie-Chantal frismisterne.Elle veut protester mais on appuie sur sa tête, la tenant par les cheveux et elle lèche l'anus de mister ouvrier. On la tira en arrière et on la mit debout. Ses seins mistert malaxés par plusieurs mains.Un ouvrier s'allonge à terre, la bite dressée et elle doit s'empaler dessus avec une grimace.Puis, penchée en avant, elle sent le gland d'une queue powerr mister anus. Elle pousse un grognement. Empalée, enculée, les deux bites commencèrent à coulisser, ses gros seins ballotant, elle ne tarda pas à gémir. La fin des festivités arrivant, Charles et Roger positionnèrent Bénédicte, Mlle Pinaud et Marie-Chantal au milieu de l'usine. Tous les ouvriers en cercle autour d'eux. Se branlant mécaniquement. Elles durent ouvrir la bouche pour recevoir la semence des ouvriers. On leur éjacula sur le visage, certain cherchant à viser les yeux, le nez, les lèvres. D'autre préférèrent se vider directement dans leurs bouches, les contraignant à avaler leurs foutres. Certains lâchèrent des giclées de sperme qui atterrirent sur leurs seins qu'elles durent se nettoyer mutuellement après. Léchant à petits coups de langue, le liquide poisseux. Les trois femmes, recouvertes de sperme, se relèvent péniblement. Hubert et Guillaume, humiliés, effondrés, observent leurs femmes, le regard perdu. Charles et André s'approchent... - Pour un début, c'était pas mal, estime André, mais il faudra nous les ramener. - Bien sûr, pas de problème. Nos deux bourgeoises, épouses respectables et respectées, se regardent : Elles ont compris que leur vie ne sera plus comme avant. Et comme pour le confirmer, Charles les interpella : - Eh les salopes ! Et nous ? Faudrait voir à ne pas nous oublier ! Venez nous vider les couilles ! Devant leurs maris, Bénédicte et Marie-Chantal s'accroupirent, et commencèrent leurs dernières fellations de la journée. Il y en aurait d'autres. Beaucoup d'autres..
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!Descent into Darkness Where do I begin? How do I document my fall from a loving husband and man to a pimp for my wife and youngren? When did I go from loving my wife only, to being a sex slave to any man or woman who wanted to use me? How did it all end this way- me hiding from my family and from everyone else, worried they will ******* me on sight? When and where did it all go wrong? Anyway, let's start at the beginning, where all good stories must start. My name is John Smith (all names have been changed and all localities left unnamed to protect me) and I was until some time ago a successful executive in a multinational company. I had married my high school sweetheart Allimister, sweet, innocent Allimister and the youngren came soon after: Vanessa, Courtney and Michael, all one year apart. How would I describe Allimister- beautiful, gorgeous, caring, funny, and of course the physical- 36-24-36 with breasts 36CC and an arse just made to squeeze. She was a devil in bed but very restrained and prim and proper in public- no kissing, or hanky-panky in public. This is why what happened later so difficult to understand. Work was good, money was never a problem till the kids hit their teens. Then they wanted more and more and I worked harder and harder for longer hours and had a lot of travel. I got further away from Allimister and the sex sort of died away. She was still stunningly beautiful and I was interested but work never allowed me the time or energy to do it. I wondered if she was having affairs but nothing was out of the ordinary and I did not care anyway. Then came the lay off. The company collapsed, I was out of a job, the kids would not cut back on their expenses and life became desperate. Worse still, no one seemed to want to hire me- apparently the company I had worked for was involved in some underhand activities and the stigma got to me. Finally things got bad, real bad. No more money, kids still screaming, no jobs. Allimister insisted she would go get a job, any job. I asked her what job. She had no s*******s other than looking after the kids but she said she would do something. The remark I still remember was " I will use my feminine viles" with a wink. And voila, all of a sudden she says she has a job- for both of us!!!! All we had to do was to attend an interview cum orientation weekend, after which I would meet the boss and get to work. The job involved a lot of discretion (something illegal, I presumed) and a lot of travelling. Well, the kids were old enough to manage on their own so we went off for a weekend. Before we went, we made love for the last memorable time- Oh How I remember undressing her, fondling her, sucking her tits, licking her clit and finally fucking her. On Friday, we got to the address we were given. We were split up and I got sent to this strange room. I was given a take which sort of made me dopey. What happened after that got increasingly blurry and I can't remember too much. I just remember being seated in some funny contraption that hung from the ceiling so I was never touching the floor. I believe I was like that all the weekend but I might have gotten down to go to the loo. Flashes of memories of that weekend come back now and then but it was mainly takeing some weird concoction and a repetitious voice telling me things. There was a screen and images kept flashing there. Monday, we finished and I was taken to the boss. His name was Jim Morris- a very big tall, handsome black man as close to a God as I could imagine. For some strange reamister, I felt the urge to go down on my knees and kiss his hand and call him master. He told me to take off all my clothes and stand in the corner, and for some reamister I did it because keeping him happy was the most important thing in my life. Then they brought Allimister in. She looked lost, stunned and for the first time in her life unsure of herself. She knelt down, kissed Jim's hand and said, " Master, I am your slave, do what you want with me. I give myself to you completely." Jim called me out of the shadows and told me, " John, take off Allimister's clothes, slowly." Something in my head said, " No way", but I could not help myself. I approached her and started unclasping the dress. It was one of those pretty numbers that are formal but still sexy, you know lace in the right places. Off it went and then I unzipped her skirt, all the time with some encouraging noises and movements of her body. She kept saying, " Oh yeah, baby, take it all off so I can serve Master Jim. Please baby, get me ready for him" By now I would have had a raging hard-on but strangely enough I had eyes only for Master Jim (that would be his name from now on). Allimister's lacy black bra was given and her pretty tits with the hard erect pink nipples came out. All that was left were her silk lacy panties (thinking back, it seems strange why she wore all those sexy things for a job interview) and they came off very very slowly. There her splendid asse and furry pussy came into view. I then stood her and parted her legs so that Master Jim could have a clear view. Somehow, making him happy was the right thing to do. " John, go to the table behind you and find the razor and shave Allimister" I just had to obey. I got the things, lay Allimister on the table, spread her legs and shaved her cunt. It was beautiful but I didn't care. All that mattered was that Master Jim was happy with me. The look on her face told me she wanted exactly that too. So, I now had a naked wife, with a shaved snatch in front of a stranger who was stilly fully clothed. " Come to me John. Come here and take off my clothes." said Master Jim. I just lived to serve him. Nothing could stop me. I went up to him, took off his shirt and then his pants. At last I got to his underwear and I took that off. Oh man, what a cock- awesome, beautiful, big, black, whatever. I had seen many in the locker room and in pornos but his was a monster sixed dick. I loved it. From deep inside me, a strange feeling came onto me and I begged Master Jim to let me suck it. He laughed and said I could. I had no experience in this and just held it and started licking it. He told me to open my mouth and suck it. I did. It seemed strange but somehow nice. I enjoyed it when he started fucking my mouth. It was sheer paradise. Then he stopped and suddenly pulled out. Master Jim said, " Good, slave, but I like pussy. Now go and make Allimister wet." That brought reality back to me- Allimister had been watching me, sucking Master Jim's cock. I looked at her but she was still in some sort of a trance and looked happy to see me pleasuring the Master. She was still lying there, her tits up in the air, legs apart, her beautiful pussy visible to the world. I touched her pussy, fingered her clit and then licked it like it was sheer nectar. Normally I am not good at eating pussy and do it only for Allimister's benefit, but I just had to get her wet for Master and I was going to do the best job I could. Strangely, I hated the taste of her pussy and could not imagine why I liked fucking her at all. She was simply not for me anymore. She belonged to Master Jim. Finally she came. I felt the Master behind me pulling me away and getting into place between her legs. I have seen sex in pornos but man, this was something else! I don't know what to call it- this was definitely not love making, sex could not come close to describing it and fucking is almost an insult. Maybe lustful natural coupling would be about right. The size difference was almost phenomenal- she was so tiny, her pussy so small and he was huge. An elephant's dick. When he first thrust into her she screamed, I think from pain. Then as he kept fucking her, the screams changed to moans and then she actually started pushing back at him asking for more. His endurance was terrific- I mean I always thought that pornos were made up and no man could go so long but this guy- man, I lost myself watching him fucking her. She must have come at least half a dozen times, when he said, " I like pussy but I like ass as well". With that, he pulled out of her pussy and shoved into her ass. Then something strange happened. Allimister has never liked anal sex. We tried it once, she screamed and that was it. I tried to convince her many times but no way. With Master Jim, there was no resistance, no screaming, no pain, just sheer lust and enjoyment. She took it all like a pro and enjoyed every single thrust and kept cumming harder and faster. I stood there fascinated, and started getting excited. Watching Master Jim fuck her in the pussy didn't do it for me but watching her fucked in the arse, that really hit all my buttons. Well all good things come to an end and then he came. Plenty and plenty of cum and she screamed for more, begging him to fuck her more and more. He smiled at her, pulled out and told me, "Clean out her ass with your mouth" His cum in her arse tasted like the sweetest nectar I have ever had. I had never sucked a man or tasted cum but that was terrific. I was hard, hot and horny by the time I finished. He took me by the hand and to another room and said, " Man, you got more experiences to have. Leave me with your wife." In the other room was another black man, naked. I thought these stories of black cocks being big were a myth, but Al showed me otherwise. Master Jim simply handed me over and told Al to fuck me. What followed from there was my initiation into gay sex. I learnt with him the pleasures of sucking cock, getting fucked in the arse and fucking other men in their bums. By evening, Mater Jim simply told me to ring the kids and tell them we would be away for a week and they could manage on their own. I never even thought about it. Vanessa was nineteen, Courtney eighteen and Michael seventeen. I was sure they were fine. I just did not know that they were on Master Jim's agenda. I never saw Allimister in that week, but got fucked again and again. I also was offered pussy and sort of liked it but by then I was totally addicted to gay sex. I loved being the meat in a gay sandwich and also in a bisexual sandwich. The things I did. Finally, on the next Monday I was summoned to Master Jim. Allimister was there too, naked and sucking on his cock. It made me happy to see her giving the Master pleasure. Master Jim then told us that we were his slaves and so was our family. He would pay me a very good salary and give us an apartment to live in. We were to bring our youngren to him to fuck and convert into his slaves. Something in the back of my head said, " No" but the words that came out from Allimister and me was " Yes, Master". He also told me that my job would involve have pushing, prostitution ( being a pimp and whore) and making pornos. I also had to handle the accounts and paper work and keep the tax authorities away. Once again, I accepted. I kept thinking of new ways to make Master happy. Finally, Allimister was a whore and she would fuck anyone he wanted her to and also both of us had to be sterilized so there would be no unwanted pregnancies. After all this he sent us home and gave us two weeks to convince Vanessa to come to his place.
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chrislebo
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Okay, before I start, let me say my entire life I have been a fraud and a hypocrite. Yes, it is true I met and fell in love with John in High School and we married soon after. We also had three beautiful youngren soon after. All this is true. What is a lie, is the prim and proper lady like façade- the woman who would not kiss in public, the women who did not like anal sex- all that is crap. It is also sadly true that, I kept my real sexuality secret from my family. I insisted we attend church regularly, kept giving my youngren lesmisters in morality and how they should be faithful to their spouse. Oh, what lies. Oh, I loved sex in every way particularly anal sex, but not with John. The truth is that his weener is not sufficient for me. He will not admit it but it is small, he does not know how to satisfy a woman and he came too redy quickly for me. I never came with him but did he notice, no way. All he cared about was getting his rocks off. I only stayed with him because he earned more than I could spend and then the kids came along and I was powerd to stay on. What do I look like? My lovers (yes, there were many) call me good looking, and even with three youngren and 40 years under the belt, I can still turn men's heads. I am a natural brunette though I bet John does not know that. I am 5'7", about 60 kgs and big tits 36D. I bet John wouldn't know that either. My ass is the best part of me and I get a lot of attention because of it. The day I lost my virginity to John was the most disappointing one in my life. So much hype and so little action. It happened ( sounds like a cliché but it is true) in the back of his car. A quick undressing, a little fondling, no oral sex and a lot of pain. A very disappointing episode if ever there was one. The first time I tried anal with John was a fucking disaster. He didn't know what to do, had no lubrication, did not excite me and then just pushed it in. It redy hurt and I told him that that hole was out of bounds. He has always maintained that distance. I admit he was the first man to ever make love to me or even to fuck me but not the only one after I married him. I have had many men in my life both for a small meal on the side and as a professional whore. The one who really pushed all my buttons was Daniel, a work colleague of John, who strangely enough managed to find time to for me to go to his pad while John was at work. I still don't know how he did it. After that I got pregnant for the first time and my days out with Daniel in his pad came to an end. One day, after John had left, I heard the doorbell ring and I found Daniel at the door. He wanted to have a session of sex. I looked shocked and took him in. Inside, I said, "Look what we do away from this house is OK, but you can't come here. Some neighbour will here and tell my husband." "Well baby, you can fuck me or I'll let your husband find out", was his reply I got real angry and said, "I don't care about your fucking blackmail and you can get lost but I am horny and would love a fuck. I am just worried about the baby" "Well darling", he said, "I'll be real gentle and I'll only fuck your ass" "No way, John tried it and he nearly tore me up" "Hey babe", he replied, "your hubby is no fucking good at fucking. That is why you fuck me. Let me teach you what fun you can have with your booty" I took the bait. I let him lead me to the bedroom and slowly undress me. It was an art form with him. First he started by kissing me, on my lips, then on my neck. Then he slowly licked my neck while at the same time caressing my breasts, through the T-shirt. Then he pulled the shirt up just enough to play with my tits through the bra and kept on with that. He slowly rubbed my nipples and kept on playing with the tis. The nipples were soon standing up and very very excited. The cream in my pussy was just pouring out. Off came the T-shirt and then the bra and he gave my tits more attention with his mouth and lips while he squeezed my ass through the pants. Oh, I was wet and incredibly horny. I pulled my own pants and stood there in just my panties while he was playing with my tits. He slid one finger into my panties and then into my pussy and started a slow finger-fuck. Man that was in a league of its own. Finally, when I could take no more, he pulled my panties down When I was undressed, he continued with my tits- I guess he is a tits man. My pussy took on a mind of its own and started getting wetter and wetter. I lay on the bed, opened my legs and invited him in. He is just terrific at eating pussy. He took his time and ate slowly and methodically, concentrating on the tasty bits that excited me. My clit is particularly sensitive and he worshipped it. In about ten minutes, he said he needed to fuck me for a while and I was too far gone to object- all thoughts of the baby had gone. He put his prick to my mouth and I sucked it like a hungry permister offered food after a week of going without. I started with licking the tip and then the head. The underside is particularly sensitive and I slid my tongue on it. He made soft encouraging voices and I put it in my mouth and gave him a blowjob he will not forget. I sucked and I made him moan and groan like no man has ever done before or after that. He fucked me very gently in the mouth at first and then very hard indeed. Boy did it feel good. Pretty soon I was creaming and moaning. Finally, he pulled out of my mouth and said, "Baby, time for the real thing. Remember your asshole will stretch but you gotta relax. Nothing hurts if you relax. Fighting it makes it pain." Then he got out an empty wine bottle and lube. He turned me over --doggy style and licked the opening of my ass-hole. This was really good. No one had ever done that to me before. He ate out my ass better than John ever ate my pussy and at that point I realised what a lousy lover John was. He then lubed my ass and slowly inserted the bottle. It was not painful and actually felt good. He pushed it in and out for a while and then began fucking me with it. It was really very good. He then got himself ready. Plenty of lube on the cock and still more in the ass. It was the moment of a lifetime. He touched the tip of his cock to my ass hole. I tensed up and tried to pull away. He told me to relax and not to try to get away. If the bottle didn't hurt, he would not either. His cock slowly pushed in. It hurt like mad and I felt the pop as the pain caused me to scream. I just bit my lip as it was in the day time and I was at home, with prying neighbours all around. . He pulled out and pushed in again and again and again. The first few thrusts were painful, the next few tolerable and then I started feeling good. His cock was big and felt real good inside me, no matter which hole. Soon I was pushing back at him and begging for more. He laughed and said something about how he knew I would love anal. Finally after what seemed to be a long time, he pulled out and told me to suck his cock. "No way, you know where that has been" "Baby, you thought you wouldn't like anal and you loved it. Now you try this and you will love it too." So, I did it and he was right- my ass juices tasted good. I started off with a tentative lick of the tip and tasted my ass juices. I then licked the head giving him a chance to enjoy the sensation. His moans told me I was on the right path. I kept doing that till he begged me to take his cock in my mouth. I teased him a little more but did what he wanted and gave him a magnificent blow job Unfortunately, all good things come to an end and soon so did Daniel. He said, "I'm cumming baby" and he shot off his load in my mouth. It tasted wonderful mixed with my ass juices. That hooked me. From then on, Daniel could fuck my ass whenever he wanted and he wanted it often during the pregnancy. Thank goodness John's job kept him away most of the day. This went on for a few years, three youngren came along grew up and started school. By this time Daniel had been replaced by many others, but my craving for anal sex continued though I liked the straight pussy-fuck as well. It all depended on the man. If he could not make me cum he got the flick. After the kids started school, time started to drag during the day. Then, one fateful day, John took me to a work party where I met Julie, another work wife. We got to talking and became friends and she invited herself over when John was not there and it was her that brought up the topic of boring sex with boring husbands. She then told me that she had quite a few men while her husband was away and "I get paid well for it" When I asked further all she told me was to talk to John's boss, Graham privately at his place and gave me a cell number. I did that and he asked me to come over one day when John was at work. Graham was a big, handsome (in a rugged sort of way) fellow who put me at ease immediately. We spoke for some time about life, about John, about the kids and then he asked me, " OK, what do you want- why are you here?" I made him promise that whatever I told him would stay between us and then told him all about my men, how I cheated on John, how I loved anal and all types of sex. I told him that I have never tried so many things including lesbian sex and group sex and I would love to do that too. Finally I said, "I don't want to keep giving it away for free."
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chrislebo
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"Well", he said, " I ay be able to help but let me see the goods on offer. Take off everything and then let's see." So, I showed him the goods, so to speak and then he simply dropped his pants showing me a beautiful big uncut cock and asked me to suck him. No hesitation on my part, I was the best cock sucker around and I knelt down and held onto that title. Smooth, big, hard, strong, beautiful are some words that came to mind. I played with the head ant then licked it. I slowly started running circles on his cock head with my tongue. He started moaning. I put the tip in my mouth and started the actual sucking. His moans and groans got louder and more and more unrestrained. . Suddenly, he held my head and pushed his entire prick in. I relaxed my jaw and throat muscles and let it slide in. Then I simply knelt there and let him fuck my mouth. In and out slowly at first, he developed a tempo and his moans got louder and stronger. The feeling was really good even though he treated me as his slut. I felt the cream in my pussy flow and I got more and more excited. Then he stopped, pulled it out and said, " Let's see what your pussy can do!" He pulled me up and onto the bed, spread out my legs and rubbed my clit. I remember always leaving my snatch unshaved. He seemed to love that and kept telling me how nice a nice thatch of hair was. Then he started eating me. Boy, oh boy, was he good at that. He started at the clit and slowly worked his way to the actual cunt. Every touch of his tongue was like an electric current through my body. He kept on with that for a time and would occasionally lick my ass. He worked around and around in circles driving me mad. I was screaming in a few seconds, wrapped my legs around his head and started pushing my pussy into his face. He went on and on and I lost touch with time but I came and came and came again and again. He then stood up, and without a word pushed his cock deep into me in one hard push and I gasped in pleasure. John never had that effect on me. The natural lust on his face while he pounded into me was truly memorable. On and on he went and he didn't stop, till he turned me over and fucked me in the ass without lube. This was a first for me but it was sheer bliss. No pain whatsoever! I came again and again and finally so did he. He made me lick his prick off when he finished and I enjoyed myself. Then he laid out the deal for me. My lord was I surprised. Turns out John's company was a front for the mob. John was neck deep in very questionable and illegal activities but he did not know it. He thought he was doing the accounts of a legit firm. He was a manager of some the legitimate fronts of the company and did not know much of the back office deals. If I accepted I would become a company escort for the entertainment of company executives and customers. I would be paid and John would be promoted and kept out of town for longer periods of time so that he never found out. If I refused, after knowing all this, the entire family would vanish and never be heard from again. The choice was fucking for money and pleasure, or dying along with my family, and I knew what I wanted. I became a company whore and started doing various strangers as Graham would ask me to. There was nothing I would not do and the money flowed in. It is incredible that John never worked it out, but he was incredibly stupid and trusted me completely. I hope he has learnt his lesmister. I enjoyed those years. The company provided the babysitters and made sure John was away when my services were needed. I did single permisters, couples, lesbian sex, anal sex, orgies and almost any deviation that you could think of. No, I lie. I never had a gang bang. Then came the crunch. The law found out something about the company and started digging. The mob hid most of its underhand dealings and found a few scapegoats- one of whom was John. The fact that I performed special jobs helped him and all they did was sack him. The cops were hard at our heels and no jobs were forthcoming. We managed for sometime on my other income till finally John cracked and asked me to look for a job. I then contacted Graham who came me Jim Morris' number and told me to contact him. I told John I would be looking for a job and he said asked what work I could do. I said, " I don't know. I'll try to learn something". Jim Morris was a very tall handsome black man, who was very reserved but insisted I take something he prepared for me. I have no idea what it was but after that, I felt very cooperative. The interview was very formal. The standard questions about me, what I did. I had to tell him the details of what sex activities I performed for Graham and John's old company. He then asked about my family and youngren and what John did and everything else. There was no hint of anything sexual other than the stories of my escapades. He then said, "I think I can use someone like you and your husband. I need you both here for a weekend orientation but remember I am taking on your husband only because of you. So make sure he is nice to me." With that the interview came to an end and I was ushered out. His secretary gave me details of time and date and I went home. When I checked the time, I realised I had been in there much longer than the conversation I remembered but I put that down to bad memory. Something in me told me I had to make John happy so he would come with me for that weekend. He wasn't home. I went up, dressed up sexy and waited for him. Then I told him he could have a job if he came away for the weekend. The look on his face told me everything. He was sold on the idea but a little nookie would not hurt. So, I took him up to the bedroom and put on a little show for him. To the beat of a CD, I stripped and danced for him and then undressed him. He took me on the floor and I realise now that it was the last time and thank God for that. It was the most pathetic performance ever. He lasted barely a few seconds, and I could not get off. I just could not wait for the weekend and told the kids we needed to go away for a job interview and orientation. I still remember the look in Vanessa's face which said, "You're going away for a dirty weekend and you tell us 'job interview'". The other two seemed anxious to get rid of us and do whatever teenagers do when alone. I packed some clothes for the two of us and took John and off we went. It was the most fateful weekend of our lives. The weekend was strange, but I can't remember much of it. What I do remember is sitting in some kind of a suspended chair, takeing some strange liquid and a droning voice going on and on. What was said to me I can not remember. I do not remember even peeing or anything else but at the end of it, I was gently brought down and taken to a large bed room. There was my lifetime fantasy come true, Jim Morris standing proud and tall in the middle of the room and my pathetic excuse for a man husband, John in the corner looking all stunned. On Jim's command, John came to me and started undressing me, all too slowly. Strangely enough he treated me as if I didn't exist and he had eyes only for Jim- for some strange reamister I felt like calling him Master and since then I always have. I was eager to get my gear off and that stupid husband of mine was slow, very very slow. I kept trying to get him to be faster but he was very slow. The top was off and then the skirt. I tried to do a little jiggle of my tits for the Master but John came on up and unclasped my bra. It felt very strange. Before that, when he unclasped my bra, he would touch my tits and start playing with them. This time he barely noticed them, so I held them up and showed them to the Master. I squeezed them, played with the nipples and presented the perky tits for the Master to view. I put on quite a show and I could see a faint smile on his face. I got more and more excited as John finally got around to removing my panties and letting Master see my bush in all its glory. The Master did not look pleased at that and he got John to shave me. I lay down more than pleased to show off my pussy to my new master. I spread my legs and then opened the lips of my love bud with my hands and made sure that Master could see. I started playing with my clit while John got all ready but did he notice? Oh no! All he cared about was the Master and making him happy. His touch on me felt so disgusted but my Master wanted it cleaned and I was happy to open up. He used no cream just a little water and shaved me. It hurt but nothing could hurt while my Master was watching and happy at me. Finally my pussy was cleared of its bush and I was getting horny thinking of my Master fucking me. Instead I got John sticking his head between my legs and giving me what he thought was oral sex. A pathetic lick of the pussy, very little attention to the clit and not enough excitement anyway as by that time I had grown to hate him. In order to get him away I faked cumming and he was pushed away by my Master. He was strong and powerful. He pulled my legs further apart and without any hesitation started stroking my pussy with his cock. A slow touch, rhythmic patting at first drove me mad. The strokes got faster and stronger and the creaming started and I got wetter and wetter. He kept on rubbing me so nicely that I came. He sensed that and then put the head of his cock at the opening to my hole. It was exquisite. The feeling of finally becoming my Master's slave in every way. He then pushed himself into me and I groaned, both with relief and pleasure. His cock filled me and entered all the way to the tip of my womb. His cock entered in places that had never been touched before and many cocks had been in there before. Deep and hard he went and then pulled out for just a second before ramming it in again. In and out it went and I could feel it very deep inside, practically to the core of my body and soul. I have made love, I have fucked, I have even had natural coupling but what this was I can not describe. I suppose it was a complete surrender of body and soul, my giving myself to my new master, giving in to his physical powers. At that moment I gave myself completely to Master Jim and decided to dedicate my life to making him happy. My greatest pleasure was not from the cock filling me up but from watching John looking dazed at his wife being fucked like a wanton and enjoying it. I decided to make a show of it and give him more to watch. I started moaning and chanting " fuck me, fuck me, fuck me....." Very softly between that, I told Master Jim to fuck my ass and he obliged.
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chrislebo
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If his cock in my pussy was pleasure I have no words to describe it in my ass. It entered my cuckolds brownieter which had been properly dilated by years of fucking strangers for money. Even after years of dilation it still filled me completely, entering places that I did not know existed. His cock felt huge but nice and the initial shock quickly became pleasure and I started enjoying his thrusts. The moans were now coming hard and fast and my body took on a life of its own pushing at Master Jim and taking his hard cock. My pussy tingled, my ass ached and I felt a surge building up inside of me. I started to feel myself cumming and I screamed to Jim that I was ready to go but he just kept on fucking me in the ass. Finally the dam burst and I felt myself go and he filled my ass with his cum. He then ordered John to lick all of his cum out of my ass and John, like the obedient puppy he was started doing a bungled job as usual. He had obviously never licked an ass but he tried, oh God he tried. I could only feel disgust for him. Finally Master Jim pulled John away from me and sent him off. He took me to another room and said, " Baby, time for your education." He took me to a room with a one way glass and I could see what was happening with John. What I saw was truly amazing. John was naked, bent over with a black man fucking his ass and he looked like he was in heaven. Master said, "Well, you never did know your husband did you? You wanna see more" Watching John's offense made me happy and I just nodded. He asked me to wait there and went off. Over the next hour or so, I saw John sucking Cock, fucking another man and being the meat in a gay sandwich. My happiness knew no bounds. Finally another man came and took me away saying Master wanted me. In another room, Master waited with seven other men. He told me that it was time for me to have a gang bang. I was still naked and he handed me over to the men telling me to make it great for them The rest of that day was truly educational for me. I first sucked each of them in turn, giving them my very best in blowjobs, paying attention to all the sensitive parts. I put all my ears in whoring to good use. One man fucked me dog style while another got me to suck him. Before he came he stopped and got me to get up. He then lay on the floor and got me to ride him cowboy style with his prick in my cunt. Then another guy got on behind me and pushed his dick into my ass and almost instantly I came. While they set up a rhythm pushing in and out of me, one guy gave me his cock to suck and two others had me give each of them a hand job. This went on for a time, then they simply moved around and I had a different man in each hole. On and on we went, they would stop if one of them came and he would get off for some rest and recuperation. I have no idea how long this went on but by evening I was exhausted and fucked beyond belief. Finally, I was taken to master Jim. He told me that John was being re- educated and that soon John would have no desire or need to have sex with me anymore. He gave me that strange take of his and continued telling me about his plans. He wanted my family to be his slaves in each and every way. He told me I had to make sure my girls could not get pregnant and asked me about their sexual experience. I did not know and that is what I told him. He said that, there would be great pleasure and profit in it for me if they were. He gave me a bottle of the stuff he made me take and told me to give it to them before talking to them and that, the take would make them more pliable. He told me to go home and tell the kids their dad had a new job and I should get them ready for the Master to enslave them. Somehow all of this sounded reamisterable to me and I went home to do exactly that
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chrislebo
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How do I do it? Many people have asked me this and I never let them into the secret but I am now willing to tell. How do I influence people in a way that makes them my slave? How did I build an empire of crime and power? How did I go from being an average poor black boy growing up in a slum like area to being one of the most powerful crime bosses in the country? How did I land up in jail? The real question is not how but why? Why did I do all these things and why did I fail? I suppose to answer these questions I need to go back to my younghood. As a boy I was pretty average, for a black boy, physically, I mean. I had no particular talents, no good looks, nothing. I did have one thing though and I still can't explain it. From early younghood, I could influence people. My voice had a strange quality about it. I could get things from my parents while my brothers were not given anything. My mum went out of her way to get me anything I asked her for. I just assumed it was because she loved me more but I later found it wasn't so. In school, other kids and the teachers would do anything for me – all I had to do was ask. Over the years I honed my s*******s and became an expert at manipulating people. I realised early on that I could only get people to do things for me if deep down they wanted to do it. When I was thirteen, a travelling stage magictist came to our town and I got mum to get me to see him. Using all my s*******s, I managed to get back stage and talk to him. I asked him about my unique abilities and if he knew about them and how I could improve on them. He explained that, magicsis and mind control were two different things. In magicsis you could only get the subject to do what they wanted to do deep down. Mind control on the other hand was to get a permister to do something they really did not want to do. He told me that I had a natural magictic permisterality and that I should nurture it. He recommended some books and promised to meet me each time he went through our town. I went home and read the books and tried to practise. I guess I got somewhat better but nothing special. Then, one evening there was a knock at the door and mum opened it to find a couple of well suited gents who said they were from a government agency (sorry, I can't say which) and they wanted to speak to me, about my ability to manipulate people into obeying me. The offer they made me was incredible. They would take me to a government house where I would be assessed. If they were interested in me, I would have the rest of my education taken care of by the government in return for assisting them with their research. I would have no contact with anyone from my previous life and could only contact my parents by phone for at least five years. I accepted and using every ounce of influence I could muster I convinced my parents to accept too. The next day I was whisked away to a secret location where there was private tutoring, good food, and everything else a thirteen year old could want. I spent five years over there. For the first year or so they studied me and tried to work out what gave me my talents. After that, I managed to convince the researchers that I could be of more use if I helped them and I got into the studies. I learnt more and more over those four to five years about mind control. I learnt about certain chemicals that could reduce resistance, about techniques of relax deprivation, sensory overload and reprogramming of the human mind. Over the years, I experimented privately as well and developed a mixture of chemicals (some South American herbs and a few ordinary medicines) that would break down a human being's mind and convert them from being a thinking permister to a mindless automaton, who it was then easy to brainwash. All I missed there were girls and was I horny by the time I left. I had to sign release forms, confidentiality agreements and a host of other documents giving the government patent rights over everything I may have invented while in their secret house. I could not go back. I was set up elsewhere in a University and given admission to the course I desired and told I should not have anything to do with my family. Remembering the poverty I had lived in, I was not unhappy about this and I agreed. I had a decent flat, some good spending money and was enrolled in University. I then decided it was time to get laid. There was this girl in my course, Nicole (Nikki), on whom I laid the charm and took her out a few times. Finally one night, I took her home, slipped the mixture into her take and managed to get her to tell me she was a virgin and convinced her that she wanted me to be the one to bust her cherry. I remember that night like it was yesterday. I took her in my arms and our lips met. She kissed me back with the greatest of passion. Soon she had both her arms around me, and her nails were running over my back, lightly but firmly. She rubbed and caressed my back. Her arms moved down and touched my ass. She started to firmly knead my ass. Carefully I began to move my hand down her back, slowly working forward, to feel her breasts in my hand. She moved to allow me to touch her tits but did not break the kiss. I slowly worked my way to the front and grabbed hold of one tit and gently massaged it, feeling every part of it and tweaking the nipple gently. Gradually I moved both my hands around her and gave both breasts my attention. I rubbed and squeezed and tweaked the nipples making them stand up. It was only then that I broke the kiss. I turned her around and looked her in the eyes and gave her some bullcuckolds brownie about loving her. Then I began to pull off her top, very slowly. I saw my first ever set of perfectly formed breasts, and it was like nectar to a thirsty man. Off came her bra and her breasts stayed firmly in place, without it . I threw her top to the floor and looked into her eyes. I kissed her again and again, slowly moving her to the bed and getting her to lie down. While we were kissing, she began taking my shirt off and I moved to allow her freedom to get me undressed. Slowly I began to kiss her neck and then to her chest. I looked up and saw her face contorted with passion. Taking my cue, I moved onto her breasts, which were now heaving up and down fast. As my lips touched a nipple she let a small moan escape form deep within her. I licked around the nipple and areola and took it between my teeth, lightly biting it. She gasped and moaned, encouraging me to go on with my ministrations. I looked at her, smile and moved across to the other nipple, repeating my actions and getting more moans of pleasure. . I worked down both her breasts like a starving man eats a burger. As I sucked and nibred on her nipples she gave a long moan and started pushing the breasts to me. I continued pleasuring her breasts and then moved my hand down her body. I reached her skirt and pulled at it. She moved her bottom just enough so I could get it off. I tugged the skirt down her smooth legs and kissed up her legs from the toes. I worked up to her sweet pussy very slowly and gently. I could smell the sweet smell of her pussy drawing me closer. Gently I parted her beautiful legs and set myself between them, looking up I could see her face contorted with pleasure. I was pulled to the paradise between her legs and I kissed her over the panties. There was already a small damp spot, the aroma was heavenly. I kissed Nikki's covered pussy and she muttered a slight moan. I kissed again and again, and kept getting moans each a little deeper than the previous one. I licked up the length of her covered pussy, and tasted the sweet flavour of the area. I put my fingers into the band of her panties and slowly pulled them down while Nikki moved her hips and helped me get rid of that last obstacle. She just lay and there and looked at me as I saw my first ever pussy and by God that made me want to eat it. I knelt down with my head between her legs and started to lick on her clit- slow, languorous licks, round and round in a circle. I then stuck my tongue into her pussy and started to eat her. All this time, she kept moaning and groaning and it got harder, faster and louder. Finally, I heard her say, "Oh my God" over and over again. Her pussy suddenly was completely drenched and I realised that she had cum. She lay watching as I stood up and unbuttoned my pants, while she was recovering from her orgasm. She smiled as my underwear came into view and could see the outline of my, by now very hard cock straining to get out and into her. I wasted no time in pulling down my underwear and letting it out. I heard a gasp coming from Nikki. She said, "Are you sure that thing can fit into me?" I smiled and said, "Well, let's find out." I then came closer to the bed and held one foot in each hand and parted her legs a lot more and she put a finger over her pussy. I thought she felt shy, but she stuck one finger in and began masturbating in front of me. My cock rose more than I believed possible. I started kissing my up from her knees, listening to the guttural moans coming out of her mouth. I worked my way higher and higher, getting more and more excited. That sweet pussy aroma just made we want to taste her twat once more. I heard another moan and my cock jumped. I looked and saw the most pretty pussy. There was no hair, the skin was perfectly smooth and there were two little lips surrounding very tight and wet hole ready for my hard throbbing. I moved faster up and over Nikki's thigh. I met no resistance when I moved her hand aside and tasted her pussy. I soon replaced it with my finger and then my tongue. I kept up with this and would give her my finger to suck on her own pussy juices on occasion. She would take the finger in her mouth and suck on it and then move it down to play with her nipple. They were both hard and erect like bullets and her breasts were so soft and beautiful. I kissed all around the smooth skin not touching the lips, then I ran my tongue up and down Nikki's pussy, feeling the clit at the top. My tongue stayed on that for a little longer and I then placed a kiss there, while she moaned louder. Much as I loved the taste of pussy, fucking was what I was there for and that is what I was going to do. I looked up into her eyes and saw the welcoming, longing look. How could I refuse a woman who wanted to be fucked. I now lay on top pressing my hard cock against her wet pussy. I wanted to push it in as deep as I possibly could. She saw this in my eyes and whispered "Wait, I have a better idea". She kissed me deeply and wrapped her arms around me. For a while we lay like that, kissing, rubbing my cock on her cunt, moving back and forth. Suddenly, Nikki pushed me off and got up. She suddenly got aggressive and pushed me onto my back and got on top of me. I could now feel the touch of her twat right on my cock. It took all off my willpower not to push myself into her pussy. . She smiled a wicked smile at me and began to rotate her hips slowly. I could feel my cock becoming wet from her juices as she ground herself onto it. She looked into my eyes, smiled and said, "I want you to be my first! Make love to me, fuck me, do anything you want to me!"
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chrislebo
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I needed no more encouragement. I put my hands around her and pulled her down onto me. Millimetre by excruciating millimetre I could feel my hard cock slip into her tight pussy. Then I felt the barrier to her virginity, the maidenhead. I realised she felt pain when it tried to push in and she stopped. I encouraged her and told her it would be okay but she stopped. At that point, I put my hands on her shoulders and pulled her down while thrusting up at the same time. The cherry popped, she screamed and I entered a pussy for the first time. I lay still for a while to let her get used to the sensation of a cock inside of her pussy. She slowly lifted herself up and began to rotate her hips, slowly. I did the same to maximise our pleasure. I lifted my hips up and she moaned as I pushed in deeper. She began to lift herself off me as I almost completely slipped out when she slid back down. We both moaned and made strange noises, while with every stroke of my hard cock we sped up. My hands were busy massaging Nikki's firm breasts, pinching each nipple, and rubbing the areolae. The bed started to groan and creak under our weight. Sweat was pouring down my body making me feel really hot. The sweat pouring down her body made her glisten. Nikki's already tight pussy began to contract with her coming orgasm. This made me push harder and higher with each thrust penetrating her deeper and deeper. I could feel the opening to her womb on the tip of my cock. She kept on moaning something that sounded like, "fuck me, fuck me, fuck me.......", but her voice was strained as she approached orgasm Suddenly Nikki began to tense up and her whole began to shake. She had a massive orgasm and her pussy went into spasms, trapping my cock. The feeling was so intense that I lost it and I felt my own orgasm appear. I gave a loud moan and pulled her down against me. I thrust my hard cock deep as it exploded shooting hot sticky cum deep into her pussy. We lay together and kissed and cuddled for a while. Then my cock had become limp and I just pulled out. I still remember we fucked six times that night and by morning I was completely exhausted. The next morning, I got to talking to her and she told me about her family. Her parents were Graham and Wendy. They had married young and were still in their early forties. From what she said I realised her lady was a real looker. Her sisters were twins, Charlotte and Louise (or Lottie and Lou), again both were extremely good looking. Both were older than her and had boyfriends. No matter how much I probed she could not or would not tell me what her man did for a job and I got the feeling that it was not entirely kosher. I then made the fateful decision which would set me on the path to crime. I decided to try out my mind control techniques on that family. I convinced Nikki that she should go away with me for a weekend but not let her parents know about it as yet. I said I would get back to her with arrangements and we would go away. I went away and hired a small home for a weekend. Then I started taping my voice speaking all the words needed to convert Nikki into my slave. I created the films that were needed and even built the special chair needed so that she would not touch the floor. When she finally got there, I blindfolded her to heighten the element of surprise. I got her to take of all her clothes and get in the suspended chair still blindfolded and gave her my mixture to take in a little vodka. In a few moments she was very cooperative. I then took off the blindfold and said, "enjoy the show!" For the next two days, she was bombarded with recordings of my voice telling her that she was worthless, my slave, a slut, a whore and she could only be happy by obeying my every command. I programmed her to believe that I was the ultimate stud, had the biggest cock in the world and that only I, or someone I made her to have sex with, could satisfy her. I also ran images of pornos showing all manner of sex acts and kept telling her she liked them. I got her to masturbate while watching these and listening to the recorded messages. Part of this technique involves having no sensory input at all, other than what she heard or saw on stage. At the end of the weekend, she was my slave: completely under my control and willing to do anything for me. I told her that, she had to get her lady and two sisters to this place, one weekend at a time. I gave her my special mixture and told her to use it to convince them. This worked like a charm and I had Wendy for the next weekend (Don't ask what she told her husband she was doing for that time) and then the twins one weekend after another. So, in about a month, I had three slaves, who were ready to serve me as I commanded. Part of the training for the twins involved making them drop their boyfriends but Wendy was told to continue to keep her husband sexually happy. Finally, I got the chance I was waiting for. I got Nikki to organise a time for me with her mum and sisters and she was to make sure her man never came home. I went over and told them that they had to give themselves to me sexually in every possible way, and that they were to do whatever I wanted. Wendy took me by the hand to the master bedroom with her twins in tow. Even though I had planned this, the thought of having to make love to three beautiful women made me anxious. Wendy looked at Nikki, and said, "You lead this, darling, so do your thing. Go ahead. Let's see what we have here." Wendy stood on one side watching. The twins moved to my sides and grabbed my arms as Nikki kneeled in front of me. Her hand crept under my balls and lifted my cock up and she bent her head forward. Her mouth opened and she opened her lips and sucked me in. I watched the expression on Wendy's face. She looked down to where Nikki was sucking on my prick. My cock began to grow big and hard, Nikki started stroking my balls and the underside of my cock. Her tongue teased around my shaft and she started moving her head up and down. She opened her mouth, relaxed her throat and had my entire cock in her mouth. I said things like, "Good, slave. Keep your master happy" One of the twins said, "Oh-my-god mom. Look at that. It's huge. She can't even take it anymore." I turned to the three of them and told them quite simply to take off their clothes while putting on a show for me. I told Wendy went to go and get out her camera and to take pictures of her girls all nude for me. While Nikki was sucking on my cock and Wendy went off for the camera I got the twins closer and started playing with their tits. The tits were soft and heavenly but the nipples were hard and getting harder by the minute. Just watching their sister giving me a blowjob was getting the girls aroused. Soon the twins wanted to push Nikki away, but I told them to take turns. The twins had obviously been around the block a few times and were experts in the art of sucking cock. One would touch the under side of the shaft while the other sucked on the tip. Then they would swap and while one would be sucking the other would play with her twin's pussy. By this time Wendy was back and I wanted photos of her for future plans (read blackmail, here), so I told the twins to do a sixty nine while I got their lady to suck cock and Nikki to take pictures. If those girls were good at sucking cock, their lady was terrific. She was good looking for her early to late forties age and man, was a husband a lucky mister of a bitch. She caressed and licked and sucked and did it again and again while the twins were getting comfortable with each other. It was a great sight. Mum getting filmed sucking cock, the twins doing a sixty nine and Nikki getting them on film too. Wendy stopped for a moment and called all the girls and told them to watch how it was done and proceeded to do a fantastic job of it. It took a lot of effort not to come in her mouth. Oh yeah! She was good. I can't remember ever having my whole cock in a woman's mouth, before or after that, when I was this hard, but she deep throated me, never gagging but making some sort of gurgling sounds . Nikki said, in a very hoarse voice, "Mum let him loose for a second, I want a shot of how big his dick is" She let my cock loose and then click, click went the camera as Nikki took pictures. She said she wanted a picture of me cumming and while I would love to oblige her I was not ready. Instead I decided I needed something different. I asked the twins to stop their sixty nine and Nikki to take the place of one of them. Lou came to me and I got her onto the bed. I laid her back and held her feet pulling her legs apart to get a clear view of that exquisite pussy. It was glorious behind the hairy bush she had. I told her to start fingering herself and to spread her pussy open for me. I asked her to tell me about her boyfriend and how he fucked her. She started to tell me about how pathetic he was (all due to my mind control, of course: part of the mind control is to make them think no one was better than me in anything at all). I said, "tell me, is his cock as big as mine?"
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chrislebo
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"God, no! It is small and he doesn't know how to use it. He can't last long and he can barely get me off." "Can he eat you, like I do" I asked "No he is useless" (Remember, I hadn't even licked her pussy yet: that is mind control for you) Well, I aim to please the ladies. So, I knelt in front of her, put my mouth to her snatch and started eating at her pussy like a hungry man getting food after a week. She moaned, she groaned, she heaved and her lady took pictures of what I did to her, while her sisters were doing the same to each other. Finally, I stood up and took my, by now rock hard, cock and aimed it at the opening to her cunt. I rubbed her pussy with it and stroked her till she was begging to be fucked. When her cries became too much, I pushed into her and got a scream for her. She literally believed that this was the largest cock ever. She screamed as she was in pain. I said, "Does it hurt? Should I stop?" Between panting and groaning, she said, "No, you idiot, push it in harder and deeper. You filled me like no one has done before. Fuck me and fuck me hard" Like I said, I do anything to please the ladies. I pulled out and slammed it back in again and again and again. She kept on with her moans and pretty soon started screaming, "I'm cumming...." That shout did it for me. I lost control and let loose, releasing a big load into her pussy while she screamed with joy. Wendy dropped the camera at my beckoning and came to her flower's snatch and bent down to lick my cum out of her. "Beautiful. My god that is beautiful," Nikki gasped. "Don't take it all, mum. I want a picture of it in your mouth. Don't swallow mum! I want a picture of it running down the sides of your mouth." They all stood up while I went and lay down on the bed. I called Nikki and said, "Did you get good pix, Nik?" "Sure did. You're amazing. I never ever thought I would see someone get sucked by my mom and fuck my sister. When will you be ready again?" "I'm not sure but if you and the others start playing, maybe you can get it up again." The ladies could not do enough to oblige and Wendy got the ball rolling by kissing Lottie deeply and passionately. Lou attacked Nikki and soon they were kissing and playing with each others tits. Very soon they were all in bed, a tangled mass of bodies and I was getting more and more excited. Very soon I had a very hard cock and approached the ladies, who broke up and all tried to get to me. The lady was mature, and experienced but her flowers had also a lot of experience in matters sexual, was quite obvious by this time. The three girls came to me and just stood one on each side and Lottie knelt down and took my cock in her hand, while I started on Nikki and Lou's tits. I was rubbing them both and playing with the nipples on display while one sister started caressing the underside of my cock and getting me harder and harder. Eventually, I could stand that no more and got her to open her mouth and just pushed in. I asked Wendy, "Babe, you getting pictures of this?" "Sure am!" The cock slid down her throat getting a groan out of me. I enjoyed the sensation but kept on with the other girls' tits. I played with the little nipples making them as hard as bullets and getting moans out of them, while Lottie deep throated me. I put my head down and sucked one nipple after another and got the girls all excited. Finally, I realised I needed to have some relief and I pulled Lottie up to the bed and lay her down, pulling her legs apart. She had some bush, no shaved pussy there. I wanted to fuck her there and there but decided to get some more pleasure. Instead, I got Nikki to lick her sister's pussy while Lou played with my cock. Oh, the pleasure I got in that time. It was great watching Nikki licking her sister and getting moans and groans while her sister licked my cock and caressed it and made it harder and harder. I had had enough. I wanted pussy and so I pushed the sisters to one side and went to Lottie and touched her welcoming open pussy. I lightly touched the insides of her thighs and rubbed around the sides very gently and slowly, and she responded with moans and soft cries from deep inside her throat. Very slowly I started caressing her pussy lips and the moaning continued. Slowly, gently I massaged the pussy lips and Occasionally slipped my finger in. The wet finger went to her mouth and she sucked on it with relish. I took that finger out and started fingering her clit and she started making some funny sounds. Soon she was wet and slick and I touched the tip of my cock to her snatch and started rubbing it on her twat till she literally begged me to fuck her. Finally, I pushed the tip of my cock in and heard a grunt. I pulled it out just a little and then pushed it in to the hilt. Her pussy was wet, soft and very hot. It clutched on my prick like a tiny hand and she started spasming. I pulled out again and in again. By this time, I had been over – stimulated and couldn't go for long but kept on for a while till I finally said, " Baby, ready or not , I'm cumming" And I did. In great spasms and with jets of cum spurting out I came in her pussy before I could pull out. When it was over I stood back and enjoyed the spectacle: one twin lying on the bed with my cum running out from between her legs, the other twin and her sister watching gobsmacked and their lady taking pictures. We spent most of that day like that and I had the pleasure of fucking all sisters and their lady, watching them perform various sex acts on each other and ending the day completely drained. Over the next week, I met with the girls and their lady and we had a few really good sessions. I spoke to Wendy about her husband and got more details. Apparently, he was a big gun in the mob, running a big operation. He ran haves, prostitutes, extortion rackets and porn films. I realised that, he was not the type of permister to mess around with, but he could be useful. I got the ladies to 'loan' me money, and introduce me to other people whom I could get under my control. I set up a proper place where I could get people in over a weekend and work them over. Over a period of a few years, I built up a good operation and had a lot of people working for me, some whom I had worked my mind control on and some who just worked for the money. Even though I had more women than I could possible make love to, I kept these four women close and slowly released the girls back to their boyfriends in a way that they never regretted what I did to them. Nikki, I convinced to find someone else and go on her way. Wendy, however was another kettle of fish. I needed her for my plans. Eventually, I got Wendy to introduce me to Graham as a fellow mobster, with an independent set up. I contracted with him to supply me with haves and other merchandise and with whores for my clients. Occasionally, he would refer a woman over from his mob as he could no longer control her and I would subject her to my mind control techniques and get her back in line. This went on for some years before he told me about Allimister. He said she was a terrific whore and her husband was fucking nit-wit who did not guess what his wife was up to. What really interested me were her youngren. Grown up girls I always liked!! That I suppose was the beginning of my downfall though at the time I thought of it as a great opportunity. I organised for Graham to get John into trouble and lose his job and I organised for him to be unable to get a job anywhere else, presumably because of questionable activities at his last job. My interview with Allimister, under the influence of mind altering medications, told me that she was disgusted with her husband, he was a wimp and not really interested in her and that the kids just wanted money. I figured that John needed to be re- educated so he would not like his wife anymore and what better way than to bring out the bi-curious nature in him. That is what I did. I got them over for a weekend and simultaneously brain washed them. Her, I made into my whore ( not difficult considering her previous vocation) and him I convinced him to try homosexual sex and if he did he would love it. All of this was but a prelude to the main show of having his kids for the main course. After getting Allimister all converted and fucking her in John's presence, I sent her off to get her kids ready for me and kept John for the benefit of the men who worked for me. Things began to go awry after this, but how was I to know that I was being trapped.
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chrislebo
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Somehow we got home together from Master Jim's place (I still can't stop calling him that). We never spoke and could barely look at each other. Neither of us had any respect for the other. The look on her face while Master was fucking her took away all doubts in my mind. I knew that she did not belong to me and that my life with her was at an end. Could I salvage my relationship with the kids? Still, that was not the dominant thought in my mind but rather how do I get them to join us on this path? I asked Allimister and she gave me a look that would freeze hell over. All she would say was, "Leave them to me, you fag" I realized that, she knew what I had done in the week we were apart. How could I ever look at her in the eyes again and how could I ever make love to her? Funny enough, this was the least of my concerns. I still worried about how to convince the youngren and whether any of them were virgins. I knew Allimister took them to Church regularly and kept talking to them about how important it is to preserve themselves for marriage. Strangely enough, as though Allimister had already spoken to them, there was no resistance from any of them. They were all eager to see the Master and find out what he could do for them. Something in the back of my mind kept telling me to stop here and get out but I could not. We made arrangements for the three of them to go to Master Jim's den where he had his mind control equipment and I dropped them off myself. They were all so excited when they were led inside and I was sent off and told to pick them up in four days time. I can only imagine what happened there, but when the two of us went back, we were told that we had to stay on the premises as we were to be the stars of a porn movie. I was flabbergasted and didn't know what to say. To make things worse it was to be the entire family together. I protested saying I had no experience with porn movies but no one listened. I was told to take a couple of pornos to my room and watch them to learn. Allimister and the kids were kept together and I was kept in a small room closely resembling a primister cell. It was then that I realised what a situation I was in but still something in the back of my head powerd me to work for Master Jim. I waited and waited. Eventually I was called out and taken to the studio where everything was to be shot. The director came to me and told me I had a few lines and I would have to fuck my two girls but first they would each have another man. I was not to touch Allimister and I had to just follow his directions. I just had to obey as Master Jim had commanded this. So, in the studio, the entire family sits in sofas and armchairs around a huge bed. The cameras start rolling and I get my very corny lines to read, "Hello everyone! I am John and this is my wife Allimister. These are my flowers Vanessa and Courtney. Over here is my mister Michael. We are a very close loving family and all my youngren are virgins and we believe that the family that fucks together stays together. Therefore, today in front of the cameras my flowers will lose their virginity after which I will fuck both of them. Allimister here will initiate Michael into sex. I hope you enjoy. Over here is Brad who will initiate Vanessa and Pete who will fuck Courtney. Remember all members of my family are over 18." Then Brad approached Vanessa and started with a light kiss which turned very passionate very quickly. He practically had his tongue in her throat. While this was going on Pete went to Courtney and kissed her on the mouth full on, shoving his tongue down her throat. It looked liked it was well choreographed, the way the four of them were kissing. Suddenly, I noticed that Allimister had taken the lead and was kissing Michael more passionately than she had ever kissed me before. Soon Brad was taking of Vanessa's top and Pete did the same with Courtney. Michael did not take the lead so Allimister pulled her top off for him. I saw my flowers topless in their bras for the first time and my wife stripping for my mister. It was deeply disturbing in a very erotic manner and I was getting aroused. I could feel the red flow in my cock. It started to get very hard. Brad and Pete now started kissing the girls on their necks and upper chests and at the same time touching and kneading their breasts. Michael took his cue and started doing that too his lady as well. I stood fascinated and rooted to the spot watching these goings on. The kisses got more passionate and suddenly Vanessa's left breast was out in Brad's hand. It was the first time I saw that tit and it was a magnificent sight. He was rubbing the breast, feeling every part of it and then he put his mouth to it and began licking. Brad's lips snaked around the areola and the nipple, causing her to moan. He licked around the nipple again and again and it became hard as a bullet. He then put his hand in her bra and pulled out the right breast and started lavishing his attention on it. Round and round the nipple it went and she kept groaning and moaning. Then I heard more groans and I saw Courtney having her breasts licked by Pete and Michael, my baby licking his lady's breast as a lover. Vanessa and Courtney's tits were standing up erect without bras and very beautiful. Vanessa's nipples were a darker tinge than those of Courtney. The mere sight of them made the red rush into my cock. I could feel the desire to reach forward and feel my little girls' tits, but that was not possible at that stage. It took a lot of self effort not to rush forward and start to play with those tits, but I managed. I could tell that Brad and Pete were professional porn actors but Michael obviously did not have any experience. His lady was guiding him on how to suck her tits and he would look at Brad and Peter for cues. The feelings were overpowering. I didn't know what I felt- lust, disgust, subjugation. I wanted to fuck my girls, but felt disgust at myself for that feeling and loathing of the situation I was in. I hated it but could not find it in myself to hate Master Jim. Soon, the three women were getting their men to pull down their skirts. I looked with bated breath to see my girls' thighs and legs. When I could see them I was ecstatic. Their thighs were magnificent pillars of pearly white flesh ending up in that lovely triangle between the legs which were covered by lacy panties. Michael had also got his lady's skirt off and I could see her thighs but I was no longer interested in her. Brad and Pete got the girls onto the bed and Michael got his lady onto the couch and they started kissing their woman's legs and working their way up. Brad was the best. He was kissing and sucking on Vanessa's toes one by one and he was getting a terrific response from her. He kissed her very slowly up her leg and then went to the other. He reached the top of her legs with her moans getting louder and louder. He stuck his fingers in the waist band of her panties and pulled them down. Her gorgeous pussy came into view. She was clean shaven and I could admire the glistening lips of her cunt. Oh my God! I actually lusted after my flower and desired to fuck her. When I tried to look away, I saw that Pete had got Courtney's panties of and I could see her most beautiful snatch. That pussy was enough to make anyone cum in their pants, so rather than loose it all I looked at Allimister. Michael had got her panties down and was looking lovingly at her cunt. That did not excite me at all but I liked the way Michael was enjoying his lady's pussy, the hole from which he had been born. He very gently touched it like he was scared of it and Allimister moaned and thrust her pelvis at him in encouragement. He gently touched the clit and started playing with it in amazement. His gentle touches were not enough for his lady who begged him to eat her pussy. He said he did not know, so she pulled his head forward to her hole. He started licking slowly and tentatively, not knowing what to do while his lady kept moaning instructions. Pretty soon he had found her clit and was sucking on it like a pro. His tongue darted in and out of her pussy and she started a slow moan encouraging him. My eyes moved to my girls and their moans. Pete was expertly eating out Vanessa, his tongue working circles around her clit and darting in and out of her pussy. While doing that he was also fingering her pussy with two fingers. That was pure sexual energy at work there and I was getting more and more excited at this sight, so I turned to look at Courtney. She was lying back, her tits heaving up and down with Pete's tongue on her clit and his finger in here pussy. Then I noticed that he had one finger in her cunt and one in her arse and was fingering two holes at the same time. Her pussy was glistening with her juices, her pussy lips were puffy and red and she was making some grunting sound and I got the feeling she was close to cumming. While, I was watching this sight, the director called me off camera and told me to start taking off my clothes on camera and get myself ready to fuck the girls, when I was asked to. What got into me I still can not understand, but the urge to obey Master Jim was undeniable. I eagerly pulled off my clothes and started playing with my cock to get it hard enough. As if on cue, all the men got up and the girls undressed them slowly. Then the girls all bent down and started blowing off their men. I watched in awe as Vanessa began licking the underside of Brad's cock and got moans from him. I wondered if she had had training. She slowly moved to the tip of the cock and started circling it with her tongue. Slowly, methodically she licked and licked while he was making unintelligible noises. She continued on doing this and I realised that Courtney was giving the same sensual kiss to Pete's cock. He was groaning and moaning and making various sounds. So was Allimister. She attacked Michael's cock with a vengeance. She licked, she sucked and she got him very hard. I could see the pre- cum on the tip of his cock when it came out of her mouth. Soon all three were sucking on their man's cock and it was a great sight for a porno.
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chrislebo
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Brad grabbed hold of Vanessa's head and pushed hard into her mouth causing her to fetish. He pulled out and pushed in again and kept on fucking her in the mouth. As if on cue Pete did the same but Michael needed some encouragement. I couldn't believe what I was seeing. There was some disgust, some lust and a strange acceptance of what was going on. My wife being throat fucked by our mister, my two flowers giving two strangers blow jobs I have never had in my life. Perhaps, I should have said or done something but I was too busy playing with my cock preparing myself to fuck my flowers when asked to. Then came the moment. All the ladies were laid out on the bed, their legs spread, their pussies exposed for the world to see and the men standing there with their cocks in their hands. I think it was choreographed well. It started with all three men rubbing their girl's pussy with their prick and hitting it a couple of times. Brad stroked Vanessa's pussy a few times before he put his cock to the entrance of her cunt and pushed in. I heard a scream and groan and I knew that was all theatrical. She was playing the part of a virgin. Brad pulled it out, the director shouted, "cut" and the make up men went in front with fake red to put on his cock. The filming started again and Brad showed his 'red' stained cock to the camera. He then shoved it into her pussy again and she screamed again. He went in and out while she pretended to feel pain and then started showing some pleasure. He began fucking her and I began enjoying the show. It was then Courtney's turn to lose her 'virginity'. Pete rubbed up her pussy a few times, stimulating her and getting a few moans from her. He then took his cock to the entrance of her cunt and after a few rubs and banging it a few times with his cock, her spread out her pussy lips and pushed his cock into her cunt. She screamed, like her sister. Pete pulled out and the make-up guys coated his cock with fake red. Again he took his cock and showed it to the camera with her 'red' on it. Then he pushed into her again and then began a steady rhythm in and out of her. The initial screams became moans of pleasure and she started to enjoy being fucked. Then the camera moved to Michael who looked lost. Much as he loved kissing his lady, getting a blow job from her and licking her pussy, he was not sure about actually fucking her. The director cut the scene and had a quiet word with him away from every one and he came back. There was no hesitation in him as he approached his lady and she made encouraging noises. He touched her pussy and rubbed it for a while, making her wetter. He then started rubbing her cunt with his cock and moving it up and down. His lady's moans became louder and more encouraging. Finally, he got his courage and put his cock to the opening of his lady's pussy and shoved it in. He was the youngest and by far the best I could see. His cock plunging in and out of his lady's pussy was very erotic and stimulating. By then, Brad was moaning meaningless rubbish to Vanessa about her beautiful pussy and she was shouting encouraging things to him. Things started to get out of hand and he shouted, "I'm cumming" and started to move harder and faster. He started to spasm and I realised that he had come inside of my girl's pussy. He withdrew his cock and I could see his spunk flowing down the sides of her pussy along with his 'red'. Vanessa beckoned to me and said, " Daddy, please fuck me. I need you." How could I refuse her? I moved forward, pushed Brad out of the way and guided my cock to the hole that he had vacated and with one mighty shove entered her tight, hot, wet pussy. Her cunt muscles grabbed my cock and held onto it like a fist. I began fucking her while I watched Pete fuck Courtney on one side and Michael fucking his lady on the other side. The sight of these three women lying back with their tits swaying up and down, their nipples hard and standing up and a man fucking them was just too much. Usually, I have a lot of self control and go on for a long time but this was not one of those times. I whispered to Vanessa, " Sorry honey, but I am just about to come." She smiled sweetly and said to me very quietly, "Mum always said you were lousy in bed and couldn't go for long" I just lost it there and came hard and long. I emptied myself of my cum and my frustrations in that girl. I was angry, ashamed and hated myself, my wife and my kids. I stood back to watch my cum running down her legs and wondered where everything had gone wrong. The director got me of stage and said I had to get ready for Courtney. I was taken to another room where a very beautiful girl started to get me erect again. They gave me some Viagra and the girl started a slow strip dance. She was really good and got my mind off what was going on back in the studio. Soon, she had the top off and the dance got more and more sensuous. The bottom came off in a short while and she was dancing in front of me in her bra and panties. She kept up the slow teasing dance and then off came the bra and her gorgeous tits came into view. All I can say was that, they appeared huger, bigger than any I had seen since then and the nipples were pink, hard and erect. She kept up the dance jiggling her tits as she did so and I started feeling some life come back into my cock. She moved forward allowing me a feel of her soft breasts and got me to suck on the nipples and squeeze her tits I always like to show my appreciation and I did. I leant forward and took the left nipple into my mouth and started sucking on it like a baby. I liked the taste and so moved to the right tit. Soon, I was alternating between breasts and squeezing on them while I did so. By this time, my cock had started rising again. She pushed me back and told me to sit down and continued dancing. Now she put her fingers in the waist band of panties and pulled them down. The view of her snatch was intoxicating. I put my hand forward to touch it but she refused. Instead she moved back and spread out her legs to show more to me. She then began rubbing her clit with one hand and her tits (one by one) with the other. Her fingers ran over her pussy and slipped inside. She began a slow masturbation while I watched her. Suddenly she stopped when she noticed that my cock was starting to rise again. She came to me and knelt down in front of me and took my cock in her hand. She touched the sensitive under surface and gently caressed the tip. Her tongue darted out like a snake and she licked the tip of cock sending shivers up my spine. She started running her tongue along the tip and then the length of my cock, causing me to get harder and harder. She encouraged me to squeeze her tits while I was doing this and she continued while I go some pleasure out of her breasts. Well a few minutes of this, and she stopped. She got up and led me by the hand back to the studio where Courtney remained. By now the others had finished and gone away. Courtney was still lying there with cum flowing down the inside of her thighs mixed with her 'virginal' red' The director told me I should go ahead and simply fuck her and they would do the rest on the editing floor. I don't know how it happened but I came closer and she told me, "Daddy, please fuck your little girl. I know you want to." I realised that these were the director's words and approached her. I looked at her wide open pussy lips- red and swollen with cum running out. I couldn't help myself. I touched her pussy and rubbed her clit a little and stuck a finger in her cunt while doing so. I finger-fucked her for a while and she made her moaning noises. "Oh, daddy, please fuck me," same out of her mouth between moans. I decided the only way to do this was soon. So I stood there, took my cock in my hand and rubbed it on her pussy a few times. I took my cock and shoved it deep into my second flower's cunt. She screamed a little scream of pleasure and started make encouraging sounds while I fucked her. Her cunt muscles were tight and she sure knew how to milk my cock with them. I fucked her and her pussy squeezed me for what seemed like forever. I continued for a while, in and out of her wonderful young body and had sensations which I never had before or after that. Finally, I told her, "Baby, I'm cumming." She said, "It's OK daddy, I already came with Pete. You let go!" And I did. I let myself go into her tight, hot, wet cunt in a series of spasms. I spurted and spurted and found my whole body shaking. I pulled out and looked at my cum running down the insides of my little girl's leg. It was the most profoundly erotic but most disturbing sight in my life. I had just fucked both my flowers and watched my mister fuck his lady. Something cracked inside of me and I left. I have felt depressed and ashamed since then and never had the courage to face my family again, not that I ever got an opportunity to do so. I was then taken to another room and cleaned up, fed and told to wait there till I got called. I have no idea how long I was there but eventually Master Jim called me. He said I had pleased him a lot with my performance on camera but now I had more to do for him. I was to run his operation from another city. I would run the prostitution, haves and porn rackets. I was to find and recruit girls for him to control and get some hooked on haves so they wouldn't get away. I did this but somehow never respected Master Jim, though his pull on me was great. He also had a movie of me fucking my flowers and he intended to blackmail me at every opportunity. I got into his business and made a success of it and worked for a few moths.
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vanbruje
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Merci pour cette belle suite...
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chrislebo
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I couldn't believe it. They had me on video begging for and then sucking their cocks! It actually scared me a little. I just assumed it was some sick spur of the moment thing, that they would just take me back to my car and never mention anything again. I guess I should have known better, after all, Billy didn't seem all too shocked by my crawling into his room, and his bed, the previous night. But the fact they had a video camera set up and hidden already meant they'd planned this out and they knew exactly what they were doing. Back in Billy's room, because I didn't know where else to go, sitting on the floor and thinking about my situation. "Whats on your mind?" Billy asked. "I just, I don't know... I guess its just so much—" I stammered. "Come over here and sit next to me" Billy interrupted. He sat up on the edge of his bed as he said this and patted the mattress next to him. Feeling weak but needing a sympathetic ear I went over and sat by him. He put his arm around me and pulled me close. I was so confused and frustrated that I actually broke down in tears. I wasn't usually so sensitive and emotional, but it was all so much to take in. "Relax Sweetie" said Billy, "This is no big deal, it'll all be over after this weekend and you'll be ok, just be some new experiences is all, you'll get over it, I promise." "Are you sure?" I replied meekly. "Yes baby, but there is something you need to prepare for. They are gonna take your ass before they're done. They always do." "So they've done this before?" I said. "Oh yes, and trust me when I say, there's nothing you can do about it. The sooner you accept it and start preparing for it, the better it'll go." "Prepare?" I asked, "How do I prepare for, um, it?" "Well", he replied "I can help you, but you have to trust me completely." I thought about it for a moment, "ok, I trust you." "I mean it, you have to do everything I say, go through with it or it won't help." "Yes", I pleaded, "I promise, whatever you say, no questions asked." He smiled and walked to the bathroom motioning me to follow him. "Ok" he said, "take off your clothes and I'll show you how to give yourself an enema." "Wait", I protested, "How is this gonna—" Billy cut me off, "Shut your mouth, you promised to do what I said. You question me again and I can go make sure they are extra rough with you. Ok?" Billy's change of tone shocked me, I nodded meekly, "Sorry" Billy showed me then gave me 4 enema kits and told me to use them all. Then he handed me a disposable razor and told me to shave every bit of my body. I wanted to protest but remembered his threat. He explained how other than some itchiness as it grew back it was no big deal and would be worth the trouble it would save me with Rick and Tony. And lastly he handed me the tube of red lipstick. "I think you know what to do with this." I came to realize there was no going back, I would have to fully commit to this for it to work. And really, after having given 4 blowjobs to 3 different men, it was too late to get out of this with much in the way of pride. "After you are clean and shaved come back into my room for the finishing touches." Billy said. Just then I heard Rick yelling for me. "Don't you worry, I'll handle him, but hurry up" I thanked Billy and grabbed an enema bottle. About 35 minutes later I walked back in to Billy's room clean shaved and naked with cherry red lips. Billy smiled and said, "Ok, we don't have much time here. In case you haven't figured it out yet, the more submissive you are with them, the gentler they'll be with you. Just make it your goal to please them and you'll be fine. Now hand me that bottle and get on your hands and knees on the bed, we've only a few minutes to get you loose and lubed for them." I did what he said, positioning myself so I could see what he was doing in the mirror. I was shocked by my new look, smooth shaven with slutty red lips. He poured a bit of the lube down the crack of my ass and then began massaging the area around my hole gently. As he did this he talked quietly to me, reassuring me that if I did it right, it would only hurt for a moment, and that I might actually come to enjoy it. He told me to relax as much as I could and to not worry about anything, that there was no point resisting. As he spoke he began to push a finger against my tight bud. I tried to relax and as I came to the realization that he was right, that I was better off going along with them, I actually began to feel free. I began to almost look forward to this as nothing more than I minor experiment. I even began to hope I did a good job! Billy worked one finger in and as I powerd myself to relax he gently got another in and slowly turned them back and forth and pushed them in farther. Amazingly it actually felt kinda good and a little moan escaped me. Billy smiled, "I told you it might feel good." With this he began thrusting them in and out a bit faster. Going farther in and then almost all the way out before powering them back in. After several minutes of this he added a third finger without any warning. I yelped a little, and it was higher pitched than I'd have liked, coming out almost feminine. Billy leaned down and bit my ear and whispered, "You like this, huh? I bet you'll love the real thing won't you?" "Oh yes", I moaned, "Yes give it to me." I didn't know where this was coming from, but I didn't fight it. He shoved them in even farther and faster, really working my asshole. "Say please", he said. I looked in the mirror and realized he had his cock out and was stroking it. It was hard and shiny with lube and I wanted it inside me soooo badly. "Oh please", I begged, "Please put your beautiful cock in me! Please?" He paused long enough to look me in the eyes in the mirror and smile an arrogant smile before positioning the tip of his member in the crack of my ass. He lined himself up and then thrust the head in. I squirmed around it as he began working it in a bit farther. I could feel resistance for a moment, he gripped my hips and pushed harder and after a few moments something gave and most of his cock slid inside me, I gasped. He wrapped his hands around my slender waist and then with a grunt he smoothly thrust himself all the way in. I couldn't help it, I yelped and moaned like a whore in heat. It felt so good, being impaled on his hot hard manhood, this boy at least ten years younger buried nuts deep in me. My hard little cock was dripping like a bad faucet. "You're such a naughty little whore, you like having my hard cock in you?" "Oh yesss", I gasped, "your, cock, feels, so, good, in, ME!" He began thrusting faster and faster, his heavy balls slapping against me, his hands gripping me, controlling me, making me his bitch. And I LOVED it! I was moaning and whimpering with lust. Billy's breathing became ragged and he pistoned in and out of me like an natural. Just when I thought I couldn't take anymore pleasure he put his hands on my shoulders and threw his head back as he pounded my not-so-virgin-anymore hole even harder. "Oh yeah baby, fuck me fuck me fuck me fuck meeeeee!" I squealed like a little girl. Billy grunted and growled and with a final mighty thrust he came, dumping what felt like gallons of hot cum in my twitching ass. I came at the same time without even touching myself, I couldn't believe it. He held me there with his hot cock slowly softening inside me. I glanced up at him in the mirror and he had a brazen look of conquest on his face, smiling down at me. I was torn between shame and joy. Shame at the realization of how fulfilling it was to be used like a slutty little fucktoy and the joy of a hunger I never knew I had being satisfied at long last. He pulled out with a wet pop and then I was hit with this overpowering sensation of emptiness. It was like I felt sad or something. All I knew was I wanted to be filled again. That's when I heard Rick call from the other room. "Hey slut boi, get yer sweet ass in here!"
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chrislebo
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It had been two days since I had been at Dave's house. I still felt I had been ****d even though there are those who would say you can't **** the willing. But are you really willing if it is through magicsis? Yes, the videotape of me looks like I was a willing participant, but in my mind I was fighting it as best I could. I just didn't have the strength. My husband came home from his trip, and though I wanted to, I couldn't tell him what was wrong. He would walk up to me and ask if there was something wrong. I would try to get the words out, and then get sick to my stomach, run to the bathroom, and vomit. He tried to nurse me through my illness, some virus I told him. It was going around. The day before I returned to work, my husband said he had something to tell me. I was just sure he had found out somehow about Dave and thought I was a slut and wanted a divorce. He sat me down and told me he knew what was wrong. I started to cry. He knew. How did he know? Would he blame me? Would he forgive me? "I had a talk with your friend Dave today. He came by my work and told me that you had a bad time while I was gone and you needed time to recover. " A talk with my "friend" Dave? What the hell happened? "W-w-what did he say?" I was afraid of what was coming next. "Oh, don't worry, I won't embarrass you. He told me how much it upset you." He walked away and into the bedroom. I couldn't for the life of me figure out what he was talking about. A few minutes later I followed into the bedroom but didn't see him. I heard moaning sounds coming from the bathroom. It couldn't be! My husband has always thought of masturbation as a sin. He would never do it, and he was disgusted when he found out that I did. I peeked around the corner and looked. I was shocked to see him with his pants down around his ankles, his hand sliding up and down his cock. It was starting to get harder but nowhere near the size of Dave's piece of meat. I couldn't take my eyes off of him. It was so out of character. He was looking at a Playboy magazine. He NEVER would have had a magazine like that in the house in the past. What was going on? My eyes were glued to him as he fisted his cock, moaning loudly, calling out some woman's name I'd never heard before, and it sure as hell wasn't mine! I tried to back away, but something held me there in place. I could see the precum escaping through the slit in his cock head. I closed my eyes and all I could see was Dave's cock. His moans brought me back to reality, and I watched mesmerized as my husband who had never touched himself before had one hand massaging his balls as the other slid over his cock head spreading that precum around. I dropped my hand to my pussy, sliding a finger along my slit and then dipping into my cunt. It was bone dry. I moved my finger to my clit. I felt nothing, no excitement. My heart was pounding, but with frustration, not lust. His moans burned their way into my brain, and I furiously pushed my fingers into my pussy. What was wrong with me? Then I remembered Dave's words that I would not be able to orgasm from masturbation or my husband, only him. I heard my husband's moans, and opened my eyes to see him shooting cum across the room, his hand pumping his cock faster and faster as he emptied itself for the first time into thin air. His cum had always found a warm receptacle in the past, my mouth or pussy. I heard him talking to himself, still unaware that I was there. "That was the best orgasm of my life! Dave was right. This is so much better than sex with my wife. I should have been doing this years ago." I was stunned. What had Dave done now? Had he magictized my husband? How could I find out? I walked away in a daze, trying to figure out what to do next. My husband walked out of the bedroom a few minutes later whistling like nothing unusual had happened. I walked up to him to kiss him, pushing my tongue into his mouth, holding him tight around the neck, pressing my body into his. He pushed me away. "I'm really not in the mood, OK?" And then I realized, neither was I. The rest of the day and night was strange. He talked about all kinds of things, mentioning his talk with Dave every now and then. He said he really liked him and was glad that he and I were friends. He said he hoped I could help him with his dog. We went to bed, barely saying a word. We both moved to the farthest edge of the bed away from each other. We didn't even kiss good night. I cried myself to relax. The next day, it was back to work. I took call after call. I was so glad it was busy today. I needed to keep my mind off the last few days' events. Just before the end of my shift a message popped up on my computer. "Meet me after shift in the parking lot at my car." I deleted the message without answering. The next 30 minutes went by so slowly, and all I could think about was Dave. I tried to power him out of my head but he wouldn't go away. I would close my eyes and see his hard body over me. I'd open my eyes and feel his hands caressing my skin. Someone walked up behind me and tapped my shoulder. I almost jumped out of my chair. "Geez Lynn, take less coffee. I thought you were going to scream for a minute. What's wrong with you anyway? You seem to be in some dream world. I thought once your husband got home you'd be back to normal but that isn't happening. Are you guys fighting?" I looked over at Bonnie. "No, everything's OK. You're right; I need to take less coffee. Sorry about that. What's up?" She looked at me like I was nuts. "It's time to go unless you're planning on staying to work for free." I tried to joke while I scooped up my things and walked out the door a few minutes behind my shift mates. I realized I was alone in the parking lot. I looked around as I saw all the cars leaving the lot where swing shifters parked. And then I saw his car, off in a dark corner. I tried to turn away but couldn't. I slowly walked to his car. He sat there on the hood, watching me with that smug smile on his face. "You really didn't think you would be able to resist coming to me did you? You know you want me. You're addicted to me Lynn. You can't deny it. You think of me instead of your husband. And now you don't have to worry about hurting him by not having sex. He isn't interested anymore. His hand will do quite nicely for him now." He smiled at me and reached out to push my hair away from my face, tucking it behind my ear. When his finger brushed my cheek, I could feel the ache in my pussy. It was starting to throb. It was starting to leak. What was happening to me? Was he right? Was I addicted? I looked up at him with tears in my eyes. I wanted to touch him, to feel his hard body. He took my hand and pulled me slowly towards him. I couldn't take my eyes off his face. My breathing was getting faster and deeper as he took hold of the back of my head and slowly brought my lips to his. My mind was in a whirl, excited, and disgusted at the same time. How could I live like this? When his lips touched mine, I melted into his arms, my heart beating wildly against his chest. His hands tangled in my hair, holding me tightly to his lips. My heart was pounding as his lips broke away from mine and moved down my throat. He pulled my shirt back, and I felt his teeth bite into my shoulder. My pussy started to throb, and I felt my panties soak through in seconds. My hands gripped his shoulders, and I was moaning loudly into his chest. I heard myself talking and didn't know why I was saying it. "Fuck me Dave, please fuck your little bitch." There was no one in the dark parking lot across from the Police Department as he unzipped my pants and let them drop to the ground. He pulled my panties down and spun me around to face his car. His hands were under my shirt pulling my bra out of the way so he could maul my tits. I wasn't fighting him even though I should have. I should have been screaming at those Police Cars driving by only yards away. But I wasn't, I was his willing little slut. I heard his zipper and then felt his hard cock sliding into my wet and willing cunt. I spread my legs farther to allow him easier entrance into my hot hole. "Oh my God." I moaned loudly as I felt him push his whole length into me in one slow motion. "Yes, I want all of it, I want you to fuck me deep and hard." I was hearing this like it was coming from someone else, but it was my voice. It sounded so far away. I could hear Dave's laugh as he answered me with his deep thrusts. My body was accepting him without question, like he owned me. My body responding to his like we were old lovers. The only sounds were his grunts as he thrusted and my moans as I took every bit of his meat. He whispered into my ear. "You're mine Lynn, from now on. You know it now. Your body and mind belong to me. You are my little slut to use, and you love it." His thrusts never slowed and my pussy was on fire for him. His hand dropped to my clit and started to stroke as he pushed deep into my body. I felt more pleasure than I thought possible as he whispered. "Cum for me my little bitch." I exploded around his cock, my body jerking and spasming. The only things keeping me from falling were his strong arms around my waist and the long pole that was anchored between my legs. As I started to calm, I could still feel his cock pounding into me, and I loved it! I was his slut! I was pushing back at him, trying to power him deeper inside me. He held me tighter, his teeth nipping at my neck, one hand brushing my hair back to give him more access to my skin. I shuddered with lust as I felt his fingers trail across my shoulder. I wanted him to fuck me. I didn't want it to ever stop. "Don't ever stop fucking me Dave, pleeeeeeease." Dave started ramming his rod into my body and held me as tight as he could as he started to jerk, his cum spurting deep inside my womb. I could hear his natural grunts as he rutted like an natural on his female. His hot seed filled me, and I started to orgasm again, trembling, moaning, my cunt clamping down on his cock, milking every bit of his sperm from him. I felt the contractions inside me as my body pulled his seed deeper. I collapsed over the hood of his car, panting, trying hard to catch my breath. My heart was pounding in my chest. I felt his weight on my back, his hands stroking my back as we both recovered in the darkness of the parking lot. His cock slid out, sated finally. I felt his cum dripping down my thighs. I was shaking as I slowly turned to face him and sank to my knees at his feet. I looked up at him as I carefully took his spent cock into my mouth. My tongue gently lapped up our combined cum, and I moaned as I cleaned him thoroughly. His hands were stroking my face, and I felt like this was where I belonged, at his feet.
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chrislebo
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She couldn't wait to get in the door, run to the bathroom, and remove this damned plug. She felt so dirty with God knows how many loads of cum that he had dumped into her today. He only had taken out the plug long enough to fuck her again before shoving it back in. It was so tight there hadn't been a drop of leakage into her panties. The moment she walked in the door her phone rang. It was Dave. She was shaking as she answered. "Hello there my little slut. I have instructions for you. Take off your panties and skirt and lay in the middle of your bed. Keep your phone with you." The line went dead. What was he planning? She held the phone in her hand as she mindlessly made her way to the bedroom. She hadn't seen her husband around. What was Dave thinking? Was he going to come to her house? He'd never been here before. She did as she had been told and took off the skirt and panties and laid down on the bed. She was holding the phone in her hand, waiting. She heard a door slam and footsteps. Was it Dave? The phone's ring pulled her out of her thoughts. "Hello Dave." She whispered into the phone. The footsteps must have been her husband. She didn't even know why she was whispering. Her husband knew all about Dave and was happy about it. "Hello my little whore. Your husband is going to help me out a little today. I can't stand the thought of any of my cum going to waste, so he's going to put it to good use. Do what he says. You'll leave the phone on next to your head. Close your eyes and think of me there with you. You have my permission to cum whenever you feel the need. Pretend its me!" She hadn't noticed her husband walking into the room until Dave stopped talking. She looked up and he was at the foot of the bed with a grin on his face. He started climbing onto the bed and spreading her legs. "Dave said for you to enjoy this. So I'm going to do my best. He's really been a good friend to both of us, and its the least we can do to show him our appreciation." She was sick to her stomach. Her husband hadn't touched her since this whole thing began with Dave and his magictic suggestions. Her body had been conditioned to respond only to Dave's touch, Dave's body. Her husband repulsed her. "Think about me my little cum slut. You belong to me. Your body belongs to me, and it will be me giving you pleasure, not your husband. Now close your eyes." She closed her eyes, could she ever refuse? She hadn't been able to run her own life since that fateful night months ago. She felt like her life wasn't her own anymore; it, and she, were owned by Dave. He was her Master, she had finally come to that realization. And, as much as she hated to admit it, she loved him too. He had made her feel things she had never felt before. She had more confidence and better self esteem than ever before. She was brought back to the present by her husband sliding between her legs and slowly removing the plug from her well used cunt. She could feel gobs of Dave's spunk flowing out of her gaping puss onto the bed. She could hear the slurping, but she blocked it out. Dave never made those kinds of sounds when he ate her out. "That's it baby, just relax. Your husband is going to eat all of my cum out of your pussy. He never told you, but he told me, he always dreamed of eating cream-pies, but never had the opportunity. Now he will have plenty. From now on, you will come to my house after work and we will fuck all night. You will be plugged and sent home to your husband who will then enjoy his cream-pie. And you will be allowed to cum when he does that, because you will picture me between your legs." With her eyes closed, she really could feel Dave with his tongue lapping at her clit. She was moaning loudly and heard his voice whispering in her ear. She could almost feel his breath tickling her ear. "That's it my little slut. I can tell how close you are. Your fluids are flowing now. It's mixing with my cum. Mmmm, it tastes so good. Cum for me baby, cum for me." She exploded off the bed, her hips pumping into her husband's face. He never stopped his licking and slurping as he cleaned out the huge amounts of cum that Dave had left inside his wife throughout the day. He had always wanted this, and now, thanks to Dave, he was going to get plenty of cream-pies. He wished they had met him earlier in their marriage. She couldn't count how many times she orgasmed, imagining Dave eating her out and not her wimpy husband. She slowly came down from the almost non-stop high. Her heart was pounding in her chest, her breathing ragged. She kept her eyes closed, not wanting to see her husband with his face covered in Dave's semen. "Open your eyes slut. I want you to see what your husband is. He doesn't deserve you Lynn. He doesn't deserve to fuck you or man your youngren. All he's good for is cleaning your cunt after a real man fucks it. Look at him baby." She opened her eyes and saw her husband grinning ear to ear with another man's cum covering his face. How could he be happy with another man using his wife? How could he be so ready to eat another man's cum? Dave's voice continued in her ear. "When we find out you're pregnant, you will leave him and move in with me. You'll get a divorce, and he and his hand can have a beautiful future together. You deserve a real man my lilfuk. It's just a matter of time, so start making your plans. You know its what you want baby. You know that I'm what you need." She was silently nodding as she listened. Her husband got off the bed and went into the room he was using now as a bedroom. She could hear him moaning and she knew that meant he was masturbating. She was sickened by him. You would think she would feel some sort of guilt about this "affair" with Dave and it's strange turns. But she didn't. "Go take a shower baby. Think of me while you soap your tits. I want you to play with yourself, and you have my permission to cum again." "Thank you Dave, I will." She put down the phone, finished undressing, and walked into her bathroom. She brought the water to a comfortable temperature and stepped inside. She let out a big sigh, finally starting to relax. She had been on edge since the moment she had gotten that email from Dave saying she could come over. As she soaked her hair, she thought back through the day's events. She had never had sex so much in her life. She couldn't say she wasn't enjoying it. She really felt that her entire life was better since meeting up with Dave. She methodically washed her long auburn hair, the shampoo cascading down her back as she rinsed. She took the bar of soap in her hands and slowly slid it up and down her arms and over her chest. Once she was really soapy, she put the bar down and savored the slippery feel on her skin. Her fingers skated over her breasts, pushing them, lifting them, like Dave was here with her. She closed her eyes and could swear she felt his hands on her skin. If someone had asked, she would say it was his fingers pinching her nipples. She felt herself moaning like she was listening to another permister in the next room. It had been so long since she had touched herself, given herself any pleasure. But even though she had his permission to cum, it still wasn't her, it was him. It was always him. She opened her eyes and watched her soapy fingers moving over her skin. She didn't remember ever loving her body before, but she did now. He loved her body. He told her all the time. Her husband's sole comment about her body had been "Good thing I'm not a leg man." She slowly dropped her hands to her pussy. She giggled when she thought it. She never would have used that term before. She would have come up with a fancy euphemism. She would never be crass enough to use the words pussy or cunt. Now she used them all the time. Dave loved when she talked dirty to him, and she loved it when he talked dirty to her. She parted her pussy lips and slid a finger on either side, re-learning the feel of herself. It had been so long. Her breathing became deeper, irregular. She could feel her heart pounding in her ears. She closed her eyes as she started to stroke her clit the way she used to. She felt Dave with her as she started to flick and pinch her sensitive hardened flesh. Her breathing was becoming more labored as she powerd two fingers inside her puss and lifted up. She could feel the internal contractions and as they slowed, she pulled her fingers back out. She started fucking herself with one hand, her other tweaking her hardened nipples. Her legs started to tremble. She dropped to her knees and furiously fucked her cunt, powering a third finger into her hole. She began pulling and twisting her nipple cruelly. With her eyes closed she would swear she could feel Dave's cock ramming her. "Oh fuckkkkk, ahhhhhhh, Davvvvveeeeeeee, ahhhhhhhh." She screamed as she spasmed and gasped for breath under the cascading water. She lay panting on the floor of the shower when she heard the phone ringing. Dave's ring tone, Jethro Tull's "Thick as a Brick." She smiled when she thought how true that was. She recovered enough to turn off the shower and answer the phone. "Hello Dave. Thank you for letting me cum." "You're welcome my little slut. I fucked you hard today, and I didn't think I helped you cum enough. You needed more. Do you feel better now?" "Yes, thank you so much. I'm so tired. I guess I better get a good night's relax so I can start packing tomorrow." He laughed. "Good idea. Good night my little whore. I'll see you tomorrow night after work." She smiled as she hung up. She really had never been so fulfilled and satisfied in her life as she had with Dave. She and her husband had never really been happy. She didn't have the guts to walk away before. She did now. She toweled herself off, closing her eyes, imagining Dave there, holding the towel around her. She could hardly close her eyes anymore and NOT think of Dave. She walked into the kitchen to get a glass of milk. Before Dave's "suggestions" she would never have walked nude through her own house. How silly was that? She walked past her husband without a word. He didn't look up from his porn magazine. The next three weeks played out the same way. She would go to Dave's house after work, and come home plugged with gobs of his cum. Her husband would remove the plug and eat his cream-pie while Lynn listened to Dave's voice and orgasmed over and over, imagining her lover between her legs instead of her husband. On their weekends, she spent twelve hours at Dave's house and came home to be eaten, shower, relax, then pack a little more before returning to Dave the next day. Of course she and Dave didn't spend ALL of their time fucking. Not anymore. Dave had suggested Lynn start decorating the house the way she would like. The bedroom, however, was off limits. He liked his mirrors and big screen TV, and cameras.
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chrislebo
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La mise en esclavage de Clem L’histoire que je vais raconter est réelle et continue encore aujourd’hui à l’heure où j’écris. Je m’appelle Alexandre et au moment où cette histoire se passe, j’avais 24 ans. Je suis assez mignon à ce qu’on me dit, grand, assez mince mais relativement musclé. Je suis brun avec des yeux bleus. Cela faisait deux ans que je sortais avec Stéphanie, une belle brune bien formée avec un cul à damner un évêque. En somme tout se passait bien mais au lit ce n’était pas ça… Un jour, sa mère me téléphona pour me demander si Clément mister petit frère de 17 ans pouvait venir dormir chez moi. Il avait un examen important sur Paris et elle avait pensé que ce serait plus pratique vu qu’ils habitent en province. C’est ainsi que Clem vint chez moi deux jours après. Clément était un garçon châtain, bien formé et très attirant qui avait beaucoup de succès auprès des filles. Ce jeune mec très extraverti était comparable à un dieu grec. Nous avons donc commencé par boire un verre et à parler de tout et de rien. Nous en sommes venus à parler de sa sœur et la conversation a très vite tourné sur le sexe. On s’est raconté certaines de nos expériences et je me suis rendu compte que pour mister âge il avait plus d’expérience que la moyenne. L’alcool nous ayant miné la tête et nous rappelant que nous devions nous lever tôt, nous allâmes nous coucher dans l’unique lit deux places de mon appart, tous les deux en caleçon.. Pendant la nuit, ma tête tanguait et je me suis couché sur le côté. A un moment, j’ai senti Clem se coller derrière moi. Je sentais mister bassin qui se rapprochait imperceptiblement vers mes fesses et à un moment j’ai senti mister caleçon gonfler. Cette situation me troubla. Il est vrai que je m’étais déjà surpris à regarder ce jeune mec à la piscine mais jamais je n’avais franchis le pas avec un mec ! Il posa sa main sur moi et je sentis mister souffle chaud dans ma nuque. J’étais anesthésié et ne réagissais pas. Sa main glissa dans mon caleçon et saisit ma bite déjà bien dure malgré moi et commença délicatement à me branler. Et là je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis retourné pour l’embrasser. Sa langue caressait la mienne puis lui saisissant la tête je le poussais sous la couette. Il enleva nos calbutes et commença à m’embrasser les couilles tout en remontant par de petits baisés vers mon gland gonflé. La sensation était divine. Je fermais les yeux tout en imposant mon rythme en maintenant sa nuque. J’étais très étonné car d’abord très entreprenant il était maintenant très docile. Il faut dire que je suis plutôt dominateur et que les rapports dominant soumis m’excitent… Sentant que j’arrivais à l’orgasme je le fis remonter et je l’embrassais vigoureusement, savourant l’odeur de ma bite au travers de ses lèvres irrésistibles qui faisaient tant craquer les femmes. Elles étaient à moi maintenant. Je l’ai mis à 4 pattes, jambes bien écartées et lui ai mis les poignets sur chaque cheville. Là, ses fesses étaient écartées malgré lui et je constatais que sa rosette était rasée !! Il était dans une pose obscène et ne bronchait pas. Je m’approchais de mister anus à la saveur musquée et entrepris de lui faire un bon anulingus en tournant ma langue doucement autour de sa pastille puis en essayant de l’enfoncer le plus loin possible dans mister cul qui palpitait sous la caresse. Il avait l’air d’apprécier car il gémissait de plus belle et frismisternait. Je sentais que mister fion se détendait. Je me suis penché pour prendre le tube de lubrifiant dans mon tiroir et lui en mis une goutte sur l’anus. Il eu un frismister. -Ahh c’est froid dit-il. -T’inquiète ça va passer ta sœur a aussi eu droit au même traitement. Je lui massais un peu mister trou et le sentais se détendre de plus en plus. J’y entrai un doigt, puis deux, puis un troisième avec une aisance déconcertante. Puis je me mis en position et posa ma bite à l’entrée de mister anus. Je savourais ce moment qui me paraissait irréel. J’allais enculer Clem ! Il attendait là, à ma merci, mon bon vouloir. Je commençais a entrer le gland, et j’entendais des petits cris étouffés. Je poussais encore un peu et je voyais ses ongles rentrer dans la peau de ses chevilles. Ses orteils étaient écartés. Je m’arrêtais un moment pour que mister anus soumis s’habitue à la bite de mister nouveau maître. Je poussais une ultime fois et j’étais bien à fond en lui et mes poils touchaient ses fesses imberbes. Clem soufflait très fort. J’entrepris un lent va et vient. Son anus brisé émettait de petits bruits au fur et à mesure que j’accélérais la cadence. Clem commençait à gémir et à me lancer des mots crus. -Prends moi bien profond . Plus fort. -Dis que t’es ma chienne. -Je suis ta chienne. Ne t’arrête pas. -Tu aimes ma bite ? -Oui !!!!!!!! - Tu vas être ma petite pute hein ? -Oh oui mon cul est à toi. Je le retournais lui mettant les pieds en l’air pour voir sa tête en se faisant baiser, lui le playboy. Ses traits étaient déformés par l’extase de se faire limer comme une de ces filles avec qui il sortait.Je levais les yeux pour voir ses pieds dont les orteils étaient complètement crispés par le plaisir qui l’irradiait. Je lui roulais une galoche et là tout mister corps se crispa. Son anus palpitait autour de ma queue et il poussa un énorme râle. Je le suivi et lui déversais des litres de semence en 5 ou 6 éjaculations. Jamais je n’avais autant jouis. Je retombais sur lui et l’embrassa langoureusement. Puis je ressortis ma queue tout en posant mon doigt sur mister trou béant pour que le sperme ne s’échappe pas et la lui tendis. - Nettoies la queue qui t’as donné tant de plaisir. Silencieux il ouvrit la bouche et sa langue s’activa autour de ma bite salie de mon sperme et de petites traces brunes et me la rendit propre. -Ok j’ai beaucoup aimé ce qui s’est passé lui dis-je. -Moi aussi tu m’as baisé comme un dieu. -Tu dormiras sur le ventre avec ton majeur dans ton trou pour éviter que mon sperme sorte de ton cul. Ca m’excite. -Comme tu veux. Après ce que tu m’as fait vivre tu peux tout me demander. Il suça mister doigt avant de le mettre dans mister anus élargi. J’étais stupéfait de la soumission de ce jeune ado que deux heures avant je ne regardais pas de la même manière. Je souris en pensant à tout ce qui se présentait à moi dans cette optique.
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chrislebo
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L'asservissement de Clem La nuit j'eu beaucoup de mal à dormir. Je voyais ce gamin allongé sur le ventre, sa peau légèrement bronzée avec mister doigt fiché entre les fesses. J'avais déjà beaucoup fantasmé sur des histoires et des photos de soumission. Et là j'avais à portée de main ce beau gosse complètement soumis. Je devais apprendre le lendemain qu'il avait beaucoup fantasmé sur ce moment. La pensée de Stéphanie me revint en tête mais cette pensée était de courte durée. Je me mis doucement sur Clem et lui retira mister doigt. Il émit un petit gémissement de surprise. Je lui remis un peu de vaseline sur ce trou qui s'était légèrement refermé autour de mister doigt. Un filet de sperme s'échappa de sa rondelle. Je posa mon gland et m'enfonça tout de go. Il poussa un cri, ce qui lui valut une claque sur ses fesses. En effet mister anus le brûlait un peu. J'attendis quelques minutes le temps qu'il s'habitue un peu a ma bite qui allait désormais être la seule maîtresse de mister trou à plaisir. Puis je commençais un lent va et vient. Clem commença très vite à s'habituer à mister traitement et soupira de plus en plus fort au rythme de mes coups qui commencèrent à se faire de plus en plus violents. Son anus émettait des bruits spongieux dû à mon sperme tassé au fond de ses intestins. Ses pieds nus caressaient mes jambes. Je ne fus pas long à venir et lui éjacula encore une dose impressionnante de semence au fond de sa boîte à caca. Je me penchais sur lui essoufflé. -A partir de maintenant, ta vie va changer Clem. On a passé le point de non retour. -C'est tellement bon. Ca fait longtemps que je rêve de ce moment. J'ai envie d'être ta chose. -Tu sais ce que ça veut dire ? Lui dis-je. Il y eu un moment de silence puis j'entendis un « oui « à peine audible. -quoi lui dis je en le tirant doucement par les cheveux. -Oui maître. J'ai envie d'être à toi, d'être à la place de ma conne de sour. Il fallait vraiment que je puisse asseoir mon autorité afin que ce qui se passait ne soit pas interprété comme un accident d'une nuit. -Tu me vouvoieras désormais ok ? Dis-je d'un ton autoritaire. -Oui je vous vouvoierez, dit-il encore sur mister nuage -Bien reste sur le ventre et remet ton majeur gauche dans ta chatte. Désormais ça sera ton « bouche trou » jusqu'à nouvel ordre. Et interdiction de le laver sans mon autorisation. Maintenant dormons car demain il faut se lever tôt. Docilement il reprit la pose demandée et je sombrais dans un sommeil profond. Le lendemain je fus réveillé par une odeur de café. Clem vint m'apporter un café et des biscottes au lit. Mon regard croisa le sien mais il baissa les yeux. -Tenez j'ai préparé le petit dej. Agréablement surpris qu'il me vouvoie, j'en déduisis qu'il était sérieux cette nuit et qu'il voulait aller jusqu'au bout. -Tu t'es levé et tu as retiré ton doigt sans mon accord souillon ? -Mais je pensais bien faire ! Me répondis Clem affolé. -Cela te vaudra une punition mais nous verrons cela plus tard esclave. Nous n'avons pas trop le temps. Montre ton doigt. Il me tendit mister majeur gauche qui exhalait une lointaine odeur d'anus. Je lui montrais ma satisfaction. -Nous verrons tout ça quand tu rentreras ce soir. Pour toi pas de petit dej. A présent le sperme de ton maître sera ton unique petit dej. Je me mis assis, le sexe bandé par l'excitation de la situation. Clem qui était toujours nu posa le plateau sur le lit se mis a genou et goba ma bite. Sa langue jouait maladroitement avec mon gland et ses doigts jouaient avec mes testicules. Je voyais ma hampe disparaître entre ses lèvres d'abord doucement puis de plus en plus vite. Je jouis très vite de pareil traitement dans sa bouche. Clem mis ses mains dans le dos, me regarda et ouvrit bien grand sa bouche pour que je vois bien la purée blanche maculant sa bouche. Puis la ferma et dégluti avec une petite grimace avant de bien rouvrir sa bouche pour me montrer qu'il avait tout avalé. -Allez habille toi tu vas être en retard. Mais sans caleçon lui dis-je . Deux secondes après il sortait de la salle de bain et parti en me donnant un baiser. Une fois seul je me dis que la situation était totalement irréelle, mais j'étais heureux de ce que je vivais avec le petit frère de ma copine. Je décidai donc de consacrer cette journée aux préparatifs de la soirée. Je décidais d'appeler sa mère pour la rassurer. Je lui proposais d'héberger Clément jusqu'à la fin de semaine prétextant quelques sorties avec lui et je lui ai proposé de le ramener dimanche. Caro, sa mère n'émis pas d'objection et amusée que je m'entende si bien avec mister fils m'expliqua que l'an prochain il devrait venir sur Paris pour ses études. Saisissant l'occasion je lui expliquais que dans ce cas il n'y aurait pas de problème et que dormir chez moi reviendrait moins cher qu'une chambre hors de prix. Caroline me dit qu'elle allait en parler à mister mari et à Clem mais que cela risquait de rendre jalouse Stéphanie. Je n'y pensais quasiment plus. une fois le téléphone raccroché, j'englouti mon petit dej et partis faire quelques courses à Pigalle. J'y achetais des menottes, un gode, du lubrifiant pimenté, un collier noir en cuir et sa laisse, une barre d'écartement et un plug large de 5 cm environ et enfin un anneau à orteil et un cock ring. J'avoue que ces petits achats avaient fait mal au porte monnaie mais j'étais convaincu que ça en valait le coups. En rentrant je fis un tour sur le Web pour chercher des conseils SM, et des genres de contrats d'esclavage. J'en rédigeais un que je soumettrai à Clem ce soir quand il rentrera. Tout était prêt pour faire définitivement basculer Clem dans l'esclavage.
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!Betrüge nie- 20 Jahre später 20 Jahre später..... Seit meine Geschichte begann, ist schon einige Zeit vergangen. Seit fast 25 Jahren nun lebe ich mit meiner Frau Jenny zusammen. Seit nunmehr fast 20 Jahren hatte sie fremde Liebhaber und dominierte mich mit diesen sexuell. Unsere Spielereien im Bett haben ein Ausmaß erreicht, das ich mir nie vorstellen konnte und das ich mir vor 20 Jahren nie erträumt hatte. Wir hatten geheiratet, damals hauptsächlich weil unsere Tochter Melanie unterwegs war und wenige Monate später geboren wurde. Und wir waren umgezogen, in ein kleines Haus am Rande von Hannover. Jenny war immer noch so sexy wie eh und je, natürlich war sie älter geworden und mittlerweile 42 Jahre alt, doch wirkte sie erheblich jünger. Ihre Figur war immer noch gertenschlank, ich festen Brüste hingen nicht und ihr Gesicht strahlte über ihre Augen Eleganz und Schönheit aus. Für mich war sie ein himmlischer Traum. Was soll ich sagen, meine Frau liebte Sex, Sex mit fremden Männern. Sie liebte es mich zu dominieren, mir den Sex vorzuenthalten und mich nur wenn sie grade darauf Lust hatte mal zu befriedigen oder mich mich selbst befriedigen zu lassen. Sie selbst hatte derzeit einen Liebhaber der es ihr regelmäßig mehrmals in der Woche besorgten. Er hieß Frank und war ein attraktiver Mann den wir im Internet kennengelernt hatten. 35 Jahre alt damals als wir uns vor 2 Jahren mal wieder nach einer Dauerfreundschaft für meine Frau umsahen. Unsere Interessen stimmten überein und so bestieg er meine Frau von da an regelmäßig, beteiligte sich an meiner Erniedrigung und liebte es sowohl mich als auch meine Frau Jenny im Bett zu dominieren. Immer wieder fesselte er mich, sie oder uns beide, nur ums sie dann hart zu nehmen, direkt vor meinem Gesicht ihr seinen Schwanz hart in ihre Muschi zu hämmern. Ich musste zusehen, das schien ihr den bemisterderen Kick zu geben mir zu zeigen wie sehr sie es genoss hart genommen zu werden. Ich musste sie lecken, wann immer er es wollte. Ab und zu bekam ich auch den Schwanz ihres Lovers in den Mund, sei es um ihn wieder hart zu bekommen damit er meiner Frau noch eine Runde ran nehmen konnte oder einfach um mich zu erniedrigen. Ich mochte das nicht bemisterders, denn schwul oder bi war ich nicht, doch war es eine Spielform mich zu erniedrigen die Jenny und Frank bemisterders gefiel. Sie selbst liebte es sich ihrem Lover auszuliefern und vertraute ihm ihren Körper an, obwohl er pervers und nicht grade zimperlich mit ihr im Bett war. Er wusste was ihr gefiel und wo ihre Grenzen waren und war wirklich gut darin sie jedes Mal ein Stückchen weiter zu führen, ihre Grenzen ein wenig zu lockern und sie weiter und weiter in sexuelle Perversionen der besten Art zu führen. Mittlerweile kannte sie was ihn anging kein Nein mehr. Zuerst war Jenny ja noch etwas zögerlich, z.B. wenn es um Analsex ging. Doch Frank ließ schnell keinen Zweifel daran, dass er es regelmäßig von ihr erwartete seinen dicken langen Schwanz auch in ihrem Po zu bedienen. Kurze Zeit später bekam sie sogar Orgasmen vom Analverkehr mit ihm, somal wenn ich ihr gleichzeitig ihre Klitoris leckte. Sie machte keinen Hehl daraus, das sie es nun auch ziemlich geil fand ihren Arsch ficken zu lassen, bemisterders wenn er es direkt vor meinen Augen tat, wenn ich meine Zunge in ihrer Muschi vergraben hatte. Später führte er sie weiter, ließ sich den Schwanz dann nach dem Analsex von ihr auch noch lutschen und in den Mund nehmen. Er gab sich Mühe meine Frau zu befriedigen und bescherte ihr regelmäßig wirklich heftig Orgasmen von denen meine Frau wirklich abhängig war. Er war ein perverses Schwein das es liebte mich zu erniedrigen, mir zu zeigen das er mit meiner Frau alles machen konnte was er wollte, das sie bereitwillig seine Spielchen mitmachte und er mich dazu zwingen konnte seine Hoden zu lutschen während er seinen dicken langen Penis in sie stieß. Sein Gerät war wirklich heftig und wohl auch einer der Gründe warum Jenny ihn als ihren „Dompteur" aus den Lovern gewählt hatte die wir zuvor ausprobiert hatten. Er war unerbittlich und gnadenlos und wenn er etwas von meiner Ehefrau wollte, machte sie alles was er sagte. Mittlerweile hatte er tonnenweise Videomaterial von uns, stundenlang hatte er meine Frau gefilmt, wie sie strippte, wie sie sich selbst befriedigen musste vor unseren Augen, wie er sie fickte und sie vollspritzte. Auch mich filmte er immer wieder, wie ich meine Frau leckte, dem Treiben zusah und anschließend aus ihrer Muschi sein Sperma lecken musste. Auch ließ er mich vor laufender Kamera seinen Schwanz lutschen bis er mir in dem Mund spritzte. Wir gehörten ihm, mit Haut und Haar, er hatte uns in der Hand und er konnte über uns verfügen wie er wollte. Er spielte damit, drohte mir damit mich und meine Jenny im Internet zu veröffentlichen wenn wir nicht gehorchten und nutzte seine Macht über uns aus uns gefügig zu machen. Ich liebte es und Jenny war dauergeil und es erregte mich jedes Mal wenn ich darüber nachdachte, dass er mit uns machen konnte was er wollte. Jenny selbst genoss es, vertraute sie ihm doch und mochte sie die unterwürfige Behandlung die er ihr und bemisterders mir zuteil werden ließ. Immer wieder zwang er sie dazu mich in ihr Liebesspiel mit einzubauen, brachte sie dazu mich mit einem Strapon in meinen Arsch zu ficken bis es ihm reichte uns zuzusehen. Ich musste ihre Zehen lutschen während er sie bumste, ihre Muschi und ihren Arsch mit seinem Sperma darin lecken bis es mir in den Mund lief und ich es geschluckt hatte. Befriedigen durfte ich mich auch hin und wieder, und es dauerte nie lange wenn ich meinen Penis wichste. Er ließ mich ab und zu auf ihre Füße spritzen oder direkt auf ihr Poloch, doch danach musste ich sie stets sauber lecken. Zusätzlich zu seinen Hausbesuchen die er uns regelmäßig abstattete, führte er Jenny und mich hin und wieder aus. Das erste Mal waren wir in einem Swingerclub und er überlas mir die Entscheidung welche zwei Kerle Jenny gemeinsam ficken durfte. Bei zweiten Besuch war es Jenny die wählen sollte welche 5 Kerle sie an sie heranlassen wollte. Beim dritten Besuch schon wählte er aus und ließ sie von allen anwesenden Herren durchziehen. Sie hatte den Abend gleich mehrer Orgasmen. Es ging ihm dabei glaub ich gar nicht mal so sehr um den Sex den Jenny hatte, misterdern darum sie dazu zu bringen sich einfach von jedem nehmen zu lassen. Alles in allem waren wir die letzten Jahre Sklaven unserer Lust und Franks, der sich selbst an meiner Frau befriedigte und uns eine wunderschöne Zeit bescherte. Freilich konnten wir nicht mehr tun und lassen was wir wollten, schließlich hatten wir seit nun 18 Jahren Verantwortung für unsere Tochter Melanie und so waren wir ein wenig eingeschränkt darin es bei uns zu Hause zu treiben. Bis zum alter von 5 Jahre war es kein Problem unseren Lebenswandel mit unserer Fürsorge zu verbinden, ging sie doch früh ins Bett und hatte ihr eigenes Zimmer das wir extra in einer anderen Etage eingerichtet hatten. Später wollte wir jedoch um alles in der Welt verhindern das sie bemerkte was ihre Eltern trieben und so versuchten wir uns durch Übernachtungen bei Großeltern, Freunden und ihren Tanten wenigstens einmal die Woche Zeit zu nehmen für unser Sexleben. Mit 14 dann schließlich begann sie auch von sich aus mal bei ihren Freundinnen zu Übernachten fuhr im Sommer allein ins Zeltlager und wir nutzten diese Zeit und den Freiraum dadurch intensiv. Auch hatte ich ihr ihr Zimmer im ausgebauten Dachboden eingerichtet, während unseres im Erdgeschoss war, weit genug weg also das sie uns nicht hörte wenn ein Mann oder mehrere des Nachts mal zu Besuch kamen. Melanie war hübsch, wirklich hübsch, hatte eine tolle Figur, war schlank, hatte einen ein wenig größeren Busen als meine Frau und lange braune Haare. Sie ähnelte ihrer Mutter nicht so sehr wie es andere Töchter taten, aber hatte ein schönes Gesicht und eine tolle Ausstrahlung, so dass sie auch ziemlich viele gute Freunde hatte und die Jungs ihr hinterherliefen seitdem sie 14 war. Sie war sehr selbständig und eigentlich stets gut gelaunt, eine bessere Tochter hätte ich mir niemals vorstellen oder wünschen können. Das Familienleben mit dem Leben eines Cuckoldes zu kombinieren war alles in allem also echt nicht ganz einfach aber machbar. Doch was hätte meine Tochter wohl dazu gesagt wenn sie erfahren hätte dass ihre Mutter sich von anderen Männern ficken ließ und dass ihr Vater den Schwanz ihres Liebhabers blies wenn er es verlangte. Was hätte sie wohl gesagt wenn sie herausgefunden hätte das ihre Mutter es ihrem Vater manchmal eine halbe Stunde lang mit einem Strapon besorgte, während sich ihr Lover Frank an ihrem Arsch verging? Ich mochte mir das gar nicht vorstellen. Unser Tochter war diesen Abend aus, mit Freunden ihren Geburtstag nachfeiern und hatte uns gesagt sie würde erst spät wiederkommen. Sie bat mich um unser Auto und froh darüber sie für heute Abend los zu sein gab ich es ihr natürlich. Jenny hatte uns eh schon mit Frank verabredet und er hatte uns in ein Hotel bestellt, doch jetzt schrieb sie ihm eine Nachricht dass wir es auch bei uns zuhause tun konnten. Er mochte es bemisterders uns in unserem Ehebett zu nehmen und auch Jenny mochte es sich in der vertrauten Umgebung mit der sie schon all die schmutzigen Erinnerungen verband sich ihm hinzugeben. Er kam pünktlich halb zehn zu uns und ging direkt mit uns ins Schlafzimmer. Er trug einen dunklen Anzug, denn er schien grade von der Arbeit zu kommen. Zuerst tauschten wir den üblich kurzen Smalltalk aus und dann ging es nach einigen Schlucken Wein gleich heiß zur Sache. Heute schien Frank bemisterders gut und gemein drauf zu sein, ließ mir von Jenny mal wieder meinen Keuschheitsgürtel anlegen der verhinderte, dass ich eine Erektion bekam und fesselte mir die Hände mit Handschellen auf den Rücken, stopfte mit einen Ballknebel in den Mund und ließ mich an die hintere Seite unseres Schlafzimmers knien. Er raunte mir ein :" Wenn du aufstehst oder dich wegrührst bist du fällig, dann knöpf ich mir heute deinen Arsch vor!" zu. Ich gehorchte und ich wusste, dass Frank nicht damit spaßte wenn er so etwas sagte. Dann ließ er meine Frau vor sich und mir langsam strippen. Dann gab er ihr einen Vibrator und verlangte von ihr sich vor meinen Augen selbst zu befriedigen. Mein Penis schmerzte unter dem Druck des Keuscheitsrohres das eng um meinen Penis lag, erregte es mich doch tierisch meine Frau so zu sehen. Ich wollte die Augen abwenden, doch er lächelte mich an:" Nein nein schön hinsehen, ich will das du alles mitkriegst." Er drückte ihr einen weiteren kleineren Kugelstab in die Hand und sie wusste bereits was er wollte. Jenny drehte sich auf den Bauch drückte ihren Po nach oben, schob sich den Vibrator tief in ihre Muschi und setzte dann den Kugelstab an ihren Po. Nach und nach drückte sie die Kugeln in sich herein, ließ sie wieder hinaus gleiten um den Stab dann ganz in ihrem Arsch zu versenken. Er griente mich an und trat über sie, holte ihr den Stab aus dem Arsch den er ihr aber sofort wieder in voller länger in ihren Po zwischen ihre festen Arschbacken schob. Sie stöhnte auf und ich hörte ihre Lust während sie sich weiter den Vibrator in ihren Lustkanal schob während Frank ihr mit dem Kugelstab hinein und hinaus aus ihrem Arsch fuhr. Jenny stöhnte laut vor Lust als er in sie stieß. Nach wenigen Stößen, stand er auf und kam zu mir herüber und sagte:" Na, scheint dir wohl zu gefallen deine Frau so zu sehen du kleiner Perverser, in den Arsch gefickt von nem anderen Kerl mit einem Spielzeug!" Er lachte und schob mich bäuchlings aufs Bett und löste meine Handschellen. Die Arme zu den Bettpfosten am Fußende gestreckt, die Beine auseinander gespreizt Richtung der Bettpfosten am Kopfende. Er sagte:" Los Jenny geh rüber ins Bad an meine Tasche und hol dir den Umschnalldildo raus ich hab dir extra einen neuen besorgt." Während Jenny tat was er sagte und zur Tür hinaus in den Flur und das Bad nebenan ging, fixierte er mich gründlich auf unserem Ehebett mit einigen festen Stricken. Die Arme und Beine an die Bettpfosten geknotet, immer noch den Ballknebel im Mund. Ich testet kurz die Fesselung und bemerkte, dass er gründliche Arbeit geleistet hatte. Ich schaute direkt auf die Tür des Schlafzimmers durch die Jenny zurück in unser Schlafzimmer kam. Ich sah ihren nackten Körper ihre wohlgeformten Brüste und ich sah zwischen ihre Beine. Sie hatte sich den Dildo von Frank umgeschnallt und einige Bänder hielten ihn an Ort und Stelle. Ich traute meinen Augen kaum und sah auf das riesige Gerät. Mir stockte der Atem. Ich erinnere mich immer noch an unseren Anfang, an das Gefühl als Frank Jenny zum ersten Mal dazu brachte mich mit einem Strapon in den Arsch zu ficken. Damals war er etwa 15 cm lang und hatte einen Durchmesser von 3 cm. Es war ein aufregendes Gefühl gewesen, weil es neu war für mich und meine Frau so etwas auch zum ersten Mal seit langer Zeit mit mir tat. Später brachte er einen zweiten Dildo für meine Erniedrigung durch den Arschfick den meine Frau mir verpasste mit. Er benutzte ihn erst einmal fast ein halbes Jahr als Mittel mir zu drohen. Mit fast 20 cm länge und mindestens 4,5 cm im Durchmesser war er so stattlich das ich Respekt davor hatte und nicht unbedingt wollte das dieser in meinem Arsch verschwindet. Doch letztendlich brachte er Jenny letztes Jahr dazu es mir auch damit zu besorgen. Gut eingeölt und festgebunden hatten sie mich und Frank brachte Jenny dazu mich von hinten damit zu nehmen. Ich bettelte sie und ihn damals förmlich an mir dies zu ersparen, doch er war gnadenlos und ließ Jenny mich ficken. Es war ein gigantisches Gefühl. Es zog zwar ein bisschen aber Jenny war vorsichtig und ich genoss die Erniedrigung und das Gefühl in den Händen von jemand anderem zu sein. Aber jetzt blickte ich auf ein Strapon, dass noch mal um einiges größer war und Frank hatte mir nicht damit gedroht, misterdern Jenny hatte es bereits umgeschnallt und ich lag hier schon gefesselt und geknebelt. Jenny schaute an sich herunter und sagte:" Ich glaube das wird intensiv für ihn, vielleicht sollte wir das lieber lassen." Frank lächelte: „ Intensiv ist gut, ich hoffe er schreit und grunzt in seinen Knebel. Wenn du das nicht möchtest, dann muss ich dir leider sagen, dass ich da ein paar schöne Videoaufnahmen von euch habe, ihr wisst ja! Es wird ihm gefallen verlass dich drauf." Sie kam näher und ich blickte immer noch Richtung Tür. Jetzt sah ich das Teil genau, mindestens 5 cm im Durchmesser und mindestens 25 cm lang. Ein stattliches Gerät und fast genauso groß wie der Schwanz von Frank. Jenny nahm sich die Flasche Öl vom Nachttisch und ich hörte wie sie den Dildo einölte. Dann spürte ich sie sich hinter mich legen, das Gummiteil direkt an meinem Poloch. Frank stopfte mir ein dickes Kissen unter den Bauch, so dass mein Hinter etwas erhöht lag und für Jenny besseren Zugang bot. Ich spürte ihre Finger in meinen Po gleiten, reichlich Öl verteilen, ich spürte wie sehr ich erregt war und wie sehr mein Schwanz gegen den Keuschheitsgürtel drückte. Dann spürte ich sie in mich eindringen, langsam ganz langsam sank sie immer tiefer. Ich schloss meine Augen. Frank musste sich hinter sie gelegt haben denn ich spürte sein Gewicht. Er musste sie von hinten nehmen denn ich hörte sie stöhnen. Er sagte:" Wenn du willst das ich es dir besorge, dann fick ihn hart und heftig, je stärker du es ihm machst desto härter werd ich es dir machen!" Ich spürte wie Jenny mir den Dildo in meinen Po schob und ich hörte sie Stöhnen. Frank nahm Jenny, wohl ganz langsam, ebenso langsam wie sie mir den Dildo hinein schob. Sie zog ihn zurück und stieß dann ein Stück tiefer, dann wieder hinaus und tiefer hinein. Ich stöhnte in meinen Knebel. Ich spürte den Gummidildo tief in mir und ich spürte, dass sie ein wenig Tempo aufnahm. Ich wusste sie konnte nichts bremsen wenn es darum ging das Frank sie härter nehmen sollte. Sie wollte es und wenn das bedeutete mir den großen Dildo mit voller Wucht tief in meinen Arsch zu hämmern, so tat sie es. Ein wenig tat es weh nur noch mehr fand ich es geil. Wäre der Keuschheitsgürtel nicht gewesen, ich hätte auf der Stelle einen Orgasmus gehabt. Ich genoss immer noch mit geschlossenen Augen als ich Frank hörte wie er zu meiner Frau sagte:" Los nimm ihn härter, besorgs ihm doller, ich kann auch noch ein wenig mehr. Ich spürte einen kurzen Schmerz als Jenny noch tiefer in mich stieß und öffnete kurz die Augen und erschrak fürchterlich. Ich blickte in die Augen meiner Tochter Melanie, die draußen vor der Tür auf dem Flur stand und in unsere Schlafzimmer blickte. Ich konnte mir nur vorstellen was sie sah: Ihr Vater gefesselt auf dem Bett, ihre Mutter über ihm mit einem dicken Gummischwanz in seinen Arsch stoßen und ganz dahinter ein fremder Mann der ihre Mutter mit seinem riesen Gerät hart fickte, sie von hinten an den Brüsten griff, ihre Nippel womöglich in den Fingern zwirbelte. Ich grunzte in meinen Knebel, ich wollte die Beiden darüber aufklären dass unsere Tochter daheim war und uns sehen konnte, doch die Beiden schienen nicht hinzusehen. Ich drehte meinen Kopf soweit es ging und sah, dass Jenny nach unten auf meinen Arsch guckte und wie in Exstase tief in mich hineinhämmerte. Ich konnte mir nur vorstellen dass Frank grade wohl hinter ihr kniete und es ihr ebenso heftig besorgte und ganz mit ihr beschäftigt war. Ich schaute wieder hoch, direkt in die Augen meiner Tochter die mit ansah wie ich hier lag. Sie hatte bemerkt, dass ich sie gesehen hatte, doch wich sie nicht von der Stelle. Zu allem Überfluss schrie Jenny mich nun auch noch an:" Na du kleine Sau wie gefällt dir das, dich in den Arsch ficken zu lassen während ein anderer Mann deine Frau vögelt. Besorgs mir! Ja besorgs mir!" Frank fiel mit ein:" Du kleine Hure, macht es dir also doch Spaß deinen Mann zu vögeln, ich werd dir zeigen wo´s lang geht. Jetzt ist dein Arsch fällig!" Ich hörte sie laut stöhnen als er ihr anscheinend in den Arsch fuhr und es ihr ebenso heftig dort besorgte. Sie stöhnte und schrie wie sie es fast immer tat wenn er mit ihr zugange war. Ich konnte meinen Blick nicht von meiner Tochter lösen, die all das mit ansah, das Stöhnen ihrer Mutter hörte die sich zum Orgasmus schrie. Ich hörte wie sie erbebte und einen heftigen Orgasmus über mir hatte. Melanie hatte ihre Hand vor ihrem Mund gehoben, die Augen weit aufgerissen und konnte wohl nicht glauben was sie sah. Mittlerweile war Frank fertig, trat über mich, steckte Jenny wohl seinen Schwanz in den Mund und kam in ihrem Mund so wie sooft zuvor. Ich blickte immer noch in die Augen meiner Tochter, die sich nun grade umdrehte und verschwand. Der Rest des Abends verlief unwirklich für mich. Frank machte mich los, ließ mich auf die Zehen von Jenny abspritzen, weil ich so ein artiger Junge war und ich leckte mein Sperma ausgiebig von ihren Zehen während sie lachte weil es sie kitzelte. Doch mit meinen Gedanken war ich ganz woanders, nämlich bei meiner Tochter. Wie sollte ich ihr das erklären, das was sie gesehen hatte. Frank war noch ein wenig mit Jenny zugange als ich mich schon ins Bad zurückzog, und über den Flur auf die Treppe nach oben in Melanies Zimmer blickte. Dort war das Licht schon aus, unser Geschpräch musste also bis morgen warten.
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chrislebo
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Am Nächsten Tag, Sonntagmorgen, kam Melanie nicht zum Frühstück herunter. Meine Frau wunderte sich schon, doch ich hatte ihr nichts erzählt und ich wollte zumindest erst mit Melanie reden eh ich meiner Frau diesen Schock zumutete, dass unser Tochter uns gesehen hatte. Ich hatte beschlossen ganz offen mit ihr zu reden, schließlich war sie erwachsen und hoffentlich reif genug uns zu verstehen. Ich ging die Treppe rauf zu unserem Dachboden und klopfte an Melanies Tür. Ein kurzes „Ja?" und ich öffnete die Tür. Melanie saß auf ihrem Bett, die Beine angewinkelt den Rücken gegen ein Kissen an der Rückwand gelehnt. Sie trug Jeans und ein T-Shirt und hatte einige Zettel vor sich auf dem Schoß. Ich überlegte, wie man ein solches Gespräch anfing und sagte dann: „ Ich glaube wir müssen uns mal unterhalten." Sie guckte mich an:" Also für den Fall das du mich aufklären möchtest bist du ein paar Jahre zu spät." Ich schmunzelte:" Nein nicht so direkt, es geht um das was du gestern Abend gesehen hast." Sie nickte und ich redete weiter: „ Also dein Mutter und ich, wir...." Ich stotterte ein wenig „ wir mögen es wenn deine Mutter etwas mit einem anderen Mann als mir hat. Das hat nichts damit zutun dass wir uns nicht lieben oder so, nein es ist einfach eine Spielart der Leidenschaft die wir mögen, die für uns sehr intensiv ist. Das ist nur so eine Schlafzimmersache." Sie lächelte mich verhalten an:" Danke das du so offen bist Dad, aber ich bin dir einen Schritt voraus. Ich hab mich im Internet grad mal umgeschaut. Ihr scheint damit ja nicht ganz alleine zu sein." Diesmal nickte ich und sagte:" Ja und wir und insbemisterdere ich mag es dabei eine passive unterwürfige Rolle zu haben und dominiert zu werden. Der Mann den du gestern gesehen hast ist Frank, er ist jetzt schon länger unser Hausfreund und deine Mutter schätzt ihn sehr im Bett. " Jetzt war es raus, meine Tochter wusste über uns bescheid und ich hoffte sie würde darauf gelassen reagieren. Melanie nickte nur und sagte: „ Wenn ihr daran Spaß habt dann macht es, mich stört es nicht, solange ihr glücklich seid." Jenny erzählte ich davon erst am nächsten Tag, zuerst regte sie sich auf, dann war sie erleichtert, das Melanie es so gut aufgenommen hatte und sich uns gegenüber immer noch ganz normal verhielt. Sie unterhielt sich auch noch einmal mit ihr und Melanie versicherte ihr, dass sie damit kein Problem hatte. Im Gegenteil Melanie schien es gut zu finden, dass ihre Eltern nicht spießig, verklemmt oder unglücklich waren. Mitte der Woche trafen wir uns das nächste Mal mit Frank, wieder bei uns zuhause, diesmal für ein etwas kürzeres Treffen, als Melanie zu ihrem Aerobickurs verschwunden war. Jenny hatte beschlossen ihm davon zu erzählen, konnte er doch in Zukunft dann wohl öfter vorbeikommen und auch wenn Melanie daheim oder nur kurz weg war, brauchten wir doch nun weniger Heimlichkeit an den Tag zu legen. Frank nahm es nur mit einem kurzen Nicken hin und widmete sich dann Jenny, die er fesselte, leckte, sich von ihr blasen ließ um sie dann schließlich hart zu nehmen, bis sie ihren Orgasmus hatte. Diesmal spritzte er ihr in die Muschi, drückte anschließend mein Gesicht zwischen ihre Schenkel und ließ mich seine Saft direkt aus ihrer Muschi lecken. Ich war mal wieder so erregt, doch diesmal enthielt er mir meinen Abschluss vor und als er sich verabschiedete ging ich erregt ins Bett und fiel in einen tiefen Schlaf mit schmutzigen Träumen. Ich hoffte inständig, dass unsere nächstes Treffen für mich wieder besser lief. Am frühen Samstagabend kam Frank wieder zu uns und führte uns aus. Mit seinem Wagen fuhren wir in die Innenstadt, in ein Parkhaus dort. Wir stiegen aus und gingen zu einem Fahrstuhl, der uns in den vierten Stock des Gebäudes brachte. Eine große Saunalandschaft. Ich stotterte ihm zu das ich keinen Badeanzug hätte und Jenny auch nicht, doch er nickte nur, zahlte den Eintritt, deutete uns zu den Umkleiden. Ich war mit ihm in der Umkleide und anscheinend schien es hier Gang und Gebe zu sein nackt herum zu laufen, so dass wir beide nackt, Jenny nackt im Eingang zum Saunabereich trafen. Von dem Sexentzug der letzten Woche war ich immer noch ziemlich erregt und ich musste mich beim Anblick meiner nackten Frau und dem Gedanken daran was nun alles passieren konnte doch stark zurückhalten nicht sofort eine Erektion zu kriegen. Den Rest des Abends verbrachten wir damit, dass Frank Jenny in der Saunalandschaft herumführte, sie ohne Handtuch völlig nackt von einer Sauna in die nächste brachte und sie schließlich auf eine der Liegen zum Ausruhen platzierte, auf dem Bauch, nackt, die Beine ein Stückchen weiter auseinander als es der Anstand eigentlich zuließ. Wir setzten uns etwas entfernt hin und beobachteten wie die Leute an ihr vorübergingen und ihr auf die von hinten zu sehende blanke Muschi starrten. Einige der Männer gingen auffallend häufig an ihr vorbei nur um sie anzusehen. Zu mir sagte er in einem dieser Momente:" Na was hältst du davon wenn ich deine Frau einem von ihnen zur Verfügung stelle?" Ich wusste nicht was ich sagen sollte und ich brauchte auch gar nichts sagen. Auf dem Heimweg schaute ich Jenny an. Sie hatte Sex gehabt, mit einem Fremden den Frank ausgesucht hatte. Direkt in einer der Saunen hat sie sich ihm hingeben müssen. Hat ihn geblasen, geritten und sich von ihm bumsen lassen. Drum herum hatte Leute gestanden und ihr zugeguckt wie sie den Schwanz des Mannes bearbeitete. Dieser hatte nicht lange ausgehalten und sein Sperma auf ihre Brüste gespritzt als er nicht mehr konnte. Ich war erregt und ich sah es auch Jenny an. Die Öffentlichkeit unserer Demütigung war ein Kick den ich so nicht kannte. Mein Penis war steinhart und das schon ziemlich lange. Auch Jenny war heiß. Ich hatte in der Sauna gesehen, dass sie die Blicke der Männer um sie herum gespürt hatte, die jede ihrer Bewegungen verfolgten. Ich sah die Geilheit aus ihrer Muschi tropfen und sie blieb unbefriedigt, da der Mann viel zu schnell gekommen war. Frank hatte uns dann zum Auto zurück gebracht und fuhr mit uns nach Hause wo wie wir Beide, Jenny und ich, wohl hofften eine lange ausdauernde geile Nacht vor uns lag. Zuhause angekommen, gingen wir ins Schlafzimmer, Jenny zog sich aus und schien es kaum erwarten zu können das Frank endlich zu ihr kam so geil war sie. Doch Frank kümmerte sich erst einmal nicht um sie, misterder fesselte sie lediglich, die Hände an unsere Bettpfosten am Kopfende, die Beine musste sie spreizen, hoch in Richtung Kopf heben, soweit es ging. Frank band sie ebenfalls am Kopfende fest, so dass ihr Intimbereich offen und schutzlos, triefend vor Geilheit vor uns lag ihre Beine weit gespreizt und fast hinter den Kopf gelegt. Er spielte ein wenig mit Jenny, schob ihr ein kleines schwarzes, gut geöltes Butt-Plug in den Po und streichelte ihr ein wenig mit seinen Fingern durch ihren Intimbereich. Er ging an unseren Nachtschrank, verpasste ihr eine Augenbinde und einen Ballknebel, dann drehte er sich zu mir und fuhr mich an: „ Los leck ihr die Muschi!" Ich versenkte meinen Kopf in ihrem Intimbereich und leckte sie voller Begeisterung. Ich schmeckte wie nass und geil sie war von der Situation in der Sauna und dem Sex mit dem Unbekannten und auch ich war erregt wie schon lange nicht mehr. Jenny stöhnte unter meiner Zunge. Frank erhob sich vom Bett und ging zur Tür des Schlafzimmers. Ich hörte das er sie öffnete und zurückkam. Ich drehte mich kurz um, die Tür stand nun ganz offen. Ich guckte ihn ungläubig an und er lächelte nur, packte meine Hände drehte sie mir auf den Rücken und verband sie mit einem Paar Handschellen. Ich wusste, dass es schon spät war und ich wusste dass Melanie bestimmt bald nach Hause kommen würde Sie würde hier vorbeikommen und uns sehen. Ihre Mutter gespreizt und gefesselt, ihren Vater hilflos daneben. Die Vorstellung sie würde mich sehen, nackt gefesselt zugange mit ihre Mutter und ihrem Liebhaber erfüllte mich mit Scham, Angst aber auch Erregung. Melanie war jung, doch erwachsen. Im Vergleich zu uns war sie unschuldig und in ihrer Sexualität wahrscheinlich ganz normal. Ich wusste, dass sie seit einiger Zeit einen Freund hatte und sie hatten bestimmt Sex, aber das hier war etwas Anderes. Wir waren ihre Eltern, ihre Vorbilder und Respektspermisteren. Wie mochte sich das auf sie Auswirken. Ich hoffte inständig, dass sie noch nicht nach Hause kam, einfach vorbei ging ohne uns bemerken zu wollen. Genau in diesem Moment hörte ich die Haustür zuschlagen und die leichten Schritte meiner Tochter auf dem Flur. Ich wollte mich umdrehen doch Frank drückte meinen Kopf auf die Möse meiner Frau und raunte mich an: „ Leck mein Kleiner!" Ich leckte, blieb mir doch nichts anderes übrig und versuchte dennoch zu hören wo Melanie war. Ich hatte ihre Schritte jetzt schon länger nicht mehr gehört doch Frank blickte ein paar Mal zur Tür. Jetzt drehte er meine Kopf zu sich und sagte:" Komm mein Kleiner lutsch schön den Schwanz des Liebhabers deiner Frau, er soll schön hart sein wenn ich sie gleich vögle. Er hielt mir sein halbsteifes Glied neben den Kopf und ich musste mich ein wenig zur drehen und nahm seien Penis in den Mund. Ich fand das nie bemisterders schön, doch diese Erniedrigung von mir gehörte für ihn, meine Frau und mich einfach bereits dazu. Ich guckte in meinem Augenwinkel rüber zur Tür und sah dort meine Tochter stehen die uns aus dem Türrahmen zuschaute. Fasziniert blickte sie zu mir wie ich den Schwanz mit meinem Mund blies und er langsam hart wurde. Frank zerrte meiner Frau die Augenbinde herunter, nahm ihr den Knebel raus und ich konnte mir nur Vorstellen, dass sie grad direkt in die Augen unsere Tochter sah, geschockt, beschämt oder vielleicht ängstlich. Frank ließ ab von mir und schob mich weg, runter vom Bett und wandte sie zu meiner Frau Jenny, in die er nun eindrang. Er legte sich zwischen ihre weit gespreizten Beine und hämmerte ihr seinen Schwanz in die Fotze. Ich blickte hinauf zu meiner Frau die die Augen geschlossen hatte und dann rüber zu Melanie die im Türrahmen stand und uns zusah, mich grade mitleidig anblickte als Frank raunte: „ Los komm Kleiner du weißt was deiner Frau gefällt." Zögerlich stand ich auf und entblößte so Melanie nun auch mein stehendes Glied und trat neben meine Frau auf dem Bett, griff ihren rechten Fuß und begann ihre Zehen zu lutschen. Jenny blickte hinauf zu mir, denn sie mochte es sehr wenn ich ihr Unterwürfig diente während sie gevögelt wurden. Sie stöhnte laut, schien sich zurückgehalten zu haben wegen unserer Tochter doch jetzt waren bei ihr alle Dämme gebrochen. Sie schrie vor Lust und Frank ließ nicht ab von ihr und schrie sie an: „ Na gefällt dir das gevögelt zu werden von nem anderen Kerl. Ich hab gesehen wie sehr du es genossen hast dich vorhin in der Öffentlichkeit von nem fremden Kerl durchziehen zu lassen du kleine Schlampe!" Und während er sie immer schneller nahm, erlebte sie ihren Orgasmus, stöhnte und keuchte bis zuerst ihr Unterleib und dann ihr ganzer Körper erbebte. Auch Frank kam kurze Zeit später und spritzte ihr in ihre Muschi. Ich sah wie sein Penis pulsierte in ihr zuckte und sie mit seinem Sperma füllte. Er zog sich zurück, blickte kurz zu Melanie und lächelte mich dann an. „Los komm kleiner auf deine Frau, das erlaub ich dir heut mal zur Feier des Tages, nimm die kleine Schlampe in ihr schon gut gefülltes Loch." Ich bemerkte die sehr harte Sprache die er wählte und ich konnte mir vorstellen warum er heute bemisterders hart zu uns war. Ich ließ vom Fuß meiner Frau ab und kletterte zwischen ihre gespreizten Beine, setzte meinen Penis vor ihre Lustöffnung und ließ ihn hineingleiten. Ich spürte wie geweitet sie dort noch war vom großen Schwanz von Frank und ich spürte wie ich in ihr sein Sperma umher schob, es in sie einmassierte und nach sehr kurzer Zeit in ihr kam. Es war das erste mal seit fast einem halben Jahr das ich in ihr kam und das Gefühl das ich erlebte war das wartet wert gewesen. An jedem Tag den ich keinen Orgasmus haben durfte mit ihr wurde ich erregter. Jedes mal wenn ich auf sie wichsen durfte um es hinterher abzulecken, wurde ich geiler auf ihre Löcher, hatte Fantasien es ihr genau wie Frank in den Arsch besorgen zu dürfen. Ich war so erregt und der Orgasmus den ich nun hatte war weltbewegend für mich. In ihrer klitschnassen Fotze zuckte mein Schwanz wild umher, verspritzte mein Sperma immer und immer wieder bis meine Hoden schmerzten und ich das Gefühl hatte selbst den letzten Tropfen aus mir herausgequetscht zu haben. Ich stöhnte laut und brach dann auf ihr zusammen. Frank rollte mich von ihr runter und legte mich auf den Rücken auf das Bett. Ich sah rauf zu Melanie die uns immer noch beobachtete. Frank machte Jenny los, zog ihr das Plug aus den Po und brachte sie in eine 69 Position direkt über mir. Ich blickte in ihre Muschi, sah wie feucht sie war, roch ihre Erregung und sah das Sperma von mir und Frank aus ihr herauslaufen. Und während ich ihr die Muschi leckte, bis ich den letzten Tropfen Sperma geschluckt hatte, nahm sich Frank ihren Arsch vor. Zuerst wichste er seinen Schwanz hart, dann stieß er in sie mit seinem mächtigen Gerät, tief in ihren Arsch, direkt vor meinem Gesicht. Abermals schrie Jenny vor Lust, diesmal ihre Augen direkt zu unserer Tochter gerichtet, den Schwanz von Frank zwischen ihrem Schließmuskel, mein Gesicht in ihrer Muschi, seinen Schwanz tief in ihrem Po, meine Zunge an ihrer Klitoris. Nach kurzer Zeit stöhnte sie, immer lauter und lauter eh sie schließlich noch einmal in einem gewaltigen Orgasmus explodierte. Frank grunzte kurz hinter ihr, und kam in ihrem Po. Er zog sich zurück, schob ihre Beine nach vorne und ihren Oberkörper nach oben, so dass ihr Anus direkt über meinem Mund war und sein Sperma aus ihr herauslaufen konnte. Ich leckte sie sauber und schluckte sein Sperma aus dem Arsch meiner Frau. Melanie war gegangen, verschwunden in ihr Zimmer und auch Frank verließ uns kurze Zeit später, stieg in sein Auto und ich war allein mit meiner Frau. Wir guckten uns tief in die Augen und küssten uns, wie wir es meistens taten nachdem Frank mit uns fertig war. Wir redeten nicht darüber das Melanie uns zugeschaut hatte, denn wenn ich ehrlich gewesen wäre hätte ich meiner Frau sagen müssen das es mir gefallen hatte von ihr beobachtet zu werden. Es machte meiner Erniedrigung irgendwie komplett.
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chrislebo
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Unser Leben ging ganz normal weiter. Unsere Tochter Melanie war nicht verändert uns gegenüber. Nachdem was sie gesehen hatte eigentlich ein Wunder. Meine Frau wusste das es nur ein Spiel war, nur eine Methode die Lust zu steigern die man beim Sex empfand. Seit sie damals mit 22 mit ihrem ersten fremden Mann direkt vor meinen Augen geschlafen hatte, hatte sich unsere Beziehung sehr positiv entwickelt. Wir stritten kaum noch, wir verstanden einander besser und uns verband ein tiefes Gefühl der Intimität und der Hingabe das man nicht beschreiben kann, ich wusste einfach, so wollte ich Leben. Die Sache mit meiner Tochter gab dem Ganzen eine neue Qualität. Ich liebte sie, nun nicht wie ich meine Frau liebte, misterdern ich schätzte sie als gute Tochter. Ich hatte dieses zarte Wesen 18 Jahre lang beschützt, versorgt und versucht mit moralischen Werten auszustatten und jetzt sah sie mich und ihre Mutter beim Sex. Nun nicht einfach nur beim Sex, misterdern wir wurden von unserem Lover dominiert. Frank hatte vor ihren Augen Sachen mit uns gemacht die wohl nicht ganz zu dem passen was man seiner Tochter an Erziehung mitgeben möchte. Wir trafen uns natürlich weiter mit Frank, denn Jenny konnte nicht mehr ohne ihn und die Orgasmen die sie mit ihm hatte. Und es war nicht nur das rein körperliche. Sie wollte von ihm genommen werden, sie hatte sich ihm verpflichtet, sie gehörtem ihm und er konnte von ihnen verlangen was er wollte. Er hatte sie auf Video und nicht ummisterst hatte sie das zugelassen. Vor langer Zeit hatte einer ihrer ersten Lover heimlich Filmaufnahmen von ihr gemacht und hatte, ein wenig Druck damit auf sie ausgeübt das sie tat was er wollte und das gefiel meiner Frau. Und jetzt hatte Frank einen ganzen Schrank voller Videos mit uns darauf. Er bestimmte wir gehorchten und wir liebten dieses Spiel. Wir wussten es war ein Spiel und hätten es abbrechen können, doch so richtig konnten wir es nicht und hätten es nie gewollt. So kam es dann auch das Frank uns in den nächsten Wochen speziell dann besuchen kam wenn Melanie wahrscheinlich daheim war. Er schien es zu mögen von meiner Tochter beobachtet zu werden und öffnete die Tür zu unserem Schlafzimmer wann immer er bei uns war. Und Melanie tat ihm den Gefallen. Sie sah immer wenn sie konnte und daheim war zu, wie wir in den Händen von Frank von ihm benutzt wurden. Wie er ihre Mutter in allen Stellungen in jeden Eingang fickte. Wie er sie besamte, in der Muschi, im Mund und im Arsch. Ihr mit Freude ins Gesicht oder auf die Brüste spritzte. Dazu kam, dass wann immer Melanie uns zusah Frank bemisterders hart zu uns war, ließ Jenny mich mit dem Strapon ficken, ließ mich direkt vor ihren Augen seinen Schwanz vor und nach dem Sex mit meiner Frau lutschen, nahm Jenny bemisterders hart ran, fesselte sie an unsere Bett und besorgte es ihr mehrere Stunden lang, ließ sie sein Sperma schlucken und rammte ihr seinen Schwanz bis zu Anschlag in ihren Arsch. In diesen nächsten Wochen bekam ich soviel Sperma aus ihren Löchern zu Schlucken wie noch nie zuvor. Zuerst stand Melanie noch immer vor unserem Schlafzimmer, später dann setzte sie sich in unserem Schlafzimmer in einen Sessel der dort stand und schaute uns zu. Immer wieder hatte ich direkten Blickkontakt zu ihr und sie schaute auch ihre Mutter und Frank direkt in die Augen. Gesagt hat sie in der Zeit nicht ein Wort dabei und auch misterst redete sie nicht darüber was drei bis viermal die Woche in unserem Schlafzimmer vorging. Mir fiel auf das sie nun ihrerseits auffällig häufiger als früher bei ihrem Freund über Nacht war oder ihn zu sich kommen ließ. Wirkte der Arme anfangs Morgens am Frühstückstisch noch eher glücklich, so sah er doch in der dritten Woche ziemlich fertig aus. Ich hatte da so meine Vermutung was in meiner Tochter vorging wenn sie uns so sah. Es schien ihr zu gefallen und sie zu stimulieren, sie anzuregen und dafür zu sorgen, dass sie die Nächte auf vor und unter ihrem Freund verbrachte, der wahrscheinlich gar nicht mehr wusste wo ihm der Kopf stand. Es war an einem Samstagabend, Frank war grade gegangen nachdem er uns vor den Augen meiner Tochter für seine schmutzigen Spiele benutzt hatte und ich auf dem Weg ins Badezimmer war. Ich hörte an der Tür jemanden reden, dann kamen zwei Permisteren den Flur entlang. Melanie und ihr Freund Lukas gingen durch den Flur die Treppe hoch zum Dachboden in Melanies Zimmer. Ein wenig neugierig ging ich ihnen hinterher, öffnete die Tür zum Zimmer die in den Raum mit der Treppe nach oben führte und bewegte mich leise auf der steilen Treppe nach oben. Fast oben angekommen stoppte ich und lauschte und ich hörte leises Stöhnen aus dem Zimmer meiner Tochter kommen. Ihr Zimmer war dunkel und es brannte kein Licht, meine Augen brauchten ein bisschen um sich an das fahle Licht zu gewöhnen das durch das schräge Dachfenster fiel. Ich machte noch einen Schritt eine Stufe nach oben und guckte von der Treppe aus in ihr Zimmer. Auf ihrem Bett sah ich sie und Lukas. Ihr Bett stand direkt unter dem Dachfenster und das Licht des Vollmondes fiel auf die beiden. Meine Tochter war nackt und saß auf Freund der unter ihr lag. So hatte ich sie noch nie gesehen. Sie saß auf den Schoß ihres Freundes, die Beine nach hinten angewinkelt auf dem Bett, ihre Hände strichen über ihren Körper, ihren Bauch nach oben über ihr Brüste. Dann fuhr sie sich mit ihnen durch ihr Haar, schüttelte es ein wenig auf und ihre langen braunen Haare flogen wild umher. Ihre makellose Haut glänzte im Mondlicht, ihre Brüste ihr Bauch ihre Beine und ihr Po, all das wirkte makellos, perfekt und wunderschön. Ihr Becken kreiste auf ihrem Freund und sie bewegte ihren Unterleib nach vorne und hinten. Ihre Hände hatte sie jetzt in ihrem Nacken, fuhr sich den Kopf nach oben durch die Haare und blickte nach oben. Sie stöhnte einmal, doch ihr Freund schien sich unter ihr zu verkrampfen, sich kurz noch zurückhalten zu wollen, doch dann kam er mit einem kurzen stöhnen in ihr. Ich war von der Szene erregt. Zwar war sie meine Tochter, doch hatte sie einen tollen Körper, eine makellose Figur, schöne Haut und eine tolle Ausstrahlung. Ich hatte ein ein bisschen schlechtes Gewissen, immerhin war sie meine Tochter, das Wesen um das ich mich nun schon seit 18 Jahren kümmerte, doch hatte sie ihnen ja auch beim Sex zugeschaut und das war nicht so normaler Sex wie ich ihn grad beobachtet hatte. Mein Penis stand aufrecht, hart und schmerzte fast vor Geilheit, so sehr hatte es mich erregt meine Tochter beim Sex zu beobachten. Ich sah den beiden weiter zu, dass Lukas sie von sich runter dirigierte und sich neben sie legte. Er flüsterte ihr etwas ins Ohr und ich konnte es nicht verstehen. Was ich aber verstand war ihr Gesichtsausdruck der mir zeigte, dass sie nicht zufrieden damit war, dass ihr Freund so früh gekommen war. Beim Blick in ihre Augen sah ich dass sie nicht befriedigt war von dem Sex mit ihrem Freund. Da erst merkte ich, dass ich ihr direkt in die Augen sah und dass sie mich ja vielleicht auch sehen konnte. Ich konnte nur ahnen wie dunkel es um mich herum war, doch vorsichtshalber zog ich meinen Kopf zurück und schlich die Treppe nach unten, raus ins Bad und dann ins Bett. Am nächsten Morgen saß ich mit meiner Frau und Melanie am Frühstückstisch, ganz normal wie jedes Wochenende. Melanie schien mich gestern Nacht nicht bemerkt zu haben, zumindest merkte ich ihr nichts an. Wenn ich sie so sah, gingen mir allerdings die Bilder von gestern Nacht wieder durch den Kopf. Nackt, wild und ungezügelt saß sie auf ihrem Freund. Ich musste mich ablenken um nicht sofort wieder einen Ständer zu bekommen. Die Woche verlief eigentlich ganz ruhig. Am Mittwoch kam Frank vorbei und besorgte es Jenny einmal mehr. Diesmal musste ich ihr einmal mehr die Klitoris lecken während er direkt vor meinen Augen in sie stieß. Er ließ mich seinen Saft aus ihr lecken und schlucken. Jenny erlebte zwei Orgasmen diesen Tag und stöhnte und schrie vor Lust. Melanie war auch dabei, sie saß in der Ecke unseres Schlafzimmers und sah unserem Treiben zu. Als ihre Mutter im Rausch explodierte sah ich in ihre Augen. Sie wirkte ein wenig traurig, ja fast neidisch. Nachdem Frank weg war redete ich mit Jenny. Sie hatte mir kurz nach unseren ersten Erfahrungen mit fremden Männer und mir als dominiertem erzählt, wie unbefriedigend unsere Sexleben früher für sie war. Das sie zwar die Lust spürte, doch nie die Befriedigung eines Orgasmus bekam. Sie hatte Sex mit mir ohne ihren Höhepunkt intensiv und stark zu erleben wie sie es jetzt tat. Mittlerweile war sie erregt und heiß nur weil sie an die Sachen dachte die wir regelmäßig taten. Früher war sie nur erregt gewesen, weil sie keine Befriedigung finden konnte. Sie hatte mir damals gesagt was das für eine schlimme Zeit für sie gewesen war. Ich erzählte ihr von dem Gesichtsausdruck den ich bei ihr sah als sie ihren Orgasmus hatte. Sie zuckte nur mit den Schultern: „ Bestimmt hast du dich verguckt. Andererseits könnte es natürlich wirklich sein, immerhin ist sie meine Tochter. Aber ich denke sie hat Spaß mit ihrem Freund, immerhin ist Lukas nun fast dreimal die Woche hier und sie haben bestimmt tollen Sex zusammen." Ich wusste es besser sagte aber nichts, was hätte ich auch sagen sollen. Der nächste Samstag kam und während Frank unter der Woche eher kürzer bei uns war, blieb er am Samstag umso länger um mit uns seinen Spaß zu haben. Heute waren wir für 20 Uhr verabredet. Jenny hatte vorhin einen Anruf von ihrem Chef bekommen und war gegen 16 Uhr noch mal zur Arbeit gegangen. Melanie war auch zuhause und saß im Wohnzimmer. Sie war grade von Schwimmen am See gekommen und saß ein wenig vorm Fernseher, als Frank gegen 18 Uhr bei uns klingelte. Ich öffnete die Tür und sah ihn an. Ich war überrascht, war er doch für unsere Verabredung zwei Stunden zu früh und sagte: „ Komm doch herein, Jenny ist aber noch nicht zuhause, sie musste noch mal zur Arbeit." Er lächelte mich an und trat ins Wohnzimmer. Er blickte zu Melanie die auf der Couch saß und grade den Fernseher ausschaltete. Ich sah wie seine Blicke über ihren Körper wanderten. Sie trug nur ein türkises Bikinioberteil oben und einen kurzen rock unten, den sie drüber gezogen hatte. Er sagte zu mir: „ Ach Jenny ja, der Anruf das war ich vorhin. Ich hab sie zu mir kommen lassen und dann zu einem Freund gebracht, keine Sorge es geht ihr gut." Ich guckte ihn verwirrt an:" Und warum bist du dann hier, ich meine.." Weiter kam ich nicht, den er ließ in unserem Wohnzimmer seine Hose runter und deutete auf seinen Schwanz: „ Warum sollte ich wohl hier sein. Los blas ihn mir schön steif." Ich zögerte. Es war mir unangenehm. Das blasen nicht, das gehörte nun mal zu meiner Erniedrigung dazu, nein, das Jenny nicht da war, das meine Tochter da war, das wir in unserem Wohnzimmer waren. Wir waren mit Frank allein. Er sah mich an:" Hör mir zu tu was ich sage. Anmistersten könnte es sein das ich mal kurz telefonieren muss um meinen Freund anzurufen. Ich habe Jenny vorhin in einem bei ihm abgeliefert. Dort findet heute Nacht eine Party statt. Jenny ist dort entweder als Sklavin dabei oder kommt nachher wohlbehalten zu dir nach Hause, deine Entscheidung. Beziehungsweise das entscheidet mein Telefonanruf nachher. Wenn du also nicht willst das 20 Kerle in einem SM - Studio über deine Freundin herfallen, ihr den Po verhauen, sie auspeitschen und mit riesigen Dildos in den Arsch bumsen oder was weiß ich mit ihr anstellen, dann schlage ich vor zögerst du nicht wenn ich dir eine Anweisung gebe." Ich schluckte und wollte etwas sagen, doch ich bekam keinen Ton raus. Er redete weiter:" Ich weiß ja nicht wie deiner Jenny dieser SM Kram gefallen wird, aber ich denke, dass es dort etwas härter zugeht als bei mir. Diese Perversen Schweine werden sich nicht mit ein wenig fesseln und bumsen zufriedengeben, schon gar nicht wenn man ihnen eine Sklavin gefesselt und geknebelt vorsetz und sie ihnen als willige SM - Schlampe präsentiert. Ich habe meinem Bekannte da freie Hand gelassen, ihm aber gesagt, dass Jenny es richtig hart braucht. Was er draus macht, keine Ahnung, das harmloseste wäre wahrscheinlich noch das sie sie fesseln, Knebel, auspeitschen, ficken, und auf ihr abspritzen, aber wie gesagt es kann auch anders laufen und Jenny kommt mit gepiercten Nippel nach Hause." Ich wußte er redete nur so. Frank würde meiner Frau nie etwas antun das ihr nicht gefallen würde. Ich wußte er würde seine Drohung nicht realisieren und wahrscheinlich war Jenny überall nur nicht in einem SM Studio, doch der Gedanke erregte mich. Als er den Satz beendet hatte kniete ich schon vor ihm und öffnete meinen Mund. Während er sich noch entkleidete, lutschte ich ihm schon seinen gewaltigen Penis steif. Er war nun nackt mit erigiertem Glied, zusammen mit mir und Melanie in unserem Wohnzimmer. Melanie guckte uns wieder einmal interessiert zu, wie ich ihn blies, bis sein Schwanz kaum noch in meinem Mund passte. Er führte eine Hand von mir zusätzlich an seinen Penis, die andere an seine Hoden und er ließ mich ihn zusätzlich massieren und wichsen. Ich blickte rüber zu Melanie und schaute tief in ihre Augen während ich seinen Schwanz in meinem Mund bearbeitete. Mein eigener Schwanz stand in dem Moment als ich sie das erste Mal ansah während ich ihn blies. Nach kurzer Zeit schob er mich weg, drehte mich auf alle Viere, mit dem Kopf direkt vor den Sessel in dem Melanie saß. Ich blickte auf ihre Beine und Füße, unter ihren Rock und sah ihr Bikiniunterteil auf dem ich bereits einen größeren nassen Fleck ausmachen konnte. Ich blickte hoch zu ihr, als ich Franks Finger an meinen Anus fühlte. Er trug ein wenig Gleitcreme auf und sagte dabei:" Das hätte ich schon lange tun sollen. Nicht das es mir gefallen würde einen Mann in den Arsch zu ficken, nein ich steh auf Frauen, doch viel wichtiger ist das du deine Position begreifst. Du sollst nachvollziehen können wie glücklich du sein darfst, wenn ich mich um deine Frau und nicht um dich kümmere. Du sollst mich anbetteln deine Frau in den Arsch zu ficken und nicht dich. Es wird Zeit für deine ultimative Erniedrigung, hier direkt vor den Augen deiner Tochter!" Ich spürte seinen Schwanz an meinen Po und er drückte ihn langsam hinein. Ich blickte hoch zu Melanie und sah das sie beinahe fassungslos auf meinen Arsch starrte in den Frank nun immer tiefer eindrang. Ich fühlte seinen Penis in mir, den kurzen Schmerz den er verursachte, die Kühlung der Gleitcreme, und den mächtigen Schwanz in meinem Arsch, der sich anders anfühlte als ein Dildo. Es war so erniedrigend er benutzte mich vor meiner Tochter und sie sah ganz offen zu wie ihr Vater vom Liebhaber ihrer Mutter in den Arsch gefickt wurde. Dazu stand mein Penis steif und fest, hart wie Stein unter mir und wippte immer ein Stück nach oben wenn er tiefer in mich stieß. Er fuhr mich an:" Na gefällt dir das du perverse Sau! Zum ersten mal nen Schwanz im Arsch. Los, leck deiner Tochter die Füße!" Melanie war überrascht und ich zögerte, doch seine Ansprache von vorhin und die Tatsache das er mir weh tun konnte wenn er wollte, so tief wie er mich in meinen Arsch stoßen konnte, ließen mich meine Bedenke vergessen und ich griff nach dem Fuß meiner Tochter. Sie trug keine Socken oder Schuhe und so nahm ich vorsichtig ihre Zehen in meinen Mund. Sie war überrascht, zu überrascht um ihren Fuß rechtzeitig wegzuziehen und so sah ich in ihr Gesicht, als meine Zunge um ihre Zehen kreiste. Zuerst musste sie kurz lachen, doch dann erfuhr sie was ihre Mutter daran toll fand und ich sah wie sie sich zurücklehnte und das sie leise stöhnte. Ich konnte kaum fassen in was für einer Situation ich gelandet war. Ich lutschte die Zehen meiner Tochter, die dies anscheinend sehr stimulierend fand und sie sah dabei zu wie mich Frank hart von hinten nahm. Mittlerweile stieß er tief in meinen Po, schlug mir ab und zu mit der flachen Hand auf die Pobacken und stöhnte auch ein wenig. Ich sah am Bein meiner Tochter nach oben nachdem ich mir ihren anderen Fuß gegriffen hatte. Sie saß auf unserem Ledersessel, die Beine nebeneinander gestellt und ich blickte direkt unter ihren Rock. Was vorher ein nasser Fleck war, war jetzt durchtränkt mit Feuchtigkeit und ich sah die Erregung und die Faszination in ihren Augen. Durch ihr Bikinioberteil waren steif und fest ihre Nippel zu erkennen die sich aufgrund der Erregung aufgerichtet hatten. Ich erregte meine kleine Tochter, durch mein lecken und den Anblick den ich ihr bot und das wiederum erregte mich so sehr, ich hatte fast platzen können vor Geilheit. Ich spürte Frank in mich stoßen, ihn in mich fahren und mich tief im Arsch berühren. Er stöhnte und ich spürte, dass er sich in mich ergoss, mir sein Sperma in den Po pumpte. Erzog sich aus mir zurück, schlug mir noch mal mit der flachen Hand auf den Arsch und sagte: „ Gute Schlampe, dann wird deine Jenny wohl bald daheim sein!" Er erhob sich, grinste uns beide frech an und zog sich an. Dann verabschiedete er sich und stieg in sein Auto. Ich hockte auf dem Boden, nackt und gedemütigt, direkt vor meiner Tochter. Mein Po schmerzte ein wenig und sein Sperma lief mir aus meinem Arsch. Ich traute mich nicht hochzugucken und stand mit gesenktem Kopf auf. Ich ging ins Bad uns als ich wieder herauskam, war meine Tochter in ihr Zimmer verschwunden. Zwanzig Minuten später kam Jenny nach Hause, eine halbe Stunde später hörte ich es bei uns klingeln, noch zehn Minuten später hörte ich meine Tochter von oben laut Stöhnen. Ich konnte nicht anders und schlich mich abermals die Treppe rauf, stellte mich auf die Treppe, so dass ich grade so in ihren Raum hineinblicken konnte, ich hoffte dass sie mich nicht sahen, doch die Beiden waren sehr beschäftigt. Sie saß fast aufrecht mit geschlossenen Augen auf ihrem Bett, die Beine über die Kante baumelnd und ließ sich ausgiebig lecken von ihrem Freund. Er wollte den Kopf schon aus ihrem Schoß nehmen doch sie drückte ihn zurück. Ich konnte zum allerersten Mal einen Blick auf die Muschi meiner Tochter werfen und sah, dass sie rasiert war, blitzblank bis auf einen schmalen Streifen Haare. Ihr Freund leckte sie und schob ihr grade seinen Zeigefinger vorsichtig in ihre Lustöffnung. Ich sah den Beiden noch etwas länger zu, er leckte und fingerte sie, dann zog er sich aus und stieg auf sie, schlief mit ihr in unterschiedlichen Stellungen. Meine Tochter war heiß und ritt ihn hart, forderte ihn auf doller zu machen, drückte immer wieder seinen Kopf zwischen ihre Schenkel um sich lecken zu lassen. Ich war fasziniert und erregt, meine Tochter dirigierte ihren Freund umher, zeigte ihm was sie will und sie schien heiß zu sein auf pures körperliches Vergnügen. Ihr Freund nahm sie schließlich von hinten und ich starrte dabei fasziniert auf ihre unter ihr schwingenden jungen, perfekten Brüste. Er stöhnte, keuchte und kam in ihr. Erschöpft brach er neben ihr zusammen auf das Bett und lächelte sie an, doch sie wirkte nicht misterderlich glücklich und als ich ihr ins Gesicht sah, sah ich dass sie frustriert war. Ich guckte auf meine Uhr, fast eine Stunde sah ich den Beiden jetzt zu und jeder Moment war erregend und aufregend für mich, aber jetzt war es Zeit für mich zu gehen. Ich schlich die Treppe runter, über den Flur in mein Bett und hörte mir von Jenny die noch ein wenig las an was ihr passiert war. Ein Club, ein Warteraum ein paar Drinks mit nem Freund von Frank, aber ich hörte ihr kaum zu, denn ich war mit den Gedanken bei Melanie und meinem leicht schmerzenden Po.
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chrislebo
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Frank machte vor nichts halt, dass hatte ich letzte Woche festgestellt als er mich direkt vor den Augen meiner Tochter in den Arsch vögelte nur um zu beweisen wie viel macht er besaß. Meine Frau wusste davon nichts und ich war mir auch nicht sicher, dass sie es gemocht hätte. Ich war aufgeregt und ein wenig ängstlich, darüber was Frank wohl als nächstes mit uns anstellen würde, mit mir, meiner Frau Jenny und in gewisser Weise auch mit meiner Tochter Melanie. Meine Tochter war immer noch sehr angeregt durch das was sie erlebt hatte als sie uns zusah. Ihr Freund Lukas war oft zu besuch und manchmal hörte ich sie zwei, drei mal die Nacht leise Stöhnen. Wann immer ich konnte schlich ich mich die Treppe zu ihrem Zimmer rauf und lugte vorsichtig in ihr Zimmer um sie auf ihrem Freund zu sehen. Die Beiden hatten wilden Sex, der normal war für ihr alter. Ein bisschen Zunge, ein paar Stellungen, nichts außergewöhnliches wie das was ich und meine Frau taten, bzw. was mit uns getan wurde. Trotzdem waren es wenn ich die Beiden innig ineinander vertieft sah, die erotischsten Bilder die ich je gesehen hatte. Ihre jungen Körper waren grandios, bemisterders der meiner Tochter. Sie hatte wunderschöne Haut, einen festen Po, wohlgeformte Beine und Brüste. Wenn sie Sex hatte wirkte ihr Gesicht fordernd wild und voller Wollust, fast genauso wie das ihrer Mutter, doch wirkte sie beim Sex lange nicht so entfesselt. Wenn sie mit ihrem Freund schlief schien sie mehr zu wollen als sie bekam, jedes Mal. Es war schließlich an einem Freitagabend als Jenny zu mir kam und mir behutsam die Hand auf die Schulter legte: „ Ich muss dir etwas erzählen.“ Ich nickte und sie redete weiter: „ Frank hat mich vorhin angerufen. Er hat mir bescheid gesagt das er morgen Mittag zu uns kommen wird. Er hat gesagt es wird ein ganz bemisterderer Tag, was immer er damit meinte.“ Ich nickte und hatte das so meine Befürchtungen. Mein Po hatte sie grade erholt von Franks dickem Schwanz und ich befürchtete das er mich noch einmal hart ran nehmen wird, diesmal auch vor den Augen meiner Frau. Am Samstag saßen wir zu dritt, Jenny im Morgenmantel und Melanie die Haare zu zwei Zöpfen rechts und links des Kopfes gebunden in Jeans und Shirt, dann noch spät am Frühstückstisch, als es klingelte. Jenny öffnete im Morgenmantel die Tür. Frank stand draußen, neben ihm 3 weitere Männer. Er grinste uns an und freute sich anscheinend über das erschrockene Gesicht meiner Frau. Sie stotterte: „ Äh was, Frank du weißt doch nur du alleine hier, ich..“ weiter kam sie nicht da redete Frank schon: „ Ich weiß, aber leider hab ich die Regel geändert. Das hier sind John, Sven und Steve. Keine Freunde von mir, misterdern ich hab sie für heute gebucht, sie kommen von einer Agentur für Pornodarsteller. 250 pro Nase für den ganzen Tag, also lasst uns keine Zeit verschwenden.“ Ich musterte die drei. Alle waren Ende zwanzig würde ich sagen, relative groß und gut gebaut. Allesamt vom Typ her gutaussehend, markant und kräftig, wenn nicht sogar muskulös. Sie trugen normale Kleidung, Jeans, Shirt Pulli und sie grinsten in unsere Küche. Melanie hatte ihr Brötchen weggelegt und schaute mich erst fast fassungslos an, dann sah sie zu ihrer Mutter herüber, die mit großen Augen Frank ansah. Ich konnte mir denken was in ihr vorging. Sie hatte Frank immer gesagt, dass sie in erster Linie ihn als Lover will und das nur er sie hier besuchen dürfte, doch in letzter Zeit hatte Frank sie liebend gerne auch mal von anderen Männer vögeln lassen, wie z. B. vor einiger Zeit in der Sauna oder dem Swingerclub. Frank redete:“ Ich weiß dir gefällt es vielleicht nicht, aber ich habe beschlossen dich zum nächsten Schritt zu bringen. Du und dein Mann, ihr werdet zusammen erleben was es heißt gefickt zu werden.“ Die letzten Worte sprach er extra hart aus. „ Los Jungs bringt sie in ihr Schlafzimmer und legt los, bedient euch an ihr wie ihr wollt, nur sorgt dafür das sie nicht kommt, das sollt ihr mir überlassen. Ich komme gleich nach.“ Jenny wollte erst noch protestieren, doch ich konnte mir schon denken, dass ihre Geilheit sie davon abhielt. Das hier war genau ihr Fetisch, genau deshalb ließ sie sich von Frank bumsen, er dehnte die Regeln, brach sie und besorgte es ihr hart. Sie wurde von den dreien umringt und von mir weg ins Schlafzimmer gebracht. Frank blieb noch bei mir und Melanie und lächelte sie an: „ Und du, was hältst du davon wenn wir heute mal zu dir gehen um deinem Vater ein wenig Respekt beizubringen. Ich schluckte, Melanie zuckte mit den Schultern, folgte dann aber Frank der mich in den Flur und dann die Treppe rauf in Melanies Zimmer schob. „ Zieh dich aus!“ fuhr er mich an. Ich gehorchte und stand nun nackt im Zimmer meiner Tochter, die sich auf ihren Bürostuhl gesetzt hatte um das Schauspiel zu verfolgen. Unten schien die Schlafzimmertür aufzustehen, denn wir hörten Jenny lustvoll stöhnen, die drei mussten schon mit ihr zugange sein. Abermals ließ er mich niederknien direkt vor meiner Tochter und ich sah hoch. Sie trug einen weißen Faltenrock bis zum Knie, so dass ich direkt auf ihre Waden blickte. Frank machte weiter und schmierte meinen Anus mit Gleitcreme ein: „ Los, du weißt was von dir erwartet wird, lutsch ihr die Zehen.“ Diesmal war Melanie vorbereitet und hielt mir mit einem fragenden lächeln ihren Fuß vor meinen Mund. Ich ergriff ihn mit einer Hand und begann zu lutschen und zu lecken, während ich den Lustschreien meiner Frau von unten zuhörte und Frank meinen Arsch noch großzügiger mit Gleitmittel versah. Melanie kicherte, schüttelte sich ein wenig, lehnte sich dann aber zurück und genoß. Ich erwartet jeden Moment den dicken Schwanz von Frank in meinem Arsch, doch er kam nicht, stattdessen flüsterte er in mein Ohr: „ Wenn du nicht tust was ich sage, dann werde ich deine Frau da unten gegen deine Tochter austauschen. Wäre interessant zu sehen wie sie mit ihren 18 Jahren mit drei dicken fetten Schwänzen klarkommt. Und jetzt, bettele deine Tochter an das dir mein Schwanz erspart bleibt.“ Mir lief ein kalter Schauer über den Rücken, als ich die Wort von Frank hörte und ich wusste nicht genau worauf er hinauswollte, doch ich sah Melanie an und sagte, immer noch ihre Zehen in meinen Mund: „ Bitte lass nicht zu das er mich fickt. Ich bitte dich, er soll mich nicht schon wieder mit seinem riesen Schwanz bumsen.“ Sie guckte nur verwirrt „ Und sagte ja aber was soll ich denn..“ Sie guckte hoch und nickte, anscheinend zu Frank, stand dann auf und ging hinter mich. Ich drehte mich immer noch auf allen vieren um und sah das er ihr eine Strapon überreichte, das mittelgroße, das ich schon oft in den Arsch bekommen hatte, mit den Worten: „ Tu es oder ich und die drei Jungs die deine Mutter grade vögeln tun es und diesmal werde ich nicht so zimperlich sein wie das letzte Mal.“ Mein Herz raste und ich sah wie meine Tochter den Gummischwanz in der Hand wiegte. Jetzt würde es sich entscheiden ob Melanie weitergeht, als bisher, zuzugucken war eines, mitzumachen etwas völlig anderes. Er setzte sie unter Druck, genauso wie er es mit mir und Jenny immer tat und sie nickte und wollte sich grade die Halterung des Strapon anlegen, da sagte er: „ Zieh dein Höschen aus, den Rock kannst du anbehalten. Zieh es aus!“ wiederholte er. Leicht erschrocken griff sie unter ihren Rock und zog ihren, wie ich dann sah, rosa String Tanga nach unten und legte ihn auf den Fußboden. Frank hob ihn auf: „ Los komm schon besorgs deinem alten Herren jetzt. Er hat es verdient.“ Sie zögerte noch kurz, kniete sich dann aber hinter mich und drückte mir den Gummischwanz an meinen Anus und während sie ganz vorsichtig in mich eindrang, ich die Spitze des Gummiteil immer tiefer in mich eindringen fühlt, kam Frank an meinen Kopf, griff mir mit einer Hand an den Mund und drückte mir den Slip meiner Tochter in den Mund. Zuerst war ich schockiert und ich konnte mit dem Slip im Mund nur durch die Nase atmen, doch dann roch ich durch die Luft die ich einatmete den unverwechselbaren Geruch den nur Geilheit verursachte. Ihr Höschen war nass gewesen, vorne und ein wenig weiter unten, es musste sie erregt haben was hier geschah. Vorsichtig glitt sie in mich, wieder heraus, wieder herein. Ich war so erregt. Die Sache mit dem Höschen erregte mich mehr als alles andere je zuvor, ich hatte das Höschen meiner Tochter im Mund während diese mich vor dem Liebhaber ihrer Mutter in den Arsch fickte. Mein Penis stand knallhart unter mir. Ich musste stöhnen, was Frank zusätzlich provozierte, denn er sagte zu Melanie: „ Los komm schon, willst du ihn nun ficken oder nicht, gibs ihm hart!“ Sie gehorchte ihm und stieß fester zu, tiefer in meinen Arsch, schneller in mich hinein und hinaus. Frank kam zu meinem Kopf, zerrte mir das Höschen meiner Tochter aus dem Mund und sagte: „ Los, ich will das du dich selbst befriedigst während deine Tochter dich in den Arsch fickt!“ Ich zögerte, aber gehorchte, griff mit einer Hand unter mich und fing an meinen Schwanz zu reiben. Wie sehr ich mich nach dieser Berührung sehnte merkte ich sofort. Melanie fuhr mir tief und hart in meinen Arsch und ich spürte das Blut in meinen Schwanz pulsieren. Wenige Augenblicke später spürte ich meinen Orgasmus kommen, angeheizt durch die Bewegung in mir, spürte ich das mein Schwanz zuckte und mein Sperma aus mir heraus schoss. Frank hockte neben mir und als er sah, dass ich soweit war, hielt er das Höschen meiner Tochter direkt unter mich und meine Penisspitze. Unter wildem Zucken schoss mein Sperma aus mir und klatschte auf das Höschen meiner Tochter. In dicken weißen Fäden landete es direkt drauf. Es machte mich nur noch heißer und mein Anus spannte sich pulsierend um den Gummischwanz in meinem Arsch. Mein Orgasmus dauerte länger als gewöhnlich, meine Hoden pressten meinen Saft aus mir und ich stöhnte laut auf. Frank hielt das Höschen vor mein Gesicht und ich sah, dass mein Sperma darauf in dicken weißen Fäden lag. Über ihren Schritt verteilt, dort wo ihr Intimbereich war, klebte nun mein Liebessaft. Er sagte: “Los mach den Mund auf!“ Ich war nicht überrascht als er mir den Slip wieder zurück in meine Mund stopfte. Ich schmeckte mein Sperma, dazu dieser unterschwellige Geruch den meine Tochter hinterlassen hatte. Melanie schien inzwischen gefallen daran gefunden zu haben sich meinen Arsch vorzunehmen, denn ohne eine weitere Ermutigung Franks, machte sie trotz meines Orgasmus weiter und dachte nicht ans Aufhören. Sie hämmert in mich und als ich mich umdrehte sah ich sie mich angrinsen. Jetzt erst hörte ich von unten wieder meine Frau: „ Ja besorgs mir!“ schrie sie. Frank legte mir die Hand auf die Schulter und sagte: Lass uns mal nach deiner Frau gucken gehen!“ Er schob Melanie von mir weg, nahm ihr das Strapon wieder ab und sagte:“ Los komm, deine Eltern werden heute noch ein wenig mehr bemisterderes erleben.“ Ich stand auf, immer noch Melanies Höschen im Mund und ging die Treppe hinunter in unser Schlafzimmer. Frank und Melanie folgten mir. Im Schlafzimmer sah ich meine Frau Jenny auf dem Bett. Die drei jungen Männer waren nackt und ich blickte auf ihre wirklich gut gebauten Körper. Einer lag grad auf Jenny, die anderen beiden standen mit harten Schwänzen neben dem Bett. Und ihre Schwänze waren ordentlich. Beide fast so groß wie der von Frank. Ich blickte auf den dritten, der auf meiner Frau lag und ihr seinen, ebenfalls ordentlich großen Penis in die Muschi rammte. Nun gut, was hatte ich erwarte, die drei waren ja anscheinend professionelle Pornodarsteller, von daher waren ihre Schwänze halt groß. Ich konnte meine Augen kaum von unserem Bett abwenden wo der Mann meine Frau fickte. Er besorgte es ihr ordentlich und sie stöhnte, klammerte sich an ihm fest und schrie ihre Lust heraus. Dann ließ er von ihr ab, trat an ihren Kopf und ließ sich blasen. Ein anderer nahm seine Stellung ein, fickte sie und machte da weiter wo er aufgehört hatte. Wir standen im hinteren Teil des Schlafzimmers und sahen dem Treiben eine Weile zu, wie sie meine Frau im Bett nahmen, es ihr in verschiedenen Stellungen besorgten, ihr nacheinander ihre Schwänze hineinrammten. Ein drehte sich um zu Frank: „ Wie du gesagt hast, immer wenn sie kurz davor ist hören wir auf, können wir uns auch ihren Arsch vornehmen?“ Frank nickte nur: „ Natürlich, wo wäre misterst der Spaß!“ Wir sahen dem Treiben weiter zu, wie sie sie auf dem Bett umherbewegten, ihr ihre Schwänze nun auch in den Arsch steckten, sie im Sandwich, einer unter ihr einer hinter ihr, fickten. Wann immer Jenny kurz vor ihrem Orgasmus war brachen sie ab, gönnten ihrer Muschi eine Ruhepause und widmeten sich nur noch vorsichtig ihrem Arsch und Mund. Die drei schienen ausdauert und kontrolliert zu sein und brachten Jenny ihren Hochgefühlen sehr nahe.
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chrislebo
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Nun griff Frank ein und schob den Mann von ihr runter der Jenny grade im Po steckte: „Los, fesselt sie ans Bett und verpasst ihr einen Knebel!“ Während die Drei taten was er sagte, Jenny alle vier von sich gestreckt ans Bett banden und sie knebelten kam er zu mir rüber und schob mich neben das Bett, direkt neben Jenny ans Kopfende und ließ mich hinknien. Dann sagte er zu Jenny: „ Wir waren grade oben im Zimmer deiner Tochter.“ Sie riss ihre Augen auf und starrte ihn an.“ Er fesselte meine Hände grade auf meinem Rücken mit einem Strick zusammen und fesselte sie an meine Füße, so das ich nicht mehr aufstehen konnte oder mich wehren. Dann redete er weiter: „ Ich habe deinen Mann letzte Woche schon vor den Augen deiner Tochter in den Arsch gefickt und heute hat sie es selber getan.“ Jenny starrte ihn ungläubig an und brummelte etwas in ihren Knebel. Er schob unser Köpfe zusammen und zog mir den Slip von Melanie aus dem Mund, ersetzte ihn ebenfalls durch einen Knebel und hielt ihn Jenny vor die Augen: „ Das ist der Slip deiner unschuldigen Tochter, vollgewichst von deinem Mann, nass von ihrer Geilheit. Er schob unsere Köpfe näher zusammen und flüsterte leise: „Eure Tochter scheint Spaß daran zu haben was ich mit euch tue. Und wenn ich mir den Schwanz deines Mannes so ansehe scheint es ihm auch zu gefallen. Da ihr beide nun gefesselt seid, könnt ihr eh nichts mehr tun. In ihren Augen sehe das ich gleiche Feuer wie in dir Jenny. “ Er lächelte, drehte sich dann um zu Melanie trat vor sie und griff nach ihrer Bluse, zog sie über ihren Kopf. Ich blickte in ihr Gesicht, sie war ein wenig peinlich berührt wie ich es sah, so als wenn etwas in ihr ihr sagte, dass es peinlich für sie sein musste wenn ein Mann sie vor ihren Eltern und drei Fremden auszog. Die drei jungen Männer standen neben ihr, umringten sie während Frank ihr hinter dem Rücken den BH öffnete. Ich starrte meine Tochter nur ungläubig an als ihr BH vor ihr zu Boden fiel und ihre schönen Brüste entblößt wurden. Frank sah ihr die ganze Zeit ins Gesicht, öffnete dann den Reißverschluss ihres Rockes und ließ ihn fallen. Nackt stand meine Tochter nun in unserem Schlafzimmer, völlig unbekleidet zwischen vier Männern. Ich starrte auf ihren Körper, den ich vorher nur heimlich bewundert hatte. Feste schöne Brüste, etwas größer als die von Jenny mit Pinkfarbenen Aureolen um die steifen Brustwarzen. Ihr Harr fiel locker auf ihre Schulter und umrahmten ihr süßes Gesicht mit den nun leicht roten Wangen. Ihr Figur war schlank, ihre Beine und ihr Po zum wahnsinnig werden schön. Ich blickte zwischen ihre Beine, nur ein schmaler Streifen Haare war geblieben und ihre Schamlippen waren von vorne gut zu erkennen. Meine Gedanken rasten in diesem Moment schneller als misterst. All das hatte angefangen weil Melanie uns heimlich beobachtet hatte, ihre Eltern beim Liebesspiel mit einem fremden Mann, der ihren Vater und ihre Mutter dominierte, mit ihnen tat was er wollte. Sie hatte zugesehen und es gefiel ihr anscheinend. Dann sah sie regelmäßiger zu, wann immer sie daheim war, wie ihre Mutter hart genommen und ihr Vater gedemütigt wurde. Längst war sie ein Teil dessen gewesen was mich erregte an unserem Spiel hier. Meine Tochter die mir dabei zusieht wie ich den Schwanz von Frank lutsche, damit er es meiner Frau besorgt. Es war als sie uns das erste Mal zusah ein Gefühl wie mein erstes mal Sex überhaupt, unbeschreiblich schön aufregend und spannend. Und jetzt fühlte ich wieder so. Schon dass Frank mich letzte Woche vor Melanie in den Arsch gefickt hatte, hatte ihr Rolle in meinem Sexleben verändert. Sie war nicht mehr nur Zuschauerin, sie war Teil des Ganzen. Vorhin hatte sie mich mit dem Strapon genommen und war nun endgültig mitten im Spiel. Ich wusste nicht ob ich das gut fand, immerhin war sie meine Tochter und ich war mir sicher das Jenny das nicht gut fand, doch erstens war ich erregt wie seit unserem ersten mal mit einem fremden Mann nicht mehr und zweitens, was sollte ich tun, der Stein war im Rollen und ich gefesselt und geknebelt. Zuschauen war eins, mitmachen ein anderes. Frank sagte: Komm hier rüber, hock dich aufs Bett. Melanie griff die Hand von Frank, die er ihr reichte und ging zu unserem großen Ehebett auf dem ihre Mutter angebunden war und ungläubig zu ihrer Tochter starrte. Ich hockte daneben und sah ungläubig zu, wie Melanie sich am Fußende auf das Bett kniete, Frank ihr den Rücken runter drückte und sie auf unserem Bett nun auf allen Vieren kniete, nackt und schutzlos. Er fing an sie zu streicheln, ihren nackten Körper überall zu berühren. Er sagte zu mir:“ Los komm hier rüber, du sollst sehen was passiert.“ Umständlich kroch ich ans Fußende, begab mich dahin wo Frank mich haben wollte und kniete auf dem Boden vor dem Bett. Ich konnte nun direkt auf den Hintern meiner Tochter gucken und sehen wie Frank grade ihre Pobacken streichelte. Mein Blick fiel auf ihren Anus, der dort zwischen ihren Pobacken lag und auf die Muschi darunter. Er griff an ihre Pobacken und zog sie ein wenig auseinander, so dass ich meiner Tochter nun direkt in ihr Intimstes blicken konnte. Ich sah wie ihr aus der Muschi ein wenig Flüssigkeit am Oberschenkel herunter lief, dann etwas mehr. Frank massiere ihr die Pobacken, zog sie auseinender, schob sie zusammen so dass sich ihre Muschi bewegte und immer mehr ihrer Geilheit aus ihr heraus lief. Ich schaute mich kurz um und sah, dass die drei anderen Männer ihr ebenfalls auf ihren Intimbereich starrten. Frank streckte zwei Finger der rechten Hand, fuhr ihr am Oberschenkel aufwärts, direkt auf ihre Klitoris. Als er sie zwischen den Beinen berührte zuckte sie zusammen, drehte ihren Kopf ein wenig zu uns und ich sah, dass sie sich auf die Lippe beißen musste, anscheinend um nicht laut zu stöhnen. Er rieb seine Finger an meiner Tochter, fuhr dann noch etwas höher und schob ihr seine Finger in ihre Muschi hinein und zog sie wieder hinaus. Feuchtigkeit glitzerte auf ihnen und er sah mich an. Er drehte sich zu mir, streckte seine Finger zu meinem Kopf und hielt mir seine Finger die er grade aus meiner Tochter gezogen hatte unter die Nase. Ich roch sofort ihr Aroma, jenen Duft nach Erregung der in mir sofort noch mehr Lust auslöste. Ich spürte meinen Schwanz pulsieren als er mir den Knebel raus nahm und sagte:“ Los lutsch meinen Schwanz, er soll schön hart sein damit ich es deiner Tochter besorgen kann.“ Er ließ seine Hose runter und hielt mir seinen Schwanz vor den Mund. Ich begann ihn zu blasen und schnell spürte ich wie er in meinem Mund hart und groß wurde. Er redete weiter: „ So ist’s gut, blas mir den Schwanz hart damit ich deine kleine Tochter ran nehmen kann. Ich werds ihr besorgen, direkt hier vor den Augen deiner Frau und ihrer Mutter.“ Er pumpte seinen Schwanz in meinen Mund rein und raus und war nun endgültig hart. Dann drehte er sich zu Melanie die immer noch mit leicht gerötetem Kopf auf unserem Ehebett kniete. Er trat hinter sie, seinen dicken langen Schwanz direkt an ihrer Muschi. Seine Eichel drückte vorsichtig gegen ihren Eingang und ich konnte meine Augen nicht lösen wie sie immer mehr in ihr verschwand, sie langsam den Weg in ihr Inneres bahnte. Ich sah, dass Frank sich Mühe gab vorsichtig zu sein, doch sah ich auch wie sehr sich Melanies Vagina um seinen Penis spannte. Er schob sich weiter in sie und ich sah dass sie sich stärker auf ihre Lippe biss. Er schob und schob und versenkte seinen Schwanz in ihr. Bei etwa 2/3 stoppte er, zog sich wieder ein Stück zurück und begann vorsichtig in sie hinein und hinaus zu gleiten. Er stöhnte und sagte: „Oh Gott, ich hatte ganz vergessen wie gut sich eine junge enge Teenyfotze anfühlt.“
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chrislebo
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Er begann sie etwas kräftiger zu stoßen und jetzt stöhnte auch sie das erste Mal. Ich saß nur daneben, sah zu wie der Liebhaber meiner Frau sich meine Tochter vornahm, ihr seinen fetten Schwanz von hinten in die Muschi jagte und ihr die Lust bereitete die eigentlich für ihre Mutter gedacht gewesen war. Melanie stöhnte lustvoll und ich sah ihr die Ekstase an die ich misterst bei ihrer Mutter sah. Sie mochte das Rohe, das Perverse und das Spiel damit. Sie wurde gefickt, zum erstmal von einem Mann der nicht ihr Freund war, der viel älter war als sie, einen großen Penis hatte, direkt vor den Augen dreier anderer nackter Männer die ihr zusahen und direkt vor ihren Eltern, die gefesselt dabei waren, direkt in unserem Ehebett. Wäre nicht unsere Vorgeschichte gewesen sie hätte wohl niemals gedacht so etwas zu tun, doch nun war sie der Lust erlegen, unbefriedigt von ihrem Freund, jung und unerfahren der Perversion ihrer Eltern ausgesetzt, die sie zugucken ließen bei ihren Spielen. Ich hatte ahnen müssen, dass eines zum anderen führt, ich hätte ahnen müssen dass meine Tochter am Ende doch unserem Lover in die Finger fällt. Nun war es zu spät, er stieß ihr seinen Schwanz in ihre junge Muschi und er wird ihr Leben auf genauso dramatische Weise ändern wie es damals vor 20 Jahren unser Leben geändert hatte, als meine Frau sich der Lust und den fremden Männern hingab. Und mit den fremden Männer kamen auch die ganzen anderen Sachen die vorher in unserem Schlafzimmer nicht zuhause waren dazu. Blowjobs, Analsex, Abspritzen auf dem Körper, im Gesicht, Besuche in Swingerclubs, halb öffentlicher Sex, Strapons, Dildos, Fesseln, Knebel und all das auf Video. Wir waren schlechte Vorbilder für unsere Tochter gewesen und nun nahm Frank sie von hinten. Er grinste mich an, zog sich aus ihr zurück und hielt mir seinen triefend nassen steifen Schwanz direkt vor die Nase: „ Los lutsch ihn mir, schmecke den Saft deiner Tochter, ihre Geilheit auf meinen Schwanz!“ Ich öffnete den Mund und abermals tauchte Franks Schwanz darin ein. Diesmal jedoch schmeckte ich nur meine Tochter. Nach ein paar Stößen wandte er sich wieder zu Melanie, die am ganzen Körper ein wenig zitterte und fickte sie weiter. Er drehte sich zu den drei anderen Männern: „ Los kommt, macht ihr Mutter los, nehmt sie euch vor, wir zeigen dem kleinen hier was wir mit seiner Familie tun.“ Er zeigte dabei kurz auf mich. Ich sah auf das Bett und während Frank sich weiter in Melanie bewegte, widmeten sich die drei meiner Frau, einer sank zwischen ihre Beine und leckte sie, die anderen lösten sie aus ihren Fesseln, entknebelten sie und gaben ihr ihre Schwänze zum lutschen. Jenny zögerte, schaute zu Melanie und Frank die miteinander zugange waren. Ich kannte meine Frau gut, das hier gefiel ihr nicht bemisterders, dass unsere Tochter nun Sex mit ihrem Liebhaber hatte, es ist ja auch nicht grade das was man sich von seiner Tochter wünscht. Aber ich kannte sie auch so gut dass ich wusste wie erregte sie sein musste und wie sehr sie Sklavin ihrer Lust war wenn sie erregt war. So wunderte es mich nicht, dass sie nach kurzem Zögern den Schwanz des jungen Mannes links wichste und den rechts von dem anderen in den Mund nahm. Jetzt versanken die drei in wilden Sex, Jenny wichste und blies während einer der Männer auf ihr lag. Frank fickte weiter meine Tochter, sie stöhnte leise bei jedem Stoß den Frank ausführte. Wie sie so dort kniete, schwangen ihre Brüste bei jedem Stoß von Frank ein wenig hin und her. Ihre Zöpfe baumelten neben ihrem Kopf und jeder Stoß von hinten brachte auch sie zum Schwingen. Frank wechselte die Stellung mit ihr und legte sich unter sie, so dass sie in der Reiterstellung auf ihm saß, ihr Gesicht zu mir. Er deutete den drei anderen Männern meine Frau ebenso neben sich aufs Bett zu setzen. Ich schaute hoch zu den Beiden und musste nun mit ansehen wie meine Frau und meine Tochter jeweils auf einem Kerl saßen und einen Schwanz tief in sich hatten. Beide, Jenny und Melanie bewegten ihre Hüften, so dass sie ein wenig auf ihren Partner vor und zurück rutschten. Meine Tochter schnappte kurz nach Luft, Frank musste sehr tief in ihr sein und sie schien jede Bewegung zu spüren. Ich starrte meine Tochter an, ihren lustvollen Gesichtsausdruck, ihren perfekten nackten Körper auf dem Liebhaber meiner Frau und ihre schwingenden Brüste. Jenny wichste derweil weiter die beiden anderen Schwänze. Frank drehte Melanie abermals auf alle viere um, nahm sie wieder von hinten und die drei anderen Männer taten das gleiche mit Jenny. Während Frank Melanie eher langsam stieß, rammelten sich die drei anderen Männer abwechselnd die Seele aus dem Leib an meiner Frau. Jenny begann zu schreien: „ Ja fickt mich, ich bin eure Schlampe, gebts mir richtig. Ich sah und hörte wie meine Frau ihren Orgasmus bekam, schrie und stöhnte, sie selbst an ihre Klitoris griff um sich dort schnell und heftig zu reiben. Dann brach sie erschöpft vor ihrem Stecher zusammen, der jedoch nicht aufhörte es ihr heftig zu besorgen. Frank sagte zu den dreien: „ Nehmt sie mit ins Wohnzimmer, ihr könnt da mit ihr machen was ihr wollt, sie wird alles mitmachen, nur seht zu das ihr es ihr richtig gebt.“ Er lächelte und die drei zogen meine leicht erschöpfte und abwesende Frau auf ihre Beine und brachten sie aus dem Raum. Frank drehte sich zu mir: „ Komm hier her!“ Ich robbte mühsam zu ihm. Ohne aufzuhören seinen Schwanz in meiner Tochter zu bewegen, öffnete er mir meine Fessel und deutete auf das Bett. Ich lag mich auf meinen Rücken. Er glitt aus Melanie und schob sie über mich, ein Bein rechts von meinen Beinen ein Bein links davon, ihre Muschi direkt über meinem pulsierenden steifen Schwanz, ihren Kopf nur wenige Zentimeter von meinem entfernt. Meine Gedanken rasten wieder, denn das ging eindeutig zu weit, ganz egal was er tat, ich werde meine Tochter nicht ficken, dachte ich entgegen all dem was mein Penis wirklich wollte. Ich dachte daran wie es wohl wäre meiner eigenen Tochter, 18 Jahre alt meinen Penis in die Muschi zu stecken und mit ihr Sex zu haben Schon allein der Gedanke ließ mich fast explodieren, vor Scham und auch vor Erregung. Er kam an mein Ohr und flüsterte:“ Entweder du fickst deine Tochter oder ich tue es weiter, deine Entscheidung.“ Mein Herz schlug schneller, als ich in ihre Augen blickte, unser Blick begegnete sich und ich sah die Lust in ihren Augen, ganz genauso wie bei ihrer Mutter und mein Mund formte leise die Wörter: „ Fick meine Tochter, bitte.“ Frank lächelte: „Du weißt was ich hören will!“ Ich redete weiter: „ Fick meine Tochter, verdammt, nimm sie hart, besorgs ihr und gib ihr den Orgasmus den sie braucht. Ramm meiner Tochter deinen Schwanz bis zum Anschlag in ihre Fotze wie sie es verdient hat! Fick sie so hart du kannst, ich will es so!“ Bei diesen Worten rammte er ihr seinen Prügel mit aller Wucht in sie hinein, hämmerte tief und hart in sie, wurde immer schneller und schneller. Melanie stöhnte überrascht, dann voller Lust. Nach wenigen Augenblicken war es um sie geschehen und ich sah ihr ihre Lust an die sie empfand, sie stöhnt laut über mir, sie stöhnte lauter und lauter, schrie und keuchte, rang um Atem. Fast 2 Minuten lang sah ich wie sie sich neben mir in die Bettdecke krallte, ihren Hinter mit aller Kraft gegen das Becken von Frank rammte. Sie erbete vor Lust und erlebte den heftigsten Orgasmus den ich je beobachten durfte. Sie blickte in mein Gesicht, schloss die Augen und öffnete sie erst wieder nachdem Frank sich aus ihr zurückzog. Ich blickte nach unten, dort wo sich mein steifer Schwanz immer noch meiner über mir knienden Tochter entgegenreckte. Ich blickte zwischen ihren strammen Brüsten hindurch auf ihre Muschi und sah, dass ihr dort Franks Sperma herauslief und aus ihr heraus direkt auf mich und meinen Schwanz unter ihr tropfte. Meine Tochter öffnete ihre Augen, sah mich an, vermiet meinen Blick dann und rollte sich von mir herunter und verschwand ohne noch einen Ton von sich zu geben im Badezimmer. Frank lächelte mich an und sagte: „ Tja dann hab ich wohl in Zukunft noch ein Druckmittel gegen euch. Eure Tochter. Du weißt, dass sie nun endgültig Teil unseres Spielchens ist.“ Ich nickte und überlegte was meine Frau wohl dazu sagen würde wenn ich mit ihr allein war. Er lächelte nur und zog sich an: „ Du darfst nun runtergehen zu deiner Frau und ihr dabei zusehen was immer sie grade tut.“ Ich folgte ihm dann sogleich, immer noch nackt, über unseren Flur in unser Wohnzimmer. Auf unserem Couchtisch lag meine Frau nackt auf dem Bauch, den Hintern über die Tischkante, die Beine auf dem Boden kniend. Hinter ihr stand, die Beine auseinandergestellt und sich nach unten haltend, einer der Kerle seinen Schwanz in ihrem Arsch und stieß in sie hinein. In voller Länge fuhr er ihr mit seinem langen Schwanz in ihren Anus. Sie stöhnte bei jedem Stoß. Ich sah den Beiden zu und beobachtete, dass er in ihr kam, ihr seine Ladung in den Arsch spritzte. An seine Stelle trat nun der zweite, hämmerte ihr seinen Schwanz in ihren Arsch und kam kurze Zeit später in ihr. Auch der Dritte nahm sie anal und kam in ihrem Arsch. Frank befahl: „ Los auf den Boden, bringt sie über seinen Mund.“ Wenige Momente später lief das Sperma der drei Kerle aus dem Arsch meiner Frau in meinen geöffneten Mund. Ich schluckte und leckte sie noch mal am Anus sauber. Am späteren Abend, alle vier Männer waren gegangen lag ich mit meiner Frau auf unserem Ehebett und wir blickten uns schweigend an. Keiner von uns Beiden sagte etwas, keiner wollte aussprechen was für ein Tag es gewesen war. Ich schaltete das Licht aus, drehte mich auf die Seite und blickte auf das Familienfoto auf unserem Nachtschrank.
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!My wife Stephanie and I were driving to her sister's home for a vacation over spring break. During the long drive, I tried several times to talk about how to restart our dwindling sex life, but each time, she managed to change the subject. Instead we got into an argument about how she felt that I needed to be nicer to her sister's husband. Problem was that I couldn't stand the guy - he was successful, good-looking, popular, but also arrogant and condescending. But my wife always found him charming, which made me resent him even more. "I know he's kind of aggressive and competitive, but just try to be sociable and get along...ok? It's just for a week." I grumred my agreement in hopes of still having some chance of having sex that week. Once we arrived, I tried my best to smile and make conversation. It was easy to be around her sister Linda, who was very attractive, self-confident, dominant, all the qualities I love in women. With her husband, Brad, I had to try much harder, but he was cold to me. That first night, my wife was exhausted and again rejected sex. Frustrated as usual, I went to relax. The next morning she was up early, chatting it up over breakfast with her sister and Brad. "Lots of energy?" I said sarcastically to her. Later that morning, while my wife and her sister were out shopping, and Brad had gone to work, I sneaked into their bedroom, and started to snoop around in her drawers and bathroom. Inside her closet, I dug through her laundry hamper, and found pairs of used panties with crusty stains in the crotch area…the delight! At least someone appeared to be having sex. I pulled one of Linda's Victoria's Secret panties over my head to breathe in the scent. Excitedly, I pulled my pants down, wrapped my penis inside a pair of her skimpy, lacy panties and began to masturbate. That's just when her sister opened the door and discovered me. She had come back home unexpectedly just to get her cell phone which was lying on the bathroom counter. She tapped her foot and asked me, "Just what the hell do you think you're doing?" I was so embarrassed. My mouth was dry. I couldn't say a thing. I got up and stumred to get my clothes on. She stood there, commenting "How dare you come in here and go through my permisteral things! No wonder you can't make Steph happy..." "What's that supposed to mean?" I asked. "She told me how you can't satisfy her in bed...she hasn't had an orgasm in over a year. Such a shame! Well it's no wonder since you're secretly jacking off your little dick like this!" she yelled. I was shattered to realize that my wife's sister knew everything. Then I got angry that Stephanie had even told her. Somehow I got the reckless urge to grab a hold of her. I powerd her up against the wall and then pressed myself into her, whispering, 'you're such a hot little slut!' She pushed me off, slapped me hard, and then stormed out. She told my wife, who was furious. My response that "it was no big deal" did not go over well at all. Stephanie didn't say a word to me, which I knew meant trouble. She retrieved my chastity belt, and ordered me to lock myself into it. She clicked the lock shut herself, then gave the key to her sister, saying "put this away somewhere safe...I won't need it for a long time." She marched me upstairs, pulled my pants and boxers off, tied me down firmly to the guest bed, and then whipped my ass with her leather belt until I begged her to stop. She refused, saying that "you so deserve this. I'm going to whip your bared bottom until it's glowing red and you can't sit down." She called her sister in on the punishment. I begged her not to, but it was clear that Linda wanted to punish me. Linda looked at me condescendingly, "an hour ago you were enjoying your panty fetish and playing with your little penis. Now you're going to pay for it." She whipped me with the belt another 40 times, leaving me sore and sorry. "If you think that hurt, just wait till I tell Brad tonight. Then you'll really be sorry!" she said, leaving me nervous and humiliated. My wife took away all of my man clothes and told me that for the rest of the day, I would have to wear her panties and mini-skirt. I put on the girl clothes, then sulked away in the bedroom too embarrassed to go downstairs. That evening, after Brad came home, they told him what happened. From upstairs where I was hiding out, I heard him cursing angrily, but then he simmered down as the three of them spoke about our problems for a long time, and made plans about how to deal with me. Linda summoned me to come downstairs. I reluctantly presented myself to them. Stephanie started, "Leo, we've decided that there's going to be some major changes in our marriage going forward in which I will firmly take charge of your orgasms, and you will surrender to my authority in all household and intimate matters." Long story short - I was going to be kept in chastity for at least a month. Furthermore, Linda had agreed to share her husband with my wife, so that she could come to appreciate a real man again. Brad was all smiles; Linda showed no signs of jealousy, and my wife was brazenly smitten. Steph would stay back at their home for a whole month, and they would have sex as often they desired. Furthermore, I was to be given a series of severe corporal punishments before ending my stay at their home for my bad behavior. That night, my wife got herself all dolled up in her sexiest lingerie. She made me assist her as she shaved, showered, and put on her clothes and makeup, "all for that hunky Brad, nothing for you!" she teased. My penis strained to no avail inside the CB-6000. “Maybe this time in chastity will teach you something about how to please your wife, and encourage you to try harder?” When she finished, she stacked up a couple of big pillows on the edge of the bed, then bent me over them, and tied my wrists and ankles to the frame of the bed. I could not move more than a couple of inches. She went downstairs for about half an hour during which I heard the three of them laughing and having a great old time as I grew increasingly nervous. They came up to the bedroom for the first of my punishments. Stephanie pulled my pants down to expose my buttocks. She had gotten the cane out of our suitcase, and Brad was holding his fraternity paddle. My wife started by expertly caning my bottom 25 times, swinging her body into it fully, leaving red welts across both cheeks. I thrashed about but couldn’t move much. Linda tightened the ropes more. Now it was her turn. She covered my head with several pairs of her worn panties, as she wanted me to know up close and intimately what I was being punished for. She took her turn with the cane, relishing every stroke that brought a stinging plea out of me, every breath reminding me of the scents of forbidden pleasure. She whipped me with a vengeance, with the pain of each stroke hardly subsiding before she belted out another on the same part of my sore and stinging buttocks. Still I managed not to lose my composure. Finally when it was Brad’s turn, my wife teased me that “You better take it like a man, that is, if you can!” He paddled me a dozen times with masculine strength with his solid wooden paddle. My bottom was stinging, and the offense of the sisters’ teasing proved too much as they egged him on to “Teach him a lesmister”, “Spank him harder, Brad,”, “Watching you paddle him is making me wet.” Stephanie saw me struggling with the pain so offered up to me “Honey, you can cry if you have to; it’s ok.” I whimpered at first, then as the strokes continued, the tears began to flow, more so as Linda and Stephanie mocked me for crying like a girl. When it was over, I had lost all composure. My wife comforted me, “there, there…it was for your own good, and you know you deserved it. This is a perfect arrangement…I needed a manly man around to keep you in line, and now I’ve found him.” I stood up and rubbed my buttocks to try to relieve the pain, but there was no relieving the offense. Linda took leave at that point, winking to my wife and saying “Enjoy the night!”
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