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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#9,241
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Ils se shootaient à ses aisselles.Carole en rit:
- " Calmez-vous, les enfants! Laissez maman regarder la télé!Mon choupinet, quand tu veux pour la suite d' " Anus en folie "... "
Je relançais la lecture. Carole avait repris ses commentaires salaceset ses gloussements. Le passage de la fondue l'a moins choquéeque je ne l'aurais cru. Je l'avais bien conditionnée, et Dianeétait à côté. D'ailleurs, Denis et elle soupiraientsouvent. Je m'aperçus après un moment que Carole avait unemain sur chaque entrejambe et les caressait à travers leurs vêtements.Comme elle vit que je m'en étais rendu compte, et pour qu'il n'yait pas de jaloux, elle serra le talon de *** escarpin contre mon sexe,me blottissant contre elle. La cassette se terminait sur le dernier verre,et ma promesse. Cela faisait à peu près une demi-heure.J'arrêtais la lecture, la suite ne la concernait pas encore. Nousétions tous tournés vers elle:
- " C'était pas mal. Le film n'était pas génial,mais vu les conditions, je comprends. Par contre, ce que j'ai vu m'a beaucoupplu. J'ai bien aimé la façon dont vous avez abuséde mon bichounet. Mais je vais vous décevoir, je ne vais pas coucheravec vous. Je vous ai bien allumés, mais ça n'ira pas plusloin. C'est mon mari qui va me donner du plaisir. Chéri, enlèvema culotte, comme tu sais si bien le faire: Touuut doucement... " Diane et Denis étaient atterrés et frustrés.

Je m'exécutais. Ce fut trèslong. Je la fis descendre par à-coups, de quelques millimètresà chaque fois. Le frottement sur sa peau puis le crissement surses bas l'excitaient terriblement. La première fois qu'elle m'avaitdemandé de faire ça, je n'avais rien compris à cequ'elle en attendait. Elle était très déçue.La deuxième fois, elle en a eu un orgasme... Elle étaitaussi fétichiste. Elle aurait sûrement préféréque Diane eût une culotte... Elle m'a expliqué que çalui faisait comme l'effet du crissement de la craie sur un tableau, maisau niveau du sexe. Je dégageais ses pieds, l'un après l'autre,avec des gestes lents de démineur: elle m'avait déjàexplosé dans les mains une fois... Elle prit nos voisins sous sesbras:
- " Allez! Vous pouvez l'assister... Occupez-vous de mes seins!Et toi, mon amour, déshabille-toi. Tout nu. Et viens vite, je t'attends." Ils ne se firent pas prier, et firent jaillir sa poitrine horsdes balconnets. Carole leur caressait la tête pendant qu'ils embrassaientses seins avec passion. Nourrice généreuse... Encorece besoin d'enfants... Elle écarta les jambes et les posa surmon dos nu. Elle se laissait lécher souvent comme ça, maisd'habitude, elle enlevait ses escarpins. Sous l'excitation de nos troisbouches, elle étendit ses pieds, ce qui me faisait sentir ses talonss'enfoncer dans ma chair. C'est ma maîtresse. La maîtressede ma maîtresse. J'acceptais *** offrande avec humilité,et redoublais d'assiduité.

Elle fut longue à venir. Peut-êtreétions-nous trop empressés, ou alors elle se retenait pournous faire plaisir... Mais quand elle eut *** orgasme ce fut terrible.Pour mon dos, déjà, puis pour nos tympans. Elle se torditsur le canapé en écrasant Diane et Denis sur ses seins.Elle se laissa enfin tomber à la renverse en un profond soupir.Elle reprit *** souffle, rangea ses seins dans leurs étuis et lâchad'un ton faussement blasé:
- " Ouais, c'était pas mal... Je vous ai pas étouffés,avec mes gros biberons? " Diane et Denis l'embrassèrent enriant:
- " Mais non! C'était très bon... " Moi, jeme frottais le dos. Carole se rhabilla, et je lui remis sa culotte, enla faisant crisser le plus possible. Ça marche dans les deux sens...

Elle avait un peu froid, maintenant:
- " Je boirais bien un verre. Mais moi toute seule. C'est possible?" Diane, comme nous, fut interloquée par cette requêteinsolite:
- " Heu... Oui... Tu bois quoi? "
- " Un cognac. Bien tassé... " Denis s'en occupa.Nous attendions une explication. Elle vint quand elle eut siroté*** verre, seule et en silence:
- " Le verre, j'en avais envie, et aussi pour me motiver un peu.Vous, je préfère que vous soyez lucides, se sera plus rigolo.Sauf toi, Luc. Toi, c'est plus simple, tu n'y as pas droit. " Nousn'étions pas beaucoup plus avancés... Elle se leva, lesmains sur les hanches et considéra Diane et Denis, toujours assisà la même place:
- " Tout à l'heure, Diane, Je t'ai dit que je voulais te voirte faire enculer par ton mari. C'est le moment de me faire plaisir. "Denis semblait d'accord. Pas Diane:
- " Non... Ne me demande pas ça. Fouette-moi encore situ veux, mais pas ça. " Carole était un peu contrariée:
- " Allons... Tu ne fais jamais ce plaisir à ton petitmari? Il s'en est plaint à moi, la dernière fois qu'il m'ainvitée. Ça doit le travailler... Allez, pour moi... Tu étais plus fière avec ton histoire de fondue... " Diane l'implora:
- " Non... Pitié, je t'en prie, n'insiste pas... " Carole soupira:
- " Bon, bon... Tant pis... Mais tu me déçois,et je n'ai plus envie de t'y ******. Je crois que j'ai trop bu. Montre-moita croupe, au moins. Elle me plait bien. J'aime bien les grosses fesses." J'ignorais le goût de mon épouse pour les callipyges*.C'est vrai que j'ai des formes un peu généreuses, mais quandmême...

Diane se plia un peu à contrecoeur à la volonté de Carole. Elle s'allongea à platventre sur le canapé, appuyée sur les cuisses de *** époux.Elle avait relevé sa jupe au niveau de sa taille. Carole embrassales fesses zébrées de traces rouges:
- " Tu as un beau gros cul. Je l'aime bien, surtout marquécomme il est. Lève-le, que j'en profite mieux. " Elle s'exécuta,toujours à contre coeur, en se mettant à genoux sur le canapé,la tête toujours sur les cuisses de Denis. Elle se doutait que savolonté allait être bafouée. Carole admirait *** sexeépilé et humide qui bâillait entre ses cuisses. Elley passa la main, ce qui la fit sursauter, mais Diane se laissa caresserpendant quelques instants avec un plaisir non dissimulé... Monépouse ressortit sa main humide et tenta d'en lubrifier les fessesde Diane. Elle se rebiffa, toujours sur la défensive:
- " Je t'ai dit non! Tu es têtue! "
- " Oui, je suis bretonne, bien que ce ne soit pas l'avis de toutle monde**. Rassure-toi, je veux juste te tester. Promis, je ne te feraispas de mal. "
- " ****** pas. Ça me gêne terriblement. " Carolela caressa délicatement et avec amour. Elle y prenait un grandplaisir. Elle enfonça à peine un doigt, avec délicatesse.Elle n'insista pas:
- " Tu as rai***. Tu n'es vraiment pas réceptive. Luc te diraque je ne suis pas un modèle du genre, mais ça rentre. Jene t'embêterai pas plus. Par contre, Je veux que vous fassiez l'amourdevant moi. Viens, Denis. "

Il se dégagea de *** épouseet se plaça derrière elle, guidé par Carole. Ellemit Diane à bonne hauteur en lui faisant plier un peu les genoux.Elle masturba un peu Denis pour lui procurer une bonne érection:il était excité mais un peu gêné par la situation.Carole, elle, était à l'aise. Ce n'était pas lespremiers mammifères dont elle supervisait l'accouplement... Elletira Denis par le sexe et le présenta devant le vagin de *** épouse:
- " Allez! Vous n'avez pas besoin de préliminaires... " Il s'enfonça d'un coup dans Diane qui poussa un cri de plaisir.Elle devait attendre ça depuis un moment. Carole parcourait ***corps encore vêtu, lui caressant les seins qui s'agitaient sousle corsage -elle n'avait pas de soutien-gorge non plus- embrassant sesreins découverts et *** visage. Diane poussait des petits crisstridents, assez désagréables pour Carole, mais que je trouvaispour ma part charmants. D'ailleurs, Carole la bâillonna en lui enfonçantsa langue dans la bouche, le temps qu'elle parvienne à *** orgasme.Quand elle le sentit monter, elle se releva et me poussa *********** àsa place pour que je la remplace. Je lui aurais bien donné monsexe, mais c'était un peu tard. Je me contentais d'embrasser etde caresser ses joues et sa bouche, sans l'entraver.

Carole était retournéecaresser sa croupe, et elle attendit le début de *** violent orgasmepour lui enfoncer *** pouce à fond entre les fesses. Denis suivitimmédiatement, en se faisant embrasser par Carole qui tournait*** doigt en un large mouvement circulaire. Elle l'enleva quelques instantsaprès, lorsque Denis se dégagea. Il débandait rapidement,comme le taureau de sa ferme. Diane se laissa tomber sur le ventre, silencieuse.Bien sûr, l'intervention de Carole a décuplé *** plaisir,mais elle n'aimait pas ça. Elle se sentait salie, violée.Et trahie aussi, mais ça, elle s'y attendait. C'est pour çaqu'elle refusait " la levrette " et toutes les positions, comme" les petites cuillères ", qui autorisaient des "erreurs de lieu ", comme l'exprime si joliment le langage des haras.Mais moi, j'avais bien aimé le regard plein de détresseet d'impuissance qu'elle m'avait adressé à ce moment-là,en plein orgasme. J'étais fier de mon épouse. Et de ma maîtresse,qui savait aussi se montrer obéissante.

Carole ramassa mes vêtements:
- " Rhabille-toi, mon chéri, on y va. Denis, tu peux allerchercher nos manteaux, s'il te plait? " Nous étions quelquepeu interloqués. Elle savait ce qu'elle voulait. Diane s'étaitrassise, triste et contrariée:
- " Tu t'en vas parce que je ne me suis pas laissé faire?Enfin, pas comme tu aurais voulu? " Carole s'agenouilla sur le canapé,à cheval sur ses cuisses. Elle l'enlaça et l'embrassa tendrementsur la joue:
- " Mais non, petite sotte! Tu m'en as donné suffisamment.Mais nous avons mieux à faire, chacune de notre côté.Donne-toi à ton homme. C'est un ordre. " Elle se leva, fitla bise à nos hôtes et s'en alla précipitamment, m'entraînantpar la main:
- " Merci pour votre accueil! Je me suis bien amusée! N'oubliezpas le reste du gâteau. À bientôt! "

Ils nous regardaient partir, interdits.Quelle curieuse conduite... Elle qui a du mal d'habitude à quitterdes amis, et qui trouve toujours le dernier sujet de conversation surle pas de la porte... Je n'ai même pas eu le temps de les salueret je leur envoyais des baisers du bout de mes doigts. Nous étionsrapidement rentrés à la mai***: il faisait encore plus froid,et j'avais été bien inspiré d'avoir remis le chauffageen route avant de partir...

Elle m'a violé sur la tablede la cuisine, toute habillée. Elle n'avait même pas retiré*** manteau, ni sa culotte, se contentant de l'écarter. Carolen'avait jamais été aussi ******* ni égoïste.Elle m'a fait très mal, m'écrasant et me blessant avec sestalons. Elle a joui très rapidement, et, pour la premièrefois, s'est retirée avant que je vienne moi aussi. J'étaispourtant juste au seuil...

Elle partit se déshabiller etse laver les dents. Je l'ai imitée, et nous nous sommes couchés.Nous sommes restés allongés l'un à côtéde l'autre, sans nous toucher. Nous n'avions pas échangéun mot depuis que nous étions partis de chez nos tendres voisins.Elle était vraiment bizarre: il fallait que je surveille sa bois***...

Elle se redressa sur un coude et mefit d'une voix sensuelle:
- " Je crois que je t'ai fait assez poireauter... Tu dois êtreà point, maintenant... " Ah, la délicieuse crapule!Je l'avais mal jugée... Carole me tortura encore longtemps.Elle me caressait pas petites touches: avec ses seins magnifiques et sestétons durcis, *** bout de langue, ses joues, ses lèvres,ses dents -pas à la manière de Chloé- en faisantde longues pauses pour venir m'embrasser et m'émoustiller par despropos salaces et orduriers:
- " Ta maîtresse est une vraie chienne en chaleur. Tu as vucomme je l'ai fait saillir par *** étalon? J'aurais bien aiméqu'elle se fasse enculer sous tes yeux pour te montrer à quel pointc'est une vraie salope... En tout cas, je lui ai bien ravagé*** gros cul avec sa cravache. Bien plus que ce qu'elle t'a fait. "Je caressais ses seins opulents et murmurai en un souffle d'agonie:
- " Je me suis trompé sur toi, ma chérie, depuis ledébut. J'ai toujours cru que tu étais une déessede l'amour, mais je me rends compte qu'en fait, tu es un affreux démonpervers. Emporte-moi dans ton enfer, je t'en supplie... " Ellem'enjamba et s'empala *********** sur mon sexe bien dur:
- " Tu y es déjà, mon amour. Tu y es déjà... " Je hurlais bientôt comme un damné, sous *** regardsatisfait et bienveillant.
chrislebo

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#9,242 · Edited by: chrislebo
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REQUIEM POUR UNE SERVANTE.

Pour une fois, Carole étaitencore au lit ce matin-là. Quand j'ouvris un oeil, elle étaitappuyée sur un coude et me souriait. La cause de mon réveilétait encore Ouissecasse qui frottait sa tête sur mon nezen ronronnant. Elle me l'enleva et se le colla sur la poitrine:
- " Heureusement qu'il est là pour te tirer des bras de cettesalope de Morphée dont tu me rebats les oreilles... Tu as biendormi, mon petit phimosis printanier? " Je m'étirai. Il mefallait quelques instants pour reprendre pied avec la réalité.Quelques douleurs, ici et là, me la rappelaient: quelle soirée... Je renonçais à lui confier que Morphée étaitun homme -fils de dieu, plutôt, elle aurait pu en déduireque j'avais des penchants homosexuels... En préambule àma réponse, je l'embrassai tendrement. Nous n'avions pas trop mauvaisehaleine... Ah! Romantisme, quand tu nous tiens...
- " Merveilleusement bien. Et si tu n'avais pas frotté tonirrésistible popotin sur mon pauvre bigorneau qui dormait sagementau fond de sa coquille, je n'aurais pas été obligéde t'honorer nuitamment. Mais j'y suis hélas tenu par contrat,signé par et devant Monsieur le maire. " Elle sourit:
- " Oui, et tu me dois également fidélité, assistance... et dix mille balles. Me dis pas que je t'ai forcé la " main", quand même. Et ton bigorneau avachi ressemblait plutôtà un homard frétillant. Tu m'as donné beaucoup deplaisir, encore une fois. " Je pris un air sérieux:
- " Excuse-moi de remettre ça une fois de plus sur le tapis,mais comment je peux te donner tant de plaisir? Depuis que j'ai vu lesexe de Denis emplir ta bouche, j'ai du mal à y croire... "
- " Je t'ai dit que je peux pas te l'expliquer. C'est comme si tazigounette avait été faite spécialement pour moi.J'aime bien les grosses queues qui me remplissent, mais c'est pas pareil.C'est plus... Bestial. Avec toi, c'est tout en finesse, elle me caresseexactement aux endroits qui me font le plus chavirer... Je ne peuxpas te dire mieux. Toi, je ne sais pas si tu as rencontré une filleplus étroite que moi... "
- " Eh bien si, justement. Très étroite, même.Enfin, normale, mais elle arrive à se contracter à volontéet même à me faire mal. Ce n'était pas le but, maisc'est pour dire que ce n'est pas un problème de taille. Je voudraisbien qu'elle t'apprenne sa technique... Par contre, pour les pipes, c'estpas le pied. Je l'ai corrigée un peu, c'était un peu mieuxaprès ça: au début, j'avais l'impression de me fairesucer par une machine à coudre... Mais c'est comme pour toi:c'est bien, mais je n'arrive pas à vibrer comme quand je te faisl'amour. " Elle était intriguée. Un peu jalouse aussi,sans doute:
- " Et je la connais, cette merveille? "
- " Tu l'as certainement déjà vue. Je t'en dirais plustout à l'heure. " Elle soupira, l'air las:
- " Encore tes énigmes à la con...T'es chiant. "Elle se leva d'un pied décidé:
- " J'en ai marre. Je vais faire le déjeuner. Je reviendraite chercher, à moins que tu aies daigné bouger ton groscul accueillant d'ici là... " Je me levai. J'avais envied'aller aux toilettes et je devais préparer mon matérielvidéo avant de l'avoir dans les pattes... Pour la surprise.

Je l'ai rejointe dans la cuisine, lesoleil était revenu et inondait la pièce. Elle avait quasimentfini, et je beurrais nos tartines. La boulangère faisait sa tournéematinale et nous laissait toujours deux baguettes, conformémentaux indications que Carole laissait avec le sac à pain, au portail.Plus du pain sec, aujourd'hui. Carlos adore ça, mais lui, on nelui beurre pas, Dieu merci.

Carole était d'humeur morose,ce matin: elle ne chantait pas. Elle m'invita à manger, nous étionsservis et je lui caressai la main:
- " Ça va pas, ma bizounette? Je ne te sens pas dans ton assiette... Et quand tu n'es pas dans ton assiette, c'est que ça va vraimentpas. " Elle marqua une pause et soupira, visiblement préoccupée:
- " Ça m'étonne que tu ne m'aies toujours pas parléde notre soirée d'hier. J'ai honte... Qu'est-ce qui m'a pris?Je n'oserai plus aller les voir! J'ai vraiment déconné...En plus, je souviens vaguement, me suis barrée comme une voleuse." Elle regardait fixement *** bol. Je lui pris le visage dans lecreux de ma main pour le relever:
- " Tu as honte de quoi? De ta conduite incongrue ou de tes prestationsde dominante? "
- " Ben... Les deux. Je crois que Diane avait préparédes... activités pour meubler une longue soirée. J'aitout gâché... Même avec toi, j'y suis alléeun peu fort. Pourtant, je voulais pas, au début... "
- " N'aie pas peur... Je vais aller les voir. Ils étaientun peu déçus qu'on s'en aille, mais pour le reste, je croisqu'ils ont adoré. Surtout Diane. Elle a goûté au statutde maîtresse et à celui d'esclave. Mais je ne l'ai pas trouvéetrop soumise... À mon avis, elle pensait plutôt que tuallais prendre l'autre bout de la cravache... Quant au traitement quetu m'as fait subir, je trouve que tu as été parfaite. Àtout point de vue. "
- " Merci de me remonter le moral, ma raviole truffée. J'espèrequ'ils m'en veulent pas trop quand même. Je vais attendre ton retouravec impatience. " Elle retrouva un petit sourire:
- " Dis, tu pourrais me ramener la cassette? J'ai terriblement enviede la revoir... "
- " Figure-toi que j'en ai une copie ici même. " Elleme fit *** sourire coquin, celui que je préfère:
- " Ouaiiis !... Dis, j'ai tout raconté -enfin presque-à Mélanie. Elle est vachement intéressée.Tu crois que je pourrais lui montrer? " Je me levais pour l'embrasser:
- " Mais bien sûr! Invite-la pour cet après-midi. Jeserais curieux de voir sa réaction. Au fait, la cassette n'étaitpas finie. Il y a ma cérémonie officielle, plus quelquesréjouissances supplémentaires dont je t'ai déjàparlé... " Elle était ravie. Moi aussi, elle avaitretrouvé sa joie de vivre. Une journée sans soleil, d'accord,mais sans mon soleil, jamais.

Je fis ma toilette et me mis au travail.D'habitude, je suis un peu plus assidu, et je commençais àprendre du retard. Je m'occupais des demandes de mes fidèles clientsen priorité, mais j'avais un peu négligé le suivide leurs actifs et de mes placements -ainsi que la gestion des capitauxde tous ceux qui m'honoraient de leur confiance. Ce matin, nous étionstrois en ligne: moi, bien sûr, Hiroshi -lui, c'est normal, c'estsa vie- et Soumyakanti, un Indien de Haidarabad*. *** icône représentaitle dieu à tête d'éléphant, Ganesh. Pour Carole,c'était Babar. Soumyakanti, l'icône, le dieu Ganesh, toutle monde, c'était Babar: elle ne se compliquait pas la vie...

Il était très gentil,et adorait -lui aussi- les photos de Carole. Il avait convaincu *** épouseGoroshana -Célestine pour ma moitié- de se prêterau même jeu. Enfin, bien moins dévêtue. Ils ***t assezcoincés, au pays du Kama-Sutra. Et assez bizarres. J'ai des amistout autour de la planète, auxquels je peux parler librement detout et de rien, mais avec Soumyakanti, ce n'est pas pareil. Quand ilme parle, j'ai toujours l'impression qu'il est surveillé par lacensure et qu'il choisit ses mots et les sujets à ne pas aborderou à éluder. Cela dit, Goroshana était trèsbelle sur ses photos, enveloppée dans des voiles vaporeux. J'enavais fait de grands posters qui ornaient nos murs. Un temps limité,car Carole commençait à en être jalouse. Elle la trouvaitquand même très à *** goût, elle adore les peauxmates. J'en ai gardé un dans la chambre à coucher, en facede celui de mon épouse adorée. Nue, bien sûr.

Carole était partie voir sesbestioles, et je voulais la saluer avant d'aller rendre visite ànos chers voisins. L'été semblant être revenu, jem'habillai en conséquence. Je passais par la cuisine et vis lesac de pain sec à côté de la porte: elle l'avait oublié... Elle était vraiment perturbée.

Avec mon chargement, j'attirais les foules : à peine passéle petit portail qui séparait le jardin de notre parc zoologique,une grappe d'admirateurs désintéressés se jeta surmoi: Rosita et Perdita, Carlos -qui ne me broutait pas les seins pourune fois- les poules, les canards et ces saloperies d'oies qui terrorisaienttout le monde en gueulant. En plus, elles m'ont déjà becquetéles couilles plusieurs fois. Saloperies... Tout ça pour direque je les adore.

Carole, attirée par le tapage,sortit de la réserve avec une fourche:
- " C'est gentil, mon chéri! Je me suis rendu compte que j'avaisoublié le pain, et j'avais la flemme de revenir le chercher. Çafait une trotte!... " Je me débarrassai avec soulagementde l'objet de toutes les convoitises: je ne me sentais pas de taille àlutter contre une armée surentraînée. Carole s'enempara prestement et distribua des croûtons autour d'elle en riant.Elle appelait ses bestioles " mes amours ". Elle caressait mêmele cou des oies. Moi, j'aurais plutôt fait un nœud avec. Saletés...
- " Chérie, je vais chez les Dédés. Je reviendraiavant midi. " Elle était ailleurs:
- " Oui, amuse-toi bien... Doucement, mon cœur! Laisse mangeraussi les petits canards! " Elle préférait parler à*** bourricot. Je la laissais seule à *** bonheur...

J'entrai chez nos voisins. Je fus attirépar un bruit de grincements dans une dépendance: c'étaitl'atelier de Diane. Elle était en train de retaper un meuble, enbleu de travail. Je m'approchai sans bruit dans *** dos, la saisis parles hanches et lui embrassai le cou. Elle se laissa faire mais eut unsursaut:
- " Ah! c'est toi... Je croyais que c'était Denis... "
- " Déçue? " Elle avait une mine sombre:
- " Idiot! Bien au contraire. Je ne croyais pas te revoir de sitôtaprès ma conduite déplorable. Tu parles d'une maîtresse... " Je lui enlevai ses gants et lui embrassai la main:
- " Mais non! Tu es toujours ma maîtresse, et je te respectetoujours autant. Même si Carole te rabaisse, je serais toujoursen dessous de toi. D'ailleurs, elle est très mal à l'aise,ce matin, et elle s'en veut terriblement de s'être conduite commeelle l'a fait. " Elle s'emporta:
- " Ah mais non! Surtout pas! Elle était absolument divine!"
- " Elle a quasiment tout oublié de ce qu'elle t'a fait. Tupourras lui faire gober n'importe quoi, si ça peut servir tes intérêts." Elle eut un sourire rêveur:
- " Je lui dirai qu'elle m'a sodomisée avec un concombre... On l'aurait bien gardé plus longtemps, c'est sûr, mais tupourras lui dire que je lui ai obéi. Je me suis donnée toutela nuit à Denis, comme elle me l'a ordonné. Je l'ai laisséme prendre comme il aime. Sauf pour la fellation et la sodomie:. pourça, je n'ai pas changé d'avis. " J'étais perplexe:
- " Heu... Et il reste quoi? " Elle me fit sur le ton dela confidence:
- " *** truc, c'est qu'il adore me sauter sans que je réagisse,comme s'il baisait une morte. Je ne bouge pas une oreille, je ne poussepas un soupir -c'est le plus dur, je m'emmerde un peu- et je ne crie pasnon plus. Pour ça, ça va, je ne prends pas vraiment monpied. Mais il aime tant ça, et ça m'avait horrifiéla première fois qu'il avait voulu me faire l'amour de cette façon.Ça faisait très longtemps qu'il y avait renoncé.Je lui ai proposé hier, à défaut d'autre chose... "
- " Il ne serait pas un peu nécrophile, ton homme? Fais gaffequ'il ne tourne pas autour des cimetières... Cela dit, il m'abaisée en Alicia comme ça avant-hier. Trois fois, presquesans débander. J'ai aimé assez, la première surprisepassée. " Elle regardait *** meuble: il avait une drôled'allure, même démonté:
- " Tant mieux si tu aimes... Je le pousserai dans les bras d'Alicia... Si Carole veut encore de moi. Tu as vu cette merveille que je suis entrain de retaper? C'est l'œuvre de Serge. " À y regarderde plus près, ça ressemblait plus à une machine médiévalequ'à un meuble. Elle m'expliqua:
- " C'est un chevalet de *******. Il est réglable en hauteur,devant et derrière, avec les manivelles que tu vois là,par terre. Ça permet de mettre le sujet au niveau idéalselon ce qu'on veut lui faire... Tonton m'a montré, çam'a émoustillée. Il s'en est fait un plus moderne, électrique.Ça casse l'ambiance, je trouve. Tu verras quand il sera remonté: il me tarde de l'essayer. "
- " Moi aussi, maîtresse. Ce sera mieux que la table du salon." Elle rit:
- " Je l'ai livrée hier matin, à une comtesse pur sucre,genre balai dans le cul. Elle m'a fait des compliments sur la façondont je l'avais restaurée. J'avais envie de lui dire de se fairetringler dessus pour entretenir la patine!... Allez, viens, je vaiste faire essayer tes tenues. "
- " Chouette! " Je fis un bond de cabri en la précédant,ce qui la fit rire.

Nous sommes montés dans la chambre,Denis était sorti pour *** travail. Diane m'embrassa tendrement,sans la fougue d'hier. Je lui tendis un compact disc que j'avais emporté,elle en lut le titre avec curiosité:
- " C'est quoi?... " Ma carotte nantaise "... Qu'estce que c'est que ce truc? "
- " Ce ***t des photos de Carole. Je les ai classées par genre.Mes préférées ***t dans la nature et en lingeriefine. Il y aussi les poses suggestives... Enfin, tu verras. "
- "Ah oui, c'est gentil. Ça me fait très plaisir. Jepourrais en envoyer à Tante Gisèle? "
- " Bien sûr. C'est un peu pour ça que je te l'ai apporté."
- " Mais c'est quoi, ce titre? C'est un code secret pour dissimulertes cochonneries? " J'étais un peu vexé:
- " C'est pas des cochonneries. " Je lui expliquai la rai***qui m'avait poussée à lui donner ce titre, et elle secouala tête:
- " Oui, tu es vraiment tordu !... " Elle posa le disque surle meuble de toilette et sortit une tenue d'un premier carton:
- " Oncle serge est très ordonné: il a rangéses tenues une par une. Les chaussures ***t dans une autre boite, c'estdu quarante-deux: j'espère que ça ira... " Je me jetaisur la tenue d'infirmière comme un pique-assiette sur le buffet.Elle était propre et bien pliée, mais on pouvait devinerqu'elle a déjà eu une vie agitée...

En un clin d'œil, j'étaisdedans. À part un léger flottement aux épaules etun resserrement au popotin - j'ai des formes assez féminines, jeme permets de le rappeler - c'était impeccable. J'essayais lesescarpins, une taille de plus que ma pointure. Ils étaient un peugrands: un tampon de coton enfoncé au bout résolut le problème.Je n'étais de toute façon pas destinée à marcherbeaucoup... Malheureusement, je dus reprendre les mêmes sous vêtementset lingerie. Je me maquillai -avec l'aide bienveillante de Diane. Je nelui avais pas encore demandé *** avis, et elle me confia:
- " Oui, c'est pas mal... Mais mets moins de crayon à tesyeux, plus de fard, et étire bien ton sourcil. Là, tu l'aspas assez estompé... Voilà, comme ça. Pareil pourle menton et les ailes du nez... Mais c'est parfait! " Elle nem'a pas fouettée pour avoir dû m'aider.

Je mis une perruque brune, assez courte,qui était avec la tenue. Restaient les bas blancs, la petite culotteet le petit chapeau, et je pouvais m'admirer dans la glace:
- " Oh Maîtresse! Quelle belle infirmière vous avezlà! Elle va se prêter à tous vos soins corporels... Qu'allez-vous lui demander? " Diane ne souriait plus. Elle me fitd'un ton sec:
- " D'abord de te taire et de baisser les yeux. Tu oublies vite." Elle me sourit quand même:
- " Ensuite de me faire l'amour. Je n'ai pas encore couchéavec toi, Alicia... J'espère pour toi que tu es bonne... " Elle était debout, bras écartés. Elle attendaitque je fasse sauter *** bleu -en fait, vert, à l'effigie de laboîte de cochonneries agricoles de Denis. C'était plutôtincongru dans une chambre... Je n'ai pas eu de difficultés,c'était un modèle avec deux grandes fermetures qui le parcouraitde haut en bas. Le papa de Carole a la même tenue. Non, je ne l'aijamais violé, si c'est ce que vous pensez...

Je lui enlevais *** T-shirt et ***short. Diane fris***na et m'entraîna par la main:
- " Viens, il fait meilleur dans ma chambre. " Je la suivis,les yeux fixés sur sa petite culotte. On pouvait voir des zébruresrouges en dépasser. Et même des bleues. Je n'aurais jamaiscru que ma douce Carole ait pu être si cruelle...
Elle s'assit sur le lit en réprimant un petit cri. Elle fit quandmême une grimace:
- " J'avais oublié. Ça m'oblige à penser àma maîtresse. Mais tu sais ça, Alicia... " Dianes'allongea sur le ventre, et je lui retirai sa culotte. Sa chair étaitprofondément marquée. Elle me déstabilisait: elleétait ma maîtresse, mais je la voyais plutôt commeune esclave brisée. J'avais besoin de ses ordres clairs qui neme laissent pas douter d'elle. Je pris le parti d'attendre, debout, sansbouger, ce qui l'a replacée dans *** rôle de dominante:
- " Soulage mes douleurs. Embrasse-moi. "

Un si gros cul pour moi toute seule,c'était de la gourmandise! Je la caressais du bout des doigts,de mes lèvres et de ma langue, en suivant les marques infâmantes.Je ne sais pas si je la soulageais vraiment, mais elle appréciaitbeaucoup. Quand elle en eût assez, elle se retourna laborieusementet je l'assistai avec empressement et sollicitude. Elle écartales cuisses et émit un nouveau gémissement. Je l'attiraidélicatement au bord du lit et posai ses pieds sur mon dos pourla soulager. Elle appréciait beaucoup mes initiatives... Sielle m'y avait autorisée, je l'aurais consolée en lui parlantet en la flattant beaucoup. On ne peut pas dire qu'elle soit trèsbelle ni bien faite, mais tout m'attire chez elle. J'admirai longtemps*** pubis en le caressant du bout des doigts.

Elle attira mon visage contre *** sexeque j'embrassai amoureusement et avec fougue. Elle gloussa:
- " Eh bien, on dirait que tu aimes ta maîtresse... Tu sais,hier, quand Denis me baisait sauvagement devant Carole, j'avais terriblementenvie que tu me fourres ta queue dans la bouche, comme tu l'avais faitavant. Si l'occasion se représente, n'hésite pas àm'humilier davantage devant Carole. Prends ça comme un serviceque tu me dois. " Je la léchais consciencieusement, me laissantguider par ses mains sur ma tête, jusqu'à ce qu'elle me repousse.Je reposais délicatement ses pieds sur le sol: elle me regardaitd'un air concupiscent, et me fit d'une voix altérée parl'excitation:
- " Ouvre ta blouse... Enlève ta culotte... Je ne t'excitepas plus que ça? " Elle fixait mon sexe: je n'étaispas en érection. Je la désirais terriblement, mais mon statutd'esclave m'interdisait de " concrétiser " ces penséesimpures. Elle se dressa sur ses coudes pour mieux me regarder:
- " Caresse-toi. Tu ne vois pas que tu me fais attendre? " Heureusement,malgré la pression, mon sexe répondit au quart de tour.Elle se traîna jusqu'au milieu du lit et m'invita à l'honoreren ouvrant ses grosses cuisses en grand:
- " Allez, viens me donner du plaisir. Mais attention! Ne te laissepas aller à me souiller. Tu le regretterais amèrement. Jete jure que je suis prête à aller jusqu'à te fairevraiment saigner. Tu as compris, salope? "
- " Oui, maîtresse. C'est déjà une trèsbelle faveur que vous m'accordez là. "

Je me mis à quatre pattes au-dessusd'elle et embrassais ses seins. Je crois bien que c'était la premièrefois que j'y avais accès... Leur vie en liberté les avaitrendus un peu flasques, mais je les pétrissais tendrement en luisuçant les tétons. Carole adorait ça, et Diane aussi,visiblement. Elle me prit par les aisselles et me força àme coucher sur elle pour m'embrasser. Je la laissais enfoncer ************* langue dans ma bouche et mimer la pénétration.

chrislebo

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Les mouvements de sa langue me donnaientinvolontairement une vague idée de la façon dont je devaisla satisfaire. Elle prit mon petit sexe dans *** poing et me le serratrès fort, à me faire gémir. Elle avait toujourssa langue en moi, mais je pouvais deviner qu'elle souriait. Elle se caressaitla vulve avec mon membre, comme si c'était un vulgaire godemiché,poussant le vice à le présenter devant *** petit trou. Elleretira sa langue et me fit d'une voix sourde:
-" N'y pense penses même pas, petite salope... Tu tiensvraiment à ce que je me fâche? Si tu fais ça, je meferais un plaisir de t'enfoncer mon bras... Tu n'aimerais pas, je metrompe? " Je répondis d'une voix honteuse:
- " Oh non, maîtresse... Je vous prie de pardonner mon audace." Elle sourit:
- " À la bonne heure. Agite ta petite queue, ma chienne docile!" Elle me planta dans *** sexe. Elle était très bonne,j'avais eu peur d'être un peu perdue... Elle réagissaittrès bien à mes mouvements: sa langue n'avait pas menti...Mes vieux cours de psychologie comportementale me servaient encore assezsouvent.

Je la pénétrais àfond, lentement, en faisant de larges mouvements du bassin. Seulement,elle n'était pas la seule à profiter de ce traitement. Mêmeen imaginant en boucle le sort qui m'attendait si je flanchais, mon enviede décharger en elle était de plus en plus vive. D'autantplus qu'en se laissant aller au plaisir, elle commençait àressembler à l'esclave humiliée de la veille. J'ai quandmême réussi à tenir bon jusqu'au bout.

La montée de *** orgasme a étéassez longue. Je me demandais si j'allais tenir encore longtemps - j'aidu mal à résister au plaisir féminin - quand ellese mit à hurler, comme elle l'avait si bien fait le lendemain matinde ma " première fois " dans les bras de Denis. Elleme poussait en elle en enfonçant ses ongles courts dans mes fesseset en me mordant cruellement le cou entre deux cris. J'avais l'impressiond'être le mâle d'une mante religieuse...

Diane retomba sur le lit, inerte, secouéepar quelques spasmes. Elle sanglotait doucement. Elle me fixait avec sesyeux pleins larmes, et d'amour. Elle me caressait le visage et avait dumal à reprendre une contenance. J'étais toujours plantéen elle et menaçais d'exploser au moindre mouvement.

Ses larmes se tarirent rapidement etelle me repoussa *********** en arrière. Elle me poussa mêmeavec ses pieds pour que je me relève. Je n'ai pas joui, mais j'aiadoré: je crains même que cela ait été meilleurqu'avec Carole. Elle avait toujours les cuisses écartées,et *** sexe offert et luisant m'attirait comme un aimant. Elle avait dumal à reprendre sa voix de maîtresse sûre d'elle. Moi-mêmen'y croyais pas, mais je m'appliquais à jouer mon rôle d'esclave,par amour pour elle:
- " Ça va, tu m'as bien baisée. C'est pas mal, pourun début. Tu vois, tu sous-estimes ta maîtresse: j'ai quandmême réussi à tirer quelque chose de ton petit ustensile." Elle voyait que je louchais sur *** sexe:
- " Tu en as encore envie, cochonne? "
- " Oh oui, maîtresse! Vous êtes si bonne... " Elle rit:
- " Allez! Tu l'as bien mérité... Viens me nettoyer." Elle devait s'imaginer que j'aurais voulu la pénétrerà nouveau pour m'abandonner en elle, mais pourtant c'étaitexactement ce que je désirais: me repaître de sa délicieuseliqueur. Mon petit plaisir pouvait attendre: pas le sien. Je lui donnaisun nouvel orgasme.

Je lui fis sa toilette intime sur lelit, sans qu'elle me le demande. J'avais rapporté tout le nécessairele temps qu'elle savoure *** plaisir. Je la tamponnais doucement avecun gant de toilette, et malgré ma douceur, elle poussait encorequelques soupirs et gémissements. Je la surveillais du coin del'œil: elle était aux anges. Je la rhabillai avec douceur,en embrassant *** corps avant de le couvrir de ses vêtements.

Quand elle se leva, elle m'embrassatendrement:
- " Va te changer. Tu peux rester encore un peu si tu veux, pourregarder le reste de tes surprises. Moi, je dois préparer le repas." Je m'étais douché, changé et regardais lestraces de mon cou: encore une fois, je m'étais monté lebourrichon, je n'avais que quelques traces rouges. Elle m'avait justetiré un peu la peau avec ses dents.

Après avoir fait un rapide inventairedes tenues de tonton Serge, je descendis et trouvai Diane qui m'attendaitavec un paquet dans les bras. Elle me fit un sourire de collégienneamoureuse:
- " Tiens, c'est pour toi. " Je déballais *** cadeau.Il provenait d'un sex-shop. C'était un genre de poire, muni d'untuyau et d'une petite pompe à main. Je m'enquis de l'usage de monprésent:
- " Ça sert à quoi, maîtresse? À déboucherles chiottes? " Elle rit franchement, les yeux brillants:
- " On peut dire que tu n'es pas tombé loin! C'est ton plug." Je considérais mon outil de plombier d'un autre œil:
- " Ah, c'est ça... Comment ça marche? " Ellereprit sa voix autoritaire:
- " C'est simple, tu n'as rien à faire: JE te l'enfonce danston petit cul, JE te le gonfle à ma convenance, JE le débrancheet TU en profites. On te l'enlève quand on a envie de toi. Si ona envie... Moi, ce n'est pas mon truc. Enfin, je ne crois pas, pourl'instant du moins, je n'en retire pas grand chose, à part tescris. J'en parlerai à ma tante Gisèle, elle a des jouetsqui pourraient me donner du plaisir... Par contre, elle m'a confiéqu'elle adorait ramoner les culs soumis qui tombent entre ses griffes.Elle m'a montré les accessoires qu'elle utilise, j'en ai eu froiddans le dos. Mais tu la connaîtras bientôt... Au fait, c'estelle qui m'a acheté le plug. Elle s'y connaît mieux que moi,et je n'avais pas le temps. Comme tu peux le constater, je ne t'ai pasmenti: c'est un grand modèle... Je lui ai demandé deprévoir aussi pas mal de lubrifiant, le tube que j'ai achetéen urgence à la pharmacie pour ton baptême est déjàpresque vide. Je te raconte pas la tête de la pharmacienne àqui j'avais demandé un lubrifiant pour des rapports anaux... Elle me connaît bien et me regardait d'un drôle d'air. "

Comme je n'avais pas l'air de réaliserce qu'elle projetait de m'enfourner, elle rajouta:
- " Là, il est dégonflé, là... " Elle me le reprit et le posa sur la table basse du salon. Elle s'étaitradoucie:
- " Mais ce sera pour plus tard. Tu m'as fait l'amour divinement.Je comprends que Carole soit tant amoureuse de toi: tu es un vrai dieu.Tu te plains de ton sexe, mais tu t'en sers merveilleusement bien. Bienmieux que certains qui ont un manche de pioche dans le slip. " Jevoyais de qui elle parlait. " Quant à ta façon de mecaresser ou de me faire jouir avec ta bouche... " Elle ferma lesyeux en souriant béatement, la tête en arrière.

Elle me prit les mains, me fixa deses grands yeux et me fit d'une voix sensuelle:
- " Tu as encore envie de me faire l'amour? "
- " Et bien, maîtresse, je n'ai pas pris mon plaisir, maisce n'est pas grave. Je tâcherai de vous honorer à nouveaudignement, si vous le souhaitez. Sans vous souiller, bien sûr "Elle me fit d'une voix douce et amoureuse:
- " Je me fiche de ton plaisir sexuel. Ton seul plaisir doit êtrele mien. Moi, je n'ai plus envie, tu m'as épuisée. Je tedemande juste: veux-tu me faire encore l'amour, oui ou non? " Jene voyais pas du tout où elle voulait en venir. Je me demandaismême si elle le savait elle-même:
- " Puisque vous semblez vous soucier des souhaits de votre esclave,la réponse est oui. Mille fois oui. Je vous désire terriblement." Elle afficha un sourire radieux, mais avec un éclat crueldans le regard:
- " Tu sais que ce n'est pas bien de désirer sa maîtressecomme n'importe quelle esclave comme toi... Je ne peux pas laisserpasser ça. Tu comprends, j'espère? " Là, j'avaiscompris où elle voulait m'amener. Si j'avais dit non, sa réponseaurait sûrement été à peu près la même,mais pour une rai*** opposée. Elle n'avait besoin d'aucune rai***pour me punir, mais invoquer un motif inique était bien plus esthétique.Elle avait toujours la voix douce et câline:
- " Baisse ton pantalon et allonge-toi sur la table. Sur le ventre,bien sûr " Elle s'éclipsa dans la cuisine comme je débarrassaila table et baissai mon pantalon. Je baissai également mon slip,ça allait de soi, et m'allongeai sur la table. Elle étaittrop courte et m'obligeait à me maintenir en équilibre àbout de bras. J'entendais ma maîtresse chantonner dans la cuisineen s'affairant aux fourneaux: on aurait dit Carole... C'est moi quirends les femmes si joyeuses? Ce serait bien...

J'attendais. Je suivais des yeux uninsecte qui se promenait sur le plancher. Diane reparut après unbon moment et je fus tiré de mon safari entomologique par un coupviolent sur mes fesses: je reconnaissais le bruit et la morsure de lacravache. À chaque nouvelle punition, j'avais l'impression qu'elleappuyait un peu plus ses coups. Elle m'en infligea une vingtaine, puiselle s'agenouilla derrière moi. Elle me caressa la croupe et embrassames marques, exactement comme je lui avais fait. C'est vrai que c'étaittrès bon... Après l'effort, le réconfort...

Elle glissa sa main entre mes cuisseset me masturba quelques instants, doucement. Mais elle serrait sa maintrès fort et me faisait assez mal, à me faire gémir.Elle termina par un baiser sur mes fesses meurtries et se releva:
- " Je vais te mettre ton plug à présent. Avant, jevais te montrer comment l'enlever. Tu ne dois pas y toucher toi-même,sauf en cas d'urgence. Je compte sur ta loyauté pour ne pas enabuser. De toute façon, tu n'as rien pour le regonfler, et je tepunirai à chaque fois que tu l'auras enlevé. Sauf si jet'en donne l'autorisation, ou Denis, bien sûr. Je verrais avec Carolesi elle veut bien te surveiller. " Elle me montra la petite valveà dévisser. Je ne savais pas si j'y arriverais tout seul.

Diane me lubrifia copieusement. Leplug, même dégonflé, était assez gros toutcompte fait. Elle l'a gonflé par paliers, le temps que j'épousesa forme. Pendant ce temps, elle partait chantonner dans sa cuisine. Çasentait bon... Arriva un moment où ça devint trop douloureux.Elle le dégonfla un peu, le débrancha puis me mit une grandeclaque sur mes fesses meurtries:
- " Allez, debout! Laisse-moi, je t'ai assez vu. Repasse aprèsmanger pour que je te l'enlève. Denis t'essaiera pour *** dessert.Il n'est pas au courant, ça lui fera une surprise. Tu passeraspar l'office et tu te prépareras pour ne pas qu'il te voie. Tumettras la tenue de ton choix, et tu te laisseras prendre sans bouger,comme il aime. Une dernière chose: si tu t'inquiètes pour... heu... la ventilation naturelle de ta tuyauterie, sache que tout estprévu. Ton plug est équipé d'un clapet spécial.Allez, file! " Elle m'embrassa passionnément et me donna unedernière claque sur les fesses, comme à regrets. Je voyaisbien qu'elle m'aurait bien gardé encore un peu...

Je regagnai la mai***, et le soleilau zénith m'assomma. Le plug me faisait un peu tortiller de lacroupe; J'affectais toutefois de conserver une posture mâle et digne,d'autant plus que je croisais ma voisine d'en face, Juliette Delcausnes,une brave femme de presque soixante ans. Elle devait revenir de la messe,bien qu'il fût déjà midi moins le quart. Nous étionssamedi, mais avec la diminution du cheptel évangélique,il n'y avait pas assez de prêtres pour officier tous les dimanches.Elle avait revêtu sa panoplie chatoyante de veuve sicilienne: ilfaut dire qu'elle est d'origine italienne. Du sud, même.

*** vrai nom est Giulietta Qualguarzini.Elle est arrivée en France dans les années soixante-dixavec *** fiancé qui l'a quittée pour une blonde au Q.I.de quatre-vingt-quinze D quelques mois plus tard. Seule, sans argent,jolie -elle l'est toujours- elle s'est vite fait épouser par unjeune du pays, Roland, qui ne l'est plus maintenant. Enfin, il est toujoursdu pays, mais il n'est plus jeune... Il vit sa vie et la trompe allègrement.Elle, elle s'est réfugiée dans un bénitier. Je mesouviens, enfant -elle était déjà ma voisine- nousallions souvent goûter avec quelques camarades chez elle avec ***fils et ses filles. Lui était de mon âge, les filles étaientbeaucoup plus jeunes. Elle nous gâtait, et nous parlait d'une voixdouce, enjolivé par *** accent italien. Nous, ingrats, l'avionssurnommé " la mère belle conne " à causede *** nom, bien sûr. Et aussi parce qu'elle était belleet passait tout à tout le monde. Elle parlait très bienle français, sa maman était de Nîmes. Elle a étémon premier sujet de masturbation: elle me charmait par sa voix angélique,ses manières douces, sa poitrine et sa croupe généreuses.J'ai répandu quelques verres de ma semence juvénile en pensantà elle...

Je lui fis un grand geste de la main:
- " Bon giorno, Giulietta! " Elle adorait quand je lui parlaisen italien, bien que venais de débiter la moitié de monvocabulaire. Elle me répondit avec un grand sourire:
- " Bon giorno, Lucas! " Je lui fis la bise, comme depuis vingt-cinqans. Elle m'aimait bien, j'ai toujours eu des petites attentions pourelle. C'était ma première amoureuse... Et elle m'avaitsauté au cou quand je suis revenu m'installer ici. Je lui demandais,inquiet:
- " Dites donc, le curé fait des heures sup, ou il vous aenfermée dans le confessionnal? " Elle rit. J'adore *** rire:On dirait la cascade d'un ruisseau.
- " Non, j'ai papoté avec des amies. On s'organisait pourl'entretien des tombes du cimetière. Il y en a beaucoup àl'abandon, tu sais? "
- " Oui, je sais... La mienne, d'abord. Moi, j'ai horreur descimetières. D'ailleurs, je me demande si j'irai à mon enterrement... " Elle rit encore, mais me gronda:
- " C'est pas bien de se moquer des morts. Ils n'ont que nous pourse distraire. "
- " Bof, pour moi, un mort, c'est mort. Il est recyclé etsert de terreau pour de nouvelles pousses. "
- " Tu ne crois pas en Dieu, à la vie éternelle? "
- " Ça n'a rien à voir. Dès qu'on est mort,on cesse d'exister. Sur cette terre, c'est sûr. Après, lesparis ***t ouverts. " Elle n'aimait pas que je mette ses croyancesen doute. Elle changea de sujet:
- " Mon mari est parti au banquet des chasseurs. J'ai le temps. Tuviens boire un petit verre à la mai***? J'aurais quelque choseà te demander. Tu sais tout faire... " C'est sûr,je suis le roi des bricoleurs. Heureusement que Carole n'étaitpas présente, elle aurait bien ri...
- " Avec plaisir. Mais pas longtemps, Carole va m'émasculer,sinon. Elle est jalouse, surtout d'une belle femme comme vous... "Elle rit en m'ouvrant la porte:
- " Tu exagères! Je ne suis plus aussi belle qu'avant... " Elle me tira une chaise pour que je m'asseye dans sa cuisine. Jeme jetais à ses genoux:
- " Ti amo, ma bella ragazza! " Elle rit de plus belle. Depuismes nouvelles expériences, j'avais pris beaucoup d'assurance etj'étais devenu beaucoup moins timide. Je me laissais mêmeà lui confesser mes lointains péchés de chair parcontumace à *** encontre - bien que les derniers n'étaientpas si vieux que ça, après tout... Je m'asseyais, commeelle me servait un petit verre d'une liqueur verte au goût étrange.Le plug et les coups de cravache se rappelèrent à moi etje m'efforçai de ne rien en laisser paraître:
- " Il faut que je vous avoue une chose: depuis tout petit, je suisamoureux de vous. Au risque de vous choquer, je me suis longtemps masturbéen pensant à vous... " Elle ne riait plus. Je n'auraispas dû, j'ai été trop insouciant, et nous étionsgênés tous les deux. Elle brisa le silence, l'air grave:
- " C'est gentil d'avoir pensé à moi, mais pourquoitu t'es arrêté? " Elle rit. Quelle comédienne... Elle avait l'air assez coquine, pour une fleur de cimetière...
- " J'ai grandi. Et surtout, vos nouvelles activités ***tmoins... Heu... appétissantes. Surtout l'uniforme. "
- " Tu sais, j'aime toujours autant l'amour, malgré mon âge... Roland me délaisse. Il a dit qu'il me trouvait fade, sans attrait.Il préfère aller voir ailleurs. Il paraît -enfin,c'est sûr- qu'il fricote avec la veuve Chanier. "
- " Vous ne voulez pas le reconquérir? " Elle fit unemoue désabusée:
- " Il n'a pas tort. Je ne me plains jamais, je me laisse marcherdessus... Il en a marre. La veuve Chanier, c'est autre chose... "
- " Il y a peut-être une solution. Vous avez un magnétoscope?" Elle eut un sursaut et se leva:
- " Oui! C'est pour ça que je t'ai fait venir. Les couleurs***t bizarres. Mais pourquoi tu me demandes ça? " Je finismon verre, me levai à mon tour et la suivais dans le salon:
- " J'aurais quelque chose à vous montrer... Maintenant queje sais que vous êtes large d'esprit, ça pourrait vous intéresser.Et sauver votre couple. "

J'allumais la télé etle magnétoscope, il manquait la couleur rouge: le câble quireliait les deux appareils était partiellement débranché.Le problème fut vite résolu, et je n'en fis même pasun commentaire. Je repensais fugacement à l'histoire de la prisede Denis en souriant...

Elle applaudit et me sauta au cou.J'en profitai pour l'embrasser passionnément en lui caressant lesseins. Elle ne s'est pas débattue, mais dût voir l'enfers'entrouvrir. Elle se recula en baissant la tête:
- " Non, il ne faut pas. Je suis mariée. Toi aussi. Ce n'estpas bien. "
- " N'y voyez pas de mal. J'en avais envie depuis si longtemps! J'aiappris qu'il ne fallait pas attendre que les choses arrivent, sinon, onpeut attendre longtemps. Vous voyez, vous êtes encore trèsdésirable. D'ailleurs, j'aimerais beaucoup que vous me fassiezune petite gâterie... " J'étais resté surma faim, après l'amour que j'avais fait à Diane. Elle megronda:
- " À ton âge? C'est bientôt l'heure de manger!" Ou elle n'avait pas compris, ou elle jouait la comédie.Je penchais plutôt pour la deuxième solution: si je lui avaisdemandé une pipe, elle m'aurait dit que ce n'était pas bonpour la santé...
chrislebo

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Je renonçai, et pris un tonsolennel:
- " Il ne tient qu'à vous de récupérer votremari. " Elle tordait ses mains, en proie à un terrible conflitintérieur.
- " C'est quoi, ta solution miracle? "
- " C'est de changer. Vous changer. C'est ce qui m'est arrivéil y a quelques jours, et depuis, le bonheur me tombe dessus. Je ne peuxpas vous en dire plus. "
- " Je ne comprends pas tout, mais ça m'intéresse." Elle marqua une pause, inquiète: " C'est pas une secte,au moins? " Je souris:
- "Non, non. C'est tout à fait per***nel. Je vais y aller,maintenant. Je reviendrai avec la cassette, très bientôt." Je l'embrassai à nouveau passionnément, et elle sedébattit faiblement. Je sortis rapidement:
- " Ciao, bella! " Elle me fit un petit signe de la main ensouriant. Je venais de lui faire retrouver ses vingt ans, pour quelquesinstants d'éternité...

Une autre femme chantonnait dans uneautre cuisine: la mienne:
- " Salut ma gallinette des prés! Tu t'en es sortie, avectes fauves? " Elle ne m'avait pas entendu arriver:
- " Ah! Te revoilà! Putain, t'as rai***, c'est des monstres.Ils étaient mignons, mais ils se ***t énervés parceque j'allais pas assez vite. Carlos a mordu dans le sac et il est partien courant. Tout le monde a suivi et ramassait les morceaux qui tombaient.T'aurais dû voir ça, c'était tordant: on aurait ditun match de rugby! " Pour ma part, j'en avais assez vu:
- " Oh, tu sais, moi, le sport... " Elle se rappela qu'ellem'attendait impatiemment et m'enlaça, d'un air un peu inquiet.Ses beaux yeux gris, bleus les jours de beau temps, scrutaient mon regard:
- " Alors? " Mon visage se ferma:
- " Alors, c'est la guerre. Diane m'a engueulé et Denis m'afoutu *** poing dans la gueule. " Elle blêmit en s'écartantde moi, la main sur la bouche:
- " Mon dieu, qu'est-ce que j'ai fait... " J'éclataide rire à la vue de sa mine déconfite. Elle, beaucoup moins:
- " Putain, mais t'es con! Crâne de merde! Ça va pas,de me faire peur comme ça? " Elle finit par en rire aussi,mais un peu moins fort, nerveusement. Elle m'implora:
- " Vas-y, sérieux... "
- " Et bien, Diane était malheureuse. Elle a cru que je nereviendrai pas parce qu'elle s'était soumise à toi. Ça,elle a adoré. Elle m'a même demandé d'en rajoutersi tu devais remettre ça. Et elle m'a dit de te faire savoir qu'ellet'a obéi: elle s'est offerte à Denis toute la nuit. Luin'était pas là, mais ils ont bien aimé nos prestations.Sois rassurée. " Elle l'était:
- " Ouf... Je peux te dire que ça me travaillait pas mal.Ce matin, au réveil, j'avais le souvenir de m'être bien amusée,mais petit à petit, tout -enfin, presque tout- me revenait. Là,c'était les boules... " Elle changea de sujet:
- " Je t'ai vu entrer chez Juliette. Elle avait un problème?"
- " Oui, des tombes à récurer, un mari à ramenerau bercail, une prise de magnétoscope à renquiller... " Elle rit, les mains sur les hanches:
- " Vache! C'est un boulot pour Superman! T'as fait tout ça?"
- " Non, tu penses... Juste la prise. Mais j'ai quand mêmeeu le temps de boire un coup, lui rouler une pelle et lui peloter lesseins... " Elle rit en cassant des œufs:
- " T'es con... " Je la toisai d'un air tout à faitsérieux:
- " Parole. J'ai fait tout ça. " Elle rit de plus belle:
- " C'est pas vrai! Tu sautes sur tout ce qui bouge! " Je repensaisà Denis:
- " Si ça peut te consoler, il y en a qui sautent surtoutsur ce qui ne bouge pas. " Elle n'avait pas relevé, elle adû croire que c'était un jeu de mots fumeux. Elle ne comprendpas toujours mon humour: C'est dommage, tant de talent perdu pour la postérité...
Je me penchais au-dessus des fourneaux pour voir ce que ma génialeet polyvalente Carole me préparait: Pour toute réponse,je ne reçus qu'un coup de cuillère en bois entre les deuxyeux:
- " Ouste! Casse-toi! Je t'appellerai. Là, je suis en pleinecréation. " Je lui fis un bisou sur la bouche et me retranchaisdans le bureau. Nous étions samedi, aucun de mes collèguesne travaillait. Je n'avais pas envie de faire exception et allumai monsimulateur de vol. À nous deux, vilains barbus...

Carole m'appela après une missionréussie -celle avec les pucerons- et deux crashes. Elle se collaamoureusement sur mon dos, comme à *** habitude:
- " C'est prêt, ma petite salmonelle... Excuse-moi de t'avoirjeté comme ça, mais je voulais te faire une surprise. "J'éteignis mon ordinateur -j'avais bâclé mon énièmeenterrement- l'attirai sur mes genoux et l'embrassai passionnément.La routine, quoi... Je humai ses odeurs de cuisine sur *** tablier etdans ses beaux cheveux de feu:
- " Ça sent bizarre... On dirait un peu de la cuisine defast-food... Non, ça sent la pizza... " Mes yeux s'illuminèrent:
- " Tu as fait de la pizza, ma jolie couperose? " J'adore lapizza. Je préfère celle de la pizzeria de Nemours oùnous avons nos habitudes, mais la sienne est... mangeable. Elle seleva en riant:
- " Tu es moins con que d'habitude, mais c'est pas ça... Amène ton gros cul par là, tu verras bien... " Jela suivis dans la cuisine. Elle me tirait par la main, je ne marchaispas assez vite à *** goût. Ça faisait au moins deuxfois qu'elle me disait que j'avais un gros cul. Je regardais mes fessestout en marchant: c'était vrai que j'avais les fesses bien rebondiespour un garçon...

Je m'installai à table, prêtà me régaler. Quoi que ce fût, ça sentait relativementbon. Je dis relativement, car il y avait un mélange dis***ant d'odeursqui irritait mes subtiles narines. Carole me bouchait sciemment la vuesur ses activités aux fourneaux. Elle se retourna brusquement enme brandissant une grande poêle sous le nez: l'odeur venait incontestablementde là. Elle me fit joyeusement, avec une posture de meneuse derevue -de music-hall, pas de revue cochonne, comme Playboy ou Penthouse:
- " Tadaaa!!! " La poêle contenait une chose rosâtre,en forme de pancake. Je ne savais pas quoi dire... Ah si:
- " Ohhh! Une pizza Tatin! " Elle rit comme une baleine, c'est-à-direavec élégance:
- " Ah! Le gros naze! Tu vois pas que c'est une omelette? Avec lechangement de temps, les poules m'ont fait un paquet d'œufs d'uncoup. C'est tout juste si j'ai pas eu la boîte avec. "

J'aime pas les omelettes... Çame soulève le cœur. Et je dis ça parce qu'on est àtable... Mais j'aime Carole et je ne veux pas la vexer. Toutefois,la couleur ne me semblait pas d'origine:
- " Dis donc, elles ont des hémorroïdes, tes poules,ou quoi? Ça vient d'où, ce rouge? " Pour toute réponse,elle me servit généreusement. Normalement, donc. Elle seservit également, goûta avec satisfaction et attendit monverdict. Je mâchouillais un bout de sa... chose:
- " Ah ouais, c'est pas mauvais... C'est meilleur que ce que çasent...C'est étrange. Vraiment étrange... " Caroleétait un peu déçue de ma réaction. Elle avaitcru que j'allais crier au génie, mais c'est toujours comme çaquand elle se sert de moi comme cobaye: je reste circonspect, c'est plusfort que moi. J'ai déjà été échaudé...

Je continuais ma dégustation.Je commençais à isoler les arômes, assez forts. Latexture était très agréable, très aérée:
- " Bon... Il y a des œufs... " Carole soupira d'unair las:
- " C'est un bon début... "
- " ...des herbes à pizza, de la tomate... concentrée,des champignons, et ce goût de dessous de bras, ce doit êtredu lait de chèvre. Et c'est très bon, la premièresurprise passée. " Je remontais dans *** estime:
- " Ah mais bravo! Alors là, tu me scies les pattes. Maisc'est pas de la tomate concentrée, c'est du ketchup. Tu n'en étaispas loin. D'ailleurs, je vais appeler ça une omelette au ketchup." Elle se releva pour servir les pommes de terre rissoléespendant que je m'occupais de la salade et du vin. En fin de compte, letemps que mes papilles s'habituent, et le tout ensemble, j'ai trouvéça très bon. J'en ai même repris, c'est pour dire...
- " Ma chérie, tu es vraiment une perle, tu me donnes enviede t'enfiler. " Elle sourit poliment à mon compliment:
- " Je suis désolée, mon amour, mais je crois que tume l'as déjà faite, celle-là. " J'étaisconsterné:
- " Ah? Ah bon ?... Mon dieu, je vieillis... Je commence àradoter! "

Ça faisait un petit momentque j'étais assis, mon plug et mes coups commençaient àm'indisposer. Inconsciemment, je me trémoussais de plus en plussur ma chaise. Carole s'en aperçut:
- " Qu'est ce qu'y a? T'as des vers? " Je la rassurai:
- " Non... des alexandrins, tout au plus...Je me suis prisencore quelques coups sur les fesses... " Elle était contrariée:
- " Encore! Il va falloir qu'elle se calme, Cruella! " Qu'onjoue avec ton cul, d'accord, mais pas comme ça. Montre. "Je baissai mon pantalon pour lui dévoiler mes fesses.
- " Ouais, t'es encore bien rouge... Mais c'est quoi ce truc,encore? " Elle tapotait mon plug du bout du doigt.
- " C'est mon plug, je t'en avais parlé. C'est pour me rendreplus...accessible. " Elle était ***geuse:
- " Ah ouais? Moi, je vois pas l'intérêt. Si j'étaisconcernée, je préfèrerais un petit cul bien serréà un cul visité par un éléphant. Je sais quece qui t'excite quand tu me prends par là c'est que tu es obligéde me ****** un peu pour entrer en moi. Enfin... À moins qu'ilste rentrent dedans à plusieurs... " Elle n'avait pas tort.Je me demandais ce qu'allait en penser Denis...

J'attrapai une pêche pour mondessert:
- " Je finis et j'y retourne. Denis doit être rentré,il termine à midi. Diane m'a demandé de venir pour le dessert." Elle me fit *** sourire coquin:
- " Tu vas faire le banana Split? "
- " Presque! Tu n'as qu'à ramener Mélanie, j'essaieraide revenir assez vite. " Elle prit un air ingénu:
- " Tu n'as qu'à simuler. C'est dingue le temps que je nousfais gagner quand je simule... "
- " Tu es gentille, mais ça ne marche pas avec eux. "Un peu, quand même...

Je partais rapidement aprèsavoir embrassé ma chère épouse. Je lui laissais lescorvées culinaires, mais en contrepartie, je faisais le ménage.Elle faisait ce qu'elle voulait, et si je n'en faisais pas assez à*** goût, elle savait bien me le faire savoir...

J'entrais subrepticement par l'officequi débouchait dans la cuisine. Ils étaient encore àtable, dans la salle à manger attenante au salon. Il fallait queDenis me laisse le passage: il avait vue sur l'escalier. HeureusementDiane me vit attendre dans la cuisine: elle débarrassa des assietteset vint me retrouver. Elle comprit le problème et attira Denisdans la cuisine, pendant que je faisais le tour: on avait accèsà l'escalier de deux manières: en passant par la cuisineou par un couloir qui menait à *** bureau. Je gravis silencieusementles marches et m'enfermai dans ma chambre. Diane -ou Denis- y avait déjàmonté -mais pas remonté- mon joli petit meuble médiéval.J'espère qu'ils ne voulaient pas s'en servir tout de suite, j'avaisun programme chargé. J'en avais touché quelques mots àDiane à *** oreille, j'espérais qu'elle aurait compris...

Je me plongeais dans les cartons.Je n'en avais encore pas vu grand-chose. Je jetais mon dévolu surla tenue de soubrette, mon plus grand fantasme. Il n'y avait pas de perruqueavec, je pris celle rangée avec la tenue d'infirmière. Malheureusement,j'avais mes éternels sous vêtements blancs. Ça juraittrop. Je me rabattais sur la tenue de cuisinière: elle ressemblaità celle de soubrette, mais blanche à rayures verticalesbleues, une mignonne charlotte remplaçant le petit chapeau blanc.Je m'apprêtais, mais fis l'économie de ma culotte, de toutefaçon plus présentable. Il me fallait de la lingerie d'urgence.

Je tendais l'oreille: ils en étaientau café. Je descendis doucement. Denis ne me voyait pas, il étaittourné maintenant vers Diane, assis côte à côte.Je me postais à côté de lui, les mains jointes surmon tablier, les yeux baissés. Diane continuait à capter*** attention, d'une voix lascive:
- " Mon chéri, tu as aimé, cette nuit, la façondont je me suis offerte à toi, entièrement soumise? "
- " Oh oui, ma zibeline... Bien que j'aurais aimé un peuplus de fantaisie, et que tu te sois vraiment donnée entièrement.Tu sais ce dont j'ai vraiment envie... " Eux aussi usaient depetits noms amusants. Elle raffermit le ton, tout en restant sensuelle:
- " Tu sais qu'il en est hors de question... Essaie de te contenterde ce que je te donne de bon cœur. D'ailleurs, j'ai un cadeau pourtoi. Il t'attend. " Elle donna un coup de menton dans ma direction.Je ne vis pas la réaction de *** époux, je regardais mespieds. Par contre, sa voix étranglée par l'excitation netrompait pas:
- " Mmm... Qu'elle est sexy, comme ça... "
- " Et toute à toi. Je l'ai préparée pour tonplaisir. Viens ici, Alicia. " Je me plaçais entre eux et Dianes'écarta un peu pour me laisser la place. Denis releva mon mentonpour admirer mon visage:
- " Tu es vraiment jolie... " Il m'embrassa en glissant samain sous ma robe. Il aimait bien mon sexe, mais ne l'avait encore quecaressé.

Il dégrafa *** pantalon. J'allaism'agenouiller mais Diane retint mes hanches:
- " Non. Penche-toi. " Je m'affairais sur le sexe de Denis.Elle ouvrit ma croupe pour dégonfler mon plug en un bruit d'airqui éveilla la curiosité de *** mari. J'en éprouvaiun grand soulagement, il commençait à me peser.
chrislebo

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Elle vérifia mon étatdu bout de ses doigts et me retira de *** époux:
- " Va t'allonger sur le canapé. Et fais comme je t'ai dit.Fais-nous plaisir. " Je suppose qu'elle faisait allusion au penchantmorbide de Denis. Je m'écroulai d'un coup sur le sofa, foudroyée,le bras droit pendant au sol, la tête sur le côté.C'était mon meilleur jeu de scène quand je faisais du théâtre:les morts en tout genre, violentes de préférence. Je nesais pas si mon improvisation était la bienvenue, mais Denis tournaitdéjà autour de moi comme un vautour. Il prit ma main quiretomba, inerte. J'avais les yeux fermés, je ne pouvais que devinerce qui se passait. Il se débarrassa fébrilement de ses vêtements,s'agenouilla à côté de moi et m'embrassa, en forçantle passage avec sa langue. Il me caressa le visage et frotta ma main sur*** sexe bien dur. Je sentais ses doigts pénétrer ma boucheet écarter mes mâchoires. Je les laissais dans la positionqu'il avait choisie, laissant un filet de salive s'écouler surma joue. Il attira ma tête au bord du canapé et pénétrama bouche ouverte. J'essayais de ne pas l'irriter avec mes dents, sanstoutefois esquisser le moindre mouvement, sauf quand je le sentais tropprofondément. Là, je n'y pouvais rien, c'était unréflexe, mais je ne crois pas qu'il s'en rendait compte. Dianes'était rapprochée et devait lui caresser les épaules.Elle n'aimait pas servir de support aux fantasmes de *** mari, mais toutme laissait à penser qu'elle prenait un grand plaisir ày participer. Ça devenait un peu glauque, mais tant qu'on faitde mal à per***ne...

- " Je l'ai tuée pour toi.Elle se refusait à toi, cette mijaurée... Maintenant,tu peux lui faire les pires outrages, elle ne pourra plus se plaindre." Diane soupirait profondément. Elle était plutôtémoustillée par notre jeu. La connaissant, elle devait secaresser... Denis sembla apprécier la participation de *** épousedévouée: Il jouit *********** en moi et se retira assezrapidement. Je restais la bouche ouverte, bavant abondamment sur le canapéen cuir. Je n'avalai pas, bien sûr... Diane fut séduitepar la scène que j'offrais et me pris en photo. Elle nettoya ensuiteet me plaça une serviette de table sous la joue.

Je laissais un peu de lumièrefiltrer entre mes paupières. Je voulais quand même voir cequ'ils faisaient autour de moi. Elle embrassa *** homme ave passion:
- " Alors, mon chéri, c'était bon, comme ça?" Denis était éperdu d'amour:
- " Oh oui, ma chérie! C'est le plus beau cadeau que tu m'aiesfait, après la nuit dernière, bien sûr. Je croyaisque mon vice te choquait... "
- " Di***s que je n'apprécie pas la place du mort. Tu pourrasme faire la même chose quand je serais raide. Ce sera mon cadeaud'adieu. " Il rit:
- " Je ne crois pas que j'aurais le cœur à ça... Et puis, je ne suis pas pressé. Dis, c'est quoi, le truc que tului as enlevé? C'est ça, ton plug dont tu me parlais? "
- " Oui. Je lui ai mise ce matin. Je me suis dit qu'une morte nedevait pas opposer trop de résistance... Tu devrais rentrer dedanscomme dans du beurre. Dès que tu en auras de nouveau envie, biensûr... " Il semblait un peu déçu:
- " J'aime bien ****** un peu mon passage, quand même. Du momentqu'elle ne bouge pas... " Diane embrassa de nouveau Denis en caressantfiévreusement *** sexe humide, et rapidement revenu en érection.Il avait d'étonnantes facilités pour récupérer,d'après ce que j'ai pu en voir jusqu'à présent...Et un solide appétit. Il releva ma robe courte et caressa mes fesses.Je sentais qu'il parcourait du doigt les marques rouges qui les zébraient.Diane commenta:
- " Oui, elle m'a encore obligée à la punir. Elle aavoué qu'elle me désirait et qu'elle voulait me faire l'amour... Quelle effrontée... " Denis ne partageait pas trop lesgoûts de *** épouse:
- " Vas-y doucement, tout de même. Un coup par-ci par-là,d'accord, mais pas trop souvent. Je sais que tu prends ton pied commeça, mais ralentit un peu. Moi, je la veux surtout pour le sexe." Elle fit de la petite voix d'une fillette prise en faute:
- " D'accord, je le ferais plus. Enfin, moins souvent. Moi aussi,j'adore le sexe avec elle, tu sais... " Denis s'allongea sur moiet me pénétra très facilement. Trop facilement. Ilressortit après une dizaine d'allées et venues et en fitpart à Diane:
- " Elle est trop ouverte, c'est trop facile. La prochaine fois,ce sera pas la peine. Je l'ai forcée, avant-hier, j'ai adoré." Diane était triste et déçue:
- " Je suis désolée, j'ai tout fait rater... " Il l'embrassa:
- " Mais non! C'est bon quand même...Et ton geste me touchebeaucoup. Si tu veux, on va faire l'amour. Ça m'a donnétrès envie de toi, tu sais... Mais cette fois, pour te montrerque je t'aime et pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi,c'est toi qui diriges. " Elle semblait enchantée:
- " Oh oui! Moi aussi, j'en ai très envie! Mais va te laveravant. Je ne veux pas passer après elle. Surtout avec ce que tului as fait.. " Denis s'étant absenté, Diane en profitapour refaire quelques clichés avec mes fesses dénudées.J'étais toujours morte... Elle me glissa à l'oreille:
- " Tu ne bouges pas d'un cheveu jusqu'à ce qu'on redescende.J'essaierai de faire vite. J'ai appelé une copine qui tient uneboutique de lingerie, elle nous attend à trois heures et demie.À tout de suite... " Denis était sorti de la sallede bain, à l'étage. Elle courut le rejoindre en montantles escaliers comme une dératée, une vraie gamine. L'amourdonne des ailes... J'étais heureuse de servir de ciment àleur couple.

Je repensais à Carole: je luiavais dit que je rentrais tôt, je crois que c'était raté.Je commençais à somnoler quand j'entendis l'orgasme tonitruantde Diane. Celui de Denis portait moins, sa voix étant plus grave.Quelques minutes plus tard, ils étaient redescendus, enlacés,et m'admiraient, figée dans une mort provisoire. Denis étaitsous le charme. Il faut être un peu pété du casquepour s'émouvoir devant un corps profané de la sorte, maisenfin, c'était *** trip, et j'avoue que ce nouveau rôle neme déplaisait pas. Au moins, ce n'était pas fatigant. Dianecommentait:
- " Tu vois, elle est restée comme tu l'as laissée,ouverte et soumise. Elle a encore la bouche pleine de ta semence... " Denis eut un fris***:
- " Arrête, chérie, je crois que je vais encore en avoirenvie. " Il me tapota les fesses, rabattit ma robe et me caressala joue:
- " C'est bon, Alicia, c'est terminé, tu as merveilleusementbien joué ton rôle. Je t'aurais bien prise, mais je ne tesentais pas assez à mon goût. J'espère que tu ne m'enveux pas pour ça... " Je me relevai et ravalai ma salive -entre autres - et repris ma posture soumise.
- " Non, maître, je suis heureuse de vous avoir satisfait." Il me toucha l'épaule:
- " C'est bon, tu peux aller te changer " Diane l'arrêta:
- " Pas tout à fait. Essaye de t'habiller décemment,je t'emmène en ville. On va faire du shopping. Et dépêchetoi. " Je montais me changer. Après un brin de toilette, jeremis les vêtements que je portais lors de ma première sortieau " Lolitas ", ma culotte brodée, mon soutien-gorgerembourré et les escarpins noirs. Je gardai la perruque noire.

Je retouchai mon maquillage -Dianene m'a plus fait de remarque à ce sujet, je devais me débrouillersuffisamment bien à *** goût. J'allais redescendre mais ellefit *** entrée:
- " Dis, au sujet de nos achats... Ça me gêne dete demander ça, mais j'attends une rentrée d'argent. Çate dérange pas de m'en avancer un peu, en attendant? " Jela pris par la taille:
- " Tu plaisantes, c'est pour moi, je paye. C'est déjàbien que tu t'en occupes avec moi... " Elle regarda ma tenue:
- " C'est gentil... Tu es pas mal, comme ça, les jambesnues... Je vais te donner une veste en lin, ça fera plus habillé.J'espère qu'elle t'ira... "
- " À vrai dire, je te l'ai déjà piquée,quand je suis sortie. J'espère que tu ne m'en veux pas... " Elle rit:
- " Mais non, tu as bien fait! Allez, on y va... " Elle attrapasa veste et me la tendit. Je lui donnai mes papiers, je n'avais pas monsac à main.

J'avais failli oublier Carole:
- " Il faut que j'appelle mon épouse, elle va m'attendre.Je peux? "
- " Bien sûr! Je t'attends dans la voiture. " J'appelaidonc Carole:
- " Désolé, chérie, mais je ne serais làque vers cinq heures... "
- " T'inquiètes pas, j'ai eu Mélanie, elle est àfond dans *** ménage et elle était en pleine discussionavec Paul. Elle est vachement intéressée et elle m'a ditqu'elle viendrait vers quatre heures et demie. Moi, je dois préparermes affaires pour demain matin. Te biles pas, et amuse-toi bien. Et fais-nousd'autres films rigolos! "
- " Je suis en plein tournage. Je fais la nature morte... Je t'expliquerai.Bisous! Je t'aime... "
- " Moi aussi je t'aime, mon choupinou... Beaucoup. Bisous... "

Diane conduisait l'Audi, vite et mal. Elle me faisait un peu peur... Elle m'expliqua ce qu'elle avait projeté:
- " Quand j'avais ma petite échoppe d'antiquaire, en ville,j'avais pris l'habitude de manger avec une voisine commerçante,qui, elle, faisait dans la lingerie. Nous nous sommes liées d'amitié,mais depuis, je ne l'ai pas revue. Il faut dire que je ne suis pas unecliente assidue de ce genre de boutique, tu as pu t'en rendre compte... Je me suis souvenue d'elle, et je l'ai rappelée. Je lui ai exposénotre problème, elle m'a dit qu'elle était fermée,en vacances, que c'était calme en ce moment, mais qu'elle voulaitbien nous recevoir quand même. C'est pour ça que je me dépêche,je ne voudrais pas la faire attendre. "
- " Tu avais une boutique en ville? "
- " Oui, jusqu'à l'année dernière, àpeu près. Mais j'étouffais, entre mes bibelots. Ma nouvelleactivité est bien plus lucrative, et plus plaisante. De toute façon,je n'avais plus la patience d'attendre les clients. Je préfèreleur sauter dessus. " Je la regardais d'un air amusé. Ellese justifia, se rendant compte de l'ambiguïté de ses propos:
- " C'est une image... Toi, tu n'es pas une cliente... " Nous arrivions, juste à l'heure: ce n'était pas la peinede tutoyer les fossés... Avant de descendre, Diane posa la mainsur ma cuisse:
- " Maintenant, fais-moi honneur. Reprends ton rôle d 'esclavedevant mon amie. Je lui ai expliqué qui tu étais vraiment,et le rôle que tu jouais. Tu l'appelleras " madame ",lui répondras, mais sans plus. Si elle t'importune trop, je serailà. Allons-y, c'est encore à cinq cents mètres. "Dans la rue, je pris une allure relativement normale. Pas question demarcher les yeux baissés, les mains jointes... La boutique delingerie -Sulfura, tout un programme- était fermée.

Nous poireautions depuis dix bonnesminutes quand une femme d'une quarantaine d'année, genre Bobi -bourgeoisebimbo- arriva sur nous. Elle était très snob et maniérée,on aurait dit un travelo de boulevard... Beurk. Elle fit la bise àDiane, en essayant de ne pas se salir. On aurait pu croire qu'elle faisaitla bise à un éboueur maghrébin* venu pour les étrennes.Quelle copine... Je l'aurais bien envoyée chez Tata Gisèlepour une rééducation anale intensive...

Elle s'appelait Hélène.Elle jeta un œil curieux sur moi, et fit d'un air dédaigneuxet supérieur -à vrai dire, le seul que je lui aurais connu:
- " C'est ça, ta... chose à habiller? " J'avaisdéjà envie de claquer cette connasse. La retourner contrele mur et lui composter l'opercule. Mais je suis une Gentlewoman... Diane me présenta:
- " Oui, elle s'appelle Alicia. Elle a besoin de lingerie. Beaucoupde lingerie. " La requine sourit de toutes ses dents et se dit qu'ellene s'était pas dérangée pour rien: elle pourraitrester une semaine de plus à Saint Barth...

Elle devint tout de suite plus sympathique,à titre commercial, bien sûr. Elle ouvrit le rideau de ferau minimum pour bien signifier que ce n'était pas vraiment ouvert,alluma la lumière et referma la porte à clé. Commebeaucoup de boutiques de ce genre, la vitrine ne laissait pas apparaîtrel'intérieur de la pièce, juste quelques modèles exposés.D'ailleurs, ils avaient tous étés retirés pendantla fermeture. Je me tenais en position d'attente, comme me l'avait enseignéema maîtresse. Hélène s'enquit de mes goûts:
- " Qu'est ce que mademoiselle recherche exactement? " Dianerépondit pour moi:
- " Je voudrais deux collections identiques, une en noir et une enblanc. Il nous faudrait donc une guêpière, un porte-jarretelles,des bas - plusieurs modèles, des culottes, des soutiens-gorge sexy,à balconnets, rembourrés si possible. Elle a une petitepoitrine, on peut la rembourrer beaucoup? " Eh bien, je comprendspourquoi elle m'avait demandé une avance...
- " J'ai des prothèses en silicone à placer sous lesseins, c'est ce qu'on fait de mieux dans le genre, question sensationset discrétion. On peut gagner deux bonnets, mais si je puis mepermettre, mademoiselle a déjà de jolis seins... " Diane ne me laissa pas longtemps profiter du compliment:
- " Ils ***t déjà rembourrés. "
- " Ah... Il faudrait que mademoiselle se déshabille pourque je prenne ses mensurations... " *** obséquiositéde croquemort commençait à me taper sur les nerfs... Je me déshabillai complètement, et me tenais nue devantelle. Elle avait arboré un sourire moqueur en lorgnant le cœurbrodé sur ma culotte, mais il s'était figé quandelle en vit le relief et ce qu'il signifiait. Diane n'avait pas dûtout lui dire, à mon avis, et sa courroie de transmission patinait:
- " Ah! Mais... Mais... Je vois que vous êtes un homme!Ça ne va pas du tout! Ce... Ce n'est pas une mai*** de pervers,ici! " Diane s'énerva:
- " Sers-nous, et ne fait pas ta chaisière outragée!Ne regarde pas entre ses jambes. Avec les horreurs que tu m'as racontées,ça te va bien! " Chouette! Des secrets graveleux! J'adore!

Hélène prit mes mesures -en détournant les yeux de mon sexe monstrueux- et nous guida versplusieurs modèles, après m'avoir laissé me rhabilleravec soulagement. Elle avait une grande collection, et Diane me laissachoisir. Ce fut assez long, mais nous avions fini par faire notre choix:nous avions les mêmes goûts. Je sortis de ma réservepour demander à Hélène:
- " Vous auriez la même chose pour Diane? En noir, uniquement." Diane cria:
- " Mais non, t'es fou! Tu vas te ruiner! "
- " Pas fou. Folle. Ça me fait plaisir. Pense à Carole,comme elle était désirable dans sa guêpière.Pense aussi au plaisir de Denis, quand il te verra dans ta tenue sexy... " Hélène reprit *** sourire moqueur. Elle devait imaginerma grosse maîtresse boudinée dans sa belle lingerie... Diane céda. Elle n'avait pas trop lutté, quand même.Elle devait en avoir un peu envie:
- " Bon, d'accord, mais c'est une folie. "

Diane se retrouva en culotte, seinsnus -elle n'avait toujours pas de soutien-gorge. Hélèneprit ses mensurations -elle avait tiqué en voyant les marques bleuesqui dépassaient de *** slip, et partit en réserve cherchernotre bonheur : les tailles peu usitées n'étaient pas enrayon. Elle revint, les bras chargés de paquets:
- " J'ai tout, mais pas les bas classiques, je suis en rupture. Jete mets des coutures à la place? " Je répondis àla place de Diane:
- " Oh oui! J'adore ça! C'est diablement sexy, les bas coutures!Mettez m'en aussi, mais que des noirs. " Hélène mefit un sourire mi-amusé, mi-dédaigneux, d'un air de dire" n'importe quoi... " Tu penseras à nous quand tute feras griller les miches sous les tropiques, conasse...

Ce coup-ci, on avait tout. Hélènenous fit un prix d'amie. Heureusement, ce n'est pas donné, cespetites choses. Il y en avait pour mille deux cent soixante-quatorze euros.Avec la remise, je m'en suis sorti à mille cent soixante euros.Hélène me fit la bise, et s'excusa. Cela aurait étédommage de froisser une si bonne cliente... Après tout, c'estmoi qui ai payé. Elle était même agréable:
- " Excuse ma réaction -je peux te tutoyer? - mais j'étaisloin de me douter que tu étais un garçon. Tu es vraimenttrès jolie. Tu peux passer quand tu veux, pour jeter un œilsur les nouveautés. Je fais aussi des défilés delingerie pour mes meilleures clientes. N'hésite pas! Rappelle-moien septembre, j'en ai un de prévu. C'est très sympa. Biensûr, tu pourras venir aussi, Diane... " ...Malgréton gros cul.

Nous laissions là Hélèneà *** rideau de fer, et regagnions la voiture, chargéesde paquets. Ce n'était pas bien lourd, d'autant plus que j'avaisété soulagé de plusieurs centaines d'euros. Une foisdans l'Audi, Diane m'embrassa passionnément. Un passant se retournaen nous voyant et manqua de se manger un réverbère.
- " Merci, mon amour... Je saurais te récompenser. Je tedirai tout à la mai***. "

Elle roulait encore plus vite, maisaussi mal. Il était cinq heures moins le quart: le temps passevite quand on s'amuse... Je brûlais de questionner Diane sur*** amie:
- " Dis-moi, c'est quoi, *** secret rigolo, à la belle Hélène?" Elle serra nerveusement *** volant :
- " C'est pas joli-joli. Rien d'officiel, mais il y a quelque temps,je ne sais pas si tu t'en souviens, il y a eu un scandale ici. Une histoirede ballets roses. "
- " Non, je ne m'en souviens pas. Je ne devais pas être déjàlà. "
- " Eh bien, elle aurait reçu des messieurs, et mêmedes dames avec des petites filles dans sa boutique. Elle s'occupait deleur trouver de la lingerie fine. Pauvres gamines... À mon avis,elle n'y voyait que le côté financier. Elle faisait payerle prix fort, vu les tailles. Elle s'était vantée d'avoiramassé un joli pactole. Je ne l'ai plus entendue après lapublication du scandale, mais elle n'a pas été inquiétée.Je ne crois pas que le fait de vendre de la lingerie à des enfantssoit répréhensible. À part ça, comment tula trouves, ma copine Hélène? " Je lui fis un sourireen coin:
- " Je peux être grossière? " Elle rit:
- " C'est à ce point? "
- " Assez, oui. Moi, j'étais un travelo pathétiquejusqu'à ce que je sorte ma carte bancaire, et toi, sans vouloirte vexer, une grosse qui se croit et veut être sexy. " Je n'auraispas dû dire ça. Elle me demanda tristement:
- " C'est ce que tu penses aussi? "
- " Mais non, bien sûr que non! Denis et moi adorons tes formesépanouies! Et j'oubliais Carole. Elle est carrément dinguede toi. " Là, je m'avançais peut-être un peu...Elle était rassurée:
- " Ah bon... Parce que je suis pas un canon. Je serais mêmeplutôt du genre boulet... "
- " Arrête de te rabaisser. Pense à l'amour que je t'aifait ce matin. J'en ai encore tout mon désir pour toi dans lesbourses. " Elle me caressa le genou:
- " C'est vrai que tu n'as pas joui... Je m'occupe de toi en rentrant."
- " Ce n'est pas la peine. Seul votre plaisir compte pour moi, maîtresse." Elle me caressa avec plus de fougue:
- " Quand je t'ai embrassée, je t'ai dit que j'allais te récompenser.Tu verras. Maintenant, tu te tais jusqu'à la mai***. Obéis." Ce n'était pas plus mal ainsi: Elle aurait une chance derester concentrée et d'éviter les platanes.
chrislebo

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SURPRISE SUR PRISE.

Nous montions les paquets àl'étage. Diane cacha ses emplettes sous *** lit: elle ne voulaitpas que Denis, bouclé dans *** bureau, ne se doute de quelque chose.Elle s'enferma avec moi dans ma chambre et me fixa d'un air trouble:
- " Change-toi, maintenant. " J'étais déjàen train de me démaquiller rapidement: les filles devaient m'attendredepuis un moment, maintenant... Diane attendait en silence, d'un airgrave. Elle me rendit mon portefeuille comme je me mettais un derniercoup de peigne, pour le principe, vu la longueur de ma crinièrede mâle...

Elle m'attira sur le lit et s'assità côté de moi:
- " Luc, je suis très content de toi: tu m'as trèsbien servie, au-delà de tout ce que j'aurais pu espérer.Tu mérites une récompense. La récompense suprême... " Je fis d'un air timide et embarrassé:
- " La légion d'honneur, maîtresse? Non, vraiment, c'esttrop... " Elle sourit en me frappant la poitrine du revers dela main, un peu agacée quand même que je lui brise ses effets:
- " Idiot... Le plus beau cadeau, pour un esclave, c'est la liberté:je t'affranchis: Tu es libre. " Je restai sans voix. Je bredouillaienfin:
- " Mais... Mais non, je ne veux pas! Pourquoi? Je ne vous plaisplus, maîtresse? " Elle sourit:
- " Ce n'est pas fini. Je fais de toi mon amant, mon étalon.Tu pourras me prendre quand et comme tu le désires, autant de foisque tu voudras. Je deviens ton jouet sexuel. " Je ne comprenais toujourspas:
- " Mais je ne serais plus jamais votre esclave? Je n'aurais plusle plaisir de vous servir? " Elle souriait toujours:
- " Non, c'est terminé. A présent, j'ai Alicia... Et j'ai bien envie de lui apprendre les bonnes manières, àcette petite conne. Maintenant, cesse de m'appeler maîtresse. Cesera le dernier ordre que tu recevras de moi. "

Elle changea d'attitude et pris unepose lascive en dégrafant *** corsage. Elle fit jaillir sa poitrinenue:
- " Maintenant, monsieur, il est temps que je vous donne du plaisir... " Elle ouvrit le pantalon que je venais de mettre -si j'avais su- m'allongea sur le lit d'une pichenette et se jeta sur mon sexe. Elle l'avalagoulûment et me le caressait de ses seins. Je ne résistaispas longtemps à *** traitement et jouis rapidement dans sa boucheen grognant et en maintenant sa tête. Je la laissai se retirer:elle avait les joues gonflées et cherchait à attraper unmouchoir sur ma table de toilette: je n'étais pas d'accord:
- " Donne-le-moi, plutôt! " je l'attirai sur moi et l'embrassaià pleine bouche en lui caressant les seins: elle semblait adorerça... Je suis comme Carole, je n'aime pas gâcher.

Diane se releva:
- " Excuse-moi, mais j'ai certaines limitations. Je n'avale toujourspas... " Je me rajustai rapidement. Il va falloir que je fassetomber ses tabous un par un:
- " C'est pas grave... Maintenant, désolé, maisil faut que j'y aille. "

Je suis allé jusqu'au bureau de Denis: comme je l'entendais râleren parlant tout seul derrière la porte, Diane, qui me suivait,me fit signe de ne pas le déranger: il était en train demettre de l'ordre dans ses activités de la semaine... Elle mesuivit jusqu'au portail et me fit la bise: pas question de se rouler despelles dans la rue. Déjà que nos va-et-vient devaient attirerl'attention dans le village...

Ouissecasse vint m'accueillir àla porte en ronronnant. Je le pris dans les bras et me mis en quêtede mon épouse. Je la trouvai sur le lit avec Mélanie, ellesregardaient " Dominique à la recherche des enfants perdus." Carole arrêta le magnétoscope et me gronda:
- " Putain, prends ton temps, surtout! Nous, on a que ça àfaire, de t'attendre! " Je restai impassible et fis d'un air totalementsincère:
- " Je suis confus, ma chère, je suis allé faire desemplettes avec Diane, et en rentrant, nous avons été prisdans une tempête de neige... " Carole se calma et me fiten souriant:
- " Ah bon, dans ce cas, si tu as une bonne excuse, je ne dis plusrien... " Mélanie s'était levée et faisait letour du lit pour me saluer:
- " Ah, mais tu es là, Mélanie! Je ne t'avais pas vue,derrière le lit! " Elle n'aimait pas que je la taquine ausujet de sa taille. Elle avançait vers moi, un petit sourire agacéaux lèvres. Elle était très jolie : l'amour l'avaittransfiguré, je lui en fis part:
- " Mais tu es belle comme un astre! " Mélanie se méfiait -à juste titre- de mes compliments:
- " Ça m'étonne... En fait d'astre, je croyais plutôtque tu me trouvais conne comme la lune... " Je la rassurai, avecun grand sourire:
- " Ah! Mais ça n'empêche pas! Tu es belle comme uneétoile... " Elle attendait que le couperet tombe:
- " Laquelle? Le dragon? La petite ourse? " Je secouais la tête,l'air condescendant:
- " Non, ça, ce ***t des constellations... Je pensais plutôtà une étoile... À une naine brune. " Montrait d'esprit tomba à plat, elle ne connaissait pas cet objetcéleste:
- " C'est quoi, ce truc? Ça existe, au moins? " Je prisla patte de W pour souligner mon discours, lui faisant faire de grandsgestes éloquents. Lui, il s'en foutait:
- " Mais oui, bien sûr! C'est un résidu stellaire, unevieille étoile qui... " ...est en train de mourir. Eneffet, ce n'était pas drôle. J'aurais dû rester à" naine brune ". J'essayais de retomber sur mes pattes:
- " ...qui est toute petite et très lourde, comme toi... " Elle faisait quand même la gueule. Pourtant j'avais faitun effort...

Je posais W, qui était décidémentun bien piètre orateur. Je la pris dans mes bras, lui fit la biseet un gros câlin:
- " Pardonne-moi, tu es réellement très jolie. Je suisvraiment trop con, par moment. " Elle me sourit en me tapotant lajoue:
- " Mais non, mais non, allons... Pas par moment, tout le temps!" Elle m'avait bien mouché... Nous nous sommes tous misà rire. Je lui caressai la joue du plat de la main:
- " Tu as rai***, je suis irritant. Tu sais, malgré toutesles horreurs que je te débite, je t'aime bien. Et puis, je saistellement de choses sur toi... " Elle se raidit et désignaCarole du pouce:
- " Je suppose qu'elle t'a raconté mes petites aventures?" Je lui souris tendrement:
- " Oh, tu sais, Carole n'a jamais gardé un secret. Et detoute façon, je ne te juge pas. En revanche, tu avais rai*** quandtu disais que j'étais un petit trou du cul prétentieux... " Mélanie blêmit. Elle se souvenait vaguement d'avoirdit ça, mais où, quand et à qui...
- " Qui c'est qui t'a raconté ça? C'est Carole? "
- " Non, mais je le sais de source sûre. Je te dirai bientôtde qui je le tiens. " Carole agita *** index dans ma direction, ens'adressant à *** amie sur un ton véhément:
- " Tu vois ce que je te disais? Avec lui, on saura tout, mais toutà l'heure, maintenant c'est trop tôt. Ça commenceà me casser les couilles! " Je ris doucement:
- " Je suis vraiment désolé de défigurer tonanatomie, ma chérie... " Carole se calma aussitôt etnous rappela l'ordre du jour d'un air attristé:
- " Dis, mon trésor, j'ai voulu regarder la cassette avecMélanie, mais on ne l'a pas trouvée... " Ma ruse avaitfonctionnée:
- " Normal, je l'ai cachée. Je ne voulais pas que vous commenciezsans moi. Vous comprendrez après. " Carole ne s'énervapas, à ma plus grande surprise. Elle fit tout de même à*** amie, d'un air hautain:
- " Oui, môsieur a des petits secrets à tiroirs dontlui seul a la clé. Grrr... " Elle faisait mine d'étranglermon double imaginaire. Lui, tant qu'elle veut. Elle m'avait déjàfait tourner de l'œil en me serrant le kiki, une fois... Je détournai*** attention:
- " Ce serait mieux de regarder tous sur le lit, plutôt quedans le salon. Vire ta daube à rallonge du magnéto, je reviens."

J'allai chercher la cassette dissimuléeavec celles que j'avais faites de mes meilleures missions sur mon simulateurde vol. J'étais sûr qu'elle ne mettrait jamais *** nez dedans:je lui avais déjà fait voir un quart d'heure de mes exploitséblouissants, et elle s'était barrée en courant.Chacun *** truc. J'étais un peu vexé, quand même,je dois bien l'avouer...

Elles étaient déjàretournées sur le lit en m'attendant quand je mis la cassette dansle lecteur. Je me suis jeté entre elles pour me faire une petiteplace: elles se tenaient assez serrées...

Le film démarrait. Mélaniemasquait sa nervosité par des petits gloussements et des commentairesà tout propos. Carole n'était pas en reste et lui faisaitla réplique. Mélanie a eu du mal à reconnaîtrenos voisins: elle devait être loin de se douter qu'un tel lieu dedépravation se trouvait si près... Elle avait appréciénotre scène d'amour entre garçons, mais la conduite de Dianel'a plutôt troublée:
- " Eh bien, comment elle te cause... Tu as trouvé tonmaître, on dirait. Enfin, plutôt ta maîtresse... " Elle fixait l'écran d'un œil plein de désir.Elle se voyait à la place de Diane:
- " Tu aimes beaucoup te faire rabaisser comme ça? Ho! Qu'est-cequ'elle fait sur toi? Putain, ça c'est dégueulasse! "Je lui tapotai la main:
- " Mais non, c'est du chocolat. " Carole crut bon d'ajouter:
- " Truffé. "

Le film se terminait sur le tamponet ma promesse. J'arrêtai la lecture et lançai le débatdu ciné-club:
- " Alors, Mélanie, tes impressions? "
- " Ouafff! C'est corsé! Carole m'en avait un peu parléet m'avait bien prévenue, mais c'est raide quand même. Vousêtes de vrais petits cochons. "
- " Certes, certes... Mais qu'est ce que tu en penses? Tu es choquée?"
- " Choquée, c'est sûr, di***s que ça m'a faitun choc. Mais j'ai beaucoup aimé, et ça m'a excité.J'aimerais bien te faire tout ça, aussi. Ça fait si longtempsque j'ai envie de te frapper... " Je la pris au mot. Je baissaismon pantalon et me tournai pour lui présenter mes fesses:
- " Va-y. Défoule-toi, c'est de bon cœur. " Elleétait un peu dépassée par les évènements.Carole l'encouragea:
- " Vas-y, puisqu'il te le demande! Je t'ai dit que je te le prêtais,tu peux faire tout ce dont tu as envie. Tu as ma bénédiction." Je m'insurgeai:
- " Epouse indigne! Tu m'as déjà vendu? " Ellem'assena une claque magistrale sur les fesses qui m'arracha un cri:
- " Ta gueule!... Allez, Mel, fait mieux! " Elle se mit àme frapper avec ses petites mains de poupée. Je ne sentais pasgrand-chose, comparé au coup de battoir de Carole... Elle sedéchaîna un instant, puis s'arrêta, épuisée.Petite femme, petite forme...

Je me tournai vers elle. Elle pouvaitvoir mon sexe et l'effet qu'elles me faisaient toutes les deux:
- " Tes jolies petites mains ne me font pas grand mal, mais Carolem'a racontée comment tu t'en servais, et où tu les mettais... Tu as justement deux culs dociles à portée de tes petitsdoigts agiles... Deux d'un coup, ce serait bien... " Elle étaitfortement troublée, mais déclina mon offre:
- " Ah, elle t'a raconté ça aussi... Non, t'es gentil,mais je n'en suis pas spécialement fana. Et puis, je ne crois pasque Corinne serait d'accord... Dis, tu devais pas nous donner la solutionde tes énigmes, après ça? " Je me rhabillai:
- " Patience! Après ça, promis. " Carole glissasa main dans mon pantalon avant que j'aie eu le temps de le refermer.J'aime bien être dans sa main, à sa merci...

Je relançai la lecture de labande. J'expliquai à Mélanie -et dans une moindre mesureà Carole- ce qui l'attendait, pendant la transition entre les deuxfilms:
- " Ce que tu vas voir maintenant, c'est ma cérémonieofficielle d'entrée au service de mes maîtres, et mon baptême."
- " Ton baptême? "
- " Oui, mon nom d'esclave... " À l'instar de Carole,nos mises en scènes lui passaient au-dessus de tête:
- " C'est plutôt tordu, comme plan. Vous faites des jeux derôles? " Je la coupai:
- " Chut! Ça commence. " Elle pouffa en entendant Dianem'appeler, mais elle se tut quand j'apparus, par petit morceau il estvrai. Elle me fit en chuchotant:
- " C'est qui, la jolie mariée? " Je souris:
- " C'est moi... " Carole, qui connaissait l'histoire, n'encroyait pas non plus ses yeux:
- " Ouah, c'est dingue! Tu me l'as dit, et pourtant, je ne te reconnaispas. Un peu, peut-être... Arrête, qu'on te voit mieux... " Pas question. Elles auraient pu me reconnaître vraiment,Moi, Alicia:
- " Non, on me voit mieux plus loin... "

Elles ne riaient plus pendant que Dianedirigeait la cérémonie, et sursautèrent mêmequand je reçus les coups de cravache au visage. Le coup de grâcevint juste après, quand Diane me passa l'anneau et me baptisa:" Alicia ".

J'arrêtai la lecture. Elles semblaientperdues dans leurs pensées. Elles étaient plus longues quej'aurais cru et il a fallu que je les accouche:
- " Alors, Mélanie, tu te souviens, maintenant, à quitu as confié que j'étais un petit trou du cul prétentieux?"

Mélanie était abasourdie.Elle se jeta *********** sur moi et tambourina sur ma poitrine, au pointque Carole en reprit sa main:
- " Putain, mais quel salaud! On s'est toutes faites baisées!Et en beauté, encore! " Elles finirent par rire, mais Carolen'avait pas tout compris:
- " Vous pouvez m'expliquer? " Mélanie lui fit le détailde la soirée:
- " C'est lui qui m'a invitée, au bar du " Lolitas! "Il m'a poussé dans les bras de Corinne... Je comprends tout,maintenant! " Elle m'embrassa, visiblement émue:
- " Si c'est pas une preuve d'amour, ça... Corinne m'araconté qu'elle avait très envie de toi, et que tu n'arrêtaispas de la dégoûter. Jusqu'à ce que tu parles du chien... J'étais mal à l'aise pour toi, je savais de quoi tu parlais... Je comprends pourquoi maintenant tu as fait tout ça, c'étaitpour moi... Oui, tu nous as bien eues... " Elle en pleurait.Carole n'avait pas été marquée spécialementpar l'épisode:
- " Je ne me souviens plus de grand-chose... Tu m'as dit que t'avaiscasé Mélanie... " Je lui souris:
- " Et toi tu as dit que je ressemblais à ton mari... " Elle rit:
- " Ah oui... Dis donc, j'avais pas percuté... "

Je relançai la lecture: on commençaità entrer dans le vif du sujet. Mélanie était un peuhorrifiée par le traitement qui m'avait été réservé:
- " Dis donc, c'est horrible! Tu supportes ça? "
- " Difficilement, par amour et abnégation. "

J'avançais un peu. Cent coupsde cravache, ça fait long. Elle goûta un peu plus le passageoù je suçais Denis, mais elle était encore un peuincommodée par les coups de Diane. Par contre, leur scèned'amour sur le canapé a bien plu à toutes les deux. Caroleme fit:
- " Quand tu me racontes tes aventures, ça a l'air assez rigolo.Mais quand on le voit, ça fait pas pareil. Dire que j'ai fait ça,hier... " Mélanie fit un bond:
- " Ah bon? On peut voir? " Mais oui... J'avais oubliéla vidéo: J'espérais que Denis aurait pensé àsauver les enregistrements, je ne sais pas au bout de combien de tempsils s'effacent...

La cassette était finie. Jem'enquis de Corinne:
- " Dis, Mélanie, Ca va comment, avec ta petite amie? "Elle me fit un sourire radieux, les yeux humides. Après la pluie,le beau temps:
- " Nous sommes folles l'une de l'autre. Je dois la rejoindre cesoir au " Lolitas," mais ça m'embête, je ne saispas si je saurais y aller toute seule... "
- " Tu saurais en revenir? " Elle me fit une moue boudeuse:
- " Quand même... " Je pris la main de Carole:
- " J'y retournerai bien ce soir, ou plutôt Alicia y retourneraitbien... Ça te dit, chérie, de revoir Aïcha? "Elle ouvrit des yeux ronds:
- " Ben... Comment tu la connais? " Je soupirai:
- " Enfin... C'est toi qui me l'as présentée... Tu voulais me la prêter, et elle voulait m'inviter aussi... " Elle se prit la tête à deux mains:
- " Ah? Ah bon? Hou là là... " Elle me fitpenser à Chloé avec ses " Hou là là ":

chrislebo

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" Chérie, tu devrais arrêter la bois***: un jour,tu vas te retrouver à faire de l'abattage au fond d'une cave oud'un hôtel de passe. Tu te rappelles, la merveille qui fait si bienl'amour -et si mal les pipes- dont je t'ai parlé ce matin? "Mon épouse reprit *** sérieux: elle devait s'inquiéteraussi...
- " Oui, là, j'avais pas bu. Et bien? "
- " C'est la serveuse du Lolitas, Chloé. Voilà pourquoije ne pouvais pas t'en dire plus." Elle hocha la tête:
- " Et bien, le monde est petit... "
- " Alors, tu ne m'as pas répondu: Tu veux y aller? "
- " Bof... Aïcha est partie pour le week-end, je pars tôtdemain... Et je voudrais voir Diane, pour m'excuser. Mais vas-y, çame gêne pas, emmène Mélanie. " Carole se levad'un bond: " Bon, si t'as fini, on va faire la cuisine. J'ai invitéMélanie à manger, ça te dérange pas? "
- " Non, mais fait gaffe à ce qu'elle ne mette pas d'arsenicdans mon assiette! " Mélanie me coula un regard langoureux:
- " Oh! Non... Depuis que je sais quel homme généreuxet merveilleux il est en réalité, quand il ne joue pas lescrétins de troisième zone, je l'aime beaucoup! " Elleavait l'air sincère...

Je pris Carole par le bras et fisà Mélanie:
- " Si ça ne te dérange pas, j'ai des choses per***nellesà demander à mon épouse. " Je m'isolai avecCarole et lui exposai mon programme de la soirée: elle étaitenchantée de mon idée. J'ai de la chance d'avoir une épousesi compréhensive... Je les laissai et retournai voir chez lesDédés si je pouvais sauver quelque chose de la soiréed'hier.

Denis était affalé dansle canapé, lisant un magazine en sirotant un verre. Ce n'étaitpas de l'alcool: il est rai***nable, lui. Il m'accueillit avec un grandsourire:
- " Tiens! Voilà l'amant de ma femme! " J'allais l'embrassersur la bouche mais il évita la mienne, et je finissais sur sa joue.Il ne devait pas trop bien prendre la chose. Je m'inquiétai:
- " Tu m'en veux? C'est une idée de Diane, tu sais... " Il rit en me prenant le menton:
- " Mais non, allons! C'est juste que quelques choses ont changées.Toi, Luc, tu es un ami, qui satisfait ma femme. En contrepartie, elleme laisse la prendre comme j'aime. Enfin presque, si tu vois de quoi jeparle. J'espère que tu auras plus de chance que moi, et j'ai commel'impression que oui. Par contre, moi je me tape Alicia de toutes lesfaçons. Elle est vraiment bonne, cette salope... "
- " C'est de moi que tu parles, mon gros loup? " Diane avaitfait *** entrée en riant. Elle m'embrassa goulûment devant*** mari. Il avait l'air d'apprécier, mais il devait bien êtreun peu jaloux au fond de lui. Je sais qu'à sa place, ce seraitle cas...

Elle me caressa le sexe:
- " Bonsoir, mon dieu d'amour... " Je m'enquis de ses occupations:
- " Tu fais la cuisine? "
- " Oui, j'ai bientôt fini. "
- " Tu mettras ce que tu sais, quand tu auras terminé. Queça. Elle me sourit en minaudant:
- " À tes ordres, mon amour... " Elle retourna encuisine. Denis était intrigué:
- " De quoi? " je lui tapotai l'épaule:
- " Tu verras... Et tu apprécieras. Dis-moi, tu es toujoursd'accord pour tenir le rôle du mari d'Alicia? " *** visages'illumina:
- " Ah ouais, tu parles! Pourquoi? "
- " Je compte retourner dans la boîte à nanas ce soir.Mais on sortirait en couple, en laissant Diane ici. Elle doit m'obéir,maintenant. " Denis se renfrogna:
- " Ce serait vraiment dégueulasse de lui faire ça... " Je lui expliquai mon plan: il changea d'avis et me fit un grandsourire:
- " Ah ouais, là, ça change tout... " Je luiglissai sur le ton de la confidence:
- " Par contre, il faut que je te dise ce que tu dois savoir, etcomment j'aimerais que tu te comportes. Les mecs ***t justes tolérés,au Lolitas. " Ce que je fis. Je lui rappelai le but premier de mavisite:
- " Dis, je viens de repenser à la vidéo: c'est pastrop tard pour hier? " Il rit:
- " Tu crois que j'aurais laissé perdre un grand moment commece qu'on a vécu hier? J'ai même sauvegardé la petiterécréation de ce midi. Il faudra qu'on remette ça,j'ai adoré... Tu pourras remettre ton plug, si tu veux, maispas trop longtemps, et pas si gonflé. C'était vraiment trop!" J'avais plus d'une heure à occuper, je me lançaidans le montage avec Denis. C'est dommage qu'il n'y ait pas eu de camérasous la table...

Diane apparut dans l'encadrement dela porte et dit sobrement:
- " Me voici... " Elle était sanglée dans saguêpière et avait mis une des petites culottes sexy et lesbas coutures: elle savait que c'était mes préférés.Ses rondeurs saillaient de sa lingerie, mais Denis et moi trouvions çatrès excitant. D'ailleurs, il se jeta sur elle:
- " Oh mon amour, comme tu es désirable comme ça! "Il n'avait pas l'habitude de la voir en guêpière... Elleétait un peu gênée:
- " Heu... C'est pour Luc que je me suis habillée commeça. C'est *** cadeau... " Je restai à mon postede montage:
- " Denis est ton mari, il est prioritaire s'il a envie de toi. Jeviendrais peut-être te voir tout à l'heure... Je voudraisfinir ça avant de manger. " Elle semblait très déçue,mais sourit tout de même à *** époux qui l'entraînadans leur chambre à coucher. Je les écoutais faire l'amour:Diane y prenait apparemment du plaisir... Rai***nablement.

Je terminais le montage du premierfilm quand ils redescendirent. Denis semblait très heureux, maisDiane avait un petit air inquiet quand elle me vit sur le départ:
- " Tu t'en vas? "
- " Oui, mais je reviens tout à l'heure. Surtout, ne te changepas. Si tu dois sortir ou recevoir, mets un manteau ou un peignoir. Jeveux que tu restes comme ça, chez toi. " Denis étaitparti en cuisine mettre la table: ils y mangeaient, d'ordinaire. Dianeavait toujours l'air triste:
- " Denis ne va pas arrêter de me sauter s'il me voit commeça toute la soirée. Et moi, je n'aurais plus envie de toi." Je lui caressai la joue:
- " Ne t'inquiètes pas, moi, je prendrais toujours mon plaisiren toi. Tu m'es toujours dévouée, n'est-ce pas? " Ellesourit:
- " Oui, bien sûr, mais je ne voyais pas ça comme ça... "
- " Pense à Alicia: elle ne sait jamais à quelle sauceelle va être mangée, ni si elle va l'être... " Elle rit:
- " Oui, c'est vrai... Ce n'est pas une sensation si désagréable,après tout... " Denis appela sa désirable épouseà table. Je me demandais s'ils allaient avoir un repas mouvementé...

Je retournai au bercail, rejoindremes deux tourterelles. Elles m'attendaient en discutant à voixbasse dans la cuisine, enlacées tendrement. Elles s'aimaient vraimentbien...

Nous sommes passés à table. Je les laissais parler de cuisine,comme bien souvent. Elles nous avaient préparé des crudités -c'était de sai***- et du rôti de dinde aux petits pois -unpeu moins, peut-être. Elles étaient en pleine discussionsur les fromages italiens. Il faut dire que j'avais juste évoquél'appel d'Hiroshi...

Carole attrapa le train en marche:
- " Moi, j'adore le gorgonzola, c'est un peu fort, mais beaucoupmoins que le parmesan... " Mélanie reprit:
- " Moi, je préfère les fromages plus doux, comme lamozzarella, ou la ricotta... " J'en avais un peu marre d'assisterimpuissant à leur conversation insipide d'épicières.Je gonflai mes poumons et entonnai à pleine voix:
- " Ricotta, jolie fleur de java, Ri... " Une serviette detable, munie encore de *** rond, me fracassa le crâne entre lesdeux yeux. Carole justifia *** geste:
- " Ah! Ta gueule! On cause! " Mélanie pouffa: elle adoraitquand mon épouse me remettait à ma place et me confia:
- " Tu es vraiment insupportable: il faut toujours que tu perturbesles grandes per***nes par ton humour débile, tes tirades shakespeariennesou tes citations latines dont tout le monde se contrefout. " Je mefrottais le menton. Ma vengeance allait être terrible:
- " Qualis artifex pereo! Sic transit gloria mundi*... C'est toi,la grande per***ne? Tu ne manques pas d'air, avec ton mètre dixsur tes hauts talons... Mais tu viens de me rappeler que j'avais négligévotre culture, ces temps-ci. Je me fais fort de combler ces lacunes. "Carole jeta un œil noir à *** amie:
- " Je crois que tu as raté une belle occasion de te taire... Il semblait à peu près normal jusque-là. Maintenant,il va nous prendre la tête comme c'est pas possible... " Je lui fis d'un air mielleux et salace:
- " Mon amour, tu sais comme j'aime te prendre la tête entremes mains afin de te guider au mieux... Mais je suppose que tu ne parlaispas de ça... " Pour toute réponse, elle poussa unprofond soupir et reprit sa conversation passionnante avec Mélanie.Je terminais mon repas en silence, en me promettant d'intervenir au momentopportun. Malheureusement, j'étais en panne d'inspiration... Jerépondis à Mélanie à sa question de tout àl'heure:
- " Au fait, tu vas être contente, tu pourras assister auxexploits de Carole. J'ai été très heureux de la revoiren action. " Carole était inquiète:
- " Ah ouais? Mon dieu, je me demande ce que j'ai bien pu bricoler... " Je lui fis d'un air entendu:
- " Mon passage préféré est le moment oùtu enfonces le gros concombre dans le cul de Diane. Qu'est-ce qu'ellegueulait... " Elle était horrifiée:
- " C'est pas vrai !!! J'ai pas fait ça?! " Je la rassurai:
- " Oh! Tu as fait pire! Bien pire... " Elle étaitatterrée. Ça lui apprendra à briser mes élanslyriques... Je rajoutai:
- " Il faudra être gentille avec elle... Trèèèsgentille. Je me suis bien fait comprendre? " Elle baissa les yeuxet fit timidement:
- " Oui, mon chéri. Promis."

Nous avons discuté encore longuement,puis je fis quelques préparatifs avec Carole. Mélanie étaitrentrée chez elle, j'avais promis de passer la chercher vers neufheures. J'embrassai Carole, emportai mon sac à main et retournaime préparer chez nos voisins.

Diane me sauta au cou, toujours danssa tenue affriolante:
- " Te voilà enfin, mon amour! Je me languissais de toi àun point! " Elle m'embrassa fougueusement, et je caressais ses seinsbien galbés dans leurs balconnets. Je m'arrachai à sa boucheaffamée:
- " Il ne t'a pas trop embêtée, le petit? " jedésignais d'un pouce négligeant Denis de nouveau avachisur le canapé, visiblement épuisé. Elle lui souritd'un air indulgent:
- " Suffisamment, suffisamment... Mais je te rassure, j'ai épargnémon plaisir pour toi... " Je l'embrassai à nouveau:
- " C'est très bien, ma chérie, je suis fier de toi.Maintenant, excuse-nous, mais on doit se préparer. Reste en bas." Elle me fit le sourire plein d'excitation de la jeune fille quiattend au lit que *** fiancé sorte de la salle de bains. Ce n'étaitpas du tout ce qu'elle croyait...

Nous sommes redescendus aprèsune demi-heure. Moi en Alicia, en perruque brune et petite robe noireassez courte -empruntée dans le placard de Carole- et bas noirs,encore bandé, les escarpins noirs rembourrés de Tonton Sergeaux pieds. Mon nouveau soutien-gorge et les prothèses en siliconeavaient fait merveille sur Denis. Lui, avait revêtu sa plus belletenue de scène: Il était bon pour jouer dans " la fièvredu samedi soir ". Plus beauf, tu meurs. Parfait.

Diane fut atterrée quand elle nous vit descendre les escaliers,mon baise en ville à la main et mon petit sac en bandoulière.Elle m'avait attendu si longtemps pour ça? Je pris la parole, j'étaisencore Luc:
- " Désolé, mais on avait prévu de sortir avecCarole... Tiens, c'est pour toi. Pour m'excuser. " Elle jeta parterre l'enveloppe que je lui tendais, sans un mot. Elle bouillait de rage,à juste titre. Je ramassai calmement le papier et lui fis d'unevoix tendre et persuasive:
- " Fais-moi confiance, je te prie. Tu sais que nous t'aimons, tousles deux, et que jamais nous voudrions te faire du mal. Bien au contraire.Tiens, et ouvre-la quand nous serons partis. Pas avant."

Je l'embrassai sur le front, suivide Denis, un peu embarrassé. Elle était encore trèsremontée, mais elle avait gardé l'enveloppe dans ses mainscrispées. Nous la quittions en souriant sur un petit signe de lamain, la laissant plantée au milieu du salon, interdite.
chrislebo

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Diane se laissa tomber sur le canapé en soupirant. Elle tapotaitl'enveloppe et se refusait à l'ouvrir. Elle se demandait commentLuc et Denis pouvaient racheter une conduite aussi cynique: un poème?Un chèque? Un billet d'avion? En tout cas, ce n'était pasbien lourd... Elle se résolut à l'ouvrir: Dedans, unsimple feuillet griffonné, avec un cœur dessiné dessus,et ces lignes sibyllines:
- " Ma chérie, je suis désolé de te faire fauxbond, mais j'avais des engagements ailleurs. " Elle reposa la lettreun instant et fit à voix basse:
- " Tu parles... Il avait mieux à sauter -ou à sefaire sauter- que la grosse dondon de service... Je trouve que ma lingeriene me flatte pas beaucoup: Je suis sûre que maintenant, je le dégoûte,et il n'ose pas me l'avouer! " Elle reprit la lecture:
- " Je te prie de m'excuser. Carole et moi t'avons laisséun cadeau qui devrait te plaire. Il est sur la table basse du salon. Jete demande d'enfiler un manteau et de venir tout de suite le chercher.C'est très spécial et très fragile, j'y tiens énormément.Tu passeras par la porte de service, derrière la mai***. Je l'ailaissée ouverte. Encore mille excuses, ton Luc qui t'adore et tevénère. " Elle reposa la lettre sur ses genoux, ***geuse:
- " Fragile, précieux, ton Luc qui te vénère... Qu'est ce que c'est que cette histoire à la con ?... Carolem'avait prévenue qu'il avait des idées bizarres... Enfin,j'ai rien de mieux à faire pour l'instant: allons -y... " Elle poussa un gros soupir, enfila un pardessus et des escarpins et fermala mai***.

Diane entra par la porte de serviceet caressa Ouissecasse qui se jeta dans ses jambes en ronronnant. Ellese dirigea vers le salon obscur -les volets étaient fermés- où brillaient deux photophores, sur la table basse, encadrant unpaquet de la taille d'une boîte à chaussures. Un ruban, etun mot coincé dessous, orné d'un coeur: " Pose tonmanteau sur le fauteuil en face et ouvre-moi. " Diane se dit d'airun air agacé:
- " Il me prend pour une conne? Je me doute bien que le cadeau, c'estpas la boîte... " Elle jeta négligemment *** pardessussur le fauteuil, s'installa sur le canapé et ouvrit nerveusementle paquet: c'était en effet une boîte à chaussures.Dedans, encore un mot, au-dessus d'un tas de papiers chiffonnés.Sur le mot:
" À lire tout de suite: Ceci est une clochette de cristalde bohème, très précieuse et très fragile,j'y tiens, c'est un cadeau de ma maman. Dégage *** battant et écoutece ***: Il fait vibrer plus d'une femme... Tu en seras chaviréede bonheur. Je t'aime. " Elle reposa le mot, consternée:
- " Quel foutage de gueule... " Elle sortit la clochettede *** emballage protecteur et l'agita. Rien. Elle se rendit compte qu'elleavait oublié la protection en bulles plastiques autour du battant.Elle l'ôta et la fit tinter à plusieurs reprises:
- " Putain, quelle connerie! Y'a pas à dire, il sait fairedes cadeaux peu onéreux... Le bruit merdique d'une clochette encristal... Il a dû croire que j'étais comme Carole, quia des orgasmes sur des bruits horripilants... " Elle jeta négligemmentla clochette dans sa boîte et se releva: elle en avait assez vu.Elle eut pourtant un choc...

Carole se tenait debout, tout àcôté d'elle. Elle était entièrement nue, tressée,maquillée et parée de bijoux, pieds nus. Elle souriait entenant ses mains derrière le dos, comme une fillette timide, cequi mettait sa grosse poitrine en valeur. Un large ruban rose enserraitsa taille, maintenu par un gros nœud, une enveloppe glisséederrière contre la peau blanche et nue de *** ventre doux.

Diane reprit ses esprits et fonditde bonheur en la parcourant des yeux:
- " Mon dieu, que tu es jolie... Tu es belle comme une déesse... Blanche comme une statue grecque... Tu m'attendais? " Pas de réponse.Elle continuait à sourire, comme une mère sourit à*** enfant.
- " Tu ne dis rien? Tu ne dois pas parler, c'est ça? "Carole gardait *** sourire bienveillant. Diane prit enfin l'enveloppe,l'ouvrit et lut, à voix haute:
- " Ma chérie, je t'aime. J'espère que ce modeste présentte fera oublier un peu mon absence. Use-en à ta discrétion,Carole est entièrement soumise à tes désirs les plusinavouables. Ordonne, et elle t'obéira. Bonne nuit à vousdeux, mes amours. Votre Luc. PS: la clochette, c'est du pipeau. C'estun cadeau de mariage qui ne nous a jamais servis, jusqu'à ce soir.J'espère que tu ne m'en veux pas trop... " Elle tira surle ruban en riant pour défaire *** joli cadeau:
- " Quel plan tordu...Voyons ce qui se cache sous l'emballage...J'espèreque je ne serais pas déçue... "

Carole l'entraîna doucement versle lit conjugal, toujours muette et souriante. Ouissecasse suivait enronronnant, la queue dressée. Il adorait sa maîtresse, surtoutquand elle était nue sur le lit. Mais elle était parfois -voire souvent- trop agitée et trop bruyante pour lui. Il se contentaitalors d'un coin de couverture, ou même de la descente de lit.

Carole s'étendit sur le lit,sur le côté, détaillant Diane à *** tour. Elleaussi la trouvait à *** goût. Elle parla enfin:
- " Nos hommes ont de la chance de t'avoir... Je suis sûreque tu ne sais pas à quel point tu es désirable. Je te demandehumblement de m'excuser - si je suis excusable - pour les horreurs queje t'ai fait subir hier. J'avais bu... Luc m'a rappelé ce queje t'ai fait. J'ai très honte de moi... Ce soir, je m'offreà toi: tu pourras ****** de moi à ton tour. Je te prometsd'être courageuse, comme tu as dû l'être. " Luclui avait demandé de soigner *** élocution.

Diane s'agenouilla au pied du lit etlui sourit:
- " Je n'ai pas l'intention de te faire du mal. Par contre, j'aienvie que tu sois mon esclave dévouée. Je ne te le demandepas, je te l'ordonne. Allonge-toi par terre. " Carole s'exécuta.Elle s'allongea sur le dos, au pied du lit, impassible. Diane posa ***pied sur sa poitrine et déclara d'une voix solennelle:
- " Moi, Diane Müller, prends possession de cette esclave libre.Tu consens à me servir avec dévotion? " Carole avaitdu mal à répondre. Elle l'étouffait un peu:
- " Oui... " Diane lui écrasa un sein:
- " Oui, J'y consens avec plaisir, Maîtresse! Répète!" Carole étouffa un gémissement et répétadocilement, en essayant d'y mettre du cœur. Elle avait vu plusieursfois Luc répondre à sa maîtresse, et se doutait dece qu'elle attendait:
- " Oui, J'y consens avec plaisir, Maîtresse. Ordonnez, etj'obéirai. " Diane était satisfaite. Elle caressa lebeau visage de *** esclave du bout du pied:
- " Tu es vraiment très belle. Et maintenant, tais-toi. Tune parleras que si je t'interroge. Debout, et contemple ton œuvre." Elle baissa sa culotte pour lui montrer ses fesses meurtries parsa faute. Carole ne les avait pas encore vues et en fut bouleversée.Elle ne pouvait pas dire un mot, ce qui la rendait encore plus malheureuse.Diane s'allongea sur le lit, sur le ventre et l'invita à la soulager,comme elle l'avait demandé plus tôt à Alicia:
- " Tu vois ce que tu m'as fait? J'ai eu atrocement mal. Essaie deréparer tes actes. Caresse-moi du mieux que tu peux, et applique-toi."

Carole sanglotait doucement. Elle nese rappelait pas qu'elles y avaient pris un grand plaisir toutes les deux,le bourreau comme la victime... Ce soir, elle se sentait terriblementcoupable. Diane le savait, par Luc, et en jouait à fond. Carolefaisait couler ses larmes sur les fesses larges et blessées etles balayait de ses seins. Elle dégrafa les jarretelles et remontala guêpière pour être plus à l'aise. Elle finitpar éclater en sanglots en blottissant *** visage dans les fessesde Diane et en enserrant ses hanches dans ses bras:
- " Pardon, maîtresse! Je vous demande pardon! " Et sessanglots reprirent de plus belle... Diane était comblée.Elle s'écarta doucement et se retourna pour contempler Carole,agenouillée sur le lit, les yeux rouges et humides, les joues ravagéespar les larmes. Ce spectacle lui plut énormément.

Elle l'invita à venir sur elled'une voix douce:
- " Allons, ce n'est rien, tu t'es bien fait pardonner. Viens m'offrirta superbe poitrine. " Carole se calma doucement et se plaçasur sa maîtresse, faisant pendre ses gros seins au-dessus de sabouche. Diane les caressait voluptueusement et happait leurs tétonsà tour de rôle. Carole n'était pas insensible àce traitement, et les sentait se durcir à lui en faire presquemal. Diane les prenait entre les dents, maintenant, et tirait dessus pourprovoquer les plaintes de *** esclave qui adorait ce traitement sadique.Elle devait payer, elle le savait, et se soumettait d'autant plus facilementaux caprices de Diane, jusqu'à ce que cette dernière ensoit fatiguée. Elle lui donna une claque sur le sein gauche:
- " Assez. Tourne-toi que je voie ta croupe. " Carole s'exécutadocilement, en caressant ses seins meurtris, et se mit à genouxsur le lit.

Diane était fascinéepar la belle croupe d'albâtre, posée sur les talons de ***esclave. Elle la pétrissait comme un sculpteur modèle laglaise dans un moment d'inspiration intense.

Carole se dressa pour mieux lui offrir:Diane se mit à genoux derrière elle, se colla contre sesfesses et la poussait à coup de reins puissants en la ceinturantde ses bras comme si elle la pénétrait. Elle lui souffladans le cou:
- " Tu as un trop beau cul, il faut que je le marque... " Une maîtresse n'est pas censée tenir les promesses faitesà *** esclave... Elle s'assit sur le bord du lit et l'attirasur elle, allongée en travers. Elle lui caressa longuement lesfesses, allant jusqu'à s'égarer dans *** intimitéhumide, puis la fessa violemment, lui arrachant un cri déchirant.C'était la première fois qu'elle entendait *** cri de douleur,et elle l'adorait: il lui vrillait les nerfs et lui donnait des fris***sdans le creux de ses reins. Elle répéta longuement l'alternancede caresses et de fessées, à en avoir mal à la main,puis elle contempla *** travail: sa belle croupe blanche étaità présent auréolée d'une grande tache rouge.Elle en fut satisfaite, d'autant plus que Carole sanglotait doucement.Diane la poussa par terre et la laissa pleurer au sol:
- " Maintenant, je vais vraiment me venger de toi. Tu as des godemichés?" Carole ne releva pas la tête, allongée sur la descentede lit, et fit en sanglotant:
- " Non maîtresse, je suis désolée. "
- " Tu as bien des concombres, des carottes ou des bananes? Enfin,quelque chose qui pourrait faire l'affaire? "
- " Oui maîtresse, à l'office... " Diane poussa*** ventre du pied:
- " Eh bien debout, limace! Montre-moi! Mais rhabille-moi d'abord." Carole se releva en frottant ses joues et en reniflant, refixales jarretelles et remit la culotte de sa maîtresse. Diane lui caressale visage en la maintenant par sa tresse:
- " Allons, souris! Tu n'es pas heureuse de me servir? " Elleretrouva vite un triste sourire et lui répondit:
- " Oh si, maîtresse, c'est que j'ai vraiment honte de ce queje vous ai fait subir. " Elle l'entraîna à l'officeet lui présenta le bac à légume. Diane fit *** marché:
- " Voyons... Ce concombre me plait bien, mais il a l'air un peumou. Enfin, il cassera moins facilement. Et tu as de belles bananes... Pas trop mûres... Voilà. Ça suffira. Par contre,il va falloir que je fasse de la place dans ton joli cul. Tu n'as paspris cette précaution avec moi, hier, mais je t'assure que ce serabeaucoup moins douloureux comme ça, surtout avec ce que je vaiste faire... Tu as une douche? "
- " Oui, juste là... On s'en sert en rentrant du jardinquand... " Diane l'interrompit d'un geste:
- " Ne me raconte pas ta vie, je m'en fous. Viens par là." Elle dévissa la pomme de la douche et régla le débitet la température.
- " Tes toilettes ***t loin? "
- " À côté du couloir. " Diane la tira dansla douche:
- " Je vais te remplir. Tu te mettras un doigt dans le cul et tuiras te vider. Tu me diras quand ce sera bon. Je n'ai pas envie de vérifiermoi-même. "
- " Oui maîtresse. " Elle se pencha en avant et lui offritses fesses.

Diane était une experte en sodomie, contrairement à ce qu'ellepourrait laisser croire. *** ex-mari en était friand et la contraignaità le pénétrer avec un godemiché. Elle n'appréciaitpas ça pour le côté sexuel -elle n'y prenait évidemmentaucun plaisir- mais plutôt pour la sensation de domination et desupériorité que cela lui procurait. Elle n'a jamais vouluen parler à per***ne, mais elle avait surpris sa tante possédersauvagement Oncle Serge, entièrement nu, l'été oùelle avait assisté à la fameuse soirée. Cette visionla poursuivait encore, et elle commençait à réaliserqu'elle aimait réellement ça. Elle s'en voulait pour preuvela nostalgie qu'elle ressentait en repensant à *** ex-mari et àses penchants sodomites. Denis était à l'opposé:c'était le vrai mâle dominateur et macho, mais elle l'aimaitcomme ça.

Après quelques allers et retours,Carole fit sobrement:
- " Ca y est, maîtresse. "
- " Bien. J'espère que tu as du lubrifiant... Je trouve quepour une cochonne comme toi, tu n'es pas très bien outillée."
- " Si maîtresse, dans l'armoire de la salle de bain. "
- " Tu t'en sers pour quoi? "
- " Luc me prend par derrière quelquefois. Assez souvent,à vrai dire. " Diane sourit:
- " Bien! Tu es une habituée, ça devrait aller toutseul... Tu as un micro-ondes? " Cette question fit sursauter Carole:
- " Bien sûr! Dans la cuisine, pourquoi? " Diane la gifla:
- " C'est toi qui pose les questions, maintenant? " Carole étaità deux doigts de se rebiffer: elle a *** caractère et nese laisse pas intimider facilement. Sauf que là, elle devait courberl'échine. Elle lui devait bien ça...Diane mit la bananeet le concombre dans le micro-ondes et les mit à chauffer quelquesinstants:
- " Puisque tu te poses la question, je n'aime pas avoir froid auxmains. Et tu auras plus l'impression de te faire défoncer par desqueues que par de vulgaires fruits et légumes! " Elle emportaaussi un bac à glaçon. Elles firent un crochet par la sallede bains et retournèrent dans la chambre.

Ouissecasse s'était installéen plein milieu de la couche conjugale. Carole le poussa gentiment aupied du lit, et s'installa d'elle-même à quatre pattes aubord du matelas, prête à se soumettre à la vengeancede sa maîtresse. Cela fit rire Diane:
- " Mais tu es une vraie chienne en chaleur qui attend le mâle!Tu es bien pressée d'en finir, on dirait... "
- " Oui maîtresse, il me tarde que vous vous soyez enfin vengéede moi. J'ai si honte... " Elle en rajoutait un peu, uniquementpour le plaisir de sa maîtresse.

Diane souriait, pleine de désirpour ces chairs offertes. Elle caressait ses jolis seins qui pendaientau-dessus du couvre-lit et tira sa tresse en arrière au point delui faire relever la tête:
- " Je vais bien m'occuper de toi, ma belle... " Elle lubrifiales fesses de Carole et y poussa la banane par petits coups, sans autrespréparatifs. Elle fut bientôt entrée au maximum. Carolen'avait pas émis une plainte, quelques soupirs tout au plus. Dianeétait impressionnée:
- " Eh bien, on dirait que tu as une grande habitude de te fairebaiser de la sorte... Voyons le concombre, maintenant, pendant qu'ilest encore chaud. " Carole n'avait pas besoin de se faire lubrifierle vagin. Il était déjà ruisselant de désir...Diane présenta le concombre -d'une taille rai***nable- devant ***sexe et commença à la masturber avec en l'enfonçantpetit à petit, sans violence.

Carole se mit à haleter de plusen plus fort jusqu'à atteindre rapidement l'orgasme. Diane attenditce moment pour lui parcourir l'échine d'un glaçon, de lanuque aux fesses. Carole hurla pendant de longues secondes, puis s'écroulasur le lit. Sa maîtresse s'allongea à côté d'elle:
- " Alors, tu as aimé ta punition? " Carole fut longueà répondre. Elle était encore au paradis:
- " Oh oui... Je ne sais pas ce que vous m'avez fait, Maîtresse,j'ai cru ressentir comme une décharge électrique dans toutmon corps... J'ai cru mourir de plaisir. " Diane la retourna etl'attira vers *** sexe:
- " À moi, maintenant. Lèche-moi. Je tiens tes jouets."

Diane manipulait encore les fruitsdans l'intimité de Carole pendant qu'elle se faisait honorer avectalent de la langue experte de *** esclave. Elle se sentit bientôtà point et la repoussa:
- " Couche-toi comme ça. J'ai envie de l'autre bout de tonconcombre. " Elle la fit se coucher sur le côté, enchien de fusil. Diane en fit autant, mais dans l'autre sens, et s'empaladoucement, en prenant bien garde de ne pas blesser Carole qui y prenaità nouveau du plaisir, ni de casser leur godemiché de végétarienne.Elle restèrent un très long moment ainsi, à se caressercroupe contre croupe, jusqu'à ce que Diane prenne *** plaisir,puis encore Carole, puis enfin le concombre rendit l'âme.

Carole se lâcha:
- " Ah! Putain, ça y est, je débande... Oh! Pardon,maîtresse! " ...Chassez le naturel... Diane rit aux éclats,suivie de Carole. Elle la rassura:
- " Ne t'inquiète pas, le jeu est fini, je suis vengée." Elle lui enleva sa banane et entreprit de l'éplucher:
- " Tu en veux? On va la manger par les deux bouts... " Caroleétait un peu inquiète:
- " Comme le concombre? " Diane rit:
- " Mais non! Comme une banane... Mon concombre, je le garde encore.
J'aime bien. "
Elles mangèrent leur bananeen tête-à-tête, chacune à un bout et finirentbien sûr par s'embrasser, un peu comme dans le dessin animé" La belle et le clochard. " Carole avait encore le cœurgros:
- " Tu es sûre que tu ne m'en veux plus? J'ai dû te fairehorriblement mal, hier, avec ce concombre. En plus, il paraît qu'ilétait très gros. " Diane la regarda d'un air moqueur:
- " Concombre? Quel concombre? "
- " Mais tu sais bien, tu... Ah! Putain! Vous vous seriez pasfoutu de ma gueule, par hasard?! " Le fait que Diane continue dela fixer d'un air narquois lui avait mis la puce à l'oreille. Carolelui monta dessus et commença à l'étrangler en riant.Diane se débattit, en riant aussi:
- " Je suis ta maîtresse! Tu me dois le respect! "
- " Respect mon cul! D'ailleurs, je vais voir le tien... "

Elle se retourna prestement et écartales fesses que Diane avait complaisamment relevées en écartantles cuisses. Elle lapa avec frénésie l'orifice rebelle enagitant le reste de *** concombre. Diane fit dans un souffle:
- " Enlève-le. J'enlève le tien. Fai***s l'amour commedeux jeunes filles sages. " Carole s'exécuta et lui embrassale sexe:
- " Dis donc, tu ne sens pas que le concombre... On dirait quetu es pleine de foutre! Je n'ai pas pu te le dire tout à l'heure... " Diane était plutôt gênée:
- " Ça te dérange? Je ne savais pas, en venant ici,que j'allais encore faire l'amour... "
- " Mais non, pas du tout. En fait j'adore ça, passer aprèsun homme. " Diane s'excusa:
- " Je suis Désolée, mais Luc a tenu à ce queje reste dans cette tenue toute la soirée. Je te raconte pas ceque Denis m'a foutu dans la touffe! D'ailleurs, tu n'as qu'à voirma culotte... Heureusement que ton mari n'a pas eu le temps de me sauter,là, je débordais: je l'ai déjà sucédeux fois, et il m'a rempli la bouche à m'en faire déborderpar les narines... " Carole rit:
- " Et ouais, Luc joue les grandes eaux de Versailles... Moi,je le laisse se vider dans ma gorge. J'adore ça, sentir tout ***amour couler en moi... "

Diane n'était pas de cet avis,et ne voulait pas poursuivre le débat. Elle posa doucement le visagede Carole sur *** sexe et lui fit la même chose. Elles passèrentde longues heures à s'embrasser mutuellement et se caresser, l'unesur l'autre, changeant parfois les rôles...

La nuit était blanche.
chrislebo

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LE RENARD DANS LE POULAILLER.

Nous quittions Diane avec une appréhension,en espérant que tout se passe comme prévu: elle étaitvraiment en colère... Dans le pire des cas, je comptais sur Carolepour sauver la situation. À peine montés dans l'Audi, Denisétouffa un bâillement:
- " Ouafff. Je suis claqué. J'ai baisé toute la nuit,et je te raconte pas ce que j'ai encore mis à ma Lady Di ce soir.Elle doit avoir la chougne en bouquet de violette. T'es salaud, aussi,de foutre le feu et te barrer... Je la trouve hyper bandante en guêpière.Merci pour *** cadeau, j'en profite un max. " Il parlait àLuc. Je souris à ses expressions imagées:
- " Oui, je la trouve aussi diablement attirante. Si ça peutte consoler, ça m'a coûté de me refuser à elle.J'ai horreur de décevoir une femme. " Il n'était pastrop dans la conversation:
- " Ouais... Je crois que je vais rentrer tôt. Tu devraisprendre ta voiture, je ne voudrais pas gâcher ta soirée." Il me déposa devant la mai***. Je pris les papiers et lesclés de la Clio et je démarrais rapidement. Je ne voulaispas risquer de rencontrer Diane. Carole ne s'était pas manifestéenon plus.

Mélanie s'affairait devant savoiture, dans un petit haut léopard et une minijupe noire. On auraitdit une ... professionnelle. Elle devait m'attendre et ne voulait pasl'afficher devant la population locale. Elle était trèssensible au " qu'en dira-t-on ", mais si elle se met àtapiner devant chez elle... Dès qu'elle aperçut nos voitures,elle monta dans la sienne et démarra à notre suite; je roulaisà une allure modeste pour qu'elle nous rejoigne sans difficulté.

Nous avions rencontré quelquessoucis pour nous garer: Nemours n'est pas une mégapole, mais c'étaitsamedi soir et nous avions dû marcher un peu. Je suis entréela première et je fis patienter Denis à côtéde la boîte, devant une épicerie nocturne, le temps d'avertirChloé. Il pouvait y soupeser les melons en attendant pour exprimersa sensualité.

Curieusement, il n'y avait pas grandmonde. Chloé prenait les commandes entre les tables, et je l'attendaisau bar. Je saluai la gentille barmaid:
- " Salut Isa! C'est calme, ce soir... " Elle me fit un sourireintrigué:
- " Heu... Salut! C'est pas encore l'heure de pointe... Onse connaît? " Je réalisai que j'avais quelque peu changée:
- " Oui, je suis Alicia, la petite amie de Chloé... Ons'est vue, avant-hier, tu m'avais même fait une blague... " Elle fit de grands yeux:
- " Ah oui! Bien sûr! Mais tu avais une perruque blonde... Chloé m'a raconté pourquoi tu en mettais, je suis désoléepour toi. J'espère que ce n'est pas trop grave... En tout cas,elle n'arrête pas de parler de toi. Tu as mis le grappin sur ***cœur, on dirait. " Je me demandai ce qu'elle a bien pu lui raconter.Pas la maladie-qui-fait-pas-rire, tout de même...

- " Un gin fizz et un baby... pourquoi tu te marres comme ça, Isa? " Chloé posa ***plateau sur le bar, juste à côté de moi: je lui tournaisle dos. Je fis volte-face et lui souris:
- " Bonsoir, mon amour... " Après quelques secondesd'hésitation, Elle me serra dans ses bras et m'embrassa passionnément.Quelques cris enthousiastes fusèrent des tables alentour.
- " Petite salope! Pas un mot, ni un coup de téléphone!Je ne pensais plus te revoir... " Je baissai les yeux. C'est vraique je n'avais pas été trop galante avec elle...
- " Je suis désolée. Je t'avais trouvée un peudistante, quand on s'est quittées. Je ne croyais pas que tu tenaistant à moi... "
- " T'es marrante! T'as pas vu la tête que me faisait ma patronne?J'étais un peu à la bourre, je ne voulais pas ********* Enfin, si c'est un malentendu, n'en parlons plus. Tu es venu voir tescopines? " Je lui fis un sourire mutin:
- " Tu ne crois pas que je sois venue pour tes beaux yeux, tout demême? " Elle me fit à voix basse, un sourire au coindes lèvres:
- " Petite conne... "
- " Et figure-toi que j'ai amené mon mari... " Saréaction fut partagée entre un grand plaisir et une immensedéception:
- " Ah? Ah bon... " Je lui fis un clin d'œil:
- " Rassure-toi, il ne va pas rester en selle longtemps dans le rodéoque nous avons mitonné... Je te demande juste de jouer le jeu: devant lui, tu ne me connais pas, OK? " Elle sourit, un peu inquiètequand même:
- " D'accord. Mais ne faites pas trop de vagues, vous risqueriezde vous faire jeter tous les deux. Pour toujours, et ça, je nele veux pas. " Un cri au fond de la salle attira mon attention:
- " Par ici, Mélanie ! " C'était la voix puissantede Caroline. Il m'avait bien semblé avoir entendu appeler avantça, mais ce devait être la voix fluette de Corinne, Caroétait venue en renfort en beuglant de sa voix mâle.

Je localisai la table de mes amieset repris ma conversation:
- " Je t'ai apporté quelques papiers concernant tes finances.On y jettera un œil, si tu veux bien... " La barmaid nousinterrompit:
- " Chloé, ça gueule au fond, table seize. Et enlèvevite ta commande, si tu veux recevoir un billet entre tes beaux nichons!" Isa me fit un sourire appuyé: elle avait dû lui raconter...

J'étais parti en direction destables quand je me rendis compte que j'avais oublié mon épouxfidèle sur le trottoir. J'espérais qu'il ne se sera paséclipsé avec un melon bien mûr... Non, il m'attendaitsagement, en s'occupant sainement: il ne faisait que regarder les petitsculs courtement vêtus qui défilaient sur le trottoir. Jel'attirai de l'index en souriant et il accourut tel un toutou fidèle:
- " Ça y est, c'est bon? "
- " Oui, mais ne te fais pas trop remarquer. " Ça, cen'était pas évident. John Travolta au milieu d'une boîteà clitos, on fait mieux comme tenue de camouflage... Il me suivitdocilement jusqu'à la table de mes amies. Il ne manquait que Steph:
- " Salut les filles! C'est Alicia! Vous me reconnaissez, en brune?" Caroline se leva la première pour me faire la bise:
- " Oui, bien sûr... Figure-toi qu'on t'épie depuisque tu es arrivée, et on se demandait si c'était vraimenttoi. Mélanie t'a reconnue à coup sûr: elle a encorel'œil! " J'espérais qu'elle n'avait pas gaffé: On n'était pas censées se connaître beaucoup... Elle reprit:
- " Et qui c'est, ce charmant jeune homme qui ne craint pas d'introduireses attributs au milieu du territoire des amazones? " Elle plaisantait,mais je sentais bien que sa présence ne lui plaisait pas trop.
- " Je vous présente mon mari Denis. Il a tenu à m'accompagner...Je lui ai parlé de cet endroit, et il n'a pas pu résisterà une telle profusion de filles. " Ce disant, je fis la biseau reste de la tablée. Corinne me jeta un regard un peu coupable.Elle croyait que je lui en voulais encore de ne pas m'avoir choisie, sansdoute... Nous nous étions à peine installés, Denissur la banquette moelleuse à côté de Caro, moi surune chaise, que Caroline attaqua:
- " Dis donc, tu n'es pas très galant... Tu pourrais laisserla meilleure place à ton épouse! " Il se défenditd'un ton innocent:
- " Bof, tu sais, elle a le cul bien rembourré, elle peutse le permettre. " Elle bouillait:
- " C'était bien, ton match de foot? C'était sur quellechaîne? " Il avait l'air perdu:
- " Heu... Je m'en souviens plus... C'était sur le satellite,je crois... "
- " Pour un passionné, ça ne t'a pas trop marqué,on dirait... "
- " Bof, c'était surtout pour boire des bières entrepotes. Mais tu dois savoir ce que c'est, toi, l'amitié virile... " C'était le grand amour entre eux deux. Caroline ruminaitla dernière réplique de Denis quand elle leva le bras etl'agita:
- " Steph! Ici! Amène Chloé! " J'espéraisqu'elle n'allait pas déballer notre liai*** devant Denis. Pas toutde suite...

Stéphanie nous fit la bise -enoubliant sciemment mon époux- et s'installa à côtéde *** amie, sur une chaise. Elle se serait bien mise sur la banquette,mais pas à côté de Denis:
- " Putain, qu'est ce qu'il fait chaud dans ma boutique! Avec tousces spots, c'est l'horreur... C'est qui? " Elle désigna négligemmentmon fidèle époux du menton en s'adressant à Caro.Elle se fit un plaisir de l'éclairer:
- " C'est le blaireau dont Alicia nous avait parlé. Tu sais,celui qui trompe sa femme à couilles rabattues... Sa femme unpeu... naïve. Je dirais bien autre chose, mais je ne voudraispas la vexer. De toute façon... " Elle s'arrêta net.Chloé était arrivée à notre table:
- " Salut les filles... Tiens, bonsoir Monsieur ! C'est rare devoir un homme ici ! En principe, ils ne restent pas longtemps. Surtoutà cette table... " Elle fixait Caro et Steph d'un air dedéfi. Elle reprit, à la cantonade:
- " Je vous écoute, Messieurs dames... " Denis réponditdu tac au tac, comme s'il était seul au monde:
- " Un demi ! Il fait chaud dans votre boui-boui. Surtout avec tousces petits culs en chaleur... " J'étais très fièrede mon époux. Il était merveilleusement odieux, et tellementnaturel...

Caro fit entre ses dents, assez fortpour qu'on puisse en profiter quand même:
- " Putain, quel gros con... Ça doit être lui qu'onappelle " Ducon de Nemours* ... " Un coup d'œil circulaireme confirma que c'était le sentiment général quirégnait à cette table. Denis souriait, inconscient du malaisequ'il suscitait. Apparemment, bien sûr.

Nous avions passé nos commandes.Il s'intéressa à *** harem potentiel:
- " Dis-moi, chérie, tu peux me parler de tes amies? Elle***t l'air à peu près charmantes, pour certaines... "
- " Avec plaisir, mon ange... Voilà Mélanie, unepetite nouvelle, comme moi, qui est avec Corinne, ce joli petit brin defille au charme eurasien... " Il lança à Corinne:
- " Ouais, tu es bien mignonne... Quand tu veux, je t'emmènefaire un tour dans un endroit sombre! Je me suis jamais tapé uneasiatique... Ta copine, je la laisse tranquille, j'aime que la chair fraîche." Elles ne disaient rien, mais je voyais bien qu'elles n'en pensaientpas moins. Même Mélanie -pourtant au courant de notre petitmanège- était visiblement offusquée. Je calmai lejeu:
- " Chéri, tu connais à peine mes nouvelles amies... Elles ne connaissent pas encore ton humour, vas-y doucement... " Les consommations arrivèrent. J'avais pris un vermouth. Denis butrapidement sa bière et nous gratifia d'un gros rot ***ore. Biensûr, il ne s'excusa pas. Il me fit, d'un air salace, en mettantma main sur *** sexe:
- " Ma poule, tu sais ce que j'aime, après ma bière... " Je regardai mes amies d'un air gêné, et me glissaien bas de ma chaise. Steph craqua:
- " Ah non! Vous n'allez pas faire vos saloperies ici! " J'excusaimon époux:
- " Tu sais, il a de gros besoins, j'essaie de le satisfaire du mieuxque je peux... Et il devient agressif quand il n'a pas fait l'amourdepuis un moment. "
- " Peut-être, mais on a pas envie d'assister à voscochonneries... Allez dans les chiottes, comme tout le monde! " Ellefixait Mélanie et Corinne qui baissèrent la tête.Denis prit le relais, toujours insouciant:
- " Ouais, tiens, j'ai envie de pisser... La bière, c'estterrible pour ça... Y a des chiottes pour mecs, ici? Bien quecertaines nanas à cette table ont des têtes à fairedans un urinoir... " Il disait ça en regardant Caro etSteph d'un air goguenard. Caro répondit, les dents serrées:
- " Ouais, c'est juste derrière. Ça fait hommes ethandicapés. Je trouve ça logique. "
- " Et bien merci, gentes dames... Je vais faire pleurer le colosse.Viens, ma poule. Je sens que tu vas déguster, je suis en forme."

Je m'excusai timidement, pris mon sacet rejoignis Denis aux toilettes. Elles étaient assez vastes etcomprenaient, outre les toilettes fermées pour handicapés,un lavabo et un urinoir. Je refermai la porte et le pris dans mes brasen riant:
- " Tu es un fou furieux! Tu vas finir par te faire arracher lescouilles! " Il me sourit fièrement:
- " Ma prestation te plait? J'en suis content. Bien, je vais pisser,j'ai vraiment envie. On va rester un moment, et tu ressortiras en boitantun peu, en marchant les jambes écartées. D'accord? "Je pris un air sérieux:
- " Non. On le fait vraiment. " Il sourit en silence et fit*** petit pipi. La porte s'ouvrit doucement et les têtes de Mélanieet de Corinne apparurent. Elles voulaient être discrètes,c'était raté. Je me mis à genoux:
- " Entrez, les filles! " Elles avancèrent timidement.Je pris le sexe de Denis entre mes doigts et le suçai avec entrain.Il avait les yeux fixés sur Corinne, plutôt gênée.Il jouit rapidement dans ma bouche, en grognant. Je le tétai amoureusementencore un moment, le temps que *** érection reprenne. C'étaitl'affaire de quelques minutes, tout au plus.

Tout en le gardant dans ma bouche,je baissai ma culotte, pris le tube de gel intime que j'avais dans monsac et me lubrifiai consciencieusement. Je me relevai et m'appuyai surbord du lavabo. Denis releva ma robe, découvrant fortuitement monbandage et me pénétra sans ménagement, m'arrachantun cri. J'adorais quand il me forçait comme ça, surtoutdevant des admiratrices... Corinne, incrédule, fit àsa compagne à voix basse:
- " Tu crois qu'il est en train de la... "
- " Je crois bien que oui... Et elle a l'air d'aimer ça... Ils m'excitent terriblement, tous les deux... " Elle l'enlaçaet commença à la caresser. Corinne se débattit:
- " Non! T'essaieras pas ça avec moi. Je ne suis pas une détraquée.Allez viens, on s'en va. " Elles nous laissèrent seuls. Mélanieen aurait bien vu plus... Il faudra que je l'invite.

Denis jouit bruyamment en moi. Il préféraitde loin la sodomie à la fellation. Moi, comme je ne savais pasquoi choisir, je préférais faire les deux. Il se retira,rangea *** matériel et sortit en sifflotant, m'abandonnant affaléesur le lavabo, la robe relevée. J'aimais quand il se conduisaitcomme ça... Je crois qu'il prenait vraiment *** rôle àcœur... Je restai un instant les fesses à l'air, rêvantd'une nouvelle pénétration: je n'avais pas d'orgasme, maisj'adorais ça... Je dus me faire violence pour me rajuster etsortir à mon tour.

J'affectai de prendre une démarcheincertaine pour vanter la vitalité de mon époux. Je m'installaià ma place, les yeux baissés. Quand je les relevai, je visque c'était la soupe à la grimace. Tournée générale.Mélanie rompit la glace:
- " Tu as de la chance d'avoir un homme si vaillant : on l'a vu àl'œuvre, il ne rechigne pas à la tâche... "
- " Oui, mon chéri m'aime beaucoup, et il a toujours enviede moi. " Il rajouta, fort galamment:
- " Oh, J'ai toujours envie tout court! Je pourrais même vousbaiser toutes sur la table, et recto-verso encore! " Steph tapa dupoing sur la table, épaulée par sa compagne:
- " Ce coup-ci, y en a marre! Barre-toi, espèce de gros connard,ou je t'arrache tes grosses couilles de macho et je te les rentre dansle cul à coup de talon! " Je baissai les yeux, traumatiséequ'on puisse attaquer ainsi mon si tendre époux. Lui, toujoursaussi décontracté:
- " Ouais, je me casse. Il y a rien à tirer ici, àpart la petite chinetoque coincée et Alicia, mais ça, c'estla routine. Je vais faire un tour ailleurs, boire avec des potes. Allez,salut, les filles, merci pour la bière, et bonne broute! "Il sortit en riant et en singeant les filles d'une table voisine, heureusesaussi qu'il s'en aille.

Caro m'engueula:
- " Putain, mais qu'est ce que tu fous avec un con pareil? C'estvraiment la caricature du gros con de beauf macho! Et en plus, il te sautesur commande! " Chloé revint enlever les verres vides et renouvelerles consommations. Je fis timidement:
- " Je l'aime... Il me fait bien l'amour, et je ne peux pas mepasser de *** sexe. Il faut toujours que je l'aie en moi pour me sentirheureuse. " Caro fit à Chloé:
- " On dirait que tu as encore tiré le bon numéro... " Chloé n'avait pas été traumatisée parla prestation éblouissante de Denis:
- " Ce qu'elle fait avec *** mec, c'est *** problème. Je peuxvous jurer que dans mes bras, c'est pas la même per***ne. "Elle renouvela les commandes. Je me laissai séduire à nouveaupar une Suze-cassis. Corinne me fit en riant:
- " Ce coup-ci, j'y touche pas... Dis, c'est quoi le bandage qu'ona vu? Tu es blessée? " Elle est décidément observatrice.J'improvisai une explication plausible, déguisant ma réflexionen embarras:
- " Non, c'est pas ça... C'est gênant... Denisa toujours envie de moi, et me prend n'importe quand. Comme il veut queje sois... réceptive à ses assauts, il me fait porterun petit godemiché dans mon vagin. Je le porte en permanence, çame maintient disponible, et ça me donne un peu de plaisir quandil me sodomise. Il ne me prend quasiment que comme ça, d'ailleurs." Elles étaient horrifiées par mes révélations.Sauf Mélanie, qui cachait mal *** excitation. Chloé, quiétait à la table voisine, me jeta discrètement unregard amusé. Corinne, à qui décidément rienn'échappait, me fit cette remarque:
- " Au fait, ton mec t'a plantée là, sans te demandercomment tu allais rentrer? " Je lui caressai le genou. Ça,je pouvais encore me le permettre:
- " T'inquiètes pas, on a chacun notre voiture. Il pensaitjuste rester le temps de mettre de l'ambiance. " Caro me fit:
- " Eh bien, c'est réussi. Tiens, regarde qui nous fait coucouau bar... "
Denis s'agitait près du comptoir, un bouquet de roses àla main. Je crois qu'ils en vendaient à l'épicerie d'àcôté. J'ai cru comprendre que c'était moi qu'il appelait,et allai le retrouver. Il posa le bouquet sur le zinc et m'enlaçafurieusement. Il me posa sur un tabouret et colla *** sexe contre le mien,en une étreinte torride. Il me glissa à l'oreille, entredeux baisers:
- " Tu me rends fou, petite salope. Tu es vraiment trop bonne. Etqu'est ce que tu es chaude... " Je lui rétorquai sur lemême ton:
- " Je suis à vous, Maître, baisez-moi tant que vousvoulez. Ce sera où, quand et comment vous le déciderez,je ne vous demanderai jamais grâce... " Il se recula brusquementet partit à grand pas. Arrivé à la porte, il me lançaavec *****, fièrement, afin que tout le monde entende :
- " Je t'aime, Alicia, ma chérie! " Et il disparut.
chrislebo

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J'étais toute chamboulée.Je restais à regarder le bouquet de roses que je faisais tournerdans mes mains. Je vivais plusieurs vies en même temps, et je commençaisà être dépassée par mes émotions. Celadevenait plus que du jeu...

Je rejoignis mes compagnes en traînantles pieds. Elles m'accueillirent en silence. Bien sûr, elles n'avaientrien perdu de la scène... Je lâchai, en serrant mon bouquetdans les bras et en fixant la table:
- " C'est aussi pour ça que je l'aime... " J'étaissincère. C'était la première fois qu'un homme m'offraitdes fleurs.

Chloé vint à ma rescousse:
- " Viens avec moi au bar, on va les mettre dans de l'eau. "Elle m'entraîna jusqu'au comptoir et je tendis les roses àIsa qui me souriait très gentiment, avec affection. Elle étaità côté de nous deux pendant notre courte étreinte,et elle avait compris que j'avais été réellementtouchée.
- " Merci, Isa, tu es vraiment gentille. " Elle me tapota lamain:
- " De rien. Appelle-moi Isabelle. Je préfère. "Chloé m'attira à l'écart:
- " J'ai cru comprendre que tu avais encore tes bandes? "
- " Ben oui, j'ai pas trouvé mieux... "
- " J'ai un copain qui fait un numéro de travesti, dans uncabaret plutôt gay, il a sûrement ce qu'il faut. Il s'appelleClaudine. Tu veux aller le voir? " J'étais un peu effrayée:
- " Ben... Je le connais pas, moi... c'est gênant... "
- " Ne t'inquiète pas pour ça. Il y a là unecopine qui le connaît bien. Viens, elle est juste là. "En effet, elle était à cinq mètres de nous. C'étaitune jolie brune à l'air très espiègle, affubléed'un rire plutôt ***ore:
- " Natty, je te ramène la fille en question. Tu es toujoursd'accord? "
- " Salut ma poupée! Je te suis depuis que tu es arrivée,tu es assez agitée, on dirait! Je viens juste de reprendre un verre:on y va dans une demi-heure, si tu veux... "
- " Avec plaisir, c'est très gentil de ta part. Je ne saispas comment te remercier... "
- " Paye-moi un verre, quand tu reviendras. À tout àl'heure, je viendrai à ta table. " Elle retourna àsa conversation avec ses amies. Je remerciai Chloé et rejoignisma place.

Corinne et Mélanie étaienten grande discussion, arbitrée par Caro et Steph. La conversations'arrêta net quand je me suis assise. Je jetai un regard circulaireet les interrogeai du regard. Pas de réponse.
- " Vous parliez de moi, je suppose? " Mélanie se dévoua:
- " Oui, on parlait des relations ambiguës que tu entretiensavec ton mari. Et aussi de ta sexualité. On se demandait si... Tu prenais ton pied. Tu as l'air si soumise... " Elle avait l'airde s'amuser, à me poser toutes ces questions embarrassantes:
- " Tu sais, j'ai beaucoup de mal à avoir un orgasme. Et mêmelà, je n'éprouve pas vraiment de plaisir. Un soulagement,tout au plus. Mais je sais ce qui vous choque: c'est que je me fasse sodomiser." Elles baissèrent les yeux toutes en même temps. MêmeMélanie. Je continuai:
- " Je trouve ça très pratique, et je n'y vois quedes avantages: je n'ai pas besoin de contraception, Il jouit beaucoupplus vite, je suis disponible même pendant mes règles etje n'ai même pas de toilette à faire. Et en plus, j'aimeassez. Réfléchissez-y... Mais c'est vrai que vous necôtoyez pas les hommes... Enfin, si vous avez des questions,je vous répondrais avec plaisir. " Pas de question. Le sujetglissa sur les femmes battues et exploitées dans le monde, et surl'arrogance de la gent masculine. Elles avaient rai***, bien sûr,mais à les écouter, le monde était coupé endeux: les pauvres femmes d'un côté et les méchantshommes de l'autre. Je commençais à déprimer sérieusementquand une main se posa sur mon épaule et me fit à l'oreille**:
- " On y va? " Natty était venue me chercher. Je fisbrièvement les présentations -pour celles qui ne la connaissaientpas-, m'excusai et sortit avec elle.

L'air était encore chaud. Lanuit venait de tomber, mais je doutais qu'il fasse bon encore longtemps.Hier encore, c'était l'hiver. Elle me prit la main:
- " Viens, c'est par-là. C'est pas loin, deux pâtésde mai***. Qu'est ce que tu lui veux, à Claudine? " Je supposequ'elle n'était pas au courant : il fallait encore que j'improvise... Je sentais que tout ça allait bientôt me péter àla figure:
- " Je recherche un petit voisin qui a fugué. Ses parents***t inquiets. Il serait travesti, et c'est uniquement pour pouvoir lesrassurer, et lui dire qu'ils l'aiment. Je mène une enquêteà but humanitaire, en quelque sorte. " Elle serra ma mainen me regardant:
- " Ah bon... C'est mignon, Alicia, comme nom. Tu sais, Je connaisbien Chloé, et je sais quand elle est amoureuse. Et là,elle est amoureuse. Ne lui fait pas de mal. C'était pas du toutune bonne idée d 'avoir ramené ton mari ici. Ça luia fait de la peine. " Je lui souris avec tendresse:
- " Ne t'inquiètes pas, elle était au courant. Je luien avais parlé. Comme ça, elle arrêtera de l'idéaliseret d'en être jalouse. Crois-moi, c'est mieux comme ça... Et je trouve que Natty, c'est mignon aussi. Ça me fait penser àune chan*** de Bob Marley: Natty Dread... " Elle rit:
- " Oui, on me l'avait déjà faite, celle-là.Mais mon vrai nom, c'est Nathalie. " Non, c'est pas Dieu possible...
- " Je ne sais pas si c'est une mode dans cette boîte, maistoutes les filles que j'ai croisées ont des diminutifs. Il n'ya que Corinne et Chloé qui n'en ont pas. " Elle s'esclaffa:
- " Corinne, entre nous, on l'appelle Coco, mais elle aime pas ça,elle trouve que ça fait communiste... Et Chloé, en réalité,c'est Clotilde. " Je ris à mon tour:
- " Ça, elle ne s'en est pas vantée! "

Natty m'aimait bien, peut-êtreparce que je rendais *** amie heureuse... Nous étions vite arrivéesdevant la boîte: " Pop Model ". J'étais surprisede trouver deux endroits aussi exotiques dans une si petite ville, maisils drainaient une grande population alentour. De plus, la mode étaitaux boîtes branchées, loin de tout. Natty s'entretint quelquesinstants avec le portier, un gars costaud, en cravate et lunettes de soleil.Il devait craindre les coups de lune... Il nous fit entrer visiblementà contre cœur, et un autre type, plus sympa mais assez speedépris le relais. Après avoir longé la salle du cabaret -pleine,il nous guida à travers un dédale de couloirs glauques etencombrés. Il frappa à la porte et nous laissa devant dèsqu'il eut entendu une réponse. Natty le suivit aussitôt aprèsm'avoir dit:
- " À toute suite, je te laisse. N'oublie pas que tu me doisun verre! "

Elle aurait pu m'attendre... Était-cepar soucis de discrétion? Un grand gaillard à moitiétravesti m'ouvrit la porte:
- " Oui? " Il avait l'air un peu à cran, comme si onvenait l'emmerder toutes les cinq minutes. Je me présentai:
- " Je m'appelle Alicia. C'est Chloé qui m'envoie. "
- " Chloé comment? " La question qui tue.
- " Je ne connais que *** prénom. Chloé, ou Clotilde,qui travaille au " Lolitas et mentalos. " Il sourit:
- " Ah ouais, ça doit être ma petite Clo-clo. Entre." Je refermai derrière moi. Il se jeta aussitôt sur*** nécessaire de maquillage et continua *** peinturlurage. Jepréférais le mien, mais, ayant fait du théâtre,je savais qu'il fallait ****** le trait à outrance pour avoir lerésultat escompté. Il mettait des faux cils qu'il avaitdû piquer à une girafe:
- " Qu'est-ce qui t'amène, ma jolie? Et tu t'appelles comment?" Il avait déjà oublié.
- " Moi, c'est Alicia. Je recherche une culotte ou une chose du genrepour cacher mon sexe. Je mets des bandes, mais c'est pas le top. Çacraint, niveau look. " Il laissa tomber *** deuxième jeu decils qui aurait pu servir d'éventail à un esclave nubien:
- " Qu'est que tu me chantes là? Tu ne peux pas t'acheterune culotte, comme toutes les filles? "
- " Et bien non, je ne suis pas une fille, c'est pour ça queChloé... " Il se dressa et me scrutait de la têteaux pieds, en fixant le point milieu:
- " Tu me charries, là... " Voyant que je n'arriveraipas à le convaincre, je levai ma robe, baissai ma culotte et écartaimes bandages.
- " Et bien ça, alors, quelle merveille! Tu ferais un tabacen strip-teaseuse dans notre boîte! Peut-être un peu troppotelée, mais moi, je t'embauche tout de suite, même si tudanses comme un sac. Tu prends des hormones, tu te piques? " Je commençaisà me lasser de cette question:
- " Même pas, c'est naturel. " Trois folasses, en uniformeaméricain -et féminin- de la seconde guerre mondiale entrèrenten riant. Elles devaient avoir fini leur numéro: il m'avait sembléles avoir vues sur scène en passant, dans un playback d'une chan***des " Andrews Sisters ". Claudine les harponna et m'exhiba:
- " Hé les filles! Venez voir cette merveille! " Ellesne semblaient pas follement émoustillées, jusqu'àce que Claudine soulève ma robe:
- " Ouah! je le crois pas! Elle est parfaite! Une vraie fille! "Je rabaissai prestement ma robe : je n'étais pas -encore- une attraction... Les filles me laissèrent à regrets, en riant, et en me donnantdes petits noms coquins.
- " Voilà mon problème. Vous pouvez faire quelque chosepour moi? " Il regarda sa pendule avec inquiétude:
- " D'abord, tu me tutoies. Ensuite j'ai ça. " Il levasa robe à la Juanita Banana et m'exhiba une grande gaine noire.
- " Je veux pas te vexer, mais ça fait mémère.Je préfère encore mes bandes. "
- " Je te donne pas tort, mais ça me donne une silhouetteféminine. Mais toi, tu n'as pas besoin de ça... J'aipeut-être ce qu'il te faut. " Il ouvrit un tiroir et le retournaavant de sortir une culotte plus... modeste:
- " Tu crois que ça t'irait? Elle est trop grande pour moi,j'ai maigri pas mal. Toi, par contre... " Je plaquai la culottesur mes hanches: ça devait coller. J'enlevai mon bandage, ôtaima robe pour faire profiter les éventuels amateurs de mon anatomie,et enfilai la chose.

C'était déjà beaucoupmieux. Ça ressemblait à un tanga, noir, fortement renforcésur le devant de façon à bien niveler l'anatomie masculine:
- " Ça me va pas mal, mais ça me rentre bien dans lecul! " Il me fit avec un sourire moqueur:
- " C'est normal... Il faut bien que ça serre un peu, ilfaut souffrir pour être belle. Et puis si je peux me permettre,tu dois avoir l'habitude qu'on te rentre dans le cul... " Il mecaressait les fesses avec envie. Je lui souris d'un air coquin:
- " C'est vrai... D'ailleurs, si ça te dit, la place estencore chaude... " J'étais restée sur ma faim. Ilme lâcha et retourna à *** habillage:
- " Merci, t'es gentille, mais je suis passive. Pour la culotte,ça m'ennuie de te la donner, ça coûte bonbon. C'estune fabrication artisanale. "
- " Tu l'as trouvée où? "
- " À Paris, dans le Marais***. "
- " Tu la mets souvent? "
- " Non, pas trop. "
- " Eh bien, je te la rachète. Dis un prix. "
- " Je sais pas, moi... Cinquante Euros? C'est bien parce quec'est toi et qu'elle a déjà servie. " Je sortis lesbillets :
- " Vendue! " Il enfourna la monnaie dans *** vestiaire, misla dernière touche à sa tenue, me fit la bise et me criaavant de disparaître :
- " Je te ferais passer l'adresse par Chloé! Tu peux regardermon numéro, et pense à ce que je t'ai dit pour le strip-tease! Je suis sérieux ! " Je tentai de revenir sur mes pas, etfinis en coulisses, sur le côté de la scène. Je nem'étais pas trompé : Claudine faisait bien un play-backsur Juanita Banana, version remixée. C'était gentillet,mais pas trop mon style. Je m'imaginai quelques instants sur la scène,effectuant un strip tease torride, avec un final à couper le souffle...Qui sait ? Je me laisserai bien tenter, si je savais mieux danser...

Après m'être fourvoyéequelques fois et m'être fait aiguillée par un per***nel assezhostile, je me retrouvai dans la rue et retournai au " Lolitas ".Un groupe de jeunes que j'ai croisé m'avait fait des propositionsindécentes en riant, que j'ai dû malheureusement décliner.Je ne suis pas une fille -si- facile... En entrant dans le bar, jefis un signe à Chloé -de loin, le pouce levé-, quime fit un grand sourire. Il y avait beaucoup plus de monde, bien que laboîte soit maintenant ouverte.

Je posai la main sur l'épaule de Natty et lui fit la bise:
- " Merci ma chérie. Grâce à toi, j'ai trouvéce que je cherchais. " Elle en était ravie:
- " Alors, il va bien? Tu l'as vu? Tu as prévenu ses parents?" Ah... J'avais complètement oublié cette excusefoireuse...
- " Heu... Oui, tout va bien. Il va bien, il rappelle ses parents.Alors, je te paye un verre, ainsi qu'à ces demoiselles? "Elle rit:
- " Doucement, on dirait un mec qui drague en boîte... Maisoui, avec plaisir. " J'avais dû prendre un ton macho, àmon insu. Mais question aventures, j'avais ma dose. J'appelai Chloépour qu'elle prenne les commandes et lui fis un petit bisou discret. Jen'avais rien à partager avec ces filles, et retournai avec ma tablée:
- " Je rejoins mes copines. Tu m'enverras Chloé pour la note.Bises! "

Je me rassis à ma table. Stephme regardait d'un œil amusé:
- " Dis donc, on dirait que tu as la bougeotte, ce soir... " J'éludai la question. Je n'avais pas envie de replonger dans unalibi à la con. Moins on dit de men***ges, plus on se rapprochede la vérité****:
- " J'avais une course à faire... Vous parliez de quoi?D'Alicia et de sa sexualité hors norme? " Elles rirent. Carome fit sérieusement:
- " Tu n'es pas le centre du monde, bien qu'on pourrait le penser,vu le nombre de per***nes qui tournent autour de toi... Non, on parlaitdes femmes en politique. " Je soupirai:
- " Vous pouvez pas parler de fringues ou de vedettes de ciné,comme toutes les autres filles? " Elle se pencha vers moi:
- " Tu nous as bien regardées? On n'est pas comme les autresfilles. " Je tentai de mettre un peu d'ambiance:
- " Bon, ou alors quelque chose de rigolo, comme le surnaturel, lavie après la mort, les extraterrestres... Ce serait pas plusfestif, non, pour un samedi soir? " Steph lança à Mélanie:
- " Moi, je trouve que les femmes ***t vraiment sous-représentéesau sénat. Tous ces vieux machos séniles qui se serrent lescoudes et se cramponnent à leur fauteuil, ça me donne lagerbe. " Bon, apparemment, c'était raté pour la soiréepyjama. Je commençais à me faire sérieusement chier.

Dieu merci, un ange vint à marescousse une fois de plus:
- " Ma chérie, je prends ma pause. Tu viens? " Chloém'avait posé sa douce main sur l'épaule. Je me levai d'unbond et la pris par le bras. Elle m'attira jusqu'au bar, où elledemanda un verre d'eau à Isabelle. Elle avait quand mêmedroit à un peu de sirop. Je la grondai:
- " Va doucement avec le sirop de cassis! J'en aurais plus pour maSuze... " Elle rit:
- " Tu es la seule à en boire! Tu m'en as donné envie... C'est vachement bon, ça me change de la grenadine. Viens, on vadehors. J'ai cinq minutes. " Je lui posai la main sur l'épaule:
- " Au fait, tu n'as pas encaissé les consommations de latable de Natty! " Ça n'avait pas l'air de la préoccuperbeaucoup:
- " Bah...Tu paieras à Isa... Après ma pause."

Nous étions appuyéescontre la vitrine du Lolitas, assises sur le rebord de la fenêtre.Je me souviens d'avoir déjà fait un petit câlin àCarole au même endroit, une fois qu'on était sortis du restaurantqu'il y avait avant... Carole... J'espérais que tout se passaitbien pour elle. Pour elles...
- " Alors, Claudine t'a dépannée? " Chloém'a tirée de mes pensées.
- " Heu... Oui, Je lui ai racheté une de ses culottes.Assez sexy, au demeurant. Merci pour le tuyau. Ces bandes, ça foutaittout en l'air. " Elle se blottit contre moi:
- " Ne m'en veut pas, mais c'est pour ça que je t'ai pousséà aller voir Claude... Enfin Claudine. " Je lui fis unebise sur le front:
- " Mais non, pas du tout... En tout cas, je me doutais que c'étaitpas *** vrai prénom. " Je poussai un gros soupir. Elle s'eninquiéta:
- " Ça va pas, tu t'emmerdes avec moi? " Je la serraicontre moi:
- " Mais non, au contraire. C'est juste que les copines me gonflentà critiquer tout ce qui n'a pas de clitoris. C'est leur idéefixe. Je me fais un peu chier, même beaucoup, et il me tarde deme coucher. Avec toi, bien sûr... " Elle me fit un sourireenjôleur:
- " Oh! Comme il me tarde aussi de finir mon service... Encoredeux heures... Et j'ai les pieds en compote. "
- " Oui, j'ai pu les voir de près, ils ***t très abîmés." Elle regarda ses mains, honteuse:

chrislebo

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- " Oui, ils ne ***t pas beaux. Ça me gêne de te lesmontrer. " Je lui caressai la nuque:
- " Tu avais l'air d'aimer, quand je te les ai embrassés... "
- " Oui... Bien sûr, mais je m'en veux de t'imposer ça." Je me levai brusquement:
- " Tu ne m'imposes rien. Je te le prouve. " Je m'accroupissur le trottoir, devant elle, enlevai ses escarpins et posai ses piedsdouloureux sur mes genoux. Je les massais avec entrain et les embrassaistendrement, sans m'inquiéter des regards intrigués que mejetaient de rares passants. Elle sirotait *** verre en poussant des petitsgrognements de satisfaction. Un peu comme la dernière fois queje lui ai fait l'amour... Elle arracha ses pieds à ma sollicitude,à regrets:
- " Il faut que j'y retourne. C'était divin. Tu ne veux pasaller en boîte, t'amuser un peu? " Je lui remis ses chaussures:
- " Ouais, mais pas longtemps. C'est pas trop mon truc, le trémoussagede masse. Et puis, je suis fatiguée. "
- " Va danser. Quand tu en auras marre, je te donnerai mes cléset tu m'attendras. D'accord? "
- " Je préfère te ramener. Je t'attendrai, dussé-jeséduire d'autres conquêtes pour patienter. " Elle medonna une légère gifle en riant:
- " Petite salope! "

Elle m'embrassa tendrement et rentradans l'arène. Je la suivis jusqu'au bar, où Isa lui criaqu'elle était attendue à quelques tables avec impatience.Je me cramponnai au bar en jouant des coudes. Ce n'est pas qu'il y avaitune cohue terrible, mais je voulais être en face d'Isabelle. Elleme fit un grand sourire:
- " Qu'est-ce que tu veux, ma belle? " Je lui rendis *** sourire:
- " Juste payer les consos de la table de Natty. " Elle fouilladans une liasse de tickets et me tendit la note. Je payai, et, avant qu'elleait pris le billet que je lui tendais, lui saisis la main et l'embrassaiavec un clin d'œil malicieux:
- " Vous pouvez garder la monnaie, mademoiselle. " Elle rit,
la main sur le cœur.
Je retournai une nouvelle fois voirsi mes copines avaient changé de chaîne. Je ne pris mêmepas la peine de m'asseoir: Elles parlaient de l'avilissement de la femmedans la publicité, et le diktat des mâles désirantdes femelles sans défaut. Je mis mon grain de sel:
- " Dites, quand vous voyez une super nana faire de la pub pour duyaourt, vous croyez que c'est monsieur Muscle qui pousse le caddie? Non,ce ***t les femmes! Et nous désirons toutes ces créaturesde rêve, ou nous désirons leur ressembler, même laplus homo ou hétéro d'entre nous! C'est dans l'essence del'humanité, et ça ne sert à rien de palabrer, çafait des dizaines de milliers d'années que ça dure. Quelqu'unveut venir danser avec moi? " J'avais formulé ma questionsur un ton enjôleur, qui tranchait avec ma diatribe véhémente -mais certainement discutable- qui les avait clouées sur place.Pour une fois, j'avais mouché les déménageuses associées.Corinne se leva d'un bond:
- " Oh oui! J'ai demandé à Mélanie, mais ellen'avait pas envie. On y va? " Elle était fraîche etpétillante, c'en était un plaisir. Je fis la bise àMélanie, un peu triste de ne pas avoir ni le même goûtni la même énergie que sa jeune compagne. Je la rassuraien lui glissant dans le creux de l'oreille:
- " Ne t'inquiètes pas: Je veillerai à ce que per***nene te la prenne. Je m'enfermerai dans les toilettes avec elle, ce seraplus sûr... " Elle me fusilla du regard. Je lui caressaila joue en souriant, sans grand effet. Corinne me tira par le bras:
- " Allez, bouge! En plus, j'ai envie de pisser. " Je ne croispas qu'elle m'ait entendue parler à *** amie, mais ma plaisanterierisquait fort de se muer en prophétie...

Elle m'entraîna dans les toilettes.Il y en avait une de libre, et elle s'enferma avec moi. Elle baissa saculotte et se soulagea rapidement, en faisant entendre un jet ***ore contrela porcelaine, ma musique préférée :
- " Vache! Je commençais à avoir sérieusementenvie! " Elle chercha désespérément du papierhygiénique dans le dévidoir:
- " Merde... Elles ont tout bouffé, les gouines! T'auraispas un mouchoir en papier, dans ton sac? " Elle avait beaucoup d'humour,aussi. Je restai les bras croisés:
- " Oui, mais je ne te le donnerai pas. Lève-toi. " J'avaisencore le goût de l'urine ma maîtresse sur la langue... Elle se leva, troublée. Elle savait ce que j'avais en tête,et de quoi je pouvais être capable. Je m'accroupis et glissai malangue dans sa fente juvénile. Elle était bien épilée,seule restait une petite touffe de la taille d'une petite boîted'allumettes. Je fis sa toilette rapidement. Elle en aurait bien supportéplus, mais je ne voulais pas la prendre à Mélanie. Justela goûter, par gourmandise. Je me relevai:
- " Pourquoi tu t'es enfermée avec moi? Tu craignais de manquerde papier? " Sa voix était tendue par l'excitation:
- " Tu m'as terriblement troublée, maintenant et tout àl'heure. Ce que tu as fait, ce que tu as dit... Je t'admire : tu n'esqu'un sexe offert au plaisir de ton homme. " Je souris:
- " Un peu plus que ça, tout de même... " Ellese rassit sur les toilettes et mit les mains sur le bas de ma robe:
- " Montre-moi. Tout. " Je lui cramponnai les mains:
- " Non! Il n'y a rien à voir. " Elle me fit un sourireentendu:
- " Je sais tout, Mélanie m'a tout dit. " Quelle bavarde,celle-là...
- " Dit quoi? " Elle releva ma robe d'un coup sec:
- " Que tu es un homme... Tiens, tu n'as plus tes bandages... Chapeau pour l'alibi, au fait... " Je la laissai baisser ma culotte,très serrée. Elle caressait mon sexe, du bout des doigts:
- " Tu sais que j'en ai jamais vu de près? D'homme, je veuxdire... "
- " Et bien, ta curiosité est récompensée. J'espèreque tu es la seule au courant? "
- " Mélanie me l'a dit à l'oreille. Je lui faisaisla gueule parce qu'elle m'a fait comprendre qu'elle en savait beaucoupplus que ce qu'elle voulait bien me dire, et elle a fini par craquer.Mais moi, rassure-toi, je sais tenir ma langue. " Elle tenta de memasturber maladroitement, et je lui mouillai les doigts:
- " Mais t'es plein de sperme! Je te fais jouir? " Je ris. Ellene connaissait rien aux garçons, visiblement:
- " Mais non. Ce n'est que de l'excitation. Les garçons mouillentaussi, tu sais. Et je n'ai pas joui. " Elle goûta ses doigts,et suça mon gland du bout de ses douces lèvres:
- " C'est pas mauvais... Un garçon. C'est pas pareil qu'unefille... " Elle remontait ma culotte, mais je l'en empêchai.Elle crut que j'en voulais plus:
- " Non, s'il te plait... J'ai pas envie. Je voulais voir, c'esttout... " Je ris:
- " Mais non... C'est juste qu'il faut que je débande unpeu... Voyons... Pen***s aux sénateurs séniles quise cramponnent à leur fauteuil... " Elle rit. Je lui caressaila joue:
- " Ça se passe bien, avec Mélanie? "
- " Oh oui, très bien... Nous sommes très amoureuses.Elle me fait faire de ces trucs... C'est vraiment très cochon."
- " Avec *** chien? " Elle me mit une tape dans l'estomac:
- " T'es bête... Elle est vicieuse, mais pas autant quetoi... " Pour une fois, le Sénat avait agi: je pouvaisme rhabiller sans problème. Nous sommes sorties, sous le regardentendu de quelques filles qui attendaient leur tour, peut-êtrepour faire la même chose... À l'entrée du dancing,la charmante videuse nous fit signe qu'il y avait juste deux entrées.Nous avons donc pris place sur le trémoussarium après uncrochet par le vestiaire.

La musique n'était pas tropmal, récente, mais assez dans mon style. Bien sûr, on nepouvait entendre que des femmes chanter. J'étais assez réticentà me déhancher à cause de mes chaussures: elles avaientune pointure de trop, et, malgré le coton, je sentais qu'ellesrisquaient de voler à chaque instant. Je décidai de lesôter et les coinçai derrière un radiateur pour êtresûre de les retrouver. Je me sentais beaucoup plus libre et me défoulaishardiment, pour le plus grand plaisir de Corinne. La fatigue, chasséepar cet afflux d'adrénaline, avait disparu. Elle me souriait etne me quittait pas des yeux. J'avais bien l'impression qu'elle étaità nouveau -ou encore- amoureuse de moi. J'affectais de ne pas laregarder directement, et observais les autres danseuses. Pas une ne semblaients'intéresser à moi. Une fille m'a souri, toutefois. Je commençaisà douter de mon charme vénéneux...

Après quatre ou cinq titresbien rythmés, La disc-jockey de la boîte -J'ai appris plustard par Chloé que c'était la patronne- nous gratifia d'unebalade romantique, assez incongrue après ce qu'on venait d'écouter.Aussitôt, Corinne m'enlaça passionnément sans me demandermon avis, me donnant une idée assez précise de ce que ressentun crabe dans les tentacules d'une pieuvre. Elle se collait à moitrès étroitement, et j'avais l'impression confuse qu'ellerecherchait le contact de mon sexe. Elle s'épancha dans mon oreille:
- " Je crois que j'ai envie de toi... Je te désire depuisque je t'ai vue pour la première fois, si timide devant le Lolitas... Je ne savais pas alors pourquoi je ressentais un tel trouble... "
- " Tu comprends maintenant pourquoi je me refusais à toi.Je ne crois pas que tu aurais apprécié la surprise... "
- " C'est vrai que j'aurais eu un choc. Mais moi, tout ce que jepeux ressentir de toi, ce ***t des sentiments de fille. Je veux dire quetu es une fille, ton sexe mis à part. "
- " Détrompe-toi. Je suis un homme, marié, et j'aimême une maîtresse, en dehors de mon amant. Et je ne te parlemême pas de Chloé... Au fait, Mélanie t'a dit quic'était, ma femme ? " Elle se recula et me fixa dans les yeux:
- " Non... Qui c'est ? " Je lui fis un bisou sur la bouche:
- " Si Mélanie ne te l'a pas dit, ce n'est pas la peine queje le fasse. Ce coup-ci, tu nous prendrais vraiment pour des tordus. "Elle rit:
- " C'est déjà fait. Je parie que c'est Mélanie! Elle se plaint toujours de *** mari pervers, et en plus, vous êtesarrivées ensemble. Bien sûr, je ne l'ai jamais vu, commepar hasard, il n'est jamais chez elle..." Je pris un air sérieux:
- " On peut dire que tu es perspicace. Mais qui est Denis, alors?"
- " Ben... Ton amant ! Vous vous êtes tournés tousles deux vers des per***nes de votre sexe, mais vous restez ensemble pourassouvir vos fantasmes. C'est pour ça qu'elle était si émoustilléequand elle t'a vu te faire ... Tu vois ce que je veux dire. "

Elle me fixait d'un air de défi.Je me rendis, après un long silence:
- " Il n'y a plus rien à ajouter. " Elle me serra fortdans ses bras, et me fit, surexcitée:
- " Si. Vous me partagerez toutes les deux. À trois, dansle même lit. "
- " Je ronfle... Bon, on en reparlera avec bobonne. " Elleétait satisfaite. Elle avait dénoué l'imbroglio dusiècle, et avait réussi à s'immiscer dans un couplede pervers. Je me demande si Jikka serait d'accord...

Nous avons dansé enlacéeencore deux slows, nous nous sommes trémoussées jusqu'àune heure, puis nous sommes remontées. Elle me tenait par la main,et ne semblait pas vouloir me lâcher. Chloé nous vit et détournabrusquement le regard.

Nous nous sommes rassises àla table. J'avais besoin d'un verre, et les abreuvoirs de ces dames étaientà sec. J'essayais d'attirer l'attention de Chloé en remuantdésespérément les mains, mais elle faisait la sourdeoreille**.

Corinne avait retrouvé sa petiteamie. Elle la couvrait de caresses et de baisers, mais Mélaniedevait sentir qu'elle avait quelque chose à se faire pardonner,et y semblait assez hermétique. Chloé était au baret confiait une commande à Isabelle. Celle-ci lui parlait assezsèchement en lui désignant notre table du doigt : elle emportases verres en haussant les épaules. Elle finit par arriver, entraînant les pieds, la mine sombre. Ses copines l'accueillirenten la chahutant, mais elle n'en avait que pour moi. Elle me fit, assezen rogne:
- " Ça y est, tu as tiré ton petit coup? C'est meilleur,avec une jeunette, hein? " Je me demandai si les femmes utilisaientaussi cette expression entre elles, ou si elle était juste destinéeà l'homme que j'étais de temps en temps. Je lui souris tendrement:
- " Allons, ma chérie, nous sommes allées danser... "
- " Ouais... Dans les chiottes, il y a tellement plus de place... " Je suis sûre que toute la boîte était au courant.Mélanie n'avait même pas bronché. A peine avait-ellebaissé les yeux...
- " Ce n'est pas ce que tu crois. Elle voulait voir... mes bandages,et ce qu'ils cachaient. Rien de plus. Fais-moi confiance... S'il teplait.... " Elle se radoucit un peu, mais je ne crois pas que jel'ai convaincue. À voir *** regard... d'autant que Corinne avaitrecommencé à me couver des yeux, c'en était presqueindécent. Elle prit les commandes, et je me laissai séduirepar une crème de whisky. Corinne, qui buvait mes paroles commesi j'étais le messie, cria:
- " Oh oui, moi aussi! Ça fait longtemps que j'en ai pas bu,c'est vachement bon! " J'essayai de refréner *** enthousiasme:
- " Hé, du calme! Tu devrais arrêter la cocaïne...Tu as les yeux bien brillants, je trouve... " Elle me regardaitavec un immense bonheur dans les yeux:
- " C'est tout ce que tu m'as raconté sur Mélanie ettoi qui me rend folle! Il me tarde de... " Je la coupai ************
- " Oui, bon, ça va! Tout le monde n'est pas censéêtre au courant! " Mélanie nous regarda d'un œilnoir, toutes les deux, et commençait à regretter d'avoirparlé. Bien fait. Steph et Caro, plutôt avachies l'une surl'autre sur la banquette, nous regardaient nous débattre dans notrevaudeville en trois dimensions d'un air goguenard:
- " Tu nous mettras deux babies. Avec beaucoup de glace. "
- " Et toi, ma pauvre chérie? Bienvenue au club, au fait." Chloé s'était adressée à Mélanie.Elle était ailleurs:
- " Hein? Ah! Heu... Encore un Margarita, s'il te plaît.Je crois que j'en ai besoin... "
- " Ouais, moi aussi, mais je ne dois pas boire pendant le service." Elle s'éclipsa.
chrislebo

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L'ambiance était assez tendue,seules les deux lesbiennes pur sucre semblaient s'amuser de la situation.Je ne serais pas surprise qu'elles y soient pour quelque chose... Chloérevint avec nos consommations. Elle semblait avoir digérémon escapade, et me fit même un sourire, que je devinai un peu forcétout de même. Je lui rendis un bien plus éclatant:
- " Viens m'embrasser, ma chérie. Pense à ce que j'aipromis de te faire... Encore pire que dehors. " Elle rit franchement:
- " Arrête, elles vont croire que tu es une perverse... " J'ouvris mon portefeuille pour payer, mais fis la grimace. Il neme restait plus grand-chose, après mes emplettes chez Claudine,et les verres que j'avais déjà payés. J'eus toutde même juste assez.

Je sirotais mon dernier verre en écoutantparler mes amies. Elles avaient enfin entamé un sujet intéressant,le don d'organes. Nous étions toutes pour, sauf Mélaniequi tenait à rester intacte pour sa prochaine résurrection.Je repensai à Juliette: j'avais vraiment envie d'elle, malgré*** âge.

Steph charriait Mélanie:
- " Parce que tu crois que tu vas rester nickel sous terre, en attendantsagement les trompettes du jugement dernier? Tu vas d'abord moisir ette faire bouffer par les vers, et dans vingt ou trente ans, on jetterates trois nonosses qui resteront à la fosse commune. Aprèsavoir piqué tes bagouzes et tes dents en or, bien sûr. Alorsque tu aurais pu sauver une vie, que dis-je, plusieurs vies avec tes organes!Ça me révulse qu'on puisse encore croire à des conneriespareilles à notre époque! " Mélanie restaitprostrée, mais ce n'était pas ces paroles de faux prophètequi allait la faire changer d'avis.

J'avais fini mon verre, et avais enviede changer d'air:
- " Dites, les filles, je vais faire un retrait, je suis quasimentà sec. Vous voulez venir avec moi? " Corinne finit *** verreavant de répondre, toujours aussi amoureuse:
- " Oh oui, on va prendre l'air! " Elles se levèrenttoutes. Steph et Caro nous firent la bise:
- " Nous, on se casse. De toute façon, Ca va bientôtfermer. J'ai horreur de me faire jeter à coup de balai. "Caro rajouta en me regardant d'un air goguenard:
- " Et merci pour l'attraction. Ton mec est une véritableinvitation au lesbiennat. Je te rassure, on a bien rigolé quandmême, mais la prochaine fois, tu le laisses dans sa niche, on préfère...Allez, salut! " Elles s'éclipsèrent en se tenant parla main. Mélanie n'avait pas fait part de ses intentions, maisse préparait à nous accompagner. Elle n'allait pas encorenous laisser seules toutes les deux...
Je fis un petit signe circulaire de la main à Chloé pourlui signifier que je revenais, avant de sortir.

Comme je le craignais, ça s'étaitsérieusement rafraîchi. Dieu merci, j'avais ma culotte "Couilles Croisées " de Playsex. Le distributeur de billetsn'était pas loin, près du commissariat et de l'endroit oùj'avais laissé mon scooter la fois précédente. Jefis à Mélanie, toujours un peu sombre et boudeuse:
- " Ma chérie, la petite sait tout à notre sujet. Elleveut vivre avec nous. " Elle s'arrêta net:
- " Quoi? Qu'est ce que tu lui as raconté? " Je prisun air innocent, ce que j'étais après tout:
- " Moi, absolument rien, elle a tout deviné toute seule.Toi, par contre, tu as été trèèès bavarde... Et ne rajoute plus un mot à mon sujet, compris ? " Je retiraimes billets, et nous sommes rentrées au " Lolitas ".Je n'ai plus rien dit, les laissant se débattre dans leur quiproquo.Ça devait les occuper un moment... Elles ***t passéesdevant la boîte sans s'arrêter, sans un mot pour moi.

Deux heures approchaient. J'étaisassis au bar, en devisant par moments avec Isabelle quand elle passaità ma portée. Elle finit par ne plus bouger beaucoup et paressuyer ses verres avec un bruit de grincement agaçant. Elle meconfia d'un air grave, pendant que Chloé nettoyait rapidement lestables au fond de la salle:
- " Tu sais, elle a presque pleuré quand Caro lui a dit quetu étais partie aux toilettes avec Corinne. Elle y est mêmeallée, pour voir si c'était vrai. Quand elle est revenue,elle était complètement abattue. Déconne pas avecelle, elle est assez malheureuse comme ça... " Je lui souris:
- " Ne crains rien, C'est Corinne qui m'a entraînée.Elle voulait que je lui confie des détails croustillants sur mesrapports avec mon mari. Je lui ai raconté que j'utilisais du matériel... Bref, elle voulait voir. C'est tout. Je ne veux pas la piquer àMélanie après avoir tout fait pour qu'elles se mettent ensemble.Mais je crois que tu en as été un peu témoin... " Elle me sourit franchement à *** tour:
- " Oui, Tu as rai***... Je te fais confiance. Tu n'as pas l'aird'être une écervelée, contrairement à ce quej'entends sur toi... Et même bien pire. Mais la voilà... Elle en a plein les bottes, on dirait. " En effet: elle arriva versnous en boitant un peu, *** plateau lourdement chargé de verres,en poussant un gros soupir:
- " Ouafff! C'est plus de mon âge, ces conneries... J'ai l'impressiond'avoir cent ans. " Elle posa péniblement *** plateau surle comptoir et tomba dans mes bras. Elle sanglotait doucement:
- " Tu m'as fait peur... J'ai cru que tu allais me larguer pourCoco... " Je lui tapotai l'épaule:
- " Mais non, mais non... Tu as bientôt fini? " Isabellerépondit pour elle:
- " Ça y est, elle a fini. Elle va se changer et elle va rentrerchez elle se faire dorloter un peu. Je terminerai. "

Chloé remercia *** amie -unevraie, celle là- et courut tant bien que mal se changer. Elle revintau bout de deux minutes, avec les mêmes vêtements que la veille.Nous fîmes la bise à Isabelle. Comme nous allions partir,je fis à Chloé:
- " Tu ne te caches pas sous le comptoir, ce soir? " Elle rit,et me fit avec de grands yeux ingénus:
- " Mais je ne me cachais pas, je lui faisais une pipe! " Isabellesecoua la tête en riant:
- " Allez, barrez-vous, pauvres malades! " Nous ne nous sommespas fait priées. Mais avant, je suis passée derrièrele comptoir, j'ai pris le bouquet de roses en en donnant une àIsabelle, ainsi qu'un baiser sur la bouche. J'aime goûter aux femmes...

Chloé n'a rien dit, elle avaitmême l'air d'avoir apprécié mon geste. Nous sommesrentrées directement chez elle, sans passer boire un petit coup.Moi, j'avais eu ma dose, et j'étais plutôt claquée.Je n'avais pas beaucoup de sommeil, ces temps-ci. Moi qui suis du genremarmotte...

En entrant dans *** appartement, j'eusun choc. Il était toujours aussi ringard, mais on voyait qu'elleavait fait de gros efforts de nettoyage et de décoration. Je disposailes roses dans un grand vase à la mode -des années soixante- qui semblait les attendre et leur donnai de l'eau. Chloé fit volerses escarpins dans l'entrée -ce devait être un rituel-, sedéshabilla entièrement et s'allongea sur le lit en poussantun grand soupir. J'aurais bien aimé l'assister... Je me plantaidevant elle, les mains sur les hanches:
- " T'as oublié d'écarter les cuisses... " Elle sourit, navrée:
-" Excuse-moi, je suis crevée. Je ne crois pas que je te feraisl'amour ce soir. " Moi, quand je suis avec une nouvelle conquête,même crevée, j'arrive encore à la désirer.Non, elle devait vouloir me faire payer mon fricotage... Mais j'enpris mon parti et entrepris de m'occuper d'elle, de gré ou de ******* revins avec une bassine d'eau chaude qui devait lui servir àfaire sa petite lessive -d'après l'odeur de détergent-, une serviette, du savon, ainsi qu'un tube de crème pour les pieds,trouvé dans *** armoire à pharmacie. Je l'avais fouilléependant *** sommeil à la recherche d'un quelconque tube de lubrifiant,au cas où...

Elle releva la tête, intriguée,et un peu contrariée:
- " Qu'est-ce que tu fous? T'es pas fatiguée? "
-" Oh! Si... Mais moins que toi. Je veux m'occuper de ton corps." Elle regardait la bassine et le savon, et dit comme je lui empoignaisun de ses pieds martyrs:
- " Ah ouais... Je pue, quand même... Je te dégoûte?" Je lui fis d'un air salace:
- " Oh! Non, regarde... " J'engloutis *** pied odorant dansma bouche, aussi loin que je le pus. Elle me fixait, les yeux troubles,en soupirant. Je le suçai longtemps, et cela me faisait plutôtmal: elle avait de joli petits pieds, mais assez gros pour ma petite bouche.J'en fis autant avec l'autre, et les léchai sur toute leur surface,avec application, en n'omettant pas d'aller entre les orteils. Elle nedisait plus rien, et se laissait faire avec délice. Je posai labassine sur le lit et les plongeai dedans. Elle sursauta:
- " Hou! C'est chaud! "
- " Ça te détendra... "

Je les savonnai abondamment en lesmassant énergiquement, puis les abandonnai un peu pour aller voirleur maîtresse. Ma maîtresse. J'appartiens à cellequi veut bien de moi. Elle m'embrassa fougueusement en m'enfonçantsa langue dans la bouche. En langage des signes, ça voulait dire" baise-moi! " Je descendais embrasser ses jolis seins aux petitstétons dressés. Je les caressais tendrement, délicatement,du bout des doigts et de la langue. Chloé soupirait d'exaspérationet d'excitation.

J'essuyai ses pieds et les enduisisde crème nourrissante. Je lui prodiguai un nouveau massage longet consciencieux, puis me lavai les mains dans la cuvette, en feignantde ne pas m'apercevoir que j'étais attendue.

Elle m'attira sur elle, m'embrassaet me dit:
- " Putain, tu m'excites trop! Tu sais que j'étais sur lepoint de jouir? Per***ne ne m'a caressé les pieds comme tu l'asfait. Je n'aurais jamais cru que ce soit possible. On en apprend àtout âge, même sur soi... " Elle était bienbavarde... Je lui écartai les cuisses, doucement, et me misà quatre pattes au-dessus d'elle pour la goûter. J'ouvris*** sexe luisant et gonflé du bout des doigts, en prenant gardede ne pas le toucher et plaçai mon visage à quelques centimètres.Elle tendit *** bassin pour mieux m'accueillir, mais je restais distante.Je l'effleurais du bout de ma langue, par petites touches trèsdouces. Carole m'avait appris que cela devenait vite insupportable. Jerésistais aux exhortations de Chloé qui souffrait le martyre.Elle désirait que je la prenne, en me lançant des termestrès crus et en m'insultant, mais je restais impassible, continuantà la ********. Elle ne pouvais pas me déloger: j'étaiscramponné à ses cuisses aussi solidement qu'un morpion l'estaux poils pubiens d'un marin à l'escale.

Elle commençait à haleter,et me suppliait " d'achever sa moule à grands coups de bite." C'est pour dire dans quel état je l'avais amenée.Curieusement, je n'étais pas spécialement émoustillée,concentrée sur mon travail de précision qui durait depuisun petit moment déjà. Je me sentais l'âme d'un bourreauqui torturait sans passion, parce que c'était *** métier.Je n'irais pas jusqu'à dire que je n'y prenais pas de plaisir...

Je décidai de lui assénerle coup de grâce. J'aspirai *** clitoris et me mis à le téterfurieusement. Elle hurla longuement. Les voisins avaient attrapéleur balai pour lui intimer l'ordre de baisser ses vocalises, mais sansrésultat. Elle devait en avoir l'habitude... Moi, j'aimeraisbien être réveillée par les cris de ma maîtressepilonnée par Denis...

Je remontai m'allonger à côtéd'elle. Elle avait l'air apaisée, mais très triste:
- " Putain, mais qu'est ce que t'es salope... Je te criais quej'avais envie de toi, et toi, tu continuais à m'agacer avec talangue... "
- " Tu n'as pas aimé? "
- " À ton avis... Mais on dirait que tu n'as pas enviede me sauter. Je suis sûre que tu préfèrerais Corinne... " Je me relevai et la toisai:
- " Il n'y a rien qui te choque? " Elle me détailla dela tête aux pieds, d'un air dubitatif:
- " Ben non... Je vois pas... "
- " Je viens de te faire l'amour pendant près d'une heure,les pieds compris, et j'ai encore mes escarpins. " Elle se renditenfin compte qu'elle m'avait complètement négligéedepuis que nous étions rentrées. Elle baissa la tête:
- " Ben... J'étais crevée. Je me suis foutu àpoil pour que tu me sautes, que je puisse dormir. C'est vrai que çane s'est pas passé comme ça... " Je croisai lesbras et lui fis la morale:
- " Ah bravo! Tu veux me faire payer mon petit flirt avec Corinne?" Elle ne répondit rien, et partit se laver les dents. Jedébarrassai mon matériel et l'imitai, enlevai ma perruqueet me démaquillai. Cette fois, je n'avais rien oublié.

Elle se coucha dans les draps et meregardait me dévêtir sans un mot. Elle ne fit mêmepas une remarque sur ma lingerie toute neuve. Je la rejoignis sous lesdraps et elle se blottit sur moi, silencieuse. Je lui en fis la remarque:
- " Toi, tu as un problème... " Elle soupira:
- " Tu ne m'aimes plus. J'ai tout entendu, dans les toilettes. Tului as fait l'amour. " Je soupirai à mon tour:
- " Mon dieu, que vous êtes compliquées, les femmes... Je l'ai juste goûtée. Ça n'a pas étéplus loin. Je crois que je te l'ai déjà dit, mais je suisun esclave, au service de mon maître et de ma maîtresse. "
- " Oui, je crois que tu m'as dit que tu étais maso. Quelrapport?"
- " Oui... Et bien, par extension, je me mets au service de ceuxou celle qui le demande. Je prends mon plaisir comme ça. Et là,il se trouvait que Corinne n'avait plus de papier pour s'essuyer... " Elle m'arrêta:
- " Ça va, j'ai compris... Bonne nuit. Au fait, si tu veuxme baiser, te gênes pas. " Elle me faisait encore la gueule.Si j'avais su, je l'aurais sautée, Corinne.

J'étais en rogne, et trop énervépour dormir. J'avais une furieuse envie de me barrer, mais si je le faisais,j'étais sûr qu'elle ramperait à mes pieds pour medire qu'elle était désolée. Je finis tout de mêmepar m'endormir comme une masse. Je fus tiré de mon sommeil parles fesses de Chloé qui se frottaient sur mon sexe en érection.C'était une érection nocturne, sans désir. C'estmême assez désagréable, contrairement à ceque peuvent penser certaines femmes qui nous prennent pour des satyres.Elle soupirait très fort, je crois qu'elle dormait, ou n'en étaitpas loin. Cette fois, elle ne me guidait pas, et je la laissais se calmertoute seule en me tournant. Elle revint à la charge et colla sesfesses sur les miennes. Elle s'arrêta net en se rendant compte queje m'étais retourné. Elle devait croire que j'étaismieux disposé... Je me rendormis rapidement.

Je fus réveillé par sesdouces lèvres autour mon sexe. Je lui caressai la nuque, elle s'arrêtaet vint m'embrasser tendrement:
- " Bonjour, mon chéri... Tu as bien dormi? " J'étaistotalement vaseux:
- " Bof... Pas assez. " Elle me regardait dans les yeux.Enfin, plutôt les paupières : je n'étais pas franchementréveillé:
- " J'ai attendu toute la nuit que tu me fasses l'amour, comme ladernière fois... J'ai cru que tu allais me prendre, et puistu t'es tourné. J'en ai pleuré... C'est ma faute, jesuis une grosse conne... Tu me donnes un plaisir inouï, sans quetu en prennes toi-même, et moi je t'engueule. Je mérite quetu te venges sur moi. Fais-moi tout ce dont tu as envie. Fais-moi ce qu'onte fait. Sinon, je ne mérite pas ton amour...
- " C'est pas si simple. Et je ne veux pas me venger. " Elleavait l'air désespérée:
- " Mais si! Je suis méchante, égoïste, conne.Tu veux venir dans ma bouche, ou tiens, encore mieux: me prendre par derrière,comme tu aimes tant? " Je la calmai:
- " Bon, d 'accord, je veux bien te punir. Et si tu veux vraimentme faire plaisir, je te conduis à ma maîtresse. Elle chercheune nouvelle esclave. Et même qu'en ce moment, elle doit s'envoyerma femme. Tu sais, la foldingue rousse... " Elle rit, les yeuxpleins de larmes:
- " Ah ouais ?... Je te jure que je le ferai, si tu le désires.Je risque pas de te perdre, en faisant ça? "
- " Mais au contraire, c'est ma voisine ! Et *** mari, c'est Denis,mon mari d'hier soir... " Elle se prit la tête dans lesmains :
- " Hou là là... Mais il a l'air un peu... bizarre,non? " Je ris:
- " Mais non, C'était un rôle qu'il jouait... àla perfection. On s'est bien amusé, du reste. Bien, tu es prêtepour ta punition? " Elle me fit un grand sourire, heureuse qu'onsoit tous les deux de nouveau en phase. Elle se leva:
- " J'ai du beurre dans la cuisine, ça ira? " Je la retinspar la main:
- " On a un peu évolué depuis le dernier tango àParis. Mais ce n'est pas à ce genre de punition que je pensais.La sodomie doit être un plaisir, pas une corvée ni une ************ ici. " Je n'avais plus du tout envie d'elle. Elle avait rompule charme.

Je pris une longue règle plateque j'avais repérée sur *** bureau et la fis mettre àquatre pattes sur le bord du lit. Je pris ma petite culotte toute neuve-celle que j'ai remplacée par mon tanga blindé- dans monsac à main, l'enfournai dans sa bouche et la bâillonnai avecla bande. Je lui mis un grand coup de règle sur les fesses quiclaqua comme un coup de fouet dans le silence du petit matin, et ellepoussa un gémissement. Les voisins risquaient de ne pas apprécier... Je décidai de la frapper avec la tranche: ça ne faisaitpresque pas de bruit, mais beaucoup plus mal. Elle se laissa corrigersans trop bouger. Je n'entendais que ses gémissements, et ses sanglots.Elle se contorsionnait tout de même pour amortir les coups, maisje la frappais en tout sens, très vite, aussi sur les cuisses etle dos. Je crois qu'elle n'en pouvait plus, et moi, j'avais une érectionterrible. Serais-je sadique? J'aurais décidément tous lesvices !

Je jetai la règle par terre.Je me rappelai le souvenir traumatisant de *** enfance. Je posai une mainsur sa croupe et enfonçai mon majeur dans sa raie, caressant furtivement*** petit trou qu'elle m'avait pourtant offert de bon coeur. Elle tressailliten gémissant. J'avais envie de la saillir comme une chienne etde prendre égoïstement mon plaisir en elle, mais j'avais unmeilleur projet pour ma semence...

Je m'habillai en homme. Elle ne pouvaitpas parler, toujours bâillonnée, mais voyait que je m'enallais. Elle pleurait. Juste avant de partir, je la libérai:
- " Tu veux venir avec moi? " Elle essuya ses larmes:
- " Tu m'as fait drôlement mal... Je travaille àla boulangerie ce matin. Tu restes pas un peu, mon chéri? Et fairel'amour, maintenant? On a le temps... " Je lui répondisd'un ton glacial que je ne me connaissais pas :
- " Non, je n'ai pas envie. Je te laisse les papiers dont je t'aiparlé, il y a mon numéro de téléphone dessus.Appelle-moi si tu veux me voir cet après-midi. Je serais peut-êtrelibre. " Je refermai la porte, la laissant pleurer à chaudeslarmes sur le lit. C'était la première fois que je faisaispleurer une femme de la sorte. J'eus un pincement au cœur et la nauséeme monta aux lèvres quand je démarrai la voiture:
-" Bah... Elle appellera. C'est sûr. "
chrislebo

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JULIETTE LA GRENOUILLE.


J'entrai dans la mai*** discrètement -les volets étaientencore fermés- et je donnai à boire et à manger àW qui se frottait dans mes jambes. À cette heure-ci, d'habitude,il a déjà mangé... J'entrai doucement dans la chambresombre et attendis quelques instants que mes yeux s'habituent àla pénombre. Une chaude et forte odeur de transpiration et de luxure -mêlée à une senteur plus étrange- chatouillames narines. Le soleil filtrait sous les volets et éclairait lelit en un long ruban de lumière orangée. Diane étaitencore là, couchée en chien de fusil derrière Carole.Elles étaient sublimes, empêtrées dans les draps quilaissaient paraître leurs rondeurs féminines. Je me déshabillaien silence et m'approchai du lit.

Soudain, mes poils -si j'en avais euencore- se hérissèrent: J'avais mis le pied sur une chosefroide, humide et gluante. Mon imagination passa en revue toutes les chosesplus horribles les une que les autres qui auraient pu correspondre àcette abominable sensation. Ces choses, tapies dans mon inconscient, quim'avaient donné des cauchemars, enfant. J'approchai doucement lamain... Une peau de banane. Je heurtai encore une chose froide et humidedu pied, qui semblait rouler. Ce ne devait pas être bien grave...

Je m'allongeai doucement derrièreDiane et me collai contre sa croupe plantureuse. Elle releva ses fessesen grognant:
- " Bonjour, mon chéri... " Elle ne bougea pas plus.Je glissai mon sexe en érection dans *** gros fessier humide etla pénétrai facilement. Elle semblait pleine et *** sexeémis des gargouillis ***ores. Diane enlaça amoureusementCarole qui semblait émerger et qui murmura:
- " Baisez bien, mes amours... " Pour toute réponse,je lui caressai un sein. Je la sentais participer en nous accompagnantpar des coups de reins chaloupés. Je n'ai pas résistélongtemps, et me mis à crier. Je me vidai en Diane de toute monexcitation contenue, et le torrent de sperme dont je l'abreuvai me fitpresque mal. Elle continua à onduler amoureusement en me caressantla cuisse:
- " Tu m'as trouvé bonne, mon chéri? " Je luisoufflai dans le cou:
- " Oui, très... Je n'ai même pas pu t'honorer jusqu'aubout... Je suis désolé. "
- " Ne t'excuse pas, ce n'est pas grave... Au fait, j'ai adoréton cadeau. Je t'avoue que sur le coup, j'avais plutôt envie det'arracher les yeux... Oh! On dirait que tu te retires... Tu m'as encorebien remplie, et cette fois, pas par la bouche. J'aime ça. "

Carole se retourna et forçaDiane à s'allonger sur elle, en position de soixante-neuf. Ellerit:
- " Tu es insatiable! Tu m'as mangée toute la nuit! "
- " Oui mais là, c'est le bon jus de mon petit mari. Donne-moitout " Je m'allongeai à côté de mon épouse,caressant les parties de *** corps que je pouvais atteindre. Elle buvaitau sexe de Diane à grosses lampées. Elle me fit, de sesyeux amoureux:
- " Tu es bon, mon chéri... Encore meilleur dans une fille." Je me retournai pour aller embrasser Diane et lui disputer le sexede Carole. Elle, avait saisi mon membre et tentait de lui redonner vie.

Diane jouit en m'embrassant, et retombasur Carole. Elle se laissa rouler sur le lit. Ma tendre épousese jeta sur mon sexe et se lança dans une fellation grandiose,à quatre pattes. Diane la caressait, la main profondémentenfoncée entre ses cuisses et la faisait gémir. Carole sereleva et s'empala sur moi, sans lâcher la main de *** amante:
- " Viens me caresser, ma chérie. Donnez-moi du plaisir, tousles deux... " Elle était trop excitée et trop mouilléepour que je la sente, mais Diane, qui s'était mise à genouxà côté d'elle, l'embrassait, tétait ses seins,et la caressait des deux mains, une dans *** sexe et une entre ses fesses.Elle ne m'oubliait pas dans ses attouchements, d'ailleurs. Elle insinuaitses doigts dans *** vagin, le long de mon sexe. Carole ne bougeait plus,se laissant attaquer de toutes parts, caressant les seins de Diane. Ellese mit soudain à me chevaucher et explosa dans un râle déchirant,Diane la soulevant presque tellement elle enfonçait ses doigtsdans ses orifices. Carole se laissa tomber sur moi et m'embrassa. Dianenous rejoignit et se coucha contre nous. Nous caressions tendrement monépouse tous les deux. Elles étaient épuisées:elles n'avaient pas dû beaucoup dormir...

Je me dégageai et les laissai enlacées à nouveau.D'après l'état de leurs sexes, elles avaient dû avoirune nuit torride. Et la pauvre Carole qui devait prendre la route... Je pris une douche et préparai le déjeuner. Je fis du caféen quantité pour nous réveiller tous, grillai des tartines -la boulangère ne passait pas le dimanche, feignante- et apportaiun grand plateau garni à mes tourterelles lubriques, que je posaisur le lit. Je croyais qu'elles s'étaient rendormies, mais ellesétaient simplement dans le coma. J'ouvrai les volets et la fenêtre:ça sentait vraiment le fauve...Je découvris la lingeriede Diane jetée sur une chaise et ramassai les restes de leur orgie:une peau de banane et deux morceaux de concombre. Le pauvre avait biensouffert... Diane m'arrêta:
- " Ne le jette pas, je vais le manger en salade. Il doit êtreimprégné de nous deux... "
- " Eh bien, j'en mangerai volontiers. " Je mis le concombreau frais et rejoignis mes femmes sur le lit. Elles avaient attaquémollement et se remplissaient de café et de jus d'orange, en silence.Je les accompagnai en beurrant leurs tartines.

Carole émergea en premier:
- " Vache, quelle nuit... Je crois que je n'ai jamais fait autantl'amour. Pourtant, j'ai déjà connu des orgies, et avec plusieurspartenaires. Mais Diane est un vrai vampire assoiffé de sexe. "Elle rit:
- " Tu peux parler... Tu étais si jolie et timide, vêtuede ton seul ruban rose... Je n'aurais pas cru que tu ne m'aurais paslaissé dormir... Et toi, ta soirée avec Denis? " Jelui fis une bise sur le coin de la bouche pour lui voler un peu de confiture:
- " Avec Denis, super, on a bien rigolé. Il m'a baiséedans les toilettes devant Mélanie et sa petite copine. Je vousraconte pas le scandale ! Seulement, il n'est pas resté longtemps,il était crevé. Par contre, après, ça a étémortel: mes copines étaient chiantes, jusqu'à ma petiteamie qui m'a fait la gueule. Elle s'est rendue compte qu'elle avait étéinjuste et elle a voulu que je la punisse. Je l'ai frappée àcoup de règle et je l'ai laissée en pleurs. J'espèrequ'elle me rappellera. Si tu cherches une esclave, Diane, je t'en ai peut-êtretrouvé une. " Diane avait l'air ***geuse. Ou elle dormaitencore :
- " Ah oui... J'espère qu'elle est docile, car je n'aipas la poigne de ma tante, ni même celle de Carole. Au fait, nousavons beaucoup parlé de toi, entre deux lélèches." Le terme me fit sourire:
- " En bien, j'espère ? "
- " À ton avis... Mais je lui ai parlé du séjourchez Tante Gisèle, elle était enthousiaste. " Caroletempéra ses propos:
- " J'ai dit à Diane que ce serait une expérience àtenter pour mon petit esclave intérimaire de mari, qu'elle n'étaitpas assez sévère avec toi, et qu'une bonne correction teferait du bien. " Dit-elle en se suçant les doigts. Je soupirai:
-" Je vois que vous avez trouvé le truc pour vous débarrasserde moi pendant quelques jours afin de pouvoir vous gougnotter en paix... Même ma -Ô combien- fidèle épouse me veut dumal. " Diane rit:
- " Rassure-toi, ce n'est pas toi qui es concerné, mais Alicia.Je m'en voudrais de faire du mal à mon amant... J'appelleraiGisèle ce matin. Je sais qu'elle organise des " stages "de temps à autre. Je crois que tu ne serais pas seul... Mais jet'en reparlerai... Tu manges à la mai***? Je fais du concombresauce amour... " Je pouffai.

Carole se leva la première pourfaire sa toilette. Elle resta longtemps sous la douche. C'est ce qu'ellefait quand elle n'arrive pas à faire surface... Ou quand elles'accorde un petit plaisir solitaire. Je l'ai déjà épiéeà *** insu à travers la vitre dépolie: elle est trèsmignonne quand elle fait ça. Mais ce matin, j'optai plutôtpour la première solution.

Je picorais quelques miettes dans labouche de Diane -elle adore réellement tous les jeux qui touchentà la nourriture- quand je fus alerté par des jurons provenantde la salle de bains. Je m'y précipitai pour voir de quoi il retournait:Carole était furax:
- " Putain de merde! J'ai complètement oublié que jepartais ce matin. Ah ben, je vais être fraîche... J'ai intérêtà faire des intraveineuses de café ! "

Je l'aidai à rassembler sesaffaires et à s'habiller. Elle fut prête rapidement et medonnait les dernières recommandations:
- " Surtout, n'oublie pas de nourrir les bêtes. Mêmeles oies. Je sais que tu ne les aimes pas, je t'ai vu leur donner un coupde pied, petit salaud! Je t'ai laissé des consignes sur le buffetdu salon. N'oublie pas Ouissecasse non plus. Si tu as un problème,tu m'appelles ou tu demandes le père Delcausnes. Et n'oublie pasde traire les chèvres et de ramasser les œufs. À partça, tu fais ce que tu veux. " Je poussai un gros soupir :
- " Eh bien, il me tarde de te voir revenir... Je t'ai fait le pleinde la voiture ce matin: tu n'auras pas à le faire. " Elleme remercia et me sourit d'un air fatigué. Elle avait des valisessous les yeux. Que dis-je: des cantines militaires...

Je l'aidai à charger la "clito " -j'avais quand même passé une robe de chambre-et nous sommes revenus voir Diane qui se morfondait un peu. Carole butun grand café -pour la route, comme elle dit souvent- et lui roulaun long patin. Elle partait visiblement à contrecœur et leursmains se détachèrent au dernier moment, à regrets.Je l'accompagnai à la voiture où elle m'enlaça etm'embrassa tendrement:
- " C'était si bon, si tu savais... J'avais déjàcouché avec des filles, mais pas avec des femmes... des maîtressesfemmes comme Diane. Je t'aime... Merci de m'avoir offert ce moment... " Elle m'embrassa de nouveau. Je lui fis part de mon impression :
- " Tu sens le café. " Elle garda *** expression amoureuse:
- " Ta gueule. Va vite la retrouver, et soigne-la bien. Je vous aimetous les deux. Bises. "

Elle chaussa ses petites lunettes rondeset démarra en trombe. Je suis sûr qu'elle pleurait. J'allairetrouver mon amante qui s'était allongée sur le lit ets'était enduite le pubis de confiture de myrtilles. Sur le coup,j'ai cru voir la toi*** de Chloé. Elle soupira:
- " Ah! Quand même...Je ne savais plus quoi faire pour passerle temps... "
- " Je vois ça... Je parie qu'il va falloir que je te fassele maillot... " Elle me fit un sourire coquin:
- " Oui, ça devient urgent... " Je me mis àla laper soigneusement. Elle s'en était mise jusque dans la vulve... Quelle gourmande ! pas étonnant qu'elle s'entende si bien avecCarole... Elle appréciait beaucoup, poussait des soupirs etdes grognements, mais elle ne semblait pas vouloir y prendre plus de plaisir.Elle faisait ça juste par jeu : à mon avis, elle avait eulargement sa dose.

Une fois bien récurée,elle s'allongea sur le ventre et me désigna le pot de confiture:
- " Si tu voulais bien me tartiner le côté pile, jen'y arrive pas. Dans la raie, pas sur les fesses... " Je ne mefis pas prier. Je l'enduisis généreusement. J'adore la confiturede myrtilles...Elle se mit à quatre pattes pour me faciliterle travail. Elle n'aimait toujours pas la sodomie, mais semblait apprécierau moins les caresses buccales.

J'avais terminé mon grand ménageet Diane se retourna:
- " Tu veux que je te fasses pareil? " Je l'embrassai:
- " Merci, ma chérie. Ce serait avec plaisir, mais une autrefois. Si on finissait de déjeuner? " Elle semblait déçue:
- " Bon, d'accord... Dis, elle était obligée departir si vite, Carole? "
- " Non, bien sûr, mais elle fonctionne toujours comme ça:Elle doit partir, elle s'en va. Mais rassure-toi, ça lui a faitbeaucoup de peine de te quitter comme ça. " Elle me gronda:
- " Ça ne me rassure pas qu'elle ait de la peine ! Çam'en fait aussi... " Nous avions fini nos cafés tièdes,et je débarrassai le plateau. Diane vit que je regardais sa lingeriesur la chaise:
- " Je vais remettre ma guêpière pour toi. Tu es leseul à ne pas en avoir profité... " Je m'allongeaisur le lit et la regardai l'ajuster. Rien qu'à la voir remonterses bas -de façon fort suggestive il est vrai- j'en avais une érection.Pourtant, j'étais bien fatigué. Et elle aussi, la pauvre.Elle me rejoignit et se planta à genoux sur le lit:
- " Tu crois que tu peux me faire l'amour, maintenant que la petitegêneuse est partie? " Je lui pris les mains et l'invitai às'allonger sur moi:
- " Je te promets de faire mon possible, mais c'est dur de résisterà ta sensualité débordante... " Elle se frappales fesses:
- " C'est vrai, ma sensualité déborde de ma guêpière.Hier, j'ai eu peur de t'avoir dégoûté quand tu m'asvue dans ma lingerie. Elle me boudine assez, je trouve pas ça sexy,moi. " Je la grondai:
-" Tu as rai***: Denis et moi, nous nous forçons pour ne paste vexer. Si tu savais comme c'est dur d'avoir une érection ente regardant et de devoir te faire l'amour... " Elle me frappala poitrine en riant:
- " Idiot! " Elle m'embrassa aussitôt et s'empala surmon sexe bien dur. Je ne la sentais pas beaucoup, mais cela ne semblaitpas être réciproque. Elle arrêta de me chevaucher aprèsquelques instants, se leva en me souriant et se mit à genoux surla descente de lit, le reste du corps allongé sur le matelas:
- " Viens, mon chéri. J'aime bien comme ça, mais j'aipeur avec Denis. Tu sais pourquoi... Avec toi, j'ai confiance. "Je me plaçai derrière elle et caressai sa large croupe sidésirable, si bien mise en valeur par la guêpière.Je lui écartai les fesses pour y plonger mon visage, lui léchantle sexe et m'attardant sur *** petit trou. Ça l'a rendue inquiète:
- " Non, mon chéri... Tu n'as pas compris, j'ai toujourspas envie... " Je lui embrassai de nouveau les fesses en les étreignant:
- " Ne crains rien, je ne te violerai jamais. Je suis amoureux deta petite porte dérobée, c'est tout. Elle est si bonne,pleine de chocolat... " Elle rit. Elle s'arrêta net quandje lui remis ma petite queue frétillante, comme elle l'avait appeléeune fois, et commença à pousser de profonds soupirs. Ellese mit à parler crûment, ce qui m'excitait plutôt:
- " Ohhh... Ohhh oui... J'aime ça, pousse-moi fort... Prends mes seins...Baise-moi à fond... Continue... "

Je me demandais si je lui faisais autantd'effet qu'elle semblait l'afficher quand je sentis la montée de*** orgasme. *** vagin détrempé émettait des bruitsincongrus et plutôt triviaux qui ne semblaient pas la dérangeroutre mesure. Je l'accompagnai en criant avec elle, puis m'écroulaisur *** dos. Je fis à nouveau la toilette de sa bonne croupe offerte:un gros filet de sécrétions diverses ne cessait de s'écoulerde *** vagin. J'en avais assez, et aidais Diane à se recoucher.Elle était plutôt pantelante et se blottit dans mes bras:
- " Mon merveilleux petit amant... "

Nous avons dormi une heure. Diane poussaun cri quand Ouissecasse vint se frotter sur *** nez : Il semblait assezaccueillant... Je me demandais s'il s'était rendu compte que cen'était pas sa maîtresse, mais la mienne! Elle se leva etalla prendre une douche, après m'avoir demandé la permissionde principe. Je l'ai rejointe dans la cabine: nous étions assezserrés...

Nous nous sommes savonnés mutuellement.*** sexe gonflé par tant de plaisirs était très réceptifet je lui en fis part:
- " Je crois que tu pourrais te faire baiser sans fin, ma chérie... " Elle me souffla:
- " Tant que tu voudras. Je suis à toi. " Je l'embrassai:
- " Je crois que ce ne serait pas rai***nable. Par contre, Denisdoit t'attendre... " Elle sourit:
- " Je m'en doute, mais je me sens encore disponible pour lui. Mêmesi tu me prends encore une fois avant que je m'en aille... " Elleme masturbait en me savonnant. C'était très agréable,sauf qu'elle me mettait du savon dans l'œil... Elle me rinçaet enjamba mon sexe. Elle me fit assez mal, car elle était pluspetite que moi. Dans cette position, je ne pouvais pas la pénétrer,juste la caresser. Elle se rendit compte que ça n'allait pas etme fit une petite fellation, juste pour le plaisir, pas longtemps:
- " Heurk. Pas bon, avec du savon... " Je la serrai fortdans mes bras et nous sommes sortis de la douche. Elle n'avait pas grand-choseà se mettre:
chrislebo

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- " Dis, tu pourrais me prêter des fringues? Ça m'ennuiede rentrer en imper et en guêpière... " Je la guidaivers le placard de Carole:
- " Tiens, ça devrait t'aller: vous n'avez pas la mêmetaille toutes les deux, mais c'est assez informe. " Je lui avaisdonné un short extensible, un large T-shirt et des espadrilles.Elle m'embrassa et me quitta après avoir emporté ses vêtementsde la veille et *** concombre martyr:
- " À tout de suite, mon amour! Tu viens quand tu veux, sinonon mange à une heure. Bisous, mon petit dieu! "

Je poussai un grand soupir: j'étaisvidé, dans tous les sens du terme. Et maintenant, il fallait queje me coltine les monstres... Je me vêtis à peu de chosesprès de la même façon que Diane et me dirigeai aufond du jardin. Je jouai un peu avec Carlos qui visait mes petits seins,caressai Rosita et Perdita et écartai les oies à coup depied. Je nourris les animaux et tentai de traire les chèvres: ouje m'y prenais mal, ou elles n'avaient rien en stock, toujours est-ilque je laissai tomber et ramassai deux œufs de poule. Voilàpour ma B.A. de la journée.

En passant dans le salon, je vis quej'avais un message. J'appuyai sur la touche " lecture " du répondeur:
- " ...Luc?... C'est Chloé... Rappelle-moi si tuas mon message. J'attendrai jusqu'à neuf heures moins le quart,après je vais travailler. Je suis d'accord pour cet après-midi,si... " Elle sanglotait: " ...si tu m'aimes encore untout petit peu... Je ferai tout ce que tu voudras, mais ne me laissepas... Si tu savais comme je suis malheureuse... Allez, je t'aimeet je t'attends. Rappelle-moi, mon chéri... " Le messages'arrêta *********** sur une vague de sanglots et un bruit de combinémaladroitement raccroché. Il était dix heures et demie:Elle avait appelé peu de temps après que je sois parti dechez elle. Carole ne l'a pas entendu: On n'entend pas le téléphonede notre chambre, j'y suis farouchement opposé.

J'avais prévu de la laissermariner jusqu'à cet après-midi, mais j'avais sous-estimél'effet que je lui faisais. Je décidai de la rappeler et sautaisur le téléphone. Je n'avais pas *** numéro... J'ouvris aussitôt l'annuaire à la page... Chloé,ce n'est pas *** nom... Restait la boulangerie. La boulangerie... Ah, Carole m'en a parlé... Mon dieu, quelle mémoire...C'étaitun nom comme Maltête, ou Delbreil... Je regardai dans les pagesprofessionnelles: des boulangeries, à Nemours, il ne devait pasen avoir des centaines... Il y en avait tout de même un bon petitpaquet. Je trouvais rapidement la boulangerie en question: Malbreil. Jen'étais pas tombé loin... Je l'appelai aussitôt:Je reconnus la voix commerciale, faussement joviale de la boulangèrequi décrocha:
- " Boulangerie Malbreil, j'écoute? "
- " Bonjour, madame. Excusez-moi de vous déranger, je suisun ami de Chloé. Je l'avais conduite chez vous, vendredi matin,et je... " Elle m'interrompit ***********:
- " Ah c'est vous, le monstre qui a brisé le cœur dema petite Chloé?! Elle n'arrête pas de pleurer depuis cematin. J'ai dû l'arrêter, elle a fondu en larmes en voyantun couple qui se faisait des câlins dans la file d'attente. Vousvoulez encore lui faire du mal? " Elle m'en voulait plutôt.
- " Non, au contraire! Elle est encore là? " Elle hésitait:
- " Heu...Oui. Elle aide au fournil. Enfin, elle pleure sur lepain. Je vous la passe, j'ai du monde. Et soyez brefs, j'attends des commandes." Elle m'avait déjà passé Chloé qui reniflait:
- " Moui? Qui c'est? "
- " C'est Luc, ma chérie. " Elle pleura à chaudeslarmes. Je continuai:
- " Ne pleure plus, mon amour. Tu vas détremper le pain... " Elle rit entre deux sanglots:
- " La patronne vient de me le dire... Alors, tu m'aimes encore?J'ai bien cru que c'était fini... "
- " Mais non, c'était ta punition. Ça m'a rendu malade,tu sais... Mais sèche tes larmes. Si tu veux, je viens te chercherpour manger. "
- " Oh oui! Je finis à midi. "
- " Bien. À midi, devant la boulangerie. Je t'aime... Souris,et fais la bise à la patronne. Elle était inquiètepour toi. À tout de suite! "

Je raccrochai et pris W dans les bras:Lui aussi avait toujours besoin d'amour. Et de croquettes. Tout en lecaressant, je vis par la fenêtre ma chère voisine Juliettearroser ses fleurs. Je reposai le monstre, pris la cassette et traversaila rue d'un pas décidé.
- " Bon giorno, Giulietta! Ça pousse, les chrysanthèmes?" Elle rit:
- " Bon giorno, Lucas! Tu ne connais décidément rienaux fleurs! " Je lui fis mon plus beau sourire de séducteur:
- " Je ne m'intéresse qu'aux fleurs de cimetière, commevous... " Elle rit de plus belle:
- " Vilain flatteur! "
- " Votre mari est là? " Elle devint un peu moins gaie:
- " Non, toujours pas. En fait, il est parti en week-end avec samaîtresse. Elle a une petite mai*** à Deauville... Jecrois. " Je brandis la cassette:
- " C'est le moment idéal pour vous montrer mon secret. Coquinecomme vous êtes, ça devrait vous plaire... " Ellerougit:
- " Ohhh... Lucas! " Elle posa *** arrosoir et me fit entrerau salon:
- " Je te laisse faire, tu t'y connais mieux que moi... " Je la fis s'installer dans un fauteuil et m'assis à ses pieds,contre ses belles jambes. Elle était gênée:
- " Ça va pas de t'asseoir par terre? " Pour toute réponse,je lui embrassai le genou, et lançai la lecture:
- " Je vous préviens, c'est très choquant. " Ellesembla en effet très gênée, mais ne fit pas un commentairejusqu'à la fin : Je m'étais contenté de la premièrepartie.

Elle parla enfin, pesant chaque mot:
- " C'est vraiment révoltant ce que je viens de voir ! Jene vois pas le rapport avec moi. J'ai bien reconnu les Müller, j'avaiscru comprendre qu'ils devaient divorcer. Apparemment, ce n'étaitqu'une rumeur... Je comprends mieux tous les allers et retours quevous faites, maintenant. Mais Carole, qu'est-ce qu'elle en pense? Je l'aivue partir à toute vitesse, ce matin. Je sais que ce n'est pasmes affaires, mais elle pleurait. Ce serait dommage de briser un si beaucouple à cause de ta perversion. " Elle me regardait d'unair sévère, et j'éclatai de rire:
-" Ah mais non! Vous n'y êtes pas du tout! Carole pleuraitparce qu'elle devait partir chez ses parents. Elle a passé la nuitavec Diane, si vous voulez le savoir... " Elle était perplexe,et rassurée. Elle nous aimait beaucoup, et semblait perturbéepar nos jeux croisés. Je lui pris les mains:
- " Alors, qu'est-ce que vous en pensez? " Elle ne savait pasquoi répondre:
- " Heu...Vous avez l'air de vous amuser, mais je trouve çarépugnant. À plusieurs, en plus... Mais si vous ne faitesde mal à per***ne, ça ne doit pas être un péchébien grave. Je ne sais même pas si on peut parler d'adultère,puisque vous le faites tous. "
- " Je voulais juste attirer votre attention sur le côtédomination de l'homme par une femme. Vous devriez essayer sur votre mari." Elle rit:
- " Tu m'as bien regardée? Je suis aussi autoritaire qu'unplat de cannellonis! " Je restai sérieux:
- " Faites-moi confiance. Dans un premier temps, il faut que vousrepreniez un peu d'ascendant. Vous couchez encore ensemble? " Ellebaissa la tête:
- " Plus très souvent. En plus, on fait chambre à part."
- " Ça, c'est un bon point. Dans un premier temps, il fautque vous l'aguichiez et que vous vous refusiez à lui. " Ellehaussa les épaules:
- " L'aguicher? Tu m'as bien regardée? "
- " Oui. Et moi, je vous trouve encore très désirable.Et si vous croyez que je dis ça pour vous flatter, laissez-moivous prouver le contraire. " Elle sourit, très heureuse dema déclaration. Je continuai:
- " Il vous arrive de vous promener nue devant lui? " Elle mitla main sur le cœur:
- " Oh non, jamais! En robe de chambre ou en chemise de nuit, àla rigueur, mais jamais nue. "
- " Je peux voir votre lingerie? " Elle fronça les sourcilset se leva:
- " C'est bien parce que c'est toi et que je t'aime bien... " Elle retroussa sa robe noire jusqu'à la poitrine et m'exhiba unegrande gaine combinai*** couleur chair.
- " Ouais, c'est pas très glamour. Mais je ne parlais pasde la lingerie que vous portiez, mais celle que vous possédez... " Elle me sourit en rabattant vivement sa robe:
- " Tu aurais pu me le dire plus tôt, petit galopin... Suis-moi." Elle m'entraîna dans sa chambre et m'ouvrit ses placardset tiroirs. Je sortis une jolie combinai*** noire assez sexy qui ressemblaitun peu à une guêpière, et une paire de bas couleurchair, assez clairs et brillants. Ce devait être de vieux bas nylonsincrevables. Ma maman avait les mêmes et je les aimais beaucoup.Je lui désignai mon choix étendu sur le lit:
- " Essayez ça... " Elle se déshabilla timidement,gardant une grande culotte couleur chair et un bras en travers de sa bellepoitrine, bien sûr un peu tombante:
- " Ça me gêne que tu me regardes. Tu pourrais êtremon fils. Et puis, dans quel état je suis... " Je la grondai:
- " Vous voulez que je vous montre ce que je pense de votre état? " J'avais la main sur l'élastique de mon short, et ellerit en secouant la tête. Je désignai sa culotte pendant qu'elleenfilait sa tenue :
- " Vous n'avez rien de mieux? Votre culotte n'est pas très... appétissante. " Elle s'offusqua:
- " Mais elle est propre de ce matin! D'accord, j'ai parfois despetites fuites mais je... " Je l'interrompis :
- " Mais non, je parlais de la culotte! Vous n'en auriez pas uneun peu plus... coquine? " Elle réfléchit et ouvritun tiroir au bas de sa commode. Sûrement l'endroit ou elle rangeaitles choses " inmontrables. " En effet, elle en sortit une petiteculotte très provocante pour *** âge, blanche et satinée.Elle se justifia:
- " C'est mon mari qui me l'a fait acheter. Je ne la mettais pasparce que dès que ...qu'elle était un peu... humide,ça faisait des taches sombres. " J'avisai un porte-jarretellesqui dépassait du tiroir:
- " À mon avis, il y a là-dedans plein de choses quiintéresseraient votre mari... " Elle se tourna pour changerde culotte. Je me régalais de la vue de ses belles hanches. Quelgâchis... " Elle se regarda dans la glace, un peu gênéepar ce qu'elle voyait:
- " On dirait une prostituée, ou une danseuse de cabaret." Je la pris par la taille et posa ma tête sur *** épaule.Elle devait sentir mon érection contre ses fesses:
- " Et pourquoi vous croyez qu'elles s'habillent comme ça?C'est pour vous voler vos maris. Il suffit de leur donner ce qu'ils veulent,et arrêtez de penser à l'enfer et au confessionnal. C'estvotre mari, et c'est votre devoir de le rendre heureux. Je vois bien qu'ilvous aime. Aimez-le. " Elle pleurait doucement:
- " Comme tu as rai***! " Elle se retourna et se blottit dansmes bras. Elle se recula en souriant, les yeux humides:
- " Je te plais, comme ça? " J'avais du mal àdissimuler mon excitation, et elle avait dû sentir mon érection.D'ailleurs, elle sourit encore en regardant mon short:
chrislebo

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- " Oui, beaucoup...Maintenant, voilà ce que vous allezfaire. Vous allez passer devant votre mari, comme ça, sans un mot,sans lui répondre, et vous allez vous enfermer dans votre chambre.Deux ou trois fois, ça devrait suffire à le pousser àbout. Laissez-le vous insulter, c'est très bon signe. Ne vous offusquezpas s'il vous traite de pute ou de salope, c'est que vous lui faites del'effet. Le silence serait plus gênant. Ensuite, refusez-vous àlui, et soyez ferme. Il ne doit pas vous violer. C'est vous qui devezcontrôler les opérations. Soyez forte, et faites-lui d'abordpayer ses infidélités. Vous aurez cet avantage sur lui.Il faut le convaincre de vous obéir pour vous faire pardonner.Là, vous l'attachez et vous le frappez. Je suis certain qu'il vaadorer ça. J'avais déjà plaisanté sur ce sujetavec lui, et j'ai cru comprendre que ça ne lui déplairaitpas... Pensez à avoir toujours un ton au-dessus de lui. "Elle était un peu dépassée. Elle n'avait jamais luça dans *** missel:
- " Et je fais ça comment, et avec quoi? "
- " Vous pouvez l'attacher sur votre lit, aux barreaux, avec de laficelle. Si ça lui fait mal, c'est encore mieux. Soyez ferme. Pourle frapper, prenez une baguette, un fouet... " Elle commençaità accrocher:
- " Un martinet, ça irait? "
- " Oui, ce serait parfait. Vous en avez un? "
- " Oui, dans le placard à balais: je vais le chercher... Oups! " Elle était tellement excitée que ses bas ontfailli la faire glisser sur les marches. Je lui lançai:
- " Allez-y doucement dans les escaliers! Ne vous cassez pas le colde l'utérus*! " Elle revint rapidement avec un rouleau degrosse ficelle dont on se sert pour lier les bottes de paille et un martinetflambant neuf:
- " On l'avait acheté pour dresser un jeune chiot, mais ilest mort avant qu'on s'en soit servi. " J'étais attristé:
- " C'est malheureux... Il est mort de quoi? " Elle rit:
- " De vieillesse, à seize ans... " C'étaitvraiment une petite coquine...

Elle me lia les poignets et les chevillesde plusieurs façons avec la ficelle grossière. Je la laissaifaire, et elle prenait rapidement de l'assurance. Elle liait les gerbesde blé à la main, il y a très longtemps, et ce gestelui revint vite. Une fois au point, je la fis me détacher, et luiexpliquai la suite du programme:
- " Maintenant, je vais me mettre à la place de votre maripour vous faire répéter votre rôle. Accrochez-vous,je vais vous secouer. N'oubliez pas tout ce que je vous ai dit, et soyezforte. Oubliez que je suis Luc. " Je me plaçai dans la chambrede *** mari, elle dans la salle de bains. Je la regardai passer en l'insultant:
- " Dis donc! Tu fais la pute, maintenant? Combien tu prends? "Elle sourit fièrement et s'enferma dans sa chambre. Je grattaià sa porte et commençai à m'énerver:
- " Ouvre, allez... J'ai envie de mon petit câlin... Ça fait longtemps que je t'en ai pas fait profiter... Tu vasouvrir, salope? " Et je donnais un coup de pied dans la porte.

Nous avons fait ce cinéma encorequatre fois. J'étais de plus en plus pressant. Je l'ai attrapéepar le bras. Elle m'a repoussé violemment en criant un " non" catégorique qui m'a cloué sur place. J'espéraisqu'elle serait aussi tranchante avec *** mari... La dernièretentative était la plus cruciale. À *** dernier passage,je l'implorai timidement:
- " Chérie, s'il te plait, parle-moi... " Elle s'arrêtaet me regarda:
- " Oui? "
- " J'ai terriblement envie de toi... À quoi tu joues?"
- " Je veux te faire payer ta conduite. Te faire souffrir tout ceque j'ai souffert, quand tu couchais avec ta maîtresse. "
- " Ah? Je suis désolé. Je ne savais pas que je tefaisais du mal. Je croyais que tu n'avais plus envie de faire l'amour... " Elle rit:
- " J'en meurs toujours d'envie! Mais si tu veux encore coucher avecmoi, il faudra le payer. Et le payer très cher. "
- " Qu'est-ce que tu veux dire? "
- " Je veux me venger. Te fouetter. "
- " Tu rigoles? Tu n'en es même pas capable ! " Elle mitses mains sur ses hanches:
- " J'en ai l'air? Viens par ici. Et tais-toi. " Elle me *************** par le bras et m'entraîna sur *** lit:
- " Mets tes fesses à l'air. Ne discute pas. "
Elle détourna le regard quand j'ôtai mon short et mon slipet me lia ***********, très étroitement avec une grandeaisance, à plat ventre sur *** lit. Elle prit le martinet et m'endonna quelques coups timides sur les fesses. Je soupirai:
- " Vas-y, fais comme si j'étais ton mari, venge-toi! "Elle baissait les bras : si près du but, quel dommage...
- " Non, je peux pas te faire du mal... " Moi, je lui misun bon coup de fouet:
- " Putain, si tu es toujours aussi molle du cul, pas étonnantque ton mari préfère se taper la veuve Chanier! " Ellese déchaîna alors sur mes fesses et mon dos en débitantun chapelet d'injures en italien que la morale -et surtout ma mémoire- m'interdisent de rapporter. Mes cris semblèrent l'électriser,et elle ne se calma qu'après un long moment. Elle étaitconfuse, elle m'avait fait pleurer. Elle allait me détacher maisje l'en dissuadai:
- " Non, c'était parfait. Continuez à jouer avec moi.Il y a une chose dont je ne vous ai pas parlé, mais beaucoup d'homme***t le désir secret de se faire sodomiser par leur épouse.C'est peut-être contraire à votre religion, mais peut-êtrepas à celle de votre époux... " Elle s'assit surmon dos et me fouetta distraitement les fesses, un peu moins fort, eninsistant sur l'entrejambe :
- " Carole te l'a déjà fait? "
- " Elle m'en a déjà parlé, d'ailleurs il n'ya pas très longtemps, mais je n'ai jamais osé le lui demander."
- " Je lui dirai de te le faire, la prochaine fois que je la verrai.Avec quoi, au juste? Il faut du matériel? Nous, les femmes, onn'est pas trop équipées pour ça... " On diraitque la grenouille était tombée de *** bénitier, etdans la luxure, encore:
- " Avec ce que vous trouvez... Je vous conseille une banane pasmûre, épluchée, ou un concombre. Epluché, c'estmieux. En plus, il n'y a pas de danger avec ça. Enfin, laissezaller votre imagination : vous pouvez le frapper, l'humilier, l'attacherà vos pieds et lui donner à lécher, même fairevos besoins sur ou dans lui, tout ce que vous voulez. Faites attentionqu'il ne se rebelle pas trop, c'est que vous allez trop loin... " Elle se releva et me détacha:
-" Merci pour tes précieux conseils. J'espère que nousne nous sommes pas trompés sur ce que désire réellementmon mari. En tout cas, tu m'as bien ouvert les yeux... " Je mefrottai les poignets en regardant sa culotte. Elle avait rai***, pourles taches... Un trait sombre barrait verticalement *** sexe, mettantsa fente en valeur. Qui a dit que les femmes ménopauséessouffraient de sécheresse vaginale? Ou alors, je suis Manon dessources.

Elle se rendit compte que je fixais*** sexe d'un regard concupiscent. Je ne voulais pas laisser passer unepareille occasion:
- " Vous m'avez fait très mal. Vous me devez un peu de réconfort.J'ai envie de votre sexe, comme il a envie de moi. "
- " Je... Je ne veux pas coucher avec toi! "
- " Moi non plus... J'ai juste envie de vous faire un cunnilingus." Elle ouvrit de grands yeux:
- " Un quoi? "
- " Un cunnilingus. On ne vous apprend pas le latin à l'église?Ça vient de cunnus linctus, con léché. " Ellefit la grimace:
- " Mon Dieu, on m'a jamais fait ça... Ça doit êtredégoûtant! "
- " Mais non, mais non... Je l'ai déjà fait deuxou trois fois aujourd'hui... " Je ne compte plus...
- " Mais j'ai parfois des fuites urinaires et... "
- " Je m'en fous. Au pieu. "
Je la fis s'allonger sur le bord du lit, fit glisser sa petite culotteindiscrète et posai ses jambes sur mon dos. Elle était trèsréticente, et très timide. Elle refusait de s'ouvrir. Petità petit, à ***** de pousser ma langue entre ses lèvres,elle finit pas se laisser aller à soupirer et à gémir.J'adorais *** sexe qui n'avait pas dû connaître trop de fantaisies.Elle avait des petites lèvres très charnues, et assez développées.Et très réceptives, aussi. Je la soupçonnais d'avoirune sexualité solitaire assez active... Je me faisais un plaisirde les mordiller. Je la léchai assez longtemps avant qu'elle selaisse submerger par le plaisir. Elle commença à crier,mais réprima vite ses cris.

Elle me caressa la tête:
- " Tu es un petit démon... C'était très bon! Je ne connaissais pas ça... " Je l'aidai à serelever :
- " Il y a plein de choses que vous ne devez pas connaître.*****z votre mari à vous les révéler. Et àvous les faire... Mais par pitié, ne retenez plus votre plaisir,laissez vous aller ! " Elle me serra dans ses bras et se recula vivement:
- " Tu empestes mon sexe, mon pauvre chéri! " Je ris:
- " Empester? Mais j'adore votre odeur, Giulietta! Vous sentez l'amour,c'est tout... Dites-moi, vous avez déjà pratiquéla fellation avec votre époux? " Elle me regardait, perplexe:
- " La quoi? " Décidément...
- " Vous avez déjà sucé le sexe de votre mari?" Elle était gênée:
- " Ah, c'est ça... J'en avais déjà entenduparler, mais je ne savais pas que c'était ça. Je croyaisque c'était quand une femme se faisait sodomiser... Eh bien,il y a assez longtemps, oui. Mais je n'aimais pas ça, je croisqu'il voulait... Tu vois ce que je veux dire... dans ma bouche.La bible dit qu'on peut tout faire, en couple, à condition quela semence ne soit pas perdue et serve à procréer. Sinon,c'est un grave péché... " Ces propos obscurantistesm'ulcéraient:
- " Vous avez lu ça dans la bible? "
- " Pas vraiment, dans un opuscule destiné aux jeunes mariésque le prêtre, qui avait fait notre préparation au mariage,nous avait donné. Bien sûr, ce n'était pas dit commeça, mais on comprenait bien ce qu'ils voulaient dire..."
- " Et vous avez fait combien d'enfants? "
- " Ben... Trois, pourquoi? "
- " Et vous avez fait l'amour combien de fois? "
- " Houlà! Je n'ai pas compté... Des centaines... " Je la grondai:
- " Vous n'avez pas honte?! Vous devriez avoir des centaines d'enfants!À moins que vous faisiez l'amour par vice, sans intention de procréer... " Elle sourit en secouant la tête:
- " Je vois ce que tu veux dire... Tu as rai***. Maintenant, jene peux plus avoir d'enfants. Ou je me laisse dessécher la matricecomme pas mal de mes copines, ou je profite de mon automne en en cueillantles derniers fruits... " Je la serrai tendrement dans mes brasen lui embrassant la joue:
- " Juliette, les fruits de l'automne qu'on cueille à deux***t les plus sucrés...
chrislebo

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SEVICES A LA CARTE.


L'horloge de l'église ***na la demie. Je regardai ma montre, maisJuliette me devança :
- " Oh ! Mais il est déjà Onze heures et demie ! Avectout ça, je n'ai pas vu le temps passer. " Un fris*** me parcourutl'échine, brûlante à cause des coups de martinets:
- " Bon sang*, je dois partir ! Il faut que je passe chercher unede mes maîtresses à Nemours ! " Elle rit en secouantla tête :
- " Dis donc, tu es un vrai coq ! Avec une bien jolie basse-cour! "
- " Oh, je fais aussi la poule, mais vous l'avez vu sur la cassette...J'aurais bien fait de vous ma maîtresse d'honneur, mais je respectevotre couple. Cela dit, si un jour, ça vous tente, on pourraitfaire l'amour devant votre mari attaché au pied du lit... " Elle gloussa, mais je voyais bien que cette idée la troublait auplus haut point. J'allais la quitter quand un détail me sauta àl'esprit :
- " Ah, mais ça ne va plus ! J'ai complètement oubliéque Carole avait pris la voiture. Ça m'embêterait d'y alleren scooter... " Elle comprit ce que je lui demandais avec mesyeux de chien battu et me fit en souriant :
- " Ça va, j'ai compris... Tiens, voilà les cléset les papiers de ma trottinette. Ne la casse pas, elle est vieille, commemoi... " Je lui fis la bise :
- " Mais elle a encore un bon moteur, comme vous ! Vous mangez seule,au fait ? " Elle regarda le sol en le frottant du pied :
- " Oh ! Tu sais, à mon âge, on picore... "
- " Ça vous dirait de manger avec nous ? " *** visages'illumina :
- " Ah ? Oh oui, mais je ne voudrais pas gêner... "
- " Au contraire. Et je crois que vous verriez plein de choses intéressantes.Je peux appeler Diane ? Je dois manger chez elle... " Julietteme désigna le téléphone, dans l'entrée. Dianedécrocha après quelques ***neries :
- " Oui ? "
- " Salut ma chérie, c'est Luc. Tu vas bien ? "
- " Oh oui... Denis n'arrête pas de me sauter. Je commenceà y prendre goût, on dirait... C'est Luc, mon chéri... " Elle parlait à Denis. Je mis le haut-parleur pour que Julietteprofite de notre conversation :
- " Denis m'a fait essayer le reste de ma lingerie, et depuis cematin, je me balade en porte-jarretelles, bas résille et en soutien-gorge.Heureusement, on est sortis faire des courses au marché, sinon... Ohhh ! Chéri ! " Denis devait encore lui faire des misères.La pauvre risquait un arrêt cardiaque :
- " Dis-lui de se réserver un peu pour Alicia ! Dis, je mesuis permis d'inviter deux dames à manger... "
- " Ah ? Qui donc ? "
- " Chloé, la fille que j'ai séduite au " Lolitas" -la serveuse, d'ailleurs- et notre chère voisine Juliette... "
- " Juliette ? Elle ne risque pas d'être un peu choquée? J'ai pas envie de changer nos nouvelles habitudes... " Sa voixétait un peu hachée et oppressée. Denis devait latravailler au corps.
- " N'aie pas peur, je viens de la convertir à l'instant.C'est justement pour lui faire découvrir nos pratiques que je mesuis permis de l'inviter... " Diane rit, entre deux hoquets :
- " Ohhh... Alors... D'accord, il y... aura assez pour toutle monde... " Elle raccrocha ***********. Denis avait passéla vitesse supérieure. J'espérais qu'il n'allait pas mela tuer...

Juliette était plutôtgênée, elle l'avait parfaitement entendue :
- " Ils faisaient l'amour ? "
- " On peut appeler ça comme ça, mais je crois plutôtqu'elle se faisait baiser. " À part la vulgarité, ellene voyait pas la différence :
- " Ah... Dis, j'ai cru t'entendre parler d'une autre fille... "
- " Alicia ? Vous la verrez aussi. "
- " Mais on va être nombreux ! " Je lui fis un souriremalicieux :
- " Oh ! moins que vous croyez... Bien, je vais y aller, Chloéva encore déprimer. Vous voudriez m'accompagner ? "
- " J'aurais bien voulu, mais il faut que je me change et que jeme pomponne un peu... "
- " Mais non, restez comme vous êtes ! Remettez votre robeaustère, un coup de brosse, et hop ! " Elle me sourit et s'exécuta,mais semblait préoccupée par *** apparence un peu rébarbative.Je la rassurai :
- " C'est au naturel que je vous trouve la plus jolie... "

Juliette me laissait conduire. Elle savait que j'étais prudent,et je ménageais sa vieille Renault cinq. De plus, comme Mélanie,elle n'était pas à l'aise en ville. Il était mididix quand je me suis arrêté devant la boulangerie. Je croyaistrouver Chloé devant, à m'attendre sur le trottoir... Elle sortit et se pendit à mon cou quand je posai la main sur laporte de *** échoppe, vêtue d'une jolie robe d'ététrès échancrée sur *** décolleté ravageur.J'avais l'impression qu'elle avait toujours le même soutien-gorge...

Elle devait me guetter :
- " Ah ! Mon chéri ! Comme il me tardait de te voir arriver... Je guettais ta grosse voiture, je ne savais pas que tu allais venir dansun tas de boue... Tiens, tu es venu avec ta mère ? " Jeris :
- " Non, c'est une voisine qui m'a aimablement prêté" *** tas de boue " comme tu dis, et à qui j'ai offertde m'accompagner. Mon épouse est partie avec notre bagnole, etma mère est en Australie. D'ailleurs, ma grosse voiture, c'estcelle de mon charmant " mari." Elle poussa un gros soupir :
- " Oufff... Quelle histoire... Tu m'emmènes au restau? Il faut que je repasse à la mai*** pour me changer. "
- " Non. On mange chez ma maîtresse et *** mari. Ils pourrontte juger, comme ça. " Elle se rembrunit :
- " Je croyais cette histoire terminée, et qu'on pouvait s'aimercomme avant... " Je l'embrassai :
- " Ne t'inquiètes pas : quoiqu'il se passe, je t'aimeraiencore. " J'allai reprendre le volant, mais Juliette descendit enme faisant en aparté:
- " Montez derrière, je vais conduire. Vous pourrez parlertranquillement, comme ça... Bien que ça me choque unpeu que tu fricotes avec une autre femme que la tienne... " Jelui fis d'un air goguenard :
- " Parce que vous ne fricotez pas avec un homme marié, vous? " Elle n'a plus rien dit.

Chloé me serra dans ses brasen poussant un gros soupir, l'air préoccupé : mes agissementsétaient un peu trop complexes pour *** petit cœur, et ellene savait plus quoi penser. Je lui fis un gros baiser d'amour pour dissiperses craintes. Elle me sourit et me dit en ouvrant *** sac :
- " Dis, j'ai jeté un œil sur les papiers que tu m'asdonnés. Je n'ai pas tout compris, mais ça a l'air fichtrementintéressant. Ce qui me gêne, c'est que tu te trimballes dansune vieille Renault cinq, conduite par ta voisine. Avec tout ce que tudois gagner, tu devrais te balader en Rolls ! " Je ris :
- " Tu as rai***, sauf sur un point : tu dis que je devrais, moi,je dis que je pourrais. C'est pas pareil... J'ai pris le parti de vivremodestement, de ne pas faire de vagues pour attirer la convoitise ou lessoupçons. Je travaille très peu, et je mets beaucoup d'argentde côté pour mes vieux et mauvais jours. Mais je te montreraioù et comment je travaille. Et aussi ma mai*** et mes bêtes." Elle cria presque :
- " Tu as des bêtes ?! J'adore les animaux ! Quoi comme bêtes? " J'espérai qu'elle aimait traire les chèvres...
- " On a un âne, deux chèvres et une basse-cour avecpoules, canards, oies... D'ailleurs, si tu veux emporter une ou deuxoies pour mettre dans ton appart, je crois que tes voisins seraient heureux... " Elle pouffa :
- " Tu parles... Déjà qu'ils aiment modérémentqu'on fasse l'amour... C'est marrant, parce que dans la journée,quand je les croise, ils ***t très sympas et ne me disent jamaisrien... Ou alors je me trompe de voisins ! Enfin, il me tarde de voirton élevage. "

Juliette se gara chez elle. Comme ilétait midi et demi, je l'invitai à passer une robe un peuplus glamour, et emmenai Chloé dans notre nid conjugal.

Avec Ouissecasse, ce fut le coup defoudre : ils se ruèrent l'un sur l'autre; Lui, ronronnait commeun fou et elle lui roucoulait un flot ininterrompu de mots d'amour. Jelui fis faire le tour du propriétaire, terminant par la chambreà coucher. J'avais laissé la fenêtre ouverte pouraérer -c'était pas du luxe- et le lit dans l'étatoù on l'avait laissé. Chloé fit d'un air rêveur:
- " On dirait un champ de bataille... Heureusement que tu n'étaispas là, tu aurais pu te faire tuer... "
- " Je suis arrivé juste à temps pour achever les blessées... Elles en voulaient encore, les gourmandes. " Elle admirait le portraiten pied de Carole suspendu au mur, entièrement nue, figéedans une pose lascive :
- " Mon dieu, c'est vrai, c'est ta femme... Qu'elle est belle !... Je suis désolée pour les horreurs que j'ai dites sur elle: je suis terriblement jalouse... Elle a absolument tout pour elle.Même un mari génial. " Je lui fis une confidence :
- " Tu sais, elle m'a parlé de toi, spontanément, quandelle a vu les croissants que j'avais achetés chez ta patronne.Elle te trouve très sexy. Elle aussi a flashé sur ton décolleté...À mon avis, tu as une chance avec elle. " Elle sourit, l'airsatisfait. Je crois qu'elle ne serait pas contre une nuit entre nous deux... Elle en embrassa W dans le cou : elle l'avait toujours dans les bras.

L'heure approchait. Nous nous sommesrefait une beauté dans la salle de bain et une fois dans la rue,je fis signe à Juliette qui nous guettait derrière ses rideaux.Elle avait mis une jolie robe à fleurs et s'était maquilléediscrètement. C'est assez rare à *** âge : les vieillesdames pensent souvent compenser leurs rides par un maquillage tapageur,des kilos de bijoux clinquants et trois litres de parfum...

Denis nous accueillit en tenue plutôtdécontractée, polo, bermuda et sandales. Moi, j'avais faitl'effort de mettre un pantalon de toile. Il nous salua chaleureusementet nous fit la bise dans une égale bonne humeur, puis nous installadans le canapé. Diane vint nous saluer : elle avait passéune robe de chambre vaporeuse sur sa lingerie, et avait tout de mêmemis une culotte. À peine les présentations faites, elleme dit d'une voix langoureuse :
- " Mon chéri, tu vas voir si Alicia veut descendre ? "Chloé n'a pas apprécié sa façon de m'appeler" mon chéri ". Elle verrait sûrement pire... Je m'excusai et montai me changer. Je mis tout de même un bon quartd'heure à me préparer et à me maquiller.

Alicia la soubrette descendit les escalierset se présenta dans le salon :
- " Me voici, maîtresse... " Diane m'accueillit sèchement:
- " Ah ! Quand même ! Fais le service. Nous avons du monde." Elle prit les commandes pour moi, et je revins avec les bouteilleset les verres. Comme je servais les apéritifs, Juliette s'inquiéta:
- " Et Luc ? Il ne revient pas ? " Ils rirent tous, et Chloélui fit :
- " Luc, c'est elle. Moi, j'ai mis très longtemps àréaliser que c'était un homme. Pourtant, il avait tentéde me convaincre plusieurs fois de mon erreur... " Diane rajouta:
- " Oui, j'en suis assez satisfaite. Elle est plutôt empotéeet maladroite, mais très docile. " En disant cela, elle passala main sous ma robe et pétrissait mes fesses. Denis fit aux filles,d'un air salace :
- " En plus, c'est une vraie petite vicieuse qui me laisse tout faireavec elle. Et elle en redemanderait presque ! " Elles étaientassez gênées. Diane sortit la cravache restée sousla table basse :
- " Et si elle fait une bêtise, elle sait ce qui l'attend... " Elle fouetta l'air avec comme pour tester sa souplesse, puis l'abattitbruyamment sur ma cuisse, ce qui fit sursauter tout le monde :
- " Idiote ! Tu as oublié les glaçons ! " J'étouffaiun cri :
- " Mhhh... Pardon, maîtresse. J'y vais. " J'eus letemps de voir le visage un peu impressionné de nos invitées.Elles étaient plus ou moins au courant de nos agissements et semblaientmal à l'aise. Comme je me tenais debout contre le mur, les mainsjointes, Chloé était triste de ne pas pouvoir profiter demoi. Diane s'en rendit compte :
- " Vous pouvez la toucher, si vous voulez. Vous pouvez mêmeen faire ce que bon vous semble, elle est là pour ça... Alicia, viens te mettre à la disposition de nos invitées."
Je me mis entre Chloé et Juliette pour qu'elles puissent mieuxme voir. Chloé m'attira sur ses genoux et m'embrassa passionnémenten me caressant les cuisses et la poitrine. Elle fixait Diane avec unair de défi dans les yeux qui disait " il-elle est àmoi. " Quant à Juliette, elle se demandait ce qu'elle faisaitdans ce lieu de perdition, tout en me détaillant attentivement.

Nous sommes passés àtable. Diane présenta *** concombre :
- " Je ne vous oblige pas à en manger. Il a un peu tourné,Carole et moi l'avons malmené cette nuit. Il y a d'autres crudités,si vous préférez... " Nos invités ont préférés'abstenir. Diane nous en servit tous les trois, avec Denis.

J'étais assise en face d'elle,à côté de Chloé. Ma maîtresse s'intéressaà sa nouvelle recrue potentielle :
- " Luc m'a dit qu'il t'a corrigée ? " Chloé répondittimidement :
- " Oui... À coup de règle. Sur la tranche. Il m'afait mal. "
- " Tu t'es laissée faire ? "
- " Je voulais qu'il me punisse d'avoir été injusteavec lui. Je m'attendais à autre chose, qu'il prenne du plaisiravec moi. Il ne m'a même pas touchée. J'ai cru mourir tellementj'étais malheureuse... " Juliette n'en croyait pas sesoreilles :
- " Luc ! Tu n'as pas fait ça ! " Je ne savais pas sije devais répondre. Diane vint à mon secours :
- " Elle, c'est Alicia. Luc a très bien agi, je suis fièrede lui. Tu sais, Chloé, si tu dois devenir une esclave, tu doistout accepter de ton maître -ou de ta maîtresse-, surtoutsi ça te semble injuste. Contrairement à ce que tu pourraiscroire, c'est une grande preuve d'amour. Il aurait pu se contenter dete sauter selon sa fantaisie pour y prendre *** plaisir, mais il y a renoncé.Il t'a amené à moi pour que je te teste, pour voir si tues vraiment faite pour cet engagement. Tu me montres tes coups ? "Chloé était plutôt gênée :
- " Ben... C'est sur les cuisses et les fesses... " Dianerit :
- " Allons... Ne soit pas timide ! Regarde-moi... Je suis presquenue !... " Chloé se leva en silence et écarta timidementses vêtements.
- " Je ne vois rien... Déshabille-toi entièrement!... Allons, obéis ! " Diane prit l'ascendant sur elle desa voix très autoritaire, et elle se dévêtit complètement.Ma maîtresse semblait dubitative :
- " Mouais... On voit quelques traces rouges... On dirait quetu vas avoir quelques bleus. Pas contre, Si tu entres à mon service,je veux que tu t'épiles : tu as vraiment trop de poils... Jevais te montrer ce qu'est une vraie correction. C'est l'épousede Luc qui me l'a donnée. " Elle se leva, ôta sa robede chambre et sa culotte -pour lui montrer au passage l'épilationcomplète de *** sexe- et planta *** postérieur toujourszébré de bleu sous les yeux de Chloé. Elles se rhabillèrentet Diane lui fit :
- " Tu me donneras ta réponse avant de partir d'ici, si tute sens prête à te donner corps et âme. Mais rassure-toi,tout ceci n'est qu'un jeu, malgré les apparences parfois cruelles.Chacun de nous est libre. " Elle questionna Juliette :
- " Et vous, ma pauvre Juliette ? Vous semblez bien malheureuse... On dirait que vous ne vous sentez pas à votre place... " Elle soupira :
- " Pfff... En effet, vous me perturbez un peu... Luc m'a invitéchez vous pour que j'apprenne des choses, mais là, je fais un blocage."
- " Ah oui... Rassurez-vous, je vous montrerai tout à l'heure,sur Alicia. En attendant, mangeons. "
chrislebo

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Le repas se passa normalement. Je fisle service, mangeai à table et Diane m'avait relevé de monobligation de me taire. Je n'abusais pas de cette liberté, préférantrépondre aux questions sans fin de Chloé sur ma conditionde petit per***nel sous-payé. Au café, Denis réclama*** " accompagnement ". Je me glissai sous la table et lui fitsa petite fellation dans le plus grand silence -gêné, agrémentépar les grognements et les encouragements de Denis et les commentairesde Diane :
- " Mesdames, si ça vous dit, Alicia est prête àvous donner du plaisir. Moi, j'ai eu largement ma dose. Juliette ? "Elle sursauta :
- " Ah non merci... Je dois vous avouer que Luc me l'a déjàfait ce matin, et c'était très bien ... " Elle vitle regard abattu que lui jeta Chloé.
- " Oh ! Pardon Mademoiselle... Mais sans vouloir vous vexer,je crois que vous n'êtes pas la seule que Luc fréquente... " Chloé poussa un gros soupir et fit d'un ton désabusé:
- " Ouais, je crois que le grand amour, ce n'est pas encore pourcette fois-ci. Pourtant, je l'aime, cette traînée ! "Elle me caressa les fesses d'un air ***geur comme je regagnai ma placeavec humilité.

Après une longue discussionsur les tenants et aboutissants du sado-masochisme et diverses perversions,Diane lança :
- " Dites, mesdames, Denis vient de réparer la piscine -ily avait un problème de filtration. Ça vous dirait de lézarderet de piquer une tête ? Et ne craignez rien pour les risques d'hydrocution,l'eau est chauffée. " Chloé s'emballa : elle n'avaitpas ça dans *** immeuble :
- " Oh oui ! Avec plaisir ! Seulement, je n'ai pas de maillot... " Diane rit :
- " Avec ta culotte en astrakan, tu n'en as pas besoin ! Moi nonplus, je n'en ai pas. Ce n'est pas gênant, la piscine est cachéederrière une grande haie. Il y a aussi des grands parasols pourles coups de soleil... Et vous, Juliette ? "
- " Heu...C'est gênant de vous imposer la vue de mon vieuxcorps... Surtout devant votre mari... Et moi non plus je n'en aipas... Même à la mai***." Denis s'interposa :
- " Ne vous inquiétez pas pour moi, je vais faire la siesteet travailler un peu au montage de films. D'ailleurs, j'ai terminéle montage de la vidéo avec Carole. Au fait, Juliette, si vousn'avez jamais vu de furie, c'est l'occasion rêvée... Alicia,tu viendras me retrouver quand ces dames n'auront plus besoin de toi." Je baissai les yeux :
- " Bien, Maître. " Diane se leva :
- " Alicia, débarrasse la table. Je vais chercher des servietteset de l'ambre solaire. "

Nous nous sommes retrouvés toutesles quatre au bord de la piscine. C'était un bassin de cinq mètressur trois, assez profond, réchauffé par un capteur solairequi servait également d'écran. Une terrasse en bois y étaitaccolée d'un seul côté, équipée de cinqbains de soleil et presque entièrement couverte de grands parasols.La piscine était toute neuve, Carole et moi n'y avons pas encoregouté. Un démarrage laborieux et une météocapricieuse en avaient privé Diane et Denis jusqu'à maintenant...

La rangée de thuyas qui masquaitla vue avait été plantée bien avant : il y avaitlà auparavant une simple terrasse en bois sur laquelle nous avonspassé quelques soirées à diner à la belleétoile tous les quatre, mais il y avait encore la place pour ça.Il s'agissait juste de ne pas trop boire pour ne pas tomber à l'eau.Je surveillerai bien Carole à la prochaine occasion...

J'aidai les filles à se dévêtir et rangeai soigneusementleurs vêtements sur les bains de soleil libres. J'assistai toutparticulièrement Juliette qui était très gênée.C'était sans doute la première fois qu'elle se dévêtaiten public... Je lui glissai à l'oreille :
- " Madame, vous avez encore mouillé votre culotte... " Elle m'attira contre *** oreille :
- " Tu es très jolie, en fille. Et ta ...fellation -c'estcomme ça qu'on dit, je crois- sous la table y est pour quelquechose. Si j'avais été moins timide, je me serais bien laisséetenter moi aussi. J'ai bien aimé le... cunuculus, comme tu dis." Je me relevai et lui fis à haute voix :
- " Il est encore temps, madame. Je termine de vous apprêtertoutes et je suis à vous. " Elle était gênée,elle m'avait dit ça sur le ton de la confidence.

Je l'enduisis consciencieusement decrème solaire, en insistant bien dans les endroits cachés,entre les fesses et sous ses beaux seins tombants. Elle sursauta souvent,se braqua quelquefois mais je réussis à l'oindre intégralement.Curieusement, j'eus plus de mal avec mes deux autres clientes qui ne pensaientqu 'à me tripoter. De plus, j'étais entre elles deux. Côtépositif, elles semblaient complices et se taquinaient par mon intermédiaireen s'attrapant les mains sous ma robe.

J'avais enfin terminé, et jecommençais à avoir chaud. Je voulais m'occuper de Juliette,mais j'aurais aimé qu'elle m'appelle. Chloé, qui avait compris,me fit :
- " Vas-y, tu vois bien qu'elle en meurt d'envie ! " Je la croyaisun peu plus jalouse et possessive que ça...Elle rit, se levaet plongea dans la piscine. C'était bien la peine de se faire tartinerle derme... Enfin, j'adore m'occuper des femmes... Diane la suiviten criant et en tombant dans l'eau comme une masse, nous éclaboussantgénéreusement. Pendant qu'elles nous rejouaient la bataillede l'Atlantique, je m'agenouillai très respectueusement devantJuliette et lui ouvrit doucement les cuisses. Je lui caressai voluptueusementles seins enduits d'huile solaire. C'était une très agréablesensation, pour elle comme pour moi. Je la fis glisser au bout du bainde soleil et posai ses jambes sur deux chaises de jardin. Les deux naïadess'étaient un peu calmées et s'essayaient à la planche.
Cette fois, Juliette était entièrement ouverte et offerte.Je la léchai passionnément, et, au plus fort de *** excitation,explorai *** petit trou avec ma langue. Elle sursauta, mais ne me résistapas longtemps, et jouit comme je lui mordillai ses lèvres pulpeuses.Elle retint encore ses cris, mais je ne lui en tins pas rigueur : il yavait du monde, et nous étions dehors.

Je la replaçai dans une positionconfortable et lui caressai la joue en souriant. Juliette me fit àvoix basse :
- " Petit démon... Tu m'as encore eu ! J'ai vraiment ratébeaucoup de choses... Tu es vraiment un petit cochon, à me lécherentre les fesses. Ça a aussi un nom, ce que tu m'as fait ? "
- " Oui madame. Ça s'appelle un anuslingus, ou plus poétiquement," la pétale de rose sur l'œil de bronze**. " Maisje pourrais vous y glisser plus consistant que ma langue... " Elle détourna la tête, gênée :
- " Je vois ce que tu veux dire... Je ne me sens pas prête.Ce matin encore, j'étais totalement innocente, après tout...Et puis je préfère me réserver à Roland. "Je lui fis la bise :
- " Vous avez rai***. Je suis très fière de vous. "Je me relevai et me retournai : Diane et Chloé s'embrassaient àpleine bouche et semblaient se caresser sous l'eau. Pas impressionnée,je dis à Diane :
- " Maitresse, si vous n'avez plus besoin de moi, je monte voir MaîtreDenis. " Elle ne détourna même pas la tête etme fit signe de m'en aller. Et dire que ce matin, Chloé pleuraità chaudes larmes après moi...

Je me débarbouillai et entraidans la chambre conjugale. Denis dormait nu, couché sur le côté,en chien de fusil. Il n'a pas eu la patience de m'attendre. Je regardailonguement ses fesses : lui aussi avait une croupe bien rebondie... Jem'allongeai doucement pour les embrasser : il grogna en se réveillant,mais se laissa faire de bonne grâce. Il se coucha même surle ventre pour mieux s'offrir à mes caresses. J'arrêtai làet me mis à genoux sur le lit :
- " Pardonnez-moi mon audace, Maître. " Denis ronchonnad'une voix encore ensommeillée, étouffée dans ***bras :
- " Mais non... Continue, idiote, j'ai envie d'essayer. Profite-en.Je te laisse faire, mais ne me fais pas mal. " J'allai chercher lelubrifiant dans ma chambre et repris mes assiduités. Je me montraiplus offensif en lui écartant les fesses et en le caressant dema langue. Il se remit à grogner. Lorsque je le sentis prêtà m'accueillir, je le lubrifiai en le caressant délicatement,ôtai ma culotte, relevai ma robe et m'allongeai sur lui. Je le pénétraitout doucement, à l'écoute de ses plaintes et de ses réticences,en me retirant à plusieurs reprises : je ne voulais pas le ********** je finis par le prendre entièrement.

Il soupirait, mais me semblait pastrès réceptif. Il lâcha nonchalamment :
- " Ouais, c'est pas désagréable, mais ça mefait pas grand-chose. Allez, dépêche-toi de terminer. Moiaussi, j'ai envie de te ramoner ! " Ses paroles ne m'ont pas spécialementmotivée. Au moins, quand je sodomise mon épouse, elle ymet du cœur et participe un peu. Là, j'avais l'impressionde me masturber, et en moins gai en plus.

Je décidai d'arrêter làet me retirai. Denis se retourna :
- " Ça y est, tu as fini ? À moi, maintenant. "Il tapota le lit pour me signifier de m'allonger à côtéde lui. Mais avant, je pris la liberté de me lubrifier un peu,car lui ne s'en préoccupe pas du tout. Il me caressa longuementles cuisses et glissa une main dans mon décolleté pour mepétrir un sein. Pour une fois, il ne me sautait pas dessus : ilavait plutôt envie de parler :
- " Je ne sais pas ce qui m'a pris, dans ta boîte de gouines.Je parle des fleurs... J'espère que tu m'as pas trouvé tropcul-cul. J'ai réfléchi après, ça cassait lemythe du macho que j'étais censé représenter... " Je lui pris la main :
- " Oh non, maître ! C'était merveilleux. J'en ai pleurédevant mes amies. Je leur ai dit : " C'est aussi pour ça queje l'aime... " J'étais vraiment touchée. "
- " Il faut que je t'avoue... Je crois que je suis réellementamoureux de toi. J'ai une sexualité assez ******* et je n'aimepas m'embarrasser de fioritures, mais je peux te dire que je t'ai dansla peau. Tu prends du plaisir avec moi ? " Je le regardais dans lesyeux en souriant :
- " Oh oui, maître, beaucoup. " Il prit un ton sérieux:
- " Réponds-moi sincèrement. Ne te sens pas obligéede devoir toujours aller dans mon sens parce que tu es une esclave. Tupeux dire ce que tu penses. Diane te fouettera si je n'aime pas ce quej'entends, c'est tout. " Je continuais à lui sourire :
- " J'étais sincère, maître. Ma vocation estde vous servir, de m'abandonner entre vos mains pour votre plus grandesatisfaction. Si je peux me permettre, je voudrais pouvoir vous flattertous les deux, mais je suis tenue au silence. Je crois que c'est la chosequi me pèse le plus, après l'angoisse de ne pas vous comblerpleinement. " Il me sourit en secouant la tête :
- " S'il n'y a que ça pour te faire plaisir... Au fait,je sais pas si tu es au courant, mais Diane et moi avons fait un marché: Je te saute comme je veux -et elle aussi, d'ailleurs-, et je la laissevivre librement ses aventures. Ça doit te paraître peu équitable,mais j'ai encore beaucoup à me faire pardonner. Je t'en parleraipeut-être un jour... Depuis, c'est vraiment le grand amour. Etce matin, après sa nuit avec Carole, elle est devenue carrémentune folle du cul. "

*** attention fut captée parun éclat de rire venant de la piscine :
- " J'ai juste fait trempette ce matin. J'aurais bien aimévenir avec elles, mais je sentais que j'étais de trop. Allez, enpiste. Je sais que tu veux me flatter, mais essaie de faire une morteconvaincante. " Je fermai les yeux et laissai mon esprit divaguer,bercé par les soupirs de Denis qui me besognait et par les riresféminins. Elles s'étaient bien consolées, toutesles deux...
chrislebo

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Denis avait changé. D'habitude,il me sautait assez mécaniquement, mais là, il étaitdevenu plus sensuel, plus doux. Il agrémentait ses coups de reinspar des ondulations du bassin et des variations dans le rythme de sespénétrations, allant même à sortir entièrementà plusieurs reprises. Je n'ai pas pu m'empêcher de pousserun profond soupir. Il s'en rendit compte et m'embrassa la nuque en memordant la peau, tout en me pétrissant les seins. Il jouit en silenceen gémissant :
- " Et merde ! J'étais sur le point de te faire jouir, jesuis sûr ! "
Je poussai à nouveau un long et profond soupir de satisfaction:
- " Oh ! Maître, comme vous êtes bon ! C'a étéun réel bonheur. Je n'ai jamais pris de plaisir comme ça,mais les sensations que vous m'offrez ***t tout simplement somptueuses.Vous me faites un très grand honneur en me confiant votre sexeimpressionnant. " Il continua à me caresser le corps quelquesinstants, et mes flatteries lui procurèrent rapidement une nouvelleérection :
- " Maintenant, ma petite salope, je vais vraiment te défoncer.Mets-toi à quatre pattes ! " Je me mis à genoux surla descente de lit comme avait fait Diane ce matin. Denis remarqua :
- " C'est exactement comme ça que je voudrais prendre ma Diane,mais elle a trop peur que je l'encule. Elle n'a pas tort, une fois... " Il s'arrêta net et changea de sujet :
- " Bien. Accroche-toi, et ne crie pas. " Il me ******************** et bien plus profondément cette fois. Il me faisaitun peu mal, et j'étouffai mes plaintes en mordant mon avant bras.Cela dura assez longtemps -à mon goût-, puis il jouit engrognant.

Il se retira et s'allongea sur le lit,les mains sous la tête pour savourer *** plaisir, me laissant enposition, la robe relevée :
- " Va-y, flatte-moi. " Je le fixai amoureusement :
- " Maître, sachez que ce ne ***t pas des mots creux, maisce que je ressens réellement. " Il semblait impatient :
- " Bla-bla-bla... Je m'en fous. "
- " J'adore me faire posséder comme une chienne par vous,me faire ******** par votre bel épieu. Vous avez une telle vitalité...Maisje suis prête à accueillir tous vos assauts, et je m'efforceraid'assouvir tous vos fantasmes et vos vices les plus inavouables. C'estun grand honneur et une grande joie d'appartenir à un maîtremonté et fougueux comme un étalon. " Il tapota ànouveau sur le lit :
- " C'est bon, tu m'as convaincu : je suis le meilleur... Maintenant,viens me sucer. À toi de bosser un peu, feignante. "

Il m'écrasa le visage sur ***sexe comme on met le nez d'un chiot dans *** pipi. Je le caressai avecdévotion et délicatesse, comme s'il s'agissait de porcelaineprécieuse, puis l'engloutit d'un coup. Je me mis à le suceravec avidité, mais *** sexe devait être trop sensible aprèstout le travail qu'il avait fourni dans la journée :
- " Va doucement, conasse, tu me fais mal ! C'est pas comme ton groscul, c'est fragile ! " Je calmai aussitôt mes ardeurs et mefis plus câline en le caressant de mes doigts. Je m'interrompisbrusquement :
- " Maître, avec votre autorisation, j'ai envie d'essayer quelquechose. "
- " Ah ? Tu as des idées, maintenant ? Vas-y, surprends moi!... Ça a intérêt à me plaire, sinon, çava chier. " Encouragée par les paroles de mon maître,je m'accroupis au-dessus de *** sexe et m'empalai dessus. Je ne pouvaispas l'enfoncer beaucoup, me contentant de *** gland, mais cela nous faisaitde l'effet. Denis commenta :
- " Ouais, c'est pas mal... Mais je voudrais que tu descendesplus bas. " Comme je ne pouvais pas plier plus mes genoux, je glissaiun oreiller sous ses reins pour le relever un peu et je repris ma besogne.C'était nettement mieux. C'était la première foisque j'avais un rôle actif dans ma pénétration, etc'était plutôt agréable, bien qu'une telle positionsoit assez instable, surtout sur un lit.

Denis semblait aussi conquis et selaissait faire en caressant ma poitrine sous ma robe. Il finit mêmepar être très excité :
- " Tu baises comme une petite pute : tu aimerais que je te mettessur le trottoir ? "
- " Si ça vous plait, maître, avec joie. Tout ce quipeut m'abaisser à vos yeux et vous donner du plaisir. "
- " Oui... J'ai envie de te louer. Je vois déjàà qui : un collègue de Diane, celui qui lui a appris lemétier, ***... " Il jouit en silence, en poussant quelquespetits grognements, excité par l'idée qui venait de germerdans *** esprit puis reprit :
- " C'était *** patron, et le pauvre est un veuf inconsolabledepuis quelques années. J'ai bien envie de te balancer dans sespattes pour le dérider un peu. J'espère que Diane sera d'accord." J'étais toujours à cheval sur *** sexe :
- " Comptez sur moi pour tout faire pour la convaincre, maître.Vous savez que je suis une chienne lubrique assoiffée de sexe." Je me doutais qu'il adorait quand je lui parlais comme ça.Et ce n'était pas vraiment un men***ge... *** membre eut undernier spasme comme je prononçai ces mots, et il me repoussa :
- " Maintenant, dégage. Je voudrais dormir un peu. "J'empoignai une dernière fois *** sexe :
- " Mais avant, maître, je dois faire votre toilette intime." Il se laissa faire, et s'endormit dès que j'eus fini.

Je fis un brin de toilette dans machambre et retouchai ma tenue et mon maquillage. Il souffrait assez dela chaleur. Moi aussi, d'ailleurs. Je rejoignis ces dames au bord de lapiscine : Diane et Chloé étaient allongées àplat ventre sur la terrasse, étendues côte à côtesur des serviettes de bain, à glousser en lisant une revue féminineassez... chaude. Juliette les regardait en souriant, en faisant desmots croisés : elle avait un grand chapeau de paille et des lunettesde soleil. Diane prenait soin de ses invitées... Celle-ci melança, narquoise :
- " Alors, tu t'es bien fait récurer l'os à moelle? " Elles rirent. Je gardai ma réserve de servante :
- " Oui maîtresse. Maitre Denis dort à présent.Il n'a plus besoin de mes services. "
- " Ça tombe bien, il faudrait que tu nous repasses de lacrème solaire. On s'est bien baigné, toutes les deux. Etil faudra que tu t'occupes de Chloé : Luc l'a bien laisséetomber, elle a besoin de réconfort. " Je passai de la lotionsolaire sur mes trois beautés. Comme je caressais les seins deJuliette, elle me souffla :
- " Il ne faudrait pas que je reste trop longtemps ici. Je commenceà être troublée par toutes ces filles, toi y compris... "

Je l'embrassai tendrement sur la boucheet passai à Diane. Elle affecta de ne pas faire attention àmoi, comme si j'étais vraiment insignifiante, et continuait dediscuter de frivolités avec Chloé. Elles se moquaient deshommes et de leur sexe. Chloé était beaucoup plus réceptiveet ondulait sous mes caresses lascives. Sans qu'elle me le demande, lorsqu'ellese retourna sur le dos, j'écartai ses cuisses et entrepris de lalécher, à plat ventre. Elle posa ses pieds sur mon dos pours'ouvrir en grand. Diane s'agenouilla, à cheval sur *** nombrilet lui caressa les seins quelques instants, en frottant *** pubis sur*** ventre. Elle se redressa et caressa *** sexe lisse sous les yeux deChloé, puis se releva et vint s'agenouiller entre mes cuisses qu'ellem'écarta : je sentis ses mains s'insinuer dans ma culotte et bientôtdans mes fesses. Elle m'enfonça quelques doigts pour me faire crier,et dit à Juliette :

- " Vous voyez, les hommes adorentse faire violenter. Ils ***t bien plus amusants que les femmes, ce quine veut pas dire que je n'aime pas jouer avec une fille, bien au contraire ... Tiens, Chloé, c'est pour le mal que Luc t'a fait. Sens sadouleur se changer en plaisir dans ta chatte. "

Mes cris étouffés semblaientdécupler l'effet que je faisais à Chloé. Elle jouiten criant assez fort : ici, elle ne craint rien, per***ne ne la connaît.Aucun voisin ne lui en fera la remarque d'un air salace... Diane m'abandonnapour rejoindre sa nouvelle amie et l'embrasser passionnément. Commeje me relevai en me rajustant, elle me fit :
- " Va donc nous chercher des rafraîchissements. On crèvede soif. Et n'oublie rien, cette fois ! "

Je revins avec un plateau lourdementchargé de bois***s diverses : j'avais pillé le frigo etles placards. Si elles ne trouvent pas leur bonheur...
- " Maitresse, j'ai apporté des glaces. Si vous en désirez... " Diane semblait très heureuse :
- " Mais oui, quelle délicieuse idée ! Pour une fois,tu es moins écervelée que d'habitude. " Elles en voulaienttoutes. J'avais justement apporté trois cônes glacésà la vanille.

Diane avait une bonne idée:
- " Pose ton plateau, godiche, et allonge-toi en travers, devantnous. " Diane et Chloé avaient repris leur lecture, étenduesà plat ventre. Je m'allongeai sur le dos, la poitrine vers Diane,et elle me fit ôter ma robe. Elle laissait fondre sa glace sur monventre brûlant et le léchait ensuite de manière fortsuggestive. Chloé hésitait :
- " Tu crois que je peux lui mettre ailleurs ? J'ai envie d'essayer... " Diane rit :
- " Mais bien sûr, allons ! Elle est là pour notre amusement,alors, amuse-toi ! " Chloé baissa timidement ma culotte, seravisa et me l'enleva, puis fit fondre sa glace en la frottant sur monsexe qui rentra dans sa coquille à toutes jambes. Elles rirent.Chloé se justifia :
- " On vient de lire un article sur le sexe masculin : il disaitqu'il pouvait réduire de taille jusqu'à quatre fois àcause du froid. Et là, on voit plus rien ! " Elles rirentde nouveau. Je fis, flegmatique :
- " Je suis une fille, je ne me sens pas concernée. "Chloé me dit, sur un air de défi:
- " Ah ouais ? C'est ce qu'on va voir ! Je vais te bouffer le clito,tu m'en diras des nouvelles... " Elle me barbouillait de glace toutle pubis et le léchait au fur et à mesure. Diane continuaitde *** côté, et Juliette s 'était relevée pourmieux assister à la scène.

Une fois la glace terminée,Chloé me ranima de la chaleur de sa bouche. Elle avait un peu oubliémes recommandations quant à la pratique de la fellation, mais là,je ne pouvais plus rien dire. Elle fut quand même alertéepar mes sursauts et se souvint de mes goûts en la matière.J'avais enfin repris toute ma vigueur et je resplendissais dans toutema gloire, au creux de sa main.

Juliette lui fit sur le ton docte d'unepetite fille qui apprend à sa mère que la terre est ronde:
- " Ce que tu viens de faire, ça s'appelle une fellation.Et quand c'est un garçon qui fait ça à une fille,c'est... un... " Elle croyait le savoir, mais elle avait oublié.Diane compléta, en riant :
- " Un broute-minou ! " Elles rirent. Diane reprit :
- " Rhabille-toi et sers-nous, on a soif. " Je me rajustai etleur servis leurs rafraichissements. Diane me regarda, l'air grave :
- " J'ai appelé ma tante ce matin. Elle m'a dit qu'elle assuraitle " dressage " d'une jeune mariée dans une quinzainede jours, et ta présence serait la bienvenue pour la soigner. Rassure-toi,tu ne serais pas oubliée... Je lui ai envoyé les photosde ton baptême et quelques-unes de Carole, elle les a adorées.J'en parlerai avec ta délicieuse petite femme à *** retour."

Juliette se leva et se rhabillait :
- " Si vous le permettez, je vais rentrer maintenant, si vous n'avezplus rien à me montrer " Diane sursauta :
- " Ah mais si ! Alicia, va me chercher les chocolats. Je les aimis au frigo. " Ça, ça devait être pour moi.Je rapportai la boîte et la tendis à Diane. Elle l'ouvritet dit :
- " Oh ! Il n'en reste plus beaucoup... Tiens Chloé, àtoi l'honneur... Non, c'est pas pour manger... " Chloéne savait pas ce qu'elle avait en tête et avait failli en avalerun. Diane se mit à quatre pattes et lui expliqua :
- " Non, c'est pour Alicia. Mets-les-moi dans le cul. " Chloés'agenouilla avec réticence derrière elle et s'exécuta.Elle finit par y prendre goût et toute la boite -six ou sept bouchées- y passa. Juliette se souvenait de ce passage de la vidéo. Ce n'étaitpas celui qu'elle avait apprécié le plus, mais c'est celuiqui l'avait le plus troublée. Elle se rhabillèrent, Dianetoujours en lingerie et peignoir transparent. C'était plutôtun temps à se promener nue...
chrislebo

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#9,259
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Elle nous entraîna dans ma chambre,ramassant la cravache au passage. Ils avaient trouvé le temps deremonter mon chevalet de *******, et ma maîtresse me fit mettreentièrement nue. Elles me caressaient du regard comme si j'étaisun gros gâteau à la crème. Même Juliette.

Diane me fit m'installer sur le ventresur la table, les jambes écartées. Elle me les lia grâceà d'astucieuses sangles à serrage rapide sur les pieds d'ungrand H vertical. Je supposai que les deux branches supérieuresservaient à lier les jambes écartées en l'air -couchéesur le dos, ou l'ensemble, à attacher la victime bras et jambesécartées, debout. Cela me faisait penser à l'établipliant multi usages que Carole voulait absolument m'offrir pour mon anniversaire.Je ne vois pas ce que j'en aurais fait, je ne suis pas bricoleur. Je préfèreplutôt me faire bricoler... Elle me bloqua les bras aux sanglesplacées le long du corps, tourna autour de moi et joua un peu avecles manivelles. Elle se tourna vers ses deux camarades et leur dit, joyeuse:
- " Alors, qu'est-ce qu'on va bien pouvoir lui faire ? " Biensûr, pas de réponse. Elle prit la cravache et la tendit àJuliette :
- " Faites-moi plaisir, montrez-moi comment vous l'avez corrigée" Évidemment, elle se fit tirer l'oreille mais finit pas mefrapper plutôt mollement. Diane la reprit :
- " Hé ! C'est pas une tapette à mouche, c'est unecravache ! Allez-y, je dois l'entendre crier. " Elle frappa de plusen plus fort, et finit par trouver la bonne dose. Elle commençaità y prendre goût...

Diane avait saisi mon plug que je n'avaisutilisé qu'une fois pour l'instant, et avec assez peu de bonheur.Elle fit l'article à ses amies et me le mit en place :
- " Chloé, vas-y, gonfle-le. N'ai pas peur de lui faire mal.Pense au chagrin qu'il t'a causé. Et aussi à la façondont il a utilisé tes traumatismes d'enfance pour te blesser encoreplus..." Elles ont dû beaucoup parler, toutes les deux...

Diane s'amusait beaucoup. Juliettecontinuait à frapper mon dos -mes fesses étaient "occupées " par Chloé qui confondait mon plug avec unechambre à air de vélo. Je criai très fort, tant ladouleur était insupportable. Diane le dégonfla un peu :
- " Va-y doucement, c'est fragile, cet endroit. Ne la blesse pas."

La porte s'ouvrit en grand sur Denis,entièrement nu, pas gêné le moins du monde. C'estvrai qu'il n'a pas à pâlir. Il a vraiment un beau sexe. Lesfilles, elles, étaient assez gênées, et Juliette s'arrêtade me frapper. Denis caressa mes traces rouges :
- " Elle m'a réveillé, la salope. Elle gueule commeune truie... N'abimez pas ma poupée gonflable, les filles !" Ce disant, il ajusta la table pour mettre *** sexe à hauteurde ma bouche. Celui-ci se dressa en quelques spasmes et passa rapidementmes lèvres. Il allait et venait dans ma bouche :
- " Qu'est-ce que vous dites de ça ? Il est pas chouette,ce truc ? Hé, soyez pas timides, regardez... Surtout vous, Juliette,c'est pas au cimetière que vous verrez des trucs comme ça... Quoique ça m'est déjà arrivé d'y faire destrucs cochons... " La pauvre était plutôt révulsée.Il sortit de ma bouche et fit le tour de ma per***ne, et Diane le caressaitamoureusement. Je voyais ce qui se passait derrière moi dans lagrande glace de mon armoire : Tonton serge aurait pu monter des rétroviseurssur *** établi... Denis ôta maladroitement mon plug -iln'était pas encore bien familiarisé avec *** maniement-et régla la hauteur de mon côté pile, le gland dansma raie comme repère. Il me pénétra d'un coup, etj'étouffais un cri. Comme il me ramonait depuis quelques instants,Diane lui dit :
- " Mon chéri, j'ai envie que tu essaies par devant, les jambesen l'air... " Il se retira :
- " Oh oui, bonne idée ! Fai***s ça ! " Ils medétachèrent, excités comme des gosses qui essaientun nouveau jouet -c'était un peu le cas-, et je pris la positionsouhaitée. C'était vraiment très pratique, je n'avaismême pas à faire l'effort de garder les jambes en l'air,sanglée comme je l'étais. Denis refit un petit réglageet m'enfila d'un coup :
- " Ah oui, c'est génial ! Au fait, cette petite salope aprofité que je sois endormi pour m'enculer. Quelle audace..." Diane siffla entre ses dents :
- " Eh bien... Enfin, tu vois, je t'avais dit que tu allais ypasser... Tu n'as plus qu'a la sucer, maintenant... " Il sedégagea et prit mon sexe dans sa bouche et me téta commeun veau tête sa mère quelques secondes :
- " Ca y est. Maintenant, on n'en parle plus. " Denis repritma pénétration et jouit assez rapidement, caresséamoureusement par Diane. Ils me détachèrent et me lièrentde face, debout, bras et jambes écartées sur le grand H.Diane me banda les yeux et dit :
- " Tiens, Chloé, frappe-la ou tu veux. Tu lui feras plaisir." Elle ne semblait pas convaincue :
- " Tu crois ? On l'a bien martyrisée, déjà... " Diane se montra plus pressante :
- " Allez ! Ne sois pas timide ! " La cravache me mordit lescuisses, la poitrine, et le sexe. J'avais retenu mes cris, mais là,je hurlais. Chloé dit :
- " Bon, j'arrête. Ça m'amuse plus, et ça medonnerait presque envie de gerber. " Diane m'enleva mon bandeau etme détacha :
- " Elle est pas marrante, ta copine. On s'amusera plus tard, toutesles deux... Hein, ma chérie, Il est bien, le meuble de tontonserge ? "
- " Oui, maitresse. Il est très pratique et très bienpensé. " Elle m'appuya sur les épaules pour me ******** m'allonger :
- " Couche-toi par terre. Je sens que ta fondue est prête :elle commence à se rebeller... " Elle ôta *** peignoiret s'accroupit sur ma bouche. De nouveau, elle soulagea *** ventre douloureuxen moi. Elle se retint un peu :
- " Quelqu'un veut goûter, ou je lui donne tout ? " Pasde réponse. Chloé et Juliette affichaient une moue dégoutée.Seul Denis semblait apprécier. Diane ne lui a pas proposé,peut-être aurait-il été intéressé...

Elle resta quelques instants sur moi,le temps que je fasse sa toilette. Elle se releva et dit :
- " Voilà, Mesdames, le spectacle est terminé. "

Nous sommes descendus dans le hall,et Juliette nous fit la bise :
- " Merci de votre accueil. C'a été... bizarre,mais j'ai passé du bon temps. Et j'ai adoré la piscine... Ainsi que le service. " Elle me caressa d'un regard sensuel. Dianelui répondit :
- " Revenez quand vous voulez... Entrez sans frapper, faites ceque vous voulez, vous êtes ici chez vous. Vraiment chez vous. N'hésitezpas à revenir vous baigner. Même nue. " Juliette laremercia en baissant les yeux et s'enfuit rapidement. Elle étaittrès touchée, et je crois qu'elle allait pleurer. Dianeenlaça *** époux et nous fit :
- " Bon, les tourtereaux, nous avons du boulot. Chloé m'adit qu'elle voulait voir tes bêtes. Vous avez grandement le tempsavant de manger -si vous voulez encore manger avec nous. Nous, nous avonspas mal de choses à faire. " Comme je souriais, elle précisa:
- " Non, je dois préparer mon boulot pour demain, et Denism'aide toujours un peu. Par contre, le souper, ce sera à la bonnefranquette. "
Je me changeai, repris mon apparence masculine et entrainait Chloédans mon domaine, après avoir étreint chaleureusement mesmaîtres.

Elle me caressait les épaulesd'un air inquiet :
- " Ca va, mon chéri ? Tu n'as pas trop mal ? T'es pas malade,avec ce que tu viens d'avaler ? " Je lui souris en la serrant contremoi :
- " Mais non, rassure-toi. Allez viens, je vais te montrer les bêtes.Tu voudras t'en occuper ? Moi, ça me gonfle... " Elle fitun bond :
- " Tu rigoles ! C'est mon rêve de gosse ! "

Elle me tira par la main, je ne marchaispas assez vite à *** gout. Nous passions par la cuisine pour boireun verre -moi, je n'avais rien bu, et j'en profitai pour me rincer labouche- et nourrir W. Chloé le caressa à genoux tout letemps qu'il mangea ses infâmes croquettes. J'espère qu'ilne viendrait jamais à l'idée de Diane de m'en faire bouffer: ces maitresses ont tellement d'idées tordues...

Je présentai notre grand etbeau jardin à Chloé. Elle lorgnait sur la grande terrasseet le mobilier de jardin où nous recevions nos amis, ainsi quesur les gros massifs de fleurs entrecoupés de bosquets. Arrivéeau portillon, Elle se fit littéralement agresser par les fauves.Moi, prudent, j'étais resté quelques pas en arrière.Carlos voulut goûter la nouvelle arrivante et je la mis en garde:
- " Attention, il va te... Trop tard... " Chloécria, en riant :
- " Ahhh ! Putain ! Il est con ! Il me bouffe les nichons, ton bourricot! " J'ai déjà vu Carole donner ses seins nus àCarlos, par jeu. Il est assez délicat, il attrape ses tétonsdu bout des lèvres. Cela dit, elle est gonflée, il a debelles dents, le bestiau...

Chloé me fit étrangementpenser à mon épouse, à évoluer au milieu desa cour des miracles. Je lui fis les présentations, y compris lesoies qui soufflaient après nous :
- " Tu es sûre que tu n'en veux pas une pour mettre dans tonsalon ? C'est de bon cœur... Tiens, apparemment, les chèvre***t besoin d'être traites. Tu veux le faire ? " Elle me fitun grand sourire de gosse :
- " Vrai ? Je peux ? Comment on fait ? " Je sortis le seau dela remise et lui donnais :
- " Alors là, tu te débrouilles. Moi, j'y connais rien,et ça m'emmerde. Tu l'attache à la barrière, et tute mets derrière. Après, tu tires doucement les mamelles,comme tu le sens... Je peux te laisser ? J'ai des choses à faire... N'oublie pas de refermer la barrière, sinon, ça va êtreune corrida sans nom : ça m'est arrivé une fois, je te racontepas ce que Carole m'a passé... Ils ont bouffé ses fleurset *** potager, ça a été horrible. Surtout pour moncul, c'était " règlement de compte à OK corral." Alors, gaffe... " Elle me fit un large sourire en faisantgicler bruyamment le lait dans le seau :
- " Va-y, je me sens comme un pois*** dans l'eau. Ne soit pas inquietsi tu ne me vois pas arriver, c'est que je m'amuse trop... " Oualors elle se sera fait bouffer...

Je me laissai tomber dans un fauteuildu jardin. J'avais besoin de me sentir seul pour remettre un peu d'ordredans mon esprit perturbé et privé de sommeil. Ouissecassese coucha sur mon ventre : il ne s'aventurait jamais au delà duportillon, à cause de la horde sauvage.

Je fus réveillé -carje m'étais endormi- en sursaut par un baiser sur le front :
- " C'est ça, les choses que tu devais faire ? T'es pas qu'unpeu gonflé, quand même... " J'étais un peuhagard :
- " Hein ? Ah ? Je crois que je me suis assoupi... Ouah ! tu lesas bien essorées, les sœurs barbichues ! Il y en a presquedeux litres... " Elle me regardait d'un air coquin :
- " Tu en fais quoi ? " Je me grattai le menton :
- " Bonne question... Carole en a mis dans de l'omelette, maisà part ça, je ne sais pas quoi en faire... Çate dit ? " Elle me fit de grands yeux :
- " Oh oui ! J'adore ça... J'en ai déjà bupas mal... Dis, je travaille pas demain... Je peux rester ici, avectoi, dans ce paradis ? " Je soupirai :
- " Bof... Je commence à en avoir marre de t'avoir dansles pattes... " Elle me donna un coup de poing sur l'épauleen riant :
- " Triste con... " J'étendis la main en signe d'apaisement:
- " Bon, bon, d'accord... Tu pourras rester avec le gentil tontonLuc. " Elle avait l'air en colère :
- " J'avais déjà un oncle pervers. Merci de m'avoirfait revivre cette expérience. J'avais failli oublier, aprèstoutes ces années... " Je lui pris la main :
- " Je suis désolé. Je voulais te faire trèsmal pour te punir. Et je te répète que ça m'a rendumalade. "
- " Ouais, mon œil... Tu crois que je t'ai pas vu bandercomme un âne ? " Qu'elle compare mon sexe à celui d'unâne était plutôt flatteur... Je soupirai et marquaiune pause :
- " Tu as tout à fait rai***. Ca m'a terriblement excitéde te battre. Pourtant, je t'assure que ma place est de l'autre côtédu fouet.... Je voudrais en terminer avec ça : Si tu veux encoreme battre, défoule-toi sur moi, mais ne m'en veux plus. "Elle me sourit et m'embrassa :
- " On règlera ça d'homme à homme, sur ton lit... "

Elle versa une goutte de lait dansle creux de sa main et le donna à W qui dressait *** museau endirection du seau. Je me levai en reposant mon matou par terre et guidaiChloé à la cuisine pour qu'elle fasse bouillir le lait etqu'elle le mette au frais.

Pendant ce temps, je faisais la chambre.Les draps sentaient bon de toutes les odeurs de mes maîtresses,et je les enlevai à contrecœur. Les draps propres et parfumésm'attiraient également : il me tardait de les salir avec Chloé,en espérant que cela se passe mieux que la nuit précédente...

Nous avions presque une heure devantnous et j'en profitai pour lui faire un petit câlin. Elle en auraitbien voulu plus, mais je préférai remettre ça àce soir, à tête reposée. Je l'entraînai àmon poste de travail et lui montrai comment je fonctionnais. Elle étaitadmirative devant tous ces chiffres, et amusée par la rangéed'icônes colorées en bas de l'écran. A part moi, iln'y avait qu'Hiroshi en ligne. Encore lui... Je tentai de lui expliqueren long et en large la façon dont elle pourrait gagner un peu plus,mais elle resta totalement hermétique à mon laïus.Mais elle, au moins, ne baillait pas ostensiblement comme qui-vous-savez.Elle finit par s'incliner :
- " Bon, d'accord... Va pour cinq ans. Tu peux me faire une reconnaissancede dette ? Je tiens à mon capital. "
- " Mais bien sûr... Par contre, je ne garantis pas lesintérêts, et je prends un pour cent de commission par an."
- " Le capital plus trois pour cent minimum garantis. " Je soupirai:
- " Putain, t'es une requine... Tu tapais moins dur avec la cravache... Mais allez, c'est d'accord. De toute façon, je ne crains pas grand-chose.Tope-là, et cochon qui s'en dédit. " Elle rit, et jelui imprimais une convention, ainsi que quelques simulations selon l'évolutiondes marchés pour qu'elle puisse juger elle-même de l'évolutionde ses placements.

Pendant que j'imprimais ses formulaires,elle jouait avec le palonnier de mon simulateur de vol :
- " Ouah ! T'as un jeu de courses de voitures ? " Je lui caressailes épaules :
- " Non, ma pauvre chérie, c'est un simulateur de vol, untruc chiant de garçon. Un peu comme le foot, sauf que çabouge beaucoup moins. " Je me demandai si elle m'avait entendu:
- " Ah, c'est chouette... Tu me montres ? " Je m'exécutai,un peu à contrecœur : je sentais confusément que c'étaitune perte de temps.

Chloé considéra d'unair soucieux le formulaire que je venais de lui imprimer et me fit, quelquepeu embarrassée :
- " Je... je crois que je vais réfléchir encoreun peu. Tu m'en veux pas ? " Je lui souris, tout à mes préparatifsaéro-informatiques :
- " mais non... Garde tout, tu me diras quand tu seras décidée.On en reparlera pendant la randonnée, si tu viens... "

Je lançai le mode rapide, etme trouvai confronté à deux appareils ennemis. Chloélança, enthousiaste :
- " Dis-donc, c'est super-chouette ! Le ***, l'animation, les textures... c'est top ! " J'étais surpris :
- " Tu t'y connais, on dirait... Tu aimes ça ? "
- " Oh ! Pas spécialement.... J'avais un mec qui en étaitfana, un peu comme toi. Mais, lui, il était complètementpété, il s'était identifié à un pilotede chasse d'une série télé, je me souviens plus laquelle... " Je me gardai bien d'évoquer ma ressemblance -à prioriillusoire- avec un héros des " têtes brûlées." Je devais être comme *** copain, complètement taré... Si je devais ressembler à quelqu'un, ce serait plutôt àquelqu'une, à présent. Je tentai un ***dage sauvage :
- " Et moi, tu ne trouves pas que je ressemble aussi à unhéros de série télé ? " Elle hocha latête, perplexe :
- " Non, je suis désolée, mais pour moi, tu ressemblesà rien : tu es très mignon, on hésiterait entre unvieil adolescent et une lesbienne. Par contre, en fille avec tes cheveuxmi-longs, tu me fais vaguement penser -mais vaguement, hein !- àFrance Gall, en brune. " Mon rêve de héros aériens'envolait définitivement... Hélène Boucher***,peut-être ? La mort dans l'âme, je me consolai avec une pointed'humour :
- " France-Galles ? Oh ! Tu sais, moi, le rugby... " Ellerit :
- " Mais non, pauvre cloche ! La chanteuse ! " Je lui décochaiun sourire méprisant :
- " C'était de l'humour... Je ne suis pas aussi con quej'en ai l'air. " Elle pouffa :
- " Heureusement pour toi ! " Je mourus bravement sous les quolibetsde ma copilote dans une gerbe de flammes.

J'éteignis ma machine : ce n'estpas encore aujourd'hui que je brillerai devant une fervente admiratrice...Ilétait temps de retrouver nos chers voisins.
chrislebo

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UNE PETITE FILLE AU PARADIS.


Mes chers voisins avaient enfilé des tenues décentes, trèsdécontractées. Denis en polo, bermuda et sandales, et Diane,une amusante jupette de tennis et un chemisier léger. Ils nousinvitèrent à prendre l'apéritif et à souperà côté de la piscine. Apparemment, ils avaient l'aircalmés, côté hormones. Diane s'expliqua :
- " J'espère que ça vous dérange pas, mais jen'ai pas fait grand-chose à manger, juste quelques salades, charcuterieet fromage. J'avais beaucoup de boulot, d'ailleurs je n'ai pas fini. D'habitude,je suis plus studieuse, mais ce week-end j'étais très... dissipée. Voilà, bon appétit ! " Moi, j'adoresaucis***ner entre amis, c'est très convivial, surtout quand onfinit les doigts dans le beurre... Mais ce n'était pas au programme.Nous avons mangé comme des gens tout à fait bien élevés,puis nous avons pris un bain tous ensemble, nus, bien sûr. Nousnous sommes enlacés par couple, devisant gentiment. L'eau, chaufféetoute la journée était très agréable, d'autantplus que Denis avait prévu des alcools pour siroter tout en marinant.Il ne m'a pas demandé sa fellation, et heureusement, car je n'avaispas pris mon tuba...

Il était seulement dix heureset demie quand Diane nous expulsa :
- " Désolée, mes amours, mais j'ai du travail àfinir, Denis va m'aider. Vous pouvez rester si vous le désirez,bien sûr, mais nous, on va y aller. Demain, je pars toute la journée,et je ne reviendrai peut-être qu'après demain... Je ne saispas encore. " Denis rajouta :
- " Moi, je vais contrôler l'arrivage de marchandises au dépôtet je dois aller voir quelques clients. Je risque de rentrer tard, aussi."

Je me concertai rapidement avec Chloé,et nous décidions de partir, après avoir débarrasséla table et mis un peu d'ordre. Au moment de nous quitter, Diane pritChloé par les épaules et lui dit en la regardant dans lesyeux :
- " Voilà, tu vas t'en aller... Mais avant il faut que tume donnes ta réponse : Je sais que tu es partagée et quec'est une décision difficile à prendre, mais je dois savoir." Chloé baissa les yeux :
- " Je... Je sais pas. Je suis désolée... J'aipeur... Je crois que j'ai trop peur. Je peux pas. Plus tard, peut-être... Il y a trop de démons que je dois combattre avant de faire unevictime soumise. Ne m'en veux pas, je t'aime, tu sais... Bien que tusois complètement dingue ! " Elle rit et l'embrassa rapidementsur la bouche. Elle fit la bise à Denis qui avait remontédans *** estime -elle avait pu le juger à *** état naturel-, puis nous sommes rentrés. Nous nous sommes brossés les dentspuis nous sommes allés directement au lit. Je me suis dit que c'eutété dommage de ne pas profiter d'une aussi belle nuit, aussij'entraînai Chloé au dehors, nus, une couverture sous lebras. Elle semblait ravie de respirer les senteurs du jardin àla nuit tombée. Seulement, nous n'étions pas les seuls àprofiter de cette soirée, et j'allumai les torches anti moustiques.La région est assez humide, propice à la proliférationde ces affectueuses petites bêtes. Je posai la couverture sur l'herbe,sans la déplier, et fis à Chloé d'une voix sensuelle:
- " Dis-moi, ma chérie, tu as déjà fait la bêtesauvage, nue dans la nature ? " Elle semblait inquiète :
- " Hein ? "
- " Carole et moi adorons ça : nous nous promenons nus dansla nature -notre jardin, ou les bois- chacun de notre côté,nous nous rencontrons, je la renifle, elle s'enfuit, je lui cours après,je la séduis puis lui fait l'amour, sur -ou contre- un tronc d'arbre,ou dans l'herbe. J'adore aussi la prendre en photo comme ça, vivantsa vie de créature libre et belle, des feuilles mortes dans sescheveux en bataille, buvant au ruisseau ou cueillant des baies... Jete montrerai les photos. Mais ça te choque, que je parle d'elle? " Chloé était un peu boudeuse :
- " Ouais, un peu, quand même. Tu as de la chance que t'espas tombé sur une fille comme Caro, elle t'aurait déjàécrasé les couilles entre deux pierres ! " Je ris :
- " Il y a peu de chance que je me retrouve dans ses bras... Dieumerci ! Alors, ça te branche, la sexualité bucolique ? "Elle fit la moue :
- " Bof, pas trop... Pas comme ce que tu m'as raconté.Par contre, je veux bien me balader toute nue dans ton beau jardin, maisavec toi. Après, on verra... " Elle m'embrassa et me pritpar la main. Ouissecasse vint à notre rencontre, venant de je-ne-sais-où,et se frotta à nos jambes. Chloé le prit dans ses bras,et je posai le mien sur *** épaule. Elle commençait àavoir froid, aussi nous sommes revenus nous emmitoufler dans la couverture,allongés dans l'herbe, toujours en compagnie du Ronronnator. Commed'innombrables couples amoureux le faisaient au même moment, nousnous noyions dans le vertige infini du cosmos. Je l'éblouis parmes connaissances sans borne de l'univers :
- " Tu vois cette étoile, là ? La grosse rougeâtrequi scintille un peu ? " Elle roucoula :
- " Oui, mon chéri ?... "
- " Hé bien, à mon avis, elle marche au mazout et sesinjecteurs doivent être bouchés. " Je me souvenais devagues propos de mon chauffagiste. Elle rit :
- " Quelle science ! Hubert Reeves, à côté detoi, c'est Groucho Marx ! " Je lui fit, froidement :
- " Pas de politique, je te prie... Sérieusement, sais-tuque si le vingt-septième chiffre après la virgule de lamasse de l'électron avait été différent dece qu'il est, tout ce que tu vois là n'existerait pas ? Je ne croispas en Dieu -le dieu régional des douze tribus d'Israël- maisplutôt en une ***** universelle qui nous relierait à tousles points de l'univers. C'est ce que je ressens en contemplant cetteimmensité glacé et muette, qui fait vaciller la rai*** quandon essaie de l'appréhender. " Elle me répondit aprèsun grand silence :
- " Dis-donc, qu'est-ce que tu causes bien... on dirait un escroc...C'est l'évangile selon Saint Luc, ma parole ! " Je ne relevaipas ses sarcasmes, mais je commentai sa dernière remarque :
- "Figure-toi que ma maman m'a appelé ainsi en l'honneur deSaint Luc, justement. Elle aurait aimé que je sois prêtre."Elle haussa les sourcils :
- "Toi ? Un prêtre ? Tu serais plutôt un sodomite, undigne citoyen de Sodome ! "
- " Ah non. Je me sentirais plutôt de Gomorrhe... "
- " Ah ? C'est quoi, la différence ? "
- " Les habitants de Gomorrhe avaient des vices tellement perversque même la bible n'ose pas le mentionner. "
- " C'est sûr... Si tu avais vécu à cetteépoque, tu aurais certainement été élu mairede ce **** ! "

Elle rit et se débattit quand je fis mine de l'étrangler.Elle se coucha sur moi et m'enlaça. W tentait de rester au chauddans la couverture, mais il était un peu malmené. Ah ! Sion avait pensé à stériliser tous ces humains, commeil aurait été plus tranquille !

Elle m'embrassa amoureusement, lentement.Ce n'était pas une grande fougueuse, elle prenait *** temps, etelle avait bien rai***. Je caressai *** corps de haut en bas, la sentantvibrer sous mes caresses. Elle me fit pourtant d'une petite voix plaintive:
- " J'ai un peu froid... On rentre ? Si tu veux, on pourra jouerdehors demain... " Je mouchai les torches et emportai W enfermédans la couverture, sur mon dos, comme un baluchon. Chloé me gronda,mais je lui fis remarquer qu'il ronronnait toujours : Il est comme Carole,c'est une bonne pâte...

Chloé se jeta sur le lit etse glissa sous les draps en fris***nant. Elle finit par pouffer et medire :
- " Quand même... Qu'est ce que tu peux sortir comme conneries...Et tout ça avec ton sérieux de croquemort ! "
- " Ouais. J'aurais pu travailler aux PFG*. " Elle haussa lessourcils :
- " C'est quoi, ça? Un club de foot ? " J'esquissai unsourire en coin :
- " Ouais... Le Paris Faint-Germain... "
Elle passa à autre chose, une fois un peu réchauffée: elle fit voler les draps et prit des poses lascives pour m'aguicher.Je me grattai le menton :
- " J'ai l'impression que tu cherches à me dire quelque chose,mais ce n'est pas très clair. " Elle me sourit et écartases cuisses en grand, en se caressant les seins. Je tentai :
- " Je sais ! Tu as pris rendez-vous chez ton gynéco ! "Elle pouffa et me tira sur le lit :
- " Tu ne comprends rien aux femmes... Je disais : Chéri,paye moi ce vi*** que nous avons vus ensemble, celui que tu trouves sicher ! " Je la toisai de haut :
- " Tu exagères. Tu en as déjà un beau, là.Et là. " Je désignai sa toi***, puis Ouissecasse quin'avait pas tardé à nous rejoindre. Elle l'attrapa et leblottit contre *** cœur en l'embrassant :
- " Comme je t'aime, toi ! Tu es bien plus craquant que ton maître...Et tellement moins con ! " Je lui caressai la cuisse en imitant legros beauf qui nous avait draguées au pub :
- " Oh ! Les filles ! Ça vous dit, une partie à trois? " Elle rit et déposa W au pied du lit pour me prendre dansses bras :
- " Oh oui ! Avec Alicia et toi... "

Nous avons fait l'amour simplement,libérés de nos stupides rancoeurs. Pour une fois, je mesuis allongé sur elle, la pénétrant sans préliminaires.Elle était déjà bien émoustillée, etme serrait bien. Je lui demandai de desserrer *** étreinte, carj'avais du mal à me contrôler. J'ai même dû meretirer pour résister plus longtemps : je suis plus endurant, d'habitude,ce devait être la position qui me faisait ça. Je la fis patienterun peu en la léchant, puis la fis venir sur moi, et c'étaitnettement mieux.

Je soupesai sa jolie poitrine quandelle eut *** orgasme. Je ne savais pas alors si c'était volontaire,mais elle me serra si fort que j'en eu très mal, juste au momentou moi aussi allais prendre mon plaisir, si bien que je ne savais mêmepas si je l'avais vraiment pris. Elle resta assise sur moi, me serrantencore bien fort, et me fit d'un air sévère :
- " Alors, je t'ai fait mal ? "
- " Ouais, et pas qu'un peu. C'est normal ? "
- " Oui. J'ai envie de te dominer. Diane m'a donné envie dete faire souffrir un peu. À vrai dire, elle m'a confié cettetâche, parce qu'elle, elle n'a pas le temps de s'occuper de toi.C'est une belle salope, celle-là aussi... "
- " Je croyais que tu l'aimais bien... "
- " Oh oui, je l'aime... C'est un compliment que je viens de luifaire là. Et toi aussi, tu es une belle salope... J'ai entenduce que vous avez fait avec Denis dans les chiottes du " Lolitas... " Bravo, c'est du propre ! Heureusement que je t'avais dit de nepas faire de vagues... "

Elle resserra un peu plus *** étreintesur mon sexe encore bien dur. Comme je grimaçais, elle me fit d'unton assez cruel qui me rappela celui de Diane lorsqu'elle m'avait surprisavec Denis :
- " Ça te plait de te faire maltraiter comme ça, hein? " Je lui répondis entre deux gémissements :
- " Oui, J'aime me faire ********, surtout par une jolie fille commetoi. Ne te gêne pas, tu peux me faire tout ce qui te passe par latête, me frapper, m'humilier, me ligoter..." Elle se radoucitun peu :
- " Je voudrais savoir ce que ça fait. Moi, ça me faitpeur, de me soumettre complètement. J'ai quand même aiméque tu me frappes ce matin, bien que tu m'aies fait vachement mal : J'aiplein de bleus, maintenant. Surtout quand j'ai vu l'effet que çate faisait, j'avais l'impression d'être... utile. C'est con,hein ? "
- " Non, tu as rai***. C'est une forme d'abnégation, on sesacrifie pour *** maître, et on est heureux que s'il retire du plaisirà faire ce qu'il nous fait, surtout à notre détriment." Chloé se releva un peu :
- " Je ne comprends pas tout, mais je vois ce que tu veux dire. Tuas joui ? " Je lui souris :
- " Je ne sais pas. Tu m'as broyé alors que j'en étaissur le point. " Elle tira sur mes épaules pour me faire descendreet s'agenouilla sur mon visage :
- " Bouffe-moi, tu verras bien si j'ai le goût de sperme. "Elle m'étouffait presque, mais je la léchai docilement.Je crois qu'elle continuait à me faire payer ma conduite de cematin, mais ce n'était pas pour me déplaire, bien au contraire.J'ai toujours eu un faible pour les femmes autoritaires. Sauf pour Ghislaine...

Chloé s'allongea sur moi etm'embrassa :
- " Alors, tu m'as remplie ? " je fis une mine abattue :
- " Non. Rien. Pas une goutte " Elle rit :
- " Je suis bien contente de pouvoir te couper le sifflet sur commande.Je veux que tu me refasses l'amour, jusqu'à ce que je te dise quandjouir. Mais pas avant, compris ? " Je lui répondis d'une petitevoix :
- " Oui, Maitresse. " Ce titre l'amusa beaucoup. Comme j'étaisun peu ramolli, elle me fit me caresser pour redevenir " utilisable." La vive douleur avait remis mon compteur à zéro...

Elle me chevauchait allègrement,se caressant les seins en fermant les yeux, me reléguant au rôled'un godemiché monté sur socle. Elle me serrait modérément,mais elle m'écrasait brièvement par moments pour me rappelerde bien me conduire. Je résistai assez bien à ses sollicitations,tenaillé par la peur de la douleur qu'elle ne manquerait pas deprocurer si je venais à défaillir. Elle reprit *** plaisiraprès un bon petit moment. Je la soupçonnai de retarderla venue de *** orgasme pour me pousser à la faute, mais j'ai tenubon. Elle se coucha sur moi et m'embrassa :
- " Tu es un bon petit esclave sexuel. C'est comme ça queDiane t'appelle, tu sais ? "
- " Oui. " Elle croisa ses bras sur ma poitrine, me faisantassez mal, et me demanda, d'un air amusé :
- " Tu veux te vider les couilles, mon trésor ? "
- " Ce n'est pas ce que j'aurais dit, mais oui, je commence àavoir envie. "

Elle se laissa rouler sur le lit, àcôté de moi, la tête maintenue relevée par ***bras. Elle me souriait vicieusement :
- " Eh bien, branle-toi. Je veux te voir te gicler dessus. "Je me masturbai en la regardant : elle me surveillait avec intérêtet amusement et me fit :
- " N'y mets pas autant de cœur... Je ne veux pas que tuy prennes du plaisir. Vide-toi, c'est tout. " Je fermai les yeuxet me caressai mécaniquement. Je les rouvris pour me voir éjaculerabondamment sur le ventre et la poitrine. Je m'arrêtai àla disparition de mon érection.

Chloé était impressionnée:
- " Dis donc, quelle hémorragie ! Tant de jus dans une sipetite carotte, ça tient du prodige !... Encore. Recommence." Je repris mon petit sexe gluant entre le pouce et l'index et tentaide lui redonner vie. Chloé se moquait de moi :
- " Tu n'as pas honte de martyriser cette pauvre limace ? En plus,tu patauges dans ton jus, gros dégueulasse. " Il m'a falluquelques minutes pour reprendre une érection normale. J'aimaisassez me masturber sur commande : Chloé est une maîtresseamusante.
chrislebo

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Elle m'arrêta en désignantun gros filet de sperme épais qui coulait le long de mon ventre:
- " Arrête, ça coule. Mange. " Je récoltaimon sperme tant bien que mal avec ma main et la léchai de façonprovocante en fixant Chloé. Elle me souriait, l'air dégoutée:
- " Tu es dégueu, de bouffer ça... Tiens, tu medégoutes, tu me donne envie de gerber. Allez, reprend ta petitebranlette. " Je repris le manche, mais j'avais du mal à conclure.Je commençais à avoir mal, et je manquais de " supportvisuel. " J'aime regarder des photos pornos -de Carole, entre autres-quand je me masturbe. Chloé commençait à soupireret à trouver le temps long. Elle compris que je manquais d'inspiration,se leva et se planta au pied du lit, en face de moi, me tournant le dos.Elle se pencha en avant et s'écarta les fesses, m'exhibant ***petit trou interdit :
- " Regarde, si tu avais été moins con, ce matin, tuaurais pu me prendre par là. J'ai un beau cul, tout le monde mele dit...Préviens-moi quand tu vas gicler, j'aime bien regarderça, et je ne voudrais pas rater le spectacle. C'est dégeulasse,mais ça m'a toujours fasciné. " Heureusement qu'ellem'avait prévenu, car la vue de *** orifice qui me faisait de l'œilme donna un coup de fouet. Je fis, le plus stoïquement possible :
- " Je viens, maîtresse. " Elle se retourna juste àtemps pour ne pas louper le spectacle, bien moins impressionnant cettefois.

Ce coup-ci, j'étais vanné.Elle s'agenouilla sur le lit et contempla mon sexe recroquevilléet mon corps couvert de mon sperme. Elle ne put réprimer une grimacede dégout :
- " Allez, mange-moi tout ça. Moi, ça me débecte,je vais boire un coup. Tu iras prendre une douche quand tu auras fini." Je l'entendis fouiner dans le frigo. Je la croisai comme je sortaisde la chambre, avec quatre bières dans les bras. Elle avait l'aird'aimer ça...

Quand je revins me coucher, frais etlégèrement humide, elle était allongée surle lit, les jambes écartées, et avait déjàfini une bouteille. Comme je me couchai à côté d'elle,sans un mot, elle émit un long rot ***ore. Venant d'elle, çam'a à la fois choqué et terriblement excité, unesensation bestiale, impossible à décrire. Elle décapsuladeux bières et m'en tendit une :
- " Tiens, j'ai envie de t'embrasser, mais après ce que tuviens d'avaler, je préfère te passer la bouche àl'eau de javel. " Elle avait une bonne descente... Moi, je sirotaispéniblement ma bière.

Elle avait déjà finisa deuxième alors que j'en étais encore qu'à la moitiéde ma première, et se leva d'un bond :
- " Oufff ! J'ai envie de pisser, il faut que j'y aille. C'est où? " Je la maintins fermement par la main :
- " Je suis là, maîtresse. Inutile d'aller bien loin." Diane m'avait laissé sur ma faim, la dernière fois,et depuis j'avais terriblement envie d'essayer ça : J'espéraisjuste tenir le choc. Elle se débattit :
- " Mais non, c'est fini, ces conneries... Je joue plus. "Je resserrai mon étreinte :
- " Moi, J'en ai envie... " Elle commençait àêtre inquiète et à paniquer :
- " Mais lâche-moi, merde ! Moi, j'ai pas envie de faire tessaloperies ! " Je la lâchai donc, à contrecœur:
- " Désolé, ne m'en veux pas, s'il te plait... Viens,je vais te montrer. " Je l'accompagnai jusqu'aux toilettes qu'elleaurait bien pu trouver toute seule, mais je tentai d'assurer le servicejusqu'au bout. Je lui fis à travers la porte qu'elle avait tiréesur elle, sans la refermer :
- " Je peux te nettoyer, si tu veux... " Je me repaissaisavec délectation du bruit de *** jet dru sur la cuvette. J'adorece bruit, il m'a toujours excité, depuis l'école primaireoù j'écoutais les filles faire leurs petits besoins àla récréation, les toilettes étant contiguës.Chloé referma brusquement la porte sur elle, et je l'entendis s'essuyernerveusement. Elle ressortit plutôt énervée :
- " T'es pas net, à vouloir à tout prix servir de chiottesou de papier cul. Arrête avec ça, moi, j'accroche vraimentpas ! " Tant pis... Restons classiques.

Nous nous sommes recouchés surle lit, et je finis ma bière en silence. Chloé me caressaitla poitrine, se faisant enfin plus câline :
- " Prends ton temps, finis-la doucement. Excuse-moi pour le rot,c'est pas mon genre, d'habitude. C'était volontaire, pour te choquer... " Je l'embrassai :
- " Ne t'excuse pas. Moi aussi, je vais peut-être te choquer,mais une fille qui rote comme tu l'as fait, ça m'exciterait plutôt.Tu connais mon côté assez... cochon... " Elleme fit un sourire en coin :
- " Ouais, j'aurais dû m'en douter. Dis, tu aurais voulu queje te pisse dessus, ou quoi ? J'ai peur de comprendre ce que tu voulaisfaire exactement... "
- " Tu m'aurais pissé dans la bouche, j'aurais tout bu, etje t'aurais soigneusement nettoyée. " Elle grimaça,visiblement dégoûtée :
- " Bahhh... C'est encore pire que ce que je croyais. Tu faisça souvent ? " Je la regardai dans les yeux :
- " Je l'ai jamais fait. J'ai failli, avec Diane qui étaitcomplètement saoule, mais elle s'est vite ravisée. Tu sais,je voulais t'être agréable, je ne voulais pas te faire peur... " J'avais fini ma bière, et elle me regarda d'un air étrange:
- " Et toi, tu as déjà fait dans la bouche d'une fille? Ça doit être plus pratique, avec ton petit bec verseur... " L'idée ne m'avait même jamais effleurée :
- " Ah ! non, jamais... Tu serais tentée ? Je commenceà avoir envie, moi aussi... " Elle secoua énergiquementla tête et le doigt :
- " Oh ! Non, non, non ! Tu ne m'as pas comprise !... Je ne suispas tentée par tes expériences glauques. Je voulais savoir,c'est tout... Bon, maintenant, on arrête avec toutes ces cochonneries.J'ai envie de tendresse, et de te faire l'amour longtemps. C'est pourça que je t'ai fait te vider... "

Elle m'embrassa et caressa mon corps,en évitant soigneusement mon sexe. Je l'enlaçai et flattaises courbes comme elle descendait embrasser mes pieds. Etant trèschatouilleux, elle n'insista pas longtemps. Je l'allongeai sur le ventreet lui rendit la politesse : Je m'agenouillai au-dessus de ses épauleset contemplai sa jolie croupe bien ronde :
- " C'est vrai que tu as un beau cul, et je ne m'en suis pas beaucoupoccupé jusqu'à maintenant. Tu permets que je l'embrasse,à moins que tu aies encore des réticences ? " Ellene semblait pas inquiète :
- " Non, vas-y, fais-moi tout ce que tu veux, mais ne m'y mets pastes doigts, c'est la seule chose qui me hérisse. Heu... Ta queuenon plus, au fait ! " Elle avait rajouté ça en riant: Elle avait l'air de s'être détendue... Je m'allongeaisur elle et caressai ses fesses en les pétrissant avec passion.Elle m'en fit la remarque en riant :
- " Tu devrais travailler à la boulangerie avec moi, tu asle coup de main pour pétrir les miches ! " Je souris :
- " Figure-toi que j'avais évoqué les miches de laboulangère avec Carole... C'est marrant, au fait, elle ne saitpas que la serveuse de la boulangerie et du " Lolitas " ***tune seule et même per***ne... " Elle pouffa, mais ne relevapas. Je repris mon ouvrage en déployant ma langue redoutable auplus profond de ses replis intimes. Elle se laissa butiner en émettantde petits grognements de satisfaction. Elle avait l'air assez réceptiveà mes avances, et me caressait comme elle pouvait en retour :
- " Tu fais ça très bien, c'est très agréable.Juliette avait rai***, tu es un petit cochon. J'ai bien fait de me laisserfaire, en plus, ça n'engage à rien. Je ne veux toujourspas aller plus loin, j'espère que je ne t'ai pas donné defaux espoirs... " Je m'assis sur le lit et lui dit :
- " Ce n'était pas mon intention... Tourne-toi, que je tedébarbouille la face sud. Rassure-toi, ce coup-ci, je ne te violeraipas : J'arrêterai quand tu me le demanderas. " Elle m'adressaun sourire méfiant :
- " Ouais, Y a intérêt : tu m'as déjàbaisée deux fois ! Enfin, façon de parler... " Jem'allongeai sur elle presque en position de soixante-neuf : je ne voulaispas lui imposer mon sexe. Je la léchai doucement, bercépar les mouvements de *** bassin et ses soupirs. Elle me tira doucementen arrière :
- " Viens sur moi, mon chéri. J'ai faim de toi. Fais moi l'amour... " Je m'allongeai sur elle. Chloé me laissa la pénétrerfacilement puis m'enserra délicatement. Elle modulait ses contactionspour en faire de délicieuses caresses. À ce train là,je risquais de ne pas faire long feu, malgré ma double masturbation:
- " Oh ! Chérie, tu es trop bonne... Tu vas me faire jouirsi tu continues à me faire ça... " Elle me sourittendrement :
- " Mais toi aussi, tu es très bon... Sors un peu, alors." Je me retirai et m'allongeai sur le dos pour faire tomber un peula pression.

À ce sujet, Chloé décapsulala dernière bière. Elle m'en offrit quelques gorgéesavant de reprendre la bouteille. Cela me rappela que j'avais toujoursenvie de pisser :
- " Je reviens, je vais me repoudrer le nez... " Elle sereleva :
- " Tu vas pisser ? Attends moi ! " Elle m'immobilisa devantla cabine de douche et me souffla, très excitée :
- " Il y a un truc que j'ai envie de faire depuis toujours, c'estde faire pisser un garçon. Toute petite, j'enviais une copine quis'occupait de *** petit frère. Je la matais quand elle prenait*** petit zizi dans ses doigts pour qu'il fasse sur le bord du chemin... Ça te dérange pas que j'essaye ça avec toi ? "Je souris :
- " Mais non, avec joie, même ! N'hésite pas àme confier tes fantasmes les plus tordus, si je peux t'aider àles réaliser... " Je lui désignai du doigt l'endroitexigu dans lequel elle voulait me faire faire mes petits besoins : "Tu ne préfèrerais pas qu'on aille dehors, plutôt ?"
- " Oh si, ce serait mieux. Je vais même t'habiller un peu,si ton envie n'est pas trop pressante... " Elle m'enfila mon shortet mon Tee-shirt, et elle, elle passa la robe de chambre de Carole. Unefois dans l'herbe, à pieds nus, éclairés par la luneet une lampe de la mai***, elle passa la main dans mon short et sortitmon petit zizi par une jambe. C'était très dur de ne pasavoir de nouvelle érection... Heureusement, l'air frais m'aidaitun peu.

Chloé m'encouragea :
- " Vas-y, fait pipi, mon petit Luc. Tata Chloé va t'aider." Je me vidai sur les rosiers de Carole, et manquai d'arroser W,parti en maraude et attiré par nos bruits. C'était agréabled'être tenu par une main amicale, même si elle s'amusait àfaire des zigzags avec mon urine. Elle m'égoutta maladroitement,me rangea dans mon short et me raccompagna dans la chambre en me tirantpar la main. Je lui dis en souriant :
- " Merci, Tata Chloé, c'est gentil d'aider un petit garçonmaladroit. " Nous nous sommes déshabillés et recouchéssur le lit. Elle m'enlaça et me fit d'un air soupçonneux,après un temps de réflexion :
- " Tu te moquais de moi, là ? " Je lui souris tendrement:
- " Mais non, pas du tout... Alors, c'était bien ? "
- " Oui, mais pas autant que j'aurais cru. " Je soupirai :
- " Eh oui, c'est le propre des fantasmes... Une fois réalisés,c'en n'est plus. "
- " Merci quand même d'avoir joué le jeu, c'étaitgentil. " Je me tournai sur le côté pour la regarderdans les yeux :
- " Dis-moi, ça va peut-être te braquer si je te disça, mais je pourrais peut-être jouer le rôle de tononcle qui t'a traumatisée, et ainsi tu pourrais te venger et le" tuer ", au sens psychanalytique du terme, bien sûr... " Ses yeux se perdirent au plafond :
- " Tu crois ?... ça me semble une bonne idée, àpriori, mais je ne sais pas si je serais assez forte pour l'affronter,même en position de ******** On en reparlera, promis, mais là,j'ai envie de faire l'amour à Luc : Mon gentil petit amant. "

Chloé m'embrassa et se lovasur moi, frottant sa toi*** rêche sur mon membre qui se dressa rapidement.Elle m'enfonça en elle en se trémoussant, sans mêmes'aider de ses mains : elle est vraiment très habile de *** sexe...Elle me faisait l'amour sans bouger, juste en contractant *** vagin, ouplutôt les muscles de *** périnée tout en embrassantmes tout petits seins de petite fille, comme elle dit. J'ai l'impressionque nous avions tous deux beaucoup de souvenirs troublants remontant àl'enfance...

Elle se mit à aller et venirdoucement, tendrement, sans passion, en me bécotant distraitementet en me mordillant le cou. Je lui caressai les seins en les faisant épouserle creux de mes mains, presque sans les toucher. Elle me souriait gentiment,et je lui rendais *** sourire. Nous voulions que cela dure le plus longtempspossible, et nous faisions de longues pauses. Elle se relevait parfoislégèrement pour que j'embrasse ses seins, ou elle, les miensou mon sexe. Nous étions si peu frénétiques que nousavions fini par nous endormir l'un sur l'autre : Je fus réveillépar *** léger ronflement à mon oreille. Sur le coup, jefus un peu vexé qu'elle puisse s'endormir sur moi, jusqu'àce que je réalise que je dormais aussi... Je la réveillaien la basculant doucement sur le côté et éteignisla lumière :
- " Hein ? Oh... Je me suis endormie, ou quoi ? Je suis désolée,ce n'est pas flatteur pour toi... Ce doit être la bière." Je l'embrassai :
- " Mais non, ce n'est rien... Pour tout te dire, je me suis endormiaussi. Bonne nuit, ma chérie... "
Cette fois je n'eus pas droit au frotti-frotta nocturne. Je l'ai justeentendue se lever pour aller aux toilettes.

Elle me réveilla par une délicatefellation, au petit matin. Je fis d'une voix ensommeillée :
- " Oh ! Ouissecasse, comme tu as la langue douce ce matin... " Chloé me répondit par un " Mrraw ? " dematou amoureux et vint se blottir dans mes bras :
- " Je suis désolée, mon chéri, je suis unebien piètre amante. J'ai honte de m'être endormie sur toi... C'est la première fois que ça m'arrive. " Je l'embrassai:
- " Rassure-toi, c'est que tu devais être comblée etsereine... J'ai fait pareil, alors, n'en parlons plus. " Elleme fixa d'un air coquin :
- " Tu veux faire pipi ? "
- " Pourquoi, tu veux me faire faire dehors ? " Elle rit :
- " Je pensais plutôt à faire l'amour, mais maintenantque tu me le dis... " Je me levai d'un bond :
- " C'est parti !... J'ai envie, Tata Chloé... " Elleme prit la main et m'entraîna dehors, nus tous les deux. La fraîcheurmatinale m'aida à me libérer rapidement dans un buis***de genévriers. Après m'avoir égoutté, Chloéme masturba en se mettant à genoux. J'étais inquiet :
- " J'ai fini, Tata, qu'est-ce que tu fais ? " Elle me réponditd'une voix sourde :
- " Regarde ton petit oiseau comme il grandit quand on le caresse..."
- " Je sais, mais tu fais mal. Pourquoi tu fais ça ? "
- " Parce que Tata Chloé n'a pas de robinet, et elle auraitvoulu en avoir un. " Je paniquai :
- " Tu vas pas me le prendre, dis ? " Elle criait presque :
- " Mais non, mon petit Pierrot, je vais juste te le manger et lemettre dans ma foufounette ! " Je m'enfuis en pleurant pour me réfugiersous les draps. Elle me rejoignit silencieusement et je sursautai quandelle me caressa les fesses à travers la toile. Elle cherchait àm'amadouer d'une voix douce qui ne me trompait pas :
- " N'ai pas peur, mon petit Pierrot, Tata ne veut pas te faire demal... " Elle glissa sa main sous le drap et caressait mes fessesavec insistance, en respirant très fort. Elle enfonça brusquementsa main entre mes cuisses, saisit mes testicules avant que je n'aie puesquisser un geste de défense et me les broya d'une main de fer.Chloé reprit de sa voix sourde :

chrislebo

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- " Sois sage, sinon je vais être très méchante.Tu as compris ? "
- " Tu me fais mal, Tata... " Elle tira un coup sec sur mesattributs et répéta, un ton au dessus :
- " Tu as compris ?! " Elle m'arracha un cri et je me mis àsangloter :
- " Aïe ! Oui, Tata... Mais ne me fais pas de mal... S'ilte plait... " Elle me fit de sa voix enjôleuse :
- " Je ne veux pas te faire de mal, mais tu n'es pas gentil avecta tante... Moi, je suis gentille, je veux juste jouer avec toi àla poupée. Laisse-toi faire gentiment... " Je reniflais:
- " Je vais le dire à Maman ! " Elle souriait :
- " Ça m'étonnerait... Moi, je lui dirais que tues un petit vicieux qui regarde sous les jupes des filles. À tonavis, qui elle va croire ? Un petit vicieux pleurnichard ou sa grandesœur adorée ? " Je ne dis plus rien, honteux. Elle mecaressa la raie avec *** autre main et m'y enfonça un doigt ************
- " Tu sais, si j'étais un garçon, je crois que jemettrais mon zizi dans ton petit trou. Ça te ferait trèsmal, mais j'aimerais bien ça. " Je tremblai à cetteidée : je sais comme ça peut faire mal...

Elle me retourna et me masturba unpeu. J'étais dramatiquement humide et ne pouvais pas cacher mesréelles émotions. Elle se mit à me faire une fellationgourmande, sans lâcher mes bourses. Elle resserrait sa poigne àchacune de mes tentatives pour me dégager.

Elle me dit en souriant :
- " C'est pas désagréable, une bouche de fille, non? Plus tard, tu apprécieras mieux. " Je restai de marbre,crispé, tétanisé, avec une belle érectionquand même... Elle s'agenouilla de toute sa hauteur au-dessus demon sexe et me présenta le sien :
- " Tu as déjà vu une foufoune de femme ? C'est commeune grande bouche, sans dents. Ça sert à avaler les petitszizis comme le tien. " Là dessus, elle s'assit sur mon membreet me chevaucha, en enserrant de nouveau mes bourses de sa main de ferderrière elle et jouit rapidement et bruyamment.

Elle rit devant mon air hagard :
- " N'aie pas peur ! Quand les grands font ça, ils ***t tellementcontents qu'ils crient. Tu verras plus tard... Mais je te montrerai unfilm où il y a des messieurs et des dames tout nus qui font ça.Tu verras, c'est drôle. " Elle descendit du lit et me serrales testicules une dernière fois, à me faire gémir:
- " Ça, c'est notre petit secret à tous les deux, monPierrot... Ne dis rien à per***ne, sinon je te ferais vraimentdu mal, comme si j'avais un zizi. Compris ? " Je sanglotai :
- " Oui Tata. C'est promis. Lâche-moi, tu fais mal. "Elle me lâcha et me fit un petit bisou sur la bouche en souriant:
- " C'est bien, mon petit Pierrot. Tu es un grand garçon,maintenant. "

Elle s'allongea en me tournant le dos,poussant un profond soupir :
- " Merci mon chéri, tu as été super... Tu esun excellent comédien ! Je l'ai bien baisé, mon oncle, tutrouves pas ? " Sa voix était apaisée, joyeuse.
- " Il s'appelle Pierre ? "
- " Oui. Et il est très gentil, à part ce moment d'égarement qu'il a eu il y a une trentaine d'année. "
- " Tu te sens libérée, maintenant ? "
- " Oui...On dirait. Mais on verra avec le temps... Sinon, jeferais quelques piqûres de rappel... Essaie de me caresser commeje n'aime pas, pour voir ?... " Je glissai un doigt dans sa raie.
- " Bof... On dirait que ça me fait plus pareil...Allez,prends-moi, moi amour... " Je me collai contre la croupe qu'elleme tendait et je lui fis l'amour doucement. Elle me prodiguait des caressesvoluptueuses avec *** sexe habile, et je ne tardai pas à jouirà mon tour.

Nous sommes restés sans bougerun petit moment. W revenait de sa tournée d'inspection matinaleet se blottit contre les seins de sa grande copine en ronronnant. Chloéme fit d'une voix inquiète :
- " Dis-moi, est-ce que vous faites des cochonneries avec vos animaux? " Je souris, mais elle ne pouvait pas le voir :
- " Bien sûr ! Carole se fait mettre par *** âne pendantque je saute les biquettes. " Elle était interloquée:
- " Ah bon ? " Je soupirai et fis, consterné mais amusépar tant de crédulité :
- " Mais non... C'est pour rire... Pourquoi cette question? On a l'air donc si pervers ? " Elle rit :
- " Oui, ça, c'est sûr... Non, c'est que quand jecaressais ton bourricot, il avait une petite érection -C'est impressionnant,ces engins- et il cherchait mes seins... "
- " Ah... Ça, on ne sait pas, il a toujours étécomme ça. Pour les seins, il a peut-être étésevré trop tôt, mais pour l'érection, je crois queça leur arrive quand ils pissent, ou qu'ils ***t contents. MaisCarole est plus au courant que moi -elle est vétérinaireamateur- et elle ne m'en a jamais parlé : Ça ne doit pasêtre bien grave... "
- " J'ai vu aussi des harnais, des bricoles d'attelage et une selle.Ça vous sert à quoi ? "
- " Ça, c'est pour équiper Carlos -c'est le nom del'âne. On le promène dans les environs et il balade les gossesdu village sur *** dos, il adore ça. Sinon, on l'emmèneen randonnée, il porte notre barda. D'ailleurs, on devrait en faireune dans les prochains jours. " Chloé s'excita :
- " C'est vrai ? Je peux venir ? J'adore la marche ! " Je tempéraises élans :
- " Il faut que j'en parle à Carole. En principe, on partà deux, car on fait des choses... Dont je t'ai déjàparlé d'ailleurs. Et on part environ trois jours, coupésdu monde. " Elle était toujours aussi remontée et trépignait:
- " Mais j'ai envie -j'ai envie -j'ai envie ! "
- " Okay, je verrais ce que je peux faire. "

Je regardai ma montre :
- " Merde ! J'espère que la boulangère n'est pas passée... Carole met un mot sur le portail, d'habitude... " J'enfilai unerobe de chambre, pris le bloc notes réservé à cetusage et me rendis au portail, en priant qu'elle ne soit pas déjàpassée. L'été, la boulangerie était souventfermée, leur commerce se limitant au ravitaillement d'habituésparesseux -comme nous- et aux nombreux restaurants du coin. Je vis sapetite fourgonnette arriver comme j'accrochais le mot que je chiffonnaiaussitôt. La boulangère, assez sympathique, approchait dela cinquantaine -et de ma per***ne par la même occasion- la taillemoyenne, légèrement enveloppée, les cheveux auburn.Je lui fis, toujours charmeur :
- " Bonjour, princesse... C'est rare que je vous voie... " Elle me détaillait avec intérêt : j'avais passéla robe de chambre de Carole, plutôt transparente. Surtout àcontre-jour...Elle me fit d'un sourire en coin :
- " Vous allez attraper froid, Monsieur, à vous promener ainsitout nu... " Je lui prit deux baguettes, un sac de pain sec -restesd'un restaurant, presque cadeau- et quatre croissants.

Dans la cuisine, Chloé se bagarraitavec la cafetière. Je vins l'aider à préparer ledéjeuner. Je fis des bons œufs à la coque avec du bonpain frais, pour *** plus grand bonheur -et le mien. Elle, elle se gavaen plus de lait de chèvre.

Après le déjeuner, j'habillaiChloé avec les vêtements de travail de Carole -elles avaientà peu près la même taille, bien qu'elle soit moins" voluptueuse " et moins robuste que mon épouse. Je luiproposai d'aller s'occuper des bêtes et lui confiai le précieuxsac en la mettant en garde :
- " Fais gaffe, ce ***t des fous furieux. C'est pire que si tu tepromenais au milieu de la foule avec un sac de billets de banque. "Pendant *** action humanitaire, je fis un peu de ménage et la vaisselle,puis me remis au travail. C'était lundi...

J'avais gagné plus de deux cent euros, plus cinq cent trente grâceà mes collègues. La découverte de pétroleau pays d'Omar avait boosté mon secteur, l'Afrique. Mes amis n'étaientpas en reste, surtout Henri qui me fit enfin profiter des retombéesde ses " affaires. "

Je quittai mon poste de travail etallais voir si Chloé était toujours en vie. Je pris W dansmes bras mais il se débattit à l'approche du portillon :Carole m'avait raconté qu'il s'était fait bouffer la queuepar les oies, il y a quelques temps. Ce désagrément m'étantdéjà arrivé, je comprenais sa nervosité...

Chloé avait les cheveux en batailleet trayait les chèvres : on aurait dit une vraie fille de la campagne,comme Carole. Elle se retourna et me fit un grand sourire épanoui:
- " Tu viens m'aider ? J'ai bientôt fini : je trais celle-làet j'arrive... Tu peux prendre les œufs, ils ***t dans le panier." J'étais admiratif :
- " Dis-donc, tu es une vraie fermière ! ça a été,avec le pain ?" Elle rit :
- " Ah, tu parles ! Tu m'avais mise en garde, mais c'étaitpire que ce que je croyais... Pendant que je donnais du pain aux volailles,ton bourricot m'a arraché le sac des mains et s'est barréavec. Heureusement, il s'est déchiré et j'ai pu le récupérer.Je me suis quand même fait pincer le cul par une oie pendant queje ramassais les morceaux. Je comprends mieux maintenant pourquoi tu veuxme les refourguer... " *** récit me donna une impressionde déjà vu.

Je pensais déjà au repasde midi :
- " Ça te dit, des pâtes avec des œufs au plat,une salade de tomates et de concombre ? " Elle referma le portillon:
- " Ah ouais, ça me va tout à fait ! "
- " Viens, on va cueillir les tomates. Je crois qu'il reste un oudeux concombres au frigo, si Diane et Carole ne se ***t pas tout envoyécette fameuse nuit... " Je la guidai jusqu'au potager qu'elle n'avaitpas eu le plaisir de voir, encore. Vraiment, tout la poussait au ravissement:
- " Ouah ! Vous avez déjà des tomates... Et desconcombres ! Et là, des melons ! "
- " Les melons ne ***t pas encore mûrs. Si tu en veux, Ilsen vendent à côté du " Lolitas ". Si leslégumes ***t si précoces, c'est qu'ils ont grandi en serre: on vient juste de la démonter... Un peu trop tôt, peut-être,vu le temps pourri qu'on vient d'avoir. Apparemment, il n'y a pas eu dedégâts. " Je la laissais cueillir les fruits. Elle s'amusaitcomme une gosse :
- " Oh ! Des tomates cerises ! J'en ai jamais goûtées,des fraîches... Je peux ? " Je souris en secouant la tête:
- " Mais oui... vas-y, moi, j'aime pas trop ça, c'est pourCarole. Mange tout ce que tu veux, Elle est partie pour quelques jours." Elle en mangea bien une quinzaine, et en cueillit une dizaine supplémentairepour " plus tard. "

Pendant que Chloé préparaitla salade de tomates -je la surpris plusieurs fois à en engloutirsubrepticement une tranche-, je m'occupais du concombre :
- " *** frère a eu moins de chance. C'est celui qu'on a mangéhier à midi : Carole et Diane l'ont bien amoché... " Elle rit :
- " Qu'est ce qu'elles ont bien pu faire avec, donc ? " Je haussailes épaules :
- " Ah, ça... Elles ne s'en ***t pas trop vantées... En plus, elles ont bouffé une banane. Enfin, je ne suis pas sûrqu'elle soit entrée du bon côté de leur anatomie..."
- " C'est à dire ? "
- " Di***s qu'on va passer à table, et que je te laisse deviner? "
- " Ouais, je vois...Alors, à table ! "

Le repas terminé, Chloém'aida à faire la vaisselle et ranger la cuisine. Je l'embrassai:
- " Alors, ma poulette, qu'est ce que tu veux faire, cet après-midi? " Elle n'hésita pas une seconde :
- " Me promener avec ton bourricot ! " Je secouai énergiquementle doigt :
- " Ah non, pas question ! Cette bestiole est ingérable, c'estbien trop dangereux. Il n'obéit qu'a Carole, et encore... Tu voudraispas aller te promener avec les oies, et aller les noyer dans le Loing**,plutôt ? " Je me suis aussitôt rendu compte que c'étaitidiot de vouloir noyer des palmipèdes, bien que les cygnes y arriventtrès bien***.
- " Nan. Et si on allait barboter dans la piscine ? On peut, non? "
- " Ah oui ! Bonne idée. Je prends le matériel, àboire et on y va. Je ne voudrais pas piller la demeure de mes chers maîtres... "

Chloé avait tenu à emmenerW. Une lubie... Surtout qu'il faisait régulièrement letour du grand mur pour aller taquiner leurs poules naines. De plus, nousétions assez chargés, surtout moi : J'avais emportépas mal de bières -le reste de mon maigre stock- des sodas, desbiscuits, de l'ambre solaire et tout le matériel adéquat.Sauf les maillots, bien sûr...

Elle posa Ouissecasse sur un bain desoleil et se coucha sur un autre pour que je l'enduise de matièregrasse. Les parasols protégeaient bien du soleil, mais certainementpas des rayons de la mort, comme j'appelle affectueusement les ultraviolets.Chloé me rendit la pareille, et folâtra un petit moment entremes fesses bien huilées. Elle savait que j'aimais ça, maisn'alla pas plus loin : Dès qu'elle eut fini, elle poussa un cride guerre et plongea dans la piscine. Le pauvre W, qui inspectait lesenvirons, sursauta.

Je l'ai rejointe dans l'eau, mais beaucoupplus sobrement : Je n'aime pas trop me faire remarquer, sauf quand jeme promène en tenue sexy et en escarpins. Chloé nagea versmoi et s'enroula autour de mon corps, en apesanteur. Elle m'embrassa tendrementet me sussurra :
- " Tu l'as déjà fait, dans l'eau ? " Je lui répondis,pince-sans-rire :
- " Caca ? Oui, mais il y a prescription, j'étais trèsjeune... " Elle pouffa :
- " T'es con... Tu vois de quoi je parle... "
- " Mais oui, rassure-toi... Jamais. Tu veux essayer ? "En réalité, j'avais déjà essayé, avecCarole, dans l'océan atlantique. L'eau était si froide quemon érection était inutilisable. Repartons sur des basessaines...

Chloé me fit un large sourireet disparut sous les flots. Ma truite avait trouvé un asticot ettirait sur la ligne. Je ne sais pas si elle respirait par mon tuba, maiselle resta un temps relativement long sous l'eau. Elle remonta enfin eninspirant une grande goulée d'air.
- " Eh bien, tu as du coffre ! Tu fais de l'apnée juvénile****? " Elle rit :
- " Je fais pas mal de sport, quand j'ai le temps... Et je n'aipas de mérite, j'avais mes bouteilles ! " Dit-elle en me caressantles bourses. " Sinon, tu as aimé ? " Je lui fis un sourirebéat :
- " Oh oui... J'avais l'impression d'avoir le zigouigoui dansun taille-crayon..." Elle m'éclaboussa abondamment :
- " Ingrat ! Après tout les efforts que j'ai fait pour t'êtreagréable ! "
- " Je plaisante, bibiche ! C'était très bien... Maintenant,j'ai plus mal quand tu me suces. " Elle se jeta sur moi pour m'entraînerla tête sous l'eau, en riant :
- " Petit con ! "
chrislebo

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#9,263
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Nous nous embrassions passionnémentquand W se dressa sur ses pattes arrières, aux aguets : il avaitentendu du bruit. Nous aussi, quelques secondes plus tard : quelqu'unjouait avec le portillon pour essayer de l'ouvrir. Il était asseztordu à manipuler, et seuls quelques initiés -dont moi- y parvenaient. Les pas se rapprochaient, et Ouissecasse battit prudemmenten retraite sous la haie, le ventre contre le sol. Ce n'était queJuliette, équipée elle aussi comme pour aller à laplage. Elle fut aussi surprise que nous :
- " Tiens, vous êtes là, les enfants ? Je vous dérangepas, j'espère ? Je m'en vais, sinon... " Nous criions enchœur :
- " Mais non, restez ! " Elle sourit et s'installa. Elle avaitemporté *** petit univers : ses mots croisés, un livre -enitalien-, un poste de radio, une bouteille d'eau minérale, de lalotion solaire *** chapeau de paille et ses lunettes. Elle se déshabillaentièrement : elle avait bien un maillot de bain, mais elle l'enlevaaussi après une brève hésitation :
- " Après tout, vous m'avez déjà vue nue... Mais ça vous choque peut-être, une grand-mère, toutenue ? " Chloé rit :
- " Mais non, ne soyez pas stupide. Vous êtes encore trèsbelle ! Vous nous plaisez beaucoup. Viens, Luc, on va lui passer de lalotion. " Juliette baissa les yeux à notre sortie de l'eau.Elle nous jeta tout de même de brefs coup d'œil :
- " Vous êtes très beaux, tous les deux. " Nousla pétrissions chacun d'un côté, et elle semblaitapprécier beaucoup. Chloé la caressait en la regardant langoureusementet tenta de lui voler un baiser. Elle se détourna brusquement :
- " Non, moi je ne suis pas attirée par les femmes. Excuse-moi..." Chloé lui sourit :
- " C'est pas grave, je t'en veux pas... " Juliette s'épanchaen souriant :
- " Luc, c'est peut-être un peu tôt, mais j'ai commencéà asticoter mon mari ce matin. Il m'a traité de vieilletruie perverse quand il m'a vue en petite tenue, et surtout parce queje faisais mine de l'ignorer. J'ai même été jusqu'àmettre... ma main dans ma culotte. Il est parti en bougonnant, et jeme suis enfermée un moment dans ma chambre en poussant des petitscris et en remuant sur mon lit. Quand je suis sortie, il ne m'a pas ditun mot, mais me regardait d'un air rêveur, et inquiet aussi. Aprèsun bon moment, il m'a demandé d'une petite voix s'il y avait unautre homme, et j'ai souri d'un air de dire : " Qui sait ? "...Il est complètement chamboulé, le pauvre chéri..." Je lui fit un grand sourire :
- " Mais c'est très bien, tout ça ! Vous manoeuvrezcomme un chef ! Laissez-le vous tomber dans la main. " Chloéétait choquée :
- " Vous vous laissez insulter en souriant ? "
- " Oui, Luc m'a dit que c'était bon signe. Alors, oui. Jel'aime beaucoup, mon vieux bonhomme... " Chloé ne comprenaitpas tout. Elle ne dit plus rien, mais secoua la tête.

Comme elle entamait l'onction de ses cuisses, elle les souleva et me dit:
- " Vas-y, mon chéri. Elle aime bien ça, et je sensqu'elle en a envie. Je terminerai de lui passer l'huile. " Julietteétait un peu réticente, mais se laissa vite aller. Ellecommençait à être rodée... Cette fois, jem'apesantis un peu plus sur sa raie, et elle leva *** bassin pour me faciliterla tâche. Chloé lui pétrissais les seins, luisantsde crème solaire. Lorsque Juliette eut *** orgasme, elle n'a paseu à retenir ses cris : Chloé l'embrassait à pleinebouche, les mains toujours sur sa poitrine. Elle nous repoussa mollement:
- " Petits monstres... Vous allez me tuer... C'étaitsi bon... Merci, mon Dieu. " Je lui fit en lui tapotant la cuisse:
- " Mais non, restons simples, appelez-moi Maître ! "Chloé lui passa un doigt dans le sexe, ce qui la fit sursauter,et le suça avec délice en la fixant dans les yeux, puiselle m'embrassa:
- " Maintenant, chère Juliette, nous allons faire l'amourpour vous. " Elle s'agenouilla de profil et me fit une fellationtrès sensuelle, digne d'un film porno. À vrai dire, c'étaitune projection privée, pour une seule spectatrice... Chloése releva, m'embrassa et me chuchota à l'oreille :
- " Fais semblant de m'enculer... " À Juliette :
- " J'ai l'impression que vous êtes très interresséepar ce qu'on va faire, et je vais vous montrer comme c'est bon, par derrière... " Elle s'inclina juste devant moi, les mains sur les genoux. Je m'accroupispour faire couler ma salive dans sa raie et lui caressai *** petit troude manière assez appuyée. Si elle voulait simuler, autanten profiter... Elle gémissait sous mes caresses, et m'invita àla prendre. Je me glissai dans *** vagin en forçant -elle s'étaitcontractée pour renforcer l'illusion, et elle poussait des criset des soupirs. Juliette n'y voyait que du feu, et était passablementfascinée. Chloé m'invita à accélérerla cadence et à la " défoncer. " Elle hurla ***plaisir en m'écrasant le pubis à grand coups de sa croupe,et je l'ai rejointe aussitôt. Elle se retourna, s'agenouilla etme suça encore un peu avant que mon érection disparaisse.Chloé se laissa enfin tomber au sol, à mes pieds. Elle fità Juliette, dans un état second :
- " Mon dieu, quelle bonne enculade ! Si vous saviez comme c'estbon, de se faire défoncer l'arrière boutique... Et Lucest un artiste en la matière... Vous avez vraiment tort de vousen priver... "

J'avais un peu compris le but de lamanœuvre... C'était gentil de sa part, mais c'étaitun peu de l'escroquerie, quand même... Juliette étaitembarrassée, et tiraillée par un dilemme :
- " C'est vrai que Luc est un petit dieu -plutôt un petit démon- de l'amour, mais j'hésite à franchir ce pas. C'est une chosequi sent le souffre, pratiquée par le diable et ses fidèles.Franchement, je ne sais pas. " Chloé en remit une couche :
- " Vous savez, presque toutes les épouses le font, au moinspendant leurs règles ou leur grossesse, ou par facilité.Il n'y a rien de diabolique là-dedans. Et puis, l'églisen'y connaît rien, elle ne couche pas. Officiellement... " Juliette éluda le débat :
- " Oui... Je verrais plus tard. "

Elle attrapa ses mots croiséset alluma sa radio. Nous commencions à l'indisposer, et nous n'insistionsplus. Chloé me fit à l'oreille :
- " J'ai simulé... j'ai encore envie. " Je lui répondisà voix haute :
- " Allonge-toi au bord de la piscine, les pieds dans l'eau. "Je plongeai, et attira ses fesses au bord du bassin. J'étais àbonne hauteur pour lui brouter *** exubérante cres***nière.Elle se laissa faire quelques instants, puis me rejoint dans le bassinen m'enlaçant. Chloé me fit à l'oreille :
- " Tu l'as déjà fait, dans l'eau ? " je lui répondit,toujours pince-sans-rire :
- " Pipi ? Oui, à l'instant. Et il n'y a pas prescription." Elle me dit en souriant :
- " T'es dégueu... l'eau est assez chaude, c'étaitpas la peine... "
- " C'était encore pour rire, rassure-toi. " Elle mecaressa quelques secondes pour s'assurer de mon érection et s'empalasur mon sexe, et je la laissai prendre *** plaisir sur moi. Elle semblaitapprécier que je la laisse faire à sa guise, et jouit bientôtà mon oreille.

Elle m'embrassa et me dit, d'un airsérieux :
- " Voilà. Tu l'as déjà fait, dans l'eau. "Nous avons barboté un bon moment dans la piscine, bu des bièreset des sodas, si bien que je commençais à avoir vraimentenvie de pisser. Mais pas dans la piscine... Je proposai une attractionà ces jeunes filles :
- " Dites, je vais aux toilettes, dans la mai***, j'ai les clés.Si ça vous dit... Et aussi, il y a des vidéos que jevoudrais bien vous montrer. " Elles se levèrent comme un seulhomme : Diane leur avait longuement parlé de ces vidéos,et Juliette n'en avait pas vu grand-chose jusqu'à présent.

Nous avions passé quelques vêtements,la mai*** étant assez fraîche, puis je laissai la prioritéà ces dames. Elles avaient en fait plus envie que moi, mais n'avaientpas osé évoquer ce sujet. Une fois soulagés, je lesguidai jusqu'au bureau de Denis et leur montrai la vidéo de monbaptême, et celles de notre soirée avec Carole et de la "nature morte. " Je ne les avais pas encore vues, Denis s'étaitassez bien débrouillé. Il manquait une petite touche artistique,mais le fond était là.

Les prestations de Carole ont profondémenttroublées Juliette :
- " Je n'aurais jamais cru que Carole puisse faire ça : Jusqu'àce que je le voie de mes yeux, je t'avoue que je croyais bien que tu étaisbrouillée avec elle, depuis que je l'ai vue partir hier matin,en pleurant. " Je lui fis avec un sourire en coin :
- " Et encore, nous ne savons pas ce qu'elle a fait toute la nuitavec Diane... " Chloé était ***geuse :
- " Oui...J'ai vu l'état du lit, c'était pas beauà voir... " Juliette retourna au bord de la piscine, elleavait un peu froid. Chloé me caressa la main, et dit d'une voixhésitante :
- " Dis, j'ai envie d'essayer ta machine... Je peux ? " Jel'entraînai par la main en souriant :
- " Bien sûr, viens ! "

Elle caressa la dure planche de boisbrute, polie par endroits par quelques peaux soumises. Elle joua un instantavec les sangles et les manivelles, puis grimpa dessus:
- " Attache moi. Je veux voir ce que ça fait. " Je luifis essayer toutes les configurations possibles et lui infligeai quelquessévices et attouchements pour mieux lui faire ressentir la positiondélicieusement inconfortable de l'esclave soumis aux caprices de*** maître. Elle semblait intéressée :
- " Ouais, ça me fait des sensations... Mais il faut avoirune grande confiance en *** partenaire pour faire ça. Tu auraispu me violer dix fois, et comme tu en as envie, en plus... " Elleme fit un clin d'œil, mais je la grondai :
- " À ce sujet, tu es gonflée de faire la propagandede la sodomie à Juliette. Tu n'es pas la mieux placée pourça... "
- " C'est qu'on en a beaucoup parlé entre filles, pendantque toi tu pratiquais... Juliette nous a confié qu'elle n'arrêtepas de te revoir en train de te faire mettre -ce n'est pas le terme qu'ellea employé, tu t'en doutes- depuis qu'elle a vu ta vidéo,et elle se dit que ça doit être très bon, mais queça doit faire un peu mal...Bref, on dirait qu'elle retournele truc dans tous les sens. Nous deux, on a rien dit : On n'en est pasdu tout fan, mais on ne voulait pas la dégoûter. Pour nous,c'est un truc de mec, pour asservir les filles, les humilier et les priverde plaisir en leur faisant mal, en plus. Un peu comme l'excision, quoi... " Eh bien... je la croyais plus ouverte que ça...
- " Je dirais même comme l'infibulation***** ! Comme tu y vas...Tune connais aucune fille qui aime ça ? "
- " Oh, qui tolèrent, qui apprécient moyennement, quisupportent, qui simulent pour abréger le vidage des burnes de monsieur,oui. Mais je n'ai jamais rencontré de fille qui aime vraiment ça." Je soupirai :
- " J'espère que Carole ne m'a pas menti... Mais je necrois pas, ce n'est pas *** genre. Bien qu'a la réflexion, ellene m'avait pas semblé très enthousiaste... Tant pis, jecontinuerai à offrir mes fesses. Moi, au moins, je sais que j'aimeça ! "

Nous sommes retournés quelques instants au bord de la piscine pourtenir compagnie à Juliette, et barboter en faisant les fous, puisnous sommes rentrés. W était retourné à lamai*** depuis longtemps : il préférait le calme arboréde *** domaine. Chloé voulait revoir les chèvres et lestraire une dernière fois, ainsi que Carlos et les volailles. Elleaimait aussi beaucoup les canards qui la suivaient en devisant sans arrêt: Elle leur jetait un reste de pain de ce matin dans leur mare -ils n'avaientpas tout mangé. Les oies étaient restées au fonddu champ, à trompeter contre le chien du voisin qui aboyait enretour, séparés par la clôture. J'enserrai la taillede Chloé et lui embrassai le cou :
- " On dirait que tu te plais, ici... " Elle me caressa lanuque sans se retourner :
- " Oh oui... Quelle chance tu as... Tu fais quasiment rien,tu as un petit paradis... " Elle étendit la main et fitun geste circulaire pour embrasser mon domaine " ...tu as uneépouse à faire baver la terre entière, et tu fréquentesplein de monde -hommes et femmes- en même temps. Je t'envie, tusais... "
- " Si tu veux, et si Carole est d'accord -elle l'est toujours- tupourrais vivre ici un petit moment, prendre des vacances, et même,si tu y consens, nous servir de bonne dévouée, si tu voisce que je veux dire... " Elle rit :
- " Comme Alicia ? Ce serait rigolo ! Pour le boulot, ça meferait pas peur, je suis hyperactive. Par contre, pour le sexe, je nechangerai pas, tu n'aurais rien de plus. Moi, par contre, j'aurais lavolcanique Carole... "
- " Ça me va, je n'en attendais pas plus de toute façon.Allez, on va faire la popote, quand tu auras fini avec tes rongeurs. "Elle rit, en disant que je ne connaissais rien aux animaux : C'est vrai,pour moi, la grande famille des rongeurs va du canari au percheron. Jecontinuai :
- " Mais avant, on ira te remplir de tomates cerises. D'ailleurs,je n'ai pas revu celles que tu avais cueillies pour plus tard, soit disant..." Elle rit en tapotant *** estomac.
Nous avons fait un passage au potager, pour cueillir quelques légumeset arroser un peu le jardin : la pluie récente s'était déjàbien évaporée... Chloé cueillit des tomates, desconcombres, et toutes les tomates cerises assez mûres... pourplus tard, bien sûr.
chrislebo

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Nous avons mangé le mêmerepas frugal, terminé sur du fromage : elle faisait une cure defruits et légumes chez nous. À vrai dire, je n'en avaispas vu beaucoup dans *** appartement, à part mes roses... Àla fin du repas, elle sembla ***geuse :
- " Dis-moi, Tu pourrais m'emmener à la boulangerie, demainmatin à huit heures ou ça te fait trop tôt ? "Je suis peut-être une marmotte oisive, mais je ne suis pas un monstre:
- " Ah ! Mais oui... j'avais projeté de te ramener ce soirà ton orphelinat après avoir abusé une dernièrefois de ton corps, mais ça me va. " Elle m'embrassa amoureusement:
- " Mais avant, il faudrait passer chez moi pour que je mette tonbon lait au frais. Et tes bons légumes. " Je serrai les dents:
- " Tu ne crains pas ******* ? " Elle me fit un sourire ingénu:
- " Oh non... Prends-ça comme une avance sur mes gages... Et je me lèverai tôt pour traire les chèvres et tepiquer des œufs une dernière fois. " Je secouai la tête:
- " Tu es un vampire : tu as pompé presque toutes mes bières,vidé mon potager et asséché mes bêtes... Sansparler de mon pauvre petit poireau. Allez viens, on va jouer dehors. "

Je l'entrainai sur un banc de pierretiède pour profiter de la fraicheur. Nous avons devisé unlong moment, jusqu'au crépuscule. Le ciel était couvert -un léger voile nuageux- donc pas de contemplation des étoiles.Je me levai :
- " Tu viens, on va se baigner... " Elle soupira :
- " Encore ? Mais il fait noir, et j'ai eu ma dose de chlore pouraujourd'hui... "
- " Non, petit monstre assoiffé de lait de chèvre,dans une baignoire. À l'étage. "

Elle ne se fit pas prier, et m'accompagna avec plaisir :
- " Ouah ! Elle est plus grande que la piscine ! " Je tournailes robinets :
- " N'exagérons pas... Il y a deux places, en vis àvis. Et il y a même des bubulles... " Je rejoignis Chloéqui s'était déjà installée et jouait avecle bain moussant. Je la mis en garde :
- " Fais gaffe, n'en mets pas trop ! Avec les bulles, ça risquede tourner à la soirée mousse. " Elle cria :
- " Oh oui ! Je boirais bien une petite mousse, avec ça !" Je la calmai :
- " Mais tu es une vraie éponge ! Tu veux pas une pipe, aussi? " Elle changea de sujet :
- " Elle est vraiment chouette, ta baignoire... Tu aurais dûme la montrer plus tôt. C'est mon rêve, une baignoire. Alors,une comme ça... "

Elle poussa un soupir d'aise en secalant dans *** fauteuil moulé lorsque je mis le bulleur en route.Elle s'amusait à serrer les cuisses et à faire jaillir lesbulles par intermittence :
- " J'adore péter dans mon bain ! Et ça sent mêmepas ! " Quelle gamine... Je les attire, on dirait. Elle avançasa main sous la mousse et saisit mon membre pour me caresser sensuellement:
- " Tu peux me faire pareil, si tu veux... " Je ne me fispas prier et glissai ma main dans *** sexe avide. Les bulles qui remontaiententre ses cuisses devaient être à l'origine de *** excitation...

Nous nous sommes caressés doucement,les yeux dans les yeux, jusqu'à ce qu'elle jouisse en silence.Je l'ai arrêtée avant qu'elle ne m'achève, àsa grande déception :
- " Je préfère ne pas me répandre dans la baignoire,on va en avoir partout. Je l'ai déjà fait, et c'est pasbeau à voir... "

Je la laissai savourer *** plaisirtranquillement. Elle souriait, les yeux fermés... La pauvre avaitbesoin de souffler, à ***** de vivre sa petite vie morne et laborieuse.Je la tirai de sa somnolence en attrapant le téléphone àcôté de la baignoire : j'avais pensé à en placerun ici, car, c'est bien connu, il suffit d'entrer dans *** bain pour qu'ilse mette à ***ner :
- " Je viens de réaliser que je n'avais pas de voiture, etDenis doit avoir besoin de la sienne pour *** boulot. Je vais appelerJuliette. " Le téléphone ***nait déja depuisplusieurs secondes, et j'espérais qu'elle ne soit pas déjàcouchée. C'est Roland, le mari de Juliette qui décrochaaprès un nombre conséquent de ***neries :
- " Allô ? " Il semblait énervé. Lui nonplus n'aime pas ces engins.
- " Bonsoir Roland, c'est Luc, votre petit voisin. Je vous dérangepas ? "
- " Non, non... C'est qu'à cette heure, ce ***t rarementde bonnes nouvelles. Tu as un problème ?" Chloé avaittrouvé sur le rebord de la baignoire, dans une boite, toute unefamille de canards en plastique jaune -les jouets de mon épouse- et se mit à jouer avec dans la mousse en chantonnant et en leurfaisant la causette. Exactement comme Carole. Quand je disais que je lesattirais... Roland l'avait entendue :
- " Mais tu n'es pas seul ? Juliette m'a dit que Carole étaitpartie pour quelques jours... "
- " En effet. J'en ai profité pour louer les services d'uneprostituée à la journée. Ça coûte assezcher, mais me change de l'ordinaire... " Chloé pouffa,mais Roland me croyait à moitié. Il me connaissait tropbien :
- " Ah bon... Mais qu'est-ce qui t'amène ? "
- " Juliette m'a proposé de me prêter sa voiture. Jevoudrais savoir si elle était d 'accord pour me la prêterdemain matin... J'en aurais besoin vers sept heures, si c'est pas troptôt... " Chloé faisait " coin-coin " enpromenant maman canard et ses canetons à travers la mousse. Ilréfléchit un long moment :
- " Heu... Tu sais, elle est plutôt bizarre, en ce moment: Là, elle s'est enfermée dans sa chambre et je me demandece qu'elle y fait. Je vais lui dire que tu veux lui parler, çava peut-être la faire sortir... " J'attendis un long moment: Je l'entendais crier et s'énerver, puis il revint au téléphone,un peu à cran :
- " Bon, elle a pas voulu sortir. Elle est d'accord, et elle t'embrasse.Passe demain matin à la mai***, on sera debout. Tu ne saurais pasce qui lui arrive, par hasard ?" Je le remerciais en éludantla question, juste en émettant l'hypothèse qu'elle devaitavoir ses règles. Vu *** âge, ça le fit tout de mêmesourire.

J'ai eu un mal fou à sortirChloé de la baignoire : Elle avait rangé ses jouets et selaissait porter pas les bulles, dans un état second. Je lui déposaiune bise tendre sur la joue. J'adore les petites filles qui n'ont pasgrandi, comme elle... Chloé me rendait l'absence de Carole supportable.Car Carole me manquait terriblement, et il me semblait presque la retrouverchaque instant en elle.

Je descendis me coucher, mais avantje lui montai un verre de lait de chèvre. Elle me l'avait déjàpiqué, de toute façon : qu'elle le boive ici ou chez elle... Je la tirai de sa torpeur par un autre baiser. Je crois qu'elle dormait:
- " Tiens, ma chérie, du bon lait de chèvre. Tu vafaire un gros dodo, avec ça. "
- " Mmm ? Oh, c'est gentil... Tu es un amour... "
- " Je redescends. Je t'attends en regardant un peu la télé,il y a un moment que je ne me suis pas tenu au courant des informations.Dans mon boulot, c'est une faute grave. Ne t'endors pas ! " Ellem'embrassa, pleine d'amour et de reconnaissance.

J'avais été bien inspiréde regarder les informations : ils parlaient du pays d'Omar, des richessesde *** sous-sol et de l'influence des multinationales qui voulaient separtager le gâteau. Pas encore un mot sur la découverte depétrole, mais ça ne devrait pas tarder. Juste un petit commentaireà la fin du journal, évoquant cette possibilité,mais c'était une information à vérifier. En espérantque ce ne soit pas une intox visant à faire monter artificiellementles cours de la bourse...

Je me brossai les dents et retournaisur le lit, en zappant sur toutes les chaînes : il n'y avait pasgrand-chose d'intéressant. J'éteignis la téléet me mis à bouquiner un peu en attendant Chloé. Ne la voyanttoujours pas revenir, je suis allé la chercher : elle s'étaitprofondément endormie, le verre vide entre les mains -àmoitié immergé- et ronflait paisiblement. Je l'éveillaide nouveau d'un baiser, la tirai hors de l'eau et la séchai énergiquement.

Elle alla se laver les dents, toujoursendormie, et se laissa tomber sur le lit. Je la bordai et lui fit un tendrebisou sur la joue : Elle ne tarda pas à ronfler de nouveau, etje m'endormis aussi, pour ne me réveiller qu'à àl'aube. Seul.
chrislebo

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MAIS QUI GARDE LES ENFANTS?


Il était presque sept heures quand je daignai enfin me lever. Chloém'attendait dans la cuisine, W dans les bras, et nous avait déjàpréparé le déjeuner. La boulangère n'étantpas encore passée nous livrer du pain frais, elle nous avait faitdes mouillettes avec du pain grillé pour les œufs àla coque. J'écrasai le chat entre nous deux en l'embrassant, maisil poussa juste un miaulement interrogatif.
- " Bonjour, ma chérie ! Ça fait longtemps que tu esdebout ? "
- " Oh non ! J'ai juste eu le temps de préparer le déjeuner... Tant pis pour le lait et les œufs... "

Je pris une douche et allai chercherla voiture. Juliette et Roland m'accueillirent : ils se regardaient enchiens de faïence, et je supposai que c'était le travail psychologiquede Juliette qui en était la cause. Je fis mine de ne pas m'apercevoirdu malaise qui régnait entre eux :
- " Salut les amoureux ! Belle journée, non ? " Rolandétait bougon :
- " Ouais, si on veut... C'est qui, cette jolie poulette ? "Il désignait d'un doigt discret Chloé qui sortait en couranten nous faisant un signe de la main pour se diriger vers le jardin. Jeme demandai pourquoi elle n'était pas passée par la cuisine...
- " Oh, ce n'est qu'une de mes maîtresses... " Il mesourit d'un air goguenard, me croyant toujours à moitié:
- " Tiens, voilà les clés et les papiers. J'espèreque tu auras assez d'essence... Mais comment tu peux tromper une merveillecomme Carole ? "
- " Avec facilité, Avec facilité... Merci, je vousla rendrai dans une heure, avec le plein. " J'abandonnai mon Roméoet sa Juliette -qui n'avait pas desserré les lèvres maism'avait adressé un sourire gourmand- et retournai à la mai***.Chloé revenait déjà du jardin, la mine déconfite,avec *** panier vide :
- " J'ai voulu au moins ramasser des œufs, mais il n'y en apas un seul. Pas de bol... " Si elle était sortie côtérue, ce n'était que pour me prévenir qu'elle allait justementau jardin. Elle retourna chercher ses affaires et me rejoignit dans lavoiture, saluant Roland de la main. Il était resté àproximité pour mieux observer la remplaçante intérimairede Carole, et semblait apprécier également ses formes enconnaisseur.

Tout au long de la route, j'épiais Chloé du coin de l'œil: Elle était silencieuse et nostalgique. J'essayai de lui fairela conversation :
- " Tu as passé un bon week-end ? On aurait dit une petitegamine, avec les bestioles... " Elle soupira :
- " Oh oui... Mais c'est fini. Pour l'instant, j'espère... "
- " Tu as l'air bien triste. Moi qui voulais te rendre heureuse... "
- " A vrai dire, je t'ai caché la vérité : jevois une fille, depuis Caro... Elle bouge beaucoup, mais elle ne devraitpas tarder à revenir. On devrait rester sans se voir quelques jours...Tu m'en veux ? " Je lui caressai le genou :
- " Mais non, bécasse... Je ne te demande pas d'êtreexclusive ! Ce serait vraiment déplacé de ma part... Allez,souris ! Tu pourras lui donner du lait et des œufs, sans oublierles légumes. " Elle fit mine de se rebeller, et me fit enriant :
- " Ah ben non ! Ça, c'est que pour ma gueule ! " Jechangeai de sujet :
- " Dis-moi, je cherche des escarpins en quarante et un... Tu nesais pas où je pourrai trouver ça ? " Elle semblaitétonnée :
- " Ben, jusqu'au quarante et un, tu ne devrais pas avoir de problème... Mais il y a une boutique, près de la boulangerie... Juste àcôté de la pharmacie. " Je lui fis un grand sourire:
- " Ah oui ! Je vois... Je fais toujours la remarque àCarole quand je l'accompagne à la pharmacie, où quand jepasse dans le coin : Je me demande si la patronne ou le patron du magasina fait exprès en le baptisant. " Au pied beau*, " phonétiquement,ça peut prêter à confusion... " Elle rit :
- " Oui, c'est la patronne qui avait trouvé ça : elletrouvait que ça ***nait bien, mais en même temps elle sedemandait ce qui clochait. Elle a fini par comprendre, mais elle a penséqu'un peu d'humour ne ferait pas de mal au commerce... Et elle n'avaitpas tort, sa boutique marche pas mal. Il faut dire qu'elle est trèscommerçante... Tu iras de ma part, elle te fera un prix, c'estpresque une amie. Par contre, ça ouvre à neuf heures, situ veux y aller ce matin... " Je haussai le sourcil :
- " Tiens, c'est ouvert, le lundi ? "
- " Oui... par contre, c'est fermé demain. "

Je l'accompagnai dans *** appartementet l'aidai à porter le fruit de sa razzia chez moi : Il n'avaitpas bougé d'un pouce depuis que je l'avais quitté. Les rosesétaient encore belles, et la règle toujours au pied du litdéfait. Je la ramassai sans un mot et la reposai soigneusementsur le bureau. Je lui dis :
- " Je ne t'ai pas félicité pour le coup de plumeauque tu as mis à ton petit nid. Nous étions assez perturbés,la fois dernière... " Chloé m'enlaça :
- " Merci d'avoir remarqué... Ça m'a pris du temps.Je reçois rarement, tu sais... " Nous avons fait un rapideet tendre petit câlin en attendant l'heure. Elle avait retrouvéle sourire et sa joie de vivre.

La boulangère nous accueillità grands cris. Elle me menaçait de sa main, dans une expressionqui disait " ne recommence plus jamais ça ! ", mais allajusqu'à me faire la bise. Je pris quelques viennoiseries que jepartageai avec Chloé, puis la laissai à ses clients quicommençaient à arriver en masse. Cette fois, elle m'embrassaet me fit un signe de la main, sous l'œil bienveillant de la maîtressedes lieux.

Je fis un peu de lèche-vitrineen attendant neuf heures, faisant quelques courses à l'épicerieet repassant plusieurs fois devant la boulangerie. Je faisais mine d'admirerla devanture -des pains joliment travaillés et décorés,des boîtes de bonbons- mais je voyais bien que Chloé riaitet me faisait des grimaces, derrière *** comptoir.

A neuf heures précises, j'étaisdevant le " Pied beau. " La boutique était déjàouverte, mais j'étais bien sûr le premier et seul client.Elle ne payait pas de mine, mais il y avait là un grand choix dechaussures pour femme, du trente six au quarante et un. De jolis modèlessobres, pas de publicité tapageuse pour des marques chèreset prétentieuses. La commerçante -une dame à la miseassez classique, d'une cinquantaine d'année -sûrement moins,mais je ne suis pas doué pour donner un âge aux dames- s'affairaitderrière sa caisse et me surveillait d'un air inquiet. Je m'intéressaià une jolie paire de bottes à hauts talons, mais je me demandaiavec quoi je pourrais bien les mettre. Mon attention se reporta vers desescarpins plus classiques et des mignonnes petites ballerines. Comme j'avaisdisparu derrière un présentoir, la commerçante melança un " je peux vous aider, Monsieur ? " inquiet.Je la rassurai :
- " Continuez, je fais mon choix. Je peux essayer quelques modèles? " J'ai dû répéter ma question.
- " Heu... Oui, si vous pensez les acheter... " Il valaitmieux que je mente à la vendeuse. Elle me prenait pour un pervers.Comme les gens se font vite de fausses idées !
- " Mon épouse a la même pointure que moi : c'est trèspratique pour lui faire des cadeaux, vous ne trouvez pas ? " Ellesemblait à moitié convaincue par ma candeur. Comme Hélène-des-ballets-roses,elle allait sûrement me trouver plus sympathique quand j'aurai exhibéma carte bancaire. Je m'offris quatre paires de chaussures diverses. Ellesm'allaient bien, et à la façon dont je m'admirais dans laglace en relevant légèrement le bas de mon pantalon de toile,la commerçante avait bien compris à qui elles étaientdestinées. Je me vantai d'être le petit ami de Chloé,ce qui me valut une bonne ristourne.

Avant de rentrer, je repassai l'embrasserune dernière fois devant quatre clients qui faisaient la queueet la boulangère qui me gronda gentiment, trop contente d'avoirrécupéré une vendeuse si joyeuse. Cette boulangerieétait très réputée, notamment par le décolletéde sa vendeuse et ne désemplissait pas, aussi elle n'avait pasvu d'un bon œil que j'abîme *** outil de travail.

Je fis le plein de la voiture et larendis à mes gentils voisins. Ils travaillaient tous deux au fonddu jardin -Roland ne lâchait plus *** épouse, à présent- et me dirent de poser les clés et les papiers dans l'entrée.Je les remerciai en y joignant une bonne bouteille de vin que j'avaisachetée dans une épicerie en attendant l'ouverture du magasinde chaussure, et allai travailler un peu. Je faisais beaucoup de dépenses,ces temps-ci, et il fallait bien les compenser... J'appelai les Müller,et Diane -qui était rentrée et travaillait dans *** atelier- me répondit. Je lui expliquai que j'avais du travail et que jeviendrai manger chez eux -si ça ne les dérangeait pas-, ce qui avait plutôt l'air de la réjouir.

Comme Carole était partie quelquesjours pour donner un coup de main à *** père à laferme -ses talents vétérinaires étant les bienvenus- j'en profitai pour remplir mon rôle d'esclave le plus souvent possible.J'avais négocié le matin même avec Diane des créneauxpour pouvoir travailler un peu... J'arrivai vers midi chez mes chers etaimants voisins. Diane et Denis m'accueillirent chaleureusement et mefirent la bise. Je montai dans ma chambre pour m'habiller et me maquiller.Je passai une légère robe d'été en Vichy bleu-il y avait des tenues que je n'avais pas encore essayées- mesnouvelles ballerines et ma perruque blonde. J'avais toujours le choixde mes tenues, sauf si on m'en demandait une autre. A partir de ce moment,J'étais Alicia, la servante soumise.

Je descendis prendre mon repas de midiavec mes maîtres, en silence, les yeux baissés, les laissantdeviser entre eux. Ils parlaient souvent de moi, en tenant des proposvolontairement salaces :
-" Dis-moi, mon chéri, avant que tu baises cette petite conne,j'aimerais qu'elle me fasse un massage... complet. Tu me la laisses? "
- " Bien sûr, ma chérie ! J'ai du travail à faireavant. Mais ne me l'épuise pas trop, je sens que je vais encorela défoncer. Tu reprendras du vin, mon amour ? " J'étaisassise en face de Diane comme souvent, et elle aimait poser ses piedsnus sur les miens. Denis, assis à côté de moi, lui,aimait mettre sa main -droite- sur ma cuisse ou dans ma culotte. Il meprit la main pour que je lui en fasse autant, me forçant àmanger mon écuelle de purée -c'est tout ce que je méritaisaujourd'hui- de la main droite. Diane me fit débarrasser la tableet faire le café. Pendant ce temps, elle me donna mes consignespour l'après-midi. Elle aimait bien que tout ce passe comme ellel'avait prévu, sans qu'elle soit obligée de me le redirepar la suite. Je savais donc souvent ce qui allait m'arriver, en me laissanttoujours quelques surprises, bien sûr...

Je leur servis le café et allaim'apprêter et préparer le matériel dans la chambreconjugale.

Denis travaillait maintenant en bas sur *** ordinateur -il aurait certainementpréféré une activité plus saine- et Dianevint rapidement me rejoindre. Elle avait pris mon plug dans ma chambreet me l'installa : Elle le gonflait toujours un peu plus que ce que jel'aurais fait, et arrêtait quand je commençais à gémir.Elle se résignait ensuite à le dégonfler àcontrecœur, pour préserver le plaisir *** époux : leursintérêts divergeaient...

Je la déshabillai rapidement -elle ne portait qu'une robe légère et ses sous-vêtements- puis elle s'allongea sur le dos, sur l'alaise que j'avais déployéesur le lit. Je me mis à genoux, dans ma tenue préférée -avec celle de soubrette- celle de l'infirmière. Blouse et petitchapeau blanc, perruque châtain mi-longue, escarpins, bas, porte-jarretelles,culotte et soutien-gorge, blancs également. Ma blouse étaitouverte sur mon petit soutien-gorge rembourré qui mettait si bienen valeur mes petits seins.

Je la massai avec des huiles parfuméesà la vanille et à la coco. Elle avait beaucoup aiméles séances au bord de la piscine... Je pétrissais tout*** corps, en de larges caresses voluptueuses, m'attardant sur ses seins -ses tétons étaient très durs, preuve qu'elle appréciaitmes prestations- ses hanches et ses cuisses.

Quand j'eus parcouru tout *** corps,elle se glissa vers moi, les fesses au bord du lit. Là, elle écartaen grand les cuisses et se laissa lécher goulûment : ellemouillait beaucoup... Elle referma ses chevilles sur mon dos pour me mainteniret me guida avec ses deux mains sur ma tête.

Elle jouit rapidement, et je continuaià la lécher encore un moment, jusqu'à ce qu'elleen eut assez. Elle me repoussa alors ***********, se retourna sur le ventreet se plongea dans un livre, tandis que je continuais à la masserlangoureusement. J'avais une envie furieuse de mordre dans ses grossesfesses larges et luisantes, mais je ne me le serais jamais permis...

Tout à coup, j'entendis frapperà la porte. Diane s'enquit, nonchalamment :
- " Qui c'est ? "
- " C'est Régis ! Denis m'a dit que tu étais là." Régis est le fils de Diane, d'un précédentmariage.
- " Ahhh ! Entre, mon chéri ! " Régis se figeasur le seuil : il voyait en même temps sa mère entièrementnue et luisante, ainsi qu'une créature ambiguë déguiséeen infirmière de -mauvaise- série télé, bienmaquillée, le visage humide, qui lui souriait. C'était unjeune homme mignon, imberbe, à peine sorti de l'adolescence.

Diane lui fit signe de venir l'embrasser,ce qu'il fit dans un état second.
- " Mon chéri, je te présente Alicia : c'est notrenouvelle servante. Tu peux t'en servir aussi, bien sûr. " Jelui souris en baissant les yeux. Diane voulut bouger et me décochaun coup de pied dans l'épaule :
- " Tu as terminée, souillon ? Habille-moi ! " Je laséchai rapidement avec une serviette et lui enfilai tous ses vêtements.Elle avait tourné le dos à *** fils, qui fit de même.
- " Tu m'as bien servie, tu mérites une récompense.Laisse-nous, maintenant ! " Elle me chassa d'une bourrade du pied.

Je ramassai rapidement mon matérielainsi que les serviettes étalées sur le lit et allai m'isolerdans la pièce en face de la chambre qui devait me servir de dressing,de salle de ******* et parfois de cellule. Je disposais d'un petit lit,d'une table de maquillage, d'une armoire, et du " chevalet de soumission." C'est comme ça que j'appelais affectueusement le cadeaud'Oncle Serge et de Tante Gisèle. Il était à présentgarni d'accessoires divertissants, suspendus sur les côtés.

Ma maîtresse m'avait encore malmenée.Je profitai de ce répit pour rajuster ma tenue, me débarbouillerau broc sur ma table de toilette et retoucher mon maquillage. Ceci fait,je m'admirai dans la grande glace de mon armoire: je ne me lassais pasdu spectacle, je suis vraiment mignonne pour un homme. Je matais mon petitcul bien rond, encadré par mon porte-jarretelles quand la portes'ouvrit brusquement : On n'y frappe jamais, je n'ai rien à cacherà mes maîtres.

C'était Régis. Derrièrelui, je voyais Diane qui me souriait en hochant la tête. Elle descenditl'escalier, et Régis referma maladroitement la porte derrièrelui.

J'attendis patiemment qu'il me parle, mais il était tétanisé.Je l'aidai un peu :
- " Vous désirez quelque chose de moi, maître ? "Ça ne le mettait pas plus à l'aise.
- " Heu... Maman m'a dit que je pouvais venir vous regarder, queça vous gênait pas... "
- " Bien sûr, et bien plus si vous le désirez... maisje ne mérite pas le vouvoiement : je ne suis rien, ici... "Il me détailla des pieds à la tête, incrédule.Il risqua un timide :
- " Tu... tu pourrais ouvrir un peu ta blouse ? " Je m'exécutaien l'ouvrant en grand, maintenant les pans de mes bras écartés.Il posa une main timide sur mon soutien-gorge rembourré et mataittoujours mon corps de haut en bas, surtout au niveau de mon centre degravité :
- " J'aimerais bien aussi que tu... Baisses ta culotte... s'ilte plait. " Fit-il dans un souffle, la voix étranglée.Il avait avalé la moitié de ses mots, mais j'avais trèsbien compris. Pourtant, un doute me taraudait : je le trouvais bien jeune,je doutais beaucoup qu'il fût majeur...
- " Excusez mon audace, maître, mais je pense que vous êtespeut-être un peu jeune pour ça, je voudrais avoir l'assentimentde maîtresse Diane. J'espère que vous me comprenez ... " Il s'empressa de sortir un portefeuille de *** jean et me tenditsa carte d'identité. Je la déchiffrai :

- " Régis Tavernier ? ...Oui,en effet, vous avez bien dix-neuf ans... Je suis surprise, votre mèrea dû vous avoir très jeune ! " Il se raidit, quelquepeu vexé que je le prenne pour un gosse, qu'il était encoreun peu pourtant.
chrislebo

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" Diane n'est pas ma vraie mère: quand elle s'est mariée avec mon père, j'étaisdéjà grand. Ma mère est plus âgée. "Je savais que Diane s'était déjà mariée, maisj'ignorais que ce fût avec un divorcé... Sur ces paroles,je baissai docilement ma jolie culotte blanche à mes genoux. Jel'avais un peu mouillée, il s'en aperçut. La vue de monsexe -pourtant modeste- le gênait plutôt et il essaya d'enfaire abstraction. Il ravala sa salive :
- " Tourne-toi, s'il te plait... Maintenant, baisse-toi... "Je m'exécutai aussitôt en prenant soin de déroberà sa vue mes parties d'une main preste et je pouvais sentir ***regard brûlant sur ma croupe, bien mise en valeur par mon porte-jarretelles.
- " C'est quoi, ce truc ? " Il avait repéré lejouet que Diane m'avait installé après dîner.
- " C'est un plug. C'est pour me mettre en condition. Comme çaje suis toujours prête à accueillir mes maîtres. "Je restai docilement en position, les mains appuyées sur les genouxet il me caressa les fesses de ses mains fébriles. Je voyais bienque je lui faisais de l'effet, bien que je ne fût pas une vraiefille :
- " Je crois que j'ai envie de toi ..." Je restai impassible.L'excitation le gagnait et il commençait à prendre de l'assurance.Je suppose que Diane a dû vanter mes mérites...

Il s'enquit enfin de l'utilitéde mon chevalet, qu'il regardait du coin de l'œil depuis qu'il étaitentré.
- " Et ça, ça sert à quoi ? J'ai encore jamaisvu ça ici... " J'ôtai ma culotte avec désinvolture,me dirigeai vers le chevalet et m'installai dessus, en lui expliquantbien *** fonctionnement et les usages que l'on pouvait en faire :
- " C'est pour pouvoir satisfaire tous les désirs perversde mes maîtres. On peut me mettre comme ça... Ou biencomme ça... Ou alors comme ça, la tête en bas.C'est pratique pour me prendre par la bouche... Surtout si je suisbien entravée... " Mes poses lascives et soumises l'avaientgrandement émoustillé et il était parvenu au summumde l'excitation. J'étais innocemment restée en position,il en profita pour me sangler rapidement les cuisses et les chevilleset se planter maladroitement devant moi. Je me mis à dégager*** sexe qui dégoulinait de désir : il n'était pasencore dur, mais cela ne devait pas tarder.

Dans un premier temps, Je le suçaidélicatement, le temps qu'il prenne toute sa vigueur, puis je l'enserraipuissamment de mes petits bras musclés pour ne pas qu'il m'échappe: La première impression que l'on donne est importante...
Il prit rapidement le dessus et je poussai bientôt des gémissementsplaintifs de révolte, ce qui le fit jouir très rapidement:
- " Comme tu est bonne, salope ! " J'avais bien senti qu'ils'était fait violence pour dire ces mots crus, aussi ses complimentsm'allèrent droit au cœur.

Je finissais de le nettoyer quand unevoix derrière lui nous fit sursauter. Enfin, surtout Régis:
- " Ah-Ahhh ! Je vois que mon fils chéri a déjàappris à se servir de notre nouveau jouet ! " Diane se tenaitdevant la porte ouverte, et Denis, collé derrière elle,avait les mains sur sa poitrine. Je suppose qu'elle était descenduepour assister à la scène sur le moniteur de contrôle: Denis avait réactivé la caméra de ma chambre depuispeu, il s'y passait tellement de choses amusantes...

Elle se dégagea et s'approchade nous, tandis que Régis se rajustait fébrilement. Il sesentit piégé :
- " C'est pas moi ! C'est lui... Heu... C'est elle qui m'a forcé! " Il est vrai que, entravée comme je l'étais, j'étaisen position de *****... Diane remarqua un filet de liquide suspect quis'écoulait au coin de mon menton. Elle me le remit dans la bouchedu doigt en me faisant un petit sourire :
- " Alors, comme ça, tu pervertis mon fils, salope? Tu méritesune bonne correction ! " Elle me sangla énergiquement lesbras croisés dans le dos et me retira mon plug pour me le ****************** dans la bouche. Elle le gonfla au maximum, sans s'inquiéterde mes plaintes étouffées : j'avais l'impression d'avoirune grosse pomme coincée entre les mâchoires, comme un cochonde lait dans un plateau d'argent.

Elle saisit la cravache suspendue auchevalet, m'ajusta à sa hauteur, leva sa robe et plaqua *** pubissur mon visage pour étouffer encore mieux mes grognements : Elleavait déjà retiré la culotte que je lui avais remisequelques instants plus tôt... Où était-ce Denis ?D'ailleurs il se planta derrière moi, régla soigneusementma position et me pénétra d'un coup, tandis que Diane mefouettait les reins et le dos. Bien que j'en éprouvais un grandplaisir -ils prenaient toujours bien garde à ne pas me blesser-je poussais des cris -plutôt des grognements- de douleur et de révolte.Cela ne dura qu'un bref instant, le temps que Denis jouisse en moi. Jepoussai même le luxe à verser quelques larmes, mais c'étaitplus de plaisir que de douleur. Oh ! Bien sûr, j'avais vraimentmal, mais c'était tellement bon...

Ils se tournèrent vers Régis,livide et tremblant qui bafouilla:
- " C'est pas vrai ! C'était pas sa faute ! Vous n'auriezpas dû lui faire du mal ! " Diane le rassura :
- " Mais si... Cette petite pute est une allumeuse. Je parie qu'ellet'a montré *** cul, pas vrai ? " Il baissa les yeux et murmurapresque :
- " Oui, mais c'est moi qui lui ai demandé... "
- " Ne t'inquiète pas pour elle, elle a l'habitude. Bien,on vous laisse. Si tu veux, tu pourras l'avoir cette nuit... quandon aura fini de jouer avec. Tu la détacheras avant quatre heuresmoins le quart, elle doit partir. " Denis et Diane sortirent, enlacés.Je pariai qu'ils allaient faire leur toilette et l'amour...

On peut dire que j'ai l'esprit ouvert,mais j'étais un peu choqué tout de même qu'ils m'aientprise et battue devant leur beau-fils. Il me regardait d'un air désoléet coupable et essuya mes larmes du revers de sa main. Je m'y frottaicomme un ****** affectueux :
- " Je... Je suis désolé. Je ne savais pas que mesparents étaient si méchants avec toi. Tu m'en veux pas trop? " Je secouais la tête de droite à gauche. Il réalisaenfin que je ne pouvais pas parler et me libéra de mon plug aprèsplusieurs tâtonnements :
- " Tu as le droit de discuter avec moi ? "
- " C'est vous qui faites les règles. Moi, j'obéis."
- " Tu aurais encore envie de coucher avec moi, ce soir, aprèsce que je t'ai fait ? "
- " Bien sûr. J'ai beaucoup aimé. "
- " Ah bon? Je voulais dire... Faire l'amour. Doucement. Tu sais,j'ai un problème avec les filles. Je ne sais pas m'y prendre, ellesse moquent de moi et je n'arrive pas à leur donner du plaisir.Elles me prennent pour un gamin. "
- " Oui, les filles ***t cruelles... Elles ne se rendent pas comptedu poids que les hommes ont sur les épaules : Ils passent plusde temps à gérer leur stress et leur érection qu'àprendre du plaisir. Mais je vais vous apprendre à prendre confianceen vous et à écouter votre partenaire. Je serai patiente,obéissante, compréhensive et dévouée. Je suistrès longue à jouir : quand vous y arriverez, soyez assuréqu'aucune fille ne vous résistera alors. " Alicia avait parlé.

Il me libéra et m'aida àdescendre. Je fis mine de souffrir de mes coups de cravache, mais ilsse limitaient à quelques taches rouges. Il voulait me remettrema culotte :
- " Ce n'est pas la peine, je vais prendre une douche, à présent." Il me prit par les mains, contempla mon corps -en évitantde nouveau de fixer mon sexe- et m'embrassa fougueusement:
- " Ahhh... Alicia... tu es vraiment une chouette fille... j'auraisaimé te rencontrer plus tôt, avant ces petites conasses..." Il bondit à travers la porte toujours ouverte, joyeux :
- " Je te laisse... A ce soir ! " Je mis de l'ordre dans mesaffaires et fis un peu de ménage. Je pris ma douche dans une cabineposée dans un recoin du couloir, à côté dela salle de bains. Je pouvais entendre des chuchotements et des soupirsmêlés aux clapotis de la baignoire: mes maîtres étaientencore en pleine action...

Je me changeai en Luc et descenditen croisant Régis qui n'en croyait pas ses yeux :
- " C'est toi, Luc ? Ah ben ça, alors ! " Nous nous connaissionstrès peu : nous nous étions rencontrés juste uneou deux fois auparavant... Je voulais m'assurer qu'il n'avait pas changéd'avis en me voyant au naturel :
- " Tu es toujours d'accord pour ce soir ? "
- " Heu... Oui ! Oui ! "
- " Je profite que je ne sois pas Alicia pour t'expliquer commenton fonctionne : moi -enfin, Alicia- je n'exprime aucun désir, niinitiative. C'est à toi de me dire ce que tu veux de moi, si tuas une préférence vestimentaire ou si tu veux utiliser unaccessoire particulier... "
- " Non, là je ne peux pas te dire... Ça me gêne,je préfère t'en parler quand tu es Alicia... "
- " D'accord, je te comprends, moi aussi ! Mais n'oublie pas de m'enparler : moi, je ne pourrai pas te le rappeler. Je suis tenue au silence,en principe. "
- " J'y penserai. Tu reviens quand ? "
- " Oh... Vers dix-neuf heures, à peu près. Là,je vais travailler un peu. "

Je rentrai chez moi. La premièrechose que je fis fut de consulter mon répondeur, puis mon ordinateur: rien d'urgent... Quelques petits transferts de capitaux. Mes collègues,plus furieux que moi, se démenaient tout autour de la planète.Même sans travailler moi-même beaucoup, ça nous rapportaitun bon petit pécule.

Je profitai de cette accalmie pourappeler Carole. J'aurais tant aimé qu'elle puisse participer ànos jeux, mais je crois que cela ne l'intéressait pas trop, saufquand elle buvait. Mais je n'avais pas l'intention de la saouler rienque pour le plaisir...

C'est ma chère belle-mèrequi décrocha :
- " Oui? Qui c'est ? "
- " Bonjour Ghislaine ! C'est votre gendre préféré! Comment ça va bien ? "
- " Ah ! Luc ! Carole n'arrête pas de nous faire rire avectes histoires ! Elle n'a pas épousé le plus costaud, Poursûr, mais elle n'a pas tout perdu dans l'affaire ! Et merci pourle joli portrait de Caro, de la part de la vieille peau de quatre vingtdouze ans... Il est vraiment très beau. Tout le monde passe ***temps à l'admirer, ça en devient cochon. Tu es vraimentun artiste... "
- " Vos compliments me font chaud au cœur, ma douce Ghislaine...Elle est dans les parages, ma colombe mordorée ? "
- " Caro ? Elle est à l'étable, elle palpe les vachesen chaleur. " Quelle idée de l'appeler Caro... Pourquoipas Caca, pendant qu'on y est ! Silence, puis, au loin :
- " Caro ! C'est ton vaurien de parigot de mari au téléphone! " Oui, pour les paysans du coin, Nemours, c'est Paris. Comme leurbled paumé qui fleure bon la bouse, pour moi, c'est Nantes. Jecliquai de-ci de-là en changeant quelques valeurs, en l'attendant.Ce qui nous fit tout de même gagner soixante huit euros. Et presquetrois euros pour chacun de mes collègues.

Elle arriva enfin, dans un bruit debottes dont elle se débarrassa en les envoyant voler pour entrerdans la cuisine, où elle se lava rapidement les mains :
- " Ah Mon chéri... C'est gentil de m'appeler ! Moi, jen'arrête pas de penser à toi... Surtout quand je metsmon bras dans le cul des vaches ! "
- " Quelle délicate attention... Je t'aime énormément,tu sais ? Tu me manques beaucoup, et ce n'est pas Ouissecasse qui va teremplacer, bien qu'il soit doux et chaud... " Elle fit mine de s'emporter:
- " Ah non ! Va pas faire des cochonneries dans ses poils ! Ils vontêtre tout collants et je ne pourrai plus les ravoir, mêmeen machine ! "
- " Ne t'inquiètes pas, ma chérie : je garde tout pourtoi. Je ne me branle même pas ! Ne tarde pas trop quand même,je vais exploser, sinon... "
- " Mon œil ! Je parie que tu vas voir tes poules et que tues toujours fourré chez les Müller ! Et quand je dis ''fourré''... "
- " Oui, je vais y passer la nuit et une partie de l'après-midi.Je pense beaucoup à toi à ces moments là... Je teremercie profondément de me laisser vivre mes fantasmes en touteliberté. " Je la sentis tout à coup moins enjouée:
- " Ne te leurre pas, je suis quand même morte de jalousiequ'un homme et une femme puissent te satisfaire mieux que je ne le feraijamais. Ça te fais donc tant plaisir que je te regarde te fairehumilier par eux ? Au fait, remplace-moi au près de Diane... Dis-lui bien qu'elle me manque."
- " J'y travaille, mon amour, j'y travaille... Tu sais, depuisle début j'ai désiré te mêler à toutça. Peut-être qu'un jour, tu y trouveras du plaisir, toiaussi... Enfin, je ne sais pas ce que tu as fait exactement avec Dianeavant de partir... " La mère Bédier avait épiéenotre conversation : Je l'entendais en bruit de fond. Il faut dire qu'elleparlait très fort, comme c'est d'usage dans ces contréesreculées encore vierge de toute civilisation :
- " De quoi que vous causez encore, tous les deux ? "
- " De rien Maman, de politique ! "
- " Politique mon cul ! Prends pas ta mère pour une conne! Il y a une poule, là dessous ! " Ce dernier mot remit Carolesur les rails de la vie terrienne :
- " Oui, au fait, chéri, les poules vont bien? La blanchene mangeait plus... "
- " Oui, tout va bien. Toutes les bêtes vont bien... "A noter : penser à nourrir les poules et ramasser les œufs.J'avais oublié que ça mangeait aussi, ces machins-là... J'espérais qu'elles puissent tenir deux jours sans pitance... Jene crois pas que Chloé leur ait donné autre chose que derares croûtons, ce que les autres monstres ont daigné leurlaisser.
- " Dis, ma chérie, tu ne t'ennuies pas trop, le soir, touteseule ? " Elle me répondit d'une voix pleine de sous-entendus:
- " Qu'est-ce qui te dit que je dors seule ? Tu sais, j'ai brisébeaucoup de cœurs en partant d'ici, et ils ***t tous à metourner autour. Mes parents ont annoncé fièrement le retourde leur fille chérie, et, crois-moi, tout le monde est au courant.Ça me rappelle ma jeunesse... J'ai d'ailleurs déjàfait quelques escapades coquines depuis que je suis là. J'ai mêmefait une touche avec une ancienne copine qui me trouvait à ***goût, et qui est d'ailleurs mariée avec un de mes anciensamants... "
- " Ça, c'est pas dur, tu as déjà couchéavec tout le monde... Hé bien, moi qui craignais pour tes loisirs... "
- " Oh ! Je ne fais pas que ça... Je ne sais pas si tul'as remarqué, mais j'ai emporté mes cassettes de "Dominique ". Au début, je regardais avec ma mère, etmon père râlait. Et puis il y a pris goût, et je l'aisurpris en train de regarder les premières cassettes tout seul.Tu vois, c'est pas désespéré, tu y viendras toi aussi... " Un fris*** d'angoisse me parcourut l'échine :
- " Brrr... Je préfère ne pas y penser... Jesais que tu ne te plais autant que les deux pieds dans la bouse, maistu penses rentrer quand ? "
- " Je rentre après-demain, au soir. Tu arriveras àtenir ? "
- " Oui, si je n'explose pas avant pour la rai*** précédemmentinvoquée... Je t'aime ma chérie... Embrasse tes ploucs deparents pour moi. " Elle parla bien fort, sûrement àl'adresse de sa maman que *** audition déficiente obligeait àrester à proximité pour ne pas perdre une miette de notredialogue salé. Ghislaine adorait ça, elle ne craignait pasl'hypertension :
- " Ouais, je ne suis pas trop inquiète pour ton surplus dejus... Mais comment ça ? Des ploucs, mes parents ? " Ghislaines'étrangla :
- " Bougre de salopiot ! Parigot ! Tête de veau ! " Sesparents comprenaient mon humour -heureusement pour moi- et savaient queje les aimais beaucoup. D'ailleurs, Carole a hérité de leurbonne humeur :
- " Maman t'embrasse aussi ! Bisous, mon amour ! Là oùtu sais... "
chrislebo

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Je raccrochai. Un dernier tour d'horizonet je filai voir les bestioles. J'ai dû traire les deux chèvres,Chloé ne m'ayant pas fait ce plaisir ce matin, et c'est chiant: il faut courir après, les attacher et réussir àfaire gicler le lait, dans le seau si possible. Je le réservaià mes chers voisins, eux n'ont pas ce modèle de rongeurs...

Je remplis les abreuvoirs et allaivoir les poules : Heureusement, Carole avait garni les mangeoires automatiques.Il n'y avait que cinq œufs pour une douzaine de poule. D'aprèsCarole, c'était normal : " C'est pas des machines, et on n'estpas à l'usine. " La chaleur et les périodes de l'annéejouent aussi beaucoup... Je mis mes petits œufs dans mon petitpanier.

J'attrapai la poule blanche : il yen avait en fait trois, mais je savais laquelle prendre, celle aux yeuxbleus... Non, en réalité, elle avait une bague jaune àla patte. Je contrôlai *** état de santé généralet constatai que *** jabot était plein : mission accomplie.

Je rentrai à la mai*** et allumaimon simulateur de vol. J'avais encore envie de m'envoyer en l'air... Aprèsquelques crashes et plusieurs millions de dollars gaspillés pourincinérer quelques barbus fanatiques, je me fis couler un bainparfumé qui me ferait la peau douce pour être au top de maféminité ce soir. Je me rasai de près, bien que mabarbe paresseuse n'en demandait pas tant. L'heure venue, je retournaichez Diane et Denis -chez les Dédés, comme dit ma chèreépouse.

Une bonne odeur de couscous m'accueillit,et je passai en cuisine pour donner le lait de chèvre et les œufsà Diane, qui se répandit en remerciements et m'embrassachaleureusement. Denis mettait la table dans la salle à manger.Comme je le croisai, il me refit la bise en me souriant tendrement. Régis,dans un fauteuil, ne me quittait pas de l'œil et me suivit sans unmot dans ma chambre. Je m'installai à ma table de maquillage etil m'aborda timidement :
- " Je peux te parler ? "
- " Bien sûr... "
- " C'est au sujet de ce soir... Tu m'as dit de venir te voir..."
- " Oui, mais il faut que je m'apprête d'abord. On en parleraaprès... Mais reste là, tu ne me gênes pas du tout." J'avais en fait ma petite idée pour ma tenue de ce soir,idéale pour le fils de la famille...

Une fois maquillée, je mis messous-vêtements noirs, mes bas et porte-jarretelles noirs, bien sûr,ma perruque noire mi-longue et ma tenue de soubrette. Quand j'eu finide me vêtir, j'admirai le résultat dans la glace. Je n'étaisd'ailleurs pas le seul :
- " Je vous plais, maître ? " il s'étrangla :
- " Oh oui ! Beaucoup ! Montre-moi tout ce que tu as ! " J'ouvrisl'armoire en grand et lui présentai ma garde-robe : il avait fixé*** choix sur -outre la tenue que je portais- une perruque blonde auxcheveux longs, une minijupe en skaï, des collants ouverts àl'entrejambe, un soutien gorge noir, un chemisier en satin bleu, un petithaut et des gants en résille noire, des escarpins à talonsaiguilles de Serge et des bijoux fantaisie. Il avait envie de se taperune pute bon marché... J'allais devoir ****** sur le maquillage.

Je plaçai soigneusement meseffets sur le lit quand Diane nous appela pour manger. Nous nous sommesassis aux places habituelles, Régis était assis presqueen face de moi, à ma gauche, à côté de sa maman.

Je constatai avec surprise que je n'avaisni couverts ni assiette : En guise de repas, je n'avais droit qu'àun grand verre de vermouth. Ils se rappelaient que j'aimais bien ça...Diane fit le service joyeusement, garnissant généreusementleurs assiettes de couscous, et Denis servit le vin. Je me tenais droite,les mains sur la table, les yeux baissés. Diane donna le feu vert:
- " Bon appétit, tout le monde ! Toi, Alicia, tu bois tout." Régis était intrigué :
- " Et elle? Elle ne mange pas ? " Diane eut une réponseénigmatique :
- " Si... mais pas comme nous... Tu verras. "
Je pris mon verre à deux mains et le sirotai lentement. Étantà jeun, l'alcool fit rapidement *** effet. Je supposais qu'ilsvoulaient me saouler pour mieux ****** de moi, j'espérais justene pas être malade.

Diane avait les jambes nues et lesremontaient entre mes cuisses, qu'elle me fit écarter. Denis, commeà *** habitude, me pelotait sous la table. Régis -j'avaistoujours les yeux baissés mais je le voyais bien quand même- Observait le manège de ses beaux-parents avec une certaine angoisse.Mais pour l'instant, ils mangeaient en discutant comme si de rien était.

Diane était fière demoi :
- " Alors, mon fils, comment tu trouve notre esclave ? Elle est excitante,non ? Et très docile... Si tu savais tout ce qu'on lui fait subir...Et cette petite conne qui ne dit rien ! On aurait vraiment tort de s'enpriver ! "

Un grand silence suivit. Il ne fallaitpas compter sur moi pour le rompre... Régis s'en chargea àcontrecœur :
- " Oui, elle est très jolie. Et elle fait bien... Ce qu'onlui demande. Je crois que ce n'est pas la peine de lui faire du mal, elleest déjà assez obéissante, je trouve. "
- " Tu auras toute la nuit pour la posséder. Fais-en toutce que tu veux, n'aie pas peur d'en d'******. Si vraiment tu vas troploin, elle te le dira. Et comme elle ne doit jamais parler, tu t'en rendrasvite compte. "

Régis semblait tourmenté:
- " Heu... Diane... Denis... J'en ai parlé à Jasmine...J'ai eu tort ? " Jasmine était la fille de Denis. Elle n'avaitaucun lien de sang avec Régis, Mais ils s'entendaient comme s'ilsétaient vraiment frère et sœur. D'après monsouvenir, c'était une petite fille très typée, samaman étant d'origine marocaine, je crois. Elle n'a pas grand-chosede mon blondinet de Denis... En tout cas, c'est une vraie tornade...

Denis parut inquiet :
- " Ah bon? Tu as eu une idée de génie de lui en parler! Qu'est-ce qu'elle en a dit ? "
- " Elle était toute excitée, et m'a demandés'il... si Alicia était mignonne... " Denis commençaità bouillir, craignant le pire :
- " Oui ? Alors ? " Régis fixa la nappe et articula péniblement:
- " Alors elle a dit qu'elle arrivait demain matin. " Deniscria :
- " Quoi ?! Elle devait partir avec sa mère et Xavier àBiarritz ! " Je supposai que Xavier était le nouveau compagnonde sa mère.
- " Ouais. Même qu'elle a dit texto: Il me gave, ce gros naze,il m'empêche toujours de pécho des keums. J'vas làoù qu'on fait la teuf ! Marre des vieux moisis qui matent mon culet qui veulent pas que je m'en serve ! " Il prononçait cesmots avec l'accent des banlieues. Enfin, de ce qu'on en entend au journalde Jean-Pierre Pernault à la télé. J'eus tout demême une pensée émue pour messieurs **** et Bescherelle**...

Denis ne semblait pas au mieux de saforme. Il avait même retiré sa main de ma cuisse, ce quiétait mauvais signe :
- " Elle me fatigue, cette gamine ! Elle a même pas seize anset je parie qu'elle n'est déjà plus vierge. Heureusement,sa mère lui fait prendre la pilule... Mais il ne faudrait pas qu'ellecroie que soit une incitation à coucher à tout prix ! Enfin,bien sûr, au cas où elle serait encore vierge... " Le pauvre Denis semblait être complètement dépassépar les frasques de sa jeune fille : Une mineure rebelle, ça promettaitun beau rodéo familial...

Denis était toujours en rogneaprès Régis :
- " Enfin, tu as vraiment eu une idée géniale en luiracontant tout ça... Et qu'est ce que tu lui as raconté,au juste ? " Régis était aussi à cran et luicracha sur un ton hargneux :
- " Tout ! Que vous vous tapez un travelo et que vous lui faitessubir les pires horreurs ! " Il se rendit compte qu'il avait étéun peu trop loin et se radoucit :
- " Excuse-moi, Alicia, je ne voulais pas te blesser. Tu es une chicfille. " Diane voulut mettre un terme à cette altercationqui pourrissait le repas :
- " J'aimerais qu'on en parle plus, le temps du repas, par égardenvers notre invitée... Dis-moi, Régis, tu as dit àAlicia ce que tu attendais d'elle ? "
- " Oui maman. J'ai même choisi sa tenue. J'espère que...Je serai à la hauteur. " Ils s'appelaient " Maman "et " mon fils, " ils devaient avoir tout de même un certaindegré d'intimité...
- " Ne t'inquiète pas pour ça, mon grand : ce n'estpas une poupée gonflable qui te jugera ! " En disant ces mots,elle écarta *********** mes cuisses en grand avec ses pieds, cequi me fit faire du genou à Denis. Cela lui rappela qu'il me négligeaitdepuis l'altercation avec Régis : Il se rattrapa promptement enenfournant sa main entre mes cuisses pour me les pétrir ***********.

J'avais fini mon verre, et je n'avaisplus du tout les idées claires. Diane fit le tour de la table duregard et dit :
- " Quelqu'un en veut encore ? Il en reste un fond... Non ? Bon..." Elle mis une portion de semoule dans le plat à couscousqui était tenu au chaud sur un chauffe-plats à bougies,mélangea soigneusement, et le déposa au pied de sa chaise:
- " Viens, Alicia ! " Je me mis à quatre pattes sousla table, devant elle. Ma vue se brouillait, mais je pus voir Diane plongerses deux pieds dans le plat et en pétrir mon repas avec un plaisirévident :
- " Mmm... C'est bon... j'avais fait ça, toute petite, etje n'avais jamais recommencé... Je m'étais fait gronderpar ma maman, ce n'était pas bien. Non... Pas bien... Mange, Alicia!" J'essayai de manger ce que je pouvais, ses pieds prenaient toutela place dans le plat. Elle s'amusait à me donner la becquéeavec ses orteils. Denis m'attira dans sa direction avec ses jambes etentreprit de me caresser les fesses sous ma culotte avec *** pied nu -ilétait en sandalette. Je vis Régis passer la tête sousla nappe de dentelle, fasciné par ce spectacle. Diane encourageasa curiosité :
- " Tu peux aller la voir de plus près, si tu veux... "Il ne me quittait pas des yeux :
- " Non... Non... Je regarde, comme ça... " Diane dûtjuger que je mettrais trop de temps à manger de cette façon.Elle se fit lécher soigneusement les pieds et les posa sur mondos. Elle me faisait mal avec ses talons, mais je pouvais manger plusà mon aise, m'aidant même d'une main. Enfin la position n'étaitpas idéale...

Le vin avait coulé et détendul'atmosphère. Diane voulait régler le cas de Jasmine :
- " Dis mon chéri, pour revenir à ta fille... Je croisqu'il serait mieux que tu lui laisses faire ce qu'elle veut ici. Tu saisbien que sinon, elle pourrait avoir de mauvaises fréquentationset ça pourrait très mal finir. Tandis que chez nous, onpourrait la surveiller... " Denis s'était calmé. Iltentait de négocier ses faveurs :
- " D'un côté, tu as rai***, mais ça me gênede risquer de choquer ma petite fille par nos... nouvelles petitesmanies, elle est encore bien jeune ... Je serais peut être prêtà y consentir si tu voulais enfin satisfaire mes désirs.Mais ça ne risque pas d'arriver. " Diane prit un ton solennel:
- " Je trouve que tu as la mémoire courte, tu avais moinsde scrupules quand il ne s'agissait pas de ta fille... " Le visagede Denis se ferma. J'avais l'impression que Diane venait d'évoquerun mauvais souvenir. Elle se radoucit et continua, d'une voix posée:
Mon chéri, si tu acceptes de laisser toute latitude à tafille, lui lâcher un peu la bride pour une fois, je me donneraià toi comme tu l'as toujours désiré. Tu pourras meprendre comme tu prends Alicia, et crois-moi que je m'appliquerai pourque tu ne puisses plus rien me refuser par la suite ! Avec l'aide de notrechère petite bonniche, bien sûr... " Cette promesseaiguillonna Denis. Il manifesta *** enthousiasme en m'enfonçant*** orteil dans les fesses, ce qui m'arracha un cri, dans l'indifférencegénérale. Enfin, je suppose que Régis compatissait...

Denis semblait vaincu et tentait dedissimuler *** excitation :
- " D'accord, tu as gagné... Une fois de plus. Je ne dirairien, sauf si elle va vraiment trop loin. Si on ne met pas de barrièresà cette gamine, on va se faire bouffer. Quant à toi, j'espèreque tu tiendras tes promesses... "
- " N'aie crainte. Je les tiens toujours, et plutôt bien, même.J'espère que tu te rends compte à quel point ça mecoûte de t'offrir ce que je t'ai toujours refusé... àtoi et à tes prédécesseurs. " Je commençaià remuer ma gamelle pour lécher les bords, ce qui attiral'attention de Diane :
- " Tu as fini ton auge, petite truie ? Va faire le café etdébarrasse ! " A Denis et Régis :
- " Café ? " Denis répondit :
- " Oui, je veux bien. Avec un cognac... et une pipe. Et toi,Régis ? "
- " Heu... moi, je prendrais bien une petite poire avec le café..." J'étais déjà dans la cuisine. Diane me passala commande de sa chaise :
- " Alicia ! Trois cafés, un cognac, une poire et une pipepour monsieur ! " Elle me rejoignit dans la cuisine avec un peu devaisselle sale et me chuchota ses projets à l'oreille, me demandantmême quelques petits conseils : elle avait décidéd'offrir *** corps ce soir à *** mari. J'allais avoir beaucoupde travail...
chrislebo

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Je finis de débarrasser la tableet revins avec mon plateau pour servir tout le monde. Diane me souriaitd'un air narquois :
- " Tu n'as rien oublié, idiote ? " Je répondisles yeux baissés :
- " Non, maîtresse. " Je m'agenouillai sous la table etengloutis le sexe de Denis pendant qu'il sirotait *** cognac. Diane encourageaitRégis :
- " Tu es sûr que tu ne veux pas te faire sucer ? C'est trèsagréable après un bon repas, en buvant un verre... Moiaussi j'aime bien me faire lécher de temps en temps... Sinon, jelui caresse les fesses avec mon pied pendant qu'elle travaille, pour lamotiver un peu... Essaye, tu es juste en face... " Régis mecaressa doucement l'entrejambe, s'attardant sur l'intérieur demes cuisses. Il commençait à m'exciter...

Denis jouit *********** et en silence.Je le nettoyai, rajustai *** pantalon et me relevai. Diane fit àhaute voix :
- " Alicia, occupe-toi de mon fils, maintenant. Ça lui donnerade quoi patienter un peu, en attendant qu'on te libère... Maisil faut qu'il te le demande lui-même." Régis osa, certainementmotivé par l'alcool de poire :
- " Heu... Oui. " Je ne bougeai pas. Mon petit cerveau d'esclavene comprenait que des ordres clairs.
- " Je ne comprends pas, maître... " Il réalisaqu'il n'avait pas été assez direct, et fit en tremblantde honte et en baissant les yeux :
- " Viens me sucer aussi... Salope ! " *** accès degrossièreté fit glousser Diane :
- " Tu vois quand tu veux ! Là, elle a compris ! " Eneffet, je m'agenouillai de nouveau et m'occupai à présentde Régis. Je le masturbai rapidement dans ma bouche pour écourterla chose : Denis avait recommencé à me tourmenter avec ***gros orteil inquisiteur. Je me débattais en gémissant maisil s'enfonçait toujours plus. Diane en rajouta une louche :
- " En fin de compte, Alicia, je crois que je vais me laisser tenteraussi. Tu m'as mis en appétit ! " Régis jouit à*** tour peu de temps après les mots de Diane, honteusement.

Je passai à ma maîtresse.Je lui enlevai sa petite culotte de coton bien mouillée, avançases fesses au bord de sa chaise et posai ses chevilles sur mon dos. Jela léchai longtemps, lentement, avec délectation. Elle étaitvraiment bonne... Elle soupira en reposant sa tasse de cafédans sa soucoupe :
- " Ahhh... Ça, c'est la belle vie ! " Elle commençaà haleter, et prit ma tête dans ses mains pour que je lalèche plus vite. Elle explosa dans un orgasme tonitruant et soudain,maintint mon visage quelques minutes sur *** sexe pour que je continueencore à la lécher doucement, puis m'attira contre ses jambes:
- " Reste près de moi, ma petite... Tu me donnes vraimentbeaucoup de satisfaction... " Je serrai tendrement ses jambes dansmes bras en les embrassant, éperdu de reconnaissance et...Oui,d'amour.

Nous sommes restés tous ainsi,sans un mot -surtout moi- pendant de longues minutes. Diane rompit lecharme en me poussant du pied :
- " Va te préparer, souillon. Nous allons bientôt monter." A Régis :
- " On va en avoir besoin une heure ou deux. Ça ira ? "
- " Ben... je risque de trouver le temps long... "
- " Tu veux nous regarder ? Ça me gêne pas... Çarisque même d'être très instructif ! Qu'est-ce quetu en penses, Denis ? " Il ne semblait pas très chaud :
- " Mmm... Bof, au point où on en est... " Régisne débordait pas d'enthousiasme non plus :
- " Ouais, bon, je veux bien essayer un moment... Mais je me barresi vous devenez trop glauques ! "

Je ne me changeai pas, je fis justeun brin de toilette et une retouche de maquillage. Par contre je préparaile matériel pour tout ce que Diane avait envisagé de faire,et allai les attendre dans leur chambre. Ils arrivèrent bientôttous les trois.

Diane dirigeait, comme toujours :
- " Alicia, déshabille mon petit mari. Et moi, ensuite. "Je les déshabillai donc et rangeai soigneusement leurs vêtementssur une chaise. Diane prit *** mari par la main :
- " Assieds-toi sur le bord du lit, mon chéri. " Ellese mit à genoux devant lui et se mit à le sucer avec passion.Régis se sentait vraiment mal à l'aise et sortit :
- " Désolé, mais je peux pas assister à ça.Alicia, je t'attends dans ma chambre. " *** intervention n'a perturbéper***ne. A vrai dire, je préférais vraiment qu'il ne soitpas là : c'était vraiment malsain...

Diane s'arrêta un instant pourse tourner vers moi :
- " Vas-y, maintenant. Prépare-moi. " Je m'installaiderrière elle, mon panier et mes bassines à côtéde moi. Je lui écartai les fesses malgré ses plaintes etla léchai avec application : je voulais commencer par un peu deplaisir... Au moins pour moi. J'étalai ensuite une serviette souselle et entrepris de lui faire un lavement avec le clystère qu'elleavait déniché lors de ses recherches, et que j'avais eule plaisir et l'avantage d'essayer. Je renouvelai l'opération quelquesfois et allai vider le récipient.

Après l'avoir soigneusementlubrifiée, je me mis à la caresser de mes deux mains, lapénétrant de mes doigts... Un peu trop nombreux à*** goût. Là, elle commença à se rebeller,me faisant comprendre que j'abusais et qu'il était temps d'arrêter.Enfin, je lui ai introduit mon plug, gonflé modérément.

Tout ce que je lui faisais, c'est ellequi m'avait demandé de lui faire, dans les moindres détails.
Elle continuait toujours à sucer bravement *** mari, tout en gémissantpar intermittence. J'admirais sa technique : elle bougeait en tout sens,entraînant avec sa bouche bien resserrée le sexe de Denisqui se pâmait. C'était peut-être la premièrefois qu'elle le prenait comme ça...

Elle le suça ainsi pendant delongues minutes sans faiblir, s'arrêtant juste pour lécher*** sexe de bas en haut à grand coup de langue et lui téterses gros testicules. Denis finit par jouir, intensément, puis,revenu à lui, caressa longuement la tête de Diane avec uneinfinie tendresse. Elle continua à le sucer lentement, jusqu'àce qu'elle l'ait bien nettoyé. Diane se redressa face àlui et ouvrit sa bouche pleine pour lui montrer qu'elle avait bien travaillé.

Mais comme elle me l'avait déjàdit, elle n'avalait pas... Aussi elle se tourna vers moi pour se déchargerde *** encombrante cargai*** en m'embrassant longuement. Denis étaitsous le charme : Il aimait voir *** épouse embrasser Alicia, unde ses fantasmes avoué était d'assister à des ébatscoquins entre filles...

Lorsqu'elle eut fini de se rincer labouche à la mienne, il l'attira à lui et l'embrassa longuement.Il était profondément ému :
- " Oh mon amour, c'est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire...Tu as été fantastique ! " Elle lui adressa un souriremalicieux :
- " Attends, ce n'est pas fini... Ça, ce n'était qu'unepetite mise en bouche, si j'ose dire... Repose-toi un peu, nous allonste distraire, le temps que tu récupères... " J'attendaispatiemment les ordres, agenouillée au pied du lit :
- " Allonge-toi sur le dos ! " J'enlevai tout de mêmemes escarpins. Je me suis étendu à côté deDenis, rêveur. Diane me recouvrit, toujours nue, en position desoixante neuf. Elle s'enquit des préférences de *** époux:
- " Tu veux que je la suce ? "
- " Si tu veux, mais ne lui donne pas trop de plaisir. Surtout, tune la fais pas jouir. " C'était la première fois quema maîtresse me faisait un tel honneur. J'étais fièred'elle, et elle me donna sa fente de nouveau trempée de désirà manger. Elle baissa ma culotte et suça mon gland qui serépandait déjà sur mon ventre.

Le plug ne semblait plus l'indisposer: elle ondulait de façon fort suggestive pour stimuler le désirde Denis, qui commençait à reprendre forme. Diane s'en aperçutet se remit à le sucer, sans changer de position, et il s'agenouillaà cheval au dessus de mon sexe pour lui faciliter la tâcheet que je puisse continuer à m'occuper d'elle.

Quand elle jugea que *** épouxétait assez dur pour la pénétrer, elle lui soufflaen le caressant :
- " Va derrière moi, mon amour... " Il se déplaçaet nous regardait toutes les deux, elle, ondulant de la croupe et moila caressant de ma langue. Il écarta ses fesses et lui enleva leplug qu'il jeta par terre, bouillant de désir. Elle étaitabondamment lubrifiée et bien ouverte. La vue de sa croupe offertedécupla *** excitation -et la mienne :
- " Chérie, je vais te prendre ! " Il dit cela plus pourse conforter que *** rêve se réalisait enfin que pour laprévenir.
- " Oui, prend-moi, je suis à toi... Fais-moi tout ce que
tu veux, mon chéri... " Il la pénétra d'un coup, mais doucement, ce qui lui arrachaun petit gémissement, sans qu'elle arrête d'onduler des reins.Ils firent l'amour très doucement, pour bien savourer cet instant.

J'avais une vue imprenable sur la pénétrationde ma maîtresse, j'étais consciente que c'était ungrand privilège. J'évitai de tout gâcher en la stimulanttrop... La sodomie de Diane durait depuis quelques minutes quand jesentis leurs corps se raidir de plus en plus, imperceptiblement. Je memis à la lécher frénétiquement, lui mordillerle clitoris et la pénétrer de ma langue le plus profondémentpossible. Elle se mit à hurler en donnant de grands coups de reinsen arrière pour se faire pénétrer à fond.Denis jouit à *** tour, presque aussi violemment, redoublant d'efforts.Les cris de Diane s'intensifièrent, et ne semblaient pas devoirs'arrêter. ***********, elle se dégagea du membre de ***mari et se jeta à plat ventre sur le lit, à côtéde moi. Elle pleurait à chaudes larmes, en pleine crise d'hystérie.Je ne sais pas si c'était dû à l'intensitédu plaisir qu'elle avait ressentie, ou la honte de s'être laisséeposséder de la sorte -ou les deux...

Denis n'avait pas débandéet se coucha sur elle pour la pénétrer à nouveautout doucement, tendrement. Il faisait de longs va et vient, la pénétrantà fond et se retirant complètement. Petit à petit,elle cessa de pleurer, se dégagea et le fit s'asseoir. Elle s'empalaà genoux sur le sexe de Denis, violacé et gonflépar l'excitation prolongée. Elle fermait ses yeux rougis et secaressait les seins en ondulant de la croupe. Denis avait envie de pousser*** épouse le plus loin possible. Il me donna des ordres :
- " Attache-lui les mains dans le dos, bâillonne-la et fouette-la.Cette chienne a l'air d'aimer ça, à ce que j'en ai vu..." Je me sentis pris au piège. J'implorai :
- " Maîtresse ? " Diane était en état dechoc, des sanglots dans la voix :
- " Fais ce qu'il te dit... C'est ton maître... " Je lui liai les poignets aux coudes pour remonter ses bras le plus hautpossible et dégager le bas de *** dos : elle était complètemententravée de cette façon. Je la bâillonnai sommairementavec une serviette, pris la cravache dans mon panier pour la frapper surle dos et les fesses, de plus en plus fort. Je ne l'avais jamais faitet je ne savais pas doser mes coups. Et surtout, je n'aimais pas çadu tout, et des larmes de révolte et d'impuissance me brouillaientla vue.

Tout ce temps, Diane n'a pas arrêtéd'aller et venir, en poussant des cris étouffés àchaque coup. Denis lui caressait les seins, et il semblait trèssatisfait :
- " Chérie, tu as gagné. Tu pourras faire de cettepetite tête de pioche de Jasmine tout ce que tu voudras, je ne lèveraipas le petit doigt. Ça lui fera les pieds. "

Il se retourna vers moi :
- " C'est bon, maintenant. Prends ton attirail et sors. Je dois fairel'amour à ma femme chérie. Mais laisse la cravache, on nesait jamais... " C'est avec soulagement que je remis ma culotte etmes chaussures, ramassai rapidement mes affaires -sans oublier le plugqui avait roulé sous le lit- et regagnai ma cellule. Je me lavaisoigneusement -Alicia n'avait pas droit à la douche- pour le clientsuivant, me changeai et me maquillai. Je mis également les bijouxque Régis avait choisis, de la pacotille clinquante, mais qui m'allaitbien.

Je frappai à sa porte. De lachambre parentale émanaient des claquements secs et des cris étouffés.

chrislebo

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LA FIN DE L'INNOCENCE.


Régis vint m'ouvrir rapidement, en T-shirt et en bermuda. Je supposequ'il guettait ma venue depuis un petit moment... Sa chaîne stéréotentait de couvrir les bruits torrides de ses parents, et une revue musicalepour adolescents était ouverte sur le lit. Il me fit entrer etme détailla de la tête aux pieds, sans un mot. Il étaitplutôt gêné, l'effet de l'alcool avait dû sedissiper...

Il se lança :
- " Ça va, Alicia ? Ils ne t'ont pas fait trop de mal ? J'aientendu crier, des cris horribles... " Pour une fois, ce n'étaitpas moi...
- " Non, maître, merci, je vais très bien. Je suis àvotre disposition, et j'espère être à votre goût.Si vous voulez que je change quoi que ce soit, dites-le-moi. "
- " Non, tu es parfaite. Mais j'aimerais que tu me tutoie, çame gêne. Tu es bien plus âgée que moi... "
- " D'accord, mais je suis quand même à ton entièredisposition, tu peux faire tout ce que tu veux de moi. Tu es un homme,à présent !"

Il avait du mal à exprimer sesdésirs, mais il est vrai qu'à *** âge, je n'auraisûrement pas eu autant de cran :
- " Oui... J'ai toujours eu envie d'aller avec une prostituée,mais elles me font peur. Elles se moqueraient sûrement de ma petitezigounette, c'est cher et je suis sûr que ça dure pas longtemps..."
- " Tu veux que je fasse la pute ? " Il crut m'avoir vexée:
- " Excuse-moi, je croyais que tu aurais bien voulu... Comme tu m'asdit que je pouvais tout te demander... " Je lui fis un grand sourirecharmeur :
- " Mais bien sûr ! Non, je t'assure qu'il n'y a pas de problème...Tu as de l'argent ? " Il tressaillit :
- " Quoi? ...Oui, un peu, pourquoi ? "
- " Une pute, c'est pas gratuit. Combien tu as ? " Il fourrageafébrilement dans *** portefeuille :
- " J'ai ... Soixante cinq Euros et vingt, quarante... "
- " Laisse tomber la ferraille. Tu sais comment ça marche? "
- " Heu... j'ai vu ça, dans des films... " À vraidire, moi aussi. Je n'ai jamais eu besoin de fréquenter ces dames.
- " Ça ira. Prend ton temps pour négocier, ne montepas tout de suite. Emporte tes sous, habille toi un peu mieux et suismoi dans le jardin, dans quelques minutes. À tout à l'heure."

L'air frais de la nuit tombante mefit un bien fou. Je pris le temps de faire quelques pas dans le jardinavant de me poster sous une veilleuse encastrée dans le mur dela mai*** : Des papillons y dansaient dans la lumière en faisantdes jeux d'ombre.

J'avais adopté la posture typede la professionnelle : la main dans la bandoulière de mon petitsac -que j'avais pris avant de descendre, on ne sait jamais- et le talonsur le mur. Un client potentiel apparut bientôt : un petit jeunehomme, timide. Ça devait être la première fois quitraînait dans cette rue... Il me détailla en me croisant,sans s'arrêter. Je lui lançai :
- " Tu veux un peu d'amour, mon chou ? " Pas de réponse.Le voilà qui revint vers moi.
- " Alors, on va se faire du bien, mon biquet ? " Ce coup-ci,il s'arrêta et me dit d'une voix mâle et ******* qui ne cachaitpas *** trac :
- " Combien tu prends ? "
- " Dix la pipe, vingt l'amour, cinquante la nuit. " J'adaptaimes tarifs en fonction de ses finances...
- " T'es chère, j'ai pas les moyens. "
- " Radin ! Tu n'as même pas de quoi te payer une pipe ? "
- " Bon, va pour une pipe... "
- " Allonge. " Il me tendit *** billet comme à regretet j'enfouis rapidement *** argent de poche dans mon sac. Il allait rentrerdans la mai*** :
- " Hé ! Où tu vas ? C'est pas avec ça que jevais payer ma chambre ! "

Je l'entraînai derrièreun buis*** de seringat pour avoir un peu d'intimité, lui baissai*** pantalon sur les genoux et m'accroupis devant *** sexe que j'empoignai: Il ne me semblait décidément pas si petit qu'il voulaitbien le dire, et je le pris dans ma bouche.

Mais j'avais beau m'escrimer, pas moyende lui donner une érection décente. Après plusieursminutes de travail infructueux, je m'inquiétai :
- " Ça va pas mon chou, c'est ta première fois, c'estça ? "
- " Non, non ! Mais je me sens pas cool, dehors, comme ça..." Moi, ça m'exciterait plutôt... Je le rhabillai :
- " Tu fais quoi ? Tu te casses sans balancer la purée outu rajoutes un billet ? " Il ouvrit *** portefeuille et s'éclairaà la lueur de la veilleuse :
- " Tiens, voilà quarante Euros. Ça fera la nuit. "
- " C'est cinquante ! À quarante, tu me baises dehors. "
- " Je t'en ai déjà donné dix ! Pour ce quetu m'as fait... " Il ne se débrouillait pas mal... Et jem'amusais comme une petite folle :
- " Bon, d'accord... Suis-moi dans ma piaule. "

Je montai les marches en ondulant outrageusementdu popotin. Une fois tous deux dans ma chambre, il se jeta sur moi, maladroitement.Il me pelotait les seins et les hanches, et cherchait ma bouche. Je refroidisses ardeurs :
- " J'embrasse que mon mac. Pas les clients. Qu'est-ce qu'on fait? " Il hésitait. Je n'étais pas vraiment une filleet il ne savait pas comment s'y prendre :
- " Je ne sais pas...Je te laisse décider. "
- " D'habitude, on me demande pas mon avis... Puisque tu me laisseschoisir, c'est par devant, mais avec toi je préfère commencerpar la levrette. " Il débutait, le pauvre :
- " C'est comment ? "
- " C'est comme les chiens, d'où le nom. Ça te plaira,fais-moi confiance. Je reste habillée ? " Pas trèsconvaincu, le novice :
- " Heu... Oui ! Essayons ça... "
- " Déshabille-toi, moi, il faut que je me prépare." Je pris le tube de lubrifiant dans mon sac à main et assouplitmon petit derrière. Ça faisait -relativement- un petit momentqu'il n'avait pas servi, mais il commençait à êtretrès docile.

Quand je me suis sentie prête,je me suis mis à quatre pattes sur le lit. J'aurais pu utilisermon chevalet, c'eût été plus pratique, mais hors sujet...
Je me tournai pour voir s'il était en forme : pas brillant... J'aurais cru que mon collant ouvert sous ma minijupe ferait plus d'effet: Je supposai que le peu de mon anatomie masculine que n'avais pas réussià lui masquer avait dû le refroidir totalement.

Je tentai de mobiliser les troupes:
- " Il te plait pas, mon petit cul ? Je me suis fait belle rien quepour toi ! "
- " Si, si... Il me plait... " Ce n'était pas l'enthousiasme.

Je me retournai pour m'asseoir surle lit : il y avait quelque chose de pas normal :
- " Tu veux qu'on arrête de jouer ? "
- " Oui, s'il te plait. Ça... Ça va pas. " Jele fis s'asseoir à côté de moi. Je le laissai parleren lui caressant l'épaule. Cela prit plusieurs secondes avant qu'ilne se lance :
- " Tu sais, je t'ai dit que j'avais déjà couchéavec des filles, et qu'elle se ***t moquées de moi... " J'adoptaiune voix douce et compréhensive, complice.
- " Oui ? "
- " Et ben, c'est pas vrai : j'ai jamais réussi. Elles semoquaient toutes de moi, j'arrive pas à bander. À vrai dire,Il n'y a qu'une fille qui m'a touchée, et elle a juste mis sa maindans ma culotte. J'étais tout mou, elle a ri, elle s'est moquéede ma petite bite, et comme j'étais toujours mou, elle s'est énervée,et je suis parti. Depuis, je les évite. " Je tombai de haut:
- " Tu n'as jamais couché avec une fille ? Et aucune ne t'a...touché ? C'était donc ta première fois, aujourd'hui? " Il regardait le sol, et parlait d'une voix monocorde :
- " Oui. Cet après midi, je ne sais pas pourquoi, j'avaisune envie folle de toi. Pourtant, même si je n'ai pas de chanceavec les filles, je ne suis pas pour autant attiré par les garçons.Mais après ce que Diane m'a raconté -j'oserais mêmepas te le répéter- et te voir soumise comme tu l'étais,je me suis senti pousser des ailes. J'avais envie de toi et il fallaitque je te prenne. "
- " Tu sais, je suis peut-être un garçon, mais tu peuxme considérer comme une fille à part entière, quandje suis travestie. À quelques limitations près, bien sûr...Mais je trouve que tu as été assez hardi, après lerepas... Excuse-moi de t'avoir bâclé, mais Denis me faisaittrès mal avec *** pied. "
- " Je crois que c'était l'eau-de-vie qui m'a donnéle courage, et aussi tout le vin que j'ai bu... Et puis je voulais montrerà mes parents que je n'étais plus un gosse. "
- " À mon avis, ils s'en étaient déjàrendu compte cet après midi... Et même qu'ils en ont pasloupé une miette. Tu sais que je suis sous surveillance vidéo,dans ma chambre ? " Régis fit un bond sur le lit :
- " Quoi? Mais c'est dégueulasse ! Ils ***t vraiment tordus! Et ils m'ont enregistré ? "
- " Non, rassure-toi. Ils ont quand-même un peu de savoir-vivre! Je suis passée peu après par le local vidéo : jen'ai pas vu d'enregistrement en cours, ou récent. C'est dommage,car c'était un grand moment... Surtout l'intervention de tesparents. "

J'ouvris mon sac et lui rendit ***argent :
- " Tiens! Peut-être qu'un jour tu auras besoin d'une vraieprofessionnelle... Pour l'instant, tu as plutôt besoin d'une complice.Tu es toujours d'accord pour qu'on fasse l'amour, comme tu me l'as demandécet après midi ? Je crois qu'on s'est un peu égarés."
- " Oui... Je me suis dit que ce serait plus facile avec une fillequ'on paye pour faire l'amour, mais je me trompais. Ça m'a misune pression terrible. L'impression de devoir en avoir pour mon argent..."
- " Tu veux que je me change ? "
- " Non, reste comme ça. Je vais éteindre la lumièreet allumer la veilleuse. Ce sera moins... ******. "

J'enlevai tout de même mon chemisieret ma minijupe, gardant mon collant, mon bustier et mes longs gants enrésille. Je m'allongeai dans mon petit lit et tirai le drap surmoi, comme une jeune fille timide. Il vint me rejoindre, entièrementnu, se colla doucement à moi mais il hésitait à metoucher : il semblait tout de même un peu gêné de coucheravec un garçon... Ou alors parce que c'était sa premièrefois ? Je tentai de le mettre à l'aise :
- " Je sais que je ne suis pas une fille, mais pour toi çane devrait pas faire trop de différence. Je veux dire que le problèmeest dans ta tête, pas dans celle des filles. Aime-moi, et je tepromets que ce sera exactement pareil avec ta première petite amie.Sois à *** écoute, sens ses vibrations, va où elleveut t'amener. N'aie pas peur d'oser, même si elle se... "

J'étais trop bavarde : il mefit taire par un baiser doux et langoureux, risquant une main sur ma petitepoitrine. Je soupirai :
- " Caresse-moi... J'aime ça. Tu sais que ce ***t des vrais...un peu remontés ? " Il glissa une main sous mon soutien-gorge:
- " Mais oui ! Ce ***t presque des grosses mandarines ! Tu sais,j'ai des copines qui n'en ont pas de si beaux... " Je le détrompai:
- " J'ai des prothèses en silicones. Ils ne ***t pas si grosque ça, tout de même... "
Il baissa mon bustier, me retira maladroitement mon soutien-gorge rembourré-comme beaucoup de garçons- pour m'embrasser longuement la poitrineen la caressant.

Il descendit une main et commençaà me masturber. Je l'en dissuadai en le guidant :
- " Non, caresse-moi plutôt comme si j'étais une fille...Comme ça... Avec le bout des doigts, tout en appuyant de la paume...Voila, c'est ça... " Je me laissai faire un moment, puis descendisle sucer en le caressant tendrement. Il avait repris de l'assurance, etje lui fis part de mes impressions :
- " Je trouve que tu as une belle queue. Elle a une taille normale,et bien grosse avec ça. " Il ne me croyait pas :
- " Tu dis ça pour me rassurer... "
- " Tu as vu la mienne ? "
- " Oui, elle n'est pas énorme non plus. "
- " Tu sais, tous les garçons ont l'impression d'avoir laplus petite. Moi, j'en suis vraiment sûr, car j'ai eu beaucoup d'expériencesmalheureuses. Mais ça ne m'empêche pas de satisfaire pleinementmon épouse Carole. Et tu as vu le canon que c'est... "
- " Oh oui, elle est vraiment très belle... "
- " Peut-être que tu lui feras l'amour, un jour... Elle estaussi libre que belle. " Je me suis remis à le sucer profondément.Un peu trop consciencieusement -ou était-ce l'évocationde ma sculpturale épouse- car il jouit rapidement dans ma bouche,en retenant ses cris :
- " Je suis désolé... Je n'ai pas pu me retenir...Je voulais te faire l'amour, tu sais... " Je ris :
- " Mais c'est rien ! Ce n'est que le début ! Tu verras, tudureras plus longtemps la prochaine fois. " Je le suçai encorequelques minutes pour le nettoyer, puis remontai pour l'embrasser, maisil était un peu réticent. Je lui demandai :
- " Ça te dégoûtes que j'essaie de t'embrasseraprès avoir bu ton jus ? " Il n'était pas trèschaud :
- " À vrai dire, un peu... " Je lui fis la leçon:
- " Tu sais, beaucoup de filles font ça pour faire plaisiraux garçons, très peu vont jusqu'au bout et encore moinsne le recrache pas. Tu risques de décevoir énormémentla fille qui te fera cet honneur. " Il s'inclina :
- " Bon, d'accord... "

Je le laissai m'embrasser : il entrasa langue sur la pointe des pieds, puis s'enhardit rapidement. Il finitpar m'embrasser fougueusement et avala presque toute la salive que jelui offrais : j'avais gardé une petite partie de *** sperme... Je suis plutôt partageuse !

Il me caressa de nouveau les seinssous mon bustier en résille et le sexe comme je lui avais montré.Je pense que si j'avais été une fille, ses doigts seraienttombés juste au bon endroit. Il eut rapidement une nouvelle érectionque je saluai aussitôt par une fellation, moins appuyée cellelà.

Il voulait passer aux choses sérieuseset écarta doucement ma tête :
- " J'ai envie de te faire l'amour, maintenant. J'ai envie de teprendre. " Il fallait un peu s'adapter au fait que je ne sois pasune fille :
- " Il va falloir que je me prépare à nouveau, àmoins que tu veuilles t'occuper toi-même de mon petit cul ? "Cela semblait plutôt l'exciter :
- " Oh oui ! Dis-moi ce que je dois faire... " je lui désignaile tube de lubrifiant:
- " C'est très simple : tu m'as vue faire tout à l'heure.Tu me lubrifies généreusement -sans en mettre partout- ensuitetu me caresses avec tes doigts, sans ******. Tu verras, ça va rentrerde mieux en mieux. Je te dirais quand je serais prête. " Jelui tendis ma croupe gainée de collant noir. Il me caressait doucement,et avait peur de me faire mal, s'égarant de temps en temps surmon sexe. Je l'encourageai à être un peu plus offensif :
- " Vas-y plus profond. Ecarte-moi avec tes doigts... Avec tes deuxmains... Continue comme ça... Voilà, je crois que je suisprête. " Je lui tendis une serviette pour qu'il s'essuie, etplaçai deux oreillers sous mes reins. J'écartai les cuissesen les levant très haut et l'invitai à me pénétrer:
- " Viens, prend-moi maintenant. J'ai si envie de toi... " Ilbandait très fort. Il avait une très belle queue, bien proportionnée.Pas très longue, mais assez épaisse.
chrislebo

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Il s'allongea sur moi et avait unpeu de mal à trouver sa position idéale. Il me pénétrad'un seul coup, à fond, mais très doucement. il se mit ensuiteà aller et venir, de plus en plus vite. Trop vite. Je dus le calmer:
- " Va doucement... Prend le temps de ressentir l'effet que tu mefais à chaque fois que tu me pénètres... " C'étaitla première fois de ma vie de femme que je faisais vraiment l'amour.Bien sûr, c'était plutôt un cours de travaux pratiquesmais c'était bien agréable quand même...

Il s'appliqua de très longuesminutes. Quand j'estimai qu'une femme " normale " aurait déjàjoui depuis longtemps, je commençai à simuler la lente montéed'un orgasme. Dès qu'il s'en aperçut, il se déchainaet se vida bruyamment en moi. Mais moi, je n'étais qu'au début...Je continuais à haleter et à trémousser ma croupe,mais il débandait rapidement.

Je cessai de m'agiter, l'air déçu.Il était penaud :
- " Tu n'a pas pris ton pied ? Je croyais que tu étais entrain... " Je continuai la leçon :
- " Une fille est très longue à jouir, c'est pour celaqu'il faut bien soigner les préliminaires. Il faut que tu contrôleston excitation jusqu'à ce qu'elle ait *** orgasme, et qu'elle crie.Elles ne crient pas toutes, mais elles le devraient si elles étaientcorrectement baisées. Enfin, tu as tenu très longtemps,tu es un bon élève. " Il était quand mêmeinquiet au sujet de mon plaisir :
- " Tu veux que je te... masturbes? Tu étais sur le pointde jouir... " Je ris :
- " Mais non, je simulais ! Même la déception... Ce***t des choses que j'ai connues : je préfère te pousserà faire des erreurs dans mes bras plutôt que tu en fassesavec ta première fiancée. La première fois, çacompte dans la vie d'une femme... " Il rajouta fièrement :
- " Et d'un homme ! Merci de t'occuper si bien de moi. " Jelui caressai l'épaule :
- " C'est rien... Je prends beaucoup de plaisir avec toi. Au fait,que penses-tu de mon cul ? "
- " C'est bon... Tout doux, tout chaud... C'est comme ça,une femme ? "
- " Pas tout à fait : c'est un peu plus... vague. Surtoutsi elle est très excitée et très mouillée.C'est une drôle de sensation, très agréable -tropd'ailleurs-, et on a du mal à se contrôler dans ces conditions.En plus, c'est à ce moment qu'elles nous disent qu'elles ne noussentent plus... Tu comprendras par toi même et tu penseras àmoi à ce moment là... " Il était toujours couchéentre mes cuisses. Je le dégageai gentiment et nous nous sommesallongés face à face. Il avait d'autres questions :
- " On peut coucher comme ça, avec une femme? La prendre parderrière ? "
- " Je te déconseille d'essayer de ton propre chef de luipénétrer le cul. Lèche-le, joue avec, met un doigtdedans si tu veux et si elle ne se débat pas, mais en principeelle n'aimera pas trop ça. À moins que tu tombes sur laperle rare. Comme Diane. " Il semblait mi-impressionné, mi-horrifiéque je parle de la sexualité trouble de sa mère... Dumoins de ce qu'il n'avait pas encore vu ! Bien sûr, j'avais biencompris que c'était tout à fait exceptionnel, uniquementdans le but de faire plier Denis à sa volonté. Elle m'avaitdit qu'elle ferait tout pour sa petite Jasmine, qu'elles étaienttrès liées.

Je continuai, il attendait des détails:
- " Si tu étais resté, tu aurait assisté auplus bel orgasme de ta vie. Je n'ai jamais vu une femme prendre autantde plaisir à se faire sodomiser. Mais tu as dû l'entendre..."
- " Tu parles ! J'ai cru qu'elle se faisait écarteler. Çaa duré longtemps. Très longtemps. Et puis, plus rien...Ah si, des coups de fouet... Ça devait être quelque chose..."
- " Ils auraient dû immortaliser cet instant sur vidéo.Si tu avais demandé à la voir, elle aurait étésûrement d'accord. " Il n'était pas très chaudpour assister aux ébats de sa mère :
- " Heu... Tant pis. Dis, je commence à être un peufatigué, tu veux qu'on dorme ensemble ? "
- " Avec plaisir. On retourne dans ta chambre ? "
- " Oui, je préfère. Tu peux te changer, bien sûr." Je lui montrai mes rares tenues de nuit. Il choisit une longuechemise de nuit rose, vaporeuse, avec un décolleté plongeantque j'avais du mal à remplir honorablement.

Il m'entraîna par la main :
- " Viens, maintenant. " Nous sommes allés ensemble auxtoilettes. En traversant le couloir, j'entendis Denis et Diane qui discutaientà voix basse, paisiblement. Il m'entraîna dans *** petitlit, m'embrassa et me souhaita bonne nuit. Je me tournai pour m'endormir,sans grandes illusions. En effet, il se colla à moi, souleva machemise et insinua *** sexe de nouveau en érection entre mes fesses.Il s'excusa presque :
- " J'ai encore envie... "
- " N'oublie pas que je me plie à toutes tes volontés.Prends-moi tant que tu veux, et de toutes les façons que tu voudras.Tu n'as pas à me demander la permission de prendre mon corps. "Il me pénétra sans problème et commença às'agiter en moi :
- " Comme tu es bonne... Tu es vraiment la fille parfaite ! "C'est sûr que s'il croit que toutes les filles ***t aussi docilesque moi, il va au devant de grandes déconvenues...

Il me fit l'amour longtemps. Trèslongtemps. Cette fois-ci, je ne simulai plus la montée de l'orgasme: je le ressentais vraiment. Je me suis vite sentie submergé parune vague de plaisir que je n'avais encore jamais connue. C'étaitla première fois que jouissait en me faisant pénétrer,sans avoir recours à mon sexe. Malgré mon devoir de discrétion,je me suis laissée à hurler mon plaisir, suivi de Régis.L'élève avait dépassé le maître -jepréfèrerais dire la maîtresse- en une soirée.Au petit matin, il me réveilla par une caresse sur mes hanches:
- " Tu dors ? " J'étais un peu comateuse :
- " Encore un peu... Tu as envie de faire l'amour ? "
- " Oui. Mais je voudrais faire une chose que je n'ai pas encorefaite. J'ai envie de te sucer. Je peux ? " Il était mignon...
- " Mais bien sûr, tout ce que tu veux, mon trésor !Je vais même faire pareil. Ça s'appelle un soixante neuf,si tu ne le savais pas encore. "
- " Ah ! C'est ça... J'en ai déjà entenduparler plusieurs fois, mais je n'ai jamais osé demander ce quec'était. "
- " C'est comme ça qu'on apprend rien. Moi, je ne l'ai suqu'à dix sept ans : Carole m'en parlait sans arrêt en medonnant des coups de coude. Comme elle voyait que je restais de marbre,elle en a déduit que je faisais semblant de savoir ce que c'était.Elle m'a dit qu'elle voulait essayer avec moi, tout de suite. Juste pourme démasquer, la coquine ! "
- " On peut faire ça avec une fille ou un garçon ?"
- " Deux filles, deux garçons, un garçon et une fille...C'est très agréable. Mais tu va le savoir tout de suite.Allonge-toi sur moi. À l'envers. " Je préféraisl'avoir sur moi, qu'il se sente libre. Il me caressait, mais hésitaun petit moment avant de me prendre dans sa bouche : j'avais largementtâchée ma chemise de nuit et je n'étais pas trèsfraîche... Autant à ce qu'il s'habitue aux réalitésde l'amour !

Moi, ça ne me gênait pas,bien qu'il ait passé un bon moment en moi... Nous nous sommes sucésun bon moment, tranquillement. Il cherchait à me faire jouir, maisje n'en avais pas envie. Je lui proposai une variante à notre petitjeu :
- " Puisque tu as l'air en forme, je te propose d'essayer quelquespositions que tu ne connais pas encore. Ca te dit ? " Il devait êtrelassé de me sucer car il répondit avec enthousiasme :
- " Oh oui ! Tu me montre tellement de choses agréables !" Je me disais qu'il n'avait pas dû voir grand-chose de lavie. Il me semblait qu'il avait fait ses études dans un collègepuis dans un lycée dirigé par des prêtres : ce n'estpas le genre de choses qu'on y apprend, plutôt ce que risquent lesdépravés comme nous...

Je commençai par une positionqu'il connaissait, mais pas pratiquée :
- " Tu n'a pas essayé la levrette, hier... " Je me misen position. Il souleva un détail qui me concernait plutôt:
- " Tu ne te lubrifie pas ? "
- " J'ai laissé mon tube dans la chambre... C'est pas grave.Mouille-moi un peu avec ta salive, ça ira... " Il me léchaavec application, et insinua ses doigts pour contrôler mon étatde préparation. Je le rassurai :
- " Vas-y... Avec ce que tu m'as mis cette nuit, ça devraitpasser tout seul ! " En effet, il me pénétra sans douleur.Juste un problème de hauteur que je m'appliquai à corrigeren pliant les genoux.

Il me pistonnait allègrement.Je m'enquis :
- " Alors, ça te plait, cette position ? " Il s'arrêtapour me répondre :
- " J'adore ! Dommage que je me puisse ni te caresser ni t'embrasser."
- " Tu veux essayer autre chose ? "
- " Pas tout de suite... " Il reprit *** labeur pendant quelquesminutes encore, puis se retira. Il attendait que je lui propose autrechose :
- " Allonge-toi. " Je m'installai à cheval sur lui pourm'empaler sur *** sexe en m'aidant de la main. Je me mis à onduleret à le chevaucher de manière sensuelle :
- " Ça s'appelle " à la romaine ". C'estla position préférée des filles. Je te conseillecelle là pour la première fois. Surtout si mademoiselleest encore vierge. "
- " Ah bon ? Pourquoi ? "
- " Comme ça elle reste maîtresse des opérations.Beaucoup de dépucelages se passent de manière trop ********** garçons ***t trop excités pour se rendre compte de l'angoissede leur partenaire. Et celle là, elle te plait aussi ? " Ilme caressa les seins :
- " Oui, et là je peux te peloter... "
- " Et ce n'est pas tout ! " Je glissai une main entre ses cuissespour caresser *** sexe, lui arrachant un grand soupir :
- " Ah oui... C'est bon... " Je mis fin à ces caresseset pivota à l'envers, toujours sur *** sexe :
- " Voici une variante : Elle donne plus de sensations. Si j'étaisune fille, tu pourrais me caresser le cul. " Je me libéraiet lui présentai mes fesses. Il me pénétra de sesdoigts tandis que je reprenais mes mouvements du bassin en le caressant.
- " Tu vois, ça peut être très agréable,et ça peut être aussi un bonne entrée en matièresi tu as envie d'essayer la porte de service de mademoiselle... "Il immobilisa mes hanches d'une main ferme :
- " C'est bon pour aujourd'hui. Mets-toi sur le ventre, s'il te plait..." Régis en avait assez de mes leçons.

Je le laissai faire : il se couchasur moi et je me soumis à ses assauts, en l'accompagnant par de***dulations des reins. Il prit *** plaisir et resta encore en moi quelquesinstants, puis se recoucha à côté de moi.

Il était encore tôt, maisnous n'avions plus sommeil. Je vérifiai discrètement maperruque et l'état de ma barbe : elle commençait un peuà pousser, il fallait que j'évite les contacts. Régisétait curieux :
- " Dis, tu la connais, ma sœur ? "
- " Pas beaucoup, non. Je l'ai rarement vue. "
- " Et bien moi, je peux te dire qu'elle, elle te connaît !Chaque fois qu'elle vient ici, elle passe *** temps à t'espionner.Il y a un trou dans le mur, tu le savais ? " Je pouffai :
- " Des trous, il y en a plein dans ces vieux murs. Qu'est-ce qu'elleme trouve ? " J'étais flattée que l'on s'intéresseainsi à ma petite per***ne.
- " Je crois qu'elle en pince pour toi. Elle n'arrête pas deme questionner à ton sujet, comme si je te connaissais mieux qu'elle..."
- " Hé bien, je crois qu'elle pourra me questionner de vivevoix. Tu as dit qu'elle venait aujourd'hui ? "
- " Ouais, ce matin. Elle devrait arriver vers onze heures... C'està cette heure qu'elle a *** train. "
- " Qui va la chercher à la gare ? "
- " Per***ne. Mademoiselle arrive en taxi. Elle est friquée,elle. " Je sentis une pointe de jalousie dans sa voix, malgrél'entente qui semblait régner entre eux :
- " Je sens que je vais me faire un max de blé sous mon lampadaire! " Il rit.

Je repris :
- " J'ai une idée : si j'allais la chercher, Ca lui feraitplaisir, non ? "
- " Tu parles ! Mais fais gaffe... Ça, c'est une vraiedéclaration d'amour ! Si tu la déçois, elle va tedéchirer la gueule ! " Je ris à mon tour :
- " Je pensais plutôt la prendre entre quat'zyeux pour luiexpliquer la complexité de la chose, surtout sur le fait qu'ellesoit mineure. C'est ce qui me gêne le plus, surtout vis àvis de ses " vrais " parents. "
- " Oui, je comprends. Bon courage... Parce que c'est elle quidécide de tout. C'est une vraie furie. "
- " J'ai cru comprendre... Bof ! On verra... *** nom de famille,c'est Müller ? "
- " Oui, elle a gardé le nom de *** père. Ils s'aimentbien, bien qu'ils soient comme chien et chat et qu'ils n'aient pas grandchose en commun, le physique comme le caractère. " Je baillai:
- " Ouafff... On se lève ? J'ai besoin de faire ma toiletteet de me démaquiller. Les filles se démaquillent pour secoucher, moi je fais le contraire : ça commence à êtreinsupportable... "

Il se leva sans répondre etouvrit les volets. Une lumière rougeâtre filtrait jusqu'àmaintenant à travers les persiennes, mais là c'étaitle soleil levant qui entrait.

Sept heures ***naient à l'églisedu village. Je m'éclipsai sans me retourner. Je ne devais plusêtre très belle à voir...

J'étais tout de même plusappétissante que je croyais... Je me détaillais dans lemiroir de ma table de toilette : ma barbe ne se voyait pas encore, maisje la sentais poindre sous mes doigts. J'enlevai ma perruque, me démaquillaiet me débarbouillai. Régis était déjàdescendu, et un murmure s'échappait de la chambre conjugale : jepus prendre une douche sans avoir peur de les réveiller.

Elle me fit le plus grand bien, etje me sentais un homme neuf. Enfin, un homme depuis cinq minutes... Jeme rhabillai en Luc et descendis préparer le déjeuner.

Régis m'avait devancé.Je fis griller des tartines, rien de tel pour faire descendre les marmottes.En effet, ils arrivèrent tous les deux, ensemble. Ils avaient l'aird'avoir eu une nuit agitée... Diane avançait avec indolence,clignant des yeux. Elle avait une démarche incertaine, il me semble.Les coups de cravache, sans doute... Et sûrement *** activiténocturne. Je leur sautai au cou pour leur faire la bise et leur posaila question rituelle :
- " Alors, bien dormi ? " Diane me répondit aprèsun temps d'hésitation, avec un grand sourire :
- " Oui, très bien... La nuit à été unpeu courte, mais ça va. À part un cri dans la nuit... "Denis crut bon d'ajouter en plaisantant :
- " Ouais, sûrement une bestiole comme un renard, ou un truccomme ça... " J'étais confus d'avoir troubléle peu de sommeil qu'ils avaient eu.
- " Heu... c'est moi. Je suis désolé. " Dianeme souriait tendrement en me caressant la joue :
- " C'est pas grave... Au contraire. Je suis heureuse que mon filsait pu te donner tant de plaisir. On a presque failli remettre çaen vous entendant, mais il faut bien dormir un peu... " Régisétait à la fois gêné et fier :
- " C'est grâce à Alicia : elle m'a appris plein dechoses, et surtout à avoir confiance en moi. Elle a étémerveilleuse, et très patiente. Je crois que je vais la demanderen mariage... " Nous nous sommes tous mis à rire. Je rajoutai:
- " Sa robe de mariée est prête. C'est vrai que tu nel'a jamais vue... " Régis eut l'air soudain intéressé:
- " Pourquoi tu ne me l'as pas montrée ? J'aurai adoréte faire passer ta nuit de noces ! "
- " Elle est au grenier. Il n'est pas trop tard... Maintenant, tues bien au point, et je peux toujours jouer les vierges. Je crois quece serait intéressant ! " Diane se souvint de mon baptême:
- " Je me rappelle à quel point tu avais étédéçue de ne pas avoir connu de nuit de noces. Ca pourras'arranger. On pourra faire une fête, Ce serait pas mal. Àcreuser... En parlant de creuser, j'ai la dalle et cette épouvantableodeur de pain grillé me troue l'estomac ! "
- " Asseyez-vous, le déjeuner est prêt ! " Je connaissaisleurs goûts : café au lait pour messieurs-dames et chocolatpour les deux futurs mariés. Et pain grillé pour tout lemonde.
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