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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#9,541
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- Tu sais que tu me fais bander Ana? Me chuchota-t-il.
Toujours derrière moi, il rapprocha *** bas vendre de mes fesses et, effectivement, je pu constater ses dires.
-J'aime tes nichons, j'ai envie de les lécher, de les mordre Ana, tu me laisserais faire n'est-ce pas ma petite salope.
Ce dernier mot me fit tressaillir, je n'avais pas du tout l'habitude qu'on me parle comme ca, mais, à ma grande honte, j'avais ressenti un certain plaisir.

Tout à coup, une femme entra, je sursautais et me détachais de Martin, réajustant ma tunique. Martin, lui, fit un grand sourire à la demoiselle qui ne dit rien mais se dépêcha de rentrer dans une cabine WC.
-Je crois qu'il est temps que tu me ramènes. Ai-je soufflé, à peine remise de mes émotions.
Nous sommes partis du pub et avons rejoint sa voiture. Sur le chemin Martin ne décrocha pas un mot, mais, à un feu rouge, m'embrassa langoureusement. Puis il posa sa main sur ma cuisse et la laissa jusqu'à notre arrivée. Je ne savais pas si je devais lui proposer de monter ou pas, il n'attendit pas que je me décide, il descendit de la voiture, fit le tour, et m'ouvrit la portière. Lorsque je suis sortie il m'embrassa à nouveau, plus sauvagement cette fois-ci, il me poussa contre la voiture et mis une de ses grosse mains sur mon sein droit et le palpa. Il pris une de mes mains et la posa de ***** sur *** entre jambes. Docile je me mis à le caresser et senti une bosse impressionnante se former.

- Toi t'as envie de ma queue, pas vrai salope?
Incapable de répondre, je gémis doucement.
-Mets toi à genoux de suite, dis t-il en commençant à enlever sa ceinture.
-Quoi? Tu rigoles, nous sommes au milieu de la rue, ai-je protesté
-Ferme là, y a per***ne dans cette rue, et puis la voiture nous cache, dit-il avec fermeté. Allez te fais pas prier, ça t'excite j'en suis sur.
Et comme pour confirmer ce qu'il pensait il passa une main sous ma tunique, descendit mon leggins sur mes cuisses et mis une main dans ma culotte.
-J'en étais sur, tu mouilles comme une chienne! Alors maintenant tu la fermes et tu me suces!!
Il avait rai***, j'étais ultra excitée, et même si je tremblais de peur qu'on nous surprenne, l'alcool n'était pas totalement dissout et je choisi de faire comme il disait. Je m'accroupie tout en restant adossée à la voiture et finit de dégrafer sa ceinture et *** pantalon. Je descendis un peu *** caleçon juste pour pouvoir sortir *** membre qui, au mon dieu, était énorme! Une matraque d'ébène d'au bas mot 25 cm et épaisse comme un salami. Je me jetais dessus telle la salope qu'il voyait en moi.
-C'est bon ça, tu es une vraie bonne suceuse, t'en ai pas a ta première espèce de trainée va, tu suces mêmes les clebs je paris pauvre salope!
Et plus il m'insultait, plus je le pompais fort, alternant le léchage de ses testicules et l'aspiration de sa grosse bite.
-C'est bon arrête je veux te baiser avant de gicler une première fois! Lève toi on rentre!

Je m'exécutais, et ouvris la porte de mon immeuble avec peine tellement je tremblais. Lui ne prit même pas la peine de refermer *** pantalon et, une fois dans l'ascenseur, m'ordonna de le branler jusqu'au 3eme étage. Une fois arrivés devant ma porte, je pris mes clefs et il me laissa à peine le temps de les tourner dans la serrure et de rentrer, il m'agrippa soudain par les cheveux, me tira vers le bas sur le sol du couloir de mon appartement, referma d'un coup de pied la porte d'entrée et m'obligea a avaler de nouveau *** imposant membre.
-Allez, avale moi tout ça, finalement j'ai envie de t'en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe moi bien, lèche mes couilles aussi!
Il me parlait vraiment comme si j'étais une merde, j'en avais les larme aux yeux, mais je n'avais pas envie que ca s'arrête alors je faisais de mon mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu'il s'enfonçait trop loin dans ma gorge. Parce que c'est-ce qu'il faisait, il me baisait littéralement la bouche en me tenant fermement la tête pour que je ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se figea au fond de ma gorge et étouffa un long râle.
-AAHHhhhh ouaiiis! Putain je te gicle sur la glotte! Avale tout! Je veux pas que tu recraches!! Ohhh c'est bonn!!!
J'étais rouge écarlate car sa queue m'empêchait de respirer, j' étais obligée de tout avaler, et quand il daigna enfin se retirer, je mis plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
-T'es une bonne soumise ma petite Ana, tu seras récompenser dans quelques minutes le temps que je me remettes! Et il alla dans la cuisine se servir un verre de whisky.

chrislebo

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#9,542
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Après m'être remise, j'entrais dans le salon où Martin s'était installé, le verre à la main.
-T'inquiète pas, je vais vite rebander si tu m'aides un peu, et je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t'es jamais arrivé. Et je vais t'enculer !
M'enculer? Mais je n'avais jamais fait ça, et je n'en avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.
-Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t'éclater le fion. Ce soir Ana, t'es ma pute, et une pute, ca ne refuse rien si ça veut être bien payé à la fin!
Il m'attira vers lui et m'assis sur ses genoux en m'embrassant. J'étais emplie de doute et de peur, qu'avais-je fait de faire entrer un inconnu chez moi, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu'il veut de moi par la *****? Et si je lui demandais de partir maintenant? Après tout il ne va tout de même pas me violer! Si? Oh lala et sa bite, mais elle est trop grosse, même pour mon vagin, je vais avoir mal pendant des jours! Il faut que je lui dise de partir!
Mais il ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soir, il m'allongea sur le canapé, et commença à m'ôter mon leggins, avec une étrange douceur, comme s'il avait entendu mes pensées. Il m'enleva également ma tunique et je me retrouvais en sous vêtement devant cet homme noir qui me regardait avec désir.
-Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche toi, laisse moi faire. Dit-il avec assurance.
Et il plongea sur ma poitrine dont il dégagea les tétons du soutien gorge pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il m'avait convaincu! C'était si bon, je fris***nais. Il descendit ensuite sur mon ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur mon intimité, il fit glisser mon boxer le long de mes jambes et commença à me lécher avec adresse.
-C'est bien, t'es épilée entièrement, j'adore ça!
Il savait y faire, il ne fallut pas longtemps pour que je gémisse de plaisir. Il jouait avec mon petit bouton d'amour et je perdais la tête, c'était si bon! Je mouillais comme une folle, et lorsqu'il introduisit 2 doigts d'un coup dans grotte, un petit cri s'échappa de moi. Pendant qu'il me masturbait, il en profita pour passer sa langue plus bas, entre mes fesses, sur mon petit trou, ce qui eu pour effet de me filer la chair de poule comme jamais. Il s'y attarda un moment tout en remuant ses doigts dans mon vagin. Puis il posa *** pouce contre mon anus et poussa légèrement, je me contractais.
-Laisse toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.
Et il enfonça *** pouce... ce n'était pas désagréable en fait, il changea ensuite de doigt et mis *** majeur, plus profondément, et ensuite *** index. Il me branlait la chatte d'une main, et me sodomisait de l'autre, et moi je soufflais de plaisir.
-Ok, ca suffit, il est temps que je te baise maintenant ma salope à moi!
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il me fit me lever avec rudesse, me retourna sur le canapé, la poitrine contre le dossier, m'écarta les cuisses et d'un coup, sans préambule, m'empala la chatte sur *** mastodonte!
-Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fait mal!!! Hurlais-je les larmes aux yeux
-Ferme ta gueule sale putain, je t'ai dit que j'allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T'es une chienne! Alors je te monte! Je t'éclate la moule!!
Il sorti *** énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommença, encore et encore. Je criais ma souffrance mais après quelques minutes je commençais à ressentir des ondes de plaisirs m'envahir. Il me défonçais et me tirant les cheveux et moi j'en redemandais.
-T'aime ça, dis le que t'aime ça!
-Oui ouiii c'est bon, j'adore ta queue au fond de ma chatte, défonce moi!
Il me tirait les cheveux et me claquait les fesses. Il me poussa de nouveau sur le canapé, me retourna, passa mes jambes sur ses épaules et s'enfonça de nouveau en moi, plus profondément encore. J'avais l'impression d'être transpercé de part et d'autre de mon corps. Il se pencha et mordit un de mes seins, ce qui me fit hurler de douleur.
-Mais putain ta gueule je t'ai dit!
Et il claqua ce même sein avec sa main, je pu retenir mon cri cette fois ci.

chrislebo

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#9,543
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Après quelques minutes de ce traitement, il se retira, en nage, la bite toujours fièrement dressée et m'ordonna de me lever du canapé.
-Maintenant, trainée, tu vas te mettre à quatre-pattes par terre illico.
J'obéis sans broncher, après tout je prenais un pied d'enfer avec ce mec!
Une fois à quatre-pattes à même le sol, il me donna l'ordre de me cambrer au maximum.
-Comme une chienne qui donne *** cul au berger allemand du voisin, dépêche!
Il se pencha, mis sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l'étala entre mes fesses. Je savais ce qui allait se passer, la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur *** sexe, qui semblait encore plus gonflé qu'avant. Il s'agenouilla derrière moi, cracha sur mon anus, introduisit une nouvelle fois *** majeur puis *** index, fit quelques va et viens qui ne me firent pas mal une seconde.
-Tu vois, tu t'habitues, je savais qu'étais une belle salope, mais de là à accepter une première sodomie sans broncher, ça sa me tue!
Et là, il ôta ses doigts et posa *** gland sur mon œillet. Il poussa et la douleur m'envahit, les larmes coulèrent d'un coup.
-Ooohhh aïe aïe arrête Martin arrête, tu me fais mal!
-Tu rigoles ou quoi? Je vais te casser le cul! Prends ça
Et d'un coup il enfonça sa bite jusqu'à la garde dans mon fondement
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHH Putain!!!! Ahhhh t'es taré, ah putain, ca fait trop mal!
Il n'en avait rien a faire de mes cris, de mes supplications pour qu'il arrête tout, il fit coulisser sa queue jusqu'à la sortie et la renfonça d'un coup, m'arrachant un hoquet de douleur, et il recommença encore. La douleur était immense et je me mis à me débattre. Il claqua mes fesses, m'attrapa un bras et le tordit dans mon dos pour que je cesse de gigoter. Cette posture m'obligeait à me cambrer encore plus.
-Arrête de te débattre, sinon je tu vas te péter le bras toute seule!
Je me calmais pour ne pas aggraver les choses. Il me ramonait le cul avec énergie. Je sentais toujours une grosse douleur mais bizarrement je commençait également à aimer cette douleur justement, elle était mêlée à autre chose, et même si chaque coup de butoir me faisait hoqueter, entre mes cuisses ma chatte recommençait à couler. Quelle salope j'étais!
-T'aime que je te dilate le cul, hein ma grosse salope! Je sens bien que tu mouilles! Vas-y, crie bien fort, j'adore ça, ça m'excite!
-Oh putain tu m'éclates le cul avec ta grosse queue, t'arrête pas putain oh oui!
-T'es qu'une truie qui aime se faire péter le cul, t'es bonne qu'à te faire défoncer, salooppe
Il ne me ramonait plus maintenant, il me pistonnait carrément, comme un fou, il s'était relevé sur ses jambes, avait lâché mon bras pour attraper mes cheveux et les tirait en m'insultant, à bout de souffle.
-J't'encuuuule! Je te casse le cul!!!! Puuuuute!
Et m'assena le coup de grâce en ce plantant au plus profond de mon anus et en expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Je tombais à la renverse et lui sur moi, chuchotant des mots sans queue ni tête et en inspirant et expirant très fort
-salope... prise... truie... encore.... Pute.... Salope.... Salope... foutre... chienne...
Puis, il se releva, alla se rafraichir dans la salle de bain pendant que je m'assis, non sans douleur sur le canapé. Il revint, récupéra ses affaires, s'habilla sous mon regard interrogateur, je pensais qu'il resterait dormir au moins. Il pris quelque chose dans sa poche, une petite liasse de billet qu'il me jeta à la figure
-T'es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te mettre ton compte
Et il disparu, claquant la porte sans un baiser, me laissant seule, humiliée mais heureuse
chrislebo

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#9,544
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Incapable de la satisfaire



J'ai laissé tomber ma femme pour Bénédicte, une femme plus jeune. Une femme très marrante, d'un physique un peu atypique, très mince et fine, peu de fesses et peu de seins, mais avec un je ne sais quoi qui me rendait fou. Elle venait de quitter *** mari. Elle avait reçu une éducation très catho, et n'était pas du tout du genre à provoquer les hommes. A 38 ans, je n'étais que le deuxième homme de sa vie.
Au début, tout se passa bien. Elle appréciait, je crois, les attentions que je lui témoignais. Tout cela était nouveau pour elle. Même physiquement, malgré la différence d'âge (j'ai 50 ans) et mon manque de sportivité, je trouvais cela très bien.
Très rapidement cependant, il est apparu qu'elle s'énervait souvent sur moi. Nos disputes étaient très fréquentes, et pour tout dire, incompréhensibles pour moi. Nous nous réconcilions toujours et elle disait m'aimer, mais le lendemain, c'était reparti, elle claquait la porte de mon appart et rentrait chez elle. J'étais prêt à n'importe quoi pour la garder, mais je n'identifiais pas ce qui n'allait pas. Je finis par me rendre compte qu'elle attendait autre chose, sexuellement. Elle m'avoua qu'elle éprouvait du plaisir, mais pas à la hauteur de ce qu'elle recherchait. Elle s'était toujours cachée à elle-même (à cause de *** éducation catho), ce besoin de sexe qu'elle éprouvait. Elle me disait que cela ne pourrait pas continuer, plus j'allais vieillir, plus le problème allait être aigu, d'autre part, elle n'avait pas envie de me quitter, mais elle pensait que cela se produirait immanquablement un jour.
J'étais désespéré, et ne savais que faire. Au bout d'une de nos nombreuses ruptures, qui avait duré plus longtemps que d'habitude, je finis par lui proposer honteusement de voir un autre homme. Elle me répondit avec sévérité que cela, elle ne l'accepterait jamais, et qu'elle me quitterait le jour où elle se donnait à un autre. Une autre dispute éclata, et elle finit par ne plus me voir. Je traînais souvent dans *** quartier et je remarquais très vite qu'une voiture noire était garée devant chez elle. Je vis un jour sortir un grand type, de *** âge environ, crâne rasé et mâchoire carrée. C'était donc *** nouvel amant.
En lui téléphonant, elle m'avoua que c'était un ancien collègue, qui lui tournait déjà autour quand elle était mariée. Je lui demandais comment ça se passait avec lui, et elle me dit avec cruauté que le sexe était extra, et qu'il la faisait jouir comme elle n'avait jamais connu cela. Cependant, elle m'avoua qu'elle regrettait ma gentillesse, ma conversation plus intellectuelle, et un certain train de vie que je lui procurais.
Cela me trotta dans la tête pendant quelques jours et je finis par revenir à la charge avec mon offre. Bénédicte mis du temps à accepter, mais finalement, un beau jour elle débarqua à l'appart avec deux valises et s'installa comme si de rien n'était. Nous connûmes de bons moments ensemble pendant près d'une semaine. Le week-end, elle s'éclipsait le samedi soir et ne revint que le dimanche en fin de matinée, toute langoureuse. Elle ne m'empêcha pas de lui faire l'amour. Le week-end suivant, cela recommença, et ainsi de suite toutes les semaines, où elle s'éclipsait une ou deux nuits ou soirées. Je ne pouvais m'empêcher d'être excité en la voyant se préparer pour ses rencontres avec Laurent, maquillage, bas noirs avec porte-jarretelles, nuisettes de soie noire. Elle m'avait garanti que Laurent ne sortait qu'avec elle et qu'ils avaient fait un dépistage sida.


Une nuit, alors qu'elle était rentrée vers trois heures du matin, elle vint se coucher sans se déshabiller entièrement ni se doucher. Elle était donc allongée à côté de moi portant l'odeur de l'homme qui venait de la prendre, et dans la tenue sexy qu'elle avait revêtue pour lui, pas pour moi.
Je sentais l'excitation monter et moi et je commençai à la caresser. Elle répondait mollement à mes caresses et me dit qu'elle était fatiguée, et que de toutes façons, je ne pourrais pas la faire jouir comme Laurent l'avait fait. *** mépris m'excitait encore plus, et, comme dans un rêve, je me sentis descendre le long de *** corps et je commençai à lui lécher le sexe. Elle avait dû se laver en quittant Laurent, mais il me semblait tout de même, en la léchant avec application, que je récoltait un peu de la semence de *** amant. Elle avait gémi pendant mes caresse, et lorsque je terminais mon travail, je l'entendis dire dans un couinement « et en plus , il aime ça, le cocu ».
J'avais mis le doigt (si l'on peut dire) dans un engrenage fatal.

chrislebo

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#9,545
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Le lendemain, j'entendis Bénédicte dire par GSM à *** amant, "que j'avais mangé les restes", et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle m'appela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l'aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d'œil « si c'est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut ***************, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour l'aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l'accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me l'imaginais avec envie dans les bras de *** amant.
Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, l'attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état j'étais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de m'enfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu t'appliques. Sois heureux, je t'ai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n'avais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je m'agenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de *** amant. Je n'éprouvais aucun dégoût, juste l'envie d'en profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle m'expliqua qu'il avait joui trois fois en elle, et qu'ils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque j'aimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, l'idée lui venant tout à coup, elle prit *** GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et j'entendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, qu'est ce qu'on dit, maintenant que je t'ai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, d'avoir bien baisé ma femme ». Il partit d'un grand rire « eh bien, on va bien s'entendre alors ! ».
Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant qu'elle reparlait avec *** mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) j'entendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope - j'ai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait – tu es mon mâle – vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».
Lorsqu'elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais qu'elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n'en fut rien. Elle se mit debout sur la table, et m'ordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de *** escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, j'obéis. Sa semelle m'écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu'à ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher
chrislebo

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#9,546
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des samedis inoubliables

Maintenant mon chef de services me regarde d'un autre oeuil. Paul lui a montré les photos et même un film avait été tourné a mon insu. Je passe pour une vrai salope. Quand je le suce ou qu'il me sodomise dans les archives, il ne prend plus de gants, il y va sauvagement. Les fellations se font de plus en plus profondes et quand j'ai des hauts de coeur il continue sans remords. Parfois je reste tard avec lui. Il me regarde me goder en se masturbant. J'aime qu'on me regarde cela m'excite. Je m'assied par terre entièrement nu les jambes en l'air bien écartées. J'introduis le gode lubrifié bien au fond de mon anatomie et je l'active en le regardant dans les yeux. Je me caresse les tétons et passe la main sur la cage posée pour m'empêcher de me masturber. Je prend mon plaisir autrement en excitant mon chef. Ca le rend fou et il se venge en me baisant par la bouche. La dernière fois nous avons failli nous faire surprendre par la femme de ménage. Elle avait entendu du bruit et venait voir ce qu'il se passait. Heureusement mon chef était habillé. Il est sorti du bureau pour dire qu'il faisait des heures supplémentaires.

Paul est revenu me chercher un samedi. Comme d'habitude j'ai fais le voyage nu dans le coffre. Entre temps il avait fait quelques travaux dans *** garage. Maintenant il pouvait m'attacher les bras en l'air et les pieds au sol. Au centre du garage là ou je me tenais je pouvais voir une allée allant de la nationale a la villa. Je voyais passer des voitures, si des gens se promènent a pied et tournent la tête, ils me verraient. Heureusement nous sommes dans un lieu isolé.
Il a commencé par écrire sur le torse ma condition, c'est à dire qu'étant un batard ceux qui verront les photos le savent. Donc des inscriptions sur tout le corps. Devant comme dernière en m'expliquant qu'il utilisait un feutre indélébile. Puis posa des pinces sur les seins puis enleva la cage sur mon sexe pour m'attacher les couilles avec un lien qu'il serra trés fort. La dessus il accrocha une autre ficelle avec des poids a *** extrémité. Ils pendaient entre mes jambes sans toucher le sol en me tirant les couilles. Il me baillonna. Nous étions que lui et moi. Il enleva sa ceinture et commença a frapper sur les fesses, mais aussi sur mon sexe. En remuant, les poids se balançaient accentuant la souffrance. Je gueulais mais le baillon laissa passer que des gémissements. En frappant, Paul récitait toutes les insultes possibles a chaque coup, une nouvelle insulte:

_"Salope, bâtard, chienne, pompe a foutre, buveur de foutre, pétasse, conasse, pédé, suceur de bites, etc, etc..."

Parfois il s'arrêtait pour venir me cracher au visage et prendre des photos et me demander si j'en voulais encore. Je secouais la tête pour dire non, mais il continuait. Les fesses me faisaient souffrir et le reste du corps aussi. Il arrêta enfin, enleva le baillon. Je le remercie:

_"Merci monsieur."

_"Dorénavant tu m'appelleras "Maitre". Tu seras mon esclave, je serais ton Maitre. Tu feras ce que je te demande. Si tu refuses je t'attacherais comme maintenant et je frapperais beaucoup plus fort. T'as compris?"

_"Oui Maitre."


Il m'enlève les pinces, les poids et me détache pour prendre la position du chien. C'est à dire a 4 pattes. Il caresse mes fesses meurtries en me flattant de ma docilité;

_"T'es un bon chien, pour te récompenser je vais te dilater le cul. Je vais commencer avec un gode puis je vais t'enfoncer la main entière. Je vais t'exploser le cul. Ok chien?"

_"Oui Maitre. Merci Maitre"

Il introduit un gode de bonne taille bien lubrifié et commença les vas et viens. C'était trés agréable. Beaucoup mieux que les coups de ceintures.Il me caressait la tête comme on caresse un chien. Il t'enduisis la main d'un puissant gel et me doigta en les enfonçant il tournait la main pour une meilleure pénétration et me demandait combien de doigts il rentrait.

_ "4 je crois Maitre."

_" Bien, bon chien qui sait compter. Maintenant j'entre le pouce."

Sa main rencontre des difficultés. Il me tient par l'épaule et insiste. Je gueule. J'ai vraiment l'impréssion qu'il me déchire l'anus.

_"Ta gueule pétasse, j'y suis presque. Serre les dents et ouvre ton cul de salope. Laisse moi entrer en toi chien-chien."

Je creuse les reins pour l'aider. En poussant fort il y parvient. J'ai sa main entière dans mon cul. Il ne bouge plus, moi non plus.

_"Tu vois? C'était pas plus difficile que ça. T'es vraiment une pétasse. Maintenant je vais te ramoner comme une poufiasse. Je veux t'entendre couiner comme une femelle en chaleur. La prochaine fois tu te feras fister par mes copains. Il te prendrons devant moi et je te pisserais dans la bouche. Tu avaleras sans perdre une goutte car tu es une vraie chienne. Un bon batard obéissant. N'est ce pas?"

Je prenais du plaisir à me faire insulter avec sa main enfouie, j'étais vraiment une sacrée salope. Il le voyait et accélérait le mouvement.Je ralais de plaisir. Je ne puis m'empêcher de dire:
chrislebo

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#9,547
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_"Merci Maitre. Merci Maitre de faire de moi une chienne. Je ferais tout ce que voudrez. Je suis une chienne haaaaaaaa, ho oui c'est bon."

_"Aboie chienne. Tu aimes ça on dirait"

J'aboyais comme je pouvais. Je ne savais pas qu'on pouvait prendre autant de plaisir en se faisant humilier de la sorte. Je ne pensais a rien, je n'étais que jouissance pure. J'avais les avants bras par terre le front sur le sol la croupe bien en l'air. Il me soulevait du sol avec la seule ***** de *** bras en continuant de limer. J'étais en nage, je transpirais de bonheur, a deux doigts de jouir. Il arrêta et retira sa main.

_"Léches mes chaussures femelle."

Je lui léche les pieds pendant qu'il s'éssuit les mains. Il me choppe par les cheveux.

_" Viens par ici petite fiote, je vais pisser dans ta gueule de salope."

Il m'entraine sans ménagements dans le jardin et m'éxplique comment prendre la position de l'urinoir. A genoux, assis sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement penchée en arrière, et la bouche grande ouverte. Je m'exécute et il m'innonde.

_"Avale pétasse, t'es qu'un conard de gosse. Si tes parents te voyais ils te déshériteraient. T'es qu'une merde con comme un balai avec un trou du cul plus gros que ton cerveau."

Puis il se masturba dans le même orifice.

_"Samedi prochain je te réserve une surprise on verra jusqu'ou tu iras. Maintenant il est l'heure de te ramener. J'ai fini avec toi pour aujourd'hui."
chrislebo

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#9,548
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L'amant de ma mère


A l'âge de 20 ans je n'avais pas encore une sexualité bien affirmée. Mon allure androgyne, les cheveux longs, un corps svelte et imberbe, créait la confusion chez les autres ainsi que pour ma libido ! Avec mon corps svelte et un joli cul pommelé et cambré, j'étais conscient de plaire à certains hommes d'âge mûr. Je devais avouer avoir également une certaine attirance pour des per***nes du même sexe. Un beau paquet et une longue bite qui déformait un jeans avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant du lycée, étant seul à l'appartement pendant plusieurs heures j'avais pris l'habitude de me travestir avec les dessous en dentelle de ma génitrice. Le fait de me contempler ainsi parée devant le miroir m'émoustillait au plus haut point. Je pris assez rapidement conscience de la féminité qui émanait de mon corps et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes sous mes habits de garçon pour aller au Lycée. Même une fois l'heure d'aller se coucher venue, je chipais dans le bac à linge sale, une petite culotte portée par ma mère pendant la journée. Je me branlais dedans tout en m'endormant avant de sombrer dans les bras de Morphée toujours ceint par ce bout de tissu maculé de ma semence.
Je vivais alors avec une mère divorcée mais qui était encore très belle pour *** âge et surtout active sexuellement. Elle avait en conséquence, un amant qui était aussi notre voisin de palier. Cette relation était avant tout, pour elle, hygiénique, afin d'assouvir sa libido encore débordante. Une nuit que ma mère dormait avec *** amant dans sa chambre, une envie pressente me fit me lever au milieu de la nuit pour me rendre à la salle de bains commune pour faire pipi. Fidèle à mes habitudes, je portais un Dim up et une petite culotte en dentelle noire dont le gousset était encore blanc du mélange de la cyprine et de mon sperme sec. ***** de l'habitude j'avais négligé de fermer la porte à clef. Soudain, alors que j'étais en train d'uriner, assis sur la cuvette comme le ferait une fille, l'amant de ma mère poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de *** caleçon. Conscient de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposé à ses yeux, sans échappatoire, j'étais tétanisé incapable de réagir. Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d'hésitation, Il bredouilla des excuses et sortit précipitamment non sans avoir posé *** regard sur la culotte roulée sur mes chevilles ainsi que sur les bas. Je sentis une certaine nausée monter en moi, un mélange de honte et de désespoir à l'idée de le recroiser le lendemain.
Pendant plusieurs jours j'évitais soigneusement de croiser le regard de cet homme lorsqu'il était à la mai***. Un matin, alors que je le croyais parti plus tôt dans la matinée en compagnie de ma mère, je me rendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en ce jour de vacance. A ma grande surprise, il était là, seul, attablé, en train de boire tranquillement *** café. Bien que cette fois je sois vêtu d'un tee-shirt et d'un caleçon, je ne pus m'empêcher de rougir. Ce fut lui qui brisa en premier la glace. "Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas d'ailleurs" me dit-il sur un ton enjoué avec un sourire en coin. Mon visage s'empourpra de plus belle et j'étais incapable d'articuler la moindre syllabe. Il sentit mon malaise et me dit: "Ne sois pas gêné, c'est naturel, tous les garçons de ton âge ont fait ça un jour pendant leur adolescence, même moi tu sais". Il avait l'air tellement compatissant. Je ne savais trop que penser de cela, cependant sa remarque me redonna confiance. C'était un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes gri***nantes, l'œil gris clair et vif. Pour la première fois j'éprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme l'amant anonyme de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme s'il avait deviné ma pensée il me dit: "tu n es pas en fille ce matin? » Avec un nouvel aplomb je lui répondis que je ne faisais pas ça tous les jours et lui répliquais pourquoi vous aimeriez me revoir habillé en fille ? Et pourquoi pas ! Cette réponse de sa part provoqua chez moi un déclic. Je lui dis attendez moi ici je reviens. Je me dirigeais alors dans la chambre de ma mère pour enfiler des bas noirs, un porte-jarretelles et un string assortis ainsi que des petites mules à talons légèrement trop petites pour moi. Je revins dans la cuisine, ainsi accoutré, avec une démarche mal assurée, juché sur ces petits talons. A mon entrée dans la pièce, je sentis aussitôt que le souffle de cet homme, qui était l'amant de ma mère, était plus court et qu'il me dévorait des yeux. Je vis dans ses yeux brillants qu'il éprouvait du désir pour moi. Tout d'un coup fier de mon corps, je restais immobile et muet devant le plan de travail, sans oser me retourner, attendant sa réaction. Il s'enhardit après m'avoir complimenté sur ma beauté et sur le choix de mes dessous, il me fit alors cette proposition étonnante: "Ecoutes, je comprends que ce ne soit pas très facile pour toi de t exhiber ainsi chez ta mère mais si tu veux tu peux le faire tant que tu veux chez moi, en plus au lieu de le faire seul tu auras un public et crois moi je suis un sacré connaisseur en la matière. Il ajouta qu'il m'achèterait tous les dessous que je voudrais. Je parvins à articuler un "d'accord" à peine convaincu et je compris qu'à compter de ce jour là commençait pour moi, une aventure dont je ne maitrisais plus le déroulement
chrislebo

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#9,549
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Le lundi suivant comme convenu je me rends chez mon voisin de connivence. Je terminais mes cours à 15h. J'avais 3 bonnes heures devant moi avant que ma mère ne rentre du boulot en plus je n'avais que le palier à traverser pour rentrer chez moi.
Je ***ne alors à sa porte un peu fébrile, ce jour là je portais un string noir avec *** porte jarretelles assortis ainsi que de beaux bas nylons à couture, le tout emprunté à ma mère à *** insu bien sûr. Le tout était soigneusement camouflé sous un jeans et des chaussettes.
J'entends du bruit derrière la porte puis soudain elle s'ouvre sur mon futur nouvel amant du moins l'espérais-je du fond de mon cœur.
En effet depuis notre petite conversation, je n'avais cessé d'épier cet homme magnifique qui faisait tellement jouir ma mère il me suffisait d'entendre leurs ébats nocturnes, il faut dire que ma mère est du genre jouisseuse qui se lâche niveau décibels !
« Bonjour Paul »
« Bonjour....
Au fait nous n'en n'avons pas parlé quel prénom de fille souhaiterais-tu porter ? »
Je me sentis d'un coup tellement embarrassé et décontenancé, je n'y avais pas ***gé.
« Que dirais tu de Sarah ? » me demanda-t-il.
« Oui c'est joli » lui répondis-je.
« Tu comprends Sarah fut mon premier amour de jeunesse et tu lui ressembles tellement ! »
Il me fit entrer.
D'un pas hésitant je pénétrais dans *** appartement. Il était meublé avec goût et me paraissais très classe loin de notre appartement dépouillé. En effet ma mère se saignait aux quatre veines pour payer mes études et nous n'avions pas beaucoup d'argent à la mai***.
Paul sent mon trouble et me propose un « ***** » pour me décontracter. J'accepte *** offre et me love dans *** confortable canapé en cuir fauve en attendant *** verre.
2 minutes plus tard, il me tend alors un cocktail de sa fabrication, en tant qu'ancien barman de boîte de nuit, il faut dire qu'il en connait un rayon.
« Alors ma belle as-tu mis de beaux atours pour moi aujourd'hui ? » me demanda-t-il.
Sans même répondre je me lève et commence à descendre mon jean lentement pour qu'il puisse bien apprécier mon mini striptease rien que pour lui.
Petit à petit je dévoile mon porte-jarretelles puis mon string et enfin mes bas gainant mes longues jambes, en effet je fais un bon mètre quatre vingts, ce qui a tendance à pas mal exciter les hommes.
Paul reste sans voix.
J'enlève maintenant mon T-shirt, dévoilant à mon hôte un torse totalement glabre, j'ai en effet de la chance à 20 ans je n'ai aucun poil sur cette partie de mon corps.
Paul retrouvant d'un coup sa voix me dit...
« Tu es vraiment très belle Sarah, nous allons faire de grandes choses ensemble tu verras. »
chrislebo

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#9,550
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Paul me tend alors un paquet cadeau.
Je l'ouvre rapidement tellement excitée à l'idée de voir ce que contient cette boite. Je me sens tellement nerveuse.
« Oh ! » ma bouche s'arrondie de surprise, je découvre une magnifique guêpière.
« S'il te plais Sarah pourrais tu la passer pour moi ? »
« Oh Paul il ne fallait pas elle est superbe »
« Ne t'ais je pas dit que j'allais bien m'occuper de toi ? Je vais te constituer ta propre garde robe tu n'auras plus à prendre les dessous de ta mère. »
« Viens suis moi dans la chambre... »
Sans même réfléchir j'emboîte les pas de mon «amant », maintenant c'est sur, je désire trop goûter à sa queue.
« Sarah si tu le souhaites tu peux aller te préparer dans la salle de bain attenante à la chambre. »
Pendant que je m'exécute dans la salle de bain, j'entends Paul qui se déshabille dans la chambre. L'excitation est à *** comble et a pris le pas sur ma nervosité.
Je me presse donc d'ajuster la guêpière noire assortie à ma lingerie. Cela m'affine délicieusement la taille. Sur la tablette du lavabo bien en évidence je vois un tube de rouge à lèvres et un crayon eyeliner.
Paul étant divorcé depuis bientôt 5 ans je supposes qu'il les a laissé là à mon attention, sans trop réfléchir, je commence à m'appliquer le rouge sur mes petites lèvres. C'est un rouge sang très violent qui me fait une bouche goulue.
Maintenant l'eyeliner. C'est plus difficile à mettre il faut bien passer le crayon à la base des cils, je me concentre alors bien à l'aide du miroir.
Voilà c'est bien, la vision dans le miroir me trouble, ainsi maquillée et parée de cette guêpière, je ressemble tellement à une femme, les seins en moins. Voir ainsi mon reflet dans le miroir me fait immédiatement bander. Cela à pour effet de déformer mon string. Heureusement pour moi j'ai un très petit sexe ce qui fait que même en bandant mon petit clito ne dépasse même pas de *** écrin de dentelle.
En arrivant à la porte de la chambre je vois Paul entièrement nu étendu sur *** lit. Mon dieu quelle bite ! Elle est énorme ! tout d'un coups la peur me saisie. Jamais je n'arriverais à enfourner ce pieu de chair en moi.
Paul conscient de mon trouble me dit alors.
«N'ais aucune crainte ma chérie tu vas voir je vais bien te préparer tu n'auras pas mal. J'ai du gel anal parfumé et chauffant tu verras c'est très agréable. »
Je me rapproche lentement du lit, visiblement ma tenue fait *** effet car Paul bande comme un taureau, je me sens à la fois inquiète et terriblement fière de susciter une telle excitation chez un homme. Pour moi c'est une première.
« Sarah as-tu déjà sniffé du poppers ? »
« Non c'est quoi ? » lui demandais je.
« Tiens, ouvre ce flacon et renifles profondément à chacune de tes narines, tu verras tu te sentiras plus relax et tes muscles vont se relâcher, y compris ton sphincter. »
Je le regarde alors étonnée.
« Mon sphincter ? »
« Oui ton trou du cul va être plus souple et tu accepteras plus facilement mon gourdin chérie. »
Sans trop réfléchir j'inhale profondément par mon nez les effluves de ce petit flacon. La tête me tourne un peu mais au bout de quelques secondes je me sens plus détendue.
« Pas***s aux choses sérieuses ma chérie, SUCE MOI ! ».
chrislebo

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#9,551
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D'une main je lui saisis la bite et de l'autre je lui caresse le torse, tout en passant ma langue sur ses couilles bien pleines et poilues puis je remonte doucement le long de sa verge. Une fois arrivée au niveau de *** gland, Paul appuie sur ma tête pour me faire comprendre qu'il voulait que je le prenne tout en bouche. Je commence alors un va et vient un peu maladroit du à mon inexpérience mais je sent le corps de Paul qui réagit, il se tend et laisse échapper des grognements de plaisir. *** excitation est de plus en plus grande, il glisse vers le bord du lit. Soudain il relève ses jambes toujours écartées, j'en profite pour mieux lécher et malaxer ses couilles, ainsi accessibles. Mon amant est maintenant sur le dos, les jambes en l'air et bien écartées. Nous sommes l'un et l'autre dans un état second. J'abandonne alors sa bite et je me concentre à lécher uniquement ses bourses. Ma langue se rapproche de plus en plus de la raie de ses fesses. Cela semble lui plaire car il soulève légèrement *** cul et écarte ses fesses avec ses mains m'indiquant ainsi le chemin à suivre. Ma langue se promène de ses couilles à *** anus, je m'attarde sur *** petit trou. Paul m'encourage à continuer, c'est tellement bon ! Tout en continuant à travailler *** trou du cul avec mon index, je reprends ma pipe de plus belle. Au bout de longues minutes de travail acharné sur *** membre, en titillant en particulier *** méat avec la pointe de ma langue, je sentis tout d'un coups *** sperme jaillir. Je fus au début surprise mais j'appréciais vite le goût de ce liquide blanchâtre visqueux et épais.
« Tu es vraiment douée pour tailler des pipes ma chérie ! »
J'étais fier d'entendre Paul me complimenter, mais je me sentais un peu frustrée de n'avoir pas jouie.
C'est alors que l'amant de ma mère et désormais également le mien pris un bas nylon et enfila sa main à l'intérieur. Ensuite il entrepris de me branler ainsi en prenant bien soin de décalotter mon gland et de faire coulisser le bas sur la peau délicate de mon sexe. Ce dernier ne devait pas faire plus de neuf centimètres en érection mais cette sensation tellement soyeuse et agréable me fit un effet immédiat. En 30 secondes j'eus l'orgasme de ma vie, d'ailleurs le sperme coulait à flot de mon sexe et maculait le bas.
Je compris ce jour là que j'étais éjaculateur précoce !
Paul heureux de *** fait me dit :
« Sarah, dorénavant tu ne jouiras que par ce moyen là ou par ton anus ! Je ne veux plus que tu te branles. C'est bien compris ? »
Un peu surprise par cet élan d'autorité, je me rebellais quelque peu.
« Non mais ça va pas ? Je fais ce que je veux de ma vie et ce n'est pas toi qui vas me dire ce que j'ai à faire. »
« Vraiment ? » me répondit il, avec un petit sourire en coin.
« Regardes petite sotte, tu vois sur mon bureau, la webcam de mon ordinateur ? Hé bien tout à été enregistré, il y a même quelques voyeurs de ma liste sur MSN qui ont du profiter du spectacle. »
Tout d'un coups je me sentis désemparée, mon cœur battait la chamade, je sentis mon visage s'empourprer. Un sentiment de honte terrible me submergea.
« Petite conne tu croyais peut être que tu allais te taper le mec de ta mère comme ça et aurevoir ? »
« Idiote ! Maintenant tu seras mon petit vide couille per***nel, tu seras à ma disposition. Mon « fucktoy » comme disent les anglo-saxons. »
Je restais prostrée sans voix.
« Si jamais tu refuses, cet enregistrement ira directement dans les boîtes mail de tes amis de la fac, ainsi bien sur qu'au travail de ta mère chérie, qui verra qu'elle a engendré non pas un mâle mais une lope femillisée. »
Je ne savais plus ou me mettre, j'avais débandé depuis longtemps, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes. Je sentis les larmes affluer aux coins de mes yeux. Je chialais comme une gonzesse ! Merde Paul à rai*** je suis une vraie fillette.
« As-tu bien compris Sarah ? À partir de maintenant tu es à mon entière disposition »
Je bredouillais un oui quasi inaudible.
« Très bien, commençons maintenant alors ta mère ne rentre que dans une heure j'ai largement le temps de goûter à ton cul de pucelle... »
chrislebo

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#9,552
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Le lendemain, je rentrais de la fac vers 16h. J'avais passé une très mauvaise nuit, en repensant à mon *********** et au moyen de pression dont disposait maintenant mon voisin. J'avais pleuré une bonne partie de la nuit. Je haïssais Paul, mais que pouvais je faire ?
Il m'avait donné RDV en bas de notre immeuble, de plus il m'avait dit de m'habiller normalement cette fois pas de dessous féminins sous mes habits de garçon. Je devais juste porter un plug tout au fonds de mon cul afin de « le dilater convenablement » selon ses propres dires. Encore une *********** pour moi qui ais du me rendre dans le seul sexe-shop de la ville afin d'acquérir l'objet. Je me sentais si mal à croiser le regard libidineux du vendeur derrière sa caisse, avec la peur au ventre de croiser une connaissance dans ce lieu de débauche. Je choisie rapidement un plug pas trop gros et je m'empressais de payer pour rentrer rapidement à l'appartement. Une fois arrivée, je dus bien lubrifier l'engin avec de l'huile d'olive, n'ayant rien d'autre sous la main, et ainsi j'ai pus me l'introduire sans trop de difficultés.
Cette sensation plutôt désagréable au début, finie par devenir supportable. Je m'avouais même que cela devenait agréable en marchant dans la rue de sentir ce mini sexe au contact de mon intimité.
16h10, il est tant pour moi de retrouver mon maître chanteur au local à poubelles.
« Bonjour Sarah ! »
Paul me fit sursauter.
« Mes respects maître. », j'avais compris que je devais appeler ainsi mon nouveau maître faute de quoi mes fesses me cuiraient sous les coups de sa cravache.
« Viens salope suis moi... »
Nous nous dirigeâmes vers les caves de la résidence, après un long dédale de couloirs mal éclairés, la faute à des ampoules cassées, nous arrivâmes enfin devant une porte. Sûrement la cave de Paul.
Il déverrouilla la porte et me fit entrer.
Je le sentis me suivre et refermer la porte derrière nous, il faisait noir je ne distinguais rien, puis enfin la lumière jaillie.
Stupéfaction ! La pièce était remplie d'objets de *******, une croix de Saint André un cheval d'arçon munis de chaînes aux 4 angles...
Je sentis mes jambes flageoler elle ne me portaient plus, un petit cri m'échappa.
« N'est pas peur petite chienne tu vas voir on va bien s'amuser tous les deux. »
Il me releva et me fis mettre à poil.
Heureux de voir que je portais mon plug il me félicita, tout en me flattant les fesses de sa main.
« Bien maintenant mets ça ! »
Mon affreux voisin me tendit une guêpière à balconnet, ainsi que de faux seins à placer sur mon torse, pour le bas il m'avait réservé une culotte PVC ouverte à l'entrejambe pour laisser libre l'accès à mon intimité, ajouté à cela des bas autofixants en latex également. Sans oublier une paire d'escarpins aux talons hauts perchés, de pointure 40, mais comment connaissait il ma pointure ?
Je me dépêchais d'enfiler tout ça. Je devais bien admettre que la sensation de cette matière sur mon corps eut un effet immédiat sur mon petit sexe qui commençait à bander.
A la vue de la bosse dans la culotte, Paul me dit :
« Eh bien ma petite chienne il semblerait que tu commences à prendre goûts à nos petits jeux ! »
« Tu vas voir tu vas adorer la suite, ajuste cette perruque sur ta tête ».
Il me tendit un très mignon carré brune du type de celui d'Uma Thurman dans pulp fiction, sauf que là j'étais plutôt fagotée comme l'esclave latex aux prises avec le flic ripoux dans une cave un peu plus loin dans le film.
Là mon maître me fit prendre position sur le cheval d'arçon, me fixa les membres aux liens, je me trouvais ainsi entravée à la merci de tout et de tous !
C'est le moment que choisi Paul pour sortir un caméscope et *** pied.
Il commença à me filmer sous toutes les coutures et s'attardant sur mon visage très reconnaissable malgré la perruque. Je me sentais tellement à sa merci mon image livrée au public quelle *********** !
« Au fait » me dit il.
« Hier j'ai bluffé je n'avais pas branché la Webcam, par contre maintenant on va faire un beau porno avec toi comme actrice principale à toi la gloire à moi l'argent pauvre petite conne naïve ! »
Le sang avait quitté mon visage j'étais livide. Cette fois j'étais perdue, pour sûr mon visage allait se retrouver sur les écrans de nombreux pervers à travers le pays et même dans le monde maintenant avec Internet !
Et les réjouissances allaient commencer.
Paul dégrafa *** pantalon et me présenta sa bite.
« A toi de jouer Sarah suce moi du mieux possible, tout le monde te regardes »
chrislebo

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#9,553
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Je m'appliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens.
Du moins c'est ce que je croyais.
Je m'appliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en m'attardant sur le méat, zone érogène par excellence de l'homme.
« Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha t'il.
Je m'exécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien qu'étant dans la position d'un viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse.
Tiens au fonds de moi je m'exprime au féminin, comme c'est étrange !
« Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! »
Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul.
« Ne t'inquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien s'occuper de toi. »
Nous mais de quoi parle t'il ?
Je n'eus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul m'appuya sur la tête pour m'obliger à tout avaler.
Je n'eus d'autres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste.
Je fis une petite grimace qui ne manqua pas d'échapper à Paul.
« N'ais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à ***** d'en boire, crois moi c'est comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée.
« Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? »
« Comment ? »
« Pardon maître, pourriez vous avoir l'obligeance de me libérer s'il vous plait ?
« Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous n'en sommes qu'aux préliminaires. »
Mal à l'aise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes.
« Maître s'il vous plait ! »
Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec ***** sur les fesses et sur mes petites couilles !
Je criais comme une folle !
« Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici per***ne ne t'entendra »
Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur !
Tout d'un coup, j'entendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car j'étais dos à la porte. J'entendis des pas se rapprochant.
« Regardes Sarah, j'amène du renfort. »
Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM.
Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cœur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie s'écroulait tout à coups.
Mamadou fut le premier à réagir :
« Eh! Bien qui l'eu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm j'ai envi de ton boule de lopsa »
« OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et n'oubliez pas que le titre du film c'est La tournante de Sarah dans les caves de la cité.
Mon calvaire ne faisait que débuter.
Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de *** survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en n'oubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers.
« Putain, tu avais rai*** Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! »
Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec violence, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans l'anus, je me félicitais d'avoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante.
Du coin de l'œil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible.
Je perdais la notion du temps et je n'entendais plus mes assaillants parler, j'étais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je n'étais d'ailleurs rien d'autre pour mes voisins de HLM en cet instant !
Mais d'un coup une douleur violente me fit réagir, j'étouffais un cri, du fait que la bite d'Abdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes.
Je compris que Mamadou venait de me pénétrer l'anus d'un coup jusqu'à la garde, j'avais l'impression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence !
« Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu n'as pas déjà été ramonée par tout l'étage, comme la salope qui te sert de mère »
Je n'en revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? J'étais en état de choc.
C'est ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme d'Abdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment.
Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes.
« Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant.
« C'est dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel c'est pas ton frère qui élève des pitbull ? »
« Oui c'est vrai, il doit d'ailleurs passer avec le mâle dominant de la meute qu'il ne peut pas garder dans *** chenil, il attaque tous les autres. Je dois m'en occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. »
C'est alors avec une peur viscérale que je vis l'œil de Paul s'éclairer d'une lueur démoniaque et lubrique à la fois
chrislebo

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#9,554
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Les mamans de l'école primaire



Comment expliquer mon attirance pour les femmes mariées, et en particulier mon désire pour les mères de famille : peux on y voire une forme d oedipe, une névrose, une perversion innée ?

Rien ne vaux le récit de mes aventure libidineuse pour mieux vous faire comprendre la nature de ma perversion, a commencer par ce que je suis en train de faire actuellement : et oui ! je vous le donne en mille je baise une maman, et pas n importe laquelle d'ailleurs, puisque il s agit de la femme de mon petit frère : a quatre pattes sur le lit conjugale comme je le lui ai ordonnée, sa jupe troussée, ainsi que *** string en dentelle mauve baissée a mi jambe, je la besogne fermement par derrière, faisant grincer le sommier, claquant mon ventre ferme et musclé contre ces fesse potelée :


- alors Marie, tu aime toujours autant te faire monter par ton beaux frère ?


Elle ne peux que répondre par un vague grognement toutes a *** plaisir adultère :


- pas la peine de repondre ma salope, tu mouille comme une vraie fontaine, mes couille en ***t toutes poisseuses, tient prend ça dans ton cul ma cochonne !


et de lui mettre un bon coup de rein qui la fait râler plus fort, et frémir de tous *** corps. Pour faire bonne mesure je lui gifle *** gros joufflu lui faisant pousser un petit cri de douleurs surprise :


- mais c est qu on a pris du poids depuis l accouchement ma grosse !!!


Elle n est pas spécialement belle, avec un corps sans relief quoi que doté d un cul un peux plus rebondi que la moyenne. Ce qui m avais surtout excité chez elle, outre le fait qu elle soit la femme de mon frère, c est *** coté pincée et rai***nable issue de *** éducation : de confession chrétienne, elle considérais le mariage comme un engagement sacrée, qu on devais chérir pour la vie, croyant au vertus de la fidélité et autre faribole.... bref je m étais fait un plaisir de la séduire dans le dos de mon frère, réveillant ses pulsion de femme réprimée par les cours de catéchisme de *** enfance, elle c étais alors montrée veule et soumise.


Je me souvient parfaitement de sa première infidélité : cela c étais passé dans *** appartement, alors que j avais envoyer *** mari faire une course inutile au supermarché du coin. Je l' avais coincé par derrière contre la table du salon, lui troussant sa robe d une main et serrant méchamment sa gorge de l autre, la forçant a courber ses reins et baisser elle même sa culotte avant de l enfiler.

Je lui avais fait dire sous la contrainte de ma main serrant sa gorge que désormais elle serait ma salope a moi, avant d être une épouse pour *** mari. Elle c étais soumise avec une langeur et un plaisir qu elle avait réprimée en se mordant les lèvres, pour étouffer les cris de jouissance qui montait en elle, et aujourd hui :


-allez remue moi un peux tous ça, bouge ton gros derrière que je sente bien mon pieux te ramoner, petite salope....


Et oui, je fait d elle ce que je veux bien quelle soit la femme de mon frère, elle m obéit au doigt et a l oeil soumise a mon bon plaisir, contrairement a *** mari : selon mes directives, elle n a plus de relation sexuelle avec lui, je lui permet seulement de le masturber lorsqu ils ***t au lit, mais *** cul *** sexe et sa bouche me ***t réservé.

Lorsqu je m invite chez eux alors que mon frère est au travail, elle doit me recevoir comme *** véritable maris, et m embrasser comme une femme aimante, bien quelle me craigne et me déteste, tous en me désirant. Elle a adoptée une attitude de plus en plus hautaine avec *** maris, reportant sur lui *** *********** de soumise.


Entre moi et mon petit frère Daniel, il en a toujours été ainsi : une rivalité dont je suis toujours sortis vainqueurs, et ce depuis le tous débuts. Enfant j avais déjà la préférence de ma mère, *** 1er enfant sur qui elle avais concentrée toutes *** affection, considérant mon frère venus au monde 3 années plus tard comme une erreurs.

J étais le plus beau beau, le plus vigoureux, le plus volontaire, la préférence que me donna ma mère creusa encore l écart entre lui et moi ; il devins de plus en plus renfermé, alors que moi je m épanouissait, conscient de ma supériorité.

chrislebo

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Plus tard, que se soit au collège ou au lycée, j étais non seulement bien meilleurs éleve que lui, mais j avais aussi beaucoup plus de réussite que lui avec les filles.

Quant par chance, il arrivais a nouer une idylle romantique avec une de ces amies, je n avais aucun mal a la séduire pour la lui fauchée sous le nez, et ensuite lui raconter avec délectation et ***** détaille toutes les cochonnerie que j avais pue faire avec sa tendre amie, a telle point qu il n osa plus me présentée ces connaissances féminine de peurs que je les lui fauche.

Ainsi pour l anniversaire de ces 17 ans, il avais invité sa petite amies du moment, une charmante rouquine trop belle pour lui qu il connaissait depuis l enfance : je m étais alors permis de la dépuceler dans sa propre chambre pour le remettre a sa place. Quant il nous découvrit en pleine action, alors que je baisait sa copine en levrette, *** aire surpris et effondré déclencha instantanément mon éjaculation dans le sexe de sa petite amie qu il considérais alors comme sa futur épouse.


Finalement il rencontra une femme qui consente a l épouser, ayant bien pris soin de la choisirez dans un milieux qui m étais étranger - elle faisait partie de la même association caritative que lui - afin d être sure que je ne la lui faucherait pas.

Après 1ans d un heureux mariage, j avais fait de sa femme mon jouet sexuelle, usant et abusant d elle dès que j en avais l occasion.

Arriva alors se qui devais arriver : elle tomba en ceinte de moi, ce n étais d ailleurs pas vraiment un hasards, car j avais calculer mon coup pour être sure de lui faire un enfant, allant j jusqu a remplacer dans *** dos ces pilules contraceptive par des placebo.

Désormais, un de mes grand plaisir est de l asticoter sur cette preuve vivante de *** infidélité, tous en la baisant chez elle :


- alors, espèce d ignoble salope, comment se porte le môme ? l enfant qu on a fait sur le dos de ton maris ! j espère que vous vous montrez digne de *** éducation, après tous il vient de mes couilles, tu devrais me remercier salope : grâce a moi tu a un belle enfant fort et vigoureux, alors que mon frère t aurait sûrement fait un beaux gâchis, a l image de sa vie de se loser!

Tous en ponctuant mes phrase de coup de bite, je gifle *** cul en cadence,


- alors tu n a rien a dire salope d infidèle ?


Toutes a *** plaisir, elle hurle sa jouissance alors que ma 1ère décharge de sperme vient taper contre sa matrice : l' évocation de notre fils èléctrise systèmatiquement ma bite, et elle aussi n est pas indifférentes a l' idée que *** fils est de moi.

Cette situation m'excite a telle point, que lorsqu je voix le 'père' et le fils réunis, je sens une érection monter en moi a l idée des perspectives d *********** possible : a sa majorité j' ai prévu d' apprendre a Alex que je suis *** vrais géniteur preuve consanguine a l' appuie, et ceci en présence de *** père et de sa mère. J imagine d ici la tête que fera mon frère quant il réaliseras que même en tant que maris et père, je l ai ridiculisé devant sa famille.


Affalé contre le lit, le cul relevée et la tète enfouie dans l oreiller, ma belle soeur reprend ces esprit alors que j' essuie ma bite sur les draps du lit. Elle trouve la ***** de se rebeller pour me traiter de salop et me demander pour la énième fois de la laisser tranquille, j' en rigole un bon coup avant de lui lancer :


- je suis peut être un salop, mais tu ne vaux pas mieux que moi : il a suffit que j évoque ton fils pour te faire jouire comme une truie, et dire que tu est ma belle soeur!


Rougissante de honte elle abandonne la partie résignée, puis se tournant vers le réveille elle constate qu il est justement l heure d aller chercher *** fils qui est en classe de CP.

Se redressant sur le lit, elle me demande :


- va donc chercher Alex a l école


- tu veux que j aille chercher mon fils a l école ?


Elle comprend que je veux l entendre dire de sa bouche :


- oui! va donc chercher ton fils a l' école, espèce d' ignoble salop !


Je lui répond avec un sourire au lèvre :


-mais avec plaisir ma petite salope, après tous c est se que font tous les père de famille attentionné non ?


Avant de partir, je saisie *** string (je lui en offre régulièrement pour qu elle les portes spécialement pour moi) sur le lit, et lui essuie l entrejambe avec avant de le glisser dans ma poche :


- tu connais mon péché pignon ma belle(et oui, je suis aussi un grand fetichiste...)

Je quitte alors l' appartement pour partir en direction de l école
chrislebo

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#9,556
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Esclave de ma femme et *** amant

Je suis un homme de 42 ans, je suis gros, bien gras avec une petite bite et un gros cul. Il faut dire que quand je lui faisais l'amour, je la traitais de vide-couilles, et que j'aimais l'enculer à sec. Il y a deux ans, ma femme a décidé que je n'étais plus baisable et m'interdit donc toutes relations sexuelles. J'ai donc le droit de rester mais uniquement pour lui servir de soubrette et de défouloire. Elle prend beaucoup de plaisirs à m'humilier et à me faire souffrir. Le gros tas que je suis doit être puni en permanence à cause du gras que je possède et ************ doit être le quotidien des gros tas à p'tite bite me dit elle tous les jours. De plus, puisque mes attributs sexuels ***t tellement dégoûtant, il ne peuvent servir pour le plaisir d'une femme et doivent donc être torturés tellement ils ***t laids. Elle ajoute que, bien entendu mes couilles, ma bite et mon trou du cul devront souffrir en priorité.

Cela fait deux ans maintenant que je lui sert de serpillère. Au début, elle m'a juste privé de sexe. La frustration fut difficile mais excitante et je me masturbais tout le temps. Le soir elle rentrait fatiguée et je devais lui préparer à manger. Elle m'autorisait à lui caresser les pieds pour la détendre. Ceci provoquait chez moi une érection systématique et je devais me cacher dans les toilettes après pour me masturber. Un soir elle rentra plus tôt et j'étais dans la salle de bain en train de me branler. Elle ouvrit la porte et me trouva entièrement nu, le gras du bide pendouillant, à quatre pattes sur le tapis, la main sur la bite qui astiquait. Je lui tournais le dos, et le spectacle que je lui offrais était celui de mon gros cul écarté, les couilles pendantes et ma main droite à l'ouvrage. Je fus couvert d'insultes, le premier coup de pied partit et atteignit directement mes couilles. La douleur fut énorme, je m'effondrais au sol en essayant de protéger mes parties, elle me traitait de gros porc dégueulasse, de tas de graisse répugnant. Le deuxième coup de pied toucha la raie de mes fesses et l'impact eut lieu directement sur l'anus, la douleur fut aussi très violente. J'étais prostré au sol et elle continuait à m'insulter. Elle me fit relever en me tirant les cheveux et me traina à quatre pattes jusqu'au salon en prononçant toutes les choses dégradantes qu'elle pouvait imaginé: j'étais mort de honte! Elle me giffla à plusieurs reprise et me dit alors qu'elle m'interdisait de me branler, d'éjaculer et de bander. Se rendant compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas me contrôler, elle m'ordonna de me connecter sur un site d'articles sexuels et de chercher les ceintures de chasteté. Elle prit *** temps pour choisir et m'ordonna de commander et de payer une cage de chasteté qui maintenait ma queue en position de repos, empêchant ainsi tout érection et toute masturbation, et forçant mes couilles à être écartées le plus possible. Le système se fermait avec un cadenas dont elle garderait la clef. Elle indiqua elle même la taille de l'article: la plus petite existante. Je dûes payer moi même l'objet en question. En attendant la livrai***, je fût obligé de vivre nu à la mai***, de façon à ce qu'elle puisse surveiller l'état de ma bite en permanence et je n'avais pas le droit de rester seul dans une pièce pour que je ne touche pas. Même pour faire mes besoins elle me surveillait, en profitant pour m'innonder de commentaires insultants sur mon odeur. La nuit elle m'attacha les mains dans le dos pour être sûre que je ne me touchais pas. Deux jours plus tard, le produit fut livré. Elle s'empressa de l'installer. Histoire de m'humilier, elle enfila des gants de chirurgien pour toucher ma « nouille ». Le logement pour la verge était vraiment étroit et je dûes m'y reprendre à plusieurs fois pour l'enfiler. Puis elle saisie mes testicules et tira violemment dessus pour fixer la barre de maintien. Elle attacha le cadenas. Elle rigolait et me trouvais ridicule. Pour vérifier l'efficacité du produit elle se déshabilla entièrement. Cela faisait deux ans qu'elle ne s'était pas mise nue devant moi. Elle se tourna dans tous les sens en me montrant de près les poils de sa chatte, ses nichons, la raie de *** cul en me disant:

Alors, ça te fais envie gros porc, ça t'excite? Tu peux même plus bander hein, gros tas de merde.

Elle se tourna et écarta ses fesses:

Aller, renifle! Ça pue, t'aime ça, hein!

Ma queue essayait de gonfler mais la coquille m'en empêchait. La douleur était atroce, j'avais mal à la bite. Impossible de se secouer la nouille. Je voulais la prendre, je voulais m'astiquer, je voulais juter mais impossible! Elle cria:

Quel pied! Pendant toutes ces années où tu m'as prises, sans me demander mon avis, où tu m'as ****** le cul alors que j'aimais pas ça, où tu t'es soulager dans ma bouche, où je n'ai été qu'un vide-couilles! Alors maintenant je vais te priver de soulagement sale porc! Elle me cracha dessus.

Voilà , je ne pouvait plus me masturber et elle allait en profiter un maximum. A partir de ce jour, elle me traita vraiment comme une merde qui devait lui obéir.

Elle me dressa la liste de ce que je devais faire: le ménage: en particulier les WC qui devaient toujours être niquel! Quant elle chiait, elle ne passait jamais la brosse et ne tirait pas la chasse. A la place de la brosse, elle estimait que mes ongles était parfait pour ça. Elle me forçait à nettoyer après chacun de ses passages et en général m'obligeait à rester le nez au dessus de la cuvette pendant plusieurs minutes avant de m'autoriser à nettoyer. Les WC lui étaient réservé et m'étaient complètement interdit d'utilisation. Le reste de la mai*** devait être toujours propre. Pour mes besoins elle décidait de où et de quand.

La cuisine: je devais me nettoyer les mains avec une brosse très dure avant chaque préparation. Moi je n'avais droit qu'à ses restes dans la gamelle du chien où elle jetait touts ses restes et crachait dedans. Quelque fois, elle urinait dans la gamelle avant de me servir. Je devais bien entendu la finir jusqu'à la dernière miette.

La lessive: je devais nettoyer, repasser et ranger tout ses vêtements mais avec des gants car j'étais sale. Mes vêtements étaient limités à une seule tenue pour aller travailler. Tous le reste fût jeter. Plus de slips ni de chaussettes. Il me restait un pantalon, une chemise, une paire de chaussure qu'elle acheta deux pointure en dessous de ma taille pour que je souffre le plus possible. Le reste du temps je devais être à poil. Je ne pouvais nettoyer mes vêtements que quand elle me le disait et à la main.

Je n'avais plus le droit au lit conjugal et je dormais par terre devant la porte de la chambre, entièrement nu bien entendu. Je fus raser autour de mon sexe ridicule et dans la raie des fesses. Je devais aller au travail tous les jours avec mes chaussures trop petites. A la fin de la première semaine elle m'a dit de venir devant *** bureau. Elle avait préparer des courriers que je devais recopier et signer. Le premier était un contrat dans lequel je signais que j'approuvais d'être en totale soumission à ma femme et que j'acceptais de faire absolument tout ce quel me demandais. Le second était un courrier où je reconnaissait avoir tripoté sa petite nièce Audrey qui avait douze ans en donnant des détails de ce que j'étais censé lui avoir fait subir (doigt dans l'anus, fellation) et elle ajouta des photos polaroids de sa nièce qu'elle avait photographiée nue dans les vestiaires de la piscine. Elle rajouta:

10 ans que je supporte ta graisse, maintenant tu vas en prendre plein le cul et tu ne peux même pas refuser, gros tas de merde!

Le troisième était un courrier comme quoi puisque j'étais impuissant, j'autorisais ma femme à avoir toutes les relations sexuelles qu'elle voulait avec qui elle voulait et que c'est volontairement que je renonçait à toute relation sexuelle avec elle. Le dernier était une lettre à mon banquier où j'ordonnais le virement de mon salaire sur le compte de ma femme tous les mois. Elle me tenait par les couilles. Elle me précisa que: comme je l'avais fais souffrir pendant dix ans, j'allais souffrir au moins autant et que par conséquent je serais corrigé tous les jours au martinet et que je devais trouver ça normal et la remercier à chaque coup que je recevrais et en réclamer d'autres. Je devais bien entendu l'appeler Maîtresse. Elle me demanda de commander sur un internet des gods de gros calibres pour que je comprenne à quel point la sodomie était un grand plaisir ainsi qu'un plug pour que le plaisir soit permanent. Le surlendemain, le colis était là et moi j'étais allonger sur le ventre sur la table basse, les pieds et les mains attachés à chaque pied de la table. Elle mit des gants de chirurgien m'écarta mes grosses fesses et essaya de m'enculer avec *** gros god. Cele ne voulais pas rentrer. Elle dit:

Tu ne m'as jamais lubrifier le cul avant de m'enculer, tu disait que tu jutais plus fort quand tu m'enculais à sec! Alors ça va rentrer à sec!

Elle posa le god à l'entrer de mon trou du cul et sans le lâcher elle se retourna et s'assis dessus. Le god força le passage et me défonça littéralement le cul. J'ai crû que mon cul allait explosé, la douleur fût horrible, j'hurlais. Elle m'attrapa par les cheveux et me dit:

Alors? Tu vas juter plus fort, gros tas de merde?

chrislebo

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#9,557
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Elle m'astiqua le trou du cul pendant vint minutes sans s'arrêter. Je risquais pas de bander entre le douleur et la coquille. Elle ajouta:

C'est trop fatigant, je vais trouver une autre solution.

Elle me mit le plug dans le cul avc interdiction de l'enlever, je devais le porter tout le temps et surtout dans la journée en plus de la coquille. J'avais l'impression d'avoir une grosse crotte dans le cul que je n'avais pas le droit de chier. Pour faire mes besoins je devais la supplier de m'autoriser. Comme elle ne voulais pas que j'utilise les toilettes ni que je salisse le jardin. Elle me faisait patienter plusieurs heures avec mes envies d'uriner ou de déféquer. Quand l'envie était trop forte et que je me tortillais par terre à poil avec mon plug et ma coquille, elle prenait le collier et laisse du chien qu'elle m'obligeait à mettre et elle m'emmenait dans la rue à quatre pattes et à poil. Quand elle avait trouver un endroit qui lui plaisait (souvent un lampadaire entouré de crottes de chiens et recouvert d'urine de chiens) elle m'obligeait à renifler les crottes et l'urine par terre puis me disait de retirer le plug de mon cul, de le nettoyer en le lèchant et ensuite de chier au milieu des crottes de chiens sans uriner, ce qui était très difficile. Mais après quelques bons coups de pieds dans les couilles j'ai appris à chier sans uriner. Une fois terminé, elle me disait de remettre le plug sans me torché. Ensuite elle m'emmène dans des coins à orties où je devais entrer à quatre pattes, cuisses bien écartées et où je peux uriner en m'aspergeant le plus possible. Une fois fini nous pouvions rentrer à la mai*** toujours dans la même position. Là, bien entendu, j'étais fortement corrigé parce que je sentais mauvais. Ma toilette était faite au jet d'eau froide et à la brosse en chiendent. La raie de mes fesses et mes couilles étaient récurés dans la douleur.

Après trois mois de ce traitement, ma femme me dit un soir qu'elle sortait. Elle m'attacha sur la table basse le cul en l'air et me fouetta longuement le cul et les couilles. A vingt heure elle sortit et ne rentra qu'à deux heures du matin. J'étais toujours attaché. Elle n'étais pas seule. Elle entra dans le salon et dit:

Je te présente mon gros tas de merde de mari. Comme tu peux le voir c'est une vrai lopette. Je le garde pour me défouler et pour qu'il me refile sa paye.

Un homme répondit:

Et tu t'es fais mettre par un gros tas pareil? Avec une bite aussi ridicule?

Oui, mais maintenant c'est fini et j'en profite bien! Je trouve aussi sa nouille ridicule mais comment est la tienne?

L'homme baissa *** pantalon, puis *** slip. *** engin état énorme. Ma femme s'écria:

Voilà ce que j'appelle une bite! Je peux toucher?

Avant même que l'homme est répondu, ma femme tenait le sexe dans ses mains. Elle le manipulait dans tous les sens et *** autre main caressait les grosses couilles de l'homme. L'homme lui dit:

Tu es une gourmande?

Oui, je n'ai pas baisé depuis deux ans à cause de ce gros porc. Mais je vais me rattraper.

Elle avala littéralement le sexe de l'homme qui avait triplé de volume. Elle qui avait horreur de me sucer avant. Je n'osais pas parler de peur des représailles. Ma nouille était enfermée depuis trois mois et mes couilles recevais des coups tous les jours.

L'homme bandait comme un âne. Je n'avais jamais vu ma femme comme ça. Elle suçait d'une ***** incroyable. L'homme lui arracha chemise et jupe. Ils étaient assis sur le canapé. Elle finit de le déshabiller. Avant de la mettre à poil il lui demanda:

Tu veux qu'on aille dans un endroit plus tranquille?

Non, je veux qu'il voit ta grosse bite dans ma chatte? C'est bon qu'il voit ce à quoi il n'aura plus jamais droit. D'ailleurs s'il essaye de ne pas regarder tape lui sur les couilles.

C'est très douloureux tu ne croies pas?

Sûrement, mais ça lui fait le plus grand bien.

D'accord!

Je ne pouvais même pas éviter de regarder. Il lui enleva *** soutien-gorge et sa culotte. La chatte de ma femme était totalement ouverte, dégoulinante. Elle se releva et s'assit sur le sexe de l'homme. Ma tête était située juste devant l'homme assis, ses couilles à hauteur de mes yeux. Je vis les fesses de ma femme s'approcher de l'énorme gland. Plus elle s'accroupissait, pus ses fesses s'écartaient, je reconnu l'odeur si particulière de *** anus. Ma nouille se mit à bander, mais la douleur de la coquille me rappela à l'ordre. Je n'avais jamais vu ma femme avec une telle envie de baiser. J'avais envie d'elle et malgré la douleur de la coquille, ma nouille continuait à essayer de bander. L'énorme gland pénétra le sexe de ma femme. Elle cria, comme si *** premier orgasme fût instantané:

Que c'est bon!!!!!!!!!!

Toujours accroupie sur l'homme, elle astiquait le sexe de l'homme en remuant *** cul frénétiquement. A chaque pénétration elle hurlait, sa chatte dégoulinait abondemment. Ma femme sentait vraiment fort de la raie et l'odeur de sa mouille venait se rajouter. Il lui dit:

A quatre pattes!

Elle se retira, lécha l'énorme bite et se mis à quatre pattes en haletant:

Oui!!! Prend moi comme un chienne...

Ma femme était là devant moi à quatre pattes, telle une chienne. Je n'en pouvait plus! Il lui dit:

T'es une vrai salope!

Il lui fessa le cul. Elle gémit fortement. Il la repénétra en continuant de lui fesser le cul, elle hurla de nouveau. Elle avait un nouvel orgasme provoqué par la fessée. Elle cria:

Oui!!!!!!!! Tape sur mon gros cul de salope! Vas-y!

Il lui saisie les nichons et lui tortilla dans tous les sens tout en l'astiquant à fond et en lui tapant sur le cul. Elle hurlait de plus en plus fort. Il la traitait comme une chienne et elle adorait ça. Il lui dit:

T'es vraiment une sale chienne, en plus tu sens de la raie, tu vas me faire juter! J'ai pas de capote!

Tu n'as qu'a te retirer et juter dans la raie de mon cul.

Elle n'avait pas finit sa phrase que l'homme retirait sa grosse bite et la plaçait dans la raie de *** cul en jutant de longues giclées puissantes. La raie du cul de ma femme était remplie de jute. Il dit:

T'as une serviette pour que je t'essuie?

Non! j'ai mieux!

Elle laissa glisser ses genoux du canapé et se retrouva à quatre pattes par terre, le cul à auteur de ma tête. Elle m'ordonna:

Lèche gros tas de merde et avale bien tout gros porc.

Elle approcha *** cul de ma bouche en disant:

Vas-y! Je suis sûr que tu vas aimer le goût de mon trou du cul et de la jute d'homme, grosse pédale! Sinon, je dis à un vrai homme de t'exploser les couilles.

Tu penses que ton mari est une pédale?

Non, je pense qu'il a horreur de ça mais je pense aussi que c'est moi qui décide pour lui.

Ca me donne une idée...

Je m'executais, je lèchais toute la quantité de sperme répandue dans la raie de ses fesses, et j'avalais consciencieusement toute la jute. C'était dégoutant et j'avais envie de vomir. Ma nouille n'en pouvait plus.

Maintenant, ils étaient assis sur le canapé et il lui parlait à l'oreille. Ils s'embrassaient, elle lui caressait doucement le dessous des couilles pendant qu'il manipulait ses nichons avec douceur. Elle rigolait de plus en plus et finit par dire:

C'est une super idée!
chrislebo

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#9,558
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Ils partirent dans la salle de bain. L'homme prit *** téléphone et composa un numéro en partant. J'entendis la douche coulée et leurs rires pas discrets. J'étais toujours entravé sur la table basse. Près de trente minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. Ma femme, toujours à poil, alla ouvrir la porte. Une voix d'homme me parvint. Un homme gros entra dans la pièce. Il fixa les yeux sur moi et eut un large sourire. L'homme etait petit, très gras, et avait l'air très sale. Ma femme s'approcha de moi et me saisit par les cheveux en me disant:

Alors gros porc! T'adore le sexe et ça te manque? Et bien tu vas en avoir du sexe mais pas comme tu aimes. Tu disais assez souvent que tu aimais pas les PD que ça te dégoutait. Moi j'ai envie que tu sois humilier complètement, j'ai envie que tu saches ce que c'est d'être enculé à sec, j'ai envie de te voir pris par autre homme aussi dégoutant que toi!

Non Maitresse pas ça!

Mon insolence fut récompensé par une bonne claque sur les couilles. Elle se retourna vers l'homme gros et lui dit:

Alors, il paraît que tu aimes le cul des hommes, alors profites-en, tu peux lui faire tout ce que tu veux, il est là pour être utiliser!

Tout ce que je veux???

Oui, défoule toi sur lui, il t'es entièrement offert...

Je peux le prendre et le faire souffrir?

Autant que tu veux! Et tu pourras revenir régulièrement, mon mari a bien le droit à une sexualité aussi...

Elle éclata de rire. Ma femme et *** amant s'installèrent sur le canapé pour profiter du spectacle tout en continuant de s'embrasser et de se tripoter. Le gros se déshabilla rapidement. Il était très gras, *** ventre pendait et il avait une bonne grosse bite et deux belles couilles. Il s'approcha de moi. Il me souleva la tête en me tirant par les cheveux et me mit un grande gifle à travers la figure en me disant:


Hum!!! Que je vais me régaler mon gros!

Il sentait la sueur, l'urine et le vin. Il contourna la table et vint se placer derrière moi. Il me tripota les fesses en les malaxant puis commença a écarter mes deux énormes globes. Il vit mon plug dans le cul et dit:

Je vois que tu aimes ça, tant mieux je n'aurais pas besoin de me retenir, je pourrait ****** autant que je veux...

Il retira le plug et m'enfila deux doigts dans le cul sans ménagement. Il me fouillait littéralement le cul. Plus que la douleur c'était la honte et le dégout qui me tenaient. Il me saisit les couilles et les malaxa fortement. La douleur fut vive. Il regarda ma femme et dit:

Elle est ridicule sa bite! Vous avez bien fait de l'empêcher de s'en servir. Quand on a une bite si petite c'est normal qu'on vous empêche de l'utiliser!

Ma femme éclata de rire pendant que *** amant lui tripotait la chatte et la raie du cul. Le gros refit le tour de la table, prit une chaise et vint s'asseoir devant moi, sa bite, qui avait grossie et durcie, à hauteur de ma tête. Il me souleva la tête en me tirant les cheveux et m'enfourna sa bite dans la bouche. Sa bite puait l'urine. Il ne s'était sûrement pas lavé depuis plusieurs semaines. Ma femme gémissait tout ce qu'elle savait en disant:

Putain que c'est bon! Regarde cette lopette sucer une bite! Oh quel pied! Lèche moi!

*** amant se mit à la lècher, lui bouffant la chatte et le cul pendant qu'elle me regardait sucer. Le gros s'astiquait à fond dans ma bouche. Sa bite était bien dure et s'enfonçait jusqu'à la glotte. Il attrapa le martinet par terre et commença le traitement de mon cul tout en continuant à se faire pomper. Il fit durer le plaisir plus de dix minutes. Mon cul était en feu. Il se retira et fit le tour de la table, il écarta mes fesses et m'enfila sa grosse bite de ***** dans le cul. Il me dit:

Je préfère à sec, je bande mieux!

Ma femme eut un orgasme en entendant ces mots et hurla:

Vas-y! Défonce le à sec ce gros tas de merde!

Le gros m'explosa le trou du cul. Et se mit à m'astiquer à fond. Il passa la main sous la table, attrapa mes couilles et les tira très fort en les tordant. J'hurlais! Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Maintenant, voilà ce que tu vas vivre au quotidien. Tu regarderas ce à quoi tu n'as plus droit pendant que tu seras obligé de faire ce que tu ne veux pas!

Elle repris sa position de chienne et *** amant l'enfila immédiatement. Pendant qu'il l'astiquait et que le gros me défonçait le cul, elle me disait:

Alors c'est bon d'être le vide couilles?

Le gros n'avait pas lâché mes couilles qui me faisaient énormément souffrir. Il cria:

Ca vient!!!

chrislebo

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#9,559
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Je sentis de grandes giclèes dans mon cul! Il bandait à fond et était vraiment au fond de mon cul.

Ma femme hurla de plaisir, *** amant gicla sur *** dos et sur ses fesses. Elle me dit:

Maintenant t'es vraiment un vide couilles et un PD! Tu es vraiment un sous-merde!

Elle lècha avec plaisir le sexe de *** amant. Le gros fit de nouveau le tour de la table, me fourra sa bite dans la bouche et me dit:

Nettoie ça comme il faut, elle est pleine de merde et de jute! Prend ton temps nettoie bien et avale bien tout.

Il resta longtemps dans ma bouche et je m'appliquais à nettoyer. Sa bite se ramolie au bout de cinq minutes. Il dit:

J'ai envie de pisser, où ***t les chiottes?

Ma femmes lui répondit:

Tu as la bite dans un urinoire, profites-en! Et si il y en a une goutte qui déborde, brise lui les couilles!

Il se déversa dans ma bouche, j'avalais le plus vite possible en pensant à mes couilles et je réussie à ne rien laissé débordé. J'avais la nausée, je me dégoutait, mais je voulais de plus en plus obéir à ma femme. *** amant essuya le sperme sur les fesses de ma femme avec un mouchoir et essuya le mouchoir sur ma gueule en prenant soin de bien en étaler partout. Le gros demanda à ma femme:

Je peux jouer encore un peu avec!

Bien sûr! Tant que tu veux!

Le gros me détacha et me fit mettre accroupit devant les autres, le cul vers eux. Il dit à ma femme:

Je vais lui mascagner le trou cul pour qu'il comprenne bien, et aussi parce que j'en ai envie.

Il me mit un grand coup de pied dans l'anus qui me fit tomber au sol. Il me releva par les cheveux et dit:

Tu ne dois pas bouger, sinon c'est la même chose dans les couilles.

Au deuxième coup j'acceptais la douleur et je ne tombais pas. En tout il me mit dix coups dans le trou du cul. Je ne pouvais même pas le toucher tellement la douleur était forte. Il me fit retourné, me giffla et me dit:

C'est bien! Ta femme à dit que tu devais tout accepter!

Ma femme riait, elle me dit:

Tu ne peux rien refuser sinon j'envoie le courrier et les photos au sujet de ma nièce à ses parents. C'est ce que tu veux?

Non!

Alors tu as aimé tous ce qu'on t'as fais?

Oui Maitresse!

On peut te le refaire quand on veut?

Oui Maitresse!

Qu'est ce que tu es?

Une sous-merde, un gros porc, un gros tas de merde, un PD et un vide couilles!

Bien! Alors ton amant a été gentil avec toi, il t'a bien enculé et défoncé le cul, et il t'a pas brisé les couilles parce que tu as bien obéis?

Oui Maitresse!

Bien alors je veux qu'il te donne cinq grands coups de pieds dans les couilles!

Mais Maitresse.....

DIX! Et tu l'appellera chéri!

Oui Maitresse!

Le gros me fit mettre à quatre pattes au milieu de la pièces, jambes écartées et couilles pendantes, le cul vers les spectateurs. Le gros visa bien et m'explosa les couilles d'un coup de pied, j'hurlais de douleur et dit:

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

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AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

Ma femme était aux anges, elle me dit:

C'est bien gros porc! Allez va lécher le cul de ton chéri!

Le gros se tourna et écarta *** énorme cul. Il avait des traces de merdes plein la raie du cul. Je le lèchais consciencieusement. Ma femme s'approcha de moi et me dit:

Comme tu a été une bonne lopette obéissante, je vais t'autoriser à juter, mais avec quelques conditions. Tu devras te masturber devant nous trois, au bord de la table basse, les couilles posées sur le bord de la table. Tu auras 60 secondes pour juter sur la table,mais attention tu ne devras pas jouir avant les 60 secondes, ni après. La première giclèe devra sortir à 60 seconde pile. Si tu jutes avant: dix coups de pieds dans les couilles. Si tu n'as pas juté à la 60ème seconde: dix coups de pieds dans les couilles. Pour te faire plaisir je te caresserais les couilles avec mes orteilles. Allez au boulot!

Elle m'enleva la coquille et je me mis en position. Elle regarda sa montre et mis le pied sur la table. Elle cria:

Go! Allez vas-y mon gros porc tu peux y arriver!

Ses orteils entrèrent en contact avec mes couilles. Ma femme ne m'avait pas touchée depuis plus de deux ans. Je fus très touché de cette attention et je me mis à bander immédiatement. Elle comptait toutes les cinq secondes.Au bout de trentes secondes j'avais déjà envie de juter. Je lâchai ma queue pour ne pas jouir tout de suite. Ma femme arrêta ses caresses sur mes couilles et appuya très fort dessus en me disant:

Tu ne dois pas arrêter de t'astiquer!

Je repris le mouvement et elle repris ses caresses. Elle continuait de compter, je faisais tout pour me retenir. Les quinzes dernières secondes furent horrible et elle décomptait à la seconde en disant:

14, allez vas-y mon bon toutou,13, tu vas y arriver, 12, t'es un bon chienchien,11,....

A la 60ème seconde je laissait toute la sauce partir. Il y eut de longues giclèes sur la table basse. Ma femme m'écrasa les couilles avec *** pied et s'exclama:

Regarde moi cette pédale qu'on peut dresser comme un petit chien! Je te les presses bien car t'es peut-être pas prêt de rejuter gros tas! Allez t'arrête pas d'astiquer, je veux les vider!

Elle pressait de plus en plus fort et j'astiquait alors que plus rien ne sortait. Elle me fit continuer pendant une minute puis m'ordonna de me lâcher et enleva *** pied. Elle me dit:

Allez nettoyes maintenant, lèches moi tout ça et avale bien!

Je lèchais et avalais mon propre sperme. Ma bite débanda vite. Ma femme me remit ma coquille. Le gros excité par ma prestation dit:

Oh c'était joli ça! Ca me donne envie. Allez tourne toi!

Il me prit comme une chienne et se vida les couilles pendant que femme rebaisait avec *** amant. A la fin le gros partit après que je lui ai embrassé la bite, le cul et la bouche en lui disant Mon Chéri. Ma femme et *** amant allèrent se coucher dans la chambre conjugale. Quant à moi je dormis tout nu attaché devant la porte de la chambre avec ma coquille et mon plug dans le cul. Ma femme à beaucoup gémit et jouit pendant toutes la nuit
chrislebo

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#9,560
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ma copine deux black avec des très grosses queues

C'étais 1 semaine après notre histoire en boite ou elle s'était fait passé dessus par 6 mecs.
Elle voulait recommencer celui lui avait vraiment plus de pouvoir me cocufié avec mon consentement.Mais elle voulait bien plus que sa maintenant elle voulait m'humilier et moi sa m'exité beaucoup.Elle voulait que j'ai l'air ridicule que les mecs quelle se tapent soit bien mieux monté que moi.
On c'est donc mis à cherché des mecs bien monté pour elle et je dois dire qu'on à vite trouvé deux blacks grand bien bâti et très bien monté l'un avait une queue de 22par5 et l'autre 24par5 donc deux belle queue pour que ma chérie prennent un pied d'enfer.
Moi je pensé que j'allais simplement être attaché dans un coin de la chambre mais apparement elle avait concocté un scénario des plus macabiélique pour m'humilier et pour que ************ soit totale elle c'est permis d'inviter des potes à moi 5 exactement et trois de mes ex copines avec qui j'étais resté en très bon termes.mes amis arrivèrent avant les deux amants de ma femme moi je découvrai *** plan au fur et à mesure que le temps passait nous buvions donc l'apéro tous ensemble quand tout à coup elle se leva pour porté un toaste.Etonné tous le monde ce tue pour écouter.
"je porte un toast au plus merveilleux des hommes (moi) qui me permet de le trompé quand je veux avec qui je veux."
Et elle ce rassis.per***ne ne savait quoi dire et tous le monde me regardé d'un air dépité sauf mon meilleur ami qui était là l'autre soir.je leva et dis:"et oui j'aime sa ,sa me plait de la voir ce faire sauter."
et la tous le monde se rassura et ils commencèrent à poser des questions du genres vous êtes échangistes?toi aussi tu couches avec d'autre nana?.....et bien non je ne couche pas avec d'autre nana je suis simplement un cocu.
à ce moment les deux amants de ma chérie arrivèrent ma copine fit les présentations et dit :"cela vous dit de voir un film de cul en directe live"j'en croyais pas mes oreilles mais je ne croyais pas non plus que me très ex répondirent en même temps oui vas y clara on te regarde.mais potes était comme des fou et moi aussi mon jean étai de plus en plus sérré.
bref avant de commencer sa ma copine décida de continuer encore l'apéro pour que tous le monde n'ésite pas à ce mettre à l'aise.
nous en étions à peu près à la 6eme tourné quand tous le mondes semblé etre bien chaud et à parler que de cul.la clara me dit d'aller chercher le scotch américain je savais ce qui m'attendais en effet une fois revenu dans le salon elle me dit "mais toi à poil"puis demanda à mes ex de m'attacher les main derierre la chaise les chevilles aux barot et de sctcher la queue dans la raie du cul pour que je ne bande pas.mais jamias j'aurai pensé qu'elle me fasse sa.mes ex étaient très exité surtout sandra la plus salope des trois.
une fois bien attaché ma petite chérie ce mis à poil en deux seconde.puis elle se mit à genoux devant les deux black qui ce demandaient là ou ils é-taient tombé.mais cela ne là pas empéché de sortir leur queues enormes qu'elle commença à branlé puis à les sucé cela etait vraiment beau a voir mes 5 potes d'enfances trois de mes ex qui maté ma copine en train de sucer deux grosses queues.
elle alternai entre les deux essayant de les avaler en entier je voyais sa fente mouiller comme pas possible elle ce mit debout et les deux mecs se désabillérent complétements elle ce mits sur l'un deux et s'enfonça la sa queue dans la chatte et la tous le monde entendi *** râle de douleur et de bonheur en enfourchant cette grosse queue l'autre gars ce mit debout afin de pouvoir ce faire sucer plus aisaiment
au bout de 5 minutes elle tourna la tête vers mes pote et leurs dit allé les gars sorté vos queues et branlé vous ils ne se firent pas prier puis la sandra dit et nous clara peut ce foutre à poil nous aussi et ma copine leur dit oui alez y si voulais y des gros godes dans la chanbre sous la table de nuit.
et voila clarisse sandra et anna qui ce foutent toues trois à poil et partirent dans ma chambre pour cherche les godes sandra sorti la premiere un le plus gros gode dans la main droite et dans la main gauche le gode ceinture que clara ce sert pour m'enculer et la sandra dit à clara alors en plus d'être cocu c'est une lopette clara repondit oui c'est une vrai salope ce mec vous pouvais l'encler si vous voulais .
et voila comment je me suis retrouvé devant mes potes qui savait rien de sa à part mon meilleur ami entrain de me faire enculer à grand coup de gode ceinture par sandra pendant que ma cherie ce fesais sauter par ces deux amants l'un deux etait dans *** cul et l'autre ce fesait sucer puis là elle dit allé les gars prennait moi en double pénétration aussi tôt dit aussi tôt fait la voila entre les deux black et elle joui comme une folle les deux gars ***t au bords de l'explosion l'un de se lève lui ouvre la bouche et ce branle et lui gicle dans la bouche et la je la vois qui avale
et l'autre gars continu à la ramoner et finit par jouir dans sa chatte et la je vois je jus coulé elle à la chatte remplie de sperme le mec se retire et là elle ce plaça devant moi et dit allé lèche petit cocu.sandra m'enculer toujours et clarisse et anna ce servait de godes entre elles mes potes ce finissait en ce branlant mais clara leur dit stop arretez venez gicler sur le cocu ils hesitèrent une seconde puis se leverent ce mette en cercle autour de moi et se branlent et la je craque je vire sandra de mon cul et me mais à genoux pour commencé à les sucer ils ce ***t tous laissé faire et tous giclé dessus c'étais génial j'étais couvert de sperme.voila maintenant tous le monde étai content et avis jouis aux moins une fois.nous avons donc finit par reprendre de l'apéro pour finir par rebaiser mais cette fois tous le monde à essayé tous le monde mais sa c'est une autre histoire.
chrislebo

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#9,561
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Comment j'ai humilié mon homme ...

En général à la maison, je suis soumise. Mais parfois j'aime me "venger" un peu des affronts que me fait mon homme Mad ... même si je sais que je le payerai plus tard.
Voilà ce que j'ai fait une fois ...

"Hier soir, nous devions nous faire une petite soirée en amoureux. J'y pensais depuis longtemps et j'en avais très envie. Et puis au dernier moment, vers 19 heures, tu m'as appelée pour me dire que tu avais un "rendez-vous pour le boulot, un repas qui finirait très tard" et que je ne devais pas t'attendre.

Grrr, j'étais furieuse. En plus je savais très bien que tu n'étais pas au boulot mais que tu avais certainement rencontré une jolie fille ... et j'ai ruminé ma vengeance un bon moment ... et puis j'ai eu une merveilleuse idée ...

Tu n'es carrément pas rentré ce soir-là mais j'ai fait comme si de rien n'était, comme les autres fois ...

Le lendemain soir, tu es rentré du boulot en me disant que tu avais envie de moi, que je t'avais manquée. Mon oeuil oui !!!

Alors je t'ai répondu clairement : "tu me prends pour une conne ou quoi ? tu crois que tu vas me baiser comme ça, sans te faire pardonner ?"
Tu m'as répondu "que veux-tu ?"
Je t'ai dit "Va dans le salon et attends-moi !"

Je suis allée me changer, j'ai mis des sous-vêtements ultra sexy et une robe moulante en velours rouge que tu adores.
Quand je suis revenue, je t'ai ordonné de me faire jouir sans ton sexe ni tes mains, juste avec ta bouche.
Je me suis assise sur le bord du canapé et tu t'es mis au travail ...

Du bon boulot ma foi ... Ta langue était agile, pénétrante, tu me suçais le clito. Excitée par cette situation de domination un peu nouvelle pour moi, j'ai joui très vite, *********** ...
Tu avais le visage trempé de mouille et j'ai aimé ça.

"Voilà ... ça va mieux maintenant ?"
"tu crois que ça suffit ? que je vais te pardonner en 5 mn de lèche ??? Tu te trompes pauvre imbécile ! Je vais te faire faire quelque chose de plus compliqué que tu n'as jamais fait ... Viens dans la chambre maintenant !"

Tu m'as suivie ...
Je t'ai déshabillé et je t'ai fait mettre un slip trop petit, bien serré.
Je t'ai attaché sur la chaise, les mains derrière le dos, avec des menottes.
Puis j'ai attaché tes jambes, les cuisses bien écartées.
Puis je t'ai baillonné bien serré, que personne ne puisse t'entendre. Tu bandais comme un âne ...
Je te l'ai fait remarquer : "dis donc tu bandes bien fort aujourd'hui ... je vrais croire que tu aimes être dominé finalement ! Mais tu ne sais pas ce que j'ai prévu pour toi aujourd'hui ..."
J'ai allumé l'écran de l'ordinateur et je suis partie dans le salon brancher ma caméra.
Je suis revenue, tu avais maintenant une vue imprenable sur le salon.

"Je vais aller me masturber devant toi dans le salon ... mais tu ne pourras pas te toucher ... mmm ... je vais aimer penser à toi impuissant devant ces images, tu ne peux pas imaginer !"

Je suis repartie au salon et j'ai commencé à me caresser devant la caméra. Je t'imaginais coincé là-derrière, la bite en feu, frottant contre ce slip trop petit et un peu rêche, ton gland blessé et excité par le contact du tissu sans pouvoir te toucher ...

La sonnette a retenti ... j'ai souri à la caméra et je t'ai dit "mon chéri, voilà la suite de ta punition ... Hier, en ton absence, je suis sortie. Je suis allée en boite seule et j'ai chauffé tous les mecs séduisants que j'ai vus, je les ai fait bander, j'ai touché, tâté, vu ... pour choisir celui qui aurait la plus grosse bite, plus grosse que la tienne ... Et le mec que j'ai choisi, il est là, il arrive ... Lui et moi allons nous faire la plus grosse soirée sexe qui soit. Je vais me faire défoncer le cul sous tes yeux, juste pour mon plaisir ... A tout à l'heure !"

J'ai oublié de vous dire que mon mec est un peu jaloux. Il déteste voir le regard des autres hommes sur moi (il ne pense pas aux femmes l'andouille !), alors imaginer que qq me touche, j'étais sure que ça le rendrait furieux lui aussi ... mais la fureur est proche de l'excitation Twisted Evil
chrislebo

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#9,562
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Je suis donc allée ouvrir la porte et j'ai ramené mon bel inconnu dans le salon. Je lui avais expliqué qu'il y avait une cam ... mais pas que mon homme serait à regarder. Je voulais garder ça pour moi.

J'ai embrassé direct le mec, et j'ai commencé à toucher sa verge à travers *** pantalon. Je la sentais grossir à travers le tissu ...
Il m'embrassait lui aussi et pétrissait mes seins généreux à travers ma robe. Je l'ai fait asseoir sur le canapé, juste là où mon chéri m'avait léchée qq minutes avant. j'ai ouvert sa braguette et j'ai commencé à le lécher, le sucer, le pomper.
Je mettais bien sa bite au fond de ma bouche, bien profondément. Je voulais que tu voies bien ça, petit con derrière ta cam ...

j'imaginais tes yeux exorbités et ton sexe en rut. parce que même si tu étais furieux, j'étais sure que ton sexe, lui, aimerait ça, me voir baiser avec un autre ... Et que tu ne puisses pas le maitriser, ça devait te rendre encore plus furieux.

J'ai léché le mec ... il gémissait et je le sentais au bord du plaisir ...
Alors je me suis arrêtée et je lui ai demandé de me rendre la pareille.
Je lui ai dit "fais-moi jouir avec ta bouche et après ça tu pourras me baiser, me prendre, me fourrer ! vas-y !"
Il s'est agenouillé devant moi comme tu l'avais fait ... et il a commencé à me faire un cunni d'enfer ...
Sa bite était plus grosse que la tienne ... mais sa langue aussi !!!
Je n'avais jamais senti une langue aussi grosse, je le jure. Non seulement il me titillait, me suçait, m'aspirait mais sa langue pénétrait mon intimité. J'avais l'impression de vivre un cunni en même temps qu'une pénétration, un truc de fou.

Et j'ai pris un pied d'enfer, j'ai joui à ne plus savoir où j'en étais. J'ai hurlé de plaisir ... et encore plus à penser que tu me voyais me laisser faire par ce mec !

Ensuite, j'ai fait asseoir le mec et je me suis empalée sur *** sexe. Mes seins étaient devant sa bouche, j'avais les jambes autour de *** buste. J'ai fait qq mouvements de bassin et j'étais tellement excitée de mes précédents orgasmes que j'ai joui très vite une nouvelle fois ...
Alors je lui ai proposé de me prendre par derrière pour qu'il jouisse à *** aise.

Je me suis mise à 4 pattes, de profil par rapport à la caméra ... je voulais que tu voies bien tout ça !
le mec a touché ma rondelle avec *** gland. Il était tellement mouillé de moi et moi, tellement excitée qu'il a pu rentrer tout de suite.
Comme à l'habitude, le premier passage a été douloureux, comme si on me transperçait le cul jusqu'au ventre et j'ai crié...
Mais après, il a fait des va-et-vient en moi, bien serré, sa grosse bite dans mon cul.
Je me suis masturbée avec les doigts pendant qu'il me pénétrait et j'ai joui encore une fois ...

Et puis dans l'excitation, il a fait un mouvement trop fort et il est sorti de mon cul pour éjaculer sur mon dos !
Et là, ma vengeance était parfaite ...

J'étais bien, en pleine jouissance ...

J'ai dit au mec "C'était bon, excellent même ... Au plaisir de te revoir, je garde précieusement ton numéro, mais là ... faut que je récupère. Tu connais le chemin ?".
il est parti ...
Alors, encore trempée de *** sperme je suis retournée dans la chambre ...
Et ce que j'ai vu m'a fait beaucoup plaisir ... toujours attaché, tu avais joui toi aussi !!! tu avais éjaculé dans ton slip, tout trempé de ton jus intime ...
Je me suis alors assise sur tes genoux, dos contre toi, et j'ai frotté mon dos plein du sperme de cet inconnu sur toi ... JE te sentais frémir contre moi et gémir, essayant de parler malgré le baillon ...

Alors je t'ai enlevé le baillon ... et tout ce que tu as trouvé à dire, ça a été "tu vas me le payer salope !!!!!"
chrislebo

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#9,563
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Comment dresser *** mari

Mon neveu, ma femme et moi



Je suis marié avec Virginie depuis 10 ans et l'on peut dire que notre couple bat de l'aile doucement, nous ne fai***s de moins en moins l'amour ma femme n'étant jamais disponible et lorsque que nous le fai***s, je suis tellement en manque que je jouis assez vite et elle déclenche *** orgasme automatique dans la foulée du mien question que tout le monde soit content.
Bref, une sexualité morne et morose, je me masturbe beaucoup et des fantasmes se construisent dans ma tête de plus en plus nourris par ces sentiments d'insatisfaction et d'incompétence.
Ma femme d'ailleurs m'a souvent surpris la main dans le sac, en train de me masturber et à chaque foi me traite de pauvre mec... À cela je lui réplique que si elle « le » voulait plus je ne le ferais pas.et elle de me dire « pour ce que l'on fait on pourrait autant s'en passer ».
Elle exerce d'ailleurs de plus en plus d'autorité sur moi, que j'accepte assez bien faisant ma part de tache ménagère pour la soutenir surtout qu'elle travaille de plus en plus avec un salaire qui la rend totalement autonome.
Un jour mon neveu Alex est venir habiter chez nous momentanément, car il venait de finir ses études sur Paris et devait prendre une chambre, dés qu'il aurait trouvé du travail... C'était une question de semaines et cette présence à la mai*** mettait un peu de fraîcheur et de sympathie dans notre routine.
Mais tout doucement s'installa un rapport avec ma femme qui me déplaisait... au début, il la draguait en douce, je le voyait bien et elle se laissait faire toute souriante à *** égard moi, je devenais transparent, elle ne me disait même plus bonjour le matin, alors qu'elle lui faisait la bise à lui en l'entourant de ses bras...

Puis elle commença à me donner des ordres devant lui, en m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre, les courses mal faites... Tous cela devant lui et ce sentiment ************ ne provoquait en moi aucune réaction, devant lui j'aurais dû faire le mâle, taper du poing, mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle, je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié...Lui était gêné au début, je représentais pour lui le dominant du couple parfait, mais très vite il comprit que c'était elle le centre, et ne m'adressa de moins en moins la parole. C'était aussi tout pour elle, je le voyais bien tomber sous le charme, me laissant comme un simple meuble en dehors de toute attention.

De plus en plus je me vis les servir, bientôt le soir, je faisais la cuisine, mangeait avec eux qui monopolisaient la conversation, puis je débarrassais et rangeais la cuisine alors qu'ils allaient s'affaler se le canapé à regarder la télé...Je ne choisissais plus les programmes, je me retrouvais sur le fauteuil alors qu'eux étaient sur le canapé, de plus en collés l'un à l'autre...
Je finissais par dire à ma femme ma désapprobation sur *** attitude elle me répondit.. « petit con tu me lâche un peu, ce n'est pas toi qui dirige ma vie, je fais ce que je veux avec Alex » le « avec Alex » provoqua directement un début d'érection chez moi, je crois qu'elle le vit, j'étais en slip, elle rajouta « contente toi de nous faire la bouffe et tout le reste si tu veux que tous se passe bien...À ce moment, je bandais tout à fait, elle toucha ma bite à travers le coton, la tordit en disant « Dis donc, t'es vraiment un sous-homme », je n'étais pas surpris de sa réaction mais plutôt de la mienne, j'avais du plaisir à cela... Je n‘étais donc qu'une lope...Je me pliais au jeu... humiliant. Lui aussi commençait à me donner des ordres...Si je rechignais, elle m'injuriait et lui se marrait.

chrislebo

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#9,564
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Puis un jour, ils commencèrent carrément à se ploter sur le canapé devant moi , je regardait la télé fixement faisant semblant de ne pas voir, mais ma femme se mi à gémir sous ses caresses, je les regardais ébahi, il avait sa main dans sa culotte, je voyais distinctement *** doigt aller et venir pendant que sa bouche fouillait celle de ma femme... Ma femme s'interrompit et dit à Alex « fait pas gaffe à ce con, il est bon a rien pour moi, je suis sûr qu'il rêve d'être cocu... » Alex répondit. « Alors on va le faire cocu ce connard, bien cocu, profondément cocu...Et elle de rajouter « Oui Alex va y fait le bien cocu ce bon à rien, va y donne-moi du plaisir...», « Avec joie » répondit-il. Je me levais et esquissais un pas vers eux, Mais Alex bondit d'un coup et avec sa vigueur me mit par terre d'un coup de poing, je me ramassais lamentablement, pendant ce temps, ils s'étaient déshabillés et donnaient libre cours à leurs ébats.
Alex dit «On va faire ça devant lui ?..» Virginie de répondre « On s'en fou, en fait ça m'excite bien continu...». Là, je me mit à pleurer par spasme nerveux, secoué, je décidais de quitter la pièce, mais Alex m'interpella « reste là... tu as entendu, ça fait mouiller ta femme de le faire devant toi... » J'obtempérais. « D'ailleurs désape-toi pour voir si tu bandes ».
Interloqué je me vis m'exécuter, nu, je constatais avec horreur que mon sexe était ridiculement dressé désignant les futurs amants d'un gland turgescent et baveux. Cela déclencha chez eux rires et quolibets « tu as rai***, il bande le cocu, on va te donner des rai***s plus profondes de le faire' . Ils reprirent leurs jeux me laissant au mien, je vis ma femme s'intéresser au sexe de mon neveu. « Waouh, tu es bien monté, dis donc , par rapport à lui, c'est sans comparai***, faut dire que j'en n'ai pas vu beaucoup des bites » puis elle s'adressa à moi, « regarde ça chéri » en masturbant Alex « tu ne seras jamais à la hauteur avec ta pine d'éjaculateur précoce » La bite d'Alex était épaisse et assez longue posée sur des couilles qui me parurent énormes...Puis elle l'enfourna dans sa bouche, je pensais *********** qu'elle ne m'avait pas fait de pipe depuis des mois.

Malgré moi de la voir enfourner ce mandrin de chair dans sa bouche me mettait au spectacle et je commençais à me caresser inconsciemment; « dit donc t'as vu, il se touche le gros porc... », «Oui ben, il a rai***, dorénavant il ne lui restera que ça, j'ai plus l'intention de lui offrir autre chose » à ces mots, je jouissais en longues saccades sur le tapis.

Puis ils continuèrent ainsi, je la vis tour à tour se faire prendre par la grosse queue d'Alex, ça n'en finissait pas, je voyais le membre s'enfoncer et disparaître entièrement dans cette chatte qui était mienne, l'écarteler, la pilonnant assez violement, ma femme poussait des râles et de temps en temps me jetait un regard de défi, puis repartait dans *** plaisir. Il la retourna sur le tapis pour la prendre en levrette, *** visage vers ma bite, si proche, elle me regardait fixement dans les yeux *** corps secoué en rythme, la bouche entrouverte et haletante. « Alors le cocu dit Alex, tu vois comment il faut la prendre ta femme, ... » Il la tenait par les hanches et de temps en temps l'attrapait par les cheveux en la pénétrant en rythme soutenu « Laisse, dit-elle, il a jamais su faire' . Puis elle jouie a grand cris de plaisir, je ne la reconnaissais plus, cela n'arrêta pas Alex qui continuait de plus belle à la saillir, elle s'était effondrée sur le tapis le cul relevé et lui toujours opérant .

Je me branlais à fond, il me regardait d'un sourire narquois., Il retira sa pine de ma femme dans un bruit de sussions et lui dit « aller, je veux finir dans ta bouche, elle rampa vers lui à quatre pattes m'offrant le spectacle de sa croupe et le repris en bouche...Là ce fut plus mécanique, pour obtenir *** orgasme il lui pinat littéralement la bouche, en la retenant par la nuque (ma femme n'aurait jamais toléré ça de moi)...J'avais vue sur sa croupe ou *** abricot humide et entrouvert témoignait encore de sa trahi***, j'avais l'impression que ce petit œil mouillé me regardait souriant à mes déboires, puis il jouit en elle, lui remplissant apparemment la gorge, lui criant et elle poussant des gloussements de contentement, elle avala tout en pompant comme une hystérique la queue turgescente...(Elle n'a jamais avalé avec moi de toute façon les fellations complètes n'ont jamais été au programme avec ma femme, tout juste une prise en bouche dans le feu de l'action sans plus)...

Là , elle était transformée en amante langoureuse, d'une maturité que je n'avais pas su révéler.
Moi j'étais toujours bandant, mais j'avais eu deux ou trois orgasmes et mon sperme maculait le tapis devant moi...» Bon dit elle nous on vas se coucher, il t'es évident petit cocu que ta place n'est plus dans mon lit, «tu vas nettoyer toutes tes saletés et tu dormira sur le canapé... Bonne branlette ».
Et ils partirent tous deux occuper le lit conjugal...

chrislebo

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#9,565
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Mon mari, ma soubrette


Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous *** nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé *** membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté *** anus, en le félicitant d'avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. J'en revenais pas mon mec était une vraie salope.
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J'étais lâchée et toute exitée...
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais a fond au jeu puisque lui aussi, apparemment adorait cela... j'en rajoutais alors...
Loïc reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, *** cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J'avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé *** soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré *** slip, j'ai retroussé *** prépuce, et j'ai sucé *** gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. *** cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de *** engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber *** cul bien zébré.
chrislebo

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Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est une bonne idée que tu as là, c'est que maintenant ce n'est plus vraiment un homme."

En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu."
J'étais subjugué de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui ou je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n'avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s'ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui... Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait *** cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait *** travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.

Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête.
Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !

chrislebo

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La Séduction De La Baby-Sitter



Ma femme et moi nous sommes porté volontaires récemment pour garder notre nièce et notre neveu pendant que mon frère et sa femme prenaient des vacances bien méritées. Ann et moi avons réfléchi à l'idée d'avoir des enfants, aussi cette semaine nous permettrait-elle de nous faire une idée de ce qui nous attendait. Les enfants, âgés de trois et cinq ans, passaient l'essentiel de la journée à la crèche locale. Notre travail était de les garder la nuit jusqu'au retour de John et Beth dimanche.

Ann et moi étions invités à une réception de bureau à l'occasion de l'arrivée d'un gros client dans le portefeuille de la compagnie. Compte tenu de l'état de l'économie et du fait que chacun de nous pourrait se retrouver sans emploi du jour au lendemain, nous étions tous heureux au bureau de ce supplément de travail. Ann entretient *** corps à un club de gym local et avait noté un babillard à l'entrée de la salle des casiers hommes/femmes qui était recouvert d'annonces d'appartements à louer, de recherches d'emplois, et de quelques candidates au poste de baby-sitter. Comme nous avions besoin d'une gardienne pour vendredi soir, Ann fit le tri des annonces et en nota une placée là par une étudiante de 21 ans résidente de notre ville qui était prête à faire du baby-sitting pour de l'argent de poche. Ann l'appela et demanda à la rencontrer le lendemain au club afin de discuter de la garde des enfants.

Sachant que nous n'avions pas recours au service des baby-sitters locales et que la plupart des couples de notre quartier avaient de bien plus jeunes enfants, Ann voulait se montrer prudente dans *** choix de celle que nous inviterions chez nous pour garder les enfants de Beth. La candidate gardienne, Katherine, rencontra Ann après les cours et toutes deux passèrent un long moment à papoter durant leurs exercices. Après une douche rapide, Ann rentra à la mai***, confiante que Katherine ferait parfaitement l'affaire.

J'étais déjà habillé lorsque la ***nette de la porte d'entrée ré***na. Je l'ouvrais pour me trouver face à face avec une blonde souriante. Katherine était adorable. Le temps était un peu froid et elle portait une veste légère, un chandail de *** université et des jeans serrés sur sa silhouette élancée. Je l'invitais à entrer et humais un peu du parfum Tommy Girl que Ann portait quand elle était plus jeune. Je pris sa veste et notais à quel point elle remplissait à la perfection ses jeans qui, d'accord avec la mode du moment, étaient stratégiquement élimés de façon à offrir la vision d'une once de peau sur la cuisse et le genou.

Ann entra dans la cuisine, superbe dans une robe bourgogne qu'elle avait acheté pour l'occasion. Elle dit à Katherine, qu'elle avait déjà commencé à appeler Kath à la demande de celle-ci, de faire comme chez elle. « Nous devrions rentrer tard. Il y a à manger dans le frigo, des sandwiches et si tu veux, tu peux te servir un verre de vin et regarder un DVD, » dit-elle en saisissant *** manteau. « N'en fais pas trop, » ajouta Ann en souriant comme nous nous disions au revoir.

Alors que nos compagnons se jetaient sur les bois***s, les apéritifs et les distractions, Ann et moi trouvions la fête quelque peu terne. Nous échangeâmes des plaisanteries avec nos collègues de bureau et écoutèrent le président faire un discours de dix minutes pour nous expliquer à quel point ce contrat était une bonne nouvelle pour notre organisation. Mais ces derniers temps les fêtes de bureau, qui représentaient autrefois une source importante de distraction pour nous, n'arrivaient plus à nous satisfaire. Ces dernières années nous avions tous les deux commencé à explorer une part plus sombre de nos per***nalités que nous avions jusque-là ignorée.

Jusqu'à il y a deux ans nous étions assez naïfs quant au sexe, du fait que nous avions partagé la quasi-totalité de notre expérience sexuelle. Maintenant nous étions tous deux des bisexuels confirmés qui appréciions d'être dominés. J'avais été le premier à me lancer lorsqu'un autre homme m'avait séduit. Je n'avais jamais réfléchi à l'idée de faire l'amour avec un autre homme et avait souvent ri des blagues sur les gays. Maintenant je découvrais que j'appréciais de me mettre à genoux devant un mec ou de me prendre une bonne bitte dans le cul.

A regret, j'invitais Ann dans ce style de vie et elle ne regarda plus jamais en arrière. Je craignais sa réaction, mais nous découvrîmes que nous appréciions tous deux une certaine variété de sexe dans notre vie. Initialement, Ann voulait être soumise à un noir nommé Mark dont j'avais fait la connaissance sur Internet. Mark passa une bonne partie de cette année là à nous dominer tous les deux et à nous présenter à de nombreux amis et partenaires féminines qui nous utilisèrent souvent pour satisfaire leurs désirs sexuels.

Nous lui étions tous deux soumis et Mark nous avait frappé de sa « marque » comme étant sa propriété en perçant mes tétons et en faisant tatouer ma femme. Je fus choqué lorsqu'elle accepta d'avoir un symbole Chinois signifiant « esclave » tatoué sur *** sein droit et un tatouage tribal dans le bas de *** dos. Ce qui me fit vraiment tomber par terre fut les lettres capitales noires disant « Garage à bite de Mark » placé juste au-dessus de *** minou rasé. Les inscriptions permanentes ne laissaient aucun doute sur le fait que nous ne reviendrions jamais en arrière vers le style B.C.B.G que nous avions mené autrefois.

Même si nous retrouvions encore de temps en temps Mark et ses amis, nous nous sommes mis récemment à fréquenter des clubs échangistes avec d'autres couples. Ann aime particulièrement se retrouver avec d'autres femmes et a encore tendance à prendre le rôle de la soumise. Rien d'étonnant alors que nous voyions cette réunion de bureau comme l'équivalent du désert de Gobi. Nous partîmes lorsque nous fumes certains d'avoir bien porté des toasts en l'honneur de chacun puis partirent pour un dernier verre dans un club local. Nous dansâmes un peu ensemble tout en observant les autres couples dans la salle, nous demandant s'il y avait là une occasion à saisir avant la fin de la soirée. Après quelques verres sans voir quoi que ce soit d'intéressant, Ann suggéra que nous rentrions à la mai***. Elle se serra contre moi, mordillant mon oreille en me disant qu'elle voulait une bonne bite bien dure dans sa chatte. Je sentis la main d'Ann glisser vers mon entrejambe, s'arrêter pour palper mes bijoux de famille sous la table. Sans plus attendre, j'appelais notre serveuse et payait rapidement notre facture.

Comme nous nous engagions dans l'allée, Ann me rappela que nous n'avions plus de céréales pour les enfants. « Nous avons également besoin de lait et tu pourrais aussi bien prendre de la bière pour tes matchs de demain, » dit-elle en me rappelant les parties de football Américain du samedi qui retiendraient mon attention l'essentiel de la journée. « A ton retour, je serais prête pour toi. Ne sois pas trop long, » murmura-t-elle comme elle s'emparait à nouveau de mon entrejambe puis elle ouvrit la portière et se glissa au dehors en laissant ma bite enfler dans mon pantalon.

Ann se glissa dans le garage en essayant de ne pas faire de bruit afin de ne pas réveiller les enfants. Elle pénétra dans la cuisine et entendit des voix venant du niveau inférieur. Lorsqu'elle entendit ma voix en arrière-plan d'autres voix elle sut que Katherine avait découvert notre réserve de films amateurs. Nous réaliserions par la suite que j'avais regardé un DVD et que je l'avais laissé dans le lecteur. Au début Ann se demanda ce que Kat devait penser de nous deux - qu'avait-elle déjà vu? Les DVDs étaient remplis de rencontres échangistes au cours desquels nous satisfaisions d'autres couples, nous soumettant à d'autres - noir, blanc, homme, femme. Ann ne pouvait imaginer ce que Kat devait penser.

Comme elle franchissait le coin, elle détecta de doux soupirs s'élevant par-dessus le *** de notre chaîne HI-FI. Les lumières étaient tamisées mais Ann vit les jeans de Kat répandus sur le sol. Contournant le canapé elle vit que les yeux de Kat étaient fermés alors qu'elle avait une main enfouie sous *** string rose et que l'autre fouillait dessous *** chandail. Ann savait qu'elle aurait du s'annoncer. Peut-être se retirer afin de laisser à la jeune fille une chance de se remettre. Mais avec *** excitation et à la vue de cette chair délectable devant elle, elle sut qu'elle voulait la prendre. Ann ne réfléchit pas longtemps avant de murmurer, « Kat... Je vois que tu apprécie nos films. »

Katherine sursauta et agrippa nerveusement le couvre-lit qui enveloppait le canapé. L'horreur qui se lisait sur *** visage en disait long alors qu'elle recherchait frénétiquement du regard l'endroit où elle avait jeté ses jeans. « Tout va bien ma chérie. C'est à ça que les films servent... à se détendre... c'est tout naturel. Je ne voulais pas t'interrompre. »

« Je... euh... Je suis désolée. Je n'étais pas ... Je veux dire que je ne voulais pas fouiller dans vos affaires. Ce DVD se trouvait là et j'ai du appuyer sur « play » et... »


chrislebo

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Ann entra dans la cuisine, superbe dans une robe bourgogne qu'elle avait acheté pour l'occasion. Elle dit à Katherine, qu'elle avait déjà commencé à appeler Kath à la demande de celle-ci, de faire comme chez elle. « Nous devrions rentrer tard. Il y a à manger dans le frigo, des sandwiches et si tu veux, tu peux te servir un verre de vin et regarder un DVD, » dit-elle en saisissant *** manteau. « N'en fais pas trop, » ajouta Ann en souriant comme nous nous disions au revoir.

Alors que nos compagnons se jetaient sur les bois***s, les apéritifs et les distractions, Ann et moi trouvions la fête quelque peu terne. Nous échangeâmes des plaisanteries avec nos collègues de bureau et écoutèrent le président faire un discours de dix minutes pour nous expliquer à quel point ce contrat était une bonne nouvelle pour notre organisation. Mais ces derniers temps les fêtes de bureau, qui représentaient autrefois une source importante de distraction pour nous, n'arrivaient plus à nous satisfaire. Ces dernières années nous avions tous les deux commencé à explorer une part plus sombre de nos per***nalités que nous avions jusque-là ignorée.

Jusqu'à il y a deux ans nous étions assez naïfs quant au sexe, du fait que nous avions partagé la quasi-totalité de notre expérience sexuelle. Maintenant nous étions tous deux des bisexuels confirmés qui appréciions d'être dominés. J'avais été le premier à me lancer lorsqu'un autre homme m'avait séduit. Je n'avais jamais réfléchi à l'idée de faire l'amour avec un autre homme et avait souvent ri des blagues sur les gays. Maintenant je découvrais que j'appréciais de me mettre à genoux devant un mec ou de me prendre une bonne bitte dans le cul.

A regret, j'invitais Ann dans ce style de vie et elle ne regarda plus jamais en arrière. Je craignais sa réaction, mais nous découvrîmes que nous appréciions tous deux une certaine variété de sexe dans notre vie. Initialement, Ann voulait être soumise à un noir nommé Mark dont j'avais fait la connaissance sur Internet. Mark passa une bonne partie de cette année là à nous dominer tous les deux et à nous présenter à de nombreux amis et partenaires féminines qui nous utilisèrent souvent pour satisfaire leurs désirs sexuels.

Nous lui étions tous deux soumis et Mark nous avait frappé de sa « marque » comme étant sa propriété en perçant mes tétons et en faisant tatouer ma femme. Je fus choqué lorsqu'elle accepta d'avoir un symbole Chinois signifiant « esclave » tatoué sur *** sein droit et un tatouage tribal dans le bas de *** dos. Ce qui me fit vraiment tomber par terre fut les lettres capitales noires disant « Garage à bite de Mark » placé juste au-dessus de *** minou rasé. Les inscriptions permanentes ne laissaient aucun doute sur le fait que nous ne reviendrions jamais en arrière vers le style B.C.B.G que nous avions mené autrefois.

Même si nous retrouvions encore de temps en temps Mark et ses amis, nous nous sommes mis récemment à fréquenter des clubs échangistes avec d'autres couples. Ann aime particulièrement se retrouver avec d'autres femmes et a encore tendance à prendre le rôle de la soumise. Rien d'étonnant alors que nous voyions cette réunion de bureau comme l'équivalent du désert de Gobi. Nous partîmes lorsque nous fumes certains d'avoir bien porté des toasts en l'honneur de chacun puis partirent pour un dernier verre dans un club local. Nous dansâmes un peu ensemble tout en observant les autres couples dans la salle, nous demandant s'il y avait là une occasion à saisir avant la fin de la soirée. Après quelques verres sans voir quoi que ce soit d'intéressant, Ann suggéra que nous rentrions à la mai***. Elle se serra contre moi, mordillant mon oreille en me disant qu'elle voulait une bonne bite bien dure dans sa chatte. Je sentis la main d'Ann glisser vers mon entrejambe, s'arrêter pour palper mes bijoux de famille sous la table. Sans plus attendre, j'appelais notre serveuse et payait rapidement notre facture.

Comme nous nous engagions dans l'allée, Ann me rappela que nous n'avions plus de céréales pour les enfants. « Nous avons également besoin de lait et tu pourrais aussi bien prendre de la bière pour tes matchs de demain, » dit-elle en me rappelant les parties de football Américain du samedi qui retiendraient mon attention l'essentiel de la journée. « A ton retour, je serais prête pour toi. Ne sois pas trop long, » murmura-t-elle comme elle s'emparait à nouveau de mon entrejambe puis elle ouvrit la portière et se glissa au dehors en laissant ma bite enfler dans mon pantalon.

Ann se glissa dans le garage en essayant de ne pas faire de bruit afin de ne pas réveiller les enfants. Elle pénétra dans la cuisine et entendit des voix venant du niveau inférieur. Lorsqu'elle entendit ma voix en arrière-plan d'autres voix elle sut que Katherine avait découvert notre réserve de films amateurs. Nous réaliserions par la suite que j'avais regardé un DVD et que je l'avais laissé dans le lecteur. Au début Ann se demanda ce que Kat devait penser de nous deux - qu'avait-elle déjà vu? Les DVDs étaient remplis de rencontres échangistes au cours desquels nous satisfaisions d'autres couples, nous soumettant à d'autres - noir, blanc, homme, femme. Ann ne pouvait imaginer ce que Kat devait penser.

Comme elle franchissait le coin, elle détecta de doux soupirs s'élevant par-dessus le *** de notre chaîne HI-FI. Les lumières étaient tamisées mais Ann vit les jeans de Kat répandus sur le sol. Contournant le canapé elle vit que les yeux de Kat étaient fermés alors qu'elle avait une main enfouie sous *** string rose et que l'autre fouillait dessous *** chandail. Ann savait qu'elle aurait du s'annoncer. Peut-être se retirer afin de laisser à la jeune fille une chance de se remettre. Mais avec *** excitation et à la vue de cette chair délectable devant elle, elle sut qu'elle voulait la prendre. Ann ne réfléchit pas longtemps avant de murmurer, « Kat... Je vois que tu apprécie nos films. »

Katherine sursauta et agrippa nerveusement le couvre-lit qui enveloppait le canapé. L'horreur qui se lisait sur *** visage en disait long alors qu'elle recherchait frénétiquement du regard l'endroit où elle avait jeté ses jeans. « Tout va bien ma chérie. C'est à ça que les films servent... à se détendre... c'est tout naturel. Je ne voulais pas t'interrompre. »

« Je... euh... Je suis désolée. Je n'étais pas ... Je veux dire que je ne voulais pas fouiller dans vos affaires. Ce DVD se trouvait là et j'ai du appuyer sur « play » et... »

Ann la rassura à nouveau. « Kat, je ne suis pas en colère. De fait, je me sens plutôt excitée moi aussi. Ça ne te dérange pas si je me joins à toi? » Sans attendre sa réponse Ann se laissa tomber sur le canapé en ne laissant entre elles qu'une distance minimale. Ann retira ses chaussures et les repoussa sous elle comme elle s'installait. « C'est une fête à laquelle nous avons participé il y a environ deux semaines, » reprit Ann comme les yeux de Kat étaient à nouveau fixés sur l'écran.

« Vous voulez dire que vous y étiez? » La surprise s'entendait dans la question.

« Plus que ça, ma chérie, ce type qui te tourne le dos en baisant la brune est Larry, » répliqua Ann.

Les yeux de Kat s'arrondirent alors qu'elle regardait l'écran. Alors que l'on ne pouvait voir mon visage, ma queue glissait d'avant en arrière dans la femme brune qui avait ses jambes enroulées autour de mes épaules. Pendant qu'elle répondait à mes assauts, un autre type rampa jusqu'à elle, lui pencha la tête et amena sa bouche vers sa queue turgescente.

Kat avait lâché le couvre-lit. Même s'il recouvrait encore la plus grande partie de sa ligne élancée, une portion de sa cuisse était maintenant visible.

Ann vit le verre de vin presque vide sur la table et se demanda si Kath en avait eu assez pour se désinhiber. « Alors, tu m'as dis que tu avais un petit ami, n'est-ce pas? » Kat hocha la tête lentement de haut en bas tout en continuant à fixer l'écran. « J'imagine que vous avez eu des rapports sexuels? » continua Ann.

« Ouais, je veux dire, rien comme ça, » ajouta Kat. C'est le seul mec que j'ai jamais eue. J'ai fréquenté des garçons au lycée mais je n'ai jamais laissé per***ne me toucher avant Danny. »

« Il en a de la chance, » lui assura Ann tout en s'enhardissant à tendre la main et toucher du doigt la cuisse exposée sous le couvre-lit. Les yeux de Kat furent immédiatement attirés vers cette main mais ne se détournèrent pas. Constatant que Kat n'avait pas peur d'elle, Ann poursuivit ses avances. « J'ai remarqué au club de gym à quel point ton corps est ferme, » continua-t-elle comme *** doigt traçait des cercles sur la douce cuisse de Kat. « Tu es vraiment très jolie. »

Kat sembla rougir légèrement avant que ses yeux ne lui sortent de la tête comme elle regardait fixement l'écran devant elle. Il n'y avait aucune erreur possible. Là, à l'écran, se trouvait Ann se glissant entre les jambes d'une autre femme. La femme agrippant de ses doigts les cheveux blonds d'Ann comme sa langue lui léchait la chatte. « Est-ce que ça te choque, Kat? » s'enquit doucement Ann, sentant la jeune fille se raidir sous ses doigts.

« Je n'ai jamais vu deux femmes ensemble... et jamais je n'aurais imaginé... » ânonna Kat avant que Ann l'interrompe. « Que je puisse aimer les femmes? » répondit Ann. « J'aime les hommes et les femmes, ma chérie. Ne te méprend pas sur moi. J'aime la sensation d'une bonne queue bien dure mais parfois rien ne vaut le contact d'une autre femme. » Ann continua : « Alors, tu n'y avais jamais pensé? » Kat la regarda avant de ramener *** regard sur l'écran où Ann glissait ses doigts dans le sexe humide de la femme, *** visage enfoncé dans sa chatte.
chrislebo

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Ann décida de poursuivre *** avantage, soulevant lentement le couvre-lit, exposant les jambe nues de Kat. Kat se raidit et enfonça ses doigts dans le canapé mais ne fit aucun effort pour se couvrir. Ann continua ses avances, glissant sa main légèrement par-dessus sa jambe, voletant de *** genou à sa hanche. « Je peux te donner beaucoup de plaisir, ma chérie. J'aimerais te donner plus de plaisir que tu n'en as jamais ressentie auparavant, » dit Ann doucement alors que Kat fermait les yeux et se détendait à *** contact. « Veux-tu que j'arrête? Je ne ferais rien que tu ne veuilles que je te fasses » dit Ann comme Kat ouvrait lentement les yeux et fixait *** tendre regard.

« Je ne sais pas. Je n'ai jamais rien fait de tel. Je ne sais pas quoi faire, » dit Katherine doucement.

« Laisse toi aller et laisse moi faire. Je te promet que tu adoreras, » la rassura Ann. Ann se pencha et pressa doucement ses lèvres sur le cou tremblant de Kat. Ses mains continuèrent à effleurer l'intérieur de ses cuisses, en direction de la petite chatte de Kat. Elle toucha le mont de Vénus, ressentant l'humidité qui s'était déjà formé dans la fente. Ann embrassa à nouveau *** cou, suçant tendrement avant de revenir le long de *** visage vers ses lèvres charnues. Les lèvres de Kat tremblèrent lorsque Ann y planta un doux baiser puis un autre avant d'y aller plus fort.

Sa langue dansa sur ses lèvres et puis doucement et ensuite plus vivement, elle pénétra dans sa bouche brûlante. Lorsque Ann sentit la langue de Kat, elle passa la sienne sur, puis sous, celle-ci tout en poussant doucement un doigt dans le minou de Kat. Elle sentit les jambes de Kat s'ouvrir pour lui accorder un plus grand accès alors qu'elle massait de *** pouce la petite bande de gazon jaune juste au-dessus de *** clitoris.

Ann sut qu'elle avait gagné lorsque Katherine commença à entremêler sa langue avec la sienne et elle sentit la chatte de Kat pousser contre ses doigts en pleine exploration de celle-ci. Kat gémit et Ann massa *** clitoris de *** pouce, imprimant à ses doigts dans sa chatte un mouvement de va-et-vient. Ann retira ses doigts et les ramena entre leurs deux bouches. Kat entrouvrit les yeux en réalisant que les jus qu'elle goûtait avec Ann provenaient de sa propre chatte. « Bon dieu, ma chérie, » ronronna-t-elle. « Tu es trempée et tu goûte tellement bon. J'en veux aussi. Je peux te brouter, chérie? Est-ce que je peux descendre explorer ton petit minou brûlant? » Comme Kat continuait à gémir sous ses caresse, Ann n'attendit pas une réponse.

Ann se laissa glisser par terre jusqu'à se retrouver à genoux, elle planta des baisers su les cuisses de Kat avant d'embrasser langoureusement les replis de sa chatte. Elle sentait bon et sa mouille dégoulinait le long de la raie de ses fesses. Ann lécha tout cela avant de glisser sa langue à travers les plis de *** minou brûlant, s'arrêtant pour agacer *** clitoris de la langue. Elle ouvrit ses lèvres de ses doigts et enfoui *** visage au fond de *** nid d'amour. Kat gémit et agrippa la tête d'Ann, enveloppant ses cheveux de ses doigts tout en poussant *** con plus profondément contre le visage d'Ann.

Ann savait que Kat était proche de l'orgasme car ses cuisses écrasaient *** visage. Elle remonta les mains et trouva celles de Kat. Kat et Ann mélangèrent leurs doigts, paumes serrées l'une contre l'autre. Le corps de Kat commença à trembler et elle cria, « Oh mon dieuuu... oh merde... putain..., » lorsque l'orgasme secoua *** corps. Celui-ci sembla durer une éternité jusqu'à ce que finalement elle retombe, flasque, sur le canapé. Ann retira sa bouche du minou de Kat, plantant un léger baiser sur ses lèvres humides avant de glisser sur *** corps. Elle pressa doucement ses lèvres sur celles de Kat et celle-ci le lui rendit cette fois sans hésitation. Comme Ann s'écartait, elles se regardèrent droit dans les yeux avant que Kat ne murmure, « Je n'aurais pu imaginer que ça pouvait être aussi bon. »

Ann se laissa rouler sur le canapé, la tête de Kat reposant sur *** épaule. Ann caressa ses longues tresses blondes, posant *** menton sur sa tête comme Kat se réfugiait dans ses bras. Kat fut la première à s'écarter pour regarder Ann. « Je veux te le faire. Tu devras me montrer mais je veux te faire ce que tu viens de me faire, » supplia-t-elle presque.

« J'aimerais cela... Mais es-tu sûre, ma chérie? » demanda Ann.

« Absolument, c'était extraordinaire, » répondit Kat, la voix chargée de désir.

« OK, laisse moi enlever cette robe et fais donc de même avec ce chandail. J'adorerais jeter un œil à tes seins, » dit Ann.

Kat, l'air renfrognée, commença à faire passer *** chandail par-dessus sa tête. « Ils ***t plutôt petits. » Kat passa les mains dans *** dos et dégrafa *** soutien-gorge, le laissant tomber sur ses genoux. Elle commença par cacher ses seins de ses mains puis réfléchit et laissa Ann contempler sa poitrine.

« Ridicule, ils ***t très beaux, » la rassura Ann. Si fermes, et ces tétons... Bon dieu, je pourrais sucer ces tétons toute la journée... et je crois que c'est-ce que je vais faire. » Ann se baissa et prit un sein dans sa main en guidant le téton durci jusqu'à sa bouche. Kat soupira et poussa sa poitrine en avant alors qu'Ann léchait et tirait doucement le téton avec ses dents.

« OK, rappelle toi que c'est mon tour, » fit savoir Kat en retirant le téton de la bouche avide d'Ann. « Je vais brouter mon premier minou. » Ann eut une bouffée d'excitation en entendant la voix décidée de Kat et sachant qu'elle avait initiée la jeune étudiante aux amours lesbiennes. La jeune fille timide qui, quelques minutes plus tôt n'avait jamais fait l'amour qu'avec un seul homme avait maintenant vu une femme lui faire un cuni et allait maintenant goûter à sa première chatte.

Ann dégrafa sa robe et la laissa tomber à ses pieds. Les yeux de Kat s'agrandirent lorsqu'elle vit qu'elle ne portait rien en dessous. Ses seins étaient bien plus gros et elle portait un tatouage. Le regard de Kat parcourut *** corps du piercing dans *** nombril au minou rasé entre ses cuisses. Elle nota également le tatouage juste au dessus de *** périnée - « Garage à bite de Mark ». Elle savait que mon nom n'était pas Mark mais se dit que l'explication pouvait attendre. Ann s'assit dans une chaise, le derrière pendant dans le vide. « OK, ma petite. Viens goûter à ta première femme. »

Kat rampa entre les jambes d'Ann et commença à disséminer de petits baiser de ses genoux à *** entrejambe. Elle s'assit brièvement pour admirer le nombril percé tout en s'inclinant pour placer un doux baiser sur l'estomac d'Ann. Claquant la langue et traçant de petits cercles sur *** estomac, elle descendit et regarda le minou d'Ann. Elle n'en avait jamais vu d'aussi près. Elle avait souvent observé le sien et s'était soigneusement examinée un jour dans un miroir. En de nombreuses occasions, elle avait regardé sa co-locataire se changer et toutes deux couraient souvent nues dans la pièce, mais aucune n'avait fait de tentative pour séduire l'autre. Elle se demanda brièvement ce que sa co-locataire penserait maintenant si elle savait qu'elle s'apprêtait à brouter une autre femme.

Kat embrassa la chatte d'Ann tout en passant ses doigts dans ses douces tresses. Elle commença à lécher timidement ses replis avant de rabattre sa bouche sur les lèvres extérieures et légèrement protubérantes d'Ann. Les gémissements d'Ann indiquaient à celle-ci qu'elle faisait du bon travail alors qu'elle enfouissait sa langue dans *** canal brûlant. Elle fut surprise par le goût sucré et poursuivit ses efforts pour laper les jus qui suintaient de *** con humide. Kat s'émerveilla de la douceur et de la souplesse apparente de sa chatte. Elle était totalement rasée. Si Kat et sa co-locataire Jan épilaient souvent leurs cons, elles avaient toujours conservé un carré de poils. Avec Ann, Kat contemplait le premier minou rasé de sa vie.
chrislebo

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Pendant ce temps, Ann étirait les pointes de ses seins, les pinçant entre le pouce et l'index tandis que Kat plongeait *** visage entre ses jambes. « Tu aimes mon petit minou? » l'interrogea Ann alors que Kat poursuivait *** assaut.

« Oh oui. Ton minou est tellement bon. J'aime le brouter, » gémit Kat, le visage plongé dans la boite de Pandore d'Ann. « Joue avec tes doigts, ma chérie. Plonge ton doigt dans mon minou, » ordonna Ann comme *** élève avide plongeait un, puis deux doigts profondément dans *** con. Kat se repositionna et s'assit confortablement sur le sol tout en plongeant les doigts en Ann, ajoutant un troisième avant d'y faire aller et venir sa main toute entière.

« C'est bien, ma chérie. Baise moi, baise moi avec ta main. Suce mon petit clito. »

Kat poursuivit *** assaut tout en suçant le petit clito tout dur. Les épanchements humides d'Ann recouvraient les mains et le visage de Kat alors qu'elle s'arquait violemment.

Comme j'entrais dans la cuisine je reconnus immédiatement les gémissements familiers en provenance du sous-sol. J'avais vu la voiture de Kat dans l'allée et je savais que quoi qu'il se passa, ça les concernait toutes les deux. Même si je ne fus pas choqué par ce que je découvris, je fus surpris que ma femme ait pu séduire en si peu de temps la baby-sitter et soit maintenant plongée dans une liai*** lesbienne.

Je restais à observer depuis la cuisine l'étudiante nue entre les jambes de ma femme, léchant *** minou avec passion. Je me demandais si ces deux là n'en étaient plus à leur première expérience ensemble. Peut-être au club de gym. Ce qui expliquerait qu'elle ait demandé à Kat de garder les enfants.

Ma femme ouvrit les yeux et me vit debout observant la montée de leur plaisir. « Hé chéri... regarde ce que j'ai trouvé... », dit Ann dans un souffle. Kat commença à regarder vers moi mais Ann la maintint fermement entre ses jambes. Elle sentit Kat se raidir. C'est comme si elle émergeait d'un rêve, réalisant ce qui était rêve et ce qui était réalité. « Viens là, mon chéri et laisse moi te sucer la bite pendant que Kat me broute le minou.

Je marchais vers elles en me débarrassant de mon manteau, de mes chaussures et de ma chemise. Je tirais sur ma ceinture puis ouvrait mon pantalon, le laissant tomber le long de mes chevilles. Je pouvais voir Kat tétant le minou d'Ann, les yeux fixées sur mon caleçon alors que je le baissais et m'en extirpais. Ma queue avait déjà commencé à durcir à regarder Kat dévorer le con de Ann.

Rien de tel que d'observer deux filles se brouter pour avoir une érection. Je m'approchais de Ann qui s'empara de ma queue pour l'approcher de sa bouche avide. Ses lèvres humides glissèrent sur mon gland alors qu'elle pompait ma bite de la main. Les yeux de Kat étaient toujours fixés sur la bouche d'Ann allant et venant sur mon manche raide. Elle s'arrêtait parfois pour lécher le col avant de la replonger dans sa bouche. Comme *** propre orgasme montait, elle se mit à pomper avec plus d'ardeur. Kat se concentrait à nouveau sur le minou d'Ann et s'était remise à plonger sa main dans la caverne humide.

Ann stoppa comme elle retirait la queue de sa bouche et se mit à donner des coups de bassin contre le visage de Kat. Ses gémissements étouffèrent les bruits de succion produits par Kat festoyant de *** premier minou. Regarder la jeune étudiante se révéla une trop grande épreuve pour moi et je sentis alors des jets de sperme jaillir de ma queue. Le premier jet atteignit Ann au visage, les suivants frappant ses seins et *** estomac. Lorsque ses orgasmes s'éteignirent, Kat donna timidement de petit coups de langue et baisers supplémentaires avant de venir se blottir contre Ann. Ses lèvres se refermèrent sans hésitation sur la bouche complice d'Ann et sa langue s'enfonça dans celle-ci.

D'observer les deux femmes s'embrasser réveilla ma bite. Comme Kat s'écartait, elle passa sa langue sur ses lèvres, réalisant par ce goût salé qu'elles avaient également partagé mon sperme qui avait atterri sur le visage d'Ann.

Ann se dirigea vers la cuisine pour y prendre des serviettes afin d'essuyer les diverses traces de fluides corporels de leurs corps. Debout, elle nous servit à chacun des verres de vin tout en racontant tout ce qui avait précédé mon arrivée. Per***ne ne prit la peine de se vêtir tandis que nous dégustions nos verres tout en écoutant l'aventure du point de vue de Kat. Je ne fus pas long avant de présenter une nouvelle érection. Ann suggéra de nous retirer dans la chambre et convainquit Kat de me laisser la baiser. Je ne pense pas que ce fut difficile à partir du moment où Ann l'assura que je mettrais un préservatif. Nous passâmes les deux heures suivantes dans la chambre, moi les prenant alternativement pendant qu'elle se broutait l'une, l'autre.

Nous nous quittâmes enfin dès que Ann eut fait promettre à Kat de revenir le week-end suivant. Ann a une amie du nom de Lisa qu'elle voulait présenter à Ann. Si Ann lui dit bien que celle-ci était plus jeune qu'elle, exceptionnellement belle, et très drôle, elle négligea de préciser que Lisa était strictement lesbienne et se réservait systématiquement le rôle de la dominatrice.

Même si Lisa m'a laissé les regarder, elle et Ann, je n'ai jamais eu l'autorisation de me joindre à elles. Lisa a toujours été claire sur le fait que quand elle est avec Ann, elle refuse de partager. J'espère que j'aurais une autre chance de plonger ma queue dans cette jeune étudiante, mais j'ai une érection rien qu'à penser à ce que Lisa fera faire à Ann et Kat. J'ai hâte de voir la tête de Kat quand elle verra le gode ceinture que Lisa aime à utiliser sur Ann. Le prochain week-end devrait être exceptionnel!
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