chrislebo
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Ils ne s'étaient pas moquéd'elle : Elle disposait d'un repas copieux, complet et très fin,digne d'un grand restaurant. Je ne crois pas que ce fût l'œuvrede mon épouse... Firmin souligna : - " Il faut qu'elle mange et boive tout. Je dois la battre si ellefaiblit. " Je me doutais bien qu'il y avait un revers à cettejolie médaille... L'entrée ne lui causa aucun problème -une cassolette de coquille Saint Jacques et sa timbale de riz basmati- mais elle eut du mal à finir *** plat de queues d'écrevissesau cognac -garni également de riz et de légumes rissoléstrès bourratifs. Je faisais descendre avec la petite bouteillede vin blanc qu'elle devait également finir. Elle avait l'estomacau bord des lèvres, moi, dans les talons... Firmin maniait ostensiblement aux oreillesde Salomé la fine baguette de bambou avec laquelle il m'avait cingléle dos. La pauvre grimaçait en avalant *** roquefort sur *** épaissetranche de pain de campagne. Je l'abreuvai le plus possible, ce qui avaitl'inconvénient de lui faire gonfler l'estomac. Elle étaitlivide, arrivée au dessert : Une crème caramel au chocolatnoir croquant, qui descendit heureusement assez bien. Firmin la fit serelever: - " Vous avez un beau ventre bien rond, à présent,Madame! La chaîne vous rentre délicieusement dans la peau.Si je puis me permettre, je vous trouve très belle ainsi. Alicia,passe-lui de l'huile sur le ventre pour qu'elle soit encore plus jolie! " Je lui caressai le ventre bien tendu et bien dur avec la lotionapaisante. C'est vrai qu'elle était très désirableainsi, encore plus si elle n'avait pas été malade... La faim m'empêchait de m'endormir.En laissant vagabonder mon esprit -autour de ma castration et de Salomé- je fus intriguée par un bruit lointain et régulier. Àforce de tendre l'oreille, j'identifiai des coups et des cris d'homme.Il devait y avoir une autre victime, quelque part dans ce château... Quelques dizaines de minutes plus tard,à mon avis -je m'étais assoupie d'un mauvais sommeil- jefus réveillée par un autre bruit, incongru et tonitruant: Quelqu'un passait la tondeuse à gazon au beau milieu de la nuità la lumière des phares, d'après ce que je pus enjuger par les lueurs vacillantes illuminant ma lucarne... Mon naturelcurieux me poussa à examiner les rai***s d'un tel agissement, etje ne voyais que deux explications : la première, ils avaient oubliéde tondre leur pelouse pour la visite d'un hôte important, maisje n'y croyais pas beaucoup, et la seconde, plus plausible dans cet asiled'aliénés -je dis ça car il y avait de quoi y perdreles pédales- c'était uniquement pour désorienterSalomé... Je fus de nouveau réveillée -en sursaut- par ma porte qui s'ouvrit bruyamment. Firmin, sa trique debambou à la main, cria : - " Petite pute ! Tu as cafeté ! Ma maîtresse m'a fouettépour lui avoir désobéi ! Tu as quelque chose à répondreà ça ?! " J'étais abrutie de fatigue, affaméeet endolorie: je n'avais pas de temps à perdre avec des broutilles.Il n'était qu'un humble valet, après tout : - " Vous avez désobéi à votre maîtresse? Vous n'avez eu que ce que vous méritez, et vous n'avez àvous en prendre qu'à vous-même. " Sidérépar mon aplomb, il fit d'une drôle de voix, entre le rire et lacolère : - " Quoi ?! C'est... C'est tout ce que tu trouves à dire?! " - " Oui. Faites ce que vous voulez de moi, je m'en fous. Je dorsdebout, de toute façon... Je ne sais même pas si je rêveou si je suis réveillé, vous pourriez tout aussi bien êtrela reine d'Angleterre ou Winnie l'our***, alors... Repassez demainsi vous voulez avoir une conversation édifiante avec moi. Voilàtout ce que j'ai à dire, ab imo pectore.* " Quand je me metsà parler latin, ce n'est pas bon signe... Il se radoucit subitement. Les chosesne devaient pas se passer comme il l'aurait cru... Il se laissa choirsur mon lit, à côté de moi, abattu: il sentait l'herbecoupée et un peu les gaz d'échappement. Je commençaisà me réveiller et je me surpris à me coller contrelui, à enlacer *** épaule et à lui susurrer : - " Pardon, monsieur, je ne voulais pas vous attirer des ennuis,mais Dame Aurore a tout deviné en découvrant du beurre dansmes fesses. Elle est terriblement intelligente, et elle a immédiatementcompris que j'ai eu un rapport avec vous, dans la cuisine. Dans ma chambre,j'aurai utilisé mon lubrifiant... Nos maîtresses nous***t bien supérieures, il est vain et illusoire de vouloir lesberner. " Après un long silence, il soupira : - " Tu as mille fois rai***. Je suis venu dans l'intention de tebattre aussi cruellement que je l'ai été moi-même,mais j'y renonce: je n'ai rien à te reprocher. Je vais chercherton repas. " Il revint rapidement -il avait déposémon plateau dans le couloir- et me le tendit : - " C'est loin d'être aussi raffiné que le repas quej'ai servi à ta petite maîtresse... " En effet... Une demi assiette de pâtes au beurre -plutôt à l'huile,en fait... Je lui adressai un sourire reconnaissant : - " Le repas d'une esclave... Je ne me plains nullement. Mercibien, monsieur, de penser ainsi à moi. " Il secoua la tête: - " Bon sang... Tu ne me facilites pas la tâche! "Il grimaça en se rasseyant à côté de moi. Jeposai mon assiette à peine entamée et lui soufflai de mavoix de velours : - " Désirez-vous que j'apaise vos douleurs ? J'ai ce qu'ilfaut avec moi... " Il me sourit : - " C'est gentil... Finis ton assiette, on verra. " Il meregarda manger en silence, et me sourit de nouveau : il semblait émude trouver un peu d'humanité dans *** programme de goulag stalinien... Je lui rendis *** sourire et posai mon assiette vide dans le plateau. Il me prit dans ses bras et j'étouffaiune plainte : - " Mmm... J'ai un peu mal, moi aussi... Dites, vous avez dedrôles d'heures pour tondre la pelouse, non ?... " Il sourit: - " Oui, hein ? Mais je ne te dirai pas pourquoi ! En tout cas, ici,attendez-vous à tout, surtout à l'inattendu ! " Il m'allongea sur ma paillasse, medéshabilla gentiment, éteignit la lumière et vintme rejoindre en maillot de corps: - " Bonne fin de nuit, Alicia. " - " Merci, monsieur. À vous aussi. Il faut que j'aille voirMadame Salomé ? " - " Ne t'inquiète pas pour elle... On doit bien s'en occuper,à l'heure qu'il est... " Je fris***nai à l'idéequ'on puisse encore la tourmenter à cette heure ci... Je fixai pensivement la lucarne quidiffusait une lueur blafarde quand il me dit timidement : - " Dame Carole est vraiment sublime... Elle devrait poser pourdes magazines, ou faire du cinéma. " Je souris : - " Oh ! Mais elle en a fait ! C'est elle qui tenait le rôlede l'épouse affriolante du per***nage principal du film "Qui veut la peau de Roger Rabbit ? " Visiblement, il ne connaissaitpas ce petit bijou d'animation : - " Ah bon ? Je ne l'ai jamais vu, ce film... J'en ai vaguemententendu parler... Je le regarderai à la première occasion! " Grand bien lui fasse... Il me fit entrer la premièredans la pièce qui lui était réservée, et jefus horrifiée de trouver ma petite maîtresse liéesur le chevalet de ******* réglable, sur le dos, les cuisses grandesouvertes, les bras sous la table. Firmin, blasé, ne lui accordaà peine un regard et me fit, d'un ton détaché : - " Tu peux la libérer, elle a assez roupillé... " J'essayai de deviner les sévices qu'elle avait pu endurer,outre le gavage et la privation de sommeil : elle avait étéde nouveau copieusement fouettée, brûlée àla cire fondue -elle en avait les seins couverts- gelée -les derniersglaçons achevaient de fondre à côté d'elle,dans un seau à glace, et certainement bien d'autre choses que j'ignorais.*** sexe était partagé par la chaînette supplémentairedont elle m'avait parlé. Je me demandais qui avait bien pu luifaire ça... *** maître ? Je la détachai et la serraidans mes bras, mais elle était amorphe. Je dégageai rapidementsa jeune poitrine de sa gangue de cire et elle se laissa traîner,titubante, jusqu'à la table où l'attendait *** déjeuner.Je m'enquis : - " Vous voulez peut-être aller aux toilettes, Maîtresse? " Une petite voix harassée me répondit : - " J'ai déjà fait... Il est quelle heure ? "J'éludai la question: - " Tenez, un bon jus d'orange tout frais... Ça va vousfaire du bien ! " Exceptionnellement, je pus lui laisser l'usagede ses mains que je lui menottai par devant, et Firmin m'autorisa àenlever *** bandeau. La pauvre était livide, sur le point de tomberdans les pommes : - " J'ai mal au cœur... Je parie que je dois encore mangertout ça... " Elle ne posa pas la question, assuréede ne pas avoir de réponse de la part de Firmin qui fit tout demême un effort en lui faisant siffler sa trique aux oreilles. Mon estomac hurla à la mortpendant que je lui beurrais ses toasts: j'avais une envie folle de mejeter dessus, avaler *** café fumant et *** œuf à lacoque. Elle me jeta un regard malheureux, se sentant coupable de s'empiffrerpourtant contre sa volonté alors que j'avais le ventre vide : - " Tu n'as toujours rien mangé, depuis hier ? " Je luisouris pour la rassurer : - " Oh ! Si! Monsieur Firmin m'a gentiment apporté àmanger dans ma chambre... Comme une vraie princesse, servie au lit! "Firmin pouffa, mais elle n'était pas dupe : - " Je sais bien que tu as faim. Tiens, croque dans mon toast. "Firmin frappa violemment la main amie qui avait eu pitié de moi,faisant voler en éclat la tartine grillée. Saloméfut à peine surprise et ne poussa même pas un cri, malgréle coup reçu sur le dessus de sa main. Notre gardien dit froidement,sans émotion apparente : - " Alicia, ramasse tous les morceaux. Elle doit tout manger. Elleseule. " Je me doutais bien que ce n'était pas une bonne idée... Elle avala tout *** déjeuner,lentement, marquant de courtes pauses interrompues par la trique de Firmin.Il emporta le plateau et me dit : - " Occupe-toi bien de ta maitresse. Fais sa toilette, remets lui*** bandeau et ensuite, continue *** dressage. Fais bien attention, vousêtes surveillées... Et soyez présentables, desper***nes de haut rang viendront vous inspecter. Ne nous faites pas honte." Ma tenue commençait àêtre sérieusement défraichie, et même tachéepar les assiduités de Firmin, à l'instar d'une stagiairede la mai*** blanche... La pauvre Salomé semblait détachéede ce qu'il lui arrivait: elle se leva et me demanda ses toilettes. Jelui dégrafai sa chainette, la laissai faire ses besoins puis lanettoyai. Elle demanda ensuite à s'allonger un moment, et le contactde la paillasse sur *** dos meurtri lui provoqua enfin un faible sourire.Docilement, elle se laissa lier les mains au bas de la potence et luipassai la lotion apaisante sur tout le corps. - " Si vous êtes prête,je vais continuer à vous préparer pour le grand jour. D'aprèsce que Firmin m'a laissé entendre, je serai à vos côtésle moment venu pour vous préparer le mieux possible. Ce n'est d'ailleurspas la tâche d'un maître, à moins qu'il y prenne duplaisir... Je vais vous lécher pour vous y préparer, quevous ne soyez pas trop surprise le jour venu... Vous vous êtesdéjà fait lécher? " Elle baissa la tête,un peu honteuse : - " Oui... À part par Dame Carole tout à l'heure, Unefois, par le chien de mon maître. Il m'avait attachée, nue,les cuisses écartées pour mieux m'humilier -il adore ça,d'autant plus qu'il attendait ma meilleure amie- et *** chien est venume sentir et il m'a donné quelques coups de langue. C'étaittrès doux, et j'aurais adoré si ce n'avait pas été*** stupide clébard baveux. " Je la grondai: - " C'est le chien de votre maître. Vous ne devez pas en diredu mal. Ni en penser, du reste. " - " Oui... Je te demande pardon te t'avoir déçue. Maisvas-y, montre-moi ce que ça fait. " Elle écarta lescuisses en geignant un peu: elle ne se plaignait pas, mais *** corps meurtrila faisait souffrir. Je somnolais depuis assez longtemps -une heure ? deux ?- quand la porte se referma bruyamment. Quelques instantsplus tard, mon bandeau sauta et la lumière du lustre m'éblouit: Firmin me libéra de mes entraves diverses et attendit que jeme sois relevée et débouché les oreilles: - " Libère ta maitresseet descends avec elle à la cuisine. Je vous y attends. Tu lui enlèverasaussi *** bandeau, mais garde ses mains liées dans le dos. "Il regarda la ceinture munie d'un imposant godemiché laisséà terre : " Avant, nettoie et range moi tout ça. Petitecoquine, tu t'es bien amusé, on dirait ! " Je rajustai monsoutien gorge et fixai d'un air triste mes bas mis à mal, percéset filés par les ongles rageurs de Diane. Il avait compris ce quime préoccupait : - " Tu resteras comme ça, à moitié àpoil, qu'on voie quelle petite pute tu es. Et moi, j'aime bien les basfilés: ça montre que tu t'es bien faite baisée. Allez,ne traînez pas. " Il sortit, sans même un regard surSalomé. Je détachai ma petite maitresse,de plus en plus pitoyable : Elle avait toujours sa tunique, mais elleétait relevée sur *** ventre encore bien rond. *** visageétait boursouflé par les pleurs, et elle était harceléede multiples poids pendus par des pinces, comme ceux que j'avais eu auxseins: à ses tétons, bien sûr, mais aussi àses oreilles, *** nombril et ses grandes lèvres, ce qui lui faisaitentrer entièrement sa chainette dans *** sexe. Je la libérai,et elle me tomba dans les bras avant que je puisse la menotter : - " Alicia... Aide-moi, par pitié! " Je ne répondisrien, assez embarrassée, me contentant de lui caresser le visageet de l'allonger sur sa paillasse, menottée à la potence.Je pris quelques minutes pour la caresser et l'embrasser puis, lorsqu'ellese fut relativement apaisée, je me mis à nettoyer et rangerle matériel dans les placards. J'eus une pensée émueen rangeant la ceinture qui avait servi à ma chère Diane,et je ne résistai pas à la tentation d'embrasser les partiesencore bien humides qui avaient eues l'honneur d'entrer en contact avecles orifices de ma maitresse adorée. Salomé me surprit etsourit, puis elle referma les yeux. Je nettoyai soigneusement le divinobjet à la lotion alcoolisé en admirant l'énormephallus de silicone, plutôt réaliste, qui l'ornait : aussiépais que le sexe de mon cher Germain, mais bien plus long. Etonnamment,je n'ai plus eu de problème : je devais être rodée,à présent...
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chrislebo
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Je lui tirai une chaise et l'installaiaussi confortablement que je pus. Comme je prenais ses petits pieds dansmes mains pour les masser, Dame Aurore me fit, entre deux soupirs: - " Ils ***t sales ! lèche-les ! " Ce que je fis avecentrain. Seule la poussière crissant entre mes dents gâchaitmon plaisir, mais bon, ce n'était pas pour moi que je faisais ça. Firmin s'était relevéet m'avait déposé mon assiette par terre, à côtéde moi: ce devait être les restes de leur repas... Tous les restes,d'ailleurs : de l'entrée au dessert, tout était mélangé,y compris quelques morceaux de pain dont on pouvait encore voir les tracesdes dents des convives. Mais une chose était sûre, ma petitemaitresse n'avait pas participé à l'élaboration dece repas, et pour cause... Mais la faim était trop forte, etl'odeur de ce mets si proche m'attira : Je n'hésitai que quelquessecondes avant de me mettre le nez dedans. La baguette de bambou s'abattit surmes fesses presque nues: Firmin ne s'en séparait plus, àprésent: - " Qui t'a donné la permission, traînée ?! "Je réalisai que j'avais vite perdu les bonnes manières inculquéespar Maîtresse Diane... Firmin s'adressa à ma maitresseavec déférence. Et dire qu'il l'avait traitée depetite pute, la veille ... - " Madame Salomé, votre servante attend vos ordres. "Elle prit quelques secondes pour évaluer la situation, entrouvritun œil et me dit : - " Va-y, Alicia, je te laisse ma part... " Elle n'avaitpas dû tout comprendre- elle luttait visiblement contre la nauséeet l'endormissement- et je pris sa réponse pour un ordre. Je supposaique je devais manger à quatre pattes, mais je tentai de m'asseoiraux pieds de ma maitresse. Un coup sur la cuisse me ramena à larai***: trêve d'initiatives... - " Non ! À quatre pattes ! " J'aurai essayé... Tout ceci me rappela furieusement ma première prise en main parDiane, et je ne serais pas surpris qu'elle lui aura tout racontéen détail...Dame Aurore rappela *** époux à sespieds : - " Viens me finir, Firmin. " En principe, ils se vouvoyaient,mais les moments d'excitation leur faisaient perdre parfois leurs moyens. Dame Aurore se releva et envoya Firminm'ausculter de plus près : - " À toi, mon chéri, montre-moi comment tu fais avecelle. Et toi, dépêche-toi de finir ton assiette: je te laretirerai quand Firmin aura eu ce qu'il mérite: Sa récompense." J'avais intérêt à faire durer... Je n'avaisencore quasiment rien avalé, et la faim me tenaillait. Il fut assez long, ce qui me laissaun peu de répit pour manger. Seulement, il me secouait beaucoupet souvent, mes dents se refermaient sur le vide une fois sur deux... Firmin se vida en moi en poussant quelques grognements de bête.Aussitôt, comme promis, Dame Aurore me subtilisa mon repas si chèrementgagné. Elle sourit en me voyant suivre des yeux avec mélancoliemon assiette que Firmin vida dans la poubelle: - " Tu ne crois pas que tu es assez grosse comme ça ? Allez,je t'emmène faire un peu d'exercice. Salomé, venez également. ...Salomé ! Réveil ! " Ma pauvre petite maîtresses'était endormie sur sa chaise, le menton sur la poitrine. Je larelevai avec délicatesse et elle me jeta un regard de noyée,flageolant sur ses deux jambes. Nous avons suivi notre hôte jusqu'àun petit pavillon attenant à l'aile ouest. Je me demandais ce qu'ellenous réservait encore -je me remémorai le récit d'enfancede Diane, et de sa salle de ******* médiévale- et j'étaispositivement inquiète. À mon grand soulagement, cen'était pas du tout ce que je croyais: Il y faisait plutôtchaud, et cela ressemblait à un salon de soins esthétiques.Dame Aurore nous fit un grand sourire, presque maternel: - " Voilà, je vous laisse vous reposer jusqu'à ce soir.Profitez bien des lieux, il y a tout pour se détendre: massage,spa, sauna... Per***ne ne vous embêtera, ici. Faites ce que vousvoulez. Alicia, Firmin va te rapporter un repas digne de ce nom, ainsique vos affaires. Allez, je vous laisse. J'ai pas mal de choses àpréparer pour ce soir... " Je découvris enfin mon plateau:une salade de carottes râpées -enfin, en fines rondelles,signature imparable et clin d'œil de mon épouse, du civetde lapin aux pruneaux et au vin rouge -spécialité de samaman- et du clafoutis aux pêches, également une spécialitéde mon épouse. Je dépliai le petit mot plié en quatreglissé sous mon verre: - " Mon hippocampe des montagnes,je te souhaite un bon appétit (oui, il doit être bon, àce que j'ai compris!!!). J'espère que tu t'amuses autant que moi...Ici, dans ma colonie de vacances, je me suis fait plein de camarades,et nous jouons beaucoup ensemble. Allez, je te laisse appréciermes bons petits plats. Je sais que tu lis ce mot avant même d'ytoucher. Je me demande si c'est un compliment (pour moi) ou une insulte(à ma cuisine). Bisous partout, et à ce soir !!! Ta petite Carole qui veille sur toiet qui t'aime (quand même.) P.S. J'espère que le petit spectaclequi t'attends (et auquel tu vas participer, bien sûr!!!) te plaira.Moi, il me tarde d'y être. Et surtout la suite... (Pschiii...Snip!Snip!) " Pschiii... Snip Snip ? Ces onomatopéesme trottèrent dans la tête quelques secondes, m'évoquantles bandes dessinées de ma souris impérialiste préféréeque nous partagions tous les deux, enfants, dans notre cabane. Leur sensme sauta à l'esprit presque aussitôt: le bruit du fer rougesur ma peau délicate et les ciseaux me séparant àjamais de mes attributs masculins... Mon appétit décrutsubitement et fit place à la nausée... Très temporairement,car je fis vite honneur à ses délicieux plats. Salomé, allongée surle dos, la tête sur ma cuisse, se frotta le front avec *** soda: - " Poufff! Là, il fait trop chaud. Je ne sais pas si je pourraiscontinuer à dormir... " - " Ce n'est pas grave. Reposez-vous, au moins. " Elle soupira,à moitié soulagée: - " Je crois que le plus gros est passé. C'était vraimenthorrible ! Apparemment, ça ne fait qu'un jour plein que je suislà, mais je t'assure que dans ces conditions, on dirait qu'on ypasse une éternité. Plus que ce soir à me faire dépuceleret à me faire marquer, ou peut-être demain matin et je vaisenfin pouvoir prendre possession de mon homme! " Je corrigeai: - " C'est plutôt lui qui prendra pleine possession de vous!" - " Oui... Et toi, tu finis demain, aussi? " Je m'assombris: - " Oui, je crois... Je me fais marquer également, et on doiten plus me castrer. " Elle bondit et me fixa: - " Quoi? Tu es sûre? Ça m'étonnerait beaucoup!C'est pas trop le genre de la mai***, à ce que j'ai compris! Ilsne font jamais de choses de ce genre: Ils te posent des anneaux, il temarquent, ils te percent par-ci par-là, mais rien de plus: c'estbien trop dangereux! C'est de la chirurgie, ça ! En plus, c'estun crime..." Je soupirai: - " Je crois bien que si... Et cela sera sûrement mon épouse,Dame Carole, qui s'en chargera. Elle a l'habitude de pratiquer çasur des animaux, même des gros, et je peux vous assurer que celane la gêne pas plus que si elle leur faisait sauter des points noirs.Alors si, c'est fort possible. " Elle se réinstalla doucement,pensive: - " Tu en penses quoi, ça te fait quoi? " - " J'ai l'impression que je vais perdre une partie de moi-même.Si insignifiante jusqu'à aujourd'hui, et pourtant, j'ai l'impressionque je vais perdre... mon identité, mon âme... " Noussommes restées à suer en silence une bonne heure, parseméede questions sur notre condition, puis, après une douche froidequi nous a totalement réveillées, nous sommes sorties enpeignoir et en sandales faire quelques pas dans le parc, profiter du beautemps. J'avais l'impression d'avoir été enferméeau moins une semaine... Elle sourit tristement en pensantà ce qui l'attendait et ne répondit rien. Je lui déposaiune bise sur le front et allai accomplir bravement la tâche quim'attendait dans la grande mai***. Je m'efforçai de ne pas luicommuniquer la peur qui me grignotait les nerfs: j'avais beau me convaincreque ce n'était pas possible, mais à chaque fois, la mêmeréponse -la mienne- me revenait à l'esprit: - " Carole a l'habitude de pratiquer ça sur des animaux, mêmedes gros, et je peux vous assurer que cela ne la gêne pas plus quesi elle leur faisait sauter des points noirs. Alors si, c'est fort possible..."
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chrislebo
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LES ENCHERES ***T OUVERTES. (extraits) Le soleil déclinait à l'horizon lorsque Firmin etmoi avions fini de préparer la grande salle, mettre la tablepour une vingtaine de convives et installer le " mobilier." Un grand lit sans montants, couvert de satin rouge, deuxgrands paravents en bois décoré, divers accessoiresainsi que le chevalet de ******* motorisé dernier cri -onne peut pas mieux dire- que nous avions déplacé sanstrop de peine : l'astucieux tonton bricoleur l'avait muni de roulettes-escamotables, pas question de se soustraire aux sévicesen roulant... La salle, certainement une ancienne salle de bal,était cernée dans la longueur de deux rangs de bancsde bois. Dame Aurore, aidée de Carole et de Diane, s'affairaitaux cuisines : le plus gros du repas avait été livréun peu plus tôt par un traiteur. J'étais plutôt nerveuse, obnubilée par ma castrationà venir, plus que par toute autre chose. Je craignais qu'ellen'ait lieu dans ce genre de soirée, ou alors -explicationplus plausible- ce n'était qu'une forme de ******* morale... sans compter le marquage au fer rouge, mais ça, çame faisait moins peur, bien que certainement très douloureux. Les premiers invités arrivèrent bientôt, accueillispar Firmin dans le salon où mes maîtresses avaientpris le thé à mon arrivée. Je devais resterdans la grande salle, seule, et je les voyais, le nez à lafenêtre, pénétrer dans le château en grimpantle grand perron. Ils semblaient pour la plupart être issusde la haute bourgeoisie, pour le moins d'un milieu social élevé.En tout cas, des gens soignés... Je pouvais les entendre-la salle dans laquelle je me trouvais n'était qu'àune vingtaine de mètres du salon- et la porte étaitgrande ouverte pour accueillir les nouveaux arrivants. Un homme élégant, d'une cinquantaine d'année,mais plutôt moins, s'aventura jusqu'à moi. Je baissailes yeux et joignis les mains sur mes cuisses comme j'avais viteappris à le faire. Il tourna autour de moi, se colla contremon dos en me soufflant dans le cou et en pelotant mon soutien-gorgerembourré. La voix forte et claire de Dame Aurore se fitentendre de la porte du salon: - " Eh Bien, Maître Jacques, vous semblez bien impatientd'essayer notre nouvelle servante ?! " Elle avait dit ça sur un ton moqueur, et des rires lui répondirentdu salon. Maître Jacques -Puisque c'était de lui qu'ils'agissait- se recula en me flattant la croupe : - " Toi, ma jolie, tu ne perds rien pour attendre... Tum'as l'air bien joufflue, comme j'aime... " À ***hôtesse: " Pardonnez-moi, ma chère, mais je n'ytenais plus... Vous nous avez tant vanté cette merveilleque je voulais me rendre compte par moi-même. Je la trouvetrès à mon goût, vous voyez! " Comme il se dirigeait vers elle, elle l'arrêta : - " Non, restez où vous êtes, nous sommes quasimentau complet, nous vous rejoignons. " Les invités entrèrent un à un ou en couple,devisant et s'attardant près de ma per***ne, palpant mesformes rebondies. Les yeux baissés, je vis également -du coin de l'œil- deux esclaves mâles, masquéset enchaînés. Les femmes étaient les plus prolixesmais me trouvaient un peu trop enveloppée, contrairementaux hommes qui semblaient totalement conquis malgré mon âge.Ils finirent par me laisser et s'installer à table, invitéspar Dame Aurore: - " Mes chers amis, nous sommes bientôt au complet. Notreinvité de marque vient d'appeler, il sera là dansquelques instants, avec deux amis Canadiens. Je vous rassure, ils***t également... comme nous. " En effet, l'invité en question apparut peu de temps après.Il était très grand, mince mais visiblement musclé,vêtu entièrement de cuir d'une tenue évoquantle dix neuvième siècle, en bottes et masquéd'un loup lui dévorant une grande partie du visage. Ce n'étaitpas vraiment un vêtement de sai*** et il devait avoir assezchaud. Heureusement pour lui, la température avait un peubaissé, et les grandes pièces de cette demeure étaientplutôt fraîches. *** allure, d'une grande aisance, dénotaitun per***nage important. D'ailleurs, le silence se fit à*** entrée et tout le monde se leva -à l'exceptiondes quelques esclaves mâles enchaînés au piedde leur maîtresse. Il était suivi par un couple d'une quarantaine d'années,visiblement moins à l'aise. Lui, avec ses petites lunetteset sa petite barbe sans favoris -en " cul d'oursin " commej'appelle cette coupe- m'évoqua immédiatement monhéros de jeu vidéo préféré, GordonFreeman*, mais s'étant gavé de donuts assis derrière*** bureau après avoir libéré le monde descréatures diaboliques. Enfin, il était un peu grassouillet... Mais *** œil me lança un regard qui me transperça: il devait être moins rigolo que ce qu'il semblait être... Elle, également bien joufflue, blonde, me rappelait une serveuseaccorte rencontrée autrefois dans une fête de la bière.Elle ne devait pas être une bien cruelle maîtresse -maisDiane était assez semblable, après tout, et encorebien plus ronde... Ils restèrent figés à l'entréede la pièce, le temps que Dame Aurore accueille *** hôtede marque. Celui-ci lui parla longuement à l'oreille, et elle expliquapourquoi: - " Mesdames, messieurs, permettez-moi de vous présenterLord Lyndon. Il est issu de la plus haute noblesse anglaise, etil est très friand de jeunes vierges. Il parcourt l'Europe -voire le monde pour pouvoir assouvir *** vice, et je ne vous cachepas qu'il est prêt à tout pour emporter les enchères." L'assistance émit un brouhaha désapprobateur. Ellecontinua : - " Mais il est beau joueur, et fair-play. Vous avez toutesvos chances... Il s'est fixé un montant qu'il ne dépasserapas, bien qu'il en ait largement les moyens. My Lord, prenez place,je vous prie. " Elle lui désigna la place d'honneur, en bout de table, àl'opposé de la sienne, et daigna enfin s'occuper du pauvrecouple négligé jusqu'à présent : - " Bonsoir, chers amis ! Approchez ! Bienvenus chez moi. Jeme nomme Dame Aurore, et je suis la maîtresse des lieux etde ses occupants. Mesdames, Messieurs, Je vous présente MaîtresseCatharine et Maître Pierre**, membres actifs et reconnus denotre confrérie dans le beau pays du Québec. " Elle échangea quelques mots avec eux à voix basse,leur demandant certainement s'ils voulaient se rafraîchirou se changer -Leurs vêtements étaient tout ce qu'ily a de commun, pantalon, chemisette et veston pour Monsieur et petiterobe d'été à fleurs pour Madame. Apparemment,ils n'avaient pas prévu du tout de débarquer dansune telle soirée... Ils s'installèrent au boutde la table, de part et d'autre de Lord Lyndon. Je les entendaisparler tous trois en anglais à voix basse : Ma Canadiennedeux places semblait plutôt courroucée de ne pas avoirété prévenue que c'était une soiréecostumée. Moi, j'aurais bien apprécié de lavoir en cuir bien moulant... Dame Aurore brisa les conversations en frappant sur *** verre: - " Mes chers amis, vous savez tous pourquoi nous sommes ici.Avant de vous rappeler le déroulement de la soirée,je me permets de vous présenter à nos hôtesde marque, ce qui ne veut pas dire que vous n'en soyez pas vous-même! " Elle s'était bien rattrapée... - " Voici Maître Jacques, Monsieur Pierre, Dame Dolorèset *** époux, à ses pieds, Maîtresse Morganeet ***... sa chose, Maître Pierre -encore un, Maîtrefer, seigneur Laurent, Heu... Dame Claudine et *** toutou, MaîtreChristian et *** épouse, Ombre, Maître Karl, le maîtrede cette jeune beauté, Seigneur Luc... " Non, cen'était pas moi... Mes maîtresses apparurent à l'entrée de lasalle, encadrant ma petite Salomé tenue enchaînéepar les poignets dans le dos par Firmin. Elle était délicieusementnue, luisante, ses seins fiers mis en évidence par ses brastenus en arrière, les yeux bandés, bâillonnée.Elle portait bien sûr sa chaîne autour de la taille,mais également un robuste collier de cuir clouté,relié par des chaînettes dorées à despinces appliquées à ses tétons. D'oùj'étais, je vis d'autres chaînettes autour de ses cuisses. Dame Aurore finit sa litanie: - " ...Et voici celle pour laquelle vous vous êtesdéplacés: Salomé, qui va vous être proposéeaux enchères dans quelques instants. À sa gauche,Maîtresse Diane, et à droite, Dame Carole, mes invitées." J'étais fascinée par la beauté et la prestancede mon épouse. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais jetrouvais qu'elle rayonnait, qu'une ***** surnaturelle émanaitd'elle. Peut-être ses cheveux roux embrasés par lesderniers rayons du soleil... Comme j'étais fier et heureuxde lui appartenir ! Par contre, aucune trace de Denis. Je croisqu'il n'aime pas trop ce genre de festivité : il est un peu" ours, " ce garçon... Firmin attacha la chaîne de l'agneau à sacrifier àun anneau scellé dans le mur, tandis que mes maîtressess'installèrent à la grande table de part et d'autrede Dame Aurore. Les invités se levèrent un par unou en couple- à l'exception du couple de Canadiens pas trèsà l'aise, et visiblement peu concernés par l'affaire,et de Lord Lyndon, plus intéressé par les bouteillesdes vins servis que la chair fraîche qu'il était pourtantvenu spécialement consommer. Je ne pouvais m'empêcher d'écouter les conversations,surtout celles du couple de Canadiens. Madame, surtout, semblaittrès volubile, et discutait en anglais avec sa voisine, ladame au " chien. " J'ai eu du mal à tout saisirà cause de *** accent -bien moins prononcé que celuid'Henri et de sa famille, tout de même- mais j'ai cru comprendre,en gros, qu'ils étaient en voyage touristique en France etqu'ils avaient été invités à cette soiréepar Lord Lyndon qu'ils avaient déjà rencontréau Canada. Il ne leur avait rien dit sur le caractère spécialde la soirée, juste qu'il voulait leur présenter desamis à lui et qu'en fin de compte, ils étaient contentsd'assister à cette cérémonie étrange.Ils me faisaient tous deux de grands sourires, et comme presquetous à cette table, avaient les mains plutôt baladeuses.Seul Lord Lyndon semblait déconnecté du monde, répondantà peine à quelques questions, qu'on finit par ne pluslui poser d'ailleurs. En m'approchant de Dame Claudine pour la servir, *** toutou -unhomme d'une bonne quarantaine d'année, vêtu de cuiret muselé- frotta sa tête contre ma jambe. Je me laissaià lui caresser les cheveux, ce qu'il apprécia grandement,mais sa maîtresse tira un coup sec sur la laisse qu'elle nequittait pas: - " On dirait qu'il t'aime bien... Ça tombe bien, j'ail'intention de te faire saillir par mon Sultan, après cesenchères. Je ne crois pas avoir beaucoup de chance de lesemporter, ça me fera une consolation... Apporte-lui sa gamelle,il en a une attitrée, avec *** nom dessus. Il doit avoirsoif. " Je terminai de servir les entrées. Je jetai un œilcurieux aux deux autres créatures asservies, un homme entièrementnu, un peu obèse, cagoulé de cuir et enchaînéà un pied de table, et " la chose ", une per***neau physique plutôt jeune et frêle, entièrementvêtu de vinyle noir et cagoulé. Tous deux me jetaientdes regards craintifs et pleins de respect. Je crois qu'ils auraientaimé que je m'occupe d'eux... Je rapportai l'écuelle d'eau à Sultan qui la butd'une traite. Le tricheur avait utilisé ses mains: je n'yavais pas eu droit pour le couscous de Diane, mais il est vrai qu'elle,elle m'avait offert ses pieds***... Dame Claudine insista pour que j'attende qu'il ait fini: - " Maintenant, sors-le pour le faire pisser. Il a besoin qu'ons'occupe de lui, fais bien attention qu'il ne se salisse pas. "Comme je cherchais de l'aide du regard, Firmin s'approcha de moi,l'air sévère : - " Obéis toujours à un maître. Laissetomber ce que tu fais, sa requête est toujours la plus importante." Il avait l'air jaloux que je lui vole la vedette et les distractionsamusantes. Dame Claudine tira violemment sur la laisse quand Sultan enfournasa tête sous ma robe: - " Il ne pense qu'à ça! Ne te laisse pas impressionner,tire sa chaîne un coup sec s'il est trop excité. " Firmin me désigna une porte qui donnait sur une partie duparc plus discrète que la grande pelouse de la façade. Je guidai mon toutou qui marchait péniblement sur ses quatrepattes sur un carré de gazon frais -tondu de la nuit- auxpieds de hauts murs. J'ouvris entièrement la fermeture éclairqui parcourait *** short d'un bout à l'autre, du bouton decuivre de la ceinture jusqu'en haut des fesses et dégageai*** membre. Je ne résistai pas à l'envie de le caresser,mais je m'arrêtai bien vite: - " On va faire *** petit pipi, hein, mon toutou ? " Jetenais *** sexe du bout des doigts pour éviter de trop l'exciter.Déjà que ce ne doit pas être facile de se lâcherdans de telles conditions... Je commençais à medemander s'il avait vraiment envie quand il se mit à urinerpar petits jets timides. Je l'égouttai et me mis àle masturber un peu en le serrant assez fort dans ma main, par curiosité: je m'intéresse à tout ce qui finit par me concerner,surtout intimement... Je caressai un peu ses fesses, et pour lapremière fois -après Denis- j'avais vraiment envied'un homme. Il m'était soumis, et je voyais bien, àla façon dont il tendait sa croupe, qu'il en avait envielui aussi. Seulement, j'étais une femme, et la réalitése rappela à moi: des sévices terribles m'attendaient. Je refermai délicatement le short en prenant bien gardede ne rien coincer dans la fermeture éclair : une cousineplus âgée me l'avait fait, quand j'étais petit,je m'en souviens encore...J'ai eu un peu de mal à recaser*** sexe encore bien volumineux dans sa petite culotte de cuir bienmoulante. Ne trouvant pas de bâton à lui lancer -je ne croispas qu'il aurait de toute façon goûté àmon humour- Je le reconduisis aux pieds de Dame Claudine qui medemanda : - " Il a bien fait ses besoins ? " - " Oui maîtresse. " - " Il ne s'est pas sali ? " - " Non, maîtresse. J'ai bien fait attention " J'avaisenvie de lui demander si *** Sultan avait l'habitude de se lécherle sexe après s'en être servi, mais je m'en suis biensûr abstenu. Malheureusement, cette pensée a fait naîtreà mon insu un sourire moqueur sur mes lèvres, ce quifit exploser Dame Claudine et plonger l'assistance dans un silenceglacial: - " Je vais t'apprendre à rire, garce! " Et elleme frappa violemment de la longue chaîne qui retenait ***molosse. Je criai et sursautai, autant de douleur -la chaînes'enfonça cruellement en s'enroulant autour de mon ventre- que de surprise. Je me retirai au fond de la salle en ravalant meslarmes, dans l'indifférence générale et lebruit des conversations qui avaient rapidement repris. Firmin s'approcha de moi et me fit à l'oreille d'une voixsourde: - " C'est bien fait pour ta gueule, petite conne ! Tu ne méritaispas cet honneur. Tu es encore trop fière, tu la ramènerasmoins quand on t'aura coupée et marquée comme un veaude l'année. " Oui, je ne risquais pas de l'oublier...Ilm'entraîna pour que je l'aide à faire le service, jusqu'audessert. Là, Dame Aurore se dressa et lança: - " Mes chers amis, l'heure est venue de vous offrir cettejeune vierge. Les bénéfices -moins un certain pourcentagepour nos frais- iront à *** maître et époux,Maître Karl... Maître Karl? " Le mari en questionne semblait pas trop concerné par ce qu'allait subir ***épouse. Il se servait du vin, ignorant la maîtressede cérémonie qui le nommait. Etrange... Il s'immobilisa,gêné, et réalisa subitement que tout le mondele regardait. Il ne ressemblait pas trop au maître sévèreet aimant dont m'avait parlé Salomé... Il semblaitassez timide, et pour tout dire, plutôt falot. Dame Aurore reprit: - " Ses trois virginités -j'en garantis l'intégritésur l'honneur- seront mises aux enchères l'une aprèsl'autre, et seront consommées ici même, à lavue de tous, ou derrière ces paravents, comme il vous plaira.Lord Lyndon, Je vous saurais gré de tenir vos engagements... " Il hocha lentement la tête en signe d'agrément. Ellereprit: - " Au fait, vos amis Canadiens ***t bien sûr conviésà participer aux enchères... " Monsieur sourit poliment en secouant l'index en signe de désapprobation. - " Comment, Maître Pierre, Vous n'êtes pas tentépar une jeune vierge, si belle ? " Il rit : - " Si, Madame, mais à ma manière. Je veux qu'ellevienne à moi librement, et gratuitement ! " Tous rirent, et sa compagne s'écria, visiblement en forçant*** accent Québécois: - " Câlice ! Tu vas nous faire prendre pour des gratte-cennes****,là ! " Les rires reprirent de plus belle. Dame Aurore ramena un peu decalme et de solennité: - " Bien... Quelqu'un a une question à me poser,avant que nous commencions? " Lord Lyndon leva la main et prononça, avec un fort accentde Cambridge: - " Je parle en pounds. " Dame Aurore grimaça: - " Les enchères se font en Euros... Accepteriez-vousqu'Alicia convertisse votre enchère ? Elle est assez habileavec les chiffres... " Il hocha de nouveau la tête lentement, un petit sourire satisfaitaux lèvres. J'ai cru voir, comme je le servais, que je nelui étais pas indifférent, bien que je sois une proiede moindre choix... Je me postai à *** côté,légèrement inclinée pour recueillir ses offres,les mains sur les genoux. Dame Aurore lança les enchères: - " Mesdames et Messieurs, la première virginitémise en vente se soir est celle de ses charmantes lèvres.Regardez comme elles ***t bien pleines, et si bien dessinées... " Firmin s'était approché de Salomé etavait arraché *** bâillon sans ménagement. - " Alicia lui a fait répéter longtemps la pratiquede la fellation pour qu'elle soit digne de vous recevoir. Mais commece sera sa première fois, je vous prie d'être indulgentet de penser que ce sera également la première foisqu'un sexe passera ses jolies lèvres. Imaginez sa surprisequand vous prendrez votre plaisir en elle! La mise à prixest de deux cents Euros, et cela les vaut bien. Et même bienplus ! " Les mains se levèrent timidement, et Lord Lyndon renchérit.C'est vrai que je calculais rapidement, mais je faisais tout demême une grossière approximation. Il fallait en outreque je traduise de l'anglais... Seulement, pour utiliser ma meilleure oreille, j'avais eu la mauvaiseidée de me poster à côté de MaîtrePierre, le joyeux Canadien. Il me caressait avec insistance, cequi me déconcentrait passablement; d'autant plus que la salleavait les yeux fixés sur moi à chaque enchèreque je lançais -ainsi que sur la pauvre Salomé, bienseule au bout de sa chaîne... Les renchérissements se firent de plus en plus rares, etLord Lyndon remporta l'enchère: - " Une fois... Deux fois... Adjugé à LordLyndon pour neuf cent soixante Euros! Félicitations! Vousdésirez prendre possession de votre lot tout de suite ? "Il secoua la tête lentement. Le montant étrange del'enchère était dû au fait que je devais convertirles Livres Sterling en Euros, ce qui déstabilisait un peules autres participants. D'ailleurs, certains regardaient Lord Lyndond'un sale œil, se disant que sans lui, les enchèresne seraient certainement pas montées si haut... Mais MaîtreKarl semblait satisfait: Il pouvait offrir de beaux cadeaux àsa maîtresse. Quel cynisme... J'avoue que j'en avais unpeu la nausée.
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chrislebo
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Dame Aurore me glissa à l'oreille, comme je déposaidevant elle sa tasse de bon café -je reconnaissais làla patte de mon épouse: - " Offre une fellation à Maître Karl. Je luidois bien ça... " Je tirai une chaise vide àcôté de lui pour pouvoir me glisser sous la table,et j'eus la surprise d'y retrouver Ombre, l'épouse de MaîtreChristian et l'occupante de la chaise en question. Elle étaitagenouillée entre ses jambes et lui caressait le sexe etles cuisses à travers *** pantalon avec dévotion.Elle m'accueillit avec un sourire timide, un peu honteuse d'êtresurprise en action. Ombre n'était pas très jolie, brune, la trentaine,petite et mince, les traits tirés et les yeux cernés,petit bustier et jupe serrée noirs, mais elle avait une telletête de victime qu'on avait envie ******* d'elle de façonéhontée. Je lui rendis *** sourire en engloutissantle sexe de Maître Karl qui semblait très gêné,à la façon dont je le sentis se raidir sous mes assauts. Carole rajouta à *** embarras en lui lançant àvoix haute pour que toute la tablée en profite: - " C'est une bonne suceuse, hein ? C'est moi qui lui ai toutappris! " Quelle vanité... D'accord, je l'ai longtemps observée,mais de là à s'en attribuer tout le mérite... Ombre me fixait avec intensité, la tête couchéesur le genou de *** maître qui lui caressait distraitementla joue. J'avais l'impression qu'elle voulait me dire quelque chose,en tout cas, le spectacle que je lui offrais semblait la troublerau plus haut point. J'avais terminé mon service et j'allais me relever quandelle m'attira contre elle et me vola un baiser. Elle se blottitaussitôt contre le genou de *** maître, l'air apeuré.La pauvre fille semblait assez perturbée... Dame Aurore m'accueillit triomphalement comme je m'extrayais dedessous la table. Moi qui voulais être discrète... - " Mais revoilà notre petite perle aux multiples talents!Tu sais ce qu'on fait aux belles perles comme toi ? On les enfile! " Je ris poliment à sa boutade, que j'avais déjàfaite à mon épouse, d'ailleurs. Par contre, le restede l'assemblée -à qui était en fait destinéce trait d'esprit- rit franchement. Elle me poussa *********** parl'épaule pour me faire regagner ma place: - " Les enchères vont reprendre... Lord Lyndon vaavoir de nouveau besoin de tes services ! " Dame Aurore reprit *** étrange rôle de commissairepriseur: - " Mesdames et Messieurs, la seconde virginité miseen vente sera celle de ses fesses. " Firmin fit plier Saloméà l'équerre, la tête contre le mur, les cuissesgrandes ouvertes. Une vue splendide... Je compris alors comment étaient disposées les chaînettesautour de ses cuisses : elles portaient des pinces qui écartaientses grandes lèvres et l'ouvrait en grand. Et apparemment,il y en avait encore d'autres, devant... - " Voyez comme elles ***t bien rondes, bien pomméeset délicieusement fendues ! Elle est entièrement épilée,préparée avec grand soin à recevoir le meilleurenchérisseur d'entre vous. Bien sûr, si une maîtressedésire participer aux enchères, pour en jouir elle-mêmeou par le truchement d'un de ses esclaves, elle est la bienvenue.C'était également valable pour l'enchère précédente,je suis désolée de ne pas vous l'avoir préciséplus tôt, j'espère n'avoir lésé aucuned'entre vous... " Devant l'assistance féminine qui secouait la têteen souriant, rassurée, elle poursuivit : - " La mise à prix est de quatre cents Euros: Qui ditmieux ? " Per***ne ne leva la main. Tous les yeux étaient braquéssur Lord Lyndon qui se servait tranquillement un verre de grandcru -ainsi qu'à *** amie Canadienne à qui il faisaitdu charme. Il la faisait trop boire, ce qui la rendait trèsgaie. Elle riait d'ailleurs beaucoup, ce qui m'exaspéraitun peu: l'heure était grave pour Salomé et moi... *** compagnon, lui, gardait les yeux fixés sur la croupeofferte de ma petite maîtresse et semblait avoir une foulede projets pour elle... Il leva brusquement la main : - " Cinq cents ! " Sa compagne, visiblement éméchée, perdit toutecontenance et lui lança, en anglais : - " Garde ton argent pour me faire faire les boutiques ! Despetits culs, tu en a plein à la mai*** !... " Ou quelquechose comme ça... Dame Aurore la gronda : - " S'il vous plaît... Un peu de tenue, je vous prie! Ne troublez pas la marche des enchères ! " Ombre -qui avait regagné sa place- leva timidement la main,à la grande surprise de l'assistance et de la maîtressedes lieux : - " Eh bien, Ombre ? Qu'y a-t-il ? Tu veux placer une enchère? " Elle hocha rapidement la tête et baissa les yeux. MaîtreChristian nous confia : - " Elle tient à m'offrir quelque chose de précieuxpour mon anniversaire... J'espère que ses pauvres économiesy suffiront... " Ils eurent un bref échange de signes, tous les deux: Ombreétait sourde et muette... Dame Aurore se moqua ouvertement d'elle : - " Comme c'est touchant! Une esclave qui offre les maigresgains de sa prostitution à *** maître qui mènegrand train! Je saurais m'en souvenir, la prochaine fois que jete louerai: je ferai venir plus de monde! " Ombre la remercia en inclinant la tête: elle devait liresur les lèvres... Par contre, j'ignorais que Dame Aurorese livrait à un tel trafic: Heureusement que Diane m'avaitaffirmé qu'elle avait considérablement ralenti ***activité... Les enchères avaient repris, plusieurs mains s'étaientlevées -sauf celle de Lord Lyndon - quand Carole claironna: - " Mille Euros ! " Le cri de mon épouse l'avaittiré de sa torpeur et il me chuchota aussitôt *** enchèreà l'oreille, directement en Euros cette fois: - " Deux mille Euros. " Un brouhaha accueillit *** offre : Il frappait fort... Ombrerecroquevilla sa petite silhouette sur sa chaise : *** espoir d'offrirun tel présent à *** maître s'était envoléà tire-d'aile... Dame Aurore tenta de remettre un peu d'ambiance : - " Eh bien, ne me dites pas que ce joli petit lot est au dessusde vos moyens ! Je vous connais bien, et surtout vos goûts! Pensez-y bien : vous serez le premier à franchir sa portedérobée ! " Carole, qui avait de nouveau bu plus que de rai***, se leva etlança, le feu aux joues : - " Trois mille ! " Elle y tenait vraiment, à prendrele joli petit cul de Salomé...Quitte à dilapiderl'argent de notre ménage. Diane en riait presque. Ma pauvrepetite maîtresse, elle, sanglotait au bout de sa chaîne:être vendue comme une esclave n'est pas une épreuveagréable, surtout au bénéfice d'une rivale... Pendant tout ce temps, Maître Pierre -le Canadien- avaitpoursuivi l'exploration mes dessous. Il s'était aventuréun peu trop loin à mon goût: non pas que je n'aimepas ça, bien au contraire, mais il retira vivement sa mainquand il atteignit mon intimité, après m'avoir tapotépar trois fois une de mes fesses rebondies comme pour me dire "Tu m'as bien eu, coquine... " Lord Lyndon reposa *** verre de Bordeaux et me chuchota : - " Cinq mille Livres. " Les jeux étaient faits... Dame Aurore adjugea la secondevente, sans aucune réaction de l'assistance qui m'a paruetout de même un peu dégoûtée. Lord Lyndondéclina de nouveau l'offre de la maîtresse des lieuxde consommer immédiatement *** lot. Maître Karl, levin aidant, semblait très joyeux de la tournure que prenaientles choses... Firmin m'interrompit d'un geste : - " Demain, si tu veux bien. Au fait, ça commence àjaser, à table: il paraît que tu n'es pas une fille... Même Dame Carole a semblé choquée quand on lelui a appris! Je la comprends... Apprendre ça, aprèstant d'années de mariage!... Petite cachottière, va! " La chose semblait l'amuser, il tenait sa revanche. Il sortitde la cuisine avec les cafés, me laissant le soin d'apporterles pâtisseries. C'est vrai que je ressentais une certaine hostilité àmon égard, à présent. Oh! Rien de flagrant,mais juste une impression que les regards se détournaient,que quelque chose se passait derrière mon dos... Lorsque je tendis le dessert à Ombre -dont les yeux s'arrondirentde gourmandise- Maître Christian me prit l'assiette et laposa à ses pieds. *** épouse, qui avait mangéà table jusqu'à présent, se jeta dessus avecavidité. Il me remercia d'un ton plein de sous-entendus: - " Merci, Alicia... " D'une façon de me faire comprendre que j'usurpais mon prénom... Dame Aurore fit ***ner *** verre de cristal: - " Mesdames, Messieurs, la dernière virginitémise en vente se soir est la plus précieuse, celle qu'unejeune fille digne de ce nom porte fièrement dans sa corbeillenuptiale... " Je surpris mon épouse à acquiescer avec conviction:elle ne devait pas se souvenir à quel moment ni de quellefaçon elle avait perdu sa fleur... " Vu l'importancede la chose, et comme vous savez certainement qu'un hymen déchirépeut se reconstruire par la chirurgie, je demande à maîtreLuc, chirurgien de *** état, de nous confirmer ce que j'avancesur l'honneur. " Firmin détacha Salomé qui traîna tristementles pieds jusqu'au chevalet sur lequel il l'allongea, sur le dos,les cuisses grandes ouvertes. Bien sûr, elle avait toujoursles mains menottées derrière elle et les fers luimeurtrissaient les reins. Maître Luc, la soixantaine bedonnantemais alerte, chaussa ses lunettes pour aller scruter l'intimitéde ma petite Maîtresse offerte. Après quelques instants,il regagna sa place en acquiesçant: - " Je confirme que cette jeune fille est bien vierge et n'asubi aucune intervention chirurgicale d'aucune sorte. Je n'ai notéque quelques traumatismes récents dus à *** éducationici... " Éducation... Quel euphémisme... Une fois Salomé reconduite à *** anneau, Dame Aurorelança de nouveau les enchères: - " La mise à prix est de huit cents Euros. Huit centEuros pour faire couler *** jeune sang et vous en repaître!" Elle aussi avait dû ****** de la bois***... Elle se croyaitau bal des vampires? L'ambiance devenait de plus en plus tendue, entre les maîtresqui me jetaient un regard noir -à cause de mon sexe et dema complicité forcée avec Lord Lyndon- et les femmes,un peu ivres -pour la plupart- qui riaient à tout propos...Je commençais à me sentir de plus en plus mal, avecune envie de disparaître sous terre; jusqu'à Sultanqui m'avait mordu la main, à la plus grande joie de sa maîtresse.Seules, Ombre et les " choses " me vouaient encore unecertaine adoration... Pour la dernière fois de la soirée, je pris mon posteà côté de Lord Lyndon. C'est avec grand plaisirque je sentis de nouveau la main légère de MaîtrePierre courir sur ma cuisse pour jouer avec mes jarretelles. Ilavait dû avoir pitié de mon air malheureux... Cette fois, plus per***ne ne prit le risque d'enchérir,à part mon épouse, assez éméchéemais fidèle à elle-même, et qui devait se croireau marché aux bestiaux de *** pays. Elle cria, en tapantdu poing sur la table: - " Mille! Et c'est mon dernier mot! " Lord Lyndon me glissa à l'oreille, calmement: - " Deux mille. " Quelques soupirs parmi l'assistance et le silence se fit, agrémentéde quelques murmures et raclements de gorge. Dame Aurore semblait consternée: - " Eh bien? Pas d'autres offres? Allons! Le plus beau lotde la soirée! Montrez-vous sportifs! Une fois... Deuxfois... Adjugé à Lord Lyndon pour deux mille Euros.Mais c'est bien dommage... Mes félicitations, My Lord. Jevous rappelle que vous devez prendre possession de vos lots dansla soirée, avant minuit, ou ils seront perdus. " Ilhocha la tête pour lui confirmer qu'il avait bien les règlesdes enchères en tête puis il se tourna vers moi, lamain sur une de mes hanches: - " Je prendrais bien un Brandy, à présent, machérie... Tu bois avec moi, nous fêtons notre collaborationsi fructueuse! " Alors là, avec plaisir! J'avais bien besoin d'un remontant.Et quel honneur... Comme je servais deux Brandys plutôt généreuxle sourire aux lèvres -ce n'était pas moi qui régalais- Firmin me rejoignit en cuisine, l'air mauvais: - " Alors, on trinque avec les Maîtres ? Profite-en bien,ma jolie, tu riras moins quand... Couic ! " Il ne réussit pas, cette fois, à me briser le moral.Je pensais plutôt à Salomé, et je me disaisqu'en étant agréable à Lord Lyndon, il seraitpeut-être plus doux avec elle... Il me laissa à peine poser le plateau sur la table devantlui qu'il me prit sur ses genoux, m'arrachant un glapissement ridicule.Cela fit rire la tablée qui, l'alcool aidant, avait retrouvéun peu de bonne humeur. Il me chuchota à l'oreille: - " Tu sais que tu es une bien jolie demoiselle? " Je tins à l'avertir de ma condition réelle, au casoù il n'aurait pas compris ce qui se disait tout autour dela table : - " Je me permets de vous signaler, My Lord, que je ne suispas une fille comme les autres. Je suis même plutôtspéciale... " Il me sourit avec malice: - " Je sais cela : je t'ai vue nue. Ne dis plus rien, et trinquons!" Il leva *** verre en ma direction, et je lui tendis le mien. Jelui rendis *** sourire cordial, heureuse qu'il m'aime pour ce quej'étais vraiment: une fille amoureuse, et désirantardemment être aimée et désirée... Nos verres vidés, juste avant qu'il me repose à terreen soupirant -je fais mon petit poids- je l'implorai : - " Soyez gentils avec ma petite maîtresse, My Lord.Elle est terrorisée! " Il me répondit sur un ton glacial qui me fit aussitôtregretter mon audace: - " Premièrement, ce n'est pas ton affaire. Deuxièmement,tout dépendra de la qualité de ta préparation,passée et à venir. Viens avec moi. " Lord Lyndon s'arrêta devant Dame Aurore qui lui tendit unfeuillet plié en deux dans une soucoupe. En retour, il luitendit un chèque rempli à la va-vite et m'entraînaaux côtés de Salomé: La pauvre étaitsur le point de s'évanouir, depuis le temps qu'elle patientaitdebout, enchaînée par les poignets... Lord Lyndonlui caressa *********** un de ses seins arrogants et posa ma mainsur l'autre. Je le caressai du bout des doigts, sensuellement, sisensuellement qu'il s'arrêta pour mieux jouir du spectacle.
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chrislebo
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Inconsciemment, je croisai le regard de Carole qui me souriaitavec nostalgie. Je savais qu'elle se revoyait superviser l'accouplementde deux rongeurs quelconques, dans sa ferme natale... Je lui rendisdiscrètement *** sourire et baissai les yeux sur mon ouvrage. Salomé se crispait et s'était refermée. Lemoment venu, la peur d'avoir mal, ou ************ de se donnerainsi à un inconnu et en public la tétanisait. Jepris le parti d'aller lui parler, à genoux devant elle: - " Sois forte, ma chérie, pense à ton Maître!Prend du plaisir, ouvre-toi! " À court d'arguments,je l'embrassai passionnément en lui caressant un sein. Ellepoussa un gémissement étouffé par ma langue,puis de longs soupirs. Il était entré en elle, profondément,et la maintenait par sa chaîne dorée. Salomé renversa sa tête en arrière, dans unétat second : elle éprouvait un plaisir nouveau etintense... Je la sentis vibrer dans mes bras, jusqu'à ceque Lord Lyndon grognât de plaisir et s'immobilisât.Salomé se retourna et lui sourit, heureuse que ce se soitsi bien passé. Je crois qu'elle l'aurait bien remercié... Minuit approchait, et Dame Aurore rappela ses obligations àLord Lyndon : - My Lord, je tiens à vous rappeler que vous devez consommervotre lot restant avant le douzième coup de minuit. Après,ce sera trop tard! " Il regarda la pendule et haussa un sourcil : plus que dix minutes! Il m'attira à lui pour me donner ses consignes que je partageaiavec Firmin : Sa participation me semblait indispensable si je voulaisqu'elle soit prête à temps : Il fallait en effet sanglerSalomé sur le chevalet, dans la position qu'elle avait dûadopter pour *** examen. Par contre, variante amusante, il voulaitqu'elle ait les mains attachées aux chevilles... La pauvre fut rondement saucis***née et littéralementpliée en deux comme un gibier fraîchement abattu. Jepus alors contempler la totalité des bijoux qui ornaient*** intimité, les pinces visiblement assez lourdes qui luimaintenaient les lèvres grandes ouvertes, tirées pardes chaînette enserrant ses cuisses. Carole aime bien queje lui offre un bijou de temps en temps, j'apprécierai beaucoupqu'elle en porte du même genre... Et moi aussi, j'aimeraibien en porter ! Je m'affairai à la préparer le plus rapidement possiblede ma langue frétillante, mais ce n'est pas le genre de chosequi s'expédie aussi rapidement... Elle était assezbien épanouie suite au traitement qu'elle avait subi un peuplus tôt, mais *** vagin me semblait trop contracté.Je n'eus pas le loisir de pousser mes préliminaires plusavant: le premier coup venait de retentir et je sentis une mainferme -celle de Firmin- me tirer en arrière par l'épaulepour laisser la place à Lord Lyndon qui la pénétradoucement, s'enfonçant un peu plus à chaque coup égrenépar l'horloge. Salomé sanglotait, geignait et grimaçait,plus par frustration de voir expédiée sa déflorationpar un inconnu que de douleur, à mon avis. Au douzième coup, il la pénétra violemmentet à fond, lui arrachant un ultime cri qui se termina dansdes pleurs. Là, j'avoue que la douleur avait dû prendrele pas sur les autres ressentiments... Il acheva de prendre *** plaisir en elle, plus doucement, et seretira sans un mot. Il la regarda sangloter quelques instants, mefit retirer *** bandeau et lui demander : - " Salomé, pourquoi pleures-tu ? " Elle le fixa, les yeux pleins de larmes et de désespoir: - " Parce que j'avais promis ma virginité à monMaître et époux que j'adore! " - " C'est ce que tu as fait, tu la lui as offerte : c'était*** bien, et il en a disposé à sa guise... " Cela me faisait un drôle d'effet de servir d'interprètedans une situation pareille... - " Mais... Je ne prends pas de contraceptif... Je ne veuxêtre enceinte que de mon époux, pas de vous! " Salomé arborait un sourire béat malgré leslarmes qui brillaient sur *** visage rougi quand Firmin la raccompagnadans sa chambre. J'admirai sa jolie croupe ronde et doréequand elle franchit la porte de la salle, et je notai un filet desang dans un repli de ses fesses. La maîtresse de mai*** -à double titre- me coula unregard mielleux et me fit signe d'approcher : - " Viens près de moi, ma bonne Alicia... " Une fois à côté d'elle, elle me saisit le poignetd'une main de fer et ne me lâcha plus, à me faire mal: - " Mesdames, Messieurs, à titre de consolation, commevous n'avez pas pu -pour l'instant- profiter de la belle Salomé,je vous offre cette fille. Elle est bien moins attrayante, maisbon... Je vous propose une mise à prix de cent Euros.Celui ou celle qui remportera l'enchère pourra en user toutela nuit, à sa discrétion... Allons-y ! J'attendsvotre meilleure offre ! " Derrière nous, Firmin fermait les paravents et remuait ***matériel : je pressentais que ce devait être pour moi... Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça ne se bousculaitpas au portillon... Je ne pouvais pas croire qu'une maîtresseaussi matoise et aiguisée qu'elle n'ait pas entendu les rumeursqui circulaient autour de la table : Je ne pouvais voir -àquelques exceptions près- que des mines hostiles. Dame Auroresemblait très déçue : - " Hé bien ? Vous la trouviez si appétissante,tout à l'heure... Maître Jacques ? " Pas de réponse. Elle baissa ses prétentions : - " Cinquante Euros ! " Ombre leva aussitôt la main bien haut, s'aidant de *** autrebras à la manière d'une jeune écolière.Maître Christian entra dans une colère noire et levala main au dessus d'elle en une terrible menace. Elle rentra latête dans les épaules et se protégea le visage: - " Tu m'insultes, putain! Comment peux-tu m'offrir un telcadeau! Un travesti! À moi, ton maître! " Maître Luc exprima ce que tout le monde pensait tout bas: - " Il est vrai que nous avons tous l'impression d'avoir étéquelque peu grugés par la qualité de cette... Demoiselle.Sauf peut-être vous... " Il s'était adressé à mon épouse quis'était vanté de bien me connaître. Elle baissales yeux en ravalant sa salive. Cela faisait bien longtemps queje ne l'avais pas vue aussi abattue, compatissant à mon désarroi.Comme la fois où nous avions appris ensemble notre stérilitéirrémédiable... Ombre avait repris un peu d'ascendant sur *** maître et semblaitlui crier dessus en langage des signes. Il finit par lever les mainsen riant: - " Ah bon, dans ce cas, c'est d'accord! " à DameAurore: " Ombre veut se la payer pour la nuit, si c'est dansvos prix. Pour une fois qu'elle se paye une pute... Çava la changer d'être la cliente, pour une fois ! Déjàqu'elle épuise vos malheureux invités... " Elle me dévorait des yeux en me souriant : elle avait gagné! Dame Aurore semblait ennuyée par la tournure des évènements: À part une esclave perturbée, per***ne ne voulaitde moi. Elle reprit les enchères, à l'envers: - " Quarante ?... Trente ?... Vingt ?... Dix ?... Un ? Un Euro?... Non ?... " Maître Luc, qui se dévoua pour être le porteparole de la tablée, se leva : - " Madame, Malgré tout le respect que nous vous devons,même pour un Euro, per***ne n'en voudra... " J'avais déjà les yeux humides, mais là, c'étaittrop. Je fondis en larmes, toujours tenue d'une main ferme. Carole vint à mon secours, touchée par ma détresse: - " Moi, j'en veux bien! Venez, Maîtresse Diane! " Elle m'entraînèrent toutes les deux derrièreles paravents où attendait Firmin, triomphant : - " Mesdames, vous trouverez tout ici pour satisfaire vos désirs.Pensez seulement à lui mettre le bandeau quand vous aurezfini et à nettoyer ce que vous aurez utilisé, parcourtoisie envers les maîtres suivants... S'il y en a !" Il m'énervait un peu à faire *** petit chef, le petitcoq de basse-cour... Une fois seules, Diane et Carole s'agenouillèrent àmes côtés -elles m'avaient fait mettre à genoux-et m'embrassèrent avec passion. Carole me murmura, des trémolosdans la voix: - " Comme je t'aime, mon amour, mon chéri! Si tu savaistout le plaisir que tu me donnes, sans même que tu t'en rendescompte... " Diane me pinça la joue et affecta de ne pas laisser transparaîtreses émotions: - " Pleure pas, gamine, on ne t'as pas encore touchée... Allonge-toi sur le lit ! " Je m'exécutai avec bonheur : cela faisait un petit momentque je n'avais pas goûté à un bon lit moelleux.Mais elles ne me chouchoutèrent pas de la façon quej'avais espérée : Carole avait relevé ma robebien haut et me maintenait fermement en position, ma têteentre ses genoux: nos jeux de lutte innocents pratiqués depuisl'enfance avaient trouvé une rai*** d'être : toutesces années à me terrasser pour le plaisir n'étaientque de l'entraînement en vue de ce jour...
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chrislebo
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Je reconnus la douce voix de Maître Luc qui s'abaissa àme sucer un peu avant de me prendre ainsi que le couple de Canadiensqui chuchotait en me faisant répéter le Kama-Sutrasur la machine infernale de tonton Serge : Je crois qu'ils étaientbien plus intéressés par elle que par moi... Àpart quelques attouchements et une bise sur la joue et les fesses,je n'eus pas droit à grand-chose de plus de leur part avantqu'ils ne m'abandonnent dans une position assez humiliante, liéesur le ventre, les cuisses bien ouvertes. D'ailleurs, le visiteursuivant alla droit au but, sans aucun préliminaire : j'aiadoré la position... Un autre encore préférama bouche... pour commencer. Vint Dame Claudine et *** sultan. Elle ne s'embarrassa pas de précautionset m'ôta mon bandeau avant de me détacher : - " Ça fait un moment que j'attend ça... Àquatre pattes, par terre! " J'étais presque nue, jen'avais gardé que mes bas et mon soutien-gorge que je rajustai,un de mes tout petits seins s'étant échappésuite à un pelotage ******. Ma culotte et ma robe gisaientà terre depuis bien longtemps déjà... Dans la position demandée par Dame Claudine, je la voyais,accroupie, flatter *** fidèle " toutou. " Ellelui caressa la tête et ouvrit *** short en grand en m'adressantun sourire carnassier : - " Tu as déjà vu le sexe de mon sultan... Il est beau, non ? " Sans crier au chef d'œuvre, oui, il était pas mal,en effet... Mais j'en ai vu des plus beaux, dans ma jeune carrièrede travesti soumis... - " Oui Maîtresse, très beau. J'espèrequ'il prendra beaucoup de plaisir en moi. Je ferai tout mon possiblepour que ce soit le cas... " Elle me décocha un sourire méprisant : - " Tu n'as rien à faire. Tends ton cul, ça suffira! " Elle encouragea *** Sultan quelques instants en le masturbant sensuellementet lui caressant les fesses et ses gros testicules qui pendaienthors de *** short. Je compris quelques instants après qu'ellevenait de lui installer un anneau à la base de ses bourses,ce qui le faisait ressembler un peu plus à un chien: - " Tu vois, cette chienne ? Elle est toute à toi, monchéri. Bouffe-lui le cul! " Il avait dû prendre cette injonction au premier degrécar il me mordit vraiment les fesses, puis il me sentit la croupeplutôt bruyamment. J'ai même failli éclater derire quand il éternua deux fois comme un chien qui ******* *** flair. J'avais une vue directe sous la jupe de Dame Claudine accroupieà côté de moi, et sur ses dessous, un boxer-elle aimait décidément les chiens- de dentelle transparenteblanche qui jurait avec *** tailleur austère. J'eus un sursautde peur quand elle braqua brusquement ses yeux dans les miens, maiselle sembla ravie que je m'intéresse à *** intimité: D'une de ses mains élégantes, elle releva un peusa jupe pour mieux l'écarter tout en me fixant, un petitsourire complice aux lèvres. Je ne voyais pas trèsbien, mais cela m'excitait d'autant plus, sans compter les effluvesde sa chaude intimité diffusant à travers la finedentelle et qui me parvenaient par bouffées... Je fus tirée de ma contemplation par les mains de Sultanposées sur mes épaules, suivies immédiatementpar *** sexe qui cherchait maladroitement *** chemin. Il se frottaitun peu partout, et Dame Claudine lui vint en aide, très maternellement: - " Attends, mon Sultan, je vais te la mettre... Attends,calme-toi! " Il ne se laissait pas vraiment faire, et lui grognaitmême dessus... Je ne sais pas si j'aurais appréciébeaucoup s'il s'était agi d'un vrai chien... J'auraistrop peur, et je trouve ça plutôt malsain. Cela dit,si c'est le souhait d'un maître, je crois que je l'accepteraivolontiers, en fin de compte. Et puis, Mélanie l'a bien fait,après tout, pourquoi pas moi... Je m'étais rhabillée et je commençais àme croire définitivement seule -et affamée- quandle bruit du goulot d'une bouteille sur un verre me détrompa.Je pris le parti de risquer un œil sur le côtéd'un paravent et je vis Maître Karl -qui me vit également- lever *** verre dans ma direction. Il était en compagnied'Ombre, assise à cinq chaises de distance, inquièteet contrariée que *** lot soit dépréciéde la sorte. Comme je restais figée derrière mon paravent, ilm'invita cordialement: - " Approche, Alicia ! Viens me tenir compagnie! " Il tira même une chaise pour que je m'asseye à côtéde lui. Je ne me fis pas prier, j'avoue que sa prestance me fascinaitet m'attirait. Ombre, en me voyant lui sourire béatementet m'installer pour un petit moment, s'effondra sur la table, latête dans les bras en poussant un profond soupir. Maître Karl rit: - " La pauvre commence à se désespérer! Si tu avais vu sa tête à chaque nouvelle per***nequi se levait pour aller te voir ! " Je lui glissai un regard charmeur : - " Et vous, maître, êtes-vous venu me voir ? " - " Pas ce soir, mais oui, je t'ai déjà vu nue,et je t'ai prise, aussi... Je t'avouerai que je ne suis pas attirépar les filles comme toi, d'habitude, mais tu dégages unetelle sensualité, une telle féminité... " J'étais profondément flattée. J'ai dûrougir... Il me confia : - " Tu sais, tout était joué d'avance... Toutle monde savait qui j'étais et que j'allais remporter cesenchères bidon ! Enfin, tout le monde sauf Salomé,toi, les soumis et mes pauvres amis Canadiens que j'ai attirésdans ce traquenard...Je m'étais changé en arrivantici en les faisant patienter dans un des bâtiments, àl'entrée du domaine : Je leur avais fait croire que c'étaitune réunion d'œnologues; ils adorent notre vin, Pierredit que ça lui fait mieux sentir le sang françaisqui coule dans ses veines... Comme ils trouvaient ma tenue excentrique -pour le moins dire- je leur ai affirmé que c'étaitl'uniforme de notre confrérie: ils ne m'ont pas cru, biensûr, et ils m'en voulaient un peu de les faire débarquerainsi dans une telle soirée... Ah, J'oubliais tes deuxmaîtresses dans la liste des exclus du secret... La magnifiquerousse, je crois que c'est ta femme ? " Je me gonflai d'orgueil: - " Oui, et j'en suis très fière, bien qu'ellen'ait pas toujours de bonnes manières... " - " En tout cas, elle voulait absolument ma petite Salomé... Tu as vu comme elle s'accrochait ? " Je souris à cette pensée, la revoyant taper du poingsur la table... Il continua : - " Pour revenir à cette soirée... Tout lemonde -ou presque- savait déjà que tu étaisun travesti, bien que ton épouse nous ait expliquéque tu te sentais une vraie fille. " Cette fois, j'étais un peu surprise... C'est vrai quej'avais trouvé un peu gros que per***ne ne s'en rende compteplus tôt, et surtout que Dame Aurore ne semblait pas s'êtreaperçue de la révolte qui grondait... Il continua : " Tout a été prémédité,sauf ça, peut-être... " Il me désigna Ombre du menton qui me souriait timidement.Il plaça sa main devant sa bouche pour ne pas qu'elle puisselire sur ses lèvres : - " Méfie-toi d'elle : Elle est dangereuse, et assezfolle, imprévisible. Un vrai chat sauvage. " Mon estomac se manifesta trivialement, et je m'en excusai : - " Pardonnez-moi, Maître, mais je n'ai pas mangédepuis cet après midi, et il est tard... " Il seleva : - " Tu as rai***... Je vais te laisser te restaurer. Jevais retrouver mes amis au salon, puis j'irai me coucher. J'irairendre visite à Salomé, cette nuit. Au fait, mercipour tout ce que tu as fait pour elle. Tu t'es vraiment surpassée! " Je repensai à cette soirée, et à tous cesdétails qui ne collaient pas... Je me suis tout de mêmebien fait avoir ! Je lui répondis sur un ton certainement trop irrévérencieux,mise en confiance par cette complicité et tous ces men***gesrévélés : - " Mes leçons ne lui ont pas servies à grand-chose,à voir la façon dont vous l'avez déflorée... " Il cria aussitôt, pris d'un accès de colère: - " Sale putain ! Je te fais l'honneur de ma compagnie, ettoi, tu me critiques, moi, un Maître ?! Excuse-toi immédiatement! " Voilà ce qui arrive quand un Maître est trop gentil... Il était très sympathique, mais il savait se fairerespecter le moment venu. Je me jetai à ses genoux, implorante : - " Maître ! Je vous demande humblement de me pardonner! Non, je ne le mérite même pas... Punissez moiselon votre fantaisie ! Je me remets entre vos mains... " Il était grand temps que l'on s'occupe sérieusementde mon éducation, elle laissait vraiment à désirer... J'avais le désir secret qu'il me prenne sur la table, devantOmbre, mais il m'envoya chercher à côté du chevaletde soumission l'ustensile de mon choix pour me punir. Je m'agenouillai devant lui et le lui tendit, la tête baissée: - " Voici, Maître, L'objet de votre plaisir qui m'a causéle plus de tourment. J'espère pouvoir ainsi racheter ma faute... " L'objet en question, long et cylindrique, ressemblait vaguementà une des brosses à cheveux de Carole, mais bien pluslourd et généreusement garni de pointes aux boutsarrondis. Je n'ai pu le sentir qu'une fois sur ma peau, mais jen'ai pas trop apprécié... Maître Karl semblait satisfait : - " Je vois que tu es sincère, petite servante, tu n'aspas choisi le plus facile... Comme tu sembles être redevenuerai***nable, je te laisse également choisir l'endroit leplus douloureux. Sache que j'ai déjà décidéde la façon dont je vais te corriger, je ne retiendrai pasmes coups, quoi que tu choisisses ! - " Merci de me laisser le choix, Maître... " Il me laissa embrasser ses bottes et me releva du pied. J'en avaisprofité pour réfléchir un peu : - " Maître, avec votre respect, j'ai choisi mes fessescomme réceptacle de votre juste châtiment. " Il rit : - " Excellent choix ! Ta Maîtresse Diane m'a confiéque tu adorais ça... Prépare-toi et couche-toisur la table ! " J'ôtai donc ma culotte humide de tant d'assauts, relevaima robe sur mes reins et me frayai une place sur la table pour m'yappuyer, la croupe offerte, prête à recevoir ma punition. Mes fesses s'ouvrirent *********** sous des mains fermes. MaîtreKarl lâcha, sur un ton badin : - " Les autres Maîtres t'ont bien déshonorée,ont dirait... Il est vrai qu'il est très dur de te résister...Vraimenttrès dur ! Tiens tes fesses toi-même. " Il m'empala d'un coup et je poussai un râle de plaisir. Jecroyais que l'abus de pénétrations serait pénible,mais c'était tout l'inverse : il m'en fallait encore plus,encore plus gros, toujours plus profond... Je me surpris mêmeà espérer le phallus monstrueux de Dame Aurore. Le Maître se retirait longuement puis m'embrochait ***********à nouveau, jouissant de la vue de mon orifice béantet affamé. J'adorais être à lui, et je me prisà rêver à d'autres Maîtres bien plus cruels... Soudain, au lieu de la douceur de *** membre que j'accueillaisavec bonheur, je ressentis une terrible douleur qui me contractasur le battoir qu'il venait de m'introduire. Je hurlai, plus deterreur que de douleur. Maître Karl me cracha : - " Alors, ma petite pute, on confond récompense etjuste punition ? Je vais te laisser méditer sur les conséquencesde ta tentative maladroite d'échapper à ton dû... " Il me tordit le bras comme j'essayais de me défaire de monhorrible pal : - " Non ! considère-toi comme entravée. " Je battais l'air de mes bras en de maladroits moulinets qui renversèrentquelques verres. À travers mes larmes, je vis Ombre, lesbras croisés sur la table. Elle attendait, comme on attendle bus. Maître Karl tira une chaise à côté demoi et finit lentement *** verre en m'observant avec un certainplaisir. - " Tu apprécies ton traitement, j'espère... " J'avais envie de lui hurler de m'enlever cette horreur, mais jesavais que c'était bien la dernière chose àfaire. La voix pleine de sanglots, je m'entendis lui répondre: - " Oh oui, Maître ! J'espère que... vous aussi... Vous aimez... " Il laissa tomber, désabusé, une moue de dégoûtau coin des lèvres : - " Même pas... Mais viens plutôt achever ceque tu as commencé, avec ta bouche. Tu ne diras plus de proposdéplacé, ainsi ! " Je fus assez longue à m'installer entre ses cuisses : chaquemouvement était une vraie ******* et je geignait continuellement.Cela retentissait aussi sur la qualité de mon travail, etj'en eu des plaintes de Maître Karl : - " Allons, applique-toi un peu ! Dame Carole nous avait vantétes mérites, mais je crois qu'elle a exagérél'étendue de tes talents ! " Je pris sur moi d'évacuer l'horrible supplice qu'il m'infligeait,me concentrant uniquement sur la fellation gourmande et amoureusequ'il était en droit d'attendre. J'en éprouvais duplaisir également et je sentis m'ouvrir un peu, libérantla pression des épines sur ma peau si tendre à cetendroit... Des talons aiguilles claquant sur se parquet se rapprochèrent: - " Maître Karl ? Vous êtes encore ici ? " C'était la voix de Dame Aurore, embarrassée. Le Maîtreémit un grognement, et les talons se rapprochèrent: - " Ah oui, vous êtes là... J'étaisvenue vous dire que la suite est provisoirement compromise. Desproblèmes techniques... " Maître Karl semblait contrarié. Moi qui étaissur le point de le satisfaire... - " Cela sera fait demain matin ? " - " Demain, oui, certainement, comptez sur moi. Vous voudrezy assister, je présume ? " - " Non. Que ce soit fait. Et bien fait, selon mes exigences.Vous n'avez pas le droit à l'erreur. " - " J'en suis pleinement consciente. Vous nous retrouverezau salon, quand vous en aurez terminé avec elle ? " Elle parlait bien sûr de moi... - " Attendez-moi, j'aurai peut-être besoin de vos services."
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chrislebo
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Dame aurore s'accroupit -j'entendis craquer ses articulation- poureffleurer douloureusement le manche de mon battoir qui dépassaitsous ma robe : - " Mmm... Elle doit souffrir terriblement ! Elle a dûvous manquer de respect pour vous pousser à lui infligerça... " Maître Karl se vida enfin dans ma bouche avec satisfactionet reprit ses esprits : - " Oui... Elle n'a pas apprécié la façondont j'ai honoré mon épouse et a cru bon de me lefaire savoir... Vous pourrez lui enlever ? Je crains d'êtremaladroit... " - " Vous ne semblez pas familier de ce genre d'outil... Quand on sait s'y prendre, c'est très aisé !... Mais... Comment donc l'avez-vous mis ? " - " Comme ça... Elle était ouverte en grand,attendant *** plaisir, cette petite truie inconsciente... " Dame Aurore poussa un cri horrifié : - " Mon Dieu ! Mais ce n'est pas comme ça qu'on l'installe! Je vous expliquerai une autre fois. " Il se rhabilla : - " Je suis encore un jeune Maître, vous savez... J'ai soif d'apprendre. Alicia, relève toi ! " Je me relevai tant bien que mal, la contraction de mes fesses amplifiantterriblement la douleur. J'étais un peu trop recroquevillée à *** goûtet il me cria en me secouant par un bras : - " Allons, tiens-toi droite ! J'aime qu'une femme se tiennedroite devant moi. D'ailleurs, Dame Aurore, grâce àvous, je vais pouvoir à présent inculquer cette règleà mon épouse, et dès cette nuit ! " Maître Karl se rassit devant moi, amusé, et me fitd'une voix câline : - " Tiens, puisque tu m'as bien donné du plaisir, jet'ordonne d'en prendre aussi. En tout cas, Dame Carole avait rai***,tu suces comme une vieille pute édentée ! " Du plaisir ? Mais je voulais surtout ne plus souffrir ! Comme je ne répondais rien, Dame Aurore me décochaune bourrade à l'épaule : - " Répond à ton Maître ! " Je pleurais, je voulais tant être dans les bras réconfortantsde Carole... - " Bien, Maître... " Je ne pus dire que cela et me masturbai laborieusement en serrantles dents. Mon sexe était inutilisable, et je devais montrerun spectacle bien pitoyable. Dame Aurore, qui pressentait que cela risquait de durer longtemps,attira *** pair derrière moi : - " Venez, Maître Karl, je vous montre... Vous dévissezl'embout muni d'un anneau -oui, ça peut servir à contraindreles soumis rebelles, comme cette folle, là bas- ensuite voustirez, l'âme du manche sort et les picots se rétractent.Bon, c'est toujours un peu douloureux à retirer, mais aumoins, vous ne ******** pas. Je vous attends, mais prenez tout votretemps... " Les talons s'éloignèrent et Maître Karl serassit, se servant un nouveau verre de brandy : - " Tu n'es pas très obéissante... Tu refusesde prendre le plaisir que je t'ordonne de prendre ?! " Je pleurais et sursautais souvent en sentant les picots bien ancrésen moi : Comment allait-on me soulager de cette abomination ? jene voyais qu'une douleur encore bien plus atroce... Ou la mort. - " Je suis désolé, Maître, mais je souffretrop... Je n'en peux plus. Pitié... " Il me frappa la cuisse : - " La pitié s'implore à genoux ! Et reste biendroite ! Tous le temps ! N'oublie jamais ça quand tu serassous mon toit ! " Je m'agenouillai donc en tremblant de douleur, m'appuyant au rebordde sa chaise pour ne pas tomber. Le manche de mon battoir ou deje ne sais quoi toucha le sol et m'arracha un cri. Je renouvelai ma supplique, en larmes : - " Pitié, Maître ! libérez-moi ! " Il me tapota la joue et goûta lentement mes larmes du boutdu doigt : - " Tu sais pourquoi je te fais ça ? " - " Pour me punir... " Il me reprit en me giflant : - " Maître ! " - " Pour me punir, Maître... " - " Et de quoi, petite truie ? " - " ...D'avoir été insolente, de vous avoircritiqué... " - " Non, Alicia... " Même en ces circonstances, je ne pus m'empêcher depenser que le ton lent et doucereux qu'il employait avec moi m'évoquaitcelui de l'ordinateur de " 2001 l'odyssée de l'espace" HAL 9000 -pardon pour la référence cinématographique... Cela m'exaspérait d'autant plus que je manquais de tournerde l'œil. - " Je ne vois pas pourquoi, Maître... " - " Allons, je te l'ai dit, quand je t'ai offert le jouet quetu as choisi toi-même... " Je n'avais plus les idées très claires, et pris quelquesinstants pour répondre : - " C'est parce que je vous ai menti, Maître. Mes fesses,c'est l'endroit que je préfère. " Il soupira profondément et continua sur le même tonlancinant : - " Voilà qui est mieux... Tu es donc conscienteque tu méritais d'être punie aussi pour ça ?" Je compris aussi que ses questions sans fin procédaientégalement de la ******* : - " Oui, Maître, j'en suis consciente. " - " Tu estimes avoir été assez punie pour ça? " - Oui, Maître, sauf votre respect... " Il reprit sa voix ordinaire que j'aimais tant : - " Bien ! Voilà pour cette faute-là. Àprésent, revenons sur l'incident qui m'a fait te punir :comme je sais par tes Maîtresses que c'est là ton jouetpréféré, tu vas aller me chercher la cravache,là-bas, et tu me demanderas de te frapper où tu estimesque cela te fera le plus mal. Mais demande-le moi comme si c'étaitune faveur spéciale, mets-y tout ton charme... Tu as compris? Il faut que tu me donnes envie de te corriger. " - " Oui, Maître. J'espère ne plus vous décevoir... " Je me relevai, droite comme ces apprenties mannequins qui marchentavec une pile de livre sur la tête, et allai quérirà petits pas la cravache, là-bas, si loin... Une éternité à pleurer et à serrerles dents. À mon passage, Ombre, toujours les bras croisés,me jeta un petit sourire interrogateur qui semblait me demandersi j'en avais encore pour longtemps... Maître Karl m'attendait, les bras croisés également,jouissant visiblement du spectacle que je lui offrais. Je ravalaimes pleurs et m'efforçai de paraître très langoureuse: - " Maître Karl, je suis désolée de vousimportuner, mais j'aurais quelque chose à vous demander... " Comme moi, il jouait la comédie : - " Ah oui ? Et quoi donc, ma petite ? " - " Vous me feriez un très grand honneur si vous vouliezm'honorer de vos coups... Vous êtes un Maître trèsséduisant, et j'aimerai beaucoup que vous leviez la mainsur moi... Pardonnez mon audace, Maître... " - " Bien, j'y consens... Dis m'en plus sur tes désirsecrets, ma jolie. " Je sanglotai de plus belle, mais tentai de garder le mêmeton enjôleur : - " J'aimerais beaucoup que vous me frappiez très fortsur le sexe... Aussi longtemps que vous voudrez... Mais enlevezmoi ça, par pitié !!! " Il se leva, satisfait, et fit mine d'ignorer ma détresse: - " Eh bien c'est d'accord ! Mais je ne t'enlèveraipas ton " héris*** " tout de suite, ton plaisirn'attend pas ! Maître Karl me fit relever ma robe bien haut et écarterles cuisses pour me frapper à de nombreuses reprises de basen haut, effleurant douloureusement au passage l'objet monstrueuxqui me ravageait les entrailles. Il s'arrêta pour me demander : - " Tu aimes ton traitement, je te frappe assez fort ? " J'articulai avec peine : - " Oui, Maître, mais libérez-moi, je vous ensupplie !... " - " Bien sûr... Mais comme tu as ététrès gentille et que tu m'as bien fait plaisir, agenouille-toidevant la chaise et pose-y bien tout ce qu'une jolie fille commetoi ne devrait pas avoir... " Je m'appliquai à lui obéir en tout point : lui seulpouvait mettre fin à mes souffrances, même au prixd'autres aussi terribles... Je fis donc reposer mon sexe et mes testicules sur le rebord dela chaise, me tenant aussi droite que je le pouvais. MaîtreKarl posa sa botte sur l'assise et me dit froidement : - " Ne bouge pas : je recommencerai autant de fois qu'il lefaudra. " Et il m'écrasa lentement de la pointe de sa botte en tournant,comme on écrase un mégot de cigarette. Curieusement, malgré cet océan de douleur dans lequelje surnageais, j'en ressentis un profond plaisir quelque part dansmon ventre. Je devais manquer d'entraînement, mes Maîtressesavaient été jusqu'alors plutôt douces avec moi... Voyant qu'il m'avait enfin domptée, il reprit la cravacheet m'en assena de nombreux coups sur mon petit membre bien humideà présent. Il cessa et me fit mettre de nouveau à plat ventre sur latable. Je grimaçai en le sentant agiter et manipuler ce quej'avais pris naïvement pour un vulgaire battoir - j'avais apprisà mes dépens que c'en était égalementun- mais je ressentis soudain un grand soulagement : les pointesavaient cessé de me *******r... Enfin presque : Ellesne rentraient pas à fond. Maître Karl finit de me libérer assez douloureusement,comme promis par Dame Aurore, et je m'effondrai à ses piedsque je baisai, en larmes : - " Oh merci, Maître, merci de m'éduquer si bien! " Il rit : - " Que penses-tu de la... des déflorations de monépouse, à présent ? " La douleur insoutenable disparue, ne restait qu'un immense plaisir,une ivresse que ne connaissent que ceux qui savent de quoi je parle: - " Vous avez été parfait ! Vous lui avez apposévotre sévère empreinte de Maître au plus profondd'elle-même, par toutes ses bouches qui vous réclamerontsans trêve ! Ne prenez pas cela comme un affront, mais jel'envie terriblement, ma petite Maîtresse, d'avoir un Maîtretel que vous... " Sans un mot, le sourire aux lèvres, il me remit gentimentma culotte et me pris sur ses genoux comme il l'avait fait plustôt : - " Tu vois, j'ai fait ça pour que tu comprennes queje suis un bon Maître, et que je voue ma vie à monépouse, ma princesse, ma chienne, ma reine, mon esclave soumise... Qui elle, voue sa vie à *** Maître. Et c'est égalementpour te dire à quel point tu es appréciée parceux qui te rencontrent, et à quel point je t'attends chezmoi. " Il m'embrassa et me serra si fort dans ses bras que j'en fus transportéede bonheur. Il rajouta : - " Ne parle surtout pas de ce que je viens de te faire àSalomé. Cela ne la concerne pas, pour l'instant du moins.Au fait, pour répondre à la remarque qui t'a coûtéquelques désagréments, je ne suis pas de ton avis: ma Salomé m'a très bien accueilli, grâce àtoi, et tes leçons nous seront profitables de longues années.Tu viendras terminer *** éducation sexuelle chez nous, et,cette fois, tu pourras jouir intégralement d'elle, sans réserve." L'idée ******* de ma petite Salomé sans modérationme transporta de joie : - " Oh merci, Maître, c'est un immense honneur. Mais... Pardonnez mon audace, mais il me semble que ce serait à vousde profiter d'elle, à présent qu'elle vous est touteouverte... " Il me sourit : - " En effet... mais je veux qu'elle soit parfaite le jouroù je déciderai qu'elle sera digne de me donner duplaisir, et ce n'est pas mon rôle de lui enseigner ces choses.Je jouis autrement plus de la tourmenter, et ses orifices sensibles***t un terrain béni pour moi... Bien, je te laisse, jesuis attendu. " Une fois *** fardeau reposé au sol, il sortit de sa nobledémarche, sans un regard pour nous deux. Je restai un moment immobile, toujours surveillée par Ombrequi avait plutôt l'air d'une gentille fille, un peu simplettecomme la petite servante qui est allée passer un week-endchez un antiquaire aigri... Je me baissai -toujours bien droite- pour ramasser l'objet de mestourments afin de l'examiner de plus près : *** mécanisme,quoique très simple était très ingénieux,et les picots étaient bien moins agressifs que je ne l'avaiscru lorsque qu'il était en moi. Une vague de désir sur mes reins me fit frémir àcette pensée : Je ne savais vraiment pas ce que je voulais! Je le nettoyai soigneusement et le remis en place, chantonnantgaiement l'air de " Dominique " Puis allai m'asseoir sagement,bien droite sur ma chaise à côté d'Ombre, toujoursà attendre.
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chrislebo
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Après plusieurs minutes, trouvant le temps bien long, jeme relevai. J'ignorais si j'avais le droit de manger, mais je finispar aller fouiner en cuisine et Ombre se retrouva derrièremoi, sans un bruit. Elle porte bien *** nom... Il restait du gâteau, aussi je lui en coupai une part, pluspour m'en débarrasser que pour lui être agréable: elle me rendait nerveuse, à me coller de si près... Elle battit des mains de plaisir à ma délicate attention,mais elle refusa d'aller m'attendre à table. Pour ma part,me sentant coupable d'une telle initiative, je me contentai de quelquesreliefs de repas des Maîtres pris dans leurs assiettes empiléessur la desserte : des os de côtelettes à ronger, desmorceaux de pain souillés et quelques légumes... Ombre semblait vouloir me parler, et je commençais àregretter de ne pas avoir appris le langage des signes. Et Dieusait si j'ai appris une foule de choses aussi insolites qu'inutiles... À vrai dire, j'avais commencé pendant quelques semainesdans un bouquin, -inspiré par un épisode de "La petite mai*** dans la prairie ", mais sans interlocuteur,je me suis vite arrêté... J'ai quand même quelquesrestes. Au fur et à mesure que le temps passait, Ombre se montraitde plus en plus pressante et ne me quittait pas des yeux. Elle avaitposé sa main sur la mienne et ne me lâchait pas. Elle finit rapidement *** gâteau et fouilla dans *** petitsac à main qu'elle finit par retourner sur la table : desbonbons, du maquillage, des préservatifs, des mouchoirs,un petit tube de lubrifiant, un tampon, de la monnaie et quelquesbillets de banque. Elle rassembla soigneusement *** argent puiscompta et recompta laborieusement sa petite fortune. Elle finit par le pousser vers moi d'un air malheureux et pleind'espoir. Je compris qu'elle n'avait pas assez : un peu plus detrente euros, à vue de nez... Loin des cinquante eurosde l'enchère. Je fis glisser l'argent dans la poche de mon tablier en lui souriant,et elle m'en rendit un immense, lumineux : elle savait qu'elle avaitbeaucoup de chance que j'accepte *** obole... Elle me parla beaucoup en me faisant moult signes, ce que je compriscomme étant des compliments et des propositions indécentes.J'étais un peu malheureuse de ne pas comprendre le quartde ce qu'elle me disait... Elle, par contre, me comprenait fortbien en lisant sur mes lèvres, pour peu que je ne mastiquaispas en parlant. J'ai ainsi appris qu'elle n'entendait que du bruit,mais ne comprenait pas. Comme je lui demandai des nouvelles de ***maître, elle émit pour toute réponse un ***trivial avec sa bouche, accompagné d'un haussement d'épaules:cela ne devait pas la préoccuper beaucoup... Elle riten me désignant la place où trônait Dame Auroreet me fit un geste obscène en faisant coulisser un indexdans l'autre, refermé en un cercle. Je ne croyais pas quece soit le cas. Quoique... Mon repas à peine expédié, elle me tira parla main en me demandant ma chambre -elle avait fait signe de vouloirdormir en appliquant ses deux mains à plat sur sa joue inclinée.Enfin, s'allonger, plutôt. En passant dans le hall, j'entendisplusieurs per***nes discuter au salon : je suppose que tous lesinvités devaient s'y trouver... Je la guidai à travers les longs couloirs et les escaliers,la tenant par la main. Arrivées à quelques mètresde ma mansarde, elle me lâcha et me précédapour se laisser tomber sur ma miteuse paillasse comme s'il s'agissaitd'un bon lit mœlleux. Elle me sourit, amusée: - " C'est mon lit ! " J'ôtai ma robe et m'allongeai à ses côtéssur l'étroit matelas. Ombre se jeta sur moi et m'embrassafurieusement en me mordant les lèvres et le cou. Je me rendisvite compte que plus j'évitais ses coups de dents, plus ellemordait fort. Je pris donc mon parti de subir stoïquement sesmorsures, dans la mesure du supportable. Elle se défit rapidement de ses vêtements, ne gardantque sa petite culotte de coton : elle était plutôtmaigre, je pouvais voir ses côtes jouer sous sa peau clairequi ne devait pas voir souvent le soleil. Elle ne portait pas desoutien gorge, ses petits seins en forme de citrons étaientlibres. Ombre revint à l'attaque en m'arrachant mon soutien gorge; elle fut un peu surprise de découvrir qu'il étaitpassablement rembourré mais s'empressa de l'essayer sur elle.Il était trop grand: Ombre était assez fluette, dugenre Olive, la fiancée de Popeye, mais plus petite -surtoutles pieds... Elle s'admirait dans la glace -plutôt le morceaude miroir- caressant sa poitrine subitement devenue plus conséquentesous tous les angles. Elle me dit quelque chose en souriant. Jelui souris en retour, mais je n'avais pas compris. Je crois qu'elles'aimait bien comme ça... Ma cliente se coucha sur moi et entreprit de m'embrasser les seins,et, bien sûr, de me mordre les tétons. Je gémissaisde plus en plus fort, mais je la laissais faire. Jusqu'àce que cela devint insoutenable. Là, je la serrai fort contremoi et l'attirai contre ma bouche pour l'embrasser tendrement dansle cou : je ne voulais ni la brusquer ni me rebeller, je sentaisconfusément qu'elle risquait de devenir déchaînéesi je la contrariais. Ombre ôta ma culotte et fit la moue : elle me tendit sa main,le pouce et l'index assez rapprochés pour me signifier qu'elles'attendait à plus conséquent. Je lui répondisavec une mine de chien battu : - " Eh oui, je suis désolée... Je suis commema maman m'a faite. Je suis obligée de faire avec, mais jete promets de te donner tout le plaisir que je peux. Tu as payé,tu es en droit de le réclamer. " Elle hocha la tête en m'adressant un sourire carnassier etse jeta sur mon sexe. Elle me mordilla du bout des dents et me léchaabondamment. C'était la première fois que je subissaisun tel traitement, somme toute assez agréable, bien que celaressemblait assez aux débuts de Chloé avec moi. Jerestais toutefois assez crispée, elle avait la morsure facile... Elle avait d'ailleurs commencé à prendre mes testiculesdans sa bouche et à tirer dessus. Je sais bien qu'il étaitprévu qu'on m'en soulage, mais pas de cette façon!...
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chrislebo
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VIVISECTION... HALTE! (extraits) Ombre, tendrement blottie contre moi, me caressait rêveusement un seinlorsque la porte s'ouvrit d'un coup sur Firmin, furieux et visiblement surprisde la trouver dans mes bras. Il devait pourtant savoir qu'elle m'avait louéepour la nuit... Il la traita horriblement en hurlant : - " Qu'est ce que tu fous là, saloperie ?! Dégage, salope! " En une seconde, il l'avait arrachée à moi et jetée dansle couloir à coups de pied, suivie de ses vêtements en boule. Jela vis pourtant me sourire tendrement et esquisser une parole, apparemment insensibleà tant de ********** avant que Firmin ne claque la porte sur elle: - " Je t'ai... " Il se laissa tomber sur mon unique chaise bancale qui menaça de s'effondreret me tendit mon nécessaire de toilette qu'il venait me rapporter: - " Je ne peux pas la sentir, cette garce ! Un vrai fauve ! J'ai beau lafrapper et la frapper encore, elle continue à mordre. En plus, c'estune caractérielle: à la moindre contrariété, ellepique une crise, elle casse tout et frappe tout le monde. Je suis étonnéque Dame Aurore t'ait laissée dans ses griffes. " - " Ne vous inquiétez pas, ça c'est assez bien passé.Elle a bien fait ce que vous dites, mais j'ai réussi à l'amadouer.Quand vous êtes entré, elle était sagement couchéedans mes bras...L'amour, il n'y a que ça de vrai ! Au fait, vous êtesvenu pour votre petit câlin du matin? " Je me sentais d'humeur badine, pour une fois... Il sourit et me rejoignitsur ma couche : - " Pas spécialement, mais puisque tu insistes... " Il fit la grimace en m'embrassant: - " Tu pues la moule de cette petite pute... " Je ne me laissai pas démonter et lui demandai en souriant: - " Vous connaissez la différence entre une moule et un pull-over* ? " Firmin m'accompagna jusqu'à la pièce dans laquelle Saloméétait enfermée depuis quelques jours. Nous l'avons trouvéeallongée sur sa paillasse, les mains toujours liées à lapotence. Firmin souriait, satisfait de la voir encore entravée malgréque *** épreuve se soit déjà terminée la veille.Elle avait encore été battue, et sa cuisse portait toujours latrace de *** sang virginal, sombre et séché à présent.:Il la libéra et je l'aidai à se relever : Elle avait toujours*** épais collier de cuir clouté, mais plus les pinces qui l'accablaient. - " Debout, ma belle... ça va ? " Salomé se plaint aussitôt : - " Aïe... Va doucement, je dois me tenir droite. C'est la volontéde mon Maître, et il m'a offert un bijou pour m'y aider. " Je pris donc quelques précautions pour la soutenir, en me demandantde quoi elle parlait... Elle me sourit, un peu vaseuse : - " Oui... ça y est, je suis *** épouse à partentière, à présent. Je suis heureuse d'avoir pu respecterma promesse faite à mon maître, de m'offrir selon sa volonté... " Elle jeta un œil dégouté sur *** intimité rougie: - " Je prendrais bien une douche, maintenant... " Firmin lui tendit un grand peignoir de tissu éponge pris dans un desplacards : - " Et même un bain, si vous le désirez. Mais avant, un copieuxpetit déjeuner vous attend en cuisine. " Elle serra les lèvres et fixa *** petit seau hygiénique avec insistance: Comme je le disais, un petit déjeuner nous attendait, mais un seul.Salomé, guidée par *** estomac désormais vide s'assit devantet commença aussitôt à manger. Elle s'arrêta et demandaà la maîtresse de mai*** : - " Et Alicia ? On doit partager notre déjeuner ? " Dame Aurore arbora un sourire énigmatique: - " Alicia n'a droit qu'à un petit verre d'eau. Tout est pour toi,Salomé. Mange, ma chérie, tu dois reprendre des ****** ! " Je bus tristement mon verre d'eau plate et tiède en m'interrogeant surla rai*** de cette punition -ma nuit avec Ombre ?- tout en me réjouissantpour Salomé, radieuse. Dame Aurore recueillit nos impressions et s'amusaà nous révéler quelques petits secrets: - " Alors, Salomé, tu as apprécié tes dépucelages? " - " Oui Madame, mais j'aurais pleinement apprécié si j'avaissu à qui j'avais vraiment affaire... " - " Ça, c'était pour tester ta soumission et pour assurerle spectacle. Nous sommes assez friands de ce genre de mise en scène,tu sais... " - " Cela ne m'étonne pas... Mais pourquoi toute cette mascarade? L'avoir fait parler anglais ? " - " Pour plusieurs rai***s : pour le spectacle, donc, pour ren*****r lacrédibilité de ce Lord Lyndon si énigmatique -et si britannique- et pour que tu entendes le moins possible le *** de sa voix. Comme Dame Carolenous a dit qu'Alicia parlait couramment anglais dans *** travail, çanous a donné l'idée de l'utiliser comme interprète... " Salomé se rembrunit : - " Et l'argent ? Il va vraiment aller à mon... amie ? " Dame Aurore lui sourit en secouant la tête: - " Mais non, ça aussi faisait partie de la mise en scène!Maître Karl n'a juste réglé que ma petite note... Uneépreuve de plus, que tu as brillamment remportée : peu de fillesauraient eu ce cran et cette abnégation... Bravo. Sincèrement... D'ailleurs, elle t'aime beaucoup, elle aussi. Il parait que vous aviez eu uneaventure, toutes les deux ? " Ma petite Maîtresse semblait gênée: - " Ah ? Elle vous a raconté ça ? Oui, j'avoue que nous avonseu un moment d'égarement dans les vestiaires, une fois... Pourquoi? " - " Parce qu'elle va faire partie de ton quotidien, à présent: Elle est toujours amoureuse de toi et a trouvé ce moyen pour s'immiscerdans ta vie. Elle n'a pas encore décidé de la place qu'elle tientà occuper dans votre couple, encore, mais sache qu'elle souffrait dete faire tant de peine... " Salomé lâcha, un peu amère : - " Je ne sais pas si elle souffrait quand mon Maître la faisaitcrier sur mon lit de noces... " J'allais accompagner ma petite maîtresse, mais Dame Aurore me retintle bras de sa poigne de fer : - " Attends un peu, toi, nous avons à parler... " Firmin, restéen retrait jusqu'à cet instant, s'avança et lui glissa quelquesmots à *** oreille. Elle blêmit et lui fit, visiblement contrarié: - " Bon sang, je l'avais oubliée, celle-là ! Alors ? " - " Alicia s'en est bien tirée... " Elle se fit menaçante : - " C'était ton travail de la surveiller ! Tu cumules les bourdes,en ce moment ! Il faudra que je te punisse pour ça aussi... " Il s'écrasa comme une carpette : - " Oui maîtresse. Pardon, maîtresse. Je vous promets d'êtreplus vigilant à l'avenir. " - " Et où est-elle à présent ? " Il bafouillait : - " Je... Je ne sais pas. Je l'ai mise à la porte de sa chambre,et elle a disparu... " Dame Aurore soupira : - " Encore une boulette... J'espère qu'elle ne va rien casser,cette fois. Trouve-là et appelle *** mari qu'il vienne la chercher. Exécution! " Elle avait crié, et Firmin, tremblant, disparut. Elle se radoucit : - " Je suis désolée, tout a été de travers,cette fois. Tu l'as échappé belle, tu sais! Elle aurait pu temutiler... De plus, elle n'a même pas réglé *** enchère... Je ne croyais pas qu'elle irait jusqu'à réclamer *** lot, pourmoi, c'était du chiqué, mais j'avais oublié que ce n'étaitpas le cas pour elle, comme elle n'avait pas été mise dans laconfidence... À moins que... " Elle fixait d'un air soupçonneux ma main qui palpait nerveusement l'argentd'Ombre: - " Dis moi, tu n'as rien à me donner ? " Je réfléchis quelques instants et fouillai dans ma poche : - " Si, Maîtresse ! Ombre m'a donné le montant de l'enchère.Enfin elle n'avait pas assez... " Elle prit un air redoutable et congédia cavalièrement Saloméqui m'attendait encore en écoutant notre conversation avec un intérêtévident: - " Madame, je ne vous retiens pas ! " Dès que ma petite maitresse eut quitté la pièce avec unregard inquiet pour moi, Dame aurore se saisit de la trique en bambou qui n'étaitjamais loin et m'en frappa violemment les cuisses: - " Petite salope ! Tu voulais me voler mon dû ?! Donne-moi ça! " Je lui tendis fébrilement ma poignée de billets et de pièces,mais elle continuait à me fixer d'un air soupçonneux : - " Il en manque ! " - " Je suis désolée, elle n'avait que ça... " Elle soupira, fatiguée : - " Tu n'aurais pas dû accepter. On ne négocie pas avec unesoumise, et ce n'est pas à toi d'être payée. " - " Pardonnez mon audace, Maîtresse, mais est-ce bien important,si c'était une enchère factice ? " Elle me frappa de nouveau et cria: - " Oui ! Elle a cessée d'être factice au moment oùtu as acceptée d'être payée !... Allez, va rejoindre Salomé.J'aurai ma vengeance plus tard... " Je quittai la pièce rapidement : Elle était parti à rire,d'un rire de psychopathe. J'espérais qu'elle jouait encore la comédie... Firmin lui avait enlevé *** collier pour le préserver de l'humidité,et il avait laissé là nos petites affaires, cette fois : il devaiten avoir un peu marre de faire la navette... Salomé n'avait pas besoin de maquillage pour être belle, maisce n'était pas mon cas, aussi je pris bien garde de ne pas l'abîmer.Il avait une grande tenue à l'eau, mais il y a des limites... Ma Maîtresse se tourna en sortant du bain et me présenta ses fesses: - " Tu as vu le beau cadeau de mon Maître ? C'est pour me remercierde l'avoir si bien servi : c'est ça qui me ***** à rester biendroite... " Elle me désignait une espèce de tige dorée, plaquéeentre ses fesses et fixée à sa ceinture permanente par un fermoirtrès serré. - " Firmin m'a dit que ça s'appelait un crochet anal. En principe,il est relié à mon collier par une chaîne bien tendue... " Elle semblait beaucoup apprécier cette ******* continue, et je me surprisà l'envier... Salomé ayant revêtu une jupe et un chemisier, je la maquillai,la parai de ses bijoux et la coiffai longuement: j'adorais ses beaux cheveuxnoir et brillants, légèrement ondulés. Elle rit quand jeplongeai mon nez dedans pour respirer leur bonne odeur : - " Tu es amoureuse de moi, toi aussi ? J'aimerai bien que tu sois ma bonne... Ma bonne à tout faire, si tu vois ce que je veux dire... " Un fris*** parcourut mes reins : - " Oui, Madame... Ce serait un grand honneur, mais j'ai dû déclinerune offre identique, déjà... " Firmin arriva sur ces entrefaites, l'air contrarié. Je le titillai unpeu: - " Alors, cette chasse au fauve ? Ça a mordu ? " Il serra les lèvres : - " Je ne sais pas où elle est passée, cette tarée.Elle connaît bien la mai***, on risque de la chercher un moment... Sinon, je suis venu vous chercher pour votre marquage. Si vous êtes prête... " Je portai le sac de Salomé jusque dans le hall où attendait sagementOmbre, assise sur le banc de bois en compagnie de Dame Aurore qui gardait un œil sur elle: la voiture de Maître Christian venait juste de s'engagerdans l'allée, elle allait bientôt partir. Elle me sauta au couet m'embrassa en me serrant très fort: elle m'aimait vraiment bien... Et elle sentait le gâteau de la veille : elle devait être dans lacuisine à finir les restes quand les maîtres des lieux la cherchaient... Ombre posa la main sur *** cœur et la tendit vers moi. Je lui répondis: - " Moi aussi, je t'aime. Tu es une gentille fille, quand on sait te prendre... " Firmin coupa court à nos effusions et nous poussa dans la salle danslaquelle avait eu lieu la soirée d'hier: rien n'avait bougé, lagrande table n'avait pas été encore débarrassée.Une vague de plaisir me parcourut en regardant le coin de la table dégagé,et les verres renversés... Comme j'espérais revivre un telmoment ! Il nous guida jusqu'au chevalet de *******, derrière les paravents,et je notai la présence d'une petite lampe à souder, d'une trousseà pharmacie et de ce que je compris être des fers à marquersur une desserte... Nous y voilà : ils ne plaisantaient donc pas avecça... Je recommençai à envisager de nouveau la réalitéde ma castration avec angoisse. Firmin inspecta ostensiblement *** matériel et nous le brandit sousle nez : - " À la première de ces dames... " Après un bref échange de regards, Salomé se dévouad'un air décidé : - " Je commence! Il me tarde de porter le nom de mon maître adorégravé dans ma chair ! " Elle était encore meilleure comédienne que moi: elle devait êtrevraiment sincère... Elle ôta sa jupe et sa culotte à la demande de Firmin et s'installasur le chevalet, allongée sur le dos. Il la brida énergiquementpar de larges sangles et essaya de bouger *** bassin avec ***** pour éprouverles entraves. Satisfait, il se recula et attendit. Dame Aurore ne tarda pas à nous rejoindre, exaspérée : - " Ça y est, nous voilà débarrassés de lapetite furie. Elle était juste partie prendre une douche et manger unmorceau avant d'aller attendre sur le banc comme elle fait d'habitude...Laprochaine fois, je la soignerai bien: je l'enfermerai avec cinq ou six de mesplus cruels clients. Elle qui aime se faire posséder par plusieurs hommesà la fois, elle me fichera la paix, cette fois... Et ça nousrapportera plus. " Elle soupira en regardant nos anatomies: - " Tu as encore oublié quelque chose... Tu aurais pu faire lesrepères, en m'attendant !... Tu vieillis, mon cher !... Tiens, tu filmerasla scène, que nos amis puissent en profiter quand même. Et applique-toi,cette fois !" Elle lui tendit un petit caméscope sur un trépied qu'il s'empressade mettre en place. À nous, pendant que Firmin s'était saisi d'uncrayon noir et traçait des traits avec application sur nos pubis : - " Cette soirée, c'était vraiment n'importe quoi : vousauriez dû être marquées en public, hier soir, c'est un spectacletrès apprécié, et plutôt rare. Maître Karll'avait demandé pour toi, Salomé, et c'est ce qui a donnél'idée à tes maîtresses, Alicia. Seulement, Cet incapablede Firmin avait égaré la lampe à souder et s'étaitrendu compte un peu tard que nous n'avions pas de lettre K... " Il se défendit, vexé : - " Pour la lettre, je suis d'accord, mais la lampe à souder, jel'avais prêtée à Dame Carole pour qu'elle nous fasse sacrème brûlée -délicieuse, du reste- et elle a vidéla cartouche de gaz. J'ai passé presque toute la nuit pendant que vouspatientiez en vain au salon à chercher les cartouches de rechange -çafaisait des années que j'en avais pas changée- et à fairecette satané lettre K. Au fait, elle vous plait, Madame? J'ai essayéde garder le style, ça faisait longtemps que je n'en avais pas fait... " Dame Aurore s'en saisit, la contempla un moment et l'appliqua fermement surle ventre de Salomé. Elle apprécia l'empreinte exsangue laisséesur sa peau en hochant la tête: - " Oui, ça m'a l'air bien... Fais chauffer. " La suite se passa presque sans un mot, quasi religieusement. Je voyais la lettreM, d'une jolie calligraphie, rougir de plus en plus au bout de la petite lampeà souder. Salomé, sereine, le visage affichant une ferme détermination,attendait *** supplice. Dame Aurore empoigna fermement la lampe, coupa le gazet me fit signe : - " Prends-la dans tes bras, tu apprécieras, ton tour venu. "J'avais à peine enlacé *** beau visage qu'elle se mit àhurler d'une voix déchirante, dans une odeur épouvantable de cornebrûlée. Moi qui m'était attendu à une bonne odeurde grillade...Par contre, aucun bruit, contrairement à ce que je croyais. Elle pleurait encore lorsque elle reçut la lettre K sur le côtédroit de *** pubis. Une fois marquée et le résultat agréépar ses deux bourreaux, Firmin lui appliqua une pommade antiseptique et anesthésiante,couverte d'un grand pansement. Il la détacha et l'aida galamment àse relever: - " Voilà, Madame, votre calvaire est terminé. Vous êtesdésormais la propriété incontestée de MaîtreKarl. " Dame Aurore compléta d'un ton sévère: - " Tu sais ce que cela signifie, n'est-ce pas ? "
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chrislebo
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Salomé se rhabillait, grimaçant en remontant sa culotte : - " Oui Maîtresse. J'obéis à mon maître en tout,tout ce qu'il décidera pour moi sera bien. " Elle sourit : - " Oui, c'est à peu près ça... Puisse-tu t'imprégnertotalement de tes propres paroles et de leur portée... Allez, Alicia,à toi. " Je m'installai sur le chevalet, dans un état second, essayant d'imaginerla douleur à venir pour mieux pouvoir la supporter. Une fois sangléeet complètement immobilisée, Salomé vint me caresser levisage : - " C'est pas si terrible, tu sais... Je crois que je me suis un peulaissée aller... Pense au bonheur de porter les initiales de ta Maîtressedans ta chair, dans un endroit aussi intime! " Oui, quel bonheur de me faire défigurer le frifri au fer rouge... Dame Aurore me sourit d'un air ingénu : - " Tu as de la chance, toi, tu auras trois lettres : deux D et un C, lesprénoms de tes maîtres et maîtresses. " Je tentai timidement : - " Heu... Vous ne pourriez pas ne mettre qu'un D ? Ça fait doubleemploi, je trouve... " Elle secoua la tête en émettant un petit bruit de bouche : - " Ttt... Ttt... Ttt... Pas question, c'est la volontéde tes maîtres. Par contre, tu as le choix de l'ordre des lettres... DCD, ça te va ? " - " Ah non! Ça fait " décédé ", c'estun peu définitif, je trouve. " Elle semblait déçue : - " Ah? Je trouvais ça joli, graphiquement, bien symétrique...Le C de Carole pris en sandwich entre le D de Denis et le D de Diane, je trouveen plus que ça colle à la réalité, d'aprèsce qu'elle m'a raconté de ses ébats... Elle ne s'ennuie pas,la coquine !... Et CDD, ça te plairait plus ? " Je secouai la tête, mon seul organe -avec mon sexe- qui pouvait encorebouger librement : - " Heu... Non plus, là, ça fait " Contrat àDurée Déterminée. " DDC, plutôt, c'est la seulecombinai*** qui reste. " Elle était d'accord. Salomé me serra fort dans ses bras quand je reçus le premierfer, suivi presque aussitôt du second. J'avais pris la ferme résolutionde ne pas crier, mais ça a été plus fort que moi, la douleurétait vraiment insoutenable, bien que fugace, laissant la place àune lancinante brûlure, pulsatile. Une petite pause pour changer de fer,un dernier cri étouffé par un baiser de ma petite Maîtressequi m'aimait beaucoup, et c'était terminé. Je fus vite détachéeet pansée. J'allais me rhabiller, chancelante, avec cette horrible odeur qui me donnaitla nausée quand Dame Aurore s'exclama : - " Moi aussi, je vieillis ! J'ai failli oublier ma touche per***nelle! " Elle s'absenta quelques instants, reparut avec un fume-cigarette aux lèvreset s'agenouilla devant moi. Quel honneur ! - " Ne bouge pas. Croise tes bras dans le dos. " J'étais inquiète, j'avais deviné ce qu'elle voulait faire... À juste titre: elle tira énergiquement sur mon membre recroquevilléde terreur et m'appliqua sa cigarette en *** milieu en inspirant une longuebouffée. La douleur était absolument intolérable et jetournai de l'œil, suite aux brûlures répétéeset au jeûne prolongé. Je me souviens vaguement que l'on m'ait parlédoucement, rhabillée et conduite au salon dans lequel je n'avais jamaismis les pieds. Je rouvris les yeux sur le doux visage de Salomé, inquiète: - " Ça va mieux ? Ma pauvre chérie, tu as étégâtée, deux fois plus que moi... Rassure-toi, c'est fini: Monmaître ne va pas tarder, il vient me chercher. " Je fis une petite grimace, fataliste : - " Parle pour toi... " Firmin entra avec deux cafés : - " Voici un peu de réconfort, mesdames. Reposez-vous quelques instants!" Il referma la porte derrière lui en prenant un air soudain menaçant: - " Et surtout, ne vous avisez pas de quitter cette pièce! " S'en suivit des allées et venues, des bruits de meubles que l'on déplace.Je poussai un long soupir et dit à Salomé, un petit sourire auxlèvres, déjà ailleurs: - " Qu'est-ce qu'ils nous préparent, encore, les Thénardier? " Elle se contenta de me sourire encore. J'avais l'impression qu'elleme caressait du bout des cils... Elle ferma les yeux, bien droite dans *** fauteuil : - " Si tu savais tout ce que mon Maître m'a promis pendant qu'ilme battait... j'avais honte, il me frappait avec *** gros martinet de cuir,et moi je ruisselais entre mes cuisses... Je lui suis ouverte en grand àprésent, et il m'a énuméré tout ce qu'il projetaitde me faire... " *** silence était une invitation à la questionner : - " Oui ? Quoi donc, Maîtresse ? " - " Eh bien, à part ******* de moi selon sa fantaisie, il m'a promisde m'humilier en public, me couvrir d'appareils de ******* comme j'ai portéhier -et encore aujourd'hui- me tatouer des mots orduriers au-dessus des fesses... Percer mes petites lèvres de toute part pour me lacer le sexe comme unebottine, me percer les tétons pour y placer des anneaux, ainsi qu'àmon clitoris ... Il se voit déjà y attacher des chaînes,des clochettes et des poids pendant qu'il me prendra comme une chienne... " Sa voix était déformée par l'excitation, et toutes cesrévélations m'émoustillaient également terriblement,malgré notre état. Je me laissai à lui dire : - " Mais vous êtes sa chienne, à présent, Maîtresse! J'espère que vous êtes consciente de votre bonheur ! Comme jevous envie, ma petite Maîtresse ! " J'espérais que mes Maîtres allaient me gâter de la sorte,à présent que j'avais réussi mon examen de passage... - " Oh oui ! Ma chère Alicia, oh oui... Il m'a parlé detoi, également. Il m'a dit qu'il aimerait te voir... attachéeintimement à moi. Une sorte de *******, je me rappelle plus, j'étaissi folle de plaisir... " Salomé poussa un profond soupir et se calma : - " Voilà que je recommence... Je sens que je vais êtreencore trempée. " Un quart d'heure s'était écoulé quand la porte s'ouvritsur Maître Karl et une ravissante jeune fille aux longs cheveux clairs.Je me levai aussitôt et elle se jeta dans les bras de Salomé quis'était levée, interdite : - " Bonjour ma chérie! Viens, on te ramène chez nous ! " Comme ma petite maîtresse se rebiffait, Maître Karl s'interposad'une voix ferme : - " Salomé ! Tu lui dois également obéissance. Tuapprendras à l'aimer... " La demoiselle -je suppose que c'était sa demoiselle d'honneur, sa meilleureamie- continuait à lui sourire gentiment: - " Je suis venue te voir quand tu étais attachée sur tatable, je t'avais embrassée. Tu étais très belle, soumiseà tous mes caprices... Allez, viens... " Salomé finit par lui sourire timidement et lui tendit la main en guettantl'approbation de *** maître: - " Voilà qui est mieux... Je t'aime, ma chérie. Je tepromets que nous allons tout deux te combler au-delà de tes espérances... " Il me regarda d'un œil complice: - " Au revoir, Alicia... À très bientôt! " Je supposai que l'on avait déjà décidé de mon emploidu temps à venir... J'esquissai une petite révérence enfaisant une grimace de douleur: - " C'était un plaisir de vous servir, Maître... " Ils sortirent. Salomé, décontenancée par la présencede *** amie, eut à peine la ***** de me faire un petit signe de la main.Par la porte restée ouverte, je vis Firmin passer avec ses valises :Cette fois, elle était partie... Il revint me chercher quelques instants plus tard, l'air préoccupé,très attentionné : - " Ça va mieux, Alicia ? Tu n'as pas trop mal ? Tu es un peu remise? " Je le rassurai, et il me tendit la main : - " Viens, à présent. " Je le suivis dans une aile, au rez-de-chaussée, que je n'avais pas visitéeencore. Il me fit entrer dans une pièce chaude et lumineuse, ou trônaitl'omniprésent chevalet de *******: la buanderie. Je compris -mais je le pressentais depuis un moment, notamment à causedu jeûne forcé- ce que je venais faire là : cela ressemblaitassez à une salle d'opération, les machines à laver età repasser mises à part. Je reconnus, posés sur une tableroulante recouverte d'un drap blanc, la trousse et le matériel vétérinairede mon épouse. Ma tête se remit à tourner comme je m'allongeaisdocilement et me faisais sangler nue, les cuisses bien écartées,le bassin relevé. Firmin, positivement gêné, détournale regard en balbutiant : - " J'ai fini. Je... je te laisse... Heu... À toute àl'heure. " Il sortit aussitôt, me laissant patienter seule, au milieu des pilesde linge, à fixer le néon brillant. Oh ! Je n'étais paspressée... La porte s'ouvrit sur Carole, en tenue de chirurgienne, les mains en l'air,suivie de Diane en blouse blanche et petit chapeau d'infirmière trèsmignon. Mon épouse me salua comme tous les matins d'un ton badin : - " Bonjour, ma cistude arboricole! Ça va ? " Je répondis d'un ton morne : - " Comme un pois*** au milieu du périphérique... " Elle garda *** air enjoué : - " Bah... Bientôt, tu te sentiras plus léger! Diane, monmasque, je te prie. " Diane attacha *** masque, rajusta ses petites lunettes rondes qu'elle avaitchaussées pour l'occasion et lui tendit ses gants. Mon épouses'assit face à mon intimité sans défense et *** assistantelui tendait le matériel qu'elle lui réclamait. Carole m'informaitde ce qu'elle faisait au fur et à mesure: je n'en demandais pas tant,je tentais juste d'imaginer ma vie sans mes testicules : - " Je vais désinfecter, c'est froid... Maintenant, je vais tefaire une petite piqûre : tu ne sentiras rien. Enfin, je crois... " Je vis passer une boite de médicaments suspecte. À ma demande,Diane l'approcha de mon visage. Je lis, inquiet : - " Usage vétérinaire, ne pas avaler... Tu veux me fairecrever, ou quoi ? " Carole rit : - " Comme tu y vas... Si c'est bon pour un âne, ça ne peutêtre que bon pour toi ! " Elle se fit soudain sérieuse: - " Maintenant, tais-toi, ne bouge plus. Et ne pète pas non plus,tu risquerais de me faire sursauter, et là, gare à ce qui se trouvesous mon bistouri! " Bien sûr, je ne voyais rien, mais à la mine dégoûtéede Diane qui détournait les yeux et à la sensation de brulurefroide que je sentais sur mon scrotum, je me doutais de l'avancement des opérations.Carole se fit soudain agressive, très tendue : - " Compresse ! Putain, magne ! Les pinces, là ! Putain, çapisse ! Compresse! Vite, une autre ! " Je me sentais me vider comme un cochon égorgé : mes jambes, surélevées,étaient glacées, des fris***s m'envahirent, et la nauséene me quittait pas. La tension retomba un peu : - " En voilà une. Sutures ! Et les pinces. " Elle s'attaqua à l'autre testicule, et elle s'en sortit un peu mieux.Sauf quand Diane s'alarma : - " C'est normal, tout ce sang ? Il lui faudrait peut-être une perfusion, non ? " Carole semblait encore tendue, et contrariée : - " Ouais, mais j'en ai pas. Il faudra faire sans... Et puis, il arrêterade pisser le sang quand il en aura plus. Maintenant, tais-toi, j'ai du mal àme concentrer. Merde ! Compresse ! " J'avais la certitude que j'allais y rester: soit à cause d'une hémorragie -le plus probable, d'un empoi***nement médicamenteux ou d'une infection.Je ne m'y connaissais pas en castration, mais il me semblait qu'elle s'y prenaitdrôlement mal... Je fus au summum de l'inquiétude quand je visDiane, les gants et la blouse maculée de sang sortir précipitammenten se tenant le visage, et que je l'entendis pleurer à chaudes larmesdans le couloir. Elle revint quelques instants plus tard, grimaçanteet secouée de spasmes. Carole la cueillit en la houspillant: - " Ah! Quand même, t'as plus tes vapeurs! Compresse ! " Elle lui répondit, paniquée : - " Y en a plus ! " - " Reprends la première, elle n'est pas pleine ! Sutures, pinces...Voilà la deuxième. " La tension retomba un peu. Je sentais des picotements de plus en plus désagréables, et jem'en plaignis : - " Ça pique ! Tu fais quoi ? " Mon épouse me répondit, tout naturellement : - " Ben, je te recoud ! Je vais pas te laisser plein de courants d'air,quand même ! " - " Ouais, mais je commence à avoir mal... " - " C'est l'anesthésique qui ne fait plus effet... Serre lesdents, j'en ai plus, de toute façon. Tiens, Diane, présente sesjumelles à madame ! "
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chrislebo
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Diane me tendit un haricot dans lequel gisaient mes deux pauvres testiculessanguinolents, plus gros que je ne l'aurais cru. Je me sentis encore un peuplus mal, la vue du sang, ou le chagrin d'être séparée d'eux... Une fois recousue, Carole me pansa soigneusement, plutôt serré,ne laissant dépasser que mon sexe, blessé lui aussi. Ce n'étaitvraiment pas la fête dans ma culotte... Elle enfourna prestement lescompresses et les linges souillés dans un grand sac poubelle pendantque Diane me détachait en me caressant: - " Ça va ? Tu es toute pâle... " - " J'ai la tête qui tourne... J'ai l'impression d'avoir perdumes cinq litres de sang. " Carole haussa les épaules: - " Oh! Comme tu y vas! Un litre, tout au plus... " Ça faisait beaucoup, tout de même. Heureusement qu'elle ne s'étaitpas lancée dans la chirurgie cardiaque... Par contre, elle aurait faitmerveille sur les champs de bataille... au Moyen-âge, du temps oùl'on ne survivait pas aux amputations... Elle me tendit un comprimé et un verre d'eau : - " Tiens, avale ça : c'est pour les risques d'infection... " J'absorbai sans sourciller *** médicament à bestiau qui auraitpu me laisser raide mort, puis elle me laissa seule avec Diane qui ne savaitque dire et évitait mon regard: - " Je vais jeter ça et je vous envoie Firmin! " Quelques minutes plus tard, il arriva timidement, les yeux baissés,et tous deux me raccompagnèrent dans la petite cuisine des communs oum'attendait un petit déjeuner très léger. Je l'avalai avecappétit, malgré cette satanée nausée, puis Firminme reconduisit au pavillon: - " Repose-toi bien, je viendrai te chercher pour le service. Ces Damessollicitent ta présence auprès d'elles. J'espère que tuseras remise... Surtout, ne touche pas à tes pansements, Dame Carolem'a dit qu'elle craignait que ton... opération se rouvre. À toutà l'heure! " Il me fit une bise tendre, visiblement touché par ce que j'avais subiet me tapota lourdement le genou à plusieurs reprises : - " Excuse-moi pour tout ce que je t'ai dit, hier. Je ne savais pas que... C'est moche... Pardon. " Il avait toujours cru que c'était une menace en l'air, pour me fairepeur. Quand il s'est rendu compte comme moi que j'allais réellement êtrechâtrée, il regretta amèrement de m'avoir menacéeplusieurs fois, comme l'allusion au veau de l'année... Il se retourna brusquement sur le pas de la porte en souriant: - " Dis donc, petite chipie, tu t'es bien moquée de moi ! J'ai parléà Dame Aurore de Dame Carole et de *** soi-disant rôle dans unfilm... Elle m'a dit que je gobais n'importe quoi, que c'était undessin animé. Quelle ************** Mais je ne t'en veux pas. Je t'aimebien, tu sais... " - " Moi aussi, Monsieur Firmin. Vous êtes sévère, maistrès gentil. Excusez-moi pour cette petite blague..." Il referma la porte sur un sourire. Il entra dans la salle à manger -une pièce que je ne connaissaispas encore- à mon bras, fier de s'afficher avec une fille aussi vaillanteet courageuse que moi. J'avais bien repris mes esprits... Dame Aurore, Caroleet Diane étaient installées à table et prenaient l'apéritif. Elles s'arrêtèrent à peine de parler à mon arrivée,et Carole me fit, négligemment : - " Ça y est, tu es enfin remise... Tu vois, c'était pasgrand-chose, c'était pas la peine de faire ta comédie!... Tiens,va nous chercher l'entrée, dans le four... Et ne traîne pasen route, il ne faut pas que ça refroidisse ! " Je m'inclinai, vexée d'être aussi mal considérée: - " Bien Maîtresse... " Firmin, occupé à servir le vin, me désigna la porte dela cuisine en question. En fait, c'était bien sûr la mêmequ'hier, sauf que l'on y accédait par une autre porte. J'apportai le plat en question: il n'était pas très copieux,plutôt très " cuisine moderne, " à base de champignons: je reconnus des girolles et des champignons de Paris émincés.Ça sentait très bon, et j'en avais l'eau à la bouche :j'avais déjeuné assez succinctement, il n'y avait pas trèslongtemps, et *** fumet était irrésistible. Dame Aurore et Diane émirent des éloges dithyrambiques que monépouse accepta avec un embarras feint. En réalité, elleadore la flatterie: - " Oh, ce n'est pas grand-chose... C'est une recette de mon invention:j'appelle ça " des rognons blancs sauce forestière... " Vous m'en direz des nouvelles. " Carole me laissa déposer les assiettes brûlantes devant chacuned'elles. Ce que j'avais pris pour des champignons de Paris n'était enfait... Diane demanda ingénument à Carole: - " C'est quoi, des rognons blancs ? Ce ***t des rognons ? " Mon épouse rit : - " Presque... Ce ***t des testicules ! " Diane examina une fine lamelle du bout de sa fourchette : - " Ah ? Et de quoi ? " Carole me coula un regard malicieux : - " Heu... De porc, de porc... " Firmin, blême depuis quelques instants, sortit en s'appuyant au montantde la porte: Lui aussi avait compris. Dame Aurore picorait, les champignons surtout. La cuisinière s'inquiéta: - " Vous n'aimez pas ? " - " Pas trop... Mais ce n'est pas votre faute, je n'appréciepas trop ce genre d'abats, voilà tout. " Diane regretta qu'elle fût servie sans avoir goûté, elleaurait bien mangé sa part: - " C'est très bon, mais vraiment pas très copieux... " Carole sourit en me regardant et lui répondit: - " Je suis désolée, mais je n'ai pu me procurer que ça... Dame Aurore, si vous n'aimez pas, verriez-vous un inconvénient àce qu'Alicia finisse votre assiette ? J'aimerais beaucoup lui faire goûter... " Sans se faire prier, Dame Aurore fit glisser *** assiette devant une chaisevide et la tira pour m'inviter à m'asseoir. Je goûtais des rognons blancs pour la première fois, du bout desdents, et je ne trouvais pas ça génial non plus... Mes maîtressesme regardèrent manger avec fascination, un sourire indéfinissableaux lèvres. Firmin, qui était revenu et se tenait derrièreelles, secoua la tête d'un air à la fois malheureux et horrifiéen me regardant. J'étais pleinement consciente de ce que je mangeais,une partie de moi-même qui avait cessé de l'être, et je trouvaiscette situation vertigineuse. En tout cas, Carole et Diane adoraient me regarderme manger... Je peux dire qu'elles jouissaient littéralement du spectacle. Je servis la suite, puis le reste du repas. Dame Aurore me remercia aprèsle dessert: - " Merci, Alicia. Tes épreuves ici ***t terminées, pourcette fois du moins... Tu peux te changer, mettre une robe, ou ce que tuveux... Tu es une invitée, à présent... Tu viendrasmanger ici, puis tu nous rejoindras au salon. À tout à l'heure! " Je passai ma robe de vichy et mes ballerines: je me sentais bien mieux ainsi,sans mes escarpins ni mes bas -que Firmin m'avait contrainte à remettrepour le service- et mon intimité était moins serrée quedans ma petite robe noire. Firmin m'avait servi la même chose qu'àmes maîtresses, moins copieusement, et surtout, l'entrée en moins...Le vin m'était interdit : Carole ne voulait pas que je boive, àcause de mon opération. Il s'assit en face de moi pour me tenir compagnie, me faire la conversation.Il me fit part de *** dégoût: - " Tes maîtresses ***t ignobles... Je peux dire que j'ai déjàvu pas mal de choses peu reluisantes, mais jamais de castration ni de cannibalisme,et le pompon, te ****** à manger tes propres... Non, vraiment, jen'ai jamais vu ça. " - " Je crois qu'au contraire j'ai beaucoup de chance d'en avoir de si cruelles.Quelque part, c'est délicieux de me livrer entièrement àelles, leur offrir mon corps... Et me faire manger par elle, aprèstout, je crois que je ne pouvais espérer une telle preuve d'amour... "
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chrislebo
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IL N'Y A PAS D'AGE POUR JOUER À LA POUPEE ! Les yeux fixant ma fourchette enroulant nerveusement ses délicieuses pâtes,il lâcha : — « C'est compliqué... Tout va si vite ! Mets-toi donc un peu à ma place,je ne sais plus quoi penser : Tu es très désirable, sensuelle, gentilleet dévouée, mais... » Je terminai sa phrase restée en suspens : — « ...Mais je suis une fille ratée, ça je sais, tout le monde me le dit... Je risque pas de l'oublier ! Je veux pas me jeter des fleurs, hein ?Mais je suis bien mieux que beaucoup de filles qui peuvent avoir desbébés. Je disais je suis à vous, vous pouvez me demander tout ce quevous voulez. Vraiment tout, même les plus pires des choses. Faut pasque vous ayez peur, hein ? J'ai l'habitude, vous savez... Je suis là rienque pour votre plaisir, moi, j'ai rien à dire. Je ferai tout ce quevous me direz, et je dirai rien si ça vous fait plaisir de me faire deschoses bizarres, sales, dégoûtantes ou qui font mal. Je vais tout fairepour que vous soyez content, et que je m'excuse d'être ratée. » Insensiblement, il recommençait à rougir, les yeux braqués sur mondécolleté vaporeux que je venais d'arranger : — « Je ne sais pas si je pourrais encore te toucher, maintenant que jesais... Mais tu es sérieuse, tu t'offres vraiment à moi ? » — « Ben ouais. Je l'ai déjà fait dans la pharmacie. Mais là, je peux toutfaire, et vous pouvez tout me faire. Je dirai rien du tout, et même queje vous dirai merci après. » *** visage rubicond affichait *** excitation comme le postérieur d'unebabouine en chaleur : — « Ah tiens... Tout, alors ? » — « Ben ouais, tout. Je vais pas passer la nuit à vous dire la mêmechose, quand même. » Il me fixa soudain dans les yeux, me regardant enfin comme la fille quej'aurais voulu ne pas cesser d'être devant lui et me dit, certainement enproie à un afflux de fantasmes pervers : — « Je ne sais vraiment pas quoi te faire... Je réfléchis, mais je n'ai pasl'habitude d'avoir des relations de ce type... Des relations tout court,d'ailleurs. Et toi, tu as envie de quoi ? » — « J'ai envie que vous soyez content, que vous regrettez pas que je suisvenue chez vous et que je suis ratée. » — « Oui, ça, j'ai bien compris... Mais c'est nouveau pour moi, j'aimeraisque ce soit toi qui me demandes de te faire quelque chose. Sauf detoucher à ce que tu as entre les jambes ! » Je réfléchis un court instant et soufflai de ma voix de velours : — « J'aimerais que vous me donniez à manger avec les mains. » Alexandre pouffa, s'attendant à autre chose : — « Petite gourmande... ça ne m'étonne pas de toi ! Eh bien, allons-y... » Il prit délicatement un spaghetti et me le posa sur la langue, mais jeretins *** doigt pour le sucer voluptueusement. Les yeux révulsés par cettedélicieuse sensation, il en reprit aussitôt un autre : — « Tu t'y connais pour donner du plaisir, toi... Je n'aurais jamais cruque l'on puisse en ressentir autant avec un doigt ! » Je lui fis, taquine : — « ça dépend aussi où on le met ! » Au bout du troisième, je lui écrasai la main à plat dans mon assiette : — « Avec les mains... Je veux être remplie par vous. » Ses yeux chargés de concupiscence fixaient ma petite bouche peinte avecsoin et il arracha une grosse poignée de spaghettis qu'il y enfourna sansménagement. Comme je restais grande ouverte, sans mâcher ni avaler, ilacheva de me remplir encore plus ***********. Domptée, je m'agenouillai sur le carrelage de la cuisine, la bouche béante,les yeux implorants de la petite esclave modèle. Il comprit aussitôt et sedressa devant moi, se laissant faire. Vite devenu dur, j'extirpai *** sexe de *** pyjama pour me le planter entreles lèvres grandes ouvertes, manquant d'étouffer par l'abondance de toutesces délicieuses choses. Ivre de plaisir, Alexandre me prit par la bouche,me maintenant la tête pour me maîtriser : je luttais vraiment pour ne passuffoquer, et il se libéra rapidement en moi, poussant un terrible râle dejouissance. Revenu à lui et empli de reconnaissance, il voulut me relever pourm'enlacer, mais avant je recrachai soigneusement tout le contenu de mabouche dans mon assiette. Le désir retombé, il perdit un peu de ses moyens, honteux du traitementqu'il venait de m'infliger : — « C'était absolument sublime, Alicia... Je m'en veux de t'avoir forcée ************* de la sorte. Ce n'est pas mon genre d'agir ainsi. » Je bougonnai : — « Il faudra que je vous dise combien de fois que je suis à vous ? Vouspouvez tout me faire, ou me demander. Là, pour l'instant, vous avezencore rien demandé. Vous me direz quand vous saurez ce que vousvoulez, ou alors vous me ******** sans rien dire. » Là-dessus, je me mis à finir mes pâtes, profitant du mélange de ma saliveet de sa liqueur. Je mangeais avec élégance et distinction, saluant monhôte de mon verre de rosé. Il me regardait manger, fasciné, dégoûté et encore fortement excité. Illança, timidement : — « Tu es une vraie petite salope... Une belle petite salope, oui ! » Je lui répondis par un charmant sourire, sensible à *** compliment quim'alla droit au cœur. Il cherchait ses mots : il voulait lâcher la bride àla bête infâme qui était en lui –comme en tant d'hommes- et il luttaitcontre sa bonne éducation : — « Tu es comme la pire des putains. Une vraie chienne en chaleur qui nepense qu'à se faire saillir... Tu m'entends, pouffiasse ? » Je ne montrai aucun signe de contrariété et continuai à lui sourireamoureusement, ce qui l'avait poussé à me poser cette question. — « Oui Monsieur, vous avez rai***. Vous me jugez bien, tout ce que vousdites est vrai. Mais je peux être bien pire si vous voulez... » — « Ah oui ? Tu peux faire la truie ? Petite cochonne ! » Je le pris aussitôt au mot et tout en le fixant d'un air de défi, jerenversai mon assiette au sol et arrosai le tout de mon verre de vin. Àquatre pattes, la croupe tournée ver lui, je me bâfrais en léchantconsciencieusement le carrelage et en poussant des grognements porcins.
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chrislebo
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NOCES DE FER En me relevant pour leur sourire tendrement, il aperçut enfin mes initiales: — « Mon Dieu ! Alicia, mais tu as été marquée au fer rouge ! » Il s'abaissa à se mettre péniblement à genoux devant moi pour y voir deplus près. Il semblait fasciné, très excité plutôt que choqué : Ilcaressait mes cicatrices d'un doigt léger, puis finit par les embrasser,m'enserrant les fesses de ses bras courts : — « comme tu es belle ainsi marquée ! Je ne savais pas que cela sefaisait encore, de nos jours... Ce doit être le nom de tes Maîtres ? » — « Ben ouais. C'est pour me retrouver si je me perds. » Linette, qui avait observé la scène d'un œil curieux, posa la main surl'épaule de *** époux : — « Mon amour, si tel est votre désir, je porterai avec bonheur vosinitiales gravée dans ma chair. Mon corps est tout à vous à présent, etje vous laisse le modeler à votre convenance. » Germain se releva et l'enlaça tendrement : — « Merci pour cet inestimable présent, mon aimée ! Je ne me vois pasvous ******** de la sorte pour l'instant, mais de savoir que vous melaisseriez la jouissance totale de votre corps me transporte de joie ! » Elle se leva et lui fit d'un air coquin : — « Monsieur, à présent je vous prie de m'excuser, mais je dois préparerle déjeuner de Monsieur... » Il rit : — « Faites donc, et ne tardez pas. Vous savez comme j'ai horreurd'attendre, et je me sentirais contraint de vous punir si vous tardeztrop... » Linette lui jeta un regard de braise : — « Bien monsieur. Je vous le préparerai donc avec la plus grande desdiligences. » Et elle nous laissa seuls, un peu décontenancés. Germain finit parm'adresser la parole : — « Ainsi tu es revenue... J'en suis très heureux, à présent que je tepartage avec ma chère Linette. Viens que je te fasse un câlin. » Je m'assis à côté de lui sur le lit et laissai ses mains parcourir moncorps. Il souffla en embrassant ma nuque : — « Mon Dieu, je suis le plus heureux des hommes ! J'ai une épousemerveilleuse qui se livre corps et âme à moi et à mes perversions, etma petite Diane chérie –que j'ai du reste cruellement blessée- m'offreun cadeau inestimable... » Je fis l'innocente : — « Ah ouais ? Quoi ? » Germain m'embrassa sur le front : — « Mais toi, ma chérie ! Tu as transformé nos vies ! » Lui adressant un sourire charmeur, je m'allongeai sur le lit de Linette,sur le flanc. Comme il ne bougeait pas, je le pris par la main mais il sedéfendit mollement : — « Je sais ce que tu veux, mais je ne peux plus rien pour toi. J'aivraiment tout donné à linette... » Je le rassurai en lui caressant le visage, lui souriant tendrement : — « Je veux juste vous sentir contre moi, c'est tout... » Il me sourit en retour et j'ouvris en grand *** pyjama ; il se collaétroitement contre mon corps, *** ventre rond, tout chaud et moite detranspiration épousant mes reins, *** gros sexe mou s'écrasant sur mesfesses dociles et rebondies... J'en poussai un profond soupir d'aise. Linette, qui avait passé une tenue plus digne d'une gouvernante, noustrouva toujours enlacés sur le lit et un peu assoupis. Elle lança sur unton volontairement solennel : — « Monsieur, Mademoiselle, votre déjeuner est servi dans le grand salon.Je vais aller à l'office du dimanche, et si Mademoiselle désire m'yaccompagner, qu'elle fasse vite. » Et elle se retira. Je soupirai : — « J'ai pas trop envie d'aller à la messe. On y est déjà allé hier, pourvotre mariage. » — « Ce n'est pas la même chose. Un mariage, ce n'est pas une messe. Tucomprends ? » Je fis la moue : — « Oui, mais j'ai pas envie de dire au curé que j'ai fait des choses :il voudra encore que je dise deux pâtés et trois ovaires. Linette elleira sans moi. » Il se fit plus convaincant : — « Alicia, je sais que tu dois nous obéir en tout. Alors, tul'accompagneras à l'office. C'est un ordre. » — « Bien monsieur. Je vous obéis alors. » Il était déjà rhabillé et sur le pas de la porte que j'en étais encore àtrier mes vêtements ôtés un peu trop négligemment, surtout ma belle robe.Il me fit, impatient, sur un ton qui ne souffrait pas de réponse : — « Descends comme tu es. Tu n'as pas le temps de t'habiller. » Germain ne s'enquit pas de savoir si j'avais froid et me suivit à quelquesdistances dans le grand escalier. Je savais -j'espérais- qu'il regardaitmes fesses rondes se déhancher outrageusement à chaque marche que jedescendais et je l'entendis dire : — « Tu as vraiment un beau fessier pour une petite truie de ton genre... J'aimerais te saillir devant mon épouse que j'adore, qu'elle voit deprès ce que je brûle de lui faire... » Je me retournai pour lui sourire amoureusement : — « Merci Monsieur pour ce joli compliment... Je crois que Madame Linetteaimerait beaucoup vous voir prendre votre plaisir comme vous aimez leplus. » Je repris la descente de l'escalier, jouissant pleinement de ma nudité.Bien sûr, mes attributs masculins –certes recroquevillés par le froid- quibattaient timidement contre mes cuisses à chaque pas me gâchaient un peu leplaisir d'être une fille, quoique cette sensation me fût très agréable.Visiblement, Germain s'était fait à mon charme androgyne, sans parler deLinette... Mais j'aurais bien aimé avoir une petite culotte féminine, ou dela lingerie : à part ma perruque et mon maquillage –ainsi que mes courbesappétissantes- rien n'affirmait clairement que j'étais pour l'heure du sexeféminin. Je suis souvent nu à la mai*** ou dans le jardin, mais être contraint del'être par obéissance est autrement plus jouissif : je n'étais pas nu parconfort ou pour mon simple plaisir, mais par la volonté de mon maître, etcela changeait tout. À chaque instant, j'avais la conscience et lesentiment humiliant de l'être, sans défense, à la merci de la survenue den'importe quel évènement ou visiteur. De plus, je grelottais un peu danscette grande bâtisse, et Germain y semblait sinon peu sensible, du moinsindifférent. Il ne me manquait que les délicieuses entraves -et encore plus celles deSalomé- dont j'avais goûté le charme pervers chez Dame Aurore. J'implorai souvent ma Maîtresse Diane –un peu trop distante à mon goût cestemps-ci- pour qu'elle m'en gratifie, lui expliquant qu'ainsi elle pourraitme dominer sans que cela empiète sur *** précieux temps. À chaque fois,elle me répondait : — « On en reparlera quand tu auras réussi ton examen. »
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chrislebo
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CHIENNE DE LIT Notre maîtresse s'accroupit pour nous flatter la tête : — « Voilà, vous allez vous entendre, à présent. Mais soyez sages mespetits chéris, dormez un peu, je reviendrai avec votre pâtée. » Après m'avoir détachée, elle sortit en nous adressant un dernier regardému, et la porte se referma sur sa croupe étroite tendue de cuir noir. Je repensais aux infâmes croquettes de Ouissecasse, et à ma Maîtresse.J'espérais ne pas y avoir droit cette fois ! De nouveau seuls, nous nous regardions en chien de faïence. Je n'arrivaispas à cerner les sentiments de Didier à mon égard : je finis par medemander s'il n'était pas tout simplement hostile à ma présence... Ilaurait peut-être apprécié la compagnie d'Alicia, mais celle de Luc semblaitl'indisposer. Me considérait-il comme un rival ? Sultan s'était recouché sur sa couverture, mais moi, je n'en avais pas. Lecontact du béton froid sur mon corps nu me donnait des fris***s. Et enviede faire pipi, aussi... Je me remémorai les paroles de Dame Claudine, ma Maîtresse, qui attendaitde moi que je me comporte comme un vrai chien. J'avisai une bouteille degaz contre le mur et me mis en devoir de l'arroser en levant la jambe.Didier se mit à crier : — « Hé, mais t'es dégueu ! Arrête ça tout de suite ! Ho ! Tu m'entends ? » Nullement perturbé par ses vocalises, je finissais juste de me vider lavessie en quelques spasmes que la porte s'ouvrit avec fracas. Dame Claudinefonça droit sur moi, brandissant une trique pour l'abattre sur mon dos etmes fesses en une volée cinglante : — « Sale bête ! Tu ne pouvais pas demander à sortir ? Je vais te fairenettoyer ça ! » Elle m'arracha ma muselière et m'écrasa le visage dans ma flaque d'urine. — « Lèche moi ça ! Tout de suite ! » Je m'exécutai aussitôt, sans l'ombre d'un état d'âme. Le sol, bien querelativement propre, n'était que le sol bétonné et peint d'un garage... Dame Claudine se retourna et cracha d'une voix sourde, animée d'une ragefroide : — « à nous deux, mon trésor... Tu connais le prix d'une telle faute ? » Il ne répondit rien mais acquiesça lentement en baissant la tête. Il fermales yeux quand la trique s'abattit à de nombreuses reprises sur *** dos, etil hurla quand sa Maîtresse termina sa correction en frappant *** sexe etses testicules saillants. Elle conclut sa peine par quelques coups detalons aiguilles dans ses bourses et finit même par tenter de l'en pénétrermaladroitement. Dame Claudine revint vers moi et tira doucement sur ma chaîne pour merelever la tête : — « C'est bon, Rex. Ce n'est pas ta faute, après tout, tu n'es qu'unchien... Sultan va te remplacer, il l'a bien mérité. » Didier faisait « non » de la tête. Il ne semblait pas goûter dutout le jeu de sa Maîtresse, ce qui semblait, elle, l'amuser de plus enplus. Elle prit une voix doucereuse pour lui dire : — « Si tu n'es pas plus obéissant, je vais devoir de ramener en dressagechez Dame Aurore. Mais comme la première fois ne semble pas avoir étéassez efficace, je t'y laisserai jusqu'à ce que tu sois totalementsoumis. » Elle le motiva en le poussant d'un talon vicieux entre les fesses, ce quilui arracha un cri. Parvenu en face de moi, elle ôta sa muselière et noussouffla d'une voix langoureuse : — « Embrassez-vous... » Didier ne put réprimer une grimace en voyant mon menton mouillé de monurine. Il finit quand même par s'exécuter, caressé par sa Maîtresse quiprenait beaucoup de plaisir à voir *** époux embrasser un autre homme. Ellemit fin à nos effusions –Didier embrassait bien et semblait commencer àapprécier modérément- par un déchaînement de coups de trique sur nos dos : — « Sales bêtes ! Vous ne pensez vraiment qu'à ça ! Allez, Sultan, lèche! » Cette fois, Sultan obéit sans broncher et commença à laper docilement lesol. Après quelques coups de langue, Dame Claudine l'arrêta en tirant ***collier avec douceur : — « ça ira, mon chéri. Tu m'as obéi, je ne t'en demande pas plus. Soyezsages, mes trésors, maman va nettoyer vos bêtises pendant que vousmangez. » Pendant tout le temps de l'absence de Dame Claudine, nous sommes restésface à face, immobile. Didier me souffla au visage : — « Merci pour ton petit cadeau ! Je n'étais pas très chaud de partagerma maîtresse avec toi, et ce n'est pas ton numéro qui me fera changerd'avis. Ne t'avise plus de la toucher, elle est à moi ! » Pour toute réponse, je me mis à grogner pour lui manifester mon désaccord.Sa Maîtresse nous avait donné l'ordre de ne pas parler, de nous comporteren chiens, et lui ne jouait pas le jeu. *** dévouement me semblait des pluslimités, et je mettais un point d'honneur à lui montrer que bien que je nefusse qu'un soumis occasionnel, j'étais bien plus dévoué que lui. *** épouse reparut avec deux gamelles chromées, un seau et une serpillière.Elle s'accroupit pour nous tendre notre pitance, et je ne pus me retenir delorgner sous sa courte robe qui se retroussait facilement, distillant sestorrides effluves féminins. Dame Claudine s'en rendit compte et me souriten m'ébouriffant les cheveux : l'exhibition de ses dessous –quand elle enportait- ou de *** intimité semblait être un de ses petits plaisirs... Notre pâtée, bien que ressemblant fort à ce que pourrait ingurgiter leMédor moyen, était tout à fait comestible, et même très bonne : un genre desalade de riz avec du thon. Bien sûr, Carole n'aurait pas été la dernière àdire que la présentation fait la moitié du plat, mais bon, j'avais craintle pire au sujet de la nourriture. Je relevai la tête pour contempler la croupe étroite de notre Maîtresse quichantonnait gaiement en épongeant mon urine. Tout à *** bonheur, elle nevit pas le regard plein de ressentiment que me jetait *** Sultan. J'enétais un peu malheureux, j'aurais tant aimé leur apporter un peu de bonheurà tous les deux... Seule elle semblait y trouver *** compte. Notre repas terminé, Dame Claudine nous fit sortir dans le jardin pourqu'on y fasse nos besoins, au cas où nous aurions encore quelque chose àfaire... Outre la haie de clôture, une haute ceinture de paillage délimitaitun petit espace à l'abri des regards du voisinage. En plus d'un modestecarré d'herbe, nous disposions d'un bac à sable : Toutes les commoditésdont rêve la gent canine, le réverbère en moins... Elle nous laissa divaguer quelques minutes, le temps que nous fassions ceque nous avions à faire. Seul Sultan soulagea sa vessie dans le sable, unepatte en l'air comme il se doit, me jetant un regard sérieux comme pour medire « C'est comme ça qu'on fait quand on est bien dressé. » La nuit tombait rapidement, et Dame Claudine se serra les bras frileusementavant de frapper dans ses mains : — « Allez mes chéris, on va se laver et faire un gros dodo maintenant ! » Moi aussi je commençais à avoir froid. La lourde chaîne glacée qui couraitsur mon dos en me donnant des fris***s n'était pas pour me réchauffer... Ellenous lava nos intimités à l'éponge savonneuse et nous sécha sommairement. Sultan était parti en avant, mais sa maîtresse l'attrapa *********** par sachaîne, manquant de l'étrangler : — « Non, Sultan ! Toi, tu es un vilain, tu dormiras au garage ! » Comme il ne semblait pas comprendre ce qu'elle disait, elle le lui expliquaà coups de trique et le traîna jusqu'à sa couverture : — « Sage ! Pas bouger ! Et je ne veux pas t'entendre ! » Elle referma la porte sur une tête de chien battu : Didier allait m'aimerencore plus, je le pressentais... Moi, j'étais resté au milieu du couloir, unpeu malheureux pour lui, et Dame Claudine m'ébouriffa les cheveux et ditbien fort en se tournant vers la porte du garage : — « Toi, tu es un brave toutou. Tu vas pouvoir dormir sur le lit deMaman... »
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chrislebo
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MASTERE ET SERVANTE Assistée de Marianne, je les aidai à s'installer à table selon les bonsusages : le maître de mai*** occupait un bout de la table, et, à l'opposé,la chaise encore vide de Solange lui faisait face. Sans l'attendre aucunement, ils attaquèrent un plateau de fruits de mer quipatientait au frais, discourant sans fin sur la qualité d'un vin blanc quil'accompagnait. Je finis par comprendre la rai*** du repas en rassemblantdes indices piochés au fil des conversations : Julien et Damien font partiede la même société de négoce de vins de bordeaux et ils fêtaient laréussite d'un salon faisant la promotion de leurs produits. Le conseiller général les aurait efficacement épaulés dans leur projet, etÉdouard... Eh bien, il était à la fois le beau-frère de Damien, et un amiproche de Julien. À part faire le pique-assiette et mettre de l'ambiance,je ne lui voyais pas d'autre utilité dans cette affaire... Je n'étais mêmepas certaine alors qu'il fût médecin. L'absence prolongée de la maîtresse de mai*** chagrinait visiblementCamille : — « Excuse-moi, Julien, Tu crois que Solange va finir par nous rejoindre? Je sais bien que ce n'est pas la préoccupation première de monégocentrique de frère, mais cela me gêne de commencer à manger sanselle... » — « Tu as rai***. Alicia, vous pouvez aller voir si mon épouse a terminé? Et si vous pouviez la presser un peu, cette histoire me met mal àl'aise vis à vis de mes invités. » J'avais à peine esquissé un mouvement que Marianne m'emboîta le pas : — « Je t'accompagne, Alicia. Elle a peut-être besoin d'une aidequelconque... » Nous avons vite disparu derrière le paravent où la stoïque Salomé, figéedans la même position qu'à mon arrivée, attendait patiemment que l'ondaigne venir la délivrer. Tout ce temps, elle était restée absolumentsilencieuse, à moins de deux mètres de la grande table de la salle à mangeret de ses convives... Sans plus de bruit, nous l'avons libérée de ses diverses entraves pour larelever et la soutenir jusqu'à sa chambre. Elle était parfaitement au courant de ce qu'elle devait faire, et, toujourssans un mot, elle s'allongea sur *** lit, les cuisses écartées. Mariannedéfit provisoirement le petit cadenas doré qui maintenait la chaînettecondamnant l'accès à *** vagin sans trop de précautions puis elle yenfourna une sorte d'œuf allongé en plastique blanc, rayé de deux bandesmétalliques et terminé par un fil d'une dizaine de centimètres, muni d'unanneau à *** extrémité. Marianne passa la chaînette à travers l'anneau qui dépassait et replaça lecadenas : — « Tu as de la chance, celui-là, c'est une nouveauté. Maître Karl a tenuà l'essayer sur moi, et à mon avis, tu vas l'adorer ! » Ce fut la seule fantaisie dont bénéficia Salomé. Nous nous sommes dépêchéesde terminer de la préparer, ce qui fut vite fait : une paire de bas, unporte-jarretelles, sa robe de cocktail, une petite retouche de maquillageet un dernier coup de brosse... Le tout ne prit pas plus que quelquesminutes. Une fois Salomé apprêtée, Marianne tint à nous faire passer par la cuisine.Malicieusement, elle s'accroupit au dessus d'un verre à pied vide et nousfit : — « Allez-y, je lui sers un bon verre de vin blanc et je vous rejoins ! » Bien qu'elle gardait toujours le silence et supportait sans broncher ***traitement pervers, je pus déceler une lueur d'angoisse proche de lapanique dans *** regard : le vin blanc servi à l'entrée, fierté de Julienet de *** associé, était couvert d'éloges par tous les convives : il étaithors de question qu'elle fit la grimace en plongeant les lèvres dans ***verre, malgré toute l'abnégation dont elle savait si bien faire preuve...
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chrislebo
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ADIEU PETITE FILLE Après avoir récupéré le matériel de Chloé, Joëlle prit les devants pournous saluer. J'avais cru un moment que Carole et moi l'avions amadouée et convaincue denotre bonne foi, mais l'épisode du placement de Chloé avait **************** les compteurs à zéro. Peut-être que le temps aidant, elle aura gardésomme toute un bon souvenir de *** passage chez nous... Elle entraîna rapidement à sa suite sa compagne qui nous adressa un petitsigne désespéré de la main : — « Vous embrasserez bien vos voisins pour moi ! J'espère que l'on sereverra ! » Pour arranger le tableau, un petit crachin désagréable se mit à tomber etnous sommes vite rentrés en les saluant une dernière fois d'un petit signede la main, d'autant plus qu'elles tardaient à démarrer. Carole regardait tristement par la fenêtre du salon s'éloigner la voiturenoire qui tourna vite au bout de la rue : — « Ce coup-ci, c'est sûr, on la reverra plus, notre petite Chloé... Pourune fois que je trouve une copine qui aime autant les bêtes que moi ! » Je ne répondis rien, me contentant de la serrer tendrement contre mon cœur.Joëlle avait fait mine de céder à Chloé pour avoir la paix, mais noussavions bien qu'il était vain qu'on l'attende. Si toutefois un jour elledevait revenir, ce qui était fort improbable, elle serait bien sûraccueillie à bras ouvert. Pour l'heure, nous nous demandions si ellespouvaient être vraiment heureuses toutes les deux... Mon épouse poussa un grand soupir dans mon cou : — « Pfff... Cette gamine m'a foutue le bourdon. Je sais pas ce que jevais faire à manger, j'ai même pas envie de cuisiner tellement j'ai lesboules, c'est pour dire... Si elle était restée un peu, je me seraisfait un plaisir de la régaler, ma petite chérie... » Une idée qui joignait l'inutile au désagréable me traversa l'esprit : — « Dis-moi, ma prophylaxie sylvestre, ça te dirait, un petit restau ? » Elle se recula pour mieux me parler : — « Ouais, c'est sûr, j'aurais pas à me casser le cul avec mescasseroles. Mais je sais pas si ma tronche au trente-sixième dessous temettrait en appétit... » Je lui exposai mes projets et elle me sourit en tirant *** petit bout delangue rose : — « T'es vraiment un grand malade, toi alors... Ouais, ça fait longtempsqu'on n'a pas fait les cons en public... Ouais, vraiment, ça me botte !Mais faut pas réserver, un restau pareil ? » — « J'espère bien trouver une petite place pour deux amoureux privés delune de miel... » En effet, je dus argumenter pour convaincre le restaurateur de nousconcéder une table entre deux services : quand je disais que *** restaurantétait coté, j'étais visiblement loin du compte. J'ai dû déployer tout moncharme et mes talents de comédien pour arriver à mes fins. Je pensais à ce repas depuis plusieurs jours, et à la façon idéale dont ildevait se dérouler. Je partageai mes idées avec Carole qui en rajoutaquelques excellentes. J'étais heureux d'avoir redonné le sourire à mon grand amour : ma chérieavait les joues rouges tant l'idée de se donner en spectacle l'excitait... Nous nous sommes mis sur notre trente et un, et Carole était bien entendusublime, en robe de cocktail noire vertigineusement décolletée et hautstalons qui mettaient *** généreux fessier encore plus en valeur. Quelquesbijoux étincelants, *** maquillage discret et elle était prête à fairetomber les mâchoires. C'est dans ces moments que je regrette d'être un homme : un costume, unecravate et c'est fini. Ah ! si Alicia avait pu prendre ma place, c'estcertain que j'aurais fait tourner les têtes, moi aussi, bien que mon charmeéquivoque aurait semblé bien pâle à côté de celui de ma flamboyante épouse... Bien que l'arrière sai*** fût encore agréable -à part ce petit crachin del'après-midi, on pouvait déjà sentir que ce ne serait bientôt plus l'été.Les tables de la terrasse, déjà parsemées de feuilles mortes, n'attiraientplus les gourmets du soir. De lourds nuages gris achevaient de mettre unenote nostalgique à ce tableau. Carole me fit revenir sur terre en se frappant fort élégamment le ventre : — « Putain, ça sent drôlement bon ! Ouais, ça sent les bonnes grossescalories qui vont me squatter les hanches pour tout l'hiver ! Ce restau doit avoir au moins trois bourrelets au guide Vet-vatchèrses [1] ! » Je lui décochai un coup de coude dans le lard : — « Et si tu travailles bien, ma petite gagneuse, on aura même pasbesoin de payer l'addition ! » Bien que nous nous soyons ressaisis et que nous ayons retrouvé un peu denotre superbe, un maître d'hôtel aussi suspicieux qu'obséquieux vint nouscueillir fraîchement à l'entrée du restaurant ''L'Esclandre'' : — « Bonsoir messieurs dames, vous aviez réservé, je suppose ? » Une façon élégante de nous faire comprendre que si cela n'avait pas été lecas, nous n'avions qu'à faire machine arrière aussi vite que nous étionsarrivés. Je lui tendis une carte de visite aussi pompeuse que frauduleuse que jem'étais amusé à confectionner suite à une promotion qui m'en offraitgracieusement cinq cent. N'en ayant pas l'usage, je me dis que celaamuserait certainement notre entourage, et en tout cas, mon épouse quiavait battu des mains en la découvrant : — « Madame la baronne Carole de Lapathe-Levay, Monsieur le baron LucStanislas de Lapathe-Levay, domaine de la Chaudasse, Verfeil sur Loing... T'es trop con, mais putain, qu'est-ce que j'aime ça ! » Le loufiat la parcourut en diagonale et, nullement impressionné, me larendit presque aussitôt : — « Je suis désolé, Madame la baronne, Monsieur le baron, je ne mesouviens pas d'avoir de réservation à votre nom, mais je pourrais vousproposer de repasser demain soir, si vous... » Je l'interrompis d'un bras théâtralement tendu en sa direction : — « Ne vous donnez pas cette peine, mon brave. Nous avons en effetréservé mais sous un nom plus... Courant. Nous ne voulions pas depasse-droit, vous comprenez ? Je conçois qu'appartenir à un certainrang procure des avantages en rapport, mais le principal est que nousayons notre table. Essayez plutôt au nom de Gardinot. C'est celui denotre jardinier, je le lui ai emprunté pour l'occasion. Plutôt cocasse,non ? » Le maître d'hôtel, après avoir brièvement affiché sur *** visage lanostalgie qu'il avait des plus belles heures de la révolution française,disparut un instant derrière *** pupitre et consulta *** registre : — « En effet, j'ai bien une réservation au nom de monsieur Gardinotpour deux per***nes... Par contre, je crains que vous ne soyez un peu enavance. Oserai-je vous inviter à aller patienter au bar ? Je vous feraisigne dès que votre table se libère. » Je snobai le loufiat en prenant galamment la main de ma baronne : — « Venez, ma chère, je suis certain que cela va être très amusant ! » Carole gloussa en ondulant mondainement. La pauvre avait du mal à se fondredans *** rôle, mais per***nellement je la trouvais irrésistible. Elle eut toutes les peines du monde à escalader *** tabouret avec ses hautstalons, allant jusqu'à couiner bruyamment quand je la poussai un peuvivement en la tenant par les fesses. Pour ma part, je grimpai assezhardiment sur le mien, poussant un cri de victoire en arrivant au sommet :si j'avais eu un drapeau aux couleurs de mes armoiries, je l'y auraisplanté ! Nous étions bien sûr le centre d'intérêt du restaurant, ce que nousrecherchions de toute façon. Je commandai une Suze-cassis comme de juste,et Carole, après mûre réflexion, un Pschitt orange. Le barman –qui faisait aussi office de serveur- se moqua gentiment d'elle : — « Mon Dieu, du Pschitt... Vous en avez bu récemment, madame ? » — « Eh bien, la dernière fois c'est quand la voiture de père est tombéeen panne dans un petit village perdu, un peu comme celui-ci. Il étaitvenu me chercher à la pension pour les vacances, je n'étais pas biengrande. Il faisait très chaud et j'avais pris cela, ce n'était pasmauvais... Pourquoi cette question ? » — « Je crains que nous n'en ayons plus... Vous voudriez certainementautre chose ? » Elle parcourut la carte des yeux et dit, pensive : — « Un demi... C'est quoi ? » Le barman, de plus en plus amusé entrait dans *** jeu : — « De la bière. Vous savez, du jus de houblon avec des bulles, commele pschitt... » — « Ah non alors ! C'est une bois*** de prolétaire, comme disait père... Tiens, un baron ! Voilà ce qu'il me faut ! Une bois*** noble, commenous ! » — « Désolé de vous contredire, c'est également une bois*** deprolétaire. C'est aussi de la bière. » Mon épouse, chagrinée, se tourna vers moi : — « Mon tendre, vous m'aviez assuré que c'était un établissement dequalité, mais je ne me sens vraiment pas à ma place ici... » Elle avait parlé à voix basse, mais assez fort pour que le barmanl'entende. Cette fois, *** sens de l'humour était un peu écorné et ***agacement transparaissait dans sa voix : — « Je suis désolé de vous brusquer, madame, mais on m'attend encuisine... » Carole fit mine de choisir au hasard du doigt en fermant les yeux : — « à consommer avec modération... Non, ce n'est pas ça. Je vais prendreun... Margarita. Cela me rappelle la servante espagnole à l'accent siamusant que l'on avait à notre service, naguère ! » Une fois seuls, nous savourions notre petit numéro en nous murmurant descompliments à l'oreille, tout en picorant les crackers gracieusement mis ànotre disposition. Le maître d'hôtel vint nous chercher vers neuf heures et quart pour nousguider à notre table enfin libérée. Il dissimula avec peine l'amusement quenotre descente de tabouret –aussi acrobatique et spectaculaire que lamontée- lui procurait. Luttant pour rester digne et tout en prenant le bras de ma baronned'épouse, je lui dis dans un petit rire gêné : — « Elles ***t amusantes ces chaises, mais un peu plus hautes que lesprie-Dieu de notre chapelle... » — « Je n'en doute pas... Si vous voulez bien me suivre. » Nous avions à peine consulté le menu que mon épouse se leva brusquement : — « Je dois aller me repoudrer le nez. Je ne serai pas longue. À toutde suite, Luc Stanislas ! » Je me régalais de la vue de *** fessier indolent et bien moulé dans sa robequi balançait entre les tables. Sa démarche qu'elle voulait altière étaitplutôt un pousse au crime... Tous les yeux masculins –et même certains yeuxféminins, plus critiques- le suivaient du regard. Le garçon qui était accouru prendre notre commande en fut pour ses frais etrepartit bredouille. De la salle, on pouvait entendre la baronne vocalisercomme si elle était au fond de *** château : — « Mon brave, vous pouvez m'indiquer les toilettes, je vous prie ? ...Mademoiselle, vous qui ne faites pas grand-chose, vous pourriez megarder la porte ? Ce verrou me semble des plus suspects... » Pour *** retour à table, elle avait tenu à se faire raccompagner par le maître d'hôtel à qui elle donna du « merci mon brave » . Pour toute réponse, il leva les yeux au ciel.
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chrislebo
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Carole savait se faire remarquer quand il le fallait et sa voix ruraleportait loin : — « Mon cher, je vous déconseille de vous rendre aux toilettes, c'estun vrai cloaque ! Rendez-vous compte, il n'y a même pas de per***nelpour gérer ce lieu d'aisance, ni de serviette digne de ce nom ! Toutjuste des carrés de papier que l'on se doit d'extraire d'une boite enfer en tirant dessus comme un forçat ! A tel point que je me suispresque cassé un ongle ! Voyez ! » À présent, nous étions bel et bien le centre d'intérêt du restaurant,malgré que l'on nous ait placés au fond de la salle. Et petit à petit,l'amusement et la curiosité faisaient place à l'agacement et àl'exaspération... Le per***nel était angoissé à l'idée de venir à notre table pour nousproposer la suite ou de venir nous servir. Nous en étions au fromage et lepauvre serveur nous laissa le plateau sans un mot. Carole se servit d'un généreux morceau découpé avec gourmandise, sa languerose pointant entre ses lèvres : — « Du brie de Meaux, le fromage de notre pays, mon préféré ! » Je souris d'un air supérieur : — « Ma pauvre amie, votre brie ne vient plus de Meaux depuis bellelurette... Comme le savon ne vient plus de Marseille, pas plus que lebleu de méthylène. » — «Ah ? Je connaissais le bleu de Bresse, comme le poulet... Méthylène ?Où est-ce donc ? » Je la gourmandai : — « Allons, ma chère, ne vous a-t-on donc rien appris dans votrepensionnat de religieuses ? L'île de Méthylène est une des principales îles des Cyclades, avec Lesbos [2] etPropylène... » Se rendant compte que je la menai en bateau –comme bien souvent mais paspour aller dans les îles grecques- elle soupira, les lèvres pincées : — « J'en ai plus qu'assez de vos airs suffisants. Vous me prenez pourune dinde, mais j'en sais plus que vous le croyez, mon cher ! Je saisen outre que vous me trompez, et copieusement encore ! » Petit à petit, l'atmosphère romantique de notre tête à tête basculait dansle pugilat : J'avais invité la baronne pour me faire pardonner d'unprétendu écart conjugal, mais elle n'était pas dupe et s'était rendu compteque je n'étais qu'un satyre. Le ton montant, nous avions mis de côté nospetites attentions réciproques pour crier presque. Carole alla jusqu'à me jeter *** verre -d'eau, heureusement- au visage. Cen'était pas prévu, mais un peu d'improvisation ne faisait pas de mal à lacrédibilité de notre scène : — « Goujat ! Vous croyez que je ne vous ai pas vu peloter la petitebonne, vieux pervers ? Je suis sûre que sa jeunesse, sa fraîcheur et sataille de guêpe vous attirent, comme la mienne vous a naguère séduit ! » Elle joignit le geste à la parole en se levant et en prenant des poses pourmettre sa superbe anatomie en valeur, plus pour l'agrément des messieursdes tablées voisines que pour moi qui la connaissais sur le bout desdoigts. Je m'essuyai tant bien que mal de ma serviette et lui fis d'un ton cassant: — « Pour ce qui est de votre fraîcheur, je n'en ai plus le souvenir... Par contre, je puis vous assurer que si vous n'avez plus une taille deguêpe, vous avez toujours et plus que jamais un cul de bourdon ! » Là-dessus, elle me gifla, et le restaurant devint aussitôt silencieux. Àdire vrai, il l'était déjà, per***ne n'osant parler pour mieux tendrel'oreille. Seuls quelques timides tintements de couverts agrémentaientnotre scène. — « Tu me le paieras, tombereau ! » — « Jamais de la vie, espèce de dégénéré ! Maman avait rai*** de medire de me méfier de toi, vil pervers ! » Le chef daigna enfin sortir de *** sérail pour mettre un peu d'ordre dans*** établissement et nous intimer l'ordre de nous calmer et de retrouverune conduite digne de gens bien élevés. Il s'avançait vers nous d'un pasmartial quand Carole se jeta dans mes bras pour m'embrasser furieusement. Je la repoussai tendrement et lui prit la main pour saluer de concert : — « Mesdames, Messieurs, Nous espérons ne pas avoir trop troublé votrerepas et même l'avoir quelque peu égayé. Mon épouse et moi-même avonseu l'idée de renouveler une spécialité qui faisait fureur il y a bienlongtemps ici même, une spécialité qui figure en haut de la carte de ceprestigieux restaurant. J'ai nommé : L'esclandre ! » Nous avons été généreusement récompensés par des rires et desapplaudissements. Le chef vint nous trouver à notre table : — « Vous auriez dû me prévenir de votre initiative, j'en aurai profitéaussi... Je peux vous dire que vous avez bien semé la pagaille ! Je vousoffre le dessert, le café et le digestif pour vous remercier decélébrer ainsi mon restaurant. » Il s'éloigna et revint sur ses pas : — « Au fait, il n'y a jamais eu d'esclandre ici, enfin pas plusqu'ailleurs... C'est une légende. « L'Esclandre », c'est un lieu-ditjuste à côté. » Si je revois ma conductrice de bus, je lui dirais que c'est moi qui avaisrai***. Ça vaut bien un gage coquin, ça... Mon amour avait retrouvé le rouge de ses belles pommettes et plaisantaitavec le per***nel qui revenait de loin. Bien sûr, elle ne se priva pas denous gratifier de quelques-unes de ses meilleures imitations. C'est curieux, même quand elle fait défiler tour à tour Raimu, Gabin,Fernandel ou autre Bourvil, je ne peux m'empêcher de la trouver désirableau possible. Faut-y être vraiment pervers...
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chrislebo
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PEUT-ON RAI***NABLEMENT BRULER LES PLANCHES QUAND ON A LE FEU AU CUL ? Ma modeste expérience de serveuse au « Lolitas » me redonna legoût du spectacle et du contact avec le public. Je finis par repenser à madécision de contacter Claudine du « Pop Model » : je retournaisans arrêt dans ma tête l'idée gourmande de me produire sur scène, en medemandant si c'était une bonne intuition, et surtout si ce que j'avais àproposer était digne d'intérêt. J'avançais, reculais et finis par saisir lebottin quelques jours plus tard : Un coup de fil ne pouvait pas me faire demal... Après plusieurs ***neries dans le vide, une agréable voix masculine, bienqu'essoufflée, me répondit. Malheureusement, Claude –Claudine étant *** nomde scène- n'était pas présent sur les lieux avant quinze heures. Je meproposai donc d'aller lui rendre visite vers seize heures, il ne devraitalors pas être trop pris... Alerté par des bruits suspects, je me dirigeai vers notre chambre à coucher: j'y trouvai ma Carole, un bout de langue appliqué pointant au coin de seslèvres, vissant avec un art consommé une plaque d'un goût douteux sur laporte de notre chambre conjugale : un panneau d'avertissement de chantier,jaune, plutôt usagé et défraîchi. Carole me sourit de toutes ses dents de fine porcelaine : — « C'est rigolo, hein ? J'ai trouvé ça sur le bureau de Denis, il m'en afait cadeau. Ça te plaît ? » Je fis la moue, ce qui ne sembla pas la perturber plus que ça : « ATTENTION SORTIE D'ENGINS » placardé sur la porte de notre petitnid d'amour, ce n'était pas pour m'enchanter outre mesure : — « C'est en l'honneur de ton gros cul agricole, cet avertissement ? » Elle haussa les épaules en me tirant la langue : — « T'es con... C'est pour les engins masculins, pour prévenir toutaccident regrettable... » Je fixai tristement le sol : — « Avec un engin comme le mien, tout risque est écarté... » — « Ouais, mais il n'y a pas que le tien !... Et puis c'est comme lepanneau « Attention au chien » : des fois, c'est pour ne pas marcher dessus quand il est tout petit ! » Je renonçai à lui dire ce que je pensais de sa dernière fantaisie tout enpriant qu'elle disparaisse rapidement. Afin de m'aider à ne plus penser à cette horreur, je me remis sérieusementau travail. Ces derniers mois, j'avais grandement relâché mon zèle, audétriment de mes affaires et de celles de mes clients, en droit à plus deconsidération de la part d'un professionnel de la finance tel que moi. Tout en enchaînant mes diverses tâches, je repensai à toutes les chan***sque j'aurais aimé interpréter, en espérant que j'aie mon mot à dire.J'imaginai également les chorégraphies, tenues et accessoirescorrespondants : mon imagination fertile risquait d'en dérouter plus d'un... J'avais réussi à convaincre Carole de ne pas m'accompagner au « Pop Model. » Elle avait de toute façon mieux à faire avec sesbestioles. Claude lui-même vint m'ouvrir. Il ne me reconnut pas sur le coup, mais metomba dans les bras quand je lui expliquai qui j'étais et ce que j'étaisvenu faire ici : — « Oui ! Je me souviens maintenant ! ...Franchement, je ne pensais pas terevoir ! Alors, tu veux faire quelques pas dans le monde du spectacle ? » Je m'étais un peu exercé dans la glace, dans mes rares moments de solitude.Carole n'est pas ma spectatrice préférée, elle passe *** temps à se moquerde moi et de mes ondulations féminines. Confortablement installés dans un petit salon, Claude m'exposa le programmetype que je devais respecter : — « Si tu veux entrer dans l'aventure, tu devras chanter trois chan***sen play-back et réaliser un strip-tease, intégral ou pas, à toi devoir. Tes play-back devront être en costume et seront portés par unechorégraphie originale. Si tu es bonne, tu pourras même faire partie denotre nouvelle revue de la rentrée. » — « J'ai le choix des chan***s ? » — « Mais oui, de tout ! Ce sera ton bébé, et si mon compagnon et moi n'ytrouvons rien à redire, en un rien de temps tu te retrouveras sur lesplanches ! » Il me fit un sourire gêné : — « Par contre, ton cachet risque d'être un peu maigre... On tire un peu lediable par la queue en ce moment. » — « Ce n'est pas un problème. Si je fais ça, ce n'est pas pour l'argent.Tu n'auras qu'à donner mon maigre cachet aux victimes du sida ou à unfoyer pour jeunes homos rejetés par leur famille... » Claude se leva pour m'embrasser : — « pas de doute, tu es taillée pour faire vraiment partie de notrefamille à nous ! Sinon, tu as quelques idées de chan***s ? » Je lui exposai mes projets, et il me répondit par une moue de mauvaisaugure : — « Tu as vraiment de drôles d'idées. Ça va à l'encontre de tout ce qu'ona fait jusqu'ici. » — « Justement : je ne veux pas te vexer, mais « Juanita Banana », dans ta robe à Froufrou bariolée, ça fait plutôt « cage aux folles. » Tu ne crois pas que je risque de dépoussiérerun peu le genre ? Toute modestie mise à part, bien sûr... » Nous nous sommes quittés là-dessus. Je m'étais promis de revenir dans unpremier temps avec une petite vidéo de mes prestations, histoire de bienprésenter mon projet. Il me semblait receler de bonnes idées et je mesentais un peu vexé d'avoir été incompris.
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chrislebo
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L'ENFER EST PAVÉ DE FAÏENCE BLANCHE. Firmin ne nous laissa pas seuls longtemps : il escortait cette fois unejolie rousse délicieusement blanche et potelée d'une trentaine d'année,vêtue d'une robe saumon en satin plutôt sexy. Elle ne ressemblait pas dutout à mon épouse, mais tout en elle me donnait l'illusion de sa présence. Carole me manquait terriblement, comme souvent d'ailleurs. Elle devaitcertainement bien s'amuser, courtisée comme elle l'était... Je n'étais pasjalouse, mais je regrettais de ne pouvoir être avec elle, participer etassister à *** bonheur et ses plaisirs... Firmin me tira de mes pensées par une bourrade. Je devais être ************** cette beauté rousse : — « Elle te plait, on dirait, non ? Je te présente Bambi. Elle fera leplat de résistance du banquet de ce soir ! » Encore sous *** charme, je lui souris : — « Ah ? Tu es cuisinière ? » J'avais déjà oublié les règles du lieu et Firmin me frappa de la badine quine le quittait pas : — « Silence ! Ne réponds que si moi ou un Maître t'interroge ! » Il arracha la robe de Bambi qui se retrouva aussitôt délicieusement nue :sa peau blanche et tendue était absolument imberbe, *** sexe également :*** mont de vénus, très proéminent, laissait à peine entrevoir une fentetimide. Firmin lui écrasa un de ses seins menus entre deux doigts : — « tant mieux si tu la trouves appétissante ! En fait, le plat derésistance, c'est elle : elle sera rôtie à la broche et servie avec despetits légumes ! » Malgré la douleur, le visage de Bambi exprimait un plaisir intense. Jen'étais pas trop inquiète à *** sujet, je savais que c'était un jeu, etpour qu'il soit drôle, il appartenait à chacun de nous de bien tenir ***rôle. Di***s plutôt que je ne considérais pas vraiment tout ceci comme un jeu,mais comme une autre vie, un jeu de rôle, une autre réalité dans un universparallèle... Mais j'en restai là dans mes considérations philosophiques et me dirigeaid'un pas décidé vers les toilettes dont ne s'éloignait pas Ombre. Nous étions libres dans la pièce bien que certains furent entravés, et nousavions tous fini par nous allonger sur les bottes de paille, emmitoufléscomme nous pouvions dans les couvertures, blottis les uns contre les autres: il commençait déjà à faire noir et froid, et inconsciemment nous nousdoutions que le moment venu, nous n'aurions sans doute pas la possibilitéde dormir... Il faisait déjà nuit et je somnolais lorsque la porte s'ouvrit et qu'unelampe puissante m'éblouit. La voix sèche de Dame Aurore ré***na : — « Debout, petite pute ! » Pour être bien sûre que c'était de moi qu'il s'agissait, elle arracha lacouverture qui nous réchauffait à peine et me frappa d'un coup de cravache.Pour le plaisir, elle en distribua aussi à mes voisines, Ombre et Bambi quim'appréciaient également. à peine sur pied, elle me menotta dans le dos et me passa une laisse et uncollier de cuir autour du cou : - « Moi aussi, j'ai envie de m'amuser un peu, de prendre du bon temps. Iln'y a pas de rai*** pour que moi, je n'y aie pas droit, non ? Qu'enpenses-tu, ma petite pute chérie ? » Moi, j'en étais encore à rassembler mes esprits et m'adressai à elle commesi nous étions des amies de longue date : — « Vous avez bien rai***, Maîtresse. Faites-vous plaisir. » Ma réponse sembla l'amuser car elle rit franchement en me frappant lacuisse d'une cravache mordante : — « Madame, pas Maîtresse... ça me ferait bien mal d'être la maîtresse d'undéchet dégénéré comme toi ! Mais je suis contente que tu partages monpoint de vue. Dis-moi, ma jolie petite enculée... Oui ! Je t'appelleraicomme ça à présent, ma petite enculée jolie. Ça te plait ? » Je baissai humblement la tête : — « Oui, Maî... Madame, ce nom me plait, et il me va si bien... je crois queje ne suis bonne qu'à ça. » Mon discours lui plaisait de plus en plus, et elle rit de nouveau : — « Mais non, allons, là, tu te rabaisses ! Tu as bien d'autres talents,bien plus méprisables, mais tu ne le sais pas encore... à moi la tâcheingrate de t'enseigner et te révéler tout ça. Dis-moi, mon enculéechérie, tu connais ''casse-noisette'' ? » — « heu... le ballet de Tchaïkovski, Madame ? » — « Celui-là même. » — « Oui Madame, je le connais un peu. » — « très bien. Tu apprécieras mieux mon petit ballet, alors. » En découvrant ma mine perplexe, elle se mit à pouffer et m'entraîna à sasuite en me tirant *********** par la laisse. Ce n'est qu'au dehors que je pus la voir en entier, au clair deslampadaires de la propriété : jusqu'à maintenant, je n'avais eu droit qu'àsa lampe en plein visage... Elle portait un long manteau de fourrure bien moelleux qui lui arrivait auxgenoux, ne laissant apparaître que ses bas et ses escarpins haut perchés.Elle se déhanchait d'une démarche lente et chaloupée, très lascive. Pourl'avoir pratiquée en tant que fille, cette façon de se déplacer procure àcelle qui la pratique une forte excitation sexuelle, ainsi bien sûr à ceuxqui profitent du spectacle. Je tremblais un peu de froid, mais aussi d'un plaisir diffus,indescriptible. L'envie, le besoin et le pressentiment que j'allaisparticiper à quelque chose d'intense, certainement douloureux etdésagréable, mais tellement jouissif ! A peine entrées dans le hall, Firmin lui sauta dessus, affolé : — « Madame, je vous cherchais partout ! Nous avons quatre nouveaux venus,et je voulais... » Elle le coupa sèchement : — « Débrouille-toi tout seul, incapable ! Tu vois bien que j'ai à faire ! » — « Mais, Madame, je ne sais pas quoi faire, j'ai besoin de vous ! » — « Je te dis de te débrouiller tout seul ! » Le ton montait de plus en plus entre eux : — « Mais qu'est-ce que je vais... » Il n'eut pas le loisir d'en dire plus, un coup de cravache en travers duvisage l'arrêta net et elle hurla, me faisant dresser les rares poils demon corps : — « Assez ! Dégage de mon chemin, larbin stupide ! » Et elle le bouscula pour passer tandis qu'il se tenait la tête à deuxmains. Qui aurait cru que ces deux là s'adoraient ? Nous montions lentement les escaliers, et le roulement torride de seshanches redoubla. Dame aurore se mit à chantonner un air de''casse-noisette'' : — « Mon pauvre Firmin, il commence à vieillir. Il va falloir que jetrouve un autre larbin pour le fouetter, ou un Maître si ça peut ledistraire... Mais il n'a pas tout à fait tort, je suis un peu''casse-couilles'' par moment. Tu ne trouves pas, ma poupée jolie, queje suis un peu ''casse-couilles'' ? » Elle s'arrêta et se retourna pour me dévisager avec curiosité et amusement.Comme je restai la bouche ouverte, essayant de trouver une réponseadéquate, elle me la referma d'un doigt délicat sous le menton : — « Non, tu a rai***, petite enculée. Prends bien le temps de réfléchiravant de répondre, tu me connais encore si peu en fin de compte... » Nous étions enfin arrivées devant une porte que je ne connaissais que trop: la grande salle dans laquelle Salomé avait passé quelques jours detourments... La main sur la poignée, Dame Aurore me confia gravement : — « Tu as le privilège de contempler mon bien le plus précieux : monmeilleur étalon ! » Et elle ouvrit la porte sur l'inamovible grand H d'acier auquel étaitmenotté bras et jambes écartés un superbe jeune homme d'une trentained'année, bâillonné et aveuglé par une cagoule de cuir qui lui couvrait latête jusqu'au nez. Il était délicieusement halé et huilé, mettant en valeurune musculature parfaite, développée juste ce qu'il faut pour affirmer savirilité, abondamment harnaché de cuir clouté.
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chrislebo
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Lorsqu'elle cria, Natacha planta ses ongles dans mon bras et me souffla àl'oreille : — « Mon dieu, quelle horreur ! Pourquoi il lui fait tout ça ? » Je ne répondis rien. Pour ma part, ce spectacle m'excitait au plus hautpoint... Une fois qu'elle fut relativement confortablement installée sur ***tournebroche, Maître François poussa l'ensemble jusque devant la cheminéedu salon qui crépitait paisiblement. À la distance à laquelle Bambi étaitplacée, elle ne risquait pas de cuire, à moins d'arrêter de tourner labroche... C'est d'ailleurs la tâche que me confia *** Maître le temps qu'ilaille chercher le reste de *** matériel : une immense lèchefrite, adaptée àla taille de la pièce de viande à rôtir ainsi qu'un grand pot de saucemadère bien chaude dans lequel était plongée une louche. Pendant que je tournai la manivelle -un jeu d'enfant grâce à un astucieuxjeu de pignons- et sur les conseils de Maître François, Natacha versait lasauce sur le corps chaud et laiteux de Bambi littéralement en extase quiaurait souri de bonheur si sa bouche n'avait pas été si remplie... Sans un mot, j'attirai l'attention de mon aide d'un coup de menton endirection de notre rôti pour lui signifier que même si tout ceci luisemblait surréaliste -y compris pour moi- cela faisait partie d'un jeu danslequel chacun y prenait du plaisir. Même Natacha semblait prendre goût à *** petit travail et je m'amusai à lavoir verser sa sauce chaude avec application, ne négligeant aucun recoin dela jolie peau blanche soumise aux ardeurs solaires de l'apaisant feu debois. Elle me sourit en retour et en oubliait presque sa nudité qu'elleavait tenté jusqu'à présent de masquer maladroitement de ses mains... Elle poussa même jusqu'à faire un brin d'humour en s'adressant à Bambi,toute à *** rôle de nature morte : — « Je sens qu'on va bien se régaler ! » Je commençais à me sentir bien, au calme et à côté du feu, pelotée de tempsà autre par un Maître ou une Maîtresse qui venait se repaître de plus prèsde ce spectacle si insolite, transgressif et terriblement excitant, bercéepar les conversations et le *** cristallin des verres de ceux quipréféraient le confort des fauteuils. Un bruit de chaîne traînant au sol me fit tourner la tête et je vis entrerma pauvre épouse, de lourds fers à ses pieds nus, portant sur le dos unevielle robe grise et -volontairement- toute déchirée, quasiment en lambeau: Un de ses seins pendait par un des larges trous et ses fesses n'étaientpresque pas dissimulées. Firmin qui la tenait en laisse la fit trébucher devant moi en posant lepied sur sa chaîne : — « Tu te voyais déjà une grande cuisinière ? Commence déjà par fairerôtir cette truie ! Regarde comment ils font, et ne néglige pasd'entretenir le feu non plus ! » Pour lui donner la touche finale, il lui ébouriffa sa belle chevelure defeu et lui souffla au visage une bouffée de cendres prises dans un seau,près de la cheminée : — « Voilà, Tu feras une parfaite cendrillon ! » Malgré l'affliction qu'elle tentait d'afficher, Carole cachait mal ***excitation. Je pouvais le lire dans ses yeux fiévreux et surtout à la façondont sa poitrine se soulevait à chaque respiration, les tétons dressés... Un applaudissement lent mais ***ore nous fit tous nous retourner. DameAurore, *** manteau entrouvert sur sa nudité se tenait dans l'embrasure dela porte : — « Alors là, Chapeau. Mon cher Firmin, j'en reste sans voix... J'avoueavoir été un peu rude avec toi, mais là, tu dépasses mes souhaits lesplus fous ! » Ne croyant qu'à moitié à sa sincérité, il risqua : — « Vous êtes sérieuse, Madame, ou vous vous moquez encore de moi et demon incompétence ? » — « Mais non, mon brave Firmin, je suis tout ce qu'il y a de plussérieuse. Tiens, je vais même te récompenser par un chèque en blanc :Je t'autorise à baiser n'importe quelle salope présente dans cettepièce, et de la façon que tu aura choisi. » À ces mots, Natacha qui se sentit en danger se colla contre moi,terrorisée. Pour appuyer ses dires, Dame Aurore ôta la cage métalliquecontraignant le sexe de *** époux visiblement très excité par le traitementqu'il venait de faire subir à ma moitié, à voir *** érection contenue et lelong fil de sécrétions qui en coulait : — « Alors, tu as choisi celle dans laquelle tu vas te vider, fidèleserviteur ? » — « Oui Madame, c'est tout réfléchi. Vous. » Elle sursauta : — « Moi ? Tu me prends pour une salope ? » — « Oui Madame, sauf votre respect. Et vous comme moi savons que noussommes encore bien loin du compte ! » Dame Aurore, vaincue, posa *** manteau de fourrure sur un fauteuil libre : — « Bien, je n'ai qu'une parole. Je suis à ta disposition. Prends-moiselon ta fantaisie. » Il lui fit poser un pied bien haut sur le bord du foyer de la cheminée ets'accroupit pour se délecter de *** sexe détrempé, jouant du bout de lalangue avec *** piercing. Satisfait, Firmin la fit se baisser à l'équerre, les mains appuyées sur lacheminée et enfouit *** visage entre ses fesses pour la lécher avecpassion. Le sexe luisant, tendu comme un arc il la fit plier des genoux sansménagement et la sodomisa à fond, la faisant crier de douleur et deplaisir. Natacha, traumatisée et toujours blottie contre moi en oublia un peu satâche, aussi Carole lui prit la louche des mains pour continuer à arroserle rôti qui tournait toujours. Les ébats des hôtes de la demeure eurent lieu dans la plus grandeindifférence de la part des Maîtres et ne durèrent de toute façon que peude temps. Une fois les pulsions de *** valet assouvies, Dame Aurore lui remit sa cagemétallique, se rhabilla et nous dit avant de sortir, visiblement satisfaitepar le tableau que nous lui offrions : — « C'est bien, les souillons, pour une fois vous ne me décevez pas.Attention à ne jamais arrêter de tourner la broche, sinon la viande deBambi va vraiment cuire. » À Firmin, en me désignant du doigt : — « Range-moi celle-là. Elles n'a plus rien à faire ici pour l'instant. » Natacha me jeta une supplique silencieuse pour que je ne l'abandonne pas :j'étais le seul lien qui la reliait à cet univers surréaliste. Avant dequitter mon épouse, nos regards se croisèrent l'espace d'un instant et moncœur bondit dans ma poitrine : En un battement de cils, j'ai pu lire dansses beaux yeux gris-bleu un immense bonheur... Firmin me raccompagna donc dans le bâtiment où tentaient de dormir noscamarades, et comme j'allais me recoucher entre eux, il se ravisa : — « En fin de compte, je vais avoir besoin d'une bonniche pour m'aider àmettre la table. Dame Carole aurait dû s'en occuper à ta place, maiselle a visiblement mieux à faire... » Il me guida jusque devant mon armoire qu'il ouvrit : — « Met ta tenue de bonniche. Elle te va vraiment à ravir et ta petiterobe moule ton gros cul rond avec bonheur. Tu as vraiment plus degueule que moi là-dedans... » Je perçus une pointe de regrets dans sa voix : — « Vous m'en voulez pour ça, Monsieur ? » Sa façon de m'enlacer la taille me surprit quelque peu : — « Certainement pas, ma jolie. Je ne peux pas t'en vouloir d'être sidélicieusement féminine et de remplir si bien les tenues que je t'aioffertes... Je suis heureux qu'elles aient une nouvelle vie, jeregrette seulement de ne pas avoir eu ne serait-ce qu'un quart de tasensualité... Il y a bien longtemps, j'étais la bonniche de Madame, etelle me traitait sévèrement. Aujourd'hui, je ne suis que *** valetempoté au possible, mais qui se plie en quatre pour *** plaisir...Alors non, ne crains rien, je ne t'en veux pas d'être la belle filleque tu es. Je suis juste un peu amer de n'avoir été et de n'être que ceque je suis, mais ça, tu n'y es pour rien. » N'ayant rien pour retoucher ma mise, Firmin s'en chargea lui-même enrajustant l'alignement de mes vêtements et en me coiffant de ses longsdoigts osseux, me braquant sa lampe torche en plein visage : — « Voilà, tu es à peu près présentable. Tu es bonne pour le service. Enroute. » De retour dans la grande salle à manger, je constatai une fois de plusquelques changements dans sa disposition : quelqu'un s'activait derrièreles paravents tirés au fond de la salle et les tables, disposées en unlarge U avaient été poussées vers l'entrée de la cuisine, ménageant ungrand espace libre. Je m'efforçai de faire le vide dans mon esprit enrefoulant de vaines spéculations, me concentrant sur la tâche qui m'étaitdévolue : placer les différents verres et couverts selon l'étiquette, sousl'œil critique de Firmin. Sans crier gare, je fus prise de tremblements et la nausée quim'accompagnait depuis mon « traitement » s'intensifia. En mêmetemps, je perdais la vue et le sens de l'équilibre, reposant *********** lapile d'assiette que je portais sur un coin de table, sans être vraimentsûre d'ailleurs qu'elle y reste sagement... Telle une poupée de chiffon, je me laissai glisser au sol, engluée dans unrêve cotonneux. Firmin, toujours aussi taquin, insinua un pied sous ma jupepour m'en tapoter mollement les fesses : — « Tiens... Elle ne nous ferait pas un petit coup d'hypoglycémie, notreperle rare ? Ce serait trop drôle, avec tous ses kilos en trop... » En effet, je me sentais assez faible, et je n'avais quasiment rien dans leventre, à part un peu d'eau sucrée... Je ne m'étais par trop resservied'orangeade car je craignais qu'elle ne traverse mon corps trop rapidement. Il me roula sur le dos pour me relever les jambes à l'équerre en me posantles pieds sur un dossier de chaise : — « Je sais comment soigner ça : tout ça, ce n'est qu'un problème decirculation ! » Il se mit à me frapper bruyamment les cuisses du plat de la main, commes'il me fessait. Malgré mon état peu reluisant -bien que ma position m'aitfait reprendre quelques couleurs- je goûtait ce traitement encore inconnu :mes bas modifiaient la sensation que je connaissais -et appréciais- et lesfessées à main nue ***t mes sévices préférés... Le valet eut tout de même pitié de moi et m'entraîna en cuisine pour medonner un petit verre d'eau bien sucré et un quignon de pain : à présentque j'étais entièrement vidée, je pouvais de nouveau manger un peu mais ilme tardait vraiment d'avoir un bon repas... Des cris en provenance du salon intriguèrent Firmin, et moi aussi par lamême occasion, d'autant plus qu'il me semblait reconnaître la voix de monépouse cendrillonnée. Je le suivis pour voir de quoi il retournait et je vis ma pauvre Carole sefaire palper par un Maître sous toutes les coutures comme elle aurait pu lefaire elle-même aux vaches de ses parents. Malgré cela, elle continuaitvaillamment à tourner la manivelle tandis que Natacha, qui n'en menait paslarge, arrosait consciencieusement *** méchoui sexy... Nous sommes restés quelques instants pour profiter du spectacle quandd'autres cris en provenance du hall et se rapprochant se firent entendre :Deux autres Maîtres entrèrent au salon- je les connaissais de vue maisj'avais oublié leurs noms- poussant devant eux une Ombre toujours aussiinfernale, malgré qu'elle soit enchaînée les mains dans le dos et aussilivide que moi. À la vue de Bambi qui tournait imperturbablement sur sa broche, elle se ruadessus pour laper la sauce et lui mordre une fesse. Le rôti émit un petitcri -signe qu'il n'était pas encore bien cuit- et les Maîtres lamaîtrisèrent rapidement. Dame Aurore, qui devisait avec ses invités au fond du salon prit la parole: — « Eh bien, il me semble que nous soyons au complet. Si vous voulez bienpasser à table... Je crois que nous avons tous faim, surtout cetteinfernale petite peste ! »
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chrislebo
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QUATRE MARIAGES ET UN ENTERREMENT ( DE VIE DE JEUNE FILLE ). Mes valises attendaient sagement dans le hall quand le taxi se présentadevant le perron en faisant crisser ses pneus dans les graviers. Serge et Gisèle me serrèrent longuement dans leurs bras, un peu trop fortpour une simple soumise stagiaire : — « Tu nous manques déjà... Si tu as un moment, passe nous voir avecDiane. Vous êtes notre seule famille à présent, avec Carole, biensûr... Et puis nous allons entrer dans l'hiver, nous ne verrons plusgrand monde. Embrasse Bella pour nous ! » Je les quittai à contrecœur : j'avais du mal à réaliser que ces deux bravesgens avaient une autre vie... Il avait été prévu au départ que je reste unpeu plus longtemps, mais avec les soucis du « Pop Model », ilaurait été incorrect que je les laisse en plan. Financièrement, ils s'entiraient tout juste, et ce n'était pas au moment où ils sortaient enfin latête de l'eau que j'allais les lâcher. Le chauffeur n'eut même pas à descendre de voiture pour ouvrir *** coffre -miracle de la technologie- et il attendit patiemment que Serge y déposemes valises et que je leur fasse mes derniers adieux. Une fois assise sur la banquette arrière, il se tourna vers moi et me lançaun jovial : — « Alors, elle va où la petite dame ? » C'était vraiment le profil type du chauffeur de taxi : petit, bedonnant,une casquette à carreaux posée en arrière sur le crane servant d'écrin àune calvitie aussi partielle qu'étincelante. *** sourire s'estompa quand je lui répondis : — « À Brignais. Vous connaissez? » — « Ah ! ça... Je connais. Je me suis payé un tracteur dans ce ****. Jene risque pas de l'oublier. » Je me lançais dans une improvisation de ravissante -laissez-moi le croire- idiote : — « Vous cultivez la terre en plus de votre travail de taxi ? » — « Mais non... Bon, je suis embêté car je pensais rentrer manger à lamai***. Du coup, je sens que je vais sauter un repas, et je vouspréviens, j'ai l'hypoglycémie mauvaise ! » Je lui souris presque affectueusement : — « Mais moi non plus je ne vais pas manger de sitôt. Si vous le voulez,on pourra prendre un petit morceau en route. » Il sembla emballé par ma proposition : — « C'est sympa comme idée ! Je connais un de ces petits bouchons [1] àtomber, juste à l'entrée de Lyon... » — « Alors là, je vous arrête ! Il faut que je sois à quatorze heures àBrignais. Je pensais plutôt à un fast-food... » Il se signa bruyamment : — « Mon Dieu Marie Joseph ! Manger du clown américain [2] aupays de la vraie gastronomie... En route ! » Il démarra en trombe, et j'eus à peine le temps de saluer mes délicieuxhôtes. Je me promettais de revenir vite les embêter un peu... J'étais àmille lieues de me douter qu'ils se sentaient si seuls. Le chauffeur enchaînait les virages avec une maestria déconcertante. Ilroulait plus vite que Carole, mais avec lui j'avais moins l'impression quej'allais finir dans le fossé qu'avec mon épouse. Peut-être que je laconnais trop bien, elle et sa manie de braquer au dernier moment... Une fois quittées les petites routes sinueuses et sur la grande nationalequi passe par Valence, mon chauffeur -comme tout bon mâle qui se respecte- put se permettre de me reluquer dans *** rétroviseur. Il me fit : — « C'est vrai ce qu'on raconte sur ce château ? » Je levai un œil distrait de l'écran de mon organizer : — « Et quoi donc ? » — « Eh bien... Vous savez bien, quoi, puisque vous en sortez. » Je continuai d'un ton neutre : — « Je ne vois pas de quoi vous parlez. C'était juste une fête defamille, plus quelques amis... Pourquoi, il s'y passerait quoi à votreavis ? » Il cessa de me regarder : — « Non, rien. On m'a juste raconté des trucs. » Je levai un sourcil intrigué : — « Des trucs ? Des trucs comment ? » Il mit un certain temps à répondre : — « Eh bien... On raconte qu'il se passe des trucs bizarres. Des genresde... Parties fines, si vous voyez ce que je veux dire. » J'éclatai de rire : — « Elle est bien bonne, celle là ! Quand je raconterai ça à Tonton etTata, ils vont en tomber sur leur derrière ! » Le chauffeur bougonna : — « M'empêche qu'il y a des aller et venues suspectes dans ce château. » Je tentai de rassurer ce brave homme : — « Mon cher monsieur, vous avez rai*** quelque part : Ce château sert delieu de séminaire et de rencontre pour l'église protestante de larégion. Mon oncle en est un des piliers. Je peux vous l'avouer àprésent, ils m'ont déjà fait part des ragots qui circule sur eux et ilstrouvent ça cocasse. » — « Je vous présente mes excuses, ma petite dame. On se fait des idées,parfois... Je me disais aussi, les gens que j'ai vus tout à l'heuresemblaient tout à fait honnêtes. » — « Je ne vous le fais pas dire. » Satisfaite d'avoir dissipé un tel malentendu, je me replongeai dans laconsultation de mes chiffres... Pas longtemps : — « Excusez-moi de vous embêter, mais je commence à avoir la dalle. Ilfaut qu'on se mette au point : vous voulez manger quoi ? » Je tentai un peu d'humour avec cet ours : — « Ah ? Parce que c'est vous qui allez cuisiner ? » Il grommela quelque chose de certainement peu galant et reprit : — « Vous avez une préférence ? Des trucs de régime comme toutes ces nanasqui bouffent plus de salade que les limaces ? » — « Mais non, je suis facile à vivre... Un sandwich, des frites, quelquechose de rapide, quoi... » Il prit le temps de se retourner pour m'adresser un grand sourire, mais vula couche de goudron de tabac collé sur sa dentition approximative, ilaurait pu s'abstenir : — « Super ! Je connais un petit truc sympa sur la route ! » « Truc » était vraiment *** mot fétiche... Une vingtaine de minutes plus tard, il se gara en faisant crisser ses pneusdans le gravier d'un genre d'aire de repos. Tout bien considéré, celaressemblait plus à une zone de stockage de matériaux pour refaire lesroutes. Il y avait déjà beaucoup de monde, surtout des poids lourds dont leschauffeurs me mataient en mangeant leurs frites derrière leur volant touten faisant des ronds de buée aux vitres. La gargote en question était une longue camionnette ouverte sur le côtéd'où sortait un nuage de vapeur. L'enseigne artisanale proclamait fièrement en lettre sang et or, sous le nom de l'établissement à roulettes, « Chez Farid » : « Chez Farid, ça speede ! » Ignorant la petite file d'attente devant lui, il lança au maître de lieux : — « Oh Farid, mon frère ! Fais chauffer un menu spécial pour moi ! Lapetite dame est pressée ! » Le fait qu'il m'appelle « ma petite dame » à tout bout de champ neme gênait en rien. Je trouvais ça somme toute très mignon, et celam'amusait beaucoup... J'ai pu déchiffrer à loisir le menu pléthorique affiché sur le côté etfaire mon choix avant que ce soit à nous. Comme il était en rupture de stock de sandwich jambon -emmental -salade, ilm'en refit rondement un sous l'œil critique de mon chauffeur :
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chrislebo
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— « Vas-y mon pote, mégote pas sur la garniture ! » Le voyant manipuler *** jambon avec désinvolture, je risquai : — « Vous êtes musulman ? ça ne vous dérange pas de toucher à du cochon ? » Il cria en arabe en retirant vivement ses mains de mon sandwich : — « Sur ma mère ! Je savais pas que c'était du porc ! » Le chauffeur ainsi que les per***nes présentes se mirent à rire : — « Tu parles ! Du moment qu'il se fait du blé, il la vendrait aussi, samère... » Farid nous tendit notre commande en riant à *** tour : — « à ***** de coucher avec une grosse cochonne comme ta femme, j'ai prisl'habitude d'en toucher, t'en fais pas ! » J'insistai pour payer sa part, et le taxi protesta mollement : après tout,c'était un peu ma faute s'il ne mangeait pas à la mai***... Nous nous sommes installés à une des petites tables branlantes aimablementmises à la disposition de la clientèle et je trinquai avant de boire mabière avec une de ses frites. Mon chauffeur me dévorait des yeux : — « J'aime bien les femmes qui boivent de la bière et qui aiment bienmanger : ce ***t les plus chaudes au lit ! » — « Je ne sais pas si c'est le cas de votre épouse, mais d'après ceFarid, elle se défendrait pas mal dans le genre... Le problème, c'est queje vais encore prendre des kilos. » Il bougonna : — « Je commençais tout juste à vous trouver intéressante... Mais pourquoitoutes les femmes ne pensent qu'à leur ligne ? » — « Parce que les hommes préfèrent les filles qui y font justementattention. » Mon chauffeur sortit *** portefeuille et m'exhiba une charmante photo defamille : — « Voici ma femme et mes gosses. Ça remonte pas à hier, mais comme vousvoyez, elle était déjà bien ronde. Et moi, j'aime bien ses rondeurs, jene pourrais pas m'en passer. » Il se reprit soudain : — « Mais je m'excuse, ma petite dame, je vois que vous êtes mariée, etvous êtes sûrement plus branchée sur la religion... » Je lui caressai la main en souriant : — « La religion, comme vous dites, ce doit être un mode d'emploi pouraimer. Que vous honoriez votre femme de votre amour, quoi de plus beauet de plus naturel ? Cela n'empêche pas que, pour ma part, j'adoreaussi faire l'amour... » Je lâchai cela ingénument en piquant une dernière frite dans sa barquette.Je m'amusais à l'allumer, mais loin de moi l'idée de me faire prendre parce beauf sur le capot de *** gros diesel. Il regarda sa montre avant d'enfourner le reste d'un gros morceau desaucisse jusqu'au fond de ses amygdales : — « Mfff... Faut y aller ! » Enfin, c'est ce que je crus comprendre. Après un dernier salut à Farid –à qui j'aurais bien permis de tremper safrite- nous reprenions notre place dans le flot de circulation. Mon chauffeur regardait nerveusement et alternativement au loin, dans ***réviseur, ainsi que la pendule de la voiture : — « Je vous fiche mon billet qu'à cette heure, on va se payer lesbouchons à l'entrée de Lyon. » Inquiète par ses propos, je me redressai sur mon siège, mon petit repas àhaute teneur lipidique m'ayant fait un peu piquer du nez : — « Mais je ne vais pas à Lyon ! C'est à Brignais que je vais ! » — « Je le sais, mais on s'en approche assez pour en récolter lesemmerdements. » En effet, la circulation, de plus en plus dense nous avait sérieusementralentis ; mais cela ne dura pas et nous avions vite rejoint une routesecondaire. Ayant retrouvé un semblant de vie, je m'amusais à taquiner mon chauffeur : — « Oh ! Là ! Attention, un tracteur ! » Il rit : — « dans les champs, ils ne me font pas peur. Mais sur la route, avecleurs charrues de dix mètres de large, c'est autre chose... » Il me réclama le reste de l'adresse et à quatorze heures dix précisément,il arrêta *** taxi rutilant devant un vieux pavillon des années trente, aujardin un peu négligé : quelques roses ayant survécu à l'automne pointaientune tête curieuse à travers une vieille grille de fer forgé un peurouillée. Je réalisai que je n'avais pas le nom « civil » de Bella, et je nepouvais pas être certaine d'être au bon endroit. J'en étais à déchiffrer lenom affiché sur la boite aux lettres –une certaine Mme V. Chastaing- quandun visage sans expression encadré d'une cascade de cheveux blonds apparutfurtivement à une fenêtre. Je remontai aussitôt dans le taxi pour le régler: — « C'est bien ici. Désolée de vous avoir entraîné si loin de chez vous. » Il se retourna pour me faire un grand sourire goudronné : — « C'est mon boulot, ma petite dame ! Et puis ça été chic de casser lagraine ensemble et surtout de me payer le gueuleton. Comme je suis dansle coin, je vais passer voir le paysan que j'ai un peu chiffonné. Voussavez, le tracteur... Je suis allé le voir à l'hosto, il avait l'airsympa. N'oubliez pas vos valises, au fait ! » Ceci dit, il ouvrit *** coffre. Une idée me vint à l'esprit : — « Je dois être à la gare TGV de Lyon à seize heures. Vous croyez quevous pourriez me reprendre au passage ? J'ai un rendez-vous à Nemourspour vingt-et-une heure... » Il me sourit de plus belle : — « Mais tout à fait, avec joie ! Mais je vous préviens, il faut qu'ondécolle d'ici à quatre heures moins vingt, dernier carat. Avec lacirculation, pour peu qu'on tombe sur un accident... » — « Rassurez-vous, je ne crois pas qu'il y ait de tracteur à Lyon. Si çane vous dérange pas, je récupère quand même mes valises. » Une fois le taxi reparti, je me pointai à la porte du pavillon et ***nai. La dame que j'avais vue m'épier par la fenêtre vint rapidement m'ouvrir :sans être belle, *** visage rond et lisse pour *** âge inspirait lasympathie. Elle prit le temps de me détailler des pieds à la tête –enfronçant les sourcils à la vue de mes bagages qui me flanquaient- avant delaisser tomber : — « Vous êtes Alicia, je suppose ? » — « Pour vous servir, madame. Et vous, je présume que vous êtes bienBella ? » — « Suivez-moi. » A peine eut-elle tourné le dos pour m'inviter à la suivre qu'elle murmuratristement, comme pour elle-même : — « Bella... » A chaque pas qu'elle faisait de sa démarche lourde et lasse, elle émettaitun petit cliquetis métallique. D'après le récit de Dame Aurore, je medoutais de ce que pouvait être... Elle m'invita à m'asseoir sur le même canapé qu'elle et je trouvai unepetite place à mes valises qui m'encombraient un peu. C'était la mai*** d'une vieille dame, figée dans le passé, une mai***presque morte. Même le pauvre canari qui pioupioutait dans sa cage semblaitimplorer qu'on l'achève. Elle-même faisait peine à voir : j'aurais interrompu une tentative desuicide qu'elle aurait été plus joviale : — « Qu'attendez-vous de moi ? » Je m'efforçai de lui sourire de toutes mes dents : — « Dame Aurore m'a parlé de vous, et j'avais terriblement envie de vousconnaître. » Elle se releva et prit l'ourlet de sa robe dans ses mains. C'étaitpeut-être une vieille dame, mais elle était habillée avec goût, et de façonplutôt sexy pour *** age : — « Je vous montre à quoi ressemble une vieille bête de foire et on enreste là, d'accord ? » Je criai en posant mes mains sur les siennes : — « Non ! Je suis venue vous parler, que vous me racontiez votre vie,comment vous avez vécu tout ce temps en tant que soumise... J'en suis une –oh ! bien modeste- et je vous admire vraiment. Mais avant toute chose,je ne veux en aucun cas m'immiscer chez vous si je ne suis pas labienvenue. Dites-le, et je m'en irai. Si c'est Dame Aurore, en tant queMaîtresse qui vous a imposé ma présence, je me retire sur le champ. » Devant mon air déterminé, elle se radoucit : — « Thé ou café ? »
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chrislebo
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NOEL AU BAL CON. Pour l'instant, la jeunesse devisait en riant et en criant, il ne sepassait pas grand-chose. La ***o rediffusait l'émission d'une radio localeet je me demandais quand le bal allait commencer. Guitou posa la question qui brûlait les lèvres de tout le monde : — « Et Harry Potter, il est où ? Tu l'as laissé à la mai*** ? » Je tirai Carole par le bras : — « C'est qui ? » Elle rit : — « C'est mon mari. Il n'apprécie pas trop mes copains, en plus il afoutu la merde dans un couple, du coup il préfère se déguiser encourant d'air : Ils lui ont trouvé ce surnom parce qu'il sort sansarrêt des citations en latin, comme Harry Potter avec ses incantations. » Je grimaçai : — « Ah ouais ? Il doit être d'un chiant ! » Guitou s'étrangla de rire : — « Ah ! Ça ! Tu peux pas savoir ! Môssieur a de la culture, lui ! Pas dugenre à se lever à l'aube pour aller en mer ou traire les vaches ! » Je m'amusai comme une folle à écouter en direct tous les ragots, vrais oufaux qui circulaient sur Luc. C'est sa faute si Vivie s'était faittabasser, pas la faute de *** mari qui défendait *** honneur comme il sedevait. Ces distrayantes révélations furent interrompues par l'arrivée de quatrefilles bruyantes qui entrèrent en criant. Les amis de Carole leurrépondirent de même et elle me souffla à l'oreille : — « Ce ***t les femmes de Guitou, Gégé et Momo. La quatrième est une deleurs copines. » Une était déguisée en Cléopâtre, la deuxième en danseuse de samba –plutôtsexy, la troisième en cow-girl – fine et mignonne, elle avait toujours labouche ouverte sur de grandes dents, lui donnant en permanence l'airétonné. La dernière était ma préférée : très ronde, petite, un sourire jusqu'auxoreilles et une tenue très sexy de bunny en collants résille. *** opulentdécolleté attirait le regard comme un lampadaire attire les papillons denuit. Guitou glissa à Gégé : — « Ta bouboule, elle a vraiment honte de rien... » L'intéressé ne répondit rien, se contentant d'un sourire gêné. Il n'enfallait pas plus pour que je monte sur mes ergots : — « Et elle a bien rai*** ! C'est une belle nature et moi je la trouvetrès belle, très craquante ! Tiens, si je n'étais pas une fille, jel'inviterais à danser ! » Faisant mine de se protéger de ses mains, Guitou ricana : — « Holà ! Tout doux, la panthère ! Ne te gêne pas pour l'inviter àdanser, On a l'habitude des filles qui draguent leurs copines ! » Il rajouta : — « A ton avis, pourquoi la rouscaille t'as mis le grappin dessus ? » Je m'éloignai insensiblement de Carole : — « Ah bon ? Pourtant, elle est vachement jolie pour une... Fille qui aimeles filles. Mais au fait, Carole, tu as un mari, non ? » — « Ben ouais. Mais ça empêche pas, je t'assure. Et ton mec, il arrivequand ? » Je regardai ma montre : il était déjà dix heures... — « Il ne devrait plus tarder maintenant. C'est moi ou il fait un peufroid ? » Guitou, le préposé au chauffage intervint : — « On va danser, tu vas voir, ça va te réchauffer. Et puis, si tu avaismis une culotte, tu aurais moins froid ! » Je lui répondis en le prenant de haut : — « Je ne vois pas l'intérêt de déguiser aussi les parties de mon corpsqui ne se voient pas !... » Le bal démarra enfin, et en fanfare, comme il se doit avec le morceauidoine : « Au bal masqué » de la compagnie créole. Le quatuor defilles se jeta aussitôt sur la piste en poussant des cris de joie, à croirequ'elles avaient attendu cette soirée pour se lâcher. Je ne résistai pas àl'envie d'aller les rejoindre : depuis que je travaille –un bien grand mot- au « Pop Model, » j'adore danser et me trémousser et je n'ai plusaucun complexe. Je me mêlai à la bande de copines qui m'accueillirent spontanément. Nouséchangeâmes nos prénoms et remuions de plus belle. C'était Camille, labelle ronde qui menait la danse et improvisait les plus déliranteschorégraphies, attirant tous les regards, souvent moqueurs. Moi, j'étais subjuguée par la beauté de sa per***ne, par l'aura positivequ'elle dégageait : c'est le genre de filles que je suivrais jusqu'au boutdu monde. Une série de slows arriva très vite, et comme Gégé, le mari de Camilleétait encore accroché à la buvette –à se demander pourquoi ils tenaienttant à ce bal- je me mis en devoir d'inviter cette fille qui m'attiraitcomme un aimant. Il y avait beaucoup plus de gars que de filles, mais peus'abaissaient à danser, se contentant de reluquer les femelles en chaleur.A ce sujet, il est vrai que j'avais plutôt chaud, à présent... J'étais aux anges dans les bras de ma petite cavalière qui sentait déjà latranspiration. Je ne me rendis pas compte que je devais être un peu tropaffectueuse car elle se raidit subitement en me soufflant : — « Hé ! Tu fais quoi, là ? » Je me repris bien vite en m'excusant : — « Pardon, Camille. Je n'ai pas l'habitude de danser avec une fille. Jete trouve tellement pétillante de vie que j'avais envie de te serrertrès fort dans mes bras. » Elle rit : — « Pétillante, Pétillante... Pas mal pour une fille taillée comme unebouteille de Perrier ! Mais si c'est ça, tu peux me serrer tant que tuveux : moi aussi, je t'aime bien ! » Pour le second slow, Nico, un copain de Carole, calme mais un peu sournoism'invita à danser. Ses mains descendaient toujours sur mes fesses et jepassais le plus clair de mon temps à les remettre sur mes hanches. Mais jecompris pourquoi quand il souleva *********** ma jupe, faisant pousser descris de triomphe ou de déception à ses camarades postés à quelques mètresde là. Je glissai à l'oreille de mon cavalier plutôt cavalier : — « Eh oui, j'ai une culotte... Il faut toujours que vous vérifiez tout,vous, les mecs... » Je ne me pressai pas trop pour rebaisser ma jupe : j'aime trop montrer moncul, surtout mis en valeur par de la lingerie fine : ma culotte de dentellenoire, mes bas et mes jarretelles lui faisaient un écrin de choix... Nico, sa mission accomplie resta correct jusqu'à la fin du slow. Celui-citerminé, j'allai rendre visite à Moustache pour qui les affaires tournaientrondement, suivie de Carole. Je pris un Perrier –merci Camille !- que Mon épouse m'offrit sur ***compte. Nous sirotions nos verres en regardant les danseurs se frotter lesuns contre les autres quand Carole me donna un coup de coude : — « Tiens ! Regarde donc qui est à la porte ! » Une Pocahontas, accompagnée d'une indienne -d'inde- se délestaient de leurmanteaux au vestiaire. Je n'aurais jamais cru que Viviane –l'indienne àplume- ait le courage de venir au bal avec ce qu'il lui était arrivée.Carole m'apprit –pour l'avoir vue chez elle- que l'autre fille était lavoisine qui l'avait recueillie. Dès que ses copains l'aperçurent et la reconnurent, ils se mirent àentonner un très fin et délicat « Allez les bleus. » Je misquelques secondes à comprendre que c'était une allusion subtile auxhématomes que la pauvre avait récoltés lors de *** « explication » conjugale. La rage me vrilla le cœur et je fis à Carole d'une voix sourde : — « Quelle joyeuse bande de cons... J'irais bien danser le quadrille surleurs couilles avec mes talons aiguilles pour voir s'ils ont toujoursle même entrain... » Ma moitié me sourit avec indulgence : — « Cache ta joie, mon chéri, ou ils vont croire que toi aussi tu veuxfaire partie de la bande ! » Nous les regardions saluer ses copains sans rancune apparente jusqu'à ceque Nico nous désigne du doigt. Le visage de Valérie s'illumina quand ellereconnut ma mère Noël sexy et elles se dirigèrent vers nous. Carole leur offrit d'emblée un verre –c'est dingue comme elle peut êtregénéreuse avec mes sous- et Valérie s'écrasa contre sa poitrine idéalementmise en valeur : — « Comme je suis contente de te voir, ma chérie ! Ça fait vraiment chaudau cœur d'avoir de si solides amies. Marie m'aide énormément, et c'estdommage qu'elle travaille le soir de la Saint-Sylvestre, elle auraitadoré venir faire la fête avec nous. Tiens, à propos, il n'est pas parlà, Luc ? » — « Non, il n'a pas voulu venir à cause de ce que tu sais. Les potescroient que tout est de sa faute. » — « Les cons... Ils ne changeront jamais, ces abrutis. Qu'ils ne viennentpas se plaindre s'il y a de plus en plus de gouines ! ...Oh ! Pardon,Carole. Je ne voulais pas te faire de peine. En plus, tu es avec uneamie... » Mon épouse lui taquina le menton : — « Je ne suis pas gouine, je sais apprécier les filles, c'est tout... Jete présente Alicia, elle attend *** amoureux. A mon avis, il s'estdéguisé en lapin ! » Galante, ma douce moitié s'éclipsa aussitôt, prétextant la vue d'uneconnaissance. J'essayais d'entamer la conversation sur un sujet commun : — « J'ai entendu parler de ce Luc. C'est vrai qu'il parle latin ? C'estpas banal ! » Elle rit : — « Oh ! Seulement à bon escient, juste pour moucher ces barbares. Je medemande ce qu'il aurait sorti à mon mari s'il avait été là quand je mesuis fait dérouillée... » — « Je ne crois pas qu'il lui aurait parlé latin. Carole m'a raconté pourton mari : Il lui aurait plutôt mis *** poing dans la gueule, à monavis ! » — « Ne parlons plus de ce déchet. Heu... Je parle de mon futur ex ! » — « Avec plaisir. Mais je ne comprends toujours pas le rapport entre lemari de Carole et toi... » — « Di***s que nous sommes tombés amoureux et que nous avons passéquelques nuits ensemble... » Je lui fis un sourire étonné : — « Ah ouais ? Et... Elle est au courant, la belle rousse ? » — « Oui, elle est très partageuse et aime beaucoup les filles. Bien plusque dans mon souvenir ! A ce sujet, si tu n'es pas de ce bord,méfie-toi, on dirait qu'elle te drague à fond ! » — « Merci du tuyau, c'est vrai que j'avais trouvé sympa de sa part de meprendre ainsi sous *** aile... On va danser ? Les slows ***t bientôtfinis et j'ai rencontré une bande de copines rigolotes ! » La bière sans alcool et le cidre doux avaient réussi à convaincre laplupart des garçons à se trémousser également. Je dois avouer que je m'étais fait de fausses idées sur ce bal sansprétention : Tout le monde s'amusait beaucoup, et grâce à l'étonnantesobriété des participants, il n'y avait pas de bagarres stupides. Juste unealtercation avec des jeunes imbibés qui voulaient ****** l'entrée malgréles conditions clairement affichées à l'entrée : — Pas d'alcool ni d'état d'ébriété manifeste — Costume exigé — Les organisateurs se réservent le droit de refuser l'entrée aux per***nessusceptibles de causer des troubles, ainsi que de limiter l'accès à lasalle selon sa capacité. Je me suis demandé l'allure qu'il aurait eu si le latiniste de service nes'était pas collé à la rédaction de ce panonceau...
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chrislebo
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MEMOIRES D'UNE JUMENT DE HARAS Bien que ma passion pour les chevaux fût moins dévorante, je tins à avoirles coordonnées de la per***ne qui hébergeait le gentil poney quicommençait à se faire bien vieux. C'est ainsi que je fis connaissance avecmadame A. et avec elle, avec un nouveau monde. Je ne la connaissais pas vraiment, mais avec mon expérience je ne pris pastrop de précautions pour lui dire pourquoi je voulais le revoir. Je fusravie d'apprendre que sa magnifique demeure -une véritable propriété,arboré et nantie de terres généreuses accueillait des soirées plutôtspéciales et qu'elle avait le même statut que mon chéri. C'était lapremière fois que je rencontrais une dominatrice et je m'agenouillai pourlui baiser la main. Cela la fit rire, mais je crois qu'elle avait apprécié mon petit témoignage de respect [1]. Mon chéri, égalementconquis alla discuter avec elle dans leur belle mai***, me laissant seuleavec mon cher petit poney. Le pauvre se laissait dépérir, loin de sa maîtresse disparue. Il était trèsbien soigné, mais ses yeux mornes ne me trompaient pas. Il gambadaà mon approche et je l'embrassai longuement sur la bouche. Mon seul regretétait de ne pas pouvoir l'embrasser quand il me saillait... Pour lapremière fois, je pus goûter à l'amour en pleine nature, nue sous l'ombrefraîche d'un tilleul. Je ne savais pas si je pouvais être vue, mais je m'enmoquais : seule mon rendez-vous amoureux comptait et je me mis avec délicesà quatre pattes dans l'herbe fraîche. Mes cris ne semblèrent attirerper***ne, mais un bon quart d'heure plus tard je surpris un homme brun,assez mince me regarder avec fascination et amusement sucer mon amantéquin. Il ne dit rien lorsque que je le vis, aussi je continuai avecapplication. Il me laissa finir avant de s'avancer et se présenta : C'était lepropriétaire du lieu, l'heureux époux de madame A... Nous avons regagné la mai*** en devisant, échangeant des informations surle poney et ses maîtres. L'homme -je l'appellerai Félicien- se comportait comme un vrai larbin faceà sa châtelaine d'épouse. Cela nous surprit sur le coup, mais elle nousrappela qu'elle se faisait un plaisir -partagé- de le dominer et del'humilier. C'était mon premier contact avec les rapports domination soumission et lesadomasochisme, à part ma propre expérience bien sûr, et celle,malheureuse, de notre regrettée Nicole. Lorsque j'appris qu'il se jouaitici de véritables séances ************ et de ******* collectives, jesentis un terrible fris*** dévaler mon dos, et mon sexe -pourtantcopieusement arrosé par mon poney- bouillonna de plaisir. Tout en écoutant parler Madame A. de sa voix forte et claire, je ne pus queme lever de mon fauteuil pour m'asseoir à ses pieds, comme quandj'étais petite fille et que mon grand-père nous racontait une histoire. Moncœur bondissait dans tous les recoins de ma poitrine en l'écoutant parleravec de plus en plus de ***** et de détermination des pratiques qui avaientcours dans ses murs : stages de dressage, location de soumis à d'autresMaîtres, soirées de débauche et d'orgie débridée... Les soumis n'étaient làque pour servir de chair à plaisir, pour l'agrément des Maîtres dominants ;elle rajouta en riant qu'à plusieurs, l'émulation est décuplée et qu'ilsrivalisaient de vice et de perversité pour tourmenter leurs victimes... C'est ainsi que je trouvai une nouvelle famille. J'avais beaucoup despectateurs lorsque je me faisais couvrir, et un Maître eut l'idée de melier à mon poney au plus fort de sa saillie pour qu'il reste en moi le pluslongtemps possible. Je ne saurais trop louer cette idée perverse car grâceà ce charmant monsieur, je connus l'orgasme de ma vie, et le premier avecun cheval. Malheureusement, nous ne venions pas souvent ensemble, ayant une confiancelimitée en nos baby-sitters. Les enfants furent bientôt assez grands pourse prendre en main... Mais aussi de se demander pourquoi leur maman et leurpapa étaient si souvent partis de la mai***. Je ne dis pas que je n'ai pas vu grandir mes enfants -ils ont tout de mêmevite grandi- mais j'avoue ne pas avoir toujours été très présente. De plus,les lourds anneaux que je portais sous mes vêtements, malgré toutes mesprécautions n'étaient pas sans attirer leur attention... Je me souviens d'ailleurs d'une soirée chez Madame A. qui avait failli maltourner à cause de l'irruption d'une petite fille dans notre salle de jeu,un soir d'été... C'était sa nièce, venue passer les vacances chez eux etqui avait trompé leur vigilance. C'est une des rares fois où je me suissentie mal de vivre ainsi mon vice [2] : j'étais enchaînée, écartelée contre un mur, empalée et lestée commesouvent ; mais Dieu merci, je crois qu'elle n'avait pas trop fait attentionà moi, trop occupée à vouloir libérer *** oncle ligoté sur un chevalet...Cela me fit tout drôle lorsque Madame A. m'appris qu'elle adorait aussi monponey.
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chrislebo
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L'histoire de Maud Bonjour, je m'appelle Maud, j'ai 18ans. Je vais vous raconter mon histoire. Pour bien comprendre, je vais commencer par vous préciser ma situation. Je vis avec mon père dans un appartement, ma mère nous ayant abandonnée à ma naissance. Mon père, bien que gentil, est souvent absent car *** travail est très prenant. Je ne manque de rien mais j'ai vite appris à me débrouiller par moi-même. Bien que ce soit interdit avant 20ans, cela fait maintenant 2ans que je sors régulièrement en boite avec une copine de classe, vu qu'elle a 21ans cela ne pose aucun problème. Avec un peu de maquillage et quelques fringues bien choisies..il est facile de tromper le sorteur. Tout commence d'ailleurs par ça, une sortie en boite. Comme d'habitude, je prétexte à mon père que je vais dormir chez ma copine. Le soir venu, on se change, on se maquille un peu et hop...direction la discothèque. J'avais choisi pour l'occasion un top noir avec des brillants et un cœur formant le décolleté, une minijupe bleue foncée, des bas collants noir brillant et une paire de botte en cuir haute à talon. Et pour les dessous, un soutien en dentelle pigeonnant et un string. La nuit se passe sans problème, l'ambiance est bonne, le DJ est excellent...bref, une bonne soirée. Je dansais comme une folle sur la piste. Sauf qu'entretemps.... Mon père était rentré plus tôt ce soir là et à voulu prendre de mes nouvelles en téléphonant chez ma copine. La mère de celle-ci, ne sachant pas trop quoi répondre..lui avoua le « méfait ». J'étais sortie prendre l'air 5min, une voiture c'est arrêtée à ma hauteur. C'était mon père. Je ne vous dis pas mon angoisse à ce moment là. Par la fenêtre de la voiture, il m'avait lancé un glacial : « monte dans la voiture! » A l'entendre comme cela, Je me suis exécutée sans me faire prier. En voiture, l'ambiance était très froide. Mon père affichait un regard sévère. Alors qu'on roulait normalement, j'ai constaté qu'on ne prenait pas la direction de l'appartement. - « Où est-ce que tu m'emmènes Papa? » Shlak! C'était le bruit de la fermeture centralisée..me bloquant dans la voiture. « Puisque tu te sens plus âgée, je pense qu'il est temps pour toi de te découvrir! Je vois que tu aimes t'habiller pour attirer les regards, parfait. Dans la boite à gant tu trouveras un masque et une paire de menotte. Prends le tout, met les menottes à tes poignets et pose le masque sur tes yeux! » « Mais papa? » « Tais-toi! À partir de maintenant il n'y a plus de papa, il y a monsieur! » « Mais.... » Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'il me fila une claque... La larme à l'œil j'obéis. Après quelques minutes j'étais menottés et les yeux bandés. « Ecarte tes jambes, tu ne devras plus les avoir aussi serrée en ma présence! » « Oui » Une 2e gifle plus forte cingla « Oui qui? » « Oui....monsieur » « Bien, tu vas apprendre à obéir. Dorénavant que je m'adresserai à toi, je t'appellerai ma petite pute, ma petite salope » J'avais le souffle coupé. Mon père qui me traite de la sorte..je n'en revenais pas. «Ecarte les jambes j'ai dit! » J'écartais mes jambes comme demandé. Ne voyant rien, je me demandais ce qu'il faisait... « Joli, très joli vue.... » Dit t'il J'étais rouge de honte. Sa main s'était posée sur ma cuisse et remontait ma mini jupe, je devinais qu'il voyait à présent mon string en dessous de mes bas. J'étais en larme « S'il te plait papa, arrête...je ne le ferai plus je te le promets » Une 3e gifle stoppa net mes envies d'insister. « Tu ne porteras plus de petite culotte jusqu'à nouvel ordre, c'est bien compris ma petite putte? » « Oui...monsieur » Je me demandais où il nous conduisait..J'avais surtout honte de me savoir ainsi attachée, exposée de la sorte avec sa main sur ma cuisse. « Allo, Marc? J'arrive dans quelques minutes, est-ce que tout est prêt? Ok, parfait, à tout de suite » Qui était ce Marc? Qu'est-ce qui était prêt?? Je n'allais pas tarder à le découvrir. La voiture ralenti et s'arrêta. « Ne bouge pas petite pute! » Il est sorti de la voiture puis a ouvert la porte de mon côté. « Viens par ici » dit-t'il en me prenant le bras. Il le serrait très fortement. On est entré dans ce que je supposais être une mai***. « Voici la pute que je t'apporte Marc. Tout est à faire, elle doit être dressée et éduquée. Je te la laisse pour la nuit et la journée de demain. » Quoi? Je cauchemarde? Mon père...non ce n'était pas possible. En partant il m'avait chuchoté à l'oreille « Tu vas commencer ton apprentissage ma petite putte, après tu ne seras plus la même » J'étais debout, les yeux toujours masqué et les mains toujours attachée par les menottes. Une voix grave : « Voyons ce que nous avons là » « Lève les mains et pose les sur ta tête, salope! » Parce que je ne me suis pas exécutée plus rapidement....une douleur cinglante me transperça de part en part. Je venais de goûter à un coup de badine sur les fesses. En larme j'ai posé donc mes mains sur ma tête, telle une per***ne arrêtée par la police qui va se faire fouiller. En fait de fouille, rapidement une main c'était posée sur moi, puis une deuxième. Glissant sur mon dos, mes hanches...puis une des mains fit glisser ma mini jupe sur le sol. L'autre main avait déjà fait glisser la glissière de mon top. J'étais debout, en collant, string et soutif, aveugle et totalement à la merci d'une per***ne que je ne connaissais pas. Dans quel guêpier mon père m'avait enfermée??? Il s'est approché de moi et me susurra à l'oreille : « Ma petite pute....ton père m'a confiée une partie de ton éducation, je t'ai à ma merci pour toute la nuit et demain. Si tu ne m'obéis pas à la lettre, tu le sentiras passer...avec douleur, si tu m'obéis, peut-être te laisserai-je prendre un peu de plaisir. J'ai carte blanche, sauf pour ta virginité » Comment pouvais t'il savoir que j'étais encore vierge?? Je ne l'avais jamais dit à mon père. Il a fait glisser mon soutif sur le sol et je n'ai pas su m'empêcher de bouger mes mains....bien mal m'en pris, une violent douleur m'ôta toute envie de continuer. Mes fesses brulaient, les larmes coulaient de mes yeux. « Je t'ai dit de laisser tes mains sur ta tête salope! » Une main, rugueuse, glissa sur ma poitrine dénudée, soupesa mes seins. J'étais rouge de honte, mais mon corps me trahissait..Mes têtons étaient devenu dur d'excitation. Bien entendu il l'a remarqué... « Bien, je vois que ton père avait rai***, tu es une belle salope » dit t'il en me triturant les tetons. Cela continua pendant un certains temps...il les malaxait, les soupesait,.. Ensuite sa main est descendue sur mon ventre et glissa entre mes jambes. Il pressa et frotta...je sentais mon string glisser entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide. C'est qu'il m'excitait le bougre. Il a ôté mon masque et j'ai mis un certains temps à pouvoir distinguer les choses qui m'entouraient. « Tu vas dans la salle de bain, lave toi bien partout et change toi! Tes vêtements ***t sur le tabouret. Dépêche-toi, tu as 15minute. Compris sale putte? » « Oui Monsieur » Je vis enfin mon tourmenteur, il était de taille moyenne, d'une 50aines d'années, un regard vicieux...bref, pas mon style. Mais je n'avais pas le choix. La salle de bain n'avait pas de fenêtre...pas de chance, je ne pouvais même pas tenter de m'échapper. Après ma douche et après m'être soigneusement lavée (mes fesses me faisaient toujours mal), j'ai ouvert le paquet...Il est fou, je ne vais pas revêtir ce genre de fringues.... Malheureusement si, je n'ai pas le choix. Le paquet contenait une mini jupe en latex ultra courte, une paire de bas résille avec une ouverture sur l'arrière, des escarpins à talon très haut, un top en cuir...qui laissait mes seins à l'air...et pas de string ou de culotte. « Quel horreur » je me suis dit. « Je vais ressembler à une putte » Il a frappé à la porte. « Ho! la putte, il te reste 5min pour sortir! Dépêche-toi! » N'ayant pas le choix, j'ai enfilée les vêtements et je suis sortie de la salle de bain. Il était devant moi, me défiant du regard. « Ne me regarde pas! Regarde le sol petite putte! » « Très joli...beaucoup plus joli que tes anciennes fringues...suis moi maintenant, nous allons commencer ton initiation » Je le suivais dans la mai***, on descendait dans ce qui devait être une cave mais qui se révélât être une immense salle.*** Les murs étaient revêtu d'un drap bordeaux ; pas de fenêtres ; un éclairage passif mêlant lumières et bougies ; sur un pan de mur, je distinguais une croix, sur un autre un étalage d'objet divers que je ne connaissait pas, je pouvais toutefois distinguer différentes formes de fouets ; une table en bois brut très massive trônait au milieu de la pièce ; une sorte d'établis avec des chaines, cordes, menottes,...et des annaux étaient fixées au plafond, sols et murs à divers endroit ; il y avait aussi un grand divan en cuir noir...
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chrislebo
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J'étais transit de peur. « Et alors! Tu comptes prendre racine? Ramène ton joli cul de putte ici! » Il m'indiqua la croix. Alors que je m'en approchais, il me saisit par le bras et me plaqua face au mur. Ses mains saisirent mes poignets et il les attacha à des menottes métalliques reliées par une chaine à la croix. Il fit de même avec mes jambes. J'étais maintenant face au mur, jambes et bras en croix... Je l'entendais fouiller sur l'établi et il s'approcha de moi. « Je vais te bâillonner, je n'ai pas envie d'entendre tes jérémiades.. » Alors qu'il me parlait il m'enfonça une balle dans la bouche reliée par deux cordons de cuir qu'il serra derrière ma tête. Il serra si fort que je ne pouvais plus dire un mot. Il glissa un doigt rugueux entre mes fesses..Frottant avec ***** sur mon petit trou. J'étais en larmes, mais je sentais aussi une certaines excitation monter en moi. « Ma petite putte, je vais bien m'amuser avec toi...si tu te montres gentille je te laisserai même y prendre du plaisir, mais avant cela, il faut d'abord que je te brise! » Dit-il en remontant la mini jupe en latex que je portais, dénudant mes fesses. Ces paroles me faisaient froid dans le dos. Il s'éloigna....puis une forte douleur se fit sentir sur mes fesses, une autre, encore...encore.... J'ai compté 20 coups de fouets zébrant mes fesses. A chaque coup, je mordais la balle de toutes mes *****s, mon visage était en larmes. Il me détacha les chevilles et rallongea les chaines de mes poignets. Ensuite, il me recula le bassin pour de nouveau attacher mes chevilles, quelques centimètres plus loin. J'exposais maintenant mon cul. « Je vais continuer et alterner les fouets, tu vas ainsi goûter aux plaisirs de la souffrance. » A peine avait t'il prononcés ses mots que les lanières des fouets cinglèrent mes fesses Je ne me souviens plus du nombre de coup de fouets que j'ai reçu...mais après un long moment de *******, il s'arrêta net et me massas mes fesses endolories de douleurs avec une crème. Le massage eu pour effet de calmer la brulure des coups. Il me détacha de la croix et me transporta sur la table en bois. Là il m'attacha les bras, toujours face contre la table, mais mes jambes étaient pliée, écartée et attachées au sol. Formant un coin. « Je te présente Rex, mon fidèle compagnon » Rex??? Mon dieu, un chien! Ce type est fou! Rex était un dogue allemand, de très grande taille. Avec ses mains, il écarta mes fesses, exposant mon petit trou. Un doigt rugueux le massa légèrement, je ne pu empêcher un râle de plaisir sortir de ma bouche bâillonnée. « Tiens donc...on dirait que ma petite putte aime ça »... Le salaud, il le savait et en profitait. « Ton père m'a bien précisé que ta virginité devait être préservée...mais il ne m'a pas interdit de m'occuper de ton petit trou de putte! » *** doigt força l'entrée, écartant mes sphincters avec *****. Il fit une série de va et viens, tournant de temps en temps...je sentais mon trou du cul s'ouvrir petit à petit. Un 2 e doigt s'introduit, un 3e ensuite... Je n'en pouvais plus, des vagues de plaisir montaient en moi, je gémissais en continu, je sentais ma chatte dégouliner. Il frotta ses doigts sur mes fesses puis les écartas encore plus. « Viens Rex! Viens goûter à cette putte » Le chien, obéissant, se dressa sur ses deux pattes avant et je sentis sa langue râpeuse me lécher le trou du cul...encore et encore. Cette langue longue et râpeuse me faisait un effet fou, alors que j'étais dégoutée, révulsée à l'idée de subir cette perversion, je pouvais sentir ma chatte dégouliner de plaisir, mes seins étaient durci comme jamais...j'aimais ça. « Mon dieu, je deviens folle...je me mets à apprécier cette perversion » Mon bourreau le savait, je prenais du plaisir...et pour y couper court il m'asséna une fessée qui me fit redescendre sur terre bien vite. Le chien avait maintenant fini...j'étais soulagée. Mais déjà je sentais un liquide froid et gras couler sur mon cul. Il posa devant moi une série d'objet oblongue de taille différente...il y en avait 5, du plus petit au monstrueusement gros. « Tu vois ces plugs? Je vais tous les utiliser...et quand j'en aurai fini avec, ton cul sera aussi accueillant et ouvert que ta chatte de putte » Il prit le premier et l'enfonça d'un coup dans mon cul. Un étouffement de douleur sortis de ma bouche. Il joua avec, le faisant entrer et sortir, effectuant des rotations de plus en plus larges...puis m'enfonça le second, plus large. De temps en temps il rajouta du gel pour mieux « huiler » mon cul comme il le disait. Je sentais mes sphincter se dilater, s'étirer...il allait me déchirer complètement. Déjà le 4e était à l'œuvre. Il était un peu différent des autres, long, très long, recourbé et s'élargissant au fur et à mesure. Il me ramona avec pendant un long moment. Je ressentais à nouveau des vagues de plaisir monter en moi. Il prit le dernier, il avait une base très large et était de forme conique. Il l'appuya fortement sur mon cul ravagé, je pouvais sentir sa *****...et je sentais les dernières barrières de mon cul céder sous la pression exercées. D'un coup il se glissa profondément. J'hurlais sous mon bâillon tellement la douleur était intense, elle me déchirait les entrailles. Il prit un rouleau de scotch et le fixa sur mon cul de telle manière que ce plug ne pouvait pas sortir. Il me détacha à nouveau, retira mon bâillon dégoulinant de salive. À quatre pattes sale putte, tu es ma chienne à présent. Il attacha un collier de chien à mon cou et tira sur la laisse. Je le suivais à travers la pièce, jusqu'au divan. Il s'assit confortablement..Pendant que je restais à ses pieds. Mon cul me faisait souffrir, je sentais la douleur s'effacer petit à petit..Mais à chaque mouvement, il me faisait mal. « Voyons voir si tu sais te servir de ta bouche » dit-il « Déboutonne mon pantalon et suce moi! Et tu as intérêts à t'appliquer » Je dégrafais *** pantalon et baissa *** slip. *** pénis était déjà tendu et prêt à l'action. Il était grand et veineux. Voyant que je trainais, il attrapa ma tête et força l'entrée de ma bouche avec sa bitte. « Suce moi salope! » J'avais déjà sucé mon ex petit copain...mais là ce n'était pas pareil. Avec ses mains il poussa ma tête et enfonçait *** pénis au plus profond de ma gorge. M'étouffant presque avec. Il accélérait le mouvement, je le suçais du mieux que je pouvais et ça devait lui plaire vu qu'il émettait des râles de plaisir. A un certain moment, il poussa sur ma tête de toutes ses *****s, calant sa bite au plus profond de ma gorge...et éjacula avec violence. J'ai cru que j'allais vomir.. *** sperme coulait à flot au fond de ma gorge. « Avale sale pute...avale tout!» Il éjacula à plusieurs reprises, je pouvais sentir *** jus couler par la commissure de ma bouche. Il retira ses mains et ordonna d'un ton sec « nettoie ma bite salope, je veux qu'elle soit propre » Je léchais sa bite avec application, craignant sa colère. Chaque goute de sperme était nettoyée. J'avais le gout de *** foutre en bouche. « Il y a encore du travail à ce niveau là...mais c'est déjà pas mal. Lève toi chienne, tiens toi debout et regarde le sol » J'avais du mal à me lever...mon cul ainsi bourré me tiraillait de douleurs et de plaisir...car ma chatte était à nouveau occupée à dégouliner sur mes bas résille. Il attacha des pinces à mes têtons quoi pointaient...et y relia des petits poids. La douleur était intense. « Tu vas les garder pendant un certains temps salope! » « Maintenant tourne toi et baisse toi que je te retire le plug » Sans me faire prier je m'exécutais. Il retira le plug...et je sentis que mon trou ne se refermait pas.... « Parfait parfait, maintenant tu as un trou de putte » Il me poussa sur le divan, cabré et remonta ma mini en latex à hauteur de ma taille. Découvrant mes résilles...trempée. « Mais je vois que cette salope à pris du plaisir, on dirait que tu commences à aimer ça! » Ho que oui pensais-je intimement...la douleur se mélangeait avec le plaisir intense Il enfonça sa bite violemment au plus profond de mon cul, me ramonant à nouveau d'un va et viens rapide. Donnant des coups de butoirs, toute sa bite glissant au fond. Je pouvais sentir ses couilles taper sur ma chatte détrempée. Ses mains me tenant fermement par les hanches. Les poids fixés à mes seins suivaient le mouvement de *** va et vient...apportant un subtil mélange de douleurs et de jouissance. Je ne pouvais m'empêcher de laisser libre cour à ma jouissance, j'étais à sa merci. De temps à autre il m'assena des claques bien marquées sur mes fesses rougies par les nombreux coups de fouets. Puis il joui à nouveau, la bite bien ancrée au fond de moi. Je sentais le liquide chaud couler dans mes intestins. Ma chatte et mon cul était en feu, je n'en pouvais plus. « Nettoie moi la bite salope! » Sans attendre, d'un geste quasi mécanique j'étais à genoux lui dévorant la bite. Lechant la moindre goutte de sperme. Un petit peu de *** sperme s'échappa de mon trou béant et se rependit sur le sol.... « Lèche le sol salope, il ne faut rien gaspiller » Telle une chienne j'étais à quatre pattes, lapant le sol. Il avait brisé en moi les dernières barrières de mon auto-détermination. Je n'étais que *** objet et il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. J'étais exténuée, fatiguées...mon corps meurtrit me faisait sentir que les jouissances multiples l'épuisait aussi. « Lève toi et viens ici, on a presque terminé pour cette nuit » Il m'enfonça à nouveau le gros plug dans mon cul déjà bien dilaté et le fixa à nouveau avec du tape pour qu'il ne sorte pas. Il retira les pinces de mes seins...mon dieu que ça faisait du bien. Mais ce moment fut bref, car il les remplaça par d'autres pinces, plates celle-là, reliée à une chaine aussi. Chaine qui passait par mon cou mais un peu courte, ce qui relevait mes têtons aplatit. Puis il fixa 2 autres poids sur la chaine...provoquant ainsi une double douleur. Ma poitrine faisait penser à une mini table tellement les pinces aplatissait mes seins D'un côté le tiraillement vers le haut et d'un autre le poids vers le bas... Il m'attacha ensuite à la croix, mais cette fois-ci face à lui, la mini en latex toujours remontée sur mes hanches, bras et jambes écartées. « Tu vas dormir comme cela jusqu'à demain matin, ensuite on reprendra ton éducation de putte. Rex sera ton gardien pour la nuit.... » Dit t'il avec un sourire sadique. J'avais mal partout. Au fesses principalement suites aux nombreux coups de fouets, cravaches, que j'avais reçue. Au cul suite aux traitements violent qu'il avait subit pour qu'il se dilate. Aux seins car les poids et la chaines me faisaient souffrir en permanence.
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chrislebo
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Sans compter le dégout interne que je ressentais...j'ai été « prêtée » par mon propre père à un pervers sadique qui ***** de moi. Mais ce traitement je l'aimais aussi, jamais je n'avais autant jouis de ma vie, j'ai eu de multiples orgasmes d'une telle intensité. La lumière s'éteint et j'étais plongée dans la pénombre. La fatigue était telle que je ne ressentais plus les douleurs et la honte...Morphée m'accueilli dans ses bras. Quelque chose d'humide et froid me tira de mon sommeil. Rex me léchait la chatte, attiré par les odeurs de jouissance de la veille sans doute. Incapable de bouger, je n'avais d'autre choix que de me laisser faire. Sa langue rugueuse passait et repassait sur les mailles des bas résilles, provoquant en moi une montée de plaisir. Ce salaud tortillait sa longue lange entre mes jambes écartées....je me mordais les lèvres de plaisir. A chaque coup de langue, mon corps réagissait par un spasme de plaisir, faisant bouger les poids de mes seins endoloris. Ce clebs allait me faire jouir à coup de langue. Après plusieurs minutes passée à subir les assauts de sa langue, je jouis à nouveau...mes bas résille étaient trempé, ça dégoulinait sur mes cuisses. Ce qui n'arrêta pas le chien pour autant, non content de *** acte, il me lécha les cuisses...me nettoyant complètement. Enfin, après plusieurs instants, il retourna se coucher près du divan. Avec tout cela, je ne savais pas l'heure qu'il était. Plongée dans le noir, attaché à cette croix, offerte aux moindres désirs pervers de mon geôlier, j'avais perdu le fil du temps. A moitié endormie, je fus réveillé par de la lumière. Il était de retour. « Alors? Ma petite putte à bien dormi? Rex t'a bien gardée? » « Oui » Il me retourna une claque « Oui qui? Salope » « Oui monsieur, excusez moi monsieur » Il me décrocha me remit la laisse autour du coup et s'installa dans le divan...j'étais couchée à ses pied, à côté de Rex. « Voici ton petit déjeuner ma salope » dit-t'il en me tendant une gamelle remplie d'une bouillie étrange. « Mange ça comme une bonne chienne! » Je ne me fis pas prier, même si ça ne paraissait pas ragoutant, j'avais une faim de loup. Ne pouvant me servir de mes mains, je mangeai comme un chien, avec la langue. Mon visage était recouvert de cette bouillie. « Bouge pas, Rex va te nettoyer ça » A peine avait t'il fini sa phrase que Rex me lécha le visage, nettoyant ainsi les traces de nourriture. Je me sentais honteuse, dépravée. Accepter ce genre de traitement, comment pouvais-je me laisser aller ainsi.... « Lève toi salope, je n'aime pas attendre » Ces mots coupèrent ma réflexion..Il était sans pitié. Il me traina sur une sorte de tabouret ou il me fixa les chevilles sur les pieds arrière. Le tabouret avait une assise conique, ce qui avait pour effet de pousser le plug un peu plus encore. Une ceinture passait sur mes cuisses, me retenant assise. Il attacha mes mains à une paire de menotte, reliée à une chaine qui remontait au plafond. D'un coup sec il tira sur la chaine, entrainant mes mains vers le haut. Bras tendu au maximum, étirée car je ne pouvais pas relever mes cuisse d'un millimètre à cause de la ceinture qui les retenais. Il détacha les pinces de mes seins. A nouveau une vague de chaleur et de plaisir remonta dans mon ventre. « Hier soir on a travaillé ton cul de salope...voyons voir ce que nous pouvons faire avec tes nichons » Mes seins? Mais ils ***t déjà hyper douloureux après le traitement que j'ai subis...mon dieu qu'allait-il encore inventer? Il glissa ses doigts sur mes tetons..Qui étaient devenu hypersensible. Puis il prit des glaçons et les fit tourner lentement sur le bout de mes seins. Le froid de la glace combinée à la chaleur de mes seins était intense...tendue comme je l'étais sur ce tabouret, mes muscles essayaient en vain de se contracter de plaisir...je fermai les yeux et commençais à couiner de plaisir. « Alors ma petite putte, on apprécie? » « Oui monsieur, merci monsieur » « Bien, je vois que tu as retenu la leçon » Alors que je commençais à nouveau à être proche de l'orgasme, une violente douleur me traversa la poitrine. Suivie d'une autre, et encore une....il enchaina les coups de fouets avec violence, zébrant ma poitrine. J'hurlais de douleurs, les larmes m'aveuglant. « Je vais te fouetter 15fois les seins, j'irai de plus en plus fort. A chaque cri, je rajoute 5 coups de cravache. Montre-moi que tu es une bonne petite putte. » Je n'avais pas le choix, soit je subissais, soit je souffrirais encore plus...ce type est un sadique. Il commença sa série...je mordais mes lèvres pour ne pas crier, la douleur était de plus en plus intense, elle me déchirait de part en part. Je ne voyais plus rien tellement les larmes coulaient de mes yeux. Le dernier coup tomba...enfin il avait fini. « Je suis fier de toi ma petite putte, tu t'es montrée très forte » « Merci monsieur » « Maintenant tes petits seins ***t prêt pour la suite » La suite???? J'étais à moitié ***née par la douleur, je n'avais plus aucune réaction. Je n'ai même rien senti quand il perça mes tetons avec une aiguille et quand il enfila deux anneaux à travers le trou qu'il venait de faire. Mes seins étaient tendus à l'extrême, rouge, zébré de partout...et mes têtons étaient ornés d'un anneau. « Voilà, maintenant tu es une vrais putte...comme on les aimes » « Merci monsieur »..d'un ton presque mécanique. Il desserra la ceinture qui me calait sur le tabouret et retira les liens qui me retenaient. « Lève toi, je vais te retirer ce plug » Il retira le plug doucement, délicatement...prolongeant le plaisir. Maintenant mon cul restait légèrement ouvert. « Tu es prête à recevoir les honneurs de tes maitres maintenant » « Oui monsieur » de mes maitres???? « Va te laver, et remet tes vêtements...pas ceux que tu avais pour venir, je les ai brulés, mais ceux que tu portes actuellement, ce sera ta nouvelle garde robe..ta garde robe de putte » Je fis couler un bain chaud pour me relaxer après cette soirée mouvementée. Mes muscles étaient tous endoloris, les douleurs au cul, aux seins, aux fesses...j'étais en mille morceaux. Je me mis à pleurer comme une madeleine, repensant à tous les outrages qu'il m'avait fait subir. Et pourtant quelle jouissance il m'avait donné. Je contemplais dans la glace mes seins, ornés de leurs anneaux. Puis je remis mes bas résille (il m'avait donnée une nouvelle paire, les autres étaient remplis de bave de chien, du jus de ma chatte,...), ma mini en latex et le top qui laissait mes seins à l'air libre. Je me contemplais à nouveau dans la glace...c'est vrai que je suis une putte. Je me suis laissé aller à jouir comme la dernière des salopes. Et je ne le regrette même pas. Il frappa à la porte. « Ton chauffeur est arrivé, sors de la petite putte, il est temps pour toi de partir » Il me raccompagna à la porte ou m'attendait un grand noir, vêtu d'un costard cravate, debout devant une limousine. Il m'embrassa sur la bouche et me susurra à l'oreille : « sois bien sage ma putte, on se reverra bientôt. » En voiture La limousine était conformable, mais les sièges étaient légèrement inclinés vers le bas, ce qui rendait ma chatte visible, vu la minuscule jupe en latex que je portais. Bien entendu le chauffeur ne se privait pas de jeter un coup d'œil...et j'avoue n'avoir rien fait pour l'en dissuader, bien au contraire, j'écartais même les cuisses afin de lui offrir une plus belle vue. La voiture s'arrêta sur ce qui semblait être un parking d'autoroute. Le chauffeur descendit et s'installa à l'arrière, face à moi. « Bien la putte, il est temps de payer la course de ton chauffeur. » Machinalement je m'approchai de lui, je lui déboutonnai le pantalon et sorti *** pénis de *** slip. Un monstre...ce type était bâti comme un âne. Il avait une bite 2 fois plus grande que celle de mon tourmenteur. Je m'empressai de la lécher goulument, m'appliquant à lui prodiguer la meilleure sensation. Sa main glissa le long de ma jupe et un doigt se faufila dans mon petit trou ouvert. Il me doigta le cul sans ménagement alors que je lui pompais allègrement *** immense pénis. « Bouffe moi la queue salope, je veux la voir glisser tout entière » Dit-il en poussant sur ma tête, forçant sa bite au plus profond de ma gorge. Elle était si grande qu'elle toucha ma glotte, je dus me retenir de vomir. Pendant ce temps là il besognait mon cul, avec 3 doigts à présent. Déjà je commençais à ressentir le plaisir coulé en moi. Je pompais de plus en plus fort sur sa queue, le suçant à fond. Ma tête glissait de haut en bas le long de *** manche de plus en plus vite. « STOP salope...je n'ai pas envie de jouir dans ta bouche, tourne toi et viens empaler ton cul sur mon dard » J'obéis et il glissa *** monstre au fond de mes entrailles. Etrangement, je ne ressentais plus de douleurs...mais que du plaisir. *** énorme bite me ravageait le cul et j'en jouissais pleinement. Il me martela l'anus, m'éclatant encore un peu plus la pastille. Je miaulais de plaisir sous ses coups de buttoirs. Puis il déchargea *** fouttre dans le tréfonds de mes entrailles. La chaleur et la quantité de *** jus était proportionnelle à la taille de sa queue... Dès qu'il eu retiré sa bite, je me tournai et l'englouti dans ma bouche, suçant la moindre goutte de *** jus, léchant le gland pour y récolter les dernières gouttes. J'avais appris à aimer ça en 24h... Pour éviter de tacher la sellerie de la limousine, je serrais les fesses le plus possible. « Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? » « Oui monsieur » La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j'étais enfin arrivée chez moi. Il faisait tard, plus per***ne n'étais dans la rue et j'espérais que per***ne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte.
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chrislebo
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« Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? » « Oui monsieur » La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j'étais enfin arrivée chez moi. Il faisait tard, plus per***ne n'étais dans la rue et j'espérais que per***ne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte. J'ai foncé hors de la voiture et je suis rentré dans l'immeuble. Une fois devant la porte de l'appartement...j'hésitais à franchir le seuil de la porte. « Entre ma petite putte chérie, entre donc, montre à papa comment tu es » Je suis rentré dans le salon, obéissante à l'ordre qu'on me donne. « MMmm je vois que Maitre Marc t'as déjà briefée sur les tenues autorisées. Tu es ravissante ma petite putte. » « Merci Monsieur »...ça me fait bizarre de l'appeler ainsi « Je vais t'expliquer ce qui a changé et comment tu devras agir, assis toi face à moi » Je me suis donc installée dans le fauteuil, en faisant attention à garder mes cuisses écartées, offrant ainsi à mon père la vue de ma chatte au travers de mes bas résille. « MMm excellent, tu deviens obéissantes comme une bonne petite putte. Bien, bien. Voici comment ça va fonctionner à présent. Primo, fini l'école, tu es ma putte et tu resteras ici à ma disposition. Ensuite, tes vêtements ***t tous brulés, j'ai remplacé ta garde-robe par des vêtements plus appropriés à ton statut. Je veux aussi que ton cul soit propre à tout moment de la journée, je t'ai donc acheté de quoi le nettoyer en profondeur. Tu devras te raser la chatte, je ne tolérerai pas un poil. Tu ne seras autorisée à porter une culotte que lorsque tu auras tes règles! Mais ton cul devra rester disponible. Les anneaux que tu portes aux seins devront aussi rester. Tu m'appelleras Monsieur...sauf avis contraire de ma part. Ton corps m'appartient, j'en disposerai comme je le veux, quand je le veux, tu ne seras pas autorisée à protester ou contester. Est-ce bien clair ma putte? » « Oui Monsieur »...j'avais franchis le cap final, j'étais maintenant devenue la putte de mon père. « Bien, va te changer, tes vêtements ***t sur ton lit » Je me suis dirigé vers ma chambre et découvrit une nouvelle pièce. Mon lit était toujours là, mais des anneaux étaient fixés un peu partout, au pied, au bord, sur le mur, au plafond. Les vêtements étaient posés sur le lit. Il s'agissait d'un corset en cuir, d'une paire de stay-up, d'un slip en latex..avec une tirette autorisant un accès direct à mon intimité, d'une paire de botte mi- haute à haut talon et d'un collier ras du cou orné de plusieurs petits anneaux. « Laisse ta porte ouverte ma putte, je veux te voir te changer » Il était devant ma porte, me déshabillant du regard. Alors que j'étais nue, il m'a demandé de me baisser, jambes écartés et d'écarter mes fesses bien largement. « Mmmm Maitre Marc à bien travaillé, je vois que ta pastille est bien dilatée. Habille toi maintenant et rejoins moi dans le salon!» Dans le salon, il me dit : « Viens sur les genoux de papa ma petite putte » « Oui Monsieur » J'étais sur ses genoux et il a glissé sa main sous mon slip en cuir pour ouvrir la fermeture à glissière. Sa main droite c'était posée sur mes seins, il s'amusait à tirer sur les anneaux...alors que de *** autre main, ses doigts se glissaient dans mon anus dilaté. « Je sais que tu es encore vierge....je me réserve le droit de te prendre ta virginité quand le moment sera venu. » Dit-il alors qu'il me ramonait le fion avec 3 doigts tout en pinçant mes têtons. « MMmmm oui Monsieur...ouiii » « Ca te fais jouir...salope » Je commençais à apprécier ce genre de traitement...me savoir à la merci de quelqu'un avait quelque chose d'excitant. « Montre à papa comment tu suces » Je me suis mise à quatre pattes, entre ses jambes et j'ai déboutonné *** pantalon, avide de gouter sa bitte. Je l'ai sucée comme Maitre Marc me l'avais appris, glissant sa bite au fond de ma gorge, jouant avec *** gland,.. Il a pris ma tête entre ses mains et a mené la dance en effectuant un mouvement de va et viens de plus en plus rapide. J'ai sucé mon père...et ça m'excitait. Il a poussé sa bite au fond de ma gorge, poussant un râle de plaisir...et il a éjaculé. J'ai immédiatement avalé *** foutre chaud, léché sa bite pour bien la nettoyer et être certains d'avoir récupérer la moindre goute de *** précieux jus. « Tu es une bouche à pipe ma putte...j'apprécie » « Merci Monsieur » « Va prendre un bain et te coucher, demain je dois partir, je reviendrai après demain...mais quelqu'un viendra prendre soin de toi » Dans mon bain je me suis masturbée, pensant à la bitte de mon père. La nuit fut douce et reposante. J'en avais bien besoins. Au petit matin, mon père m'apporta le déjeuner au lit.... « Voilà ta récompense pour tes prouesses d'hier soir. Je m'en vais, la per***ne qui doit s'occuper de toi est déjà là, elle t'attend dans le salon. Je compte sur toi pour lui faire bonne impression » « Que dois-je porter Monsieur? » « Je te laisse choisir dans ta garde robe ma petite putte » Je me suis empressée d'ouvrir cette garde robe et de découvrir les vêtements que mon père m'avait choisi. C'était impressionnant, une montagne de vêtements en latex, cuir, satin, des chaines, des colliers, des bottes, des objets de toutes les formes,.... « Je vais choisir des vêtements de petite salope Monsieur » Il m'a regardé choisir. Une jupette grise d'écolières, un top blanc transparent et moulant avec un décolleté très impressionnant, une paire de stay up blanc et des petites chaussures noire. « La parfaite salope...tu as de la chance que je suis en voyage... » « Merci Monsieur, je suis ravie de vous plaire » « N'oublie pas de nettoyer ton cul salope...sinon tu vas le payer fort cher » le ton avait changé. « Oui Monsieur, je m'exécute immédiatement » Dans la salle de bain, j'ai lu rapidement le mode d'emploi de la poire et j'ai douché mon cul comme il le fallait. Après 15minutes, mon cul était propre en profondeur. C'était même jouissif de sentir le liquide chaud circuler dans mes entrailles. Entre-temps mon père était parti. Dans le salon, une per***ne attendait, elle était dans l'ombre donc je ne pouvais pas la voir. « Approche toi salope, laisse moi te voir »...la voix était ferme et féminine. Mon père me donnait à présent à une femme! Je me suis avancée doucement dans le salon. « Très jolie, excellent choix salope. Tourne et laisse moi admirer ton cul, on m'a dit qu'il était très accueillant » L'inconnue c'est avancée. Elle était grande, la quarantaine, vêtue d'un body en cuir blanc, de haute botte en cuir blanc, de gants en cuir blanc aussi...et elle portait une cravache de cavalier à la ceinture. Sa poitrine était généreuse. Ses cheveux, long était noir ébène tout comme ses yeux. J'ai commencé à tourner doucement comme elle me le demandait. « A quatre patte chienne, viens me lécher les bottes » J'ai rampé vers elle, tête baissée et commencé par lui lécher les bottes. WHAC! Un coup de cravache sur mes fesses « Applique toi sale putte! » Ma langue léchait de long en large ses bottes. Pendant que je m'appliquais, elle m'a attachée une chaine à mon collier. « Tu seras ma chienne per***nelle... » « Bien Madame » « Reste à quatre patte et tourne toi, remonte ton cul que je l'admire de plus prés » Je lui ai tourné le dos et afin de lui offrir la meilleure vue, je m'étais penchée en avant..Ce qui avait pour avantage d'écarter mes fesses en même temps. J'ai senti sa cravache redresser ma jupette, glisser entre mes fesses...tourner autour de mon petit trou, se faufiler entre mes lèvres qui déjà commençaient à mouiller. Je m'en voulais au fond de moi, jouir sous la coupe d'une femme... WHAC! WHAC! Deux coups de cravache sur mes fesses « Qui t'a dit de mouiller salope? » Elle a recommencé..Une série de 15 coups de cravaches, alternant fesse gauche et droite Pas une plainte ne sortit de ma bouche. Je mordais mes lèvres tant la douleur était aigue. « Puisque tu es si salope, je ne te ferai pas de cadeau » Elle a commencé par frotter la pointe de sa botte sur ma chatte détrempée. Elle frotta, pressa, fit glisser cette pointe entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide. Les coups de cravache sur mes cuisses et mes fesses pleuvaient aussi. Provoquant un mélange de douleur et de plaisir de plus en plus intense. « Voyons voir ton cul maintenant sale putte » Elle s'est approchée de moi et à craché sur mes fesses et mon petit trou. Elle a forcée l'entrée assouplie par les traitements précédents directement avec 3 doigts. MMmm je prenais du plaisir à sentir ses doigts ****** ma petite entrée. « Tu aimes ça hein salope » « Hoo oui Madame, merci » « Et bien on va continuer alors...sale putte » Je sentais un liquide couler sur mon cul ouvert...il était froid et visqueux. Elle me tartinait le trou avec, l'étalant comme on beurre une tartine. « Avec ça, tu vas avoir ce que tu mérites salope! » « Je vais te défoncer le cul comme jamais » Elle ne perdit pas de temps, déjà 5 doigts avait glissé dans mon trou huilé avec soins, l'étirant de plus en plus. Elle poussait de toutes ses ****** et faisait tourner sa main telle une vis pour mieux pénétrer. Je sentais mes sphincter se dilater de plus en plus...ça faisait mal, horriblement mal. Elle a commencé un mouvement de va et viens, d'abord léger. ..puis de plus en plus fort. « Salope, tu vas tout prendre oui! Écarte tes fesses au maximum » Ma tête reposait maintenant sur le sol alors que mes mains écartaient mes fesses. Ca tirait de partout, je sentais la douleur remonter le long de ma colonne...c'était horrible. Elle poussait encore plus fort....puis une douleur flash me traversa un moment....suivie rapidement d'une montée de plaisir. « Ca y est! Maintenant poufiasse tu vas gouter au joie du fist » Sa main toute entière, jusqu'au poignet, tournait à l'intérieure de mon cul. Elle l'a retirée brusquement...pour la replonger immédiatement d'un coup sec. Encore et encore... à chaque fois, ma tête glissait sur le sol tellement elle y allait avec *****. Le plaisir montait de plus en plus fort, je miaulais comme une chatte en chaleur.
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chrislebo
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Puis elle a cessé é...mon cul n'était plus qu'un trou béant, ouvert et dilaté comme jamais. Même après les outrages de Maitre Marc, il n'était pas comme ça. « Suis moi chienne! » Elle s'installa sur le divan, jambes écartés. « Va dans mon sac, il y a un immense gode noir, je veux que tu le prennes » En fait de gode, c'était plutôt monstrueux. Il mesurait bien 40cm de haut pour 20cm de large à sa base. Sa forme était conique aussi, comme ceux de chez Maitre Marc. Mais il avait une ventouse pour le fixer au sol...je ne pourrais jamais le mettre en entier sans me déchirer la chaire. « Fixe-le sur le sol, face à moi, de telle manière que tu puisses y glisser ton cul de putte pendant que tu t'occupes de ma chatte » Une femme, j'allais lécher une femme....où donc s'arrêtera mon « apprentissage » comme disait mon père. J'ai fixé le plug sur le sol, et doucement je me suis assise dessus. Il glissait doucement, mais sa forme oblongue et conique s'élargissait au fur et a mesure. J'étais quasiment à moitié enfoncée dessus qu'elle c'est levée brusquement et m'a poussée violemment sur mes épaules, le faisant glisser tout entier d'un coup sec. J'ai hurlé de douleur, voulant me dégager à tout prix...mon cul brulait, la douleur cinglait mon esprit...ma vue se brouillait... « Salope! Je sais que tu peux l'enfiler complètement. Ferme ta gueule et bouffe moi la chatte pétasse » Dit t'elle en m'assénant une gifle qui eu pour effet de me faire reprendre connaissance. Transis de douleur je me suis inclinée légèrement entre les cuisses de ma Maitresse et j'ai commencé mon œuvre. Le plug, solidement fixé au sol et bien ancré dans mon cul me dilatait comme jamais. Elle avait dégrafé *** body, me laissant accéder à sa chatte rasée à la perfection. « Lèche salope, fais moi jouir ou tu le paieras cher » Ma langue se glissa entre ses lèvres, tournait autour de *** clitoris, j'ai entrepris de le sucer un peu. Délicatement je lui léchais l'entrée chaude de sa vulve, lapant le jus qui commençait à suinter. Elle recommença à me fouetter les fesses avec sa cravache alors que j'avais enfoncée ma langue profondément en elle. Le plug continuait à me faire très mal...je souffrais le martyrs, les fesses en feu à causes de la cravache et le cul déchirés par le plug. Toutefois, malgré la douleur, j'ai continué à la lécher avec application. Tant et si bien qu'elle jouit. Elle a posée ses mains sur ma tête et me l'avait poussée sur sa chatte détrempée « bouffe moi la chatte sale putte, bois mon nectar » Je l'ai léchée, j'ai avalé et lavé la chatte de ma Maitresse....et j'adorais ça. « Bonne putte, tu es une bonne putte. Reste bien assise sur ton plug, il faut que ton cul soit suffisamment dilaté comme ton père me l'a demandé ». J'étais assise sur le plug, mon cul me faisait de moins en moins mal, mais je sentais mes sphincter étirés à leur limite...prêts à casser comme du cristal. Elle s'est approchée de moi et m'a embrassée goulument, sa langue pénétrant ma bouche. Alors qu'on s'embrassait, elle glissa sa main sur mes seins et entreprit de jouer avec. Pincement, étirement avec l'anneau...elle m'excitait énormément. Je pouvais sentir ma chatte dégouliner. « Bien, lève toi chienne. On va manger. Tu resteras à mes pieds et tu mangeras les restes que je te donnerai. » Elle mangeait tranquillement, jetant de temps à autre un morceau de viande ou un légume. Bien entendu je n'osais pas la défier...donc je mangeais ce qu'elle me donnait. A chaque mouvement, vu que j'étais à quatre pattes, je pouvais sentir les contours de mon trou glisser...il était maintenant totalement dilaté. « Ma pute, voici le programme pour cet après-midi, je vais achever de ruiner ton cul...j'estimerai qu'il sera complètement ruiné quand je pourrais y glisser mes 2 mains jointes jusqu'à mi- bras sans avoir de résistance. Tu va souffrir mais je te promets beaucoup de plaisir si tu résistes...et beaucoup de douleur si tu pleurs ou crie. » J'avais le souffle coupé...plus un mot ne sortait de ma bouche. J'ai acquiescé brièvement de la tête en signe d'accord...avais je vraiment le choix? « On va aller dans ta chambre, ton père à aménagé ton lit pour facilité ce genre de chose » « Couche toi sur le lit, face au plafond et écarte les bras et les jambes » Le ton était donné... Elle a fixé des chaines à mes poignets et chevilles. Les chaines de mes chevilles passaient par des anneaux situés au plafond, celle de mes poignait étaient attachées derrière ma tête. Elle a tiré subitement sur les chaines de mes chevilles, remontant mes jambes d'un coup. Mon corps formait un angle droit et mes jambes étaient écartées en V. Elle a tiré encore un coup pour remonter mon cul et ensuite elle a appliqué du gel en grande quantité sur mon cul, tartinant à nouveau mes sphincters. J'étais effrayée, terrorisé...et elle était si belle, si attirante vêtue de cuir blanc...elle me tartina le cul avec tant de délicatesse, j'ai même pu ressentir un doigt glisser sur mes lèvres humides pour titiller mon clitoris. « Écoute-moi attentivement! Si tu cries, pleures, hurles...ou parles, je te fouetterai tellement que tu en seras marquée à vie. Compris petite salope? » « Oui Madame, je vous rendrai fier de moi » Un sourire sadique sur *** visage en guise de réponse....puis elle a commencé *** travail de démolition anale. Elle a commencé par 3 doigts avec la main gauche, puis 3 doigts avec la main droite...et écarta mes sphincters. Elle écartait de toutes ses ******, je mordais mes lèvres pour ne pas pleurer ou hurler de douleur. Puis elle a glissé un 4 e doigt à droite et un 4 e doigt à gauche, écartant encore un peu plus mon trou béant. Je pouvais sentir sa respiration sur mes sphincter dilatés...elle a commencé à me lécher la chatte alors que mon cul était distendu par ses mains. Sa langue experte eu vite rai*** de ma douleur et m'apporta des vagues de plaisirs... Elle a forcé *** poing fermé...poussant encore et encore, imprimant un mouvement rotatif pour qu'il entre....et il entra, elle a poussé encore, petit à petit *** poignet disparu dans mon cul...puis la moitié de *** avant bras. Un violent spasme de plaisir me traversa le corps, laissant échapper un râle de jouissance. Elle a retiré *** bras et l'a enfoncé à nouveau..mais plus fortement encore, brisant les dernières défenses de mon anus déchiré. *** poing fermé entrait et sortais à présent sans trop de résistance de la part de mes sphincter..elle avait réussi. En même temps, le plaisir montait de plus en plus, ma chatte dégoulinait à nouveau.. Elle a laissé *** bras bien enfoncé dans mon cul et a recommencer à me lécher la chatte...suçant mon clitoris, tournant autour avec délicatesse. *** poing sorti de mon cul faisant un horrible « plop »...signe que mon anus était totalement ruiné, déchiré, rompu. Mains jointe, telle une bonne sœur à l'heure de la prière, elle a commencée à ****** le passage. Elle poussait de plus en plus fort, ses mains glissèrent millimètre par millimètre. Je n'en pouvais plus, la douleur reprenait le dessus et un cri s'échappa de ma bouche. Elle s'arrêta net et a retiré ses mains d'un coup sec...elle a empoigné *** fouet. « Sale poufiasse, tu vas regretter ce cris » Les coups pleuvaient sur mes cuisses, mes seins, mon clitoris..Laissant des zébrures rouges. Après une trentaine de coup de cravache elle m'a regardée fixement... « Ne me fait pas arrêter à nouveau ou j'irai jusqu'au sang! » Des larmes coulaient de mes yeux, mais aucun cris ne sortait de ma bouche...je résistais. Elle a vidé la bouteille de gel dans mon cul...non plus sur mon anus, celui-ci restait ouvert..mais bien à l'intérieur de celui-ci et sur ses gants de cuirs. Mains jointes à nouveau...elle a poussé à nouveau, mais sans ménagement par rapport à la dernière fois. Les mains glissèrent avec facilités sur le gel et bientôt il ne restait plus que ses poignets. D'un coup elle a poussé encore plus fort. La douleur était horrible, terriblement intense...je devais me mordre les lèvres quasiment à sang pour ne pas crier. Elle continuait, poussant petit à petit...puis j'ai senti ses deux poignets passer le col de mes sphincter et ses avant bras était entré aussi. « On y est pétasse...tu es maintenant parfaitement fistée Tu vas commencer à ressentir le plaisir » Et elle ne m'avait pas menti. En effet, au fur et à mesure que ses mains entraient, j'ai senti une vague de chaleur monter en moi, prenant le dessus sur la douleur pour finalement l'effacer complètement. J'ai commencé par émettre des cris de plaisir pendant qu'elle avait imprimé un léger mouvement de recul avec ses bras pour ensuite les enfoncer à nouveau. « Madame....mmmmm...ouiii....j'aime.....mmmmm » « Tu peux jouir salope...je te l'autorise » Elle a joué avec ses deux mains dans mon cul...elle m'apportait du plaisir en faisant bouger ses doigts, en tournant légèrement ses mains enfoncées profondément. J'ai joui assez rapidement. Mes muscles se ***t cabrés de partout, même mes sphincters pourtant déchirés se ***t resserrés dans la jouissance. Ma jouissance a coulé hors de ma chatte détrempée, glissant sur mes jambes et mes stay up. « Superbe petite saloppe...je suis fière de toi » Elle a retirée ses deux mains de mon cul, le laissant se reposer. « Puisque tu as été courageuse, je vais te donner un bain qui te fera le plus grand bien » « Merci Madame » « Plus de Madame à partir de maintenant, tu peux m'appelle Julie » J'étais surpris de ce revirement, mais il ne me déplaisait pas. Julie était aussi une soumise de Maitre Marc et de mon père, ce dernier lui avait demandé de s'occuper de moi. Dans le bain, elle me lava tout le corps, me massant les seins, les fesses, la chatte...et même mon cul. Ses caresses étaient douces et tendre. A plusieurs reprises nous nous sommes embrasées. Finalement, nous nous sommes couchées sur mon lit et avons terminés la nuit ensemble, dans un tendre mélange de caresses, baisers...mélange voluptueux de plaisirs et jouissances mutuelles. Au petit matin, mon père nous a réveillées. Nous étions nues, entrelacées l'une l'autre. « Debout ma petite putte...il est temps de te lever » J'étais dans la salle de bain pour me laver et me faire belle pour mon père. Julie discutait avec lui. J'ai pu entendre leur conversation. - Elle est formidable, vous avez de la chance Maitre. - Merci Julie, tu as bien travaillé aussi, Maitre Luc sera content. - Quand comptez-vous la marquer Maitre? - Bientôt Julie, bientôt. Julie était partie depuis quelques minutes et mon père m'a appelé. « Ramène ton cul ici petite putte...et dépêche toi » J'avais revêtit une minijupe rouge, des stayup noir avec bord en dentelle, un top rose et une paire de botte à talon aiguille. « Assis toi et écoute bien attentivement ce que je vais te dire » « Maitre Marc et Maitre Luc vont arriver. Nous procéderons à l'officialisation de ta soumission. Cette cérémonie est très importante pour toi, car si tu la rates, tu resteras toute ta vie une soumises de seconde zone...utilisée pour ramener de l'argent dans le cercle. Donc tu as intérêt à la réussir. D'autant que ce sera pendant cette cérémonie que tu me donneras ta virginité. Mais si tu rates les épreuves, ce n'est pas moi qui la prendrai. Est-ce clair ma petite putte? » « Oui Monsieur, mais en quoi consiste cette cérémonie? » « Tu le découvriras plus tard ma petite putte, maintenant montre moi comment Julie t'a bien ouverte le cul » Je me suis levée, relevé ma mini sur ma taille et courbée afin que mon père puisse observer le travail de Julie. Il a approché sa main et a glissé 3 doigts. « Effectivement, c'est plus souple maintenant...et tu t'es bien lavée, c'est propre. Bravo ma petite putte, je suis fier de toi. En récompense je vais t'honorer » Il s'est levé et a approché sa bite de mon cul. Ses mains s'étaient posée sur ma taille ; il a entré d'un coup sec sa bite d'un seul trait. J'ai commencé directement à miauler de plaisir alors qu'il me ramonait allègrement le fion. Ses couilles venaient taper sur ma chatte, provoquant des bouffées de chaleurs dans mon bas ventre. Après une dizaine de minutes il a éjaculé, bite bien ancrée dans mon cul. *** fouttre chaud s'était rependu dans mes entrailles.
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chrislebo
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Des gendarmes soumis L'histoire commence un soir de juillet, devant une boite branchée, suite àune altercation entre videurs, et groupe de jeunes maghrébins. Ce soir là,Georges, commandant de gendarmerie âgé de trente ans, et *** équipièreSolange, femme d'une quarantaine d'années, un peu enveloppée, ***t depatrouille dans le coin. Ils se rendent immédiatement sur leslieux. Après moult discutions, s'ensuit une bagarre entre arabes etforce de l'ordre. mais ceux-ci ***t vite dépassés par les évènements, etsubissent vite la loi des jeunes délinquants. En un rien de temps, ils***t maitrisés, délestés de leurs armes. Une jeune maghrébine proposa mêmede les mettre à poils, pour les humilier d'avantage. Deux jeunes beurset la jeune arabe ôte la jupe bleu marine, la chemise bleu ciel, et lapetite culotte de Solange. -Hihihi, rit Malika...elle n'a pas desoutif..hihi et elle la chatte toute rasée la salope. Solange, furieuseet rouge de honte, se débat en vain. Malika lui pince lesfesses. -Aie...aie...aie..sursaute la gendarmette...arrêtez...çà va passe passer comme çà..vous allez le payer cher... Malika pousse ***************** jusqu'à la caresser. D'abord, l'imposante poitrine, puis lafente. Elle écarte les lèvres intimes et enfonce deux doigts dans lachatte. -Non...pas çà, gronde Solange...sors tes doigts de là salearabe...tu vas voir... -Calme toi ma chérie, tu verras comme tu serasbien quand ta petite chatte sera toute mouillée. Tu vas me supplier dete doigter après, comme une petite gouine. Solange, impuissant estobligé d'accepter. Elle se retourne vers *** coéquipier, pas mieuxloti. Les jeunes beurs l'ont cloué au sol, l'ont débarrassé de ***pantalon, et de *** slip. Djamel tombe à genoux entre ses jambes, et luisaisit les testicules qu'il fait rouler entre ses doigts. -Oh putain,dit-il, si un jour on m'avait dit que je tiendrai un flic par lescouilles... écatez le les gars que je l'encule...ce sera mon premierpoulet.. -No...haaaaaaaa.....déconnez pas......haaaaa....pasçàààààà..... Trop tard, Georges vient de se faire prendre à sec, parl'énorme bite d'un jeune maghrébin, qui dilate et ouvre le petittrou. Rachid, impassible, immortalise la scène avec *** portable, aprèsavoir filmé celle de Solange, on sait jamais. Georges, en larmes,cherche *** équipière du regard. Il la voit trembler sur ses jambes, setordre comme un ver sur les doigts de la jeune fille qui la chatte. -Hooui...gémit-elle...vas-y..bien sur le clito...que c'est bon de se faire doigter par une femme....oui...oui...et toi Georges...tu es bien...ilt'encule le salaud...c'est bon...dis moi.... Georges ne peut pasrépondre, un autre arabe a glissé sa queue dans sa bouche, dans laquelleil se branle. dans un dernier sursaut, Georges toute la semence dumaghrébin au fond de la gorge. Jugeant enfin que leurs victimes avaient eu ce qu'ils méritaient, lesjeunes délinquants s'éclipsent. Tant bien que mal, les gendarmesrejoignent leur véhicule de fonction. Georges n'a plus de pantalon, iltire sur sa chemise pour cacher *** sexe à sa partenaire. Elle n'hésitepas à reluquer la quéquette décalotté, et couilles enflées de ***équipier. Le lendemain, Georges reçoit un coli. Un dvd avec un message, qu'ilmontre à sa partenaire. "Rendez-vous ce soir à la caserne. On veut quevous soyez soumis, nus sinon, gare" Les deux flics n'ont d'autres choixque d'accepter. C'est Solange qui ouvre quand on frappe à la porte. Ce***t Rachid, Djamel et Malika. comme convenu, les gendarmes ***t tousnus. -Salut, dit Malika en saisissant Solange par la taille. Comment vacette petite chatte depuis hier? On a concocté un petit jeu pour vous,vous allez nos en dire des nouvelles. Ou ***t les menottes? Georgesfait un signe pour montrer le placard. C'est Malika qui mène lesopérations. -Hé la gouine, viens ici, ordonne-t-elle, colle toi contreton chef, et prend le par la taille. Solange obéit, st se plaque contrele dos de Georges. Malika la menotte de façon que ses mains soient encontact avec les sexe du commandant. -A toi maintenant, ordonne-t-elleà Georges, les mains dans le dos. Ce ***t les mains de Georges qui ***tmaintenant en contact avec la chatte épilée de Solange. le tableau estgrotesque. Par respect, les deux partenaires essaient d'éviter de setoucher. mai très vite, la situation devient excitante. C'est George, quile premier, prend l'initiative. Il recroqueville *** majeur, et caressela fente de *** équipière. Instinctivement ou volontairement, celle-ciécarte les cuisses pour faciliter le passage. C'est maintenant au tourde Solange de se lancer. D'une main, elle saisit les couilles de Georges,et de l'autre, fait coulisser le prépuce pour décalotter le gland de labite en érection. -Allez, sourit Malika, les paris ***t lancés. lepremier qui fait jouir l'autre, marque un point. Solange entame delents va et vient sur le membre de *** coéquipier, pendant que celui-cidoigte la fente humide de la flic, tente d'enfoncer ses doigts au plusprofond de sa chair. -mai enfin Georges, tu n'es pas au bon endroit..leclitoris est plus haut.. ta femme te l'a pas expliqué? Georges commenceà donner des signes de faiblesses; il tend sa bite en avant pour mieux sefaire décalotter, mieux s'offrir aux doigts experts de Solange. Soudain,il se lâche. Sa semence gicle sur le carrelage, dans un râle deplaisir. -Ha...ha..salope...je crache...vas-y...gratte moi lebout...ha... -Tu as vu comme j'ai joué avec ton zob, comme je l'ai faitpleurer...je vais le décalotter pour tout à l'heure...je vais te chaufferles couilles pour bien te les vider...tu veux? -Oh la la, ditMalika, çà s'annonce chaud, lais***s les les gars, on reviendra plustard. Les trois maghrébins s'assied sur la trottoir et fume unecigarette. Pendant plus d'une heure, ils entendent les amants menottésrâler de plaisir. Quand ils regagnent la salle, ils découvrent unspectacle hallucinant. Les testicules de Georges roulent entre lesdoigts de Solange, *** gland est rouge sang. Le sperme coule le long de saqueue, souille les bourses. -Assez..assez..gémit le commandantépuisé,..j'en peut plus... -Chut...je t'avais dis que tu ferais pas lepoids. Tu vois ce qu'une femme peut faire avec un mac quand elle luisattrape les couilles...çà fait mal,hein? Imagine si tu étais derrièremoi, tu m'écarterais les cuisses pour enfoncer ton pieux dans lachatte...tu m'ouvrirais le petit trou pour m'enculer..hum.. et là,c'est moi qui te domine...çà fait quatre fois que je te vide lescouilles. Solange aussi a pris du plaisir. la cyprine et la mouilledégoulinent sur ses cuisses. Les jeunes beurs détachent leurs victimesqui s'écroulent au sol. Ils s'enlacent et se donnent un sulfureux baiser.Solange, plus vivace, prend en bouche la bite de *** commandant pour luitailler une pipe, le supplie de la niquer, de l'enculer. Depuis, le groupe de maghrébins se rend souvent à la caserne. Ilsenculent copieusement le commandant, organisent des jeux érotiques, ouGeorges se soumet totalement au sadisme de Solange, qui prend plaisir à lefaire pleurer.
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