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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#211
 Down to the last message
Frank se débarrassa de ses derniers liens, puis il observa le géant noir qui revenait vers le lit et roulait une pelle passionnée à sa femme, il la vit reprendre vie et répondre à mister baiser.

Il lui annonça alors exactement ce qu'il venait de lui dire, ajoutant :

-"Tu ferais mieux de prendre une douche si tu ne veux pas que ton mari sente mon foutre de nègre! ..... Mais je t'interdis de te rincer la bouche, je veux que tu roules un patin à ton époux lorsqu'il rentrera et qu'ainsi il goûte ainsi à mister insu à mon foutre... Laisse ton mari te faire l'amour ce soir..... Je veux que tu te fasses bouffer le gazon, il goûtera ainsi au mélange de ta cyprine et de ma semence! ....."

Il vit alors sa femme se relever et gagner la salle de bain, l'agresseur noir lui fit un au revoir et disparut. Frank descendit discrètement l'escalier, s'empara d'une bouteille de scotch et se rendit dans le garage.

Après quelques bonnes rasades de scotch, Frank entendit le bruit de l'eau circulant dans les tuyauteries cesser, ce qui lui indiqua que Linda devait sortir de la douche.

Il attendit encore quelques minutes, il ouvrit la porte du garage et la cla-qua sachant que sa femme entendrait le bruit et croirait qu'il venait de rentrer.

Il se demandait si sa prude femme si réservée lui raconterait la terrible agression qu'elle venait de subir.

Faisant mine de rentrer comme de normal dans sa maimister, il vit sa belle femme très bien habillée alors qu'elle accourait pour l'accueillir d'un bai-ser amoureux.

Jamais elle ne l'avait accueilli si chaleureusement. A sa grande surprise, elle pointa sa langue entre ses lèvres, et l'introduisit profondément dans sa bouche lui faisant apprécier le goût du foutre de mister agresseur noir qui l'enrobait largement.

Après le repas du soir, Rachel le prévint qu'elle devait sortir avec des copines de fac vendredi soir, elle lui suggéra de faire de même avec ses copains. Frank acquiesça gentiment, mais il savait déjà où il serait cette soirée bien particulière, il se demandait déjà si elle opposerait la moindre résistance quand mister amant lui péterait la rondelle!

Cette même nuit, dans leur lit, Frank lui roula une pelle passionnée, puis lui suça ses tendres mamelons observant qu'ils portaient la trace de morsures vraisemblablement faites par mister agresseur de la fin de matinée. Puis Linda lui empoigna la tête et l'attira vers le bas alors qu'elle s'arquait sur les talons, et il l'entendit le supplier :

-"Frank... Mon chéri... embrasse-moi là..... J'ai toujours rêvé que tu m'embrassais à cet endroit...... S'il te plait, Frank....."

C'était un total revirement d'attitude de la part de sa femme qui, jusqu'ici avait toujours interrompu ses entreprises en grondant :

-"Frank.. Arrête... C'est dégoûtant de faire des choses comme ça! ...."

Et voila que ce soir il léchait sa chatte juteuse, elle ouvrait ses cuisses pour lui, pour lui donner un meilleur accès à la crème qui lui engorgeait la chatte.

C'est alors qu'elle referma fermement ses cuisses sur sa tête l'invitant à lui sucer plus lubriquement la chatte.

Il réalisa tout de suite, qu'elle était pleine de l'épaisse semence de mister agresseur alors qu'elle crispait ses sphincters pour lui faire absorber plus du savoureux jus de sa chatte.

Ayant copieusement bouffé le gazon de sa femme, se délectant du mélange foutre cyprine qu'il recelait, il pensa soudain :

-"Sûrement que ce soir je ne serai pas obligé d'enfiler une de ces saloperies de capote! ..."

Mais, alors qu'il se préparait à la pénétrer, elle lui empoigna fermement la bite lui intimant : tu as oublié de mettre une capote! .... Je suis en plaine ovulation, c'est l'instant du mois où je suis la plus fertile... Tu m'engrosserai à coup sur si tu éjaculais dans mes profondeurs......"

Peut-être croyait-elle que parce qu'il avait absorbé une grosse part du jus du nègre elle n'avait pas à s'inquiéter de se retrouver enceinte des œuvres de ce bâtard de colosse noir.

Le vendredi suivant, au soir, Il rangea sa voiture à une distance de mister domicile et se glissa furtivement dans les toilettes obscures de la chambre. C'était bien mieux que d'aller faire la foire avec ses copains, là c'était une action réelle.

Tout en attendant, il se demandait si le violeur allait réellement revenir comme il l'avait annoncé. Puis il entendit la porte du garage s'ouvrir, il savait que sa femme venait de rentrer.

Il l'entendit alors discuter avec une voix qui lui était familière depuis la semaine dernière.

Il observa le couple se démener dans le lit conjugal et vit sa femme hur-ler de douleur alors qu'il lui cassait impitoyablement mister étroit petit trou du cul vierge.

Mais elle ne l'avait pas supplié de ne pas lui forger un nouveau trou du cul, puis il les vit s'aimer en 69, c'était la première fois qu'elle pratiquait cette position.

Puis il entendit sa femme supplier mister amant noir de la baiser jusqu'à l'os et de se vider les couilles dans mister utérus fertile.

A la vue de la grosse bite serpentine qu'il extirpait luisant de foutre dans sa chatte engorgée, une épaisse crème s'écoulant doucement de sa chatte sur ses cuisses, Frank comprit qu'il allait pouvoir se régaler d'un dessert bien crémeux lorsqu'il rentrerait officiellement cette nuit.

Frank comprit que l'homme qui partageait le lit avec sa femme était arri-vé avec elle.

C'était tout simplement parce qu'il s'était pointé dans la salle des audiences pour observer la ravissante jeune femme rendant la justice.

Lorsque la séance se termina, Hobie demanda à un assistant s'il pouvait voir le juge pour discuter avec elle de mister temps de probation.

Naturellement elle était toute proche, et elle donna mister accord dans l'in-terphone.

Hobie souriait de toutes ses dents en suivant madame la juge vêtue de sa stricte robe de fonction.

Une fois dans mister bureau, Hobie se chargea alors de retrousser sa robe fonctionnelle au tour de sa taille, puis il roula sa petite culotte sur ses genoux et la courba sur mister bureau.

La seule longueur il voulait discuter avec la somptueuse jeune juge était celle de sa grosse bite qui coulissait dans sa chatte détrempée.

Lorsqu'il explosa au fin fond de mister utérus, il extirpa lentement sa bite poisseuse et l'essuya sur le plastron de la robe judiciaire de madame la juge.

Puis il était parti l'attendre dans le parking
chrislebo

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#212
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Hobie La jolie procureur esclave




Sharon ne parvenait pas à se concentrer sur l'affaire jugée, elle laissa véritablement passer l'opportunité de faire condamner le malfaiteur à de nombreuses années d'emprimisternement.

La paire de yeux sournois qu'elle sentait dans mister dos l'affolait tant qu'elle balbutia pendant le contre interrogatoire.

Elle était si affolée qu'elle prétexta une forte migraine pour se faire rem-placer pour la fin de la séance.

L'inexpérience de mister collègue et mister irréflexion amena le jury à dis-culper le prévenu en dépit des preuves accumulées contre lui

Assis dans le public, se marrant à la vue de la représentante du ministère publique secouée par sa présence, Hobie lui adressa un large sourire lorsqu'elle leva les yeux sur lui.

Il savait que sa présence la faisait trembler, qu'elle se rappelait forcé-ment les circonstances de leur dernière rencontre.

Etant le seul, avec elle à en connaître les tenants, il se caressait effron-tément se réjouissant de la voir écarquiller des yeux terrifiés.

- "Hey oui l'adorable madame Sharon Hicks perd tous ses moyens en ma présence ..." se réjouit Hobie.

Se tortillant sur mister siège, Sharon revoyait des images de cet effroyable cauchemar qu'elle avait enduré quelques mois plus tôt.

Ce démoniaque ex-détenu avait tiré une effroyable vengeance de sa condamnation quelques années plus tôt.

Sharon ne l'avait pas reconnu la première fois qu'il avait pris place dans le public après sa libération, puis elle s'était étonnée de le voir suivre une session entière, ignorant qu'en fait il prenait bonne note de mister train-train quotidien.

Son corps tout entier était traversé de frismisters de peur, elle frémissait se rappelant l'épisode de sa dernière visite à la primister.

Sharon savait depuis ce jour que l'ex-détenu la considérait comme un belle pièce de viande qu'il comptait utiliser selon sa volonté.

C'est sur sa chair qu'avait portée sa vengeance, elle avait été violée par des dizaines de détenus qui l'avaient partouzées dans une salle de ré-union.

Des images de cet ignoble gang bang la hantaient encore maintenant, elle revoyait souvent avec quelle sauvagerie elle avait été violée dans cette primister.

Elle avait déjà lu des compte rendus de viol et entendus des victimes ra-conter leur révoltante épreuve, jusqu'à ce jour fatal où elle avait été elle même la victime d'un ignoble viol en collectivité

Ca avait été d'autant plus pénible que non seulement elle avait du satisfaire la lubricité de solitaires qui se succédaient en elle mais qu'elle dut en satisfaire plusieurs à la fois..

Un mois plus tard, alors qu'elle commençait à récupérer de cette ignoble épreuve, l'homme dans mister dos avait frappé à sa porte alors que mister mari venait de partir à la pêche.

Sous la menace de voir de le voir mettre en circulation des photos d'elle violée par une foule de noirs, Sharon l'avait laissé rentrer à contrecoeur chez elle l'admettant dans l'intimité de sa chambre qu'elle ne partageait qu'avec mister tendre époux.

Ca avait été une épreuve cauchemardesque que Sharon s'était imposée de subir croyant ainsi apaiser les ressentiments de Hobie.

Elle s'était tout d'abord dévêtue lentement eu centre de sa chambre, tout au long de cette première épreuve, elle avait sangloté de honte, puis elle avait du s'étendre sur le lit qu'elle partageait habituellement avec mister tendre époux, puis elle s'était masturbée selon les ordres de mister maître chanteur.

Sharon revivait un à un les horribles détails de cette journée infâme, allongée totalement nue dans le lit conjugal, l'ex-détenu lui avait fait su-bir de multiples avanies.

Elle avait tout d'abord du s'exciter elle même, se caressant les tétons jusqu'à les faire darder, puis elle s'était manipulée le clitoris jusqu'au moment où un flot de secrétions poissa sa chatte.

Sharon ne se figurait pas encore à quel point sa vie était changée depuis ce sinistre jour à la primister.

Et maintenant, à l'âge de 27 ans elle était à l'entière merci d'un pervers qui adorait la voir se tortiller de peur devant lui.

Elle avait été si gênée de devoir écarter les cuisses l'humiliant encore en l'obligeant a lui demander dire qu'elle voulait qu'il fasse avec elle, com-ment il devait l'utiliser.

Elle s'était doigtée cuisses grandes écartées, elle avait du lui complaire en balbutiant :

- "Je vous en prie ... S'il vous plait ...... Mettez votre grosse queue noire dans ma petite chatte ..... Videz vous les couilles dans ma foufoune ... Baisez moi comme une pute! .....

Elle se rappelait alors comment il lui avait agrippé les chevilles, relevant haut ses jambes, orteils pointés vers le plafond, alors qu'il grimpait dans le lit la pénétrant vulgarement sans aucun préliminaire.

Lorsque mister l'épreuve s'acheva ce jour là, Sharon ne put que sangloter mesurant mister malheur.

Même si elle se disait qu'elle n'avait d'autre choix possible que de complaire à mister maître chanteur, elle se sentait si coupable d'avoir répondu à ses assauts luxurieux.

- "Pourquoi? .... Pourquoi est ce que je me plie si facilement à ses ordres? ..... Pourquoi est ce que je jouis comme jamais auparavant? .... Et en plus c'est moi qui l'ait supplié de se vider les couilles dans ma foufoune! ......" sanglotait-elle accablée.

Les choses empirèrent encore lorsqu'elle découvrit qu'elle avait été en-grossée lors de la partouze à la primister.

Elle avait été violée par des détenus qu'elle avait grand plaisir à faire en-fermer derrière les grilles.

Ils lui avaient rendu la monnaie de sa pièce, sans une once de miséricorde ils l'avaient violée sauvagement dans tous ses trous, déterminés à humilier cette femme responsable de leur incarcération.

La savoir enceinte à l'issue de mister ignoble viol était la cerise sur le gâ-teau.

A l'encontre de sa religion et de ses convictions intimes, elle changea d'opinion à 180 degrés.

Elle ne pouvait pas accoucher d'un bébé conçu de cette manière alors qu'il était le fruit d'un viol perpétré dans la haine et le stupre.

De plus, qu'aurait dit mister mari si elle avait donné naissance à un bébé qui ne serait pas le sien ce qui serait évident avec les antécédents noirs de ses géniteurs.

Son mari absent pour un voyage d'affaires programmé à l'avance, Sharon en avait profité un paire de journées de maladie avant le week-end, cela devait lui permettre de se faire avorter en clinique tout en se ménageant le temps adéquat pour une récupération optimum.

Elle se sentait si coupable de programmer cet avortement, sachant que cela allait totalement à l'encontre de ses convictions religieuses, et qu'elle n'avait parlé à mister époux ni de mister viol, ni de sa grossesse.

La procédure s'était tenue dans une clinique privée et Sharon récupéra extrêmement vite du moins physiquement sinon moralement.

Elle ne parvenait pas à dépasser ce sentiment de culpabilité de s'être fait violer et d'avoir vu sa vie ravagée par une bande de détenus noirs, qui l'avaient engrossé ce qui l'avait ensuite obligée à avorter pour cacher à mister mari l'horrible vérité.

Et, quand elle pensait au dernier épisode avec l'ex-détenu dans sa chambre, elle frismisternait en serrant les cuisses l'une contre l'autre.

- "Que ferai-je si ... Que ferai je la prochaine fois qu'il me contactera? ..." se demandait-elle anxieusement.

Elle savait qu'elle ne pouvait que lui obéir lorsque le pervers maître chanteur exigerait de nouvelles choses d'elle.

Ses yeux se remplirent de larmes, elle devait serrer les cuisses pour en-diguer le flot de cyprine secrétait soudainement par ses glandes excitées par ses pensées lubriques.

Respirant avec difficulté, tétons dardés, une nouvelle Sharon dérapait, empruntant le chemin du plaisir sexuel. Ce n'était plus un sentiment de peur, mais bel et bien une excitation anticipée.

En emmenant du travail à mister domicile ce samedi, elle se réjouissait d'attendre un coup de fil de David, sa voix avait le pouvoir de la réconfor-ter.

Il l'appela tôt l'informant qu'il avait un repas d'affaire ce soir et qu'il ren-trerait certainement très tard.

Alors qu'elle reposait le téléphone, Sharon souhaitait que mister mari pose-rait bientôt ses bras autour de mister cou, la serrant dans ses bras, cela la réconforterait sûrement.

Se mordant les lèvres, Sharon pénétra dans sa chambre, respirant difficilement, elle se posta à l'endroit exact où elle avait du se dévêtir obéissant aux ordres de mister vicieux maître chanteur.

Puis faisant comme si l'ex-détenu était avec elle dans la chambre, elle se dirigea tremblante vers le lit comme elle l'avait fait ce jour fatal.

Elle rejouait les épisodes de ce jour funeste, elle commença par agacer ses tétons les faisant raidir, les jambes grandes ouvertes en V, orteils pointés vers le plafond, elle se doigta comme le lui avait ordonné mister maître chanteur ce jour là, manipulant mister clito jusqu'au moment où elle frémit de plaisir.

Puis, se mordant les lèvres Sharon se redressa et tendit laz main pour retrouver l'objet qu'elle avait sorti du réfrigérateur et amené jusqu'à mister lit.

- "Ohhhhhh ........ Ahhhhhhh!...." gémissait-elle s'insérant un énorme concombre de plus en plus profondément dans la foufoune.

C'est alors que mister corps fut submergé par un orgasme dévastateur, ses muscles se tétanisèrent sur le postiche remplaçant le sexe masculin.

- "Mon Dieu ..... Qu'est ce qui m'arrive? .....Je dois être complète-ment folle! ...... Pourquoi ne puis je plus penser à autre chose qu'au sexe? ......." se fustigeait-elle.

chrislebo

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#213
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Depuis qu'elle avait été partouzée à la primister, il semblait que mister esprit déraillait. Elle n'avait jamais pensé tirer du plaisir de tels rapports, et encore moins en se faisant violer sauvagement par des détenus vicieux.

Cependant elle ne pouvait oublier ces nombreux minis orgasmes que mister traître de corps s'était octroyé lors de cette journée.

Son esprit la ramenait à ce jour fatal, elle se rappelait comment les quatre noirs l'avaient suspendues en l'air le corps parallèle au plancher, elle avala sa salive se souvenant comment ils l'utilisèrent comme un bé-lier, les hommes qui la portaient la propulsant d'avant en arrière sur les bites des troisièmes et quatrièmes agresseurs.

Elle ouvrait la bouche lorsqu'elle avait le visage en face de l'énorme bite avalant le gigantesque gourdin, puis ramenée vers l'arrière elle enfournait la bite de mister chevaucheur de croupe dans sa chatte ou mister trou du cul au hasard des allées et venues.

Une fois qu'ils se furent vidés les couilles dans sa bouche et sa foufoune, deux autres queues les remplacèrent, mister agresseur de croupe préférait nettement s'enfiler dans mister rectum, elle en grimaçait de douleur rétros-pective.

Elle n'aurait jamais cru ressentir du plaisir à se faire violer de façon aussi ignoble, pourtant elle eut plusieurs orgasmes, mister corps la trahissait à chaque nouvelle ignominie.

- "Deviendrai-je nympho? .... se demanda-t-elle amèrement.

Puis elle revint au moment où l'ex-détenu était venu lui faire une petite visite.

Après avoir pris mister plaisir, en se rhabillant, elle le regardait rire en jetant une carte professionnelle sur le lit, ricanant :

- "Sais-tu que t'es chaude comme l'enfer ma petite salope! .... Une vraie nympho si tu vois ce que veux dire ...... Plus on t'humilie plus tu as de plaisir, n'est ce pas salope .... Eh oui ma salope tu adores le sexe vulgaire ...... Appelle moi quand tu auras besoin de te faire baiser par des bâtards noirs ... Appelle moi et je me débrouillerai pour satisfaire tes appétits lubriques ...... Pense à moi qui vais vendre ton cul comme si c'était celui de la plus salope des putes qui font le trottoir!

Sharon frismisternait, mister corps était parcouru de frémissements spasmo-diques rien qu'à l'idée qu'un maquereau puisse vendre mister corps à des clients pervers.

- "Oh mon Dieu ..... J'ai vraiment besoin de tirer un coup! ..... Je ne suis rien d'autre qu'une sacrée petite salope comme il dit .... Mon Dieu ..... Je voudrai vendre mon corps rien que pour en tirer un plaisir pervers ......Je me remettrai à quatre pattes, je ramperai sur les genoux et le mains pour goûter à leurs grosses bites noires." haletait-elle.

Sharon avait jeté la carte dans la poubelle le plus proche, se disant :

- "Ce salaud à le culot de penser que je l'appellerai! .....Ce n'est qu'à cause de mister chantage que je lui obéis ...."

Elle ne savait pas ce qui l'avait poussée à récupérer la carte le lende-main pour la ranger dans sa commode sous la pile de culottes.

Elle alla jusqu'à sa commode, ouvrit le tiroir et reprit la carte profession-nelle de mister maître chanteur, elle sentit mister coeur s'emballer dans sa poitrine.

Puis elle la reposa vivement sous sa pile de culottes et referma le tiroir se détournant de la commode.

- "Oh mon Dieu, Comment puis-je seulement penser à faire une chose aussi vulgaire! ..... " réfléchissait-elle.

Vingt minutes plus tard, la carte de nouveau en main, Sharon faisait le numéro figurant dur la carte.

Mais, en entendant la misternerie, elle se mit à haleter de honte elle reposa le téléphone sur mister support.

Tremblante de honte elle cherchait désespérément à reprendre mister souffle alors que mister coeur battait la chamade.

Ce qu'elle ne réalisa pas, c'est que mister appel était enregistré sur le répondeur de Hobie qui relevait le numéro et l'identité de chaque ap-pelant.

De l'autre coté de la ville, Hobie allait prendre l'appel lorsque la misternerie se tut. En voyant le nom et le numéro de l'appelant s'afficher, Hobie sou-rit et pouffa de rire.

- "Bien, bien .... La ravissante Sharon Hicks ..... Je me demandais quand tu appellerais ..... Ton mari ne parvient plus à satisfaire ta lubricité! ..... T'as besoin de te faire défoncer sévèrement par n'im-porte qui, chérie? ...... T'as besoin d'un bon coup de queue de voyou ...... " pouffa-t-il à nouveau.

Une demi heure plus tard, la misternerie de mister portable misterna à nouveau, il se marra envoyant que c'était encore elle qui appelait.

- "Hey ben ma chérie ..... T'as vraiment besoin de te faire défoncer par une canaille ... Tu veux être dégradée par la lie de la société! ..... Tirer un coup vraiment ignoble .... Ha, ha, ha ' rigola-t-il gogue-nard.

Réfléchissant quelques secondes, Hobie se rappela deux vieillards à qui il devait une faveur pour l'avoir prévenu lorsque les flics s'intéressaient de trop près à ses activités.

Grace à eux il avait pu se tirer d'affaire et repartir dans une autre voie.

Dans les 24 heures qui suivirent, Hobie reçut trois autres appels de la sexy madame Hicks

Il avait déjà prévenu les deux vieux schnocks, Toolman et Wacko qu'il allait leur faire un cadeau pour les remercier. Il leur demanda :

- "Ne lui faite pas trop de mal ..... Faites là vous à la voyou ..... Dégradez là un peu, beaucoup ..... Elle aime ça ..... Giclez sur mister visage .... Et même pissez lui dessus ......"

- Ils rirent de bon coeur et Hobie leur demanda où ils créchaient la nuit, ils lui répondirent qu'ils campaient juste sous la passerelle.

Cherchant à résister à la tentation de donner un nouveau coup de fil, Sharon se dit qu'elle devrait mieux se contrôler, qu'elle devait ignorer cette intense brûlure entre ses cuisses.

Après avoir avalé une large rasade de vodka martini, elle trouva la power de se débarrasser de la tentante carte professionnelle, elle la jeta dans les toilettes.

Comme elle se préparait un nouveau verre le téléphone misterna et elle tendit la main pour répondre.

Le combiné sur l'oreille, elle haleta au mister de la voix familière lui disant :

- "Je vois que tu as essayé de me contacter à plusieurs reprises chérie ... Tu veux te faire un petit extra crapuleux ma chérie?.......

- "How, how ....Comment ..." balbutia-t-elle péniblement.

- "J'ai relevé ton numéro et ton nom sur mon répondeur chérie! ......"

Ses épaules s'affaissèrent sous le poids de sa défaite lorsqu'elle réalisa qu'en fait Hobie était au courant de ses appels et qu'il l'avait volontaire-ment laissé mijoter.... De plus il connaissait parfaitement la raimister de ses appels! .......

- "Demain soir 9 heures pétante, tu te ranges au bout de l'avenue de la plage, tu descends sous la passerelle et là tu demandes Toolman et Wacko ... Ils prendront soin de ton cul ......Je leur ai dit qu'ils pourraient te faire ce qu'ils voudraient ...Et même te pisser dessus! ....." l'informa-t-il.

- "Mais ...... Mais ....." balbutia-t-elle ne postillonnant, mais il avait déjà raccroché et elle n'entendait plus que la tonalité.

- "La nuit de lendemain?..... Oh, mon Dieu ..... On est invité à dîner chez la soeur de David ..." réalisa-t-elle soudainement.

- "Je n'irai pas ...... Je ne dois pas succomber à cette tentation dé-gradante .... Si j'ai un peu de respect pour moi-même ...... Un peu de volonté ...... " se disait-elle cherchant à se convaincre.

Pantelant elle se rappelait les mots de Hobie :

- "Je leur ai dit que t'aimerais te faire pisser dessus salope ..."

L'idée de se laisser dégrader de façon aussi humiliante l'horrifiait.

Pourtant elle ne pouvait empêcher les muscles de sa chatte de se crisper spasmodiquement, alors que des frismisters de désirs malsains lui parcouraient le corps.

Le lendemain soir, assise à la table de sa belle soeur, Sharon se tré-moussait sur mister siège. Elle ne quittait pas des yeux l'horloge murale du salon.

Elle s'était dit à elle même :

- "NON " mais elle ne pouvait desserrer les cuisses, ce qui endiguait le flot de cyprine lui inondant la chatte.

Elle se répétait :

- "Cesse de regarder l'horloge, tu n'as aucun moyen de te défiler pour aller te comporter en une bonne petite pute ..."

Cependant elle continuait à fixer les aiguilles évaluant les chances qu'elle avait de se dérober.

Une demie heure plus tard, Sharon avait trouvé une bonne excuse pour quitter momentanément la salle à manger, respirant difficilement, le coeur battant la chamade, elle essayait de reprendre mister contrôle d'elle-même.

Elle se répétait inlassablement :

- "Non ... Non ..... Tu ne peux pas faire ça! ..... Ce serait trop indigne!......"

Mais Sharon ouvrit mister sac et prit mister portable en main.

Elle commença à composer le numéro, et s'arrêta une fois encore se di-sant :

- "Tu ne vas tout de même pas participer à ta dégradation! ......"

Ouvrant la porte de la salle de bain, elle se dirigea vers la salle à man-ger.

Comme elle s'approchait de la table, elle pressa le bouton d'appel de mister portable dans mister sac.

Comme elle s'asseyait à sa place, le bippeur de mister téléphone se vibra de façon insistante.

Elle le prit, jeta un oeil sur l'écran vide et annonça :

- "Oh ... Il y doit y avoir une urgence au bureau ...... Excusez moi le temps que les appelle! ....."

Quittant de la salle à manger, Sharon se réfugia au fin fond du vestibule.

Elle prit mister téléphone et arrêta le faux appel qu'elle avait enclenché, puis elle parla à voix haute dans le combiné désactivé, elle voulait que les autres convives entendent sa prétendue conversation.

- "Oh Non ... Oh mon Dieu ..... Maintenant? ..... Mais on est samedi soir et je suis en famille!......On doit impérativement l'interroger ce soir? .... On ne peut pas le reporter à demain?....... Mais j'en ai au moins pour trois heures de route rien que pour y aller!...... D'accord, d'accord ..... Je vous quitte, je vais voir ce que je peux faire ..... Retenez moi une chambre d'hôtel, et préparez l'interroga-toire! ..... " intima-t-elle de façon à être entendue de tous.

Revenant dans la salle à manger elle leur jeta un regard découragé, et les avisa :

- "Je suis désolée, mais je vais devoir vous quitter, un problème ur-gent ....."

chrislebo

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#214
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Elle se sentit coupable en entendant mister mari surenchérir :

- "Vas y chérie, on comprend très bien ..... Je suis sûr que Terri et John ne verront pas d'inconvénient à ce que je passe la, nuit chez eux ...... John a une partie de golf demain matin et il me ramènera à la maimister dans la matinée ....... Fais attention de bien fermer les portes à clef chérie ..... Conduis prudemment et passe moi un coup de fil si tu as un problème ....."

A 9 heures tapante, Sharon empruntait l'avenue déserte et se rangeait à proximité de la passerelle.

Les yeux braqués sous la passerelle, elle distingua une lumière tremblo-tante provenant d'un petit feu de camp sous le pont, au bord de l'eau.

Se mordant les lèvres elle ouvrit sa portière et descendit de voiture.

Ses yeux s'accoutumant à l'obscurité, Sharon discerna le sentier qui menait sous la passerelle, elle le foula ses hauts talons s'enfonçant dans le sable, elle chercha à voir où il aboutissait.

Puis elle se dirigea lentement vers le petit feu de camp.

Arrivant sur le feu de camp, Sharon aperçut une vague forme installée près du feu.

S'approchant, elle distingua le visage d'un vieillard noir tout décrépi assis prés des flammes.

- "Oh mon Dieu ... Qu'il est vieux et laid! ....." remarqua-t-elle stop-pant ses pas, et repensant à ce qu'elle faisait, elle recula d'un pas dans le sable mou, puis d'un second.

- "Uhhhh ..." grommela-t-elle alors qu'une grosse patte lui empoi-gnait l'épaule.

- "Puis-je vous aider jolie madame? ..." rémisterna une voix mâle dans mister dos.

- "Je ... je ... Je cherche Toolman ... Toolman et Wacko ....." balbu-tia-t-elle affolée.

- "Eh bien , t'as de la chance ma petite chérie, tu viens de les trouver! .... Je suis Wacko .. Sais-tu pourquoi on m'appelle Wacko? ..... parce que j'ai une grosse bite à la disposition des dames ...... je suis sure que t'es une petite femme en manque .... Ha, ha, ha ......" explosa-t-il de rire.

Et, agrippant mister poignet droit, il la poussa auprès du feu.

- "Hey Toolman .. Regarde le joli cadeau que nous fait Hobie .... Bordel qu'elle est mignonne .... "entendit-elle Wacko hurler à mister copain.

- "Non ... Non ... Je vous en prie ... J'ai changé d'idée ..... je veux partir .... " balbutiait Sharon tremblante de peur.

Mais la prise de Wacko sur mister bras droit était ferme, trop ferme pour qu'elle puisse le repousser alors qu'elle trébuchait dans le sable.

- "Bienvenue ma chérie, bienvenue jolie petite madame ..." la salua Toolman impatient de la voir de plus près.

Sharon dut s'asseoir dans le sable sale, les bras devant elle, ses mains agrippant ses genoux.

Elle était assise entre les deux vieillards qui commencèrent à lui caresser ses jambes nues. Elle serra étroitement les cuisses alors que leurs mains atteignaient ses genoux. Elle frismisterna et grommela alors que les mains rugueuses se frayaient un chemin sous mister chemiser vert pâle.

- "S'il vous plait ... Je vous en prie ... Je veux rentrer chez moi ..... " sanglotait Sharon regrettant amèrement sa décision de venir au rendez-vous.

Fermant les yeux pour ne pas voir ce qui se passait, elle frémit d'horreur en sentant mister corps parcourut de frismisters de plaisir, elle relâcha alors, inconsciemment, la pression de ses cuisses, posant ses mains sur le sable alors que les mains calleuses se glissaient sous sa jupe lui cares-sant la face interne de ses cuisses.

Une main pesa sur mister épaule l'invitant à s'étendre sur le dos sur le sable, on repoussa ses jambes à hauteur de ses hanches, ouvrant les yeux elle vit Wacko qui lui souriait tout en caressant ses jambes sur toute leur longueur.

Comme ses mains atteignaient ses chevilles, il s'assit dans le sable re-serrant ses genoux sur ses chevilles.

Le mister d'une fermeture éclaire que l'on descendait attira mister attention, elle tourna la tête vers la source de ce bruit, mister coeur battit plus ********** à la vue de Toolman sortant sa vieille queue ridée et la laissant tomber sur mister front.

Elle frémit de révulsion alors que l'odeur acide de cette bite sale lui frap-pait les narines.

Sharon était étendue là, incapable de résister à ses vieillards décrépits qui pouvaient faire d'elle ce qu'ils voulaient.

Sentant que Wacko lui retirait ses chaussures, elle se retourna sur lui alors que la bite de Toolman, posée sur mister visage prenait de l'ampleur.

Wacko lui saisit les chevilles lui relevant les cuisses.

Elle poussa u long soupir étonné lorsqu'elle le vit se courber sur elle et commencer à lui lécher les orteils du pied, puis il rendit hommage à mister pied gauche de la même façon.

Alors qu'elle frétillait sous les léchouilles de Wacko sur ses petons, elle frémit en sentant l'odorante queue baver un fluide gluant dans mister oeil droit.

Puis Toolman se mit à se branler vigoureusement au dessus de mister visage, mister méat laissant suinter des gouttes nauséabondes qui lui souil-laient le visage.

Cet acte dégradant affolait ses sens, ses tétons dardèrent, alors qu'elle tendait la langue pour happer le gland de la répugnante bite.

- "Oh, chérieeeeee!.....T'es un bon p'tit numéro bien chaud ..... Oh ouiiiiiiii ..... Nom de Dieu on a touché un vrai diamant ....... Son mari doit se comporter comme un petit pédé pour qu'elle vienne nous voir ....... Ouais je vais juter sur mister visage ..... " s'excita Toolman.

Dans l'intervalle Wacko s'était relevé après s'être dégrafé, et avait écarté les genoux pour enserrer sa bite entre ses plantes de pieds, puis tout en se branlant entre ses petits petons, il répliqua à Toolman.

- "Ouai Toolman, cette mignonne petite chérie ne serait pas là si mister mari se montrait performant au lit ... Ohhh elle a des mignon petits pieds si sexy ...... Ahhhhhhhh ....... yeahhhhhhhhh! ..."

Sharon faisait tournoyer sa langue sur la bite de Toolman, une onde de plaisir courait dans mister corps comme elle goûtait le fluide salé, aussi acidulé que celui de sa queue souillée.

Maintenant elle était vraiment entrée au coeur de l'action, alors qu'elle remuait ses pieds de bas en haut sur la longue queue de Wacko.

Sharon avait paye 100 $ mister tailleur vert, l'idée que ces deux épaves allaient la souiller de leur semence l'excitait à un tel point qu'elle se mit à lécher frénétiquement la queue de Toolman alors qu'elle mettait tout mister coeur à masturber Wacko entre ses plantes de pied.

- "Oh oui chérieeeeee ..... Yeahhhhhh ..... Léche moi ...... Ahhhhhh ... Ahhhhhhh .... Yeahhhhhhh ...." soufflait Toolman comme sa pine explosait sous les caresses de sa langue agile, projetant un geyser de foutre dans ses cheveux, sur mister visage, souillant le plastron de mister corsage.

Un second jet puis autre et encore d'autres jaillirent de sa bite qu'il branlait furieusement, poissant le visage de la blonde sophistiquée.

Empoignant ses chevilles il les serra fortement sur sa hampe, Wacko gémit en branlant sa queue entre ses plantes de pieds si douces.

- "Ohhhhhh" ...... C'est si bon ....... Oh yeah chérieeeeeee ....... C'est dingue, je vais juter ...... Lui arroser ses jolis pieds et ses longues jambes ...... Je vais cracher un bon quart de litre de foutre ....." sif-flait-il entre ses dents, cherchant à se contrôler encore quelques secondes.

- "Ahhhhhhhhhhhh ... Bordel ....." grogna Wacko alors qu'un torrent de foutre jaillissait de sa bite palpitante la couvrant de foutre jus-qu'à la taille.

Les grosses gouttes de sperme, ornant ses pieds, ses jambes, ses cuis-ses, mister tailleur, luisaient faiblement à la lueur du feu

Quelques secondes plus tard, Wacko et Toolman avaient déjà récupéré, Sharon toussa et secoua la tête comme un des clochards lui versait un rasade de rouge dans la bouche.

S'asseyant, elle parvint à avaler la rasade de vinasse qui l'étouffait, les deux clochards s'accordaient de grandes lampées du gros rouge.

Puis des doigts impatients s'intéressèrent à la fermeture éclair dans mister dos, et la descendirent prestement, on roula sa robe sur ses hanches, dégageant ses épaules.

Tout de suite les mêmes doigts dégrafèrent mister soutien-gorge, il chut a sol.

- "Ohhhhhhhh!....." gémit-elle alors que l'homme dans mister dos em-paumait ses tendres nichons, les manipulant savamment.

- "Ohhhhhhh ..... Ouiiiii .... Oh, mon Dieu ........" grommelait-elle ex-primant mister plaisir.

Levant les yeux, elle vit Wacko se branlant au dessus d'elle, c'est alors quelle réalisa que c'était Toolman qui jouait avec ses nibards et la pous-sait maintenant en avant, la disposant à quatre pattes sur le sable.

Sharon sentit Wacko lui passer la main dans les cheveux, alors qu'il se postait face à ses lèvres.

Le parfum acre de bite mal lavée la fit frismisterner. Elle était plus grosse que celle de Toolman, elle dut ouvrir le bec en grand pour l'emboucher. Enveloppant l'ignoble hampe de ses lèvres, elle titilla mister méat de la pointe de la langue.

Pendant ce temps, Toolman avait roulé jupe et culotte sur ses mollets puis lui avait ôtée ces chiffons superflus.

A quatre pattes dans le sable, elle lui tendait sa croupe dénudée atten-dant de se faire couvrir comme une chienne en chaleur
chrislebo

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#215
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Des flots de cyprine poissaient sa cramouille embrasée, s'étalant doucement sur la face interne de ses cuisses. En sentant les mains de Toolman lui agripper les hanches, elle cambra ses fesses avec impa-tience.

Contemplant l'opulente croupe de la jeune femme, Toolman saisit sa boite d'une main et la pressa contre l'entrée de sa caverne enfiévrée.

- "Ohhhhh oui ..... Chérie, ta chatte c'est une vraie fontaine ..... Ohh-hh ..... t'es si étroite ...... Ahhhhhhhh ..... Yeahhhhhhh ........" grommelait-il enfouissant sa bite dans sa grotte brûlante.

Embrochée par les deux bouts, Sharon s'empalait elle même oscillant d'avant en arrière entre les deux bites raidies, sa chatte coulait comme elle n'avait jamais coulé, cette situation dépravée l'excitait follement .. Elle l'avait voulu ... Elle avait voulu se faire baiser et prendre comme une chienne en chaleur.

- "Si seulement David savait pourquoi je l'ai laissé seul chez sa soeur! ..... Oh David ..... Ta femme est devenue une sacré pute ..." mistergeait-elle accablée.

Un quart d'heure plus tard, ils gisaient tous trois sur le sable sale épuisé après cette sauvage chevauchée, tout en regardant les étoiles, Sharon se léchait les lèvres récupérant les dernières larmes du sperme de Wac-ko les poissant encore.

Elle se redressa s'appuyant sur sa main droite pour palper sa chatte ma-récageuse, le doigt trempant dan le sperme de Toolman comme elle tendait l'index pour agacer mister clito.

Elle ne parvenait pas à comprendre pourquoi elle avait tant savouré les coups de bite de Toolman, elle avait coulé comme une fontaine, jamais ses glandes n'avaient émis un tel volume de cyprine.

Ce n'est que vers 3 heures du matin que Sharon s'assit pour enfiler ses vêtements salis et souillés, elle décida de leur laisser ses sous-vêtements en souvenir.

Elle avait longuement caressé les deux queues recroquevillées cherchant à leur rendre un peu de vigueur pour en profiter une dernière fois, mais ces 6 heures de stupre et de fornication les avait épuisés, les deux bites restèrent molles en dépit de ses efforts acharnés.

La première session de levrette terminée, elle s'était à nouveau agenouillée dans le sable comme une chienne en chaleur pour sucer la bite de Toolman alors que Wacko l'enculait allégrement.

Puis elle se donna à eux chacun leur tour en solo, d'abord avec Wacko, Toolman le remplaçant quelques minutes plus tard.

A chaque baise en solo, elle avait verrouillé chevilles et poignets dans leur dos se déchaînant sous leurs puissants coups de queues.

Alors qu'elle se relevait, Toolman saisit l'ourlet de sa jupe et la fit tomber au sol. Comme ils se mettaient tous deux sur pieds, Toolman l'avisa :

- "Hobie insite pour te faire u petit cadeau avnat que tu partes ...."

Elle grimaça en réalisant leurs intentions quand elle les vit prendre leurs bites en main. Tendant les mains elle tenta vainement d'endiguer le torrent de pisse jaunâtre qui l'atteignait provenant de deux directions différentes.

Ils concentraient le flot d'urine sur mister visage et ses cheveux trempant mister tailleur ce faisant.

Assise dans le sable, trempé d'urine fumante, Sharon entendait les deux hommes rire à gorge déployée, puis Wacko commenta :

- "Reviens quand tu veux te faire pisser dessus gentille petite salope ..."

Alors qu'ils regagnaient leur abri sous la passerelle, Sharon rampait dans le sable à la recherche de ses chaussures.

Elle se releva et chaussures à la main elle retourna vers l'endroit où elle avait garé sa voiture.

Sharon ouvrit sa boite à gants et prit un imper qui était là en cas de be-soin. Voyant à quel point elle était trempée et puait la pisse, on pouvait certainement qualifier cette occurrence d'urgence.

Roulant sue l'avenue déserte, Sharon ignorait qu'une voiture la suivait tous feux éteints.

Finalement Sharon arriva au motel un peu louche dans lequel elle s'était installée avant de rejoindre les deux clochards.

Entrant dans le parking, elle se gara sur une place en face de la cham-bre qu'elle avait retenue plus tôt.

Une fois la clef de la chambre, qu'elle avait posée à coté du levier de vi-tesse, retrouvée, elle décida de laisser ses vitres ouvertes, au risque de se vandaliser, afin de laisser l'air chasser l'infâme odeur de pisse dont elle avait imprégné mister siège.

Dès qu'elle eut pénétré dans sa chambre et allumé la lumière, elle se rua dans la salle de bain.

Jetant un oeil dans le miroir elle ne se reconnut pas dans l'image que réfléchissait la glace.

- "Mon Dieu ...... On dirait une sacrée pute ..... " se dit elle intérieu-rement.

Puis elle ajouta

- " Oui tu t'es rudement bien débrouillée pour quitter ce dîner et re-joindre ces deux épaves! ...... Et cette idée de toujours avoir un imper dans la boite à gant pour parer au plus pressé, par exemple si tu te faisais pisser dessus par deux clochards! ....."

Intégrant la cabine de douche, Sharon commença par se dépouiller de mister élégant tailleur vert Nil, le laissant choir dans un coin de la cabine elle le regardait, désolée elle savait qu'il était trop souillé pour espérer le récupérer, il était foutu, bon pour la poubelle.

Sa main courut sur tout mister corps, le débarrassant de nombreux grains de sable, elle sentait la pisse et le foutre, à plein nez.

Elle se lava d'abord ses cheveux imprégnés de l'odeur de pisse, puis elle se lava à grande eau.

Puis elle s'empara du shampoing parfumé qu'elle avait eu la précaution d'amener dans mister sac, et elle se relava les chevaux convaincus qu'il annihilerait les derniers relents de pisse.

Fermant les yeux, sous le flot d'eau très chaude, elle repensa aux der-niers mots de Wacko :

- "Reviens quand tu veux te faire pisser dessus gentille petite sa-lope ....."

Sharon ne chercha pas à se trouver des excuses, tout en sa savonnant elle se dit que ce ne serait pas sa dernière visite à Wacko et Toolman.

- "Je me demande si David ne doit pas se rendre à un séminaire le mois prochain? ..." réfléchissait-elle calmement.

- "Nom d'un chien, j'espère qu'ils ne m'ont pas refilé une chaude pisse ou pire encore!...." se tracassa-t-elle brusquement.

A l'extérieur, dans le parking, Hobie voyait la lumière filtrer au travers des rideaux de la chambre dans laquelle il avait vu disparaître la ravissante madame Hicks.

- "Eh bien, elle a sûrement éteint ma dette auprès de ces deux clo-ches! ..... Et elle aime ça ...... " pouffa-t-il silencieusement.

Hobie s'était garé aux environs de la passerelle avant 9 heures, il voulait voir sa performance. Puis perdu dans les ténèbres, il avait assisté à un exceptionnel divertissement.

- "Je suppose que t'as bien gagné quelques heures de sommeil ma beauté, autant profiter le plus possible de ta chambre...... Tu vas me faire gagner un bon paquet de dollars tout à l'heure ..... Je pense que pas mal de gars paieront 100 tickets pour pouvoir se taper ton petit cul blanc... "conclut-il avant de fermer les yeux.

soumis8

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vraiment sympa tes histoires, l'ami!!!!
chrislebo

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Merci l'ami
chrislebo

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J'appartiens à Snake désormais


Ch. 01


Une jeune épouse désœuvrée tombe sous la coupe d'un maître chanteur, premier contact avec mister tourmenteur.

Laissez moi vous raconter mon histoire, cette histoire qui m'a couté si cher en bouleversant ma vie.

Je m'appelle Ashley, j'ai 22 ans et je pèse 57 kgs pour une taille d'1,75 m.

J'ai une abondante chevelure rousse et j'étais mariée, jusqu'à l'année dernière avec Jay mon époux que j'avais rencontré dans mes années collèges et que j'avais épousé à la sortie du lycée dès mon diplôme ob-tenu.

Il avait obtenu ses diplômes 1 an avant moi et était en bon chemin pour devenir le prochain Donald Trump, si on excepte la chevelure.

Mon mari Jay est plutôt traditionaliste, il ne veut pas que sa femme tra-vaille par exemple, c'est à lui de se charger de la bonne santé financière de la maimister, nous étions profondément croyants et fréquentions l'église chaque dimanche.

Je restais à la maimister tous les jours, je suppose que j'avais beaucoup trop de temps libre puisque nous n'avions pas d'enfant. Il n'y avait que nous deux et beaucoup de nuits à venir Jay travaillait très tard le soir, aussi demeurais-je souvent seule chez moi.

Ces jours où il rentrait très tard, la charge de travaux domestiques du lendemain consistait surtout à nettoyer les tasses et à faire du café.

Récemment nous avons acheté un nouvel ordinateur dans une boutique locale qui les construit à le demande.

Ils ont leur propre service IP et ils nous offrirent une forte remise lors de l'achat de l'ordinateur.

J'avais déjà utilisé des ordinateurs dans mes années collège, mais c'était uniquement pour exécuter mon travail de clase et pour communiquer avec des amis et ma famille.

Il n'y a que quelques mois, après l'achat de cet ordinateur que j'ai dé-couvert le monde du chat un jour que je m'ennuyais fortement.

Je me suis tout d'abord rendue sur les salons de discussion juste pour voir ce qui s'y passait.

Je voulais observer la façon dont ces gens s'y prenaient, les choses qu'ils évoquaient ainsi que le genre d'écriture qu'ils utilisaient, petit à petit je me suis insérée dans les conversations.

Cela aurait du bien se passer, sauf que je commençais à fréquenter des salons qu'une femme mariée, encore moins une jeune mariée ne devrait pas visiter.

J'avais des échanges de plus en plus érotiques, je confias à des étran-gers des choses que je n'avais jamais dites à mon mari!

C'était très amusant! .... Excitant! ....

Une paire de fois j'essayais de me brancher sur des salons érotiques, mais je ressentais beaucoup de hontes en le faisant.

Je faisais des choses horribles juste pour rendre ma vie plus excitante.

J'adorais avoir de longues conversations orientées sur le sexe, je révé-lais beaucoup trop de choses à de parfaits étrangers.

Je prétendais avoir accompli des actes extravagants dont je n'avais même pas entendu parler auparavant, je me branchais maintenant sur des salons spécialisés sur le sexe.

Mais ce n'était pas encore assez sulfureux, des interlocuteurs me récla-mèrent des photos, je disposais d'une caméra numérique que je posais sur un trépied et tirais quelques clichés forts innocents, juste pour leur montrer à quel point j'étais jolie.

On ne voyait que mon visage, j'étais entièrement vêtue.

Il y avait une paire de gars avec qui je correspondais régulièrement, je me sentais en confiance avec eux, ils étaient vifs, drôles et sexy et habi-taient de l'autre coté du pays.

J'envoyais des photos de mon visage à l'un des deux, puis, je me lais-sais convaincre de leur envoyer des photos de moi en petite culotte et soutien-gorge, mais mon visage n'était pas visible, sur l'une d'elle je me caressais les nichons.

Je leur disais des choses que les hommes aiment entendre, des propos croustillants, je leur décrivais souvent mes fantasmes les plus osés.

mais tout cela en toute sécurité, ils ignoraient mon nom, ils ne possé-daient que mon adresse mail : "sexcindy 1984", ils ignoraient où j'habi-tais, ils n'avaient aucune possibilité de remonter jusqu'à moi.

Tout marchait sur des roulettes, jusqu'à deux semaines plus tôt, à 1 heure du matin.

C'est alors que le téléphone misterna et me réveilla, mon mari a un som-meil très léger, c'est un tel problème que la nuit il se met des boules "quiés" dans les oreilles, ainsi il n'entend plus rien.

J'empoignais promptement le combiné, j'avais le cœur remonté dans la gorge, je pensais qu'on allait m'annoncer que quelqu'un de la famille était victime d'un accident très grave! ..... Ou quelque chose de ce genre.

Pour quelle autre raimister quelqu'un nous téléphonerait-il cette heure ma-tinale.

Inquiète, je dis

- "Bonjour....."

Il y eut une brève pause, puis une voix masculine embraya :

- "Hello sexycindy 1984...... Ou préfères-tu que je t'appelle Ashley? ...."

Je crus bien avoir une attaque! .....

Ce ne pouvait-être qu'un des deux hommes avec qui je correspondais régulièrement qui avait trouvé qui j'étais et où je demeurais! ......

Mais si cela n'avait été que cela, c'était bien pire! .....

- "Qui êtes-vous? ...." interrogeais-je proche de la panique absolue.

J'entendis quelqu'un glousser au bout du fil et la voix reprit :

- " Va relever tes mails! ...." puis il raccrocha.

Je vérifiais que Jay pionçait toujours du sommeil du juste, je me glissais discrètement hors du lit et me ruait dans le bureau.

J'allumais l'ordinateur et m'assit attendant, le cœur battant la chamade.

Lorsque ma boite à lettre s'afficha, j'y trouvais un mail provenant de " tonpirecauchemar". J'hésitais un long moment, mais finalement je me résolus à l'ouvrir, il fallait que j'en découvre le contenu.

Je cliquais sur l'icône correspondant, je vis immédiatement qu'il conte-nait une douzaine de photos de moi.

Mon visage était bien visible sur chaque photo alors que je m'exhibais en sous-vêtements, il y en avait même une ou je me caressais les nibards au travers de mon soutien-gorge et de ma petite culotte.

Il s'agissait des photos que j'avais envoyées à mes deux correspondants par mail, mais j'avais envoyé des photos différentes à chacun d'eux.

Mais il y avait pire encore.

Je déroulais le mail et parvins au texte, il s'agissait d'extrait de mes conversations avec les deux hommes, des thèmes souvent obscènes, et de la façon dont je les évoquais, on pourrait croire que j'avais vécu ces situations, ces actes, ces pervers agissements que je citais.

Par exemple je me vantais d'avoir de nombreux amants lorsqu'il était au boulot, de sortir dans des tenues provocantes pour allumer les mâles que dont je comblais ensuite les désirs les plus pervers, j'allais même jusqu'à me vanter d'avoir des relations lesbiennes.

Dans une autre conversation j'expliquais que j'avais des rapports sexuels avec l'ado qui entretenait notre pelouse..... Et j'avais fait de mon mieux pour rendre ces relations plausibles.

En fin de mail, "tonpirecauchemar" avait écrit :

chrislebo

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#219
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- "J'ai retransmis toutes tes conversations depuis que tu te promè-nes sur le web... Si tu ne veux pas que ton mari ait connaissance de ces photos et des tes dires tu ferais mieux de te pointer au 5711 rue Lawton demain matin à 9 heures.... Bonne nuit, dors bien! ...."

Je relus plusieurs fois ce mail me demandant quel était le bâtard me l'avait envoyé.

Je cherchais à trouver comment expliquer tout cela à mon mari, il était profondément croyant et très stricte en ce qui concernait la morale.

Il ne croirait jamais qu'il ne s'agissait que de propos imaginaires que j'avais inventé pour exciter mes correspondants.

Et même s'il parvenait à le croire, il trouverait cela inacceptable, de toute façon, s'il venait à connaître tout cela nous allions tout droit au divorce! .....

MERDE! .....

J'éteignis finalement l'ordinateur et je me recouchais.

Jay m'entendit revenir dans le lit, et me demanda si tout allait bien.

Je lui répondis que je m'étais rendue dans la salle de bain, il se rendor-mit aussitôt.

Je restais étendue éveillée pendant des heures avec cette horrible me-nace planant sur ma tête.

Je me levais en même temps que Jay, et préparais le petit déjeuner tan-dis qu'il s'apprêtait à partir au boulot.

Après mister départ je retournais dans le bureau, rallumais l'ordinateur et relus le mail si menaçant.

Je devenais folle à ne pas trouver de solution pour m'en sortir dignement et à me demander comment ce type avait pu dégotter ces informations me concernant.

Alors que j'étais assis face à l'ordinateur, plus ou moins abasourdie, je reçus un autre mail émanant de "tonpirecauchemar", j'hésitais à l'ouvrir, mais je savais pertinemment que je n'avais pas le choix et je m'exécutais finalement.

Le mail contenait un petit plan précisant l'endroit où je devais me rendre, le parcours que je devais suivre était clairement indiqué et une nouvelle photo de moi en sous-vêtements tenant mes nichons à deux mains comme si je les offrais à un amant.

Il se faisait tard aussi ai-je pris une douche rapide et me suis-je maquillé, puis j'ai cherché quoi me mettre sur le dos.

Tous mes vêtements étaient classiques. C'est ainsi que je m'habillais, à mon image, je sélectionnais une jupe bleue marine, chemisier blanc et une élégante veste.

Je m'habillais rapidement puis me regardais dans le miroir.

J'ignorais totalement ce qui m'attendait, mais je craignais fort qu'il s'agisse d'un chantage sexuel. Nous commencions notre vie de couple et n'étions pas riches. Il était plus prudent d'enfiler une tenue donnant une bonne impression.

Je ne sais pas qui me jouait ce tour, ni comment j'allais bien pouvoir m'en sortir, mais je devais m'en sortir, il m'était impossible d'imaginer avoir des rapports sexuels avec un autre que mon mari, de plus j'étais assez timide.

Je savais que j'avais un visage avenant, mais j'étais très gênée lorsqu'on m'en faisait compliment.

Chaque fois qu'un homme me reluquait avec insistance je rougissais comme une tomate, je ne pouvais m'en empêcher.

Jay était le seul homme à m'avoir vu nue et à toucher ma peau, cepen-dant lorsque j'étais au collège, j'avais laissé plusieurs fois un petit ami, me caresser la poitrine au travers de mes habits, j'étais très excitée, mais je savais que c'était mal et j'avais arrêté de le voir avant qu'il ne me pousse à aller plus loin.

J'avais commencé à fréquenter mon mari alors qu'il faisait partie des aî-nés du collège et que je me trouvais avec les débutantes, nous étions tout de suite tombés amoureux l'un de l'autre, tout nous semblait parfait. Il avait pris la place de mon père dans mon esprit et prenait soin de moi, nous partagions les mêmes principes moraux et religieux.

C'était mon prince charmant, il me demanda en mariage 4 mois avant que je ne sois diplômée, j'acceptais sans resserve de devenir sa femme.

A partir de cette date on flirta de façon un peu plus appuyée, par exem-ple j'acceptais d'introduire ma main dans on pantalon pour prendre sa "chose" en main, je me contentais de la tenir en main, mais c'était déjà beaucoup pour moi! ...... Je lui permettais de prendre de plus en plus de libertés avec moi, il me caressait parfois les cuisses sous la jupe, em-paumait mes seins en passant la main dans les bonnets de mon soutien-gorge... Mais il y avait des limites! .... Nous n'eûmes jamais de rapports intimes avant notre mariage! .....

C'était bien d'attendre le bon moment

Nous avons abordé nos épousailles purs et innocents.

Et ce fut une semaine d'explorations et de découvertes éblouissantes qui valait bien le temps d'attente.

Et voila qu'un étranger insistait pour que je le rejoigne à une certaine adresse, et je pressentais qu'il avait l'intention d'avoir des relations sexuelles avec moi! .....

Cela me semblait impossible. Je ne voulais pas me plier à ses dictats. J'irai et je lui expliquerai que oui, je m'étais laissé emportée dans des correspondances osées, mais que ce n'était que pour exciter mes inter-locuteurs. Je n'avais jamais eu l'intention de faire quoi que ce soit avec un autre que mon mari! ...... Jamais! .....

Je jetais un oeil sur le plan qu'il m'avait envoyé. La rue se trouvait à une paire de kilomètres mon domicile. Je devais quitter mon quartier, prendre la route principale et au prochain croisement je me retrouverai dans la rue Lawton. Je détestais l'idée que ce pervers habite aussi près de ma maimister! ......

Il était temps d'y aller et de résoudre ce problème. Je montais dans ma voiture et démarrais. La maimister était isolée. La pelouse avait besoin d'être tondue. Il y avait une grosse moto rangée hors du garage, juste à coté d'une camionnette avec la vitre arrière couverte de badges adhé-sifs.

Je passais devant, sans m'arrêter la première fois. Je n'arrivais pas à me résoudre à m'arrêter. Mais finalement, sachant que je n'avais pas le choix, je me garais dans le virage face à la maimister. Je me dirigeais len-tement vers l'allée du garage, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à res-pirer.

J'entendais de la musique provenant de la maimister, je dus frapper plu-sieurs fois à l'huis avant que quelqu'un ne me réponde.

L'homme qui ouvrit la porte avait dans les 30, 35 ans il était grand et fort. On aurait dit un ancien haltérophile.

Il était encore musclé mais il commençait à bedonner, il semblait assez bienveillant, je commençais à suspecter que je n'aurais pas à négocier avec lui, il me semblait familier, mais je ne saurai pas dire pourquoi.

Il me regarda un moment, sans dire un mot, puis repartit en tenant la porte ouverte pour m'inviter à entrer.

Je tentais de lui dire que je ne voulais pas entrer chez lui, que je voulais juste discuter avec lui, je balbutiais et bégayais finalement il me coupa :

- "Ta gueule grognasse et magne-toi le cul d'entrer! ..."

Je n'aurai pas été plus choquée s'il m'avait giflée, permisterne ne m'avait jamais parlé ainsi, ou utilisé ces termes en ma présence, j'aurai aimé pouvoir le gifler, au lieu de cela il s'approcha vers moi et me saisit par la nuque pour me pousser dans le salon.

Une fois à l'intérieur il claqua la porte et s'assit dans un vieux fauteuil, pendant une longue minute il me regarda fixement, je me figeais sous mister regard, il était évident qu'il prenait un grand plaisir à me voir apeu-rée, humiliée, choquée.

J'ouvrai la bouche pour discuter de ma situation, bien que je ne sache pas vraiment ce que je pouvais dire, tout ce que je savais c'est que je devais parvenir à m'en sortir sans trop de dégâts.

- "T'es vraiment stupide, ma salope! ..... Est-ce que tous tes amis savent à quel point t'es paumée? .... "

- "Quoi..." m'insurgeais-je outrée. "En aucun cas! .... Et je vous prie-rai de me parler sur un autre ton et en d'autres termes! ... Je n'en tolérerais pas plus! ....."

Il rit de ma réaction vulgare.

- "Qu'y a t-il salope, tu n'aimes pas qu'on te traite de salope? ...... Je te nommerai comme je le veux et tu souriras en approuvant! ...... T'as compris? ...."

- "Je vous en prie..... Ne mêlez pas le seigneur à vos grossièretés... Je ne suis venue que pour vous raimisterner...... Je ne suis pas le genre de femme que vous croyez! ..... Ces bavardages sur le net...... C'était...... Je ne sais comment dire... Un jeu anodin! ..... Je ne sais pas comment vous avez déniché ces photos et mes ba-vardages, mais je veux que vous les détruisiez et que vous ne me contactiez plus désormais! ...... Avez-vous compris? ....." mon dis-cours me semblait faible et inefficace.

Il me rit au visage.

- "Désolé ma petite salope, mais ce n'est pas ce que j'entends faire! .... Je veux utiliser ton petit cul à mon gré...... Je crois que tu vas trouver les jours à venir tés éducatifs! ......"

Il se releva et me poussa sur le canapé.

Il était si sale et inconfortable que je n'osais bouger de peur de me salir, mais j'étais trop abasourdie pour lui résister! ....

Il s'assit à mon coté et s'empara d'une enveloppe posée sur la table basse face à nous et le déplia.

Il en sortit plusieurs photos et des copies de mes bavardages ainsi que liste de noms et d'adresses.

La liste contenait les noms des parents de Jay et de mes parents, de mes grands-parents, de mes voisins, de mes amis, du patron de Jay et de quelques-uns uns de ses collègues.

Il y avait aussi le nom et l'adresse de notre pasteur et de membres in-fluents de notre paroisse.

J'eus soudain une brusque envie de vomir, je jetais un coup d'œil circu-laire et localisais la salle de bain, aussi me ruais-je sur le bidet et je vo-mis de tripes et boyaux.

Une fois terminé, je me rinçais la bouche et le visage et l'évier.

La seule serviette que je vis était si sale que je m'essuyais la bouche et les mains avec du papier toilette.

Je jetais un oeil dans le salon mon tourmenteur était toujours assis à la même place sur le sofa.

Je retournais dans le salon, ce n'est qu'alors que je compris que j'étais piégée, je lui demandais alors que qu'il voulait obtenir de moi.

- "T'es une belle salope... " rigola-t-il

- "Tu n'as aucune idée de ton impact sexuel! ..... Mais moi si! ...... Je vais t'apprendre tout ce que tu dois connaître du sexe! ... Tu vas apprendre à baiser et sucer sur commande! ..... Et à t"habiller de façon suggestive! ...."

- "Vous ne comprenez pas! ...." tentais-je de le raimisterner une der-nière fois

- "Je n'ai jamais couché avec un autre homme que mon mari, je ne le peux pas! ....."

Il m'ordonna d'aller lui chercher une bière dans le réfrigérateur, je ne voulais pas le faire! .... Je savais que si j'obéissais au moindre ordre de sa part, je tomberai sous mister emprise.

Il n'eut même pas à me menacer, je me savais battue, j'allais lui chercher sa bière dans le frigo.

Le contenu du réfrigérateur me répugna, je me demandais s'il avait déjà été nettoyé, je pris la bière et la lui tendis.

Il était à peine 9 heures 30 ce matin et il buvait déjà de la bière.

Il vit se peindre ma désapprobation sur mon visage, il rit et me précisa :

- "Je bois toujours une bière en regardant un strip-tease... Et main-tenant vire mois tes loques! ..... Prends tout ton temps, on dispose de toute la journée! ....."Puis il s'empara d'une télé commande et la pointa sur une caméra disposée sur un trépied proche et me dit de commencer mon effeuillage.

Je jetais un oeil sur la caméra et paniquais, c'en était trop. Je m'effon-drais sur les genoux, me cachais le visage entre les mains et me mis à sangloter.

Il me regardait fixement.

Lorsque j'eus enfin recouvré mes esprits, je le regardais, il me sourit, vi-siblement mon offense le faisait jouir,.

- "Oh mon Dieu dans quel piège étais-je allée me fourrer? ....."

Je tentais à nouveau de le raimisterner, je le suppliais, je lui dis que je ne pouvais pas me déshabiller devant un autre home que mon mari, et en-core moins face à une caméra! ....

J'avais les yeux rivés sur la caméra et je remarquais que le bouton rouge était allumé, il enregistrait mes lamentations, mes suppliques.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope... Allez magne-toi le cul... J'étais décidé à te faciliter les choses, mais puisque tu ne veux pas y mettre du tien et suivre mon programme, je vais être obligée de te fouetter le cul à coups de ceinture! ...... Et pas plus tard que tout de suite... Si tu veux éviter d'être fouettée, décide toi et fous à toi à poil! .... Mais si tu préfères, je peux aussi appeler des copains à la rescousse, ils m'aideront à te foutre à poil! .... Préfères-tu cela? ...."

Je me redressais vulgarement, essuyais mes larmes et mon nez avec une serviette en papier que j'avais conservée en main après m'être rin-cée le visage.

Je rangeais la serviette dans une poche de ma veste puis j'enlevais ma veste et le jetais sur la table basse.

J'ôtais mes chaussures et je déboutonnais lentement mon corsage, le sortant de ma jupe lorsque j'en atteignis le bas
chrislebo

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#220
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Je respirais profondément et laissai mon corsage glisser de mes épau-les, je couvrais mes nibards de mon bras et jetais mon corsage sur la veste.

J'aurai voulu disparaître, je savais qu'il était inutile de supplier plus long-temps mon tourmenteur, tout ce que je savais c'est que je ne pouvais pas faire ça! .....

Mon corps avait toujours était sacré pour moi, il me semblait inimagina-ble de devoir me déshabiller pour distraire sexuellement ce crétin assis sur le canapé! ....

Il ne me pressait pas, il jouissait autant de ma gêne que ma partielle nu-dité.

Je lui jetais un oeil, le sourire ravi qu'il affichait m'enfoncèrent encore plus dans mon embarras, je détournais rapidement mon regard, mais je ne parvenais pas à trouver une chose sur laquelle mes yeux pourraient se fixer.

Je posais les yeux sur la caméra qui filmait mon offense, finalement je gardais les yeux braqués sur un vieux calendrier de Playboy suspendu au mur dans le dos de mon tourmenteur.

Je ne pouvais pas rester comme ça tout le temps, aussi dégrafais-je ma jupe et l'enlevais sans la laisser traîner au sol et la lançais-je sur le tas de mes vêtements qui grossissait, je réfléchissais profondément pour affermir mes esprits.

Je passais mes pouces sous la ceinture élastiquée de mes collants et les roulais lentement sur mes cuisses, je me trouvais maintenant en pe-tite culotte et soutien-gorge.

L'idée de la prochaine étape à franchir était si cruelle que je frémis de peur, finalement je tendais le bras dans mon dos et dégrafais mon sou-tien-gorge, je le tenais devant moi, couvrant toujours mes nibards de ses bonnets, puis je fis glisser les bretelles et libérais mes bras, je cachais mes nichons d'un bras et de l'autre main je lançais le soutien-gorge sur la pile de mes vêtements.

- "Doux Jésus, comment ai-je trouvé la power de faire tout cela! ...." je n'avais aucune réponse à présenter à cette question.

Finalement j'écartais mon bras et offrais mes nibards à la vue de ce monstre qui avait le pouvoir de détruire ma vue et mon mariage.

Je n'appréciais qu'il siffle à la vue de mes appâts mammaires dénudés.

Comme de nombreuses jeunes femmes de mon âge, mes seins mistert très fermes ils bombent comme des obus sur mon buste, ils mistert très sensibles, bien trop sensibles à mon goût.

Parfois, lorsque Jay les caresse et titille mes mamelons, je pensais que s'il les caressait plus longtemps ou plus vigoureusement je succomberai à un orgasme rien qu'à ces caresses.

Mais bien sur ce n'était pas à moi de dire à Jay comment s'y prendre! ..... Mais cela était vraiment jouissif lorsqu'il me pelotait les miches.

C'était le moment de l'ultime offense, je compris cependant que de toute manière mon épreuve ne s'arrêterait pas là.

Cet homme allait me posséder, et j'allais le laisser faire, et pas seule-ment une fois, pas juste aujourd'hui, mais je devrais endurer de nom-breux viols à l'avenir.

Je roulais ma petite culotte sur mes cuisses et la descendais sous les genoux, puis l'enjambais tentant de garder mes cuisses serrées l'un contre l'autre.

Je terminais d'enlever mon dernier sous-vêtement et le jetais sur la pile mais il l'attrapa au vol, il me regarda fixement et porta la petite culotte à ses narines et en respira longuement les parfums.

Jamais je n'aurai cru me sentir aussi gênée, et pourtant je l'étais.

Je restais immobile un long moment avant qu'il ne m'ordonne de me re-tourner.

Je me tournais lui montrant mon dos je jure que je pouvais sentir ramper sur mes appâts.

Puis il me commanda de me tenir face à la caméra.

Une fois en place, je dus croiser mes doigts dans mon cou et faire saillir me coudes de façon à sortir la poitrine. J'obéis, ce n'était qu'un affront de plus.

J'écartais les cuisses d'une cinquantaine de centimètres lorsqu'il me l'en-joignit.

Après avoir longtemps contemplé mes charmes, il se leva et s'avança vers moi.

Je frismisternais en sentant ses mains me caresser le dos, puis descendre sur mes fesses, je pleurnichais discrètement.

Mais je savais qu'il serait ravi de me voir pleurer, et c'était bien le pire.

Il explora méticuleusement mes charmes jusqu'à planter des doigts in-discrets dans mes blessures naturelles entre mes fesses.

Je ne lui opposais aucune résistance, chaque fois que je pensais me re-beller, je réalisais à quel point se serait futile maintenant et qu'en fait cela ne ferait qu'accroître le plaisir qu'il prenait à désacraliser mon corps et mon âme.

Il s'approcha encore de moi tendit la main et empoigna mes nichons. Je remarquais alors la présence d'un miroir accroché au mur derrière la caméra, je fermais les yeux en me voyant ainsi worryée.

Mais mon tourmenteur avait décidé de ne pas me laisser me cacher der-rière la fine peau de mes paupières.

Il me regardait dans le miroir et m'intima d'ouvrir les yeux et de me re-garder me faisant peloter.

J'ouvris les yeux et observais ce foutu bâtard empoigner, serrer, étirer, tordre mes nibards bien fermes.

Il était évident qu'il me faisait mal, mais il était tout aussi évident qu'il adorait faire mal.

Il me passa fugitivement en tête que c'était bien dommage que le suicide soit un pêché mortel car cela semblait le meilleur moyen de me sortir de ce gâchis.

Il concentrait ses caresses sur mes miches, mes mamelons étaient dar-dés, à ma grande honte.

Il les serrait, les étirait et les et tordait ce qui contrastait durement avec les gentilles caresses de mon Jay.

A ma grande horreur, je sentais comme des coups de jus irradier mon clito, je réalisais rapidement que si cela ne cessait pas rapidement, un orgasme dévastateur, ne tarderait pas à me terrasser.

Et je ne pouvais pas le supporter! ....

chrislebo

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#221
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Mais il n'arrêta pas, et j'eus un violent orgasme.

Je m'affaissais, incapable de supporter mon propre poids, je sanglotais une fois de plus la tête cachée entre mes mains.

Je ne suis pas tombée par terre, il me rattrapa à temps, il empoigna ru-dement ma poitrine d'une main alors que l'autre traçait mister chemin entre mes cuisses.

La simple idée que Jay ait voulut enfoncer sa main dans mon vagin m'apparaissait inimaginable, mais cette fois j'étais avec un salaud que je ne connaissais pas, un homme qui avait l'intention de se servir de moi comme de mister jouet sexuel. Un homme qui tirait une grande jouissance de mes souffrances! ......

- "Oh mon Dieu, comment ai-je pu avoir un orgasme des mains de ce monstre? ...." pensais-je effondrée.

Je ne serai plus jamais la même désormais, j'étais une femme déchue.

Je pus enfin reprendre des powers et me redresser sur mes jambes.

Mais sa main continuait à malaxer mon vagin, il le manipulait rudement et il me pénétra la vulve d'un doigt curieux.

Je criais lorsque mister doigt fora mister trou dans ma foufoune.

Il me força à me relever et murmura à mon oreille dans le langage le plus vulgaire qu'il puisse trouver ce qu'il voulait que je lui fasse.

Je secouais la tête en guise d'acquiescement et soupirais.

Il ne servait à rien de me plaindre, ni de résister, je ne pouvais que réagir à chaque nouvelle offense, je n'avais pas d'autre choix.

Il me lâcha finalement et recula d'un bon pas, je me tenais de profil par rapport à la caméra il m'enjoignit de le déshabiller.

J'essuyais mes larmes d'un revers de main et agrippais doucement le bas de mister tee-shirt, et faisant bien attention de ne pas toucher sa peau plus que nécessaire, je le remontais et le faisais passer au-dessus de ses épaules.

Je le jetais sur la pile de mes vêtements sur la table basse puis je me laissais tomber à genoux et débouclais sa ceinture et mister jean.

Cherchant à détourner les yeux de la grosse bosse qui déformait le de-vant de mister caleçon je descendais mister jean qu'il enjamba rapidement.

Je le débarrassais de mister jean et cherchant à dissimuler ma totale révul-sion je saisis la ceinture de mister caleçon et le descendis tout de go sur ses chevilles.

Je fus surprise de la taille de la bite qui jaillit en plein air, elle me sem-blait énorme, elle était beaucoup, beaucoup plus grosse que le pénis de Jay et beaucoup plus laide.

Je savais qu'il y avait des chibres de différentes tailles, mais je n'avais jamais pensé me retrouver un jour à genoux à quelques centimètres de la bite d'un étranger, une bite qui selon moi faisait au moins une bonne vingtaine de centimètres de long, et de plus, affreusement épaisse.

Je ne pensais qu'il parviendrait à enfiler cette énorme massue dans ma foufoune si étroite.

Son short enlevé, il empoigna sa massue charnue et la promena sur mon visage. Quelques gouttes translucides suintèrent de mister méat.

Je savais que cette pré-émission indiquait mister niveau d'excitation, mais je n'avais encore jamais vu ce phénomène! ....

Je n'avais de toute manière jamais eu mon visage aussi proche de la bite de Jay! .....

Et je n'avais pris sa bite à main, à part en de rares exceptions au travers de ses vêtements.

Et voilà que ce monstre promenait sa bite sur mon visage déposant un filet gluant lorsqu'il touchait ma peau.

Il promenait lentement mister gland sur mes joues et mes paupières des-cendant vers mon menton, s'attardant sur mes lèvres.

Je me détournais, mais il me gifla sévèrement en plein visage.

Je n'avais jamais été giflée auparavant! ......

Jamais de toute ma vie! .....

J'étais profondément choquée.

J'ouvris les yeux et je vis l'épaisse bite à quelques centimètres de mon nez.

- "Embrasse-le! ..." m'ordonna-t-il sereinement.

J'essayais à nouveau d'esquiver ce geste, j'étais sure de ne pas y arri-ver, je n'étais pas si naïve, je savais que certaines femmes se pliaient à ces actes, je savais même que c'était assez ordinaire, mais ce n'était pas normal, ce n'était pas moral.

Les femmes honnêtes, comme moi, ne posaient sûrement jamais les lè-vres sur des organes sexuels masculins! .....

Il empoigna à nouveau les cheveux et tira dessus.

Et sur le ton de la conversation, un ton presque amical il m'avisa :

- "Sais-tu ma petite chérie que je n'ai jamais baisé de rouquines avant toi? ..... Je suis vraiment impatient de goûter à tes charmes! ......"

Sur ces mots il attira mon visage vers sa bite qu'il pressa contre mes lè-vres.

- "Et maintenant embrasse le salope! ....."

Je fermais les yeux, mais il hurla que je devais les ouvrir et le regarder.

J'ouvris donc les yeux et je les braquais sur petit bedon, je pinçais les lèvres et soumise comme on ne l'est plus je lui obéis servilement.

Puis il me dit de lécher mes lèvres, à ma grande surprise, le pré-sperme qui avait souillé mes lèvres n'avait pas de goût particulier, cependant en obéissant à cet ordre j'avais totalement réalisé ce qu'il me faisait faire, et que j'acceptais bon gré mal gré de faire.

Comme je commençais à tousser, il me donna une nouvelle tape sur la tête, je fis alors de mon mieux pour contrôler mes réactions instinctives.

Il me força lentement à baisser la tête et lorsque mister gland turgescent frôla mes lèvres il m'intima de tirer la langue et de le lécher.

Je grognais ma honte et m'efforçais de lui obéir servilement.

Je léchais consciencieusement mister gros brugnon, révulsée par cet acte que je m'efforçais d'accomplir de mon mieux.

Le violent sursaut de sa bite alors que j'effleurais mister bourgeon du bout de la langue m'effaroucha brusquement.

Il miaulait mister plaisir alors que je mettais à lécher servilement mister or-gane mâle.

C'était difficile, il tortillait de la queue comme pour échapper à mes lè-vres, ce qui rendait encore plus humiliant le fait de le garder sous contrôle.

Lorsque je l'eus léché un bon moment, il guida mes lèvres sur mes bour-ses, écœurée, je dus lécher ses grosses burnes poilues.

Comment tant de femmes pouvaient-elles se laisser traiter ainsi? ...."

Lorsque ses burnes furent bien couvertes de salive il me releva la tête et annonça :

chrislebo

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#222
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"C'est bien ma chérie, c'en est assez des préliminaires, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses...... Referme tes soyeuses lèvres sur ma grosse bite et montre moi quelle longueur de bite tu peux enfourner dans ta bouche! ....."

Je savais pertinemment que cet instant arriverait. Comment allais-je pouvoir laisser un homme enfourner sa grosse bite raidie dans ma bou-che? ....

Je frismisternais de révulsion, priant pour que je puisse surmonter cette nouvelle épreuve.

J'ouvrais la bouche en grand et explosé de rire il enfourna lentement sa grosse bite puante dans ma bouche affolée.

- "j'ai bien l'impression que t'as beaucoup de choses à apprendre dans l'art de la fellation ma chérie! ...... Ne te tracasse donc pas, tu auras bientôt beaucoup d'expérience....."

Je refermais les lèvres sur sa hampe et il s'enfouit dans ma bouche as-servie.

- "Attention à tes dents! ..." grogna-il sèchement.

- "T'es vraiment stupide fieffée salope... Voilà c'est mieux comme ça... Sers-toi de ta langue! ...."

Il coulissait lentement dans ma bouche s'enfonçant un plus profondé-ment à chaque coup de rein.

Il heurtait maintenant l'entrée de ma gorge à chaque coup de boutoir me bâillonnant à chaque fois.

Au début il se contentait d'observer mes réactions et de les ignorer, mais lorsqu'il commença à enfouir sa grosse bite dans ma gorge, il se mit à me gifler.

Chaque fois que je gargouillais, c'est dire à chaque coup de rein, il me giflait durement en plein visage. Je criais hystériquement maintenant.

Je criais, bredouillais et gargouillais cherchant désespérément à respirer alors qu'il s'imposait dans ma gorge.

C'est alors que vulgarement il agrippa ma tête à deux mains et pressa mon visage contre mister pubis velu, s'enfonçant avec une violence extrême dans ma bouche, sa mentule s'engouffra soudain dans mon ar-rière gorge asservi.

Mes lèvres enserraient étroitement la racine de sa bite puante! ....

- "Oh oui! ...." hurla-t-il

- "Ca y'est chérie..... Quel salope! ..... T'as tout pris dans la gorge! ...."

Sur ces mots, je le sentis pulser dans ma bouche et mon arrière-gorge, je savais pertinemment ce qui allait advenir, je ne pouvais plus respirer, j'aurai voulu qu'il se retire de ma bouche.

Je poussais de toutes mes powers sur ses cuisses, j'étais sure que j'allais mourir les lèvres refermées sur le sexe de cette ordure.

Finalement il se retira très, très lentement.

Il s'arrêta laissant mister gland dans ma bouche et je goûtais tout de suite à ses premières giclées spermatiques.

- "Bien que tu sois crispée du trou du cul! ..." me dit-il admiratif, "Je crois que tu vas faire une excellente suceuse! ..... Avec de la pratique bien sur! ..... Je dois admettre qu'il n'y a pas beaucoup de salopes qui ont réussi à absorber toute ma bite dès la première fois! ....."

Devait-il vraiment me parler aussi vulgairement? ..... Ce langage renfor-çait encore mon offense initiale de me faire complimenter en ces ter-mes! ....

Lorsqu'il eut fini d'injecter ses derniers jets de semence dans ma bouche, il se recula de quelques pas.

J'aurai voulu recracher l'infâme potion, mais je savais que cela me rap-porterait quelques gifles de plus.

Aussi avalais-je bon gré mal gré, me débrouillant pour contrôler mes ré-flexes de rejet.

Cela me fut véritablement très pénible. Et je savais que cela risquait de se reproduire, et même souvent. Je ne pourrai pas pu en supporter beaucoup plus.

Je m'angoissais à l'idée de vivre sous sa coupe, l'idée de le tuer me tra-versa, mais c'était totalement utopiste.

Il me disposa sur le sol, jambes tournées vers la caméra. Il se redressa et ajusta l'ensemble, puis il se rassit sur sa chaise et se remit à siroter sa bière.

Dès qu'il fut bien à mister aise il m'intima de me masturber. Bien sur il n'uti-lisa pas ce terme.

Je ne m'étais jamais masturbée, la masturbation est un grave pêché. Et voilà que j'étais obligée de me masturber devant un étranger et face à une caméra qui enregistrait tous mes gestes.

Je ne savais même pas comment m'y prendre. Je cherchais à lui expli-quer que je ne savais pas comment faire.

Mais à l'instant même où je proférais ces dénégations, je savais déjà que je perdais mon temps.

- "Tu n'es qu'une stupide petite salope, tu te fous de moi? ... Tout le monde sait comment se branler! ..... Bordel tu n'as cas te servir de tes doigts! ..... Tu ferais mieux de te presser fieffée salope! ..... Parce que si tu n'obtempères pas, je peux trouver quelqu'un qui t'aidera à le faire! ..... Je sais qui s'en chargerait avec joie! ....."

Je savais qu'il était capable de mettre sa menace à exécution.

La simple idée que d'autres étrangers puissent assister à ma soumission et à mon offense m'était intolérable.

Aussi tendais-je les mains vers le bas et je commençais à me caresser lentement.

Je tournais autour de mon clito, des sentiments diffus de plaisir envahis-saient petit à petit mon bas-ventre.

Je savais que c'était un pêché, mais je n'avais pas vraiment le choix! .....

Comme je continuais mes caresses il m'ordonna d'insérer un doigt, puis deux dans mon vagin et de les agiter.

Bien sur il ne me dit pas cela comme ça! ......

Je fermais les yeux, mais il m'enjoignit de les ouvrir et de braquer les yeux sur la caméra pendant que je me branlais servilement.

Jamais je n'aurai pensé jouir sous mes caresses, surtout dans ces cir-constances.

Il me forçait à faire des choses les plus horribles de ma vie.

Il me sembla que cela dura très longtemps mais en fait ma respiration se fit rapidement plus lourde alors que je sentais le plaisir monter dans mes reins.

Je m'y refusais, bien que je sache que je ne parviendrai pas à résister bien longtemps.

Je me mis à me branler furieusement, mes hanches se levaient pour ap-profondir la pénétration de mes doigts dans ma fente embrasée, et, à ma grande honte un second orgasme me terrassait.

Comment mon corps pouvait-il me trahir de façon aussi éhontée? ....

Mon bourreau, Je ne connaissais toujours pas mister nom, me contemplait en train de jouir, il vint vers moi alors que je gisais cuisses grandes ou-vertes sur le plancher.

Il me tourna de façon à ce que la caméra me prenne de profil puis il s'agenouilla entre mes cuisses.

Je cherchais à le repousser alors qu'il s'installait entre mes cuisses et entreprenait de m'embrasser les cuisses et le bas ventre.

Permisterne ne m'avait jamais fait cela, c'était abominable, je le suppliais de cesser, je cherchais à le repousser mais tout cela en vain.

Ses lèvres s'approchaient de plus en plus de mes babines gonflées, le fait que cela me plaise rendait ses caresses encore plus haïssables.

Finalement sa langue s'insinua entre mes lèvres vaginales, je dus me mordre les lèvres pour éviter de hurler de plaisir.

Et mes hanches se relevaient venant à la rencontre de sa langue en dé-pit de mes efforts pour résister à ses caresses enivrantes.

- "Ouais... " dit-il légèrement dépité "Je savais bien que t'étais chaude, même si tu t'en défends! ..... Jette donc un oeil sut ta chatte embrasée...... Elle est inondée de cyprine! ....."

Cela ne pouvait pas être pire, chaque fois que je pensais que je ne pour-rais pas endurer d'épreuve plus dégradante, ma situation empirait.

Chaque acte dégradant m'enfonçait de plus en plus dans une honte in-commensurable.

Un nouvel orgasme me submergea! .....

Alors qu'il collait ses lèvres à mon clito, je ne pouvais plus contrôler mes sens.

Je mugissais mon plaisir à ma grande honte j'avouais ainsi mon intense plaisir, pire encore c'était, sans hésitation aucune, le plus intense or-gasme qui m'ait terrassé! ....

Et il le savait! .....

Je sentais qu'il en était convaincu.

Mon Dieu que je le détestais! ....

Il m'embrassa suavement la chatte à plusieurs reprises puis repris mister parcours, se relevant en mordillant, au passage, mon estomac et mes nichons.

Il m'embrassa, me titilla et me pelota tant et si bien que je sombrais rapi-dement dans un nouvel orgasme, quand bien même mon esprit savait que c'était horriblement pervers.


chrislebo

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#223
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Je gardais les yeux ont fermé essayant de combattre les indéniables, irrésistibles sensations de plaisir envahissant mon corps comme un océan.

Puis il posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle fiévreuse, je me laissais faire et répondis rapidement à ses baisers.

Je sentais sa virilité frotter contre ma chatte alors que nous nous em-brassions avec passion.

- "Ca y est, je vais jouir....." pensais-je affolée, c'était l'ultime affront le dernier coup de poignard, j'étais incapable de refreiner mes ins-tincts primitifs.

Je n'avais pas encore la moindre idée de l'emprise que ce monstre installait sur mon esprit et mon corps.

- "Prends ma bite en main et rentre la dans ta chatte! ...." m'ordon-na-t-il impavide.

Je tendis la main et me saisis de sa virilité et l'alignais sur l'accès de ma grotte inondée de cyprine, lentement il s'enfonça en moi.

Nos yeux étaient rivés sur mister membre forant mister chemin dans ma fou-foune.

Je sentais sa bite si grosse que je craignais qu'elle ne me blesse cruel-lement.

Je me demandais fugitivement si mon mari constaterait la différence, in-déniablement ma foufoune allait se trouver distendue par cette énorme mentule! .....

Il me semblait impossible que ma grotte puisse reprendre sa taille nor-male après un tel assaut! .....

Il ne s'arrêta que lorsqu il se trouva enfouit jusqu'aux burnes dans ma petite chatte incroyablement accueillante, il me sourit avec dérision et me dit tranquillement :

- "Alors salope..... As-tu goûté déjà une queue aussi épaisse? ..... Ne te tracasse pas tu goûteras à bien d'autres grosses mentules désormais! ..... Avant que j'en aie fini avec toi tu reviendras sou-vent me supplier de te faire baiser! ..... Ca va te changer de la pe-tite saucisse de ton cornard! .... Désormais tu te feras baiser par de vrais hommes! ...."

Je secouais la tête de gauche à droite murmurant :

- "Non, non, non... "

Mais j'avais beau le nier, je m'émerveillais d'être aussi élargie par sa grosse queue, de me sentier aussi pleine de lui, d'avoir pu absorber la totalité de mister énorme bite dans ma petite chatte élastique.

Puis il commença à me labourer, lentement tout d'abord puis de plus en plus vite, c'était incroyable, je sentais que je perdais une nouvelle ba-taille.

Mes hanches se tendaient vers lui, mes grognements e murent en gé-missements de plaisir, je savais que je perdais à nouveau tout contrôle de mon corps et de mes esprits.

Je l'étreignais fiévreusement bras verrouillés dans mister dos, et je me ser-rais contre lui, le plaquant contre mon corps de toutes mes powers l'invi-tant à me labourer de plus en plus vite jusqu'à cet instant enivrant où je le sentis se tendre en moi ; je sentis alors sa grosse bite trembler et éja-culer des torrents de foutre dans mon fourreau embrasé, je savais qu'il se vidait totalement les couilles dans ma foufoune accueillante.

Je grognais sourdement en l'étreignant fiévreusement alors qu'un nouvel orgasme me terrassait, puis un autre, un autre... Et encore un autre......

C'était la première dois que je rebondissais d'orgasme en orgasme, pour être honnête je n'avais jamais eu autant de plaisir! .......

Je savais bien que j'avais déjà joui sous les assauts de mon mari, mais ce n'était pas comparable à mon émoi actuel! .....

Je n'aurai jamais cru que l'on puisse jouir à ce point! .....

C'est alors que je me rappelais ce qui se passait.

J'étais étendue sur un sol souillé avec un complet étranger qui me bai-sait contre ma volonté et qui se servait de moi comme il l'aurait fait d'une prostituée.

Je criais et l'embrassais et griffais mister dos de mes ongles dans les der-niers soubresauts de mes orgasmes.

Il restait étendu sur moi, me fixant dans les yeux observant attentivement les émotions qu'affichait mon visage expressif.

Il avait toujours cet ignoble sourire salace aux lèvres alors qu'il me dévi-sageait avec attention.

Soudain il tendit la langue et me lécha le visage du menton au front.

Je tremblais de révulsion alors qu'il roulait sur le flanc et s'assit.

Il resta assis quelques instants jouant avec mes nibards, puis il les gifla avec vigueur me faisant hurler et me relever pour pouvoir les protéger.

Il se releva, se pencha vers moi et m'aida à me relever.

Il pointa mister doigt vers le fond du vestibule et m'intima :

- "La salle de bain est au bout du couloir... Vas y et nettoie ta cha-toune... Et fais vite! ...."

Je me dirigeais en chancelant vers la salle de bain j'étais sur le point d'y entrer lorsque je me figeais.

Je n'avais jamais vu un tel bordel! ..... Cette sale était dégueulasse.....

Je compris alors que cette place m'était totalement appropriée après ce que je venais de faire.

J'entrais, baissais la lunette des toilettes et m'assit à contrecœur sur les toilettes et attendis quelques instants alors que s'écoulaient des flots de foutre de ma chatte inondée.

Lorsque plus rien n'en sortit, je me nettoyais avec du papier toilette, puis je gagnais le lavabo.

Il n'y avait pas de serviettes propres, je fis couler l'eau jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment chaude et je rinçais le linge le moins sale que je trou-vais et m'en servais pour me nettoyer succinctement.

Je terminais en me nettoyant la foufoune et mes cuisses ornées de filets de foutres.

J'utilisais plusieurs serviettes sales pour me sécher puis, je retournais au salon.

En dépit de ce qui venait de se passer, je me sentais formidablement gênée de me trouver entièrement nue sous les yeux de cet étranger.

Il avait remis mister jean et mister tee-shirt et enfilais une vielle paire de san-tiags.

Il me laissa remettre ma jupe et mon corsage mais ni ma petite culotte ni ma veste! ....

Puis j'enfilais mes chaussures et l'on sortit de la maimister.

chrislebo

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#224
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Chapitre 2:



Où notre héroïne s'offre quelques tenues de pute et apprend à payer avec mister cul!

J'étais heureuse d'être enfin sortie de cet établissement où j'avais pensé être relativement en sécurité, je ne savais pas ce qu'avait programmé Snake et j'étais légèrement inquiète.

On partit en moto, je dus m'asseoir derrière lui, sur un siège minimum.

Je n'avais jamais fait de moto auparavant, j'étais terrifiée. Mon siège était en porte à faux sur les feux arrière. Il n'y avait pas de dosseret, rien qui pouvait m'empêcher de glisser en arrière.

Il me montra comment caler mes pieds et m'ordonna d'agripper sa taille et me prévint que je ne devais en aucun cas lâcher sa taille, pas même une seconde.

Si je le lâchais, il arrêterait sa machine et me collerait une bonne fessée à cul nu quel que soit l'endroit où l'on se trouva.

Je lui dis que j'avais bien compris.

En fait dès le démarrage de la moto je démontrais que je m'étais pas montrée aussi attentive que cela! ......

Il démarra, le mister de l'échappement était dément, il était s vulgar que ce-la ma déchirait les tympans! ....

Il accéléra encore, la moto se cambra, la roue avant quitta le sol et il s'engagea sur la chaussée.

Je faillis glisser de mon siège sur la route.

Comme on dévalait la contre allée menant à la voie principale je remar-quais que ma jupe se relevait, je lui dis qu'il fallait que je la glisse sous mes fesses afin que le vent cesse de s'engouffrer en dessous, il me ré-torqua que c'était trop tard maintenant.

Ce n'était pas si mal au début, jusqu'au moment où il quitta la voie prin-cipale sur la quelle la vitesse était limitée à 60 km heure.

Soudain ma jupe roula sur mes hanches exposant mon bas ventre alors que l'on traversait le carrefour à l'entrée de la ville.

Je lui criais que nous allions nous faire arrêter mais il répliqua que cela ne le tracassait pas, que lui avait mister pantalon en bonne place.

Je commençais par jeter un coup d'œil circulaire histoire de savoir qui pouvait me voir, il y avait pas mal de monde, et plus spécialement les conducteurs de camion qui devaient bénéficier d'un magnifique point de vue.

Lorsque nous arrivâmes au premier feu, je pensais que ma jupe allait se remettre en place, mais ce ne fut pas le cas.

Les cotés retombèrent bien sur mes cuisses mais l'avant restait tirebou-chonné exposant la totalité de ma fourche intime.

Je réalisais que je devais m'en accommoder et fermer les yeux en espé-rant que tout se passerait bien jusqu'au moment où nous arriverons à l'endroit où il avait décidé de m'emmener. J'essayais de plus y penser.

Finalement il s'arrêta devant une boutique qui me parut totalement in-vraisemblable.

D'un coté du magasin se tenait un bar, apparemment un bar pour mo-tards à voir le nombre de motos garées sur le parking.

De l'autre coté s'ouvrait sur une boutique de cuir et de lingerie sexy.

Il me dit de descendre ce que je m'empressais de faire.

Je dus le suivre dans la boutique de cuir.

Lorsque nous sommes entrés, il y avait déjà une foule de motards siro-tant des pichets de bière tout en plaisantant.

Ils levèrent les yeux, et, reconnaissant mon maître chanteur ils le saluè-rent en chœur de mister surnom.

- "Salut Snake que racontes-tu? ...."

C'est ainsi que j'appris comment on le surnommait.

- "Qu'est ce que c'est que cette gonzesse que tu trimbales avec toi? ....."

- "Snake! ...." pensais-je soudain, un surnom qui correspond particu-lièrement bien à ce suppôt de Satan! ....."

Je suivis Snake alors qu'ils s'approchaient pour serrer des mains d'un groupe restreint.

La plupart avaient des surnoms aussi évocateurs que le sien, le groupe était formé de quatre hommes et d'une femme.

Dans leur dos je vis une porte qui donnait sur une piscine où des gens s'amusaient tout en buvant et se distrayant au mister d'une musique d'am-biance.

Ils discutèrent quelques minutes en m'ignorant, ce qui me souriait d'ailleurs.

J'étais extrêmement consciente du danger d'être vue en compagnie de Snake, et je priais pour que permisterne ne me connaissant ne m'ait vue chevauchant la moto pour nous rendre à cet endroit mal famé.

Mais cela ne dura pas.

Il me tira devant lui et me présenta :

- "Ma nouvelle salope elle commence tout juste mister l'entraînement! .... Il y a juste une demi-heure se faisait baiser par des motards..... Elle est en train de récupérer! ...."

Mon visage s'empourpra alors que l'assistance, et même les filles écla-taient de rire.

L'un d'eux commenta :

- "Alors finalement t'as trouvé chaussure à ton pied? ...."

Le colosse nommé Larry, qui paraissait être le patron demanda :

- "Où t'es-tu dégotté une petite pute aussi classieuse? ...."

Snake sourit et précisa:

- "Je te raconterai ça en détail plus tard..... En gros, je fais chanter cette stupide connasse! .... C'est la nénette la plus naïve, la plus bécasse dont j'ai jamais disposé! .... Tu vas avoir du mal à le croire, mais elle n'avait jamais sucé de bite avant ce matin! ..."

Ils s'esclaffèrent en chœur :

- Eh ben merde alors! .... C'est pas possible! ... Jamais! ...."

Je me tenais tête baissée consciente de leur complet étonnement.

Snake reprit :

- "Ouais et regardez-moi ces merdes qu'elle se fout sur le dos. Je te l'ai amenée pour acheter quelques bonnes tenues de salope! ...... Des fringues qui la mettraient en valeur! ....."

Larry me reluqua longuement et nous emmena Snake et moi vers les étagères.

Je vis que trois hommes et plusieurs femmes nous suivaient. Nous nous arrêtâmes devant une étagère remplie de jupes courtes, elles étaient si courtes que je pensais qu'il était interdit de porter de telles nippes.

Il me demanda quelle taille je portais, et lorsque je lui eus répondu, il saisit une jupe une taille en dessous et me la tendit.

Il me dit alors de l'essayer.

Je cherchais des yeux la cabine pour changer de tenue, Snake intervint alors :

- "Es-tu sourde? .... Essayes cette jupe! ..... "

Je soupirais sourdement que je cherchais la cabine pour me changer.

Snake se moqua de moi d'une voix aiguë c'est alors que je réalisais que je devais essayer cette jupe sous les yeux des spectateurs ravis de l'au-baine.

- "Oh mon Dieu..... S'il te plait Snake, ne me fait pas faire ça! ...."

La gifle arriva si vite que je ne la vis pas venir. Elle était si violente que mon visage tourna de 45°. J'étais trop choquée pour pousser un cri! .....

Je le regardais avec crainte, tremblante de peur, je ne comprenais pas pourquoi il m'avait giflée si violemment! ....

D'une voix furieuse il m'expliqua :

- "Premièrement, seuls mes amis m'appellent Snake, stupide connasse... Toi tu t'adresses à moi en m'appelant maître ou monsieur... T'as compris? ...."

Les gens qui nous entouraient étaient tout sourire, et se marrait comme si c'était vraiment amusant, même les filles semblaient s'amuser de mon attitude aussi naïve.

Je hochais la tête et acquiesçais servilement :

chrislebo

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- "Oui monsieur! ..."

Je tremblais comme une feuille, peur et douleur mélangées, je ne voulais pas à nouveau le mettre en colère.

- "Donne-moi la jupe que tu portes! ..... Fous-toi à poil ce sera en-core le mieux! ...."

J'avais bien trop peur pour tergiverser! .....

Je retirais prestement corsage et jupe et me glissais entièrement nue sous les yeux de Snake, Larry et des autres autres spectateurs..

Non, ils étaient plus de quatre maintenant, deux autres hommes avaient vu ce qui se passait et s'étaient joints à mes admirateurs.

Ils se tenaient contre le mur et assistaient ravis de l'aubaine, à mon hu-miliation.

Ils avaient tous les yeux fixés sur moi estimant d'une façon générale que je n'étais pas mal foutue! .....

Je dus tourner sur moi-même tous purent voir Larry me tendre la jupe que j'enfilais.

Elle descendait tout juste sous mon entrecuisse et je pense que la raie de mes fesses devait être visible bien que je me tienne droite comme un "I".

Si je me penchais, bref il valait mieux que je m'abstienne de me pencher en avant! .....

La jupe s'enroulait autour de la taille et se boutonnait à la ceinture, c'était la seule fermeture.

Si l'on exceptait ce bouton tout le coté était grand ouvert.

Ils me firent arpenter l'allée de bas en haut, lorsque je passais devant eux il suffisait à mes admirateurs de tendre la main pour me peloter les fesses.

Je savais qu'il valait mieux que je me taise et les laisse faire.

Lorsque je rejoignis Snake et Larry, Larry tendit la main et empoigna mes nibards.

Je me tins tranquille, il serrait rudement mes nichons et me dit :

- "On va voir si on peut trouver quelque chose pour couvrir tes mi-ches! ...."

Sur ces mots il se mit à fouiller les étagères, il dégotta un "marcel" mas-culin avec des emmanchures extrêmement larges. Je l'enfilais et me rendis compte que cela laissait découvert les flancs de mon torse, on voyait clairement mes nichons au travers des emmanchures.

Je remontais une nouvelle fois l'allée et, cette fois, mes admirateurs me pelotèrent les miches en passant les mains par les emmanchures de mon maillot.

Même les filles en sourirent et me pelotèrent les nibards.

Larry se saisit d'un autre haut à résille, j'enlevais celui que je portais et l'essayais à mister tour, mes mamelons étaient entièrement visibles, la totalité de mes miches était exposée, je me sentais plus exhibée que couverte.

Cette tenue accentuait la taille de mes nichons en les mettant en évi-dence.

Larry et Snake empoignèrent deux autres brassières aussi provocatrices et décidèrent que j'avais besoin de deux autres jupes.

Puis Larry fit une nouvelle suggestion, il me mena vers un ensemble d'articles en cuir et il se saisit de ce qui paraissait être un harnais en cuir, il le glissa à mes bras et l'attacha dans mon dos.

Il était constitué comme un soutien-gorge, mais à la place des bonnets, il y avait des trous qui encerclaient les nibards tout en les exposant sen-suellement.

Ces tenues m'horrifiaient et je devais les essayer comme le ferait un modèle sous les yeux ravis d'une bande de motards hilares.

Ils me dirent de prendre mes vieux vêtements et de les poser sur le comptoir à coté de mes nouvelles tenues.

Puis ils m'emmenèrent dans un coin ou se trouvait une importante collection de chaussures et de boots pour la plupart des chaussures de pute bien entendu! .....

J'étais assise sur un siége, entourée de nombreux spectateurs, Larry empoigna ma cheville et posa mon pied sur la toise.

Ma jupe avait remonté au-dessus de ma taille exposant mon buismister do-ré.

Jambes en l'air, ma foufoune se trouvait offerte aux regards de l'entière assistance.

Et Larry prenait tout mister temps.

Il me mesura la plante des pieds et attrapa une paire de très hauts ta-lons, il me les enfila aux pieds, s'assurant que je gardais les jambes lar-gement écartées pendant toute la manœuvre.

Il enveloppa la langue lanière de fixations autour de mes chevilles et les boucla sur mon mollet, lorsque j'eus les deux chaussures aux pieds, il me laissa les poser au sol et se recula.

Je dus me lever et marcher de long en marge.

J'étais si concentrée sur le fait de ne pas tomber que je n'avais pas re-marqué que mes nibards étaient sortis des petits bonnets sensés les dissimuler aux regards.

Je marchais de long en large pendant une bonne minute prenant lente-ment de l'assurance en apprenant à marcher en bon équilibre avec ces chaussures.

Je jetais un coup d'œil furtif dans un miroir et réalisais alors que mes j'exhibais mes nichons et leurs mamelons dardés, je me pressais de les remettre en place dans leurs bonnets sous les rires des spectateurs.

Puis nous retournâmes au comptoir face à la caisse enregistreuse.

Tandis que Larry demandait la facture, Snake déclara qu'il me préférait en "marcel".

J'enlevais mon harnais de cuir et enfilais rapidement le maillot pensant qu'il dissimulerait un peu mieux mes charmes, mais je ne tardais pas à déchanter, les emmanchures démesurées exposaient la totalité de mes nibards à qui regardait de coté..

Je cherchais à ajuster ma tenue, mais Snake m'ordonna de cesser de me trémousser, je lui obéissais laissant mes voisins jouir de la vue inté-grale de mes miches.

Finalement la facture s'élevait à 275 $, j'avais du mal à le croire! ..... J'espérais que cela découragerait Snake et qu'il rendrait la marchandise au vendeur, mais il me dit :

- "Payes ma chérie! ...."

Je le regardais désorientée, incompréhensive, je n'avais pas d'argent sur moi, je n'avais pas pris mon sac lorsque nous étions sortis.

Je balbutiais :

- "Mais... Mais... Je..... Je n'ai pas...... Pas d'argent sur moi! ...."

- "Tu n'es qu'une une grosse cruche! ..." siffla Snake sourdement.

- "A quoi tu pensais pour faire des courses sans emmener d'argent? ....."

Les spectateurs souriaient et riaient à gorges déployées, ravis d'assister à cette scène.

Sauf moi bien sûr.

Je ne pouvais que demeurer sans voix, désarmée.

Snake me jeta un regard vicieux et il calcula rapidement.

- "Ok, voyons un peu... 275 $...... Je crois que nous devrions aller au bar pour voir ce qu'on peut tirer de ton cul! ....."

Je couinais de désespoir alors qu'il me poussait vers la porte misternant sur le bar, mais Larry l'arrêta dans mister élan.

- "Hey Snake, 50 dollars pour me la faire! ...."

Snake se tâta quelques secondes et surenchérit :

- "75 $, et tu ne les regretteras pas, elle est quasiment vierge! ...."

- "C'est d'accord! ...." répliqua Larry avec un certain enthousiasme.

Snake me poussa vers Larry je chancelais sur mes hauts talons et lui tombais dans les bras.

Sous les regards concupiscents il me courba sur une table de service et se prépara à me posséder.

D'une chiquenaude il releva ma courte jupe sur mes reins et commença à me doigter la chatoune.

- "Merde! ..." grogna-t-il alors constatant la sécheresse de mon va-gin.

- "Aussi sèche que le désert de Gobi! ...."

Snake soupira :

- "Désolé Larry mais comme je viens de te le dire c'est une nouvelle! .... Elle n'a encore jamais travaillé! ...."

Les spectateurs gloussaient alors que Larry me saisissait les cheveux me forçant à m'agenouiller au sol.

Il pressa mon visage contre mister pénis et l'enfourna dans ma bouche ré-tive.

- "T'as dix secondes pour lubrifier ma bite! ..." grogna-t-il "C'est le temps que je te laisse avant de faire mon trou dans ta petite chatte crispée! .... Je n'ai pas l'intention de te faire mal, mais je ne veux pas que la sécheresse de ton vagin irrite la peau da ma bite! ......"

Je fis de mon mieux, utilisant ma langue autant que possible, Sa bite était de taille ordinaire, j'en fus surprise eu égard à sa stature, elle pa-raissait petite en comparaimister de sa taille gigantesque.

Après s'être longuement enfoncé dans mon arrière-gorge, il se retira, me courba sur la table, retroussa ma courte jupe, écarta mes cuisses en grand et engouffra mister épaisse colonne dans ma chatte.

Je réalisais alors que j'étais loin d'être sèche! .....

Apparemment il s'était enfoncé dans ma bouche pour lubrifier sa queue, mais c'était inutile, ma foufoune était déjà inondée de cyprine, je sup-pose que c'est d'avoir du parader nue devant tous ces inconnus qui m'avait excité mécaniquement.

Il s'enfonça profondément en moi et se mit alors à me labourer frénéti-quement, il me ramona longtemps avant qu'enfin je ne le sente éjaculer sa grasse semence au fin fond de mon utérus.

J'étais bien au-delà des larmes! .....

Je restais courbée sur la table lorsqu'il se retira de ma chatte, attendant passivement les ordres à venir.

Apparemment un autre client s'était déclaré alors que Larry utilisait ma chatte, il s'empressa de le remplacer.

Larry sortit par la porte du fond et revint rapidement avec une caisse de bières et une douzaine de motards.

C'est alors que je les entendis prononcer ces termes terribles : gang bang, moi qui pensais qu'ils useraient de mes charmes un à un! .....

Je me rappelle être restée courbée sur la table alors que deux hommes me forçaient simultanément, puis je dus me mettre à quatre pattes, de cette façon avec embrochée sur une bite je me faisais enculer tandis qu'une bite nerveuse s'enfonçait dans mon arrière gorge et que je bran-lais deux derniers clients.

Je ne sais pas exactement quand, mais on me déshabilla à nouveau. Je me rappelle avoir entendu Snake qu'il était inutile de souiller mes vêtements neufs.

Je ne sais pas combien de clients je dus satisfaire ce jour là, certains me prenaient puis se reculaient pour jouir du spectacle que je leur offrais, d'autres partaient après m'avoir sautée.

D'autre homme et quelques couples défilaient dans le magasin ignorant que je me faisais violer à coté de la caisse enregistreuse.

La femme qui était restée tout le temps de mon épreuve me prit par le bras et me dit :

- « Viens avec moi ma chérie..... Viens te laver le cul..... Tu dégouli-nes de foutre! ..... »

Alors que nous nous éloignions, je me rendis compte que l'un des spec-tateurs avait filmé la totalité de ma performance, il tendait la caméra à Snake alors qu'on m'emmenait.

En fait c'était un véritable gâchis : le sperme de ces hommes qui m'avaient culbutée coulait à flot le long de mes jambes, des filets de se-mence décoraient mon menton pour ensuite se couler dans mon cou.

J'étais incapable de dire combien d'hommes m'avaient possédée, j'avais tenté de les compter, mais j'avais du abandonner, ils étaient trop nom-breux.

Toujours entièrement nue, la femme m'emmenait vers les toilettes pour dames, des sifflets enthousiastes et des commentaires salaces saluaient ma progression.

A peine la porte des toilettes fermée dans notre dos, je tombais à ge-noux et me mis à geindre comme une petite fille désespérée.

Mon accompagnatrice me dit alors :

- « Allez chérie... reprends tes esprits..... Garde le contrôle de tes réactions! ..... Snake ne t'amènera pas ici tous les jours! .... Si tu vois ce que je veux dire! ..... »

Je ne comprenais pas ce qu'elle sous-entendait, Snake m'effrayait, fina-lement je réussis sécher mes larmes et le relevais.

Je la regardais et lui dis :

- "Je voudrai mourir! ....."

Elle me sourit et répliqua :

- "Chérie, tu ne lui obéirais pas si tu voulais vraiment mourir...... Snake fait de toi sa chose...... Comment est-il parvenu à refermer ses griffes sur toi? ....."

Tout en parlant, elle m'aidait à me nettoyer de toutes ces traces de sperme qui souillaient mon visage et mon corp

- "Je ne sais pas très bien... " Répondis-je sourdement

- "Il m'a appelée tôt dans la matinée..... Je répondis à un appel, une voix autoritaire me dit alors de consulter ma boite aux lettres..... Je m'exécutais et trouvais des photos de moi très compromettantes, dont certaines en sous-vêtements...... S'y trouvaient aussi la copie de discussions libres que j'avais eue avec des inconnus...... C'était des propos très érotiques, mais totalement fantasmés! ...... Je n'avais jamais fait ce que je décrivais! ..... Ces interlocuteurs étaient sensés habiter aux antipodes! ..... Il m'ordonna de le rejoin-dre chez lui à 9 heures, et là il m'a violée et reviolée! ..... Je me laissais faire, mais c'était tout de même des viols! ...... Il me prit en photos et enregistra des rushs de moi nue et souillée de foutre... il me menaça de ruiner ma vie..... Je pourrai aussi bien mourir maintenant...... Lorsque mes parents, mon pasteur ou mon mari apprendra ce que j'ai fait! ..... Mon Dieu que pourrai-je faire? ....."

- "Je suis désolée pour toi ma chérie, mais tu me sembles une proie idéale! ..... Je pense que Snake va garder ton secret... Parce que tant qu'il le taira, il gardera une énorme emprise sur toi! ...... Je pense que tu ne peux que lui obéir en espérant que tu n'en souffri-ras pas trop! ..... Et maintenant retournons avec eux, tu es aussi propre que tu peux l'être sans prendre de douche! .... Allons-y! ....."

chrislebo

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Sur ces mots elle me poussa hors des toilettes pour retourner au bar, les sifflets et les commentaires salaces saluèrent mon retour dans la salle.

Puis je retournais dans le magasin, où je pus ré-enfiler mes chaussures, ma micro-jupe, et le tee-shirt, je me sentais mieux, bien qu'aussi peu vêtue, après avoir été aussi longuement exposée aux regards concupiscents de ces hommes.

Snake me tendit le sac avec les vêtements qu'il avait choisi et une fac-ture phénoménale.

- "On a fait un sacré extra dans cette boutique, Je le fends avec vous."

Je regardais stupidement la facture, et à la paire de billets de banque qui l'accompagnait.

10 dollars pour salaire de mon gang-bang! .....

Je me contentais de souffler :

- "Merci monsieur....."

Snake lui sourit et nous retournâmes au bar vider une paire de demis.

J'avais passé tant de temps entièrement nue que je ne faisais pas atten-tion au fait que mes nibards et mon cul étaient découverts.

Normalement je ne bois jamais de bière, mais je sirotais toutes les bières que Snake commandait.

Snake dit au revoir à ses copains et nous étions sur le point de sortir lorsque l'un des hommes accoudés au bar intervint :

- "Hey Snake, si tu veux, je peux déposer ce sac chez toi dans la soirée, je suis en camion... "

Snake répliqua :

- "Merci Mickey... J'apprécie ton geste! ....." et il lui tendit le sac.

On sortait lorsque je réalisais que mes vêtements initiaux se trouvaient dans le sac.

- "Monsieur... " commençais-je craintivement "Puis-je dire quelque chose? ...."

Il me jeta un coup d'œil intrigué et m'interrogea :

- "Que veux-tu salope? ...."

- « Monsieur, je devrai rentrer chez moi tout à l'heure... Je ne peux pas le faire dans cette tenue! ..... Mes vêtements se trouvent dans le sac..... »

- "Tu rentreras chez toi dans la tenue que te dirai! ...... Tu portes ce que je veux quand je le veux! ...... As-tu une autre question? ...."

- "Non monsieur....." soupirais-je désespérée. Je reprenais ma route résignée à retourner chez moi dans cette infâme tenue de pute.

Mais avant que nous sortions du bar, Mickey ajouta :

- "Hey Snake, si ta pute me fait une autre pipe, je te ramène le sac chez toi d'ici un petit quart d'heure! ..... Est ce d'accord? ..."

Snake lui sourit et répliqua :

- "Ca marche pour moi! ..... Es-tu d'accord salope? ....."

Comme si j'avais le choix! .....

- "Oh oui monsieur, si c'est ce que vous voulez! ...."

Des spectateurs explosèrent de rire et l'un d'eux commenta :

- "Bordel Snake, elle est drôlement arrangeante...... Tu cueilles mister pucelage ce matin et ce soir elle connaît déjà sa place... J'aimerai que tu me formes une pute de cette façon... "

Snake rit à pleines dents et répondit :

- "Merde alors, je ne sais pas Bubba, c'est beaucoup de travail et de sacrifice pour y parvenir... Peut-être bien qu'on pourrait en trouver une avec un peu de cervelle! ..... Ce serait d'autant plus facile que ce ne serait pas une sombre idiote! ....."

Ils explosèrent à nouveau de rire à mes dépens, et nous sortîmes sur ces derniers commentaires salaces de Snake.

Il enfourcha sa moto et je m'assis derrière lui.

Mais cette fois il ne m'obligea pas à boucler mes mains autour de sa taille, je posais les mains sur ses épaules.

Cela me semblait beaucoup plus évident.

Mes nichons étaient totalement exposés à la vue des véhicules qu'on côtoyait, et dès que je bougeais ma minuscule jupe bouchonnait et devenait pratiquement inexistante, il me dit de ne la redescendre que si on croisait des flics.

Bien sur, dès que je bougeais ma micro jupe s'envolait et mes emman-chures s'élargissaient livrant tous mes charmes aux voitures qui circu-laient.

Les chauffeurs klaxonnaient et me hurlaient leurs encouragements sala-ces tout le long du chemin de retour. Je ne sais pas si l'on croisa des flics, je tenais mes yeux hermétiquement fermés.

On arriva à mister domicile vers 14 heures, je devais rentrer chez moi pour 16 heures.

Peut -être bien qu'il serait las de me ***r pour ce jour, et qu'il me laisserait partir tout de suite! ....

Ce que je pouvais être stupide! .....

On pénétra dans la maimister, il m'envoya dans la salle de bain prendre une douche rapide.

Je lui demandais une serviette propre, Snake rit et dit :

- "T'as encore de la chance que ne t'oblige pas à t'essuyer avec mes sous-vêtements sales! ..."

Je le croyais. Je pris une douche rapide et me sécha avec la serviette la moins souillée que je trouvais, puis-je remis mes nouveaux vêtements et revins dans le salon.

- "Tu n'as pas besoin de t'habiller quand on est à la maimister! ..... Tu ne dois les porter que lorsque l'on sort! ..... "

Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulait dire, puis, je vis mister vi-sage se crisper et il me balança une sévère beigne.

Les vêtements, je ne devais pas porter de vêtements dans sa maimister, pour ce qu'ils cachaient d'ailleurs! .....

Je me dévêtais prestement et me penchais pour enlever mes chaussu-res, mais il me dit de les garder aux pieds.

- "C'est très bien ma chérie... " concéda-t-elle sur le ton de la conversation, on a un peu de temps à tuer.

- "Qu'aimerais-tu faire? ...."

- "Tout ce que vous voudrez maître..." répondis-je aussi obséquieu-sement que possible.

- "Peut être bien que tu pourrais trouver quelque chose à sucer en attendant que Mickey ne ramène tes vêtements! .... Qu'en penses-tu petite salope! ....."

- "Oui maître... "

Que pouvais-je répondre d'autre?

- "Alors demande-le-moi! ...."

Il voulait que je lui demande de sucer sa bite! ....

Je pris une profonde inspiration, il m'avait déjà giflé deux fois aujourd'hui et je ne tenais pas à me prendre une troisième claque.

- "S'il vous plait maître, pourrais-je sucer votre pénis? ...." deman-dais-je servilement.

- "Mon quoi? ...." m'interrogea-t-il incrédule.

- "Stupide salope...... Si je t'entends encore dire un mot comme cela, je te flanque une rouste! ...... M'as-tu bien compris? .....

Je pensais que oui.

J'ignorais seulement de quels termes je devais me servir, et même si je connaissais ce vocabulaire qu'il voulait que j'emploie.

- "Je suis désolée monsieur, je n'ai jamais employé ses mots..... Je ferai de mon mieux je vous le promets! ...."

- "Que veux-tu dire, tu n'aurais donc jamais employé de termes grossiers! ....."

- "J'ai parfois dit merde quelque fois et parfois bordel! ...." rétorquais-je avec hésitation.

Je vis alors mister visage s'empourprer et je comptais mon erreur.

- "Je suis désolée monsieur, je veux dire que je n'ai jamais dit que merde! ...."

- "Poste-toi devant moi salope! ...."

Lorsque je fus en place, il m'intima :

- "Montre du doigt les endroits les plus importants de ton corps et cite-moi leurs noms! ...."

- Ca s'avérait plus difficile que je l'avais pensé, eu égard aux épreu-ves que j'avais endurée toute la journée.

Je désignais ma poitrine et dit :

- "Mes nibards... " puis, je dirigeais mon doigt vers mon vagin et ajoutais :

- "Mon con... " puis désignant mon anus :

- "Mon trou du cul... "

Il désigna alors mister pénis et me demanda :

- "Et ceci? ...."

- Une bite..." répondis-je docilement, j'écoutais ces mots couler de ma bouche pour la première fois, cela me gênait énormément.

- "Une bite et quoi encore? ...."

- "Une bite et des couilles! ...."

- "Désormais tu n'emploieras plus d'autres termes que ceux-là, mets-toi bien ça en tête! .... Tu m'as compris salope? ....."

chrislebo

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#227
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- "Oui monsieur... " répondis-je misérablement.

- "C'est bon... " coupa-t-il " Et maintenant ramène ton cul et suce ma bite..... Et t'as intérêt à ce que ce soit bien fait! ...."

Je me dirigeais vers mister entre-cuisse, mais il m'arrêta descendit mister pantalon et mister caleçon et s'assit face à moi.

Je le débarrassais de ces vêtements, il allongea ses jambes et je com-mençais par lui lécher les burnes.

La puanteur de ses organes génitaux était abominable. Il avait déjà eu des rapports sexuels avec moi, enfin ce n'est pas tout à fait juste, en réalité il m'avait baisée avant que nous quittions la maimister ce matin même et il ne s'étirait pas lavé depuis.

Je ne crois pas qu'il m'avait baisée à nouveau dans le magasin, il était bien trop occupé à encaisser le fric de ces mecs qui voulaient me baiser.

Cela voulait donc dire mister éjaculation avait séché...

Le foutre séché qui souillait sa queue et ses couilles dataient donc de quatre bonnes heures plus tôt.

De toute manière il semblait que sa dernière douche remontait à long-temps.

Je lui léchais les burnes, respirant par la bouche autant que possible pour éviter de renifler la puanteur, comme je lui léchais les burettes, sa gosse bite frottait contre mon visage.

Après quelques minutes il releva ses jambes sur les accoudoirs de mister fauteuil et m'invita à approcher.

- "Allez chérie, enfouis ton visage entre mes cuisses...... Léche mon trou du cul comme tu le ferais pour une petite chatte! ...."

Je n'avais pas le courage de lui avouer que je n'avais jamais mignoté de chatoune, aussi enfouissais-je mon visage dans sa raie du cul et je lé-chais le pourtour de l'étroit oeillet.

C'était infâme. Je ne vous dis le goût qui s'en dégageait.

Mais je me débrouillais pour lui complaire, et bientôt il reposa ses jam-bes au sol et me dit :

- "C'est bon, et maintenant voyons si tu arriveras à me faire éjaculer avant l'arrivée de Mickey......"

Je ne l'avais pas vraiment sucé auparavant. Il m'avait baisé en bouche! ....

Mais j'avais une idée, je posai les lèvres sur mister gland et commençais à le sucer avec enthousiasme.

Il s'enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche, j'essayais de le contenter sans étouffer.

Mais malgré tout mon bon vouloir, je ne parvenais pas à l'introduire dans ma gorge, j'avais peur qu'il ne me gifle violemment aussi tentais-je de tout mon cœur de l'absorber au-delà de ma luette.

Un moment plus tard il se lassa de mes vaines tentatives, il me saisit la tête et donna un violent coup de rein, il me contraignit à savourer sa pré-sence, puis il me libéra en remontant ma tête.

Il répéta plusieurs fois le même processus.

Après plusieurs tentatives il accrut encore la violence de mister coup de boutoir et à ma grande surprise, horrifiée, je le sentis s'enfoncer dans mon arrière-gorge.

C'était douloureux, mais je me rendis compte qu'en m'appliquant, je par-venais à respirer par le nez.

Il se préparait à juter et m'en prévint.

Lorsqu'il cracha ses lourds jets de foutre, i se débrouilla pour que seul mister gland se trouve entre mes lèvres, je pus ainsi savourer pleinement le remplissage de ma bouche. Je pouvais ainsi profiter de toute la saveur de mister foutre.

Je me retirais et finis de le faire juter en le branlant d'une main cares-sante.

Juste avant de me remplir la bouche de sperme, il m'avait prévenu :

- "N'avale tant que je ne te l'aurai pas dit salope! ......"

Aussi restais-je quelques instants la bouche pleine de mister amère potion.

Je me débrouillais pour contenir mes hauts le cœur, dès qu'il eut fini de vomir sa gourme il se retira de ma bouche et me regarda les joues gon-flées de foutre.

- "C'est bien ma chérie, on va avoir une sacré dose de plaisir tous deux, tu apprends vraiment très vite, je vais faire de toi une bonne petite salope en u temps record! ....."

- "Et maintenant quelques règles : tant que je ne te dirai rien d'autre, tu viendras chaque matin, je te dirai à quelle heure la veille, s'il y a un changement de plan, je te le téléphonerai....... Une fois rentrée chez toi tu pourras porter ce que tu veux, mais lorsque tu viendras chez moi tu mettras tes tenues de pute et il vaudrait mieux que je ne te trouve jamais portant des sous-vêtements! ....."

- "Oui monsieur....." marmottais-je sourdement la bouche toujours pleine de foutre.

- "Tant que je ne serai pas lassé de toi, et je ne sais pas dans com-bien de temps cela arrivera, tu feras tout ce que je veux sans me poser de questions, sans proférer la moindre remarque, et cela in-clut le fait de sucer ou de te faire baiser pat tous ceux que je te désignerais, hommes, femmes, bêtes..... As-tu une question à po-ser? ...."

- "Non-monsieur... " répondis-je humblement.

J'entendis à cet instant un véhicule se garer devant la maimister, Snake m'intima d'avaler le foutre que j'avais en bouche.

J'avalais tout avec allégresse, j'espérais désespérément qu'il m'offrirait une boismister qui me permettrait d'estomper cet ignoble fumet que j'avais en bouche.

Snake me poussa vers la porte m'ordonnant :

- "Va ouvrir la porte! ......"

- "Bien monsieur....." je traversai de la pièce et ouvrais la porte juste au moment ou Mickey arrivait mon sac de vêtements à la main.

Je m'écartais pour le laisser passer, mais il me poussa devant lui et dit :

- "J'adore te voir marcher devant moi! ..... tourne du cul! ...."

Ces mots m'avaient toujours gênée, je ne les utilisais jamais bien sur, mais j'étais consciente que laisser les employer en parlant de moi était tout aussi humiliant.

Je haïssais ce type de comportement, mais il est vrai que pour eux je n'étais qu'un con à remplir.

Mickey jeta le sac sur le canapé et m'attira à lui.

Snake intervint :

- "Tu ferais mieux de ne pas lui rouler de pelle, je viens de lui coller une sévère giclée de foutre en pleine gorge! ....."

- '"Est-ce bien vrai salope? ...."

- "Ouvre grand ta bouche que je vois ça! ...."

J'ouvrais docilement ma bouche.

- "Ouvre la plus! ...." m'ordonna-t-il sèchement.

Je m'efforçais de l'ouvrir encore plus lorsque soudain je sentis qu'il tor-dait mes nichons de mister autre main.

- "Force-toi ma chérie, je suis sur que tu peux faire mieux! ...."

J'ouvrais la bouche aussi grandement que possible, au point de dislo-quer mes mâchoires.

J'avais peur qu'il ne soit pas encore content.

Il me regarda alors droit dans les yeux m'interdisant de détourner le re-gard.

Puis il se pencha sur moi, me tenant par la chevelure d'une main, tordant mes nichons de l'autre et il cracha droit dans ma bouche, et il recom-mença encore et encore.

J'étais épouvantée jamais, je n'avais imaginé qu'on me ferait endurer une telle infamie, je n'avais jamais entendu parler de ce genre de rap-port.

Tout mon corps tremblait de révulsion, mais je ne bougeais pas d'un poil si l'on excepte ces tremblements convulsifs.

Ce type était bien pire que Snake.

Il lâcha finalement mes cheveux et m'ordonna de tendre la langue. puis il lâcha mes nichons et entreprit d'enlever mister pantalon, il le descendit sur ses genoux et m'intima :

- "Je pense ma bite n'est pas assez lubrifiée... penche-toi, fais moi bander, enduis ma queue de salive que je puisse te baiser facile-ment! ...."

Il se pencha encore et j'embouchais sa mentule. Sa bite n'était pas aussi grosse que celle de Snake et cela prit du temps avant qu'il ne parvienne à s'introduire dans mon arrière gorge.

- "Eh bien mon salaud! ... " s'esclaffa-t-il s'adressant à Snake

- "Tu prétends que cette salope n'a jamais sucé de bite auparavant! .... Est-ce vrai? ...... Bordel ce qu'elle est bonne! ...."

Snake lui répondit fièrement :

- "C'est ce qu'elle prétend... Et je l'ai crue après sa première pipe! ...... Elle ne savait vraiment pas sucer une bite..... Mais sa chatte était si étroite et goûteuse en compensation! ..... Merde alors, elle était quasiment vierge! .... Une salope de 22 ans mariée à un connard à petite bite depuis moins d'un an... Elle m'a dit qu'elle était arrivée vierge à mister mariage! ..... Tu crois ça mec! ...."

- "Eh ben mec t'as vraiment une chance de cocu, qu'elle bon coup! ....."

Il me repoussa vulgarement et m'enjoignit de m'allonger sur le dos pour qu'il puisse vérifier l'étroitesse de mon chaton.

Je m'allongeais selon mister gré comme une petite chienne bien dressée, instantanément il s'étendit sur moi.

Une nouvelle fois je fus surprise de contraster que mon vagin, pardon ma chagatte était à nouveau trempée de cyprine, prête à l'accueillir.

Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait.

Il fora sa grosse bite dans ma chatoune et entreprit de me labourer vi-goureusement.

Il semblait que tous les motards oeuvraient ainsi à en juger par mon ré-cent gang bang! ......

Je ne sais pas s'il m'avait déjà baisée cet après-midi, mais il me chevau-cha longuement avant de gicler en mi.

Au début je me contentais de subir passivement attendant qu'il en fi-nisse.

Ma foufoune était douloureuse, et je n'espérais qu'une chose rentrer ra-pidement chez moi.

Mais après un bon moment je commençais à sentir mes sens répondre à ses assauts. Je me mis à gémir et lorsqu'il se pencha sur mon torse et entreprit de mâchouiller mes tétons, je commençais à jouir lourdement.

Lorsqu'il exulta à mister tour, il me mordit si sévèrement un téton qu'une tache de sang en décora l'aréole.

Il resta étendu sur moi une bonne minute, reprenant ses esprits, puis il se releva, me fit mettre à genoux et m'invita :

- "Il semblerait qu'il y ait une chose que Snake ne t'a pas encore en-seigné ma petite chérie..... Lorsqu'un mec est assez gentil pour te baiser fougueusement, tu dois ensuite le remercier en lui nettoyant la queue rapidement! ...."

Je pris une profonde inspiration et je pris sa bite souillée en bouche fai-sant de mon mieux pour la nettoyer aussi vite que possible de façon à en savourer le moins longtemps possible le goût et de pouvoir à nouveau respirer librement.

Mais une fois que j'eus correctement nettoyé sa bite, je dus faire de même avec ses burnes aux flagrances plus que douteuses.

Je me débrouillais pour cacher mon dégoût de peur des répercussions.

Enfin Mickey se recula et remonta mister pantalon.

- "Merci Snake, si tu as besoin d'un coup de main pour dresser cette pute, pense à moi je serai heureux de pouvoir t'assister! ...."

- "J'apprécie ton offre! ..." répliqua Snake hilare.

- "Ravi de t'avoir fais plaisir Mickey, à la revoyure! ...." et sur ces mots, Mickey nous quitta.

Snake se tourna vers moi et me dit :

- "Je veux te voir demain à 7 heures du matin, salope... Amène des produits de nettoyage ainsi qu'un aspirateur... Ma femme de mé-nage n'est pas venue depuis un bon moment, aussi t'occuperas-tu du ménage demain..... et maintenant tu peux riper tes galoches! ...."

Je sortais ma tenue usuelle du sac, mais Snake m'arrêta me disant de garder la tenue de cet après-midi, lui obéissant aveuglement je remis ma tenue de salope.

Je faisais tout pour partir rapidement et rentrer chez moi prendre une bonne douche avant de réfléchir à la façon d'affronter mon mari, mes parents, mon pasteur, mes amis, et tous ceux que je devrais rencontrer à un moment ou à un autre.

Je gagnais ma voiture, tachant de ne pas me faire remarquer, que les gens me connaissent ou pas.

Les voisins de Snake semblaient vaquer à leurs occupations sans s'oc-cuper du reste.

Je vis des gens qui travaillaient dans leurs jardins, mais permisterne ne sembla me jeter de coup d'œil inquisiteur.

chrislebo

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#228
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Chapitre 3:



Le dressage commence, elle sert d'abord de femme de ménage à mister tourmenteur puis de vide couille à ses amis!

Je rentrais rapidement chez moi, en approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.

Cela importait peu, je rentrais tout droit au garage et refermais la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignais mon sac et me ruais dans la salle de bain, je me débarrassais de mes fringues putassières et prépa-rais une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.

Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.

Je m'habillais et préparais le souper.

Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un mes-sage de mon mari pendant la journée.....

Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les in-formations.

Nous avions un ordinateur pour la seule raimister qu'il avait parfois besoin de travailler à la maimister.

Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la so-ciété, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore mois regonfler les batteries.

Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de som-brer dans les bras de Morphée.

Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte.

Nous limisters souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale.

Et voila que j'étais devenue une pute, une salope

-"Oh mon Dieu, qu'allais-je faire? ....."

Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin! .....

Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'en-tendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pen-sais :

-"Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé au-tant d'hommes dans la journée? ...."

Je me débrouillais pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient *******. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche! ....

J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes! .....

J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille! .....

Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir.

Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.

On regarda en chœur les informations, plus particulièrement avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait.

Nous votions républicain quoi qu'il arrive! ....

C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas

Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas! .....

La pollution était un mythe.

Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement.

Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit! ....

Je regardais l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de re-tourner à la maimister de Snake.

Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne misterne le réveil, j'arrêtais la misternerie me levais et préparais le petit déjeuner de mon mari. et j'avalais une tasse de café.

C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer! .....

Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeais mon équipement de lavage dans la voiture pris une douche rapide et en-filais ma tenue de salope.

Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.

Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrémal courte qui exposait une large potion de mes miches.

Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.

Je grimpais dans ma voiture et me pressais de gagner la maimister de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait mister petit déjeu-ner lorsque je frappais à la porte, il me hurla d'entrer, je posais mon équipement de lavage et retournais à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.

Lorsque j'eux descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevais ma te-nue de pute et jetais un coup d'œil circulaire pour déterminer par quoi commencer.

C'était, et de loin la maimister la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposais que ce par quoi j'allais commencer importait peu.

Je gagnais la cuisine pour demander à Snake ses instructions.

Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler mister repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé? .....

Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandais s'il avait des instructions particulières à me donner.

-"Ouais je vais aller me reposer un moment je veux que tu te re-mues ton petit cul, mais sans te crever! ..... Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard! ...... Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine, et le salon et que tout soit impeccable! ..... Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes! ......"

Je lui demandais où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne dis-posait de rien qui m'aurait facilité la tâche.

Je commençais par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue.

Snake se recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :

-"Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre... Je dors mieux les couilles vides! ....."

Je posais tout et le suivit dans la chambre, un seul coup d'œil à sa chambre suffit à me rendre malade.

Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit.

Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie? ......

Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés.

J'étais incapable de discerner leur couleur originelle.

De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançais dans sa piaule.

Je pensais tout d'abord :

-"Quel porc! ...." puis, je réalisais que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt! ..... »

Je rampais sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me re-tourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune.

Le parfum qui se dégageait de mister entrecuisse couvert de sueur était innommable.

J'hésitais un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchais et entreprit de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattais de la langue.

Je cajolais alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.

Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'in-téressait pas vraiment.

J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.

Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux.

D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt qu d'y être forcé.

Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrais pas le temps passé à le cajoler.

Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalais le foutre tiède et lui nettoyais minutieusement la bite.

J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer.

Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler! ....

Je me glissais dehors et fermais la porte et m'empressais de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.

Je décidais de commencer par la minuscule cuisine, elle était répu-gnante, mais si petite que j'espérais que cela ne me prendrait pas beau-coup de temps pour la nettoyer.

D'autant plus que vu j'avais les piles d'assiettes salles dans sa chambre.
chrislebo

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#229
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Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était aupa-ravant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.

Je passais au salon. Je ne trouvais pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait.

Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passais l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière.

Puis, je me préparais un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette.

J'étais épuisée, mais je n'osais pas m'arrêter! ...

Je transportais mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyais ce-lui-ci à mister tour.

J'évitais de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir.

Je sortais l'aspirateur par la porte de devant et le rangeais hors de mon chemin, rassemblais mes produits de décrassage et gagnais la salle de bain.

Je commençais par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottais et frot-tais avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait.

Je nettoyais les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant.

Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottais le sol à plu-sieurs reprises avant de le cirer.

J'en terminais finalement.

J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce.

Il leva la lunette des toilettes se tint en face, sortit sa grosse bite et proje-ta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.

Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait? ..... Bordel de merde! .....

J'attendais qu'il en eut fini et je revenais vers cet endroit qu'il souillait.

Le flot de mister urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol.

Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit.

En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordon-nant :

-"Fais-moi une petite pipe ma chérie! ..."

Je frémis à cette idée.

Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas? .....

Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture.

Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.

Aussi ouvrais-je misérablement la bouche qu'il se glisse entre mes lè-vres.

Une goutte de pisse tremblait suintait encore de mister méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci.

Il me tapota la tête puis regagna mister lit.

Je nettoyais à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain.

Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayais-je soigneusement, le lavais et l'épongeais.

Pour finir j'époussetais et cirais le salon.

Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.

Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans.

Aussi nettoyais-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminais et pris une profonde respiration.

Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos.

Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les en-droits que je venais de nettoyer.

Je gagnais la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode.

Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.

Je regardais l'horloge, et à ma grande surprise je constatais que cela fai-sait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche.

Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour.

Je terminais mon coup d'œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce.

Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.

Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyais sa bite à pleine bouche, puis il constata :

- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot! ..... Demain tu t'oc-cuperas de la chambre et de la lessive! ..... Reviens à la même heure...... Et maintenant rhabille toi et vas-t'en! ...."

Je ne comptais pas m'en tirer à si bon compte, je le quittais après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois.

Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain! .....

En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi de toute ma-nière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée.

Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.

Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arri-vée.

Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre.

Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :

-"Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien......"

-"Oui tu pourrais stupide connasse! .... Mais tu vas te rendre à la la-verie automatique de Dorchester... Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refu-ser à qui que ce soit! ..... Si un gugusse te met la main au cul, ou te tate les nichons, tu lui souris... S'il te dit de le sucer ou de te pen-cher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit! .... Je me suis arrangé pour que ta prestations soit surveillée par un bon ami... Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir! ..... C'est bon? ...."

-"Oui monsieur....." soupirais-je cherchant désespérément à cacher ma déception. Je me dépêchais de gagner sa chambre et je rangeais les assiettes sales dans l'évier, puis je triais le linge à la-ver, il me semblait impossible que je puisse tout laver en une jour-née! .....

Je nettoyais la chambre, balayais le plancher, époussetais, ouvrais le lit, retournais le matelas, mais il était aussi dégoûtant que l'envers que sur l'endroit.

Puis je chargeais le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs.

Je me dirigeais vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.

-"Tu aimerais que je dorme bien? .... Tu sais ce qu'il faut faire pour cela! ....."

-"Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable? ....."

-"Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe! ....."

-"Oui monsieur! ...."

Je fis de mon mieux et ne tardais pas à partir pour la blanchisserie, le goût de mister foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.

Je me garais et jetais un coup d'œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre! .....

Je décidais que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plu-sieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands.

Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.

Je déchargeais le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines.

Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lava-ges.

Il y avait 4 permisternes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient atten-tivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier.

Je m'assis et cherchais à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restais les yeux braqués sur la page at-tendant la fin du lavage.

Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandais su l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake.

Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.

Du coin de l'œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à cote de moi et me demanda :

- "Hey chérie que lis-tu? ......"

Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.

-"Ta peau semble douce! ...." me dit-il.

-" T'as de beaux cheveux..... Un joli corps... Une véritable perfec-tion... " et, tendis qu'il me complimentait sa main s'approchait de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire.

Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur co-pain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien.

Et je ne pouvais toujours que leur sourire.

Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre cote de moi.

Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir mister pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma cha-toune.

Et je ne pouvais toujours que sourire.

Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards.

Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne......

Les deux qui ne me worryaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste.

Et je souriais toujours.

Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toimister rousse.

Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.

Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d'œil.

chrislebo

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#230
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Puis, je dus m'agenouiller et dès que je me penchais en avant je me re-trouvais avec une grosse bite en foufoune et une autre en bouche.

Par chance ils jouirent juste à l'instant ou les machines à laver s'arrê-taient.

Je demandais aux deux autres de me laisser remettre mon linge dans mon panier avant qu'ils ne me sautent à leur tour.

Et une fois qu'ils se furent tous satisfaits dans mes orifices, ils m'entourè-rent à nouveau et me prirent en sandwich.

Et je souriais toujours.

Je me débrouillais pour leur demander de m'aider à terminer ma lessive, ce qui fait que j'en eus fini bien plus tôt que je l'avais pensé.

Ils me reprirent alors une fois de plus, puis je rentrais chez Snake.

Je m'appliquais à rentrer discrètement pour ne pas le réveiller.

Mais il était déjà levé.

Il me jeta un oeil et explosa de rire, je dus lui raconter comment cela s'était passé, sans éviter les détails sordides.

Puis, je lui fis une pipe, il jeta un oeil sur sa montre et s'écria :

-"Bordel chérie... Mon copain va être drôlement déçu..... Il était sensé te surveiller pendant encore une heure... BORDEL! .... »

Je pris une douche rapide, me servais d'une serviette et rangeais les au-tres! ...."

Je fis le lit puis lavais les couverts et assiettes que j'avais ramenés de sa chambre ce matin.

Puis je rinçais ma brassière dont le haut était souillé de sperme, il n'y avait pas de toilettes dames à la laverie.

Il se faisait tard et j'étais pressée de regagner ma maimister.

J'attendais que Snake se serve de moi à nouveau mais il téléphonait sans me prêter attention.

Je devais partir rapidement pour préparer le souper et cela commençait à me préoccuper.

Je vis soudain une voiture se ranger à l'extérieur et je jetais un coup d'œil anxieux à Snake.

Il me fit signe d'aller ouvrir la porte.

J'invitais à entrer le couple qui attendait derrière la porte. Je ne les avais jamais vus auparavant.

Ils me mangeaient du regard.

Finalement Snake reposa mister téléphone et me révéla que c'était le cou-ple qui était sensé me surveiller à la laverie, il leur dit ce qui s'était passé et ils explosèrent tous trois de rire. Puis la femme s'assit, releva sa jupe et m'intima :

-Viens ma chérie, cela va ta changer du goût de sperme que tu as en bouche! ....."

Je savais que cela arriverait un jour, mais mon Dieu que c'était dur! ......

Je traversais la pièce et m'agenouillais entre ses cuisses, et je commen-çais à la lécher comme Snake m'avait léché une paire de jours plus tôt me donnant tant de plaisir! .....

Elle semblait apprécier mes caresses linguales.

Je sentis alors mister époux s'agenouiller dans mon dos, et tout de suite il me pénétra violemment enfouissant tout de go sa grosse bite au fin fond de mon utérus.

Pourquoi diable ces hommes étaient-ils si violents? ......

Jamais l'un d'un ne me fera l'amour? ..... BIen que je ne tienne pas par-ticulièrement à faire l'amour avec aucun d'entre eux.

J'avais déjà joui de nombreuses fois dans la Blanchisserie automatique.

J'étais fatiguée.

Aussi attendis-je que le couple ait joui et j'ai regardé Snake pour voir s'il m'autorisait à partir.

Il hocha la tête.

Je me ruais dans la salle de bain, m'essuyais la chatte et le visage et me précipitais dans le salon pour enfiler ma jupe et ma brassière, puis je me pressais de rentrer chez moi.

Comme je partais Snake m'intima d'être là le lendemain à la même heure?

Une fois chez moi je pris une douche rapide puis j'entrepris de préparer le souper.

Il me vint d'un seul coup à l'idée que je n'avais pas vérifié ma boite aux lettres informatique depuis le dernier mail qui m'enjoignait de me rendre chez Snake ce qui m'avait amené à endurer l'une des pires journées de ma vie.

Je gagnais le bureau et allumais l'ordinateur je me figurais à cet instant que le pire était advenu, je m'attendais surtout à trouver des mails d'amis et de la famille.

J'avais reçu plusieurs douzaines de messages.

La plupart s'avérèrent être des spams, d'autres d'amis qui m'envoyaient des blagues, il y en avait deux émanant de Snake.

Je craignais d'en dévoiler le contenu, mais je devais le faire.

J'ouvris le premier, il concernait ma première journée de soumission, il ne contenait que d'horribles photos de moi nue, en train de sucer des bites, et de me faire baiser à couilles rabattues.

J'ouvrais le second message, c'était le même que le précédent en pire.

Il voulait sûrement se moquer de moi en me rappelant que je n'étais qu'une pute à mister entière disposition! .....

La soirée se passa rapidement, j'étais si lasse que je dormis comme une bûche.

Une fois Jay repartit à mister boulot le lendemain matin, je me douchais ra-pidement et me tint prête à le recevoir.

Je rinçais les jupes que je pouvais porter les autres jours il ne me restait plus que le harnais de cuir de propre comme haut.

Je l'enfilais et me débrouillais pour dissimuler la plus grande surface de mes nichons en resserrant les sangles qui traversaient mes nibards pour ce faire.

chrislebo

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#231
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Chapitre 4 :



Une certaine routine s'installe entre les tâches ménagères et les clients ou amis de Snake à éponger!

J'arrivais chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyais la maimister pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.

Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans mister armoire.

Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.

Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposais immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.

- "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait

- "Tu me sembles parfois particulièrement stupide..... On dirait une sombre idiote! ..... Ne vois-tu pas ce que c'est? ..... C'est un simple maillot de bain! .... Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçais des dents.

- "Enfile ce foutu bikini, salope! .... Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver! .... Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt......"

J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.

Je me redressais, la dépliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.

Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille.

Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.

Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus.

Visiblement Snake aimait ma tenue..

Il semblait particulièrement amusé de, constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses.

Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :

- "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maimister, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! .... Des quatre cotés... Commence par le devant de la maimister! ....."

Je jetais un oeil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien.

J'acquiesçais et sortis à l'extérieur.

Je trouvais la tondeuse à gazon derrière la maimister comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude.

J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.

Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.

Je démarrais la taille de la pelouse devant la maimister. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.

En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.

Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler.

Bientôt un autre voisin le rejoignit.

Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.

Toutes les maimisters étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maimister où permisterne ne me regardait travailler.

Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtais.

Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.

Snake était assis dans le salon avec mister voisin d'en face.

C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.

- "Très bien......" pensais-je fugacement.

- « " Peut-être que je n'aurai pas le refaire...... »

- "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."

- "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé! ...."

Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençais mes excuses, Snake me coupa la parole.

- "Espèce d'idiote, mets-toi à genoux pour t'excuser! ....."

Je me laissais tomber à genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :

- "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"

- "Je crois bien qu'oui...» me rétorqua-t-il hilare.... Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux! ....."

Je tendais la main dans mon cou et dénouais les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouais les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussais du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.

Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.

Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre mister pantalon.

J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.

- "Mes médicaments m'empêchent de bander! .... Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."

Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle était très propre. Je le suçais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, mister chibre était bien trop mou pour cela.

Imaginez mon désappointement.

Mais je le suçais avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche.

J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.

Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille.

Puis il ajouta :

- "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête! ....."

- "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."

- "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes? ...."

- "Snake sûrement en tout cas....."

Je gloussais à cette idée. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souillées, prenais ma douche, puis revins au salon.

Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :

- "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune! .... j'adorerais ce genre de fille! ....."

Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière.

Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais séance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.

Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui.

Dès que la moto démarra, les vibrations découvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.

Mais je m'efforçais d'ignorer ces faits et de tenir bon.

En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley saurant de quoi je parle.

Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.

Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois, à peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles.

Nous y jetâmes un coup d'œil.

Il y avait une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans.

Snake aima tout de suite cette jupe.

J'ôtais celui que je portais et enfilais le nouveau.

- "Les gars vont drôlement aimer ça! ..." pensais-je fugitivement.

Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.

L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.

Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.

L'autre était taillé dans le même style que le pagne, un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos.

Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air.

J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.

Puis Larry ajouta :

- "Une chose encore...... Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaimister.

Un calicot, le tissu et l'aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable.

Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.

J'enlevais ma brassière et enfilais précautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d'œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.

chrislebo

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#232
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- "C'est d'accord..." accepta Snake

- "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant? ...."

Larry répliqua :

- "Ils mistert tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez et nous serons quittes! ....."

Snake n'hésita pas.

Larry emballa les articles dans un sac, à l'exception du calicot que je portais., il me le fit enlever et me tendit la main.

Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.

Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée.

Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.

Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.

Il descendit mister pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.

Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite.

Tandis que suçais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.

Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul.

Permisterne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi.

J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....

Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils étaient froids et graisseux.

Il introduisit mister index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts.

Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :

- "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.

- "Vais-je être le premier à t'enculer? ....."

Ces mots retinrent mon attention.

- "Quoi... Non je ne veux pas..... Vous ne pouvez pas me faire cela! ...... Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."

Je me débattais bien un peu mais il me maintenait fermement et me prévint :

- "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi! ...."

- "Non....." soupirais-je déjà résignée à mon triste sort.

Sur ces mots je m'efforçais de me décontracter attendant que la douleur survienne.

Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.

Puis il aligna mister épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força.

Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.

Je couinais de douleur alors que Larry grognait mister plaisir.

Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me powerr imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs.

Dieu que cela faisait mal! ......

Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.

Enfin je sentis mister épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.

Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.

Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.

La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc.

Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait mister épais venin dans mon intestin distendu.

Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombais en avant.

Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et mme roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.

Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.

Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur! .....

Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.

Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue, je serrais les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.

Dès que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.

Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'évier et me nettoyais avec du papier toilette.

Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.

Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroché au bar.

Je me dirigeais vers lui, sans même cherche à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance.

Je me postais à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.

- "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement " il m'a défoncé le trou du cul! .... C'était la première fois que je me faisais enculer! ...... Il m'a fait un peu mal! ....."

Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.

J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boismister.

Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.

Tandis que j'attendais Snake j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule permisterne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.

Finalement Snake me donna ma combinaimister que j'enfilais prestement, c'était mieux que rien.

Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour mister grand plaisir.

On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.

En entrant dans sa maimister j'ôtais ma combinaimister.

Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :

- "Il va s'élargir peu à peu... Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."

- "Oui maître... " lui répondis-je docilement.

- "Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa démarche! ...."

Snake me courba sur une chaise et me baisa à nouveau.

Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.

Je me pointais à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maimister il me dit alors que cela suffisait pour aujourd'hui.

C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.

J'étais chez moi vers 10 heures et je passais la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maimister, puis j'allais faire des courses à l'épicerie du coin.

Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.

Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé, je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir.

Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.

Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents.

Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay.

Il était tout excité en rentrant à la maimister, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.

Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maimister pendant toute la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait u véritable enfer.

Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raimister valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.

Le week-end se passa vite.

Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maimister, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie.

chrislebo

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#233
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Je, n'en avais parlé à permisterne, permisterne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais fait violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.

Permisterne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.

Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot.

J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle.

Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.

Je détestais les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.

Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons.

Je me tournais de part en part devant mon miroir.

Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements.

Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy! ....

Lorsque je réalisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.

Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maimister de Snake, arrivée à la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.

La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maimister.

Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....

La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisais que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.

Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais à poil.

Il me dit seulement :

- "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage....."

Je me laissais tomber à genoux et lui suçais la bite.

Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler.

Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....

Lorsqu'il finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.

Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.

Aussi lui demandais-je timidement :

- "Puis vous demander quelque chose maître? ..."

Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :

- "Oui, que veux-tu? ...."

- "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre! ..... Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais....."

Si je devais faire mister satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière."

Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée.

Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.

Quel bordel! .....

Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.

Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que mister lit était fait.

Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans mister dos.

J'entrepris alors de nettoyer la maimister.

Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....

J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs.

Je nettoyais entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.

J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte.

Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée.

Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.

- "Snake est couché monsieur Steadman..." avançais-je sereinement.

Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :

- "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."

Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir.

Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake! ....

Je me reculais pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go mister pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.

J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite.

De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.

Je pris sa bite molle en bouche et je suçais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.

Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.

C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.

C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.

Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maimister où je repris une bonne douche et me brossais les dents.

Puis, je m'occupais de faire mon ménage.

Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.

Je me représentais dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar.

Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.

Tout en pensant à tout celà, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas à jouir avec intensité.

Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes! .....

Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maimister entièrement nue! ......

Que devenais-je donc sous la férule de Snake? ......

J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et vérifiais mes mails.

Mon mari m'avait envoyé le planning de mister voyage à Atlanta la semaine prochaine.

Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche.

Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentrés avant dimanche matin de la semaine suivante.

Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me disais que celà me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir.

Depuis la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute permisternelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maimister et du seigneur naturellement.

Je ne pensais plus qu'à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie.

J'allais éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake.

Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.

Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.

Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et préparais le souper.

Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de mister voyage.

Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme.

Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.

Je trouvais incroyable, qu'après tout que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude.

Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment.

Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement.

Mais, quelle qu'en soit la raimister je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire! .....

Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.

Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique.

Lorsque Jay obtint finalement mister petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur mister ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant! ...

Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais entièrement.

Puis, je revins au lit et restais éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.

chrislebo

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#234
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Est-ce parce que j'étais éreintée? .....

Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou vulgariser pour orgasmer? ....

Mon Dieu j'espérais bien que non! .....

Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.

Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire mister ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.

J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.

Je me déshabillais à la porte et nettoyais rapidement la maimister.

Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.

Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.

Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graissée.

Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait.

Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.

Il était déjà installé sur mister fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.

Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commençais mon labeur, je les ignorais totalement concentrée sur mes mouvements.

Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.

Je pris le temps de me dire :

- "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maimister tu seras hors de vue! ...."

Je me dépêchais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais à l'arrière de la maimister sur un rythme plus tranquille.

Une fois ce travail terminé je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.

Puis je rentrais dans la maimister et pris une douche.

Pendant que je me rinçais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un séchoir.

Je me séchais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il était pratiquement midi maintenant.

J'entendis bouger dans le fond de la maimister, Snake apparut et gagna la salle de bain.

Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler mister urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.

En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.

Il n'avait pas encore proféré un seul mot.

Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit.

Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune.

Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer.

Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.

Il joua un bon moment avec ma toimister rousse et enfin me parla.

- "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte! ..... J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toimister de rouquine! ....."

Il sourit sur ces mots et ajouta :

- "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier! ...."

Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée.

Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans mister dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.

Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.

Puis il jouit à mister tour, il gicla en moi me pistonnant vulgarement comme d'habitude.

Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.

Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.

Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.

Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court maillot et un pagne.

Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à mister habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.

MES DETTES! .....

Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues! ....

Larry fit un signe à Tom et me traîna nouveau, en arrière vers la resserre.

Cette fois Snake nous suivit caméra au poing.

Dès que nous sommes entrés, je me déshabillais, sans même qu'on le l'ordonne.

Larry aussi se dépouilla de ses vêtements et je m'agenouillais face à lui et je commençais à lui léchouiller la bite, la titillant gentiment, il se mit à bander.

Après quelques minutes je dus me disposer à quatre pattes et il me bouffa tout d'abord le cul, puis il le graissa en évasant le goulot puis il enfourna vulgarement sa bite dans mon oeillet frémissant et m'encula frénétiquement.

Il se tenait à mes seins qu'il pétrissait allégrement, bientôt alors que ses mains me meurtrissaient le nichons je jouissais sous ses assauts.

C'était la première fois que je jouissais sous les coups de boutoir d'un soudard qui m'enculait âprement!

J'en fus si surprise que je ne remarquais pas l'instant ou il vomit mister foutre au fin fond de mon intestin.

Il se retira et je me retournais et me baissais pour nettoyer sa mentule.

Alors que j'effectuais cette tâche, je sentis Snake se poster dans mon dos, je suppose qu'il devait penser que j'étais suffisamment préparée pour supporter mister énorme chibre.

Je suppose qu'il avait raimister.

Cela faisait mal, mais je commençais à aimer cette pratique!

C'était douloureux, humiliant et révoltant mais j'eus un nouvel orgasme!

Et ouvrant les yeux, je vis que Mickey enregistrait l'épisode, à cette vue je jouis de nouveau.

Larry reprit la caméra en main et Mickey commença à se déshabiller.

Je pensais qu'il allait essayer à mister tour mon trou du cul à la suite de Snake.

Mais j'avais tort, en fait, il s'agenouilla face à moi et promena sa bite dans ma fentine et l'enfonça vivement dans ma foufounette.

Je hurlais sourdement, j'étais emplie par deux bites, je ne parvenais pas croire que c'était possible.

Ils adoptèrent alors un rythme adéquat, je supposais que ce n'était pas la première fois qu'ils prenaient une fille ne sandwich.

Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'était bon lorsqu'ils accordèrent leurs mouvements.

Je criais sourdement, je rebondissais d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que je m'évanouisse.

Je ne sais pas combien de temps je restais inconsciente, mais lorsque je revins à moi, j'étais étendue sur le dos et ils regardaient tous un inconnu qui me chevauchait âprement.

Je les regardais, puis je regardais l'homme qui me baisait, je l'enserrais de mes bras et mes jambes et je baisais comme une folle, nous avons joui tous deux en même temps.

Puis je me relevais et nettoyais toutes les bites qu'elles sortent de mon cul ou de ma chatte, une bonne ménagère ne termine jamais sa journée de travail!

Ils m'ordonnèrent de me rendre dans les toilettes pour dames, de me laver puis de revenir avec eux.

Nous sommes tous retournés dans le magasin et je me ruais, entièrement nue dans les toilettes pour dames.

Une fois de plus une nuée de sifflements et de commentaires graveleux m'accompagnèrent.

Lorsque je revins à l'endroit où se tenait Snake, le gars qui venait de baiser regardait les vêtements exposés.

Il semble qu'en remerciement d'avoir accepté qu'il baise mon corps inconscient il devait m'acheter quelques nouveaux articles que je devais enfiler et porter avant que nous quittions le bar.

Je me tenais nue en attendant qu'il ait fait mister choix, finalement il se décida pour une tenue extrêmement chère.

Il aurait pu choisir une tenue moins coûteuse et moins transparente, il y en avait plein!

Mais il choisit un soutien-gorge fait de cuir et de chaînes.

En fait il y avait des sangles de cuir là où normalement on trouvait les bretelles et les attaches, mais les bonnets étaient ouvert seulement traversé de fines chaînes.

Mes nichons étaient mis en valeur par ces chaînes qui les décoraient, j'aurai tout aussi bien pu être torse nu.

Il regarda l'effet que cela faisait, et me pinçant cruellement les tétons il constata :

- C'est vraiment chouette, j'aime ça!

Sur ces mots il paya Larry et nous sommes retournés au bar écluser quelques godets.

Alors que nous étions assis à une table avec une paire de demis, des clients s'approchèrent et discutèrent avec Snake.

Ils prenaient tout leur temps pour contempler sans vergogne mes nibards, ils n'hésitaient même pas à les pincer et à en étirer les mamelons.

Il y en a un même qui m'a mordu!

Il se faisait tard, Snake se releva, je le suivis jusqu'à la moto et on rentra tranquillement chez lui.

J'essayais d'oublier le top que je portais, être exhibée en public me paraissait maintenant tout à fait banal.

En rentrant chez lui il brancha sa caméra sur la télé et visionna l'enregistrement tandis que je le suçais tendrement, il me dit de me tourner de profil pour que je puisse voir aussi le spectacle se déroulant sur l'écran.

C'était terrible, jamais je n'avais été aussi humiliée, mais je remarquais aussi que jamais je n'avais été aussi sexy!

Finalement Snake se vida à nouveau les couilles dans ma gorge et je me rhabillais lorsque monsieur Steadman frappa à la porte.

Je regardais Snake, il se contenta de me sourire aussi je reposais ma jupe sur le crochet et je me penchais en avant pour sucer monsieur Steadman, puis je me rhabillais et me pressais de rentrer chez moi.

chrislebo

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#235
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Chapitre 5 :



la routine s'installe, le ménage, les voisins, une nouvelle visite au sex-shop de Larry.

J'arrivais chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyais la maimister pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.

Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans mister armoire.

Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.

Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposais immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.

- "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait

- "Tu me sembles parfois particulièrement stupide..... On dirait une sombre idiote! ..... Ne vois-tu pas ce que c'est? ..... C'est un simple maillot de bain! .... Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçais des dents.

- "Enfile ce foutu bikini, salope! .... Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver! .... Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt......"

J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.

Je me redressais, la dépliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.

Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille.

Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.

Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus.

Visiblement Snake aimait ma tenue..

Il semblait particulièrement amusé de, constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses.

Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :

- "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maimister, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! .... Des quatre cotés... Commence par le devant de la maimister! ....."

Je jetais un oeil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien.

J'acquiesçais et sortis à l'extérieur.

Je trouvais la tondeuse à gazon derrière la maimister comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude.

J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.

Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.

Je démarrais la taille de la pelouse devant la maimister. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.

En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.

Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler.

Bientôt un autre voisin le rejoignit.

Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.

Toutes les maimisters étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maimister où permisterne ne me regardait travailler.

Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtais.

Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.

Snake était assis dans le salon avec mister voisin d'en face.

C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.

- "Très bien......" pensais-je fugacement.

- « " Peut-être que je n'aurai pas le refaire...... »

- "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."

- "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé! ...."

Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençais mes excuses, Snake me coupa la parole.

- "Espèce d'idiote, mets-toi à genoux pour t'excuser! ....."

Je me laissais tomber à genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :

- "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"

- "Je crois bien qu'oui...» me rétorqua-t-il hilare.... Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux! ....."

Je tendais la main dans mon cou et dénouais les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouais les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussais du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.

Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.

Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre mister pantalon.

J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.

- "Mes médicaments m'empêchent de bander! .... Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."

Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle était très propre. Je le suçais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, mister chibre était bien trop mou pour cela.

Imaginez mon désappointement.

Mais je le suçais avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche.

J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.

Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille.

Puis il ajouta :

- "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête! ....."

- "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."

- "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes? ...."

- "Snake sûrement en tout cas....."

Je gloussais à cette idée. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souillées, prenais ma douche, puis revins au salon.

Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :

- "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune! .... j'adorerais ce genre de fille! ....."

Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière.

Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais séance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.

Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui.

Dès que la moto démarra, les vibrations découvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.

Mais je m'efforçais d'ignorer ces faits et de tenir bon.

En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley saurant de quoi je parle.

Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.

Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois, à peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles.

Nous y jetâmes un coup d'œil.

Il y avait une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans.

Snake aima tout de suite cette jupe.

J'ôtais celui que je portais et enfilais le nouveau.

- "Les gars vont drôlement aimer ça! ..." pensais-je fugitivement.

Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.

L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.

Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.

L'autre était taillé dans le même style que le pagne, un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos.

chrislebo

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#236
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Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air.

J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.

Puis Larry ajouta :

- "Une chose encore...... Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaimister.

Un calicot, le tissu et l'aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable.

Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.

J'enlevais ma brassière et enfilais précautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d'œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.

- "C'est d'accord..." accepta Snake

- "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant? ...."

Larry répliqua :

- "Ils mistert tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez et nous serons quittes! ....."

Snake n'hésita pas.

Larry emballa les articles dans un sac, à l'exception du calicot que je portais, il me le fit enlever et me tendit la main.

Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.

Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée.

Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.

Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.

Il descendit mister pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.

Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite.

Tandis que suçais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.

Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul.

Permisterne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi.

J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....

Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils étaient froids et graisseux.

Il introduisit mister index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts.

Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :

- "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.

- "Vais-je être le premier à t'enculer? ....."

Ces mots retinrent mon attention.

- "Quoi... Non je ne veux pas..... Vous ne pouvez pas me faire cela! ...... Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."

Je me débattais bien un peu mais il me maintenait fermement et me prévint :

- "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi! ...."

- "Non....." soupirais-je déjà résignée à mon triste sort.

Sur ces mots je m'efforçais de me décontracter attendant que la douleur survienne.

Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.

Puis il aligna mister épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força.

Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.

Je couinais de douleur alors que Larry grognait mister plaisir.

Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me powerr imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs.

Dieu que cela faisait mal! ......

Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.

Enfin je sentis mister épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.

Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.

Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.

La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc.

Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait mister épais venin dans mon intestin distendu.

Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombais en avant.

Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et mme roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.

Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.

Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur! .....

Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.

Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue, je serrais les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.

Dès que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.

Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'évier et me nettoyais avec du papier toilette.

Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.

Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroché au bar.

Je me dirigeais vers lui, sans même cherche à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance.

Je me postais à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.

- "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement " il m'a défoncé le trou du cul! .... C'était la première fois que je me faisais enculer! ...... Il m'a fait un peu mal! ....."

Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.

J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boismister.

Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.

Tandis que j'attendais Snake j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule permisterne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.

Finalement Snake me donna ma combinaimister que j'enfilais prestement, c'était mieux que rien.

Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour mister grand plaisir.

On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.

En entrant dans sa maimister j'ôtais ma combinaimister.

Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :

- "Il va s'élargir peu à peu... Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."

- "Oui maître... " lui répondis-je docilement.

- "Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa démarche! ...."

Snake me courba sur une chaise et me baisa à nouveau.

Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.

Je me pointais à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maimister il me dit alors que cela suffisait pour aujourd'hui.

C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.

J'étais chez moi vers 10 heures et je passais la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maimister, puis j'allais faire des courses à l'épicerie du coin.

Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.

Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé, je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir.

Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.

Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents.

Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay.

Il était tout excité en rentrant à la maimister, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.

Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maimister pendant toute la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait u véritable enfer.

Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raimister valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.

Le week-end se passa vite.

Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maimister, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie.

chrislebo

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#237
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Je, n'en avais parlé à permisterne, permisterne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais fait violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.

Permisterne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.

Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot.

J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle.

Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.

Je détestais les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.

Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons.

Je me tournais de part en part devant mon miroir.

Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements.

Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy! ....

Lorsque je réalisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.

Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maimister de Snake, arrivée à la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.

La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maimister.

Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....

La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisais que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.

Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais à poil.

Il me dit seulement :

- "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage....."

Je me laissais tomber à genoux et lui suçais la bite.

Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler.

Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....

Lorsqu'il finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.

Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.

Aussi lui demandais-je timidement :

- "Puis vous demander quelque chose maître? ..."

Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :

- "Oui, que veux-tu? ...."

- "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre! ..... Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais....."

Si je devais faire mister satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière."

Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée.

Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.

Quel bordel! .....

Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.

Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que mister lit était fait.

Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans mister dos.

J'entrepris alors de nettoyer la maimister.

Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....

J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs.

Je nettoyais entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.

J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte.

Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée.

Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.

- "Snake est couché monsieur Steadman..." avançais-je sereinement.

Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :

- "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."

Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir.

Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake! ....

Je me reculais pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go mister pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.

J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite.

De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.

Je pris sa bite molle en bouche et je suçais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.

Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.

C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.

C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.

Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maimister où je repris une bonne douche et me brossais les dents.

Puis, je m'occupais de faire mon ménage.

Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.

Je me représentais dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar.

Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.

Tout en pensant à tout celà, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas à jouir avec intensité.

Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes! .....

Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maimister entièrement nue! ......

Que devenais-je donc sous la férule de Snake? ......

J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et vérifiais mes mails.

Mon mari m'avait envoyé le planning de mister voyage à Atlanta la semaine prochaine.

chrislebo

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#238
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Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche.

Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentrés avant dimanche matin de la semaine suivante.

Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me disais que celà me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir.

Depuis la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute permisternelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maimister et du seigneur naturellement.

Je ne pensais plus qu'à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie.

J'allais éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake.

Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.

Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.

Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et préparais le souper.

Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de mister voyage.

Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme.

Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.

Je trouvais incroyable, qu'après tout que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude.

Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment.

Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement.

Mais, quelle qu'en soit la raimister je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire! .....

Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.

Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique.

Lorsque Jay obtint finalement mister petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur mister ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant! ...

Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais entièrement.

Puis, je revins au lit et restais éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.

Est-ce parce que j'étais éreintée? .....

Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou vulgariser pour orgasmer? ....

Mon Dieu j'espérais bien que non! .....

Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.

Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire mister ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.

J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.

Je me déshabillais à la porte et nettoyais rapidement la maimister.

Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.

Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.

Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graissée.

Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait.

Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.

Il était déjà installé sur mister fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.

Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commençais mon labeur, je les ignorais totalement concentrée sur mes mouvements.

Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.

Je pris le temps de me dire :

- "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maimister tu seras hors de vue! ...."

Je me dépêchais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais à l'arrière de la maimister sur un rythme plus tranquille.

Une fois ce travail terminé je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.

Puis je rentrais dans la maimister et pris une douche.

Pendant que je me rinçais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un séchoir.

Je me séchais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il était pratiquement midi maintenant.

J'entendis bouger dans le fond de la maimister, Snake apparut et gagna la salle de bain.

Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler mister urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.

En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.

Il n'avait pas encore proféré un seul mot.

Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit.

Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune.

Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer.

Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.

Il joua un bon moment avec ma toimister rousse et enfin me parla.

- "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte! ..... J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toimister de rouquine! ....."

Il sourit sur ces mots et ajouta :

- "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier! ...."

Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée.

Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans mister dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.

Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.

Puis il jouit à mister tour, il gicla en moi me pistonnant vulgarement comme d'habitude.

Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.

Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.

Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.

Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court maillot et un pagne.

Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à mister habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.

MES DETTES! .....

Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues! ....

chrislebo

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#239
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Chapitre 6 :



où notre héroïne accueille et distrait les copains de Snake pendant un barbecue.

Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage.

Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.

Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maimister, prenais une douche et restais nue.

Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir.

Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir!

Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu.

Au début la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :

- Je veux que tu viennes demain... Dès que ton mari partira pour Atlanta!

Il me sembla que ma mâchoire se décrochait.

Comment le savait-il?

Comment pouvait-il bien l'avoir appris?

Je n'en avais pas dit un mot!

Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné!

Snake explosa de rire et ajouta :

- Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe!

- Com... Comment... Comment le sais-tu?

- Ce n'est pas ton problème petite chienne! ... Et maintenant mets-toi au boulot!

- Oui maître!

- Et au fait, lorsque tu viendras demain matin apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents! .. Tu séjourneras chez moi un bon mo-ment!

Oh mon Dieu! Pensais-je éperdue, ce ne peut pas être vrai.

Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester.

J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats.

Mais une semaine chez lui.....

Sans pouvoir retourner chez moi le soir! ....

Mon cœur battait la chamade à cette idée!

J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune.

Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.

Je me retrouvais devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage.

Je me ruais dans ma voiture et démarrais sur les chapeaux de roues.

Je rentrais chez moi, me déshabillais et commençait mon ménage dans cette tenue.

Je me versais un verre du vin m'assis cherchant à me décontracter.

J'essayais d'imaginer à quoi il ressemblerait cette période où je serai totalement sous le de ce monstre 24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours.

Je n'y parvenais pas, ou je m'y refusais.

Les images qui me venaient en tête m'étaient insupportables.

Je bus mon vin et me postais devant mon ordinateur.

Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip.

Je regardais plusieurs fois le clip puis je m'intéressais aux photos, puis je visionnais à nouveau le petit film à plusieurs reprises.

Tandis que je le regardais, je promenais mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatais à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.

Je me ruais dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise.

Puis j'étendais la serviette sur mon siège et m'assis dessus.

Et je repris mes caresses

Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue?

Je finis par éteindre l'ordinateur je m'essuyais la chagatte avec la serviette que je balançais ensuite dans la lingerie.

Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages.

Je posais la valise près de la porte du garage, puis je préparais le souper.

Je ne parvenais pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maimister.

Je le touchais constamment, l'embrassais, posais ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.

Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher.

Nous avons fait l'amour très tendrement.

Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.

Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à mister avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.

Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levais pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassais pour lui dire au revoir.

La limousine l'emporta et je préparais mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrais dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposais aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres.

Puis je balançais le sac sur le siège passager et je me rendais à la maimister de Snake.

Je me déshabillais dans l'entrée.

Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.

- Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre... J'y organise un barbecue tout à l'heure et enfile ça!

Il prit dans sa table de nuit et me la lança.

C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand "SALOPE" sur la plaque chromée.

Je sortais à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerais dans la salle de bain en me regardant dans le miroir.

Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait.

Je plaçais le collier autour de mon cou et le bouclais. , il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.

Je gagnais la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puise paraître, je pensais seulement que cela me rendait très excitante!

Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter!

Je nettoyais la maimister, m'habillais et sortis pour ranger l'arrière cour.

Je rangeais la tondeuse à gazon dans le hangar et vidais les cendres du grill à barbecue et le remplit de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.

Je rentrais dans la maimister, me déshabillais et regardais ce qui se trouvait dans le réfrigérateur.

Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparait un grand plat de charcuterie.

Je hachais quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.

Tout au début de l'après-midi Le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa.

Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrais ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :

- T'as fait du bon boulot, merci! ... Il te reste une chose à faire, viens avec moi!

Elle m'entraîna au salon s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit.

Je tombais à genoux entre ses jambes et commençais à l'embrasser.

Je débutais par ses genoux et remontais le long de ses cuisses, je retroussais le bas de sa jupe et continuais mon chemin.

Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à mister intimité.

Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que mister clito et les lèvres de sa chatoune.

J'embrassais et léchais tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.

Alors que je l'embrassais et la léchais avidement je sentais sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflais doucement sur sa fentine.

Je savourais avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.

Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartais la bande formant le fond de mister string, toute surprise je réalisais que j'adorais ce que je faisais!

Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle!

Je continuais à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.

Alors que je me redressais j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :

- Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire!

Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil!

chrislebo

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#240 
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J'étais prête!

Il me baisait âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer.

Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :

- Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait!

Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à mister tour.

Je me redressais alors et lui nettoyais consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.

- Merde alors! ..... Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler! .... S'exclama la femme

- Ce sera pour plus tard! ..... Allez ma fille viens t'occuper du grill.

Je me levais et me préparais à remettre mes vêtements

- Laisse ça, tu n'en as nul besoin... allons-y! .....

Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue?

Nous sommes sortis et je me contentais de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill.

Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur.

Lorsque nous sommes rentrés dans la maimister Snake était levé et buvait déjà de la bière.

Je suivais docilement la femme et l'aidais à transporter le matériel nécessaire au barbecue.

Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.

Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des motards.

On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude.

Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.

Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimais qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes.

Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes!

Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, permisterne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux!

J'allais ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa mister doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour.

Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.

Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'im-pression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute ma-nière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le ris-que.

Lorsque j'approchais de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant.

Je commençais à fredonner un air de danse dans ma tête sur lequel je cherchais à danser.

Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais permisterne ne se plaignait de ma performance.

Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.

La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table.

Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquais 4 hommes qui sortaient un banc du patio.

Je supposais que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.

Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table.

Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue.

Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc.

Une sangle m'entourait la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc.

Mes jambes et mes bras étaient fruits, mais je ne pouvais pas bouger.

Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol.

Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.

Dès le début du film les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage.

D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film.

Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.

Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide.

Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre.

Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.

Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises.

Je commençais à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtais aucune attention à ce qui se passait autour de moi.

Je remarquais cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.

Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurais allongée à plat dos sur le banc toute la nuit.

Quelques gars allèrent pisser su fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.

On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux.

Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture.

Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché ça et là sur mon corps et mon visage.

Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.

Je me plaçais dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps.

Je me précipitais sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses permisternes, surprise et consternée.

Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus.

Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon.

Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par mister nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais permisterne par leur nom, c'était plus sûr.

Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchais et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.

Je lui obéis promptement sans une plainte, je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priais pour qu'elle épargne ma chatoune.

Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette.

Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante.

Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une permisterne.

- Rude nuit ma fille! ..... Me demanda-t-elle.

- Oh oui madame... Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.

- Appelle-moi Beth..... me dit-elle.

- Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée! .... J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer... Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maimister et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit.....

- Je pense qu'à la nuit tombée Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour! ..... Il adore se montrer un excellent hôte! ..... Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit...

- Je sais que cela fait très mal! ..... Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir! .... A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis! ....

- Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir! .....

- Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne.

Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me power à subir des choses dégradantes.

Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :

- Eh merde alors..... Chérie, tu as intérêt à t'appliquer..... Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant..... Il cherche à les briser..... Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable... Certaines de ces filles..... Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit! .....

J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquais, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère? ....

Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout! .....

Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant.

Je me débrouillais pour dormir un peu et je me réveillais vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler.

Il me fit lever et me roula un patin, mister haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers.

Je l'embrassais en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.

Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth.

Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :

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