chrislebo
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Once Jade was finished and gave a satisfied sigh, her legs trembling with the efforts of standing and climaxing, I noticed that the couple had gone. Whilst he'd had a quick orgasm and they'd shortly left, Jade had been filling me with her sex time and again and I realised how much better sex was now. There was no quick orgasm any more, but the kind that went on forever, dragging you down into waves of pleasure until it beat you into presentation. Jade gave me a deep kiss on the lips and wiped a drop of come that had managed to escape. "Missed some," she said huskily and with a sly grin, shoved some boxes aside and bent over so that her exposed arse was facing me. I lifted my skirts, careful not to crease them, and pulled down my lacy knickers revealing my throbbing penis. Jade used the come she'd wiped off my chin to lube her arse and with one gloved hand, guided my cock deep into her. She pushed back as hard as she could as I began to thrust deeply. It wasn't easy in my heels, and I grabbed her arse as I pounded inside her. Jade quickly pulled away and turned on her back so that she could see me as I entered her. Once I was inside again, she sat up and kissed me as started to come deep inside her, my arms trembling as I carried her weight and kissed her passionately back. Unable to control myself as I came, I fell backwards, Jade falling with me as I landed on the boxes with a crash. Jade squealed with laughter as I continued to come inside her as I lay on my back, purring as I came to a shuddering end. I lay on my back moaning with joy as Jade eased herself off and straightened herself out. She helped me up and helped me wipe myself off and tuck my sore cock back into my lacy knickers. She flashed me her beautiful smile. "Come on hun, someone may have heard that and it'll take some explaining!" We quickly left the tent and hurried back to the party where we danced for the next few hours with everyone and anyone who asked. Jade would wink playfully as she twirled with some hunk and I did the same, and as the evening drew to a close, Jackie sashayed up elegantly and took us both in her arms. "Time to go ladies!" she cried and led us to the horse and carriage that awaited. The coachman couldn't believe his luck as Jade got on the coach as well. The three of us made quite a party. Jackie smiled at me on the way home. "You made a great impression hun, everyone thought you were fantastic and can't wait to start working with you. Though next time there's a summer ball, stay away from the catering tents yes?" Both Jade and I blushed in embarrassment and Jackie chuckled. "Don't worry, no one saw anything, except for old lady hen here!" We arrived home none too soon. I'd takes a lot and was feeling relaxy and light headed. Jackie kissed us both good night and Jade and I helped each other out of our gowns. She tenderly untied my corset and massaged my sore feet as I did the same to hers. I'd lent her another one of my negligees and she looked ravishing. Within minutes though, we'd curled up in each other's arms and fallen sound arelax. Monday arrived far too quickly. I woke up to see that Jade had laid my clothes out for me. I showered quickly, rubbing the perfumed soap into my skin and tried not to worry about work. As I stepped into my corset and tightened it up, I felt anxious that I would be recognised, or at least read as a man. I pulled the stockings over my smooth legs and clipped them to the suspenders, before pulling up my knickers and tucking my cock away. Jade had chosen a business suit for my first day and I out on the silk blouse before tucking it into a tight, knee length skirt. I put on some court shoes with the five inch stiletto and after doing my make-up looked at myself in the mirror. I'll pass, I thought to myself. I have to. I want to live like this for the rest of my life, so I better make it work. I slipped into the skirt's matching blazer and made my way downstairs to greet the others and start my first day at work as Louise.
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chrislebo
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La femme du révérend Je m'appelle Caroline James, je venais juste de sortir de mon second rendez-vous dans cette église dans le cadre de l'écriture de mon dernier livre "Eglise et communication". Parvenue à mon hôtel je m'installais dans ma chambre. Encore une semaine et je rentrerai dans ma famille. J'ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans. J'étais fatiguée et affamée, aussi après m'être rafraîchie le visage, m'être remis un peu de rouge aux lèvres je descendais dans la salle de restaurant de mon hôtel. Je jetais un oeil sur le journal local tandis que l'aide serveur plaçait un verre d'eau sur ma table. - Le bonjour madame, un serveur va s'occuper de vous dans quelques minutes, je m'appelle Tyrone, je suis à votre entière disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit... Je levais les yeux. - Merci Tyrone, C'est vraiment gentil de votre part, prenez votre temps, je ne suis pas pressée... Tyrone avait 18 ans, il ramena quelques assiettes sales dans la cuisine - Hey Léon, jette donc un oeil sur la salope installée à la table 4, wow, elle a un de ces paires de miches! ... Du même âge que Tyrone, Léon empoigna une carafe d'eau et entra dans la salle de restaurant pour y observer la salope aux beaux nénés. Il vit qu'elle lisait le journal. - Excusez-moi madame... Encore de l'eau... Un café... En le regardant Caroline hocha la tête : - Non-merci, ça va pour l'instant... De retour dans la cuisine Léon s'esclaffa : - Wow... Quelle belle pute blanche! ... Et cette paire de nibards! ... J'adorerai me la faire! ... Si je lui file un bon coup de bite je pourrai l'ajouter à mon harem de putes blanches! ... Linda une mignonne petite serveuse blanche de 18 ans passait les commandes à la cuisine : - C'est bien de vous mes 2 cocos, toujours à vouloir sauter des femmes blanches! ... Tyrone et Léon regardèrent tous deux Linda et gloussèrent : - Vous les blanches, vous ne pouvez pas vous passer de nous une fois que vous avez goûté aux bites noires... C'est pareil pour toutes les blanches! ... Tyrone baisait Linda depuis un bon mois. Il faisait partie de l'équipe de basket local, il était grand, c'était un véritable athlète, il jouerait encore mieux s'il s'entraînait correctement, mais ce qui l'intéressait en premier lieu c'était les filles. Il avait sauté la plupart des pom-poms girls et une paire de profs, elles avaient toute pris goût à sa grosse mentule noire, elles faisaient tout ce qu'il leur demandait. Linda se pointa dans le local des serveurs et aides serveurs où se trouvaient Léon et Tyrone... - Savez-vous qui c'est cette bonne femme? ... Les deux gars braquèrent leurs yeux sur elle. - C'est la fameuse écrivain, Caroline quelque chose, elle écrit des bouquins sur la religion, elle est venue ici pour rencontrer le pasteur de la paroisse, vous n'avez aucune chance de vous la faire mes salauds, désolée pour vous! ... Tyrone jeta un oeil sur Léon : - Va jusqu'à la voiture et ramène la caméra! ... Une fois Léon de retour, Tyrone se glissa discrètement jusqu'à la table de la blanche écrivain, il éclaircit sa voix, Caroline le regardait s'approcher de sa table. - Excusez-moi madame, j'ai appris que vous étiez une célèbre écrivain, je ne voudrai pas vous indisposer mais pourrai-je avoir une photo de vous? ... - Bien sûr... Répondit-elle benoîtement; Elle se leva, ne s'attendant pas du tout à ce qui suivit. - Hey Linda, pourrais-tu nous prendre en photo s'il te plait? ... S'écria Tyrone s'adressant à la jeune serveuse. Caroline remarqua à cet instant à quel point ce jeune homme était grand et fort, elle lui donnait l'âge de 18/20 ans, il était bien plus grand qu'elle, Linda un large sourire aux lèvres s'approcha d'eux la caméra à la main. Tyrone posa mister bras sur ses épaules, et l'enlaça étroitement. Abasourdie, elle sentit la main du jeune aide serveur noir s'appesantir, il avait placé sa main droite sur sa hanche tout près de sa somptueuse croupe. Il gloussa au fin fond de lui-même, le corps de la ravissante écrivain s'encastrait parfaitement dans le sien. Il baissa les yeux tentant de jeter un oeil sur ses nichons par le décolleté de mister corsage, il en aperçut la courbe supérieure ses miches lui semblaient bien rondes et bien fermes. Il imaginait qu'elles devaient avoir un goût succulent! ... Déjà il voulait les savourer! ... Tyrone sentait qu'elle était nerveuse, mais qu'elle ne voulait surtout pas créer de scandale, il lui intima : - Souriez... Après avoir pris une première photo Linda commenta : - Hey Léon, viens ici que je te tire le portrait avec madame et Tyrone, c'est d'accord madame? ... Une encore avec eux deux, nous apprécierons beaucoup! ... Les regardant nerveusement Caroline sourit timidement - Bien sûr, c'est bien pour vous faire plaisir... Léon sauta auprès d'eux et lui enlaça la taille. Caroline nota qu'il avait à peu près le même age que mister comparse, il était plus petit que Tyrone et bien plus gros. Elle allait se faire prendre en photo par deux jeunes noirs du même âge que ses aînées... Linda braquait la caméra sur eux, le bras de Léon encerclait sa taille, elle sentait la main de Tyrone descendre sur sa fesse droite, le jeune noir lui pelotait le cul. Tyrone sentit tout de suite sa tentative de s'évader de leur emprise, amis elle était serrée entre les deux noirs, elle ne parvint pas à leur échapper. Linda leur rappela de sourire au petit oiseau. La main de Tyrone courait maintenant dans sa raie culière, explorant sa croupe au travers de sa jupe en tissu léger. Il parvenait même à palper les lèvres de sa foufoune! ... Les photos prises, Caroline fit un bond en avant et échappa immédiatement à leur emprise. Ahurie, elle regardait les deux jeunes noirs, ils lui sourirent tous deux. - Merci madame... C'était vraiment gentil de votre part... Quelle joie... Etre pris en photo aux cotés d'une si fameuse écrivain! ... Carole était définitivement ébahie, choquée lorsqu'elle se rassit à sa place pour entamer mister repas. Elle terminait mister repas lorsque Linda, la jolie petite serveuse, s'approcha de sa table... - Puis-je vous apporter un dessert? ... - Non, je vous remercie... L'addition s'il vous plait... Répliqua Caroline. Comme Linda lui tendait mister ticket elle commenta : - J'ai beaucoup aimé votre dernier livre madame... - Merci ma chère, j'en suis très heureuse... - J'aurai j'aimerai pouvoir suivre vos préceptes en ce qui concerne le sexe... Mais je ne peux pas me passer de fréquents rapports sexuels... Je me sens à la fois excitée et coupable... Je ne sais vraiment pas quoi faire! ... Lui confia Linda misérablement. Caroline invita Linda à s'asseoir - Racontez-moi? ... J'ai une fille d'à peu près votre âge... Linda s'assit et entreprit de lui parler de ses relations avec les garçons et en particulier avec mister petit ami. Puis regardant fixement Caroline elle ajouta : - Bien que j'adore mon petit ami, je ne parviens pas à me refuser à Tyrone l'aide serveur noir... Caroline lui demanda pourquoi. Linda jeta un coup d'œil circulaire pour s'assurer que permisterne n'était proche de leur table, elle se rapprocha de Caroline et lui confia : - Je ne parviens pas à lui dire non, il a la plus grosse bite que j'ai jamais vue, j'ai baisé une fois avec lui, ce fut un véritable éblouissement, jamais je n'ai joui autant de fois en une nuit... Maintenant il me traite comme une salope, il m'a fait baiser avec ses copains, j'ai accepté servilement, juste pour qu'il continue à me sauter de temps à autre! ... Après avoir pris les photos ce soir, je les ai rejoins dans leur local et j'ai du sucer Léon, l'autre serveur, Tyrone m'a dit qu'il me baiserait cette nuit si je suçais Léon ce soir, aussi me suis-je dévouée, mais je me suis sentie si honteuse lorsque Léon se vida les couilles dans ma bouche mais comme je ne parviens pas à me passer de la grosse mentule de Tyrone, je suis trempée rien que d'y penser, je suis subjuguée par mister chibre! ... Caroline entendait ces propos qui lui semblaient incroyables, elle sentait avec honte mister corps répondre à ces déclarations salaces. Sa foufoune s'était inondée de cyprine, en entendant la jeune serveuse lui conter mister histoire. Caroline commença citait des passages des écritures affirmant qu'il ne fallait pas sombrer dans le lucre et la luxure, que la tentation était forte mais que l'amour de Dieu était encore plus fort! ... Elle oubliait seulement que ces émois étaient naturels. Caroline se rapportait à mister expérience familiale elle avait un merveilleux mari et de ravissants enfants. Son mari et elle n'abusaient pas des rapports sexuels et ne baisaient que pour procréer. Leurs relations étaient basées sur une stricte observance des préceptes religieux et le respect du sexe.
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chrislebo
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Elle avait maintenant repris le contrôle de ses sens. Linda remercia vivement Caroline d'avoir écouté ses doléances. - Ce que vous m'avez dit m'a fait énormément plaisir... Avoir des orgasmes me fait exulter... Mais comme vous le dîtes, je peux essayer de contrôler mes sens... Je vais essayer... Grand merci madame... Caroline ne révéla pas à Linda que jamais elle n'avait eu d'orgasme! ... En se relevant Linda ajouta : - Tyrone a un sacré béguin pour vous... Je l'ai entendu parler de vous dans la cuisine... Caroline sentit un long frismister parcourir sa colonne vertébrale en se remémorant la façon dont Tyrone lui avait peloté avec salacité les fesses. Cependant elle pensait que ce jeune noir du même âge que ses filles se contenteraient de ces caresses furtives. Caroline terminait de siroter mister café lorsque, levant les yeux elle vit Tyrone qui se tenait devant elle. Elle pensa à nouveau à cette façon graveleuse qu'il avait eue de lui palper les fesses tandis que Linda prenait des photos. - Oui Tyrone, que me voulez-vous? ... - Je vous ai vu discuter avec Linda, et voilà que maintenant elle oublie notre rendez-vous, que lui avez-vous donc dit? ... La questionna Tyrone d'une voix furieuse. - Vous ne la respectez pas Tyrone, elle est honteuse de se plier aux choses que vous lui faites faire, et de cette façon que vous avez de la traiter, elle a un petit ami, elle se sent mal de le tromper! ... Je lui ai cité quelques écritures et elle veut maintenant suivre ces préceptes moraux et de refuser le plaisir que vous lui donniez! ... Jeune homme vous méprisez les femmes, vous ne m'avez pas respectée, il n'y a qu'à voir cette façon ignoble dont vous m'avez caressé les fesse pendant que Linda prenait des photos... Je suis assez vieille pour être votre mère... J'ai une fille de votre âge, c'est comme si vous caressiez votre mère... Je n'ai rien dit, rien fait, uniquement pour ne pas faire de scandale! ... Tyrone baissa les yeux sur elle, Caroline nota avec gêne qu'il observait avec salacité ses nichons. - Hey femme, je pense que tu as aimé mes caresses, lorsque je t'ai peloté les fesses, j'en étais ravis, j'adore que les femmes blanches soient embarrassées lorsque je les caresse ha, ha... Gloussait-il hilare. Sur ce il se glissa dans ma cabine. Léon surgit et remplit à nouveau ma tasse de café. - Nous allons parler de ton livre chère amie, peut-être bien que tu me feras changer d'avis! ... Se marra-t-il. Caroline commença à évoquer mister histoire, parlant de sa famille et des écritures qui régissaient sa vie. Tyrone savait que plus il ferait durer mister récit, plus il aurait de chance de s'approcher d'elle. Caroline était surprise de le voir si attentif, alors qu'elle discourait de mister livre. Elle lui expliquait que le sexe n'était pas vraiment mal, mais qu'il était mal d'en user. Elle remarqua qu'il s'approchait insensiblement d'elle. Elle fit sa première erreur importante lorsqu'elle demanda à Tyrone pour quoi il traitait ainsi les femmes. Tyrone ce jeune exposait maintenant ses vues sur le sexe à cette ravissante blanche mère de 3 enfants. Nerveusement Caroline sirota une lampée de café. Il évoquait sa vie sexuelle, mister dépucelage à l'âge de 14 ans, sa première fille blanche à 16 ans, ses profs avec qui il avait couché, en l'entendant caroline commençait à avoir la tête qui lui tournait, ses mamelons réagissaient à ces propos graveleux, à nouveau sa chatte s'humidifiait. Elle remarqua que les mains de Tyrone étaient maintenant osées sur sa cuisse qu'il caressait langoureusement tout en détaillant ses aventures sexuelles. Comme il lui racontait à quel point il aimait donner du plaisir à ses partenaires il regardait Caroline droit dans les yeux, il voulait vérifier l'impact de ses allégations sur cette succulente jeune femme. - Puis vous poser une question? ... Sa main était maintenant toute proche de sa chagatte. - Ce Dieu dont vous parlez tant m'a doté d'un outil performant que les femmes adorent, alors pourquoi devrai-je hésiter à m'en servir? ... Caroline reprit vulgarement contact avec la réalité, elle sentit sa main caresser impudiquement sa cuisse, elle la repoussa, permisterne d'autre que mister mari n'avait caressé ses cuisses, et voilà que ce jeune aide serveur n'hésitait pas à la caresser lascivement. - Je vous en prie Tyrone, poursuivez... Le gros chibre de Tyrone se mettait au garde à vous dans ses caleçons à l'idée de se faire cette chaude grognasse. Tous les noirs raffolent des foufounes blanches! ... - Bon, vous disiez plus tôt que faire l'amour ne sert qu'à procréer, ainsi vous-même avez 3 enfants, cela veut-il dire que vous n'avez fait l'amour que 3 fois avec votre mari? ... Juste 3 fois! ... Caroline gloussa. - Bien sur que non, cela a demandé plus d'un essai pour que je sois enceinte, mais surtout du au fait que nous faisions l'amour pour avoir des enfants, pas pour avoir rapports sexuels luxurieux, comprenez-vous, ai-je été bien claire? ... Tyrone explosa de rire. - Ainsi vous n'avez jamais fait l'amour pour avoir du plaisir! ... Juste pour exulter! ... Caroline était sur le point de commettre la faute qui changerait sa vie. Tyrone se sentait en confiance, il sentait qu'il était sur le point de se faire cette ravissante blanche. Il jeta un coup d'œil circulaire dans la salle de restauration pour s'assurer que tout était calme, et que permisterne ne les regardait. Il pensait qu'il était temps maintenant d'asseoir mister emprise sur cette somptueuse salope. - laissez moi prendre votre main... Demanda soudain Tyrone impavide. Caroline ne voyait pas à quoi il voulait en venir... Elle plaça sa petite menotte dans la sienne. Il posa sa main sur sa jambe, le cœur de Caroline se mit à battre la chamade, pour la première fois elle ressentait un émoi qui allait changer définitivement sa vie. Tyrone se pencha sur elle lui murmurant à l'oreille : - Dieu m'a fait de cette grosse bite, pourquoi ne m'en servirai-je pas pour baiser de nombreuses femmes et leur dispenser un plaisir indéniable... Caroline avala sa salive, elle ne parvenait pas à croire à ce que' faisait le jeune noir. Tyrone tenait fermement sa main dans la sienne il la posa sur sa bite raidie faisant apprécier pour la première fois une grosse mentule à cette blanche si prude. Caroline n'en croyait pas ses mains, comment un homme pouvait-il être doté d'un si gros pénis, si épais? ... Elle ferma les yeux et Tyrone continua à lui palper rudement la cuisse remarquant qu'elle n'avait pas tenté de lui retirer sa main. Elle serrait sa bite entre ses doigts, abasourdie par mister épaisseur. A nouveau Tyrone vérifia que permisterne ne les regardait dans la salle de restaurant. Il se pencha à l'oreille de Caroline et lui susurra : - Tu aimes sentir la taille de mon chibre, dis-moi, que tu aimes ça... Caroline ne pouvait pas lui répondre, sa respiration était haletante, elle respirait très difficilement. - Tu aimerais sentir ma grosse bite s'enfouir dans ton étroite petite chatoune, tu le veux vraiment... Tu veux ma bite de nègre dans ta foufoune embrasée... caroline se sentait perdue, jamais il ne lui était arrivé telle mésaventure, elle ne parvenait plus à penser, elle ne parvenait plus à sortir un mot, elle ne respirait que très difficilement. La main de Tyrone atteignait maintenant sa fentine, il frottait ses lèvres de bas en haut, il avait déniché mister clito et le caressait lascivement espérant la faire jouir sous ses doigts, l'expérience de Tyrone lui disait que si seulement il parvenait à la faire exulter, il pourrait ensuite faire ce qu'il voudrait de cette chaude salope. Caroline accompagnait les caresses de sa main, elle était sur le point d'exploser, de ressentir un orgasme comme jamais elle n'en avait ressenti, bien sûr elle savait que certaines femmes avaient des orgasmes, mais elle n'en avait jamais expérimenté le moindre, et voilà que quelque chose d'inconnu montait en elle. Tyrone diminua ses caresses sur la cuisse de sa languide partenaire, il ne voulait pas qu'elle réjouisse à l'instant même. Caroline entendit alors rémisterner le mister d'une fermeture éclair que l'on baissait, Tyrone se saisit à nouveau de sa main et la posa sur sa jeune bite chaude et vibrante. Peau contre peau, Caroline était maintenant submergée par la honte, elle se sentait coupable de sentir le chibre de mister suborneur noir s'expandre entre ses doigts. Tyrone se pencha sur elle et lui murmura lascivement : - Tu me fais bander comme un âne! ... Je veux te sauter... Je veux goûter à ta chatoune et à tes nibards! ... Tu le veux aussi... dis-le-moi! ... Je le sais... Dis-le-moi... Caroline était muette de saisissement, elle était perdue, jamais on ne lui avait tenu un discours aussi salace. Comme elle demeurait muette, Tyrone eut une idée. Il empoigna sa main et la retira, remonta la fermeture éclair de sa braguette et chuchota à l'oreille de Caroline : - J'ai eu tort... Je te remercie d'avoir accepté de discuter avec moi... Je lirai ton livre... Comme il se redressait, Caroline empoigna mister bras, elle le regardait droit dans les yeux, elle se sentait coupable, elle ne parvenait pourtant pas à juguler le plaisir au creux de ses reins, elle avait beau évoquer mister mari, ses filles, l'église mister livre, elle ne pouvait se résoudre à le laisser partir. - Non Tyrone, Je vous en prie ne me quittez pas, C'est juste... C'est juste que je ne sais pas quoi dire... Je ne sais pas... S'il vous plait... Ne partez pas... Tyrone comprit à cet instant qu'il ne tarderait pas à se la faire. A nouveau il jeta un coup d'œil inquisiteur dans la salle de restaurant, permisterne ne faisait attention à eux. Il se pencha à nouveau à mister oreille... - Je vais prendre une pause... Tandis que je m'absente, déboutonne le haut de ton chemisier et enlève ton soutien-gorge je veux m'occuper de tes nichons, tu m'as bien compris... Enlève ton retrousse-tète et fourre le dans ton sac! ... Sur ces mots il se détourna d'elle et la quitta, il savait pertinemment que si elle lui obéissait, il ferait d'elle ce qu'il voudrait. A mister retour il vit ses mamelons pointer au travers du fin tissu de mister corsage, il réalisa alors qu'elle lui avait obéi docilement, il en était ravi. Il s'assit et regarda fixement mister chemisier, ses nibards étaient de forme parfaite, ils semblaient bien ferme pour une mère de 3 enfants, il marmonna à mister oreille : - T'as vraiment de ravissants nibards ma chérie... en tendant la main pour flatter ses mamelons entre pouce et index. Caroline grogna, une décharge électrique la fit sursauter violemment. Tyrone la dévisageait, yeux braqués dans les siens elle leva la tête : - Je veux te baiser! ... Je veux te fourrer ma grosse bite noire dans ta petite chatte de blanche! ... Allez ma chérie, dis-le... Dis-le que tu veux que te baise... Dis-le...
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chrislebo
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Caroline regardait éperdue le jeune noir, repensant à mister mari elle bredouilla : - Oh mon Dieu... Je ne peux pas... Je suis mariée... Je ne peux pas faire ça... Je vous en prie... Comprenez-moi... - Allez ma chérie, nous ne serons que nous deux à savoir... Je sais pertinemment que tu as une folle envie de te faire baiser! ... Répliqua Tyrone fermement. - Quelle chambre occupes-tu? ... Je vais t'y rejoindre et je te baiserai toute la nuit... Je vais te donner du plaisir... Je te le promets ma chérie... Eperdue, elle susurra timidement - La 135... Quittant le box, Tyrone lui intima : - C'est bon ma chérie... Je vais t'y rejoindre... Prépare-toi pour moi... Fais-toi tentatrice... Je vais te baiser comme jamais tu ne l'as été... Assise devant mister miroir, Caroline brossait ses longs cheveux blonds. Elle était follement honteuse de s'être laissé manipuler, mais elle ne pouvait nier mister plaisir ni l'émoi que provoquait au fond d'elle-même cet arrogant jeune noir. - Oh mon Dieu, que m'arrive-t-il? ... Elle peignit ses lèvres charnues d'un affriolant rouge à lèvres, et un peu de poudre pour accentuer leur plénitude. Un peu de poudre sur les pommettes et d'ombre sur ses paupières, elle aimait l'image que lui renvoyait mister miroir, celle d'une ravissante jeune femme riche de sa maturité. Elle enfila une jupe qui lui tombait au-dessus des genoux bien sûr elle ne portait pas de mini-jupes, elle était femme de pasteur! ... Elle chaussa des hauts talons et se regarda à nouveau dans le miroir, ces hauts talons mettaient en valeur les courbes parfaites de ses mollets. Après 3 accouchements, ses nichons étaient restés bien fermes et bien ronds, avec de larges aréoles et des épais mamelons qui dardaient au travers de mister corsage. Elle ajouta un zest de parfum... Le téléphone misterna soudain, elle empoigna le combiné, espérant que Tyrone n'arriverait pas trop rapidement. - Hey, chérie... Son mari était au bout du fil. - Les filles et moi voulions te dire combien on t'aime et combien tu nous manques... Allez les filles venez le dire à maman... Chacune de ses filles discuta quelques instants avec elle lui retraçant leur journée, lui répétant à quel point elle leur manquait. - je serai bientôt de retour les filles... Répliqua-t-elle émue. Son mari lui racontait maintenant mister dernier sermon qui portait sur le sexe et les préceptes de l'église, Caroline n'entendit pas entrer Tyrone. Il s'approcha d'elle silencieusement et lui encercla soudain la taille de ses deux mains tout en l'embrassant dans le cou. Ses mains remontèrent rapidement sur mister torse pour palper ses nibards, il pinça alors les tétons raidis entre pouce et index et les titilla langoureusement toujours en l'embrassant dans le cou. Elle releva la tête lui offrant un accès aisé à sa gorge. Elle poussa un léger soupir qui n'échappa à mister mari. - Chérie, tu te sens bien? ... lui demanda-t-il vivement. - Tout va bien mon chéri, je suis juste fatiguée... Répondit-elle le rouge eu front. Comme mister mari continuait à discuter, Tyrone tira mister chemisier hors de la ceinture de sa jupe et glissa ses grosses mains dans mister décolleté pour empaumer ses nibards bien fermes. Sa bite se redressait déjà dans mister caleçon, il la frottait lascivement contre sa croupe. Un nouveau soupir lui échappa. Son mari le remarqua encore et questionna à nouveau : - Chérie t'es vraiment sûre que cela va? ... - Ohhh oui mon chéri... Je vais bien... Je vais me coucher rapidement... Tyrone lui avait maintenant relevé sa jupe et admirait ses longues jambes, il glissa mister index sous la bande élastique de sa petite culotte plongeant tout de go dans sa chatoune, sa foufoune dégorgeait de cyprine. - Hé bien ma chérie, tu sembles vraiment très fatiguée, tu ferais mieux d'aller te coucher, ta voix tremble, t'es sûre que tout va bien? ... - C'est sûr, je suis éreintée... Ses genoux chancelaient. - je t'aime ma chérie, je te rappellerai demain... Poursuivit-il d'une voix douce. - D'accord mon chéri, embrasse les filles pour moi, je t'aime aussi... Son mari lui dit alors au revoir mais entendit alors un murmure qui le retint de raccrocher le téléphone. Tyrone lui saisit le combiné des mains et le reposa à coté de mister logement. Il pensait que si mister vieux mari ne raccrochait pas il l'entendrait baiser sa femme à, couilles rabattues. Il avait décidé de lui parler vulgairement, il voulait la transformer en pute blanche pour bites noires. Le révérend Mike James était certain d'avoir entendu quelque chose de suspect. Quelque chose qui retenait mister attention. Il entendait maintenant sa femme parler. Caroline se tourna vers Tyrone - Comment pouvez-vous me faire ça... Je discutais avec mon mari et ma famille... - J'en ai rien à foutre, j'ai compris à quel point t'es chaude, à juger par tes gémissements et l'inondation de ta chagatte alors que je te branlais! ... Je voulais t'informer par ailleurs que j'ai 17 ans et que je vais encore au lycée... Il l'induisait sciemment en erreur quant à mister âge, à l'autre bout du fil mister vieux mari ne pouvait que s'affoler de l'entendre se soumettre à un mineur. Le révérend James n'en croyait pas ses oreilles, de grosses larmes perlèrent à ses paupières, il était honteux de sentir mister pénis raidir dans mister caleçon. - Approche que je découvre tes charmes! ... Bordel ce que tu es belle... Aussi belle que chaude! ... Vire-moi ta jupe que je vois tes cuisses! ... Que tes jambes mistert longues! ... Tourne sur toi-même que je vois ton cul! ... Et maintenant enlève ton chemisier que je vois tes nichons! ... Il se redressa à la vue de ses miches jaillissant de mister corsage. Il entreprit de palper rudement ses mamelons, elle se sentait honteuse, ses tétons dardaient sous ses caresses, ses nibards étaient en feux! ... - Ahhhhhhhhh... Gémit-elle alors qu'il mordillait ses mamelons. - Tu aimes ça ma salope! ... Tu aimes que je te morde les tétons! ... Allez, dis-le-! ... Caroline ne pouvait en supporter plus... - Ohhhh, mon Dieu, c'est si bon, jamais je n'ai ressenti autant de plaisir, doux Jésus, que c'est bon! ... grommelait-elle éperdue. Tyrone la coupa : - C'est ça ma chérie... Ma petite chérie... T'es ma pute désormais... Tu veux que je te donne du plaisir... dis-le-moi ma petite salope... Allez dis-le! Caroline était folle d'excitation. - Oh mon Dieu, je suis toute à toi Tyrone... Oh mon Dieu je suis ta maîtresse... Je t'appartiens entièrement mon Tyrone... S'il te plait mon chéri... Je ne peux plus attendre! ... Le révérend ne parvenait pas à croire que ces propos salaces sortent de la bouche de sa femme, la mère de ses enfants, la fameuse écrivain religieuse, il n'en croyait toujours pas ses oreilles, les larmes ruisselaient maintenant sur ses joues. Caroline n'avait pas remarqué qu'il n'avait pas raccroché le téléphone. Tyrone l'emporta jusqu'au lit et l'allongea sur le dos, la tête à moins de 50 centimètres du combiné téléphonique. - Je vais goûter à ta ravissante chatoune! ... Il roula sa petite culotte sur ses cuisses jusqu'à ses chevilles, et la jeta au sol. Caroline était une blonde naturelle, une épaisse toimister touffue couvrait mister intimité. Tyrone enfouit mister visage entre ses cuisses grandes ouvertes et entreprit de lui lécher la foufoune, Caroline gémissait sous ses caresses linguales. Il écarta les babines de sa fentine de ses gros doigts de façon à pouvoir se repaître de chaque recoin de sa moule inondée de cyprine, sa chagatte était vraiment succulente. Tyrone était un expert dans le bouffage de minou. Son mari l'entendit alors s'adresser à sa ravissante femme. Sa femme gémissait... Tyrone lui chuchota : - T'as vraiment une succulente chatoune ma chérie... Aimes-tu que je te bouffe la chatte? ... - Ahhhhhhhh... Oohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuu... C'est si bon... Délirait Caroline hébétée. - Tu m'appartiens désormais... Dis-le-moi salope... Tu aimes que je te broute le gazon... - Ohhhhhhhhhh oui... Je t'en prie, n'arrête pas... C'est si bon... Grognait Caroline éperdue de jouissance. Tyrone s'en prenait maintenant de la langue à mister clito tout en titillant ses tétons, Caroline se cabrait pour mieux sentir mister épaisse langue s'enfouir en elle. Elle était perdue dans un monde de plaisir dont elle ne soupçonnait même pas l'existence... - Ohhhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Soudain Tyrone se retira et se releva. - Oh s'il te plait Tyrone... Ne me laisse pas comme ça... J'ai trop envie... Je t'en prie... Debout au pied du lit, Tyrone ôta sa chemise révélant un corps luisant et musclé. - Viens ici salope et descends mon pantalon... Carole était toute excitée de s'entendre interpeller aussi vulgairement. Elle descendit mister pantalon et mister épaisse mentule lui sauta au visage. Tyrone ravi constatait sa stupéfaction, il jeta un coup d'œil sur le téléphone, il espérait de tout mister cœur que mister cocu de mari les entendait clairement. - Dis-moi que t'es ma pute, et je te laisserai me sucer la bite... Dis le ou je m'en vais! ... Supplie-moi de me laisser sucer... - Ohhhhh oui... Je suis ta petite pute Tyrone, je suis ta pute blanche... Je dirai tout ce que tu voudras mon chéri... Mais... laisse-moi... Laisse moi te faire une fellation... L'adjurait-elle folle d'excitation.
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chrislebo
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Le révérend Mike se branlait maintenant machinalement, il ne parvenait pas à croire que sa prude femme qui faisait de nombreux sermons à l'église pouvait à cet instant prier un jeune homme de se laisser faire fellation, Il sanglotait maintenant écrasé de honte et de culpabilité. Caroline avait maintenant l'épais chibre de Tyrone en bouche, il était si épais qu'il ne parvenait pas à lui enfoncer plus de 10 centimètres dans la gorge. Elle n'avait jamais sucé de bite auparavant, elle pensait que c'était un grave pêché. Sa bite dégageait un puissant parfum viril, la peau de sa hampe était douce comme du velours, sa tête montait et descendait le long de sa mentule noire dressée. Tyrone souriait largement en regardant le téléphone... - Tu aimes sucer ma bite, salope! ... T'aimes vraiment ça... - Ummm... Hummmmmmmm... Hummmmmmm... Grognait Caroline la bouche pleine... Regarde toi dans le miroir salope... Regarde ma grosse bite noire enfouie dans ta petite bouche blanche... Admire l'opposition des couleurs... T'adores sucer une bonne grosse bite noire... Hummm... Salope... Il est vrai que le miroir leur renvoyait l'image obscène d'une ravissante blanche la bouche arrondie sur une grosse hampe noire, dispensant une savoureuse pipe à un jeune noir enchanté. Le révérend Mike en eut le souffle coupé, les larmes ruisselaient de plus belle sur ses joues, mon Dieu non seulement mister jeune amant était plus jeune que ses filles, mais de plus c'était un jeune noir! ... Oh mon Dieu, ma femme se donne à un jeune noir! Tyrone extirpa mister chibre de la bouche accueillante de Caroline, elle le regardait désemparée. - Ecarte tes cuisses en grand salope! ... Je vais me faire ta mignonne petite chatte d'épouse blanche. Il empoigna un oreiller et le glissa sous ses reins projetant mister bas ventre en avant ce qui lui donnait un bien meilleur angle de vue sur mister étroite fentine. - Oh mon Dieu Tyrone, t'es bien trop gros... Sois gentil... Tu vas me faire mal... Jamais tu ne parviendras à me pénétrer... Je t'en prie Tyrone... Haletait Caroline paniquée. - Ne t'inquiète pas ma chérie... Tu vas adorer ma grosse bite... T'affole pas... Lui susurra-t-il à l'oreille. Déjà il fourrait mister énorme gland dans sa chagatte, déjà il lui distendait la fentine... Elle se sentait pleine de lui, le pénis de mister mari était bien plus petit que cette énorme mentule noire. Jamais une autre bite que celle de mister époux ne l'avait pénétrée - Mon Dieu Nooooooonnnnnnnn... Hurla-t-elle alors qu'il enfonçait mister énorme champignon de quelques centimètres dans sa caverne rétive. - Oooohhhhhhhhh chérie, que ta chatte est étroite! ... S'esclaffait Tyrone en s'enfonçant de plus en plus profondément en elle. Carole hurlait : - Oooooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Tyrone j'ai mal... Je t'en prie... Ohhhhhh mon Dieuuuuuu... Jamais Caroline n'avait ressenti une telle sensation. - Oooooooohhhhhhh... mon Dieuuuuuuuu, mon Dieu... Tyrone... Tu me fais mal... T'es bien trop gros Tyrone... Ohhhhhhhh Tyrone... Haletait Caroline au bord des larmes. - Oh mon Dieuuuuuu... Mmmmm... Mmmmmm... Tyrone savait qu'elle était sur le point de jouir, il cessa tout mouvement, il voulait la voir se tortiller sur sa bite... Il s'enfonça à nouveau... Caroline n'en pouvait plus. - Oooooooooohhhhhhh mon Dieuuuuuuu... Mmmmmmmmm... Je jouissssssssssss... Doux Jésus, je jouissssssss... mon Dieuuuuuuuuuu, Ahhhhhhhhhhhhh... Ooooooohhhhhhhh... Bordel gloussait au fond de lui-même, il possédait une nouvelle salope blanche, et celle ci était mariée, c'était la femme d'un pasteur! Tyrone avait encore 12 centimètres à lui enfouir dans la chatoune, mon Dieu que sa chatte était succulente, serrée et étroite, mais mieux encore c'était une vraie blonde. Tyrone s'enfonça à nouveau en elle, il savait que mister fourreau se conformerait à ses mensurations peu ordinaires. Il sentait les parois de mister utérus crispées sur sa hampe l'empêchant, pour l'instant de la pénétrer jusqu'au col. Il se positionna pour faciliter mister embrochage avant de tapisser ses muqueuses intimes de sa sève fertile... Caroline répondait à ses assauts maintenant, mister corps était secoué de soubresauts voluptueux. Il poussa encore et s'engouffra au cœur de mister petit trésor dévasté. Caroline hurlait à pleins poumons, elle répondait à ses assauts en hurlant. - J'ai mallllllll... Doux Jésus que j'ai mal... Arrêteeeee... Je t'en prie arrêteeeee... J'ai trop mallllllllllll... Ohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuuuus... Ahhhhhhhhhhhhhhh... Tyrone coulissait de plus en plus rudement dans sa petite chatoune endolorie, jamais caroline n'avait ressenti un tel émoi, elle découvrait des ressources insoupçonnées de mister corps, mister corps, mister esprit sombraient dans un monde totalement inconnu. - Ohhhhhhhhh Aime-moi Tyrone... Baise-moi jusqu'à l'os... Que j'aime ça. Sur ces mots elle enserra mister torse de ses cuisses, elle voyait dans le miroir mister corps blanc emmêlé avec celui de ce jeune noir, mon Dieu qu'elle aimait ça! Tyrone sentait ses couilles bouillir, il savait qu'il ne tarderait pas à jouir. Il allait bientôt lui remplir l'utérus de mister jus crémeux. Caroline hurlait de plus belle, elle répondait de plus en plus fiévreusement à ses assauts, soudain elle se tétanisa. - Ohhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuussssssss... Mmmmmmmmmmmmm... Je jouiiiiiiissssssssssss... Tyrone comprit qu'un intense orgasme la submergeait, à cet instant même ses couilles explosèrent. - Uuhhhhhhhhh ma chérie... Je jouis aussi... Mmmmmmmmmmmm... Je me vide dans ta caverne brûlante... Mon Dieu que c'est bon! ... Caroline le sentait jaillir en elle giclée après giclée, lui remplissant l'utérus, décharge après décharge il déversait mister sperme fertile dans mister intimité Caroline ne pouvait museler mister émoi, ses sensations étaient indescriptibles. - Ooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Baise-moi... Baise-moi encore... Je jouisssssssss... De grosses larmes perlaient à ses paupières, les grosses lèvres noires de Tyrone se posèrent sur les siennes, leurs langues s'emmêlèrent joyeusement. Ils s'embrassaient avec passion, la grosse bite de Tyrone était toujours enfouie dans sa caverne embrasée. Finalement avec un bruit de sucion suivi d'un misterore "plop" Tyrone extirpa mister gros chibre de sa chatoune endolorie. Il s'allongea sur le dos à mister coté. Caroline pleurait, partie du fait de ses actes luxurieux, partie d'en avoir ressenti un intense orgasme. Tyrone la serrait dans ses bras. - C'est ça ma petite chérie... Tu te sens bien... Je t'avais bien dit que j'allais te faire jouir comme jamais tu n'avais joui! ... Caroline ne parvenait pas à croire que ce jeune noir l'avait tant fait jouir, elle qui était assez vieille pour être sa mère. - Tyrone, je suis mariée... Je me sens si coupable... Regarde ce que j'ai fait... J'en ai honte... J'ai 3 filles plus vieille que toi... Un merveilleux mari... Oh mon Dieu, qu'ai-je fait! ... Tyrone lui jetait un regard lubrique. - Lève-toi et viens me nettoyer la bite... T'es ma petite pute désormais... Arrête de te sentir coupable... Lèche ma bite... Goûte à mon foutre et à ta cyprine mêles... Sois une bonne salope... Grouille-toi... Caroline ne pouvait pas lui désobéir, elle était totalement subjuguée, elle se glissa à l'aplomb de mister vit et entreprit de lécher langoureusement. - Tu t'y prends bien ma chérie... Tu aimes nos jus... Tu adores le goût de mon foutre et de ton jus... allez salope, dis-le-moi... Lui intimait-il tourné vers le téléphone. Caroline répondit timidement : - Oh mon chéri ton foutre est si bon... J'aime le goût de ta bite... - C'est bien ma petite chérie, et maintenant lèche mes couilles, nettoie les aussi... MLe révérend Mike respirait difficilement, les larmes coulaient de plus belle sur ses joues, il jeta un oeil sur ka tache graisseuse qui maculait le devant de mister pantalon, il avait joui en entendant sa femme exulter. La porte de la salle de bain se referma sur Caroline qui allait prendre une douche rapide. Tyrone n'aimait pas embrasser une gueuse les lèvres imprégnées de mister foutre. Il tendit la main et empoigna le téléphone, il n'entendait aucun bip, bip... Bien gloussa-t-il en lui-même, mister pécheur de mari a tout entendu de notre séance de baise. - Hello, je sais que tu es au bout du fil... Je t'entends respirer... Le révérend Mike James soupira dans le téléphone : - Oui je suis là... Tyrone n'en croyait pas ses oreilles. - Hey révérend, la chagatte de ta femme est vraiment succulente... Elle sent bon et a bon goût... C'est une baiseuse de première! ... La prochaine fois que tu lui rouleras une pelle, tu sauras que j'ai enfoui ma grosse bite noire dans sa bouche accueillante... Hey révérend tu ne vas tout de même pas pleurer... C'est pas des manières... Pourquoi n'as-tu pas raccroché? ... - Je le voulais, mais je n'ai pas pu, je suis désolé... Bredouilla le révérend misérablement. - Ecoute-moi bien mec, lorsque ta femme va revenir, je vais l'enculer, puis je lui ferai avaler mon foutre... Puis je la baiserai à nouveau, es-tu sur de vouloir l'écouter exulter... Elle ne sait pas que tu as tout entendu... Si tu veux continuer à nous écouter, dis-le-moi franchement! ... Le révérend Mike James ne parvenait pas à croire qu'il tenait une telle conversation avec un jeune "mineur" noir, sa bite renaissait à la vie, elle raidissait à nouveau dans mister pantalon. - Oui, je veux tout entendre... J'ai tellement honte... Sanglotait-il dans le téléphone. - Je veux vous écouter... Tyrone désirait accabler un peu plus le pitoyable cocu. - Ecoute-moi bien révérend, désormais ta femme m'appartient, c'est ma petite pute permisternelle, après cette nuit elle adorera les grosses mentules noires, et seulement les grosses bites noires! ... Elle doit encore passer 6 jours dans notre ville, pendant ce temps je la ferai baiser par de nombreux copains pour me faire un peu de fric! ... Normalement je réclame 5 $ pour une pipe et 20 $ pour se la sauter, mais comme ta femme est blanche et mariée, et que la demande est forte pour de savoureuses chatounes blanches, je réclamerai le double à ses clients! ... Ah autre chose, quand elle rentrera à la maimister, elle aura une nouvelle garde robe, de nombreuses mini-jupes et des corsages si fins qu'ils en seront transparents, j'espère que les jeunes noirs vivant dans ta paroisse adoreront ses nouvelles tenues! ... Hey révérend t'es toujours au bout du fil? ... - Oui, mais comment savez-vous si elle vous obéira docilement? ...
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chrislebo
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- Parce que c'est une salope bien sûr! ... Juste une salope mariée... Répliqua Tyrone hilare. Tyrone reposa le téléphone le long du combiné en entendant la porte de la salle de bain s'ouvrir. Caroline ne tarda pas à le rejoindre, elle était fraiche et sentait bon. - Hey chérie, tu es très jolie, viens ici sucer à nouveau ma grosse bite... Fais-moi bander que je te baise à nouveau! ... Hum chérie comme tu suces bien ma grosse queue... Commenta lourdement Tyrone à l'adresse du mari. - Hummm... Hum... J'adore sucer ta grosse mentule noire, c'est si bon, elle est si douce... Concédait Caroline excitée de nouveau. - Viens ici ma petite chérie... Il écrasa ses lèvres sur les siennes, à nouveau leurs langues s'épousèrent, ils s'embrassaient avec passion. Tyrone baissa la tête pour mignoter ses mamelons - Tu as vraiment de succulents tétons ma chérie... Roule vers moi et positionne-toi à quatre pattes... Tend-moi ton adorable croupe! ... Il explora de la pointe de la langue sa raie culière avant d'empoigner ses globes fessiers à deux mains pour les écarter en grand exposant mister petit oeillet blotti au creux de sa raie. Il lécha mister goulot serré, insérant la pointe de sa langue dans mister étroit anneau. - Oh chérie... Ton trou du cul est vraiment délicieux, il a si bon goût, ton trou du cul est aussi soyeux que la peau d'un bébé! ... Commenta Tyrone envoûté. Tout d'abord Caroline se sentit souillée, mais plus l'épaisse langue noire de Tyrone fouillait profondément mister trou du cul, plus mister corps la démangeait, ses mamelons tout raides étaient en feux, sa chatoune s'humidifiait. Elle tendit la main et inconsciemment fourra ses doigts dans sa moule et entreprit de se branler machinalement. Elle se sentait bien, chaude, folle d'excitation. - Oooohhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhh... lèche-moi mon chéri.. Lèche mon trou du cul... Tyrone comprit qu'elle était maintenant entièrement sous mister emprise, mister trou du cul se détendait, sa chatte était inondée de cyprine, il se redressa et frotta mister gland dans sa fentine histoire de le lubrifier. Caroline était nerveuse. Il se pencha à mister oreille et lui murmura : - Je vais te casser ton mignon petit cul ma petite chérie... Montre-toi docile et gentille... - Oh Tyrone, je t'en prie ne fais pas ça... T'es bien trop gros... Haleta Caroline affolée. Déjà Tyrone insérait mister gland dans mister goulot resserré. - Oooooooohhhhhhh chéri... Oh mon Dieu, tu me fais mal... Si mal... Si mal... Je t'en prie arrête... Tyrone s'échauffait, il enfonça encore de quelques centimètres mister gland dans mister intestin rétif. Caroline pleurait maintenant à gros sanglots. - Oh mon Dieu... Arrête... Je suis pleine à ras bord... Doux Jésus... Je n'en peux plus... Oh non... Quelques minutes plus tard, il coulissait plus aisément dans mister trou du cul maté. Tyrone grognait. Caroline n'avait jamais ressenti quelque chose comme cela, elle se sentait pleine à ras bord pour la première fois de sa vie, elle était sur le point de jouir. - Oh mon Dieu... Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Je jouisssssssss... Encore... Encore mon chéri... Enfonce ta bite au fond de mon trou du cul! ... Grommelait Caroline éperdue. Tyrone avait enfoui ses 28 centimètres dans mister trou du cul, il allait et venait rudement dans mister intestin, il empoigna ses nibards et extirpa sa bite de mister anus dévasté. - Embouche ma bite salope... Caroline obéit servilement savourant le jus de Tyrone qui s'écoulait à flot dans sa bouche et sa gorge, bientôt elle avalait giclée après giclée mister foutre crémeux dont elle apprécia tout de suite la saveur salée. Retirant sa bite de sa bouche il éjacula ses derniers jets sur mister visage, une giclée s'écrasa sur sa joue, une autre dans un de ses yeux, elle se tortilla alors qu'un dernier jet s'écrasait sur ses narines. - Lèche-moi bien ma chérie... Goûte à ta cyprine qui couvre ma bite... Savoure les traces de merde qui maculent mon chibre! ... Wowwww... T'aimes vraiment ma bite ma chérie! ... Commenta Tyrone ravi. Le révérend Mike sanglotait au bout du fil, imaginant sa délicieuse femme se faire enculer à couilles rabattues avant de savourer les excréments merdeux embourbant sa bite. Mon Dieu il ne parvenait pas à croire qu'il venait d'éjaculer à nouveau, et ce sans même se toucher! ... Caroline récupérait sur la poitrine de Tyrone. - Je veux que tu te rases la chatte avant demain je veux que tu me présentes un abricot lisse, doux et soyeux t'as compris salope! ... Tous les noirs adorent les chattes rasées! ... Rêveusement Caroline répondit timidement - Je ferai tout ce que tu voudras mon chéri... Je me raserai le mont de Vénus pour te faire plaisir... - Autre chose, je veux que dés demain tu portes des vêtements nettement plus sexy! ... Caroline était nerveuse, elle s'assit dans le lit. - Je dois faire un sermon demain à l'église, je n'aurai pas le temps de faire des courses, pourquoi en aurai besoin demain, je pensais que tu allais passer la nuit avec moi... Le suppliait-elle des yeux. Tyrone lui jeta un regard incisif : - Ma chérie tu sais très bien que je t'aime... Tu es un sacré coup... Tu es ma pute désormais... T'en es bien consciente! ... Caroline reprit : - C'est vrai Tyrone mais je pensais que je t'appartiendrai à toi seul, je ne comprends pas ce que tu veux... Pourquoi me faire porter des tenues sexy? ... Elle se souvint soudain des paroles de Linda qu'il faisait baiser par ses potes, elle avait peur de trop bien comprendre ce qu'il voulait. Tyrone lui rappela une pelle baveuse...
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chrislebo
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- Laisse moi t'expliquer ce dont il retourne... J'ai besoin d'argent de poche pour compléter ma bourse scolaire... Je veux te faire baiser avec mes potes pour du fric... Si tu refuses de m'obéir, je ne te baiserai plus jamais, à toi de décider ce que tu veux! ... Alors que Tyrone se rhabillait Caroline réfléchissait à toute allure, elle voulait baiser à nouveau avec lui, elle en avait tant envie qu'elle en avait mal au ventre, elle avait une énorme envie de sentir à nouveau sa grosse bite la combler. Tyrone s'approcha de la porte, la main sur le bouton de porte il se tourna vers elle et l'interrogea : - Alors qu'en dis-tu? ... Le révérend Mike n'en croyait pas ses oreilles, sa femme était prête à baiser avec d'autres étrangers juste pour que Tyrone la saute à nouveau, oh mon Dieu... Caroline lâcha d'une voix sourde : - C'est d'accord... Je t'obéirai... D'accord... Tu me promets de me baiser à nouveau si je t'obéis! ... - C'est sûr ma chérie... Répliqua-t-elle en l'embrassant à pleine bouche. - T'es ma petite pute de femme mariée, chérie... Faut-il que tu aimes ma grosse bite noire pour te plier ainsi à ma volonté! ... T'aime vraiment te comporter en bonne pute! ... - Oh oui, ce que j'aime ta grosse bite noire! ... Ce que j'aime l'avoir enfouie au fond de ma chatte! ... Je serai ta pute! ... concéda Caroline misérablement. Tyrone lui remonta sa petite culotte et lui intima : - Remets-moi ça sur tes fesses... Conserve mon foutre dans ta chatoune et ton trou du cul... Je veux que ces jus imprègnent bien ton fond de culotte... Tu prendras ta douche une fois ta culotte bien marécageuse... Tu la remettras demain... Je veux que tu sentes mon foutre poisser ta fentine tandis que tu feras ton sermon... L'excitation montait à nouveau dans les reins de Caroline - Je ferai ce que tu veux mon chéri! ... Avant de sortir de la chambre, Tyrone poursuivit : - Je vais envoyer Linda faire ton shopping, elle connaît ta taille, elle sait où aller, elle te rapportera tes tenues demain... - Oh mon Dieu non Tyrone, je ne veux pas que Linda sache ce qui s'est passé cette nuit, pas après la conversation que nous avons eu! ... Tyrone rit aux éclats. - Elle sait déjà tout... Je lui ai tout dit avant de monter te rejoindre... Je te remercie d'avoir fait sauter mon rendez-vous avec elle... Cela m'a donné une chance de te séduire... Et bien sûr de te baiser à couilles rabattues... - Pendant une bonne minute elle m'a regardé hébétée... Puis elle a éclaté de rire... Elle t'aime bien... Ne t'inquiète donc pas pour si peu! ... Une fois Tyrone parti, Caroline frappa mister oreiller de la tête en criant : - Qu'ai-je fait? ... Mais qu'est-ce qui m'a pris! ... Elle suivit scrupuleusement les ordres de Tyrone, elle remonta sa petite culotte en insérant le fond dans sa fentine pour qu'elle s'imbibe bien de mister foutre et de ses secrétions... Elle sentait le foutre de Tyrone suinter de mister con et mister cul. Elle soupira alors : - Qu'ai-je fait à ma petite famille... Oh mon Dieu... C'est alors qu'elle remarqua que le téléphone était posé à coté du combiné. Elle haleta brusquement : - Oh mon Dieu... Il est resté décroché pendant toute la séance de baise... Oh mon Dieu... Elle l'empoigna rudement et entendit alors le déclic de fin de communication. - Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Nonnnnnnnnnnn... Mon mari n'a pas pu entendre ce que nous faisions... Oh non cela ne se peut pas... Onh non... Il avait raccroché... Je suis certaine qu'il avait raccroché mister téléphone... Plus tard, dans la chaleur de mister bain, elle se savonna soigneusement le minou et le rasa minutieusement, sa fentine était maintenant très lisse, très douce... Juste comme le lui avait intimé mister jeune amant noir. Allongée sur le dos, les yeux recouverts d'une serviette de bain chaude, elle se mit à titiller ses tétons, sa chagatte se détrempait à nouveau, elle se sentait extrêmement coupable en pensant à mister mari, si gentil, qui ne pouvait pas s'attendre à ce qu'elle puisse se comporter en salope, pourtant c'est bien ce qu'elle avait fait pour profiter de cette grosse mentule noire qui l'avait subjuguée. Comment pourrait-elle jamais expliquer ses actes à ses filles chéries. Alors qu'elle terminait mister sermon le lendemain, elle gloussait au fond d'elle-même, assis en chaire, alors qu'elle se tenait asssire dans l'entrée de l'église, elle sentait des résidus du foutre de Tyrone poissant le fond de sa culotte imprégner sa fentine alors qu'elle signait des exemplaires de mister bouquin. Elle remarqua que de nombreux regards masculins et féminins se perdaient dans mister décolleté, elle aimait cette sensation de plaire qui l'envahissait. Elle acheta une bouteille de vin rouge au bar de l'hôtel et monta à l'étage pour y attendre le coup de fil de Linda. Bientôt la misternerie rémisterna, elle empoigna le combiné, c'était mister mari...
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chrislebo
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La femme du pasteur est contrainte de reprendre ses activités de pute. Cela fait maintenant deux mois que suis rentré de ma tournée des églises, j'ai vraiment apprécié de rentrer à la maimister retrouver mon mari et mes 3 filles chéries. Je reprends quelques informations pour ceux d'entre vous qui n'auriez pas lu la première partie de mes mésaventures : Je suis l'assistante de mon mari et je donne des sermons chaque dimanche en alternance avec mon mari. Je m'appelle Caroline James, J'ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans. Je suis assez célèbre en tant qu'écrivain, mon dernier livre, "Eglise et communication"est déjà un "best seller". J'ai effectué, il y a deux mois une tournée de communication pour tenir de nombreuses conférences et promouvoir mon livre. Au cours de ce périple, j'ai rencontré un jeune aide serveur noir de 18 ans, Tyrone qui est doté de la plus grosse bite que j'ai jamais vue. Il m'a baisé à couilles rabattues puis m'a livré à ses copains contre monnaie misternante et trébuchante. Je me suis prostituée pour lui chaque nuit de mon séjour dans cette petite ville, soit pendant environ une semaine. J'avais vraiment honte de moi, je n'avais fait l'amour qu'avec mon mari auparavant, alors que pendant ces quelques nuits j'ai appartenu à une quinzaine de jeunes noirs qui m'ont baisée, enculée et que j'ai sucé à leur gré. Je suis le révérend Mike Marshall, mon épouse Caroline est non seulement une merveilleuse mère pour nos trois filles Carol, et Sue, nos jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans, lais aussi une ravissante femme. Assez grande, 1, 75 m de somptueuses jambes, de longs cheveux blonds, un adorable visage, des hanches bien marquées et une poitrine bien ferme et bien ronde malgré la naissance de nos trois filles. Nos trois filles ressemblent comme des sœurs à leur mère. Depuis mister voyage promotionnel Caroline a bien changé, bien qu'elle soit un pilier de notre église et qu'elle nous aime profondément mes filles et moi, j'ai constaté avec surprise que ses tenues ont changé, alors qu'auparavant elle s'habillait de façon fort conservatrice et tout à fait conventionnelle, voilà qu'elle s'exhibe maintenant dans des tenus très sexy. Elle porte des mini-robes, et des mini-jupes, ses corsages révèlent tout de sa poitrine, exposant aux yeux de tous ses seins, elle semble toujours très élégante mais porte des tenues extrêmement provocantes. Nos filles adorent la nouvelle apparence de leur mère et s'habillent aussi de façon fort sexy maintenant. Ma femme ignore que j'ai tout entendu alors que dans sa chambre elle se faisait baiser par cet aide-serveur noir qui l'a subjuguée. Intrigué par certains bruits, je n'avais pas raccroché le téléphone et j'ai ainsi profité de l'intégralité de leur séance de baise. Je n'en ai rien dit parce que je l'aime profondément et je me figurai que Caroline s'était oubliée accidentellement, je supposais que Dieu lui avait pardonné, je faisais de même. L'entendre baiser avec ce jeune noir m'avait follement excité j'en étais honteux et culpabilisé. Depuis que je suis revenue, je m'habille beaucoup plus sexy, Tyrone avait raimister, j'adore sentir les regards des hommes et des femmes se poser sur moi admirant mes charmes. J'aimais spécialement sentir le regard des hommes noirs qui s'appesantissaient sur mes appas. De toute façon je n'avais pas fait l'amour avec mon mari depuis mon retour, ce n'était si surprenant, après avoir été possédée par des noirs avec de gros chibres, faire l'amour avec mon mari et sa petite bite ne m'intéressait plus du tout. J'appréciais autant les grosses mentules des noires, que leur façon des noirs de s'adresser aux femmes, plus c'était vulgaire, plus cela m'excitait. Je pensais que Dieu m'avait pardonné mes écarts et mes sensations aussi avais-je repris de plus belle la promotion de mon livre et la prise en charge de ma merveilleuse petite famille. Je me tenais au coté de mon mari à la porte d'entrée de l'église, saluant convivialement les paroissiens qui sortaient de l'église après notre service de 11 heures. Nous avions environ 250 paroissiens, par moitié blanc et l'autre moitié noir et latinos. Mon mari était aimé de tous, il serrait de nombreuses mains, je me tenais à coté de lui saluant les membres de notre congrégation et signant des exemplaires de mon bouquin. Je portais une robe jaune translucide qui s'arrêtait à mi-cuisses, elle mettait en valeur mes formes attrayantes. Je sentais les hommes jeter des coups d'œil salaces sur mes appas et les femmes des regards envieux. Il ne restait plus que quelques paroissiens dans l'église lorsque je repé-rais Tyrone le jeune aide serveur noir de 18 ans qui m'avait subornée lors de mon périple promotionnel. - Hey Caroline tu me sembles bien sexy... Regarde un peu qui j'ai amené... Clama Tyrone en s'approchant de nous. - Bonjour Caroline... Linda la jolie serveuse blanche âgée de 18 ans en compagnie de qui je m'étais prostituée l'accompagnait. - Bonjour... Répliquais-je paniquée. Je les éloignais de mon mari et des derniers paroissiens qui quittaient l'église. - Que faites-vous ici? ... Que me voulez-vous? ... oh, oh... Mon mari nous regarde... Il s'approche de nous... - Chéri, je veux te présenter Tyrone et Linda que j'ai rencontrés lors de mon dernier voyage promotionnel... Bredouilla Caroline affolée. - Enchanté de vous rencontrer Tyrone et Linda... Rétorqua mon mari serrant virilement la main de Tyrone. Tyrone reprit en gloussant : - Hey révérend ta femme est vraiment chaude, une bonne salope, regarde-moi ses tétons, ils ne demandent qu'à être dégustés! ... - Ohhhhhh Tyrone... Ne dis pas cela... Nous nous trouvons dans une église! ... De façon fort surprenante mon mari se taisait, il se détourna et s'en alla sans un mot. - Qu'êtes-vous venu faire ici, pourquoi êtes vous ici! ... Les interro-gea Caroline en jetant un coup d'œil craintif autour d'elle. Ils constatèrent tous trois que l'église était maintenant vide. Tyrone s'es-claffa : - Je suis venue voir ma petite pute, ma salope... Dis-moi que t'es ma pute! ... J'ai envie de me faire ta savoureuse petite chatte blonde... Par ailleurs j'ai besoin de me faire un peu de fric! ... J'ai trouvé du travail pour toi et Linda ce soir, et maintenant dis-moi que t'as en-vie de ma grosse bite noire salope! ... Caroline soupira : - Je suis ta pute... Oh oui chérie je suis ta pute! ... Tyrone poursuivit alors : - Je t'ai présentée comme une pute expérimentée, ainsi que Linda d'ailleurs, c'est ce que j'ai constaté d'ailleurs, j'adore ça, je peux vous livrer aussi bien à des hommes qu'à des femmes... C'est ex-cellent... Caroline rougit, elle se remémorait sa dernière nuit passée en compa-gnie de Linda. - Maman... Maman Lui criaient ses filles en courant vers elle - Papa nous attend... Laura agrippa mon bras - Allez viens maman... Caroline jeta un oeil éperdu sur Tyrone et Linda - Je dois y aller... Je suis désolée... Leur dit-elle angoissée. Tyrone lui tendit une feuille de papier où était noté un numéro de télé-phone - Appelle-moi avant 19 heures... Je te donnerai l'adresse où te ren-dre... Rétorqua Tyrone impavide. - Je dois à parler à ta mère pendant une minute ma chérie, puis elle ira te rejoindre... Dit-il à Laura. Il regarda alors Caroline droit dans les yeux. - Ecoute-moi bien ma petite chérie... La nuit où je t'ai baisée à couil-les rabattues dans ta chambre, te rappelles-tu m'avoir entendu dis-cuter avec quelqu'un au téléphone pendant que tu prenais une douche? ... - Oui... - Je discutais avec ton mari, il a entendu tout ce qui s'est passé dans la chambre... Il était à l'écoute... Lui révéla Tyrone moqueuse-ment. - Oh mon Dieu... Doux Jésus... Il ne m'en a pas dit un mot... Rien... Haleta Caroline abasourdie. - Il m'a dit qu'il avait joui à, trois reprises, il pleurait comme un petit bébé, il m'a même entendu t'ordonner de te prostituer pour moi! ... Ajouta Tyrone hilare. Tyrone et Linda se dirigèrent vers la sortie, soudain Tyrone se tourna vers elle : - Hey, ta fille qui est venue t'appeler est ravissante, quel âge a-t-elle? ... - Elle a 19 ans... Répondit Caroline légèrement inquiète. - Elle a de beaux nichons, tout comme sa mère... Je veux la bai-ser... Je veux baiser tes 3 filles... lorsque je les aurai bien baisées, elles t'imiteront et travailleront pour moi...
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chrislebo
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S'approchant alors de Caroline, il releva sa robe et tâta la petite culotte qui enserrait sa chagatte, elle bavait déjà d'excitation, sa fentine était trempée, il plongea un doigt dans sa foufoune. - Dis-moi, cela t'excite tant de savoir que je veux me faire tes filles! ... Réponds-moi! ... Caroline était envahie par la honte, effectivement cette idée la liquéfiait littéralement, mon Dieu qu'allait-il leur arriver? ... - Oh oui cela m'excite... Mon Dieu je ne parviens pas à croire pour-quoi cela m'excite tant! ... Répondit Caroline affolée. Tyrone extirpa mister doigt de sa cramouille et le lécha ironiquement. - A ce soir... s'esclaffa-t-il railleusement. Pendant le repas les filles discutèrent entre elles, en riant à gorge dé-ployée. Mon mari mangeait calmement, évitant mon regard. - J'ai rencontré Tyrone et Linda lors de mon voyage promotionnel... Avançais-je tentant d'initier une conversation avec mon mari. Il finit enfin par me regarder. - Je suis très heureux que tu fréquentes des jeunes gens, qu'ils te regardent avec envie, je suis fière de toi! ... - Allez vous changer les filles, allez-donc jouer à la vidéothèque... - Oh merci maman... Sur ces mots, elles nous quittèrent toute joyeuse. Je jetais un oeil sur mon mari, je vis que des larmes se formaient sous ses paupières. Il savait déjà ce que j'allais lui dire. - Tu m'as entendu baiser avec Tyrone, n'est ce pas? ... Pour quoi ne m'as-tu rien dit lorsque je suis rentrée? ... Tu gardes cela pour toi depuis tout ce temps! ... Cela aurait pu te tuer... Pourquoi? ... Pourquoi? ... - Je t'aime ma chérie... Je ne voulais pas te traumatiser... Si tu avais su que j'étais au courant... Je suis désolé... Répliqua le révé-rend d'une voix sourde. Caroline regardait fixement mister époux. - Il y a quelque chose d'autre... Quelque chose d'autre... Son mari la regarda sombrement. - Dis-moi quoi... Je t'en prie... Nous devons être honnêtes l'un en-vers l'autre... Je t'en prie dis-moi quoi... Le suppliait Caroline d'une voix douce. Son mari la regardait toujours il se tint muet une paire de minutes. - Caroline... Je t'aime Caroline... Je t'aime tant... Mais... Mais... Jamais je n'ai été aussi excité qu'en t'entendant baiser avec ce jeune noir... J'ai joui à 3 reprises sans même me toucher... Oh mon Dieu, que j'ai honte... Oublie ça je t'en prie! ... - C'est d'accord mon chéri... C'est d'accord... Je t'aime moi aussi... Nous avons une merveilleuse petite famille... une bonne paroisse... Tant de chose dont nous devons être reconnaissants à Dieu... Soupira Caroline en posant sa main sur sa cuisse. - Je dois te dire quelque chose mon chéri... Tyrone veut que je le rejoigne et que je baise avec lui ce soir... Je sais, il est très jeune... Mais sa bite est si grosse, si épaisse... Oh mon Dieu... Je ne peux pas m'en passer... Non je ne le peux pas... Laisse moi y aller... Je t'en prie... Son mari lui répondit calmement : - Il y a quelque chose d'autre encore... Caroline bougea lentement sa main, elle haleta : - Chéri, mon chéri... Tu bandes... Ton pénis est tout raide... Cela m'excite follement... C'est de savoir que je me fais baiser par une jeune bite noire? ... Elle empoigna la bite de mister mari. - Oui il y a quelque chose d'autre mon chéri... Je devrai probable-ment baiser avec d'autres hommes, Tyrone a besoin de fric... C'est pourquoi il veut nous prostituer Linda et moi! ... Son époux, les yeux clos, le corps tétanisé grogna soudain : - oh mon Dieu... Caroline comprit qu'il venait d'éjaculer dans mister caleçon. - Oh chérie... Mon chéri... Tu as éjaculé dans ton pantalon... Oh chéri... C'est bon... Prend cette serviette et nettoie ton pantalon... Oh mon pauvre chéri... Lui dit-elle apitoyée. Quelques minutes plus tard ils se regardaient yeux dans les yeux, visi-blement calmés. - Mon chéri... Ce soir quand nous serons au lit... Voudras-tu que je te raconte ce que j'ai fait? ... Combien d'hommes m'auront possédée... Et comment ils m'auront prises... Aimeras-tu? ... Lui susurra-t-elle à l'oreille. Son mari la regarda fixement sans rien dire. Caroline sentit mister pénis reprendre de l'ampleur... - Eh bien mon chéri... Tu bandes à nouveau! ... Mon pauvre chéri... Je sais bien... T'en fais pas pour ça... Le soir même Caroline frappait à la porte de l'adresse indiquée. - Entres... Répondit Tyrone de l'intérieur. Caroline pénétra dans la pièce, il s'approcha d'elle et lui roula une pelle fiévreuse. Elle entendit des grommellements, des grognements émanant d'une des chambres. - Oh ma chérie... Ma douce salope... Laisse moi jeter un oeil sur toi... s'esclaffa Tyrone. Elle portait une baby doll bleu pâle et une paire de sandales hauts-talons, un mini-string bleu, ses nibards nus pointaient au travers du fin tissu de mister baby-doll, on distinguait clairement leur forme et leur ferme-té. - Wow ma chérie... T'es habillée comme une vraie pute! ... Siffla Ty-rone épata. Il enlaça Caroline et il l'emmena vers les chambres, dès la porte ouverte, caroline vit Linda nue entreprise par 3 athlétiques gaillards noirs... - Baise-moi sale pute... Baise-moi avec plus d'énergie... mets-y plus de cœur... Lui dit un des marauds lui claquant les fesses tout en coulissant âprement dans sa chatoune gonflée. - Oh oui... Ouiiiiiiiiiiiiii... Hurlait un autre- Wow... Sa chatte est vraiment succulente, suce moi salope... Le troisième titillait de la pointe langue ses mamelons... Quelle déli-cieuse petite pute blanche que cette Linda... Une bite noire en bouche, une autre dans la chagatte grognait continuel-lement. - Regardez-moi cette jeune chienne... Elle jouit de toutes ses fi-bres... Elle adore les mentules noires... Elle a vraiment de délicieux tétons... Une étroite petite chatte... Allez baise de tout ton cœur chienne blanche... Quelle belle pute blanche! ... On frappa à la porte, Tyrone s'en approcha et l'ouvrit, 4 noirs entrèrent, le premier avait 18/20 ans, les 3 autres 50/60 ans. 2 des plus vieux étaient gros et laids, le troisième était grand, les bras tatoués, un vérita-ble athlète. Caroline jeta un coup d'œil implorant vers Tyrone. - Je pensais que nous devions passer un bout de temps ensemble, tous les deux... Tyrone la coupa brusquement. - Je te rappelle ma petite chérie que t'es ma pute... Le boulot passe d'abord... C'est d'accord ma chérie... J'ai besoin que tu prennes bien soin de tes clients... C'est d'accord ma chérie? ... Le grand gaillard s'approcha d'eux : - Hey Tyrone, mon frère... T'as raimister... C'est vraiment une ravis-sante salope... et posant le bras sur les épaules de Caroline il ajou-ta : - Viens ici salope... Caroline avait honte, déjà sa chagatte s'inondait de cyprine à l'idée de ce qui allait suivre. Tyrone les avisa : - Ce sera 150 $ pour tous 4... Pour ce prix, vous pouvez la baiser, l'enculer, elle adore sucer les grosses bites noires... C'est une femme mariée... Cependant elle adore se faire baiser par de grosses mentules noires! ... Jake l'athlète noir qui tenait Caroline intervint : - Tiens voilà 200 $ mon frère... Mes potes et moi venons de sortir de primister... Cela fait 5 ans que je n'ai pas baisé, Junior et Bobby n'ont pas sauté de femmes depuis 10 ans, ils étaient en primister pour avoir violenté des femmes, quant à Lee il s'est tapé 3 ans de geôle pour viol, nous allons baiser ta pute pendant un sacre moment, reviens donc dans 3 heures Tyrone! ... Jake saisit le bras de Caroline, et suivi de ses comparses il l'entraîna dans la chambre libre. Il se pencha sur Caroline et lui roula une pelle ba-veuse, il était affamé de chair blanche, Caroline noua ses bras autour de mister cou alors qu'il glissait sa langue épaisse entre ses lèvres. Il lui enleva tout de go sa robe, elle enjamba mister string, que Jake des-cendait en bas de ses chevilles. - Regardez-moi cette chienne, toute ma vie je me suis branlé en pensant à ces salopes blanches, bordel ce que j'ai envie de me faire mister cul! ... Que le corps de cette chienne est soyeux! ... Caroline sentait des mains palper ses nichons, pincer ses tétons, tripoter ses fesses, on lui écarta soudain les globes fessiers, un doigt inquisiteur força mister trou du cul, un autre plongea dans sa chatoune, elle était trempée de cyprine. - Sa chatte bave comme un escargot... Elle est trempée... Tu n'es qu'une salope... Tu n'es qu'une pute bonne à baiser... Caroline les entendait se déshabiller, alors que Jake cessait ses baisers. Une autre bouche remplaça la sienne une autre langue pénétra sa bou-che. - Laissez-moi goûter à mister trou du cul! ... Je veux tester le cul de cette femme blanche mariée! ... Une langue épaisse testait maintenant mister oeillet resserré, elle savait déjà que mister trou du cul allait être profondément misterdé. - Je sens que je vais adorer l'enculer, tu aimeras ça toi aussi ma pe-tite pute! ... Sur ces mots un de ses clients lui claqua gentiment les fesses. - Ooooooohhhh... Aaaaaaaaaahhhhhhh..., Carole détourna mister vi-sage. - Aahhhhhh... Ooooohhhhh mon Dieuuuuuu... Cette pute va jouir... Salope... Tu es une vraie salope! ... Une heure s'était écoulée, Tyrone se dirigea vers la chambre où officiait Linda, 2 noirs assez âgés éjaculaient sur mister visage, tandis qu'un autre la baisait en chatte. Les jambes de Linda étaient bouclées autour du torse de mister troisième client alors qu'il la baisait en profondeur, elle grognait : - Aaaaaaaahhhhhhh... Ooooooooohhhhh, bordel... Tyrone... - Les gars, quand vous en aurez fini, vous vous barrerez! ... En sor-tant de la chambre il entendait encore les grognements de plaisir de Linda qui jouissait. Dans l'autre chambre, Caroline suçait à pleine bouche la bite du plus jeune tout en branlant deux des plus âgés, ils manipulaient tous les deux ses nichons bien ronds, bien fermes, Jake lui broutait le gazon. - Allez salope... Suce ma bite... suce-moi de tout ton cœur... - Cette pute à de succulents nibards! ... On va te baiser à couilles rabattues... Tu vas adorer ça chienne! ... Tyrone entendit un mister familier : Caroline grognait et gémissait submer-gée par un nouvel orgasme. Tyrone partit pour dîner, il était reconnaissant aux filles de lui avoir ra-mené une bonne somme. De retour il ouvrit la porte, la pièce était enfumée. Il se dirigea vers la chambre ou se tenait Linda, elle somnolait, nue, allongée sur le lit des filets de foutre s'écoulaient de mister con et de mister trou du cul. Cependant il n'était pas préparé à l'apparence de Caroline. Jake était assis vêtu d'un smoking, il fumait un joint, les deux violeurs de femme se rhabillaient, le plus jeune se faisait sucer par Caroline, extir-pant sa bite de mister gosier il finit de se vider les couilles en giclant sur mister visage déjà couvert de foutre. Ses cheveux, mister, visage étaient couverts d'une épaisse couche de fou-tre, de mister trou du cul et sa fentine suintaient des rigoles de foutre qui s'étalaient sur les draps. - C'est alors que le jeune noir ordonna à Caroline d'ouvrir la bouche en grand et lui souffla une forte dose de dope qu'il venait d'inhaler. Ils sortirent de la chambre, arrivant à la porte, Jake se tourna vers Ty-rone - C'est vraiment une chaude salope mon frère... Elle a gagné cha-que penny qu'on a payé... Merci... Lorsque tu partiras, pour quoi ne m'en donnerais-tu pas la gestion? ... Je la mettrais sur le trottoir, elle nous rapporterait un max de fric! ... Penses-y! ...
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chrislebo
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Les autres approuvèrent en hachant la tête. - Eh oui mon gars c'est une véritable pute... Cette salope a joui une bonne vingtaine de fois... Quelle bonne pute blanche... Un sacré coup... Une bonne pute pour une femme blanche mariée! ... - Hey Jake, elle a 3 filles splendides... De véritables beautés... Elles lui ressemblent comme deux gouttes d'eau... Des jeunes vierges... Cela t'interesse-t-il? ... Qu'en penses-tu? ... Evidemment ce sera cher! ... Les deux worryeurs ouvrirent un oeil intéressé. - Hey Jake... Il suffira d'un vol de plus... Nous aurons le fric qu'il faudra... Surtout pour se faire de mignons petits chatons de jeunes blanches encore vierges! ... Allez mon frère... Et tendant un bout de papier où était noté un numéro de téléphone Jake reprit : Téléphone-moi dans quelques jours... Nous en reparlerons... - C'est d'accord... Répliqua Tyrone ravi de la tournure que prenait ce projet. Dans la voiture, Caroline se regardait dans le miroir, mon Dieu, elle était couverte de sperme, elle en avait dans les cheveux et sur le visage. Elle essuya tant bien que mal le foutre qu'elle avait dans les yeux afin de pouvoir conduire correctement mister véhicule, elle se lécha les doigts savourant le foutre qui les barbouillait, elle adorait le goût salé de la se-mence virile. Elle sentait le foutre suintant de mister trou du cul et de sa chatte s'écouler le long de ses cuisses, elle avait des pensées perverses, elle ne pouvait nier qu'elle était une excellente pute maintenant, pas moyen de l'ignorer. Tyrone lui parlait maintenant de ses filles, sans aucune honte elle en était toute émoustillée. - Chéri, réveille-toi... Réveille-toi... Susurrait Caroline à l'oreille de mister mari, elle ne voulait surtout pas réveiller ses filles, mister mari se tourna vers elle, Caroline vit sa petite bite dressée. - Je vais me laver le visage, puis je reviens te raconter... Lui dit Ca-roline en se dirigeant vers la salle de bain. En revenant au lit, elle se coucha sur le dos et écarta ses longues cuis-ses. - Enfouis ta tête entre mes cuisses mon chéri, et viens nettoyer ma chatte, je veux que tu goûtes au foutre de ces noirs qui ont joui dans tous mes trous, allez grouille-toi! ... Caroline ne lui demandait pas de la lécher, elle le lui ordonnait. Il enfouit docilement sa tête entre ses cuisses et recueillit à pleine bou-che le foutre qui s'échappait de mister trou du cul et de sa fentine engor-gés, il lui nettoyait minutieusement ses deux trous. Caroline commença alors à lui raconter sa nuit, Caroline entendit mister mari grogner, il roula sur le flanc sa bite envoyant quelques maigres jets de foutre sur ses cuisses. Les larmes aux yeux, mister époux rampa vers le haut se postant à mister co-té, elle l'embrassa tendrement - Je suis heureuse que tu aimes mon histoire... Je t'aime mon ché-ri... Son mari la regardait fixement. - Veux-tu venir me voir travailler de temps à autre? ...Aimerais-tu me voir en train de me faire baiser par des clients? ... Tu pourrais te cacher dans les toilettes et tu me verrais me faire baiser par tous ces noirs! ... Je suis sûr que tu aimerais ça! ... - Le révérend ne lui répondit pas, il sanglotait sourdement, Caroline tendit la main, sa petite bite qui avait repris de l'ampleur fournissait la réponse à ses interrogations. Elle décida de ne pas lui parler de ce que l'avenir réservait à leurs 3 fil-les, elle ferma ses yeux, sa chatoune s'humidifiait à nouveau en pensant à ce qui allait arriver à ses filles, elle voulait le voir, cela l'excitait tant! ... Enfin elle s'endormit le corps tout endolori après ses multiples passes.
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soumis8
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soumis8
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Tyrone empoigna mister portable, c'était Jake l'immense noir ex-taulard.
- C'est toi mon frère? ... demanda Tyrone reconnaissant la voix de Jake.
- Oui mon frère, j'ai repensé à ton offre concernant ces deux pucelles blanches... Les filles de ta pute préférée qu'on a baisé avec mes potes il y a deux semaines! ...
Tyrone explosa de rire
- Sur mon frère.. Une des jumelles a 19 ans, elle a de longs cheveux blonds et ce qu'il faut là où il faut... Des petits nibards bien ronds, bien fermes, de longues jambes bien galbées, un corps de pute... Et en plus cette ravissante petite blanche est encore pucelle, je crois qu'elle s'appelle Sue! ...
- Te souviens-tu de Bobby et Junior qui se mistert fait Linda il y a deux semaines... Ils ont trouvé deux autres amateurs de pucelles blanches... Ils veulent tous 4 s'en faire une... Ils offrent 2000 $ pour la baiser à leur gré... Ils ont le fric... Quant à sa soeur...
- L'autre, se nomme Carole, elle ressemble comme deux gouttes d'eau à sa mère, une belle paire de nibards, de longues jambes, un ravissant petit cul... Tout comme sa mère... Rétorqua Tyrone sentant la bonne affaire.
- 4 autres gars sortant de primister cherchent une vierge blanche à se faire... Je te donne 2500 pour elle, et tu me livres leur mère gratuitement! ... Je leur ai aussi parlé d'elle et il y a une paire de clients qui aimeraient la sauter.. Es-tu d'accord? ...
- Sûr mon frère... Quand? ...l'interrogea Tyrone ravi.
- Rappelle-moi cette nuit sur le coup de 22 heures si c'est d'accord... Conclut Jake.
Du haut de ses 18 ans, Tyrone l'aide serveur noir ne parvenait pas à croire en sa
chance, 4.500 $ de gagné en une soirée.
Il pourrait donner 100 $ à Caroline pour mister entremise qui per-mettrait à ses clients de baiser ses deux aînées.
Il attendrait un peu pour se les faire à mister tour, en attendant, il s'était réservé la plus jeune et par le diable... Jamais il n'avait gagné autant d'argent en une soirée... Il se ferait sucer la bite par Caroline avant que n'arrivent leurs clients.
Il téléphona ensuite à Caroline.
- Hey ma petite pute c'est Tyrone...
- Salut Tyrone, je suis dans mon bureau à l'église, je suis en rendez-vous... Je ne peux pas te parler pour l'instant! ... Répondit Caroline d'une voix sourde.
- Ecoute-moi bien ma chérie... J'ai besoin de toi et de tes jumelles cette nuit à 22 heures... J'ai quelques potes qui veulent les sauter... Ils veulent se faire tes petits anges... Jette un coup d'œil discret sur les gens présents dans ton église et dis-moi en catimini que cela t'excite follement de voir des bites noires s'enfoncer dans les chagattes vierges de tes petits anges! ... Allez, dis-le-moi...
Caroline qui ne voulait pas préjuger de ses réactions à ce spec-tacle lui répondit nerveusement :
- Cela devrait effectivement m'exciter... Tu le sais bien... Je serai heureuse d'y assister...
- C'est d'accord ma chérie... Je veux que tu assistes au dé-pucelage de tes petits anges...
- Oh merci mon chéri, on sera toi et moi... C'est merveil-leux... Concéda Caroline ravie.
- Au revoir... Tyrone éteignit mister portable sans même attendre de réponse. Il savait qu'à défait de la baiser à couilles rabattues, il se ferait tailler une pipe.
Caroline descendit au rez-de-chaussée, elle portait une mini-robe noire sur des bas noirs qui galbaient ses longues jambes.
Sa robe gainait sa croupe et exposait sa succulente paire de nichons?
Elle avait maquillé ses lèvres avec un rouge vif qui contrastait fortement avec ses grands yeux verts. Ses longs cheveux blonds cascadaient sensuellement sur ses épaules, elle était ravissante.
Le Révérend Mike James pénétra dans la maimister après avoir emmené sa plus jeune fille, Laura chez ses amies. Son cœur s'emballa à la vue de sa femme ainsi vêtue.
- Assieds-toi mon chéri... L'invita benoîtement Caroline.
- Tyrone m'a appelé... Sue et Carole doivent m'accompagner... L'informa-t-elle doucement.
Le révérend Mike savait ce que cela sous-entendait. Ses deux ravissantes aînées allaient appartenir à de nombreux noirs cette nuit! ...
- Oh chéri... Mon pauvre chéri... Cela te fait bander... Mon pauvre chéri... Constata Caroline en lui caressant la cuisse.
- Je te raconterai tout en rentrant...
Leurs deux petits anges les rejoignirent au rez-de-chaussée.
Carole apportait une mignonne petite robe d'été jaune qui lui arrivait à mi-cuisses, elle portait un soutien-gorge pus up qui mettait ses miches en valeur. Elle s'était maquillée légèrement, ses cheveux étaient serré en queue de cheval, ses yeux bleus étincelaient.
Sue, sa jumelle portait une tunique bleue qui moulait mister jeune corps qui exposait aux yeux de tous ses longues jambes ha-lées. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses tétons pointaient librement au travers du fin tissu, ses superbes nichons étaient visiblement bien fermes et ses cheveux bruns cascadaient sur ses épaules, elle véritablement somptueuse.
Le révérend Mike embrassa tendrement ses deux filles en leur souhaitant une bonne soirée, Caroline le regardait droit dans les yeux...
- Je les surveillerai de près... On va passer une excellente soirée... Rétorqua Caroline en embrassant à mister tour mister époux.
Dans leur voiture, Caroline tentait d'expliquer, en demeurant dans le vague, le but de leur sortie.
Elle leur vantait ces bons moments qu'elles allaient passer en-semble.
- Ces hommes ont besoin de nous... Nous sommes des femmes d'église... C'est notre vocation de faire le bonheur de tous... Leur confia Caroline hypocritement.
Sa chatte était trempée à la perspective de ce qui allait leur arri-ver.
- Nous ferons de notre mieux maman... Nous sommes si heureuses de t'assister... Répliquèrent les deux filles en chœur.
Tyrone leur ouvrit la porte et siffla d'admiration.
- Wow... Quelles beautés... Entrez...
La pièce était pleine de fumées de joint. Les deux filles regar-daient abasourdies Tyrone enlacer leur mère pour lui rouler une pelle fiévreuse. Il se détourna et quitta la pièce.
Les jumelles regardaient fixement leur mère.
- Je me suis seulement montrée gentille avec cet homme, c'est vrai... Vous devrez aussi embrasser ses amis... Nous sommes ici pour aider ces malheureux... Les apaisa caroline d'une voix contrite.
Tyrone, de retour dans la pièce tendit un joint à Caroline, elle inhala profondément et s'assit sur le canapé entre ses deux aî-nées.
Carole, prend cette cigarette entre tes lèvres inspire profondé-ment et retiens ton souffle quelques instants avant de rejeter la fumée... A ton tour Sue...
Caroline et Tyrone éclatèrent de rire en voyant les jeunes filles tousser en chœur après avoir avalé la fumée.
- Allez les filles une nouvelle bouffée...
Les deux jeunes innocentes se conformèrent aux ordres de leur mère.
Soudain les trois filles ressentirent une forte chaleur qui enva-hissait leur corps. La drogue opérait.
On frappa à la porte, Tyrone ouvrit aux arrivants.
Caroline reconnut alors Jake le colosse noir aux bras couverts de tatouages. Il était accompagné de 4 solides gaillards, elle pensa tout de suite qu'il s'agissait encore de connaissances faites en primister.
- C'est pour toi Tyrone... Dit Jake en lui tendant une épaisse enveloppe.
Jake observa attentivement les 3 jeunes femmes assises sur le canapé. Les deux jeunes filles se blottissaient contre leur mère.
- Debout salope! ... Viens ici! ... Cria Jake s'adressant à Ca-roline.
Comme elle s'approchait de lui, il l'empoigna et lui roula un patin baveux, sa langue pénétra profondément entre ses lèvres, elle ouvrit servilement la bouche.
Jake cessa brusquement de l'embrasser et interpella ses com-parses :
- Allez les gars venez donc palper les appas de cette garce... C'est un très bon coup...
4 paires de mains explorèrent alors sur mister corps, lui pelotant le cul et les nichons.
- Quelle salope les gars! ... Bordel, ce qu'elle est chaude! ... Palpez donc ses miches! ... Quelle chienne en chaleur! ... se congratulaient les 4 gaillards en riant en chœur.
Un gros noir passa sa main sous ses jupes lui palpant la cha-toune, elle était trempée.
- Hey les gars elle est trempée comme une soupe... c'est vraiment une sacrée salope! ... Rit-il à pleins poumons.
Déjà Caroline jouissait sous ses doigts.
Les deux jumelles étaient profondément choquées de voir leur mère subir les assauts de ce gros noir.
- Maman, maman... S'il te plait, ne lui faites pas ça... Ne te laisse pas faire... Je t'en prie... Hurlaient ses deux filles affolées.
Caroline les regarda en souriant.
- C'est rien les filles... Rien de bien grave...
On frappa de nouveau à la porte. Tyrone ouvrit une nouvelle fois la porte, Junior et Bobby entèrent suivis de deux autres violeurs sortant tout juste de primister.
Ils tendirent eux aussi une épaisse enveloppe à Tyrone tout en reluquant avec convoitise les deux jeunes filles.
- Maman, maman... Viens à notre secours... Oh maman... J'ai peur... Maman...
Caroline cessa ses embrassades en voyant une des brutes sai-sir un de ses petits anges par le bras et l'entraîner dans une chambre en compagnie de Bobby, Junior et leur dernier com-plice.
Elle entendit alors Bobby s'exclamer :
- Ta gueule salope... Tu vas être gentille avec nous petite pute... Hey Junior caresse-moi ces appas.. Bordel comment peut-elle être aussi mignonne...
Junior ajouta en riant :
- Bordel je ne peux plus attendre plus longtemps... J'ai une folle envie de la baiser... J'adore les jeunes pucelles blanches! ...
Caroline dut se mettre à genoux, pour prendre soin des deux nouveaux clients
Elle ne savait où donner de la tête pour sucer simultanément leurs gros chibres noirs.
Elle vit Jake emmener Carole dans une chambre, la main posée sur sa somptueuse croupe. 4 noirs dans la power de l'âge les suivaient en riant à pleins poumons.
- Quelle jolie petite chatte, on va s'amuser comme des petits fous cette nuit, on va te baiser toute la nuit jolie petite pute, tu ne seras plus qu'une petite pute blanche! ... Discutaient-ils entre eux en jubilant.
Elle vit Caroline en entrant dans la chambre.
- Maman, j'ai peur! ... Maman, s'il te plait maman viens à mon secours! ... Je t'en prie... De grosses larmes perlaient à ses paupières.
Jake l'empoigna rudement tout en jetant un oeil sur Caroline agenouillée, il gifla sévèrement Carole en plein visage, quelques autres claques suivirent.
- Ecoute-moi bien petite pute... Pleurer ne te servira rien.. Tu ferais mieux de te montrer gentille et docile avec moi et mes copains, on va te baiser à couilles rabattues! ...
Caroline entreprit de tailler une pipe à l'un de ses clients, elle sentit qu'on lui remontait sa jupe, avant de descendre mister string de satin noir sur ses cuisses.
Son autre suborneur, James, demanda à Tyrone.
- Comme permisterne ne s'occupe d'elle, puis-je la baiser en con ou bien lui lécher le cul? ...
Tyrone éclata de rire
- Elle est libre, encule la... Enconne la... Si tu le veux, elle te sucera avec cœur... Tu peux en faire ce que tu veux en attendant de sauter sa fille! ...
Lui écartant les fesses en grand, James entreprit de lui lécher le trou du cul. Caroline était sur le point d'orgasmer, ses nichons étaient en feux...
Soudain elle sentit James engouffrer sa grosse mentule noire dans sa chatoune inondée de cyprine, tout en lui claquant les fesses.
- Bordel quelle chaude putasse! ... Tortille-toi sur mon vit salope! ... C'est ça... Comme ça...
L'autre gars, avait la bite enfouie profondément dans sa gorge, Caroline sentit soudain mister gland s'expandre, elle sut alors qu'il était sur le point de gicler.
- Uuuuggghhhhhhhh... Avale mon foutre salope! ... Avale mon sperme de noir... Uuuuggghhhhhhh... Et jet après jet il se vida les couilles dans sa gorge accueillante, caroline n'en manqua pas une goutte.
Son suborneur se mit à la gifler à tour de bras en, lui prenant le menton.
- Pour une femme mariée t'es une drôle de salope ma ché-rie, tu me suces la bite mieux qu'une pute... Une chienne blanche en rut! ...
Il la gifla à nouveau, Caroline jouit brusquement.
- Je jouiiiiiiisssssssss... Aaaaaaaahhhhhhh... Ahhhhhhh... Avale tout salope! ...
Caroline sentait James se vider à gros geysers dans sa cha-toune embrasée, gifle après gifle il se vidait jusqu'à la moelle.
- T'aimes le sexe vulgar ma chérie... et la giflant de plus belle.
- Et maintenant nettoie ma bite salope...
- Aahhhhhhhhhh... Oh mon Dieu... Je jouis aussi...
Caroline vit alors mister autre client se diriger vers la chambre d'un de ses petits anges.
Caroline entendit Carole sangloter dans sa chambre.
Jake dit alors :
- C'est d'accord les gars, vous pouvez lui bouffer le gazon et lui pourlécher le trou du cul, mais c'est moi qui la baiserais en premier...
Carole poussait des cris étouffés :
- Maman, oh maman... Oh mam... Caroline se figura que quelqu'un lui roulait une pelle interrompant net ses plain-tes.
- Allez les gars foutez la à poil... Regardez-moi cette délicieuse chagatte... ha, ha, mon Dieu admirer ces succulents tétons... ces longues jambes bronzées... dépouillez-la de sa petite culotte... oh mon Dieu quelle mignonne petite chatoune! ...
Un de ses clients éclata de rire en lui pelotant la croupe :
- Moi je veux me faire mister trou du cul... Uuuuummmmm... Mon Dieu, que sa peau est douce... Que mister cul est ten-tant... Mon Dieu palpez donc ce délicieux cul...
Un autre jouait avec ses nibards en s'esclaffant :
- Quelle belle paire de miches! ...
James la délaissa se dirigeant vers la chambre de Sue. Tyrone regarda alors fixement Caroline lui enjoignant :
- Et maintenant suce moi salope! ... Bouffe-moi la bite! ...
Caroline leva mister regard sur lui tout en l'embouchant :
- Je pensais que nous serions tous deux ensemble cette nuit, juste toi et moi...
- Le business d'abord ma chérie... Et maintenant suce moi avec application... Lui rétorqua Tyrone impavide.
Caroline entendit alors Bobby dire à Junior :
- Elle a vraiment u corps somptueux cette petite pute... Un corps de jeune pucelle... Je meurs d'envie d'y goûter...
Junior ne put que grogner, la langue enfoncée jusqu'à la garde dans le trou du cul rétif de Sue, il plongeait profondément dans l'étroit oeillet resserré.
- Caressez-moi ses cuisses, et ses petits nichons? ... Bordel, que sa peau est douce et soyeuse... palpez-moi ces nibards...
- Bordel, elle a tellement peur qu'elle vient de pisser sous elle, écartez-vous de mon chemin que je puisse goûter à mister urine, elle doit être aussi savoureuse que mister petit corps! ... Allez ma chérie, pisse-moi dans la bouche, Bordel que j'aime le goût des jeunes pucelles blanches... Aaaahhhhhhhhhhh... Que j'aime le goût de mister flot d'or! ...
- Maman... Maman... J'ai peur... Maman... Mam...
Slap. Slap...
- Ferme là petite pute... Je vais sucer tes tétons... Bordel que mister corps est goûteux... Extirpez vos langues de mister con et de mister trou du cul qu'elle puisse vous sucer...
Ils éclatèrent tous de rire.
- Maman... Maman... Mam...
Caroline comprit qu'une grosse bite noire venait de powerr ses lèvres.
- Suce-moi salope... Suce ma bite comme ta mère me l'a sucée... Tu n'es plus rien d'autre qu'une suceuse de bite... Regardez la les gars... Elle doit aimer ça... Elle me suce avec application alors je caresse ses charmes... Bordel ses tétons mistert succulents... C'est ça les gars... Dépê-chez-vous que je puisse à mon tour lui fourrer ma grosse bite dans la bouche! ...
Tyrone se vidait les couilles dans la bouche asservie de Caro-line, elle adorait le goût de mister foutre, si crémeux et si salé.
- Essuie-toi le visage et viens avec moi voir tes filles se faire baiser! ...
Caroline s'assit sur le canapé et entreprit de nettoyer ses cuisses couvertes du foutre de James.
Elle entendit Jake intervenir :
- On s'est assez amusé avec elle les gars... Je veux la baiser maintenant...
Caroline se releva vivement et pénétra dans la chambre. Jake embrassait mister petit ange à pleine bouche, un doigt fourré dans sa cramouille. Il rit à gorge déployée.
- Cette petite pute est trempée... Sa chatte dégouline de cy-prine...
Il se releva et écarta les cuisses de Carole en grand, elle hurlait totalement paniquée alors que l'épais gland s'engouffrait dans sa chagatte vierge martyrisée.
Carole hurlait de douleur.
- J'ai mal... Om mon Dieu arrêtezzzzzz... Arrêtezzzzzzz... J'ai trop mal... Elle hurla de plus belle quand Jake enfouit sa grosse bite en elle massacrant mister hymen.
- Je vous en prie arrêtez... Oooooooohhhhh... Que j'ai mal...
Les épaisses lèvres de Jake se posèrent alors sur les siennes. Jake coulissait âprement en elle, chaque fois il la pénétrait plus profondément, dévastant mister fourreau d'amour tout endolori.
La jeune Carole n'avait jamais ressenti de telles sensations au-paravant.
Ce bâtard de nègre l'avait copieusement pelotée, tandis que d'étranges chaleurs lui embrasaient le corps.
Tout d'abord, elle se sentait coupable, souillée et endolorie, mais maintenant mister corps la brûlait toute...
- Mon Dieu que c'était bon... Elle ne savait pas ce qu'étaient ces nouvelles sensations, mais cet émoi était si enivrant...
Jake l'empalait de plus en plus profondément, Caroline voyait sa petite Carole se cambrer sur les hanches pour mieux accueillir les coups de boutoir de Jake, elle gémissait sourdement.
Jake empoigna les longues jambes blanches de l'ex-pucelle et les verrouilla dans mister dos musclé. Il l'embrassa de plus belle en enfouissant ses 30 centimètres de bite dans sa chatoune distendue, elle poussait des grognements satisfaits.
- Ooooooohhhhhhh... Aaaaaaahhhhhhhhhh... gémissait-elle, Jake la labourait âprement, il ressentait une folle joie de dépuceler cette jeune blanche.
Il baissa les yeux sur le visage extasié de sa ravissante proie.
- Baise-moi plus fort... Encore... Oh mon Dieuuuuuu... Je jouiiiiiisssssssss...
Il se déversait à torrent dans la chatte de la jeune blanche dépucelée, jet après jet il lui tapissait l'utérus.
Il extirpa sa grosse bite de sa chagatte dévastée avec un "plop" misterore...
- Poses tes fesses là et nettoie ma grosse mentule noire avec ta langue.
Carole lui obéit servilement.
Caroline gagna l'autre chambre où se trouvait Sue la jumelle de Carole.
Elle était accroupie sur le visage de Junior, un gros chibre noir fourré dans sa bouche.
Les yeux de deux autres comparses étaient braqués sur eux, ils brillaient de concupiscence.
Junior lui broutait la moule, elle gémissait sourdement.
- Bordel je veux me la faire! ... Poussez-vous les gars que je baise cette somptueuse petite salope! ... Je veux sentir mister étroite petite cramouille enserrer mon épaisse mentule! ... Relève-toi Junior, que je puisse la posséder! ... Bordel ce que j'ai envie de cette savoureuse pucelle! ... Pose-là le cul sur le lit, on la baisera chacun à notre tour! ... Regardez les charmes de cette petite salope! ... 4 violeurs de jeunes femmes enfermés dans une chambre avec une jeune pucelle blanche! ... Elle a les yeux pleins de plaisir! ... Elle miaule comme une chatte en rut! ...
- S'il vous plait... Nonnnnnnn... Je vous en prieeeeeeee... Pas ça... Nonnnnnnnnnn.... Les suppliait la jeune fille affolée, Bobby la gifla rudement en plein visage.
- Ferme ta gueule salope! ...
C'est à peine si Sue avait déjà embrassé mister petit ami aupara-vant, jamais un homme n'avait glissé ses mains sur ses charmes intimes.
Ce bâtard venait de dévaster mister jeune corps, il l'avait violentée sans vergogne, cependant mister langage des plus vulgaires l'excitait au plus haut point.
L'énorme queue de Bobby s'engouffra dans sa mignonne petite cramouille, à peine l'eut-il pénétré que déjà il était sur le point de jouir en elle.
- B
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soumis8
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- J'ai mal... Je vous en prie... Arrêtezzzzzzzz... Ca fait mal... Je vous en prie... Arrêtezzzzzzzzzzz... Pleurnichait-elle misérablement.
Slap... Slap...
- Allez petite salope tortille ton cul! ...
Bobby débordait de joie.
Sa bite le brûlait depuis qu'il avait déchiré mister hymen... Son fourreau s'avérait aussi trempé de cyprine et qu'étroit.
- Oooooohhhhhhhhh... Aaaaahhhhhhh... Mon Dieu... Epargnez-moi... Ayez pitié... Je vous en supplie...
Sue n'était pas qu'endolorie, elle était submergée par un intense plaisir, elle se sentait souillée mais mister corps la brûlait tant mister excitation était grande.
- Allez, baise-la Bobby... Fourre-moi cette petite salope blanche... Je crois qu'elle aime se faire baiser... Allez les gars matez mister grand corps noir allongé sur cette petite blanche! ... Suce ses tétons Bobby... Ils mistert adorables... Je n'en peux plus d'attendre pour la baiser! ... Quelle petite salope! ...
Tyrone empoigna le bras de Caroline et l'entraîna sur le canapé lui offrant un joint. Ils fumèrent de concert écoutant attentive-ment les grognements de plaisir emplissant la chambre.
Une fois sorti de l'hôtel, Tyrone intima à C
Caroline
- Je veux que tu descendes la rue en roulant des hanches, tu vas jusqu'au croisement et tu reviens.
Des voitures ralentissaient sur mister passage, deux jeunes bran-leurs lui demandèrent combien elle prenait pour une pipe, un vieil homme voulait lui pisser dans la bouche...
Une voiture s'arrêta le chauffeur l'interrogea :
- Hey chérie... Combien tu prends pour une passe? ...
Arrivée au croisement 2 jeunes ados la sifflèrent et l'interpellè-rent à leur tour :
- Hey salope... T'es vraiment bien carrossée... Combien...
Caroline n'en revenait pas de ces chaudes propositions, cela la troublait énormément alors qu'elle revenait vers Tyrone.
- Tiens voila 100 $ pour m'avoir livré tes filles! ... Autre chose maintenant... Jake prendra soin de toi lorsque je serai parti... Approche que je tâte ta chatoune... Mais elle est trempée... C'est les propositions de tous ces éventuels clients qui t'émeut tant que cela? ... Réponds-moi...
Caroline ne put qu'approuver mister sentiment :
- Oui... J'ai... J'ai aimé ça! ...
- C'est excellent, nous allons te faire faire le trottoir, tu vas nous rapporter pas mal de fric! ... Nous nous partagerons les gains Jake et moi... Tes filles t'accompagneront... A mon retour je me ferai ta plus jeune... Elle sera à moi...
Caroline ne put qu'approuver de la tête.
Lorsqu'ils retournèrent dans la pièce, 4 des clients rhabillés fu-maient u joint assis sur le canapé.
caroline pénétra dans la chambre occupée par Carole, un homme l'enculait alors qu'elle suçait la bite d'un autre
- Ohhhh mon Dieuuuu... Cette jeune salope baise comme une déesse grommelait mister enculeur tout en lui claquant les fesses.
Caroline gagna alors la chambre occupée par Sue. Ses 4 clients la mignotaient avec concupiscence. Ils meurtrissaient mister jeune corps.
L'un d'eux déclara soudain :
- Je vais la baiser à nouveau... Bordel ce qu'elle est ban-dante... Sur ces mots il lui enfourna sa bite en pleine bouche.
Caroline s'assit sur le divan. Jake et Tyrone discutaient en riant aux éclats. Des grognements sourds émanaient des deux chambres.
- Ce mistert mes filles qui gémissent aussi lubriquement... Su-bodora-t-elle rapidement, J'espère qu'elles prennent leurs pieds! ...
4 clients les quittèrent après avoir salué Jake et Tyrone. Les 4 autres sortirent des deux chambres en remontant leur pantalon.
- Bordel les gars... C'était délicieux... Quelles petites salopes! ... Elles vont faire des putes sensationnelles! ... Rirent-il en chœur.
Ils les quittèrent sur ces mots.
Caroline pénétra à nouveau dans la chambre de Carole.
Son corps était couvert d'épaisses traînées de foutre. Son visage était couvert de sperme. Ses cheveux étaient empesés... des rigoles de foutre suintaient de mister con et de mister trou du cul. Caroline s'assit à mister coté, elle racla la couche de semence qui embourbait mister visage avec ses doigts qu'elle suça machinalement.
- Tiens ma petite chérie suce mes doigts... C'est du foutre de tes clients... Il est vraiment goûteux... Et maintenant tu vas te nettoyer pendant que je m'occupe de ta sœur.
Sue était étendue sur le lit cuisses grandes ouvertes. Ses lèvres saignaient à power d'être giflée. Son corps était couvert de foutre, de la semence crèmeuse, blanchâtre s'écoulait de mister trou du cul, et de sa chatoune.
Son corps était meurtri, on distinguait clairement les traces de coups et les marques de morsures qui couvraient ses cuisses et ses jeunes nichons.
Sue gémissait :
- Ohhhh que c'était bon... Nonnn pas ça... Mon Dieu, mon corps me brûle... Oooooooohhhhh, aaaaahhhhhhhhhhh...
Caroline constatait avec joie que Sue venait d'éprouver ses premiers orgasmes.
Les filles étaient calmes dans la voiture, caroline pensait déjà à l'avenir qui les attendait, elles devraient toutes trois se prostituer, faire le trottoir pour Jake et Tyrone.
Elles embrassèrent tendrement leur père sur la bouche. Ces baisers lubriques le choquèrent profondément.
Le révérend Mike léchait le sperme de James qui s'écoulait de la chatoune de mister épouse tandis qu'elle lui racontait comment ses filles avaient appartenus à 8 hommes, 4 pour chacune.
Elle décide de ne pas l'avertir, pour l'instant qu'elles allaient faire le trottoir pour leurs deux souteneurs.
Elle entendit mister mari haleter.
- Oh mon pauvre chéri... Mon cœur... Tu jouis sur mes che-villes... Ha, ha, ha... Lèche-moi la foufoune avant que nous allions coucher...
Caroline ferma les yeux sous les caresses de la langue de mister mari.
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chrislebo
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Les trois filles de Caroline prennent soin des amis de Tyrone. Caroline empoigna mister portable qui misternait dans mister sac. - Caroline, Caroline... entendit-elle une voix féminine hurlait dans mister téléphone - Oui.. Oui... A qui ai-je l'honneur? - C'est Linda, C'est au sujet de Tyrone... Sanglotait-elle à l'autre bout du fil. - Il a été arrêté et jugé... Il a pris un an de taule... Oh mon Dieu... Mon Dieu... Pleurnichait-elle éperdue. Caroline s'informa : - Mais que... Que s'est-il passé? ... - Linda lui répliqua tout de go : - Il a été embarqué pour la vente de drogues... Il a été jugé en fla-grant délit... Il en a pris pour 1 an! ... Oh mon Dieu... Il me manque telle-ment... - Je suis désolée d'avoir mis si longtemps à te téléphoner... Mais je ne trouvais pas ton numéro... Ajouta-t-elle misérablement. - D'autre part, Jake, l'ex-taulard qui t'a baisée si vigoureusement avec ses potes... Il s'est fait descendre lors d'un braquage! ... C'est terrible! ... Poursuivit Linda effondrée. Caroline comprit à cet instant pourquoi ils ne les avaient pas contactées, les filles et elle, lors de ces 6 dernières semaines. - Chérie, tout va bien se passer... Viens donc nous rejoindre pour une paire de jours, tu seras vraiment la bienvenue... Lui proposa Caroline émue. - Oh merci Caroline, Je vais venir rapidement... Je t'appellerai pour te prévenir de mon arrivée... Le temps de prendre quelques dispositions... Rétorqua Linda visiblement impatiente de la rejoindre. - Tu te sens un peu mieux ma chérie... Tu m'as manquée... A bientôt... Conclut Caroline émue En refermant mister portable, Caroline se remémora la chaude nuit qu'elle avait passée avec Linda, elle avait aimé se faire caresser par Linda, c'était sa première expérience avec une femme, elle avait adoré... Jamis elle n'aurait pensé qu'une chatte puisse être aussi savoureuse... Alors qu'elle était en redez-vous dans mister bureau à l'église, elle sentait sa chatte s'humidifier rien qu'à l'évocation de cette nuit torride passée dans les bras de Linda. Elle était assise sur le bord de mister bureau, ses longues jambes étaient croisées, sa courte robe rouge moulait ses charmes exposant un large morceau ses cuisses crèmeuses, elle discutait théologie avec deux membres de la paroisse. Depuis qu'elle avait rencontré Tyrone, elle avait complètement changé ses tenues, même celles qu'elle mettait en rendez-vous. La misternerie du téléphone misterna dans le bureau de mister mari, il se leva et pénétra dans mister bureau. - Excuse-moi ma chérie, je suis désolé... Commenta le révérend. Caroline sortit de la pièce s'excusant elle-même, elle sentait les yeux de ses deux interlocuteurs s'attardder sur sa croupe alors qu'elle sortait du bureau. - Chérie, c'est Julie Bromell, la principale du lycée de Carole et Sue... L'informa le révérend tendant à Caroline le téléphone, avant de retourner dans le bureau qu'il venait de quitter. - Bonjour madame Bromell, que se passe-t-il? ... - Bonjour madame James, les filles se portent très bien... Répliqua Julie d'une voix douce. - Ooooohhhhh merci mon Dieuuuuuuu... Vous m'ôtez un gros poids... Reprit caroline apaisée. - Elles mistert toutes deux dans mon bureau... En sureté... Reprit la principale. - Cependant elles se mistert mises dans une situation dont j'aimerai discuter avec vous en privé... Le plus tôt possible! ... Julia reprit alertée. - J'arrive madame Bromell... Donnez-moi une heure... En entrant dans le bureau de la principale, madame Julia Bromell un e petite femme légèrement enrobée, habillée de façon fort élégante, les cheveux noirs, une femme très séduisante de fait, visiblement satisfaite de rencontrer Caroline aussi rapidement. La principale lu fit signe de s'asseoir. Caroline remarqua le regard de la principale s'attardant sur ses charmes, et plus spécialement sur ses miches tandis qu'elles se saluaient réciproquement. - Je ne sais pas très bien par quoi commencer... Je ne sais pas comment aborder cet épineux sujet... Aussi vais-je purement et simple-ment vous exposer les faits! ... L'avisa Julia Bromell d'une voix impermisternelle. - Ce matin... Juste avant la rentrée des classes... Alors que je fai-sais une ronde de surveillance... Je... Je... - Qu'y a-t-il madame Bromell? ... La coupa Caroline assez inquiète. Je traversais la chaufferie au sous-sol, et Je... J'ai grand peur de vous choquer... Vous qui êtes femme de pasteur... Une écrivain renommée... Et tout ça... Bredouilla soudain Julia Bromell. - Continuez, je vous en prie madame la principale... Je vous en prie, dites-moi tout... La coupa Caroline nerveusement. - C'est là que j'ai surpris Carole et Sue à genoux, prodiguant une fellation à nos deux factotums noirs! ... Julia poursuivit: - Ils ont tous deux 70 ans... Ils avaient remonté les brassières de vos deux filles et leur pelotaient rudement les nichons... Dieu seul sait ce qui se serait passé si je n'étais pas arrivée fort opportunément! ...Termina Julia d'une voix gênée. Caroline était abasourdie, bien sur elle connaissait l'impact de leur terrible nuit de luxure sur ses filles... Mais elle était loin de s'attendre à cela! ... Très surprise elle questionna la principale : - Où mistert mes filles maintenant? ... Et quelles mesures avez-vous prises à l'encontre de vos deux employés? ... - Vos filles mistert retournées en classe comme si de rien n'était, et j'ai suspendu, Ben et Léon, les deux hommes de peine! ... Je n'ai pas encore appelé les services de police... - N'appelez pas les powers de police, ce n'est pas nécessaire ma-dame la principale... Et laissez vos deux gardiens reprendre leur boulot comme si de rien n'était... Ces déviations arrivent parfois... Je me charge de discuter avec mes filles! ... Julia restait assise, soulagée. Elle n'avait pas confié à Caroline qu'elle était la maîtresse des deux factotums et qu'elle était jalouse de l'intervention de ces deux filles. Si Ben et Léon prenait goût aux jeunes chattes, elle serait mise hors circuit. Elle avait surpris les deux jeunes filles parce qu'elle les surveillait depuis un petit moment... Elle se doutait intuitivement de quelque chose... Elle entendit vaguement Caroline reprendre : - Je prêche le pardon lors de mes sermons à l'église, et c'est ce que nous devons faire aujourd'hui... Pardonner! ... Julia hocha la tête en signe d'accord. Caroline appela Carole sur mister portable. - Hey maman, je suis avec Sue, nous rentrons à la maimister... - C'est ça ma petite chérie... Il faut que nous parlions... Carole rougit et gloussa sachant déjà ce dont leur mère voulait leur par-ler... - Je rentre moi aussi à la maimister d'ici peu... Prenez bien soin de l'aura... Elles avaient toutes trois le même âge, à un an près et devaient se plaire ensemble. De retour à chez elle, Caroline appela : - Hello les filles, Laura... Où êtes-vous? ... Je suis rentrée... Où êtes-vous... Permisterne ne lui répondait. Son téléphone misterna à cet instant, elle décrocha : - Hello chérie, j'en ai encore pour deux bonnes heures pour terminer de rédiger mon sermon... - C'est d'accord mon chéri... Je te verrai plus tard... Répondit-elle à mister mari, lui cachant mister tracas au sujet des filles. - Où pouvaient-elles bien être? ... se demandait-elle inquiète. Son téléphone misterna à nouveau. - Oui? ... - Hey ma chérie, c'est Junior... Tes filles et Laura mistert avec moi... - Junior? ... Caroline tentait de mettre un visage sur ce nom. - Oh mon Dieu le worryeur de jeunes femmes! ... Salut Junior, comment vas-tu? ... Poursuivit-elle cherchant à demeurer calme. - Où êtes-vous? ... demanda-t-elle nerveusement. - Nous allons chez moi... Bobby nous y attend... Tu ne nous avais pas dit que la plus jeune de tes filles était aussi jolie! ... L'informa Junior sardoniquement. Caroline regarda l'adresse qu'il venait de lui donner. 1254 4ième rue. Elle était presque arrivée... Cela faisait maintenant une demie-heure qu'elle avait parlé à Junior. - Mon Dieu, ces trois magnifiques filles se trouvaient livrées ces pervers sexuels... Elle devait se presser de les rejoindre... - Eh merde pensa-t-elle soudain, elle portait toujours sa mini-robe rouge... C'est ici, elle est pas mal cette maimister dommage que les volets soient fermés. Elle frappa à la porte. Bobby lui ouvrit, lui faisant signe d'entrer. En fermant la porte il enlaça Caroline et l'embrassa dans le cou. - Elle entendit alors des cris aigus provenant de la salle face à elle. - Passe la moi espèce de trou du cul! ... Que la peau de cette petite chienne est soyeuse... Je vais lui lécher le cul! ... Fous la à poil! ... Regarde-moi ses tétons! ... Bordel je veux y goûter... Je veux aussi goûter à mister cul... Ecarte toi de mon chemin que je prenne soin de cette délicieuse petite chatte. Caroline pénétra dans la pièce. Mon Dieu, elle n'en croyait pas ses yeux. carole était entièrement nue un vieux salaud lui bouffait la chatte. - Bordel, que la chatoune de cette petite salope est savoureuse... - Un comparse lui avait fourré sa grosse bite en bouche. Elle en branlait un autre. Un dernier client attendait mister tour, il matait le spectacle d'un oeil concupiscent. - Hey mec, y'en a marre maintenant, termine rapidement ton af-faire... Je veux lui lécher le cul... Je veux savourer mister cul... Caroline le vit alors enfouir sa langue dans l'œillet crispé de sa fille bie-n-aimée. Sue avait été dépouillée de sa petite culotte, 2 tourmenteurs suçaient âprement ses tétons dardés, un complice lui broutait le gazon alors qu'un quatrième lui léchait le trou du cul. Ils disaient à Sue : - On ne va plus tarder à te baiser jusqu'à l'os petite pute! ... Tu penses que tu vaux mieux que nous! ... Toutes les jeunes blanches nous allument, puis nous ignorent dédaigneusement! ... Mais aujourd'hui, on va tous te baiser, tu vas déguster ma chérie! ... - Allez Henry, magne-toi le cul, allonge la sur le dos, je veux me faire cette petite chienne! ... Je veux passer le premier... Disait un vieux noir en la reluquant avec concupiscence. C'est alors qu'elle vit Laura, la plus jeune de ses trois filles. Junior lui roulait une pelle fiévreuse. 4 noirs âgés l'avaient dépouillée de mister jean, elle se tenait face à eux en soutien-gorge de dentelle et petite culotte assortie... Elle exposait tous ces charmes... Elle semblait si pure, si innocente qu'ils se regardaient tous 4 visiblement intrigués et hésitants.
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chrislebo
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- Elle pisse de peur, écartez-vous de mon chemin les gars... S'ex-clama Junior hilare... - Je veux qu'elle me pisse dans la bouche... virez-lui sa petite culotte! ...Aaaaaahhhhh, oh oui pisse-moi dans la bouche petite chienne! ... C'est si bon! ... Mmmmmmmmm... Je vais nettoyer ton petit chaton... Hey les gars visez-moi sa charmante petite figue... Junior se pencha sur elle pour lui rouler un patin passionné, tout en ca-ressant ses charmes dévoilés. - Au tour de mister soutien-gorge... Je veux goûter moi aussi à ses délicieux petits tétons... Ils mistert vraiment savoureux... Cette jeune pucelle est vraiment parfaite... Ma petite chérie tremblait de tous ses membres... Elle me vit soudain. - Maman, oh maman... Aide-moi, je t'en prie... S'il te plait maman, viens à mon secours! ... Bobby m'empoigna par la taille. 3 des costauds réunis autour de Laura s'approchèrent de nous. Bobby leur jeta un regard complice. - Allez les gars, ne voulez pas vous faire cette somptueuse salope, je veux sauter la petite pute, vous pouvez vous amuser avec la mère en attendant! ... - J'ai drôlement envie de me faire la petite pute, mais la mère est vraiment sensationnelle... regarde-moi ces nibards Jerry... Une main se glissait dans sa petite culotte, mister corps répondait déjà à ces caresses furtives. - Putain cette salope est déjà trempée! ... c'est vraiment une somp-tueuse pute! ... Ils la dépouillèrent de sa robe, ses nichons jaillirent à l'air libre lorsqu'ils lui arrachèrent mister retrousse-tétes. - Vise-moi ces délicieux tétons Jérôme... Bordel... Caroline sentit une langue fraîche se poser sur mister anus accueillant, et un doigt épais fureter dans sa chagatte. Installe-la ici qu'elle puise nous tailler des pipes! ... Caroline regardait Junior worryer sa tendre fille. Laura verrouillait maintenant ses ambres sur le torse de Junior alors que sa bite s'engouffrait dans sa foufoune. - Ca fait mal... Oh mon Dieu que j'ai mal... Arrêtez... Arrêtez... Je vous en prie. Bobby lui fourra sa grosse mentule en bouche, étouffant ses plaintes. Caroline était maintenant baisée à couilles rabattues par un colosse noir, elle avait une bite en bouche et branlait un troisième comparse. - Baisez-moi salope... Que ta chatte est accueillante! ... T'as vrai-ment raimister de la raser, on dirait une minette de petite fille! ... Aaaaaaaaahhhhhhhhhh... Mmmmmmmm... Ahhhhhh... Un premier or-gasme submergeait Caroline, d'autres n'allaient pas tarder à se succéder. Les spectateurs explosèrent de rire, cette femme si élégante jouissait entre leurs bras. - Hey les filles regardez votre mère jouir... C'est vraiment une somptueuse pute! ... Allez petites salopes, regardez-la attentivement! ... - Hey Jérôme maintenant que tu as sauté la mère, tu pourras comparer ses charmes à ceux de sa mignonne fille! ... - Aaaaaaaahhhhhhhh... Ooooooohhhhhh... Mon Dieuuuuuuu... Caroline ne pouvait s'empêcher d'enfiler les orgasmes sous les yeux de ses filles abasourdies. - Aaaaaaaaahhhhhhhhh... Oooooooohhhhhhh... , Caroline baissa les yeux sur Junior qui se vidait les couilles au fin fond de l'utérus de mister petit ange. - Allez bordel, pousse-toi de là Junior... Je veux me la faire à mon tour lui hurla Bobby oreille. - Une fois que tu en auras terminé avec elle, je veux l'enculer... Ajouta un troisième acolyte. Caroline vit alors Bobby worryer rudement sa petite fille chérie. Caroline jeta un oeil sur ses autres filles, elles avaient tous deux une bitte fourrée en bouche, Sue se faisait en con alors qu'un colosse noir enculait âprement carole. Elles étaient toutes deux entourées d'hommes qui se régalaient du spectacle. - hey les gars, j'adore me faire ces jeunes donzelles... Ces délicieux minous pas encore distendus... Je vais me faire la plus jeune! ... Restez ou vous êtes espèces de trous du cul, il y en a 3 qui doivent passer avant vous... Prenez la queue! ... 4 noirs n'avaient pas encore joui, ils prirent Caroline en main. - Viens ici salope! ... On va monter à l'étage... Installe-toi dans la baignoire... Allez magne-toi... Caroline, entièrement nue, couverte de foutre de la tête aux cuisses, s'installa servilement dans la baignoire. Les 4 noirs qui encerclaient la baignoire sortirent leurs bites et lui pissè-rent à pleins bouillons sur le visage. Elle ouvrit la bouche en grand Ils rirent en chœur. - regardez la bien cette salope... Elle avale la pisse à pleine bouche... Elle a l'air d'adorer l'urine! ... Quelle charmante pissotière! ... Allez salope nettoie-nous les bites correctement... Servilement elle lécha minutieusement leurs bites et leurs couilles, les nettoyant de toute trace de pisse. Entièrement nue, elle redescendit au rez-de-chaussée. Elle ne parvenait pas à voir ses malheureuses filles. Elles étaient cernées par les tourmenteurs de jeunes femmes se réjouissant de se faire des jeunes filles aussi inexpérimentées. - Ooooohhhhhh mon Dieuuuuuuu... Je vais jouir... Suce-moi encore la bite salope... T'es une bonne petite pute! ... Hurlaient-ils tous en chœur. Une main noire empoigna Caroline et la força à s'agenouiller. - Lèche ma bite salope! ... Ouvre bien ta bouche que je te fourre mon chibre dans la gorge... Tu vas pouvoir savourer mister goût! ... Elle sort tout droit du trou du cul de ta charmante cadette... Aaaaaaahhhhhhh... Mmmmmmmmmmm... Je vais jouir! ... Caroline ne pouvait s'empêcher d'exulter. Explosé de rire il hurla à l'adresse de ses comparses : - Hey les mecs, cette salope viens de nettoyer ma bite de la merde tapissant le trou du cul de sa cadette! ... Quelle salope! ... Aaaaahhhhhhhhhh... C'est ça avale mon foutre maintenant! ... Lorsque Caroline se réveilla, Bobby et Junior s'étaient assoupis dans un coin de la pièce. Caroline chercha des yeux ses vêtements. Ramassant ses fringues, elle rassembla celles de ses filles. Un vieil homme léchait le trou du cul de la jeune Laura un autre se branlait énergiquement dans la bouche de Sue, cependant, la pièce était vraiment calme. Quant à Carole, elle curait mister visage de l'épaisse couche de foutre qui la recouvrait puis elle suçait ses doigts. - Viens ici ma chérie... Rhabille-toi... Caroline arracha quelques grosses gouttes de foutre de ses cheveux et les dégusta. Le vieil homme se désintéressa de Sue après avoir giclé dans sa bouche, il alluma un joint et entreprit de le fumer. Sue sourit à sa mère en gloussant, on voyait qu'elle était ravie de mister sort. - Viens ici chérie et rhabille-toi aussi... On va rentrer à la maimister... Sue continuait à déguster le foutre qui lui couvrait le visage. Elles se levèrent toutes trois reluquant le vieil homme qui finissait de lécher le trou du cul de laura. - Relève-toi petite salope! ... j'en ai fini avec toi... Caroline était fière de sa petite Laura, elle suçait maintenant de façon fort correcte la grosse bite qui lui encombrait la bouche. - Aaaaaaahhhhhhh, Mmmmmmmmaaaaaa... C'est ma petite pute... Avale mon foutre! ... Laura savoura chaque jet qui lui éclaboussait la gorge. Il délaissa enfin Laura, Caroline put s'approcher d'elle. - Hey ma petite maman... Murmura-t-elle faiblement. - Viens ma petite chérie... Viens te rhabiller... Les jambes de Laura tremblaient alors qu'elle enfilait difficilement sa petite culotte sur ses fesses trempées de foutre. Elles se taisaient toutes 4 dans la voiture. Carole jeta un oeil sur sa mère. - Veux-tu nous parler de ce qui s'est passé à l'école... Murmura-telle d'une voix inquiète. Caroline rit à pleins poumons. - Ma fille je ne pense pas que ce soit un problème majeur après les événements de cette nuit! ... Répliqua Caroline d'une voix sourde. Carole hocha la tête. - Merci maman... Dès qu'elles pénétrèrent dans la maimister, le révérend Mike James comprit ce qui venait de se passer. Il resta calme tandis que les filles regagnaient leurs chambres. Dès qu'elles eurent pris leur douche, elles se mirent au lit. Caroline aussi prit une douche, dès qu'elle regagna sa chambre et se mit au lit, mister mari lui écarta les cuisses en grand pour lécher sa minette imprégnée du foutre de ses différents suborneurs alors qu'elle entreprenait le récit de leur longue nuit de débauche. Il ne fallut pas très longtemps pour que le révérend James crache mister foutre sur ses cuisses et les draps. Se relevant, il dit à Caroline que Linda, la jeune serveuse viendrait les visiter la semaine suivante, et que la principale du lycée voulait lui parler. Caroline se retourna vers lui. - Merci chéri... Et fermant ses yeux elle se demanda : - Combien de fois ai-je joui cette nuit? ... Le sommeil vint rapidement alors qu'elle évoquait la tendre Linda.
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chrislebo
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Mon fils, esclave de ma chatte Je m’appelle Karine, j’ai 38 ans, et j’ai décidé de vous raconter comment j’ai fait de mon fils mon jouet sexuel, ceci pour mon plus grand plaisir égoïste. Ma vie a depuis mes 15 ans toujours été marquée par le vice. J’ai toujours été une salope scandaleuse, mais je me suis toujours moquée de ce que les gens, et en particulier les femmes, pensaient de moi. Du coup, je suis très heureuse, à tous les niveaux. Professionnellement, je suis déjà surveillante générale dans un hôpital, poste que l’on n’atteint que très rarement avant l’âge de 45 ans. Il y a une raimister à cela: ce poste je l’ai obtenu grâce à mon cul. D’une part, je suis plutôt bien foutue (je crois qu’il est d’usage de se décrire brièvement: 1,69m, 59kg, 90C et une chatte toujours humide) et d’autre part, je n’ai jamais hésité à utiliser mes charmes pour parvenir à mes fins. C’était déjà vrai au lycée avec mes professeurs, ça l’est resté dans le monde professionnel. Les médecins comme les chefs de service savent quelle salope je suis, et il ne se passe pas un jour sans que je ne serve de vide-couilles pour ces messieurs respectables, mais souvent frustrés dans leur vie sexuelle. Lorsqu’une place de surveillante s’est libérée, leur choix s’est tout naturellement porté sur moi. C’était dans leur intérêt: libérée des emplois du temps infernaux qu’exige le métier d’infirmière, je devenais ainsi plus disponible pour leur offrir mes orifices… Bien sûr, au sein de l’hôpital, tout le monde connaît cette réalité. Mes anciennes collègues me haïssent, mais ne la ramènent pas car elles savent que je suis désormais en mesure de leur pourrir la vie. Depuis 1 an donc, au lieu de commencer ma journée par la tournée des malades, je débute par la tournée des bites de mes supérieurs masculins qui me traitent comme la dernière des traînées. J’adore ça, pourtant avoir toujours le même rôle a fini par me lasser. Un tempérament de dominatrice sommeillait en moi, et je mourrai d’envie de lui laisser libre cours. Mais sur qui l’exercer? C’est en remarquant les regards de mon fils sur mon corps que j’ai pensé que celui-ci ferait parfaitement l’affaire… Vous dire qui est le père, je l’ignore. Ma vie sexuelle était trop tourmentée à l’époque, et par ailleurs, il n’y a rien tant que je déteste que le préservatif. Je raffole de sentir la semence masculine se répandre dans mes orifices! De fait, ayant dû oublier de prendre ma pilule, j’ai découvert à 20 ans, par une belle journée de printemps, que j’étais enceinte de l’un de mes partenaires. Mais lequel… La question ne m’a pas inquiétée très longtemps, et j’ai décidé de garder l’enfant en me disant que ce serait fait et que, une fois maman, je n’aurais aucun mal à convaincre un gynécologue de me poser un stérilet qui m’assurerait une tranquillité d’esprit pour mes débauches futures; j’allais pouvoir me faire remplir la chatte sans craindre que cette mésaventure ne se reproduise. Ma grossesse s’est déroulée dans le stupre et d’ailleurs, lorsque les premières contractions mistert arrivées, j’étais en train de me faire limer par un de mes amants qui prenait mister pied à baiser mon gros ventre. Sur le coup, j’ai gémi, il pensait m’avoir fait mal, mais je l’ai rassuré et je l’ai encouragé à se finir en giclant bien au fond de mon vagin (« ça graissera le passage » lui avais-je dit en rigolant), et c’est donc avec la chatte dégoulinante de foutre que je me suis rendue à la maternité. Vues les circonstances de ma procréation, je n’ai jamais été débordante d’amour maternel. En outre, j’ai toujours préféré consacrer mon temps libre à recevoir mes nombreux amants. Mon fils, Rémy, a aujourd’hui 18 ans, et il en a vu défiler, des hommes! Plus jeune, il me demandait souvent si l’un d’eux était mister papa, ce qui me faisait toujours rire. Quoiqu’il en soit, mon fils a très tôt été habitué à voir sa maman légèrement vêtue, parce que d’une manière générale mes jupes (je ne porte jamais de pantalons) mistert plutôt courtes, et que en bonne salope, je reçois souvent mes amants en nuisette, voire depuis quelques temps en bas et porte-jarretelles (mais jusqu’à l’année dernière, je m’en tenais aux nuisettes). Bien évidemment, il fallait être aveugle pour ne pas remarquer les regards brûlants de désir que me jetait mon fils chéri, et c’est ce qui a fait germer l’idée en moi. Il me parlait toujours avec un respect auquel je n’étais guère habituée, les hommes n’ayant souvent pour moi que des injures (mais je ne leur en veux pas, bien au contraire: ça m’excite!). J’ai donc décidé d’en tirer partie progressivement.
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chrislebo
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J’ai d’abord commencé par de petites provocations apparemment anodines mais qui, j’en étais sûre, faisaient grand effet sur mon fils. Pour tester mes charmes, j’ai décidé d’ouvrir imperceptiblement les jambes pendant que je regardais la télé, certains soir. Mon fils n’a pas été long à remarquer mon petit manège, et lorsque cela se produisait, Rémy trouvait mille et un prétextes (du reste tous plus grossiers les uns que les autres) pour sortir du salon. Lorsqu’il revenait, la disposition de la pièce était telle qu’il avait une vue imprenable sur la lisière de mes bas ainsi que sur ma petite culotte de dentelle qui ne cachait pratiquement rien de ma chatte velue. Il restait alors de longues secondes debout, le regard plongé entre mes cuisses que, l’air de rien, j’écartais un peu plus tout en continuant de fixer l’écran du téléviseur. Un soir, mon gros balourd de fils frisa le ridicule en s’absentant 23 fois de la pièce, le tout en 1h40! A sa décharge, il me faut avouer que ce soir là, j’avais négligé de mettre une culotte, et que j’avais les jambes franchement ouvertes… En tout cas, mister manque de discrétion avait l’avantage de me conforter dans l’idée que j’avais de mon pouvoir sur lui, et sentir mister regard sur ma chatte et l’imaginer se branler en pensant à sa maman vicieuse me rendait dingue d’excitation. Aussi, dès le film terminé, je rejoignais rapidement mon lit pour m’introduire un gode dans le vagin et me toucher comme une collégienne. Forte des mes premiers succès, j’ai entrepris d’aller un peu plus loin. Pour ce faire, j’ai imaginé de lui demander quelques menus services, en étant convaincue au demeurant que ceux-ci ne feraient qu’attiser mister excitation. Ainsi, un jour, après avoir volontairement filé l’un de mes bas au niveau de la cuisse, je suis descendue dans le salon où se trouvait Rémy. Je me suis regardée dans le psyché et j’ai feint la surprise en constatant mon méfait: -« Zut! Regarde, Rémy chéri, mon bas est filé! » Afin de lui montrer, j’avais remonté ma jupe assez haut pour lui montrer, et il ne s’était pas fait prié pour constater les dégâts. Il était comme à mister habitude littéralement magictisé par le spectacle que lui offrait sa maman salope. J’enchaînais: -« écoute Rémy, je ne vais pas avoir le temps d’aller en acheter aujourd’hui et je sors ce soir. Pourrais-tu me rendre un service et faire ça pour moi? - Ou… oui… si tu veux maman, mais je ne sais pas lesquels prendre… - Prends-en des noirs, taille 2, mais surtout ne te trompe pas: je ne veux pas de bas auto-fixant, je ne porte que des bas classiques qui tiennent avec un porte-jarretelles, tu le sais bien… » Rémy n’a eu aucune réaction, en dehors de celle de devenir rouge comme une pivoine. Le soir, j’ai eu la satisfaction de trouver deux pochettes de bas noirs déposées sur mon lit. La première expérience ayant été concluante, je la renouvelais quelques jours plus tard. Lorsque Rémy me demanda lesquels il devait acheter, je lâchai avec une fausse indifférence: -« N’importe. Tu n’as qu’à choisir… » Cette fois, c’est un grand sourire qui a illuminé mister visage. Pour moi, c’était tout bénéf’, car d’une part cela me dispensait d’aller courir les magasins, et d’autre part, cela me permettrait de connaître un peu plus précisément les goûts de mon fils. Son choix se porta sur deux paires de bas de couleur chair un peu foncée. Je le remerciai en lui disant qu’il me rendait bien service. -« Ils te plaisent, maman? » m’avait demandé Rémy avec une voix chevrotante. -« Oh oui! Et je suis sûre qu’ils plairont aussi beaucoup à Marc (l’un de amants)! » répondis-je méchamment. -« Bon, tant mieux… » avait-il conclu, tout penaud. Quelle salope je fais! En tout cas, mon emprise sur lui croissait, j’en étais certaine, et d’ailleurs comment en aurait-il pu être autrement? En traînant sur le net à la recherche d’inspiration, je découvris la fascination qu’avaient parfois les ados pour les culottes sales de leur maman. Cela ne me serait jamais venu à l’esprit tant cela me paraissait incongru, surtout en ce qui concerne mes petites culottes: du fait de ma vie sexuelle, je crois que pas une d’elles ne revenaient de mes journées sans une bonne dose de foutre plus ou moins sec dans l’entrejambe! Je décidai néanmoins de vérifier: au lieu de les mettre dans le fond du panier de linge sale comme je le faisais habituellement, je me suis mise à les laisser bien en évidence sur le dessus de la pile. En vérifiant régulièrement, je ne tardai pas à constater qu’effectivement, mes petites culottes étaient toutes humides de la salive de mon fils. Ce petit salaud devait se branler en mâchouillant les culottes souillées de sa maman, et cette image m’a furieusement excitée. Se rendait-il compte qu’au-delà de mes sécrétions intimes, c’était aussi du jus séché de mes amants qu’il se délectait en se tripotant l’asticot? Je n’avais pas encore la réponse, mais quoi qu’il en soit, je pris rapidement l’habitude de bien enfoncer le tissu de ma culotte dans mon vagin dès qu’il était rempli de sperme. Du coup, mes strings étaient dans un état épouvantable, totalement maculés de semence masculine. Mais cela ne changea rien: je les retrouvais toujours luisants de salive quelques heures après les avoir déposés sur le tas de linge sale. Devant ce constat, je décidai qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je sentais que Rémy était mûr pour la suite, et il était grand temps qu’il mette en pratique les dispositions de larbin que je devinai en lui. J’allais bientôt avoir un esclave à ma disposition, et celui-ci n’était autre que mon fils. A cette pensée, ma chatte dégoulinait de mouille.
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chrislebo
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Perverse Lorie -Allo, Laurent, c'est Damien, Lorie est toujours chez toi? -Oui, répond Laurent, elle joue avec Claire dur la moquette. Enfin, c'est plutôt claire qui s'amuse avec elle. -A bon, comment çà, demande Damien. -Ben, je sais pas, poursuit Laurent, quand je suis arrivé, J'ai vu les cartes sur la table, et entendu des plaintes. Je me suis avancé dans le salon, et là, surprise. -Dis moi tout Laurent, qu'est-ce-qu'il se passe. -En fait, ta femme est toute nue, jambes écartées, et se fait doigter par claire. Son clitoris est sorti de presque deux centimètres. Sa chatte est toute mouillée. Depuis que je suis là, çà fait deux fois qu'elle joui. Tu l'entendrais gueuler. Ce qui est bizarre, c'est que ma femme est habillée. Ta femme a du perdre aux cartes. -Regarde cette petite pute, sourit Claire, comme elle se régale de se faire branler. Sa chatte est toute rouge et pleine de mouille. Tu en veux encore, hein? Salope. -Oh oui ma chérie, soupire Lorie, chatte moi, vas-y. Après, il me faut un bon coup de queue. -Fait pas le con, dit Damien au bout du fil, je compte sur toi Laurent. Ne profite pas de la situation. -Mais non, répond Laurent, t'inquiète pas. Je vais pas tarder à te l'a ramener. Claire fait un mouvement de ski a mister mari, pour lui faire comprendre de la niquer. Claire et Laurent mistert un couple de trente quatre ans, très libre. Contrairement a Lorie et Damien, vingt cinq ans tout les deux, plutôt coincés. Sauf Lorie , qui ne l'est plus. Laurent et Lorie prennent la route. -Comme tu t'es faite maquer, dit Laurent, oh la la. -Putain, tu as raimister, répond Lorie. Tu as vu ce qu'elle m'a fait, sans pouvoir réagir. C'était tellement bon. Je me suis essuyée deux fois avec mon string. J'ai pas pu le remettre. -Sérieux, fait toucher, demande Laurent. Tu veux que je te mette un coup de queue? -Tu me tente, répond Lorie, au point ou j'en suis. Cocu pour cocu, autant qu'il le soit complètement. Ils passent sur le siège arrière. Laurent baisse mister bermuda, Lorie retrousse sa minijupe. Elle s'empale sur la queue en érection. -Tu m'ouvre la fente en deux, gémit-elle. Vas-y, suce mes seins aussi. Laurent soulève le pull, et suce les bouts devenus énormes. -Tu aimes de faire baiser, hein? Dit -il. -Ta queue est tellement grosse. Et puis , Damien me souvent en rade. Mais Lààà, ha.. ouii, t'arrête pas, vide tes couilles dans ma chatte. -Moi aussi je viens salope, que tu es bonne, oua. Demi heure plus tard, ils mistert devant chez elle. Permisterne. -Il a du aller faire quatre courses, dit Lorie. J'ai le temps d'aller me laver la chatte. Assied toi. Quand elle revient, Laurent est tout nu, assis sur une chaise du salon. Il se masturbe lentement, jusqu'à ce que sa queue soit en érection. -Mais çà va pas, gronde Lorie. Si Damien arrive. Tu veux qu'on se fasse choper. -Allez, insiste Laurent, regarde comme elle est raide. Laisse toi prendre une dernière fois. Lorie fixe le membre dressé au plafond, puis, n'y tenant plus, se met toute nue. Elle lui tourne le dos, et fait coulisser sa chatte sur la bite. -Oh mon dieu, quelle journée. Entre toi et ta femme. Qu'est-ce-que vous m'avez mis. Damien revient des courses. Il se fige à l'entrée du salon. -Mais, que fais-tu Lorie? -Que tu es con mon chéri, tu vois pas que je me fais enfifrer par ton meilleur copain. Si tu voyais ce qu'il m'a mis dans la chatte., comme il me baise. Ha...ha.., tu me fini salaud, je joui, et toi tu viens, je veux tout prendre dans la bouche. Lorie se retire et prend la queue de Laurent au bord des lèvres. -Vas-y mon amour, soulage toi, crache. Les jets de sperme giclent au fond de la gorge de Lorie, jusqu'à la dernière goutte. -Damien, s'il te plait, tu vas chercher mon peignoir que je raccompagne ton copain jusqu'à sa voiture. La tête ailleurs, Damien obéit tel un automate. Il l'est regarde par la fenêtre. Lorie a ouvert mister peignoir et se frotte contre le torse de Laurent. Elle se baisse, et le prend en bouche. Lui, d'une main, caresse la chatte encore pleine de mouille. Ils s'embrassent, puis se séparent. Elle rejoint mister mari au salon. Damien l'attend, rouge de colère. -Tu me prend pour un con, dit-il. Tu lui faisait quoi. -Rien de plus mon chéri, j'avais juste oublié de lui nettoyer le gland. Puis il va falloir t'y faire mon trésor. Il m'a demandé d'être leur maitresse , à lui, et à sa femme. J'ai dis oui. Une fois par semaine, je dois passer la nuit chez eux. Tu l'appelleras pour savoir le soir qui te convient. -Quoi, bondit Damien, et moi dans tout çà, j'ai droit à quoi? -De temps en temps, je te taperai une petite queue, je suis pas méchante. Tu pourras me sucer aussi. Et si tus sage et obéissant, tu pourras me donner un coup de queue. Lorie s'avance vers lui, et ouvre mister peignoir. -Tiens, dit-elle, Il reste un peu de sperme de mon amant. Nettoie moi la chatte s'il te plait.
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chrislebo
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Un Patron Noir Tout d'abord, laissez moi me présenter : je m'appelle Michael Washington, l'Afro-Américain le plus chanceux Africain au sud du delta du Mississippi... Il y a trois mois j'ai été le plus gros gagnant de l'histoire de la loterie... Avant ce jour je travaillais dans une équipe de nuit de la "Panhandle" une fabrique de bateaux... C'était une petite entreprise employant une soixantaine d'ouvriers sur lesquels 51 étaient des trous du cul arrogant de blancs... La discrimination raciale était totale, absolue. Les boulots les plus inhumains, les plus fatigants, les plus dégradants étaient assignés aux 9 noirs de l'effectif... Ces sales trous du cul de blancs méprisants adoraient nous humilier moi et mes frères noirs en chaque occasion... Comme le tau de chômage de notre contrée rurale excédait les 40 %, on ne pouvait trouver de boulot dans le coin, ni même dans le généreux état du Mississipi, les 60 $ qu'ils accordaient comme indemnité de chômage pour 13 semaines ne s'avérait pas une véritable solution. Quoi qu'il en soit, une fois que j'eus reçu mon premier chèque de la loterie, je visitais attentivement les bureaux crasseux des propriétaires de notre usine, un quart d'heure plus tard j'avais formais des plans précis concernant mon avenir...Le vieux bâtard blanc qui possédait l'entreprise fut ravi lorsque je lui ex-posais mes plans concernant l'usine, une usine propriété d'un arrogant bâtard noir! Les mois suivants, je réussis à signer des contrats d'état portant sur 5.000.000 $, plus particulièrement basé sur la course. Comme les profits devaient rentrer dans l'usine, je fis une seul et simple proposition aux employés blancs : s'ils voulaient continuer à travailler dans mon usine ils devaient accepter une réduction de salaire de 20 % cette somme serait redistribuée entre mes ex-collègues noirs. Bien que cela leur fasse une terrible perte de salaire, je savais qu'ils n'avaient pas le choix. La seconde partie de mon réajustement englobais la subjugation et la soumission des plus jolies femmes des permisternels les plus jeunes de l'usine. En soumettant ces jeunes femmes aussi innocentes que sans défenses, je voulais étendre ma domination sur ces bâtards de blancs qui avaient réglé ma vie pendant 26 années. Tandis que les maris peinaient sous l'insupportable chaleur du Mississi-pi, je commençais mes visites aux domiciles des fidèles épouses de mes employés. Les trois premières visites à leurs domiciles, des mobile-homes, se pas-sèrent sans aucun ennui. Pour conquérir ces salopes blanches, il suffisait de les informer que faute de se déshabiller et de me tailler une pipe, leurs maris recevraient leur dernière paye le vendredi suivant. Comme elles imploraient pitié pour que j'épargne la misérable vie de leurs époux, je posais tranquillement mes mains sur leurs têtes et pous-saient leurs visages apeurés vers ma bite noire dénudée. Une fois qu'elles avaient avalée ma semence je leur donnais le pro-gramme de mes prochaines visites. Je les prévenais que les appellerai où qu'elles soient pour me rencontrer ainsi, je définissais aussi la tenue qu'elles devraient porter. Elles devaient aussi m'informer de ma méthode de contraception qu'elles employaient et comme la plupart utilisaient des préservatifs, je les pré-venais que je les emploierai que si j'étais satisfait de leurs performances, si au contraire je n'étais pas satisfait, je les baiserai à nu, elles devraient alors compter sur la chance pour ne pas être engrossées. Mon principal but, bien sur, était d'engrosser les plus désirables femmes de mes employés blancs pour me venger cruellement de leurs maris lorsque leurs femmes accoucheraient d'un beau bébé noir. En utilisant cette méthode, je mettrais des mois à asseoir une totale do-mination sur ces trous du cul blancs. Et maintenant que je vous ai exposé mon plan directeur, je vais vous en-tretenir de la quatrième visite que j'entrepris par un chaud après-midi de juillet. Karen Saunders était la plus désirable des femmes de ce pays. Elle n'avait que 18 ans mais respirait l'érotisme, elle avait une aura sen-suelle d'un intense impact. Ses longs cheveux blonds naturels cascadaient sur ses petites épaules. Elle avait de petits nibards très fermes, des petits tétons pointus couronnaient ses nichons au centre d'aréoles du quart de la taille de ses nibards. Ses longues jambes étaient bronzées et mister ventre parfaitement plat surmontait une étroite petite chatte voilée par ses légers habits. Pour plaire à mister travailleur de mari elle avait enfilé un tee-shirt avec un délicieux décolleté en "V" qui soulignait en les dévoilant partiellement d'admirables trésors mammaires. David, mister époux, travaillé le plus possible afin pourvoir sa ravissante jeune femme de toutes les menues choses qu'elle désirait. Toutefois, les longues heures de travail et le travail éreintant l'épuisaient, il était exténué lorsqu'il rentrait chez lui. Ces dernières années mister habileté à satisfaire les appétits sexuels de sa somptueuse femme ne faisait aucun doute. Mais dès qu'il perdit sa confiance en la fiabilité de ses érections, en sa capacité à déployer sa bite de taille moyenne, les échecs se multipliè-rent. Son épuisement et mister impuissance grandissante l'éloignaient de sa femme habituée à voir ses appétits totalement satisfaits. Il était environ 16 heures lorsque j'arrivais au mobile home rouillé de Da-vid et Karen. Il se trouvait au beau milieu du camp de camping et ma nouvelle Lincoln blanche contrastait violemment avec la grisaille et le dé-labrement environnant. Comme je me dirigeais vers la porte, je remarquais que des ombres bougeaient derrière les fenêtres des autres "habitations", les habitants épiaient chacun de mes pas. Dans des circonstances normales, un noir n'aurait jamais été autorisé à visiter une jeune épouse blanche, je souris en frappant à la porte du mo-bile home, mais bien sur les circonstances étaient loin d'être normales. Un homme riche était respecté et j'étais l'homme qui avait le plus d'ar-gent dans cette ville. La jeune et jolie madame Karen Saunders ouvrit sa porte, elle était vêtue d'une brassière blanche qu'elle portait sans soutien-gorge et d'un short de jean coupé court qui mettait en valeur ses longues jambes bronzées. Visiblement ma présence devant sa porte l'effaroucha, elle jeta un rapide coup d'œil circulaire et revint à moi me demandant tranquillement : - Monsieur Washington, qu'est ce qui me vaut votre visite? - Bonjour Karen... Puis-je entrer? Lui répondis-je prestement. Je sentais bien que la somptueuse beauté qui me faisait face cherchait une excuse pour ne pas me laisser entrer. - Il y a des problèmes l'usine et je pense qu'il vaut mieux qu'on en parle à l'intérieur... Lui exposais-je calmement, en jetant un oeil cir-culaire sur les autres mobile homes. Ayant regardé ses voisins, elle décida qu'il vaudrait mieux, effectivement, discuter à l'intérieur, cette maimister qu'elle partageait avec mister époux de-puis 3 ans. Elle avait épousé David alors qu'elle avait 15 ans et il lui avait cueilli sa précieuse fleur. Elle s'écarta timidement comme je visitais à loisir le petit appartement propret. Le conditionneur d'air sous dimensionné ne parvenait pas à dissiper les dernières chaleurs de cet après-midi d'été. Je me dirigeais vers le sofa et m'y assis. - J'ai soif, apportez-moi une limonade avec des glaçons! Visiblement choquée par mon attitude cavalière, Karen jeta un oeil timide sur mister environnement et se rendit dans la kitchenette pour me préparer ma limonade. Comme elle approchait humblement, je tapotais le siège près de moi et lui susurrais convivialement : - Je vous en prie, joignez-vous à moi... Je dois vous dire quelque chose au sujet de l'usine... Après une longue hésitation elle se glissa à mes cotés après m'avoir donné mon verre de limonade. Elle gardait ses longues jambes serrées l'une sans rien dire.
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chrislebo
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- J'ai bien peur que l'usine doive se séparer d'une quinzaine de col-laborateurs... Je dois augmenter la rentabilité et j'ai découvert qu'un nombre moindre d'ouvriers exécutera le même travail s'il est habilement motivé. J'ai déjà pensé aux moyens de les motiver ce qui me permet d'éliminer les profiteurs... Lui annonçais-je calme-ment. Comme je regardais l'adorable blonde dans les yeux je vis une certaine appréhension s'afficher sur sa figure. Elle finit par lever les yeux et me posa l'évidente question : - Que va-t-il se passer pour David? M'interrogea-t-elle d'une voix tremblante. - Ouais... J'ai bien peur que... Commençais-je, souriant intérieure-ment lorsque je vis mister visage afficher mister horreur. - Mais nous venons tout juste d'acheter une voiture neuve et nous avons de nombreuses dettes en souffrance... Me répondit-elle les yeux pleins de larmes, elle détourna rapidement mister regard cher-chant à cacher ses pleurs. - David disait que tout se passait bien au travail et... - Bien... Commençais-je, prenant entre mes mains les mains trem-blantes, je les caressais gentiment : - Vous savez, il n'est pas encore mis à la porte... S'attachant à cette dernière ouverture, désespérée, elle me regarda dans les yeux et murmura : - Il ne serait pas... Essuyant ses yeux elle me jeta un regard plein d'espoir. - Non il ne serait pas... C'est moi qui décide qui reste et qui part... Enonçais-je sentant ma grosse bite noire se déployer dans mon pantalon. - Vous feriez cela? Me demanda-t-elle éperdue. Oui, je dois te dire que je suis déjà allé voir d'autres femmes d'em-ployés... Et... Je dois te dire qu'elles ont préféré coopérer... Et leurs maris ont conservé leurs emplois! C'est pourquoi je suis venu te voir, je me demandais si tu voulais vraiment aider ton mari à conserver mister emploi! Le brusque tutoiement la déstabilisait fortement, il l'obligeait déjà à ad-mettre inconsciemment qu'il avait tous les atouts dans sa manche, le sort de mister mari dépendait uniquement de sa bonne volonté... Et donc de sa docilité à elle! L'air de l'implorer la ravissante blanche le regardait horrifiée. - Bien sur que je veux aider mon mari! Un sourire sardonique éclaira mon visage alors que je saisissais sa main pour la poser sur mon entrecuisse. Ma grosse bite noire se déploya lors-que machinalement elle referma ses doigts sur ma hampe avant de la repousser abruptement. - Oh non, je ne peux pas tromper mon mari! Me supplia la somp-tueuse Karen. - Avant que tu ne refuses définitivement, je te suggère de penser à ton mari et à votre avenir... Comment survivrez-vous sans le bou-lot de ton mari? La raillais-je cruellement. Tout en posant cette question, je posais ma main droite sur mister genou et je caressais tendrement la face interne de sa cuisse. - S'il vous plait... Ne faite pas ça... Soupira-t-elle misérablement. - C'est bon... Ton mari peut se chercher un nouveau boulot! Oh oui, il ne lui servirait à rien d'utiliser mon nom comme référence... En fait, il va avoir beaucoup de mal à trouver un autre travail... Je vais tout faire pour l'en empêcher! Karen se mit à sangloter, je tournais les talons prêt à sortir. - Atte... Attendez... Murmura-t-elle d'une voix atone. Je me retournais lui faisant face, la regardant droit dans les yeux alors qu'elle était toujours assise sur le sofa. - Oui... - S'il vous plait ne m'obligez pas à... Je vous en prie... Je vos en prie... Sanglotait-elle éperdue. Je tournais les talons - Tu me fais perdre mon temps salope... Je vais me trouver une au-tre pute blanche! Ricanais-je en me dirigeant vers la porte. - Non, je vous en prie... Répliqua-t-elle hésitante puis la tête bais-sée elle soupira : - C'est d'accord... Je souris, me reculant d'un pas, faisant face à l'attrayante créature. Je posais mes mains sur mes hanches, attendant qu'elle prenne l'initiative. Elle hésitait. - Viens ici salope! J'ai pas toute la journée! Lui hurlais-je mena-çant. Elle se glissa sur le rebord du canapé, tendit ses mains tremblantes. Elle agrippa le curseur de la fermeture éclair de mon pantalon de costume italien. Je levais les yeux, un sourire triomphant sur mon visage alors que je je-tais un coup d'œil circulaire sur cette épave de mobile home. Je souris encore plus largement en entendant descendre la fermeture éclair de ma braguette. Sa petite main menue plongea dans mon pantalon. Ses doigts se refer-mèrent sur mon épaisse mentule, je l'entendis nettement haleter. J'at-tendais patiemment, elle sortit finalement ma grosse bite. Je baissais les yeux et souris, en la voyant écarquiller ses yeux comme des soucoupes, sa mâchoire sembla se décrocher, sa bouche était grande ouverte, je lui demandais : - Je parie que tu n'as jamais vu de bons gros chibres noirs aupara-vant? Elle hocha lentement la tête. Je lui souris : - Allez salope, referme tes lèvres bien roses sur ma bite noire! Karen enfourna prudemment ma bite dans sa bouche chaude et humide. Elle lécha le gland pourpre comme une sucette. Pendant ses trois années du mariage elle n'avait guère pratiqué que la traditionnelle position du missionnaire, et encore assez rarement ces derniers mois. Elle sentait une épaisse purée s'accumuler dans l'entrejambe de mister short de jean. Alors qu'elle se sentait plus à l'aise pour déguster mister gros champignon, elle se débattit mais n'en avala pas moins 8 bons centimètres de plus de bite noire. Comme elle se débattait en suçant ma hampe tendue, je la raillais cruel-lement : - Je parie que ton précieux David ne te fourre pas souvent sa bite en bouche! Son esprit affolé évoquait des images, elle voyait clairement la bite amol-lie et inutile de mister époux. La longue bite épaisse provoquait l'érection de ses tétons qui frottaient contre le tissu de sa courte brassière. Sa petite culotte blanche était trempée de cyprine alors qu'elle se déme-nait pour le sucer, avide d'en tirer un certain plaisir. Elle ne parvenait pas à concevoir qu'une bite puisse être aussi dure. D'autant qu'elle n'avait expérimenté que la virilité de mister mari et qu'à cet instant de sa vie elle se consumait de désir. Tandis que mon chibre raidissait, je commençais à bouger mes hanches, présentant mon chibre noir à l'orée de la gorge de karen. Comme elle commençait à étouffer, je sentis mes burnes s'emplir d'une prochaine éjaculation. J'attrapais prestement les mains de Karen alors qu'elle se démenait ma grosse prune maintenant engagée dans sa gorge crispée. Un dernier coup de boutoir m'amena au bord de l'explosion, je projetais ma chaude semence dans l'arrière gorge de l'adorable madame David Saunders. Elle aspira mon précieux jus jusqu'à ce que je la laisse me lâcher, quel-ques gouttes tombèrent sur le tapis usé à la corde. Comme elle reculait sa tête libérant mon gros braquemart, un filet de foutre luisant s'étira reliant mon gland turgescent et à mister menton souillé de foutre. Les yeux fermés elle cherchait à nier mister incontestable soumission. Je fis un pas en avant et me branlais pour extraire les dernières gouttes de sperme de mon méat, elles tombèrent sur ses longues jambes bron-zées, elle ouvrit les yeux en grand en sentant cette dernière décharge gluante lui souiller les cuisses. - Quel moyen contraceptif utilises-tu ma chérie? Lui demandais-je suavement. Hébétée elle leva les yeux vers moi et me répondit timidement : - Nous ne pouvons utiliser que des préservatifs! J'enfourchais le buste de la malheureuse ménagère effarouchée laissant reposer ma bite dégoulinante de foutre et de cyprine sur ses délicieux nichons toujours couverts de sa petite brassière. Je laissais le tissu de sa brassière s'imprégner de foutre provoquant leur seconde érection de l'après-midi. Comme elle me regardait avec appréhension, je la choquais à nouveau en commentant : - Tes hésitations m'ont profondément déplus! Je t'appellerai en cours de semaine... Puisque tu parais affamée de bite ma petite salope, ta prochaine passe te coûtera 50 $. Karen allait protester, mais soudain ses plaintes s'envolèrent. Elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas le choix, alors que la bite du patron noir de mister mari l'excitait follement, elle en avait la foufoune trem-pée de désir. - Si me satisfais, j'utiliserai un préservatif... Si tu préfères me déso-béir à nouveau lors de notre prochain rendez-vous, tu repartiras la chatte pleine de mon foutre fertile! Ricanais-je férocement. Me relevant, je remontais ma fermeture éclair et me dirigeais lentement vers la porte. Lorsque je l'atteignis, je me retournais pour contempler une dernière fois la fragile beauté, respirant difficilement, couchée sur ses coudes. Son visage, au menton dégoulinant de mon foutre, reflétait mister anxiété... Et mister excitation. - Ouais... Pensais -je ravi. - L'ensorcelante madame Saunders va constituer un délicieux jouet que j'utiliserai au gré de mes désirs! En quittant le mobile home délabré je souris en sentant les yeux des voi-sins braqués sur moi, épiant chacun de mes mouvements. En sortant du parc, je savais déjà que David se poserait bientôt de nom-breuses questions pendant la chaude nuit d'été à venir.
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chrislebo
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Madame Karen Saunders était sur les nerfs les quelques jours qui suivirent ce jour où elle avait satisfait les appétits lubriques du patron de mister mari en lui prodiguant une fellation. Elle n'avait que rarement prodigué des fellations à mister mari. David passait par une période épuisante tant le travail de l'usine s'avérait éreintant. Son patron noir avait ordonné à mister contremaître noir de refiler à David les boulots les plus sales, les plus déplaisants. Plus il était crevé et plus il était stressé ce qui avait un impact direct sur ses capacités et ses désirs sexuels, il faisait de moins en moins l'amour à sa charmante femme frustrée. Une semaine s'était presque écoulée depuis qu'elle attendait le coup de téléphone du patron noir. Michael savait que plus il retardait mister coup de fil, plus l'adorable ma-dame Saunders se crisperait. Michael adorait au moins autant le temps de la conquête que les plaisirs dégradants qu'il tirait ensuite de ses conquêtes. Lorsque la misternerie du téléphone retentit, Karen le regarda avec appréhension. Se saisissant délicatement du combiné elle le porta à mister oreille et souffla timidement - Oui... Michael la laissa mariner quelques instants avant de dire ses premiers mots. Le temps qu'il parle, la tremblante madame Saunders avait été totale-ment déstabilisée, elle angoissait terriblement. - Madame Saunders... Karen, les mains tremblantes, les lèvres pincées, répondit misérable-ment à la voix autoritaire à l'autre bout du fil : - Oui, monsieur Washington... - Je t'avais dit de ne pas permettre à ton mari de te toucher cette semaine... M'as-tu obéi? L'interrogea-t-il avec arrogance. - Je n'ai pas fait l'amour avec David monsieur Washington... Il a essayé à plusieurs reprises, mais j'ai prétendu avoir des maux de tête! Répondit la tremblante jeune femme. - Je veux que tu viennes me rejoindre à l'usine... Mais tout d'abord... Je vais te dire quoi porter... Je te suggère de ne pas me décevoir ma chérie! Continua-t-il d'une voix menaçante. Il attendit encore quelques instants avant de reprendre, ce qui permit à sa jeune soumise de bien digérer ses instructions. - Dorénavant, ma petite chérie tu ne porteras plus de jupe de moins de 22 centimètres au-dessus des genoux... Plus de soutien-gorge... De toute manière tes petits nibards n'en ont aucun besoin! La railla-t-il cruellement. Lorsque tu viendras, tu feras mieux d'amener les préservatifs de ton mari, lorsque tu seras là, si tu as appliqué mes instructions je te laisserai enfiler un préservatif sur ma grosse bite avant de te baiser madame Saunders... Eh, au fait madame Saunders, n'oublie de m'apporter le prix de mes faveurs! La railla-t-il Karen, traumatisée, digérait les consignes humiliantes. Lorsque Michael Washington eut reposé le téléphone, Karen se laissa se laissa glissa du plan de travail de la cuisine et s'assit sur le sol immaculé. Son cœur battait la chamade une fine couche de transpiration lui cou-vrait tout le corps. Ses tétons pointaient au travers du tissu de sa blouse de coton blanc. Sa main glissa dans mister collant et elle entreprit de se caresser lente-ment la chatoune. Elle était déjà gorgée de sang avant même que sa main ne s'insère dans mister affriolante petite culotte blanche. Quelques instants plus tard elle reprit ses esprits, elle jeta un coup d'œil circulaire dans sa kitchenette et se rua sur le petit lit qu'elle partageait avec mister mari. Elle se dépouilla rapidement de sa blouse blanche et de mister collant. Une fois qu'il furent tombés au sol, elle ôta sa petite culotte blanche trempée de cyprine et enfila sa plus belle petite culotte de dentelle noire qu'elle sortit du tiroir de sa commode. Elle passa mister porte-jarretelles noir et s'assit sur le lit pour enfiler des bas tirés du même tiroir sur ses longues jambes bronzées. Tenant la porte de l'armoire ouverte elle sélectionna un short bleu marine et u élégant gilet. Elle aurait du porter un chemisier sous mister gilet sans manches, mais elle décida d'oublier le chemisier. Comme elle quittait la chambrette elle se rappela soudain qu'elle devait prendre un article primordial. Elle ouvrit alors le tiroir de la table de nuit de mister mari et s'empara de trois préservatifs. Les protections en main, elle courut vers la porte de mister logis surchauffé. Dès qu'elle eut atteint sa voiture vieille de dix ans elle couvrit rapi-dement les 15 km séparant le camp de l'usine. Lorsqu'elle franchit les murs protégeant l'usine vieille de 60 an, elle pensa alors à un détail qui lui avait totalement échappé, - Que ferait-elle si elle tombait sur mister mari? Comment lui expliquerait-elle s'être vêtue en pute? Jetant un rapide coup d'œil autour d'elle elle courut presque pour escalader les escaliers menant aux bureaux. Alors qu'elle débouchait dans le hall de réception, elle sentit monter en elle une bouffée d'angoisse. Elle ferma la porte dans mister dos et se dirigea directement vers le bureau de la secrétaire de Michael Washington, une grande et ravissante noire avec qui un affichait un sourire ricanant. Karen lui confia timidement : - J'ai rendez-vous avec monsieur Washington! - Pouvez-vous me donner votre nom? La questionna la fille noire, toisant la jeune femme effarouchée. - Je m'appelle Karen Saunders... Répliqua-t-elle timidement. Lorsque sa secrétaire l'avertit que mister dernier jouet l'attendait, il lui rétorqua avec arrogance de la faire attendre! Il se rappela alors qu'il n'y avait pas de chaise dans le bureau de sa secrétaire, cela l'amusa que la charmante ménagère se stresse encore plus de ce fait, lorsqu'après 20 minutes il l'autorisa à pénétrer dans mister sanctuaire. Comme madame Saunders entrait timidement dans mister luxueux bureau, elle se posta face à mister bureau en chêne massif. Se trémoussant, elle regarda mister amant noir qu'elle avait sucé moins d'une semaine plus tôt jusqu'à ce qu'il se vide dans sa bouche. - Bien, que me voulez-vous Madame Saunders? Lui demanda ironiquement le patron noir de mister époux. Karen regardait à terre ahurie par cette question. Dans mister esprit elle était ici parce que ce sale bâtard assis dans on large fauteuil voulait fourrer sa grosse bite dans mister tendre minou. Elle était ici parce que faute de se plier à ses demandes luxurieuses mister mari perdrait mister emploi! Elle était ici parce que sa chatoune secrétait un torrent de cyprine dans sa petite culotte de entelle noire et sue ses nichons pointaient comme des obus au travers du tissu de sa veste bleue. Elle était ici parce qu'elle voulait que ce salopard fourre ses 25 centimètres de bite noire dans sa chatoune détrempée. Finalement parce que mister mari blanc ne l'avait jamais excitée comme ce bâtard de noir, qui l'obligeait à le supplier de la baiser. - Je ne sais pas ce que vous voulez que je vous dise... Murmura la petite ménagère hébétée. Amusé Michael Washington, mister suborneur noir, la regarda droit dans ses yeux effrayés lui donnant cette réponse : - Tu es ici ma chère madame Saunders pour te faire sauter par ma grosse mentule noire! Si on te repose cette question, tu répondras que tu es ici au service de ma queue! Est ce bien compris? Effrayée, chancelante sur ses hauts talons noirs, frémissant d'un long tremblement alors que sa chatoune coulait à flot elle murmura douce-ment : - Je suis ici pour me faire baiser par votre grosse bite noire! - As-tu apporté mes honoraires? L'interrogea Michael Washington. Plus q'humiliée Karen fouilla dans mister porte-monnaie et en sortit 5 billets de 10 $. Cela représentait quasiment 20 % de la paye nette de mister mari. Comme elle sortait l'argent de mister porte-monnaie, les 3 préservatifs tombèrent au sol. Elle se baissa, ramassa les trois capotes et se tint debout les serrant dans ses petites mains. Regardant railleusement sa dernière conquête, il demanda à la petite ménagère, se moquant visiblement d'elle : - Aimerais-tu que je me serve des capotes de ton mari lorsque je te baiserai? - Oh oui, je vous en prie! Je ne veux pas me retrouver enceinte... Lui rétorqua-t-elle nerveusement. Le patron noir l'attira gracieusement à lui, et contourna le bureau regardant droit dans les yeux la timide et infortunée jeune femme. Il prit mister menton en main et l'embrassa sur les lèvres. Il lui caressa un moment ses lèvres purpurines de sa grosse langue épaisse misterdant ses dernières défenses. Après quelques essais sa ravissante proie se soumit l'autorisant à en-fouir sa langue dans sa bouche chaude et humide. Il explora de la langue sa petite bouche elle tenta, en vain, de combattre de sa langue l'impitoyable envahisseur! Comme sa langue recherchait la sienne, il posa sa main gauche sur le gilet bleu qui lui couvrait les miches. Il massa lentement ses globes mammaires et finit par déboutonner les boutons du col. Effarouchée par cette manœuvre elle voulut reculer d'un pas. C'est alors qu'elle comprit où elle se trouvait et surtout pourquoi elle était là. Il continuait à déboutonner mister gilet bientôt sa grosse main empauma un de ses petits nichons. Tout en lui malaxant ses tendres nibards, il frottait la bosse déformant mister pantalon contre l'estomac de la jeune femme indubitablement excitée. Elle haleta en sentant sa grosse mentule bien dure frotter contre sa chatoune embrasée.
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chrislebo
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Sous cette caresse les lèvres gonflées de sa chatoune virèrent au rouge vif témoignant de leur profond attisement, la jeune femme referma mister bras sur la large épaule de mister suborneur. Il avait terminé de déboutonner mister gilet et faisait maintenant glisser le léger vêtement de ses épaules la laissant ensuite choir au sol. Ce mouvement dévoila en totalité sa petite poitrine. Comme le noir dominateur baissait les yeux sur la magnificence de ses miches, il sentit un brusque afflux de sang engorger sa bite. Comme il bombait le ventre lui imposant un contact étroit avec sa bite déployée, quelqu'un frappa à la porte du bureau. Un large sourire fleurissant sur ses lèvres il ordonna : - Entrez... La ménagère follement excitée était abasourdie. Hébétée, elle braquait ses yeux sur le visage ricanant du noir qui lui triturait sans vergogne ses tendres nichons. Karen recula et tenta de couvrir ses charmes comme un collaborateur blanc de mister époux entrait dans la pièce et se figeait captivé par la vue de la jeune femme blanche cherchant à dissimuler ses charmes. Abasourdi, comme paralysé, il se tenait mâchoire pendante lorsqu'il vit l'énorme bosse qui déformait le devant du pantalon italien du patron Regardant dans les yeux la malheureuse Karen profondément hu-miliée, il sentit brusquement sa queue se redresser. Il se retourna alors vivement marmotta quelques vagues excuses et se rua vers la porte. Le patron tendit alors la main et attira la blonde ménagère contre mister torse la main fixée dans ses longs cheveux. - Tu n'as pas besoin de ta jupe, enlève là! Lui commanda-t-il sévèrement. Confondue par ces derniers instants, Karen dégrafa rapidement la fermeture éclair de coté de sa jupe, comme sa jupe tombait au sol le maître noir se retrouva confronté à l'image affriolante de ses longues jambes gainées de bas noirs. Il tendit la main et tapota gentiment le ventre musclé de la ravissante jeune beauté. Il continua à flatter mister ventre jusqu'à ce qu'il rejoigne la ceinture de sa petite culotte de dentelle noire. Tandis qu'il tapotait mister estomac, il la fixait droit dans les yeux. Elle se pourléchait les babines maquillées de rouge, un soupir lui échappa alors. - Désires-tu que je te fourre avec ma grosse bite noire madame Saunders? En transe, une transe sexuelle qu'elle n'avait jamais éprouvée aupara-vant, la jeune femme murmura humblement : - Oui... Oh, oui je désire votre gros pénis noir! Le patron noir comprit alors que la suite de sa conquête passait par sa dépendance sexuelle. Lui-même avait besoin de s'accaparer la fragile épouse d'un de ses ouvriers éreintés. Une fois qu'elle serait tombée sous sa totale emprise sexuelle, il détruirait l'amour propre de mister mari. - Enlève-moi ma chemise, puis mon pantalon. Je veux que tu me branles avec tes délicieuses petites mains! Lui intima-t-il avec autorité. Elle obéit docilement. Elle lui ôta sa chemise puis mister élégant pantalon dénudant ses cuisses musclées. Bien sur, il ne portait pas de caleçon, et sa longue bite confinée dans mister pantalon jaillit à l'air libre dès qu'elle le lui enleva. Michael guida la jeune femme subjuguée jusqu'à un large canapé de cuir à l'opposé de mister bureau, elle se laissa tomber sur de confortables coussins. Incrédule elle fixait les 25 centimètres de la grosse bite noire de Michael alors qu'il se laissait tomber à genoux. Il posa ses doigts sur la ceinture élastique de la petite culotte de dentelle et lentement, avec une effroyable indolence il baissa le dernier voile qui dissimulait la caverne détrempée de la jeune et ravissante épouse de mister subordonné. Karen le supplia de se presser, mais Michael roula lentement sa petite culotte noire le long de ses longues, longues jambes. Fermant les yeux elle priait pour qu'il lui ôte rapidement mister sous-vêtement pour engouffrer sa grosse flamberge directement dans l'estomac. Michael regardait sa caverne chaude et engorgée de cyprine, il baissa la tête et lui lécha ses babines luisantes. Ce mignotage très doux faillit provoquer un orgasme prématuré alors qu'elle arquait le ventre pour s'offrir plus généreusement aux caresses de sa langue fouineuse. - Je vous en prie léchez-moi la chatte... Oh mon Dieu! Hurlait-elle folle de frustration. Plus Karen le suppliait de lui lécher la foufoune, de lui mettre sa grosse bite dans la chatoune, plus Michael hésitait. Le temps Le fait d'asseoir totalement mister emprise sexuelle était important. Michael Washington contrôlait totalement la ménagère qui se tordait de désir le suppliant de la sauter. - Ma jeune amie si guindée, si prude voudrait-elle ma grosse bite noire dans sa cramouille? La raillait mister maître noir. Oh mon Dieu, je vous en supplie... Je vous en prie, je ne peux plus attendre... Ayez pitié! Gémissait la malheureuse jeune femme follement excitée. Michael referma sa main sur grosse byroute dressée et s'agenouilla à quelques pas de sa fentine qui se tenait cuisses grandes écartées, prête à l'accueillir. Lorsque le plaisir des léchouillages cessa, Karen ouvrit les yeux et se figea apeurée à la vue de la gigantesque mentule qui s'alignait sur sa minette détrempée. Elle avança mister cul vers la massive colonne se cabrant sur les talons pour tendre mister ventre vers l'envahisseur tant désiré. Comme la tête de sa grosse mentule noire heurtait les babines lu-brifiées de sa délicieuse chatte, Karen était sur le point de tourner de l'œil. La chaleur intense émanant de mister gland turgescent l'émouvait au plus haut point, elle était impatiente de sentir Michael envahir mister tunnel d'amour. Elle gémissait sourdement alors qu'il se pressait contre sa chagatte accueillante. La jeune ménagère blanche s'effarouchait se demandant si mister étroite chatoune s'adapterait aux mensurations de mister énorme chibre. Elle s'arquait pour l'inviter à la pénétrer plus vite, impatiente de se faire baiser par mister massif épieu. - Veux-tu que j'arrête pour enfiler une des capotes de ton mari? Lui demanda-t-il sarcastiquement, un large sourire fleurissant sur mister visage. - NON... Je vous en prie ne me laissez pas comme ça! Pénétrez-moi! Je vous en prie... Mon dieu baisez-mooooooooiiiiiiiiiii... Hur-lait Karen misérablement. De mister bureau, la secrétaire de Michael avait du entendre sa supplication. C'était un cri de désespoir qu'elle entendait quasi journellement depuis que Michael Washington avait repris l'usine. A chaque jour sa femelle blanche! Centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse byroute dans mister étroite cramouille. Lorsqu'il en eut enfoncé 10 bons centimètres, il s'immobilisa et re-gardant avec délectation le visage tourmenté de sa proie ravagée par un plaisir incontrôlable il se moqua : - Là t'en as aussi long que la queue de ton mari dans la chagatte! Je ne t'en donnerai pas plus aujourd'hui! Karen donnait des coups de rein désespérés pour en absorber plus. Elle agrippa ses épaules et referma ses longues jambes dans mister dos faisant de mister mieux pour l'enfouir plus profondément dans sa grotte embrasée. Toutefois, en dépit de tous ses efforts elle ne parvenait pas à avaler un centimètre de plus de sa noire monstruosité dans sa chagatte avide, prête à le recevoir. - Serre ta chatoune... Je veux que tu aspires mon braquemart noir avec tes muscles vaginaux... Fais-moi plaisir et j'inonderai ta chatoune de foutre! Déçois-moi et je te déchirerai les fesses à grands coups de ceinture! Lui intima-t-il avec autorité. Karen se pliait servilement à ses ordres. Elle sollicitait mister éjaculation. Ce monstre noir qui la baisait à couilles rabattues l'excitait follement, un intense orgasme la terrassa qu'elle n'avait jamais ressenti avec sa mauviette de mari. - Tends tes petites mains ma chérie, cajole ma bite ma jolie petite pute! Poursuivit-il en lui donnant ces ordres humiliant. Karen empoigna la dure bite et traya la grosse mentule tandis que sa chagatte se crispait et se décrispait sur sa hampe turgide. Elle se masturbait frénétiquement avec la bite de Michael, elle était épatée de constater qu'il restait 13 centimètres de byroute hors de sa foufoune pourtant un max distendue. Michael continuait de la railler : - Veux-tu goûter à mon foutre petite salope! Karen avait perdu pied, elle planait loin de la réalité. Tout ce qu'elle comprenait c'est qu'elle avait joui alors qu'elle branlait le patron de mister mari, qu'elle travaillait sa bite à l'aide de ses muscles vaginaux tout en le priant de la baiser à fond. Il fint par succomber aux vagues de plaisir que lui prodiguait frénétiquement la petite ménagère, il explosa sous les caresses de ses muscles vaginaux qui enserraient sa bite dans un gant de fer. L'orgasme de Michael mit le feu aux fesses de la petite ménagère folle d'excitation, il la laissa continuer à branler sa bite toujours raide. Il reposait sur le dos tandis que Karen continuait imperturbablement mister oeuvre de plaisir. Elle continua pendant 10 bonnes minutes rebondissant d'orgasme en orgasme. Il ne la laissa jamais absorber les 13 derniers centimètres de sa hampe, il les gardait en réserve pour leur prochain rendez-vous. Finalement, consumée d'amour elle se laissa tomber sur le canapé éreintée. Son adorable corps couvert de sueur continuait à soubresauter alors que mister cœur reprenait un rythme plus normal après ces intenses orgasmes. Après ce qui lui sembla durer une éternité, Karen ouvrit des yeux las et jeta un oeil sur mister corps amolli. Ses tétons raidis avaient repris leur taille habituelle, elle se redressa légèrement et vit sa mince parure de poils empesée de foutre, le même foutre qui dégorgeait de sa chatte béante pour s'écouler sur la moquette. Elle braqua les yeux sur Michael alors qu'il récupérait les gouttes de sperme s'écoulant de sa cramouille entre ses doigts avant de les porter à ses lèvres, qu'il enduisit de sa semence salée, elle pointa sa langue et en savoura le goût. Il étala alors le foutre sur mister corps, elle ne résista pas.
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chrislebo
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— Ouais, pourquoi pas ? Et si vraiment tu te prends beaucoup de P.V., j’ai des collègues disponibles pour te sanctionner comme il faut. J’eus brièvement une image mentale : moi, entouré de queues en uniformes. Humm… Quand il vit mon regard coquin, il prit sa queue dans la main, se leva, se mit devant moi, et introduisit mister sexe encore mou et plein de sperme dans ma bouche une nouvelle fois… Je jetai un coup d’œil sur mon verre de coca, il restait des glaçons… Je lâchai sa queue à demi dressée pour prendre les glaçons, je les mis dans ma bouche, puis je recommençai mon taillage de pipe. Le froid le fit rapidement bander, à ma grande joie. Son téléphone misterna, il devait partir, j’ai dû arrêter de le sucer (GRRRRR) pour qu’il puisse y aller. Il me ramena chez moi et me dit qu’il aurait aimé me revoir. Cette fois-ci, je ne me fis pas prier… Moi aussi, je voulais le revoir ! Ce soir-là, je dormis bien. Ma mâchoire me faisait légèrement mal après tous ces efforts. Je n’arrêtais pas de penser à ce tête-à-tête. CHAPITRE 3 – Addiction J’ai revu Manuel une vingtaine de fois peut-être. J’ai récemment perdu sa trace : mister téléphone est coupé depuis plusieurs mois. Il a dû trouver une femme et a décidé de se ranger. J’ai tout de même eu le temps de bien le connaître, nous avons parlé de temps en temps de tous ces mecs qui baisent entre eux. On n’a pas fait que baiser, mais malgré tout quand on parlait, généralement c’était de sexe. J’aimais passer du temps avec lui. Je continuais à chercher de nouveaux mecs, je voulais faire des rencontres. J’avais vingt ans à cette période. En six mois j’avais rencontré au total cinq gars. L’un d’entre eux me fit découvrir la sodomie. Je ne voulais pas que Manuel soit mon premier, mister énorme membre me faisait peur. L’idée de me faire prendre par ce gourdin m’excitait certes, mais j’appréhendais néanmoins le moment. Je ne lui avais pas caché d’ailleurs. Il voulait me baiser, mais il comprit que je voulais commencer en douceur. Celui qui me dépucela du cul se nommait Philippe. Un métis clair de peau, environ 1m80, trente ans. Il portait des lunettes. Il avait l’air vraiment gentil derrière mister doux visage, mais ce mec était un sacré cochon. Il m’initia aux lavements. Ça consiste à se vider les intestins à l’aide d’une poire remplie d’eau, ou d’un jet d’eau quelconque. Ainsi, une sodomie se pratique sans surprises fécales. Il avait une belle queue. Elle était loin d’être aussi grosse que celle de Manuel, mais elle faisait du bien là où elle passait. Il aimait baiser en insultant mister partenaire et en le dominant, voire même en l’humiliant. Je m’approchais presque du trip sado-maso ! Il me traitait de tous les noms : — Alors salope, t’aimes la bite, hein ? T’aimes qu’on te pète le cul, sale pute ? Dis-moi que t’aimes ça ! — Oui, vas-y, coke-moi ! — Non, salope ! C’est pas ce que je t’ai demandé ! Je t’ai demandé si t’aimes qu’on te pète le cul, sale pute ! — Oui ! J’aime qu’on… me baise… non… pète le… cul ! Sale pute ! Haaaaa ! Je parlais par épisodes. Il me limait le cul très violemment, je pouvais pas parler correctement dans de telles conditions. Il me giflait aussi des fois, me tenais la mâchoire d’une main en me demandant si j’aimais être traité d’une telle façon… J’aimais pas, j’adorais. Il me fit découvrir la baise extrême, ce genre de baise que vous sentez toujours pendant plusieurs jours dans votre bas-ventre. Il me fit aussi découvrir les sex-toys. Il avait trois godes de tailles différentes, ça allait du petit qui chatouille à la copie de la queue de King Kong. Après plusieurs passages chez lui, je pus m’asseoir sur une bouteille de 70 cl et l’aspirer sans faire gaffe. Il avait transformé mon anus en une véritable chatte, un trou béant prêt à absorber tout ce qu’on lui présente. Il prit même des photos, histoire de me présenter à d’éventuels copains à lui. À cette période j’ai vraiment touché le fond en matière de débauche. J’enchaînais les rendez-vous… Un soir j’ai eu 3 rendez-vous d’affilée ! Je me faisais « coker » plusieurs fois par semaine. De temps en temps je voyais Manuel et Philippe. C’étaient mes « habitués ». Vous vous doutez bien que j’ai aussi pensé à l’amour à plusieurs, les partouzes. J’aimais baiser avec un mec, avec deux ça devait être encore meilleur ! Un soir je les ai invités, je leur ai envoyé le même texto : Salut, tu fais quoi ce soir ? J’ai envie de me faire défoncer par deux bites ! J’ai un mec sous la main, ça te dit ? Une heure plus tard, Philippe était là. On a attendu Manuel en regardant des pornos. On a vite fini par faire pareil… Il alla dans la chambre à côté pour prendre le miroir rond de salle de bain. On l’avait déjà utilisé. Il posa le miroir sur le bureau et me força à me regarder le sucer. Il était encore au fond de ma gorge quand on frappa à la porte. C’était mon deuxième invité. Quand il est entré, Philippe était assis, la queue à l’air, pleine de salive. Manuel me dit alors que j’étais une sacrée salope et il me donna une claque sur les fesses. Il fit connaissance avec Philippe, puis il défit sa ceinture… C’était parti. Ils m’ont entouré et m’ont dit de me mettre accroupi au milieu de ma chambre. Je suçai mes deux gaillards comme si ma vie en dépendait, j’étais aux anges. Je paniquais un peu en espérant que mes parents ne débarqueraient pas. Ils étaient à l’anniversaire d’une tante, ils ne devaient normalement pas être là avant trois bonnes heures. Philippe m’enfila rapidement. Il me tenait la tête pour que je puisse mieux sucer Manuel. Après un bon moment, Manuel prit sa place, il s’enfonça en moi d’un coup, sans powerr, j’eus même l’impression qu’il tentait de faire rentrer ses couilles, car il me donnait de grands et profonds coups de bassin. Ses grosses couilles claquaient contre les miennes. Il me prit en levrette pendant que Philippe m’embrochait par-devant. Je ressemblais sûrement à un poulet rôti dans cette position. Manuel me donna quelques derniers grands coups. Il se retira, enleva sa capote et vint éjaculer sur mon visage et, au passage, sur la queue de Philippe qui était encore dans ma bouche. Lui non plus ne tarda pas à jouir… À quelques secondes d’intervalle, ils auraient explosé en même temps. J’ai pris une douche de sperme ce soir-là. Philippe m’interdit de me laver tout de suite, il voulait que je les raccompagne à la porte avec le visage dégoulinant. Quand ils furent partis, j’allai dans la salle de bain, et je me regardai avec tout ce sperme sur le visage… Je me sentais chienne, j’aimais donner du plaisir aux hommes et ils me payaient en sperme. Cette sexualité me plaisait, c’était un défouloir extraordinaire. Après chaque baise je me sentais comblé ! En me faisant prendre par des mecs, en me mettant à la place de l’être baisé et non du baiseur, j’ai de mieux en mieux fait l’amour à mes compagnes féminines. Je suis devenu un amant encore meilleur, plus attentionné… Faire l’amour ce n’est pas que rentrer et sortir d’un vagin ! Coucher avec moi, c’était devenu un voyage All Inclusive. Je menais donc une double vie : mes petites copines et mes mecs. Je faisais l’amour de toutes les façons possibles, je sentais en moi un certain équilibre. À cette période, j’avais alors atteint vingt-deux ans. Je ne peux pas vous dire combien de mecs j’ai connus au total… En l’espace de trois ans, j’ai dû coucher avec une bonne cinquantaine de gars. Parmi eux, il y en a eu quelques-uns qui m’ont marqué, d’autres dont je ne me rappelle ni le visage ni le nom. Quelques situations cocasses m’ont marqué… CHAPITRE 4 – Confession À vingt-deux ans, je travaillais déjà. J’avais trouvé un bon job dans une boîte informatique. Un jour alors que je tchattais, je suis tombé sur un client à moi. Ce genre de plan est assez bizarre, vous voyez la permisterne assez souvent, vous la connaissez, et voilà que vous découvrez une autre facette de cette permisterne. Beaucoup des mecs que j’ai rencontrés étaient mariés ou en couple. Vous connaissez forcément quelqu’un qui aime ce genre de sexualité, ça, j’en suis certain ! J’ai été capable de mener une double vie très mouvementée… Quand on veut, on peut ! Et les gens qu’on soupçonne le moins mistert parfois ceux qui en font le plus. J’ai croisé des gens connus et médiatisés au pays, artistes télé et radio… Plus permisterne ne m’a surpris ! C’est un peu comme dans Matrix : le monde des machines et le monde des hommes. Je me suis retrouvé une fois dans une forêt du sud à me faire pilonner par un chanteur de zouk, marié bien sûr. Je suis déjà rentré chez moi après m’être fait éclater les trous par un, deux, ou même trois hommes (oui, après deux, j’ai voulu essayer trois…) en devant faire comme si de rien n’était… Et c’est pas facile ! Se faire baiser vous rend un peu vaseux… Souvent on m’a dit que je travaillais trop que je devais dormir plus souvent sinon j’allais me tuer… Permisterne ne pouvait imaginer que ce qui me fatiguait, c’était de me faire passer dessus par qui veut bien. Une fois, j’ai pris contact avec un mec qui habitait le même quartier que moi. C’était la première fois qu’un amant à moi habitait tout près. Ne voilà-t-il pas que cet homme était notre voisin direct ? Quasiment tous les matins, je lui disais bonjour, et maintenant, il me dit qu’il veut me baiser. J’ai couché avec lui pendant quelques mois, c’était soit chez lui soit chez moi. Il m’excitait beaucoup, il avait cinquante-quatre ans, c’était ma plus vieille queue. Vieille, mais très en forme : 24 cm entre les jambes, ça power le respect. Quand il me baisait, j’avais l’impression de le sentir dans mes poumons. Quand sa femme l’emmerdait, il se rendait discrètement chez moi pour tirer mister coup. Il me limait la chatte comme il aimait dire… Je me suis déjà fait filmer et photographier en train de me complaire dans la luxure… Pour usage permisternel, bien sûr, c’était avec mes appareils ! Et je garde tout ça bien en sécurité. Un jour, j’ai sucé un mec pour cinquante euros. Je voulais pas prendre de rendez-vous avec lui. Je lui ai fait comprendre que je ne le faisais que pour de l’argent en pensant qu’il allait laisser tomber… Mais non, il a accepté. Une fois, mon voisin de cinquante-quatre ans est venu me voir à mon lieu de travail. Il était dans le coin et, n’ayant rien à faire, il est passé… Cette visite de courtoisie s’est finie par une pipe dans les toilettes. J’ai dû avaler une bonne partie de mister sperme pour pas que ça me tache, ensuite je suis retourné travailler comme si de rien n’était. Vient l’année de mes vingt-trois ans. Le matin, je suis allé me faire faire un tatouage dans le dos. J’ai passé la journée avec mes amis à boire et à rigoler. Nous avons passé la soirée en boîte. À mon arrivée, mon regard a croisé celui d’une femme splendide. Une Femme avec un « F » majuscule. J’ai vu tout de suite la différence d’âge : elle avait l’air d’avoir trente ans, elle portait des talons hauts et une jupe longue, avec une belle fente qui permettait de voir l’une de ses jambes quand elle dansait. Elle avait une forte poitrine. Ça m’a toujours fait craquer, les gros seins. Un peu comme les grosses queues, j’aime mieux quand y a trop que pas assez. Elle avait une silhouette vraiment aguichante, et mister visage de félin me donnait envie de lui parler. J’ai fini par lui parler, on a bu quelques verres, j’ai vu que mon âge la gênait un peu, mais elle a accepté de parler avec moi. J’étais pas sûr que ça finirait par un échange de numéro, mais elle me plaisait ! J’ai pas hésité à le lui faire comprendre. Sabrina, elle était professeure en maternelle, elle m’a raconté quelques mauvais coups que ses élèves lui avaient faits. Après quelques sourires échangés, je finis par avoir mister numéro. Nous nous sommes revus. Nous avons couché ensemble, et nous nous sentions bien ensemble. J’ai fini par m’installer chez elle, elle avait un bel appart dans le centre-ville. Ça fait maintenant trois ans que nous sommes ensemble. Je vois de temps en temps deux de mes anciens amants. Mon ex-voisin retraité, et Philippe. Philippe, je le vois moins souvent, mais quand il peut, il passe se défouler sur ma permisterne. J’ai parfois des remords quand je couche avec un mec : Sabrina est une femme formidable, nous comptons nous marier. J’essaie d’espacer mes rencontres cochonnes, j’ai envie d’arrêter et de ne me consacrer qu’à ma vie de couple… Aujourd’hui ça fait six mois que j’ai pas trompé ma femme. J’ouvre de temps en temps ma session MSN pour voir mes anciennes connaissances. Certains mettent des photos de leur sexe comme avatar, et je me rappelle de tout ce que j’ai pu faire avec… Ce matin un nouveau contact vient de s’ajouter à ma liste… Ça faisait un bail que c’était pas arrivé. Forcément puisque mes fesses ne mistert plus en activité. Il dit s’appeler Marc, un ami de Manuel. Il avait disparu, mais il m’avait pas oublié…
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!Trip to LA The bar at the Hyatt in LA was about half full, mostly businessmen with a few couples brownietered around. I found myself a seat at the bar and started looking over the crowd. Look like it was going to be a tough place to meet a babe in, probably would have to go out somewhere else later. I'm married but that hasn't been going to smooth lately so thought the trip would give me a chance to get away from it all and relax. Maybe even have some fun for a change, the way Ann has been acting, finding a little strange sounded pretty good. I'm 35, 5'9", 150, still in good shape and go to the gym at least three times a week. I order a scotch and look around the bar to check out the scene. There are several couples on the dance floor, and I spot a hot blonde, short black skirt, long legs, just what I could use. "Excuse me, this seat taken?" a tall man asks breaking my concentration on the blonde. "No, help yourself," I reply. "She's hot isn't she?" the other man says, "nothing like a nice tight ass." Laughing, "Was I that obvious?" "Looked like you were in heat was all," he replies lightheartedly. He reaches out his hand, "I'm Mike." I shake his hand, "Steve." I take a closer look at him, seems to be around 50. He looks to be about 6'1 and a solid 200. His hair is black, combed back and he has a bit of a five o'clock shadow. His look is very masculine. "Visiting LA, Steve?" he asks. "Yea, going to be in town for the next week, business," I tell him. "You are going to have to get out of this place if you expect to have any fun while here or are you a faithful married man?" he asks as he orders another take for both of us without asking me if I wanted one. "Well, I'm married but not sure about the faithful part," I say smiling and lifting my glass for a toast. "To being unfaithful," Mike quips as we touch glasses. Mike seems to be a nice guy and was very easy to talk to. We talked sports for a while and had a third take. I don't take much and was getting a buzz. "Come on, Steve, let's get out of here and go have some fun," Mike tells me as he pats my thigh one time. "You like smoking a little pot? I have some in my car." I really don't think about his touch, never been around gay scene and really didn't even think about those kind of things. If it goes on where I live it really has no effect on me. Do like to get high and don't hesitate to take him up on his offer. He heads me to his car, a nice black Mercedes. I'm thinking this guy must be doing something right. We get in and he lights up the joint. Its good, and soon, I'm feeling no pain. Between the holy water and the smoke, I'm really feeling good. I hear him start the car and he takes off. Thinking about the fact that I'm driving away from hotel with a man I know nothing about but what the hell, I deserve some fun. He weaves through traffic and then pulls into a fancy garage under a nice three story building. "This is a private club I belong to Steve. I guarantee you that we can find some fun people in here," Mike tells me as we get out and go to the elevator. We go up to the third floor and enter a nice foyer. "This isn't Kansas anymore Steve," Mike tells me clicking his heels together and laughing. He takes my arm and leads me through some glass doors. I can hear rather subdues music and we go into a really fancy bar. There are a few couples dancing and other couples sitting around tables and booths. I feel a little disappointed, seems like just what we left. Mike leads me over to the bar and orders for both of us. I turn around to check out the crowd when I suddenly notice an older man leaning into a corner and kissing a younger man. "Whoa, Mike did you see that?" I ask Mike as I see him looking at me. "Yes, hot isn't it?" Mike replies, his voice smooth and calm like he really does like it. "The boy is pretty, isn't he?" "Not really my thing," I tell him but looking at the boy and realize he really is pretty. "Permisterally, I like my boys a little older Steve," he tells me looking me in the eye. Shocked when he said that and can't keep eye contact with him very long till I look down. "Are you gay Mike?" I ask figuring I might as well say it right out. "Of course, I thought you knew that," Mike tells me. "Everyone knows the Hyatt bar is a major pick up place for fresh new boys. You know, men coming to LA looking for new adventures." "Well, I sure didn't know it," I tell Mike. "My boss set this up for me to stay at the Hyatt. He said he thought maybe it was a place I might like." "Does your boss know you are a fag?" Mike asks me. "I'm not a fag," I shoot back at Mike. "That's what I've been trying to tell you." "Really?" Mike asks. "I spotted you and immediately thought you were a fag boy in need of a real man to take care of you." I'm starting to get mad. "Will you take me back to the hotel? I think we have a major misunderstanding here." "No Steve, I think everything is going just as Robert Wells hoped they would," he replies. Robert Wells is my boss, how in the fuck does Mike know about him. "What the hell is going on? I want to know what you are talking about." "Steve," Mike says, looking directly at me, "Robert sent you to me so I can teach you to be an obedient boy for him. He has had his eye on you for a long time and has decided that it is time that you become his boy." "What the fuck are you talking about, I'm not a fucking boy and I don't know what Robert thinks he can pull," I say getting really pissed. "What he knows is how you and wife are getting along and if she was to receive pictures of you with other men she would leave your sorry ass in a heartbeat and take everything you own with her," Mike tells me his voice much calmer than mine. Mike grabs my arm, "Let's go to a booth Steve where we can have a little more privacy." I follow him to a booth. "This is crazy. He can't do this to me." "Yes Steve, yes he can. Part of my job is to provide the pictures and I always do my job well," Mike states. "Your only choice is whether you do this and become Robert's boy, or he will ruin your reputation, your marriage and your financial standings. Hard to get a job once the work gets out whether it's true or not." My mind racing trying to try and find a solution to this situation and nothing comes to mind. My only chance is not to let any compromising pictures to be taken. "You can go fuck yourself Mike," I tell him angrily, "I thought you were a nice guy. Forget it and forget those fucking pictures." I get up and start to walk away when Mike grabs my arm. "Sit down bitch," Mike states firmly. "By the time you leave this place, no one will have any doubt about whether you are a faggot or not. The only question is how much of a beating you will take till you submit to me." He stands up in front of me and I know if it becomes physical I'm in deep cuckolds brownie so I sit back down. "It won't be that bad," Mike tell me as he leans down, his palm on table, his face close to mine. "Robert was right. You really are quite pretty. I see why he is attracted to you." "Shut the fuck up!!" I shout at him. SLAP!!! Mike slapped my face hard. I'm shocked and as I look around I see several people watching the scene. "You talk to me like that one more time, I will spank your ass right here in front of everyone," Mike tells me leaning closer to my face. I'm stunned at the turn of things, now starting to get really scared. I keep my face down, not wanting to make eye contact. "Do you understand Steve?" Mike asks his voice low and threatening. "Do you understand if you don't do what I tell you to do, I will take you over my knees, pull your pants down and spank you in front of all my friends?" I nod my head yes. "Answer me, do you understand boy?" he asks rougher. "Yes, I understand," I answer still looking down. "Good, now give me a kiss and tell me you are sorry for acting like such a bitch," he tells me. I can't believe what he just said. He expects me to give him a kiss and apologize. Fat chance of that happening, then I start thinking of the option. If I don't, will he do what he threatened? He did say this was a private club and he probably does know most of the people in here. But kiss him? I look up and he bends over closer and I do it. I lean forward and press my lips to his and give him a quick kiss. "Ok, I'm sorry, are you satisfied now?" I ask with a lot of attitude. "You just can't help being a little bitch, can you?" he asks and grabs my arm and pulls me from the booth. He pushes me ahead of him till we reach a corner and he directs me into the corner. "Get your nose in the corner boy and don't fucking move it till I tell you to," Mike says he voice rough and threatening. "If you want to act like a bitch I will treat you like one." I'm sure most of the people must be watching by now. Mike doesn't seem to mind if others know what is going on between us. He tells me to put my hands behind my head and threatens me, telling me if I move them I will regret it. I am seriously scared now and know I don't want to piss him off any worse so I figure I will just do what he tells me to do. I jump when I feel his arms go around my waist and then I realize what he is doing. He is unfastening my slacks. "Mike, please don't do this," I beg him. "I promise I will do what you say." "Shut the fuck up boy, please move your hands from your head. I dare you. I still would love to give you that spanking boy," he threatens his breathe hot in my ear. I keep still and I can feel him unzip my slacks. Suddenly he pulls them down to my knees. I can't believe it but he doesn't stop but reaches up and grabs my jockeys and pull them down to join my slacks. I feel the cool air hit my bare ass. I feel him grab the bottom of my shirt and lift it to wear my ass is exposed. "Hands down in front of you boy," he commands. "Grab the tails on your shirt and hold them tight around you. I want that fag ass exposed for my friends. Now stay in the corner bitch till I come back for you." He walks away and I stand there, glad my face is to the wall so no one can see my embarrassment. My face feels beet red and I feel like I'm about to cry. That feeling reminds me of my fights with my wife when she always is telling me I'm weak and that I'm just a wimp. She can be so cruel at times. Wondering how long he will leave me there. I hear whispering behind me and realize the older man and the young man I saw kissing are standing behind me.
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chrislebo
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"That is what happens when you are a bad boy, sweetie," the older man tells the younger. "I know you will never behave badly and have to be displayed like this but I'm sure this boy deserves it." "Will he be whipped Daddy?" the younger asks. "Yes, I know his Master and he will definitely be whipped," the older answers. "His Master probably had to go find some toys to use on the boy." Panicking when I hear them talking but know if I try anything it will only get worse. Try and control myself but can feel tears running down my cheeks. What is he going to do to me? I hear them move away and stand there unbelieving what is happening. In a short time, I hear another man walk up to me, his heels clicking on the floor. "Nice ass boy," a voice states. I can tell from his voice that he is black. "You like being breed by black cock?" "Please help me," I plead. "I'm not even gay and I'm being powerd to do this." Laughing, "Mike will love hearing this," he replies. Fear hits me instantly. "Please don't tell him. Please it will only make things worse." I fell him move up close behind me. His crotch presses against my bare ass. "Maybe I won't have to tell him if you show me a little love," he whispers in my ear, his breathe hot. "Push that nice white ass against my black cock. Feel how big and hot it gets when near white ass." I really don't want him to tell Mike. Know that would probably lead to the spanking he threatened me with. I push back against him and feel his cock threw the slacks press right into the crack of my ass. It feels so big. I can feel up the full length of my ass. "That's it baby," he whispers. "Wiggle that ass, press it harder onto my black cock and keep it there." As he says this he moves back a little making me stick out my ass more to keep against his cock. Then he moves back a little more. Realize I'm sticking my ass out enough that I lean into the corner more pressure on my forehead. He leans down over me making me realize he must be taller than me. "Now grind that sweet ass baby and if I hear some moaning I will know my white bitch is liking it." I'm so embarrassed but do as he says. I can feel the heat from his cock through his slacks. As I start moving on his cock, I feel his hands at my waist and he works my ass against his cock. I hear myself moan and wonder if I moaned because he told me too or did I like the way it felt? He keeps working my ass and I moan more to keep him pleased. "It always amazes me how much these white fagboys love black cock," I hear a feminine voice say. "Yes," I hear a different feminine voice reply. "I'm surprised he isn't begging the stud to fuck him already. You want his black cock up your pussy boy?" Realize she is talking to me. I nod my head no and as I nod no I feel him pull my ass back hard against his cock making me moan loudly. I hear them both laughing then one says, "Sorry boy you aren't very convincing. Tyrone, when you are going to take his ass, please let us know. We would love to watch." "I will Simone but he is Mike's new boy so I don't know when that will happen," Tyrone answers. "I know I have to have some of this ass sometime even if I have to pay Mike for it." He slaps my ass hard then moves away. "Look at us boy," Simone says. I move my head out of the corner enough to see them. They are both beautiful women around my age. "What a pretty boy, is Mike going to femme you?" Simone asks, "He really should, men would love you." Feel like I'm about to cry. "I don't know what he has planned. He is powering me to do this," I answer. "It didn't look like you were being powerd a few moments ago," Simone replies. "It looked like you wanted that black cock bad. You looked like such a faggot." So embarrassed, I turn my face back into the corner. "Don't you turn away from me faggot", she barks out at me loud enough I'm sure others could hear. I turn back to face her as I hear someone come up behind me. "Is my new boy behaving Simone?" I hear recognizing Mike's voice. "He is rather disrespectful Mike," Simone replies. "I was talking to him about how much he seems to love black cock and he turned away from me." "Really?" Mike asks. "Yes, you should have seen him with Tyrone, rubbing his ass back against his cock like he couldn't get enough," Simone tells him. "Is that true boy?" Mike asks me. "Yes, but he made me do it," I answer. "Didn't look that way Mike," Simone adds. "You should have heard the faggot moaning. Sounded like a real sissy boy." "I'm training the boy for his boss back home," Mike tells the women. I will have to see if he is interested in sissy boys." I can't believe what I'm hearing. They are talking about me like I'm not there. Simone goes and whispers something to Mike and he laughs and nods his head yes. "Go with the ladies and do as they say or you will regret it boy," Mike tells me. Simone takes my arm and leads me from the main rooms to a smaller room in the back. She pulls the pretty little blonde girl into her arms and gives her a big kiss, then whispers something in her ear and she leaves. "Vivian is so pretty and very obedient," Simone tells me. "Undress boy." Her voice is stern and leaves no doubt she is used to be obeyed. She is very imposing, at least 5' 10" and has a gorgeous body. Her black hair is pulled into a bun behind her head. I know I better do as told and start undressing as she stands and watches me. Soon, I'm standing naked in front of her, my hand covering myself. "Move your hands faggot," she commands. I move my hands away. "I see why you were covering up, not much of a man are you, it's no wonder you are a faggot," she states coldly. "I'm not a faggo...," I start to say when she slaps my cheek hard. "Shut up, you only talk when given permission," she tells me. My face stings and I see the look on Simone's face. She looks so pleased with herself. Vivian enters the room carrying some clothes. "Sit down bitch," she tells me. I sit down and Vivian comes and kneels in front of me and lifts one leg. She starts working a white nylon onto my leg. I don't have much hair on my legs and the nylon feels so strange. Then she does the other leg getting both nylons above my knees. "Stand up," Vivian tells me, her voice soft and sweet. I stand up and Vivian puts a pink leather corset around my waist and starts lacing it up. She pulls it tight constricting my waist. When she has it laced tight, she hooks the white nylons to the garters on the corset pulling them high up on thighs. Then she steps back beside Simone. Simone then moves behind me and I feel her messing with the laces. Suddenly she pulls hard, making the corset tighten even more. I feel her knee in the middle of my back as she laces it up tighter and tighter. I can't even take a deep breath. "That's better" Simone says. "The bitch does need her feminine shape." Then Vivian kneels in front of me holding a pair of pink 4" pumps. She lifts my foot and put them on me as I struggle to keep my balance. "Now walk for me bitch," Simone tells me. I struggle having to take small steps. I see Vivian hand Simone a riding crop. I feel her slap my bare ass lightly. "One foot right in front of the other bitch," Simone commands. I do as she says and can feel my hips swishing as I do it. Suddenly, I feel the crop across my ass rather hard and I cry out softly. "Let your hips loose fag, I'm sure you have seen the ways whores walk. That is what I want to see from you," she says as she brings the crop down hard on my ass. She makes me walk back and forth in front of her and every time I pass she hits my ass hard with the crop till I finally do it well enough to please her. When I stop, Vivian brings a long pink robe and put it on me. It's sheer and so silky. It does feel good but I know you can see right through it. Then Vivian pulls my hands behind my back and puts handcuffs on me. "So much better, don't you think?" Simone asks me. "Bet you will make a much better girl, you couldn't satisfy any women with that," she says as she slaps my cock hard making me winch from the pain. Vivian comes up behind me and puts a pink leather collar around my neck. Then she moves around and I see a tube of lipstick in her hand and I react and as soon as I do the riding crop hits my ass through the thin robe. "Stand still bitch," she says. You can see her eyes and the pleasure she is getting treating me like this. Vivian applies the lipstick and something on my eyelids. Then she leads me over to a full length mirror and I see myself. I can't believe how I look, the pink lipstick and see pink glitter on my eyelids. My waist looks so small and the corset has my pecs pushed up looking like small breasts. As I look at myself Vivian works on my hair, putting something on it and combing it into a more feminine style. I don't look totally fem but definitely look like a sissy boy. Vivian adjust the robes to my shoulders to where it falls open showing the corset and my soft cock. I see Vivian move in front of me and quickly take a picture of me. "I'm sure Mike will like to send this to your boss," Simone tells me. "Please don't, please," I ask of Simone but all I get is another hard whack with the crop. "You were told about talking bitch and if I hear that masculine voice again you will regret it," Simone replies. "Now thank Vivian like a proper sissy fag."
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chrislebo
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I thank Vivian trying to sound as faggy as I can. I see Vivian almost laugh at me and feel so foolish. "Well, the boys are waiting," Simone tells me as she walks to me and attaches a leash to my collar. "If anyone asks, you will tell them your name is Candi and that you love cock. Understand Candi?" I nod my head so scared of what awaits me. Simone leads me from the room and back into the bar. I see everyone's head turn to look at me. My face feels so red from the offense of it all. What happen's next. I don't know yet.
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chrislebo
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The result was a high-frequency sensation almost like an orgasm but without the buildup, peak, and fade-out. It was constant, super high-level pleasure I could describe only as orgasmic but endless, a constant, wavering sensation as long as his aircraft carrier of a cock passed through my port. When I caught myself liking it, I bit my lip! Have some decency, you depraved fucker! You're being ****d by a Black felon, and you're wallowing under him--and suddenly I realized it: Ohmigod! I had been automatically rutting back at him, thrusting my ass against his invading cock. Ohhh, cuckolds brownie! "Look at this boy! My cop homey be fuckin' along with me!" The other four bastards laughed, and I was so ashamed I hoped he would break something inside me so I could red to death. And the mister of a bitch was merciless. He got me so horny, I couldn't deny it. The best I could do was fight against showing it, but I constantly caught myself lifting my ass for him, thrusting back against him, even--oh, I felt like cuckolds brownie--I caught myself clenching my asshole around his cockshaft, anything to heighten the sensation from that wonderful organ. Wonderful organ?? What in hell are you thinking, Officer Lovel? Are you this Black man's whore, or are you an officer of the law? And then he stopped. In mid-stroke. Froze in place behind me. I wondered if my brother cops had arrived and were aiming guns at the bastard. Fuck, what a position to be rescued in! But I heard no shouts, no orders to "Get on the ground!" Why did he stop? I gnashed my teeth as I realized I missed the delicious friction. In fact, I couldn't stop myself, my ass automatically lunged back against him, skewering his cock into me a few inches. "That's what I'm talkin' about," he crowed, and my face got so hot, I had to be blushing purple. "We got us an eager, horny cop here. He be pushin' hisself back on this big, black dick." I'd never been so humiliated in my life. My own goddamned body had betrayed me! "What me to continue, man? You want more of this big meat?" Fuck, it just keeps getting worse! I was silent, powering myself in fury to hold still. "Hey, man, you gotta tell me what you want. Without you tell me, I ain't doing no more with your ass." I couldn't believe it. Once the movement of his cock into my ass was the worst pain I ever felt. Now that his cock didn't move through me, the agony was unbearable! He brought his mouth down near my ear. "You want me to go on fucking you, man?" I was so ashamed, I had to turn my face away, but I couldn't help myself: I nodded my head yes. When the huge black cock started pumping me again, I got such a thrill, goose-bumps prickled all over my body! Automatically I lunged back at him, and again in my ear: "That's it, man, enjoy the moment. Ain't nobody gonna know about this but you and me--and my bros--but there ain't nothing you can do, so you might's well make the best of getting a big, black cock." Then he bit my earlobe. Damn, that felt good, and suddenly I had a new horror. Oh, no, oh my god, he's going to make me cum! In a panic, I felt that first slight tremor in my balls. My testicles cinched up closer to my body, and my cock got that "start your engines" feeling. No, oh, for god's sake, NO! I tried desperately to think of something else, anything to derail the growing climax, but the constant, insistent pleasure spreading out from my asshole was a prairie fire incinerating anything it touched. Helpless, I tipped my head back, my eyes rolled up in my head, and I shuddered as a tsunami of pleasure swept over me. Unbelievable! Explosions of pleasure thundered in my groin, and the stretch of my asshole around the chief's thickness became a ring of electricity, high-voltage ecstasy. Pinpoints of rapture, little mosquito-bites of bliss pincushioned over every square inch of my skin! Out of my mind, my head fell down between my arms, and I found myself looking straight back at my rampant cock--just in time to get bursts of sperm so powerful they shot all the way to my face! My own jism landed in my slack-jawed mouth! And they didn't miss that. "Hey, looka there, cop-boy's a goddamn cum-slut! Drinkin' he own jizz!" Again my face burned in shame, and inside, deep down, I was scared: God damn, I like it! Never had an orgasm like this, Never! I was still purring along in the afterglow when Barron, still thrusting into me, murmured in my ear, "Y'all cummed yourself from my fuckin'? Beat me to it, did you, boy? Watch this!" With that he got it on, hip-slamming me violently, raising the level of my afterglow back up to thumping pre-orgasm--What? I'm 35 years old! That's imposs-- --With Barron's teeth biting into my ear, he got his gun. Big power-surges of his swimmers shot up my ass, every blast jolting me back into another orgasm! Trembling like a racehorse at the starting gate, I cummed again. Another tidal wave of unspeakable pleasure swept over me. When I finally came down enough to think coherently, I was amazed. A double-orgasm! Never done that before! Totally exhausted, I slumped down flat on the seat, actually glad to feel the comforting warmth of Barron's body against my back (and his sweat, too, goddamn it, I loved his sweat on me!). I couldn't help myself: I was so fuck-crazy (and grateful), I clenched my asshole again and again to heighten his pleasure as he came down from the mountain. Again I heard his voice in my ear, a soft, deep bass, strangely comforting: "You a fuckin' natural, man. Never had me a piece of ass hotter than yours." He looked down into my eyes, but I turned my head away in shame. Shame, hell, you hypocrite! You are proud you did him good, and you turned your head away because you're shy with your lover!! Get a grip, asshole! You just got ****d!! I powerd myself to turn my face back to him. He smiled at me. "Don't get knotted up, man. We are what we are. Now y'all know what's inside." Couldn't deny it, the sound of his cave-echo voice close to my ear, intimate, sharing between just us two, had me purring under his weight. Damn, the guy had brought me down from rage and frenzy, calming me down like a jockey soothing a stormy horse. As his cock softened enough to slide back out of my ass, it came out with a schlucking sound, and suddenly my once tight-packed guts felt empty. Abandoned. I gulped; I wanted the big cock back inside. I was so relaxed I was almost arelax--certainly fuck takes. "Still going to arrest you," I murmured. "Can't **** a cop." Again that dark-coffee voice: "Can't **** the willing, my man." My belly wallowed in a mess of my own sperm on the back seat of the Lincoln. I was covered in evidence for the defense. His voice dropped to a whisper. "C'mon, man, tell me. You liked it, didn't you?" Why the hell not? I turned my face up to his and whispered, "Yeah." Then he kissed me! Astounded, I stiffened at first, but those warm lips against mine melted my last firewall--I know what's inside--and I kissed him back. As a cop, I figured I was a captive anyway, might as well roll with the flow--who knows, maybe I might find a way to escape. As a man, I felt as if he'd just removed a medicine ball from my shoulders--I felt free. Wonderful. The big, black thug had just taught me more about lovemaking than I thought existed. Nobody had ever turned me on that much. In fact, when his tongue pressed against my teeth, I opened my mouth, and when the big, soft cuckold scifi entered my mouth, the bastard drove me into another ladyfucking orgasm! As I spurted out more jism, polishing the leather upholstery, my mind was blown. This is impossible! Three climaxes without a touch on my cock! When I wallowed slightly to the side, he spotted my spouting cock. He broke the kiss, chuckling. Again the Voice: "You done cummed again, man. What was that, three times now?" He kissed my lips again, then, "Proves you my bitch, man. Only bitches get multiple-orgasms." He kissed me again, deep, tongue-probing, wallowing his face over mine, owning me, controlling me, making me his. I was breathless. I felt owned! And worse, I was weirdly okay with that. When he finally finished, I crawled out of the Continental on rubbery legs. My whole life was turned around
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chrislebo
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After I sucked his cock clean, we drove back to town. "I been thinking, my cop-bitch, maybe you could get me a job. I see that college got an ad out for janitors. You put in a good word for me there? Maybe you'n me get together so's I can lay you over a classroom table." I smiled. "Yeah. I'll go check it out for you." With some pleading from me, the college gave him a janitorial position, and I prayed that my life would settle into something I could control. I arranged to meet Barron three times a week in empty classrooms, where, just as he said, he laid me on the professors' tables. Everything seemed to "settle." Two months later, I dared to think I had the best of both worlds. Then Barron exploded a hand-grenade in my head. After a doggy-style session, wallowing on my back and biting my ear as he had his way with me (and making me sputter so much cum in my orgasm, I got it all over my uniform pants--Sonofabitch! I'll have to wash this out in the men's room!), the Voice purred into my ear, "You know, you horny ho, your ass be actual tighter than your mister's." I was hit in the head with a baseball bat! Could hardly breathe. Barron pulled out and rocked back onto his knees. I rolled over and looked up at him. "Jan? You got Jan?" "Hot young meat. Came up behind me when I was mopping floors and asked me if I wasn't the guy who *******ped his old man." He smiled, and his cock actually lurched at the thought. "Once I knowed who his old man was, I turn on the ol' charm." His cock began to harden and rise as he spoke. "The acorn don't fall far from the tree, man. Next thing I know, your boy be riding on my dick like he trying out for a bucking bronco contest." I don't remember much of what else he said. The ceiling had just fallen in on me. Barron pulled his pants up and left the room. I lay there, a cop in uniform lying in a pool of his own jism, wondering how, oh how was I ever going to put Humpty-Dumpty back together again. Dinnertime at home that night was a nightmare. It all came from my head--I was the only one in the room who knew "everything," but still I sat eating like I was under water. I could see people, but I couldn't hear anything. I could speak, but only nonsense came out. Even the chairs at the table, chrome-tube frames with white plastic seats and backrests, reminded me horribly of the white leather back seat of the Continental. Cheryl looked over at me. "Are you okay, Lincoln? You look a little sick. You feeling all right?" "Yeah, I'm fine. Just tired, I guess." She gave me that Look. "Maybe," she said from lowered eyelashes, "you need a little"--slight pause--"exercise." I looked up. "Yeah. Maybe you're right." Anything to get my mind off my mister Jan spreading his legs under the rutting 12-inch cock of Barron. After dinner, we moved into the living room to watch TV. Ten or fifteen minutes later, I heard a knock at the door. Jan answered it. A moment later he came back into the living room. His face was white. I looked beyond him. Ohmigod! It was Barron. "Good evening, folks. I be thinking I come over and get acquainted." Cheryl suddenly recognized him and gasped. Barron spoke quickly, "Ma'am, your husband he kind enough to get me a good job over at the university"--he looked over at Jan--"and your boy he good enough to show the ropes." He smiled broadly. "I come over to thank y'all." I stood up. "Just a minute, this isn't the pla--" --But I was too late. Barron had pulled open his fly, and out flopped that gigantic cock. Somehow, in the inner sanctum of my own home, it looked even more garish, evil, and mega-, maximum erotic! It had never looked so incredibly powerful and seductive. I knew my lines--You're under arrest for indecent exposure--but I stood there frozen like a mouse staring into the eye of a cobra. I glanced over at Jan. He, too, stared at Barron's weapon. He, too, glanced occasionally at me, his mouth open in astonishment. I looked at Cheryl. Like a doe backed into a corner, staring at the lion. Then I heard the Voice. Powerful. Loud. Commanding. "Get over here, cop-bitch, and wet this down. We got things to do here tonight!" My throat was dry as sandpaper. "No," I squeaked. "You can't--" --"Get over here!!" My goddamned legs were not my own! I swear to god I did not walk over there, but somehow my legs moved one before the other, and I found myself in front of Barron, staring down at the thing that controlled my life. My knees collapsed under me, and I was face-to-eye with it. "SUCK IT!" Nobody could give him a blowjob, of course, but as usual I licked and sucked all over it. After a minute I bumped heads with Jan. He had stripped his clothes off and knelt naked next to me, licking up and down the other side of Barron's huge dong. He did me first. Pushed me onto my hands and knees and rammed his throbbing dong up my eager asshole--while I was powerd to look across the room into Cheryl's stunned face. Her eyes grew even wider, and I understood why--Jan's mouth swallowed my cock as he lay under me, blowing his own man. The Voice had further orders. "You been watching, all passive, long enough, honey. Come on over here and let me show you what you be missing." I figured Cheryl would jump up, run to the phone and dial 911, but to my astonishment, she stood up, unbuttoned her blouse, and dropped it to the floor. Her bra followed. Then her pants. Then her panties. Barron pulled his cock out of my ass--I cursed myself for wishing it back in me--and he reduced me even further: "Suck my cock clean, boy. Can't fuck your wife's clean pussy with something's come out of your ass." And under the eyes of my wife and mister, I sucked my own ass-juices from the cock of the man about to turn me into a cuckold. And that he did. Cheryl was apparently in a spell of rage at me, dismay at Jan, and fascination with what I knew was the biggest penis she'd ever seen. With the shortest foreplay I ever saw (I always had to go through all the steps), Barron lay back on the couch while my wife impaled herself on him, screaming in pain and passion. She ended up purring, kissing his mouth while he squeezed her titties viciously. Her pussy stretched out like a sewer pipe as she leaped, bounced, and wriggled on him. She couldn't hold onto the kiss, but he gripped each tit until he finally let out a loud growl. He was cumming in her, and just like me, she went into an orgasm from the high-pressure blasts of his sperm. Holding still but trembling, out of control, Cheryl's eyes rolled back in her head, and she let out a long, high-pitched scream. When she finally fell back, white Barron-jism drooled from her spread-open snatch. Jan gaped. So did I. So began a life of nonstop sex. We were Barron's harem. On Jan's birthday, Barron lay on his back, my panting body stretched out full-length over him, his cock plugged into my ass. "Like this, do you, cop-bitch?" I murmured a purring sound, nibbling at his jaw. "Jan boy, c'mere!" He instructed my mister to mount me from behind, and although my ass was already "occupied," he ordered Jan to cram himself in there, too! A new horror. Is there no end to the offenses? I thought my days of searing pain were over--I had stretched permanently to accommodate the chief, but with both my men up my ass, I was back in the World of Pain. But I was a slut to the bone: I liked the pain. It was like gasoline on the fire of my orgasm. As Jan rammed his collegiate pride up me, he drove me into my specialty, a climax started from action in my ass. I was a hands-off, cum-spurting police officer spewing my jism all over the parolee's belly, out of my fucking mind with pleasure that both men were trying to impregnate me. -==(^)==- These days, as a token of my encouragement of his rehabilitation, Barron is a regular visitor to my house. I have a new definition of "normal." Barron shows up for dinner, then we lock all the doors and lower the blinds. For the rest of the night, Baron Barron, as he calls himself, rules our roost. Cheryl has takes so much of his cum, she's forgotten what mine tastes like. I've fucked Jan so many times, I've forgotten what fucking Cheryl is like. Barron has fucked me so many times, I've forgotten about anything except keeping him satisfied. I've sucked Jan's cock so often, my teeth are whiter. And by now, both Barron and Jan have double-fucked me so many times, I can sit on a fire hydrant and fall all the way to the ground. Cheryl's into triple-fucking. She routinely takes all three of us at once. A Great, Gettin'-up Morning is coming, though. Cheryl is pregnant with Barron's baby. They both smile at me. They know that deep inside, I wish I carried Barron's young. I am his bitch, after all.
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chrislebo
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Ma sirène de femme et le jardinier Ceci est le récit vrai de ce qui s’est passé un après-midi de juillet 2008, chez nous, dans notre jardin tranquille de basse Normandie, au bord et dans la piscine. Ma femme Marion, piquante et petite blonde, entretient un corps de rêve en pratiquant une natation de quasi professionnelle. Plusieurs heures par jour. Souvent, mari voyeur, je me poste derrière la vitre de la chambre-pignon qui surplombe le bassin et reste là, mari frileusement amoureux de sa petite femme, à la contempler glisser dans l’onde. Il faut dire que cette piscine en a déjà vu de belles, car Marion et moi sommes un couple très uni, certes, mais très libertin aussi. Nous « pratiquons » depuis plus de dix ans. Majoritairement en trio avec des hommes triés sur le volet par mes soins et qui viennent régulièrement baiser ma petite Marion et apaiser ses appétits que l’âge a curieusement aiguisés et que mon âge à moi ne peut plus satisfaire. Quelques-unes de ces orgies se déroulent ici. Dans et autour de notre piscine. Bassin ludique pour tout le monde. Petits, grands et même… adultes. Ce jour-là Marion alignait les longueurs avec l’application et la constance qu’elle apporte à cet exercice chaque jour, chaque matin et chaque soir. Toute bronzée, elle menait mister petit corps au rythme impeccable d’une nage crawlée, lisse et silencieuse. Vêtue de ses seules lunettes de nage et de mister bonnet de bain. Une longueur crawlée, la suivante sur le dos et ainsi de suite. Bien que spectateur de longue date de ces réjouissants passages, je notais une fois encore que les longueurs dos avaient nettement plus de saveur que les autres. Encore que… À choisir entre mister dos, ses fesses, ses jambes, filant en surface sous une mince lame d’eau noyée de soleil… ou les autres longueurs, seins, ventre et naissance des cuisses ne dissimulant pas mister petit sexe nu, je n’aie jamais pu me décider. Il est presque 16 h ce beau jeudi de juillet et j’émerge à peine d’une sieste crapuleuse quand je réalise qu’aujourd’hui les choses ne vont pas se dérouler comme j’en ai l’habitude. Cette fois, tout va aller bien différemment. Mon petit bout de femme (elle triche sur mister passeport avec 1m50 !), blonde et toujours gaie comme un petit enfant, est bien loin de se douter de ce qui se trame dans l’ombre des fourrés qui l’environnent. Et, de fait, dans la partie haute du jardin, au-dessus de la piscine, masqué par un gros chêne et un bouleau à triple tige, il me semble voir comme un mouvement, une ombre, une présence. Quelque chose d’insolite, là-bas entre le tas de compost et le pin de Weymouth qui a tant de mal à se développer à l’ombre de ses grands voisins. Après quelques minutes, immobile derrière la vitre, je distingue une silhouette qui se déplace très lentement le long de la haie de thuyas, vers les petits buismisters en hauteur, à une vingtaine de mètres de la margelle, pas plus. On s’introduit chez nous. On semble même vouloir partager mon spectacle favori. Nous n’avons jamais clôturé cette partie du jardin (pas plus que les autres d’ailleurs) et il n’est pas très compliqué, depuis la route, de se glisser dans la haie et de se retrouver incognito dans cette partie de la propriété que nous négligeons depuis quelque temps, je l’avoue. Zone ombragée avec vue imprenable sur la piscine et les nageuses qui s’y produisent en tenue légère. Une première assurément. Me voilà tout émoustillé à l’idée qu’un aventurier du voyeurisme ait réussi mister coup et vienne se rincer l’œil incognito. Pas tout à fait incognito d’ailleurs. À vrai dire, Marion est très exhibitionniste et cela ne la dérangerait pas du tout de se savoir observée à poil dans ses longueurs. Mais la situation est un peu différente. Elle ne sait pas qu’il est là et lui ne sait pas que je suis ici. On verra par la suite que ce schéma, pour simple que je l’expose, n’est pas tout à fait exact. La silhouette a progressivement rejoint le deuxième buismister et se dissimule encore dans l’ombre et les feuillages, à moins de dix mètres du bord de l’eau. Je distingue assez mal, mais je sais maintenant qu’il s’agit certainement d’un homme assez jeune, gauche dans mister déplacement, un peu raide dans la façon de se dissimuler, immobile maintenant, à l’affût. Profitant de ce petit temps mort, je cours chercher des jumelles et découvre bientôt que notre aventurier tapi derrière mister buismister n’est autre que Lucien, notre nouveau jardinier. Le garçon, la petite trentaine, gentil mais pas malin-malin. À vrai dire du genre un peu limite qui doit en avoir plus au sud qu’au nord. Marion et moi n’avons jamais considéré cet athlète des campagnes que sous l’angle du gars simple et musclé. Sous l’angle de sa « fonctionnalité » pour être franc. Un type qui vous creuse un trou comme on allume une cigarette et basta… À ce moment précis où se situe l’action, mon jugement se modifie sensiblement et j’envisage l’individu en tant qu’être sexué. Cette power de la nature, brut de brut, possède néanmoins tous les attributs de mister espèce. Libido comprise. La suite va nous apprendre que la nature commet quelques écarts parfois. C’est tombé sur lui. Le bougre ne le sait ni ne le saura jamais. Mais nous, nous allons être témoins du formidable coup de pouce que ce garçon a reçu du hasard et des non moins formidables prouesses sexuelles que le sort a bien voulu mettre à sa disposition. L’ami Lucien est donc en position de voyeur et reluque ma femme Marion qui nage à poil dans l’eau tiède, à moins de dix mètres de mister jardinier. Sous mes yeux, sans qu’aucun des deux ne se doute de ma présence. Un vrai bonheur pour moi. Ma position surplombant la piscine et le bosquet de Lucien me permet de voir les deux à la fois. Marion poursuit ses inlassables longueurs avec l’application du devoir à accomplir jusqu’au moment où, bien essoufflée, elle arrête la machine et fait la planche. Comment pourrait-elle deviner la formidable décharge d’adrénaline qu’elle provoque sous les branches ? Son petit corps à la renverse, tout détendu au fil de l’eau. Ses petits seins qui viennent comme respirer à la surface, les pointes en mines de crayons qui dessinent au fil de l’eau d’innocentes arabesques. Le sexe nu épilé, libre et, tour à tour, crevant la surface pour s’enfouir et ressurgir de la pellicule d’eau qui s’obstine à le cajoler sous nos yeux. Certes la scène n’a rien de bien érotique en réalité. Son naturel, dans cet environnement bucolique, incite davantage au rêve et à la poésie plutôt qu’à je ne sais quelle excitation. Mais les évènements produisent leurs effets de façon très variable sur nous autres, selon notre âge, notre humeur ou notre sexe. Apparemment notre ami voyeur juge la poésie des lieux et du spectacle avec des yeux beaucoup moins sereins. Le garçon ne se contrôle plus très bien et, de mon perchoir, je le vois agrippé aux branches basses du bouleau, la bouche entrouverte et les jambes légèrement fléchies. Il me semble même observer une légère ondulation des hanches. Comme les prémices d’une longue et lancinante agitation qui voudrait s’emparer du jeune homme pour un très long moment et qui va le conduire peut-être à des attitudes et des comportements qu’il ne maîtrisera pas. Mon intuition ne m’a pas trompé. Lucien, les yeux fixes, regard soudé à la piscine et à ma sirène de femme, tel un automate, dégrafe lentement les boutons de sa chemise. Plus exactement les arrache en power, un par un comme avec une lente violence quasi programmée. Celui du col pour commencer. Les suivants sautent facilement. Aucun ne résiste aux doigts puissants rompus aux tâches les plus rudes. L’natural est doué d’autant de power qu’il a peu de neurones. Il jette sa chemise de toile épaisse, laissant à nu un torse sec et musclé, se débarrasse avec la même tranquille obstination du reste de ses vêtements. Comme en état d’magicse, sous contrôle d’un mystérieux gourou, quelque esprit dissimulé dans les frondaimisters alentour, et, désormais totalement nu, Lucien reprend sa position de singe, agrippé aux branches basses du bouleau, les jambes légèrement fléchies. Son sexe raide, vertical et parallèle au ventre, vient tutoyer mister nombril. Les ondulations du bassin reprennent. Esquissées puis plus marquées, elles donnent le branle à ce sexe aux proportions maintenant phénoménales. Colonne de chair triomphante, véritable pied de nez de la nature facétieuse et frivole. Bien de ceux qui humilient cet homme de peu quand ils l’ont sous leur dépendance rêveraient d’en avoir une accrochée à leur bas-ventre, fut-ce du quart de celle-ci. Ce garçon est-il seulement conscient du cadeau que lui ont fait les fées à sa naissance en le dotant d’un pareil outil ? Mais le primate ne se soucie pas de mister état intéressant. Tout au spectacle qui lui vaut cette érection de concours, il ne se soucie pas non plus du voyeur aux jumelles que je suis et qui braque maintenant la binoculaire sur cette verge phénoménale qui gonfle encore et encore, gourdin gorgé de sang, lourd et sauvage. Et puis, nouvelle surprise. Sous mes yeux ahuris, la monstrueuse matraque, raide, qui se balance, plantée bien à la verticale au carrefour des cuisses, brille soudain à mister extrémité, comme si le gland qui la couronne se nappait d’un vernis transparent. Mise au point de mes jumelles. Je dois me rendre à l’évidence. La bite plantée droit, enracinée au bas du ventre de cet idiot de village dégorge doucement une liqueur translucide, par petites vagues successives, régulières et qui, comme la lave d’un volcan qui se réveille, débordent le méat, roulent sur le gland enflé et ruissellent le long de la tige bandée aux veines bleues bien apparentes maintenant. Le demeuré libère inconsciemment les prémices de sa semence, sans même se caresser, à la seule vue d’une femme nue dans une piscine. Pas d’éjaculation pour le moment. Une émission sourde et régulière d’un liquide cristallin annonciateur de giclées plus consistantes et plus vigoureuses. Son sexe distendu s’est mué en un obscène bec verseur, tout brillant de ses débordements… Alors, le gol s’agrippe plus fort à ses branches et, la bouche mi-ouverte, le rouge lui monte brusquement à la face. Le voilà cramoisi comme en proie à une violente émotion qu’il ne contrôle plus.
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chrislebo
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Un rapide coup d’œil hors jumelles et je comprends tout. C’est Marion qui vient de sortir de l’eau et se sèche sur la plage de bois qui entoure notre piscine à quelques mètres à peine désormais de mister voyeur de jardinier. La belle et douce permisterne s’essuie méticuleusement. La serviette éponge passe et repasse sur toute la surface d’une peau dont nous sommes quelques-uns à apprécier la douceur et la chaleur soyeuse. Un œil dehors, un œil dans les jumelles, je les observe tous les deux en parallèle. Lui, nu, bandé, les yeux lui sortant de la tête. Elle, nue, souple et tranquille sous les caresses de sa serviette. C’est quand elle a écarté les cuisses, un peu en équilibre sur une jambe, et s’est essuyé le sexe que la première salve est partie. Le costaud des jardins se lâche maintenant, à la vue de ce sexe de femme frotté, séché, et de ces cuisses offertes, presque à portée de ses mains. Ce mistert maintenant de beaux et longs jets qui fusent de sa lance, amples, à la fois lourds et aériens. Les copieuses giclées de sperme montent et culbutent dans l’espace en loopings généreux. La matière est abondante. D’une blancheur irréprochable. Notre crétin des Alpes n’éjacule pas mesquin. Il faut au moins lui accorder cela. Le produit de ses glandes débordantes inonde l’herbe. Une bonne dizaine de traînées claires zèbrent la pelouse tondue ras de la veille. Le bougre avait les couilles chargées à bloc. Réservoirs pleins, lance en batterie. La machine enclenche et fonctionne à merveille. Une véritable pompe se met en marche, sans demander mister avis ni à l’entourage ni à mister propriétaire. Celui-ci se trouve délesté d’une cargaimister conséquente de semence. On pourrait même penser que les cales mistert vides désormais et qu’il devra s’écouler un bon moment avant que le jeune paysan ne puisse les reremplir, que le flamboyant périscope va être rappelé en cabine et que tout ce petit monde va maintenant rentrer dans le rang et se faire discret. Grossière erreur. Très grossière erreur comme la suite va nous le montrer. Le singe est donc toujours suspendu à ses branches. Torse sec et musculeux, jambes mi-fléchies et contractées dans une position provocante. Il exhibe et pousse devant lui une verge tendue qu’un fil d’araignée translucide relie au sol. Regard fixe, bouche ouverte. Il n’a pas l’air bien finaud, notre voyeur de piscine privée, avec mister air de laboureur et mister teint de bûcheron, avec sa bestiale obstination et ses manières téléguidées, prévisibles et inquiétantes à la fois. Que va-t-il lui passer par la tête à présent ? Toujours est-il que mister formidable gourdin ne donne aucun signe de relâchement et se tient toujours bien droit, raide et arrogant le long de ses abdominaux. Dans le même temps, Marion s’est séchée et puis, bien installée sur un matelas-soleil, sur les planches de bois qui bordent notre piscine, expose mister petit corps de rêve aux spectateurs privilégiés. Lunettes de soleil, bouquin. La voici partie pour un autre monde. Quelque roman anglais probablement qui va la transporter dans une Angleterre romantique du XIXe, bien loin des assiduités de mister jardinier. Erreur, grossière erreur encore une fois. Derrière ma fenêtre à double vitrage, je n’entends rien bien sûr, mais je vois, grandeur et loupe avec mes jumelles. Je vois les branches flotter sous le vent et ne les entends pas. Comme je la voyais brasser l’eau dans ses longueurs et ne l’entendais pas. Je vois maintenant, dans le même silence artificiel, le jeune mâle, précédé de mister phénoménal étendard, sortir de l’ombre et descendre vers le bassin sans plus prendre garde à ne pas se faire surprendre. Il progresse, nu sur les planches, et vient se planter devant elle. Provocation ou inconscience ? Certainement les deux. Je n’entends pas ce qu’ils se disent et je ne le saurai jamais. Ce dont je suis sûr, parce que, derrière ma vitre, moins de dix mètres me séparent de l’improbable couple, c’est que les choses n’ont pas traîné. Aux mouvements des lèvres, je devine qu’il articule un bonjour laborieux. Marion, que rien ne déstabilise jamais, prend un air très légèrement surpris, pour la forme. Elle doit dire quelque chose comme « mais que faites-vous là, Lucien, dans une tenue pareille ? En voilà une idée ! » Rien ne déstabilise Marion, c’est vrai. Mais cette fois la surprise était tout de même de taille. Surtout lorsque la pistonnerie de l’hypersexué, aiguillonnée par la proximité d’une femme allongée nue, s’est remise en branle. Lorsque, sans que rien ni permisterne n’y touche, le monstre a lancé de nouvelles torpilles. Certaines atterrissant dans l’eau, d’autres allant s’écraser sur les planches, plusieurs toutes proches de Marion que ce spectacle semble sidérer et amuser à la fois. Le bonhomme semble inépuisable. La suite nous révèlera qu’il possède des capacités de foutre véritablement hors-norme. Pour l’heure, Marion est au spectacle. Cette volumineuse verge gorgée, tendue, dressée et pointée sur les nuages, comme en prière, tendue vers le Créateur, ravit Marion manifestement. Cette grande amatrice de sexes masculins est également très attirée par les beaux braquemarts qui passent à sa portée. Je l’ai même vue s’intéresser de près aux organes des étalons, en visite dans quelque haras normand. Avec une absence totale de pudeur, je la revois, sans que la présence des autres visiteurs ne la gène le moins du monde, se positionner derrière un papa percheron tranquille dans mister box et se pencher pour mieux apprécier les formes et les volumes. Elle aime les génitaux masculins et ne s’en cache pas. Souvent je le lui dis. Cela fait maintenant un bon moment qu’elle ne le nie plus. « Ah oui, j’aime bien ! » concède-t-elle avec mister fameux petit air de ne pas y toucher. Là, maintenant, à cet instant, elle y touche bel et bien. La dernière salve lâchée, Marion se ressaisit et se dresse, debout face à la bête pour… agripper à pleine paume la queue du crétin sans que celui-ci ne fasse quoi que ce soit pour échapper à sa prise. Les doigts crispés sur la tige comme les petites pattes d’un oiseau sur la branche. La branche est belle et solide. Les doigts n’en font évidemment pas le tour. Comme pour affirmer leur présence face à ce tube de chair frémissant qui les défie, les phalanges se crispent et tentent désespérément d’étrangler le pieu vivant à l’œil de cyclope. Las pour les courageux petits serviteurs, loin de réduire la cylindrique machine, voilà qu’ils la relancent dans mister inlassable et prodigieuse activité. Telle une locomotive à vapeur, poussée par mister chauffeur, qui met en branle ses pistons et ses bielles, engloutit le charbon, expulse la vapeur et s’arrache sous mister panache de fumée, la bite de Lucien se réactive au moment où Marion se penchait pour tenter de la prendre en bouche, bien convaincue de ce que l’éjaculation précédente lui laissait quelque répit. Erreur, grossière erreur une fois de plus. Ni Marion ni moi n’avons encore réalisé en présence de quel phénomène nous sommes. Le gars Lucien n’est comme aucun de tous les mâles que nous avons reçus ici. Pas un ne présentait ni les mesures ni les réserves de ce garçon. Et pourtant, Dieu sait avec quelle application je les sélectionne et les choisis avant de les glisser dans nos draps et les laisser gaver ma femme de leurs sexes et de leur semence dont elle raffole ! Aucun ne peut décharger coup sur coup de telles quantités hors de lui-même, puiser dans des réservoirs sans fond et se répandre à répétition sans même qu’on ne le suce ni ne le touche. Elle devra s’en persuader définitivement. Et cette fois, quand, penchée sur la bête, lèvres prêtes à s’en saisir comme elle le fait si volontiers avec tous ses amants avant de se laisser enfiler de leurs queues bien préparées, elle reçoit en pleine face le premier jet d’une nouvelle série. Le liquide s’écrase sur mister front, rebondit et éclate en auréole dans la lumière autour d’elle. Par réflexe Marion ferme les yeux tout en saisissant la lance à deux mains pour la diriger plus bas. Les vagues suivantes s’acharnent sur la base du cou et les seins. Ces paquets de foutre se ruent tout en violence à l’assaut du petit buste qui brille et ruisselle désormais. Grande marée. Pour la troisième fois en moins d’une demi-heure, le bâtard monté comme un âne a balancé la sauce, sans mesure, sans compter. Comme si la réserve de ses sucs intimes était sans limites ou que la nature avait doté notre imbécile heureux d’une capacité de fabrication intérieure continue. Unique ! La bordée temporise enfin. Le canonnier planté là, les bras le long du corps, nu, raide et dégouttant d’une liqueur finissante et verticale, fixe la femelle de mister regard de zombie et contemple, inerte et stupide la poitrine vernie de la semence dont il vient de l’asperger. Marion le regarde aussi, prononce quelques mots que le double vitrage m’empêche d’entendre là où je suis. Puis, dans un éclat de rire, elle saisit Lucien par la main, l’entraîne, et, tous deux sautent dans l’eau. Je cours chercher le Canon. J’aurais dû y penser depuis longtemps. À mon retour, je les retrouve immergés, agrippés l’un à l’autre, immobiles, tendus, cramoisis. Dans le temps où je suis allé jusqu’au bureau pour y prendre l’appareil, la situation a carrément évolué. Sans le moindre doute ces deux-là mistert fichés soudés l’un à l’autre. Embrochés jusqu’à la garde. En moins de cinq minutes, le mâle, jusque-là figé, statue au présentez-arme, a recouvré mobilité et initiative. Probablement dans la hâte et avec une impatiente violence, a-t-il saisi la petite Marion de ses bras puissants, l’a-t-il tournée et retournée jusqu’à ce que mister sexe soit en ligne et l’a-t-il ajustée puis perforée sans ménagement ni douceur. La bite au fond, il aura écrasé la femme contre lui tel un powerné. Pour ne pas ressortir d’elle. Pour décharger aussitôt. Puis encore. Encore et encore bien au fond de ce sexe de femme tout chaud et bien serré. De ce sexe de femme dont il rêve depuis des semaines. Depuis des mois. Pour l’heure, Canon en main, je les vois soudés l’un à l’autre, face à face, dans un coin du petit bassin. Elle, primisternière de l’étau de ses mains redoutables de travailleur. Une grosse main, doigts étalés sur ses fesses, capture tout le bas et ne laisse aucune chance de fuite… L’autre presse sa nuque et l’oblige à enfouir le visage au creux de mister épaule à lui. Comprimée, écrasée, ligotée comme un petit natural piégé qui attend immobile et frismisternant ce qui va advenir, incapable de bouger, à peine de respirer, Marion subit la sauvage étreinte. Étouffée, mais pleine du sexe de l’autre. Pas le moindre doute là-dessus. Le couple est immobile dans l’eau. Presque immobile. De là où je suis, je peux distinguer un très léger mouvement de va-et-vient. Notre Lucien, pine immergée, gland abuté au fond du vagin, s’écrase à petits coups dans la matrice qui l’accueille et qui doit recevoir en continu le sperme inépuisable. Obscènes ondulations qui mistert comme les indications de ce qui se passe à l’intérieur. À l’intérieur du ventre de Marion. Au creux de sa chatte pleine d’une queue large raide et impérieuse. Gavée des vagues qui déferlent les unes après les autres au plus chaud de sa matrice. Cette formidable baise entre un homme et une femme, tous deux quasiment immobiles, produit une impression presque dramatique. Deux corps soudés désespérément l’un à l’autre par une formidable nécessité. Deux corps incapables de se décoller. Verrouillés par l’angoisse de se perdre. Lui, la tient en tenaille sans lui laisser un millimètre de liberté. Elle, a planté ses griffes dans le dos du jardinier et s’agrippe comme un petit mammifère obstiné. Les imperceptibles ondulations qui traversent leurs étreintes les balancent un moment, cessent tout à fait puis reprennent inlassablement. À chaque pose, leurs visages se crispent et s’empourprent, leurs muscles se tendent un peu plus. Puis le très léger balancement reprend jusqu’à… la prochaine pose, le prochain orgasme de Marion, la prochaine éjaculation du jardinier. À imaginer ce chapelet de jouissances sous-marines, j’ai les jambes un peu molles et me sens de plus en plus à l’étroit dans mes vêtements. Voilà trois fois qu’ils s’écrasent l’un contre l’autre à s’en étouffer, trois fois que leurs balancements obscènes s’interrompent, trois fois que, comme dans un film muet, je vois leurs bouches se tordre, leurs visages défigurés lancer des cris sans mister, trois fois qu’il se vide en elle, trois fois qu’elle l’aspire, l’avale, l’engloutit. Ils ne savent plus où ils mistert, ils ne savent plus ce qu’ils font. À croire que je vais devoir descendre de mon perchoir pour les séparer. À coup de bâton peut-être… Sans rire, je commence à m’inquiéter pour ma petite Marion prise au piège d’un véritable maelstrom. L’œil du cyclone ne se déplace pas cette fois et reste bloqué sur ma petite femme. Tsunami permanent. Elle jouit encore et encore. Il plonge, plante, élargit et se vide en d’interminables giclées. Je n’y tiens plus. Il faut que j’aille délivrer ce petit corps de mister bourreau. Je m’apprête à sortir quand l’improbable se produit. Après dix ou douze assauts de rang, je ne les ai pas comptés, mais il y en eut sans doute plus, tout s’arrête, tout s’effondre. Le corps du puissant mâle se détache de celui de la petite femelle blonde. Leurs têtes se courbent sur leurs poitrines. Les deux combattants lâchent prise de conserve. La baise est terminée. Marion reprend vite ses esprits et cette méchante petite permisterne reprend aussitôt mister rôle de patronne. D’un geste autoritaire et définitif, elle désigne une plate-bande. Lucien sort de l’eau et se dirige vers ses vêtements. Marion l’arrête d’un geste tout aussi autoritaire. Quelques instants plus tard, Marion a repris mister bouquin. Allongée sur la plage, calme et détendue. À dix mètres de là, arcbouté sur sa bêche, Lucien a repris le boulot. À poil et déjà luisant de sueur. Marion ne peut pas voir ce que je vois. La verge du jardinier se réveille. L’après-midi n’est pas terminé.
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