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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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attention aux faux policiers...


Piège pour dame bcbg...
Le soir tombait, et la voiture roulait au milieu du flot continu de lacirculation sur le périphérique urbain. L'an 2000 était bien passé et lemonde n 'avait guère changé. Un feu annoncait une sortie et la conductriceclignota vers la droite. Elle tourna juste avant que le feu passe au rouge.
Elle s 'arrêta pile, et juste après une voiture avec un giropharestoppa aussi sur la gauche à sa hauteur.
Elle... était une per***nalitéde la télévision, qui travaillait sur une grande chaine depuis desannées,. Qu'importe *** nom, de A à Z, de Anne à Zoé, elle était connu dugrand nombre .
Le passager ouvrit la vitre et cogna plusieurs fois surla sienne. Surprise, elle se tourna et apeçut une carte avec la mention "police ". Elle descendit la vitre pour demander: oui, que se passe t-il,j'ai commis une infraction ? Et le policier de répondre : veuillez vousgarer sur la droite, après le feu, s 'il vous plait. Les deux véhicules segarérent, celui de la Police derrière.
Habituée à l'observation, elle s'apeçut d 'une anomalie, aucune mention police ne signalait lavoiture
Trois hommes en civils en descendirent et l'un deux expliqua:excusez, brigade des moeurs madame, inspecteur... Durand et il tendit unephoto: avez vous déjà vu cet homme quelque part...? Hésitante, euh...euh.... non, je ne me souviens pas, mais c'est à quel sujet ,vousm'interpellez comme çà, je tombe des nues. Eh bien,selon nos informations,cet homme semble vous connaître, enfin, au moins de vue .
- Elleobserva attentivement la photo et rajouta : non désolée, je n 'ai jamaisvu cet homme.
Ah ...Pourtant cette affaire a été relatée par les médiaset la télévision, et puisque vous y travaillez, vous ne devez pas l'ignorer pas quand même.
- les affaires de moeurs ce n'est pas maspécialité, que voulez vous au juste ?
- Le policier, hésitant repris... He bien ... c 'est que dans le cadre de notre enquête, nous aurionsbesoin de votre participation, si cela ne vous dérange pas, bien sûr.
- Justement, cela me dérange, je rentrais chez moi ; appelez moi à l'antennepour un autre jour, je vous prie,tenez voici ma carte .
Madame, il n 'yen a pour moins d 'une heure et cette affaire est tragique: un décès et unblessé grave, nous devons agir au plus vite...
Ecoutez je ne crois pasque je puisse vous aider pour votre enquête, je n 'ai jamais vu cethomme.
- Justement, lui, il dit vous connaître, nous avons besoin d 'unrapport écrit .
Après un temps de reflexion : Bon, d 'accord, maisalors incognito, je compte sur vous, je vous suis ... une intuitonfugitive la troubla.
- Inutile, vous montez avec nous, on vous ramène,avec un véhicule officiel, cette fois .
Au moment ou elle s 'assit à l'arrière, un pressentiment la mit mal à l' aise ...
- C 'est pas trèsloin, notre bureau est à 20 minutes, tranquilisez vous . Mais la voiturecommencait à s 'éloigner du centre ville, et elle émit un hum... humsignificatif
- pas de problème, nous fai***s un petit détour pouréviter le traffic ...
Elle trouvait ce détour un peu long, mais se ditqu' avec 3 policiers des moeurs, elle ne craignait rien ... la voitureroulait depuis un bon moment et changea plusieurs fois de direction.Per***ne ne disait mot , mais le mot " policier " lui revint en mémoire "... la voiture banalisée ... Merde, et si s 'était des faux, quelle conne,je suis ..; le pressentiment l' angoissa un peu plus et elle se crispa. Onarrive dans 5 minutes, dit l' homme à côté d 'elle. Quelques instantsaprès ,il se tourna sur le côté ajoutant: " je trouve que ca ne sent pastrès bon, on va parfumer " et de ses poches il sortit un flacon de liquideet un mouchoir qu 'il versa dessus.
- mais qu'est -ce que ... elle n'eut pas le temps de finir que l' homme lui plaqua l'ensemble sur levisage, appuyant sur sa nuque avec l' autre main .
Elle compris en unéclair, des faux policiers bien sûr, se débattit, mais les 2 autres l'immobilisèrent et elle s 'évanouit .
Réveillée,elle était baillonnée,il faisait nuit, la voiture arrêtée dans une rue déserte sur le côté avecles 3 complices. le chauffeur déclara : tu sais depuis combien de temps ons 'est pas fait une bourgeoise dans ton genre ? Essaie de deviner pourvoir ... que des putes, des trainées, des pouf; Nous on préfère les perlescomme toi, et elles ***t rares ces temps ci .
Avec une main elledésigna le baillon qui l' empèchait de parler .
- Il reprit: d 'accordmais pas de blague, sinon on devient très mèchant, compris ?
le baillonôté, elle reprit *** souffle et se redressa pour dire: pourquoi faitesvous cela, si vous savez qui je suis, je ne crois pas pouvoir répondre à... vos besoins
- On vient de le dire, des trainées, on en trouvepartout à notre époque, pas des salopes BCBG dans ton genre.
- Vous,au moins vous savez parler aux femmes, ça me touche beaucoup:
D 'abordje ne vois pas pourquoi vous me tutoyez, ensuite je ne suis pas du tout cevous pensez, et enfin dites moi la différence entre putain et salope,insultes qui semblent vous réjouir. Et je ne crois pas être tellementbcbg.
- tu ne vois pas ? Une pute s 'intéresse au pognon, alors qu'une salope recherche le plaisir et la jouissance, l'orgasme absolu. Elleest aussi perverse, donc intelligente .
- Intelligence mise à part, jene suis ni l'une ni l'autre . Mais toute femme ressent, plus ou moins, cebesoin, cette recherche, mais par amour et non pour le sexe.
Tu croisbeaucoup de choses, il me semble: est ce que tu crois que tu vas nouspomper tous les 3, là dans la bagnole, avant de t' eclater tous lesorifices ?
Elle n 'en crût pas ses oreilles ; " Ooohhh ! Vous êtes ...odieux .Non, là je ne crois plus, j 'imagine tout le plaisir que je vaisen retirer, levant les yeux vers eux. Vraiment c 'est du grand art ... difficile de mieux faire
Il se retourna vers ses complices: insolente
avec cà, donc intelligente, donc ... " supersalope "ajouta l' un d'eux, en ricanant. Assise à l' arrière, elle ne pouvait rien tenter aurisque d'être sévèrement *********. Ils descendirent pour changer de place,et le chauffeur se retrouva à ses côtés:
-Bon d 'abord tu va nousmontrer tes nichons, enleve ton soutif.
- Non, il n 'en est pasquestion, je ne veux pas, et laissez moi, espèces de tarès !
- Pourquoitu résistes, on est 3 et on peut te violer .
Elle se débatit, mais ilslui enlévèrent *** pull et se retrouva en chemise ;
le passager sepencha en plogeant sa main vers sa poitrine ; alllez fait voir çà, onbande déjà . Elle resista : non ca va pas la tête , non ? mais les 2complices lui bloquèrent les bras et lui déboutonnèrent le chemisier quilassa voir des seins fermes soutenus par un soutif, leur partie supérieurevisible.
- Oh la salope, bien foutue en plus ,regardez moi ça .
les2 autres se penchèrent et la pelotèrent presque en même temps, elleprotesta en vain. le passager força et lui mis un sein à l' air il sepencha pour le prendre avec sa bouche, pendant qu 'il sortit sa grosseverge en érection.
Un complice plongea la main dans le dos et détachale soutif. Elle s 'agitait les seins à l' air, ils les voyaient remuer parl' échancrure du chemisier .
- la vache, elle fait une vraie salopecomme çà , dit l' un d'eux
- Allez ,on y va lança le conducteur rienque d 'y penser je bande , je suis monté comme ... regarde çà .En effet,la grosse verge se tendit comme un ressort, face au visage de la victime ;Allez, vas - y pompe et à fond, salope.
- certainement pas, cà medégoûte, je ne pourrai pas...
Si tu refuses je vais être obliger de teforcer. D'une main il serra fort la machoire et de l'autre il appuyait saverge contre la bouche. Elle émit une plainte de douleur et le gros péniss'enfonça entre les lèvres. Et il lui commanda, maintenant tu suces ....suprise par le volume du membre, elle fit semblant d 'accepter et le fitcoulisser entre ses lèvres.L'homme enfoncait *** membre, elle faillit s'étouffer. Il commençait à gémir, alors que les autres étaient prêts, leursexe déjà en érection en forme de grosse banane. Il en profita pour luimalaxer les seins. " vas y, fais moi jouir salope "
Elle accèléra lerythme, l' homme jouissait, mais tout à coup, elle mordit sèchement lepénis en plein milieu.
Le chaufeur hurla de douleur et fit un bond enarrière se donnant un coup de tête dans la vitre de la voiture. Les mainssur *** pénis qui saignait, il hurla: elle m' a ... mor...du ... lasal...ope, elle l'a cou...pé et cria de plus belle se tordant de douleur.les 2 autres, affolés, se penchèrent sur leur complice, essayant de lecalmer.
Ils se tournèrent vers la coupable, l'un d 'eux disant: espècede salope, tu vas le payer très cher, à demander pitiè, tu peux le croire.Ils lui attachèrent les mains, lui remirent le baillon et soignèrent lebléssé, qui râlait de douleur ... Puis ils démarrèrent et s 'éloignèrentencore des lumères urbaines.
Elle se trouvait maintenant dans unemai*** de campagne isolée; sans doute loin de Paris. A proximité, un grandarbre ombrageait l'endroit, sous le soleil.
Près de l'arbre, un hommede forte corpulence lui parla de cette façon:
- Nous savons qui tu esvraiment, : une bourgeoise, mal baisée, en quête de bites, et grosses,n'est-ce pas, pour t'éclater ; Encore outragée par ses propos odieux, ellebafouilla quelques mots ... inaudibles .
- Allez pas d 'histoire repritun autre, on va te défoncer pour te montrer qui tu es vraiment et te lefaire avouer.
.- Très troublée, elle articula avec peine : je n 'aimepas les rapports brutaux et certaines situations me déplaisent beaucoup,presque à me dégouter. Je viens de le montrer,il me semble non ?
Les 2hommes se regardèrent alors qu'un troisième arrivait de la mai***. Ils separlèrent un moment, et elle réfléchit à un plan de fuite: bondir dans lavoiture et crier à l' aide ? 2 solutions vaines dans la situationprésente
Finalement le premier s'avanca : écoute ma grande, approcheici, je vais te dire ce qu 'on va te faire au creux de l' oreille: avec unpeu de fantasmes, ce n 'est pas difficile. Maintenant , il se peut quepour t'éviter de porter plainte on te ******* jusqu 'à t'éventrer, lesentrailles à l'air, après t 'avoir fouettée au sang, ca dépend de notrehumeur.
Stupéfaite par ces paroles,elle se cacha le visage dans lesmains et secouant la tête de droite à gauche, se mit à hurler peu à près,horrifiée: mais vous êtes complètement fous, arretez, arretez ... c'estabsolument ...
Il ne la laissa pas finir et poursuivit:
- bonmaintenant, tu te déshabilles ou c'est nous qui le ferons à notrefaçon
- le visage blême, et la vois tremblante, elle reprit:
Ecoutez, je n 'ai pas l'habitude de me dévêtir devant des inconnus,surtout plusieurs, laissez moi un peu de répit ... pour accepter lasituation.
- Bon, on te donne 2 minutes ... Ca y est, c 'est fini.
- maintenant, on attend la suite avec impatience: le chemisier ou lepantalon...
- Elle montra sa résistance : mais enfin laissez moi... jevous en prie, c 'est de la folie ..... vous êtes malades à enfermer - Plustu parles, et plus tu m' excites avec ta voix de bourge salope, alorsferme la , au moins .Te laisser ma jolie ? Il n' en est pas question ; ettu vas passez par nos désirs .
Elle ne savait que faire ni que dire,refuser serait peut - être pire. Mais peut -être en gagnant du temps, ellese tirerait de ce mauvais pas.
Elle reprit : Vous permettez que je meretourne dit-elle et elle commenca à déboutonner *** jean. Mais un des 3intervint à nouveau: non retourne toi, on veut voir si ton slip esttransparent ... Elle continua malgré tout et fit glisser *** jean quidévoilait déjà ses cuisses. les sinistres individus s 'échangèrent desregards complices, pendant que toujours de dos, elle terminait d'ôter lepantalon.
- pas mal du tout les cuisses, assez minces pour biens'enfoncer au milieu, mais retourne toi, on veut voir le reste, se fitentendre l'un d'entre eux.
- Elle se retourna encore génée, les yeuxbaissés, et les jambes serrées, mais le slip ne laissait rien paraître de*** intimité.
- C 'est bien, ma chère, ajouta t-il, mais écarte bienles jambes et enlève la chemise, si tu veux qu 'on bande comme dessalopards ...
Toujours résignée, elle déboutonna le chemisier et seretrouva bientôt en slip seins nus, jambes écartées devant trois hommes,qui se léchaient volontairement les lèvres pour elle.
Le premier quiavait parlé au début sortit *** teléphone et parla quelques instants.
Il reprit aussitôt: Si tu veux qu 'on se branle, écarte encore bienles jambes .
Toujours génée, elle ressentait une impression étrangeainsi dénudée face à ces hommes grands et bien musclés. Elle s'exécutalentement, ajoutant pour donner le change : vous n 'avez jamais vu unefemme nue ?
-Waaouaahh, ! pas mal foutue la belle pour une intello, lesseins ***t pas très gros, mais ils ***t bien formés, on voit bien lesbouts, poursuivit -il; les autres réagirent en même temps
- Allez, c'est bien ma chérie, vire le slip maintenant !
Pendant qu'elles'exécutait, un bruit de moteur se fit entendre: Surprise, le slip auxgenoux, elle s 'arreta en espèrant un événement salvateur.
Une voitureapparut sur la petite route sinueuse et s'arreta bientôt près de lamai***. Les portières claquèrent et 4 hommes sortirent et se dirigèrentvers les 3 premiers .Serrant le slip entre ses mains, et levant la têteelle s'exclama: ho la la... ,c 'est pas possible ...je suis perdue.
- Salut Francky, le spectacle a commencé plûtot que prévu on dirait, madameest déjà prête... un des nouveaux arrivants s'annonca ainsi, en l'observant, à une dizaine de mêtres
- Bienvenu, Freddy, il parait que tun 'aimes pas trop attendre et que tu aimes l'action rapide, donc ...Maisqu 'est-ce qu'elle fiche le slip entre les jambes, elle est conne ou quoi?
Il l'interpella aussitôt : he, débarasse toi de ce machin et écartebien les jambes, on va te faire voir nos grosses bites qui vont tedéfoncer .. ces nouvelles vulgarités l'outragérent une fois de plus maiselle répliqua tout de même : c 'est tout ce que vous savez faire avec unefemme ? Sous les regards insistants elle finit par plier les jambes, fitpasser le slip par les pieds et le jeta au sol .Elle était tellement généequ 'elle ne dit mot.
- pas de problème, on va te montrer ce qu 'onsait faire ...
Elle s 'offrait malgré elle, complètement nue à 7 hommesqui déjà projetaient tous leurs désirs et délires sexuels sur elle . Commepétrifiée, elle n 'osait plus bouger et fermait même les yeux. Elle avaitressérrée les jambes et cachait sa poitrine avec les mains.
Un despremiers venus lui parla : " tu comptes rester comme ça combien de temps,si tu ne montres pas ce qui tu sais faire, on va réagir ... violemment.alors, commence à te masturber les jambes écartées en te massant lesseins, on te suit ...
chrislebo

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Parmi le groupe qui formait un demi cecle autourd 'elle l'un deux s'écria :
Tu veux peut-être voir ma bite avant pourt'exciter hein salope ? Aussitot, il ouvrit sa braguette et dégagea ungros pénis: regarde bien chérie, je vais me branler pour toi, et ilcommenca le mouvement particulier qui fit grossir *** sexe à vue d 'oeil.Elle ne voulait pas voir, mais l'homme faisait tout par ses soupirs pour l'y obliger, surtout que tous avaient déjà des désirs sexuels avancés etqu'ils soupiraient aussi en se branlant ou pas .Elle préféra se cacher levisage mais le climat sexuel qui l'entourait commencait à la sensiblilser,malgré elle.
Un membre du groupe s' approcha, commenca à la caresser,puis lui pétrit les seins fermement: elle se débattit et
s 'indigna:mais laissez moi, espèce de malade, vous n 'avez pas le droit ...
- tuveux pas te branler bourgeoise de mon cul, alors tu vas sucer comme unesalope, allez à genoux et prend moi dans ta bouche, espèce de garce.Ellese rebiffa, très énervée:" vous êtes odieux, vous n 'arriverez pas à vosfins.
Un viol en réunion ca vaut au moins 15 ans, je réfléchirai àvotre place " Elle jeta un regard autour d 'elle et aperçut les hommes quise masturbaient, certains pénis devenus bien gros et raides. Un désirincontrôlé lui crispa le ventre mais elle poursuivit: je ne serai jamaisce que vous dites, et de plus votre sexe va me dégouter plutôt que meréjouir, vous ne pensez qu'à ça , vous êtes des malades, des criminels....
- je m'en fiche, et tu vas me sucer à fond pour me faire jouir ...lui serrant la machoire, il la forca à ouvrir la bouche et le membre déjàbien gonflé et raide de désir y entra. Elle se refusa au premiermouvement, mais il la forca encore par des coups de rein, la tenant par lanuque,en meme temps. Elle voulut le mordre, mais d'un coup,un hommes'approcha d'eux, et *** penis énorme et raide à la main, èjaculaplusieurs fois devant elle, l'orgasme le faisant crier. Ahhh... c'est...pour...toi...salope !
L'atmosphère sexuelle devenait vraiment intense,et à part le sexe en érection d'un cheval, elle n 'avait jamais vu unpénis aussi gros; envahie d 'impressions et d 'images, elle l'imaginaitpénétrer entre ses cuisses bien ouvertes.( elle n' avait plus de slip)Dans *** fantasme, elle sentit le pénis duircir et grossir dans sa bouche.Excitée elle le prit en main pour le sucer, sans le vouloir vraiment.Après quelques instants , la volupté lui crispa le ventre, elle commenca àse masturber avec l'autre et accelera la cadence.
L'homme gémit de plusen plus, elle l'enfoncait bien dans sa bouche, et le branlait en mêmetemps. Bientôt entrainée par le plaisir, elle sucait le gros pénis à toutevitesse et se pénétrait avec ardeur, en gémissant . A ce rythme, l'hommene tint pas longtemps. Il jouit d 'un coup et éjacula dans sa bouche, avecdes râles de jouissance puis se dégageant comme un ressort, le membreviril gicla plusieurs fois et longuement, Elle sentit le spermel'éclabouser et couler sur *** visage. Elle en avait aussi sur les lèvresà cause de la fellation. Alors que du sperme dégoulinait sur ses seins,samasturbation profonde lui déclencha l'orgasme et elle cria *** plaisir....
Ayant tous assister à la scène, l 'un d'eux s 'écria: on dirait qu'elle aime çà, cette garce, il faut la baiser maintenant et le *************** possible, tandis que 2 autres éjaculèrent aussi en criant. Unautre ajouta: il vaut mieux lui défoncer l 'anus à cette chienne, je suissûr qu' elle va aboyer ... de toute façon on va lui faire la totale avecla langue, les mains, les chaines, le fouet, les gods, etc... pas vrai lesgars ?
Un autre, en train de se branler le membre en forme de grossebanane ajouta :
" avant il faut qu elle nous suce tous, en commençantpar moi: Il s'avanca vers elle encore toute émoustillée, assise sur lesfesses dans l' herbe verte pour une position plus confortable et présenta*** membre face à sa bouche: allez recommences, et fais toi jouir encoresi tu veux ... les autres n 'en pouvaient plus et s 'écrièrent : Maisdéfonce là, elle est trempée ... prend la par le cul ... déchire là cettechienne, vas-y mors lui les tétons ....
"Je me suis faite avoir commeune idiote...maintenant c 'est trop tard...courage, se dit-elle ". Envahiepar la volupté malgré elle, elle s 'abandonna à la passivité.Dans cetétat, elle prit dans sa bouche la grosse banane de chair pour entamer unenouvelle fellation et fantasma encore:" quel morceau, il va m'etouffer ets'il me pénètre, il va me déchirer le salaud " .... prise par le désir,elle fit coulisser le membre entre ces lèvres en accélérant le rythme deva et vient, en se branlant toujours plus vite ... l'homme donna un coupde rein et sa trique courbée s 'enfonca dans sa gorge. Elle crut s 'êtredécrochée la machoire et toussa presque étouffée .
Un spectateur se fitentendre: vas - y gicle, elle va tout avaler. Mais la fellation n 'étaitpas encore finie et, le gros membre bien en bouche elle acceléra lacadence au maximum alors que *** entrejambe était en feu par samastrubation violente ....D 'un coup l' homme hurla *** plaisir: *** grospénis tendu comme un arc ressortit vivement de la bouche, et prêt àexploser, il éjacula plusieurs fois sur le visage déjà bien aspergé: Il enfinissait plus d 'éjaculer après l' orgasme et elle ferma les yeux, levisage complètement innondé, alors qu 'elle aussi exhulta peu à près dansl' orgasme en se pinçant fortement le bout des seins ...
Du visage etde ses lèvres, le sperme coulait sur les seins continuant jusqu' au basventre. La scène excita sauvagement les hommes et tous se précipitèrentdessus; l 'un d 'eux s'exclama : - j 'ai jamais vu ça, cette femme est unedémone, une éponge à sperme, elle jouit bien et suce à merveille ..
C'est parce qu' en vérité, c 'est une vraie salope qui aime le sexe ajoutaun autre ... " Moi j 'en peux plus, je vais la défoncer attachée à l'arbre, la bas " poursuivit encore un autre. Elle se débattait, mais ils latripotèrent tous, lui pétrirent, pincèrent les seins, l'embrassèrent et lamordirent partout, lui enfoncèrent les doigts et les mains dans la bouche,le sexe et l' anus en même temps et certains éjaculèrent dessus ....garce, salope, putain, trainée, chienne, les insultes fusaient de touteles bouches .
La séance dura assez pour que, malgré ce viol collectifqui l' entrainait malgré elle dans de grandes voluptés, elle jouisseencore plusieurs fois .
Le gang bang, puisque c'en était un, cessaquelques minutes, histoire de la laisser s'essuyer le corps dégoulinant desperme ... Puis une fois debout, 2 hommes encore très bien montés laprirent en sandwich, l' un défoncant *** vagin jusqu'au nombril, l' autrelui dilatant le rectum en largeur et en longueur.
Ils défoncaient sesparties intimes brurtalement et avec une ardeur sauvage criant leur désir: " salope, tu aimes ça hein ? " Elle glissa, haletante entre ses haahh..et ses hoohh: " c'est que du ... sexe, je vous ... dét..este, sa... lauds"
Mais elle gémissait de plus en plus, les jambes bien écartées etjouissait en plaintes de volupté. Tous les 2 plantés en elle, ils finirentpar la soulever du sol avec leur membre massif et raide comme du bois .Pendant qu 'elle se sentait déchirée, ils la soutenaient par les aisselleset les bras.
Elle fantasma imaginant celui de devant ressortir par lenombril et l'autre l'innonder de sperme dans l'intestin .Le premier luisuça et mordit les seins, puis ils éjaculèrent presque en même temps,hurlant comme des bêtes, innondant ses entrailles. Elle se cambrafortement, rejeta la tête en arrière, les yeux révulsés, et la bouchegrande ouverte, l'orgasme la tétanisa, et elle poussa un long cri rauque,semblant monté du ventre, puis se détendit d 'un coup comme évanouie...
Un instant stupéfait par la scène orgiaque, le groupe d'hommesdemeura muet. Puis l'un deux s 'exclama: vous avez vu ça, elle a jouicomme la pire des salopes et à mon avis il faut encore la satisfaire .- Undes animateurs du groupe ajouta: oui, on va passer aux choses sérieuses etdésignant 2 complices commanda: allez chercher le matos, les gars, on vase régaler "
Elle s 'était réveillée et respirait comme après un grandeffort assise, appuyée sur ses bras ... Et pendant que les comparsesparlaient de leurs délires sexuels, elle profita de se redresser et partiren courant vers la route pour se faire remarquer. Mais elle devait êtreprivée ,car aucune voiture n 'était passée depuis *** arrivéeici.
Cependant, elle voulait fuir de cet enfer sexuel par n'importequel moyen. Après avoir parcouru une dizaine de mêtres, 2 hommes larattrappèrent, et à l' adresse des autres l'un déclara: elle a voulus'enfuir, la garce, et pour ça, il faut la punir sévèrement et sans tarderElle leur répondit, exaspérée : " mais laissez moi je vous en supplie ,vous m'avez dèjà violée comme des brutes, je vous en prie, laissez moi ..;"
- " Tu mens, une salope comme toi est insatiable, en veux toujoursplus ..." alors elle mit *** visage dans ses mains prête à sanglotter,mais elle se dit que cela pouvait aggraver les choses, face à ces malades,et se reprit en déclarant: " bon... allez- y... faites ce que vous voulez,mais vous resterez longtemps en pri***, je vous le dis ..."
Ilsjetèrent à terre le sac plein de matériel rempli d 'accessoires desgodmichés plus ou moins gros, d 'apparences variées, des cordes, desmartinets, des fouets, des pinces à linge, d'autres plus grosses, desplaques de bois et même une perceuse ...
Ils discutèrent ensemble assezde temps pour qu 'elle se remette de ces sévices sexuels ... mais unesorte de désir étrange faisait encore frémir sa peau... quelques unsl'emmenèrent dans la mai*** pour prendre une douche.
Elle ressortitavec eux recouverte d'un peignoir blanc
C 'était déjà la fin de l'aprèsmidi, et le groupe s 'empressait d'exécuter leur noirs désirs avant lecrépuscule.
Au pied de l' arbre, ils fixérent une planche au sol, pourqu' elle se tienne debout tout nue, les jambes écartées, chaque pied fixéà la planche ... Allez, on y va dit l'un des paticipants:
- Il alla semettre derrière elle, un gros godmiché dans sa main droite, pendant qu'unautre devant, lui pinca chaque sein avec un grosse pince de métaladhésive, ce qui lui arracha des cris, grimaçante de douleur; Il ramassa*** god qu'il avait posé et commenca à la pénétrer, entre les cuisses d'abord lentement, puis declencha le moteur des vibrations .Il acceléraalors les va et vient en allant plus profond.
Elle sentit le plaisirsexuel crisper *** ventre et respirait fortement; Quand le god fut àmoitié enfoncé, le poignet qui l' agitait commenca a ****** pour maitenirle va et vient; et ses vibrations se répandaient dans *** ventre, l'organesexuel diltaté. Le plaisir la fit gémir alors que les pinces serraientplus fort les bout durcis des seins qui s'étaient gonflés.
Quand elleouvrit la bouche pou crier, l'autre derrière elle lui enfonca le god dansla bouche e t la sodomisa, en même temps, ajoutant : t 'es un super salopeet tu va sucer à fond. Le god buccal était énorme, mais pouvait secourber, et il l' anima d 'un va et vient .
Les 3 orifices ainsiremplis et ramonés, elle se mit à jouir en permanence, même si l'objetbuccal allait jusque dans sa gorge. C 'est qu' entre ses cuisses, le godse déchainait de plus en plus vite et au plus profond de *** ventre,ressentant ses vibrations. Les pinces avaient pourtant rougis complètementles seins, mais la douleur se transformait en plaisir, tellement elleétait entraînée dans une extrême volupté. La succion forcée du gros objetfit couler un flot de salive de sa bouche sur *** torse, elle sentit lesgros objets cogner au fond de *** ventre et apercevait tous les autres semasturber, leur gros pénis prêt à éjaculer. Elle gémissait de plus enplus, remuant dans tous les sens ;
Un orgasme violent la fit se tordre,la poitrine en avant, la tête rejetée en arrière,les fesses relévées. Legod buccal éjecté, elle hurla comme une bête, secouée par des spasmesjouissifs, et s étala sur le sol, encore évanouie.
- Excité à l'extrème, un homme se précipita vers elle, s 'écriant:
je vais la finir,cette chienne, passez moi le fouet ...
- c'est pas encore le moment,répondit un animateur, participe plutôt à la suite...
Inconsciente, 2hommes la ramenèrent à la mai***, lui firent couler un bain, et laplongèrent dedans, après l' avoir ranimée avec du vinaigre : " lave toibien et soigne toi, tiens tu as du savon, de la pommade pour les bleus, del' alcool ... Grouille toi,le temps presse. En effet le soir tombait , etil fallait que le spectacle surtout le dernier, soit bienvisible:
chrislebo

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#9,333
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Certains étaient dèjà vides de sperme à ***** de jouir , maisils voulaient encore participer aux derniers sévices. Ils s'étaient aussirevigorés, pour raviver leur désir sexuel.
Le responsable du groupeprit la parole: notre très chère... complice va bientôt connaitre desterribles sévices, et elle risque d'en mourrir, si elle n'est pas assezrésistante. ceux qui ne veulent pas assiter peuvent partir, enfin seréfugiés dans la mai***. Ceux qui restent pourront se réjouir et jouir devoir cette pute salope et chienne agoniser de douleur et de plaisir à lafois. Qu 'on l' attache à l'arbre .
Elle se trouvait maintenant plaquéecontre l'immense tronc les jambes très écartées, les pieds redisposés surla planche. les bras écartés étaient chacun attaché au poignet par unecorde fixée à une branche au dessus, mais il suffisait de détendre lescordes pour faire de l' espace entre elle et le tronc.
Chacun va lasodomiser, un autre la défoncer avec c'est énorme pilon de bois, pendantque 2 autres à sa droite et à sa gauche lui fouetteront chaque sein, avecces martinets à fine lanières de cuir. Allez, on commence .
La cordedétendue,le premier, le pénis déjà dressé, se plaça derrière elle pour lasodomiser et les 2 autres lui fouettaient les seins. Avec des coups derein, le membre turgescent s'enfoncait totalement, l 'homme tendant etdétendant les cordes en cadence alors que les coups de lainières striaientles seins de traits rouges. L 'autre accroupi entre ses jambes lapénétrait lentement avec le pilon. Puis, après la forte dilation obligéeil accéléra les va et vient d'après ses soupirs et ses cris . Mais ilfallait qu 'elle hurle.
Il remua alors le pilon le plus vite possible,faisant gonflé le ventre à chaque pénétration.. La jouissance mélèe à ladouleur, le plaisir ressenti devenait plus fort. Et elle en jouit d'autantplus. Au dernier assaut anal, l' homme l'embrassa dans le cou, lui morditl 'épaule et lui pinca le bout des seins: ca te plait hein salope ?
Etcette scène recommencà une deuxième fois, avec d 'autres participants.Après quoi ses organes étaient meurtris, dilatés et en feu.Ses seinsrecouverts de marques rouges, dont certaines avec des gouttes de sang.Elle n 'en pouvait dèjà plus..
A la troisième, les coups de lanièresmirent ses seins en sang et les pénétrations devinrent infernales, elle nefaisait que gémir et raler, défigurée par le plaisir et la douleur. Laplupart des mâles étaient vidés et épuisés, mais ils voulaient " la finir" qu 'elle ne tienne plus debout , qu 'elle râle d 'agonie comme une bête! Alors il se ruèrent vers elle, et comme des vampires lèchèrent le sangqui marquait *** corps et sucèrent ses blessures Elle émit de faiblesrâles puis s évanouit la tête penchée en avant. Le responsable s 'enquitsi elle était encore en vit, et elle l' était. Ils la détachèrent, luienlevèrent la planche des pieds, mais ne tenant pas debout, elle s'écroulasur l'herbe,épuisée
- " On l' a eu cette salope, on l' a eu, elle nepourra plus jamais faire la belle " s 'écria un excité du pénis, maisramoli du cerveau.
Ce n'est pas encore tout à fait fini, il faut qu 'onla remette sur pieds avant la dernière épreuve, car dans cet était elle enmourrait .
Comme la nuit était tombée, ils la ramenèrent dans la mai***: ils la ranimèrent, lui firent prendre un bain avec des substancescuratives où elle resta longtemps tellement elle avait mal. Puis elle sesoigna avec les moyens à sa disposition.
Malgré la douleur lancinantede ses parties intimes, l'épuisement lui permit de s 'endormir juqu' à cequ 'on la réveille. Le jour s 'était levé, mais des nuages épais cachaientsouvent le soleil. Ses bourreaux la firent lever et ils s'apercurent qu'elle marchait avec difficulté en se plaignant : qu' est -ce qui t'arrives, tu peux plus marcher l' interrogea l'un deux ?
Elle déclaraavec difficulté:
- " c'est votre faute, idiots, j ai mal partout, leventre et les seins me brûlent elle poursuivit: " écoutez vous m' avezmartyrisée , mais si vous me laissez partir, je vous assure que je nesoufflerai mot à per***ne de ... de ... cette ... histoire.
- un autrereprit : on ne te croit pas, c 'est pas possible que tu ne disesabsolument rien, et de toute façon la dernière épreuve t 'attend . - Mais,ne soyez pas idiots, vous voulez me tuer alors.?
dommage en ce cas, carje pourrais consentir à revoir certains d' entre vous, sans soumissioncette fois.
- C 'est, interessant mais ... Voyant l'embarras de ***complice l'animateur en chef intervint: " tu nous prend pour des gogos ouquoi ? Rien que pour çà, tu vas subir l' ultime épreuve, mais renforcée.
De nouveau, il l' attachèrent à l' arbre, les jambes écartées, maiscette fois les bras relevés au dessus de sa tête. Les grosses pincesplacées sur chaque bout de sein, avec d 'autres autour,et aussi sur leventre.
On s'affairait autour d'elle, certains, faisant bouger leursmuscles du torse et des bras, durs et volumineux .
D 'autressuspendirent aux branches, au dessus d 'elle une série de bougie,la mèchevers le bas. Celui qui tenait un fouet à longue lanière le fit claquerdevant elle qui sursauta, et il commanda: allumez les bougies; une, puis2...3... 4... une dizaine commencèrent à fondre et la cire brulante àcouler sur ses épaules, ses seins, et *** ventre. l' effet des pincesfaisait rougir les seins et la cire liquide aussi. Elle recommenca à gémirde douleur, de plus en plus fort .La laniére du fouet claqua sur lescuisses: une longue trace rouge marqua les 2, puis les coups se répétèrentmultipliant les marques. Elle hurlait à chaque coup .... saalooope ...saaloooppe , on va te finir ....
.les bougies brulaient à grande flammeet la cire coulait partout sur *** corps, les épaules et les seins peu àpeu recouverts, elle parvenait sur les cuisses. Elle hurlait en permanencede douleur et de plaisir mélés, les coups de fouet et de martinetsclaquaient, répétifs, les fines traces de sang marquaient *** corps enlong et en large. Elle hurlait de plus belle, avec des râles. Puis, lescoups cessèrent.
Fou de désir, un homme au pénis développé se rua surelle et la pénétra avec un désir extrême il s 'agita en elle et il sentait*** sexe grossir . Elle reagit en gémissant, et il se retira en éjaculantsur *** ventre et ses cuisses, éclaboussés de sperme. Un autre tout aussimembré se placa derrière pour la sodomiser : Avec ses va et vientsénergiques il s 'enfonca aussi loin que possible ... Pendant que ladouleur des pinces croissait et que la cire continuait à couler et luibrulait la peau, l'orgasme le fit exploser en elle .
Elle ouvrit labouche pour crier, mais le fit un long moment après, défigurée par tousles terribles sévices.
Puis les coups de lanières reprirent, la cire etle sang se mélangèrent sur tout le corps ; les seins se fendirent aplusieurs endroits, la peau du ventre et des cuisses lacérée par leslanières de cuir se recouvraient de sang ... Certains coups donnés au mêmeendroit fendirent net la peau. Ainsi un sein se fendit en deux enprofondeur et l' autre se coupa en plusieurs endroits, le boutarraché.
Pendant que tout le monde se branlait, les cris de lasupliciée se succédaient, mais devinrent moins forts...La plupartéjaculèrent dans l' orgasme, tandis qu 'ils s'acharnaient t encore à laflageller. D 'un coup, les cris cessèrent et elle s' affaissa la têtependante sur la poitrine, recouverte de sang et de cire de la tête auxpieds, lacérée par les innombrables coups de lanières. Alors l'animateurannonca : elle n'est peut - être qu 'évanouie, dans ce cas je vais laréveiller.
- Wil, passe moi le chalumeau;
Il s 'en saisit et l'approcha, au niveau des seins et l' alluma. Il ricanna cruellement aumoment ou la flamme bleue allait carboniser la peau et la chair.***comparse l'interrompit:
attend un peu. Il s'éloigna, fouilla le sac etrevint avec un couteau de boucher à la main:
quand tu l'auras biencramée, je l'ouvre en 2 du ventre à la gorge ..puis tu lui crame aussi lesentrailles et tu lui fais bouffer Mais, tout à coup, des sirènes de policeretentirent au loin et ils apercurent tous les signaux bleus des voituresqui foncaient vers eux. Et bien sûr, elle fut ranimée, très bien soignéeet sauvée, in extremis ouf...
Mais chose étrange, après ces terriblessévices, elle reste insatisfaite comme une nympho, il lui faut au moins 3partenaires à la fois



chrislebo

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Chienne soumise


Bonjour. Je m'appelle Fabienne. J'ai 42 ans. Grande, brune, je suis plutôt pas mal il parait. En tous cas, c'est ce que me disent souvent les hommes. Je suis marié depuis 10 ans. J'ai 2 enfants. .. Je suis une bonne épouse, bonne mère de famille.Enfin.je l'étais.Ma vie a radicalement changé un jour de soldes !! Laissez-moi vous raconter comme je suis devenue une bonne chienne soumise.

Les soldes avaient donc commencé depuis 2 jours et, comme toutes femmes qui se respecte, je brûlais d'envie de faire les boutiques et de profiter des réductions à -50 % !Il faisait une journée de rêve...Le printemps pointai enfin *** nez et une douce

chaleur réchauffait les cours, et les sens.Très élégante dans une jupe plissée, qui m'arrivait à mi-mollet, sur des collants clairs, je marchais d'un pas léger dans le centre-ville, les talons hauts de mes escarpins claquaient joyeusement sur le trottoir.J'entrais dans une boutique de prêt à porter que j'avais déjà repéré ; Elle se situai au fond d'une ruelle. Je jetai un oil sur les robes, jupes et autres pantalons dont les réductions étaient vraiment alléchantes. Il n'y avait per***ne dans la boutique, à part la gérante. Une jeune fille d'une vingtaine d'années ; Grande, les cheveux court, en minijupe qui lui arrivait à mi-cuisses. Les talons de ses bottes la grandissaient. Elle me proposa *** aide et je lui demandais d'essayer une robe. Elle me dirigea vers la cabine d'essayage. Je tirais le rideau et me déshabillait.

J'étais en sous-vêtements, slip et soutien-gorge, n'ayant gardé que mon collant et mes escarpins quand, levant la tête, j'aperçu une camera vidéo pointer vers moi !! Outrée, j'appelais la gérante. Elle écarta le rideau et je me couvris la poitrine en me protégeant de la robe. Je lui demandais des explications sur la présence de cette caméra.
Elle m'expliqua qu'elle avait eu plusieurs vols et que par conséquent elle avait installé cette camera de vidéo surveillance. Ce qui n'était pas très grave, puisque ces clients étaient exclusivement féminines et qu'elle était elle même une femme. Folle de rage, je lui signalais que je trouvais cette attitude scandaleuse et que j'allais porter plainte pour ********* de la vie privée. Le ton monta rapidement.La gérante voulut récupérer sa robe et elle me l'arracha, la déchirant !
- C'est malin ! Hurla-t-elle. Y va falloir la payer maintenant, je vous préviens.
Scandalisée, je refusais de payer.La gérante me regarda avec un air mauvais et m'agrippant les cheveux, elle me tira hors de la cabine. Me faisant couiner de douleur.
- Petite salope ! Me cria la gérante, tu vas voir comment je les mate les bourgeoises friquées comme toi.
Je tentais de me dégager, affolée par la tournure que prenaient les événements.
Elle me claqua les fesses violement et je me retrouvais vite à genoux devant elle. Elle me donna une gifle et des larmes me montèrent aux yeux. Pas du tout attendri, elle me força à courber l'échine, me mettant à quatre pattes sur le sol. Elle me cingla de nouveau les fesses !
- Non.Non.je vous en supplie, arrêtez, je vais vous rembourser.
Les coups redoublèrent sur mes fesses, je couinais, ondulant du cul pour tenter de me dégager.
Elle me releva et elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Méchamment, elle me pinça les pointes de mes seins. Je hurlais sous la douleur. Elle s'accroupit me caressant les seins.
- Tu vas aimer, salope, t'es pas la première tu sais, j'ai mon petit harem.J'adore humilier les bourgeoises dans ton genre.
Elle me poussa en arrière, me forçant à m'allonger; Elle se jeta sur moi, me léchant les tétons avec fougue. Me les mordillant...Je gémis.Se mettant à califourchon sur mon ventre, elle me malaxa les seins sans douceur en ricanant, une lueur lubrique dans le regard.J'essaie de la désarçonner, mais elle est plus forte que moi ! Je la supplie d'arrêter.Elle se pencha et ses lèvres se posèrent sur les miennes.Ecourée, je résiste.Sa langue ***** le barrage de mes lèvres, elle s'enroule autour de la mienne. Je ressens soudain une douce chaleur dans mon bas-ventre...Mon corps mollit.Et je lui rends *** baiser. Sa main me caresse toujours ma poitrine. Elle se recula et elle déchira mon collant. Elle tira sur mon slip dégageant ma chatte. Elle passa ses doigts sur ma vulve.
-T'es trempée, petite salope.
C'est vrai, elle a rai***, je ne peux le nier.Je suis inondée.Je n'arrive pas a comprendre pourquoi. Je suis en train de me faire violer par une femme qui pourrait être ma fille, et je suis complètement excitée. Je sursautais quand *** index s'engouffra dans ma chatte. Puis un deuxième doigt.Elle fit des va et vient dans mon bas-ventre. Je donnais un coup de reins involontaire.Elle me titilla le clitoris.Elle le malaxa.Je ne résiste plus, je gémis de plus en plus, honteuse d'être traiter de la sorte.Elle me tapa sur les cuises et docilement, j'ouvris les jambes. Cela dura de longues minutes, je sentais l'orgasme arriver et je secouai la tête dans tous les sens, arquant mon corps, me mordant les lèvres.Elle s'arrêta soudain me laissant au bord de l'évanouissement !
- Tu jouiras quand je te le dirais petite pute, t'es vraiment une salope !
Je fus mise à quatre pattes et je dus faire le tour de la boutique. Les coups sur mes fesses reprirent. La gérante, dont je ne connais toujours pas le nom, m'ordonna de venir renifler sa chatte. Elle releva sa jupe. Dessous, elle n'avait aucun sous vêtement. Sa chatte était rasée. Elle m'agrippa les cheveux et me força à venir lécher sa vulve dégoulinante. Je passais timidement ma langue sur *** clitoris. Elle appuya encore plus fort et je m'appliquais. Elle donna des coups de reins me traitant de pétasse.
Elle eu un orgasme et me repoussa violemment, le souffle court.
- C'est bien.tu sais y faire finalement.
Elle me releva et me força à me courber sur un bureau, les seins écrasés contre le bois. Je frémis quand je sentis qu'elle m'enfonçait un objet dans ma chatte. Elle le fit coulisser rapidement. Je poussais un gémissement plaintif. Je ne comprends pas de quoi il s'agit et je tente de tourner la tête.Je reçois un coup sur ms fesses.
- Ne te retourne pas salope.
Chaque injure m'excite encore plus, je mouille abondamment, je sens la cyprine qui coule le long de mes cuisses. Je suis dans un état indescriptible, il faut que je jouisse ou je vais devenir folle.Ma tourmenteuse agite l'objet dans mon vagin de plus en plus rapidement.J'halète, je gémis, mes ongles griffent le bois du bureau.L'orgasme déferla comme un tsunami, un cri jaillit de mes poumons me laissant pantelante.L'objet fut retiré et la gérante me retourna, me forçant à m'agenouiller à ses pieds, un sourire ironique aux lèvres.
- T'as pris ton pied, hein ma salope ?
Rougissante, je baissai les yeux.Elle me montra le gode avec lequel elle venait de me branler. Elle m'ordonna d'ouvrir la bouche et je dus le sucer comme une bite d'homme. Mes lèvres autour du sex-toy, je salivais dessus.

Je me relevais et me rhabillais, soulagée que cela soit terminé. Du moins, je le pensais..
La gérante, qui me dit s'appeler Kathy, me montra la camera au dessus de la caisse. Je frémis.Oh mon dieu !
- Si tu ne veux pas que la cassette atterrisse sur le bureau de ton mari ou se retrouve sur Internet, y va falloir revenir me voir. Tu passeras tous les jours. Change de fringues ! Tu t'habille comme une nonne.Dorénavant, jupes courtes, bas et porte-jarretelles. Je te veux comme une pute ! J'ai des copines à te présenter..

Je rentrai chez moi bouleversée parce que j'avais vécue. Je n'en parlais pas à mon mari, à per***ne d'ailleurs. Je ne portais pas plainte. Je ne sais pas pourquoi.Peut être parce que j'y vais pris du plaisir. Je vais tous les jours dans la boutique de Kathy, Maîtresse Kathy.Elle me fait subir les pires tourments. Elle m'oblige à me masturber avec des godes énormes...Elle me prête a des lesbiennes perverses qui me branle toute la journée. Je suis régulièrement attachée, bâillonnée et godée. Je suis fouettée par Kathy.J'ai même été loué a des vieux messieurs pervers qui m'ont baisé toute une journée.Puis a des jeunes qui m'on emmené dans une cave et qui m'ont partouzé.Parfois, il y a d'autres femmes avec moi, des épouses respectables qui ***t devenues comme moi des chiennes soumises..
chrislebo

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Cuckold Husband


Part 1 - The Beginning

"Are you serious, you'd honestly want me to do that to you?"

Katrina sounded shocked but to my surprise, not completely against the idea. "I just think it'd be quite exciting, and you know how that sort of thing really gets me going," I replied.

By 'that sort of thing', I was referring to an ever increasing fantasy of mine to be humiliated by my wife, to have her compare me to another lover, someone who satisfied her more than I ever could and who I was ****** to share her with.

We had been married for 12 years and had often shared fantasies of bringing others into our bed, but more often just lately I had been getting off on Katrina having a permanent lover, who she would fuck regularly and share the details with me when she got home, sliding her used pussy onto my cock as she described what they had done together and how much she had enjoyed his cock filling her up. I had learnt that this was not as rare a fantasy as I had first thought and had even been given a name, 'cuckolding'.

I read stories on the internet about the subject and my fantasy developed to where Katrina would put me into chastity, making me wear a CB 6000 cock cage for weeks at a time, only letting me use my tongue or fingers on her, while getting fucked on a regular basis by her lover and making me clean her of his cum when she got home, covered in love bites and smelling of sex. This was the fantasy that I had just shared with her, although in the heat of the moment I had made one more revelation - that I would love her to make me wear feminine panties over the cage, keeping me in complete orgasm denial as I experienced the feeling of the lace and satin panties against my balls and ass.

Katrina looked at me as she slowly caressed my now softening cock. "I don't know what to think, part of me thinks it could be fun, but another part of me worries why you would want to be denied having actual sex with me; you do still fancy me don't you?"

"Of course I do," I reassured her. Katrina was a knockout, at 34 years old she still looked in her twenties and was forever getting attention from other men, she would often come home from work and tell me how she had been chatted up by male colleagues or clients. I would feel small pangs of jealousy, especially if she admitted that the guy was good looking, but these jealous feelings were overridden by my submissive nature and I would become aroused thinking of my gorgeous wife being hit on by someone else that she found attractive.

I reached over to the bedside table and grabbed my iPad, where I found one of the cuckolding and chastity websites that I had been regularly visiting. Opening up a page giving women advice on the benefits of cuckolding their husband and keeping them in chastity, I handed the iPad to Katrina and told her to have a look, while I got out of bed and went for a shower. Returning to the bedroom about 15 minutes later, I found Katrina still surfing the site and after a while she closed the cover and put the iPad back onto the bedside table.

"Well?" I asked, "Did you read it?"

Katrina said she had, but changed the subject quickly. I attempted to reopen the subject but she just told me to let her think about it, that she wanted to give the whole idea some thought. I didn't want to put her off by being too pushy so I dropped the matter and decided I would just wait and see if she brought it back up herself. We had sex most days that week but whenever I went to speak, she would 'shhh' me, her eyes closed as if enjoying her own thoughts.

Nothing further was said on the topic for the next few days and I thought that Katrina had probably dismissed the idea. It wasn't until I got home on the Friday afternoon that Katrina met me at the front door with a wicked smile on her face and handing me a beer, told me to come and sit with her in the lounge.

"What's going on?" I asked.

Katrina reached over and rubbed my thigh as she moved closer to me. My eyes were drawn to her smooth legs as her skirt rode up slightly, feeling myself get aroused in anticipation; I knew the look in her eyes and was certain that she was in a horny mood.

"Remember what we talked about at the weekend, what it was you wanted me to do?"

Of course I did, it had been on my mind almost permanently since!

"Well, I have some surprises for you," she said, her hand moving from my thigh to my groin and rubbing my hardening cock over the material of my trousers.

"You said you wanted me to take a lover, to offer myself to another man? Well all week I've been thinking about it and I think, no, I know I have someone."

My cock was now solid. "Who?" I asked, my mind reeling as to who the man could be. "Do I know him, are you serious?"

"Well, his name is Steve and no, you don't know him, but I did tell you about him a few weeks ago, he was the one who asked me out for a ***** after work. The black guy, remember?"

Now I remembered, Katrina had told me how this Steve guy had hit on her over lunch and even though she had declined, explaining she was married, he had still continued his efforts to seduce her. I had loved hearing about this, it was made even more exciting because he was black, my mind working overtime as I imagined her beautiful pussy being stretched wide by a well hung black guy.

"Okay, I remember now. So how do you know he's up for it; you told him no the last time, didn't you?"

"Because," Katrina replied, a wicked smile on her face, "I'm meeting him in town in about.." checking her watch, "3 hours."

I checked mine, it was 6pm now. I couldn't believe what I had just heard, my heart was racing as I tried to make sense of everything she had just told me. That meant she would be meeting him at 9pm, on a Friday night, in a busy town - and more importantly, a town that would no doubt be filled with people we both knew. I was split between concern at her being seen on the arm of someone else, and arousal at the thought of her being so willing to potentially humiliate me in front of our friends. Damn, even a handful of family members on my side could possibly bump into her too; how could I explain it if asked?

"That's okay isn't it babe?" she asked, her hand squeezing my shaft, which was giving away my true feelings about what she was telling me, "This was what you wanted wasn't it?"

The manner in which she asked this was more teasing than concern for my feelings, and it worked. Despite my misgivings about the timing and location, I could not deny that in 2 minutes Katrina had managed to get me hornier than ever before.

I asked what had happened between them that week and which had led to this meeting being organised; Katrina told me how she had began to flirt with Steve early that week and he had immediately shown interest in her. One thing had led to another and after meeting him for lunch on the Thursday, she had finally agreed to his repeated offers of a *****, though making out to him that it was completely behind my back and the need for discretion. This wasn't exactly reflected in overtly going into town together but he hadn't seemed to care - I suppose he was single anyway and them being compromised would not adversely effect him.

By now I was gagging for release and Katrina knew it. Taking my hand she led me upstairs and told me to go for a shower, she would wait in the bedroom. I wanted her there and then but she just said that I'd had my first surprise, if I wanted the second then to do as I was told.

Back in the bedroom 10 minutes later I found Katrina lying on top of the bed in just a pair of lace underwear and a bra. My cock was still semi erect as my mind had raced in the shower, but the sight of her tanned size 10 body, waiting there just for me, had me spring back to full attention.

Katrina told me drop the towel and to lay on the bed, on my back. She then straddled me and taking hold of my hands, placed them above my head. Before I barely realised what she was doing, she had deftly tied them to the top bedposts. I didn't complain though, I was quite willing to be at her mercy.

She kissed me passionately on the lips, her tongue darting into my mouth and across my lips. Leaning to the side, she whispered in my ear, "I forgot to mention, after the lunch on Thursday Steve tried to kiss me at the table and well, I kissed him back. I hope you don't mind but I couldn't resist, especially when I felt his hand on my thigh, just inches from my pussy."

As she said this she began to kiss down my body and after biting gently on both of my nipples, she worked her way down to my groin and I groaned in pleasure as I felt her tongue flick at the head of my cock, before taking it completely into her mouth. Using her other hand, she caressed my shaven balls (we always kept ourselves shaved down there and Katrina insisted that my body hair was always trimmed short), while she slowly wanked and sucked me off. Every now and then she would stop what she was doing and ask if I minded that later that night she might be doing the same thing to Steve, or tease me by asking if I thought she would even be able to take his cock in her mouth, after what everyone said about how well endowed black men were.

All of this just fed my lust and my hips bucked as probably in the quickest time ever, she managed to bring me to orgasm orally. I desperately wanted to grab her head and ***** it down onto me, but the restraints held tight and as frustrating as it was, the denial heightened my pleasure. My cum rushed through the length of my shaft and at first I thought she was going to swallow it but at the last second, she whipped her head away and I spurted my thick cum all over my own stomach. Katrina sat back on her heels and watched as she kept wanking me, ensuring that every last drop was out of me.

"There, good boy," she said, smiling, "Now for your second surprise."

I had thought that this spectacular blow job was my second surprise but apparently not. Katrina reached down to a bag on the floor and brought out a dark coloured case. I kept watching as she opened it and couldn't believe my eyes when she pulled out the parts of what I recognised as one of the CB design chastity devices.

"I hope this is what you meant," she asked, "I went to the sex shop in town today and bought it for you and trust me, at over £100, you are definitely going to get use out of it."

"Fine by me," I said, still out of breath from my orgasm.

"Did I ask for your agreement?" Katrina said back to me, with mock severity in her voice. "That's why you got the BJ, to make sure your cock was nice and soft to put this on you. I hope you enjoyed your orgasm as I'm not sure when I am going to allow you to have another...I suppose it depends on how good you are for me."

Katrina slipped the holding ring behind my sack and after fitting the spacers, slipped the main cage, made of transparent plastic, over my cock. Ensuring it was a good fit and that my slit was placed correctly at the end so I could still urinate, she took out a tiny brass padlock from the case and secured the device in place.
chrislebo

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"No more using the urinals at work or standing up to pee in the house," she pointed out to me, as she tapped the plastic with her nails, "You can look forward to having to pee like a girl from now on and I can look forward to not having to put the toilet seat down every time I use it after you."

I didn't care, looking at restrained cock awoke feelings in me that had been deep inside for years, to have my sexy wife do this to me, on the same day she had revealed to me that she was at long last going to fuck someone else; I felt like I was going to explode with love for her. "I love you Katrina," I said, looking up at her.

"I love you too babe, but don't think you're getting out of this. I'm going to put the key for this in a safe place and you are going to experience what it feels like to be celibate for...how long shall we say to start off with? A week is fair I think."

"As long as you decide honey," I replied, I didn't care at that moment, the feeling of the device on my cock and tight around my balls was heavenly, and as I looked up at my wife, she leant over and kissed me again.

"Now for your last surprise," she said, and after reaching back down to her bag, pulled out a small La Senza bag. She opened it and pulled out a pair of electric pink coloured satin and lace knickers. "I think these should look good on you, I got a bigger size than my own, so they will fit over the cage."

I couldn't believe that she had done so much in just a few days and mentally kicked myself for not bringing up the topic of cuckolding sooner! I lifted my hips and Katrina slid the panties over my legs until they covered me completely, the feeling of the smooth satin and rougher lace causing my cock to twitch uselessly, and a little painfully, in the CB 6000.

"Katrina, they feel perfect," I told her.

"Hmmm, they do look nice actually, better than I imagined," she agreed. "They'll do for now but tomorrow I want you to completely shave your legs and if your a good little cuckold I will maybe buy you some tights or stockings."

Being called a cuckold by her was sensational, it was what I had always wanted and yet, we still had the whole night to get through, it was now less than 2 hours until she would have to go out, leaving me alone and wondering what she was up to. I just couldn't believe how she had embraced this so quickly, though in hindsight it was a pretty good deal for her; a compliant husband and as much cock as she wanted, when she wanted, whether it was mine (if she released me) or someone else's.

Katrina went to untie me, saying that she needed to get get ready now, but then stopped. "One last thing," she said and using her mobile phone, she took two pictures of me, one full length and one a close up of my restrained cock underneath the pink girly panties. "You never know," she giggled, though I had no idea what she meant or why she would need those pictures.

Katrina untied me and I immediately reached up and pulled her to me, whispering,"Thank you" into her ear.

Katrina laughed and just said, "Let's see if you feel as grateful in a weeks time, or even later on when you are sat alone, thinking of me and Steve and unable to touch yourself."

True enough, I realised then it was going to be tough but still this was what I knew I wanted, and that even the denial would ultimately be a pleasure for me, in a twisted way. Katrina told me to get dressed, as she needed time to get ready and I obediently slipped on a pair of jeans and a t-shirt and went downstairs, experiencing some discomfort from the CB 6000 but determined to get used to it, to satisfy my new 'mistress'.

I sat downstairs for the next hour as Katrina busied herself in the bedroom. Eventually she called to me and I went up to her. "What do you think?" she asked.

She looked stunning, wearing a summer dress which stopped just above her knee, strappy sandals and with her hair and make up perfect. She done a twirl for me and I gazed adoringly at her perfect figure, suddenly experiencing some jealousy at the knowledge that a stranger would have his hands on her tonight, and probably more.

In keeping with her teasing mood, Katrina lifted up her dress and I saw that she was wearing a pair of panties exactly the same as she had got me and which were under my jeans, just in her own size. "And of course, the matching bra," she said, "I thought you would like that and to know that Steve might get to see me in them tonight, before you even have."

I did indeed like it, the dull pain as my cock tried to stiffen certainly reminded me of the fact. I pulled her close to me and kissed her deeply on the lips. she pushed her groin against me and giggled at the feeling of the hard plastic pushing against her. "Now, you're certain you are up for this?" I asked.

"Of course I am, silly. Why wouldn't I be; I should be asking you the same thing shouldn't I? It's you that has to deal with what might happen tonight, or maybe even every weekend," she added. "Anyway, I need to call a taxi and get going, I don't want to be late."

Kissing me quickly on the lips she went past me and downstairs and called a taxi, surprising me when I heard that she had booked it to take her to one of the most popular bars in the town centre.

"What are we going to do if someone sees you with him?" I asked.

"You should've thought about that before asking me to do this," Katrina laughed, "Not my problem really is it, if any of my friends see me I'll just ask them to keep quiet. The question is, what if any of your friends see us?" Katrina looked at me and added, "Oh I see, maybe that's what you want isn't it? For your friends to see me and to know that I've cuckolded you. If that's the case, I'll make sure we go to all the popular places and that if I see anyone who knows us, that they get an eyeful of me sucking on Steve's tongue!"

She was right, while I had no idea how I would explain this away to anyone who saw her, the thought of it turned me on, there was no doubt about it. It was then that something popped into my mind which I hadn't even considered earlier. "You have got condoms haven't you?"

Katrina was on the pill but with a stranger I thought she should be better safe than sorry. But I didn't expect the response she gave, "Why would I use condoms?" She pulled me close to her again and rubbed my sensitive balls over my jeans. "When I get home later, or maybe tomorrow morning, you are going to be licking me and it wouldn't be any fun if I had used a condom would it? You want to be kept in chastity, wear girly panties, well you can look forward to eating cum like a girl too. You had better just keep your fingers crossed I haven't forgotten to take my pill recently..."

My pain in my groin was unbearable as my cock fought to become erect against the hard plastic of the CB 6000; it was her last comment about getting pregnant which had done it, I had read stories of cuckold husbands whose wives had gotten pregnant by their lovers and found the whole idea extremely erotic, yet had chosen to not to share those thoughts with Katrina as I had thought she might have thought that a bit too over the top. It would seem that I was wrong.

A horn beeped outside the house and leaving me to ponder the matter, Katrina kissed me on the lips, "Wish me luck," she said and disappeared out of the front door.

I watched out of the window as Katrina climbed into the back of the taxi, shifting uncomfortably in the chastity device and wondering what else this weekend would have to bring. Three hours ago I was a normal guy, and here I was, in a cock cage, pink panties and waiting at home while my wife dated a strange black guy.

I knew then that I was the luckiest guy in the world.
chrislebo

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Chapter 2 - Pain & Pleasure

Katrina had been gone now for less than an hour and while I was trying to relax, having a beer to calm my nerves, I had never in all my life been as wound up as I was that evening. My mind was racing with images of what she was doing, where she was and how Steve and her were behaving in public; it wasn't jealousy I was feeling, more so a feeling of helplessness at my inability to relieve my now aching cock, which had been in a state of semi-arousal since before Katrina had left, in so much as the CB 6000 allowed, and a mixture of both concern and excitement at how she or I would handle any questions if she was seen with Steve by anyone we knew.

I sat back on the sofa, thinking about what had led to this evening's events so far. I knew that I wasn't gay, and yet the unrelenting desire to taste another man's cum must mean that I was bisexual? That said, I don't think I had ever seen a guy in the street and found them sexually attractive, but when watching pornographic films I had always wished that I could take the place of the girl who inevitably ended up on her knees at the end of the film, her mouth open and receiving a mouth or face full of thick creamy cum from a well endowed man.

As I thought about these things my cock again began to stir and I had to shift around in the seat to make myself comfortable, I reached into the waistband of my jeans to adjust the device but instead of helping, this just made me feel hornier, especially as my hand felt the smooth satin of the girly panties I was wearing. I was desperate for release, but not being able to do anything about it just made me harder and hurt more, it was like a vicious circle that in truth, I wanted to stay in.

All of a sudden my mobile telephone alerted me that a text message had been received, it was now 10.30pm, Katrina had been gone for over 90 minutes and I hoped it was from her, that she would at least let me know what was going on. It was indeed from her and I opened the message.

'hi cucky am in the irish bar, all goin well, s says hi lol'

'S says hi'? There was no way that meant what I thought it did, that she had told him I was at home waiting for her, but as I thought about it, I found myself hoping that she had, that her and him were maybe talking about how I was so submissive to her that I had agreed to to let her go out into town with him. I sent her a message back straightaway.

'have u told him??? what time will u be home?'

I hoped that she would get back to me just as quickly but I was made to wait for another half an hour before my phone beeped once again; I read the message which didn't answer my questions, but just said she would text me again when she was on the way home, but not to wait up.

An element of uncertainty about the situation began to creep into my mind; I had thought that Katrina would have wanted to keep teasing me, letting me know exactly what was happening between them, but she seemed to have other ideas and was more intent on making me suffer, mentally and by now, physically, at home. The CB 6000 was almost painful now, I realised that it was maybe on too tightly, as my balls were throbbing against the satin panties and yet, strangely, I knew that even if I had the key to the small padlock, I would not have used it; I had asked for this and until such time as I thought there was a significant danger of physical injury, I would endure the pain. Anyway, I didn't have the key and was at a loss as to how I would safely remove it should the situation have turned awry.

I made sure all the curtains were drawn and removed my jeans and socks, sighing at the slight relief this afforded my testicles. Going into the kitchen, dressed in just the panties and a T-shirt, I necked a couple of painkillers, which I washed down with a swig of beer and went back into the front room. As I walked, my cock moved gently up and down within its plastic prison and the feeling of this and the panties against my skin made me look down and have a little smile to myself, despite the accompanying pain, at the same time making a mental note to shave my legs the next day. I settled back onto the sofa, stretched out, my legs apart and channel-surfed the TV, using one hand to operate the remote and another to gently rub my now swollen balls, closing my eyes at the mix of pain and pleasure this offered.

I found myself starting to drift off to *****, with images of my sexy wife draped over this strange black guy in the Irish bar, and as I fell asleep the last image I remembered was that of a couple we both knew walking into the bar and looking over at her and Steve as they kissed passionately at the bar, their tongues probing each others mouths as their bodies pressed hard against each other, in a way that could never be shrugged off as anything but a kiss between two lovers...

I woke to the familiar sound of my mobile, it was just after 2am and I realised that the combination of painkillers and ******* had hit me harder than expected. I checked the display and saw that the message was from Katrina - she would be home in 15 minutes and I was to wait in the bedroom for her. I looked down at myself, the pink panties still covering the chastity device and pulling them to one side, saw that my balls were almost purple in colour and when I touched them, albeit gently, the pain was unbearable.

I slowly got up from the sofa and went upstairs, my mind waking more and coming to terms with what was actually happening. As I brushed my teeth I imagined Katrina kissing Steve goodbye, wondering whether she had left him in town or had they gone anywhere more private? Regardless of the constant throbbing I could feel in my sack, I couldn't wait for her to get back and tell me all about it, hoping that she would at the very least, loosen the ring on the CB 6000; I had realised over the recent years that yes, I was a submissive and yes, I somewhat craved ***********, but not to the extent that I ended up in hospital with irreparable damage. We hadn't even had any ******** yet, both deciding to get established in our careers first, I was certain that Katrina wouldn't want to jeopardise the chance to have ******** with me in the future.

I took off my T-shirt and laid on the bed, again spreading my legs in an attempt to ease the discomfort of my restrained cock and balls. I tentatively touched my sack and even though it hurt like hell, I couldn't resist touching it again. The pain somehow excited me, made me feel like I was experiencing some form of punishment for not being man enough to satisfy my wife, even though I knew that this wasn't in fact the case.

I was brought out of my thoughts by the sound of the front door opening and footsteps on the the stairs. I had dimmed the bedroom light but when Katrina walked in, I could immediately tell that more than kissing had taken place. Her hair was tied back, as if had not had time to straighten it and her make up had pretty much disappeared. Even so, with the flushed look about her, and the obvious flaws in her appearance from when she had left the house hours earlier, I thought she looked perfect and the wicked grin on her face ********** my opinion.

"Hiya babe," she said, "I see you've enjoyed your surprises tonight?"

"Mmmm, I have but babe, I really need you to loosen this, I feel like my balls are dying!" I begged her, "You don't have to take it off, just loosen the spacers."

Katrina looked down at me and I hoped the obvious pain on my face would convince her. Pulling her dress over her head, my pain was momentarily forgotten as I admired her sexy body. "Okay, let me sit down first."

At that, Katrina swung her leg over me, so she was sat almost on my face, facing down my body, the crotch of her underwear just inches above my face. She then reached down and pulled the panties to one side.

"Here you go baby, your treat for letting me go out and enjoy yourself."

As she said this she lowered herself down to my face, so her pussy lips were against my lips. I felt her leaning forward and handling the CB 6000 and in appreciation, despite not knowing what I was about to taste, I used my tongue to probe her pussy. Immediately I noticed two things; how wide open she seemed to feel and a musky, salty taste.

"Mmm," she groaned in pleasure, pushing herself down onto my face. "That's it baby, get in deep, taste Steve's cum."

As she said this she managed to loosen the spacers on the device and my pain was for an instant gone, but then replaced with a burning feeling as the ***** rushed back into my balls.

"Oh fuck, oh fuck," I gasped but Katrina ignored my outburst and sitting back up, I felt her finger spreading her pussy lips.

"There you go, is that better?" she asked, "That's my part of the deal, now eat me up clean pussy boy, show me how much you like cleaning someone else's cum from your new whore wife."

The pain slowly subsided and I concentrated on pleasuring my wife, sucking eagerly at her pussy, tasting what I presumed was Steve's semen. Clearly, she had decided to put her faith in her contraceptive pill as opposed to condoms. I considered the potential outcome of this and I have to be honest, as I imagined that she might have become pregnant that night, by a black guy, my cock strained again, testing the CB 6000 to the limit as it fought to get erect.

"That's it babe, mmmmm, it felt so good when he came, he went sooooo deep inside me, far more than you ever have," she teased; I could feel her cunt spasming as she pushed the contents out into my mouth.

I felt the cum dripping over my face and onto my lips, licking them straightaway to make sure none of Steve's heavenly juices were wasted. For a non-gay guy, I was definitely enjoying tasting the second hand cum from Katrina's pussy, at that point in time I would've licked her pussy irrespective of what was inside, no matter how much cum or who from.

Katrina was leaning forward again and I felt her tongue around the base of my cock and then around the side of my balls, which were still slightly swollen. The pain had gone by now and their being swollen just made them more sensitive to her. I spread my legs like a cheap slut, wanting to give her as much access to me as possible. I felt Katrina's fingers snake around my sensitive balls, making me gasp and then down to my ass. I tongued her more deeply, lifting my ass to allow her access to me; she rubbed around my tight little hole and then slipped one, then what felt like another, finger into my ass.

She was grinding her sloppy cunt right up against my face now, I was sucking and licking for all I was worth, savouring the taste of cum, hers and his, as it smeared across my mouth. Katrina was moaning in pleasure and as she ******** my ass with her fingers, both inside me now up to her knuckle, I thrust my ass up and down, loving the feeling of fulness.

"Yes, yes, yesss...." she screamed out and without any other warning, slammed herself down onto my face, almost ********** me as she racked with orgasm. I probed my tongue as deep as I could into her, feeling the walls of her pussy clench as she came hard, for what seemed like minutes. She pulled her fingers out of me, my ass closing and a strange yet enjoyable feeling washed over me as she left me empty again. Katrina steadied herself with both hands on the bed as she recovered from her orgasm and then shifted herself until she was lying next to me, on her side.

"Wow, that was fantastic honey," she purred, "I think we have finally got the perfect arrangement," she added, idly playing with my chastity tube, lifting it up and dropping it again, making my balls rise and fall with the movement.

I looked in her eyes and said, "Was he worth the risk?"

"What risk?"

"You know what I mean," I replied, "Not using a condom, what if you get pregnant?"

"Mmm, well, you did say you wanted us to have kids one day," she teased, "Maybe I could show everyone how I've cuckolded you by having a black baby in 9 months?"

I thought she was joking, she laughed as she said it but something about her expression gave me the impression that this was a subject that might come up again. I have to admit though, as she said this, I wasn't disgusted, or put off, in my horny, chastised mind, all I could think about was letting her do whatever she wanted; she was my mistress now and I would let her do anything she wanted, as long as I got the attention like she had just shown me.

Katrina cuddled into me, her hand alternating between stroking my balls and using a finger to rub against my ass - it was both a complete tease and perfect, all at once. I was desperate to cum but knew that it wasn't going to happen tonight; maybe I needed to give her more, or let her do more to me; whatever it took, I knew I would do it...
chrislebo

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Seven days had passed since Katrina had come home that Friday evening and had made me eat her cum filled pussy, all the time my cock locked in the CB 6000 and where it had stayed since. I had fallen asleep, eventually, with the taste of Steve's cum coating my tongue and if I'm honest, couldn't wait to taste his, or someone else's, thick spunk from Katrina's pussy again, IF she decided to treat me.

I was finally beginning to get used to the chastity device, Katrina had adjusted it so it was more comfortable, yet still tight enough that there was no chance of me being able to escape from it; I had no idea where she had put the keys so I was completely at her mercy for when I was going to be able to have an orgasm.

When we had got out of bed on the Saturday, Katrina had been like a kid at Christmas, especially when she had found a text message from Steve on her mobile phone, saying how much he had enjoyed their evening together and inviting her out with him the next weekend.

"You don't mind do you babe?" she had asked. "He's suggested that we go away overnight to Manchester, at least that's far enough away that we're unlikely to bump into anyone we know."

Manchester was an hours drive away but it was Katrina's reference to someone we knew that reminded me about the previous night. "Did you see anyone while you were out last night?" I asked.

Katrina played coy, but with a wicked glint in her eye. "Well, I think there might've been a couple of guys there from your work, but I'm not sure whether they saw me." She added, "Then again, I wasn't paying them too much attention so I couldn't really be sure either way."

I was on a week off work so if what she was saying was true, it'd be a while before I found out, although I knew that gossip like that would spread like wildfire around my office so within a week half the building would know. The strange thing was though, while I was nervous as to how I would handle any awkward questions, the thought of people talking about Katrina and how she was maybe having an affair behind my back was a thought that I found quite arousing, albeit just mentally as my cock was unable to get more than semi erect at the best of times.

Unfortunately, the week off had also meant a lot of time alone at home, Katrina out at work and doing god knows what, while I was left frustrated. Still, it was what I wanted and Katrina had over the last few days began to use my chastity for her own ends, having me spend ages licking her pussy in the hope that she would finally relent and allow me some release, but she hadn't so far. I was so confused, I desperately wanted to cum, to feel an orgasm ripping through my body, yet I also loved the fact that I couldn't.

Anyway, despite asking me about going out with Steve, Katrina had every intention of going regardless of what I said and it was tomorrow (Saturday) that she planned on meeting him. Katrina had taken today off work and was upstairs getting ready, having told me we were going into town to get her some new clothes for her 'date'.

She came downstairs looking gorgeous as always; she had also picked out my clothes, making me dress up slightly more than usual as I was to buy her lunch out. Even so, my CB 6000 was securely in place, covered in a pair of pink lace panties underneath my jeans, which I had deliberately chosen as they were a slightly looser fit.

"You look gorgeous," I told her, "Good enough to eat."

"You will be later, don't you worry," Katrina replied, "Seeing as you've been a good cucky this week I'll maybe let you buy something to wear tonight, as a treat seeing as you'll be alone tomorrow."

I wondered what she had in mind, though was pretty sure she didn't have anything manly in mind. We headed out and spent the day touring female clothes and underwear shops. I was paranoid that my device was noticeable under my jeans but Katrina said it just looked like I had a big cock tucked in there. I wished!

Katrina was constantly teasing me, putting sexy clothes up to herself and asking if Steve would like her in it; I was fairly certain whatever clothes she bought wouldn't be on her too long anyway. I said this to Katrina but she corrected me. "Oh no, not at all dear hubby, I intend to spend the weekend with Steve as if he was my husband, we're going to go shopping, have dinner etcetera. I want to let people look at us and think we're a real couple."

I thought about this for a second and could feel my cock stirring, imagining them holding hands as they walked around the shops. What if Katrina started to have feelings for him more than just sex, what if they fell in love? Would she stay with me?

Katrina seemed to guess what was going through my mind. "Don't worry, it's you I love, this is all for us," she reassured me, "Though I'm sure I can keep two men in my life happy, aren't you?"

"Come on, here we are, time for your treat." Katrina pulled me towards La Senza and went straight over to a display of bright pink satin panties, bras and camisoles. She grabbed my hand and made me touch the material, "Like?"

I definitely did, I loved the feel of the satin and imagined how it would feel over my new hairless body (Katrina had made me shave and Immac all my body hair earlier in the week). I wasn't prepared for what she done next though; holding up a size 14 camisole to me, she said loud enough for most of the shop to hear, "That'd fit you just lovely!"

I looked around, my face going red as other customers looked over at me. Katrina just giggled and grabbing a pair of panties and bra in the same colour and suitable sizes, went to the cash desk. I followed, eyes on me from the other customers and the *********** was exquisite - I wondered what exactly they were thinking, whether they believed Katrina or just thought she was messing about. The assistant rang up the items and Katrina looked over at me when she asked for payment, pulling out her purse and again saying louder than necessary, "My treat."

Katrina handed me the brightly coloured bag and led me out of the shop, a big smile on her face, knowing how much she had just humiliated me. As we walked out she asked me if I'd enjoyed that, I said that I had. Two hours later we were on our way home and I couldn't wait till later, praying on one hand that she would release me from the device but on the other, imagining being dressed in my new underwear, serving her pussy like a good chastised slave, cleaning her before she was ******** by black cock the following day.
chrislebo

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Having got home from my very humiliating shopping trip, things had progressed quickly. Katrina had teased me all the way home in the car, making comments like, "I'm gonna fuck you tonight like the slut you are," and, "Come on admit it, you want to be my bitch, don't you?"

I was embarrassed to answer but my caged cock twitched at the thought and was becoming both sore and aroused at what was to come, but at the same time I was quite nervous.

Once in the house, Katrina told me to go for a shower and handing menthe La Senza bag, told me to put on my new underwear, lie on the bed and wait for her. Of course, I did as I was told and 15 minutes later was in position, lying on my back, the pink knickers and camisole against my skin making me feel horny and slightly conscious as to how I looked.

After a few minutes Katrina came into the room. I gasped in amazement, she had obviously done some shopping of her own during the week and was dressed in a full black PVC outfit, corset, no knickers, stockings and suspenders and thigh high heeled boots. She looked stunning, but even better, like the perfect dominatrix. She was also carrying a bag, which she placed by the side of the bed.

"Aww, look at my little slut, how do the clothes feel?"

"Very nice," I replied, watching her every move as she straddled my groin, lowering her shaven pussy down until it rubbed against the plastic of the CB 6000. She leant forward and kissed me on my lips, her tongue darting into my mouth, but pulling out before I could suck on it, which I was desperate to do.

She straightened up again, her hands rubbing over my satin covered smooth chest, fingers pinching at my nipples. "Very nice indeed," she said, "I could get used to this I think.". She then lifted herself slightly off me and ordered me to turn over, onto my front. I did so, carefully so as not to hurt myself even more with the chastity device, and once in position, she sat back down on me, again straddling me. I saw her reach down the side of the bed and into the bag, and then she sat back up with a pair of handcuffs swinging from one finger.

"Now babe, don't panic but I have plans for you tonight which I think you will enjoy, but maybe not at first so I'm going to put these on you okay?".

"What do you mean not at first?"

"Shhhh," she just said, "Just relax and enjoy yourself, my little chastised bitch, aren't you?"

She leant forward, over my back and put the handcuffs around one of the bars in the centre of the headboard. Then, in turn she restrained my hands in them, before again sitting back on me, her weight pushing my cock cage uncomfortably against the bed, my balls squashed against the plastic retainer rings.

"Honey, you don't need to tie me down," I pleaded with her, now getting concerned at what she had planned for me, "Honestly, I'm quite happy to do whatever you want."

"You say that now, but you don't really know what I want do you?" She said this with some menace in her voice, but without seeing her face, I couldn't tell if she was for real or play acting. "As I said earlier, tonight you're my bitch and one more word from you and you'll regret it okay?"

My mind reeled at what was possibly to come, but I think that even if she had uncuffed me, I'd still have stayed where I was. Secretly, I think, I wanted this.

Katrina slid off to one side, kneeling next to me. "Lift your ass up, but keep your head down in the pillow."

"Uh huh," I replied, doing as she said. The knickers were cutting slightly into my balls and I was paranoid I looked stupid, with one testicle hanging out of either side of the material. This was soon rectified though when I felt Katrina pulling the gusset of the knickers to one side of my sack, exposing my balls and ass. The next ing I felt was what I presume was her finger, and more worryingly, her long fingernail, at the entrance to my ass.

"Mmmm, you're very tight back here babe, we'll have to do something about that.". More rustling behind me and then I felt a cold sensation as a liquid which I can only assume was lubrication of some kind, was applied to my ass. I gasped slightly as I felt Katrina slip a finger in me, gently at first, slowly working it in and out of my ass for a few moments until I realised she had fully inserted it into me. There was some pain but the feeling as she slipped it back out and then in again was exquisite.

"Good boy, you're a natural," she said, "I was reading about anal sex on the net the other day and it said you should take it step by step, but before I go out tomorrow I want to know that I have taken your anal virginity and that you are 100% my little slut, so I'm afraid we're not going to have that sort of time. Hence the handcuffs," she added.

She pulled her finger out of my ass slowly, making me feel every second of it, and then she reached her hand around to my mouth, the finger that had just been inside me rubbing against my lips. "No way," I exclaimed, "Thats too much babe, not when it's just been in me!"

"Suck my fucking finger bitch," she hissed, and I knew she was being serious. "For years now I've been swallowing your cum and putting up with your little cock, now it's time that you do what I want, and don't forget, you wanted this."

She wasn't leaving me with much choice, so I opened my mouth and allowed her finger to pass through my lips, tasting the muskiness of my own ass and feeling thankful that I had cleaned myself as well as possible in the shower.

"There, good boy, or good girl I should maybe say," she chuckled to herself, "Now you're learning.".

Katrina moved back into position, on her knees behind me. She grabbed at the cage of the CB 6000 and pulled on it, causing the ring to tighten up against my balls. I yelled in pain. "Just so we're clear, any more problems and the pain you just felt will be nothing compared to what you will feel, in fact, I know how we can solve this."

I twisted my head to watch her reach down into her bag again and this time she produced a ball-gag, with a black rubber ball and leather straps. "Please honey," I begged her, "I'll be quiet, I promise."

Katrina ignored me and placing the ball in front of my mouth told me to open up. At first I refused but then she just leant down and whispered in my ear.

"At the minute, I just plan on using one of my medium size dildos on you..." She let this sink in, "But if you don't open your fucking mouth right now, I swear to god I will work on your ass all night until I get my fist in you, no matter how much it hurts and you scream the house down."

She sounded deadly serious this time and for the first time since all this had started, I felt seriously worried. Fisting? I didn't think Katrina even knew the word, let alone that it could be done to a person. I decided that I would let her gag me, not willing to risk the consequences if she was being serious.

Again I was verbally rewarded, but this time with, "Good girl. Now, relax and enjoy this, otherwise it's gonna hurt." As she said this she slapped my ass hard and if I hadn't been gagged, I'd have yelped out in pain.

More of the lubricant was applied and I heard her bedside drawer open, the drawer where Katrina kept her selection of dildos. I held my breath in anticipation and then felt the tip of what seemed to be a plastic vibrator pushing against my asshole. "Just relax," Katrina instructed me, "Any pain will soon go, trust me," and then, in a more mocking tone, "If it helps, imagine my ass getting penetrated tomorrow night, and his is much bigger than this."

Katrina had never let me have anal sex with her and I felt pangs of jealousy, though these soon went when my mind registered the searing pain of my tight hole being stretched wide by the toy. I groaned against the gag but Katrina didn't hear, or didn't care, and continued pushing it in me. I shoved my face into the pillow, biting down on the gag, praying that the pain would soon turn into the pleasure I had been promised.

"That's it babe, nearly there.". Katrina was back to being her loving self, satisfied now that I was doing her bidding. "Two more inches and you'll have the full eight in you!"

Eight? My own cock was only six inches long when erect and yet I had taken more. Fuck me though, it hurt like mad but slowly my ass seemed to grow accustomed to the size and the pain started to subside.

Katrina continued to drive the vibrator in and out of my ass, it was as the toy moved out of my ass that I felt the most pleasure, and found myself hoping then that she would push it back in and not leave me empty. My groans and grunts of pain had turned to murmurs of pleasure and I couldn't help but spread my legs wider and push back slightly, wanting to meet her thrusts.

"Mmmm baby, you're enjoying that aren't you," she teased. "Maybe I can trust you to keep quiet now? I'm gonna take off the gag and if the first words out of your mouth aren't 'please fuck me more', it goes back on, understand?"

I understood and despite the pain of what had now been over an hour of anal *****, more was exactly what I wanted. I felt her undo the buckles of the gag and she pulled it from me. "Well?"

"Please fuck me more Katrina," I begged, and without being asked, "I want you to shove as big a cock as I can take inside me, please, make me your slut."

"Of course I will darling, I'm glad that in such short a time you've accepted your new place in this marriage. Now let's see what else I have that could satisfy and stretch you."

My ass was throbbing and a little sore, but I ached for more and watched as she went back to her drawer and removed her largest dildo, a black rubber one with balls at the end and about as thick as her wrist. "Maybe this?" she asked.

As horny as I was, I didn't think there was a chance that I could fit that monster in me. I could remember when we had bought it for Katrina and she could barely get the thing in her pussy, even with her natural lubrication and plenty of KY jelly. "I think that might be too much babe," I told her, "As nice as it looks there's no way I can take that."

"Nonsense, you just need to relax babe, it'll fit...eventually. Now, spread your legs again and you might wanna bite down on the pillow, just till you get used to it."

For the next 30 minutes Katrina slowly inserted the toy into me, centimetre by centimetre. It hurt, not as bad as earlier but the pain definitely outdid the pleasure with this one. Even so, I kept as quiet as I could, letting Katrina work on me at her own speed, adding more lubrication whenever she felt I needed it. The half hour seemed a lot longer but finally she sat back and exclaimed, "Yes, that's it, all done.".

I had never felt so full in my life, it felt like the dildo was pushing into my stomach it was so deep into me, and I could feel the fake balls pushing against my own, which were already uncomfortably swollen from the pressure of the plastic cock cage pulling at the retaining ring and spacers.

Katrina seemed so pleased and I was happy that I had managed to please her. "Did I do well honey?" I asked.

"Oh yeah," she replied, "In fact, you've been such a good little slut I might just have to see if I can find something bigger for you, I mean, it's still early yet and even though my pussy is soaking wet, I've got hours left of playing in me yet."

Katrina got up and left the room, and I heard her walking downstairs. I took the opportunity to lie down properly, as best I could with the best part of ten inches of dildo in me, resting and taking the weight from my wrists, which were starting to get sore from the cuffs. I still had to keep my legs spread to accommodate the toy in my ass, but at least I was getting some respite from the onslaught so far. I wondered what Katrina was doing downstairs and just hoped she would bring a ***** up, my mouth was dry from the pain I had been experiencing.

I was left lying there for about 20 minutes, during which time the dildo eventually slipped out of my ass, popping gently out and falling to the side of me, onto the bed. At one point I thought I heard Katrina talking downstairs but couldn't make out what she was saying and presumed she was on the telephone, although I couldn't think who she would be calling in the middle of what we were doing.

I heard footsteps once again and Katrina came into the room, still dressed in her killer outfit. "Oh dear, look what's happened," she said, "Trust me, you'll want that back in you, keeping you nice and wide."

She picked up the dildo and again applied some lubricant to it before pushing it back into me, though this time she pulled my knickers over the top of it, so that it couldn't slip out. "You just lie there and think naughty thoughts," she told me, "Cos trust me, this night is going to become naughtier than you could have ever imagined."

I turned to face her, still lying on my front. "What do you mean? Come on babe, don't you think you've done enough to me, that I've let you do enough?"

Katrina laughed, "You forget, you don't LET me do anything, I do what I want, remember?" Again she had that evil tone to her voice, which I didn't dare test to see if it was for real or not. "Now stay there, I'm getting myself a *****, ready for the show."

Show? What was she going on about? I didn't get time to ask, and I'm sure she wouldn't have answered me anyway, before she left the room, went downstairs and I heard the chinking of glasses as she fixed herself a *****. By this time, I could've done with a strong one myself - the dildo in my ass was starting to ache, especially as the lubricant dried up, and my cock, which had been trying to become erect for the last few hours, was really becoming uncomfortable within the CB 6000.

I waited again, about half an hour passed before I was surprised to hear the doorbell go; I then heard it open and voices downstairs, Katrina's and someone else's - a guys which I didn't recognise but as I put things together in my mind, even in the state I was in I started to realise what was about to happen, or at the very least, that Katrina was about to introduce Steve to me, with me trussed up like a chicken on the bed, with an ass full of dildo!

A few moments later I again listened as the footsteps approached. The bedroom door opened and I heard Katrina say, "Here he is Steve, just like I told you."

As embarrassed as I was, I looked around to see Steve for the first time. He was a six foot something, well built black guy, as Katrina had described him, but in person he seemed particularly intimidating, especially considering the situation I found myself him.

Steve looked down at me on the bed and laughed, "Nice to meet you sissy boy, wow, I honestly thought your wife was exaggerating when she said what you were like but well, damn, I can see she wasn't."

I looked at Katrina, who was stood close to Steve, her arm around him and a big smile on her face. "What exactly are you trying to do? What if this gets out, if he tells someone?"

"Why should I care?" she replied, I have Steve now and whether anyone knows what a sissy you are or not, I still get to have his cock and when I want to, ***** yours...and your ass of course."

She turned to Steve, "Okay, as I promised, the deal is this. You let me watch you fuck his ass and fill him with your lovely cum, and I will let you fuck my ass too, you get to take something that I have never even let my husband take before - my anal cherry."

Steve looked down at me again. "Well, I ain't gay, but I suppose if he got up on all fours and kept the panties on, it wouldn't be much different from any other ass I've fucked. I ain't touching his cock though."

"That's okay," Katrina reassured him. " You won't have to, though if you don't mind, I might have him suck you hard again once you have used him, just so I can get your cock in me as soon as possible afterwards." She looked at me and added, " I want my husband to watch me get fucked while your cum is still dripping out of his stretched ass."

"Fair enough," said Steve, "He had just better suck cock good."

Katrina turned back to me, "Now, are you going to do as I say and let Steve show you how a botch takes cock, or do I have to gag you again?" I didn't answer straightaway, but Katrina continued regardless, "Actually, on second thoughts, I think the gag will have to go on as I'm sure once you see Steve's cock, you'll realise that there might be some pain to begin with and I don't want the neighbours calling the police when they hear your screams"

Katrina laughed at her own comment and reached down, taking hold of the gag and after telling me to open my mouth, reattached it to me. " Now, my little cuckold hubby, have a look at what is about to replace the dildo inside you."

Katrina embraced Steve and they kissed passionately as her hands opened his belt and then his jeans. I strained to watch, my neck aching as I did so, as Katrina knelt before Steve, opening his jeans and pulling them and his underwear down together. I couldn't believe it, his cock was only semi erect and yet it looked about 8 inches long as it swang between his legs. Katrina took it in one hand, her fingers barely able to go around it, and lifted it to her mouth. Before taking the tip of his massive cock in her mouth, she just said to me, "Here we go babe, tonight you officially become my bitch, by the same man who," she looked up at Steve, "Might also be the ****** of my next baby..."

I couldn't believe what I was hearing and if I hadn't been gagged, would definitely have tried to talk her out of the last part, if nothing else, but instead I could do nothing but watch as Steve stepped out of his clothes, revealing his toned body and after Katrina had sucked his cock to what must have been 10 or 11 inches long, I felt the bed move as he got up behind me. I tried to clench my ass, which was a pointless exercise with the dildo deep inside me still. Katrina was to the side and she pulled the panties to one side and in one movement, pulled the dildo quickly out of me, "There you go lover, your first virgin ass of the night."

I felt myself being pulled back up by the waist, onto my knees and pushed my face down into the pillow, knowing that the pain I had felt earlier would be nothing compared to what was about to come...
chrislebo

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CAMILLE


« Tu es trop belle, tu sais ? Ca me fais chier de te laisser. Pfff ! »
« Non, non, non mon Piou-piou ! Pas question que tu reste là. Allez ! Au boulot ! Tu ne voudrais pas que ton bébé manque de quelque chose, non ? Courage. Encore demain et c'est le week-end. Je m'occuperais de toi. Promis.»
Fabien me fait un grand sourire, m'embrasse tendrement et dévale l'escalier quatre à quatre.
« Chéri ! Fais doucement quand même ! J'ai besoin de toi. Ce n'est pas le moment que tu te casse quelque chose ! »
« T'inquiète ! À ce soir ! »
Ce type me rend folle. Je suis la fille la plus heureuse de la terre.
Nous sommes en ménage depuis un an. Oh, nous ne vivons pas dans le luxe. Un tout petit appartement caché sous les toits nous sert de nid. Petit, certes, mais c'est le notre. Et puis c'est très provisoire, car Fabien m'a fait le plus beau des cadeaux... Un bébé.
Bien que je sois jeune, je me suis battu pour faire accepter le fait que je veuille le garder.
J'entends encore mon père.
« Un môme à dix huit ans ! Tu n'y pense pas, quand même ? Tu vas foutre ta vie en l'air ! »
Et puis, j'ai présenté Fabien à mes parents.
Mon Fab, mon homme, mon Piou-piou, ma rai*** de vivre.
Devant mes yeux bleus qui brillaient quand il est arrivé chez eux, ils ont comprit qu'ils ne me feraient pas changer d'avis.
De plus, Fab à un travail qui rapporte plutôt bien. Le seul souci, ce ***t les trois huit qui perturbent un peu notre organisation, mais ca vas.
Pas mieux du coté de ses parents. De *** père surtout. Il se prénomme Félicien, mais pour moi, c'est, monsieur Félicien.
Il est patron d'une immense scierie. Il est... bref ! C'est un patron.
La première fois qu'il m'a vu, j'étais déjà enceinte. Il est rentré dans une colère monstre. J'ai même cru qu'il allait gifler Fabien.
« Quoi ? Un môme avec une gamine de seize ans ? Tu n'y pense pas mon p'tit bonhomme ! On paye, mais elle avorte ! »
« Désolée, monsieur Félicien ! Mais d'une, j'ai dix huit ans et de deux, je garde mon bébé ! Que ca vous plaise ou non ! »
Me belle mère, Mylène, à plus de vingt ans de différence avec lui. Elle est encore jeune et belle, mais ne semble pas très heureuse.
Pour elle, que j'ai cet enfant, semble être une bénédiction.
Mon ventre est rond comme un ballon. Le petit (c'est un garçon) me rappelle parfois qu'il sera bientôt là, en me donnant de grands coups de pieds. Je suis aux anges. Vraiment.

Je suis en plein ménage. Enfin, je fais ce que je peux, sans prendre de risque inutile.
Je vais pour m'asseoir, lorsque quelqu'un ***ne à la porte.
Je vais ouvrir et un homme se présente à moi. C'est un représentant. Il a environs quarante ans. Il présente super bien et semble très sympathique.
« Ca ne m'intéresse pas ! Merci »
« Attendez, vous ne savez même pas ce que je veux vous présenter ! Haha ! C'est un garçon ou une fille ? »
« Un garçon. »
« Très bien ! Je vous ferais un beau cadeau et pour fêter cet événement. Avec vos amis, vos familles, il vous faudra des vins de qualités, non ? »
« Je suis seule, il faudrait voir ca avec mon chéri. »
« Oui, bien sur. Mais je peux vous présenter nos vins et vous laisser des documents et les tarifs, ainsi vous pourrez en parler ensemble, tranquillement. D'accord ? »
« Bon ! Entrez. »
Il reste une bonne heure à me parler vin, terroir, vigne et appellation. Je ne comprends rien et il s'en amuse en me taquinant régulièrement.
« J'ai des échantillons, mais je doute que vous buviez dans votre état. J'aimerais repasser pour les faire goutter à votre ami. »
« Bof ! Vous savez, il fait les trois huit et là, il est d'après midi. Il commence à quatorze heures et ne rentre pas avant vingt deux heures trente. C'est très tard. Et le samedi, il ne veut pas être dérangé, alors...»
« J'aimerais tout de même le rencontrer. Demain, mon dernier client est à vingt et une heures trente. Pour moi, ca colle. Ok ? »
Rendez vous est prit pour le lendemain soir, vingt deux heures quarante cinq.
Ayant fini tout *** blabla, je lui propose un café, qu'il accepte volontiers. Nous parlons de choses et d'autres et il ne tarit pas d'éloge sur ma supposée « beauté » éclatante, mes rondeurs magiques de future maman, le teint de ma peau et j'en passe.
« Quoi de plus beau, de plus sensuelle qu'une brune aux yeux bleus. Vos cheveux ***t si longs. Si beaux. Vous êtes superbe. Vraiment. Et vous êtes si jeune, la grossesse vous va à ravir.»
« J'ai dix huit ans. »
« Vous en paraissez seize. »
Il est vrai que certaines de mes amies me traitent de femme enfant. Une femme avec un visage d'ado. C'est cool et j'en joue beaucoup, je l'avoue.
« Je sais ! Mon beau père m'en a déjà fait part. Mais vous, vous êtes un charmeur et vous me faite rougir. »
« Bon ! Je dois partir. Accordez-moi une dernière faveur. Puis je toucher votre ventre ? »
Je suis étonnée par sa demande, mais je n'y vois aucun mal. J'en retire même une certaine fierté.
« Ben...si vous voulez, oui. »
Le contact chaud de sa paume, au travers de mon tee-shirt, me provoque un long fris*** tout le long de l'échine.
Il fait de grands yeux d'enfants.
« Humm ! Comme il est dur. C'est magique. Troublant»
Je l'arrête, car il s'apprête à poser *** autre main.
« S'il vous plait ! Je vous raccompagne à la porte. J'aimerai me reposer un peu, maintenant. A demain, monsieur. »
« A demain, Camille. »
Devant mon étonnement à l'entendre prononcer mon prénom, il me fait un large sourire en me montrant l'étiquette sous le bouton de la ***nette.
« Je ne suis pas devin. Haha ! C'est écrit. »

Fab rentre à vingt deux heures trente, un peu fatigué. Nous discutons et racontons nos journées respectives. Je lui parle du passage du représentant et lui montre les papiers qu'il m'a laissés.
« T'es pas prudente Camille ! N'ouvre pas quand je ne suis pas là ! Ok ? »
« T'inquiète pas. Il était très sympa. Tu verras demain. »
« Demain ? »
« Ben oui ! J'y connais rien et puis j'ai pensé que ca pourrait t'intéresser ! Il repasse demain soir.»
Il n'est pas très content.
« Putain, Camille ! C'est la fin de la semaine, je suis crevé ! »
« Ben oui, justement ! Après tu pourras te détendre. »
J'omets volontairement de lui parler de l'apposition de la main du représentant sur mon ventre, et encore moins de l'effet produit.

Le lendemain.
C'est étrange, mais j'ai pensé à ce bonhomme une grande partie de la nuit. Je ne sais pas pourquoi. En plus j'appréhende le rendez vous de ce soir. C'est idiot. Ce doit être les hormones qui me travaillent.
Avant que Fab ne rentre, je me change et enfile une espèce de djellaba rapportée du Maroc. Depuis quelques semaines, je ne supporte plus les élastiques des vêtements, culottes ou autres soutient gorges. C'est nue que je l'enfile. Je me sens bien dans ce truc.
Je défais ma queue de cheval et brosse mes cheveux que je laisse couler sur mes épaules et dans mon dos. Je mets du noir à mes yeux, du rose à mes joues et du rouge à mes lèvres. J'ai envie d'être belle. Très belle.
A la réaction de Fabien lorsqu'il rentre, je pense y être parvenue.
« Hoo ! Ma poupée ! C'que t'es mignonne toi ! Tu es...Tu es...Viens là, dans mes bras. »
Il me donne un long et délicieux baiser.
Au bas de mon ventre, je sens sa queue gonfler dans *** pantalon.
« Hummm ! T'es en forme toi ! »
« Comment ne pas l'être avec une bombe comme toi. »
« Voilà un compliment qui mérite une récompense. »
Je défais sa braguette et sors *** membre, droit comme un bâton. Je le branle doucement tout en l'embrassant, puis je m'assois sur un tabouret et j'englouti *** sucre d'orge en le faisant glisser tendrement entre mes lèvres.
Il respire fort, poussant de petits gloussements rigolos qui se transforment rapidement en grognements de plus en plus puissants. Je le sens, sa délivrance approche, mais mon pauvre Piou-piou devra attendre. On ***ne à la porte. Enervé, il range *** matériel et va ouvrir.
chrislebo

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Le représentant recommence toute sa présentation depuis le début, pour Fab. Moi, je n'y connais rien en vin, mais ca semble intéresser mon homme.
« Vous voulez une dégustation ? Je descends à ma voiture prendre ce qu'il faut et je reviens tout de suite. Vous ne le regretterez pas. »
Restée seule avec Fab, je le questionne.
« Alors ? »
« Alors quoi ? »
« Ben ! Tu le trouve comment ?
« C'est un bon vendeur, c'est tout. Il fait bien *** boulot. »
« Rhooo ! Arrête ! Tu sais bien que ce n'est pas ce que je te demande ! »
« Ben ! Il est sympa. Quoi d'autre ? »
Oui, bien sur, quoi d'autre ? Comment peut-il imaginer que ce type me trouble, mais j'aurais aimé qu'il me dise qu'il le trouvait pas mal, que c'était un bel homme. Mais trop tard car notre vendeur est de retour.
« Voilà ! Je vous ai monté quelques bons échantillons et comme j'avais promis un cadeau à votre charmante jeune femme, j'ai pris un champagne. Le meilleur de notre gamme. Mais ca, c'est juste pour le plaisir. Ok ? »
La dégustation commence.
Moi, je ne dis rien. J'écoute et je regarde.
Malgré un léger strabisme, ce type a un charme fou. Chaque fois que *** étrange regard croise le mien, j'ai comme une sensation de trouble incompréhensible, qui me fait monter le rouge aux joues. Si Fab s'en aperçoit, ca va barder pour mon matricule. C'est sur.
Mais pour l'instant, *** attention est plus sur le vin que sur moi.
A ce propos. Je trouve que pour une dégustation, notre représentant n'y va pas de main morte et ca commence à ce voir dans le regard de mon Piou-piou.
Enfin, le bon de commande est remplit et signé.
*** matériel rangé, il demande trois flutes à champagne et ouvre sa bouteille. Je n'accepte qu'une gorgée. Tandis qu'il nous sert, il entame un étrange discourt.
« Vous êtes un petit couple charmant. Si, si, c'est vrai. Dans d'autres circonstances, nous aurions passé un bon moment ensemble, vous, moi et mon épouse. »
« Bon moment ? »
« Oups ! Oui, bien sur. Vous ne pouvez pas comprendre. Excusez-moi, mais le champagne me rappelle tellement de moments délicieusement... coquins. En fait ma femme Amandine et moi, formons un couple libertin. Depuis plus de vingt ans, nous pratiquons l'échangisme et bien d'autres choses encore. Mais je ne voudrais pas vous choquer. Haha ! »
A ma grande surprise, derrière les yeux embués de Fab, je décèle un soudain intérêt.
« Autres choses ? Comme quoi, par exemple ? »
Je mets fin à cette conversation déroutante, immédiatement.
« De toute façon, nous sommes heureux ainsi. Juste moi et Fabien. Le libertinage ne nous concerne pas. Nous n'avons pas besoin de ca. Nous pouvons parler d'autre chose ? S'il vous plait. »
« Oh ! Désolé ! Je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Parlons plutôt de vous. »
Puis s'adressant à Fab, il me fou la honte de ma vie.
« Votre fiancée est des plus délicieuse. Hier, elle m'a fait le plaisir de me laisser toucher *** ventre. Quel bonheur. C'était une attention délicate de sa part. »
« Ha bon ! Il t'a touché le ventre ? »
Aille ! Je sens que ca pourrait bien finir mal. Quel idiot ce type !
« C'est lui qui me l'a demandé. Et puis ce n'était rien de plus qu'une main sur mon ventre de femme enceinte. Et juste quelques secondes seulement. »
« Oui, c'est tellement fantastique de savoir que sous sa main, derrière la peau du ventre tendu, se fabrique la vie. J'adore ca. D'ailleurs, si j'osais... »
Fab lui fait un grand sourire, puis me lance un regard goguenard.
« Osez, osez ! Tu veux bien Camille ? »
Le représentant n'attend pas ma réponse. Il se lève et se place derrière ma chaise. Il se penche et m'entoure de ses bras pour poser ses deux mains, bien à plat sur mon ventre.
*** visage est tout près du mien. Je sens *** souffle dans mon cou.
Il parle avec douceur, tout près de mon oreille.
« C'est fantastique, Camille. Comme il est dur. Vous aimez que je vous masse ? Ca vous fait du bien ? »
Je n'ose pas répondre. Je fixe Fabien. Il semble savourer ce qu'il voit, et ca me gêne doublement.
« Et vous ! Vous appréciez de voir votre petite amie se faire ainsi caresser le ventre ? Ca ne vous rend pas jaloux, j'espère ? »
« Non ! Pas le moins du monde. Vu d'ici, je la trouve encore plus belle et plus sensuelle que jamais. C'est très troublant, je dois dire. »
Et moi, que devrais-je dire. Petit à petit, les cercles qu'il dessine sur mon ventre, s'agrandissent. Sous la table, hors de porté du champ de vision de Fab, il glisse ses doigts en passant, entre mon ventre et mes cuisses. A plusieurs reprises, il frôle mon pubis des bouts de ceci. Et je pense que c'est intentionnel.
Quand il arrive sur le haut de mon ventre, ce ***t ses pouces qui s'insinuent sous mes seins lourds, effleurant mes tétons qui durcissent et pointent, de plus en plus, à chaque passages.
Il doit s'en apercevoir, car il branche la conversation sur mes seins.
« Votre poitrine aussi est magnifiquement gonflée. Elle ne vous fait pas souffrir ? Ma femme, lors de ses grossesses, adorait que je lui masse. Elle disait que je le faisais avec beaucoup de talent et de délicatesse et que je la soulageais. »
Fab ne réagit pas. On dirait un légume. Ce type me propose de me peloter, et il ne bouge pas un cil. Ca m'énerve vraiment et je décide de le faire réagir. Du moins, je l'espère.
« Ho, si ! Parfois, j'ai vraiment très mal ! Tient, comme en ce moment ! Je ferais tout pour que ca cesse. Vous croyez que vous pourriez faire en sorte que...»
Je n'ai pas fini ma phrase, que ses mains recouvrent déjà ma poitrine. Plus qu'un simple massage, il les pelote et les tripote sans vergogne, comme un vieux pervers.
Fab, fait des yeux tout ronds, lorsque je commence à respirer plus fort.
Bien malgré moi, mon plaisir monte et je me sens inondée.
A ma grande surprise, le représentant se met à me tutoyer.
« Ca te plais, on dirait, petite coquine. Tes pointes ***t dures comme du béton. »
« C'est normal, vous commencez à me faire tourner la tête avec tout ca. »
« Hum ! Bien, bien ! Et toi, mon grand, ca te fais quoi ? »
« Putain ! Je bande comme un âne ! C'est fou ca ! Vous êtes sur que c'est juste un massage ? »
« Haha ! Pas vraiment, non ! La petite Camille me rend fou d'envie et me fait bander aussi. Tu vois, je caresse ta femme et ca te plais. Vous êtes sur la voie du libertinage, mes enfants. Vous avez la fibre ! »
Tout en parlant, il défait les lacets qui tiennent mon grand décolleté fermé. Puis, il glisse ses mains sous la djellaba et en extirpe mes seins, un par un.
« Et moi ! Si on me demandait mon avis ! Hein ? »
« Mais toi, princesse, je suis sur que tu mouille déjà comme une petite salope ! Non ? »
Ca me fait drôle de me faire insulter par un type que je ne connais pas, et qui pourrait être mon père. Mais, il a tout à fait rai***. Ma chatte est trempée.
Il se penche vers moi et m'embrasse goulument, puis il descend encore et suce mes seins avec concupiscence, tout en les palpant de ses mains bouillantes.
Puis, se redressant, m'embrassant de nouveau au passage, il déboutonne sa braguette et sort *** sexe dressé. Il se place près de moi et caresse ma joue avec *** gland humide. Je tourne la tête et le fait glisser entre mes lèvres.
Fabien nous rejoint. Il a sorti sa verge et l'exhibe avec fierté.
Quel n'est pas notre étonnement lorsque le vendeur la prend à pleine main et masturbe doucement mon Piou-piou.
« Hum ! Ta queue est splendide ! Tu me plais beaucoup.»
Il s'accroupit et prend Fabien en bouche. Tout en suçant mon homme, il soulève le bas de ma robe et dévoile mes jambes écartées.
Il glisse *** pouce sur ma toi*** puis, il l'insère entre mes grandes lèvres pour le plonger loin dans ma fente baveuse. Je pousse un gémissement de bonheur. Il me masturbe et j'entends des clapotis de plaisir, parvenir de mon entrejambe.
Il délaisse Fabien d'un coup.
Il se fait de la place en poussant la table avec *** dos et plonge *** visage entre mes cuisses.
Fabien apprécie ce qui se passe et ne s'en cache pas. Mais dans ses vapeurs d'alcool, j'aime moins sa façon de me parler.
« Ouii ! Tiens salope ! Suce-moi bien à fond, ma petite trainée ! T'aime ca, hein ? T'aime ca, te faire bouffer la chatte par un inconnu, hein ? Putain ! »
Il s'excite tout seul et explose dans ma bouche en longs jets bouillonnants.
L'entendant jouir, le représentant relève la tête, la bouche brillante de cyprine.
« Hoo ! Vilain garçon ! T'aurais pu m'en laisser un peu ! »
S'en est trop. J'explose de rire. Il se relève, sourire aux lèvres, tandis que mon Piou-piou, vidé, retourne s'asseoir pour se servir une énième flute de champagne.
« Ah ! Ca te fait rire coquine ! Viens par ici, tu vas voir ! »
Il me prend par la main et m'attire vers notre chambre à coucher, laissant ma moitié écroulée sur sa chaise, un peu abasourdie par tout ce qui ce passe et par une surdose d'alcool.
Il est vrais que cela vas vite, très vite. Sans doute pour nous empêcher de reculer.
Ainsi, à peine dans la chambre, il m'enlace, m'embrasse et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ma djellaba vole à l'autre bout de la pièce, me dévoilant entièrement nue, à la merci de *** regard.
Il se déshabille tout aussi rapidement, jetant ses affaires à droite et à gauche et il me prend dans ses bras encore une fois.
chrislebo

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#9,342
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Quelle étrange sensation d'être collée à ce corps nu, que je ne connais pas. Je sens *** phallus cogner le bas de mon ventre et glisser vers mon antre fiévreux.
Il m'assoit sur le bord du lit et descend replonger sa langue en moi. Il me bouffe, il me fouille, m'aspire, me boit... me fait craquer.
« Ho oui ! Encore ! Bouffe-moi à fond ! Fais-moi jouiiiir ! Ouiiiii !»
Je suis secouée par un violent orgasme. Je me jette en arrière, jambes relevées, mes cuisses enserrant sa tête. Le plafond tourne au dessus de moi...je vole.
Il se dégage de l'étau de mes jambes et se dresse debout, face à moi.
« Tu voulais m'étouffer, petite salope ! Je vais te défoncer le mollusque ! »
Je suis couchée dans mon lit, dans notre lit, celui là même ou nous avons conçu notre bébé, et je m'y fais baiser comme une putain, par un représentant en vin dont je ne sais rien, pas même *** prénom...et j'y trouve plaisir.
Il me pilonne en douceur, sans violence, de peur sans doute de me faire mal.
« T'aime ca, petite pute ! T'aime ca, te faire troncher, hein ? »
Fabien apparait au coin de la porte.
« Ho oui, elle aime ca ! C'est une gourmande ! Une bouffeuse de bites ! Hein, chérie ? »
Je ne réponds pas et me concentre sur mon plaisir.
J'atteints mon second orgasme en même temps que lui. Je prolonge cet instant divin, en me branlant le clito, et je finis épuisée et en sueur, mais heureuse.
Jean-Guy. Nous connais***s enfin *** prénom.
Il se dévoile un peu. Il a quarante cinq ans, marié, libertin depuis vingt ans mais fidèle. Il nous assure que c'est la première fois qu'il drague un couple sans Amandine, sa femme.
« Vous êtes un charmant petit couple. Continuez dans le libertinage. Je suis sur que vous y avez votre place et que vous y gagnerez beaucoup en plaisir. Mais n'oubliez pas cette règle essentielle : Rester fidèle, ne pas tromper, ne pas mentir. »
C'est sur ces mots qu'il prend congé. Il est une heure trente du matin.
Une fois couchée, Fabien me prend dans ses bras. Je me cale dans le creux de *** épaule. Je suis bien.
« Je suis désolé, Camille. Je n'aurais pas du laisser ce type te toucher. J'ai honte. »
« Pourquoi ? Ca t'a plu, non ? Tu étais super excité. Et puis tu n'avais pas toute ta tête. Tu as bien forcé sur l'alcool. »
« Non, Camille. Je ne veux pas te mentir. Je n'étais pas saoul et très lucide. Je faisais semblant, pour te voir entre les mains de ce type...Tu étais si belle, si sexy, si... »
« Et si je te disais que ca m'a plu, et que je veux renouveler l'expérience ? »
« Faut voir. Mais un couple alors. J'aimerais bien me tirer une bonne grosse truie, bien vicieuse. »
« Heuuuu ! Bon ! D'accord, mais une moche alors ! » Hihihi ! »
« Hum ! Petite salope ! Viens là, que je te baise comme tu le mérite ! »
Nous chahutons un petit instant, avant de refaire l'amour une heure durant.
chrislebo

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#9,343
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La semaine suivante, Fabien est de nuit. La plus longue, la plus dure pour moi comme pour lui. Il part tard, rentre tôt, et entre les deux j'essais de dormir dans ce grand lit froid.
Parfois, pour trouver le sommeil, je me masturbe en pensant à lui. Mais cette semaine, c'est à Jean-Guy que je pense et à cette étrange soirée. Je n'en ressens même pas de honte, mais je préférerais tellement avoir mon Piou-piou près de moi.

Puis vient la semaine de matin. J'adore ces horaires là. Ca me permets de l'avoir pour moi, l'après midi et la nuit.
Nous reparlons souvent de cette singulière et inattendue rencontre avec Jean-Guy et de l'aventure coquine qui s'en est suivi. Nous en rigolons beaucoup, n'osant avouer à l'autre que le fait de ce le remémoré fait monter la libido en flèche. Les gros câlins qui suivent, le prouvent bien.

Puis la roue tourne et nous revoilà déjà à la semaine d'après midi.
Nous sommes jeudi. Fabien prépare *** sac avec *** casse croute, puis, vers treize heures trente, il me laisse à mon triste sort.
Je m'installe devant la télé et me prépare à regarder un navet de plus, quand on ***ne à la porte. Je suis persuadé que c'est Fabien qui a encore oublié quelque chose.
« Tête en l'air ! Qu'est ce que tu a encore... Oh ! C'est vous. »
C'est Jean-Guy. Il est accompagné d'un autre homme qui ne doit pas être loin de la retraite. Ils ***t superbes dans leurs costumes, cravates. C'est la grande classe, j'avoue.
A leurs pieds, deux cartons de ce que je pense, à juste titre, être du vin.
Surprise par cette visite inattendue, je laisse la porte juste entrebâillée.
« Fabien vient juste de partir. »
« Oui, je sais, je guettais *** départ pour monter. Je ne voulais pas qu'il pense que... Enfin, bref ! Je viens vous livrer le vin. Il y a six cartons. »
« Vous pourriez revenir quand il sera là ? »
*** collègue pousse un « Pffff ! » retentissant.
« Vous êtes bien gentille ma p'tite demoiselle, mais on vous a déjà monté deux cartons. En plus demain on change de secteur. »
Je suis troublée de revoir cet amant d'un soir. Mon cœur va exploser tant il bat fort et mes jambes tremblotent. Quelle idiote je fais.
« Bon ! Ben... entrez ! Vous n'avez qu'à les déposer à la cuisine, dans le coin au fond. »
Ils les posent et redescendent en chercher d'autres.
Je ne sais pas si je suis contente ou pas de le revoir. Je ne sais pas non plus si je veux qu'il reste un peu ou qu'il parte. Puis, j'essais de me ré***ner. Qu'est ce que je risque ? Il n'est pas tout seul.
Ils reviennent avec le deuxième lot de cartons et s'apprêtent à redescendre une fois de plus.
« Un café ? Vous voudrez un café ? »
Qu'est ce qui m'a prit de leurs proposer. C'est lui qui répond.
« Avec plaisir ma petite Camille. Tu es adorable. »
Il me tutoie devant *** collègue ? Il a du lui dire que je n'étais pas qu'une cliente. Qu'est ce qu'il a bien pu lui raconter ? Que je suis une amie ? De la famille ? Une nièce, peut être ?
Je remplis la cafetière lorsqu'ils remontent. Ils vont au fond de la cuisine déposer les cartons avec les autres.
« Mince ! J'ai oublié le bon de livrai*** dans la voiture. »
« Quand on a pas de tête, mon bon Georges, il faut des jambes. Haha ! »
« Ouai ! T'a rai***. Pfff ! Je reviens. »
Me voilà seule avec lui. Si ca se trouve, tout était organisé.
Je tremble comme une feuille et il s'en aperçoit.
« Tu a froid ? Ce n'est pas moi qui te fais peur, tout de même ? »
« Non, non ! Ce n'est pas ca. C'est que... »
Il se glisse dans mon dos, m'enlace et m'embrasse tendrement dans le cou.
« Je suis muté dans le midi. Nous ne nous reverrons surement plus jamais. J'ai fais des pieds et des mains pour pouvoir te livrer et te revoir une dernière fois. »
« Mais...Fabien ! Il y a Fabien et je... »
« Je ne te plais pas ? Tu ne veux plus... »
Je me retourne et je me noie dans *** regard. Je craque et passe mes bras autour de *** cou.
« C'est pas la question Jean-Guy. Mais il y a Fabien et Amandine aussi. Nous n'avons pas le droit de faire ca dans leurs dos. Rester fidèle, ne pas tromper, ne pas mentir. Ce ***t tes propres paroles ! »
« Amandine ? Mais il n'y a pas d'Amandine, je ne suis pas marié, ni échangiste. Mais par contre j'aime le cul. Ca c'est vrais. »
Je suis terrassée par ce que j'apprends. Je le lâche et tente de le repousser.
« Tu n'es qu'un sale menteur ! Pourquoi t'a fais ca ! »
« Mais pour te baiser ma chérie ! Te baiser et sucer ton mec. J'adore ca. Tu vas aimer tromper ton mec, le faire cocu, tu vas voir. L'interdit est tellement excitant !»
« T'es qu'un gros pervers ! »
« Non, pas gros ! Mais pervers... Oui, c'est sans doute vrai, mais tu adore, non ? »
« Ca y est, j'ai le bon de... Oh ! Pardon, je... »
*** collègue surprend Jean-Guy qui m'enlace encore.
« Non ! Il n'y a pas de problème Georges. Asseyons-nous. Ton petit café est prêt Camille ? »
Je n'ai jamais été aussi gênée. Que doit penser Georges. Que lui a dit Jean-Guy à notre sujet ? Je vais le savoir très vite.
J'apporte les tasses, puis le café brulant. Je me penche un peu pour le servir et Jean-Guy, sans aucune gêne, me met la main aux fesses et me caresse outrageusement.
« Alors, Georges ! Elle n'est pas comme je te l'avais dit ? »
« Ha si ! Camille, tu es une jolie poupée. Vraiment.»
« Et pas farouche en plus ! Hein, mon ange ? »
Contrariée, honteuse et intimidée, je ne réponds pas et retire sa main baladeuse.
« Et tu sais, elle est encore plus bandante quand elle sourit. »
S'en est trop.
« Arrête Jean-Guy ! Qu'est ce que tu cherche à la fin ! »
Pas impressionné du tout par mon petit coup de gueule, il m'attire à lui et m'assoit sur ces genoux.
« Toi, ma chérie ! C'est toi que je cherche ! C'est toi que je veux ! Et toi aussi, tu le veux ! »
Une main sur mon ventre, l'autre sur mes seins et *** souffle dans mon cou, suffirons à me faire rendre les armes.
Je me tourne vers lui, l'embrasse et lui glisse à l'oreille, tout bas :
« Mais...Georges ? »
Il éclate de rire.
« T'inquiète pas ! Le vieux est encore vert ! Il va te faire grimper aux rideaux ! Hein, mon vieux Georges ? »
« Je veux ! Tiens, regarde un peu ca, ma p'tite poupée ! »
Après avoir déboutonné sa braguette, Il se lève et me balance une queue magnifiquement bandé, sous mon nez.
J'imagine que s'il agit ainsi, c'est qu'il a été mis au courant de nos frasques passées.
Si j'ai bien compris, si je veux refaire l'amour avec le type qui pourrait être mon père, il me faudra aussi me taper celui qui pourrait être mon grand père.
Honteuse, je détourne les yeux.
Jean-Guy change alors de ton et devient plus tendre, plus câlin aussi. Il passe une main dans mes cheveux puis, me caresse tendrement la joue.
« Tu a peur ? »
« Un peu, c'est si soudain, et puis il y a Fabien, non ? Et puis je te l'ai déjà dis, que fais tu de la règle que tu nous as donné à suivre ? Ne pas tromper, ne pas mentir ! »
Il me sourit, prend ma main et la pose sur la verge de *** ami.
« Dis-toi qu'il y a exceptions à toutes règles. Aujourd'hui, tu en a la preuve. »
Il m'attire et m'embrasse avec passion, tandis que ma main, presque sans s'en rendre compte, enrobe et caresse doucement le sexe de Georges.
Puis, je suis mise debout et Jean-Guy défait une fois de plus, les longs lacets de mon col.
« Ma parole ! Tu n'enlève ta djellaba que pour baiser ! »
« Idiot ! Embrasse-moi encore ! »
Georges, tombe à genoux et tandis que mes seins ***t libérés tour à tour, il remonte ses mains de mes chevilles à mes cuisses, tout en caressant mes jambes. Puis il glisse sur mes fesses et monte encore, soulevant le tissu au dessus du mon ventre.
« Dieu que c'est beau ! »
Il l'embrasse, le lèche et y plaque sa joue tendrement et s'y frotte doucement. Une de ses mains s'égare entre mes cuisses entrouvertes. Le contact avec mon sexe, fini de m'achever et toutes les barrières tombent d'un coup.
J'ôte moi-même ma djellaba et je fris***ne de plaisir de me montrer ainsi nue à ces deux hommes. J'aime ca. Je dois être folle.
Georges se relève, retire sa cravate et commence à déboutonner sa chemise. Je n'hésite pas et je l'aide.
Lorsque j'enlève sa chemise, je découvre un corps qui devait être athlétique à une époque. C'est encore un fort bel homme. Une belle fourrure blanche recouvre un torse bronzé, comme au plus fort de l'été.
« Tu aime les hommes velu ? »
Je me sens rougir.
« Je ne sais pas. »
« Touche ma poupée ! N'ai pas peur ! »
Je pose ma main à plat sur sa poitrine. La sensation est étrange, mais agréable. Je fais glisser mes ongles dans cette forêt de poils. Il sent bon.
Je touche un de ses tétons. Il pointe. Je me penche et le suce un instant tout en l'aidant à ce débarrasser de *** pantalon.
Durant tout ce temps, Jean-Guy, nous laisse faire connaissance et se déshabille seul.
Je ne sais pas comment, mais très vite je me retrouve allongée dans mon lit. Les hommes ***t penchés sur moi, m'embrassent, me caressent et me sucent les seins, la chatte. Je me sens bien, détendue. Je crois que je suis heureuse jusqu'à ce que Jean-Guy ne reprenne le contrôle.
« Camille ! Fou toi à quatre pattes ! »
Humm ! Enfin ! Ils se décident à me prendre. J'en mouille d'envie.
Mais... Un crachat éclabousse mon anus et Jean-Guy y étale sa salive.
« Non ! S'il te plaît ! Je n'aime pas ca ! »
« Moi si. Ne t'inquiète pas. Tu n'aime pas parce que tu ne connais pas. Détends-toi, je vais m'occuper de ton cul. Tu sais, je suis venu pour ca et je ne repartirais pas sans t'avoir enculé, ma belle salope. »
Georges est à genoux devant moi. Il appuie doucement sur mon crane, m'invitant à le sucer.
La bouche pleine, je ne peux plus protester et une main bloque mon dos, m'empêchant de fuir.
J'ai très peur d'avoir mal, alors, j'écoute Jean-Guy et je me détends le plus possible.
Il est doux et prend *** temps. Il commence par *** petit doigt et crache sur ma pastille jusqu'à me pénétrer sans ******. Mais ce n'est qu'un auriculaire.
J'angoisse quand se sera *** pouce, ou pire, sa verge.
Mais soudain, il aperçoit un pot de Nivea sur ma table de nuit.
« Voilà exactement ce qu'il me faut. Détends-toi. Respire. »
Tandis qu'en grande quantité, il enduit mon cul de crème, Georges me demande de cesser ma fellation.
« Du calme ma poupée ! Moi aussi je veux te sauter. Et puis je n'aimerais pas que tu me mordes quand il va te remplir le fion. Haha ! Ne t'inquiète pas. Ca va bien se passer. Respire à fond et détends-toi. »
Je sens soudain le dard de Jean-Guy qui pousse sur mon trou de balle. Le gland me pénètre difficilement. Il se retire.
« C'est bien, continue comme ca et tu ne sentira rien. »
Il me remet une grosse couche de crème et revient à la charge.
Je respire un grand coup et pousse pour dilater mon cul.
Je me sens tout à coup, remplir en douceur. La queue se fraie un chemin en moi, lentement.
Georges me fait un grand sourire.
« Ben voilà ! Tu vois ! Tu y es arrivée, poupée ! Respire fort, le meilleur est à venir. »
Le membre recule et j'ai la sensation que tout mon antre est aspiré vers l'extérieur.
« Houu ! Arrête ! Je vais...je vais... »
Jean-Guy ricane et commence un mouvement de va-et-vient.
Soudain, le plaisir m'envahit. Un plaisir nouveau, différent, mais d'une étonnante puissance.
« Ho ! Jean-Guy ! Ne t'arrête pas ! Humm ! C'est bon ! Ouiii ! Défonce-moi ! Encule-moi fort ! »
Encouragé par ma demande, il accélère la cadence, m'arrachant des cris d'extases.
Arrivé au bout de *** excitation, il éjacule au fond de mes entrailles.
« Ouii, je viens ! Prends tout, salope ! T'aime ca, hein ! Petite chienne ! »
« Ho ouiii ! C'est bon ! Remplis-moi bien ! J'en veux encore ! Donne-moi ! Donne-moi ! »
Ses couilles ***t vides. Il se retire doucement et je m'écroule sur le coté, haletante.
« Humm ! Tu as aimé chérie ? »
« Ho oui, Jean-Guy ! C'était délicieux, vraiment. Je suis épuisée.»
Georges s'allonge sur le dos, près de moi.
« Hé poupée ! Tu ne vas pas m'oublier, j'espère ! Tu me fais bander comme un cheval. Allez, viens là ma belle ! »
Je l'enjambe et m'empale sur lui, faisant disparaitre *** pilon entre les chairs de mon vagin. Je suis trempée, bouillante.
Georges a les yeux qui brillent. Il malaxe mes seins, perdant un peu le contrôle lorsqu'il pince mes tétons.
« Hoo ! T'es bonne poupée ! Hummm ! T'es si belle ! »
Je m'agrippe à sa toi*** blanche et accélère le mouvement. Pas trop, pour ne pas bousculer mon bébé.
Je sens mon cul se vider sur ses couilles. Ca ne semble pas le gêner. Et soudain !
« Ouii ! Je viens ! Jouis avec moi, petite pute ! Jouis ! Hiaaaaa ! »
Je sens deux grandes giclées s'écraser contre mon utérus. Pour ne pas le décevoir, je feins de jouir comme une folle. Jean-Guy m'a vidée de toutes mes ****** et il ne me restait plus grand-chose pour ce pauvre papi.
Ils se rhabillent et je renfile ma djellaba. J'ai un pincement au cœur lorsqu'ils me demandent de signer le bon de livrai***. Je sens bien qu'une page se tourne.
Georges m'embrasse tendrement et se dirige vers la porte.
Jean-Guy, m'enlace une dernière fois et me sert contre lui.
« Promets-moi de devenir une belle et bonne salope. Promets-le. »
« Une salope ou une libertine ? »
« Hum ! C'est bien. Tu semble faire déjà la différence. Prends soin de toi Camille. Je ne t'oublierais pas. »
Je m'appuis à la porte qui vient de se refermer.
J'essuie une larme.

Vingt deux heures trente. Fab rentre du travail.
J'essais tant bien que mal de cacher mon mal être.
Pas facile de regarder celui qu'on aime quand on a fait ce que j'ai fait.
« Tient ? On nous a livré le vin ? »
« Oui, c'est un transporteur qui l'a amené. »
« Ha bon ? Sur le bon de livrai***, c'est indiqué Livrai*** effectuée par monsieur Jean-Guy Dallon et monsieur Georges Beaumon ! »
Aussi étrange que cela paraisse, il ne cherchera pas à en savoir plus.
chrislebo

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#9,344
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J'entame mon dernier mois de grossesse. Mon appétit sexuel ne s'en est pas calmé pour autant. Bien au contraire. J'ai envie de faire l'amour du matin au coucher.
Fabien, fatigué par *** boulot, essai de me contenter au mieux. Pauvre chéri. C'est loin d'être suffisant.
Depuis quelques jours, j'ai très envi de retenter une expérience sexuelle avec mon Piou-piou. L'idée de le faire avec un couple a fait *** chemin et j'aimerai bien en trouver un.
C'est pourquoi je passe des heures sur le net, à la recherche d'un bon site de petites annonces coquines. Je ne suis pas très douée en informatique, pourtant, j'ai déniché ce que je cherchais.
Je ne pensais pas en trouver autant. Il semble que la France entière soit coquine et à la recherche de partenaires sexuels. Je lis des dizaines, voir même des centaines d'annonces, toutes aussi alléchantes, qu'excitantes. Je ne peux pas m'empêcher de me masturber en les épluchant et je multiplie les jouissances solitaires depuis plus de deux jours.
N'y tenant plus, je rédige moi aussi une annonce. J'hésite à l'envoyer sans en faire part avant à Fabien.
Le soir venu.
« Piou-piou, viens voir. J'ai envi de déposer une annonce. Je l'ai déjà rédigée. »
« Putain ! T'es en chaleur toi ! Tu ne pense vraiment qu'à ca. Allez, fais moi lire. »
---Jeune couple (futur parent) débutant, cherche couple compréhensif pour première expérience échangiste. ---
« Bof ! Tu peux toujours essayer, si tu crois que ca peut le faire. Moi, je n'y crois pas trop. »
J'appuie sur la touche ENTER.
« C'est parti ! »
« Tu es folle, ma petite pouffe à moi ! Viens là que je calme ta petite chatte en chaleur. »
« Hiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

Le lendemain, j'ouvre fébrilement ma boite e mail.
Rien.
Ma déception est grande. Je la laisserais ouverte toute la journée, à l'affût du moindre message.
Lorsque rentre Fabien du travail, j'éteins l'ordi. Pas question de lui montrer que je guette une réponse. Mais juste au moment ou j'appuis sur le bouton, je vois un intitulé de message : « Suite à votre annonce. » Trop tard, l'écran devient noir.
La nuit est longue, interminable. Pour la première fois, j'ai hâte de voir partir mon homme.
Dès que la porte se referme sur lui, je saute sur l'ordinateur. Et là, quelle n'est pas ma surprise de voir s'afficher des dizaines de « Suite à votre annonce. ». Je n'en crois pas mes yeux. Cinquante six réponses.
Je commence ma lecture. Et je découvre, bien que j'aie demandé un couple, que la plupart des réponses ***t rédigées par des hommes. Certaines ***t sympa, d'autres vulgaires ou très douteuses.
Trois quart d'heure plus tard, seule une réponse correspond à ma recherche.

---Bonjour. Nous sommes un couple marié, un enfant. Nous pratiquons l'échangisme depuis plusieurs années déjà. Votre annonce nous a séduite. Nous suppo***s, que le fait d'indiquer « futur parent », cherche à signaler que madame est enceinte. Si c'est le cas, soyez sans crainte, monsieur est doux, tendre, attentionné et adore les futures mamans. D'après votre profil, nous ne pen***s pas être très éloignés de chez vous et ce serait une grande joie de vous recevoir dans un cadre agréable et chaleureux. Nous savons combien il est dur de franchir le pas, aussi, si ce soir là vous décidiez de ne rien faire, nous respecterons votre volonté, et nous passerons quand même une excellente soirée. Nous pourrions vous joindre des photos, mais nous trouvons que cela retire du charme à la découverte de l'autre. Nous espérons avoir une réponse de votre part. En attendant, permettez nous de vous embrasser très tendrement. Christine et Tristan. Notre téléphone : xxxxxxxxxx---

Ca va être très long d'attendre le retour de mon chéri pour lui montrer ca. Je tourne en rond, relis le message, fais du ménage, relis encore et encore.
Je n'y tiens plus. Tremblante, Je compose le numéro. Deux ***neries, puis, une voix de femme me répond.
« Allo ? »
« Allo, Christine ? Bonjour. Excusez-moi de vous vous déranger, vous avez répondue à notre annonce. Vous savez ? Le couple futur parent. »
Je me sens idiote. Je bafouille et n'ai plus la moindre goutte de salive. Elle doit le sentir et s'en amuse.
« Hihi ! Oui, je vois très bien, mais détendez vous, il n'y a rien de grave. Nous sommes entre amies. D'accord ? »
« Oui, excusez moi, je suis intimidée. »
« C'est mignon comme tout. Comment vous appelez vous ? »
« Camille et mon ami Fabien. »
« Et bien, Camille et Fabien, accepteriez vous de venir à la mai***, di***s...samedi soir vers neuf heures ? Nous ferrions connaissance et si nous nous sentons bien ensemble, nous vous aiderons à aller plus loin. Ça vous va ? Rassurez-vous, rien n'est obligé. C'est une règle.»
« Il faut que j'en parle à Fabien, mais je pense qu'il sera d'accord. »
« Très bien ! Tutoyons-nous si tu le veux bien. Je te laisse notre adresse en message et tu me répondras pour me dire si ca marche ou non. Ok ? »
« D'accord Christine, je te répond ce soir. Bisous. »
Bisous ? Je lui ai dit bisous ? La honte. Elle va me prendre pour quoi ? Une fille facile ? Une lesbienne ?
Je suis stupide, elle ne va rien penser du tout. Il faudrait bien que je me calme, moi.

C'est le samedi le plus long de toute ma vie. Les heures ne tournent pas. Fabien aussi tourne en rond. Il est nerveux.
Je l'ai habillé d'un magnifique jeans, très classe et d'un pull fin qui dessine bien *** corps de champion. Moi, j'ai passé une robe gitane, très colorée, et un débardeur très ample, tenu par de fines bretelles et avec un décolleté très large qui met ma poitrine en valeur. Bien que je ne supporte plus les élastiques, j'ai tout de même passé des dessous en dentelle et un porte jarretelle spécialement étudié pour les femmes enceintes. Ronde, mais sexy.

Vingt et une heures. Nous nous présentons à l'adresse indiquée. C'est une belle mai***, tout en longueur, située au fond d'une cour entre deux immeubles. Je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse y avoir telle chose dans ce quartier.
Fabien cramponne une bouteille de champagne que nous avons payé une fortune. Pas question de faire mauvaise impression.
« Tu es prête ? »
« Heuu ! J's'ais pas. ! »
Il approche *** doigt de la ***nette et appuie. Nous attendons quelques secondes et la porte s'ouvre.
Elle s'ouvre sur un homme d'au moins un mètre quatre vingt cinq. Un géant à coté de moi et de mon mètre soixante deux. Une fois de plus, il est beaucoup, beaucoup plus vieux que moi. Il doit avoir au moins soixante ans. Je dois être abonnée.
Ceci dit, ca reste un très bel homme. Il est très souriant et dès ses premiers mots, je décèle un accent venu, je pense des pays de l'Est. La Hongrie peut être.
« Haa ! Voilà la belle Camille et... Florian ? C'est bien ca ? »
Il se penche et me fait la bise.
« Heu ! Non, moi c'est Fabien. »
Il lui donne une poignée de mains énergique.
« Ho ! Je suis désolé. Entrez, que je vous présente le reste de la famille. »
Fabien profite qu'il détourne le regard pour me chuchoter quelques mots.
« Il est vieux ! Je n'ai pas envie de me taper une vioque, moi ! »
« Fabien ! Chuttt ! Il pourrait t'entendre ! »
Nous pénétrons dans une grande salle à manger très rustique, avec des poutres au plafond. C'est très chaud, très beau, décoré avec beaucoup de gout.
« Christine, viens chérie ! Ils ***t arrivés ! »
Le visage de Fab se décrispe d'un coup, lorsque d'une porte au fond de la salle apparait une magnifique femme brune, d'une quarantaine d'années seulement. Elle est tout simplement sublime. *** sourire est radieux et elle semble d'une douceur incomparable.
« Houu ! Comme vous êtes beaux tout les deux ! Bienvenue ! Je suis ravie que vous soyez là. »
Elle fait la bise à mon homme ravit, elle fait de même avec moi et pose sa main sur mon ventre tout en me serrant contre elle.
« Magnifique ! Tu me rappelle de bons souvenirs, tu sais ? Ho, je suis jalouse de toi, ma chérie ! Hihi ! »
« Maman ! Je suis prête ! »
Une petite puce dévale un escalier et se jette dans les jupons de sa mère.
« C'est ma fille Justine. Je vous laisse deux minutes. Je l'emmène chez une amie, juste à coté. Tristan, mets nos invités à l'aise, veux tu ? »
« Bah ! Oui, bien sur ! Suivez-moi, pas***s au salon. »
Nous entrons dans une grande pièce.
Une cheminée crépite et jette des reflets de lumière en mouvement sur les murs. Lumières tamisées et indirectes, plantes grasses un peu partout et sol couvert de fourrure, font de ce salon un endroit ou il fait bon vivre.
D'instinct, nous retirons nos chaussures.
« Que diriez-vous de nous asseoir par terre devant la cheminée ? Camille, je te donne un siège si tu le désire. »
« Ho non ! Cette fourrure m'a l'air trop douillette. »
Christine nous rejoint et se pose près de moi, face à Tristan et Fabien.
« Voilà ! Nous sommes tranquilles. Vous verrez, il faut savoir s'organiser avec un enfant, mais c'est génial. Allez, champagne ! »
Doucement, nous nous détendons. Ils ***t super gentil et nous mettent à l'aise. Nous parlons de choses et d'autres, comme par exemple leur différence d'âge.
« Tristan est entré par hasard dans ma vie et au bon moment. Je ne me suis pas posée la question de savoir quel âge il avait. C'était lui, c'est tout. Celui avec qui je voulais un enfant. Et voilà. Et puis, il m'a apprit tant de chose.»
« Ha oui ? Comme quoi par exemple ? »
Je viens de perdre une occasion de me taire.
« Comme l'amour, le sexe, la pluralité, les hommes bien sur, mais aussi les femmes. »
Elle se rapproche de moi et *** épaule touche la mienne.
Les flammes se reflètent dans *** regard troublant. Ses lèvres, légèrement entrouvertes, se rapprochent des miennes et s'y déposent avec tendresse.
C'est sans contexte, le plus doux de tous les baisers qui m'ont été donnés.
J'aperçois Fabien. Il fait des yeux tout ronds et ne se rend pas compte qu'il a la bouche ouverte.
Tristan le sort de sa rêverie.
chrislebo

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#9,345
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« Bon ! Les enfants ! Vous ne trouvez pas qu'il fait très chaud ici ? Que diriez-vous de nous mettre à l'aise. »
Je me sens rougir d'un coup et mon cœur se met à battre la chamade.
Les deux hommes se lèvent et commence à se déshabiller.
Devant mon hésitation, Christine vient à mon secours.
« Ma petite Camille a peur ? Ce n'est pas grave. Reste habillée. Rappelle-toi, rien n'est jamais obligé. Mais aides moi à descendre la fermeture de ma robe. Tu veux ? »
Nous sommes à genoux. Elle se tourne et je fais glisser la fermeture éclair jusque dans le creux de ses reins.
Ma main s'égare un instant sur *** dos. Je le caresse doucement. Sa peau est si douce.
Lentement, je fais glisser sa robe sur ses épaules, puis elle tombe sur la fourrure.
Christine se retourne et se dévoile entièrement à moi, mais aussi aux hommes qui viennent de se rasseoir.
Elle ne porte aucun sous vêtement. Ses seins *** magnifiques et je suis sur, très fermes. *** sexe est rasé de près, mais subsiste un petit rectangle de poils bien taillés.
Dans sa nudité elle est splendide. Quelle femme !
La discussion reprend comme si rien ne c'était passé. Tristan ouvre une autre bouteille de champagne. Je dois refuser gentiment de reprendre une coupe, mais pas Fabien. Je le sens énervé, excité. Il me fait rire.
Tristan me fait un peu penser à Georges, mais en moins poilu. Il est en érection et ne s'en cache pas. Pourtant, il ne me regarde pas plus que ca. C'est la nudité de *** épouse qui doit le faire bander ainsi.
Ma fierté en prend un coup. Quitte à bander, autant que ce soit grâce à moi et pour moi.
« Christine, tu veux bien m'aider ? »
« Avec plaisir ma chérie ! »
Une minute après, je ne suis plus couverte que de mon porte jarretelle.
Tristan s'intéresse enfin à moi.
« Tes rondeurs de femme enceinte te vont à merveille. Tu es jolie comme un cœur. »
« Tristan ! Je te trouve bien maladroit ! Camille préférerais surement afficher une silhouette plus fine ! »
« Ben moi, ca me plait ! »
Il s'assoit près de moi, passe un bras autour de mon cou et caresse mes seins. *** autre main se pose sur mon ventre et il m'embrasse fougueusement.
« Bien ! Mon pauvre Fabien, je crois bien qu'on nous abandonne. Viens, mettons nous là. »
Ils se déplacent et vont deux ou trois mètres plus loin. Je vois Christine se pencher et prendre Fab en bouche. Lui, en arrière, appuyé sur ses bras, semble aux anges.
Tristan m'allonge avec délicatesse sur la fourrure et se colle à moi. Je sens sa queue dure contre ma cuisse.
Il effleure ma joue avec tendresse puis me caresse sans précipitation, calmement.
« Comment te sens-tu, Camille ? Bien j'espère ? Nous ne sommes pas bien, là ? Non ? »
« Ho si ! Je suis détendue. Vous êtes si gentils tout les deux. »
Je passe ma main dans sa nuque et attire sa bouche à la mienne. Nous nous embras***s tendrement, longtemps, très longtemps.
Puis, plongeant *** regard dans le mien.
« Tu sais petite, à mon âge on a peu de chance de tenir un corps aussi jeune dans ses mains. C'est un vrai cadeau que tu me fais. »
« Pffff ! Je suis complètement déformée par ma grossesse. Christine est plus désirable que moi ! Non ? »
« Christine est désirable, c'est vrais. Mais elle a quarante ans. Toi, vingt. »
Je lui fais un grand sourire.
« Dix huit. »
« Houu ! Viens ! Je te veux mon trésor ! »
Il s'allonge sur le dos et m'invite à l'enfourcher. Mais je suis bien décidée à faire durer ce moment de pure tendresse, le plus longtemps possible.
Je reste de coté et l'embrasse de nouveau, puis je fais promener ma bouche et ma langue, de ses oreilles à *** cou. De *** cou à *** poitrail. De celui-ci à *** ventre et enfin à *** sexe excité, dressé comme un obélisque.
Il est impressionnant de dureté. Lisse et veiné, il est très appétissant. C'est avec un plaisir non dissimulé, que je le fais glisser entre mes lèvres humides. Je lèche sa tige et suce ses couilles avec toute ma tendresse.
Prise dans mon tourbillon sexuel, je continu, plus bas.
Jamais je n'ai fait telle chose auparavant, même avec Fabien.
Je prends plaisir à lécher et aspirer *** périnée, avant de plonger ma langue entre les plis de sa pastille brune.
« Rhaaaa ! Camille, Hooo ! Tu vas me rendre fouuuu ! Hummm ! C'est trop bon ! »
Fière de moi, je remonte et reprends ma fellation.
« Viens là, mon bébé ! Sinon, tu vas me faire jouir avant que je te baise ! Ouchhh ! T'es trop bonne, petite ! Viens vite ! »
Je prends pitié de lui, et me glisse sur *** corps, embrassant et léchant au passage *** nombril et *** ventre. Je frotte le mien contre sa queue encore humide de ma salive et je l'enfourche enfin.
Il s'enfonce sans effort dans mon vagin distendu par mon état.
« Hummm ! Rien de vaut la chatte d'une femme enceinte. J'adore cette sensation ! Ouiii ! Enfonce-toi encore. Harggg ! »
Je monte et descend doucement le long de sa tige. Très vite, mon plaisir grimpe en flèche. J'ai envi de le partager du regard avec mon homme. Mais il semble très occupé. Couché sur Christine, il semble avoir de la peine à la pénétrer.
« Reste avec moi, petite fille ! C'est avec moi que tu baise. Lais***s les de leurs cotés. »
Il a rai*** et je me laisse couler dans un lac de jouissance.
« Tes seins ! Tes seins ! Ils me rendent fou ! Tu es si belle, si... ! Houchhhhh ! »
Il se contracte soudain et je me sens envahie de sa liqueur chaude et grasse.
Sa jouissance est forte et j'ai un énorme orgasme tout de suite après lui.
Je m'écroule sur le coté, épuisée.
Christine nous rejoint.
« Alors ma chérie, il t'a bien rempli ? »
« Hi-hi ! À ras bord, je crois bien ! »
« Humm ! Fais voir ca ! »
Elle s'allonge sur le ventre, entre mes jambes, et plonge sa langue dans ma fente. Elle me lèche, aspire le jus, joue avec mon clito et me fait jouir de nouveau.
Au fond de la pièce, j'entrevois Fabien, seul. Ça n'a pas l'air d'aller fort. Je devrais m'inquiéter, mais mon plaisir me submerge et je me fou un peu du monde qui m'entoure.
La soirée se termine comme elle a commencé, pleine de tendresse et de douceur.
Sur le chemin du retour, je questionne mon homme.
« Qu'est ce qui c'est passé ? Tu n'a pas l'air satisfait. Ce n'était pas un bon coup ? »
« Non, c'est pas ca. C'est moi qui ai merdé. Je n'ai pas eu la moindre érection. *********, elle a été déçue et moi j'ai eu la honte de ma vie. Surtout quand elle m'a dit de l'excuser, parce qu'elle avait soif de foutre. C'est là qu'elle est venue te bouffer la chatte. Franchement, pour moi, ca n'a pas été une expérience inoubliable. »
Étrangement, arrivés à la mai***, tout rentre dans l'ordre et il me baise rageusement sur la machine à laver.
chrislebo

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#9,346
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Romain est né voilà quatre mois. Nous avons déménagé et habitons un bel et grand appartement, dans un quartier très sympa.
Tout va bien. Une nouvelle vie commence.
Bien sur, j'ai plus de travail à la mai***, mais ce n'est pas bien grave. Je suis très heureuse d'avoir mon bébé, mais j'apprécie quand même le moment ou il s'endort, l'après midi.
Un moment de calme et de répit que je consacre, la plupart du temps, à l'ordinateur.
Mon appétit sexuel c'est calmé depuis mon accouchement. Pourtant, depuis deux trois jours, je surf sur des sites pornos et je dois dire que ca me plais beaucoup.
Sans arrières pensées, je relis aussi toutes les réponses reçues à la suite de mon annonce. Ça fini par m'exciter et je me touche en les relisant.

--- Je suis un homme mûr de 62a, bon niveau, bien physiquement (1m78 / 65kg), viril, très bien membré. Je suis disponible pour une rencontre très hot avec un couple amateur de jeux coquins. J'aime regarder, caresser, lécher et sucer longuement de belles fesses et une petite chatte avec gourmandise et délectation, offrir ma belle queue à vos jeux. Sans tabou, je serai votre complice actif et saurai répondre à tous ses désirs. Je reçois, en journée ou soirée, en toute discrétion, dans un appartement agréable et confortable. Hygiène, savoir-vivre et bonne humeur de rigueur !

--- Homme 45 ans. Très bonne situation. Élégant, correct, respectueux, cherche relation avec femme ou jf douce, jolie, très coquine mais bonne éducation. Bienvenu à couples coquin.

--- Je cherche aventure gratuite sans lendemain uniquement pour sexe soft avec femme de 18 à 45 ans en manque de caresses. Je suis libre en journée. Envoi photos sur demande sérieuse. A bientôt

--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas.

Lire toutes ces réponses me fait tourner la tête et me fait mouiller comme une salope.
Scenario sur mon lieu de travail. Qu'est ce qu'il entend par scenario ?
La curiosité me pique. Les annonces ***t accompagnées de numéro de téléphone ou d'adresse email. Pour celle-ci, il y a les deux.
Je ne risque pas grand-chose à téléphoner, surtout en mode privé.
Tremblante, je compose le numéro, espérant presque qu'il ne soit pas bon.
« Société Vilebor, Jérôme Durat, j'écoute ? »
« Heu ! Bonjour. Je ne sais pas si je m'adresse à la bonne per***ne. J'appelle au sujet d'une annonce. »
« Une annonce ? »
« Oui, enfin, non ! C'est au sujet d'une réponse faite à une annonce que j'avais déposé il y a cinq mois. Vous comprenez ? »
« Cinq mois ? Soyez plus clair, je réponds à beaucoup d'annonces, vous savez. »
« C'est...au sujet d'un scenario. Mais j'ai du me tromper. Excusez-moi. »
« Ne raccrochez pas ! C'est bien moi qui vous ai répondu. Je ne veux rien savoir de vous, juste quand vous êtes disponible. Un après midi de préférence. Ensuite je vous parlerais du scenario. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Di***s qu'après demain, je devrais pouvoir me libérer. »
« Très bien ! J'ai peu de temps à vous accorder, là. Donnez moi votre émail et je vous envois un courrier dès ce soir. Ça vous va ? »
Je lui donne l'adresse de ma messagerie per***nelle et il raccroche. Ouf ! J'ai eu peur, mais c'était terriblement excitant.

La journée passe et Fabien rentre enfin. Nous nous occupons de bébé, un film et au lit. Il ne faudrait pas que l'arrivé d'un enfant dans notre vie, nous plonge dans une monotonie triste à mourir. J'en parle à mon Piou-piou.
« Non, bien sur ! Tu a entièrement rai***. Il ne faut pas que ca nous empêche de sortir ou de voir nos amis. Avec les grands parents, il y aura toujours moyen de s'arranger. »
« Et puis pourquoi pas...nous pourrions refaire une expérience ! Non ? »
« Une expérience ? »
« Heu, oui ! Avec un couple, tu vois ? »
« Hahaha ! Ça te reprend ma chérie ? Tu sais, si c'est pour me retaper la honte, je n'aime autant pas ! »
« Mais nonnn, Piou-piou ! C'était juste une panne ! Rien de grave. Je te trouverai une belle blondinette. Tu veux ? »
« Bon ! Nous verrons. En attendant, viens là que je m'occupe de ton cas. »
Nous fai***s l'amour, mais mon esprit est ailleurs. Je ne peux m'empêcher de repenser à la petite conversation que j'ai eu avec cet inconnu, cet après midi.
Le mot « scenario » tourne et retourne dans ma tête.

Fabien est enfin parti au travail. Je n'aurais jamais cru qu'un jour, je puisse être pressée de le voir partir. Je m'occupe de bébé, puis nous nous installons à l'ordi.
« Voyons voir ce que nous dit ce monsieur, tu veux ? »
Fiévreusement, j'ouvre ma messagerie. J'ai encore quelques messages en réponse à mon annonce. Incroyable, après autant de temps.
Puis j'ouvre celui qui indique « Mon scenario »

--- Bonjour.
Si tu te sens toujours prête pour un scenario, voilà les instructions à suivre à la lettre.
Rends-toi jeudi à 16h au 3 rue Marcel Chossin, au siège de Vilebor Compagnie.
Présente-toi à l'accueil et demande le bureau de monsieur Jérôme Durat. L'hôtesse te demandera de la part de qui. Répond lui que tu représente la société 'Le fanion jaune'.
Je saurais ainsi que c'est toi. Après m'avoir prévenu, l'hôtesse t'indiquera le cheminement jusqu'à mon bureau. N'en tiens pas compte.
Voilà ton parcours
Après les portillons de sécurité, prends l'ascenseur de gauche et monte au dix-huitième étage. Prends le couloir de gauche et vas tout au bout. Ouvre la porte du fond et entre dans le petit amphithéâtre qui sert de salle de réunion.
Ne t'occupe pas des gens qui s'y trouveront surement. Per***ne ne fera attention à toi.
Traverse l'amphi par le haut et rends-toi aux toilettes pour hommes.
Rentre dans la troisième cabine et déshabille toi entièrement, chaussures comprises et dépose le tout sur le réservoir. Si tu a les cheveux longs, je les veux défait.
Ha ! J'oubliais ! Emmène une cravate et bande-toi les yeux.
Lorsque tu seras entièrement nue, yeux bandés, tourne toi vers le mur et penche toi au dessus de la cuvette des chiottes. Tu peux te retenir au réservoir. Écarte les jambes et attends.
Bien sur, laisse le loquet de la porte ouvert.
Entre le moment ou tu rentreras dans l'amphi et le moment ou tu devras être prête, tu auras cinq minutes, pas plus. Sinon, je te balance à poil dans l'amphi. Il te sera très dur de donner une explication valable.
Je te conseille d'imprimer mes instructions pour ne pas te tromper.
A jeudi. ---

« Houlà, mon bébé ! Tu crois que ta maman est capable de ca ? »
Mon tout petit gazouille.
« Ça veut dire oui, ca ? Hum ! Je te soupçonne de vouloir voir papi et mamie, toi ! »
La journée se passe normalement, excepté les pauses fréquentes que je m'accorde, pour relire le message.
Lorsque Fab rentre, je suis excitée comme une puce, et je lui fais savoir. Mais bien sur, j'en garde la cause pour moi. Ceci dit, il en est ravit. Il préfère une femme qui baise à une femme qui matte la télé, c'est sur.

Jeudi.
J'ai conduit mon p'tit bonhomme chez les parents de Fabien. Je lui ai raconté un blabla. Que j'allais trainer les magasins avec Valérie, ma meilleure amie. C'est grâce à elle que j'ai rencontré Fab. Ils ***t amis et c'est la secrétaire de mon cher beau papa.
Je me suis habillée de façon fonctionnelle afin de faire vite dans les toilettes.
Une robe d'été, string, pas de soutien gorge et un manteau.
Les bureaux se trouvent à l'autre bout de la ville, dans un quartier d'affaires. Je m'y rends en métro pour ne pas perdre de temps.
C'est en montant dans la rame, que je réalise que je ne me suis jamais posé la question, de savoir si j'irais.
Pour moi, ca a été évident dès le moment ou j'ai lu les consignes à suivre.
Je pénètre enfin dans le grand hall de l'immeuble. Au centre, un comptoir ou trois magnifiques hôtesses se partagent le travail. L'accueil.
De chaque coté du comptoir, des tourniquets comme dans le métro. Pour entrer, il faut se présenter.
Mon cœur commence à battre fort.
« Bonjour ! Je voudrais voir monsieur Jérôme Durat. »
« Oui ! De la part de qui, s'il vous plaît ? »
Et là...le trou noir. Je feins de chercher une carte de visite dans mon sac. Il faut que ca me revienne, que je gagne du temps.
« Votre nom ou celui de votre société suffira. »
Je suis en panique.
« Heuu ! Camille...Camille du drapeau jaune ! »
Je ne suis pas loin de me sauver en courant.
« Monsieur Durat ? Madame Camille du drapeau jaune désire vous voir. Oui, c'est ca, le drapeau jaune. »
Mes jambes flageolent. Dans quelle galère ai-je été me fourrer.
« Désolée, madame. Monsieur Durat ne connait pas le nom de votre société. »
Il faut que je me sorte de là.
« Ha bon ? Il ne connait pas le fanion jaune ? Bon...tant pis, je lui téléphonerais. »
« Oups ! Attendez madame ! Vous m'aviez dit drapeau, pas fanion ! Hihihi ! Je le rappelle. »
Merde ! Ça m'est revenu sans que je m'en rende compte. Ce coup là, je suis bonne pour aller jusqu'au bout.
L'hôtesse me dit que j'ai beaucoup amusé monsieur Durat, et m'indique comment me rendre à *** bureau et m'invite à passer le portillon.
Me voilà dans la place.
Je sors de ma poche, le papier que j'ai imprimé. Mince ! Je tremble comme une feuille.
Ascenseur de gauche. Un homme monte avec moi.
« Combien, mademoiselle ? »
« Heu ! Dix huit. »
« Je ne demande pas votre âge, mais l'étage ! Hahaha ! »
« Heuu ! C'est bien l'étage que je vous indique. »
Le con ! Il me fait rougir.
« Tout comme moi. C'est parti ! Excusez-moi, je voulais plaisanter. »
Pendant l'ascension, j'observe l'homme. Et si c'était lui ?
Lorsque la porte s'ouvre, il me salut et part sur la droite. Je suis tétanisée et je manque de repartir avec l'ascenseur. J'en sorts juste à temps.
Couloir de gauche. Dieu qu'il est long.
Je croise beaucoup d'employés. Je suis tellement mal à l'aise, que j'ai l'impression de ne pas marcher droit et que tout le monde me regarde.
Je parviens enfin à la porte du fond. Elle est doublée de cuir pourpre, avec des clous dorés tout autour.
Je la pousse. Je me retrouve dans une espèce de petit vestibule, avec une seconde porte. Je la pousse également.
Je pénètre dans l'amphithéâtre par le bas, et en pleine réunion.
Tous les yeux se tournent vers moi. J'ai la honte de ma vie. Je lâche un timide « Excusez moi ! » et je monte le long des rangées. Si j'en crois le message, il me reste cinq minutes.
Dans le haut de la salle, il y a une porte de chaque cotés.
A droite 'Toilettes femmes'
A gauche 'Toilettes hommes'
Je me glisse discrètement vers la porte de gauche. Mais un homme en sort. Je m'arrête net et fais semblant de fouiller dans mon sac.
S'il y a d'autres hommes à l'intérieur, comment vais-je m'y prendre ?
chrislebo

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#9,347
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Assez réfléchie ! Je fonce et pousse la porte.
Il y a huit cabines à gauche et autant d'urinoirs à droite et un petit lavabo.
Un, deux, trois. J'ouvre la porte et entre.
De la poche de mon manteau, je sors une cravate noire que j'ai piquée à Fabien. D'ailleurs, c'est la seule qu'il ait.
J'enlève mon manteau et le pose sur le réservoir. Je quitte ma robe, mon string et les pose aussi. Tremblante, j'enlève mes chaussures, lorsque j'entends la porte d'entrée des toilettes s'ouvrir.
Je reste pétrifiée, mes chaussures à la main. Ça ne fait pas cinq minutes. Si il ne triche pas, ca ne peux pas être lui.
Je suis glacée.
J'entends des pas, puis un zip de fermeture éclair. Le type sifflote en pissant. Ça dure longtemps. Il a du boire des litres. Et le temps qui tourne. Il ne doit même pas me rester une minute.
Doucement, sans faire de bruit, je pose mes chaussures.
De nouveau un zip, puis la chasse d'eau. Un robinet coule. Il doit se laver les mains.
Mais soudain !
« Salut Jérôme ! Ça va toi ? »
« Oui, j'ai réglé le problème de Toulouse ! »
Mince, c'est lui et je ne suis pas prête. Je défais à la hâte la broche qui retient mes cheveux. Parle ! Parle encore !
« C'est cool ! Tu vas prendre du galon. »
La poignée de la porte bouge. Il va entrer.
Je passe la cravate sur mes yeux, fais un nœud et je me penche, jambe écartées.
« J'espère bien ! Allez salut ! »
La porte dans mon dos s'ouvre, se referme, et j'entends le bruit du loquet qui se ferme.
Je suis morte de trouille et contrôle à peine mes tremblements.
Je sursaute lorsque deux mains se posent sur mes hanches et je suis prise de chair de poule.
« Reste muette ! Je ne veux pas entendre le *** de ta voix ! »
Les mains caressent doucement mon dos, puis glissent vers mes seins.
« Alors là ! Tu dois être une sacrée salope pour être là. Tu dois être chaude bouillante ! Tu es la première pute à venir, en cinq ans que je fais tourner l'annonce sur internet. »
Il malaxe mes seins grossièrement et tire sur mes pointes, à m'en faire presque mal. Le con !
Je sens un gros paquet toucher mon cul, au travers de *** pantalon.
« Et en plus t'es super bien gaulée ! Tu me fais bander, pouffiasse ! Quel beau cul ! »
Il glisse une main sous mon ventre et caresse ma chatte.
« Putain ! Tu mouille comme une grosse truie ! Tu vas me bouffer la queue, avant que je t'enfile ! Tourne toi et assis toi. »
Je m'exécute et il découvre mon visage
« Merde ! T'es une môme ! T'es toute jeune, toi ! Humm, petite salope ! Tu promets toi ! »
Un gros gland humide vient heurter ma bouche. C'est énorme !
Je ne peux m'empêcher de le toucher et je comprends ce que Pierre Perret veut dire lorsqu'il chante : Le zizi musclé chez le routier, Ô gué, ô gué, Se reconnaît à *** gros col roulé.
Je souris et je ne peux m'empêcher de chantonner dans ma tête.
Il me prend par les cheveux et enfonce *** gros boudin entre mes lèvres.
« Ho ! Salope ! Tu suce bien ! »
Mon front cogne sur *** ventre. Prise d'un doute, je pose mes mains sur ses cuisses.
C'est bien ce que je pensais ! Ce type est gras comme un cochon.
Effectivement, il vaut peut être mieux que je ne le voie pas.
« Camille... Camille ! C'est un prénom de vide couille, ca ! Humm ! Lève-toi sac à foutre ! »
Je recrache *** morceau de bidoche et je me lève. Il plaque ses paluches sur mon cul et me colle à lui.
Le salaud me lèche le cou et le visage, puis il plante sa langue entre mes lèvres. Il m'embrasse de façon répugnante, salivant, crachant dans ma bouche.
Il me broie le cul et essaie de m'enfoncer un doigt.
« Je vais te faire jouir, ma putain ! Tu ne regretteras pas le voyage, sale pute ! »
Mes seins *** écrasés contre lui et *** ventre épouse le creux du mien.
Nous tournons et il m'adosse à la porte. Il lève mes bras et je sens un porte manteau.
« Tiens le et le lâche pas ! »
Il me caresse sans tendresse ni douceur, appuyant sur la moindre parcelle de ma peau. Puis il commence à embrasser mon corps. Il me crache dessus et lèche ensuite, encore et encore. Il est répugnant, mais il m'excite comme une folle.
Je commence à gémir et je respire fort.
« Je savais que t'aimerais ca, fille de chienne ! »
Soudain, nous entendons le grincement de la porte d'entrée.
« Chuttt ! Arrête de couiner ou on va être repéré ! »
Deux types viennent d'entrer. Nous les entendons discuter tout en pissant.
Comme un défi, mon gros porc c'est accroupi et me bouffe la chatte, tout en branlant mon clito gonflé.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Jouir en silence n'est pas facile. Et ces types qui trainent à partir. J'en peux plus.
« Hummmmm ! Rrrahhhhhhh ! »
Par chance, je craque pendant le grincement de la porte.
« Idiote ! Tu veux me faire perdre ma place ? Penche-toi, raclure ! »
Je m'accroche au siège du chiotte et j'écarte les jambes, reins bien cambrés.
« Humm ! J'adore quand des gobeuses de couilles comme toi, s'offrent comme tu le fais ! »
Ses mains écartent mon cul et il se plante dans ma chatte sans préliminaires. Je me sens pleine d'un coup. S'il n'est pas très long, ce type est super large et la sensation est terrible.
Il me bourre sans complaisance et je jouis très vite et très fort.
« Ho ouiiii ! C'est bonnnn ! »
Je reçois une énorme claque sur le cul.
« Je t'avais interdit de parler, salope ! Les voix de putains me font jouir ! Hachhhhh ! »
Je me remplis de foutre chaud comme une bouteille à un robinet. Ce type a une réserve incroyable. Sensation extraordinaire qui me fait jouir de nouveau.
Je ne peux pas tout contenir. Il est encore en moi que du jus déborde de mon vagin.
« Hummmmm ! C'est trop bonnnn ! »
« Conasse ! T'a rien compris ! T'es trop conne ! Tu ne sais pas fermer ta gueule ! Tu ne bouge pas pendant cinq minutes, après, tu peux aller te faire foutre ailleurs ! »
J'entends le loquet de la porte, le grincement de la porte d'entrée...et plus rien.
Je reste un instant courbée sur la cuvette des chiottes. Je sens ma chatte se vider et j'entends la semence froide qui me quitte, tomber et éclabousser le sol.
Je me demande s'il est vraiment parti.
Puis, n'entendant rien d'autre qu'une chasse d'eau qui fuit, je défais mon bandeau.
Je suis nue, chatte dégoulinante, dans une cabine de chiotte dont la porte est ouverte, donnant sur des urinoirs. Je penche la tête hors de la cabine pour vérifier que je suis bien seule.
J'imagine, si quelqu'un entrait subitement.
Et... c'est ce qu'il se passe.
Un homme rentre précipitamment, la main déjà en train de descendre sa braguette.
Je suis désorientée et surprise. Je n'ai pas le temps de refermer la porte avant qu'il ne m'aperçoive.
Je referme le loquet et me plaque à la porte, le souffle coupé.
« Y a quelqu'un ? Qui êtes-vous ? Qu'est ce que vous foutez à poil dans les chiottes ? » J'attrape ma robe et je la passe s'en prendre le temps de la reboutonner, puis je mets mes chaussures.
« Mademoiselle ? Je peux vous aider ? »
« Heuu ! Non ! Tout va bien ! Je me suis trompée de toilettes. Je suis désolée. »
J'enfile mon manteau et je sors, rouge de honte.
Le type est en train de pisser. Il tourne la tête vers moi. Lorsque j'ouvre la porte, mon manteau et ma robe s'ouvre et il me revoit nue. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je file dans l'amphi en courant. Il est vide.
Je cours appeler l'ascenseur, me rafistole et finis de reboutonner ma robe en l'attendant.
Lorsque j'arrive dans le hall, j'ai retrouvé un rythme cardiaque à peu près normal.
C'est la sortie des bureaux et il y a beaucoup de monde.
Et si Jérôme Durat était là.
Je guette des hommes emprunt d'embonpoint qui pourraient me regarder étrangement.
J'en vois. J'en vois même beaucoup, mais, rien ne me laisse penser que le foutre qui est encore en moi, appartient à un de ceux là.
C'est dans le métro qui me ramène, que je réagis que le Jérôme Durat m'a piqué mon string et ma broche à cheveux.
Je fais un saut chez mes beaux parents pour récupérer mon bébé, mais ils ont décidés de le garder un peu.
C'est donc seule que je rentre à la mai***. Une surprise de taille m'y attend.
« Piou-piou ? Tu es déjà rentré ? »
Il est dans le canapé, une main bandée.
« Ho ! Qu'est ce qui t'es arrivé ? »
« Rien de grave. Il n'y a pas de casse. J'ai pris un poids sur la main. Mais ca vas aller. J'ai huit jours d'arrêt de travail. Et toi, tu étais ou ? Ou est Romain ? »
« Chez tes parents. Je suis allée faire les magasins avec Valérie. »
« Valérie ? Ah bon ? Je te cherchais, je viens de l'appeler, elle t'a pas vu. T'étais ou ? »
Aille ! Ça pue pour moi. Je penche la tête. Je ne sais plus quoi dire.
« T'enfonce pas dans des men***ges. Dis-moi la vérité, ca vaut mieux ! »
Je prends mon courage à deux mains. Je ne dois pas lui mentir, il a rai***.
J'allume l'ordi et cherche l'annonce.
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas. ---
« Voilà ! J'ai répondu à cette annonce. Je suis désolée Fab. Je t'ai fait cocu. Je n'ai pas d'excuse. J'ai tellement honte. Pardonne-moi, je t'en supplie ! »
Je me prépare à une scène, mais une autre surprise m'attend.
« Viens avec moi ! »
Il me prend par la main et m'entraine dans la chambre.
« Déshabille-toi ! »
« Non Fab ! Ce n'est pas... »
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase. Il tire sur ma robe et tous les boutons sautent.
« Tu ne porte rien en dessous ? »
« Si, mais...il me les a volé. »
« Enlève ca et allonge toi ! »
Par peur de le contrarier d'avantage, je lui obéis. Il se déshabille aussi et se couche sur moi.
« Tu es encore pleine de ce mec ? »
« Oui, enfin non ! Je suis...oui, je suis souillée. Je suis sale. »
Il me maintient les mains au dessus de la tête et me pénètre lentement.
« Dis-moi tout ! Comment ca c'est passé ? »
« Et bien, il m'a dis d'aller dans les toilettes et... »
« Non, non Camille ! Raconte-moi tout dans le moindre détail. »
Il a une étrange lueur dans les yeux.
« Et bien, quand j'ai vu l'annonce, je lui ai téléphoné...
... C'est dans le métro que j'ai réagi que Jérôme Durat m'avait piqué mon string et ma broche à cheveux. »
Durant mes aveux détaillés, Fabien m'a pénétré doucement, lentement. Puis.
« Hooo, ma Camille ! Je t'aime tant ! Je mélange mon foutre au sien, en toi, et je veux qu'il en soit ainsi à chaque fois. Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »
chrislebo

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« Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »

Nous avons usé beaucoup de salive à ce sujet. J'ai eu énormément de mal à comprendre le plaisir de Fabien à être cocu.
Je me demande même, si lui aussi a bien comprit ce qui lui arrive.
Mais, petit à petit, l'idée a fait *** chemin et j'ai décidé de m'en servir et de prendre le pouvoir sur mon homme.
C'est ainsi que je lui ai interdit de me baiser, si je ne suis pas pleine de la souillure d'un autre mâle.
Une nouvelle complicité est née entre nous. Étrange et perverse.
Il m'a donné une liberté sexuelle totale et j'ai bien l'intention de l'utiliser.
A part ca, nous nous comportons comme un couple normal. Nous sortons, nous voyons nos amis, mais reste en permanence, mes envies sous-jacentes de sexe.
Depuis l'affaire de la société Vilebor Compagnie, je l'ai fait cocu deux fois.
Draguée un jour dans la rue, j'ai suivi un type à l'hôtel. Ce jour là, c'était plus pour tester Fab que pour autre chose. Je voulais rentrer souillée et voir sa réaction.
Comme la première fois, il m'a baisée en douceur, tandis que je lui racontais mon aventure dans le détail.
La seconde fois, je me suis tapée un de ses amis qui me courtisait depuis un moment. Je n'en avais jamais parlé à mon homme. L'occasion fait le larron. Il m'a baisée, mais je m'en suis débarrassée, Fab, l'ayant viré de *** cercle d'amis.
Ce fut une épreuve pour Fabien. Il a très mal digéré qu'un de ses potes se tape sa nana. Mais il a accusé le coup et est toujours aussi motivé à être cocu.

C'est le week-end et notre petit garçon est chez mes parents. Fabien, m'a proposé un restau et un ciné. Ca fait longtemps. Je suis ravie.
Je m'habille sexy, avec ma tenue fétiche. Style uniforme d'écolières asiatiques. Une chemise blanche largement déboutonnée sur ma poitrine, un gilet noir, bien serré pour dessiner ma taille, un petit kilt, de longues chaussettes noires qui montent au dessus du genou et une paire d'escarpins vernis, noirs. Pour finir, je noue un ruban blanc dans mes cheveux.
«Tu veux conquérir, toi ! »
« Je ne sais pas ! On verra ! »
Il me laisse le choix du restaurant. Je me montre très difficile. Pas tant sur les menus que sur les intérieurs des salles. Plus particulièrement sur les nappes. Je ne les veux pas longues.
Mon choix se porte sur un restau sympa qui propose des tables recouvertes de nappes en papier qui ne pendouillent pas sur les genoux. C'est parfait.
Nous entrons et je choisis une table.
La chance est avec moi. Je m'installe sur une banquette et Fab s'assoit sur une chaise, face à moi. Dans ma diagonale, à quatre mètres, un homme mange une pizza, seul. Une quarantaine d'années, habillé classe, il me plait beaucoup.
Ma tenue attire *** regard et je le sens bien accroché.
Je déboutonne mon gilet et je dégage bien mon décolleté, faisant sauter même un bouton de plus à ma chemise. Mon Piou-piou s'en inquiète.
« Heuu ! Camille ! Ce n'est pas un peu trop, là ? »
« Ca, mon chéri, c'est mon problème. Mange et surtout ne te retourne pas. »
Le premier à se régaler, c'est le serveur. Le pauvre à bien du mal à prendre, en même temps, notre commande et lorgner mes seins à peine cachés.
Je tiens la carte grande ouverte et j'approche mes doigts de sa braguette. Je parviens, l'air de rien, à l'effleurer. S'en est trop pour le jeune homme qui, prit d'un fris***, recule un peu. Lorsqu'il s'en va, Fab me sermonne.
« Tu exagère ! Ne fais pas des trucs comme ca ! »
« Si mon petit cocu ne veux pas rentrer tout seul, il ferait bien de me foutre la paix et de me laisser faire ce que je veux ! Ok ? »
Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je me lève. Je vais droit vers la table de l'homme seul.
Je me penche exagérément, pour mettre en évidence mes seins dans l'entrebâillement de ma chemise.
« Excusez-moi ! Je peux vous emprunter la sauce pimentée ? »
« Oui, bien sur mademoiselle ! Faite dont ! »
Je lui fais mon sourire le plus provocateur.
« Merci ! J'aime bien pimenter ma vie ! »
Je lui fais un petit clin d'œil et je retourne m'asseoir en tortillant du cul.
« Quand tu t'es penchée, j'ai vu ton cul ! Fais attention quand même. »
« Je ne t'avais pas interdit de te retourner ? »
« Oui, mais je me demandais ce que tu faisais. N'empêche que dans la salle des gens auraient pu voir que tu ne porte rien. »
« Tiens, ca ne m'étais pas venue à l'esprit ! Hihihi ! »
Nous prenons un apéritif.
Je suis bras croisés sur la table. J'ai passé un pouce dans ma chemise et je me caresse un téton. Il est dressé, dur, sensible. Je sens ma grotte s'humidifier.
« Putain ! Je mouille comme une salope ! »
« Normal ! C'est ce que tu es, non ? »
« Toi, mon mignon, tu seras puni pour ta remarque ! »
Les entrées nous ***t servies. Je décroise les jambes, mais je ne peux résister à l'incroyable envie de les écarter, pour le plus grand plaisir de l'homme qui me dévisage. Il me fait un large sourire et passe ses mains sous la table.
Il se touche.
Ce con m'excite et je m'écarte un peu plus pour lui rendre la pareille.
Désormais, il doit voir ma chatte.
Lorsque le serveur nous apporte nos plats, il manque de les lâcher, lorsqu'il m'aperçoit largement ouverte. Il est rouge de honte.
Je mange d'une main et de l'autre, sous la table, je me caresse.
Mon nouvel ami semble apprécier. Plus vicieux que je ne le pensais, il déboutonne *** pantalon et sort sa queue discrètement. Je la vois, bien bandée. Il se masturbe doucement.
« Ne te retourne pas Fabien, mais le type derrière toi se branle en me matant. »
« Ca te plais bien, salope ! »
« Ben oui, plutôt ! Je fais pareil. »
« Un futur amant ? »
« Faut voir ! Pourquoi pas ! »
Lorsque les desserts arrivent, j'ai deux doigts dans la chatte et je suis sur le point de jouir.
Je me penche un peu en avant pour me cacher du serveur. Ce serrait trop pour lui.
« Camille, je ne veux pas t'interrompre, mais il faudrait qu'on accélère le mouvement, si on ne veux pas rater la séance. »
« Ok ! Paye, je fais un saut aux toilettes. »
Je me lève et en passant devant le type, je me suce le bout d'un doigt. C'est sur, je peux laisser la porte des chiottes ouverte, il va m'y rejoindre.
Mais rien. Il a du se dégonfler.
Je retourne dans la salle et ma déception est grande. L'homme n'est plus là.

Lorsque nous arrivons au cinéma, la séance vient juste de commencer. Sur l'écran, les bandes annonces se succèdent.
J'aime être en hauteur. Nous nous sommes installés au dernier rang. Il n'y a pas grand monde. Il faut dire que le film que nous avons choisi, est à l'affiche depuis plusieurs semaines.
Il s'agit d'un film d'horreur, très glauque, très sombre. J'aime ce genre de films, même si ils me terrifient. Je m'accroche au bras de Fabien et me cache à moitié derrière *** épaule.
Soudain, je sursaute.
Une main vient de se poser sur mon genou. J'ai l'agréable surprise d'entrevoir le visage de l'homme du restaurant. Humm ! Les affaires reprennent.
Je me redresse doucement, pour ne pas éveiller de soupçons chez Fab.
Devant mes jambes qui s'écartent, la main remonte sur ma cuisse et se pose sur ma fente.
Mon bon monsieur ayant sorti *** engin, je m'empresse de l'empoigner. Nous commençons alors à nous branler doucement, mutuellement.
Piou-piou, absorbé par le film, ne remarque rien.
Je commence à avoir du mal à cacher mon plaisir et n'y tenant plus, je me lève. Je fais un bisou à Fabien.
« Je tiens plus ! Je vais aux toilettes, je reviens ! »
« Ok ! Fais vite tu vas rater le meilleur. »
Le type m'ayant entendu, me devance et est déjà sorti de la rangé.
Je le rattrape facilement dans les escaliers des toilettes. Il n'y a per***ne. Excités, nous ne prenons pas la peine d'aller plus loin. Je lui saute au cou et il m'enlace avec *****. Nous nous embras***s et lais***s courir nos mains. Il soulève mon kilt et malaxe mon cul. Moi, je ressors sa queue que je glisse entre mes cuisses.
« Hummm ! Salope ! Je vais te baiser ! »
« Ouiii ! Prends-moi ! vite ! »
Il ouvre rapidement mon chemisier et palpe mes seins. Il ne prendra pas le temps de me les sucer. Il me lève une jambe et me pénètre bien à fond.
« Ouiii ! Défonce-moi la chatte ! »
« T'es une petite putain, toi ! J'aime les femelles comme toi ! Tiens, prends ca morue ! »
C'est violent coups de reins me plonge dans un orgasme fantastique.
« Ouiiii ! Jouis avec moiii ! Viteee ! Je veux ton jus ! Donne-moi ton foutre, viteee ! »
« Tiens ma belle ! Laisse-moi te remplir ! Hargggggg ! »
Nous restons un moment sans bouger, jusqu'à ce que sa queue ne me quitte naturellement.
Gentiment, il me tend un mouchoir.
« Non, merci ! C'est gentil, mais je garde tout. »
« Hummm ! Tu aime te sentir sale, c'est ca ? J'adore les trainées dans ton genre. Téléphone-moi quand tu veux ! »
Il me tend une carte de visite, que je m'empresse de déchirer en petits bouts et je jette le tout en l'air.
« Les histoires les plus courtes ***t les meilleures, même quand ce ***t des histoires de cul. Bye chéri ! »
« Dommage ! Adieu ma belle. »
Je rejoins mon homme dans la salle obscure.
« T'a été longue ! Tu as raté le meilleur. Si tu avais vu ce qu'a prit la gonzesse ! »
« Ben moi, si tu avais vu ce que j'ai pris ! »
Je prends sa main et la plaque sur mon vagin.
« Quoi ? Hein ? Ho ! T'es trop forte toi ! Qu'est ce que je t'aime. Viens ! On rentre ! »
« Pas question, cocu ! On regarde le film jusqu'au bout, et tu ne touche pas ! Hihi ! »
« Vicieuse sadique ! »
Il a bien du mal à se concentrer sur le film. Autant dire qu'il zappe complètement la fin, les yeux rivés sur mes cuisses, et l'échancrure de ma chemise.
Le film terminé, je tente de calmer ses ardeurs en l'entrainant dans un bar, puis un autre.
Je le rends fou et j'adore ca.
Mais lorsque nous rentrons dans notre appartement...le fauve est lâché.
Il me pousse à la renverse dans le canapé et saute à genoux entre mes jambes.
Pour la première fois, il goutte mon antre poisseux et malodorant.
C'est moi qui en suis gênée.
« Viens ! Viens chéri ! Mon cocu à moi ! Viens vite me baiser comme une chienne ! »
« Pas temps que je n'aurais pas bu tout ce que ce type t'a donné ! »
Je le sens m'aspirer, me lécher. Il me vide, me vidange.
L'image m'excite et je jouis, rajoutant du jus à la dégustation de mon cocu.
Ce soir là, il me baise avec très peu de tendresse, presque violemment. Peut être ai je été trop loin. Ressent-il de la haine, de la rage, du délire ou de la passion ?

Quelques jours plus tard, lors d'un après midi shopping pendant les soldes, je repère une adorable micro jupe. Je fais le tour du magasin pour trouver un petit boléro qui pourrait être assortit. Ma jupe à la main, je fouille dans les bacs.
Il y a un monde fou et nous sommes collées les unes aux autres, nous bousculant, nous marchant même sur les pieds. De vraies folles, mais c'est un peu la tradition des soldes.
Pourtant, au milieu de ce troupeau de femmes, il y a un intrus.
Un homme d'une cinquantaine d'année, se penche pour essayer d'atteindre les vêtements.
Mais, à y regarder de plus près, un doute m'envahit.
Je me fraye un chemin jusqu'à lui. C'est bien ce qu'il me semblait. Le bonhomme bande comme un cerf et se frotte aux culs des nanas.
Les malheureuses, plongées dans leurs batailles, ne s'en rendent même pas compte.
Je le regarde faire un bon moment. Il a bien du mal avec toutes ces femelles qui bougent trop.
L'idée me plaît.
Je m'approche et me glisse entre lui et une de ses potentielles victimes.
Je fais semblant de chercher et je bouge mon cul contre sa bosse. Pas trop, juste pour la caler entre mes fesses.
J'applique quelques petits mouvements d'avant en arrière, l'air de rien.Ca semble lui plaire car il s'écrase de plus en plus à moi.
Ses mouvements prennent un rythme régulier, tout comme celui d'un coït. Il est trop excité pour se contrôler.
Ce type va jouir dans *** froc, si je ne le sors pas de là. Mais comment ?
Ma micro jupe dans une main, un caraco dans l'autre, je me retourne face à lui. Je lui fais un grand sourire.
« Ho ! Vous tombez bien ! Vous voulez bien m'aider ? »
Surprit, il rougit un peu, puis pensant que je n'ai rien remarqué, il se reprend.
« Hein ? Heuu ! Oui, bien sur ! »
« Ho ! C'est gentil, venez ! »
Nous fendons péniblement la foule des femelles déchainées. Je crois bien qu'il en profite pour me passer une main sur les fesses.
« Ouf ! Quel monde ! Vous voulez bien m'accompagner à la cabine d'essayage ? J'aimerais votre avis. »
Évidement, il accepte avec plaisir.
J'entre dans la cabine, mais ne tire pas le rideau parfaitement. Dans le miroir, je l'aperçois regarder discrètement. Humm ! J'adore !
Tout doucement, j'ôte mon tee-shirt dévoilant mes seins nus.
Je me régale de le voir m'épier.
Je déboutonne mon mini short et je le fait glisser au sol. N'ayant pas de string, je suis entièrement nue dans la cabine.
L'homme reste bloqué, bouche ouverte.
Je passe le caraco et la micro jupe et j'ouvre le rideau. Je sors de la cabine et tourne devant lui. Je prends plaisir à jouer l'ingénue. La fille qui ne voit pas le mal.
« Voilà ! C'est pour faire une surprise à mon chéri. Vous trouvez que les couleurs vont ensemble ? Ce n'est pas trop court ? Dites-moi, ca ne fait pas vulgaire ? »
Le pauvre n'arrive même plus à parler.
« Nan ! Ha nan, nan ! C'est... bien ! C'est... »
Je décide de passer à la vitesse supérieure. Je rentre de nouveau dans la cabine, mais laisse le rideau grand ouvert, au risque de me faire voir par les autres clients. Mais je m'en fou.
Je retire les deux vêtements et je les tends au quinquagénaire. Je me présente à lui de face et entièrement nue.
« Je vous plais ? »
« Je...Je. Je suis...Oui, bien sur ! Vous...Vous êtes belle ! »
« Vous aimeriez.... »
Je me suce un doigt.
Il rougit et me sourit.
« Vous êtes cruelle ! Bien sur que j'aimerai ! Mais que ferriez-vous d'un vieux comme moi ! »
« Comme avec un jeune. Je m'offrirai ! Hihi ! »
Je referme le rideau et me rhabille. Moins intimidé, il passe sa tête.
« Permettez-moi de vous offrir la jupe. »
« Ok ! Mais vous venez boire un café à la mai***. J'habite à deux pas. »
« Ho ! Je ne sais pas si... »
« Ben moi, je sais ! »
Je lui prends la main et l'entraine vers les caisses.
Cinq minutes plus tard, nous sommes dans l'ascenseur qui conduit à mon appartement.
Fabien qui est de repos est étonné de mon retour.
« Déjà ? Ben t'a fais vite dis dont ! Ho ! Excusez-moi, je ne vous avez pas vu ! Bonjour, moi c'est Fabien ! »
L'homme est surprit et très gêné de se retrouver face à Fabien.
« Enchanté, je suis Raymond. »
Je viens à la rescousse.
« J'ai invité Raymond à prendre un café. Nous avons fait connaissance dans le magasin. »
« Houlà ! Les soldes ne vous font pas peur ? »
La tentation est trop forte. Je m'installe sur les genoux de mon nouvel ami et je passe mon bras autour de *** cou.
« Ho non ! Raymond n'y va pas pour les soldes ! Il y va pour les femmes. Il aime bien leur cul ! »
Ma façon de mettre ce pauvre homme, mal à l'aise, déplait à Fab.
« Camille ! Arrête ca ! »
« Heuu ! Je suis désolé, je dois y aller. Vraiment navré, je ne savais pas que vous étiez en couple. Il y a méprise. »
Mais avec moi sur ses genoux, il ne peut se lever.
« En couple ? Ahhhh ouiii, en couple ! Oui, mais non ! Lui c'est mon cocu ! Ne vous inquiétez pas ! Il adore ca ! »
« Camille ! »
« Quoi ? Ose dire que c'est pas vrais ! Hihi ! Nous, nous sommes venu pour baiser et on va baiser ! »
Sur ces mots, je retire mon tee-shirt et je pose les mains de Raymond sur mes seins.
Au début, gêné et réticent à me prendre devant Fabien, il s'avère être un amant exceptionnel.
Fabien, bien décidé, finalement, à vivre *** délire jusqu'au bout, reste assis sur une chaise au pied du lit.
Épuisée, je laisse Piou-piou raccompagner Raymond à la porte. Puis il revient dans la chambre.
« Petite pute ! T'a fais fort ce coup ci ! »
« Tais toi et bois pendant que c'est chaud...Cocu ! »
chrislebo

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#9,349
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Il y a quelques semaines, j'ai passé une annonce proposant de me montrer en cam. Le résultat ne c'est pas fait attendre. En moins de vingt quatre heures, ma boite e mail était saturée.
Je me suis montrée à certain, mais moi, je refuse de les voir. Ce qui m'excite, c'est de penser que je peux connaitre l'un d'eux, sans le savoir.
Ils enragent que je ne veuille pas les rencontrer. Ils aimeraient tant me sauter. Ca m'amuse.

« Regarde ce que j'ai trouvé sur un site. Des photos de couples qui vont s'exhiber dans les bois. Hummm ! Ca doit être excitant, non ? »
« Ca te tente on dirait ! »
« Je sais pas trop, et puis il faut savoir ou aller. »
« Ca, je te fais confiance. Tu trouveras. »
« En tout cas, ca me changerais de mes masturbations devant ma cam ! »
Il me connaît bien, mon Fab. Il sait que je ne lâche pas facilement.
Le soir même, grâce à mes contacts, je sais tout sur l'exhibition et j'ai même les plans pour nous rendre dans des endroits intéressants et sans danger.
Bien sur, ces renseignements vont me couter. Enfin ! Façon de parler.
Mes contacts, m'ont fait promettre de leurs dire ou et quand j'irais, si bien sur, je me décidais à le faire.
Me décider ? Ca, ce n'est pas un problème ! Hihi !
Nous avons programmé notre viré pour ce week-end.
J'ai prévenu six de mes nouveaux amis et je leurs ai donné le lieu et l'heure. Bien sur, je leurs ai demandé, qu'une fois sur place, de ne pas me dire qui ils ***t. Ainsi, je ne pourrais pas différencier mes contacts des simples voyeurs pervers, qui trainent les bois, à la recherche d'une donzelle à se faire.
Hummmm ! Rien que d'y penser...

Nous sommes samedi soir et c'est l'effervescence à la mai***. J'ai aligné une quantité impressionnante de fringues sur mon lit, et j'ai entamé un grand débat avec Fab, pour savoir ce que j'allais mettre.
Nous sommes d'accord pour des bas et un porte jarretelle. C'est déjà ca.
Fab, verrait bien une robe boutonnée sur le devant. Moi, ma micro jupe et un caraco légèrement transparent, ventre nu.
Devinez qui a gagné ?
Pour ne pas risquer de tomber sur des voisins, j'ai enfilé un long manteau, que je m'empresse d'enlever, dès notre arrivé au parking.
Nous prenons, fébrile, la route pour un bois en dehors de la ville. Vingt minutes de route. Doucement, le doute s'installe. Je me sens un peu glacée.
« Ben ! Si tu veux, on fait demi-tour. »
« Non ! Nous sommes trop avancés. Je vais aller jusqu'au bout. »
Selon les indications qui m'ont été donnés, nous entrons dans le bois. Une centaine de mètres plus loin, comme prévu, nous apercevons l'entré d'un parking.
Il fait encore jour. Fab, roule jusqu'au bout du parking et se gare sous un gros arbre.
Il y a d'autres voitures, une dizaine, mais je ne vois per***nes.
« Tu crois qu'ils ***t ou ? »
Ma question idiote, reflète mon stress. Mais Fab n'est guère mieux.
« Ou veux tu qu'ils soient, sinon dans le bois ? Bon ! Camille ! On fait quoi, maintenant ! »
« Ben ! On pourrait repérer les environs avant la nuit ? »
Nous descendons de voiture et je prends le bras de Fabien. Une allée s'enfonce dans le bois. Je regrette presque ma micro jupe. Je me sens trop provocatrice. Il faut dire qu'elle est plus courte que le haut de mes bas. Alors, pour le coup, je dois faire un peu pute.
Très vite, nous croi***s un homme.
Trente ans, pas très beau, lunette ronde, célibataire, une intuition. Il porte un imperméable beige, froissé. Il marche lentement. Je sens qu'il voudrait me regarder, mais n'ose pas. Alors il lance de petits coups d'œil furtifs.
Au moment de nous croiser, il profite de nous dire un « Bonjour » souriant, pour me dévisager de la tête aux pieds.
Humm ! Rien que ce regard vicelard sur moi, me fait de l'effet.
« T'a vu comment il m'a maté ! Hihi ! »
« Oui, j'ai vu ! Tiens ! Ramasse le marron, là, sans plier les genoux.»
« Ben pourquoi ? »
« Pffff ! T'es conne ou quoi ? Ramasse ! »
Je réagi d'un coup. Je me penche et ramasse le marron. Entre mes jambes, j'aperçois le type qui se régale de mon cul.
Nous éclatons de rire et reprenons notre promenade.
Nous croi***s deux autres hommes et nous en apercevons quelques un dans le bois, entre les arbres.
La nuit commence à tomber. Nous retournons à la voiture.
Fabien est surexcité. Une fois installé, il me saute dessus et m'enlace pour m'embrasser et me caresser.
« Non ! Non, Fab ! Arrête ca ! »
« Ben quoi ? »
« Laisse-moi faire ! »
Vexé, mon petit cocu se replace derrière *** volant.
Moi, je m'enfonce un peu dans mon siège et baisse légèrement le dossier.
« Pffff ! Ils ne vont pas te voir ! Ils ne viendront pas jusqu'ici, si tu ne te montre pas ! »
« T'inquiète pas ! Il y a déjà longtemps qu'ils m'ont vu ! »
La suite prouve que j'ai rai***. Des types sortent du bois. Pour l'instant, ils restent à distance, décrivant de grands cercles autour de la voiture.
Je me sens comme une faible proie entourée de loups. Ca m'excite.
Je roule ma jupe au dessus de mes cuisses et je caresse ma fente doucement.
Les cercles ***t de plus en plus petits. Certains, commencent à se mettre sur la pointe des pieds pour apercevoir ce qu'il se passe dans la voiture. Puis, n'ayant plus de doute sur nos intentions, ils approchent.
Deux, trois, quatre hommes se pressent maintenant au carreau pour me regarder me masturber. Ils m'exhibent leurs sexes dressés et se branlent doucement.
Je m'installe plus à mon aise, pour profiter du spectacle.
Je lève mes jambes. Je cale un de mes talons dans le volant et l'autre dans le coin du tableau de bord. Jambes bien écartées, vagin bien visible, je me masturbe d'une main. De l'autre, je caresse mes seins. Je sens mes pointes dures à m'en faire mal.
Je glisse ma main sous mon caraco et le soulève jusqu'à mon cou, pour présenter ma poitrine à ses messieurs.
ses messieurs de plus en plus nombreux. Certain matent du carreau arrière, d'autres penchés sur le pare brise, et encore deux coté conducteur.
Ca me rend folle de voir tout ses hommes excités grâce à moi.
Je plonge deux puis trois doigts dans ma chatte bouillonnante, et je frotte mon clito prêt à exploser, de toutes mes ******.
Je jouis en même temps qu'un type qui explose sur le bas du carreau.
« Putain ! Ma bagnole ! Il pourrait éjaculer ailleurs ! Merde ! »
« Fabien ! Je ne veux plus t'entendre ! Compris ! »
Je suis très fière de l'autorité que j'ai sur Fab, depuis qu'il est devenu mon cocu. Je n'en ***** pas, mais je me régale de le voir obéir.
Énervée qu'il m'ait ainsi interrompue au milieu de ma jouissance, j'appuie sur le bouton de la vitre.
Pour un peu, je pourrais me croire dans un film d'horreur, lorsque des zombies essayent d'attraper quelqu'un.
Il y a tellement de bras qui essayent de venir me toucher. Mais il y a peu d'élus. Trois ou quatre, pas plus.
Ils parviennent à me caresser les cheveux et le visage. D'autres mes seins, mon ventre. Mais un seul a réussi à s'octroyer ma chatte.
Je me laisse aller et m'offre comme une poupée. C'est délicieux de faire plaisir à ces inconnus.
La nuit est maintenant tombée.
Les types, équipés, sortent des torches, des piles électriques. De vrais professionnels du voyeurisme.
Soudain, un jet de liquide chaud atteint mon ventre. Un homme ne pouvant plus se retenir, a jouit sur moi. Il s'écarte et un autre prend sa place.
Cette liqueur chaude qui coule jusqu'à mon nombril, fait disparaitre le peu de décence et de dignité qu'il restait au fond de moi.
J'ouvre la portière, descends de voiture et me laisse tomber à genoux.
« Venez ! Bande de salops ! »
En un instant, je suis entourée de queues raides et humides. Plusieurs se pressent à ma bouche et j'en suce une au hasard. Puis quand elle eut déversé *** flot de foutre, une autre prend sa place, et une autre, une autre encore.
J'aime leurs foutres. Ca me rend dingue. Il s'en échappe de ma bouche qui coule sur mon menton, mes seins.
Mes mains branlent au hasard, faisant naitre de multiples jets de jus chaud, qui viennent s'écraser sur mon corps. Quand soudain, une voix s'élève.
« Relève toi, salope ! On veut te baiser ! »
A ces mots, Fabien sort de la voiture et prend une couverture qu'il pose sur le capot avant.
Je ne suis pas mécontente de me relever.
Mes genoux sur les cailloux commençaient à me faire souffrir. Mes bas ***t déchirés. Ceci rajouté à mon corps recouvert de traces de spermes, je dois renvoyer une image bien pathétique.
Pathétique, mais visiblement excitante. A peine allongée sur le capot encore tiède, un homme lève mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre d'un coup.
Il n'a aucune difficulté à le faire, tant je mouille.
Un homme, plus équipé que les autres, arrive avec une lampe à gaz de camping.
Elle éclaire suffisamment pour me permettre de voir tout ce petit monde.
Combien ***t-ils ? Je serrais incapable de le dire. Mais plus de dix, ca c'est certain.
Je me fais prendre à la chaine par plusieurs d'entre eux. Je multiplie les orgasmes.
J'aime cette situation. Je me sens poupée de chiffon entre leurs mains.
Lorsque j'étais à genoux, j'en ai entendu un, dire : « Putain ! Elle a à peine seize ans, cette pute ! »
Mon visage d'angelot a encore fait *** effet. Qu'ils pensent que je ne suis pas majeure, ne les a pas freinés pour autant. Au contraire. Je pense que ca a eu pour effet de décupler leurs libidos.
Le temps passe. Peut être deux heures. Je pense qu'ils ont tous joui au moins une fois. Sauf celui qui se présente face à moi.
C'est l'homme à l'imper. Le premier que nous ayons croisé.
Il ouvre *** imperméable. Dessous, il est torse nu. Mais le plus effarant, c'est *** pantalon, savamment découpé. A la place de la braguette, il n'y a plus rien. Plus rien que sa verge dressé.
Le petit homme, que je croyais timide, s'approche et prend mes jambes. La lueur de la lampe à gaz fait briller ses yeux d'une étrange manière.
Il caresse ma chatte d'un doigt. Il semble vouloir en extirper du foutre. Je comprends très vite. Il graisse ma pastille brune.
« Je vais t'enculer bien à fond, ma petite bâtarde ! »
Il plonge en moi en poussant très fort. Je pousse un cri de douleur, mais il n'en tient pas compte et commence à me pilonner.
D'autres hommes, me caressent et m'encouragent.
« Détends-toi ! Respire ! Cambre tes reins ! »
Un type, profitant de mon vagin libre, s'applique à me masturber. Le plaisir remonte au fur et à mesure que la douleur disparait. Je me caresse et me pince moi-même le clito.
J'exulte.
« Hoo ouiii ! Encule-moi bien à fond ! Salop ! Défonce-moi ! Ouiii ! Plus fort ! Plus fort !
Plus....Hummmm ! Je viens ! Je viens ! Hooo ! Je viiii... OUIIII !»
Il jouit avec moi, déversant *** flot de miel au plus profond de mes entrailles. Puis il se retire.
Épuisée, semi inconsciente, je glisse doucement du capot et me retrouve assise à terre.
Fabien s'approche et caresse mes cheveux, très largement souillés, avec tendresse.
« Camille ? Ca va, mon ange ? Allez, viens, relève toi. Nous rentrons à la mai***. »
Mes jambes ne me portent plus. Deux hommes l'aident à me faire monter dans la voiture.
Je dors tout le voyage de retour.
Dans le parking, je passe mon manteau et nous prenons l'ascenseur pour notre appartement. Fabien est obligé de me soutenir. Je n'ai pas encore retrouvée toutes mes ******.
Je m'écroule sur le lit. Fabien, attentionné, veut me déshabiller.
« Ho non ! Laisse, mon cocu d'amour ! Je veux rester encore souillée ! Je veux encore me sentir gluante de leurs plaisirs. Sentir les odeurs de leurs jouissances. Mais je t'autorise à nettoyer ma chatte et mon cul. »
Après avoir vu tout ses hommes se vider en moi, je pensais qu'il se dégonflerait.
Et bien, pas du tout.
Il aspire consciencieusement tout se qui veut s'écouler de ma grotte et de mon cul. Il se délecte de toutes ses secrétions, comme un enfant avec une bois*** sucrée.
C'est plus fort que moi. Mon ventre me chauffe à nouveau.
« Viens me baiser ! Vite, viens, mon cocu ! »
chrislebo

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#9,350
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Allongée dans notre lit, je me prélasse. Je rêvasse.
Je me souviens de notre première expérience. Je me souviens aussi de mon étonnement, lorsque Jean-Guy avait prit le sexe de Fabien pour le sucer et que celui-ci, n'avait rien dit.
Je me demande si inconsciemment, mon piou-piou ne serait pas bisexuel.
Qu'il le soit ne me dérangerais absolument pas, mais qu'il l'ignore, je trouve ca dommage.
Une petite annonce (je suis devenue une spécialiste) et j'invite un homme bi à prendre un verre avec moi.
« Dis moi, Camille...si tu recherches un homme bi, c'est que ton homme l'est, non ?
Pourquoi, n'est il pas là ? »
« Heuu ! C'est un peu plus compliqué que ca ! »
Je lui fais un résumé rapide et nous montons un plan simple. Il fera semblant de ne pas savoir que je suis en couple et je m'occuperai du reste.
Une heure plus tard, nous arrivons à la mai***.
Bien sur, Fab ignore que je ramène quelqu'un. Ce n'est plus la première fois. Il en est à peine étonné et salut Franck.
Celui-ci ce révèle être un excellent acteur.
« Ho ! Tu n'es pas seule ! Je te laisse. »
« Non, non ! Entre ! Ce n'est que mon cocu. »
« Ton... »
« Oui, oui, mon cocu, regarde. Fabien ! Assis toi dans le fauteuil et je ne veux plus t'entendre. »
Fab s'assoit.
« Houlà ! Impressionnant, mais très déroutant. »
« Mais non, il suffit de l'oublier. »
Nous nous installons dans le canapé et commençons à nous caresser. Très vite, nous nous débarras***s de nos vêtements, puis, je m'agenouille devant Franck et je le suce avec gourmandise.
« Non ! Arrête ! Je suis désolé, mais devant lui, j'ai trop de mal. »
« Pourquoi ? Parce qu'il est habillé ? Qu'à cela ne tienne. Fab, fou toi à poil ! »
Il se lève et se déshabille, sans un mot, sans un sourire. Mais il ne peut cacher l'émoi qui se manifeste entre ses cuisses.
« Hum ! Bien gaulé, ton cocu ! Et bien foutu en plus ! »
« Heureuse qu'il te plaise. Il aime bien se faire tailler une plume de temps en temps. Ca t'intéresse ? »
« Humm ! Je suis gourmand et je ne sais pas dire non. »
Franck se rapproche de mon homme en marchant doucement à quatre pattes, comme un félin.
Dans le regard de mon Piou-piou, je peux lire « Qu'est ce que tu fous ? T'es folle ou quoi ! »
Mais il ne bouge pas et reste assis, les bras posés sur les accoudoirs.
Mais lorsque mon invité, prend *** membre dans ses mains avant de le porter à sa bouche, il ferme les yeux et sa respiration qui s'accélère trahi *** plaisir.
*** bassin fait de petits mouvements d'avant en arrière et ses doigts s'enfonce dans le cuir du fauteuil.
Je prends plaisir à le voir ainsi entre les mains d'un homme. Finalement, ca lui va très bien à mon mignon.
Sans bruit, je m'approche et m'agenouille prés de lui. Je pose ma tête sur *** épaule et tout en le regardant se faire sucer, je lui caresse le poitrail et lui pince les tétons.
Franck, me fait un clin d'œil.
Je le vois caresser les testicules de Fab. Il lèche sa hampe de haut en bas et continu plus bas. Apres lui avoir gobé les couilles, sa langue s'agite maintenant sur sa pastille.
Fabien ouvre les yeux en grand. Il semble très inquiet.
Je pose un doigt sur sa bouche.
« Chuttt ! Ne t'inquiète pas ! Tout va bien ! »
Mon invité crache maintenant et étale sa salive, tournant et enfonçant légèrement le bout de *** doigt, dans l'orifice vierge.
« Heuu ! Tu rigoles, là ! Il joue avec mon cul, là ! »
« Et alors ! Je n'en suis pas morte moi ! Non ? »
Franck décide de le rassurer un peu.
« T'inquiète pas Fabien. J'ai l'habitude. Je vais faire doucement. Tu n'auras presque pas mal, promis. Je suis très doux. Et tu vas voir comme c'est bon de jouir du cul. »
Il le fait s'assoir sur le bord du fauteuil et lui replie les jambes pour qu'il pose ses pieds sur les accoudoirs du fauteuil.
Il ne peut pas être plus offert.
Franck lui bouffe le cul et y crache encore.
« Regarde ca ! Tu t'ouvres comme une fleur. »
Il introduit *** index, sans effort.
Fab, prend ma main et referme les yeux. Il semble finalement accepter la caresse du doigt.
Franck se redresse, plaque *** gland sur l'anus de Piou-piou et pousse doucement.
Il s'y reprend à plusieurs fois et le membre pénètre un peu plus à chaque fois.
Lorsque le gland a totalement disparu, il pousse sans s'arrêter, très délicatement. Ses couilles finissent par toucher les fesses de Fab. Il s'arrête.
« Fab ? Ca va ? »
« Heuu ! Je ne sais pas trop ! »
« Détend toi, ca ira. »
« Heuu ! Je crois que je vais te c... dessus ! »
« Haha ! Ne t'inquiète pas, c'est juste une impression. Je vais te faire jouir. Respire bien à fond. »
Il commence un lent vas et viens en Fab.
Je l'observe. Il semble très concentré, yeux fermés, sa lèvre inferieure entre ses dents.
Le rythme accélère doucement. Il commence à gémir timidement.
« Voilà ! Tu y es ! Je vais pouvoir t'enculer comme il faut, maintenant ! »
Il le sodomise désormais avec vigueur et à mon grand étonnement, Fab exulte.
« Ho, merde ! C'est bonnnn ! Ouiii ! Continu ! »
Il se mord un doigt pour ne pas hurler. Mon Piou-piou jouit du cul.
Franck lui assène les derniers coups de reins et jouit dans un râle grave.
« Rhann ! Rhann ! Hummm ! Ton cul est bonnnn ! Harrrrrr !»
Il se retire lentement et se rhabille.
« Je suis désolé, je ne peux pas rester plus longtemps. Alors ? Ca t'a plu ? »
Fabien, encore sur *** petit nuage, n'a pas bougé et est toujours les pieds sur les accoudoirs, présentant *** anus qui laisse échapper un peu de foutre.
« J'en reviens pas ! Je me suis fais enculer ! »
Franck, s'en va. Je rejoins mon Piou-piou.
« Bon ! Faut t'en remettre mon amour ! Vas prendre une douche. »
« Camille ! Bouffe-moi le cul ! »
« Tu rigoles, là ! C'est dégueu ! »
Le salop, je ne l'ai pas vu venir, mais il a préparé sa phrase.
« Et alors ! Je n'en suis pas mort moi ! Non ? »
« Oui, mais la différence mon chéri, c'est que moi, je ne suis pas TA cocue ! »

Une semaine est passée.
Je ne suis pas sur que Fabien ait vraiment apprécié notre dernière petite soirée. Même si il y a trouvé un certain plaisir, le fait de lui avoir pratiquement imposé l'a surement vexé.
J'aimerai rentrer souillée, pleine, pour le satisfaire comme il l'aime.
Je désire me laisser du temps pour trouver ce que je veux.
« Chéri ! J'ai un rancard. Je ne rentrerais que demain soir. Ok ? Ne t'inquiète pas. »
« Humm ! Je vais encore fantasmer en t'imaginant. Ca vas être long jusqu'à demain soir.»

Je me promène dans Paris, couverte d'un gilet moulant, fermé par un zip et d'une petite jupe sympa.
Mes pas me conduisent au palais de la découverte, dans le bas des Champs Elysée.
J'adore cet endroit, ou l'on se perd de salles en salles. On pourrait passer une demie heure dans chacune, tant c'est intéressant et diversifié.
Il y a un truc que j'adore. C'est dans une petite vitrine. Je pense que ca s'appelle un hologramme. On peut y voir une couronne de rois, recouverte de diamants, alors que la vitrine ne fait pas un centimètre de profondeur. Ca me fascine. On a vraiment l'impression de voir l'objet en relief et qu'il est réel, alors que ce n'est pas plus épais qu'une photo.
Devant, il y a comme une rambarde, afin d'empêcher les visiteurs de toucher la vitrine. Je m'y tiens et penche la tête de gauche à droite, pour regarder de chaque coté de la couronne.
« C'est incroyable, n'est ce pas ? »
C'est un vieil homme aux cheveux blanc derrière moi, qui regarde par-dessus mon épaule.
« Oui, en effet ! On a vraiment l'impression qu'elle est vraiment là ! C'est tellement beau ! »
*** corps plaqué à mon dos, sa bouche n'est qu'à quelques centimètres de mon oreille.
« Tu aimes les belles choses toi, hein petite ? »
Je fais ma timide et je ne réponds pas. Une bosse grossie dans *** pantalon. La salle est déserte, alors, il ne se gêne pas pour se frotter à mon cul.
« Tu sens ca ? Tu sais, ca aussi, c'est très beau. Tu adorerais. »
Ca, pour la sentir, je la sens. Il applique de grosses pressions contre mon cul, comme pour m'enculer au travers de nos vêtements, et ses mains, enfoncées dans les poches de *** manteau, me caressent les fesses de façon vicelarde.
J'ai envi de voir jusqu'où il serait capable d'aller. Je me dégage en poussant un de ses bras.
« Rhooo ! Excusez-moi ! Pardon ! »
Je m'éloigne, mais je sens qu'il me suit. Je joue avec lui, m'arrêtant souvent, devant des vitrines, des animations, des maquettes. Mais dès que je le sens à moins de deux mètres de moi, je m'éloigne de nouveau.
J'arrive dans la salle du système solaire, ou un truc comme ca. C'est un endroit sombre, à la lumière indirecte et très tamisée.
Je suis attirée par un panneau au dessus d'une porte, indiquant « LES MOUVEMENTS DANS LE SYSTÈME SOLAIRE ».
Je pénètre dans un endroit presque noir. Sur le mur, le système solaire représenté par une maquette extraordinaire. Gigantesque.
Une barrière de métal, m'interdit de m'en approcher, mais, un boitier est fixé dessus et le mot « Appuyez » clignote sous un bouton.
J'appuie et tout se met en mouvement. C'est fantastique. D'un coup, je me crois dans l'espace.
Mais je reviens vite sur terre lorsque deux bras m'entourent et se cramponnent à la barrière.
« Humm ! C'est joli, hein ? J'aime bien cette ambiance sombre. Pas toi ? Je trouve ca excitant. »
Je crois qu'il a sorti sa queue. Il pousse et rentre ma jupe entre mes fesses.
Je continue à jouer la petite fille gênée.
« Mais ! Arrêtez, vous me faite peur ! »
« Mais non ! Tiens, prend ca dans ta main. Regarde comme c'est doux et chaud. »
Il me prend une main et la pose sur *** sexe gonflé.
Je ne jouerais pas plus longtemps. Je l'enserre dans ma main et je le branle doucement, tout en me tournant vers lui.
chrislebo

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#9,351
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« Humm ! Elle est belle ! »
« Dis donc, toi ! Tu me sembles bien dévergondée tout à coup ! »
« Humm ! Ca doit être l'ambiance ! »
Je frotte sa queue sur ma jupe et de mon autre main, je descends la fermeture éclair de mon gilet moulant.
« Houaf ! T'as pas de soutif ? Humm ! Petite coquine ! Ils ***t mignons tout plein tes petits nichons ! »
Il les prend à deux mains et les palpe avec vigueur.
« Et une culotte ? T'en a une, une culotte ? »
« Vérifiez-vous même, vieux cochon ! »
Il lâche ma poitrine et remonte ma jupe bien au dessus de la ceinture.
« Ho, merde ! T'es cul nu ! »
***t étonnement m'amuse beaucoup. Je frotte *** gland contre ma chatte trempée, comme une malade.
« Humm ! Vous la voulez ? Vous voulez me pénétrer ? Vous voulez me baiser ? Vous voulez jouir dans ma chatte ? »
« Salope ! Tu m'excites ! Je vais cracher ma purée ! Merde ! »
Avec l'énergie du désespoir, je me soulève à l'aide de la barrière et il parvient à me pénétrer, juste avant d'exploser.
Trois va-et-vient et je le sens se vider en moi.
« Rhooo ! Tu m'as trop excité ! Petite putain de merde ! Haaaaa ! »
« C'est pas grave mon pépère ! Je ne voulais rien de plus, que votre foutre dans ma petite moule ! »
« Ben ? Pourquoi ? »
« Pour que vous m'engrossiez comme une grosse truie ! »
« Qu'est ce que tu racontes ? »
« J'ai arrêté ma pilule, pour faire chier mon mec ! Je vais porter ton bâtard, papi ! »
Je me sauve en riant. Pauvre homme, il ne va pas dormir pendant un bon moment.

Dans l'ascenseur, j'en rigole encore. Je dois être folle de faire croire de telles choses.
« Chéri ! C'est moi ! »
Venant de la chambre, j'entends un « Merde ! »
« Chéri ? Qu'est ce qu'y a ? Qu'est ce qui ce passe ? »
Une nana sort de la chambre en courant, à moitié habillée, le reste de ses affaires dans les bras. J'ai l'impression que mon cœur s'arrête.
« Valérie ? Toi ? »
« Ho ! Je suis désolée, je t'expliquerais ! »
Et elle se sauve dans l'escalier.
Je pénètre dans la chambre. Fabien est assit dans le lit, ses jambes pliées ***t recouvertes par le drap. Il a posé ses coudes sur ses genoux et tient sa tête dans ses mains.
Je ne voudrais pas être à sa place.
« Espèce de salop ! Tu n'avais pas le droit de me faire ca ! Si tu voulais une nana, t'avais qu'à me le demander ! »
« Camille ! Essaye de comprendre ! Tu te tapes des tas de mecs ! J'ai juste eu une envie ! »
« Oui ! Je me tape des tas de mecs, parce que tu es mon cocu et parce que ca te plait ! Je ne suis pas ta cocue ! Et là, tu m'as faite cocue ! Et avec cette pute, que je croyais ma meilleure amie ! Une belle petite salope aussi, celle là ! »
Je suis hors de moi. Je relève ma jupe et glisse deux doigts dans mon vagin. Celui-ci, fait un drôle de bruit et du foutre s'en écoule.
« Regarde bien ma chatte remplie à ras bord ! Parce que tu n'es pas prêt de la revoir et encore moins de la vider ! COCU ! »
De rage, j'essuie mes doigts sur *** visage.
« Je te promets de me venger Fabien ! Je ne sais pas quand, ni comment, mais je me vengerais ! Je me vengerais ! »
chrislebo

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#9,352
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Voilà un bon mois que Fabien a fait de moi une cocue.
Je ne lui parle plus et je m'absente de plus en plus souvent. Je me demande même si je ne vais pas le quitter, malgré le petit. Ce ne serra pas le premier à avoir des parents séparés.
Valérie a essayé de me joindre trois fois. Je n'ai pas répondu.
Je noie mon chagrin dans les bras d'hommes de tous poils. J'ai même du mal à y trouver encore du plaisir.
Mais ma vengeance a déjà commencé.
Lorsque je rentre souillée de ces hommes, je me nettoie à grands coups de papier toilette, devant Fab, et ce, ou qu'il se trouve. Chambre, salle à manger, cuisine, même balcon, ca n'a aucune importance. Je jette le papier souillé à ses pieds, à chaque fois.
Je veux l'humilier.

Dimanche matin.
« Tu sors encore ? Il va pleuvoir, reste. »
« Si tu t'ennui, tu n'a qu'à appeler Valérie ! »
Je tourne les talons et je claque la porte.
Je suis triste de cette situation, mais j'ai du mal à lui pardonner. C'est la gorge serrée que je prends la route. Je pars au hasard, sans savoir ou aller.
Le ciel menace, mais il ne pleut pas. Si j'avais su, je ne me serais pas embarrassée de mon imper. Je serais juste sortie avec cette petite robe d'été. Elle est très jolie...très courte. Blanche, imprimée de quelques fleurs, elle se ferme sur le devant par des boutons pressions.
Voilà une heure que je roule, lorsque j'arrive à un carrefour que je crois reconnaitre. Je suis mon instinct et tourne à droite.
Je tombe sur le parking en forêt, ou je m'étais exhibée.
Je suis prise d'un grand fris***. Oserais-je me montrer seule, à plusieurs hommes.
Je descends de voiture et je prends le chemin qui s'enfonce dans le bois. Je guette le moindre mouvement de buis***s et je suis très vite repérée.
Deux hommes me suivent, à distance. Trois autres arrivent face à moi. Plusieurs aussi, me guettent de dessous les arbres et se masturbent en me regardant passer.
J'ai peur et je décide de faire demi-tour.
Je me retrouve face à ceux qui me suivaient. Ils passent près de moi, grands sourires aux lèvres.
« Bonjour ! On se promène ? »
« Heuu ! Oui, enfin...non ! Je dois rentrer tout de suite ! »
« Ho ! C'est dommage ! »
« Je reviendrais, promis ! Au revoir. »
Je retourne à ma voiture. De loin, je vois un homme en jogging, qui tourne autour. C'est, très inquiète que je m'approche.
« Ha ! Il me semblait bien que c'était ta voiture. »
Je me décompose, lorsque je reconnais mon beau père.
« Ho ! Monsieur Félicien ? Quelle coïncidence de vous trouver là ! Le monde est petit. »
« Exact ! Fabien n'est pas avec toi ? Et le petit ? »
« Ha, heuu, non ! Le petit est parti quelques jours avec mes parents. Fabien est crevé par ces horaires. Alors j'en profite pour faire du repérage pour de futures balades ! »
Je suis très fière de mon men***ge improvisé. Imparable.
« Et bien, ici, ce n'est pas ********* une bonne idée. Ce n'est pas très bien fréquenté, tu sais ! »
« Ha bon ? Et vous ? Que faite vous ici ? C'est bien loin de chez vous ? »
Et toc ! Je ne vais quand même pas m'en laisser compter.
« Tu me surveille ma parole ! Haha ! »
« Ho non, pardon ! Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Hihihi ! »
« Je sais bien, ma petite Camille. Non, je suis ici pour mon travail. Je regarde les arbres à couper. »
« À bon ? Vous pouvez couper dans une forêt domaniale ? »
« Heuu ! Non ! Je...Je viens juste jeter un coup d'œil, pour voir comment il bosse. »
« Un dimanche ? »
« Bah ! Ca me fait marcher un peu. J'entretien ma forme. Tiens, viens voir par ici. »
Lui, par contre, est nul en impro. Je ne crois pas *** histoire une seule seconde. Il m'entraine dans le sous bois, vers une clairière. Au centre, trône un arbre immense, avec des branches presque au ras du sol.
« Tu vois, cet arbre est centenaire et... »
Il me fait un cours magistral dont je n'ai rien à faire. Puis, à l'approche de quelques hommes, il me reconduit à ma voiture.
« Aille ! Merde ! Ca fait mal ! »
« Qu'est ce qui t'arrive, Camille ? »
« Je me suis blessée le mollet avec une branche ! »
« Hum ! On va passer par la scierie pour te désinfecter ca. Tu n'es jamais venue ? J'en profiterais pour te la faire visiter. Suis-moi, on en a pour une demi-heure de route. »
Je n'ai pas le temps de répondre, que déjà, il ferme la porte de sa voiture.
Trente cinq minutes plus tard, nous engageons nos voitures dans un chemin de terre. Au bout de celui-ci, nous pénétrons dans une cour, encadrée de bâtiments en préfabriqués.
« Nous voilà arrivé. Ici, tu a les bâtiments des ouvriers, et là, se ***t mes bureaux. Viens, que je te soigne avant d'aller voir la scierie. »
C'est comme je l'imaginais. Un bureau de chantier, avec des tas de plans et de papiers aux murs. La seule chose qui pourrait faire croire que c'est un bureau de patron, c'est ce grand fauteuil derrière le bureau.
Tandis qu'il cherche la trousse à pharmacie, je regarde quelques photos accrochées ca et là. Toutes traitent de la coupe du bois et de la déforestation.
« Voilà ! Je l'ai ! Viens poser tes petites fesses, là ! »
Il s'est installé dans *** fauteuil et tapote le bord du bureau, face à lui. Tandis qu'il imbibe un bout de coton d'alcool à 90°, je me glisse entre ses jambes et m'appuie au bureau.
Il prend ma jambe et pose mon pied sur l'accoudoir de *** siège.
Le genou très haut, mon imper s'ouvre et ma robe glisse le long de ma cuisse. Je la stoppe avant qu'elle ne découvre tout mon cuissot.
Il n'en semble pas très troublé et commence à tapoter ma griffure, tout en tenant mon mollet.
« Ca vas ? Ca ne pique pas trop ? »
« Non, ca vas. »
« Tu a de très jolies jambes. C'est agréable de te soigner. »
Je ne relève pas sa réflexion et je le laisse souffler sur ma plaie. Il prend un pansement et le colle sur mon mollet.
« Voilà ma jolie ! Un p'tit bisou et c'est fini ! »
Il se penche et embrasse tendrement mon mollet. Mais il ne s'arrête pas là. Il continu à donner de petits bisous et remonte jusqu'à mon genou.
Gênée, je n'ose rien dire, ni bouger.
Une main frôle mon mollet et l'autre tente de caresser l'intérieur de ma cuisse.
Instinctivement, je serre mes jambes.
« Non ! Monsieur Félicien ! Je vous en prie ! Il ne faut pas ! »
Mais il ne cesse pas. Il pose ses mains sur mes hanches et laisse courir sa bouche plus haut sur ma cuisse.
L'excitation me gagne et mon ventre s'échauffe. Mais la bienséance m'interdit d'aller plus loin.
Il persiste et passe d'une cuisse à l'autre.
« Humm ! Comme tu sens bon ! Comme ta peau est douce ! Humm ! »
« Monsieur Félicien, non ! Vous êtes mon beau père, je suis la fiancée de votre fils ! Vous ne pouvez pas ! Nous ne pouvons pas ! Je vous en supplie ! Non ! Il ne faut pas faire ca ! »
Je supplie, mais mes jambes se desserrent inexorablement.
Il tire un peu sur le bas de ma robe et trois boutons pression sautent, me dévoilant jusqu'au bas ventre.
Apercevant mon minou libre, il exulte.
« Hoo, Camille ! Je le savais ! Je le savais ! Tu n'étais pas là-bas pour te promener ! N'est ce pas ? »
« Je...Je... »
Il tire fort et toute ma robe s'ouvre. Nue devant mon beau père, je perds mes moyens et commence à trembler comme une feuille.
« Monsieur Félicien ! Je... »
« Tais toi ma toute belle ! Laisse-moi te déguster comme tu le mérite ! »
Il plonge *** visage entre mes cuisses. Sa langue est chaude, agile, habile. Je suis vaincue.
Je me jette en arrière et m'appuie sur mes bras. Je pose mes deux pieds sur les accoudoirs. Largement ouverte, mon beau père se désaltère à ma fontaine. Ses deux mains triturent mes seins, tirent et pincent mes tétons durcit par le plaisir.
Puis doucement il remonte. Il embrasse mon ventre, joue avec mon nombril. Il monte encore et aspire et lèche mes seins.
Soudain, sa bouche s'égare dans mon cou, aux lobes de mes oreilles et il me confie quelques secrets.
« Ho Camille ! Depuis le premier jour où je t'ai vu, je t'ai désiré ! J'étais jaloux de mon fils ! J'aurais tellement aimé te féconder moi-même ! Je me suis tellement branlé en pensant à toi, en pensant à cet instant, ou je poserai mes mains sur ton corps de rêve ! Laisse-moi, te prendre ! Laisse-moi te baiser, ma petite salope ! »
Je le repousse doucement et fais descendre la fermeture éclair de sa veste de jogging. Puis, je glisse mes mains sous l'élastique de *** pantalon et je libère sa bête, prête à me perforer.
Je passe mes bras derrière *** cou et je me plaque contre *** poitrail velu. Mes seins s'écrasent contre lui, me renvoyant sa douce chaleur d'homme en rut.
« Tais-toi ! Embrasse-moi ! »
C'est la première fois que je le tutoie. Il a triomphé de mon insignifiante résistance. Il prend ma bouche. Nos langues se mélangent, nous échangeons nos salives, emportés dans un tourbillon de plaisir. Il me serre fort dans ses bras puissant, m'écrasant contre lui.
Je l'enserre dans mes jambes.
« Prend moi ! Prend moi fort ! »
chrislebo

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#9,353
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*** gland déjà posé sur ma fente, il n'a qu'à donner un grand coup de rein pour s'enfoncer en moi.
La nature l'ayant bien équipé, il n'a aucun mal à remplir ma grotte détrempée.
Nous copulons, forniquons sans aucune pudeur.
« Mon fils ne te mérite pas ! Harggg ! Tu es une trop bonne pute ! Reste avec moi ! Je te baiserais jours et nuits. Je te couvrirais d'or et d'argent ! Hummm ! »
« Hooo ! Ouiii ! Baise-moi encore ! Plus fort ! Plus fort ! Haaaa ! Parle-moi encore ! Ouiii ! »
« Ouii ! Je te baise ! Je t'offrirais une grande mai*** ! Hummm ! Tu y recevras tes amants ! Hooo ! Tu te feras sauter comme une putain ! Tu veux dis ? Tu veux ? »
« Hooo ouiii ! Je le veux ! Je le veux ! Je...Je viens ! Ouiii ! Je jouissss ! Hooooo ! »
« Ho oui ! Jouis ma belle pute ! Tiens ! Prends encore ca ! Et ca ! Harggg ! Je viens aussiii ! Hummmm ! »
Secouée par la jouissance, je me couche sur le bureau, au milieu des papiers. Je me soulève, je me cambre pour le recevoir tout entier, encore et encore.
Il s'agrippe à mes seins et soudain il se raidit.
Un dernier grand coup de reins et il se libère au fond de moi. C'est comme si je recevais une décharge électrique. Un nouvel orgasme m'envahit et finit de m'anéantir.
Voilà longtemps que je n'avais pas été si haut dans le plaisir.
Monsieur Félicien s'effondre dans le fauteuil, haletant, en sueur.
Je me redresse doucement et reboutonne ma robe.
« Je dois partir. »
« Ho non, Camille ! Attend encore un peu, je ne t'ai pas montré la scierie. »
« Une autre fois monsieur Félicien. »
« Ho ! Je vois. Tu ne me tutoies plus ? »
« Non, c'est mieux ainsi. Nous avons déliré. C'était exquis, mais soyons réaliste. J'aime votre fils. J'aime Fabien. Et puis, vous avez votre vie, votre femme. »
« Ma femme. Ah, oui. Ma femme. »
Je le sens triste et désemparé. Je me sens tellement coupable.
Et puis je me rappelle d'un truc que j'avais lu sur la jouissance masculine. Il me semble que ca disait que tout de suite après, un homme pouvait se sentir comme dépressif, triste, durant quelques minutes.
Attendrie, je m'approche de lui. Je remonte la fermeture de sa veste, arrange *** col. Je caresse sa joue tendrement et lui donne un petit baiser sur les lèvres.
« Vous êtes un excellent beau papa. A bientôt monsieur Félicien. »
« À bientôt, ma petite Camille. »
Je me dirige vers la porte quand :
« Camille ! Attend ! Je veux te montrer quelque chose. »
Il ouvre une porte.
« Regarde ! »
Je penche la tête dans l'autre pièce. C'est un bureau joliment décoré, très clair, très agréable.
« C'est le bureau de ma secrétaire. Tu la connais, je crois ? »
Ca ! Pour la connaitre, je la connais.
« Valérie. C'est elle qui m'a présenté Fabien.»
« Oui, c'est ca, Valérie. Et bien elle a démissionné, je ne sais pour quelle rai*** obscure. Je n'ai donc plus de secrétaire. Si le poste t'intéresse, il est à toi. Tu auras ce bureau, un autre dans ma mai*** en ville, une voiture de fonction, téléphone, treizième mois. Le travail n'est pas très compliqué, je t'expliquerais tout ca. Prends ton temps, réfléchi. »

Je rentre à la mai***, le cœur en joie.
Fabien, joue à la console, l'air triste. S'en est assez ! Il est temps d'enterrer la hache de guerre.
Je vais dans la chambre, je me déshabille et je m'allonge sur le lit.
« Fabien ! Viens voir, s'il te plaît ! »
Lorsqu'il me voit ainsi, *** visage s'illumine et un grand sourire se dessine sur ses lèvres.
« Chérie ? Tu...Tu me pardonne enfin ? »
« Viens mon Piou-piou ! Baise-moi ! Baise-moi fort ! »
« Ho oui, je vais te baiser ! Mais avant, je vais boire le jus de ton amant ! »
Qu'il me prenne dans les liqueurs de *** père, suffira à étancher ma colère. Qu'il le boive...non, c'est trop.
« Non, Fab ! Prend moi ! Prend moi, tout de suite ! »
Il se déshabille en quatrième vitesse et se jette sur moi.
« Humm ! Tu m'as tellement manqué, mon amour. Je regrette tellement ce que j'ai fait. »
« Prend moi et n'en parlons plus. »
Il s'enfonce en moi. Je sens sa queue progresser dans la sève de *** créateur, que j'ai gardé au chaud, dans mon puits d'amour.
« Humm ! C'est bonnnn ! Ta chatte est bien grasse, bien remplie ! Hummm ! »
Avoir le fils juste derrière le père. Je trouve ca d'une immoralité totale, mais ma vengeance est tellement bonne. Mon seul regret, c'est de ne pas pouvoir lui dire. Je ne veux pas de problèmes entre lui et *** paternel.
Nous prenons un pied phénoménal. C'est bon de retrouver *** amoureux.
Fabien est étendu près de moi, reprenant doucement le contrôle de sa respiration.
« Fab ? J'ai une grande nouvelle à t'annoncer. »
« T'es enceinte ? »
« Idiot ! Hihi ! J'ai trouvé du travail. »
« C'est super ! Et dans quoi ? »
« Comme secrétaire. »
« Un boulot de bureau ? C'est super chouette ! Mais ou ? »
« Heuu ! C'est plutôt avec qui. Je vais être la secrétaire de ton père. Je prends la place de Valérie. »
« Quoi ? Mon père ? Mais... Comment tu.... Tu l'a vu ? Tu sais qui il est ? Tu sais pourquoi Valérie est partie ? Comment te l'a-t-il dit ? Ou l'a tu.... »
Mince ! J'étais tellement contente de lui dire, que je n'ai pas préparé de men***ge. J'improvise.
« Ben ! Je l'ai rencontré durant une ballade. Il faisait un jogging. Il m'a emmené visiter la scierie et il m'a proposé le poste. Voilà ! »
« Mon père ? Faire un jogging ? Hahaha ! C'est aussi probable qu'un homme sur Mars dès demain ! Ou l'a tu rencontré ? »
Il semble très énervé et tendu. Je n'ose pas trop mentir, des fois qu'il prenne des renseignements du coté de *** père.
« Heuu ! Je l'ai croisé au bois. Tu sais celui ou... »
« Ca ne m'étonne pas. Camille, mon père est un queutard. Il a eu quatre secrétaires. Il les a toutes baisées. Y comprit Valérie. C'est pour cette rai*** qu'elle est venue me voir. Elle n'en pouvait plus. Bon ! Ensuite, nous avons déconné. Mais c'est pas ca le problème. Mon père voudra te sauter et... »
Il s'arrête soudain et regarde mon entrecuisse. Il regarde mon vagin recracher un filet de foutre.
Il se pose des questions, j'en suis sur.
Je reprends le dessus.
« Bon ! Je vais prendre une douche. De toute façon, il m'a dit de réfléchir à sa proposition. »
Je le laisse dans le doute. Osera-t-il me poser la question ? Je nierais. Il ne le saura jamais.
Mais que bon papa soit queutard, ca, ca ne me laisse pas de marbre.
J'avoue qu'être la putain du patron me tente assez.
chrislebo

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#9,354
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Ca fait trois mois que je travaille avec mon beau père.
Contrairement aux craintes de Fabien, il est très correct avec moi. Il n'a jamais fait d'allusion sur notre aventure et il est super cool et très agréable.
Il a tenu ses promesses. J'ai une petite voiture sympa, avec toutes les options, un téléphone dernier cri et le forfait de fou qui va avec.
Je fais ce que je veux. Je peux arriver en retard, prendre une journée, ne travailler que cinq heures, je serais payée pareil. Que demander de plus.
Parfois, lorsqu'il a un diner avec des clients, il me demande d'y participer. Il dit que les affaires ***t plus faciles, s'il y a une jolie fille à la table.
Alors, ces soirs là, je m'habille jolie, sexy, mais pas vulgaire.
A ses dires, ca marche et en plus je récupère une petite prime.
La belle vie, quoi !

Mon Piou-piou est de matinée cette semaine. Lorsque je me réveille, il est déjà parti.
Ce matin, j'ai du mal à émerger. Monsieur Félicien devra m'attendre.
Je traine, je me prélasse. Je prends une douche et me ballade nue dans l'appartement en grignotant des petits gâteaux. Je regarde dehors à travers le voilage de ma chambre.
Il fait un soleil merveilleux. Il semble y avoir un peu de vent. J'ouvre la baie et mes rideaux se gonflent de temps en temps comme la voile d'un bateau. C'est une belle journée de fin de printemps qui commence.
Je m'assois au pied de mon lit et je me laisse tomber en arrière sur la couette défaite.
Je rêvasse en regardant le plafond.
Un courant d'air, un peu plus fort que les autres, glisse sur moi et me caresse doucement. C'est comme une main de soie, légère et douce, qui vient de passer sur moi, de ma chatte encore humide de la douche, jusqu'à mes seins.
Humm ! C'est bon !
Ma main descend doucement et vient en contact avec mon clito gonflé. Un doigt glisse sur ma fente, presque machinalement. Une petite pression et il disparait entre mes grandes lèvres.
Trois courants d'air plus tard, je me masturbe avec application et enthousiasme.
Je plie les jambes et écarte mon vagin pour recevoir trois de mes doigts qui vont et viennent en moi, à toute vitesse.
« Ho, ouiii ! Merde ! C'que c'est bon ! Hummm ! Ho putain ! »
Je jouis comme une petite pute et je lèche mes doigts comme une grosse gourmande.
Je devrais avoir honte ! Mais je m'en fou ! Hihihi !
Je me redresse et reprends doucement mes esprits.
A cause du courant d'air, mon voilage c'est ouvert sans que je m'en aperçoive.
Notre chambre est en vis-à-vis. Pendant une fraction de seconde, j'ai bien cru voir un visage deux étages plus haut dans l'immeuble face à notre chambre.
J'approche de la fenêtre et prend le voilage dans ma main pour le refermer, mais j'attends un peu. Je regarde à droite, à gauche, mais du coin de l'œil, je surveille la fenêtre. Mon attente est vite récompensée. Je vois distinctement, un type avec une paire de jumelle, me reluquer caché dans l'angle de sa baie.
Je ne lui montre pas qu'il est découvert et je referme les rideaux.

J'arrive avec une bonne heure de retard au travail. Je m'installe dans mon bureau et me prépare un café.
Monsieur Félicien a du me voir arriver, car il frappe à ma porte.
Il entre, souriant, comme toujours.
« Bonjour ma petite Camille ! En forme ? Tu veux bien me taper ceci et venir me voir ensuite dans mon bureau ? »
« Oui, bien sur ! Je vous fais ca tout de suite. »
Je tape ce qui ressemble à un contrat, et je lui apporte.
« Parfait, parfait ! Assis-toi, Camille. »
Je suis un peu inquiète, car il est très rare qu'il me demande de m'installer dans *** bureau.
« Dis-moi ! Est ce que tu pense que tu pourrais te libérer vendredi soir. Un gros client veut me lâcher et ce serrait une catastrophe pour la scierie. Tu l'a déjà vu je crois. C'est monsieur Idriss. Alors je l'ai invité à diner pour lui présenter un contrat qui devrait mieux lui convenir. »
« Ho, oui, bien sur ! Ca devrait pouvoir ce faire. »
« Heuu ! Ce n'est pas tout. Tu sais Valérie, mon ancienne secrétaire, et bien elle connaissait bien ce client et ses gouts. »
« Ses gouts ? »
« Oui. Ce n'est pas la première fois qu'il veut nous quitter et Valérie a payé de sa per***ne pour sauver cette affaire. Ce type fantasme sur les secrétaires. Haha ! Rassure toi, elle l'a fait d'elle-même, je ne lui ai rien demandé. »
Il rigole, mais il est bien le seul.
« Qu'est ce que vous êtes en train de me faire comprendre ? Que je fasse la pute pour sauver votre affaire ? »
« Non, Camille, pas la pute ! Il n'est pas question qu'il t'achète ! Se serrait comme un service que tu me rendrais, à moi, à la scierie, aux employés, rien d'autre. Et puis, je ne fais que suggérer ! »
Je rentre dans une colère noire.
« Parce que j'ai eu la faiblesse, d'accepter vos avances et de m'être offerte à vous une unique fois, vous me prenez pour votre pute ? Vous osez demander à votre belle fille de se taper un de vos clients ? Avez-vous pensé aux conséquences si Fabien venait à apprendre votre demande ? »
Finalement, je m'amuse bien. Le pauvre ne sait plus ou se foutre. Comment peut-il imaginer que sa proposition, m'emballe. Etre enfin, la putain du patron ! Hummm ! J'adore l'idée.
« Ceci dit, je viendrais tout de même à ce diner. J'ai besoin de ma journée ! Salut ! »
Je ramasse mon sac et je sors.

Je rentre à la mai***.
Je jette un œil à la fenêtre de mon voyeur. Il ne doit pas travailler. Il est là, accoudé à *** garde fou et regarde dans la rue.
Lorsque je tire mes rideaux et que j'ouvre ma fenêtre, il disparait un instant et réapparait à moitié caché, jumelle à la main.
Bien sur, il ignore que je l'ai vu. Je rentre dans ma chambre et je me déshabille. Je sors du linge de mon armoire et je le replie, nue.
J'imagine mon bonhomme, la haut, sa lunette dans une main, sa queue dans l'autre. Hihi ! Je me tourne dos à la fenêtre et je me penche pour ramasser un pull. Je lui présente mon cul et j'aime ca. Il doit se régaler.
Je range mon linge et vais à la fenêtre. Je m'étire langoureusement face à mon voyeur et je referme fenêtre et rideaux. Fin du spectacle, pour aujourd'hui.

Monsieur Félicien ne viendra plus me voir de toute la semaine. Ce matin, vendredi, j'ai trouvé un papier sur mon bureau.
- Hôtel-Restaurant « Le renard d'or » 20h30. Merci et pardon.-
Monsieur Idriss aime les secrétaires ? Il va être servi.

J'arrive au restaurant avec un quart d'heure de retard. C'est voulu bien sur. Il faut savoir se faire attendre.
Je suis habillée en secrétaire modèle. Tailleur cintré gris, avec vue imprenable sur ma poitrine, jupe droite moulante découvrant mes genoux, bas noirs, porte jarretelle, mais ca il faut le deviner, et une paire d'escarpin avec des hauts talons de onze centimètres. Je me suis fait un super chignon et j'ai ressorti une vieille paire de lunette qui me donne un air de maitresse d'école.
Les deux hommes me déshabillent du regard. Mon petit déguisement, semble faire beaucoup d'effet.
Le diner se passe. Monsieur Idriss me drague un peu, mais rien de flagrant. Ce qui m'inquiète, c'est qu'à aucun moment ils ne parlent de ce fameux contrat.
Café, digestif et soudain, monsieur Félicien se lève.
« Bon ! Et bien je vous laisse. Vous avez le nouveau contrat. Étudiez-le et rendez-le à ma secrétaire...signé ! Haha ! »
« Ho, ca devrait être rapide ! Vous savez ce que je veux et ce que je ne veux pas ! »
Mon patron nous salut et il me plante là, avec le client.
« Bon ! Chère Camille ! Je vous propose que nous montions dans ma chambre. Ici, il y a trop de bruit pour me permettre de me concentrer sur la lecture de ce contrat. »
Je n'ai pas trop le choix.
Arrivés dans sa chambre, somptueuse au demeurant, il s'installe sur un coin du lit, et y étale plusieurs documents. Il commence sa lecture, mais s'interrompt rapidement.
« Houlàlà ! Ca ne va pas ca ! Pas question ! »
Je m'approche et me penche sur le document. Je sens le décolleté de ma veste pendre et s'ouvrir. Il doit voir ma poitrine. Mieux, il doit voir que je ne porte pas de soutien gorge.
« Montrez-moi, monsieur Idriss ! C'est peut être une erreur ! »
Les yeux vissés sur ma poitrine, il m'explique *** courroux. C'est un jeu d'enfant que de lui faire changer d'opinion sur toutes ses revendications. Je parviens même à augmenter certaines prestations. Monsieur Félicien sera content je pense.
« Voilà ! Vous n'avez plus qu'à dater et signer ! Ici, s'il vous plait. »
Mais, il voit les choses différemment.
« Vous connaissez Valérie ? »
« Heuu ! Oui, je la connais bien, pourquoi ? »
« Nous étions très complice tout les deux. Je signais ce qu'elle voulait et elle savait me remercier. »
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire ! »
« Mais si ! Tu comprends très bien au contraire ! Je vais prendre une douche. Range les documents et mets-toi à quatre pattes sur le lit ! »
« Mais je... »
Je ne peux pas en dire plus, il disparait dans la salle de bain.
Ouai ! Enfin un peu d'action ! Je jubile.
Je range les docs dans *** porte document, sauf celui à signer, bien sur.
Je défais mon chignon, pose mes lunettes et grimpe sur le lit.
Je m'installe en position de levrette, jambes légèrement écartées et j'attends.
L'eau cesse de couler. Mon cœur commence à taper plus fort. Lorsqu'il sort de la salle de bain, je me surprends à rougir.
Il faut dire qu'il a ôté *** peignoir et me dévoile un corps d'une beauté incroyable.
Ce marocain est taillé dans le roc. *** corps encore humide, dessine des muscles et des abdos magnifiques. Sa peau pain d'épice est couverte d'un poil noir, soyeux et brillant. Je suis en admiration. C'est de loin, mon plus bel amant. Vous parlerais-je de *** dard dressé ? Impressionnant, imposant, tentant.
Il monte sur le lit et se place derrière moi.
Doucement, il remonte ses mains le long de mes jambes, frôlant mes bas de soie. Il relève ma jupe et la roule sur mon dos.
Sa main flatte mon vagin et s'attarde sur mon clito.
« Pourquoi a tu retiré ta culotte ? »
« Je n'en portais pas ! »
Une claque s'abat sur une de mes fesses.
« Monsieur Idriss ! Tu m'appelle monsieur Idriss ! »
Cette soudaine ********** me surprends, mais ne me déplais pas.
« Je n'en portais pas, monsieur Idriss. »
« J'en étais sur ! Tu es une petite salope ! J'ai bien vu que tu ne portais pas de soutif non plus ! »
Accompagnant le geste à la parole, il se couche un peu sur moi et attrape ma poitrine au travers de ma veste et l'écrase entre ses mains puissantes.
« C'est exact, monsieur Idriss ! Je n'en porte pas non plus. »
Je sens sa queue frapper mon vagin. Qu'il me prenne, vite ! Qu'il me prenne !
« Tu sais que tu es beaucoup plus appétissante que Valérie ? J'adore ton cul ! Ton patron a bien fait de t'engager ! »
chrislebo

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« Je le crois aussi, monsieur Idri....Hoooo ! »
Une violente douleur irradie mon antre. *** sexe vient de me pénétrer profond dans l'anus.
Le salop n'a pas prit de gants.
« Monsieur comment ? Salope ! Monsieur comment ? »
« Monsieur Idriss ! Monsieur Idriss ! Moins fort s'il vous plait, monsieur Idriss ! Moins fort ! »
« Tu veux que je signe, oui ou non ? Alors ta gueule salope ! »
Il me faudra un moment, pour qu'à ***** de concentration, la douleur disparaisse, laissant place au plaisir.
« Tu l'aime ma queue ? Hein, putain ? Tu la sens bien dans ton cul de petite morue ? »
« Hoo ouiii, monsieur Idriss ! Hummm, ouiii ! Défoncez-moi bien, monsieur Idriss ! Ouiiii ! »
« Non, ca suffit ! Couche-toi ! Je vais te démonter l'utérus ! Je vais te mettre le ventre à l'envers, salope de secrétaire ! »
*** discourt m'effraie un peu, je l'avoue. Mais je me ré***ne en me disant que Valérie, était surement passée par là. Alors...
Avant que je me tourne, il tire sur ma veste et me l'arrache. Il descend la fermeture éclair de ma jupe, et elle aussi vole dans un coin de la pièce.
Une fois allongée, il lève mes jambes et pose mes talons sur ses épaules.
« Humm ! Tu a de très belles jambes. J'aime les jambes habillées de bas. Tu me gâte, petite putain. »
« Merci, monsieur Idriss. »
Il embrasse mes mollets, mes genoux. Moi, je regarde *** pieu énorme qui pointe vers mon vagin.
Ses mains glissent sur mes jambes, viennent caresser mon sexe, énervent mon clito et remontent jusqu'à mes seins.
« Humm ! Ils ***t parfaits ! Rien à voir avec Valérie. Les tiens se tiennent mieux et ***t bien plus fermes. Hummm ! »
Je le remercie une fois de plus, mais si il savait comme il m'énerve, à me comparer à cette pute de Valérie.
« Dis-moi que tu me veux ! »
« Ho oui, monsieur Idriss ! J'ai envi de vous ! Je veux vous sentir en moi ! Baisez-moi ! S'il vous plait, monsieur Idriss, baisez moi ! Je suis à vous ! Hummm ! »
Je me tortille comme une anguille. Putain ! C'est pourtant vrai que j'ai envi de lui.
Il s'effondre enfin sur moi et me pénètre ***********. De me sentir pleine d'un coup, fait monter mon plaisir en flèche. Mais alors que je commence à gémir de bonheur, il se met à me parler, tout en continuant à me pilonner.
« Tu a déjà baisé avec ton patron ? »
« Hummm ! Quoi ? Pardon ? »
« Est que tu t'es déjà fait troncher par ton patron ? »
« Non, monsieur Idriss ! Jamais ! »
« Ne me mens pas, salope ! »
J'ignore s'il est au courant ou si c'est du bluff. Alors, j'avoue.
« Une fois, monsieur Idriss ! Une fois seulement ! C'était une erreur. »
« Ca te plais d'être la putain de ton patron, réponds ! »
« Je ne suis pas une putain, monsieur Idriss ! Hummm ! Je ne suis pas....Hooo, ouiiii ! »
Sa conversation m'excite et je ne suis pas loin de jouir.
« Si t'es pas la putain de ton patron, pourquoi tu baise avec moi ? »
« Hummmm ! Je suis une...hummmm, ouiiii ! Hoooo ! »
« T'es quoi, sac à foutre ? T'es quoi ? »
« Une salopeeee ! Je suis une salope ! Haaaaa ! Ouiiii ! Je jouiiii ! Hummmm ! Ouiiiii ! »
J'explose. J'ai la sensation d'uriner tant mon plaisir est fort. Je ne crois pas avoir déjà eu, un orgasme de cette intensité. La tête me tourne. Je crois bien m'évanouir un instant.
Lorsque j'ouvre les yeux, monsieur Idriss se vide sur mon visage. Le sperme chaud coule sur mes joues, glisse vers mes oreilles, mes cheveux.
*** foutre est abondant et gras. Il me semble que ca ne s'arrêtera jamais.
« Vas-y ! Nettoies-moi comme il faut ! »
Il plante *** sexe qui se ramolli, entre mes lèvres. Je m'applique à faire disparaitre toutes traces de sa jouissance.
Il respire encore très fort et transpire comme un bœuf.
« Alors toi ! Pour être une bonne salope, tu es une bonne salope ! J'en parlerais à ton patron. »
« Non, s'il vous plait, monsieur Idriss ! N'en parlez pas ! »
« Mais si, mais si ! Il faut qu'il te rebaise à nouveau, putain ! Tu auras une augmentation, c'est sur ! »
Je baisse la tête, honteuse.
« Monsieur Félicien est...mon beau père. »
« Hahaha ! Tu t'es fait baiser par ton beau père ? Hahaha ! Trop fort ce vieux cochon ! »
Il m'insulte, me traite de tout les noms et me fait promettre de baiser de nouveau avec mon patron.
« Aujourd'hui, je signe, mais si tu ne rebaise pas avec lui, je ne signe pas l'année prochaine ! »
Cause toujours mon lapin. Je viens de te faire signer un contrat de cinq ans. Hihihi !

C'est le cœur en fête que je rentre à la mai***.
Il est quatre heures du matin. Je réveille Fabien qui ronchonne un peu.
« Baise moi, s'il te plais ! »
« Putain, Camille ! »
« Oui, c'est ca, chéri ! Camille la putain ! »
« T'es folle ou quoi ? »
« Oui ! Folle de toi mon amour. »
Fabien ne comprend pas tout, mais il commence à me caresser gentiment, quand soudain, au travers des rideaux, j'aperçois la fenêtre du voyeur allumée.
« Attend Fab ! J'ouvre la fenêtre, il fait chaud ! »
« Mais on pourrait nous voir ! »
« Mais non, tout le monde dort ! Et puis on s'en fou ! »
En fait, je ne souhaite qu'une chose, c'est que mon voyeur nous aperçoive. S'il pouvait se mettre à sa fenêtre.
Il doit avoir un sixième sens, car il s'y met. Surprit il se cache rapidement, et nous observe avec ses jumelles. Je n'en dis rien à mon Piou-piou.
Mon chéri jouit et se rendort presque aussitôt.
Je me lève, vais jusqu'à la fenêtre et m'étire gracieusement. Puis, je passe une main sur ma chatte et, me lèche ensuite les doigts avec gourmandise.
Une douche plus tard, la fenêtre de mon curieux est toujours allumée et il me semble bien qu'il épie encore.
J'ai tellement envie de folie. Je reste nue et j'enfile un imper.
Je ne prends même pas le temps de le fermer. Je le maintiens juste de mon poing fermé.
Je saute dans l'ascenseur, traverse la cour, reprends l'ascenseur de la tour d'en face et monte deux étages plus haut que mon appartement.
Se ***t les mêmes bâtiments et je n'hésite pas une seconde pour ***ner à la porte du mateur.
Je pose mon doigt sur le Juda, afin qu'il ne me voit pas au travers de la porte.
« Qui c'est ? »
Je sens sa voix inquiète. Il faut dire qu'à cette heure...
« Une bonne surprise, je crois ! »
« Quoi ? Une bonne surprise ? Qu'est ce que... »
Tout en parlant, il ouvre sa porte. Lorsque je l'aperçois, je lâche mon imper et le laisse s'ouvrir.
Mon bonhomme a encore ses jumelles à la main. Il fait des yeux tout ronds et semble comme paralysé. Il est torse nu et caleçon, qu'une bosse énorme déforme.
« Vous ne m'invitez pas à entrer ? »
Comme il ne bouge pas, j'entre et referme la porte.
Cet immeuble est constitué de petits studios. Celui-ci est la caricature parfaite de celui d'un célibataire. Boites de pizzas, canettes vident, revues pornos et linges sales un peu partout.
Je passe devant lui et je me dirige directement vers la fenêtre. Tout en marchant, je laisse glisser mon imper au sol.
« Humm ! Effectivement ! Vu d'ici, on voit bien ma chambre ! »
Je me retourne. Le type est toujours à la même place, ne sachant plus ou il vit.
« Qu'est ce qui ce passe ? Je suis moins jolie de près ? Vous me préfériez à la jumelle ? »
« Hein ? Heu non ! Bien sur ! Mais...que faite vous là ? Je... Vous êtes...nue ! »
« Oui, je suis nue, chez toi, et je veux que tu me baise. Tu crois rêver ? »
« Heuu ! Oui, un peu, je l'avoue ! »
« Crois moi, parfois le rêve rejoint la réalité. Je sais de quoi je parle. Enlève ton caleçon et viens me prendre là, debout, à la fenêtre. »
Je me tourne, m'appuie à la balustrade et tends mon cul en arrière.
« Sois mignon, prête moi ton portable. Tu veux bien ? »
Il me donne *** téléphone, puis il se place derrière moi et me pénètre doucement. Puis, me tenant par les hanches, il bourre mon vagin en cadence.
Dans *** plaisir, je ne sais même pas s'il m'entend téléphoner.
« Allo ? Fabien ? Ben oui, c'est moi ! Ou je suis ? Ben...regarde à la fenêtre, un peu plus haut. COUCOU MON COCUUU !!! »
chrislebo

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« Ma petite Camille, j'ignore comment tu t'y es prise, mais ce contrat est en or ! Je n'en reviens pas. En plus, j'ai du mal à croire qu'il l'ait signé pour cinq ans. C'est incroyable.»
« Bah ! Il me suffira de ne pas m'asseoir pendant quelques jours. Voilà tout. »
Pour la première fois, je vois mon beau père rougir.
« Tu veux dire que... Oh ! Je suis vraiment désolé. »
« Mais non, vous ne l'êtes pas. C'est bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui...Non...Enfin oui, mais je n'aurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous. Vous m'avez demandé un service. Un service que vous rendait déjà Valérie. Je n'ai fait que reproduire. »
« Oui, mais quand même. Tu sais, Valérie m'avait dit que ce client n'était pas un tendre. J'aurai du te le dire. Je suis un salop. Je ne sais comment te remercier, Camille. »
Je passe mes bras autour de *** cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa. »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin.
Il me sert contre lui. Je sens mes seins s'écraser contre sa poitrine. C'est une étreinte amicale, j'en suis sur. Du moins pour lui, car pour moi... je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Camille. On en parle jamais, mais... Comment ca va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, est on obligé de parler de lui ? »
« Oh ! Ce n'est pas ce que je te ... »
« Taisez vous et embrassez moi. Aujourd'hui j'ai envi d'être la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et l'embrasse fougueusement.
D'abord surprit, il relâche un peu *** étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et m'écrase contre le mur.
« Hoo, Camille ! Il y a si longtemps que j'attendais cet instant. »
« Pourquoi ne pas m'en avoir parlé ? »
« J'avais trop peur que tu refuse une nouvelle aventure. Ca m'aurait fait beaucoup de mal. Je préférais garder le doux souvenir d'un moment d'égarement. »
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je m'affaire à ouvrir sa ceinture.
Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte ? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu m'excite ma petite Camille ! J'ai trop envi de toi ! »
« J'accepte ! »
« Quoi ? Tu accepte quoi ? »
« J'ai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. J'accepte d'être la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire. Ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Valérie.»
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! J'adore ta bouche de pute ! »
Mince ! C'est pourtant vrai qu'il est excité mon p'tit patron. Il bande tellement fort, qu'elle pourrait bien m'exploser en plein visage ! Hihi !
Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, ***t gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fais tousser.
Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton. Un filet se détache et s'écrase sur mon tee-shirt noir.
Je me relève encore toussotante.
« Oups ! Ma pauvre Camille ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts. »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé.
Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Ce doit être de famille. Hihi !
Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées.
Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il m'en empêche.
« Laisse ! J'attends un coursier... Entrez ! »
Un type entre un pli à la main. Sous le casque de moto, je devine un homme jeune.
Le spectacle a de quoi étonner. Un vieil homme, queue pendante de sa braguette, caressant une jeune femme, seins à l'air, il ne doit pas voir ca tout les jours. C'est sur.
« Oh ! Désolé, mais vous m'avez dit d'entrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature. »
« Approche, je vais signer ! N'ai pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Surement pas. Juste surprit. Il s'approche tendant un bordereau à monsieur Félicien, mais *** regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres et le bout d'un doigt entre mes lèvres entrouvertes.
« Tu la trouve comment, ma secrétaire ? »
« Elle est....Elle est jolie ! »
« Oui, tu a rai*** ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux ! »
« Hein ! Heuu !... »
Monsieur Félicien signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiiii ! Vas-y, c'est ma putain ! Je te la prête ! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite comprit ce que j'attendais de lui. Il fait ca très bien.
Devant l'immobilité du motard, je prends les choses en mains.
Je l'attrape par les avants bras et l'attire à moi.
« Viens là, mon joli. Tu aime mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu m'excite ! J'ai très envi de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je m'occupe de la braguette de *** pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Une belle queue toute fraiche.
Je remonte ma jupe et frotte *** membre sur ma chatte baveuse d'envie. Il me caresse et m'embrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas question de le laisser jouir avant qu'il ne me saute.
Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier, ma belle ! Oh, putain ! Oh, putain ! »
Il dit « Oh, putain ! » à chaque coup de butoir, comme un automate. Je tape sur *** casque.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! C'que c'est bon ! C'que t'es bonne !
Huuuug ! Houchhhhh ! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une rai***. Je n'aurai pas mieux.
Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ca, hein ? Petite pute ! T'aime ca, hein ? T'aime la queue toi, hein ? »
« Hooo ! Ouiiii ! J'aime ca ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! J'arriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes.
Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on m'avait dit ca ! Oh, putain ! »
Mon beau père, jusqu'ici à l'écart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« Ok, j'y vais ! Salut beauté et merci ! Change rien, t'es trop bonasse ! »
Voilà une course qu'il n'oubliera pas de si tôt.
Monsieur Félicien s'approche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il t'a bien rempli, dis dont ! Ca t'a plu ? »
« D'après vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le gout de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, c'est ce que me dira également Fabien, lorsqu'il me videra la chatte.

Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maitresse et de ce fait, lui, mon amant. Le seul que je ne peux avouer à Fabien.
Oui, bien sur, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais l'interdit me plait et attise mon excitation en permanence.
Mon beau père me plait de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme per***ne.
Entre lui, mon Fabien et mes aventures, je suis une fille comblée.

« Camille, mon petit ! »
Il vient d'entrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis moi ce que tu en pense. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix milles euros. »
« Exact ! Je reviens de *** entreprise. Sa secrétaire à fait barrage. Impossible de le voir et d'en discuter avec lui. Est-ce que tu crois que... »
« Haaa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je n'ai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,... »
Je me lève et l'enlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »

Direction l'entreprise RAIMONDIN et FILS.
J'arrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. L'intérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui m'envoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouché chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez vous ! »
Je n'ai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR RAIMONDIN !... MONSIEUR RAIMONDIN ! »
La secrétaire, bondit hors de *** bureau.
« Tu va te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si *** patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de *** bureau.
« Et bien, Georgette ! Qu'est ce que c'est que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triple foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à l'achat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée monsieur Raimondin. Mademoiselle Camille, société FELICIBOIS. Vous êtes surement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
J'entends la secrétaire, retournée derrière *** bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sur qu'il me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe d'entrer.
« Georgette ! Qu'on me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fait un clin d'œil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi !
Le bureau ressemble à *** propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce n'est pas parce que Félicien m'envoie une pin-up, que je payerai ! »
Je m'enfonce dans un fauteuil d'un autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusqu'à mi cuisse et j'espère qu'il aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et l'ouvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout ca !
J'ouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir monsieur Raimondin ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que l'on va s'entendre monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livrai***. Mais je suis sur qu'il s'agit d'un oubli. N'est ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! C'est vous qui l'avez choisi ! Effectivement, c'est une gamme de qualité inférieur, mais le prix est très rai***nable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième.
Je me laisse retomber dans le fauteuil. J'efface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Félicien m'a promit de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« C'est donc ca ! Ho, ma pauvre enfant. »
Il se lève de *** bureau et vient vers moi.
Ca marche !
Il s'assoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De *** autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse.
Je penche la tête de coté et pose ma joue sur *** ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
« Faut pas te mettre dans des états pareils ! Il y a toujours moyen de s'arranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et *** pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
« Il faut être gentille, certes, mais aussi disponible et ouverte. »
Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge.
Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
J'entrouvre les lèvres et je laisse *** pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre d'orge.
Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! J'adore tes petits nichons. Ils ***t bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille *** slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur.
Avec ma langue je repousse *** doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur *** ventre pour dévorer sa queue.
Sa main quitte mes seins et coure vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ca c'est une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et j'ai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il s'en prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec *****, le rentrant et le ressortant à toute vitesse.
Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles ***t inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ca tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ca ! T'es douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je... viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. J'aspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie *** membre consciencieusement, ne laissant aucune trace.
Je me redresse doucement, frottant mon visage à *** corps, jusqu'à ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je l'embrasse qu'en même avec gourmandise, comme si j'étais amoureuse de ce type.
Il m'écrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur *** bureau et remplit le chèque.
J'ai gagné.
Je me rajuste rapidement et prends le chèque qu'il me tend.
« Cinq milles euros ? Mais non, monsieur Valentin ! C'est dix milles ! »
« T'es contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends qu'il est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à *** égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien... à la semaine prochaine, monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Georgette. Je lui refais un clin d'œil, tout en replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Trainée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
chrislebo

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#9,357
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Je m'installe à mon bureau. Comme tous les jours je commence ma journée en embrassant les photos de Romain, mon petit ange et de Fabien, mon merveilleux cocu.
Ensuite, je vais saluer mon « patron-beau-père ». Désormais, il n'est pas rare que je commence par lui faire une p'tite pipe, histoire de bien débuter la journée.
Mais aujourd'hui, il semble soucieux.
« Oups ! Ca n'a pas l'air d'aller fort ! Un souci ? »
« Oui. J'ai trouvé un message sur le répondeur. Il était de ce con de Raimondin. Il veut que tu passe cet après midi pour récupérer le solde de ce qu'il doit. »
« Ok ! Ou est le problème ? »
« Je n'ai pas envi que tu y aille. Je regrette de t'y avoir déjà envoyé une fois, alors...Il est vraiment trop con. Il ne te mérite pas. Je préfère encore perdre ces cinq milles euros. »
« Pas question. J'assume cette mission, et je reviendrai avec l'argent ! »
« Dans ce cas, ne lui fait pas mettre d'ordre. Ils seront pour toi ! »

Ce midi, je suis rentrée chez moi, pour me changer. J'ai passé une robe noire, très courte qui se lace derrière le cou par deux fines bretelles. Le dos est largement dégagé et le décolleté est vertigineux et provocateur. Une paire de bas auto fixant, de jolis escarpins, un manteau et me voilà prête à affronter ce gros porc de Raimondin.
J'arrive devant le bâtiment, et très sur de moi, je pénètre dans le hall.
Je passe devant Georgette qui ronchonne dès qu'elle me voit. Je la calme tout de suite.
« Salut Jojo ! Ca va aujourd'hui ? Bouge pas chérie ! Je suis attendue et je connais le chemin. »
« Tu me le paieras ca ! Catin ! Salope ! Petite putain ! »
« Hummm ! Que de compliments ! Merci chérie ! Hihihi ! »
Je frappe à la porte de *** patron. Il vient m'ouvrir.
« Haaaa ! Voilà Camille ! Félicien a donc eu mon message ! Très bien, très bien ! Entre. »
Je pénètre dans le bureau et tombe nez à nez avec deux autres hommes.
Sensiblement le même âge que Raimondin, mais un peu plus classe.
« Camille, je te présente mes associés. René et Jean Paul. Messieurs, je vous présente Camille, la secrétaire de ce sacripant de Félicien. Mais je reconnais qu'il sait s'entourer. Tient ! Si tu le veux, le poste de secrétaire de cette vieille peau de Georgette est à toi, dès demain ! »
« Heuu ! Non, merci ! Monsieur Valentin, je peux vous parler en privé ? »
« Ben non ! Je n'ai rien à cacher à mes partenaires. Tu peux parler.»
« Heuu, c'est-à-dire... C'est au sujet du moyen de récupérer le chèque. Vous avez changé d'avis ? Vous me le faite maintenant ? »
« Ben, non, pourquoi ? Tu sais bien comment faire pour récupérer l'argent, non ? »
« Heuu, oui ! Mais c'est-à-dire...nous ne sommes pas seuls ! »
« Haaaa ! C'est René et Jean Paul qui te posent problème ? Il ne faut pas ! Comme je te l'ai dit, je ne leurs cache rien. Et puis c'est aussi leurs frics ! Non ? Donne-moi ton manteau, mets-toi à l'aise. »
Il veut jouer ? Ok, j'accepte. Pour commencer, ne pas lui montrer que deux hommes de plus ne m'effraient pas. Bien au contraire. Baiser une fille timide et gênée devrait les exciter au plus haut point.
J'enlève mon manteau en baissant la tête. Visiblement, ma tenue plait beaucoup, d'après les commentaires des trois hommes.
« Houchhhhh ! Belle gosse ! »
« Ouai ! Super bien foutue, la petite ! »
« Encore plus bandante que la dernière fois ! »
« Tu nous a pas menti. Elle doit être super bonne ! »
Les trois types tournent autour de moi, me reluquant de la tête aux pieds. Moi, je reste dans mon rôle de fille fragile et reste tête baissée, main dans le dos.
Celui qui se nomme Jean Paul en profite. Il passe derrière moi et se colle à moi. Dans mes mains, je sens l'énorme bosse dans *** pantalon.
« Tu sens l'effet que tu me fais ? Tu la veux dans ta main ? »
Je ne réponds pas. Devant mon silence, il sort *** engin et le place dans ma main.
C'est trop difficile pour moi de rester stoïque. Je ne peux m'empêcher de refermer mes doigts sur la chair chaude.
« Hummm ! Elle te plait semble t'il ? Attends que je bouge un peu pour me branler. »
Il fait de petits mouvements d'avant en arrière dans mon dos. Je sens sa bite glisser entre mes doigts. Putain ! Je commence à mouiller.
René s'attaque au nœud de ma robe, dans mon cou. Il le défait et lâche les deux petites bretelles. Elles glissent sur mes épaules et tombent, entrainant le devant de ma robe. Mes seins, mit soudainement à nu, me provoque un long fris*** accompagné d'une chair de poule, impossible à cacher.
Valentin s'en aperçoit et caresse mon bras.
« La petite à froid. Il nous faudra la réchauffer ! »
René prends mes seins dans les mains et titille mes pointes.
« Ho ! Hummm ! »
Cette fois, je n'arrive plus à dissimuler mon émoi.
« Vache ! T'a les tétons durs comme une gomme de crayon ! »
« Ben mon vieux, t'a pas encore vu *** clito ! T'en reviendra pas ! »
Je sens ma robe glisser sur mes hanches. Elle est prête à tomber. Je la retiens encore avec mes mains dans le dos, mais la masturbation de Jean Paul ne me permet pas de la maintenir fermement.
Au moment où René se penche pour me sucer les seins, elle tombe sur mes escarpins.
« Meeerde ! Elle est cul nu, la salope ! »
« Hummm ! Et ses jambes, ses bas noirs ! Quelle beauté ! »
« Regardez moi ce petit chat bien rasé ! Il est trop beau ton abricot ! »
« Humm ! Fais voir s'il est juteux ! »
René tombe à genoux et plonge *** visage entre mes cuisses. Il se tord le cou, mais parvient à me pénétrer légèrement avec sa langue.
Valentin saute sur mes seins et les dévore sans délicatesse. Il les presse à m'en faire mal. Décidément, ce type est vraiment nase.
Pour ce qui est de Jean Paul, je ne le branle plus, mais je frotte *** gland entre la raie de mes fesses, m'attardant de temps à autre sur ma pastille. Mais, hélas pour lui, malgré ses coups de reins, la position ne lui permet pas d'y pénétrer.
« Hoooo ! Hooooo ! Hooooo ! Ouiiiii ! »
J'ai complètement perdu le contrôle. Je gémis sans discontinuer et sans pouvoir me retenir.
« Hummmm ! Ouiiiii ! Hooooo ! C'est bonnnn ! Hummmmm ! Encoreeeee ! Hachhhhh ! »
René m'introduit deux doigts et me masturbe avec *****. *** autre main, pince et frotte mon clito avec frénésie.
« Merde ! T'avais rai*** ! C'est du lourd *** bouton rose ! »
« Hooooo ! Arrêteeeez ! J'en peux pluuus ! Hummmm ! Je vais jouiiiir ! Ouiiiii ! Je viennnns ! »
Mes jambes se mettent à flageoler. J'écarte un peu plus les cuisses et plie légèrement les genoux.
« Ouiiiii ! Plus fort ! Plus forttttttt ! Làààà ! Ouiiiiiiiiiiii ! Hooooo ! »
Je ne retiens plus rien et je sens mon vagin se vider comme un ballon plein d'eau.
« Ho, putain ! C'est une fontaine cette greluche ! »
Je ne sais pas très bien ce qui m'arrive, mais bon sang, c'que c'est bon !
Ma tête bourdonne un instant et soudain, c'est comme si je disjonctais. Je me sens partir et...plus rien.
Lorsque j'ouvre un œil, Jean Paul essaie de me donner à boire.
« La vache ! T'es montée au septième étage, ma poule ! »
« Tu décolle souvent comme ca, chérie ? »
« Hein ? Non... C'est la première fois, je crois. »
René éclate de rire.
« Tu crois ? Haha ! Des orgasmes comme ca, on ne les oublie pas, poulette ! Allez ! À cheval, belle salope ! Il faut battre le fer pendant qu'il est chaud ! Haha ! »
Il se couche sur la moquette défraichie et me fait signe de l'enfourcher. Pour mon plus grand plaisir, car mon envie de sexe n'est pas redescendu d'un cran. Je veux de la bite. Hummm !
Je l'enfourche et m'empale sur *** pieu de bois.
Humm ! Sentir cette chose tiède et vivante traverser ma galerie trempée. Quel délice.
Je monte et descend, accélérant mes mouvements progressivement. René m'accompagne donnant un coup de rein à chacune de mes descentes. Dois-je vraiment vous préciser que mon plaisir remonte en flèche, très rapidement ?
Je suis sur un nuage.
Valentin, debout, s'approche de moi.
« Malaxe moi les couilles et suce moi bien à fond ! Feignante ! »
Je tourne la tête et glisse *** gros gland dans ma bouche.
Jean Paul c'est posé à genoux près de moi. Il m'enfonce un doigt dans le cul et *** autre main masturbe mon clito, suivant mes va-et-vient.
Ces cons vont encore me réduire à néant. Je sens un nouvel orgasme puissant arriver.
Peut être l'a-t-il senti, mais Jean Paul me freine dans mon plaisir.
« Bon ! Assez joué ! Tu es prête ! Penche-toi bien en avant ! Tiens, embrasse René ! »
Sans chercher à comprendre, je m'exécute et embrasse René à pleine bouche.
Sans attendre, Jean Paul se place à genoux entre les jambes de *** compère, et plante *** gland contre mon anus.
Je n'ai pas le temps de protester, ni de me poser trop de question, il s'enfonce déjà en moi.
Je ressens une légère douleur dû à ma trouille, mais très vite je ressens l'étrange sensation d'être pleine des deux cotés.
Les gourdins se mettent en mouvement dans un ordre inexistant. Je suis pilonnée de toutes parts. J'ai l'impression d'être ouverte en deux, déchirée. Je sens les queues glisser l'une contre l'autre, juste séparées par une fine paroi qui me renvoie une tonne de sensation.
Je vis ma première double pénétration avec extase.
« Ho mais ! Ho mais ! Hooo, comme c'est boooon ! »
Je me sens objet, offrande, consommable. Il me semble devenir folle, tant le plaisir est intense.
« Maiiiis ! Vous me faites du bieeeen ! Hoooo ! Baisez-moi biennn ! Ho ouiii ! Je suis à vouuuus ! Défoncez-moi le cul et la chatte ! Ouiiii ! Plus forttttttt ! »
Près de moi, Valentin se branle comme un ********, en me regardant me faire malmener.
« Donne-moi ton jus, salop ! Donne-moi ton foutre ! Hooo ! Je suis une pute ! Hummmm !
Hummmm ! J'aime caaa ! »
« Surement pas ma jolie ! C'est dans ton cul que je veux me vider ! Je veux le souiller, morue ! »
Soudain, René pousse un râle de bête blessé. Dans le même temps une onde de chaleur envahie mon ventre.
« Hooo ouiiii ! Jouis bien ! Hummmm ! Vide-toi bien dans ma chatte de putain ! Hummmm ! C'est bonnnn ! »
Jean Paul quitte mon anus sans crier gare. La honte me gagne, lorsque je ne peux retenir un pet retentissant.
« Tu jouis du cul ! Hein, salope ? Ca te plaît ca, petite pute ! »
Mais trous ***t libres. Je me sens comme abandonnée.
« Hooo ! Baisez-moi encore ! Je vous en supplie ! J'en veux encore ! Baisez-moi fort ! »
« T'inquiète ! On n'en a pas fini avec toi ! »
Jean Paul s'allonge à *** tour. Je quitte René, vidé, et je saute sur cette queue qui m'appelle. Elle s'enfonce dans les liqueurs encore chaudes, au fond de mon ventre.
« Humm ! René t'a bien rempli, salope ! Tu vas déborder ! »
Je bouge de nouveau, provoquant des bruits de succions de mon vagin dégoulinant.
Valentin m'appuie sur le dos pour me coucher, et pousse *** gros gland dans mon cul.
J'encaisse de nouveau une double pénétration, pour mon plus grand plaisir, je dois bien l'avouer.
Valentin, plus court, vas bien moins profond, mais il élargie beaucoup plus. Il a du mal à rester dans mon trou et glisse fréquemment hors de celui-ci.
Ca l'énerve et il tape de plus en plus fort. Mais soudain...
Il glisse de nouveau, mais emporté par *** élan, je sens *** gland déraper sur mon pauvre périnée et *** membre ***** l'entrée de mon vagin déjà occupé.
Le monde semble s'arrêter.
chrislebo

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#9,358
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Même mes amants n'osent plus bouger et nous retenons notre respiration.
René qui voit la scène de l'extérieur, n'en revient pas.
« Houuuuu ! Ca, ce n'est pas commun ! Putain ! Vous l'avez élargie grave ! Haha ! »
Les deux hommes recommencent à bouger. J'ai la sensation que ma chatte va exploser.
Je ne fais plus la différence entre douleur et plaisir.
En fait, j'ai un peu peur, mais finalement, c'est le plaisir qui l'emporte.
« Ho ! Qu'est ce que... ! Non, non ! Hooo ! Hummm ! Oui, ouiiii ! »
Le pauvre Valentin fait tout ce qu'il peut pour prolonger cet accident, mais il glisse de nouveau et réintègre violemment mon cul.
Dommage. J'aurais aimé goutter un peu plus cette étrange sensation.
Valentin se libère le premier.
« Tu le sens mon jus, dis ? Tu le sens ? Tu sens comme je te remplis bien, salope ? »
« Ho ouiii ! Je le sens ! Hummm ! C'est bonnnn ! Hummm ! »
*** sexe rabougri me quitte tout seul. Je perçois sa liqueur me quitter, et éclabousser les couilles de Jean Pierre.
Celui-ci ne tarde pas à inonder mon utérus et se rend dans un cri.
« Rhooo ! Tu m'as bien fait jouir, morue ! T'es une brave putain, toi ! »
Épuisée, je reste un moment au sol, tentant de calmer mon petit cœur et de retrouver ma respiration.
Je m'apprête à me relever, mais René m'en empêche.
« Hop hop hop ! Ne bouge pas toi ! On n'en a pas fini avec toi ! »
« Oui, surtout après ce qui c'est passé ! »
« C'est sur ! À mon avis, ca vas le faire ! »
« Bon ! Qui s'y colle ? »
Ils discutent entre eux, sans m'expliquer ce qui se passe. Je reconnais qu'ils m'inquiètent un peu.
René semble se décider.
« Bah ! Je pense avoir la main la plus fine, non ? »
« Oui, effectivement ! Vas-y ! Fais la crier de plaisir cette salope ! »
Il s'agenouille près de moi et demande à Valentin de lui passer le tube.
Le tube de quoi ?
Puis, il s'adresse à moi.
« Je vais te faire grimper au plafond, ma jolie ! Détends-toi et fais-moi confiance. »
Il ouvre un tube et fait couler un gel sur ma chatte, en grande quantité.
Il commence à me branler doucement, je dirais même, tendrement. Je trouve ca assez étrange, mais cependant, j'y trouve un plaisir immense.
Sa main enduite de gel est douce et glisse sur mon coquillage. Il masturbe mon clito avec application. Je suis tellement excitée, que l'introduction de trois de ses doigts, n'est pas un problème. Il rajoute encore du gel. Il semble bien qu'il en fait pénétrer une très grande partie. C'est agréable. Je me détends et savoure ce moment de bien être intense.
Il fait un cône de ses cinq doigts et tout en me masturbant, il tourne *** poignet. Mon vagin se détend sous la caresse progressive.
Mon bassin ondule lentement, langoureusement
Je commence à jouir très fort et, je m'enfonce un peu plus sur ces doigts pour qu'il me pénètre plus profondément. Mon bassin va toujours aussi lentement mais les mouvements ont plus d'amplitude. Et rapidement il m'enfonce un quatrième doigt. Il est un peu serré, alors très délicatement, il tourne à l'intérieur. Il refait couler du gel pour que ça glisse mieux. M'en étale un peu partout.
Mes soupirs et mes gémissements s'intensifient. Je prends *** poignet dans ma main pour adapter le rythme à mes envies. Je me laisse glisser complètement dans le plaisir.
Je réclame plus encore, je le supplie presque. Il met *** cinquième doigt, tourne très doucement et pousse très légèrement. Je suis au bord de l'orgasme. Sa bouche qui m'embrasse, sa main en moi, et *** autre main qui alterne les caresses entre mes seins, mon ventre, mes fesses et mon anus, me rendent folle.
Mes mains se resserrent sur les pieds d'une chaise, juste au dessus de ma tête. À ce moment là, j'ai tellement envie de plus, que d'un coup, dans un mouvement de bassin, c'est moi qui m'enfonce sur sa main et l'engloutis littéralement. C'est tellement bon que c'est quasiment indescriptible. C'est un peu comme si, une lame de fond gigantesque me submergeait, que je perdais totalement pied. Je donne le mouvement qui me fera jouir à l'extrême, et toujours très délicatement, *** poing fermé, englouti dans mon vagin jusqu'au poignet, il fait des va-et-vient en moi.
Je ne suis plus qu'un orgasme entier. Je ne contrôle plus rien. Tous mes muscles se contractent. Il me sent couler tout le long de sa main, et dans un cri, j'explose de jouissance.
L'orgasme est foudroyant de puissance, bien plus long que d'habitude parce que j'ai l'impression de jouir de mon corps tout entier. Et quand enfin je retombe, très doucement, il retire sa main de moi.
Pendant les quelques minutes de quasi-inconscience qui s'en suit, on ne peut plus me toucher, tant mon corps est ultra sensible.
Lorsque je rouvre les yeux, les hommes, rhabillés, fument une cigarette à la fenêtre, se désintéressant totalement de moi.
Je me relève. Mes jambes ***t molles. Mon corps tout entier est mou.
J'enfile ma robe et mon manteau et je m'approche du petit groupe.
« Monsieur Valentin ! Le chèque s'il vous plait. »
« Sur le bureau, catin ! Tu sais que t'es la putain la plus chère du monde ? »
Les trois hommes éclatent de rire.
Inutile de m'attendre à un peu de compassion ou d'affection de la part de ces pauvres types.
Je ramasse le chèque et sors du bureau.
En passant devant un miroir, je vois mes cheveux ébouriffés et mon maquillage qui a coulé, à cause du coup de chaud que je me suis pris.
Georgette me dévisage.
« Salut jojo ! Oh, à propos, tu sais que ton patron m'a proposé ta place, connasse ? »
« Ca m'étonnerais que mon mari t'ai proposé ca ! »
*** mari ? Ca, c'est un scoop ! Voilà de quoi me venger.
« Non seulement, il me l'a proposé, mais je crois bien que je vais accepter. Dis voir, tu sais qu'il vient de me baiser, lui et ses associés ? Humm ! C'était pas mal du tout ! Hihihi ! »
Je remonte dans ma voiture et je respire un grand coup. Je jette un œil au chèque.
« Le salop ! Il en manque la moitié ! »
Je tourne la tête.
Les trois hommes ***t toujours à la fenêtre.
Ils me font « coucou » de la main.

chrislebo

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#9,359
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Une semaine jour pour jour après ma visite, mon beau père recevait le solde de la dette de Raimondin.
A mon avis, mon petit esclandre avec sa secrétaire de femme, n'y est pas pour rien. Hihi ! Joli coup. Il l'a bien cherché après tout.
« Camille ? Peux-tu passer à la banque ? J'aimerai aussi que tu passe à la mai***. J'ai oublié ma sacoche sur le fauteuil de mon bureau. Tu serais mignonne. »
« Pas de problème monsieur Félicien. J'y vais de suite. »
« Pffff ! Tu ne voudrais pas laisser tomber ce « monsieur » ? C'est ridicule après ce qui se passe entre nous. Tu ne crois pas ? »
« Non ! C'est le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. C'est mieux ainsi. Et puis...j'aime bien me sentir légèrement inferieur à vous, monsieur mon patron chéri ! »
Je me colle à lui et il m'enlace pour m'embrasser.
« Mais non, mais non ! Vous n'y pensez pas, monsieur ! Le travail d'abord ! Hihihi ! »
Je me dégage, ramasse les clefs de sa mai*** sur *** bureau, et je sors.
« Petite allumeuse ! Tu ne perds rien pour attendre ! Hahaha ! »
« Hummmm ! J'en mouille déjà ! A tout à l'heure monsieur Félicien ! Hihihi ! »
Vingt minutes plus tard, je me range devant *** somptueux pavillon. Enfin...quand je dis pavillon, je ferais mieux de dire petit manoir.
Ma belle mère travaille, alors, je ne ***ne pas et ouvre directement avec les clefs de mon beau père.
A l'intérieur, le silence règne, seulement troublé par le tic tac d'une horloge comtoise.
Je me rends dans le bureau. Sa sacoche est bien sur *** fauteuil. Je m'apprête à repartir, lorsque j'entends des gémissements, des plaintes.
Mon sang se glace dans mes veines.
Je cherche à savoir d'où vient le ***. Pas de doute, c'est du grand salon que me parviennent ces étranges lamentations.
Doucement, je pousse la porte et passe la tête
« Oh, merde ! ».
Surprise, je lâche la sacoche qui fait un bruit sourd en touchant le sol.
Je n'aurais, même en rêve, jamais imaginé le spectacle que je viens de découvrir.
Mylène, ma belle mère, est à quatre pattes sur le billard, nue, en porte jarretelles, ses seins pendant comme des mamelles et un type lui broute le minou.
En entendant le bruit, le couple se retourne et me voit.
« Camille ? Oh ! Je... »
Elle descend rapidement du billard et saute sur ses affaires. L'homme en fait autant.
Ne sachant quoi faire, je ramasse la sacoche et referme la porte en m'excusant, gênée.
« Excusez-moi ! J'avais entendu du bruit ! »

C'est avec les jambes coupées que je retourne au bureau.
Je ne suis pas très bien et monsieur Félicien s'en aperçoit.
« Camille ? Ca n'a pas l'air d'aller ? »
Impossible de lui dire que je viens de surprendre *** épouse, en train de se faire reluire le berlingot.
« Si si, monsieur Félicien. Vous en faites pas. Juste un petit mal de tête. »
« Tu es passée à la banque ? »
« Ho, merde ! J'ai oublié ! »
« C'est pas grave. Vas-y et rentre chez toi. Repose-toi, ca ira mieux demain. »
C'est un lourd secret. Je me demande même si je ne devrais pas en parler. Et puis, je me ravise. Qui suis-je pour la juger ? Moi qui me tape *** mari, plusieurs fois par semaine.

Le samedi suivant, ils nous invitent à manger. Je trouve ca très courageux de la part de Mylène.
Je décide de ne rien changer à mes habitudes et de faire celle qui a tout oublié.
Mais elle, est très mal à l'aise. Je le vois. Je le sens.
Après manger, les hommes décident de partir à la pêche avec Romain.
Je finis la vaisselle avec Mylène, presque sans un mot. Puis, elle me prend par la main.
« Viens ! Il faut qu'on parle ! »
« Oh, mais... c'est inutile Mylène ! Ne vous inquiétez pas, ca restera entre nous. »
« Alors di***s que j'ai besoin de parler. Suis-moi. »
Elle m'entraine dans sa chambre. Elle est somptueuse. Je suis étonnée de trouver aux murs, des tableaux représentant des femmes nues, dans des positions érotiques, très sensuelles.
Les volets ***t fermés pour empêcher la chaleur de rentrer.
Elle allume une petite lumière mauve qui rend l'atmosphère troublante, très intime.
« Voilà ! Ici, tu es chez moi. Avec Félicien, nous fai***s chambre à part depuis près de dix ans. »
« Ha bon ? Mais pourquoi ? »
Mon cher mari a toujours aimé la jeunesse. Tu n'es pas sans savoir que nous avons vingt deux ans de différence. A l'époque, j'étais une jeune fille de dix huit ans. Aujourd'hui, que j'approche de la quarantaine, je ne l'intéresse plus. Non, ce qu'il veut aujourd'hui c'est une jeunette. Une fille comme toi, jolie et séduisante. »
Mon cœur fait un bon. Est-ce qu'elle saurait ?
« Oh ! Mais je... »
« Haha ! Non, rassure-toi, je ne pensais pas à toi. Je voulais dire, une fille dans ton genre. Donc, voilà. Il ne me touche plus, ne me fait plus l'amour. Ceci, explique cela.»
« Je comprends. Mais...qui était cet homme ? Et puis le faire chez vous, ce n'était pas prudent. La preuve. »
« C'est notre jardinier. Ce n'était pas programmé. Il avait chaud. Je lui ai proposé un verre d'eau, puis...Non, mais, t'a vu comme il est bâti ? J'ai craqué. C'est pas plus compliqué que ca. Et toi ? Tu n'as jamais trompé Fabien ? »
« Myleneeee ! Vous parlez de votre fils ! »
« Ben oui, mais ca reste un homme et toi, une jeune fille très séduisante, charmante. Tu peux me le dire. Promis, ce sera notre secret. »
« Heuu ! Ca me gêne vraiment. »
« Je prends ca comme un aveu. Allez, dis m'en plus, s'il te plait ! »
Elle a les yeux qui brillent, comme une ado excitée. Je pense que je peux lui faire confiance, mais hormis mes aventures avec *** homme, quelles histoires lui conter. Il y en a tellement.
« Bon ! D'accord, mais plutôt que de vous expliquer, je préfère vous montrer. Venez ! »
Nous griffonnons un p'tit mot aux hommes et nous partons en voiture.
« Ou m'emmène tu ? »
« Vous le verrez bien. »
Trente minutes plus tard, je me gare dans le parking du bois. Je suis un peu déçu. Nous sommes samedi et il y a beaucoup de familles qui se promènent, des gosses qui courent un peu partout.
Je vois Mylène qui s'interroge. Merde ! Que lui dire ?
« Venez ! Promenons nous un peu. J'aime bien cet endroit. »
« Je ne vois pas ou tu veux en venir, mais bon ! Si tu insiste. Promenons nous. »
Nous nous engageons dans l'allée du bois.
Très amicale, elle me prend le bras. Elle parle. Elle parle beaucoup. Elle parle d'elle, de *** couple, et bien sur de *** mari, qui l'oubli peu à peu.
Je l'écoute mais j'ai bien du mal à me concentrer sur ce qu'elle raconte. Je scrute les sous bois, les buis***s, cherche des mouvements suspects.
Nous sommes maintenant très éloignées du parking. Il y a moins de couples, et de plus en plus d'hommes seuls. Ca l'inquiète, mais moi, ca me rassure. Je vais enfin pouvoir lui expliquer ce que je fais lorsque je m'ennuie.
« Houlà ! Nous nous sommes drôlement éloignées. Nous ferions bien de faire demi-tour, non ? »
« Non ! Attendez ! Venez par ici ! Faite moi confiance.»
Je la tire par la main dans un petit chemin très étroit. Des ronces parfois le traverse et nous progres***s lentement.
« Camille ! Je me griffe les jambes ! Mais ou vat on ? »
« Franchement ? Je n'en sais rien du tout. Je cherche un coin tranquille, sympa. Tient, comme ici, par exemple. »
Sur la droite, j'aperçois quelques arbres dégagés, sans buis***s.
« Bon ! Et maintenant ? »
« Regardez ! Vous voyez l'homme là bas ? Et là, celui-ci ! Et encore là ! »
« Heuuu, ils approchent ! Qu'est ce qu'ils veulent ? Viens, partons ! »
« Non ! On reste ! Ce qu'ils veulent, c'est nous. Ou tout du moins ce qu'on voudra bien leurs donner. »
« Je comprends pas ! Explique-moi, Camille ! Je t'en supplie ! »
« Promettez moi que ca restera vraiment notre secret. »
« Je te le jure ! »
Il y a un type à environs quinze mètres, qui vient vers nous, sans se cacher vraiment.
Je déboutonne mon chemisier et l'ouvre en grand.
« Camille ! Qu'est ce que tu fais ? Tu es folle ! »
« Vous vouliez savoir ? Et bien voilà ce que j'aime. »
L'homme nous rejoint et sans un mot, il se penche pour sucer mes seins. Il aspire mes pointes durcies et malaxe ma poitrine avec un plaisir non dissimulé.
Ma belle mère écarquille les yeux. Elle est rouge comme une pivoine.
Un autre type qui nous a rejoints, se plaque dans mon dos. Il me prend par la taille et frotte l'excroissance de *** pantalon contre ma jupe.
Je suis déjà très excitée et, la crainte de dévoiler un de mes jeux de salope à ma belle mère, disparait totalement. Je me sens libérée.
Je prends sa main.
« Mylène ! Regarde comme il bande ! »
Je pose sa main sur la braguette du type dans mon dos. Elle a opposé une très légère résistance, puis, c'est laissée faire.
Tandis que je m'occupe de la fermeture éclair de celui qui me suce les seins. Je sens sa main, contre mon cul, qui malaxe l'autre type.
« S'il te plaît, Mylène ! Sors sa queue, j'ai envie qu'il me prenne ! »
Je suis surprise, mais elle le fait. Même mieux que ca. Une fois le membre libéré, elle relève ma jupe. Elle est certes tremblante, intimidée, mal à l'aise sans doute, mais elle le fait.
Charmée par *** courage, je passe une main derrière sa nuque et attire *** visage vers le mien.
« Attends Camille ! Je ne sais pas si... »
« Moi non plus, je ne sais pas ! Je ne sais plus ! Mais je m'en fou ! Embrasse-moi, Mylène ! Je t'en supplie, j'ai été trop loin, maintenant ! Embrasse-moi ! Évite-moi la honte d'un refus ! »
A *** tour, elle passe une main derrière ma nuque et nous nous embras***s tendrement.
Le type qui me suçait, passe derrière elle et tout comme l'autre le faisait tout à l'heure, il se frotte comme un malade, contre ses fesses.
« Hooo, merde ! Camille ! Moi, aussi ! Moi aussi, je veux me faire prendre ! »
Le type derrière elle me fait un clin d'œil. Il sort *** membre, relève la robe de ma belle mère et lui vire *** string.
Ma jupe, tout comme sa robe, est relevée. Je me plaque à Mylène. Je sens sa toi*** effleurer mon coquillage lisse. Je me frotte à elle, tout en continuant à l'embrasser.
Les types se frottent à nos raies. Ils bandent fort.
Nous nous penchons et nous nous appuyons au même arbre, afin de pouvoir continuer à nous embrasser de temps à autre.
Je suis prise la première. Le type est bien monté et il me fait du bien dès l'introduction.
Le partenaire de Mylène semble en difficulté. Elle est stressée et surement un peu sèche. L'homme crache dans sa main et l'applique à sa fente.

chrislebo

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« Camille ! Qu'est ce que tu me fais faire ! Je dois être folle d'accepter ! »
« Détends-toi ! Le temps n'est plus aux questions, mais aux plaisirs. Hummm ! Fais comme moi ! Houuuuu ! Profite du moment présent ! Ho, ouiii ! Plus fort ! »
Soudain sa bouche forme un O. *** homme vient de glisser sa chair dans *** fourreau.
*** visage change. Elle ferme les yeux et se mord les lèvres.
Elle est très belle dans le plaisir.
Le type derrière moi se vide en rallant. A ma grande surprise, il est aussitôt remplacé par un autre.
Je tourne la tête. Hors de notre vue, une dizaine d'hommes, queues à la main, attendent sagement leurs tour.
« Approchez ! Approchez ! »
« À qui parles-tu Camille ? Ouiii ! Hoooo ! »
Inutile de lui répondre car trois hommes ***t déjà sur elle. Ils lui caressent les seins, le dos, lui frotte le clito. L'un deux tend *** membre vers le visage de Mylène. Elle se penche un peu plus et prend le monstre entre ses lèvres.
Elle est belle.
De mon coté, je subis pratiquement le même traitement.
Je guette le prochain qui voudra me prendre. Celui-ci, je le veux dans le cul. Etre ici avec ma belle mère m'excite. Je veux m'offrir toute entière, sans restriction.
« Ho ouiii ! Salope ! Je viennnns ! »
De la bouche de Mylène, s'écoule de longs filets de foutre. Le type se libère sans retenu.
Une fois fait, elle se tourne vers moi, les yeux plus brillant que jamais. Elle me sourit.
« Il y avait si longtemps que je n'en avais pas bu ! Je vais devenir folle ! Je ne vais plus pouvoir m'arrêter. »
Je la vois se laisser tomber à genoux dans l'humus. Elle attrape deux bites au hasard et les suce avec envie, à tour de rôle.
Un nouveau gland se place contre mon vagin dégoulinant.
« Oh non, chéri ! Prend mon cul ! S'il te plait ! »
Il ne le se fait pas dire deux fois et me pénètre sans ******. J'aime sentir mon fondement se faire remplir et être longuement pilonner.
Je suce un type tout en me faisant enculer. Un autre s'est pratiquement couché sous moi, pour pouvoir me sucer les seins.
Un coup d'œil à Mylène.
Elle est à quatre pattes et se fait défoncer, tout en se faisant baiser la bouche par un grand black, monté comme un taureau.
Cette femme, est une pure salope. Si elle l'ignorait, maintenant elle le sait.
Pendant une heure, nous nous fai***s sauter par tout se qui bouge, puis, épuisée, nous décidons de rentrer.
Mylène s'accroupie et urine, pour, dit elle, en ramener un peu moins dans *** string.
Je fais de même, mais moi, je n'ai rien à enfiler. Lorsque je me relève, du foutre coule sur mes cuisses.
« Attends ! »
Elle se penche et lèche les trainées qui me souillent.

La mai*** est toujours déserte. Les hommes ne ***t pas rentrés.
« Viens Camille ! Allons prendre une douche ! »
« Ensemble ? Mais s'ils rentrent entre temps ? »
« Bah ! Nous prétexterons qu'il faisait une chaleur incroyable dans le magasin ! Hihihi ! Nous avions besoin de nous rafraichir, c'est tout ! Allez, viens ! »
Elle me prend par la main et m'entraine au premier. Dans la salle de bain, nous nous déshabillons mutuellement, tout en nous embrassant.
Nos lèvres ***t toujours soudées lorsque l'eau commence à couler sur nous.
Apres les actes un peu bestiaux que nous venons de vivre, s'installe une douceur infinie entre nous.
Nos mains glissent sur nos peaux mouillées. Elles s'égarent dans nos orifices encore poisseux. Elles caressent, palpent, pincent.
Nous nous étreignons et nos seins s'écrasent et se frottent, les uns contre les autres.
Très vite, grâce à nos caresses expertes, nous allons à l'orgasme, presque ensemble.
Une fois séchées, elle me refera jouir en me léchant le minou, lorsque je suis assise sur le bord de la baignoire.
« Hoho ! Les filles ! Vous êtes là ! »
« Hum ! La fête est finie ma chérie. »
« Je vous remercie, Mylène, pour cette magnifique après midi. »
« Tu rigole ? C'est à moi de te remercier. C'était déroutant, mais exquis. Dis moi, après ce que nous venons de vivre, nous pourrions supprimer ce stupide vouvoiement, non ? »
« Non ! C'est le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. C'est mieux ainsi. Et puis...j'aime bien me sentir légèrement inférieur à vous, ma très chère belle maman. Hihihi ! »
Tient ? Ca me rappelle quelque chose !
Finalement...J'ai un esprit de famille très développé, non ?
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