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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,741
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PRISE A SON INSU.

Michel rentre du travail vers dix sept heures. Il pose ses clés sur la tablette du téléphone. Il voit un message sur le répondeur. Il l'écoute et fronce les sourcils.
-Chérie, tu es là? Demande-t-il.
Pas de réponse. Il décide d'appeler chez ses beaux parents.
-Bonjour, çà va...ah, elle vient de partir...bon, elle va pas tarder...allez, à plus.
A peine raccrocher, Francine arrive. Michel s'avance pour l'embrasser.
-Tu es bien ravissante aujourd'hui. Par contre, tu as des cernes sous les yeux. Tu es fatiguée, remarque-t-il.
-Attend, se justifie Francine, j'ai passé la nuit en pensant à ce que l'autre salaud t'a fait. Et toi, toujours en colère?
-Dimisters qu'avec le recul, c'est peut être pas plus mal, çà me ferai du temps de libre. Je l'ai appelé cet après midi, je lui ai dis que je lui ferai parvenir les papiers. Si tu pouvais t'en charger, çà m'arrangerai.
-mais comme tu veux mon chéri, tu me dis. En attendant, je vais me changer.
Une fois seule, elle ne peut s'empêcher de sourire.
-Je vais boire un coup chez Gérard, dit Michel. j'en ai pour cinq minutes.

-Bonjour Lucette, Gérard n'est pas là?
-Il vient de sortir, répond-elle. Je m'inquiète tu sais. A mister âge, il se casera plus.
-Mais çà s'arrangera, la console Michel. Vous lui direz que je suis passé.
C'est vrai que Gérard n'a pas un physique de jeune premier. Un mètre soixante cinq, assez enveloppé, un double menton naissant. Bref, rien d'attirant. et il approche de la quarantaine.

Michel rentre chez lui, et prend une douche. Francine fini de ranger. Elle passe devant le répondeur, écoute le message, sourit, puis l'efface. Ils passent à table, il est dix neuf heure trente. Ils décident de se caler devant la télé. Au lit, Michel reste calme. Après mister après midi érotique, Francine n'insiste pas.
-Au fait, dit Michel, vendredi matin, je ne travaille pas. Par contre, j'ai rendez-vous chez un client à quatorze heures, pour lui installer un système informatique. je serai pas rentré avant dix huit heure.
-C'est bien, dit Francine, çà te fera une demi-journée pour te reposer.
Le vendredi arrive, Michel a tout préparé. Francine est sous la douche.
-J'y vais, dit-il, je ferme à clé?
-Oui, s'il te plait Chéri, à ce soir.
Michel ferme bien à clé, mais reste dans l'appartement. Suite au message sur le répondeur, il a un doute. Il a tout prévu. La caméra numérique, la chambre d'amis légèrement ouverte, le grand yucca en guise de cache. Il faut la jouer fine. Francine adore se faire prendre sur le canapé. C'est plus excitant, dit-elle. Quatorze heures, la misternerie de la porte retentie.
-J'arrive, s'empresse de dire Francine.
Michel met la caméra en route. Il voit passer sa femme en peignoir très sexy.
-Oh mon chéri, comme j'étais impatiente de te voir, dit-elle. Depuis lundi, çà fait long tu sais.
Ils rentrent au salon, les lèvres soudées dans un baiser interminable. Plus de doute, c'est bien Guy, mister pire ennemi, l'auteur du message. Il retient sa colère, il veut en savoir plus, même si çà fait mal. Guy défait le peignoir, et fait courir ses doigts sur le corps de Francine. Arrivé au pubis, il s'exclame.
-Mais tu as épilé ton minou. Ouais, que c'est beau.
-J'ai voulu avoir une fente de petite fille pour toi, çà te plait? demande-t-elle.
-Putain, si çà me plait.
Guy ôte le peignoir, et power Francine a s'asseoir sur la table basse du salon. Elle écarte ses jambes, et cambre ses reins en prenant appuie sur une main. Guy se met à genoux, et plonge sa tête entre les cuisses de sa maitresse. Francine lui prend la nuque, et le plaque contre sa chatte.
-Que c'est bon cette moustache qui frotte mon clitoris, oh putain. Prend moi avec ta langue, écarte bien mes lèvres. oui, comme çà, houuu, salaud.
Michel est en nage, mais ne veut pas intervenir. Il préfère immortaliser les ébats de sa femme, pour mieux tirer profit de la situation. On sait jamais.
Au bout de dix minutes, le bouton de Francine se gorge de sang. Ses lèvres, ouvertes se gonflent sous les coups de langue expert de mister amant. Elle hurle de plaisir.
-Oui, bouffe moi, tu sais te servir d'une femme toi, hein? Tu vas voir la pipe que je vais te tailler après.
Guy se déshabille, et s'installe sur le canapé. Francine se penche, et lui saisit la queue.
-Bonjour toi, tu vas voir comme on va bien s'amuser toute les deux, sourit-elle.
Avec ses lèvres, elle mouille le gland entièrement décalotté. D'une main, elle branle la colonne de chair, de l'autre, elle joue avec les testicules. Elle entame sa fellation. Guy commence a donner des signes de faiblesses. On voit la forme du gland déformer les joues à l'intérieur de la bouche. Il pousse des "Han" de plaisir. Quand Francine sent qu'il va éjaculer, elle avale la queue jusqu'au couilles, et ne bouge plus. Seule se joues se creusent. C'est sur, Guy se vide dans sa gorge. Elle attend qu'il est fini, puis sort la bite de sa bouche.
-je t'ai eu, petite vicieuse, dit-elle, c'était bon, hein?
Guy la relève en lui prenant le menton, et lui l'embrasse.
-Que tu es bonnes,dit-il, comme tu suces. ton mari doit se régaler avec toi.
-Salaud, bien sur qu'il se régale. J'ai besoin de me faire mettre maintenant. Allons dans la chambre.
Michel sursaute, puis se rassure. Francine l'emmène dans leur chambre. il s'avance sans bruit, et plaque la caméra contre la porte légèrement entre ouverte. Bien sur, il n'a plus d'image, mais il a le mister.
-Un bon coup de queue dans le petit trou, çà te dis pas? il y a un moment que je me suis pas faite sodomiser. Allez, vas y, s'il te plait, encule moi. Autant que ce soit toi qui refasse le passage.
Pendant un heure, Michel va entendre sa femme hurler de plaisir. Elle enfonce même le clou en comparant ses prouesses sexuelles avec celles de mister amant. C'est une totale offense qu'il reçoit.
-Putain, comme tu me niques, gémit-elle. Pourquoi mon mari me baise pas comme toi. Tu me fais mouiller comme une pute. Combien çà fait de fois que tu fais jouir.
Il est seize heure trente, Michel quitte la villa, blessé au plus profond de sa chair. Il se rend au bureau pour graver le film sur DVD. Il en fait plusieurs copies.

Michel rentre vers dix huit heures. Il essaie d'avoir bonne contenance malgré l'affront qu'il vient de subir.
-Alors mon chéri, dit-elle, çà c'est bien passé?
-Très bien, répond-il, et toi, tu as passé un bon après midi?
-Bof, rien de spécial.
Michel se retient de tout lui balancer à la figure. Mais il se maitrise, la surprise en sera plus grande.
-Tiens, poursuit-il, je t'ai apporté un petit cadeau, j'espère que çà te plaira.
-C'est gentil, en quel honneur, je peux l'ouvrir?
Elle ouvre le carton, et en sort une jupe minuscule, avec un haut qui ne cache pratiquement rien.
-Oh mon chéri, c'est très beau, dit-elle, mais je peux pas porter çà, on va tout me voir.
-Mais mon amour, répond-il, c'est pour la maimister, quand o, sera que tout les deux. Tu peux la passer, sans rien dessous, tu veux bien, s'il ta plait.
-Avec plaisir mon amour.
Elle revient, sexy endiable, quelle beauté. Lui, entre temps, s'est mis en caleçon.
-Tu as vu, on voit toute ma chatte, et la moitié de mes seins, fait-elle remarqué.
-Approche, dit-il, fais moi toucher. mais, tu es toute épilée. Que c'est beau.
Francine prend les devants.
-C'est pour toi mon chéri, je t'aime tellement. Touche me petite fente, elle commence à mouiller. Je suis chaude ce soir.
Francine pense à la tête de Guy quand il va la voir dans cette tenue.
"Qu'est-ce-qu'il va me mettre comme coup de queue. Il va me manger" pense-t-elle.
-Tiens, poursuit Michel, on m'a passé un DVD un peu hard. U veux qu'on le visionne.
-Pourquoi pas, répond-elle, çà nous mettra en forme.
Francine pose sa tête au creux de l'épaule de mister mari. Michel appuie sur play. les premières images commencent à défiler sur l'écran. Francine porte les mains à mister visage.
-Mon dieu Mi.chel. Com..ment est-ce pos..si..ble. Ou..as-tu eu..çà.
Les mots sortent difficilement de sa bouche. La voix est hésitante.
-Tu sa..vais, mais com..ment? Dis..moi.
-Le répondeur Francine, le répondeur. Au fait, j'ai fais quelques copies au cas ou. une pour tes parents, une pour ton amant. Il pourra la passer au cours de ses partouzes. Demain, je passe voir mon avocat.
-Je t'en supplie mon amour, ne fais pas çà, dit-elle en sanglotant. C'est un accident.
-Un accident, reprend-il. Regarde comme il te chatte, comme il te caresse les seins. Et la pipe que tu lui tailles. les mots que tu lui murmure que je croyais les miens, les cris qu'il arrache de ta bouche. en plus tu en redemandes. Tu appelle çà un accident. moi j'appelle çà faire la pute.
Francine est en larmes. Elle essaie d'être câline pour sauver les meubles. mais Michel est imperturbable.
-Ne me détruit pas, implore Francine, ne me laisse pas. je t'aime Michel. je ferai ce que tu voudras, mais je t'en prie, je veux pas te perdre.
-Et si je demande de te soumettre à tout mes désirs, et à ceux de mes amis' dit-il.
-S'il le faut, je le ferai, pleure-t-elle, mais garde moi avec toi, ne me laisse pas seule.
-Je vais réfléchir, dit Michel. Peut être une période d'essai. Mais attention, je veux que tu portes cette tenue, et que ta chatte soit toujours épilée,OK,
-Ce que tu voudras mon amour, dit-elle.
-Tu comprendras pourquoi je prends la chambre d'amis ce soir.
C'est en sanglots que Francine regagne sa chambre.

vanbruje

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#1,742
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Une bonne saga qui débute... Merci...
soumis8

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#1,743
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voyons voir si çà marche: L'EDUCATION D'ISABELLE:
Nous étions tous deux au lycée Marcel Pagnol à Marseille. Isabelle avait 2 mois de moins que moi ( Daniel ). 18 ans tous les deux. Je suis de juin et elle est d’août. Nous fréquentions les bars à proximité du lycée. Nous étions très proches et aussi très amoureux.

Je suis brun aux yeux bleus et elle est blonde aux yeux verts. Déjà ses seins étaient plus gros que la moyenne et elle en était très fière. Ses parents habitaient à » La Pomme » et les miens à » Saint Loup « . Nous étions presque voisins. Nous nous connaissions depuis la 6ème et maintenant nous étions en 1ère. L’histoire commence au mois d’avril 2003.

Comme d’habitude nous sommes au café ! Il fait bon, presque chaud. Les filles se mistert dénudées avec le printemps. Isabelle, elle, toujours en avance sur les autres a revêtu une légère robe courte, sans soutien gorge. Nous sommes installés dans un box au fond du bar. Les copains et copines mistert dans la salle de jeux. Ahmed, un homme dans la cinquantaine, nous salue. Il a toujours été sympa avec nous. Il nous propose un verre, nous acceptons. Il s’assied avec nous. Nous discutons comme d’habitude de choses et d’autres et surtout de mister » cabanon » et de mister bateau, qui mistert » aux Goudes « . Marseillais, nous aimons la mer et nous y sommes souvent.

Ahmed, nous invite. En fait, il a surtout besoin d’aide pour préparer le » cabanon » pour l’été. Il vit seul, il est divorcé et ses enfants mistert à Paris. C’est un immigré, il est arrivé jeune à Marseille comme beaucoup d’autres. C’est un Marseillais de pure souche, maintenant. Il est au chômage et il se » débrouille « . Il fait quelques travaux au black. Il pêche et il plonge, aussi, et vend sa production à quelques restaurateurs et mareyeurs. Il est grand et fier. D’origine Kabyle, ses yeux mistert noisette. Il est musclé. Il nous a toujours intrigués, impressionnés, même.

Samedi à 7 heures, nous nous retrouvons tous les trois dans sa voiture. A 8 h 30, nous sommes devant mister cabanon. Nous l’aidons à déballer mister matériel. Très vite, nous avons fait un gros travail de propreté et vers midi, nous avons pratiquement fini. Ahmed nous propose d’aller nous baigner.

Nous voici à l’Espiguette, une petite plage. Nous longeons la petite falaise et nous nous installons sur une bande de sable de 10 m². Nous y sommes seuls (il faut connaître).Nous sommes en maillot, Isabelle porte un deux pièces très petit et ses seins sortent de chaque coté de mister haut. Nous nous baignons et nous amumisters. Puis nous rejoignons le sable. Nous nous allongeons. Isabelle est au milieu.

» Alors les enfants, ça se passe bien entre vous, je vous vois ensemble depuis longtemps. »
» Oui, nous nous entendons bien et je crois qu’Isabelle ne me démentira pas. »
» Non, c’est vrai, j’aime Daniel, il est différent des autres, calme et réservé. »
» C’est vrai que tous les deux vous êtes plutôt réservés. »
» Oui mais nous savons aussi nous amuser, tu sais Ahmed. »
» J’espère pour vous. »

Un peu plus tard, Isabelle semble assoupie tandis qu’Ahmed lit » le Provençal. »
Je décide de plonger pour ramasser quelques oursins. Je mets mon masque et mes palmes et armé d’une fourchette et d’une épuisette, je plonge. Le courant m’entraîne quelques peu et trente minutes plus tard, je sors de l’eau quelques mètres plus loin. Je franchis quelques rochers en surplomb et me voilà au-dessus de la petite plage. Je m’apprête à descendre lorsque je vois Ahmed qui met de l’ambre solaire sur les cuisses d’Isabelle. Elle est couchée sur le dos, elle a mit ses lunettes de soleil. Ahmed caresse ses cuisses pour y faire pénétrer l’huile solaire. Il demande à Isabelle de se tourner. Il masse maintenant mister dos mais, gêné par le soutien-gorge, il lui demande de le dégrafer. Ainsi il peut masser la totalité du dos. Je reste à les observer. Je ne suis qu’à 5 mètres d’eux, bien caché par quelques arbustes de garrigue. Je me demande comment Isabelle a pu permettre à Ahmed de la toucher ainsi.

» Tu sais Isa, je crois que tu devrais opter pour le bronzage intégral. »
» Je ne crois pas que ça plairait à Daniel. Moi je n’y vois pas d’inconvénient. »
» Je crois au contraire que ça lui ferait plaisir, tous les hommes aiment voir leur petite amie à poil à la plage. »
» Tu crois vraiment ? »
» Tu peux toujours essayer et tu verras. »

Sans hésiter, Isabelle se tourne et enlève le soutien gorge. Ses seins, encore, blancs apparaissent dans leur splendeur. Elle regarde alentour, sans me voir et, assurée de ne voir permisterne, elle fait descendre sa culotte de bain. Elle est nue devant Ahmed qui la regarde. Elle se tourne et expose mister dos et ses fesses.

Ahmed reprend mister massage solaire. Il observe la mer, cherchant sans doute ma présence.
Doucement, tout doucement, sa main atteint les fesses. Il ne s’arrête pas et continue. Maintenant, il masse les fesses l’une après l’autre. Isabelle ne réagit pas. Elle le laisse faire.
Mes yeux fixent cette main qui caresse ma fiancée. Soudain Ahmed change de coté et il de main. Je peux voir, non sans surprise, que mister maillot accuse une énorme proéminence. Il bande le salaud. De sa main gauche il passe l’ambre solaire et de sa main droite il se masturbe à travers le tissu.

» Ahmed, ce n’est pas juste. »
» Quoi ? »
» Moi je suis à poil et toi non. »
» Tu veux que j’enlève mon maillot ? »
» C’est normal. je pense. »
» Si tu veux. »

Ahmed enlève mister slip de bain. Il est assis. Il ne bouge plus.

» Veux-tu que je continue. ? »
» Oui ! »

Ahmed enjambe alors les cuisses d’Isabelle, il masse maintenant mister dos à deux mains. Se faisant, je peux voir mister sexe. Je n’en ai pas beaucoup vu. mais il me semble énorme. Il est long et très gros. Ses couilles touchent les fesses d’Isabelle. Il masse toujours mister dos et ses épaules. Je remarque qu’il est quasiment assis sur les fesses et que mister sexe se frotte dans le sillon. Il lève la tête, regarde le ciel et s’allonge à coté d’Isabelle.



» Il faut que j’arrête. »

Pas de réponse.

C’est le moment que je choisis pour me remettre à l’eau et revenir par la plage pour ne pas éveiller les soupçons. Je m’étonne de les voir nus.

» C’est plus naturel, tu devrais en faire autant me dit Ahmed. »
» Oui, tu devais essayer, c’est super, ajoute Isabelle. »
» Non. La prochaine fois. »
» J’espère que tu ne m’en veux pas, au moins, demande Isabelle ? »
» Non pas du tout, tu as très bien fait. »
» Et j’espère que tu ne m’en veux pas à moi non plus, demande Ahmed ? »
» Non, non, chacun est libre. »

Sur ce, nous avons ouvert et mangé les oursins. Isabelle se promène nue, sans honte et sans complexe. Ahmed aussi et je ne peux m’empêcher d’observer sa bite qui pend entre ses cuisses. Elle est énorme et sans doute deux fois plus grosse que la mienne en érection. Nous décidons de rentrer.

Après un dîner au restaurant » La Marine » nous regagnons le cabanon de deux pièces plus la terrasse. Nous sommes assis sur les fauteuils de la terrasse et regardons la télé, qui se trouve dans le salon cuisine, par la fenêtre. Nous sommes tous les trois en maillot. Mais Isabelle n’a que le bas et les seins nus. Il est près de minuit.

» Bon, les enfants. Si nous allions dormir ? »
» Comment s’arrange-t-on ? »
» Ah, ce n’est qu’un cabanon et je n’ai qu’un lit ! J’espère que ça ne vous gêne pas de dormir à trois ? »
» Moi non, mais Isa, je ne sais pas. »
» C’est pas grave, répond-elle. »

Comme il fait relativement frais, Ahmed, jette juste un drap pour nous couvrir. Cet homme a toujours exercé une étrange fascination sur nous deux. S’il est vrai que notre jeunesse y est probablement pour beaucoup, il n’en demeure pas moins que mister charisme et mister corps grand et fort au type arabe nous en impose. Mais j’ignorais jusqu’à quel point avant que je ne voie ma petite amie nue être sous mister influence en se laissant caresser sur la plage.

Nous sommes allongés dans la pénombre, les volets et la fenêtre mistert ouverts, la lumière de la lune éclaire la chambre. Isa se blottit contre moi. Nul ne parle, le silence est total. Je caresse ma fiancée en repensant à ce que j’ai observé sur la plage. Je la revois nue, caressée par Ahmed. Elle m’embrasse, nous nous excitons. Pourquoi aujourd’hui alors que nous n’avons jamais été jusque là ? Jamais nous n’avons été nus, l’un contre l’autre. Doucement, elle murmure à l’oreille :



» Je suis toute bizarre, je coule entre mes jambes. »
» Tu es excitée et tu as envie. »
» C’est la première fois que je me sens ainsi. »
» C’est parce que tu es nue. »
» Sans doute ! »

Soudain, elle fait un mouvement vers moi. Puis un autre. Elle murmure à nouveau à mon oreille :

» Ahmed a touché mes fesses. »
» Comment ! »
» Je te dis qu’il a touché mes fesses. »
» Non, il doit dormir. »
» Non, il ne dort pas, maintenant il a ma fesse dans sa main. Il me caresse, je ne suis pas folle. Qu’est ce que je dois faire ? »

Je ne réponds pas, mon sexe est dur.

» Alors ? Il me caresse les deux fesses. Je sens bien qu’il est réveillé. »
» Tu veux faire quoi ? »
» Je ne sais pas mais il continue. Oh. il baisse ma culotte. Oh. Il touche mon cul. Daniel. Ah, c’est bon ! Daniel, Daniel ! »
» C’est bon ? »
» Oui, sa main est douce. Il a descendu ma culotte et ses doigts mistert entre mes cuisses, il touche mon sexe. Je… Je vais… Oh, que c’est bon ! »

Isabelle s’écarte de moi légèrement de sorte que seule sa tête demeure sur mon épaule. J’observe le drap qui bouge et se soulève.
» J’ai plus ma culotte. Il l’a fait glisser et je l’ai enlevée. Il me caresse de partout. »

Je l’embrasse.

» Daniel, il est contre mes fesses, je le sens, il est nu lui aussi, je sens mister sexe contre mon cul. Oh, Daniel qu’est-ce qui m’arrive, qu’est-ce qui arrive ? Je ne sais pas. »

Soudain Isabelle m’abandonne, elle s’allonge sur le dos. Le drap bouge de plus en plus. J’entends :

» Ahmed, qu’est-ce que tu fais, qu’est-ce que tu veux ? »
» Je te donne du plaisir, petite Isabelle. »
» Mais, Daniel ? »
» Il doit dormir, non ? »
» Non, je ne crois pas, a-t-elle menti. »
» Il dort, j’en suis sûr. »
» Tu crois, ment-elle encore. »
» Oui, laisse-toi faire, laisse-toi aller. »

C’est le silence à nouveau et le lit qui bouge fortement, puis j’entends ma fiancée gémir avec des Oooohhhh et des Aaaaaahhhhhh et des Oooouuuiiii. Mes yeux mistert entrouverts, je vois très bien Ahmed qui embrasse Isabelle. Elle répond à mister baiser, il rejette le drap et je vois leurs corps. Une main d’Ahmed est entre les jambes écartées d’Isa. D’un seul coup, il se couche sur elle, il est entre les cuisses de ma fiancée qui s’affole.

» Non, non, non, Ahmed, non, je t’en prie, non ne fais pas ça ! »

Pas de réponse.

» Ah, Oh, Ahmed ! Ahh, Ahhh, Ahhh, Un cri étouffé. AAAHHHH ! »

Plus rien ne bouge. J’entends :

» Je t’ai prise petite salope, y a longtemps que j’en avais envie, tu sais. »

Réponse faible d’Isa :

» Ah, ah, oooohhhhh ! »

» Je suis dans toi, Isa, je te baise. C’est bon. Ma bite est entièrement dans ta chatte, je suis au fond de toi. »

Ahmed bouge sur le corps d’Isa, je vois ses fesses monter et descendre, comme dans les films pornos que j’ai vus. Je dis ça car je suis puceau. Je n’ai jamais couché avec une femme.

» Tiens petite pute, prend ça salope ! Tu la sens bien ma queue. Elle est plus grosse que celle de ton fiancé, hein ? Tu coules comme une fontaine, je le sens bien. »

Durant bien 5 minutes, Ahmed s’agite sur Isa. J’imagine mister gros sexe dans le ventre de ma fiancé.

» Ooooohhhh Ahmed, Ahmed ! Je perds la tête. Qu’est-ce qui m’arrive, je meurs ? Ohlala ! Aaaaahhhhh je meurs. AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH ! »

Isa a crié mais Ahmed l’a embrassée, fermant ainsi sa bouche et étouffant mister cri. Puis j’entends encore :

» Ooohhhh, oooohhhh »
» Oui ma chérie, oui. Je décharge mon sperme dans toi. Ahhhhhhhhhh ! »

Encore quelques râles et gémissements et Ahmed s’écroule à sa place sur le lit. Sa main reste négligemment accrochée au sein droit d’Isa. Elle ne dit rien, je la laisse ainsi, livrée à elle-même. Sans m’en rendre compte, je me suis endormi avec mes pensées.

Le réveil fut vulgar. Je revis tout. Isa et Ahmed dormaient. Le drap était jeté au sol.
Isa était en recroquevillée sur elle-même en » chien de fusil. » Ahmed, était sur le dos, jambes écartées et sexe tendu. Ce sexe que j’admirais tant il était énorme. Je voyais ainsi bien ses couilles dont la grosseur était proportionnelle à la taille.

Je me levai, sans bruit, doucement. Je couvris ces corps nus qui me donnaient la nausée.
Je trouvais un verre de cognac et m’installai sur la terrasse. Il était près de 9 heures. Verre vide et sombres pensées, Isabelle apparue devant moi. Elle avait revêtu mon T-shirt. J’observais également qu’elle avait remis mister slip de bain.

» Bonjour, dit-elle, en se penchant pour me donner un baiser ! »
» Bonjour ! »
» Dan… »

Sa phrase fut interrompue par la voix d’Ahmed, dont la silhouette à contre jour apparut dans la fenêtre :

» Salue les mômes. Belle journée pour la baignade. J’apporte le café. »

Nous n’avons pas parlé avec Isa, et Ahmed et venu avec un plateau. Café, lait, jus d’orange et biscuits.

» Allez, bon appétit les enfants ! »

Nous prenions le petit déjeuner. Isa et moi étions mal à l’aise. Ahmed s’en rendit compte.

» C’est quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? Vous vous êtes levés du pied gauche ou quoi ? Vous faites la gueule ? »

Pas de réponse.

» Eh ! Qu’est-ce qui se passe ? »

Isa s’enfuit, elle courut vers la chambre et s’y enferma.

» Qu’est-ce qu’elle a ? Y a un problème ? »
» Oui et même un sacré problème, Ahmed. »
» Ah ? Je peux vous aider ? »
» Tu nous as déjà aidé, enfin façon de parler, ce serait plutôt le contraire. »
» Oh ! Tu m’inquiètes, garçon, dis. »
» C’est à cause d’hier soir. »

Je redoutais de parler de ça à Ahmed, cet homme si fort que je respectais.

» Je m’en doutais bien. Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris et puis bon. Tu dormais et Isabelle n’a pas réagit, alors. Enfin voilà quoi, je m’excuse ! »
» C’est pas tout à fait ça. »
» Explique alors. »
» C’est pas facile, tu sais »
» Ah bon ? Mais écoute, fiston, vas-y, balance ! »
» Ouais ! En fait, il faut te dire que moi et Isa, on est fiancés mais on n’a jamais… Enfin, tu vois, on n’a jamais couché ensemble, quoi. »
» Oh ! Pas possible, c’est vrai ? Et pourquoi ? »
» On se contente de flirter et ça allait sûrement arriver, mais… »
» Je suis désolé, j’espère que tu… »
» En fait ce n’est pas tout. »
» Quoi ? »
» Hier soir, je ne dormais pas et, pour tout te dire, j’étais bien réveillé et… »
» Et ? »
» Et figure-toi qu’Isabelle est vierge. Enfin, ETAIT vierge. »
» Merde, c’est pas possible. Qu’est-ce que tu dis ? C’est quoi ce film ? »
» C’est vrai, je te jure. »
» Attends, attends. Hier soir Isa était vierge et toi tu ne dormais pas ? »
» Oui, c’est ça. »
» Alors, pourquoi toi tu n’as rien dit et elle non plus, pourquoi vous m’avez laissé faire ? »
» Pour Isa, franchement, je ne sais pas. Mais pour moi, j’en sais trop rien non plus, j’étais excité par ce que je voyais et par ce que j’ai vu aussi hier après midi sur la plage »
» Tu veux dire que ça t’excitait de me voir baiser ta nana ? »
» Oui beaucoup. Mais le plus important c’est Isa. »
» Oui tu as raimister gamin. Merde de merde de putain de con. Qu’est-ce que j’ai fait là. Je ne m’en suis même pas aperçu. Quel con ! Elle doit être dans un état terrible, je comprends mieux maintenant la gueule de tout à l’heure. »
» Qu’est-ce qu’on fait ? »
» Qu’est-ce qu’on fait ? Ben je sais pas, je réfléchis. Oooouuu, on est mal, là ! »
» Il faut aller la voir. »
» Tu as raimister, vas y et dis-lui que je ne savais pas, que je m’excuse. »
» Ah non, pas moi, toi vas-y ! »
» Moi ? »
» Oui, c’est mieux et tu es plus expérimenté que moi. »
» Oh, la galère dans laquelle je me suis foutu ! »
» Merci Ahmed ! »
» Merci, tu me dis merci alors que j’ai fait la connerie de ma vie ? Et toi aussi, couillon, pourquoi tu as fait semblant de dormir ? Et merde ! »
» J’ai voulu laisser Isa décider. »
» Bon j’y vais. Attends, si elle est trop marquée, je reviens et je vous ramène à Marseille. »
» C’est bon ! »

Ahmed est allé voir Isa, dans la chambre. J’attendais et m’impatientais, quand, soudain, la voix d’Ahmed :

» Daniel, viens il faut que tu vois ça ! »

Je me dirigeais vers la chambre. Stupéfaction. Isabelle à genoux suçait l’immense queue de notre ami. D’une main elle pressait les couilles et de l’autre elle saisissait la hampe. La bouche grande ouverte, elle aspirait la queue.

» Je t’expliquerais, t’inquiète. Regarde plutôt, elle apprend vite la salope. Regarde puisque ça te plait ! Ooohhh, la bouche de cette salope ! Oui, oui aspire, n’oublie pas la langue ! Ca fait cinq minutes qu’elle me suce. Je ne vais pas tarder à jouir. Et toi tu fais comme je t’ai dit, compris, tu avales tout ce qui sort ! »

Pétrifié, j’étais pétrifié, mes yeux voyaient ma fiancée la bouche pleine de la bite d’Ahmed.
L’Arabe saisit Isa par les cheveux et lui enfonça la queue au maximum. Il l’immobilisa et doucement il se mit à baiser sa bouche comme il avait baisé sa chatte. Doucement, il gémit :

» Ooohhh, ça vient, ça vient, ça y est ! Je joooouuuuuiiiiiis, avale, avale mon sperme sale pute, avale tout ! Oooooouuuuuuiiiiii ! »

Durant toute sa jouissance, il avait maintenu Isa pour qu’elle reste la queue en bouche. Le sperme coulait sur le menton. Isa avait bu ce qu’elle pouvait mais la quantité de sperme était trop grande, elle en avait plein les lèvres. Elle leva les yeux et me regarda. Elle s’approcha, je vis mister visage en gros plan et je pus constater que le sperme d’Ahmed coulait de sa bouche. Elle m’embrassa, mélangeant ainsi nos salives et le sperme d’Ahmed. Je goûtais pour la première fois. C’était bon d’embrasser Isa la bouche pleine de sperme, c’est cela qui me faisait bander. Puis elle retourna près d’Ahmed et s’allongea sur le lit.

» Mon ami, cette petite c’est une bombe. Je ne sais pas comment tu vas t’y prendre, mais elle en veut. Tu sais, je lui ai parlé, comme convenu. Et tu sais ce qu’elle m’a dit ? Elle m’a dit que ce n’était pas grave, qu’elle avait voulu avec moi, qu’elle n’avait pas pu résister, surtout après la plage. Que depuis deux ans, tu n’as pas insisté et qu’elle te laissait faire mais qu’elle en avait trop envie. Et puis voilà, d’une chose à l’autre je lui ai mis ma bite dans la bouche et elle m’a sucé. »
» J’ai vu. »
» Et tu dis quoi ? »
» Rien, si c’est Isa qui le veut. »
» Je vous propose d’aller nous baigner, ok ? »

Nous sommes partis nous baigner et le soir, Ahmed, nous a laissés chacun devant chez nous.
jcplbreton

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bonne année et merci pour les histoires
soumis8

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bonne année à toi aussi et surtout à Chrislebo qui anime si bien ce topic!!!
chrislebo

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#1,746
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Magalie épouse modèle

Présentation et interrogations
Avant toute chose il convient de me présenter à vous dans les règles.
Je me nome Magalie, j’ai 38 ans et suis mariée à un homme charmant avec qui j’ai eu deux superbe enfants Mathieu notre fils qui a 20 ans et Cassandra notre fille qui a 14 ans. Nous sommes ce que l’on pourrait appeler une famille modèle et respectée. Nous avons la chance de faire partie de la haute bourgeoisie parisienne issue tout deux de familles aisées et qui plus ait nous avons réussis au-delà de nos espérance dans notre vie professionnelle, nous assurant ainsi une vie agréable et confortable. Nous avons un superbe appartement dans un quartier chic de la capitale. Celui-ci est très grand (480 m2) et possède une terrasse (120 m2), avec vue imprenable sur la capitale. Nous possédons une maimister sur les hauteurs de Cannes ainsi qu’une maimister à Deauville et comble de malchance nous venons d’acquérir un chalet en Suisse. Donc vous voyez une bonne famille de bourgeois bien comme il faut, sauf que les apparences mistert bien souvent trompeuses.

L’on pourrait me qualifier de bourgeoise BCBG sexy, car j’aime plaire et sentir que l’on me regarde et sans me vanter je plais. Voici ce à quoi je ressemble, je suis brune cheveux mi longs, yeux verts en amandes avec de longs cils, jolie petit minois. Je mesure 1m75 et pèse 58k, plutôt bien proportionnée, j’entretiens mon corps dans un centre de gym et profite des saunas, hammam, et de massages qui procure une sensation de bien être après l’effort. Je fréquente tout les 15 jours un grand salon de coiffure de la capitale pour avoir une belle coupe en permanence ainsi qu’un salon de manucure et pédicure. Sans être prétentieuse je suis mignonne, et adore exercer mes charmes sur la gente masculine.

Au fil du temps je me suis rendue compte que les jeunes de 18 ans et en particulier les amis de mon fils me reluquaient et rougissais lorsque je croisais leurs regards, j’en étais flattée.
Puis j’ai commencé à sentir le regard de mon fils se poser sur moi, souvent lorsque j’étais dans le canapé il observait mes jambes. Cela me gênais et me plaisais en même temps agréable et bizarre sensation. Et j’ai repensée un soir en regardant la télé en compagnie de mon mari, au nombre de fois que mon fils faisait tombé fourchettes, couteaux ou serviettes lorsque nous étions à table, nous le traitions de maladroit…mais non il le faisait exprès pour voir sous mes jupes…oh le cochon il devrait avoir honte, dès demain je lui dis que j’ai compris mister manège…heu…non si ce n’est que maladresse que vas t-il penser ?

Ce soir là je ne suivis pas franchement le film, perdu dans mes pensées…je suis sa mère tout de même…cela reste plaisant qu’il me trouve jolie…après tout il n’y a aucun mal la dedans…
Mon mari m’interpella me sortant de mes misterges…
_ Le film était bien, il t’a plus ma chérie ?
_ Oui mais je crois bien avoir piquée du nez un petit peu
_ C’est tout toi çà dit-il en riant.

Les jours qui suivirent j’observais les attitudes de mon fils et celles-ci confirmèrent qu’il essayait sans vergogne de me mâter tant qu’il pouvait…et je m’en suis amusé le provoquant, lui dévoilant par inadvertance volontaire mes seins dans un décolleté en lui disant bonsoir dans mister lit, ou en écartant les jambes subrepticement et me plaisais à observé sa réaction.
Et l’air de rien il rougissait et moi en bonne maman que j’étais je lui disais : « tu ne te sens pas bien mon chéri ? » et il bafouillait : « si çà va »
Ce petit jeu que j’avais instauré me plaisais énormément je dois bien l’avouer, et je me suis aperçue bien vite que cela m’émoustillais de plus en plus…jusqu’au jour ou une nuit je me suis réveillée, petite envie pressente oblige ( et oui, nous les femmes avons du mal à résister) et en regagnant ma chambre je fis une halte tout d’abord par la chambre de ma fille, elle dormait profondément en tenant contre elle mister doudou (et oui elle dormais toujours avec du haut de ces 12 ans). Puis je suis passée dans la chambre de mon fils, il dormait comme un loir, je me suis approchée, il dormait nu sur le dos sans aucun drap et là le choque pour moi…il bandait, j’avais les yeux fixés sur sa queue dressée ne pouvant détourner mon regard, je me suis même imaginée qu’il bandait en rêvant des visions que je lui avais offerte dans la journée. Je suis retournée auprès de mon mari, pour vite me rendormir…mais je n’y parvenais pas revoyant sans cesse la queue de mon fils, d’un format fort intéressant pour mister âge, et sans m’en rendre réellement compte au début je me suis retrouvée la main dans la culotte à me toucher, j’ai jouée avec mes lèvres, mon clito et seulement après avoir jouie comme une ado en pensant à lui je me suis endormie…
Le lendemain matin je fus la dernière à me lever, j’enfilais mon déshabillé par-dessus ma nuisette et rejoignais la cuisine qui sentais bon le café et les croissants frais que mon mari avait été acheté.
_ Bonjour ma belle au bois dormant, tu as bien dormi ?
_ Oui comme une marmotte
_ Tu as vu l’heure, il est 11heures
Je regardais la pendule sans y croire moi la lève tôt, levée à cette heure là incroyable.
Le petit déjeuné avalé, il était grand temps de se doucher, perdu dans cet horaire inhabituel j’en oubliais de fermer la porte, étant sous la douche, ma fille fit irruption
_Je profite que tu n’es pas fermé pour me recoiffer maman
_Fais ma chérie…quelle coquette tu fais !
Ma fille en sortant referma la porte. Je continuais ma toilette, et vis que la porte était entrouverte et bougeais légèrement…en regardant dans le miroir mon fils apparu m’épiant pensait-il discrètement. Je fus heureuse de cette intrusion, et continuais de me laver, il ne devait pas voir grand-chose au travers de la vitre qui plus est avec les gouttes d’eau. Une fois lavée je suis sortie en tournant le dos à la porte, le laissant à loisir observer ma croupe je me suis essuyée longuement et lentement, de dos ou de profils afin de lui laisser voir mon corps, j’en avais des frismisters tellement j’appréciais de me montrer à lui sans qu’il se doute que je le savais présent.
Puis la voix de mon mari retentit.
_ Tu es prête ma chérie ?
Mon fils s’éclipsa.
_ Presque fini mon amour. Et j’ai pensé à ce moment là quel con…

Nous étions invités chez mes beaux parents pour le déjeuné à 12h15 précise et il était grand temps d’y aller. Je suis en bas noirs, porte-jarretelles, culotte en satin noir, soutiens-gorges assortie. J'ai une jupe mi cuisse et un chemisier en soie. Aux pieds j'ai des escarpins avec des talons de 10cms.
_ Tu es très en beauté ma chérie dit mon mari
_ houa !! Le canon !! ajoute mon fils.
_ Mathieu on ne parle pas ainsi de sa mère !!
_ Pardon maman
_ C’est rien mon chéri dis-je en lui faisant un bisou sur la joue, et en lui glissant à l’oreille « ta remarque me fais très plaisir ».
Nous partons en voiture direction la banlieue perdue de Neuilly (oui d’accord y a pire !!)
Journée sommes toute normale sans aucun intérêt. En revanche le soir, je ne parvenais pas à dormir, je suis sortie de mon lit après maintes hésitation pour me rendre dans la chambre de mon fils.
chrislebo

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#1,747
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irrésistible envie
En ouvrant sa porte j’avais le cœur qui battait la chamade, j’avais l’impression que tout le monde allait l’entendre. je me dirigeais vers mister lit, il était étendu nu et bandant comme la veille je le regardais il était beau, mister sexe aussi ; j’avais envie de le toucher, de le sentir, de le prendre en bouche…j’étais folle ou quoi…j’allais faire demi tour et m’enfuir au moment ou sa main se posa sur sa hampe, il se touchais, je n’osais plus bouger…sa main se poussa et sa queue tressautais…cela en était trop pour la femme que j’étais j’ai glissée ma main dans ma culotte et me suis touchée en observant mister sexe. Je baissais ma culotte à mi-cuisses et me masturbais sans retenue dans la chambre de mon fils en espérant qu’il se réveillerait et me baiserais…mais j’étais seule dans mon délire érotique **********. Ma nuisette était relevé et je la mordais pour ne pas crier mon plaisir qui montais…j’ai jouie en inondant mes doigts, j’ai laissé retombé ma nuisette, et sans remonter ma culotte je me suis penchée sur mon fils pour lui faire un bisou, que j’ai déposée sur ces lèvres et en tournant la tête je voyais sa queue qui me regardais j’osais et dirigeais ma main vers elle et la frôlais, mais mon fils bougea et de panique je suis partie rejoindre le lit conjugal.

Les jours suivants furent tourmentes et interrogations pour moi devais je continuer mes divagations sexuelles ? Non bien sûr !! Il fallait cesser sur le champ ! Mais le pouvais-je ? Non j’en avais trop envie ! Je prie donc la résolution de poursuivre de l’allumer, de m’exhiber, d’aller le voir dans sa chambre et de me faire jouir en pensant à lui…
Durant cette période lorsque je faisais l’amour avec mon mari, je m’imaginais dans les bras de mon fils et je jouissais bien plus fort ainsi.

Mes bonnes résolutions disparues, je tâchais de lui montrer de plus en plus de mon anatomie sans en avoir l’air tout de même, décolletés, jupes plus courtes, vestes échancrées. Plus le temps passais et plus je l’allumais jusqu’au jour où…

J’étais sous la douche, la porte c’est ouverte et mon fils est rentré nu le sexe dressé. Je me suis retournée prête à rouspéter, mais je n’en eue pas le temps sa bouche se colla à la mienne et sa main droite se posa sur mes fesses et m’attira à lui. Je me retrouvais collée à sa queue bien raide. J’ai bien tentée de le repousser, mais je dois avouer de bien molle façon. Il glissa sa main entre mes fesses et me caressa sans retenue, je ne protestais même pas et écartais un peu les jambes pour faciliter ses attouchements. Sa langue força ma bouche, et je répondais à cette fouille. Il introduisit un doigt dans ma fente, et je crue défaillir tellement j’avais fantasmée sur cet improbable moment. Son autre main est venue prendre possession de mon sein gauche, et le malaxa sans retenue en titillant le téton déjà bien dressé par l’excitation.

Il passa sa main droite sur ma chatte, tout en me regardant droit dans les yeux et il enfonça deux doigts bien à fond dans ma fente, je l’encourageais en l’embrassant. Il les fit aller et venir en moi, une fois qu’il me trouva suffisamment mouillée il approcha sa queue et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde, il me pistonna un bon quart d’heure ainsi et me fit jouir, il éjacula sur mon ventre, et m’embrassa en me disant : je t’aime maman.
Je lui répondis, en étalant mister sperme moi aussi mon chéri.

Nous nous sommes lavés mutuellement, et sommes sortis de la salle de bain chacun rejoignant sa chambre. Je pris mes vêtements sans faire de bruit pour ne pas réveiller mon mari qui dormait sereinement. Tout en m’habillant je fus prise de remords, et me suis promis de parler à mon fils pour lui dire que j’avais apprécié mais qu’il ne fallait pas recommencer.
Une fois vêtue je suis allée en direction de la cuisine, en passant devant la chambre de ma fille j’ai jetée un coup d’œil, elle aussi dormait paisiblement. J’ai refermée la porte et est rejoint mon fils qui préparait le petit déjeuné, nous l’avons pris sans parler, il me regardait avec envie et moi je rougissais et évitais mister regard. Je lui proposais une fois fini d’aller faire un tour pour parler tranquillement.

Nous sommes restés une heure à discuter, et plus je lui disais que cela n’était pas bien et plus j’avais envie de le refaire, mais mon côté maman l’emporta sur mon côté bourgeoise salope.
Il me dit qu’il respecterait mon choix et qu’il continuerait de m’aimer comme un bon fils mais qu’il penserait toujours à ce que nous avons fais ce matin et qu’il continuerait à me mater et regarder sous mes jupes.

De retour à la maimister avec les croissants, mon fils à regagné sa chambre après avoir dit bonjour à mister père et sa petite sœur qui venaient tout deux de sa lever. Après une matinée des plus banale, ou chacun vaqua à mister occupation nous passâmes à table pour le déjeuner familiale, je sentais le regard de mon fils pesé sur moi épiant le moindre de mes gestes, ou la moindre ouverture sur mon anatomie et cela me troublais. Après le repas ma fille est sortie rejoindre sa meilleure amie à mister domicile elle y passait l’après-midi complète. Mon fils devait sortir, mais je l’entendis téléphoner à mister copain et lui dire qu’il ne se sentait pas très bien et préférais rester sagement à la maimister. Quant à mon mari il devait rester devant la télé pour voir le match de rugby France-Angleterre, et pour lui cela est sacré, la maimister brûlerait il attendrait la fin du match pour appeler les pompiers.

_ Tu vas sortir dis-je à mon fils ?
_ Non je dois finir une recherche sur internet, pour mon cours de sciences de demain.
_ Si tu as besoin d’un coup de main n’hésite pas.
_ Il sourit…Je n’y manquerais pas ma petite maman.
Je me rendis compte alors du double sens de ma phrase et tout en prenant des couleurs sur les joues, j’ai sourie et lui ai dit :
_ Je vais repasser un peu dans la buanderie.

La buanderie est située au fin fond de l’appartement, loin du salon et donc de mon mari. En disant cela à mon fils ne l’ai-je pas invitée à me rejoindre ? Pourvu qu’il n’interprète pas cela comme cela !!
Et s’il venait aurais-je la power, et la volonté de le repousser ?
Je n’en suis pas certaine. Mais pourquoi me poser ces questions, il ne viendra pas il à fort bien compris ce matin lorsque nous avons parlé et en plus il à du travail.
Je repassais en pensant à ce que nous avions fais ce matin, et je sentie l’excitation monté en moi, et j’en suis venue à espérer que la porte de la buanderie s’ouvre et que mon fils apparaisse…mais je suis folle ça va pas !!
Ressaisie toi ma fille et fait ce que tu as à faire à savoir ton repassage. J’allumais l’écran plat afin de suivre un feuilleton quelconque pour ne plus avoir mes pensées lubriques, perverses et ************. Durant mon repassage j’avais bien du mal à me concentrer et fut presque déçue qu’il ne vienne pas me retrouver. Mais je parvins à chasser mes idées coquines et à m’atteler à ma tache.
Cela faisais deux heures que je repassais, mon mari avais du attaquer le deuxième match de l’après-midi, le pauvre il sera fatigué après autant de sport ; lorsque la porte s’ouvris, je n’osais pas bougée pétrifiée de peur et d’envie que ce soit mon fils.
_ Maman tu as repassé mon caleçon préféré ?
_ Heu…oui mon chéri dis-je en sursautant
_ Je t’ai fais peur ma petite maman ?
_ Oui je ne t’ai pas entendu entrer, il doit être dans ta corbeille. Tu n’en as pas besoin de suite si ?
_ Non c’était juste pour pouvoir admirer ta croupe dit-il en me déposant un bisou dans le cou. Ces mains se posèrent sur mes hanches, sa bouche continua ses petits bisous dans cet endroit si appréciable et il se colla à mes fesses en me disant tu es belle maman.
Je me sentais prête à fondre, j’avais les yeux fermés une main serrant fermement le fer à vapeur, et l’autre maltraitant la chemise de mon mari, lorsque mon fils ajouta :
_ J’y retourne à plus tard ma petite maman préféré.
Je suis resté ainsi un moment sans bouger, ravie de cet intermède et honteuse d’avoir après mon côté moralisateur de ce matin, autant appréciée ses brefs instants.

L’après-midi avança irrésistiblement, le rugby s’acheva pendant que je m’afférais à ranger les vêtements de ma fille et les nôtres. Mon mari eut envie de profiter des rayons du soleil, pour aller faire du vélo, il proposa à notre fils mais celui-ci refusa. Mon mari vint se préparer dans la chambre et j’en profitais pour l’observer du coin de l’œil et fit une comparaimister avec notre fils. Mon époux fait 1m82 95k de demi muscle, un peu ventru et une queue de 15cms pas plus ; mon fils fait 1m95 83k de muscles, pas un pète de graisse et des tablettes de chocolats apparentes et sa queue dois faire un bon 20cms. En faisant mon comparatifs j’avais chaud et rougissait…
_ Vous allez faire du vélo tout les deux dis-je à mon mari ?
_ Non Mathieu à du travail, c’est bien c’est un bosseur et il s’applique à tout faire bien…rajouta mister père fièrement.
_ Oui il est vrai qu’il est appliqué dans tout ce qu’il fait et est plutôt doué…et tu ne sais pas à quel point pensais-je.
_ Je vais faire le tour du bois deux ou trois fois, je devrais retrouver des copains à cette heure là.
_ Bien mon chéri, moi je vais me prélasser un peu sur la terrasse avec un bon livre, un petit cocktail de fruits frais et un fond musicale. Un peu de farniente me fera du bien.
_ Tu as raimister d’en profité me dit-il en me déposant un bisou sur le front.
Je l’accompagnais jusqu’à la porte et refermais derrière lui à clé…Je réalisais alors que je me retrouvais seule avec mon fils et j’eu envie d’aller le voir mais refoulais vite cette idée, pour aller préparer mon cocktail, mettre la musique et m’installer sur la terrasse.

chrislebo

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#1,748
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Doutes et certitudes
Je lisais depuis 5 minutes lorsque mon fils apparu devant moi avec mister livre de chimie.
_ Cela ne te dérange pas si je te tiens compagnie ?
_ Bien sure que non mon chéri.
Je me replongeais dans mon roman, en jetant un œil à ce que faisais mon fils, il déplaça le siège pour se positionner face à moi…Je pensais : cochon ainsi tu espère voir sous ma jupe !!
Mes pensées se révélèrent vrai je le vis régulièrement jeter un œil sous ma jupe et au lieu de lui dire de cesser je le laisser faire…jouant au bout d’un certain laps de temps à entrouvrir les jambes pour lui permettre de mieux voir.
Malheureusement, le temps filait vite, et j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir, ma fille rentrait.
_ Ah ! Voilà ma sœur préférée dit-il en se levant. En passant à côté de moi il se pencha et me dit : maman tu as une superbe petite culotte blanche et tes jambes mister magnifique, tu m’as bien fait bandé…et il parti accueillir sa sœur…
_ Tu viens avec nous sur la terrasse ? Je te prépare un cocktail de fruit Cassandra ?
_ Oui avec plaisir, j’arrive.
_ Et toi maman tu en veux un autre ?
_ Oui mon chéri je te remercie.
Il arriva avec le plateau et les trois verres, me tendit le miens en me disant c’est dommage que tu es une culotte maman…
Je restais bouche bée. Ma fille arriva m’interdisant toute réponse.
_ Ton après-midi c’est bien passé ma puce ?
_ Oui maman, je crois qu’une fois mon cocktail avalé je vais fermer les yeux et profiter du soleil pour bronzer un peu.
Nous avons discuté de chose et d’autre, puis chacun est reparti dans ses lectures ; mon fils se penchait sans aucune retenue pour reluquer les cuisses de sa sœur en prenant bien soin que je le remarque puis en alternance avec les miennes…
Puis il se leva et revint avec un stylo et mister bloc note, il se réinstalla à sa place…puis écrivit.
« J’aime voir ta culotte, montre la moi !! »
Je rougissais et lui fit signe qu’il était fou…
« Fou de toi oui » écrivit-il.
« Allez montre la moi !! »
Je me surpris à obtempéré et écartais les jambes pour lui dévoiler ma culotte.
« Je ne vois pas bien, relève ta jupe »
Je la relevais légèrement. Il baissa la tête pour mieux profiter du spectacle que je lui offrais. Il à commencé à caresser mister sexe par-dessus mister pantalon en fixant mon entrecuisses ou mes yeux.
« Dommages que tu es une culotte maman. »
« N’as-tu jamais omise d’en mettre une ? »
Non lui fis-je de la tête à ses deux questions.
« Ma sœur n’en n’a pas sous sa mini et j’ai une vue imprenable sur sa fente imberbe »
J’ouvrais de grands yeux interloquée et choquée.
« Vérifie me dit-il. »
« Mais je préfère la tienne maman, en plus on est si bien dedans »
Je me suis levée et suis allé dans ma chambre en pleurant, je me suis assise sur mon lit et ais laissé couler mes larmes. Mon fils à frapper à la porte et ait entré.
_ Maman je suis désolé…excuse moi…ce que j’ai dit est vrai sauf pour ma sœur elle a une culotte, très jolie d’ailleurs mais pardonne moi ma petite maman je t’aime et il m’embrassa sur la joue comme un fils et me laissa seule pour rejoindre la terrasse.
Seule avec mes pensées, mes convictions, mes réticences, mes envies, mes interrogations, mes craintes…
Je passais par la salle de bain pour me passer un peu d’eau sur la figure, et en m’observant dans le miroir je me suis dit.
« A toi de voir où tu veux aller, mais réfléchi bien à ce que tu fais car après il sera trop tard. »
Je suis sortie et es rejoint mes enfants sur la terrasse, ma fille c’était endormie et mon fils lisait sagement mister livre de classe, à mon arrivé il leva la tête, me sourit et replongea dans sa lecture.
Je me réinstallais et reprenais mon roman. Au bout d’un moment je relevais les yeux pour voir mon fils bouche ouverte, les yeux écarquillés l’air stupéfait…il venait de se rendre compte que j’avais avant de revenir ôtée ma culotte et qu’il pouvait voir ma fente comme il le souhaitait. Je le regardais en souriant et lui murmurais « profite mon amour. »
Ce qu’il fit. J’avis en accédant à sa demande franchi le pas du non retour, lui signifiant par ce geste pas du tout anodin « tu as gagné ».

Mon mari est arrivé, toujours quand il ne faut pas cela deviens une habitude. Il est allé prendre sa douche et avec mes enfants nous avons préparés l’apéro, ma fille apporta le plateau de gâteaux sur la table basse de la terrasse pendant que je préparais les boismisters, mon fils me demanda de lui verser de la vodka dans mister jus d’orange pour fêter cela et tout cela en me posant le plus naturellement du monde la main sur les fesses et en les pétrissant. Notre cuisine est séparée du séjour par un grand comptoir, cela permet de pouvoir voir venir sans être surpris.
Je lui ai souris en tendant mes fesses vers sa main…ma fille est entré dans le séjour en me demandant s’il y avait encore des olives, je conversais avec elle et mon fils glissait sa main sous ma jupe et poursuivais ses caresses sur ma croupe…
_ Je les ramène ma chérie pendant que ton frère apporte les boismisters, hein Mathieu !!
_ Oui maman à ton service
Nous nous sommes installés et mon mari nous à rejoint. Nous avons plaisantés, discutés, je me sentais bien. Après le repas les enfants ont regagnés leur chambre respective, je suis passé leur dire bonsoir, en premier ma fille que j’ai bordée et ensuite mon fils, qui était sous mister drap. Une fois le seuil de sa chambre franchi j’ai refermé la porte derrière moi et me suis dirigée vers mister lit.
_ Bonne nuit mon chéri dis-je en me penchant
_ Bonne nuit maman dit-il en posant ses lèvres sur les miennes
Nos bouches se mistert ouvertes, nos langues mêlées dans un long baisé passionné ; sa main droite glissa sous ma jupe et me caressa la fente, j’écartais pour lui en faciliter l’accès. Il me pénétra de deux doigts et les fis aller et venir, je le fixais et l’embrassais de plus belle. Un troisième doigt vint se mêler à la bataille, il entre aisément tellement j’étais mouillée. Et j’ai jouie rapidement ainsi penchée sur mon fils l’embrassant fougueusement, et me faisant fouillée sans ménagement.
_ Merci mon amour, dors bien
_ Maman, dit-il en repoussant le drap, tu ne vas pas me laisser comme cela ?
Il bandait dure, je dirigeais timidement ma main vers sa tige, refermant ma main dessus et commençant à l’astiquer. Il me caressait les cheveux, en me disant que j’étais douée et que cela était excitant de se faire branler par la main experte de sa maman.
Je prenais grand plaisir à le faire…il me dit « maman suce moi j’en ai tellement envie et toi aussi j’en suis sûre ».
Après une courte hésitation je gobais mister gland, lapais sa hampe sur tout la longueur et avalais mister vis, avant d’en téter juste le gland, de redescendre jusqu’aux couilles pour les gober l’une après l’autre, et d’engloutir à nouveau sa queue…il ne résista pas longtemps à ce traitement et il gicla dans ma bouche 5 ou 6 jets puissant, j’avalais tout et lui nettoyais bien la queue.
_ Je t’aime maman
_ Moi aussi mon amour

Je suis retournée près de mon mari en bonne épouse modèle, et ais décidée que je vivrais pleinement ma relation ***********.
chrislebo

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#1,749
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risques et lucidité

Ce soir-là, je me suis endormie en pensant que jamais je n’avais trompé mon mari, non pas par manque de possibilité, mais simplement par convictions permisternelles, religieuses et morales. Et aujourd’hui j’avais fait l’amour pour la première fois avec un autre, qui plus est sous mon propre toit, alors que mon époux était présent dans les murs et ce comble de la probité avec mon fils. Le pire : c’était que cette situation pour le moins saugrenue, m’avait satisfaite au plus haut point. Je fus assez longue à m’endormir et malgré l’immoralité de la chose, le reste de ma nuit fut sereine et réparatrice.

Le lendemain matin revigorée et joyeuse, j’allais rejoindre ma petite famille à la cuisine. Les regards que nous nous portions mon fils et moi en disaient long sur notre envie mutuelle de nous embrasser fougueusement : mais hélas nous n’étions pas seuls.
J’annonçais mon intention de rejoindre la salle de bain, lançant par la même l’invitation à mon fils. Une fois sous la douche je guettais la porte, en espérant voir surgir mon amant. Elle finit par s’ouvrir, laissant entrer pour mon plus grand désarroi mon mari qui me dit en s’approchant du lavabo
- Excuse moi ma chérie mais tu avais laissé la porte ouverte, je ne voulais pas violer ton intimité mais seulement profiter des lavabos pour me raser !
- Fais donc mon amour ! Et pour ce qui est de violer mon intimité, ce sera pour une autre fois. En ce moment je ne peux pas : dame nature, tu comprendras !

Je lui avais répondu ça alors que tout étais faux : j’avais fait bonne figure, bon cœur alors qu’il venait une nouvelle fois de contrarier mes plans et surtout, je ne voulais surtout pas qu’il essaie de me caresser. Me regardant sortir nue de la douche, il me complimenta sur mon fessier et joignant le geste à la parole, il commença à le caresser.
Ce n’était pas le moment, je ne voulais certainement pas que ça se termine par une partie de jambes en l’air : enfin certainement pas avec lui.
J’eue un mouvement de recul, de révulsion envers lui et avant qu’il ne comprenne je prétextais de nouveau que je ne pouvais pas, vue que j’avais mes règles : chose qu’il n’avait pas saisi la première fois. Je lui dis entre autre qu’on pourrait nous surprendre, mais la seule raimister pour moi c’est que je n’avais nullement envie de sentir sa main sur moi. Je m’habillais pendant que mon cher et tendre prenait ma place dans la cabine de douche.

Dans le couloir mon fils m'attendait et comme un fou il m'agrippa et m'embrassa. Nos lèvres se joignirent dans un long et tendre baiser. Puis tout en me serrant encore plus fort contre lui, il me dit :
- J'allais te rejoindre, mais papa est rentré avant moi dans la salle de bain, il n'a pas abusé j'espère ? »

_ Non rassure toi mon amour, il a juste posé une main sur les fesses, mais je l’ai repoussé en lui disant que ce n’étaient pas des manières de gentleman tout de même. Ou est ta sœur ?

_ Tu as raimister maman, quel goujat ! Dit-il en saisissant mes fesses et en les malaxant. Ma sœur ! Elle est dans sa chambre au téléphone avec mister amie et tu sais que lorsqu’elle est branchée, plus rien n’existe et que sa peut durer des heures. Vient : j’ai envie de toi !

- Moi aussi j’ai envie.

Je le regardais droit dans les yeux et prenais possession de ses lèvres pour cette fois l'embrasser fougueusement. Ses mains retroussèrent ma jupe et ses doigts glissèrent sous ma culotte. Celle-ci devenant plus gênante que protectrice, il me la fit descendre à mi-cuisses et sans plus attendre il m’enfourna deux doigts qu’il fit aller et venir allègrement dans ma chatte.
Lovée contre lui, mon ventre allait à la rencontre de ses doigts fureteurs et ma chatte ne tarda pas à exprimer mister contentement en mouillant de plus en plus.
J’allais atteindre un super orgasme, quand mon époux décidait de sortir de la salle de bain. Juste le temps pour nous de dessouder nos bouches et ma jupe de reprendre sa place initiale : ma petite culotte entravant toujours mes cuisses.

- Tu as été rapide papa, nous n’avons pas eu le temps de finir notre conversation.
- Et de quoi parliez-vous donc ?
- De la nécessité de savourer la vie.

Sa phrase finie, mon fils porta ses doigts à sa bouche pour en déguster la mouille de ma chatte

- Tu as raimister mon fils. Il faut en profiter tant que l’on est jeune

Quel con ! me disais je en le regardant s’éloigner

Il était grand temps d'aller travailler, en ce lundi matin, je quittais prestement mon mari et mon fils et remontais ma culotte dans l’ascenseur.
Durant le trajet, je repensais à mon weekend et j’étais bien heureuse de la tournure de celui-ci. Mes collègues de bureau me trouvèrent toute guillerette et ma secrétaire, qui était devenue une amie, me dit en apportant les cafés:

_ Dis donc ! Tu es de bonne humeur, ce matin, habituellement le lundi tu n'es pas aussi joviale.

_ J'ai passé un superbe weekend, plein d'imprévu et de réjouissance.

_ En tous cas, il t’a réussi. Tu me fais penser à une adolescente amoureuse.

Etais je aussi transparente ? Pouvais-t-on voir et lire en moi comme dans un livre ouvert ?

_ Tu as raimister, je suis follement amoureuse de mon « mari » mentais-je.

Nous avons poursuivi notre conversation en échangeant sur divers sujet, puis avons dû nous résoudre à travailler, ce pourquoi nous étions là.

A plusieurs reprises de la journée, j'ai pensé à mon fils, à ses mains parcourant mon corps, à sa bouche, à ses baisers. Je m'imaginais lover contre lui, mon cœur battant, ses mains sur mon dos, mes fesses, mes jambes gainées de bas, puis passant sans vergogne sous ma jupe pour venir flatter ma croupe, glisser sous ma culotte et jouer avec mes lèvres, entrer ses doigts en moi et...

Le téléphone me fit sortir de ma torpeur : c’était ma secrétaire.
- Tu te rappelles que tu as une réunion dans dix minutes Magalie »

_Merci je l'avais complètement oubliée lui répondis je en retirant mes mains qui étaient enfouies entre les cuisses.

Cette journée me parut interminable.
Moi qui habituellement ne voyais pas l'heure passée, je regardais sans cesse ma montre et n'avais qu'une envie : être dans ses bras. De mémoire je n'avais jamais quitté le travail aussi rapidement que ce soir-là : pressée que j'étais de le retrouver.

Lorsque je suis rentrée à la maimister, tout le monde était présent. Mon mari lisait mister journal dans le salon et les enfants révisaient leurs cours. Après avoir échangé quelques phrases avec mon mari, je me dirigeais vers la chambre de ma fille pour la saluer. Elle tenait absolument à me lire un poème qu'elle trouvait « pour reprendre ses termes » super méga génial...

Je l'écoutais attentivement sur le début : pas du tout inintéressant, mais bien trop long à mon goût long. Je l’écoutais mais j'avoue avoir décroché pour misterger à mon fils qui m'attendait avec autant d'impatience que j'avais à vouloir le rejoindre. Je me ressaisi pour entendre la fin du poème.
Je me levais en disant à ma fille
- Tu as raimister mon amour, c'est un très joli poème ».
chrislebo

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Je l'embrassais tendrement sur le front puis je quittais sa chambre pour me diriger vers celle de mister frère.
Je toquais à la porte et sans attendre mister consentement j'entrais dans mister antre. Il était derrière la porte, la referma vivement, m'enlaça, ses lèvres venant prendre possession des miennes. Nos langues se mêlèrent et notre baiser dura longtemps, nous étions comme deux jeunes ados découvrant leur corps. Notre baiser fut passionné, fusionnel et nos bouches toujours collées une à l’autre, il me prit la main et m'entraîna vers mister bureau. Il s'asseyait et me convia à m'asseoir sur ses genoux, continuant à discuter en faisant régulièrement une pause pour s'embrasser, ou alors le contraire ? Oui plutôt l'inverse, de longs baisés entrecoupés de quelques mots.

Je jouais avec sa nuque et caressais mister bras. Il bandait dur, je le sentais bouger sous mes fesses.
- Mon chéri tu as l'air d'être en forme ! lui demandais je en tortillant les fesses de plus en lus sur sa queue qui durcissait de plus en plus
- Dès que je te vois maman, je ne peux m'empêcher de bander cela est plus fort que moi, tu es si désirable. »

Nous nous embrassions de nouveau passionnément.

S'enhardissant il me releva légèrement pour faire glisser ma culotte (cela devenait une habitude), mais cette fois elle quitta mes jambes pour se retrouver entre ses doigts. Il l'a porta à ses narines pour en respirer mes effluves. Pour ma part je me rasseyais le regardant renifler puis lécher le fond de ma culotte.
- Tiens maman, sent ta culotte, voit comme tu es en chaleur maman. »

Comme lui je l’a reniflais, la léchais et lui répondis que c’était lui qui me mettait dans mes états.

- Je n'ai cessée de penser à toi au bureau, je me suis même retrouvée la main entre les cuisses, embrasse moi mon amour. »

Nos lèvres, lancées dans un long baiser, ne se lâchaient plus mais cette fois mon fils me souleva puis j’entendis le « zip » de sa braguette descendre.
Je le regardais droit dans les yeux, il releva ma jupe, pointa mister gland entre mes lèvres et en bonne maman je m'empalais sur mister membre viril.
Le plaisir qui en découla l'emportait sur les risques encourus et la seule chose qui m'importait, était de le sentir en moi.
Ses mains plaquées sous mes fesses, il me faisait monter et descendre sur mister vit aussi dur que du bois. J'étais heureuse de me faire baiser comme une cochonne, heureuse que mon fils me pénètre puis me faisant pivoter sur sa queue, je me retrouvais face à lui, les jambes de part et d'autre de ses cuisses et il continua à pistonner ma chatte béante et trempée de mouille, me défonçant à chaque fois plus fort.
Je l'embrassais passionnément sentant mister dard frapper au plus profond de ma matrice et si mon mari ou ma fille était rentrée à ce moment-là, je ne suis pas certaine que nous les aurions vus.
Nous étions deux amants accès uniquement sur notre jouissance autant lui que moi. Fou d'excitation et de plaisir, n'avons pu nous retenir bien longtemps et la jouissance nous attrapa en même temps. Jamais au grand jamais mon mari n’avais pu me donner un tel plaisir et jamais depuis que nous étions mariés ; je n’avais réussi à jouir avec lui : même pour ça, il était égoïste.
Je sentais les jets puissant de sperme qui me remplissaient la chatte et couler doucement le long de mes cuisses.
Nos corps repus, remplis d’amour et de bonheur, nous avons continué de nous embrasser. Lui me tétant les seins, moi toujours empalée sur sa queue qui commençait à ramollir dans ma chatte baveuse, nous avons dans cette posture des plus agréables finis par converser de notre journée respective en nous disant des mots tendres.
Nous sommes restés ainsi un moment enlacés puis à contrecœur je dus aller préparer le repas. Il me proposa mister aide, que j'acceptai avec plaisir.
Arrivés tout deux en cuisine, il me fit remarquer que j’avais dans ma hâte oubliée de remettre ma culotte. La préparation du repas nous occupa jusqu'à l'arrivée de ma fille dans le salon pour s'installer dans le canapé afin de regarder mister émission favorite.
Fixant sa sœur il me dit :
- J’ai encore envie de toi ! Dis…… et si on invitait ma sœur à nos ébats ?
- Mais tu es fou ! Jamais elle ne voudra8
- Laisse-moi faire. Si tu le désires, j’en fais mon affaire.

Sans voix, je le regardais éberluée, puis doucement je lui dis
- Ok !
Pour conclure notre accord, il passa ses mains sous ma jupe et malgré la présence de sa sœur, je ne fis rien pour l'en dissuader.
M’appuyant contre à l'évier, il me susurra :
- Cambre-toi maman ».

J'obtempérais et ses mains retroussèrent ma jupe.
- Ecarte les jambes que je puisse sentir et caresser ton petit abricot, à mon avis il doit être encore tout juteux ».

Ce que je fis, regardant ma fille, pensant à elle, à lui, à nous. Pourquoi pas après tout !
Il passa sa main entre mes cuisses, appuyant fermement sur mon « mont de Vénus », le pétrissant en accentuant la pression puis fini par faire entrer deux doigts dans ma fente. C’était temps, j’en pouvais plus d’attendre. Plus ça allait et plus cette situation me plaisait

_Regarde ton mari et ta fille qui ne se doutent de rien pendant que je te branle la chatte maman. Tu es toute mouillée cela t'excite de le faire ainsi

Je ne réponds pas.

_Dis-le que cela t'excite maman ! Moi je bande comme un âne de te tripoter ainsi en leurs présences.

_ Oui mon chéri cela me plait.

Ses doigts s'agitaient en moi, de plus en plus vite jusqu'à ce qu’il me fasse jouir. Ressortant ses doigts gluants de ma chatte, il me retourna, les dirigea vers ma bouche.

- Tiens régale toi de ce mélange fait de ta mouille et de mon sperme ».

J'ouvris la bouche accueillant ses doigts en les suçant comme si cela avait été sa bite, me délectant de ce nectar en regardant mon fils avec un air de perversité certain.

- Mais, elle aime ça ma vicieuse petite maman ».

Il me plaqua contre le réfrigérateur prenant possession de ma bouche. C’était bon, mais cet agréable moment fut interrompu par mon époux :

- On mange à quelle heure ce soir, il se fait faim.
- C'est prêt nous allions justement vous convier de passer à table et si tu étais pressé, tu n’avais qu’à venir nous donner un coup de mains

Heureusement qu’il était resté à lire mister journal

Mon fils me glissa :

- Pour rester poli je dirais que papa à le don de gâcher nos moments intimes ».

Ce à quoi je répliquais

- En effet il semble doué pour cela. »

Nous avons pris le dîner, en observant les informations, mon fils laissant tomber sa fourchette à plusieurs reprises (quel maladroit tout de même) et j'en profitais systématiquement pour ouvrir les jambes. Au moment du dessert, je senti mister pied s'immiscer entre mes cuisses et appuyer sur ma fente. La pression se faisant plus forte comme si c’était une invitation, je m'avançais sur ma chaise pour qu’il puisse bien sentir mon sexe, tout en conversant avec ma fille. Plus je la regardais plus je me disais que mon fils venait de me mettre une sacré idée dans la tête et cette idée était entrain de faire mister chemin
Mon mari se leva mettant fin (encore) à cette exploration.

A la fin du repas les enfants regagnèrent leurs chambres, pour finir leurs devoirs, mon fils passa par la cuisine, pour me faire un petit baiser et me dire discrètement :

- Attends que papa s'endorme et viens me rejoindre mon amour de maman, j'ai envie de toi ».
Me disant ça, il me prit la main et la déposa sur sa braguette en ajoutant
- Tu vois l'effet que tu me fais ma chérie, oh maman j'ai envie de sentir tes lèvres sur ma queue, j'ai envie de te faire un cunnilingus jusqu'à ce que tu jouisses, j'ai envie de te prendre, de te baiser toute la nuit maman. Viens me rejoindre une fois que papa dort.»

- j'en ai envie aussi mon chéri, mais cela ne serait pas sérieux et bien trop dangereux, nous avons pris suffisamment de risques et je pense qu’il serait préférable, qu’à l’avenir nous soyons plus prudents. D’autant plus si ta sœur venait à participer»
- Alors tu es d’accord pour elle ! C’est super et c’est à toi de voir maman. Quoi qu'il en soit je reste à ton entière disposition ».

Il regagna sa chambre et moi le salon pour regarder ou plutôt fixer la télévision avec mon mari, car en fait je n'avais rien suivi de la soirée, perdue dans mes pensées.
Devais-je céder à mes pulsions ? Rejoindre mon fils dans sa chambre pour faire l'amour ? Prendre le risque d’être surprise par mon mari ? Ou pire par ma fille ? Non cela serait inacceptable !
J'en avais envie bien sûre, mais cela était assurément périlleux de le faire. Je n'irais pas le rejoindre, ma décision était prise, ferme et définitive et rien ne me fera changer d’avis.
Notre relation se ferait dorénavant en l’absence des autres membres de la famille.
chrislebo

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Les malheurs d'Ella


Cette histoire se passe dans une petite ville provençale en région PACA où vit Ella.
Qui est elle ???Ella est une célibataire banale de 30 ans habitant encore chez ses parents .
Son physique ? Plutôt quelconque
Son style ? très vieillot et avec ses lunettes elle fait intello et vieille fille
Ses hobbies ? rien ne l’intéresse à part la lecture et la musique classique
Ses amours ? très platonique ne sors jamais et a très peu d’amis
Les seuls câlins quelle reçoit actuellement mistert ceux de Rox le chien de ses parents qui lorsqu’elle rentre chez elle l’accueille chaleureusement
Son travaille ? conseillère dans un petit cabinet assurance de 3 permisternes Yves 50 ans et dirigeant Maude 40 ans conseillère également

L’histoire peut alors commencer

Ella comme chaque matin se rends à mister lieu de travaille à pieds, c’est l’été l’air est déjà chaud , le soleil glisse sur sa peau blanchâtre . Vivement les vacances se dit elle tout en marchant l’air mistergeur, encore une journée barbante et interminable soupire t elle en avançant d’un pas lourd.
20 minutes plus tard Ella est devant mister agence ,le rideau métallique est levé , elle prend une grande aspiration et entre dit elle en souriant de mister mieux
< ha enfin tu es là tu es encore en retard aujourd’hui , dépêches toi et va vite à ton bureau > dit maude d’un ton sec. Ella baissa la tête et alla vite s’installer à mister bureau , elle subissait sans rien dire aux brimades quotidiennes de sa collègue de bureau .
Une fois mister pc allumé un client s’installa à mister bureau , trop occupée à tout mettre en place elle ne le vit arriver et s’est en relevant sa tête quelle reconnu cyril un ancien camarade de classe qui a plus passé ses années scolaires à se moquer delle plutôt que d’essayer d’être mister ami . dit il avec mister sourire ravageur
< très bien et toi> bégaya t elle
< bien merci excuse moi d’arriver ainsi mais je voulais que ce soit toi qui t’occupes de mon dossier > lui souffle t il d’une voix mielleuse
< que t’ arrive t il > dit elle surprise
< j’ai joué de malchance hier soir je suis rentré tard d’une fête et j’ai pas mal abimé ma voiture et je ne vais pas te mentir jetais saoul>
< ho tu n’as rien j’espère >
< non moi ça va merci >
< attends je sors ton dossier et je vais te calculer combien cela va te couter en gros>
< heu cest pour cela que je voulais que cela soit toi car je suis juste en ce moment et jai besoin de ma voiture au plus vite alors je pensais que tu allais arranger tout cela >
< mais comment veux tu que je fasse>
< vandalisme et comme je suis tous risque cela ne me coutera rien>
< mais je ne peux pas cyril je risque ma place en faisant cela > dit elle à voix basse et paniquée
< allez tu peux faire cela en souvenir du bon vieux temps je ne suis pas un inconnu et en échange je t’invite au restaurant et après on ira danser >
Ella avait toujours été amoureuse de lui en secret et là il lui faisait un si beau numéro de charme quelle ne pouvait rester insensible à ses avances , elle qui n’était plus sorti avec un homme depuis si longtemps et en plus quel homme une chance pareille ne se reproduirait pas d’aussi tôt
< bon je vois que je me suis trompé sur toi , ne t’inquiètes pas je ne t’embêterais plus avec mes déboires > dit il sur un ton sec et commence à se lever
< non attends je vais voir ce que je peux faire repasse en début d’après midi > dit elle doucement
< ok Ella tu ne le regretteras pas > dit il en lui souriant puis partit
Ella tremblait car elle savait que ce quelle allait faire était dangereux mais elle ne pouvait s’empêcher de rêver à se formidable diner .
La fin de matinée arriva vite , Ella était toujours dans ses pensées romantiques qui s’évapora lorsque soudain maude s’écria < ella on ferme tu pars manger ???>
< non merci j’ai des dossiers en retard je vais rester ici à travailler>
< ha c’est sure à l’heure que tu arrives > dit elle sèchement Yves derrière ne pu s’empêcher de rire et dit< fermes derrière nous et on reviens vers 14h00 tu nous ouvriras et j’espère que tu auras finis tes dossiers en retard , poses les sur mon bureau > et il claqua la porte
Ella souffrait de leurs brimades et celles-ci étaient la goutte d’eau qui faisait renverser le vase,
Dun élan de colère elle prit le dossier de cyril et falsifia sans aucuns remords ni craintes .
Une fois fini elle le posa sur mister bureau et se jeta à corps perdu dans mister travail.
Comme promis ils arrivèrent vers 14h00 leur ouvra la porte et elle vit cyril qui se garait au loin , mister cœur s’emballa et commença à devenir toute rouge
< que t’arrive t il petite idiote> demanda maude
< rien il fait chaud c’est tout> répondit elle gênée
Maude se retourna et aperçu cyril quelle reconnu de suite , c’était bien le jeune homme de ce matin qui ne voulait pas quelle s’occupe de mister dossier et qui revenait. Tout ceci lui mis la puce à l’oreille , elle connaissait fort bien Ella ,il était trop beau pour que ce soit mister petit ami, mister expérience et sa curiosité avaient alertés tous ses sens et elle allait être aux aguets.
Cyril rentra et alla directement voir Ella
< assieds toi j’ai ton dossier tu n’as qua le signer > dit ella sur d’elle
Il prit un stylo et signa les documents , lui redonna et sourit et dit < à samedi soir 20h00 au restaurant le mirendeau voici mon numéro si tu ne peux venir >
Ella pris sa carte et dit < bien à samedi soir alors>
Cyril parti , maude qui avait tout écouté n’en revenait pas et se demandait pourquoi quelqu’un comme lui invitait quelqu’un comme elle, sa suspicion était encore plus grande qu’auparavant
Ella était sur une autre planète ce qui énervait de plus belle sa collègue de travail .
Ella prit le dossier et alla le poser sur le bureau de mister chef et dit < Yves cest un cas de vandalisme flagrant>
< très bien je vais voir cela > lui repond il
Ella retourna à mister bureau passant devant maude qui bien sure avait tout entendu, puis la journée fut enfin terminée et Ella partit chez elle toute radieuse et depuis si longtemps heureuse . Maude qui avait attendu qu’ella parte se jeta sur le bureau de mister chef et dit
< Yves c’est quoi cette histoires de vandalisme , tu as eu le temps de regarder ???>
< oui pourquoi tout me parais en règle >
< je sais pas j’ai une intuition que c’est une arnaque à l’assurance >
< non tu crois que Ella serait capable de cela>
< oui car ils mont parus très complices regarde cela s’est déroulé dans un parking dehors et apparemment pas d’autres voitures ont étés vandalisées, c’est bizarre et en plus je lais vu se garer tout le coté droit était rayé comme sil avait touché quelque chose en roulant>
< effectivement tas raimister je vais demander à l’expert de sen charger et il nous dira>
< bonne idée je l’appelle tout de suite pour qu’il sen charge demain >
Puis elle téléphona à cyril pour qu’il emmène demain matin sa voiture à un garage agrée afin de commencer les réparations et bien sur cyril accepta sans se soucier du piège qui se refermait
Que va t il arriver à Ella ???
Que lui réserve Maude ???

chrislebo

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Ella se leva avec difficultés ce matin , elle n’a pas faim et ce quelle ne digère pas c’est quelle ai pu prendre du plaisir à cet asservissement . Que se passe t il ?? Serait elle de nature soumise et que c’est le seul moyen pour libérer sa libido. Elle fut horrifié que par le fait d’y penser, non non non sa libido est normale et ce mistert eux les pervers, les méchants , elle ne serait que la victime et non une complice à cette déviance . Puis elle pensa à l’argent , grâce à sa soumission elle pourrait offrir le voyage que sa mère rêve tant l’Egypte qui la fascine depuis sa jeunesse . En gros elle essaye de se motiver pour avoir la power de subir encore leurs dépravations, elle arriva enfin devant la porte de l’agence où le couple pervers l’attendait avec impatience
- bonjour Ella bonne journée aujourd’hui n’est ce pas ??? dit Maude narquoise
- Oui une bonne journée pour se faire baiser hein Ella ?? Surenchéri Yves
Ella acquiesça de la tête et sans rien dire alla à mister bureau
- Au fait Ella nous avons de nouvelles promos à partir aujourd’hui, viens ici que je t’explique > ordonna Yves
Il lui expliqua qua partir de maintenant elle serait la promo , que lorsque des clients viennent se plaindre ils auront le droit à une fellation ou autre pour geste commercial ainsi qu’une fellation de bien venu pour les nouveaux clients
- tu vois les économies que nous allons faire et ainsi je pourrais te donner ta prime exceptionnelle
Ella ne pouvait plus respirer, elle ne pouvait pas se transformer en pute avec des inconnus
Maude s’aperçu de sa réticence et dit – Commence pas à faire ta mijaurée , n’oublie pas les conditions et en plus j’ai bien sentie hier que tu avais pris du plaisir . Grace à nous tu te sentiras plus seule , nous te donnerons du plaisir de la façon que tu n’aurais jamais imaginé
Et en bonus tu va gagner beaucoup d’argent tu vois tout le monde s’y retrouve>
Ella la regarda sans dire un mot résignée et retourna à mister bureau
Un 1er client entra , gros chauve et vieux que se plaignait souvent comme sil n’avait que cela à faire de ses journées . Comme d’habitude c’est maude qui se le frappait à chaque fois car il en profitait pour regarder mister décolleté d’un air vicieux , Maude cette fois ci souriait de le voir venir vers elle , elle discuta avec lui quelque instant en regardant Ella qui essayait de disparaître sous mister bureau
- Ella c’est la promo pipo , emmène monsieur dans la pièce du fond pour qu’il reçoive notre geste buccal heu commercial > dit elle en riant
Ella abattue le suivi et déjà il avait mister sexe mou à la main – allez à genoux et suce moi bien la bite salope je vais te donner à manger tu vas aimer >
Ella pris le gland sale puant la pisse dans sa bouche et le suça
- ouiiiiiii ouiiiiiiiiiii avale la bonne purée >
Ella avala d’un trait en se retenant de vomir
- c’est nourrissant > dit il en se reculottant
Ella se releva et vit Maude en train de tout photographier
- c’est pour l’album photo de tes prouesses, comme cela on pourra voir tes progrès, là tu as mis 10 mn il faudra que tu fasse plus vite , je ne veux pas que les clients fassent la queue . Monsieur veuillez remplir notre fiche de satisfaction et vous signer .
Il le rempli et signa , Maude lui expliqua – Vous venez de rentrer dans notre cercle des clients privilèges alors discrétions et confidentialités >
Ella compris qu’ils venaient de se couvrir et que le piège sur elle se refermait de plus en plus . Toute la journée elle due faire « des gestes commerciaux « ce qui représentait au moins une vingtaine de clients dont elle due également avaler leur semence et n’avait pas le droit de se laver le visage . En fin de journée une cliente lui demanda des renseignements sur mister contrat ou elle remarqua de petites taches séchées et une haleine d’urinoir , Ella était rouge de honte et ne savait que dire à cette femme qui la méprisait du regard . maude sen aperçu et arriva à mister secours – Quelle que chose ne va pas madame ??
- Oui cette petite idiote me donne la nausée lorsqu’elle me parle
- Désolé madame nous allons remédier à cela
- Ha bon et comment en la passant au jet ?? Si jetais sa patronne je la punirais durement
- Ici la cliente est reine si vous voulez lui donner nous l’approuverons
Maude saisi Ella et la traina dans la pièce aux fellations, l’installa sur la chaise à genoux , releva sa jupe baissa sa culote
- elle est prête madame
Elle saisie une règle de 30cm et commença à la faire cingler sur les fesses d’ella
La pauvre commençait a avoir ses fesses toutes rouges et ne comprenait pas comment elle était encore tombée sur une perverse . Sa punition finie Yves arriva comme un chef de fin de chantier et dit – alors madame cela vous a plu ???
- Oui merci Yves de m’avoir conseiller de venir en fin d’après midi , vous m’avez fais un très beau cadeau
Ella compris tout de suite que cela avait été combiné , maude passa mister doigt dans la fente offerte et dit – regardez madame comme elle mouille lorsque vous la corrigez
- tout comme moi chère maude
- voulez vous que l’esclave vous lèche pour vous calmer un peu , c’est une bonne lécheuse
- ce serait avec plaisir mais j’ai pas le temps une autre fois peut être > dit elle en sen allant . Yves ne tenant plus devant cette offrande dégaina mister sexe et commença à le frotter sur l’anus d’ella et dit – j’en ai rêvé toute la nuit que j’allais te casser le cul >
- Non sil vous plait non haaaaaaaaaa>
Yves la sodomisa violement tandis que Maude salivait des cris de douleur
- haaaaaaaaa ça brule j’ai mal pitié
- Hummm que tais serré j’en peux plus je vais te remplir le cul
Il jouie dans un long râle de plaisir , resta immobile sur le dos d’ella puis se retira d’un coup sec qui la fit crier . Maude très rapidement remis la culotte pour que le foutre de tombe par terre et dit – tu vas rentrer comme cela chez toi le cul rouge et pleine de sperme>
Ella ajusta sa jupe et sen alla sans demander mister reste . Tout au long du trajet elle repensait au fait quelle était encore excité , mister clito était tout gonflé en attente d’un orgasme bien tardif . Arrivée chez elle ,elle couru sous la douche puis sous l’’emprise du pommeau d’eau tiède commença à se masturber frénétiquement en se retenant de hurler mister plaisir .
Nous sommes que le lundi soir , que lui réserve ses 4 autre longs jours ?????
chrislebo

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#1,753
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Fantasme assouvi

Bonjour,
Ma femme et moi sommes mariés depuis 17 ans. Nous avons 40 ans l'un et l'autre et notre attirance réciproque se fonde sur l'assouvissement de certains de nos fantasmes.
Kathy est un joli bout de femme, très coquette: elle aime les jupes, chemisiers, talons hauts... Pour moi, parfois, elle met des sous vêtements très sexy: elle aime cela et les choisis très "coquins".

Lors de nos ébats amoureux, nous échangeons nos désirs que nous assouvismisters parfois. Mais il faut bien reconnaitre que certains des miens et des siens ne mistert pas dits.

Depuis des années, je sais qu'elle aimerait être prise à deux et qu'on lui demande de "faire des choses".
Un des amis de notre fils ainé, qui vient régulièrement à la maimister est visiblement très attiré par Kathy. Un soir, Kathy qui n'est pas en forme, n'arrive pas à éprouver du plaisir. elle me dit:
"Dis moi de faire des choses" et contrairement à mon habitude, je réponds" Qu'est ce qui te ferais plaisir?"
"Je sais pas " me répond elle, mais je sais que c'est faux.
Je me lance:" Demain vient Alex à la maimister, j'aimerai que tu nous obéisses et qu'on te prenne à deux".
Elle s'assoit vulgarement dans le lit, furieuse: "Non mais ça va pas, espèce d'obsédé!".
"Je pensais assouvir un de tes fantasmes" lui répondis je.
"C'est le copain de notre fils et il va être choqué!".
"Cela veut dire que tu n'es pas contre!!" lui répondis je.

Elle se rallongea et ajouta "N'y pense plus" mais je rajoutai "Ecoutes, demain après midi, je lui parle et selon ce qu'il me dit, je te demanderai de faire tout, absolument tous nos désirs"
"Chiche" me répondit elle.

Le lendemain, en quelques mots, j'obtiens l'accord ravi d'Alex.
Kathy est dans la chambre, angoissée. "Il est Ok !!!"

"Je peux pas" me dit elle. "Mais si, met tes dessous sexy, jupe et chemisier et surtout, tu nous obéis: tu n'as pas le choix, Alex sais que c'est ton fantasme et il attend" et je sors sans attendre la réponse.
15 minutes d'attente: Alex et moi ne parlons pas quand tout à coup, j'entend la porte de la chambre s'ouvrir. Elle est là, intimidée. Alex est tendu, moi aussi. Elle est magnifique: corsage moulant blanc transparent, dessous un soutient gorge blanc sexy, sa jupe qui arrive à mi cuisse et des bas, chaussures talons hauts.
"Salut, Alex"
Pas de réponse, et je sens qu'elle est très gênée, moi aussi: elle va partir...
"Ecarte tes cuisses" lui dis je. Elle est surprise mais s'exécute.
"J'ai dit à Alex que tu obéis et je veux que tu répètes: je fais tout ce que vous voulez"
Elle hésite et dis "Je fais tout ce que vous voulez"
"Avance toi et écarte les cuisses". Elle s'avance et écarte ses cuisses. Alex regarde, il ne bouge pas.
"Retourne toi, garde tes cuisses écartées et remonte ta jupe".
Elle est maintenant retournée, on voit mister string blanc et mister cul. "Dis à Alex de te toucher le cul et cambre toi"
"Alex touches mon cul". Alex hésite, met sa main sur ses fesses, doucement, il caresse puis écarte la ficelle du string pour lui toucher l'anus.
"Non, je peux pas".. elle se redresse et repart dans la chambre....
Alex me regarde. "t'en fais pas, j'ai filmé et je vais lui parler. je pense qu'elle ne voudra pas que la vidéo soit vue par tes copains!!!". Pour la première fois Alex rit car il sait que maintenant elle ne dira plus jamais non.
chrislebo

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#1,754
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Nous sommes surpris. Je la rejoins dans la chambre.
Elle est assise au bord du lit, sa tête entre les mains. Je m'assois à côté d'elle. je ne peux pas m'empêcher d'avoir une érection en voyant sa jupe à mi-cuisse et mister chemisier ouvert me laissant deviner ses deux seins.
" je peux pas. Je suis une femme mariée. J'ai des enfants et c'est le meilleur ami de notre fils"
"Ne t'en fais pas. C'est pas grave. Je pensais assouvir ton fantasme. Je vais tout arranger"
Je me lève pour sortir retrouver Alex. Elle me retient par la main et me regarde. Je tente "On est adulte. Permisterne ne sera au courant". Je tente de la tirer vers moi. Elle se lève et me suis jusqu'au salon.
Alex est toujours assis sur le divan, un peu gêné.
"Va embrasser Alex!". Elle le rejoint: il se lève, un peu maladroit. Elle prend ses mains et les met sur ses fesses puis l'embrasse, sa langue pénétrant goulument sa bouche. Alex masse ses fesses puis remonte sa jupe. Il est en pleine érection, moi aussi.
Puis elle se recule, nous laissant tous les deux assis.
"Bon, on reprend ou on en était". Elle se retourne, remonte sa jupe pour nous montrer mister string et ses jolies fesses. Alex n'hésite plus. Il écarte la ficelle et masse mister anus, pouce mister index dans mister cul pendant que ma femme remue ses fesses: elle aime ça.
"Bien, tu vas nous faire un streap tease, langoureux, en te caressant les lèvres les seins, ton sexe, en écartant les cuisses et te cambrant. je veux que tu sois à poil, que tu te masturbe devant nous et que tu jouisses".
Elle sourit et commence immédiatement à se caresser le visage, les lèvres. Elle suce ses doigts, tout en remuant de façon sexy mister corps. Du coin de l'oeil, je vois Alex bander .
Elle poursuit en dégrafant mister corsage bouton par bouton et se retourne avant de le retirer totalement.
Ma femme est en soutif devant un étranger!!
Elle se caresse les fesses, soulève sa jupe et nous découvrons enfin mister porte jarretelle.. elle est cambrée vers nous, cuisses écartées et fait glisser sa jupe jusqu'à ses pieds.
Elle est magnifique et fait des petits cris de plaisir. Elle se caresse les seins frénétiquement, se retourne vers nous, une bretelle est tombées nous dévoilant le sein gauche. Elle à les yeux fermés, elle nous a oubliés et ne pense qu'à se faire plaisir.
Je bande de plus en plus: j'aimerai qu'on lui saute dessus et qu'on la viole à deux immédiatement, mais mister streap est trop bon!!
Elle dégrafe mister soutien gorge: la voila, en culotte nous montrant ses seins et se caressant.
sa main droite descend sous sa culotte: elle se met à caresser mister sexe, de plus en plus rapidement, elle s'agite, la bouche ouverte, haletante de plaisir. Elle fait glisser mister string : elle est à poil, avec mister porte jarretelle, tout en se pénétrant avec deux puis trois doigts. Elle mouille de plus en plus, les jambes totalement écartées, fléchies... et tout à coup, elle hurle de plaisir en se massant vigoureusement le clitoris.
je ne pense qu'à la baiser, Alex visiblement aussi.. elle rouvre les yeux, se lèche les doigts avec un sourire en coin...Elle ne sait pas ce qui l'attend!
chrislebo

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#1,755
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Nous la suivons dans la chambre. Ma femme est professeur en fac, brune, 1m60, sportive. Elle a de jolis seins, elle est mince, le ventre plat.
Sexuellement, elle adore les prémisses mais a toujours refusé la sodomie. Quand aux fellations, cela ne lui plait pas.
La voir devant nous, à poil, balancer mister cul m'excite au plus haut point et Alex aussi.

Je lui dit:" A quatre pattes sur le lit" et aussitôt on se met nu.
"Tu vas gentiment faire un pipe à Alex"
"tu sais très bien que j'aime pas ça", sa réponse me décontenance, mais Alex, excité, en érection, lui saute dessus, s'allonge sur elle. "Tiens lui les mains". Ma femme se débat "nonnnn, je veux pas...!!!".
Je fais le tour du lit et lui tiens les deux bras au dessus de la tete alors qu'Alex est sur elle, prêt à la baiser. Il lui a mis une main sur la bouche. "Attaches ses bras aux montants du lit!"

Je m'exécute et je suis surpris de constater que cela m'excite encore plus. Ma femme, elle se débat mais ne pas crier car Alex vient de la bâillonner.
Elle est attachée mais s'agite, nous sommes de part et d'autre et c'est à ce moment que je constate qu'elle s'est totalement épilée le pubis: magnifique!!.
je lui masse les seins et Alex s'occuper du clitoris: il la pénètre avec un puis deux puis trois doigts, violemment. Elle a mal mais on continue.
"Ecoute, ton mari t'a filmé en train de te masturber. Je vais en faire quelques photos que je vais montrer à ton fils: il sera ravi"

Elle remue la tete et pour la première fois pleure...
"Si tu fais tout ce qu'on te dit, je te rend la vidéo"
Elle renifle, me regarde et j'ajoute "Sinon, je suis prêt à laisser ma place à ses copains et tu passeras un mauvais quart d'heure!!! Alors si c'est oui, tu parles plus et tu exécutes nos ordres!!!"
Elle fait oui avec la tete. Nous la libérons. "A quatre pattes et suce Alex"
Il lui prend la tete et enfonce mister sexe dans la bouche: "Suces bien et si j'éjacule, tu bois tout".
Elle fait des vas et viens, sa bite s'enfonçant j'jusqu’a fond de la gorge à tel point qu'elle a parfois des petits mouvements de recul.
Je passe derrière elle:" Cambres toi et écartes les cuisses" et je lui lèche le sexe, je pénètre la langue et mord les lèvres. Elle a mal et ca m'excite.
Cela fait 10 minute que je la pénètre avec mes doigts tout en introduisant mon pouce dans le cul.
Alex lève la tête, il prend mister pied et jouit vulgarement dans sa bouche: elle avale et je constate alors qu'elle commence à mouiller. "Nettoie bien mister sexe". Elle le lèche avec sa langue, consciencieusement.
Maintenant alors que frotte vigoureusement mister clito, elle remue mister cul et mouille de plus en plus.
"haaaaa... ouiiii": elle est en train de juir.

Alex la prend et la culbute sur le lit. elle est sur lui. Elle vient a peine de jouir qu'elle crie "j'ai mallll!": Il lui presse les deux seins et je constate qu'une nouvelle érection apparait.

"Ma chérie, je crois qu'Alex veut te baiser alors prend mister sexe et fait ce qu'il faut". Tout en continuant à lui masser les deux seins, il l'embrasse de power et elle fait pénétrer mister pénis dans mister vagin lubrifié.
Elle fait alors des mouvements de va et vient. Alex a lâcher ses seins pour l'accompagner en lui tenant les fesses. Elle a l'air d'aimer...

"Je vais enfin pouvoir t'enculer ma chérie" et à ce moment, Alex la ceinture et l'immobilise "vas y, défonces là!!!".
"Noon pas ca, tout mais pas ca!!!!"

J'ai écarter au maximum ses fesses et je la sodomise violemment. J'explose mister cul par des mouvements de va et viens violents, en enfonçant totalement ma queue dans mister cul. Parfois je me retire pour mieux la sodomiser ensuite.
"Ha, Ha, Ha, mal!"
Mais Alex la burine à fond: elle est en sandwich, prise par les deux trous. Cela dure 10 minutes non stop.
L'attitude de ma femme à changé: elle halète et émet des petits cris de plaisir. Elle nous aide maintenant en accompagnant les mouvements, en gardant mister cul ouvert, ses cuisses écartées.

Nous jouismisters tous les trois presque ensemble..;
Puis nous nous affalons tous les trois nus, épuisés par cette relation.

C'est à ce moment là du récit que je m'aperçois qu'il y a quelqu'un derrière moi, à la porte de ma chambre. C'est ma fille, Lili qui a du voir que j'étais en train de taper sur le site de "x story...". Elle part vite dans sa chambre.
"Merde, elle m'a vu sur un site x!".
Je décide de la rejoindre:" Bonjour, Lili, tu te réveilles tôt ce matin"
" Salut papa" et continue de fixer l'écran de mister PC.
Ma fille a 16 ans, blonde et pas encore totalement femme...Des petits seins, un bassin étroit.
Je n'avais jamais fantasmé sur elle jusqu'à ce que je décide récemment d'écrire sur le site "d'x story"....
chrislebo

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#1,756
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Eric et la famille Berlot

Nous sommes dans la maimister de la famille Berlot en région parisienne. Le mari, Jean a 37ans. Il est grand, brun les yeux clairs et fait régulièrement du sport pour s’entretenir. Sa femme Marine, 41ans, est blonde et fine avec une paire de seins démesurément imposants.
Marine et Jean ont trois enfants : Elise, 19ans, blonde également, ressemblant trait pour trait à sa mère, et des jumeaux : Maxime et Gabriel, tous deux 16ans.

La famille Berlot fait parti d’une classe plutôt aisée et habite une jolie banlieue bourgeoise où leur maimister, cachée derrière de hauts chênes se retrouve être le lieu de singulières expériences sexuelles : interdites néanmoins bandantes !
Mais avant de pouvoir vous dévoiler ces histoires, commençons par le commencement :

Il y a quelques jours, Elise la jeune fille a rencontré un jeune homme.
Il se nomme Morgan et a 21ans : un beau méditerranéen métissé franco-tunisien : la peau ambrée et des yeux bleus clairs, un air malin et une finesse néanmoins musclée se collant à mister tee shirt. Un grand corps, des mains longues et des fesses bien rebondies.
Ils se mistert rencontrés à l’école d’art que fréquente Elise. Un jour Morgan l’a maté de haut en bas, un sourire en coin et Marine lui a répondu par un regard aguicheur. Elle s’est dirigée vers les toilettes et il l’a suivi sans peine.
Une fois seuls et le verrou enclenché, les deux jeunes se regardent, souriant, pendant quelques secondes silencieuses.
- T’es en troisième année ?
- Ouais, et toi belle blonde, en première ?
- Ouais, disait-elle se pinçant les lèvres.
Morgan affichait un désir à peine caché pour les seins d’Elise. Il désirait les soupeser et titiller ses jolis tétons avec sa langue, pointant déjà sous le débardeur.
- Et alors, on invite un gars comme ça dans les chiottes pour discuter ?
- Nan… je sais pas s’que tu veux toi mais moi j’veux savoir ce qui s’profile dans ton jean.
En effet, Morgan, bien qu’en début d’érection promettait déjà une bien belle bite.
- On peut pas dire que tu perde du temps, j’aime ça. Alors dis-moi belle blonde, tu f’ra s’que j’te dis d’faire ?
- C'est-à-dire ?
- Tu m’obéiras comme une bonne pute bien soumise ?
Un léger temps d’hésitation après :
- Oui… Elle avait perdu toute assurance et se retrouvait même à trembler quelque peu.
- Bien ! Montre moi tes nibards.
Elle souleva mister débardeur et montra ses seins nus, car elle ne porte jamais de soutif. Ses tétons pointaient droits et sa chair frismisternait.
Morgan les empoigne brusquement des deux mains, les tâte bien et se met à les suçoter l’un après l’autre. Elise gémit doucement et commence à caresser les fesses de Morgan à travers le jean.
- Hum ! tes seins, putain, j’les kiff !... T’aime qu’on t’les suce hein ? t’aime quand j’fais vriller ma langue autour petite pute ?
- Mm, oui… gémit-elle les yeux clos. Bien que n’ayant jamais été insulté par ses ex, Elise commence à apprécier. A vrai dire, elle découvre qu’elle raffole se faire traiter de petite pute.
- C’est bien… allé fous-toi à poil et montre moi ton p’tit cul d’minette !
Elise hésite un peu, elle ne pensait pas se faire diriger comme ça mais lorsque Morgan lui lança « tout-d-suite salope. » Elle obéit avec une excitation démesurée !
Il prit sa culotte, la renifla et la ficha dans mister jean sous sa braguette :
- Elle va me tenir chaud un moment, dit-il avec un sourire. Allé assis-toi sur les chiottes et écarte bien les jambes.
Etant à l’étroit, Morgan s’amusa à se presser contre la jeune fille nue qui allait s’asseoir. Il bandait comme un fou, sa grosse pine lui faisait mal d’être serrée dans le jean, la culotte avec.
Elle sentait bien mister dard contre mister bas ventre et ça la fit frémir de peur et d’envie. Elle n’avait sucé que de rares fois avec mister dernier copain et ce n’était pas torride…
Elle écarta ses jambes comme convenu et présenta sa chatte toute épilée.
- Eh mais c’est que c’est une belle chatte ça ! Ne t’épile pas tout bébé, c’est plus excitant quand c’est habillé.
Il s’accroupit et posa sa bouche pulpeuse sur la chatte bien humide d’Elise. Il sentait l’odeur et ça l’excitait encore plus. Ecartant ses jambes des deux mains, il entreprit un bon léchage de chatte. Sa langue s’amusait à titiller le clito dur. Elise ne put rien faire d’autres que gémir, mister plaisir était grand, jamais elle n’eut autant de plaisir qu’avec la langue de Morgan. Elle se mit même à presser le visage de Mo dans sa chatte, elle était au bord de jouir une première fois quand il arrêta soudain, se relevant un sourire narquois aux lèvres trempées.
- Pas encore bébé, d’abord tu va sucer la bite à Momo.
Il déboutonna alors mister jean et le fit tomber sur ses chevilles. Sa grosse teub était au garde à vous, la culotte pendue à mister gland. Il se branla quelques secondes avec, laissant apparaître un peu de présperme au bout. Il mouilla alors mister doigt et l’enfourna direct dans sa bouche.
- Hum, tu va voir bébé, c’est très bon.
Il prit alors la tête d’Elise d’une main et l’approcha de sa queue. Son joli gland violacé effleurait ses lèvres qui restèrent fermées. Il se mit à rigoler et à carresser mister visage avec sa teub.
- Allons ma petite chienne, fais pas ta prude… Tu va la bouffer ma queue, et plus vite que ça… Allé sale pute suce, suce… suce la teub à Momo.
Affolée par ces paroles Elise saisit d’un coup la pine de Morgan et l’enfourna au plus profond de sa gorge. Elle commença de lents va et viens tout en gémissant comme une chienne.
- hummm, bah voilà ! oui… pompe-moi oui… Tain tu t’y prends bien salope… plus vite bébé, suce-moi plus vite…
A ces mots, il prit la tête d’Elise à deux mains et lui donna le rythme. Il lui baisait la bouche avec une telle frénésie ! Il la limait et elle ne pouvait rien faire contre.
- Ouaiiiis, putain salope qu’est-ce que tu-mfais bander sale chienne, j’vais t’en fouttre de partout tu va voir !
il continua de plus belle, et elle, excitée par la domination, prit les fesses musclées de Mo et entrepris de l’enfoncer jusqu'à la garde dans sa gorge.
- Oh putain salope !
Il allait jouir d’une seconde à l’autre, il sortit sa bite et se palucha violement contre la face d’Elise.
- Ohhhhhh putain ! hmmmmmmm !
De grands jets de spermes bien chauds giclèrent sur le visage d’Elise. Elle en avait de partout et en quantité. Un dernier tressaut et du foutre qui alla droit dans a bouche !
- Ne l’avale pas !
Il alla pour l’embrasser, enlaçant leur langue dans mister foutre qu’il récoltait pour l’avaler puis devint beaucoup moins autoritaire. Son visage rayonna de gentillesse et mister sourire était sincère.
- Bébé c’était génial… merci.
- Euh… y a pas d’quoi…
Elise était toute retournée, à la fois excitée à mort, toute trempée et à la fois déçue et ne pas avoir jouie. Elle alla pour se lever quand il la retint gentiment.
-Eh mais attends, j’en ai pas terminé avec toi.
Il s’agenouilla devant sa chatte et mit ses cuisses sur ses épaules.
- Morgan… c’est pas nécessaire. Dit-elle dépitée.
- Si, si… Allé détends-toi et profite de ma langue esclave de tes désirs, dit-il en souriant.
Il alla pour la lécher quand la porte des Wc s’ouvrit.
- Mo t’es la ?!
- Euh… ouais, dit-il figé près du sexe d’Elise.
- Enfin ! j’te cherchais d’partout. La conférence est annulée on peut s’casser s’tu veux.
Le garçon sorti mister sexe et urina dans l’urinoire.
- T’sais mes parents mistert partis en Ardeche… Ca te dirait d’venir chez moi ce soir ?
- Euh, ouais ch’ais pas faut voir…
Elise était gênée et ne bougeait pas d’un poil. Le garçon se lava les mains et s’approcha d’la porte où se trouvait le couple.
- Comme ça… on pourra s’éclater comme la dernière fois non ? dit-il, un air gêné et excité.
- Euh gars ch’uis pas seul là.
- Oh… j’peux mater ?
- Nan, jarte on s’parlera après.
Le couple entendit la porte claquer. Morgan reprit là ouù il en était bien qu’Elise s’était un pe refroidie.
- T’es gay ?
- Etrange question pour une meuf qui s’fait faire un cuni.
- T’es bi t’être…
- Ecoute, y a pas d’question de bi gay etc… J’aime baiser et ça va pas plus loin, je cherche pas à m’définir, c’est con. Maintenant ferme les yeux bébé blonde, j’ai un cadeau pour toi.
Elle ferma les yeux et se laissa faire. Il déposa tendrement ses lèvres sur mister sexe et reprit le cuni… Elle commença à s’émoustiller. Elle sentit sa langue la lécher délicatement, tournant sur mister clitoris. Puis ses doigts vinrent un par un la pénétrer. Elle devint de plus en plus excitée et mister orgasme n’allait pas tarder, il continua à la doigter et la lécher tout en titillant mister anus… Surprise et attisée, elle allait jouir… il continuait encore plus intensément et elle gémissait de plus belle, encore et encore !
Une décharge jalonna mister échine et elle jouit férocement, se déversant dans la bouche de Morgan. Son orgasme fut telle qu’elle mit quelques temps à ouvrir ses yeux.
Morgan déposa ses jambes et la pris dans ses bras. Il lui souffla à l’oreille :
- Tu m’plais bébé, excuse-moi si j’étais vulgar.
Elise était revenue de l’extase et n’en revenait pas de cette partie de jambe en l’air.

Quelques jours plus tard, ils commencèrent à sortir ensemble. Morgan lui faisait mister éducation sexuelle et s’amusait à lui faire ressentir de nouvelles choses.
chrislebo

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#1,757
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I read his naughty letter one more time. It sounds just great.
I gave the letter to my husband, he read it 2 times.
Then he looked at me and said. "Well Lene What are you saying about that?"
I answered: "It sounds just great, but you have the final word, I won't do it without your blessing."
He said: "If it is what you want, it's fine with me."
I looked him in the eyes and said: "Yes Jorgen, I just have to try it at least one time."

I wrote a letter to Svend. It goes like this:

Hi Svend!
Thanks for your lovely and naughty letter. You are right, it seems you have just the right dog for me.

I'll love to visit you and King together with my husband.
Now we have to find a day, there suits both you and us.
I'll suggest Saturday the 25 of May that's my initiative,
you can phone me at xx xx xx xx, then we can make it final.
Hurry up - I'm looking forward to at last being fucked by a big dog, I have fantasized about it for a long time. I'm also looking forward to feel your dick, and maybe Kim's to if I'm lucky.
Love from Lene.
Address xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

The 21 of May Svend phoned me.
I took the call, and talked to Svend for 30 - 40 minutes.
After that I told my husband, that it was all right with Saturday, and we should bee there around


11.30. The 25 of may 11.20
Right before arriving at Svend's farm I said to my husband. "Remember Jorgen, that no matter what I say or do, don't try to stop King from fucking me.
I want to try with King, but maybe I get a bit scared, but I will go trough with this now."
He said: "OK!"
Then we turned down a little road and ended at Svend's yard.
Kim and Svend received us in front of the house.
Svend were about 45-50 years old, a bit gray in the hair, and about 190-cm high.
He said: "Well Lene, do you want some cock now."
I smiled a bit shy and said: "Yes, that is why I'm here Svend."
Svend lead us into an old stable, out off use, real clean and newly whitewashed. In a box there was a low bench.
Svend said: "Take your clothes of now Lene."
Slowly I removed my clothes until I was all-naked. I was told to place my self on the bench face down.

Quickly I was tied to the bench, and a strap around my waist, my legs were widely spread, and my horny and soaking pussy was fully exposed.
I looked at Kim and my husband. Kim was tying him to a post at the side of the box.
Svend looked at me and said: "Well Lene, now it's too late to regret, you are going to get all that cock you have been dreaming of. I'll go and fetch King now."

He went out the box.
I was a bit nervous and said to my husband: "I don't think that I dare Jorgen. I'm scared."
Now Svend came in with King, it was one of the biggest dogs I have ever seen. It sniffed and pulled Svend in my direction.
It puts its nose up between my spread legs and sniffed. I was moaning: "No Svend take him away no!"
Svend said: "No my girl, its too late, King have got the scent of your horny pussy, and nothing can stop him now."
I looked fascinated at the dog, his big cock had been exposed, and it was both long and thick.
King jumped me and held his forelegs around my waist, Kings cock found way to my wet pussy.
Svend took of the collar.
King gave a hard thrust and the big cock vent just up to the bottom of my pussy. While I screamed: "No no I won't stop him no!"
King fucked me like a mad. I moaned and screamed. Suddenly I got a big orgasm. King just fucked on; suddenly he pressed his cock hard to the bottom of my pussy. I felt a big lump on the cock expanding and sealed my pussy, and then he filled me with his hot sperm. I got the feeling that he was going to split me in two. He lay over my back gasping for about 10 minutes, and then he jumped off me.
Svend got a hold on the dog, and took him to another room. I was gasping after air, and I felt Kings sperm running down my thighs. Now it was Svend's turn.
He took off his pants, and produced a big fat dick, real hard too. He said: "Well Lene now it's my turn."
He kneeled behind me and thrust his big dick all the way to the bottom of my soaking pussy.
I moaned: "Ooh ooooh Svend!"
But now my mouth was "plugged" with Kim's big dick. Svend fucked me until he groaned: "It's coming ooh it's coming now!" He pressed the dick hard to the bottom off my pussy and delivered his sperm.
It was all too much. I came in an explosion off an orgasm.
Shortly after Svend pulled his dick out. My pussy was widely dilated and was soaked with their sperm, and my juices.
Svend said: "Well Lene are you ready for King again?"
I gasped: "No not more now Svend!"
I was powerd to finish my blowjob on Kim, until he filled my mouth with his sperm. Svend opened the door. King came running in the box, right my way.
His cock exposed it self hard and long.
He jumped me again, while I begged for mercy. Kings cock slides up into my pussy, and he fucked me real hard.
I got 2 orgasms before King have to "surrender" and filled my pussy with his sperm. When King a little later jumped of me Svend let him out again.
Svend's big dick was hard again. He kneeled behind me and pressed his dick up my pussy, and "fucked my brain out" for about half an hour. I was nearly *** when he filled my pussy with his sperm for the second time.
After that they let's us loose. And Svend showed me the bathroom, so I could take a shower before going home.
When I have finished the bath, Svend gave a cup of coffee before we drove home.
On the way home I said: "It was real great Jorgen, and so hot. The reamister I wanted to bee tied up and said, that nobody must try to stop King, was that I could stop any guilt feelings with the explanation, that it was something I was powerd to do. That was also the reamister, I screamed that you should stop the dog fortunately no one stopped King. It was just so hot and horny. I'm pretty sure I'll like to visit Svend and King again, if you don't mind Jorgen."
He answered: "I don't mind, I too think it was really horny seeing you being fucked by King and the two guys."
We vent home and get some supper. We were agreeing to send Svend a letter suggesting, that we meet again.
chrislebo

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#1,758
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Une belle fille serviable


Suite à un accident, Raoul, retraité de soixante deux ans, très séduisant, sort de l'hôpital. On lui a plâtré le bras droit, et la cheville, pour une durée de trois semaines. Raoul est veuf. C'est donc chez mister fils Julien, vingt quatre ans, qu'il va passer sa convalescence. C'est mister frère Roger qui le ramène. Les deux frères mistert des joyeux fêtards. Les bringues, le sexe, rien ne leur fait peur.
Marion, belle blonde de vingt et un ans, épouse de Julien, arrive du boulot. Elle travaille comme aide à domicile.
-Bonjour tout le monde, dit-elle. Bonjour chéri. Mais que ce passe-t-il, je vous sens inquiet.
-Aucune infirmière n'est disponible avant trois semaines, dit Julien. Et moi, je pars en déplacement pour huit jours.
-Et moi, je travaille, poursuit Roger.
-Si çà pose un problème, dit Raoul, ramenez moi à l'hôpital.
-Hors de question, s'exclame Marion, on va se débrouiller, trois semaines, c'est vite passé.
-Mais il faut le laver, le changer, reprend Julien. Tu feras çà toi. je sais que tu as l'habitude de le faire chez les autres, mais là, c'est mon père.
-Ah, j'avais pas pensé à çà, répond Marion, mais s'il le faut, pourquoi pas. Il n'est pas impotent quand même.
-Je peux pas t'imposer çà, dit Julien, c'est toi qui décide. Moi, çà me gêne pas. Et toi papa?
-Comme vous voulez, répond Raoul. tu auras pas à le regretter ma chérie.

Deux heures plus tard, Marion et Raoul, se retrouvent en tête à tête.
-Vous avez un traitement, demande-t-elle.
-Non, pas ce soir, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensée pour tout ce travail.
-Je le fais pas pour çà, précise Marion. Ce qui me gêne, c'est de vous voir tout nu, et de vous toucher.
-Un homme est un homme, la rassure Raoul, on est tous fait pareil. Tu me passes mes béquilles, s'il te plait. Je vais à la salle de bains.
-Je vous rejoint, dit-elle.
Marion reste pensive. Va-t-elle s'en sortir? Elle pousse la porte, et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre. Elle s'avance derrière lui pour l'aider.
-A partir de demain, il faudra mettre une tenue plus appropriée, propose Marion. Un caleçon ou une liquette suffira. D'accord?
-Comme çà t'arrange ma chérie, le plus simple pour toi.
Deux minutes après, Raoul est tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux. Marion le découvre dans le miroir de la salle de bains.
"Putain, beau papa, comme il est monté, se dit-elle. Il n'a rien laissé à mister fils. Qu'est-ce que çà doit être quand il bande".
Elle savonne un gant de toilette, et commence à le laver. D'abord le dos et les fesses. Elle passe bien entre la raie des cuisses, puis fini par les mollets. Des gestes qu'elle pratique tout les jours. Mais là, c'est mister beau père. Elle se met sur le côté, lave les cuisses, et les jambes. le plus dur reste à venir. Marion hésite à laver le sexe de Raoul, D'autant que mister membre est maintenant bien raide. Elle prend mister courage à deux mains.
-Et bien beau papa, qu'est-ce-qu'il vous arrive, cochon.
Marion fait de mister mieux pour laver la queue de Raoul. Elle est obligé de la décalotté pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. la première séance est terminé.
-Voilà, vous êtes tout propre, dit-elle. Vous allez manger, et faire un gros dodo.
De sa main droite, Raoul maintient celle de Marion sur sa queue.
-Oh là, qu'est-ce-que vous voulez, vous croyez pas que...
-Tu vas me laisser comme çà, regarde dans quel état je suis.
-Mais çà va pas. Et si Julien apprend çà. Non, non et non.
-Il n'en saura rien, çà restera entre nous. s'il te plait.
Marion le sent triste, elle le plaint. Après tout, ils mistert que tout les deux, et l'âge n'est pas un obstacle. Elle se place derrière lui, lui saisit la queue, et commence à le masturber. Elle sent un peut d'humidité envahir sa culotte. Raoul se tend en avant.
-Vas-y ma chérie, fais jouir ton beau père, branle.
Marion fait coulisser ses doigts sur le frein, bien à la base du gland. Raoul est pris de tremblement.
-Ha..ha..oui, que c'est bon çà, ha..hou..
Raoul envoie mister sperme contre le miroir, en donnant de violents coups de reins.
-Voilà, je peux nettoyer le glace maintenant. Quelle giclée, çà en avait besoin, polismister, çà fera deux fois que je vous nettoie la queue.
-Avec la bouche, demande-t-il.
-Quoi, rugit-elle, pas question. Allez, je vous rhabille.

Le repas se termine vers vingt et une heure.
-Je vais me coucher, dit Raoul, çà te fais rien?
-Pas du tout. Vous m'appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Marion fini de débarrasser, et va à la salle de bains pour se rafraichir. Elle se caresse la chatte et le clitoris, en pensant au sexe de mister beau père. Elle préfère en rester là, et se couche. Vers une heure du matin, Raoul l'appelle. C'est en chemise de nuit qu'elle regagne la chambre.
-Que vous arrive-t-il, demande Marion.
-C'est mon caleçon, il me serre.
Elle soulève le drap. Raoul est en érection.
-Hey, beau papa, faut se calmer
Elle ne sent pas la main qui passe sous sa chemise. Raoul glisse deux doigts dans la fente humide. Surprise, Marion essaie de se reculer.
-Oh, lâchez moi, je vous en prie.
Raoul la tire vers lui. Il ne sent pas une résistance farouche. Elle écarte volontairement les jambes, en gloussant de plaisir. Elle se penche sur lui, et lui murmure à l'oreille.
-Ou vous voulez en venir. Vous voulez me baiser, c'est çà?
Elle lui quitte le caleçon, ôte sa chemise de nuit, et l'enjambe. Raoul n'est pas handicapé de partout. la queue est là, prête à l'accueillir. Elle écarte ses jambes, et s'y empale dessus.
-Ha, gémit-elle, çà c'est de la bite. Allez-y, niquez moi. je suis toute mouillée là. Attendez que je décalotte mon bouton. Voilà, c'est mieux. Putain, je me fais prendre la chatte par mon beau père, quel salaud. mais que c'est bon.
Marion se prend les seins, se cambre en arrière. L'orgasme est là. Elle hurle de plaisir. Raoul se retient au maximum, puis se lâche dans la chatte de sa belle fille.
-Comme tu m'as régalé, dit Marion en l'embrassant. je peux te tutoyer?
-Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l'amour toi. Mon fils doit pas s'ennuyer avec toi, hein? Petite vicieuse.
-J'aime que çà, répond-elle. Surtout quand la queue en vaut la peine.
-Mon frère Roger passe demain. Tu veux qu'on te prenne tout les deux?
-Oh là, doucement, je suis pas une trainée, répond Marion. mais j'avoue que d'un autre côté, une partie à trois peut être intéressante. On verra demain. En attendant, tu peux me niquer encore? Regarde comme je mouille. Si tu me gratte le bouton, je serai sage toute la nuit.
Prise de fatigue, Marion se blottit contre mister beau père Le couple s'endort.

chrislebo

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#1,759
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Le lendemain, la matinée se démarre assez calmement. Ils mistert que tout les deux dans la villa.Raoul se promène en liquette, et, pour ne pas être en reste, Marion a simplement passé une chemise de nuit ultra courte. Raoul est à table, en train de déjeuner.
-Alors, beau papa, bien dormi, dit-elle. Je vous apporte vos médicaments?
-Tiens, tu me tutoie plus, fait remarqué Raoul. Tu as raimister, il me faut bien commencer mon traitement.
-Moi, je l'ai eu cette nuit mon traitement, mais d'après la notice, il faut pas l'arrêter avant une semaine. Ils parlent même d'augmenter la dose.
Marion lui apporte ce qu'il faut. Arrivé près de lui, il l'a saisit par la taille, et l'assied sur ses genoux.
-Viens par ici, fait voir un peu que je caresse ta petite minette, sourit Raoul.
-Salaud, tu trouve que tu as pas assez joué avec elle cette nuit. Tu as entendu comme tu m'as faite crier. C'était tellement bon. Tu es encore vert pour ton âge tu sais.
-Tu sais qu'il y a Roger qui passe aujourd'hui, rappelle Raoul. Tu as réfléchi à ma proposition.
-J'attend la tournure des évènements. je veux pas être cataloguer comme une femme facile, une pute, tu comprend? Puis, comment provoquer la situation.
Vers dix heure, on misterne à la porte. N'ayant pas de réponse, Roger rentre.
-Bonjour, bonjour tout le monde. Comment va mon frère? En forme.
Il marque un temps d'arrêt en voyant la main de Raoul, entre les cuisses de sa belle fille. La chemise est tellement courte, qu'il voit le doigt naviguer sur la fente.
Et si çà démarré comme çà. Marion est surprise dans une position qui pourrai faire que...
-Oh oui, il est en forme, dit-elle. Je le sens contre mes fesses.
Roger s'avance vers la table, soulève la nuisette.
-Qu'est-ce-qu'il se passe la dessous, dit-il.
Sans hésiter, il prend la place de la main de mister frère. Il fait tourner un doigt sur le clitoris, ce qui provoque un léger soupir chez Marion. Raoul en profite pour lui ôter sa chemise. Marion se retrouve nue, devant les deux sexagénaires.
Raoul saisit les seins gonflés par le désir. Les bouts mistert prêt à s'éjecter des auréoles. Roger l'a power à s'allonger sur la moquette. Le corps de Marion ondule comme une chatte en chaleur. Elle étend ses bras vers Roger. Elle s'ouvre totalement.
-Viens, murmure-t-elle.
-Qu'est-ce-qu'il t'arrive ma chérie,tu es en manque. Tu es toute mouillée.
-Viens, répète-t-elle. J'ai besoin d'un coup de queue là. Vous pouvez vous amusez avec moi toute la journée si vous le désirez
En voyant ce corps magnifique s'offrir à lui, Roger n'hésite pas une seconde. Il se déshabille, et se couche sur elle. Elle le reçoit, soumise, et noue ses jambes dans mister dos.
-Ha, vas-y, je suis chaude maintenant. Je vais vous mettre sur les rotules les deux vieux. Raoul, viens que ta belle fille te taille une pipe. Malgré mister handicap, Raoul arrive à prendre une position qui permet à mister membre en érection de titiller la bouche de Marion. Elle sort sa langue pour mouiller le gland, puis l'avale entièrement. Raoul commence à se branler dans la bouche de sa belle fille. D'une main, il lui pétrit les seins. Marion donne des signes de jouissances. Son corps réagit au assauts de ses deux amants
-Hum, t'arrête pas Roger, arrive-t-elle à sortir. Régalez vous tout les deux.
Marion a glissé un doigt entre ses cuisses, et doigte mister clitoris pour accélérer mister orgasme.
-Hhhhhhoououiiiii, bande d'enfoirés, hurle-t-elle.
Tout çà est sorti, sans lâcher la queue de Raoul. Les deux mâles éjaculent ensemble, en poussant un cri de fauve en rut. Marion se tord sur la moquette. Roger se penche à mister oreille.
-Cinq minutes, répond Marion, tu feras ce que tu voudras après. Regardez dans quel état vous m'avez mise. Je vais aller me nettoyer un peu.
Bien qu'ils aient joui en elle, il reste des traces de sperme sur les cuisses et autour de la bouche. Quand elle réapparait, les deux frères ont regagnés la chambre. Elle pousse la porte avec un large sourire. Elle les retrouve comme elle les avait laissés, la queue en érection.
-Alors, petit vicieux, toujours opérationnel. Je vais vous calmer, vous allez voir.
Elle s'occupe à faire bander la queue de Raoul, qui, de par mister handicap, à moins de marge de manoeuvre. Il est donc allongé sur le dos. Une fois mister membre bien raide, elle s'y empale dessus. Elle éprouve toujours un énorme plaisir quand une queue la pénètre comme çà. Elle l'embrase en creusant les reins, et cambre ses reins. Roger, placé derrière, n'a qu'à se servir. Le petit trou est là, a sa disposition.
-S'il te plait, dit Marion, mouille le un peu si tu veux me sodomiser.
Roger passe deux doigts entre les cuisses de sa nièce, et lui barbouille l'oeillet. Il passe ses jambes de chaque côté de ses hanches, et la pénètre par petits coups de reins. Comme si elle avait pris une décharge, Marion se dresse en criant.
-Oh putain, c'est quoi qu'il me met, quel engin. Je m'étais pas rendu compte dans ma chatte. Oh Raoul, comme il m'encule.
La douleur s'estompe. Le corps de Marion accepte les deux calibres qui la fouille. Elle voulait les mettre sur les rotules, en attendant c'est elle qui subit. Des cernes apparaissent sous les yeux, la respiration devient de plus en plus saccadée. Elle gémit de plus en plus fort. Elle est à deux doigts de s'évanouir.
-Saaalllaauud, comme vous me niquez, vous allez me tuer, oui, oui, je jouiiiis
Marion est en train d'inonder le lit. Raoul se vide le premier. Il arrive à soulever sa belle fille avec mister bassin pour mieux la pénétrer. Roger viens à mister tour. Une éjaculation forte, qui fait vibrer les fesses de Marion. Il n'en fini pas de se vider.
-Tu veux que je lui dise d'arrêter, demande Raoul.
-Non, gémit Marion, laisse le finir, qu'il se fasse plaisir.
Roger se retire, et vient placer mister fifre contre la bouche de sa nièce. Il est aussitôt rejoint par la bite de mister frère. Marion prend les deux glands en bouche, et les nettoie jusqu'à la dernière goutte.
Epuisée mais satisfaite,elle s'écroule sur le lit taché de mouille et de sperme.
-Laismisters la se reposer, dit Roger. Viens à la douche, c'est moi qui vais te faire ta toilette aujourd'hui. Après, je rentre.
-J'irai un peu m'allonger, dit Raoul, j'ai une dure nuit qui m'attend.
Roger quitte la villa vers dix sept heure. Raoul s'assoupit quand il entend parler.
-Raoul, mon chéri, appelle Marion, viens me le mettre, s'il te plait, j'ai envie.
Raoul se lève, et se dirige vers la chambre. Il y a des nuits qui commence plus tôt que d'habitude.
vanbruje

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Merci pour les histoires, l'année commence bien !!!
soumis8

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#1,761 · Edited by: soumis8
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....................................
soumis8

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chrislebo

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#1,763
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heureusement j'aime lire ahahahahah
chrislebo

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#1,764
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Pauline infirmière


Je suis chef de clinique en chirurgie cardiaque enfant dan un grand hôpital. Célibataire, je consacre mon temps à mon métier et mes jeunes patients.
Dans le service, nous travaillons en équipe, avec des permisternels remarquables : infirmières, aides soignantes, internes…
Certaines infirmières mistert là depuis des années : c’est le cas de Pauline.
35 ans, brune aux yeux foncés, elle est ravissante, douce : comme beaucoup, elle se consacre totalement aux enfants que j’opère et à leurs familles. Il lui arrive même de venir en civil sur ses RTT pour s’occuper d’enfants seuls.

Un jour, pauline m’appelle en urgence :
« Venez vite chambre 210, j’ai fait une bêtise avec le petit Marc !!! »
Lorsque j’arrive, en bonne professionnelle, elle a mis l’oxygène et amené le chariot d’urgence. Marc est inconscient et ne respire pas bien.
« Je me suis trompée dans les doses de morphine » me dit elle.
« Ok, vous avez préparé l’antidote, injectez 1 ampoule ». Immédiatement, le petit Marc se réveille et reprend une respiration normale.
« Surveillez le pendant 4 heures et au moindre souci, appelez »
« Je suis désolée », me dit elle et je le croit mais je ne répond pas.

Comme toujours dans les hôpitaux, la cadre de santé infirmière se présente plus tard dans mon bureau :
« Bonjour, Monsieur, j’ai vu Pauline et on a parlé de sa faute. Je pense qu’elle doit être sanctionnée »
« Elle est là depuis 10 ans et je pense que c’est une bonne infirmière. Comment expliquer cette erreur ? »
« Les ampoules se ressemblent, on n’est pas en nombre, elle n’a pas pris de congés depuis 3 mois. En plus elle divorce et visiblement, il y a un problème de garde avec sa fille de 15 ans »
« Ok, ça n’a pas eu de conséquence pour l’enfant. Elle a été honnête en m’appelant immédiatement et semble catastrophée par mister erreur. Et puis merde, avec les moyens qu’on nous donne, il faut se serrer les coudes. Passez lui un bon savon, réunissez l’équipe pour sensibiliser au risque d’erreur. Etes vous d’accord ? »
Je sais qu’elle l’est et qu’elle approuve.

Il est 19 heures, j’ai fini mes consultations lorsqu’on tape à la porte du bureau : c’est Pauline.
« Bonsoir, Monsieur, puis je vous déranger quelques secondes ? »
Je lui fait signe d’entrer. Elle a l’air fatiguée. Elle est coiffée en arrière avec une queue de cheval, porte sa tenue blanche avec beaucoup de classe.
« Je voulais m’excuser une nouvelle fois pour mon erreur et vous remercier d’avoir refuser la sanction »
« Aucun souci, Pauline. Rentrez chez vous »
Au moment de sortir, elle me dit « Je vous suis reconnaissante » et sous forme de boutade je réponds « Vous avez une drôle de façon de me le montrer ! »

Elle revient vers moi, contourne le bureau et m’embrasse. En se penchant, sa blouse s’ouvre et me montre une jolie poitrine tenue par un soutif noir très sexy.
« Je suis à vous pour ce soir »
Elle est debout devant moi, je dégrafe sa blouse, elle ne bouge pas et me sourit.
Elle est maintenant ouverte, me laissant voir ses dessous sexy, un corps svelte.
Elle-même laisse tomber au sol sa tenue.
« Vous pouvez me baiser »
Je regarde mister string qui laisse deviner mister sexe à peine rasé. J’empaume ses deux seins que je malaxe. Elle aime cela et écarte ses cuisses.
« A poil ». Elle dégrafe mister soutif et laisse tomber mister string.
Elle est nue devant moi, nous nous embrasmisters alors que je caresse ses cuisses jusqu’à l’entre jambe.
« hum, hum, tout ce que vous voulez »
Je la bascule sur le bureau, jambes fléchies et totalement écartées, elle s’offre à moi.
Je la pénètre violemment et commence des mouvements de va et vient en lui tenant le bassin. Pendant ce temps elle se malaxe les seins, les yeux fermés, haletante.
« ha oui, c’est bon, encoreee… ! »
Mes mouvements s’accélèrent, je lui défonce le vagin.
« ai !, ai !, hummm, vas y je vais jouir »

Elle a encore plus écarté ses cuisses et mouille totalement. Je sens des frismisters, elle resserre violemment ses cuisses autour de moi
« haaaaa, c’est bon !!!! » elle jouit puis me regarde en souriant.
Je continue à la baiser, puis me retire.
« Suces moi et je veux éjaculer dans ta bouche, tu avales tout et tu me nettoie »
Elle est accroupie. Je bande terriblement. Elle se met à me pomper, me sucer, me lécher. C’est une experte.
Je lui tiens la tête et j’enfonce ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Les mouvements mistert de plus en plus rapide et vulgarement, mon foutre jaillit dans sa bouche.
Elle avale tout et finit en me léchant le sexe et le gland.
Elle a nouveau debout. On s’embrasse et au moment de se rhabiller, je lui dis :
« Attend je te prends en photo avec le portable, pour garder un souvenir »
Elle sourit « ok , je prend la pause »
Pour une mère de famille, je la trouve très dévergondée. Elle se cambre, de dos, en écartant mister cul avec ses mains, se masturbe devant moi et après une dizaine de photos finit par se rhabiller et sortir.
Elle me lance avec un clin d’œil « nos comptes mistert soldés ! »
C’est ce qu’elle croit…
chrislebo

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#1,765
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Depuis l’épisode Pauline, j’ai consulté mister dossier administratif et pris quelques numéraux de téléphones.
Je suis au secrétariat médical et je remarque une gamine, 11-12 ans : elle ressemble à Pauline…
« Qui est ce ? »
« C’est la fille de Pauline, Sophie, elle est au collège en troisième et fait mister stage de découverte du monde du travail chez nous pendant une semaine »
« Bonjour Pauline » elle baisse la tête intimidée.
Plus tard dans la journée, je fais appeler Pauline.
« Oui Monsieur, vous vouliez me voir ? » elle se comporte comme si rien ne s’était passé.
« J’ai vu votre fille, Sophie, ravissante ». Elle me sourit.
« J’ai des problèmes avec mister père mais elle est adorable »
« Vierge je suppose de tout sexe »
Pauline me regarde horrifiée par cette phrase.
« Non mais ça va pas, espèce d’obsédé » et sort en claquant la porte.

Je prends mon portable et compose le numéro de téléphone de Sophie pour lui envoyer une jolie photo de sa mère : elle est de dos, entrain de se rhabiller amis on la reconnait.
1 minute plus tard, pauline entre dans le bureau énervée :
« Salaud, pourquoi vous avec envoyé cette photo à ma fille.. vous voulez quoi, me baiser…. !!! » Elle hurle et tape sur le bureau
« Je vais porter plainte à al police… des malades comme vous restent en primister !!! »
Elle va pour sortir : « j’ai d’autres photos et je suis sur que votre fille mais surtout votre mari vont adorer ! »
Elle se retourne, livide « ne faites pas ça, sinon je perds la garde de ma fille » et elle s’effondre sur le fauteuil en larmes.
« Cela ne dépend que de toi, Pauline »
Elle me regarde : « Vous voulez encore me baiser ? »
« Non, c’est déjà fait et très agréable je l’avoue »
« Alors quoi ? »
« Ecoutes moi bien, car je ne répèterai pas : j’ai des photos de toi dans toutes les positions, te masturbant tout en souriant et en prenant ton pied. J’ai les numéros de portable de ta fille, ton ex mais aussi de tes parents. J’ai stocké les photos sur un site porno, prêtes à être diffusées sur le net. Je te tiens totalement alors tu fais tout ce que je te demande. »

Elle a écouté et vu mister visage, elle a compris qu’elle aller passer un enfer. Elle me fait signe de la tête.
« Très bien, ce soir, tu reviens avec ta fille et vous entrez dans la salle « police ». Là, je veux que tu fasse découvrir à ta fille chérie les plaisirs de l’amour. Je veux aussi qu’elle ne soit plus vierge en sortant, tu auras un double gode à disposition. Je veux que vous jouillissiez toutes les deux. Tu sais que je vous regarderez et qu’il n’y a que moi pour vous faire sortir »
Pauline pleure, les yeux exorbités par cette horreur « Non, pas ça, pas avec ma fille, elle a rien fait…. Tout mais pas ça !!! »
« Sors d’ici maintenant. Je serai derrière la vitre sans teint à 23 heure. Si vous n’y êtes pas, j’envoie les photos. A au fait, tenus sexy exigée y compris pour Sophie »
Elle sort en larmes.

Il est 23 heures. La salle police est celle utilisée pour l’audition des enfants. Elle est équipée de 3 caméras et d’un faux miroir.
La porte s’ouvre, elles entrent. Pauline regarde le miroir ainsi que Sophie. Elles se tiennent la main. La porte se referme. Le gode est sur le bureau.
« Maman, je veux pas c’est dégueulasse », elle fixe le miroir « Salaud, enculé !!!! » « tais toi, il nous tiens » réponds Pauline en larmes.
« Je vais aller doucement, ma fille. Pour sortir, il veut qu’on baise toutes les deux et que tu soies plus vierge. Il m’a envoyé un sms : "on doit jouir et se prendre par tous les trous !!! Il exige qu’on participe toute les deux ma chérie ».
« ok maman ».
Pauline est en tailleur : elle a quittée sa veste. Son corsage noir est moulant. Elle porte des bas. Sophie est en jupe avec un tea shirt : un devine ses petits seins et un soutif.

chrislebo

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#1,766
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Giving My Wife To My Enemy


Gosh Damit!!!

What's the matter Bill?

Oh that faggot Jeffermister got the promotion. I can't believe they gave it to him. I hate his fucken guts.

Gosh man, that really sucks. I thought you were a shoe in.

That's what I thought, I was a hell of a lot more qualified that him. That asshole has always had one over me. Ever since middle school we've been competing. And more times than not he's won. This times no different.

You must really hate this guy. Too bad he always wins. Maybe you should let him fuck your wife so he can let you win a few times.

Ha ha, very funny. Don't even joke like that. Marry is the best thing that ever happened to me, and one of the few things I've had over Jeff.

Ya, that's why you should let him fuck her, so he wins in that too.

Mark that's really not funny, I....

Ok ok, I'm only kidding. But that is kind of erotic if you think about it.

I prefer not to.

Just think about it for a second. Letting your worst enemy, and enemy whose been essentially fucking you up the ass for years, fuck your wife. That would wrap up the offense completely.

Mark, I really was looking for moral support here, not ideas for how to further humiliate myself for the benefit of my mortal enemy.

I help when I can. Besides, this is something you can fantasies over.

The only thing I'll be fantasizing over is going home and fucking my wife. Hey wait, that didn't come out right...

Ha ha ha, Freudian slip? You see, your already thinking about it.

Mark leave me alone, I'm done talking about this.

Bob, you can't tell me that you don't find the idea of letting your worst enemy fuck your wife at least a little bit stimulating.

If I answer will you leave me alone?

Yes.

Ok fine, I admit its a little stimulating to think about. I love my wife with all my soul, and I cringe at the mere idea of even him seeing her, let alone letting him fuck her. Even so, the idea of allowing my worst enemy to.....spoil my wife is a bit....provocative.

There, now was that so hard to admit.

What ever, now can we please drop it.

Ok fine. But $10 bucks says you'll be thinking about it all day.

I doubt that.

Oh ya, then don't let me catch you walking into Jeffermister's new office and asking him to fuck your wife.

Ha, don't worry, you won't.

You know, I wonder if he'd agree to do it.

Excuse me?

I mean if you actually asked him to fuck your wife, would he agree to ruin her?

Mark, I thought we were finished talking about this...

Maybe I should ask him for you?

Don't even think about it you bastard.

Easy man, I'm just talk'en. If any one is going to ask him to fuck your wife, it should be you.

Good point, and here's an even better one, IT WONT HAPPEN!!!

What ever you say. I just think it would be the best way to complete his offense of you.

Dude, ENOUGH. This is getting perverted.

No, that's not perverted. Perverted is after you ask him to fuck your wife, asking him if you could film it. Now that's perverted.

I'm out of here.

Hey man, your secretes safe with me, just make sure you get me a copy....

TWO WEEKS LATER

Hey mark, here you go.

What the hell is this.

Its...em...your copy of the tape.

What tape, what are you talking about.......oh cuckolds brownie! You don't mean?

Yes

Holy Fuck, you actually did it, you actually fuck'en did it.

Shhhhhhh, quiet down damit. I don't want the whole office to hear.

You actually let Jeffermister.....fuck you wife?

Yes I did.

Oh man you've got to be kidding me. I was just playing around with you. I didn't actually think that you would do it.

I didn't think I would either. But something just came over me. It happened a week after we had that little conversation. I was sitting at my desk looking at the picture of my lovely wife. You've seen it right?

Ya, I know the one.

Well I was just looking at her, relieved that I had such a beautiful woman all to myself. At that very same moment Jeffermister happened to be walking by my desk. When I looked up, I saw his disgusting smirk. The smirk that said I'm the winner. With the image of my wife still fresh in my mind and his cocky, self-confidant smile, I felt my cock twitch.

So, what happened?

For some reamister that did it for me. Almost in a trance, I grabbed the picture of my wife and walked into his office.

Gosh man, I can't believe you were really going to ask him.

Before saying a word, I placed the picture of my wife facing him on his desk. He looked at it for a moment.....

Ohhhh, ya, that whole thing you said about not even wanting him to see your wife.

Right, well now he got a good look at her. After a moment he looked up spoke:

"Good looking broad. Now who the fuck is she?"

"She's....my wife."

"How did a fuck up like you manage to get a decent looking piece of ass?"

"I...I..."

"Don't answer, I really don't give a fuck. Now what the hell do you want?"

"Well, I wanted...to...ask...you..."

"What....the...fuck....do you want you stuttering fool. Its really such a shame, you used to be such a good competitor, now you can hardly even get out a sentence. Now for the last time, what do you want?"

"I wanted to know if you want to....relax with....my wife?"

He just stared at me for a full minute. Trying to figure out my angle.

"You want me to fuck your wife?"

"No, I don't want you to...but...I'll let you if you want to."

"Is this some kind of joke."

"No"

Again he looked at me for a full minute.

"Does she have large tits? I only fuck chicks with large tits."

"Yes she has large breasts."

"Hmmmm, I could have fun with those. Can I do anything I want to her."

"Yes, I'll let you do what ever you want with her."

"Ok, I suppose I could do it. I must warn you that I wont be gentle."

"I understand."

"Ok, now if there isn't anything else, get the fuck out of my office."

"Oh, there is...one more thing."

"What!"

"Is it ok with you if I....record it?"

"You know, I really had no idea what a twisted fuck you are. You really are pathetic. If I let you record it, what's in it for me?"

"What do you mean."

"I want something more if I let you record me fucking your wife."

"What do you want?"

"Hmmmmm......I know, you see that name plate on my office door? The one that says: Jeffermister Smith, Vice President?"

"Yes"

"Well slide it off. You see how its long and flat, and shaped like a ruler?"

"Umm, yes."

"Well while I fuck your wife, I want you to slap your worthless dick with that name plate. The same name plate that could have had your name on it. The same name of the man who took your promotion. The same man who will be fucking every hole in your wife's body. And I want you to do it in full view of your little recording. Now get the fuck out of my office and I'll call you when I decide to screw your wife."

When I went to take my wife's picture, he stopped me, telling me to leave it there.

Whoa man, this is unbelievable. I still think all this is very exciting, but your wife? You actually offered your wife to your worst enemy? I can't believe it. What did Marry think about all this?

chrislebo

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#1,767
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She was shocked. Especially when I mentioned who it was. I've always complained to her how much I hated Jeffermister, and how many times he beat me at something. She knew our history. So telling her that I was going to let him fuck her was a drastic change in attitudes.

And she was willing to go along with it?

Well not really. I could tell that she didn't want to do it. But she loves me very much, and if its something I wanted her to do, than she would go along with it.

What a great wife. Too bad you had to go and let her be used like that.

Did I mention she was a virgin when we met.

Really?

Yep, so far I've been the only man to ever enter her. Any way, two days later he told me he was ready for a good fuck. That night I prepared all the camera equipment in our master bedroom. I looked at my wife as she got ready, how truly beautiful she was. Long flowing brown hair, large supple breasts, unblemished white skin. It was all mine. And in about 15 minutes I was going to willingly let my worst enemy have his way with her.

Dude man, this is so hot. Sorry it had to be you, but dame, I can't wait to see the video.

Well anyway, soon the doorbell rang and I opened the door. Standing there with his annoying grin was Jeff. Without even so much as a hello he pushed his way into my house.

"Where's the bitch?"

At that point Marry came out and went to introduce herself. She looked great in her buttoned blouse and mid-thigh skirt. Jeff said he wanted her to look sexy for him.

As she made to introduce herself, Jeff grabbed her ass, pulled her to him and kissed her full on the mouth.

It was at that point that it finally hit me as to what I was allowing to happen. This was my wife! My wife and my worst enemy! How could I let this happen?

As my wife moaned from under his kiss, Jeff reached up and began grouping her left breast through the thin material. Marry was braless and she squirmed under his assault.

I started to get sick. This was crazy. I had to stop this. I had to move. Yet the only thing that moved was my dick as I watched my worst enemy openly fondle my wife.

After another moment, he released her from his kiss, possessively squeezed her ass and looked at me:

"Ok Bob, I'm ready to fuck your wife. Show us to the bedroom."

With my head hung down, I showed Jeff our marital bed. The same bed where I made love to my wife countless times. The same bed where Jeff would soon ravage her upon.

They entered the room and Jeff immediately started shredding her cloths off. Her top was off in seconds and he roughly squeezed her large firm breasts. He alternated sucking each nipple as he painfully squeezed.

I was so involved with what was happening, that I almost forgot to turn on the camera. By the time I had turned it on, he had my wife completely naked and was examining her cunt.

It was such a beautiful thing to behold. Her slightly blushing lips gave way to the pink interior. Mary always kept her pussy shaved for me, except for a nice tuft of hair above her clit.

Now he was roughly pulling her lips this way and that, occasionally pinching her clit. He had her wincing in pain under him.

Soon he tired of this petting and turned her around, having her bend over the bed.

With her red tits dangling below her and her gorgeous ass high in the air, Jeff raised his hand behind my wife while looking over to me.

"Bob, we've been enemies for quite some time. I hate everything about you, and that includes your wife. So I am going to spank her ass for marrying such a loser."

With that, he brought down his hand hard on my wife's ass. She shrieked but held still as he brought down slap after slap. Jeff looked up at me as he continued to spank her and noticed my hard on.

"Its ok Bob, you can jerk off while I spank your wife."

And I did. I couldn't help it. I should have been utterly revolted by the site before me. Seeing my beautiful, gorgeous wife, bent over our marital bed, as my all time worst enemy spanked her perfect ass, and all with my consent, was just so....so....

Horny

Yes Mark, I guess that's what its called.

What else could it be? What other reamister would you have to be jerking off to the sight of the man you hate with all your guts spanking the woman you love with all your heart?

Any way, by now Marry was openly sobbing from the use. Her ass had become even redder than her tits. Jeff then ordered her on her knees, took off all his cloths and sat on the edge of the bed demanding she suck him to full hardness.

Marry and I hardly ever had oral sex. She was too afraid of putting a penis inside her mouth. Yet now she had no choice as she worked his tool as best she could. Jeff held her head with both hands to better help him fuck my wife's face.

I just continued to jerk off as he enjoyed my wife.

Soon he was completely hard and ordered my wife to lay across our bed. Pushing her legs apart, he positioned his manhood at the entrance of her sweet pussy. The same pussy that's only known one cock all of its life, Mine.

Jeffermister then looked over his shoulder:

"Ok Bob, this is the last chance to back out. Just say the word and I'm out of here. If your still willing to let me fuck your wife, then you know what to do."

He looked back down at my wife and smiled. She looked over to me with pleading eyes. I hesitated for a moment.......SLAP.

Jeff plunged deep into my wife in one thrust. She gasped as his hardness filled her. Then he pulled out and began fucking the hell out of her. I just stood by and watched my worst enemy ravage my wife as I continued whipping my own cock with his nameplate.

Wow man, how truly degrading that must have been for you. How could you stand for that.

I have no idea. But I just did.

So ten minutes later he finally filled up my wife's vagina. She had organized several times during that span, and I myself had cum from the whipping.

He pulled out of her and crudely slapped his sloppy dick against the side of her face. She dutifully opened her mouth and took him in. She moaned and chocked as she did her best to clean it.

When she was finished, Jeff rolled off her onto his side and, while playing with my wife's nipples, spoke:

"Bob, why don't you stop playing with yourself and go fix me a take while I rest here a little bit."

I nodded and started walking out.

"Oh hey, and while your at it, fix something for Bitch to."

Man, if a guy called my wife a bitch, I'd punch his lights out. You on the other hand let him fuck her.

Please Mark, this is all really hard for me. I love my wife so much, it pains me to see him use her like this.

Than why in the hell did you ask him to fuck your wife?

Because....because....

Because you get off on the offense.

That must be it. How else can I explain it.

You can't, so what happened next?

Well it pretty much was more of the same the rest of the night. I watched as he took her ass, fucked her chest, slapped and pulled her breasts, whipped her body with his belt. Eventually I just couldn't take it any more. I left the video camera rolling and went back out to sit in the living room.

For the next two hours I just listen to their moans and grunts as my once pure, perfect wife was fucked every which way by my most hated rival.

At around 3:00 am, Jeff finally came out of our bedroom. He was still naked, and his semi-erect cock was slick and red. He hardly looked at me as he walked across the living room and stepped into the bathroom.

I was hoping that the ordeal would finally be over. Despite wacking off 2 more times on the sofa, I just wanted him out of my house already. But my hopes would not be realized as Jeff came out and walked right back into my bedroom and slammed the door.

For the rest of the night the door remained closed. I had long since fell arelax when he finally emerged from the room in the morning. As he walked to the door already fully dressed, he gave me his typical "I'm the Winner!" smile, before he spoke:

"Bob, there's nothing like fucking your worst enemies wife, especially when he so stupid as to allow it. See ya at work."

And he walked out. For the next half hour I didn't move. I just couldn't bare to see what was left of my gorgeous wife. I got up and took a take to calm my nerves. Finally I made my way into my bedroom, and my eyes swelled up with tears.

The love of my life was a complete mess. She was ****** on the bed from the countless hours of fucking and looked as if every part of her body had been used. Her large white breasts where now dark red with bite marks all over them. Her pussy lips were also red, large and swollen, and her once pristine, tight vagina was stretched and oozing cum.

Her ass faired no better. Her taught white skin now had angry red welts crisscrossing her ass and upper thighs. Even a few hand marks could still be seen. Her asshole was equally stretched and leaking cum.

I looked back up to her face, her sweet beautiful face. It was completely drenched in come. The pearl necklace he left from fucking her tits was still not completely dry.

Then I noticed the shiny glint coming from her pussy. I peered inside and looking through all the cum, I saw that there was a metallic object lodged inside. I stuck my fingers into my wife's used pussy and slowly pulled out the object. Marry moaned as it was removed.

When it was finally out, I realized it was a metal plate. I turned it around and read: "Jeffermister Smith, Vice President"

I cried as I put it back in.

Unbelievable. He truly fucked the hell out of your wife. I still can't believe it. More over, I still can't believe you actually let him do it.

I still don't really know why I did.

In any case, how did Marry handle it?

We really haven't talked about it. And the worst part is we still haven't made love since. She's still just too sore and can hardly walk, let alone have sex. But I fear that making love to her will just never be the same again. Jeffermister truly ruined her body.

Guys tend to do that to their worst enemies' wives when given the chance.

I suppose. But there's something else that really bothers me.

What's that.

For some reamister she keeps his nameplate next to her night stand.

Your kidding? What the hell for?

I think she may actually have enjoyed it. I think she may even want to see him again.

Oh that's fucked up.

Tell me about.

Has Jeff showed any interest in wanting to fuck her again?

I don't think he does.

How do you know that?

He called me into his office the next day. Thanked me for giving him something to screw, but not to expect him to ease off on our competing.

The bastard, its the least he should do.

Then he told me that though he had fun ruining my wife, he wouldn't fuck something so ugly and nasty again.

Ouch!

Ya, not only did he ravage my wife, now he tells me she's not good enough to fuck again.

Well my friend, your offense at the hand of your worst enemy is now complete.

I suppose so. Here's the tape you asked for. Enjoy it.

Wow, sorry to say this, but I will. Just for the sake of asking, did you watch any of it yet?

Yeah, five times already.

The End!
chrislebo

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Making the Grade


During my senior year I worked my butt off to get good grades. This was the final year that colleges would be looking at when considering my application and I wanted to do as good as possible. I left nothing to chance, and made sure every assignment I did was an A. And for the most part everything went well, I would work hard and receive the grades I wanted.

And it wasn't easy. Ms McKlain, my teacher for English class, was a very strict, no-nonsense woman who made sure you worked hard for your marks. However, I think I was her favorite simply because I gave so much effort for my grades.

But there was something a little bit unfair. Even though I was always getting A's on assignments, there was another group of students that also got A's. The problem was that these students were downright awful.

They were the low lifes, the haveies, the future dead heads of society. It was clear from the beginning that they never had any intention of working hard for their grades and were always so horribly behaved to the teacher Ms McKlain.

But like any good teacher, she would have none of it and always put them in their place when they acted up. Yet when report cards would come out, they always bragged about their top grades. Something just didn't seem to add up.

I just couldn't understand it. Why would my reputable teacher, give these poorly behaved haveies A's and B's when they hardly did any work. I began to realize that someone must be pressuring her to do this and I suspected who. You see one of the members of the group is Jamie. Jamie comes from a rich family and used to be a little princess. But when she entered highschool she got caught up into haves and into the wrong crowd and now she's the one who buys the haves for the group.

So I figure that its Jamie's parents who pressured Ms McKlain to give good grades. But I had no proof. I needed to find out the truth in all this. So one day, after school I decided to sneak into Ms McKlains room and look at her grade book. I needed to see if grades had been changed.

Luckily the room was unlocked for the janitor so I snuck in and went straight to the desk drawer. Darn, locked. I took out a little pocket knife I keep in my purse and tried playing with the lock and to my amazement it opened. I opened the drawer and found what I was looking for, Ms McKlain's grade book. I pulled it out, placed it on the table and opened it.

I was right. Under Jamie's name and a few of the others, grades had been changed. What used to be D's and F's where now A's and B's. This was definite proof that something was going on.

Suddenly I heard voices outside approaching the room. In panic I threw the book back in the drawer but realized that I was trapped. Any moment people would be coming in and catch me. With out thinking I duct under Ms McKlains desk and hid just as the people entered the room. Fortunately the desk was designed so that I was hidden on all sides except where the chair was.

Upon hearing the voices I realized that there were two people in the room, Ms McKlain and Jamie. Ha! Now I was going to catch them red handed. I sat back and listened carefully.

"I hope your parents are doing well?"

"They are, thanks, now about this last grade Ms McKlain."

"Yes, well, you did a very poor job on the assignment Jamie and the 'C' I gave you was more than generous....."

"Yeah yeah what ever, listen I don't have time for this, I have to meet up with my friends soon, so lets just get this over with so you can change my grade and I can get out of here."

Get what over with? What was there arrangement? I began to hear the rustling of clothes and suddenly it felt as if someone was sitting on the front of the desk. After a minute of I began to hear a faint noise, but still couldn't see anything. I strained my ears to hear better. Soon I could make out a strange slurping sound, almost like someone was licking......OH MY GOSH.....What was going on up there???

Suddenly I heard Ms McKlain give out a low moan. That Bitch. I cannot believe that she would do this. Trading sexual favors for better grades. I could even hear poor Jamie moaning herself as she probably suffered to please the teacher. This was horrible. Jamie was moaning even louder now, probably trying to get her teacher to hurry up and cum as she licked away. I felt so badly for Jamie now, being used like this by her teacher, just to get a better grade.

Soon the table was shaking. After a minute of silence. I heard Jamie, in obvious lack of breath from her task begin to talk:

"Ok Ms McKlain, you can change my grade now."

Suddenly I felt someone lifting off the table, and soon noticed Ms McKlain walking to the back of the table. My heart froze in fear of being caught as she opened the drawer and pulled her book out. She laid it on the table and began writing in it. Then she put it back in the desk, closed the drawer.

"Ok Ms McKlain, thanks for your time and see you tomorrow."

"No problem Jamie, remember to say hello to your parents for me."

And they both walked out.

I just sat there for five minutes thinking about what had happened. At first I was very upset at Ms McKlain. How could she be so ruthless as to take advantage of a student like that. And poor Jamie, I was actually feeling sorry for her now. I could still imaging the rich havei on her knees orally pleasing her teacher for better grades.

Then another thought acurd to me. I had already admired and respected Ms McKlain, but now I saw her in a new light. The fact that she could commanded such a position from a student awed me. I mean in class, Jamie and her haveged up friends would try to act so tough, but it appeared Ms McKlain was truly the queen of the class.

On my way home, I was actually beginning to feel better about the situation. Sure Jamie and her friends got better grades than they deserved, but thinking about the price they had to pay made me smile.

------------

Over the next few days in class I carefully studied Ms McKlain, Jamie and her friends. It was amazing. Despite what had gone on that day, all their interactions were as if nothing odd was going on. The group was still rude to Ms McKlain and she would always put them in their place.

Even when more assignments were handed back with bad grades, there was not even the slightest hint of change of expression on any of their faces as to how it would be resolved later.

Despite my curiosity, I had'nt gone back to witness more of Jamie's favors. I didn't really need to see that sort of thing. I was happy enough knowing what Jamie did without seeing more of it.

Until now, all of Jamie's papers were C's. That was until today when I saw Jamie received her's with a big 'D' on the front. For the first time I saw a change of expression on her face as she looked at her grade. At first she had a look of being very upset, then it quickly changed into a slight but cruel smile. I soon realized that she was no longer looking at her paper but at Ms McKlain. I darted my eyes over to Ms McKlain just long enough to see her looking right back at Jamie before looking away.

This was definitely something odd. I mean until now all of Jamie's grades were C's. If she had to do oral favors for a 'C', what would Jamie have to do improve a 'D'?

Curiosity got the better of me and that evening, just after school, I again snuck into Ms McKlain room and hid under her desk. Within ten minutes I heard them both enter the room with Jamie obviously very pissed.

"What the hell is this? A 'D'? How can you give me a 'D'?"

"Well Jamie, this was a very poorly done paper, I felt it didn't deserve any better than a 'D'."

"Do you really think so? Well I'm sorry you think that. What do you suppose we should do about it Ms McKlain?

"Well Jamie, I...I think someone must......be punished for that grade."

Wow, so that was Ms McKlain's terms. If Jamie wanted to get a better grade, she was going to have to accept a punishment.

"Yes Ms McKlain, someone should be punished." So, Jamie seemingly was accepting these terms.

"And....what type of punishment should be....be given?"

"Oh I think a spanking is in order don't you Ms McKlain?"

"Yes, I think that is deserved." Something was a little bit strange. Despite the fact that Jamie was about to get a spanking for her 'D' her voice seemed more confidant then ever. And even more strange was Ms McKlain voice seemed more timid, despite the fact she was about to spank her student.

After a moment I felt someone leaning against and over the desk. The only thing that separated my face and Jamie's was the thin table top. Then Ms McKlain spoke again.

"Ok Jamie, I'm ready to begin"

"Hold on Ms McKlain, let me lift up the dress first.....and slide down the panties.....ok now we're ready to begin."

I couldn't get it out of my head how snug and cocky Jamie sounded. I mean she was about to get spanked by her teacher.

Then quickly it happened [SLAP]. The table jerked as the sound of the first spank vibrated around the room. It was like time had slowed down. I couldn't believe it was actually happening. [SLAP] Another jerk of the table. [SLAP] a slight moan came from above. [SLAP] another moan.

I now had an image in my head of high and mighty haveged up Jamie bent over Ms McKlain's desk, with her exposed little ass sticking in the air. The thought made me tingle.

[SLAP]...[SLAP]...[SLAP]
chrislebo

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Now the spanks were coming down harder and faster as the moaning became louder and quicker. Soon I could her faint crying as the merciless spanking continued.

15....20... They just kept going. There was now significant wailing coming from above and I was getting worried. Ms McKlain was taking this too far. Her student was in misery and there was no sign of stopping. I had to end this. As much as I wanted Jamie to suffer I couldn't allow this to continue.

So with one more spank I crawled out from under the desk and quickly stood up....and dropped my jaw.

At first what I saw didn't focus in my head right away. Something was very confusing. For some reamister, the sight of Jamie standing frozen with her hand held high didn't register properly. As my eyes traveled down the confusion only increased as I tried to comprehend why Ms McKlain was bent over her desk wailing. My eyes then finally centered on the exposed, and very red plump behind of Ms McKlain.

The full realization hit me like a ton of bricks. It wasn't Ms McKlain who was spanking Jamie, it was the other way around. But how could this be? Jamie was the one who was supposed to be punished for her bad grade.

I then looked back up to Jamie. She just stared at me, frozen with her hand still in the air. She was apparently stunned by my sudden appearance. Then she began studying me, looking at my reaction to the sight before me. I looked down to Ms McKlain's face. Her eyes were closed and her face was contorted in pain as her wailing was slowing down. She still hadn't noticed me but was starting to shift since Jamie had paused in her spanking. She was about to open her eyes and instinctively I dove back under the desk.

After a few more seconds I heard another [SLAP] immediately followed by another loud wail. Jamie then continued almost uninterrupted as I sat below Ms McKlain's desk trying to comprehend this new concept. So Ms McKlain was the one being punished for Jamie's bad grade. But why? Why would Ms McKlain allow herself to be spanked by her own student, then give her a better grade as a reward?

Then another image entered my head. The image of the last time I was under Ms McKlain's desk. The one were Jamie was supposed to be on her knees orally pleasing her teacher. But that's not how it was. Instead the teacher, who commanded so much respect and took no nonsense from her students was the one on her knees sticking her face between her rude student's legs, and now was bent over her own desk and spanked like a young by the same disrespectful girl.

Finally Jamie signaled the end of the spanking.

"Ok Ms McKlain, I think that's enough. Has someone learned a lesmister today?"

"y..y..yes.....I..I'm sorry."

"So you say, but I doubt it. When your done wailing Ms McKlain you can get up and change my grade."

After a minute, Ms McKlain wailing lowered to repeated sniveling and she lifted off the desk to move around to the front. Again I was petrified that I would be caught.

As she came to the front I had a perfect view of the lower half of her body. She still had her dress above her waist and her panties down around her ankles as she rounded the front rubbing her very red behind. Then she turned completely towards the desk and began pulling out her grade book.

Now her bush was only a foot away from my face and while she was busy re-entering Jamie's grade I peered between my teacher's legs. Her lips and pubic hair were almost completely drenched and there was some juice running down her legs. Now it made sense. Now I knew why Ms McKlain was allowing this to happen. It turned her on. She must be loving this. My sicko of a teacher must get off on dominating her students while in class, then being dominated by her rudest one later. Jamie got better grades out of it. It must be the perfect deal for both of them.

Now Ms McKlain, still sniveling, put the book back in her desk.

"Very good teach, take care of the little butt and see you tomorrow" Jamie proclaimed in a perky voice and then she was gone.

Ms McKlain stood in place for a full three minutes rubbing her behind and sniveling, then pulled up her panties, lowered her dress, and left.

I just sat there in awe. I now knew what was going on, and why, but I was still in shock. Then I heard the Janitor down the hall making his rounds, so I got up and left before being discovered.

That night I found it hard to relax. I tossed and turned as I thought about all I had witnessed. I was also a little unsure of myself. When I had first thought it was Ms McKlain who was dominating Jamie I had smiled to myself and felt a little tingle around my pussy. But now that I knew the truth, that it was Jamie who was dominating Ms McKlain I no longer smiled, but had that tingling feeling even stronger and deeper.

Then a question popped into my head. Every time Jamie and Ms McKlain where finished, Ms McKlain would only change Jamie's grade, yet I know for a fact that some of Jamie's friends grades were also being changed. This was a new mystery that I feared I would soon find the answers too.

Then for the first time, it finally hit me that Jamie had seen me, and knew that I had witnessed their little game. Would she do anything about it? Would she tell Ms McKlain? Would she stop all together?

I was still thinking of these questions when I walked back into class the next day. Jamie and most of her friends weren't there yet, and Ms McKlain was doing the usual, simply writing on the board. She gave me no indication that she knew of me.

Just as the bell begun to ring, Jamie and her crowd waltzed through the door making all sorts of noise and being rude. Immediately Ms McKlain told them to be quiet and warned them against mis-behavior. I was in awe of how Ms McKlain could be so confidant and in control with Jamie one moment, then be completely the other way around later.

Jamie and her friends seemed to quiet down and class began. For a while I couldn't bring myself to look at Jamie. But by mid-way through the class, I realized that Ms McKlain hadn't sat down yet. How odd this was. Soon after this thought, Ms McKlain assigned us a test and had no choice but to sit. I watched carefully the frustration on her face as she readied to sit down. When she finally sat, a moment of pain came across her face. I inwardly laughed to myself as I realized why.

I looked over to Jamie to see her cruelly smiling back. I quickly turned away and went back to my test.

Over the next few days nothing really happened. There were very few papers handed back and the grades Jamie was receiving were pretty good. I was also surprised that She never once approached me about what had gone on. I was pretty much convinced that she hadn't told Ms McKlain either.

As the days turned into a week, I was actually a little bit disappointed. A part of me was hoping to see more, witness more of the little games that the teacher and her student played. Finally a week and a half later I got my wish.

Ms McKlain was handing back our grades from the test we had taken. I of course got an 'A' and Ms McKlain smiled approvingly as she handed me my paper. The whole time she was passing out papers, Jamie and her group were talking loudly amongst themselves. As she reached Jamie the small group quieted down. Ms McKlain was trying not to show it, but her hand was shaking as she handed Jamie her paper.

Jamie took one look at the grade, then cruelly smiled back up at Ms McKlain. I could have sworn I saw Ms McKlain shiver. She finished handing out papers and returned to her desk as the bell rung. As Jamie was getting up to leave, she was showing the grade to her friends, and I could see what it was......an 'F'.

Through out the rest of the day my imagination went wild. What was going to happed this time? I mean if Ms McKlain had to give oral sex for C's, get spankings for D's, what would Jamie do to Ms McKlain for an 'F'?

Dozens of scenarios went through my head and needless to say by the end of the day I was very wet and excited. I could hardly stand the anticipation. Finally the bell signaling the end of the school day rang and I made my way to Ms McKlain's room.

Making sure everyone had left, I entered and took my spot under Ms McKlain's desk and waited....and waited.....and waited. Nothing! After a half an hour I was starting to get confused and worried. What was going on? It was at this time that I noticed the note taped on one of the inside walls of the desk. All it had on it was an address. I thought for a moment and recognized that it pointed to a residential neighborhood in a not too comfortable part of town. I figure Jamie must have written this and I could not be sure what she had planned. Never the less, I was much too curious and soon found my way towards the address.

I arrived at the address to find a run down looking house with several cars parked outside. I had no intention of walking through the door so I starting walking towards the back to look for a window. Unfortunately the large dog that was guarding the backyard would have none of it. So I found a window on the side of the house, braced myself, and looked in.

Inside, sitting around a coffee table on couches was Jamie and almost the entire gang from the class room. They all seemed to be takeing and smoking weed. Bottles were everywhere and the smell was horrid. The rest of the house looked just as pathetic. But besides that, there was nothing special going on. They were just sitting around talking. I couldn't even see Ms McKlain. Then there was a knock on the door. Jamie rose from her chair and opened the door. There stood Ms McKlain, dressed in her regular teachers suit and carrying a book in her left arm and a teacher's paddle in her right.

"Hey Ms McKlain, what a surprise, what can we do for you?"

"Hello Jamie...I wanted to....er...what I mean is...."

"Ms McKlain, unless you hurry up, I'm going to go back and continue smoking weed with my friends."

"Well I'm here to....talk about....your exam grade."

"Oh that, that was a very poor grade you gave me Ms McKlain. What was it you gave me again?"

Ms McKlain lowered her eyes "An F" I could see a shiver run through her as she said it.

chrislebo

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"Ya, that really was harsh. And I heard you gave the same grade to some of my friends, is that true?"

She nodded.

"Tisk tisk, your a bad teacher aren't you Ms McKlain?"

Again she nodded, eyes to the floor.

"So what are you here to do about it?"

"I'm...here to....apologize."

"Ok Ms McKlain, we'll let you try, now follow me."

Ms McKlain obediently followed Jamie into the main room with all the friends.

"Hey everybody, look whose here. The teach is very sorry about giving us that nasty grade on our exam and is here is permisterally apologize for it."

The group hollered and laughed as Ms McKlain's face started to turn red. Jamie then took the book from Ms McKlain and set it on the coffee table. Then she took the paddle and joined her friends on the couch. Now Ms McKlain stood at the center of the group.

"Before we can listen to your apology, you first need to dress more appropriately."

Blushing even more, Ms McKlain began unbuttoning her blouse to the snickers of her students. Soon she pulled it off to reveal her rather large bra covered breasts. Next she lowered her skirt down to her high heels and stepped out of them. There she stood, only in white bra and panties, hoping that this would be enough for her wicked student.

"Ms McKlain, your still not dressed appropriately for class."

With a sigh she reached back and undid the clasp of her bra and soon her bosoms hung free. Her pink nipples hardening to attention. Then she took hold of her panties and lowered them. I was very surprised to see a bald pussy as the strict, no-none sense teacher stood only in high heels before her rudest students.

The boys whistled and the girls snickered as Ms McKlain held her arms at her sides and head low.

"Ok Ms McKlain, its time for you to begin your apology."

Ms McKlain slowly walked over to Jamie and, to my amassment, laid herself over her knees. Jamie, paddle in hand and smile on her face brought the paddle down hard on Ms McKlain's exposed ass. Ms McKlain jerked her body and gave a slight shriek before announcing:

"One, I'm sorry Ms Jamie"

Then came another

"Two, I'm sorry Ms Jamie"



"Three, I'm sorry Ms Jamie"



"Four, I'm sorry Ms Jamie"



After ten vulgar swats Ms McKlain ass was a nice rosy red as she squirmed on Jamie's knees. Then Ms McKlain rose, took the paddle from Jamie and walked to another one of her students, a girl named Tara. She handed Tara the paddle and, to my ever growing amazement, laid over her lap to.



"One, I'm sorry Ms Tara"



"Two, I'm sorry Ms Tara"



"Three, I'm sorry Ms Tara"



"Four, I'm sorry Ms Tara"

Every time Ms McKlain stood up, her ass was getting redder and redder. After the seventh and final student had paddle her, her ass was a horrible red. She was crying heavily and jumping up and down from the stinging pain, which caused her large breasts to jiggle and bounce obscenely.

Now Ms McKlain stood before Jamie, rubbing her tender ass as she held her head down. Jamie looked at her teacher, then jabbed two fingers into her pussy and began stroking. Ms McKlain squirmed but didn't resist. After a moment she couldn't stand any more and sank to her knees. Jamie continued to furiously jab her fingers into the teacher. Then sensing that the teacher was close to orgasm, pulled her fingers out. This caused Ms McKlain to whale in frustration.

"Oh what's the matter? Does the poor wittle teacher want more?"

Drenched in shame the teacher begged her student "Yes please, please, I need more, please put your fingers back in me."

"Back in where?"

"MY PUSSY! I need your fingers in my pussy!"

"Oh what a nasty little teacher we have here guys, she wants her own student to get her off. Well first she's going to get us off."

Jamie then inhaled some weed and blew into the teacher's face, before removing her own panties. Then Jamie grabbed her teacher's hair and roughly powerd Ms McKlain's face into her now exposed crotch. Ms McKlain immediately went to work licking her student's pussy for all she was worth.

As Ms McKlain licked, the other students took their delights on her body in other ways. One girl took a large paper clip she had stolen from Ms McKlain's desk and attached it to her left nipple. Others had taken markers and were writing obscene comments all over her body like "slut", "bad teacher", "pussy licker", "failure". They even wrote two big F's, one on each tit. Another girl shoved an empty beer bottle into her ass.

When Jamie had orgasmed, Ms McKlain was passed to the next student, Tod. I could remember that he always was making rude sexual comments about his teacher behind her back, yet now here she was bobbing her head up and down his cock while the girl was still fucking her ass with the bottle.

Most of the other students had gone back to smoking weed and talking as they waited their turn with the teacher's mouth. Finally after all dicks and pussy's had been taken care of Ms McKlain crawled back over to Jamie and rested her head in her lap. Jamie stroked her head as she spoke:

"There there, that's a good girl. Your apology seems to be sincere. You've made your student's very happy. Now why don't you be a good little teacher a go change those nasty grades."

Ms McKlain nodded, then turned around towards the coffee table. Jamie gave her a quick slap on the butt and Ms McKlain crawled to the book on the table. That's when I realized what it was, it was her grade book. I continued to watch as Ms McKlain opened her book and, with a clip on her nipple and a beer bottle sticking out of her ass, began to change all the grades from F's to A's.

When the last grade had been changed, Jamie lifted her foot between her teacher's legs and rubbed her sneaker against her pussy. Soon Ms McKlain began rocking her hips back and forth over her student's dirty sneaker. She rocked faster and faster until she exploded in dirty pleasure. She collapsed on top of her grade book as she cried through her orgasm.

After a good 4 or 5 minutes of takeing and smoking weed Jamie told her teacher to turn around and lick the mess she made off her shoe. After cleaning Ms McKlain again knelt before Jamie. Jamie then stood and walked out of the room. A moment later she return with what looked like a dog collar and a leash. She clasped the collar around Ms McKlain's neck and attached the leash. The teacher's body was shaking as she kept her head down.

"Now Ms McKlain, everything you have done until now was an apology, and we have accepted it. However, you still need to be punished for being such a bad teacher, don't you Ms McKlain?"

Ms McKlain nodded as tears formed in her eyes. Jamie then cruelly removed the nipple clip and beer bottle from her ass, as well as her high heels. And with that Jamie began to lead her crawling teacher out the back door. The gang was now really getting riled up. As the Jamie opened the back door I could her the loud barking of the dog. My eyes widened as the realization of what was about to happen dawned on me. The last image I saw was Ms McKlain's ass wiggling out of the door before it closed.

I turned around and ran, ran as fast as I could. I couldn't bare to see what was going to happen. It was too much. I just ran and ran until I reached my house completely out of breath. I went to my room and collapsed on my bed. As I lay there, I realized that my cloths were sticking to my body from the sweat of running.

As I began to remove my cloths I noticed my panties were completely drenched. I couldn't deny it. What I had witnessed had really turned me on, even as perverted as it was. I began to remove the panties for a new pair but my fingers accidentally brushed against my clit and a low moan escaped my lips.

Suddenly all the images that I had seen within the past hour came flooding back. The sight of Ms McKlain getting paddled, of the words being written all over her body, of the beer bottle lodged in her ass, of the crude way she fucked Jamie's shoe, and finally of her reddened ass as she crawled out the back door.

My knees gave way and I collapsed to the floor as I furiously rubbed my fingers against my clit, cumming hard a few moments later to these images.

I awoke the next morning with my fingers in my pussy. I got dressed and went to school. The entire day all I could think of was last evening. What would it be like today in class. How would Ms McKlain compose her in front of the same students that degraded her.

My answer came as I entered Ms McKlain's class. Nothing. Not a thing was different. I was truly amazed at how normal Ms McKlain acted when she was back in class. She was back to being her strict demanding self again. Even when a few of the bad kids were talking too loud, she immediately told them to be quiet and they lowered their voices.

However I did notice that she wasn't sitting in her chair very much, as well as the high collared blouse she was wearing. I'm guessing the two large F's on her breasts didn't wash away yet.

It was then that I looked over to Jamie and saw that sinister smile looking back. I turned away in embarrassment. She knew I was there last night. She knew I saw almost everything. But why was she letting me see all this? Was she toying with me?

In any case, the next few days nothing special happened. Most of the work we did in class wasn't very hard, even Jamie and her dumb friends did well on them. Despite myself I was just begging for Jamie to get another bad grade. I wanted to see more. I know its horrible for me to wish this but I was so dame curious to see the teacher I once respected get humiliated some more. Especially when Ms McKlain was acting so tough in class.

So when Jamie got a "D" handed back to her the next week, I almost shrieked with joy. I was almost shaking with anticipation the rest of the day. Finally the last school bell rang and I made my way to Ms McKlain's room. Making sure everyone was gone I slipped in and hid under the desk.
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