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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#151
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Satisfaire la lubricité de Miloud lui suffisait amplement et ce soir elle était moulue, ses reins, mister trou du cul lui faisaient mal, mister anus la brûlait.

Peu accoutumée à de tels assauts c'est avec plaisir qu'elle verrait sa servitude amoindrie par l'intervention d'une tierce permisterne.

Le dimanche se déroula sans événement particulier, Françoise et Mu-rielle satisfèrent leurs suborneurs de la bouche, du con et du cul mais déjà leur esprit banalisait leur soumission, elles avalaient le foutre par leurs trois orifices consacrés à cette office, uniquement soucieuses de satisfaire leurs maîtres, se pliant à leurs moindres désirs.

Le soir ils surveillèrent l'infirmière, Françoise ayant tu l'invitation ne se vit pas dans l'obligation de participer.

Ils revinrent avec une nouvelle bande tout aussi croustillante.

Satisfaits de leurs week-end ils s'organisèrent une petite partouze se ta-pant à trois, successivement les deux bacchantes.

Pour terminer la bande vidéo, tandis que Françoise accueillait trois mecs, l'un dans le cul, l'autre dans le con, le troisième dans la bouche, Murielle filmait la bête à trois dos, puis elles échangèrent leurs rôles et ce fut Françoise qui mit en boite Murielle embrochée sur les trois bites qui la secouaient d'importance.

la dernière nuit fut plus calme, au réveil, avant de quitter furtivement la chambre, Françoise fit une dernière gâterie à Miloud qui lui ordonna :

- Au briefing ce matin, tu te porteras candidate au poste vacant de seconde éducatrice de week-end... Ce sera plus pratique que de trouver des excuses vaseuses toutes les semaines... Tu n'en seras que plus à disposition!

- Mais , mes enfants, comment vais-je...

- Tu t'en occuperas plus dans la semaine... Enfin si tu ne veux pas que je me serve des photos... Tu sais ce que tu dois faire...

- Je me débrouillerais... Abdiqua-t-elle consciente que menace ou pas, de toute manière elle se serait conformée à sa volonté.

- - Ca vaut mieux pour toi ma salope... Dorénavant, c'est tous les week-ends, et... Quand je passerai te voir dans la semaine, que tu t'occuperas de ma bite... Et de celles de mes copains... L'avertit Miloud attribuant cette prompte reddition à sa menace.

Elle acquiesça, convaincue que maintenant qu'elle avait accepté une première fois de se plier à ses volontés, il était trop tard pour revenir en arrière .

Quelque part, mister corps ne lui appartenait plus, il réclamait mister du, peu habitué à de si fougueux amants, à de tels assauts, il ne pouvait plus se satisfaire de la vie rangée et pépère qu'elle menait auparavant, la tiède fornication de mister mari lui paraissait bien mièvre en comparaimister.

Elle devait accepter le joug pour lui permettre à nouveau d'exulter.
chrislebo

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#152
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Chapitre 5 : Elargissement du cheptel.

Obéissante, Françoise postula au poste vacant d'éducatrice de week-end, sa candidature fut immédiatement retenue, ce poste n'étant convoi-té par permisterne, elle devait donc prendre mister nouvel emploi du temps dès cette semaine.

Les explications, à la maimister furent fort simples, elle exposa à mister mari que, ses rentrées le soir se faisant de plus en plus tardives, cette oppor-tunité lui permettrait de veiller sur les enfants la nuit tombée, de les aider pour leurs devoirs.

Tandis que le week-end il se chargerait d'eux, ou le cas échéant ils se-raient confiés à leurs grands parents.

Cette solution présentant effectivement de gros avantages pour la vie du foyer, mister mari, aveugle, la félicita de cette initiative.

Une coïncidence fortuite devait accélérer le processus de soumission des deux gouines : le bébé de sa voisine étant malade, Françoise la conduisit à la pharmacie, et à sa grande surprise se trouva confrontée à la femme dont elle avait remarqué la photo chez Sylvie, blonde, distin-guée, la belle quarantaine entretenue, la pharmacienne était loin de se douter de l'intérêt qu'elle provoquait.

La voisine, qui se fournissait toujours dans cette pharmacie, renseigna Françoise qui la questionnait habilement.

Madame Delcroix avait épousé le pharmacien, ou plutôt la pharmacie, ce qui, disaient les mauvaises langues la mettrait à l'abri du besoin le mo-ment venu, mais avec la pharmacie, elle avait du accepter la compagnie du pharmacien, âgé de soixante ans, prude, rigide, conformiste.

Si mister époux, jaloux comme un tigre, lui interdisait toutes fréquentations masculines, conscient de mister incapacité à meubler la vie sociale d'une femme encore jeune, il l'autorisait, en tout bien tout honneur, à fréquen-ter des femmes de mister age avec lesquelles elle se livrait à de fréquentes escapades, prenait des vacances, se distrayait en dehors de la présence contraignante du mari.

Françoise compléta intérieurement le tableau, estimant que le pharmacien, ne devait pas se douter des activités de sa femme qui semblait confondre jeux de société et jeux de dames.

Presque la caricature de la femme mariée encore jeune, par intérêt, avec un époux nettement plus âgé, qui évidemment avait encore vieilli, la dif-férence d'age et d'activité ne faisant qu'accroître l'isolement, voire la ran-cœur de la femme épanouie qu'elle était devenue.

Rien de surprenant à ce qu'elle satisfasse ses appétits en dehors du couple conventionnel qu'ils semblaient former.

Rien de plus évident qu'elle se devait de cacher sa vie clandestine, le rapport de la voisine évoquant un précoce vieillard aigri, plus soucieux de la bonne marche de mister affaire que de la vie affective de sa parte-naire qu'il négligeait, mais imbu de sa permisterne au point de provoquer un drame si le moindre soupçon au sujet de la vertu de sa femme lui venait.

Une proie bien facile pour mister amant qui, avec ses amis aurait vite fait de la mettre au pas.

Tant mieux mistergeait-elle, consciente, comme Murielle l'avait été aupara-vant qu'une participante de plus allégerait leur condition permisternelle.

Le mercredi, comme toutes les semaines, Marc et Frédérique furent autorisés à se rendre à la piscine, toujours sous la surveillance du jeune voisin, et inconsciemment Françoise se mit à guetter l'arrivée des garçons.

Vers 14 heures, la misternerie retentit, elle se précipita, ouvrit la porte, sur le seuil se tenait Miloud.

Dans mister impatience ce dernier, la porte à peine refermée la fit s'agenouiller sur le tapis.

D'elle même, avec une certaine impatience, les joues en feu, elle des-cendit la glissière de la fermeture éclair.

Avec bonheur elle extirpa le membre déjà turgescent du slip, et le prit sans plus de façon à pleine bouche.

Elle se rendait compte que, depuis mister lever elle attendait cette minute, Miloud n'avait pas eu à la powerr, sa gorge espérait depuis le matin la présence envahissante de la verge juvénile qui la bâillonnait.

Elle se fit experte, de la langue elle repoussait le prépuce, dégageait le gland turgescent, flattait le frein, aspirait le gros cylindre jusqu'aux amygdales, se retirait pressant la hampe.

Sa bouche se faisait onctueuse, Miloud avait l'impression de forniquer dans un vagin, la bouche était si pressante, si enveloppante que bientôt sa queue fut secouée de spasmes annonciateurs de sa jouissance.

Complice, elle l'engloutit au fin fond de sa gorge, l'agaçant au passage de quelques légères morsures.

En longs jets saccadés le jus déferla dans sa gorge, elle s'empressa de déglutir et tout le temps de la longue éjaculation, elle continua à tˆter le chibre bronzé, le trayant avec vigueur jusqu'à la dernière goutte.

Enfin elle ressortit lentement le gourdin beaucoup moins glorieux et le lapa soigneusement, le nettoyant consciencieusement avant de le ranger dans sa primister de coton.

Puis, la semence lui barbouillant encore le menton, elle informa mister amant de la réussite de ses projets, elle avait obtenu le poste pour lequel il l'avait obligée à postuler.

Ensuite seulement, elle lui livra tous les renseignements qu'elle avait pu collecter concernant la pharmacienne.

Pressé de mettre au courant ses acolytes Miloud la quitta rapidement, n'oubliant cependant pas de fixer la tenue qu'elle devrait revêtir vendredi

Le vendredi arriva vite, comme déterminé, Françoise se présenta au rapport, dans la chambre de Miloud, vêtue d'une courte jupe en cuir, d'un chemisier ample, de bas et d'un porte jarretelles, Murielle qu'elle avait croisée dans le couloir arborait une tenue identique, Miloud, vérifiant mister obéissance, la flatta de la main en la complimentant.

Charles, qui guettait l'arrivée des voitures au parking vint annoncer la bonne nouvelle : l'infirmière débarquait en compagnie de sa blonde amie.

Immédiatement, Françoise fut déléguée pour inviter les deux gougnottes à partager le repas du soir au groupe, Murielle s'occupant des plus jeu-nes ils purent peaufiner le traquenard.

Toute la semaine, enfermés dans le labo audio visuel, ils avaient mis en application, avec bonheur, les notions acquises lors du dernier stage vi-déo, avec l'aide de Murielle tantôt pipeuse tantôt technicienne, ils avaient

coupé, collé, misterorisé une petite bande style annonce porno.

N'en serait-ce que le sujet, sur ils auraient comblés de joie leurs formateurs qui n'auraient rien trouvé à redire au produit fini.

Brève, concise, la séquence d'un quart d'heure était un petit chef d'œuvre d'obscénité, elle réunissait en gros plans, en plans américains, en plongées contre plongées .... fellations, cunnilingus, analingus, sodomies, sandwichs .....

Toute la gamme des activités intimes, des plaisirs que ces dames se dispensaient ou se faisaient dispenser au cours de leurs après midis, ou leurs soirées récréatives.

Vers 19 heures, les invitées se présentèrent, l'apéritif était prêt, les petits nantis de leurs plateaux repas avaient gagné la salle de télé pour y visionner leur porno hebdomadaire.

Sylvie présenta mister amie :

- Fabienne Delcroix, une amie...

Stephan servit copieusement les ponches, trois tournées plus tard, l'am-biance s'était nettement réchauffée, les plaisanteries se faisaient plus grivoises ; ils passèrent à table et soupèrent en arrosant copieusement les différents mets, Murielle et Françoise était chargées de saouler les deux invitées, elles s'acquittèrent au mieux de leur tâche, à peine les verres des deux gouines étaient-ils vides qu'ils se voyaient largement remplis.

Les cinq comparses buvaient modérément, les deux femmes, les joues empourprées avaient visiblement des vapeurs.

Le café expédié, autour d'une bouteille de cognac ils devisaient gaiement, lorsque Miloud commanda à Murielle d'allumer le petit poste télé du salon.

Murielle et Françoise figuraient en compagnie des trois jeunes gars sur les premières images, ignorantes de ce fait toutes deux s'empourprèrent sous les commentaires graveleux.

L'atmosphère se faisait de plus en plus lourde, d'abord très gênées, reniflant le coup fourré les amies deux voulurent se retirer, mais elles étaient trop éméchées pour raimisterner.

Il les convainquirent d'autant plus facilement de continuer d'observer la projection, qu'elle avait des effets nettement pernicieux sur leur libido, le ventre embrasé, elles ne quittaient plus de l'œil les intimités révélées, en pleine action.

Dès les minutes suivantes elles comprirent le guet-apens dans lequel elles étaient tombées.

En gros plan, tête bêche, Fabienne fouillait à pleine bouche la rousse toimister de mister amie, lui mordillant un bourgeon de chair bien érigé, alors que cette dernière, tout en lui enfilant l'énorme godemiché dans les reins lui mordait les tendres fesses à pleines dents.

La musique suivait dans un effet crescendo l'inéluctable montée de l'orgasme des deux femelles en rut, il explosait dans un tonnerre de cymbales qui les tira de leur torpeur.
chrislebo

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#153
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Hébétée, ne comprenant pas encore le but des ados, avec rage elles sommèrent les trois garçons de leur remettre la bande vidéo.

Charles se fit alors menacent et intervint :

- Non seulement, on ne vous rendra pas le film, mais vous allez tout de suite vous plier touts deux à nos ordres si vous voulez éviter que vos petits chéris ne les voient... On pourrait même en envoyer une copie aux chefs... Qu'en penses tu Sylvie? Vous allez obéir tout comme nos deux salopes, sinon!

Les deux femmes, pâlirent, ne pouvant que constater l'efficacité du piège qui se refermait sur elles.

L'esprit encore embrumé par l'alcool ingurgité . Elles ne voyaient de salut que dans une totale reddition.

- Vous ne savez pas de quoi ils mistert capables... Vous êtes aussi coincées que nous... Vous... Vous y passerez... Tout comme nous... Surenchérit alors Murielle.

- Bon... Maintenant, finit les jérémiades... A poils ... Et vite... Intervint Charles, il fallait leur interdire toute possibilité de réaction, profiter de leur état d'hébétude pour mieux les powerr.

Comme Fabienne tardait à se relever, Stephan lui asséna une gifle retentissante qui acheva de la convaincre de l'inanité de la révolte.

-- Allez remontez doucement vos jupes... On veut un strip... Toi donne ta clé à Françoise... Elle va ramener l'olibos!

Les deux femmes pâles comme la mort, retroussèrent lentement leurs jupes, les cuisses fuselées apparurent, puis toujours aussi lentement elles se dégrafèrent, les firent glisser de leurs hanches et les posèrent sur le divan .

Elles présentaient un tableau fort suggestif, les bas tendus soulignaient la finesse dodue des cuisses, elles portaient toutes deux des porte jarre-telles noirs, seul un léger string voilait encore leurs intimités.

-- Elles s'étaient préparées... Putain quels culs! S'exclama Stephan, ...Allez on continue...

Avec les mêmes gestes furtifs elles quittèrent leurs chemisiers, puis ôtè-rent leurs soutiens gorges, les globes mammaires aux larges aréoles bistres sautèrent aux yeux des voyeurs.

Elles cherchaient toutes deux à dissimuler leurs lourdes mamelles.

Un cou sec sur le bras les en dissuada, ils purent admirer tout leur saoul les deux poitrines dissemblables.

Les seins de Sylvie, lourds à larges aréoles brunes contrastaient vive-ment avec ceux de Fabienne aussi opulents, tout aussi fermes, mais couronnés d'une discrète aréole plus claire.

Les tétons eux mêmes étaient différents : aux grosses pointes érigées de Sylvie, correspondaient les menus tétins de Fabienne, toutes deux avaient en commun d'avoir la chair de poule, leurs aréoles se craque-laient de ridules démontrant clairement leurs craintes et leurs appréhen-sions.

- Arrêtez, nous ne dirons rien à permisterne... Ne nous obligez pas! Pleurnicha Fabienne.

- Tu crois pas qu'on va arrêter en si bon chemin... Au tour du reste... Et magnez vous... Notre patience a des limites! Menaça Stephan levant la main pour frapper.

Toutes deux comprirent le message, et se débarrassèrent en hâte de leurs slips, plus qu'après l'abandon du soutien gorge elles se sentaient maintenant à la disposition de leurs trois suborneurs.

Les bas puis les porte jarretelles suivirent le même chemin ; elles étaient maintenant intégralement nues, les bras le long du corps, entièrement livrées à la convoitise des trois jeunes voyous.

Tournant sur elles mêmes elles durent exhiber leurs masses fessues, fendues d'une même profonde blessure, les formes lourdes dissimulaient leurs anus tapis au creux de la raie culière .

Elles furent bientôt priées d'écarter leurs masses charnues afin de permettre une meilleure observation de leurs intimités.

Les culs largement ouverts, révélaient au centre de leurs raies l'anus brun cerné de poils follets de Sylvie et celui plus rose, au sphincter moins proéminent de Fabienne.

Sur l'ordre de Miloud elles approchèrent du divan où se vautraient leurs trois tortionnaires.

Toute honte bue elles livrèrent leurs corps aux mains inquisitrices, qui apprécièrent le velouté et la fermeté de leurs culs, l'étroitesse de leurs anus.

Ils peinaient à les pénétrer du doigt, leurs sexes aussi furent convenablement examinés avant qu'on ne les autorise à prendre place sur le di-van.

Le retour de Murielle, l'énorme godemiché à la main divertit un moment les trois ados de leurs proies.

Elles se sentaient avilies, le spectacle qu'elle avaient du offrir n'était, el-les le sentaient bien qu'un prélude aux contraintes qu'elles devraient su-bir.

Hagardes, craignant les coups, elles ne voyaient pas comment se refuser à leurs jeux.

Sur l'ordre de Miloud, Sylvie s'approcha à quatre pattes de lui, dégrafa sa braguette et extirpa le membre violacé qui lui sauta au visage.

D'une langue frileuse elle le flatta lentement avant de l'engloutir d'un souple mouvement du col, elle entendit Murielle conseiller à Charles :

- Graisse le bien, si tu veux qu'il rentre... Et affolée elle comprit qu'elle devrait bientôt subir l'éprouvante sodomisation de mister pos-tiche.

Déjà des mains impatientes lui écartaient les fesses, mister anus craintif semblait trembler d'anxiété, elle contractait ses sphincters fortement, interdisant le passage aux doigts inquisiteurs.

Une claque lui cingla les fesses, puis une seconde et enfin une grêle de coups éclata sur mister derrière rétif, elle se mit à geindre, la grosse mentule qui lui emplissait la bouche l'empêchait de se plaindre plus fort.

Elle tremblait de blesser des dents celui qu'elle pompait, sachant qu'alors la punition serait terrible.

Enfin les coups cessèrent, sa croupe se fit plus docile, un simple appui de la main au creux de ses reins la convainquit de se cabrer, l'anneau de mister oeillet était prêt à se soumettre à l'effraction préméditée.

Charles lui enduisit largement la raie de pommade, puis du pouce il força le tunnel obscur, tournant retournant mister doigt raidi dans le fourreau étroit, afin de mieux graisser le conduit.

Un plop misterore accompagna le retrait du mini membre, le muscle anal baillait légèrement révélant les chairs intérieures, brunes, maculées de pommade blanchâtre.

L'agrippant par les oreilles Miloud faisait coulisser sa bouche sur toute la hampe, s'enfonçant en de rudes coups de boutoir dans mister arrière gorge.

Au mépris de ses hauts le cœur, le chibre épais lui forçait la luette et venait buter au haut du pharynx, ces sollicitations buccales la distrayèrent quelques secondes du viol de mister cul qui admettait maintenant deux puis trois doigts réunis.

Soudain elle sentit une masse oblongue presser mister anus, comme Charles se l'était promis lors du week-end précédent il entreprenait un difficile enculage par le volumineux gode.

La pression était forte mais pas encore douloureuse, elle le devint lors-que Charles ne parvenant pas à l'introduire par simples poussées, le vrilla dans l'anus.

La tête du membre factice s'engloutit dans le sphincter, Fabienne était contractée par le refus, mister cul refusant la pénétration enserrait le gros gland de plastique à le broyer l'empêchant de progresser.

Agenouillé entre ses fesses Charles ne bougeait plus, il guettait le moment ou le muscle tétanisé restreindrait mister étreinte.

Au bout de quelques secondes le sphincter se détendit, immédiatement, d'une poussée vulgare Charles propulsa le gourdin jusqu'à la garde dans le cul abominablement distendu.

Cela craqua dans mister anus comme dans sa tête, la douleur générait des éclairs de feu sous ses paupières, elle était si intense qu'elle ne lui per-mit pas de trouver refuge dans l'évanouissement.

Elle entendit Stephan conseiller à Charles de la laisser s'accoutumer ; la douleur décrut, de nouveau Miloud qui quelques instants s'était immobilisé dans sa bouche, le temps d'observer l'implacable pénétration, sollicita sa participation, le membre épais lui distendait les lèvres, elle commen-çait à ressentir des crampes dans les mâchoires, aussi est-ce avec soulagement qu'elle le sentit décharger mister foutre crémeux en pleine gorge, suffocant quelque peu elle avala l'acre purée avant de se livrer à grands coups de langue à la toilette de la queue qui l'avait forcée.

Ayant conscience de s'être acquittée au mieux de sa tâche elle voulut se relever, mais Miloud lui bloquant la tête le lui interdisait.

Son cul s'était fait à l'ampleur du monstrueux pal qui le garnissait, mister intestin était comblé, elle ressentait une sensation de plénitude comme jamais jusqu'ici elle n'en avait connue, appuyant sur l'interrupteur à la base du gode, dont les deux boules formaient une excroissance rosâtre,

obscène, surmontant le sphincter partiellement retourné, diaboliquement étiré à la base du gros pal, Charles démarra le vibreur.

Le boyau de Sylvie se mit à frémir, des millions de petites piqûres semblaient larder ses reins, la sensation s'aggrava encore lorsque Charles commença à la branler, sortant lentement le gode, à la limite du gland pour ensuite le renfoncer lentement dans mister fondement.

Ses reins maintenant domptés suivaient les mouvements du gourdin, Charles amplifia soudainement le rythme, c'était de profonds et violent coups de boutoir qui lui repoussaient maintenant l'intestin.

La douleur avait ressurgi, violente, implacable accompagnant chaque avancée et chaque retrait de l'énormité dans ses fesses, dans un pa-roxysme de douleur l'orgasme surprit totalement Fabienne, le plaisir na-quit de la souffrance, mister cul se ruait à la rencontre du pal.

Plus rien d'autre que mister fondement défoncé lui importait, sa chevau-chée se termina sur un ultime cri de plaisir et Fabienne se tordant dans tous les sens jouit avec une violence inouïe.

Son corps, comme privé d'énergie roula au sol où, incapable de se reprendre elle resta longtemps pantelante, haletante, l'esprit chaviré par cet orgasme, ce plaisir insensé.

Dans les nuages, elle remonta sur le divan et se blottit contre Miloud, la bouche reposant sur mister sexe qui reprenait de lentement de l'ampleur au vu du spectacle offert par Fabienne et Françoise.

Stephan avait ordonné à Françoise de s'étendre sur la table basse, puis Fabienne avait du la rejoindre, tête bêche, les langues s'agitaient maintenant dans les intimités ruisselantes, dès que l'une ou l'autre, lassée, ralentissait ses caresses, Stephan intervenait leur claquant le cul de sa lourde ceinture de cuir.

Quelques marques boursouflées, rougeâtres, striaient les deux culs, témoignant de la violence des coups portés.

Comme Sylvie précédemment, Fabienne était perdue, elle flottait dans un monde imaginaire, sa réflexion se bornait au sexe qu'elle suçait de mister mieux et à l'anus entrouvert dont elle respirait les effluves, un doigt lui força le cul, en constata l'étroitesse et Stephan commenta :

- Tu ne te fais pas souvent enculer ma belle, sa rondelle est étroite comme pas possible... C'est pas vrai, à ton age! Encore pucelle du cul! J'vais t'arranger ça... Françoise prépares là!
chrislebo

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#154
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Et Françoise, tendant le cou , commença de suçoter l'anus frileusement crispé, des deux mains elle écartait les opulentes fesses, permettant ainsi un meilleur accès à l'œillet parfumé, la feuille de rose décrispa len-tement la rondelle convoitée, de la pointe de la langue Fabienne flatta si bien la rosace que bientôt elle s'entrouvrit d'elle même s'offrant de mister mieux au léchage des parois internes.

Interrompant la suceuse, Stephan lui fourra sa queue dans la bouche lui intimant de la faire bander dure comme fer, ses doigts enduits de pommade graissèrent longuement le conduit anal, le distendant, le préparant longuement, à la première poussée le gland fut englouti par le cul vorace, tous contemplaient le dépucelage de la belle.

Pour la hampe nettement plus épaisse ce fut moins aisé, mais enfin, en dépit des ruades de l'enculée Charles se logea entièrement dans le boyau dilaté.

Tandis qu'il entamait mister branle dans le cul profané, il ordonna à Françoise de s'occuper de ses couilles.

Françoise entreprit de lécher les bourses velues, les poils lui encom-braient la bouche, elle les recracha puis s'intéressa à la portion de hampe qui sortait et rentrait dans le trou distendu de sa partenaire, sa langue allait et venait tout le long du cylindre léchant les sécrétions qui glissaient de la chatte de la belle et empoissait ensuite le gros chibre.

Fabienne pleurait et gémissait, pour la faire taire Charles lui enfonça lui aussi sa queue au fond de la gorge et Fabienne qui se cachait si bien par peur du qu'en dira-t-on se consacrant, de ce fait, de façon active à Lesbos se vit en ce jour lécher la queue d'un jeune homme tandis qu'un autre s'emparait de sa dernière virginité.

Tous deux se vidèrent en même temps, ils déchargèrent longuement, inondant de foutre le cul et la bouche offerts, Stephan se releva et or-donna à Françoise, alors que Fabienne faisait la toilette de Charles, de lui nettoyer le cul et la fente, elle lapa le foutre qui suintait de l'anus de sa copine puis parcourut à grands coups de langues la fente de la blonde la débarrassant des secrétions qui l'encombraient.

Murielle avait pris de nombreuses photos durant toute la soirée, et se séparant, chacun regagna sa chambre accompagné de mister esclave, Sylvie sachant maintenant qu'elle était dévolue à Charles.

Ils ordonnèrent à Fabienne qui devait rejoindre le lit conjugal, de revenir le week-end prochain, pour la totalité du week-end, sinon...

Après cette soirée mouvementée, la nuit fut paisible, chacun récupérant des efforts de la veille.

Au réveil les nénettes s'occupèrent des chibres de leurs maîtres avant de se lever et de s'occuper des plus jeunes.

Sylvie évoluait encore dans un monde fantasmagorique, sa situation ne lui apparaissait pas encore clairement, elle se rendait uniquement compte que, pour la durée du week-end, elle devrait contenter la lubricité des trois petits salauds, elle était incapable pour l'instant de voir plus loin que ce week-end.

Toute la journée elle subit les assauts consécutifs des trois tyrans qui tenaient à l'étrenner, le soir c'est la bouche gluante de sperme, l'odeur acre lui en ayant imprégné les papilles, le trou du cul cuisant et la craquette irritée qu'elle s'endormit après avoir une dernière fois sucé la bite de Charles, mister propriétaire.

Le lundi matin, elle les quitta, l'esprit en déroute, elle comprenait mainte-nant que mister esclavage ne se limiterait pas à ce week-end, Charles lui avait longuement expliqué que dorénavant, elle lui appartenait, et que si elle tenait à conserver mister boulot, elle avait tout intérêt à satisfaire tous ses caprices, à se montrer servile, docile et toujours disponible.

Elle avait compris clairement que les deux éducatrices étaient victimes du même chantage, elle leur demanda conseil, et s'entendit répondre que pour elle et sa copine la liberté c'était terminé, que désormais leurs maîtres chanteurs les tenaient bien et que si elles voulaient éviter le scandale il ne leur restait à faire comme elles deux : c'est à dire se plier docilement à toutes leurs volontés.

Elle quitta l'IME honteuse, révoltée mais consciente de mister entière dépendance
chrislebo

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#155
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Chapitre 6 : Les 18 ans des cadets, le concours

Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient main-tenant sous totale influence, chaque week-end l'infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l'entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fré-quemment.

La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de cha-que week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait cha-que semaine mister emploi du temps pour la semaine suivante.

De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d'une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal

Aucune des quatre n'avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances.

Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n'avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes.

D'abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés.

Ils notèrent d'entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail.

Samedis, dimanches, fini les jupes longues, les pulls ras du cou, les pantalons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents.

Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations .

Ils déployèrent des trésors d'imagination pour en savoir plus.

Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu'ils expérimentèrent tous avec rapidité.

Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffi-sait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité.

C'est seulement à ce moment qu'ils virent leurs soupçons les plus déli-rants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes!

Leur opinion faite, ils s'attachèrent alors aux gestes de leurs aînés, sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulen-tes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites.

Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler!

Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses :

- Tiens encore Miloud la main au panier... Au panier de Fabienne bien sur... Qu'est ce qu'il cherche? La figue?

- Alors tu veux tapisser? Tu cherches la colle?

- Et Stephan... Regarde il cherche le sel ou la crème?

Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités.

Aux premiers heurts avec les aînés soucieux de voir respecter leurs biens, ils insinuèrent que permisterne n'avait intérêt à voir ces pratiques dévoilées, laissant planer un doute, une menace diffuse.

Réunis en conseil, les aînés décidèrent que mieux vaudrait sacrifier une de leurs proies plutôt que de risquer une éventuelle divulgation.

Ils résolurent donc d'en offrir une en pâture à leur juvénile lubricité.

Ils préféraient passer pour des bienfaiteurs plutôt que de se faire powerr la main, ce qui pourrait advenir s'ils ne bougeaient pas, leur autorité étant trop fortement battue en brèche par la convoitise des plus jeunes.

Justement, l'occasion se présenta rapidement, avec le mois d'avril arrivaient aussi les anniversaires de Mohamed, Gérald et Robert, ils attei-gnaient tous leurs 18 ans.

Ils convinrent de les fêter le même soir et en cadeau de leur offrir leur dépucelage.

Les quatre femmes devraient amener pour cette soirée une tenue de soubrette modèle : petit tablier blanc et coiffe.

Une des quatre baiseuses, leur serait offerte en guise de cadeau.

Il leur parut amusant de soumettre les quatre belles à des épreuves qui détermineraient le nom du cadeau.

Ils montèrent une compétition ou chaque jeu attribuerait un certain nom-bre de points aux concurrentes, la perdante serait dévolue au plaisir des cadets.

Elle serait chargée d'initier les trois puceaux aux joies du sexe, bien entendu, elles ignoraient totalement le programme de la soirée.

Le vendredi soir, elles arrivèrent donc toutes quatre dans leurs tenues habituelles.

L'IME déserté par les autres pensionnaires, elles furent sommées de préparer le repas d'anniversaire, tâche dont elles s'acquittèrent soigneusement.

A peine le repas était-il prêt, le couvert mis en place par les plus vieux, qu'elles durent revêtir les atours appropriés au service, seul détail important, elles ne portaient en tout et pour tout que leurs tabliers blancs ceints à la taille et leurs coiffes.

Les bras chargés de plats, elles pénétrèrent dans la salle à manger, et là se trouvèrent confrontées aux regards des trois cadets, aussi enchantés que stupéfaits du spectacle.

Rouges de honte elles posèrent les plats sur la table et s'enfuirent dans la cuisine.

Miloud qui les avait rejointes se vit obligé de les menacer de futures représailles, il dut même distribuer quelques claques, avant de les voir se résoudre à réintégrer la salle des réjouissances.

Dès leur retour, applaudies par les trois jeunes, elles se rangèrent au co-té de Stephan qui annonça alors le déroulement de la soirée.

- Gerald et Robert et Mohamed, pour vos dix-huit ans, nous ne savions pas quoi vous offrir, aussi a-t-on décidé que pour vous ce jour serait mémorable... Vous savez que ces quatre salopes nous obéissent au doigt et à l'œil, ce soir, l'une d'entre elle partagera votre lit... Vous en ferez ce que vous voudrez... Ce sera votre cadeau d'anniversaire!

- Pour savoir de laquelle vous disposerez pour le week-end, nous avons organisé un concours après le repas... En attendant elles vont nous servir dans cette tenue, vous pourrez vous régaler les mains et faire connaissance avec leurs culs, une des quatre sera à vous pour 48 heures et on vous apprendrez rapidement comment bien vous en servir!

- Allez les salopes au boulot!

Chacune à mister tour chaque jeune femme dut présenter un plat aux convives, les trois autres, dos tournés leur exposant leurs fesses cris-pées par la honte et l'angoisse.

Chacune leur tour, elles sentirent les mains fureteuses des trois cadets inventorier leurs charmes.

Aux premiers contacts furtifs, frôleurs, les trois jeunes n'osant pas, d'em-blée, peloter des adultes, la profanation étant trop évidente, succédèrent des gestes plus appuyés.

Encouragés par leurs aînés rigolards, ils relevèrent les tabliers, s'assurè-rent de la couleur de la toimister de ces dames.

Puis sur les invitations pressantes de leurs aînés, ils se firent plus hardis, des mains fiévreuses s'aventurèrent sous la bavette des tabliers, estimèrent la lourde fermeté des seins offerts, palpèrent les culs exposés, fouillèrent les entre fesses velus, les craquettes ouvertes.

Des doigts agiles s'introduisirent dans les vulves tendues, les anus furent palpés puis visités, bientôt aucune des trois n'eut plus de particularité anatomique secrète.

Aucune ne l'aurait avoué, mais ces multiples pelotages, leur avaient échauffé les sens, si chacune était au bord des larmes de devoir se lais-ser tripoter par les jeunes mains inexpertes, si le rouge de la honte leur montait aux joues de sentir ces doigts de puceaux violer leurs sexes et leurs entrailles, aucune ne pouvait non plus nier l'humidité suspecte qui sourdait de leurs ventres lesquels se tendaient maintenant vers les ca-resses inexpérimentées.

Miloud, au coté duquel, leur service achevé, elles venaient se placer, testa l'état de leurs moules et les trouvant gluantes à souhait se chargea d'en informer la tablée :

- Regardez moi ces cochonnes, il a fallu les powerr... Et maintenant... Elles ont le cul trempé... Des vraies fontaines!

Elles durent, alors livrer chacune leur tour leurs sexes aux investigations de leurs maîtres, qui confirmèrent les observations de Miloud.

Plus que le plaisir qu'elles avaient prises à ces manipulations, la révéla-tion de ce plaisir les anéantissait.

Le repas terminé, elles desservirent, tandis que les trois aînés, invitant les trois cadets à prendre place sur le divan préparaient les accessoires du concours.

La véritable soirée commençait .

A l'annonce de leur prénom, elles vinrent se ranger face à leur public, Miloud les invitant alors à se présenter plus en détail.

Sur mister ordre elles quittèrent leurs tabliers et exposèrent leurs cramouilles aux yeux attentifs.

Le dos fléchi en arrière, le sexe tendu elles durent en écarter les grandes lèvres, révélant aux yeux écarquillés des trois plus jeunes la richesse de leur carnation.

Chaque vulve entrebâillée révélait tous ses détails habituellement dissimulés.

Du doigt, Miloud leur fit une petite leçon d'anatomie, désignant claire-ment les grandes et petites lèvres, le méat urinaire, l'entrée du vagin à la chair plus rose, et le clitoris surmontant l'ensemble de la cicatrice.

Frottant mister doigt dans la fente de ses dames il leur montra les secrétions luisantes qui garnissaient maintenant copieusement les chattes étalées.

Puis se tournant elles durent écarter les fesses, exhibant leurs anus fripés, crispés d'appréhension.

Introduisant le doigt les trois aînés firent remarquer au jeune public ravi d'une telle aubaine, l'élasticité des oeillets maintenant bien rodés.

Ecarquillant les rondelles soumises il leur précisa qu'on pouvait aussi prendre mister plaisir dans ces réceptacles, leur révélant l'utilisation qu'on pouvait faire des trois orifices naturels de ces dames.

La confusion des quatre salopes était maintenant à mister comble, de se voir reléguées au rôle de poupées éducatives, leur faisait tout craindre de l'avenir proche.

Elles avaient bien raimister, dès le début du concours elles surent que leur déchéance serait totale
chrislebo

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#156
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Chapitre 7 : addiction, détérioration des ménages.

Mai, juin passèrent, Françoise ne voyait pas le temps passer, comme ses collègues elle se pliait sans commentaires superflus et sans révolte à la volonté des jeunes pensionnaires, c'était devenu une routine.

Chaque semaine elle avait, à domicile la visite des garçons qui la pliaient sous eux, gémissante et finalement ravie de leurs assauts , le week-end elle comblait tantôt les désirs, même les plus pervers de mister maître, et tantôt de ses amis ou des cadets.

Ce petit monde vivait maintenant en paix, plus de menaces, plus d'insinuations, les aînés avaient définitivement admis les desiderata des cadets, et chaque semaine, une des femelles, à tour de rôle était mise à leur entière disposition, et ils ne se gênaient pas d'en user et user.

Mais si la vie coulait harmonieuse, limpide au niveau de l'institution, des jeunes auxquels elle se donnait maintenant corps et âme, il n'en était pas toujours de même à la maimister.

Elle supportait maintenant avec peine la proximité de mister mari, et le soir, maintes fois elle prétexta une subite migraine pour se dérober à ses étreintes.

Souvent, la nuit, elle se réveillait et tâtant furtivement à ses cotés elle cherchait de la main les jeunes corps épousant ses formes, les brumes du sommeil se dissipant, elle reprenait pied dans la réalité, déçue de ne trouver que mister mièvre mari le long de mister corps, elle parcourait mister-geuse chemin suivi en à peine trois mois.

L'épouse aux désirs refoulés, qui s'accordait quelques intermèdes les-biens pour assouvir sa sensualité n'aurait, alors, jamais pensé se muer en cette bacchante orgiaque qu'elle était devenue.

Le pire dans cette mutation, était le plaisir ignoble que mister corps et même mister âme y prenaient, mister avilissement provoquait en elle honte et jouissance, d'être la proie servile, d'abord des trois aînés, puis depuis maintenant deux mois des six pensionnaires, la conduisait à des péné-trations diaboliques qu'elle n'aurait jamais imaginées.

Ils la rabaissaient au niveau d'un morceau de viande doté de trois trous, ses seuls trois orifices leur importaient, ils en usaient et en abusaient à volonté.

Et elle était bien obligée de s'avouer que cette totale soumission lui four-nissait tant d'orgasmes qu'à l'avenir elle n'imaginait plus pouvoir s'en passer.

Morose elle comprenait que non seulement ils la tenaient par les vidéos mais aussi, et surtout, par mister tempérament volcanique, elle se savait prête à tout, même au plus dégradant, du moment qu'ils la fourrent, agi-tant leurs gros pénis dans tous ses trous.

Ses sens, qu'ils avaient si bien éveillés, la maintiendraient désormais dans cet esclavage, elle en était bien consciente.

Elle soupçonnait d'ailleurs, ses compagnes d'être parvenues aux mêmes conclusions, elle ne se trompait pas, car dans les chambres conjugales les autres femelles, dans la tiédeur de leurs lits, blotties contre le corps chauds de leurs époux parvenaient aux mêmes constats.

Souvent, Le concours qui avait précédé les anniversaires lui revenait en mémoire, se remémorant cette série d'exhibitions malsaines auxquelles elles s'étaient livrées, elle sentait sa motte s'humidifier, rien que d'y pen-ser, elle se sentait fondre.

Sa chatte, à ces rappels, commençait à fourmiller, il lui semblait que mille petits aiguillons lui lardaient les muqueuses, la pression du corps allongé à ses cotés se fit plus précise, mister mari conscient de mister trouble, convaincu d'en être le générateur cherchait à en profiter.

Depuis quelques semaines, se disait-il, ce n'était pas tous les jours que cela arrivait.

Dolente, perdue dans ses pensées, elle se laissait faire, l'image fantas-mée de ses amants se mêlant intimement à celle de mister mari, dans mister subconscient, elle ne réalisait pas qui voulait l'aimer.

Elle sentit lentement la queue se déployer.

Dans la moelleuse tiédeur de mister entre fesse la bite immobile gonflait lentement, ils restaient tous deux immobiles, savourant l'un comme l'au-tre la trouble montée du désir.

André se colla encore plus à ses fesses, la pression de ses couilles contre mister cul s'amplifia, les poils de mister pubis lui picotaient la peau ten-dre du sillon culier, sa main s'aventura à la recherche de la pine qu'elle croyait juvénile, ses doigts se refermèrent sur une hampe bandée, elle commença une lente masturbation, appliquant le fut triomphant dans la dépression séparant ses deux globes, puis elle partit reconnaître les couilles poilues.

Des doigts elle démêlait la toimister frisée, flattait la peau fripée, cherchait de la main à reconnaître la pine qu'elle cajolait voluptueusement.

Par de légers coups de rein, André avança entre ses fesses, par hasard sa bite se posa sur la corolle déjà entrouverte de l'anus, il sentait le cul de la belle palpiter, s'ouvrir se refermer.

Etonné, surpris, il ne la sentit pas se dérober comme les rares fois où il avait osé cette caresse.

Affolé de désir, il la crut assez émue pour rechercher de nouvelles voies de plaisir, alors qu'en réalité, elle n'avait toujours pas identifié mister pré-tendant, se croyant encore à l'I.M.E. elle se laissait aller, l'identité de mister fouteur lui importait peu convaincue qu'elle était qu'il s'agissait de Miloud où plus vraisemblablement d'un des jeunots, les dimensions de l'organe qui menaçaient mister train arrière plaidant plutôt en faveur de ces der-niers.

Enivré, il sentit la corolle l'aspirer, d'un coup de rein impatient Françoise s'empalait, sur le nœud convoité.

Le gland proéminent franchit aisément le premier obstacle annelé, il s'étonna bien un peu d'une telle aisance, mais sur l'instant n'y prêta pas plus attention, pris comme il l'était dans l'action.

Seul un petit gémissement, de douleur ou de plaisir franchit les lèvres de la belle odalisque, mister cul, telle une bouche vorace aspira la bite conquérante au fond de ses entrailles, André, pétrifié de joie restait inerte, l'obligeant de ce fait à rechercher elle même mister plaisir, elle en-treprit par de lentes avancée et de lascifs retraits, de savant empale-ments sur la queue bandée, de se contenter.

Et ce petit salaud qui ne bouge toujours pas, pensait-elle, il me contraint vraiment à me prostituer, décidément il était plus confortable de se faire powerr, que de devoir admettre sa faim de sexe en cherchant soi-mˆme sa satisfaction

Ses hanches s'animèrent de mouvements convulsifs, mister rythme se dé-sunit, mister fourreau étreignait étroitement la flamberge bandée, l'étran-glant dans mister étui de chair.

Toute à sa recherche du plaisir, Françoise s'agitait éperdument sur la queue arquée cherchant désespérément l'orgasme.

A bout de power, incapable de se retenir, André râla soudain dans mister cou, et atterrée elle identifia sa voix alors qu'il se déversait à gros bouil-lons dans ses entrailles encore frémissantes.

Le sperme tiède lui inonda le conduit, André, en manque depuis quel-ques temps lui avait s'était vidé à flots dans mister cul palpitant.

Avec une honte inattendue, elle sentit le trop plein déborder de mister anus, coulant entre ses fesses, poissant les bourses de mister enculeur, qu'elle avait maintenant pleinement identifié.

Tétanisée, d'un brusque sursaut du corps elle rompit avec violence l'étreinte qui les liait encore.

André, crut mister braquemart arraché tant la lame de souffrance qui le submergea était violente, incompréhensif, il poussa un long gémisse-ment.

A sa plainte ne répondirent que des invectives avec violence elle lui re-procha sa bestialité, avec violence et mauvaise foi puisque par ce moyen elle niait le plaisir ressenti.

Il avait beau bêler :

-Mais chérie... Voyons... C'est toi qui...

La déconvenue était trop forte, au lieu des bras de ses jeunes amants, c'est ceux de mister époux qui tentait de l'enserrer encore.

Réalisant ce que sa réaction pouvait avoir de louche à ses yeux, bien qu'ivre de colère, elle préféra se lever, se réfugiant au salon pour y digé-rer ce qu'elle appelait déjà ses violences.

André ne tarda pas à la rejoindre, cherchant à se justifier :

-Mais chérie... C'est toi par ton attitude qui... J'ai cru que...

-Salaud... violeur... L'injuriait-elle encore

-Tu n'avais pas le droit... Je t'avais interdit... Pas par là... Tu me l'avais juré... Et tu as profité de mon...

-De quoi ai-je donc profité? Releva-t-il la moutarde lui montant à mister tour au nez,

-Ma parole avec qui te croyais-tu... Avec qui pensais-tu baiser? Salope! Cocu je suis cocu... C'est bien ça... Allez.. Avoues... Tu me trompes...

Et levant la main, il la gifla avec violence.

Abasourdie, elle resta sans réaction, bien que jaloux, jamais André ne l'avait frappée, elle se mit à sangloter alors que fou de rage, l'injure tou-jours à la bouche, il claquait la porte de la chambre, se vêtait en vitesse et sans un mot de plus quittait le domicile toujours sous l'emprise de la fureur.
chrislebo

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#157
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Dès sa sortie orageuse, elle comprit combien près de la catastrophe elle était passée, bien sur elle ne l'aimait plus comme avant, bien sur mister contact ne l'enchantait plus guère, bien sur ses étreintes étaient bien mièvres, encore que cette fois... Devait-elle bien s'avouer avec ennui, mais le jeu en valait-il la chandelle, pouvait-elle se permettre de mettre ainsi mister ménage en péril, par imprudence.

Elle devait penser à ses enfants, ils n'étaient en rien responsables, leur petit monde ne devait pas en souffrir, elle ne les avait que trop délaissés ces derniers temps se reprochait-elle dans une subite crise de mauvaise conscience

Enfin, le pire était évité, emporté par la haine elle avait failli lui crier mister inconduite, mister infidélité!

La baffe qu'il lui avait filée lui avait coupé le sifflet à ce moment, heureu-sement d'ailleurs, car alors comment se serait-elle ensuite justifiée.

Progressivement, elle récupéra mister calme, se persuadant qu'il revien-drait tout penaud s'excuser, que ses paroles avaient largement dépassé sa pensée, déjà même elle se préparait à l'excuser, lui accordant avec clémence mister pardon.

Elle s'absorba, malgré la précocité de l'heure dans les tâches ménagè-res, ce qui eut encore le don de la rassurer .

Elle attendait avec impatience le repas de midi, certaine de mister retour hésitant.

Elle mit quatre couverts, au grand étonnement de Marc et Frédérique peu habitués à voir leur père partager leur repas de midi.

Elle attendit en vain, décevant mister espoir il ne se présenta pas.

Son irritation monta peu à peu, elle secoua ses enfants.

Peu accoutumés à ce genre de traitement de sa part, ils grognèrent re-çurent aussi leurs premières baffes, puis filèrent doux conscients de l'im-patience, de l'énervement de leur mère, même si pour eux les motifs en demeuraient obscurs.

L'après-midi, comme d'habitude ils sollicitèrent l'autorisation d'aller à la piscine, et comme d'habitude Francis les y accompagna.

Ce dernier se montra étonné de l'attitude de Françoise, cette dernière, de nature habituellement aimable, se montra revêche et distante, lui or-donnant de ramener les gamins à six heures précises.

Comprenant qu'il y avait de l'eau dans le gaz, il fila rapidement écoutant avec attention les enfants discuter de cette étonnante attitude et de l'énervement qu'elle avait manifesté toute la durée du repas.

Il les consola même, la défendant avec vigueur, prétextant que chacun avait ses sautes d'humeurs, rassurant et les enfants tout en les amenant calmement à plus de raimister.

Il était tout de même vaguement intrigué, cette attitude si peu habituelle chez Françoise l'avait choqué, de là à en chercher les vrais raimisters ...

Pendant ce temps, Françoise s'irritait peu à peu, elle était déjà passée par différents stades allant de l'anxiété à la surexcitation.

Anxiété de savoir ce que pouvait bien ruminer mister jaloux de mari, dé-concertée par mister non retour vers midi, elle craignait maintenant qu'il ait vraiment des doutes, des soupçons précis, elle avait beau ne pas le vou-loir, c'était malgré tout une hypothèse plausible, puis l'attente continuant, mister impatience avait monté, elle n'était plus loin de le considérer comme le véritable responsable de cette situation lorsque les enfants rentrèrent .

Constatant que leur mère n'avait guère décoloré, ils se montrèrent d'une sagesse exemplaire, l'aidant même à laver et ranger la vaisselle, puis sans insister, comme ils le faisaient parfois pour regarder la télé, ils mon-tèrent dans leur chambre respective, l'abandonnant à ses idées noires.

Enfin, vers onze heures, elle entendit la porte grincer, d'un pas hésitant André rentrait au logis.

Il franchit la porte du salon et se présenta alors, honteux et repentant devant elle, mais, alors que le midi elle aurait accepté avec joie ce retour alors attendu, là elle ne remarqua que mister hébétude et mister déséquilibre, la voix grondante elle l'accueillit :

-C'est à cette heure que tu rentres!

-...

-Et ivre... Tu as bu... Heureusement les enfants mistert couchés... Quel spectacle!

Sans même écouter ses explications fumeuses, elle le quitta et se coula dans la chaleur bienfaisante de mister lit, titubant bredouillant de vagues excuses, il la suivit, s'effondra sur le lit et s'endormit tout d'une pièce .

le réveil ne fut pas glorieux, c'était lui maintenant l'accusé, le jaloux qui profitait de la moindre occasion pour se bourrer le gueule, Ah sa mère lui avait bien prédit qu'il ferait mister malheur et celui de ses enfants... Si elle l'avait seulement écoutée... La bouche pâteuse, la langue comme du plomb, il pliait sous l'avalanche ne trouvant mister salut que dans l'adoption d'un profil bas, mélangeant excuses, regrets et promesses de ne plus jamais douter d'elle.

Ainsi, sans même le vouloir, du simple fait de l'attente, de mister exaspéra-tion endossa-t-elle le costume de la victime, en place de celui de la fau-tive qu'elle avait endossé le matin même.

Honteux, confus, convaincu de sa culpabilité il la quitta relativement rapidement, prêt à toutes les concessions pour regagner la paix du mé-nage qu'elle l'accusait vertement d'avoir remis en cause.

Magnanime elle lui accorda pourtant mister front à baiser sur le pas de porte, il en conclut que tout reprendrait comme avant, ce en quoi il se trompait lourdement.

Par un curieux retour des choses, elle lui en voulut de mister aveuglement, de sa renonciation, Miloud lui ne l'aurait pas pris comme ça, à grands coups de lattes il l'aurait remise dans le droit chemin, jamais il n'aurait permis...

Une fois de plus la comparaimister tournait à mister désavantage déjà qu'il n'était qu'un médiocre amant!

Voilà que maintenant il n'était même pas foutu de se comporter en homme!

Cet épisode eut des suites fâcheuses pour la bonne marche du ménage, maintenant qu'il l'avait laissée prendre le dessus, qu'il s'était dévalorisé à ses yeux, elle ne cacha plus mister impatience, rechignant au devoir conju-gal, n'acceptant plus ses remarques, l'excluant de la direction de la mai-mister.

Portant sa faute comme une croix, il ne réagissait pas sinon en buvant plus que de coutume, ce qui, inévitablement le ramenait à ses soupçons initiaux.

Un soir qu'il était rentré entre deux vins, il s'isola dans la cuisine en com-pagnie de Francis.

Intriguée, elle les suivit, et sur le pas de porte, dissimulée derrière une tenture, elle entendit mister charmant mari, entre deux toasts demander à Francis ni plus ni moins que de la surveiller.

Ce dernier, visiblement bien embêté, ne sachant que dire, ne put qu'ac-cepter, se réservant d'ailleurs de n'en faire qu'à sa tête.

Ainsi il n'était mˆme pas foutu de chercher lui même, il avait besoin d'un intermédiaire pour la surveiller, mister mépris s'en trouva encore accentué, et bien qu'elle n'en tira pas avantage dans l'immédiat, elle nota précieu-sement cette attitude dans un recoin de sa mémoire.

L'époque des vacances et des départs en camp arriva, les plus jeunes partirent, après un week-end complet de réjouissance.

L'emprise des plus jeunes sur les aînés s'était faite plus forte au fil des jours, ils étaient tous dans la même galère, et la moindre distraction au-rait eu pour conséquence de faire capoter ce bel assemblage qui leur asservissait totalement ce lot de belles femelles .

Aussi, l'intérêt de chacun des deux groupes était-il de cohabiter harmonieusement s'ils voulaient continuer à plier sous eux ces salopes si participantes.

Aussi ce dernier week-end de juin, purent-ils faire provision de sensa-tions enivrantes avant une séparation d'un mois qui s'avérerait bien frus-trante pour les cadets maintenant habitués à profiter par tous leurs trous de la bonté de jeunes femmes plus que consentantes, bien que sous la menace.

Trois des belles se mirent au service des plus jeunes, ils en profitèrent au maximum, alors que la dernière comblait les désirs insatiables des trois aînés.

Réunis dans la même chambre, Gerald, Robert et Mohamed purent dis-poser tout à leur aise des deux éducatrices et de l'infirmière, alors que dans une chambre voisine, la pharmacienne comblée par ses trois orifi-ces réjouissait la pine des trois aînés .

Tout heureux d'avoir ainsi inversé l'ordre naturel des choses les trois ca-dets surexcités se régalèrent goulûment de tous leurs charmes.

Dès 20 heures, agenouillées cotes à cotes sur un lit, elles offraient l'inté-gralité de leur croupe aux regards concupiscents.

Prenant appui sur les avants bras, les fesses tendues, les dos arqués elles étalaient toute leurs intimités devant les gosses réjouis, jouissants du spectacle, ils firent durer longtemps l'offense, comparant la conformation fort différente des trois croupes, la profondeur des raies culières, les rosettes tapies au plus profond des ravins, les cramouilles que les positions adoptées faisaient bailler avantageusement.

Les regards brûlants courant sur leurs peaux nues, les commentaires graveleux des moutards, leur souffle chaud entre les fesses, puis les mains frileuses qui ne tardèrent pas à estimer les charmes de chacune, tout enfiévrait les trois femmes.

Elles sentaient leurs fentes s'humidifier, se poisser de cyprine, la chatte parcourut de petites décharges électriques, le ventre agité d'une houle prometteuse l'une après l'autre, elles commencèrent à onduler du cul, invitant ainsi clairement leurs suborneurs à prendre possession de leurs chairs.

Ils les laissèrent quelque temps, roulant des fesses, crispant et décris-pant leurs anus, la fente juteuse, attendant qu'elles réclament leurs ros-tres, enfin, la voix chavirée, Françoise la première feula :

-Prenez moi... Mettez moi... J'en peux plus... Il me faut une queue... Par pitié...

Ses voisines surenchérirent :

-Oui... Ne nous faites plus attendre... On a envie... Vos queues...

Au bord de l'éclatement, ils approchèrent leurs mats dressés des globes charnus, d'un même mouvement, d'un geste avide elles agrippèrent leurs fesses à deux mains et s'ouvrirent au maximum.

Avec lenteur les glorieuse flamberges, plongèrent d'abord au cœur des vagins détrempés, le temps de s'humecter la hampe, puis posant simul-tanément leurs glands mafflus sur les oeillets impatients, frémissants de désir avec un synchronisme parfait ils les emboutirent jusqu'à la garde .

Ils les limèrent longtemps, changeant fréquemment d'orifice, tantôt dans les culs éclatés, tantôt dans les chattes dilatées, changeant de partenai-res au gré des envies.

Elles n'étaient plus que des boules de nerf hurlantes, secouées par les assauts successifs, les intromissions violentes, elles criaient à pleines gorge leurs orgasmes alors qu'ils crachaient leur jus au hasard des mor-taises occupées .

Ils passèrent la nuit à les limer dans toutes les positions, s'encourageant de la voix, du regard, enfin au petit matin, le corps las, les acculs vidés ils s'endormirent blottis contres leurs flancs.
chrislebo

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#158
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Au lever, tardif, elles arboraient les mêmes cernes que leur amie, qui elle avait pourtant comblé la bestialité des trois aînés mis en rut par le ta-page qui s'élevait dans la chambre contiguë.

Toute la nuit, toujours embrochée par ses trois trous elle avait satisfait avec vaillance la lubricité des trois jeunes mâles qui la pliaient à tous leurs désirs.

Le dimanche, intégralement nues, elles contentèrent encore de la bou-che et de leurs trous les six jeunes, offrant aux trois cadets un volume supérieur de souvenirs, qu'ils ne manqueraient d'évoquer, se secouant durement la pine bien au chaud dans leurs lits de camp.

Le lundi matin misterna l'heure des adieux, sur une dernière pipe baveuse, elles les quittèrent avant l'arrivée des cars qui les emmèneraient vers leurs séjours de vacances.

Les trois aînés qui avaient réussi à dénicher des stages en ville, obtin-rent de résider dans les appartements extérieurs, vidés du fait des camps de leurs habitants habituels, les deux éducatrices de week-end, ainsi que l'infirmière acceptant de veiller sur leurs soirées selon un plan-ning qu'elles géreraient permisternellement.

Elles n'avaient d'ailleurs pas eu leur mot à dire, les trois adolescents leur imposant de se porter volontaire, pensant passer ainsi un plein mois à se repaître de leur docilité.
chrislebo

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#159
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Chapitre 8 : Echanges

La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste apparte-ment, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits.

Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.

Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie maté-rielle.

Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de ser-vice.

L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle.

De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveil-lance.

Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveil-lant.

La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus pos-sible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant.

Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à lais-ser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.

Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans ********, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.

Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses.

Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposi-tion trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.

Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.

Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des te-nues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.

Toutes quatre, à power de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arach-néens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives.

Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plu-sieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.

Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délais-sée.

Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.

Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville.

Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comp-toir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puis-que c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande

confusion, dans celles des hommes.

Les deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs sus-pendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit.

La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcè-rent de les satisfaire sous leurs rires.

Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager.

Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.

Elles 'étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués.

Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le ta-bleau.

Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consomma-tions, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au de-hors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.

Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Mi-loud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche!

En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'offense devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.

Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.

Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans mister sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas.

Toute à l'exultation de mister corps, elle n'en ressentit qu'une aversion en-core plus marquée pour mister mari qui la faisait ainsi surveiller.

De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.

Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :

- Miloud ..... eh Miloud!

Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe Miloud le reconnut tout de suite.

-C'est Michel, un vieux copain de boite, viens on va le rejoindre!

Ils prirent place au coté du petit gros .

Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard.

Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui sem-blait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.

--Fabienne, ma maîtresse... La présenta Miloud, appuyant sur le vo-cable.

-- Ta maîtresse? Interrogea le petit gros, visiblement intéressé.

--Eh oui... J'aurai du dire mon esclave... Elle fait tout ce que je veux... N'est ce pas Fabienne?

--......

--Tu te souviens... Y'a six mois... Tu m'as dit que tu te tapais la femme du notaire... Que tu l'avais photographiée en pleine action avec mister gigolo, et que depuis ce jour elle se pliait à tes quatre vo-lontés...

--.......

--Eh bien, avec Stephan et Charles, on a suivi ton exemple... On a maintenant chacun notre nana... J'ai donc, cette fois de la viande à te proposer en échange de ta belle!
chrislebo

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--Continues mon vieux, tu m'intéresses, non seulement j'ai toujours Claudine à ma botte, mais ici aussi, j'ai fait école, Rachid, Ahmed, Roland ont eux aussi leurs baiseuses... Elle a l'air pas mal ta gon-zesse... Mais avant de jouer, je voudrais voir la donne!

Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devi-nant déjà la conclusion.

Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fan-taisies libidineuses de mister maître.

--Tu veux voir la marchandise?

--Ben toi quand t'achètes, tu testes la qualité avant, non?

--Rentrons dans une des loges, à l'intérieur, on sera à l'abri des re-gards, t'es toujours copain avec le serveur?

--Oui, allons y ça doit pouvoir s'arranger... Christophe! Christophe, on prend la loge quatre, tu peux surveiller pour qu'on ne vienne pas nous déranger? Si ça t'intéresse, tu pourras toujours venir te rincer l'œil!

Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle princi-pale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fa-bienne debout face à eux.

--Trousse-toi, montres ta chatte... Lui ordonna Miloud.

D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de mister pubis.

Seule la toimister fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.

--Bien dressée... Elle porte jamais de culotte?

--Toujours prête!

--Félicitations, c'est de la bonne marchandise... Commenta le petit gros.

--Tourne toi maintenant, tu vas voir le cul qu'elle se trimbale!

Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.

--C'est moche ces marques blanches... Remarqua Michel suivant le contour blanc des marques du maillot... Tu devrais remédier à ça... Je peux? Questionna-t-il enfoncent sa main dans l'entre fesse.

--Bien sur... Tâte la marchandise... J'espère que t'apprécies, et en-core tu peux pas savoir... Elle a le cul serré, c'est un rare plaisir de l'enculer!

Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion.

Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du tes-teur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscéni-té, et en avait conscience.

Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée.

--Eh bien mes cochons, vous ne vous emmerdez pas... Tu me la passeras aussi?

--On verra plus tard... Chaque chose en mister temps... Pour l'instant Michel est sur l'affaire... Mais j'en ai d'autres... Si le cœur t'en dit...

Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facile-ment l'index dans le vagin.

--Dis donc, c'est une vraie fontaine! Elle démarre au quart de tour ta nana... Elle est déjà trempée... Si j'ai de la tapisserie à faire je te l'emprunte... Souligna vulgairement le petit gros.

En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de mister ventre, de ses reins, mister exhibition et les caresses vulgares la chaviraient.

Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de mister sexe poissant toute sa fente, mister ventre se tendait vers la caresse infâme.

Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index.

Dans un soupir, Fabienne du avouer mister orgasme sous l'œil des trois mateurs narquois.

Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait mister gros sexe rouge de mister slip.

--Suce moi! Commanda -t-il sur un ton péremptoire.

Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :

- Ah non mon vieux... T'as le droit de tâter mais pas de goûter! De-main après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...

Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.

La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain.

Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.

Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants.

Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, pe-tits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fa-bienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client.

Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première misternerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.

Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland.

La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pé-nétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs na-nas, dans leurs dos assistaient à la réception.

La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus.

A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes asper-gèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.

La bouche à peine libérée, déjà d'autres membres se présentaient, Mi-loud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier in-vité.

En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite en-fournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à ar-roser de leur venin les cavernes chaudes.

Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.

--Ben dit donc... Quel accueil... Souffla le plus vieux des trois invi-tés.

--La prochaine fois je me préparerai... Je tiendrai plus longtemps!

--Ca t'as déplut? Plaisanta Miloud.

--Non ... Non bien au contraire... S'enthousiasma le plus gros.

--Je suis même prêt à recommencer!

--Ne vous inquiétez pas! Reprit Miloud

--La soirée ne fait que commencer... Vous aurez l'occasion de les baiser par tous les trous nos belles pétasses ... Et croyez moi, elles ont du talent... Et du ressort... Vous serez vite épuisés!

Miloud présenta mister groupe :

-Vous connaissez Charles et Stephan... Fabienne, Françoise, Syl-vie et Murielle...

Les arrivants se présentèrent à leur tour.

Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine l'épouse du notaire du lieu, Rachid un grand noir aux épaules musculeu-ses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches, Roland, le plus maigre, affirmait mister emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.

Les trois femmes, le même age, la même allure racée, faisaient visible-ment partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gail-lards qui les accompagnaient en pleine bouche.

Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, el-les se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune natu-relle, Odette, elle, était décolorée, mister sexe châtain en témoignait clai-rement.

A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts.

Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation par-ticulière de Michel et Rachid.

Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.

Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.

Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que su-périeure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de mister long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressi-vement vers les intimités dévoilées.

A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un oeil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.

Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte.

Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.

Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vase-line, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouil-lant le méat, de mister jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans mister conduit pour plus l'assouplir.

Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de mister vit naturalesque, puis lentement il la descendit sur mister pieux tendu.

L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tar-tine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.

Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur mister gourdin.

Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur mister front, envahissant rapidement mister visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air .

Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée.

En vérité, l'énorme masse avait réussi mister entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rup-ture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.

La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lanci-nantes irradiant de mister ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses han-ches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'es-tomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.

Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans mister ventre la remplissait toute.

Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empa-lant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.

Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, mister ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant mister ventre, des éclairs rémisternaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir.

D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant mister rythme.

chrislebo

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Un torrent de sperme jaillit soudain dans mister ventre, l'immonde fût tres-sautait dans mister étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effon-dra pantelante sur le torse de mister amant.

Dans mister ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses der-niers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .

Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de suc-cion reprit terminé par un plop misterore lorsque l'énorme bonde quitta mister ventre meurtri.

Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de mister suborneur et s'assoupit.

Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles.

Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poi-gnarda jusqu'à la matrice.

Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jus-qu'à la luette.

Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.

Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si sou-vent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une cer-taine pression quand il plongeait dans ce gouffre.

La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses , les écartant rudement avant de poignarder sa corolle de mister rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba mister chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans mister

étroit chenal.

L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence.

Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur mister présentoir.

D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.

Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien pas-sé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé mister oeillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.

Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.

Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, mister intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorable-ment dans mister fourreau abominablement distendu.

Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de mister boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.

Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abomi-nables va-et-vient dans mister rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de mister, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de mister supplice.

Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de mister copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de mister abomination, s'ap-procha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.

Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans mister fourreau naturel.

La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de mister nouvel agresseur.

Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Mi-chel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.

Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Mi-chel et l'aider à mener à bien mister abominable projet.

Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écar-tant les jambes de power, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider mister énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de mister estoc il lui pourfendit la pastille.

Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement for-mant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.

Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de mister front à mister nombril, il lui semblait qu'on lui dé-coupait la rondelle au rasoir elle se mit à powerr, ou plutôt mister ventre se mit à powerr, contre elle mˆme en quelque sorte, en tout cas contre sa vo-lonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était iné-luctable en fut facilitée.

Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion.

Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse.

D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intes-tins chauds et palpitants, de toute sa grosseur.

Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable.

Elle avait l'impression que mister boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.

Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant s'installant, fai-sant sa place, mister trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes.

Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements.

Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui tarau-daient le sexe et le cul, la limant en cadence.

Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït.

Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment mister cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.

Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé , ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de mister vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne.

Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à reve-nir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmet-taient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.

Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémis-sement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils

lui avaient tous vu prendre.

Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard misterna enfin l'heure de se séparer.

C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.

Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se met-taient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.
chrislebo

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Chapitre 9 : Prises sur le fait... Comment se tirer d'affaire!

Déjà trois semaines s'étaient écoulées, les quatre jeunes femmes se pliaient avec plus que de la docilité aux désirs des jeunes, elles participaient pleinement à leur possession leurs âmes s'étaient faites à l'exultation de leur corps, elles en redemandaient, au point de ne plus observer leur emploi du temps, provoquant d'elles mêmes des motifs de rencontre supplémentaires.

Le mari de l'infirmière se félicitait de voir sa femme si productive, encore quelques années et leurs soucis d'argent s'estomperaient, celui de la pharmacienne se réjouissait de la voir si épanouie en compagnie de jeu-nes femmes dont il n'aurait jamais douté de leur honorabilité, quant au mari de l'éducatrice de week-end, content de voir sa femme si active, si dynamique, bien que regrettant mister indisponibilité familiale pensait qu'au moins ainsi il n'avait rien à craindre d'éventuels rivaux.

Françoise était certainement la plus mal lotie des quatre, elle supportait de plus en plus mal les hommages rapides de mister mari, que de migraines ne ressentait-elle d'ailleurs à l'heure du coucher, alors qu'elle le sentait de plus en plus soupçonneux .

Son tau de jalousie croissant d'ailleurs régulièrement en fonction de mister imprégnation alcoolique.

Encore, n'assistait-elle pas aux rapports de Francis à mister mari, le jeune voisin avait beau s'escrimer à la suivre, bien qu'il renifla quelque chose de louche, il n'arrivait pas à la coincer en flagrant délit, ce qui paradoxa-lement renforçait les certitudes de l'époux aigri.

Mais Francis se rendait compte, peu à peu, à l'écoute des épanche-ments de l'imbibé, que c'était pas tellement sa femme qu'il jalousait, mais que surtout il se plaignait de voir disparaître la jeune fille soumise à ses désirs et à ses volontés qu'il avait épousée.

Plus que l'infortune dont il se croyait victime, il ne supportait pas l'évolu-tion de mister épouse qui petit à petit s'affranchissait de mister respect du mâle .

Plus que mister amour propre, c'était mister machisme qui souffrait.

la vie coulait donc paisible entre les banales possessions, banales bien que parfois rudes de la semaine, et les soirées d'échange du week-end.

Ces soirs la, elle devaient se soumettre à de parfaits inconnus, elles ser-vaient de monnaie d'échange à leurs amants, qui, grâce à leurs charmes pouvaient s'offrir le corps d'autres bourgeoises du cru, bourgeoises par ailleurs bien souvent elles mêmes sous la suggestion de jeunes voyous.

Cet avant dernier samedi de juillet, Françoise accueillait trois jeunes ma-les dans ses trois orifices, Murielle faisait de même, alors que Sylvie et Fabienne se gouinait en 69 tandis que deux bites turgescentes leur fo-raient l'anus, Miloud et ses amis les pines bien au chaud dans la bouche des femmes de leurs potes tentaient de faire durer le plaisir, lorsque sans bruit la porte s'ouvrit.

Sidéré par le spectacle inouïe qui s'offrait à ses yeux, Christophe, l'édu-cateur chef de service se figea sur le pas de porte.

Claquant la porte avec violence, il signifia mister intrusion aux partenaires orgiaques.

A sa vue, les trois pensionnaires de l'établissement sentirent leurs queues se recroqueviller dans les bouches pourtant si accueillantes, les femmes rouges de confusion se jetèrent avec précipitation sur leurs frin-gues, pressées de reprendre une tenue plus décente.

Dans un silence de glace, les copains et leurs amis prirent congé de leurs hôtes, Ils se hâtèrent, peu désireux de risquer de se voir identifier.

Christophe les laissa partir sans réaction, il préférait nettement laver le linge sale en famille, certain que ni ces jeunes voyous, ni leurs compa-gnes n'avaient intérêt à voir s'ébruiter l'affaire.

Le ton glacé, il ordonna :

-Vous trois vous faites vos valises... Quant à vous... Mesdames.... je vous attends au rapport demain matin... 9 heures...

Folles de confusion, de honte, les quatre femmes ne demandèrent pas leur reste, elles s'esquivèrent rapidement.

Lors de leur retraite, d'un geste furtif, discret, Françoise logea dans mister sac à main les différentes bandes vidéo, témoins de leurs exploits.

Elles se réunirent chez Fabienne, l'absence du mari de cette dernière parti pour un congrès en région parisienne leur permit de reprendre leurs esprits au calme.

Bien sur, Fabienne se montrait la moins inquiète de la tournure des événements, elle pensait que ses amies ne mêleraient pas mister nom au scandale qui risquait de survenir, elle n'était rien pour l'I.M.E, et de ce fait ne voyait pas pourquoi elle pourrait être inquiétée.

C'était loin d'être le cas de ses trois compagnes qui s'inquiétaient de voir leurs maris informés de leurs turpitudes, elles savaient qu'elles seraient mises à la porte, mais le tout était de savoir comment leur éviction se fe-rait!

Dans le meilleur des cas, peut-être qu'en offrant leurs démissions?

Des explications à fournir à leurs conjoints, elles comptaient sur leur ingéniosité, mais encore fallait-il que le motif du renvoi ne soit pas celui constaté... Sinon ...

Peu rassurées, elles se quittèrent au petit matin, s'objurguant les unes à les autres à trouver une solution pour sortir de ce mauvais pas.

Après une courte nuit de réflexion et d'angoisse, elles se retrouvèrent pour partir ensemble au lieu de leur jugement.

Après mures réflexions, elle étaient toutes trois parvenues aux mêmes conclusions, leur seule monnaie d'échange, leur seule véritable chance était leur corps.

Elles ne doutaient pas de l'impact de leur soirée sur leur chef, et elles étaient bien décidées à jouer de leurs charmes pour corrompre leur su-périeur.

D'ailleurs, sans même se consulter, elles arboraient toutes trois des te-nues forts suggestives, moulantes et courtes pour les jupes, vastes et échancrés pour les corsages.

Aucune d'entre elles ne réalisait, que le marché qu'elles se proposaient d'honorer leur aurait fait horreur six mois plus tôt, conscientes de la beauté de leurs corps et de la power de leurs tempéraments, elles se préparaient à s'offrir en plature au chef en contrepartie de mister silence, du moins partiel.

Leur seul inquiétude résidait dans la crainte de se voir repoussées par un tyranneau intransigeant.

Avec crainte elles heurtèrent la porte du bureau.

Une voix calme, sereine, brève leur intima d'entrer.

Christophe, juché sur un fauteuil derrière mister bureau leur enjoignit de s'asseoir face à lui.

Dès cet instant, elles mirent en pratique leurs projets de séduction.

Relevant haut leurs jupes, elles s'assoirent toutes trois jambes haut croi-sées étalant les stries colorées des jarretelles sur leurs cuisses dodues.

Le regard rivé aux entrecuisses des belles, Christophe éructa :

-Heu... Vous savez pourquoi vous êtes là... Miloud et ses compar-ses ne rejoindront leur nouveau foyer que cet après midi... Je peux donc parfaitement... Si vous niez les faits... Vous confrontez avec eux...

Allons bon, pensèrent-elles d'un même accord, ça partait mal et silen-cieuse, ployant sous l'algarade, elles se contentèrent d'ouvrir encore les jambes.

Christophe plongeait maintenant jusqu'au fond de petits slips transpa-rents.

De sa place, il pouvait apprécier jusqu'au grain incarnat de la qualité des blessures exhibées devant ses yeux plus ou moins hagards.

La vue des cicatrices mauves des slips follets s'échappant des dentelles l'affolaient, il sentit une poussée de chaleur lui envahir les reins tandis que de grosses gouttes de sueur perlaient à mister front.

Tacitement mandatée par ses amies, Françoise intervint alors

--Ne pourrait-on s'arranger... Si vous voulez.. Nous sommes prêtes à... Beaucoup...

--Heu... Qu'entendez vous par là... Les faits mistert les faits... Et je ne vois pas comment...

--Bien sur les faits mistert les faits... Cependant... Est-il bien utile de les évoquer... Peut-être qu'une simple lettre de démission suffirait... Il est de votre pouvoir de... je vous répète... Mes compagnes et moi sommes prêtes à... Vous remercier au cas ou...

En prononçant ses mots, elle s'était penchée vers lui, exhibant à ses yeux conquis la ferme opulence de ses seins offerts dans leur écrin soyeux.

Christophe ne savait plus ou donner du regard, la vision de ces pubis velus, de ces poitrines fermes le subjuguait, il n'osait pas comprendre leur offre...

Et s'il se trompait? Que faire?....

La tentation était trop forte...

Il fallait qu'il les amène à préciser...

--Q'entendez vous par vous êtes prêtes à beaucoup offrir, si votre af-faire s'arrange... Bien sûr une lettre de démission pourrait convenir... Mais ce serait une offense au code de déontologie... Et il faudrait vraiment m'offrir beaucoup pour que je pense à... Déro-ger...

Murielle renchérit alors, se penchant à mister tour, révélant sa gorge nue jusqu'au nombril, avec vulgarité, sûre de faire encore monter la tension elle ajouta :

-Tu nous a très bien compris... Peut-être n'auras-tu plus jamais une si bonne chance de baiser trois belles nanas... Promènes tes yeux sur nos cuisses, nos fesses, nos tétons... Tu verras ce qu'on t'of-fre... Il ne tient qu'à toi d'en profiter...

Craignant de s'engager seul dans une telle voie, il la coupa alors :

-Tout ça c'est très bien... Mais... Je ne suis pas seul à décider... Christian, Jean-Pierre ont leur mot à dire... Au moins que votre of-fre ne les englobe... Au quel cas...
chrislebo

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#163
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Conscientes de s'être engagées trop loin pour maintenant reculer, elles se concertèrent du regard, puis Françoise reprit :

-Bien sur... Notre offre les concerne aussi... Eux aussi pourront...

-Alors c'est très bien... Approuva Christophe rasséréné

-Je les appelle...

D'un doigt tremblant, il composa le numéro du bureau de l'internat sur la ligne intérieure.

--Christian... Jean-Pierre est avec toi? Pourriez vous venir? L'en-trevue prend un tour inattendu... Elles nous offrent leurs culs si... Vous arrivez... Dans trois minutes... Bien on vous attend... Vous les filles profitez en pour me montrer vos charmes de plus prêt! Al-lez et que ça grouille!

Ne pouvant plus reculer, elles se levèrent, s'approchèrent de lui et sur un geste impératif, retroussèrent leurs jupes.

Fébrilement il baissa les affriolantes petites culottes, il ne savait plus ou donner de la main.

Ses collègues le surprirent une main dans les entrecuisses grand ou-verts de Sylvie et Françoise, alors que retournée, le corps ployé vers l'avant, s'écartant les fesses à deux mains Murielle offrait mister anus violet à sa convoitise.

S'emparant par la taille de Sylvie et Françoise, ils s'assirent les prirent sur leurs genoux tandis que Murielle prenait place sur ceux de Christo-phe.

Christian précisa alors :

-C'est bon... On va vous arranger le coup... Mais en contrepartie... vous serez à notre complète disposition le temps de votre pré-avis... Que nous fixerons à... Dimisters à quinze jours...

Le rouge aux joues, elles opinèrent de la tête, entérinant par ce geste le marché.

Immédiatement, l'œil égrillard, Jean-Pierre suggéra :

-Puisqu'on est tombé d'accord... Montrez nous vos capacités... Al-lez Sylvie... Transformes mon roseau en chêne!

Obéissante, Sylvie se coula entre les cuisses grandes écartées de mister solliciteur, et imitée de Françoise, elle fit glisser la fermeture éclair du pantalon puis extirpa une grosse verge congestionnée du slip douteux.

Elle enfourna, en même temps que Françoise la noble flamberge dé-ployée, et suçant de tout mister cœur, elle entreprit de donner le plus de plaisir possible à mister profiteur consciente de signer de ses lèvres le contrat qui les unissait.

Christophe, lui, déjà largement échauffé par les trois femelles n'avait au-cun besoin de préambules, il écarta d'un geste les papiers sur mister bureau, et saisissant Murielle à la taille, il la plia sur le meuble, ventre appliqué au verre froid.

Avec impatience il lui rudoya les fesses, les ouvrant à lui faire mal et d'un seul élan s'engouffra entre ses reins fiévreux.

Bien qu'habituée à se faire ramoner l'étroit conduit, elle ne put refouler un cri de douleur consécutif à la vulgare intrusion, n'en ayant cure il l'em-pala jusqu'à la garde et se mit à ruer dans ses reins dilatés.

On n'entendait plus que des halètements dans le bureau, elles s'acquit-taient avec le plus grand cœur de leur première traite et c'est presque avec la joie du travail bien accompli que les deux zélées fellatrices re-cueillirent à pleine bouche la semence de leurs contractants tandis que

Murielle sentait le sien se déverser à gros bouillon dans ses entrailles frémissantes.

Chaque jour elles se rendirent à leur rendez vous, leurs culs, leurs bou-ches, leurs cons obtinrent des chefs une démission motivée pour un mo-tif moins grave : elles avouèrent, par défaut de surveillance avoir laissé les jeunes dévolus à leur responsabilité se livrer à des trafics interdits : troc, racket, beuveries...

Cette entente gagnée à la power des reins leur valut aussi de toucher 'in-tégralité de la prime de licenciement, ce qui leur permit de faire passer avec plus de facilité la nouvelle de leur arrêt à leurs maris, qui ne s'étalè-rent pas sur les motifs de renvoi, certains qu'ils étaient de la véracité des lettres de licenciement.

Bien sûr la pilule ne passa avec facilité, mais elles surent se montrer as-sez chattes avec leurs conjoints pour envisager leur avenir avec plus de sérénité.

Elles prirent très vite le rythme, chacune leur tour, elles accordaient leurs faveurs aux trois mâles en rut qui profitaient du peu de monde dans les locaux vidés par les vacances.

Souvent seules, parfois à deux ou trois, au hasard des lieux elles se fai-saient trousser sur une table, sur un lit, une pile de linge, dans la salle de sports.

Entièrement à la disposition de leurs chefs, elles se pliaient à leurs dé-sirs quelque soit l'endroit et le trou par lequel ils désiraient les powerr.

Ainsi, ce mardi, Françoise, précédant leur venue, les attendait à genoux sur le paillasmister du bureau.

Christophe ne dédaignait pas d'adjoindre à l'offense une petite pointe de douleur, ce qui d'après lui, pimentait les rapports.

Les poils durs de la véritable brosse lui meurtrissant les genoux, jupe courte, sexe libre de tout voile, corsage baillant, dévoilant largement les globes fermes de ses seins, le cou tendu, elle guettait l'arrivée des queues que bientôt, en courtisane zélée, elle cajolerait de mister mieux.

Des bruits de pas troublèrent le silence glauque du petit matin, la porte s'ouvrit, déjà débraguettés, Christophe et Christian lui fourraient déjà leurs bites épaisses sous le nez.

Des effluves musquées envahirent ses narines, d'un commun accord, ils ne se briquaient plus la byroute, estimant qu'entre autre, c'était aux trois femelles de maintenir leurs génitoires propres.

Ces flagrances lui occasionnant quelques nausées, stoïque, pressée, elle empoigna la flamberge de Christophe à pleine main, retroussa le prépuce et engloutit voracement le gland rose marbré de filets douteux.

De l'autre main, elle masturbait mister collègue, elle avait saisi avec vigueur le sceptre tendu et jouait maintenant à faire coulisser la peau sur la hampe rigide, avant de chatouiller de l'ongle les bourses fripées.

--A mon tour... Gémit Christian.

Docile elle désemboucha le chibre de Christophe, le flatta de la main et goba à mister tour le gland turgescent de Christian

--Les couilles... Lèches moi d'abord les couilles... Ordonna-t-il, plus exigeant, plus raffiné que mister ami.

Et, toujours aussi servile, elle baisotta la tige rigide avant de léchotter d'une langue agile les bourses poilues.

Le nez enfoui dans les poils de mister suborneur, elle nettoya plis après replis les deux prunes ridelées, avant de les gober à pleine bouche, aspirant, suçant plis et poils en fond de gorge pour les restituer ensuite luisantes de salive.

La queue de Christophe, qu'elle masturbait lentement à pleine paume se cabra entre ses doigts, pinçant la base du gland, elle réussit à retarder de quelques secondes l'éjaculation imminente.

Abandonnant Christian, elle s'engouffra la bite tressautante en plein go-sier.

A peine cette dernière avait-elle franchi la frontière lisse des lèvres que les gerbes fusaient, lui inondant le pharynx, elle déglutit avec délectation l'épaisse potion.

--Bon... Je fais le tour du centre... A tout à l'heure... Les quitta Christophe, tandis Christian la couchait en travers du bureau.

Avec une douceur inhabituelle, il écarta les deux hémisphères soyeux, puis d'un coup de rein déterminé, il lui perfora l'œillet, s'enfonçant d'un trait au fin fond de ses entrailles brûlantes.

Le traitement préalable l'avait tant excité, qu'à peine les portes du temple franchies, englouti jusqu'à la racine, il se figea giclant à gros bouillons ses salves crémeuses dans le rectum distendu.

Se redressant avec peine, il lui enjoignit de se rendre à la lingerie, elle devrait y trier les trousseaux en attendant l'arrivée du troisième larron qui l'y retrouverait.

Echevelée, elle se redressa, le sperme débordant de mister anus lui pois-sant l'entre fesse, la bouche pâteuse, elle le quitta, écoutant avec atten-tion ses dernières recommandations.

--Ah oui... Il a dit que tu te mettes à poil... Il veut te trouver entièrement nue en arrivant!

Sans un mot, ayant compris la consigne, le ventre pesant, elle se rendit à la lingerie.

Rendue à la lingerie, ignorant à quel moment Jean-Pierre se manifeste-rait, elle se dévêtit en un tour de main.

Ce qui d'ailleurs, ne lui demanda que quelques instants, puisqu'elle n'ar-borait que jupe et corsage.

Puis, sans se nettoyer, conformément à leur volonté, elle se mit à la tâ-che.

Elle frismisternait à chaque bruit, bien que sachant les lieux déserts, elle pouvait toujours craindre une visite inopinée, qu'aurait pensé, qu'aurait conclu un éventuel trouble fête de la voir travailler en cette tenue.

Et pourtant les ordres étaient clairs et strictes, nue comme au jour de sa naissance, elle devait attendre la venue de mister fouteur.

Toute la matinée, alarmée au moindre craquement, au moindre grince-ment, elle travailla d'arrache pied pour oublier ses angoisses.

Elle en arrivait à espérer sa venue rapide, venue qui la délivrerait de sa solitude et de ses peurs.

Enfin, sur le coup de midi, il arriva.

Il la trouva blottie entre deux piles de linge, appréhendant avec anxiété l'arrivée du visiteur qu'elle venait d'entendre, peu sûre que ce fut lui.

Elle se rasséréna à sa vue, et éperdue de joie, elle se jeta dans ses bras, lui livrant ses lèvres chaudes, c'était bien lui et non pas un quel-conque quidam qui l'aurait surprise.

Tout de suite, sans plus de cérémonie, il la jeta sur le lit de repos.

Elle gisait comme une poupée de chiffon, cuisses grandes ouvertes, charmes livrés à sa convoitise.

Ouvrant mister compas à la limite du douloureux, il plaça ses chevilles sur ses épaules et d'un seul élan, il la poignarda de mister rostre raidi.

Quelques soubresauts, puis engagé comme une bielle entre les babines juteuses, il vomit mister trop plein dans le tréfonds du vagin assoiffé, il se cabra encore l'empalant jusqu'aux couilles, pubis entremêlés tout en dé-gorgeant mister trop plein avec des petits grognements de contentement.

Quelques coups de langue habilement dispensé et revêtue de ses mai-gres atours elle l'accompagna rejoignant ses compagnons au réfectoire .

Le repas rapidement avalé, elle ôta à nouveau sa jupe et fesses nues débordant largement le court chemisier, elle lava la vaisselle sous leurs regards égrillards, ils s'échauffaient déjà!

Ils s'étaient accordés un après-midi récréatif, dont, bien évidemment elle serait la principale actrice!.....

Pour être plus à leur aise, ils l'entraînèrent à l'infirmerie, toujours cul nu, suintant par ses deux orifices
chrislebo

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Tout l'après-midi ils la limèrent sur une cadence effrénée, se relayant pour s'épancher dans sa bouche sa chatte ou ses reins.

Ils clôturèrent la journée en se ruant simultanément dans ses trois trous béants.

Secouée d'orgasmes dévastateurs, couverte de sperme et de sueur, elle parvint à leur soutirer encore une dose appréciable de sperme crémeux.

Les jambes lourdes, le ventre brûlant, l'anus endolori elle remit de l'ordre dans la pièce, l'aéra, refit le lit tandis qu'ils se congratulaient à voix haute, commentant grivoisement ses performances.

Ainsi, jour après jour, elles se relayèrent pour apaiser les désirs de ces mâles en rut ; ce n'est que rarement qu'elles se trouvèrent réunies, tout au moins à trois, elles profitèrent de ces rares occurrences pour confron-ter leurs impressions.

Ce qui émergeait tout d'abord de leurs discussions, c'est la satisfaction de s'en être tirées à si bon compte sans scandale, sans éclat.

Seule, Sylvie, qui s'était déjà mise en quête d'un autre boulot, quête qu'elle menait vainement jusqu'ici se désolait de la perte de mister emploi, synonyme, dans mister cas de retour des gros problèmes financiers qu'elle pensait disparu.

Elle avait supplié les chefs de la garder, leur promettant de devenir leur pute à tout faire, faisant briller à leurs yeux la possibilité de disposer en toute quiétude de ses charmes le temps qu'elle serait encore à L'I.M.E, rien n'y fit.

Entre saisir une opportunité de se payer de si belles salopes sans dan-ger, et la perspective de risquer sa place pour continuer à en baiser une, le problème n'était plus le même, et ils considéraient le risque comme trop important!

La possession d'une belle femelle, aussi lubrique soit-elle ne valait tout de même pas de risquer leur poste!

La deuxième constatation qu'elles firent c'est que toutes trois, même si elles n'osaient se l'avouer, regrettaient implicitement les corps chauds et les étreintes fougueuses de leurs jeunes amants.

Les rapports de dépendance sous lesquels elles avaient pliés

leur manquaient maintenant, ils les avaient obligées à trouver leur plaisir dans les situations les plus humiliantes, les plus perverses, avec eux ou avec des inconnus et cela leur manquait.

Leurs nuits commençaient à être traversé par des images d'une totale obscénité, où elles se voyaient livrées à des meutes en rut, les profanant par tous les trous.

La perspective de ne plus connaître ces plaisirs sulfureux les désappoin-taient, les désespéraient même.

Déjà elles regrettaient leurs bourreaux
chrislebo

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Refreinant ostensiblement un sanglot, avec lenteur, après une vague hésitation elle s'agenouilla et la main tremblante s'empara du sceptre tendu qui menaçait ses lèvres .

Bigre qui aurait pu croire qu'il soit si membré!

Le beau Francis proposait à sa convoitise une belle flamberge, épaisse, longue, raide à souhait.

Déjà la queue en main, elle brûlait du désir de la sentir vibrer dans sa bouche.

Elle ne devait pourtant pas marquer une hâte suspecte, aussi freinant délibérément mister envie, la mine défaite elle feignit encore l'hésitation, passant une langue tremblante sur le vit brandi, comme repoussant l'iné-luctable instant ou elle devrait l'emboucher.

--Grouille l'encouragea-t-il... La voix oppressée

--Fourres la dans ta bouche... Lèches... Sinon...

Maintenant elle pouvait décemment l'absorber, il était convaincu qu'il la pliait à ses ordres, aussi avec délectation elle ouvrit largement les lèvres et goba voracement le chibre convoité.

Avec un soupir de satisfaction, de bien être il s'engouffra dans le fin fond de sa gorge, mais à peine eut-il le temps de goûter le contact de sa langue de velours, de l'écrin soyeux de ses lèvres, que dans un râle sau-vage, il s'exonéra en giclées puissantes dans mister pharynx.

Sans marquer la forte déception qu'elle ressentait du fait de cette conclusion hâtive, elle continua d'aller et venir sur sa hampe tout le temps de sa longue éjaculation, avalant à petites gorgées le foutre tiède qui lui tapissait la gorge, puis sans rien y paraître, sournoisement, ser-rant ses lèvres à la base même de ses couilles elle entreprit de lui rendre une vigueur de bon aloi.

Tout à sa joie d'avoir souillé de mister foutre la gorge de la belle qu'il convoitait depuis quelques jours avec la plus grande violence, éperdu de bonheur, il la laissa faire se réjouissant de sentir sa bite reprendre de la consistance dans la chaude caverne.

Cette fois, elle voulait recevoir le fruit de ses efforts, aussi sa bouche se fit-elle tendre, la caresse de se lèvres aériennes.

Elle l'aspirait jusqu'au delà de mister gosier, puis retirait lentement la tête, caressant longuement de ses lèvres les moindres replis de sa tige avant de l'enfourner de nouveau avec la même savante lenteur.

Cette fois la fellation dura longtemps, comme s'il en était besoin, d'un seul coup, lorsqu'il se cabra il resserra sa prise sur la nuque de sa zélée pipeuse, s'enfonça encore plus, lésant les amygdales, repoussant la luette dans l'arrière gorge, et de nouveau à de gros bouillons épais, crémeux, inondèrent mister palais.

Empressée elle avala goulûment le sperme tiède qui la ravissait, puis elle s'attarda longuement à la toilette du braquemart tressautant qui ve-nait de lui accorder tant de joie avant de le ranger avec habileté dans mister slip.

Ne doutant pas qu'il devait à la menace qu'il faisait planer sur sa tête ce succulent pompier, la voix mâle il exigea :

-Dorénavant tu seras à ma botte... Je te ferai tout ce que j'ai vu sur le film... Tout... Je te baiserai à couilles rabattues... Je te défonce-rai le trou du cul... Tout je te dis... Tu devras m'obéir...

Affichant une mine honteuse, contrite, elle souffla :

-Oui... Oui, mon chéri... Tu feras de moi ce que tu voudras... Je se-rai ta chienne... Mais je t'en prie ne dis rien à permisterne...

La fine mouche avait atteint mister but, à nouveau elle devrait se plier sous le torse d'un jeune amant, qui, elle n'en doutait pas en prenant de l'assurance, et au besoin grâce à de discrètes suggestions saurait la faire râler sous lui, et très certainement, l'autorité venant sous d'autre.

A nouveau elle devrait combler les désirs, les vœux d'un adolescent qui ne tarderait pas à la traiter en objet, à l'échanger, à l'avilir.

Elle retrouverait ce fort sentiment de honte, d'offense

de déchéance dont elle avait tant besoin pour jouir à pleine gorge, mister corps se verrait à nouveau souillé par des étreintes, même les plus bes-tiales qu'elle ne pourrait refuser... La pleine vie reprenait .

EPILOGUE .

Comme elle l'entendait, Françoise amena mister jeune voisin a asseoir mister emprise sur elle, elle lui suggéra le plus souvent les étapes qui l'amène-raient à une totale dépendance, inventant des situations, des actions qui peu à peu révélèrent en Francis des qualités insoupçonnées .

Par mister entremise, elle pervertit à mister tour mister mari, mettant ses copines à mister entière disposition, bientôt, Francis vécut comme un coq en pâte, disposant à mister gré des quatre femelles et en faisant disposer le mari de Françoise, ce qui leur permit de varier à l'infini les scénarios.

Sylvie retrouva du boulot, recommandée par André, elle sut de la bou-che, du con, du cul gagner une place bien méritée.

Fabienne et Murielle, tout comme elle se prêtèrent avec jubilation à leurs jeux.

Complices de Françoise, elles surent tout comme cette dernière suggé-rer des situations scabreuses qui semblaient toujours venir des mâles; alors qu'en réalité elles menaient le jeu
chrislebo

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Femme D'officier en Territoire Ara





L'Alliance des États Africain avait accueilli favorablement une base de l'OT AN sur leur territoire. Ils savaient qu'une telle base apaiseraient les tensions dans la région et stimulerait l'économie locale. Tout avait été mis en œuvre pour accueillir au mieux les familles du permisternel de la base, école, pavillons d'habitation .....Une telle initiative devait booster l'économie locale, et même encourager les investissements étrangers.

Les divers états Africains réunis dans cette alliance pensaient tous la même chose, alors que les autochtones méprisaient avec un bel ensemble les étrangers et plus spécialement les américains.

La gent masculine manifestait bruyamment mister opposition, mais ces manifestations disparurent lorsque les familles d'étrangers commencèrent à s'implanter. La puissance militaire et le pouvoir d'achat étaient des arguments prévalents, mais surtout, les mâles africains appréciaient vivement les jolies femmes qui accompagnaient leurs maris, et plus exactement les femmes blanches.

Auparavant, ils ne pouvaient compter que sur la traite des blanches pour posséder une femelle blanche, mais celles qui arrivaient jusqu'à eux étaient bien usées, à la limite du consommable, et alors que maintenant ils allaient pouvoir approcher de la viande blanche de première catégorie.

Les états majors savaient que l'on pratiquait toujours l'esclavage féminin dans ces contrées, mais ils ne voulaient pas alarmer les officiers et le permisternel militaire, et encore moins le permisternel féminin, les femmes blanches en particulier.

Ils savaient qu'ils auraient du avertir ne serait-ce même que sommairement les permisternels et leurs épouses des risques encourus, tout en sachant que de telles révélations pourraient créer des incidents diplomatiques.

Ainsi, en arrivant, ont distribué au permisternel militaire et à leurs familles des plans de la ville et des environs, plans détaillés qui avaient été approuvés pour leur sécurité. Les endroits dangereux pour le permisternel blanc , et plus spécialement pour les femmes blanches étaient clairement indiqués, on ne devait pas y pénétrer sans une forte escorte.

Au grand plaisir des autochtones la plupart des permisternels arrivants avaient la trentaine, il en était de même pour leurs épouses blanches. Les habitants de ces contrées étaient noir charbon et rêvaient tous de posséder une de ces jolies femelles blanches.

Naturellement les étrangers étaient tous intrigués par ces zones déconseillées, ils les avaient visitées une seule fois en groupe et sous escorte et n'avaient pas décelés de dangers particuliers.

Faisant ses courses dans la surface autorisée, madame Lauren O'Brien s'était munie de mister plan pour être sure de rester dans la zone sécurisée. La jolie jeune femme avait accompagné mister mari Pat O'Brien, muté dans cette base pour l'instant il était en mission sur mister F-16, et ne devait revenir que dans quelques jours.

Réalisant qu'elle se trouvait aux limites de la zone autorisée, elle se sentait attirée par les boutiques qui lui tendaient les bras tout au long de l'allée. Elle hésitait, mais la curiosité l'emporta, elle ne ferait que quelques pas dans cette zone frontière, elle ne perdrait pas de vue la ligne de démarcation.

Sa peau blanche laiteuse attirait l'œil des autochtones et plus particulièrement l'oeil de Raheem Nimba, un des chefs de la maffia local.

Il savait que la disparition d'une femme blanche ne pouvait apporter que tracas dans mister commerce, et il ne voulait pas d'une telle occurrence. Mais il ne parvenait pas à oublier que la domination d'une aussi jolie femme blanche lui rapporterait une fortune rien qu'en la louant à ses clients locaux.

Silencieusement il suivait la jeune audacieuse insouciante. Il sentait durcir sa queue dans sa djellaba à la vue des longues jambes blanches surmontant les talons à aiguilles, rien à voir avec les babouches grises des femmes locales.

Lauren était si captivée par les colifichets et les cadeaux souvenirs qu'elle avançait lentement dans les ruelles étroites, entre les petites tentes adjacentes, bientôt, voulant revenir sur ses pas elle se retrouva perdue.

Paniquée elle rechercha l'issue vers la sécurité, mais toutes les ruelles lui semblaient semblables, peuplées de colporteurs porteurs de clochettes et de colifichets. Elle demanda à ces indigènes la bonne direction, mais ne reçut en retour que de larges sourires, ils étaient incapables de répondre, ne connaissant pas l'anglais.

Le rusé Raheem n'en croyait pas ses yeux alors qu'il tentait désespérément de la rejoindre dans le labyrinthe de toiles de tentes. Les allées étroites et envahies par la foule augmentaient encore la confusion de la jeune beauté blanche.

On pouvait lire clairement mister extrême nervosité sur mister visage.

Raheem s'approcha de la jeune femme en détresse.

"Avez-vous besoin d'aide madame?"

C'est avec un soupir de soulagement que Lauren entendit un indigène s'adresser à elle en anglais.

"Oh oui .... J'ai perdu mes repères et je voudrai rejoindre la rue principale, pour retourner à la base ".

Raheem lui sourit lui indiquant :

" Prenons cette allée " il la mena directement vers un étroit goulet dans une rue calme, l'éloignant de sa destination.

"Vous êtes loin de la rue principale et de ce fait de la base ....." lui mentit-il.

"Je serai heureux de vous y mener ... Toute seule, vous ne retrouverez jamais votre chemin."

"Vous êtes très gentil " murmura Lauren soulagée.

"Auparavant, je dois juste passer chez moi ... Cela ne prendra que deux minutes.... ...."

Raheem l'entraînait dans un labyrinthe de toiles, elle le suivait reconnaissante. Elle ne pouvait savoir qu'il l'entraînait à sa perte, à la perte de mister innocence.

Lauren fut surprise à la vue de ce luxueux palais surgi de nulle part, ......c'était la maimister de mister sauveur ......Il l'invita à entrer, elle hésita à rentrer ainsi dans la maimister d'un inconnu dans un pays étranger.

"S'il vous plait madame .....Cela ne ferait pas bon genre d'avoir une jeune femme étrangère stationnant devant chez moi " lui dit Raheem.

ignorante des coutumes de ce lieu, Lauren ne voulut pas briser une tradition locale, ni offenser cet homme qui s'efforçait de l'aider.

"J'ai omis de me présenter : Je m'appelle Raheem Nimba et cette maimister est mon humble demeure, dit-il se prosternant devant la belle créature".

A mister tour Lauren se présenta et expliqua à Raheem que mister mari était capitaine dans l'US air power sur la base voisine.

Lauren était impressionnée de rentrer dans ce palais luxueux dans ce pays plutôt pauvre. Parlant dans mister dialecte, Raheem demanda à une servante de préparer des boismisters rafraîchissantes.

Lauren ignorait qu'elle avait ordre de corser le breuvage avec une potion aphrodisiaque, un stimulant seulement connu dans ces contrées, qui mettait les femmes en rut, les rendant totalement dépendantes de leurs chaleurs sexuelles et prêtes à tout pour éteindre ces feux.

Lauren sirota la très agréable boismister, échangeant quelques mots avec mister hôte, mister verre une fois vide fut promptement rempli, un fois ce second verre consommé, elle insista auprès de mister hôte.

"S'il vous plait monsieur Nimba ... Je dois rentrer chez moi ....j'ai vraiment apprécié votre conversation et le temps que vous avez perdu pour me remettre dans le bon chemin...",

Et comme elle prononçait ces mots, la pièce se mit à tanguer sous ses yeux, Raheem grimaça un sourire conscient que la drogue faisait mister effet, il prit la jeune américaine dans ses bras et quitta la salle par la porte tenue ouverte par un domestique hilare.

Un autre domestique tint ouverte la porte de la chambre où Raheem transporta la jeune femme droguée, il l'allongea sur le grand lit et lui sourit alors qu'elle gémissait

"Je vous prie ... Que m'arrive-t-il .... Aidez moi ......"

La pauvre Lauren voulut descendre du lit mais bras, et jambes ne lui obéissaient plus.

Pendant ce temps, Raheem ouvrait mister sac à main; et jetait un oeil sur mister passeport : c'était une américaine âgée de 26 ans, épouse du capitaine Pat O'Brien.

Raheem marmonna merci Allah, il allait enfin pouvoir goûter aux charmes d'une jeune femme blanche.

Madame Lauren O'Brien était encore plus jolie que dans ses rêves les plus fous.

Lauren braquait ses yeux vitreux sur l'homme qui devait la sauver ....

"S'il vous plait .... Je veux rentrer chez moi ... Que m'arrive-t-il? ....."

murmurait Lauren sur un ton suppliant.
chrislebo

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#167
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- "Ooh...... S'il vous plait ......ohhhhhhhh .......... ohhhhhhhhh ........ Je vais .....Je vbais jouir ......... Ohhhhh..........., Ouiiiiii ...... Je .... Je jouis ........." s'écria la jolie jeune femme l'sprit fracassé par un puissant orgasme. La jolie jeune femme n'avait jamis connu d'orgasme d'une telle magnitude. Raheem sourit, lui relevant légèrement la tête que es caméras ne perdent aucune des expressions inscrites sur mister visage. Elle revint lentement à elle, elle relacha l'étreinte de ses cuisses dans mister dos, et elle glissa sur le lit.

Raheem regardait la jeune femme du pilote de les power américaines de l'air. Il aurait aimé que mister américan de mari puisse voir sa femme bienaimée domptée par sa grosse bite noire.Il était secoué d'un grand rire intérieur à l'idée d'offrir un cadeau au pilote américain pour le remercier d'avoir disposé de la précieuse intimité de sa jolie femme si fidèle, auparavant, peut-être même qu'il pourrait lui faire cadeau d'un petit bébé noir! ......

Il se retira lentement de ses profondeurs intimes, la faisant grogner de frustration. Elle cria de dépit :

- "ôohhhhhhhhh ......nonnnnnnnn..... " comme si on lui retirait l'objet de mister plaisir.

En désespoir de cause, elle eserra de nouveau mister torse entre ses cuisses s'arquant pour retourner au contact de la grosse mentule, pour la réntroduire dans sa moule avide.

- "ôohhhhhhhhh ....... ohhhhhhh ........Ouiiiiiii........." s'exclama-t-elle comme la queue toujours gainée de caoutchouc reprenait ses vas et viens dans sa grotte embrasée.

Il adopta alors un rythme de croisière, il souriait en jetant un oeil sur sa jeune partenaire, yeux fermés, tandis qu'il la fourrait voluptueusement, d'une petite gifle, il lui fit reprendre pied dans la réalité.

"Alors madame O'Brien, Que dirai le capitaine O'Brien s'il savait combien sa femme chérie aime le gros gourdin noir de Raheem?" l'accabla-t-il.

Une peur panique s'inscrivit sur mister visage, à la grande satisfaction de Raheem, qui s'accentuait encore en la voyant pleurer à chaude larmes réalisant ce qu'elle faisait la grosse queue noire enfoncée entre ses cuisses. Mais mister corps continuait à la trahir, elle l'enserrait entre ses cuisses pour le sentir s'enfouir plus profondément dans mister utérus, elle grogna en le voyant manipuler la gaine de caoutchouc, cherchant à enlever la gaine de caoutchouc Elle tenta désespérément de limiter mister empalement :

"S'il vous plait.... Que faites vous? ...."

"Nonnn .... Je ne peux pas tout prendre ....... Vous êtes bien trop long ......Nonnnnnnnn ...."

"Vous voulez encore profiter de ma grosse bite madame O'Brien? ......."

Vous voulez continuer à être baisée par mon gros gourdin ..."

Et disant cela il posa ses petites menottes sur sa grosse hampe, l'invitant d'un signe à lui ôter elle même la capote, puis il s'enfouit de nouveau dans ses profondeurs.

"Ohhhhh .... Nonnnnnn ... Je ne veux pas ......."

"Je ne prends pas la pillule .....Ne vous videz pas les couilles dans mo ventre ......Vous allez m'engrosser ........retirez vous .... S'il vous plait .....

Mais la drogue contenait un puissant stimulant sexuel, et Lauren sentait une intense chaleur lui embraser l'entrecuisse, elle savait que seule sa grosse bite pouvait la libérer de cette dévorante frustration, il lui fallait éteindre ce feu qui la consumait, contre tout jugement, elle soupira et roula la capote dénudant le gros chibre noir, elle laissa tomber la capote au sol, elle avait maintenant les mains engluées de sa propre liqueur. Elle saisit alors mister épaisse hampe noire, l'amenant face à sa caverne frémissante, et s'agrippant à ses reins, arquée sur ses chevilles elle s'empala profondément sur l'énorme mentule non protégée.

"Dit à Raheem ce tu veux jolie petite madame ... Que veux la jolie madame O'Brien ..........Est qu'elle veut la grosse bite noire de Raheem? ...... Est-ce qu'elle veut que Raheem lui fasse un petit? ......" accablait-il la malheureuse droguée tout en plongeant sa monstruosité dans la moite chaleur de mister utérus.

"Ooh, nonnnnnnn ...... .. nonnnnnnnnn ......Je ne veux pas ça ........ Pas de bébé noir .........." balbutia Lauren accablée.

Avec un rire de triomphe, Raheem replongea sa grosse queue noire dans mister antre bouillonnant, décidé à se vider dans mister vagin fertile. Il sourit en sentant la jeune femme s'empaler sur sa bite à la recherche d'un orgasme qu'elle n'oublierait jamais. Il lui lécha l'oreille lui susurrant :

"Madame O'Brien, vous aimez être baisée par Raheem .... Par sa grosse pine noire ....Madame O'Brien ne voudra bientôt plus que la grosse mentule de Raheem .....Dites à Raheem ce que vous voulez madame O'Brien .......

Lauren se blottissait dans ses bras, enfonçant ses ongles dans ses épaules, Raheem se réjouissait de la voir sous l'emprise d'une incontrôlable recherche de jouissance, tout en continuant à lui mignoter l'oreille.

"Dites moi ce que vous voulez madame O'Brien ... Vous voulez que Raheem vous emplisse la chatte de mister sperme chaud ........ Vous voulez qu'il fasse un bébé noir à la jolie femme blanche ......" ironisait-il donnant des à coups dans mister ventre.

"Peut-être bien que madame O'Brien veut que je me retire ...." dit-il feignant de se retirer.

Lauren perdit alors tout contrôle.

"Oohaagghhhhhhh .. oh, sil vous plait .........Baisez moi ........ faites moi un baby ..... mais baisez moi ........Ouiiiiii .......Ohhhhhh .....Videz vous dans mon ventre ..........Je vous en prie ......... Raheem .......... je veux jouir ........Donnez moi votre sperme ......."

"Vous voulez le sperme chaud de Raheem dans votre moule madame O'Brien?

"De la semence de bébé ....."

chrislebo

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#168
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"Vous voulez un petit bébé noir madame O'Brien? ....." la taquinait-il sachant qu'elle voudrait bien arrêter, mais qu'elle n'avait plus le pouvoir de se contrôler.

"Ouiiiiiiiiii ..... S'il vous plait .......... baisez moi ........ Je veux votre sperme ....... Votre sperme dans ma chatte ......... Videz vous les couilles ......... Encore .......Faites moi un bébé noir ........... Un bébé de Raheem ........."

Malgré mister expérience des femmes, Raheem était surpris de la voir exprimer ainsi ses désirs lascifs, la jeune et respectable jeune femme blanche lui faisait profiter pleinement de mister joli corps blanc, Il voulait maintenant lui donner ce qu'elle réclamait si fort, il allait l'ensemencer, lui faire un bébé noir.

Après quelques derniers coups de boutoir, la longue bite noire palpita et explosa vulgarement la criblant de jets aussi épais que visqueux. Il projeta jet après jet sa liqueur sirupeuse lui inondant la cramouille.

Lauren criait encore et encore le corps submergé par un orgasme insensé, elle paraissait si innocente et naïve que Raheem ne put se retenir, il se vida à gros bouillon dans mister utérus enflammé, Lauren n'avait jamais eu une telle expérience et mister mari ne l'avait jamais emplie d'une telle dose de sperme.

Comme mister excitation tombait mister esprit s'éclaircissait elle commença à sangloter elle se sentait humiliée et coupable, Elle avait adoré baiser avec cet africain pervers qui lui avait procuré de tels orgasmes, peut-être était ce de prendre conscience d'avoir éprouvé tant de plaisir qui la culpabilisait.

C'était surtout qu'après avoir toujours été fidèle à mister époux, elle venait de le tromper pour la première fois, elle avait été violentée, un salaud d'africain noir avait déposé mister sperme chaud dans mister utérus, elle ne se sentirait plus jamais propre. Elle frismisterna traversée par l'a crainte de s'être fait engrosser par ce puissant africain, comme elle se penchait, elle vit un flot de foutre s'écouler de sa chatte béante.

La drogue ralentissant toujours ses réflexes, elle vit Raheem, ramasser sa petite culotte soyeuse et la mettre dans sa poche.

- "Tu n'en as pas besoin madame O'Brien " commenta Raheem lui liant bras et jambes au lit.

- "Tu peux crier autant que tu veux madame O'Brien, permisterne ne peut t'entendre .....Et si par hasard ils t'entendaient, je retrouverai une longue queue de clients décidés à gôuter à tes charmes!" lui dit Raheem se dirigeant vers la porte.

Lauren avait peur d'appeler à l'aide, elle savait que Raheem avait dit vrai, ces cris ne feraient que signaler sa présence, attirer plus de mâles africains qui voudraient la voir et peut-être même la violer à leur tour.

Vingt minutes plus tard, Lauren entendit des pas s'approcher de la chambre, la porte s'ouvrit :

- "je suis de retour, j'ai ramené mon ami Mimba " l'informa Raheem.

Laura sursauta et se plaignit :

- "Oh nonnnnnnn ........ Nonnnnnn .......Pas lui ..........." a-t-elle balbutié à la vue de l'homme le plus laid qu'elle ait jamais vu. Il était si hideux que les habitants se détournaient sur mister passage, seul Raheem l'avait traité en ami, il était devenu mister dévoué et fidèle garde du corps.

Raheem laissa le colosse contempler sa radieuse beauté, il savait que Mimba lui était fidèle qu'il n'était nul besoin de l'acheter, mais il avait au autre plan, il voulait tourner un film montrant la jeune et naïve madame O'Brien baisée par la brute débile.

Un tel film lui rapporterait une petite fortune, non seulement ses clients habituels seraient acheteurs, mais aussi le permisternel de la base. En fait ses meilleurs consommateurs étaient des officiers de la base.

Lauren frismisterna de peur lorsque le colossal débile s'approcha du lit, arrachant ses vêtements. Elle fut encore plus bien plus effrayée à la vue de sa pine, elle jeta un regard affolé vers la caméra que maniait Raheem.

- "S'il vout plait ..........Je vous en prieeeeeeee... Il est beaucoup trop gros ........trop épais ..........Je ne pourrai pas ......... Il va me déchirer ............Ohhhhhh Nonnnnnn ...... "

La bite de Raheem semblait normale à coté de cette dernière ......C'était une véritable monstruosité ....... Une bite de cheval ......Une batte de base-ball ......

Raheem aussi était impressionné par les mensurations de cette bite gigantesque .... La plus grosse pine qu'il ait jamais vu .......du diamètre d'un poignet d'homme, elle ne mesurait pas moins de 40 centimètres de long .......Il ne pensait pas qu'elle pourrait l'accueillir en totalité .......Elle en mourrait sûrement si elle essayait ......

C'est tard dans la nuit que madame O'Brien regagna mister domicile, une domestique de Raheem l'accompagnait la guidant vers sa demeure, elle avait la chatte pleine de semence africaine. La naîve madame O'Brien avait payé cher sa transgression des règles de sécurité, et maintenant Raheem avait plein d'idée pour exploiter le corps de cette jolie blanche. Bien des galonnés de la base seraient prêts à sortir des paquets de dollars poue goûter à ses charmes

chrislebo

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#169
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Les mois qui suvirent la femme du capitaine O'Brien resta à la base, n'osant pas s'aventurer en ville. Elle était malade de honte de se retrouver enceinte à la suite d'un abominable viol. Engrossée par le pervers Raheem ou bien par mister serviteur, le colosse complètement idiot qui s'appelait Mimba. Elle revoyait toujours l'image obsédante de la monstrueuse queue de Mimba, elle avait la taille de celle d'un âne qu'adolescente elle avait observé dans un zoo.

Et cette monstrueuse queue avait forcé mister vagin, cela lui avait fait très mal lorsqu'il était imposé dans sa moule, mais ensuite comment s'était-elle abaissée à demander à cet idiot de continuer à la baiser .... De jouir dans mister ventre .....Elle soupira de désespoir.

Madame Lauren O'Brien se sentait nerveuse lorsqu'elle faisait l'amour avec mister mari, mister empressement à lui plaire et faire l'amour avec lui ces derniers mois démontrait sa frustration. Jamais le capitaine O'Brien n'avait vu sa femme aussi entreprenante si entreprenante qu'il giclait prématurément s'endormant alors épuisé tandis qu'elle remâchait sa frustration, frustration qu'elle calmait en se branlant avec le manche de sa brosse à cheveux dans l'intimité de sa salle de bain.

Mais elle était hantée par l"image de la monstrueuse bite de Mimba lorsqu'elle se branlait ... Elle pensait qu'avec sa bite d'âne il l'avait fait jouir comme permisterne n'y était parvenu. Puis mister corps apaisé, elle retournait s'allonger le long de mister mari, mais elle se sentait coupable et honteuse de devoir calmer ses sens de cette manière.

Toutes les nuits Lauren pensait à mister enlèvement, et chaque fois cette pensée lui provoquait de puissants orgasmes, d'autant plus dans ses périodes de frustration. Mais les rapports avec mister mari la laissaient maintenant insatisfaite, il ne la faisait plus grimper aux rideaux, et chaque fois elle comparait avec la grosse bite noire de Raheem, avec les orgasmes fulgurants qu'il lui procurait.

Lauren s'était juré de ne plus s'aventurer hors de la zone sécurisée, ainsi elle ne craignait plus de rencontrer mister suborneur ou mister horrible garde du corps.

Toutefois, elle ignorait que Raheem avait des contacts suivis avec plusieurs officiers de la base, et entre autre avec un haut gradé noir.

Lors de la construction de la base, Raheem avait fraternisé avec ce haut gradé, le colonel Bruce Simpmister, qui couvrait une partie des activités illégale de Raheem dans la base.

En échange, Raheem, le ravitaillait en héroïne, et parfois avec les filles qui tombaient entre ses mains. Raheem avait noté la joie du colonel lorsqu'il lui avait permis, deux ans plus tôt, de baiser vulgarement deux jeunes blanches tombées entre ses griffes.

Comme Raheem voulait étendre mister réseau de vente de drogue aux alentours de la base, il savait qu'il devrait négocier avec le colonel.

Et il savait ce qui l'amènerait à couvrir ses manoeuvres, ce serait le prix à payer s'il voulait faire un tour dans la culotte de la jolie madame O'Brien.

Il savait que le colonel débauché aurait donné sa jambe gauche pour visiter la petite culotte de la belle madame O'Brien.

De fait, le Colonel Bruce Simpmister faisait une fixation sur la jolie femme, les renseignements de Raheem s'avéraient exacts.

Il était aussi avide de satisfaire ses envies de femelles blanches que de se procurer de l'héroïne.

La vue de ces nombreuses femelles blanches sur la base exacerbait sa frustration. Il avait mis 20 ans pour obtenir mister grade et il avait du garder sa bite dans mister pantalon pour ne pas risquer de se retrouver en retraite anticipée.

Il passait ses nuits à se branler en pensant aux femelles blanches peuplant la base, et souvent, plus particulièrement à la somptueuse madame Lauren O'Brien, la femme du capitaine Pat O'Brien.

Combien de fois avait-il rêvé poser ses grosses pattes noires sur le corps délicieusement blanc de cette savoureuse petite salope. Combien de fois avait-il rêvé se vider les couilles dans sa petite chatte blonde.

La rencontre entre Raheem et le colonel se déroula exactement comme Raheem l'avait prévu. Comme Raheem ne disposait d'aucune esclave blanche dans mister camp, le colonel avait jeté un oeil sur quelques filles noires et réclamait sa dose habituelle d'héroïne ainsi qu'une importante somme d'argent que Raheem se refusait à payer.

Ils en étaient là de leurs échanges, lorsque Raheem sortit de mister porte feuille une photo de la mignonne madame O'Brien, il sourit en voyant Bruce Simpmister écarquiller les yeux alors que la mâchoire lui en tombait, il avait les yeux rivés sur la photo.

Raheem venait clairement de prendre l'avantage dans leur négociation, il savait que le colonel convoitait avidement cette jolie femme.

Le colonel Simpmister était obnubilé par l'idée de pouvoir profiter des charmes de la plus jolie femme de la base. Il n'avait jamais été si proche de la posséder, depuis le temps qu'il en rêvait .....

Il se demandait si elle était encore pucelle du trou du cul, il adorait être le premier à casser le cul de ces petites salopes. Lorsque Raheem évoqua la possibilité de savourer la cassette vidéo la concernant, le colonel traita sa négociation par dessus la jambe, tant il était pressé de la visionner.

De retour au camp, après avoir visionné la cassette rapportant le viol de la jolie madame O'Brien, le colonel consulta le programme de vol. Il sourit en constatant que le Capitaine O'Brien et mister escadron serait en grandes manoeuvres en Italie, la semaine prochaine. Cela laisserait sa femme seule, il pourrait donc en profiter. Il lui suffisait d'attendre la fin de la semaine pour user de cette belle petite salope. Diable après l'avoir vu fourrée par la gigantesque d'âne du débile qui s'était enfoncé au fin fond de mister utérus, il brûlait d'envie de lui fourrer la sienne dans sa chatte domptée.

Le colonel Simpmister souriait au spectacle de l'escadron de F-16 s'envolant pour l'Italie, ils rentreraient tard dans l'après-midi. Il fallait attendre le moment de la pause café dans le bureau du permisternel féminin, il était censé, d'après le programme, leur tenir un petit discours. Habituellement, il n'aimait pas assister à ces événements assez barbants, mais il savait que la belle Lauren O'Brien, y assisterait, il l'avait vérifié sur le tableau de service, elle était l'une des hôtesses chargée de gérer l'événement.

En arrivant au club des officiers, il sentit sa queue s'ériger dans mister pantalon lorsqu'on lui présenta l'accorte madame O'Brien. Lui tenant la main , il l'imaginait déjà le branlant de ses fines menottes jusqu'à projeter mister jus d'homme dans mister visage.

Mon Dieu cette petite salope est vraiment ravissante, constata-t-il.

Tout en se faisant présenter d'autres femmes d'officiers, il la regardait fixement la déshabillant des yeux. Lauren et les autres femmes d'officiers avaient profité de cette occasion pour s'habiller légèrement, elles étaient vêtues de courtes robes bleues avec des hauts talons blancs. Ce qui mettait en valeur les longues jambes de madame O'Brien. Regardant la jolie jeune femme, il avait du mal à croire qu'elle avait pu s'accommoder de la bite d'âne de cet enfoiré de Mimba, mais la cassette l'avait montrée clairement ses longues jambes ancrées dans le dos du colosse sa monstruosité engagée aux trois quarts dans sa minette distendue à l'extrême.

Jetant un oeil sur les femmes d'officiers, le colonel Simpmister conclut rapidement que pas une ne parvenait à la cheville de la ravissante épouse du capitaine O'Brien. Pas une de ces femmes pourtant fort accortes ne pouvait rivaliser avec elle, il la regarda traverser la pièce pour discuter avec d'autres femmes il sentit à nouveau mister excitation grandir,à l'idée de bientôt lui casser le pot.

Renseignements pris auprès de Raheem, ni lui, ni Mimba ne lui avaient cassé le pot. Il était certain qu'elle était pucelle du cul et il se promettait de lui élargir sacrément le goulot.

Une fois la rencontre terminée, Le colonel Simpmister se dirigea vers sa proie, pour lui annoncer sa visite prochaine il voulait rencontrer le capitaine pour revoir certaines procédures.

-"Je devais le voir ce matin, mais je l'ai manqué, je passerai donc le voir en fin d'après-midi" commenta-t-il.

Lauren ne pouvait refuser la visite d'un officier de haut rang.

Elle avait déjà observé le colonel Simpmister alors q'elle stationnait dans le parking des pilotes, toisant les femmes séduisantes de la tête au pied. Et elle s'était déjà sentie déshabillée par ces regards.

Le colonel surveillait le parking du mess des officiers par la fenêtre de mister bureau, guettant le moment où elle apparaîtrait. Enfin il la vit arriver elle et mister petit cul, ses longues jambes laiteuses, ses longues cuisses qu'il ne tarderait plus à lui faire écarter en grand pour libérer l'accès de sa cramouille.

e vais me la faire comme un pot de fraise, je vais lui casser le cul à cette jolie petite salope et ainsi terminer le travail entamé par Raheem et mister imbécile de garde du corps se promettait-il déjà.

Il était facile pour un officier du rang du colonel Simpmister de faire une ronde dans la base il n'avait de compte à rendre à permisterne. Il se dirigea carrément vers la porte d'entrée de leur résidence. Le voir dans cette zone, paraissait tout à fait naturel et n'attirerait l'attention de permisterne, même s'il préférait ne pas être vu.

En entendant la misternette, Lauren alla à la porte d'entrée, elle jeta un oeil par le judas, et demeura interdite à la vue du colonel Simpmister.

Elle se sentait gênée d'être seul chez elle en compagnie d'un autre homme que mister mari, un grand noir, le supérieur hiérarchique de mister mari. Elle frismisterna d'énervement, lorsque, sans y être invité le colonel prit place sur le canapé.

Rentrant tout juste du mess, Lauren portait toujours la même tenue, il était peu habituel qu'un supérieur hiérarchique se rende chez un des ses subordonnés, qu'il s'impose sans être invité d'autant plus lorsque mister subordonné n'était pas là.

Lauren ne savait rien des pensées du colonel, mais à l'évidence elle le saurait bien vite. Elle sentait monter mister angoisse en le voyant tranquillement assis sur le sofa, à ses cotés.

C'est alors que la bombe explosa lorsqu'il lui dit :

-"Ma chère madame O'Brien, je dois vous féliciter pour votre performance dans le film que l'ai visionné chez mon ami Raheem."

Lauren frismisterna à ces mots, elle était paniquée, elle ne parvenait pas à reprendre sa respiration, la pièce lui sembla tanguer.

Sous le choc, elle s'affaissa contre le dos du sofa, paniquée, glacée de peur.

Son corps se mit à trembler lorsque, souriant ironiquement, il posa la main sur ses douces cuisses blanches, puis elle se mit à haleta bruyamment lorsque la main indiscrète, disparut lentement sous sa jupe. Elle grogna sourdement, secouant la tête, yeux fermés en sentant la main fouineuse lui caresser la bande de chair aux abords de la petite culotte.

chrislebo

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#170
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Elle serra les cuisses emprimisternant ses mains, mais les doigts fureteurs parvinrent à leur destination, sa fente qui déjà était inondée de ses secrétions intimes, ce flot de jus détrempant mister fond de culotte.

Une fois encore mister corps trahissait mister esprit alors qu'elle se tortillait sur le sofa.

Le colonel Simpmister sourit goguenardement, en voyant la jolie jeune femme perdre le contrôle de mister corps, il écarta facilement ses cuisses reprenant ses investigations.

Il glissa alors ses doigts sous la bande élastique de sa petite culotte, mister majeur dénicha mister clito si sensible, il le roula entre ses doigts, elle s'arc-bouta alors sur ses pieds travaillée par un premier orgasme.

Il entreprit alors un lent gamahuchage de sa chatte, elle ouvrait maintenant largement ses cuisses offrant ainsi un large accès à ses trésors intimes.

De sa main libre, il descendit la fermeture éclair de sa robe et la lui enleva la laissant en petite culotte et soutien-gorge de dentelle.

Il se réjouissait de la sentir déjà sous mister emprise jambes grandes ouvertes, intimité livrée à sa concupiscence.

Il savait qu'il pouvait la prendre séance tenante, là sur le canapé, il suffisait de la toucher pour qu'elle perde tout contrôle.

Un coup sec de ses puissantes mains et la fragile petite culotte se déchira comme du papier, exposant sa toimister d'or.

-"Oohhhhhh .... Mon Colonel ........ Nonnnnnnnn .... Je vous en prieeeeeee....Mon colonel ....... S'il vous plaittttttt...." gémit elle alors qu'il plongeait la tête sur sa fente.

-ôohhhhhhhhhhhh ....... ôohhh ........ ohhhhhhhh ....... ohhhhhhhhhhhh ... " haleta-t-elle sourdement lorsqu'il fouilla les replis de sa fente d'une langue taquine.

-"Oôoh, Mon Dieuuuuuuu .... Nonnnnnn....... ohhhhhhhhhh .. Je jouisssssss.......

S'écria-t-elle comme il refermait les dents sur mister haricot bandé.

Dix minutes plus tard, Lauren ouvrit les yeux et frismisterna à la vue du grand corps noir étendu nu à ses cotés. Ce n'était pas un cauchemar, ce jouisseur de colonel, en lui broutant le gazon l'avait menée au bord de l'évanouissement.

Et maintenant elle constatait qu'il s'était entièrement dévêtu pendant les quelques instants où elle avait perdu conscience. Elle était étendue mollement à ses cotés, lorsqu'il l'attira à lui, embrassant ses lèvres soyeuses.

Puis ses lèvres rampèrent sur sa peau tendre traçant leur chemin vers ses tétons rosis d'excitation, puis il continua vers sa fente, avant d'explorer à nouveau sa toimister dorée.

Elle était en manque sexuel aussi arqua-t-elle ses reins lorsqu'il fouilla sa fente détrempée d'une langue habile.

Elle frismisterna longuement, bouche grande ouverte, réagissant à la brûlante stimulation entre ses cuisses.

Elle frismisterna à nouveau lorsqu'il profita de l'ouverture de sa bouche pour y glisser sa grosse bite raidie.

Il était curieux de voir comment cette petite salope s'accommoderait de sa grosse mentule.

Ayant observé mister viol par Raheem et l'autre abruti à la bite de cheval, il lui semblait évident qu'elle était si chaude que mister mari ne pouvait pas parvenir à la satisfaire.

La ravissante madame O'Brien tétait bruyamment la grosse bite, tentant d'en extirper la substantifique moelle.

Si seulement le bon capitaine pouvait voir sa gentille femme à cet instant, il continua à la caresser de la langue alors qu'il pouvait disposer d'elle à mister gré, la baiser, se faire sucer .... Il pouvait tout se permettre.

-" S'il vous plaittttt..... Mon colonel .... Ne me laissez pas ...... J'ai trop besoin de jouir .........!" sanglotait désespérément Lauren s'arquant pour retenir ses lèvres sur sa fente embrasée.

Elle était encore sous le choc lorsqu'il se redressa, elle serra convulsivement la grosse bite entre ses menottes le branlant frénétiquement. Le colonel Simpmister grimaça un sourire et lui dit

-"Allons dans ta chambre que je puisse te baiser confortablement ..... Quelle meilleur place que le lit conjugal pour s'envoyer en l'air"

Lauren secoua la tête horrifiée.

-"Je vous en prie pas là ...... Pas dans notre lit ...... Partout où vous voudrez mais pas là ....."

Elle considérait cela comme un sacrilège, ce lit leur était réservé à elle et Patrick. Déjà qu'elle avait trahi ses voeux de mariage, et voilà que le supérieur hiérarchique de mister mari voulait la posséder dans leur lit conjugal!!!!!

- "Je vous en prie .... Baisez moi ici sur le sofa ......"

plaida Lauren toujours agrippée à la grosse bite qu'elle cherchait à enfouir dans sa cramouille. Il recula mister ventre pour lui interdire cette satisfaction.

-"Allez madame O'Brien , c'en est assez, emmenez moi dans le lit que vous partagez avec votre époux!"

Secouant misérablement la tête elle se leva difficilement tenant toujours la flamboyante flamberge entre ses mains délicates. Les yeux pleins de larmes, la tête baissée, refoulant ses plaintes, elle prit piteusement le chemin de leur chambre, entraînant le colonel d'une main ferme enserrant ses attributs virils.

Les larmes ruisselaient sur mister visage lorsqu'ils pénétrèrent dans le sanctuaire conjugal, quelques instants plus tard, elle était allongée mollement sur le dos dans le confortable lit, ses cuisses étaient grandes ouvertes, le colosse noir installé entre elles.

Glissant la main vers le bas, elle saisit la grosse pine noire, elle la caressa sur toute sa longueur, réalisant qu'elle n'en faisait pas le tour doigts fermés, elle réalisa alors le danger de jouer avec ses attributs,

-"Je vais vous chercher une capote? " demanda-t-elle inquiète.

-"C'est pas la peine ma petite chérie blanche .... Cela vaut même mieux puisque tu veux qu'on te fasse un bébé ...... "

lui répondit le colonel Simpmister fouillant sa fente embrasée de mister gros gland.

-"Colonel ...... Mon colonel, je vous en prie, Je ne veux pas me retrouver enceinte ....." plaida Lauren.

Mais une fois de plus mister corps la trahit, elle arqua ses cuisses cherchant à happer le gros chbre noir pour ensuite l'enfourner dans sa cramouille.

-"Ohhhhhhh .... Ouiiiiiii ....." haleta-t-elle happant se cramponnant au membre massif.

Empoignant mister gros chibre, il l'introduisit dans sa caverne impatiente, comblant un manque sexuel évident. Il s'enfonça alors centimètre par centimètre dans la gaine soumise de la jeune femme en extase.

Elle avait refermé les bras sur ses épaules, enserrant mister buste dans l'étau de ses cuisses cherchant toujours à l'attirer plus profondément das mister sexe élargi.

-"Ooh, mon colonellllll .......Mon colonellllllll ...... .. ohhhhhhhh, oui ....... Baisez moiiiiiii..... encore ....... plus profond .......... plus profond ......." s'exclamait Lauren

s'arquant pour mieux enfouir sa virilité au tréfonds de mister utérus. L'ancienne petite femme si naïve se muait en une goule insatiable, une consommatrice de grosses queues noires en particulier.

La labourant de violents coups de boutoir, il lui faisait apprécier toute la longueur de sa hampe enfouie jusqu'aux couilles dans sa moule enflammée. Puis désireux de l'humilier, il dit :

-"Que dirait ton capitaine s'il voyait sa précieuse petite femme en, ce moment madame O'Brien?"

-"En te voyant m'implorer de fourrer ma grosse bite noire dans ta moule?"

-"En me voyant t'injecter mon foutre épais de nègre dans ton petit trou?"

Elle se pinçait les lèvres pour ne pas répondre, surtout ne pas lui donner cette satisfaction.

N'entendant aucune réponse, il s'immobilisa, laissant sa mentule immobile à l'orée de sa caverne palpitante.

S'arquant sur les cuisses, forçant pour l'attirer contre mister corps, l'enserrant de ses cuisses jointes, agitant sa chevelure de part et d'autre, elle clamait mister désespoir cherchant désespérément à poursuivre l'acte enivrant.

Elle se saisit de la partie de la hampe sortie de mister sexe, cherchant à la renpowerr de power mais vainement, elle tomba alors dans mister piège soupirant misérablement :

-"O S'il vous plait mon colonelllllll.....Je vous en prie .......Faites moi jouir ...... Je vous en prieeeeeeee.....Ohhhhhhhhhhhh .... Mon Dieuuuuuuu....... Encore ........ Soyez maudit .........Baisez moi ........Crachez votre jus dans mon ventre .......Soyez maudit ...... Donnez moi votre semence ........ Crachez vitre jus de nègre dans ma moule ..........Maintenant .....Je vous en prie .........Faites moi un petit bâtard noir ......."

Le colonel Simpmister exprima sa satisfaction en souriant goguenardement, et il reprit mister rythme de croisière, l'affolant de profonds coups de boutoirs. Il se redressa soudain et d'un seul élan s'enfouit jusqu'à la garde dans sa moule engluée, mister épais bourgeon jetant même un oeil curieux au delà de mister col d'utérus.

-Oohhhh .......... Ohhhhhhh ........ ohhhhhhhhhhhhhhh ........ ohhhhhhhhhhhh .......ohhhhhhhhhhhh.......Mon Dieu ...... Ouiiiiiii ....." s'écria-t-elle submergée par un nouvel orgasme.

Il se tenait au dessus d'elle contenant sa propre excitation, la regardant frismisterner sous l'orgasme, puis mister corps se relâcha, l'étreinte de ses jambes se desserra, elle gisait alanguie sur le lit.


chrislebo

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Lauren était stupéfaite d'avoir ainsi joui, c'est alors qu'il reprit ses vas et viens, plongeant au plus profond de sa foufoune pour ensuite observer de voluptueux retraits, soumise à ce traitement, elle reprit tout de suite pied dans la réalité, il lui donna une petite gifle, histoire de la ramener à lui.

Elle grimaçait de peur, preuve qu'elle était maintenant pleinement consciente de ce qui lui advenait. Il haussa alors le rythme la labourant de plus en plus vigoureusement, et à nouveau cette queue qui l'avait emmené sur des sommets jusqu'ici juste entrevus la replongea dans un orgasme inouï.

-"Mon Dieu ....... Je vous prieeeeeeee...... S'il vous plait ...... Colonelllll.......Mettez un préservatif .......S'il vous plait ........Vous allez m'engrosser .........Ohhhhhhh..... Je vous en prieeeeeee......Nonnnnnnn ...!"

Gémisait-elle essayant de le repousser.Mais io continuait sa savoureuse entreprise à nouveau le corps de Lauren répondait, elle noua bras et jambes dans mister dos, grommelant :

-"Oh, Mon Dieu .......N ooonnnn......."

Et tremblant de tous ses membres le colonel s'enfouit dans les tréfonds de mister utérus qu'il éclaboussa de mister épaisse liqueur visqueuse.

Il se tenait maintenant à la tête du lit observant la jolie petite femme du capitaine O'Brien, elle s'était recroquevillée en position ***e, goutte à goutte mister foutre gluant s'écoulait de sa fente poissant sa toimister d'or. Il jeta un oeil concupiscent sur mister petit cul tout rond, une véritable aubaine qu'elle soit encore vierge du trou du cul.

Sachant que ni Raheem, ni mister débile d'ami ne lui avaient cassé, il était certain qu'il serait le premier, qu'il allait lui ravir mister pucelage anal.

Stupéfaite, encore sous l'influence lénifiante de mister orgasme, Lauren s'était mise à 4 pattes sur l'ordre du colonel, La queue frémissante il posa ses lèvres sur la charmante croupe de la naïve petite femme ,il jeta un oeil à l'extérieur au travers des grands rideaux, il hésitait, Dieu ce j'aimerai entendre cette petite salope hurler lorsque je lui aléserai la rondelle.

Bon Dieu je ne peux pas la faire crier avec les pavillons des voisins si proches, elle beuglera certainement si fort qu'elle ameutera tout le voisinage en quelques secondes.

Le concupiscent colonel se mit en bonne position, l'agrippant fermement aux hanches, comme il allait la bâillonner d'une main, il entendit le sifflement aigu des réacteurs d'avions rentrant à la base. Un large sourire illuminant mister visage, il se rappela que la direction des vents avait changé ce midi, ce qui signifiait que les avions en approche, allaient passer juste au dessus de la résidence des officiers.

A 4 pattes, tenue fermement par hanches, Lauren grogna lorsqu'il manipula mister clito si sensible, réveillant mister plaisir, elle ignorait tout des intentions démoniaques du colonel.

Un instant plus tard, il détrempa sa bite dans la moiteur de sa caverne, et affermit sa prise sur ses hanches. C'était le bon moment, il entendait le hurlement des réacteurs amorçant l'atterrissage. Pressant sa bite raide contre le goulot de mister anus, il grogna sourdement et s'enfonça d'un violent coup de rein.

Lauren, le corps tétanisé de douleur à cette sauvage agression hurla à pleins poumons :

-"Oaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ............ ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!"

La douleur déchirante fusait dans ses reins, irradiant ses lombes ; à la douleur de l'effraction se mêlait l'horreur de se voir ainsi traitée, comme une pute de bas étage.

Heureusement comme, il l'avait escompté le hurlement des réacteurs avait couvert ses beuglements, permisterne dans le voisinage ne s'inquiéterait donc, c'était vraiment inénarrable, Grâce au hurlement du réacteur du F-16 du capitaine O'Brien il avait pu ravir le pucelage anal de la gentille madame O'Brien.

Ils en avaient maintenant pour une heure de débriefing. Le bon colonel avait donc tout mister temps pour permettre à adorable madame O'Brien de reprendre ses esprits et de reprendre une allure conventionnelle.

Sortant par l'arrière de la maimister, il reprit la grand route, ça avait été un véritable jeu d'enfant.

Parvenant aux abords du centre de débriefing, il se réjouit à l'idée d'aller saluer la capitaine O'Brien. Rien n'était plus jouissif que de venir saluer le mari alors qu'il venait de baiser sa petite femme par tous ses orifices.

Le capitaine O'Brien écoutait avec grand plaisir mister officier supérieur louer les qualités de mister adorable petite femme qui avait si bien organisé la réunion des femmes d'officiers. Lorsque le bon colonel lui dit qu'il avait de la chance d'avoir une si adorable petite femme, et de plus d'une telle beauté, il se félicita de mister bonheur.

Lauren était désespérée d'avoir enduré une telle épreuve cet après-midi. Elle ressentait une vive douleur émanant de sa rondelle meurtrie, elle dut cependant bander mister énergie, pour se consacrer au ménage et à faire disparaître toute preuve de mister aventure.

Elle n'avait pas encore préparé le repas du soir lorsque mister époux rentra à la maimister. Il lui dit de ne pas s'en faire pour le dîner, ils allaient manager au mess des officiers. Elle ne voulait pas y aller, de crainte d'être confrontée au colonel pervers, mais Patrick insistait, il voulait déguster un bon steak saignant.

Pendant tout le dîner, Lauren se sentit nerveuse, mister tourmenteur se tenait au coin du bar, pendant toute la soirée, elle sentit les yeux du colonel posés sur elle, la dénudant à nouveau. L'orchestre s'installa pour la soirée, les couples se formèrent, alors qu'ils dégustaient un digestif, atterrée Lauren vit le colonel se diriger vers eux.

Le capitaine O'Brien le salua chaleureusement, tendant sa large main vers Lauren, le colonel lui demanda si elle était fière de sa performance de ce jour, brisant le peu d'assurance qu'elle affichait mais elle ne pouvait refuser la main que lui tendait mister bourreau. Le capitaine O'Brien était très fier de sa réussite, mais Lauren savait que ce n'était pas à cette performance que le colonel faisait allusion.

Le capitaine n'avait pas de raimister de refuser que sa gentille femme danse avec le bon colonel, Lauren ne pouvait rien faire pour l'empêcher de l'escorter sur la piste de danse nimbée d'une lumière diffuse. Elle frismisterna d'anxiété lorsque le colonel l'entraîna vers le coin le plus sombre de la piste. Il s'agissait d'un slow et elle devait se blottir entre les bras de l'homme qui l'avait violée l'après-midi même. De plus elle devait supporter ses sarcasmes :

-"Que dirait ton beau capitaine s'il venait à découvrir la cassette vidéo, ou à découvrir que j'ai baisé sa femme si fidèle jusqu'à l'os? "

-"penses tu qu'il se réjouirait de te voir baiser avec le gros débile? "

Lauren savait qu'il la tenait dans ses griffes. Lors de la seconde danse elle blêmit en entendant ce qu'il voulait qu'elle fasse. Heureusement il y avait peu de danseurs,et permisterne ne faisait attention à eux.

Son mari était assez loin d'eux, les couples de danseur la dissimulaient totalement, elle s'accroupit et tendit la main vers la grosse bosse qui déformait sa braguette. Elle aurait voulu hurler, lorsqu'elle dut embrasser la grosse bite raide de l'officier au travers de mister pantalon, à proximité de mister mari.

chrislebo

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#172
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Les trois semaines suivantes, Lauren se réjouit, elle n'avait plus eu affaire au colonel Simpmister, elle priait pour que le pervers soit lassé de mister corps, mais en mister fort intérieur elle savait qu'il n'en avait pas fini avec elle, et elle avait peur de ce qui pouvait arriver dans un proche avenir.

Depuis ce terrible faux pas dans la zone interdite, elle avait peur de s'éloigner des grilles de la base, elle espérait que mister mari serait transféré sur une autre base ce qui la tirerait de cette horrible situation.

Lauren s'était levée tôt ce matin elle avait préparé un bon petit déjeuner pour mister mari, il partait en manœuvres toute la semaine. Elle lui donna un dernier baiser et le regarda entrer dans le quartier général affolée de se retrouver à nouveau seule.

Une heure plus tard, des fenêtres de sa cuisine, Lauren assistait à l'envol des F-16, elle vit mister mari et mister escadron disparaître rapidement dans les nuages. La misternerie du téléphone la rappela dans la réalité; Elle resta muette, figée par l'angoisse, le combiné à la main en entendant les consignes de mister interlocuteur.

Une heure plus tard, vêtue d'une jolie robe et chaussée de hauts talons, Lauren quittait les limites de la base. Elle reconnut la femme qui l'attendait à l'entrée, c'était la même qui l'avait ramenée chez elle ce terrible jour. C'était une domestique noir de Raheem, le trafiquant de drogue et d'esclave, elle devait la conduire au palais du pervers. Lauren aurait voulu tourner les talons, pour retourner dans la relative sécurité de la base, mais elle craignait les conséquences qui en découleraient.

Arrivée au luxueux palais de mister suborneur, Lauren hésita à boire le rafraîchissement que lui tendait un domestique, elle avait peur qu'il ne veuille encore la droguer, comme lors de sa visite initiale, Mais la mister guide et le domestique la surveillaient avec une telle intensité qu'elle sut que de toute manière elle boirait le breuvage préparé.

Peu après elle identifia clairement les lieux spectateurs de sa déchéance, frismisternante de peur, elle se tortilla dans le lit sur lequel elle s'était étendue, sensible à l'intense chaleur qui embrasait ses reins. Elle haleta lorsqu'on ouvrit la porte, elle vit alors trois colosses noirs s'approcher d'elle et du lit. Elle les reconnut alors, c'étaient le colonel Simpmister, Raheem le trafiquant de drogue et Mimba le serviteur débile.

Les trois jours suivants, Lauren fut baisée dans ses trois trous, forcée de sucer des bites tandis que d'autres la baisaient, elle y laissa ses dernières illusions.

Elle se sentait si honteuse, presque responsable, bien que cette situation soit surtout due à l'emploi de drogues qui avaient dénaturé ses comportements.

L'instant le plus délirant survint quand elle dut sucer la bite du colonel Simpmister alors que Raheem la baisait en con et que Mimba forçait sa rondelle de sa gigantesque mentule.

Le colonel Simpmister et Raheem étaient si contents de leur collaboration qu'ils se considéraient maintenant comme des partenaires, cette collaboration devait inclure des complices de Raheem, des hommes issus de la même classe.

Pour s'assurer de leur dévouement ils décidèrent d'accorder à ces comparses un bonus particulier : aussi quelques jours plus tard, ils formaient une queue, rangés par ordre d'importance dans le trafic. Ils étaient forts surpris d'avoir été convoqués pour toucher ce bonus, ils avaient déjà fait complète allégeance à leurs patrons. Ils avaient dînés et discutés avec eux et chacun frismisternait dans l'attente de cette gratification si particulière.

Lauren ignorait totalement comment elle avait survécu à cette terrible épreuve, épuisée, elle regardait mister corps couvert de sperme des pieds à la tête. C'était elle le bonus offert aux sbires de Raheem. Les hommes n'en avaient eu cure de mister manque de réaction lorsqu'épuisée elle les sentait se succéder dans ses trois trous gorgés de foutre, seul importait le fait de baiser de la viande blanche. Elle ignorait totalement le nombre d'hommes qui s'était régalé de ses charmes, Il s'agissait là de crapules, de rebus de la société. Ils l'avaient prise continuellement, l'un après l'autre, Puis ils étaient venus par groupe de sept, elle s'étendait sur un homme tandis qu'un second se faisait sucer, un troisième l'enculait, elle en branlait deux tandis que les deux derniers se frottaient contre ses seins et ses jambes.

Cinq semaines plus tard, Lauren préparait le repas de mister mari lorsqu'elle fut prise de nausée, ce qui correspondait à mister retard de règles, elle alla droit dans la salle de bain, le test de grossesse lui confirmèrent ses pires craintes, elle était grosse, ce qui n'était guère étonnant sachant la quantité invraisemblable de foutre qu'elle avait stocké dans mister utérus, elle ignorait bien qui pouvait être le géniteur, mais elle était certaine d'une chose le futur père était noir!

chrislebo

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#173
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Femmes de rappelés désespérées


Le sergent Reggie Carter, un vétéran engagé depuis 20 ans dans l'armée, riait n'était plus jouissif que les temps de guerre, participer aux combats était dans mister sang, l'adrénaline montait dans ses veines quand mister environnement le considérait comme une machine à tuer.

Les hommes participant à cette guerre étaient principalement des rappelés qui ne voulaient pas combattre mais était forcés de le faire maintenant qu'ils avaient longuement jouis des avantages d'appartenir à l'armée de resserve.

Ils ne s'attendaient pas à être rappelés à moins que le pays ne soit attaqué par un autre pays, faire partie de la réserve en temps de paix était un gros avantage qui leur rapportait une substantielle paye.

Mais les choses avaient changé et ils se trouvaient maintenant en premières lignes, dépendant grandement d'un sergent vétéran de qui dépendait le fait de rentrer au pays en une seule pièce ou dans un cercueil de pin.

Tout juste de retour de mister deuxième séjour au front, le sergent Carter était regardé comme un héros en raimister de sa bravoure qui l'avait amené à mettre en jeu sa propre sécurité pour sauver plusieurs de ses hommes blessés qui se trouvaient sous le feu d'un sniper.

Le sergent Carter avait carrément porté sur mister dos le capitaine Mike McCoy qui s'était pris un éclat d'obus dans l'aime et était incapable de marcher, de plus, si dans mister peloton plusieurs de ses hommes aveint été sérieusement blessés, ils étaient tous rentrés en vie, et c'était ce qui avait importé le plus lors de mister retour alors qu'il se tenait maintenant fièrement au centre d'une cérémonie pendant laquelle un officier supérieur venait de le décorer en lisant sa citation.

Alors que l'officier commandant la base révélait les circonstances des exploits lui valant cette citation, le sergent Carter regardait la foule de civils assistant à la cérémonie.

Au troisième rang était assis le capitaine Mike McCoy et sa ravissante jeune femme, ils étaient mariés depuis un an.

Et tandis que le colonel Dempler continuait le récit de mister héroïque comportement, Reggie observait le jeune homme qu'il avait sauvé poser la main sur l'épaule de sa ravissante jeune femme qui reniflait en essuyant les larmes qui perlaient dans ses yeux.

Reggie serrait les lèvres tant mister attention était forte, il s'empêchait de toutes ses powers d'éclater de rire car il savait que pour tous les gens les environnant, ces reniflements et ces pleurs saluaient le retour en vie de mister mari à la maimister.

Mais Reggie savait quelque chose que permisterne d'autre que lui ne savait, que la somptueuse Cheryl McCoy n'était pas si joyeuse que cela de voir mister mari de retour.

Reniflant et essuyant ses larmes alors que le chef de corps continuait à détailler le sauvetage de mister mari par le sergent Carter, Cheryl avala sa salive, alors que frismisternante de culpabilité elle sentait mister cœur battre la chamade.

- La, la... Je suis à coté de toi ma chérie! Je m'en suis sorti en vie! Tentait de la consoler mister mari en lui tapotant le dos.

Alors qu'assise tremblante à ses cotés, Cheryl se remémorait ces deux dernières années et comment elle avait été prise de panique à la pensée que mister fiancé ne puisse pas revenir en vie du front.

Mike était vraiment un citadin, il avait rejoint la garde nationale pour ses avantages sans jamais envisager qu'il pourrait être appelé à défendre la patrie, elle avait alors craint le pire.

Il ressentait le même stress que tous les membres de mister unité qui espéraient tous rester au plus prêt du sergent vétéran sachant qu'il était le plus à même de leur assurer la survie.

A l'insu de Cheryl, le sergent avait vu Mark contempler une sa photo, le pervers sergent avait tout de suite pensé qu'avec un peu d'habileté il pourrait assouvir avec elle ses appétits de luxure.

Il avait attendu la journée ouverte organisée à l'adresse des femmes et des proches des rappelés, Mark avait ébahi lorsque le sergent Carter lui avait annoncé qu'il était le plus prometteur de ses soldats et qu'il l'avait désigné pour faire une démonstration de close combat.

Il avait tout juste noté que le sergent Carter s'était installé à coté de sa femme pendant sa démonstration devant la foule.

S'adressant au sergent Carter assis à coté d'elle, Cheryl l'avisa :

Je suis tellement surprise... Mark m'avait toujours assuré qu'il manquait d'assurance lors des entraînements! Je me tracasse tant pour lui! Je me demande toujours s'il parviendra à rester en vie! C'est vraiment un grand réconfort de vous entendre dire qu'il est votre recrue la plus prometteuse sergent Carter!

Un frismister d'angoisse parcourut la colonne vertébrale de Cheryl à la vue du sourire démoniaque qu'arborait le sergent Carter alors qu'il se penchait sur elle en murmurant :

- Vous rappelez-vous m'avoir entendu dire que l'habileté ne suffit pas, il faut aussi avoir de la chance mademoiselle Miller! Mais qu'est qui fait qu'on ait... La poisse... Ou du pot!

- Le genre de chance que je réserve à Mark repose dans vos mignonnes petites mains! Savez-vous que la chance des soldats dépend des ordres que leur donnent leurs chefs... Par exemple, vous ne pourriez savoir le manque de pot des soldats désignés pour des missions périlleuses... Croyez-moi, Mark est loin d'être la meilleure recrue... C'était juste une façon de ne pas l'avoir dans les pattes en m'asseyant à vos cotés!

Alors que la démonstration allait commencer et que tous les têtes se tournaient dans cette direction, Cheryl frémit en sentant la main du pervers sergent lui caresser le bras.

Figée par la peur de contrarier le sergent de Mark, Cheryl se força à demeurer passive alors que le colosse chauve prenait sa main gauche et jouait avec sa bague de fiançailles.

Puis le vil sergent l'informa :

- Je peux cependant garantir que Mark ne se retrouvera jamais en première ligne! Si tu te montres gentille avec moi je le prendrai sous mon aile et m'assurerai qu'il rentre en une seule pièce à la maimister... En vie... Et pas dans un sac à viande! Tout cela dépend de toi ma petite chérie... Sinon, je ne peux que te prévenir d'une chose, ne fais pas de plans de mariage... Quelque fois qu'il ne rentrerait pas en vie! Réfléchis rapidement avant qu'il vienne nous rejoindre... Son sort dépend de toi ma chérie!

L'innocente et naïve Cheryl était pétrifiée de peur.

Lorsque la démonstration de Mark se termina, elle ne voyait pas comment elle pourrait lui rapporter la proposition que venait de lui faire le sergent Carter, proposition dont dépendait mister sort sur le front.

L'opération porte ouverte de la base terminée, Cheryl se força à rejoindre le bar ou le sergent Carter lui avait donné rendez-vous.

Une fois qu'elle fut arrivée et qu'il eut dégusté quelques boismisters fortement alcoolisées, Cheryl sentit que ses sens étaient engourdis par l'absorption inhabituelle d'alcool en de telles quantités.

Elle autorisa le sergent Carter, piaffant d'impatience, à lui caresser ses cuisses gainées de nylon sous la table, sa main glissant sous l'ourlet de sa jupe.

Apeurée, stressée Cheryl ne comprenait pas tout ce que lui disait ce pervers qui lui disait :

- Elle est si jolie... Si élégante... Etc, etc...

Mais elle entendit très bien le sergent Carter l'aviser :

- Relis les lettres que tu rédiges pour ton fiancé, dis-lui à quel point il t'est pénible de rester vierge jusqu'au soir des noces! C'est tout de même in croyable, 24 ans et toujours pucelle!

Pire encore il ajouta :

- Dire que c'est moi qui vais avoir l'honneur de cueillir le précieux pucelage d'une ravissante jeune femme blanche!

Jusqu'à cet instant elle avait nourri le fol espoir qu'il se contenterait d'une discussion conviviale autour de quelques verres!

- Oh mon Dieu... Dire que je conservais ma virginité pour moi-même... Pour Mark! Mais... Mais si je ne me sacrifie pas... Il ne pourra peut-être jamais clamer sa joie de m'avoir tout à lui! Réalisait-elle vulgarement.

Les larmes au bord des paupières elle couina misérablement :

- Vous... VOus enfilerez un préservatif... N'est ce pas? Je ne peux pas me permettre ce genre de risques...

Le sergent Carter se réjouissait d'avoir tiré le maximum de bénéfices de ma prise en charge de ces mollasmisters de rappelés.

Et sa première victoire était d'avoir subjugué ma douce et naïve Cheryl Miller (maintenant Cheryl McCoy) en lui faisant des propositions totalement indécentes, cela avait marché incroyablement bien et bien plus rapidement qu'il ne l'avait prévu.

Il avait emmené la douce et innocente jeune femme dans le motel de l'autre coté du parking, aussitôt il l'avait positionné à genoux lui suggérant de faire de mister mieux si elle voulait que mister fiancé revienne en entier au pays.

Ses menaces lui permettaient d'être le premier homme à lui fourrer sa grosse mentule en pleine bouche... Bordel c'était totalement irréel... Jamais il n'aurait cru qu'elle puisse l'accueillir aussi aisément en pleine gorge... Il aurait plutôt cru qu'elle dégueulerait tripes et boyaux rien qu'à cette idée! Gloussait-il silencieusement.

Naturellement, ce n'était que le début de l'épreuve que la ravissante jeune femme dut endurer pendant toute la soirée, elle dut se livre à des actes insoupçonnables... Elle dut lui offrir mister précieux trésor qu'elle avait su préserver depuis tant d'années... Son pucelage!

Une fois que ses nausées disparurent, quoi qu'elle soit encore des envies subites de vomir, elle avait du accomplir un strip-tease enjôlant pour complaire aux désirs de Reggie.

Pour éviter qu'elle ne change d'avis Reggie avait du enfiler une capote, sachant pertinemment qu'elle ferait machine arrière s'il refusait cette condition.

chrislebo

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#174
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Ce fut cependant un moment de joie intense à voir la jeune et inexpérimentée beauté dérouler la capote sur bite, une tâche à laquelle elle ne s'était jamais livrée auparavant.

Dans ce motel minable situé à coté d'un bar populeux, permisterne ne s'inquiétait d'entendre une femme hurler de douleur et Reggie tira avantage de ce fait en ne montrant aucune pitié lorsqu'il plongea sa bite gorgée de sang dans sa chatoune jusqu'ici inviolée.

Ses hurlements de douleur et de peur ravissaient ses oreilles l'encourageant à dévaster un max sa chagatte distendue.

Alors que la naïve je ne fille tout juste déflorée sanglotait le suppliant de la laisser en paix, Reggie récupérait lentement.

Mais comme sa pleurnicharde victime cherchait à récupérer mister souffle avant qu'il ne la saute à nouveau, Reggie roulait sournoisement le préservatif sanguinolent pour l'enlever.

Endolorie par mister violent dépucelage elle ne se rendit pas compte qu'il avait enlevé sa capote lorsqu'il l'enfila de plus nouveau, les reliefs sanguinolents de mister dépucelage facilitant mister intromission.

Sa ruse avait marché comme sur des roulettes et Reggie se prépara à projeter mister foutre au fin fond de la foufoune de cette stupide petite chienne!

L'esprit embrouillé par l'alcool qu'elle avait ingurgité, complètement inexpérimentée en ce qui concerne le sexe, il était évident qu'elle ne se souciait que de sentir sa douleur s'apaiser sous le flot de pommade qui l'emplissait à ras bord... Sans même se douter qu'il s'agissait de mister foutre!

Reggie n'était pas le type à laisser échapper une chose savoureuse, et l'adorable Cheryl Miller était vraiment succulente.

Puisqu'il l'avait possédée une première fois pour la dépuceler, il pensait qu'il lui serait facile maintenant de lui faire écarter à nouveau ses jolies cuisses.

Et, comme il avait traité en ami ce stupide gars qu'elle allait épouser, lui promettant de le faire rentrer en vie de sa première vacation au front, Mike McCoy lui avait fait l'honneur de lui demander d'être un de ses garçons d'honneur.

Avant que la réception ne se termine il avait tendu une boismister droguée au marié, et c'est lui qui avait honoré la jeune épousée lors de sa nuit de noce.

Bien que la jeune chienne se soit donnée à lui à contrecœur à chaque fois qu'il lui en avait fait la demande, Reggie savait que ses performances égalaient pour le moins celles de mister cornard de petit mari mollasmister.

Et comme il s'était avéré totalement incapable de l'honorer lors de sa nuit de noce, la jeune épouse frustrée l'avait rapidement supplié de la baiser à couilles rabattues.

Il ne restait rien de l'innocente jeune beauté qui s'était sacrifiée pour sauvegarder la vie de mister fiancé, elle s'était muée en une insatiable nymphomane affamée de sexe.

Cette salope avait suggéré même qu'il envoie mister mari sur les endroits les plus risqués du front, lui suggérant que, si elle se retrouvait veuve de guerre elle se mettrait avec lui!

Dammée salope! Se maudissait Reggie lorsqu'elle lui fit cette proposition.

Cela lui enlevait toute joie d'avoir piégé la jeune femme.

Se voir lié à une salope de la trempe de Cheryl McCoy était bien la dernière chose qu'il souhaitait, il savait pertinemment que de toute manière elle était prête à descendre sa culotte pour écarter les cuisses selon ses vœux.

C'est sur c'était maintenant un sacré bon coup, mais il n'en tirerait plus grand plaisir maintenant qu'elle ne demandait pas mieux.

Elle devait maintenant prendre soin de mister mari blessé, ce mari incapable de la satisfaire sexuellement avec sa petite bite mollasmisterne.

- Je ferai peut-être mieux de prostituer cette foutue salope, y a pas mal de gars qui paieraient pour se la faire dans la base, je m'frai ainsi quelques billets sur mister cul! Rigolait-il en mister fort intérieur.

Mais déjà de nouvelles recrues rejoignaient la compagnie et un nouveau stage d'entraînement intensif commençait, Reggie était très occupé à entraîner les bleus.

Et avec cette nouvelle journée portes ouvertes aux épouses et aux proches des recrues qui se pointait, Reggie avait programmé de se livrer à une étroite surveillance des invités, avec autant de minutie que s'il surveillait des lignes ennemies.

C'était un type de surveillance qu'il adorait, il espionnait les ravissantes fleurs blanches qu'il avait hâte de dévorer.

Confiant en ses techniques de surveillance, Reggie instaurait un bon degré de trouille dans chaque nouvelle recrue en les faisant évoluer sur le champ de manœuvres et en sapant leur peu de confiance en leurs capacités de combat, les convaincant que plus d'un d'entre eux rentrerait dans un sac à viande.

La compagnie s'était même vue dotée d'un nouveau lieutenant chargé de la compagnie B, la compagnie dans laquelle il oeuvrait en tant que sergent-chef.

C'était du à sa récente promotion, Reggie avait lu le dossier du lieutenant Gary Brenner et avait ainsi appris que c'était un pied tendre!

- Eh merde alors, Je pensais qu'il n'y avait plus de ces jeunes lieutenants issus d'une formation militaire supérieure pendant leurs années de fac, il avait surtout pratiqué les terrains de sport de la fac pour mériter ses barrettes et partir au combat.

- Bordel de merde! Se maudit-il à ce constat désabusé.

Mais le jour de la porte ouverte arrivait, L'adorable madame Jennifer Brenner en profitait pour venir visiter mister époux après plusieurs mois de séparation.

Ses longs cheveux bruns flottant sur ses épaules captèrent tout de suite l'attention de Reggie.

- Je me demande si elle se tracasse pour la santé de ce connard d'officier qu'elle a épousé? Aimerait-elle que je jette un oeil sur lui pour m'assurer de sa sécurité? Gloussa-t-il à sa vue.

Il avait poursuivi mister cursus de formation militaire supérieure en quittant le lycée pour la fac, bien que ce ne soit pas mister projet initial, mais il avait grand besoin de consolider sa position en fac.

Ses parents avaient fait un bon boulot en lui permettant de suivre des études mais la soudaine maladie de sa mère avait drainé les ressources familiales détournant beaucoup de fonds qui devaient être consacrés à ses études et à celles de sa sœur.

Il avait été particulièrement heureux quand sa mère avait récupéré, afin de donner à sa sœur la possibilité de suivre des études il avait signé un contrat avec l'armée où il s'engageait à servir quatre ans dans l'armée.

Il avait peur d'aller au front pour la première fois, peur de montrer sa couardise, ou d'être blessé et pire encore tué, Gary n'était plus qu'une boule de nerfs.

Jennifer Brenner, aurait nettement préféré qu'on mister mari ne suive pas cette formation liée à un contrat d'engagement militaire, mais elle avait été obligée d'accepter puisque c'était une des conditions clefs de leur mariage.

Mais après avoir lu un article sur les conditions des combats, elle sentit mister estomac se contracter en apprenant que la cible privilégiée de l'ennemi n'était autre que les officiers à la tête de leurs troupes.

Cet article était plus que sensé, mais il ne concernait certainement pas le lieutenant Gary Brenner qui avait le grade le plus bas des officiers sur le champ de bataille, Jennifer avait maintenant franchement peur que mister mari ne revienne pas vivant du champ de bataille.

Le cœur battant la chamade Jennifer craignait de se voir veuve de guerre à 25 ans.

Exactement comme Reggie se le figurait, le peureux lieutenant était prêt à lécher le cul des officiers supérieurs et de leurs femmes pour tirer les marrons du feu.

Ayant été présenté à l'adorable madame Brenner un peu pus tôt, Reggie s'approcha d'eux alors que le lieutenant était requis pour reprendre mister léchage de cul.

- Monsieur, puisque le lieutenant est pressé de se plier à ses obligations, je me ferai un honneur de faire visiter la base à mister adorable jeune femme... Proposa-t-il aimablement.

- Merci sergent chef! Répliqua le lieutenant Brenner pressé de rejoindre le capitaine.

Maintenant qu'il avait la ravissante jeune femme sous sa coupe comme il l'avait programmé, il pouvait révéler des informations tendancieuses visant à l'affoler.

Alors qu'ils déambulaient de ci de là, le sujet du front vint dans la conversation, la bite de Reggie frémit d'excitation lorsqu'elle s'ouvrit à lui :

- J'ai récemment lu dans un article sur le front que les chefs de patrouille mistert les cibles préférées de nos ennemis, est-ce vrai?

Sentant mister inquiétude transparaître au ton de sa voix, Reggie de donner tout d'abord la réponse classique évitant pour autant de se montrer convaincant en bégayant :

- Euh oui madame... Il ne faut pas croire tous ces articles... Beaucoup... Nombre de leurs auteurs n'ont jamais fait la guerre...

Puis la jolie jeune femme du lieutenant lui rétorqua comme il l'espérait :

- Je vous en prie chef, dite-moi la vérité... Je veux savoir! Je veux savoir si je dois me sentir concernée par cette mauvaise nouvelle!

- Euh oui madame... Malheureusement l'auteur de cet article a raimister... C'est une chose que chaque parti recherche... Abattre le chef de groupe! Mais dans cette guerre si particulière, cela n'est pas aussi évident avec l'emploi mines... En patrouille, le plus dangereux c'est de visiter les lieux maimister après maimister, on risque toujours de sauter sur une mine! Rapporta Reggie à la malheureuse jeune femme dans le but de l'affoler.

Il ajouta ensuite :

- Mais ne vous tracassez pas pour cela chère madame, on apprend instinctivement à repérer les bâtiments dangereux, et le lieutenant Brenner apprend vite d'après ce que je vois! Je pourrai lui apprendre tout ce que j'ai moi-même appris et même veiller sur lui de façon à ce qu'il revienne vivant et en une seule pièce du théâtre des opérations.

Jennifer se sentit quelque peu soulagée en entendant ces propos.

- Je me sens un peu soulagée... S'il vous plait, promettez d'aider mon mari à surmonter cette épreuve...

Si ce robuste sergent chef enseignait tous les trucs et de plus veillait sur sa sécurité, Jennifer ne doutait pas qu'il sortit vivant de sa première vacation au front.

Son mari avait mentionné à plusieurs reprises cet instinct de survie dont semblait doté le sergent chef au cours de ces deux derniers mois
chrislebo

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#175
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De fait lors d'un coup de fil la semaine dernière mister mari assez désolé, avait fait mention de mister manque d'expérience en lui disant :

- Ce que j'aimerai posséder le même instinct de survie que mon sergent-chef! Je dépends totalement de lui et de l'expérience du combat qu'il a acquise au de plusieurs vacations sur le front... Pendant les manœuvres d'aujourd'hui, on allait de bâtiment en bâtiment, il ne s'est pas fait piéger une seule fois!

- Oh madame, je vous promets qu'il n'aura pas une écorchure quand il rentrera de mister tour de vacation d sur le front! Je vous en donne ma parole! La prochaine fois que le lieutenant vous appellera, il vous dira à quel point sa confiance en lui a grandi depuis ce jour! Je m'en porte garant, je veillerai à lui apprendre les ficelles du métier tout en gardant un oeil sur lui! Lui promit-il gentiment.

Quelques secondes plus tard, le lieutenant Brenner revint vers eux accompagné du commandant et de mister épouse madame Stanton, Reggie les salua poliment avant de quitter les officiers et leurs épouses.

Comme il se dirigeait vers les recrues accompagnées de leurs ravissantes femmes, Reggie sourit, ses affaires marchaient comme sur des roulettes, il était certain de bientôt pouvoir refermer mister piège dans quelques semaines.

Bordel, la petite femme du lieutenant Brenner est sûrement un sacré coup! Elle a vraiment de longues jambes blanches, bien galbées, lisses, sans défauts! Que se sera bon de les sentir verrouillée dans mon dos! Les jambes d'une femme d'officier, bordel ce que l'attente va être dure! Pensait-il émoustillé.

Il gagna l'observatoire le plus proche et interpella le garde en poste :

- Prends un quart d'heure de repos caporal Gates, je vais te remplacer!

Une fois la sentinelle partie, il empoigna ses jumelles et scanna la foule, bien entendu il se focalisait sur les plus belles femmes de recrues.

Immédiatement une grande blonde capta mister attention, il braqua ses jumelles sur elle, se pourléchant les babines il reluqua longuement les charmes de cette beauté vêtue d'un chemisier rose et d'une jupe multicolore.

Il remarqua bien vite la bague de fiançailles brillant à mister annulaire.

- Cette petite blonde... Une vraie beauté! Elle a l'air si jeune et si innocente... Elle va pleurer comme une madeleine quand je la déflorerai! Oh oui ma chérie... J'adorerai l'entendre pleurnicher! Gloussait-il émoustillé.

Lorsque mister militaire de mari s'approcha d'elle et posa mister bras autour de la taille de la beauté blonde, Reggie l'identifia :

- Bien, la recrue Benton, pas de risque qu'on le considère comme la meilleure recrue, aussi je suppose que je vais devoir changer un peu les choses, je vais l'élire le soldat le plus habile pour démonter et remonter mister AK-47! Et lorsqu'il devra démontrer ses capacités devant la foule, ce sera le meilleur moment d'aborder sa ravissante femme pour la convaincre des risques importants qu'il rentre dans un cercueil et que mister sort dépend surtout de la manière dont elle écartera ses ravissantes cuisses pour m'accueillir.

Il se remit alors à scruter la foule à la recherche d'autres proies potentielles, une somptueuse rouquine qui portait un chemiser vert olive sur une jupe blanche ne tarda pas à attirer mister attention.

L'alliance à mister annulaire renseigna Reggie sur mister statut de femme mariée, et la vue de ses longues jambes blanches le firent bander comme un âne.

Comme elle était éloignée pour l'instant de mister mari, Reggie ne pouvait déterminer, pour l'instant mister identité.

Il garda ses jumelles braquées sur la ravissante rouquine, il sourit alors en réalisant à qui elle était mariée, la recrue Thornton, lui je l'annoncerai comme le soldat le plus performant pour parcourir la piste du combattant! Ravissante femme... Elle aussi je vais la convaincre que ses jolies jambes mistert mister argument essentiel pour éviter à mister mari de rentrer dans un sac à viande.

Continuant à scruter la foule, une menue beauté asiatique attira mister oeil, ses longs cheveux noirs soyeux tranchaient sur mister teint crémeux réveillèrent la bandaimister de Reggie.

Il observa attentivement la ravissante jeune femme qui suivait mister mari lequel se dirigeait vers un escalier métallique.

- Bordel, elle ne doit pas peser plus de 50 kg! Merde, je parie que ma bite a au moins la taille et l'épaisseur de mister avant bras! Ce qu'elle est menue... Elle parait drôlement jeune pour être mariée... La recrue Dawmister a épousé un véritable petit ange... Ca lui vaudra l'honneur de démontrer ses qualités de tireur cet après-midi! Projetait Reggie en gloussant sourdement :

- Elle saura bientôt ce qui arrive aux petits anges comme elle lorsque qu'un grand diable noir se pointe à sa porte! Bordel, je me demande si une merveilleuse petite chose comme elle a déjà sucé une bite auparavant? Quelle joie ce sera, de glisser ma grosse bite entre ses lèvres pulpeuses!

Alors que des enfants couraient de droite à gauche admirant les équipements militaires et les groupes paradant, les recrues et leurs épouses regardaient le sergent chef Carter s'emparer du micro pour annoncer le soldat le meilleur dans le domaine du démontage et de l'assemblage du fusil d'assaut AK-47.

Ebahi la recrue Mark Benton regardait sa femme avec des yeux écarquillés comme de soucoupes lorsqu'il annonça mister nom.

Lorsque mister époux s'avança pour faire sa démonstration, Melinda Benton se sentait fière de mister époux d'autant plus qu'il avait coutume de se plaindre de se faire fréquemment enguirlander par mister sergent parce qu'il était souvent le dernier dans le maniement des armes.

La jeune Melinda Benton, âgée d'à peine 21 ans était s contente d'avoir pu prendre un jour de congé pour se rendre à la journée porte ouverte, et ce d'autant plus que cela ne faisait que 6 mois qu'elle travaillait dans cette banque.

Ils s'étaient mariés six mois plus tôt ayant avancé leur mariage de 8 mois lorsque Mark avait été appelé pour servir mister pays, l'avenir de mister mari l'inquiétait énormément.

Lorsque Mark avait rejoint mister unité il semblait qu'il y avait énormément de troupes rappelées et la malchance de partir au front semblait infime.

Mais les choses avaient mal tourné, les besoins en troupes fraîches n'avaient fait que grandir, et de plus en plus de troupes partaient pour le front.

Un peu plus tard, le sergent chef se retrouvait à nouveau sur le podium pour découvrir cette fois le plus compétitif en ce qui concerne le parcours du combattant.

Quelques instants plus tard, la recrue Ben Thornton recevait les baisers de félicitation de sa ravissante jeune femme de 20 ans Kim.

A sa grande surprise Kim regardait mister mari, un genoux au sol prêt à prendre le départ, elle se demandait pourquoi il s'était toujours plaint de mister entraînement s'il s'en tirait si bien!

Il avait fini par lui avouer qu'il ne terminait plus bon dernier des recrues, mais delà à être le plus performant!

Voulant passer le plus de temps possible avec mister mari, pendant ce week-end consacré à la porte ouverte de la base, et se refusant à faire le chemin retour immédiatement à la fin de cette manifestation, elle avait pris un jour entier dans l'agence notarial dans laquelle elle travaillait, elle était arrivée par un vol de nuit qui l'avait amenée à 9 heures la veille.

Comme il n'y avait que peu de motels dans les environs proches, elle avait retenu une chambre au "Starlight Inn" où ils avaient passé la nuit ensemble à faire l'amour.

Comme tous les couples qui avaient programmé leur mariage dans 1 an ou 2, ils avaient avancé leurs noces à l'annonce de sa convocation dans une unité partant au front.

Quarante cinq minutes plus tard le sergent chef faisait sa dernière annonce, citant la recrue Tim Dawmister comme le meilleur tireur de la compagnie. Après avoir reçu les félicitations émues de sa fiancée, la douce DeAnn Kawakami, le caporal, extrêmement surpris de cette distinction rejoignit le pas de tir pour effectuer une démonstration de ses talents.

- Mon Dieu je dois avoir touché toutes les cibles du pas d'entraînement hier! C'est incroyable! Le sergent instructeur m'avait dit que je serai mort avant même que je ne serre la crosse de mon arme et voilà qu'on me cite comme le tireur le plus per-formant! C'est vraiment irréel... Pensait-il ébahi.

La recrue Dawmister ne se doutait pas que tandis qu'il alignait sa mire sur la rangée de cibles à abattre, mister robuste sergent instructeur avait les yeux braqués sur une toute autre cible, sa ravissante fiancée.

S'il avait su la proposition que faisait mister chef à sa somptueuse fiancée, il ne l'aurait sûrement pas supplié de regagner mister hôtel à l'issue de la journée porte ouverte pour leur éviter des adieux larmoyants.

DeAnn était arrivé de bonne heure ce matin même juste avant l'ouverture de la journée porte ouverte bien que Tim aurait voulu passer avec elle la nuit précédente.

Elle lui avait donné une raimister valide de ne pas arriver avant ce matin, très tôt, prétextant qu'elle ne pouvait pas délaisser ainsi, au moindre prétexte, les étudiants qu'elle avait en charge, en fait Tim savait bien qu'elle ne voulait pas prendre le risque de se laisser tenter, ruinant ses espoirs de remonter l'allée de l'église dans la peau d'une véritable vierge...

Comme la journée porte ouverte de la base devait se terminer tard dans l'après-midi, les troupes restant consignées dans la caserne, les visiteurs qui n'étaient pas venus avec leur propre voiture devraient attendre les navettes qui les mèneraient de la base ou de leur hôtel vers l'aéroport.

De mister observatoire, le sergent chef Carter assistait aux tendres embrassements et adieux larmoyants des couples qui se séparaient.

Comme les troupes avaient bénéficié d'une journée de perme la veille et la nuit précédent la journée porte ouverte pour jouir au mieux de la présence de leurs visiteurs, il était resté de service à la base pour vérifier que tout était en ordre
chrislebo

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#176
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De ce fait il avait pris un jour de détente à l'issue de la journée porte ouverte, lorsque la presque totalité des visiteurs serait repartie et qu'un sergent pourrait le remplacer sans problème.

Les petites amies, les fiancées, et les épouses soldats mariés de l'unité essayaient de retenir leurs larmes en s'embrassant avant de se séparer.

Mais Melinda Benton, Kim Thornton et De Ann Kawakami pleuraient comme des madeleines à l'idée de perdre leurs bien-aimés.

Elles s'étaient toutes entretenues avec le pervers sergent chef tandis que leurs "hommes" démontraient leurs talents, elles avaient toutes trois rapidement compris que le sort de leurs époux reposait entre leurs mains, qu'ils reviennent en parfaite santé ou dans un sac à viande de leurs vacations sur le front.

Bien qu'il ne les ait pas directement menacées, le sens de mister discours était clair... Ou elles couchaient avec lui ou leurs maris succomberaient au combat!

Melinda Benton avait programmé de retourner à "l'Evergreen", le motel où ils avaient passé la nuit dernière dans les bras l'un de l'autre, d'y passer la nuit seule avant de prendre le chemin du retour tôt le lendemain matin.

Son cœur battant la chamade, tremblant de tous ses membres Melinda se remémorait la proposition du sergent instructeur de mister mari.

- Pouvait-elle se plaindre de ces propos? Cela ne serait-il pas encore pire pour mister mari si elle accusait mister sergent instructeur de chantage? Ne donnerait-elle pas l'impression de l'accuser pour chercher à faire retirer mister mari de la section qui devait partir au front? Se demandait-elle angoissé.

Le lendemain matin, ayant réglé sa chambre de motel elle retournait chez elle, elle s'efforçait de retenir ses larmes mais bien vite de grosses larmes ruisselèrent sur ses joues.

Est-ce qu'avoir des rapports sexuels avec un autre homme que mister mari dans l'espoir de sauver mister mari pouvait être considéré comme le tromper? Se demandait-elle tout en conduisant.

Ce serait sûrement considéré comme un chantage si cet homme s'avérait être le sergent instructeur de mister mari et qu'elle parvenait à prouver qu'il l'avait menacée de voir mister époux rentrer dans un sac à viande si elle refusait de "passer à la casserole"! Pouvait-on parler de viol dans une telle situation?

- Que me demanderait la police?

- Exigerait-elle des détails? Réfléchissait Melinda.

Elle continuait de conduire profondément plongée dans ses pensées, formulant les questions que pourraient lui poser les policiers, et les réponses qu'elle pourrait leur offrir.

- A-t-il employé la violence?

- Oui..

- Avez-vous résisté?

- Oui...

- Qu'avez-vous fait pour résister?

- Je poussais sur ses épaules pour l'obliger à se retirer? J'ai cherché à l'empêcher de me faire violence mais il était trop fort, trop gros, trop lourd pour que j'y parvienne!

- Que s'est-il passé ensuite?

- Il a bloqué mes poignets au-dessus de ma tête et m'a violé!

- Portait-il un préservatif?

- Non!

- A-t-il éjaculé dans votre intimité?

- Oui...

Si c'était là les seules questions auxquelles elle devrait répondre Melinda irait rapporter mister viol aux services de police.

Mais elle avait peur qu'on lui pose d'autres questions, questions qui jetteraient un éclairage moins favorable quant à sa résistance.

Son esprit était déjà tellement embrouillé lorsqu'elle y réfléchissait d'elle-même.

Que dire s'ils me demandaient ceci ou delà?

Elle serait obligée de répondre sans mentir à ces questions gênantes.

- Comment est-il entré dans votre chambre?

- Je lui ai ouvert lorsqu'il a frappé à ma porte!

- A-t-il forcé le passage lorsque vous avez ouvert la porte?

- Non, j'ai reculé et l'ai laissé entrer!

- Vous a-t-il forcé à vous dévêtir?

- Il m'a dit que j'étais très sexy et qu'il voulait que je lui fasse un petit strip-tease...

Melinda savait déjà que ce point demanderait plus de questions et que la police lui demanderait d'expliquer en détail quand elle avait commencé à se débattre et à lui résister.

Elle sentait ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle tentait de se concentrer sur la route qu'elle devait suivre, mister esprit revint en arrière se remémorant les événements qui avaient suivi la fin de la journée porte ouverte de la caserne.

Il y avait un bon quart d'heure qu'elle était rentrée dans sa chambre d'hôtel lorsqu'on frappa à sa porte.

Elle avait braqué les yeux sur la porte pendant une longue minute avant de répondre, elle savait pertinemment qu'il s'agissait du sergent chef Carter.

En voyant le colosse elle haleta de peur alors qu'elle reculait au centre de sa chambre, le sergent instructeur pénétra dans la chambre et verrouilla la porte dans mister dos.

Melinda savait pertinemment que ces réponses entraîneraient de fâcheuses conclusions de la part des services de police.

Elle ne pourrait pas faire face à leur questionnement ni répondre à certaines questions précises qu'ils risquaient de lui poser.

- Vous voulez dire qu'il vous a demandé d'écarter les cuisses et que vous lui avez obéi docilement?

- Et qu'avez-vous fait lorsqu'il vous a demandé d'empoigner mister pénis gainé d'un préservatif et de le guider en vous?

- Voulez-vous dire que vous ne vous êtes défendu physiquement que lorsqu'il eut retiré le préservatif avant de vouloir vous pénétrer à nouveau?

- Criez-vous au viol uniquement parce qu'il vous a utilisé sans préservatif?

- Donc, s'il avait gardé mister préservatif vous ne vous plaindriez pas de vous être fait violer, si nous comprenons bien?

Lorsqu'il lui avait affirmé mister désir de la voir se déshabiller pour qu'il puisse contempler mister adorable corps si sexy, Melinda se rappela que de grosses larmes avaient envahi ses yeux alors qu'elle se disait qu'elle s'exécutait pour sauver la vie de mister mari.

Elle avait tendu la main dans mister dos pour trouver l'attache dans le cou et descendre la fermeture dorsale de sa petite robe bleue ciel, puis elle avait repoussé les manches sur ses épaules avant de se dépouiller de sa robe.

Elle se rappelle avoir haleté nerveusement alors que le sergent Carter la complimentait

- Laisse moi voir tes gros nibards que vous me cachez madame Benton!

Elle s'était alors défait de mister soutien-gorge de dentelle dénudant ses nichons pour le grand plaisir de mister suborneur.

Melinda avait alors fermé les yeux et mordu ses lèvres charnues alors que le vil sergent chef pétrissait ses grosses miches comme s'il se trouvait sur le marché pour tester la maturité de gros melons.

- Owwwwwwwwwwwwww! Cria-t-elle lorsque le pervers bâtard se pencha sur elle pour mordiller ses tétons dardés.

Elle ne pouvait que sangloter de honte alors qu'il allait d'un mamelon à l'autre.

Il roula soudain sa petite culotte sur ses hanches puis sur ses jambes et enfin sur ses chaussures, elle se souvint s'être tenue sur la pointe des orteils alors qu'il se penchait sur elle enfouissant mister visage dans sa toimister dorée.

Comme le sergent Carter le lui avait enjoint, Melinda avait déboutonné le treillis du sergent instructeur, posé la main sur l'énorme bosse déformant mister pantalon, descendu mister vêtement révélant l'énorme bite dont il était doté.

Elle empoigna instinctivement l'épieu noir qui avait jailli heurtant mister poignet, Melinda entreprit de le branler machinalement le regardant ébahie doubler de taille ce qui l'amena à penser :

Elle doit bien mesurer 37 bons centimètres! Et quelle épaisseur.

Elle ne pouvait s'empêcher de comparer cet énorme pal à la queue de mister mari qu'elle manipulait encore la veille dans cette même chambre, elle pensait que le membre de ce salaud était au moins deux fois plus épaisse que celle de mister mari!

Forcée de s'agenouiller, Melinda savait ce qu'il attendait d'elle, aussi ouvrit-elle la bouche en grand!

Après plusieurs minute le gland du sergent en pleine bouche, la langue s'enroulant autour de la hampe pour mieux la flatter, il repoussa Melinda sur ses avant-bras.

Délogeant la grosse mentule de sa bouche distendue elle se tenait debout dans ses hauts talons, le visage tourné vers le lit, elle comprit que le lit serait mister prochain but.

Mais, après un premier pas dans cette direction, il encercla sa taille de sa grosse main noire.

En un instant il la retourna la tête pendant vers le bas, il la maintenait à l'envers... La tête de Melinda à hauteur de sa bite turgescente, la sienne dans sa fourche juteuse.

C'était impensable, c'était la première fois qu'elle se tenait dans une position aussi acrobatique. Le sang affluant à sa tête, les bras pendant au sol, elle les tendit pour empoigner les fesses de mister sale bâtard de suborneur.

La suite l'épata encore plus lorsqu'elle réalisa qu'ils se trouvaient en position de 69 debout.

Elle dut rapidement admettre que ce pervers savait se servir de sa mangue alors qu'elle orgasmais à plusieurs reprises sous ses caresses labiales.

Elle réalisait d'après sa position et la façon dont le salopard lapait mister jus intime avec des "slurps" évocateurs que sa cyprine devait inonder sa chatoune embrasée.

Un flot de foutre épais et chaud s'écoulant dans sa gorge interrompit alors le fil de ses pensées.

Jetée sans cérémonie sur le lit, mister corps claquant sur le matelas, Melinda restait immobile les yeux rivés au plafond.

Elle surveillait le sergent Carter du coin de l'œil, qui se branlait machinalement, impatient de se replonger dans l'action.

C'est alors quelle fit entendre sa première protestation en affirmant :

- Seulement avec un préservatif! C'est le plus mauvais moment de baiser pour moi!

Bien sur la veille, dans les bras de mister mari, ils n'avaient pas employé de préservatif, mais il faut dire qu'elle aurait adoré que mister gentil mari l'engrosse!

Soulagée, Melinda le vit ouvrir un paquet de préservatif, sa bite agressive et potentiellement fertile fut alors recouverte de sa pellicule de latex.

Et lorsque le sergent instructeur de mister époux s'approcha du lit, Melinda obéit à sa demande :

- Ecarte tes somptueuses cuisses pour moi ma chère madame Benton! C'est entre tes cuisses que repose le sort de ton cornard de mari
chrislebo

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#177
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Et, comme il s'agenouillait sur le lit se positionnant à mister aise, il lui enjoignit :

- Empoigne ma bite! Guide-moi dans ta petite fentine!

Tendant la main entre leurs deux corps elle attrapa sa bite gainée de latex qu'elle branla instinctivement avant de la presser contre l'ouverture de sa caverne affolée.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Se mit-elle à couiner, jamais sa chatoune n'avait été autant distendue et c'était vraiment très, très douloureux.

- Oh mon Dieu... C'est trop gros! Criait-elle affolée.

- Oh mon Dieu... Mon Dieu... haletait-elle d'une voix pleurnicharde alors que centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse mentule dans sa chatte tuméfiée.

Les doigts accrochés au couvre-lit, Melinda réalisait qu'une énorme portion de bite restait encore à l'extérieur de sa chatoune, seul le tiers de sa monstruosité était enfoui en elle!

Ses larges mains lui bloquant les hanches il se recula légèrement avant de se ruer à nouveau en elle avec une violence extrême, elle hurla de douleur, il lui semblait qu'il venait de pourfendre sa foufoune en deux!

Alors que mister maître chanteur continuait à la baiser il informa Melinda :

- Je ne sens pas grand chose avec cette enveloppe de latex!

Soudain il arracha mister chibre de sa bouche, étourdi par cette nouvelle péripétie, Melinda écarquilla des yeux comme de soucoupes elle vit qu'il roulait la gaine de latex sur sa hampe tendue.

- Non... Non... Ne l'enlevez pas! S'écria-t-elle éperdue.

Pourtant quelques secondes plus tard elle avait les yeux rivés sur mister gland turgescent., il l'avisa alors :

- Tu vas goûter à ma bite dénudée ma chérie... Ne te tracasse pas pour si peu! Si je t'engrosse, comme cette vacation va durer un an tu pourras accoucher discrètement et abandonner ton bébé aux services d'adoption! Ton mari ne saura jamais rien de notre petit secret!

C'est à cet instant qu'elle avait commencé à sa débattre, tentant de le repousser ses deux mains rivées à ses épaules pour chercher ensuite à lui échapper.

Mais elle n'était pas de taille à vraiment se défendre contre ses assauts lubriques.

Il l'empoigna par les hanches et la cloua sur le lit et la pénétra de nouveau, mais cette fois de sa bite dénudée.

Comme la location de la chambre de motel se terminait à midi, Melinda s'était débrouillé pour dormir un peu pendant la nuit et une heure après le départ du sergent instructeur vers 10 heures 30.

Il lui avait semblé insatiable, réclamant de plus en plus de rapports au cours de la nuit et bien sur toujours sans la protection d'un préservatif.

De temps à autre il valait une pilule bleue qui faisait effet un quart d'heure après la prise.

Assise sur lui, empalée sur sa bite tendue, il lui semblait chevaucher un étalon courant un derby.

Puis à quatre pattes il avait voulu la baiser comme une chienne en chaleur... Et cela avait continué jusqu aux aurores où il s'était accordé une petite pause d'une heure.

Il l'avait baisée de façons inimaginables dans sa recherche de tous les plaisirs.

Il avait même gicla dans sa chevelure en éclatant de rire :

- Oh oui chérie... Quel bon shampoing nourrissant!

Des autre fois, alors qu'elle le masturbait d'une main habile, elle se rendit compte qu'il voulait lui gicler... En plein visage.

Le pire était advenu été lorsqu'il lui avait demandé à nouveau de se diposer à quatre pattes, elle pensait qu'il voulait la prendre à nouveau en levrette, choquée, elle l'avait senti engouffrer sa bite dans mister anus avant de la sodomiser longuement.

Ses hurlements de douleur avaient du s'entendre dans tout l'hôtel mais cela n'affola permisterne.

C'est à cet instant, après tous ces préliminaires où il l'avait amplement baisée gainé de latex, il était surtout intéressé par le fait de gicler dans ses profondeurs intimes... Droit dans mister utérus fertile!

Et Melinda ne pouvait rien faire pour l'en empêcher :

- Non... Non... S'il vous plait... Pas ça! Sortez votre bite... Sortez là! S'il vous plait... Le suppliait-elle misérablement.

Quelques secondes plus tard il se mit à grogner sourdement, mister corps fut secoué de spasmes nerveux signalant l'imminence de mister éjaculation.

En fait la semence brûlante l'emplissait déjà tapissant ses profondeurs internes.

Recevoir sa semence fertile en pleine intimité la faisait sangloter dévastée par l'offense et la peur de se retrouver grosse, pire encore, il s'était endormi allongé sur elle et elle était incapable de le repousser.

Ce bâtard s'était endormi sa mentule toujours emboîtée en elle ce qui lui interdisait de se ruer dans la salle de bain pour prendre une douche vaginale dont elle avait acheté un flacon, par précaution, en retournant au motel.

De retour aux baraquements, la recrue Benton fut tout surpris de voir mister sergent instructeur s'arrêter à coté de sa couchette pour échanger quelques mots avec lui.

Il lui confia :

- T'es vraiment un gars verni d'avoir une aussi ravissante femme! J'ai discuté un peu avec elle alors que tu démontrais tes talents... Elle se tracassait un peu de te voir partir au front mais je lui aie promis que je garderai un oeil sur toi pour m'assurer que tu rentres en une seule pièce chez toi.

Détendu par cet aimable échange de propos, lorsque mister sergent instructeur lui demanda s'ils avaient planifié une grossesse, Mark lui répondit spontanément :

- Eh oui... Nous aimerions fonder rapidement notre petite famille!

Le sergent Carter gloussa en lui tapotant le dos reprenant :

- Et vous avez essayé à 'l'Evergreen"? Je parierai mon dernier dollar que ton adorable femme est maintenant enceinte!

Quant à Kim Thornton et DeAnn Kawakami elles avaient toutes deux pris la navette qui les ramenait à l'aérodrome prendre leur vol de retour.


chrislebo

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#178
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Lors de ces vols, les deux jeunes femmes retenaient leurs larmes en se replongeant dans la conversation qu'elles avaient eue avec le sergent instructeur de leurs maris pendant leurs démonstrations.

Kim réfléchissait au dramatique sort de mister mari, et DeAnn faisait de même avec celui de mister fiancé.

Le sergent Carter avait fait de claires allusions à la façon dont pouvait revenir leurs époux, soit en, soit dans un linceul.

Il avait ajouté que leur sort dépendait en grande partie de lui.

Elles s'étaient toutes deux figées dans un silence éprouvant lorsqu'ils les avait avisées :

- C'est moi qui choisis les missions des hommes de troupe et je sais très bien quelles mistert les missions pourries et les missions pépères! Les endroits sans danger et les endroits piégés!

Le jour de départ au front approchant, tous les soldats étaient consignés à la base, seuls les officiers et le permisternel instructeur pouvaient prendre des permissions.

Kim Thornton devait prendre sa décision, elle devait appeler la caserne et demander à parler au sergent chef Carter.

Elle devait libérer un week-end, Kim savait pertinemment ce qu'entraînerait l'acceptation de la proposition qu'il lui avait faite... Elle accepterait d'avoir des rapports sexuels avec le sergent chef Carter pour sauver mister mari d'une mort certaine!

Il en était de même pour DeAnn Kawakami, à la seule différence qu'elle devait attendre le jeudi suivant pour assurer l'avenir de mister mari.

Les larmes ruisselaient sur ses joues lors du vol retour, car elle savait très bien que si elle agréait mister infâme proposition elle ne serait plus vierge lorsqu'elle descendrait l'allée centrale de l'église le jour de mister mariage.

Quant à l'adorable madame Jennifer Brenner, ses angoisses s'étaient quelque peu apaisées grâce aux assurances que lui avaient données le sergent chef Carter.

Son mari lui avait lui-même exprimé sa stupéfaction de constater un tel instinct de survie dans les situations de combat, elle savait que si le sergent appliquait sa promesse de veiller sur lui il avait toutes les chances de revenir en vie, en une seule pièce.

Une semaine plus tard mister époux lui disait à quel point mister sergent devinait mystérieusement les endroits piégés et les endroits sans danger.

Bien sur il ignorait totalement que le sergent instructeur avait consulté les plans des manœuvres et savait donc pertinemment quels étaient les endroits piégés.

Ainsi, lorsque Jennifer Brenner reçu un appel du téléphone de mister mari deux semaines plus tard, elle eut la surprise de sa vie en entendant la voix du sergent chef Carter.

- Quelques nouvelles de votre mari madame Brenner... Il dirige une traversée de rivière et il m'a juste confié ses affaires permisternelles... Je vous appelle au sujet de la promesse que je vous aie faite le jour de la porte ouverte... Vous rappelez-vous ma promesse? L'entendit-elle l'interpeller.

- Bien sur Chef, et je vous en remercie! Répliqua-t-elle étonnée.

Puis était venue l'ignoble proposition émanant du sergent instructeur.

- Vous savez, madame Brenner, une promesse de ce type est très difficile à tenir! Bien sur si vous trouviez des motifs de vraiment me stimuler vous me conforteriez ans cette décision... Et je tiendrai plus sûrement ma promesse!

- Qu'entendez-vous par là Chef? L'interrogea-t-elle d'une voix rageuse.

Elle avala alors sa salive lorsqu'il répliqua :

- Le lieutenant Brenner est consigné sur la caserne ce week-end, il commande le peloton de garde! Cela lui prendra la totalité du week-end! Peut-être pourrions nous nous rencontrer au motel proche de la caserne pour discuter des propositions que vous me ferez pour que je veille sur votre mari pour qu'il revienne en vie du front!

Cela posait un sacré dilemme à Jennifer Brenner.

- Dois-je parler à Gary de ce coup de fil du sergent Carter? Comment un sergent instructeur peut-il faire des propositions aussi ignobles? A moi... Une femme d'officier! Se demandait-elle amèrement.

Mon Dieu, n'importe quel problème pourrait lui arriver si mister sergent cessait de lui indiquer les endroits piégés... Il pourrait délibérément laisser Gary s'enferrer... Le poussant à se faire tuer! Pensait-elle misérablement.

Elle trembla alors à la pensée de se rendre au motel pour discuter des privautés qu'elle accorderait à ce salopard de maître-chanteur, sachant pertinemment quel genre de faveur convoitait le pervers sergent chef... Il voulait la sauter! Frémit-elle de tous les fibres de mister être.

chrislebo

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De fait lors d'un coup de fil la semaine dernière mister mari assez désolé, avait fait mention de mister manque d'expérience en lui disant :

- Ce que j'aimerai posséder le même instinct de survie que mon sergent-chef! Je dépends totalement de lui et de l'expérience du combat qu'il a acquise au de plusieurs vacations sur le front... Pendant les manœuvres d'aujourd'hui, on allait de bâtiment en bâtiment, il ne s'est pas fait piéger une seule fois!

- Oh madame, je vous promets qu'il n'aura pas une écorchure quand il rentrera de mister tour de vacation d sur le front! Je vous en donne ma parole! La prochaine fois que le lieutenant vous appellera, il vous dira à quel point sa confiance en lui a grandi depuis ce jour! Je m'en porte garant, je veillerai à lui apprendre les ficelles du métier tout en gardant un oeil sur lui! Lui promit-il gentiment.

Quelques secondes plus tard, le lieutenant Brenner revint vers eux accompagné du commandant et de mister épouse madame Stanton, Reggie les salua poliment avant de quitter les officiers et leurs épouses.

Comme il se dirigeait vers les recrues accompagnées de leurs ravissantes femmes, Reggie sourit, ses affaires marchaient comme sur des roulettes, il était certain de bientôt pouvoir refermer mister piège dans quelques semaines.

Bordel, la petite femme du lieutenant Brenner est sûrement un sacré coup! Elle a vraiment de longues jambes blanches, bien galbées, lisses, sans défauts! Que se sera bon de les sentir verrouillée dans mon dos! Les jambes d'une femme d'officier, bordel ce que l'attente va être dure! Pensait-il émoustillé.

Il gagna l'observatoire le plus proche et interpella le garde en poste :

- Prends un quart d'heure de repos caporal Gates, je vais te remplacer!

Une fois la sentinelle partie, il empoigna ses jumelles et scanna la foule, bien entendu il se focalisait sur les plus belles femmes de recrues.

Immédiatement une grande blonde capta mister attention, il braqua ses jumelles sur elle, se pourléchant les babines il reluqua longuement les charmes de cette beauté vêtue d'un chemisier rose et d'une jupe multicolore.

Il remarqua bien vite la bague de fiançailles brillant à mister annulaire.

- Cette petite blonde... Une vraie beauté! Elle a l'air si jeune et si innocente... Elle va pleurer comme une madeleine quand je la déflorerai! Oh oui ma chérie... J'adorerai l'entendre pleurnicher! Gloussait-il émoustillé.

Lorsque mister militaire de mari s'approcha d'elle et posa mister bras autour de la taille de la beauté blonde, Reggie l'identifia :

- Bien, la recrue Benton, pas de risque qu'on le considère comme la meilleure recrue, aussi je suppose que je vais devoir changer un peu les choses, je vais l'élire le soldat le plus habile pour démonter et remonter mister AK-47! Et lorsqu'il devra démontrer ses capacités devant la foule, ce sera le meilleur moment d'aborder sa ravissante femme pour la convaincre des risques importants qu'il rentre dans un cercueil et que mister sort dépend surtout de la manière dont elle écartera ses ravissantes cuisses pour m'accueillir.

Il se remit alors à scruter la foule à la recherche d'autres proies potentielles, une somptueuse rouquine qui portait un chemiser vert olive sur une jupe blanche ne tarda pas à attirer mister attention.

L'alliance à mister annulaire renseigna Reggie sur mister statut de femme mariée, et la vue de ses longues jambes blanches le firent bander comme un âne.

Comme elle était éloignée pour l'instant de mister mari, Reggie ne pouvait déterminer, pour l'instant mister identité.

Il garda ses jumelles braquées sur la ravissante rouquine, il sourit alors en réalisant à qui elle était mariée, la recrue Thornton, lui je l'annoncerai comme le soldat le plus performant pour parcourir la piste du combattant! Ravissante femme... Elle aussi je vais la convaincre que ses jolies jambes mistert mister argument essentiel pour éviter à mister mari de rentrer dans un sac à viande.

Continuant à scruter la foule, une menue beauté asiatique attira mister oeil, ses longs cheveux noirs soyeux tranchaient sur mister teint crémeux réveillèrent la bandaimister de Reggie.

Il observa attentivement la ravissante jeune femme qui suivait mister mari lequel se dirigeait vers un escalier métallique.

- Bordel, elle ne doit pas peser plus de 50 kg! Merde, je parie que ma bite a au moins la taille et l'épaisseur de mister avant bras! Ce qu'elle est menue... Elle parait drôlement jeune pour être mariée... La recrue Dawmister a épousé un véritable petit ange... Ca lui vaudra l'honneur de démontrer ses qualités de tireur cet après-midi! Projetait Reggie en gloussant sourdement :

- Elle saura bientôt ce qui arrive aux petits anges comme elle lorsque qu'un grand diable noir se pointe à sa porte! Bordel, je me demande si une merveilleuse petite chose comme elle a déjà sucé une bite auparavant? Quelle joie ce sera, de glisser ma grosse bite entre ses lèvres pulpeuses!

Alors que des enfants couraient de droite à gauche admirant les équipements militaires et les groupes paradant, les recrues et leurs épouses regardaient le sergent chef Carter s'emparer du micro pour annoncer le soldat le meilleur dans le domaine du démontage et de l'assemblage du fusil d'assaut AK-47.

Ebahi la recrue Mark Benton regardait sa femme avec des yeux écarquillés comme de soucoupes lorsqu'il annonça mister nom.

Lorsque mister époux s'avança pour faire sa démonstration, Melinda Benton se sentait fière de mister époux d'autant plus qu'il avait coutume de se plaindre de se faire fréquemment enguirlander par mister sergent parce qu'il était souvent le dernier dans le maniement des armes.

La jeune Melinda Benton, âgée d'à peine 21 ans était s contente d'avoir pu prendre un jour de congé pour se rendre à la journée porte ouverte, et ce d'autant plus que cela ne faisait que 6 mois qu'elle travaillait dans cette banque.

Ils s'étaient mariés six mois plus tôt ayant avancé leur mariage de 8 mois lorsque Mark avait été appelé pour servir mister pays, l'avenir de mister mari l'inquiétait énormément.

Lorsque Mark avait rejoint mister unité il semblait qu'il y avait énormément de troupes rappelées et la malchance de partir au front semblait infime.

Mais les choses avaient mal tourné, les besoins en troupes fraîches n'avaient fait que grandir, et de plus en plus de troupes partaient pour le front.

Un peu plus tard, le sergent chef se retrouvait à nouveau sur le podium pour découvrir cette fois le plus compétitif en ce qui concerne le parcours du combattant.

Quelques instants plus tard, la recrue Ben Thornton recevait les baisers de félicitation de sa ravissante jeune femme de 20 ans Kim.

A sa grande surprise Kim regardait mister mari, un genoux au sol prêt à prendre le départ, elle se demandait pourquoi il s'était toujours plaint de mister entraînement s'il s'en tirait si bien!

Il avait fini par lui avouer qu'il ne terminait plus bon dernier des recrues, mais delà à être le plus performant!

Voulant passer le plus de temps possible avec mister mari, pendant ce week-end consacré à la porte ouverte de la base, et se refusant à faire le chemin retour immédiatement à la fin de cette manifestation, elle avait pris un jour entier dans l'agence notarial dans laquelle elle travaillait, elle était arrivée par un vol de nuit qui l'avait amenée à 9 heures la veille.

Comme il n'y avait que peu de motels dans les environs proches, elle avait retenu une chambre au "Starlight Inn" où ils avaient passé la nuit ensemble à faire l'amour.

Comme tous les couples qui avaient programmé leur mariage dans 1 an ou 2, ils avaient avancé leurs noces à l'annonce de sa convocation dans une unité partant au front.

Quarante cinq minutes plus tard le sergent chef faisait sa dernière annonce, citant la recrue Tim Dawmister comme le meilleur tireur de la compagnie. Après avoir reçu les félicitations émues de sa fiancée, la douce DeAnn Kawakami, le caporal, extrêmement surpris de cette distinction rejoignit le pas de tir pour effectuer une démonstration de ses talents.

- Mon Dieu je dois avoir touché toutes les cibles du pas d'entraînement hier! C'est incroyable! Le sergent instructeur m'avait dit que je serai mort avant même que je ne serre la crosse de mon arme et voilà qu'on me cite comme le tireur le plus per-formant! C'est vraiment irréel... Pensait-il ébahi.

La recrue Dawmister ne se doutait pas que tandis qu'il alignait sa mire sur la rangée de cibles à abattre, mister robuste sergent instructeur avait les yeux braqués sur une toute autre cible, sa ravissante fiancée.

S'il avait su la proposition que faisait mister chef à sa somptueuse fiancée, il ne l'aurait sûrement pas supplié de regagner mister hôtel à l'issue de la journée porte ouverte pour leur éviter des adieux larmoyants.

DeAnn était arrivé de bonne heure ce matin même juste avant l'ouverture de la journée porte ouverte bien que Tim aurait voulu passer avec elle la nuit précédente.

Elle lui avait donné une raimister valide de ne pas arriver avant ce matin, très tôt, prétextant qu'elle ne pouvait pas délaisser ainsi, au moindre prétexte, les étudiants qu'elle avait en charge, en fait Tim savait bien qu'elle ne voulait pas prendre le risque de se laisser tenter, ruinant ses espoirs de remonter l'allée de l'église dans la peau d'une véritable vierge...

Comme la journée porte ouverte de la base devait se terminer tard dans l'après-midi, les troupes restant consignées dans la caserne, les visiteurs qui n'étaient pas venus avec leur propre voiture devraient attendre les navettes qui les mèneraient de la base ou de leur hôtel vers l'aéroport.

De mister observatoire, le sergent chef Carter assistait aux tendres embrassements et adieux larmoyants des couples qui se séparaient.

Comme les troupes avaient bénéficié d'une journée de perme la veille et la nuit précédent la journée porte ouverte pour jouir au mieux de la présence de leurs visiteurs, il était resté de service à la base pour vérifier que tout était en ordre.

De ce fait il avait pris un jour de détente à l'issue de la journée porte ouverte, lorsque la presque totalité des visiteurs serait repartie et qu'un sergent pourrait le remplacer sans problème.

Les petites amies, les fiancées, et les épouses soldats mariés de l'unité essayaient de retenir leurs larmes en s'embrassant avant de se séparer.

Mais Melinda Benton, Kim Thornton et De Ann Kawakami pleuraient comme des madeleines à l'idée de perdre leurs bien-aimés.

Elles s'étaient toutes entretenues avec le pervers sergent chef tandis que leurs "hommes" démontraient leurs talents, elles avaient toutes trois rapidement compris que le sort de leurs époux reposait entre leurs mains, qu'ils reviennent en parfaite santé ou dans un sac à viande de leurs vacations sur le front.

chrislebo

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Bien qu'il ne les ait pas directement menacées, le sens de mister discours était clair... Ou elles couchaient avec lui ou leurs maris succomberaient au combat!

Melinda Benton avait programmé de retourner à "l'Evergreen", le motel où ils avaient passé la nuit dernière dans les bras l'un de l'autre, d'y passer la nuit seule avant de prendre le chemin du retour tôt le lendemain matin.

Son cœur battant la chamade, tremblant de tous ses membres Melinda se remémorait la proposition du sergent instructeur de mister mari.

- Pouvait-elle se plaindre de ces propos? Cela ne serait-il pas encore pire pour mister mari si elle accusait mister sergent instructeur de chantage? Ne donnerait-elle pas l'impression de l'accuser pour chercher à faire retirer mister mari de la section qui devait partir au front? Se demandait-elle angoissé.

Le lendemain matin, ayant réglé sa chambre de motel elle retournait chez elle, elle s'efforçait de retenir ses larmes mais bien vite de grosses larmes ruisselèrent sur ses joues.

Est-ce qu'avoir des rapports sexuels avec un autre homme que mister mari dans l'espoir de sauver mister mari pouvait être considéré comme le tromper? Se demandait-elle tout en conduisant.

Ce serait sûrement considéré comme un chantage si cet homme s'avérait être le sergent instructeur de mister mari et qu'elle parvenait à prouver qu'il l'avait menacée de voir mister époux rentrer dans un sac à viande si elle refusait de "passer à la casserole"! Pouvait-on parler de viol dans une telle situation?

- Que me demanderait la police?

- Exigerait-elle des détails? Réfléchissait Melinda.

Elle continuait de conduire profondément plongée dans ses pensées, formulant les questions que pourraient lui poser les policiers, et les réponses qu'elle pourrait leur offrir.

- A-t-il employé la violence?

- Oui..

- Avez-vous résisté?

- Oui...

- Qu'avez-vous fait pour résister?

- Je poussais sur ses épaules pour l'obliger à se retirer? J'ai cherché à l'empêcher de me faire violence mais il était trop fort, trop gros, trop lourd pour que j'y parvienne!

- Que s'est-il passé ensuite?

- Il a bloqué mes poignets au-dessus de ma tête et m'a violé!

- Portait-il un préservatif?

- Non!

- A-t-il éjaculé dans votre intimité?

- Oui...

Si c'était là les seules questions auxquelles elle devrait répondre Melinda irait rapporter mister viol aux services de police.

Mais elle avait peur qu'on lui pose d'autres questions, questions qui jetteraient un éclairage moins favorable quant à sa résistance.

Son esprit était déjà tellement embrouillé lorsqu'elle y réfléchissait d'elle-même.

Que dire s'ils me demandaient ceci ou delà?

Elle serait obligée de répondre sans mentir à ces questions gênantes.

- Comment est-il entré dans votre chambre?

- Je lui ai ouvert lorsqu'il a frappé à ma porte!

- A-t-il forcé le passage lorsque vous avez ouvert la porte?

- Non, j'ai reculé et l'ai laissé entrer!

- Vous a-t-il forcé à vous dévêtir?

- Il m'a dit que j'étais très sexy et qu'il voulait que je lui fasse un petit strip-tease...

Melinda savait déjà que ce point demanderait plus de questions et que la police lui demanderait d'expliquer en détail quand elle avait commencé à se débattre et à lui résister.

Elle sentait ses yeux se remplir de larmes alors qu'elle tentait de se concentrer sur la route qu'elle devait suivre, mister esprit revint en arrière se remémorant les événements qui avaient suivi la fin de la journée porte ouverte de la caserne.

Il y avait un bon quart d'heure qu'elle était rentrée dans sa chambre d'hôtel lorsqu'on frappa à sa porte.

Elle avait braqué les yeux sur la porte pendant une longue minute avant de répondre, elle savait pertinemment qu'il s'agissait du sergent chef Carter.

En voyant le colosse elle haleta de peur alors qu'elle reculait au centre de sa chambre, le sergent instructeur pénétra dans la chambre et verrouilla la porte dans mister dos.

Melinda savait pertinemment que ces réponses entraîneraient de fâcheuses conclusions de la part des services de police.

Elle ne pourrait pas faire face à leur questionnement ni répondre à certaines questions précises qu'ils risquaient de lui poser.

- Vous voulez dire qu'il vous a demandé d'écarter les cuisses et que vous lui avez obéi docilement?

- Et qu'avez-vous fait lorsqu'il vous a demandé d'empoigner mister pénis gainé d'un préservatif et de le guider en vous?

- Voulez-vous dire que vous ne vous êtes défendu physiquement que lorsqu'il eut retiré le préservatif avant de vouloir vous pénétrer à nouveau?

- Criez-vous au viol uniquement parce qu'il vous a utilisé sans préservatif?

- Donc, s'il avait gardé mister préservatif vous ne vous plaindriez pas de vous être fait violer, si nous comprenons bien?

Lorsqu'il lui avait affirmé mister désir de la voir se déshabiller pour qu'il puisse contempler mister adorable corps si sexy, Melinda se rappela que de grosses larmes avaient envahi ses yeux alors qu'elle se disait qu'elle s'exécutait pour sauver la vie de mister mari.

Elle avait tendu la main dans mister dos pour trouver l'attache dans le cou et descendre la fermeture dorsale de sa petite robe bleue ciel, puis elle avait repoussé les manches sur ses épaules avant de se dépouiller de sa robe.

Elle se rappelle avoir haleté nerveusement alors que le sergent Carter la complimentait

- Laisse moi voir tes gros nibards que vous me cachez madame Benton!

Elle s'était alors défait de mister soutien-gorge de dentelle dénudant ses nichons pour le grand plaisir de mister suborneur.

Melinda avait alors fermé les yeux et mordu ses lèvres charnues alors que le vil sergent chef pétrissait ses grosses miches comme s'il se trouvait sur le marché pour tester la maturité de gros melons.

- Owwwwwwwwwwwwww! Cria-t-elle lorsque le pervers bâtard se pencha sur elle pour mordiller ses tétons dardés.

Elle ne pouvait que sangloter de honte alors qu'il allait d'un mamelon à l'autre.

Il roula soudain sa petite culotte sur ses hanches puis sur ses jambes et enfin sur ses chaussures, elle se souvint s'être tenue sur la pointe des orteils alors qu'il se penchait sur elle enfouissant mister visage dans sa toimister dorée.

Comme le sergent Carter le lui avait enjoint, Melinda avait déboutonné le treillis du sergent instructeur, posé la main sur l'énorme bosse déformant mister pantalon, descendu mister vêtement révélant l'énorme bite dont il était doté.

Elle empoigna instinctivement l'épieu noir qui avait jailli heurtant mister poignet, Melinda entreprit de le branler machinalement le regardant ébahie doubler de taille ce qui l'amena à penser :

Elle doit bien mesurer 37 bons centimètres! Et quelle épaisseur.

Elle ne pouvait s'empêcher de comparer cet énorme pal à la queue de mister mari qu'elle manipulait encore la veille dans cette même chambre, elle pensait que le membre de ce salaud était au moins deux fois plus épaisse que celle de mister mari!

Forcée de s'agenouiller, Melinda savait ce qu'il attendait d'elle, aussi ouvrit-elle la bouche en grand!

Après plusieurs minute le gland du sergent en pleine bouche, la langue s'enroulant autour de la hampe pour mieux la flatter, il repoussa Melinda sur ses avant-bras.

Délogeant la grosse mentule de sa bouche distendue elle se tenait debout dans ses hauts talons, le visage tourné vers le lit, elle comprit que le lit serait mister prochain but.

Mais, après un premier pas dans cette direction, il encercla sa taille de sa grosse main noire.

En un instant il la retourna la tête pendant vers le bas, il la maintenait à l'envers... La tête de Melinda à hauteur de sa bite turgescente, la sienne dans sa fourche juteuse.

C'était impensable, c'était la première fois qu'elle se tenait dans une position aussi acrobatique. Le sang affluant à sa tête, les bras pendant au sol, elle les tendit pour empoigner les fesses de mister sale bâtard de suborneur.

La suite l'épata encore plus lorsqu'elle réalisa qu'ils se trouvaient en position de 69 debout.

Elle dut rapidement admettre que ce pervers savait se servir de sa mangue alors qu'elle orgasmais à plusieurs reprises sous ses caresses labiales.

Elle réalisait d'après sa position et la façon dont le salopard lapait mister jus intime avec des "slurps" évocateurs que sa cyprine devait inonder sa chatoune embrasée.

Un flot de foutre épais et chaud s'écoulant dans sa gorge interrompit alors le fil de ses pensées.

Jetée sans cérémonie sur le lit, mister corps claquant sur le matelas, Melinda restait immobile les yeux rivés au plafond.

Elle surveillait le sergent Carter du coin de l'œil, qui se branlait machinalement, impatient de se replonger dans l'action.

C'est alors quelle fit entendre sa première protestation en affirmant :

- Seulement avec un préservatif! C'est le plus mauvais moment de baiser pour moi!

Bien sur la veille, dans les bras de mister mari, ils n'avaient pas employé de préservatif, mais il faut dire qu'elle aurait adoré que mister gentil mari l'engrosse!

Soulagée, Melinda le vit ouvrir un paquet de préservatif, sa bite agressive et potentiellement fertile fut alors recouverte de sa pellicule de latex.

Et lorsque le sergent instructeur de mister époux s'approcha du lit, Melinda obéit à sa demande :

- Ecarte tes somptueuses cuisses pour moi ma chère madame Benton! C'est entre tes cuisses que repose le sort de ton cornard de mari!

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