CuckoldPlace.com
World's Biggest Cuckold Community CuckoldPlace.Com! 126599 registered members can't be wrong!

  Cuckold Dating - Signup here    · Contact Us · Search ·  Sign Up  · Members Area · Polls · Chat · 
YOUCUCK.COM RECENTLY ADDED VIDEOS

  Cuckold Tests  

CuckoldPlace.com /
Cuckold Stories /
 

les histoires de chrislebo

Rating: 63
 Page Page 318 of 322:  « Previous  1  ...  317  318  319  320  321  322  Next »
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,511
 Down to the last message
Francis prit sa femme par le bras et l'emmena à l'écart. Il lui chuchota à l'oreille :
-On a dit un plan à trois, pas à quatre !
-Oui, un plan à trois.... François, Christian...et moi.
Francis en resta muet plusieurs secondes, un mélange indéfinissable de colère et d'excitation montait en lui. Carole continua.
-Ecoute Chéri, maintenant qu'on y est, on ne va pas renoncer, non ?
-Et moi, je fais quoi dans tout ça ? dit Francis.
-Toi tu t'assoies dans un coin de la chambre et tu mates, je suis sure que ca va te plaire.
Francis hésitait, il avait soudainement pris conscience de *** sexe en érection dans *** pantalon. Il en avait envie au fond de voir sa femme prise par ces deux hommes. Carole ne lui laissa pas le temps de la réflexion. Voyant que *** mari semblait complètement désorienté, elle s'adressa à François qui attendait patiemment dans l'entrée en compagnie de Christian.
-François, dit-elle, nous t'avons demandé de venir parce que Francis aimerait me regarder faire l'amour avec un autre homme. Comme tu es *** meilleur ami, j'ai pensé que tu serais d'accord.
-Mais...mais..., balbutia François pris au dépourvu.
-Ne t'inquiète pas, cela restera entre nous. Pas question d'en parler à qui que ce soit et surtout pas à ta femme évidemment, continua-t-elle.
-Mais....et....et Christian ?
-Vous pourrez me faire l'amour tous les deux en même temps, ça vous va ?
Tandis que Francis était inerte, résigné, tête baissé dans un coin de la pièce, François et Christian, eux, se dévisageaient, croyant certainement à une mauvaise blague. Après quelques instants, c'est Christian qui répondit, les yeux fixant le sol.
-Ok pour moi...si tu veux Carole.
Christian fixait Francis toujours prostré.
-D'accord...c'est d'accord, finit-il par dire.
-Très bien, dit Carole soulagée. On va tous dans la chambre alors.
Les quatre protagonistes se rendirent dans la chambre à coucher du couple. Carole avait pris une chaise dans le salon et la plaça dans un coin.
-Assis toi là chéri, dit-elle à Francis.
Francis s'exécuta sans un mot et Carole l'embrassa tendrement sur la bouche.
-Allez les gars, à poil sur le lit maintenant, dit-elle en se déshabillant. Toi aussi chéri, mets-toi à poil sur ta chaise. Je veux voir ton sexe pendant que je me fais baiser.
Quelques instants après, tout le monde, hormis Francis installé sur sa chaise, se retrouva nu sur le lit conjugale. Carole, positionnée entre les deux hommes, prit les choses en main.
-Regarde ces deux belles bites, mon chéri. Elles ***t toutes les deux nettement plus grosses que la tienne. Je vais commencer par bien les branler afin qu'elles soient bien juteuses et bien grosses.
Carole masturbait les deux sexes, une dans chaque main en fixant *** mari qui semblait ********** par la scène.
-Voilà, dit-elle au bout d'un moment. Elles commencent à mouiller, il va falloir que je suce et que j'aspire tout ça maintenant.
Carole se mis en position assise sur le lit et s'adressa à François :
-François, debout maintenant et mets ta bite dans ma bouche s'il te plait.
François se mis debout sur le lit et présenta *** sexe à Carole qui le prit en bouche instantanément et qui entama immédiatement un mouvement de succion ininterrompu.
-Regarde moi ça comment elle me pompe la bite cette cochonne ! s'exclama François. Elle m'aspire tellement la queue qu'on dirait qu'elle veut me vider les couilles.
-Putain, dit Christian, que Carole continuait à masturber. Elle a une bouche faite pour y mettre des bites, la femme de ton beauf. A mon tour maintenant, dit-il en prenant position.
Carole changea de partenaire en bouche.
-Ah....qu'elle suce bien cette salope. Regarde un peu comme elle avale ma queue entièrement jusqu'aux couilles ! dit Christian à *** beau frère.
Tout en suçant les deux hommes à tour de rôle, Carole observait toujours *** mari du coin de l'œil et constata que celui-ci avait *** sexe en main et commençait à se masturber. Francois, qui avait également noté ce point, lança à *** ami.
-Ca te fait bander qu'on la baise ta femme, mon salaud ! Hein ? Regarde comme on lui baise sa bouche de suceuse bien à fond et après on va lui remplir la chatte et le cul ! Ca te plait comme spectacle, Francis ?
Francis continuait à se masturber, les yeux fixé sur la scène qui se déroulait devant lui, sans répondre aux provocations de *** ami. François continua.
-J'suis sûr qu'elle en a sucé un paquet de bites pour pomper aussi bien que ça. Hein, pas vrai ma salope ? Il le sait ton mari que tu pompes de la bite ailleurs qu'à la mai***? Hein, Francis ? Tu savais qu'elle suçait pas que ta queue, ta grosse cochonne de femme? Je parie aussi qu'elle a déjà avalé quelques giclées, cette chienne. T'inquiète pas, ma belle, tu vas bien te régaler ce soir, on va t'en servir du jus de couilles. Hein Francis? T'es d'accord pour qu'on lui rince le gosier avec de la crème de bite, à ta femme ?
Toujours aucune réaction de Francis qui restait prostré sur sa chaise.
-Ok, il a l'air d'accord ton mari, continua Francois. Pour le moment, on va te limer la chatte mon beauf et moi. Comme tu m'as l'air d'être une grosse salope, on va te prendre direct en levrette. Mets-toi à quatre pattes au bord du lit et remonte bien ton cul !
Carole prit la position demandée et releva bien ses fesses pour accueillir ses partenaires. François la pénétra d'une traite et entama *** va et vient alors que Christian restait en retrait.
-Tu la sens bien ma bite dans ta chatte ?, dit François.
-Oh oui, c'est bon, répondit Carole, tout en continuant de surveiller *** mari qui, à sa grande satisfaction, avait accéléré le mouvement de sa main autour de *** sexe.
-C'est meilleur, quand on prend une grosse bite comme celle là dans la chatte, plutôt qu'une petite queue comme celle de ton mari ? Pas vrai Carole ?
-Oui...oui, c'est meilleur....mais ce serait encore mieux si j'avais une bite dans la bouche en même temps, répondit-elle.
-D'accord, je vois, Madame est exigeante en plus de cela. Christian, qu'est-ce que t'attends ? Fais lui bouffer ta queue pendant que je lui remplie la chatte.
Christian, s'allongea devant Carole qui prit *** sexe en bouche.
-Voilà, Madame se sent mieux quand elle tétouille un gros zizi, n'est-ce pas ? Ca fait plaisir à voir, pas vrai Francis ?
-Oui, répondit Francis, surprenant tout le monde.
Après plusieurs minutes de ce régime, François et Christian échangèrent leur position.
-Même ma grosse bite, elle rentre toute seule, dit Christian. Elle a la chatte ouverte comme une pute, c'est incroyable ! C'est pas la petite bite de ton pote qui a put faire ça ! Elle doit se faire fourrer dans *** dos, c'est pas possible autrement, moi je dis.
-Oui, t'as rai***, répondit Francois. Et regarde comment elle me pompe la bite en même temps, si ça continue, j' vais pas pouvoir me retenir et je vais lui gicler dans la bouche. Arrête salope, j'ai pas fini de te baiser, j'vais t'enculer bien à fond maintenant. Hein Francis ?, on va lui ramoner le cul maintenant à ta femme ?
Francis fixait la scène avec une expression indéfinissable
- Oui, dit-il finalement, enculez là maintenant.
-T' as entendu ton mari, Carole? Allez, ouvre bien ton cul !
Francois reprit position derrière Carole et Christian dans sa bouche.
-T'es prête ? J'vais enfoncer ma bite dans ton cul maintenant, ma chérie, dit François.
Francois pressa *** sexe à l'entrée de l'anus de Carole.
-Merde, j'y arrive pas, dit François. C'est pas assez ouvert. Francis, viens m'aider à enculer ta femme s'il te plait. Tu lui ouvre bien le cul avec tes deux mains pendant que j'enfonce ma bite.
Francis hésita quelques instants puis s'exécuta. Il prit une fesse dans chaque main puis ouvrit largement l'anus de sa femme avec vigueur.
-Tiens Francois, dit Francis. Elle devrait rentrer ta bite, maintenant.
Francois pressa sa queue dans l'anus largement ouvert et y pénétra complètement.
-Bien joué Francis, dit Francois. Maintenant j'vais la ramoner jusqu'à ce qu'elle soit bien ouverte. En attendant, vérifie qu'elle suce bien la bite de Christian correctement.
-Ok, je vérifie, répondit Francis.
Francis attrapa les cheveux de sa femme et accompagna le mouvement de tête de Carole.
-Aller chérie, pompe moi cette bite mieux que ça. Gobe la bien entièrement jusqu'aux couilles. Montre leur à mes potes que t'es la meilleure suceuse de la région.
Carole était aux anges. *** mari avait complètement pris part à l'action. Une fois que tout cela serait terminé, ce devrait être possible de lui faire accepter l'épreuve qui l'attendait la fin de la semaine lors de la soirée spéciale organisée par *** patron
- Oui chéri, dit-elle, mais demande à Francois de m'enculer plus fort, j'ai besoin de sentir sa bite plus profond dans mon cul.
- T'as entendu, Francois ?, dit Francis. Si j'te prête ma femme, c' est pas pour bâcler le boulot, alors défonce lui le cul mieux que ça tu veux ?
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,512
Up to the first message Down to the last message
-C' est pas de ma faute si elle a le trou du cul si large, ta femme, à ***** de se faire enculer a tout bout de champ. On va y aller à deux. Avec nos deux bites dans *** cul, elle devrait prendre *** pied, cette pute.
Carole était maintenant prise en double pénétration anale, à cheval sur Christian face à lui, François toujours positionné derrière elle.
- Ca va mieux chérie?, dit Francis
- Oui, c'est bon....mais je veux une bite dans la bouche aussi.
-Tu veux me sucer pendant qu'ils t'enculent ?
-Non, pas toi. Vas chercher le voisin du troisième. Il est célibataire, il doit pas baiser tous les jours. Je suis certaine qu'il ne serait pas contre une bonne pipe.
Après un instant d'hésitation, Francis s'habilla rapidement et sorti de l'appartement. Quelques instants plus tard, il revint accompagné d'un jeune homme d'une vingtaine d'années.
-Voilà, comme je t'ai dit, tu te fous à poil si tu veux te faire sucer la queue, dit Francis à *** nouvel hôte.
-Le jeune homme s'exécuta sans discuter, il présenta *** membre déjà bandant au visage de Carole.
-Merci chéri, dit Carole, avant de prendre le sexe en bouche.
Après quelques minutes du spectacle de sa femme prise par les trois hommes, Francis ne put contenir plus longtemps *** excitation.
- j'en peux plus les gars, j'vais lâcher la purée maintenant, dit Francis
-Petit joueur, s'exclama Christian. Tu m'étonnes qu'elle cherche des bites ailleurs ta femme.
Francis sauta de sa chaise.
-Casse-toi petit con ! dit-il à l'occupant de la bouche de Carole, enlève ta bite de sa bouche, faut que je jute dedans !
Le jeune homme obtempéra immédiatement et Francis éjacula dans la bouche de Carole qui avala instantanément le sperme de *** mari.
-Il est bon ton jus chéri, j'en veux encore. Dis à tes potes de tout garder pour ma bouche s'il te plait, dit Carole
-Oui chérie, tout ce que tu voudras. Vous avez entendu les gars? Interdiction d'envoyer la sauce autre part que dans la bouche de ma femme, c'est compris?
Francois et Christian ricanèrent en même temps.
- Ok, on n'avait pas l'intentionde faire autre chose de toute façon, dit Christian. Elle va tout avaler ta salope, des qu'on aura fini de bien l'enculer, t'inquiète pas.
Francis reprit place sur sa chaise, totalement extenué. Après un bon quart d'heure de double sodomie, Francois et Christian se retirèrent l'anus de Carole.
- Alors jeune homme, dit François s'adressant au jeune homme toujours dans la bouche de Carole, dépêche toi d'envoyer la purée maintenant parce qu'on veut finir nous aussi.
-Vous voulez dire...dans sa bouche ?
-Oui, dans sa bouche, tu peux y aller, elle aime le sperme, tu vas lui faire plaisir, répondit François.
-C'est vrai, Monsieur ? dit le jeune homme s'adressant à Francis. Je peux jouir dans la bouche de votre femme ?
-Vas-y mon petit, tu peux tout lui envoyer, elle demande que ça, répondit Francis.
Sur ce, le jeune homme éjacula sans même sortir *** sexe de la bouche de Carole qui avala avec bonheur. Après quoi, ce fut le tour de François et Christian.
- Allez ma belle, mets toi à genoux et ouvre grand ton bec.
Carole prit place au sol, releva la tête et ouvrit grand la bouche. Francois et Christian se mirent debout de chaque côté, positionnèrent leur gland aux commissures des lèvres de Carole et se masturbèrent frénétiquement pour provoquer l'éjaculation.
-Elle va venir la bonne crème pour Madame, dit Christian
Les deux hommes éjaculèrent presque en même temps une dose impressionnante de sperme dans la bouche de carole qui avala la totalité avec un plaisir non dissimulé, une fois les dernières gouttes récupérées.
-Oh la vache, elle aime boire le foutre la salope ! Tu savais ça Francis?, dit Christian
-Non les gars, je le découvre en même temps que vous.
-On pourra revenir avec des potes à nous pour lui remplir l'estomac quand tu veux si elle a une grosse faim, il suffit de nous appeler, dit Christian
-Bien noté les gars, j'y manquerai pas. En tout cas, merci à vous trois pour vous être occupé de ma femme ce soir.
- Pas de problème, c'est normal de rendre service à un bon copain.
Sur ces mots, les trois hommes se rhabillèrent et quittèrent le domicile de carole et Francis.
Une fois seule avec *** mari, Carole s'adressa à lui.
-Merci chéri, j'ai bien jouie.
-Moi aussi chérie, je t'aime, dit Francis en l'embrassant sur la bouche. Il te reste un peu de sperme sur le menton...là.
Carole se sentait soulagée, tout en récupérant le sperme avec *** doigt pour le porter à sa bouche, elle profita de la situation pour aborder le sujet qui la préoccupait.
- Au fait, chéri, qu'est-ce que tu as prévu de faire vendredi soir ?
A suivre.....

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,513
Up to the first message Down to the last message
Marché conclu dans un train




Cela faisait environ une heure que le train roulait dans la campagne. Des champs, des pâturages et des petites collines défilaient par la fenêtre du compartiment. Le contrôleur venait de poinçonner nos billets. Le compartiment prévu pour six per***nes en accueillait quatre. Elle et moi, ainsi que deux blacks approchant la trentaine ou l'ayant juste passée, assis côté à côte prêt de la porte. Ils étaient grands, élancés, et leur t-shirt moulant et leur bermuda cachaient deux corps qui semblaient très bien faits. Je les observais un instant et remarquais qu'ils se rinçaient l'œil sur un magazine pour adulte, bien que l'un d'entre eux cherchait à en dissimuler le titre avec sa grande main d'ébène. Elle ne semblait pas les avoir remarqués, plongée dans un livre, les jambes croisées car elle portait une robe blanche ornée de fleurs qui lui donnait des airs de « belle des champs. »

Je continuais à épier les deux lascars et l'un d'eux s'aperçut de mon inquisition. Gêné, je détournais le regard et lançais une banalité à ma copine à laquelle elle répondit promptement et se replongea aussitôt dans sa lecture. Ce coup-ci, je remarquais que c'était eux qui nous regardaient! Enfin j'eus plutôt l'impression qu'ils la reluquaient! Sous mes yeux! Je les affublais de nombreux adjectifs désagréables en pensée, et décidais de me lever pour aller faire un tour dans le couloir. Quand je passais à leur niveau, un des deux dit à l'autre quelque chose en créole ou bien en africain que je ne compris évidemment pas. Mais ils avaient l'air content! Ils étaient contents que je quitte le compartiment, pour mieux la zieuter! « Les enfoirés » me dis-je. En même temps que je proférais cette insulte, je fus surpris de constater que mon sexe tressautait légèrement dans mon pantalon. J'étais excité par l'idée qu'ils puissent la mater en mon absence et, étrangement, cela atténua la jalousie qui m'avait poussé à sortie du compartiment.

Je me baladais dans ce couloir étroit et désert, fis quelques allers-retours avant de me diriger aux toilettes. Pendant que je pissais mon esprit commença à s'emballer, je les imaginais s'être rapprochés d'elle afin de pouvoir mieux la lorgner. Je voyais même par projection mentale, un des noir qui mettait la main dans la poche de *** bermuda pour se tripoter le sexe. Je me surprenais à imaginer leur vit. J'étais sûr qu'ils étaient énormes ! Un sentiment de jalousie malsaine commença à m'envahir. Je rangeai ma verge dans mon falzar remarquant que ces pensées l'avait faite croître. Je ne pouvais pas sortir comme ça. Si quelqu'un se trouvait dans le couloir, il remarquerait ma bosse. Je la serrai entre mes cuisses pour refréner mon érection naissante, mais je continuais à me représenter mentalement des scènes qui me dégoûtaient, enrageaient, et aussi m'excitaient. Tant pis pour la bosse, je voulais vérifier ce qui se passait dans le compartiment.

Je traversais le couloir à grandes enjambées jusqu'à la porte de notre compartiment qu'il me semblait avoir laissée entrouverte... Elle était fermée! Un instant mon cœur s'arrêta de battre dans ma poitrine. « Les enculés! » marmonnais-je, prêt à tirer violemment sur la porte coulissante. Je me ravisais et décidais de regarder par un des côtés de la porte qui possédait une vitre, mais les rideaux bordeaux avaient été tirés des deux côtés. Cependant celui à ma gauche avait un coin relevé, découvrant un rectangle de vitre d'environ cinq centimètres sur trois. Je me baissai pour y coller mon œil gauche.
L'un des blacks était assis face à elle et semblait fixer *** entrejambe. Elle avait les jambes décroisées. « La salope! Elle sait qu'il la mate et elle aime ça.» Je réfléchissais à quel sous vêtement elle portait? Et je ne voyais que des strings. Des rouges, des blancs, des bleus, des transparents. L'autre black s'était rapproché d'elle et semblait lire par-dessus *** épaule. « Tu parles! Il doit reluquer ses petits nichons. » J'étais en colère après elle et en même temps très excité. A cet instant je bandais même comme un âne. Je regardais à droite et à gauche pour m'assurer que le couloir était toujours désert et retournais à mon espionnage. J'étais maintenant convaincu que le black en face d'elle scrutait sa culotte et que l'autre rivait ses yeux sur ses petits seins nus sous sa robe. Comment pourrait-il lire par-dessus *** épaule? Et comment s'était-il rapproché aussi prêt d'elle sans y être invité? Autant d'interrogations qui ne faisaient que grandir un sentiment de jalousie extrême et une excitation intense dans les plus infimes parties de mon être. Et surtout un besoin de savoir ce qui aurait pu se passer. Ils n'allaient tout de même pas la violer. A moins qu'elle se laisse faire. J'imaginais des choses pas très catholiques. Elle savait que j'allais revenir d'un instant à l'autre? Elle n'oserait pas quand mêm? Celui qui prétendait lire par-dessus *** épaule s'approcha d'elle, *** biceps effleurant le bras dénudé de ma copine et le salaud appuyait carrément *** épaule musclé contre la sienne sans quitter sa place. Ses yeux étaient rivés dans *** décolleté. Et elle continuait à faire comme s'il ne se passait rien! Je décidais de mettre un terme à cette scène qui me rendait fou de rage et là, alors que j'avais toujours l'œil collé à la vitre, *** regard croisa le mien une fraction de seconde. Elle se leva brusquement, tira sur sa robe et se dirigea vers la porte. J'arrêtais immédiatement de les épier et rampais pitoyablement avant d'essayer de me relever pour faire semblant d'arpenter le couloir comme si de rien n'était. Mais avant d'être complètement debout la porte s'ouvrit et elle sortit, un sourire que je ne lui connaissais pas aux coins des lèvres.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,514
Up to the first message Down to the last message
Je me sentis ridicule et décontenancé. Mon cerveau cherchait quelque chose d'intéressant à dire, voire de drôle, mais je n'avais pas envie de rigoler. Je voulais crier, hurler, lui dire que c'était une salope, la mettre plus bas que terre, la rouer de coups. Mes pensées fusaient si vite que je ne m'aperçus pas qu'elle s'était approchée de moi. Je le remarquais quand sa main se positionna entre mes jambes et pressa délicatement mes couilles. Comme toujours ce geste m'attendrit. Ces chiennes ont le don d'annihiler la colère masculine avec une bonne gâterie ou une partie de jambes osée. C'est peut-être pour cela que les hommes ***t souvent en colère...
Elle plongea *** regard bleu dans le mien tout en malaxant mes bijoux de famille et je crois que je devais sourire comme un niais. Elle approcha sa bouche de mon oreille. Je sentais *** souffle chaud qui s'engouffrait dans mes tympans et elle me susurra : « Avant de dire quoi que ce soit, laisse-moi aller jusqu'au bout de ce que je veux te dire, même si certaines parties de mon discours t'agacent, et le mot risque d'être faible, laisse moi aller jusqu'au bout. Sache que je respecterais ta décision finale. Alors qu'en dis-tu ? »
J'imaginais le pire mais vu qu'elle respecterait ma décision finale, je n'avais rien à perdre.

- Je t'écoute. Furent les mots qui sortirent de ma bouche.

- J'ai envie de me taper les deux blacks! Et je crois qu'ils en ont aussi envie! T'as vu comme ils me regardent! Je sais que je n'ai jamais fait des trucs comme ça, mais là je me sens prête. J'ai envie d'être leur pute pour un moment. Tu peux regarder. Même peut-être participer. Ça dépendra de mon humeur...

Elle s'arrêta net, certainement à cause du masque de rage qu'arborait mon visage. Je voulais la baffer, la traîner par les cheveux jusqu'à une porte de sortie et la foutre hors du train. J'espérais qu'un autre train passerait par là et désintégrerait *** corps de salope, éclaboussant de ses tripes et de *** sang de chienne la vitre de l'infortuné conducteur. D'une voix calme, elle me tira de mes rêveries assassines.

- Tu dois écouter jusqu'au bout, et de toute façon si tu ne veux pas, comme je te l'ai dit il ne se passera rien.

J'acquiesais et elle poursuivit *** discours tout en continuant à me tripoter les bourses. En fait, elle n'avait jamais arrêté et je remarquais que j'avais la verge qui tendait mon pantalon.

- Pour le moment je comprends que tu ne vas pas me donner le feu vert, mais j'ai quelque chose à te proposer. Si tu me laisses réaliser ce fantasme qui vient de naître dans mon esprit je te laisserais réaliser une fois le tien avec autant de femmes que tu le souhaites et pendant ce temps je serai ta chienne ou leur chienne toute dévouée. Je te laisse...

Avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase je lui donnais mon approbation car sur l'instant elle avait transformé ma jalousie et ma colère en une lubricité sans borne. Mon sexe me faisait mal tellement il était devenu raide et dur. Et puis la proposition était intéressante. Il me tardait que ce soit mon tour! Elle lâcha mon entrejambe, déposa un baiser furtif sur mes lèvres, me sourit et dit à haute voix d'un ton sévère:

- Mate nous comme tout à l'heure. Ce coup-ci ton voyeurisme sera satisfait.

Elle avait du quitter le compartiment pas plus de trois ou quatre minutes. Je retournais à mon petit bout de vitre et repris mon poste de voyeur. Elle reprit *** bouquin et s'assit en écartant amplement les jambes afin que celui face à elle puisse bien regarder cette fois ci. L'autre, comprenant ce qui allait leur arriver, ne se contenta plus d'appuyer *** épaule contre la sienne, il glissa sa grande main directement sur sa cuisse qu'il caressa à l'intérieur quelques secondes avant de remonter sous sa robe. Ma copine dit quelque chose à celui qui s'était enhardi et se tourna vers l'autre en lui demandant autre chose. Evidemment je ne voyais que ses lèvres remuer sans entendre le moindre *** et cela ajoutait de la tension érotique au spectacle qu'elle m'offrait. Je plongeais ma main dans mon pantalon palpant mon sexe en complète érection. Le black qui lui faisait fasse ouvrit la braguette de *** bermuda d'où jaillit un sexe flacide très sombre de circonférence hallucinante. J'imaginai comment elle devait être en érection. Ce que je n'allais pas tarder à voir car il se leva et fourra *** gourdin dans la bouche de ma femme tout en poussant sa tête avec ses grandes paluches pour qu'elle le pompe jusqu'au pubis tant que cela était encore possible. Au bout de cinq ou six allers retours il retira sa queue, laissa tomber *** bermuda sur les chevilles, et commença à se branler en approchant ses couilles de ma copine qui les goba, l'une après l'autre et les deux à la fois. Sa bite était vraiment énorme, très épaisse, digne des gros godes noirs que l'on peut trouver en sex-shops. L'autre devait enfoncer ses longs doigts dans *** con ou lui caresser le clitoris car elle se tortillait sous sa main. Elle léchait les couilles de l'autre et remontait le long de *** sexe hors norme en y baladant une langue experte couverte de salive. Elle s'attardait sur *** frein et le lui titillait en alternant pressions douces et fortes de la pointe de la langue. Il l'empoigna par les cheveux et lui dit un truc que j'imaginais salace et la força à engloutir ce chibre large qui lui distendait les joues. Elle avait la bouche grande ouverte comme si elle faisait une fellation à une canette de coca. Le black baisait sa bouche avec de petits coups de reins et l'obligeait à avaler presque la totalité de sa queue. De la voir faire des gorges profondes à ce chibre noir me filait une trique de tous les diables.

Celui qui baladait ses mains vers la chatte de ma copine avait exhibé *** sein droit en tirant sur le soutif avec les dents. Il l'aspirait à pleine bouche, mordillait le téton, le suçait, le léchait tout en continuant ses caresses sous la robe. J'imaginais deux doigts qui s'immisçaient dans la fente déjà humide. L'autre s'amusait maintenant à la gifler avec sa gigantesque pine noire qui aurait pu être un tentacule de créature des fonds marins. Elle embrassait ce gros sexe que le noir baladait sur *** visage. Elle sortit la langue qu'elle fit tourner lentement sur ses lèvres avant de la faire remonter des couilles au gland circoncis, en plusieurs allers retours, en gardant toujours un regard coquin pour le black qui se tordait de plaisir sous la bouche mouillée de cette traînée improvisée.

Puis, elle s'arrêta net, poussa celui qui lui tétait la poitrine et faisait je ne sais quoi sous sa robe, et cessa tout aussi brusquement de sucer l'autre. Puis elle se mit debout, tira une nouvelle fois sur sa robe et leur dit quelque chose. Le noir au gros sexe qui ballottait maintenant entre ses jambes tel un serpent accroché par la queue à une branche, recula et retira *** T- shirt dévoilant un corps imberbe aux muscles bien dessinés. Il devait mesurer dans les 1m90, possédait des épaules larges, des biceps développés par des heures passées à soulever de la fonte ou à effectuer un travail manuel éreintant, de robustes avant-bras qui se terminaient par de grandes mains aux doigts longs et effilés, des pectoraux puissants, des abdominaux sculptés comme ceux des athlètes de haut niveau, un cou imposant, une belle mâchoire carrée, des pommettes hautes, un front large, un petit nez épaté sans trop l'être, des cheveux coupés court comme *** pubis, des cuisses et jambes recouvertes d'un fin duvet de poil plantées sur de grands pieds capable de soutenir ce tas de muscles. Et ce gourdin! Il avait commencé à débander mais *** membre n'en restait pas moins éléphantesque. Il aurait fait pâlir le grand Rocco de jalousie.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,515
Up to the first message Down to the last message
Le second était en train de faire glisser *** boxer découvrant une belle queue, déjà très longue en semi érection. Il était beaucoup moins impressionnant physiquement: plus petit, moins costaud, mais avait un corps plus élancé, un visage plus fin, plus féminin, monté sur un cou délicat qu'une magnifique paire d'yeux coquins illuminaient.

Ma copine s'était assise sur la banquette face aux blacks qui se mettaient à poil pour elle, à ses ordres apparemment car elle continuait à leur dire des choses. Elle avait retroussé sa robe jusqu'aux hanches et se caressait les lèvres à travers *** petit string qu'elle finit par écarter pour enfoncer deux doigts dans sa petite moule. Elle leur dit quelque chose. Le moins costaud se mit à s'astiquer le manche, sa main droite montait et descendait le long de *** pénis gorgé de sang d'une longueur aussi impressionnante que la largeur de la bite de l'autre. Le noir au tentacule marin s'approcha de ma femme, posa les deux genoux à terre prêt de la banquette, attrapa ses cuisses pour amener *** entrejambe à *** visage. Il tira sur *** string qui se déchira, le jeta à terre, et plongea la tête entre les cuisses de ma belle. L'autre continuait à se branler énergiquement, *** pénis droit comme un i géant dépassait *** nombril de toute la longueur du gland. Mon regard retourna sur ma femme qui appuyait sur la tête du black qui lui bouffait la chatte. Elle ondulait des fesses, s'arc-boutait et écrasait la tête du costaud de service contre *** intimité certainement recouverte de cyprine. Elle fit signe au branleur de s'approcher.
Je bandais comme jamais. Ma main entière tripotait ma queue, je caressais le gland avec la paume de la main, ce qui m'agaçait et en même temps me procurait des sensations exquises, mes doigts caressaient mes couilles, s'amusaient à décalotter et calotter. « Bite longue » s'était approché de ma douce qui jouait avec la bouche autour de la couronne de *** gland. « Bite épaisse » avait toujours la tête entre ses jambes et lui léchait ou aspirait la vulve. Elle enfourna le sexe au fond de sa gorge et commença à effectuer un va et vient rapide qui semblait ravir « bite longue. » Le second promenait maintenait sa langue vers le clitoris et redescendait vers l'entrée du vagin en s'y introduisant de temps en temps. Elle se tourna vers moi et regarda dans ma direction, tirant sur les cheveux de « bite épaisse » pour qu'il lui lèche plus avidement le minou. En même temps l'autre tenait ma femme par les cheveux et lui baisait la bouche. Elle me fit signe de venir avec l'index. Je crois qu'il ne me fallut pas plus de cinq secondes pour me retrouver dans le compartiment le pantalon sur les chevilles, ma queue dressée dans les mains.

-Ca te plaît? Dis-le que ça te plaît de me voir entre les mains de ces deux étalons. Tu as vu leur grosse bite noire. Tu aimes me voir les sucer. Tu veux que je suce les deux en même temps?

Je l'avais déjà entendu me parler de manière crue pendant nos ébats amoureux, mais devant des inconnus, et qui participaient qui plus est, cela me troublait. J'étais mal à l'aise et excité comme rarement je l'avais été.

Je n'avais donné aucune réponse mais elle avait fait se relever l'homme à la bite d'éléphant et prenait les deux phallus en bouche, engloutissant les deux glands en même temps. Puis, elle ressortait la plus longue et en tapotait la plus épaisse, ce qui n'avait nullement l'air de gêner les deux blacks, certainement complices de baise à plusieurs reprises. Elle tenait chaque verge dans une main et s'amusait à frotter les glands, l'un contre l'autre, avant de les reprendre en bouche, les ressortir pour les lécher, jouer avec la langue sur la longueur, la circonférence, les couilles.

- Alors tu ne parles pas? Branle-toi plus vite. Maintenant j'ai envie qu'ils fourrent ma chatte. T'as envie de me voir baiser par ces deux queues? Dis-le.

Sans m'en rendre compte, ni vraiment le souhaiter, du moins à voix haute, je m'entendis dire un « oui je le veux » qui me surprit et me fit sourire. Elle s'était relevée et avait fait s'asseoir la plus épaisse queue à sa place et s'apprêter à s'y empaler, tournant le dos à *** partenaire improvisé de baise hardcore. Je voyais ce sexe disproportionné qui avait du mal à rentrer dans le vagin de ma tendre moitié. Elle ondulait du bassin autour du gland, essayant de ****** l'entrée, se relevait, recommençait, jusqu'à ce que je vis le gland entrer en entier. Elle resta un instant immobile, appréciant la lente dilatation de *** trou. Le black exposait ses seins qu'il malaxait. Cet énorme sexe noir contrastait avec la peau très claire de ma femme et cela me rendait à la fois, fou de jalousie et de désir. Elle demanda à l'autre de lui sucer les orteils, ce qu'il fit en ce mettant à quatre pattes comme s'il était un chien soumis. Elle se balançait de droite à gauche et, d'un seul coup, elle descendit jusqu'aux couilles de « bite épaisse » en poussant un râle de douleur ou de plaisir. Le plaisir d'être remplie par un engin aussi gros?

- Tu veux voir mon trou. Il doit être bien dilaté après avoir été pilonné de la sorte.

Elle se releva un instant, s'assit sur le black en se balançant en arrière pour me montrer *** vagin grand ouvert qui dégoulinait d'excitation. J'avais envie de lui bouffer la moule. Mais déjà elle se retournait et demander à « bite épaisse » de la prendre en levrette. « Bite longue » se mit de l'autre côté pour se faire pomper pendant que l'énorme bite black défonçait l'entrée du vagin de ma femme qui haletait à chaque assaut, sa chatte déversant sa lubricité sur ce phallus noir qui la baisait comme elle adore l'être: A quatre pattes, le cul en l'air.
Il jouait avec ses fesses, les écartant et les resserrant, examinant *** petit trou avec le majeur, pressant délicatement l'entrée de *** anus mais continuait ses allers retours violents qui faisaient tressaillir le corps entier de ma copine. L'autre se faisait branler et pomper en même temps. Ma femme utilisait ses deux mains pour astiquer ce long manche et il restait encore presque la place pour en utiliser une troisième. Il grognait de plaisir sous la bouche experte et gourmande de ma chérie qui l'astiquait et le suçait comme une folle pendant que l'autre labourait sa chatte à grands coups de rein bien placés. Elle se retira et s'allongea à même le sol les jambes repliées et relevées et demanda à « bite longue » de la pénétrer. « Baise-moi avec ton bâton! Je suis ta chienne pour un instant. Il ne se fit pas prier plus longtemps, mit un genou à terre et glissa sa queue dans la fente de ma femme. Elle y entra sans problème tant le terrain avait été préparé, déblayé conviendrait mieux, par « bite épaisse.»
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,516
Up to the first message Down to the last message
le locataire


Cette histoire date d'un mois. Je me présente, je m'appelle Jacques 44 ans, marié a Sophie 41 ans, parent d'un garçon qui viens de prendre *** envol.
Il y a quelque temps, nous avions fait une extension de notre habitation pour notre fils. Chambre avec douche plus une lingerie.
De ce fait, nous avions mis en location cette chambre depuis la rentrée pour un étudiant. La location fut vite prise et un jeune homme se prénommant Thomas était notre locataire. Il avait l'air sérieux et tout se passait bien.
Pour revenir sur notre couple, depuis le début de notre mariage, j'ai toujours souhaité exhiber ma petite femme. Au début, elle était très prude mais au fil du temps, il y a eut du changement. J'ai arrivé à lui faire abandonner ses collants pour des bas, puis avec de la patience, ses jupes se ***t raccourcies et même ses sous vêtements ***t devenus plus affriolants avec maintenant des chemisiers plus transparents pour apprécier la dentelle de ses sous vêtements. Il lui arrive même lors de nos weekend, lorsque nous sommes sur de ne pas être dérangés de la voir déambuler en guêpière dans la mai***, avec un léger peignoir.
Lorsque je l'accompagne dans les magasins de vêtements, lors de ses essayages; je profite a chaque fois de tirer le rideau au moment opportun pour l'exhiber en sous vêtements et a chaque fois j'espère qu'un ou plusieurs voyeurs profiteront de l'aubaine. A ces moments là, elle me traite de pervers mais ne se fâche jamais longtemps.
Cette histoire a commencé bizarrement. J'étais en train de ranger du matériel dans le fond de mon jardin quand subitement, j'aperçu une silhouette. Intrigué, je me dissimulais quand je reconnus notre locataire. Que faisait il derrière en ayant une entrée sur le devant ? Je fus vite fixé, il se dirigea directement vers la fenêtre de notre chambre et se dissimula derrière un thuya. A la façon de se positionner, je compris vite que ce ne devait pas être la première fois. Je me déplaçais doucement et m'approchant délicatement, je vis que la lumière de la chambre était allumée et ma petite Sophie, nue venant de sortir de sa douche, était en train de se sécher. Notre locataire avait sorti *** sexe et se masturbait doucement. Cela confirma qu'il devait être coutumier du fait pour mater ma femme. J'étais flatté mais le bruit de craquement d'une branche sur laquelle je venais de marcher, lui fit tourner la tête dans ma direction. Il m'aperçu, pris peur, se réajusta puis disparut.
Cette affaire me trotta dans la tête toute la soirée et le soir au moment du coucher, volontairement j'entrouvris un peu les rideaux et demanda a Sophie de mettre sa guêpière puis je lui fis l'amour en laissant la lumière allumée. Elle voulait que j'éteigne mais pour la rassurer, je lui rappelais que nous étions à l'arrière de la mai*** et le terrain était complètement clôturé, donc il n'y avait rien à craindre. Au plus profond de moi, j'espérais que notre locataire était là et je l'avoue, je fus plus performant ce soir là.
La nuit porte conseil et le matin en me réveillant, j'avais pris une décision, j'avais décidé d'aller plus loin. En allant chez le boulanger, je croisais notre locataire qui essayait de m'éviter. Je l'interpellais en lui disant que j'avais deux mots a lui dire, je le vis blanchir. A la sortie du boulanger, je l'invitais à venir boire quelque chose au café qui était au coin, tout de suite, je pris un ascendant sur lui en l'obligeant à m'avouer depuis combien de temps il matait Sophie. Il m'avoua que cela faisait un mois qu'il profitait du spectacle. La deuxième question fusa aussitôt, à chaque fois tu te masturbes ? La réponse fut oui, de plus est ce que tu es revenu voir hier soir pendant que je faisais l'amour a ma femme ? La tête baissée, il avoua qu'il avait même éjaculé deux fois.
J'étais aux anges. Puis, je me surpris à lui poser la question à savoir s'il voulait baisser Sophie. Là *** regard remonta et me fixant dans les yeux, il m'avoua qu'il ne pensait qu'a ca.
Je lui expliquais donc le plan que j'avais muri depuis le matin. Il devait partir le samedi matin comme s'il partait en weekend, puis laisser sa voiture dans la rue, revenir a pied, passer par derrière et attendre à 15h00 précise à la porte de service.
Toute la semaine me parut interminable. Le samedi, j'étais anxieux, j'espérais que mon plan allait se dérouler comme prévu. En fin de matinée, je demandais à Sophie de mettre sa guêpière. Au début, elle refusa rétorquant qu'il y avait le locataire. Pour la rassurer, je lui indiquais que je l'avais rencontré la veille et qu'il était reparti dans sa famille. Pour me faire plaisir, elle alla se changer. Je bandais comme un fou. Un peu avant 15H00, je demandais expressément a Sophie si elle avait lavé mes affaires de travail, sa réponse fut négative et elle se dirigea vers la lingerie, je jubilais, après quelques instants je la rejoignais dans la lingerie. Elle était à quatre pattes devant la machine. Aussitôt, je me mis à la caresser. Tout en continuant de charger la machine sans se soustraire, elle me traita de cochon. J'entrepris de saisir un torchon dans le bac de linge, aussitôt j'en fis un bandeau avec lequel je lui couvris les yeux. Sophie se laissa faire, je me relevais en lui demandant de ne pas bouger et le sang battant dans ma tête, je me dirigeais vers la porte de service. En l'ouvrant, je vis notre locataire, lui faisant signe de ne faire aucun bruit, je l'invitais à me suivre. Un petit coup d'œil discret dans la lingerie me confirma que Sophie n'avait pas bougé, et là, chose que je n'aurais jamais pensé au plus profond de mes phantasmes, je me vis faire signe au petit jeune qu'il pouvait y aller. De suite il se libéra de ses vêtements et là je vis qu'il était bien doté par la nature. *** sexe était un peu plus long que le mien mais nettement plus gros et plus nervuré. Il se positionna derrière Sophie et joua à le faire aller de bas en haut en prenant bien soin à chaque passage d'exciter *** petit clitoris. En peu de temps, la respiration de ma petite femme s'accéléra et donnant des coups de bassin en arrière me demandant de la prendre, il ne s'en priva pas et doucement, il pénétra ma moitié. Lorsqu'il fut au fond, il commença à la pistonner doucement puis accéléra. Sophie était aux anges. Elle fit la remarque que j'étais un gros salaud car j'étais drôlement excité, elle avait la sensation que j'étais plus en forme que d'habitude. Excité, je l'étais et j'avais sorti mon sexe que je masturbais devant ce spectacle incroyable. Je m'approchais de notre locataire pour pouvoir donner le change avec ma voix pour ne pas la faire douter et je la traitais de salope, et de toutes sortes de mots qui déclenchèrent *** premier orgasme. Notre locataire augmenta encore la cadence. J'étais stupéfait de le voir tenir ainsi. Car souvent, après avoir fait jouir ma femme, je prends mon plaisir et ca s'arrête. Mais la, il entreprit de se saisir des ses seins tout en la pistonnant profondément. Il jouait avec ses tétons, puis voyant le plaisir monter à nouveau, les pinça. Ce qui déclencha un nouvel orgasme bruyant, il venait de faire jouir ma femme deux fois en peu de temps et il continuait toujours à la pénétrer. Il ralentit le rythme mais il la pénétrait totalement. A chaque fois qu'il était au fond, j'entendais un petit feulement sortir de la bouche de Sophie. Puis je le vis humecter *** doigt puis venir flatter sa rondelle. Il appuya doucement et *** doigt entra dans *** fondement. Elle me traita à nouveau de salaud et sa respiration s'activa de nouveau. Il retira *** doigt qui fut remplacé par *** sexe. Doucement il poussa, je vis la tête rentrer puis le reste suivi. Petit à petit, *** sexe pris possession de *** cul. Sophie respirait de plus en plus vite. Le locataire commença doucement puis activa la cadence, j'étais en transe, au bord de l'éjaculation. Sans réfléchir, je me mis devant Sophie et lui retirait *** bandeau. Elle comprit tout de suite qu'il y avait une anomalie, car quelqu'un était toujours en elle et j'étais devant *** visage. Jetant un coup d'œil à l'arrière, elle me demanda de le faire arrêter car il avait l'âge de notre fils. Mais moi trop excité, je la traitais de salope car elle avait joui déjà deux fois et qu'elle s'en prenait plein le cul. Le locataire accéléra la cadence, ce qui déclencha des spasmes chez Sophie, je vis ses yeux se révulser et dans un râle profond elle monta au septième ciel, je me soulageais sur *** visage et dans ses cheveux.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,517
Up to the first message Down to the last message
Le soir pendant tout le repas, le regard de Sophie me fuyait. Au lit, je me mis à la caresser et doucement je revins sur l'aventure de cet après-midi. A lui rappeler ses aventures, je me rendis compte qu'elle mouillait beaucoup, plus que d'habitude et la traitant de grosse salope, qu'elle s'était livrée a un petit jeune les yeux bandes, elle jouis presque aussitôt sous mes doigts. M'étant excité moi-même, j'entrepris de la pénétrer aussitôt. Je la traitais de tout les noms et je voyais que cela lui faisait de l'effet.
Je l'obligeais à dire tout haut qu'elle était une grosse salope en manque et docilement, elle le répéta, plus fort
« Je suis une grosse salope en manque »
Plus fort
« Je suis une grosse salope en manque »
J'étais excité au plus haut point, le rideau de la chambre était entrebâillé et après avoir crié comme ça notre locataire qui était je suis sur, devant la fenêtre pouvait savoir qu'il avait une grosse salope comme propriétaire. Sentant *** plaisir monter, je dis tout haut que j'allais livrer ma petite bonne le mercredi après-midi en guêpière pour faire le ménage. J'obligeais Sophie à accepter et a répéter tout haut ce qu'elle allait faire le mercredi après-midi quand le locataire n'a pas cours.
Je serais sa petite bonne, le mercredi après midi, je serais sa soubrette, je ferais *** ménage et plus s'il veut
Plus fort
« Je serais sa chose »
Et dans un spasme profond, elle s'effondra sur le lit, pendant que je me vidais en elle.
J'attendis le mercredi soir avec impatience. En rentrant, en voyant les cernes sous ses yeux, il ne fallait pas être dupe pour voir que Sophie avait fait l'amour fortement.
Au lit, elle m'avoua que le locataire lui avait demande de lui faire un streap-tease, puis elle avait dû lui faire une fellation a genou devant le fauteuil pendant qu'il regardait la télé. Puis il l'avait prise pratiquement dans toutes les positions possibles, c'était un amant formidable et de plus bien monté, il avait pris un ascendant sur elle car il avait bien compris que pour la faire jouir plusieurs fois, il l'avilissait en la traitant de salope, d'exhibitionniste, qu'il lui en fallait de la queue a un folle du cul comme ça. Tous ces mots dans sa tête la rendaient encore plus accessible. Il lui a même dit que le mercredi suivant, il allait lui faire une surprise et qu'elle devrait venir avec sa guêpière. J'étais excité, mes plus gros phantasmes se réalisaient.
Le mercredi suivant, j'étais encore plus excité que la semaine précédente et en franchissant le seuil, je fus étonné de ne pas voir Sophie. Après un moment d'inquiétude, je finis par la retrouver endormie dans notre lit, les cheveux en bataille, elle portait encore sa guêpière, *** visage était ainsi que ses cheveux maculés de sperme. Le lit était défait. Sur la table de nuit gisaient les vibromasseurs avec lesquels nous jouons de temps en temps, je compris vite la situation. Elle avait fait ça dans notre lit conjugal. Je la réveillais doucement et des qu'elle me vit, elle se mit à pleurer. Au bout de quelques minutes après s'être calmée un peu, elle me raconta avec une voix tremblante *** après midi.
Comme convenu, elle était chez le locataire en guêpière. Comme la semaine précédente, il avait pris possession de *** corps quand elle entendit taper à la porte. Avec un large sourire, il lui dit que c'était la surprise. Affolée, elle se cacha dans la douche, la porte du studio s'ouvra et elle entendit distinctement deux voix inconnues, elle était paniquée, une des voix demanda si la petite soubrette était là. Le locataire pris les devant en leur disant de payer avant de s'amuser et elle entendit des bruissements de billets. Le salaud, il était en train de se faire payer et allait la livrer à des inconnus. La porte de la salle de bain s'ouvrit et la prenant par le bras tout en lui disant qu'une grosse cochonne comme elle, allait connaitre l'extase en devenant la chose de trois hommes. Arrivée devant les deux autres garçons, qui étaient a peu prés du même âge que le locataire, un silence pesant, tomba. Leurs yeux étaient fixés sur moi et un sourire malicieux apparaissait sur leurs visages. Tout à coup, six mains prirent possession de mon corps, une main était déjà entre mes cuisses, d'autres me caressaient les seins en étirant mes tétons, pendant que d'autres me caressaient le corps et me flattaient le cul. La sensation d'être caressée ainsi m'amena aussitôt a l'orgasme, une grande satisfaction se lisait sur leurs visages. L'un des garçons félicita même notre locataire d'avoir déniché une grosse vicieuse. Les mots ré***naient dans ma tête et me stimulaient encore plus. Puis ce fut la curée, je fus prise dans toutes les positions, dés que l'un avait pris *** plaisir, un autre le remplaçait, elle ne pouvait même plus dire le nombre de fois qu'elle avait jouie. A un moment, l'un des deux inconnus me demanda si j'avais un caméscope. Devant ma réponse positive, ravi, il proposa à ses amis de faire un film. Il me demanda d'aller le chercher. Le deuxième proposa de me suivre et c'est ainsi qu'ils débarquèrent dans notre chambre. Je fus filmée sous toutes les coutures même qu'à un moment ils posèrent le caméscope sur la table de nuit en direction du lit et ils me prirent à trois en même temps. L'un me sodomisait, l'autre me pénétrait par devant et j'avais le troisième en bouche. D'être ainsi a leurs merci je m'effondrais en jouissant très profondément, après un des deux plus curieux, informa ses camarades qu'une salope de mon genre devait avoir ses petits gadgets cachés quelque part et en fouillant, il découvrit la boite ou je mets mes vibromasseurs, ils m'obligèrent à me pénétrer avec l'un pendant qu'un des gars me sodomisait avec un autre. Le deuxième gars n'en perdait pas une miette en me filmant en gros plan et quand j'entendis le locataire dire qu'il allait mettre la vidéo sur un site porno en proposant mes services à des vieux vicieux prés à payer pour s'offrir une grosse salope, je sentais monter le plaisir à grand pas. Le locataire m'obligea même à dire devant la camera que j'étais une femme gourmande et disponible avec de gros besoins et que je savais satisfaire tous les vices. Le fait de le répéter devant l'objectif, un pied merveilleux me tétanisa et j'explosais bruyamment.
Aussitôt, les trois compères excités, me reprirent dans toutes les positions et se soulagèrent sur mon visage et dans mes cheveux. C'est ainsi que tu m'as retrouvé.
J'étais furieux de ce qui venait de se passer mais en même temps super excité, car *** histoire m'avait tellement stimulé que j'avais éjaculé dans mon slip sans me toucher.
J'ai revu mon locataire et il m'a fait des éloges sur ma femme et gonflé, il m'a proposé de partir un weekend avec Sophie car suite a sa vidéo qu'il a posté sur le net, il avait reçu énormément de propositions dont une pour ce weekend, pour offrir ma femme a un homme de soixante ans qui lui a proposé de l'argent, il eut même le culot de me proposer de partager avec moi si j'étais d'accord.

Il me laisse jusqu'à demain pour lui donner une réponse. Je suis tiraillé entre deux choses. L'une, virer ce petit goujat et l'autre pervertir cette petite Sophie, qui je le reconnais devient bien plus gourmande, mais est ce que mon couple résistera a ces dérives ?
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,518
Up to the first message Down to the last message
Madame,le maire



Sylvie, la secrétaire de direction, très belle brune de vingt quatre ans, s'aperçoit d'un changement dans le comportement de Madame le maire. Le look déjà, mais aussi un léger flottement dans l'organisation du travail.
Alors qu'elle n'aurai jamais laisser un dossier en attente, là, les papiers trainent sur le bureau. Elle remarque aussi, que deux fois par semaine, elle quitte la mairie vers dix sept heures trente. Un soir, elle décide de la suivre, et arrive jusqu'à la cabane en bois. Elle connait bien l'endroit pour y être venu se faire baiser par Richard. Elle colle *** oreille à la porte, et entend Natacha gémir de plaisir, proférer des mots obscènes, supplier qu'il la prenne encore.
"Ben dit dont, se dit Sylvie, Madame le maire aime le sexe. C'est intéressant ça.
Elle décide de contacter Richard pour lui proposer un deal. Comment profiter de la situation. Le temps d'un rendez-vous câlin, elle monte un plan avec lui. Il faut qu'il donne l'impression de n'être au courant de rien.
Deux jours plus tard, vers dix huit heures, Natacha rejoint Richard pour qu'il lui donne sa dose. Les deux amants ***t en plein ébats amoureux, quand soudain, Sylvie surgit de la douche.
-Tiens, je ne rêve pas, Madame le maire. Dit dont, elle a la cuisse légère.
Tant bien que mal, Natacha essaie de cacher sa nudité en tirant le drap sur elle. Mais il est trop tard.
-Quel sujet de conversation demain au bureau, sourit Sylvie. Allez, tchao.
-Non, arrête, supplie Natacha. Ce n'est pas ce que tu crois. J'avais un problème à régler.
-Mais je crois rien ma chère. Je vois simplement que vous êtes en train de vous le faire
mettre. c'est tout.
-Calme toi, demande Richard. Tu veux quoi au juste? Tu veux que ça se sache, c'est ça?
-J'aimerai bien jouer avec elle moi aussi, reprend Sylvie. Surtout qu'elle a l'air réceptive,
Natacha sent le sol se dérober sous elle. Elle se blottit dans les bras de *** amant. Elle ne voit pas le sourire plein de vice, et le clin d'oeil que s'échangent les deux complices. Vaincue, elle s'écroule sur les tapis' et décide de s'abandonner. C'est vrai qu'elle est très réceptive.

-Mon dieu, gémit Natacha, si tu savais ce qu'elle me fait. Elle a tout décalotté mon clitoris.
-Oh,mais la chatte de Madame le maire est pleine de mouille, sourit Sylvie. Comme elle
est chaude. Vous sentez comme mes doigts glissent dans vos lèvres. Et si je vous en
mettez un troisième. Là, comme ça ma chérie, c'est bon de se faire branler, même à
vôtre âge, hein? Allez vilaine, remuez bien vôtre cul.
Natacha s'agite de plus en plus sur le tapis. Elle se fait prendre par sa secrétaire, et elle se régale. Elle jouit.
-Oui..ha..ha.je crache..oui..tu me fais jouir..t'arrête pas, haa...
-Madame le maire avait une grosse envie. Tenez, léchez mes doigts . Goutez vôtre mouille.
C'est bon, hein? Et toi Richard, qu'est-ce-que tu attends pour te faire tailler une pipe. Moi
j'en ai pas fini avec elle. Je vais m'amuser un peu avec *** clitoris. Tu vas l'entendre
gueuler.
Sylvie rit aux éclats en voyant Natacha s'agiter dans tout les sens. Elle la tient par la chatte et le bouton du bout des doigts.
-Oh mais c'est que vous aimez vous faire doigter aussi. Si vous voyiez vôtre clito dans quel état
je vous l'ai mis. Il est dur, tout rouge , bien décalotté. On va bien s'amuser au bureau toute
les deux. Je vous conseille d'être obéissante,OK?
Natacha a de la difficulté à répondre, tant la queue de Richard est enfoncée profondément dans sa bouche, entièrement décalottée. Ses couilles tapent contre les lèvres. On distingue la forme du gland qui déforme les joues à l'intérieur. Puis, des jets de spermes, puissants giclent au fond de sa gorge. Natacha avale tout.
-Ha, quelle pute, regarde comme elle me vide les couilles, oh putain, qu'est-ce-qu'elle
est bonne. Meilleure que sa fille.
L'orgasme de Natacha est terrible. Des cascades de mouilles s'échappent de sa chatte en feu. Elle ne se maitrise plus. Ses jambes ripent sur les tapis. Elle est couverte de sueur. Des larmes perlent sur ses joues.
-Ouaou, dit Sylvie, Madame le maire a une sacrée pêche. Elle en voudrait pas encore,
des fois?
-Si..si..je vous en prie, donnez moi encore. Mon petit trou, per***ne ne s'en est
occupé, il en veut lui aussi. je ferai ce que vous voudrez, mais niquez moi, enculez moi.
Sylvie pose ses conditions quant aux relations au bureau. Dans l'intimité, elle veut Natacha soumise. Madame le maire accepte. Les deux jeunes gens vont la faire crier le reste de la soirée. Bien sur, Richard va se faire un plaisir de l'enculer.

L'interphone de Sylvie ***ne. Elle sait que c'est Natacha.
-Oui madame le maire, c'est pourquoi? Un besoin urgent.
-Oh Sylvie, si tu savais, ma chatte est toute mouillée. Tu peux venir t'en occuper s'il te plait.
-Mais bien sur Madame le maire, préparez vous. Jupe enroulée autour de la taille, jambes
bien écartées, pas de string, évidemment. Vous avez pensé à bien épiler vôtre petit minou?
Bien, j'arrive.
Sylvie entre dans le bureau de Natacha. Celle-ci a ses jambes passées par dessus les accoudoirs du fauteuil. On aperçoit les lèvres humides, légèrement ouvertes.
-Je voulais décalotter mon clitoris, mais je préfère que ce soit toi qui me le fasse. Regarde
ma minette dans quel état elle est.
Sylvie s'avance, se penche sur Natacha. Effectivement, la chatte est bien baveuse. Elle se place légèrement derrière elle, et glisse une main entre les cuisses offertes. Elle saisit le clitoris, qu'elle libère de sa capuche.
-Hum..soupire Natacha, que c'est bon. Pince le ce salaud.
-Madame le maire est une petite vicieuse. Elle aime se faire doigter, hein? Vous voulez
que je vous tape une bonne branlette. Après, je vais bien vous ouvrir le petit trou, d'accord.
Vous allez être la plus belle gouine de la mairie, petite pute. Oh, excusez moi, ça m'a
échappé.
-Non, vas-y, parle moi mal. Fesse moi, je le mérite. Prend moi comme l'autre fois, avec
trois doigts, quatre si tu veux, fait moi gueuler.

La porte du bureau s'ouvre sans bruit. C'est Henry, le premier adjoint, black de cinquante deux ans. Décidément, Sylvie a tout prévu.


chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,519
Up to the first message Down to the last message
Le mec de ma fille


Notre fille, Josette, âgée de 21 ans, était venu nous rejoindre à la campagne, pour quelques jours, mon mari et moi. Nous étions bien heureux de cette visite, les occasions de se voir étaient si rares depuis *** départ de la mai***, il y avait déjà trois ans. Toutefois cette visite était un peu ombragée par la présence inattendue d'un copain, Marc, grand escogriffe, plutôt maigre mais musclé, aux cheveux ébouriffés, portant une barbe courte de quelques jours et vêtu de cuir et de jean. À peine plus âgé que notre fille, il parlait peu, avait des manières brusques et m'occasionnait un profond malaise.


Le repas et la soirée furent sans histoires, sinon que j'avais remarqué les regards discrets mais particuliers de Marc. Certes à 45 ans je n'étais plus de première jeunesse, mais ayant toujours pris soin de ma per***ne, je n'avais aucune honte de mes courbes et me considérait encore comme une belle femme. Manifestement, Marc partageait cette perception et mon malaise en augmenta d'autant. Josette et Marc étant sorti tard en soirée, mon mari et moi étions au lit depuis longtemps lors de leur retour à la mai***.


Le lendemain, comme de coutume, je me suis levée aux premières lueurs du jour et après les dispositions habituelles et un premier café, je me suis rendu à la salle d'eau pour y prendre ma douche quotidienne. Notre vieille mai*** de campagne, toute en pierres, avait été rénovée mais la complexité des travaux nous avait obligés à faire quelques concessions d'aménagement. Ainsi, la salle d'eau, avait été installée près de la cuisine, dans un appentis à l'arrière de la mai***.


Comme nous vivions seuls, nous avions nos habitudes bien ancrées, et ce matin là, j'entrai dans la salle d'eau sans refermer la porte ni engager la serrure. Après m'être dévêtue, j'entrai dans la douche pour mes ablutions quotidiennes, d'une durée habituelle de trente minutes. Au bout d'à peine quelques minutes, en me savonnant sous le jet délicat de la douche, je me retournai et je vis au travers de la porte vitrée, une grande silhouette que je reconnus sans peine comme étant Marc. Je restai figée et après de longs instants, Marc referma la porte de la salle d'eau, retira *** slip et entra sous la douche.


Au moment où il ouvrit cette porte, je détaillai en un instant *** corps mince et musclé. *** pénis en érection, d'une grosseur et d'une taille supérieure à la normale, attira immédiatement mon regard. Ayant refermé la porte, il me regarda longuement sans dire un mot. Puis, il tendit la main vers ma poitrine. Au contact de ses doigts, mes mamelons se durcirent instantanément, provoquant une sérieuse crampe dans mon vagin. Gênée et hésitant entre crier, me sauver ou m'abandonner, je me retournai et me blottis contre la paroi de la douche, lui demandant à voix basse de me laisser. Au contraire, Marc s'avanca tout contre moi, *** pénis se frayant un passage entre mes fesses que je tenais aussi serrée que possible. Ses mains se frayèrent un chemin vers mes seins et mon intimité. Je résistai de mon mieux, mais pas de toutes mes énergies : je voulais, je ne voulais pas... Marc était un étranger et jamais encore, après plus de 25 ans de mariage, je n'avais trompé mon mari.


Devant ma résistance, Marc m'enlaça le bas ventre d'un bras et immobilisa mes deux poignets au-dessus de ma tête avec *** autre main. Puis il se pencha légèrement, plaça *** gland à l'entrée de mon anus, lequel était encore vierge de toute pénétration. En se relevant, il exerça une pression énorme et entreprit de se frayer un chemin par ce passage. Je protestai à voix basse, tellement basse qu'il ne put rien entendre. Je me relevai autant que possible, sur le bout des orteils et je tentai même de grimper sur la paroi pour échapper à la pression. J'y parvins un bref instant, mais ayant perdu pied, je retombai. L'eau qui s'écoulait sur nos corps en provenance de la douche était un excellent lubrifiant et en retombant, je m'empalai d'un trait sur toute la longueur de *** membre. La douleur fut beaucoup moindre que prévue et, comme Marc s'activait en retirant *** pénis jusqu'au gland puis en l'enfonçant à nouveau, je m'abandonnai, en tentant de conserver mon équilibre. Je le laissai fouailler mes entrailles selon *** bon vouloir.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,520
Up to the first message Down to the last message
Tout en continuant le vigoureux ramonage de mon rectum, Marc explora adroitement de ses doigts mon vagin, mes lèvres et mon clitoris. Ce dernier fut agressé tantôt avec douceur puis avec violence, comme l'intérieur de mon vagin, où il trouva sans peine le point le plus sensible. En même temps, il me proféra des obscénités dans l'oreille, nous comparant moi et ma fille, décrivant avec soin les jouissances avec Josette et me félicitant d'être beaucoup plus salope que ma fille. Il savait y faire et je jouis, longtemps, geignant, à la fois honteuse et soumise. J'adorai être enculée malgré ma honte. Après de longues minutes, il libéra mes poignets et enfila ses deux bras sous les miens. Consolidant *** emprise, il s'enfonça *********** dans mon cul, me soulevant littéralement avec *** membre, étirant mon anus à l'extrême et s'immobilisant ; je ressentis enfin ses tressaillements de jouissance. Après une longue période d'attente, empalée à fond sur *** pénis et pleinement consciente que mon cul avait été vaincu par ses assauts, il me reposa délicatement. Je me retournai entre ses bras et je l'embrassai longuement pendant que, d'une main, je nettoyai tendrement *** pénis. Au bout de quelques instants, nos lèvres toujours soudées, je sentis *** membre reprendre de la vigueur et il m'ordonna de lui faire une fellation pour lui prouver que j'étais meilleure que ma fille. Toujours sous l'eau de la douche, agenouillée devant lui, j'entrepris de le contenter.


Quel membre ! Je l'aurais avalé avec délectation. J'entrepris une longue caresse du bout de la langue, tout autour du gland et de là jusqu'à la base de la queue. D'une main, je massai ses couilles, alors que de l'autre, je massai et étirai *** membre. Tout cela alors que ma bouche avalais et palpais ce chibre vibrant de vie. Marc me repoussa soudain et je le crus enfin déterminé à me prendre. Mais non ! Il m'empoigna la taille et me bascula cul par-dessus tête, plaçant mes jambes sur ses épaules, de chaque coté de sa tête, sa face directement enfoncée au plus profond de mon intimité. Je me retrouvai en 69 debout, face à *** membre que j'avalai à nouveau avec délectation. Sa langue s'acharna sur mon clitoris et mon vagin pendant que je le suçai de mon mieux. L'eau chaude de la douche sur mon dos, sa langue et mon excitation furent un cocktail explosif : je jouis à répétition et avec une telle violence que je fus incapable de compléter ma fellation.


Marc me déposa ensuite sur le sol, écarta mes jambes et me pris lentement, profondément, complètement. Il s'enfonça en moi en se tortillant doucement entre mes jambes, ce qui eut pour effet d'élargir le passage, d'exacerber mes parois et de compléter sa totale domination sur moi. Puis Marc me quitta, repu et sans coeur, me laissant étendue sur le sol, nue, mouillée, écartelée et ouverte par tous les trous. L'eau ne coulait plus et il faisait chaud. Il me fallu longtemps pour récupérer et retourner dans la mai***.


Heureusement j'étais seul, Marc étant retourné se coucher avec ma fille. J'eus le temps de me refaire une toilette avant le réveil général. En fin de journée, Josette et Marc décidèrent de retourner à la ville. Un peu avant leur départ, Marc vint me dire bonjour dans la cuisine. Malgré la présence de Josée et de mon mari dans la pièce voisine, le goujat m'empoigna par la taille et m'embrassa pendant que *** autre main s'enfonça sous mes sous-vêtements. En quelques secondes je fus caressée et palpée aux seins, au ventre, aux fesses et à la vulve, ses doigts s'enfonçant tour à tour dans mon vagin puis dans mon cul. Je fus presque totalement déshabillée. Je l'aurais bien laissé faire et franchement, je regrettai qu'il me laissa ainsi pantelante pour aller rejoindre Josette.


Marc et Josette se quittèrent quelques mois plus tard et depuis je n'ai plus de nouvelles de lui. Toutefois, il faut avouer que pendant la période où il fréquenta Josette, Marc vint très souvent à la campagne et il me fit subir autant de fois les pires outrages. Je n'offris jamais la moindre résistance, je ne refusai jamais la moindre de ses initiatives et je ne regrettai jamais cet épisode un tumultueux de ma vie... Dieu que c'était bon !

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,521
Up to the first message Down to the last message
Apprentissage en chantier


Je suis au collège et je suis en stage dans le bâtiment.

Je travaille avec des hommes du Maghreb qui dorment dans des baraques de chantier, ils ***t très gentils, il y en a un avec de grosses moustaches qui me regarde avec un drôle d'air.

Le chef, qui est aussi mon responsable de stage, me dit :

- Je ne veux pas te voir en short comme la semaine dernière, même s'il fait chaud. Tu travailles bien, ce serait dommage que tu aies des problèmes. Tu collabores avec des types qui n'ont ni chèvres ni femmes, ne viens pas te plaindre. Et retourne au travail.

Il me donne un bleu de travail et des chaussures de sécurité. Je ne comprends rien à ce qu'il me dit.

Quelques semaines plus tard, je regarde des images de femmes nues collées dans les WC en me branlant, quand je m'aperçois qu'on me regarde par un trou dans la cloi***.

Je me rhabille vite fait et sort prestement. Il est là devant moi, me barrant le passage, se lissant la moustache. Le regard dur, sans un mot, il prend ma main fermement et la plaque sur la bosse que fait *** sexe sous *** pantalon. Je me sens rougir et la retire prestement.

Il dégrafe sa braguette et sort une généreuse queue au gland décalotté. Il pose ma main dessus, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, doucement il les fait coulisser sur toute sa longueur.

- Branle-moi !

Je m'active, *** regard planté dans le mien.

- C'est bien, tu es drôlement mignon !

Il déboutonne mon bleu et le baisse avec mon slip à mi-cuisses.

- Tu es encore plus mignon comme ça !

Je suis tétanisé, il me pétrit les couilles et la queue avec vigueur. Sous ses caresses je ne tarde pas à bander, malgré la peur d'être surpris. Comme s'il avait lu dans mes pensées, il me pousse dans les WC, place sa queue sous mes couilles, saisit mes hanches et fait coulisser *** gros gland dur et chaud entre mes cuisses. Je suis impressionné par la dureté de sa queue, je bande.

Très vite, il murmure des mots incompréhensibles, grogne, inonde mon entre-cuisses et le bas de ma raie de chaude liqueur, il remonte mon slip, mon pantalon et me plante là en criant "à la prochaine !".

Les fesses et l'entrejambes englués de *** sperme, je retourne au boulot. Per***ne ne me regarde, je travaille soulagé.


Depuis ce jour, il ne se passe pas une journée sans que sa main frôle discrètement mes fesses et mon sexe. À table, quand il est à côté de moi, il tripote ma braguette ou prend ma main et la pose sur la bosse de *** pantalon, je me sens rougir j'ai peur que les autres s'en aperçoivent et n'ose retirer ma main. De plus en plus entreprenant, Moustache m'entraîne dans les endroits isolés et sombres.

- Allez, mon mignon !

Paralysé par la peur, je le laisse baisser mon pantalon et sa queue vigoureuse coulisse entre l'entrejambes enduit de sa liqueur. Je retourne au boulot.


Au 5ème sous-sol, occupé à nettoyer un regard, un bruit me fait sursauter. Je me redresse, il est devant moi.

Terrifié, je le regarde ouvrir sa braguette et sortir sa queue, pointer *** gland énorme vers mon visage. Il effleure mes lèvres, ne laissant aucun doute sur ses intentions.

- Allez mon mignon ! Suce !

*** gland frappe mes joues et presse mes lèvres. Épouvanté, je desserre les dents. *** noeud envahit ma bouche, il passe une main derrière ma nuque et enfonce sa bite au fond de ma gorge, ce qui me fait tousser.

- Ouvre ta bouche !

À chaque aller-retour, *** gland touche ma glotte, ce qui me fait éructer et monter les larmes aux yeux. Les jointures de mes lèvres me fond mal. Un jet brûlant frappe le fond de ma gorge. Surpris par la quantité je m'étrangle, tousse et ingurgite sa liqueur au goût poivré jusqu'à la dernière goutte.

C'est les lèvres en feu que je regagne la surface.


Un autre jour, dans un local où ***t entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant :

- Baisse ton pantalon !

Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.

- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !

Il me pousse sur une bobine, des claques s'abattent à toutes volées sur mes fesses qui rougissent et me brûlent.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,522
Up to the first message Down to the last message
- Tu as un cul prometteur ! Bien rebondi !

Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie.

- Ça te plaît de te faire graisser le cul !

Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écartent, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et d'un coup il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.

- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !

Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant.


Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, les Portugais veulent que je goûte au porto, on mangent du couscous, des Italiens que je ne connais pas me font boire du vin de leur pays. Nous sommes tous plus ou moins enivrés.

Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.

- Quand le gland passe, tout passe !, plaisantent-ils de plus belle.

Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je fris***ne sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détend, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, *** gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.

Je crie "À l'aide ! À l'aide !"

J'entends une voix dire "Il s'est fait embourbé la petite lune !". Des rires fusent.

Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur *** passage.

Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce ti*** ardent qui ********* mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.

Je crie ma détresse.

Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle ? Articule !", et ils rigolent.

Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir.

De dehors me parviennent les rires et les quolibets.

Je n'ai plus la ***** de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste *** élasticité avec *** pouce. Il s'exclame :

- Tu as un beau cul ! Ta rondelle est très élastique ! Pousse ! Pousse ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne peux pas résister à une aussi jolie fleur bleue !

*** gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.

Chevillé à ce pieu, je me détend. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille :

- C'est mieux qu'un doigt ! Tu es une vraie libellule ! Ton silence en dit long !

Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, *** gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.



Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec *** gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive est de ta faute. Allez, met-toi à quatre pattes."

Asservi, je prend la pose. Je me crispe quand je sens *** gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.

- Tu ne gueules plus.

Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.

- Allez, crie, ça m'excite.

Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.

- Allez, braille.

Il me claque les fesses à toutes volées. J'hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.

C'est la première fois que je jouis avec une telle violence, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à *** pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."

Puis, plus tranchant, il me dit "vas te laver le cul". Je vais me laver, vexé. Il s'approche, me regarde et me dit :

- Tu as un beau cul, tu as la rosette encore ouverte. Si tu as encore un peu mal au cul, maintenant que le passage est ouvert, pas la peine de te plaindre : dans une heure ça ira mieux. À moins que tu te fasses encore enculer, avec tout le ramdam que tu as fais, tous ceux qui ***t dehors ***t au courant. Et saouls comme ils ***t, ça ne m'étonnerait pas qu'ils veuillent te baiser. Allez je me casse, et ne reste pas trop longtemps à poil.

Je suis resté seul un peu désabusé.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,523 · Edited by: chrislebo
Up to the first message Down to the last message
La prise de poste


Début juin, j'ai la pression, c'est aujourd'hui que je prends officiellement mon poste de chef de service. Déjà hier j'ai fait connaissance avec une partie du per***nel, essentiellement des femmes !! Je me réjouissais à l'avance mais hélas j'ai bien vite déchanté car ce n'étaient pas des canons, loin de là !!!
Aujourd'hui je dois rencontrer la secrétaire, une femme de 58 ans, nous devons passer la journée à voir l'organisation du service donc c'est pas la joie.
Je stationne ma voiture à une centaine de mètres du bureau et au moment ou je finis ma man'uvre, je vois passer une femme très élégante avec de longs cheveux blonds bouclés et des mèches rouges. Mon regard suit sa démarche et je devine sous sa veste d'été une jolie silhouette, je me surprends à rêver !!!
Le temps de descendre de ma voiture et je l'ai perdue de vue, dommage!!
Je ***ne pour pénétrer dans les bureaux, n'ayant pas encore la clé, et une agréable voix féminine me demande qui je suis et ce que je veux. Je m'annonce et aussitôt la porte s'ouvre, je grimpe l'escalier pour accéder aux bureaux et qui vois je en haut de l'escalier : ma belle inconnue aux longs cheveux blonds.
Très agréablement surpris je me présente
- Stéphane, le nouveau chef de service , et vous êtes ??
- Catherine, je suis la secrétaire, mais vous pouvez m'appeler Cathy c'est plus court.
Je la regardais, complètement abasourdis, et elle s'en inquiéta
- Que vous arrive-t'il ? demanda-t'elle.
- Excusez moi mais je croyais que la secrétaire était une femme plus agée !!
- C'est bien moi !! répondit-elle dans un charmant sourire.
- Je suis vraiment désolé de ma réaction mais je m'attendais à voir une mamie aux cheveux gris et avec un ouvrage de couture à portée de mains répondis-je en riant à mon tour, mais je ne regrette pas du tout la petite mamie !!!
- Merci du compliment me répond-elle en rougissant légèrement. Puis elle me propose de prendre un café pour mieux faire connaissance.
Elle file dans le coin cuisine après m'avoir conduit à mon bureau et me dit qu'elle m'attend pour le café.
J'inspecte les lieux, pose ma sacoche puis décide de la rejoindre.
En passant devant le secrétariat, j'aperçois sa veste posée sur sa chaise, j'ai hâte de voir si mes suppositions sur sa silhouette ***t justes.
Bingo!! quand je franchis la porte je l'aperçois de profil et là j'ai un choc!!!
Sa silhouette est effectivement très mince ce qui déjà est rare pour une femme de *** age, mais elle arbore une jolie petite poitrine (je dirais 85c, à vue d'oeil) qui a l'air très ferme. Et cerise sur le gâteau elle est dotée d'une croupe magnifique !!! Un petit cul rond extraordinairement cambré (comme Jennifer Lopez) à faire fantasmer le plus blasé des sodomites !!!
Quand elle se tourne vers moi je vois qu'elle porte un léger tee-shirt avec un joli décolleté qui offre une vue plongeante sur ses deux jolis seins mise en valeur par un soutien gorge dont on devine la forme sous le léger vêtement.
Puis elle se retourne pour prendre la boite de sucre et j'ai alors une vue superbe sur *** petit cul moulé dans un pantalon de cuir ultra souple.
J'ai la gorge sèche et les mains moites et je dois faire un énorme effort de volonté pour ne pas la saisir dans mes bras et caresser ce corps voluptueux, mais cela aurait été mal venu, aussi je me mis à discuter de choses et d'autres et la journée passa très rapidement du fait de la quantité de travail que nous avions devant nous.
Mais au fond de moi je me jurais de faire tout mon possible pour la séduire tout en prenant mon temps.

Les jours et les semaines passèrent et je m'aperçus que tous les jours de la semaine sauf le mardi, si elle était toujours habillée avec chic et élégance, variant tous les jours ses vêtements, elle restait classe mais pas sexy.
Et le mardi, le jour ou nous étions seuls toute la journée, elle arborait des tenues beaucoup plus osées.

Ce mardi de septembre le temps est magnifique et la température est déjà très élevée. Je me suis habillé léger, pantalon de toile et légère chemisette. Cathy m'a prévenue qu'elle serait en retard et j'attends avec impatience *** arrivée afin de vérifier ma théorie sur le fait qu'elle s'habille différemment ce jour là. Si ce n'est pas pour me plaire alors pourquoi ?
Je suis bien décidé à tenter ma chance si tel est le cas.

Enfin j'entends la porte du bas s'ouvrir et mon c'ur accélère, je l'entends monter l'escalier, ouvrir *** bureau, mettre sa veste au porte manteau puis m'appeler
- Stéphane, vous êtes là ?
- Oui lui répondis-je, je suis dans mon bureau j'arrive, le café est prêt vous pouvez nous servir.
Je l'entends se diriger vers la cuisine et je m'y rends précipitamment.

Là divine surprise !!! Elle s'est habillée très sexy, un tee-shirt moulant blanc avec un profond décolleté mettant en valeur ses seins. Le tee-shirt est tellement moulant qu'il dessine parfaitement ses beaux fruits d'amour, d'autant plus qu'elle n'a pas mis de soutien gorge !!! Les tétons pointent avec orgueil et sa poitrine ne s'affaisse pas du tout.
Mon regard est attiré comme par un puissant aimant, et à ce moment elle se retourne pour prendre les tasses fumantes et à cette occasion je vois la partie face et quel spectacle : elle porte un léger pantalon de lin presque transparent ample à partir des cuisses mais hyper moulant au niveau de sa croupe d'enfer. Tellement que la couture centrale s'enfonce entre les deux globes de chair, je vois aussi qu'elle porte un string blanc.
- Tu es superbe lui dis-je, en adoptant le tutoiement et en lorgnant sans vergogne ses magnifiques appâts
- Merci je me rends compte qu'effectivement je te fais de l'effet me dit elle en souriant et en fixant la bosse qui se développe à toute vitesse dans mon pantalon.

Je m'avance vers elle et la prend dans mes bras puis nous nous embras***s avec passion, mes mains courent sur *** corps je prends un sein à pleine main tandis que de l'autre je caresse ses fesses.
Je bande comme un âne et bientôt je sens une main se poser sur ma bite, remonter au zip de ma braguette, le tirer vers le bas, s'insinuer par l'ouverture et sortir ma bite
- Elle est énorme ! murmure Cathy en se reculant légèrement pour mieux l'observer.
- Viens dans mon bureau. Je lui ordonne.
Nous filons dans le bureau après nous être assuré que les locaux ***t verrouillés, aussitôt à l'intérieur je ferme la porte, me tourne vers elle et reprends notre baiser torride en la palpant sous toutes les coutures alors qu'elle me branle doucement avec ses deux mains.

*********** j'interromps notre baiser et je lui demande d'un ton ferme.
- Qui est le chef ici ? Rponds !
- C'est toi me répond-t-elle d'une petite voix.
- Si je te donnes un ordre, que fais tu ?
- J'obéis sans discuter !
- Ok alors : à poil et vite !!!
Elle me regarde puis fais passer *** tee shirt par dessus ses épaules, dégrafe *** pantalon le baisse puis l'enlève se retrouvant avec juste *** minuscule string blanc et ses escarpins à haut talon.
- Garde ton string !! Et tourne sur toi que je te vois bien.
Cathy s'exécute avec grâce, un léger sourire sur *** jolie visage, elle tourne doucement sur elle même en écartant les bras, elle est superbe !!
A la vue de ce magnifique spectacle je me masturbe doucement puis je m'assois dans mon fauteuil les jambes écartées et lui fais signe d'approcher.
Quand Cathy est debout devant moi je lui ordonne :
- A genoux et suce !
Docile elle s'agenouille, contemple ma bite dressée à quelques centimètres de *** visage la prend dans une main, dépose de petits baisers sur le gland turgescent, le mordille très légèrement tandis que *** autre main soupèse mes bourses puis elle ouvre la bouche et avale lentement la colonne de chair.
Je n'en crois pas mes yeux, ma bite est pourtant énorme mais elle arrive à l'avaler entièrement et une fois qu'elle a tout avalé, commence un doux va et vient, alors que sa langue danse une véritable farandole autour du gland.

Je suis aux anges, ma petite secrétaire me suce à la perfection je pose une main sur sa tête et je mate *** corps superbe seulement vêtu de *** mini string.

Je lui ordonne de se cambrer au maximum, elle obéit aussitôt et je pose mon autre main sur *** cul d'enfer.

Ses mouvements de succion s'accélèrent et ses seins ballotent au gré de ses va et vient, ma main se glisse sous le string et découvre une véritable inondation.
- Petite salope tu mouilles !!! m'écriais-je.
Pour toute réponse elle plonge à nouveau sur ma bite et me suce de plus belle.
A ce moment d'intense jubilation, catastrophe mon téléphone ***ne, Cathy veut interrompre sa fellation mais je maintiens la pression sur sa tête en lui ordonnant :
- Continue petite salope n'arrête surtout pas !!

Je retire ma main de sa chatte et regarde qui se permet de me déranger à ce moment crucial.

Fred c'est mon pote Fred vivant actuellement au canada qui m'appelle. Bien que le moment soit mal choisi, je lui réponds avec une petite idée en tête, tout en maintenant avec fermeté la tête de ma suceuse.

Cathy, matée, reprend *** activité de plus belle.

- Hello Fred, comment vas tu ?
- Hello Stéphane, ça va bien et toi ?
- oh moi ça va on ne peut mieux.
- Ton nouveau job se passe bien.
- Que oui !!! Si tu savais ce que fais en ce moment tu serais vert !!!
- Ah oui! raconte !!
- Eh bien je suis assis à mon bureau et ma petite secrétaire chérie pratique sur moi une fellation divine.
(Je sens Cathy se crisper quand elle entend mes paroles, je lui ordonne de ne pas s'interrompre.)

- C'est pas vrai ! Décris moi la scène que je m'imagine.
- Comme je te l'ais dit je suis assis et Cathy est agenouillée entre mes jambes et me suce avec application. Elle arrive à avaler toue ma longueur !
- Elle est bonne alors quand on connait ton engin ça tient de l'exploit.
- Super bonne cette petite salope et en plus elle n'a plus qu'un string et je mate comme un fou.
- Mets lui l'écouteur à l'oreille je veux lui parler.
- Ok je garde l'autre écouteur tu peux lui parler.
- Super ! bonjour Cathy surtout ne t'interromps pas et écoute moi bien, Steph m'avait parlé de toi, combien il te trouvait superbe et surtout qu'il avait très envie de toi, il m'avait même envoyé une photo et c'est vrai que tu es canon. Alors maintenant je veux qu'il te prenne en photo pendant que tu le suces et qu'il me l'envoie par mail.
- Ok pour moi lui répondis-je, je vais même en envoyer plusieurs, tu pourras voir *** petit cul il est sublime.
On va même se connecter et je vais brancher ma cam comme ça tu verras tout
- Génial, qui sait peut être qu'un jour je viendrais vous rendre visite !
- Pas de problème à tous les deux on lui fera voir le septième ciel
Une fois la cam branchée je me remis à l'ouvrage et je dis d'un ton autoritaire.
- Maintenant tu vas me sucer à fond et tu avaleras tout.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,524
Up to the first message Down to the last message
La cam est en marche, Fred se régale déja, je me penche vers Cathy et lui dit.
- Tu vas me sucer à fond.
Elle lève *** regard sur moi, cesse sa fellation et me répond :
- Je n'avale pas !!
Aussitôt je prends ses longs cheveux en une natte improvisée et je la ***** à reprendre sa pipe.
- Je te dis que tu vas tout avaler, ici c'est moi le chef, alors suce !!!
Comme elle veut répondre je lui donne une bonne claque sur les fesses et lui dit
- On ne parle pas la bouche pleine.
Matée elle reprend ses mouvements de va et vient le long de mon gourdin en me massant les couilles d'une main.
Fred se manifeste :
- Ouais tu l'as bien matée cette petite salope, tourne un peu la cam, voila c'est bien je vois la scène de 3/4, c'est super j'ai une vue imprenable sur *** cul et j'aperçois ses seins qui ballotent au gré de sa fellation, pince lui les bouts et redonne lui une fessée !
Ce que je m'empresse de faire, je fais rouler le téton entre mon pouce et mon index et de l'autre main je donne une vigoureuse claque sur ses magnifiques globes fessiers, je vois la trace de mes doigts, Fred aussi je l'entends s'exclamer :
- Regarde elle a l'air d'apprécier !!!
En effet, Cathy gémit et se tortille en tous sens et ses gémissements ne ***t pas de douleurs !!
Je l'interpelle :
- Tu as l'air d'aimer petite pute !!
- "Ouiiii" répond-elle en recrachant ma bite, "J'adoooooreeee", puis elle replonge,
Ma main caresse maintenant les globes jumeaux et s'insinue sous le mini string, je trouve une véritable inondation, un puis deux puis trois doigts pénètre sa chatte trempée tandis que mon pouce caresse doucement *** petit bourgeon, elle se tortille de plus en plus en gémissant, je modifie la position de ma main et mon puce part en exploration un peu plus haut et trouve le petit oeillet palpitant, mon pouce redescend dans la chatte inondée, prend le plus possible de mouille et remonte au petit trou, le caresse et devant sa bonne volonté commence à s'y enfonce
Cathy pousse un véritable rugissement
Fred crie que c'est super, c'est une pipe qui restera dans les anales
Moi je sens monter une terrible pression, j'enfonce mon sexe au fond de la gorge de Cathy, je lui tiens fermement la nuque afin qu'elle ne puisse pas reculer, mon pouce fait des allers retours dans *** petit cul et mes autres doigts lui défonce la chatte et soudain dans un cri
- Je vieeeens ouiiii continue n'arrête pas
Je sens à ce moment un torrent de sperme envahir la bouche couler au fond de la gorge de mon experte fellatrice.
Elle déglutit péniblement, courageusement elle continue de me pomper, essayant de ne pas perdre une goutte du précieux liquide.
J'entends Fred dire combien c'était superbe à voir et regretter amèrement d'être si loin de nous
Cathy, consciencieusement continue d'avaler le flot impétueux qui fini quand même par se tarir, elle me lèche la hampe sur toute sa longueur puis lèche à leur tour mes couilles vidées, remonte le long du mat en donnant des petits bisous de ci de là, une petite coulée de sperme glisse à la commissure de ses lèvres, elle est magnifique!!!
- Tu vois que tu as tout avalé petite gourmande!!
- "C'était génial" me dit-elle avec *** plus beau sourire, "J'aime être dominée mais gentiment".
- Je m'en étais aperçu ma belle dis je en la prenant dans mes bras
Fred était scotché devant sa cam attendant la suite
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,525
Up to the first message Down to the last message
Fred était scotché devant sa cam, Cathy s'était lovée dans mes bras et moi même je dois dire que j'avais un peu de peine à reprendre pied.

Reprenant mes esprits je caressais le corps voluptueux de ma belle fellatrice, m'attardant sur ses seins pleins et lourds que je soupesais chacun leur tour puis je m'attardais sur les tétons insolemment dressés et je les fis rouler entre mes doigts pour finir par les pincer doucement.

Ma belle secrétaire commença à réagir et je l'entendis pousser quelques soupirs puis des gémissements de plaisir.

Ma main droite abandonne *** sein puis descend le long de *** corps en suivant les délicieuses courbes de ses hanches épanouies, puis glisse vers *** ventre plat et glisse sur le string trempé de ma jolie suceuse.

Ma main remonte légèrement puis se glisse sous le fragile bout de tissus et descend lentement vers l'antre des délices.

Sous mes doigts avides je sens la peau nue et l'absence de toute pilosité, j'adore!!!, je tourne mon visage vers ma cam et m'adressant à Fred :
- Cette petite salope est entièrement épilée !!
- C'est vrai ? me demande-t'il avec un regard plein de lubricité, Fais voir me supplie-t'il.

Alors je tourne Cathy face à la cam et très lentement, centimètre par centimètre, je fais glisser le minuscule dernier rempart de la féminité de ma jolie secrétaire.

Elle se laisse aller contre moi et quand elle apparait dans sa splendide nudité, je la fais tourner sur elle même afin d'admirer *** corps voluptueux et d'en faire profiter Fred qui à plusieurs milliers de kilomètres de là profite de la vue merveilleuse de ce corps épanoui.

- Elle est magnifique dit-il les yeux rivés sur *** écran, je réserve dès demain un billet pour la France, j'ai hâte de toucher cette peau soyeuse et de profiter avec toi de cette jolie petite salope dit-il d'un ton affectueux.

- Tu vas avoir un avant gout de ce qui t'attend lui dis-je.

Puis je je prends ma jolie Cathy et je l'allonge sur le dos, sur le bureau, elle fris***ne au contact du bois, mais se laisse aller, la tête pendant dans le vide et les jambes écartées, je la contemple un moment et je demande à Fred s'il a une bonne vue et il m'assure que oui. Je le vois sortir une nouvelle fois *** sexe et commencer à se branler doucement.

Cathy regarde sa main glisser le long de sa hampe et s'humecte les lèvres avec sa langue en avançant sa main vers l'écran comme pour le masturber à travers l'écran.

La scène est torride et la température monte d'un cran.

je m'agenouille entre les jambes de ma jolie secrétaire et prenant ses cuisses à pleines mains je les écarte puis les poses sur mes épaules.

- Bouffe lui la chatte me crie Fred.

Ce que je m'empresse de faire. Commençant d'abord par humer ses odeurs intimes, puis donnant des petits coups de langue sur *** petit bourgeon qui pointe, je le pince délicatement avec mes lèvres puis le mordille légèrement et finit par l'aspirer.

ma fellatrice commence à bouger sérieusement, sa main se pose sur ma tête m'invitant à continuer ma besogne, je sens *** désir monter, ses gémissements augmentent et je la sens partir vers la jouissance, alors vicieusement je cesse mes caresses à *** grand dam,

- Continue, n'arrête pas ! me crie-t'elle.

Sournoisement je fais mine de ne pas l'entendre et me contente de fixer sa grotte ruisselante, enfin devant ses supplications je condescends à donner de petits coups de langue sur *** clito puis j'écarte ses grandes lèvres et glisse ma langue dans la fente trempée.

Je la lèche, je l'aspire, je bois *** jus, puis je me relève le visage luisant de sa mouille délicieuse puis m'approchant de *** visage je l'embrasse pour qu'elle goutte *** jus puis je lui demande de me lécher le visage pour le nettoyer ce qu'elle fait avec empressement.

Fred continue de s'astiquer en marmonnant : quelle superbe salope !!!

je retourne vers sa chatte, et reprend ma position, ses jambes largement écartées, que je plie, ses genoux touchant ses épaules, elle est merveilleusement impudique.

De ma position j'ai une vue magnifique sur sa chatte béante et trempée et je vois sa mouille coulée jusqu'à *** petit trou qui palpite.

Cédant à mas pulsions, je glisse un puis deux doigts dans sa chatte et je commence à la limer, mes doigts ***t poisseux, alors je je rentre mon pouce à *** tour dans la chatte en feu puis le ressort luisant de secrétions et sans hésiter je l'enfonce dans le petit oeillet palpitant.

Ma beauté a un sursaut et gémis de plaisir, alors je doigte sa chatte et *** petit trou en même temps, tout en m'assurant que Fred ne perd pas une miette du spectacle.

Ma jolie suceuse tourne sa tête dans tous les sens *** bassin mime les plaisirs de la possession et me supplie de la prendre de suite au moment ou j'aspire *** clito.

- Tu veux de la bite salope tu vas en avoir !!

Sur ces paroles je lui écarte les cuisses et plonge d'une seule et violente poussée au fond de chatte.

Elle hurle.

Je ressors puis plonge à nouveau dans *** fourneau brulant, *** gémissement est maintenant ininterrompu, alors je ressors puis la prenant je la fais se retourner, et prenant ses hanches un peu grasses à pleine main je la prends tout aussi violemment en levrette, m'arrangeant pour que Fred ait une vue de 3/4, afin qu'il voit mon sexe s'enfoncer dans sa chatte béante et qu'il puisse admirer le balancement de ses seins lourds sous mes coups de boutoirs

- Vas y défonce là cette petite chienne, donne lui un avant gout de ce qui l'attend quand je serais là !!!

Cathy n'en peu plus elle jouit sans discontinuer sous mes assauts et aussi de sentir que Fred ne perd pas une miette du spectacle offert.

La sentant partir une nouvelle fois, je la couche sur le coté, puis prenant une cuisse, je la lève avec mon bras dégageant une vue imprenable sur *** petit trou.

Je prends ma bite en main et approche le gland du petit oeillet fripé

Comprenant mes intentions :

- Vas doucement me supplie-t'elle je ne l'ai jamais fait.

Ne sentant plus ma joie et fort de cet accord tacite, je pose le gland et commence à pousser doucement, je la sens se contracter, mais comme elle avait abondamment mouillé précédemment, mon gland a pénétré facilement *** sphincter, elle a poussé un petit cri de douleur alors je me suis arrêté et j'ai caressé ses fesses et ses cuisses, la laissant se détendre quand je l'ai senti relaxée j'ai recommencé ma poussée et "oh miracle", mon sexe s'est enfoncé sans difficulté au fond de *** petit cul, alors je suis ressorti pour la reprendre sauvagement, elle a hurlé, j'ai recommencé plusieurs fois de suite, jusqu'à ce que ses cris de douleurs se changent en cris de plaisirs

Repensant à Fred qui me criait de lui défoncer le cul je la fis mettre à quatre pattes face à la caméra, si bien que Fred avait *** visage en gros plan sur *** écran.

alors je pris Cathy par les hanches et m'enfonçais violemment dans sa chatte, elle ouvrit grand la bouche et Fred pouvait voir cette bouche ouverte sur l'écran juste devant sa queue dressée.

Alors je ressortis de sa chatte trempée et je l'enculai à grands coups de bite, elle hurlait maintenant de plaisir, me suppliant de lui défoncer *** petit cul ce dont je ne me privais pas.

Fred de *** coté se branlait frénétiquement et soudain cria :
- Je viens !! Ouvre la bouche salope et avale tout ! En envoyant de puissants jets de sperme sur l'écran.

Cathy voyant les jets de sperme couler sur l'écran se mit à lécher celui ci comme si elle pouvait avaler le sperme jaillit à des milliers de kilomètres de là.

A la vue de ce spectacle particulièrement érotique je jouis à mon tour dans *** petit cul en hurlant.

Cette journée mémorable est restée notre secret à tous les trois et maintenant j'attends avec impatience l'arrivée de Fred prévue pour cet été. Mais si moi je suis impatient, ma merveilleuse secrétaire l'est encore plus à l'idée de ce que l'on va lui faire subir.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,526
Up to the first message Down to the last message
La naissance d'une esclave



Le double au tennis
Cela faisait un petit moment que je désirais voir ma chérie jouer au tennis. Un jour de travail sans intérêt je demandais une autorisation d'absence à mon chef. Et je quittai le travail pour aller voir ma chérie jouer en double mixte.
Je profitais de ma moto pour arriver par un petit chemin qui dominait le cours. La partie semblait bien engagée. Il y avait peu d'échanges et les services se succédaient assez vite. Mais bizarrement seuls les hommes servaient. Etonné je décidais de m'approcher discrètement au travers des petits bois qui bordaient le cours.
La scène semblait ************ partenaire se préparer à servir pendant que ma femme dans la position de la vraie tennis woman, penchée en avant, bougeant d'un pied sur l'autre, les fesses en arrière lui présentait ses fesses quasiment nues la jupette de tennis bien remontée sur sa taille...
J'étais ahurie de ce spectacle. Ma femme s'offrant ainsi à un inconnu ! Idiot que j'étais un inconnu pour moi, pas pour elle.
Au changement de service, les joueurs ont tourné et j'ai vu le même manège avec l'autre paire du double. La femme avait de belles fesses et savait les remuer, à chaque point gagnant le serveur lui caressait ostensiblement l'entrejambe.
Je décidais de m'approcher encore plus quand je vis un jeune homme caché qui profitait du spectacle. Je le rejoignais en silence et quand il me vit, il me fit signe de me cacher à coté de lui et de faire silence.
J'avais envie de lui arracher *** appareil photo, mais le spectacle sur le court devenait vraiment incroyable.
Je voyais ma femme embrasser *** partenaire pendant que celui-ci lui pressait ses fesses. La partie semblait terminée, je voulais me lever pour hurler quand le jeune homme me dit :
"Attendez le plus beau est à venir, ils vont baiser dans la clairière à côté !"
"Suivez moi, c'est un spectacle rare, je fais toujours une bonne cinquantaine de photos"
Pourquoi je le suivais je ne sais pas, je voulais voir quoi ? Ma femme me faire cocu, baisait avec un inconnu ?
Apres quelques instants, je les voyais tous les quatre se caressaient.
Ma femme retirait un string que je ne lui connaissais pas, elle écartait ses jambes, l'autre femme se mit à lui lécher *** sexe, pendant que ma femme, ma femme!, s'occupait de deux beaux sexes bien tendus.
Sa bouche allait de l'un à l'autre, je voyais bien ses lèvres suçaient ces sexes avidement.
Mon sexe se mettait à durcir à ce spectacle. J'étais un voyeur qui regarder sa femme sucer des hommes, et cela me faisait bander terriblement.
Un homme s'allongeait par terre et je voyais ma femme s'accroupir sur le sexe, sa chatte avalait rapidement le dard et elle se mettait à bouger.
L'autre homme lui mettait *** sexe dans la bouche et elle, elle!, caressait la chatte de l'autre femme.
Je n'en pouvais plus tellement je bandais je sortais mon sexe pour me masturber, tant pis pour le jeune homme.
Celui ci me regardait faire, il s'approchait de moi et se mit à me caresser les couilles puis il écarta mes mains de mon sexe et doucement le glissa dans sa bouche.
Je ne savais plus où j'étais, ma femme se tapait deux mecs et moi sucer par un homme!!!
Sa bouche était douce sur mon gland, et le spectacle dans la clairière évoluait.
Ma femme s'était allongée sur un partenaire et visiblement l'autre allait la sodomiser.
Je pensais que je rêvais ma femme en double pénétration !!!
Ah je comprenais mieux *** intérêt pour les doubles en tennis, je devrais dire double en pénis...
Je voyais le membre se glissait entre les fesses et puis prendre un lent va et vient.
Ma femme poussait de petits cris et puis se mit à lécher le sexe grand ouvert que lui présentait sa partenaire debout devant elle les jambes bien écartées.
Ni tenant plus je jouissais dans la bouche du jeune homme, qui appréciait visiblement la chose.
J'étais dans un brouillard complet, je venais de voir ma femme se comportait comme une professionnelle du sexe, moi-même sucé par un homme...Je perdais mes repères.
Dans ce brouillard, je voyais le jeune homme qui lui aussi avait sorti *** sexe et se masturber à grande allure. Il ne quittait pas le spectacle offert par les 4 protagonistes du tennis. Il finissait par éjaculer une quantité de sperme qui m'étonnait fortement.
J'avoue que je ne savais plus quoi faire.
Au bout d'un instant le jeune homme me donnait une carte avec *** numéro de téléphone et une clé USB.
"Dans la clé il y a des photos et des films de ces 4 per***nes, vous les regardez et puis on se revoit pour que je puisse récupérer la clé ! Et peut-être faire plus ample connaissance ?"
Je suis parti vers ma moto sans un regard vers la clairière, je ne voulais plus voir ma femme, oh non!
J'ai roulé la tête un peu vide, et puis lentement, de manière insidieuse j'ai trouvé comment profiter du spectacle offert. J'ai vu le profit possible de cette aventure, il allait falloir jouer la partie finement .J'aurais vite la réponse, mon idée avait pris forme, si cela passait j'allais pouvoir réaliser tous mes fantasmes sexuels.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,527
Up to the first message Down to the last message
le retour de Madame
Je garais ma moto dans le garage et en attendant *** retour je branchais la clé USB sur mon téléviseur. Quel spectacle ! Le jeune voyeur avait une sacré collection de photos et films où l'on pouvait voir ma femme s'adonner à des pratiques osées. Mes sentiments étaient partagés entre colère et désir de voir ces images qui m'hypnotisaient . Quand j'ai entendu sa voiture, je suis allé l'attendre derrière la porte d'entrée. Je voulais la mettre sous pression dès *** arrivée. Quand la porte s'est ouverte, elle fut surprise de ma présence et aussitôt annonça *** désir d'aller se doucher. Elle ne me demandait même pas la rai*** de ma présence à la mai***. Je lui dis que la douche attendrait car à la télé passait quelque chose d'intéressant et que je voulais qu'elle regarde.
Quand elle vit les photos défiler, elle tomba à genou et resta livide.
« Tu vois, c'est passionnant de voir sa femme en vraie salope, tu vas regarder et m'expliquer. »
Elle restait muette, la bouche légèrement ouverte avec une respiration saccadée.
Je m'asseyais dans le canapé et je regardais ma femme et les photos qui défilaient. On la voyait sucer *** partenaire, le lécher, la bouche pleine de sperme, se faire enfiler dans toutes les positions. Et là, une érection me prit, j'avais le sexe tendu, il me faisait mal. Alors j'ai baissé mon pantalon et mon slip et je lui ai dit :
« Suce moi pendant que je regarde ces images »
Tout allait dépendre de sa réaction, si elle obéissait je savais qu'elle serait alors mon esclave, sinon il ne resterait qu'à nous séparer.
Je voyais *** visage se tournait vers moi, des larmes dans les yeux, elle s'approchait de moi et au bout de quelques instants elle approchait sa bouche de mon sexe. Avant de commencer, elle dit « Salop ! »
Sa bouche me suçait le gland et je lui énonçais mes règles.
« A partir de maintenant tu feras tout ce que je veux, sans jamais protester, tu pourras continuer à faire tes doubles, mais en dehors de ces parties c'est moi qui prendrait les décisions pour le sexe »
Elle s'arrêta de me sucer, me regarda longuement. Elle devait réfléchir, pesait le pour ou le contre...
Elle reprit sa fellation...
J'avais gagné !
Maintenant qu'elle me suçait, et me sachant le maître, j'avais envie de plus de choses. Je lui demandais de tourner *** cul vers moi. Je relevais sa courte jupette de tennis et je voyais *** string. Je passais mon doigt sur ce fin tissu et je le trouvais humide. Je glissai ma main vers sa chatte et je la trouvais trempée. Je la ressortais et la portais à mes narines. Cela sentait le sperme.
« Combien de fois, ils t'ont baisé tes partenaires ? Chienne que tu es »
« 4 fois »
« Et ta chatte est pleine de foutre, ton cul aussi »
« Oui, je ne me suis pas lavée »
« Cela m'excite, ma salope de femme. Tu vas profiter maintenant de régimes spéciaux »
Je glissais 2 doigts dans *** sexe, je lui massais *** clitoris. Quand je retirais ma main, mes doigts étaient poisseux.
« Tu es excitée ou c'est le sperme des autres ? »
« Je suis excitée, je ne comprends pas ce qui m'arrive ! Tu aurais du me chasser et là tu me caresses et je te suces »
« Tu comprendras vite ma chérie, tu es mon esclave maintenant . Tu feras tout ce que je veux »
« J'ai peur...de toi »
« Non, ta chatte et ton cul doivent avoir peur, mais ce ne sera que du sexe. Maintenant tais toi et suce moi à fond. Ecartes bien tes jambes que je vois ta chatte grande ouverte »
Pendant qu'elle me suçait, délicieusement, je lui annonçais la première punition. Cela a eu pour effet de l'exciter d'avantage. Mais je refusais de lui donner du plaisir. Je lui ordonnais de continuer à me sucer. J'ai joui dans sa bouche à grands jets de sperme, elle m'a regardé en laissant couler du sperme le long de *** visage, puis elle a sorti sa langue avec une grosse goutte de sperme au bout. Elle s'est approchée de moi et m'a embrassé. J'ai goûté à mon sperme et j'imaginais trouver aussi le goût de ses partenaires.
« Mon chéri, je serais ton esclave, je serais tienne pour tout ce que tu veux ».
Je l'envoyais à la douche et préparais la première punition.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,528
Up to the first message Down to the last message
La première punition

Je pris rendez-vous avec le jeune photographe voyeur, que nous nommerons Luc. Je lui annonçais la possibilité de voir de plus prés encore une des participantes du jeu de tennis. Il était aux anges et avait hâte de voir cela. Je lui avais donné rendez chez lui. C'était pour cet après midi.
J'ai donné mes premiers ordres à ma femme. Quel plaisir de la voir s'exécuter ! Je voulais qu'elle soit épilée et je voulais surtout assister à cette opération. Je la regardais nue, appliquer des bandes sur ses jambes et ensuite les tirer énergiquement. Chaque bande lui arrachait un petit cri. J'ai alors pris la direction des opérations. Je la couchais sur le lit et lui attacher les mains et les pieds aux pieds du lit. Elle n'était pas rassurée !!!
Je voyais *** pubis avec ces poils fins et dorés. J'appliquais la première bande juste au dessus de sa chatte. Je lissais bien pour faire adhérer le maximum de poils. Je voyais ma femme qui commençait à trembler et s'agiter.
« Tu ne vas pas faire cela ? » me dit-elle avec angoisse.
Je ne répondais pas et tirais violemment la bande. Le cri fut soudain et court. Je la regardais, elle haletait, la bouche entrouverte.
Là où avait disparue la bande, la peau était lisse avec une granularité due aux bulbes arrachées. La deuxième bande je la plaçais le long d'une lèvre de sa chatte. Elle tremblait en me priant de ne pas le faire, qu'elle le ferait elle-même, qu'elle savait le faire mieux que moi. Je mettais court à *** bavardage en tirant un coup sec. Là elle ne cria pas mais *** corps se cambrait, elle montait *** bassin vers le haut. *** sexe était à demi épilé et cela commençait à m'exciter fortement. Je bandais et avais une envie folle de me masturber. Je mis alors un doigt dans sa chatte et la trouvait bien humide.
« Mais cela t'excite ces trucs ? Tu fais aussi dans le sado maso ? »
« Je ne sais pas, non » bredouilla-t-elle.
Je reprenais mon rôle de bourreau et terminais l'épilation de *** sexe avec rapidité sans accorder la moindre importance à ses cris. Ensuite je la détachais et la retournais sur le ventre.
« Pourquoi fais-tu cela ? » demandait-elle.
« Je vais t'épiler entre les fesses, même autour de ton petit trou, je ne veux aucun poil »
Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu en appliquant la bande au creux de sa raie en écartant bien ses fesses.
« Je suis excitée comme une folle, je me sens comme une chienne quand tu me traites comme cela ! »
Je lui appliquais une violente claque sur les fesses en lui demandant de se taire et je tirais à nouveau violement la bande.
Je contemplais mon travail. On aurait dit un nouveau né. *** sexe était lisse, *** anus aussi. Je voyais sa chatte luisante et entrouverte, elle avait visiblement envie d'être prise.
« Maintenant tu vas t'habiller selon mes désirs »
« Fais moi jouir, s'il te plait, j'ai le sexe en feu, je t'en prie, j'ai envie de jouir »
« Tu jouiras quand je le voudrais. N'oublies pas que je suis ton maître maintenant. On verra cela tout à l'heure, tu n'ais pas encore prête. Maintenant il faut t'habiller ».
Je choisis un soutien-gorge blanc qui mettait bien en valeur sa poitrine et un petit string de même couleur. Elle s'habillait devant moi. Excitant instant. Je lui tendais une jupe de tennis très courte et un t-shirt bien serré. Satisfait de moi nous partions pour le rendez-vous.
Dans la voiture, je voyais presque *** slip tellement la jupe était courte. Les quelques camionneurs que je doublais dans les embouteillages avaient l'air d'apprécier le spectacle.
Cela me donnait une idée pour une autre punition, mais pour l'instant : chez Luc.
Je la faisais monter devant moi en lui répétant qu'elle devait obéir à mes ordres ou ceux de Luc. Si jamais elle émettait la moindre réticence devant un ordre, elle serait sévèrement punie.
Luc nous accueillait avec une étincelle dans les yeux en voyant ma femme ainsi vêtue.
Elle remarquait l'appareil photo et une caméra sur trépied. Elle me regardait de manière interrogative, mais je la poussais dans le studio d'étudiant.
« Luc, que veux-tu que Madame réalise devant toi ? »
Luc était surpris qu'une femme puisse lui obéir et il ne s'attendait pas à une telle situation.
« Je vais commencer si tu le veux Luc et après tu auras peut-être quelques idées ».
Je demandais alors à ma femme de se tourner et de se pencher légèrement en avant en faisant bien ressortir ses fesses. La jupette remontait très haut laissant apparaître ses fesses et *** petit string. Luc photographiait le spectacle. Je demandais à ma femme d'écarter ses jambes et à Luc de s'allonger par terre entre ses jambes. On voyait le petit string blanc et Luc ne lâchait plus le déclencheur de l'appareil.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,529
Up to the first message Down to the last message
« Tu vas tirer sur ton string pour qu'il entre dans ta fente en séparant bien les 2 lèvres de ta chatte ».
Elle obéissait et je voyais une belle bosse se développait dans le pantalon de Luc.
« Maintenant tu vas doucement le faire glisser le long de tes jambes pour que Luc puisse bien voir ta chatte épilée »
J'étais étonné de la docilité de ma femme et de sa science, inconnue pour moi, de jouer ce numéro d'effeuilleuse. Luc prit quelques photos et je voyais sa main caresser *** sexe au travers du tissu de *** pantalon.
« Maintenant, chérie, tu vas te mettre à 4 pattes, la croupe bien en l'air que l'on voit bien ton derrière ».
Luc commençait à sérieusement transpirer et je lui demandais de se déshabiller. Ma femme restait là, la croupe tendue vers l'arrière que sa mini jupette n'arrivait pas à masquer.
« Maintenant, chérie tu vas bien écarter tes fesses que l'on voit ton petit trou bien épilé, lui aussi ».
Luc regardait, fasciné et le sexe tendu, ces fesses s'écarter rien que pour lui. Il fit quelques photos bien rapprochées du petit trou de ma femme. *** sexe commençait à laisser perler quelques gouttes de liquide séminal. Je demandais alors à ma femme de le prendre dans sa bouche. Luc se laissait faire, l'appareil photo pendait au bout de *** bras pendant que ma femme délicatement glissait *** sexe dans sa bouche. Elle me regardait dans les yeux, le sexe de Luc immobile dans sa bouche. Je lui ordonnais de le sucer doucement. Elle m'obéissait mais ne me quittait pas des yeux. Je dois dire que cela m'excitais terriblement de voir ma femme suçait un jeunot de 20 ans. Ses lèvres montaient le long du membre et arrivées sur le gland, elle sortait sa langue pour lécher le méat avec douceur et application. J'attrapais l'appareil et prenait quelques belles photos de cette scène de cul. Luc gémissait à chaque coup de langue et il semblait près de jouir.
« Chérie, il va bientôt jouir et je ne veux pas voir une goutte perdue de *** sperme. Je veux que tu gardes bien tout dans bouche quand il jouira. »
*** regard exprimait un accord qui me faisait moi aussi mouillé mon slip.
Luc jouissait dans un halètement en tenant à deux mains la tête de ma femme qui recueillait toute la giclée au fond de sa bouche. Elle faisait encore un ou aller retour sur le membre pour bien recueillir tout le sperme du jeune homme. Luc se retirait et s'agenouillait, visiblement épuisé par cette sucette.
« Ouvre ta bouche et montre nous ce que Luc a lâché dans ta bouche ! »
Elle me regardait droit dans les yeux et ouvrait la bouche. Un filet de sperme coulait le long de ses lèvres, pendant que sur sa langue une boule d'une substance blanche perlait triomphalement.
« Luc, embrasse Chérie et partagez-vous ce sperme »
Luc me regardait interloqué. « Je ne répèterais pas cet ordre ! »
Ma femme s'approchait de Luc, lui prenait tendrement *** menton et lui roulait un vrai patin. On voyait sa langue fourrager la bouche de Luc. Du sperme coulait entre leurs lèvres et visiblement ils prenaient du plaisir à ce petit jeu. J'avais envie d'y participer mais je décidais de rester dans le rôle du bourreau. Je glissais ma main entre les cuisses de ma femme et y trouvais une chatte brulante de désir. Je lui demandais de s'allonger sur le dos et de se caresser doucement. Luc restait agenouillé, un peu de *** sperme sur ses lèvres. Ma femme s'allongeait, les genoux bien relevés, et on voyait *** doigt caresser *** clitoris.
« Luc, mets un doigt dans la chatte de Chérie, et fais un léger mouvement de va et vient »
Luc se penchait, et regardait le sexe épilé de ma femme avec une admiration réelle. Timidement il introduisait un doigt dans le sexe et visiblement ne savait pas trop s'y prendre.
« Tu n'as jamais caressé une femme, Luc ? »
« Non, c'est la première fois. Je n'avais jamais rencontré de femme. »
« Chérie, tu vas dépuceler un jeune homme, tu dois être contente ! » Je voyais ma femme s'astiquait le bouton et je savais qu'elle ne serait pas longue à jouir.
« Luc, tu vas lécher Chérie et enfonce bien ta langue dans sa chatte. Tu vas sentir quand elle va jouir. Elle fera couler du miel dans ta bouche. »

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,530
Up to the first message Down to the last message
Luc appliquait ses lèvres contre le sexe de ma femme. On voyait sa langue disputer les lieux au doigt de ma femme. Soudain, elle se cambrait et jouissait très fort. Luc lui glissait les mains sous les fesses la maintenait cambrée et on voyait sa bouche aspirer le liquide du plaisir de ma femme. Sa queue rebandait fortement. Le plaisir de ma femme fut assez long et mon slip avait du mal à contenir ma queue.
Quand Luc laissait ma femme s'allonger sur le sol je lui ordonnais de la prendre. Ma femme me regardait, ravie de cette annonce.
Je demandais à ma femme de bien tenir ses jambes écartées avec les genoux en l'air. On voyait sa chatte béante et humide ainsi que *** anus. Luc approchait sa queue de la chatte de ma femme.
« Non, Luc tu vas l'enculer devant moi ! »
Luc me regardait, indécis alors je prenais l'initiative. Je glissais mon doigt dans la chatte de ma femme et avec le liquide recueilli je lubrifiais l'entrée de *** anus. Je prenais le sexe de Luc et l'approchais devant ce trou. Luc se laissait faire. J'appuyais le gland de Luc contre l'orifice. Je lui demandais de pousser lentement. Le spectacle était vraiment superbe. Je voyais une queue que ma main guidait ouvrir l'anus de ma femme. Le gland écartait doucement les chairs et était presque entièrement entré. Alors d'un coup sec je poussais sur les fesses de Luc. Ma femme lâchait un petit ah. Luc n'osait bouger. Je lui demandais alors de remuer. Je voyais nettement bouger les lèvres de la chatte de ma femme quand le sexe reculait ou avançait. Luc avait des mouvements lents. Ce spectacle m'échauffait tellement que je me déshabillais et avant de me jeter dans la bataille appuyait sur le bouton « record » de la caméra.
Je m'approchais d'eux. Je caressais le clitoris de ma femme de ma main gauche et la droite les couilles de Luc. Je bandais comme un salop. J'approchais mon gland de la bouche de ma femme. Elle me suçait avec un regard de vraie salope. Au bout de quelques instants je prenais la tête de Luc pour lui glisser aussi ma queue dans sa bouche. Ma femme regardait *** mari sucé par un homme avec un étonnement non fin.
Luc avait cessé ses va et vient, alors je décidais de remédier à cette chose. Je me plaçais derrière Luc et glissait ma main entre ses fesses. La surprise lui faisait pousser fort en avant et arrachait un cri de plaisir à ma femme. Je mouillais un doigt et lui glissais dans *** petit cul. Luc ne disait rien. Mon doigt pénétrait plus avant et j'amorçais des allers retour de plus en plus rapide. Je décidais alors de le sodomiser. Luc était enfoncé jusqu'aux couilles dans le derrière de ma femme et moi je présentais mon gland devant *** anus. Je posais mon gland contre l'entrée et commençait à pousser. Luc gémissait de plaisir ou douleur peu importe. Mon gland enfin passait les résistances et j'enfonçais mon sexe dans ce petit cul de jeunot.
A chaque poussée de ma part, le sexe de Luc tapait au fond de ma femme. Quand je reculais, Luc reculait. Nous avions accordé notre rythme. Luc se penchait sur ma femme et je voyais *** visage irradié de plaisir à chacun de mes coups de queue au fond de Luc.
« Tu me baises au travers d'un autre, que c'est bon Chéri, vas y plus fort, plus fort... ». Elle prenait ma tête et me roulait une pelle pleine de goût du sperme du jeune Luc.
J'annonçais ma jouissance proche. Quand j'explosais dans le cul de Luc, je sentais que lui aussi jouissait. Ma femme nous accompagnait dans un long cri de plaisir.
Au bout d'un moment, elle me regardait et prononçait :
« Tu pourras me punir comme tu le voudras, je suis ton esclave. Jamais je n'ai joui autant et te voir baiser un homme devant moi a été un spectacle ravissant ».
Je me retirais de Luc, Luc se retirait de ma femme. Nos deux sexes pendaient, les couilles vidées. J'ordonnais à ma femme de nous nettoyer. Délicatement elle léchait un sexe puis l'autre. Il ne restait bientôt plus une seule trace de nos ébats sur nos queues. Le sexe de Luc lui semblait reprendre de la vigueur sous les effets de langue de ma femme.
Nous nous regardions étonnés de tant de vigueur. Ma femme accentuait ses coups de langue sur le gland de Luc. Je me surprenais à lui caresser les couilles, j'aimais ce contact au creux de ma main. Bientôt je voyais ma femme le pompait réellement, le sexe de Luc était bien tendu. Elle me regardait et soudain elle prenait ma tête et la dirigeait vers le sexe de Luc. J'ouvrais instinctivement la bouche et la refermais sur cette queue. Je trouvais cela très excitant. Je commençais à faire des va et vient sur cette bite. Je sentais un goût de chatte, de cul, de sperme, le tout mélangé, une véritable première pour moi. Je bandais de nouveau et je sentais ma femme qui me suçait goulument. Je voyais sa main qui glissait dans sa chatte pour s'astiquer le bouton. Luc jouissait le premier dans ma bouche. Je fus surpris par le jet et le léger mouvement de recul de ma tête fut corrigé par les mains de Luc qui me plaquaient sur *** sexe. *** gland touchait ma glotte et j'avalais toute sa giclée. J'avais alors une jouissance mentale et j'éclatais au fond de la bouche de ma femme.
Luc nous surprenait alors. Il nous réunissait, tête contre tête et tous trois nous avons échangé des baisers, lourds de sperme et de salives...
Bien plus tard, ma femme me disait :
« J'ai hâte d'être encore punie sévèrement... »
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,531
Up to the first message Down to the last message
La deuxième punition
Depuis quelques temps, j'avais en tête d'obtenir une promotion dans mon job. Plusieurs fois j'avais déjeuné avec mon patron, mais les résultats de ces entretiens ne se faisaient guère sentir. Alors j'ai eu l'idée d'organiser un déjeuner à la mai***. J'avertissais ma femme que mon patron viendrait déjeuner à la mai*** et qu'à cette occasion je comptais la punir d'une autre façon.
Le matin du déjeuner je préparais la tenue de ma femme. Un robe moulante, mais pas trop courte, avec juste un décolleté légèrement coquin. Je préparais des bas et portes jarretelles. Je lui précisais bien que je voulais qu'elle passe sa culotte style boxer noir sur *** porte jarretelles. Je lui annonçais le scénario du déjeuner. Elle me regardait en écoutant attentivement toute les explications.
Avant de passer au bureau je m'arrêtais dans un magasin spécialisé dans les affaires de chevaux pour acheter une cravache. Une vendeuse me proposait plusieurs modèles et devant mon indécision, elle me questionnait :
« C'est pour un étalon ou un jeune cheval ? »
Quand je lui annonçais timidement que c'était pour ma femme et que je m'attendais à une réprobation de sa part, elle eut une réaction inattendue. Elle appelait *** directeur et lui expliquait mon cas. Le directeur était un homme d'une soixantaine d'année, très smart et d'aspect très sévère. Il me guidait vers le fond de *** magasin en m'expliquant qu'il avait exactement ce qu'il fallait : une cravache douce pour la peau des jeunes pouliches. Il m'expliquait que les traces de coup disparaissaient en peu de temps, que ces cravaches étaient faites d'une peau spéciale...Devant mon étonnement, il me proposait une démonstration. J'acceptais. Il appelait alors la vendeuse :
« Marthe, annoncez une fermeture de dix minutes, nous avons une démonstration à faire »
Je ne comprenais pas trop ce qui allait se passer...Marthe fermait le magasin, puis se présentait devant le directeur au fond du magasin.
« Penchez-vous ! »
Marthe se penchait tout en relevant sa jupe pour dévoiler un joli petit cul nu, mignon à croquer. Je voyais *** directeur prendre une cravache, l'assouplir de quelques coups dans le vide puis brusquement frapper un coup ***ore sur les fesses de Marthe. Une rayure rouge zébrait le petit cul de Marthe. Marthe n'avait pas bronché. Per***ne ne bougeait. Une à deux minutes s'écoulait. La zébrure commençait déjà à s'estomper. Le directeur annonçait :
« Vous voyez, dans quelques instants plus de trace de coup ! Marthe vous pouvez aller ouvrir le magasin »
Devant mon étonnement, le directeur m'expliquait qu'il aimait bien dresser ses vendeuses et que si j'étais intéressé il pourrait à l'occasion me faire une démonstration plus longue du dressage des pouliches...
Rendez-vous pris pour plus tard je partais au boulot avec une belle cravache dans mon sac et une belle idée de punition.
A midi, mon patron et moi nous prenions la route pour déjeuner à la mai***. Sur le trajet il m'expliquait *** plaisir de faire la connaissance de mon épouse. Elle nous accueillait à notre arrivée avec un grand sérieux. Elle faisait vraiment petite femme d'intérieure dans sa robe noire et avec ses bas résilles. Elle se tenait bien cambrée sur des escarpins assez hauts, sa poitrine bien mise en valeur. J'avais bien vu que mon patron s'était laissé à jeter un regard dans le décolleté de ma femme.
Nous sommes passés dans le salon pour prendre l'apéritif. La table basse, entourée de fauteuils profond, était garnie de bouteilles et divers petits gâteaux. Ma femme en servant mon patron était obligée de bien se pencher face à lui. Je devinais qu'il devait bien voir ses seins dans le décolleté et moi je voyais bien ses fesses tendues vers moi. Quand elle me servait, je voyais que ma femme avait bien retenu sa leçon. Elle me servait en tendant sa croupe vers mon patron. Un apéritif spécial...
Après s'être servi, elle s'asseyait dans un fauteuil en croisant haut ses jambes tournées vers mon patron. Je devinais qu'il devait avoir un bel aperçu des jambes de ma femme. A chaque occasion de présenter un gâteau je voyais bien ma femme décroiser lentement ses jambes, les tenir un peu écartées et se pencher vers mon patron pour lui tendre le plat. Lui se penchait en avant et je voyais *** regard dirigé vers l'entre-jambe de ma femme, il devait voir le porte jarretelles ainsi que le boxer noir de ma femme. Nous avons joué à ce petit jeu une bonne demi-heure. Je voyais le visage de mon patron prendre une belle couleur cramoisie, mais rien au niveau de *** pantalon.
Nous passions à table et ma femme commençait le service. Elle servait impeccablement mon patron, puis moi-même. En arrivant à sa place elle avait un mauvais geste et renversait *** verre de vin sur la table. Je me levais excédé et lui disais que c'en était trop. Qu'il fallait qu'elle apprenne à se tenir et que je la punisse. Je prenais ma cravache dans mon sac et je me plaçais derrière ma femme. Elle ne s'attendait pas à me voir avec un tel outil et *** regard était vraiment effrayé. Je la penchais sur la table, relevais sa robe et frappais un coup sec sur ses fesses. Mon patron était muet et immobile. Mais il n'avait rien perdu du spectacle le coquin. Je rabaissais la robe et je reprenais ma place à table normalement.
« Tu peux continuer à servir le repas, mais gare à tes bêtises ! »
Mon patron pour faire diversion me parlait de futurs projets et je l'écoutais attentivement. Au second plat, ma femme arrivait avec un pois*** et une sauce hollandaise. En servant mon patron, le plateau laissait échapper la sauce hollandaise qui se répandait sur le pantalon de celui-ci.
« Alors là tu dépasses les bornes, tu vas t'excuser et réparer ces dégâts, après tu auras ta punition »
Elle s'approchait de mon patron et avec sa serviette, elle épongeait la crème sur le pantalon de mon patron. Je la voyais qui s'appliquait à bien masser la cuisse, puis avec de petits gestes lents s'approchait de l'entre-jambe. Mon patron insistait pour qu'elle cesse, en prétextant que ce n'était rien, mais je voyais qu'il commençait à apprécier ces caresses détournées. Une bosse commençait à se former...Je voyais la main de ma femme s'occupait doucement de cette bosse, l'essuyait en insistant un peu, et la bosse grossissait. Le visage de mon patron était de plus en plus cramoisi. Finalement toute la crème avait été épongée. Je lui demandais alors de se pencher sur la table. Je relevais à nouveau sa robe, elle nous présentait *** joli petit cul, avec *** boxer et *** porte jarretelles. Je tendais la cravache à mon patron et lui disait c'est à vous de la punir. Il hésitait. Ma femme le regardais et lui disait « C'est vrai, j'ai fait une bêtise sur vous alors je mérite une bonne correction ».

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,532
Up to the first message Down to the last message
« Non je ne peux pas faire cela ! »
« Comme vous voulez ». Je lui prenais la cravache des mains et baissais le boxer. On voyait maintenant ces fesses, et comme elle était penchée sur la table, *** sexe aussi était apparent. Je frappais une bonne dizaine de coups sur les fesses de ma femme. Elle se mettait à gémir sous mes coups et ses yeux se bordaient de larmes, feintes ou pas, je ne savais pas.
A la fin je regardais mon patron, il avait les yeux rivés sur le fessier de ma femme et une énorme bosse tendait *** pantalon.
« Vous avez été fort, elle doit souffrir, je ne peux pas la laisser être punie aussi sévèrement » annonçait le patron.
« Si voulez atténuer ses souffrances, vous n'avez qu'à lui masser les fesses avec cette crème, moi je trouve que sa punition n'est pas encore assez forte »
Et là je découvrais mon patron qui appliquait de la crème sur les fesses de ma femme. Je le voyais prendre une noisette de crème, puis bien l'étaler. Au début ces caresses étaient thérapeutiques mais maintenant je le voyais insister. Il s'était placé derrière ma femme et tout en la massant il regardait ce cul et ce sexe bien humide. La bosse de *** pantalon ne faisait que grossir. Ma femme ondulait du cul devant lui et on sentait bien que les caresses faisaient l'effet escompté.
Je décidais d'intervenir. Je poussais mon patron et plaçais ma main entre les cuisses de ma femme. Je glissais deux doigts dans sa chatte, elle était trempée. Je me retournais vers mon patron et le prenant à témoin, en lui présentant mes doigts trempés, j'annonçais :
« Cette garce prend du plaisir, alors que je voulais la punir !!! Vous l'avez trop bien caressée ! »
J'appliquais alors une violente série de coups de cravaches sur les fesses de ma femme et je m'éloignais. Ce que je voyais, me plaisait !
Mon patron s'approchait de ma femme et doucement lui masser les fesses. Il se penchait et lui parlait doucement à l'oreille. La bosse de *** pantalon n'avait pas diminué... bien au contraire.
« C'est vrai que vos mains me font beaucoup de bien et j'ai la chatte qui mouille quand un homme sait si bien me caresser les fesses » lui annonçait ma femme. Elle joignait les actes aux paroles et se saisissait de la main du patron pour la guider vers sa chatte.
Mon patron me regardait et ne savait comment réagir.
« Je crois que nous avons une petite chienne en chaleur, et qu'il va falloir la calmer ! » annonçais-je.
«Vous devriez lui caresser un peu la chatte, que nous puissions ensuite terminer notre repas ».
L'étonnement de mon patron était tel qu'il restait immobile. Ma femme se tournait vers lui et guidait sa main dans sa chatte de manière plus autoritaire.
« J'ai envie que tu me fasses jouir » disait-elle. Tout en lui faisant cette demande, elle se mettait à lui caresser l'entre-jambe. Elle tenait dans sa main la bosse du pantalon.
« Tu as une grosse queue, elle me semble énorme dans ma main ». Puis elle se mit à masturber cette queue au travers du pantalon. Elle se laissait glisser à genoux, déboutonner le pantalon, ouvrir celui-ci et extraire le sexe de mon patron. En effet c'était un sexe court mais énorme à la base. Un véritable cône de 12 cm de long mais bien de 6 cm de diamètre à la base. Sans lui laisser un instant de répit, elle se mit à le sucer goulument. On voyait sa bouche se tendre à l'extrême quand le sexe s'enfonçait presque intégralement dans sa bouche. Sa langue jouait avec le gland et ses mains caressés les couilles énormes et velues.
Je voyais mon patron prendre du plaisir à ce petit jeu. Je les laissais s'amuser. Mon patron posait ses mains sur la tête de ma femme et murmurait « Oui, ma petite, continue, c'est bon »
Je me plaçais derrière ma femme, la relevais en prenant garde qu'elle continua à sucer mon patron. Je relevais sa robe, et je caressais ses jambes. Je voyais *** sexe humide s'ouvrir à chaque approche de mes mains.
« Comment trouvez-vous ma femme, Monsieur le Directeur ? »
« Un véritable bijou, ah c'est bon. Elle est vraiment bonne suceuse »
« Voulez-vous la baiser ? »
« Vous pensez que je peux ? »
« J'aimerais voir votre belle bite lui défoncer la chatte ou le cul, au choix »
Mon patron se retirait alors brusquement de la bouche de ma femme, la faisait pivoter, la courber sur la table et écarter ses fesses. Il restait un moment à contempler ce spectacle puis il prenait *** sexe dans la main et le présentait devant la fente de ma femme. Sans hésitation il la pénétrait d'un seul coup. Ma femme poussait des cris sous les coups de boutoirs que lui assénait mon patron. Et lui redoublait d'ardeur. Je bandais comme un âne et je sortais ma queue pour me branler devant ce spectacle. Ma femme hurlait qu'elle jouissait, que c'était trop bon et je lâchais ma purée sur la table. A ce moment avec un grand han, mon patron lui aussi lâchait tout *** foutre dans la chatte de ma femme.

chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,533
Up to the first message Down to the last message
Quand il se retirait de la chatte de ma femme, j'ordonnais à celle-ci de prendre ce sexe encore bandant dans sa bouche et de bien le nettoyer. Je m'apercevais que mon patron n'était pas un habitué de ce genre de traitement.
« Votre femme m'étonne grandement, si seulement la mienne pouvait faire des choses comme celles-ci ! »
Nous sommes repassés à table, mais j'exigeais que ma femme retire sa robe et reste en soutien-gorge et porte jarretelles pour nous servir. Elle nous servait et restait à côté de nous pendant qu'enfin nous mangions un peu. De la voir debout, à moitié nue *** sexe bien exhibée qui laissait couler quelques gouttes de sperme m'excitait énormément.
Au moment du dessert, je proposais fruits ou gâteaux. Mais avant d'entendre la réponse, je proposais la spécialité de la mai*** : banana queen.
Mon patron me demandait ce qu'était ce banana queen. J'expliquais alors :
« Ma femme va nous porter des bananes, de la crème chantilly. Ensuite elle s'allongera sur la table sans *** soutien-gorge. La crème chantilly sera versée sur ses seins. Nous éplucherons nos bananes. Et avant de les déguster, on les glisse dans sa chatte, puis on les roule dans la chantilly entre ses seins. »
Mon patron ne se tenait plus et désirait vraiment des banana queen. La chose se mettait en place. Je voyais ma femme allongée sur la table, un coussin sous les fesses et les jambes bien écartées pour mettre en évidence *** sexe, une grosse boule de chantilly entre les seins. Mon patron prenait la première banane, l'épluchait sans quitter du regard la chatte de ma femme. Il introduisait alors doucement la banane dans *** sexe, et je le voyais faire tourner la banane, puis il la sortait et la promenais sur les seins de ma femme pour la recouvrir de chantilly. Il portait enfin le fruit à sa bouche et croquait voracement. Avec le bout qu'il restait, il recommençait. Il introduisait *** morceau de banane plein de chantilly dans la chatte et à ma grande surprise, c'est avec sa bouche qu'il allait retirer ce morceau. Ma femme gémissait de plaisir et moi je bandais très fort. N'y tenant plus je me déshabillais et demandais à mon patron de faire la même chose. En un instant, nous étions nus et on s'afférait sur ma femme, qui lui suçait les seins plein de chantilly, qui lui enfonçait une banane dans la chatte. Mon patron bandait lui aussi fortement.
« Je vais lui proposer un petit dessert à votre épouse ! », annonçait mon patron. Et je le voyais grimper sur la table, pour placer *** sexe entre les seins de ma femme et le recouvrir de crème. Il pressait les seins de ma femme pour se masturber entre eux. Sa bite allait et venait de plus en plus vite. Avant qu'il ne jouisse, je lui proposais à l'oreille un petit challenge.
Il était intéressé. Il s'allongeait à côté de ma femme.
« Ma chérie, tu vas venir poser ta chatte sur la queue de mon patron, et je veux que cela lui fasse grand plaisir ».
Je voyais ma femme s'accroupir au dessus du sexe tendu, les jambes bien écartées, la chatte grande ouverte dégoulinante de crème et de sperme. La chatte absorba le sexe en entier.
« Maintenant penche-toi bien en avant et ne bouge plus ».
Je prenais de la crème et en tartinais *** petit trou du cul. J'approchais ma queue et doucement je pressais contre *** anus. Il ne résistait pas bien longtemps et d'un coup je l'enculais profondément. Je commençais à bouger et je sentais le sexe de mon patron dans le vagin de ma femme. C'était comme si je le masturbais avec ma queue. Ma femme n'arrêtait pas de gémir de plaisir.
« Je sens votre queue qui frotte la mienne » annonçait mon patron. Cela me fit bander encore plus et j'activais mes mouvements. Mon patron lui aussi donnait de vigoureux coups de bite dans la chatte de ma femme. Je voyais les mains de mon patron caresser ses seins. Ses tétons étaient durs et érigés. Ma femme lui donnait un sein à sucer. Je finissais par jouir au fond de *** cul, mon patron continuait à la limer de plus en plus fortement. Je sentais ces coups de bite puissants au travers du vagin de ma femme. Elle, elle jouissait depuis un bon moment.
Finalement, dans un râle mon patron jouissait aussi.
Au bout d'un bon moment de repos, mon patron me regardait et de me demandait :
« Comment votre femme peut-elle accepter cela, la mienne est très prude et nos ébats ***t tristes et bien rares. Elle aime que je lui parle crument mais ne veux jamais passer à l'acte »
« Laissez réfléchir et peut-être, aurais je une solution »
Ma femme était encore allongée sur la table, le visage défait par toutes ces jouissances. Mon patron la regardait, puis il commençait à la caresser doucement. On voyait qu'il prenait du plaisir à caresser ce jeune corps féminin. Il s'attardait sur les seins, sur le sexe mais le tout avec une grande douceur. Ma femme avait l'air d'apprécier ces gestes d'après baise.
J'en étais un peu jaloux, je dois l'avouer !!!
Plus tard, après un bon café, mon patron nous invitait pour un diner intime chez lui.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,534
Up to the first message Down to the last message
La surprise du chef

Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses phantasmes.
Pour cela je m'étais procuré un punch planteur martiniquais d'une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J'avais l'intention de servir notre hôtesse plus de rai***. Mais je me gardais bien d'en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandais à ma femme d'être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivions vers les 8 heures du soir. J'étais agréablement surpris par notre hôtesse. C'était une belle femme mature d'environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prenions notre apéritif, et je constatais avec plaisir que mon patron s'était assis face à ma femme. Ma femme en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l'entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutais avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que *** verre soit toujours rempli.
Profitant de l'actualité, je lançais la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donnait *** avis et le débat commençait à bien prendre, l'alcool aidant. Lentement j'orientais le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir.
Notre hôtesse déclarait alors qu'elle n'avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclarait alors tout de go :
« Quel dommage, pour moi c'est une source de grand plaisir de sentir des mains d'homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince. »
Mon patron en profitait pour remplir nos verres et je voyais bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente.
Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec ***** détails. Je voyais mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d'être annoncé comme spectateur !
Nous passions à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l'un de l'autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j'étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonçait qu'elle ne comprenait pas pourquoi *** époux avait insisté pour diner sur cette table où nous serions serrés comme des sardines en boîte. Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je faisais tomber ma serviette et je voyais les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentais sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe restait contre la mienne. Certainement l'effet de du punch qui commençait . Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissais ma main sur la jambe de ma voisine, je sentais un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuais ma caresse très douce. Mon patron relançait alors le débat de la fessée. Il expliquait que certain acte méritait vraiment une correction et que c'était le seul moyen de punir le ou la coupable d'un acte délictueux. Ma main progressait vers le haut et je remarquais avec plaisir qu'elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardais et je voyais bien qu'elle commençait à rosir. J'atteignais sa culotte et j'essayais de glisser un doigt vers sa chatte. Elle avait alors un fort mouvement de recul et renversait *** verre.
« Ma chère, que vous arrive-t-il ? » demandait alors mon patron.
« Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d'alcool » répondait notre hôtesse.
« Je vais vous expliquer » lançais-je. Mon hôtesse posait sa main sur mon bras certainement pour m'avertir qu'elle ne voulait pas que je donne la vraie rai***.
« Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulais toucher *** sexe elle a eu ce recul ******** annonçais-je crument.
A ces mots mon patron se levait et visiblement jouait très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclarait qu'une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se levait et prenait les mains de notre hôtesse dans ses mains et criait, presque hystérique « une fessée une fessée... » Elle attirait notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n'arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut.
Mon patron se levait, passait derrière sa femme, l'obligeait à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse était alors à quelques centimètres du visage de ma femme.
Mon patron soulevait sa jupe et la tenait levée.
« Mon ami, vous me m'était dans une position honteuse ! » Elle commençait à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassait le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n'était pas grand-chose, une petite fessée.
Mon patron déclarait alors : « A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela »
Je contemplais ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je faisais glisser la culotte vers le bas.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,535
Up to the first message Down to the last message
« Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc », murmurait notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous avions entendu un sanglot. Ma femme prenait alors l'initiative de l'embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se faisaient plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous avions la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mettait à l'embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres.
Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d'une table. L'une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l'autre cambrée avec ses jambes bien écartées. Je cessais de donner la fessée et laisser les femmes s'embrasser. Les baisers devenaient de vrais patins. Ma femme faisait le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvaient debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâchait une main et se mettait à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posait sa main sur une fesse et la massais lentement. Notre hôtesse faisait de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressait un sein presque tendrement. Ma femme, alors se séparait de notre hôtesse et enlevait sa robe. Elle apparaissait nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprenait de déshabiller notre hôtesse.
Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonnait le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrait un soutien gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâchait, deux beaux seins apparaissaient. Ma femme doucement prenait un téton dans sa bouche et le suçait goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissait sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écartait bien ses jambes et bientôt on devinait bien que quelques doigts s'étaient glissés dans sa chatte. Je sentais bien que mon patron voulait intervenir, mais je l'en empêchais.
Nous nous asseyions pour regarder ce spectacle. Ma femme entrainait notre hôtesse vers un canapé. Elle finissait de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussait ma femme sur le canapé et se mettait à l'embrasser sur tout le corps. Bientôt on voyait sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissait ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
« Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs » déclarait mon patron. Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu'il avait du mal à se contenir. Je lui demandais alors de se déshabiller et d'aller aider sa femme à s'occuper de la mienne. Je voyais alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C'était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressait le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d'un moment elle l'attirait dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s'occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m'attirait trop. Je me déshabillais et m'approchais derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressais *** fessier et doucement je m'approchais de *** sexe. Oh qu'il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n'avais aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueillait cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissais pour rejoindre ma femme.
D'autorité je lui mettais mon sexe dans la bouche et invitais mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme suçer alternativement un sexe puis l'autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restaient vaines. Très vite nous avions joui sur *** visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passais ma main sur ce foutre, et je la tendais à notre hôtesse. Elle ouvrait bien grande sa bouche et je lui enfournais 3 doigts chargés de sperme. Elle me suçait les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
« Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron » ordonnais-je.
Elle obéissait et telle une petite chienne remuait *** cul devant le sexe de mon patron.
Visiblement, il choisissait de l'enculer lentement.
A ce moment notre hôtesse criait « Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte... »
Je lui montrais mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prenait la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me disait « Cela doit pouvoir me satisfaire ».
Je lui enfonçais alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir.
Devant ce spectacle, nous entendions un grand han annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retirait de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de *** sexe. Je demandais à ma femme de nous montrer *** cul. Alors elle se tournait et nous présentait *** cul, les fesses bien ouvertes. On voyait *** anus dilaté d'où suintait une belle quantité de sperme. Je poussais la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d'hésitation se mettait à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l'anus. Elle glissait même sa langue dans l'anus de ma femme. Ma femme appréciait fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caressaient *** clitoris vigoureusement. A ce spectacle mon sexe bandait fortement et je retirais *********** la bouteille et je pénétrais fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des ****** et je le voyais glisser *** sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je voyais notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J'arrêtais mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de *** mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je voyais bien qu'elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je voyais l'anus de ma femme se dilatait. Elle abandonnait sa succion pour exprimer *** désaccord. Je voyais alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l'empêcher de bouger. Sa femme retirait un peu la bouteille puis la repoussait un peu plus loin. Je voyais que le corps de la bouteille n'était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encourageait sa femme en lui criant qu'elle l'excitait et c'est vrai que *** sexe avait l'air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n'était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continuait ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haletait et je voyais sa chatte humide coulait, elle prenait *** pied, la garce !!! Je redoublais d'effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapais mes couilles contre ses fesses.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,536
Up to the first message Down to the last message
« Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, ahhh c'est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d'un autre homme » voila ce qu'elle hurlait presque.
Je lâchais tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussait de petits cris et *** mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait *** cul vers la bouteille et hurlait à *** tour sa jouissance. Mon patron explosait de foutre, il nous arrosait de jets puissants. Il fallait quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, *** cul lui aussi en l'air, les hommes avaient le sexe en berne.
« J'ai le cul en feu » ne cessait de murmurer ma femme. Je m'approchais alors d'elle et lui demandais « Cette punition était-elle bonne ? »
« Oui mon amour, oh oui » répondait-elle. Par pure malice j'appuyais encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir *** anus dilaté à l'extrême. Je pensais qu'il en avait fallu pas mal de grosses bites dans *** cul pour accepter un tel engin...
La soirée se terminait sur ces entre-fesses...
Le lendemain, la journée au boulot était surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arrivait plus tard. Sur le coup de 16 heures j'ai reçu un appel de la femme de mon patron. J'avais un sentiment d'angoisse car je me souvenais de *** état d'ébriété...
« Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n'avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d'internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j'aimerai vous revoir. J'ai téléphoné avant à votre femme, et elle m'a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j'ai grande envie de combler quelques lacunes. M'accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,537
Up to the first message Down to the last message
Les 2 chiennes

Suite au coup de téléphone de Clara, la femme de mon patron, je décidais de le rencontrer. Il était étonné des propos tenus par sa femme. Il réfléchissait un court instant et me demandait d'attendre le lendemain pour reprendre contact avec sa femme. Le lendemain sur mon bureau, à mon arrivée, reposait un paquet avec une enveloppe scellée. Dans ce paquet une caméra numérique avec un disque dur permettant 4 heures d'enregistrement en haute définition, dans le pli juste quelques mots et non signé :
« Je veux tout voir, tout savoir, tout entendre, je compte sur vous ! »
Je demandais une autorisation d'absence pour le lendemain après midi et donnais rendez-vous à Clara chez moi.
Le soir en rentrant chez moi je suis passé chez le fournisseur pour « pouliches ». Après une brève conversation sur les avantages et inconvénients de la cravache, j'achetais 2 colliers pour esclaves ainsi que deux longues laisses, deux bustiers en cuir avec lacets dans le dos. Ces bustiers mettaient en valeur les seins sans les cacher, de véritables petits balconnets de plaisir.
Deux jupettes en cuir, fendue sur le côté complétaient ces achats. J'avais l'intention de les mettre sur une note de frais bien spéciale pour mon patron !!! Surtout la location de la voiture !
Je présentais la journée du lendemain à ma femme et elle n'était pas sans s'inquiéter de ce qui l'attendait. Je profitais lâchement de la situation. Plusieurs fois, elle venait, câline, en murmurant :
« Tu vas loin, trop loin ! Je ne pourrai pas faire cela ! Pas comme ça ! »
Alors je sortais ma cravache et après quelques coups bien assénés sur ses fesses et même un sur ses seins, elle m'annonçait sa totale obéissance pour le lendemain. Jamais je n'avais douté de sa soumission. Restait le problème de Clara ? Irait-elle jusqu'au bout ? A voir.
Le jour J, Clara ***nait chez nous vers 14 heures. Ma femme l'accueillait, elles échangeaient les bises habituelles, et pourtant je voyais bien que les lèvres de Clara frôlaient celles de mon épouse. J'intervenais en leur disant de rentrer et de se mettre nue.
Clara me regardait avec un air de refus bien prononcé. Je ne lui laissais pas le temps de réagir et je hurlais « A poil ! ». Voyant ma femme se déshabiller, Clara commençait sa mise à nu.
Finalement, j'avais devant moi deux femmes nues. Clara, dans un réflexe pudique cachait ses seins et *** pubis avec ses mains. Un coup cravache sur celles-ci, laissaient apparaître ses seins lourds et *** pubis bien trop poilu à mon goût. Je questionnais ma femme sur sa capacité à rendre cette toi*** plus excitante rapidement. Elle me répondait qu'elle pouvait la raser et laisser un peu de poil juste au dessus de la chatte. Je lui donnais mon accord. J'assistais à un rasage de Clara, debout, les jambes écartées, ma femme s'activant autour des lèvres du sexe.
A la fin, content du spectacle j'osais glisser un doigt dans la fente de Clara, et sans surprise je la trouvais mouillée. Elle me regardait en disant :
« Comment, vais-je expliquer cela à mon mari ? »
Cette femme m'étonnait, elle se laissait traiter comme une chienne, et elle se préoccupait de l'opinion de *** mari sur sa toi*** pubienne !!!
Commençait alors l'habillage de ces deux garces. Je serrais fortement les corsets sur leurs seins. Ceux de ma femme, de tailles respectables avaient l'air de vouloir exploser hors du corset, ceux de Clara avaient pris la forme de respectables petits melons. Toutes les deux avaient les tétons au dessus du corset. Je leur demandais de passer de très petits strings noirs. Dans leur tenue de cuir, elles étaient diablement excitantes. J'adorais la fente des jupettes qui remontait très haut sur la cuisse. Cette habillage les avaient excitées et j'avais devant moi deux collégiennes pubères. Je leur présentais alors les colliers en cuir, je passais le premier à ma femme. Le résultat était splendide, une vraie chienne, à surtout bien tenir en laisse. Ma femme tenait à placer le collier de Clara. Je la voyais s'activer sur *** collier, et je voyais aussi la main de Clara cherchait l'entre jambe de ma femme. Je les laissais badiner quelques instants. Puis j'annonçais notre départ en voiture.
La capote de la voiture était fermée, elles ne risquaient pas d'être trop vite remarquées par le voisinage. Je demandais à ma femme de passer à l'arrière droit et à Clara à l'avant droit. Luc était à notre rendez-vous. Clara, intimidée par la présence d'un jeune homme, me questionnait du regard. Je le présentais comme le reporter du jour, la mémoire des instants à venir. Je rappelais à mes deux chiennes que les ordres de Luc étaient des ordres, qu'elles ne s'amusent point à l'oublier !!!
Nous prenions la direction d'une nationale où transitaient énormément de poids lourds. On m'avait raconté, au bureau, que certaines aires de parking ressemblaient à des baisodromes en plein jour. Arrivés sur la nationale, je baissais la capote pour profiter du beau soleil. Et surtout pour essayer de faire profiter les autres usagers de mes passagères. Je demandai alors à Clara de glisser ses fesses vers l'avant et de bien écarter ses jambes. Je lui disais qu'elle pouvait placer ses pieds sur le tableau de bord.
« On va tout voir ! » s'écriait-elle.
« C'est tout à fait ce que je veux » répondais-je.
Le spectacle était charmant, une femme en mini jupe noir, string noir, les jambes bien écartées laissait voir ses jambes quasi intégralement, *** sexe masqué par ce bout de tissu, les seins bien à l'air et offerts à tout passant. Je demandais à ma femme de faire de même.
Je doublais lentement un premier camion. Sans effet.
Pour le second, je décidais au préalable de klaxonner violement. Puis j'avançais la voiture à la hauteur de la cabine du camion. Je voyais le chauffeur se préparait à m'agonir d'injures.
A la vue du spectacle de ces deux femmes, jambes en l'air, il restait la bouche ouverte, les yeux rivés sur les attributs de mes passagères. A la fin il me faisait un petit signe du pouce, sur ce, je me laisser dépasser par le camion et me glissais derrière lui.
« Les filles, je veux que vous excitiez ce chauffeur. Faites ce que vous voulez, mais je veux qu'il bande à péter *** pantalon. Je veux qu'il nous fasse stopper à la prochaine aire de parking ».
Profitant du peu de circulation, je me portais à nouveau au niveau de la cabine et attendais.
Je jetais un clin œil à l'arrière et je voyais ma femme tenir ses seins, les caresser, sortir un bout de langue coquin pour se lécher les babines (de vrais chiennes vous disais-je), d'écarter ses jambes, avancer *** bassin pour bien montrer *** string. Luc ne perdait aucun détail de ces mises en bouches érotiques.
Clara démarrait plus timidement. Elle, aussi, se caressait les seins, mais sans grande conviction. Je la sermonnais alors en lui promettant une fessée mémorable si elle n'elle n'y mettait pas plus du sien dans cette partie. Serait-ce le mot fessée, mais en tout cas je voyais Clara osait un peu plus. Elle promenait *** doigt sur sa chatte, au dessus du string. Elle montait et descendait le long de sa fente. Elle glissait un doigt dans le string, le ressortait puis lentement le portait à ses lèvres pour le lécher avec passion. Le chauffeur suivait tout cela avec avidité. La circulation m'obligeait à repasser derrière le poids lourd. Je félicitais les filles et leur demandais d'oser encore plus ! A nouveau à la hauteur de la cabine, je voyais alors Clara, littéralement écartelée, tendre *** string pour que le fin tissu sépare ses lèvres. On voyait alors deux lèvres de chair rose séparées par une bande de tissu noir. Clara se saisissait alors de ses lèvres et tirer sur celle-ci pour les écarter au maximum. Luc, quasiment debout dans la voiture, filmait ces plans avec grand professionnalisme...hum grand voyeurisme...
Ma femme, elle avait décidé d'ôter *** string, et présentait *** sexe glabre avec un doigt qui caressait *** clitoris. Elle avait porté *** string à sa bouche et elle jouait avec ce bout de tissu. *** jeu était assez excitant, mais je préférais celui de Clara. Je lui annonçais que je punirais *** manque d'imagination érotique !
Sur ces entrejambes, notre chauffeur me faisait comprendre par signe qu'il allait stopper à la prochaine aire et que je devais le suivre.
Je suivais le camion sur la voie d'accès au parking, notre camion se dirigeait vers une zone voisine de bosquets d'arbres. Je me garais, et visiblement notre chauffeur attendait que nous soyons les premiers dans l'arène. Au jugé, je dirigeais ma troupe vers une petite clairière visible depuis le parking. Je tenais me deux chiennes en laisse, et je voyais avec surprise et plaisir deux hommes descendre de notre camion. Un de petite taille, le chauffeur et un grand costaud à l'air bestial. J'expliquais alors la règle du jeu que je venais d'inventer.
« Voila, nos cobayes ***t deux, la première qui fait jouir *** partenaire en le suçant à gagner. Donc l'autre sera fouettée jusqu'à la jouissance du deuxième »
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,538
Up to the first message Down to the last message
Mes chiennes n'avaient plus l'air aussi joyeuses !!!
Les deux hommes arrivaient rapidement dans leur combinai*** de travail. Ils avaient un air surpris en voyant ces deux femmes tenues en laisse. Je leur expliquais que je sortais mes chiennes et qu'elles étaient à leur disposition, s'ils acceptaient la présence de la caméra.
Le grand s'approchait de ma femme, je voyais ses grandes mains s'avançait vers sa poitrine. Il lui malaxait les seins sans douceur et je remarquais une petite lueur d'angoisse dans les yeux de ma femme. D'une main il sortait *** sexe en érection, un assez bel engin bien veiné et déjà, il obligeait ma femme à le sucer.
L'autre homme était aux mains de Clara, et c'est le terme exact. Il se tenait debout bien cambré et Clara avait déboutonné sa combinai*** pour sortir *** sexe. Celui-ci était flasque. Clara me regardait, implorait presque mon aide du regard. Elle prenait le bout du sexe dans sa bouche, jouait avec sa langue sur le gland mais visiblement rien ne marchait.
A côté, les choses allaient bon train, ma femme avalait le membre qui entrait dans sa bouche, à chaque sortie elle glissait un coup de langue sur cette belle queue. A un moment, elle prenait le gland et se caressait les tétons avec. Visiblement, notre homme ne pouvait plus se retenir et il éjaculait une énorme quantité de foutre sur le visage et la poitrine de ma femme.
Je me tournais vers Clara, malgré tous se efforts, le sexe restait mou. Je prenais ma cravache et appliquais un coup sec sur ses fesses. Je continuais la punition, à chaque coup de cravache on avait l'impression de voir le sexe gonfler légèrement.
Je demandais alors aux chiennes de quitter jupette et string, de ne rester qu'en corset.
A cette vue, le grand reprenait des ******, sa queue se mettait à se tendre à l'horizontale. Quant à Clara, *** affaire progressait. Mes coups de cravaches ***naient sur de la chair et cela excitait *** partenaire. *** sexe grossissait dans la bouche de Clara et on voyait celle-ci mettre toute *** énergie à le pomper.
Le grand s'était approchait de ma femme, je voyais sa grosse main jouait avec sa chatte, glissait un doigt dedans, le ressortir, lui fourrait dans sa bouche en lui disant
« Tu mouilles salope ! » Tous ces gestes étaient brutaux, ma femme n'avait que des regards affolés. Visiblement c'était la première fois qu'elle se faisait tripoter par un vrai inconnu et pas par un partenaire choisi. Je prenais un grand plaisir à la voir ainsi manipulée.
« Et ton petit trou ? Comment est-il ? ». Je voyais alors l'homme retourner ma femme, s'accroupir, écarter les fesses et lui glisser un doigt dans le cul. L'homme ressortait *** doigt, le léchait abondamment puis se cracher dans la main pour aller humidifier le trou du cul de ma femme. Elle ne bronchait pas, mais ses fesses ne reculaient pas sous les assauts des doigts.
A ce moment, l'homme plaçait un préservatif sur sa queue avec adresse, attrapait ma femme sous les genoux en se tenant derrière elle, la soulevait en écartant les jambes de ma femme, et dirigeait ses fesses vers *** sexe tendu. Quelle ***** il avait ! Doucement il faisait descendre le cul de ma femme sur sa queue.
On l'entendait murmurer :
« Ma bite est à l'entrée de ton cul ...tu sens mon gland qui te *****...ca y est il est entré...alors ça te plait salope... »
On ne voyait plus la bite de l'homme, il avait les fesses de ma femme collées à lui.
« Tu sens mes couilles au porte de ton cul, hein ma salope ». Il se mettait à soulever et laisser redescendre ma femme avec un rythme de plus en plus rapide.
Je me plaçais devant ma femme et effectivement le spectacle valait le coup d'œil !!!
Je voyais sa chatte grande ouverte, ruisselante de cyprine et *** cul pénétré par cette belle queue.
Bientôt ma femme se mettait à encourager *** enculeur :
« Vas y...oh c'est bon... elle est grosse dans mon ventre... plus fort... ahhhh tes couilles je les sens... j'ai le cul en feu... trop bon...ahh... je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis... » Elle poussait des cris à affoler un troupeau d'éléphants. Je vous avoue ma jalousie à la voir ainsi jouir par le cul et je l'enviais presque...
Luc ne perdait pas un instant de cette scène, il filmait tout, tout en s'astiquant la queue comme un malade...
En fait depuis un petit moment, quelques voyeurs s'étaient approcher de notre clairière et ils ne perdaient pas une miette du spectacle.
L'homme continuait *** va et vient. La jouissance de ma femme durait encore.
Subjugué par ce spectacle, je n'avais pas vu un homme s'approcherderrière Clara, qui continuait à pomper *** chauffeur. Elle se tenait accroupie, l'homme s'était allongé, les fesses de Clara au dessus de lui. Il regardait la chatte de Clara tout en se masturbant.
« Elle est belle ta chatte... j'aime les chattes des femmes mures... j'aimerai que tu me pisses dessus... oh oui une grande giclée de pisse dans ma bouche... » Murmurait-il pour Clara.
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,539
Up to the first message Down to the last message
« J'aimerai coller mes lèvres à ton sexe... te sentir pousser pour uriner... couler ton urine dans ma bouche... chaude comme toi »
Je voyais les fesses de Clara bouger, visiblement elle appréciait les paroles de l'autre inconnu et cela devait l'exciter. Je décidais d'intervenir. Je lui demandais de se laisser aller et de pisser sur cet homme. *** regard était très expressif mais je ne comprenais pas le sens de *** expression. Je remuais la cravache et soudain je voyais un liquide dorée arroser l'homme. Celui-ci essayait d'avaler le maximum d'urine qu'il pouvait et on le voyait jouir à grandes giclées de spermes. Le chauffeur, sur ce, excité par ce, certainement, premier spectacle, éclatait en râlant dans la bouche de Clara. Elle continuait à le pomper soigneusement, jusqu'au retrait volontaire de notre chauffeur.
L'homme arrosé approchait sa bouche de la chatte de Clara et se mettait à la lécher consciencieusement. Visiblement il aimait la pisse et Clara avait décidé de jouer le jeu. Elle réussissait à faire jaillir quelques gouttes d'or. Deux autres voyeurs s'enhardissaient et s'approchaient d'elle la bite à la main. Je pensais la voir hésiter mais non !
Elle se redressait, allait vers eux et prenait un sexe dans chaque main. Elle regardait froidement ces hommes tout en les branlant. Je m'approchais d'elle et je continuais mon jeu de dressage :
« Tu dois faire jouir ces hommes en même temps sinon... la CRAVACHE ! »
Je la regardais masturber ces 2 queues avec application, le regard porté sur les visages des hommes. Je remarquais qu'elle aimait la position accroupie, les jambes accroupies. Moi aussi, car elle nous présentait sa chatte bien ouverte et *** beau cul bien charnu. Je bandais depuis un bon moment et j'avais bien envie de le baiser *** cul. Je jetais un regard à ma femme, j'étais rassuré (hum...), *** costaud continuait à lui pilonner le cul et *** ami le chauffeur avec une ardeur retrouvé tentait de glisser sa queue dans la chatte de ma femme. Je remerciais mentalement ces chauffeurs qui utilisaient des préservatifs. Délaissant ce spectacle je me tournais vers Clara, la relever, soulever sa jupe et présenter ma queue sur *** anus. Je l'avais déjà baisé mais pas enculé. Je mouillais un doigt et le glissais dans *** cul. Tout de suite après je poussai mon gland contre *** anus, je l'entendais protester, qu'elle n'aimait pas cela. Je n'écoutais rien et forçait *** cul avec une forte poussée. Je me retrouvais à moitié dans *** boyau chaud. Je lui demandais de continuer à masturber les 2 hommes et j'invitais Luc à se faire sucer car décidément, ce pauvre jeune homme manquait d'initiative. Quel spectacle, la femme de mon patron enculée, suçant un jeune et branlant deux inconnus. Je commençais à reculer ma queue et quand je sentais que mon gland allait sortir, je le repoussais doucement en avant. Je poussais jusqu'à coller mes couilles à ses fesses. Je restais un instant comme cela puis je me lançais dans une série de va et vient rapide.
Clara criait un instant avant que Luc ne lui replaçait sa bite dans la bouche, avide visiblement de jouir au fond de cette femme mature. L'amateur d'urine venait compléter le tableau en nous léchant, moi mes couilles et Clara sa chatte et *** cul. Je ne résistais pas longtemps à ce régime et je jouissais fort au fond de ses entrailles, suivi de peu par Luc et les deux hommes qui arrosaient le corps de Clara de belles quantités de sperme.
Apres quelques instants utilisés à récupérer je regardais ma femme. Elle était enculée et baisée par nos deux chauffeurs et un troisième larron lui caressait les seins tout en se faisant branler. Elle n'était donc pas en train de s'ennuyer. Luc, quant à lui faisait des effets de caméra, il filmait sa queue qui sortait de la bouche de Clara, lui demandait de garder la bouche ouverte pour bien cadrer le foutre au fond de la gorge de Clara, puis il filmait toutes ces taches de sperme sur le corps de Clara.......
Plus tard, dans la voiture sur le chemin du retour, les femmes avouaient avoir bien joui. Clara déclarait avoir fait jouir 4 hommes en même temps. Ma femme, médusée, la regardait.
Je déclarais alors :
« Ma chérie, tu as trois trous et deux mains, la prochaine fois tu devras faire jouir 5 hommes !!! »
« Et quant à vous Clara, nous vous ramenons chez vous ! »
Clara à ces mots, protestait vivement qu'elle devait se laver, se changer avant de rentrer. Je lui annonçais que *** mari l'attendait pour s'occuper d'elle et qu'il allait en plus avoir un film de ses activités en plein air. Clara se mettait alors à pleurer. Le dressage commençait pour elle...
Plus tard dans la soirée je recevais un premier texto de mon patron :
« Je l'ai baisée sans la laver, film excellent, bon boulot » et un peu plus tard :
« Un week-end dans notre mai*** de campagne vous intéresse-t-il ?
Vous voulez la suite ? Alors à dans une ou deux semaines
Dom Star
chrislebo

Member

Posts: 168565 Pictures: 3 
#9,540 
Up to the first message 
Anaël et la grosse queue noire



Oula, je n'aurais peut être pas du faire ce concours de shots avec Marie il y a quelques minutes, la tequila ne m'a jamais fait de cadeaux! Elle m'a mise au défi de boire un mètre de shots (12 verres) plus rapidement qu'elle, citron et sel compris, la perdante paierait la tournée... j'ai gagné! Mais à quel prix!

Pour situer la soirée, mon amie Marie m'a convaincu d'aller boire quelques verres après notre service au restaurant où nous bos***s histoire de décompresser et, qui sait, faire de jolies rencontres. Généralement je ne suis pas super enjouée par ce genre de soirée, un peu timide dans les lieux publics, un peu complexée face au regard des hommes, je joue la petite souris qui préfère rester dans *** trou. Pourtant je ne suis pas repoussante, enfin je ne pense pas. Seulement voilà j'ai quelques kilos en trop et une peur panique qu'on me repousse... Mais certains soirs, je me laisse entrainer, je mets en valeur ma poitrine plutôt généreuse, mes lèvres pulpeuses, mes yeux émeraude et j'oublie que je ne rentre pas dans une taille 38 autour de quelques bières.

Je sens que ca monte, les murs autour de moi commencent à tanguer légèrement, les visages deviennent flous... Tout va bien. Autour de la table poisseuse, dans ce pub à tendance Reggae, l'euphorie a gagné tous les visages. Ça crie, ça rit, ca s'enlace, ca se chuchote au creux de l'oreille, ça s'émoustille, ça s'embrasse. Je laisse la sensation de bien être m'envahir, je suis bien.
Voilà que quelqu'un me tire de mon siège direction la petite piste de danse où Marie se trouve déjà en compagnie d'un jeune homme que je n'avais pas remarqué jusqu'à maintenant. Je flotte... ahhh l'alcool, je perds trop vite le contrôle lorsque j'en *****, mais c'est tellement agréable! Je regarde le visage de mon partenaire, je ne le connais pas non plus. Il me sourit et m'entraine dans un zouk endiablé. Je le suis, charmée par *** assurance. Il doit avoir une trentaine d'année, il est grand, 1m90 au moins, sa peau est noire comme la nuit et ses yeux encore plus sombres. A travers sa chemise je sens ses abdos, il doit être superbement bâtît. Il me dis quelque chose à l'oreille que je ne comprends pas bien à cause de la musique, il répète
- « Tu sais Anaël, pour bien danser le Zouk, nous devons avoir les bassins serrés au maximum »
Oui, donc déjà il connait mon prénom et j'ignore totalement pourquoi, mais bon, quelle importance, ce bel homme veut qu'on se rapproche, mais allons-y!
Il met sa main juste au dessus de mes fesses et me serre contre lui, et c'est reparti. C'est très agréable de se laisser guider, contrôler, il est ferme mais doux.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester à danser, ni combien de verres j'ai bu en plus dans la soirée, mais je me souviens qu'à un certains moment Marie m'a dit qu'elle partait avec Ernest:
« - Ana, j'y vais, tu veux que je te dépose ou Martin te ramène? »
Ok il s'appelait donc Martin, j'étais vraiment pas vivace ce soir! J'ai voulu répondre mais mon professeur de Zouk m'a devancé
« - C'est bon Marie, je vais la ramener moi, rentrez bien.
-Ok, parfait, alors bonne soirée » Dit Marie avec un petit clin d'œil.

Nous avons encore dansé quelques temps, puis je me suis rendue aux toilettes pour me rafraichir un peu, histoire de reprendre mes esprits. J'étais là, devant le miroir, en train de me tamponner le front avec un peu de papier humide quand Martin est entré dans la pièce. Il est venu se mettre derrière moi et je voyais dans le miroir qu'il ne souriait pas du tout. Il m'a alors embrassé dans le cou, doucement, de ses lèvres charnues, il a passé ses bras autour des miens et m'a attrapé les seins, d'abord avec douceur puis avec plus de vigueur, de fougue. Et moi qui respirait de plus en plus fort. Ça m'excitait qu'il soit si ferme, et ça m'excitait que la porte des toilettes ne soient pas fermée à clefs.
 Page Page 318 of 322:  « Previous  1  ...  317  318  319  320  321  322  Next »
Rating: 63, 26 votes.
Cuckold Stories CuckoldPlace.com / Cuckold Stories /
les histoires de chrislebo
Up to the first message Up to the first message
Your reply Click this icon to move up to the quoted message
   More...
» Username  » Password 
Only registered users can post here. Please enter your login/password details before posting a message, or register here first.
 
Online now: Guests - 364
Members - 62

Page loading time (secs): 0.198

Press | Advertise | Webmasters | Terms Of Use | Privacy Policy | 18U.S.C.§2257 | Statistics | RSS