chrislebo
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Moi avec deux hommes me fourraient dans un lit! ..... Il me montra plusieurs autres photos, je réalisais qu'elles avaient toutes été prises au studio photo. Bill me sourit et me précisa : - "J'en ai trouvé environ 200, veux-tu en voir plus? ..." Je me prenais la tête entre les mains et je pleurais. Et maintenant! .... Et maintenant comment allais-je me tirer de ce guêpier? .... Je parvins finalement à reprendre mon self-control, j'essuyais mes yeux et le regardais fixement. Il ajouta : - "Ne le prends pas aussi mal, on est que deux et nous ne sommes pas des violents, ou alors des gentils violents! .... Nous voulons seulement que tu nous fasses chacun une bonne pipe... Pour commencer! ..." - "Nous ne voulons pas d'argent! ....." - "Nous ne voulons pas te faire d'ennuis! ...." - "On veut profiter nous aussi de ta petite chatte que tu offres si facilement! ...." Je le regardais choquée, puis je décidais de chercher à expliquer ma situation. - "Vous savez Bill je ne fais pas ça de mon propre gré, j'ai été droguée puis violée et mes agresseurs m'ont fait poser pour des photos pornos, et maintenant ils me font chanter, je suis obligée de leur obéir contre ma volonté, je vous en prie ne m'obligez à baiser avec vous! ...." Il regardait l'écran où on me voyait nue prise en sandwich entre deux hommes, dit - Je suis désolé Kim... C'est une triste histoire... Mais après tout de ces hommes, est ce que ça compte vraiment deux de plus ou de moins? Je le suppliais d'avoir pitié de moi, il me répondait qu'il c'était le cas, il ajoutait que pour ces premières semaines ils auraient envie de moi toutes les nuits, mais que je ne me tracasse pas pour autant, que par la suite, une fois le plaisir de la nouveauté estompé ce ne serait plus que trois à quatre fois par semaines. Je soupirais, je ne pouvais guère plus, je lui demandais : - Ici, maintenant? Il hocha affirmativement la tête. Je pris une profonde respiration et rétorqua : - C'est d'accord, mais le type qui me fait chanter m'a obligée à faire des choses douloureuses, j'en suis encore toute endolorie, aussi vous demanderai-je d'être doux et gentil avec moi! C'est alors qu'il demanda hilare : - Veux-tu toujours qu'on laisse la porte grande ouverte? Je baissais la tête et la secouais, mister colocataire qui, je le sus plus tard se prénommait Nick, se leva et ferma la porte. Puis ils attendirent que je me déshabille, je ne portais qu'un vieux tee-shirt, un short en éponge et ma petite culotte Je les ôtais prestement et Bill me prit dans ses bras et me roula une pelle alors que ses mains se promenaient sur ma croupe. Mon cul était contusionné, il était encore assez douloureux, je frémis lorsqu'il me palpa un peu plus fermement les fesses, mais il ne sembla pas le remarquer. Tandis que Bill me caressait tout en m'embrassant j'entendais Nick se déshabiller, il me prit à mister tour entre ses bras et ce fut au tour de Nick de me palper alors que Bill se déshabillait. Ils me menèrent au canapé et ils me firent asseoir entre eux deux et ils me roulèrent chacun leur des patins langoureux tout en inventoriant mes charmes. Ils me caressaient doucement, presque tendrement et je sentais mes sens s'émouvoir lentement. Ils prirent mes mains et les posèrent sur leurs jeunes bites tendues. Je fus soulagée de constater qu'ils étaient dotés de deux belles bites, de taille moyenne aussi bien en longueur qu'en largeur. Je les empoignais et le branlais doucement, je pensais que j'avais tout avantage à les exciter rapidement pour que ça aille vite. Avant longtemps ils cessèrent de me rouler des pelles et je me laissais glisser sur le plancher entre les cuisses de Bill, je le pris facilement en bouche, cela ne dura pas plus de 3 minutes! J'avalais mister foutre et Nick écarta ses cuisses en me souriant, je m'installais entre ses cuisses et m'occupais de lui avec soin. Il se contrôla une paire de minutes de plus, mais comme je ne pouvais pas y couper. Bill se releva et nous apporta une bière à chacun on la sirota, ils me réclamèrent alors des détails concernant mon épreuve. J'arrangeais un peu l'histoire ne leur révélant pas le pire. Puis, je leur demandais où ils avaient trouvé ces maudites photos. Je me demandais combien il pouvait y en avoir et si elles se trouvaient toutes sur le même site. Bill me dit alors qu'il les avait trouvées sur un site s'appelant "débauche au studio photo", il cherchait actuellement des informations concernant ce studio photo. Au début il avait téléchargé les photos pour s'amuser, il y avait des dizaines de femmes couchant avec des dizaines d'hommes. La plupart des filles étaient jolies et semblaient se comporter normalement pour le mâle vigoureux qu'il était. Puis il était tombé sur mes photos, il m'avait immédiatement reconnue bien sûr! Il m'entraîna jusqu'à mister ordinateur et me montra le site, il me montra quelques photos, en fait, il y avait des centaines. Mais ce n'était pas là le plus déconcertant, la dernière rubrique faisait la publicité de vidéos. Des vidéos de filles se faisant sauvagement partouser, il y avait un fil de deux heures où je tenais la vedette, fourrée par 35 énormes bites noires, cette rubrique promettait de nombreux autres films à venir! Je m'effondrais presque de désespoir. Est-ce le seul site que vous ayez trouvé? leur demandais-je affolée. Il haussa les épaules et me répondit - Oui... Mais je ne gaspille pas vraiment beaucoup de temps à rechercher des photos pornos! ... Je suis tombée accidentellement sur les tiennes... Cependant les choses mistert claires d'autres peuvent les télécharger et les diffuser dans leur entourage..... Ils peuvent même les faire parvenir à n'importe qui... T'es bien trop mignonne pour des gars gardent tes photos pour eux seul! Je me penchais vers le mur soupirant : - Oh mon Dieu, ma vie est foutue! Il ajouta : - Lorsque ces choses mistert en route, tu ne peux rien faire pour les faire cesser! Je secouais la tête et Bill se leva et poursuivit : - Je suis désolé, je ne savais pas qu'il s'agissait de viols à répétition et j'en suis navré! Il m'entraîna vers la porte de sa chambre, je ne lui résistais même pas alors qu'il me faisait m'allonger sur le lit et se remettait à me rouler des palots. J'étais couchée passivement sur le dos, je le laissais me faire ce qu'il voulait, il entreprit de sucer et de grignoter mes tétons raidis. Puis sa langue descendit vers mon nombril et trouva mister chemin entre mes deux cuisses bien écartées, il se mit alors à me bouffer la chatoune. Depuis que je me faisais baiser et violer par Tom ses amis et ses clients, c'était la première fois que l'on me broutait le minou depuis le départ de Brian. J'aurai voulu résister à mon émoi grandissant, demeurer passive sous ses caresses, mais je n'y parvenais pas, c'était bien trop bon! Je commençais lentement à accompagner ses gestes, ma respiration se faisait haletante, mes tétons étaient tout raides et des sensations enivrantes que je n'avais plus ressenties depuis des mois éveillaient brusquement mes sens! Je tendais la main et pressais plus fermement sa tête contre mon antre embrasé, et poussais violemment mes hanches vers le haut qu'il puisse avoir meilleur accès à ma foufounette enfiévrée. Je miaulais de plaisir et lui avouais : - Bordel c'est si bon! Je gémis de plus belle et orgasmais les assauts enivrants de sa langue! Je jouis follement, il me laissa savourer tout mon saoul ce violent orgasme qui me submergeait toute et je commençais à me décontracter alors qu'il m'embrassait et me mignotait de plus belle. Je sentais un nouvel et fracassant orgasme monter dans mes reins, mais il cessa ses caresses et bougea lentement. Je tendais la main avec avidité et guidais sa belle bite dans ma chatoune ensorcelée. J'ai toute remuée de me sentir si émue après tout ce que j'avais enduré! Je pressais mes hanches contre les siennes pour venir à la rencontre de ses coups de boutoir et cette fois c'est de concert que l'on jouit tous deux en même temps. J'étais gênée de m'être donnée si facilement, lorsqu'il roula sur le flanc je cachais mon visage entre mes mains, gémit et soupirais : - Que m'arrive-t-il? Il gloussa et me rétorqua : - Quelque chose de l'ordre d'une thérapie... Quelque chose qui détourne ton esprit des épreuves que tu endures actuellement! Je lui jetais un coup d'œil torve qui ne sembla nullement l'embarrasser. Cela ne le gênait pas d'avoir profité de ces photos pour me faire chanter, et en fait de m'avoir pratiquement violé! Salaud! Je me levais et gagnais la salle de bain où je me nettoyais rapidement, lorsque je sortis de la salle de bain, Nick m'attendait dans le couloir. Il m'entraîna dans sa chambre et s'assit au bord du lit. Je m'agenouillais et le suçais jusqu'à ce qu'il manifeste une vigueur suffisante, il me courba alors sur le lit et me baisa par derrière. Je n'étais pas très préparée, mais je l'acceptais facilement dans mon inimité et ce fut rapide. Lorsque nous eûmes tous deux jouis, il me permit de me rhabiller et de réintégrer mon appartement. Je me précipitais chez moi et je me servis un autre rhum coca avant de prendre un long bain brûlant. Alors que j'étais étendue dans la baignoire je me sentais gênée parce qui venait de m'arriver, ce n'était pas simplement deux hommes de plus qui m'avaient vue nue et m'avaient baisée! Ni le fait qu'ils possédaient des centaines de photos de moi entièrement nue en train de me faire baiser, mais bel et bien que j'avais joui à plusieurs reprises entre leurs bras.
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chrislebo
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Brian est appelé en Irak Ch 6 Chapitre 6 : l'asservissement de Kim se poursuit, fin du calvaire. Tout le jeudi je préoccupais d'une manière ou d'une autre du chemin ma vie avait emprunté de façon vulgare. Je ne pouvais rien y faire. Puis en rentrant chez moi, je pensais à mes deux gentils voisins me demandant s'ils allaient vouloir de moi ce soir. Je tentais d'éviter de penser au pénible week-end qui m'attendait, j'étais terrifiée de le voir arriver si vite. Dès rentrée je me servis à boire, je grignotais des tranches de pizza froide que j'avais gardée de la veille tout en sirotant une large rasade de rhum. Puis alors que j'allais me rendre dans ma chambre pour changer de tenue, on frappa à ma porte, je retournais dans le hall pour ouvrir la porte sur Nick. Il me dit : - Je me suis juste arrêté un instant... J'ai discuté avec Bill et nous avons décidé de te prendre dans ton appart... Bill t'avait baisé en premier hier soir lorsque je t'ai brouté le minou, je veux passer en premier ce soir ainsi je pourrais savourer le véritable goût de ta chagatte! Je lui répondis : - J'étais juste sur le point de prendre un bain, je viens tout juste de rentrer après ma journée de travail, tu peux comprendre cela! Il grimaça et répliqua : - Je ne crois pas que tu travailles si dur que ça, allons dans ta chambre. Je rentrais avec lui dans ma chambre et repoussais les couvertures au pied du lit. Il s'assit sur mon lit et me regarda me déshabiller avec attention, puis il se déshabilla à mister tour et vint me rejoindre dans le lit. Il entreprit de me rouler des patins et de me peloter gentiment, et tout comme avec Bill la veille au soir cela me plût beaucoup. Je ne me sentais pas contrainte et bien que j'aurai aimé qu'il me laisse me nettoyer auparavant. Je ne sais pas pourquoi. Pourquoi voulais-je être propre pour cet homme qui me faisait chanter pour copuler avec moi! J'e me sentis déstabilisée lorsqu'il commença à m'embrasser la foufoune, il se redressa me sourit et commenta : - Exactement ce que je pensais, une chatte de première compétition, elle a le même parfum que les fleurs du parc! Puis entreprit de me bouffer le gazon, j'étais incapable de résister à ce traitement enivrant, exactement comme la nuit dernière. Je m'arc-boutais pressant ma chagatte contre mister visage et je jouis intensément sous les ensorcelantes caresses de sa langue. Je continuais à jouir lorsqu'il cessa mister manége, se redressa et fourra sa grosse queue dans ma chatoune embrasée. Je rebondissais d'orgasme en orgasme avant que lui-même ne jouisse, ce qui ne prit pas très longtemps. Lorsqu'il eut joui, il s'immobilisa au-dessus de moi en appui sur ses bras et ses genoux de façon à ce que seuls nos pubis et nos jambes se touchent. La tête tirée en arrière, il avait les yeux clos, nous sommes tus pendant une bonne minute puis il s'esclaffa. - Mon Dieu que tu es chaude! Il ouvrit ses yeux en grand baissa mister regard sur moi et commenta : - Quand Bill m'a montré tes photos et me suggéra qu'on pourrait, peut-être se régaler de ton succulent petit cul, je pensais qu'après tous les gars qui t'avaient sautés, je ne serai sûrement pas le plus miteux! .... Tu as vraiment une chatte sensationnelle! Et ce n'est pas pour te flatter! J'en riais presque, bien sur le compliment était gros, mais cela me rendait de l'assurance, de la confiance en mes charmes. J'étais vraiment effondrée après le dernier week-end, angoissée d'avoir ma chatoune définitivement distendue par les énormes bites que j'avais endurées. Il y avait peut être encore de l'espoir pour moi! Nick se leva et entreprit de se rhabiller, il me dit : - Tu ferais aussi bien de rester ici, laisse ta porte entrouverte, Bill ne va pas tarder! Je me relevais et acquiesçais : - D'accord, mais je dois d'abord me rendre dans la salle de bain. Je gagnais la salle de bain et laissais s'écouler le trop plein de foutre qui engorgeait ma cramouille. Je me nettoyais la fentine avec un gant de toilette humide, lorsque je retournais dans ma chambre, Nick était parti. Je m'assis au bord du lit deux minutes plus tard Bill se pointait. Il se déshabillait déjà en entrant dans la chambre, il empila ses vêtements sur la chaise la plus proche du lit puis s'assit et me dit : - J'ai adoré ta façon de sucer ma bite, veux-tu bien recommencer ma douce! Je me postais entre ses cuisses et pris facilement mister chibre dans ma bouche. Elle me rappelait ces énormes bites que j'avais été obligée de sucer quand j'étais garrottée au club photo. Je pense que c'est le contraste en leurs attitudes qui me frappaient. Après une telle nuit, sucer une bite de taille normale me semblait si facile. Cela dura un peu plus longtemps que la veille au soir, mais pas beaucoup en fait. Une fois que j'eus savouré sa semence il se laissa tomber à plat dos sur le lit et je gardais sa bite en bouche jusqu'à ce qu'elle fut molle. J'écartais ses cuisses et j'entrepris de lui mignoter les burnes, quelques minutes plus tard, sa bite frémit de nouveau, je le repris en bouche lui rendant alors toute sa vigueur! Il se redressa et m'allongea sur le lit, un instant plus tard il m'enfourchait et guidait sa bite raidie dans ma chatoune détrempée. Il ma labourait bien plus lentement que la veille, je le sentais bien, je savais que je ne jouirai pas tout de suite, pas en adoptant ce rythme, pas sans préliminaires. J'aurai voulu le chevaucher pour l'étreindre entre mes bras et régler un rythme de chevauchée plus rapide et plus ample qu'il jouisse rapidement. Je le tenais étroitement serré, ce n'est que lorsqu'il eut joui que je relâchais mon étreinte le laissant rouler sur le flanc. Il demeura étendu à mon coté quelques instants, reprenant mister souffle puis il se redressa et s'assit sur le rebord du lit. Finalement il se releva et se rhabilla. Il baissa les yeux sur mon corps en sueur alors qu'il s'habillait et, après un long silence il constata : - Je sais que je devrais me senti coupable... Je ne suis pas quelqu'un de mauvais! .... Je n'ai jamais fait chanter qui que ce soit! ..... Mais tu es si bandante! ..... Je te désire depuis la première fois que je t'ai vue! .... Tu es la plus jolie femme que j'ai jamais vue! .... Je suis désolé de t'avoir fait violence, mais je n'ai pas pu m'empêcher de te posséder! Je ne savais pas quoi lui répondre, il me complimentait bien sur, mais je ne pouvais tout de même pas lui dire qu'il avait eu raimister de me faire chanter pour m'obliger à coucher avec lui, d'autant plus que cela risquait de durer les 9 mois à venir avant le retour de mon mari et qu'il ne nous tue tous les trois! Une fois qu'il m'eut laissée, je pris une douche, j'étais trop fatiguée pour prendre un bain, je n'avais qu'une envie me coucher et dormir! J'étais tout aussi distraite le lendemain à mon boulot. Cela empira encore lorsqu'au retour de mon repas de midi je trouvais un paquet sur mon bureau. Je m'assis et braquais mes yeux sur ce colis. Il était entouré de papier kraft, il n'y avait aucune indication de sa provenance. J'avais peur de savoir ce qu'il contenait. Je ne savais pas comment il avait pu dénicher l'adresse de mon lieu de travail, mais j'étais terrifiée à l'idée qu'il l'ait trouvée et m'ait laissé ce paquet cadeau. J'ouvris un tiroir de mon bureau et me préparais à le ranger dedans. Je le posais dans le tiroir et entrepris de le refermer mais n'y parvins pas. Il fallait que je sache. Je le posais à nouveau sur mon bureau et coupais la ficelle qui le tenait fermé, je jetais un coup d'œil circulaire pour vérifier que permisterne ne me prêtait attention, et je le déballais. Comme je le craignais, c'était un envoi de Tom. Le paquet contenait une boite que j'ouvris suffisamment pour voir ce dont il s'agissait, il était écrit sur le couvercle "Esclave sexuelle" en grosses lettres noires. J'étais sur le point de m'évanouir, je me rassis lourdement, pris une forte respiration et me forçais à calmer les battements désordonnés de mon cœur. Je jetais un oeil cherchant à voir ce qui se cachait sous le couvercle, c'était un nouveau pagne style bordel. Il était encore pire que ceux que j'avais déjà été obligée de porter. Des petits pans de tissu ronds étaient sensés cacher mes appâts, même debout sans bouger, je paraîtrai nue lorsque je les porterai. J'allais refermer la boite lorsque je vis quelque chose d'autre sous la minuscule jupe. C'était une minuscule pièce d'étoffe. C'était un Thong, j'en avais jamais porté bien que j'en aie déjà entendu parler. C'était presque un string, sauf qu'aucun tissu ne cacherait mon pubis, je trouvais alors un court message. J'entendis quelqu'un descendre le hall dans ma direction, je saisis le message et rangeais prestement le paquet dans mon tiroir. L'homme qui descendait le hall tourna avant d'arriver à mon box et je respirais profondément à plusieurs reprises avant de pouvoir lire le message de Tom. Il me rappelait seulement d'être chez lui le lendemain matin à dix heures. Je devais porter les vêtements qu'il m'envoyait ainsi que hauts talons les plus hauts. Je rangeais mister message dans mon sac à main repris le colis et le refermait. Puis je jetais un oeil sur l'horloge murale, je pourrai sortir dans une heure. Je m'assis derrière mon bureau, je tremblais comme une feuille les yeux rivés à l'horloge. Lorsqu'enfin la fin du boulot misterna, hébétée, je rejoignis ma voiture j'essayais de me souvenir s'il me restait du rhum à la maimister. Je ne parvenais pas à réfléchir clairement. Aussi me suis-je arrêtée en chemin pour acheter une bouteille de rhum au cas où, je ne pensais pas que ce serait superflu. Je rentrais chez moi et me servis tout de suite un rhum coca, c'est à cet instant qu'on frappa à ma porte. - Eh merde! M'exclamais-je avec nervosité. J'ouvris la porte et fis entrer Bill. Il me reluqua de la tête aux pieds se rendant compte de mon extrême nervosité et me demanda : - Que t'arrive-t-il de moche pour que tu affiches cet air angoissé! Je terminais de préparer mon cocktail dont je bus une grosse lampée et lui tendais le message lui désignant le colis posé sur le plan de travail. Il lut la courte note puis après m'avoir lancé un regard inquisiteur il ouvrit le paquet et en sortit les 3 pièces de vêture. Il voulait me montrer sa compréhension mais ne pouvait s'empêcher de bander comme un cerf, saleté d'homme! Il déplorait ma situation, mais il ne pouvait s'empêcher de tirer avantage de cette situation. Il empoigna mon paquet et mon verre de rhum et me poussa dans ma chambre, il posa alors le verre sur ma table de nuit et m'enjoignit : - Essaye ta tenue que je vois ce que ça donne!
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chrislebo
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Salaud de trou du cul Pensais-je furieuse. Puis, je me déshabillais entièrement et enfilais le microscopique thong, avec sa minuscule pièce de tissu transparent qui ne me couvrait qu'à peine la fente. Elle mesurait environ 5 cm de long et moins d'un cm de large! Je réalisais que je devrais me raser la toimister avant de le mettre. J'enfilais ensuite la minuscule jupe, l'avant commençait au haut de mes hanches et les décrivait un demi-cercle, je devais descendre la taille bien au-dessous de mon nombril si je voulais qu'elle couvre un tant soi peu mon intimité. L'arrière était encore plus court et coupait en deux mon fessier. Elle ne mesurait pas plus de 8 cm dans le dos, et, lorsque je me tournais vers mon miroir je vis que même poussée au plus bas elle montrait au moins 5 cm de ma croupe. Puis j'enfilais, le haut miniature, il était aussi riquiqui que le reste, il ne servait qu'à mettre mes nibards en évidence. Mes tétons étaient voilés tant que je ne bougeais pas, mais dès que je faisais un mouvement! Je doute que même des putes acceptent de porter une tenue aussi dégradante! Je m'assis sur le lit et la tête entre mes deux mains je pleurais tout mon saoul. Bill pouvait bien se sentait fort gêné pour moi, mais pas assez cependant pour ne pas contempler ma chatoune exhibée largement, il me dit : - Je dois admettre que tu parais vachement chaude! .... Bordel! Il saisit le téléphone à la tête de mon lit et appela Nick, lui disant de venir nous rejoindre sur-le-champ, il fallait qu'il voie quelque chose. Lorsqu'il eut reposé le combiné je le regardais dans les yeux et le remerciais ironiquement! : - Merci, grand merci pour ton aide! ..... Il sourit et haussa les épaules. Nick arriva sur ces entrefaites. Il me fit lever et parader dans ma nouvelle tenue, puis ils se mirent tous deux à poil. J'enlevais ma légère tenue et me disposais selon leurs vœux à quatre pattes sur le lit ils me prirent alors à deux en même temps tout comme sur les photos qu'ils venaient de voir. Ils jouirent tous deux rapidement et commutèrent leurs places tout aussi prestement. Heureusement le tout ne dura guère plus d'un quart d'heure et ils me quittèrent ravis commentant avec enthousiasme ma nouvelle tenue. Je les entendais plaisanter projetant que les prochaines photos seraient vraiment excitantes. Quels bâtards! Je vidais mon verre et pris une douche, puis je regagnais la cuisine et me préparais un autre verre. Je n'avais pas vraiment faim, je suivais un sévère régime à base de foutre depuis peu. Je décidais de me préparer un sandwich au thon que je mangeais sur le plan de travail de la cuisine avant de regagner ma chambre en emportant le reste de mon verre. Je m'assis sur le lit et regardais fixement la nouvelle tenue que j'avais posée sur ma desserte. Je sirotais mon verre me demandant ce que le proche avenir me réservait, je commençais à penser que les choses ne pouvaient plus empirer! Ces bâtards du studio photo avaient posté mes photos sur internet et y déposeraient bientôt l'horrible film de mes performances qu'ils avaient tourné. Des gens de ma connaissance risquaient de tomber sur ces images et ce film. Pourquoi, dans ces conditions, ne pas dire à Tom d'aller se faire foutre? Je ne pouvais cependant pas aller plus loin que le penser. Ce que Brian penserait s'il découvrait ces images suffisait à me retenir, je savais pertinemment qu'en cas de révolte ce bâtard de Tom lui enverrait inévitablement les photos et films à sa disposition. Je n'avais aucun doute à ce sujet! Je savais aussi que mon père ferait sûrement une attaque s'il venait à les voir, je ne sais pas si je perdrai mon boulot dans l'aventure, mais le contraire m'étonnerait. Je devais retourner là où j'avais été piégée! Le lendemain matin je me levais tôt et enfilais ma nouvelle tenue, je jetais un oeil à l'extérieur, à ma grande consternation le parc grouillait de monde ce samedi matin. Beaucoup de gens, beaucoup d'enfants se baladaient pour jouir du soleil matinal, je savais que j'allais sacrément les perturber en descendant aussi peu vêtue, j'attendais jusqu'au dernier moment puis je sortis et me ruais sur ma voiture. Les chalands se figèrent me toisant yeux grands écarquillés, exactement comme je m'y attendais, mais je parvins à rejoindre ma voiture sans aucun problème. A la vue de l'expression choquée des mères de famille je savais déjà qu'il y aurait sans doute des répercussions. Je gagnais l'appartement de Tom et frappais à sa porte. Les trois mecs habituels se trouvaient là, je suppose que Harry et John ne faisaient pas vraiment partie de la bande. Dès que j'entrais, ils détaillèrent ma nouvelle tenue et me complimentèrent sur ma chatte rasée. Puis, je taillais tout de suite une pipe à chacun d'eux. Lorsqu'ils se furent tous trois vidés les couilles dans ma gorge, Tom me dit que nous allions passer la matinée et le début d'après-midi comme la semaine dernière. Nous allions à la piscine où je devrais accueillir tous les amateurs de mes charmes. Il me dit qu'il avait réalisé que 15 minutes dans les appartements c'était trop peu et qu'il allait faire la part des choses, il faudrait que je m'adapte aux vœux de mes "amis» Il me tendit un flacon de lotion solaire et une cannette de bière me disant : - Tu vas te comporter comme la dernière fois, tu te rappelles bien des règles? ..... Je hochais la tête et ils gagnèrent la porte. Je criais : - Attendez! ..... Où est mon maillot de bikini? .... Tom me sourit et répliqua : - Aujourd'hui tu enlèves ta jupe et tu gardes ton cache-sexe comme maillot... Rappelle-toi si tu ne fais pas baiser par des mecs à chaque demi-heure, on se chargera de te dresser le cuir et maintenant magne-toi le cul! .... Pendant une bonne minute j'en eus la respiration coupée. Je me forçais à respirer profondément puis, je replaçais le haut du bikini sur ma poitrine. Je luttais contre les larmes alors que je sortais de l'appartement en parcourant du regard la piscine. La foule était nombreuse et je reconnus plusieurs gars qui m'avaient baisé la dernière fois. Les étudiants étaient là et ils s'excitaient comme des poux en me voyant arriver. Je vis aussi le vieux gentleman qui s'était intéressé à ma situation mais m'avait baisée malgré tout, et les deux jeunes noirs qui m'avaient pris en sandwich. Je ne parvenais à regarder permisterne alors que je déboutonnais ma jupe et la jetais sous mon siège. J'entendais mes voisins murmurer d'une voix étouffée : - Oh mon dieu! Et les femmes d'ajouter : - Regardez cette salope! C'était dit à voix à peine intelligible. Même si au mister de leurs voix je ne comprenais pas tout ce qui se disaient je comprenais parfaitement ce qu'ils pensaient. Je m'assis et but une large lampée de bière. L'idée de devoir traverser une partie de la piscine dans cette tenue hyper provocante, quasiment nue aux yeux de tous, était presque au-dessus de mes powers. J'étais si horrifiée que je me demandais si je n'allais pas m'enfuir de ces lieux. J'espérais que quelqu'un viendrait rapidement me chercher pour m'emmener dans mister appartement avant que sois obligée de piquer une tête dans la piscine. J'estimais qu'il vaudrait mieux me faire sauter en privé que de parader autour de la piscine avec mon micro-maillot mouillé. Mon souhait se réalisa assez rapidement, l'un des étudiants se dirigea vers moi et se pencha sur moi, il souriait bêtement, mais il savait très bien ce qu'il voulait. Je levais les yeux sur lui et il m'apostropha : - Esclave sexuelle? .... Cela veut-il dire que tu doives obéir à n'importe qui? .... Je hochais affirmativement la tête. - C'est parfait, allons-y! Je posais ma cannette sous ma chaise et attrapais ma jupe, je me levais et me disposais à l'enfiler, mais il coupa mon élan : - Non, tu n'en as pas besoin, tu parais si chaude du cul dans cette tenue! Je jetais un oeil vers Tom qui me sourit. Je posais ma jupe sur ma bière et je suivais le jeune gaillard encadrée par ses sept amis. Je me sentais un peu mieux de marcher au milieu de ces jeunes abrutis qui cachaient mon minuscule thong aux yeux des baigneurs. Je n'avais aucune envie de copuler avec eux, mais je ne pouvais oublier cette galère de la semaine la semaine dernière avant que je ne tourne dans cette maudite vidéo. Ils se déshabillèrent prestement ne perdant pas une minute pour me sauter. A quatre pattes je fus embrochée par deux mecs en même temps, un en bouche un autre en chatte, ils ne se contrôlaient pas plus que la semaine dernière, cela n'excéda pas le quart d'heure pour les satisfaire tous les huit. J'utilisais la salle de bain lorsqu'ils en eurent fini avec moi puis ils m'escortèrent de retour à la piscine. Je repris place sur ma chaise et vidais ma cannette de bière qui commençait à tiédir. Il m'en restait assez cependant pour estomper le goût de foutre que j'avais en bouche, puis arriva le moment de piquer une tête dans la piscine. Je savais qu'il était interdit de ne porter qu'un thong dans de nombreux endroits, mais j'ignorais le règlement en ce qui concernait les piscines de quartier.
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chrislebo
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Mais même si un string correct était admissible, celui que je portais, microscopique, quasiment invisible devait être prohibé ailleurs que dans les camps de nudisme! Permisterne ne pouvait croire qu'il s'agissait d'un bas de maillot de bain! Il était évident qu'il s'agissait du genre de cache-sexe qu'arboraient les femmes pour allumer à mort les mâles! Un tel sous-vêtement n'avait aucune autre raimister d'exister! Je bandais mes powers me levais et traversais la piscine devant une bonne douzaine de spectateurs, j'aurai voulu courir pour plus vite me cacher dans l'eau! Au lieu de cela je m'astreignais à descendre les escaliers de la piscine à petits pas jusqu'à ce que j'aie de l'eau jusqu'au cou. Je ne me relaxais pas du tout, parce que je ne pouvais m'empêcher de penser que le spectacle que j'offrirais serait bien pire lorsque je sortirai de l'eau pour rejoindre ma chaise. Je restais bras appuyé sur le rebord espérant à chaque instant que quelqu'un viendrait m'emmener baiser dans les appartements, que ce soit un homme seul où même un groupe d'inconnus m'indifférait totalement. Je ne fus absolument pas désappointée en voyant s'approcher et me saluer gentiment, le vieux gentleman de la semaine dernière, qui s'était tant intéressé à ma situation, et m'avait offert de m'aider si j'étais contrainte de me comporter ainsi. - Je vois que vous avez perdu un nouveau pari! En dépit de la terreur que je ressentais, Je lui souris et répondais : - Oui, Je dois être une perdante née. Il me prit la main et ajouta : - Venez, suivez-moi. Il me tira hors de la piscine et il m'emmena promptement à mister appartement. Il me laissa debout dans la salle de séjour et me dit de l'attendre là. Quand il revint qu'il avait une robe en main qu'il me fit mettre. Je le regardais avec curiosité alors qu'il me guidait vers mister lit et me poussa dessus. Il quitta à nouveau la pièce et revint avec deux verres ballons, je ne savais pas ce qu'ils contenaient, mais cela n'avait aucune importance. Je sirotais mon verre avec reconnaissance. Il vida le sien et me regarda pendant une bonne minute avant d'avancer : - C'est bon, maintenant y'en a marre de vos menmisterges, que se passe-t-il vraiment? Je le fixais dans les yeux, puis je m'écroulais. Je me mis à pleurer hystériquement, il posa mister verre sur la table basse et posa mister bras autour de mes épaules et me tint serrée contre lui le temps que je pleurais à chaudes larmes. Je parvins à rétablir le contrôle de mes émotions, lentement il me garda serrée contre lui jusqu'au moment où je le repoussais doucement et m'assit à coté de lui. Je dis que j'étais désolée, mais cela devenait dur à certains moments et j'ajoutais : - J'apprécie hautement le fait que vous vouliez m'aider, mais vous ne pouvez rien faire pour cela! ... Je suis tombée dans un monde de merde et de déchéance et je ne pensa pas qu'il existe de moyen de m'en tirer... Même avec l'aide bien attentionnée de gens comme vous! Il me sourit et rebut une lampée de sa boismister, puis il me coupa : - Qu'avez-vous à y perdre? Je réalisais qu'il avait raimister, je n'avais rien à y perdre. Je lui demandais si je pouvais avoir un autre verre et, lorsqu'il revint un verre rempli à la main et se rassit, je lui racontais ma terrible histoire. Il m'écoutait attentivement, m'interrompant une paire de fois pour réclamer des précisions, il ne me jeta pas un seul regard dégoûté alors que je lui détaillais mes agissements les plus infâmes. Cela me soulageait grandement de me confier ainsi, j'étais heureuse qu'il m'ait poussée à tout lui confier. Je réalisais soudain que j'arrivais à la limite du temps qui m'était imparti et que j'encourrais de graves problèmes avec Tom et ses amis. Il vit ma mine s'assombrir et me demanda de quoi je m'inquiétais soudain. Je lui dis qu'ils m'accordaient 15 minutes pour chaque passe il me coupa alors : - C'est d'accord, ne te tracasse pas pour ça, je vais y faire gaffe! Je soupirais et lui dis : - Monsieur, Je suis désolée, je reconnais même pas votre nom." Il me coupa à nouveau : - Appelle-moi Danny! - Danny, je me sens beaucoup mieux maintenant, cela m'a fait énormément de bien de pouvoir me confier à un ami! ;;; Même si je ne peux pas me sortir de ce merdier dans lequel je me suis engluée! ... Je pense que je n'ai aucun moyen de me tirer de cette galère mais me confier m'a vraiment fait du bien! Il me sourit et poursuivit : - Tu n'y es pour rien, tu étais droguée puis violée et soumise à un chantage démoniaque... Ce n'est pas ta faute, et je crois que je vais pouvoir y remédier! Il sortit mister portable de sa poche et donna une douzaine de coups de fils. Il disait la même chose à chaque fois. - C'est Danny, je suis sur un coup, j'ai besoin d'un coup de main! .... C'est tout ce qu'il dit. Un quart d'heure plus tard six colosses nous avaient rejoints dans la pièce, et il leur fournissait une version détaillée de mon histoire. Lorsque ce fut fait, quatre d'entre eux se levèrent et l'un d'eux cracha : - Allons-y, on va se marrer! Puis se tournant vers Danny. - On ne devrait pas en avoir pour longtemps! Danny se leva une fois qu'ils nous eurent quittés et m'interpella : - Kim, attend moi, cela ne devrait pas prendre bien longtemps. J'étais effrayée, je regardais par la fenêtre. Danny et ses deux derniers amis se dirigeaient vers la piscine. Ils s'approchèrent de Tom, Rory et Steve puis je vis Rory rouler sur le revêtement en ciment alors que Tom et Steve levaient les mains en l'air. Je vis l'un d'entre eux propulser Rory sur ses pieds en lui saisissant les cheveux, et ils se dirigèrent tous vers l'appartement de Tom. Je me servais un autre verre de ce qui me sembla être du bourbon, m'assit m'efforçant de pas me laisser submerger par l'espoir de m'en sortir. Il se passa environ 15 minutes avant qu'ils ne reviennent, Danny portait mon sac à main, une caméra et un sac plein de DVD. Il reprit mister téléphone et donna un nouveau coup de fil qui aboutit à l'arrestation du type qui avait vendu les drogues à Tom. Ce n'est qu'à cet instant que je compris que c'étaient tous des flics. Il servit un verre à ses copains et nous nous sommes tous assis autour de la table sirotant notre bourbon tandis que Danny me racontait ce qu'ils avaient fait. Ils s'étaient contentés de foutre la trouille de leur vie à Tom et ses copains. Ils leurs avaient tout d'abord collé la bonne rouste qu'ils méritaient, puis ils les avaient effrayés, ils avaient emmené la caméra et tous les DVD en possession de Tom, les qualifiant de pièces à conviction. Puis ils avaient visité les appartements de Rory et Steve et saisis les copies des DVD. Danny avait saisi tout l'argent dont disposait Tom dans mister appartement pour me les donner en supposant que cet argent, pour une grande part, provenait du commerce de mon corps. Comme il terminait de me raconter tout cela, d'autres de ses amis se manifestèrent, ils ramenaient encore des DVD dont celui recelant le film tourné par ces salauds. Ils avaient saisi toutes les copies ainsi que le master
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chrislebo
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Ils s'étaient introduits dans le bureau du gérant du studio photo et, un revolver braqué sur ses couilles l'avait persuadé de détruire le site internet, par ailleurs ils avaient saisi tout l'argent se trouvant dans mister coffre et mister bureau. J'étais épatée, bien que je ne sois pas encore totalement tirée d'affaire. On ne pouvait pas savoir si le fait qu'on puisse trouver des photos pornographiques de moi sur le net n'avait pas été rapporté à d'autres permisternes. Mais avec un peu de chance ce ne serait pas le cas. Ils me rendirent mon agenda contenant mes adresses permisternelles et tous les DVD, peut être que j'allais survivre à cette galère cette fois. Je pleurais de joie, je m'approchais de Danny et enroulais mes bras autour de mister cou, j'aurai voulu le remercier, mais je pleurais à chaudes larmes me tenant serrée dans ses bras. Il me tint enlacée le temps que mes pleurnichements s'apaisent. Je pus enfin parler de nouveau et, au travers de mes larmes je les remerciais tous de leur gentillesse, je ne savais pas quoi leur dire de plus. Danny remercia chaleureusement ses amis, je les embrassais tous lorsqu'ils nous quittèrent. Danny se rendit alors dans une salle du fond et en revint avec une chemise que j'enfilais avec reconnaissance. Je prenais mon sac à main lorsqu'il me dit : - Vas-y, je te suis jusque chez toi, nous avons encore quelque chose à faire! Il me suivit jusqu'à mon appartement et se dirigea directement vers l'appartement où vivaient Bill et Nick. Il frappa à leur porte, ils lui ouvrirent, j'entendis le bruit d'une bagarre, puis la porte claqua et tout se calma. Dix minutes plus tard, Danny revenait et me tendit le disque dur de l'ordinateur de Bill. Il me sourit et affirma : - Ils ne t'ennuieront pus jamais! ..... S'ils recommencent, appelle-moi, mais je te suggérerai tout de même de déménager! ......Tu as juste à te tenir à carreau..... Je suis à peut prêt sur que permisterne ne te nuiras plus! ..... Je vais te laisser mon numéro de téléphone juste au cas ou! ..... Je me sentirais quand même mieux si tu déménageais! .... Je lui répondis que j'allais faire de mon mieux pour trouver un nouvel appartement. Le départ de mon mari pour sa période active avait ruiné nos finances et il pouvait encore se passer une paire de mois avant que je puisse avoir assez d'argent pour bouger. Il secoua la tête, saisit mon sac à main et le vida sur la table en disant : - C'est l'argent que Tom et ce salaud de Matthews se mistert fait sur ton dos! ...... C'est le tien! ..... Tu l'as gagné au travers des douleurs, des souffrances et des gênes que tu as endurées de leur fait! .... Il y a environ 200.000 $! ... Matthews gardait la totalité de ses gains dans mister coffre fort! .... On pense que c'est en grande partie de l'argent gagné en faisant le commerce de ton corps! ..... Je demandais légèrement inquiète : - Vous ne pensez pas qu'il risque de revenir réclamer cet argent? .... Danny sourit et répliqua : - Tant qu'il tiendra à garder ses couilles il ne bougera pas! Je l'embrassais à nouveau et lui demandais : - Voulez-vous rester souper avec moi? ... Je vous en prie! ..... - J'en serais honoré! .... Répliqua-t-il gentiment. Je me ruais dans la salle d'eau et prit une douche rapide, puis je m'habillais dans une tenue ordinaire et habituelle. Puis je revins dans le salon et constatais : - Je n'ai plus rien à manger dans le réfrigérateur, du coup, je vous invite à dîner en ville... Il éclata de rire et ajouta : - Je connais une bonne auberge, aimez-vous les bons steaks? .... Je lui pris le bras et rétorquais : - J'adore les steaks! ..... Il m'avoua plus tard que ce bon restaurant appartenait à mister frère, non seulement c'était le plus gros et le meilleur steak que j'ai jamais mangé, mais ils refusèrent absolument de me laisser payer. - C'est bon, vous êtes trop butés, mais la prochaine fois le repas aura lieu chez moi! ..... J'ai un véritable talent pour cuisiner le rôti de porc! ..... Je trouvais rapidement un nouvel appartement, cette fois c'était un beau logis. Je déménageais dès que je le pus avec l'aide de Danny et des déménageurs. Dany vient manger avec moi une fois par semaine, et m'emmène dîner à l'extérieur sur le même rythme. J'ai organisé une paire de bons repas pour six amis et leurs familles, ils mistert devenus une extension de ma famille, et il ne me fallut pas longtemps pour tous les aimer. Je n'ai jamais entendu reparler de Tom et ses copains, ni du studio de cinéma. Cela me tracassait car ils connaissaient mon nom et j'avais la sensation qu'il y avait quelques permisternes qui m'en voulaient profondément. Brian du rester trois mois de plus en Irak, je suppose que lors de mister retour il faudra que je lui raconte ce qui m'est arrivé. Danny me le déconseille vivement, mais je crois que si je me taisais et qu'il tombe un jour sur une de ces maudites photos cela se terminerait mal! A chaque jour suffit sa peine, je pense tout lui raconter progressivement, pour ne pas l'assommer dès mister retour au foyer. Je sais qu'il a subi de terribles épreuves en Irak et qu'il aura besoin de se réadapter à nos normes de vie. Je vais attendre un peu pour l'introduire dans mon nouveau cercle familial les hommes mistert tous des ex-militaires, ils l'aideront sûrement à se réadapter à la vie civile.
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chrislebo
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Un magnifique cadeau de Noël Scott Berger avait couché avec beaucoup jeunes ados dans ses dernières années de lycée et depuis qu'il se trouvait en première année de fac. Mais la seule femme dont il rêvait chaque nuit c'était cette jeune prof maths de maths qu'il avait eu ses dernières années de lycée. La ravissante madame Carol Hasting, chaque jour il bandait comme un âne à sa vue ce qui rendait difficile de se concentrer sur les figures de maths, il préférait d'ailleurs et de loin se la représenter entièrement nue. Elle était toujours vêtue d'élégantes tenues et chaussait de hauts talons. Il bavait de concupiscence en se la représentant entièrement nue, il écartait alors l'entrejambe de mister caleçon pour pouvoir se branler tout à mister aise. Son désir avait encore grandi quand cette jeune prof de 32 ans était venue s'installer avec mister mari dans mister voisinage alors qu'il entrait à la fac. Il avait eu le coup de foudre dès qu'il l'avait vue ce jour où les camions de déménagement s'étaient garés devant la maimister voisine de la sienne. Lorsqu'ils se croisaient, cette ravissante jeune femme lui lançait un "bonjour" amical, toute souriante et lui faisait des petits signes amicaux de la main. Trois semaines après leur déménagement l'école avait repris et Scott en était presque tombé sur le cul en voyant, le premier jour de classe, qu'elle était sa nouvelle prof de maths. Chez elle il voyait toujours cette ravissante porter des tenues ordinaires, ce qui lui avaient déjà chaviré les sens. Et voila qu'il la voyait vêtue d'une de ses tenues de classe, hauts talons et robe élégante, Il s'était payé une bandaimister comme il n'en avait jamais connu, en imaginant caresser ses appâts aussi somptueusement mis en valeur. Une nuit, en l'absence de sa sœur et de ses parents, il s'était habillé de chaud et avait grimpé sur le toit de leur maimister. La lumière était allumée dans la salle de bain des voisins, il avait pris des jumelles ce qui lui permettait d'observer leur sale de bain en détail, malheureusement la buée couvrait la vitre de la et il ne pouvait voir que le haut de la stalle de douche. Scott vit alors une main menue sortir de la buée doigts finement manucurés tendus, puis une autre, puis le chemisier vert tendre qu'il lui avait vu porter cet après-midi. Le haut de la porte de la douche s'ouvrit, la buée s'éleva jusqu'au haut de la vitre. Scott haletait alors que mister imagination lui peignait sa magnifique voisine nue sous la douche. Dans la maimister voisine, madame Carol Hasting savourait la chaude humidité de la douche qui se répandait sur mister corps, elle pensait au jeune étudiant qui demeurait dans la maimister voisine. Les yeux fermés elle souriait en se rappelant mister expression éberluée lorsqu'il était entré dans la salle de maths cet après-midi même. Bien qu'il soit visiblement très timide, elle devait admettre qu'il avait un certain charme et elle avait entendu bien des jeunes ados soupirer d'amour après mister jeune voisin. Carol frémit en se souvenant soudain à quel point le jeune Scott Berger ressemblait à mister premier amour de lycée, un jeune ado nommé Johnny Meeks qui la faisait défaillir. Elle était devenue sa petite amie lors de sa première année en fac, elle lui avait offert sa virginité, ils avaient fait l'amour sur le siège arrière de sa voiture. Pendant des années, après avoir rompu avec mister petit ami elle avait évité toute liaimister avec d'autres garçons, puis Carl était arrivé. La douche tirant à sa fin, la porte de la petite stalle s'ouvrit à nouveau, à nouveau Scott put admirer sa main et ses longs doigts fuselés tandis que la ravissante prof se séchait dans un drap de bain, il se branla de plus belle, mister imagination travaillant ferme. Quelques instants plus tard, la lumière s'éteignit dans la salle de bain, Scott haletait sur le toit de sa maimister alors qu'un filet de chaude semence s'écoulait dans la gouttière. Depuis qu'elle avait vu mister mignon voisin Carol se sentait attirée par lui, vacillant sur ses jambes elle lui avait adressé un surire candide ainsi qu'un signe de la main. C'était peu de dire que Scott était timide et peu sur de lui pendant sa première année, en soupirant Carol constatait que c'était le contraire de sa toute première impression ce qui lui permettait de se sentir forte et confiante en elle-même. Pendant toute cette première année où elle lui enseigna les maths Carol sentit que ce jeune homme avait une certaine inclination pour elle mais pas vraiment différente des relations habituelles de prof à élève. Carol se doutait Scott la désirait, que cela dépassait maintenant les traditionnelles relations prof / élève, tout comme il était le seul dont elle rêvait la nuit. En dépit de toutes ces photos de pin-up s'étalant dans "Playboy", et autres magazines pour hommes, c'était mister image qui venait le hanter toutes les nuits. Elle s'était débrouillée pour dissimuler ses pensées illicites tout au long de la première année, le jeune Scott semblait avoir mûri cette nouvelle année et était devenu la coqueluche de toutes les jeunes ados de la fac qui tout comme Carol mouillaient le fond de leur culotte rien que de penser à lui. Il avait mûri, pris du muscle et était devenu le flanqueur droit de l'équipe de football de l'université ce qui renforçait encore sa ressemblance avec le premier amour de Carol. Lorsqu'il passait dans les couloirs, il avait toujours une charmante jeune file au bras, à chaque fois le cœur de Carol tressautait de jalousie. - Comment une femme mariée... Et heureusement mariée... Peut-elle ressentir de tels émois? s'admonestait-elle. Au cours de ses trois dernières années de lycée, Scott avait travaillé correctement ce qui lui avait permis de rentrer brillamment à la fac. Par ailleurs il était devenu un beau jeune homme, il tirait avantage de sa prestance, s'efforçant de se faire le plus de filles qu'il le pouvait, se comportant comme un séducteur né. Il ne limitait mister terrain de chasse aux jeunes et jolies filles de la fac, mais il avait élargi mister horizon en se faisant quelques ravissantes mères de mister quartier, ce qui avait cependant compliqué ses approches. Il s'était par ailleurs tapé pas mal de filles majeures et en avait même engrossé deux, qui s'étaient fait avorter, au cours de ces trois dernières années. Il était maintenant souvent à l'affût des jeunes femmes mariées dans la mi-trentaine, il adorait leur expérience et de plus se sentait libéré du risque de les engrosser. Cependant il avait toujours gardé en tête l'image de sa ravissante voisine, mister adorable prof de maths. Ces derniers quatre mois à la fac, Scott avait largement eu le temps de contempler la femme de ses rêves, sur les annuaires de collèges et dans mister album photo, il avait réussi à prendre quelques clichés d'elle au télé-objectif. Entre autre, l'été dernier, il avait réussi à la prendre en bikini prenant un bain de soleil au bord de sa piscine. Bien qu'il ne soit capable que de rêver d'elle, il avait décidé de prendre le vol retour pour les vacances d'hiver, espérant la revoir à nouveau. Atterrissant le lendemain de la fin des classes, il fur reçu avec enthousiasme par ses parents qui s'étaient arrangés pour venir l'accueillir à l'aéroport bien qu'une épaisse couche de neige couvrait le sol. Ils rentrèrent tout doucement chez eux sur dans le véhicule à quatre roues motrices de ses parents, la route était dégagée et le trafic très fluide. Dès arrivée chez lui, Scott eut la chance de tomber sur madame Hasting pelletant la neige pour se ménager un chemin permettant à sa voiture de gagner la rue principale, il se demandait si, pendant ce temps, l'heureux mari de mister adorable voisine était recroquevillé sur une chaise dans la douillette chaleur de mister salon. La voiture rangée dans le garage, Scott traversa la pelouse couverte de neige et vint saluer mister voisin d'un misterore : - Joyeux Noël monsieur Hastings! - Hey Scott ça fait plaisir de te revoir! ... Joyeux Noël pour toi aussi! répondit-il gaiement. - Vous avec un drôle de boulot pour dégager votre allée de garage! commenta Scott. - Sur, j'aurai bien aimé que ma femme n'ait pas de soirée de Noël à "l'hôpital pour enfants de Sainte Bénédicte.... Je vais devoir lui prêter mon véhicule et il faut que je lui pose des chaînes tant qu'elle est dans le garage avant d'aller au boulot... murmura le voisin. Une fois qu'il sut que madame Hastings faisait cuire une dernière fournée de cookies, Scott dit à mister mari de lui souhaiter un joyeux Noël de sa part, puis il retourna chez lui en réfléchissant à toutes ses informations. Il se souvint alors d'une copine de classe, Lisa Nolan qu'il avait retrouvé à la fac, elle lui avait confié qu'elle participerait avec un groupe d'anciennes du lycée à une fête de Noël organisée pour les enfants de l'hôpital Sainte Bénédicte. Se pourrait-il qu'il s'agisse du même groupe dans lequel devait intervenir madame Hastings? ... Cependant lorsque Lisa l'avait invité à se joindre à eux, il avait considéré que cela serait trop fatigant et qu'il avait mieux à faire. Il était presque certain maintenant que madame Hastings devait se joindre à ce groupe.
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chrislebo
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Une fois rentré, Scott appela Lisa et lui demanda si c'était dans le même groupe de madame Hastings qu'elle devait intervenir à l'hôpital Sainte Bénédicte, comme elle le lui confirmait, il lui demanda si mister invitation de se joindre à eux tenait toujours et sur sa réponse affirmative, il lui annonça qu'il les rejoindrait au moment voulu à l'hôpital. Se pressant de sortir de sa maimister il traversa le sentier enneigé menant chez les Hastings et interpella mister voisin : - Hey monsieur Hastings... Un instant... et il se posta contre la petite haie qui séparait les deux maimisters, puis il ajouta : - Une des filles de groupe qui se rend à Sainte Bénédicte vient de m'appeler pour m'inviter à me joindre à eux...... Cela ne vous sert à rien de dégager votre allée de garage puisque je dois me rendre aussi à l'hôpital Sainte Bénédicte... je serai très heureux d'y emmener madame Hastings dans mon 4x4... Puisqu'elle doit ren-contrer le groupe qu'elle encadre à 19 heures, nous devrions y être à temps en partant à 18 heures! Dans sa chambre, Scott regardait la maimister de sa voisine, sa bite tressautai de joie à l'idée de se trouver seul avec sa ravissante voisine. - Peut-être bien que je pourrais feindre de m'enfoncer dans une congère ou quelque chose comme ça! .... Et quand elle commencerait à frismisterner de froid je serai très content de la réchauffer en la serrant dans mes bras! pensait Scott plein d'espoir. - Me balancerait-elle une baffe si je la serrais de trop près? ... Suis -je capable de la séduire ou me surestimerai-je? se demandait-il en mister fort intérieur. Dans la maimister voisine Carol Hastings frémit d'excitation et de peur mêlées une fois que mister mari l'eut mise au courant du nouveau développement, elle trempa soudain le fond de sa petite culotte. Carol avait commencé par dire à mister mari qu'elle préférait y aller seule, mais elle cessa rapidement en réalisant que ses explications n'avaient aucun sens d'autant plus que cela lui imposerait une autre heure de travail pour dégager l'allée du garage. Si elle lui avait dit la vérité, qu'elle était tombée amoureuse de leur jeune voisin et qu'elle se sentait incapable de résister à d'éventuelles avances qu'il lui ferait, Carl aurait immédiatement empoigné la pelle et serait retourné nettoyer l'allée du garage. - "Ah Carl, si seulement tu savais l'effet que e fait ce beau jeune homme... cela fait des années que je me débrouille pour ne pas le côtoyer de trop près, je me sens chanceler sur mes genoux lorsque je me trouve à proximité de lui... Et voilà que tu m'annonces que je vais rester seule avec lui cette nuit! - Tu es en train d'offrir ta femme à ce jeune homme, qui a déjà une belle réputation de séducteur! frémissait-elle nerveusement. Alors que mister serviable jeune voisin lui tenait la porte ouverte, Carol jeta un regard en arrière sur la sécurité régnant dans sa maimister où mister mari confiant était assis devant le poste de télévision avant de prendre mister boulot avec l'équipe de nuit de l'hôtel. - Je te remercie de m'emmener Scott! ..... J'ignorais que tu faisais partie de la chorale qui allait chanter à Sainte Bénédicte ce soir... le remercia-t-elle en empruntant le sentier menant à l'allée de garage des Berger. - Je n'avais pas l'intention de participer à cette soirée... Jusqu'au moment où j'ai appris que vous faisiez partie de ce groupe! Cette réponse renforça sa nervosité. Lui tendant une paire de sacs qui contenaient des thermos de chocolat chaud, elle demanda à Scott de les poser à l'arrière de la voiture. Carol se rendait compte de mister extrême nervosité. A l'idée de rester seul avec ce charmant jeune homme elle se serrait les mains l'un contre l'autre, serrait les genoux pour endiguer les affolantes sensations agitant mister entrecuisses. Une seconde de silence s'écoula, puis quelques minutes avant que Carol parvienne à balbutier : - Je sais, tu voudras probablement sortir avec ta petite amie lorsqu'on rentrera de cette soirée... Je... Je pourrais sûrement demander à une des filles de me ramener! En l'entendant balbutier de nervosité, dans une attitude extrêmement différente de celle qu'elle avait lors des ses années collège, Scott conçut l'effet qu'il lui faisait. - Il n'en est pas question madame Hastings! ... Cela me fait plaisir..... Sinon je ne vous l'aurai pas proposé..... Je sais que je vais adorer être seul... Avec vous! répliqua-t-il suavement. Et comme le trafic ralentissait à quelques kilomètres de la banlieue, il se tourna, sourit à la ravissante jeune femme qui tremblait à ses cotés et commenta alors qu'ils passaient devant des motels qui semblaient n'attendre qu'eux : - N'aimeriez-vous pas faire un détour par cet endroit? S'étant tournée vers l'endroit que Scott désignait d'un signe de tête en faisant mister dernier commentaire, Carol frémit en voyant l'insigne "Notel Motel" comprenant exactement ce qu'il sous-entendait, elle sentit mister jus poisser le fond de sa petite culotte à cette idée. - Mon Dieu comment peut-il se montrer aussi entreprenant? ..... J'aurai du lui coller une paire de gifles pour me suggérer ça! ...... Que pense-t-il que je suis? ..... Une petite salope, une fille facile? - Je suis mister ancienne prof de math et il habite juste à coté de chez moi! ..... Il devrait me montrer un certain respect! fulminait Carol, mais ses yeux se focalisèrent sur l'enseigne de l'hôtel alors qu'ils s'éloignaient. En la voyant détourner la tête alors qu'ils passaient devant l'hôtel, Scott comprit que s'il était entré dans le parking du motel elle s'en serait accommodé. Quelques bâtiments plus loin, il entendit sa ravissante compagne pousser un gros soupir. Sa bite frémissant dans mister caleçon tant il avait envie de sa ravissante prof et adorable voisine, Scott se demandait s'il pourrait attendre encore quelques heures pour la toucher lorsqu'ils seraient de nouveau seuls ensemble. Même s'il faisait chaud, ce n'est pas pour cela que Carol tremblait de nervosité à power d'être si prêt de ce séduisant jeune homme. Comme les sièges arrières du 4x4 étaient rabattus, elle voyait que le grand coffre était vide à l'exception d'une taie d'oreiller qui retint mister attention. Un coup d'œil par-dessus mister épaule confirma ce qui avait attiré mister attention, non seulement le siége était en position couchée mais on pouvait observer une pile de couvertures soigneusement pliées rangées sous la taie d'oreiller. Toute tremblante, Carol se demandait - Croit-il qu'il peut me traiter comme une jouvencelle de l'université qu'il sauterait à l'arrière de sa voiture? Le cœur battant la chamade Carol espérait qu'ils arriveraient rapidement à l'hôpital Sainte Bénédicte qu'elle apercevait maintenant dans le lointain. Scott trouva un emplacement vide dans le parking, Carol descendit de la voiture pour saluer les choristes déjà arrivés, demandant à Scott d'ouvrir rapidement le coffre pour leur offrir du chocolat chaud qu'elle avait leur avait amené. Comme Scott levait le haillon arrière, une idée lui traversa l'esprit en pensant qu'elle ferait mieux de retourner avec une des filles qui se trouvait là, puis elle pensa au désappointement de Scott après ce qu'il lui avait laissé entrevoir lors de l'aller. En fait ne voulait-elle pas elle aussi profiter de la proximité de mister adorable voisin et ex-élève. Scott assis sur le rebord du coffre à coté de la succulente beauté prit la tasse de chocolat qu'elle lui tendait. Comme le vent soufflait en tempête lors de leur départ, elle avait enfilé un chaud bloumister de ski orange et une épaisse combinaimister de ski pour avoir chaud ainsi qu'un bonnet de laine. Assis juste à coté d'elle Scott sentait grandir sa nervosité à mister imperceptible balbutiement et aux tremblements de ses mains. Bien qu'elle soit confortablement engoncée dans ses vêtements Scott était convaincu qu'il lui suffisait de la prendre dans ses bras pour qu'elle fonde entre ses mains. Aussi confiant qu'il soit, ce n'était ni le bon moment, ni le bon endroit, Ils étaient au chœur d'un groupe de choristes qui ne pouvaient être témoins de leur émoi. Il est sur qu'ils changeraient de point de vue s'ils découvraient l'adorable madame Hastings à l'arrière du 4 x 4 faisant l'amour avec un de ses ex-élèves. Alors qu'ils étaient seuls, Scott posa audacieusement un bras sur ses épaules alors qu'il annonçait : - Ne serait ce pas bien mieux si nous étions pelotonnés l'un contre l'autre devant un feu de bois? Scott cachait mister sourire en la sentant trembler d'émoi à la suite de cette dernière remarque. Et mister désir de se faire cette adorable prof s'intensifia encore lorsqu'elle tendit la main pour saisir la sienne pour l'enlever de ses épaules en lui répondant l'air sévère : - Oh oui Scott, mais pelotonnée contre mon mari... Tu sembles oublier que je suis mariée et heureuse en mariage! ..... Et de plus que je suis une de tes anciennes professeur d'école! ..... Lorsqu'ils entamèrent la traversée du hall de l'hôpital pour rejoindre les gosses qui fêtaient Noël, le temps continua mister vol. Ayant refusé de se joindre au étudiants qui se rendaient à la pizzeria, Carol trouva l'excuse de devoir terminer la cuismister de gâteaux chez elle, mister cœur battait la chamade alors que mister chauffeur la pressait de monter sur le siège passager à mister coté. Une fois sorti du parking, sur le chemin du retour, Carol se mit à trembler lorsque Scott la confronta à mister menmisterge. - Je croyais que vous aviez terminé la dernière série de cuismister cet après-midi! ..... Vous aviez bien fini, n'est ce pas? .... - Euh... Je... Je n'avais pas tout fini! Balbutia Carol d'une voix tremblante qui trahissait visiblement le fait qu'elle mentait, puis elle frotta ses mains l'une contre l'autre alors qu'un frismister la faisait frémir. Carol avala sa salive et se mit à trembler à la vue de l'enseigne du « Notel Motel » visible de loin, mister cœur cognait dans sa poitrine alors qu'elle se demandait ce qui passait par la tête de mister étudiant si charmeur. Lorsqu'il tendit audacieusement la main pour s'emparer de la sienne tout en conduisant, elle se mordit les lèvres alors que le véhicule se rapprochait de ce maudit hôtel. Scott jouait avec mister alliance et sa bague de fiançailles et cela l'énervait fortement. Mais lorsqu'il ralentit et que mister clignotant gauche s'alluma Carol hurlait dans sa tête : - Nonnnnn..... Nonnnn..... Ne te gare pas sur le parking! Nate Manning était assis derrière le bureau du "Notel Motel" et maudit le voyant qui venait de s'allumer indiquant qu'il devait se bouger le cul et accueillir les nouveaux clients. Il ne s'agissait ni d'un hôtel familial, ni d'un hôtel réputé, mais bel et bien d'un hôtel de passe et connut en tant que tel..
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chrislebo
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Il reconnut le conducteur du 4x4, c'était le quarter back de l'équipe universitaire de football, dès qu'il franchit la porte du bureau. Nate ne fréquentant la fac que depuis le début de cette année état totalement inconnu de Scott Berger. En l'inscrivant sur le registre d'hôtel il eut la confirmation qu'il s'agissait bien de Scott Berger. Sachant que Scott était parti pour jouer dans l'équipe universitaire il comprit qu'il était de retour le temps des vacances, il gloussa : - Le foutu bâtard! .... A peine de retour chez lui et il se fait déjà une nana! ... Bordel je me demande si je la connais! ..... Si ça tombe, il s'agit d'une de ces ravissantes pom-poms gril! ..... Il se glissa discrètement jusqu'au rebord de la fenêtre de mister bureau pour les épier, Nate aperçut la femelle assise sur le siège passage, elle regardait la route, apparemment soucieuse de vérifier que permisterne ne pouvait la voir! - Bordel, il ne se fait pas n'importe qui! ... C'est madame Hastings! .... Putain il va s'envoyer madame Hastings! .... Une femme mariée, dont on vante partout la fidélité! .... Marmonnait-il sourdement. L'année précédente il avait suivi les cours de maths de madame Hasting, il s'était payé de solides bandaimisters rien qu'à la voie en cours, et voila qu'il bandait encore comme un cerf en la voyant débarquer dans le motel. Alors que Scott lui ouvrait la portière, Carol les yeux fixés sur la porte de la chambre d'hôtel balbutia : - Scott... On ne peut pas..... Je suis une femme mariée! .... Tu es un de mes anciens élèves! .... Bien qu'elle protesta verbalement, Carol descendit de la voiture avec mister aide, et le regarda éperdue glisser la clef dans la serrure magnétique de la chambre de cet hôtel. de passe. Une seconde plus tard, mister capuchon de laine jeté sur le lit elle embrassait fougueusement le séduisant jeune homme, lui roulant une pelle enivrante. La veste de ski orange gisait sur le plancher, ainsi que mister écharpe que lui avait arrachée le jeune homme elle posa ses doigts tremblants sur la boucle de sa ceinture de cuir et la déboucla. Pendant ce temps la main du jeune gars progressait sous mister sweat, elle en frismisternait de plaisir. - Ooooooh Scott! Gémissait-elle éperdue. Le bouton fermant mister pantalon défait Carol tremblait d'excitation en s'infiltrant ses doigts dans mister pantalon, puis dans mister caleçon se promenant dans sa soyeuse toimister. - Ooooooooooooooh mon Dieu! ..... Doux Jésus! .... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuu! Haletait-elle doucement, suprise de la taille de sa virilité bandée, elle semblait bien plus grosse et bien plus longue que celle de mister mari! Elle jaillit agitée de soubresauts dans sa main, elle ne put s'empêcher de caresser la glorieuse hampe sur toute sa longueur. Pendant ce temps Scott ait descendu mister pantalon et ses mains s'insinuaient dans le dos de sa petite culotte empoignant et tripotant ses globes fessiers. Cette scène semblait pourtant inconcevable entre madame Hasting et mister ancien élève, il avait quitté le collège, elle était mariée et n'avait jamais transgressé ses vœux de mariage. Carol ne réalisait pas que le séduisant jeune homme avait ourdi ce plan pour embellir ses vacances de Noël. Se débarrassant de leurs lourdes chaussures de neige, ils se déshabillaient l'un l'autre comme s'ils étaient mari et femme et non ex-prof et ex-élève. Scott allongeait auprès de la ravissante jeune femme qu'il embrassait passionnément ne put s'empêcher de lui préciser : - Oooh madame Hasting, vous avez toujours été ma prof de maths préférée! .... Mais ce n'est pas en tant que prof que je me souvenais de vous! ..... - Je le vois bien Scott! .... Concéda-t-elle d'une voix égarée. Haletante, nageant dans un délire passionné, Carol ne pouvait sortir de l'état de transe dans lequel l'avaient plongée les derniers baisers de Scott, cette fois ses lèvres courraient dans on cou, sur ses seins, mister, ventre... et s'approchait furtivement de sa chatoune enfiévrée. Lorsque Scott se tourna, Carol se mit à trembler en pensant au chiffre auquel il se referait, ce nombre "69", ses sœurs de fraternité gloussaient parfois en l'évoquant et lui avaient montré des dessins explicatifs figurant un couple en pleine action. Elle n'avait jamais admis d'avoir de rapports oraux avec mister mari, même s'il avait essayé une paire de fois, elle n'avait jamais fait de fellation quelque que soit le mâle avec lequel elle sortait. Mais avec mister séduisant ex élève qui soufflait mister haleine chaude sur elle, alors que mister pénis se balançait à quelques centimètres de ses lèvres, cela lui apparut comme un acte naturel entre deux amants, elle empoigna la verge dure d'une main ferme et se pencha pour pointer le bout de sa mangue sur l'ensorcelant champignon de chair. Sa langue se démenait dans sa fentine embrasée, Carol relâcha la bite de mister amant qu'elle emboucha en pleine gorge. La sensation était à la fois sauvage et indéfinissable, elle n'avait jamais rien ressenti de tel, elle arquait ses hanches pour mieux s'offrir à ses caresses labiales alors qu'elle absorbait mister épais épieu de chair dans l'arrière gorge qui jouait les ventouses. Frismisternant irrésistiblement elle jouit sous les assauts de la bouche de Scott, elle s'efforça alors d'absorber la moitié de sa bite dans sa bouche avide. Bien que submergée physiquement et mentalement par le meilleur orgasme qu'elle ait jamais éprouvé, Carol cherchait encore à plaire à mister séduisant jeune amant. Elle le branlait de plus en plus en vite dans sa bouche le caressant sans cesse de la langue. La tête montant et descendant sur mister chibre tendu, ses longs cheveux noirs lui balayant les cuisses, elle voulait que cela soit aussi bon pour lui que ça l'avait été pour elle. Ceci dit le jaillissement du foutre chaud dans sa bouche la prit par surprise, elle eut pourtant le réflexe de déglutir avalant la plus grande part de la semence qui lui emplissait la bouche, s'accommodant des jets répétés qui fouettaient sa langue et tapissaient mister arrière-gorge. Scott, était ravi de se voir offrir cette excitante fellation par la femme de ses rêves, qui allait jusqu'à lui mordiller les couilles de sa bouche avide. A voir la façon hésitante dont elle avait commencé ses caresses, il avait tout de suite compris qu'elle était totalement inexpérimentée dans ce genre d'acte sexuel, mais cela n'avait fait que l'exciter plus d'enseigner à mister adorable prof de maths cette succulente façon de dispenser du plaisir à un homme. Il se réjouissait d'ailleurs de l'enthousiasme qu'elle avait manifesté par la suite. Effleurant des lèvres la douce figue de sa partenaire, titillant ses appâts intimes enfiévrés, puis il remonta languottant tendrement mister nombril avant de grignoter ses tétons dardés. Un nouveau patin enfiévré s'ensuivit alors que Scott, promenait mister gland turgescent dans mister étroite fentine impatiente de recevoir ce fougueux visiteur. L'instant suprême était arrivé, celui dont il rêvait depuis si longtemps, puissant ses hanches en avant il enfourna lentement sa grosse bite palpitante dans mister étroit chaton embrasé. - Nnnnnnnnnnn...... Nnnnnnnnnnnnn... Nnnnnnnnnnnnn..... Scott...... Ohhhhhh, Scotttttttttttttttttttttttttttttt! Rugissait Carol, les yeux écarquillés alors que l'épais épieux de mister jeune amant, bien plus épais que celui de mister mari, élargissait impitoyablement mister tunnel d'amour comme jamais il ne l'avait été jusqu'ici. - Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... MOn Dieuuuuuuuuuuu..... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu...! Grognait-elle alors qu'il s'enfonçait profondément dans mister avide chatoune. Jambes nouées dans le dos de mister jeune amant, doits de pieds en éventail, Carol s'arquait sur ses talons pour mieux s'offrir. - Oh oui... Oh, ouiiiiiiiiiiii... baise-moi..... Baise-moi... Scott... baise-moi encore..... Encore...... Chantonnait-elle se pressant contre le corps de mister amant. - Oh mon Dieu... Oh, mon Dieu.... Mon Dieuuuuuuuuu..... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..... Couina-t-elle en jouissant alors que la bite experte coulissait vigoureusement dans sa chatoune em-brasée. Frismisternante, tremblant de façon incontrôlable alors que le plus intense orgasme qu'elle ait jamais éprouvé déferlait dans tout mister corps, un véritable feu d'artifice fusait sous ses paupières éblouies. Bras et jambes noués dans mister dos elle le sentait continuer à la pilonner de mister épaisse virilité, une vague de culpabilité courut dans mister esprit en l'entendant clamer : - Madame Hastings... Madame Hastingssssss.... Je jouis madame Hastingsssssssss...... Ah, je jouissssss! .... Serrez-moi dans vos bras! ...... Serrez-moi fort! ..... Ahhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! .... Carol qui flottait dans un délire de pure extase, submergée par un orgasme fracassant juste la seconde d'avant senti une vague de culpabilité courir dans mister corps frémissant en entendant mister ex-élève l'appeler par mister nom marital en plein coït. Se figeant instantanément bras et jambes toujours noués dans le dos de mister jeune amant, seule une part de mister corps vibrait encore sous mister assaut à cet instant..... C'est alors que sa bite tressautante vomit un flot de sperme chaud dans mister utérus fertile. Carol était écrasée de culpabilité, elle réalisait à cet instant : - Of, mon Dieu... Qu'ai-je fait? ..... J'ai trompé mon mari! .... Et un jeune voisin! ..... Un ancien élève! .... Elle frismisternait en sentant la crème épaisse de mister jeune amant lui remplir l'utérus, elle se lamenta alors : - Oh mon Dieu... Et s'il m'avait engrossée! ....
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chrislebo
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Elle frémit d'horreur et de culpabilité mêlés alors que Scott crachait ses derniers jets de foutre au cœur de sa féminité embrasée, à sa grande honte mister corps continuait à répondre à ses assauts, trayant quasiment le gros pénis de mister amant pour mieux l'assécher. Quelques instants plus tard, Carol gisait étendue sur le dos étreignant toujours le corps de séduisant jeune amant qui s'était effondré sur elle, elle flottait dans un mode féerique d'extase. Son corps musclé allongé sur elle, sa pine vibrante toujours imbriquée dans sa cramouille, Carol se demandait si le cas échéant, elle garderait le fruit de mister ancien élève. La virilité de mister jeune amant qui venait de lui donner tant de plaisir était toujours enfoncée en elle, mais maintenant cela lui causait surtout une énorme culpabilité et une forte angoisse de l'avenir. Engoncé dans le fond de mister van, Nate Manning épiait les vitres teintées de la chambre des eux amant mister appareil photo en main. Une fois mister service terminé, il s'était rué chez lui pour y prendre mister appareil photo et emprunter la camionnette de mister frère, puis il était retourné à l'hôtel et avait garé le véhicule assez près de celui de Scott Berger. Il s'était pressé de revenir à l'hôtel, il ne voulait surtout pas manquer cette fabuleuse opportunité, jamais il n'aurait même envisagé que la ravissante madame Hastings puisse tromper mister vieux mari, jamais il n'aurait espéré même dans ses rêves les plus fous être le témoin de mister aventure. Ravis de voir que le véhicule de Scott se trouvait toujours à la même place à mister retour, Il sourit se promettant : - Oh ma chérie, bientôt ce sera pour mieux m'accueillir que tu écarteras tes jolies cuisses en grand! ... Bordel tu me semblais si jolie lorsque je te voyais assis à ton bureau! ..... Très bientôt tu me fourniras une formidable vue de ton corps nu étalé sur ton bureau! ..... Sachant que l'adorable prof était mariée et supposait-il heureuse en mariage, Nate soupçonnait qu'elle ne voulait surtout pas que quiconque la voit quitter cet hôtel de passe de ce fait il pensait que, profitant de l'obscurité, elle ne partirait qu'à la nuit tombée. En ouvrant la porte de la chambre, Carol fouilla anxieusement l'obscurité de ses yeux perçants, elle retenait des larmes de honte alors que mister corps tremblait de culpabilité autant que de nervosité. Elle n'espérait qu'une chose, que permisterne ne la voie sortir de cette chambre d'hôtel au bras de mister ancien élève, si cela se savait, la rumeur s'en répandrait comme une traînée de feu dans leur communauté banlieusarde. Agrippant le col de sa veste, elle se sentait nue en quittant cette chambre d'hôtel où elle venait de violer ses vœux de mariage, elle était grandement soulagée de ne voir permisterne traîner dans le parking. Elle suivit Scott qui regagnait mister véhicule et lui ouvrit galamment la porte de passager. Carol poussa un gros soupir de soulagement en constatant que permisterne ne zonait dans le coin, espérant que cela continue jusqu'au moment où ils quitteraient ce maudit parking. Elle était loin de se douter qu'à la seconde même où elle avait ouvert la porte de la chambre d'hôtel, une caméra digitale capturait et enregistrait sa mine coupable. Sur le chemin du retour, le cœur battant la chamade, sa petite culotte trempée de cyprine et de foutre mêlés s'écoulant de sa chatte, Carol serrait étroitement ses cuisses l'une contre l'autre pour tenter de souiller encore plus sa petite culotte craignant si elle desserrait les cuisses qu'un flot de foutre s'échappe de sa cramouille engorgée. Elle ne parvenait pas à croire à ce qui venait de se passer ces cinq dernières heures. L'endurance de mister jeune amant paraissait incroyable, elle se remémorait avec émotion cette rapidité avec laquelle il avait retrouvé toute sa vigueur entamant une nouvelle séance amoureuse qui avait débouché sur un nombre impensable d'orgasmes. Puis plus tard, il avait remis une troisième fois le couvert et cette fois il avait totalement vidé ses couilles, épuisant ses moindres ressources lorsqu'il s'était retiré de sa chatoune lasse de plaisir. Vers quatre heures lorsqu'il la déposa dans l'allée de leur garage, Carol sauta hors de mister véhicule avant que mister jeune amoureux ait le temps de venir lui ouvrir la portière et se rua vers la porte de mister pavillon. Elle avait eu peur qu'il l'escorte jusqu'à la porte de sa maimister, elle savait qu'elle n'aurait pas été capable de l'arrêter dans mister élan de la prendre dans mister lit conjugal comme il l'espérait tant. Une fois bien à l'abri chez elle, Carol se précipita dans la sale de bain et paniquée se rendit compte qu'elle avait oublié de racheter un flacon de douche vaginal la dernière qu'elle s'en était servie. La voiture était dans le garage, l'allée du garage sous la neige, elle n'avait aucun moyen de se rendre en ville acheter cette protection dont elle avait tant besoin. Elle réalisa alors que la pharmacie la plus proche se trouvait à environ deux kilomètres, et que de toute manière elle devait être fermée en cette période de fête. Recroquevillée en position fœtale dans mister lit, elle ne parvenait pas à effacer l'image de mister jeune amant qu'elle avait en tête, elle se demandait qu'elles seraient les conséquences de mister imprévoyance alors que sa semence fertile travaillait ses ovaires. Plus tard dans la journée, cet après-midi de Noël, Carol ouvrit le luxueux paquet cadeau de mister mari. A la vue du collier en diamants et des boucles d'oreilles coordonnées elle lui donna un tendre baiser en s'efforçant de retenir les grosses larmes qui ruisselaient sur ses joues. Son mari qui prit ses pleurs pour des larmes de joie l'enlaça et l'embrassa fiévreusement alors qu'elle essuyait ses larmes..... Ses larmes de culpabilité et de honte! Etreignant mister époux, elle se sentait si honteuse de savoir sa chatoune tapissée par la semence de mister jeune voisin. Six jours plus tard, à la veille du nouvel an, Carol hésitait à se rendre chez les Berger pour leur souhaiter une heureuse nouvelle année alors que mister mari travaillait avec l'équipe de nuit de l'hôtel. Mais c'était la tradition que de se rendre chez ses voisins, elle n'avait aucun moyen de se défiler sans éveiller les soupçons. Elle savait que Scott devait être là, elle ne pouvait empêcher mister cœur de battre la chamade à l'idée de le revoir si tôt, d'autant plus qu'elle n'avait pas répondu à ses nombreux coups de fil en identifiant mister numéro d'appel. Comme la neige avait fondu et la température était remontée, elle avait enfilé une élégante robe et des hauts talons. , elle se contenta d'enfiler u chandail pour se rendre chez les Berger. Elle se tenait devant la maimister des Berger se refusant à offrir à Scott l'opportunité de se serrer contre elle alors qu'elle avait pensé à lui toute la nuit. Lorsqu'elle repartit, ayant rempli ses obligations de bon voisinage, Carol frémit en entendant Scott dire à ses parents : - Je vais faire un tour! ... J'ai rendez-vous avec Jimmy Norton, et il doit déjà m'attendre! ..... Lorsque ses voisins rentrèrent chez eux, sa visite faite aux Berger et aux Norton ses voisins de l'autre coté de sa maimister, elle prit le chemin du retour; Scott lui emboîta le pas. A mi-chemin de sa maimister elle annonça à Scott - Je peux rentrer seule..... Prends du bon temps avec tes copains Scott! ..... Carol frémit nerveusement alors que Scott dédaignant mister conseil continuait à l'accompagner, posa sa main sur sa taille la coupant : - Ils mistert tous chez Brian, et je leur ai dit de ne pas compter sur moi! .... Sur mister porche d'entrée, la clef insérée dans la serrure, elle se tourna vers mister séduisant voisin et lui opposa : - Scott..... Ce que... Ce que nous avons fait..... Etait mal..... Nous Ne pouvons pas... Je ne peux pas! .... Mais alors qu'elle tournait la clef la main de Scott toujours posée sur ses hanches, elle se retrouva bien vite dans mister hall d'entrée en compagnie de mister si séduisant jeune voisin, la porte refermée dans mister dos. - Scott..... Je t'en prieeeeeeeee...... Nous! ..... Ne put-elle que soupirer alors que ses lèvres effleuraient déjà les siennes. Le chandail repoussé de ses épaules tomba sur ses bras, et rapidement cette pièce de vêtement se retrouva sur la hotte du foyer. Elle soupirait des misters incompréhensibles alors qu'il la débarrassait de mister gilet. Etreinte fermement par Scott, ses bras autour de mister cou, Carol ouvrait ses lèvres pour accueillir sa langue qui fouillait sa bouche avec impatience, alors qu'il l'entraînait au travers du salon et montait les escalier menant à sa chambre. Le lendemain matin, c'est le bruit de mister mari rentrant au foyer et gagnant la salle de bain pour prendre une douche qui la réveilla, Carol était paniquée en se rappelant que sa robe et mister chandail se trouvaient au salon sur la hotte du foyer. Comme mister mari était entré par le garage après y avoir rangé mister 4x4 il n'était pas passé devant l'âtre, Elle réalisa alors qu'elle ferait mieux de se ruer au rez-de-chaussée pour effacer ses traces suspectes! Yeux écarquillés, Carol laissa échapper un soupir de soulagement à la vue de sa robe noire et mister chandail pliés soigneusement et ranges avec ses haut-talons noirs près sur une chaise le long de sa commode. Soulagée, elle comprit que Scott s'était chargé de faire disparaître les traces trop évidentes de leur forfait. Puis elle chercha des yeux mister soutien-gorge et sa petite culotte mais ne les retrouva pas, elle réalisa alors qu'il avait du s'en emparer comme de trophées. Elle se releva prestement et se rua sur sa penderie pour saisir une petite culotte à enfiler sous mister pyjama. De retour dans mister lit, l'image de mister jeune amant lui remplit à nouveau la tête alors qu'elle revivait chaque seconde depuis leur entrée dans la maimister. Se pourléchant ses lèvres gonflées, Carol se remémorait sa deuxième leçon de maths cette semaine, cette fois elle avait tenu à lui démontrer qu'elle maîtrisait parfaitement le chiffre "69". Et comme la première fois ce 69 avait été suivi d'une longue séance d'amour fou, mais cette fois dans mister lit conjugal. Les coups de langue sur mister clito l'avait rendue folle de désir, elle avait alors lapé mister méat jusqu'à l'instant où il déversa ses premiers jets de foutre crémeux dans sa bouche accueillante.
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chrislebo
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Mais ce n'était pas une partie de jambes en l'air entre mari et femme, mais à la place notre parfaite hôtesse mister ex élève d'une façon fort inappropriée. Pas une seule, pas deux mais trois fois le lit marital des Hasting avait cogné contre le mur de la chambre alors que dans leur accouplement powerné il emplissait sa chatte de flots crémeux et épais. Avant que Carl se glisse dans le lit, Carol feignait de s'activer comme d'habitude à cette heure-ci, elle salua mister mari d'un vibrant : - Bonne année mon chéri! ..... Puis elle fit semblant de bailler et ajouta - Les voisins ont fait la fête jusqu'au petit matin..... Je suppose qu'il est temps que je me lève plutôt que de dormir en ce jour de nouvel an! ...... Laisse moi changer les draps avant que tu te couches, nous démarrerons ainsi, symboliquement, l'année dans de nouveaux draps! ..... La véritable raimister était toute autre Carol voulait refaire le lit pour que mister mari ne se rende pas compte que les draps étaient souillés de sperme. Cette nouvelle année avait commencé par un énorme changement qui devait définitivement changer la vie de Carol. Pour la Saint Valentin, elle reçut une douzaine de roses dans sa salle de classe, la carte comportait un message sibyllin : - Je t'aime... Et était signée d'un grand N° 32. Ce numéro, qui correspondait à mister âge, était celui du maillot de football de mister jeune amant. Carol avait pensé à lui tout au matin alors que penchée sur ses toilettes elle vomissait tripes et boyaux. Elle connaissait déjà le résultat qu'indiquerait mister test de grossesse qu'elle allait se procurer cet après-midi même dans une pharmacie. L'événement suivant fut aussi terrifiant qu'inattendu, il advint juste avant les vacances de printemps alors qu'elle était enceinte de trois mois et portait le bébé de Scott Berger. Le cauchemar commença alors qu'un matin, assise à mister bureau elle ouvrit le tiroir central et y découvrit une grande enveloppe portant mister adresse. L'enveloppe contenait des photos d'elle sortant de la chambre d'hôtel, les yeux gonflés, agrippant le col de sa veste alors que Scott Berger se trouvait immédiatement dans mister dos. Les photos étaient accompagnées d'un court message : - Si tu veux garder ces photos secrètes, retrouve-moi cet après-midi à l'hôtel à 15 heures... Même chambre! ..... Tu sais où n'est ce pas! ...... Le nom de "Notel Motel" te semble-t-il familier? .......
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chrislebo
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Assise derrière mister bureau Carol Hasting surveillait ses élèves qui se concentraient sur un contrôle, elle se trémoussait sur sa chaise, visible-ment très énervée. - Qui cela pouvait-il bien être? .... Etait-ce un élève de cette classe? ..... se demandait-elle affolée. Elle baissa la tête et ferma les yeux désespérés, Carol aurait voulu pouvoir remonter le temps et revivre ses dernières vacances de Noël. - Pourquoi l'ai-je laissé faire? .... Comment ai-je pu me montrer si faible? .... s'interrogeait-elle dans mister fort intérieur. Se remémorant les photos qu'elle avait reçue il y a peu, elle devait convenir qu'il n'y en avait aucun doute quant au lieu où elles avaient été prises, de plus les deux dernières la représentaient. - Oh mon Dieu, Si Carl venait les voir, Dieu seul sait..... Pat l'enfer il comprendrait vite que je l'ai trompé dans ce foutu hôtel! ..... se dit-elle dans mister fort intérieur. Et de fait, si quelqu'un voyait cet enchaînement d'images il n'aurait au-cun doute sur les événements s'étant déroulés au Notel Motel. On y voyait tout d'abord une vue de la devanture du Notel Motel avec mister enseigne géante au fin fond d'un parking où étaient garées différen-tes voitures. La photo suivante prise plus prêt de l'hôtel montrait une conduite inté-rieure blanche garée dans le centre de l'hôtel devant une chambre en arrière plan. On l'a reconnaissait clairement sur cette photo bien qu'elle ait les yeux froncés Carol se souvenait parfaitement de cet instant, on lisait sur mister visage le remords d'avoir commis le pêché d'adultère. La photo suivante, celle ou mister jeune amant la tenait par le cou en quittant la chambre d'hôtel, permettait clairement de l'identifier comme le fils de leur voisin immédiat, par ailleurs un de ses élèves. Quoiqu'elle connaisse beaucoup d'histoires relatant les amours de profs et d'élèves au cours de ces dernières années, sa relation ne serait pas aussi scabreuse, mister jeune amant ayant plus de 18 ans. Bien que ce soit un de ses élèves, il avait plus de 18 ans comme la plu-part des élèves des classes de terminales du lycée. Même si cette affaire ne ferait pas les choux gras de magazines natio-naux, il était certain que les journaux nationaux ruineraient sa bonne ré-putation parmi la communauté locale. Et quelle que soit la publicité qui serait faite à cet événement, Carol savait que mister adorable mari ne le pardonnerait jamais cet adultère, d'autant plus que la capote dont ils s'étaient servis s'étaient rompues et qu'elle s'était malheureusement retrouvée engrossée par mister jeune amant lors de ces satanées vacances de Noël. Il était exclu qu'il s'agisse d'une fille, bien que Carol l'aurait préféré, elle savait que mister maître chanteur devait être un homme. - Pourquoi m'impose-t-il de me rencontrer dans la même chambre d'hôtel? ..... Que veut-il, de l'argent? ..... Combien? ..... Oh mon Dieu..... Et s'il voulait me rencontrer dans cette chambre pour... Pour me baiser! .... frismisterna-t-elle soudain secouée de hauts le cœur. - Devrai-je subir me résigner s'il veut coucher avec moi? .... Qu'arrivera-t-il si je refuse? ... Irait-il jusqu'à diffuser ces ignobles photos? ...... tremblait-elle d'effroi. Retenant ses pleurs, Carol frémit de dégoût à l'idée que mister maître chanteur puisse poser ses mains sur elle. - Ce n'est pas seulement ses mains qu'il voudra poser sur moi! ..... Il voudra me fourrer mister sale pénis dans la chatte! .... se dit-elle soudain éperdue de honte. Elle se repassait les détails de cette nuit cherchant désespérément à deviner qui l'observait dans le but de la faire chanter, Carol revivait ce qu'elle avait vécu lors de cette fête de Noël. - Ce devait forcément être quelqu'un de ce groupe! .... La réputation de Scott dans ce lycée n'était plus à faire..... Ils savaient tous qu'il multipliait les aventures avec des femmes plus vieilles que lui..... Mon Dieu, ce nuisible devait nous avoir suivis! ...... Et se référant à la réputation de Scott, il avait du en conclure rapidement que tout cela était fort louche! .... conclut-elle affolée. - Ce doit être ça..... Et lorsque Scott m'a rejoint dans sur parking de l'hôtel il a commencé à prendre des photos..... attendant l'instant ou nous ressortirions de cette maudite chambre..... après avoir commis un adultère! ..... analysait-elle horrifiée. Plus tard, dans la nuit après avoir longuement réfléchi à qui avait pu les épier lors de ces fêtes de Noël, Carol se repassait la tête de tous ses élèves se demandant qui cela pouvait -il bien être...... Bob Adams? .... Mike Goodhall? ..... Harry Cormell? ..... Trevor Masters? ..... Dennis Myers? ...... Qui pouvait bien être mister maître chanteur? ..... réfléchissait Carol. - Je dois acheter mister silence..... Quel que soit le prix à payer! ..... se disait-elle, frismisternant à l'idée qu'elle devrait sûrement coucher avec lui en échange de mister silence. Incapable de s'endormir, Carol restait étendue dans mister lit, se préparant au pire, se représentant chacun des jeunes mâles qui pouvait se trouver être mister maître chanteur. Afin de se préparer à l'inéluctable rencontre du lendemain, Carol se les représentait l'un après l'autre, s'imaginant se déshabillant pour eux dans la chambre d'hôtel où elle avait déjà fauté. Même si elle méprisait déjà ce maître chanteur inconnu elle devait ad-mettre qu'aucun de ses jeunes lycées ne se détachait plus que les au-tres dans ce rôle. Ils étaient tous moins sportifs et musclés que Scott qui était la coquelu-che du lycée. Mais de se représenter sa soumission entre leurs mains, Carol se ren-dait compte qu'ils étaient tous susceptibles de la faire chanter pour profiter lubriquement de ses charmes, et qu'elle devrait se soumettre servilement à toutes leurs volontés. En sortant du repas de midi, le jeune Nate Manning, du haut de ses 18 ans révolus depuis six mois, observait attentivement l'adorable madame Hasting alors qu'elle ouvrait la porte de sa classe pour accueillir sa pro-chaine classe de math. Seul majeur de sa classe à power de redoublement Nate était le plus cos-taud des élèves de cette classe de seconde. - Hello madame Hasting Comment cela va-t-il? ..... salua-t-il railleu-sement sa prof adorée, tout sourire en hochant de la tête en sa di-rection. Il était évident que sa délicieuse prof était nerveuse, troublée et qu'elle devait être mure pour entamer une fructueuse négociation. - Tout va bien madame Hasting? .... Vous me semblez abattue au-jourd'hui..... Puis-je vous aider en quoi que ce soit? .... s'enquit-il suavement. - Non, mais je te remercie de me l'avoir proposé, j'ai juste de petits problèmes aujourd'hui..... lui répondit-elle en retour. Nate savait pertinemment ce qui troublait mister adorable prof de math, d'autant plus que c'est lui qui avait tiré ces photos si compromettantes et qui lui avait réclamé un rendez-vous dans cette même chambre où elle avait fauté. Comme madame Hasting allait franchir le pas de porte de sa classe, ses pieds délicieusement chaussés de hauts talons beiges, Nate se pourlé-cha les babines alors que sa bite tressautait dans on caleçon. - Vous semblez si inquiète de voir votre mari visionner ces photos madame Hasting... Mais à 15 heures tu n'auras plus à t'en tracasser, lorsque je t'assurerai que je n'ai pas envie de les lui faire parvenir! ..... Tant que tu écarteras tes blanches cuisses pour m'accueillir au cœur de ta féminité! ...... gloussait-il joyeusement. A 14 heures, à la fin des cours, Carol sentit ses mains trembler alors qu'elle regardait l'horloge accrochée au mur de salle de classe. Elle quitta rapidement sa salle de classe de peur d'être en retard pour mister rendez-vous de 15 heures, qui devait lui permettre de sauver mister mariage en évitant tout scandale. De peur de voir mister jeune amoureux impliqué dans cette affaire alors qu'elle portait mister bébé dans mister ventre, Carol ne pouvait se permettre de laisser diffuser ces photos l'incriminant. Jambes tremblantes elle quitta mister établissement pour aller prendre sa voiture dans le parking terrifiée de ne pas arriver au Notel Motel à temps, les conséquences pourraient dévaster sa vie. Assise au volant de sa voiture qu'elle venait de ranger juste devant la chambre 108 du Notel Motel Carol jeta un oeil sur sa montre pour cons-tater qu'il était juste 14 heures 54. Elle jeta un oeil circulaire sur le parking se demandant ce qui l'attendait maintenant. - Quel était l'ado qui l'attendait derrière cette porte? ..... se deman-dait-elle angoissée. - Dois-je vraiment y aller? ...
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chrislebo
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- 'Ne ferai-je pas mieux de redémarrer ma voiture pour filer tout droit à la maimister? .... Mais les images compromettantes repassaient dans sa tête elle se força donc à se diriger vers la porte de la chambre, qu'elle ouvrit lentement avant de pénétrer d'un pas hésitant dans cette maudite chambre 108. Auparavant elle jeta un coup d'œil circulaire s'assurant que permisterne ne la connaissant ne puisse la voir entrer dans cette chambre d'hôtel de cet établissement en périphérie de la ville, dont on connaissait parfaitement l'usage que faisaient les utilisateurs de ces chambres louées à l'heure. Ne voyant permisterne, elle tourna la cliche de la porte c'est alors qu'elle remarqua un court message collé sur la porte : Bienvenue, entrez ma-dame Hasting! .... La porte est ouverte elle nota alors que la porte n'était pas fermée et qu'il lui suffisait de la pousser pour qu'elle s'ouvre. Elle sursauta en entendant une voix masculine aboyer alors qu'elle poussait la porte : - Entrez madame hasting... Et refermez la porte dans votre dos...... Que nous ne soyons pas dérangés...... Serrant les dents elle referma la porte Carol vit que la pièce était totale-ment noire. Comme elle avançait dans la pièce, elle se trouva finalement au chœur de l'obscurité alors que la porte claquait dans mister dos la faisant trembler de peur alors qu'elle balbutiait : - Qui..... Qui..... Qui êtes-vous? .... S'il vous plait... Je..... J'ai pris de l'argent..... Je vais vous acheter ces photos! ...... Nate avait drapé des couvertures noires sur les vitres, il attendait dans l'obscurité que sa ravissante prof de maths arrive. Il comptait sur le fait qu'elle serait incapable de l'identifier en étant plongé de la lueur vive à l'obscurité profonde, d'autant plus que lorsqu'elle entre-rait, elle aurait le soleil et sa vive luminosité dans le dos. Sa venue lui confirmait que la possession de ces photos compromettantes la représentant, sortant, tendrement enlacé avec Scott Berger, d'une chambre d'un hôtel connu en tant que lieu de rendez-vous galant, lui donnait barre sur elle. Forçant sa voix, éliminant toutes tournures familières, Nate comptait af-firmer mister emprise sur elle en la confrontant à mister pêché de luxure, il l'accueillit en la raillant : - Monsieur Hasting sait-il qu'il est cocu? ..... Et de plus par, Scott Berger, un de vos étudiants! ..... Ma, ma... Ca va faire un drôle de bruit si ça vient à être connu! ..... - Je vous en prie... vendez-moi ces photos! ..... répondit d'une voix faible la ravissante jeune femme éperdue. - Je ne veux pas de ton argent madame Hasting..... rétorqua-t-il la fouettant en adoptant un tutoiement des plus familiers. - Ces photos ne mistert pas à vendre! .... Tu le sais très bien d'ailleurs! ..... Tu sais bien pourquoi tu te trouves avec moi dans cette chambre! ...... T'es ici pour me plaire suffisamment afin que je n'ai pas envie d'envoyer ces photos à ton mari par mail, ou que je les fasse parvenir à des journaux à scandales! .... N'est pas ma chère madame Hasting? ....... lui rappela Nate suavement. - Euh, oui... ouiiiii... répondit-elle faiblement. - Et maintenant, pour me prouver ta bonne volonté ma chère Carol, tu vas t'agenouiller entre mes cuisses et me tailler une pipe! ...... lui intima-t-il grossièrement. Carol avala sa salive alors qu'un frismister glacé lui parcourait sa colonne vertébrale et que mister estomac se soulevait déjà de révulsion à l'idée de ce qu'il attendait d'elle. Bien sur elle avait déjà sucé des bites auparavant... En fait une seule! ..... Celle de mister jeune amant dans le seul but de lui offrir un plaisir qu'elle n'avait jamais offert. Et voila que maintenant ce pervers lui réclamait le même plaisir, il insis-tait maintenant : - Viens ici Carol... Si tu savais depuis combien de temps j'attends cet instant! .... Depuis de longs mois, Cela fait longtemps que je t'imagine postée entre mes genoux suçant ma grosse BITE NOIRE! ..... Une boule se forma dans sa gorge en entendant ces mots, Carol venait de réaliser qu'en fait mister maître chanteur n'était pas l'un de ceux qu'elle avait soupçonné, car ils étaient tous blancs. Un rai de lumière la figea alors, émanant de l'endroit où était assis mister maître chanteur sa grosse noire en évidence. Alors que mister tourmenteur se branlait allégrement sa bite s'allongeait et s'épaississait encore, Carol réalisa alors qu'elle était bien plus grosse que celles de mister mari et de Scott. - Qu'y a -t'il Carol, tout le monde dit au lycée que tu traites tous tes élèves de la même façon, quelle que soit leur race..... Eh bine maintenant tu vas devoir le prouver! .... Et magne-toi le cul ma chère Carol..... - Nate... Nate Manning... Mon Dieu... C'est toi! .... C'est toi qui..... Mais comment...... Comment t'es-tu procuré ces photos? ..... balbutiait Carol en reconnaissant sa voix et la manière dont il avait prononcé les deux dernières phrases. Carol cligna des yeux alors que soudain la lumière jaillit et Carol put constater que c'était bien Nate Manning qui était assis sur la chaise ar-borant un large sourire tout en flattant sa monstruosité et lui déclarant : - Je faisais partie de l'équipe de surveillance de nuit lors de ton rendez-vous avec Scott..... Il ne pouvait pas savoir pas que j'étais là, je venais d'arriver sur le campus..... J'avais été très surpris de te voir en sa compagnie dans la voiture...... J'ai réagi en un dixième de seconde ma chérie! ..... Une... Deux... trois... Quatre..... J'avais déjà 4 photos! ..... rétorqua-t-il lui expliquant qu'il avait pris lui-même ces photos. - A la huitième... Carol s'efforça de s'avancer vers mister souriant su-borneur. Elle détourna mister visage alors qu'il la forçait à s'agenouiller entre ses cuisses, face à sa colonne d'ébène, Carol tremblait comme une feuille entendant les deux mains pour empoigner l'énorme pilon, cet énorme phallus qui faisait au bas mot 35 centimètres de long. L'agrippant comme elle l'aurait fait d'une bête de base-ball incapable de refermer ses doigts sur mister épais diamètre, elle se mit à le branler consciencieusement tout en gardant mister visage tourné. - Peut être bien que si je le fais jouir en le branlant, il me laissera tranquille ensuite..... Oh mon Dieu... Je frémis rien qu'à l'idée de le prendre en bouche! ..... frismisternait-elle de dégoût, le branlant de plus en plus vite dans l'espoir de le faire jouir manuellement. Bien que fort expérimenté pour mister jeune âge, Nate avait couché avec sa première fille à l'age de 15 ans, il n'était pas de ceux qui tiraient leur coup prématurément, il gloussa en réalisant le plan de sa jolie prof. Il se contentait de sourire l'admirant déployant tous ses efforts pour le faire jouir entre ses doigts, regardant la jolie Carol s'enferrer en s'entêtant dans sa sottise, pensant le faire gicler de façon prématurée. Puis tendant ses deux mains il promena ses doigts dans sa douce che-velure soyeuse, il força la belle garce à approcher mister visage de sa bite déployée. Il adorait la voir écarquiller les yeux en affichant mister dégoût. Carol sentit des nausées la secouer alors que le jeune pervers prome-nait mister gland sur ses lèvres juste sou mister nez, une forte odeur de sueur et de pisse lui montait aux narines alors que mister estomac se soulevait en humant ces puissants remugles. Tête tirée en arrière il empoigna ses mains pour presser sa bite contre ses lèvres, il tira alors mister visage en avant appliquant le jus pré sperma-tique qui suintait de mister méat sur ses lèvres purpurines, un peu comme s'il étalait mister rouge à lèvres. Le gland pressé contre ses dents serrées il lui enjoignit : - Ouvre ta jolie bouche ma chérie... Il est temps que t'embouches ma grosse BITE NOIRE! ...... - Mmmmmmffffff...... Mmmmmmffffffffffffff...... Mmmmmmmfffff! ..... frismisterna Carol alors qu'il enfournait mister énorme pilon dans sa bouche hagarde, lui écartant les mâchoires comme jamais elles ne l'avaient été. Frémissante de révulsion alors que l'épais gland de chair heurtait l'entrée de mister arrière-gorge, elle tenta de le repousser de toutes ses powers, mais il maintenait fermement mister visage dans le bon axe. Elle n'était pas de power contre ce puissant gaillard dont la bite épaisse s'enfonçait maintenant dans mister arrière-gorge, Carol ne parvenait pas à croire qu'on puisse la powerr à accomplir un acte aussi dégradant. Accueillir Scott Berger dans sa bouche était une manière de plaire à mister jeune amant, c'était carrément l'opposé de ce qui advenait à cet instant. Cet acte semblait si hideux que Carol s'efforçait d'endurer le vil adolescent qui commençait à la baiser en bouche, faisant coulisser âprement sa grosse bite noire entre ses lèvres. C'est alors que le jeune Nate souffla : - Oh prof chérie..... Oh mon Dieu... C'est si bon de te baiser! .... J'en rêve depuis si longtemps! ...... Si foutrement longtemps! .... Je ne vais plus tarder à tamidonner les amygdales! ..... Quelle qu'en soit la raimister le fait qu'il risquait d'éjaculer dans sa bouche ne lui avait même pas effleuré l'esprit? Elle posa ses mains sur les cuisses de Nate cherchant de toutes ses fai-bles powers à le repousser pour extraire sa grosse bite de sa bouche, mais elle luttait en vain mister agresseur était bien plus fort qu'elle, il accrocha encore plus fermement ses cheveux et la retint en place alors qu'il grognait - Ahhh prof.... Ohhhhhh Carol ... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouirr-rrrrrrrrrrrrrrrr...... Ca y'est je gicle dans ta bouche! ...... sa bite enfla encore dans sa bouche, Carol sentit les chauds jets de mister éjaculation s'écouler dans sa gorge avant de tracer mister chemin vers mister estomac. Elle parvint à reculer la tête, de ce fait sa seconde éjaculation lui emplit la bouche, encore un jet et elle fut totalement pleine. Incapable de recracher la semence qu'elle avait en bouche, Carol n'avait pas d'autre choix que d'avaler mister répugnant foutre alors qu'il continuait jet après jet à se vider les couilles dans sa bouche rétive. De plus, circonstance aggravante il l'encourageait : - Ah oui ma petite prof..... Comme ça... Ah ouiiiiii...... T'es une suceuse de première! ..... Ah oui, vide-moi les couilles ma prof chérie! ..... Bouffe tout ce foutre crémeux que je t'injecte en pleine gorge! ..... elle avala encore et encore, jusqu'à ce qu'ils e retire enfin de sa bouche asservie. Carol avait besoin d'un bon bol d'air, mais cela n'était pas facile d'autant plus qu'elle avait maintenant des nausées, elle rampa jusqu'à la poubelle voisine. - Arrrrrrrrhhhhhhh...... Arrrruuuckkkkk..... Aarccckkkkkkkkkk!...... elle vomit tout ce qu'elle avait avalé en plus du repas qu'elle avait pris peu de temps auparavant. Elle se sentait si malade à cet instant, elle était si concentrée sur ses hauts le cœur, qu'elle ne se rendait pas compte qu'il descendait la ferme-ture éclair du dos de sa robe, puis qu'il déclipsait mister soutien-gorge, elle ne s'en rendit compte que lorsque des mains calleuses s'emparèrent de ses nichons pour les palper avidement.
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chrislebo
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Un moment plus tard, Nate lui tendit une bouteille d'eau minérale en plaisantant: - Avec les compliments du Notel Motel..... La prenant sous les aisselles il la releva, Carol se tenait figée dans la lumière du spot lumineux alors qu'il descendait les épaules de sa robe sur ses bras, la robe bleue tomba au sol tirebouchonnant autour de ses hauts talons beiges. Son soutien-gorge dégrafé la suivit de peu, le vil ado ne perdit pas de temps pour empaumer à nouveau ses nichons, cette fois il entreprit de les malaxer, les triturer alors que ses mamelons dardaient sous ces ca-resses indésirables. - Bordel t'as de jolis tétons ma chérie! ..... s'enthousiasma-t-il la tournant vers lui pour lui mordiller les mamelons. Quelques instants plus tard, étendue sur le lit, Carol se cachait le visage entre les mains, elle pleurait à chaudes larmes alors que mister suborneur roulait sa petite culotte sur ses cuisses, la repoussant sur ses chaussu-res. En dehors du fait qu'elle devait powerr mister corps à se soumettre afin de lui permettre d'avoir des rapports sexuels, Carol tentait de se préparer à recevoir sa monstrueuse bite dans la chatte. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il enfouisse sa tête crépue entre ses cuisses, lui révélant ses intentions luxurieuses. - Nonnnnnnn... Je t'en prie....... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh... couinait-elle alors que Nate lui bouffait la chatte à pleine bouche. En expert dans le léchage de chattes juteuses, Nate travaillait gaillarde-ment les sens de Carol lui enseignant des choses auxquelles elle n'avait jamais souscrit. En un rien de temps il la faisait miauler de joie alors que sa langue agile qui fouillait sa chatte inondée de cyprine la rendait folle. - Bordel elle a le feu au cul, et je n'ai pas encore titillé mister clito! ..... pensait-il épaté de sa réaction enflammée. - Mais lorsque je vais m'en occuper, elle va grimper aux rideaux! ..... conjoncturait-il ravi de l'aubaine. Et bien sur lorsqu'il mordilla mister clito d'une bouche habile elle se mit à crier : - Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh...... Nate se régala alors de mister nectar alors qu'un orgasme fracassant la terrassait, sa chatoune embrasée secrétait un flot de cyprine qui s'écoulait dans sa bouche avide. Sortant de l'état de sidération dans lequel l'avait plongé mister violent or-gasme, Carol fut envahie par le remords et la honte, honte d'avoir joui de façon si éclatante. Elle sentit alors un corps lourd peser sur le lit, puis un épieu charnu se promener dans sa fentine, elle paniqua alors, elle n'avait jamais expéri-menté de queue aussi monstrueuse. Déjà elle sentait les dimensions extraordinaires de s bite qu'il tentait d'insérer dans sa chagatte réticente, elle le repoussa de toutes ses powers espérant échapper, du moins momentanément à l'inexorable empalement qui la guettait. Le musculeux jeune gaillard n'aimait pas se voir repoussé, il empoigna ses hanches et s'élança, Carol hurla sa douleur : - Aiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee..... - T'affole pas chérie... gloussa le pervers gaillard alors qu'elle coui-nait, il se pencha sur elle pressant sa bite sur sa foufoune, faisant pénétrer quelques 5 centimètres de plus dans sa cramouille dis-tendue. - Bordel prof t'es aussi étroite qu'une pucelle! ..... Je suppose que ton mari et ton amant n'ont que des ridicules petites saucisses! ...... la raillait-il alors qu'elle sanglotait de plus belle alors qu'il s'enfon-çait inexorablement dans sa caverne endolorie. Rafferrmissant ses prises sur ses hanches il continuait à forer mister chemin dans mister utérus asservi, plongeant de plus en plus profondément mister énorme mentule dans sa grotte jusqu'à ce que leurs deux toimisters s'emmêlent. En voyant ses doigts griffer désespérément les draps, sentant ses cuis-ses largement écartées sous lui, Nate comprit qu'elle entendait rester passivement étendue sur mister lit, ne manifestant aucun émoi alors qu'il la baiserait à couilles rabattues. Il s'en réjoui lui qui était décidé à stimuler ses sens, cela l'encourageait à déployer toute sa technique et mister art pour l'amener dans un premier temps à partager ses orgasmes, puis dans un second temps le supplier de continuer à la baiser à fond. Lentement, comme un train quittant la gare, il débuta par des coups de boutoir mesurés, d'une profondeur moyenne avant d'amplifier et le rythme et la profondeur de ses pénétrations. A peine cinq minutes plus tard, Carol secouait la tête de droite à gauche alors qu'elle agrippait les draps à pleines mains, plantant ses talons dans le matelas pour répondre aux assauts enfiévrés de mister maître chanteur qui faisait vibrer mister corps en dépit de ses intentions. Elle figeait mister corps, essayant de dissimuler mister émoi, mais elle était de plus en plus faible... ses sphincters vaginaux se crispaient et décris-paient sur la grosse hampe alors qu'elle aspirait l'épaisse colonne de chaire qui coulissait allégrement dans sa moule embrasée. - Ohhhhh... Ahhhhhh..... pleurnichait-elle, par à coup, c'était là les seuls signes qui trahissaient mister émoi avant que ne s'effondrent ses défenses, sa chatoune serrant fortement la bite tendue qui lui donnait tant de plaisir et s'enfonçait jusqu'à la racine dans on petit corps frémissant. Nate sourit intérieurement, il avait compris plusieurs minutes plus tôt que ses défenses céderaient très bientôt, et il n'avait aucun doute la-dessus rien qu'à sentir ses sphincters jouer sur sa bite. Et voilà que maintenant il constatait au travers de ses gémissements que sa capitulation était imminente, elle ne tarderait plus à le supplier de la baiser encore et encore! ...... Ses gémissements devenaient plus bruyants, plus fréquents, Nate se mit alors à la baiser sur un rythme accéléré, heurtant à tout coup le col de mister utérus, il sentit alors ses mains caresser mister dos alors que ses cuisses s'enroulaient autour des siennes. Il allait maintenant lui porter le coup de grâce, il s'immobilisa à demi en-foncé dans sa grotte en feu, elle grogna alors : - Pourquoi... Pourquoi t'arrêtes-tu? ..... il lui rétorqua alors : - Dis-moi ma prof chérie, dis-moi ce que tu veux..... Dis moi ce que tu veux que je te fasse! .... N'hésite pas à parler crûment..... Carol se mordait les lèvres, secouait sa tête de gauche à droite pour dire : - NON... elle se refusait à succomber de façon si humiliante. Mais cette grosse bite qui lui donnait un plaisir aussi intense qu'indésiré était dans une position d'attente, à moitié encastrée dans sa chatoune frémissante, alors que ses sphincters se crispaient et décrispaient sur l'épaisse hampe qui ne la comblait qu'à moitié, mister corps s'efforçait de le stimuler de façon à lui faire reprendre ses activités luxurieuses. Bientôt ses envies devinrent trop fortes, elle capitula misérablement en grognant : - Maudis sois-tu...... baise-moi... Je veux que tu fourres ta grosse BITE au fond de ma CHATTE..... Mon Dieu, baise-moi comme une SALOPE! ..... Prends-moi à fond..... Je veux sentir tes couilles contre mon ventre... enfonce-toi dans mon utérus! ...... Vas-y es-pèce de bâtard...... - Oh ouiiiiiiiiiiiiiii..... Ohhhhh, ouiiiiiiii..... Ahhhhhhhhhhhhhhh... En-coreeeeeeeeeeee... cette jeune prof si guindée, si prude, pante-lait comme une folle alors qu'il remettait à la baiser sur un rythme effréné. Il retirait ses 30 centimètres de sa chatte pour mieux les y enfouir de nouveau, sur un rythme croissant, la martelant tel un marteau pneumati-que, la baisant d'une manière qu'elle ne pourrait jamais oublier! ..... Bientôt il sentit ses ongles griffer mister dos alors qu'elle se cabrait pour aspirer plus profondément sa bite dans sa féminité embrasée, elle était tout prêt à succomber à un fracassant orgasme. - Oh mon Dieu... Je... Je Jouisssss..... Ahhhhhhhhhhhhhhh..... hur-lait-elle à pleins poumons alors que Nate se vidait les couilles dans mister intimité brûlante. Une heure plus tard, après une session de jambes en l'air entre la somp-tueuse prof et mister jeune maître chanteur, il lui tendait une serviette pro-pre en commentant : - Et une serviette propre, avec les compliments du Notel Motel..... Tu ferais mieux de prendre une douche bien chaude avant de ren-trer chez toi! ..... Rassemblant ses vêtements et mister sac à main, elle s'enferma dans la salle de bain sachant qu'effectivement il valait mieux qu'elle se douche au cas où mister mari rentre chez lui avec en tête l'envie de lui faire l'amour. Ouvrant mister sac, elle trouva le flacon de douche vaginale qu'elle avait eu la précaution d'emmener. Rhabillée après cette douche chaude et reconstituante, elle sortit de la salle de bain, elle vit alors que le lit avait été refermé, que les couvertu-res qui masquaient les fenêtres avaient été enlevées, et que maintenant mister pervers maître chanteur finissait de nettoyer la chambre. Lorsqu'il se dirigea vers la salle de bain, Carol balbutia : - Tu... Tu avais promis de me donner ces photos. .... Mais, alors que le jeune homme vidait la poubelle de la salle de bain dans mister sac à ordures, il trouva l'emballage et le flacon de sa douche vaginale vides, il l'interpella violemment : - Bordel qu'est-ce que cela? .... Une douche vaginale? .... Tu t'es débarrassé de mon foutre? ..... Salope, Je n'ai pas trouvé de fla-con de douche vaginale dans la poubelle quand tu as copulé avec ce salopard de Scott dans cette chambre! .... A la vue de sa fureur, Carol craignit pour sa vie alors qu'elle s'écartait précipitamment de lui, mais elle heurta le lit et tomba à plat dos dessus
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chrislebo
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Elle se retourna et chercha à ramper pour s'enfuir, mes il attrapa ses chevilles et la tira sur le rebord du lit, puis il saisit l'ourlet de sa robe et le remonta pour saisir la ceinture élastiquée de sa petite culotte. Sa petite culotte disparue, à quatre pattes, Carol sanglotait alors que le petit salaud lui fourrait sa bite dans la chagatte en lui annonçant : - Alors petite pute, tu t'es débarrassée de mon foutre alors que tu as gardé celui de Scott dans ton ventre! ..... T'es une sacrée salope ma petite Carol..... Je vais te remplir à nouveau de ma semence, et comme tu as vidé ton flacon de douche vaginale....... Tu vas garder ma semence dans ton ventre tout comme tu avais gardé le foutre de Scott! .... Après une rapide séance de baise en levrette, Carol toujours sans culotte sentait la semence de Nate s'écouler de sa chatte pour s'étaler sur la face interne de ses cuisses alors qu'il l'escortait jusqu'à la porte en ironisant : - Maintenant que t'es bien emplie de foutre, tu peux rentrer chez toi retrouver ton gentil petit mari! .... Tu peux aller le rejoindre la chatte pleine de semence de nègre! .... Retenant ses larmes alors que Nate lui pétrissait une dernière fois les nibards, elle l'entendit railler : - Ne te tracasse pas ma petite chérie, je n'enverrais à permisterne tes photos..... A moins que tu ne viennes pas me rejoindre ici mercre-di prochain à la même heure! ..... Dès qu'elle eut franchi la porte de la chambre, l'infortunée Carol, les lar-mes aux yeux, se dirigea vers sa voiture alors que mister foutu salaud de maître chanteur terminait de nettoyer la chambre. Cependant Carol ignorait qu'en fait non seulement nate nettoyait la chambre mais que de plus il rassemblait les caméras qui lui avaient permis d'enregistrer cette torride fin d'après-midi Les images d'elle et Scott faisaient appel à l'imagination, mais celles ci ne nécessitaient aucune imagination. Avec ces photos, il était sur de conserver la ravissante Carol dans ses griffes le temps qu'il voudrait, il avait déjà en tête de l'utiliser pour mister propre plaisir et pour gagner de l'argent, une jolie poupée comme elle devait rapporter gros, il en ferait mister gagne-pain. Le lendemain, au lycée, Carol était ravie de ne pas avoir rencontré Nate de la journée. Le jeudi, à la fin des cours elle se tenait à la disposition de ses élèves pour les aider à résoudre un problème de maths, ou pour les guider dans leurs études. Comme ils avaient commencé un nouveau chapitre d'algèbre fort ardu et que l'heure des contrôles arrivait, il était normal que quelques élèves viennent solliciter mister assistance? Elle avait désespérément envie de boire une tasse de café, mais elle ne voulait pas quitter les derniers étudiants qui faisaient la queue pour attendre mister aide, elle demanda à la fille qu'elle venait d'aider si elle pouvait se rendre aux bureaux pour lui ramener une tasse de café bien chaude. Carol ignorait que Nate sortait au même instant du bureau du censeur après été vertement réprimandé pour avoir fumé dans l'enceinte de l'école. Il surprit la secrétaire annonçant à la jeune fille : - Dites à madame Hasting qu le contenaire de crème est vide, et qu'on sera bientôt ravitaillé...... Mais que pour on ne peut lui propo-ser qu'un café noir..... Nate reconnut immédiatement le mug jaune décora d'une grosse fleur blanche qu'il avait souvent vu posé sur le bureau de sa prof de maths chérie. Il réalisa alors qu'on était jeudi et que c'était le jour où madame Hasting aidait les élèves qui avaient des problèmes en maths. Regardant à distance, il vit qu'il ne restait plus que deux élèves à faire la queue... Il eut alors une brillante idée..... Une idée directement soufflée par sa bite! ..... Lorsque mister dernier élève eut quitté sa classe, Carol entendit rémisterner les pas d'un nouvel individu qui pénétrait dans la classe, elle supposa que c'était juste un autre étudiant qui venait requérir mister aide. Mais levant les yeux, elle avala sa salive à la vue de mister pervers maître chanteur s'approcher d'elle, elle le regarda avec suspicion poser sa tasse de café sur le bureau puis contourner le bureau pour s'asseoir dans la chaise vide que venait de quitter le dernier élève qu'elle avait assisté. Elle se mit à trembler en le voyant poser une feuille de papier sur mister bureau lui demandant : - Pourras-t résoudre ce problème ma chère madame Hasting? ... Carol haleta sourdement en voyant l'énoncé du prétendu problème qui se résumait à un schéma : une chose + une autre = quoi? - Tu ferais mieux de feindre de travailler sur ce problème ma petite chérie! ..... Juste au cas ou quelqu'un jetterait un oeil par la fenêtre en passant..... Bien que le schéma dessiné sur la feuille s'avère drôlement cru, Carol dut admettre que Nate avait un certain talent d'illustrateur. On y voyait la main gauche d'une femme ornée d'une alliance et d'une bague de fiançailles + la vue d'une épaisse bite = une image représen-tant les doigts de la main blanche empoignant la hampe de chair noire = une image montrant un jet de sperme se déversant dans la tasse à café. Puis, alors que Nate feignait de s'intéresse à mister bloc notes alors qu'elle prenait mister stylo sur la tablette Carol ne pouvait que grincer des dents de dégoût alors que sa main gauche branlait servilement l'épais épieu de chair de mister maître chanteur jusqu'à obtenir le résultat décrit sur la der-nière image. - Purttttttt. ...Purttttt! ..... ses couilles se vidaient en jets crémeux dans le mug. Avant qu'elle ait pu relâcher sa prise sur la bite s'amollissant, Nate em-poigna sa main et la posa sur mister gland baveux, l'enduisant ses doigts et la paume de sa main des derniers reliefs de foutre suintant du méat. - Et maintenant frotte tes doigts et ta paume sur tes lèvres et ton nez ma petite salope chérie! .... Elle obéit à contrecœur, révulsée, elle dut humer et goûter la senteur acre et virile de mister foutre. Comme Nate se levait de sa chaise, il replaça la tasse de café sous mister nez, mais cette fois, le café était enrichi de sa virile crème onctueuse. Carol avait des hauts le cœur en regardant le contenu de la tasse, des taches huileuses flottaient sur le café noir alors que vraisemblablement sa crème onctueuse avait sombré au fond de la tasse. Elle croyait que mister épreuve était finie lorsqu'elle vit Nate se poster face au bureau, puis il tendit la main et retourna la feuille de papier elle put alors observer le dessin au dos qui la représentait buvant sa tasse de café. L'idée de devoir boire ce café assaimisterné de sa semence lui faisait horreur, cela fut encore pire alors qu'elle arrivait au fond de la tasse, elle l'entendit alors intervenir : - Vide la entièrement ma petite salope... Je veux que tu ingères la totalité de ma semence! ..... De retour dans la salle des professeurs, après avoir prestement lavé et rincé mister mug, Carol se précipita dans les toilettes pour dames. L'estomac au bord des lèvres elle jeta u cou d'œil circulaire, par chance elle était seule dans la pièce, elle se rua alors dans un des cabinets et tenant ses cheveux en arrière elle vomit tripes et boyaux. - Urckkkkkk..... Urrrrkkkkkkkkkkkkkkkk! ..... grognait-elle en se vidant l'estomac dans les toilettes. C'était impensable la façon dont elle sombrait dans la déchéance depuis cette funeste nuit la veille de Noël. Elle avait trompé mister mari, mister jeune voisin et amant l'avait engrossée et voila que maintenant elle devait se soumettre aux volontés sexuelles de Nate Manning mister pervers maître chanteur.
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chrislebo
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Comment je suis devenue une pute J'étais la, me regardant dans le miroir. J'y voyais une femme mariée de trente-neuf ans mère d'un fils majeur et femme d'un époux travailleur. C'était une bonne image, qui ne me causait aucun préjudice à la femme que j'étais encore il y a peu! ..... Je mesurais 1,70 m pour 54 kgs, ma poitrine était ronde et bien ferme, mes longs cheveux blonds cascadaient sur mes épaules, ma bouche était pulpeuse et sensuelle. La femme que je regardais dans ce miroir semblait être une femme fidèle, mais sans plus. Et voila que maintenant c'était une salope, une pute, une truie, le jouet sexuel de jeunes gens. Je baissais la tête en me remémorant comment cela était arrivé. * * * * * Chad mon fils âgé de 19 ans fréquentait l'université d'état et était revenu à la maimister à l'occasion des vacances de printemps. Il avait passé une semaine à courir de droite et de gauche, visitant ses copains et participant à plusieurs fiestas. Dimanche après-midi, il reçut le coup de fil qui déclencha tout. Le copain avec qui il voyageait avait eu un accident la veille au soir, sa voiture était détruite, il ne pouvait donc pas l'emmener à la fac. Mon mari venait tout juste de nous quitter pour l'aéroport où il devait prendre un vol pour Atlanta. Il devait assister à une réunion importante le lendemain matin et il voulait y arriver en pleine forme, c'est pourquoi il avait préféré un vol du dimanche après-midi plutôt que le premier du lundi matin. Puisque Dale ne pouvait pas l'y conduire, Chad me demanda si je pouvais l'emmener lui et ses quatre copains qui rentraient avec lui. Je ne voulais pas le faire car je détestais voyager seule et de nuit. Je jouirai de leur compagnie à l'aller, mais je me retrouverai seule pour les trois heures du trajet retour, et de plus ce retour se ferait de nuit. Je répondis que je voulais bien en toute dernière extrémité si ses copains ne trouvaient pas d'autre chauffeur. Une heure plus tard Chad me téléphonait la mauvaise nouvelle, ses copains n'avaient trouvé permisterne pour les conduire. A 16 heures je décidais de démarre, en accord avec Chad, on partit chercher ses 4 copains. Le voyage se déroula sans heurt, sans aucun problème, bine qu'il fut déconcertant. Avez-vous déjà voyagé, trois heures durant, en compagnie de jeunes gens de 20 ans vos cadets? ..... On aurait dit qu'ils parlaient une langue étrangère! ..... Je déposais les jeunes à la porte de leur appartement, embrassait Chad sur la joue et me préparait au retour : trois heures de trajet, seule dans la nuit. Billy qui était le dernier à sortir de la voiture intervint alors : -Une minute madame BB (mon nom est Brenda Blankenship, mais les amis de Chad m'ont surnommée madame BB) j'ai quelque chose à demander aux copains! .... et ils se ruèrent dans leur appart. Quelques cinq minutes plus tard, Billy et Chad revinrent à la voiture. -On sait tous que tu n'aimes pas conduire de nuit... commença Chad Billy a eu une idée : pour te remercier de nous avoir emmenés si gentiment, ils se mistert cotisés pour t'offrir une chambre d'hôtel pour la nuit..... Comme je suis ici et Papa à Atlanta tu n'as aucune raimister de rentrer précipitamment à la maimister... Tu peux te reposer une bonne nuit et regagner la maimister fraîche et dispose demain matin... Pour l'instant, on a décidé de t'emmener dîner avec nous! .... C'était vrai. Comme Dale était à Atlanta, une maimister vide m'attendait à mon retour, de ce fait, j'acceptais-je leur proposition. Billy me donna la somme correspondant à la location de la chambre d'hôtel, me conseilla d'aller retenir une chambre, qu'ils seraient prêts à aller dîner à mon retour. Le restaurant se trouvait hors du campus c'était un endroit fort convivial, on y servait des pizzas et des bières aux jeunes qui le fréquentait. On y trouvait un juke-box et une piste de danse, une fois restauré chaque gars voulut faire une danse avec moi. Bien sûr je n'aurai pas du céder à leur demande, mais en compagnie de mon fils, je me sentais totalement en sûreté. Nous sommes allés danser après avoir vidé trois pichets de bière, je me sentais bien, tout aussi détendue que les 5 jeunes. Après quelques tours de piste ils commencèrent à me serrer de plus près en dansant. J'aurai du me fâcher à cet instant, mais je ne le fis pas, j'étais de bonne humeur et pour être honnête j'étais flattée de cette attention particulière que me prêtait ces jeunes gens. En outre, Je me trouvais en compagnie de mon fils Chad et je savais que ses copains n'oseraient pas aller trop loin en sa présence. Les gars commandèrent une quatrième tournée de bière, je leur dis que j'avais assez bu et que je voulais regagner ma chambre d'hôtel. Billy objecta : -Finismisters d'abord nos pichets, puis on s'en ira! .... J'avais à peine bu la moitié de ma cruche que je commençais à me sentir déphasée. Je dansais avec Billy, j'étais éméchée, désorientée et je chancelais en dansant. -Waw madame BB, je crois que vous bu un peu trop de bière ce soir! ... Il vaudrait mieux que l'on sorte et qu'on vous ramène à votre hôtel. Je dus lui répondre que c'était une bonne idée, mais je ne suis pas sure de mes souvenirs. Les choses mistert bien moins claires ensuite, je ne me rappelle que de fragments de mémoires, une sorte de puzzle que je tente vainement de reconstituer. Je me rappelle avoir eu les yeux braqués sur une grosse bite érigée sous mes yeux alors qu'on mes poussait la tête à mister contact....... Je me souviens de flashs lumineux...... Je me rappelle la douleur créée par quelque chose qu'on insérait dans mon anus et je me remémore avoir crié : -Oh mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu........ Je me souviens surtout que 3 ou 4 heures de ma vie furent mises entre parenthèses sans que je sache ce qui se passait. Je ne réalisais ce qui s'était passé cette fameuse nuit que le lendemain marin, lorsque Billy me fit visionner une cassette vidéo franchement porno, qu'il avait tournée avec sa caméra digitale. Je m'étais réveillée avec quelqu'un collé contre mon dos, à moitié endormie je pensais que c'était mon mari et je me pressais contre mister membre érigé. Je le sentis se lover tout contre moi et j'écartais les cuisses pour livrer un meilleur accès à ma chatte à celui que je croyais mon mari, il enfouit immédiatement mister gros pénis dans ma chatte enfiévrée. -j'adore cette façon de se réveiller... s'esclaffa une voix triomphante, ce n'était pas la voix de Dale! ..... Je criais et m'écartais vivement de mon suborneur et me retournais pour voir Billy qui me souriait ironiquement. Dès que je le vis, le peu de souvenirs que j'avais conservé de ma nuit me revinrent en tête. -j'aurai préféré que tu termines ce que tu faisais ma petite chérie, mais avant que tu ne perdes ton temps en vains hurlements je vais t'expliquer la situation dans laquelle tu te trouves, tu décideras ensuite si veux faire autre chose que hurler! .... C'est alors qu'il me montra les photos qu'il avait tirées de cette nuit de stupre. On m'y voyait une bite plantée jusqu'à la garde dans mon anus, jambes grandes écartées on pouvait même m'entendre crier : -Au prochain! .... Je veux une autre bite! ..... Que quelqu'un vienne me baiser, je vous en prie! .... Je comptais sept différents jeunes qui participaient au tournage de cette vidéo, et il y en avait peut-être plus. Je n'avais aucune idée du nombre de gars qui m'avaient possédée avant que Billy n'enregistre mon viol! ....... -Pourquoi fais-tu ça Billy? .... Pourquoi me fais-tu ça? ..... Je croyais que tu m'aimais bien! .... -Ca dépend de ta définition du terme aimer Brenda! .... Tu es l'objet de mes meilleurs fantasmes depuis que suis assez grand pour me branler! .... J'ai vu l'occasion de te posséder lors de ce voyage et j'ai sauté dessus! .... -Mais pourquoi tous ces autres types? .... -Pour améliorer la qualité de la vidéo! ..... Il te sera plus difficile de nier cette vidéo que si l'on était que deux! ..... -Nier cette vidéo? ..... Vous m'avez violée, et tout ce que révèle cette cassette c'est l'identité de mes violeurs! .... Jamais tu n'oseras la montrer à qui que ce soit! .... -Je ne t'ai jamais entendu dire non au cours du tournage! .... Tout ce qu'on entend c'est ta voix suppliant : je vous en prie baisez-moi... Faites moi jouir... une autre bite... Encore..... Ce sera ta parole contre la mienne et la vidéo confortera mes dire! .... -Toutes les permisternes qui me connaissent savent bien que jamais je ne ferai de choses comme ça! ..... -Non ma chère Brenda, toute les permisternes qui te connaissent pensent que t'es le genre de bonne femme qui ne se comporterait pas ainsi, mais lorsqu'ils auront visionné la bande vidéo beaucoup d'entre elles changeront d'idée à ton égard et diront : Bordel, ces images ne peuvent pas nous tromper! .... -Tu sous-entends que je ferai mieux de me taire, et qu'ainsi permisterne ne verrait cette foutue vidéo! .... -Pas tout à fait madame BB, je veux obtenir un peu plus de toi! ... -Que veux-tu dire? .... -Je veux dire que désormais t'es ma nouvelle petite amie, ça veut dure que t'es mon nouveau jouet sexuel! ...' -T'es malade? ....
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chrislebo
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-Non, tout simplement c'est moi qui a le contrôle de la situation! ..... Nous avons drogué Chad pour l'écarter de notre chemin... Il se réveillera dans deux bonnes heures avec une gueule de bois carabinée... Imagine qu'il sorte de sa chambre et voit ces photos de toi sur le placard dédié à l'affichage journalier... Imagine la tête de Dale lorsqu'il recevra une enveloppe délivrée à mister bureau refermant ces photos de toi...... représente-toi la tête de tes amis et tes proches lorsque quelqu'un leur indiquera de se brancher sur u site web et qu'ils pourront te voir avoir du bon temps avec de jeunes gaillards de l'âge de ton fils! ..... Pense bien à tout ça ma chère Brenda! ...... Tu as adoré ce qui s'est passé cette nuit.. Et tu le sais bien...... Tout ce que tu as à faire pour que ta vie ne bascule pas dans le scandale c'est de continuer à exulter! ...... Ca ne devrait pas être bien difficile! ..... Et tu ne me verras que lorsque je serai à la maimister, 1 ou 2 week-ends par mois... Bien sur le temps des vacances d'été, de Noël, et de printemps tu seras un peu plus occupée à me complaire mais tu y parviendras facile-ment! ..... Je ne pense pas que tu veuilles voir ta vie ruinée par le scandale..... Je vais pisser dans la salle de bain, je veux que tu mes répondes à mon retour! .... Si c'est non, il faut que je me hâte de retourner aux appartements pour afficher tes photos..... Il pénétra dans la salle de bain, je restai figée devant la vidéo que diffu-sait toujours la caméra, si je parvenais à m'en saisir c'en serait fini de mister chantage, je n'aurai plus qu'à me précipiter demi-nue jusqu'à ma voi-ture, les chances que quelqu'un me voient faire étaient minimes. Je n'avais pas même le temps d'enfiler mes chaussures ma petite culotte et mon soutien-gorge, je devais juste les rassembler, peut être juste re-vêtir mon chemisier et mettre quelques dizaines de mètres entre moi et cette chambre d'hôtel. J'étais tendue, prête à agir lorsque Billy sortit de la salle de bain. Il s'arrêta me regarda droit dans les yeux et éructa : -Je crois qu'il ne faut pas trop te tenter! .... et il se dirigea vers les caméras et s'en saisit ainsi que de mon sac à main. -Réponds-moi à mon retour petite salope? ..... insista-t-il en retour-nant dans la salle de bain. J'étais piégée et bien piégée. Je ne pouvais pas me permettre de voir ces photos et cette vidéo appa-raîtrent au grand jour. Billy avait entièrement raimister. La nature humaine est telle que même les gens qui me connaissaient bien se demanderaient juste, dans le meilleur des cas, si j'avais agi ainsi délibérément. Même Chad et Dale douteraient de moi! Ils déclareraient être à 100 % derrière moi mais ils se rappelleraient tou-jours de ces images où je suppliais des jeunes gens de me sauter, d me fourrer leurs grosses bites dans la chatte et le cul! ..... Je devais me plier aux volontés de Billy tant que je ne trouverai pas le moyen de me tirer d'affaire, j'y réfléchirai calmement lors de mes 3 heu-res de trajet pour rentrer à la maimister. Lorsque BIlly revint dans la chambre il me demanda ce que j'avais déci-dé de faire, je ne pus que lui répondre que je n'avais pas vraiment le choix. -En fait, tu n'as effectivement pas le choix ma petite salope, et maintenant montre-moi ta bonne volonté! .... me confia-t-il en s'ap-prochant du lit sur lequel j'étais assis. -Suce-moi la bite! ... Je n'avais pas d'autre choix que d'accepter, et je le savais pertinemment. J'ouvris la bouche en grand et il engouffra sa grosse bite bandée entre mes lèvres accueillantes. Je n'avais qu'une envie : fuir cette chambre d'hôtel et le meilleur moyen d'y parvenir était de me presser de satisfaire les envies lubriques de Bil-ly. Cela sous-entendait que je devais lui faire une excellente pipe afin de me libérer momentanément de lui. Je léchais sa bite avec cœur, le branlant lascivement d'une main habile alors que de l'autre je lui manipulais tendrement les burnes, il semblait adorer ce traitement. Il posa sa main sur ma nuque alors que j'allais et venais sur sa hampe tendue l'enfouissant jusqu'aux amygdales dans ma gorge asservie. Il se mit à gémir, je serrais fermement mes lèvres sur sa queue et aug-mentais le rythme de mes coups de tête. -Oh oui... grogna-t-il -Comme ça... Juste comme ça..... J'adore! .... Je sentis ses burnes vibrer entre mes doigts, je sus alors qu'il ne tarde-rait plus à éjaculer, j'étais prête à affronter cette épreuve. Je tentais de tout avaler, mais quelques filets glaireux suintèrent des commissures de mes lèvres pour venir s'étaler sur mister menton. Je sentais sa bite se ramollir entre mes lèvres, je voulus me retirer mais il intervint autoritairement : -Continue de me sucer ma chérie..... Fais moi bander à nouveau, je veux te baiser une dernière fois avant ton départ! ..... J'en aurai pleuré, je voulais fuir loin de cette chambre et de lui; Il tenait ma tête à deux mains et faisait lentement coulisser sa bite dans ma bouche révulsée, bien vite je sentis sa bite se déployer à nouveau. Il me repoussa sur le lit, m'écarta les cuisses en grand et m'enfourcha. J'étais en mister pouvoir et il le savait. Je devais me soumettre à ses assauts, mais je n'aimais pas cela. J'étais déterminée à rester étendue sous lui sans mouvement espérant qu'il préférerait se branler plutôt que de baiser un bout de veau, et qu'il me laisserait tranquillement quitter cette pièce. C'est alors que mon corps me trahit. Je haïssais cela, mais mon corps répondait aux assauts fiévreux de Billy. Il tendit les mains et agrippa mes fesses dodues et me remonta sur lui alors qu'il m'empalait sur sa grosse bite tendue, je sentais mon bas ven-tre s'embraser des vagues de plaisir se répandant dans tout mon corps. Je grognais et pressais mes hanches contre mister bas-ventre. Je me re-trouvais sur le point de jouir, je criais : -Baise-moi, bordel enfonce ta bite plus profond... je verrouillais mes chevilles sur ses fesses alors que mes ongles griffaient mister dos. Je haletais comme une chienne en chaleur quand un puissant orgasme me terrassa. -T'es vraiment une chaude salope ma petite chérie..... Et je sais maintenant où se trouve ton point G! ..... Il se retira de moi et je le suppliais presque de revenir en moi alors qu'il me faisait rouler sur le flanc et me tirait les genoux en arrière. -Je sais comment tu réagis quand on t'encule ma petite chérie..... et il pressa mister gland contre mon oeillet frémissant. Tant de bites s'étaient enfoncées entre mes fesses cette nuit qu'il me pénétra aisément. J'adorais me faire enculer, mais n'y parvenait que rarement, Dale détes-tant cette pratique, mais ce jeune gaillard m'enculait énergiquement, c'était là une bien petite vengeance. Billy m'enculait vigoureusement, et bien que je haïsse celà je m'écriais : -Oh mon Dieu, encule-moi, baise-moi le trou du cul, plus profondé-ment encore! ..... Billy continuait à marteler mon sphincter anal plongeant de plus en plus profondément dans les profondeurs de mon intestin, le feu se ralluma dans mon bas-ventre alors que Billy se régalait. Je hurlais de plus belle : -Bordel encule moi à couilles rabattues! ...... Fourre-moi jusqu'au nombril! ..... mon corps tout entier soubresautait alors que je re-bondissais d'orgasme en orgasme. Billy grogna et grommela : -Ca y'est... je jouis. Je me vide les couilles dans ton trou du cul! ..... Ma tête était enfouie dans un oreiller, de grosses larmes ruisselaient sur mes joues alors que je réalisais ce qui venait de se passer. Je détestais cela, mais j'avais donné à Billy tout le plaisir qu'il réclamait de mon corps et ce qui était pire encore, j'avais moi aussi pris mon pied. * * * * * Mais ni pendant le voyage de retour, ni pendant les mois qui suivirent, je ne trouvais de solutions à mon problème. La seule idée que j'avais étai de tout raconter à Dale et de voir ce qui ar-riverait et ce qu'il ferait des ces infâmes informations, mais je ne parve-nais pas à m'y résoudre. Je savais que si je lui révélais mon épreuve, il se demanderait dès lors si mister épouse était une malheureuse victime d'un chantage ou si en fait c'était une fieffée salope. Trois semaines s'écoulèrent avant que Billy revienne passer un week-end chez ses parents. Chad était resté dans sa fac et Dale, grand amateur de golf, n'avait d'au-tre envie que de faire 18 trous le samedi et le dimanche lorsque le temps le permettait. Billy le savait comme tous les gens qui connaissaient Dale, la voiture de mon époux avait à peine passée le virage au bout de la rue que déjà Bil-ly toquait à ma porte. Sans un mot je me reculais pour le laisser entrer, sans dire un mot il me saisit la main et m'entraîna dans la chambre à conjuguer conjugale. Je retenais mes larmes et le suivis docilement, puis je le regardais se déshabiller et s'installer à plat dos sur mon lit. -Si nous commencions par une petite pipe ma chère Brenda? .... Je me tenais devant lui yeux rivés sur mister érection, je me dégoûtais de penser que si je lui donnais suffisamment plaisir il me prendrait peut-être par le trou du cul avant de partir. Je lui fis la meilleure fellation que je pus, avalais toute sa décharge et je continuais à le sucer le temps que sa bite reprenne une raideur de bon aloi, puis je m'installais à quatre pattes l'invitant à opérer d'un signe de tête incitatif. Il sourit et commenta hilare. -Ne te casses pas chérie, je me suis programmé une petite virée, mais je ne partirai pas tant que tu ne m'auras pas supplié de te baiser... Et maintenant allonge-toi à plat dos! .... Je roulais sur le dos écartais mes cuisses en grand dans l'attente de mister assaut. Je voulais le satisfaire pleinement dans l'espoir de me faire enculer avant mister départ. Je ne pouvais m'en empêcher bien que je détestas ce que je faisais et ce dans le seul espoir qu'il plante mister épieu dans mon tour du cul. C'était vrai, mais comme de toute manière que j'aime ça ou pas Billy al-lait me baiser copieusement et j'étais prête à le supplier de me sodomi-ser ensuite. Il me baisa longuement, je suçais à nouveau sa bite pour la ranimer, je quittais alors le lit saisissait une bouteille de lubrifiant et revenais m'al-longer en la tendant à Billy pour l'inciter à m'enculer. Je criais et le suppliais de me bourrer le cul jusqu'à ce que je rebondisse d'orgasme en orgasme tandis qu'il me remplirait les intestins de mister fou-tre crémeux. Le pire c'est que j'espérais déjà qu'il revienne rapidement se servir de cet orifice qu'il comblait si bien. Pendant ce dernier trimestre de classe Billy revint chez lui au rythme d'un week-end par mois, si le temps était bon il me possédait vigoureu-sement dans ma chambre à coucher, si le temps était mauvais, et que de ce fait Dale restait à la maimister ou quand Chad était là, Billy me faisait prendre une chambre dans un hôtel, il ne me restait plus qu'à trouver une excuse pour quitter la maimister et le rejoindre.
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chrislebo
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J'étais déchirée par les remords, bien que je détestas me faire sauter sous la contrainte, je prenais tant de plaisir à me faire enculer que dès mister départ, je guettais mister prochain retour. A chaque fois j'étais décidée à m'étendre sur le lit et de rester inerte sous ses assauts dans l'espoir qu'il me dise : -Je ferai mieux de me branler, j'aurai plus de plaisir qu'à baiser un mou de veau! .... et qu'il partirait alors me laissant tranquille. Mais cela se terminait toujours par de multiples orgasmes alors qu'il me baisait et m'enculait divinement. A chaque fois j'agrippais ses fesses l'in-vitant à m'investir plus profondément la foufoune, puis je me disposais à quatre pattes et l'invitais de façon obscène à me bourrer le trou du cul! ..... Et je me détestais, à chaque fois de prendre autant de plaisir sous ses assauts. * * * * * Ce n'est qu'à la fin des classes, au début des vacances d'été que je compris que les choses allaient empirer. Dale et Chad étaient paris faire une partie de golf, lorsque rémisterna la misternette de l'entrée, je savais que c'était Billy. Il m'avait téléphoné de l'attendre sur le pas de porte ne portant qu'un porte-jarretelles et des bas nylons. Je ne voulais pas lui ouvrir dans cette tenue, mais je savais que je de-vais lui obéir. Lorsque j'ouvris la porte, Billy se trouvait effectivement sur le palier, mais Al, Matt et Tony lui tenaient compagnie. Ils m'avaient tous trois partousés le jour où je les avais ramenés en ville. J'étais terriblement choquée de les voir, alors que je me tenais devant eux dans cette tenue plutôt succincte, cela dut s'inscrire nettement sur mon visage, car Billy me dit : -Hello Brenda, tu ne pensais tout de même pas qu'après avoir goû-té une première fois à tes charmes, ils ne voudraient pas recom-mencer? ..... Tu avais aimé te faire partouser par de nombreuses bites ce soir là! ..... Et tu aimeras recommencer, tu vas voir! ...... Puis il me poussa vers la chambre. Je pris une profonde inspiration et les accompagnais docilement. Je les regardais se déshabiller en échangeant quelques plaisanteries salaces, Billy fut le premier à être entièrement nue, bite bandée. Sur un signe de sa main, je m'approchais de lui, m'agenouillais et em-bouchais sa grosse bite pour la sucer consciencieusement. Les trois autres nous entourèrent, Ail s'empara de ma main gauche et la posa sur sa bite, Matt en fit même avec ma main droite, suivais des yeux mister geste, un intense fourmillement s'éveilla dans ma chatte à la vue de sa queue, elle était longue et fine - L'engin parfait pour se faire enculer - Et j'imaginais déjà combien se serait bon de l'avoir plantée jusqu'à la garde dans mon cul! ..... Tony, se sentant délaissé se posta derrière moi, s'agenouilla à mister tour et pressa sa bite contre ma chatte, l'angle de pénétration n'était pas bon, et il dut se satisfaire de frôler mes babines embrasées. Je désembouchais la bite de Billy et dit à Tony de s'allonger sur le dos, et lorsqu'il fut en position, je m'assis sur sa bite. Billy explosa de rire et commenta : -C'est excellent Brenda t'as trouvé le meilleur moyen pour qu'on te partage! .... Ca va balancer! ..... Et sur ces mots il enfouit à nouveau sa grosse bite dans ma gorge. Je chevauchais lascivement Tony, branlais langoureusement Al et Matt et suçais consciencieusement Billy, lorsque ce dernier éjacula au fin fond de ma gorge, nous avons gagné le lit. L'heure suivante, ils me sautèrent tour à tour se vidant dans ma chatte puis se faisant nettoyer la queue dans ma bouche. Puis ils s'assirent tous sur le bord du lit et je rampais sur le sol d'une bite à l'autre jusqu'à ce que je parvienne à redéployer leurs mentules avant qu'ils ne se vident chacun leur tour dans ma gorge totalement asservie. Al fut le dernier à se soulager dans ma bouche et, tandis que le suçais avec entrain, Billy qui connaissait bien la pièce à power d'y venir souvent, et savait où les choses étaient rangées s'approcha de la commode et prit le tube de lubrifiant rangé dans le tiroir avant de revenir vers le lit. -Donne le à Matt... lui demandais je humblement j'aimerais qu'il soit le premier à m'enculer aujourd'hui..... Billy se marra à pleines dents et tendit le tube de gel à Matt -A toi l'honneur de lui exploser le trou du cul mon gars! .... Je terminais la pipe à Al, avalais mister sperme et rampais sur le lit me mettais à genoux la tête enfouie dans un oreiller. Matt se positionna dans mon dos, lubrifia sa bite et mon trou du cul, le prépara quelques instants en vrillant mister index dans l'étroit goulot, puis il pressa le gland de sa mentule contre mon oeillet palpitant de hâte. J'avais raimister - Sa bite était d'une taille parfaite et en moins de 20 se-condes il m'empala jusqu'à la garde! ..... Il me pénétrait profondément et âprement à chaque coup de boutoir je gémissais en cambrant mes fesses pour faciliter et amplifier encore la pénétration. Tony se posta face à moi et engouffra sa queue dans ma bouche. Je criais à Matt de m'enculer avec plus d'ardeur, mais comme la bite de Tony me bâillonnait, on entendit qu'une vague purée de misters inintelligi-bles sortir de ma bouche. Matt dut cependant comprendre ce que je désirais car il me pilonna avec encore plus d'ardeur. Je sentis soudain sa bite tressauter alors qu'il projetait ses longs jets de foutre chaud au fin fond de mes intestins, puis il se retira. Avant me^me que je me plaigne de sentir mon trou du cul déserté, Al le remplaça. Ils m'enculèrent tous, tour à tour et se servirent de ma bouche et de ma chatte. Billy dit alors qu'ils voulaient qu'ils se servent de moi simultanément par tous mes trous. Matt proposa : -Je m'occupe de mister trou du cul... Mais Billy leur dit que c'était remis à leur prochaine visite parce qu'il était temps qu'ils me quittent pour que je puisse nettoyer la chambre et pren-dre une douche avant le retour de mon mari. Ils me prendraient par tous mes trous simultanément la prochaine fois et je jouirai tant que je les supplierai tant de me prendre ainsi à chaque rencontre à venir. * * * * * Cet été fut la pire période de ma vie. Je nageais en pleine confusion, Billy, Matt, Al et Tony me baisaient envi-ron deux fois par semaine, bien que je me gendarmas, j'attendais avec impatience leurs visites. Lorsque Billy se pointait seul j'étais désappointée et lorsqu'ils venaient tous ensembles, j'étais humiliée de m'en réjouir. Lorsque Billy décida que c'était trop dangereux de nous rencontrer le week-end et décida qu'on se verrait le mardi je rageais de devoir chan-ger mon planning hebdomadaire. En même temps je me réjouissais car au lieu de 4 heures, ils dispose-raient de la journée entière pour me partouser! .... Le lundi matin je cherchais comment me libérer des griffes de Billy, et le lundi après-midi je me réjouissais déjà de sentir la longue et fine queue de Matt plantée dans mon trou du cul alors que je chevaucherai la bite de Tony, sucerai celle d'Al et branlerai Billy ou vice-versa! Le temps passa rapidement, et la fin de l'été arriva avec la reprise des cours je me réjouissais de les voir repartir en ville, mais je savais déjà qu'ils me manqueraient au-delà de toute expression. J'étais toujours aussi indécise. C'était notre dernier mardi de l'été et je les rencontrais dans une cham-bre d'hôtel. Ils commencèrent comme toujours par m'embrasser avidement m'explo-rant la bouche de la langue tout en malaxant mes nichons et mes fesses alors que déjà un doigt curieux inspectait ma chatte engluée de cyprine. Ils me déshabillèrent prestement, je ne portais qu'une robe légère, je saisis leurs bites et m'agenouillais, tout de suite j'embouchais Al alors que Tony plantait caressait ma chatte à pleine main. Matt avait pris le tube de gel dans mon sac et lubrifiait sa bite préparant mon premier enculage de la semaine. Comme il approchait du lit, Al se retira de ma bouche s'allongea sur le dos, je me penchais en avant jusqu'au moment ou mes tétons frôlèrent mister torse, Matt s'installa dans mon dos, fora mon goulot de mister index, l'évasa en le lubrifiant précautionneusement et tout de suite je le sentis presser mister gland contre mon sphincter avide de l'absorber. Ce fut alors une orgie de misters alors que je hurlais le suppliant : -Encule-moi plus fort....... Plus profond... Encore..... en une longue litanie. Tony enfourna sa bite dans ma bouche alors que Tony me fourrait en foufoune, une fois de plus j'étais prise par tous mes trous, ils continuè-rent ainsi une bonne partie de l'après midi, se relayant dans mes trois orifices entièrement disponibles. Je rebondissais d'orgasme en orgasme et je leur promis de les emmener en ville et de recommencer avec eux notre petite séance initiale dans la chambre d'hôtel. Lorsque Billy réclama une pause, j'étais épuisée et trempée de sueur. Lorsque les autres furent partis, Billy me déclara : -Je t'ai trouvé une nouvelle expérience..... Mon cousin va se marier et je dois organiser l'enterrement de sa vie de garçon... -En quoi cela me concerne-t-il? ... demandais-je stupéfaite. -Ce sera toi chère madame BB le clou du spectacle... J'ai remarqué combien tu aimais te faire fourrer par nous quatre, imagine ce que tu vas ressentir à te faire sauter par dix ou douze mecs fortement membrés! ...... -Il n'en est pas question Billy... jamais je n'accepterai de... -Oh mais si que tu le feras ma petite salope...... Tu oublies les pho-tos et la cassette! ..... Trouve une excuse pour t'absenter de chez toi mardi prochain...... On ne te libérera pas avant au moins mi-nuit......
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chrislebo
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Dix ou douze mecs me disais-je en retournant chez moi... -Dix ou douze... mon Dieu, comment allais-je m'en tirer? .... Ma chatte se satisfaisait pleinement de quatre bites à la fois, mais dix ou douze à la fois fichtre, fichtre, fichtre! ..... Dix ou douze pensais-je en me regardant dans le miroir.Dix ou douze grosses bites qui me feraient hurler de plaisir! ..... Dix ou douze mecs qui de plus qui connaitraient mon secret. C'en était trop. Il fallait que je mette fin à ce chantage avant que ça n'aille encore plus loin. Le soir même, lors du repas, je pris une profonde inspiration et je ra-contais mon histoire à Dale et Chad. J'étais assez satisfaite - Beaucoup plus qu'assez satisfaite en fait - Mais je ne leur racontais que le nécessaire. Je leur racontais cette nuit où j'avais été droguée, partousée et filmée, que depuis grâce à la cassette de ce viol il me faisait chanter sexuellement (je laissais de coté le fait qu'Al, Matt, et Tony participaient activement à ma dégradation), et je leur parlais de la soirée de célibataires dont Billy à laquelle Billy avait l'intention de me faire participer. Chad jaillit de la table : -Mon meilleur copain se fait ma mère! .... souffla-t-il furieux. -Après m'avoir drogué..... Je vais tuer ce bâtard! .... et, sur ces mots il se dirigea vers la porte. Dale lui enjoignit d'une voix forte de re-venir à table et de s'asseoir. Dale ne dit rien, mais visiblement il était en colère après moi, et je ne pouvais l'en blâmer! .... Je n'avais aucune idée de ce que j'allais devenir après cette amère confession, mais je devais la faire. Plus de gens seraient au courant de ma mésaventure, plus le risque que cette histoire revienne aux oreilles de Dale ou de Chad était à craindre, il était donc préférable que je prenne le taureau par les cornes et que leur narre moi-même ma sordide aventure. Une fois remis du choc initial, ils s'attaquèrent au problème, il fallait neu-traliser Billy de façon à ce qu'il ne puisse plus jamais se servir de ces photos et cette cassette pour me faire chanter. C'est Chad qui suggéra de filmer Billy dans une position compromettante ou infamante, une cassette qu'il ne voudrait surtout pas voir diffusée, ce serait du donnant-donnant : nous ne diffuserions pas la cassette l'impli-quant s'il renonçait à diffuser la cassette m'impliquant! ..... En quelque sorte il s'agissait de prendre une Assurance de Mutuelle Destruction! ....... * * * * * - Veux-tu venir me baiser? .... Chad et Dale mistert partis visiter les pa-rents de Dale pour les aider à déménager de lourdes fournitures..... Ils en ont pour trois bonnes heures... Je t'attends... dépêche-toi mon chéri! ...... Elle l'attendait à la porte lorsque la misternette tinta, elle l'invita à entrer -Dépêche-toi Billy j'ai follement envie de toi et je veux prendre le plus possible de plaisir dans le temps qu'on dispose! ..... - Pas de problème! ... Montons dans ta chambre! ... rétorqua-t-il ravi de sa prière. * * * * * - Mal à la tête... s'enquit-elle railleusement alors qu'il secouait la tête pour reprendre ses esprits. Il était étendu sur le ventre, lorsqu'il voulut bouger, il se rendit compte qu'il était entravé. Puis il se rendit compte qu'il était entièrement nu et ligoté sur le lit. -Rappelle-toi mon cher Billy, tu m'as droguée, puis filmée alors que vous ma partousiez allégrement... J'ai décidé de te rendre la monnaie de ta pièce! ..... Je ne disposais pas de drogue aussi ais-je du t'assommer d'un bon coup de poêle à frire, mais l'effet sera le même! ..... Je t'ai laissé assez de temps pour reprendre tes es-prits... C'est bien ce que tu m'as dit le lendemain matin...... Et oui je me souviens de tout ça! ..... Décontracte-toi, tu vas adorer ce qui va t'arriver! .... Billy jeta un coup d'œil circulaire dans la chambre, il remarqua tout de suite la caméra numérique montée sur un trépied et pointée sur le lit. Je vis toute couleur se retirer de mister visage alors qu'il comprenait ce qui allait se passer. -Allez les gars, il est à vous! ..... criais-je et deux hommes nus le vi-sage dissimulé par des passes-montagnes entrèrent dans la chambre. L'un d'eux avait en main un tube de lubrifiant, le visage de Billy affichait maintenant une panique totale. -Non oh mon Dieu non..... Ne me faites pas ça! ..... Pour l'amour de Dieu ne me faites pas subir ça! ..... Je vous rendrai les photos et la cassette.. Mais laissez moi partir! .... Je coure à la maimister et je vous les ramène! .... - -Désolée Billy... Je n'ai pas confiance en toi! ..... Tu pourrais tout aussi bien ne pas me les rapporter et de toute manière rien ne t'empêcherait de faire des copies..... Non mon cher Billy, je préfère ma façon de faire... C'est celle qui m'apportera le plus de satisfac-tion! ..... Si qui que ce soit voit le film ou les photos de mon viol, tout le monde pourra voir le film te concernant que je vais faire! .... Billy hurla tout le temps que ses deux vengeurs l'enculent sauvagement lui cassant le cul, lorsqu'ils étaient fatigués de l'enculer, ils se faisaient sucer le temps que leurs bites reprennent assez de vigueur. Ils terminèrent en l'embrochant par les deux bouts, les larmes ruisse-laient sur mister visage, jamais plus il ne verrait la vie du même oeil! ..... Jamais il n'aurait pensé que telle horreur puisse lui arriver, la punition était terrible. Il était fou de honte, dégradé..... Ils avaient fait de lui une tantouse..... Permisterne ne devait jamais savoir! .... Il avait déjà assez de mal à l'assu-mer! ..... Jamais cette terrible épreuve ne s'effacerait de mister esprit! ..... * * * * * Il est encore trop tôt pour savoir comment vont évoluer mes rapports avec Dale. Pour l'instant nous vivons cote à cote avec prudence. Je cherche à lui démontrer combien je l'aime et combien j'aime être sa femme. Il sait que j'ai profité de la situation, et que cela n'aurait jamais pu perdu-rer autrement, mais il sait aussi à quel point j'aime faire l'amour et je pense qu'il suspecte qu'il n'était nul besoin de me faire chanter pour user de mes charmes. Je ne lui ai jamais révélé ce qui se passait en dehors du chantage de Bil-ly, je ne lui ai jamais parlé des autres participants. Je cherche à lui expliquer que le mal était fait avant même les trois heu-res de retour à la maimister, que si je ne m'étais pas pliée à sa volonté des photos compromettantes auraient été affichées sur le planning mural de la résidence universitaire avant même qu'il puisse prendre un vol le ra-menant d'Atlanta, je tentais de lui faire comprendre qu'en fait le fait que j'aime faire l'amour m'avait dissuadé de lui révéler le maitre-chantage que je subissais. -Je pensais qu tu croirais que j'acceptais d'endurer cette épreuve parce qu'en fait j'adorais me faire baiser! .... Je ne voulais pas que tu me regardes comme si je n'étais qu'une salope offrant mon cul à mes admirateurs! .... Dale n'avait pas montré la volonté de me chasser de la maimister, et d'aus-si loin que je puisse l'observer, il n'a pas contacté d'homme de loi dans le but de divorcer. J'espère et je prie qu'il n'en sera jamais question et je fais tout pour le conserver et continuer çà vivre à ses cotés. * * * * * C'en est fini de mon problème avec Billy, mais j'en ai un autre mainte-nant. Alors que j'étais supposée me trouver à une partie de présentation de produits de beauté Avon, je m'étais sentie malade et j'avais quitté mes amies pour rentrer chez moi. Dale était en voyage, Chad n'était pas encore retourné en fac. Chad ne m'entendit pas rentrer et j'eus le choc de ma vie lorsque je le vis assis sur le canapé se masturbant allégrement en regardant la télé. Je ne sais pas comment il s'était procuré cette copie auprès de Billy, mais il visionnait la cassette de mon gang bang. Mon fils se branlait à la vue de sa mère embrochée par ses trois trous, je voyais sa main se promener lentement su sa hampe, il semblait prendre un énorme plaisir à regarder cette cassette témoignant de ma dégrada-tion. Il avait une jolie queue, longue fine, comparable à celle de Matt que j'ai-mais tant prendre dans le cul..... Oh mon Dieu, ma chatte commençais à frémir alors que je quittais dis-crètement la maimister. Par l'enfer qu'allait-il advenir de nous maintenant? .......
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chrislebo
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Douce revanche Chapitre 01 La première erreur de John Cumberland avait été de sous-estimer le niveau de ressources et de résolution des victimes qui voulaient se ven-ger de ses multiples exactions. Dans un effort pour sauver mister entreprise flageolante, le jeune entrepreneur désespéré avait fait la dramatique faute de recruter Carl Morton, un ex détenu pervers pour se venger duquel ses victimes auraient payé de fortes sommes. Morton avait bien accompli sa part dans l'affaire, et si John avait été cor-rect avec lui, l'histoire en serait restée là. Mais John s'était montré trop cupide, et lorsque Morton avait quitté le pays comme programmé, il ne lui avait jamais payé le solde de leur contrat. John était persuadé qu'il ne prendrait pas le risque de revenir, qu'il se contenterait de ce qu'il avait touché. Toutefois, Carl Morton n'était pas le genre d'homme à se laisser berner, il était de ceux qui ne s'avérerait satisfait qu'une fois leur vengeance ac-complie. L'ex détenu se rendit compte qu'il avait très peu de chance de convain-cre mister ex complice de respecter ses engagements, d'autant plus qu'il n'était plus sous le feu de la colère. Et comme John Cumberland prétendait qu'il avait mal calculé les retom-bées et qu'il ne disposait pas du solde d'argent qu'il lui devait, Carl ne pouvait que fulminer et comploter. En félon déjà condamné pour diverses escroqueries et fraudes, Carl Morton savait qu'il ne devait pas laisser transparaître ses sentiments. Mais il n'était pas le genre d'homme à passer la main, il était déterminé à faire payer le prix fort à John Cumberland pour le punir de l'avoir doublé. Alors qu'il considérait les différentes options qui s'offraient à lui, il se rap-pela avoir vu plusieurs photos dans le bureau de Cumberland, et entre autres des photos de ce sale trou du cul avec une somptueuse blonde. En réfléchissant mieux, il se souvint d'avoir vu une photo de mariage de Cumberland et de sa femme. Fermant les yeux, il se lécha les lèvres en tentant de se représenter la jolie petite jeune mariée vêtue de ses atours de mariage. Bien sûr l'ex-pression qu'affichaient le visage du jeune marié et le fait qu'il mettait cette photo en évidence sur sa bibliothèque, montrait à quel point il tenait à sa femme. - "Quel meilleur moyen de se venger de ce salopard que de s'en prendre à ce qui fait sa joie et sa fierté!....." se dit-il s'échauffant. - "Oui ... Cet enculé ... Je vais le faire payer ... Je vais faire payer sa femme pour m'avoir roulé .....Et je m'arrangerai pour que t'en sois le témoin privilégié sale bâtard ..... Je parie que je vais en faire une sacrée pute ...... " gloussait-il. Le plan qu'il concocta était un peu compliqué, mais ingénieux, et très gratifiant. Carl Morton, voulait voir s'afficher l'angoisse, l'offense et la défaite sur la face de cul de ce salaud au spectacle des compensations qu'il allait tirer de sa femme. En plus de tout ça, il se demandait s'il pourrait élargir mister plan pour générer des bénéfices financiers conséquents. Carl recruta les services d'une copine pour l'aider, il parvint à convaincre Connie Rustin, sa dernière / future petite amie pour l'aider à faire chuter la belle Shannon Cumberland. Il savait que Connie se rapprocherait plus facilement de Shannon que lui, et plus spécialement il voulait que Connie capte sa confiance rapi-dement. Alors que Shannon Cumberland faisait des courses, le débrouillard ex détenu avait saboté la voiture de la jeune femme, Connie était chargée de venir à mister secours lorsqu'elle ne parviendrait pas à démarrer mister véhicule. Elle commença par placer une borne téléphonique d'assistance auto au bord de la route. Un garagiste, recruté par Carl, l'avisa que sa voiture devait être remorquée. C'est alors que survint Connie lui offrant de la ramener chez elle. Sur le chemin de mister domicile, Connie et Shannon eurent tout le temps de nouer des liens amicaux, Connie était toute surprise de découvrir à quel point cette jeune femme était naïve, innocente. Renseignée par Carl, Connie se rendit compte que si John Cumberland avait tendance à se montrer cupide et sans scrupules, la jolie Shannon Cumberland était l'opposée de mister mari. Rien d'étonnant à ce qu'elle fasse la joie et la fierté de John Cumberland, comme l'avait conjoncturé Carl à la vue de leur photo de mariage. Connie frismisterna se demandant si John Cumberland considérerait toujours que la femme assise à mister coté sur le siège passager, était sa fierté et sa joie lorsque Carl en aurait fini avec elle. Lorsqu'ils arrivèrent chez elle, Shannon convia gracieusement Connie à boire un verre, Connie accepta disant que cela lui ferait une coupure. Comme elles sortaient de voiture, Shannon lui confia qu'elle débutait une nouvelle vie, elle s'était mariée récemment, elle ajouta que mister mari avait voulu qu'elle arrête de travailler pour tenir un rôle de femme et de mère au foyer. Malheureusement mister nouveau boulot ne s'était pas passé comme prévu, ce qui avait déprimé mister mari et reporté leur voeu de fonder une famille rapidement. Shannon confia à sa nouvelle amie qu'elle lui avait suggéré de reprendre le travail pour l'aider, tout au moins jusqu'à ce que ses affaires reprennent. Mais mister mari, John ne voulait rien entendre l'assurant qu'il avait un plan pour relancer ses affaires. Il était évident, pour Connie, que la naïve jeune femme était totalement ignorait totalement que mister mari avait contacté un ex détenu et s'était engagé dans des actions frauduleuses pour sauver mister entreprise. Connie écoutait à quel point Shannon semblait désemparée à l'idée de devoir faire réparer sa voiture. Connie prétendit comprendre mister dilemme et offrit une solution suscep-tible de l'aider, suggérant que Shannon devrait rechercher des rentrées additionnelles qui l'aideraient sans pour autant travailler 40 heures par semaine. Connie lui expliqua alors qu'elle travaillait pour une agence de modèles et que l'exceptionnelle beauté de Shannon, et sa classe pourrait lui rap-porter pas mal d'argent comme modèle. Shannon s'empourpra et prétendit ne pas avoir les qualités pour faire un modèle, qu'elle appréciait l'offre, mais que ce n'était pas pour elle, Connie refusa de s'en tenir à cette réponse. Elle rassura la jeune femme, elle s'occuperait d'elle et prendrait tous les contacts nécessaires. Connie savait qu'il fallait battre le fer tant qu'il était chaud, Avant que Shannon ait eu le temps de réfléchir à mister offre, et tant que les deux ver-res de vin altéraient mister jugement. Elle donna alors un rapide coup de fil à Carl, lui disant qu'elle venait de rencontrer une jeune femme faite pour être un modèle, donnant les indication à Carl pour qu'il les rejoigne chez les Cumberland. Bien entendu, attendant le coup de fil de Connie, Carl était dans sa voi-ture à deux cent mètres de chez elle. - "Très bien, on prend un autre verre de vin en t'attendant" répondit Connie à voix forte pour le bénéfice de Shannon. Se relevant, Connie attrapa la bouteille de vin et remplit leurs verres, puis elle prit Shannon par la main et l'entraîna dans sa chambre pour trouver une tenue plaisante pour mister audition. Dans mister fort intérieur, Connie ressentait quelques remords de ce qu'elle faisait à cette innocente jeune beauté. - "Oh ma petite chérie ..... On n'a aucun besoin de te trouver une tenue charmante ..... Ce qui intéresse Carl, c'est te voir entière-ment nue!...... " Les choses allaient trop vite pour Shannon, mais ses efforts pour frei-ner Connie s'avérèrent vains. Shannon l'écoutait lui dire qu'elle était sûre qu'elle allait devenir un modèle reconnu et qu'elle gagnerait facilement beaucoup d'argent et que ce serait très amusant. Avec sa voiture au garage, ce qui générerait un coût assez élevé pour la réparer, c'était juste ce dont avait besoin Shan-non. Connie fit s'asseoir Shannon sur une table basse et entreprit de la maquiller et de la coiffer, transformant la jeune femme insouciante en une vestale pour l'arrivée de Carl. La tête de Shannon lui tournait et elle cherchait à rassembler ses esprits alors que Connie allait et venait lui disant à quel point elle était magnifi-que et sensuelle. Puis Connie fouilla le cabinet de Shannon sélectionnant une tenue pour Shannon passer mister audition, elle savait que Carl aimerait bien la voir dans une élégante robe noire. La bite de Carl durcit dans mister pantalon lorsque Connie qui l'attendait sue le seuil, entra dans la maimister et lui présenta Shannon. La jeune et innocente madame Cumberland lui semblait carrément baisable après les préparatifs de Connie, sa bite tendit l'avant de mister caleçon. C'est tout ce qu'il pouvait se permettre sans l'effaroucher alors qu'il admi-rait sa peau ivoire au teint renforcé par le noir de mister élégante robe. Se composant un permisternage, Carl assura à la jeune femme que Connie ne se trompait pas sur ses potentialités de devenir modèle. Il avait ame-né une sacoche contenant une caméra, et des contrats types. Il expliqua que c'était un contrat type et que tous les modèles devaient le signer avant de faire des essais photos. Shannon avait un réel problème pour rassembler ses pensées, et ce à cause de la drogue que Connie avait glissé dans mister dernier verre de vin tout en la maquillant.
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chrislebo
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"Je ... Je ... j'ai juste besoin d'un peu de temps pour te donner ton fric ...... Dans quelques jours j'aurai réuni ce que je te dois!....." bégayait John effrayé, craignant pour sa vie alors que l'ex détenu le fixait du regard. - "Argent que tu me dois John!... Je comptais dessus pour m'instal-ler en Amazonie, là où on ne viendrait pas me rechercher ... Tout ce qu tu avais à faire c'était de me télégraphier le fric ...... Mais tu as tout gardé pour toi! ..." ricana mister ex complice." John ne pouvait que rester assis à écouter les accusations de mister ex comparse. - "Ecoute moi bien Johnny ..... Je vais te faire une proposition ...... je voudrai bien recommencer des affaires dans le coin ..... mais j'au-rai besoin d'une bonne couverture .... Quelqu'un qui porte un nom respecté ...... Comme la permisterne que j'ai devant moi .... Qu'en dis Johnny? ..... t'a's une bonne réputation .... . Assis sur un baril de poudre, John ne pouvait qu'opiner : - "Bien sur .... Bien sur ..... Comme tu voudras Carl!.... " - "C'est bon ..... J'ai ici quelques papiers que tu vas me signer ....J'ai pris la liberté de les préparer auparavant ..... Tu seras mon homme de paille pour ma nouvelle société appelée "Fantasmes Filmés" ... je vais me faire quelques billets avec ce que j'ai en tête ..... Les gens paieront pas mal de fric pour avoir ce que je propose ...... Ouai les gens paieront pour voir d'innocentes jeunes femmes se faire violer et dégrader ....... Obligées à coucher avec de nombreux ados noirs ..... " l'informa Carl. Yeux braqués sur les formulaires, John n'avait pas d'autre choix que les signer sans même savoir ce qu'ils contenaient même s'il doutait pouvoir y injecter l'argent nécessaire. Enfin ça lui permettait déjà de se tirer d'affaire sans se faire estropier ou tuer par ses sbires, conjoncturait John bien qu'il sache que les ennuis s'accumulaient sur sa tête. Comme le géant tendait la main vers lui ricanant : - "Sers moi la main partenaire " il avala sa salive et étreignit ferme-ment la main de l'ex détenu. Surpris il l'entendit alors s'esclaffer : - "Maintenant que les contrats mistert signés, il est temps de te montrer notre première production!... Son titre est : "Une salope blanche paie les dettes de mister mari!...." Carl se rendit alors compte qu'ils se trouvaient dans une salle inmisterori-sée, muni d'un miroir sans teint qui allait leur permettre de suivre les ébats des acteurs. D'une chiquenaude sur le commutateur il alluma les hauts parleurs. Puis la salle fut plongée dans le noir alors qu'une lumière s'allumait dans la pièce adjacente. Une jeune blonde tenant l'ardoise annonçant la production souriait dans leur direction. Dans mister dos une chambre bourgeoise meublée d'un grand lit. - "C'est Connie qui est chargée de recruter les actrices pour nos productions..... C'est moi qui choisit les gaillards qui vont jouer avec ces beautés" l'informa Carl. Puis Carl saisit le micro et dit : - "C'est bon Connie .... Fais entrer les jeunes acteurs du show ....." Trois noirs musculeux, en costume d'Eve, paradèrent devant le miroir. John ouvrait des grands yeux stupéfaits : - "Bordel ... Où Carl avait-il bien pu trouver ces gars!.....Bordel ils ont tous une bâte de base-ball en guise de bite ...... Putain si j"avais la moitié de la taille de leur queue je serai déjà heureux comme tout!....." pensait-il abasourdi. Alors que les trois gaillards se branlaient machinalement, Connie était sortie de la pièce. Carl expliqua : - "Elle est partie chercher la ravissante vedette de notre première production porno.... j'espère que tu apprécieras cette jeune beauté Johnny ... On dirait un bonbon crémeux ..... Une fille innocente ..... Vraiment naïve en fait ...... Elle n'a couché qu'avec mister mari depuis mister mariage l'année dernière ..... Elle va avoir une sacrée partouze ....." John haleta, frôlant l'arrêt cardiaque, à la vue de sa femme qui était amenée à contre coeur dans la chambre par une Connie triomphante. Bouche grande ouverte il avait les yeux rivés sur la scène, Il entendit mister sacarstique ex complice dire : - "N'est-elle pas mignonne hein Johnny? .... 24 ans... Regarde l'an-neau à mister doigt .....Visiblement elle est mariée à un partenaire qui lui donne assez de plaisir!.....Eh ...." Avalant sa salive, pantelant de peur pour mister adorable femme, John ne savait ni que dire, ni que faire alors que Carl poursuivait : - "Regarde moi ça Johnny, quel beau morceau ...... Eh oui mec .... Je l'ai testée moi-même .... Dans le lit qu'elle partage avec mister petit blanc de mari ....Bordel .... J'aurais aimé que tu l'entendes couiner quand j'ai enfoui ma grosse bite dans mister étroite petite chatte .... On aurait dit un cochon qu'on égorge .... Mais une fois que j'ai mis en route, elle s'est réjoui de se faire fourrer la chatoune par une belle grosse queue noire!..." Dans l'attente de mister destin fatal, Shannon avait bue la boismister que Connie lui avait donnée. Elle avait senti alors une certaine euphorie l'envahir, ne se sentant plus la même. Une vague de chaleur parcourait mister corps des pieds à la tête, la chaleur gagnait mister entrecuisse alors que ses sécrétions jaillissaient poissant le fond de sa petite culotte. Elle savait pourquoi Connie l'avait amenée ici, Connie lui avait dit carré-ment qu'elle allait se faire baiser. Elle savait qu'une bite allait la pénétrer, qu'un homme autre que mister mari allait la posséder, Elle espérait que ce serait encore le dénommé Carl. Mais au moment d'entrer dans la chambre, ses jambes se paralysèrent à la vue des trois musculeux gaillards noirs qui l'attendaient, chacun d'en-tre eux doté d'un imposant outil entre les cuisses. Elle essaya de se retourner pour s'enfuir, mais Connie la tenait ferme-ment, et une voix familière rémisterna lui dictant ses instructions. - "Bonjour chérie .... Ces trois gaillards mistert là exprès pour toi .... Regarde leurs grosses bites ....Maintenant montre leur combien t'aime les grosses queues noires. Réfrénant ses larmes, Shannon sentit les doigts de Connie déboutonner l'agrafe de sa robe dans mister dos, puis elle descendit la fermeture éclair jusqu'à ses reins. Comme elle se redressait pour faire passer la robe au dessus de ses épaules, Shannon ne savait pas qu'elle se donnait en spectacle à d'au-tres que le caméraman, Connie et les trois étudiants noirs. Derrière le miroir Carl, ses deux gardes du corps et mister propre mari la mataient. John Cumberland ne parvenait pas à croire ce que l'ex-détenu venait de lui confier, qu'il avait couché avec Shannon il y a peu. En voyant l'élégante robe noire chuter aux pieds de sa femme ils vite les acteurs empoigner leurs bites alors que Shannon se tenait face à eux vêtu d'un soutien gorge en dentelle et de sa froufroutante petite culotte. - "Elle n'aura pas à tous les subir ..... Pas ensemble! ..." s'inquiétait John. Lorsqu'il la vit se débarrasser de mister soutien gorge exposant ses nibards tout roses, John les entendit apprécier le spectacle : - "Oooooo ..." - "Quelle belle paire!..." Puis elle roula sa petite culotte sur ses chevilles sous les encourage-ments des trois gaillards déchaînés. Il sembla à John qu'elle n'agissait plus tant que ça à contre coeur, comme lorsqu'on l'avait introduite dans la chambre. Il la vit quitter ses chaussures puis Connie la mena vers ses futurs amants. John se refusait à en croire ses yeux lorsqu'il entendit Connie faire les présentations : - "Les gars, je vous présente Shannon, elle est ici pour répondre des dettes de mister fou de mari..." John avala sa salive, sachant qu'il ne pouvait rien faire pour arrêter ce qui advenait, qu'il allait être le témoin de la souillure de sa femme qui al-lait payer de mister corps pour mister escroquerie. Sa mâchoire tomba en entendant Connie poursuivre : - "Shannon, voici Bill et John. ..." Les deux premiers hommes présentés, John vit que Connie plaçait les mains de sa femme sur leurs grosses queues ... Il vit les doigts de mister épouse se refermer sur les fûts ébène et se mettre à les branler vigou-reusement. Comme le troisième homme faisait un pas en avant , Connie le présenta : - "Et voila Willie! ..." Comme elle avait les deux mains occupées, John comprit qu'elle allait satisfaire ce troisième homme d'une façon tout à fait différente, alors que mains posées sur ses épaules Connie la forçait à s'agenouiller. C'était était totalement inconcevable pour John et pourtant sa jeune épouse si prude tendait une langue frétillante sur le gland turgescent. - "Mon Dieu .... Elle se comporte comme une petite pute!.... Elle tend la langue sur sa bite ..... Elle a toujours refusé de poser la langue sur ma queue en dépit de mes supplications!....." frismister-nait-il. La tête entre les mains de l'homme qu'elle suçait, Shannon continuait à branler les deux autres qui la soulevèrent et l'allongèrent sur le grand lit. - Tout en faisant une pipe à Willie, Shannon sentit une des hommes qu'elle branlait se glisser sous elle promenant mister gland dans sa fente entrouverte. - "Mmmmmmmmmmmm ..... Mmmmmmmmmmm!...." grogna-t-elle alors que Willie reculait sa bite enfouie dans sa bouche, alors qu'une autre bite explorait sa chatte juteuse. Elle posa les mains sur la taille de l'homme qu'elle suçait alors que la bite dans sa chatte continuait mister expertise. Elle trembla alors de peur en sentant l'homme posté dans mister dos poser mister gland sur mister oeillet frémissant, elle n'avait jamais été enculée et elle avait mortellement peur de devoir subir cet acte dégradant. L'homme elle suçait se sentait concerné, Carl et Connie les ayant préve-nu qu'ils pariaient que la jeune femme était vierge du cul. En voyant le signe de tête que lui faisait Bill, Willie lui saisit ses longs cheveux soyeux et se retira de sa bouche, juste le temps que Bill lui casse le cul - "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.......Nonnnnnnnnnnnnn ...... arrê-tez ...... J'ai mal ...... Si maaaaaaaaaaalllll ...." se lamentait la jeune femme angoissée. Ce ne fut que lorsque Shannon exprima humblement sa douleur, que Willie se replanta dans sa bouche avide. Cela dura des heures et des heures, ses amants échangeant leurs posi-tions, afin de goûter à tous ses charmes. Chatte, cul, lèvres eurent tous droits à de bonnes doses de foutre cré-meux de la part de chacun des étudiants. Ressentant les effets de la drogue, elle finit par s'évanouir épuisée, Shannon ne sut rien de l'acte dégradant auquel dut se livrer mister mari sous la menace de se faire briser les bras par les deux sbires de Carl. Alors que Carl s'agenouillait face à mister visage, John Cumberland dut sortir sa bite et le branler jusqu'à ce qu'il éjacule sur mister visage, ses che-veux, mister cou .... Même si savoir que l'ex détenu avait assouvi ses appétits de luxure avec sa petite femme l'avait profondément humilié, ce n'était rien à coté de ce qu'il ressentait après ce qu'il venait de lui faire subir. C'était à mister tour, alors que sa jolie femme se faisait baiser dans la salle contiguë de se faire tapisser le visage avec du foutre glaireux. Il avait senti l'odeur de transpiration émanant du corps de Carl alors qu'il éjaculait sur sa figure. Sa trique s'était ramollie sous les sarcasmes des hommes de main. Sa bite ne mesurant que la moitié de la taille des acteurs qui venaient de s'envoyer sa femme, John se sentait gêné, déplacé. Alors qu'il pénétrait mister con marécageux, un des hommes railla : - "J'espère que je ne me noierai pas, mon gars ....." En fait, la lumière de la chambre était toujours éteinte lorsqu'il se vidait dans le ventre de sa femme. Il n'avait jamais vu sa chatte béante, pendant ce temps, mister amant momentané voyait glisser sa bite hors du cloaque sans avoir éjaculé, sa chatte était vraiment trop engorgée de foutre. Quelques heures plus tard, ayant laissé le temps à Connie d'assister Shannon pour se nettoyer, puis de rentrer à la maimister, John Cumber-land se rangea dans l'allée de mister garage. Se dirigeant tranquillement vers la chambre conjugale, il vit mister adorable petite femme blottie sous les couvertures. Il se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche, il allait déposer ses vêtements dans la corbeille à linge sale lorsqu'il vit ses sous vêtements noirs. S'emparant de la petite culotte en dentelles noires, il sentit et vit le foutre tachant le fond du cache sexe. Le lendemain matin, en se levant, John sentit l'odeur appétissante des oeufs au bacon qui allait de conserve avec celle du café. S'étant rafraîchi, il descendit à la cuisine et obtint un sourire et un baiser sur la joue, comme tous les jours. - "Désolé je suis rentré plus tard que prévu chérie!.... Je ne pouvais pas quitter la négociation en cours et il m'était impossible de te passer un coup de fil!.... - "C'est rien chéri ..... J'ai été prise moi aussi ..... Quelque chose d'inhabituel m'a retenu .... Quelque chose de plutôt osé....;." FIN DE L'EPISODE
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chrislebo
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Educatrices Ch. 01 Chapitre 1 : Françoise Ce jeudi vers 18 heures, Françoise, suivie de mister groupe de jeunes filles pénétrait dans le hall de la piscine de la ville voisine, la chaleur torride qui avait régné toute la journée l'avait amenée à bousculer l'emploi du temps prévu . Depuis midi, les filles l'avaient pressée de s'y rendre afin de profiter pleinement d'une si belle journée. Affalés sur le ventre, autour du bassin découvert, les aînés, les garçons du groupe 6 semblaient les y attendre, tout bien réfléchi, peut-être les attendaient-ils vraiment, instruits de leur sortie par les grandes. En débouchant dans la piscine, mister maillot une pièce noir la moulant, révélant sa lourde poitrine et ses fesses opulentes, à leurs yeux intéressés, Françoise s'était sentie dévorée des yeux . Sous les regards de tous ces adolescent braqués sur elle, insistant avec impudence sur ses seins, ses fesses, mister sexe, une douce chaleur l'avait alors envahie . Pour cacher mister trouble, elle s'était d'abord allongée sur une natte au bord de l'eau, quelques filles à ses cotés, ça et là, allongées sur le dos . Faisant fi des spectateurs attentifs, elle avait entrepris de reprendre mister calme, intriguée de cette réaction inhabituelle ..... la chaleur ...... l'énervement peut-être . Les filles n'avaient pas tardées à l'abandonner, se précipitant à l'eau pour y chahuter avec leurs habituels soupirants . Rapidement Françoise, qui surveillait distraitement leurs évolutions, s'alarma de la tournure des événements : aux jeux innocents avaient succédé des attitudes plus suspectes, les jeunes gars, profitant des circonstances, caressaient les seins juvéniles, les fesses plus ou moins dodues de ses jeunes demoiselles qui ne s'en plaignaient pas, bien au contraire, ne protestant pour la forme que par des petits cris effarouchés, mais revenant se mêler de suite au chahut, aguichant par le geste les adolescents lorsque ceux ci leur prêtaient moins d'attention. Cet atmosphère trouble, pesant, lourd de désirs exacerbés, n'était pas sans rémisterner sur Françoise elle même, elle sentait mister coquillage se dilater doucement, une chaleur étrange lui embrasait le bas-ventre, ses sens chaviraient peu à peu, elle se secoua, et, pour échapper à ce trouble naissant piqua une tête dans l'eau fraîche et se mit à nager à longues brassées, accumulant les longueurs de bassin. Bientôt Miloud et Stephan, deux adolescents parmi les plus âgés, la rejoignirent et nagèrent à sa hauteur. Ils entreprirent de la chahuter, sous l'eau ils passaient sous elle, lui agrippant les jambes pour lui faire boire une tasse, elle se défendait de mister mieux et, prise par le jeu leur rendait la pareille. Brusquement, elle se sentit saisie par la jambe. Un des jeunes avait agrippé sa cheville puis suivant le galbe de mister mollet, l'arrondi de sa cuisse posait la main sur sa taille . La peau de ses hanches se granulait sous la caresse insistante, à la limite du maillot. Une poussée violente la plongea sous l'eau, elle ferma vivement yeux et bouche tandis que le jeune profiteur engouffrait vulgarement mister autre main dans le soutien-gorge lâche, ses seins furent rapidement malaxés. Les tétons raidis pincés, ruant, se débattant, elle parvint à remonter à la surface mais, encore toussant et crachotant elle ne put identifier mister agresseur. Tandis qu'elle revenait péniblement au bord de la piscine elle s'étonnait de ne pas ressentir que de la colère . Ces caresses vulgares l'avaient émue plus que de raimister, troublée, elle regagna les vestiaires pour se rhabiller . Seule dans la petite cabine, elle se surprit en enlevant mister maillot à caresser longuement sa poitrine, en faisant rouler lentement les pointes exaspérées, dardées, et elle, si peu portée sur l'onanisme elle passa lentement ses doigts dans sa fente qui ruisselait d'eau et de désirs frustrés, constatant dans sa chair qu'elle regrettait la brièveté de l'étreinte qui l'avait tant émue. Etonnée de se voir si réceptive aux attentions de ces jeunots, qui jusqu'ici ne l'émouvaient nullement, pour se calmer, elle eut recours à des caresses qu'elle croyait oubliées depuis longtemps . La main nichée au creux de sa blessure elle débusqua mister clitoris qui se dressait, impatient, hors de mister capuchon protecteur . D'un doigt, elle agaça ses petites lèvres, en apprécia le contours, puis enfilant mister majeur dans sa vulve, la tête vide, elle accorda à ses sens la satisfaction de leurs désirs . Après quelques longues caresses la brusque introduction de mister majeur dans mister anus l'amena enfin à cet orgasme auquel elle aspirait maintenant de toutes les fibres de mister corps. Rêveuse, légèrement nauséeuse, elle quitta l'édicule et gagna le parking ou l'attendaient la majorité de ses filles . Aux regards ironiques des garçons qui leur tenaient compagnie, elle comprit que l'auteur du geste, peut-être même les deux garçons s'étaient déjà vantés de leur bonne fortune, elle se sentit rougir et se précipita à sa place sous l'œil insolent de ses suborneurs . Depuis ce jour, elle avait accordé un regard plus attentif aux activités de ces jeunes gens et avait remarqué que depuis quelque temps, on les voyait souvent, l'appareil photo au poing, roder dans tout l'établissement Et même, un jour qu'elle descendait de voiture, assis sur le terre plein ils l'avaient lorgnée de façon très indiscrète . Sa jupe étroite, fendue sur le coté la gênait énormément pour sortir de voiture . Elle se doutait du spectacle qu'elle leur avait offert en se tortillant pour s'en extraire, Miloud n'avait pas raté l'occasion de photographier cet instant révélateur. Ils devaient bien s'amuser, le soir en contemplant les photos qu'ils avaient prises ; elle s'imaginait le spectacle, à demi sortie du véhicule, sa jupe troussée sur ses cuisses dodues et dorées à souhait, le fond de sa petite culotte pointant mister triangle blanc à la jointure de ses fesses, peut-être même pouvaient ils apercevoir quelques poils follets dépassant de la lisiÈre de mister slip . De les imaginer étendus sur leurs lits, commentant le spectacle en se secouant la queue à pleine mains, mister ventre s'échauffait encore ; malgré elle, elle dessinait dans sa tête le contour de leurs queues, quelques regards furtifs l'avait convaincue de l'importance du paquet de Miloud, qu'il exhibait d'ailleurs volontiers dans ses jeans moulés, elle se représentait une longue queue brune, épaisse, émergeant d'un buismister frisé et noir. Comme tous les algériens, du moins d'après la rumeur, il semblait membré au delà de la norme, certainement beaucoup plus que mister mari! Sa tête s'il savait le pauvre à quelles comparaimisters elle se livrait! Les pantalons de mister copain étaient beaucoup moins révélateurs et elle se perdait en suppositions quand à l'aspect du membre de Stephan. L'orage couvait depuis la fin de l'après-midi, Françoise se sentait excitée au plus haut point, les pointes de ses seins s'irritaient sur la dentelle du demi-balconnet qu'elle avait enfilé le matin . Elle était responsable du groupe des grandes, jeunes de 14 à 20 ans, toutes admises soit en raimister de leur débilité, soit en raimister de problèmes familiaux graves, parfois même pour les deux raimisters . Les jeunes filles, échauffées par l'orage et par la proximité du groupe des aînés lui avaient mené la vie dure toute la journée, les querelles, les discordes, souvent motivées par des jalousies éclataient à tout propos : l'une trouvait que mister petit ami lorgnait trop les autres filles, celle-là pensait que sa voisine aguichait mister jules ... Enfin tout l'après-midi avait été de cette veine, elle se sentait épuisée à power d'intervenir pour séparer les jeunes femelles en rut . Maintenant, elle pouvait se détendre un peu,le repas s'était déroulé tant bien que mal, et à ce moment toutes les filles profitaient de leurs derniers temps libres avant le coucher, certaines devisaient dans la salle de vie, d'autres s'étaient retirées dans leur chambre pour y écouter des disques ou discuter de garçons entre copines, deux ou trois étaient parties retrouver leurs amoureux et devaient flirter, sinon plus dans quelque recoin de la propriété . Avec violence, la pluie se mit à tomber, bientôt de longs éclairs embrasèrent le ciel, les lumières vacillèrent à plusieurs reprises puis s'éteignirent totalement. La chaleur étouffante, les cris de panique des gamines apeurées, tout continuait à renpowerr sa fébrilité. Brusquement elle s'aperçut que deux de ses donzelles n'étaient pas rentrées elles pouvaient se trouver n'importe où, certainement en train de flirter ou même plus. Françoise les imaginait la culotte descendue sur les genoux, leurs petits sexes exhibés devant les yeux de quelques garçons aux regards salaces. Cela lui rappelait ses premiers émois sexuels . Agée de 18 ans au cours d'une randonnée en montagne, un violent orage avait éclaté, contraignant chacun à se réfugier à toute allure dans un abri provisoire. Elle s'était retrouvée avec mister petit ami d'alors, Marc sous une roche en surplomb qui les protégeait de l'averse. Marc profitant de leur isolement s'était enhardi, comme, apeurée, elle se blottissait contre lui, sa main avait lentement dérivé sur mister épaule pour venir épouser la forme d'un sein, puis sa bouche s'était posée sur la sienne. Lèvres soudées, ils s'étaient longuement embrassés de façon qui lui paraissait maintenant, l'expérience aidant, bien chaste. Lentement, avec douceur, il avait caressé ses cuisses, les escaladant à pas menus, s'imprégnant de leur tendre chaleur, comme dotée de leur propre volonté, ses jambes s'étaient ouvertes, livrant le chemin de sa culotte de coton blanc au gentil envahisseur . Puis fébrilement, s'énervant soudain, Marc avait empoigné sa motte, d'abord au travers de sa culotte. Mais bien vite, il s'était infiltré sous l'élastique empaumant mister pubis soyeux qui s'en trouva tout réjoui. Les doigts fiévreux continuèrent leurs investigations, séparant les lÈvres virginales, dégageant le bourgeon déjà dressé qui aspirait à la caresse. Puis il avait habilement parcouru le long corridor clos par les petites lèvres avant de s'aventurer dans la vulve serrée pointant un doigt indiscret, il s'était introduit, éprouvant l'élasticité du jeune vagin, une petite douleur cuisante avait marqué la perforation digitale de l'hymen avant qu'il ne lui impose un compagnon et se mit à tester la douce moelleur du con juvénile.
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chrislebo
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Les caresses duraient depuis quelque temps, ses cuisses s'ouvraient maintenant largement, elle appelait de tout mister corps celui de Marc, elle allait vraiment succomber, lorsque l'averse ayant cessé des appels pressants les avaient obligés à reprendre une tenue plus décente pour rejoindre leurs compagnons . En souvenir de ces instants délicieux, elle avait d'ailleurs prénommé mister fils Marc . L'idée la traversa subitement que ses adolescentes se trouvaient peut -être actuellement dans la même situation ... Elle devait intervenir rapidement .... Avant qu'il ne soit trop tard! Il ne manquait pas dans l'IME de garçons susceptibles de profiter d'un court instant d'abandon! Avec quels garçons pouvaient elles donc bien se trouver? Avec Miloud, ce jeune présomptueux, au regard audacieux qui toisait toutes les femmes de l'établissement? Avec mister compère Stephan qui lui aussi passait le plus clair de mister temps à déshabiller les filles du regard? Avec Daniel le petit boutonneux qui respirait le vice par tous les pores de sa peau? Ou encore avec Charles le grand dégingande à l'air blasé? Avec Frédéric qui passait le plus clair de mister temps à exposer ses organes génitaux aux yeux des plus jeunes?..... Plus elle y réfléchissait, plus elle penchait plutôt pour Miloud et Stephan, si vicieux que même les éducatrices se méfiaient d'eux là et veillaient à ne pas se trouver seules en leur compagnie . Un nouvel éclair déchira le ciel, se secouant de la douce torpeur, dans laquelle ces évocations l'avaient plongée, Françoise décida de partir à la recherche de ses brebis égarées. La démarche lourde de désirs inassouvis elle entreprit de visiter les locaux. Elles ne se trouvaient pas dans les 3 pavillons éducatifs, ni dans la salle de gym, elles ne pouvaient donc se trouver qu'aux clubs ou dans les salles sous les ateliers ; elle les contourna et arriva dans les pièces obscures accueillant les activités de club. Une lumière blafarde émanait d'une des salles, elle dirigea donc ses pas vers cette dernière, entrouvrant la porte, elle ne vit d'abord permisterne mais perçut des bruits de conversation provenant d'un divan qui lui tournait le dos. Certaine de trouver ses filles vautrées sur le divan, peut-être même vautrées sur des garçons, la colère lui monta à la tête et vulgarement elle surgit devant les yeux étonnés de trois jeunes, effarés de cette brusque apparition. Décontenancée de ne pas trouver ses filles, Françoise ne sut que balbutier : - N'auriez vous pas vu Isabelle et Marie-Claude?..... Devant la réponse négative des garçons, ne mesurant pas le péril, elle s'emporta alors : - Mais que faites-vous donc là? .... Le premier instant de saisissement passé, Miloud vit là l'opportunité qu'il guettait depuis de longs jours. Discrètement il adressa un signe à Charles qui s'éclipsa rapidement, puis répondit : - Nous parlions de toi? Au lieu de briser là la controverse, et de partir, Françoise commit alors l'ultime imprudence en poursuivant le dialogue, ironique. - Et sans indiscrétion... Que racontiez-vous, pour être obligé de vous cacher pour discuter? Miloud répondit alors avec vulgarité : - On parlait de toi... De ton cul... De ta chatte... Depuis que nous t'avons bien pelotée à la piscine, on s'imagine tes formes... Les photos nous ont bien renseigné, on sait que t'es une fausse blonde... Les poils bruns dépassant de ta culotte t'ont trahi... Mais on aimerait en savoir plus... Pour l'instant on imagine... - Je ne supporterai pas ce ton plus longtemps! Le coupa alors Françoise, - Ou tu t'excuses immédiatement devant tes copains ou je fais un rapport et c'est avec le directeur que tu t'expliqueras! Le menaça-t-elle. - Tant qu'a être puni... Autant l'être pour quelque chose! S'enflamma Miloud l'agrippant par le bas de sa robe. Françoise se sentit chuter elle tendit les mains en avant, par réflexe et se retrouva étendue de tout mister long en travers des cuisses des deux complices . Avant qu'elle n'ait pu se redresser Stephan lui attrapa les seins à pleine mains la forçant à se blottir sur leurs genoux. Tout en criant elle serra les genoux à les rompre, déjà elle sentait les mains de Miloud s'insinuer sous sa jupe tandis qu'il commentait : - Alors garce... T'as gagné c'est la pine qu'il te faut... Vas-y, hurle à plein poumon... Ca m'étonnerait que quelqu'un se balade dans le coin, et... Même si on t'entendait t'aurais bonne mine si on te trouvait troussée comme un poulet sur nos genoux! Effectivement, Françoise se rendit compte du spectacle qu'elle devait donner, dès ce moment elle se tut, peu encline à ameuter des adultes, ou des enfants qui commenteraient à leur façon le troublant spectacle. Cependant elle se débattait, cherchant à se délivrer, mais chacun de ses soubresauts livrait encore plus mister intimité aux doigts inquisiteurs. Miloud promenait maintenant sa main dans sa culotte, il lui caressait les fesses, suivant d'un doigt curieux la fente ombrée, débusquait l'anus frémissant blotti au plus profond de la raie . Pour l'instant il inventoriait sa croupe, tandis que Stephan, qui avait retroussé mister chemisier sortait à demi ses seins de leur écrin. Ils débordaient maintenant du soutien-gorge roulé sous sa poitrine, il pinçait les aréoles, les tirait, pétrissait toute la mamelle... Sûr la trace de ses doigts resterait un moment marquée sur sa poitrine! Françoise sentait grossir leur envie sous elle, leurs queues l'une à hauteur de ses cuisses, l'autre sous mister torse prenaient une consistance de bon aloi. Elles raidissaient, s'irritaient contre les jeans et Françoise était à même de constater qu'elle ne s'était pas trompée quant à la taille de la bite de Miloud, celle de Stephan qu'elle n'avait pu évaluer, lui semblait toute aussi grosse, elle sentait mister con s'humidifier et ruait de plus belle pour se dégager. Retombant d'une de ses ruades, elle fit crier de douleur Miloud, involontairement elle lui avait écrasé un testicule sur la cuisse. Le visage de Miloud s'empourpra de colÈre, il s'écria furieux : - Ca tu vas le payer ma garce! A ce moment Charles, qui s'était éclipsé au tout début des débats, réintégra la salle, mister éternel appareil photo sous le bras, il informa ses potes : - Pour éviter toute surprise, j'ai mis quelques poubelles en travers du chemin, dans l'ombre du virage, si quelqu'un se pointe on entendra parfaitement le bruit! - Alors on y va dit alors Stephan, impatient à ses acolytes... - Qu'est ce que vous voulez me faire ...... pleurnicha Françoise apeurée . - Qu'est ce que tu fais à tes enfants, quand ils désobéissent ou te font mal? L'interrogea Miloud. Et Françoise s'entendit répondre, la voix mal assurée, tremblante : - Je leur donne la fessée! Et vivement elle ajouta Mais c'est pas pareil... Ce mistert des enfants, vous n'oseriez tout de même pas... La suite lui prouva que si. - Stephan bloque lui les bras, Charles tu prendras des photos! Ceci dit Miloud la coinça de nouveau sur ses genoux, elle n'eut pas le temps de rouspéter, que déjà Stephan lui retournait les bras dans le dos et les lui bloquait d'une main, réservant mister autre main pour un autre usage. Malgré ses gigotements Miloud releva sa jupe bien au delà de la croupe . Elle avait conscience, ainsi troussée de leur exposer ses deux globes ronds encore primisterniers de leur écrin de nylon. Son mini slip vert devait encore renpowerr l'attrait du spectacle, ils restÈrent quelques instants silencieux, immobiles, à contempler le joufflu livré à leur convoitise . Puis d'une main, Miloud attrapa l'élastique du slip, et ainsi qu'on dépouille un lapin, il lui arracha mister dernier voile. L'élastique céda d'un claquement sec immédiatement suivi du grincement du nylon qu'on déchire. Un premier éclair ponctua la première photo. Miloud fourra les lambeaux de la culotte dans sa poche et attira l'attention de ses copains sur le postérieur ainsi dénudé . Les trois se livrÈrent à nouveau à une longue contemplation, Françoise cherchait à serrer les fesses, afin de révéler le moins possible des secrets de mister académie, mais Miloud lui avait écarté vulgarement les jambes et sur, mister injonction, Charles glissa une chaise entre ses chevilles. Françoise avait pleine conscience d'être exhibée comme du bétail à l'étal, elle sentait les yeux de ses agresseurs courir le long de la vallée ombrée de sa raie, lisant comme dans un livre ouvert à la bonne page, découvrant d'abord l'anneau ridelé à la texture plus sombre de mister anus puis tout de suite après le périnée, l'ouverture de mister sexe, qui vu sa position devait bailler insolemment. Elle en soupirait de honte, elle savait maintenant que rien ne les arrêterait plus, il était inutile de les supplier... Malgré elle une louche langueur gagnait ses reins... Et l'autre qui continuait à prendre des photos! La main s'abattit une premiÈre fois sur le majestueux pétard une vive douleur irradia alors sa croupe, la deuxième claque se faisait attendre, et c'est alors qu'elle décrispait ses fesses qu'elle arriva provoquant immédiatement un surcroît de douleur . La technique de fesseur de Miloud était bien au point, les coups étaient violents, variés, donnés sur un rythme lent, il attendait toujours l'instant ou les fesses se détendaient pour frapper. Les soubresauts de la victime obligeaient l'anus à s'entrouvrir révélant la chair sombre du tunnel, la langueur de Françoise avait évoluée, aux brûlures des premières claques avaient succédé des lames de feu qui lui traversaient les reins, irradiant dans mister sexe qui était maintenant trempé, elle prenait mister pied, peu à peu ses sanglots se transformèrent en soupirs et bientôt un long spasme la secoua sur les genoux de mister agresseur.
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chrislebo
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Tout le temps de la punition, Stephan avait continué de lui peloter les mamelles, les pinçant, les malaxant tandis que le dernier compère continuait à prendre des photos.
Miloud se fit caressant, il voulait vérifier une impression subite, s'infiltrant entre les jambes disjointes il força du doigt le con de la belle et le trouva débordant de cyprine, grandes, petites lÈvres, clitoris tout baignait maintenant dans un jus onctueux.
A ce moment, retentit un juron sec accompagné d'un bruit de poubelles renversées.
Immédiatement Miloud libéra Françoise, cette dernière en toute hâte entreprit de remettre un peu d'ordre dans sa tenue, Charles, lui, dissimula mister appareil photo .
Les jambes cotonneuses, la vulve trempée Françoise vit Christophe, l'éducateur chef rentrer dans la salle, tout de suite il interrogea :
- Françoise, que faites vous ici, en compagnie de ces deux jeunes? Et au vu de mister visage empourpré il ajouta :
- Vous auraient-il importunée?
Miloud retint sa respiration, l'instant était crucial, ou elle se taisait et c'était tout bon pour eux, ou elle parlait et c'était le renvoi après passage devant le directeur.
Françoise, l'esprit embrumé n'en était pas là, elle pensait seulement à la honte d'avouer qu'elle s'était fait tripoter par ces jeunes, tout mister esprit se révulsait à l'idée d'étaler mister aventure, de savoir qu'elle serait abondamment commentée... Déjà qu'on lui reprochait sa trop forte féminité... On l'accuserait de les avoir provoqués... Qu'en dirait mister mari si jaloux... Et ses enfants ne la considéreraient-ils pas comme une putain... On est si cruel à 12 et 14 ans!
Un ange traîna dans la pièce, et la voix voilée, essoufflée Françoise répondit :
- Je viens d'arriver au pas de course... Sous la pluie et je questionnais Miloud et Stephan... Je cherche Isabelle et Marie-Claude qui se mistert absentées du groupe!
Cette explication suffit à Christophe qui se tournant vers Miloud, Stephan et Charles les engueula un peu, ils n'avaient rien à faire à cette heure à cet endroit, même s'ils s'y étaient réfugiés pour s'abriter .
Tous ensembles ils retournèrent vers les groupes.
Sous le regard goguenard des trois jeunes, Françoise salua mister chef et rentra au groupe ou elle retrouva ses deux fugueuses.
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chrislebo
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Alors... Qu'est ce qu'on fait... On les montre... Non... Non gémit-elle, Je ferai ce que vous voudrez... Mais donnez les moi... Je ne dirai rien à per-misterne... - Non seulement tu ne diras rien à permisterne, mais... Si tu veux vraiment qu'on se taise... Tu feras tout ce qu'on voudra... Quant à te les rendre, il n'en est pas question... Ce que je te promets c'est que tant que tu te montreras do-cile... Et disponible ni ton mari, ni tes enfants ne les verront. - D'accord... Je... Je ferai... Tout ce que vous voudrez... Mais surtout ne di-tes rien à permisterne capitula-t-elle la voix tremblante. Profitant de mister désarroi, Miloud glissa sa main sous sa robe et entreprit d'escalader le compas de ses cuisses, traumatisée, elle se laissait faire, ne tentant même pas de refermer les jambes, ce qui par ailleurs aurait maintenant été bien inutile, ils avaient les arguments suffisants pour les lui faire écarter . Tout de suite il se pointa au centre de la fourche, dans la vallée moussue, commentant pour ses copains : - Eh les gars! elle est à poil sous sa robe! Tu nous attendais dis donc? Françoise ne répondit même pas, dolente elle le laissa remonter sa robe, ten-dant les bras pour lui féliciter la tâche, il l'attira sur ses genoux alors qu'il préci-sait : - Rappelles toi que dorénavant tu m'appartiens, tu devras aussi obéir à Ste-phan et Charles, mais c'est moi ton maître... Je ne tolérerai aucune désobéissance... Reprends quelques photos qu'on voit bien qu'elle participe! enjoignit-il à Charles . Puis il la tourna vers lui, ses lèvres se portèrent sur les siennes et il entreprit de l'embrasser, elle s'efforçait de garder les lèvres serrées, résistance vaine, bientôt la langue du voyou envahit sa bouche, elle resta passive, inerte. Mi-loud, agacé, cessa mister petit jeu, la gifla avec violence et lui commanda : - Tu participes ma salope ou alors ça va être ta fête! Et honteuse de sa veulerie, Françoise se vit pencher la tête et mêler sa salive à celle de mister suborneur. Les mains de Miloud exploraient maintenant mister corps entièrement dénudé, soupesaient sa lourde poitrine, contournaient ses flancs, tâtaient ses fesses puis se faufilaient entre ses jambes palpant les lèvres disjointes. Du doigt il força mister anus, et commença quelques rugueux va et viens, puis introduisant le pouce mister vagin il se mit à jouer à la pince chinoise tout en la questionnant crûment : - T'es-tu déjà fait enculer par ton mari? Par un amant peut-être? Non? Nous les arabes c'est ce qu'on préfère... Eh les gars, interdiction de lui prendre mister pucelage arrière... Il est pour moi! - Oh Miloud , si tu nous la passais un peu, on en a marre de se branler en vous regardant Dit alors Stephan qui depuis quelques minutes se secouait la pine à pleine main. - Approche lui répondit Miloud, elle va te sucer, ça corsera un peu les photos . Stephan s'approcha du couple, Miloud tourna la tête de Françoise vers le phal-lus qui se présentait à ses lèvres, Stephan n'eut pas à powerr, matée autant par la gifle que par le petit discours, elle entrouvrit la barrière de ses dents livrant un passage aisé au gland foncé qui s'inséra lentement entre ses lèvres la forçant jusqu'aux amygdales puis se retira pour mieux s'enfoncer à nouveau. Elle sentait la queue de Stephan prendre encore du volume, Miloud ordonna : - Suce le mieux que ça... Je veux voir ta gorge travailler... Caresse le de ta langue... Lèche lui les couilles... Bon dieu! Montre ce que tu sais faire! Il ne semblait pas se douter que jusqu'ici, si les lèvres de Françoise s'étaient déjà posées sur le gland de mister mari, jamais elle ne lui avait accordé, il ne lui avait d'ailleurs pas demandé, d'aller plus loin, elle faisait là mister apprentissage et sur un rythme qui lui paraissait démesuré . Démesuré comme la queue qui lui emplissait maintenant la bouche. Pour s'accorder quelques secondes de répit, elle le désemboucha et obéis-sante, entreprit de léchotter la hampe, descendant jusqu'aux couilles velues, recrachant quelques poils, remontant, suivant de la pointe de la langue le frein qui frémissait, réembouchant à pleine gorge le gros bâton. Stephan s'enfonça jusqu'à sa glotte, franchissant, sans se soucier de ses hauts le cœur la frontière de ses amygdales, et tandis que dans un dernier sursaut d'amour propre Françoise retenait mister envie de vomir, la maintenant le nez enfoui dans sa toimister, en longues giclées crémeuses il lui déversa sa semence dans l'arriÈre gorge. Au bord de l'étouffement Françoise déglutit, avec difficulté, avala le sperme qu'elle crut sentir couler tout le long de mister oesophage . La queue se ramollit quelque peu, Stephan la lui ôta de la bouche, et servile comme elle n'aurait jamais crue l'être un jour, elle lécha la dernière goutte sur le méat et entreprit la toilette de la bite qu'elle venait de déguster. - A toi de t'amuser... proposa Miloud à Charles Passe moi l'appareil, je pren-drai les photos! Stephan l'obligea à se relever, puis l'enlaçant il ordonna : - Et si tu nous montrais ta chambre, ça changerait de décor les photos n'en seraient que plus variées... Totalement soumise Françoise prit le chemin de mister lit, la vue du jeté de lit rouge que venait de lui offrir mister mari lui arracha un bref sanglot, Stephan profitait de sa position de suiveur pour lui palper les fesses, écartant les deux hémisphères, il lui planta deux doigts dans le vagin et la trouva ruisselante de désirs. Effectivement ses sens durement sollicités répondaient maintenant et même si tout mister être se révulsait, sa chatte elle s'était préparée au corps à corps qui l'attendait. Sans plus de tendresse superflue, Stephan la poussa sur le lit, elle s'y étala à plat ventre, l'envie de Stephan était telle maintenant qu'il ne perdit pas de temps en préliminaires, il la retourna sur le dos et se jeta tout de suite, panta-lon baissé sur les genoux, entre ses cuisses largement ouvertes. Sa bite trouva tout de suite la fente de Françoise, la parcourut sur toute sa lon-gueur avant de s'engouffrer dans le vagin dilaté, quelques va et vient dans mister con ruisselant suffirent à le faire jouir et en bramant il gicla, lui emplissant le trou. Un soupir de regret échappa à Françoise lorsque se relevant il abandonna mister corps palpitant, ses sens insatisfaits protestaient, le rude assaut avait été trop rapide pour apaiser sa libido en ébullition. Impatient Miloud l'attrapa par les chevilles, la retourna sur le ventre, et sans lui laisser le temps de respirer lui glissa un oreiller sous le ventre, faisant ainsi saillir sa croupe, sa position dégageant bien la minuscule rondelle de mister anus. Il lui écarta les fesses avec vigueur, plus calme pourtant que Stephan il prit le temps d'observer le sphincter annelé qui déjà se ridait d'angoisse . Ne s'étant jamais fait enculer, Françoise appréhendait cette première, sûre qu'il allait maintenant réclamer le minuscule orifice qu'il s'était clairement réservé. Miloud dirigea mister gland sur l'anneau et entreprit de le powerr d'abord sereine-ment, puis devant mister insuccès avec plus de rudesse. Sa bite paraissait bien trop importante pour le petit trou de Françoise, elle dou-tait de ne jamais pouvoir l'absorber, sous les quolibets de ses copains Miloud n'arrivait pas à forer l'étroit orifice plissé . Stephan après s'être éclipsé quelques secondes revint de la cuisine un paquet de beurre à la main : - T'as déjà vu le dernier tango à Paris? dit-il le passant à Miloud qui, ricanant, enduisit largement mister gland puis à deux doigts lui nappa l'entre fesse et le trou obscur. La précaution était bonne, cette fois le gland franchit le goulot resserré, Fran-çoise crut qu'on lui enfonçait un timisternier rouge dans le fondement, Miloud avait du mal à se contenir, il dut rester quelques secondes immobiles afin de ne pas partir précocement . Ce maigre temps de répit permit au cul de la belle odalisque de se faire à la taille de mister envahisseur et à mister esprit de se faire à l'idée de sa déchéance Miloud reprit mister mouvement de bielle, à chaque poussée Françoise sentait mister cul s'écarteler, à chaque fois elle craignait d'entendre se déchirer mister périnée, enfin à power de persévérance, Miloud s'engloutit en entier dans le cul maintenant dompté, ses couilles vinrent battre les fesses. A nouveau il reprit mister souffle avant d'animer à nouveau mister bas ventre de profonds mouvements alternatifs qui la firent geindre. Miloud se foutait de ce qu'elle ressentait, il n'était pas là pour lui faire prendre mister pied, mais bel et bien pour la foutre et la plier à tous ses désirs. Un dernier coup qui lui sembla presque remonter jusqu'à la gorge et elle sentit des flots de sperme se répandre dans mister cul, lorsque Miloud se releva, il lui en avait injecté une telle quantité qu'elle le sentit sourdre de mister cul poissant le couvre lit. Ce spectacle avait rechargé les acculs de Stephan. Il s'étendit sur le dos et l'attira à nouveau à lui. L'esprit totalement vide, telle une marionnette, Françoise de la main guida mister nouvel envahisseur, elle le présenta à l'orée de mister trou plus du tout secret et s'empala lentement sur le membre qui l'envahissait de sa totalité . Ainsi, le chevauchant elle se sentait remplie à ras bord, sa matrice en était comblée. - Charles appela alors Miloud, prends la par le cul, on pourra terminer le do-cumentaire! - Non... Non... Pas ça, pas à deux... Ils vont me défoncer! Se plaignit Fran-çoise . Mais inflexible, Miloud lui faisait signe d'y aller, et sous les éclairs de flash, Françoise sentit d'abord Stephan lui agripper les fesses, les écarteler en grand pour mister copain. Ce dernier se présenta, l'anus béait encore de l'enculage précédent, les bourrelets mauves de l'intérieur étaient parfaitement visibles. Contrairement à ce que craignait Françoise le gland s'enfonça sans mal dans le cul bien graissé. Bien vite elle sentit les deux bites se frotter l'une contre l'autre tandis que les deux jeunes hommes commençaient à ruer en elle. Ils la fouillaient de leurs verges, sans cruauté excessive mais pourtant doulou-reusement, se massant au travers du périnée. Ces deux conduits, heureusement grassement lubrifiés semblaient pleins à craquer, malgré elle, les dents serrées à craquer, elle se noya dans un abîme de jouissance. Tous ses freins avaient sautés, des étoiles explosaient derrière ses paupières, sa croupe montait et descendait sur les deux queues, c'était elle maintenant qui s'enculait et s'enconnait sur les deux phallus, qui les retenait en elles, qui s'accordait au rythme des deux queues ébranlant tout mister être . Elle vibrait de tout mister corps, pleinement actrice de mister coït. - Viens nous rejoindre dit Stephan à Miloud, et ce dernier posant mister appareil sur la table de nuit, la queue à la main se planta devant sa bouche. Elle la happa voluptueusement, lui faisant de sa gorge un écrin soyeux, ali-gnant sa tête de façon à permettre une intromission la plus profonde possible
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chrislebo
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Ses trois orifices comblés, elle connaissait spasmes sur spasmes, orgasme sur orgasme, mister vagin s'emplit le premier, elle continua de téter le chibre de Mi-loud, par mimétisme mister cul se mit à l'œuvre, il trayait véritablement le vit de Charles. Bientôt ils ne purent plus résister et simultanément ils se vidèrent à gros bouil-lons qui dans mister cul, qui dans sa bouche. Epuisés tous trois tombèrent sur le lit ou encore emmêlés ils restèrent dix bon-nes minutes dans cette position à la recherche de leur souffle . Enfin les trois voyous se relevèrent . Comme Françoise fourbue restait allongée, Miloud l'invita à les raccompagner sur le pas de porte . Là à poil et à genoux elle embrassa une dernière fois leurs queues luisantes tandis que Miloud lui fixait ses dernières recommandations : - A l'avenir, au boulot, bas et porte-jarretelles, mais toujours cul nu, toujours disponible. Profite de ces deux jours pour te reposer, vendredi dès ton arri-vée à l'IME tu viendras dans sa chambre que je vérifie ta tenu! Sur ces derniers mots ils la quittèrent . Il lui restait une petite heure pour remettre de l'ordre, laver le jeté de lit couvert de foutre, aérer pour chasser cette odeur lancinante de baise, prendre mister bain, relaxer mister corps et surtout réfléchir à ce qui lui arrivait et aux façons de s'en sortir au moindre mal . Elle terminait à peine lorsque Francis ramena ses enfants. - Fatiguée? Lui lança-t-il avec une pointe d'insolence tout à fait inhabituelle, au vu de ses yeux largement cernés de bistre. Etonnée de cette familiarité soudaine de la part de ce grand dadais habituelle-ment timide, elle rougit et soupira : - Oui... Le travail... Les enfants... se promettant de se remaquiller rapidement. Cette grande bringue de Francis, en toute innocence?, avait mis le doigt sur un détail qui pourrait bien intriguer mister mari plus soupçonneux, plus retors que ce jeune puceau, et ça, il ne le fallait à aucun prix.
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chrislebo
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Chapitre 3 : Murielle, l'infirmière... Plongée dans l'eau chaude et relaxante de mister bain, Françoise réflé-chissait : elle ne pouvait nier le plaisir qu'elle avait pris lors de ces copu-lations successives qui lui avaient été imposées, et, malgré sa honte et sa répulsion initiale, mister ventre se souvenait encore, sa tête aussi, des orgasmes qui l'avaient secouée . Cependant elle, qui n'avait jamais trompé mister mari, venait de se plier aux désirs de trois adolescents qui l'avaient amenée, par la power il est vrai, à leur accorder beaucoup plus en trois heures qu'elle n'en avait ac-cordé en 16 ans de vie commune à mister époux, et pourtant elle n'arrivait pas à se sentir honteuse, non ce qui la chiffonnait le plus c'était de savoir que Miloud avait maintenant barre sur elle et de ne pas trouver de solu-tion qui lui permit de sortir de ce pétrin : refuser d'accéder aux désirs brû-lants de Miloud c'était risquer la divulgation de ses saloperies de photos. André devant un coup pareil demanderait à tout coup le divorce et ob-tiendrait à coup sur la garde des enfants, qui de toute manière se dé-tourneraient d'elle. Après le scandale qui s'en suivrait, plus de boulot, les propositions malhonnêtes des individus qui la prenant pour une fille facile en userait, et pourquoi pas pour finir le trottoir. Se soumettre n'était guère plus réjouissant, jusqu'ou Miloud irait-il, jus-qu'ou accepterait-elle d'aller. Malgré tout, tout ne pouvait être mauvais chez ce garçon, peut-être, si elle se montrait particulièrement gentille et docile, lui rendrait-il ces sata-nés photos... Elle se sentait prête aux pires bassesses, à accepter les plus grandes compromissions, s'il lui promettait en retour de les lui rendre. Elle n'arrivait pas à se déterminer une conduite, oscillant entre la sou-mission totale et la fière rebellion qui risquait de lui coûter mister boulot, mister ménage et peut-être même ses enfants. Enfin ses enfants rentrèrent de la piscine, Francis gentiment l'assura qu'ils avaient été des plus sages. Exubérants ils lui racontèrent leur après midi, passée en grande partie, en compagnie d'un jeune du centre... un gars sympa qui leur avait mon-tré comment plonger, nager, faire la bombe et mille tours à exécuter dans l'eau . Ce rapport la glaça, ainsi ils avaient osés... Leurs menaces n'étaient donc pas vaines... Ils auraient pu... Avec soulagement elle laissa sa progéniture se plonger dans une ultime révision des cours du lendemain. Enfin l'époux rentra de mister travail fourbu, renfrogné, il s'installa devant le poste télé, se servit un pastis bien tassé et sans un mot se relaxa en vi-sionnant d'un oeil distrait la classe sur FR3 . Elle lui en voulut presque de cette tranquille assurance... Comment ne soupçonnait-il pas... La croyait-il donc si peu attirante? La succession monotone des tâches ménagèrent la distrayèrent de ces pensées contradictoires, et c'est plus sereine que le soir venu elle s'étendit aux cotés de mister mari. Plein de tendresse, il sollicita mister corps, elle se laissa prendre sans pas-sion, sa chair et mister âme comparant sa piètre performance, ce coup vite tiré et la fougue des trois ados qui, l'après midi durant l'avaient si furieu-sement comblée . Déjà, ses sens réclamaient des étreintes plus vulgares, plus conséquen-tes... Le vendredi suivant, elle partit au boulot décidée à repousser Miloud, à 18 ans et demi, encore influençable, il plierait sûrement si elle se montrait suffisamment ferme Par précaution, elle s'était tout de même conformée à ses ordres, n'enfi-lant sous sa jupe noire qu'un porte-jarretelles et des bas fumés. En vue du domaine, elle hésita longuement puis se décida à ôter sa culotte. Il vaudrait peut-être mieux l'amadouer avant de lui faire part de mister refus de se plier plus longtemps au chantage. Elle se rendit directement à la chambre de Miloud, celui-ci l'attendait de pied ferme, allongé sur mister lit. Elle referma la porte, et tout de suite le poster qui en ornait le revers lui sauta aux yeux. La grande image, la représentait empalée sur la pine d'un jeune parte-naire, la croupe cambrée, une pine luisante, de bonne taille plantée dans mister anus dilaté. Les visages découpés des trois protagonistes interdisaient une identifi-cation immédiate, il suffisait pourtant de connaître la chambre et le jeté de lit sur lequel se vautrait cette chienne en rut pour la reconnaître dans cette bacchante échevelée. Miloud sourit ironiquement et lui dit : - Hein qu'il est beau mon poster... Ou le tien devrai-je dire... Y en a pas mal qui se demandent qui figure sur la photo... Les supposi-tions vont bon train... J'en ai tiré deux autres pour décorer les murs de ma future chambre... Ou pour envoyer à ton mari si c'est néces-saire... Sur ceux là, j'ai laissé les visages! A ce spectacle et à ce discours, Françoise perdit toute sa superbe, muette elle se contenta d'approcher du lit, et sur un bref signe elle se troussa exposant mister ventre barré du porte jarretelles et ses cuisses gainées de nylon fumé, le tout encadrant et mettant en valeur sa pilosité exubérante. - On a juste une demi heure avant le départ des cars, presses toi de me sucer, on verra plus tard pour le week-end! Lui intima-t-il. Françoise se pencha alors sur lui, descendit la fermeture éclair de sa braguette et sortit l'imposante verge de sa primister. Comprimée dans le jean, elle avait pris de l'ampleur, Miloud s'étant exci-té furieusement au cours de la mise au point, aussi lui sauta-t-elle au vi-sage dès libérée. Avec veulerie elle se mit à l'ouvrage, se pencha sur la bite turgide, en-fourna la grosse prune presque violette dans sa bouche, puis glissa ses lèvres tout le long de la longue et épaisse hampe, léchant le gland avec application lorsqu'il frôlait l'orée de sa bouche, elle absorbait la grosse queue jusqu'à la racine, les poils de mister pubis lui agaçant le nez, ses progrès étaient étonnants, elle se comportait comme une maîtresse su-ceuse bien que ses débuts dans la pipe fussent si récents . Fouaillée d'en finir plus vite, craignant l'irruption de qui que ce soit dans la chambre, elle s'acharnait à téter la grosse verge qui lui déformait la bouche. Miloud ressentait une extraordinaire sensation de pouvoir à contempler cette belle jeune femme, qui en tant normal ne lui aurait accordé que du dédain, obligée de lui téter la mentule sans rechigner. Et ce n'était encore q'un début, il se promettait de multiples plaisirs avec elle. Ces idées augmentèrent encore sa fièvre, le volume de sa verge s'ampli-fia encore, Françoise avait maintenant mal aux commissures des lèvres. Aux premiers soubresauts de sa lourde érection, Françoise reconnut les prémices de sa jouissance, sa bouche se fit encore plus douce, sa gorge encore plus profonde et plus accueillante, elle accentua l'étreinte de ses lèvres sur la racine du gros cylindre de chair, sa bouche aspira encore plus fort tandis que sa langue frétillait à la pointe du méat. Soudain, en un grand frismister convulsif Miloud éjacula avec un râle de bonheur, projetant mister abondante semence en saccades dans les tré-fonds de sa gorge. Il déchargea longuement, se vidant les couilles comme il l'avait promis la contraignant à avaler mister sperme à petites gorgées pour ne pas étouffer. Il ne lui lâcha pas la tête pour autant, laissant sa bite se ramollir, se rata-tiner dans la douce tiédeur de sa bouche tandis qu'elle lapait les résidus sur la queue, la lui rendant bien propre. Puis il lui enjoignit d'aller faire mister service, il l'attendrait après le départ des cars, et les lèvres poisseuses, luisantes de secrétions elle quitta la chambre, le goût acre du sperme collé aux papilles. Trois quart d'heure plus tard elle était de retour et se pliait à mister interro-gatoire : - A quelle heure ton mari rentre-t-il ce soir - Il est parti au salon de Lille et ne rentrera pas... Avant lundi soir! - Quelqu'un peut-il garder tes enfants? - Oui... Ma mère le fait lorsque je lui demande... Mais - Alors viens, on va lui téléphoner... Ca va s'arranger...
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chrislebo
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La prenant par le bras, Miloud l'entraîna vers le bureau où se trouvait le téléphone. Y entrant, tout étonnée, elle surprit, Murielle la brune éducatrice de Week-end se livrant à la même activité qu'elle même une heure plus tôt. Murielle la bouche pleine de Stephan, rougit puis pâlit à la vue de l'arri-vante, Stephan d'une petite tape sur la nuque la rappela à l'ordre, l'invi-tant ainsi à poursuivre sa fellation sans plus s'occuper des intrus. - J'ai envoyé les petits a la télé avec une cassette de cul, ils ont pris leur plateau repas et iront directement se coucher, sans nous emmerder, après le film... S'ils nous enquiquinent, je les ai prévenus qu'ils auraient tous une raclée et surtout que ce serait terminé les films X, alors tu penses bien... Ils vont nous foutre une paix royale! Annonça gaiement Stephan. Contemplant Murielle Françoise comprit qu'elle n'était pas la seule à se plier a leur chantage, ce n'était certainement pas volontairement que Mu-rielle suçait la bite de Stephan, et tandis que la hampe coulissait har-gneusement entre les lèvres serrées, les coups de boutoir se faisant plus nombreux et plus violents, Françoise imaginait avec honte le tableau qu'elle aurait offert à qui que ce soit pénétrant dans la chambre de Mi-loud une heure plus tôt. Le rythme de la fellation se fit plus frénétique, la grosse queue semblait s'enfoncer plus encore dans la gorge de la victime, d'un dernier élan Stephan planta mister mandrin au fin fond de la bouche soumise, plusieurs spasmes le secouèrent. Françoise se représentait les longs jets de sperme gluants frappant les parois lisses des joues, avant de s'écouler dans l'arrière gorge de la su-ceuse, le flot devait être particulièrement important, malgré les rapides mouvements de déglutition de Murielle des larmes blanchâtres suintè-rent aux commissures de ses lèvres, et, lors du retrait de Stephan un long filet spermatique s'étala en larges filaments glaireux sur le menton de la fellatrice. Comme avide de ne rien laisser perdre, Murielle à grands coups de lan-gue nettoya d'abord la hampe luisante, puis en bonne ménagère appli-quée elle téta les dernières gouttes de semence sur le méat avant de ranger l'objet de sa sollicitude dans le pantalon de Stephan. Ce dernier proposa à Miloud : - Si tu veux en profiter... Elle a fait d'énormes progrès, elle a des ta-lents qu'on ne soupçonnait pas, si tu veux y goûter... Elle ne de-mande que ça... - Non merci... Le remercia Miloud - J'en sors, bientôt Françoise sucera aussi bien qu'elle, elle aussi est pas mal douée... - Mais où se trouve Charles? - Il est parti avec mister appareil photo, depuis qu'on a vu l'infirmière se gouiner, il ne désespère pas de la coincer... - Ce serait terrible, d'avoir chacun notre radasse, faudra tâcher de l'aider et crois moi si on arrive à lui tirer le portrait en pleine activité, ce sera pas plus difficile que pour ces deux là de la faire filer doux... Faut creuser la question... En attendant, tu me passes le téléphone... Toi viens ici... Madame Ledoux va expliquer à ses enfants qu'elle doit remplacer quelqu'un au dernier moment... Préviens aussi ta mère qu'elle devra s'occuper de tes moujingues jusque lundi... T'es bloquée à l'IME jusque là! Docilement, Françoise prit le combiné des mains de Stephan et compo-sa mister numéro. A l'invite de Miloud, Stephan vérifia sa tenue, et, comme on décrochait à l'autre bout du fil, Françoise sentit une main s'immiscer entre ses cuisses, remonter rapidement jusqu'à mister but, défriser sa toimister, écarter sa fente, un doigt inquisiteur se ficha dans mister vagin légèrement humide. -- Allo Frédérique... C'est maman... J'ai un petit problème... Dit elle alors que du doigt Stephan entamait des allées et venues dans sa gaine, rapidement, il plongea un second doigt dans le tendre ré-ceptacle. Françoise eut un petit sursaut de douleur, mister trou secret distendu à la limite de la souffrance. -- Voilà... Rien de bien grave... Murielle qui était de service ce week-end doit partir d'urgence... Un deuil dans sa famille... Stephan propulsait maintenant mister pouce vers l'avant de la fente, ses petites lèvres s'humidifiaient lentement, mister petit clitoris se raidissait sous les manipulations vulgares. -- Vous allez... Rejoindre votre grand-mère... Balbutia-t-elle d'une voix hachée, les sensations se faisant de plus en plus fortes. -- Maman... Ca ne va pas? T'es malade? Questionna sa fille in-quiète. -- Non... Non... Ca va... Je suis seulement... Essoufflée... J'ai cou-ru Jusqu'au... Téléphone! Répliqua Françoise tentant de toutes ses powers de se dominer, mister ventre la taraudait maintenant, il s'animait d'une houle ardente, elle frottait toute sa vulve sur la paume de la main de Stephan. D'un geste brusque, il retourna mister poignet et voulut powerr du pouce les fronces de mister anus récalcitrant. Pour mieux parvenir à ses fins, extrayant ses doigts du con ruisselant il enduisit copieusement le fondement de ses secrétions intimes, puis réin-séra ses doigts dans le fourreau. Il poussa d'un coup bref, l'anus de Françoise se déplissa, les sphincters s'arrondirent admettant le pouce fouisseur, Françoise ne put retenir un cri. -- Aïe... Non... Non... Ma chérie... Je me suis heurtée le coude... Contre la tablette... Je... Je préviens votre grand-mère... Et incapable de contenir plus longtemps ses halètements de jouissance, elle leur livra le spectacle de mister orgasme en claquant le combiné sur mister reposoir. Elle n'arrêtait pas de jouir, d'avoir conversé avec sa fille alors que Ste-phan lui manipulait la moule et le cul avait fait sauter les derniers freins de sa libido, cette situation si particulière, malgré la présence indirecte de ses enfants, ou peut-être à cause d'elle, en dépit de mister avilissement, avait réveillé sa nature exigeante, elle savait maintenant que plus rien ne serait plus jamais comme avant, elle avait pris trop de plaisir en cette si-tuation incongrue. Avec un plop misterore, Stephan extirpa le pouce de mister cul et complimen-ta Miloud : - Tu avais foutrement raimister... Elle a le feu au cul... Quelle salope! Sous ses airs de sainte Nitouche, elle démarre au quart de tour, un doigt dans le fion et c'est le 14 juillet... Ah on va pas s'ennuyer, elle nous a demandé des efforts pour se la taper, mais maintenant que tu la tiens bien, tu verras qu'elle finira par y prendre mister pied... T'en feras ta chienne, comme moi de Murielle, hein ma salope! Et tandis que Murielle opinait de la tête, Françoise rougit comme une tomate, Stephan venait de traduire crûment tout ce qu'elle cherchait en-core à se cacher, les penchants masochistes qui s'éveillaient en elle et surtout le trouble émoi qu'elle ressentait à sentir mister corps, mister cul, sa chatte malmenés sans tenir aucun compte ni de mister plaisir ni de mister avis. Elle se sentait rabaissée au niveau d'une poupée gonflable dont on se servirait à volonté de tous les orifices sans jamais solliciter mister accord, de plus de savoir qu'elle ne pouvait plus rien leur refuser sous peine du scandale qui naîtrait de sa révolte, de se savoir à l'entière disposition de Miloud et ses copains lui entrouvrait des horizons semés de honte et de plaisirs mêlés. Ayant repris mister souffle et ses esprits, elle téléphona à sa mère, qui bien entendu ne vit aucun obstacle à prendre en charge les enfants, bien trop heureuse, au contraire de pouvoir en jouir tout le week-end. La porte claqua, Charles les rejoignait. -- L'autre salope est arrivée... Annonça-t-il -- Mais elle est seule, Murielle m'a amené la caméra vidéo de mister cocu, après souper on ira voir ce qu'elle fabrique... J'ai coincé tous les volets roulants, comme ça on pourra tout voir et filmer... En attendant... Si on allait bouffer... Dès arrivé au pavillon, les trois comparses se servirent un apéro, tandis que les filles se dirigeaient vers la cuisine, où tout en préparant le repas elles purent échanger leurs confidences, comparant leurs situations res-pectives. Murielle s'était fait piéger un mois plus tôt, mister mari directeur de banque avait pris du galon et il naviguait de séminaires en conférences. A ses retours, de moins en moins fréquents en semaine, il se montrait fatigué et de ce fait peu empressé de remplir ses devoirs conjugaux. Bien que très liée à mister mari, afin de satisfaire les exigences d'une sexualité tyrannique, Murielle avait pris un amant et le retrouvait discrè-tement sur le seul lieu possible à l'insu de ses enfants, de ses parents et de ses relations, c'est à dire à l'IME. Ils avaient découverts une clairière paisible, où dans le calme, et à l'abri des regards, du moins le croyait-elle, ils pouvaient se livrer en toute quié-tude à leurs ébats, jusqu'au jour ou des éclairs de flashs avaient figé mister image sur des photos ou on la voyait parfaitement effectuer un 69 pas-sionné avec mister partenaire. La peur du qu'en dira-t-on, la crainte du divorce, de la séparation d'avec ses enfants, du scandale l'avaient conduite à la même situation que Françoise maintenant. Même sans le témoignage des photos, s'ils parlaient elle était cuite... Son mari ne supporterait pas... Il lui serait facile de prouver... Elle ne pouvait se permettre aucune indiscrétion... Depuis un mois, tous les week-ends, en échange de leur silence, elle se pliait à tous leurs caprices, virtuellement elle appartenait à Stephan qui avait découvert sa liaimister, mais il la prêtait volontiers à ses copains. Ils en jouissaient tous sans restrictions, l'avaient initiée à la sodomie, la partousaient sans lui demander mister avis, la pénétraient à deux, à trois simultanément. Elle pratiquait maintenant l'art du sandwich, avalait le sperme comme une grande, en un mot elle avait découvert tout un monde de stupre et de fornication qu'elle n'avait même pas jusque là soupçonné. Elle se réjouissait de voir arriver Françoise, sa servitude en serait d'au-tant allégée, et c'est donc deux fois moins épuisée qu'actuellement qu'à l'avenir elle quitterait le boulot. Françoise elle même verrait bien que bientôt elle aussi prierait afin que l'infirmière tombe dans leurs rets, car si elle venait rejoindre leur club, c'est autant qui leur serait épargné à elles deux. Le repas se déroula dans le calme, tous trois réfléchissaient à la meil-leure façon de piéger l'infirmière, ils en discutaient fiévreusement, écha-faudant les plans les plus sophistiqués qui les autoriseraient à soumet-tre la belle rousse. Ils étaient si absorbés que c'est à peine si, au cours des allées et venues de leurs serveuses, les mains s'égarèrent sous les jupes pour palper distraitement les croupes dodues ou flattèrent sans plus d'insistance les intimités velues. La vaisselle expédiée, vers 9 heures, ils vérifièrent que les trois petits se trouvaient bien face à l'écran, ils leur rappelèrent leurs recommandations et s'en furent épier la rousse panseuse. Elle logeait dans une maimisternette en contre-bas, du haut du talus, allon-gé dans les hautes herbes, dissimulé par d'épais buismisters, on pouvait sans risque embrasser du regard tout le studio, on apercevait distincte-ment le lit à gauche le long du mur, le coin toilette avec sa cabine de douche et les WC sur la droite. Pour l'instant, le dos tourné à la baie vitrée, la jeune femme inconsciente des regards évaluateurs regardait la télé. Les trois comparses, nantis de leurs esclaves, pouvaient surveiller en toute sécurité, éloigné d'une petite vingtaine de mètres tous les faits et gestes de leur proie. Pour l'instant elle se servait un verre d'alcool bien tassé, mister ennui de-vait être profond, car dans les vingt minutes qui suivirent elle ne consomma pas moins de trois verres bien remplis
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chrislebo
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Enfin elle se leva, éteignit le poste et voulut descendre les stores, Char-les avait bien travaillé, elle ne put les baisser et abandonna rapidement. Elle semblait engourdie, vraisemblablement par l'alcool, ses évolutions étaient lentes, ses gestes amples mais ralentis. Elle commença par déboutonner sa blouse, apparaissant en combinai-mister noire, puis toujours aussi doucement elle l'enleva offrant à ses ma-teurs subjugués un spectacle d'un fol érotisme douillet. Ses sous vêtements contrastaient fortement avec l'image traditionnelle de la femme au travail, ils contemplèrent tout d'abord la lisière large des bas noirs attachés aux fines jarretelles qui striaient les cuisses à la couleur pain d'épice. Le porte jarretelle qui lui cernait le ventre était noir incrusté de dentelles rouges, bientôt ils virent qu'il était assorti au soutien gorge contenant tant bien que mal mister opulente poitrine. Continuant mister strip-tease involontaire, elle posa le pied sur une chaise, et de trois quart profil dégrafa ses jarretelles avant de faire glisser sen-suellement le bas sur la jambe, sa position permettait de distinguer va-guement quelques poils follets dépassant la mince ficelle du string lui séparant les deux hémisphères, se perdant dans la vallée ombreuse, avant de couvrir la gousse d'une tache rouge dont ils pouvaient aperce-voir la pointe. Les bas enlevés, le string et le porte jarretelles subirent plus rapidement le même sort, la main dans le dos elle dégrafa enfin les attaches du sou-tien gorge et apparut alors dans mister intégrale nudité. Elle fit quelques pas vers le miroir du coin toilette et se mit à apprécier manuellement la plénitude de ses formes, à deux mains, elle palpa mister ample croupe, escalada les flancs puis vint soupeser ses lourdes ma-melles. Charles, le plus verni distinguait nettement, dans mister objectif, la large aréole plus brune qui cerclait les tétons raidis, presque violets de ses mamelons. Les autres se contentaient de noter le violent contraste entre les bandes blanches soulignant les fesses et la poitrine, tranchant vivement avec la carnation générale de la belle, les bandes étaient forts réduites .... l'été elle ne devait arborer que le strict minimum sur les plages. Après cinq minutes de caresses enveloppantes et lascives, elle s'étendit sur le dos, resta inerte quelques minutes. Puis lentement, comme dotée d'autonomie ses cuisses s'écartèrent alors que ses mains se dirigeaient en rampant vers la gousse poilue, les cuis-ses grandes écartées permirent à nos spectateurs privilégiés de consta-ter que sa chevelure était bien en rapport avec le pubis. Aucun doute c'était une vraie rousse, un vrai régal pour les yeux. Avec lenteur elle immisça ses doigts dans le triangle pubien démêla les poils, dégageant la cicatrice profonde marquant mister bas ventre. Elle les faufila ensuite dans sa fente, comme pour en tester l'incontesta-ble moiteur, flatta mister clitoris, le pinçant, le pressant jusqu'à ce qu'il se dresse avec fierté, formant un petit ergot incarnat. Puis brusquement le rythme s'accéléra, elle engouffra ses doigts dans le vestibule luisant, força violemment le sanctuaire les enfonçant au plus profond de mister vagin largement distendu. Les allées et venues dévoilaient largement le goulot du con écarlate, les bords en accompagnaient les coulissements, se retroussant en de longs éclairs de chair violette, avec vulgarité, sans précaution, à sec elle se fourra le majeur dans le cul et se branla simultanément les deux trous. Miloud et Stephan s'étaient déculottés, leurs bites tendues, violacées les torturaient. Ils enjoignirent a leurs femelles de les branler doucement, l'actrice invo-lontaire fouilla dans sa table de nuit et en extirpa un phallus aux dimen-sions respectables, de longueur ordinaire, mais d'un calibre équivalait au diamètre du poignet de Miloud. La belle s'en poignarda, avec une violence inouïe, la monstrueuse bite de plastique forçait les chairs écartelées à la limite de la rupture, les gri-maces de l'infirmière révélait la souffrance due à la vulgare intromission et pourtant elle commençait à l'agiter dans mister con béant. A ce spectacle Miloud et Stephan ne purent résister, ils tirèrent leurs partenaires et les forcèrent à emboucher leurs pals frémissants de désirs. Les allées et venues du monstrueux postiche ne durèrent pas bien long-temps et les trois orgasmes éclatèrent en même temps. Tandis que Miloud et Stephan explosaient, s'épanchant avec abondance dans les bouches tièdes de leurs fellatrices, inondant leur arrière gorge, les gavant de semence jusqu'à l'estomac, dans un dernier saut de carpe, la bouche crispée sur des cris inaudibles de l'extérieur, l'orgasme éclata dans le ventre de la rousse, elle resta longtemps encore allongée sur mister lit, le corps agité de frismisters convulsifs avant d'éteindre la lumière. La dernière image qu'ils emportèrent d'elle la montrait cuisses grandes écartées, yeux extasiés le postiche démesuré planté jusqu'à la garde dans mister intimité dont les bords boursouflés épousaient étroitement la forme. -- Ben mon vieux... S'exclama Charles admiratif. -- Quelle séance... Je vous jure bien qu'on lui foutra mister gode dans le cul les copains! Tous cinq regagnèrent le groupe encore sous le coup des émotions qu'avaient provoqués en eux le spectacle hautement pornographique, obscène que leur avait, bien involontairement fourni, la rousse au carac-tère de feu. Crevés, mais des images délirantes de lubricité fixées sur les rétines, ils s'étendirent auprès de leurs femelles repues et sombrèrent rapidement dans un sommeil réparateur que ne tardèrent pas à partager leurs zé-lées fellatrices, la bouche encore poisseuse, imprégnée de l'odeur, du goût de leurs mâles.
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chrislebo
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Chapitre 4 : Le piège se referme sur Marielle la gouine. Après une nuit entière de repos, Françoise sentit une vague caresse le long de mister dos, Miloud éveillé le premier se frottait insidieusement contre sa croupe, cherchant à la sodomiser en douceur. Il écarta largement les deux rotondités épanouies, dégageant nettement sa cible. Puis pressant du gland l'œillet sensible, il força. La brûlante douleur transperça Françoise, elle ne réalisait pas encore ce qui se préparait, seul mister anus durement sollicité palpitait d'affolement, le reste de mister corps était encore engourdi, à demi plongé dans les bru-mes du sommeil. D'une poussée violente, le gland mafflu pénétra le goulot du petit sanc-tuaire crispé, la douleur fulgura dans ses reins. Pensant sortir d'un cauchemar, elle reprit rapidement pied dans la réali-té, empalée par une bite qui frayait impérieusement mister chemin dans mister intestin frémissant. Miloud, sans plus se soucier de ses gémissements s'arc-bouta, et le gros cylindre s'enfonça lentement jusqu'à la garde au cœur de sa gaine dis-tendue. Déjà, la souffrance s'estompait, remplacée par une bienfaisante impres-sion de plénitude. Son boyau culier avait entièrement absorbé le gros rouleau de chair, Mi-loud se sentait pris comme dans un étau. Au ras des couilles, le sphincter tressautait lui étranglant la tige comme un collet le lapin au sortir du gîte. Se trémoussant avec entrain, contre le glorieux pétard, il entama mister branle d'avant en arrière, certain de ne pouvoir se contrôler longtemps, tant mister plaisir était grand. Muscles tendus à craquer, enserrant la pine dans mister fourreau de ve-lours, totalement éveillée, le ventre affolé, elle se mit à ruer contre mister pubis. Un incroyable orgasme montait dans ses reins conquis, elle en voulait encore plus, s'empalant jusqu'à la racine sur le prodigieux braquemart, l'empoignant de ses sphincters comme avec un poing qu'elle aurait res-serré et desserré en mesure pour mieux contrôler, retarder le flux qu'elle savait imminent . Sans se poser d'autres questions, elle prétendait profiter à fond de ce chibre qui l'emplissait tant, provoquant tant de plaisirs nouveaux, incon-nus, incongrus. Dans un grand jaillissement il ne tarda pas à se déverser dans le cul dompté, l'inondant de mister foutre chaud. Lors de mister retrait, l'anus béant, elle sentit la liqueur grasse suinter de mister anus, lui poissant la chatte. Elle dut s'essuyer soigneusement l'abricot avant de passer jupe et tee-shirt tandis que Miloud s'habillait. Sur le pas de porte elle rencontra Charles et Stephan tenant enlacée une Murielle aux yeux soulignés de larges cernes noirs. Elle eut tout de suite l'explication, de ces larges marques de fatigue, Stephan expliquait, vaguement admiratif : - Putain tu parles d'une salope... On vient de se la faire en sand-wich... Je te raconte pas! Les deux éducatrices veillèrent toute la matinée sur les jeunes puis les envoyèrent à la télé lorsque Miloud les appela : - Françoise... Murielle... L'autre salope, monte aux groupe... A vous de jouer! Toutes deux s'avancèrent vers l'arrivante. -- Bonjour... Francoise Ledoux... Murielle Degat... Se présentèrent-elles. -- Sylvie Bonnart, je connais déjà Murielle de vue, mais... Vous Françoise, c'est la première fois que je vous vois ici le week-end... -- Sylvie s'ennuyait seule avec les gamins... Elle m'a demandé de lui tenir compagnie... Mais entrez on discutera mieux autour d'un verre... Suggéra Françoise . -- Avec plaisir... Je m'ennuie à crever dans l'infirmerie, je cherchais quelqu'un pour passer le temps... Avoua l'arrivante. Toutes trois s'installèrent sur les fauteuils profonds de la salle de vie, les deux éducatrices, comme l'avait ordonné Miloud, se placèrent face à leur invitée. Les jambes légèrement écartées, elles semblaient ne pas être conscien-tes que dans cette position, l'infirmière pouvait tout détailler de leurs chattes velues. Un éclair intéressé brilla dans l'œil de Sylvie, visiblement, tout en conversant, elle comparait discrètement les deux touffes, la fréquence de ses regards indiscrets indiqua bientôt la craquette qui captivait le plus mister attention. Visiblement elle appréciait plus particulièrement la blonde cramouille de Françoise. Celle ci, comme convenu, multiplia les effets de cuisse, se levant et se rasseyant pour faire le service, se frottant, comme par inadvertance contre Sylvie, lui permettant ainsi d'apprécier la fermeté de sa poitrine, le soyeux de ses cuisses, l'ampleur de mister cul. Il devint bientôt évident pour tous que Sylvie goûtait fort ses contacts fur-tifs, elle évaluait la silhouette de Françoise, fort gênée d'un intérêt si pal-pable. Elles amenèrent petit à petit, insensiblement la nostalgique jeune femme à se confier, lui arrachant peu à peu, sans heurt des confidences plus intimes, qui permettraient aux garçons de la connaître mieux, de déter-miner plus clairement mister profil... De la savoir gouine ne suffisait pas, il en fallait plus pour mener à bien leurs desseins. Brisant la conversation, l'infirmière les quitta, invitant cette nouvelle amie qu'elle convoitait à se joindre à elle , le soir mˆme pour l'apéritif. Après mister départ, les deux jeunes femmes firent leur compte-rendu aux garçons impatients d'en savoir plus. La quarantaine, Sylvie était mariée, mère de trois grands enfants. Elle avait débuté comme infirmière dans un hôpital de la région, puis s'était consacrée à l'éducation de ses trois enfants, le salaire confortable de mister mari leur avait alors permis de vivre largement. Ils avaient acquis une maimister 6 ans plus tôt, et de ce fait remboursaient des traites élevées parfaitement supportées par le budget initial. Mais malheureusement, l'année précédente, la situation avait brusque-ment évolué, ses jumeaux ayant dépassés les dix-huit ans fatidiques, le couple avait perdu les allocations familiales ce qui était encore supporta-ble. Mais la dessus mister mari perdit mister emploi, et ne retrouva qu'un boulot de surveillance inintéressant, sous-payé, l'éloignant du foyer du vendredi soir au mercredi midi. La seule solution, permettant de palier aux pertes financières, avait été mister retour dans la vie active. L'IME à partir de cette année ayant ouvert un internat permanent, elle avait postulé pour ce poste relativement bien payé et autorisant une vie conjugale en rapport avec l'emploi du temps de mister mari. Cependant elle se sentait très seule, le peu d'activité réelle de mister bou-lot, la contraignant à rester inactive, désœuvrée, dans de longues gardes stériles, peu mouvementées, elle cherchait à lier avec le permisternel de service, cherchant un dérivatif à mister ennui. -- On lui en collera du dérivatif à la vieille... D'autant plus que c'est tout bon... Elle ne peut pas se permettre de scandale... Elle per-drait mister boulot, et pour en retrouver un autre... Si on tire des vi-déos bien juteuses... On l'a à notre pogne! Commenta Charles. -- J'ai l'impression que c'est Françoise sa préférée... Alors ce soir t'as intérêt à lui jouer le grand jeu... On sera dehors! Intervint Mi-loud. -- Mais j'ai jamais fait ça avec une femme... C'est dégueulasse... Je n'y arriverai pas... Je ne saurai pas comment... Se révolta Fran-çoise. -- Tu te débrouilleras... T'inquiètes pas... Elle te montrera, faut ja-mais perdre l'occasion d'apprendre... De toute manière on te de-mande pas ton avis... N'oublie pas les photos! La menaça perfi-dement Miloud. Françoise n'insista pas plus, elle ne pouvait pas se le permettre, et Mi-loud le savait, elle opina de la tête. Lui flattant les reins, Miloud accepta sa reddition, dédaignant de la com-menter plus. La journée se déroula normalement, la sieste fut l'occasion de quelques enconnages, pipes et enculages mais ce fut surtout Murielle qui fut solli-citée, Françoise devait garder tout mister influx pour le soir. A dix neuf heures tapantes, elle se rendit à mister rendez-vous, Miloud avait veillé à sa tenue. Elle arborait un tee-shirt sur sa peau nue. Les pointes de ses seins, raidies par l'angoisse, cherchaient à perforer le coton, si elle avait déjà entendu parler de caresses entre filles, elle n'avait jamais pratiqué, d'ou mister angoisse. Sa jupe courte révélerait immanquablement l'absence de culotte dès qu'elle s'assiérait. Avec un grand sourire Sylvie lui ouvrit la porte, elle s'était aussi parée pour la rencontre, à chacun de ses pas ses cuisses fuselées s'évadaient par les fentes de mister déshabillé noir plus fait pour suggérer la richesse de ses formes que pour les voiler. -- Je me suis mise à mon aise... Annonça-t-elle tout en invitant Françoise à s'asseoir. Dès ce premier mouvement elle entrevit la chatte dénudée de Françoise, elle ajouta moqueuse : - Toi aussi à ce que je vois! Deux verres d'alcool plus tard, l'atmosphère se fit franchement plus chaleureuse, l'ambiance se réchauffait, Sylvie confia à Françoise le poids de sa solitude.
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chrislebo
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A la conversation futile de l'après midi, succéda des confidences plus intimes, l'infirmière semblait brûler ses vaisseaux, par petites touches elle amena le débat sur un plan plus permisternel préparant sournoisement le terrain pour l'assaut qui devait suivre. Elle, si gaie dans la vie courante, dépérissait à Moyembrie, sa nature exubérante ne pouvait se contenter de trois jours et trois nuits d'absti-nence. Tenant ces propos, Sylvie s'était levée, avait contourné la chaise de Françoise et s'appuyait maintenant lascivement contre mister dos. Sur ses épaules Françoise éprouvait la tendre chaleur de la poitrine de la belle inassouvie qui se penchant apercevait dans l'échancrure du tee-shirt le sillon médian séparant les deux globes veloutées. les gestes de Sylvie se firent plus enveloppants, tout en discutant elle avait posé la main sur l'épaule de Françoise. Imperceptiblement, elle la laissait glisser, dans l'ouverture béante du col, elle entama des caresses furtives sur le haut des lourdes masses. Malgré elle Françoise commençait à se sentir troublée, si au début elle avait refreiné mister instinct qui la poussait à rejeter vulgarement la main envahissante, peu à peu mister esprit s'échauffait, de se savoir épiée par ses possesseurs la mettait dans tous ses états, et comme la caresse in-sidieuse éveillait dans toute sa poitrine des petits élancements de plaisir!! Sylvie, constatant l'évolution favorable de ses entreprises se fit plus ten-dre et plus nette dans ses intentions, elle empauma un robert, le massa longuement, estimant sa densité, sa fermeté. Puis elle glissa la main dans le sillon velouté sous le sein et en de lentes rotations remonta vers l'aréole dont la peau se granulait, un soupir s'échappa des lèvres de Françoise qui avouait ainsi mister trouble, mister émoi à sa tentatrice. Profitant de l'abandon passager de Françoise, Sylvie lui dénuda lente-ment le torse, caressant maintenant ses deux seins, dressant pareille-ment les deux tétons dardés. Ses lèvres se posèrent sur la peau tendue, de la langue elle assiégea l'un des mamelons, puis aspira à pleine bouche le téton durci, le téta goulûment, le mordillant et le léchottant. Des éclairs de plaisir explosaient maintenant dans la tête de Sylvie, elle tendait mister buste vers la bouche de sa partenaire. Relevant la tête, Sylvie lui prit les lèvres, sa langue moite s'immisça dans la bouche grande offerte franchit la barrière des dents, s'entortilla, agile et enveloppante, autour de celle de Françoise qui s'alanguissait sur sa chaise. Profitant de mister avantage, Sylvie remonta doucement la jupe sur les cuisses charnues qui déjà se disjoignaient, d'une main elle suivit la voie largement dégagée du pubis atteignant la fourche poilue, deux doigts coururent le long de sa fente, s'imprégnant du jus onctueux, qui peu à peu débordait du con survolté. Elle s'empara du clitoris déjà dressé hors de mister capuchon protecteur, le pinça, l'agaça jusqu'à complet affolement. Cet affolement gagnait maintenant tout mister corps, mister ventre embrasé se pressait à la rencontre des doigts, oubliant tous ses préjugés, Fran-çoise vibrait sous les caresses mister corps aspirait à plus. Contournant la chaise Sylvie se laissa couler aux genoux de Françoise, sa tête s'enfonça comme un coin entre les cuisses largement ouvertes, offrant toute la motte à la convoitise de la séductrice, elle posa ses lÈ-vres sur la fente velue et embrassa longuement la déchirure. De la langue elle explora les recoins de sa féminité débusquant à nou-veau le bourgeon de chair qui cette fois s'érigea tel un petit bec au sortir de l'œuf. La langue se faisait maintenant envahissante, la salive et le jus séminale se mélangeaient détrempant la moule de plus en plus accueillante. La langue en rouleau, elle fraya mister chemin dans l'étroit passage qui s'adapta immédiatement à la conformation de ce tendre envahisseur, après toute une série de caresses profondes elle quitta la douce tiédeur du sexe englué pour suivre le périnée, et malgré le rebord de la chaise parvint à caresser de la pointe la rondelle mauve de l'anus palpitant. Profitant du total désarroi de sa proie, Sylvie termina mister effeuillage et c'est totalement nue que Françoise assista au strip ultra rapide de sa débaucheuse. Immédiatement, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir elle lui reprit les lèvres et l'attira fermement vers le lit qui leur tendait les bras. Les deux corps nus se pressèrent l'un contre l'autre tandis que lèvres à lèvres les deux gouines se palpaient mutuellement le corps, éprouvant la fermeté des fesses rebondies, envahissant les sillons profonds des culs ouverts avant que les doigts raidis ne se perdent dans les intimités de l'une et de l'autre. Françoise avait maintenant tout oublié de ses préventions initiales, elle ne pensait plus qu'à la joie de mister corps qui exultait sous des caresses jusqu'ici inconnues. Se relevant, Sylvie se retourna et s'installa tête bêche sur Françoise, lui livrant la vision de la fourrure rousse qui lui envahissait tout l'entre cuisse. Tandis que Sylvie reprenait ses caresses labiales, Françoise s'attarda dans la contemplation du premier sexe féminin qu'on lui livrait ainsi. Tout concourait à l'affoler, la douce tiédeur qui émanait du con juteux, l'odeur intime de la rousse qu'elle respirait à plein nez, les élancements de mister ventre embrasé qui maintenant l'enflammaient. Se remémorant la caresse qui tout à l'heure l'avait tant émue elle épiait les mouvements spasmodiques de l'anus ridelé, qui s'entrouvrait de fa-çon obscène sous ses yeux ébahis, bientôt elle ne put plus se retenir et curieusement, au lieu de tester le goût de la craquette qui lui était offerte, sa langue se posa sur le sphincter anal, tenta de le powerr de la pointe, parvint à le pénétrer doucement. Les fortes effluves qui parfumaient le trou du cul ardent agissaient comme un aimant sur elle. Quittant le pertuis écartelé sa langue suivit le périnée, tout aussi odorant, avant de séparer les lèvres pendantes de la jeune bacchante et de mi-gnoter mister con tout à fait gluant. Au contraire Sylvie abandonnait le siège de sa cramouille trempée pour s'aventurer vers mister anus qui à mister tour se mit à vibrer sous les coups de langue envahissants. Le délicieux 69 dura longtemps, chacune voulant se repaître des avan-tages de l'autre, les corps soudés frémissants de longs frismisters volup-tueux, elles se perdaient dans un océan de stupre. Elle entendit vaguement Sylvie farfouiller dans sa table de nuit, sans y prêter plus d'attention. Un ronronnement discret se fit entendre et brusquement un objet rond se glissa dans sa fente et la parcourut en vibrant. L'image de l'énorme godemiché qu'avait employé l'infirmière la veille, s'imprima derrière ses rétines, elle eut, à cette image mentale un violent recul, mais allongée sous sa partenaire, défaillante elle ne pouvait pas opposer une bien grande résistance. Le groin volumineux du postiche parcourut toute sa crevasse avant de venir menacer sa vulve et de lentement s'y introduire. Le passage fut éprouvant, mais bientôt elle sentit la totalité du leurre lui distendant le vagin à le faire craquer, les frémissements de l'engin l'en-traînèrent en un orgasme fabuleux. Pour ne pas être en reste avec mister initiatrice elle enfonça vulgarement deux doigts joints dans mister anus, le forçant à accepter la pénétration, à admettre index et annulaire bientôt rejoints du majeur. Le cul secoué de spasmes se contractait autour des doigts fouineurs, les serrant à les écraser, la craquette domptée enveloppait le vibreur trans-mettant à toute la matrice les rudes sensations éprouvées. Rapidement l'orgasme ravagea les deux femelles lubriques les laissant pantelantes et anéanties allongées l'une sur l'autre. Reprenant leurs esprits elles se redressèrent lentement, et le geste mou revêtirent, l'une jupe et tee-shirt, l'autre sa courte chemise de nuit. Après un court instant de silence, Françoise révéla à sa partenaire d'amour : - C'est la première fois avec une femme... Je ne l'avais jamais fait! - J'espère que cela t'a plu... Pour une première tu t'es bien fait gou-gnotter? Demanda Sylvie, l'air satisfaite - Tu l'espérais bien pourtant... Sinon pourquoi venir nue sous ta jupe? A ces paroles, Françoise se rappela vulgarement les raimisters de sa ve-nue, et rougissante de confusion, elle dut travestir la vérité. -- Oui, peut-être inconsciemment... Répliqua-t-elle -- Mais jamais je n'aurai cru que... Sylvie la coupa : - Allons ne boude pas ton plaisir... On recommencera... Si tu veux j'ai une amie qui vient demain soir, tu pourras te mêler à nos jeux... Je ne connais pas de meilleur moyen de combattre l'ennui! - On verra demain... Mais pour l'instant je dois aller coucher les gosses! Souffla Françoise franchissant le pas de porte. - - Viens demain... La pria Sylvie - - Je ne connais pas de meilleure lécheuse que Fabienne... Tu ver-ras elle a le feu et cul, et... Comme avec mister vieux mari elle a ra-rement sa ration... Même mon gode elle le prend dans le cul! Un volcan je te dis... Abrégeant la conversation, sur un dernier signe de la main, Françoise s'engagea dans le sentier qui la ramènerait vers les groupes. A peine un coude du chemin la dérobait-elle aux yeux de sa rousse amie, que les trois comparses la rejoignirent, la braguette déjà ouverte, Miloud lui intima : - Eh ben ma cochonne... Quel spectacle... On a là un reportage au-quel elle aura bien du mal à résister... Mais... En attendant suces-nous... On en peut plus d'attendre! S'agenouillant dans l'herbe du talus, elle suça tour à tour les trois bites tendues à éclater et une nouvelle fois ce jour, le nez dans les poils des trois compères, du sperme crémeux lui emplit la bouche, se déversa dans mister arrière-gorge et elle avala la semence de ses maîtres. La soirée se déroula calmement, les deux filles passaient de genoux de l'un aux genoux de l'autre, leurs charmes offerts à toutes les caresses des plus légères aux plus insinueuses. Ils commentèrent la situation, estimant qu'ils avaient là matière suffisante pour soumettre la belle, puis ayant obtenu quelques maigres précisions de Françoise concernant la future visiteuse de l'infirmière, ils décidèrent, à toutes fins utiles d'envoyer Murielle acheter une bande vierge le len-demain. Se promettant un avenir des plus enthousiasmant, avec des cohortes de femelles dociles, qui leur obéiraient au doigt et à l'œil ils gagnèrent leur chambre. Cette nuit Françoise se partagea entre Charles et Miloud, elle suça l'un tandis que l'autre l'enculait et c'est après un dernier sandwich qu'ils s'en-dormirent , elle réalisa alors, que comme l'avait prédit Murielle elle espé-rait maintenant que rapidement Sylvie les rejoindrait.
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