chrislebo
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Au bord des larmes, humiliée comme je ne l'avais jamais été, je trottinais maladroitement dans le parc sur mes escarpins en essayant de suivre notre jardinier devenu mon Maître Joseph. Dans le parc, Mouf, le labrador blanc de Gabrielle aboyait comme un fou. Il ne m'avait pas reconnue. Il tournait autour de moi en essayant de fourrer mister museau sous ma jupe pour le plus grand plaisir de Maître Joseph.. - Mouf a tout de suite senti la chienne en chaleur... il essaye de te grimper...on devrait essayer un jour... une chienne en chaleur pour Mouf... L'odeur des écuries était forte. Joseph m'a fait entrer dans la stalle vide d'un cheval en pâture. Le sol était maculé de purin et l'odeur d'urine était affreuse. A la fourche, Joseph a rapidement étalé un peu de paille fraîche sur le béton avant de baisser mister pantalon et mister slip. - A genoux dans la paille, Claudine, comme une fille de ferme qui a chaud au cul et qui tend ses fesses... Mademoiselle Claudine la prétentieuse va sucer et saliver sur la grosse bite de Maître Joseph... Je te conseille de la faire reluire avant la saillie... Le sexe de Maître Joseph était d'une taille effrayante. Je ne connaissais que celui de Marc et ceux que j'avais regardés au collège mais je n'avais jamais rien vu d'aussi monstrueux, sans parler de l'odeur... Maître Joseph, comme Maîtresse Marie, ne devait pas passer beaucoup de temps dans sa salle de bains. Le sexe de Marc était une merveille à côté de ce que je vivais ici, chez moi, du moins ce qui avait été chez moi. Bloquant ma respiration pour ne pas sentir l'odeur, j'ai embouché la bite en prenant grand soin d'arrondir les lèvres et d'écarter les dents pour être aussi accueillante que possible. J'essayais de regarder mon Maître en souriant comme si je mourrais d'envie de le recevoir, tétant mister gland avant de lécher la tige et les bourses velues. Lorsque la bite s'est tendue, je l'ai reprise en bouche en lui tripotant les bourses. Il m'étouffait tellement il était gros. Il me tenait par la nuque pour me l'enfoncer plus profondément dans la gorge. - Enfourne bien la bite de Maître Joseph... tu vas faire gorge profonde... le nez dans mes poils... J'ai senti la bite toucher le fond de ma gorge. Je me suis dégagée rapidement pour éviter de vomir devant mon Maître. - Pardon, Maître Joseph, mais vous êtes si fort, si gros... je n'y arrive pas. Il s'est mis à rigoler.... - Allez, pour une débutante, c'est pas trop mal... je te ferai progresser plus tard... maintenant, trousse-toi... débouche cette chatte et penche toi que je t'encule, petite bourgeoise prétentieuse.
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chrislebo
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J'ai retiré mon rosebud qui a glissé sur la paille. Troussée, je me suis penchée en écartant bien les fesses des deux mains pour m'offrir à la saillie. Le gland a buté contre la muqueuse avant de la défoncer vulgarement en m'arrachant un cri de douleur. Maître Joseph est resté un moment immobile avant de commencer à coulisser sa barre dans ma chatte. Le mouvement s'est accéléré. Je l'ai entendu souffler puis râler derrière moi avant de déverser un flot de jus dans ma chatte. Jamais, je n'avais été trempée de la sorte. - Remonte ton string, enculée, je veux que mon sperme coule et colle entre tes fesses. Tu dois encore me nettoyer la bite... tout ce qui sort de ton cul doit être nettoyé dans ta bouche.. remercie-moi de juter dans ton cul.... J'ai repris sa bite en bouche pour la sucer doucement, la lécher amoureusement, en le regardant, souriante, amoureuse... comme une fille comblée. - Merci, Maître Joseph, pour votre belle grosse bite dans ma bouche et dans ma chatte... c'était merveilleux... je suis trempée de vous... Merci Maître... j'espère que vous voudrez encore de moi quand je rentrerai du collège. - T'en fais pas, gourmande, tu vas en avoir de la bite quand tu rentreras, tu viendras me rejoindre dans les écuries pour te faire baiser comme une souillon...maintenant, ramasse ton bouchon de chatte et retourne à la villa... il est temps d'aller te préparer... je dois te conduire à la gare vers cinq heures. J'ai quitté Maître Joseph pour retourner vers la villa. Je sentais mister sperme épais couler... coller mon string, mes fesses et mes cuisses. Maîtresse Marie et Madame, étaient visiblement très amusées de me voir revenir. - Alors, Claudine, bourrée dans les écuries comme une jument à la saillie...donne-moi ton string que je vérifie... Honteusement, j'ai retiré mon string poisseux de sperme pour le lui remettre. Madame l'a examiné d'un air dégoûté en le tenant entre deux doigts avant de me le jeter au visage. - Pouah... Il me semble que Maître Joseph s'était réservé pour toi... j'ai rarement vu un string dans un tel état... ce n'est plus une éjaculation mais un arrosage... tu t'es fait tremper la chatte, ma pauvre chérie... c'était bon au moins ? - Oui, Madame, Merci, c'était très bon. Merci Madame. - Je suppose que tu en as encore plein la bouche et plein la chatte ? - Oui, Madame, j'en ai plein la chatte.... j'étais trempée et cela coulait dans mon string et sur mes bas. - Je le vois bien... le sperme d'un domestique aussi dévoué, c'est très bon pour les bourgeoises dans ton genre... Marie et Gabrielle mistert parties d'un grand éclat de rire. - File dans ta chambre maintenant, va te laver le cul, changer de string et de bas. Tu pues la baise à plein nez... quelle catin... fiche-moi le camp et descend à cinq heures pile pour que Maître Joseph te conduise à la gare Je suis montée dans ma chambre pour me déshabiller, me démaquiller et prendre une douche chaude. Le bonheur de sentir l'eau chaude ruisseler sur mon corps, se savonner, se laver les dents, se débarrasser de toute cette puanteur. Le string était inutilisable... j'ai donc enfilé la culotte assortie après avoir remis le rosebud en place. Lacer le corset n'a pas été une mince affaire mais j'y suis arrivé tout en diminuant le serrage pour être plus à l'aise dans le train. J'ai rangé la perruque et les hauts talons dans mon sac de voyage. Pour la première fois depuis le début du week-end, j'ai remis mes vêtements de garçon sur mes sous-vêtements de femme... redevenir Claude... Sensation étrange... sentir la tension des jarretelles sur mes cuisses... le frottement des bas crissant sur le tissu du pantalon... la douceur de la petite culotte caressant délicatement mon clitounet... le soutien-gorge et le corset comprimant ma poitrine sous la chemise, surtout sous un veston 'fermé'... Je revenais dans un autre monde. Il était presque cinq heures. Je suis descendue avec mon sac dans le vestibule de la villa...
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chrislebo
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Le lendemain, j'ai retrouvé Marc dans la cour de récréation. Il m'avait fait signe de le rejoindre. - Claudine, j'ai lu attentivement ton programme... j'ai réfléchi... Il faut d'abord que j'en parle avec Françoise Dumont... ensuite je vais appeler Gabrielle pour une stratégie possible... tu imagines bien que cette féminisation dans un collège comporte pas mal de difficultés... il faut régler une série de questions... Françoise peut nous aider... Il s'était approché de moi pour me passer la main dans le dos, puis sous mon veston avant de la plonger dans la braguette de mon pantalon... j'ai eu un mouvement de recul. - Laisse toi faire... je dois vérifier ta tenue... mais tu deviens folle Claudine... pas de soutien-gorge... pas de bas... pas de corset... - Mais Marc, je n'ai pas eu le temps ce matin... puis j'ai tellement peur que ce soutien-gorge et le corset ne se remarquent en classe. - Gabrielle a donc parfaitement raimister... si tu n'es pas contrôlée au collège comme à la maimister, tu finiras par rejouer au petit mâle prétentieux... je vois Françoise ce matin... j'appelle Gabrielle... on en reparle ensuite... en attendant, file dans ta chambre et habille-toi correctement pour aller en classe... - Marc, je t'en supplie... - Tu cesses tes simagrées, Claudine... file t'habiller et que je n'aie plus à te le dire. - Marc, j'espérais que tu allais me protéger... m'aider... - Mais Claudine, c'est ce que je fais... je te protège contre toi-même... tu dois accepter ta nouvelle condition... te féminiser... vivre en femme et cesser de croire que tu es encore un garçon... il faut te soumettre, obéir... entrer dans ta nouvelle réalité... Gabrielle a raimister... elle connaît tes faiblesses et elle a besoin de notre aide pour réussir cette féminisation délicate dans un collège de garçons. - Marc, arrête... c'est de la folie... - Tu vois, tu recommences... ne discute pas et file dans ta chambre. Consternée, je suis retournée dans ma chambre pour passer les vêtements manquants. Je me suis longuement regardée dans la glace... en chemise, le soutien-gorge marquait clairement et la rigidité du corset se devinait aussi. Même les rubans élastiques et les attaches des jarretelles se décelaient sous les jambes du pantalon. Il ne me restait plus qu'à beaucoup remuer pour éviter les regards fixes sur un point précis de mes vêtements... pour détourner l'attention... Marc était absent à la première heure de cours. J'imaginais bien qu'il était à l'infirmerie en discussion avec Françoise Dumont. Elle lui donnerait une autorisation de s'absenter du cours. Impossible de fixer mon attention sur le cours... je pensais à tout sauf à ce professeur qui tentait de nous faire traduire du latin... chaque fois que mister regard venait dans ma direction, j'avais l'impression qu'il me transperçait... qu'il devinait mes sous-vêtements... je baissais les yeux honteusement. Un jeune garçon est venu remettre un petit mot au professeur qui a levé les yeux sur moi. Claude Mouriau... vous devez vous rendre à l'infirmerie immédiatement. Rouge de confusion... j'ai dû me lever devant toute la classe... sous tous les regards perçants... affronter des sourires qui me semblaient autant de coups de poignard... je me sentais plus nue que nue... savaient-ils quelque chose... En route vers mon destin de féminisée.. corsetée, gainée, bouchée... A l'infirmerie, j'ai retrouvé Marc en discussion animée avec Madame Dumont. Ils se tutoyaient comme de vieilles connaissances. Ils avaient l'air de bien s'entendre. Je n'y comprenais plus rien... mais il y avait quelques jours que je ne comprenais plus rien... Madame Dumont m'a longuement regardée. - Enlève moi tous ces vêtements de garçon manqué et assieds-toi, Claudine. Nous devons te parler sérieusement. Tremblante, j'ai retiré mon veston, délacé mes souliers, puis avec hésitation baissé mon pantalon. J'étais devant eux, humiliée, en tenue de féminisée. - La décision est donc prise, Claudine... nous avons téléphoné à Madame Gabrielle pour lui faire part de notre intention de l'aider dans la transformation qui t'attend et pour prendre ses avis. J'ai pris connaissance de ton programme. Marc me l'a communiqué. Je ne puis qu'y adhérer totalement. Nous devons absolument obtenir ta collaboration, ta soumission et ta parfaite obéissance pour réussir ce que nous entreprenons. Il faut donc mater tes révoltes pour éradiquer ton reste de masculin et obtenir cette conduite de soumission qui sied aux femmes dans ton genre. Le traitement prévu par ta gouvernante n'est pas possible dans ta chambre actuelle à l'internat. De même, les séances de déshabillage public aux douches ou à la gymnastique mistert évidemment à proscrire. Je vais donc t'installer dans la seule chambre qui dispose d'une petite salle de bains et d'une toilette. Tu n'iras plus aux douches avec les autres élèves et je te ferai dispenser du cours de gymnastique pour raimister médicale. Cette chambre mieux équipée te permettra de prendre tes lavements du matin en toute discrétion... elle rendra possible ta maintenance disciplinaire qui est indispensable pour t'aider à accepter ta nouvelle idenité... c'est aussi plus facile pour recevoir tes petits copains. Tu dois bien comprendre, Claudine, que tu vas devenir femme... une femme un peu spéciale tout de même... dans le monde du transsexualisme on pratique toujours les partenaires multiples... c'est du sexe libertin... c'est pas du sexe vanille...Il est donc inutile pour toi de rêver d'une grande histoire d'amour avec mariage et enfants... tu me suis Claudine... - Plus ou moins, Madame. - Je ne suis pas Madame, je suis 'Maîtresse' pour toi... c'est clair ? - Oui, Maîtresse. - T'attacher à un seul garçon n'a pas de sens... Madame Gabrielle insiste pour que tu profites de ce qui te reste de temps à l'internat du collège pour rencontrer un maximum de garçons... avec des rapports sexuels évidemment... Nous sommes tous bien d'accord la dessus... tu dois inverser et apprécier ta nouvelle sexualité... elle doit devenir ta norme... Marc organisera et surveillera cette partie de ton éducation... tu comprends que je ne peux pas prendre un tel risque et jouer avec ma situation au collège. Par contre, je passerai chaque matin dans ta chambre te faire ta piqûre d'hormones féminines et te donner les cachets que tu dois avaler... tu m'attendras, purgée et nue, pour ta maintenance disciplinaire. Je m'en chargerai à moins que Marc ou un de ses copains... - Un de ses copains, Maîtresse ? - Pourquoi pas, Claudine... je viens de t'expliquer que tu auras de multiples partenaires... tu écoutes ou pas.... il peut y en avoir qui apprécient de te fouetter... c'est cela le libertinage... de toute façon, c'est décidé et c'est notre décision qui compte... compris. - Oui Maîtresse. J'étais déjà au bord des larmes devant cette nouvelle offense alors que Marc se taisait. Il acceptait donc.
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chrislebo
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- Donc, tes trois lavements d'abord... hormonage ensuite... maintenance disciplinaire...habillage dans la tenue qui te sera indiquée et départ pour les cours... Marc réglera ton emploi du temps pendant la journée et les temps libres... tu lui obéis sans discuter et tu l'appelles 'Maître Marc'... noté... Oui Maîtresse. - Tu relis à fond ton programme et tu le respectes à la lettre. Même chose pour les instructions orales... ce matin, tu n'étais pas en tenue... je parie que tu n'as même pas pris tes lavements et je jurerais que tu n'a pas mis ton 'chapeau' cette nuit. Rouge d'embarras, j'ai avoué... - Non, Maîtresse... - Tu vois bien, Claudine... ce mistert toutes ces petites révoltes qu'il faut combattre pour faire de toi une jeune fille libertine... il n'y a que le martinet et la cravache pour te rendre obéissante... tu peux compter sur moi... j'adore ça... dans quelques mois, tu promèneras deux gros seins qui vont faire rêver les garçons... tu ne pourras plus jouer au garçon manqué quand tu sentiras tes gros seins remuer agréablement dans ton soutien-gorge... Madame Gabrielle m'a dit au téléphone que ta mère avait de très gros seins... Que ta mère ait des gros seins est un excellent signe pour toi... j'espère que tu auras des bonnets C... profite donc du temps qui te reste au collège... parce que tu ne pourras pas rester ici avec des gros seins trémulents... Françoise et Marc se regardaient en riant, constatant ma confusion. - J'allais oublier, Claudine... je vais cadenasser ta pissette dans une cage de chasteté... plus question de la tripoter en cachette... ce mistert tes petits copains qui doivent te la tripoter... pas toi... Marc leur remettra la clé de ta cage... regarde comme ta cage est mignonne... j'ai pris le plus petit modèle parce que je savais qu'il n'y avait pas grand chose à mettre dedans... on va la placer tout de suite... baisse ta culotte.... Quelques instants plus tard, j'étais honteusement cadenassée dans une petite cage en plastique qui m'interdisait tout attouchement. - Elle ne te posera pas de problème pour t'accroupir... pour tes petits besoins... mais il faut s'accroupir évidemment... Marc te montrera où aller t'accroupir dans la cour de récréation... c'est pas très propre mais il faudra t'en contenter... cette cage de chasteté obligée va surtout aiguiser ton désir, ton besoin de rencontrer des garçons... eux peuvent te libérer et te tripoter... et tu sais que c'est bon... - Oui, Maîtresse. - A la bonne heure... maintenant je vais faire ta première piqûre et tu vas avaler tes pilules... tu peux commencer à fantasmer sur tes gros seins... heureuse ? - Oui, Maîtresse... très heureuse... merci, Maîtresse. - Marc, nous pourrions peut-être profiter de mister passage à l'infirmerie pour prendre quelques photos de Claudine... elle prendrait des poses nue et en sous-vêtements... cette idée de press-book est excellente pour permettre aux internes intéressés de vérifier la marchandise avant usage. - Fais lui d'abord sa piqûre, Françoise... puis elle prendra les poses... mais je voudrais aussi des photos d'elle en train de sucer et de se faire enculer... tu pourrais prendre les photos pendant que je l'utilise.... - Bien sûr. Après la piqûre d'hormones, le flash a crépité pendant une bonne demi-heure. Je me suis présentée sous tous les angles, en sous-vêtements, nue, souriante, exhibant ma cage, ma chatte bouchée par le rosebud.
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chrislebo
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Marc s'est ensuite déculotté pour me permettre de le sucer avec toutes les variantes, souriante en le regardant amoureusement. J'ai été prise en levrette, puis courbée sur une table, puis sur le dos avec les genoux relevés pendant qu'il me pistonnait la chatte. Finalement, Maîtresse Françoise à suggéré à Marc de m'éjaculer dans la bouche et sur le visage pour quelques photos plus humiliantes... bouche ouverte pleine de sperme... du sperme dans les yeux... le sperme dégoulinant aux commissures de mes lèvres, sur le menton. Très joli disait-elle entre deux prises de vues. - Ce sera parfait comme cela... elle ne pourra pas raconter qu'elle n'aime pas la bite... il faudrait encore quelques photos osées avec ses futurs amants pour bien montrer qu'elle est la femme de n'importe qui... les garçons vont adorer ce press-book. Effondrée, je suis repartie en classe avec Marc. Nous traversions silencieusement la cour de récréation.... - Avant de rentrer en classe, Claudine, je vais te montrer le petit coin que je t'ai choisi... c'est là que tu devras aller t'accroupir... ce cabinet là et pas un autre... suis moi... Dans le coin de la cour, il y avait une quinzaine d'urinoirs à ciel ouvert et six cabinets fermés pour s'isoler. Marc s'est arrêté devant l'avant dernière. L'odeur dans cette partie de la cour était affreuse, à croire que ce n'était jamais nettoyé. - Voilà c'est ton cabinet... c'est là que tu te soulageras accroupie et c'est là que tu suceras tes copains pendant les récréations. Quand je te dirai... 'au pot'.... tu fileras t'accroupir dans cette chiotte, pas une autre, chemise ouverte, pantalon sur les talons, dessous exhibés... tu recevras les copains qui veulent se soulager rapidement... ceux qui aiment les pipes... les pipes, tu connais... Gabrielle m'a dit que tu adorais cela... il paraît que tu suces même ton jardinier... va visiter ton petit coin privé... J'ai ouvert la porte en bois ajourée. Le spectacle était repoussant. L'odeur était infecte. Une vieille cuvette de porcelaine sale, pas de lunette, une crasse repoussante, des traces récentes de merde dans le pot, le sol trempé de pisse , une odeur insupportable. Je me suis mise à pleurer. - Marc, je t'en supplie, pas cela... c'est dégueulasse... J'ai pris une gifle en pleine figure. - Je suis Maître Marc, Claudine... cela suffit maintenant... tu cesses de faire tes chichis de bourgeoise... une chiotte reste une chiotte... c'est pas un salon de thé ici, Mademoiselle Mouriau... tu dois s'habituer aux odeurs poivrées... quand tu renifles le chapeau pisseux de Maîtresse Marie, cela te dérange moins... tu as vraiment besoin du fouet, Claudine... Gabrielle a raimister... on doit te dresser. Je pleurais à chaudes larmes. Marc s'est un peu radouci. - Sèche tes larmes... t'es pas montrable... qu'est ce qu'on va croire si je te ramène comme cela en classe... il n'y a quand même pas de quoi en faire un tel drame... tu es une féminisée soumise à qui je propose des jeunes sexes vigoureux... tu adores sucer et te faire enculer... alors dans une chiotte ou dans ta chambre, c'est toujours bon à prendre... c'est toujours des bonnes bites... De retour en classe, j'étais perdue dans mes pensées, incapable de me concentrer sur quoi que ce soit sauf sur la présence de mes sous-vêtements et sur le prochain avilissement que j'allais subir. Pendant la récréation de l'après-midi, j'ai vu Marc en conversation animée avec cinq ou six internes de ma classe. Je m'étais cachée dans un coin de la cour pour éviter de nouvelles offenses mais Marc m'a fait signe de les rejoindre. - Claudine, viens te mettre au centre du groupe... tu ouvres ton veston et tu descends la tirette de ta braguette... petit contrôle de routine... Je l'ai regardé d'un air suppliant mais sans résultat... j'ai été rapidement poussée au milieu du groupe... coincée mais heureusement cachée pour le reste de la cour... j'ai descendu piteusement la tirette de mon pantalon. Les mains se mistert immédiatement glissées dans ma culotte et sous mon veston pour vérifier la présence de chaque dessous. - Elle a ses bas et mister porte-jarretelles... - Ok... elle a mister corset et mister soutien-gorge... Une main s'est glissée dans mon string pour prendre possession de ma cage de chasteté. - Mais, ma parole, tu ne nous a pas dit cela, Marc, sa pissette est en cage... - Pas de panique, les copains... c'est moi qui ai la clé pour ceux qui veulent la tripoter... elle ne bande pas très fort mais elle bande quand même un peu... elle mouille même sa petite culotte... pas grand chose... mais elle mouille... n'est ce pas que tu bandes mou et que tu mouilles, Claudine... Anéantie, j'ai murmuré. - Oui, Maître Marc, je bande mou et je mouille ma petite culotte. - Elle y a pris goût... elle mouillait même de plus en plus souvent... c'est pas bon les branlettes pour aiguiser sa libido... c'est pour cela qu'elle doit porter une cage... si elle veut faire gicler sa pissette, elle doit draguer le mec qui peut ouvrir sa cage et libérer le petit oiseau... n'est ce pas Claudine... -Oui, Maître Marc...
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chrislebo
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Pendant que ses copains me palpaient en rigolant, Marc reprenait sa discussion. - Bon, les mecs... dans quelques mois, Claudine devra évidemment quitter le collège...à cause des hormones... vous ne la voyez quand même pas en classe avec une grosse paire de nichons... Françoise Dumont est formelle... Claudine aura des gros nichons comme sa mère qui n'était pas capable de lui fabriquer une grosse bite... donc, au mieux, elle terminera l'année scolaire avec nous... à nous d'en profiter. Comme nous sommes jeunes et pas riches, je propose des tarifs démocratiques 5 euros pour une pipe dans les chiottes et 10 euros pour une partie de jambes en l'air, le soir, dans sa chambre... elle attendra ses amoureux en tenue, perruquée, maquillée, la chatte bien propre, vaselinée et dilatée. A mon avis, elle peut normalement sucer une dizaine de mecs pendant les récréations et en recevoir quatre ou cinq le soir... cela nous ferait au moins 100 euros par jour pour payer ses menus frais et le solde pour faire la fête... qu'en pensez vous ? Tout le monde était d'accord. J'écoutais, effarée, en regardant mes souliers pour ne pas croiser les regards égrillards de mes jeunes bourreaux. J'allais être prostituée... devenir la lopette de tout l'internat jusqu'à ce que le gonflement de mes seins me permettent de leur échapper. Mais ce serait juste pour tomber entre les mains de Madame Gabrielle et de ses domestiques complices... Je réfléchissais à mon sort peu enviable lorsque j'ai entendu Marc me dire. - Si tout le monde est d'accord, on commence tout de suite... ne perdons pas de temps... 'au pot' Claudine.... tu fermes le verrou de ton cabinet et tu n'ouvres que si on te dit 'au pot'... c'est le mot de passe... allez, au travail... Avilie, perdue, j'ai quitté le groupe pour rejoindre mon ignoble cabinet. Il était encore plus dégueulasse que tout à l'heure, probablement utilisé entre temps par quelques élèves. Ecoeurée, bloquant ma respiration, j'ai posé mes fesses sur l'immonde porcelaine humide, pantalon sur les talons en essayant de ne pas toucher le sol, entrejambes bien écartée, chemise ouverte pour exhiber mon soutien-gorge et mon corset. Un coup sur la porte puis l'humiliant 'au pot'... le défilé a commencé... Roland le premier, puis Jean-Pierre, Paul, Bernard et Nicolas... je les dégrafais rapidement pour dégager les sexes et les bourses... je les léchais docilement avant de les emboucher tout en griffant légèrement leurs bourses. Heureusement, les garçons venaient vite, trop heureux de pouvoir se soulager dans un collège qui n'offrait aucune opportunité comparable. J'avalais tant bien que mal les jets de sperme âcre en souriant et en remerciant comme on me l'avait appris. Quand la cloche a misterné la fin de la récréation, j'en avais sucé cinq... je me suis rajustée en vitesse, trop heureuse de pouvoir quitter cet infâme cabinet pour rejoindre les rangs. J'avais la bouche pâteuse, la langue collante et des traces suspectes sur mon visage que j'essayais de nettoyer avec un mouchoir. En classe, Marc m'a félicitée pour ma performance. - Pas mal pour un début... tu es une bonne tailleuse de pipes... ils étaient contents... 25 euros vite gagnés... après la classe, tu files dans ta chambre prendre tes lavements... ce soir, ils veulent recommencer, mais dans ta chatte... elle doit briller... je te retirerai ta cage pour que tu puisses prendre du plaisir... remercie moi d'y penser... ce sera si bon de pouvoir enfin mouiller ta petite culotte... tu penseras à être accueillante, souriante et surtout à bien remercier tes clients en leur faisant comprendre que tu rêves de les revoir... n'oublie pas que demain matin, il y a ta maintenance disciplinaire au martinet... - Merci, Maître Marc, de me permettre de prendre du plaisir... je serai souriante et accueillante pour recevoir vos amis. La classe terminée, j'ai déménagé toutes mes affaires dans ma nouvelle chambre. Elle était agréable, isolée au fond d'un couloir avec une grande fenêtre et une belle vue sur les jardins à l'arrière du collège. Le grand confort, c'était surtout cette petite salle de bain avec douche et une toilette propre. Un vrai luxe dans cet internat. J'ai commencé par boire un grand verre d'eau, à me brosser les dents avant de me jeter sous la douche pour effacer les traces et les odeurs de l'après-midi. Marc est passé dans ma chambre vers huit heures du soir pour régler les détails de ma tenue, retirer ma cage, surveiller ma séance de maquillage, choisir la perruque et les escarpins vernis. - Tu es adorable en rose avec ton corset noir et tes bas fumés... tu te maquilles fort... les lèvres bien rouges... les yeux charbonneux... comme une salope quoi... tu te graisses bien la chatte... ton premier client arrive à 8h30... tu as une demi- heure par client avec un rapide passage à la salle de bain pour te rincer la chatte et la bouche... dès qu'un client entre dans ta chambre, tu t'agenouilles à ses pieds... tu le dégrafes et tu le prends en bouche... quand il est dur, tu lui demandes s'il veut juter dans ta bouche ou dans ta chatte... dans quelle position pour la chatte... si tu bosses bien, tu devrais pouvoir aller dormir vers onze heures... n'oublie pas ton chapeau pour cette nuit... Marie a bien insisté... et demain, tu te lèves vers cinq heures pour prendre tes trois lavements avant la messe. Bonne soirée et bon amusement, ma Claudine... je serai au courant de tout... n'oublie pas ta séance de discipline après la messe et le petit déjeuner.... Je te conseille de ne pas me décevoir. Les garçons ont défilé toute la soirée. La plupart m'ont prise en levrette sur le lit sans vaiment prendre la peine de me caresser. J'étais traitée comme une vache conduite au taureau. Bernard est le seul qui a préféré gicler dans ma bouche et sur ma figure. Nicolas est passé le dernier. Il a déchargé des flots de sperme dans ma chatte en exigeant que je remonte ma culotte pour que le jus coule lentement dans ma culotte. - Mets ton 'chapeau' pour la nuit... tu sais bien, Claudine, que tu dois mettre ton 'chapeau' pour t'endormir... J'ai été cherché la culotte de Maîtresse Marie dans mon armoire. Enfermée dans mister sac en plastique, elle dégageait une forte odeur d'ammoniac. Nicolas me l'a ajustée sur le nez avant de m'autoriser à me coucher. - C'est fini pour ce soir, Claudine... tu peux tranquillement chipoter ton clitounet en respirant la culotte sale de Maîtresse Marie... Bonne nuit, petite pute...
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chrislebo
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Claudine au collège Le lendemain matin, mon réveil a misterné à 5h30. J'étais complètement crevée. Il fallait pourtant absolument me lever pour terminer ma séance de lavements avant la messe de sept heures. Après ce que j'avais vécu la veille au soir, j'avais bien compris la nécessité d'être parfaitement propre de ce côté... les garçons n'hésitaient pas à me prendre et me reprendre fougueusement par derrière avec plusieurs passages en bouche entre les pénétrations. La seule idée de devoir respirer, lécher, sucer un sexe sale me soulevait le coeur. J'ai donc rapidement considéré les lavements comme une bénédiction. Voilà au moins une obligation aisément respectée. La veille, mes amants avaient d'ailleurs remarqué ma répugnance devant les odeurs douteuses des sexes, des caleçons et des corps mal lavés... Bernard m'avait lâché... - Ne me dis pas que cela te dégoûte... C'est vrai que je suis sensible aux odeurs. Je ne m'y habitue pas... je ne m'y habituerai jamais... ce doit être mon éducation bourgeoise... C'est plus fort que moi... dans notre monde on préfère Dior... Saint Laurent... Chanel aux odeurs de pisse, de merde et de transpiration. Alertée par Marc et Françoise, avec qui elle s'entretenait régulièrement par téléphone, Gabrielle avait pris note de ce point délicat. Elle comptait réfléchir aux moyens de mieux combattre cette répulsion bourgeoise. Le fait de m'imposer le reniflage des culottes portées de la cuisinière était déjà une contrainte humiliante... la séance avec Maître Joseph dans les écuries en avait été une autre... passer les récréations à l'abri des regards mais dans un cabinet immonde avait été une idée de Marc... mais Gabrielle l'avait approuvée sans hésitations... Je devinais bien que, dans l'esprit de Gabrielle, une féminisée soumise doit accepter les odeurs sans rechigner, dissimuler mister dégoût et ses hésitations pour ne pas vexer mister Maître ou sa Maîtresse. Les lavements au moins me permettaient d'éviter de mauvaises surprises. Je pourrais, sans trop d'appréhension, prendre en bouche ce qui avait été retiré de ma 'chatte'. Comme prévu, mes trois lavements se mistert terminés peu avant sept heures, l'heure de la messe du matin. Les eaux de rejets étaient plus ou moins claires mais pas encore transparentes. La veille au soir, Marc m'avait précisé ma tenue du lendemain. Un ensemble rose bonbon avec mon corset blanc et des bas satinés noirs. Il avait insisté pour que je remette ma pissette dans sa cage avant de m'endormir. Je devais lui apporter la clé du cadenas à la messe. Marc est venu me rejoindre dans les rangs. A l'église, il a pris une chaise à côté de moi. Je lui ai discrètement remis la clé de ma cage. Pendant toute la messe, j'ai dû tolérer ses attouchements précis pour me vérifier de haut en bas. Il s'assurait de la présence de chaque sous-vêtement. Il a murmuré... - Tu as pris tes lavements ce matin, Claudine. - Oui, Maître Marc, j'ai pris trois lavements. - Tu as vaseliné et dilaté ta chatte... ils disent tous que tu es trop étroite... travaille ta chatte avec un gode plus épais, bon sang... ça doit rentrer comme dans du beurre... sans faire de chichis... - Oui, Maître, mais il y en a qui mistert si gros. - Non mais je rêve... c'est ça qui est bon, sotte... tu dois prendre toutes les tailles sans faire ta bourgeoise... travaille ta chatte au lieu de pleurnicher... - Bien, Maître Marc. - Je passerai dans ta chambre avec Françoise après le petit déjeuner. Je veux vérifier l'état de ta chatte après tes ébats d'hier soir... j'assisterai à ta maintenance disciplinaire... tu en as bien besoin... tes clients mistert modérément satisfaits... trop étroite... beaucoup d'hésitations... de la négligence dans l'action... un manque d'enthousiasme... tu dois t'investir... obéir plus vite... cesser de supplier... sourire... montrer ta satisfaction... remercier... en redemander... tout à l'heure, on va te marquer les fesses et les seins pour que tu acceptes ta féminisation en profondeur... - Je vous assure, pourtant, Maître Marc... j'ai fait mon possible... - On ne te demande pas de faire ton possible... tu dois faire l'impossible... Gabrielle a parfaitement raimister... il n'y a que la cravache et le martinet pour te dresser... t'obliger à vivre ta féminité... humilité, soumission, obéissance immédiate mistert tes nouvelles règles... nous en sommes encore loin... Françoise va te marquer comme une vache pour t'apprendre la discipline. - Je vous en supplie, Maître Marc, je vous promets de m'améliorer... - Mais nous y comptons bien... et tu vas t'améliorer... mais rien de tel que la cravache et le martinet pour te faire progresser... tu en as impérativement besoin, Claudine... remercie-moi... - Merci Maître.
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chrislebo
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La messe terminée, nous sommes allés au réfectoire prendre notre petit déjeuner avant la récréation. Marc m'a envoyée dans ma chambre. - Tu nous attends nue, debout et penchée devant ton lit en tendant bien tes fesses... tu mets la culotte de Maîtresse Marie en bouche pour étouffer tes cris... nous arrivons... Ils mistert arrivés quelques minutes plus tard... j'ai d'abord reçu ma piqûre d'hormones et mes cachets... je me suis mise en position de discipline... La punition a été affreuse... chaque fesse marquée d'au moins vingt coups de cravache... retournée, j'ai du présenter mes tétons pour un cravachage encore plus douloureux. La poitrine marquée de longues estafilades rouge... je poussais des cris de douleur étouffés par la culotte pisseuse enfoncée dans ma bouche... elle frappait méchamment... Je les ai suppliée... implorée... pitié... pitié... je ferai tout ce que vous voudrez... sans aucun effet... En larmes, j'ai été positionnée en levrette sur le lit pour recevoir le martinet. Je n'ai même plus compté les cinglées... c'était affreux. Fouettée pendant plus d'une demi-heure, je n'avais plus visage humain, ravagé par les larmes et la souffrance, les fesses en feu, les seins endoloris. - Voilà Claudine ce qui t'attend chaque matin si tu continues à te montrer récalcitrante... on ne va pas te le répéter cent fois... dilater ta chatte... te donner à fond sans arrière pensée... regarder amoureusement ton amant... tu lui souris... tu quémandes sa bite... tu en redemandes... tu soignes tous les détails... tu acceptes toutes les poses... toutes les caresses.... ton seul but doit être le plaisir de ton partenaire... il paye pour ce plaisir... tu es là pour lui en donner comme une fille qui rêve de bites... est ce bien compris ? - Oui Maîtresse, c'est bien compris. - Remercie-moi maintenant... - Merci Maîtresse Françoise... - Remercie moi convenablement, espèce de sotte. Je l'ai regardée d'un air interloqué... je comprenais mal... - On ne t'a pas appris à remercier correctement une Maîtresse qui prend la peine de te fouetter... à genoux... sous les jupes... la langue collée contre sa culotte... le nez dans sa fente... tu veux que je reprenne le martinet... Je me suis jetée aux pieds de Maîtresse Françoise sous les regards amusés de Marc. Elle a soulevé sa jupe pour me permettre de prendre la position... Sa fine culotte mousseuse et transparente sentait délicieusement bon... le sexe était gracieusement épilé... l'odeur agréable... j'attendais immobile... elle a écarté la patte étroite de sa culotte... j'ai plongé ma langue et mon nez dans cet adorable tabernacle. - Doucement, Claudine... lèche doucement... le bouton en haut... là... comme ça... doucement j'ai dit... avec le bout de la langue sur le bouton... tripote le... dans la fente maintenant... sur mon petit trou... bien dure la langue... entre et sort... là.... retourne sur le bouton... oui...oui... encore... encore... vas-y... J'ai aimé cette séance tout en douceur. Maîtresse Françoise m'a serrée entre ses cuisses en pressant mister sexe sur mon visage... elle est partie vulgarement en poussant un grognement de plaisir... j'étais heureuse de la satisfaire... Je suis restée à ses genoux pendant qu'elle se rajustait rapidement. - Pas mal... tu es une bonne langue, Claudine... je sens que je vais en profiter régulièrement après t'avoir fouettée... maintenant, habille-toi vite pour aller en classe... pendant la récréation de dix heures, tu suces deux clients dans ton cabinet... pendant la récréation de quatre heures, tu retournes dans ton cabinet... il y a trois candidats. Après tes sucettes tu retournes dans ta chambre pour l'étude. Tu recevras la visite de deux copains dans ta chambre... tu as quartier libre pendant la récréation du soir. A partir de huit heures, tu as trois clients. Tu ne les connais pas tous... ne sois donc pas surprise...Marc a repéré une série de garçons dans les classes inférieures ... des gamins dont la barbe commence à pousser... c'est toi qui va les initier... ils ont vu tes photos... ils ne demandent qu'à faire une première expérience sexuelle avec une grande... - Et mes devoirs, Maîtresse... je les ferai quand ? - Ecoute, Claudine, tu ne vas pas nous enquiquiner avec tes devoirs... tes résultats scolaires n'ont plus aucune importance... il ne s'agit pas de réussir ton année scolaire mais de réussir ta féminisation... de toute manière, tu ne termineras pas ton année au collège... profites en au moins pour devenir une bonne suceuse, une bonne lécheuse, une bonne videuse... c'est ton avenir de femme soumise qui est en jeu... habille toi maintenant... Affolée, les fesses et les seins en feu, je me suis habillée devant eux. La suite à venir..
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chrislebo
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La journée a été épuisante... dans mon cabinet puant... j'ai même sucé un sale gamin roux et vicieux qui devait à peine avoir quatorze ou quinze ans... à l'internat, on le surnommait Poil de Carotte... un vrai roux qui pue... - Tu suces pas mal, Claudine... un soir, je viendrai t'enculer... la bite de Poil deCarotte dans ta chatte... tu en rêves... - Oui, Michel, j'en rêve... ne me fais pas trop attendre... j'ai tellement envie de ta bite dans ma chatte... je ferai tout ce que tu voudras... tu verras comme ce sera bon... reviens vite me voir... Je m'humiliais tant et plus, accroupie sur le pot humide, devant ces gamins excités qui plongeaient leurs sexes tendus dans une bouche accueillante. Tout plutôt que la cravache et le martinet. Ce jour là, ils m'ont inondée de sperme. Le soir, ils m'ont labouré la chatte comme des furieux... je quittais une bite pour en découvrir une autre... la bouche pleine... la chatte endolorie, gercée malgré les couches de vaseline dont je m'enduisais la fente entre deux passes. - Trou à bites... videuse de couilles... lopette... chiotte... Je n'avais pas le temps de réfléchir à ma situation dégradante. Ces gamins avaient raimister... je n'étais plus qu'un trou à bites, une videuse de couilles, une véritable chiotte dans laquelle ils se branlaient quand ils ne jutaient pas dans ma chatte. Les journées se succédaient rythmées par les mêmes séances... lavements... traitement aux hormones... discipline... lécher Maîtresse Françoise... habillage... sucer dans mon cabinet.... baiser dans ma chambre... je prenais la bite de mieux en mieux... Par contre, je n'étudiais plus rien. Mes résultats scolaires étaient simplement catastrophiques. Comment étudier 'au pot' dans une chiotte crasseuse... dans une chambre régulièrement visitée à l'improviste pour exiger mes services. Un mois plus tard, j'étais la lopette de tous les adolescents en âge de baiser à l'internat. Parfois, Marc m'ordonnait même d'aller draguer un gamin dans la cour de récréation. Je devais alors l'approcher, engager une conversation explicite, lui proposer de feuilleter mon press-book qui s'enrichissait régulièrement, l'attirer dans mon cabinet pour lui offrir une première fellation gratuite. Les grands observaient mon manège à distance... ils rigolaient quand ils me voyaient partir vers les chiottes avec une nouvelle conquête à mes trousses. - Caisse... Claudine a un jules supplémentaire... Mes pointes de seins étaient devenues sensibles, parfois même douloureuses. Les premiers gonflements de ma poitrine s'étaient manifestés. Je remplissais mes soutien-gorges mais ce n'était encore que des bonnets A. Chaque matin, Françoise examinait et palpait mes seins après ma piqûre d'hormones, avant la séance de discipline. Grâce à la cravache et au martinet, ils obtenaient tout de moi... tous les abaissements... domptée, dressée, j'obéissais maintenant au doigt et à l'oeil... je ne perdais même plus mon temps à implorer une pitié qui ne m'était de toute manière jamais accordée. Souriante.... j'étais la grande amoureuse... je suppliais mes amants de revenir le plus vite possible... ils ne s'en privaient d'ailleurs pas... je les flattais sur la qualité de leurs performances, leurs superbes virilité, leurs solides érections, l'abondance de leurs éjaculations, le bonheur que j'avais ressenti quand ils me labouraient profondément la chatte. Les commentaires fusaient... C'est fou ce qu'elle aime la bite... elle avale tout... elle bande mou... elle mouille un peu... racontaient les internes dans la cour de récréation. Je les entendais en parler ouvertement quand je passais entre les groupes qui se marraient en m'apercevant. - N'est ce pas que tu aimes les bites juteuses, Claudine... - Tes nichons gonflent, Claudine... - Ta culotte est assez grande mais ton soutien-gorge devient trop petit... Il ne me restait plus qu'à m'enfuir piteusement pour échapper à leurs sarcasmes. Je soulageais ces garçons, connus et inconnus, sans me poser de questions, trop occupée à dégrafer rapidement les pantalons, à dégager les sexes et les bourses sur lesquelles je m'activais, en souriant... Tout l'internat me passait dessus... Bite en bouche ou bite au cul ne changeait pas grand chose. Le scenario était finalement le même. Ma seule préoccupation était de les faire décharger vite et agréablement... pour éviter le martinet... Les odeurs fortes me dérangeaient toujours autant mais je m'étais résignée. J'avais pris l'habitude de bloquer ma respiration, de prendre vite en bouche et d'oublier les odeurs... même celle du cabinet. . Marc et Françoise étaient relativement satisfaits de mes performances. Les séances matinales de maintenance disciplinaire s'étaient un peu adoucies pour ne pas trop me fatiguer. En accord avec Madame Gabrielle, ils ne m'ont pourtant jamais fait grâce d'une maintenance disciplinaire. A leurs yeux, c'était le socle de ma féminisation, de ma soumission et surtout de ma parfaite obéissance. Accroupie dans mon infect cabinet, je suçais facilement une dizaine d'élèves durant les récréations de la journée. J'en recevais quatre ou cinq le soir dans ma chambre.
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chrislebo
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Après quatre mois de traitement aux hormones, il a fallu changer la taille de mes soutien-gorges. Informée, Madame Gabrielle a préféré acheter tout de suite des bonnets de taille C, considérant que mes seins allaient encore grossir. On pouvait faire l'économie des bonnets B. Mes cheveux poussaient. On les avait d'abord réunis en un petit catogan. Aujourd'hui, je promène une queue de cheval blonde qui allait permettre une véritable coiffure de femme dans les prochaines semaines. Je cachais mes seins tant bien que mal sous mes vestons en rentrant la poitrine. Je me déplaçais rapidement pour éviter les regards fixes sur un détail précis de mon anatomie. Plus mes seins ont grossi, plus mon succès augmentait... les garçons adoraient les peloter, les malaxer, étirer les pointes... Marc exigeait que je les sorte des bonnets pour les présenter, nus, aux caresses... il a pris quelques photos de moi, accroupie sur le pot... tous seins dehors... il y avait d'autres clichés, bites en bouche, appliquée, souriante, levant humblement les yeux sur mon partenaire pour vérifier la montée de mister plaisir. Au mois de juin de cette année scolaire, après neuf mois de traitement aux hormones , mes seins avaient atteint leur taille actuelle. Je remplissais mes bonnets C. Naturels, bien formés, les deux gros seins remuaient doucement sur mon torse. Ils faisaient la joie des internes... C'est alors que Françoise Dumont a estimé qu'il n'était plus possible de cacher une telle poitrine. J'allais devoir quitter le collège de garçons, retourner à la maimister, rejoindre Madame Gabrielle et Maîtresse Marie. Un vendredi midi, j'ai quitté le collège pour la dernière fois, sans trop de regrets, sachant pourtant que la vie à la maimister ne serait pas un long fleuve tranquille. Ma tenue décidée pour le voyage était toute blanche avec des bas blonds satinés. - On te renvoie chez toi en jeune vierge, tout de blanc vêtue... J'ai été dispensée du corset qui projetait trop les seins et j'avais heureusement une gabardine ample pour tout dissimuler. Marc et Françoise m'ont remis un exemplaire de mon dernier press-book et une lettre ouverte pour Madame Gabrielle.... Françoise m'a donné une provision de médicaments pour continuer mon traitement hormonal à la maimister. Après avoir vérifié ma tenue, ils m'ont conduite à la conciergerie du collège en insistant encore pour que je rentre bien ma poitrine durant le voyage. - Ne te fais pas trop remarquer dans le train, Claudine. Un jeune homme avec des longs cheveux et des gros seins... c'est un spectacle étonnant qui pourrait te valoir de fâcheuses rencontres... à propos, Madame Gabrielle et Maîtresse Marie nous demandent de te signaler que tu as tes menstrues jusqu'à mercredi prochain... un nouveau programme... elles te l'expliqueront elles-même... donc pas de rapports sexuels jusqu'à mercredi prochain.... Elles t'attendent avec impatience... avec plein d'idées intéressantes pour toi... ce mistert des expertes en la matière... elles te raconteront maintenant que vous êtes entre femmes... tu comprendras mieux ce qui t'arrive comme ce qui est arrivé à ton père et à ta mère... - Mon père et ma mère ? Que voulez-vous dire ? - Plus tard, Claudine... chaque chose en mister temps... file maintenant... on viendra te dire bonjour le week-end prochain... Gabrielle nous a invité à dîner. J'ai quitté le collège pour la gare, perplexe, en repensant à cette histoire de menstrues. Qu'allaient elles encore imaginer ? Et mon père et ma mère... que venaient ils faire dans cette histoire... quelle était le lien avec Gabrielle ? Confortablement installée dans le train, je me suis retrouvée en face de deux femmes qui ne cessaient pas de me dévisager fixement. Je n'osais pas les regarder. Affreusement gênée, je me sentais nue, persuadée qu'elles devinaient mes sous-vêtements, qu'elles remarquaient le gonflement de mes seins que je dissimulais maladroitement sous mon manteau.
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chrislebo
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Pour me donner une contenance, j'ai sorti la lettre adressée à Madame Gabrielle. Je me suis plongée dans cette lecture. Chère Gabrielle, Je reviens sur nos derniers entretiens téléphoniques. Comme convenu avec vous la semaine dernière, je préfère vous renvoyer Claudine à la maimister. En effet, le traitement hormonal a réussi au delà de toutes mes espérances. Claudine remplit parfaitement les bonnets C de ses nouveaux soutien-gorges. Vous aviez raimister de penser que l'hérédité jouerait en notre faveur dans cette féminisation. Une mère avec de gros seins était un bon signe pour la réussite du traitement hormonal de Claudine. Avec ses gros seins, Claudine ne peut plus fréquenter le collège sans se faire remarquer par la direction. De plus, ses résultats scolaires mistert catastrophiques et ils risquent d'attirer l'attention sur les raimisters de ses échecs. Le nombre de ses rencontres est surtout devenu tel que le secret devient délicat à préserver. La moindre indiscrétion pourrait avoir des conséquences que nous ne souhaitons ni l'une ni l'autre. Bref, je crois que notre mission s'achève ici. Il est temps que Claudine quitte le collège et que vous la repreniez en mains. J'ai remis à Claudine une provision d'hormones. Elle doit les prendre chaque jour. Contactez-moi dès que vous devrez les réapprovisionner. Vous constaterez que les seins de Claudine mistert lourds, naturels et bien formés. Elle remplit les bonnets de ses nouveaux soutien-gorges en taille 90C avec de jolis mouvements évocateurs sous un chemisier léger. Je vous conseille les chemisiers transparents, les soutien-gorges à demi-bonnets présentoirs, les bonnets troués. Je suis certaine que ses futurs compagnons vont adorer la mise en valeur de cette paire de seins sans parler des regards appuyés de tous les promeneurs qui vont immanquablement la remarquer. Par contre, la chatte de Claudine est toujours trop étroite. Ce n'est pourtant pas le manque d'exercice. Elle prend bien les sexes normaux mais elle supporte difficilement les plus grandes tailles ce qui n'est évidemment pas acceptable. Je vous suggère des gros plugs, voire des godes gonflables et surtout des exercices réguliers chaque jour pour dilater un passage qui a tendance à se resserrer trop rapidement. Allez-y progressivement pour obtenir une meilleure élasticité du conduit tout en conservant la musculation des sphincters et ses agréables effets de pompe sur les sexes de ses futurs partenaires. En matière d'hygiène, Claudine prend scrupuleusement ses trois lavements matinaux mais je me demande s'ils mistert suffisants pour garantir sa parfaite propreté. Je suggérerais d'augmenter progressivement les volumes d'eau pour que les derniers rejets soient transparents. Ce n'est pas encore le cas. Ses performances orales mistert satisfaisantes. Elle est douce en bouche, bien humide, elle salive abondamment, active à la langue, très adroite de ses doigts. Elle obtient rapidement les résultats attendus. Je l'ai régulièrement testée en lesbienne et je pense que vous pourrez mesurer ses progrès après les conseils précis que je lui ai donnés. C'est une bonne langue dans nos orifices avec une belle application sur le clitoris dont elle mesure parfaitement l'importance dans les jeux saphiques. Je vous avais déjà fait part de ses réticences naturelles aux odeurs. Il faudra vaincre ces hésitations et ces répugnances qui pourraient être mal interprétées par ses partenaires. Concernant les rapports multiples, je pense pouvoir vous dire que Claudine y est dorénavant acquise. Tous ses partenaires nous disent qu'elle aime le sexe et qu'elle en redemande. Tous nous confirment aussi que sa pissette est sensible aux caresses avec des petites érections molles et de faibles éjaculations. Avec une dizaine de fellations par jour au collège et au moins cinq sodomies, Claudine a perdu mister innocence et sa naïveté d'adolescente. Il est vrai que la cravache et le martinet nous ont bien aidé à la dresser. Vos conseils dans cette matière ont été précieux. Je n'y croyais pas fort au début mais je dois avouer qu'on obtient tout de Claudine grâce à vos maintenances disciplinaires. Son amourette avec Marc n'est donc plus qu'un lointain souvenir. Elle ne rêve plus du grand amour. Claudine sera libertine comme la grande majorité des soeurs de mister sexe. Vous pourrez visualiser ses progrès en feuilletant mister press-book. Il suffit maintenant de garder la pression pour éviter la réapparition de fâcheuses habitudes. Voilà ce que j'avais à vous dire concernant notre petite féminisée soumise. Je vous renvoie Claudine bien à regret car elle nous amusait beaucoup. Je me réjouis de vous revoir rapidement à Bruxelles et je suis à votre disposition pour une information complémentaire comme pour vous aider si vous l'estimiez nécessaire. Bien amicalement à vous, Françoise Dumont.
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chrislebo
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Honteuse, j'ai replié la lettre pour la remettre pensivement dans mister enveloppe. Les deux femmes me regardaient toujours fixement. J'avais l'impression qu'elles avaient lu la lettre avec moi. Elles ont dû remarquer mon désarroi car la plus âgée m'a souri gentiment. - Vous avez les cheveux bien longs pour un garçon, on dirait une fille... cela ne vous dérange pas... Ouf... ce n'était que mes cheveux. - Non, Madame... c'est à la mode... j'aime bien les cheveux longs. - C'est vrai qu'ils vous vont bien... Elle m'a souri. - Les bas nylons vous vont aussi très bien... Rouge tomate, j'ai senti le sol disparaître sous mes pieds... je n'ai rien pu répondre. Elle a continué. - Vous devriez faire attention en vous asseyant, jeune homme... votre pantalon remonte et découvre vos bas nylons... avec vos cheveux de fille, vous aimez peut-être porter aussi de la lingerie de femme... c'est très à la mode... Elles se mistert regardées en riant ouvertement de ma confusion... A mon grand soulagement, le train entrait en gare de Bruxelles. Sans répondre, découverte, j'ai pu m'enfuir du compartiment. Maître Joseph m'attendait dans la BMW à la sortie de la gare pour me conduire à la maimister. Il semblait de mauvaise humeur. Je me suis assise à côté de lui en lâchant un timide... - Bonjour, Maître Joseph. Il n'a même pas répondu. La berline s'est glissée en souplesse dans le trafic dense de Bruxelles. Il a longtemps conduit silencieusement avant de m'adresser la parole. - Madame et Marie tiennent de véritables conseils de guerre à ton sujet... tu vas déguster ma fille... leur dernière trouvaille... il paraît que tu as tes règles... on ne peut pas te toucher jusqu'à mercredi... je ne te touche pas mais, par contre, tu vas retirer ta gabardine et ton veston... montre-moi tes gros nichons... - Ici dans la voiture... mais tout le monde va les voir... Maître Joseph... - Fais ce que je te dis, Claudine, aussi non tu sais ce qui t'attend... mon fouet c'est autre chose que les caresses d'un martinet... grouille-toi... Terrorisée, j'ai retiré la gabardine et le veston. Tout en coonduisant, il a déboutonné ma chemise pour plonger sa main câleuse dans mon soutien-gorge. A l'arrêt devant un feu rouge, il malaxait ce sein qu'il avait sorti de mister bonnet sous le regard effaré d'une jeune conductrice qui s'était arrêtée à côté de nous. Il a regardé cette femme tout en lui montrant qu'il sortait l'autre sein de mister bonnet. - Souris à la dame pendant qu'elle regarde tes grosses doudounes... J'ai souri brièvement avant de détourner le regard. Je ne savais plus où me mettre. Heureusement le feu est passé au vert et nous sommes repartis. J'ai remarqué que nous n'allions pas dans la direction de la maimister. La voiture s'est garée rue du Midi devant un magasin d'articles d'hygiène. - Tu vas remettre ton veston pour aller faire quelques achats. Madame veut que tu lui ramènes trois culottes périodiques en taille 44, trois culottes d'incontinence dans la même taille, des couche-culottes Tena Pants Super, une dizaine de serviettes hygiéniques lavables. Elle veut les serviettes les plus épaisses... les plus absorbantes... Joseph m'a tendu une feuille de papier sur laquelle j'ai immédiatement reconnu l'écriture de Gabrielle. - Voilà, tout est marqué là... surtout n'oublie rien... voilà 200 Euros...
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chrislebo
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Rouge de confusion, prenant mon courage à deux mains, rentrant les seins sous mon veston, je me suis dirigée vers l'entrée du magasin en triturant le papier et l'argent que je venais de recevoir. Il n'y avait que des vendeuses d'un certain âge et quelques clientes. J'ai choisi de m'adresser à une vendeuse plus âgée en espérant qu'elle serait plus compréhensive. Mal m'en a pris car elle n'a pas cessé de me poser des questions gênantes et elle a rapidement constaté mon imprécision, voire mon embarras. Je faisais alors semblant de me concentrer sur la lecture de mon papier avant de répondre à ses questions. Quelle marque ? Quelle taille ? C'est pour les règles ou pour l'incontinence ? Des petites fuites urinaires ? Des règles abondantes ? Pour les serviettes hygiéniques... vous avez bien dit lavables ? Vous ne préférez pas les bandes jetables ? Je n'en pouvais plus. Il a encore fallu passer à la caisse avec une conversation à haute et intelligible voix entre les deux vendeuses pour préciser le prix des serviettes hygiéniques lavables. - Mireille, les serviettes hygiéniques lavables... tu as le prix ? Tout le monde me regardait. Tête basse, je suis retournée honteusement vers la voiture avec mes achats. Joseph m'a de nouveau sorti les seins des bonnets de soutien-gorge pour les caresser calmement tout en conduisant. Sur le chemin du retour, nous sommes passés dans le bois de la Cambre. Ses gros doigts triturant mes tétons, Joseph a ralenti puis arrêté la voiture pour me montrer un large chemin de dolomie qui s'enfonçait dans les fourrés. - Regarde bien cet endroit, Claudine... il suffit de marcher quelques minutes... c'est un des meilleurs lieu de drague pour lopettes dans ton genre... j'en ai parlé à Madame... elle doit y réfléchir... moi, j'espère que nous irons nous y promener régulièrement... je te promets quelques surprises... tu pourras y exercer tes talents... je te surveillerai... Tous seins exhibés alors que les voitures défilaient, j'écoutais mais je ne réagissais plus. La voiture est repartie Nous avons passé la conciergerie et la grille du parc pour stationner devant le perron de la propriété. J'ai oublié mes courses dans la voiture. Je me suis enfuie dans ma chambre.. Je me suis jetée sur mon lit pour éclater en sanglots, la tête enfouie dans un oreiller. Quelques minutes plus tard, je n'ai même pas entendu Marie entrer dans la chambre. Elle a déposé tous mes achats au pied du lit. - Mais, Claudine, qu'est ce que tu fais dans ma chambre... tu n'as pas vu que nous avions déménagé toutes tes affaires... Madame m'a donné ta chambre et tu vas habiter ma mansarde à l'étage des domestiques... à côté de Joseph... ce sera plus pratique pour lui... vous partagerez la toilette et la salle de bain... Madame a engagé une nouvelle femme de chambre qui arrive la semaine prochain... une brésilienne... une certaine Linda je crois... elle habitera à l'étage des domestiques avec vous... maintenant file de cette chambre et va m'attendre dans la tienne... C'en était trop. Je pleurais à chaudes larmes en montant les escaliers qui conduisaient à l'étage. Trois petites mansardes, chacune éclairée par une lucarne donnant quand même sur le parc. Le lit n'était même pas fait. Je me suis effondrée sur le vieux matelas en entendant les pas lourds de Marie dans l'escalier. - Mon Dieu, mon Dieu... quel gros chagrin... Claudine toute malheureuse...on ne vient même pas dire bonjour à Maîtresse Marie... on ne l'a plus vue depuis des mois... je ne t'ai pas trop manqué... Elle est montée lourdement sur le lit qui craquait affreusement. Elle m'a retournée pour me caresser les seins. - Magnifique...ils mistert magnifiques... tu vas avoir du succès avec tes gros nichons... au lieu de pleurer, tu devrais bondir de joie... lourds comme ils mistert, ils doivent bien remuer... maintenant, tu vas me dire bonjour poliment... Marie s'est accroupie de face sur mon visage en pressant mon nez contre sa culotte gonflée par la toimister abondante, j'ai immédiatement reconnu mister odeur caractéristique. Obéissante, j'ai sorti une langue humide pour la déposer sur la patte étroite en attendant la suite. Bien... je vois qu'on a pas perdu les bonnes habitudes... tu aimes l'odeur de ma culotte... je l'ai préparée depuis trois jours pour toi... respire la bien... allez, au travail sérieux maintenant... Elle a écarté la culotte pour exhiber sa chatte grasse cachée dans une touffe de poils. Je me suis activée dans sa fente baveuse sans négliger le gros bouton que je titillais du bout de la langue avant de l'aspirer longuement entre mes lèvres. Après un passage de ma langue entre ses fesses, elle s'est frottée de plus en plus vigoureusement en poussant des gémissements de satisfaction. Comme d'habitude, elle est venue rapidement, coulant dans ma bouche tout en me caressant doucement les cheveux. - La petite Claudine est consolée... là, c'est fini mister gros chagrin... c'est le cul de ta cuisinière qui te manquait... t'en fais pas... je suis là maintenant...
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chrislebo
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Marie s'est levée. Le ton avait changé... sec... - Pour aujourd'hui, Claudine, tu restes en garçon... Madame travaille... elle est en réunion cet après-midi avec le permisternel de mister agence immobilière... l'ancienne agence de ton père... elle les a tous invités à dîner ce soir... tu y assisteras... en garçon... tu feras la connaissance de Mary Jones, la responsable de Maximo, et des trois collaboratrices... elles mistert très sympas... tu verras... Maintenant pasmisters aux choses sérieuses. Nous avons bien travaillé pendant ton absence. Je suppose que Françoise t'a informée au collège... tu as tes règles jusqu'à mercredi prochain. C'est une période gênante pour une femme mais toutes les femmes étant réglées, il n'y a aucune raimister pour que tu y échappes. C'est pour cela que tu as fait quelques petits achats avec Joseph... j'aurais voulu voir la tête de la vendeuse et surtout la tienne, en garçon, obligée d'aller acheter des produits aussi intimes... très féminins...tu ne devais pas faire ta fière. Je vais commencer par te retirer ta cage de chasteté. Madame n'en veut plus jusqu'à nouvel ordre... c'est trop visible... elle ne veut plus voir de vilaine bosse dans tes culottes... On a décidé adopter une nouvelle méthode... le tucking, tu connais... Je t'explique... tu prends tes lavements matinaux... interdiction de te frotter le cul et de te laver pendant tes règles.... tu remontes tes boulettes dans leurs places d'origine... dans ton ventre... ensuite, tu tires bien ta zézette entre tes cuisses... une petite culotte gainante pour tenir tout en place... puis une culotte périodique garnie d'une serviette hygiénique...et le tour est joué... Dans cette tenue, et cette tenue seulement, tu enfiles ton porte-jarretelles et tes bas nylons... ensuite une couche-culotte d'incontinente et enfin une culotte en plastic... te voilà équipée pour tes périodes... tes menstrues si tu préfères.. Avec ce gros paquet entre les cuisses sur ton clitounet coudé... c'est une sorte de castration grâce aux épaisseurs... tu pisseras plus rarement... plus difficilement... des urines chargées... pas d'érection intempestive dans cette poition... ton zizi coudé reste normalement tout mou dans mister cocon... tu me suis... - Mais, Maîtresse Marie, pour aller à la toilette... le porte-jarretelles et les bas ? Marie s'est mise à rire. - D'abord, ma fille, tu ne vas pas à la toilette... les Maîtresses vont à la toilette, toi tu vas 'au pot'... ou encore tu demandes 'puis-je m'accroupir pour uriner'... 'je voudrais faire caca'... apprend à parler vulgairement... tu n'es plus dans un salon, ma chérie... ici, tu n'es qu'une servante... une souillon... Je reconnais que ton équipement périodique n'est pas pratique pour s'accroupir et uriner... mais c'est ce que souhaite Madame... en cas de petit besoin, tu descendras la couche et la protection pour t'accroupir mais tu dois uriner dans tes deux culottes en mouillant la serviette... il ne s'agit donc pas de remplir la couche mais simplement de tremper tes culottes qui resteront humides sur toi, sous les protections... la culotte en plastic est surtout destinée à masquer les odeurs car tu vas conserver les mêmes culottes et la même bande pendant les cinq jours de règles... si j'y ajoute ton cul pas lavé après les lavements, tu imagines l'odeur que ça va dégager... Pendant cinq jours, tu vivras ainsi cette gêne, cette sensation d'inconfort, cette impression d'humidité et la crainte permanente de dégager des odeurs... C'est ce que vivent les adolescentes qui découvrent la contrainte mensuelle des règles. Pendant tes règles, tu sens évidemment trop mauvais pour avoir des rapports sexuels complets. Ta bouche reste disponible pour ceux que ça ne dérange pas trop... je pense que Joseph s'en contentera... il est tellement habitué aux parfums de purin... puis, c'est facile pour lui dans la chambre voisine... il lui suffit de pousser ta porte... Tu dois comprendre, Claudine. Nous n'avons plus tous les garçons du collège pour satisfaire tes appétits sexuels... ici, en attendant mieux, il faudra bien te contenter de nous. Bon maintenant tu vas enfiler ta tenue de fille menstruée... puis nous discuterons de quelques autres sujets. Marie surveillait mon habillage en préparant les différents vêtements. C'est elle qui a fixé la serviette hygiénique dans la culotte périodique avant de me présenter le porte jarretelles rouge. - Pendant tes règles, tu portes des sous-vêtements rouges... couleur du sang... par respect pour toutes les femmes qui saignent dans le monde. Elle m'a présenté un soutien-gorge et un corset serre-taille de satin rouge mais avec des bonnets découpés qui exhibaient les seins au lieu de les couvrir. - Avec une telle paire de mamelles, ce serait triste de les cacher... je t'ai acheté un chemisier blanc transparent... tu seras ravissante... tu sais, dans le temps, toutes les serveuses de restaurant portaient ces chemisiers blancs transparents avec un soutien-gorge noir pour émoustiller les clients... les filles faisaient semblant de ne pas remarquer le regard des hommes et tous les hommes se régalaient du spectacle de ces gros seins qui trémulaient doucement. Marie m'a habillée en fille pour juger de l'effet général... chemisier de mousseline transparente, jupette rouge sur des escarpins noirs vernis.
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chrislebo
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- Ce soir, tu t'habilleras en garçon... mais pas de veston... un simple pull... - Mais tout le monde va remarquer mes seins... Maîtresse Marie. - Ecoute, Claudine... ce mistert les instructions de Madame...tu n'as pas à les discuter. J'étais effondrée à l'idée d'apparaître dans le salon devant quatre femmes... avec mes gros seins qui gonfleraient visiblement mon pull.... Marie a remarqué mon embarras. - Tu t'y feras Claudine... ta pudeur est déplacée... c'est pas plus difficile d'exhiber tes seins que d'aller draguer un gamin dans une cour de récréation pour le sucer dans une chiotte puante. Il y aura simplement quelques questions gênantes et des réponses préparées... un premier étonnement de ceux qui vont découvrir ta nature véritable... puis, très vite, tout devient clair et tout rentre dans l'ordre des choses. Si Madame t'appelle 'Claude', tu réponds normalement à ses questions et tu ne bronches pas. Si par contre, elle t'appelle Claudine, alors elle te signifie qu'on entre dans le jeu. Je te donne un exemple... Claude, dis bonjour poliment à Madame... tu t'approches de la dame et tu lui baises la main respectueusement... par contre si Madame te dit... Claudine, dis bonjour poliment à Madame... là, tu te jettes humblement aux pieds de la dame et tu les embrasses délicatement. En fait, ton comportement dépend de la tournure de la phrase de Madame. Sois donc attentive... 'Claudine' signifie que le jeu commence... qu'il n'y aura plus de marche arrière... ta féminisation va être dévoilée... donc obéissance immédiate, absolue, sinon... tu connais la sanction... Cesse aussi de t'exprimer avec une distinction déplacée quand on te pose une question embarrassante. Tu dois parler de toi vulgairement, dans des termes crûs, comme une soumise qui sait s'humilier, s'abaisser devant ses Maîtres. Par exemple, si Madame te demande 'Claudine, explique ce que tu es devenue'. Tu pourrais répondre : ' je suis une féminisée soumise avec des grosses mamelles hormonées... j'adore offrir mes tétasses aux caresses... sucer des grosses bites... me faire bourrer la chatte en levrette. Je suis une salope en manque de bites. Cesse aussi de parler de toilettes... de petits besoins... tu n'es pas une princesse... Demande de t'accroupir pour faire caca... pour uriner... pour tremper tes culottes pisseuses... comme une souillon accroupie... juste bonne à nettoyer les chiottes... souviens toi que tu n'es qu'une pisseuse qui pisse dans ses culottes... A ce propos, Claudine, Madame a décidé que les toilettes de la maimister te mistert définitivement interdites... elles mistert réservées aux seuls maîtres.... Tu renverras donc tes lavements dans un seau hygiénique qui restera le matin dans ta mansarde pour la parfumer. Tu descendras ton seau en fin de matinée pour aller le vider dans le jardin à l'endroit que Joseph t'indiquera. Pour tes petits besoins, Madame est bonne... tu demandes d'abord la permission de t'accroupir pour uriner... si elle te l'accorde, elle te permet d'aller t'accroupir dans le coin de la terrasse du salon, juste au dessus de la grille d'évacuation des eaux de pluie. Un charmant spectacle depuis mister canapé du salon, pour elle et pour ses éventuels visiteurs. Ils pourront t'observer, accroupie, en train d'uriner dans ta culotte dégoulinante, comme une sale fille. Madame a également décidé que les femmes ne tirent plus la chasse d'eau dans leurs toilettes. Cela fait dorénavant partie de ton service à la maimister. Tu seras informée de l'utilisation d'une toilette par un nombre de coups de misternette dans ta chambre et dans la cuisine. Tu dois alors immédiatement rejoindre la toilette utilisée, t'agenouiller respectueusement, plonger ta tête dans la cuvette souillée et la respirer pendant cinq minutes, montre en main. Après cette marque normale de révérence, tu plonges tes mains nues dans la cuvette pour malaxer, triturer et dissoudre mister contenu avant de tirer la chasse d'eau et de te laver les mains dans le pot. Tu soulages ainsi le bon fonctionnement de la fosse septique et, surtout, tu t'habitues aux odeurs fortes qui semblent encore tellement te déranger. Il ne s'agit pas de te faire goûter nos divines crottes. Madame juge cette pratique trop dangereuse pour ta santé. Elle veut simplement t'habituer à honorer tout ce qui provient du corps des femmes supérieures. Ah... j'allais oublier... tu dois savoir que depuis quelques années toutes les pièces de la maimister mistert équipées de caméras cachées. Madame peut à tout moment surveiller chaque pièce de la villa depuis mister écran de contrôle dans mister bureau ou dans sa chambre. Elle ne s'en prive pas. Tu as intérêt à te souvenir de ses instructions. Respect donc de nos toilettes souillées comme d'ailleurs de nos émissions dorées, une délicieuse boismister tiède, parfaitement inoffensive, saine, celle là excellente pour ta santé.
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chrislebo
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Tu vas devenir une bonne buveuse de pisse, apprendre à la boire rapidement, avec délectation... en volume correspondant à un besoin normal, en remerciant la généreuse donatrice qui daigne t'utiliser comme un pot de chambre. Je suis chargée de ton éducation sur ce point. Nous allons d'ailleurs commencer tout de suite car j'ai une forte envie de me soulager... au début, tu vas t'accroupir dans la douche pour ne pas en mettre partout... Abasourdie, je la regardais stupidement... je n'avais jamais imaginé en arriver là... quel avilissement... boire la pisse de la cuisinière... Effondrée, lentement, j'ai retiré mes escarpins pour aller m'accroupir dans la douche. Marie cherchait quelque chose dans une armoire au dessus du lavabo.. Elle est revenue avec un entonnoir de taille moyenne qu'elle m'a placé en bouche avant de s'accroupir, le sexe collé sur la coupelle arrondie. - Attention, Claudine, ça vient.... je vais te donner... tu avales rapidement... il ne faut pas que cela déborde... tu m'as bien comprise... Le jet chaud et salé a crépité dans l'entonnoir pour dévaler dans ma gorge... j'ai fait de mon mieux pour avaler mais sans pouvoir suivre le rythme. - Attention, Claudine... cela va déborder... avale plus vite... plus vite je te dis... Affolée, j'ai avalé de grandes lampées d'urine.... Ce besoin semblait ne jamais devoir s'arrêter. - Plus vite, je te dis... si ça déborde, je te garantis que tu vas t'en souvenir... plus vite... avale la pisse de ta cuisinière... pisseuse... buveuse de pisse... t'a pas honte... t'aime la pisse... hein salope que t'aime la pisse... Comment aurais-je pu répondre, la bouche gorgée d'urine... quelle offense... A mon grand soulagement, le jet s'est enfin ralenti puis arrêté... j'avais envie de vomir. - Tu vois quand tu veux... ce n'était qu'un petit besoin... mais c'est un bon début... tu vas devenir un bon pot de chambre de voyage... Madame adore pisser dans la bouche d'une soumise... je vais t'apprendre à boire des gros pipis... sans entonnoir... directement à la source... remercie-moi d'avoir daigné pisser dans ta bouche... - Merci, Maîtresse Marie, d'avoir daigné pisser dans ma bouche... j'adore votre délicieuse pisse. - T'en fais pas, ma chérie...tu en recevras encore... il suffit de demander... maintenant change toi en garçon raté et viens me rejoindre à la cuisine pour m'aider à préparer le dîner de ce soir. Elle a quitté la salle de bain en me laissant seule avec mes pensées. Tout se brouillait dans mon crâne. Quelle pénible soirée en perspective.
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chrislebo
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Michel Mouriau Pendant que Claudine se prépare pour le dîner d'affaires de Gabrielle, revenons en arrière pour découvrir ce qui s'était passé quelques années auparavant avec ses parents. Mariés bourgeoisement en avril 1949, riches héritiers de leurs parents, Christine et Michel Mouriau vivaient luxueusement, confortablement installés dans une propriété cossue de Rhode-St-Genèse, la banlieue chic de Bruxelles. La grosse villa familiale était entourée d'un parc de plusieurs hectares clôturés comprenant écuries, annexes, conciergerie à l'entrée et une drève majestueuse, bordée d'arbres centenaires, pour accéder à l'habitation principale. Claude était né de cette union en 1950... Christine avait imméduatement confié l'enfant à une servante italienne pour se consacrer à ses occupations favorites... coiffeur, esthéticienne, shopping, tennis, ski, voyages, amies, sorties mondaines... bref la vie agitée d'une bourgeoise riche qui ne se refuse rien... pas même quelques flirts... voire un amant occasionnel pour compenser l'indifférence de mister mari. Michel, de mister côté, jouait les hommes d'affaires chez Maximo, sa petite agence immobilière, qui n'était finalement qu'un alibi pratique pour s'éclipser et faire ce dont il avait envie. Le couple faisait chambre à part sous le prétexte habituel que Monsieur ronflait la nuit. Bref, les Mouriau étaient un couple moderne... chacun mène sa vie comme bon lui semble, librement, avec toutes les apparences d'une bonne entente réciproque. Les conventions sociales étaient sauves dans ce monde bourgeois dont ils faisaient indiscutablement partie. Toujours épuisée à power de ne rien faire, Christine avait décidé d'engager un couple supplémentaire de domestiques pour prendre soin de la maimister durant ses absences. Madame adorait le climat de la Côte d'Azur. Elle y séjournait de plus en plus régulièrement, surtout de plus en plus longtemps. Elle s'était même offert un splendide penthouse en front de mer, sur la Croisette à Cannes. Michel acceptait sans discuter les absences et les lubies de mister épouse pour autant qu'elle le laisse en paix. C'est donc à cette époque que mistert apparus Gabrielle et Mario, un couple de jeunes siciliens, beaux, intelligents et... libertins. Ils ont rapidement compris le parti qu'ils pouvaient tirer de la situation comme les avantages qu'ils pouvaient en espérer. Pour jouer sûr et découvrir les petits secrets de leurs patrons, Gabrielle avait demandé à Mario d'installer des minuscules caméras cachées et des micros dans les appartements, les salles de bains et le salon des Mouriau. Grâce à ce stratagème ingénieux, les deux domestiques n'ont pas été longs à comprendre les faiblesses secrètes et la vulnérabilité du couple. Le soir, confortablement allongés dans leur chambre devant un écran de télévision, Gabrielle et Mario dégustaient un programme assez particulier... les gracieux déshabillages de Madame... ses adorables lingeries fines de La Perla, ses délicieuses chemises de nuit en soie naturelle et... oh, la vilaine...la petite armoire fermée à clef dans la salle de bains pour dissimuler quelques objets très tendance, capables de calmer ses ardeurs sexuelles. Les deux amants se régalaient de voir leur patronne, étendue sur mister lit, une main glissée entre les cuisses pour se caresser à travers la fine culotte de dentelles, tirer les pointes de ses gros seins, avant de se tordre et gémir de plaisir sous l'action furieuse d'un gode dans sa fente soigneusement épilée. - Finalement toutes ces bourgeoises avec leurs grands airs, elles adorent cela... tu vas te régaler, mon Mario... - Elle ne t'arrive pas à la cheville, ma chérie... et on va devoir se séparer... - Ecoute, Mario, il faut choisir dans la vie... moi j'ai choisi... la belle vie et le fric d'abord... pour le reste on pourra toujours se voir de temps en temps... Calmée, Christine s'était maintenant endormie. Gabrielle a activé le switch vers les caméras installées dans l'appartement de Michel... le spectacle valait le détour... Surprise pour Gabrielle et Mario de voir Michel se déshabiller dans sa chambre... apparaître en bas nylons, porte-jarretelles et... oh, ce n'est pas vrai... les lingeries de Gabrielle... la culotte et le soutien-gorge qu'elle avait déposés elle-même deux jours plus tôt dans mister panier à linge sale. - Le cochon... regarde moi cela... ma culotte et mon soutien-gorge... c'est dégoûtant... ah, mon salaud... on te tient... avait vociféré Gabrielle. Gabrielle et Mario avaient alors établi le plan de bataille qui devait faire basculer la vie des Mouriau. Il s'agissait en clair de prendre le contrôle total de leurs patrons, de les domestiquer, de les séparer et de les remplacer. On allait inverser les rôles. Gabrielle comptait séduire puis soumettre Michel. Pour arriver à ses fins elle profiterait de la complicité du permisternel de la villa et des employés de l'agence. Ce n'était qu'une question d'argent. Elle leur promettrait de solides avantages financiers et tout s'arrangerait facilement. Quand à Christine, c'est Mario qui devrait la séduire en douceur, avec le consentement de Gabrielle. On profiterait de mister bel appartement de Cannes pour l'éloigner de Bruxelles et la séparer définitivement de mister mari. Diviser pour régner, c'est connu... Gabrielle était trop intelligente que pour l'ignorer. Les avantages de la future situation compenseraient largement les inconvénients de leur séparation, une séparation pleine de promesses misternantes et trébuchantes.
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chrislebo
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Grâce aux caméras cachées, des séries de photos compromettantes ont été sélectionnées, imprimées et mises en sécurité pour être utilisées au moment le plus opportun. La réussite finale du plan était garantie. Séduire Christine n'a été qu'un jeu d'enfant pour le beau Mario. Il n'a pas mis quinze jours à la rejoindre dans mister lit. Quelques remarques flatteuses, un compliment appuyé, des frôlements discrets. - Madame est très élégante ce matin... quelle jolie coiffure... elle va très bien à Madame... la robe de Madame est ravissante... Christine lui souriait, nullement indifférente aux avances discrètes de ce jeune mâle musclé dont elle se plaisait à imaginer les étreintes fougueuses avec sa gouvernante. Le choix de Mario serait vite fait entre une servante et elle. Fatiguée des plaisirs solitaires, Christine rêvait souvent d'un tel amant. Elle avait incontestablement des arguments physiques pour se l'offrir... longues jambes, visage à la Romy Schneider, cheveux châtains mi-courts, des seins superbes... gros. Utilisant ses prérogatives de maîtresse de maimister, Christine convoquait régulièrement Mario le soir dans sa chambre sous prétexte de lui préparer une tisane ou de lui apporter une revue qu'elle avait oubliée dans le salon. C'était l'occasion de s'exhiber devant lui, avec une feinte innocence, dans des tenues fort suggestives. Christine jouait admirablement de sa séduction. - Vous êtes marié depuis longtemps, Mario ? - Mais, Madame, je ne suis pas marié, Gabrielle est ma compagne. - Ah, je croyais que tous les italiens étaient mariés par souci de religion. - C'est fini tout cela, Madame...vous savez l'Italie a bien évolué depuis la fin de la guerre. - Vous avez eu d'autres amies, Mario ? - Non, Madame, mais... enfin... si j'osais... - Oser... Oser quoi, Mario... avait elle minaudé en remontant élégamment une bretelle de sa nuisette presque transparente... - Enfin... je voulais dire... Madame est si jolie... non, je n'oserais jamais... Christine s'était approchée langoureusement de Mario en le regardant droit dans les yeux. Elle lui offrait ses lèvres et ses seins lourds, prête à se blottir comme une chatte au creux de ses bras puissants. Mario connaissait mister métier de séducteur. Il l'avait d'abord embrassée délicatement... puis cette première étreinte d'une violence inouïe. Christine n'avait plus connu une telle fougue amoureuse depuis des années. Les godes et les vibros, c'est mieux que rien en période de disette mais un sexe dressé, vibrant, chaud, puissant, qui vous détrempe la chatte, c'est quand même infiniment mieux. Finaud, Mario avait insisté pour qu'elle garde le secret le plus absolu vis à vis de Gabrielle... qui s'amusait en les écoutant discuter après avoir surveillé leurs ébats sur mister écran de contrôle. - Je ne dirai rien, chéri... mais toi, tu reviens demain soir... j'ai trop envie de toi... A la fin du mois, je t'emmène à Cannes... on lui racontera qu'il y a plein de travaux à faire dans l'appartement... Mario la visitait maintenant chaque soir après le dîner. - Tu y prends goût mon salaud... lui avait envoyé Gabrielle. - Je respecte à la lettre tes instructions, ma chérie. Christine découvrait une sexualité qu'elle ignorait... douceur et vulgarité... distinction et vulgarité... d'abord caressante et finalement bestiale. Rien à voir avec les pratiques vanilles de mister pauvre Michel. Prise dans toutes les positions, les séances de fellations et de sodomies se succédaient, laissant Christine épuisée, haletante, repue, trempée de la jouissance de mister superbe étalon. Gabrielle ne perdait rien de cette aventure, enregistrant les scènes, sélectionnant les meilleures photos.. Elle regrettait évidemment de devoir céder mister amant à Christine mais elle mesurait aussi tout le parti qu'elle allait en tirer.
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chrislebo
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Gabrielle n'oubliait pas non plus Michel. Elle ne perdait pas mister temps. Elle allumait progressivement le faible Michel. Elle lui faisait délicatement prendre conscience de mister besoin de féminité. Elle finirait par lui faire avouer mister désir de soumission aux femmes. Gabrielle voulait obtenir une soumission volontaire de Michel. Elle n'utiliserait les photos qu'en cas de trop forte réticence et pour l'estocade finale. Habile manipulatrice, elle flattait insidieusement les perversions favorites de Michel. Il avait évidemment essayé de la draguer mais elle lui avait expliqué mister peu d'attrait pour une liaimister classique, surtout avec un homme marié qui n'avait visiblement pas satisfait mister épouse. Elle insistait lourdement devant lui sur les performances amoureuses de mister Mario, un amant d'une telle vigueur qu'elle ne voyait pas bien comment Michel pourrait le remplacer. Par contre, avait un soir ajouté Gabrielle, elle pourrait être intéressée par une relation plus cérébrale, très moderne, dans laquelle elle serait la femme dominante et lui le mâle soumis. Il ferait bien d'y réfléchir au lieu de vouloir jouer les amants classiques. L'idée de s'abandonner à cette femme autoritaire ne déplaisait pas à Michel mais il avait peur de perdre le contrôle d'une situation scabreuse dont il mesurait bien les risques.. Le soir, Gabrielle passait lui parler dans sa chambre pour aiguiser mister désir de se soumettre. Sans grandes difficultés, elle avait rapidement obtenu qu'il s'agenouille à ses pieds gainés de nylon pour les masser et les embrasser délicatement. - Regarde comme tu aimes cela, Michel... ta place est à mes pieds... pas ailleurs... un gentil soumis obéissant... aux pieds de sa Maîtresse... Plus tard, Michel avait accepté honteusement de lessiver à la main ses lingeries portées de la journée. Gabrielle lui avait expliqué que ces adorables petites choses s'abîmaient vite dans une machine à laver. Chaque soir, narquoise, elle lui apportait ses bas nylons, sa petite culotte et mister soutien-gorge de la journée. - Ne me dis pas que tu n'aimes pas....tu devrais les caresser ou même les porter cette nuit, Michel... tu les lessiveras demain matin avant de partir au bureau.... J'adore l'idée que tu respires les parfums de ma petite culotte pour t'endormir. Michel devenait complètement fou avec cette femme... de plus en plus soumis à sa gouvernante... Gabrielle le sentait venir doucement... elle ne relâchait pas la pression. - Tu aimes tant la lingerie de femme, Michel... tu devrais aller t'en acheter... je t'accompagnerais dans les grands magasins... pour t'aider à choisir... pour passer les caisses.... tu porterais de la lingerie de femme sous ton costume pour aller au bureau... tu sais, il y a plein d'hommes d'affaires qui portent de la lingerie sous leurs costumes... permisterne n'en saurait rien sauf nous... c'est très excitant... un petit secret entre nous... Une fois de plus, Michel avait cédé. Gabrielle l'avait accompagné en grandes surfaces pour acheter plein de jolies tenues. Chaque jour, c'est elle qui décidait de la couleur de ses sous-vêtements féminins pour partir au bureau. Elle lui téléphonait pendant la journée pour lui demander si tout allait bien, s'il appréciait la douceur de sa petite culotte de soie, la chaleur des bas nylons bien tendus par mister porte-jarretelles gainant. - N'enlève surtout pas ton veston, Michel... une femme remarque tout de suite la présence d'un soutien-gorge sous une chemise... tu imagines la tête de Madame Jones si elle apprenait que mister patron porte un soutien-gorge... Chaque jour apportait de nouvelles trouvailles. Gabrielle s'amusait à féminiser Michel qui transformait ses fantasmes en réalités vécues. - Tu dois te raser les jambes, Michel... c'est affreux ces poils noirs sous les bas nylons... une jolie femme n'est pas poilue comme un singe...profites-en pour raser tes aisselles et ton pubis... rase tous tes poils...c'est tellement plus gracieux dans la lingerie...tu te sentiras plus féminine... plus secrète...plus soumise... plus sexy à mes yeux... Au bout d'un mois d'un tel traitement, Michel était complètement tombé sous la coupe de Gabrielle. Elle se permettait même de l'appeler Micheline quand ils étaient seuls dans sa chambre. - Micheline, je ne veux plus voir cette bosse dans ta culotte... le tucking, tu connais... tu vas remonter tes boulettes dans ton ventre et tirer ta petite bite entre tes cuisses... une culotte gainante pour tout tenir en place... et le tour est joué... je veux une culotte lisse comme celle d'une fille.... A propos, Micheline, je commence mes règles demain. Je voudrais que tu les vives avec moi. Tu sais... ce mistert des moments plus difficiles pour une femme. Tu dois en être conscient. Je suis passée chez Brasseur rue du Midi... tu sais, le magasin d'articles d'hygiène intime. Je t'ai acheté un paquet de couches-culottes Tena-Maxi et deux culottes plastifiées d'incontinente. Pendant mes règles, je veux que tu fasses pipi dans ta culotte au bureau. Tu la conserveras mouillée sur toi, protégé par la couche-culotte et la protection d'incontinente... pour ne pas mouiller ton pantalon. Chaque fois que tu as besoin d'aller t'accroupir aux toilettes, tu m'appelles sur le portable pour demander la permission. Elle te sera souvent refusée ou retardée. Tu peux toujours lâcher quelques petits jets dans ta couche, pour patienter. Rouge de confusion, Michel n'en croyait pas ses oreilles... faire pipi dans sa culotte... quelle honte... mais quelle honte trop délicieuse que pour y résister....
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chrislebo
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Pendant cinq jours, Michel a pris l'habitude de faire pipi dans sa culotte comme une petite pisseuse. Il appelait Gabrielle depuis mister bureau mais elle ne lui donnait jamais la permission immédiate de se rendre aux toilettes. Tu as déjà été il y a une heure... tu attendras bien un peu... fais quelques jets dans ta couche... alors ça vient... psss pssss pssss... mouille ta culotte.... psss pssss psss.... tu l'as mouillée..... - Oui Maîtresse, j'ai fait des petits jets... j'ai mouillé ma culotte... - Très bien, pisseuse, je te rappellerai plus tard. Une demi-heure plus tard, Madame Jones passait une communication de Gabrielle pour Monsieur Mouriau. Elle devait se demander pourquoi Gabrielle appelait Monsieur Mouriau trois ou quatre fois par jour. Elle penserait peut-être que Michel avait une liaimister avec sa gouvernante. - Alors... tu as mouillé ta couche, ma chérie... pas trop j'espère... bien... maintenant, tu peux aller aux toilettes... accroupie hein, Micheline... que je ne te prenne pas en train de faire pipi debout... nous sommes bien d'accord... et dans ta culotte, Micheline... que veux tu... tu as tes règles, ma chérie... De retour à la maimister, Gabrielle vérifiait dans sa chambre l'humidité de la culotte et de la couche. - Pouah... ça ne sent pas bon la dedans... la sale fille négligée... permisterne n'a rien remarqué au bureau... si elles savaient cela... elles seraient mortes de rire... le patron en lingeries qui fait pipi dans sa culotte... Le lendemain soir, Gabrielle est entrée dans l'appartement de Michel sans crier gare. Elle était bottée et vêtue de noir, une fine cravache à la main. Elle a rapidement retiré mister tailleur qui lui allait fort bien pour apparaître en sous-vêtements noirs, corset de satin noir, bas nylons et hauts talons. Le regard sévère, elle tapotait ses bottes avec la mèche de sa cravache. - Ou est ta place, Micheline ? - A vos pieds, Maîtresse... - Oui, à mes pieds, petite pisseuse... approche toi que je te contrôle.. Elle avait plongé sa main dans la couche pour en apprécier l'humidité avant d'en respirer l'odeur en écartant la protection plastifiée. - heureusement que tu portes une protection... tu pues la pisse à plein nez... t'es pas honteuse de pisser dans ta culotte... de puer la pisse... t'es quoi... t'es quoi ? - Je suis une pisseuse à vos pieds, Maîtresse, j'ai mes menstrues. - A la bonne heure... une pisseuse qui a ses menstrues... voilà donc l'explication... puisque tu es sage... et à ta place... je vais t'en indiquer une autre... une autre place de soumis... sous mes fesses... à mes pieds ou sous mes fesses... voilà tes deux places de soumis, Micheline. Médusé, rouge de confusion, Michel ne disait plus rien. D'un signe de sa cravache, Gabrielle lui a indiqué de s'allonger sur le lit. - Tu vas expérimenter ta nouvelle place, Micheline. Montée sur le lit, accroupie, lui tournant le dos, elle a déposé ses fesses sur mister nez en prenant soin de coller la patte de sa culotte sur ses lèvres. Confortablement assise, elle s'est mise à lui triturer les pointes de seins en se soulevant de temps à autre pour lui permettre de respirer. - Tu aimes quand je tire tes pointes de seins... avoue que t'aime ça... t'aimerais avoir des gros seins, ma Micheline... si tu es sage, je ferai pousser tes seins... tu serais mignonne avec des gros seins dans ton soutien... maintenant, lèche comme un bon soumis... Michel Mouriau sous le cul de sa gouvernante... lèche bien le cul de ta gouvernante... c'est ta nouvelle place, tu sais... quand on a pas de bite, on a une bonne langue... tu vas devenir ma lécheuse de cul... j'adore ça.... Michel avait alors craqué complètement. C'était trop bon... trop humiliant... c'était tout ce dont il avait rêvé. Il bandait comme il n'avait plus bandé depuis longtemps. Gabrielle avait souri en observant la petite bite épilée, dressée. - Branle toi salope... astique toi, pisseuse... regardez-moi cela... t'es pas honteuse... alors ça vient ou pas... et on voudrait jouer les mâles avec rien entre les jambes... allez, gicle maintenant que je vois tout... donne ton jus.... Michel a poussé un râle. Il s'est répandu sur les bas de Gabrielle... - Quelle cochonne... lèche tes crasses, Micheline... tu vas recevoir la cravache sur ton cul de pisseuse... tu as vraiment besoin d'être disciplinée... je vais te cravacher le cul pour t'apprendre à salir mes bas. Michel n'en croyait pas ses oreilles... comment osait-elle ? Mais il savait aussi que dans quelques heures, il mendierait sa présence. Pourquoi se révolter alors qu'il ne demandait qu'à se soumettre à cette femme qui le dominait complètement. - Lève-toi... penche-toi devant ton lit et tend bien les fesses... tiens, met cela en bouche pour étouffer tes cris... je ne voudrais pas que Marie ou Joseph t'entendent crier... Elle lui a fourré sa petite culotte en bouche...la cravache a sifflé dans l'air avant de s'abattre sur les fesses qu'elle a marquées d'une longue estafilade rouge. Michel a poussé un hurlement de douleur, étouffé par la culotte. Vingt fois, la cravache a cinglé. Michel était en larmes, implorant la fin de la punition, mendiant mister pardon. - Dorénavant, tu seras cravachée ou fouettée chaque matin avant de partir au bureau... cela rend une soumise très obéissante... très humble... puis c'est humiliant pour un patron en lingeries de tendre ses fesses à la cravache de sa gouvernante... je veux que tu aies mal aux fesses, assise dans ton fauteuil de patron en craignant ma cravache. A propos, Micheline, ta femme prend l'avion pour Cannes demain matin. . Figure toi qu'elle part avec mon Mario qui me l'a annoncé cet après-midi... il y avait soi-disant lieu de faire des travaux dans l'appartement... ces deux là me prennent vraiment pour une conne... Je perds certainement un bon amant mais toi tu vas être cocu... je suppose que cela ne dérange pas trop la soumise que tu deviens... je perds un bon amant... une belle bite,.. autre chose que ta pissette... j'ai donc besoin de ta langue et je compte bien l'éduquer... A partir de ce jour, Michel s'est fait cravacher les fesses chaque matin avant de partir au bureau. Sans surprise, ses progrès mistert devenus remarquables.
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chrislebo
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Pour le grand saut, Gabrielle avait décidé de mettre Madame Jones dans la confidence. Elle comptait utiliser la collaboratrice de Michel et l'agence immobilière pour le féminiser définitivement et inverser les rôles dans la société. Mary Jones prendrait la direction de l'agence et Micheline deviendrait une petite main débutante dans cet univers de femmes. Gabrielle avait alors invité Mary Jones à déjeuner dans un des meilleurs restaurants de la capitale. Mary était une grande femme célibataire d'une cinquantaine d'années, très élégante, toujours habillée avec distinction, les cheveux châtains soigneusement relevés en chignon, de beaux yeux bleus dans un maquillage discret. Très professionnelle... - Je suis ravie de faire enfin votre connaissance, Madame Jones... Michel m'a souvent parlé de vous... il vous apprécie beaucoup, vous savez... pourtant c'est bien de lui que je dois vous entretenir... je crois que vous le connaissez mal... c'est assez délicat... je ne sais pas très bien comment aborder le sujet... c'est un peu scabreux... Mary Jones lui avait souri gentiment. - Vous savez, chère Madame, à mon âge les sujets scabreux font partie du quotidien. Tout est devenu scabreux par rapport à mes jeunes années. - Vous avez raimister mais quand même... ce que je dois vous raconter est vraiment très scabreux... - Je vous écoute... Gabrielle avait sorti de mister sac une grosse enveloppe dans laquelle elle avait glissé les photos les plus compromettantes de Michel. Il y avait une dizaine de clichés de Michel en lingeries, en train d'attacher ses bas nylons, ajustant mister soutien-gorge, vérifiant dans un miroir l'aspect lisse de sa culotte gainante... Quelques photos de Michel endormi, le visage masqué par la culotte de Gabrielle... Michel sur mister lit se caressant à travers la culotte avant de se dévêtir pour se masturber. Des photos de Michel en couche-culotte et protection d'incontinente et enfin de Michel sous les fesses d'une femme qu'on n'identifiait pas. - Les photos que je vous montre expliquent mieux qu'un long discours la gravité des faits dont je dois vous parler... en fait, Michel Mouriau n'est un homme qu'en apparence... tout en lui est féminin et soumission... je pense que la seule solution satisfaisante serait enfin de lui permettre de vivre en femme tant à la maimister qu'au bureau. Mais jetez un coup d'oeil sur ces photos... Mary Jones regardait une à une les photos évocatrices. Sa surprise était totale avec des petites phrases entre chaque photo.... - Incroyable... comment est ce possible... quelle histoire... - Vous comprenez, chère Madame, le problème que cela pose pour votre société... Michel ne peut pas la diriger en femme... par contre, imaginez le parti que vous pourriez tirer de cette situation... vous deviendriez la directrice de l'agence... Michel conserverait un emploi de petite main pendant mister processus de féminisation profonde... vous m'aidez à le transformer complètement en Micheline... vous disposez d'une employée gratuite pendant la journée... vous pourriez l'utiliser comme servante à votre domicile... le gros salaire de l'agence pour vous... qu'en pensez-vous ? Mary Jones regardait le plafond pensivement. - C'est incroyable... je n'en reviens pas... moi qui pensait que vous aviez une liaimister avec lui... dire que je le prenais pour un homme à femmes... il est quand même marié et ils ont un fils....... - Vous savez, ce ne sera pas le premier travesti à avoir été marié et fait un enfant. Il y a belle lurette qu'il ne touchait plus sa femme. Elle vient même de le quitter avec un bel amant italien. - Stupéfiant... comment voyez vous la suite... comment lui en parler... moi, je n'oserais jamais. - Laissez-moi faire, chère Madame... il vous suffira de m'assister... je vous conseillerai... je gère tous les détails... vous permettez que je vous appelle Mary... appelez moi Gabrielle... nous allons devenir amies pour aider notre petite Micheline. - Evidemment Gabrielle... mais je compte sur vous... moi seule, je n'en ai pas la power.
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chrislebo
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Le repas s'était agréablement terminé. Les deux nouvelles amies papotaient joyeusement. Gabrielle avait attiré Mary sur le terrain des confidences. Mary n'avait pas toujours été aussi sage que le laissait supposer mister extérieur sévère. Bisexuelle, elle avait eu de nombreuses aventures avant de vivre seule. L'idée de prendre Michel à mister service pour le soumettre et le féminiser ne lui déplaisait nullement. Ravies, les deux amies s'étaient quittées en se promettant de rester étroitement en contact pour la suite de l'opération. Un beau matin, Gabrielle est entrée dans le bureau de Michel sans prendre la peine de s'annoncer. Elle a jeté une enveloppe sur mister bureau. - Je crois que tu devrais regarder le contenu de cette enveloppe avant de te déshabiller et de convoquer Mary Jones dans ton bureau. Michel découvrait les photos pour la première fois.... Il se voyait en lingeries de femme dans sa salle de bains... endormi dans mister lit avec une culotte de femme ajustée sur mister nez...à genoux en train de lécher des pieds gainés de nylon... puis quelques affreuses photos de lui sous les fesses d'une femme méconnaissable. Comment avait elle obtenu ces clichés.... maintenant il était trop tard... elle le tenait... la garce... - Micheline, tu vas te déshabiller pour exhiber ce que tu portes aujourd'hui sous ton costume... ensuite tu convoque Mary Jones.... - Gabrielle, je t'en supplie, pas cela... tout ce que tu veux avec toi... mais pas devant Mary Jones... tu vas ruiner ma carrière...c'est de la folie. - Micheline, tu obéis sans discuter ou j'envoie ces photos à ton association professionnelle, à tes amis, à tes relations... J'ai décidé de te faire vivre en femme et je te garantis que tu vas vivre en femme... de toute façon, c'est exactement ce que tu souhaites... donc, cesse de jouer au mâle que tu n'es pas, soumet toi et obéis quand je te demande quelque chose... maintenant tu te déshabilles.... Piteusement, Michel s'est déshabillé pour rester bêtement derrière mister bureau en sous-vêtements roses, porte-jarretelles assorti et bas nylons. - Je t'ai apporté des escarpins vernis pour ce grand jour... ils mettent tes longues jambes épilées en valeur... chausse-les et appelle Madame Jones... - Gabrielle, je t'en supplie... - Chausse-le et appelle Madame Jones... Perché sur ses talons, Michel a décroché le combiné pour bredouiller une invitation à Madame Jones. Michel a senti le sol se dérober sous ses pieds quand sa collaboratrice est entrée dans mister bureau. Elle le regardait fixement comme s'il était impossible d'y croire. Michel Mouriau en bonbon rose, perché sur des talons de six centimètres. La scène était électrique mais Gabrielle en maîtrisait tous les détails. - Désolée, Madame Jones mais je suis persuadée que cette petite séance de présentation était indispensable... je comprends votre surprise mais ce spectacle vaut mieux qu'un discours. C'est simple... Michel a définitivement décidé de devenir Micheline... Michel est complètement femme dans sa tête... je vais l'aider dans sa transformation et je voudrais pouvoir compter sur votre appui pour qu'elle progresse plus rapidement. Maintenant, Micheline va gentiment descendre sa petite culotte... se pencher sur mister bureau et me tendre les fesses... je vais les cravacher pour la discipliner et vous montrer comment il faudra la dresser à l'avenir. Madame Jones, vous devriez aller chercher vos jeunes employées... nous ferions d'une pierre deux coups... pour comprendre ce qui se passe, je pense qu'elles doivent découvrir Micheline dans cette tenue et assister à sa séance de discipline.
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chrislebo
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Michel Mouriau lui avait lancé un dernier regard implorant. - Gabrielle, je t'en supplie...pas cela en plus... - Et pourquoi pas, Micheline.... c'est fini de jouer au patron d'opérette... tu va devenir la petite main dans ta propre société... une soumise obéissante et bientôt une soumise avec des gros seins... une renifleuse de culottes comme sur les photos... t'as pas honte... Mary et moi, on va s'occuper de toi.... n'est ce pas Mary... je peux vous appeler Mary... - Bien sûr, Gabrielle... mais si nous convoquons les deux petites... je souhaiterais d'abord les préparer, leur expliquer la situation et les conséquences pour elles. Je veux leur montrer que c'est moi qui vais cravacher Micheline... qu'elles sachent qui va diriger l'agence... - Avec plaisir Mary... je vous prête volontiers la cravache. Mary Jones s'est éclipsée une vingtaine de minutes pour retourner au secrétariat et préparer Sandra et Maud à la surprise qu'elles allaient vivre en direct. La promesse d'un doublement du salaire a été déterminante dans le choix amusé, presque joyeux, des jeunes filles de collaborer avec leur nouvelle directrice. Elles mistert revenue toutes les trois dans le bureau directorial et Mary Jones a pris la parole. - Mesdemoiselles, Michel Mouriau m'a annoncé ce matin qu'il avait décidé de devenir une femme... comme vous pouvez d'ailleurs le constater... dans de telles conditions, elle quitte évidemment la direction de notre agence. Dès demain, je reprends la direction des opérations avec votre aide. Ma première mesure en tant que directrice est de doubler vos appointements pour vous remercier de votre fidélité dans des circonstances aussi délicates. Je prends immédiatement possession de mon nouveau bureau.... de votre côté, vous accueillerez Micheline dans le secrétariat comme petite main sous votre surveillance. Micheline travaillera à l'agence à mi-temps, sous vos ordres. L'après-midi, je compte l'utiliser comme femme de ménage à mon domicile privé. Sur les conseils de Madame Gabrielle, nous allons maintenant discipliner Micheline en votre présence pour bien vous persuader de la disparition de notre ancien patron, Michel Mouriau qui libère la place ce matin pour Madame Micheline Mouriau. Tout en parlant, Mary Jones s'est troussée devant les deux filles effarées pour retirer une adorable petite culotte de satin blanc. - Mesdemoiselles, Micheline adore respirer les petites culottes portées. Je vais donc utiliser ma culotte pour étouffer ses cris... Micheline, mets cette culotte en bouche et tends tes fesses comme tu l'a appris... Gabrielle jubilait de la trouvaille de Mary. Elle allait bien s'entendre avec cette femme. Les deux jeunes employées ne perdaient rien du spectacle. Elles se révéleraient certainement des complices actives dans le processus engagé. La cravache s'est abattue sur les fesses de Micheline qui a poussé un cri étouffé de douleur. - Compte les coups de cravache à haute voix et remercie-moi... - Deux, merci Madame... dix, merci Madame... vingt cinq, merci Madame, je vous en supplie, Madame...arrêtez... j'obéirai... trente cinq, merci Madame... pitié... je vous jure que j'obéirai... cinquante, merci Madame... Micheline s'est relevée, pleurant à chaudes larmes, les fesses rouges virant au bleu, marquées de longues lignes sombres. - Magnifique Mary, vous avez été magnifique... voilà comment on dresse une soumise... il vous suffit maintenant de prononcer le mot 'cravache' pour qu'elle vous obéisse au doigt et à l'oeil... Mais attention, il faut une maintenance disciplinaire chaque jour... sans raimister particulière... juste pour bien la mettre à sa place. - Parfait, Gabrielle, nous commencerons donc chaque journée de travail par cette maintenance disciplinaire. - Fais le en public, Mary, devant les jeunes... c'est très humiliant pour Micheline... très éducatif aussi... je suis certaine que cela amusera beaucoup ces demoiselles... Bien, je pense que cela suffit pour aujourd'hui. Je vais ramener Micheline à la maimister et la préparer pour sa première journée d'employée à l'agence... mister coming out en quelque sorte. Rhabille-toi, Micheline. On part.
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chrislebo
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Gabrielle et Mary s'étaient écartées pour discuter quelques détails et Michel avait entendu. - Elle peut s'installer chez moi quand tu veux. Il suffit de me déposer ses bagages. J'ai une chambre de bonne sous le toit avec un coin douche... cela devrait convenir... c'est pas luxueux... mais pour une servante c'est très suffisant... - Parfait, Mary... de toute manière, c'est fini le luxe pour Micheline... elle va apprendre à travailler pour vivre et payer ses frais... servante chez toi, cela lui ira très bien ... nous sommes sur la bonne voie... je te fais amener ses bagages par le chauffeur... elle n'a pas encore grand chose d'ailleurs... je te reviens dès que j'ai réfléchi aux étapes suivantes... à plus tard Mary... et bonne chance dans tes nouvelles fonctions. Tête baissée, rouge de honte, Michel a traversé mister secrétariat sous les regards narquois de ses employées qui lui ont lancé... - A demain, Micheline. Piteusement, Michel a suivi Gabrielle dans le parking de l'immeuble. Elle a pris d'autorité le volant de la grosse BMW. - Passe-moi les clefs de la voiture... ce n'est pas une voiture de servante que je sache... donc ce n'est plus la tienne... Nous allons d'ailleurs devoir nous organiser... tu vas me donner la signature sur tous tes comptes bancaires et tous tes dossiers de gestion de fortune... me concéder devant notaire l'usufruit de tous tes biens immobiliers... tu vas signer la cession à mon nom de toutes les actions de l'agence... je te donne un mois pour régler ces questions administratives... si tu veux éviter d'être la risée de tout Bruxelles... c'est bien compris Micheline... Michel était tétanisé. Il a murmuré - C'est bien compris, Maîtresse. - En compensation, je vais m'occuper sérieusement de toi... tu vas devenir une femme, celle que tu rêvais d'être quand tu chipais mes petites culottes dans mon panier à linge sale... pour les respirer comme une cochonne dans ton lit... Mary a une amie médecin qui va nous aider à t'administrer et à surveiller ton traitement hormonal. On va commencer rapidement... Dans quelques mois, tu auras les cheveux longs, les joues lisses, les hanches larges, les fesses rebondies et une belle paire de gros seins ballotants pour exciter les hommes. Avec des exercices appropriés, des obligations respectées, de l'hygiène, de la discipline, de l'humilité, nous réveillerons la femme qui sommeille en toi. Je m'occuperai de ton épouse. De toute façon, elle se moque complètement de ce qui t'arrive. Christine ne pense qu'à se faire baiser à Cannes par Mario. T'es cocue ma pauvre Micheline... c'est une évidence...il faut l'accepter... c'est normal que tu sois cocue puisque tu n'as jamais été capable de satisfaire ta bourgeoise. Tu étais probablement trop occupée à piquer ses petites culottes sans t'occuper du contenu de sa culotte. Crois-moi, mon Mario, il va transformer les culottes de ta femme en chiffons. Bref, tu es cocue et ruinée mais c'est pour la bonne cause et je te promets un résultat à la hauteur de tes espérances. Evidemment, tu vas devoir travailler... comme bonniche... cela va te changer... mais tu verras... ce n'est pas si grave... je crois même que tu auras des charmantes compensations. Maintenant, on rentre à la maimister faire tes valises, t'habiller définitivement en femme et dire au revoir au permisternel. Tu comprendras, Micheline, que je ne peux pas te garder à mon service. Le patron en servante, c'est gros à faire passer. Je préfère que tu entres au service de Mary... c'est un nouvel environnement dans lequel tu t'épanouiras plus facilement. Ce soir, tu vas déjà voir la tête de Joseph et Marie quand ils vont te découvrir en Micheline. Je ne te raconte pas la rigolade derrière ton dos... C'est impossible de te garder... tu te vois en train de repousser les avances de Joseph... c'est un chaud lapin tu sais, ton jardinier... je ne vois pas comment je pourrais lui refuser longtemps de t'utiliser... une servante avec des gros seins chez les bourgeois... toute la maimister lui passe dessus... c'est connu... T'avais même essayé avec moi, ma salope... me planter ta ridicule pissette de patron raté et faire tes crasses entre mes jambes... au fond, permettre à Joseph de gicler dans ton cul, ce serait une vengeance méritée... ça pourrait m'amuser... je vais y réfléchir.... Tu sais, Micheline, en femme, il est temps de commencer à regarder les mecs, Je te parle des vrais mecs... des mecs avec des grosses bites dans la culotte... pas des lopettes dans ton genre, avec un crayon dans une culotte de fille... Il faut que j'en parle à Mary... tu sais qu'elle est bisexuelle... elle a eu plusieurs amants et quelques femmes dans sa vie... j'ai l'impression qu'elle préfère les femmes... avec toi, elle va être servie... le meilleur des deux mondes... elle est un peu seule aujourd'hui... Elle te voit arriver chez elle d'un bon oeil. Nous allons bien nous amuser ensemble. Je vais mettre toutes mes idées sur papier et les lui soumettre pour définir ton programme de féminisation parallèle à ton traitement hormonal. Mary t'a déjà obtenu un rendez-vous après-demain chez la doctoresse Foucart. C'est une spécialiste de ces questions de transidentité. Elle est elle-même transexuelle et elle conseille plusieurs transexuelles à Bruxelles. Elle a accepté de traiter ton cas. Je vais aussi téléphoner à mon esthéticienne pour te réserver quelques séances d'épilation définitive au laser.
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chrislebo
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Tout en discutant, Gabrielle conduisait agréablement la grosse berline. Elle a garé la voiture devant le perron de la villa avant d'accompagner Michel dans sa chambre. La penderie du dressing était grande ouverte. - Vérifier ta penderie, Micheline, je t'ai préparé quelques surprises... Tous les costumes, chemises, cravates, souliers, chaussettes... tout avait disparu. C'était une penderie de servante... quelques robes, jupes, chemisiers, combinaimisters accrochées sur des cintres, quelques lainages grossiers sur les étagères. Un tiroir était rempli de grandes culottes roses et blanches très ordinaires, quelques soutien-gorges ringards, des longues gaines à l'ancienne avec jarretelles incorporées, deux corsets saumons à baleines et lacets, des bas nylons et des collants dans leurs pochettes d'origine, trois paires de souliers noirs à hauts talons et trois perruques blondes. Elle avait donc tout prévu et Michel était stupidement tombé dans le piège. Dans la salle de bain, une poche à lavement était accrochée au dessus du bidet, des produits de beauté et de maquillage sagement alignés sur les étagères, des plugs progressifs, des godes des pinces et des poids bien en évidence au dessus du lavabo. Deux grands sacs de voyage sur le lit. - Je vais te préparer tes vêtements de la journée... tu vas t'habiller en servante... ensuite on fera tes bagages... un dernier au revoir au permisternel que tu ne verras plus et Joseph ira te conduire ce soir chez Mary. Michel ne réagissait plus. Comme un automate, il s'est habillé avec ce que Gabrielle lui préparait. Maquillée, perruquée, se déplaçant maladroitement sur ses talons, Michel a passé une petite robe noire de service, avant de se regarder dans la glace. Il n'y a vu que Micheline, une bonniche blonde de taille moyenne avec de jolies jambes gainées de nylon, une poitrine rembourrée, des lèvres roses, les yeux faits... une servante... Gabrielle rectifiait les petits détails de sa tenue quand Marie, la cuisinière, est entrée dans la chambre après avoir frappé. Curieusement, elle tenait en main deux gros godemichets, un noir et un rose. - Venez Marie, nous avons presque terminé... qu'en pensez-vous de notre Micheline... toute pimpante... prête à nous quitter... vous saviez qu'elle a été engagée comme servante chez Madame Jones... elle va apprendre mister métier de bonniche à la dure. Marie n'en croyait pas ses yeux. Elle regardait Micheline en souriant béatement. - Pour sûr que Madame a fait du bon travail... elle est très réussie... encore faut-y voir si elle travaillera... elle a pas l'habitude. - On lui apprendra à travailler, Marie... il va falloir qu'elle gagne sa vie maintenant... Madame Jones ne compte certainement pas la payer pour ne rien faire... elle apprendra vite... croyez-moi... elle sait d'ailleurs très bien ce qui l'attend... n'est ce pas, Micheline... que sous la cravache, tu es très obéissante... Micheline regardait ses souliers, n'osant plus lever les yeux pour éviter les regards sarcastiques de sa cuisinière. - Trousse ta robe, Micheline, que Marie puisse regarder tes dessous de bonniche... Honteusement, Micheline a remonté sa robe pour dévoiler la grande culotte rose de rayonne brilllante et la longue gaine étroite qui fixait les bas en haut des cuisses. - Je lui ai acheté des dessous d'occasion... des vieux dessous portés et démodés... c'est bien suffisant pour une souillon... et surtout c'est pas cher... vendus au kilo... - Madame a raimister... je voulais demander à Madame... j'ai encore trouvé deux godemichets dans la salle de bains de Madame Mouriau... j'en fais quoi... je les mets avec ceux de Micheline ou je les range ? - Mettez-les avec ceux de Micheline, Marie... Madame Mouriau n'en a plus besoin... alors que Micheline va en avoir grand besoin... Gabrielle est partie d'un léger éclat de rire en observant la mine piteuse de Micheline. - Et oui, ma chérie, c'est bien utile un gode pour te dilater la rondelle... ta femme en faisait grand usage puisque tu n'étais bon à rien... imagine... le gode de ta femme dans ta pastille... tu en auras bien besoin... crois-moi... Marie est repartie pendant que Gabrielle terminait les bagages de Micheline.
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chrislebo
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Dépêchons-nous maintenant... je vais demander à Joseph de descendre tes bagages pour te conduire chez Mary... on pourrait en profiter pour te dépuceler... que dirais-tu de découvrir ta première bite... tu préfères en bouche ou dans ta chatte... Humiliée, Micheline était au bord des larmes. Elle n'allait quand même pas lui imposer cela... - Je vous en supplie, Maîtresse, pas Joseph... Hilare, Gabrielle est allée chercher un pot de vaseline dans la salle de bain. Elle lui a tendu le pot et un plug de taille respectable. - Tiens, je suis gentille... pendant que je vais chercher Joseph, tu peux te dilater l'anus... je te conseille de t'activer car une première bite dans le cul, surtout celle de Joseph, cela peut te faire très mal... allez, à genoux... et travaille ton croupion... souillon.... je reviens dans dix minutes... tu restes à genoux. Elle a raté le spectacle de Micheline à genoux, en train de vaseliner mister plug, descendre sa culotte pour pointer le plug et se l'introduire progressivement dans l'anus. Les sphincters résistaient à la pression du plug qui bloquait dans sa partie la plus large. En s'y reprenant plusieurs fois, Micheline a fini par pouvoir se l'introduire en grimaçant de douleur quand la rondelle a finalement cédé. Agenouillée, plugée, elle a entendu les bruits de pas et la conversation dans l'escalier. - C'est votre dernière chance, Joseph, de lui faire payer tout ce qu'elle vous a fait subir ces dernières années... allez-y doucement... elle est encore très étroite.... vous êtes trop bien monté pour elle... Micheline les a entendu rire avant d'entrer. Aucune offense ne lui serait épargnée. Elle gardait les yeux baissés... Joseph s'est assis sur le lit. Gabrielle avait apporté l'affreuse cravache que Micheline connaissait trop bien. - Tu vas te mettre à genoux entre les cuisses de Joseph, frotter ton nez sur sa braguette et le supplier de te dépuceler... tu vas répéter à haute voix : 'Maître Joseph, je voudrais vous lécher les couilles et sucer votre grosse bite avant de vous offrir ma chatte... je vous demande pardon pour tout ce que je vous ai fait et quitter la maimister remplie de votre foutre qui va couler dans ma culotte de souillon.' Effondrée, Micheline a commencé en murmurant. Un solide coup de cravache sur les fesses lui a rappelé ses devoirs. - J'ai dit à haute et intelligible voix, en frottant ton nez contre sa braguette Soumise, Micheline a récité la phrase en frottant mister nez sur la braguette. Il a entendu la voix de Joseph. - Et bien, vas-y, salope... dégage moi le paquet et suce... L'odeur était affreuse... Micheline a enfourné la tige dressée du jardinier pour la pomper vigoureusement... Joseph a grogné - Attention à tes dents, salope... arrondis bien les lèvres... active ta langue... lèche bien les couilles... salive sur la bite comme une bonne pute... Le nez dans les poils, Micheline faisait de mister mieux pour s'activer mais elle manquait visiblement d'expérience. Gabrielle la cravachait chaque fois qu'elle ralentissait le mouvement. - Tu lèches et tu suces... tu cesses de faire l'idiote... désolée, Joseph, mais ce n'est encore qu'une débutante... je vais lui déboucher le cul... vous la prenez debout penchée ou en levrette sur le lit. - Je vais la prendre debout penchée comme une fille de ferme qui tend ses fesses à un palfrenier dans une écurie... ce sera plus humiliant pour cette bourgeoise grimpée, enculée comme à la ferme. Gabrielle avait glissé une main entre les fesses de Micheline pour retirer le plug qui est sorti avec un bruit de bouchon et un cri de douleur de Micheline au passage de la partie large. - Tu as entendu, Micheline... debout, penchée... tu écartes bien tes fesses avec les mains... tu présentes ton trou à bites bien exhibé à Maître Joseph... Micheline a pris l'affreuse position indiquée... elle a senti le gland de Joseph contre ses muscles, puis quelques petites poussées préparatoires avant l'assaut. Elle a poussé un cri de douleur au passage du gland avant de sentir la longue saucisse se glisser en elle et l'envahir profondément. - Voilà, c'est bien... tu es une enculée... dis le que tu es une enculée... - Je suis une enculée. Maîtresse. - Pompe bien la grosse bite du Monsieur avec tes sphincters, aspire-la comme une salope... remercie Maître Joseph d'avoir accepté d'enculer une salope de ton espèce. - Merci, Maître Joseph, d'avoir accepté d'enculer une salope de mon espèce.
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chrislebo
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Micheline a senti le membre se raidir... les mouvements d'aller retour qui s'accéléraient... la respiration plus courte de Joseph... quelques grognements sourds... puis des flots de liquide gras et collants dans mister ventre. Joseph est resté immobile quelques secondes avant de retirer doucement mister membre gluant. - Remonte vite ta culotte... je veux que mon sperme te colle les fesses, la culotte et les bas... à genoux, maintenant...tu vas nettoyer en bouche ce qui a été sali dans ton cul... Avilie, Micheline s'est honteusement agenouillée pour reprendre en bouche la grosse bite pleine de vilaines taches brunes. Quelle horreur mais... la cravache veillait. Après ce dépucelage, Joseph a embarqué les sacs de voyage dans la BMW. Vers six heures du soir, Micheline a été débarquée chez Mary Jones qui l'a conduite dans sa mansarde sous les toits. Une minuscule chambre de dix mètres carrés avec une petite lucarne. Le mobilier est réduit au strict minimum, une armoire, un lit métallique, une table, une chaise, un seau hygiénique et un meuble de toilette avec une cruche et une grande vasque de porcelaine pour ses ablutions. - Il y a une douche séparée dans le couloir, Micheline. Il y avait aussi une toilette mais elle est hors d'usage. Je t'ai donc acheté un seau hygiénique que tu pourras vider dans la toilette de la cave. Voilà, je te laisse ranger tes affaires. Ensuite tu descends me rejoindre à la cuisine. Ton service commence à huit heures. - Bien Madame. Mary Jones est partie laissant Micheline réfléchir à sa triste situation. C'était un désastre. De bourgeois riche, marié, directeur d'une petite société il se retrouvait, ruiné, féminisée, comme servante de sa secrétaire qui l'installait chez elle dans une infecte mansarde. Grandeur et décadence.
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chrislebo
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Christine Mouriau Christine et Mario, la main dans la main, amoureux, avaient débarqué en début d'après-midi à l'aéroport Nice-Côte d'Azur. Une voiture de location chez Avis et en route pour Cannes avec un arrêt chez le distributeur Porsche du boulevard Carnot. Mario voulait absolument admirer le dernier modèle de la Porsche 911 dont il rêvait. - On va l'acheter, mon chéri... de toute façon, on a besoin d'une voiture dans le Midi... on la laissera dans le garage de l'immeuble... permisterne ne la verra à Bruxelles... tu imagines les balades en décapotable dans l'arrière-pays... à nous deux... Mario ne s'était pas fait prier. Christine avait signé le chèque d'acompte. La Porsche serait livrée la semaine suivante. L'appartement des Mouriau jouissait d'une magnifique situation à Cannes, face à la mer, en plein centre de la Croisette, au dernier étage d'un luxueux immeuble à côté du Majestic, le grand hôtel de Cannes. Le living dallé de marbre italien donnait sur une vaste terrasse, sans aucun vis-à-vis. On pouvait y profiter du soleil généreux et d'une vue panoramique sur les îles de Lérins, la Méditerannée bleue bordée par les roches rouges de l'Estérel. Deux chambres à coucher, avec salle de bain privée, s'ouvraient sur la terrasse et deux chambres plus petites à l'arrière profitaient d'une vue dégagée sur la ville de Grasse et les contreforts enneigés des Alpes. Tout était prêt. Appartement impeccable, nettoyé, le lit fait par Amanda, la femme de Ahmed, le concierge de l'immeuble. Christine l'avait engagée à l'époque comme femme de ménage. Les bagages défaits et rangés, Christine et Mario, en maillots de bains, s'étaient allongés côte à côte sur des chaises longues. Il faisait un temps merveilleux. Christine minaudait en caressant doucement la cuisse de mister bel amant plongé dans une revue people, genre Gala ou autres. Pendant les trois premières semaines, la vie s'était écoulée agréablement entre les séances de bronzage sur la terrasse de l'appartement et la plage privée située en face de l'immeuble. On déjeunait le midi à la plage et le soir dans un des restaurants du vieux Cannes avant de prendre un dernier verre dans une des boîtes branchées derrière le Grand Hôtel. Mario était un amant merveilleux avec une préférence pour les siestes améliorées et les ébats du soir avant de s'endormir. Repue de sexe, Christine était heureuse. Elle résistait pourtant souvent aux demandes extravagantes de Mario qui considérait qu'elle était trop prude, trop classique, trop bourgeoise. - Tes maillots de bains mistert ridicules.... tu vas avoir des grandes marques blanches partout... tu t'habilles comme une bobonne... pourquoi cette lingerie hors de prix si c'est pour la cacher à tout le monde... exhibe toi un peu... excite les mecs... on est pas dans un couvent... Mal à l'aise, Christine riait mais elle ne cédait pas, réservant ses réactions plus naturales au secret de la chambre à coucher. Mario la prenait rarement normalement. Il exigeait généralement de longues fellations très bmouillées avec léchage des bourses et de l'anus. Il la pénétrait ensuite sauvagement en passant d'une ouverture à l'autre avec des commentaires graveleux. - Bite en bouche... mouille la bien... bite au cul... pousse comme pour faire caca... tu sens le gland... elle va rentrer comme dans du beurre... viens faire a dada maintenant... dans ta chatte trempée en remuant tes gros seins... t'aime ça, ma salope... Complètement dominée, Christine perdait les pédales... elle se lâchait alors... une chienne en chaleur qui dansait et hurlait sa jouissance sur la longue bite dressée dans ses entrailles. Les éjaculations de Mario était abondantes... elle avait interdiction d'aller se laver après l'amour. - Tu dois sentir ce bon sperme épais couler entre les fesses, sécher sur tes cuisses Parfois, il préférait éjaculer dans sa bouche ou sur mister visage. Elle devait alors l'avaler en souriant ou étaler le sperme sur la figure et les seins. - C'est plein de vitamines... c'est bon pour ta peau... tu vas puer la bite... mais c'est pour ton bien.
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chrislebo
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Après le déjeuner, Mario avait longuement discuté avec Pascal tandis que Christine était retournée s'allonger sur mister matelas. Que pouvaient-ils bien se raconter. Mario était finalement revenu. - Demain, Pascal te fera visiter la réserve dans laquelle il range le matériel de plage. La pièce est vide durant la journée. Il y laissera quelques matelas pour te permettre de t'allonger. Il compte te tester permisternellement demain matin avant de te permettre de rencontrer quelques clients de la plage. Il y en a plusieurs qui t'ont remarquée et qui souhaiteraient vivement faire ta connaissance. Effondrée, Christine ne réagissait plus. Ils avaient quitté la plage vers quatre heures pour retourner à l'appartement et s'allonger sur la terrasse. Christine était plongée dans ses rêveries. - Mais, tu m'aimes encore, Mario ? - Evidemment que je t'aime encore... mais je te veux différente et il y a du travail... par exemple, je t'ai déjà dit vingt fois que tu dois être nue pour bronzer sur la terrasse... enlève ce maillot immédiatement... mets-toi à poil... à poil... tu comprends cela... à poil tout de suite... Christine acceptait mal le langage crû de Mario. L'idée de se mettre nue sur cette terrasse ne lui venait même pas à l'esprit. Elle hésitait encore. Mario leva un oeil inquisiteur de mister journal. - Alors, tu attends quoi... je t'ai dit à poil, Christine... - Mais Mario, on pourrait me voir... Amanda pourrait monter... - Permisterne ne peut te voir sur cette terrasse et Amanda ne va pas venir en plein après-midi... cesse de te conduire en bourgeoise chichiteuse... je veux une maîtresse qui s'affiche, qui s'exhibe... qui montre qu'elle aime le sexe, qu'elle en redemande. Avec moi, tu vas apprendre à te conduire en amoureuse soumise... à en être fière... tu dois te discipliner... je vais te discipliner... Christine ne comprenait plus rien. - Me discipliner... mais que veux tu dire, chéri... - Il n'y a pas de chéri qui tienne... je veux simplement que quand je te demande quelque chose, tu obéisses sans discuter... si ce n'est pas le cas, tu seras punie et disciplinée à la cravache ou au martinet... est-ce clair... 'ma chérie' ? - Punie ? Disciplinée à la cravache... au martinet ? Non mais je rêve... tu deviens complètement fou Mario... - Pas du tout... 'ma chérie'... une femme désobéissante doit être fouettée comme une sale gamine jusqu'à ce qu'elle se soumette avec enthousiasme aux ordres de mister amant. Dans mon pays c'est comme cela que ça se passe et je compte bien en user avec toi... je n'ai aucune envie de vivre avec une prétentieuse qui joue les allumeuses... maintenant fous-toi à poils ou j'appelle Ahmed pour te fouetter le cul. Christine sentit le sol se défiler sous ses pieds. Mario devenait fou. Sans réfléchir, comme une automate, subjuguée, elle retira mister maillot de bain une pièce pour exhiber ses gros seins et la petite toimister soigneusement épilée en triangle. - Caresse tes seins et ta chatte... tire tes bouts de seins... fais-les pointer... comme une salope... rentre deux doigts dans ta chatte. - Mario... pas cela... je t'en supplie... pas ici... allons dans la chambre... - Je t'ai demandé de te caresser ici... j'attends... Mario s'était levé pour aller dans l'appartement. Il était revenu sur la terrasse avec un gros sac de sport. Christine le regardait, hébétée, tandis qu'il retirait du sac des paires de menottes, des bracelets de contrainte, plusieurs martinets de longueurs diverses, une longue cravache de dressage.
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chrislebo
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- Puisque tu refuses d'obéir, nous allons immédiatement passer aux choses sérieuses. Je vais t'apprendre la discipline. Je crois que tu en as bien besoin. Une séance automatique de martinet, matin et soir, va rapidement t'assouplir le caractère et te faire progresser sur la bonne voie.. J'ai demandé à Ahmed de sceller quelques anneaux dans les carrelages et le mur de la terrasse.... un autre dans le plafond du hall de l'appartement. Ils vont donc servir plus vite que prévu. Affolée, Christine s'était levée pour ramasser ses affaires et faire mine de se retirer précipitamment dans sa chambre. Mario l'attrapa vulgarement par le bras pour la jeter sur le matelas et lui passer des menottes aux poignets. En larmes, tirée vers le mur latéral de la terrasse, Christine se retrouva rapidement attachée à un anneau scellé dans la maçonnerie, les bras levés au dessus de la tête. - Recule les pieds... écarte les jambes... écarte mieux que cela.... Mario lui plaça des bracelets de chevilles, fixés aux anneaux scellés dans le sol. Christine, nue, était immobilisée dans une position inconfortable, le nez contre le mur, les pieds écartés en arrière, les fesses offertes. - Mario, je t'en supplie... arrête... Pour toute réponse, elle sentit la main de Mario se glisser entre ses jambes puis les doigts en crochet qui lui fouillaient profondément la chatte. - Il me semble que tu mouilles déjà... offense de te savoir bien présentée, nue, offerte, prête à te faire fouetter comme une sale gamine qui refuse d'obéir. Pour pimenter ton offense, je vais demander à Ahmed de monter nous rejoindre... il sait pourquoi je voulais ces anneaux scellés... c'est lui qui viendra te fouetter régulièrement jusqu'à ce que tu promettes de faire ce que je te demande... quand il aura fini de te fouetter les fesses et les seins, tu devras le remercier gentiment... tu vois ce que je veux dire... les arabes adorent se faire sucer le sexe avant une bonne sodomie. - Mario... arrête... je ferai ce que tu voudras... mais pas le concierge... - Pourquoi pas le concierge ? Pourquoi pas n'importe qui d'ailleurs ? Une bite reste une bite... je te veux soumise, obéissante, sexy, sensuelle, pute, avec n'importe qui et n'importe quoi... tu apprendras qu'une bite n'est qu'une bite et que celle du concierge en vaut bien une autre. Christine l'entendit former un numéro sur mister portable. - Ahmed, c'est Mario... pourriez vous monter... j'ai déjà besoin de vos services... oui, elle est prête... Madame vous attend... Quelques instants plus tard, un coup de misternette. Christine entendit Mario revenir sur la terrasse en discutant avec Ahmed. - Vous comprenez Ahmed, Madame faisait déjà des manières alors que je lui demandais simplement de se déshabiller et de se caresser devant moi sur la terrasse... nous allons avoir du travail pour la dresser... elle se croit toujours dans un salon mondain en train d'allumer quelques bourgeois prétentieux. Vous allez commencer par vérifier la marchandise avant de lui chauffer les fesses et les seins jusqu'à ce qu'elle accepte de vous remercier comme il convient... c'est une suceuse passable et elle prend bien la bite dans le cul même si je crois savoir que vous êtes particulièrement bien monté. Humiliée au plus profond d'elle-même, Christine pleurait doucement sans pouvoir se soustraire aux attouchements d'Ahmed qui lui caressait les fesses et les seins avant de vérifier l'humidité de sa vulve. - La petite dame mouille déjà à l'idée de se faire toucher comme une pute par un arabe. - Qu'elle mouille tant qu'elle veut, Ahmed, mais qu'elle obéisse et je ne vois que le martinet pour en finir avec ses singeries. - Vous avez raimister, Monsieur Mario... j'applique la même technique avec Amanda... elle est fouettée tous les jours... je vous garantis que les résultats mistert spectaculaires... elle travaille sans arrêt... ses temps libres mistert consacrés à tapiner au parc du port Canto pour améliorer notre ordinaire... c'est une bonne gagneuse... vous m'en direz un jour des nouvelles... Ahmed choisissait maintenant un martinet à longues lanières de cuir avec lequel il commença par frôler les fesses et le dos de Christine. Les premières cinglées étaient supportables. Ahmed rougissait doucement les rondeurs de la suppliciée qui poussait des petits cris en essayant de se soustraire aux morsures des lanières. Ahmed fouettait en professionnel... calmement, méthodiquement, sans la moindre précipitation... accentuant progressivement la violence des coups, les espaçant de caresses manuelles pour vérifier la chaleur et le marquage des surfaces offertes. Christine sentit les doigts d'Ahmed empaumer puis pénétrer sa chatte... rouler mister bouton... confuse de honte, elle savait qu'il constatait qu'elle était trempée. - Voyez-moi cela, Monsieur Mario... elle est toute trempée, votre dame... mes doigts clapotent dans sa chatte comme dans un cloaque... t'aime cela, hein salope... t'en fais pas... j'en ai pas fini avec toi... je vais te péter le cul et tes pis de vache jusqu'à ce que tu me supplies de t'enculer comme la dernière des chiennes. Les coups s'abattaient maintenant avec violence. Christine poussait des rugissements de douleur en suppliant, en implorant que cela s'arrête. Pour toute réponse, Mario lui fourra la culotte de mister bikini dans la bouche pour étouffer les cris.
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