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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1,381
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Le lundi 2 septembre 1985, je repris mon travail. Je laissais ma petite famille à la maimister. Chose rare, pour le souligner.
Lorsque je rentrais le soir, je fus accueilli avec l?amour familial.
Après le repas, Laurence me glaça ....
Elle venait de me dire :
? Daniel, je pars demain ?
? Mais, nous venons d?arriver ... ?
? Oui, mais je par demain ?
? Puis-je savoir où ? ?
? Oui, je vais chez moi à Vincennes ?
? Et pour Laure ? ?
? Mais je l?emmène avec moi ?
? Pour combien de jours ? ?
? Pas jours, mais mois ?
? Mois ? ?
? Oui, plusieurs mois, sans doute ... ?
? Mais .... ?
? Pas de mais, Daniel, tu as promis d?obéir sans rien demander ?
? C?est terrible, Laurence, terrible ... ?
? Justement, tu verras à mon retour, nous aviserons ?
Je voulu m?approcher d?elle mais elle me repoussa tendrement.
? Mais, au moins, dis moi ce que tu vas faire ? ?
? As-tu déjà oublié les paroles de Cyril ? ?
Je me souvenais, en effet. Je ne pouvais que me résigner.
Elles mistert parties me laissant à mes larmes.
Je n?ai plus eu de nouvelle durant 3 mois. Enfin, je reçu un fax de plusieurs pages, à la maimister.
Il était de Cyril et disait, en résumé :
? Daniel, je viens te donner des nouvelles de Laurence. Nous vivons le parfait amour dans sa maimister de Vincennes. Laure est adorable. Elle se porte très bien. Elle a retrouvé ses nounous. Je te tiens au courant de l?avancement de Laurence :
Chaque soir, elle du lundi au vendredi, je la prête à un ami arabe. Il habite près de ? Barbes ?
Il la prostitue. Elle n?est pas dans la rue, mais dans mister appartement. Il est libre de l?utiliser comme il le veut. La seule condition, c?est que seulement des arabes la prennent.
Elle est très appréciée. Mon ami tient la comptabilité à ta place.
A ce jour, soit le 30 novembre 1985, il m?a dit qu?elle avait eu 589 ? clients ?.
Selon ses dires, c?est une bonne ? gagneuse ?, une pute sans pareil.
Ah, juste un détail .... Laurence est enceinte depuis 2 mois. Elle attend un enfant. Et comme moi, je me contente de me faire sucer et de l?enculer, il ne fait aucun doute qu?elle est enceinte d?un arabe. Elle est très heureuse et dit qu?elle continuera jusqu?au bout de sa grossesse car déjà les arabes mistert fous d?elle et qu?ils aiment ça, baiser une femme enceinte.
Elle t?embrasse tendrement.
A bientôt.
Cyril ?
Je reçu un autre fax, le 3 janvier 1986.
? Daniel, voici encore des nouvelles. Laurence a continué sa prostitution chez mon ami arabe. Nous avons fêté Noël, en famille, à la maimister. Une seule nouveauté, c?est que pour le réveillon du jour de l?an, elle a été la danseuse vedette dans un bar restaurant de ? la Goutte d?Or ?. Il parait qu?elle a eu beaucoup de succès et qu?elle a été prise par tous les hommes présents.
Mon ami me dit d?ajouter 228 ? clients ?. Il est fier de sa pute française.
Toutefois, ne t?inquiète pas outre mesure, mon ami sélectionne les hommes qui viennent baiser Laurence. Il m?assure qu?il veille à leur bonne hygiène.
D?ailleurs elle le confirme, mais elle veut absolument continuer, sans préservatif.
Mais elle a tout de même consenti à diminuer le nombre de ses clients.
Son ventre s?arrondi, vous aurez un beau bébé arabe.
Elle te fais un énorme bisous ... sur la joue dit-elle
Bye et à bientôt
Cyril ?
Après ce fax, je n?ai plus reçu de nouvelle jusqu?au 16 juin 1986. 5 mois sans nouvelle. Mes parents et ceux de Laurence souffraient à ma place de cette situation. Mais je les rassurais de mon mieux et Laurence leur téléphonait de temps en temps.
Donc, ce 16 juin 1986, je reçu une lettre accompagnée de 3 photos de Laurence, nue. Son ventre était gros et elle souriait, sur l?une d?elle. Sur une autre elle était agenouillée devant un homme et elle suçait sa bite. Sur la dernière, elle était en levrette et se faisait prendre par un homme. Impossible de savoir, s?il la baisait ou l?enculait.
La lettre disait :
? Salut Daniel, Laurence rentrera le 21 juin. Je te prie de bien tout préparer pour l?accueillir.
Elle a bien mérité. Depuis hier, elle a arrêté sa prostitution. Mon ami l?a ramenée car elle ne peut plus. Mais il m?a dit qu?elle avait bien assuré et qu?il avait refusé beaucoup de clients.
Néanmoins, il faut ajouter 612 clients.
Laurence est impatiente de te revoir car elle t?aime.
A bientôt
Cyril ?
Je pleurais de joie durant plusieurs minutes. Je téléphonais à mes parents et aux siens.
Plus tard, heureux, ma permisternalité de mari cocu revint naturellement.
Je bandais et je me masturbais sur les 3 photos. Je jouis terriblement fort.
Puis je fis les comptes.
Lorsque Laurence était partie, nous en étions à 377 amants. J?additionnais :
377 + 589 + 228 + 612 = 1.806 hommes qui avaient possédé ma femme.
Je fis également vite la moyenne.
1.806 : (4 X 365) = 1,24 amant par jour depuis notre rencontre.
A mon avis, j?étais vraiment le mari le plus cocu de la terre.
Surtout qu?il faut ajouter 4 chiens et 3 chevaux.
Laurence avait donc atteint mister but.
Lorsqu?elles arrivèrent, Laurence ma femme et Laure ma fille, je cru m?évanouir.
Je pleurais en me blottissant au creux de l?épaule de Laurence. Puis je ne lâchais ma fille.
Les heures mistert passées.
Laurence était grosse, très grosse. Son ventre était rond.
Le soir elle me permit de venir dans mister lit.
Nue, ses énormes seins me fascinaient. Elle me dit :
? Caresse mon ventre, chéri, caresse le ?
Je caressais ce ventre qui contenait un enfant de je ne sais qui.
? Tu vois, tu vas encore être le père d?un enfant que tu n?as pas fait ?
? Oui, mais tu es là, enfin, et il n?y a que ça qui compte ?
? Mais tu es heureux que j?ai encore un enfant d?un autre que toi ? ?
? Oui, très heureux ma chérie, très heureux mon Amour ?
? Je suis heureuse aussi. Et pour te le prouver, je vais te sucer, tu vas me baiser et m?enculer ?
Ce qu?elle fit, elle aspira ma queue, comme un aspirateur peut le faire, sa bouche était experte. Puis elle se mit à genoux et me dit de la sucer. Je regardais longuement mister fessier, large. J?enfouis, mon visage et je léchais sa vulve ouverte.
N?y tenant plus, je la pénétrais. Mon sexe fut aspirait. Je glissais dans un gouffre béant.
Son vagin était trop élargi pour ma petite bite.
? Alors, ça fait quoi de baiser une pute ? ?
? Non, tu es ma femme ?
? Oui mais ta femme est une pute qui était à la disposition de centaines d?arabes ?
? C?est vrai, c?est vrai .... ?
Les étoiles, je voyais les étoiles ...
? Encule moi, maintenant ?
Je l?enculais. Je pénétrais dans mister cul aussi facilement que dans sa chatte.
? Tu vois bien que je suis une pute ?
Comme la jouissance approchait je rentrais dans le jeu ...
? Oui, tu es une véritable pute, une prostituée et je suis ton mari cocu ?
? Cocu ? C?est peu dire ... j?ai appartenu à une armée d?arabes et je suis engrossée de l?un d?eux. J?étais le vide couilles des arabes de Barbes, ils m?ont enculée, baisée et j?ai bu leur sperme en quantité. ?
? Chérie, chérie, je vais jouir, c?est bon, ça vient ?
D?un coup, Laurence me fit sortir de mister cul.
? Non, tu ne jouis pas en moi, un cocu c?est un cocu. Jouis dans ta main. ?
Je me branlais 5 secondes et je criais ma jouissance. Mon sperme fusa et s?écoula sur le lit.
? Tu vois Daniel, je n?ai pas jouis, alors qu?avec les arabes, je peux t?assurer que je jouissais, au moins, une fois avec chacun d?eux. Je t?aime, mais tu ne me fais plus jouir. ?
? Je le sais bien, je le sais bien ?
? Bon c?est ainsi, viens mon chéri, viens dormons ensemble ?
? Je suis le plus heureux de hommes ?
Le 2 juillet elle accouchait d?un beau bébé. Un garçon. Je dois avouer que je fus un peu rassuré de voir sa peau .... claire.
Laurence décida qu?il se prénommerait .... Akim.
Nous avons quitté la clinique.
Un jour alors que nous étions tous réunis chez mes parents, avec les parents de Laurence, elle manifestait beaucoup de tendresse à mon égard.
Toujours près de moi.
Dans le parc, autour de la table dressé, ? la ? famille était réunie.
Répondant à une question de mister père, Laurence dit, en toute sérénité :
? Comme vous le savez, Daniel et moi sommes tout à fait en phase ... notre couple est très fort et nous nous aimons sincèrement. Notre vie ne regarde que nous. Vous savez tous qu?Akim est le fils d?un inconnu et que Daniel approuve et aime cette situation. Il n?y a aucun malaise entre nous. Mais il est le père. Et il l?aimera autant qu?il aime, Laure, car il m?aime et que nous nous aimons. Que faut-il vous dire de plus. Que pour répondre à ta question, papa, non je ne vais pas rester à Aubagne très longtemps .... J?ai encore à faire. Et je partirais dès que je serais mieux. ?
Elle avait parlé avec calme et cela mit fin à tout commentaire.
Elle me fit un bisou sur mes lèvres.
Tout le mois d?août fut consacré à la gymnastique, au sport en général et aux salons de massages et de beauté.
Longues minutes de natation à la mer.
Régime draconien.
Fin septembre, Laurence était la même qu?avant sa grossesse.
Elle réorganisa notre vie. Les nouvelles nounous, embauchées sur place. Laure fut admise en petite maternelle.
Nous avons vendu notre maimister et en avons achetée une autre bien plus grande, avec piscine et 6 chambres.
L?une étant réservé à une nounou.
Nous avons engagé aussi du permisternel de maimister. Une cuisinière et une femme de ménage. Un jardinier.
Nous étions fin novembre 1986. Ce fut le moment que choisi Laurence pour inviter .... Cyril.
Il vint à la maimister. Bien sûr, ils dormaient ensemble dans la chambre de Laurence. Ils étaient très joyeux de cette situation. Ils étaient attentifs toutefois à ne pas ? trop ? se montrer proche devant les enfants, enfin, devant Laure. Mais ils ne se cachaient en rien devant les adultes. Que ce soit les nounous, le facteur, les voisins chez nous ou dans le village, tous n?ignoraient plus rien de notre mode de vie et de ? l?amant ? de Madame X, qui vivait chez nous.
Nous avons passé la Noël chez nous et l?incongru de la situation ne nous permit pas d?inviter mes parents. ( Tout de même ... )
Le 28 décembre 1986, Laurence m?informa de leur départ ...
chrislebo

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#1,382
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? Où vas-tu ? ?
? Nous partons à Vincennes ?
Ce ? Nous ? me faisait mal.
? Tu t?absentes longtemps ? ?
? Oui ?
? Et les enfants ? ?
? Cette fois, je pars sans eux, je le regrette, mais Laure étant déjà habituée, ici ... Pour Laurent, il vaut mieux qu?il soit, stable avec toi, car de mon coté, je vais beaucoup bouger ?
? Mais tu vas leur manquer ... ?
? Je sais, mais j?ai prévu de revenir régulièrement ?
Laure est partie avec Cyril.
Je me suis fais mon petit réveillon tout seul.
Comme promis, Laurence revint, seule, pour un week-end, fin janvier 1987.
Puis à nouveau fin février.
Fin mars, elle revint, à nouveau, mais cette fois avec Cyril.
Je remarquais immédiatement mister état : Elle était enceinte. Encore enceinte.
C?est Cyril qui me le confirma, le soir.
? Daniel, tu as remarqué que Laurence est enceinte ? ?
? Oui, c?est évident. ?
? De deux mois déjà ?
? Et cette fois, qui est ... l?heureux inséminateur ? ?
? Tu ne le sauras que ... le moment venu, c?est Laurence qui le veut ainsi ?
? Ah, j?attendrais donc ?
Laurence était distante et parlait peu. Pourtant avec les enfants elle était très maternelle.
Les mois passèrent, ainsi, alternant les absences et les visites. Mais je ne revis Cyril que le dernier mois.
Ils revinrent ... le 18 septembre 1987.
Laurence était encore grosse jusqu?au cou. Son ventre était encore plus gros que les 2 fois précédentes. Elle était bien fatiguée. Pour la première fois, je la trouvais ... vieillie.
Mais elle me rassura. Elle se déclara en bonne santé. Mais simplement ... fatiguée.
Et, contre toute attente, elle se montra également très amoureuse de moi.
Elle en oubliait Cyril. Elle me tenait par la taille, se blottissant dans mes bras. M?invitant à caresser mister ventre.
Nous avons passé toute la nuit éveillés.
Laurence demanda à Cyril de me rendre compte de mes 9 mois d?absence.
?? Comme tu le sais bien, Daniel, nous avons toujours eu un double objectif, n?est-ce pas .... Le premier étant que Laurence soit encore enceinte et l?autre que ton état de cocu augmente encore. Donc, dès le 31 décembre dernier, nous avons commencé notre quête.
J?ai organisé une soirée, chez vous, à Vincennes. Laurence était la bien sûr la seule femme et j?avais invité, par l?intermédiaire d?amis, des noirs d?un foyer à Paris. Sans qu?ils soient informés de la spécialité de la soirée. Ils arrivèrent à 20 heures. Ils étaient 23 noirs. Des Béninois, des Sénégalais, des Camerounais etc ...
J?avais pris la précaution de préciser qu?aucun ne devait être musulman.
Ils croyaient, en fait, à une bonne action de quelque association humanitaire.
Après les apéritifs et le repas l?ambiance était conviviale.
Après les 12 coups de minuit et les souhaits de bonne année, ils dansèrent sur des musiques africaines.
C?est le moment que choisi, Laurence, pour entrer ... dans la danse ... et elle dansa au milieu de tous ces noirs. Elle blanche au milieu des noirs. J?ai pris des photos que Laurence te montrera, si elle le souhaite.
Evidemment, les esprits et les corps s?échauffaient. Bientôt les plus entreprenants se collaient à Laurence. Les mains effleuraient sa croupe et ses seins. La tenue de soirée de Laurence se limitait à une jupe au dessus des genoux, fendue sur le coté, dévoilant sa cuisse gauche. Et à un bustier faisant saillir mister opulente poitrine.
Bientôt l?un des noirs osa l?attirer à lui pour une ? salsa ? érotique. Il osa même l?embrasser, lui ouvrant la bouche et lui fourrant sa langue dans la sienne. Laurence répondit à mister baiser avec fougue.
Ce fut le signal de l?orgie.
En moins de temps qu?il ne faut pour l?écrire elle était nue ...
Celui qui dansait avec elle la prit dans ses bras et voulu l?emporter mais il ne savait pas où. C?est Laurence qui le guida vers l?étage et vers la chambre.
J?arrêtais ... la meute qui voulait en faire autant en calmant les plus excités et leur promettant qu?il aurait leur part.
Je montais, alors, moi-même ... Déjà l?homme était nu. Son corps musclé luisait dans la pénombre et la lumière de l?abat jour.
Sa tête enfoui dans l?entre jambe de sa proie, il la léchait avec rage.
Il se relava et vint mettre sa queue devant la bouche de Laurence. Elle suça immédiatement cette belle colonne noire. La queue du noir était d?une grosseur qui ne fait pas mentir la rumeur sur les bites de africains.
Il la fit cesser, lui écarta les jambes largement et la pénétra doucement.
Laurence gémissait mister bonheur. Le noir besognait le vagin de Laurence. Ils changèrent de position et il la prit en levrette à grands coups de bassin.
Je fis alors monter deux autres noirs.
Ils se mirent nus aussitôt. Sans attendre, ils se ruèrent sur le lit. L?un lui mit sa bite en bouche et l?autre se fit masturber et caresser les couilles.
Laurence jouissait fort, mister plaisir était intense.
Celui qui la baisait lâcha enfin mister sperme dans la matrice de Laurence.
Les deux autres purent aussi la prendre à leur tour. Les 3 noirs descendirent tous nus, leurs vêtements à la main. Ce fut des cris et des applaudissements.
Je demandais à Laurence comment elle allait.
? Très bien, j?ai l?habitude et ... ça ne fait que commencer, fait en monter d?autres, j?ai encore envie de me faire prendre ?
? Tu es toujours sûre de vouloir être enceinte d?un noir. ?
? Oui, plus que jamais ?
J?appelais 3 autres noirs.
Ils entrèrent dans la chambre, déjà nus.
Les 3 prirent Laurence, mais 2 l?enculèrent pleinement en éjaculant leur sperme dans mister cul.
Puis ce fut la valse des trios noirs sur Laurence.
Vers 8 heures du matin, tous étaient passés sur en elle.
Les participants, étaient couchés ça et là, dans telle chambre, sur les canapés et à même les moquettes.
Laurence dormait, enchevêtrée au milieu des 3 derniers.
Bien plus tard, un à un je réveillais les africains et je les priais de quitter les lieux.
Voilà comment c?est passé le 1er de l?an de Laurence. ?
Après cela, Laurence a eu plusieurs rencontres, les une avec un noir, les autres avec plusieurs et chaque aventure était entrecoupée de pause de quelques jours. Mais tous les hommes qui ont baisée ta propre femme étaient noirs. Si tu vois ce que je veux dire ...
Donc certaines fois, Laurence avait un partenaire qui venait quelques jours à la maimister et couchait avec elle comme mari et femme.
D?autres fois, ils étaient deux ou trois et cela durant aussi quelques jours.
Ceux-là, je c?est moi qui les recrutais ...
Puis nous sortions, en boite ou au cinéma porno.
Quelques fois, elle draguait dans la rue ou le métro.
Un fois nous sommes allée sur bois de Vincennes à quelques deux cents mètres de chez vous.
De ces rencontres dimisters individuelles, j?ai compté 72 africains qui l?ont prise de toute part.
Nous avons aussi fait un voyage, au Sénégal. Là ce fut fantastique. Elle m?a fait visité tes fournisseurs et partenaires d?ailleurs ....
Je crois que ça restera dans ma vie un grand souvenir.
A Dakar, dans certaines boite de nuit, elle se déchaînait et dansait à moitié nue.
Puis elle se laissait embarquer, toujours sous mon contrôle, par une dizaine de Sénégalais.
D?autres jours, c?était le défilé dans notre appart-hôtel, plusieurs noirs venaient la prendre sans discontinuer durant 3 ou 4 heures.
Une fois, nous avons été invité en brousse, sous la protection d?amis. Ce jour là, je ne sais pas d?où ils sortaient, mais Laurence n?en pouvait plus et c?est elle qui a dit stop.
Au cours de ce voyage qui a duré 12 jours, elle a eu 116 amants noirs.
Encore, j?avais organisé 3 week end dans 3 foyers de chantiers différents, en exigeant seulement des noirs.
A chaque week end, elle a été la pute blanche des noirs durant 2 jours et une nuit.
Certains la prenaient plusieurs fois, soit ... mais en tout, sur les 3 week end, 62 noirs ont possédé Laurence.
Sinon, il y a eu aussi une fois où Laurence a été prêtée à un Togolais durant une semaine.
Elle est restée chez lui, dans sa chambre et plusieurs de ses frères venaient en profiter ...
Il m?a dit que 37 amis étaient venus honorer MA femme.
Enfin, il y a 15 jours, avec mister gros ventre, je l?ai placée dans un bar à Barbes. Chez un ami très sûr et dont je suis certains de l?hygiène et de la propreté.
Elle a fait la pute chez lui. Elle était installée au bar et lorsqu?un client en avait envie, elle montait avec lui.
Bien évidemment elle ne refusait rien, elle fut baisée, enculée et elle devait avaler le sperme de ses clients.
Le Patron du bar encaissé toutes les recettes. Mais elle était nourrie ... et logée ( sourire de Laurence )
Ainsi il a tenu savait exactement combien de passe, Laurence, a fait, soit 84.
Et voilà je te la ramène car elle est bientôt à terme.
Je ne te demande pas ce que tu en penses, car ça elle te le demandera, elle-même. ?
Cyril parti le soir même du 19 septembre 1987. Nous laissant à notre vie.
Evidemment, je ne me posais pas la question de savoir la couleur de l?enfant à naître ... Il ou elle serait noir.
Durant 3 jours, j?ai pris soins de MA Laurence et nous n?avons pas parlé de ... sa grossesse.
Puis un soir, alors que je la cajolais dans mister lit, elle me dit :
? Alors combien ? ?
? Combien de quoi ? ?
? Où en somme nous de nos comptes d?amants, de mecs qui m?ont possédée et qui t?ont fait cocu ? ?
? Il suffit d?un simple addition : 1.806 + 394 = pile 2.200 amants et toujours, à ma connaissance 4 chiens et 3 chevaux. ?
? Eh bien, dit donc ... tant que ça ? ?
? Oui, absolument et donc en moyenne ça fait : 2.200 : 1915 = 1,15 amant par jour.
Tu as tenu ton projet, pour moi ?
? J?en suis très heureuse. ?
? Oui mais, tu sais, nous n?avons pas parlé de ta grossesse ... ?
? Oui c?est vrai, mais pour en dire quoi ? ?
? C?est un garçon ou une fille ? ?
? Une fille ?
? Et je suppose qu?elle sera ... noire ? ?
? Oui, noire, enfin sûrement café au lait ?
? Tu vas assumer ? ?
? Moi oui, absolument ... et toi ?
? Moi, je m?y suis préparé depuis longtemps, mais j?avoue avoir une certaine ... gêne ?
? C?est parfait, donc. Il faut que tu aies honte, pour apprécier ce cocufiage ... voyant ?
Laurence a accouché d?une jolie petite fille, bien noire.
Nos parents, après le premier émoi passé, s?en accommodèrent.
Bien sur les ragots du village arrivèrent à nos oreilles mais nous les ignorions.
D?autant qu?en définitive, nous étions souvent à Paris.
Nous sommes fier de nos enfants et de la réussite de notre couple.
Vers le début de 1988, nous avons entendu les premières alarmes concernant le HIV.
Bien sûr Laurence et moi nous nous sommes posés beaucoup de question.
Et depuis lors, Laurence est devenue une mère exemplaire.
Nous avons (presque) complètement cessé notre vie de complicité sexuelle pour vivre notre vie de couple et de parents.
Je sais bien que de temps en temps, elle cède à un caprice .... Mais plus rien n?est comme avant.
Les préservatifs mistert devenus obligatoires ....
Nous avons été jusqu?où nous voulions.
Maintenant .... Nous vivons tranquilles et heureux.
Il nous reste nos ... souvenirs, quelques photos et les films.
chrislebo

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My Wife & Our Neighbor's Son


Mags and I had been together for about seven years. We have a very happy marriage and were both very contented sexually. We have a varied sex life and have a large range of vibrators and toys that we like to use. We live in a very secluded part of a small country village. Our immediate neighbours we got on well with and they have a 18 year old mister called Robert. It was a hot summers day, the neighbours had gone away for a few days and they asked us to keep an eye on Robert, although at 18 he was capable of looking after himself.

Mags and I had been sunbathing in the garden when I decided I needed a sun hat. I went upstairs to the bedroom and glanced out of the window and admired the view of miles of open countryside. I saw Mags sunbathing and thought how sexy she looked. We hadn't had sex for about 3 days so we were bound to tonight. A sudden movement caught my eye in next doors garden. I moved back behind a curtain and looked intently. I couldn't believe what I was seeing. Robert was peering through a hole in the fence and looking at Mags.

That wasn't all. His shorts were round his ankles and he was playing with the largest cock I have ever seen. It was as thick as my arm and had to be at least 10" long. I couldn't believe the size of it. I carried on watching him and found myself getting hard, not at the size of his cock but that he was wanking while looking at my wife who was old enough to be his lady. I watched intently for a few minutes when he suddenly quickened his movements and shot his spunk all over the fence. I found it a huge turn on. He pulled up his shorts and went inside. I hurried downstairs and quickly said to Mags. 'You are not going to believe this but you have got an admirer.

I've just watched Robert from next wanking himself off while looking at you through a hole in the fence. Whats more he's got the largest cock I'v ever seen'. Mags thought I was joking and laughed it off. We went over to the fence and saw there was a hole in it. But she still wasn't convinced. Shortly we heard Robert go out and we went round to the garden next door. We found the hole in the fence and there was the tell tale signs of streams of fresh spunk still trickling down the fence. We went back home and sat and talked about it. Mags wanted every single detail and I told her how much it turned me on watching him wank while looking at her. She admitted that she found it very flattering that a 18 year old could still fancy her.

That night in bed, Mags was on fire. As she cuddled up against me her leg went over mine and I could feel her wetness running out of her cunt. Straight away she started talking about Robert. She wanted to know again how big I thought his cock was and how round it was. Was it larger than her largest vibrator. She was so hot just thinking about Robert. It turned me on thinking about Robert fucking her. I was going to suggest it to her but I wanted her to instead. I knew the thought of it was driving her mad. I asked if she wanted the toys tonight and she said she did.

I knew without a doubt that she would choose the biggest one. She lay down with her knees bent and her legs wide apart. I knelt in between her legs. I could see she was sopping wet. I put the vibrator at the edge of her cunt and it was almost sucked in. She told me to push it right in. Normally I tease her and put it in slowly and then withdraw it but this time she wanted it straight in as far as it would go. I usually then lay down and lick her clit with the vibrator inside her but this time I wanted to look at her cunt and I decided I would describe in detail what I was doing to her.

She knows I like to talk dirty in bed but she finds it embarrassing to do so herself. I just had a feeling that tonight was going to be different. She started playing with her nipples, something she only does when she is very horny. I started fucking her with the vibrator really slow and said, 'I bet you're imagining this being Robert aren't you. He's lying in between your legs and slowly pumping his 10 inch cock in and out of your soaking wet cunt. Its bigger than this vibrator and will shoot his spunk deep inside your cunt, you'd love that wouldn't you.' She smiled and nodded as her orgasm came crashing through her body. Her cunt juices were flooding out of her.

The vibrator, my hand and the bed were soon soaking wet. I started to stop but she told me to carry on she wanted to cum again. This time it took a little longer but was just as intense and this time she actually ejaculated and shot her cum out of her cunt. 'Again, please, again I need more', she pleaded with me. After her fourth or fifth orgasm she was satisfied. My cock was now bursting and I needed instant satisfaction. She pushed me down on the bed and took my cock deep in her mouth. The vibrator was still inside her. Normally as she has cum she removes it, but not his time.

She needed it still inside her. She pushed my skin back with her lips and pushed her tongue down my cum hole. I started talking to her again. 'Don't you wish this was Roberts huge cock deep inside your mouth. Its so large I'm not sure you would get it all in. You'd probably just get the tip in and then you'd have to wank him off into your mouth'. She was sucking me like a mad woman now. I couldn't talk anymore as I was so near to cumming. Normally as she feels me cumming she takes my cock and I cum over her face.

This time my cock stayed deep inside her mouth and I shot my hot spunk right down her throat. Eventually she released me and we lay side by side. She still had the vibrator inside her and she put my hand down to it, she wanted some more sex. I turned it on and slowly started fucking her with it. I said, 'I know what you really want, just tell me, I don't mind'. She said, 'I need Roberts cock, I need Robert to fuck my cunt and I need to suck Roberts cock and make him cum in my mouth. I'm sorry, but I must have it.' As she finished the sentence she had yet another massive orgasm. We lay relaxing and then started planning how to get Robert to fuck Mags.

She kept apologising but insisted that she had to have him and I told I was quite happy about it and that it turned me on thinking about her with him. I also insisted that I must watch and that she musn't do it without telling me. I also told her that I would get very excited and almost certainly I would wank myself off. She said that was fine and she loved the idea of Robert fucking her and her watching me wanking and she wanted me to cum over her face and tits as Robert was fucking her. We talked long into the night planning everything and it turned us both on so much that we ended fucking another two times.

We decided to tease Robert during the day and finally seduce him in the evening.

Fortunately the next day was hot and sunny and Mags had started sunbathing by about 10.30. She had a bikini on that gave plenty of uplift to her tits and positioned her sunlounger at an angle that was facing Roberts garden. I went up to our bedroom and looked out of the window ready to see Robert in action. It was only a couple of minutes before I saw him come out into the garden. He had a T shirt and shorts on. I saw him head to the same spot as yesterday and he crouched down to look through the hole in the fence.

As soon as he saw Mags he took his shorts down. He was already hard and once again I couldn't believe the size of his cock. His hand went straight to it and he slowly started playing with it. He couldn't even get his whole hand round. It was easily as thick as my arm and again I'm sure it was 10" long. Without realising it I was getting hard watching him wank himself off over my wife. He was doing it so slowly that he was obviously going to make it last. I went back downstairs to the garden and stood in front of Mags deliberately spoiling Roberts view and said out loud so that Robert could hear that I was popping out for a few minutes. In reality I crept back into our garden shed that was about 10 feet from where Mags was lying.

Before Robert could start playing with himself again Mags went indoors and got some sun tan lotion. She started putting the lotion on her legs and then stood up and called over the fence to see if Robert was there. After a couple of minutes he appeared and Mags said, 'Do me a favour Robert pop round and put some sun tan lotion on my shoulders for me please'. 'OK won't be a minute,' he replied. He came round and Mags couldn't take her eyes of his shorts. His erection had subsided but she was already imagining what it was like. I was watching out the shed window and could clearly see and hear everything. Mags sat up and asked Robert to rub some lotion into her shoulders. He stood behind her and squirted some onto her shoulders and started rubbing it in. I could clearly see that he was looking down at her tits.

I knew her nipples would soon harden and show through her thin bikini top. He finished very quickly and Mags said, 'Oh don't stop, that's lovely and relaxing, just massage my shoulders a little more. I saw her part her legs a little more and knew her well enough to know that her cunt was by now soaking wet. She leaned back slightly so that she was resting against him. I could clearly see the bulge in his shorts and Mags could feel it against her back. Her eyes were closed and she kept saying, 'Oh that's lovely its so relaxing'.

She shifted slightly and as she was leaning against him she moved one of her hands behind her and rested it against the bulge in his shorts. He went to move back and she said, 'You're obviously enjoying this as much as I am, don't move away'. I saw him move tighter against her. Mags said, 'Don't worry about Roger he won't be back yet.' I saw her hand rub against his shorts he was clearly hard now. She said, 'I know you've been looking at me through the fence and I have to say I find it very flattering that a young good looking boy like you wants to do what you do while looking at me'.

Robert was very embarrassed and kept apologising and said, 'You won't tell my parents will you, I promise I won't do it again'. Mags replied, 'Of course I won't tell your parents and I'll be very offended if you stop doing it, it turns me on thinking about you playing with yourself. Now keep massaging my shoulders and look down at my tits, wouldn't you like to stroke them, can you see how hard my nipples are'. Mags was now clearly rubbing his cock although it was awkward for her behind her back. After a few minutes she said, 'I think I need to take care of that for you, sit down here', and patted the sun lounger in front of her.
chrislebo

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He sat facing her and his erection was poking out the bottom of his shorts. I could see the glazed look in her eyes and knew she desperately wanted his cock embedded deep inside her cunt but as we decided last night, that would wait until later. Her arm reached out and held the end of his cock. She couldn't get her hand round it as it was so thick. 'I think you'd better take those shorts off if I'm going to do this properly, don't you'. He stood up for a moment and slid his shorts down his legs and immediately sat down again. Mags couldn't believe what she was seeing. She thought it was an absolute waste just to wank him off and wanted to suck him off and then let him fuck her senseless and it was all she could do to go along with our original plan. She moved closer to him, her legs were straddled either side of the sun lounger.

She felt her cunt juices seeping out of her. She took his hand and put it on her fanny and said, 'Feel how wet my pussy is, that's what effect you're having on me'. Mags was now rubbing Roberts cock in slow deliberate movements, she didn't want him to cum too soon she wanted to enjoy it so much that he would come back for more. 'Play with my pussy, put your fingers inside me', I heard her say. I saw him pull her bikini aside and slip a finger inside her cunt. I knew she was soaking wet. I now had my shorts round my ankles and was slowly playing with myself as I watched my wife enjoying the attention of a 18 year old boy.

'Finger fuck me, please, faster, Oh yes that lovely,' she said. She reached for her top and lifted it over the top of her tits. Her nipples were standing out erect like miniature pricks. She wanted him to suck them but knew that now wasn't the right time. She had both hands round his cock and was now wanking him faster. Soon she felt the tell tale twitching in his cock and he shot wad after wad of hot spunk all over her bikini bottoms and the sun lounger. Mags was amazed that he was still hard and she hadn't cum yet. Clearly she couldn't let him fuck her in the garden and that was all part of tonights plan. Mags was hoping that I hadn't cum either as she knew that as soon as Robert left we were going indoors to fuck.

She said to Robert, 'You'd better go and clean yourself up and I need to change. By the way we're having a barbecue tonight why not come round.' Robert said, 'He'd love to.' As he pulled his shorts up, Mags pulled her bra top down over her tits and said, 'Don't forget, I really don't mind you wanking while looking at me, but next time do it in the open so that I can watch you. Robert went off home and Mags and I ran indoors. We went straight upstairs and ripped our clothes off. I couldn't believe how wet she was. I dived straight between her legs and licked her to an immediate orgasm. She ejaculated her cum all over my face. I immediately moved up and my rock hard cock slipped easily inside her. Even though she was so wet she managed to grip me tightly and her second orgasm was quickly followed by mine. We lay side by side and Mags was giving me every detail about how his cock felt and the amount of cum he shot. We went over the plan for the evening and looked forward to putting it into action.

Mags and I were very horny all day waiting for the evening to come. I started the barbecue at about 6 o'clock and Robert arrived shortly afterwards. The weather was still hot and he had on a T shirt and shorts. Mags wore a thin T shirt without a bra making her nipples very visible and long wrap over skirt and no knickers. Robert asked if I needed a hand and I told him to get himself a beer and see if Mags needed a hand. Mags had been wet all afternoon and couldn't wait much longer. Robert went into the kitchen and Mags immediately gave him a kiss full on the lips and said, 'I really enjoyed this morning but it left me very frustrated.

Did you wank again this morning. I hope you're going to make up for it this evening'. He replied, 'What about Roger'. Mags said, 'Roger doesn't mind, I've told him about this morning and he's very relaxed about it.' Robert replied, 'I'm really not sure about this'. Mags took Roberts hand and put it inside her skirt and straight onto her pussy and then grabbed his already hardening cock and said, 'Feel how nice and wet my pussy is, I'm sure you'd like to really find out what its like. I know I can't wait to have your huge cock deep inside my soaking wet pussy. I promise we won't get you to do anything you don't want to do, and I guarantee you'll enjoy it and want to come back for more, and I promise you Roger doesn't mind.' By the look on Roberts face Mags knew he was ready for all we wanted from him. She took hold of Roberts hand and led him into the garden to join me. She said to me, 'I've explained everything to Robert and how much we want him to join us tonight and he's very keen to do so. I said, 'That's great, Mags told me how much she enjoyed this morning and from what she says you did so too.'

The food was soon ready on the barbecue and we tucked into the food accompanied with a couple of glasses of wine. Mags sat next to Robert and made sure her skirt opened up and exposed a huge amount of thigh. I noticed he kept glancing down and couldn't take his eyes off her. A couple of minutes after had finished Mags suggested we went inside. We took our wine glasses and went into the lounge. Robert and Mags sat on the sofa and I sat opposite them. Mags crossed her legs and her skirt fell open. From where I was sitting I could see her pussy which was clearly very wet. I was sure I could even smell her cunt juices.

Her erect nipples were clearly visible through her T shirt. She was sitting very close to Robert who was looking a little uncertain about the situation he found himself in. I stood up and said, 'I'm just going for a walk round the garden, I'll be back soon'. I thought I'd better leave them alone for a few minutes, I didn't want to frighten Robert off. In reality I walked round the house and watched from a side window. I had only been gone about 30 seconds and I saw that Mags was stroking Roberts cock through his shorts. In fact his cock is so long that it pokes out the end of his shorts. Mags got him to stand up and take his shorts off. His cock was fully erect as he sat down again. Mags made sure her skirt was fully open and she took his hand and put it between her legs. I couldn't hear what was being said but the actions spoke volumes.

He clearly had his fingers inside her cunt and was slowly finger fucking her. She had both hands round his cock and was slowly wanking him off. Then Mags stopped and knelt on the floor in between his legs. Her head went towards his huge cock and she tried to get his cock in her mouth. Her mouth was stretched to its limit but eventually 3 or 4 inches of it disappeared inside. I was sure her tongue was finding his cum hole as she started sucking him off. Meanwhile her two hands were slowly wanking him off. I wasn't sure if she was going all the way and letting him cum in her mouth. Robert was lying back with his eyes closed. I had decided it was OK to back indoors. I was hard and very horny. Robert still had his eyes closed and Mags was working on him very slowly.

She didn't want him to cum yet. I went up behind her and undid her skirt exposing her bare cunt and arse. I wanted to take her T shirt off but couldn't as she was still sucking Roberts cock. I reached round her front and felt her cunt. It was dripping. Her cunt juices were literally dripping down her legs. She took his cock out of her mouth and took her T shirt off and said, 'Lets go upstairs'. She took his hand and I followed them. She took Roberts T shirt off and they lay on the bed. Mags said, 'You're going to cum quickly aren't you if I suck you, how many times will you be able to cum tonight'. He thought about and amazingly said, 'I should think 6 or 7 times'. Mags said, 'Then lets continue the way we started and knelt down beside him and started licking his balls and then along his shaft. She pulled his foreskin right back to reveal a lovely red shiny head.

She used her tongue and pushed it as far down as his spunk hole as she could. She licked underneath the helmet and played with his balls. She said to Robert, 'Play with my tits, pinch my nipples.' His hands sought her erect nipples and he gently squeezed them. 'Harder, pinch them hard, I love it rough, pinch and squeeze them, Oh that's better, I love it'. I had undressed now and was slowly playing with myself. I thought I could cum twice and maybe three times but certainly not more than that so I was making sure I would last. I stood beside them and watched as Mags worshipped Roberts cock with her tongue and mouth. I moved behind her and inserted 2 fingers inside her cunt. I was amazed how easily they slipped inside. I certainly had never seen her so wet before.

She then said to Robert, 'I am going to suck you off now and you're going to cum in my mouth. I adore your huge cock in my mouth. I'm going to make sure you shoot as much spunk as you can deep into my mouth and I'm going to savour the taste and then swallow it all'. Then she said to me, 'Roger I want you to finger fuck my cunt at the same time but don't make me cum as that's reserved for Robert tonight. The look on Robert's face said it all as Mags got as much of his cock in her mouth and I could see her cheeks going in and out as she sucked him. One of her hands rubbed his balls and the other rubbed up and down his shaft. He was still playing with her nipples and I had 3 three fingers plunging in and out of her cunt.
chrislebo

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Needless to say Robert didn't last very long and he called out with pleasure that he was cumming and I could see his cock pumping his hot spunk deep into my wifes willing mouth. He seemed to go on for ages as his cock was milked dry by my wife's mouth. Eventually she took it out and she turned to me and opened her mouth. It was still full of Roberts spunk and she ran her tongue through it and then started swallowing it. I wanted her to suck me like that but I knew I could never produce as much spunk as that. I had to slow down my wanking as I didn't want to cum yet. I had certainly enjoyed watching my sexy wife suck a young boys spunk out of his cock. Mags then said to Robert, 'The look on your face tells me enjoyed that, its my turn now. I'm going to fuck you and this time you're going to cum in my cunt. Don't worry I can't get pregnant.'

Robert was soon hard again and as he lay on his back Mags positioned herself so that her cunt was over his cock. She turned to me and said, 'Guide him inside me, guide Roberts cock into your wifes soaking wet cunt'. I wasn't sure if Robert would mind me touching him, but as I positioned him the end slipped in easily and I let it go. I wasn't sure if Mags could get it all inside her. I watched from behind as her cunt was stretched to its limit. Fortunately she was so wet that it made it easier to get inside. She lowered herself about 3 or 4 inches and slowly withdrew to the tip without letting his cock slip out. She continued this for a few minutes. The look on her face told me she was in heaven. She said to Robert, 'Play with my tits, play with my nipples, as hard as you can, pull then, squeeze them, pinch them, harder, harder, harder.

By now she was plunging his cock deeper and deeper into her cunt. I couldn't believe how much she was taking inside her. Soon the whole ten inches was disappearing in her cunt as she literally fucked herself on his huge pole. She said to me, 'Wank yourself as you watch your wife get thoroughly fucked by this wonderful huge young cock, Oh its heaven, its wonderful, I'm almost cumming, no its too good, I must slow down, I want it to last, I want to feel like this for ever, I've never known so much pleasure, I must cum soon, no its heaven, oh don't stop, oh Robert I adore your cock, I want you to fuck my cunt all the time, I can still taste your spunk, I want your spunk deep inside my cunt, Roger cum over my tits, let Robert rub it into my nipples, cum on Roger wank faster cum on my tits, I want your spunk on my tits, stand beside me, let me watch you wank yourself as your wife fucks herself, that's its, closer, get closer to my face, I'm watching my husband wank over me, cum now, cum over my tits. Two more quick rubs and I was there. Robert removed his hands for an instant as I shot spurt after spurt of hot spunk over Mags tits.

Robert immediately rubbed it into her nipples and carried on a***ing them. Suddenly Mags called out, 'I'm there, oh fuck, I can't last any longer, I'm cumming, oh its heaven.' She finally plunged herself as deep onto his cock as she could as all 10 inches of it disappeared inside her cunt and her whole body shook and shook and shook as her orgasm crashed through her body. Even this didn't stop her, she needed more and as soon as one orgasm subsided, she let another build up and soon she was on her third and fourth orgasm. She said to Robert, 'I want you to cum inside, I want you to shoot your hot spunk deep inside my cunt.' She rode faster and faster up and down on his cock. The whole 10 inches was disappearing inside all the time.

'Tell me when you're cumming', she said. In only a few minutes he said, 'I'm almost there, I'm cumming'. As she felt the twitching of his orgasm she plunged down as hard she could knowing that his spunk was shooting deep into her body as was humanly possible. She didn't know if it was possible but she wanted the spunk she had swallowed to mix with the spunk she had just had shot in her cunt. She wanted her whole body to be awash with spunk. We all collapsed on the bed and relaxed for a few minutes.

I went downstairs to top up the wine glasses. When I got back I found Robert lying on his back and Mags was holding her left tit and feeding it into Roberts mouth. He was sucking really hard on the nipple. Her other hand was stimulating his balls and cock and enticing his cock to a full erection. Robert was playing with Mags other nipple with one hand and the other hand was playing with her clit. I sat down on the armchair opposite and continued to watch them. I slowly got hard again and gently stroked my growing cock.

Soon Robert was fully hard again and with Robert playing with Mags nipples and clit she was soon ready for another helping of Roberts cock. Now she lay down with her face positioned next to his cock. With her hands, her tongue, her lips and mouth she worshipped this cock that was giving her so much pleasure. Robert was still busy with his fingers on her clit and finger fucking her at the same time. Both Mags and I realised at this point that Robert had more sexual experience than we first thought. Soon Mags was ready for another bout of sexual pleasure All she had to decide was how she wanted it. She asked Robert, 'What way do you want to fuck me'.

He replied, 'On top of you this time and then when I cum for the last time I'll fuck you from behind which I guarantee you are going to absolutely adore.' Mags rolled over and bent her legs at the knee and Robert positioned himself between them. Her cunt was soaking wet again and placed his huge 10 incher at the opening and gently started putting it inside her. Mags moaned with pleasure as he very slowly started fucking his cock in and out of her cunt. I loved the sight of my sexy wife being thoroughly serviced by this young stud.

She called over to me. 'Come and suck my nipples'. I knelt beside her and took them one by one into my mouth and sucked them to full erection. She grabbed hold of my cock and started wanking me and said, 'Cum over my tits or face as Robert brings me to orgasm. Mags breathing and wanking of my cock was getting faster as her orgasm approached. I stopped sucking her nipples and sat up beside her. I replaced her hand with mine as I continued wanking myself off. I knew she was almost there and I couldn't take my eyes off Roberts cock pounding in and out of my wife's cunt.

Mags shouted out as her orgasm started taking over her body and I wanked myself just a little faster and managed to direct my cum to land on her face just as she desired. Robert slowed down but Mags told him not to stop as she went into another multiple orgasm. Robert hadn't cum this time as he said earlier he was saving his last amount of spunk for Mags final fucking from behind. Robert let Mags recover and asked her if was ready for his grand finale. She agreed that she was.

He said, 'I want Roger to sit with his back against the headboard and Mags kneels on all fours facing him with her face directly in front of his. I will fuck Mags from behind and Mags will tell me exactly what she wants me to do. We all agreed that this would be great. I sat against the headboard. Mags knelt in front of me. We opened our mouths and our tongues found each others. I could taste the remains of Roberts spunk in it. I reached forward and played with her hanging tits.

Her nipples were still hard. Robert positioned himself behind her and said, 'OK let me know what to do'. Mags was inches from my face and looked me straight in the eye. It was as if she was talking directly to me. 'Robert, touch my wet cunt with your huge cock, rub it slowly against my cunt lips, oh that's so good, now gently ease it inside me only an inch or so and let it rest there. Oh that's heaven, now another couple of inches, really slowly, I need to savour this feeling, now slowly withdraw it but don't take it right out, leave an inch or so in.

Oh wonderful, now in again a bit further, oh its so wide my cunts really stretching, now out a bit, oh I can't last much longer, I've never felt so much sexual pleasure. Out a bit really slow and then plunge it in as deep as you can. Oh fuck, I can't believe how good this feels, again, do it exactly the same again, take it almost out slowly and then plunge it fully in. I can't wait to feel you shoot your spunk deep into my cunt'.

She was now wanking my cock, although I had cum enough I knew she was going to get me there again. It was the sexiest sight ever with us face to face talking directly to me telling me exactly what she wanted her virile young stud to do to her. 'Faster, faster, I can't wait any longer, deeper, get it further inside my cunt, oh its heaven, fuck my cunt, fuck it hard, faster, faster, oh yes I'm almost there, cum inside me shoot your spunk in my cunt, yes, yes, thats it, oh fuck, I'm cumming, cumming, oh yes, cum in me, yes oh yes, I can feel your cum, its so hot oh wonderful.

She stopped talking and plunged her tongue deep in my mouth and managed to wank yet a further load of spunk out of my cock as I shot over her tits. We all literally collapsed in a heap and lay for several minutes recovering. I looked and saw Mags cunt leaking her own juices and Roberts cum all over the bed. Mags said to him, 'I thought you were inexperienced, wherever did you learn to fuck like that. You must have had some amazing girlfriends.' Robert amazed us with his reply. 'Actually all my girl friends of my age are scared of the size of my cock, they all say its too large for them.' Mags asked him, 'So where did you learn that'.

Robert replied, 'You must promise not to tell anyone about this, but my mum, Jean taught me. We knew Jean and her husband Dave well. Jean was extremely attractive and always gave the impression of being sexy. She had a nice pair of large tits and was always well made up. Robert said he had been her lover for the past 4 years. He said, 'It started when I was thirteen, she came in my room early one morning, I was arelax but had an erection, the bedclothes were off me and when I awoke she was sitting on the edge of the bed looking at me.

She asked me if I knew why my cock was so large. I told her I woke like this every morning and it went back to its normal size after I had a pee. She said there is another way to make it go back to its normal size and it feels good, would you like me to show you. I said I would. She reached out and held it. Straight away I liked the feel. Then Mum started rubbing her hand up and down it. It felt wonderful and after a couple of rubs I felt this amazing feeling and I felt some liquid come shooting out the top and Mum put her hand in the way and it went all over her hand.

Mum said I had my first orgasm, she said its called masturbation, but she preferred to call it wanking, and all boys of my age do it. I got up and felt really great. The next day was the same, Mum came in my room and asked if I was hard again. I said I was and she offered to masturbate me. I agreed and I could see by the look on her face that she enjoyed it to. This continued for about 4 mornings. The next morning she came in and instead of being dressed she had her dressing gown that tied round the waist.

As she masturbated me I saw her other hand was inside her dressing and she seemed to be rubbing herself. She told me to close my eyes and not watch her but I opened them slightly and watched as she rubbed herself. She had her eyes closed and the look on her face told me she was enjoying it too. I asked if I could watch what she doing and she said it was wrong. I told her that surely it was wrong that she was masturbating me. She thought for a minute and agreed with me. She untied her dressing gown and opened it. I loved the sight of mums tits and was amazed at the hair in between her legs.
chrislebo

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I asked her what she was doing and she blushed and said she had been masturbating too because it turned her on doing it to me. Over the next few days mum showed me how she liked her tits and nipples played with while she played with her pussy. She let me lick her fingers after she had cum and showed me how nice her pussy juices smelt and tasted. Every morning as she wanked me off I would make her cum as well. Dad has been unwell and mum said he was unable to give her what she wanted sexually. After a few weeks Mum progressed from just wanking me off to sucking me and making me cum in her mouth and she let me or rather made me lick and suck her cunt and I would make her cum like this.

Soon after that we progressed to actual fucking. Mum just about managed to get my cock inside her cunt but once I did she couldn't get enough of it and we would fuck in the morning and again as soon as I got home from school. As I arrived home she would be undressed in bed and I would go straight upstairs before Dad got home from work. She would let me lick her and make her cum with her mouth, then she would suck me off and finally I would fuck her from behind, which she absolutely adored. Mum liked me to talk dirty and describe in detail what I was doing to her. A year ago she gave me a mobile phone and I would have to phone her during my dinner break and she would play with herself and tell me what she was doing and what she would do to me when I got home. So you see Mum has taught me an awful lot over the past 4 years.

All the while Robert was telling us about his Mum, Mags was leaning against me and playing with Roberts cock. The thought of him with Jean, his Mum, was a real turn on for all of us. Robert was hard again and although Mags and I had had enough Mags wanted Robert to cum one final time. She stroked him faster and when she put the tip in her mouth and wanked the rest of his cock it was only a matter of minutes before he was depositing yet another supply of his cum deep into Mags mouth.

Robert asked if he could come round again. Mags looked at me for an answer and I said he could as long as I organised it and only once a week. We all agreed at that. Mags and my sex life was great even after Robert had been and after about 4 days I decided to speak to Robert and arranged for him to come round that evening. I didn't tell Mags and we both went off to work. I was horny all morning thinking about watching Mags and Robert together and at lunchtime I phoned her. She works in a big open office and is easily overheard when she is on the phone so she has to be careful what she says.

I told her I had arranged for Robert to come round tonight and to start thinking about what he was going to do to her and how she would enjoy lowering her cunt down onto his huge cock and fucking his spunk out of him and deep inside her cunt. I could tell by her voice that she was getting excited. She was trying to keep calm but I could tell she was getting horny. I told her how her mouth would soon be full of Roberts cock and she would soon be tasting his hot spunk. Eventually she said, 'Thank you Sir for calling', and put the phone down. Shortly afterwards I got an e-mail from her telling me what a tease I was and that her knickers were soaking wet and she was going to really enjoy herself that night if she could wait and didn't have to go to the toilet and play with herself.

When I got home she handed me her knickers. They were soaking wet. I put them to my nose and took in the wonderful aroma of her cunt juices. I really had made her horny just thinking about what was going to happen later. She wanted to know what time Robert was coming round and I told her he would be there when I had got her ready for him. She asked what I meant and I said I would tell her after dinner. Somehow we managed to eat although our minds were clearly on something else. I said, 'Its time to get ready'. I took Mags upstairs and undressed her and took her to the shower. I got in with her and soaped her all over. Her nipples hardened instantly as I washed her tits and when I put my hand in between her legs she was soaking wet from her cunt juices.

My fingers slipped inside easily and as I started finger fucking her. I realised I had to stop and prepare her for her 18 year old lover. I was very hard and wanted to fuck her but knew I had to wait too. We got out of the shower and I dried her. She thought I had finished but I made her sit on the edge of the bath and got my shaving foam and sprayed it over her pussy and started shaving her. I was very careful and in a few minutes Mags was the proud owner of a totally naked pussy which needless to say was now even wetter. I took her hand and led her into the bedroom and sat her down at her dressing table. Then I started putting her make up on for her. I found her deep crimmister red lipstick and coated her lips liberally and then applied a lip gloss to help it stay on although I knew she would soon be transferring it to Roberts cock.

As I was putting on her make up I was telling her what Robert was going to do to her tonight and how she was going to get well and truly fucked in the mouth as well as in her cunt. Her hands were in her lap and I had to make sure she wasn't playing with herself. I could clearly smell her cunt juices and when I made her open her legs wide I could easily see how wet she was. She kept telling me to hurry up and asking when Robert would be there. I teased her and wouldn't tell her. I was getting a huge amount of pleasure getting her even more excited and was becoming so horny that I was very tempted to fuck Mags there and then.

Her nipples were of course very large and I coated them with the same lipstick. This I couldn't resist and sucked it straight off again. They tasted delicious. But I reapplied the lipstick once more. Then I found a nice bright blue eyeshadow and sladyed her eyelids with it. I stood back and looked at the sight of my very sexy wife. I had prepared her well and she was ready for her 18 year old lover. I led her to the bed and laid her down with her head on the pillow. I opened her legs wide and her cunt was glistening with her cunt juices. I took this opportunity to have one last gentle lick and adored the taste. I told her I wouldn't be long. I went downstairs.

Robert had already let himself in and was sitting there. He undressed and already his 10 inch cock was fully erect. He followed me upstairs and I led him into the bedroom. He stood beside Mags and she couldn't take her eyes off his cock. I looked at her pussy and saw her cunt juices seeping out of it. I had prepared her well and all three of us were ready for an unforgettable evening. This scenario is acted out once a week. I prepare my wife for her thoroughly good fucking and sucking that she so badly desires. Robert is still fucking his mum. Mags and my fantasy is to have a foursome and include her. Maybe, just Maybe.
vanbruje

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#1,387
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Merci pour ce très beau et très long texte que je crois avoir déjà vu quelque part... mais il y a très longtemps...
Le premier texte en langue de Voltaire semble être le résultat brut d'une traduction au moyen du traducteur de Google ou un semblable et c'est vraiment désolant !!!
Encore merci et bonne continuation
soumis8

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#1,388 · Edited by: soumis8
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chrislebo

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#1,389
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I help my next door neighbor after his accident


Forewarned there is a tiny bit bit of gay oral sex, the rest is straight sex

Tony is my next door neighbor, he is a young black man about 19 years
old. He lives alone and often when my husband is away on business he
comes over and keeps me company. Tony had a job working at a
restaurant, one day I get a call from him at the hospital. He had
burned his hands at work while cooking and he wanted me to go and pick
him up and drive him home.

I got to the hospital and the poor baby's hands were both wrapped up to
his forearms. On the drive home he explained what had happened but the
more troubling question was, how was he going to use the bathroom with
both his hands wrapped up. I told him not to worry, we would figure
something out.

It was good to have Tony around, my husband traveled a lot on his job
and I was getting quite lonely in the big house by myself. We arrived
ay his home and it didn't take long for my Tony to start fidgeting. The
boy needed to use the bathroom but he was too embarrassed to ask his me
for help. Finally he couldn't hold it any longer.

"Linda I need to use the bathroom, what are we going to do?"

"Well I don't know, okay...okay... how about I pull your pants down and
your boxers and I will leave the bathroom so you can pee, will that
work"

"Yeah I think I can live with that"

So we head into the bathroom and I stand behind my Tony, I reach around
and unbuckle his pants and pull them down, then I hook my fingers in
his boxers and pull them down.. I could not help but notice his tight
buns. I know I shouldn't be thinking these thoughts, but I couldn't
stop staring at his ass.

I guess I stood so long that Tony said "okay Linda you can leave now"

"Oh yeah.... uh ...huh...If you need anything call out"

"Thanks I am not sure what I would do if you were not here"

"Come on baby you're my friend, that's what friends are for"

I didn't entirely close the door, so I could hear him if he called out,
as I was walking away I couldn't stop myself from taking a quick peak.
And oh my God, Tony's was peeing into the toilet, it looked so funny,
him trying to hit the bowl without using his hands by aiming with his
hips, but what struck me was the size of his cock, even when soft it
was much longer than my husbands. I quickly walked away and tried to
wipe the image from my head, but I couldn't. The image kept creeping
back in. Am I crazy, I can't be thinking about this?

We got into a normal routine for the next few days, it helped that my
husband was away on business. It might have been to embarrassing to
help Tony if my husband was home.

One day I finally told him "Tony you have to bathe, you stink"

"Now how am I going to bathe with these arms wrapped like this, I can't
get them wet"

"I don't know but you have to do something"

"Linda get real, I can't bathe unless you help me"

"Okay then I will help you; I won't have you stinking up the house"

"How are we going to do it?"

"Well I will put my bathing suit on and I will bathe you from behind,
much like when I help you go to the bathroom"

"Okay that will work"

So Tony follows me into my house since my shower is much bigger than
his, I walk in bathroom and I turn on the shower, I take his pants and
shirt off and then I slide his boxers off and he walks into the shower,
I tell him that I will be right back I am going to put on my bathing
suit. I take off all my clothes and I reach for bathing suit, but it
had been a while since I had worn it and it was way too small. Now what
am I going to do. I decided to just wear my bra and panties.

I opened the shower door and walked in, and Tony whistled "Wow Linda you
look great"

"Sorry my bathing suit was too small; this is all I could think of to
wear"

I was feeling naked, Tony was ogling me. I can't say I blame him I think
I still look pretty good for my age. I am 40 now but I still in pretty
good shape. My butt is bigger than when I was 19 but my husband has no
complaints and he adores my big breasts. He loves to suck on my large
areolas. My husband doesn't like me to trim my pussy and right now I
was cursing his name because my pussy hairs were not completely covered
by my panties, that were quickly becoming see through. I told my Tony
to stop looking over his shoulders and to turn around.

"Oh come on Linda your seeing me naked, it is not fair that I can't at
least see you in your underwear"

"This is not about being fair but about washing you, now turn your head
young man"

"Okayyyyyyyy Linda"

I looked down at myself and it became quite apparent what had captured
Tony's gaze. My bra was soaked and had become completely transparent.

I started to wash his hair, it was funny watching Tony trying not to let
his hands get wet while we showered, it looked like he was being
searched by the police with his arms high in the air. I started to
wash his back and the lower I got the more aroused I got. Stop that he
is your young neighbor for goodness sakes. But I couldn't stop the
thoughts from creeping in, the closer I got to his butt the more wicked
my thoughts were.

I skipped over his butt and got on my knees and washed his legs, I
worked my way up his legs until I was washing the back of his thighs,
and I took a deep breath and started to wash his ass. Tony was frozen
still as I quickly washed his ass. I then stood up and wrapped my hands
around him from behind and started to wash his chest. I could feel my
breasts being crushed against him and I could only wonder what was
going through his mind.

My hands moved down to wash his stomach, my god he had a tight stomach,
Tony is 6 foot 2, tall and handsome with black hair and eyes, you could
tell he worked out with all his muscles bulging. Tony was so proud that
he weighed 225 pounds of solid muscle, and now here was his neighbor
exploring every inch of his body. After finishing up his stomach I put
more soap on my hands reached around and let my hands slide down his
pubic hair and I grasped his cock.

Tony gasped" Linda what are you doing"

"Just washing you all over, I am sure that part of your body needs
washing too, shut up and let me do my job"

As we were talking I was washing his cock and balls, I couldn't help but
notice his cock was growing, but I pretended not to notice and I said.
"All done" and I got out. I dried myself while Tony stayed in to give
me my privacy. When I had left the bathroom he got out and dried
himself as best as he could.

That night I couldn't get his cock out of my mind, here I was feeling up
my neighbor and I loved it. How could this be? I was talking to my
husband as we do every night, we still enjoy sex and when he is away we
enjoy phone sex. My husband was helping me get off as I masturbated but
instead of thinking of my husband all I could think off was Tony as I
played with my clit. I had a mind bending orgasm as I thought of Tony.
I hung up the phone with Dave, feeling very guilty I drifted off to
relax. For the next few days the routine didn't change.

Finally on the fifth day as I was bathing Tony he said "Linda I can'
take it anymore my balls are aching"

"What do you mean?
chrislebo

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#1,390
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"Linda when you go a long time and you have someone toying with you....
well men get blue balls"

I started to laugh "Oh my god.. I am so sorry baby I didn't know I was
having that effect"

"Linda I hate to ask but could you help me out"

"WHAT are you crazy what are you suggesting"

"Linda just reach over when you're washing me and just stroke a little
bit till I can release my tension"

"Do you know what your asking, its one thing for me to help you bathe
but quite another to masturbate you."

"I know but it really hurts"

"Okay but you have to keep this between us. My god I would die if anyone
found out"

"I don't think you have to worry about that Linda, I can't imagine I
would want Dave to know his wife jerked me off"

"Hey watch your language I am still your old enough to be your mom"

""I am sorry Linda, I am just so frustrated"

"Okay forget it; let me do this before I change my mind"

I stood behind him and pressed my breasts on his back as I reached
around and searched for his cock. My hand was sliding down his tummy,
and I felt the tip of his cock, he was already hard. I slowly let my
hand glide over his cock. It was so different now, I wasn't trying to
hurry, I was now caressing his cock, and my other hand reached around
and massaged his ball. I took my hand and started to massage his cock
back and forth. Tony was moaning as I masturbated him. I felt him
breathing faster and I knew he was close. Then it happened I felt his
cock start to throb and he started cumming, I continued stroking his
cock as his cum hit the shower wall.

"OHhhh thanks Linda I really needed that"

"My pleasure honey, I was glad that I could make you feel all better
now"

I started to wash the cum off my hand but when he wasn't looking I
reached up and tasted his cum, what in the world possessed me to do
that.

I got out off the shower and Tony headed to his house. What had I just
done, I had masturbated my neighbor, and it felt gooooood. That night I
came so hard as my husband talked me through another orgasm. Now I was
hooked on masturbating Tony, every night I milked his cock. On the 4th
night Tony asked me if he could turn around so he could watch me
masturbate him.

I don't know"

"Linda please, you play with me every night, the least you could do is
let me look at you while you play with me, besides I will come even
faster"

"Okay go ahead"

Tony turned around and he was now standing next to me, I reached over
and grasped his cock and started pulling on it.

"Linda you look really hot in your panties and bra"

"Thanks but you shouldn't be thinking about those things"

"Come on I can't help it, you do look hot"

"You really think so"

"I know so, Dave is one lucky man"

"Ahh that is so sweet, thanks honey"

It was surreal; my black young neighbor is complementing me on my looks
as I jerked him off. He very quickly started to cum and it hit my
stomach. We both looked down and laughed as the water washed off the
cum.

The next night Tony had one more request, Linda you could you please
take your bra off...please pretty please"

"I don't think so young man"

"Oh come on I can practically see them anyway, come just this one time"


"Okay just this one time" But we both knew it wouldn't be just this one
time, each day we crossed new boundaries that we had no business
crossing. I took off my bra and my breasts flopped out. My nipples were
so hard from the water hitting them and when my mister looking at them I
could see the lust in his eyes.

"You like what you see"

"Oh yes it is the way I always pictured them"

Didn't take him long to cum when he saw my breasts. The next day Tony
had a new request. If I didn't know any better I would swear the boy
was trying to seduce me, but I knew it was just curiosity.

"Linda can you get on your knees and let me come on your tits"

"WHAT are you crazy?"

"Come on Linda, it will really make me cum fast...please"

"Okay just this one time"

Tony is so tall that when I was on my knees his cock was at my chin. I
knelt back a little and started to stroke his cock, I now had a real
nice view of it and I studied it as I stroked it. He must have been
around 10 inches long and real thick and veiny with a big mushroom
head. I was enjoying masturbating him and he was moaning as I stroked
his cock.

"OH yeah Linda stroke my cock, make me cum on your tits"

Normally I would have slapped him for talking to me this way, but when I
heard the words escape his lips it just made me hornier. I couldn't
wait for him to cum all over my breasts. His legs started to turn to
mush and I knew he was close. I pulled myself a little higher and then
he let loose with a stream of cum hitting my nipples, it was so erotic.


For the next two days I stroked his cock until he came on my tits. On
the third day, as I was kneeling and stroking him, Tony moved his hips
real fast and his cock hit my lips.

"What in the world are you doing?"

"I'm sorry...I'm sorry. I never had a blowjob. I don't know what came
over me"

"You've never had a blow job?"

"No"

"Come on tell me the truth"

"No really Linda I have never had one"

"Wow I can't believe it"

"Well it's true, please ...please let me just slip my cock in your
mouth just once. I want to know what it feels like"

"I don't know"

"Come one, mom just this once"

"Okay just this once"

With that my lips reached out and I let his cock enter my mouth, it was
so hard and big and it felt so amazing. My tongue swirled around his
big black head and he moaned as he pushed his hips and fucked my face.
When he was getting close I pulled my mouth away and I jerked him off
till he came on my chest.

"Wow............thanks Linda that felt wonderful"

I couldn't wait to get back to my room, lock the door and masturbate.

The next day we went to the doctor and had his bandages removed. His
hands looked so much better. We went home but I had an empty feeling in
my gut. I was no longer needed. I had no excuse to suck his cock
anymore.

When we arrived at my home Tony said "Come on Linda I need to take a
shower"

"You don't need me anymore"

"Oh come on , one more time please"

I was ecstatic. "Okay one last time mister"

We walked in the bathroom and Tony said "as long as this is the last
time do you think for once we could both be nude instead of just me"

"Sure why not, since this will be the last time"

I felt Tony's eyes on me as I lowered my panties "nice bush, you're so
hairy"

"Yeah Dave won't let me trim it, he likes it that way"

"So do I"

I got on my usual position, on my knees and I took his cock in my mouth.
As I sucked his cock, I felt Tony's hands massaging my neck. When he
didn't feel me pull away, his hands went lower until he was massaging
my breasts, it felt sooooooo gooood. He was pinching my nipples as I
sucked him deeper. I was about to pull away when I sensed he was
getting close, but then I felt his hand on the back of my head, holding
my head on his cock as he thrust deeper and faster.

"Gulp TOONNYY "

Then I felt the first splash hit my tongue, I felt Tony cumming in my
mouth.

"OH YEAH LINDA TAKE MY CUM"

He kept pumping more cum from his cock

"OH LINDA YOU MOUTH FEELS SO GOOD...... EAT MY CUM ....TAKE IT ALL"

Here I was on my knees as my neighbor came in my mouth, I could feel the
cum dripping from the corners of my mouth as Tony continued to spew his
cum into my mouth.

He finally let go of my head, but it was too late I had already
swallowed most of his cum.

"Thanks Linda you're amazing"

I stood up and I felt his hands reach for my pussy.

"Just what do you think your doing?"

"Come on Linda I know you must be horny, let me make you cum with my
fingers"

Not another word was spoken as he played with my clit, I felt his hands
enter my pussy, I was so wet. Tony then turned me around so he could
play with my ass, I felt powerless to stop him as he rubbed me all
over, his hands caressed my ass and as he reached for my pussy I could
feel his hard cock resting on my ass.

He told me to reach out and put my hands on the shower wall, as I leaned
over I felt Tony rubbing his cock all over my ass. Oh my god, what was
he doing to me. His cock felt so hard as he rubbed it on my crack. I
felt him teasing me; he was rubbing his black cock on the outside of my
lips, rubbing it all over.

Then it happened I felt his huge black cock enter my pussy, he was so
much bigger than Dave. His cock filled my pussy, we both groaned as he
impaled himself on me. There were no more barriers to cross; my young
black neighbor was fucking his white slut. Tony grabbed my hips and
started fucking me real fast I could feel his cock hitting my uterus,
he was in so deep. With a final thrust I felt his cum splash the inside
of my pussy. My beautiful ebony lover was cumming inside me and I loved
it.
chrislebo

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#1,391
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I felt his cock slip out of my pussy and I felt empty. We shut off the
shower and dried ourselves, and then Tony took me by the hand and led
me to my marital bed. He laid me down on the bed on my stomach and
asked me if we had any baby oil. I told him to go look in the medicine
cabinet.

He came back and poured a little oil on my back; he bent over and kissed
me on my neck as he massaged the oil in. He continued massaging me
going lower and lower with every pass till he was rubbing the top of my
ass. I felt him reach over and he poured more oil on my ass. He then
massaged my globes all over.

"Linda you have a beautiful ass, I could rub it all day"

"And you have wonderful hands; you make me feel so good."

Tony then pulled my legs apart and I felt him massaging my inner thighs,
I felt him getting closer and closer to my pussy, then I felt his pinky
flick one of my lips and I melted. He was rubbing his fingers all
around my crack and then I felt his index finger enter my ass. He had
his knuckle buried in my ass and it felt wonderful. He pulled it out
and moved down to my pussy; he was now rubbing my pussy when I felt his
tongue licking the crack of my ass. Oh My God.

Tony then took both his hands and spread my cheeks as his tongue worked
his magic, he was licking me all over, he lowered his mouth an licked
my pussy, when his tongue hit my clit I had my first orgasm. He left my
pussy and licked higher till he was licking all around my small little
pink hole, then Oh my god I felt his tongue enter my ass. No one had
ever done that before.

I couldn't believe all the things I was letting him do to me. He then
pulled his tongue out and got behind me, and placed his cock on my ass.


"Linda I am gonna fuck your ass"

"Please baby go slow, no one has ever fucked me there"

"Not even Dave"

"Not even Dave baby"

"Oh I love it Linda, it's like you been saving you ass for me"

"Please be gentle baby"

"I will Linda...I will"

I felt his cock push the head in slowly...god it felt like he was
shoving a bat up my ass. But I couldn't deny him. He slowly pushed more
of his cock in and I started to enjoy the feeling. My ebony lover had
his cock up my ass, what else was left. We had done everything now.
Tony was fucking my ass and I loved it. Tony pushed me on the bed; he
leaned into me and was showering me with kisses as he fucked me.

"OH Linda I'm cummmmmiggggggggg"

I felt his cock erupt inside my ass; he was cumming inside me. We fell
arelax with his cock buried inside me, we took a short nap. I woke up
and looked at the clock it was eleven pm. I got up and washed up in the
bathroom.

Tony came in and as he walked by he rubbed my ass and said "Damn I love
your butt"

I smiled back and grabbed his cock "Not as much as I love this"

"Let's go back to bed Linda I want to make love to you again"

We got in bed and Tony got on top of me and slowly teased me with his
cock, he finally entered my pussy and was slowly fucking me when the
phone rang. Oh cuckolds brownie I forgot and my husband was calling to say
goodnight.

"Shit stop Tony, it's Dave on the phone"

I reached over and picked up the phone.

"Hi honey"

"Hi babe how was everything today"

Tony didn't stop he was still inside me and slowly fucking my pussy as I
talked with Dave. I kept giving him dirty looks but he just smiled and
continued fucking me. It was hard holding down a conversation with your
husband as your next door neighbor is fucking you.

"So did Tony get his bandages off?"

"Yeap all went smooth"

How's he doing?"

"Oh he is doing great. In fact he is here keeping me company"

"Put him on the phone I want to talk to him"

"Okay... Tony come get the phone, Dave's on"

Tony smiled as he spoke "Hi Dave how is work" Tony continued to fuck me
as he talked to his him.

I couldn't believe as I watched him on the phone. He was talking to my
husband as he fucked me. He handed the phone back as I heard him say
"okay bye Dave I am going to go watch T.V."

He handed me the phone and started to fuck me a little faster. His cock
felt so good in my pussy.

"Okay honey Tony is gone"

"Good because I am horny tonight"

Dave proceeded to jerk off as he spoke to me "God honey I missed you, I
love your pussy, pretend I am there and I am fucking you right now"

"Oh baby your cock feels so good in me"

Tony loved it he started to fuck me faster; he had his ear to the phone
as Dave talked me through an orgasm.

"Wow honey your really into it tonight"

I responded "Uh huh oh baby your cock feels so good in me, fuck me baby"


Every time I said it Tony started to fuck me faster. I started to cum
and I screamed "OH yesssssss I am cumming arggggggggggggggghhhhhhhhh"

At that point I felt Tony cumming and we could here Dave cumming on the
other side of the phone.

"Wow Linda, that was amazing I swear if I didn't know any better I'd say
you were getting fucked"

"Hmmmm Yes you loved that wouldn't you. That's always been your fantasy
hasn't it. You always wanted to watch me get fucked by another man.
Maybe tomorrow night we can roll play it"

"Oh yes baby lets do it"

I hung up the phone and I fell arelax in my Tony's arms.

The next night Tony was back in my bed and we were just waiting for Dave
to call. Sure enough the phone rang and Dave was on the phone.

"So how are you feeling tonight?"

"Horny enough love that I still want to act out your fantasy."

"Hmm yeah babe I only wish there was someone really in bed with you"

"Would you really want that Dave?"

"Oh Yes"

"You're not just saying that are you, I'm serious Dave would you really
want me to fuck someone else"

"You know I do, you're the one that always didn't want to do it"

"What if I agree to now?"

"Don't you be teasing me now?"

"I am serious, what if I had someone in bed with me right now"

"I would love it"

Well guess what, someone is in bed with me right now"

"Yeah sure"

"Say something"

"Hi"

I heard my husband laughing on the other end. "Who are you trying to
fool that's just Tony"

"Yes I know"

"What are you saying?"

"I am saying, do you still want me to get fucked by someone else"

"Linda what are you saying"

Tony is lying in bed with me naked and we want to know if you still want
me to get fucked"

"Oh my god that is so intense....YES I want him to fuck you Linda"

"Don't tell me, tell him"

"Tony I want you to fuck her and treat her like the slut she is"

"Okay Dave I will fuck her good and hard"

Tony handed the phone back to me, Tony is getting ready to put his cock
in me"

"HMMM I want every little detail... How big is his cock?"

"His cock is so big honey it fills me up"

"I want you to ride him"

"Tony lay on the bed"

"Honey I am standing over Tony admiring his hard cock. I am lowering my
pussy. He is holding his cock out for me, Honey I can feel his big cock
entering my lips OHHHHHHHH honey his cock feel so gooooood"

"Oh yeah baby do you love his cock"

"OH yeah I love his cock, I am riding his cock right now I am bouncing
up an down on his cock...Oh yeah baby, fuck me.... Fuck me hard......"

I could hear Dave masturbating as Tony fucked me.

"OH Dave I wish you were here to watch him fuck me, he feels so god
inside me"

"Oh Dave Oh Dave Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh I am cumming on Tony's cock"

"Oh yeah baby cum on his cock"

Oh Dave I can feel Tony cumming inside me oh he is cumming so deep
inside me honey, I can feel his cum... he is cumming so much"

"Oh yeah you love it don't you, take his cock out and lick it clean NOW"
chrislebo

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#1,392
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"I am taking his cock out honey, here talk to your Dave"

Hi Dave, your wife is cleaning my cock, she is licking it all over, she
is sucking my cock Dave"

"What's he saying?"

"He says for you to clean all the cum out of my cock."

"Tell him I am ... Tell him I am going to fuck you all night. Now say
goodnight.. I have some fucking to do"

"Good night Dave, Linda will tell you all about it when you get home
tomorrow night."

As Tony hung up the phone I knew my life would never be the same, I
continued fucking him all night just as we promised his Dave.

Dave called me from the airport saying he would be home in a few
minutes. When he walked in the front door he yelled "I'M home"

"I am up here honey in the bedroom"

Dave walked in and was shocked, on the bed was Tony behind me, fucking
me doggie style. Dave dropped his bag "Wow you two look hot"

"Get out of your clothes and join the fun; we thought you might enjoy
our surprise"

"Oh yeah I love surprises."

Dave took his clothes off, but he never took his eyes off his Tony's
cock as it entered my pussy. He walked over to me and I grabbed his
cock and pulled it to my mouth. How great was this, I was sucking my
husbands cock while Tony fucked me.

I felt Tony cumming and I said "Tony is cumming inside me honey"

Dave heard that and started to cum I pulled his cock back into my mouth
so I could capture his cum. I had Tony cumming in my pussy and my
husband cumming in my mouth. What else could a girl ask for?

"Honey remember that fantasy of yours"

"What fantasy"

"Tony lay on your back". I got over Tony with my ass facing back and I
lowered my pussy on his cock

"Dave come here and lick my clit, as Tony fucks me"

"MMMMMMMMMM"

Dave got between my legs and started lick my clit as Tony fucked me. I
looked down and I could see that Dave's tongue would also lick Tony's
cock as he fucked me. Tony's cock slipped out and I watched Dave take
it into his mouth and suck his cock, Tony was really getting so I got
of him and watched Dave suck his cock deep into his mouth as Ton'ys
hand was on the back of Dave's Head.

"Yeah Dave suck my big black cock...Suck it bitch"

Tony started to really fuck his mouth faster till I could see cum
dripping from Dave's mouth. Dave had taken all of Tony's cum.

I crawled back in between them and we fucked the rest of the night till
my pussy was too sore to fuck, we fell arelax me sandwiched between my
two lovers.

Please let me know what you think of my story, especially if you have
any suggestions and please don't forget to grade it.
chrislebo

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#1,393
Up to the first message Down to the last message
Je n'avais plus le choix, je m'appliquais donc à sucer, lécher cette bite pourvue que cette douleur qui m'irradie l'oreille cesse. Mon Directeur donnait de petits coups de hanche qui m'envoyait de plus en plus loin mister sexe dans ma bouche.

J'eus un haut le cœur lorsque celle-ci buta dans le fond de ma gorge et un mouvement de recule vite rompu par la secrétaire qui d'une main ferme appuya ma tête contre le bas ventre de l'homme qui m'utilisait.

Il marmonnait, gémissait de plaisir puis soudain je sentis un liquide glaireux m'envahir la bouche et éclabousser le fond de ma gorge. Je ne pouvais m'empêcher de tousser, la secrétaire agrippa mes cheveux pour me tirer le visage en arrière ce qui me permis de me libérer de la queue du Directeur qui finissait de répandre mister jus de couille sur mon visage.

Je me dépêchais d'avaler afin de rapidement reprendre une bonne bouffée d'air. La secrétaire profita de cet instant de répit pour me projeter à terre.

"Cette petit salope est peut être un pervers, il n'est pas forcément un bon suceur" lança le Directeur à la secrétaire, puis ajouta : "Je compte sur toi pour lui apprendre à mieux se servir de sa bouche et de sa langue."

Elle me lança un paquet de mouchoir en papier et sur un ton sec me dit de me débarbouiller le visage et de me dépêcher de retrouver une apparence convenable pour filer rapidement jusqu'à mon bureau et commencer enfin ma journée. Je ne me faisais pas prier, bien trop pressé de quitter ce bureau où je venais de donner un spectacle peu reluisant de ma permisterne.

Le reste de la journée se passa sans que je ne revoie les deux complices de ma déchéance. Heureusement car, je me sentais vraiment déprimé et anéanti par cet épisode le plus embarrassant de ma vie.

Ce soir là, mon épouse a bien senti que quelque chose n'allait pas mais le mis sur le compte de la mauvaise humeur. Elle s'imaginait simplement que je n'étais pas très heureux de m'être fait brimer par la direction et que dans les prochains jours tout redeviendra comme avant.

Moi je savais que désormais plus rien ne serait comme avant, je m'étais laissé avilir pour ne pas perdre mon travail comme si je n'avais pas le choix. Cette nuit là, vous comprendrai que je n'ai pas facilement trouvé le sommeil, mais je me décidais tout de même à démissionner demain. Je ne pouvais pas m'enfoncer dans un tel dérapage et ma femme comprendra bien que je ne puisse plus retrouver la même motivation à travailler pour une entreprise qui sait que je fais de mister informatique pendant la pose le midi…

… Ce matin, j'ai quitté ma femme après lui avoir expliqué que je ne pouvais plus continuer à travailler pour mon patron. En tout cas plus après les évènements de ces derniers jours. Elle ne sait rien bien sûr de ce rôle dégradant que j'ai tenu la veille. Elle n'est pas ravie de cette décision mais je crois que je suis capable de retrouver très vite du travail.

A mon arrivé dans l'entreprise, je décrochais le combiné du téléphone de mon bureau et composais le numéro du Directeur pour lui demander un entretien que je pus obtenir de suite. C'est donc d'un pas décidé que je me dirige vers ce bureau qui fût hier encore le théâtre de mon offense.
chrislebo

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#1,394
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Pas loin de deux semaines se mistert écoulées depuis ces évènements mais rien ne semblait devoir changer dans mes activités professionnelles. Je dirais même que le Directeur ou Diane quand il m'arrivait de les côtoyer, semblait me porter un regard indifférent. J'aurais presque oublié cet épisode malheureux si ce matin Diane ne m'avait pas fait demander à mister bureau.

"Monsieur le Directeur m'a demandé de vous remettre ceci." Elle me tendit une grande enveloppe que j'ouvris prestement comme pour faire preuve d'assurance. Et pendant que je découvris une pochette avec un billet d'avion et une lettre d'invitation à un séminaire, Diane m'expliquait que je devais prévenir mon épouse que je devrais m'absenter durant deux semaines pour un séminaire en Australie. Un voyage bien entendu factice, que ces différentes pièces que j'avais entre les mains étaient destinées à justifier aisément mon absence auprès de ma femme.

"Je ne comprends pas… Si je ne vais pas en Australie où vais-je exactement pendant deux semaines ?" lui demandais-je.

"Tu viens avec nous, dans une école où tu iras de temps à autre pour apprendre tes nouvelles fonctions".

Je me souviens alors que le Directeur m'avait prévenu que j'aurais de nouvelles fonctions, mes lesquelles ?

"Tu nous attendras sur le parking de l'entreprise samedi matin à 9 h 00 précise, maintenant retournes travailler ! " me dit-elle d'un ton sec…

Samedi matin, il n'est plus très loin de 9 h 00. Mon épouse a décidé de m'accompagner histoire de reprendre la voiture pour ne pas la laisser sur un parking avec le risque de ce la faire faucher. Une BMW de couleur foncée approche doucement, je reconnais le Directeur au volant. Elle s'arrête à coté de nous. J'embrasse une dernière fois mon épouse pas très ravie de me voir partir deux semaines. Pour elle, je n'ai rien perdu de la confiance qu'ils ont dans mon travail et finalement ce séminaire est plutôt rassurant quant à mon avenir professionnel. J'installe mes valises dans le coffre de la BMW que le Directeur a ouvert après avoir salué aimablement mon épouse.

Le silence règne à bord de la voiture, depuis que je suis monté, il n'a pas prononcé un mot. Il ne doit y avoir guère plus de 5 ou 6 kilomètres parcourus quant la voiture s'arrête sur le bord de la route.

"Descends et grimpe dans le coffre sans poser de questions ! " m'ordonne t-il d'un très sec. Je n'ai pas envie de discuter et comme il ne semble y avoir permisterne sur cette route, je m'empresse de descendre et de faire ce qu'il me dit avant qu'une voiture n'arrive et que l'on remarque ce petit manège.

Le trajet semble long, je commence à avoir très chaud, je transpire. Au bout d'un long moment l'air me manque, j'étouffe… Je somnole…

D'abord un rayon de lumière, puis une sensation d'air frais me firent revenir à moi. Je n'eu pas le temps de me remettre complètement de ce voyage que je sentis deux mains me saisir par les aisselles. On me retira du coffre de la voiture en m'élevant dans les airs. En l'espace d'une seconde une espèce de sac en ce qui ressemble à du latex m'enveloppa la tête et une piqûre transperça l'épiderme de mon bras.

Je n'ai plus trop la notion du temps, il me semble avoir dormis des heures mais je ne sais trop combien de temps à vrai dire. J'essais de bouger mais je suis comme paralysé, je découvre que je suis allongé sur le dos, les jambes écartelées au maximum, maintenues dans des étriers. Les bras mistert étirés au dessus de ma tête mais je ne peux pas voir ce qui les maintient joints car je porte encore cette cagoule pleine d'humidité dû à ma respiration. J'entends des voix…

"Il revient à lui" dit une voix féminine

Une autre voix féminine répond :

"Très bien nous allons lui expliquer ce que nous allons faire et nous pourrons commencer le programme."

"Je vérifie une dernière fois le matériel pendant ce temps"

"Maintenant que tu es revenu à toi, je vais t'expliquer ce qui t'attends ici durant deux semaines. Tes propriétaires t-on amenés ici pour subir un premier traitement de choque qui t'obligera à accepter ta nouvelle condition d'esclave. En deux semaines seulement tu auras tellement souffert que tu accepteras de te soumettre à n'importe quelles ordres de tes maîtres"

J'avoue que je commence à paniquer. La posture dans laquelle je me trouve, ce sentiment de séquestration… J'ai peur d'être tombé dans un coupe gorge et je regrette déjà beaucoup de m'être laissé faire par mon directeur et sa secrétaire.

"Nous allons commencer par t'introduire dans l'anus un tube creux de 3 cm, une sorte de stimulateur électrique destiné à te faire déféquer sur ordre, à t'élargir un peu plus l'anus et à y faire pénétrer lors de tes punitions une substance irritante quand tu ne seras pas obéissant."

Son explication une fois terminée, je senti une douleur assez vive dans l'anus, on venait de m'ouvrir le cul à l'aide d'un spéculum anal, je senti qu'on me glissait quelque chose dedans. Le tube sans aucun doute. Ce n'était plus douloureux une fois qu'on laissa mon cul se refermer sur le tube mais un sentiment de gêne pris la relève. Sentir mon cul ouvert, je ne pouvais pas m'empêcher de bander.

"Ton érection est normale, tu as tout de même 15 cm de tube dans ton fion de tapette. C'est pourquoi nous allons te branler la queue pour qu'elle retrouve sa taille normale et puisse ainsi trouver sa place dans une petite cage qui t'interdira ensuite toute nouvelle érection."

Sur ce, elle prit ma queue dans sa main pour le décalotter. Ces ongles me griffaient légèrement le gland, me titiller le méat. Son autre main me caressait et m'étirait les couilles. Je bandais très fort. Il faut dire que j'étais dans une position assez obscène devant deux femmes. La cagoule m'empêchait de voir mais mon esprit pouvait imaginer mon corps, les jambes écarter offrant mon anus ouvert devant elles et une queue bien érigée. Sa main me branlait et progressivement augmentait le rythme de la masturbation. Et soudain, je n'ais pas pu résister, j'ai éclaboussé mes ravisseuses de plusieurs jets copieux de mon jus de mâle.

"Regarde ce cochon en mets partout, on va lui faire nettoyer tout à l'heure. " dit l'une d'elle.
chrislebo

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#1,395
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Quelques jours plus tard, je retrouvais un peu plus de civilité, j'étais autorisé à être détaché cinq fois par jours pour faire mes besoins, la douleur s'estompée mais on me prodiguait quotidiennement d'autres injections : d'hormones.

La prochaine étape concernait ma pilosité, pas très abondante mais superflu pour la future salope que je représentais à leurs yeux. Il fut donc décidé de me débarrasser définitivement de mes poils. "On laissera uniquement tes cheveux que tu dois laisser pousser. Ca nous évitera l'installation précaire d'une perruque." me dit Diane.

Ces hommes de mains m'attrapèrent et m'immobilisèrent en croix sur le lit d'abord sur le dos puis sur le ventre pour une épilation à l'aide d'un appareil électrique. Je me sentais nu comme un nouveau né. Elle prit le temps, de me masser avec une huile destinée à m'assouplir la peau. Quant ses mains passèrent sur ma poitrine, elle m'expliqua qu'il faudra un peu de temps pour que je développe une petite poitrine mais que pour la rendre plus proéminente, on m'installera ensuite des implants. A ces paroles, je m'affolais et remuais dans tous les sens. Je protestais, hurlais.

"Tais-toi salope ! Désormais c'est ce que tu vas devenir que tu le veuilles ou non, on va te transformer en femelle. J'ai bien dit "Femelle" pas une Femme car ta vie sera vouée à donner du plaisir avec ta bouche et avec ton cul. En dehors de ça tu feras nos corvées" Dit-elle.

"D'ailleurs en parlant de ta bouche, tu vas l'ouvrir car j'ai envie de pisser... Et tâche de bien tout avaler sinon tu seras puni." ajouta t-elle. Sur ces mots, elle s'installa à califourchon sur mon visage, et se mit à me pincer le nez jusqu'à ce que j'ouvre la bouche. D'abord doucement et à petites giclées elle se mit à me pisser dans ma bouche puis elle finit par se laisser aller. Quelle odeur et quel goût, je toussais, m'étranglais et mister urine débordait de ma bouche. Ma tête nageait dans une flaque d'urine qui s'était formé sur le matelas.

"Petit con, tu as vu dans quel état tu as mis ton lit ? Attends moi ici !" attends -moi ici facile à dire, je suis attaché, je ne risque pas d'aller loin. Elle revint peut de temps après avec dans les mains un fouet muni de petites chaînes très fine en guise de lanières. Elle remarqua l'air affolé qu'affichait mon visage. "Il va falloir qu'on t'apprenne à accepter tout ce que l'on te demandera... Il en va de ta survie..." ces derniers mots avaient presque stoppés mon coeur. Son regard me fit comprendre qu'elle ne plaisantait pas.

Le fouet se leva dans les airs et elle l'abattit de toutes ses powers sur mes cuisses. J'ai hurlé à m'en déchirer les cordes vocales. "Si je te dis d'avaler ma pisse tu avales ! si je te dis de bouffer ta merde, tu le fais. Compris ?" Le fouet me frappa de nouveau aussi fort que la première fois. Nouveau hurlement de douleur. Elle leva de nouveau le bras... "Compris ?". "Oui" répondis-je.

Physiquement et psychologiquement épuisé, je me mis à pleurer durant plusieurs heures. Dès lors lorsqu'elle venait me voir, elle me terrorisait toujours. Chaque jours qui passait, elle m'insultait, me giflait. Je ne sais plus en combien de temps, je suis arrivé à me ressaisir et lui demander mister indulgence en échange de quoi je ferais tout ce qu'on me dirait de faire mais elle accepta avec un sourire.

"C'est bien, tu reviens à de meilleures dispositions. Je vais te détacher de ton lit, te passer un collier et nous allons te passer à la douche". Elle m'emmena au jardin où elle déroula un tuyau d'arrosage puis elle lança le jet d'eau froide dans ma direction. "Tu seras une belle petite femelle toute propre, ensuite on va quitter cette baraque et nous irons dans cette maimister que tu connais déjà pour y être déjà allé en séminaire"

FIN (le texte se termine abruptement ainsi...)
soumis8

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chrislebo

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#1,397
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Histoire de la famille Mouriau


Je m'appelle Claude Moriau. Belge, je suis né en 1961 dans une riche famille bourgeoise. Avec mes parents, nous vivions à Uccle dans une grande villa cossue de la banlieue bruxelloise.

D'après ce qu'on m'a dit, mon père, Michel Moriau, avait hérité d'une fortune confortable et mister activité d'agent immobilier n'avait jamais été qu'une façade qui masquait mal mister peu d'attirance pour les activités professionnelles.

Mon père a disparu soudainement il y a quelques années. Ce n'est que plus tard que j'ai appris ce qui s'était véritablement passé. J'y reviendrai.

A l'époque, j'avais onze ans. Ma mère, Christine, ne m'avait curieusement pas semblé fort affectée par cette soudaine et mystérieuse disparition de mister mari.

Elle avait engagé quelques année auparavant un jeune couple de domestiques italiens. Gabrielle et Mario étaient de beaux jeunes siciliens dans la power de l'âge et ma mère avait rapidement succombé aux avances de Mario sans que cela ne semble poser un quelconque problème à sa compagne.

Je comprendrai également plus tard les raimisters de cette complaisance.

Ma mère vit aujourd'hui avec Mario dans mister appartement de Cannes et je n'ai plus aucunes nouvelles d'elle sauf par ce que Gabrielle veut bien parfois m'en raconter.

Gabrielle est une ravissante jeune femme d'une trentaine d'années. Grande, cheveux châtains, des yeux bruns perçants, une superbe poitrine arrogante, très élégante et surtout très autoritaire. Gabrielle gère aujourd'hui absolument tout ce qui se passe chez nous.

Après la disparition de mon père et le départ de ma mère, Gabrielle s'est d'ailleurs installée dans l'appartement de mes parents. Elle se conduit très exactement chez nous comme si elle était chez elle. C'est elle la maîtresse de maimister et elle ne se prive pas de le faire savoir.

Les disparitions successives de mon père et ma mère ont été pénibles au début mais j'ai bien fini par devoir m'en accommoder.

Dès mon entrée dans le secondaire, j'ai d'ailleurs été envoyé en pension dans un internat de province et je ne rentrais à la maimister que deux week-ends par mois et pour les vacances scolaires.

Gabrielle surveillait mes bulletins comme toutes mes activités. C'est donc très naturellement à elle que je m'adressais pour tous les problèmes de la vie courante.

Gabrielle remplaçait mes parents. Elle décidait de tout pour moi.

Je devais avoir presque seize ans et je me souviens surtout d'un retour à la maimister après une visite médicale obligatoire au collège.

J'avais une sainte horreur de ces visites médicales durant lesquelles tous les élèves convoqués chez le médecin étaient obligés d'attendre leur tour à l'infirmerie, en file et tout nus.

Aux vestiaires, avant et après le cours de gymnastique ou aux deux douches hebdomadaires, il y avait encore plus ou moins moyen de se soustraire aux regards inquisiteurs des internes de ma classe qui comparaient leurs pilosités et leurs virilités naissantes à celles de leurs camarades.

Quelle offense pour moi de devoir exhiber un visage imberbe, un sexe de bébé et un corps lisse d'enfant sous les regards condescendants de ces adolescents qui se rasaient déjà tous et qui affichaient fièrement des jeunes sexes poilus et vigoureux.

Après cette visite médicale, Françoise Dumont, l'infirmière du collège, m'avait convoqué pour me remettre une enveloppe fermée contenant, disait-elle, un 'important' rapport médical à soumettre à mes parents.

Elle avait bien insisté sur l'urgence de cet envoi car le médecin attendait une réponse de mes parents pour la semaine suivante. J'ai donc tout naturellement remis cette enveloppe à Gabrielle lors de mon retour du week-end suivant.

Confortablement allongée dans le grand canapé du salon, Gabrielle avait longuement pris connaissance du rapport pendant que j'attendais, assis en face d'elle en la regardant distraitement.

J'ignorais tout du contenu de ce rapport mais j'imaginais bien qu'il était important vu l'insistance de l'infirmière.

chrislebo

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#1,398
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Après avoir lu et relu le texte, Gabrielle avait levé les yeux sur moi tout en semblant réfléchir à la manière dont elle allait m'en parler.

- Claude, c'est assez délicat cette histoire... le médecin du collège constate chez toi un important retard pour ne pas dire une absence de puberté.... en fait, pour être franche, il se demande même carrément si tu es une fille ou un garçon.

La question est grave car il suggère de te faire rapidement subir un traitement hormonal mais, à ce stade, il ignore lequel. Faire de toi un garçon n'a peut-être pas de sens et faire de toi une fille pose les problèmes classiques du transsexualisme car tu es né garçon et on ne peut provisoirement rien y changer.

Approche-toi, Claude...tu vas baisser ton pantalon et me montrer tout cela... je veux en avoir le coeur net.

Rouge de honte, je m'étais approché d'elle mais sans faire un geste pour me déculotter.

- Allons, Claude... arrête tes simagrées... j'en ai vu d'autres... baisse immédiatement ta culotte et montre-moi cela...

Au bord des larmes, j'avais fini par descendre mon pantalon et mon slip pour exhiber ce qu'elle voulait examiner de près.

Gabrielle souriait de manière sarcastique, probablement amusée de voir le fils de mister ancienne patronne obligé de se déculotter et de s'exhiber devant elle.

Elle eut un petit mouvement de surprise puis un léger rire en découvrant ce sexe de bébé que je cherchais tellement à dissimuler.

- Mon pauvre Claude, ce n'est effectivement pas avec cet engin que tu vas remplir tes devoirs d'homme. C'est un zizi de bébé avec quelques poils follets mais je ne vois pas ce qu'une femme pourrait en faire. C'est juste bon à faire pipi ton machin....

Est ce que tu le caresses parfois dans ton lit ? Est ce qu'il devient dur ?

- C'est mon problème... je préfère ne pas parler de cela..

- Il faudra bien que tu m'en parles. Je dois savoir si tu ressens quelque chose quand tu te caresses ou quand tu regardes les filles ? Est-ce que les filles t'attirent...

- Je n'en sais rien, je crois que oui mais je n'ai jamais connu de fille.

- Et au collège, est ce que ce ne serait pas plutôt les garçons qui t'attirent... avec tes airs de fille, il y a peut-être un garçon qui a essayé de te caresser dans ta culotte ?

Cet interrogatoire était insupportable. Je sentais le sol se dérober sous mes pieds car elle venait de toucher juste.

Un mois plus tôt, mon voisin de classe, Marc, m'avait longuement caressé la cuisse sous la tablette avant d'ouvrir ma braguette pour y plonger la main et me tripoter le sexe.

Effaré, je n'avais pas osé souffler un mot durant le cours et le professeur n'avait visiblement rien remarqué d'anormal.

La caresse avait duré une éternité malgré mes nombreuses tentatives de me dégager sans attirer l'attention. Marc ne lâchait pas prise. J'ai dû renoncer à me libérer et finalement me laisser faire.

Ce n'était d'ailleurs pas désagréable d'abdiquer et de s'abandonner à ce garçon qui était le plus fort de la classe. Je me consolais en pensant que permisterne n'en saurait jamais rien.

Pendant qu'il me tripotait, Marc me soufflait des petites phrases avilissantes tout en faisant semblant de lire mister cours pour ne pas éveiller l'attention

-Laisse-toi faire, Claudine... donne bien ta pissette...tu vas voir comme c'est bon de mouiller ta petite culotte... écarte mieux les cuisses pour dégager ton clitounet... tu sens comme c'est excitant, mes doigts sur ton bouton... entre tes fesses....

Rouge de confusion, j'avais écarté les cuisses pour permettre à Marc de prendre complètement possession de ce petit sexe ridicule. Au bout de longues minutes, j'avais senti une raideur inconnue dans ma culotte puis une sensation nouvelle et, soudainement, un éclair de jouissance qui m'avait projeté sur la tablette du banc pour mieux cacher mon trouble.

Je venais de vivre ma première expérience du plaisir sexuel.
chrislebo

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#1,399
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Plus tard, dans la cour de récréation, j'avais vu Marc en discussion animée avec quelques copains de classe. Ils avaient l'air de bien s'amuser et même parfois de me regarder mais ils se mistert dispersés quand je me suis approché de Marc.

- On parlait justement de toi, Claudine.

- Marc, je t'en prie, cesse de m'appeler Claudine

- Ecoute Claudine, tout le monde voit bien que tu n'es pas un garçon. On te voit nue à la gym, aux douches ou à la visite médicale. Tu es imberbe, pas l'ombre d'un poil sur le corps, un sexe qui refuse de grandir.

On en a parlé avec Françoise Dumont, l'infirmière. Elle nous a confirmé que nous avions raimister et que tu étais probablement une fille dans un corps de garçon manqué. Tout l'internat le murmure et c'est pourquoi j'ai décidé ce matin de vérifier ce que tu as dans ta culotte pour commencer à te déniaiser. A en juger par tes réactions, cela ne t'a pas trop déplu. Avoue-le...

On va donc continuer sur cette voie. Je passerai ce soir dans ta chambre pour t'apprendre à vraiment satisfaire un garçon. A ton âge, il est temps de cesser les jeux de touche pipi. Tu vas passer à des choses plus sérieuses....

Le soir même, Marc était venu dans ma chambre avec un paquet dans un emballage cadeau. Ma confusion était à mister comble lorsque j'en ai sorti une adorable petite culotte rose satinée et un soutien-gorge assorti.

- Je les ai acheté la semaine dernière en pensant à toi, Claudine. Ce seront dorénavant tes seuls sous-vêtements autorisés. Tu les porteras en classe sous tes vêtements de garçon manqué et je pourrai facilement vérifier que tu as bien été obéissante.

La semaine prochaine, j'irai t'en acheter d'autres ainsi que des bas nylons, un porte-jarretelles et une chemise de nuit sexy pour m'attendre le soir. Maintenant, tu vas te déshabiller complètement et te coucher nue sur le lit. Je vais faire de toi une vraie femme... ce sera notre secret, ma Claudine.

Abasourdi, je n'avais pas résisté. Quelques instants plus tard j'avais le sexe de Marc en bouche.

- Arrrondis les lèvres, Claudine, je ne veux pas sentir tes dents... salive bien... voilà... lèche le gland... la bite... les couilles... reprends tout en bouche...

Je le sentais durcir et se dresser contre ma langue.

Marc m'a ensuite relevé les genoux contre la poitrine pour pointer mister sexe et s'infiltrer entre mes fesses, frotter longuement le gland contre l'anus qu'il tentait doucement de pénétrer.

Le trou dilaté, le gland s'est finalement introduit sans me faire trop mal et la longue queue s'est glissée profondément en moi pour commencer à coulisser lentement. Marc m'enculait... j'avais un véritable amant... je faisais dorénavant partie de ceux qu'on désignait au collège comme des tapettes, des lopettes...

Depuis cette soirée, les attouchements en classe et ailleurs se multipliaient. Deux ou trois fois par semaine, Marc venait se faire sucer et me faire l'amour dans ma chambre. Comment reconnaître que j'en avais maintenant véritablement besoin. J'étais amoureux de ce Marc, fort et vigoureux, qui me traitait comme une fille.

Comment avouer tout cela à Gabrielle ?

- Je t'ai posé une question, Claude. Est-ce que les garçons t'attirent et est ce qu'un garçon t'a déjà fait des avances au collège ?

- Oui.

- Oui, cela ne veut rien dire. Je veux des détails. Il y a des décisions graves à prendre et je dois savoir quelles mistert tes véritables attirances sexuelles.

Je n'en pouvais plus. Tout se brouillait dans ma tête. Il fallait avouer pour se débarrasser de ce fardeau. Honteusement, je suis passé aux aveux.

- Marc, mon voisin de classe m'a caressé sous le banc. Le soir, il est venu dans ma chambre pour m'offrir des sous-vêtements de fille. Il veut que je les porte durant la journée et le soir je dois l'attendre en tenue dans mon lit.... Je dois le sucer longuement avant de m'offrir à....

- A quoi.... ? Je veux toute la vérité.

Je pleurais presque.

- Il m'a pris par derrière. Il appelle cela me prendre en levrette. A quatre pattes, la tête dans l'oreiller, je dois bien lever et présenter mon derrière en écartant les fesses avec les mains. j'ai senti mon sexe durcir et j'ai mouillé comme le premier matin en classe.

Gabrielle me regardait, triomphante, sûre d'elle.

- Et depuis lors, cela continue ?

- Oui. Marc vient me voir deux ou trois fois par semaine et nous nous aimons.

- Vous vous aimez... écoutez-moi cela... enfin, tu vois que j'avais raimister... avoue tout simplement que tu t'es fais enculer par un homme et que tu aimes cela. Ce Marc t'a traité comme une fille et c'est assez courant dans ces collèges où les filles ne mistert pas admises. Il te fait porter de la lingerie de femme pour mieux associer ton image à celle d'une femme et il ne se trompe pas puisque tu n'as vraiment rien de masculin et que tu te conduis tout de suite comme une petite lopette.

Tu vas me donner mister numéro de portable. Je prendrai contact avec lui pour lui faire part de mes décisions et lui demander mister aide pour la suite.
chrislebo

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#1,400
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Gabrielle terminait sa phrase quand Marie la cuisinière est soudainement entrée dans le salon. Elle a poussé un petit cri de surprise en me voyant tout nu devant sa patronne.

- Oh pardon, Madame.

- Vous pourriez frapper avant d'entrer Marie. Mais puisque vous êtes là, venez donc examiner notre petite Claudine. Le collège m'informe de ce que Claude n'est fort probablement pas un garçon mais une fille qui s'ignore. Elle est lisse comme une petite fille à part quelques légers poils blonds au ventre et aux aisselles. Elle est imberbe et mister zizi est minuscule, un clitoris quoi...

Marie s'était approchée. Elle se mit à rire.

- Décidément, la pomme ne tombe pas loin de l'arbre... ce n'est pas avec cet petit robinet que Claude va faire courir les jeunes filles.

- Je vous en prie Marie... ce n'est effectivement pas cette pissette qui va pouvoir satisfaire une femme mais je vous signale que cette pissette ne déplaît pas aux garçons... notre Claudine vient de m'avouer qu'elle avait déjà un amoureux régulier au collège et même un amant qui lui offre des charmants petits dessous de femmes. Pas mal pour un début...

Je ne savais plus ou me mettre, nu et ridicule, devant ces deux femmes qui m'examinaient tout en plaisantant sur mon sexe et mes aventures amoureuses.

Quelle honte de devoir s'exhiber nu devant la cuisinière de mes parents.

Gabrielle a continué.

- Je vais prendre contact avec l'infirmière du collège. Je pense que le cas de Claudine est clair. C'est évidemment une fille dans sa tête et ce mistert donc bien des hormones féminines qu'il faut injecter à cette petite.

Un adolescent normal n'accepterait jamais de porter soutien-gorge, petite culotte et nuisette pour exciter un garçon, le sucer et se faire enculer dès le premier soir comme une vulgaire lopette. Qu'en penses-tu Marie ?

- Je dois avouer qu'il est bien parti... comme je le disais à Madame, la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre.

A ce moment je vis Gabrielle faire les gros yeux à Marie comme si elle avait dit une bêtise mais je n'ai pas compris laquelle.

- Et toi, Claudine, qu'en penses-tu ?

Je regardais mes pieds pour éviter leurs regards... Les deux femmes s'amusaient visiblement de mon offense.

- Je n'en pense rien. C'est vrai que j'ai cédé à Marc mais il est si fort que je ne vois pas comment j'aurais pu lui résister. J'avoue aussi que j'avais honte mais que j'étais bien. C'est la première fois que j'ai vécu ces sensations. Marc m'a appris quelque chose, le plaisir que j'ignorais.

- A la bonne heure. Voilà au moins qui est franc, Claudine. Tu as aimé cette main de Marc qui te tripotait dans ta culotte. Tu as vaguement bandé et mouillé. Le soir même, tu t'es soumise activement à ton premier amant en acceptant mister petit cadeau avant de le sucer et de te faire enculer pour le remercier. Depuis lors, tu es devenue une bonne lopette.

Au collège, les garçons qui se font enculer par les grands, c'est ce qu'on appelle des tapettes ou des lopettes... c'est exactement ce que tu es devenue, Claudine.

Au moins, maintenant c'est clair. Nous allons donc pouvoir entamer ta féminisation en profitant de l'aide de ceux qui te connaissent. Je suis certaine qu'ils accepteront de collaborer.

L'infirmière surveillera ton traitement hormonal, Marc t'apprendra à te conduire comme une fille qui aime faire plaisir aux garçons, Marie et moi t'aideront à effacer ton peu de masculin pour faire de toi une belle jeune femme pleine de promesses. Si nous sommes bien d'accord, tu peux ramasser tes affaires et monter dans ta chambre pendant que j'en discute avec Marie.

Je vais rédiger tes premières instructions et Marie te les communiquera tout à l'heure. File dans ta chambre maintenant. Reste toute nue et attends Marie.

Tremblant de honte, je n'ai pas demandé mon reste et je suis monté dans ma chambre, bien conscient du fait que ma vie basculait.
chrislebo

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#1,401
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Nu, je rêvassais dans ma chambre depuis plus de deux heures lorsque Marie fit brusquement irruption sans prendre la peine de s'annoncer. Elle portait un petit panier rempli de lingeries féminines qu'elle déposa au pied du lit.

Devant mon air surpris, Marie passa immédiatement à l'attaque.

- Surprise, Claudine, je devrais peut-être frapper avant d'entrer... respecter ton intimité... c'est fini tout cela...dorénavant je rentre dans ta chambre quand je veux et comme je veux. Toi, tu cesses de prendre tes airs supérieurs.... je ne suis plus ta domestique... je vais rapidement t'apprendre le respect et l'obéissance.

Commence déjà par te lever et présente-moi ton clitounet.... Dans ta chambre, tu dois dorénavant toujours être nue, craindre les visites impromptues et exhiber ta pissette... tu ne porteras jamais de vêtements dans ta chambre sauf pour t'habiller avec ceux que je t'aurai moi-même préparés...

J'étais suffoqué d'entendre notre cuisinière m'appeler Claudine, me tutoyer, oser me parler de cette manière. Médusé, je la regardais dans les yeux sans bouger.

- Baisse les yeux, Claudine,... et lève-toi immédiatement ou j'appelle Joseph pour qu'il te fouette, cul nu, comme une sale gamine désobéissante.

La seule pensée de voir apparaître le chauffeur-jardinier dans ma chambre pour me fouetter était inimaginable. Je pris donc le parti de me lever devant Marie.

Elle me regardait avec une sorte de jubilation méchante.

- Tu n'es pas honteuse de t'exhiber ainsi devant moi, Claudine. Toute nue avec ton clitounet bien exhibé...

La cinquantaine dépassée, Marie devait avoir été une assez jolie femme dans sa jeunesse. Elle était au service de mes parents bien avant ma naissance et elle semblait aujourd'hui dans les meilleurs termes avec Gabrielle.

En fait, j'apprendrai plus tard que Gabrielle avait simplement doublé ses gages après le départ de mes parents. Elle s'assurait ainsi de la complicité de Marie dans tous les projets qu'elle élaborait..

Très bien payée, Marie en était reconnaissante à Gabrielle. Elle le lui témoignait par mister obéissance aveugle et par des petites marques d'amitié tout en prenant soin de ne pas devenir familière avec sa maîtresse qui ne l'aurait d'ailleurs pas supporté.

De taille moyenne, un peu enrobée, Marie avait un agréable visage encadré de cheveux châtains mi-longs, une forte poitrine et de fort belles jambes si elles avaient été mieux mises en valeur.

Le spectacle de cette femme mature observant un gamin nu était très érotique.

- Maintenant, tu vas me vider ton armoire de tous tes ridicules caleçons de garçon manqué. Ils mistert juste bons pour la poubelle. Ensuite, tu rangeras soigneusement tes nouveaux sous-vêtements sur les étagères.

Tu vas déjà t'habiller en fille pour t'habituer à porter des petites culottes soyeuses, des soutien-gorges et des bas nylons bien tendus sur tes cuisses par un porte-jarretelles. Tu vas voir comme c'est agréable...

Pour aujourd'hui, je te choisis une adorable parure rose et des bas nylons pour gainer tes jambes, bien au chaud.. Tu seras mignonne comme un coeur en rose, allongée sur ton lit pour prendre connaissance des premières décisions de ta maîtresse. Je suis certaine que tu vas les savourer...

Marie me tendit quelques feuilles de papier imprimé.

- Dépêche-toi de t'habiller pour prendre connaissance du programme que Madame t'a préparé. Il sort juste de mister ordinateur.

Marie me montrait comment agrafer un soutien-gorge, enfiler correctement des bas nylons, les fixer au porte-jarretelles avant de mettre la culotte au dessus pour pouvoir la baisser plus rapidement en cas de petit besoin.

Elle rectifia deux ou trois détails de ma tenue avant de quitter la chambre pour me laisser lire les textes de Gabrielle.

Honteux, je savourais pourtant la douceur de la culotte sur mon petit sexe tout excité, la chaleur et le crissement sur mes jambes des bas bien tendus par les jarretelles, la contrainte du soutien-gorge sur ma poitrine plate.

Rêveur, j'entamai ma lecture...
chrislebo

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#1,402
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Claudine,

A partir d'aujourd'hui, pour les permisternes qui connaissent ta situation, tu n'es plus Claude mais bien Claudine.

Nous allons progressivement travailler ta féminisation. Il est important que tu entres complètement dans ce plan de transformation pour devenir à terme la ravissante jeune-fille que nous programmons.

Avec Marie et tes amis du collège, nous allons prendre ton problème en mains pour faire de tes rêves secrets une réalité concrète.

Ne dis pas le contraire après m'avoir fait le récit de ton amourette avec Marc. Il a compris plus vite que nous le secret de ta véritable permisternalité et il a eu bien raimister de t'en faire prendre conscience.

Tu me donneras mister numéro de téléphone portable et tu lui remettras la lettre que tu trouveras en annexe et dont tu peux prendre connaissance pour mieux imaginer ce qui t'attend.

Je prendrai contact avec lui la semaine prochaine pour en parler de vive voix avec lui.

Je prendrai également contact avec Françoise Dumont, l'infirmière du collège, pour lui demander de commencer rapidement ton traitement aux hormones féminines en espérant qu'il soit efficace tout en te permettant de rester au collège pour terminer ton année scolaire.

Si tu réagis bien au traitement, tu devrais avoir une belle poitrine de femme dans quelques mois. Tes seins seront évidemment difficile à cacher au collège et il est probable que nous devrons alors te trouver une autre école qui t'accepte en fille. On verra cela plus tard en fonction du développement de tes seins.

Marie t'a remis tes nouveaux sous-vêtements qu'elle vient d'aller t'acheter chez Carrefour. Il doit y avoir cinq ou six parures assorties, culotte-string-soutien-gorge-porte-jarretelles et bas nylons. Prends-en bien soin.

Au collège, tu ne portes dorénavant plus que de la lingerie féminine sous tes vêtements de garçon raté. J'insiste sur le port du soutien-gorge même si tu n'as pas encore de poitrine. C'est le sous-vêtement que toutes les adolescentes rêvent de porter quand leurs seins commencent à pousser.

Il n'y a pas de plus beau cadeau pour une gamine que mister premier soutien-gorge, celui que les garçons vont observer pour vérifier s'il est bien rempli.

Le seul ennui du soutien-gorge pour toi, c'est la crainte d'être remarquée ou découverte car on devine facilement la présence d'un soutien-gorge sous une chemise. Tu devras toujours faire attention.

Tu dois également toujours porter des bas nylons même quand il fait très chaud pour bien prendre conscience de ta féminité. Une femme distinguée ne sort pas les jambes nues.

A la maimister, nous compléterons prochainement ta garde-robe pour que tu puisses vivre en femme à longueur de journée. Au collège, il faudra bien se contenter des sous-vêtements sous ta tenue de soi-disant garçon.

Tu vas t'habituer à vivre en fille, à apprécier le contact de la fine lingerie sur une peau lisse en prenant bien soin de couder ton clitounet entre tes cuisses pour dissimuler une vilaine bosse dans ta petite culotte.

Tu imagines le regard concupiscent des garçons quand ils vont découvrir cette lingerie qu'ils adorent tous. Je ne te parle même pas de leurs avances quand tu afficheras une superbe paire de seins pour remplir tes bonnets de soutien-gorge.

Je vais discuter de cela avec l'infirmière. Je veux des gros seins pour toi, au moins de quoi remplir des bonnets C. Si les hormones ne donnent pas le résultat escompté, il faudra envisager l'opération et les implants car je ne conçois pas une féminisée sans des gros seins.

Je veux que tu sois fière d'exhiber une grosse poitrine, deux grosses mamelles, des pis de vache, de sentir le regard des garçons qui plongeront dans ton décolleté, qui ne demanderont qu'à te caresser les seins.

Tu les exhiberas nus à la plage, sans soutien-gorge et trémulants en boîte, avec soutien-gorge sexy ou troués le soir, dans ton lit, pour exciter tes amants.

Dimanche soir, tu retournes donc au collège en sous-vêtements de fille et avec des dessous de rechange dans ta valise. J'en parlerai avec Marc et Françoise pour m'assurer qu'ils contrôlent ta tenue en classe comme dans ta chambre à l'internat.
chrislebo

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#1,403
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Venons-en aux questions d'hygiène.

Tu prendras l'habitude de ne plus jamais parler de ton sexe ou, pire, de ta bite.

Tu sais très bien que tu n'as pas de bite mais un simple zizi qui ne ressemble d'ailleurs qu'à un clitoris. Tu parles donc de ton clitounet.

De même, tu n'as pas d'anus mais bien une chatte ou une foufoune que tu dois entretenir avec les soins qui s'imposent.

Marie te remettra une crème dépilatoire et un rasoir électrique pour te permettre de faire disparaître toutes traces, même de duvet, sur ton corps. Une jolie fille doit être impeccablement épilée aux jambes, au maillot et aux aisselles.

Compte tenu de ta pilosité pratiquement inexistante, tu devrais facilement régler cette question mais je crains que ton traitement hormonal n'accentue la pousse de poils. Il y aura donc lieu d'être très attentive à ton épilation.

Par contre, tu n'iras plus chez le coiffeur. Il faut que tes cheveux poussent pour ta future coiffure féminine. Le port d'une perruque est inesthétique et risque toujours de se remarquer en rue. Rien de tel que des cheveux naturels. On commencera par un catogan, puis une queue de cheval et on avisera ton style définitif de coiffure quand la longueur de tes cheveux permettront une véritable coupe féminine.

J'ai demandé à Marie d'aller t'acheter deux nécessaires à lavements. Tu en conserveras un dans ta salle de bain et tu emporteras l'autre au collège. Tu en parleras avec Marc et Françoise car il faut que tu puisses t'isoler le matin pour prendre au moins deux, voire trois, lavements par jour d'eau bien chaude pour te nettoyer les intestins à l'eau chaude..

Marc devrait être de mon avis sur cette question car je doute qu'il aime plonger sa bite dans une chatte négligée. Ton hygiène intime doit évidemment être impeccable et la sanction est classique... tout ce qui sort de ta chatte doit être nettoyé dans ta bouche.

Je doute que tu apprécies de nettoyer une bite pleine de merde et je pense que je ne devrai pas insister longtemps sur l'utilité des lavements répétitifs pour t'assurer de la propreté de ta chatte.

Bien purgée et nettoyée, tu prendras soin de te doigter la chatte avec une noisette de vaseline pour être toujours ouverte et lubrifiée, disponible pour une éventuelle visite surprise.

Habillée, épilée, purgée et dilatée, tu es prête, soit pour aller en classe, soit pour vivre avec nous à la maimister.

J'allais oublier... tu t'interdis formellement tous les urinoirs. Une jeune fille convenable doit évidemment s'accroupir sur le pot pour se soulager.

Je sais que les toilettes des collèges mistert particulièrement puantes, sales et dégoûtantes mais il faudra bien t'en contenter et t'y habituer puisqu'il est hors de question de te soulager debout. Tu dois toujours t'accroupir.

Cette visite aussi odorante que désagréable devrait d'ailleurs être rapide puisque il ne s'agit que de soulager tes petits besoins de la journée, tes gros besoins ayant été évacués grâce à tes lavements matinaux.

Pour terminer, tu es priée de toujours appeler Marie par 'Maîtresse' et tu t'adresses à moi en utilisant le terme de 'Madame'. Tu obéis immédiatement aux ordres que nous te donnons. Tu remercies et tu souris...

Quand nous utilimisters la phrase : 'Claudine, montre comme tu sais poliment dire bonjour'... tu t'agenouilles immédiatement à nos pieds. Tu les embrasses respectueusement. Si une amie est présente, tu fais la même chose mais d'abord pour elle.

Tu demanderas à Marc et Françoise comment tu dois t'adresser à eux. Il me semble que 'Maître' et 'Maîtresse' mistert les vocables les plus appropriés.

Tu dois savoir que tes désobéissances seront sanctionnées au martinet ou à la cravache selon l'importance de ta faute. Sans raimister, chaque matin, il y aura une séance automatique, juste pour t'assouplir le caractère et bien te faire prendre conscience de la nécessité de te soumettre aux ordres sans discussions et sans le moindre signe de révolte.

Si ce n'était pas suffisant, Joseph t'adminisrera le fouet de chien contre un arbre du parc et je t'assure qu'il en a dressé de plus récalcitrante que toi. J'espère que tu ne nous obligeras pas d'en arriver là.

Voilà qui termine ton premier programme avant que je ne réfléchisse pour te donner des instructions complémentaires.

Je vais appeler Marc la semaine prochaine et tu lui remettras déjà dimanche soir la lettre en annexe avec la copie de ton premier programme.
chrislebo

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#1,404
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Je n'en croyais pas mes yeux. La lecture de ce texte m'avait plongé dans la stupéfaction la plus complète.

Je commençai la lecture de la lettre destinée à Marc.

Cher Monsieur, cher Marc,

Claudine m'a fait part de ce qui s'était passé au collège et de l'amourette qu'elle croit vivre avec vous.

Je voudrais surtout vous remercier de nous avoir ouvert les yeux sur la nature véritable de cette petite, ce qui nous a encore été confirmé par le dernier rapport médical qui m'a été adressé la semaine dernière par le service médical du collège.

Notre décision est donc maintenant prise et nous allons entamer sérieusement la féminisation de Claudine avec l'aide de Françoise Dumont, l'infirmière du collège et, pourquoi pas, la vôtre.

Claudine vous remettra mister premier programme de féminisation. Je voudrais pouvoir compter sur votre aide au collège pour la surveiller et la contrôler. Vous trouverez dans ce programme toutes mes premières réflexions sur la marche à suivre.

J'ignore la nature profonde de vos sentiments à l'égard de Claudine mais je suis persuadée qu'elle devrait avoir l'occasion de fréquenter d'autres partenaires pour aiguiser ses appétits sexuels et prendre définitivement goût à la chose. Il faut absolument casser toute résurgence de masculinité chez cette petite.

Un internat de garçons est évidemment un lieu privilégié pour organiser ces rencontres et je serais ravie de vous voir prendre cet aspect de mister éducation en mains. J'espère que vous partagez mon point de vue.

Je vous téléphonerai durant la semaine pour connaître vos avis et suggestions. Nous pourrons alors en discuter de vive voix.

Je vous prie de croire, cher Monsieur, cher Marc, à l'expression de mes sentiments reconnaissants et très amicaux.

Gabrielle Mouriau

PS : Je me réjouis déjà de vous entendre.

Voilà qu'elle prenait même le nom de mes parents pour signer ses lettres. Décidément, cette femme ne reculait devant rien

J'étais plongé dans mes réflexions, essayant d'imaginer ce qu'allait devenir ma future vie entre les mains de ces permisternes qui avaient toutes optés pour ma féminisation.

J'étais tellement seul dans cet imbroglio. Je ne savais même plus quoi en penser, allongée sur mon lit en tenue de fille, osant à peine m'avouer le plaisir trouble que me procurait cette petite culotte rose et brillante contre mon 'clitounet'.

Je le sentais s'agiter doucement dans sa cachette... Chaleur des bas nylons, gêne des jarretelles tendues sur mes cuisses, tétons dissimulés dans les poches du soutien-gorge qui me marquait le torse.

J'aurais voulu en parler avec Marc, sentir ses lèvres sur mon corps, dégager mister sexe puissant, le caresser longuement avec les mains et la bouche, le sentir profondément en moi, me labourer la chatte et répandre mister flot de semence épaisse qui dégoulinerait lentement sur mes cuisses pendant la nuit en laissant de longues traînées laiteuses.

Perdue dans mes rêveries, je sentis mon sexe se dresser brusquement dans ma culotte de soie. Sans réfléchir, je commençai à le caresser furieusement, haletant, le corps tendu, jusqu'à ce qu'il crache quelques gouttes claires, laissant une belle auréole mouillée sur le panneau avant de ma culotte rose.

Détendue, je venais à peine de fermer les yeux lorsque Marie fit soudainement irruption dans ma chambre.

Je tentai bien de me cacher mais il était trop tard. Marie avait immédiatement remarqué la vilaine tache que j'essayais tant bien que mal de lui dissimuler.

- Mais je rêve, Claudine... tu te caresses en cachette comme une sale gamine... tu profites de mon absence pour te donner du plaisir en lisant ton programme et en imaginant ta vie au collège avec tes cheveux longs, tes petits dessous et les gros seins que tu ne pourras bientôt plus cacher...

Rouge de honte, je ne disais rien.

- Je vais en parler à Madame mais je pense que tu viens de mériter ta première correction. Elle décidera si c'est au martinet ou à la cravache mais c'est moi qui vais te l'administrer et tu peux me faire confiance pour te rougir le cul..

Je vais t'enlever l'envie de te tripoter en cachette. Il est temps de te chauffer le cul comme il convient. Si cela continue, nous devrons cadenasser ton petit oiseau dans une cage de chasteté. Que tu mouilles avec une grosse bite dans le cul, soit, mais que tu te caresses en cachette comme une petite vicieuse, c'est hors de question.

Tu vas te mettre toute nue sur le lit et m'attendre à quatre pattes lit, tête basse et cul bien présenté... c'est une position que tu dois bien connaître quand tu baises avec ton Marc... quand il t'enfile sa grosse bite dans la chatte.

Je vais aller prendre les instructions de Madame et je reviens te fouetter.

Allez... en position et plus vite que cela... présente-moi bien ton cul de branleuse...
chrislebo

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#1,405
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La culotte de Marie.

J'ai été sévèrement fouettée au martinet par Marie durant plus d'une demi heure. C'était affreux... les lanières me cinglaient méchamment les fesses, les cuisses et le dos pendant que je pleurais en mendiant lamentablement la fin du supplice.

Imperturbable, ignorant mes larmes et mes supplications, Marie frappait méthodiquement en m'insultant et en exigeant que je répète à haute voix les phrases qu'elle m'imposait.

- Crie le à haute voix 'je suis une salope vicieuse qui se caresse en cachette'

Je criais...

- Je suis une salope vicieuse qui se caresse en cachette. Je vous en supplie, Marie, arrêtez.

Le martinet me cingla le dos avec une power redoublée.

- Qui est Marie... il n'y a pas de Marie ici... tu te crois où Claudine... dans un salon en train de donner des ordres à ta cuisinière... je vais te dresser, moi, tu vas voir... je suis 'Maîtresse' et tu vas apprendre à me respecter... ta place est à mes pieds et sous mes fesses... tu feras moins la fière avec les fesses de ta cuisinière sur ton nez... tu ne perds rien pour attendre, espèce de vicieuse... tiens prend ça sur ton clitounet...

Je poussai un hurlement de douleur lorsque les lanières ont cinglé entre mes cuisses.

- Maîtresse, je ferai ce que vous voulez mais arrêtez le martinet, je n'en peux plus... j'ai trop mal...

- J'espère bien que tu as mal et tu auras mal chaque matin et chaque fois qu'il faudra te fouetter pour t'apprendre à te conduire convenablement. Remercie-moi de prendre la peine de fouetter ton cul d'enculée...

- Merci, Maîtresse, de prendre la peine de fouetter mon cul d'enculée.

- A la bonne heure, tu vois que tu apprends les bonnes manières. Je vais peut-être arrêter de te fouetter pour t'apprendre à me lécher le cul respectueusement. Qu'en penses-tu...

- Merci, Maîtresse... je vous lécherai le cul respectueusement.... je ferai ce que vous voudrez mais ayez pitié de moi... j'ai trop mal.

Marie cessa la correction. J'étais en larmes. Mes fesses me faisaient affreusement mal.

- Tu vas t'allonger sur le dos et je vais m'asseoir sur ta figure. Je veux sentir ton nez et ta langue bien mouillée qui lèche ma culotte. Quand j'écarterai la petite patte de la culotte, tu plongeras ton nez et ta langue dans ma chatte. Je veux te sentir très active dans ma chatte jusqu'à ce que je te mouille la figure.

Si je ne suis pas contente, on reprend le martinet... c'est bien compris, Claudine.

- Oui, Maîtresse.

Marie est grimpée pesamment sur le lit avant de trousser sa jupe pour venir s'accroupir sur mon visage, sa culotte contre mon nez.... L'odeur était affreuse... une odeur d'urine et de transpiration... je n'osais pas bouger.

J'ai presque étouffée quand elle s'est assise sur mon nez tout en me dépêchant de sortir une langue humide que j'ai appliqué contre l'entrejambes de sa culotte.

Je léchais consciencieusement sa culotte en essayant de respirer quand elle a écarté la patte étroite pour powerr mon nez et ma langue dans sa chatte puante.

- Lèche bien le cul et la chatte de ta cuisinière, Claudine. J'espère que tu mesures la distinction de ta nouvelle situation... sous les fesses de la cuisinière comme une bonne lécheuse de cul... je vais t'apprendre à bien lécher les culs de femme, espèce de lopette, trou à bites, videuses de couilles... allez, insiste sur mon gros bouton... triture le avec la pointe de ta langue... là... c'est bon....

Je me suis appliquée à lécher et sucer cette chatte baveuse et puante en insistant du bout de la langue sur le gros bouton qu'elle me fourrait dans la bouche.

Marie se trémoussait d'avant en arrière sur mon visage de sorte que mon nez était régulièrement dans sa fente, contre mister anus sale. C'était évidemment affreux mais tout était mieux que le martinet.

Voilà une bonne salope, lèche-moi bien la pastille... tu goûtes le chocolat de ta cuisinière... continue... lèche comme une petite gouine... savoure toutes mes odeurs car tu auras souvent l'occasion de les apprécier... la petite bourgeoise va être mise à sa place... sous mes fesses.

Soudainement, Marie s'est mise à haleter en pressant vigoureusement ma tête entre ses jambes. Elle a poussé un râle et j'ai senti des filets de mouille sur mon visage. La cuisinière avait joui sur mon nez.

Marie est descendue du lit. Elle s'est rapidement réajustée.
chrislebo

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#1,406
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- Pas mal pour une première expérience, je pense que nous allons bien nous entendre mais j'ai quand même constaté une certaine réticence à ton premier contact avec ma culotte. C'est intolérable. Il va pourtant falloir que tu t'habitues aux odeurs poivrées car je n'ai nullement l'intention de me laver chaque fois que je te demanderai un service buccal et tu dois savoir que j'adore cela.

Tu vas donc prendre l'habitude des odeurs de mes culottes portées. A la maimister, tu en porteras une sur la tête à longueur de journée, en prenant bien soin de placer ton nez et ta langue sur la petite patte odorante.

Tu emporteras une de mes culottes sales au collège pour pouvoir la respirer et l'honorer la nuit quand tu seras seule dans ton lit.

Je m'amuse déjà à l'idée de te voir circuler dans la maimister avec ma culotte sur le nez. Claudine, la petite prétentieuse ne pourra bientôt plus se passer de la culotte de sa cuisinière... ce sera ton chapeau... c'est pas une bonne idée cela, ma Claudine... on va commencer tout de suite avec cette première culotte qui semblait te répugner tout à l'heure.

Marie s'est déculottée devant moi. Souriante, elle m'a tendu la lingerie pisseuse.

- Allez, mets vite ton chapeau... sur ton nez, la culotte. Je t'autorise même à la lécher... je t'ordonne même de la lécher pour bien la mouiller de ta salive avant de la lessiver à la main demain matin. Tu seras dorénavant en charge de la propreté de mes culottes portées. C'est pas une belle promotion pour une petite bourgeoise de ton espèce. Renifleuse et lessiveuse de culottes portées...

J'ai passé tout le week-end avec les culottes de Marie sur le nez.

Gabrielle avait trouvé l'idée géniale. Elle s'était fort amusée de me voir circuler dans la maimister avec mon 'chapeau'..

Ma honte a été complète quand Joseph, le jardinier, est entré dans la maimister et qu'il m'a vue dans la cuisine en sous-vêtements roses avec une culotte noire sur le nez.

Mise au courant, Gabrielle m'a rassurée en riant de mon émoi.

- Ne t'en fais pas Claudine... Joseph est au courant de notre projet à ton égard.

Il savoure déjà le moment ou il pourra cingler tes fesses nues avec mister fouet à chien. Je t'assure que ce jour là les culottes portées de Maitresse Marie t'apparaîtront comme une agréable sinécure, presque une récompense.

Le fouet de Joseph est un instrument absolu pour obtenir aisément de toi tous les abaissements. Bien fouettée, tu mendieras sa bite... tu suceras mister énorme tige avec amour... tu offriras ta chatte avec empressement... il te ramonera comme une bête en rut... il jutera des flots de sperme gras et collant dans ta chatte... tu remonteras ta culotte pour savourer ses giclées qui vont suinter et couler lentement dans ta culotte, sur tes cuisses et sur tes bas nylons.

Tu seras mignonne comme tout, bien marquée et bien baisée par ton ancien jardinier. Il faudra le remercier, lui sourire et sutout lui en redemander...

Pour l'instant, contente-toi de savourer la culotte de Marie. Elle doit être poivrée car Marie ne se frotte jamais après avoir fait ses besoins... le papier de toilette, c'est bon pour les bourgeoises de ton espèce... ici, c'est une simple culotte sale de domestique sur ton nez délicat. Quelle honte... j'espère que tu es honteuse ?

- Oui, Madame, je suis honteuse de devoir me coiffer de cette culotte sale mais Maîtresse Marie l'exige pour m'habituer à ses odeurs et je préfère renifler une culotte pisseuse que de me faire fouetter.

- A la bonne heure, Claudine, je vois que tu commences à comprendre. Rien de tel que le martinet pour dresser des petites prétentieuses de ton espèce. En fait, tu verras que tu as réellement besoin du fouet pour accepter ta situation et pour progresser dans ta féminisation. Tu devrais nous en remercier...

- Merci Madame.

L'odeur de pisse était effectivement affreuse mais j'ai fini par m'y habituer.

Pour accentuer mon avilissement, Marie venait régulièrement vérifier si la patte étroite de sa culotte était bien humide de ma salive.

- Il faut mieux saliver sur une culotte sale, Claudine... il faut mouiller et diluer toutes les secrétions et les taches de chocolat... plus tu humidifies, plus il sera facile de lessiver cette culotte... alors applique-toi au lieu de faire des manières... si cette culotte n'est pas trempée de salive la prochaine fois, tu sais ce qui t'attend...

Affolée à la seule idée de me faire de nouveau fouetter, je salivais tout ce que je pouvais en activant ma langue contre la patte de la culotte.
chrislebo

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#1,407
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Le soir, j'ai été me coucher et Marie m'a donné une nouvelle culotte encore toute trempée d'urine.

Mets cette culotte la sur ta tête pour cette nuit. Elle est toute fraîche...je viens de faire un gros pipi dedans. J'adore pisser dans ma culotte surtout en pensant à toi... ma jolie Claudine qui va la lécher, la sucer et la respirer respectueusement toute la nuit... tu peux même caresser ton clitounet si cela t'excite trop... tiens, demain matin je veux même voir une belle tache de mouille sur ta culotte... profites-en avant que je ne mette ton petit oiseau en cage...maintenant, avant de t'endormir, tu vas bien me nettoyer la chatte...

Marie s'était lourdement accroupie sur le lit pour que je lui rende le service oral qu'elle appréciait tant. Je n'ai même plus senti la différence d'odeur, trop habituée à ce que j'avais déjà respiré toute la journée.

Je me suis activée dans sa chatte trempée, entre ses fesses collantes, sans négliger mister gros bouton jusqu'à ce qu'elle rugisse de plaisir en me mouillant le visage.

- Pas mal, Claudine, tu progresses sous le cul de la cuisinière... je finirai par croire que tu aimes lécher ma chatte... cela vaut bien la grosse bite de Marc dans ta bouche et dans ta foufoune... t'en fais pas... tu le reverras dimanche soir ton bel étalon... si tu veux mon avis, je crois même qu'il y a quelques étalons qui t'attendent au collège pour te défoncer le cul... tu vas en éponger des bites... videuse de couilles... ton amoureux va certainement s'occuper de toi...

Marie est partie en riant bruyamment.

La culotte trempée m'empêchait de dormir... je me suis caressée longuement en pensant à Marc et en imaginant ce qui m'attendait au collège. Marc, allait-il me trahir devant les autres ? Il n'allait quand même pas offrir mes services à ses copains... me transformer en lopette pour tout l'internat...

Je tremblais à la seule idée de devoir exhiber mes petits dessous de femme devant ces garçons qui ne demanderaient qu'à se soulager rapidement avec une lopette féminisée.

J'avais une peur affreuse du traitement aux hormones, consciente du fait que le gonflement de mes seins serait une raimister supplémentaire de m'utiliser comme une lopette... comment faire pour les cacher quand ils se seront vraiment développés, quand ils rempliront les bonnets de mon soutien-gorge dont on pourrait deviner la présence sous mes chemises.

Marc allait-il me défendre ? L'infirmière allait-elle m'aider ?

Je me suis vue, à genoux, entre les jambes de Marc, le nez contre sa braguette que j'essayais d'ouvrir pour libérer mister sexe. Je me voyais, soumise, docile et obéissante devant mon jeune maître, puis bite en bouche, les lèvres bien arrondies autour de sa tige dressée, la langue active sur mister gland et sur ses couilles, puis la chatte perforée, ramonée jusqu'à l'inondation finale.

Une douce chaleur m'avait envahie... une sorte de torpeur.... Mon clitounet s'est soudainement dressé dans sa petite culotte de soie blanche et brillante. Je l'ai senti frémir à plusieurs reprises avant de décharger quelques perles de semence dans la culotte.

Apaisée, épuisée, je me suis endormie dans la culotte pisseuse de Marie qui constaterait demain matin que j'avais joui dans ma petite culotte.

Cela m'évitera peut-être le martinet.
chrislebo

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#1,408
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Le dimanche de Claudine.

Le dimanche matin, Marie m'a réveillée vers sept heures du matin en rabattant brusquement mes couvertures. Elle avait visiblement l'intention de vérifier l'état de ma petite culotte rose. Elle a immédiatement remarqué la tache suspecte....

- Claudine s'est tripotée la pissette... je constate que tu commences à apprécier les parfums subtils d'une culotte de cuisinière... Mademoiselle Mouriau fait déjà moins sa chochotte... tu es mignonne comme tout avec ton joli chapeau...

Debout maintenant... nous avons du travail... on va commencer par faire une propre fille...tu vas passer dans la salle de bain pour boire ton lavement évacuateur... ensuite un second pour nettoyer... on finira par un troisième, un lavement de rinçage.

Comme je suis bonne avec toi... on commence par deux litres d'eau bien chaude. C'est une dose acceptable pour une débutante. Plus tard, tu apprécieras trois et quatre litres. C'est très efficace mais plus difficile à supporter.

J'accrocherai la poche d'eau chaude au dessus du bidet. Tu vaselineras la longue canule intestinale... tu te l'enfonces profondément dans la chatte avant de t'accroupir pour ouvrir le robinet entre tes fesses et sagement boire ton bouillon pointu.

Tu dois garder un lavement au moins dix minutes avant d'aller te soulager au pot... c'est important de conserver tes lavements pour qu'ils fassent de l'effet. Tu peux ensuite le renvoyer... je vérifierai tes eaux de rejets avant de te remettre sur le bidet pour la dose suivante.

Tu dois prendre trois lavements chaque matin, y compris au collège avant d'aller en classe... tu en as au moins pour une heure et demie... tu es donc priée de te lever tôt et de mettre ton réveil à l'heure.

Après tes lavements, tu corriges ton épilation, puis tu prends ta douche pour te présenter, nue et propre, à la maintenance disciplinaire.

Je ne sais pas encore qui te fouettera au collège. Madame doit régler cette question la semaine prochaine avec Marc et Françoise. Tu comprendras plus tard... il est indispensable que tu sois fouettée tous les jours, sans raimister particulière. C'est le meilleur moyen de te rendre humble, soumise et très obéissante.

A la maimister c'est moi qui te fouetterai. Si tu as été sage, je me contenterai de cinq coups de cravache sur chaque fesse et chaque sein puis de vingt cinglées de martinet sur le cul.

Après le fouet, on s'habille dans la tenue indiquée et on part au travail.

Maintenant, ouste Claudine, file dans la salle de bain...

Marie a rempli la poche d'eau qu'elle a accrochée deux mètres au dessus du bidet. Elle m'a ensuite agité sous le nez une longue canule souple et un pot de vaseline.

- Vaseline bien la canule et enfonce la dans ta chatte...

J'ai lubrifié la canule avant de me l'introduire maladroitement jusqu'à la garde sous mister regard sarcastique.

Honteusement accroupie sur le bidet, robinet ouvert, j'ai entendu l'eau dévaler dans mes intestins puis les premières crampes et une sensation de ballonnement avec de furieuses envies d'évacuer l'eau chaude qui gargouillait dans mon estomac.

Conserver un tel lavement pendant dix minutes n'est pas une mince affaire. En me tortillant pour ne pas en perdre une goutte, j'y suis quand même arrivée.

Marie m'a enfin autorisée à me 'mettre au pot'. Quelle expression humiliante.... Pourtant je me suis ruée sur la cuvette pour renvoyer ce lavement en longues fusées sales et puantes.

Marie m'observait... elle se pinçait le nez pour me faire mieux comprendre que cela sentait très mauvais.

- Tu vois, ma fille, que tu en avais grand besoin... ta chatte était pleine de boue... tire vite la chasse et nettoie la cuvette avant de t'accroupir sur le bidet pour ton second lavement...

- Nettoyer la cuvette ? Maîtresse... mais qui... comment ?

- Tu ne t'imagines pas qu'il y a des domestiques pour nettoyer tes saletés quand même... c'est toi qui nettoie tes crasses.... et à la main encore... allez...les mains dans le pot et on frotte... non mais, pour qui je me prends...

Je n'en croyais pas mes oreilles... nettoyer une cuvette sale à la main... devant elle...

- Je te rappelle également, Claudine, que tu dois relever la lunette des toilettes pour poser tes fesses nues sur la faïence du pot... les sales filles ne doivent pas salir les lunettes réservées aux maîtres... la faïence humide du pot est bien suffisante pour ton cul... d'ailleurs, tu devras t'y habituer... je doute qu'il y ait encore des lunettes sur les toilettes du collège... elles doivent toutes être cassées ou disparues depuis belle lurette.

Les trois lavements ont été ingurgités et évacués en près d'une heure et demie. L'inspection du dernier rejet a semblé donner satisfaction à Maîtresse Marie.

- Tes rejets mistert presque clairs... cela suffira pour aujourd'hui... tu as dix minutes pour t'épiler et prendre ta douche... je t'attends dans ta chambre avec la cravache pour ta maintenance disciplinaire... ne me fais pas attendre ou je double les doses...

Après les passes de rasoir électrique, je me suis précipitée dans la douche.

Quel bonheur de savourer une douche chaude... une savonnée qui élimine toutes ces odeurs douteuses dont j'étais imprégnée.
chrislebo

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La séance de discipline a été sévère. Je devais me tenir debout, courbée en avant, présentant bien les fesses que Maîtresse Marie marquait méthodiquement... la cravache sur les pointes de seins, offertes, était aussi très douloureuse.

Le martinet m'a fait affreusement mal jusqu'à m'arracher des larmes et des supplications qui laissaient Maîtresse Marie complètement indifférente..

- Pour aujourd'hui, cela suffira... remercie-moi maintenant de prendre la peine de te fouetter pour te discipliner... allez, à genoux... le nez sous ma jupe... contre ma culotte... à moins que tu ne préfères une nouvelle séance de martinet....

Je me suis précipitée à ses pieds en plaçant mon nez contre sa culotte rebondie, un léger voile sur une abondante touffe odorante. Elle sentait l'urine à plein nez...

- Merci, Maîtresse, de prendre la peine de me fouetter pour me discipliner... Merci...

- Bien... cela suffit... nous allons maintenant préparer ta tenue de la journée puis ta valise pour ce soir. Joseph te conduit à la gare du Nord vers cinq heures.

Pour ce soir, je te prépare un ensemble de sous-vêtements noirs avec un string pour bien dégager tes fesses, des bas résilles et un petit corset... c'est une tenue plus sophistiquée, plus osée que ta parure d'hier... plus sexy aussi... si tu vois ce que je veux dire... à moi de juger des occupations de la journée... petite fille sage... jeune fille de bonne famille.... allumeuse... femme de chambre... soubrette... pute racoleuse... parfois même en garçon manqué avec des petits dessous dissimulés pour des offenses publiques... on variera les tenues en fonction des scenarios... tu comprends...

- Oui, Maîtresse...

- Comme j'imagine que tu retrouveras Marc ce soir et qu'il va prendre connaissance du programme de Madame, je pense qu'une tenue pute te conviendra parfaitement... le noir excite les hommes, tu sais... à toi d'en profiter, ma Claudine... si tu vois ce que je veux dire...

Madame t'a préparé plein de cadeaux sympas pour que ton premier séjour de féminisé au collège soit une réussite...

évidemment, je te sens déjà toute triste à l'idée de devoir cacher tes petites tenues sous tes affreux habits de garçon manqué...

Pendant que je t'aide à faire ta valise, tu vas commencer à t'habiller... je voudrais juger de l'effet que tu vas produire...

Je m'habillais tout en la regardant me présenter, un à un, les vêtements et les objets qu'elle rangeait soigneusement dans mon sac de voyage.

- Donc, il y a ton nécessaire à lavements, deux longues canules souples et un pot de vaseline. Ton rasoir d'épilation est dans la trousse de maquillage... nous t'avons acheté deux perruques, une blonde mi-longue et une châtain plus courte.

Il y a plusieurs paires de bas. Ce mistert des Dim-up... il vaut quand même mieux les attacher à tes jarretelles pour être certaine qu'ils ne tombent pas sur tes pieds. Tu imagines la honte si un bas glissait... tu le retrouvais roulé au bas de ton pantalon... devant tout le monde...

Il y a également quelques paires de collants. Je n'aime pas les collants mais c'est pratique... il en faut pour tous les goûts...

Madame préfère que tu portes plutôt des strings que des culottes. Les strings dégagent bien les fesses... tu apprécieras la ficelle dans la fente pour exciter ta chatte... enfin à Marc et Françoise d'en juger... chaque petit ensemble est disponible avec culotte ou string...

Tu devras également t'habituer au port d'un corset lacé pour t'affiner la taille et mettre tes formes en valeur. Tu as le choix entre un simple corset noir, celui que tu vas mettre aujourd'hui, un corset rose plus enveloppant sur les fesses et un corset rouge complet avec bonnets de seins incorporés... même si tu n'as pas encore grand chose à mettre dedans.

Pour la nuit, tu as une longue chemise de nuit en soie noire brillante, une courte nuisette blanche transparente et un baby-doll mauve. C'est très joli... très sexe...

Je te mets cinq parures assorties, soutien-gorge, culotte, string, porte-jarretelles.

Prends-en soin et lave-les régulièrement à la main dans une légère savonnée.

J'allais oublier tes nouveaux jouets... évidemment, une cravache et un martinet pour te discipliner... quatre pinces-ciseaux à seins, des poids pour t'allonger les tétons, trois godes progressifs pour te travailler la chatte, deux cônes-plugs et un rosebud, dit de confort. Tu le garderas bien vaseliné dans ta chatte pendant la journée pour rester ouverte et dilatée.

Regarde comme le rosebud est sympa avec une jolie pierre rouge pour décorer ton bouchon de chatte.

Quand tu seras habituée à cette taille, on en prendra un plus gros... tu dois te sentir bien remplie pour exercer tes sphincters sur le rosebud.. Avec des sphincters bien actifs, tu pompes littéralement le sexe qui pistonne ta chatte.

Tu me remercieras bientôt pour ces nouveaux jouets... les garçons détestent passer leur temps à dilater délicatement une petite chatte... s'ils mistert bien montés, ils peuvent même faire très mal quand ils te pénètrent vulgarement.

Travaille donc régulièrement tes muscles de chatte, ma chérie, et habitue-la à recevoir les grosses bites... c'est un conseil que je te donne...

Triture également tes pointes pour les préparer au gonflement de tes nichons en gardant des longues tétines sensibles... les filles adorent se faire caresser les seins... tu verras quand tes seins pousseront... je crois qu'ils seront gros... ta mère achetait des bonnets D... c'est bon signe... Madame pense que dans un an tu tailleras au moins des bonnets C... les garçons adorent les filles avec des gros nichons... tu vas être gâtée, ma chérie.

Ah, j'allais oublier... j'ai emballé deux de mes culottes pisseuses dans un sac en plastic... tu pourras les renifler le soir pour t'endormir, seule dans ta chambre...

tu prendras bien soin de coiffer ton 'chapeau' en posant ton nez sur la patte d'entrejambes... tu sais, celle que tu aimes tant... l'endroit qui est plus parfumé... pour te souvenir de moi après avoir épongé les queues de tes petits camarades.

Bon pour le reste... quelques chemises, deux pulls, trois pantalons, quelques chaussettes, tes souliers... deux vestons que je te recommande de porter bien boutonné devant pour que permisterne ne devine les marques de ton soutien-gorge sous ta chemise.

Sois prudente avec les pulls car une femme détecte immédiatement la présence des attaches de soutien-gorge dans le dos. Tu imagines sa tête en remarquant un garçon qui porte un soutien-gorge... et la tienne en te sentant découvert avec un soutien-gorge.

N'oublie surtout pas le programme et la lettre de Madame à remettre ce soir à ton grand amoureux.
chrislebo

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Je terminais de m'habiller. J'étais en face de Maîtresse Marie en sous-vêtements noirs avec mes bas résilles.

- Très bien... on va poser la perruque blonde et te passer cette petite robe noire de service... chausser tes nouveaux escarpins vernis et te maquiller pour aller te présenter à Madame. Mais avant cela, je vais te lacer ton corset... lève les bras, rentre le ventre et retiens ta respiration...

Le busc du corset accroché, Marie s'est mise à le lacer serré. J'ai senti l'étau se refermer puis ma respiration se raccourcir au fur et à mesure qu'elle tirait sur les lacets.

C'était très serré... j'étais en nage.

- Tu verras, Claudine, on s'y fait vite... dans quelques minutes, tu te sentiras à l'aise et surtout bien soutenue... c'est très reposant le soutien d'un corset... cela t'oblige à te tenir bien droite en sortant les seins et les fesses... il te va à ravir ce corset...

Coiffée et maquillée, trottinant maladroitement sur mes hauts talons, j'ai encore dû m'introduire le rosebud dans la chatte avant d'enfiler la robe de service qui ne cachait même pas le haut de mes bas et les six attaches du porte-jarretelles.

Après une dernière inspection, j'ai suivi Maîtresse Marie pour rejoindre le salon de Madame.

Devant la porte fermée, Maîtresse Marie m'a fait signe de me taire et de l'attendre.

J'ai entendu la voix de Gabrielle qui l'autorisait à entrer puis une brève conversation.

- Voilà, Madame, la petite est prête. Sa valise est faite. Voulez-vous la voir maintenant ou plus tard...

- Fais la entrer, Marie, je suis impatiente de vérifier sa transformation... nous avons bien un moment Joseph, n'est ce pas....

J'ai senti le sol se défiler sous mes pieds... Joseph était dans le salon... je n'allais quand même pas être présentée dans cette tenue devant Joseph, le jardinier-chauffeur... Mais il était trop tard... Marie me poussait déjà dans le salon... Joseph pouvait m'examiner des pieds à la tête et il ne s'en privait pas.

Magnifique, Marie, c'est du bon travail... elle est propre au moins...

- Oui, Madame, elle brille comme un sou neuf... une petite chatte toute fraîche... gracieusement bouchée par mister rosebud...

- Et pour ce que j'en ai vu, la séance de discipline s'est bien passée.

J'ai sursauté... Comment pouvait elle avoir vu ma séance de discipline. Y avait il une camera cachée dans ma chambre ?

- Elle gesticule beaucoup... elle pleurniche mais j'avoue que je n'y ai pas été de main morte... elle est bien marquée sur les fesses et sur les seins... le cul était rouge sang quand j'ai arrêté le martinet.

- J'ai vu cela... approche-toi, Claudine... n'aie pas peur... Maître Joseph ne va pas te manger... tu as d'ailleurs intérêt à être gentille avec lui... Maître Joseph n'utilise pas la cravache et le martinet... c'est au fouet à chien qu'il te dressera dans le parc... tu ferais mieux d'être sage et obéissante avec lui...

- Oui, Madame, je serai sage et obéissante avec Maître Joseph...

- Alors commence déjà par lui dire bonjour poliment... à genoux, le nez collé à sa braguette comme une chienne qui cherche mister os...

Affolée, je me suis jetée aux genoux de Joseph en collant mon nez contre la braguette de mister pantalon de velours brun.

- Bonjour, Maître Joseph...

- A la bonne heure...Qu'en pensez-vous, Maître Joseph... n'est-elle pas mignonne notre petite Claudine... qui pourrait croire que c'est le fils de votre ancienne patronne... Purgée, bouchée, épilée, coiffée, maquillée... à croquer dans ses fines lingeries... corsettée, perchée sur ses talons... elle va faire un tabac au collège... Claudine, la petite lopette du collège... on va bien s'amuser...

- Pour çà, Madame, les gamins vont se régaler... pour sûr, Madame...

- Relève-toi et trousse-toi, petite catin... montre tes dessous à Maître Joseph... écarte ton string pour bien exhiber ta chatte et ton rosebud... remue ton cul, Claudine... excite Maître Joseph comme tu vas exciter tes petits copains... remue, je te dis... à moins que tu ne préfères le fouet à chien...

Affolée, je m'étais troussée pour bien exhiber mes dessous avant de me retourner pour lui présenter mes fesses en les remuant doucement.

- Ecarte mieux les fesses... avec les mains... bien large... offre ta chatte... sois fière de ta chatte...

Au bord des larmes, j'ai écarté mes fesses pour présenter ma chatte bouchée.

Joseph se régalait du spectacle et les femmes se mirent à rire en observant une grosse bosse dans mister pantalon.

- Après tout, Joseph, si le coeur vous en dit... vous pouvez l'emmener dans sa chambre... elle ne demande que cela... mais ne me l'abimez pas car elle doit rentrer ce soir au collège, et en bon état.

- Ne craignez rien, Madame, j'en prendrai soin mais j'avoue que je préfére l'inaugurer plutôt que de passer après tous les gamins... Je vais l'emmener dans les écuries si vous n'y voyez pas d'inconvénients... c'est plus humiliant pour elle dans une écurie... avec les odeurs fortes des chevaux... comme une fille de ferme qui tend mister cul à la saillie...

- Comme vous voudrez, Joseph.... Claudine, tu vas accompagner Maître Joseph aux écuries... je te conseille de le satisfaire si tu veux éviter le fouet à chien qui te serait appliqué lors de ton prochain congé pour ne pas t'abîmer ce soir... Emmenez-la Joseph... vous voyez bien qu'elle en meurt d'envie...
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