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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#9,211
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la directrice


En quittant la société , je descendis au garage pour prendre ma voiture. Une fois arrivée à celle-ci, je découvris une enveloppe et une photo. Sur celle-ci, on me voit occupée à faire l' amour avec mon amant. L' enveloppe contenait une lettre disant:

« madame la directrice, si vous ne voulez pas que cette photo et d' autres ne soient diffusés dans votre société et au près de vos investisseurs américains, vous ferez ce que j' exigerai de vous et ce quelque soit le moment ou l' endroit où vous vous trouvez. Si vous allez trouver la police pour vous plaindre, j' ai prévenu une per***ne que si j'étais arrêté ou qu' il n' avait plus de mes nouvelles toutes les 24 heures, il devait diffuser les photos aux adresses mail que je lui ai fourni. Les premières exigences se trouvent sur le cd placé dans votre radio.

Completement ***née, j' ouvris la portière de ma voiture, et mis le contact. Le cd se mit en marche:

« tu vas rentrer chez toi, et tu vas te changer, mettre la jupe la plus courte que tu aies, et une blouse transparente sans mettre de soutient gorges. Tu vas appeler ton amant, et lui dire que tu le quittes, mais sans lui dire quoi que ce soit à mon sujet ni au sujet des photos . Aller dans un magasin acheter deux GSM avec carte prépayée puis te rendre au café appelé « chez l' indien ». Avant de rentrer dans le café, de prendre une table bien au centre et de te commander une bois***, tu laisseras un des deux GSM, ainsi que sa carte sans oublier de laisser le numéro de l' autre GSM et attendre la suite de ce que je veux que tu fasses ».

Je quittai le garage en direction de mon appartement. Arrivée sur place, je pris le courrier, il y avait une autre enveloppe anonyme. Je l' ouvrais:

« ce petit mot pour te démontrer que je sais beaucoup de chose à ton sujet, je te conseille donc de suivre mes exigences. »

je montais chez moi et appelais mon amant, je lui dis que je le quittais expliquant que je n' en pouvais plus de cette histoire qui ne menait nulle part. Je mis donc la jupe la plus courte possible, et un chemisier transparent sans soutient gorges. Je pris une longue veste et me mit en route. Arrivée au café indiqué, j' entrais et pris place à une table bien au centre. À peine assise, que mon GSM se mit à ***ner:

« Bien, je vois que tu m' as écouté. » dit il.
« que me voulez vous exactement » demandais-je.
« tu vas enlever ta veste puis descendre aux toilettes et enlever ta culotte que tu laisseras sur place ».et il raccrocha directement.

Je tournais ma tête cherchant des yeux un visage que je reconnaitrais. Mais rien, je fis donc ce qu' il m' avait dit, je descendis aux toilettes pour enlever ma culotte. Arrivée sur place j' entrais donc dans une toilette et fermais la porte, quand mon GSM ***na. Je décrochais directement me demandant pourquoi il appelais encore.

« n' oublie pas de laisser la porte de la toilette ouverte. »dit il.

À contre coeur, je fis ce qu' il avait exigé et laissais ma culotte sur place. À peine assise à ma place, que je reçu un SMS disant:

« tu vas chauffer l' homme qui est à la table sa femme devant la fenêtre. T' arranger pour qu' il te suive aux toilettes où tu le suceras ».

Je commençais à le regarder en me passant un doigt sur le clitoris. L' homme sentant mon regard tourna *** visage et me vit, puis vu mon doigt que remontais lentement puis suçais. Il suivit mon doigt qui redescendit sur mon clitoris, à ce moment sa femme regarda aussi dans ma direction, je décidais donc de descendre aux toilettes esperant qu' il me suive. À peine je m' étais levée que je remarquais qu' il avait fait le mouvement pour se lever. Dés qu' il arriva en bas, j' ouvrais sa braguette, je remarquais qu' il bandait déjà. Je sortis *** pénis et commençais à le sucer. Je glissais ma langue le long de *** sexe, il gonflais encore. Je l' enfonçais jusqu' au fond de ma gorge pendant quelques secondes. Il éjacula sur mon visage, il referma sa braguette et remonta rejoindre sa femme sans dire un mot. Je me lavais le visage puis remontais aussi. Je remis ma veste et rentrais chez moi où je pris une douche libératrice.
chrislebo

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#9,212
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À peine ai-je eu une courte nuit de repos que le gsm ***nât pour me prévenir que j' avais reçu un sms: « allume directement ton ordinateur » disait-il.
Je me levais et descendis au salon où j' allumais le pc. Dés que celui-ci fut mis en fonction, je me rendis compte que l' on m' avait envoyé un mail. Je l' ouvris et vu une vidéo prise avec une webcam dans le wc du café où l'on me voyait occupée à sucer l' homme.
Une discussion directe se mit en fonction: « maintenant tu vois que j' ai aussi une vidéo en plus des photos ».
« tu vas faire des photos de toi essayant tous tes sous-vêtements que tu vas m' envoyer pour que je te dises ceux que tu peux ou non garder ».
La discussion se coupa comme elle avait commencée. Je me levais remontais dans ma chambre. Je commençais à mettre mes sous-vêtements choisissant ceux qui je savais lui plairais. Décidant moi même de ceux que je jugeais à garder ou non, mais me disant que je lui fournissais toutes photos pour augmenter sa pression sur moi.
Je lui envoyais une cinquantaine de photos, entre temps j' avais reçu un mail :
« rends toi en métro sans culotte et le plus court vêtue possible dans le magasin ..... où tu demanderas à parler à Evangeline, lui disant que tu viens de la part de Vincent elle sera au courant de ce que je veux pour la suite de ta journée ». Je pris le métro, mais à peine assise, ma jupe étant tellement courte, remontait laissant apparaître mon sexe. Mon voisin assis en face ne perdait pas de temps pour bien me reluquer. Je reçu un appel sur mon gsm, « c'est bien, mais maintenant tu vas te baisser pour bien faire voir tes seins à ton voisin ».
Je fis semblant de laisser tomber mes clefs pour pouvoir me baisser. Je commençais à me sentir toute mouillée par cet homme qui me reluquait sans et que je chauffais. Une de heure plus tard j'arrivais au magasin, je demandais après Evangeline, lui disant que venais de la part de Vincent. Elle s' excusa auprès de ses collègues, et on sortit du magasin. Elle me dit qu' elle devait faire les magasins avec moi pour choisir les vêtement que je devrais porter à partir de ce jour quand j' avais rendez-vous avec Vincent. Nous rentrâmes dans le magasin à nouveau, nous allâmes choisir des blouses, toutes plus transparentes les unes que les autres.
je partis dans la cabine qui étaient mixte les essayer. Evangeline dit que je devais laisser le rideau ouvert, tout le monde pouvait me voir.
Elle prit *** gsm et commença à filmer, quand j' avais finit de toutes les essayer, je dut attendre, qu' elle envoie le film pour obtenir l' assentiment de Vincent. Elle revint avec des jupes ultra courtes que je mis à essayer. Un homme entra dans les cabines, il passa devant la mienne et me regarda, commença à me toucher, pendant qu' Evangeline me filmait, elle disait que je devais me laisser faire. Il malaxa mes seins et commença à toucher mon sexe. Il commença à sortir *** sexe, et mit un doigt dans le mien. Il m' attrapa par les cheveux et m' obligea à le sucer, puis il me pénétra. Il éjacula sur mon visage, moi je me sentais vraiment très excitée. L' homme me remit une enveloppe : tu vas te rendre à la piscine où d' autres exigences t' attendrons.

chrislebo

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#9,213
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Je pris le métro, toujours habillée aussi court et transparent. Les hommes me déshabillaient du regard, ils regardaient surtout ma chatte car je n' avais pas de culotte et mes seins à travers mon chemisier transparent. Je commençais à avoir chaud et être dans tous mes états. Je reçus un texto disant : « sort du métro et continue à pieds ». Je me demandais pourquoi, mais je compris en sortant du métro. Il s' était mis à pleuvoir averse, je fus directement trempée, mon chemisier déjà transparent le devint encore plus et se colla à mes seins. Je courus tant que je pus pour arriver à la piscine. À peine arrivée, je me rendis chez le caissier, qui me dit d'aller dans les vestiaires prendre une douche, et que les instructions suivraient.
Je fus contente, car j' avais très froid au point que mes tétons pointaient sous mon chemisier sous l'effet du froid. Je me déshabillais et pris ma douche. J' entendis la porte s'ouvrir, et quand je revins, mes vêtements avaient disparu. À la place il y avait un mot disant de retourner chez le caissier, toute nue. Celui-ci me remis un gode en glaçon. Il me dit : « la clef du casier 12 où se trouve ton maillot est dans ce gode. Vas dans le vestiaire de hommes et masturbes toi avec jusqu' à ce que tu puisses la récupérer ». Je pris ce glaçon et repartis dans le vestiaire indiqué. Je n'arrivais presque pas à tenir le gode en main, alors comment le mettre dans ma chatte. En chemin, le désir commençait à monter, et j'insérais déjà le gode dans ma chatte. Je m'arrêtais dans le couloir et me masturbais contre le mur au vus et au sus de tout le monde. Je passais le gode glaçon sur mes nichons et émis un cris tellement c' était froid mais bon. J'étais tellement chaude, que le gode glaçon avait déjà bien fondu, il me vint alors l'idée de me le mettre dans le cul. Un homme passa et me vit, il commença à se masturber, je vins vers lui et demandais de me baiser. Il me prit par les cheveux et me donna une baffe, et dit : «une salope ne demande rien mais subit ce que l' homme veut. »
Il attrapa mes seins et commença à tirer les tétons. C' était douloureux, mais en même temps très bon. Il me fit me mettre à 4 pattes le cul en l' air, il me pénétra à sec. Ou bout de quelques minutes, je jouis. Il me prit par les cheveux et m'amena devant *** casier, il dit: « tu mérites une correction, car une chienne, ne jouit jamais avant l'homme et jamais sans demander l'autorisation ».
Il ouvrit *** casier et sortit une cravache et commença me frapper. Je dus compter le nombre de coups qu' il me donnait en disant: « un, merci Monsieur, puis-je avoir un autre ».
Au bout de 10 coups il remit sa cravache en place, et dit : « que ça te serves de leçon ».
Il partit me laissant par terre. Je repartis dans le couloir pour chercher la clef car le gode glaçon avait fondu. Je pris la clef et ouvrit le casier 12 comme exigé.
chrislebo

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#9,214
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J'ouvris le casier 12 comme demandé, et y trouvais une lettre, un chemisier noir, et une jupe raz la touffe et mon sac à main. J' ouvris la lettre et lu : « rentre chez toi, n' oublies pas que j' ai de plus en plus de choses compromettantes à ton sujet. »
Je m' habillais, la jupe ne cachait rien, le chemisier était transparent et une taille trop petit, laissait voir mes seins et ressortir le bout. je sortis de la piscine et pris un taxi car j' étais vraiment dénudée.
Le chauffeur regardait dans *** rétroviseur, il avait une vue directe sur ma chatte. Au bout de 15 bonnes minutes, nous arrivâmes enfin chez moi. Je sortis et payais le taxi. Je rentrais chez moi le plus vite possible en essayant de ne pas me faire remarquer. À peine rentrée chez moi, je me rendis compte que l' on avait pénétré chez moi. Je cherchais à voir qui m' attendait quand mon téléphone ***na. « vas dans la salle à manger, tu y trouveras un masque destiné à te cacher la vue, tu le mettras et attendras », ce que je fis. Environ 5 min plus tard, quelqu'un m' attrapa et déchira mes vêtements. Quand je fus nue, il m' attrapa le bras et m'emmena dans le salon et me fit mettre à genoux.
Il me donna un papier puis sorti de la pièce. Une fois qu'il fut sorti j' enlevais le bandeau vit que la table de salon était pleine d' objets sexuel. Lut le papier: « tu vas te mettre devant le PC, et tu te présenteras en disant: « je m'appelle Sandra, je suis une salope qui est prête à vous obéir. » puis tu attendras les ordres des internautes et tu les exécuteras sans discuter jusqu'à ce qu'on décide c'est terminé ». je pris le portable, me rendit compte qu'il était branché sur le site : The hyperlink is visible to registered members only! et dit le texte exigé et attendis. Le premier ordre fut de me branler avec un gode. Je me levais et pris le gode et me demandais comment je réussirais à le mettre, vu la taille. L'internaute commença à s' énerver car je traînais trop. Je commençais à faire glisser le gode le long de ma chatte, pour la lubrifier et me pénétrer plus facilement. L'internaute exigea une pénétration rapide, j' essayais mais c' était très douloureux et dur. Je pris alors le lubrifiant et en enduit le gode, et me pénétrais enfin. Je commençais un va et vient et commençait à pousser des cris de jouissance. Tu ne jouiras que si je le veux et certainement pas maintenant criât-il. Je me masturbais donc en essayant de ne pas jouir avant *** assentiment. J' entendis finalement l'internaute jouir, alors il dit maintenant jouis fort. Je jouis donc le plus fort possible. Après ça il se déconnecta, mais directement après un autre se connecta. Il exigea que je prennes un martinet et que je me flagelle le cul. Je commençais à me flageller, mais il exigea que ce fut plus fort. Je me frappais donc plus fort, et émis un cris. Je veux que tu te flagelles en silence éructa-t-il. Je mordis sur mes lèvre pour éviter de crier, mais émis quand même de petits cris de douleur, et de plaisir. J' ignorais que la douleur et le plaisir pouvaient aller de paire. Il quitta le site, et j' attendis quelques minutes pour le suivant. Il voulut que je prennes des élastiques et les plaçais sur mes pieds. Je ne compris pas directement, mais quand il exigea que je tende l' élastique et que le lâche je compris vite. Une douleur aiguë sur la plante du pied me fit hurler. Au fur et à mesure que je tirais et lâchais les élastiques des marques rouge apparurent. Puis il voulut que j' allumes les bougies. Je dus faire tomber de la cire brûlante sur mes mamelons et sur ma chatte. La douleur était de plus en plus vive, je criais de plus en plus fort, et on voyait que le plaisir augmentait avec ma douleur. Il se déconnecta, et j' entendis alors: « éteint ton PC, remets le en place ». Ce que je fis prestement, une fois fait, il dit: « je pars, attends que la porte soit fermée, et ne regarde pas à la fenêtre ». J' entendis la porte se fermer, je me demandais à quoi m' attendre la prochain fois.
chrislebo

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La Carotte Nantaise


Je m'appelle Luc. Luc Gardinot. J'aime bien mon prénom, il se lit dans les deux sens. Certes, Jean-Luc eût été encore plus rigolo. Enfin. Ma mère a choisi le nom de *** apôtre préféré, mais en tant qu'apôtre, j'ai quelques lacunes. Di***s que j'en suis un drôle, qui porte la parole de sa maîtresse. Je suis un garçon de presque trente cinq ans, taille moyenne, châtain clair, un peu boudiné-je traîne une légère obésité depuis mon enfance -, des jolis seins de préadolescente, un peu de poils sur le torse. J'ai les traits fins pour un homme. Pour vous fixer les idées, je ressemble un peu à l'acteur qui faisait T.J. dans " Les têtes brûlées ". Enfin, je suis le seul à trouver que je lui ressemble, ça ne nous avance pas beaucoup. J'habite dans un village à la campagne avec ma femme Carole que j'aime, et nous formons un couple uni depuis une dizaine d'années. Mes passions ***t - dans l'ordre - mon épouse Carole, mon travail et mes collègues-amis, les jeux vidéo, la photo, la nature et les animaux. Je mettrais les trois derniers dans des ordres différents selon les périodes. Vous verrez plus tard qu'il manque une autre des mes activités, mais je ne sais vraiment ni où la mettre ni comment la décrire.
Carole, c'est ma carotte nantaise. D'abord, elle vient des environs de Nantes, ensuite c'est une jolie rousse bien bâtie avec de jolies rondeurs et une peau d'albâtre, un visage ovale parfait et une petite bouche de poupée. Bien sûr, elle a quelques taches de rousseur, un peu de cellulite, quelques petits bourrelets, sans oublier ses éternelles petites lunettes rondes, qu'elle ne porte heureusement que pour lire ou conduire. Tout cela n'affecte en rien l'amour que je lui porte, d'autant que je ne suis pas un mannequin non plus. Et bien sûr ses seins commencent à ressentir les effets de la loi de newton, mais comme la pesanteur est inversement proportionnelle au carré de la distance qui les séparent de mes mains, cela nous laisse encore de belles années devant nous. Carole a commencé par être ma grande copine, elle l'est toujours du reste. Enfant, j'habitais dans la mai*** que nous occupons aujourd'hui, près de Nemours. C'est un joli coin verdoyant et calme, avec de belles forêts pleines de gros rochers gris. Je ne sais pas pourquoi, mes parents tenaient à partir en vacances tous les ans -deux à trois fois par an même - dans un village près de Nantes pour retrouver des amis, pêcher, faire du bateau. Moi, la mer, ça me disait rien. Je préférais la compagnie de Carole, de deux ans mon aîné. C'est la fille du père Bédier, un fermier qui nous louait à l'année pour pas grand-chose un petit cabanon -enfin, une vieille dépendance aménagée sommairement. J'étais un garçon assez innocent avant de la connaître... La première semaine, je l'évitai soigneusement car elle me faisait peur, avec ses cheveux rouges et sa façon de parler en patois avec une grosse voix. Mais bien vite, nous nous sommes mis à faire les quatre cents coups ensemble, ce qui faisait enrager nos parents respectifs. Nous nous retrouvions d'une année sur l'autre, et, petit à petit, l'amitié s'est changé en amour, d'autant que la vilaine chenille se transformait en joli papillon. Je venais la voir de plus en plus souvent, et dès que j'ai eu fini mes études et trouvé un travail, nous nous sommes mariés et nous sommes partis vivre à paris, dans une mansarde du côté des buttes Chaumont.

Je travaille dans la finance. C'est... compliqué, je vais prendre par le début. Après des études plutôt ternes, rehaussé par un goût assez inhabituel pour le théâtre, les lettres et les matières incertaines, j'entrais dans une société de courtage à Paris. C'était une boîte qui fonctionnait à l'américaine, où le moindre coursier pouvait, à ***** de travail et de talent, gravir les échelons rapidement. Ce fut mon cas. Non pas que je brillais par des compétences exceptionnelles, mais j'ai su faire montre de ténacité, de flair et... d'opportunisme, n'hésitant pas à m'attirer des mérites qui ne me revenaient pas vraiment. Mais ça, c'était au tout début de ma carrière d'agent de change. Par la suite, j'ai réussi à m'attirer une clientèle fidèle qui ne jurait que par moi, car j'ai le talent assez rare de pouvoir prédire l'avenir, enfin en ce qui concerne les placements, sauf catastrophe majeure bien sûr. D'ailleurs, avec quelques collègues à travers le monde, j'avais anticipé l'éclatement de la bulle Internet et l'effondrement de l'économie mondiale. A vrai dire, ce n'est pas un grand prodige, il est même étonnant qu'on ait pu spéculer autant sur du vent. Nous avions réussi à épargner nos meilleurs clients, et même à faire de jolis bénéfices, tout en faisant encore fructifier nos capitaux per***nels. Ma société a fait faillite, enfin di***s que mon patron m'a licencié pour faute grave, surtout parce lui avait tout perdu et m'en voulait plutôt. J'ai racheté la mai*** de mon enfance pour m'y installer avec Carole, nous vivions une vie de dingue à Paris. Je perdais pied avec la réalité et Carole s'étiolait : c'est une fille de la campagne, et la capitale, ce n'est pas *** biotope idéal. Maintenant je travaille à la mai***, quand j'en ai envie ou si j'ai besoin d'un peu de sous... Carole S'occupe de la mai***, du jardin et de quelques petites bêtes. Avec mes ex-collègues à travers le monde, nous avons mis sur pied un réseau mondial de surveillance économique. Il faut dire que ce ***t - moi compris - tous des petits génies dans leur domaine. Nous sommes reliés en permanence et nous échangeons toutes nos informations en temps réel. Chaque transaction effectuée par l'un de nous bénéficie à chacun, au prorata de *** implication dans l'affaire plus un seuil minimum. Nous sommes une poignée d'acariens sur le dos du gros serpent monétaire mondial... Lorsque nous n'étions encore que cinq, je nous avais appelé " Le club des cinq ", que Carole s'était empressée de rebaptiser " le club des singes ". Comme nous allions bientôt passer à six, j'ai dit à Carole :
- " Fais gaffe qu'on ne devienne pas " l'armée des douze singes " et qu'on vienne te bouffer le cul ! " Elle ferma les yeux en souriant :
- " Mmm... oui... A douze, ça doit être bon ! ... " Enfin... Si ça peut lui faire plaisir...

Nous n'avons pas d'enfants. Nous avons attendu de quitter notre mansarde pour nous pencher sur la question. Après deux ans de tentatives infructueuses, il s'est avéré que nous étions stériles. Tous les deux. Carole a été victime d'une infection mal soignée dans *** enfance -elle l'avait cachée à ses parents, par honte - et moi, d'un déficit d'hormones, ce qui explique mes formes assez androgynes. Nous n'en souffrons pas trop, pas au point d'essayer d'en avoir à tout prix ou d'en adopter. La compagnie des enfants de nos amis, ceux du village, ou de nos quelques neveux qui adorent jouer avec nos animaux comblent beaucoup ce manque.
Les jeux vidéos ***t mon passe-temps préféré, surtout les simulateurs de vol, passion que je partage avec quelques collègues et clients. Carole y est plutôt réfractaire, et adore me poser des questions sans queue ni tête au plus fort de l'action. C'est devenu un jeu pour elle et même pour moi -dans une moindre mesure. Elle a souvent des réflexions surréalistes et l'on pourrait croire qu'elle est un peu simplette, mais il n'en est rien. Elle est au contraire très fine et, comme moi, adore les situations décalées et cocasses. Nos esprits fonctionnent en une symbiose parfaite.
Je me débrouille assez bien en photo, avec Carole comme sujet principal. Elle est un sujet docile qui se prête à tous mes délires artistiques. Mes relations ***t d'ailleurs très friandes de mes clichés... Carole à beaucoup de succès auprès de mes collègues et tous prennent de ses nouvelles.
En ce qui concerne la nature et les animaux, c'est un goût que j'ai développé au contact de Carole. Nous avons pas mal de bestioles (en gros à peu près tout ce qui existe sous la taille d'une vache), mais c'est surtout elle qui s'en occupe. Elle a fait des études de vétérinaire, mais n'a jamais exercé, ayant arrêté ses études en cours de route. Je ne me lasse pas d'admirer la façon dont elle attrape les bêtes les plus rapides et les plus farouches. Elle a cessé de me demander de l'aide, me trouvant plutôt empoté. Là, je ne lui donne pas tort. Bien sûr elle est très demandée dans notre entourage. Nous fai***s aussi de grandes randonnées dans les campagnes avoisinantes et des parties de pêche avec nos amis...

Notre petite vie bien huilée s'écoulait ainsi paisiblement, jusqu'à cette soirée d'été...
chrislebo

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NOS AMIES LES BETES.
Quand je suis rentré, il faisaitnuit noire. On distinguait à peine la lueur de la lune àtravers les nuages qui semblaient maintenant immobiles. La pluie avaitfait sortir les escargots par centaines. Heureusement, J'avais une petitelampe à mon trousseau, ce qui me permit de distinguer les meutesde fauves affamés à l'affût de chair fraîche.
J'en écrasai toutefois quelques-uns uns en étouffant unjuron. Au moins, ils n'auront pas eu le temps de me croquer les mollets.Une faible traînée de lumière filtrait sous les voletsde la chambre, et j'entendais la télé. Carole devait êtredevant *** feuilleton gnangnan. Je fis le tour de la mai*** et entraipar la porte de service. L'essentiel de nos pièces se trouventau rez de chaussée. La mai*** est grande, nous ne sommes que deuxet l'escalier est assez raide. Nous gardons l'étage pour les débarras,la salle de jeux et les chambres d'amis. J'adorais surprendre Carole dansdes agissements coupables. J'approchai sans bruit de la chambre : chance! La porte était entrouverte. C'était une ruse que Caroleavait mise au point : elle m'entendait arriver, car je suis d'un naturelbruyant et aimant me faire précéder de mes déclamationsthéâtrales. Par l'entrebâillement, la télévisiondistillait une musique dégoulinante de violons, entrecoupéesde voix de femmes éperdues de chagrin :
- " Alors tout ce temps, tu n'as rien dit ? Tu l'as laisséfaire ? Pourquoi tu m'as rien dit ? Pourquoi ??? " Je passai la têtetout doucement par la porte : Carole était assise dans le lit,les yeux fixes et rouges vissés sur la télé, unemain étreignant un mouchoir brodé -elle le gardait pources grandes effusions, se servant de mouchoir en papier pour les usagesplus... courants - l'autre plongeant dans une boîte de chocolat,d'ailleurs quasiment vide. Ses beaux seins - elle dormait toujours nuel'été - se découpaient à merveille sur lecouvre-lit fuschia. Oui, je sais, ça détruit la rétineau bout d'un certain temps, mais c'est un cadeau de mariage de sa mère...Je fis grincer la porte d'un coup d'épaule malencontreux. En undixième de secondes, elle rabattit le couvre-lit sur la boîte.Elle avait bien préparé *** coup, mais j'avais étéplus malin. Le pauvre Ouissecasse sur ses genoux fut réveilléen sursaut et sortit dans le couloir, vexé. Ouissecasse, c'estnotre gros pépère à nous, ça. C'étaitun petit chaton noir et blanc arrivé affamé un matin deseptembre. Carole l'a immédiatement adopté :
- " Qu'il est mignon ! On t'appellera Régliss Mint ! "Je lui fis part de mon avis :
- " Ah non, c'est con ! "
- " Black and white ? "
- " Pareil ! " Elle avança, timidement :
- " Félix ? " L'avocat parla :
- " Non, On va avoir des problèmes de droits ! Heu... je saispas, moi... Gribouille ? " Je pris le premier nom de chat dont jeme souvenais... Un ami d'enfance... mon confident... Mon...
- " Ouais, mais je trouve que c'est pas moins con que ce que je t'aidit. " Elle trempa *** index dans la gamelle d'eau qu'elle lui avaitdéjà servie, leva le chaton au ciel, fit le signe de lacroix sur *** jeune front en lui laissant des mèches humides etdéclama :
- " Moi, Carole Bédier, par les pouvoirs qui me ***t conféréspar mon statut de mammifère supérieur, te baptise Gribouille,en l'honneur des talents artistiques de ton nouveau père ! "
- " Amen. Vous pouvez embrasser la mariée. " Il gardace nom deux jours. Il prit *** nouveau nom suite à un jeu de mot- pas de moi - qui me fit bien rire un jour où il refusait sa gamelle:
- " Ou y bouffe, ou y se casse ! " Les propriétairesde chat auront sûrement compris. Que ceux-là expliquent auxautres. À six mois, on lui a fait couper la joie de vivre. Maintenant,on l'appelle Dôbeulyou, en l'honneur d'un homme d'état quia fait beaucoup pour le tourisme de masse au moyen orient et pour l'amourentre les peuples, mais ça s'écrit W. Il est sage et câlin,mais il a deux défauts : il adore déchiqueter les servietteshygiéniques de Carole, de préférence quand elle lesporte. C'est gênant, surtout la nuit. Le deuxième, pas trèséloigné, est de jouer avec mes joyeuses quand il en a l'occasion,ce qui me fait toujours faire un bond. Eh oui, cinq griffes dans une couille,ça fait beaucoup. Enfin, ça n'arrive pas souvent.
Revenons plutôt à Carole. Elle était troubléepar mon arrivée, toute rouge, essayant de faire disparaîtrele plus discrètement possible le contenu de *** joli clapoir. J'adorela faire rougir... Elle arrêta le magnétoscope. L'écrandevint noir, et couic les violons. Je fis mine de ne rien avoir vu de*** petit manège et m'avançai à grandes enjambées,les bras écartés. J'avais gardé mes ailes, je reprisune envolée. Je déclamai avec emphase, à la manièredes tragédiens grecs :
- " Très chère, je vous implore de me pardonner, maisje fus retenu par un fâcheux contretemps... " Elle prit unevoix gouailleuse, à la Jackie Sardou. Je regagnai le sol, tellela bouse prenant *** essor du cul de la vache pour s'écraser surles pompes de l'inséminateur :
- " Quoi, qu'est ce que t'as foutu ? T'as crevé en route ?T'as vu l'heure ? " Amusé par le contraste, je fis mine dem'effondrer. Je ne fis pas allusion à *** modèle de voix,me rabattant sur un plus classique :
- " Ahhh ! Je succombe ! Moi, Eschyle, ne fut point occis par levol majestueux d'une tortue*, mais bien par la voix de la sirèneArletty ! " Nous goûtions beaucoup nos petits numéros,et nous nous sommes mis à rire. Je préférais éviterd'évoquer Jackie Sardou car j'ai eu le malheur de raconter àCarole un rêve érotique que j'avais eu avec elle. Comme ellene me lâche plus avec ça, je préférais ne paslui tendre la perche. Il était quand même pas loin de minuit:
- " Ah ma pauv' dame ! J'ai passé presque toute la soiréesur la machine de Denis ! " C'était une demie vérité.
- " Il va sûrement falloir que j'y retourne. Il fait du montagevidéo et il ne sait pas trop s'en servir. " Ça c'étaitvrai. Ah, l'art exquis du men***ge ! Je m'enquis de ses occupations :
- " Alors, la mère casse-couilles était encore en détresse? Elle s'est cassée un ongle ? " Mélanie est - encore - la bonne copine de Carole : c'est une gamine de cinquante ans passés,très coquette, petite et encore très bien conservée,qui panique d'un rien : elle a même failli mourir d'une crise d'hémorroïdes.Elle est mariée à un homme qu'elle n'aime plus vraimentet auquel elle se refuse complètement depuis au moins un an. D'ailleurs,le pauvre ne l'embête plus avec ses hormones. Il est souvent endéplacement pour la semaine, et je suppose qu'il a trouvéune bonne âme pour se consoler. Je sais tout, car - tout le mondele sait - les secrets de filles, c'est sacré. Carole prit un airdégagé. Comme on ne se cache rien - enfin, d'habitude - Je vois bien qu'il y a quand même quelque chose :
- " Ouais, Elle a appelé vers huit heures, en me disant qu'elleavait un souci avec *** chien, elle avait l'air paniquée, et ellevoulait que je vienne seule, et que j'en parle à per***ne, et c'étaitbien ce que je pensais. " J'émis une hypothèse :
- " Je suppose qu'elle se baissait pour faire ses lacets quand ***chien en a traîtreusement profité pour lui faire coucou-qui-c'est? "
- " Ouais, attends ! Je ferme tout, je pars en courant chez Deniset Diane pour te prévenir, en plus sous une pluie battante, etqu'est ce que je vois ? Diane en train de pisser sous un arbre ! Commesi elle ne pouvait pas faire ça chez elle, la cochonne ! Et enplus elle n'arrêtait pas de regarder la fenêtre de peur qu'onla voie ! Elle s'est relevée pour s'essuyer la chatte, et je peuxte dire que c'est une vraie blonde ! " Je soulevais un sourcil surpris:
- " Tu en es sûre ? "
- " Quand même, je suis une fille, je m'y connais ! "Je ris intérieurement : j'ai dû me tromper. Il est vrai queje n'ai vu *** pubis que de très près ! Je lui décochaitout de même un regard appuyé :
- " Mais non, je suis pas gouine ! Enfin, je me suis sauvéeavant qu'elle m'aie vue. Je ne savais pas qu'elle était là,et en plus je ne voulais pas perdre de temps en salamalecs. Je suis partiechez Mélanie en pensant te prévenir plus tard. D'ailleurs,j'ai rappelé quand ... heu ... Enfin après, et je suis tombéesur Diane. Elle ne devait plus avoir envie de pisser d'après savoix. " Je voulus éclaircir quelques points :
- " Je l'ai entendu te répondre, de quoi vous parliez ? J'aientendu parler de biberon, que j'en aurais reçu une ... "Elle rit.
- " Mais oui, tu sais bien que vous êtes nos gros bébés! Je plaisantais ! Je lui ai demandé si tu étais sage, etque si ce n'était pas le cas, elle pouvait te donner une fessée.Je crois que c'était à peu près ça ".Elle changea de sujet, excitée :
- " Ouais, alors là il faut que je te raconte ! " Jetentais de refréner ses ardeurs, sans succès :
- " Je suppose que c'est un secret que tu ne dois révélerà per***ne, n'est ce pas, Madame ? "
- " À toi, seulement ! " Bien sûr ! un secret biencroustillant se partage en couple, c'est bien connu ! J'arrachai ************* couvre-lit et découvrit la boîte de chocolats. J'engloutisle dernier sous ses yeux impuissants. Elle gardait toujours ses préféréspour la fin, ceux à l'alcool. Ceci couvrirait doublement mon haleine- alcool et chocolat -quand je l'embrasserai, ce que je fis de suite :Je partageai mon chocolat dans sa bouche. Elle souriait en suçotant*** dernier demi chocolat : non seulement je lui en avais donnéla moitié, mais surtout je n'avais fait aucun commentaire au sujetde sa gourmandise. Pour l'instant.
Je me suis assis sur le bord du lit et prenant la boîte vide dansma main gauche, je me téléportai au nord-ouest de la Grèceantique, au Danemark, en me tenant la poitrine. Je regardai la boîtedans les yeux :
- " Hélas, pauvre Yorick ! Tu as toujours eu la têtevide, mais là, c'est mort ! Être ou ne pas être toutbouffé par ma goinfre d'épouse, la question ne se pose plus! " Carole se trémoussa dans le lit :
- " Boâhh ! Y en avait presque plus ... En plus, c'est desallégés... " Je lui répondis par ce mot célèbreque Cambronne, retranché dans le dernier carré, aurait adresséaux Anglais :
- " C'est c'lààà ... oui ! "
- " Comme disait Roland à Roncevaux ! " RétorquaCarole qui, contrairement à moi, ne manque pas une occasion d'étalersa culture.
Soudain je lui saisis le bras en lui tendant un doigt inquisiteur. Jerestai dans la même pièce. De théâtre, biensûr. Je lui lançai, les yeux exorbités :
- " Ne sens-tu donc rien, malheureuse ?! Il y a quelque chose depourri au royaume du Danemark ! " Elle huma l'air quelque secondes,puis s'écroula sur ses oreillers en soupirant bruyamment, telleune poupée gonflable à l'agonie :
- " Ah ! putain ... Il a encore la chiasse ... " W lui réponditen grattant paresseusement sa caisse au fond du couloir. J'émisune remarque à *** crédit :
- " Cet ****** me fascine : il a des dons de télékinésieextraordinaire : il arrive à faire voyager ses émanationsméphitiques à la vitesse du ***. Que dis-je ! plus viteencore ! " Elle me coula un regard langoureux :
- " Tu peux y aller, mon chéri ? " Je la regardai droitdans les yeux en désignant la pile de cassette encore àvisionner :
- " À une seule condition : tu arrêtes de regarder cetteconnerie de decervelation de masse de La-main-de-ma-soeur-dans-la-culotte-d'un-zouave! " Je ne me souvenais plus du nom - à rallonge - de cettesérie. Elle sembla plutôt hostile à mon ultimatum.Elle prit ses seins dans ses mains et me les brandit sous le nez :
- " Mes couilles ! plutôt crever ! D'abord, tu ne te souviensplus du titre ! " Si tant est que je m'en sois souvenu un jour. Jeme risquai avec aplomb :
- " Les dents du bonheur : Giscard face à *** Destaing. "Elle s'énerva, les poings sur les hanches :
- " Mais t'es nul ! Tu fais aucun effort ! Rentre-toi bien çadans le crâne : " Les enfants du destin ou Dominique àla poursuite du bonheur ! " Je ne le répèterai pas! " Je pris le visage de Bernadette devant la vierge en joignantles mains :
- " Mais oui ! Mon Dieu ! comment ai-je pu oublier un tel titre !" Je repris sur un ton morne :
- " Ouais, m'empêche que c'est de la daube. C'est un peu comme" Les oiseaux se cachent pour mourir ", sauf que là-dedans,je te jure que non seulement ils se cacheraient mieux, mais en plus ilsferaient tout pour hâter la chose. "
- " Là t'es méchant ! En plus c'est français! "
- " Je demande la nationalité Turkmène dès demain.Bon. C'est pas tout ça, mais il faut que je ramasse la bouse deton coussin vibrant. " Sur ce, je partis ratisser la caisse du chatpour nourrir les rosiers de Madame. Je croisais W à qui je fisune papouille en passant, car il me jetait ce regard éperdu d'amourmêlé de reconnaissance que seuls les animaux familiers, lesépouses fidèles et les maîtresses combléesarborent. Je l'engageais à rejoindre la sienne :
- " Va voir ta maman, elle va te lécher les fesses. "
- " J'ai entendu ! Beuark ! " J'y comptai bien.
Nous dispo***s de tout un équipement sophistiqué pour lestoilettes de W afin de ne pas nous salir, digne de la conquête spatiale.Ah ! S'il pouvait aller chier sur la lune ! Cette tâche ingrateaccomplie, je me lavais les mains dans la salle de bain tout en regardantmes fesses. Le cordon du tampon était toujours plaqué aufond de ma raie, on ne voyait rien. Rassuré, je me lavais les dents.Ce faisant, Je suis revenu tenir compagnie à ma douce qui menaçaitde reprendre le visionnage de ... Ça me reviendra. Elle me cueillità mon entrée dans la chambre :
- " Dis, tu n'as rien à me demander ? " J'interrompaismon lustrage des crocs :
- " Mmmm ? Ka hain ? h'est héhà hait ! "
- " Je comprends rien ! va te rincer ! " Je fis demi-tour surun talon et obéis. Je revins quelques secondes plus tard. Elleme re-cueillit :
- " Alors ! tu vois toujours pas ? " Elle guettait avec aviditéma réponse, assise sur ses talons, sur le lit. Je pris un air ***geuren me massant le menton, puis celui du savant qui dit " Euréka" l'index en l'air, et enfin affichai un sourire radieux pour m'exclamer,joyeux :
- " Alors, on baise ? " Elle me fendit le crâne d'un coupd'oreiller bien affûté :

chrislebo

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#9,217
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- " Pas ça, patate ! " Elle se fit de suite plus câline:
- " Enfin, pas maintenant ... " Je décidai d'êtreplus coopératif et fis mine de me souvenir *********** :
- " Oui ! Alors, miss foldingue ! Le chien ! Ouaf ! " Je m'installaidans le lit, prêt à m'en payer une tranche. Bien sûr,c'est à ce moment qu'elle se leva en trombe pour aller se laverles dents. *** beau cul blanc m'évoqua la fuite d'un daim, d'uneantilope ou d'un autre rongeur similaire. Je lui avais fait part de cetteobservation alors que nous regardions ensemble un documentaire ************ ledit bestiau, ce qui me valut une strangulation punitive immédiate.Pourtant, c'était mignon. Moi, je n'ai rien dit quand elle fitle même genre de commentaire à mon égard alors quec'était un phacochère qui se roulait dans la boue ! Pourpatienter, je contemplais l'amas de matériel vidéo de notrechambre quand elle reparut. Je lui fis part de mon impression en lui désignantl'empilement de boîtiers électroniques, pas très conseillédans une chambre à coucher :
- " C'est pas très " Feng shui " tout ça! "
- " Quoi, pas frenchie, ma série ? "
- " Laisse tomber : je bave d'impatience de t'entendre narrer lesexploits de ta copine. " Elle s'assit sur le lit, sans égardpour mes jambes qu'elle écrasait sans s'en rendre compte tellementelle était excitée :
- " Ouais donc ... J'en étais où ... Ah oui ! Je suispartie en courant, toujours sous la pluie, j'arrive chez elle, le portailétait fermé. Je le savais, elle m'a dit qu'elle pouvaitpas sortir. Je saute le portail, me dégueulasse en tombant parceque c'était tout glissant. J'ai même bousillé monparapluie. Je ***ne, j'entends des bruits bizarres comme dans le film" les morts vivants " : elle pleurait et devait se cogner partout.Elle demande si c'est moi, elle pleure toujours. Elle trifouille la serrure,elle ouvre, je pousse, mais elle était toujours derrière,je finis par rentrer. Je referme la porte pour pas qu'on la voie : ellese traînait à quatre pattes, avec *** Jikka sur le dos, colléau ptère, à poil . Lui, apparemment, il attendait que çase passe. S'il avait eu une montre, il aurait passé *** temps àla regarder. " Je me souvins d'un slogan nullissime d'une pub desannées soixante dix. Ce fut celui qui me semblait le plus approprié:
- " CHRONOX, la montre des exploits extrêmes. Sinon, il vabien, lui ? " Je m'enquis de la santé du chien, ce qui vexaun peu Carole : elle savait que je ne portais pas spécialementMélanie dans mon coeur.
Je me souviens très bien de la première fois que je l'airencontrée. Carole et elle se fréquentaient déjàpas mal, et mon épouse avait tenu à me la présenter.Nous nous sommes rendu chez elle, et *** chien, un bon toutou genre labrador,très calme et gentil, vint me saluer. J'avais déjàentendu *** nom, et je croyais - naïf que je suis - que c'étaitdes initiales, J.K., de la même façon que nous avions re-rebaptisénotre chauffe-pieds mobile W. Je ne connaissais pas l'origine de *** nom- et pour cause - donc j'improvisai, ce qui est une seconde nature chezmoi :
- " Salut Jean-Kristof ! " Une harpie hystérique vintaussitôt me détromper :
- " Non ! C'est pas comme ça qu'il s'appelle ! on a déjàdu mal à le faire obéir ! " Devant tant de chaleurhumaine, et avant qu'elle aie le loisir de m'arracher les yeux, je luifis montre de mon savoir vivre :
- " Oui, bonjour à vous aussi, chère voisine ! et àtoi aussi, Jean-klaude. "
- " Vous le faites exprès ? Il s'appelle Jikka ! JI-KKA !" Je lui montrai ma bonne foi et ma volonté de ne pas la pousserà la rupture d'anévrisme :
- " J'avais compris : il s'appelle J.K, comme John Kennedy. Il n'ya pas de quoi s'énerver. " Là, Carole intervint, sachère copine tremblant comme un flan fourré au vibromasseur:
- " Mélanie, je te présente Luc, mon petit Mari ! Tuvois, je t'ai pas menti, il a beaucoup d'humour ! " Mélanieme jetait ce regard que les boxeurs ont l'un pour l'autre entre deux rounds,assis sur leur tabouret. Je lui fis la bise, sur la défensive toutde même :
- " Salut, moi c'est Luc. Comment t'appelles-tu, jolie créature? Où est ta maman ? Excuse-moi pour l'horrible méprise quej'ai commise, mais c'est la faute de Carole, elle ne m'a pas prévenuque tu n'as aucun sens de l'humour ! " Là, j'avoue que jesuis allé trop loin, mais elle se prêtait tant à mesexpériences psychologiques que c'eût été unpéché de ne pas en profiter. À ma grande surprise,mes yeux restèrent dans leurs orbites. J'étais passéen *****, j'avais dépassé le point de rupture. Mélaniene bronchait plus, et même s'était bien calmée :
- " Heu ... Excuse-moi ... - on se tutoie, hein ? - c'est vrai queje suis un peu acariâtre, C'est mon mari Paul qui me cause des soucis." J'ai saisi la perche :
- " Paul ? on est collègue ? Lui aussi est apôtre ?" L'atmosphère s'était détendue. Je ne suisresté quand même qu'une heure. Je me sentais un peu de trop,d'autant plus qu'elles étaient parties sur un débat passionnantau sujet de leur feuilleton préféré, " Dominiqueà la recherche du temps perdu " :
- " À ton avis, tu crois que c'est Michel, le pèrede Dominique ? "
- " Non, t'es folle, il a failli coucher avec dans le vingtièmeépisode ! "
- " Ah ouais, t'as rai*** ! Mais ça peut être *** oncle... Ouais ... ça c'est possible ! "
- " Non plus, il est homo ! " Je glissais ma répliquedans leur débat :
- " Bon, salut les filles ! C'est pas que je m'ennuie, mais c'esttout comme ! " Je lui fis la bise et m'éclipsais, en chatonnantle tube de Soeur Sourire quelque peu modifié, assez fort pour qu'ellespuissent encore m'entendre :
- " Dominique-nique-nique dans tous les épisodes, dans toutesles po-si-tions... " Ce n'est que plus tard que Carole m'apprit lacause de *** emportement : c'est que Jikka répondait à certainesversions de *** nom de façon bien précise, et, comme jedevais m'en approcher, Mélanie a paniqué. Elle préféraitfaire ça toute seule, dans l'intimité, si j'ose dire...Mais reprenons le récit de Carole :

- " Ouais, donc, je me suis accroupiepour lui faire un gros câlin car elle pleurait beaucoup, et Jikkaen profita pour me lécher la pomme. Je l'ai rassurée enlui disant que j'avais l'habitude des bêtes, qu'elle ne devait pass'inquiéter, que je savais garder un secret, et patati ... "

Carole en avait en effet l'habitude.Non pas qu'elle eût pratiqué elle-même la chose - quoique j'en aurais jamais la certitude - mais en tant que fille de fermier,elle était familière de ce genre d'incident. Je me rappelleque, quand j'avais une dizaine d'années, en vacances dans *** village,elle venait me chercher en courant quand ses parents procédaientà l'accouplement de bestiaux quelconques - ils refusaient toutedérive du progrès, comme l'insémination artificielle - quand nous n'étions pas déjà fourrés ensemble.Nous nous cachions dans la grange, à plat ventre dans la paille,et l'on riait comme des fous. Carole m'avait bien expliqué àquoi ça servait, mais on trouvait ça à la fois fascinant,dégoûtant, et très rigolo. J'étais quand mêmeinquiet :
- " Alors je devrais te faire ça pour te faire des enfantsquand on sera mariés ? "
- " Ouais, mais j'ai pas envie. C'est dégueulasse, et çadoit faire vachement mal. Ma mère, tu verrais comme elle gueule! Je les ai vus, un soir, dans la grange - juste derrière oùon est - mon père se secouait sur elle, très vite, un peucomme mon Blacky sur la chienne des Pastorel, nos voisins. Ma mèreelle osait pas s'en aller, ou elle était coincée parce qu'ellebougeait les jambes. Je suis partie en courant quand elle a eu trop mal,et mon père, il grognait comme le verrat, comme s'il étaitcontent de lui faire du mal. Après, j'ai revu ma mère, elleétait toute molle. J'ai pleuré, j'y ai dit que j'ai vu Papalui faire mal, elle m'a embrassé et m'a dit que c'est comme çaque nous on fait les bébés, et que je ne devais pas avoirpeur de Papa, que je comprendrais plus tard, et que ça s'appellefaire l'amour. " Elle m'avait ému, et je me sentais coupablepour tous les hommes qui font autant de mal aux femmes :
- " Moi, je te ferais jamais de mal " Lui promettais-je en luifaisant un gros bisou sur la bouche.
- " Ça, mon petit Luc (j'avais deux ans de moins qu'elle,mais je l'ai rattrapée depuis**), j'en suis sûre. "Je n'ai pas tenu ma promesse. Moi aussi, je l'ai fait crier. Et je nelui ai pas fait d'enfants. Par la suite, à quatorze ans, elle assistait*** père lors des saillies. Mais reprenons le fil de *** récit...

- " J'ai regardé l'étendue des dégâts: il était entré à fond dans *** cul et il étaitbloqué. " Je l'interrompais :
- " Dans *** cul ? tu veux dire *** petit trou à hémorroïdes? " Elle acquiesça d'un mouvement de la tête. "Eh bien ! Je savais qu'elle se soignait par les plantes, mais pas parles animaux ! il ne lui reste plus qu'à essayer le règneminéral ! " Carole réfléchit et dit :
- " Heu ... Je crois que c'est déjà fait ... En regardantses fringues dans un tiroir, j'ai trouvé un gode en verre ... "Je continuais à tomber des nues :
- " Eh ben, si on me l'aurait pas dit j'aurais pas cru ! " Carolereprit :
- " Donc, je regarde de près, j'y mets les mains et tented'extraire la queue de Jikka en serrant doucement la base et en tirantdoucement dessus, mais il était encore trop excité. Il fautdire que Mélanie bougeait sans arrêt. J'ai étéchercher de la glace dans *** frigo que j'ai mise dans un gant de toilette.J'ai tapoté doucement le chien aux endroits stratégiques,ça l'a libéré presque de suite. J'ai ensuite finide le dégager à la main. Une fois sorti, Jikka a étéboire un coup, s'est léché les choses et s'est endormi.C'était pas le cas de Mélanie ... " Je l'interrompaisà nouveau :
- " Pour boire un coup, c'est pas la dernière, et elle selècherait elle-même les choses si elle était plussouple. " Carole ne fit pas attention à mon assertion :
- " Je l'ai prise sur mes genoux, sur le canapé du salon.Je sais pas si je te l'ai dit, mais elle était toute nue. Je luiai fait un gros câlin sur mon coeur, je l'ai bercée en luiparlant doucement, jusqu'à ce qu'elle soit complètementcalmée. Là, elle m'a dit qu'elle ne voulait pas se faireprendre par là. Ce n'était pas la première fois qu'ellepratiquait la chose avec *** chien, mais ce coup-ci, ça ne c'étaitpas passé comme d'habitude. Elle m'a dit qu'elle était attiréepar le sexe, mais pas par les hommes, et qu'elle essayait tout ce qu'ellepouvait pour prendre du plaisir. Je lui ai dit que je connaissais bienles animaux et que si elle le voulait, je pourrais l'assister ... Et làelle m'a donné un baiser sur la bouche tellement elle étaitcontente. Ensuite nous avons parlé longtemps et je suis rentrée...Heu ... Tu m'en veux pas ? " Elle guettait ma réaction, inquiète.J'étais un peu surpris : c'était la première foisque nous avions -tous les deux, une aventure extraconjugale. Enfin, àma connaissance. Mes frasques passées ne comptaient pas, cela n'avaitpas été génial... Je pris quand même le tempsd'accuser le coup pour répondre :
- " Moi, ça me gêne pas. Tu sais que je t'ai toujoursfait confiance, et que nous avions juré de toujours rester libres.C'est pour ça qu'on s'aime toujours autant. Mais pourquoi tu asbondi tout à l'heure en me disant que t'étais pas gouine? "
- " Oh ! Pas gouine-gouine... J'aime bien regarder les filles, c'esttout... " Nous ne sommes pas vraiment un couple libéré,Mais le fait de ne pas être jaloux ni possessif n'a pas cesséde renforcer notre amour. Je la rassurai un peu plus :
- " Tu sais, moi aussi j'ai quelque chose à t'avouer, encorebien plus croustillant, mais ce n'est pas le moment. " Carole futvivement intéressée :
- " Ah bon, toi tu t'éclates et tu veux pas en faire profiterta petite femme ? "
- " Tu comprendras pourquoi quand je te le dirai, c'est lié."
- " Et tu penses me faire mariner combien de temps ? "
- " Pas longtemps. Si tu ne relèves pas toi-même l'indice,je te dirai tout demain matin, à neuf heures au plus tard. "Je vis fleurir un champ de points d'interrogation dans ses jolis yeuxgris clair :
- " Je comprends rien à ce que tu racontes : quel indice ?pourquoi neuf heures ? "

chrislebo

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#9,218
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- " Voilà tout ce que je peux te dire : l'indice, tu le trouverassûrement. Neuf heures, parce que si je te dis " demain matin", tu serais capable de me réveiller à quatre heurespour me le demander. " Tout ce cirque lui avait chauffé lessangs. Elle arracha mes couvertures, se jeta sur moi en me bloquant lespoignets et me souffla au visage :
- " Maintenant, on baise ! " Je la retournai d'un coup avantque ses seins aient fini de balancer au-dessus de ma poitrine, puis l'embrassaifougueusement. Je lui explorai tout le corps de mes lèvres, luiagaçant les tétons au passage, en me disant que je repasseraim'occuper d'eux. Je descendis embrasser ses cuisses et sucer ses grosorteils. Elle adorait ça, mais étant très chatouilleuse,je n'insistais pas trop. Je remontais brouter sa touffe rousse - *** nomofficiel est " salade de carottes râpées " - quiétait ma foi déjà bien assai***née. Une foisà point, je suis revenu sucer ses seins avant de la pénétrerdoucement. Nous fai***s toujours l'amour lentement - on est pas aux pièces! - et nous y prenons toujours autant de plaisir. Cela ne dura pas longtempscar nous étions très excités. Nous avons atteintl'orgasme ensemble, comme presque toujours. Il arrive qu'elle prenne ***pied avant moi, ou après, ce qui est plus problématiquepour moi, mais dans l'ensemble, nous arrivons toujours à prendrenotre plaisir. Il arrive que nous nous endormons l'un dans l'autre, maisen général, ça ne dure pas longtemps... J'étaisencore très excité, mais, une fois que nous avons fait l'amour,Carole a beaucoup de mal à me sentir encore, d'autant plus qu'ellemouille beaucoup et que j'ai des éjaculations assez abondantes - enfin d'après ce que j'ai pu en déduire d'aprèsmoultes comparai***s avec mes semblables. Je décidai de repartirà l'attaque, comme le petit soldat courageux que je suis et luidit d'un ton qui interdisait tout refus :
- " Chérie, je veux encore manger ta salade de carottes !" Docile, elle ne se fit pas prier, se remit sur le dos, cuissesbien écartées. À vrai dire, nous aimons bien nouscaresser encore après l'amour, et nous y reprenons souvent du plaisirune nouvelle fois. J'étais au-dessus d'elle, presque complètementà l'envers, la débarbouillant à petits coups de langue,tout doucement, titillant de temps en temps *** petit trou rebelle quirestait désespérément serré, depuis toutesces années, comme les cordons de la bourse de Guy Roux***. Je fustiré de mes méditations footballistiques par un propos surréalistede Carole :
- " Ça fait longtemps que je n'ai pas fait de carottes àla crème ... " Interloqué, je lui répondis :
- " Je ne veux même pas savoir par quelle association d'idéetu es venue à penser à ça. Quelle gourmande ! "
- " Oui, je suis une gourmande ! d'ailleurs, approche que j'avaleton petit poireau sauce blanche ! " Elle m'attira sur elle et meplanta dans sa bouche. Elle venait juste de commencer à me sucerquand je ressentis une drôle de sensation entre les fesses : elleavait fini par trouver le cordon et tirait dessus... Elle me recrachabrusquement pour parler :
- " Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? C'est un tampon ? "Je retournai m'allonger à côté d'elle :
- " Tu as trouvé l'indice. Maintenant, je vais tout te dire... " Ce que je fis, en omettant toutefois les passages les plus... chocolatés.
- " Je suis donc allé trouver Denis. Il était dehorset plutôt mal luné, comme souvent. Il m'a invité àboire une bière, et là, je ne sais pas pourquoi, si c'estl'alcool, ou l'orage, ou les deux, mais ça a dérapé.Il a commencé à m'appâter, et moi j'ai avaléla ligne et l'hameçon. Enfin, plutôt *** asticot... "Je ménageai une pause pour épier sa réaction. Aulieu d'être offusquée ou blessée, elle parut plutôtexcitée :
- " Ah ouais ? Tu aimes les hommes, toi, maintenant ? Depuis quand? "
- " Depuis longtemps, je crois. Je ne le désirais pas vraiment,mais je voulais que lui me désire... C'est difficile à expliquer.Je ne t'ai pas raconté mes quelques expériences homosexuelles,je crois que c'est le moment. Oh ! Ce n'est pas bien méchant, j'avaisdouze - treize ans : je me laissais tripoter par mes petits camarades...Mon expérience la plus poussée a été en voyageorganisé en Espagne. J'avais un copain, assez obèse, quiavait le béguin pour moi. D'ailleurs, il s'appelait Denis aussi... Mais on l'appelait Skelettor... Les enfants ***t cruels... Il étaittoujours collé à moi. Maintenant, avec le recul, je pensequ'il attendait que je lui fasse des avances. Toujours est-il qu'une nuit- d'ailleurs nous ne sommes restés qu'une nuit dans cette aubergede jeunesse - il est venu me retrouver dans mon lit. Il a caressémaladroitement mon sexe à pleine main, puis s'est allongésur moi en m'embrassant. Il s'est masturbé en se caressant surmon ventre. Il a joui en silence et nous sommes restés longtempscomme ça, partageant sa semence entre nos ventres. Il s'est retirésans un mot et il est retourné dans *** lit. Je me suis essuyétant bien que mal avec mon pyjama - ma mère à dû croireque cela venait de moi - puis nous nous sommes tenu par la main une bonnepartie de la nuit. Malheureusement, je l'ai cruellement rembarréune autre fois que j'étais avec lui et qu'il allait me peloter.Le pire, c'est que je l'avais invité dans ma chambre. Je lui avaiscrié, en colère, quelque chose comme " Va faire tescochonneries chez toi ! " Il est parti sans un mot, Il ne m'a plusjamais suivi. Je n'ai jamais cherché à renouer avec lui,ni à expliquer mon geste. Pourtant, j'avais honte de m'êtrecomporté aussi méchamment et injustement. " Caroleétait de plus en plus intéressée :
- " Tu ne t'en étais jamais vanté... Ensuite, avecDenis-notre-voisin ? "
- " Je l'ai sucé et j'ai voulu qu'il me prenne. Il ne s'estpas fait prier. Il m'avait bien préparé avant. " Caroleme glissa d'un air coquin :
- " Oui, il aime bien élargir le cercle de ses amis... " Je la grondai :
- " Tu es méchante, tu me piques mes réparties ! "Je repris :
- " Ça se passait très bien jusqu'à ce que Dianedébarque. Si elle a pissé dehors, c'est qu'elle nous avaitvus en pleine action et qu'elle avait très envie. Elle voulaitêtre en pleine possession de ses moyens pour entrer en scène.D'ailleurs, elle t'a vue t'enfuir. " Carole se rebella :
- " Mais j' me suis pas enfuie ! J'étais pressée, c'esttout... "
- " Donc, elle nous regardait depuis un petit moment sans rien direjusqu'à ce que Denis la voie, je ne sais pas comment, parce qu'onlui tournait le dos. Une impression d'être épié, sansdoute... "
- " Ça a dû ronfler dans les chaumières ! "Ça devait être une expression de *** pays...
- " Même pas. Nous sommes restés comme deux ronds deflan. Elle n'était même pas en colère. Elle a vouluqu'on continue, mais le cœur n'y était plus. "
- " C'est bizarre, moi je crois que j'aurais gueulé. "
- " Tu m'étonnes, je te croyais plus ouverte d'esprit. "
- " Ouais, mais ça doit faire un choc. Continue. "
- " Comme on était plus vaillants, elle nous a motivésun peu. Elle m'a frappé en m'insultant et s'est mise à metravailler la rondelle avec ce qu'elle avait sous la main. Elle a envoyéDenis tenir *** hot-dog au chaud dans ma bouche, pour ne pas qu'il refroidisse.D'ailleurs, Diane était en train de me pénétrer avecune grosse bougie pendant que vous téléphoniez. On ne l'auraitpas cru, hein ? " Carole ouvrit de grands yeux incrédules:
- " Alors ça, non... "
- " Quand elle a estimé que j'étais à point,elle rappela Denis Qui me pénétra avec facilité.Elle était derrière et se collait à lui pour le pousserà coup de reins. Elle le trouvait trop timoré, apparemment.Elle m'a fait m'allonger par terre et s'est mise sur mon visage pour queje la lèche. Seulement, elle avait ses règles. " Carolefit un bond :
- " Mais c'est dégueulasse ! Comment tu as pu faire ça? " Je levai la main :
- " Calme-toi, calme-toi... Elle avait un tampon. À partla ficelle, ça m'a pas gêné plus que ça. J'aioublié de te dire, elle m'avait attaché les couilles àune corde et elle tirait dessus pour me faire obéir. " Jevoyais qu'elle luttait pour ne pas exprimer le fond de sa pensée.
- " Ah oui ! Comme pour les taureaux, mais eux c'est les naseaux... "
- " Si tu veux... Denis avait repris du poil de la bêteet il voulait nous rejoindre. Comme elle ne voulait pas de lui - il avaitdéjà servi - elle l'a invité à me prendrepar devant. "
- " Comment ça ? "
- " Il m'a relevé les fesses par de gros coussins, j'ai relevéles jambes et il m'a pris comme ça. Ils ont joui tous les deuxsur moi, et ***t partis sur le canapé. J'ai oublié de tedire m'avais mis plein de choses dans le cul, une banane entière,de la bière... et que *** mari m'avait pris deux ou trois fois...Et bien, ce traitement m'a obligé à me soulager. Diane m'afait faire mes besoins aux toilettes, m'a fait me laver. En passant parla cuisine, elle a trouvé une casserole de purée. Elle l'aramenée au salon et me l'a servie dans un plateau qu'elle a mispar terre. Elle m'a forcé à manger à quatre pattes,comme un chien. Pendant ce temps, Denis en a profité pour me sauter,et moi, je léchais toujours mon plateau.
- " Ah oui... D'accord... En effet... "

- Ensuite, elle m'a fait m'allongersur le canapé, à leur place. Elle m'a sucé pendantque je m'occupais de Denis. Pour finir, elle m'a mis un tampon et ellem'a fait faire la même chose sur elle. Elle a dit qu'on les enlèveratous les deux demain matin. Je ne sais pas pourquoi, un genre de pacte,ou un truc dans ce genre. On a bu un verre, on a papoté, elle m'adit de revenir demain pour faire un montage vidéo. Au fait, il***t tout filmé. " Carole fit de nouveau un bond :
- " Ah les salauds ! Tu vas voir qu'ils vont te faire chanter ! Jeparie qu'ils ont tout manigancé ! " je la calmai d'une caressesur l'épaule :
- " Mais non... C'est un système de vidéosurveillanceautomatique... C'est le propriétaire précédentqui avait installé ça. Il était complètementparano, je crois même qu'il a tiré sur sa femme insomniaqueune nuit où il croyait être cambriolé. Il est...partiprécipitamment, la vidéo est restée et les Mülleront acheté la mai*** comme ça. Voilà, j'ai fini." Elle avait les yeux perdus au plafond :
- " Ben mon cochon ... Moi qui voulais faire sensation ... "Un ange passa, écarlate, les paumes des mains sur les oreilles.Elle semblait ailleurs, incrédule :
- " Et tu as pris du plaisir à te faire traiter comme ça? Te faire ******** et te faire utiliser par un couple comme un gadgetsexuel ? "
- " Oui, énormément. C'est bon de s'abandonner complètement,de se soumettre aux désirs des per***nes qui vous convoitent...tu devrais essayer. C'est vraiment une expérience à tenter."
- " Excuse-moi, mais j'ai du mal à digérer tout ça.On en reparlera demain, si tu veux... "
- " D'accord, je ne voulais pas insister de toute façon. Jete laisse méditer tout ça, mais dis-moi si tu m'en veux.Ah ! au fait, Diane n'est pas blonde... Elle est chauve ! " Je melevai en me tenant les fesses. Carole me retint :
- " Où tu vas ? "
- " Je vais l'enlever. "
- " Non, laisse-le, reviens ... Je trouve ça ... Marrant.En plus, comme ça, tu me pèteras pas au nez ! " Là,elle se trompait, j'ai eu la soirée pour vérifier : çan'y faisait pas grand-chose. Enfin ... Elle avait retrouvé sa bonnehumeur, et elle avait encore envie de moi malgré ce que je luiavais raconté. J'avais eu peur d'avoir cassé quelque choseen elle. Je me remis en position, et sentis que Carole me tirait de nouveausur le cordon, à deux reprises :
- " Tchou ! Tchouuu ! "
- " Sale gosse, c'est pas un jeu ! " Je la pénétraisde mes doigts en lui léchant les petites lèvres et en luigrignotant le clitoris. Nous avons encore joui ensemble, moi bruyamment,et elle, bâillonnée par mon sexe, poussait des cris étouffés.Nous nous sommes embrassés pendant encore un long moment, puisnous nous sommes couchés, pour faire dodo cette fois. Je commençaisà m'endormir, les draps rabattus à mes pieds à causede la chaleur quand je sentis une main griffue de maraudeur venir cueillirmes précieux fruits. Je me suis alors tourné, et j'ai sentiqu'elle s'intéressait à mes fesses. Je me relevai pour enfinretirer mon tampon :
- " Je crois que j'ai oublié quelque chose ", fis-jeà ma tendre épouse vaincue par le plaisir. Je me rappelaique Diane m'avait ordonné de le garder jusqu'au matin. W lorgnaitmes fesses comme s'il guettait une proie :
- " Ouissecasse-toi ! " Il partit bouder au pied du lit. Moi,je me recouchai. En serrant les fesses.
chrislebo

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LES LENDEMAINS QUI CHANTENT.
Carole ouvrit la porte de la chambreen grand - vêtue de sa chemise de nuit Snoopy - en beuglant:
- " Tu dors encore? debout grosse loche*! " Elle étaittoujours très matinale, c'est une fille de la campagne... Commeje faisais des mots croisés, ma lampe de chevet allumée,j'allais lui répondre que oui, que j'étais somnambule etqu'il ne fallait pas me réveiller, mais elle ne m'en laissa pasle loisir. Elle arracha mes couvertures et me tira par la main:
- " Viens vite, ça vaut le coup! " Elle m'entraînadehors et leva l'index pour solliciter mon attention auditive. En effet,il se passait des choses chez nos chers voisins. Leur chambre àcoucher donnait quelque peu sur la nôtre. Di***s qu'on voyait lafenêtre par la tranche, et elle était apparemment ouverte.
- " Vache! qu'est ce qu'y se mettent! " fit ma douce moitié.En effet, on aurait juré qu'une demi-douzaine de blou***s noirsjouaient au flipper dans leur chambre. Puis une série de cris déchirantsqui n'étaient pas sans m'évoquer la prestation de Bamboudans " Love on the beat " de Gainsbourg.
- " Putain! C'coup-ci, il lui a pété la vitrine! J'entendsla sirène qui gueule! " Je donnai la réplique àma petite Sapho:
- " Les clameurs de l'amour montent aux cieux et se répandenten autant de bouquets de roses aux pieds d'Aphrodite. "
- " Tu l'as dit, bouffi! Là, elle en a jusqu'aux oreilles,des roses! " Audiard contre Sophocle, la lutte était inégale.Je rendis les armes. Le silence était retombé, et nous restionslà, tous les deux, guettant un signe de vie. Un merle en profitapour glisser *** chant mélodieux à bout portant. Il a dûcroire à la présence d'un rival. Je lui adressais avec lavoix d'Homer Simp***:
- " Ta gueule, Flanders! " Marge me répondit:
- " Homer! Tes Donuts vont refroidir! Et va mettre une culotte! Arrr...Arrr... (rire de Marge) ". J'étais en effet tout nu, ce quine craint pas grand-chose dans notre jardin aux hauts murs et bien arboré.De plus, nous sommes un peu naturistes. J'entrai dans la mai*** en bavant:
- " Mmm... Donuts... " J'entendis pouffer chez nos voisins.Eux non plus n'ont rien perdus de nos échanges.

Je noyais consciencieusement mes tartinesbeurrées dans mon chocolat, insensible à leurs petites bullesde détresse, quand l'hymne de l'Empire se fit entendre, puis:
- " Hufff... Kufff... Rejoins le côté obscur, Luke!" Carole attrapa négligemment mon téléphoneorganizer par-dessus *** épaule, derrière elle, et le fittomber non moins négligemment au milieu de mes tartines qui attendaientstoïquement leur supplice. Un jouet à huit cents dollars,quand même... Un cadeau de mon collègue et ami japonais Hiroshi,dit " Godzilla ". Elle lâcha d'un ton neutre:
- " Tiens, c'est ton père... " Je rectifiai:
- " Non, mon père c'est: " Luke... Je suis ton père..." Ça, c'est... Omar. "
Je suis - entre autres - fan de la saga " Star wars ", et presquetoutes mes ***neries ***t per***nalisées en fonction de l'appelant.Par exemple, Omar est africain, d'où ce choix judicieux. Logique...
- " Ouais, je sais! Je voulais dire que c'était ton père,Dark Vador, qui t'appelait... " Le téléphone continuaità ***ner:
- " Hufff... Kufff... Rejoins le côté obscur, Luke!" Je finis par décrocher:
- " Tu radotes, pépère... " À Omar: "Salut Omar, ça biche? " Omar est l'homme de l'ombre d'un célèbreprésident à vie, dont je tairai le nom pour préserverla mienne. Nous avons d'excellents rapports, quasi fraternels, mais jene perds pas de vue qu'il doit avoir du sang sur les mains. Carole crutbon de plaisanter. Elle me lança, assez fort pour qu'Omar l'entende:
- " Dis-lui que je lui serre la pince! " Bien sûr, Omaravait entendu et pouffa:
- " J'ai entendu! Dis donc, elle est en forme, ta femme... Tu asdu la satisfaire cette nuit! "
- " Pourquoi cette nuit? tu sais bien que c'est toujours le cas!En tout cas, tu lui plairais beaucoup, elle adore les crustacés..."
- " Ouais... Vantard! " Changeant de sujet: " Mais je t'appellepour une opération assez urgente, si on veut qu'elle soit rentable.J'ai appris que la MLTL avait trouvé du pétrole sur notresol. Sa cote va décupler dans les heures qui viennent. Rafle toutce que tu peux comme actions, et même sur les filiales, transports,enfin tout ce qui va toucher le jackpot. "
- " Dis-moi, c'est russe, ça, la MLTL? Je crois que sa gestionest assez opaque... J'espère qu'on met pas les pieds dans unearnaque de la mafia ou dans un puits sans fond... "
- " T'inquiètes, Je connais les responsables, ils ***t culet chemise avec notre glorieux président à vie. " Ilavait dit ces derniers mots sur un ton sarcastique. " C'est bon,je peux te faire confiance? "
- " C'est bon, c'est noté: dans une demi-heure, tes ordresseront passés. Je te ferais une simulation de résultatssur les six prochains mois. " En entendant parler de simulation,Carole - qui ne perdait pas une occasion pour me singer - fit l'avion,bras écartés, en beuglant:
- " Tango zoulou! Tango zoulou! Je suis touchée! Mayday! Mayday!Arrgg!!! " Elle s'écrasa, la tête sur la table. Je luisignalai gentiment que je parlais de simulation économique et nonde vol.
- " Bien... Alors, tu voles sur quoi en ce moment? Toujours pilotede chasse? " Omar nous avait entendus. Il était - comme moi - un fan de simulateurs de vol, mais lui était plutôt civil,ce qui était l'inverse de nos activités réelles etrespectives:
- " Sur F16 et SU 27/33**. J'effectue d'ailleurs des missions cheztoi. Encore des rebelles et des terroristes à mater. Au fait, jesuis désolé, j'ai rasé ta villa: je croyais que c'étaitune usine de lait en poudre! " Omar eût un rire triste:
- " Oh, c'est pas grave, je n'y allais plus depuis que ma familley a été massacrée par les rebelles... " De l'azoteliquide me remplit les veines: quel con! J'avais complètement oubliécette tragédie. Carole était repartie pour un vol, et dépliaitses ailes dans un bruit de turbine. Je lui fis signe de s'arrêtertout de suite d'un geste péremptoire. Elle savait quand j'étaisvraiment sérieux. Elle replia ses ailes le long de *** fuselagedans un bruit pneumatique, coupa le moteur, et me salua fièrementen bombant le torse comme un brave petit soldat. Je lui rendis *** salut.Je me confondais en excuses:
- " Je... Je suis désolé... J'avais complètementoublié... "
- " C'est pas grave... Tu sais, nous autres africains, avons uneautre approche de la mort. Et puis, je la côtoie si souvent... "Je préférais écourter notre conversation:
- " Bien... Heu... Je t'envoie un mail détaillé dèsque j'ai fini. Je te ferais la simu dans la foulée. Salut! "

Carole avait suivi notre conversation.Je préfère qu'elle en sache le moins possible. On ne saitjamais. De nos jours, on n'entend parler que d'affaires aux multiplesramifications, touchant d'ailleurs beaucoup d'hommes politiques. Elles'enquit quand même:
- " C'est quoi, la MLTL? " J'étanchai sa soif de connaissance:
- " C'est la Manufacture Lorraine de Tongs pour Lombrics. "J'imagine avec bonheur la tête d'un éventuel juge d'instructionà qui elle rapporterait ce dialogue... À vrai dire, je neme souvenais plus de toute façon de la signification exacte desinitiales. Elle me contempla d'un air ***geur:
- " Ah ouais... C'est une boîte qui a de l'avenir, ça?"
- " Je veux! Pense que dans cent millions d'années, les lombricsauront des pieds: compte une dizaine de clients au mètre carré,notre fortune est faite! "
- " Pour sûr! Dommage que tes clients nous auront becquetésdepuis un bon petit moment... " Nous nous mîmes à poufferdans nos bols de chocolat, en achevant nos dernières tartines.

Je me dépêchai de m'installer devant mon ordinateur. Caroles'installa à *** bureau, à côté du mien, pourtrier ses papiers: elle adore être à côté demoi quand je suis sur ma machine. Elle sait que je ne peux pas bougeret en profite, au moindre signe de faiblesse, pour me taquiner. L'écranétait couvert de chiffres clignotants et changeant de couleurs.Il y avait des colonnes de chiffres sur plusieurs pages. Au fil des années,nous avons réussi à développer une vraie usine àgaz. Tous les paramètres économiques vitaux de la planètes'affichent en temps réel, au gré des fluctuations des marchéset des informations que nous glanons chacun de notre côté.Pour ma part, c'est surtout mon ex-patron qui me les fournit, en échanged'une poignée de cacahuètes. Enfin, assez quand mêmepour lui donner du cholestérol. Cela va des cotations de toutesles actions au diamètre des hémorroïdes de mon chefd'état Africain préféré, le patron d'Omar,mon meilleur client... Non, là, j'exagère: ce n'est quele deuxième... Sur la ligne du bas figurent des dessins amusantsqui nous représentent, mes collègues et moi. Il y a l'heurelocale et l'icône est sur un fond vert quand l'un de nous est actif.À ce moment, Il n'y avait que moi (une vache, " La noiraude". J'ai dit à Carole que c'était en *** honneur maiselle l'a mal pris: elle croyait que c'était à cause de sapoitrine généreuse, mais je lui ai expliqué que c'étaitpour lui rappeler les vaches de *** enfance) et Henri Léger, unCanadien français (Riton, un élan). Enfin, il a beaucoupperdu de ses racines, et j'ai du mal à le comprendre. Lui aussia quitté une grande ville pour rejoindre *** village natal, dansle Saskatchewan. Les francophones ***t plutôt rares dans ce coin.

C'est le seul dont je connais l'identité:un jour, il m'a dit que *** grand-père maternel est venu mourirquelque part en France. Je lui ai demandé *** nom et je lui aipromis de le retrouver. Ça n'a pas été bien long,j'ai trouvé sa tombe en Normandie, dans un cimetière militairecanadien. C'est un joli endroit, dommage que ce soit un cimetière.Les croix blanches ***t remplacées par des alignements de cubesde granit gris. Je suis toujours rempli d'une grande tristesse quand jeconstate avec quelle facilité l'homme peut convertir une foulede jeunes gaillards vigoureux et joyeux en autant de formes géométriques.Contrairement à ma maman - une fervente catholique - je suis moinsoptimiste quant à l'avenir de l'humanité et à sapropension à répandre l'amour. En allant retrouver la tombedu papy disparu, je voulais rapporter un souvenir à Henri, et j'avaispréparé mon coup: j'ai fait habiller Carole d'une robe noiresexy et bien décolletée, des bas noirs, et je lui avaisdemandé de bien se maquiller. Je l'ai fait poser de profil, accroupie,déposant un baiser sur l'angle de la stèle, et tenant devantelle un coussin en forme de gros coeur rouge avec écrit en blancun grand " MERCI! ". Sa courte robe s'était retrousséeet l'on pouvait voir un peu de sa cuisse blanche et une jarretelle, ainsique sa poitrine qui tentait de s'échapper. Les rares visiteursnous regardaient d'un oeil noir. Je pris quelques clichés. De retour,je choisis le plus réussi, fit un tirage papier de qualité,l'encadrai et l'expédiai chez Henri. J'avais préférécette solution, plutôt que de lui envoyer par e-mail, elle cadraitmieux avec les circonstances.

Quelques jours plus tard, je reçusun appel d'Henri. Je crus sur le moment qu'il m'abreuvait d'injures - j'ai du mal à le comprendre en temps ordinaire, et là, ilétait surexcité - mais il était étranglépar l'émotion. Il avait montré la photo à sa grand-mèreet sa mère, et ils s'étaient tous mis à pleurer.Je croyais ma photo d'un goût douteux, mais pas qu'elle allait suscitertant d'émotion. Depuis ce jour, ils nous considèrent tousles deux comme des membres de la famille. Surtout Carole. En remerciement,Henri nous a invités à passer quelques jours dans *** villagenatal. Je m'y suis bien gelé les noix. Plus ja-mais!
C'était la première fois que Carole prenait l'avion, etles accoudoirs s'en souviennent encore. Pour la mettre en condition, àl'embarquement, je lui fis chercher la rangée treize. Elle comptait:
- " Dix, onze, douze, et tr... Quatorze? Y'a pas de treize? "
- " Eh non... Tous les avions qui en avaient se ***t écrasés...Rassure-toi, je suis sûr que le pilote a un Saint Christophe autableau de bord et une patte de lapin au rétroviseur! " J'étaisle seul à trouver ça drôle: ni Carole, ni l'hôtesse - qui semblait avoir des heures de vol et qui me fusillait du regard - n'ont esquissé un sourire... Dommage... Je continuais àmotiver les troupes, une fois installés. Carole relisait pour lavingtième fois *** billet d'avion, et je lui ai demandé:
- " Alors, c'est à quelle heure qu'on s'écrase?...Heu... Qu'on atterrit? " Elle me répondit pas un violent coupde coude. L'hôtesse, qui n'était pas loin et me tenait àl'oeil, s'en mêla:
- " Monsieur, je vous en prie! Pensez aux autres passagers! "J'ouvris mon portefeuille, lui présentai un superbe trèfleà quatre feuille séché - présent d'une célèbrefirme de cosmétiques française au nom minéral - etlui confiai d'un air impénétrable:
- " Ne craignez rien, je suis de la mai***. " Ce coup-ci, ellepouffa et partit vers d'autres horizons, le sourire aux lèvres.

À l'arrivée àToronto, pause de quelques heures pour nous rafraîchir et nous restaurer,puis correspondance pour Winnipeg par moyen courrier. Là, petitavion d'une vingtaine de places pour ploucville: Saskatoon - non, c'estmignon, mais j'étais pas d'humeur - et enfin, autobus jusqu'aubled, Gla-gla village. Il avait un nom rigolo, genre Chagachokonak, quinous faisait bien rire, jusqu'à ce qu'on apprenne que çavoulait dire en gros " les femmes tuées par l'homme blanc" Ou un truc dans ce genre. Tout de suite, on se sent moins gai.Ça tombait bien, on commençait à s'éloignertrop de l'ambiance locale. Henri, qui nous attendait avec *** Hummer,nous sauta au cou et nous embrassa chaleureusement. Nous étions - presque - arrivés: plus que deux heures de route jusqu'au chalet,à ne voir que des sapins et de la neige fondue. Ah! pardon! Nousavons vu aussi un gros bestiau mort sur le bord de la route. Henri nousa dit que c'était un orignal - un élan, quoi - probablementtué par un camion et bouffé par des loups ou des ours, oules deux.
chrislebo

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À l'arrivée, il nousinstalla dans *** chalet, petit mais chaleureux. Nous fîmes la connaissancede sa famille, très gentille et attentionnée. Je n'ai pascompris qui était qui, mais ce n'était pas bien grave. Tousn'avaient d'yeux que pour Carole. Il faut dire qu'elle avait mis sa plusbelle chemise à carreaux pour faire couleur locale. Comme nousétions claqués par notre périple, ils nous laissèrentnous reposer. Notre chambre était toute petite, mais il y avaitdu feu dans la cheminée et une peau de bête devant. Il n'apas fallu nous pousser beaucoup pour aller l'essayer. Je parlais de lapeau de bête, bien sûr. Carole gémit beaucoup pendantl'amour, mais cela ne m'empêchait pas d'entendre des bruits et deschuchotements devant la porte. Ils devaient se battre pour nous reluquerpar le trou de la serrure. Enfin, c'était juste un trou, il n'yavait qu'un méchant loquet en bois. La porte fut secouéequand Carole a joui, à cheval sur moi. Les chuchotements ne finirentque quand nous avons repris notre plaisir, en position de soixante-neufcette fois-ci. Le lendemain, ils nous regardaient tous les deux - avectoujours une préférence pour Carole - comme des dieux. Lesactivités étaient assez limitées, et nous préférionsnous balader plutôt que d'aller à la pêche ou àla chasse - bien que nous soyons toujours partant pour tirer un coup!les longues soirées étaient occupées à discuter,à rire et à boire. Nous sommes rentrés aprèsquatre jours chez eux. C'était gentil, mais on commençaità s'ennuyer. Et la peau de bête commençait àêtre raplatie.

Je passe sur le voyage de retour, c'étaità peu près pareil, mais dans l'autre sens. Carole avaitquand même renoncé à détruire les accoudoirs.Depuis, donc, nous avons d'excellents rapports. Nous avons retournél'invitation à Henri, mais il tarde à venir. Je crois qu'iln'a pas de trèfle à quatre feuilles.

Comme l'écran affichait deux heures du matin sous *** icône,je décidai de l'appeler. Nous avons tous le même téléphonevia Internet, ça ne nous coûte rien.
- " Oaille? Qui c'est qui m'cause, à c't'heure? " Jeconstatai qu'il avait revêtu *** plus bel accent. Il savait pertinemmentqui l'appelait, mon icône devant clignoter sur *** écran.La preuve, il avait répondu en français. Enfin, une languequi y ressemble...
- " Salut à toi, noble étranger, dont la voix me sembleaussi belle que celle de l'orignal en rut. Tu pourrais faire un effort,que je te comprenne? "
- " D'accord, mais il est tard, je suis fatigué. Je voudraisfinir un job toffe qui me fait avoir de la misère... "
- " Tu as dû te poudrer le nez pour veiller si longtemps! Quandje secoue mon téléphone, il y a de la neige qui tombe..."
- " Ça m'étonnerait! Tu sais que je ne gâchepas quand je me gèle... Tiens, j'ai reçu tes dernièresphotos de Carole: elles ***t cutes! waw! " J'en fis part àCarole:
- " Chérie, Henri a bien aimé tes dernièresphotos! " Elle n'était pas dupe:
- " Je sais, tes copains m'apprécient beaucoup! " Là-dessus,elle saisit ma revue d'économie " International stock exchangemagazine " ( avec Bill Gates*** en couverture: Le capitalisme ausecours du tiers monde? ) de la main droite en le fixant des yeux, etsimulant de la gauche une masturbation masculine, cuisses écartées,en tirant une langue bovine. Elle ne semblait pas vouloir s'arrêter.Henri se rappela à moi:
- " Tu feras un bec pour moi à ta blonde... Qu'est-ce quit'amène? "
- " Rien de spécial... J'étais inquiet de te savoiren ligne à cette heure tardive... Au fait, ton boulot, çava nous rapporter des sous? "
- " Un max! mais il faut que je raccroche, j'ai presque fini et jene voudrais pas faire de boulette... " Carole avait atteint *** termeet elle se lança dans un orgasme à la Meg Ryan dans "Quand Harry rencontre Sally ", version homme. Bien sûr, Henriavait entendu:
- " Dis donc, elle a du fun, ta femme! Et elle est toujours aussicapotée... " Henri est un homme perspicace.
- " Oui, elle vient de voir qu'il y a des soldes dans *** magasinde fringues préférées... Allez, bises à tapetite famille! "

Comme je raccrochai, Carole, remisede *** orgasme, vint m'enlacer en appuyant sa poitrine sur mes épaules,me procurant un oreiller doux et chaud. Elle admirait tous ces petitschiffres qui clignotaient sur l'écran pendant que je cliquais etentrais des valeurs au clavier comme un ********.

Bien que je sois fortement concentré,elle n'hésita pas à me perturber:
- " Dis donc! T'as vu ces chiffres? Quatre chiffres aprèsla virgule, quelle précision! C'est ce qu'il te faudrait pour mesurerta petite zigounette! " Je lui répondais, absent. Mon cerveauétait ailleurs:
- " Ou ton quotient intellectuel... " Elle passa à lavitesse supérieure: elle écarta ma robe de chambre - c'étaitmon unique vêtement - et s'écria d'une voix suraiguë:
- " Mon dieu! Mais elle est toute petite! " Il est vrai quela position assise n'est pas ce qu'on fait de mieux pour mettre l'anatomiedes garçons en valeur, mais je ne me démontais pas:
- " C'est parce qu'elle est loin. "
- " Ah bon... " Elle approcha sa main pour mieux évaluerl'état de la bête et cria encore:
- " C'est horrible! ma main est énorme! " Je luttai pourrester concentré:
- " Mais va voir toi-même. Parle-lui à l'oreille, elleaime bien ça. " Aussitôt, elle vint se blottir entremes cuisses. Je croyais qu'elle allait me sucer, ce qui aurait immobiliséses cordes vocales un moment, mais non: elle se mit à faire lacausette à mon membre:
- " Bonjour, Madame! Pourquoi tu fais la gueule? Parce que tu estoute ridée? Attends, je vais te rendre le sourire... " Ellecommençait à me masturber. " Oh! Mais tu pleures! C'estparce que ton maître te fourre la tête un peu partout? "Elle commençait sérieusement à me déconcentrer.C'est d'ailleurs ce qu'elle cherchait à faire. Je la mis en gardecontre les conséquences de *** " geste ":
- " Et même que si tu continues, je sens que tu vas la fairevomir! " Elle me coula un regard langoureux:
- " Ouais, tu as rai***. Restons-en là, pour le moment dumoins... "

Elle se remit à *** poste d'observation:
- " C'est qui, déjà, Casimir... Gorgonzola? "Elle désignait du doigt l'icône de Godzilla. Le terribledinosaure qui ravagea Tokyo. C'est vrai que *** indicatif ***ore était" L'île aux enfants ", je n'avais rien trouvé deplus parlant...
- " Oui, c'est mon cher ami Hiroshi, celui qui m'a offert le téléphoneque tu as failli mettre dans mon bol ce matin. "
- " Je ne comprends pas pourquoi les Japonais ont peur d'un fromage,italien de surcroît. "
- " Tu as tort de le sous-estimer, il a semé la panique auJapon dans les années cinquante. On ne se méfie pas assezdes bactéries... "
- " C'est vrai, on en trouve plein dans le lait, et ça donneplein de maladies: listériose, tuberculose, salmonellose, brucellose..." La vétérinaire énumérait ses maladiesen les comptant sur les doigts. La dernière m'évoquait autrechose:
- " Ah! Brucelles, la place De Brouckère, ses frites, sesgaufres... "

Le téléphone ***na: Bilou-bilou...Bilou-bilou... je trouvai la ***nerie horripilante, mais c'étaitla moins pire parmi tous les choix possibles. On ne pense jamais àla ***nerie quand on achète un téléphone... et pourtant,c'est une des choses qu'on entend le plus...

Carole alla mettre fin à monsupplice en décrochant:
- " Oui?... Ah! Salut Diane! Ça va? " Sa voix devenaitun peu distante, sur la défensive. " Oui, tout... Enfin jecrois, je n'étais pas là, moi... Rien de précis pourle moment. Oui... Je... Si tu veux... Je préfèrerais cheznous... Non, ce n'est pas la peine, je vous ferai un gâteau, tuaimes bien les miens... D'accord, après manger, vers trois heures?Ça va?... À tout à l'heure!... Bisous! " Elleraccrocha:
- " C'était ta maîtresse, elle veut nous voir. J'espèrequ'ils ne voudront pas me violer. Elle voulait nous inviter mais je préfèrequ'ils viennent à la mai***. " Je saisis l'occasion pour relancerle sujet, en la prenant sur mes genoux:
- " Qu'est ce que tu penses d'eux? Ils te font peur? "
- " Oui... je n'ai pas envie de me faire embarquer dans cette histoire...Je ne me sens pas concernée. " Je tentais de la rassurer:
- " Ne t'inquiètes pas, ce ne ***t pas des sauvages, tu lesconnais bien, non? Et puis, Diane est ta copine, elle m'a dit qu'ellet'a donné une robe... "

Carole se crut attaquée:
- " Oui pourquoi? Elle veut que je lui rende? Que je lui paye? "
- " Mais non... Elle m'a juste dit que tu étais trèsjolie dedans, et moi je ne l'ai jamais vue. "
- " Ben... À vrai dire... Elle est plutôt ras-le-bonbon,je ne sortirai pas avec... "
- " Justement! Tu devrais la mettre cet après-midi. Çalui ferait très plaisir... "
- " Ouais... Tu aurais vu sa tête quand je l'ai essayée...Elle me bavait presque dessus... Et quand je dis " baver ",je ne parlais pas de sa salive... "
- " À vrai dire, elle m'a raconté l'épisode.Elle ne se cache pas que tu lui plais beaucoup, et que... tu lui as bienfait profiter de ton anatomie, si tu vois ce que je veux dire... "Carole rougit instantanément et balbutia:
- " Heu... Oui, mais non, c'est... Je lui montrais... Si je n'avaispas grossi un peu trop pour rentrer dans sa robe... " Je lui fisd'un ton goguenard:
- " Mais oui, bien sûr... Ma culotte a glissé, je n'ysuis pour rien... Ne t'excuse pas, si tu y as trouvé du plaisir.Ne te mens pas, pas plus qu'à moi. "
- " Bon, d'accord! Moi aussi j'ai pris mon pied à m'exhibersous toutes les coutures pendant qu'elle me reluquait. De toute façon,j'étais obligée de me déshabiller entièrement.Les sous-vêtements, ça fait très moche là-dessous." Je lui révélai un secret. Pour la tester:
- " Dis-moi, ma chérie... Tu sais que Diane l'a achetéetout spécialement pour toi? " Ses yeux s'illuminèrentcomme si je lui avais offert une boîte de chocolat à la liqueur.Pleine:
- " Oh c'est vrai? Comme c'est gentil de sa part! Je vais de ce paslui faire un gros gâteau au chocolat! "

Elle se leva brusquement. Je la rattrapaiau vol:
- " Et pour la robe? "
- " C'est d'accord! Heu... Je vais faire ma toilette d'abord... "
- " O.k.! Je finis et je prends ta place... "
Carole avait l'air disposée à se mêler à notregroupe... Je ne savais pas jusqu'à quel point, mais le premierpas avait été franchi. Je me remis à la tâcheen chantonnant:
- " Dominique-nique-nique dans tous les épisodes, dans toutesles po-si-tions... "
chrislebo

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TEA FOR FOUR.
J'étais reluisant de partoutaprès ma douche. J'avais terminé mes passations d'ordreet m'attelai au travail le plus pointu et dans lequel j'excellai: la simulationde rendement et prospective de placement. Heureusement, je m'étaisbricolé un petit logiciel - avec l'appui important d'Hiroshi -qui me mâchait le plus gros du travail, surtout au niveau de laprésentation des résultats. Cela me permettait d'avoir desdocuments standardisés, ce qui facilitait les comparai***s et lesrapprochements. Nous nous partageons nos documents de travail entre collègueset les modifions selon les critères de chaque région dumonde.

Je finissais ma simulation lorsqueCarole réapparut dans sa robe moulante. Je connaissais bien monépouse et je l'avais souvent vue dans des tenues sexy, mais là...J'allais exprimer ma pensée, mais tout ce que je pouvais fairec'était ouvrir et fermer la bouche. Carole avait l'air heureusede *** petit effet:
- " Eh bien, tu es tombé de ton bocal? Tu as vu, j'ai quandmême mis un string, ça se voit presque pas. " Elle étaitsublime, et se contorsionnait pour mettre ses formes en valeur. j'avaisretrouvé ma voix:
- " Madre de Dios! Heureusement que tu as mis un string! Quand tumets tes mains sur la tête, on voit ton nombril... En plus, çate fait un décolleté... en trois D. "
- " Heureuse que ça te plaise... J'espère que Deniset Diane ne vont pas trop me prendre pour une salope, à m'habillercomme ça... "
- " Allons... Au contraire, je crois que tu ne pourrais pas leurfaire plus plaisir... Viens m'embrasser, créature de rêve!" Elle se jeta à mon cou. Pendant les quelques pas qu'ellefit vers moi, je vis avec horreur qu'elle avait aux pieds ses pantouflesqui ressemblaient à des pattes d'ours, avec les poils et les griffes,un cadeau d'Henri...

Je me dégageai de *** étreinteamoureuse:
- " Mmmpfff... J'espère que tu ne vas pas mettre ces horreurs!Je crois que ça ne va pas le faire... " Elle regarda ses pieds:
- " Mais non, pauv' pomme! Tu sais bien que j'ai toujours froid auxpieds après ma douche! Et comme je ne peux pas toujours les fourrerdans ton slip... D'ailleurs, je vais mettre mes talons aiguilles blancs.Tu sais, ceux qui remontent avec des lacets jusqu'aux mollets... "Je voyais très bien: c'étaient des escarpins avec un talontrès fin et très haut, qui laissaient le pied trèsdégagé. Ils étaient maintenus par des lacets qu'ontressait autour du mollet, comme des spartiates. Je les trouvais trèssexy et tout à fait appropriés. Carole ne les mettait passouvent car ils ***t un peu fastidieux à enfiler. Encore une marquede bonne volonté de sa part, j'en étais touché:
- " C'est une très bonne idée, mon amour. D'ailleurs,je te les lacerai moi-même. Je veux que tu sois la plus désirablepossible. " Elle m'embrassa de plus belle.

Une fois décollée dema bouche, elle jeta un oeil sur mon écran:
- " Quel foutoir! Tu t'y retrouves, là-dedans? "
- " Heu... Oui! Tu vois, ça, c'est l'estimation fourchettebasse, là, l'estimation fourchette haute, et là ce ***tles jours, semaines, mois... " Elle avait l'air un peu hermétiqueà mes explications:
- " Ah... Et ce truc qu'Omar t'a demandé, c'en est où?"
- " Mais c'est ce que tu viens de voir: la simulation. Par contre,ce que j'ai fait ce matin... " J'activai une fenêtre en veille"... Voilà ce que ça donne... " Je lui montraisquelques lignes de chiffres. Elle ne comprenait pas ce que cela représentait:
- " C'est quoi? Pourquoi c'est en rouge? Je croyais que tu m'avaisdit que c'était pas bon, en rouge? " Je lui expliquai, encoreune fois:
- " Je viens de passer des ordres d'achat d'actions: De ce fait,leur valeur a monté et du coup, cela devient moins intéressantd'en acheter d'autres. C'est pour ça que c'est rouge. Mais c'estpas ça que je voulais te montrer. Regarde en bas. Et ce ne ***tpas des centimes nantais. Ce ***t des dollars U.S. "
- " Un million sept cent soixante dix mille! " Je lui détaillailes chiffres, le doigt sur l'écran:
- " Ça c'est la fourchette haute, c'est ce que gagnerait lepatron d'Omar dans le meilleur des cas. C'est ce que tout le monde regarde.La basse, Cinq cent cinquante mille. Ça fait nettement moins. Surtouts'il y a encore un coup d'état. Quoi qu'il en soit, je prends macom' sur la fourchette basse, plus un pourcentage sur la différencedes gains réels. S'il s'avère que c'est un tuyau crevé,j'ai quand même ma com'. Je serais le seul à ne rien perdre.Donc en résumé, ce matin, j'ai gagné deux mille septcent trente euros. Mes amis, chacun de trois cents à quatre centvingt euros, selon leur implication plus ou moins lointaine. Et çapeut monter jusqu'à mille neuf cent euros de pourcentage, et autantde clopinettes pour mes copains, je ne l'ai pas calculé. Tu vois,tout est là, en bas. Maintenant, je valide, et tu vas entendreun joli meuglement de La Noiraude. "

Nous étions blottis l'un contrel'autre, attendant l'Alléluia. Et là, nous avons éclatéde rire. En fait de meuglement, C'était le rugissement de Walt,le couguar de Boston. Encore un noctambule. Certains de mes collèguescroient que travailler quand tout le monde dort donne une supérioritésur les autres. Mais les deux tiers de la planète ***t réveillés... Walter nous avait fait gagner quand même cent trente huit euros.La Noiraude, elle, rugit juste après. Carole était ***geuse:
- " Dis donc! Ça pleut en ce moment! "
- " Ouais, mais c'est pas toujours comme ça. Des fois, ontravaille comme des ********* pour se rendre compte qu'on arrivetrop tard, ou que les affaires ne ***t pas si intéressantes quede prime abord. Enfin c'est vrai que c'est pas mal... Au fait, Henri étaitsur un coup, mais j'en ai plus entendu parler... Il est parti se coucher,je lui en toucherai deux mots quand il sera de nouveau en ligne. "

Carole avait eu sa dose:
- " Bon, je vais faire mon gâteau. " Je m'étranglaide rage. Simulée, bien sûr:
- " De quoi! Tu l'as pas encore fait?! Mais qu'est-ce que tu fous,donc? " Raimu me répondit:
- " Ohhh, face de poulpe... Tu crois que la pâte cuit toutde suite, ou quoi? Pôvre jôbastre! Continue à fairejoujou avec ton Ouinedôze! " Elle me tourna le dos en se drapantd'une écharpe imaginaire d'un geste théâtral. Ce quicollait parfaitement avec Raimu en mini-robe sexy et pantoufles grizzli.

Je quittai ma session et mon postede travail -sous Linux, pas Ouinedôze, contrairement à cequi a pu être évoqué par une certaine vétérinaire- pour aller reprendre mes aventures aériennes, en Iran cette fois-ci.J'ai un autre ordinateur, entièrement dédié àmon vice, muni de tous les joysticks et palonnier - pédales pourles béotiens - ainsi que d'une ***orisation à faire vibrerles murs. Les éditeurs de jeux vidéos doivent êtrepayés par le pentagone pour habituer les esprits à l'omniprésencede l'armée américaine. De préférence dansdes endroits où elle ne devrait pas aller et où l'on finitpar la voir au journal télévisé. J'ai un immenserespect pour le peuple iranien, qui n'est pas du tout ce qu'on veut nousfaire croire. C'est donc au deuxième degré que je prendsla chose.

J'en étais à mon troisième crash derrièreles lignes ennemies lorsque Carole réapparut, vêtue commeune ménagère de bonne moralité: une petite robe imprimée,un tablier, une paire de mules aux pieds, enveloppée d'une bonneodeur de génoise chaude:
- " Chéri, j'ai fini mon gâteau: tu viens voir? Ah!Tu vas encore tuer des gens... " Elle s'appuya de nouveau sur mesépaules, ce qui présageait un vol mouvementé. J'effectuaiun vol à basse altitude pour échapper aux radars. Un signald'alerte retentit: j'étais accroché par un radar de tir,au sol. Un lance-missile. Carole s'enquit:
- " C'est quoi, ce bip? "
- " C'est rien. J'ai mis mon café au micro-ondes, c'est prêt." J'activais les contre-mesures, larguai quelques leurres pour brouillerle radar. Le signal s'était éteint. J'enclenchai la post-combustionpour me tirer de ce mauvais pas le plus rapidement possible. Le bruit - celui d'un poêle à mazout emballé - amplifiépar mon système HI-FI survitaminé indisposait Carole:
- " Ça fait du bruit, ton truc. C'est quoi qui fait ce raffut?" je me lançai dans des explications, que je lui avais déjàdonnées, et que je lui redonnerai sûrement dans pas longtemps:
- " Ça, c'est la post-combustion. On envoie du kérosènedirectement dans le réacteur, ce qui donne une poussée decent cinquante pour cent. Il faut l'utiliser à bon escient parceque ça abîme le moteur et ça coûte cher. "
Encore le signal. Il était devenu continu, mauvais signe. Carolene s'en souciait pas:
- " Oui, j'en ai entendu parler à la télé. J'aivu un documentaire sur le tournage d'Astérix, et ils disaient quela post-production, c'est ce qui coûtait le plus cher... "Je me disais aussi... J'avais réussi à échapper auxmenaces au sol lorsque je détectai deux avions ennemis qui se rapprochaientrapidement. J'avais le temps de larguer mes bombes sur ma cible touteproche. Il y avait un comité d'accueil, mais je m'en tirai sansdommage. Je me payais même le luxe de refaire un survol de la cible,pour voir si j'avais tout bien écrabouillé. Ma douce étaitinquiète:
- " Qu'est ce que tu as bombardé? "
- " Bof, un village de rebelles, ou de terroristes, je m'en souviensplus... " Elle voulait me donner mauvaise conscience:
- " Mais il devait y avoir des femmes, des enfants, des vieillards,des bêtes... " Je la rassurais:
- " Mais non, il n'y avait que des barbus. Ils se reproduisent parparthénogenèse*. " Là, je commençaisà marcher sur ses plates-bandes:
- " Ce ***t des hommes, pas des pucerons! " Je lui déclaraid'un ton solennel:
- " Le napalm est au barbu ce que le défoliant est àla jungle vietnamienne. " Je n'eus pas le loisir de juger de la portéede mon adage. J'étais pris en chasse par un appareil ennemi quifit feu immédiatement sur moi. Je manoeuvrai avec l'agilitéd'une centenaire en déambulateur. Je me suis pris un missile quiendommagea gravement mon appareil. Il ne répondait plus aux commandes,les appareils électroniques étaient éteints. Je m'éjectai,et mon avion explosa tout de suite après. J'ai à peine eule temps d'apercevoir mon assaillant. Comme je descendais en parachute,j'avais le loisir de contempler les débris de mon appareil quis'abîmait en un joli feu d'artifice. Je m'exclamai, en imitant Bourvil:
- " Ben, mon vélo! C'est sûr, il va marcher beaucoupmoins bien maintenant! " Carole était rassurée:
- " T'as eu du bol! Il s'en est fallu de peu pour que tu y passes..." Je la détrompai:
- " Attends, t'a vu où je vais atterrir? À tous lescoups, je vais finir en méchoui! " En effet. L'écrande débriefing me confirma que j'étais " disparu aucombat. "
- " Ça y est, je suis encore mort. Elle est dure, cette mission.Il se passe rien, et, tout à coup, pan, t'es mort. " J'aieu droit à des funérailles grandioses. Apparemment, Il étaitévident pour tout le monde que j'étais couiké. Caroleétait un peu triste:
- " C'est dur d'être veuve à mon âge. "
- " Il est de tradition que le meilleur ami du défunt se tapesa veuve. " Elle était déjà consolée:
- " Chouette! Il est mignon? "
- " Je sais pas, je suis mort. "

J'éteignais mon ordinateur.J'en avais plein les charentaises de me faire occire bêtement pardes sauvages qui ne voulaient pas qu'on leur apporte le progrès,le crédit révolving et les fast-foods. Je pris Carole parla main:
- " Allons voir cette merveille que tu nous as préparée." Elle gloussa de plaisir. Je m'intéressais aussi àce qu'elle faisait.
Dans la cuisine, Ouissecasse léchait un reste de pâte aufond d'un saladier, sur l'évier. Au milieu de la table trônaitla merveille. Un gros gâteau. Au chocolat. Je laissai éclaterma joie:
- " Ouééé. Encore du chocolat. " Elle nereleva pas, tout à *** enthousiasme:
- " Tu as vu comme je l'ai bien réussi? Ça, c'est unmiroir au chocolat! "
- " Heureux, qui comme Ulysse, a fait un beau nappage... " Jeregardai l'heure. Une heure moins dix.
- " Heu, je ne voudrais pas paraître grossier, Choupinette,mais on devrait peut-être pas trop tarder à manger, si lesMüller arrivent à trois heures... " Elle maîtrisaitla situation:
- " Oâââh, cool! J'ai déjà fait lespâtes et la salade de tomates. Il ne me reste plus qu'à cuireles œufs. Si tu m'aides à mettre la table, on mange dans dixminutes. "

Ce fut en effet le cas. Des bons œufsdu jardin au plat, des spaghettis, des bonnes tomates du jardin également,le tout arrosé d'un petit rosé, pour nous, c'étaitle paradis. Nous mangions en plaisantant et en parlant de nos bêtes,source intarissable de conversation. Surtout Ouissecasse, qui m'avaitdonné quelques sueurs froides la nuit précédente.Carole revint sur ce qui avait excité *** instinct de prédateur:
- " C'est quand même une drôle d'idée de t'avoirmis un tampon... C'est pas à ça que ça sert... Moi,je préfère les serviettes. "
- " Si tu mettais des tampons, plutôt, je pourrais te faireplein de choses pendant tes règles. Tu ne sais pas ce que tu perds..." Elle parut intéressée:
- " Ah bon? Tu pourrais me faire... des choses quand même?"
- " Oui... Tu en reparleras avec Diane, elle met des tampons. Jepeux te dire que ça l'a pas gênée beaucoup, hier." Carole se rembrunit:
- " Bon, parlons d'autre chose, on mange... Tu m'aideras àpréparer le salon? "
- " Oui, bien sûr. Pendant que tu feras la vaisselle. "Carole et moi n'avons pas de lave-vaisselle. C'est elle qui tient àla faire, à la main. Comme maman.

Le repas achevé, je mis un peud'ordre dans le salon comme promis et disposai les meubles pour recevoirquatre per***nes**: deux fauteuils face au grand canapé d'angleen cuir jaune, une table basse ronde. J'entendais Carole qui faisait joyeusementla vaisselle en chantonnant " Dominique-nique-nique ". Je retapailes coussins sur le canapé -sauf celui du milieu, celui qui ronronnequand on le caresse. Heureusement, W ne faisait ses griffes que dehorset respectait le mobilier. Il ne peut pas avoir que des vices... Jepréparai le service à thé et à café,et allai rejoindre mon épouse pour me préparer. Elle avaitfini sa vaisselle.

Je m'habillai assez élégamment,bien que ce ne soit pas trop mon truc et qu'il fasse assez chaud. Maisdepuis l'orage, la température avait bien baissée. Je misune chemisette blanche, un noeud papillon rouge, un pantalon, des soulierset un petit gilet noir, comme ont les garçons de café. Jesais que Carole adore me voir vêtu comme ça. Ce n'étaitque justice, je voulais rendre hommage à sa beauté. Caroleétait habillée et avait fini de se maquiller. Elle n'aimepas trop ça, mais je trouve qu'elle se farde discrètementet avec goût. *** teint très clair s'accommode mal du peinturlurageà outrance. Elle avait défait sa longue tresse et avaitarrangé ses cheveux roux en cascade sur ses épaules, maintenuspar des pinces. Elle s'était fait des anglaises, elle savait queje l'adorais comme ça. Deux créoles agrémentaientses oreilles. Elle était presque prête:
- " Mon canard laqué, tu peux me lacer mes chaussures, alors?"
- " Bien sûr, ma cane blanche! " J'avançai verselle tel un aveugle se guidant de sa canne, histoire d'illustrer mon jeude mot hilarant qui la fit tout de même sourire. Elle s'assit surla chaise de sa table de maquillage et me tendit ses escarpins et sespieds. Elle avait remis ses pattes d'ours. Un jour, avec tous ces chaudset froids, je vais devenir impuissant. Je lui arrachai ses peaux de bêteset les jetai sous le lit. Carole pouffa:
- " Ben oui, j'avais encore froid... " Je m'agenouillai àses pieds et lui laça patiemment ses chaussures. J'adore voir sesmollets galbés enserrés dans les mailles de ses lacets.Je relevai sa robe - très peu! - et déposai un tendre baisersur *** string. Il était plutôt transparent et ne cachaitpas grand-chose... Je me félicitai de l'avoir pousséeà me laisser lui faire l'épilation du maillot. Elle s'étaitvexée quand je lui avait dit que " ses carottes râpéeslui sortaient du cabas ". Enfin, qui veut la fin...
chrislebo

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Carole avait revêtu *** tablier.Elle installait *** chef d'œuvre qui trônait dans un plat decristal sur la table basse, sous un napperon brodé. Elle mettaitla dernière touche à la décoration quand la clochedu portillon tinta. Je regardai ma montre: trois heures trois. Quelleponctualité suisse... Carole courut jeter *** tablier dans lacuisine:
- " Les voilà! Surveille le monstre! " Le troisièmecoussin avait relevé *** museau et humait l'ait avec intérêt.Je ne crois pas qu'il aurait goûté au gâteau, mai*** ne sait jamais ce que ces bêtes ont dans la tête. Carolealla ouvrir la porte et fit entrer Denis et Diane. Je me risquai àaller les accueillir. La porte n'était qu'à trois mètresde la table. Ils étaient très chics et rayonnants. Denisen chemise-cravate et pantalon blanc, Diane en robe courte, talons aiguilles,joliment maquillée et coiffée. Ses cheveux onduléstombant sur *** épaule droite étaient maintenus par unepince de l'autre côté. Je ne l'avais jamais vue ainsi. Elleme tendit un gros bouquet de fleurs en me faisant la bise. Elle me serradans ses bras et me glissa un " merci " langoureux dans l'oreille.Je fis la bise aussi à Denis qui me prit par la taille. Il tenaitune bouteille de cidre à la main. Il voulait me la donner maisj'étais occupé avec leur énorme bouquet. Carole,elle, était libre et voletait de l'un à l'autre. Ils poussèrenttous les deux un cri de ravissement en la détaillant:
- " Ohhh! Que tu es jolie! ahhh! " Je tempérai leur enthousiasme:
- " Et moi, je sens le mazout? " Diane me rassura:
- " Mais non, tu es très... élégant. "Je leur retournai le compliment:
- " Vous êtes très beaux vous aussi. On devrait soignernotre apparence plus souvent, c'est tellement plus agréable..." Ils étaient d'accord avec moi et déshabillaient Caroledu regard:
- " Oh oui! "
- " Merci pour les jolies fleurs, elles ***t très belles.Nous n'en avons pas de si ravissantes. " Je confiai le bouquet àCarole et prit la bouteille de Denis.

Je les invitai à s'installerdans le canapé et à surveiller W qui s'était dangereusementrapproché de l'ouvrage chocolaté, tandis que Carole disposaitles fleurs dans un vase et que je mettais le cidre au frais. Je pris lescommandes, une serviette sur le bras. Ma panoplie de garçon étaitcomplète. Carole préparait le café, elle étaitsûre qu'au moins nous deux en buvions:
- " Madame prendra? " Elle me susurra à voix basse:
- " Ton petit cul... " Elle reprit d'une voix normale. "Un café... je sais que Carole le fait très bien. "Denis compléta la commande:
- " Un café pour moi aussi. C'est vrai qu'il est trèsbon. Je ne sais pas si c'est la cuisinière, la cafetièreou le café, mais il est excellent... "
- " Ne cherchez pas, ce ***t les trois. " Je criai àl'adresse de Carole:
- " Deux cafés, deux! " Elle revenait justement s'asseoir:
- " Ne crie pas comme ça, sauvage! Le café est en route." Elle s'aperçut que W squattait les genoux de Diane. Commemoi, il adore les cuisses féminines:
- " Vire-le, s'il te gêne! " Diane parut choquée:
- " Oh non, il est trop mignon! Regarde comme il est câlin..." Il se blottissait sur ses genoux en lui mettant des coups de têteappuyés dans ses bras. " Comment il s'appelle, déjà?" Carole et moi répondîmes en même temps. Carole:
- " Ouissecasse. " Moi:
- " Dôbeulyou. " Je continuai: " À vrai dire,les deux. Dôbeulyou, c'est *** petit nom. *** initiale, plutôt." J'expliquai à nos invités la genèse de ***nom, et ils trouvèrent ça plutôt fumeux et plaignaientla pauvre bête d'avoir des maîtres si tordus. Surtout un.

Diane lâcha:
- " J'espère qu'on ne vous a pas trop gêné cematin. Nous avons été assez bruyants... " Carole répliqua:
- " Oh non! Ne soyez pas gênés! C'est tellement agréabled'entendre un couple prendre tant de plaisir... "
- " Tout ça, c'est grâce à Luc. Tu le savaispeut-être - tout se sait dans ce village - que nous allions divorcer.Quand j'ai surpris nos maris qui couchaient ensemble, j'ai bien cru quenotre mariage allait exploser pour de bon. Mais qu'est-ce que tu pensesde tout ça, toi? Comment tu l'as pris? "
- " Je peux te dire que je n'ai pas sauté de joie. C'est jamaisdrôle de se savoir cocue, même si on s'y attend. Pourtant,je peux te dire aussi que nous sommes un couple épanoui et décomplexé.Mais le principal est que nous continuions à nous aimer comme aupremier jour et que chacun prenne *** plaisir où il veut, sansêtre esclave de *** mariage. Le mariage, ce n'est pas une pri***." Diane était admirative:
- " Eh bien, tu m'épates. Sans vouloir te vexer, je te croyaisplus coincée que ça. " Et elle fixa *** décolletéet ses cuisses.

Carole exhiba ostensiblement *** gâteau.Per***ne ne lui en avait encore parlé. Je me dévouai:
- " Ma chérie, ton gâteau est vraiment superbe. Et qu'estce qu'il sent bon! Même Ouissecasse en veut! " Diane approuva:
- " C'est le fameux gâteau! Là, tu nous gâtes.C'est vrai qu'il sent bon! " Denis mit la dernière couchede cirage sur les escarpins de mon épouse dévouée:
- " Je te savais bonne cuisinière, mais je ne savais pas quetu étais une fine pâtissière! Tu vas nous faire grossir!Surtout Luc, il a mangé beaucoup de chocolat hier soir! "J'avais passé cet épisode sous silence. Carole releva:
- " Ah oui? Et tu fais un scandale quand c'est moi qui mange deschocolats devant la télé? " Je balayai le débat:
- " Mais non, c'est rien! Allez, sers-nous, et surtout ne te tachepas! " Elle découpa soigneusement le gâteau en quelquesgrosses parts à donner des cauchemars à une anorexique,en tirant *** charmant bout de langue rose. Elle me faisait penser àW, qui faisait la même chose par moments, je ne sais pas pourquoi.Nous étions tous trois muets, en apnée profonde dans ***décolleté. Je me demandais même si ces taches sombresque je voyais n'étaient pas le début de ses aréoles.Ses tétons n'étaient pas loin, à vrai dire. La pauvreétait loin de se douter que le gâteau, c'était elle.La cafetière eut une quinte de toux. Je me levai:
- " Je vais chercher le café. Ça doit être bon." Diane attaqua:
- " Alors Carole, Tu ne savais pas que ton petit Luc s'étaitgavé de chocolat? "
- " Non... Il ne s'en est pas vanté. Par contre, il m'a racontéles misères que vous lui avez faites... "
- " C'est un petit cachottier... Je lui avais bien dit de tout teraconter... En plus, c'est sûrement la première fois qu'ilmangeait une fondue au chocolat comme ça... " Carole étaitintéressée:
- " Une fondue? Ah bon? Comment tu la fais, toi? "
- " C'est très facile: je mets le chocolat à fondre...en moi. "
- "... "
- " Quand je sens que c'est prêt et que je ne peux plus meretenir, les convives viennent se servir directement. De la croupe auxlèvres... "

Diane prenait un plaisir évidentà confier *** petit secret à Carole. Pour me punir, sansdoute. J'attendais la fin de ses explications dans la cuisine. Je revinsm'asseoir, après avoir rapporté le plateau et servi toutle monde. Carole avait l'air absente, fascinée et incrédule:
- " Oui, c'est... pas banal... " Diane me gronda:
- " C'est pas bien de désobéir! Je suppose que tu n'aspas tout raconté? " Je changeai de sujet.
- " Oh...Presque tout... Alors, on le goûte, ce gâteau?" Il avait l'air moins écoeurant une fois coupé. Iln'y avait qu'une fine pellicule de chocolat, et Carole avait séparéla génoise en quatre tranches horizontales, fourrées avecdes choses différentes. Il sentait encore meilleur tranché.Il y avait plein de choses à l'intérieur. Je fis part demon admiration à mon petit cordon bleu:
- " Dis donc, ma chérie, je crois que tu t'es surpassée!Qu'est ce que tu as mis dedans? Du café? "
- " Il y en a. "
- " De la pistache? "
- " Il y en a. "
- " Des noisettes? "
- " Il y en a. Là, c'est tout. " Nous plagiions notrescène préférée des " tontons flingueurs", quand ils se beurrent au tord-boyaux dans la cuisine. Denis, quin'est pas très bavard d'habitude, se lâcha:
- " C'est tout simplement succulent. Je ne suis pas très pâtisseried'habitude, mais là, chapeau. J'en aurais bien repris si tu nenous avais pas déjà servis comme des rois. N'est-ce pas,chérie? " Diane aussi était sous le charme:
- " Oh oui, c'est bien vrai! Tu nous as vraiment gâtés.Je voulais vous inviter après-demain soir - je dois m'absenterquelques jours - Et acheter des pâtisseries. Je sais que c'est unpeu grossier de ma part, mais est-ce que tu pourrais te charger du dessert?Tu nous ferais un grand plaisir à tous, je crois! " Tout lemonde était d'accord, surtout Carole qui était aux anges.Elle a vraiment tous les talents -à part peut être quelqueslacunes en expression orale. Elle se leva pour ranger le reste du gâteau -Denis et Diane avaient pleuré pour pouvoir emporter le reste.Ouissecasse en profita pour sauter sur *** fauteuil. Elle se retournapour le caresser. Au lieu de se baisser, elle s'inclina, ce qu'elle nefait jamais d'habitude. Cela eut pour effet de découvrir ses fesseslarges et blanches. Elle le caressa assez longtemps pour que cela parutvraiment suspect. Denis et Diane étaient aux premières loges,et n'en perdaient pas une miette. Je suppose que d'où ils étaient,ils pouvaient même lire sur ses lèvres. Denis essayait demaîtriser *** sexe qui se dressait comme un seul homme et Dianeappuyait la paume de sa main sur *** pubis. Moi, je préféraisjouir de la vue d'ensemble. Carole est une vraie exhibitionniste! Ellese retourna enfin. Sa jupe était remontée devant aussi.Elle s'en rendait sûrement compte, mais affectait de ne pas y prêterattention. On voyait parfaitement le bas de *** string transparent quilui entrait entre les lèvres. Il était sombre et luisant.Elle était trempée.

Elle ramena le gâteau en cuisine.Je me levai pour la suivre, mais Diane m'attrapa par les testicules d'unepoigne de fer - elle était surexcitée par le petit spectaclede mon épouse - et grogna entre ses dents:
- " Dis donc petite pute, j'aime pas qu'on se foute de ma gueule.Tu m'as désobéi, tu vas me le payer. " Je me penchaià *** oreille, autant de douleur que par souci de discrétion:
- " Pitié, maîtresse, elle n'était pas prêteà entendre ça. En contrepartie, je l'ai préparéespécialement pour vous. J'ose espérer que sa tenue vousplait... "
- " Oui, d'accord. Mais je te punirai quand même. Tu n'as pasoublié que tu devais venir? "
- " Non, maîtresse, mais pour le plug? "
- " Laisse tomber, je m'en... " La cuisinière s'impatientait:
- " Chéri, je t'attends! Tu viens déboucher le cidre?" Je m'inclinai et baisai la main de Diane:
- " Merci de votre bonté, Maîtresse! " Elle sourit,et je rejoignais la reine du chocolat.
Carole était assise sur le coin de la table de la cuisine, lescuisses légèrement écartées. Je passai l'indexreplié sur *** string, le long de sa fente et le portai àmes lèvres. Je lui fis à l'oreille:
- " Il y a du jus de foufoune, là-dedans, non? "
- " Y en a. " Elle rajouta dans un souffle: " J'adore mesentir mouillée. " Elle redescendit et me tendit la bouteille:
- " Va-y, ouvre-la. Elle est bien fraîche maintenant. "
Carole mit le gâteau au frais tandis que je disposai la bouteilleet les verres sur un plateau. Nous avons regagné tous les deuxle salon. Je nous servais tous les quatre et nous avons trinquéà nous, et au gâteau de Carole.

Diane s'enquit de nos occupationsrespectives:
- " Carole, ça te dérange pas si je t'enlèveLuc quelques heures? "
- " Non, pas du tout, je pensais sortir de toute façon. Prenezvotre temps. "
- " Vous mangez à quelle heure? Si tu veux, je peux le garderà manger ce soir. Et tu peux venir le rejoindre. "
- " C'est bien que tu le proposes, parce que je ne sais vraimentpas quand je rentrerai. Je mangerai à l'extérieur, se seraplus simple pour tout le monde " Diane parut un peu déçue:elle devait se contenter de moi.
- " Tant pis, mais n'oublie pas que je vous ai invités après-demain!"
- " J'ai noté. Ce sera avec plaisir. Et j'apporterai le dessert.A moins que tu tiennes à nous faire profiter de ta fondue... "Carole avait prononcé cette dernière phrase avec inquiétude.Diane avait bien capté le message, mais affecta de ne pas l'avoirremarqué:
- " Ce serait avec plaisir. J'adore en faire profiter mes amis..."
Nous avons discuté encore pendant un bon moment, puis Denis etDiane prirent congé. Diane nous remercia:
- " Bien, on va y aller. Merci mille fois pour votre accueil si...chaleureux. " Elle lorgnait sur l'intimité de Carole. "Luc, tu viens quand tu veux, on t'attend. " Ils firent la bise -unpeu appuyée- à Carole et sortirent. Ils faillirent oublierleur gâteau, mais elle le leur tendit in extremis.

Nous les avons raccompagnésjusqu'au portillon en leur faisant un petit signe de la main. Carole medit:
- " Pendant que tu feras l'esclave chez nos voisins, je vais tenircompagnie à Mélanie. Elle doit m'attendre depuis un petitmoment, maintenant. " Elle prit *** sac à main et se préparaà sortir. Je la rappelai à la rai***:
- " Heu... dis-moi que tu ne vas pas sortir comme ça, et traverserle village le bonbon à l'air! " Elle se ravisa:
- " Mmm... Tu as rai***: soit je me fais violer par tous les perversque je ne manquerai pas de croiser soit je me fais brûler par toutesles bigotes du ****. " Elle enfila un imperméable léger,ce qui paraissait quand même suspect, vu le temps et la chaleurde la fin de ce mois de juin, et s'enfuit à grandes enjambées.Moi, je fermai la mai*** et l'imitai. Paré pour mon intronisationofficielle.
chrislebo

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BAPTEME PAIEN.
Ça faisait un quart d'heureque Denis et Diane m'attendaient, Ils avaient eu le temps de se changeren des tenues d'été plus décontractées. Ilsavaient aussi préparé ma venue, le salon avait un peu changéd'aspect: la disposition des meubles d'abord, et ensuite de nouveaux objetsétaient disposés au sol et sur une grande table. Ils m'accueillirentavec beaucoup d'affection, je dirais même de l'amour. Ils me déshabillèrententièrement tous les deux en silence, et m'embrassèrentla bouche et le corps ensemble. C'est Diane, comme à l'accoutumée,qui parlait:

- " Tu ne peux pas savoir àquel point tu nous as fait du bien. Notre amour était presque mort,et maintenant, nous nous aimons comme jamais auparavant. Tu as révélénotre sexualité, et nous fai***s l'amour avec une intensitételle que j'ai cru mourir. "
- " À vrai dire, nous avions bien cru que vous vous étiez
entretués ce matin... " - " Ça n'en n'était pas très loin. C'étaittrès violent... Mais vous avez pu vous en rendre compte... "
- " Oui... J'espère que nous n'avons pas brisé l'ambiance!" Elle rit:
- " Non, rassure-toi! Votre duo comique a détendu l'atmosphère.Nous étions -enfin, surtout moi- au bord de la crise de nerfs."
Elle alla s'asseoir sur le canapé, près du téléphoneet Denis, en face d'elle, dans un fauteuil. Elle m'invita à larejoindre de sa voix autoritaire:

- " Viens t'asseoir prèsde moi. À mes pieds. Et tu la fermes tant que tu es à mabotte. " Je vins m'agenouiller près d'elle, et me mis àmasser ses pieds avec dévotion. Elle décrocha et composaun numéro. J'entendais ***ner à l'autre bout de la ligne,longtemps, puis une voix nasillarde répondit. Je ne comprenaispas, mais je me doutais que c'était une voix féminine. Dianeétait très excitée, mais d'une excitation contenue,comme si elle préparait une énorme surprise. Ce n'étaitpas loin d'en être le cas:

- " Allo Tatie? C'est moi, Diane,ta petite nièce... Très bien, et toi? ... Oh, je ne saispas combien, mais ça fait un moment... " Elle activa l'amplificateursur la base du téléphone pour que nous profitions de laconversation. Je découvrais la voix de sa tante, qui avait l'aird'être une femme charmante:
- " ...ariage de ton cousin François, ça fait bienquatre ans. Je suis contente d'avoir de tes nouvelles. Mais que me vautton appel? "
- " Tatie, tu te souviens quand je vous avais surpris lors d'unede vos soirées... spéciales, quand j'avais une dizaine d'année?" Gisèle eut un petit rire:
- " Et comment... Petite canaille! Tu nous avais fait une peur bleue.Mais je suis fière de toi, tu as bien tenu ta langue... "
- " Et mes promesses. Tu te souviens de celle que je vous ai faite?"
- " Heu... Non, plus vraiment. Tu sais, le temps a passé depuis...C'était quoi? "
- " Tonton Serge est dans le coin? "
- " Non, il est parti faire une course en ville... Il ne devraitpas tarder. Je crois qu'il m'a ... Attends! je vois la voiture qui s'engagedans l'allée. Il sera bientôt là. Alors, de quoi tuparlais? "
- " Je préfère vous en parler quand vous serez tousles deux. "

Elles échangèrent quelquessouvenirs en attendant l'arrivée de Serge. Gisèle s'agita.Elle cria, probablement par une fenêtre:
- " Chéri, viens vite! C'est la petite Diane! " ÀDiane:
- " Il arrive. Je l'ai attrapé au vol, il allait repartirbricoler. Tu le verrais courir! Il t'aime vraiment beaucoup. Moi aussi,bien sûr! " Je les entendais discuter de manière fortjoyeuse entre eux. Ils réussirent à activer leur amplificateuraprès plusieurs tentatives:
- " C'est toi ma chérie? C'est tonton Serge! Ça va,mon petit coeur? " Diane était aux anges. Elle étaitrepartie dans *** enfance, chevaucher boul... Heu... Bullet.
- " Très bien, Tonton Serge! Tatie a eu le temps de te parler?"
- " Oui, mais je n'ai pas tout compris. Tu as un secret ànous révéler? "
- " Non... Tu te souviens, quand je vous ai surpris tous les deux,lors d'une soirée, quand j'étais gosse? "
- " Oui, très bien. On en reparle souvent, tous les deux,quand on évoque le bon vieux temps... "
- " Mais aussi, tu m'avais fait faire une promesse... Tu t'en souviens?" Je les entendais murmurer tous les deux, un petit moment.
- " Non, désolé. Même ta tante, qui a plus demémoire que moi, ne vois pas de quoi tu parles. Rafraîchis-nousla mémoire, s'il te plait... "
- " Je vais essayer de te citer d'après mes souvenirs: "C'est un jeu de grands que les petits enfants ne peuvent pas comprendre.C'est comme quand tu joues au docteur avec tes petits camarades. Un jour,tu comprendras. Ce jour-là, promets-nous de nous le dire, çanous fera très plaisir... "

Serge parut déçu:
- " Ah ça... Je ne voudrais pas te vexer, mais tu as passél'âge. Tu aurais dû savoir ça depuis longtemps... "Diane raffermit sa voix:
- " Je ne vous parle pas de savoir, mais de comprendre. J'ai su ceque vous faisiez vraiment quand j'ai eu seize ans. Là, je n'avaispas du tout envie de vous le faire savoir. J'ai eu la révélationhier. Je suis devenue une maîtresse, et en ce moment même,mon esclave me masse les pieds. " Serge bredouilla:
- " Je... Ça alors... Ma chérie! Quel bonheur! Je...C'est une grande nouvelle! " Gisèle prit le téléphone:
- " Oh ma grande! Comme je suis heureuse! C'est Denis, ton esclave?"
- " Non, c'est mon voisin. Denis nous regarde en ce moment. Ils étaienten train de s'envoyer en l'air quand je suis rentrée, Je me suissentie en position de *****. Je l'ai dominé rapidement, et il s'estlaissé faire de bon coeur. Nous en profitons maintenant tous lesdeux, mais c'est moi qui décide de tout, tout se passe selon monbon vouloir. "
- " Comment tu l'appelles, ton jouet? "
- " Je l'appelle petite pute, salope, conasse, traînée,souillon... " Gisèle s'attendait à une autre réponse:
- " Heu... Oui, si tu veux... Mais tu ne lui as pas donnéun nom? "
- " Ah non, je n'y ai pas pensé. Là, je ne vois pas."

Diane s'adressa à moi:
- " Comment tu t'appelles, petite conne? " Je baissais les yeux:
- " J'aimerais beaucoup que vous me donniez un nom de fille, maîtresse." Elle rit:
- " Vous l'avez entendue, cette petite sotte? Elle aimerait! Qu'estce que j'en ai à faire, de ses goûts! Enfin... Je veuxbien céder à ton dernier caprice. De toute façon,tu savais déjà que tu étais notre poupée gonflable... Je vais te donner un nom de femelle en chaleur, de star du porno ou depute. Voyons... Un nom qui finit en A ... ***ia... Non, j'ai une amiequi s'appelle comme ça... Alicia... Je ne crois pas en connaître.Ce n'est pas trop courant... Voilà, tu t'appelleras Alicia.J'espère que ton nouveau nom te plait, tu n'en auras pas d'autre."
- " Oh oui, maîtresse, je l'adore déjà. Vousavez beaucoup de goût. "

Gisèle se mit à rire:
- " Eh bien! Tu l'as bien dressée! Je sens que vous allezfaire de grandes choses, tous les trois! " Diane se rengorgea:
- " Et bientôt tous les quatre! Sa femme est sur le point deme tomber dans la main comme un fruit mûr. Et quel fruit! Je t'enverraides photos, c'est une vraie statue grecque. Avec des gros seins majestueux.Vous avez une boîte E-mail? "
- " Oui, C'est... [email protected]. Tu notes? " Diane griffonnarapidement l'adresse sur un bloc à côté du téléphone.
- " C'est fait. Dites, j'ai envie de lui faire une cérémonieofficielle, qu'est ce que vous en pensez? " Gisèle monopolisaitla conversation: Elle était aussi la maîtresse de Serge:
- " Mmm... C'est une bonne idée. Dans le genre baptêmeou rite initiatique, ce serait pas mal. J'en fais encore quelquefois.Tu sais, on nous envoie encore des esclaves à " éduquer" de temps en temps, il nous reste encore ce plaisir... "
- " Oui, je vais cogiter la chose. Je vais voir si j'ai ce qui fautà la mai***. Si on pouvait le faire ce soir, ce serait bien. "
- " Dis-moi, ma grande, tu pourrais passer à la mai***? Jecrois qu'on aurait plein de choses intéressantes pour toi. Nousne recevons plus beaucoup, maintenant, et nous avons beaucoup de matérielqui pourrait exalter tes fantasmes les plus fous. "
- " Eh bien, je dois passer demain à une centaine de kilomètresde chez vous, je ferai un saut. Par contre, je risque de passer tard."
- " C'est pas grave, tu sais bien qu'on vit la nuit... On va trierles affaires qui pourraient t'intéresser. Et Serge a plein de tenuesqu'il ne peut plus mettre. Il commence à faire ridicule dedans.Tu as ses mensurations? "
- " J'allais justement les prendre. C'est gentil. À demain,sûrement! Bisous! " Elle raccrocha:
- " Tu vois, tu as de la chance, il paraît que je suis unebonne maîtresse. Maintenant lève-toi, il faut que je prennetes mesures. "

Elle prit un double mètre decouturière sur la table et se mit à me mesurer sous tousles angles. Elle avait fini de remplir *** calepin:
- " Suis-moi. " Elle m'entraîna dans sa chambre et ouvritquelques tiroirs. Elle me fit essayer ses sous-vêtements. Je réussisà rentrer dans un vieux soutien-gorge extensible, une paire decollants, deux culottes -un peu grandes quand même. Elle me fitessayer ses vêtements, mais aucun ne m'allait: je nageais dans lesjupes et shorts et coinçais dans les hauts.

Diane était contrariée:
- " Il va falloir te faire une garde-robe. J'espère que lestenues d'Oncle Serge t'iront... " Elle eut une illumination:
- " Suis-moi au grenier: Je dois avoir des fripes qui traînent." Nous sommes montés au grenier. Il était propre etbien rangé -par rapport au notre- et très chaud. Heureusement,ma maîtresse n'avait pas jugé utile de me rhabiller. Elleouvrit quelques malles, et en sortit quelques articles, égalementpour elle. Elle fixa *** attention sur une robe de mariée, assezringarde, mais aux formes assez floues pour pouvoir m'aller:
- " Essaye-la. " J'étais un peu réticent. Je neconnaissais pas *** histoire, ni qui l'avait portée. Elle lisaitdans mes pensées:
- " N'aie pas peur, ce n'est pas la mienne, ni celle de ma mère!C'est une robe que j'ai achetée dans un lot à la salle desventes. Je pensais faire une affaire... Montre-moi que je ne l'ai pasachetée pour rien. "

J'enfilai la robe, elle m'allait àpeu près. Un peu vide toutefois au niveau du décolleté:L'ex-propriétaire devait faire un certain tonnage, comme moi... Elle parut plaire à Diane:
- " Ah! Elle te va bien! Il faudra que je t'achète des soutiens-gorgerembourrés, tu fais un peu plate quand même. J'adore lesgros seins. J'aimerais bien avoir ceux de Carole... "
- " Vous les aurez bientôt dans les mains, maîtresse..." Elle rit:
- " C'est pas ce que je voulais dire, conasse! Mais ça mefera bien plaisir quand même... mais voyons le reste... Ah, maisje me souvenais pas qu'il y avait tout ça! " En effet, ily avait, bien emballés, tous les accessoires de la mariée,la virginité exceptée. Il y avait même une petiteculotte avec un coeur brodé sur le devant.

Elle lut un papier de la salle desventes qui était resté à l'intérieur:
" Moi, Maître Ferguin, commissaire-priseur, Bla-Bla-Bla...Mettre en vente Bla-Bla-Bla... robe et trousseau de mariée complet,jamais porté Bla-Bla-Bla... Ah! Je me souviens: c'est un lot demeubles que j'avais acheté à un prix fort intéressant -le prix, parce que le reste, merci- suite à une tragédiefamiliale, une hécatombe l'avant-veille d'un mariage... Une tristehistoire, si je me souviens bien... "

Je mis la panoplie complète:la culotte, le porte-jarretelles, les bas, la jarretière, le bouquet,le chapeau à voilette. Seul le soutien-gorge -assez commun- etles escarpins -du trente-huit- ne m'allaient pas du tout. Les bas étaientassez courts, le porte-jarretelles me serrait un petit peu -je n'étaispas gros, mais je n'avais pas une taille de guêpe- et la jarretièretombait. Mais l'ensemble plut à ma maîtresse:
- " C'est ma foi pas mal. Je vais faire quelques retouches rapides,ça devrait aller. Déshabille-toi et redescendons. Nous avonsencore du travail. "

Nous sommes redescendus dans le salon.Denis n'était pas resté inactif, Diane avait dû luidonner des instructions. La grande table était dégagéeet quatre cordes étaient posées aux coins. Diane me la désigna:
- " Installe-toi, sur le dos pour commencer. " Ils entreprirentde m'épiler, chacun d'un côté, à l'orientale.Ils me pétrissaient un pain mou et collant sur la peau, me débarrassantrapidement de mes poils, pas très luxuriants il est vrai. Je meretournai pour le côté pile. On aurait dit qu'ils faisaientça le week-end sur les marchés tant ils semblaient àl'aise et adroits. J'étais épilé de partout, saufentre les fesses et le pubis. Diane écarta *** mari de la suitedes opérations:
- " C'est moi qui fais le plus douloureux. Et c'est moi qui doisla faire crier. " À moi: " Mets-toi au bord de la tableet écarte les cuisses. "

Denis m'attacha les chevilles aux pieds
de la table. Diane se plaça derrière moi: - " Ecarte les fesses! " J'obéis et poussai rapidementdes cris à chaque arrachage de poils. Je comprends pourquoi lesfemmes ne ***t pas chaudes pour se faire épiler de partout. Çapique... Une fois tout rose, Denis me détacha et je me retournaipour m'allonger au milieu de la table. Là, il m'attacha en croix,bras et jambes écartés. Diane reprit *** jardinage. Je croisque c'était encore pire devant, j'avais l'impression que ma peaupartait avec. Là, j'étais plus rouge que rose, et bien sûr,je criais tout ce que je pouvais. Diane aimait beaucoup. Une fois totalementdésherbé, Ils me frictionnèrent avec des huiles parfuméesqui calmèrent immédiatement mes brûlures -Diane seréservant encore les morceaux nobles. Elle me fit changer de position:
- " Mets-toi à quatre pattes sur la table. Mon chériva s'occuper de toi pendant que je retouche tes vêtements. Je resteici quand même, je ne voudrais pas rater ça. Chéri,fais bien attention à ne pas abîmer la table."

Elle s'installa sur le canapéavec les pièces à reprendre et *** nécessaire decouture. Denis s'absenta quelques instants et revint avec un seau d'eauchaude, des serviettes et une bassine. Il la plaça derrièremoi, entre mes jambes et me fit un lavement à quatre reprises avecun clystère assez ancien, sûrement une trouvaille de Diane.L'eau était assez chaude et me procurait une sensation assez agréable,avant d'être en quantité trop importante et de me donnerdes fris***s et des crampes dans le ventre. Une fois vidé, il melubrifia, ce qui adoucit un peu une sensation diffuse de brûlure.

Denis débarrassa et nettoyala table, après m'en avoir fait descendre. J'attendais, nu, deboutà côté de Diane. Elle avait retouché sommairementles coutures, ce qui ne lui avait pas pris trop longtemps. Elle me tenditles vêtements à essayer:
- " Ça te va, j'espère? " En effet, c'étaità peu près ça.
- " Oui, maîtresse, c'est parfait. "
- " Eh bien alors, prends tout ça et suis-moi. "

Je l'ai suivie à l'étage,dans une pièce de taille moyenne qui ressemblait à une chambred'appoint, équipée comme au début du (vingtième)siècle. Elle ne devait pas beaucoup servir, et servait plutôtde débarras... Elle me laissa là quelques minutes etrevint avec une petite valise, une perruque blonde et un coffret en bois,assez lourd apparemment. Elle posa le tout sur une petite table -en faitun cabinet de toilette à l'ancienne, avec un miroir, un broc etune jatte- et ouvrit le coffret. Il contenait de vieux bijoux sans valeur,oxydés, noirâtres et pleins de vert-de-gris. Elle piochadedans et me tendit des anneaux à essayer, un par un:
- " Non, mets-le à ton annulaire... La main droite. Essayecelui-ci... Non... Celui-là... Ah?... Non... "

J'en trouvai une dizaine à mataille -j'ai des mains fines et assez féminines, comme beaucoupde choses, Diane en choisit le plus abîmé. Ce devait êtredu plaqué argent il y a longtemps... Il était assez discretet était orné d'une tête de femme, un peu comme surun camée, un profil de beauté grecque. Comme je le détaillaisous toutes les coutures, enfilé à mon doigt, Diane s'enquitde mon avis:
- " Alors, celui-là te plaît? "
- " Oh oui! Beaucoup, Maîtresse! Avec cette jolie bague, jene pourrai plus ne pas penser à vous! " Elle gloussa:
- " Quelle vilaine petite flatteuse! Tu ne vas pas m'attendrir commeça... "
- " Je ne recherche que votre satisfaction, maîtresse... "
- " Bien. Rends-moi l'anneau. Assieds-toi à la table. "Elle m'essaya la perruque. C'était un modèle bas de gamme,du genre qu'on trouve dans les farces et attrapes. Diane dût voirma grimace -involontaire- dans la glace:
- " Elle n'est pas très belle, en effet, mais c'est tout ceque j'ai pour le moment. Je l'ai trouvée dans les affaires de monfils. Lui aussi aime bien se déguiser! " La longueur de mescheveux l'ennuyait, ils dépassaient. Comme c'est un domaine quidébordait sur ma " vie civile ", elle me questionna sérieusement:
- " Heu... Il faudrait que je te coupe les cheveux... Pas àras, hein, juste un peu court. Ça te dérange pas? "
- " Non, vas-y! Pour tout dire, Carole me tarabuste depuis des moispour qu'elle puisse me déboiser un peu. Elle aime les hommes virils,les G.I. Joe. " Je me contemplai dans la glace, avec ma perruqueblonde, à côté de ma robe de mariée. Je faisaisplutôt " Barbie se marie " que " G.I. Joe sauve lemonde libre... ". Elle me défricha à la tondeuse. Cedevait être elle qui coiffait Denis. J'avais à peu prèsla même coupe, mais en plus court. J'essayai la perruque: Impeccable.J'aurais fait fureur au carnaval de Dunkerque*.
chrislebo

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Vint ensuite le maquillage. Elle fitplusieurs essais, de diverses teintes et techniques. Elle finit par trouverce qu'elle cherchait:
- " Regarde bien, car ce sera à toi de te maquiller. Tu devrast'entraîner. Je te renverrai si le résultat ne me plait pas.Si tu es vraiment trop mauvaise, et qu'il faille que je le fasse moi-même,je te le ferai. Après t'avoir fouettée, bien sûr..." Elle m'appliquait divers produits à la suite des autres,dans un ordre précis. Heureusement, j'ai pu prendre des notes.Rien que le maquillage a pris trois quarts d'heure d'essais divers, maisça valait le coup: elle avait réussi à masquer toutmon -petit- côté masculin. J'avais une petite bouche sensuelleet pulpeuse, de beaux yeux en amande, bien fardés, des longs cilsnoirs, des sourcils fins et crayonnés, un visage doux et attirant...Je succombai au syndrome de Narcisse. J'étais attirée parmon reflet, fascinée, et je pris une voix féminine. Depuisplusieurs années, à l'insu de Carole, pendant ses absences,je mettais ses vêtements trop grands pour me travestir, et affinaisma voix. Je m'étais même enregistrée pour pouvoirjuger de *** effet. J'avais une voix assez grave et chaude, trèsféminine. Pas une voix de fausset ou de folle... Je m'étaisfait beaucoup d'effet, d'autant que je me faisais des propositions indécentessur la bande... Ça sert d'avoir une pomme d'Adam sous-développée.

Ce soir serait mon grand soir. J'espéraisêtre digne de la malheureuse à qui je devais la robe. Malgrél'interdiction, je me risquai à parler:
- " Si j'osais, Maîtresse... "
- " Oui? "
- " Vous avez des doigts de fée. Vous avez fait de moi unefille tout à fait désirable... " Elle sourit:
- " Oui, je ne suis pas mécontente de moi... J'ai réussià te rendre présentable. " Elle me contempla sous tousles angles pour trouver ce qui clochait en moi:
- " Tes petits seins ***t mignons, mais il va falloir que je rembourreun peu ta robe. Je vais essayer de remplir mon vieux soutien-gorge etque ça ait l'air naturel. Mais c'est du provisoire: je vais fairede toi une vraie femme. " Elle me démaquilla et m'enleva laperruque:
- " On te préparera après dîner. Je veux laisserla surprise complète à Denis. " Elle fourrageait dansle coffre à bijoux:
- " Descends rejoindre Denis dans *** bureau. S'il te touche, tului diras d'attendre ce soir. De ma part. Tu sais où c'est? "
- " Non maîtresse, je n'y suis jamais allée. "
" Heu... Passe par la cuisine, ce sera plus simple pour toi. Tu traverses,et c'est la porte au fond à gauche. "

Je suis descendu, entièrementnu, en quête de Denis. Il était dans un petit réduit,le local ou était le système de surveillance. J'entrai,il y avait juste de la place pour deux. Je dis sobrement:
- " Me voici. " Il s'empressa de caresser mon sexe. Il étaitplus à l'aise avec moi quand Diane n'était pas là.Je le repoussai gentiment:
- " Maîtresse Diane vous prie de bien vouloir patienter jusqu'àce soir. " Il semblait à la fois déçu et excitépar mon refus.
- " Elle a rai***: je bande en pensant à toi depuis ce matin.Enfin, maintenant, je pense surtout à Carole... Ce doit êtreune belle salope, non? "
- " Oui, et je l'aime beaucoup. Je veux ce qu'il y a de meilleurpour elle, qu'elle soit heureuse. "
- " Bien. Pen***s à autre chose, sinon je vais finir par jouirsans même me toucher... Au boulot! J'ai presque fini de sauvegarderles vidéos. Au fait, tu peux parler librement. Ce sera plus simple." Je jetais un oeil sur la régie numérique. Elle dataitun peu, mais c'était du très haut de gamme. L'ex-propriodevait travailler dans les services secrets, ou quelque chose comme ça.
- " Il y a combien de vidéos? "
- " Il y en a une douzaine. Mais rassure-toi, les camérasse déclenchent que si une présence est détectée.Elles vont de quelques secondes à deux heures... "
- " Quand même... Ça fait du travail... et un paquetde caméras... "
- " Figure-toi qu'il y en a une vingtaine! On a mis du temps àles repérer, elles ***t noyées dans le décor. Letype qui habitait là avant était parano. Mais tu l'as connu,peut-être? "
- " Non. Je ne connaissais que les propriétaires précédents,c'était mes voisins. Je suis parti longtemps... " Denis avaitfini:
- " Ça y est! On va sur mon ordinateur, maintenant. "

Denis avait un superbe logiciel demontage vidéo, mais ne savait visiblement pas s'en servir. Je luiexpliquais:
- " Le plus simple, c'est d'activer plusieurs fenêtres en mêmetemps, et de choisir le meilleur plan. Tu vois... " Nous avions lesyeux rivés sur le moniteur tous les deux... C'était la premièrefois que je me voyais dans un film porno. L'image était relativementde bonne qualité. La caméra était un peu aveugléepar les points lumineux des photophores, mais l'effet n'était pasdésagréable. Le ***, par contre, était faiblard.Un panneau de contrôle permit de l'amplifier et de le rendre plusclair. Ce n'était pas génial, mais le tout donnait un côté" images volées " assez séduisant. En utilisantles zooms numériques et le traitement de l'image, cela donnaitun résultat tout à fait convaincant. Le montage vidéose fit plus rapidement que j'aurais cru, le plus pénible étaitd'obtenir l'effet recherché sur le spectateur sans y succombersoi-même. Denis et moi étions dans le même état.Il lâcha, d'une voix sourde:
- " Quand même, ma Diane, quelle belle salope... Putain,qu'est-ce qu'elle m'excite quand elle fait sa chienne comme ça... "

La chienne en question vint apprécierl'avancée de notre chef d'oeuvre, un soutien-gorge à lamain:
- " Alors, mes chéris, ça donne quoi? " Je luirepassais le début - qu'elle n'avait pas vu en direct- jusqu'à*** arrivée, sa " prise en main " et le premier orgasmede Denis. J'avais même laissé le " pipi au bois ".Elle était enchantée:
- " C'est merveilleux! vous avez fait là un travail de pro!J'en suis toute moite... et vous aussi! " Elle avait mis ses mainssur nos sexes en entrant dans le pantalon de Denis. Elle reprit:
- " Tiens, je suis venu te faire essayer ton soutien-gorge. Je mesuis donné du mal, j'espère que ça va aller. "Je tournai le dos à Denis pour qu'il n'en voie rien. Diane avaitrembourré le bas de *** soutien-gorge pour remonter mes petitsseins. Le résultat était plutôt satisfaisant, maiselle avait l'air dubitative. Elle voyait que je caressais mon soutien-gorgeavec plaisir:
- " Qu'est-ce que tu en penses? C'est bien? "
- " Oh oui Maîtresse! Je ne pensais pas que vous auriez puobtenir un tel résultat! Voyez les beaux seins que ça mefait! " Denis tendait le cou, mais il ne vit rien. Diane semblaitconvaincue par mon enthousiasme.
- " Bon, si ça te plait... Enlève-le. Vous avez asseztravaillé... À table, c'est prêt. "

Nous sommes passés dans la salleà manger. J'étais toujours entièrement nu, et j'avaisun peu froid dans leur vieille mai***. Diane était assise en facede Denis, moi à côté de lui. Elle me dictait mes règlesde bonne conduite au fur et à mesure:
- " Tiens-toi droite, les deux mains sur la table, les yeux baissés... Tu ne parleras pas, à moins qu'on t'adresse la parole... Tu mangerassi on pense à te donner quelque chose. Tu ne réclameraspas... Tu n'aura que ce qu'on voudra te donner, et tu le mangeras... Tu te laisseras faire sans rien dire si on a envie de toi, ou de te peloter.Tu feras le service, si on te le demande, et après, tu t'occuperasde nous... Bien sûr on fera de toi ce qu'on voudra, et ce àchaque instant. "

La table était superbe, bien décorée, la belle vaisselleétait de sortie. Un chandelier de chaque côté de leursassiettes les baignait dans une atmosphère romantique. Diane avaitservi l'entrée, une terrine de coquille Saint-Jacques, accompagnéesde fruits de mer, le tout arrosé de vin blanc. J'étais exclude leur couple. Ils mangeaient les yeux dans les yeux, se roucoulant despromesses et des mots doux, se caressant du pied sous la table. Moi, j'avaisles yeux baissés sur mon écuelle de porridge en terre cuite,posée à côté d'une méchante cuillèreen bois. Je sentais la bonne odeur me monter aux narines. J'avais faim,et malgré la dramatique simplicité de mon repas, je sentaisqu'il avait été préparé avec beaucoup d'amour: elle y avait rajouté un peu de vanille... Je lui avais confiéune fois que c'était un truc de ma maman pour donner plus de goût...

Cette délicate attention mefit pleurer en silence dans mon coin. Diane s'en aperçut et jesentais le trouble dans sa voix:
- " Mais tu pleures, petite sotte! Débarrasse les assietteset va chercher la suite dans le four. " Je m'exécutai, toujoursles yeux baissés. Les assiettes étaient chaudes. Je n'aipas trop compris ce que c'était, mais ça sentait trèsbon. Il y avait de la viande en sauce, genre madère, avec diverslégumes bien préparés autour. Je regagnai ma place.Diane me donna le feu vert:
- " C'est bon, tu peux manger. Mais ne fait pas de bruit. J'ai horreurde ça. " J'avais à peine commencé à mangerma bouillie que Denis posa la main sur ma cuisse et me la pétrissaissans douceur, tout en continuant à deviser avec *** épouse.Je tentais de me dérober, mais Diane s'en aperçut:
- " Mais laisse-toi faire, idiote! " Elle se rappela ses propresconsignes: " C'est bon, tu peux te laisser peloter, maintenant! Jesuis là! " Je me laissai donc faire. Il m'enleva ma cuillèrequ'il posa dans mon porridge pour mettre ma main gauche sur *** sexe.Je continuai à manger de la droite tout en le masturbant doucement,*** pantalon dégrafé. Denis était curieux de voirce que lui préparait *** épouse, et lui en fit part. Dianene voulait pas trop en dire:
- " Tu verras bien. La cérémonie que j'ai imaginéese passera entre elle et moi. Tu serviras de témoin, et... d'instrument.Je crois que nous allons bien nous amuser. " Elle se tourna versmoi:
- " C'est bon, nous avons fini. Va chercher le fromage. " Jeme levai en léchant ma main mouillée par le sexe de Deniset rapportai la suite. Puis vint le dessert -une part de gâteauau chocolat qui me disait quelque chose- et le café. J'eus àpeine le temps de finir mon écuelle. Ils sirotaient leur caféquand Diane demanda à *** époux:
- " Tu t'es déjà fait sucer sous la table, mon amour?" Denis était émoustillé:
- " Ah non, jamais! Mais j'ai bien envie d'essayer. Tu crois quetoi aussi, tu pourrais te faire lécher? "
- " C'est justement ce que je me demandais... À toi l'honneur,mon chéri. " A moi :
- " Salope, viens sucer mon homme! " C'était aussi mapremière fois. Je pris beaucoup de plaisir à engloutir lesexe de Denis en les écoutant discuter tranquillement. Diane mecaressait du pied, délicatement. Lorsqu'elle sentit l'orgasme deDenis approcher, Elle enfonça *********** *** gros orteil dansmon trou bien lubrifié, ce qui nous fit crier ensemble, lui deplaisir, moi de douleur. Je finissais de le nettoyer quand Diane, passablementexcitée, s'impatienta:
- " Allez, viens me lécher, salope! C'est à moi dejouir maintenant. " J'enlevai sa jolie petite culotte rose et bienmouillée et elle avança *** bassin pour m'offrir sa vulveà manger. La dernière fois, -la veille- elle avait encoreun tampon, mais je sentais qu'elle avait dû faire l'amour trèsrécemment. Peut-être avant que j'arrive? Elle écartales cuisses et posa ses talons sur mon dos. Je lui prodiguais de grandscoups de langue appuyés, des fesses au clitoris. Elle soupiraittrès fort, et grogna à l'adresse de Denis:
- " Caresse-la avec ton pied, elle sera encore meilleure. "Denis était moins doué que Diane pour les caresses et mefaisait assez mal. Comme je me suis vite rendu compte que mes cris l'excitaientbeaucoup, j'exagérais la douleur que je ressentais. Elle jouitintensément en poussant des grognements obscènes, mon visageenfoui dans *** sexe. Nous sommes restés ainsi tous trois, de longuesminutes. Ses pieds commençaient à me faire très malquand elle bougea:
- " Allez, débarrasse la table, va te débarbouiller,et monte dans la chambre. Je te rejoins. "

Une fois rafraîchie, j'attendais,assise à ma table de toilette, passant les produits de maquillageen revue. J'entendais parler et déplacer des meubles en bas. Dianevint me rejoindre quelques minutes plus tard et m'ajusta mes sous-vêtements,soutien-gorge, culotte, porte-jarretelles, bas et jarretière, m'enfilama robe et vérifia le décolleté qui semblait luiconvenir enfin. Elle me maquilla d'un geste sûr et rapide, ellene mit qu'un quart d'heure ce coup-ci:
- " Tu verras, ça a l'air compliqué, mais toi aussitu y arriveras vite. La perruque, maintenant. " Elle avait dûlui donner un coup de laque ou de je-ne-sais-quoi, toujours est-il qu'elleétait beaucoup plus belle. Et moi aussi, par la même occasion.Diane tenait d'autres vieux bijoux dans les mains:
- " Maintenant, la touche finale. " Elle me passa un collierdu même tonneau que la bague, assez " art déco ",ainsi que de lourds pendants d'oreilles, à clips heureusement.Les fixations avaient l'air récentes:
- " Je t'ai bricolé les boucles d'oreilles. Je ne crois pasque tu aurais apprécié que je te les perces. Voilààà...Tu es toute belle. " Je me coiffai du chapeau en rabattant la voilettesur mon visage. Je me contemplais en pied dans la glace d'une grande armoire.Les larmes me montaient aux yeux. Je lui volais un baiser sur la joueet me répandant en remerciements:
- " Oh, maîtresse! Merci infiniment! Je fais une superbe mariée.Je suis prête pour la nuit de noces! "
Diane me couvait d'un regard amusé. Elle n'avait rien dit pourle baiser:
- " Tu sais, Si je te rends à peu près belle, c'estplus pour nous que pour toi... Enfin, si ça te fait plaisir aussi,tu seras peut-être un peu plus servile... " Elle sembla sesouvenir de quelque chose. Elle redescendit en courant chercher un objetau salon. C'était le tube de lubrifiant. Elle me fit mettre enposition:
- " Relève ta robe et penche-toi en avant. Baisse ta culotte,écarte les fesses... voilà. Je crois que tu en auras bienbesoin. " Elle m'avait encore lubrifiée abondamment.
- " Attends ici que je t'appelle. Tu descendras alors l'escaliertrès doucement, qu'on prenne bien le temps de te regarder. Ah!j'ai oublié les chaussures. Je vais te donner mes mules: elles***t blanches aussi, avec un revers de fourrure. C'est du trente sept,mais tu t'en contenteras. " Elle sortit et referma la porte. Ellel'entrouvrit quelques secondes plus tard, me jeta les mules par terre,en passant juste la main par la porte entrouverte. Je l'entendais se changerbruyamment dans sa chambre, redescendre au salon, puis s'agiter encoreen ayant une discussion animée avec Denis. Un léger murmureet le calme revint.
chrislebo

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Soudain, la voix forte et claire deDiane ré***na dans la mai***:
- " Faites comparaître l'esclave! " C'était trèsthéâtral, j'adore les mises en scènes. Elle devaits'adresser à des gardes imaginaires... Je me présentaisen haut des marches. Elle était assise sur ce qui figurait un trône,au milieu du salon, face à l'escalier. En fait je n'en voyais qu'unetenture rouge sous elle. Diane était impériale; elle avaitrevêtu une tenue de cheval d'avant guerre, un costume d'amazone:une veste en tweed sur une chemise à jabot, une longue jupe droite,des bottes de cheval, une cravache dans une main, un document dans l'autre.Elle était coiffée d'un chapeau à large bords etdevait mourir de chaud. Elle avait sûrement trouvé sa panoplieau grenier, elle aussi...

Denis se tenait à ses côtés,en retrait. Il était entièrement nu, une cape et une cagoulegenre bourreau, noirs, et visiblement improvisés. Quoique je nepouvais pas voir *** visage, je me rendais compte par l'aiguille de ***excitomètre que je lui faisais mon petit effet...

Je descendais les marches tout doucement,en ondulant des hanches. C'étaient mes premiers pas de femme enpublic... Arrivée en bas des marches, Diane me fit signe de m'arrêter.Elle saisit *** appareil photo -dans *** métier elle étaitamenée à l'utiliser souvent- et pris quelques clichés:pas très protocolaire, mais on manquait de per***nel...

Elle me fit m'agenouiller juste devantelle, Je relevai ma robe et l'arrangeai autour de moi pour ne pas la froisser.Ma maîtresse parla, s'aidant de *** parchemin:
- " Esclave, tu es ici pour devenir la propriété pleineet entière de Maître Denis et Maîtresse Diane. Es-tud'accord? "
- " Oui maîtresse, Si vous me faites l'honneur de m'accepter."
- " Dans ce cas, je vais te lire tes obligations et tes droits: tudois obéissance à tes maîtres, faire ce qu'ils jugerontbon de te faire faire. Tu ne parleras que si tu y es invitée, situ le juges absolument nécessaire pour bien servir, ou pour invoquerles limites de loyauté " Je ne voyais pas ce que c'était.Elle continua:
- " Tu les serviras comme tu serviras toutes les per***nes visitanttes maîtres. Tu ne te plaindras ni réclameras. À table,tu te tiendras la tête baissée, les mains jointes et tu attendrasqu'on te dise de manger ce qu'on te donnera, ou de servir. Ce sera laposture que tu devras tenir quand tu ne serviras pas. Tu seras utilisépour l'agrément de tes maîtres, et seras prise ou battuecomme bon leur semblera. Esclave! Consens-tu à servir sans réservetes nouveaux maîtres? " Elle brandit sa cravache.
- " Oui Maîtresse, j'y consens avec joie et me remets entrevos mains, à votre discrétion. "
- " Alors qu'il en soit ainsi! " Elle me frappa les joues dedeux coups de cravache cinglants. Je restai stoïque, mais ne putretenir mes larmes.
- " Esclave! Tends la main droite! " Elle me passa l'anneauque j'avais essayé plus tôt:
- " Ceci est ta marque d'esclave. Désormais, tu répondrasau nom D'Alicia. " Elle continua:
- " Esclave Alicia! Tu es depuis peu de temps au service de tes maîtres,mais tu les as déjà trahis en cachant des choses que pourtantta maîtresse t'a ordonné de révéler. Tu serasdonc punie. Tu ne pourra ni demander grâce ni invoquer les limitesde loyauté. Tu seras battue et torturée selon la fantaisiede tes maîtres, le temps qu'ils jugeront utile. Esclave Alicia!Contestes-tu cette décision? " Encore " les limites deloyauté" ...en fait, c'était les limites de ce queje pouvais supporter sans crier " pouce! " si mon traitementdevenait intolérable.
- " Non, maîtresse. Je suis coupable, et je ne demande qu'àracheter ma faute. Je m'en remets à votre justice. " J'avaistrop parlé, et gâché un peu ses effets:
- " Esclave Alicia! Tu seras donc tourmentée ce soir même,en lieu et place d'une fête que tout esclave mérite àl'entrée au service d'un nouveau maître. " Le coup dela fête, c'est pour me rendre la punition plus amère. Jen'ai jamais entendu parler de fête à cette occasion... La cérémonie était déjà finie:
- " Bourreau! Punis-la comme elle le mérite! "

Denis-le-bourreau me releva sans ménagementet m'allongea à plat ventre sur la grande table, en travers cettefois, de sorte que j'avais les pieds par terre et la tête au bordde la table. Il m'entrava les mains derrière le dos, m'enleva maculotte et m'écarta les cuisses au maximum en attachant mes chevillesaux pieds de la table. Il releva ma robe sur le dos, offrant àsa vue ma croupe encore rose gainée de lingerie fine. Diane tenditla cravache à Denis, tira une chaise, tomba la veste de tweed décidémenttrop chaude et vint s'asseoir devant moi:
- " Bourreau! cent coups de fouet pour cette catin! " Les coupstombaient sur mes fesses, mes cuisses et le bas de mon dos, trèsespacés. Il choisissait avec soin l'endroit suivant, et me faisaittrès mal. C'était une punition, et je me dis que c'étaitnormal de souffrir autant. Diane ôta délicatement mon chapeauet prit ma tête dans ses mains pour mieux voir les larmes qui naissaientaux coins de mes yeux. Elle me fixait avec un plaisir évident,guettant mes sursauts et mes gémissements de douleur. Elle ressortit*** appareil et repris quelques clichés. J'essayais de faire bonnefigure.

Elle me parla doucement, comme on consoleun enfant:
- " Tu as mal, n'est ce pas? "
- " Oui, maîtresse. J'espère que... ahh! ...mes souffrancesvous agréent. "
- " Au fond, tu es une bonne esclave. Il ne faut plus nous décevoir,tu sais? Il faudrait encore qu'on te punisse, et nous avons mieux àfaire. " Elle continuait à contempler mon visage:
- " Tu es très belle, et tu nous fais très bien l'amour.Je suis heureuse de t'avoir achetée. "
- " Je vous demande pardon, maîtr... Aie! ...tresse! Pardon!"
Elle ne dit plus un mot jusqu'à la fin de mon supplice, se contentantde me sourire en se caressant sous sa longue jupe. Je vis alors qu'elleportait des bas noirs. Les coups cessèrent. J'avais perdu le fil,mais je devais avoir eu mon compte. Diane se releva:
- " Bourreau! As-tu envie de déshonorer cette petite salope?"
- " Oui madame! " Ça faisait longtemps qu'il attendait...
- " Alors va dans sa bouche. "

Ils échangèrent leurplace. Je suçai Denis avec application. Etant entravée,je ne pouvais ni le caresser ni le guider, et il se mit à s'enfonceren moi de plus en plus profond, sans prêter attention à mesplaintes. Diane, de *** côté, m'avait enserré le sexecomme la veille dans une cordelette et y avait suspendu quelque chosed'assez lourd. Elle entreprit de me sodomiser avec un objet, et je crusreconnaître la bougie de la veille qu'elle m'enfonça de plusen plus profondément. C'est vite devenu très douloureux,presque insupportable, quoique je fus vaste et bien lubrifiée.J'étais à peine remise de mes aventures de la soiréeprécédente...

Elle arrêta lorsqu'elle estimaqu'elle m'avait assez dilatée. Elle me glissa un lien sous le ventreet y attacha mon gode improvisé pour le maintenir en place. Ellele renfonça encore un peu car il avait dû ressortir. Ellem'administra encore une vingtaine de coups de cravache, le temps que Denisjouisse dans ma bouche. Elle devait être fortement excitéecar elle me faisait très mal, bien plus que Denis. Je continuaià le sucer en gémissant encore quelques instants, le tempsque *** érection diminue.

Diane avait assez attendu:
- " Viens me faire l'amour, mon gros loup! " Elle lui arrachale peu de tissu qu'il avait sur lui et elle commença à sedéshabiller également. Elle devait avoir très chaud,je sentis une bouffée de chaleur et de transpiration à côtéde moi. Une odeur de vieux vêtements, aussi... Elle me banda lesyeux pour que je me voie rien de leur étreinte, et m'enfourna unepetite pomme dans la bouche, maintenue par un bâillon. Je ne pouvaisque les écouter et imaginer leurs ébats: Ils se caressaientet s'embrassaient furieusement à mes côtés. Denislui souffla:
- " Non! Garde tes bas et ton soutien-gorge. J'adore la lingerie,c'est si rare que tu en mettes... "
- " J'ai chaud, mon amour... Mais je veux bien souffrir pour toi..." Ils s'affalèrent sur le canapé, derrière moi.Je me rendis compte qu'ils n'avaient pas fait l'amour ensemble hier :ils s'étaient seulement servis de moi, tous les deux. J'étaistout ouïe, malgré ma position inconfortable et les douleurslancinantes qui me taraudaient. Denis, qui venait de prendre *** plaisir,était un peu à la traîne de Diane, et avait du malà avoir une nouvelle érection:
- " J'ai envie que tu me suces aussi, ma chérie... "
- " Non, tu sais que j'aime pas ça... pense au cul d'Alicia...regarde comme je l'ai bien défoncée... Mais lèche-moi,toi... bouffe-moi! " Diane avait encore des blocages qui contrariaientleurs rapports, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir un vocabulairetrès cru quand elle était excitée. J'étaislà pour satisfaire leurs goûts respectifs sans qu'ils aienteux-mêmes à payer de leur per***ne... Enfin, surtout en cequi concerne Diane. Denis, lui, ne refusait rien, pour l'instant. Il lapait*** épouse qui avait l'air d'apprécier:
- " Oh oui... Vas-y bien à fond... Non, pas là, j'aimepas... Oui, c'est mieux... Prends-moi, maintenant... Tu n'es pas assezdur... Mets-toi à quatre pattes, je vais te caresser... Oh, maistu aimes ça, quand je te mets mes doigts... Tu aimes bien te fairetraire, aussi... Allonge-toi, tu es assez dur maintenant. " Denisavait *** mot à dire:
- " Non viens par là, j'ai envie de te prendre en levrette!"
- " Pas comme ça. Je sais ce que tu as en tête: tu nepense qu'à m'enculer. Tu la baiseras comme ça tant que tuveux, mais pas moi. " Denis était déçu:
- " Bon... allonge-toi sur le canapé, alors... " Ellene répondit pas, je supposais qu'elle avait accepté. Ilspoussaient des soupirs profonds, au rythme des craquements du sofa. Celadura quelques minutes jusqu'à ce que Diane atteigne la jouissance.Elle était encore plus crue au début de *** orgasme:
- " Oui! oui! Vas-y! Baise-moi à fond! Défonce-moi!" Suivi par une série de cris déchirants. Le calme -entrecoupé de mes gémissements- était retombé.

Elle devait rompre le silence quelquesinstants plus tard:
- " Ça va pas, mon chéri? Tu n'as pas pris ton plaisir?Pourquoi tu regardes *** cul, tu as envie de finir en elle? " Denissemblait soucieux:
- " Non... Je vais voir, je crois qu'il se passe quelque chose depas normal. "
- Laisse-lui savourer le goût de la désobéissance..."
- " Je vais voir quand même. " Il s'approcha de moi etestima que je devais souffrir plus que de rai***. Je me trémoussaispour échapper à mes tourments, mais je ne parvenais qu'àenfoncer toujours plus la bougie et à resserrer le noeud coulantqui ********** mon sexe et mes testicules:
- " Tu n'as pas été de main morte! Tu as trop serrétes cordes! Et ces marques!... " Il me libéra de ma bougie.Je me sentais grande ouverte, et le soulagement fut immédiat. Parcontre, lorsqu'il détacha mon sexe étranglé, le retourde la circulation me donna l'impression d'avoir des lames de rasoir dansles veines. Denis rejoignit *** épouse sur le canapé, etles craquements reprirent. Diane chercha à stimuler *** mari:
- " Allonge-toi par terre, je vais te finir. "
- " D'accord, mais mets-toi à l'envers. J'adore regarder toncul bouger. Tu pourras me peloter les couilles plus facilement, aussi."
Les halètements reprirent, et Denis finit par succomber aux assautsde *** épouse. Elle lui dit juste après:
- " Enlève ton doigt, tu me fais un peu mal. " C'étaitdécidément une idée fixe. Apparemment, on avait lamême, tous les deux...

Elle se leva et vint inspecter macroupe. Elle fit quelques commentaires, teintés d'une satisfactionnon dissimulée:
- " Ah oui! Je t'ai bien baptisée, petite salope. Ton culgardera longtemps les marques de ta honte. " Elle fouilla mon culendolori de ses doigts jusqu'à me faire crier. Mais j'étaistoujours bâillonnée:
- " Ah oui, je t'ai bien dépucelée! Je pourrais t'enfoncermon poing, si je le voulais... Mais c'est peut-être le désirde mon époux? Tu veux que je la défonce pour toi, mon chéri?" Denis avait pitié de moi:
- " Viens me rejoindre, mon amour. Laisse-la toute seule dans ***coin, je crois que ce sera sa meilleure punition. " Elle retira sesdoigts, m'embrassa les fesses, puis me les tapota:
- " Je sens qu'on va tirer beaucoup de plaisir de toi... Tu prendsquelque chose, chéri? " Denis lui répondit:
- " Je vais prendre un whisky... " Elle servit deux verres,s'absenta pour aller chercher des glaçons, et entraîna ***mari à *** retour:
- " Viens, chéri, montons refaire l'amour. Je prends la bouteilleet les glaçons. "

L'alcool les avait rendus trèsgais. J'entendais rire, chanter, et ils avaient mis de la musique. Ensuitedes supplications, des cris, des mots à voix basse, puis, plusrien. Je restai écartelée sur ma table pendant une éternité,les fesses offertes à per***ne. Seules les brûlures lancinantesdes coups me tenaient compagnie. La porte de la chambre finit par s'ouvriret Diane vint me voir en titubant. Elle avait les seins nus, mais avaitgardé ses bas. Elle était ivre, le propos mal assuré:
- " Tu es toujours là, ma chérie? Tu aurais dûvenir jouer avec nous... Ah ben non... " Elle m'enleva mon bandeauet mon bâillon, non sans mal. Je recrachai la pomme qui roula parterre. Elle me détacha les pieds, remit ma belle robe en place,et me délia les mains toujours attachées dans le dos. Jecommençais à être sérieusement ankylosée.

Elle tenta de prendre un air digne,se redressa et fit en roulant des yeux pour tenter de recouvrer une vuequi n'était pas dédoublée :
- " Ta punition est levée. Tu as bien supporté ***********. Je te libère. " Diane eut une idée, un peubrumeuse:
- " J'étais descendue pisser, mais je me rends compte quej'ai jamais fait dans une belle fille comme toi... Non, ce serait ********* Viens! " Elle m'entraîna à sa suite et me laissa devantles toilettes. Elle me fit mettre à genoux le temps qu'elle fassepipi, la porte ouverte. Elle fut longue à se lâcher -sansdoute à cause de l'alcool- et me confia en riant :
- " Dis donc, je me sens plus pisser ! " Elle finit tout demême par faire entendre un jet d'urine dru dans la cuvette. J'adorece bruit, si féminin... Elle se releva, tira la chasse et seplanta devant moi:
- " Je veux encore me faire manger le minou par mon mari. Nettoie-moibien, que je sois impeccable. Je veux pas sentir la pisse. " J'écartailes pans de ma belle robe pour ne pas qu'elle marche dessus. Je fis satoilette -elle en avait bien besoin- pas trop longtemps car je l'excitaisbeaucoup. Elle s'arracha à mes coups de langue à regrets:
- " Va te changer. Tu peux partir, maintenant, on te rappellera.Bon, je vais me recoucher. Ferme derrière toi. "

Elle remonta en titubant. Je l'ai suiviedès qu'elle eut refermé sa porte et rentrai dans la chambrequi m'était maintenant réservée. Je contemplais messévices dans la grande glace. Seuls se voyaient les coups de cravachesde Diane, quelques marques rouges. Je me croyais en sang, je suis certainementtrop sensible. Je m'admirai longuement et je regrettais que ma nuit denoces ne se soit pas passée comme je l'aurais voulu. Je m'installaià ma table de toilette pour me démaquiller et je jetai unoeil sur les produits que Diane m'avait apportée: ils étaientde très grande qualité. Mon maquillage avait trèsbien tenu malgré les mauvais traitements que nous avions subistous les deux. J'aimais aussi beaucoup les vieux bijoux que je portais... Je fis tout de même quelques retouches de maquillage, histoire dem'entraîner, puis me démaquillai et me déshabillai.Je quittai cette peau féminine à regrets...

Une fois changé, Je frappaisà la porte de leur chambre: je les entendais discuter paisiblementet un rai de lumière filtrait sous la porte. Ils me répondirenten choeur et joyeusement, et me prièrent d'entrer. Ils étaientallongés, nus tout le deux: Diane avait finalement retiréses bas et s'appuyait sur la poitrine de Denis. Je les trouvais trèsbeaux ainsi. Elle était légèrement dégrisée:
- " Tu t'es remis de ta punition? "
- " Oui, mais je vous avoue que j'ai eu très mal. Je commençaisà paniquer juste au moment où Denis est venu me délivrer."
- " Je crois que j'y suis allée un peu fort. Mais c'est unepunition, et je t'avais prévenu que ça allait êtreterrible... En plus, c'était ton baptême, c'étaitpour que tu n'oublies pas d'obéir à tes maîtres. "
- " J'en suis conscient, je ne vous reproche rien. Je regrette justema nuit de noces... " Ils rirent tous les deux. Moi, j'étaissérieux. Denis:
- " Moi aussi! Ne m'en veux pas, Diane, mais Alicia est trèsdésirable... "
- " Mais non, je ne t'en veux pas, mon chéri! je sais qu'avecelle, tu trouveras le plaisir que tu ne prends pas avec moi... Sans allervoir ailleurs ! " Je pris congé:
- " Je vais y aller, il est tard. Carole va m'attendre. Àdemain, peut-être? " Diane fit la moue:
- " Je ne serais pas là demain, mais tu peux venir jouer avecDenis, et finir cette vidéo. Il y aura celle de ce soir, aussi..."

Je quittai la mai*** en refermant la porte sur moi et en bloquant le portilloncomme Denis m'avait montré. Comme hier, je rentrais à lalueur de ma lampe de poche en évitant les escargots, toujours aussinombreux -seuls manquaient à l'appel ceux que j'avais écrasésla veille. Il était presque minuit et Carole n'était toujourspas rentrée. Je consultais les messages de mon téléphoneet jetai un oeil sur mon ordinateur: rien d'urgent. Je fis ma toilette,me déshabillai, enfilai une robe de chambre et l'attendais dansle lit avec un bon bouquin, Ouissecasse toujours en manque d'amour surles genoux. Mes fesses me faisaient encore mal...
chrislebo

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#9,226
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COPINES COMME COCHONNES.
Carole était en route pour lamai*** de Mélanie:
- " Luc, mon petit mari, est bien naïf. Il se doute bien quej'ai eu quelques aventures avant notre mariage, mais il n'a jamais suque si j'ai loupé mes études de vétérinaire,c'est que je passais plus de temps à remplir mon cul que ma tête.Il y avait souvent deux ou trois garçons dans ma chambre d'étudiante,et parfois aussi des filles. Il y en avait même une qui étaitraide dingue de moi, et la pauvre a mal supporté qu'elle n'aitpas été la seule. Mais depuis que nous sommes mariés,je me suis beaucoup calmée. À part quelques aventures -ladernière en date aurait pu être avec Denis, s'il ne s'y étaitpas pris comme un manche-, il n'y a rien eu de sérieux, jusqu'àl'épisode d'hier, avec Mélanie. Je crois qu'avec l'âge -j'ai trente-six ans- je serais plus tentée par les filles. Jeme demande même si ce qui me séduit le plus en Luc, ce seraitpas justement *** côté fille et chochotte, et petit enfantaussi. Peut-être que les deux me manquent... J'ai racontéà Luc que Mélanie m'avait embrassée, mais c'est plutôtmoi. A vrai dire, je l'ai presque violée, mais elle s'est vitelaissée faire. Je l'ai caressée longuement, jusqu'au bout,sur mes genoux. Elle s'était mise entièrement nue pour joueravec *** chien et elle a joui en silence, sur ma main, en m'embrassant.Je l'ai lavée dans sa baignoire et l'ai mise au lit. C'est peut-êtremon manque d'enfant qui transparaît encore... Elle m'a embrasséeen me faisant promettre de revenir le lendemain, ce que je fais. Commeelle m'a confié un double des clés, je peux rentrer àl'improviste. Elle veut que je la surprenne pour la violer. Hier, j'étaisplutôt réticente, mais après les confidences de Luc,je ne vais plus me gêner... C'est *** fantasme, il faut que je fasseavec. À ce sujet, je me demande ce que Luc fabrique avec nos voisins.Ça a l'air assez glauque. L'histoire de sa fondue... Heuurk! Vasavoir ce que c'est, exactement! Il va falloir que je tire ça auclair, ce soir en rentrant. Enfin, si c'est *** truc de servir de paillas***et de poupée gonflable à un couple, et qu'on me casse pasmon jouet, pourquoi pas. Tant qu'ils m'entraînent pas dans leursdélires... Quoique ça à l'air bien parti pour. Surtoutavec le numéro que je leur ai servi... S'ils me violent, je sauraisqui leur en aura donné l'idée! J'adore montrer mon cul,mais avec art. Luc ne se prive pas de me mitrailler et d'envoyer ses meilleuresphotos à ses copains. Certaines ***t vraiment très "hard ", mais ça me gêne pas. Au contraire, j'aime faireprofiter de mon corps, d'autant plus que je me trouve assez... voluptueuse.Bon, j'ai quelques rondeurs disgracieuses, mais apparemment, çane gêne pas grand monde. Il faut dire que je suis très gourmande..."

Carole s'approcha doucement de la mai***de Mélanie. Elle entra dans le jardin sans faire de bruit et larepéra dans sa chambre, regardant la télé. Le chienétait dans *** panier, dans la cuisine, la porte fermée.Carole se dit que c'était plus prudent: si elle devait agressersa maîtresse, il valait mieux qu'elle ne se fasse pas dévorerpar *** toutou, par pur réflexe de défense. Elle entra silencieusementdans le hall, sur la pointe des pieds. Dès que Mélanie lavit dans l'embrasure de la porte, elle se mit à crier. Elle tentade se lever, mais Carole était déjà couchéesur elle. Elle tenta de l'embrasser, mais Mélanie criait toujours.Elle lui administra une paire de claque en l'insultant:
- " Ta gueule, salope, ou je te crève! Je veux juste te baiser,et je me tire. Alors fais pas chier! "

Mélanie était ravie:elle attendait désespérément sa princesse charmanteen se passant en boucle les scènes les plus chaudes de " Dominiquefait du ski ", quand elle se fait agresser par une camionneuse lesbienne.Elle balbutia, en essayant d'être la plus terrorisée possible:
- " Oui Madame, mais ne me faites pas de mal, je vous en prie! Jevous paierai! Pitié! "
- " Tu me prends pour une pute? Je suis venu te baiser, et je tebaiserai! Ça fait longtemps que j'ai envie d'éclater tonjoli petit cul! " Carole était excellente comédienne,mais il y avait un fond de vérité dans ses propos. Ellesortit quelques accessoires de *** sac -elle avait trouvé le temps,avec *** gâteau et ses essayages de penser à ça- pourlui faciliter la tâche: Elle la bâillonna avec un foulardet une petite balle, puis l'attacha aux quatre coins du lit avec de laficelle, bras et jambes écartés.

Mélanie tenta bien de se rebeller,mais elle se prit quelques grosses claques sur les cuisses, ce qui lafit bien crier malgré *** bâillon. Carole contemplait ***oeuvre. Elle se débarrassa de *** imperméable et s'exhibade façon provocante devant les yeux fiévreux de sa complice:elle se caressait la poitrine et le pubis en se trémoussant lascivement.Le regard de Mélanie allait de ses seins qu'elle avait presquelibérés -on pouvait voir ses tétons à présent- à *** string luisant de désir. Carole se plaça àquatre pattes au-dessus d'elle, ouvrit le chemisier de sa victime, luidégrafa *** soutien gorge et frotta ses gros tétons durcissur sa poitrine menue. Lorsque ses tétons furent égalementdevenus gonflés, elle écrasa ses jolis petits seins sousle poids des siens, en de larges mouvements circulaires. Carole avaitune furieuse envie de l'embrasser à pleine bouche:
- " Si j'enlève ton bâillon, tu me promets de la fermer?Sinon je t'arrache les tétons avec les dents! " Mélaniesecoua énergiquement la tête, de façon affirmative.Elle lui défit *** bâillon et l'embrassa ***********, enlui enfonçant la langue au fond de la bouche. Elle se débattait.

Carole était très excitée:c'était la première fois qu'elle violentait une femme. Ellea déjà eu affaire à des hommes un peu trop "pressants ", mais ce coup-ci, elle était de l'autre côté.De plus, c'était un plaisir partagé:
- " T'es bonne, ma chérie! Je sens que je vais prendre beaucoupde plaisir avec toi! " Elle se tourna, dégagea *** stringsu le côté de sa vulve luisante et s'accroupit sur la bouchede sa victime, le dos contre les barreaux froids du lit. Elle lui *************** les tétons, ce qui lui arracha un cri:
- " Vas-y, sois pas timide! Bouffe-moi la chatte! Je suis chaude!" Mélanie était assez maladroite. Sans doute sa premièreexpérience homosexuelle. Carole releva la jupe plissée:
- " Mais elle n'a pas de culotte, la cochonne! Et en plus, elle bave!" Elle se jeta entre ses cuisses écartées pour la léchergoulûment. Mélanie était trop haute dans le lit pourpouvoir encore atteindre le sexe de *** amie, et elle dût se contenterde la vue, ce qui n'était pas si mal... De plus, elle commençaità être passablement excitée, et elle se demandaitsi elle n'allait pas avoir un orgasme tout de suite: en effet, Caroleavait juste commencé à la caresser de ses doigts quand ellese mit à crier. Elle retenait *** plaisir car elle ne voulait pasque ce soit si rapide. Mais Carole ne se laissait pas impressionner sifacilement:
- " Eh bien, tu appelles au secours? Tu ne vas pas t'en tirer sifacilement. " Elle se leva et alla fouiner dans ses tiroirs, lesmettant sens dessus dessous. Elle savait ce qu'elle cherchait et oùchercher, mais elle faisait durer le plaisir. Mélanie étaitinquiète. Elle était d'un naturel maniaque:
- " Mais qu'est-ce que tu fais? Tu fous tout en l'air! " Carolerevint vers elle à grands pas et lui mit deux claques:
- " Ta gueule! Je t'ai dit de te taire! " Et elle la bâillonnade nouveau. " C'est comme ça que Luc te préfère!" Elle reprit *** manège et tomba enfin sur le trésorde Mélanie: toute une panoplie de godemichés et vibromasseurs.Elle faisait l'inventaire comme si elle était toute seule.
- " Comment ça se regarde, ce truc? Qu'est-ce qu'y vont pasinventer... Vache, le machin! Tu as déjà réussi àte le rentrer? " Elle regarda Mélanie qui secouait la têtesur les côtés.
- " T'inquiètes pas. Avec moi, ou ça passe, ou çacasse! Ça me rappellera le taureau de Papa... Et ça, commentça marche... Ah, ça se branche. Et bien, on va essayer toutça. Alors, heureuse? " Mélanie lui jeta un regard pleind'inquiétude. Pourtant, Carole, sous ses dehors bourrus, étaitd'une grande délicatesse, surtout en ce qui concerne le sexe. Elleinstalla *** matériel entre les pieds de Mélanie et commençapar essayer un vibromasseur: elle débrancha une rallonge et y connectal'adaptateur secteur. Elle manipula l'interrupteur et le lâcha presquequand il se mit à vibrer:
- " Ouah! Ça secoue dans tous les sens, ce truc! Tiens, onpeut le régler... Ah, mais ça vibre et ça bouge d'avanten arrière! Tu m'en diras tant! Voyons... Mmm... C'est agréable...Je vais demander ça au père Noël. " Elle se l'étaitappliqué sur le sexe et testait les zones les plus... réceptives.Elle avisa une boîte de préservatifs excitants parmi sestrouvailles. Elle affecta de questionner Mélanie d'un ton agressif:
- " Tes capotes, c'est pour tes jouets, je suppose? Tu dois pas tefaire sauter souvent... " Elle acquiesça. Carole chaussa unpréservatif sur *** vibromasseur et le planta dans le vagin deMélanie, à la puissance maximum. Elle se trémoussavivement. Carole rectifia le tir:
- " Ouais, on va baisser un peu. Et si je te chatouillais les amygdales?" C'est comme ça que Luc appelait les petites lèvreset le clitoris de sa chère épouse.
- " Dis donc, ça à l'air de te plaire... " Ellecontinua quelques minutes puis entreprit de lui dilater le vagin en luiintroduisant à nouveau le vibromasseur, à la puissance maximum.Elle ne se laissa pas attendrir pas les gémissements et les mouvementsde sa victime.

Lorsqu'elle estima qu'elle étaità point, elle présenta le gros godemiché àl'apparence réaliste d'un pénis et l'enfonça parpetits coups. Il était décidément trop gros. Ellese rabattit su un modèle plus rai***nable, en verre, le chaussad'un préservatif et pénétra Mélanie avec,cette fois bien plus facilement. Elle se mit à explorer *** petittrou, les doigts lubrifiés par sa cyprine abondante, et constataitqu'il était en pleine forme: la thérapie ******* avait faitdes merveilles. Elle utilisa tout de même du lubrifiant pour pousserplus avant *** exploration. Mélanie semblait vouloir coopérer,bien que Carole n'y allât pas de main morte: Elle agitait ses doigtsen tous sens, tout en manipulant le godemiché. *** trou fut bientôtdisposé à recevoir le vibromasseur. Carole détachales mains et le bâillon de Mélanie et la fit descendre unpeu:
- " Maintenant, tu vas t'occuper un peu de moi. " Elle la chevauchade nouveau et reprit *** activité entre ses cuisses. Elle mit levibromasseur sur maximum en pénétrant ses deux orifices.Mélanie gémissait de plaisir, le visage enfoui dans la fenteépanouie de sa compagne. Elle ne tarda pas à jouir bruyamment.Carole se redressa et la bâillonna de *** sexe.

Elle se retira de *** amie et éteignitle vibromasseur en laissant ses jouets bien en place, puis vint se recouchersur elle, lui faisant un gros câlin et l'embrassant tendrement:
- " Alors, ça t'a plu, ma chérie? " Mélanieétait sur un petit nuage:
- " Oh oui... Je n'ai jamais connu un tel plaisir. Je ne croyaispas que c'était encore possible, à mon âge... "Carole lui serra le cou:
- " Dis-donc, Mémé, tu veux que je t'étranglesavec tes bas à varices? " Elle l'embrassa.
- " Tu es encore très séduisante, et franchement, tule fais pas, ton âge. Luc me parle souvent de toi, et si tu savaistout ce qu'il a envie de te faire... " Carole ne mentait pas. Lucavait en effet envie de lui faire plein de choses, mais plutôt dugenre ligotée-sur-des-rails ou enduite-de-miel-au-soleil. Elleétait flattée, la pauvre.
- " C'est vrai? J'espère que tu ne vas pas être jalouse,mais je le trouve aussi assez à mon goût, ton petit mari.S'il n'y avait pas *** humour... "
- " Mais non, je suis prêteuse... Par contre, pour toi quiaime te faire violenter, ça collerait pas: *** nouveau truc, c'estde se faire humilier et utiliser comme un de tes godes par un couple." Mélanie avait l'air intéressée:
- " Ah bon? Tu peux m'en dire plus? Qui c'est? je les connais? "Carole se méfiait de la langue de commère de Mélanie.
- " Je n'en sais pas plus. Je te le dirai, s'il est d'accord. Jene crois pas qu'il veuille que tout le village soit au courant. "Mélanie avait l'air rêveuse: elle se voyait chevaucher Luc,harnaché comme un poney:
- " Ça pourrait être intéressant... Je n'ai jamaisessayé ça... Dis, tu peux m'enlever mes godes? Je commenceà avoir un peu mal. " Carole la libéra complètement,jeta les préservatifs et rangea le " matériel ".

Mélanie sursauta:
- " Mon dieu, Chérie! Je t'ai complètement oubliée!Tu n'as pas pris ton plaisir? Excuse-moi, je n'ai vraiment pas l'habitudequ'on s'occupe de moi aussi bien... je suis un peu égoïste." Carole revint l'embrasser:
- " Je t'aime beaucoup, mais je suis une vilaine allumeuse. Mon truc,c'est de montrer mon cul, ça m'excite terriblement. J'adore mefaire mouiller toute la journée, à la moindre occasion.Je suis un peu exhibitionniste, et j'aime faire semblant de ne pas voirqu'on me reluque. Je garde tout pour mon mari, que je noie dans mon bonjus. Il adore boire ma chatte, et il se demande pourquoi je suis si souventtrempée. Nous fai***s l'amour comme des bêtes, malgrénos dix ans de mariage. Alors, ne t'inquiètes pas pour moi. "Mélanie était éperdue de reconnaissance envers cellequi lui avait donné ce bonheur inespéré. Elles serajustèrent toutes les deux et Mélanie entraîna Carolepar la main:
- " Viens, ma beauté. Allonge-toi sur le canapé. Tues ma princesse. "

Elle s'installa sur le sofa, allongéesur des coussins moelleux, et se demandait ce qu'elle lui réservait.Elle mit de la musique -du Gershwin, pas trop le genre de Carole- Et disparuten cuisine. Elle reparut cinq minutes plus tard, avec du thé etdes petits gâteaux. Jikka la suivait, et alla saluer Carole en luisentant le sexe, comme le font si élégamment les chiens.Il alla se coucher devant la cheminée, évidemment éteinteen cette sai***. Carole allait se relever, mais Mélanie l'en empêcha:
- " Non, reste allongée. C'est moi qui te sers. "
- " Il n'y a qu'une tasse? Tu n'en prends pas? "
- " Non, tout est pour toi, ma princesse. " Les nouvelles activitésde Luc ont dû lui donner envie de jouer les esclaves elle aussi.Carole n'était pas à l'aise. Non qu'elle n'aimait pas sefaire servir, mais la position n'était pas idéale pour prendrele thé. Mélanie lui sucra, le touilla, souffla dessus, etconstatait aussi qu'elle ne pouvait pas le boire ainsi. Elle repartiten cuisine:
- " Ne bouge pas! " Elle reparut avec une paille coudée.Elle s'agenouilla devant Carole, planta la paille dans la tasse de thé,et la tendit vers sa bouche. Carole se prêta de bonne grâceà *** jeu en se couchant sur le côté. Ça commençaità l'amuser. Elle recracha la paille et donna un coup de mentondédaigneux vers la boîte de gâteaux. Elle pouvait mangertoute la journée. Heureusement, elle ne gardait pas tout sur leshanches. *** esclave lui tendit la boîte avec un plaisir évident.La princesse devenait capricieuse:
- " Tu ne crois pas que je vais me servir moi-même! Donne-moien un, bonne à rien! Au chocolat! " Mélanie fourrageadans la boîte et en sortit un biscuit au chocolat au lait, leurpréféré à toute les deux, et lui enfournadans la bouche. Elle y mit aussi ses doigts, que Carole suça defaçon provocante. Mélanie tenait la paille à proximitéde sa bouche, de façon à ce qu'elle boive sans trop bouger.

Elle engloutit ainsi quatre ou cinqbiscuits, puis bailla ostensiblement:
- " Je m'ennuie, esclave. J'ai envie de me divertir. Jikka! Au pied!" Jikka n'était pas très vif, mais répondaitrapidement. Il savait que si on l'appelait, c'est qu'on avait besoin deses services, pour finir une assiette ou saillir sa maîtresse. Ladernière fois, ça a été un peu plus long qued'habitude... Il s'approcha de Carole en remuant la queue. Carole le caressaénergiquement en lui donnant des petits noms. Elle glissa sa mainsous *** corps et commença à le masturber. Lorsqu'il futbien à point, il l'envoya vers Mélanie, qui n'étaitpas très chaude. Elle venait d'avoir l'orgasme de sa vie et nese sentait pas d'attaque pour remettre ça. Carole devint plus pressante:
- " Relève ta jupe, esclave, et mets-toi à quatre pattes." Elle s'exécuta de mauvaise grâce. Elle voulait bienfaire l'esclave, mais il y a des limites... Jikka tournait autour, maisil semblait avoir oublié ce qu'il devait faire. Carole alla chercherdes préservatifs, elle trouvait ça plus sain. Jikka étaitsur le dos de *** esclave quand elle revint au salon. Elle eut juste letemps de lui enfiler un préservatif quand il trouva l'entréede *** vagin. Il se mit à la pistonner énergiquement, etMélanie commença rapidement à y prendre du plaisir.Sa princesse l'embrassa passionnément, longtemps, puis se reculapour jouir du spectacle:
- " C'est bien assez bon pour une esclave comme toi, n'est ce pas?" Elle releva un peu sa robe pour que l'esclave en question puisseconstater l'effet qu'elle produisait sur elle. Mélanie étaitsecouée par *** chien:
- " Oui, ma... prin... sesse! " L'acte semblait arriver à*** terme. Carole dégagea le sexe de Jikka d'une main ferme -Ilne semblait pas d'accord et grognait- et le planta dans le petit troude Mélanie qui cria, plus de surprise que de douleur:
- " Non! S'il te plait... " Carole ne se laissa pas attendrir:
- " Justement, ça me plait te voir te faire mettre. Fais-moiconfiance pour la suite... "

Jikka reprit *** va-et-vient quelques minutes puis se planta àfond dans sa maîtresse. Carole se mit à genoux devant Mélanie,l'embrassant de nouveau, lui caressa les seins d'une main et s'allongeasous elle pour atteindre *** sexe avec l'autre main. Elle la caressa peude temps avant qu'elle jouisse de nouveau. Elle continua encore quelquesinstants, le temps que *** excitation retombe. Ce coup-ci, Jikka se dégageatout seul, et alla se recoucher pour faire sa toilette. Mélanies'écroula, le visage dans le sexe de Carole. Elle l'embrassaiten le humant, en murmurant:
- " Quel dommage! Tu es si bonne! " Puis:
- " Je voudrais prendre un bain, ça te dit? "
- " D'accord, je t'accompagne, mais moi je ne me lave pas, ce seraitgâcher! Ce coup-ci, c'est moi ta servante! "
chrislebo

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Elles allèrent dans la sallede bains, en se tenant par la main. Carole fit couler l'eau en y versantdu bain moussant. Elles se déshabillèrent toutes les deux,s'admirant et se complimentant réciproquement. Carole avait gardé*** string et ses escarpins, trop fastidieux à lacer. Mélanieplongea dans la baignoire et s'abandonna aux mains de *** amie. Elle luilava les cheveux en lui massant longuement la tête, puis lui caressatout le corps avec une éponge naturelle en s'attardant sur sespetits seins encore bien agressifs malgré *** âge, aux tétonsdurcis. Mélanie se laissait bercer par ses caresses, les yeux fermés:
- " Tu as bien abusé de moi, tout à l'heure... "
- " Oui, j'avoue, mais tu as l'air d'avoir aimé... J'espèreque je ne n'ai pas été trop *******, et que je ne t'ai paschoquée. J'aime bien l'amour violent. Le tendre aussi, bien sûr..."
- " Par moments, tu m'as vraiment fait peur. Surtout quand tu m'asmis ce gros gode. J'ai cru que tu allais m'éclater la choupinette." Ce mot enfantin dans la bouche d'une femme mûre fit sourireCarole:
- " Ouais, mais quelle idée d'acheter un truc pareil! Tu l'asacheté par correspondance? "
- " Oui, si je l'avais vu de près, je me serais méfiée.Mais peut-être qu'un jour, j'arriverai à me le mettre...Et dire que lorsque j'ai accouché d'Eric, ça s'étaitplutôt bien passé... "
- " Ah bon, tu as un fils? Tu ne m'en as jamais parlé... "
- " Normal. C'est un petit ingrat. On s'est saigné àblanc pour lui payer des études et maintenant, il vit àBoston et nous a complètement oubliés. Une carte de tempsen temps... "
- " Luc a des contacts à Boston. Tu veux qu'il envoie quelqu'unlui casser les rotules? " Mélanie la regarda, horrifiée:
- " Mais tu es monstrueuse! C'est de mon fils que tu parles! "
- " Bah... C'était pour voir si tu l'aimais encore... Bon,pour revenir à ton pénis d'âne, t'inquiètespas, je serai là pour te le tenir. En parlant de jeux coquins,tu préfères quel rôle: la femme violentée,la servante, la maîtresse? "
- " Je ne sais pas encore. Tout ce qui ne nous met pas à égalité,je présume... "
- " Tu n'as pas envie d'essayer un homme? "
- " Bof... Les voir se démener sur moi, ça me donnela nausée. "

Elle sortit une jambe de la moussepour que Carole s'en occupe. Mélanie admirait ses gros seins quise balançaient paresseusement au rythme de ses gestes. Elle enimmobilisa un de la main:
- " Tu es vraiment une superbe jeune femme. Comme j'aimerais quetu sois à moi... " Carole sourit au compliment:
- " Ça te dirait quelques photos de moi? Luc en fait de trèsbelles. Et elles ***t assez cochonnes... "
- " Oui, ça me ferait très plaisir... À défautde mieux. " Elle lui caressa la poitrine de plus belle, en la soupesant.Carole eut une idée:
- " Je sais que tu n'aimes pas les hommes, mais ça te diraitd'essayer Luc? Il est très doux et ne fait pas vraiment homme.En fait, d'après ce qu'il m'a raconté, il ferait plutôtla femme... " La curiosité de Mélanie étaitpiquée au vif. Elle sortit l'autre jambe:
- " Ce coup-ci, tu en as trop dit, ou plutôt pas assez. Vas-y,je te promets de rien dire. Sinon, tu pourras raconter à Luc ceque je fais avec mon chien. " Carole eut un air chagriné:
- " Je lui ai déjà tout dit, même ce qu'on afait ensemble. C'est là qu'il m'a tout raconté. Enfin, saufun truc qu'il avait sciemment dissimulé, et qui m'intrigue au plushaut point. C'est aussi pourquoi j'ai accepté de te céder." Mélanie eut l'air désabusée:
- " Si j'ai bien compris, tout le monde se tient par les couilles,si j'ose utiliser cette expression vulgaire, mais c'est celle que je trouvela plus appropriée. Enfin, ce qui est fait est fait. Alors! Raconte-moitout! " Carole lui raconta ce que Luc a bien voulu lui raconter.Elle eut à peu près la même réaction, l'airrêveur:
- " Eh ben dis donc! Quelle histoire... J'aurais bien voulu voirça... "
- " Si ça t'intéresse, il paraît que çaa été filmé, et que d'ailleurs, en ce moment -s'iln'est pas en train de se faire faire des misères- il ferait unmontage vidéo. Je t'en reparlerai, s'il veut bien nous le montrer,bien sûr! " Mélanie en était tout émoustillée:
- " Tu parles que ça m'intéresse! Dire qu'il ne sepasse jamais rien dans ce trou! " Elle regardait la pendule depuisun bon moment, de plus en plus souvent. Elle eut un accès de mélancolie:
- " Bientôt sept heures... Je vais encore bouffer toute seule,comme une vieille conne... " Les larmes lui montaient aux yeux: lesentiment que sa vie lui filait entre les doigts et qu'elle la regardaitsans rien faire pour la retenir.

Carole la saisit par les épauleset la fixa dans les yeux. Elle prit l'accent voilé du parrain corse:
- " Oh petite! Tu vas pas manger toute seule ce soir. Tu vas bientrouver quelque chose à donner à becqueter à tataCarole! Hé oui! je m'incruste... " Mélanie passa deslarmes au rire:
- " C'est vrai? Ça c'est chouette! " Et elle l'embrassa,faisant voler quelques flocons de mousse dans l'air. Elle prit une expressionmi-contrarié, mi-coquin pour lui faire remarquer:
- " Dis donc, mauvaise fille, tu ne m'as pas nettoyée partout!" Carole s'excusa humblement:
- " C'est vrai, maîtresse, je vous prie de me pardonner. "Là-dessus, elle lui frictionna vigoureusement les oreilles avecl'éponge.
- " Hiii! tu es folle! Arêêête! " Elles semirent à rire comme des petites folles. Puis Carole la caressadélicatement là où elle ne l'avait pas encore été,longuement, sans vouloir lui donner du plaisir, juste lui procurer unesensation agréable.

L'idée du repas qui approchaittitillait Carole:
- " Et qu'est ce qu'elle va me faire de bon, la laissée pourcompte? "
- " Oh, rien de fantastique, j'en ai peur. Je fais la cuisine enquantité, et je congèle les restes. On verra ce que j'aià te proposer... " Carole était pilotée par*** estomac -*** deuxième cerveau- et essuya vigoureusement lescheveux de Mélanie, qui avait compris le message:
- " Ma petite chérie a faim, on dirait... " Elle sortitdu bain et se laissa éponger le corps. Elle sortit le sèche-cheveuxde *** tiroir et lui tendit. Carole lui sécha la crinièreet la lui coiffa:
- " Tes cheveux ***t très beaux. Un peu raides, mais trèsépais. Ils vont bien avec ta coupe. Tu te fais des colorations?"
- " Tu parles! J'avais déjà des cheveux gris àvingt-cinq ans! " Elle lui donna une nuisette vaporeuse et un déshabillépour qu'elle l'aide à les enfiler. Carole remit sa robe, ce quine prit que quelques secondes. Elle commençait à êtreun peu tachée. C'est salissant, le blanc. Même quand il n'ya pas beaucoup de tissu...
Mélanie entraîna *** amie en cuisine et lui énumérales plats, la tête dans le congélateur:
- " Alors, on a: coq au vin, et... coq au vin, et... puis c'est tout?Ah! Je parie que mon Paulo a embarqué des réserves pourmanger chez sa poule. À tous les coups, elle est meilleure au litque derrière les fourneaux! " Elle était plutôtcontrariée, l'ancêtre:
- " Je n'ai que ça à te proposer, avec des pâtes.Ça ira? "
- " Mais ce sera parfait, mon petit coeur de velours! Moi, je metsla table pendant que tu fais ton frichti. " Elle était pleinede bonne volonté, mais comme elle ne savait pas où étaientrangés les couverts, elle ouvrait toutes les portes et les tiroirsen lui demandant sans arrêt où se trouvait ceci ou cela,ce qui agaçait fortement miss rangement. Mélanie sortitrapidement le nécessaire sur la table, et lui laissa le soin dela dresser, tout en surveillant ses pâtes. Elle était aussitrès tatillonne sur leur cuis***. Une fois la table mise, Carolevint enlacer la cuisinière qui avait revêtu un charmant tablierrose à frou-frou pour l'occasion. Elle mit *** museau au-dessusdes casseroles:
- " Hmmm... Ça sent bon! C'est bizarre, je ne reconnais pasl'odeur du coq au vin... " Mélanie lui sourit et lui fit unebise sur la bouche:
- " C'est normal, c'est une recette per***nelle, issue de mon cerveaumalade. " Carole avança une cuillère intrépideen direction de la casserole:
- " Je peux goûter? " Mélanie la repoussa *************** avec le sourire:
- " Non, petite gourmande! C'est même pas fini de dégeler!Tu verras quand tu l'auras dans ton assiette! "

Elle cherchait du regard une occupationpour sa petite diablesse, en attendant que ce soit prêt. Elle fixaitla radio, sur une tablette de la cuisine:
- " Tiens, mets nous un peu de musique! " Carole tripota quelquesboutons en se demandant tout haut " comment ça marche ce truc" lorsque qu'un flot de musette jaillit du haut parleur. Elle coupaaussitôt le ***. Elle regarda la fréquence affichée:
- " Mais quelle horreur! Tu écoutes déjà ça,à ton âge? " Mélanie était un peu froissée:
- " Ben oui, moi j'aime bien l'accordéon... " Caroleessayait de la convaincre de quitter cette secte:
- " Mais c'est pour les croulants, cette station! Luc appelle çaRadio déambulateur. " Elle remit le *** pour chercher autrechose, au grand dam de mamie. Un torrent de vociférations de banlieueparisienne s'échappait à présent du poste:
- " Ça, toujours d'après Luc, c'est Radio Deux-doigts-dans-la-gorge." Mélanie la regardait d'un air interrogateur:
- " Ah bon? pourquoi? " Carole se mit deux doigts dans sa boucheet mima un vomissement forcé:
- " C'est la radio préférée des anorexiques." Mélanie la regarda sans comprendre. Carole avait reprissa recherche et tomba enfin sur sa radio chérie. Elle ne diffusaitque de la musique des années soixante-dix à quatre-vingt-dix,sans trop de publicité, ni de jeux débiles ou encore deparlottes sans fin. Elle toisa fièrement *** aînée:
- " Alors, c'est-y pas mieux pour le moral , ma bonne dame? "Elle swinguait au *** d'un tube des années quatre-vingt. Mélaniese força un peu. Elle ne voulait plus passer pour une vieille toupie:
- " Oui, c'est sûr, ça balance plus... " Carolese déhancha encore sur quelques vieux succès lorsque ***calvaire toucha à sa fin.

Mélanie ***na la soupe:
- " À table! C'est prêt! " Jikka, qui s'étaitcouché dans *** panier de la cuisine -il aimait bien êtreprès de sa maîtresse- se leva et tourna autour d'elle. Carole,en tant que vétérinaire, la gronda lorsqu'elle lui promitla casserole à lécher:
- " Tu vas le faire crever, ton cabot! c'est très mauvais,ce sel et ces graisses! " Mélanie se braqua:
- " Tu verras si tu dis encore que c'est de la merde quand tu teseras léchés les doigts! " Carole prit conscience de*** manque de tact:
- " Excuse-moi, je voulais juste te dire que tu vas lui détruireles reins à la vitesse grand V si tu lui donnes des plats cuisinés.Fais-moi confiance. " Elle balaya la table du regard:
- " Excuse-moi, tu n'as pas de vin? Je boirais bien un petit bourgogneou un côtes-du-rhône avec ça... " Mélanieétait confuse:
- " Heu... Non. Je ne bois pas quand je suis toute seule. Je doisen avoir à la cave. Si tu en veux, vas-y. Moi, j'ai peur. Il ya plein de bestioles et de toiles d'araignées. "

Elle lui montra la porte de la cave.Carole sauta sur ses pieds et descendit les marches prestement. Soudain,elle poussa un cri d'effroi strident, du genre que poussent les fillesdans les films d'horreur. Mélanie accourut devant l'escalier etpassa *** nez à la porte, terrorisée:
- " Qu'est-ce qu'il se passe? Carole? Carole? " Une voix depetite fille traumatisée lui parvient:
- " Mon dieu! Une araignée! Enorme! Elle... Elle a au moins...Huit pattes! " Mélanie se rendit compte qu'elle se moquaitd'elle:
- " Mais... Huit, c'est normal! " Carole lui réponditd'une voix nonchalante:
- " Ah Ouais, t'as rai***... J'ai confondu avec les crabes... Allez,gicle! va sur une autre bouteille! Celle-là, c'est pour ma pomme!" Elle remonta aussi prestement avec sa bouteille de bourgogne poussiéreuse:
- " J'espère que ton Paulo ne l'a pas mise de côtépour une grande occasion. " Mélanie la regardait en coin ensouriant d'un air qui voulait dire " Tu t'es bien foutu de ma gueule":
- " Je n'en sais rien et je m'en fous. Lui ne s'inquiète pass'il peut prendre mes petits plats. Tu l'as écrasée, cettesale bête? "
- " Sale bête? Mais c'est mignon tout plein, ça. Enplus, elle avait du poil aux pattes, comme toi. " Mélanielui décocha une tape sur le bras:
- " T'es méchante! Je me suis épilée rien quepour toi, et j'ai mis une crème pour faire la peau douce! Alors,dis pas n'importe quoi! " Carole la regardait, les poings sur leshanches:
- " Tu démarres toujours au quart de tour, ma pauvre fille!Tu critiques mon homme, mais tu ne te rends pas compte que nous avonsle même humour? "
- " Ah non, je ne trouve pas... Ou la passion m'égare... Bon,on se met à table? J'ai dû remettre le repas au chaud. "

Carole lava la bouteille et la déboucha -elle avait repéré le tire-bouchon en mettant la table-servit deux verres généreusement. Mélanie, qui étaitabsorbée par *** service, ne s'en était pas rendu compte.Pas tout de suite:
- " Voilà. Bon appétit, ma chérie. Tu me dirasce... T'es folle! Tu m'en as mis au moins un litre! " Ce qui auraitété un prodige sachant que la bouteille en contient troisquarts et que Carole était aussi bien servie.
- " Cool, Mél! Tu prends pas le volant... Goûtons plutôtce plat mitonné il y a trois ans... Mmm... " Elle fit tombersa fourchette dans *** assiette, ouvrit grand les yeux et fit un O avecses pouces et ses index. Elle avait l'air d'apprécier...
- " Vache! C'est trop bon! Je sais pas ce que c'est, mais c'est pasdu coq au vin. " Mélanie était flattée. Àpart le sens de l'ordre et *** âge, elle n'avait pas grand-chosede plus que *** invitée:
- " Di***s qu'à la base, il y a du coq et du vin... devinele reste... " Carole prit une bouchée et remuait ses mâchoiresà la façon d'une poule qui boit:
- " Il y de la coriandre... C'est ce qu'on sent le plus... Du cumin...De l'oignon bien sûr, et tous les accessoires habituels, mais ily a un truc qui m'échappe... Un goût de graine... Non, jevois plus. Ma boule de cristal est éteinte. Rajoutez vingt euros,et je vous lis l'avenir. " Mélanie était surprise parle talent de taste-frichti de *** amie:
- " Excellent! Il y a deux choses que tu n'as pas trouvées:il y a du pavot bleu -ton goût de graine- et du paprika. Je croisque j'ai mis un peu trop de coriandre... "
- " Non, c'est parfait. Il faudra que tu me donnes ta recette, commeça je n'aurais plus besoin de venir chez toi. " Mélaniese rembrunit.
- " Mais je plaisante! Qu'est-ce que tu es " premier degré"! Bon, goûtons le picrate à Paulo. Mmm... Pas mal maisj'aurais dû l'ouvrir plus tôt... Ou manger plus tard. "
chrislebo

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#9,228
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Le vin aidant, elles se mirent àrire pour des broutilles. Carole finit le coq au vin, et sauçala casserole: c'est pas bon pour les chiens. Mélanie sortit lefromage et le dessert -un flan mai***. Carole se frappa le ventre:
- " Bon, maintenant, il faut faire descendre tout ça. Mescompliments à la cuisinière. " Elle se leva pour aider*** amie à débarrasser, et enfila *** tablier pour fairela vaisselle. D'ailleurs, elle aurait dû le mettre avant de manger,car sa pauvre robe commençait à collectionner les taches.Heureusement que c'était un tissu synthétique facilementlavable. Mélanie la regarda d'un air incrédule, comme sielle avait enfilé des palmes pour prendre *** bain:
- " Mais qu'est ce que tu fais? "
- " Ben.. La vaisselle, pardi! Pourquoi? "
- " J'ai un lave-vaisselle. Il n'y a qu'à rincer les assietteset la casserole, à ranger le tout dans... Tu m'écoutes?" Carole avait déjà commencé. Et rapidementfini:
- " Voilà! Tu laisses égoutter, un coup de chiffon,on en parle plus. Un lave-vaisselle, c'est nul: Ça consomme del'eau, de l'électricité, la vaisselle pue, il faut la laveravant, bien la caler pour pas la casser, ça fait du bruit, et aprèsil faut la ranger. Non merci. En plus, j'adore la vaisselle. Çame donne les mains douces... " Elle passa une main sous le peignoirde Mélanie et lui caressa un sein. Elle répondit au quartde tour, d'une voix langoureuse:
- " Tu veux faire l'amour? " Carole lui déposa un rapidebaiser sur les lèvres:
- " Non, j'ai envie de danser. Tu n'aurais pas des disques qui pourraientfaire l'affaire? "
- " La radio, ça va pas? " Ils avaient attaquéune rétrospective des années cinquante:
- " Non, ça c'est trop vieux. Même pour toi. Il faudraitde la musique du genre qu'on écoutait tout à l'heure..." Mélanie réfléchit intensément. Elleavait l'esprit un peu embrumé: la bouteille était morte:
- " Oui... Je crois que j'ai ce qu'il faut, au grenier. Des disquesque j'écoutais avec mon fils, il y en a à lui aussi, jecrois. Je reviens. "

Elle était trop grise pourse rappeler qu'elle avait peur aussi au grenier. Elle redescendit avecune grosse valise. Carole en avait profité pour pousser les meubles,le tapis, et dégager le tourne disque qui était difficiled'accès. Mélanie posa la valise poussiéreuse sursa table en acajou, preuve supplémentaire qu'elle n'étaitpas dans *** état normal. À peine ouverte, Carole se jetadedans et en sortit une pile conséquente:
- " Ouais, ça, ça doit être chouette! Je me souviensvaguement des titres et des groupes, et je me souviens aussi que j'aimaisça. Voyons... " Elle essaya plusieurs disques, retrouva plusieursmorceaux oubliés, et fit une pile d'une dizaine de quarante-cinqtours à côté de la chaîne. Elle poussa le volumeprès du maximum -elle s'en était déjà servieet connaissait ses limites-, plaça le premier disque et se mità se déhancher furieusement en chantant:
- " One for me, one for you... " Un tube des années soixante-dix,relégué aujourd'hui au rang de jingle publicitaire pourune marque de lait en poudre. Quelle déchéance... Carolelevait les bras au ciel, le visage noyé dans ses cheveux de feu,ce qui faisait remonter sa robe. On aurait dit une danse en l'honneurd'un dieu païen. Mélanie la contemplait, subjuguée,et se disait:
- " Mon dieu! Qu'elle est belle! Si elle pouvait n'être rienqu'à moi... Mais je crois qu'elle dépérirait, commeun oiseau en cage. Bah! Profitons des belles surprises de la vie... Tantque je peux encore. " Elle lui sourit, mais Carole était entranse, les yeux fermés. Jikka, qui avait suivi sa maîtresseau salon, fit machine arrière et s'isola dans la cuisine. Il aimaitbien Carole, mais elle était décidément trop remuanteet bruyante pour lui. Le morceau finissait, et elle se dirigeait en dansantvers la platine. Elle rouvrit les yeux et cria à *** amie:
- " C'est chouette ces vieux trucs! Faudra que je me fasse une compilsur CD! " Mélanie lui souriait toujours, sans répondre,comme on sourit à un enfant qui joue au square. Elle aurait presquepu être sa fille...

Carole enchaîna sur un disquede Roxy Music, et se mit à onduler, les bras à l'horizontalece coup-ci, en chantant:
- " Don't stop! Don't stop the dance... " c'était uneversion longue, et elle chantait le refrain en fixant Mélanie dansles yeux, comme si c'était des mots d'amour. Elle, elle se tenaitdebout près du canapé, se trémoussant vaguement.Carole lui lança:
- " Hé! Mel! Tu fais du ski de fond ou quoi? Remue ton petitcul, lève les cuisses! Come on, move your ass! " Ce qui voulaitdire en français " Je t'en prie, mets-y un peu plus de cœur." Ce commentaire désobligeant la poussa à passer àla vitesse supérieure. Carole lui adressa un pouce levé.À la fin de la chan***, Elle vint lui glisser un baiser sur labouche, et lui fit d'une voix langoureuse:
- " Ça te plait? C'est aussi pour toi que je danse... "
- " Oui, beaucoup! Tu es un régal à regarder: tu essi belle et si sensuelle... " Carole était repartie changerde disque:
- " Arrête! Tu te fais du mal!... Tiens, ça c'est pourtoi: " Les divas du dancing ". Ça devrait te plaire." Elle connaissait la chan*** par coeur. Elle l'avait apprise parjeu il y a quelques années, et les paroles coulaient toutes seules:
- "...Les yeux dans les yeux fais-les tourner... et fais-toi désirer...Toi qui connais si bien le coeur des femmes... Tous les mots qui les enflamment..." Elle attira Mélanie à elle, prit ses mains et l'entraîna.Elles dansaient toutes les deux, Carole lui chantant sa chan***. Mélaniecommençait à se dérouiller, ou s'enhardir, toujoursest-il qu'elle se démenait allègrement. À la findu morceau, elles s'enlacèrent et éclatèrent de rire.Carole remit un titre bien rythmé, " Rock the boat ",qu'elles honorèrent toute les deux, puis un slow: " Everybodyneeds to learn sometime " des Corgies. Elles s'enlacèrentcomme des lycéennes. Carole descendit ses mains des hanches auxfesses de sa cavalière. Mélanie en fit autant, mais elleavait l'avantage de la nudité de Carole, qui n'avait que *** stringsous sa robe extracourte. Pour ainsi dire rien. Elle se laissa aller àépancher *** coeur solitaire à *** oreille:
- " Je t'aime, ma chérie. Tu m'offres une deuxièmejeunesse. Ta jeunesse. " Carole était touchée, et aussiun peu inquiète. Bien sûr, elle l'aimait également,mais pour elle, l'amour était un jeu qui se jouait à plusieurs.Luc faisait la banque:
- " Je t'aime aussi, mon petit bouchon... Tu veux qu'on aille s'allongerun peu? " Le slow se terminait.
- " Oui, s'il te plait. J'ai tellement envie de toi... "

Elles se rendirent dans la chambrede Mélanie -Paul et elle faisaient chambre à part depuisun bon moment- et réalisèrent qu'elles avaient laisséla télé allumée, le *** coupé. Dominique sefaisait violer en boucle par la camionneuse lesbienne pour la six centvingt troisième fois. Mélanie mit fin à *** calvaire.Carole était intéressée par cette fonction inconnuedu magnétoscope, mais Mélanie avait mieux à faireque de lui expliquer *** mode d'emploi. Elle l'embrassa fougueusementet la coucha sur le lit:
- " On s'en fout! J'ai terriblement envie de toi! " Elles sedéshabillèrent, et cette fois Carole ne garda que ses escarpins,au grand déplaisir de *** amante qui voulait aussi jouir de sespieds. Elle s'en excusa:
- " C'est chiant à mettre et à enlever. Promis, laprochaine fois, tu pourras en faire ce que tu veux! " Mélanies'allongea entre ses cuisses et pénétra sa vulve luisantede ses petits doigts agiles. Elle voulut aussitôt boire àsa source mais Carole l'en empêcha:
- " Non! Je me réserve pour Luc. " Par dépit,Mélanie remonta et embrassa ses beaux seins en les pétrissant.Elle n'en démordait pas:
- " C'est dégueulasse. Tu m'as fait les pires outrages, etmoi, je ne peux rien te faire. Et ton cul? Je peux jouer avec, au moins?"
- " Si tu veux, mais ça ne me donne aucun plaisir. Enfin,je trouve ça quand même agréable, quand je n'ai pasmal. "
- " Alors, tourne-toi, et lève tes fesses. Je vais essayerde tirer quelque chose de toi. " Carole s'exécuta et lui présentasa large croupe blanche. Mélanie l'écarta pour embrasser*** petit trou, lui aussi noyé par sa cyprine. Elle l'embrassaet le lécha longuement, dardant sa petite langue de vipèrepour l'amadouer. Carole, le visage sur l'oreiller, se laissait aller auplaisir. Mélanie était très douce et ne la forçaitaucunement, pourtant elle l'interrompit ************
- " Excuse-moi, mais il faut que j'aille aux toilettes. " Ellese leva et se rua dans les W.C. Lorsqu'elle ressortit, Mélaniel'attendait à la porte:
- " Tu choisis mal ton moment... "
- " Te plains pas, je t'ai fait de la place. Je me lave et j'arrive." Mélanie la retint par le bras:
- " Tu es si sale? "
- " Non, mais c'est un principe chez moi. Je reviens de suite. "En effet, quelques minutes plus tard, elle avait repris sa position surle lit. Mélanie était un peu aigrie:
- " Tu sens le savon, maintenant! J'aimais tant ton odeur! Tant pis...J'espère qu'elle va revenir vite. " Elle la mouilla abondammentde sa langue et reprit où elle en était arrêtée.Quand elle estima que Carole s'était assez détendue, elley risqua un doigt, puis deux, puis trois...
- " Je vais chercher un gode. Ne bouge pas, ma chérie. "
- " Non, j'en ai pas envie. Continue avec tes doigts... J'aime lessentir bouger en moi... "
- " D'accord, mais je vais chercher du gel. Tu risques d'avoir mal."

Elle était de retour quelquessecondes plus tard et enleva le reste de ses bagues. Elle lui lubrifial'orifice et se frictionna les mains avec le gel. Elle reprit ses pénétrations,bien plus faciles maintenant. Carole se sentait de plus en plus ouverteet de plus en plus pleine. Elle ressentit soudain un point dur, qui laconduisit au bord de la douleur. Mélanie s'arrêta, consciented'aller aux limites de ce qu'elle pouvait supporter:
- " Je te fais mal? Dis-le, surtout. Je veux juste te faire du bien..."
- " Oui, un peu... Vas-y doucement... ne pousse pas si tu vois queje résiste. " Mélanie recula un peu puis avançapar à-coup. Soudain, Carole se sentit soulagée, et se mità aller et venir de la croupe. *** amante était satisfaite:
- " J'ai réussi à te mettre toute ma main! Mon poignetétait dur à passer, mais maintenant, ça va tout seul.Tu aimes? " Carole haletait:
- " Oh oui, c'est bon... Je n'ai jamais pris autant de plaisiravec un homme par là! Pourtant, je me suis déjà faitenculer plus d'une fois! C'est très agréable de se sentirsi pleine. Je sens que tu vas me faire jouir si tu continues! " C'étaitbien le but avoué de Mélanie. Elle aussi prenait du plaisirà voir *** bras aller et venir entre ses fesses. Carole semblaitapprocher de l'orgasme sans jamais arriver à le déclencher.Mélanie sentait l'exaspération dans les râles de ***amie et décida de lui caresser le clitoris. Sa vulve gouttait surle lit en un long fil. Carole jouit instantanément, violemment.Mélanie l'accompagnait en pétrissant *** clitoris et enbougeant *** poignet en tous sens. Elle resta un moment en elle, puisse retira pour lécher et embrasser à nouveau *** petit troudilaté. Elle pouvait à présent entrer sa langue entièredans *** anus grand ouvert. Elle se retira et contempla la belle croupebéante qu'elle venait de vaincre et murmura, plus pour elle quepour Carole:
- " Ma belle enculée... " Elle se laissa tomber àcôté de *** amante. Carole se coucha sur elle et l'embrassa,encore en état second:
- " Tu m'as baisée divinement. Je n'aurais jamais cru prendretant de plaisir par derrière. Maintenant, à moi de te fairel'amour. Je te ferais tout ce que tu voudras. "

Mélanie ne réfléchitpas longtemps. Elle y pensait sans arrêt pendant qu'elle l'avaitpénétrée de *** poing:
- " J'ai juste envie de ta langue: Je voudrais que tu me fasses jouirrien qu'en me léchant. pas de caresses, pas de doigts, rien. Jesais que ça peut être très long, mais c'est un vieuxfantasme... " Carole lui sourit:
- " Mais pas de problème, mon coeur! J'ai tout mon temps..." Elle lui mangea ses petits seins, puis s'arrêta:
- " Dis, j'ai une idée. J'ai vu que tu avais des petites bouteillesde champagne à la cave... " Mélanie était unpeu inquiète:
- " C'est possible, pourquoi? "
- " Je t'explique: quand j'étais jeune et encore vierge, j'aieu des rapports avec le médecin de mon village -un beau mec d'unecinquantaine d'année. Ça c'est limité à quelquesattouchements et un peu de sexe oral -pour nous deux. Une fois, dans ***cabinet, il m'a fait m'allonger sur la table d'examen, m'a mis les piedssur les étriers pour bien m'ouvrir comme pour une visite gynécologique,a débouché une bouteille de champagne et l'a bu -pas tout!-dans ma chatte. Le souvenir de sa langue et des petites bulles ne n'apas quitté. Je n'ai jamais renouvelé l'expérience,et j'ai envie d'essayer sur toi. Je peux? " Mélanie, toujoursà l'affût de nouveautés, était emballée:
- " Oui! Vas-y! Je vais mettre une serviette sur le lit, on ne saitjamais. " Mélanie préparait le lit. Un cri stridentretentit à la cave, ce qui la fit pouffer:
- " Ah là là! Quel numéro! " Carole reparutavec une bouteille de trente-sept centilitres à la main, l'airdépité:
- " C'est que du mousseux. J'espère que ce sera assez bonpour ta choupinette. " Elle avait repris *** expression avec malice.

Carole avait du mal à placer*** amie de la façon adéquate. Finalement, elle la plaçale bassin au bord du lit, sous une pile d'oreillers, ses pieds sur sesépaules. Elle lui versa un filet de champagne en haut de la vulve,ce qui la fit bondir:
- " Ahhh! C'est froiiid! " Carole se dit que les bons souvenirsne valent que par ce qu'ils ***t: des bons souvenirs. Elle lui plantale goulot dans le vagin et y versa quelques gorgées. Mélanie,malgré ses convulsions, faisait tout pour être agréableà *** amie. Carole lapait le mousseux qui sourdait de *** amante,et trouvait le mélange des saveurs plaisant. Elle vida la bouteilleainsi. Mélanie y trouvait aussi un plaisir évident, le premierchoc passé. La bouteille terminée, elle enfouit *** visagedans le sexe de sa complice pour l'en caresser. Elle la léchaitlargement, profondément, dardant sa langue dans ses orifices, mordillantses nymphettes et *** clitoris, doucement, sans passion affichée.Accroupie, le visage entre les cuisses de *** amie, elle sentait encore*** petit trou se contracter spasmodiquement, et regrettait que Luc nesoit pas là pour en profiter. Elle lui aurait réservéle meilleur accueil... Elle léchait Mélanie depuis un bonmoment, assez pour avoir des douleurs dans la langue, et ne ressentaitchez elle aucune trace de début d'orgasme. Elle aurait bien vouluessayer autre chose, mais elle s'était promis de respecter sa volonté.Elle mordilla alors plus fort ses parties tendres, ce à quoi ellesemblait plus réceptive. Elle hâta la cadence et l'amenaen fin de compte assez rapidement à une jouissance assez intense.Carole la mordilla encore plus fort pendant l'orgasme, ce qui fit redoublerses cris. Carole embrassa *** sexe et s'allongea à côtéd'elle. Mélanie s'excusa:
- " Tu vois, j'étais assez longue. Heureusement que tu t'esmise à me mordre, sinon tu y serais encore. Je suis désolée,j'avais jamais fait ça avant. "
- " Ne t'excuses pas. C'est pas grave. On a réussi quand même."

Elle restèrent enlacéesquelques minutes, sans rien dire. Carole rompit le silence. Quelque choselui trottait dans la tête depuis un moment:
- " Dis, ça te dirait si je te sortais? "
- " Où ça? Au restau? En boite? "
- " Je pensais d'abord à un bar branché. Je pensaisau " Lolitas et mentalos ". Je crois que c'est aussi une boîte.Je te préviens, c'est un bar à touffes. " Mélanieouvrit des grands yeux:
- " Un quoi? Un bar à pouffes? " Carole eut un sourireamusé:
- " Mais non, à touffes! A choupinettes comme tu dis... C'est un lieu de rencontre pour lesbiennes. Si tu veux le savoir, je n'yai jamais mis les pieds. Je pensais que ça pouvait être rigolo,entre copines... " Mélanie était inquiète:
- " On risque pas de nous voir? "
- " T'inquiètes, c'est un coin tranquille, dans une petiterue sympa de Nemours. Ça m'étonnerait que tu y croises quelqu'undu village. Surtout une de tes copines bigotes. " Mélaniese laissa tenter, du bout des lèvres:
- " Bon, d'accord. On ne risque rien? " Elle fixait malgréelle la télé éteinte où elle avait vu Dominiquese faire violer par une hommasse.
- " Mais non! Je serais là pour te protéger. Demainsoir, ça te va? "
- " D'accord. Tu penses manger avec moi? "
- " Je crois pas. Je voudrais souper avec mon homme. Je ne voudraispas le laisser en liberté trop longtemps. Enfin, je te rappelles'il y a du changement. " Mélanie était dépitée,de plus elle sentait que *** amie était en train de la quitter:
- " Tu veux revoir ma scène préféréeavec Dominique? "
- " Allez! Soyons folles! un petit coup pour la route! "
chrislebo

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#9,229
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SEXE, ME***GES ET VIDEO.
J'étais toujours plongédans mon bouquin de science fiction -un de mes thèmes de prédilection- et commençais à désespérer de revoir ma tendreépouse lorsque Ouissecasse bondit en bas du lit. Je n'avais rienentendu, mais lui, si. D'ailleurs, quelques instants plus tard je l'entendispousser un hurlement de douleur, aussitôt accompagné d'unbruit de chute et de la voix de ma douce:
- " Putain de con de chat, toujours dans mes pattes! " Il reparutimmédiatement avec une queue d'écureuil, sauta sur le litet se lécha frénétiquement une patte avant. Carolecria du fond du couloir:
- " Chéri! Je suis rentrée! " Je lui criai enretour:
- " Ah Tiens! Je ne t'avais pas entendu écraser le chat! "

Elle se débarrassa de *** sacet de *** imperméable et vint m'embrasser:
- " Bonsoir, mon amour! Par pitié, enlève-moi ces chaussures:je les ai gardées toute la journée! " Elle s'assitsur le lit. Ouissecasse la regarda avec méfiance, au cas oùelle serait venue l'achever. Je me mis à genoux devant elle etlui délaçai ses escarpins. Ils semblaient avoir eu une durejournée. Carole avait les pieds gonflés, et ils sentaientla transpiration. Je ne résistais pas à leur parfum et memis à les lécher avec assiduité. Pour une fois, ellene se débattait pas, et semblait plutôt apprécieren poussant des soupirs de contentement. Elle se rendit enfin compte quequelque chose avait changé chez moi:
- " Mais... Tu t'es fait couper les cheveux? Ça te rajeunitdrôlement! Tu es mignon comme ça. Je suppose que c'est Diane?"
- " Ouaip. " Elle se releva:
- " Je reviens, mon chéri: je me lave les dents, me déshabilleet je te rejoins. J'ai plein de trucs à te raconter. " Moiaussi.

Elle reparut presque aussitôt,superbement nue, une brosse à dents dans la bouche. Je la trouvaisparticulièrement épanouie, surtout ses beaux seins gonflésde désir. Elle avait l'air plutôt mutine et je lui lançais:
- " Alors, tu as passé une bonne soirée avec ta copinezoophile? " Elle me répondit d'un air entendu:
- " Han, han... hékait hien, hai hanfé homme une holle..."
- " Certes, j'en conviens, mais cela risque de durcir les relationsdiplomatiques avec le Pakistan... " C'était ma façonà moi de lui faire comprendre que moi, je n'avais rien compris.Elle pouffa et retint de justesse une projection de dentifrice avec samain. Elle alla se rincer et revint se jeter dans mes bras:
- " Oh mon amour! comme je t'aime! " Je la cueillais àfroid:
- " Toi, tu as quelque chose à te faire pardonner... "Elle prit un air énigmatique:
- " Pardonner, peut-être pas, avouer, certainement. "Nous nous sommes allongés sur le lit, sa tête sur ma poitrineà présent glabre. Elle s'en aperçut immédiatementcar elle avait l'habitude de passer une main dans ma toi*** rare. Je ladevançai:
- " Je te raconterai après. Toi d'abord. "
- " D'accord, mais ça me fait tout drôle de te voirsans poils... Mais... Tu n'en as plus du tout! Mmm... Je trouve çaexcitant... Tout doux... " Elle avait poussé ses investigationssur tout mon corps. Elle attaqua *** récit:
- " Bon, alors, j'arrive chez elle sans frapper, et je la surprendssur le lit en train de regarder la télé. Je lui ai faitpeur, j'ai crié et je l'ai frappée à coup d'oreilleren la traitant de feignasse. " Je reconnaissais bien là magamine de femme: elle adore faire des farces.
- " On a joué un peu sur le lit, mais elle voulait m'embrasser.Alors on a été au salon, on a bu un thé avec desgâteaux... " je l'interrompais:
- " Encore! Ton monstre chocolaté ne t'a pas suffi? Tu vasfinir par être obèse! " Elle m'apaisa d'un geste impérial:
- " Attends! Là, elle m'a dit qu'elle voulait se faire sauterpar *** chien, et qu'elle voulait que je l'aide. Je l'ai donc assisté,mis une capote à *** chien, et je l'ai guidé. Seulement,madame a profité de moi pour essayer une variante: elle a vouluque je lui mette un gode et que je fasse aller *** chien dans ses fesses." Elle marquait un temps d'arrêt pour me laisser digérer*** récit:
- " Et alors, tu l'as fait? " Elle guettait mes réactions,de peur de me choquer. Mais j'étais prêt à tout entendre.Elle continua:
- " Ben ouais, j'ai fait ce qu'elle m'a dit. Je lui ai mêmecaressé les seins. Ils ***t très mignons, on dirait presquedes seins de jeune fille. " Elle marqua une nouvelle pause, maisje la laissais continuer:
- " Elle a joui très fort, et j'étais bien contentepour elle. C'est triste pour une femme de renoncer au plaisir... "
- " Moi aussi, je suis content pour elle. C'est dommage qu'elle nevois plus per***ne, même pas *** mari. Il faudrait peut-êtreleur parler... "
- " Je crois que c'est trop tard pour eux deux. Donc, aprèsça, elle a pris un bain, et elle a voulu que je la lave. Elle tenaità ce que je la nettoie partout-partout. Comme je l'excitais, j'aiarrêté et on a été manger. Elle avait faitdu coq au vin. Enfin, elle appelait ça comme ça, mais ily avait de la coriandre, du cumin, du paprika, et -tiens-toi bien- dupavot bleu! c'était vachement bon. Après, on a mangédu... " Je l'interrompais de nouveau:
- " Tu n'es pas obligée de me détailler le menu..."
- " Ouais, tu as rai***, mais c'était tellement bon... Seulement,la vicieuse n'a pas arrêté de remplir mon verre pour me saouler.Après manger, on a dansé sur des vieux tubes chouettes,et l'alcool faisait *** plein effet. Comme j'avais du mal à tenirdebout, elle m'a allongée sur *** lit et a commencé àme caresser. Elle a dû trouver que je n'étais pas assez grise,car elle a ouvert une bouteille de champagne, et m'a forcée àen boire... " Quelque chose ne collait pas:
- " Comment une petite souris comme Mélanie peut maîtriserune ***** de la nature comme toi? "
- " Tu sais, j'étais bourrée, et elle s'est montéepersuasive, comme si elle m'avait droguée ou **************, elle s'est allongée, a versé le champagne danssa foufoune pour que je le boive... Et je l'ai fait. " Elle attendaitque je la gronde, mais au contraire, j'étais plutôt émoustillé:
- " Alors, c'était bien? Tu as aimé? " Elle m'avouadans un souffle:
- " Oui... Mais ce n'est pas tout... Elle voulait aussi me fairel'amour, mais je n'ai pas voulu, je lui ai dit que je me réservaispour toi. D'ailleurs, je t'ai tout gardé. J'ai dû lui laissermon cul pour la satisfaire. " Nouvelle pause. Je la laissai raconterà *** rythme:
- " Je me suis mise à quatre pattes, elle m'a léchéeet a commencé à me caresser avec ses doigts pleins de vaseline.Elle était très douce, et me pénétrait avectous ses doigts. Elle a même réussi à me mettre samain entière, sans me faire trop mal. "

Ses expériences m'intéressaientau plus haut point et mon excitation limitait mon vocabulaire :
- " Alors, tu as aimé? c'était bien? " Elle fitla moue:
- " Oh, c'était assez agréable... Mais pas assezpour que j'y prenne du plaisir. Je l'ai laissé me caresser pourqu'elle me fasse jouir. Par contre, j'ai pris beaucoup de plaisir en mesentant bien pleine... Oui, c'était pas mal, à la réflexion... Ça m'a fait tout drôle. Elle était très contente.Pour la remercier, je l'ai léchée jusqu'à ce qu'ellejouisse aussi. On a regardé la télé sur le lit, etpuis je suis rentrée. Je ne suis quand-même débarbouilléeavant... "
J'étais très impressionné, et surtout jaloux de Mélanie:elle avait réussi à faire en une soirée ce que jem'évertuai -si on peut parler de vertu pour ça- àfaire depuis plus de quinze ans. Et de quelle manière! Je voulaisen savoir plus:
- " Pourquoi moi, je ne te donne pas de plaisir? Je suis trop rapide?Tu ne me sens pas? Tu avais bu? "
- " Ça je ne sais pas. Mais pendant que je la léchais,j'aurais bien voulu que tu me prennes par derrière. " Elleme fixa dans les yeux:
- " D'ailleurs, si ça te dit, je me sens encore assez ouvertepour pouvoir y prendre un certain plaisir... "
- " Moi aussi, je suis très excité, et je me suis aussiréservé pour toi. Mais je crois que je suis prêt àvenir, après ce que tu viens de me raconter. " Carole s'allongea,le bassin au bord du lit:
- " Lèche-moi, je mouille depuis cet après-midi. Jet'ai tout gardé. "

Je me suis agenouillé au pieddu lit pour boire à ses lèvres. Elle était en effettrès mouillée, presque jusqu'aux cuisses. Je sentais ***odeur forte, plus un parfum que je supposai être de Mélanie.J'explorai *** petit trou qui était ma foi bien souple, et ***vagin juteux -malheureusement trop distendu pour moi. Je me demandai sij'étais en état de l'honorer correctement, et j'y réfléchissaisen faisant sa toilette intime. Elle voulait passer à autre chose,et surtout me faire plaisir:
- " Tu veux me faire l'amour, mon chéri? Ou tu as envie dequelque chose de spécial? " Je tentais de lutter contre unvieux fantasme, mais il prit le dessus. Je me jetai à l'eau:
- " J'ai bien envie d'essayer quelque chose, mais je ne crois pasque tu serais d'accord... "
- " Ah oui? Quoi donc? " C'était embarrassant. Mêmemalgré la longue complicité qui nous unissait.
- " Je... C'est délicat... Je ne crois pas que tu aimerais...C'est pas flatteur pour toi... " Très embarrassant. Elle voulaitme tirer les vers du nez, j'étais trop timide:
- " Quoi? Tu veux que je me déguise en ragondin? " Jeris nerveusement:
- " Non! Tu ne m'aides pas beaucoup... "
- " Alors, dis ce que tu as à dire, et ne tourne pas autourdu pot. Je t'écoute. Comme tu le vois, je suis toute ouïe." Elle me désigna du doigt *** sexe béant.
- " Voilà. C'est un truc que j'ai jamais fait, et que je voudraisessayer. Dis-moi si je te choque. " Elle poussa un soupir agacé:
- " Putain! Accouche! C'est si terrible que ça? " ***intervention m'aiguillonna:
- " D'accord! Voilà: j'ai envie de te jouir au visage. "C'était dit. Elle partit à rire:
- " C'est ça?! Il n'y avait pas de quoi en faire un fromage!"

Elle se leva et revint avec deux serviettesqu'elle disposa sur le sol, à côté du lit. Mélaniela maniaque commençait à déteindre sur elle:
- " Viens par ici mon chéri... " Elle s'agenouilla surles serviettes et me tira vers elle. Je me tenais debout devant mon épouse,le sexe dressé. Elle fit connaissance avec mon intimitéépilée et commença à me masturber et me sucerde façon fort provocante, en marquant de fréquentes pausespour me parcourir le membre de sa langue agile et me regarder dans lesyeux. Je lui adressai un sourire de contentement. Cela ne dura pas longtemps:comme je commençais à haleter, elle me masturba énergiquementà quelques centimètres de sa bouche ouverte. J'ai joui sur*** beau visage, longtemps et abondamment. Le sperme coulait sur ses joueset gouttait sur ses seins, le fruit d'une journée d'excitationcontenue. Elle me suça encore quelques instants en faisant coulerle sperme sur *** menton. J'essuyais *** visage avec mon sexe encore biendur et lui donnai à sucer. Puis elle prit ses seins ruisselantsdans les mains pour les lécher l'un après l'autre. Je m'agenouillaià mon tour pour lui laper le visage et enfin l'embrasser passionnément.Elle inclina la tête sur le côté et me fit avec unsourire coquin:
- " J'espère avoir été à la hauteur detes espérances... " Elle s'essuya avec une serviette et jel'aidais à se relever en l'étreignant:
- " Oh oui, ma chérie... Tu peux me jurer que je ne t'ai pasforcée? " Nous étions assis tous les deux sur le borddu lit.
- " Mais non, gros bêta! J'aime ça aussi, être
toute couverte de ton bon jus... "
Elle devint plus grave:
- " À vrai dire, je l'avais déjà fait avantqu'on soit mariés. " J'étais un peu surpris. D'habitude,elle ne me cache rien. Elle m'a déjà avoué quelquesaventures depuis notre mariage. Moi aussi, du reste, mais ça n'avaitpas été très glorieux pour moi. Il n'y a que Caroleque je parviens à satisfaire, et encore... Je ne répondaispas, je la laissais continuer:
- " ... J'ai même eu une vie sexuelle très agitée,surtout quand j'étais à l'école vétérinaire.Même avant que tu me dépucelles, j'avais déjàpris mon pied avec quelques hommes... Je te l'ai toujours cachépour pas te faire de peine, mais je préfère crever l'abcèsmaintenant. Tu vois à quel genre de fille tu as affaire. Un peutard peut-être. Alors n'hésite pas. Tu peux me traiter desalope, je peux dire que... je le mérite. " Ses derniers motss'étranglèrent dans un sanglot. Je la serrai sur mon coeur:
- " Mais ma chérie, je t'aime plus que tout au monde! Je neveux que ton bonheur! Dis-moi sincèrement: as-tu pris du plaisirdurant ces années que tu as vécues librement? "
- " Oui, bien sûr, mais... "
- " Avais-tu mauvaise conscience? "
- " Après, oui, je m'en voulais de te trahir... "
- " Crois-tu que si tu m'avais tout raconté à l'époque,on se serait mariés et on aurait été si heureux?"
- " Là, je crois pas... Et tu aurais bien eu rai*** de mejeter. "
- " Voilà. Tout est pour le mieux aujourd'hui, alors ne regretterien. Je t'aime infiniment, et tout ce que tu pourras faire n'entamerapas l'amour inconditionnel que j'ai pour toi. Je sais que tu seras toujoursà mes côtés, comme je serai toujours aux tiens. "

Elle m'embrassa en sanglotant doucement.Sa voix chevrotait encore quand elle me dit:
- " Ouah. Ça c'est causé. Pour finir avec ça,je veux juste te dire que moi, je te soutiens à fond dans ta relationavec nos voisins. " Elle renifla, se moucha et tenta de reprendre*** air enjoué, malgré ses yeux rouges et larmoyants. Elleparlait aussi un peu du nez:
- " Alors, tu peux me raconter ta soirée? " Je l'entraînaisur le lit où nous nous sommes allongés, W n'attendant quecette occasion pour se coucher sur *** ventre nu. Le contact de sa fourrureronronnante sur sa peau était très sensuel... Je rassemblaimes souvenirs et tentais de les mettre dans l'ordre:
- " Bon... Quand je suis arrivé, ils m'attendaient avec impatience.Diane a appelé sa tante et *** oncle pour leur annoncer que j'étaisleur esclave... "
- " Ah bon? Pourquoi? " Je crois que je ne lui avais pas parléde *** expérience de jeunesse.
- " Parce que toute petite, elle les avait surpris lors d'une soiréesado-maso, et que *** oncle lui avait fait promettre de leur dire quandelle aurait compris... "
- " C'est moi qui comprends pas. Embraye. "
- " Bref, elle leur raconte tout, et ils lui proposent des tenueset du matériel qu'elle devrait aller chercher demain. "
- " Des chaînes, des trucs comme ça? " Elle avaitl'air enthousiaste, très enjouée. À mon avis, ellese forçait. La pauvre me faisait un peu de peine.
- " Si tu veux. Ensuite, heu... où j'en étais... Oui,elle a pris mes mesures, m'a fait essayer des fringues de filles, et unejolie robe de mariée. "
- " La sienne? "
- " Non, je n'aurai jamais voulu. C'était une qu'elle avaitachetée dans une vente, elle n'a jamais été portée.Mais attention! Avec tous les accessoires, même les sous-vêtements!"
- " Waw! quelle chance! " Voilà que je parlais fringuesavec ma meilleure copine...
- " Après, ils m'ont épilé tous les deux, etc'était pas rigolo, surtout le service trois pièces et entreles fesses. Je comprends ce que vous ressentez... "
- " Vous, les hommes, vous êtes plus chochottes que nous. Nous,nous sommes parées pour affronter les atroces douleurs de l'enfantement."

Elle porta les mains sur Ouissecassecomme si c'était un enfant qu'elle portait en elle. Je ne lui fispas la remarque que c'est une chose qu'elle ne connaîtra jamais:je sais qu'elle en souffre assez au fond d'elle-même.
- " Ensuite j'ai commencé le montage vidéo avec Denis.Ils ont un super matos, le proprio précédent leur a toutlaissé. Ah! Tout ce temps je suis resté tout nu, et Deniscommençait à me peloter... "
- " Tu t'es laissé faire? " j'ai cru déceler unepointe de jalousie dans sa question.
- " Non, Diane ne voulait pas. Après je suis remonté,Elle m'a maquillée superbement: j'étais jolie comme unevraie jeune femme, avec la robe de mariée, je me suis trouvéetrès attirante. Elle m'a fait essayer des bijoux anciens -d'ailleurs,elle m'a laissé une bague, mais je t'en reparlerai. " Elleprit ma main et fit d'un air peu emballé:
- " Ouais, elle est jolie... Dommage qu'elle soit si pourrie... "
- " C'est un symbole! C'est ma bague d'esclave. Il ne faut pas qu'ellesoit trop belle... "
- " Ah ouais... Tu m'en diras tant... " Elle avait du mal àentrer dans notre jeu.
- " Bon. Après, nous sommes allés dîner. Euxmangeaient en amoureux, aux chandelles, et moi je faisais le service.J'étais assis à côté d'eux, et j'avais uneassiette de porridge, un pichet et une timbale d'eau pour repas. Eux,ils avaient un plat de fête: une terrine avec des fruits de mer,et comme plat de la viande genre sauce madère avec des légumescuisinés. Ça sentait rudement bon. " Le cordon bleufit surface:
- " C'était quoi, comme viande? du boeuf, du veau, de l'agneau?Et tes légumes, ils étaient rissolés, avec de lasauce? " J'éludai le flot de questions de ma petite gourmande,auxquelles je n'avais pas de réponse:
- " Ça, tu verras avec Diane. Après, j'ai servi ledessert -ton somptueux gâteau- et du café. " Caroleavait l'air contrariée:
- " J'ai l'impression qu'ils se servent de toi comme d'une bonnichegratuite. " Je la rassurai:
- " Non, ce n'est qu'un jeu. C'est Diane qui a tout fait. Je n'aijuste porté que quelques assiettes. C'est après que c'estdevenu intéressant: j'ai sucé Denis sous la table, puisj'ai dû m'occuper de Diane... " J'avais toujours des réticencesà raconter mes exploits à Carole. Elle était plutôtouverte en ce qui concerne le sexe -j'en étais venu à changercomplètement d'avis à *** sujet-, mais nos pratiques sado-masolui restaient en travers de la gorge. Il faudra qu'elle s'y fasse... Elleétait ***geuse, et je n'arrivais toujours pas à ***der sespensées.

Elle me laissait continuer, ne trouvantpas de commentaire adéquat:
- " Après ça je suis monté, Diane m'a habillée,mis mes sous-vêtements et ma lingerie fine, ma robe de mariée,une perruque, des bijoux, et m'a maquillée. J'étais trèsjolie, une vraie jeune mariée. " Carole me souriait d'un airmoqueur. Je continuai, malgré *** manque de compréhensionà mon égard:
- " Ils ont bricolé un bon moment en bas, puis Diane m'a appeléed'une voix solennelle. Elle était sur un genre de trône,habillée comme les bourgeoises d'avant guerre, quand elles faisaientdu cheval. Là, elle m'a demandée officiellement si je voulaisêtre leur esclave, elle m'a lu mes obligations envers eux et ellem'a donné cette bague en signe d'appartenance. " Carole avaitdéjà lu ça quelque part -nous avons les mêmeslectures:
- " Ah oui, c'est comme dans " histoire d'O "... "
- " Voilà. Ensuite, Denis -qui était quasiment nu etdéguisé en bourreau- m'a attachée sur une grandetable et m'a fouettée, cent coups de cravache. "
- " Tu parles d'un cadeau de bienvenue! "
- " Ça, c'était ma punition pour t'avoir cachédes choses. D'ailleurs je dois t'en parler, après ça situ veux bien. "
- " Tu m'étonnes! D'après ce que j'ai cru comprendre,ça doit être rigolo! "
chrislebo

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#9,230 · Edited by: chrislebo
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" C'est pas le terme que j'aurais utilisé, mais enfin...Tu jugeras par toi-même. " J'avais perdu le fil:
- " Heu... Oui! Après les coups de cravache, Denis a mis ***sexe dans ma bouche et Diane m'a torturée: elle m'a suspendu quelquechose de lourd au sexe et m'a enfoncé la bougie de la veille. Ellel'avait attachée pour la maintenir en place, mais si serréequ'elle continuait à s'enfoncer petit à petit. Et commeelle était de plus en plus large, j'avais de plus en plus mal.Ensuite, elle m'a donné plusieurs coups de cravache su les fessesjusqu'à ce que *** mari jouisse en moi. Elle m'a fait trèsmal, je croyais que je saignais. "
- " Elle est folle, cette nana! " Je tentai une fois de plusde lui faire comprendre:
- " Autant que moi qui aime me faire maltraiter... Ne la juge pastrop sévèrement. Elle m'aime beaucoup, tu sais... "
- " Moi aussi, mais je préfère te faire du bien quedu mal! "
- " C'est pour ça que je préfère que ce soitune autre que toi... Après ils m'ont bandé les yeux -ouavant?- et ils ont fait l'amour derrière moi. Denis m'a enlevémes instruments de *******, il s'est rendu compte que ça commençaità être insupportable. Ils ont bu un verre et ***t montésdans leur chambre. Ils ont encore fait l'amour et picolé, en melaissant seule, ligotée sur ma table. Longtemps après, Diane -complètement bourrée- est descendue pour pisser. Elle m'avaitoubliée, apparemment, m'a libérée, a étéfaire pipi et m'a fait faire sa toilette intime avec ma langue, après.Elle a trouvé ça amusant. " Carole fit une moue dégoûtée:
- " Beuuuh!... Ensuite? "
- " Je suis remontée, changée, je suis passéleur dire bonsoir-, ils s'étaient un peu calmés- et je suisrentré. J'ai regardé si j'avais des messages, j'ai prisune douche et t'ai attendu en lisant. Voilà. "
- " Et bien, mon pauvre chéri... Tourne-toi que je regardetes coups... " Je me mis à plat ventre et me laissai ausculter.
- " Bah! tu n'as rien! Demain ça se verra plus. " Elleinsinua sa main entre mes fesses et me mit deux doigts dans mon petittrou encore lubrifié, sans difficulté:
- " Là, on sent qu'il y a eu du passage. Si j'avais une queue,je t'y ferai bien l'amour... " Ses attouchements me provoquèrentune nouvelle érection. Je me retournai:
- " Mais moi, je ne te l'ai toujours pas fait, avec tout ça..."

Je l'embrassai et couvrit *** corpsde baisers. Ouissecasse, qui se sentait de trop, préféras'éclipser. Elle se laissait faire avec bonheur. Elle adore mespréliminaires. C'est peut-être ce que je fais de mieux...Elle ouvrit les cuisses et m'attira sur elle pour que je la prenne. Commeje le craignais, je ne sentais déjà plus rien, et elle nonplus, certainement. Elle me retourna pour me chevaucher, c'étaitmieux mais pas très satisfaisant. Elle arrêta *** galop aprèsquelques mètres, l'air dépité:
- " Je suis désolée, mais je ne te sens déjàplus... C'est ma faute, je me suis trop excitée. " Je luiproposai une solution de repli:
- " Tu veux que je te fasse l'amour avec ma bouche, en te caressant?"
- " Non, j'ai envie que tu me pénètres. J'ai enviede te sentir en moi. Encule-moi. " Elle se mit à quatre patteset me présenta sa jolie croupe. Je l'embrassai et caressai ***petit trou avec amour, pour la première fois il répondaità mes avances. Il était d'ailleurs très souple etCarole semblait prendre du plaisir à mes caresses. Je la lubrifiaiet la distendais avec mes doigts, assez énergiquement, mais ellene se plaignait pas, au contraire, comme si je n'allais pas assez vitepour la préparer. Je la pénétrai en levrette trèsfacilement, peut être un peu trop, même. Je ne trouvais pasla position confortable. Je m'allongeai et la fis s'asseoir sur moi. Ellemaîtrisait sa pénétration et je pouvais lui caresserles seins et le sexe à loisir. Elle avait l'air d'apprécierénormément. Elle ne bougeait pas beaucoup, se contentantde me garder au fond d'elle et d'osciller du bassin d'un mouvement circulaire.Je résistais très mal à ses sollicitations et memis à la masturber plus énergiquement. *** orgasme montasi rapidement qu'elle me prit de court, ce qui me permit de profiter duspectacle: elle se mit à me chevaucher de plus en plus vite, ens'écartant les fesses pour tenter de s'empaler plus profondément,puis à la venue de *** orgasme elle se prit les seins àpleines mains pour les pétrir ***********. J'avais réussià lui enfourner deux doigts dans le vagin et accompagnais ses mouvements.Je pris mon plaisir avant qu'elle ait fini de crier, ce qui fit reprendre*** orgasme. Elle se coucha sur moi, épuisée. Comme je nepouvais pas rester en elle dans cette position, elle se tourna sur ledos et remit mon sexe dans *** petit trou. Je lui caressai les seins encontinuant de la pénétrer par petits coups, profitant desderniers instants de mon érection.

Je lui embrassai la nuque.
- " Alors, ma chérie, c'était aussi bien qu'avec Mélanie?" Elle tendait le cou pour que je lui embrasse:
- " C'était bien, mais pas pareil. J'ai pris beaucoup de plaisiraussi, mais une grande partie venait de mon sexe. Mélanie m'a moinscaressée, mais je te rassure, c'était très bien." Je me sentais toujours jaloux de *** amie:
- " La prochaine fois, je te ferai ce qu'elle t'a fait. J'ai despetites mains, on verra bien. "
- " Elles ***t quand même bien plus grandes. Il faudrait pasque tu m'éclates. "
- " Ne t'inquiètes pas. D'ailleurs, j'étais àdeux doigts -si j'ose dire- d'y passer moi aussi. J'ai oublié cepassage, mais après avoir enlevé mon gode, Diane a enfoncésa main dans mon cul, sans ménagement. Elle a demandé à*** mari s'il voulait qu'elle me défonce. Heureusement, il n'apas voulu. Enfin, j'aurais bien aimé si elle avait étéplus douce... " Carole voulait passer à autre chose:
- " Si on parlait d'autre chose que de trou du cul? On commence àtourner en rond, je trouve. "

J'en avais pas fini.
- " Avant de clore ce chapitre, je voudrais te raconter ce que j'aipassé sous silence hier. Tu sais, la fondue. " Carole se couchaà côté de moi et s'appuya sur ma poitrine. Mon érectionavait disparu et elle n'avait plus de rai*** de rester sur le dos. Elleme fixait, les yeux brillants:
- " Oui! J'ai failli oublier! Je t'avoue que cette histoire me taraudedepuis cet après-midi. Je me demande ce que vous avez mangéexactement. " Je refrénai *** enthousiasme.
- " T'emballe pas. T'emballe pas. Tu auras moins d'appétitquand j'aurai fini. " Elle me fixa avec des yeux inquiets:
- " Ah? "
- " Accroche-toi, j'y vais. Tu en as eu un aperçu par Diane..."
- " Ouais, mais vas-y. Je m'attends au pire. "
- " Donc, quand elle se faisait brouter le sexe, à genouxsur ma bouche, elle s'est enfilée plusieurs chocolats -au moinscinq ou six- dans le derrière. Après avoir bien jouéavec moi, presque une heure plus tard, elle a senti ses chocolats se rebeller.Ils étaient tout fondus. Déjà qu'ils avaient chaudsur la table du salon... Elle m'a fait coucher par terre et s'est soulagéedans ma bouche. Elle m'a remplie de chocolat. " Le visage de Caroleétait figé dans un masque de dégoût et d'incompréhension:
- " Je suppose qu'il n'y avait pas que du chocolat, dans sa chocolatière?"
- " Non, je ne crois pas, mais j'ai tout avalé sans me poserde question. C'était pas mauvais. " Carole avait eu sa dose:
- " Oui, Bon, c'est bon, ça va... T'as fini? " Je luifis un grand sourire:
- " Oui, ma chérie. Tes souhaits ***t exaucés. Tu saistout, et te voilà avec des recettes inédites. "
- " Vous êtes des malaaades. "
- " Chacun *** truc, ma chérie. Dans le sexe, chacun prend*** plaisir à des sources différentes. Je ne parle pas làde source de chocolat. " Elle commençait à êtremal à l'aise:
- " Bon, on fait dodo, maintenant? " Nous nous sommes couchés,et Carole éteignit la lumière:
- " J'ai oublié de te dire: je sors Mélanie demainsoir, après manger. Ça ne contrarie pas tes plans lubriques,je parie? "
- " Aucunement. C'est gentil de ta part de t'occuper d'elle. Demain,ça devrait être assez calme pour moi, question esclavage."
- " À vrai dire, j'ai envie de lui trouver une fiancée."
- " C'est encore plus gentil. Bisous, et bonne nuit, ma chérie."

Le matin suivant, je n'ai pas traînéau lit. Ouissecasse m'avait réveillé en se frottant surmon visage. C'était sa façon à lui de dire bonjour.C'était gentil, mais j'aurais aimé que sa maîtresselui apprenne à ne pas le faire aux gens qui dorment encore. Ilétait à peine huit heures, et Carole, comme à l'accoutumée,était déjà debout. Je pouvais l'entendre préparerle déjeuner en chantonnant la musique d'une pub pour du lait enpoudre. Elle est toujours d'excellente humeur le matin, c'est mon rayonde soleil. Je fis un rapide câlin à Ouissecasse et me levai.Il m'accompagna, on aurait juré qu'il était venu me chercher.Après un passage aux toilettes, je fis la bise dans le cou de madouce moitié qui s'arrêta net de chanter:
- " Ah putain! Tu m'as fait peur! Je te croyais encore en train deronfler. "
- " La fortune appartient à ceux qui se lèvent tôt.Et ceux qui l'ont déjà se lèvent tard. Va comprendre... Je peux t'aider? "
- " Tu tombes bien, J'ai fini. Installe-toi, mon bichon mordoré." Oui, nous faisions aussi un concours de petits noms aussi ridiculesqu'improbables.

Je m'attablai avec appétit -jene résiste pas à l'appel des tartines grillées- etnous commencions à manger avec appétit quand le téléphone***na. Bilou-bilou. À cette heure, cela ne pouvait être quebelle-maman, et je ne voulais pas décrocher: Elle a le don pournous pourrir les petits déjeuners. À chaque fois, elle metanne et me fait la morale, sur ce que je devrais faire ou ne pas faire,et surtout pour que je vienne les voir plus souvent. Ils ***t gentils,mais un peu frustes. Leur sens de l'humour est plutôt... rural.Pour vous situer les per***nages, alors que j'allais épouser Caroleet que nous ne vivions pas encore ensemble, j'étais rentréà Paris avec un pois*** crevé dans la voiture. Qu'est-cequ'on a ri... J'en ai encore mal aux côtes quand j'y repense. Parcontre, j'étais la coqueluche des chats du quartier...

Carole ne voulait pas se lever nonplus, et comptait sur mon dévouement. Après tout, elle avaitpréparé le déjeuner:
- " Tu peux y aller, mon chéri? " Je manifestai mon enthousiasme:
- " Ventre attablé n'a pas d'orteils. " J'y allais malgrétout, vaincu par *** regard larmoyant, mais lui passai directement letéléphone, sans décrocher: je lui laissai ce plaisir:
- " Tiens, c'est ta mère. " Elle prit la communicationet répondit:
- " Allo?... Maman? Quelle bonne surprise! " Les mots "bonne " et " surprise " étaient à mon avisde trop. " ... Non, tu penses... On est en train de manger... àsept heures... Non, on préfère faire ça le soir,ou dans la journée... Mais tu es une petite cochonne! Vicieuse,va!... Oui, il est là, à côté de moi... "Je criai en direction du combiné:
- " Je suis sous ma douche! " Carole me regardait en souriant:
- " ... D'accord, je... je te le passe. " Horreur. J'ai sentique je devais être drôle:
- " Belle Maman? Quel plaisir! " Ma voix mielleuse ne la trompaitpas:
- " Surtout te ***** pas, petit salopiot! Je sais par Carole queje te tape sur les nerfs! " Je pris un air outragé:
- " Oh la menteuse! Elle est simplement jalouse de notre idylle!Vous savez bien, ma chère Ghislaine, que si elle ne s'étaitpas mise entre nous, c'est vous que j'aurais enlevé sur mon chevalblanc pour galoper vers le couchant! " Elle rit, mais pas pour ceque je croyais:
- " Mon pauv' petit parigot, on aurait pas été bienloin. Vers le couchant, y a la mer! " On peut dire que les gens dela terre, ils ont les pieds sur terre. Aucune imagination.
- " Tant pis. De toute façon, c'est trop tard. Mais que mevaut le plaisir d'entendre votre douce voix? "
- " On aurait besoin de Carole à la ferme. On voudrait fairesaillir des vaches et pour ça, c'est la meilleure. "
- " Pas que pour les vaches. Elle se spécialise dans les chiennesen ce moment. " Carole me menaçait d'une main ouverte au-dessusde ma tête. Elle souriait quand même... Ghislaine n'avaitpas relevé:
- " Alors, on peut te l'emprunter? "
- " Oh! Mais vous pouvez même la garder! Elle est nulle etme sert à rien. Elle est paresseuse, fait mal la cuisine et l'amour.Si je la rends, vous me remboursez? "
- " Des clous! Elle a déjà servi! Tu as fait sauterle sceau de garantie! "
- " Allez, un bon geste! Pour le même prix, je vous donne lecouvre-lit fuchsia qui va avec! " Ce coup-ci, elle était mortede rire. Enfin, pour la tuer, il faudrait y aller plus fort. C'est coriace,ces bêtes-là... Je concluais, avant qu'elle ait repris*** souffle:
- " Allez, c'est d'accord! Me l'abîmez pas. Déjàqu'elle sent la vache en rentrant... "
- " Ça sent bon, les vaches, c'est la nature! Et toi, tu viensquand? Avec le travail de feignant que tu fais, tu pourrais venir habiterà côté de chez nous! Il y a... " J'écartaile téléphone de mon oreille et tapotai dessus:
- " Allo? Allo?... Crrk... Bzzz... Je ne... Plus... Je... Grzzz...passe sous un tunnel! " Et je rendais l'appareil à Carole.Systématiquement, sa mère pleurait pour qu'on vienne habiterprès de chez eux. Cette idée tentait Carole dans un premiertemps, puis elle est tombée amoureuse de notre mai*** et de notrevillage.
- " Maman? Oui, bien sûr... après-demain, vers midi,ça ira?... Peut-être, mais j'ai des choses à faire...Oui... Tu feras une grosse bise à Papounet... Je m'en fous, moij'aime bien l'appeler comme ça. Bisous! " Elle raccrocha,un peu furax:
chrislebo

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#9,231
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- " Putain, y ***t gonflés, mes vieux! Il faut que j'accourreà leur service. Je suis pas leur fille de ferme! "
- " Tu es leur fille tout court, et, à mon avis, ils ne tevoient pas assez. Ça te dit quand même, d'y aller? "Carole avait aussi un grand frère, marin à l'autre boutdu monde et qu'on ne voyait jamais, et j'ai appris assez récemmentqu'elle avait eu aussi un petit frère, mort d'un accident stupide,un jeu de gosses. Elle ne l'a quasiment pas connu.
- " Oui, bien sûr, c'est ma passion, les bêtes. Maisils pourraient y mettre les formes, quand même. "
- " Tu penses rester longtemps? "
- " Quelques jours, mais tu les connais, ils ***t du genre crampon." Je brandis une tartine en tâtant mon bol de chocolat maintenanttiède:
- " Mangeons, ma soeur, avant que la glace ne prenne dans nos bols."

Je fis ma toilette et jetai un oeil sur mon téléphone mobileque j'avais laissé sur mon bureau. J'avais trois messages, dontun d'Omar qui me félicitait pour mon travail. Il me fit part ausside l'avis de *** employeur qui trouvait mes honoraires trop élevés.Il l'avait convaincu du contraire. J'espérais que ce n'étaitpas Omar qui se sucrait un peu trop au passage... Sur mon écrand'ordinateur, c'était la panique. L'épisode MLTL avait misun coup de pied dans la fourmilière, et cela avait des répercussionssur d'autres actifs que j'avais négligées. Certains de mescollègues étaient un peu en rogne contre moi, car ils avaientperdu plus que ce que je leur avais fait gagner. Il me faudra au moinsla matinée pour remettre un peu d'ordre là-dedans... Dansun premier temps.

Mon attention fut attirée parun bruit suspect. Je me levai et en découvrais bien vite la cause.Cela se passait dans la salle de bain: Carole était à genouxet maintenait fermement Ouissecasse au sol, par la peau du cou. Il étaitentouré de flocons de coton, et grognait. Je m'interposai héroïquement:
- " Arrière, Médée! Tueuse d'enfants! "Carole ne me jeta pas un regard:
- " Ce con de chat m'a encore bouffé une couche. Tu as encoreoublié de fermer le placard! " Elle essayait de lui fairelâcher le reste de la dépouille de sa serviette.
- " Bah! Laisse le finir de jouer... Je nettoierai, et je t'en achèteraiune neuve. D'ailleurs, depuis les années soixante, elles ont unpeu évoluées, et ***t toutes fines maintenant. "
- " J'ai pas confiance. J'ai toujours mis celles-là depuisce satané jour où je me suis mise à fuir. "Carole et le progrès, ça fait deux. Elle lâcha Ouissecasse,qui joua encore un peu avec sa proie, puis, voyant que nous ne poussionsplus de cris, s'en désintéressa et sortit prendre l'air.Je ramassais les débris. Pas de quoi fouetter un chat, mêmecelui-là...

J'allais retourner à mes transactionsnumériques quand Carole sortit s'occuper de *** cheptel, en jeanset chemise à carreaux. Même accoutrée ainsi, avecses bottes en caoutchouc, un seau à la main, elle étaitsuperbe. Je la regardais s'éloigner au fond du jardin -un trèsgrand jardin-, sa longue tresse rousse sautant sur *** épaule aurythme de ses hanches bien moulées dans *** pantalon. Elle me fitun geste de la main, sans se retourner. Comment savait-elle que je passaismon temps à l'admirer? Je l'aime tant... Dommage que *** gentilgeste se termina par un doigt d'honneur tendu bien haut... Je lui criai:
- " Moi aussi, je t'aime! " Tout en marchant, elle me fit ungrand sourire coquin par-dessus *** épaule.

La matinée passa rapidement.Carole vint me chercher pour le déjeuner. Elle ne s'étaitpas changée et avait enfilé *** tablier de cuisinière,avec écrit en gros, en lettres de feu: " Le chef, ici, c'estmoi! ". Elle avait tout de même ôté ses bottes.Fidèle à *** habitude, elle se colla sur mon dos, posantsa tête sur mon épaule. Elle sentait bon la nature, les bêteset la cuisine:
- " Ce con de Carlos m'a encore bouffé les tétons.Il n'arrête pas de courir après les chèvres et lespoules. Il n'y a que les oies qui lui font peur. " Carlos est unmignon petit âne provençal, très joueur et farceur.Carole a craqué pour lui dans une foire agricole. On a bien essayéde le débaptiser, mais il ne répond qu'à *** nomqui nous évoque un chanteur terroriste. Carole l'a castréelle-même, car il paraît qu'un âne entier, c'est invivable.Il ne lui en tient pas rigueur, et il est toujours joyeux. Il est toujoursfourré avec les chèvres, sauf quand on le sort pour promenerles gosses ou pour partir en randonnée.
Carole continua:
- " Tu viens, mon choubidou, c'est prêt. Tu en as pour longtemps?" Je sentais une pointe d'exaspération et de crainte danssa voix. Je la rassurai:
- " Non, ma crépidule. De toute façon, je n'auraispas fini avant un bon moment. Je continuerai tout à l'heure. Jeclôture juste cette séquence de transfert de fonds et jesuis à toi. Voilààà... Tac... Tac... Et Paf!Fini. "

Je quittai ma session de travail etpris le bras de mon épouse, d'un air emprunté:
- " Allons nous restaurer, à présent. Que nous as-tuconcocté, cette fois, ma douce colombe? "
- " De la merde, comme d'habitude. " Je pris un air satisfait:
- " Ah! Bien... Bien... Chaque jour est un jour de fête, grâceà toi, mon amour. "
- " La flatterie ne rendra pas ma cuisine meilleure. " Elleétait modeste. Enfin, elle voulait me le faire croire. Je la prisà contre-pied:
- " C'est dommage, elle en aurait en effet bien besoin. Oufff..." Elle me donna un coup de coude dans les côtes. Bien qu'ellesavait que tout le monde appréciait ses petits plats, elle ne toléraitque sa propre critique:
- " Assieds-toi et goûte. Saucisses-lentilles façonCaro. "
- " C'est quoi, ta façon? C'est d'ouvrir la boîte dela main gauche? " Elle était gauchère, et même,parfois, gauchiste. Elle prit ma remarque de haut:
- " Monsieur, vous êtes un petit con. J'ai tout cuisinémoi-même, avec mes petits doigts boudinés. " Elle avaitde belles grandes mains élégantes, mais elle avait de lapoigne... Elle me posa l'assiette qu'elle venait de me servir devant moi.Ça sentait très bon. Cela faisait un moment qu'elle n'enavait pas fait. Comme ce matin, il faisait assez frais pour la sai***,elle a sauté sur l'occasion. J'essayai de deviner ce qu'elle yavait mis, mais mes connaissances s'arrêtaient aux choses visibles.Outre les saucisses -artisanales du charcutier du village- et les lentillesvertes, je ne voyais que des lardons rissolés et des rondellesde carottes. J'émis donc des réserves:
- " À mon avis, il y a là-dedans des choses prohibéespar l'académie de médecine. Plus c'est bon, moins c'estbon. Et là, on atteint des niveaux dangereux. "
- " Tu es vraiment doué pour tourner les compliments. Je croisque je devrais m'en contenter... "

Je me souviens de la premièrefois qu'une femme me fit cette remarque, alors que j'avais une dizained'années: c'était ma maman, et nous étions dans lacuisine. Elle préparait le repas gaiement et moi, je lui tenaiscompagnie en lisant les aventures de ma souris impérialiste préférée.J'eus soudain une envie irrépressible de lui dire:
- " Tu sais, je trouve que tu ne fais pas ton âge... "Elle parut surprise et me fit en souriant:
- " Ah bon? Tu me donnes Combien? "
- " Ho... Pas plus de quarante cinq ans... " Elle souriaittoujours, en secouant la tête:
- " Merci, c'est gentil... J'en ai pas encore quarante... "

Voilà pour l'anecdote. Revenonsà Carole. Je goûtais, et décidais d'être plusdirect. Je la perturbais, la pauvre chérie:
- " Mmm... Oui, je crois que je vais reporter un peu la date de notredivorce... " Carole tenait à accompagner ce festin par uncôtes-du-Rhône. Elle aime bien biberonner depuis quelque temps,on dirait... Je l'ai accompagnée, et le repas fini, je me rendaisen reptation verticale devant mon ordinateur. Je n'aurais pas dûboire autant. Je travaillais doucement, et avec beaucoup de mal. Heureusement,les effets de l'alcool se dissipèrent rapidement.

Carole avait fini la vaisselle et vintme retrouver. Elle me fit un petit câlin, et, en principe, c'estlà que ça dégénère... Elle sentaitque j'étais préoccupé et n'insista pas:
- " Chéri, je retourne voir les bêtes. Ça faitun moment que j'ai pas nettoyé Rosita et Perdita. " Quellesanté. Mettre *** nez dans les déjections caprines -elleparlait de nos deux chèvres- après un si bon repas, c'estdu suicide. Elle continuait:
- " Et la poule blanche m'a paru bizarre tout à l'heure. Turetournes chez les Dédés? " C'est le surnom de nosvoisins, les Müller, à cause des initiales de leurs prénoms.Elle ne semblait pas être préoccupée par ma réponse:
- " Oui, d'ailleurs je ne vais pas tarder. J'ai mis un beau foutoir,et j'attends que ça se calme un peu pour voir la suite. Heu...Là, je parlais de mon boulot... "
- " J'avais compris, esprit pervers! Tâche de rentrer verssept heures, n'oublie pas que je sors ce soir. Entre filles. Bisou. "Elle m'embrassa et partit soigner ses bêtes.
Il était déjà quatre heures moins le quart lorsqueje franchis la porte des Müller. Je ne frappais pas, j'étaisun peu chez moi maintenant. Je ne voyais per***ne, mais j'entendais ronchonnerdans le bureau de Denis: c'est un gentil garçon, mais il a vraimentun sale caractère...

Il était assis devant *** ordinateur,secouant nerveusement sa souris. Je lui fis une bise sur la bouche:
- " Ça n'a pas l'air d'aller ... " Il semblait vraimentpréoccupé: il ne m'a pas rendu mon baiser:
- " Pfff... Ils font chier, ces cons! Ils m'ont mélangésoixante palettes dans l'entrepôt, pas moyen de les retrouver! Ilsne savent pas faire la différence entre le "Deteflor Plus"et le "Deteflor Super". Je te jure! Il faut que j'y aille etque j'en prenne un pour taper sur l'autre! "
- " Ah... Tu sors?... " J'étais un peu dépité.
- " Ouais, il va falloir... Excuse-moi, je ne t'ai pas bien accueilli.Tu vas bien? "
- " Un peu douloureux, mais ça va. Diane n'est pas là?" Je connaissais déjà la réponse:
- " Non, elle est partie pour la journée, et elle ne rentreraque demain. Elle a pris le fourgon et la remorque, elle doit faire unelivrai*** de meubles, chez le client dont elle a parlé. Je l'aiaidée à charger, c'était bien lourd. Au fait, ellem'a dit que tu lui plais énormément en Alicia et qu'ellet'aime. Elle t'embrasse. " C'était un peu embarrassant:
- " Ça te gêne pas qu'elle dise ça? " Ilsourit enfin:
- " Mais non, voyons! Moi aussi, je t'aime. " Il me fit un bisousur la bouche. Il reprit *** air contrarié:
- " Excuse-moi, mais il faut vraiment que j'y aille. Je vais sûrementrentrer très tard, alors ne m'attend pas. Je te laisse les clés,fais comme chez toi. " Ça promettait d'être gai. Jetentai ma chance:
- " Tu n'as pas le temps pour un petit câlin vite fait? "
- " Non, t'es gentil. De toute façon, j'ai pas le coeur àça. Tout à l'heure, si tu es encore là... " Je me fis une rai***:
- " Bon, tant pis. Je vais tâcher de finir les vidéos,avant qu'on ait matière à en faire d'autres... "

Denis me fit un dernier bisou et s'éclipsa,avec regrets. Je me mis à *** banc de montage et finissait le premierfilm. J'ai dû couper pas mal vers la fin, on papotait beaucoup.Ensuite, j'ai sous-titré les passages inaudibles. Il n'y avaitpas que des cris... Bizarrement, j'ai eu plus de mal avec le deuxième,celui de mon baptême. Le cadrage était très mauvais,et le *** plutôt fluctuant. J'avais fini la partie vidéo,pas très satisfait du résultat, peu avant sept heures. Petità petit, une idée s'insinua dans mon esprit. Oh! Juste uneidée, comme ça...
chrislebo

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MISES EN BOITE.

Je retournai manger en compagnie de ma bien-aimée. La table étaitmise, mais on sentait qu'elle devait avoir la tête ailleurs. C'étaitsoirée saucis***/fromage. Je lui lançais:
- " Je crois que je ne ferais pas de remarques, ce soir. "
- " Tu es malade? T'es tout triste... Tu vas manger, quand même?" Je l'imitais:
- " Ce soir, casse-croûte façon Caro. " Elle étaitvexée:
- " Hé! Ho! J'ai fait la salade, quand même! "Je la rassurai:
- " Mais c'est bien comme ça, ça me va. J'aime biensaucis***ner, de temps en temps. De plus, il fait plus chaud que ce midi.Quel Temps! On se serait cru chez Henri. " Ça lui rappelaitde bons souvenirs:
- " Tu te rappelles, cette cheminée, Et cette peau de bête?" Elle attaqua le saucis*** par surprise et nous en coupa des rondelles.Moi, je me chargeais du pain.
- " J'espère qu'on a pas fait trop de taches... Au moins,on leur aura laissé un bon souvenir... "
- " En tout cas, ils ont la main baladeuse, dans cette famille, etpas que les hommes. Les distractions ***t plutôt rares. " Jeconfirmai:
- " Oui, même moi, je me suis fait palper l'entrejambe parsa soeur, en la croisant dans le couloir. Elle a paru un peu déçue..."
- " Le froid, sans doute... Elle doit encore se demander commenttu me fais tant de bien avec si peu... " J'étais conscientde la taille de mon sexe, mais ça me fait toujours un peu de malquand elle m'en parle.

Je changeais de sujet:
- " Alors, tu fais quoi, ce soir? "
- " Je te l'ai dit, je sors Mélanie. "
- " N'oublie pas sa muselière. " Elle n'aimait pas queje critique sa copine:
- " Hin. Hin. Hin. Très drôle. En fait, on va au "Lolitas et Mentalos ". Au moins, on sera pas emmerdées pardes mecs lourds comme qui tu sais. "
- " C'est quoi, ce truc? On dirait le nom d'une garderie ou d'unparc d'attractions pour les gosses... "
- " C'est normal que tu connaisses pas. C'est une boîte pournanas. Rien que. Ça remplace le restau où on allait souvent,au début. Heu... " Les trois amis ", je crois... "
- " Oui, je vois où c'est. Je me rappelle aussi d'une fillequi me jurait ses grands dieux: "Mais je ne suis pas gouine! ",mais je ne me souviens plus qui... " J'avais essayé d'imitersa voix et *** intonation étranglée.
- " Je te dis que c'est pour lui trouver une copine. Une bien àelle, qu'elle pourra garder dans *** lit. "
- " Ça va être difficile pour elle. Quand on a rouléen Ferrari, c'est dur de changer de voiture... " Elle rit:
- " Tu dis ça pour ma carrosserie, ou mon moteur? "
- " Les deux, mon amour, et je rajouterai même pour la couleur..." Je parlais de ses cheveux, bien sûr.
- " Boâh! je rougis pas si souvent... "
Pendant le reste du repas, une idée s'insinua petit à petitdans mon esprit. Ce n'était qu'une idée saugrenue, au départ,et complètement irréalisable. Je lui demandais des précisions:
- " Tu y vas à quelle heure? "
- " Je vais chez Mélanie vers huit heures et demie, et ondevrait y aller vers neuf heures et demie -dix heures. Je prends la "Clito ", tu n'en auras pas besoin? " C'était le petitnom de notre voiture, une Renault Clio.
- " A priori, non. "
- " J'espère rentrer seule... En tout cas, ne m'attends pasavant une à deux heures du mat'. "
- " Moi, je vais rester un peu chez les Müller, je continuela vidéo. Denis est sorti, je resterai sûrement tout seul.Ensuite, je rentre. " Petit à petit, les pièces dupuzzle se mettaient en place, et chaque problème trouvait sa solution.Mon but: emmener Alicia, inconnue de presque tous, au milieu des femmes.

Il fallait déjà y aller:Carole prenant la voiture, il me restait le scooter. Il fallait le garerdans une rue sûre, et qu'elle ne le reconnaisse pas. Ensuite, lesvêtements: J'avais repéré dans un placard des robesqu'on lui avait données, trop grandes pour elle. Je les avais déjàessayées, il y a un petit moment, quand elle n'était paslà... Le maquillage, la perruque, la lingerie, ça devraitaller. Reste les chaussures... Je fais du quarante et un, Carole du trenteneuf. C'était le dernier obstacle, et il venait peut-êtrede sauter. Je venais de me souvenir d'une habitude bizarre de mon épouse,qui lui avait passée, et pour cause: quand elle achetait des chaussures,elle les essayait, et prenait une boîte identique qui n'avait pasencore été ouverte. Elle était rentrée fièrementavec de jolis escarpins gris métallique, et lorsqu'elle a voulume les présenter à ses pieds, elle s'est rendu compte qu'ellenageait dedans. Elle avait bien pris les mêmes, mais quelques taillesau-dessus... Elle a égaré le ticket de caisse, et, normalement,ils devaient dormir dans le même placard que les robes.

J'attendis avec impatience qu'ellesoit partie en tapotant distraitement sur mon ordinateur -je corrigeaisles effets de mes erreurs petit à petit- pour me ruer dans la pièceoù étaient stockées les choses qui ne nous servaientpas, plus ou peu. Je plongeai fébrilement en bas du placard etexhumai une pile de boîtes de chaussures: c'est dingue tout ce qu'ellepeut acheter à mon insu. Je trouvai enfin les fameux escarpins:c'était du quarante.

Ils taillaient un peu grand, je réussisà entrer dedans, mais ils me faisaient un mal de chien. Carolea des embauchoirs à vis: Je leur en mis un coup pour les agrandir,en les trempant dans l'eau et en les passant au sèche-cheveux.Je l'avais déjà vu faire ça avec des escarpins troppetits, et ça marche très bien. Ils étaient quandmême un peu justes. Et neufs: je risquais de souffrir le martyre.Je choisis une jupe grise et un chemisier rouge, un petit sac àmain discret et emportais tout le nécessaire et le scooter cheznos voisins. Je me préparais avec une grande excitation mêléed'une grande peur, en espérant que je ne me dégonfle pasdevant la porte de la boîte. J'avais mis mes sous-vêtementset la lingerie blanche de mon baptême, ce qui allait assez bienavec le gris.

Seulement, mon membre se devinait unpeu trop à mon goût sous la jupe. Je pris une bande àpansements dans leur armoire à pharmacie et m'en comprimai le sexe.Ce n'était pas très confortable et m'obligeait àmarcher en roulant des hanches, mais de ce côté, çaapportait quand même un petit plus. Le maquillage me causa beaucoupplus de soucis: tous les gestes que j'ai vu faire avec aisance par Dianeme semblaient très difficiles à reproduire. J'ai dûme reprendre à plusieurs fois avant de tomber sur le résultatsouhaité. Heureusement que j'avais pris des notes... Je m'admiraidans mon miroir en pied: j'étais plutôt craquante... J'étaissûre de faire illusion auprès des hommes, mais des femmes...Elles ont un sixième sens, ces petites bêtes-là.

Il était dix heures, il étaittemps de me mettre en route. Je mis des baskets -les escarpins me faisaienttrop mal- une veste empruntée à Diane et enfourchait monscooter. Le casque me causait du souci, je craignais pour la perruque.Je décidais de prendre une petite route, pour plusieurs rai***s:Carole ne la prenait jamais, elle était plus courte et moins fréquentée.Vingt minutes plus tard, je garai mon scooter dans un endroit sécurisé,bien éclairé et à deux pas du commissariat de police.Je mis mes escarpins et rangeais mes baskets et mon casque dans le grandcoffre. Je contrôlai mon apparence dans un rétroviseur :la perruque n'avait pas bougée, elle avait juste besoin d'un peude gonflant. Je me coiffai d'un grand béret noir, toujours empruntéà Diane, histoire de la rendre moins visible, car je trouvais qu'elle***nait toujours un peu faux. Plus j'approchai du " Lolitas "et plus j'étais mal à l'aise. J'avais l'impression d'avoirun panneau lumineux au-dessus de moi qui disait: " Attention, lesfilles! c'est un mec! ". Arrivée devant la porte, j'étaistétanisée. Je restai bêtement plantée là,à deux mètres de l'entrée. Heureusement, une bonneâme me vint en aide, en la per***ne d'une jeune fille fort sympathiqueau charme eurasien:
- " Salut! tu n'oses pas entrer? " Elle me fit sursauter:
- " Heu... Salut! Heu... Non, j'ai un peu peur. Je suis seule, etje ne suis jamais venue. " Elle m'entraîna par la main àl'intérieur, éclatant d'un rire cristallin:
- " N'aie pas peur! Tu verras, c'est plein de copines, là-dedans!" l'endroit était heureusement non fumeur. Je supporte trèsmal la fumée, surtout dans ce genre d'établissement. Lefond de la salle était occupé par un grand bar. Des tablesisolées par des petits boxes, mais permettant tout de mêmeune vue d'ensemble en remplissaient le reste au trois-quarts. L'ambianceétait assez bruyante, la barmaid -disc-jockey se chargeant de l'animation.La fille m'entraîna dans un coin. Elle me cria à l'oreille:
- " Viens, je te présente à mes copines! Au fait, moic'est Corinne! " Je lui répondais en criant aussi:
- " Alicia! " J'avais du mal à contrôler ma voix.J'essayai de la rendre la plus féminine possible, mais ce n'étaitpas facile en hurlant. Heureusement, la barmaid baissa la ***o, elle avaitjuste monté le *** pour faire profiter l'assemblée d'unmorceau qu' elle affectionnait particulièrement. Nous nous sommesinstallées à une table assez en retrait, nettement plusau calme. Sur les six places, deux étaient occupés par uncouple d'amoureuses. Corinne fit les présentations:
- " Salut les filles! Je vous amène une nouvelle recrue! Elles'appelle Alicia! C'est chou, non? " Les deux demoiselles se présentèrent:
- " Bienvenue! Moi c'est Caroline, mais tu peux m'appeler Caro. "
- " Salut! Moi c'est Steph. T'es nouvelle? Raconte! " Je mesentais comme un crabe dans une nasse. Avec trois charmantes langoustes.
- " J'avais envie de sortir en célibataire. Mon mec fait unesoirée foot avec ses copains. " Manque de pot, Caro étaitune fan de foot:
- " Mais il n'y a pas de match, ce soir! C'est une excuse foireusepour te faire cocue et s'envoyer sa collègue de bureau, àtous les coups! " J'étais plutôt mal partie:
- " Bof! de toute façon, notre couple part en vrille. Il faitce qu'il veut, moi, j'ai envie de m'éclater. " Corinne medévisageait avec intérêt:
- " Moi, je suis libre, je peux te tenir compagnie ce soir, si tuveux... "
- " Je ne crois pas que je sois ton genre. "
- " Qu'est-ce que tu en sais? "
- " Oh! Un pressentiment. Dis-moi, tu n'aurais pas des origines laotiennes?" Elle resta la bouche ouverte:
- " Ah ben ça! Comment tu le sais? " Outre le théâtre,j'avais pris à l'école une option ethnologie. J'avoue queça ne m'a pas servi beaucoup pour ma carrière. Enfin, passouvent:
- " Ben... ton visage est assez typique. Je parie même quec'était un de tes grands-parents, ou les deux. "
- " Alors là, je suis sciée. Ma grand-mère maternelle,du temps des colonies d'Indochine. " Elles applaudirent toute lestrois. Une serveuse d'une quarantaine d'années, brune, pas spécialementjolie mais attirante, prit les commandes. Caro nous présenta:
- " Bonsoir, Chloé! Je te présente Alicia, une nouvelle.Alicia, je te présente Chloé, la sympathique serveuse deces lieux, et accessoirement, mon ex. " Chloé et moi échangionsun long sourire. Visiblement, il se passait quelque chose entre nous.
- " Je suis enchantée de te connaître, Alicia. Je tetrouve... Charmante. "
- " Moi de même. Je vous trouve charmante aussi. Pour moi,ce sera une Suze-cassis, s'il vous plaît, Mademoiselle. " Chloéme corrigea en faisant mine de me gronder:
- " Hé! Tout le monde se tutoie, ici! Par contre, je ne saispas si on a de la Suze. C'est pas trop le genre de la mai***. "
- " Si vous n'en avez pas, apporte-moi un vermouth à la place... " Les filles se cantonnèrent à de sordides whisky-cocaet vodka-orange. J'offrais la tournée, à la satisfactiongénérale. Steph se doutait de quelque chose:
- " Dis donc, tu es bien généreuse avec des inconnues... Tu veux acheter notre amitié, ou quoi? " Je pris un air outragé:
- " Qu'est-ce que vous allez imaginer... Je veux juste vous mettretoutes les trois dans mon lit en même temps! " Elles rirent.
- " Vous inquiétez pas, c'est le fric de mon mari. Il en apas besoin pour regarder *** match... " Je leur fis un clin d'œilentendu. Corinne reprit la parole:
- " T'es forte, quand même. J'en reviens à mon histoire:si tu savais comme j'en ai marre qu'on m'appelle "La chinoise"!Mais toi, pourquoi tu mets une perruque? " Ça y est. Démasqué,le faux-bourdon*. J'essayais de sauver les meubles:
- " Merci de le faire remarquer à tout le monde. J'ai desproblèmes de cheveux. C'est d'ailleurs une des causes du naufragede mon couple. Ça et mes kilos. " Elle était confuse,et le regard appuyé de ses amis n'arrangeait pas *** sentimentde culpabilité. Tout à coup, une voix tonitruante et familièrese fit entendre à l'entrée:
- " Allez, bourrique! Entre! Fais pas ta timide! " Des rireséclatèrent un peu partout dans la salle, et tous les regardsse tournèrent vers la grande rousse sexy vêtue d'une roberouge moulante qui traînait une petite fille par la main. Stephlança en riant:
- " Quel couple! La pois***nière et sa crevette! " Jeremarquai:
- " Je la trouve très appétissante, la pois***nière...Je lui mangerai bien la moule. " Elles poussèrent un "Ohhh! " d'indignation amusée.
Carole fit monter Mélanie sur un tabouret de bar aussi haut qu'elleet commanda deux verres. *** aisance me fascinait, tous les regards étaientbraqués sur elle. Chloé reparut avec nos consommations:à la vue de mon verre, les filles firent un " Ohhh... " d'admiration. Je payai Chloé et me répandais en complimentsmielleux:
- " Bravo! Quelle rapidité! Quel service de qualité!" Elle me répondit d'un air coquin:
- " Si tu es satisfaite du service, n'oublie pas la serveuse... " Aussitôt, je lui glissai un billet de cinq euros pliéentre les deux seins blottis l'un contre l'autre qui saillaient de ***décolleté. Caro se dressa sur ses ergots:
- " Hé! C'est pas une pute! " Chloé s'interposa:
- " C'est pas grave... " À moi: " C'est àcause de choses comme ça qu'on s'est séparées. Elleest trop jalouse et possessive... Pour le service, je pensais plutôtà un bisou... " Je l'attirai aussitôt à moiet lui déposai un gros baiser bruyant sur chaque sein, sous lescris amusés de mes camarades. Elle me glissa à l'oreille:
- " Je finis mon service à deux heures... " Elle nousquitta en me glissant une œillade coquine. Mon dieu! Si j'avais étéune vraie fille... Caro était encore jalouse:
- " Je crois que tu lui as tapé dans l'œil... " Corinne observait mon verre avec fascination, et admirait le dégradéde couleurs, du jaune au violet. Elle avait même la main dessus:
- " Je peux? " Elle n'y avait sans doute jamais goûté.
- " Je t'en prie. " Elle trempa ses lèvres dans mon verre.*** visage s'enroula sur lui-même en une grimace de dégoût,m'évoquant un escargot ayant rencontré du gros sel sur saroute:
- " Heuârk! C'est amer! On dirait du jus d'oreilles! "Nous nous sommes toutes mises à rire et à se moquer d'elle.Je la consolai d'une bise sur la joue:
- " Voilà. Ta curiosité est satisfaite. "

Je surveillais du coin de l'œilmes Laurel et Hardy. Après le premier verre, je vis le ton monterentre elles. Mélanie lui retint le bras. Carole glissa un mot àla barmaid qui lui tendit un micro. La musique s'arrêta net et Carolemonta sur les barreaux du tabouret pour dominer la salle. Le silence sefit presque complètement:
- " Mesdemoiselles et mesdames, excusez-moi de vous interrompre.Je suis ici en tant que chaperon. J'ai ici à caser une jeune fillede cinquante printemps qui recherche l'âme soeur. Merci de venirtenter votre chance auprès d'elle. Je peux vous assurer que c'estvraiment un bon coup, et elle est aussi vraiment très bien roulée.Merci de votre attention, et bonne soirée! " La musique etle brouhaha reprirent. Mélanie, qui était restéela tête dans les bras pendant sa promotion commerciale, se levad'un bond en direction de la porte et lança quelques mots rageursà Carole. Elle la rattrapa par le bras in extremis en lui lançantà haute voix:
- " Hopopop! Où tu vas comme ça?! Attends un peu etfinis ton verre! " Elles étaient l'attraction de la soirée.
chrislebo

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Mélanie commençait àse calmer, et les regards ont fini par se détourner. Carole, séduitepar un morceau qu'elle aimait bien, se mit à danser devant le bar,dans un endroit assez dégagé pour accueillir une dizainede danseurs. Elle attira aussitôt une demi-douzaine de jeunes fillesautour d'elle, de bien jolies nymphes. J'avais l'impression qu'elle leurfaisait la danse du ventre... Mélanie, restée seule sur*** tabouret, décida de la rejoindre sur la piste improvisée,la boîte de nuit proprement dite n'ouvrant qu'à onze heures.Je la fixais avec amusement pendant quelques minutes: elle me faisaitpenser à quelqu'un, mais à qui...

Corinne, qui avait un petit faiblepour moi et qui me dévisageait sans arrêt, me demanda:
- " Qu'est-ce qui t'amuse tant? tu te moques de cette pauvre fille?" Je venais juste de trouver la réponse à ma question,ce qui m'avait fait pouffer:
- " Oui, je me demandais à qui elle me faisait penser, àdanser comme ça... "
- " Et ?... "
- " Eh bien, elle me fait penser à C3PO, le robot aussi débileque doré du film "La guerre des étoiles". Ellea vraiment le sens du rythme, y a pas à dire. " Corinne ritun peu, mais me gronda ensuite:
- " T'es méchante avec cette pauvre fille. Sa copine est vraimentsalope de lui avoir fait un coup pareil. " Je décidai d'aiderun peu le destin:
- " Tu as rai***. Je vais l'inviter à notre table. "Corinne posa la main sur ma cuisse nue, en l'insinuant sous mon bas:
- " Reviens-moi vite. " Je tentai de la mettre en garde:
- " Je te répète que je ne suis pas faite pour toi.Tu serais très déçue. " Je me levai et me dirigeaisvers le bar. Comme je passai à proximité de mon épouse,elle m'adressa un baiser du bout des lèvres: Je devais être*** genre... Cela dit, elle faisait de l'oeil à toutes les fillesqui dansaient autour d'elle. Quelle santé...

Mélanie était remontéeen haut de *** tabouret, et regardait tristement *** verre vide.
- " Bonsoir, je m'appelle Alicia. Et toi? " Elle semblait unpeu paniquée. J'ai dû la tirer de ses sombres pensées:
- " Moi? Heu... Mélanie. C'est joli, Alicia! "
- " Merci! Mélanie aussi, c'est pas mal... Dis, tu veux tejoindre à nous? On est quelques filles à te trouver sympa.À vrai dire, on a pas apprécié des masses le numérode ta copine. Elle est jolie, mais elle a l'air un peu conne. Et trèssalope, aussi. " Je l'avais choquée volontairement:
- " Non, dis pas ça, c'est une chic fille. En plus, elle estmariée. C'est uniquement pour moi qu'elle a fait ça. Mais,d'accord, je te suis. "
- " Qu'est ce que tu bois, tant qu'on est au bar? "
- " Je reprendrais bien un Margarita. Elle les fait bien, la petite!"

La barmaid lui répondit parun sourire et la servit. Une double dose. Je payai et ramenai la crevettedans mes filets, en repassant devant ma Messaline. Elle dansait têtebaissée, ses anglaises remuant en tout sens. Elle avait toujours*** harem qui ne la quittait pas des yeux : la patronne de la boîtedevrait l'embaucher pour rameuter les clientes... Je me suis rassis àcôté de Corinne -Je l'aimais bien, cette petite- mais plaçaiMélanie en face d'elle.

Je fis les présentations. J'étaisbeaucoup plus à l'aise, à part le fait que Corinne semblaitplus attirée par moi que par Mélanie, et que mes pieds commençaientà me faire souffrir. Il fallait que je joue sur du velours... Je lançai la conversation:
- " Alors, Mélanie, dis-nous tout: tu es nouvelle sur le marché?Qui c'est, ta copine loufoque? "
- " Elle s'appelle Carole. À vrai dire, je suis amoureused'elle. Elle est mariée à un petit trou du cul prétentieux,une tapette qui ne la mérite pas. Elle m'a aidée dans un... moment délicat et les choses se ***t... compliquées. Depuis,elle ne cherche que mon bonheur. Au fait, je suis mariée... Enfin, sur le papier, parce que je ne vois presque plus mon mari: lui,il a une vie ailleurs, et on se voit de temps en temps. Mais on est restéscopains, quand même. Ce soir, Carole a décidé de prendrema vie sentimentale en main. Et me voilà devant vous. "

Connaissant ses petites histoires,j'ai voulu m'amuser un peu:
- " En parlant de moment délicat, j'ai eu un problème,le mois dernier. Je vais peut-être vous choquer, mais il m'arrivede... comment dire... coucher avec mon chien. Il est resté coincéen moi une demi-heure. Heureusement, il a fini par se dégager." Mon anecdote n'a eu aucun succès. Elles semblaient toutesgênées, et Mélanie a pâli sans parler de ***expérience. J'évacuai le sujet:
- " Mais je vous rassure, je le fais plus, c'est bien trop risqué.En plus, c'est pas si bien que ça. "

J'avais au moins dégoûtéCorinne, qui semblait maintenant plus intéressée par notrenouveau membre:
- " Tu fais quoi, dans la vie, Mélanie? "
- " Je ne travaille plus. Trop vieille. Maintenant, on veut des petitscanons derrière les bureaux. Je m'occupe de quelques associationsdans mon village, et du comité des fêtes. " Pas trèsvendeur, tout ça... Elle lui retourna la question:
- " Et toi? "
- " Moi, je suis vendeuse dans un magasin de bricolage, le Bricostore,à Nemours sud. Je suis la reine du rayon plomberie. Si vous voulezun tuyau... " Nous nous sommes toutes mises à rire.

Carole était assise, en grandeconversation avec une beauté méditerranéenne. Corinneet Mélanie se ***t vite mise à discuter toutes les deuxet semblaient avoir pas mal d'atomes crochus. Je les laissais entre elleet me mêlais de la conversation des deux autres amoureuses. J'avaisl'impression qu'elle me regardaient avec circonspection depuis mon pseudocoming-out canin. Steph, qui était à côté demoi, me glissa à l'oreille:
- " Tu as laissé passer ta chance avec Corinne. Tu as faitdeux conneries: ton histoire de clébard et ramener la crevetteici. " Je la rassurai:
- " C'est pas grave. Tu sais, je n'ai pas vraiment envie de vivreune expérience avec une fille. J'aime bien être au milieude copines, c'est tout. "

Mélanie manifesta *** envied'aller aux toilettes. Corinne se leva et l'invita à la suivreen lui prenant la main:
- " Viens, je vais te montrer. " Caroline nous glissa d'un airentendu, dès qu'elles eurent le dos tourné:
- " Ouais, elle va lui monter... Tout! Elle fait toujours comme ça: elle s'enferme avec ses victimes dans les chiottes. Ça peut durerlongtemps. "

Je remarquai soudain que la salle s'étaitvidée petit à petit, insidieusement. Quelques couples restaientencore, mais le plus gros de la clientèle avait disparu àmon insu. Steph vit mon étonnement et me dit:
- " Ouais, la boîte est ouverte. C'est en bas. Vas-y! Nous,on reste encore un peu. On a des trucs à se dire, si tu vois dequoi je cause... " Et elle me fit un clin d'œil appuyé.
- " Il fallait le dire, si je vous gêne! " Je leur fisla bise à tout hasard et descendais aux enfers.

Je passai devant les toilettes. Jecommençais à avoir envie de pisser. Malheureusement, Carolineavait rai***: les toilettes étaient occupées... Une filleattendait déjà *** tour en serrant les cuisses. Il y avaittrois WC, mais je reconnus les pieds de Mélanie, accroupie, etla voix haletante de Corinne. Ça semblait bien parti entre elles.J'attendais poliment qu'elles aient fini, et en profitai pour me rajusterdiscrètement et vérifier que Carole ne se trouvait pas dansles autres toilettes. C'était décidément trop long:je frappai à la porte:
- " Les filles, j'y vais. Amusez-vous bien, mais pas trop longtemps,il y a des gens qui attendent! " Elles me répondirent en cœur,le plus naturellement du monde:
- " Bisous, à la prochaine! Merci pour le verre! "
- " Pas de quoi. "

Je jetai un regard compatissant àla pauvre fille qui se trémoussait en grimaçant en attendant*** tour et mis le cap sur la boîte. Une videuse à l'allurede caricature de lesbienne me barra la route en me désignant levestiaire. J'y laissai mon sac, mon béret et ma veste. Je me sentaistoute nue... La boîte était petite, c'était unecave. Je m'étonnais qu'on puisse ouvrir un tel lieu public avecdes accès aussi réduits : j'en fis part à la videusequi me cria dans l'oreille:
- " C'est pour ça que je suis ici! Je dois limiter l'accèsà quarante per***nes! et pas de feu, clopes ni joints! " jelui tapotai l'épaule pour la remercier pour *** renseignement.Elle me regardait d'un sale oeil, elle devait se douter de quelque chose.En tant que videuse, elle se devait d'être physionomiste...

Je trouvais Carole, elle dansait enlacéedans les bras de la belle plante que j'avais vue avec elle un peu plustôt. J'ai failli l'accoster directement, j'avais complètementoublié que je n'étais pas *** mari... Je lui fis un petitsigne timide pour accrocher *** regard: elle me jeta un regard de noyée,avec un sourire incertain. Elle devait être ivre. Je m'approchaide *** oreille et lui criai:
- " J'ai casé ta copine! Elle s'envoie en l'air dans les toilettes!" Elle rit:
- " La petite cochonne! Elle est encore plus rapide que moi! "Je désignais sa cavalière qui nous souriait:
- " Tu as trouvé la perle rare, on dirait! "
- " Oui, tu as vu cette beauté? Elle s'appelle Aïcha.Je la partage avec toi, si tu veux. Tu es mignonne, tu me plais bien.Tu me fais penser... " Elle se mit à rire. "...Tu mefais penser à mon mari! " J'étais vexée:
- " Je sais pas comment je dois le prendre! "
- " Rassure-toi, il est mignon! "
- " Tu es venue en voiture?! "
- " Ouais... Enfin, je crois!... "
- " Tu devrais pas rentrer dans ton état! " La belleplante s'interposa:
- " Elle dormira chez moi, j'habite à côté! "Je repensai à Mélanie:
- " N'oublie pas ton bibelot! " Aïcha vint à notresecours:
- " Si sa copine ne l'héberge pas, j'ai de la place dans monappart! Tu peux venir aussi! Plus on est de folles!... " C'étaitun supplice de décliner une pareille invitation:
- " C'est très gentil, mais il faut que je rentre! Àune prochaine fois! " Je repassai devant la videuse qui ne me quittaitpas des yeux. À ma grande surprise, elle parut déçuede me voir partir:
- " Tu pars déjà?! Ça te plait pas, ici?! "
- " Si, beaucoup, mais je venais voir une copine! Il faut absolumentque je rentre! "

Je quittai ce lieu bruyant, payai levestiaire et repassai par les toilettes. Mes deux amies y étaienttoujours enfermées, mais je ne voyais plus les mêmes pieds.Cette fois, une des toilettes était libre et je pus me soulager,en position assise en m'appliquant à ne pas faire de bruit révélateuren visant le bord de la cuvette. J'eus un peu de mal à remettrema bande en place, je ne voulais pas me déshabiller. En traversantla salle, je vis Steph qui me fit signe, je fis donc un crochet pour lasaluer une dernière fois. Je la croyais seule, mais Caro étaitallongée sur la banquette, la tête sur ses cuisses nues:
- " Alors, Alicia, tu les as vues? "
- " Ouais, Steph! Vous aviez rai***: elles ***t enferméesdepuis un bon moment. C'est pas sympa pour celles qui ont de bonnes rai***sd'y aller... " J'avais mal aux pieds, je me suis assise un peu.

Nous n'avions rien à nous dire,j'en profitais pour leur faire part d'une remarque:
- " Dites, c'est une idée, ou on n'entend pas un mec chanter?Il n'y a que des nanas... " Steph trouvait ça naturel.
- " Ben oui, c'est une boîte de filles... " Je montaisur mes grands chevaux:

chrislebo

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- " Mais c'est quoi ce sectarisme de merde?! sous prétexteque vous êtes des filles, vous escamotez cinquante pour cent dela planète? Je suis sûre que dans les boîtes gays,les filles ***t plus à l'honneur que les mecs! " Caro se releva,et elle n'était pas contente:
- " Ho! Qu'est ce qu'elle nous fait, Louise Michel**? Vas-y dansta boîte gay, et même, vas-y te faire mettre! " Stephexplicita le propos de sa compagne, en des termes mieux choisis:
- " Tu sais, la plupart des filles que tu vois là -je parlede mes amies- ont eu, à un moment ou à un autre de leurvie, une expérience pénible avec un homme. Ici, c'est uneoasis de tranquillité, sans quelque chose qui pourrait nous rappelerun souvenir douloureux. C'est tout. " Je m'étais bien calmée:
- " Ah bon... Je ne voyais pas ça comme ça... Je vous présente mes excuses. Je suis désolée dem'être emportée pour si peu. " Caro me fit un grandsourire:
- " Allez, c'est pas grave. Ne soyons pas plus connes que les mecs.À la tienne. " Elle leva *** verre.

Steph me fit un geste du doigt par-dessusmon épaule. Je me retournai et vis mes deux tourterelles tout justesorties de leur alcôve. Elles étaient enlacées etsemblaient très amoureuses, sur un petit nuage, surtout Mélanie.Je l'abordai:
- " Ça a l'air de coller entre vous deux! Je suis alléevoir ton amie la rouquine et elle va dormir chez une copine. Tu fais comment,toi? "
- " Te fais pas de soucis, Corinne s'occupe de moi. D'ailleurs, onva chez elle. "
- " Pense à la prévenir avant de partir, elle est enboîte. Moi, je rentre. J'ai horriblement mal aux pieds. " Jefis la bise à Mélanie et à Corinne, de qui je m'étaisprise d'affection. Je leur glissai tout de même une petite remarqueassassine:
- " C'est bizarre, vous sentez la fille toutes les deux! " Ellessourirent d'un air gêné. Ce n'était pas vrai, ellesavaient dû se débarbouiller aux toilettes. Je pris la mainde Corinne:
- " Salut ma chérie, et passez une bonne soirée. "Malgré moi, ma voix exprimait un vif regret. Elle s'en rendit compte:
- " Je suis désolée pour toi. Je t'aime aussi, tu sais..." je lui fis un grand sourire:
- " Je ne suis pas triste! On se reverra sûrement... J'ai dela plomberie à faire! " Elle rit.

Je vis Chloé appuyéeau bar, derrière le comptoir, en train de faire ses comptes. Ellesavait que je m'en allais: elle me jetait des coups d'oeil malheureux.Je décidai de tenter le tout pour le tout, quitte à brûlermes vaisseaux. Je me dirigeai vers elle avec un sourire engageant.
- " Tu pars déjà? " Elle me faisait des yeux decocker triste. Pléonasme.
- " Oui, je suis fatiguée, et j'ai mal aux pieds. "
- " Tu ne m'attendras pas, alors? "
- " Ça dépend de toi. Tu sais garder un secret, mêmesi c'est grave? " Elle sourit:
- " Tu as tué ton mari? " C'était un peu ça...
- " Non. En vérité, le mari, c'est moi. Je suis untravesti. " Elle éclata d'un rire nerveux:
- " Tu te fous de moi! Qu'est-ce que tu vas pas inventer... " Comme je restais de marbre, *** visage se figea en une expression d'étonnement:
- " Vrai? "
- " Vrai. Tu veux vérifier? " *** regard se perdait dansla salle:
- " Non, je te crois... Je vois bien que tu as une perruque... Alors, je te fais rien... " Je la pris par les épaules:
- " Hé, C'est pas vrai! Je suis un homme, c'est tout! Alors,je t'intéresse toujours? " Elle me sourit quand même.
- " Oui, je suis bi. J'aime pas les hommes trop machos, et je croisque tu pourrais faire l'affaire. Tu... Tu viendras m'attendre, alors?En fille, je préfère. C'est pour mes copines, surtout. "
- " Avec plaisir. Je rentre chez moi, je me rafraîchis, etje reviens te chercher. J'espère ne pas trop être àla bourre. "
- " Je t'attendrai jusqu'à deux heures et demie. Après,je me tire. Allez, sauve-toi, il est bientôt minuit. " Je luidéposais un rapide baiser sur la bouche et sortis rapidement.

Je quittai mes nouvelles amies àregrets, mais je m'étais promise de revenir. Je regagnai mon scooteret me ruai sur mes baskets. Quel soulagement! Je rentrai paisiblementet ne croisai que deux voitures. Au loin, des éclairs illuminaientun mur de nuages menaçants. Après avoir garé le scooterchez moi, je jetai un oeil sur le répondeur, j'avais deux messages:un premier -laconique- de Denis qui était rentré et me cherchait,et un deuxième de Carole -confus- qui disait de ne pas m'inquiéter,qu'elle dormait chez une copine, le tout dans un brouhaha terrible. J'aicru reconnaître la voix d'Aïcha qui disait " Merci Luc,je t'aime! " ou un truc comme ça. Elles avaient l'air aussifumées l'une que l'autre.

Je rappelai Denis: Il réponditrapidement, à croire qu'il attendait à côtédu téléphone:
- " Oui? "
- " C'est Luc. Ou plutôt Alicia. Je peux venir? " Il étaittout excité:
- " Tu parles! Ça fait presque deux heures que je tourne enrond. J'ai dû me contenter des vidéos. C'est pas mal, dommagequ'on nous voit presque toujours par morceau... "
- " Oui, Il vaudra travailler le placement des caméras laprochaine fois. J'arrive. " Je jetai une poignée de croquettesau pauvre Ouissecasse -nullement impressionné par mon charme féminin- qui n'allait pas encore avoir beaucoup de compagnie puis je traversaila rue, sans me soucier d'un éventuel insomniaque qui irait relaternos allées et venues suspectes. À mon entrée chezlui, Denis se liquéfia:
- " Ouah... t'es canon... " Je me débarrassais de laveste, du sac et du béret et pris des poses aguichantes en ondulantdes hanches. Il se rua sur moi pour me peloter furieusement. Je me laissaifaire de bonne grâce.

Il me souffla dans le cou:
- " D'où tu viens? T'étais où? J'avais tellementenvie de toi... " *** problème de stock devait êtrerésolu et il avait l'air de vouloir fêter ça...
- " Je suis sortie en ville pour tester mon charme. Per***ne ne s'estrendu compte de rien. " Il se recula, me détailla de la têteaux pieds et répéta:
- " Tu m'étonnes... Tu m'étonnes... " Il plaquasa main sur mon sexe toujours bandé et me caressa.
- " Oh!... Même là... " Il se recula et commençaà dégrafer nerveusement *** pantalon:
- " Suce-moi... " Je m'agenouillai devant lui et l'aidais àtomber le pantalon et le slip. J'en profitais pour me défaire discrètementde mes escarpins, de plus en plus insupportables. Je me mis à lesucer amoureusement, mais il se fit plus ******. Il se dégageaaprès quelques instants et me releva:
- " Allonge-toi sur le sofa. Sur le ventre. " Je m'allongeaidocilement. Il releva ma jupe, baissa ma culotte et tomba avec effroisur mon bandage:
- " Enlève-moi ça. C'est moche. " Je m'exécutaiavec difficulté, sans changer de position. N'y tenant plus, Denistira dessus pour me l'arracher et me fit assez mal.

Il s'immisça entre mes fessessans aucune autre préparation que ma salive sur *** membre et leproduit de *** excitation. Je criai comme il commençait às'enfoncer en moi:
- " Tu me fais mal! Prépare-moi un peu, quand même!" Il se retira et me donna une grande claque sur les fesses:
- " Tu as déjà oublié que je suis ton maître?Si j'ai envie de te baiser comme ça, tu n'as rien à dire!Je regrette d'ailleurs de ne pas avoir laissé Diane te dépucelerhier. Le pire, c'est que j'en avais terriblement envie. Voilà.Maintenant, tu te tais et tu me laisses faire. Sinon, je vais devoir t'attachersur la table. Ah non, c'est vrai, elle est partie ce matin. Si madamela comtesse Machin savait ce qui s'est passé sur la table àmanger familiale, elle ne serait pas contente. Allez. Je veux plus t'entendre."

Il reprit sa pénétrationoù il l'avait interrompue. Je retenais mes cris en serrant lesdents. La douleur s'estompa peu à peu et fit lentement place auplaisir. Je commençais à l'accompagner en ondulant des reins,mais cela n'avait pas l'air de lui plaire: Il me frappa le côtéde la cuisse:
- " Bouge pas! " Je restai donc inerte, et il se mit àme peloter furieusement les seins à travers mon soutien-gorge rembourré.Je me sentais à la fois frustrée de ne pas participer etravie de me soumettre à sa volonté. Il jouit sauvagementen me gratifiant de grands coups de reins et s'étendit sur moi.

Il reprit ses esprits:
- " Putain, qu'est-ce que t'es bonne! C'est pas ma Lady Di que jepourrai sauter comme ça. Elle fait bien l'amour, mais putain, qu'est-cequ'elle est coincée avec moi! Avec toi, par contre, elle est nettementmoins réservée... " J'aurai bien aimé lui direque s'il agissait comme ça avec elle, il pouvait toujours attendreses faveurs... J'avais oublié de lui signaler mon rendez-vous:
- " Denis, il faut que je sois à deux heures à Nemours.Il faudrait que je parte d'ici à une heure et demie, au plus tard."
- " Il te faut une demi-heure? Tu y vas en pédalo, ou quoi?"
- " Non, en scooter. Carole a pris la voiture. "
- " Prends la mienne. À cette heure-ci, tu risques de te tuer,ou plutôt de te faire tuer. Tu as un rendez-vous galant? "Il était assez détendu, et apparemment pas jaloux. Il venaitde se libérer d'une bonne dose de testostérone en moi.
- " Oui, avec une fille. Merci pour la voiture! " Avec l'oragequi menaçait, elle était vraiment bienvenue.
- " Tu l'as draguée comme ça? en fille? "
- " Oui... Si tu savais le succès que j'ai, c'est dingue.Même Carole est folle de moi. "
- " Arrête, je sens que je vais être jaloux. Qu'est cequ'elle en dit, Carole? "
- " Elle ne le sait pas. Je compte sur ta discrétion pourne pas lui en parler. Je pense lui en faire la surprise. " Il mecaressa les épaules en m'embrassant la nuque:
- " Mais tu viens de me dire qu'elle te trouvait à *** goût... "
- " Oui, mais elle ne m'a pas reconnue. "
- " Holà! Mais tu joues un drôle de jeu, là... " Je ris:
- " Oui, et je m'amuse beaucoup. Ça te dirait de faire monmari macho? " Il rit aussi.
- " Ah ouais! Ce serait fendard! " Il était toujourssur moi, et l'évocation de mes frasques l'excitait. Je sentais*** sexe reprendre vie.
- " Maintenant, tais-toi. On a plus d'une heure à tuer... "
chrislebo

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RENDEZ-VOUS GALANT.

J'ai eu un peu de mal à me défaire de Denis: quelle santé,il m'a prise trois fois d'affilée... Il allait bien dormir,cette nuit! J'ai juste eu le temps de me faire un brin de toilette etde retoucher mon maquillage... Même quand il m'a donnéles clés de sa voiture, il recommençait à me caresser.J'ai dû m'enfuir lâchement.

Sa voiture est agréable àconduire, mais un peu tape-cul. Normal, c'est une voiture Allemande. Detoute façon, mon cul n'était plus à ça près... J'étais repassée à la mai*** pour laisser un motà Carole -comme quoi je sortais avec Denis-, prendre un sac devêtements civils et mes baskets pour conduire: ces escarpins devenaientun supplice.

L'orage semblait passer au loin. Jeme garai à quelques mètres de la boîte, facilement,sur une aire de livrai***: à cette heure tardive, je ne craignaispas grand-chose. J'entrai dans la boîte et ressentis un pincementau coeur: Chloé n'était plus là. Il n'étaitpourtant que deux heures dix... J'avais pris du retard à causede Denis.

La barmaid, qui s'affairait derrière*** comptoir, m'accueillit avec un sourire poli:
- " Désolée, Mademoiselle, mais on est fermés."
- " J'étais venue raccompagner Chloé... Elle estpartie? Elle devait m'attendre... "
- " Elle est partie il y a un moment... Avec le phénomènede tout à l'heure. " J'avais les larmes qui me montaient auxyeux: je n'aurais pas cru que je tenais tant à elle. Je balbutiais:
- " Mais... Elle m'avait dit... Je croyais... Alors, elleest partie avec la grande rouquine foldingue? " Elle sourit:
- " Comme tu dis... Ça lui ressemble assez... Désolée."
Elle se moquait de moi, et ça lui faisait bien plaisir. J'avaisl'impression qu'elle allait éclater de rire. Je me retournai sansun mot et sortais en regardant mes pieds douloureux. Elle a dû réfléchir... Un travelo, c'est nul, même s'il est mignon... En plus, ellea dû en parler à sa copine... C'était trop beau,je m'étais fait mon cinéma. J'allais franchir le seuil quandelle explosa de rire. Le coup de grâce, cette lame glacéesur ma nuque...

Mais je me rendis vite compte qu'ellen'était pas seule à rire. Je me retournai: Chloériait aussi, serrant la barmaid dans ses bras en lui tapotant l'épaulepour la féliciter pour *** rôle. Elle s'était sûrementcachée derrière le comptoir, la petite coquine! Elle s'étaitchangée et avait mis des vêtements plus sages.

Je retournai au bar, les yeux humides,un sourire grimaçant aux lèvres. Je ne pouvais pas articulerun mot: je sentais que si je le faisais, j'allais fondre en larmes. Chloés'en rendit compte et fit le tour du comptoir pour me prendre dans sesbras:
- " Pardon, ma chérie! Je voulais juste te faire une blague!J'ai vu ta voiture se garer, et en un éclair, on a montéce bateau. Tu tiens tant à moi, déjà? On se connaîtà peine... " J'acquiesçai:
- " Snurrrf! " La barmaid me regardait d'un air désolé.Je suis peut-être trop émotive? Ou bien était-ce lechagrin d'être rejetée par les filles? Chloé prit*** sac -elle était prête à partir et m'attendait-fit la bise à sa collègue et m'entraîna vers ma voiture.Elle s'installa à côté de moi, pensive. J'avais reprismes esprits:
- " Je suis désolé pour mon numéro. Bien sûr,tu me plais beaucoup, mais j'avais surtout de la peine d'avoir ététrahie. Enfin, que je croyais... "
- " T'excuse pas, c'était nul. On va prendre un dernier verrepour oublier ça? Il y a un bar sympa, à deux pas de chezmoi. " J'avais même retrouvé le sourire:
- " Avec plaisir! Tu n'as pas de véhicule? "
- " Non, d'habitude, c'est Isa - c'est la barmaid - qui me raccompagne.Elle aussi, c'est une ex, mais elle est mariée maintenant. Vas-y,je te guide. "

Le bar en question se trouvait àla limite du centre ville, sur une artère fréquentée,non loin du quartier résidentiel où habitait Chloé.C'était plutôt un pub -je n'ai pas retenu *** nom-, et ilconnaissait encore une certaine fréquentation malgré l'heuretardive. Il était assez enfumé, et Chloé, qui y avaitses habitudes, nous dirigea vers un coin non-fumeur. Elle non plus n'avaitpas ce vice:
- " J'ai arrêté quand je suis rentrée au "Lolitas ", ça fait plus d'un an. Maintenant, je ne supporteplus la clope. Moi, je vais prendre une pression. Et toi? " Drôled'heure pour une bière... Bof, après tout...
- " Oui, moi aussi. J'ai soif. " Elle attira le regard du barmanet tendit deux doigts en l'air. Elle devait prendre sa petite mousse tousles soirs... Etrange, elle pourrait faire ça dans sa boîte,et à l'œil, surtout... Elle dût lire dans mes pensées:
- " Tu dois trouver bizarre qu'une serveuse aille se payer un verreen rentrant du boulot... J'ai eu des histoires avec la patronne quiavait peur qu'on siphonne *** fonds de commerce. Alors depuis, plus unegoutte. Sauf de l'eau. " Elle me fixait, pensive, la tête appuyéesur sa main, le coude sur la table. Elle souriait d'un air moqueur:
- " Tu es sûre que t'es un mec? T'es une mytho, plutôt.Plus je te regarde, moins j'y crois. " J'étais profondémentflattée, et arborais un sourire plein de fierté qui la décontenança:
- " Vérifie par toi-même... " Elle glissa samain sous ma jupe, explora mes bas et mis sa main sur ma culotte. Ellefit mine de me gronder:
- " Nooon!... T'es une fille!... Qu'est ce que tu me fais?"
- " Regarde mieux. " Elle retourna sous ma jupe en me fixantd'un air mi-agacé, mi-amusé, glissa sa main dans ma culotteet tomba sur le bandage. *** expression changea. Elle poursuivit ses investigationsentre mes cuisses et finit par trouver mes attributs masculins. Elle retirasa main, incrédule:
- " Ah ouais... Ah Dis donc... J'en ai déjà vu,des travestis, mais je les ai toujours repérés du premiercoup d'oeil. Mais là... Comment ça se fait que tu asatterri au " Lolitas "? Je suppose que tu devrais plutôtséduire des hommes, non? "
- " Tu vas rire, j'étais avec ma femme. " Elle se pritla tête à deux mains:
- " Hou là là! " Elle se mit à gamberger:
- " C'est pas Corinne, quand même? Ou plutôt la pauvrepetite qui s'est fait charrier? " Je restai énigmatique:
- " Je ne t'en dirai pas plus. " Elle n'était pas d'accord:
- " Heu... Si, quand même! Ta femme est au courant pournous deux? "
- " Ah non! Elle ne savait même pas que j'étais avecelle. Mais nous vivons notre vie librement, et elle ne te fera pas descène, si c'est ce qui te fait peur. " Elle se re-prit latête à deux mains:
- " Hou là là! " Je voulais savoir ce qu'ellepensait de Carole, avant qu'elle sache qui elle était pour moi.Après, cela aurait été nettement moins drôle...
- " En parlant de la petite crevette, tu m'as fait penser àla belle rouquine qui l'a amenée. Elle est très sexy. Àmon avis, elle doit coucher facilement. J'aurais bien tenté machance avec elle, avant que tu viennes me faire du charme... " Elle n'était pas très enthousiaste:
- " Ouais, et bien, très peu pour moi, ce genre de morue!" Cela me fit penser à un certain premier avril... Maisj'en reparlerai*. " Elle a l'air complètement conne. Elledoit sortir de sa cambrousse, et venir en ville se faire sauter par toutce qui bouge. Je serais pas surprise qu'elle se fasse baiser par tousles trous en même temps dans *** bal de village. " Pauvre Carole...
- " Ah bon? Moi, je la trouve attirante... "
- " Ouais, bien sûr, moi aussi, mais ça n'empêchequ'elle a l'air d'être une radasse. Si elle voulait vivre de ***cul, elle serait riche. Enfin, je dis ça, mais je ne sais pas cequ'elle fait dans la vie... Bof, assez parlé de cette pétasse.Voilà nos abreuvoirs. "

Les verres arrivèrent àce moment. Je les payais, contre l'avis de Chloé. Des doses homéopathiquesdignes de la fête de la bière... Le serveur me fit uncompliment qui nous a bien fait rire, comme quoi j'étais la réincarnationde Marilyn, ou un truc du genre. Comme nous riions comme des folles, nousavions attiré l'attention de trois représentants de commerce -à ce qui m'a semblé- en goguette, accoudés au bar.L'un d'eux, sûrement le plus saoul, vint nous draguer:
- " Alors, mes jolies, ça vous dirait, une partie àtrois? " Je lui répondais, du tac au tac:
- " Oui, une partie de bridge. Et toi, tu fais le mort**. "Nous nous sommes mis à rire, nous deux et ses deux complices quiprenaient les paris. Pas lui, bien sûr: vu *** état, il nese rendait pas compte à quel point il était pathétique... Il revint à la charge:
- " Quand même, mes poupées, ça vous dit pas,un homme, un vrai? " Il se frappa la poitrine à s'en décollerle goudron qui lui tapissait les bronches. Ce coup-ci, je laissai le soinà Chloé de répondre:
- " Oh si! Dommage qu'il n'y en ait pas ici... Ah mais si, J'aile mien! " Elle prit ma tête dans ses mains et me roula unepelle monumentale. Notre prétendant détourna le regard,choqué, et s'en retourna vers ses collègues hilares. Illâcha, par-dessus *** épaule, d'un air mauvais:
- " Salopes de gouines! En plus, c'est pas les plus moches... " Nous étions toujours enlacées. C'était notrepremier baiser... Je lui roucoulai à l'oreille:
- " Tu as entendu, ma chérie? Il nous a traitées degouines... C'est ma première fois. Quelle consécration!... " Nous avons bu nos bières sans trop traîner. MonsieurNeandertal ne décolérait pas et nous jetait un regard méchant.Et nous avions mieux à faire ailleurs...

Chloé m'invita dans *** petitnid d'amour et j'y emportais mon baise-en-ville. Rien de folichon, àla limite du sordide: Les tapisseries semblaient d'origine et le mobilierrare datait d'une autre époque. Elle ne devait pas y passer tropde temps... Elle s'excusa de la mauvaise tenue de *** appartement:
- " Excuse le désordre, mais je suis assez bordélique." Je la rassurai:
- " T'inquiète, je suis pas venu pour refaire la déco.Je te demanderais juste d'enlever les boîtes de pizzas moisies deton lit. " Elle rit, l'air un peu inquiet:
- " C'est pas à ce point, quand même? "
- " Mais non! Il va falloir que tu apprennes à te familiariseravec mon humour... " Elle me guida au pied de *** lit et commençapar ôter *** T-shirt et faire voler ses escarpins. J'allais l'imitermais elle m'arrêta:
- " Non! Laisse-moi découvrir ton corps... Moi d'abord. "Elle me présenta sa poitrine maintenue par un joli soutien-gorgeà balconnets, malheureusement rembourré, comme le mien.Tricheuse... Elle s'en excusa:
- " Ça fait partie de ma tenue de serveuse. Ça marchevachement bien pour les pourboires. Même avec les filles... " J'embrassai ses seins, les écartai et glissai un oeil entre lesdeux. Elle était intriguée:
- " Qu'est-ce que tu fais? "
- " J'essaie de récupérer mon billet. Si j'avais suqu'un baiser aurait suffi, je l'aurais gardé. " Elle gloussa:
- " Il a dû tomber plus bas... Je suis désolée..." Je fis glisser *** pantalon corsaire et sa petite culotte de cotontrès sage. Je découvrais une toi*** noire et opulente, agrémentéede quelques fils d'argent:
- " Ton jardinier est en grève? " Elle rit:
- " Non... Je crois qu'il s'est perdu dans ma jungle! " J'yinsinuai ma langue, et elle se laissa tomber à la renverse surle lit, les cuisses écartées. Elle se laissa goûterquelques instants en soupirant, puis se releva:
- " À mon tour... " Elle me déshabilla lentement,commençant par le chemisier, dégrafa mon soutien-gorge etsoupesa ma petite poitrine :
- " Tu prends des hormones, c'est pour ça que tu ressemblestellement à une fille... "
- " Non, c'est naturel. J'ai toujours été comme ça." Elle les embrassa:
- " J'adore les tout petits seins de petite fille... Les mienste plaisent? "
- " Oui, ils ***t beaux. Mais j'aime tous les seins, du moment queleur propriétaire en est fière et qu'elle me les offre debon coeur. " Elle dégrafa ma jupe, sourit à la vuedu cœur brodé de ma culotte, et détailla la façondont j'avais passé mon bandage. J'en avais un peu honte:
- " Je suis désolée de t'infliger ça, c'estpas joli. J'aurais voulu l'enlever avant que tu le voies. " Chloéne m'écoutait pas. Elle s'était mise à genoux, m'avaitdéjà enlevé ma culotte et avait entrepris de m'enlibérer délicatement, comme si c'était un pansement.Elle découvrit mon intimité toute rose et mon sexe qui reprenaitdoucement sa place:
- " Comme tu es belle... Tu es mon idéal: une jolie filleavec un pénis. " Elle tenait *** visage à quelquescentimètres de mon sexe. Je tenais à la mettre en garde.Je ne voulais pas reproduire tous mes échecs précédents:
- " Tu sais, il est pas énorme. J'espère que tu pourrasme sentir... " Ma réflexion eut l'air de la contrarier:
- " Ah! Ça, c'est bien une réflexion de mec! Les garçon***t toujours voulu avoir la plus grosse. Mais per***ne ne nous demandece qu'on en pense, nous, les filles. Bien sûr, il y a beaucoup degourmandes qui adorent se faire dilater la boutique, mais c'est une solutionde facilité. Il suffit de se contracter, et avec de l'entraînement,on peut serrer très fort la plus petite des queues. Tu verras.Je suis sûre que je pourrais même te faire mal. " J'étaisbigrement intéressée. Elle se tut car elle commençaà embrasser et lécher mon sexe. Cela me procura une sensationde fraîcheur qui amplifia une envie latente. J'eus quand mêmela courtoisie d'attendre qu'elle eût fini *** office pour lui enfaire part:
- " Je suis désolée de briser l'ambiance, mais j'aienvie d'aller aux toilettes. Les bières étaient assez copieuses... " Elle sourit:
- " T'inquiète pas, moi aussi! Et j'ai sûrement uneplus petite vessie que toi. " Elle me guida jusqu'aux toilettes,dans la salle de bains et me laissa l'honneur d'y passer en premier. Jelaissai la porte ouverte pour lui faire profiter du spectacle: elle aeu l'air d'apprécier, puis nous avons inversé les rôles.

Nous sommes retournées sur lelit. Je m'enquis de ses goûts et de ses préférences:
- " Comment tu me veux? Comme ça, ou en homme? " J'étaisnue, maquillée et perruquée, uniquement vêtue de monporte-jarretelles et de mes bas blancs. Elle ne réfléchitpas longtemps:
- " Tu me plais beaucoup comme ça. On verra plus tard... Enlève mon soutien-gorge. A moins que tu tiennes à ce queje le garde... " Je lui répondis en le dégrafant,ce qui libéra ses charmants petits seins. Enfin, de taille rai***nable.Je perds la notion de la normalité avec la poitrine opulente deCarole: je ne parviens même pas à contenir un de ses seinsavec mes deux mains...

Elle s'allongea sur le lit, offerteet souriante. Je me mis à quatre pattes au-dessus d'elle et l'embrassaisur tout le corps, du cou jusqu'aux pieds. Les pauvres étaientassez abîmés. *** travail de serveuse, sans doute... Jeles honorais d'autant plus de mes baisers. Elle semblait adorer, la premièresurprise passée. J'entrepris ensuite de brouter sa toi***. Je laléchai doucement, sans chercher à lui procurer un plaisirtrop vif. Elle s'inquiétait encore de la densité de sa pilosité:
- " Ça te gêne pas, tous ces poils? " Je m'extirpaide sa brousse pour répondre:
- " À vrai dire, j'ai l'impression d'être " barbenoire ", le pirate. " Elle rit, mais elle m'étranglatout de même entre ses cuisses:
- " Reviens dans trente ans, tu pourras jouer au père noël!"

J'ai dû interrompre mes occupationsprésentes, car nous étions prises toutes les deux d'un fourire irrépressible. Je me suis allongée à côtéd'elle, sur le lit. Une fois calmées, elle se redressa et entrepritde me faire une fellation: elle n'était pas très douée,et me faisait un peu mal. Je la laissais faire un moment, mais c'étaitvraiment insupportable, d'autant qu'elle prenait mes sursauts désespéréspour du plaisir. Je l'invitai à changer de méthode:

chrislebo

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" Doucement avec tes quenottes! On dirait un lapin qui boulotteune carotte! " Avec du recul, ça ressemblait plus àune comptine pour enfants qu'à une critique... Elle s'arrêtanet, surprise:
- " Ah bon? Tu es le premier... La première qui se plaint... "
- " À mon avis, ils n'osent pas se plaindre. Si tu étouffestes amants entre tes cuisses à la moindre contrariété... " Elle était un peu vexée, et me fit d'un ton pincé:
- " Alors, comment dois-je vous sucer, Maître? "
- " Pareil, mais moins vite, et surtout sans les dents. " Elles'y remit, c'était le jour et la nuit:
- " Mmm... Oui... Tu es très bonne comme ça... " Malheureusement, ça ne dura pas longtemps. C'étaituniquement pour me mettre en forme, et mon sexe avait atteint sa cotemaximale. Je lui demandais *** avis: comme je l'avais vexée enétant franche avec elle, Elle ne prit pas de gants pour me répondre:
- " En effet, c'est pas une bête de concours. Je crois quec'est la plus petite que j'ai jamais vue. Il va falloir que je me surpasse." J'aurais juré entendre parler mon épouse... Chloéme chevaucha et s'empala avec facilité sur mon membre fièrementdressé. Je ne sentais pas grand-chose, j'avais dû la lécherun peu trop. Elle mit ses mains sur ses hanches et me toisa:
- " Alors, tu sens quelque chose? "
- " Pas vraiment. C'est ce que je craignais. C'est le drame de mavie. " Elle fit quelques va-et-vient mécaniques:
- " Moi non plus... " Je la vis contracter ses reins et jeme sentis aussitôt prise dans un délicieux étau:
- " Oh... Là, tu me serres bien... " Elle affichaitun sourire triomphal:
- " Tu vois, ce que je te disais? Et encore, je ne ***** pas... Chez la plupart des femmes, quand ça arrive, c'est involontaireet c'est comme ça qu'on reste bloqué. " Je repensaisà Mélanie:
- " Comme les chiens? " Elle sourit:
- " Non, ça n'a rien à voir... Les chiens ont unverrou qui bloque leur sexe à la base... Bon, je vais pas tefaire un cours. C'est plus l'heure. "

Carole ne m'a jamais parlé detout ça. C'est tellement évident pour elle... Par contre,il fallait que je lui parle de la méthode de Chloé. Paspour la fellation, ça non ! Pour la maîtrise de *** vagin... Chloé me fit l'amour tout doucement. Elle me serrait si bien quej'ai eu du mal à me contrôler. Elle commençait àse raidir et à respirer de plus en plus profondément. Jene la connaissais pas encore assez, et je me suis retenue pour ne pasl'accompagner. Je voulais être sûre qu'elle ait bien *** orgasme.Elle se mit à crier en me chevauchant de plus belle et en me malaxantles seins à pleines mains. Je l'ai suivie quelques secondes plustard. Les voisins, qui auraient bien aimé dormir, nous accompagnaientpar des coups de balai dans le mur. Elle s'affala sur moi et m'embrassale cou:
- " Comme tu es bonne... Alors, c'était bien, hein? "J'essayai de trouver une réponse adéquate. J'étaissur le point de sombrer dans les abîmes:
- " Oh oui... Je n'aurais jamais cru qu'une erreur de la naturecomme moi puisse prendre tant de plaisir, et surtout en donner... " Elle me frappa le bras:
- " Dis pas ça... Ça fait un moment que je rêved'une fille comme toi. Dommage que tu ne sois pas libre. Au fait, elleest chouette, ta femme? "
- " Ouais. Une super bombe. Mais tu la connais... " Ellese dressa sur ses mains, se rassit sur moi et me fixa dans les yeux:
- " Maintenant, y en a marre. Dis-moi qui c'est. Je te jure sur mavie que je n'en dirais pas un mot, à qui que ce soit. " Jeréfléchis un long moment. Elle me fixait toujours, en silence.Je lâchai:
- " C'est la grande rousse foldingue. " Elle ouvrit grand sesyeux, et cherchait ses mots. Elle devait repenser à tout le bienqu'elle avait dit d'elle:
- " C'est... Ça alors! " Elle allait mettre ses mainssur sa tête, mais je lui saisis ses poignets juste avant. Je commençaisà la connaître et je savais ce qu'elle allait dire :
- " Non. Pas Hou là là. Elle s'appelle Carole et jel'adore. Il n'y a pas de femme plus folle et plus sexy sur cette planète.De plus, nous sommes atrocement amoureux l'un de l'autre. " Elleme regardait, l'œil en coin. Je la sentais très jalouse etelle voulait me faire mal. Peine perdue:
- " Tu sais que je l'ai vu sortir avec une fille, une heure aprèstoi? " Je pris un air chagriné, mais elle ne devait pas s'attendreà une telle réponse:
- " Une seule? Je croyais qu'Aïcha devait inviter plus de monde... " Chloé ne répondit pas. Je l'avais sciée àla base, et elle était désabusée:
- " C'est vrai que tu étais là... "
- " Oui, je leur ai même parlé. Aïcha voulait m'inviterà une partouze. Mais ça tombait mal. " Chloérecollait les morceaux du puzzle qui ne l'avait pas marquée surle coup:
- " Elles ont téléphoné à côtéde moi... Je suppose que tu t'appelles Luc? J'ai entendu ce nom... "
- " Tout juste, Auguste. Maintenant, j'ai envie de me démaquilleret de changer de sexe. " Elle se retira et s'assit sur le lit, l'air***geur.

J'avais l'impression qu'il y avaitdéjà quelque chose de cassé entre nous. Plus je laregardais et plus j'avais envie d'être dans les bras de Carole.J'avais l'intention de remonter dans l'estime de Chloé: elle neméritait pas ça, la pauvre. En ouvrant mon sac, je constataique j'avais oublié quelque chose:
- " Ah merde! j'ai oublié mon démaquillant. Tu pourraism'en prêter? " Elle sortit de ses pensées et me fitun grand sourire:
- " Mais bien sûr ma choute! je vais même m'occuper detoi. Assieds-toi là. " Elle me désigna une chaise devantune petite table qui devait lui servir de bureau, à en juger lemonceau de papiers.

Elle revint de la salle de bains -plutôtdouche-WC- avec du coton et un flacon. Avant qu'elle n'ait eu le tempsde me défigurer, je la pris sur mes genoux, lui fis un gros câlinet l'embrassai tendrement. Elle semblait très heureuse de mon élande tendresse. Je lui expliquai la rai*** de mon geste, s'il en fallaitune:
- " Excuse-moi si je t'ai choquée ou vexée, ce n'étaitpas mon intention. Tu es une chic fille, et je peux te dire sans mentirque c'est la première fois qu'une nana me fait aussi bien l'amour." Côté technique, c'était vrai. Mais il manquaitce brin de folie que j'aime tant chez Carole.

Elle était toutefois ravie demon petit compliment. Elle m'enleva ma perruque et entreprit de me démaquiller,toujours assise sur mes genoux. J'avais des questions à lui posersur *** travail:
- " Dis, est-ce que les hommes ***t admis dans ta boîte? "Elle réfléchit. Il ne devait pas y en avoir souvent...
- " Oui, C'est vrai que j'en ai déjà vu. Il faut justeêtre respectueux des lieux et ne pas faire de vagues, ni draguerles filles. Sauf celles qui te font du rentre-dedans, bien sûr.Pourquoi, tu veux y retourner en garçon? "
- " Non, j'ai envie de venir avec mon mari... " Elle me regardaavec des grands yeux perplexes:
- " Ta femme... Ton mari... Tu es bigame? " Ce n'étaitpas le terme exact, mais elle n'en était pas loin...
- " J'ai un mec à qui j'ai déjà parléde mon idée. Il trouve ça amusant. J'ai dit à mescopines que j'étais mariée à un beauf qui me faisaitcocue. " Elle avait terminé mon démaquillage:
- " Ça y est, te voilà en garçon. Mêmecomme ça, je te trouve très féminine. Bien plus quecertaines de mes collègues... " Je repensais à lavideuse de la boîte... Elle continua:
- " Quand même, tu as des idées tordues... On diraitque ça t'amuse de jouer avec les gens... " Elle n'avaitpas tort.

Je la reposai au sol et enlevai lereste de ma lingerie. Je me levai en roulant des mécaniques -deprécision chez moi- , nu, en prenant la voix mâle d'un truandde série noire:
- " Tu m'excuseras, ma petite poule, mais nous, les hommes, on s'endortdès qu'on a balancé la purée. Allez, au pieu. "Je ponctuai ma phrase par une grande claque sur ses fesses. Elle se rebellaen riant:
- " Je te préfère en fille, tu es moins conne! Vienste laver les dents d'abord. " Elle me prêta sa brosse -j'auraisdû penser à prendre la mienne- pendant qu'elle se démaquillaità *** tour. Je fis un nouveau passage aux toilettes -le reste dela bière- et elle m'envoya au lit avec une claque sur les fesses.Chacun *** tour.

Je l'attendais en me disant que jeme devais de la rendre heureuse, au moins pour cette nuit. Je repensaisà ce qu'elle m'avait dit, que je jouais avec les gens. Je ne voulaispas qu'elle pense que je l'utilise comme un jouet. Elle ne tarda pas àvenir se coucher, toujours nue, et elle se lova amoureusement dans mesbras. Je l'embrassai dans le cou, délicatement. Je ne voulais pasnon plus qu'elle croie que je l'attendais pour lui sauter dessus. Elleavait encore envie de parler:
- " Dis-moi, ton mec, il couche avec toi, je suppose? " Je continuaisà la couvrir de mes baisers.
- " Bien sûr... Ça te choque? "
- " Non... Pas trop... Tu le vois souvent? "
- " La dernière fois, c'était cette nuit, quand jesuis rentrée. Il m'a fait l'amour trois fois. " Elle se reculapour me regarder:
- " Trois fois! Et tu as encore la ***** de continuer avec moi ?!"
- " Moi, je ne jouis pas. Il me saute, c'est tout. Sa femme et lui***t mes maîtres, et je suis leur chose. Je subis leurs caprices.Voilà ma bague d'esclave. " Je lui laissais faire *** rituel:elle se prit la tête:
- " Hou là là! Je suis tombé sur un maso! C'estbien ma veine! " Je la rassurai:
- " Ça ne change strictement rien pour toi. Je n'ai pas envieque tu me frappes ou que tu m'attaches. C'est juste un jeu entre nous."

Je repris mes baisers, mais je la sentaisun peu rétive. Je me retournai pour lui brouter la pelouse. Elleouvrit grand les cuisses et pressa mon visage contre *** sexe. Elle enavait très envie. Peut-être était-elle aussi excitéepar la nouvelle facette de ma per***nalité qu'elle venait de découvrir? Elle m'attira sur elle et caressa mon sexe de ses deux mains. Elle vérifiames dires en caressant mon petit trou:
- " Oui, ça se voit que tu as servi il n'y a pas longtemps... Tu t'es bien fait enfumer la taupinière, on dirait! " Je neconnaissais pas cette expression amusante... Là-dessus, elleprit mon sexe dans sa bouche et se mit à me sucer furieusement.Mes révélations ont eu l'air de l'émoustiller, j'avaiseu peur du contraire... Heureusement, elle n'avait pas oubliémes remarques quant à sa technique, mais elle m'ôta brusquementde ses lèvres:
- " J'arrête là, j'ai horreur qu'on me jouisse dansla bouche. Un mec me l'a fait une fois, contre ma volonté. J'aifailli gerber, et je lui ai tout craché à la gueule. "C'est bon, J'ai compris... Si vous n'aimez pas, n'en dégoûtezpas les autres... Moi, je continuai. Elle n'était pas d'accord,mais je voulais qu'elle prenne *** plaisir toute seule, pour me fairepardonner peut-être...
- " Arrête, je sens que je viens... " Je continuaide plus belle.
- " Non. "
- " Arrête, je te dis... Ahhh... Nooon!!!... " Elle se débattait et essayait de m'arracher de ses cuisses. Jeme déchaînai sur *** sexe, la léchant, pénétrantet grignotant tous azimuts.

Elle explosa encore bruyamment en meserrant fort contre elle. Les voisins avaient renoncé àattraper leur balai... Je la léchai tendrement encore quelquesinstants, puis elle reprit connaissance. Elle semblait un peu triste:
- " Pourquoi tu as fait ça? J'aurais voulu te refaire l'amour... " Je m'allongeai à côté d'elle:
- " J'avais envie de te donner du plaisir. Prends ça commeun cadeau. Une offrande à une amante géniale. Et puis, lanuit n'est pas finie... "
- " C'est gentil. Je crois que c'est la première fois queje prends tant de plaisir à me faire boulotter la touffe. "
- " Eh bien, on est quittes... On fait dodo? " Elle m'embrassatendrement:
- " Oui, mon merveilleux petit amant... "

Elle éteignit la lampe de chevet,mais les lueurs de la rue s'infiltraient sous les rideaux: des feux clignotantsy faisaient des jeux de lumières, et j'avais du mal à trouverle sommeil, d'autant que j'avais encore envie d'elle et de *** vagin diabolique.Je me collais contre mon amante: elle m'avait tourné le dos etdormait déjà. Elle émit un grognement ensommeillé,mais frotta ses fesses sur mon sexe en érection. J'avais terriblementenvie de la sodomiser, mais je ne connaissais pas *** avis sur la question.Elle me tendit sa croupe pour que je la prenne et me guida dans *** sexe.Je lui ai fait l'amour doucement. Elle poussait des gémissementslointains, comme si elle rêvait. Cela dura longtemps, et je luttaien même temps contre le sommeil. Elle jouit silencieusement, enpoussant quelques petits grognements charmants. Ses spasmes déclenchèrentmon orgasme, et j'émis aussi quelques petits cris que j'étouffaidans sa nuque, blotti contre elle. Je me suis endormi ainsi, jusqu'aumatin.
chrislebo

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#9,237
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Y A PLUS DE SAI***, MA BONNE DAME!

Ce matin, au réveil, j'avais la gueule de bois. L'alcool et lanuit courte... En plus j'avais été réveillétôt par le bruit de la circulation: je n'en ai plus l'habitude,depuis que j'habite à la campagne... Je me levai à septheures pour aller faire verser une larme à mon cyclope, et je réveillaisChloé qui s'était retournée en ronchonnant.

De retour des toilettes, je m'allongeaisur le lit et lui déposai un baiser dans le cou:
- " Je vais te laisser dormir, il faut que j'y aille. Je peux prendreune douche? "
- " Mmm... "
- " Merci. " Je fis mes ablutions et me lavais les dents: j'avaisl'impression d'avoir une haleine de cow-boy. J'avais pris mon sac dansla salle de bains pour ne pas la gêner. Une fois vêtu, jerepassai embrasser Chloé qui était un peu plus réveilléemaintenant. Elle parut surprise:
- " Tu t'en vas? "
- " Ben... Oui, je te l'ai dit... " Apparemment, elledormait encore pendant notre grande conversation. Elle se levait:
- " Tu as le temps de prendre un café? Je travaille, ce matin.J'ai un autre boulot dans une boulangerie. "
- " Oui, avec plaisir. Tu trouves le temps de dormir, avec toutestes... activités? " Elle rit:
- " Oui, je dors très peu, et je fais des petites siestes.J'ai toujours fonctionnée comme ça, mais ça me causedes soucis pour avoir une vie sentimentale stable. "
- " Tu m'étonnes... "

Elle me fit un super café, enpoudre avec l'eau du chauffe-eau. Un raffinement digne des meilleurs restaurantsde la capitale... Enfin, c'était noir et chaud.

Nous étions en tête-à-têteautour de la petite table de la cuisine. Elle me prit la main et me glissaun regard langoureux:
- " J'ai adoré l'amour qu'on a fait cette nuit. Tu étaissi doux... C'était si bon... "
- " Moi aussi j'ai adoré. Tu me donnes tellement de plaisir... Pourtant, il ne m'a pas semblé que tu aies vraiment pris ton pied... " Elle sourit de plus belle:
- " Ne crois pas ça. J'ai tout gardé au fond de moi,près de mon coeur. Tu m'as fait chavirer de bonheur... Je metrompe, ou tu avais une autre idée en tête? " Je n'avaispas le souvenir d'avoir été si pressant:
- " Oui, j'avoue que j'avais terriblement envie de te prendre parderrière. J'adore ça, c'est mon péché mignon,mais je ne connais pas tes goûts à ce sujet... "

Elle devint sérieuse:
- " Tu as bien fait de t'abstenir. Je n'ai jamais essayé,et je n'ai pas envie. Je respecte tes choix sexuels, je te remercie derespecter les miens. Merci quand même de ne pas avoir essayéde me... " Elle fit une pause.
- " Je sais que ce n'est pas le moment pour ce genre de conversation,Mais j'ai été abusée quand j'étais petite.Par un oncle. Oh! Rien de spectaculaire, et je suis sûre que lui,ça ne l'a pas marqué. Il avait mis sa main sous ma robeet m'avait caressé mon petit cul, en mettant un doigt dans ma raie... Ça n'a duré que quelques secondes, mais assez pour me suivretoute ma vie. Voilà. Je tenais à ce que tu le saches. "

Je lui embrassai la main. Je ne trouvaisrien à dire, sauf:
- " Tu y vas quand, à ta boulangerie? "
- " À huit heures. Le temps de prendre une douche. Tu as letemps de me déposer avant d'aller au boulot? "
- " Sans problème. Je suis mon propre patron. Je travailledans la finance. " Elle leva un sourcil:
- " Tu m'intéresses. J'ai pas mal d'argent de côté,et j'ai l'impression que mon banquier ne pense qu'à m'entuber." Je lui fis un sourire en coin:

- " J'ai l'impression que je ne suis pas le seul à le vouloir... Dis-moi combien, sur quelle durée et je te dirai ce que çate rapporterait. Le seul problème, c'est que tu n'as aucune garantie.Per***ne ne me connais. Officiellement. Pourtant, je brasse des dizainesde millions de dollars. " Elle parut impressionnée, et méfiante.Il y avait de quoi:
- " J'ai vingt-cinq mille euros. Sur cinq ans. " Je fis un rapidecalcul mental:
- " Environ huit pour cent par an. Treize sur dix ans. Compte unpour cent de commission, c'est intéressant. " Elle ne s'emballaitpas:
- " Oui, c'est sûr... Très intéressant... Si je revois mon argent. "
- " Je comprends tout à fait ta méfiance, et tu asbien rai***. J'essaierai de te faire entrer en contact avec d'autres clients.Il y a déjà mes parents... "

Oui, je ne vous en ai pas encore parlé:Mon père est à la retraite. Ils m'ont fait une confianceaveugle depuis le début -ils ont toujours cru en moi- et maintenant,ils ***t à la tête d'une véritable fortune. Ils ***tpartis vivre en Australie -leur rêve de gosse- avec mon grand frère,à Perth. Ils arrivent à entamer leur capital à grand-peine.C'est aussi grâce à eux que j'ai pu racheter notre mai***familiale au prix fort. Les nouveaux propriétaires n'étaientpas spécialement vendeurs...

Chloé prit sa douche et s'habillarapidement -les mêmes vêtements que la veille, à partun petit haut moulant bien échancré qui laissait voir ***décolleté et même *** soutien-gorge. Elle avait unehygiène strictement suffisante.

Je la déposai à sa boulangerie:je me souvins d'y être déjà venu, et je crois bienque c'est elle qui m'avait servi... Je lui pris une dizaine de croissantset lui en offrais deux, nous n'avions pas déjeuné, justece somptueux jus de chaussette. Je la saluai poliment, elle ne tenaitpas à des effusions sur *** lieu de travail. Pas celui-là,en tout cas. Nous ne nous sommes rien dit d'autre, pas d'échangede numéros de téléphone, ni d'autres rendez-vous.Juste " A bientôt. " Moi, je savais où la joindre.

Je garai la voiture dans la cour desMüller -des Dédés, c'est plus mignon. Il étaithuit heures et demie, Denis dormait encore. Je laissais les cléssur le guéridon où il les posait d'habitude, avec les papiers,je griffonnais un coeur avec quelques mots de remerciement et déposaisdes croissants dans la cuisine. Je m'éclipsai comme j'entendaisdu bruit à l'étage: il avait dû entendre la voiture,et voulait peut-être encore ****** de mon petit corps, mais j'étaistrop fatigué pour en supporter davantage...
Je rentrai enfin. Ouissecasse m'attendait devant la porte, au soleil naissant.Qu'il en profite... De gros nuages noirs, poussés par un ventglacé arrivaient du nord-ouest. Quel été... Wdisposait d'une chatière automatique pour circuler à saguise. Il pouvait même aller jusqu'à faire ses besoins dehors,lorsque la fantaisie lui prenait. Il se frotta sur mes jambes en ronronnantbruyamment et je lui fis un petit câlin, mais il attendait surtoutses croquettes. C'est vraiment désintéressé, cespetites bêtes...

Carole n'était pas encore rentrée,rien n'avait bougé depuis mon départ. Je remplissais négligemmentla gamelle du fauve et suivais mon petit rituel: répondeur mai***,RAS. Répondeur organizer, pas grand-chose: quelques demandes detransfert, à confirmer par e-mail. Mon ordinateur, les confirmationsen question. Je vais pouvoir souffler un peu. Je me suis allongésur le canapé, et vite endormi. Je fus réveillé parCarole qui cria, quelque part dans la mai***:
- " Chouette! des croissants! " Elle les avait trouvéssur la table de la cuisine. Une chance que W ne les ait pas vus, il adoreça. Je regardais ma montre: neuf heures vingt. Je me levais rapidementpour ne pas qu'elle me trouve avachi sur le canapé: aprèstoutes ces années, j'ai parfois l'impression d'être encoreun gosse qui a peur de se faire surprendre en train de faire des bêtises.Pourtant, j'ai fait pire... Bien pire.
Je la rejoignais dans la cuisine, où elle préparait ***excellent café -rien à voir avec celui de Chloé- en chantonnant un air que j'avais entendu la veille, au " Lolitas." Mon épouse était toujours vêtue de sa roberouge, mais avait enfilé ses mules. Elle me sauta au cou dèsque je passai la porte:
- " Bonjour, mon petit phylloxéra angora! " J'improvisaivite un petit nom:
- " Bonjour à toi, mon petit clitocybe* laqué! Tu aspassé une bonne soirée? "
- " Ouais! super! " Je l'embrassai: comme elle m'avait manqué!Je m'en rendais seulement compte. Elle versa deux tasses de café-sans me demander si j'en voulais- et s'assit à la table. Elleplongea sa main dans le sac en papier, en sortit un croissant et le croqua:
- " Mmm! Je les trouve très bons! Ils ***t bien dodus et pastrop cuits, comme j'aime. Tu les as achetés où? " Jefis un effort de réflexion intense pour trouver des points de repère.Ce n'est pas un endroit que nous fréquentons souvent:
- " Dans une boulangerie, sur la grand-rue, du côtéde la zone piétonnière. C'est pas loin de la pharmacie oùtu achètes tes drogues à bestiaux... " Heureusement,elle avait localisé l'échoppe:
- " Ah ouais! Je vois! C'est la boulangerie Malbreil. Ils ***t sympas.J'y passe des fois, quand je vais à la pharmacie, d'ailleurs. Lepain y est très bon. "
- " Et la boulangère a de belles miches. " Elle rit:
- " Ah ça! Elle doit faire *** quintal. La vendeuse est plussexy... " Je fis l'innocent:
- " Ah bon? Elle est comment? "
- " Bof! Elle est pas si jolie que ça, mais je sais qu'ellea toujours un super décolleté. Ça fait vendre. Maisje ne crois pas qu'elle te plairait, c'est une brune. Je crois que tupréfères les blondes. "
- " Oh! Les rousses, à la rigueur... Alors, ta soirée?" Apparemment, elle n'avait pas reconnu Chloé:
- " Eh bien, on dirait que j'ai casé Mélanie. Elleest partie avec une jolie jeune fille, un peu chinoise. Elles avaientl'air d'être déjà vachement amoureuses. Pourvu queça dure. "
- " Et toi, ma sitelle torchepot? Qu'as-tu fait de beau? " Ellefit un geste vague de la main:
- " Oh, moi... J'ai attendu qu'elle trouve une nana, j'ai bu quelquesverres - C'est pour ça que je ne suis pas rentrée, j'étaispas en état. J'ai dansé jusqu'à la fermeture, etune gentille fille m'a proposé de m'héberger. " Jelui fis un sourire en coin:
- " Tu penses, une fille comme toi, on va pas la laisser dormir dehors.Vous vous êtes bien amusées, toutes les deux? " Elleme fit un sourire gêné et baissa les yeux. Après tout,elle n'avait aucune rai*** de me cacher la vérité:
- " Oui... C'était bien. " Elle me renvoya la politesse:
- " Et toi? Tu as passé la nuit où pour que tu me ramènesdes croissants de Nemours? " Ah oui... Je n'étais pas bienréveillé. J'avais eu l'intention de lui dire que j'avaispassé la nuit chez Denis... Je ne cherchais pas à luimentir, juste à ménager sa surprise le plus longtemps possible.Il va falloir que je trouve autre chose:
- " J'ai couché avec Denis, et puis on a étéboire un verre, entre mecs. On est rentré tard. " Quelquechose chiffonnait Carole. Elle me regardait d'un air suspicieux:
- " C'est bizarre, moi, j'aurais fait l'inverse... D'ailleurs,je l'ai fait. Et puis, il ne doit pas y avoir beaucoup de bars ouvertstoute la nuit. La boulangerie doit ouvrir à sept heures, six heuresà tout casser... "

J'esquivai la question. J'étaismal parti...
- " En tout cas, je suis vanné. Je suis plutôt du genremarmotte, et des plans comme ça, ça me déglingue.J'irai bien m'écraser la tête dans un cendrier géant." Le soleil timide qui baignait jusqu'ici la cuisine d'une lueurorangée, disparut subitement. J'en profitai pour parler du temps:
- " Tu as vu ce qui s'amène? J'ai l'impression qu'on va déguster.Dire qu'on est bientôt en juillet... "
- " On est en juillet! c'est le premier, aujourd'hui. Bon, je finistes délicieux croissants, je me change et je vais voir les bêtes.J'espère ne pas me prendre la sauce. "

Pendant que mon épouse soignaitses bestioles, moi je refaisais un brin de toilette plus poussé-surtout pour tenter de me réveiller- et m'attelai à montravail. D'habitude, c'est un plaisir, mais là, je n'avais pasle coeur. Mon esprit sautait de Carole à Chloé. Je ne savaispas si je l'aimais, et tout ce chamboulement en quelques jours me donnaitle tournis. Diane rentrait aujourd'hui, et j'appréhendais la soirée.Comment ça allait se passer avec Carole?
J'en étais à ces mornes pensées lorsqu'elle déboulaen trombe dans la mai***, avec ses bottes:
- " Putain de temps de merde! Y a plus de sai***! On devrait se baladeren slibard, en ce moment! " Elle était trempée, sagrosse veste de daim dégoulinait. Elle se déshabilla etremit ses mules:
- " Je vais faire ma toilette. Tiens, les chèvres recommencentà donner du lait. Elles vont bientôt avoir des petits. "
- " Si je vois une cigogne, je tire dessus. " J'aime bien leschèvres, mais c'est très chiant à traire. Et commeCarole devait s'absenter, devinez qui allait leur peloter les seins... En plus, j'aime pas le lait de chèvre. Et on aura sûrementdeux bestiaux supplémentaires... Je lui rappelai le programmede la soirée:
- " Tu te souviens que Denis et Diane nous ont invités cesoir? " Elle se figea sur place:
- " Ah? C'est ce soir? Putain! Pourquoi j'ai dit à ma mèreque je venais demain matin?!... Fait chier... "

Elle resta debout dans le couloir,pensive. Je croyais qu'elle allait se décommander, elle étaittrès contrariée. Elle sauta sur le téléphone,sans une explication. J'assistai à *** monologue:
- " Allo, maman? ... Oui, c'est Caro... Oui, merci, et toi? ... Non, rien de grave. Juste que je ne viendrai pas demain... Après-demain... Dimanche, quoi... Ben oui, je sais, ça m'amuse pas non plus,mais j'ai des obligations... Non, il n'y est pour rien... D'ailleurs,il t'embrasse... " J'adressai un doigt d'honneur à Carolequi sourit enfin. " Oui, promis... Cette fois, c'est sûr.À dimanche. Bises à tous les deux! ... Ciao! "

Elle raccrocha, en poussant un grandsoupir de soulagement:
- " Putain, elle est lourde. Elle peut pas comprendre que sa ferme,c'est pas le centre du monde. "
- " Tu as rai***, c'est la gare de perpignan.** " Je l'embrassaitendrement:
- " Tu n'as pas oublié que tu as promis un gâteau àDiane? "
Elle me toisa, les mains sur les hanches:
- " Tu rigoles! C'est le genre de truc que je n'oublie pas. Je mesuis creusé la citrouille pendant un moment pour trouver quoi faire... "
- " C'est pas encore Halloween... Et la bougie, tu te la mets où?" Elle n'aimait pas que je l'interrompe pendant ses digressions culinaires:
- " Pauv' con! Ouais, je me demandais quoi faire, et j'ai trouvé:" Je l'interrompais à nouveau:
- " Alors, tu te la mets où? " Elle était vraimenténervée. Je la laissais finir:
- " Arrrh! Tu m'énerves! Je me disais donc que j'allais faireun saint honoré. " Elle me fit cette révélationfièrement. Moi, je n'y connaissais rien:
- " Ah? Il y a du chocolat, là-dedans? " Elle me regardad'un air consterné:
- " Mais non, triple gland! C'est un gâteau à la crème,comme un gros chou géant, mais creux au milieu. Et puis aprèstout, tu verras bien. De toute façon, tu aimes toujours ce queje te fais. " Je l'embrassai de nouveau, mais elle restait raide.Elle m'en voulait encore, mais ça devrait lui passer rapidement.

Je retournai à mon clavier,et recommençais à reprendre goût à mon travail.Je fis quelques simulations que j'imprimais sur plusieurs feuillets. C'étaitpour Chloé. Je fis également des copies d'extrapolationsque j'avais faites pour de gros clients, avec les résultats réels.J'arriverai peut-être à la convaincre...

Je fus tiré de mes penséespar la chan*** du générique de " l'île aux enfants." Hiroshi avait besoin de mes services, et il devait guetter l'activationde mon icône sur *** écran. C'est toujours à moi qu'ils'adressait pour tester ses modifications. Je ne sais pas pourquoi, jen'étais pas le plus pointu en la matière... De plus,il s'évertuait à vouloir me parler en français: ilprenait des cours, et je le soupçonnais de vouloir séduireCarole... Il était dix huit heures chez lui: enfin quelqu'unqui travaille à des heures décentes:
- " Moshi-moshi***, Gorgonzola! " Une voix furieuse, qui mefit penser à Toshiro Mifune dans " les sept samouraïs" me répondit:
- " Godzilla! Stupide tu es! " En fait de bestiole verte, saréponse m'évoquait plus Maître Yoda -de " laguerre des étoiles ", encore- qu'un dinosaure.

Il continua, assez remonté:
- " J'ai demandé! Gorgonzola, fromage! Tu moques moi! "Ça faisait un moment que je l'appelais comme ça. Il ne comprenaitpas la plaisanterie, le pauvre... Je lui fis mes excuses:
- " Désolé, c'était de l'humour. Qu'est-ce quit'amènes? " Gros silence, puis:
- " Comment dites-vous? " Il devait lire un manuel de traductionmultilingue pour touriste. Avec Carole, c'était pas gagné.Je lui avais passé mon épouse, une fois, par curiosité,et la petite vicieuse lui a parlé en patois de *** pays. Il riaitbeaucoup. Il ne comprenait rien, bien sûr, mais elle le berçaitd'une voix chaude et langoureuse en lui racontant une histoire bien salace,un héritage de la famille. Je reformulai ma question:

chrislebo

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" Toi... Vouloir... Quoi? " Ça, il comprenait.Heureusement, on parlait anglais pour le boulot.
- " Le photographe de Carole... Bien! Encore? "
- " Non! Plus! Fini! Bientôt encore! " Il rit. Je suissûr qu'il tapissait sa petite chambre d'étudiant attardéavec les photos de Carole. Ou alors il faisait fortune en les exhibant... Dieu merci, il passa à l'anglais. J'en avais ma claque de parleren morse. Il voulait juste me dire qu'il avait relevé un bug dansla feuille de calcul de simulation. Rien de gênant, juste que lemois de février avait trente et un jours. Beaucoup de patrons enrêvent, mais ça fait trop. Il me demandait s'il devait m'envoyerun correctif ou juste me donner la ligne à modifier. Bref, unebroutille. Je modifiais la ligne en question, et continuai mon travail.

Carole chantonnait dans la cuisine.J'ai voulu prendre l'air pour faire une pause, mais je n'ai sorti quemon nez: quel temps de chien! Je repassai voir mon épouse enfarinée:elle me sourit, pas rancunière, et je l'embrassai dans le cou,elle adore ça.

Je préparai le feu dans la grandecheminée de la cuisine et l'allumai, il ne faisait pas quinze degrésdehors. Carole frottait ses pieds l'un contre l'autre, signe qu'elle avaitfroid. Je m'éclipsai quelques minutes et revins avec ses splendidespantoufles à griffes. Je m'agenouillai sans un mot derrièreelle et les lui enfilai, elle en fut agréablement surprise:
- " Comme tu es mignon! C'est vraiment une délicate attention!" Elle se laissa embrasser le cou et caresser les seins de bonnegrâce. Je justifiais ma bonne action:
- " J'aime pas sucer des pieds glacés. "

Je retournai à mon boulot, aprèsavoir rangé les mules de Madame. À peine assis, W s'enroulasur mes genoux en ronronnant, signe -s'il en fallait un- qu'il faisaittrès froid pour la sai***.

Carole m'appela pour le repas. Contrairementà *** habitude, je ne vis ni entendis parler de *** gâteau.Elle ne devait pas l'avoir fini... Nous étions attablésdevant la cheminée, ce qui était très agréable.Mais quand même, le premier juillet... Pour une fois, nous mangionsen silence. Pas par indifférence ou routine, mais nous étionsperdus chacun de notre côté dans des pensées... Extraconjugales. Nous nous caressions les mains en souriant, et il noustardait d'aller faire une sieste.

Carole fit la vaisselle pendant queje débarrassai la table et m'occupais du feu. Je l'entraînaidans le lit sans un mot, où nous avons fait l'amour passionnément,en silence. Elle me chevauchait sauvagement, les dents serrées,me fixant de ses yeux fiévreux. Elle soufflait très fort,les narines dilatées. J'avais l'impression qu'elle voulait me fairecomprendre que je lui avais beaucoup manqué cette nuit, comme moije pensais à elle dans les bras de Chloé. Elle frottaitses gros seins sur ma poitrine nue, et je sentais ses tétons durcisagacer les miens. Curieusement, elle jouit en silence, comme Chloé.Elle étouffa de petits gloussements, et je sentis *** vagin m'enserrerpar spasmes. Était-ce pour se punir de m'avoir " trompé", ou était-ce une technique apprise par Aïcha? Ellecontinua de bouger comme si de rien n'était, Et je jouis àmon tour. De la même façon. Ça me coûtait beaucoupde ne pas l'honorer de mes cris...

Elle avait les larmes aux yeux:
- " Ça va pas, ma chérie? " Elle ravala sa saliveet me fixa, presque en pleurs:
- " Oh si... Oh si, ça va très bien... Si tusavais comme je t'aime...Tu le sais que je t'aime? " Je tentaisune pointe d'humour, bien malvenue:
- " Heu... Oui, je crois... " Elle me décocha uneviolente claque sur le torse et me cria presque:
- " Petit con !... Je t'aime!!! "
- " Moi aussi, je t'aime. À la folie, pour ne rien te cacher.Ne crains rien. Je suis là. " Nous nous sommes endormis, l'unsur l'autre, bercés par le ronron de Ouissecasse qui se léchaitles fesses au pied du lit.

Je me suis réveillé àcinq heures. C'est le clocher du village qui m'a tiré de mon sommeilcotonneux, à vrai dire. Carole dormait à côtéde moi, sur le ventre, à moitié enroulée dans lesdraps, W lové au creux de ses reins, toujours aussi superbe...Je l'éveillais d'un baiser:
- " Debout, grosse loche... " Elle ouvrit un oeil, me souritet regarda autour d'elle. Elle semblait perdue:
- " Hein? Il est quelle heure? " Elle clignait des yeux commeune chouette effrayée. Pour une fois, j'étais plus réveilléqu'elle... Je paraphrasais la chan*** de Dutronc:
- " Il est cinq heures... Mamie s'éveille... " Elle se leva d'un bond, sans égards pour le chat. Là, ellem'avait pris de court:
- " Putain! Qu'est-ce qu'on a roupillé! Au moins trois heures... Je suis complètement déphasée. " C'est vraique j'avais du mal à réaliser qu'on était l'après-midi.En plus, il faisait tellement noir... Carole nous refit du café.Idée géniale.

Elle mit la dernière main à*** gâteau et me convia à *** plébiscite. En effet,il était superbe, avec plusieurs petits choux tout autour, de lacrème chantilly et pâtissière, du sucre glace, ducaramel... Je produisis mon meilleur compliment:
- " Qu'il est joli! On dirait une couronne mortuaire sous la neige... " Elle poussa un gros soupir et me fit sur un ton morne et désabusé:
- " Merci... Ça me fait chaud au coeur... " Jelui sautais au cou et la fixais dans les yeux:
- " Il est superbe. Vraiment. Tu es une reine... Dans tous lesdomaines. " Elle me sourit tristement:
- " La prochaine fois, essaye de me faire un compliment. Un vrai.Pas une de tes blagues à la con. " Je baissais les yeux, honteux:
- " Oui, ma chérie. Je t'aime. Pardon. " Elle m'excusaet m'embrassa tendrement:
- " Petit galopin... Allez, retourne jouer! " Je préparaismes vêtements pour la soirée, bien que je ne savais pas dutout ce que ma maîtresse me réservait. J'avoue que je l'avaisun peu oubliée. C'est indigne de ma part. Je caressais machinalementma bague, et je décidais de l'appeler.

Le téléphone ***na àl'autre bout de la ligne, et une voix féminine et agacéeme répondit:
- " Oui? "
- " Diane? C'est Luc! Ça va pas? " Elle soupira, je n'auraispas pu dire si c'était de l'exaspération ou du soulagement:
- " M'en parle pas! C'est la panique depuis hier... Je n'arrêtepas de déménager. D'ailleurs, je t'ai ramené pleinde surprises... Par contre, Je crois qu'on va être un peu àla bourre ce soir. Si tu veux, on peut remettre notre invitation àun autre jour... " Je criai, plein de dépit:
- " Non! On viendra plus tard, c'est tout. Carole doit partir chezses parents... Ça nous reporterait trop loin. Par contre, jene sais pas ce que tu as prévu pour ce soir, Mais je suis en trainde jouer un tour à Carole. Si tu pouvais ne pas faire d'allusionà Alicia, ni à mon travestissement... " Elle rit:
- " Oui, Denis m'en a parlé... Tu ne perds pas de temps,dis donc... Quoi?... Denis me fait dire qu'il te remercie pour lescroissants, et le petit mot. Il était très touché.Il t'a bien fait l'amour, au moins? " Elle me posa la question d'unevoix coquine:
- " Il m'a prise sur le canapé. Il voulait que je me soumetteà sa volonté. J'ai obéi. J'ai beaucoup aimé." Elle n'était pas très convaincue:
- " Mouais. Je vois ce que tu veux dire. Il essaie de me faire lecoup, moi aussi... Bon, on a encore pas mal de boulot. Huit heures,c'est pas trop tard? "
- " Non... Et même, si vous n'êtes pas prêts,n'hésitez pas à nous appeler: on a horreur d'êtredans les pattes des gens, on n'aime pas gêner. Bisous! "

Bon. J'avais plus de deux heures àtuer, pas question d'aller perturber Carole dans sa cuisine, il y a dangerde mort. Elle était toujours en train de préparer quelquechose. Pourtant, on ne mangeait pas là ce soir...

Je n'avais pas le coeur à jouer,je me rabattais sur les photos de Carole. J'en avais encore une dizaineà retoucher: une série de portraits, rien qui puisse intéressermes pervers amis, et j'avais pensé à en offrir un àses parents. J'avais réussi un cliché superbe: je ne cherchepas à me jeter des fleurs, je pense plutôt au modèle:Carole avait l'air pénétrée -sans jeux de mots- latête inclinée sur le côté, une expression dedouce lassitude rehaussée par un petit sourire triste. Elle avaitune fleur dans ses cheveux libres, et à la vue de la naissancede ses seins, on pouvait en déduire qu'elle était nue. Onaurait dit une madone. Qui aurait pu dire, que quelques secondes avantque je n'appuie sur le déclencheur, elle me disait:
- " Putain, magne...J'ai une de ces envies de pisser... " Je crois avoir percé le secret du sourire énigmatique dela Joconde: elle faisait de la rétention urinaire.

Je n'avais pas besoin de la retoucher,elle. Juste l'image elle-même, et quelques détails àl'arrière-plan qui attiraient l'oeil. Après au moins uneheure de peaufinage maniaque, je tirai une épreuve de contrôlepuis une finale, au format A3, sur papier texturé. Je l'encadrai -j'ai toujours un assortiment de cadres d'avance- l'emballai avec artet collai une petite carte sympathique dont la destinataire étaitfriande:
- " Pour tes quatre vingt douze ans, chère Ghislaine. De lapart de ta fille Caro et de *** crétin de parigot de mari. "Carole l'emporterait avec elle.

L'heure approchait: je protégeaile feu de la cheminée, au grand désespoir de W qui commençaità rissoler devant. La chaleur passait quand même àtravers le pare-étincelles... Je me préparais, et rejoignaismon épouse qui mettait la dernière main à sa tenue.Nous n'en avions pas parlé, et j'eus terriblement envie d'elle.Elle était penchée, en train de fixer ses bas noirs àses jarretelles. Elle avait passé une longue robe du soir, noire,ouverte jusqu'en haut de la cuisse, très décolletée.En admirant sa poitrine, je reconnus sa guêpière noire dontje devinais le haut des bonnets. Ça ne se fait pas, d'exhiber salingerie comme ça... Pour le reste, elle était coifféeet maquillée comme lors de la venue de Diane et de Denis.

C'était l'heure. Je la dévoraisdes yeux: elle allait encore faire des ravages...
chrislebo

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DESSOUS DE TABLE.

Nous marchions blottis l'un contrel'autre. Huit heures venaient de ***ner, pourtant on aurait cru que lanuit allait tomber. Il ne pleuvait plus pour l'instant, mais le vent glacénous avait poussés à ressortir nos gros manteaux. Heureusement,nous étions attendus -Ô combien- et nous nous engouffrâmesdans le hall d'entrée. Denis, qui apparemment nous guettait, nousouvrit la porte en faisant une grimace:
- " Hé ben! Quel temps! Vous nous apportez pas le soleil!"

Il était très élégant,en costume noir qui évoquait le smoking. Il nous débarrassade nos pelisses hors sai*** et nous fit la bise en nous serrant dans sesbras, puis nous pilota vers le canapé où il s'en étaitdéjà passé de belles. Je le regardais sous toutesles coutures pour essayer d'y trouver des " souvenirs ", cequi fit sourire Denis. Il nous installa confortablement, face àla grande cheminée, allumée. Le grand miroir, un peu piqué,était toujours là, à côté... Le salonétait bien éclairé par une multitude de chandelierset photophores. Nous sommes restés seuls pendant quelques instants:nous devions être un petit peu en avance, et ils n'avaient pas finileurs préparatifs, on pouvait entendre des bruits de vaisselleet des échanges assez tendus. Je criai à leur adresse:
- " Ne vous angoissez pas! On a le temps! " Diane me répondit,sur le même ton:
- " On arrive! On a quasiment fini! Je mets un plat au four et c'estbon! "

En effet. Elle avait à peinefini sa phrase qu'elle apparut, précédée de Denisqui portait un plateau lourdement chargé de verres, biscuits apéritifset autres fioritures du même genre. Elle était superbe: elleavait quasiment la même tenue de cheval qu'à mon baptême,excepté qu'elle n'avait pas de bottes -remplacées par dejolis escarpins couleur cuir- et pas de chapeau. Ses cheveux étaienttirés en arrière en un chignon très *********** maquillage, très sombre, y compris le rouge à lèvrerenforçait *** caractère dominateur. Et elle avait sa cravacheà la main... Elle fit la bise à Carole et commençaità deviser joyeusement avec elle. Carole était intriguée:
- " Tu dis pas bonjour à Luc? " Diane perdit aussitôt*** sourire:
- " C'est normal. Tu vas voir comment on le traite. " Elle eutun petit sourire cruel en me caressant la joue avec la cravache. Carolen'était pas d'accord:
- " Ben, ça va pas être rigolo si mon petit bichon nepeut pas en placer une... "
- " Comme tu voudras. Tu es l'invitée, c'est toi qui décides.J'espère que tu nous laisseras quand même nous amuser unpeu avec notre esclave... Tu verras, il est très distrayant... "
- " Ouais, mais pas trop quand même. J'aime pas trop la violence." Diane eut un rire cristallin:
- " Mais non, tu verras! On peut être très cruelle sanstrop de violence... C'est même bien plus plaisant... " Elle me caressa le sexe avec sa cravache. Carole la regardait d'un sale œil: Diane attaquait un peu fort...

Denis détendit un peu l'atmosphèreen servant les apéritifs. Je pris un vermouth bien tassé,je sentais que j'allais en avoir besoin. J'étais relevéde ma consigne de silence, j'en profitais pour faire quelques mondanités.Je n'avais pas pu dire à Diane ce que je pensais de sa mise:
- " J'adore ta tenue. Elle est très jolie, et trèssévère aussi. Je te trouve très désirablecomme ça. Ça me donne très envie de t'obéir." Elle sourit et dit à Carole:
- " Tu vois? Là, c'est pas moi qui le *****. Il aime que jele domine. Ne nous prive pas d'un plaisir partagé... Au fait,Luc a fini les vidéos. Tu verras, c'est très instructif." Nous avions fini l'apéritif et nous sommes passésà table. J'étais assis en face de Denis, Carole en facede Diane. Par chance, je mangeais comme tout le monde. L'entréeétait composée comme une assiette anglaise, avec de la charcuterieet des crudités. C'était très bon et trèsjoli.

Diane avait déposé sacravache sur la table. Carole, éternelle gosse incorrigible, jouaavec, mais elle était plus habituée à la baguettede noisetier dont elle se sert pour guider les bêtes. Elle fouettal'air avec, puis m'en mit un coup violent sur le bas du dos -sous le dossierde ma chaise- qui me fit réagir. Un peu trop vivement, j'en conviens,pour un esclave intérimaire:
- " Ouaille!!! Putain! T'es tarée! " Diane se leva d'unbond, furieuse. L'occasion était trop belle. Elle me cria:
- " Debout! À poil! Tout de suite! " Je m'exécutai,les yeux baissés, en silence. Je tremblai de peur, comme un enfantpris en faute. Et de froid, aussi. Elle fit la morale à Carole:
- " Tu vois ce qu'il donne, ton laxisme? " À moi:
- " À quatre pattes! Là! " Carole étaitinterdite. Elle avait l'impression d'avoir déclenché unecatastrophe. Diane lui tendit la cravache:
- " Tiens! À toi l'honneur! Tu as un bon coup de poignet... Je te regarde. "

Carole prit la cravache et commençaà me frapper, avec réticence au début, puis de plusen plus fort. Je criais en en rajoutant un peu, et fis mes excuses sansqu'elles ne me l'aient demandé:
- " Pardon, mes maîtresses! Je ne voulais pas vous offenser!Pardon! " Carole avait l'air d'apprécier *** nouveau jeu.Elle arrêta brusquement après une quinzaine de coups:
- " Je crois qu'il a eu *** compte pour l'instant " Elle tenditla cravache à Diane qui n'était pas de cet avis:
- " Laisse-moi conclure sa punition. Je suis sa maîtresse,c'est moi la responsable de sa conduite et de *** éducation. "Elle m'enjamba lentement, à l'envers, et enserra ma taille de sesgenoux. Elle me frappa l'entrejambe, à coups espacés. Cinqcoups. Pas trop fort, heureusement, car je criai déjà vraimentde douleur. C'est très sensible, cet endroit, et elle le savait.

Elles retournèrent àtable, et Diane reprit *** air enjoué:
- " Viens, Carole, finis***s notre entrée. " Carole me
regardait d'un air triste: - " Et Luc? Il ne mange pas? " Diane lui prit la main:
- " T'inquiètes pas pour lui. On va le laisser un peu commeça... " Elles finirent leurs assiettes, et Diane m'appela:
- " Prends ton assiette et viens à mes pieds. " Je m'assisen tailleur devant ses jambes et finissais mon entrée. Diane profitaitde ma présence pour se réchauffer en insinuant ses piedsnus et glacés entre mes cuisses:
- " Mmm... C'est agréable, un esclave, quand on a froidaux pieds... " Carole se sentait concerné:
- " M'en parle pas... Moi, j'ai toujours froid aux pieds. "
- " Tu sais ce qu'on dit... Pieds froids, coeur chaud! "À moi:
- " Allonge-toi, qu'on puisse se réchauffer toute les deux!" Denis, qui avait fait le mort jusque-là, et qui s'étaitcontenté de jouir du spectacle, se manifesta:
- " Tous les trois! "

Je m'allongeai sur le grand tapisfroid. Heureusement, dessous, c'était du plancher, pas du carrelage.Ils s'empressèrent de poser leurs pieds sur mon corps, en poussantdes soupirs de contentement. J'aime me rendre utile... Diane et Caroleavaient leurs pieds sur mon ventre, Denis s'immisçait entre mescuisses, contre mon sexe, qu'il caressait d'ailleurs d'un orteil joueur.Elles parlaient cuisine, Carole voulait à tout prix savoir ce qu'ilsavaient mangés lors de mon " baptême ". J'écoutaisd'une oreille distraite, me laissant glisser dans un monde froid, sombreet peuplé d'orteils. Je leur caressais les jambes du bout des doigts,regardant le ballet de séduction de leurs pieds sur mon ventre.Ceux de Diane avançaient doucement, à toucher ceux de Carole.Les siens firent un petit bond en arrière, puis revinrent timidementau contact. Diane les caressait maintenant sans retenue, et elle remontaitle plus haut possible sous sa robe. Elle pensa à moi et relevasa longue jupe de tweed pour que je profite de *** anatomie, jusqu'enhaut de ses bas.

Je fris***nais de plus en plus. Carole,qui me connaît bien, s'en rendit compte et s'en alarma:
- " Luc commence à avoir froid. Il tremble comme une feuille... " Diane eut un petit rire hautain:
- " Tu as rai***... Il ne faudrait pas qu'il tombe malade, ilne me servirait plus à rien. " J'avais bien expliquéà Carole Que les paroles de Diane étaient à prendreau second degré et qu'elle se souciait beaucoup de ma santé,mais elle n'écouta que *** coeur. Elle se jeta sous la table pourm'embrasser:
- " Mon pauvre chéri! Qu'est-ce qu'on te fait subir! "Elle tomba en arrêt sur les jambes gainées de noir de Diane,fascinée. Elle semblait pleine de désir. Diane laissa retombersa lourde jupe et dit, d'un ton solennel:
- " La place d'une esclave est sous la table, comme les chiens. Tues une esclave, Carole? " Elle resta figée pendant de longuessecondes, puis se releva, confuse... et troublée. Diane me donnaune bourrade du pied:
- " Debout, souillon! " Je me relevai, en m'enserrant le corpsde mes bras. Elle dit à Denis:
- " Je vais l'habiller un peu. Va lui montrer ce qu'on a préparépour le dîner, elle est tellement curieuse... Et il fait plus chauddans la cuisine. On ne dirait pas qu'on a rallumé le chauffage,la mai*** est longue à se réchauffer. "

Elle me poussa avec sa cravache qu'ellem'enfonça dans le dos, et me fit monter dans ma chambre, qui m'étaitmaintenant réservée, et aussi, bien équipéeen conséquence. Diane referma la porte et m'embrassa furieusement:
- " Si tu savais comme j'en avais envie! Je suis si heureuse! Toutse passe bien mieux que dans mes rêves les plus fous. Tu es génial.Et Carole est plutôt réceptive. Je me demande si elle seraitmeilleure en maîtresse ou en esclave... On dirait qu'elle estdouée pour les deux... "
- " Bah... Laissez venir, Maîtresse. La nuit sera longue... " Elle m'embrassa de nouveau, les yeux humides:
- " Je t'aime, tu m'as manqué énormément. J'espèreêtre une bonne maîtresse pour toi. "
- " Vous n'avez même pas à vous poser cette question.Faites selon votre coeur, pourquoi vous soucier de moi? " Elle souriten caressant mes petits seins de sa cravache:
- " Oui, tu as rai***. Je suis une bonne maîtresse. Commentaurai-je mérité un esclave si dévoué, sinon?" Elle rajouta, avec un sourire vicieux:
- " Et surtout, n'hésite pas à te rebeller, j'adoreça. Tu sais que je suis obligée de sévir... "
- " Je le sais, maîtresse, c'est pour ça que je le fais,pour vous être agréable. Je ne me permettrais pas, sinon."

Diane me tourna le dos et embrassadu regard le monticule de cartons et d'objets inquiétants qui jonchaientla pièce. Elle fouilla dans le carton sur le lit, et en sortitune pelote de cuir et de chaînes rouillées, ainsi qu'un genrede short en cuir:
- " J'ai repéré ça, j'espère que çava t'aller. Mon oncle ne le met plus, ça lui faisait trop mal... " J'examinai la culotte en cuir. Mais pas de ce cuir noir et souple,non, du gros cuir raide bon à faire les ceintures, les chaussuresou les colliers de chiens. D'ailleurs, elle comportait deux sangles, etune fente horizontale au niveau du sexe. Diane m'expliqua pourquoi:
- " C'est l'oeuvre de ma tante Gisèle. Elle s'est abîméles doigts pour faire ça. C'est un travail d'esclave... Il ya une ceinture horizontale, classique, et une autre, verticale, qui permetde te le faire rentrer dans la chair, à la fantaisie de la maîtressequi l'utilise. La fente sert juste à faire coulisser les deux surfacesdu cuir. Il est trop raide pour se plier. Bien sûr, toi, tu n'aspas le droit d'y toucher... " Je regardais à l'intérieur:les coutures, grossières, dépassaient de cinq bons millimètres,et des traces de frottement prolongés, causées par l'intimitéde tonton serge, étaient parfaitement visibles. Des clous dorésavaient été rajoutés pour donner un côtéplus " festif ". Dommage que les rivets dépassaient del'autre côté... La charmante culotte avait étésoigneusement nettoyée, mais on n'était pas venu àbout de quelques taches de sang rebelles. Comme je les grattais avec l'ongle,Diane me rassura:
- " Tata Gisèle n'est pas tendre... Bien moins que moi... Elle voudrait que tu viennes faire un stage chez elle pour... Commentelle m'a dit ça?... T'assouplir! "
- " J'en frémis d'avance. " Elle rit:
- " Elle a des dizaines d'années d'expérience...Ellesait jouer de toutes les ficelles... La douleur, ************, lesprivations, le froid, le chaud, les faveurs sexuelles, les injustices,les récompenses, les farces cruelles... Je crois que j'en oublie.À oui, en effet, j'oubliais le meilleur... La " formation" se termine par un " stage en entreprise... " Je nete dirais pas ce que c'est, c'est une surprise. Toi qui aimes faire lapute, tu devrais adorer. " Je fis une moue dubitative:
- " Eh bien... J'en ai l'eau à la bouche... "

J'enfilai la culotte. C'étaitvraiment raide. Diane me l'ajusta: c'était un horrible carcan quim'écrasait le sexe et qui me coupait la peau. Et je n'avais pasencore senti les rivets... Elle détricota les chaînesrouillées. C'était un genre de menottes en cuir, reliéspar un collier. J'aimais un peu plus ça. Elle m'installa mon attirail,mes mains étaient maintenues à la hauteur de l'estomac,suspendues à mon cou. Je fis part de mon impression à Diane:
- " J'ai déjà vu ça quelque part. C'est pasle même truc qu'il y a dans " Histoire d'O "? "
- " Possible. Je ne sais pas si je l'ai vu. " Moi, çam'avait marqué. Je savais que je l'avais vu.
- " Je t'ai rapporté plein de vêtements que tu vas sûrementadorer: des tenues de soubrette, de cuisinière, d'infirmière,de collégienne... Complètes. " Elle me prit pasles épaules et me sourit:
- " Tu as noté que je te traites comme un, et pas comme uneesclave...Tu vois, je respecte tes souhaits. Mais pas trop longtemps.Il me tarde d'avoir une fille soumise à mon service... Et àcelui de Denis, aussi. Il m'a tout raconté, que tu t'es laisséfaire docilement, bien que je ne sois pas là. C'est trèsbien. "
- " Je vous remercie infiniment, maîtresse. Je sais que c'estune grande faveur que vous me faites là. Je sais combien cela doitvous coûter. Il me tarde peut-être plus que vous qu'Aliciaentre à votre service. J'ai pu juger de l'effet qu'elle a sur lagent féminine, et masculine aussi, bien sûr. Elle saura vousremercier au centuple pour votre magnanimité. " Elle aimaitbien la façon dont je m'exprimais. J'avais fait du théâtre,et je n'aurais jamais cru que cela m'aurait servi à ça... Elle me caressa les seins:
- " Oui, j'ai terriblement envie d'elle... Comment trouve-tu tapetite tenue? " Je me regardais dans la grande armoire à glace:
- " Tout à fait... Ravissante! " Elle rit:
- " Tu as de ces expressions... Je n'aurais pas dit ça..." Diane me mit un coup de cravache ***nant sur les cuisses:
- " Allez! On va rejoindre nos époux respectifs. J'espèrequ'ils n'ont pas tout mangé. "

Mon accoutrement ne me tenait passpécialement chaud, mais je n'étais plus par terre, et lesescaliers et les coups de cravache avaient stimulé ma circulation.

Il n'y avait per***ne dans le salon,mais on entendait des murmures et des bruits de vaisselle dans la cuisine.Nous étions un peu surpris en entrant: Carole faisait une fellationà Denis. Il était debout, appuyé contre la cuisinière,et Carole tenait une cuillère à la main: elle s'expliqua,le rouge aux joues:
- " Denis m'a montré tous tes petits pots de sauce, et jeme demandais laquelle allait mieux avec la viande... " Diane etmoi avons éclaté de rire. Enfin, moi, c'était intérieur.Je n'y étais pas autorisé. Quelle gourmande! Et qu'est-cequ'elle ne va pas inventer... Denis était un peu déçuqu'on soit revenu avant la fin de la dégustation. Il aurait bienrajouté sa note per***nelle, si on lui avait laissé le temps...
Diane frappa dans ses mains:
- " Allez, à table! Luc, tu fais le service. "

C'était très peu pratiqueavec mes menottes. Surtout pour sortir les assiettes du four: j'ai faillime friser les moustaches. Enfin, si j'en avais eu... Je servis mes maîtres,puis moi. Ce n'est qu'en m'asseyant que je pris connaissance de toutesles facettes amusantes de ma culotte de peau. J'étais littéralementpris dans un étau, et je pouvais compter tous les rivets. Je grimaçaisde douleur et souffrais en silence. Diane, qui me regardait du coin del'oeil, eut un petit sourire satisfait. Je me maintenais les mains jointesau-dessus de mon assiette, les yeux baissés.

Carole avait attaqué depuisun moment et ne tarissait pas d'éloges envers la cuisinière.Diane buvait ses compliments en la caressant du regard. Denis, lui, laregardait plutôt d'un air concupiscent... Il s'imaginait sansdoute encore dans la cuisine... Carole avait l'air tout à faità l'aise. Elle ne faisait même plus attention à moi,ni à mon nouvel uniforme. Il faut dire que Diane la faisait boirebeaucoup. Elle daigna quand même se préoccuper de moi:
- " Et Luc, il mange pas? Il peut pas, avec ses trucs? " Dianesourit:
- " Je ne lui ai pas donné la permission. Attends, je vaiste lire ses commandements. Je les ai juste là... " Elleattrapa la feuille qu'elle tenait lors de mon Baptême, et la lutà Carole. Elle était pensive:
- " Hé ben! On dirait le règlement intérieurd'un couvent. Le sexe en plus. Ça doit être bien d'avoirquelqu'un à sa botte. Quelqu'un de consentant, bien sûr.Je ne suis pas une malade. " Diane était heureuse:
- " Oui, je suis contente que tu nous comprennes enfin. Tu voudraisessayer? Luc est tout disposé à t'obéir. "
- " Ça, c'est pas nouveau. C'est un vrai toutou. "
- " Je m'en doute, mais à mon avis, tu peux aller plus loin.Tu peux lui faire faire des choses contre nature, ou le frapper, lui fairedonner du plaisir sans en prendre, à toi ou à quiconque... "

Le regard de Carole s'illumina:
- " Oui! je vais lui faire regarder " Les enfants du destinou Dominique à la poursuite du bonheur, " lui faire fairela vaisselle et l'envoyer en pension chez ma mère! " Pitié,Maîtresse! Envoyez-moi plutôt chez tata Gisèle! Dianela recadra un peu. Carole était peut-être un peu trop gamine:
- " Tu peux lui donner des ordres... Il faudrait juste que tusois un peu plus sérieuse. Comme je te l'ai dit, il doit obéirà toute per***ne dans cette mai***. Sauf à un autre esclave,mais je n'en ai pas d'autre en ce moment... " Elle la fixait d'unregard appuyé, pour qu'elle saisisse bien le message: on recrute... Carole se tourna vers moi, et me parla très sèchement. Jel'ai très rarement entendu s'adresser à moi comme ça,comme la fois où elle s'était promenée toute la journéeavec un pois*** d'avril dans le dos. Il faut dire que j'avais rajoutédessus " Je suis une morue, et je sens fort du... " Je n'avaispas eu la place de rajouter la suite, mais ce n'était pas trèsflatteur.
chrislebo

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Donc, elle me dit:
- " Mange! Tout de suite! " Pour un premier ordre, çaallait. J'avais eu peur qu'elle me demande de lui donner mon assiette.Quoique...
- " Donne-moi ta viande! Une larve comme toi n'en mérite pas." J'allais faire glisser ma succulente pièce de viande rôtieà peine entamée dans *** assiette quand elle m'arrêtaen me piquant de sa fourchette:
- " Pas comme ça, connard! avec les doigts, dans ma bouche.Coupe des morceaux. " Je préférais les insultes deDiane, mais *** jeu était bien: je lui présentais un petitmorceau de viande devant sa bouche et elle me léchait et me mordaitavant d'avaler tous mes doigts. C'était terriblement sensuel. Commeelle était à côté de moi, je devais me tournersur ma chaise, ce qui empirait mon supplice. Le cuir - ou les rivets?- me cisaillait à chaque mouvement. Diane semblait trèsexcitée. Elle avait une main sous la table...

Denis proposa ses services:
- " Si tu veux choisir ta sauce pour la viande, je suis ton homme!" Ils rirent. Carole avait une autre idée:
- " Désolé, Denis, mais je n'ai plus envie, j'ai trouvémieux à me mettre sous la dent. Si tu veux, fais-toi sucer parLuc. C'est la routine, pour lui ... Si Diane est d'accord, bien sûr... " Diane hocha la tête en souriant, et Denis défit ***pantalon. Carole me releva et me fit mettre à genoux:
- " Tu as de la chance, moi, j'ai dû ouvrir *** pantalon moi-même,tout à l'heure. Toi, tu n'as plus qu'à sucer. " Caroles'accroupit à côté de moi:
- " Travaille bien, je te surveille. Je t'ai jamais vu faire, çam'intéresse. " À genoux, à moitié penché,la culotte était encore plus inconfortable, et c'était uneuphémisme.

Carole se releva un instant: quandelle revint à mon niveau, elle me frappa sans relâche avecla cravache, sur toutes les parties de mon corps qu'elle pouvait atteindre.Elle promettait d'être une redoutable maîtresse. Surtout sielle mettait ses premières menaces à exécution... Denis jouit assez rapidement, il avait pris un peu d'avance, tout àl'heure. J'allais me retirer, mais Carole m'en empêcha d'un coupsupplémentaire:
- " Je ne t'ai pas dit d'arrêter. Reste là, et garde-leau chaud dans ta bouche. Il aura peut-être encore envie, plus tard." Elle se rassit, et au bruit, devait finir mon assiette.

Diane était admirative:
- " Eh bien, tu m'as sciée! Je crois que je ne m'en seraispas mieux sortie. Félicitations! " Carole finissait d'avalerune bouchée:
- " Mmm... Je préfère dominer les femmes. Ellesfont de plus belles victimes. J'en ai violentée une, il y a quelquesjours. Je l'ai même fait saillir par *** chien. J'ai adoré." Diane était vraiment sous le charme:
- " Tu m'intéresses de plus en plus. Qu'est-ce que tu croisque ça donnerait, deux mantes religieuses comme nous? " Savoix était chargée d'une excitation contenue.
- " Quelque chose de torride. L'une de nous deux prendrait le dessussur l'autre, c'est sûr. Je n'ai pas envie d'une confrontation. Maissi tu as envie d'un petit câlin, après manger... " Le sexe de Denis se redéployait lentement dans ma bouche. Les parolesde nos épouses y étaient pour quelque chose... *** esclaveet *** époux étant pour l'instant indisponible, Diane fitle service et alla chercher le fromage. Ils mangèrent tous lestrois, en se demandant comment m'utiliser au mieux de mes " compétences".

On allait passer au dessert. Caroleeut un sursaut:
- " Putain! Quelle conne! Avec ce temps de merde, j'ai oubliéle gâteau! J'y retourne. À tout de suite. Et toi, Luc, n'enprofite pas pour t'endormir. À croire que tu n'as plus faim... " Denis retenait mes mouvements. Il voulait juste être dansma bouche, et le plus profond possible. Diane profita de l'absence fortuitede Carole pour s'inquiéter de mon confort et me féliciter:
- " Mon Dieu, Quelle femme tu as! Tu n'as pas trop mal, dans cetteculotte? Tu peux parler librement. " Je me relevais:
- " C'est un supplice. Je dois saigner de partout, et je ne sensplus mon sexe. J'ai mal au ventre tellement j'ai les testicules écrasés."
- " Viens, je vais te libérer. J'aurais voulu que tu aiesle temps de l'essayer avant... Mais comme je te disais, je préfèreraist'habiller en femme... " Moi aussi. Je ne goûtais pas tropla mode moyenâgeuse.

Diane m'installa sur le canapé,m'ôta mes menottes et ma culotte. Je n'avais pas grand-chose, quelquesgriffures et traces rouges. Diane, qui avait une grande envie de mon corpsblessé, s'est mise à embrasser mon sexe et à le sucer.

Carole revint à ce moment précis.Elle avait dû courir... Sans un mot, elle laissa tomber *** gâteausur la table, saisit la cravache au passage et se dirigea vers moi d'unpas assuré. Elle criait des menaces et des jurons. Elle étaitterrifiante avec *** grand manteau ouvert sur sa robe noire, sa poitrinebondissant de sa lingerie, sa chevelure rousse en bataille, les jouesrouges, *** air furieux et décidé... Bon, dit comme ça,ça fait pas très peur, mais si vous l'aviez vue, on auraitdit une walkyrie.

Sa cravache s'abattit violement. SurDiane:
- " Je m'en doutais! Tu remets mon autorité en question! Tuvas me le payer, salope! " Diane fut foudroyée, comme si elleavait reçu une balle en plein coeur. Carole lui avait fouettéla croupe d'un coup cinglant, malgré sa jupe épaisse. Ellela releva par le chignon -elle était toujours au-dessus de monsexe- pour pouvoir me frapper plus à *** aise et m'administra quelquescoups bien appuyés sur le haut des cuisses. Mon sexe serrait lesdents...
- " Descends de là, pédale! laisse la place àta ...Maîtresse! " Elle avait prononcé ce derniermot avec dédain. Elle tenait toujours Diane par les cheveux -***chignon défait par la poigne ******* de Carole- et l'obligea às'allonger sur le ventre, sur le canapé. Elle releva négligemmentl'épaisse jupe en tweed du bout de sa cravache. Carole s'adressaencore à moi:
- " Dégage *** gros cul et enlève sa culotte. "Je m'exécutai avec un plaisir que j'avais du mal à déguiseren respect. Diane me jeta un regard non loin de l'extase.

Je relevai sa longue jupe avec difficulté:elle ne m'aidait pas beaucoup... Je finis pas découvrir ses basentièrement, le haut de ses cuisses puis ses fesses. Elle n'avaitpas de culotte... Un bruit attira mon regard. Denis avait tiréle gâteau à lui pour le humer avec délice, tout ensavourant la scène avec un plaisir non dissimulé. Çadevait faire un moment qu'il attendait ça. Diane est une femmede tête.

Carole détaillait la croupeet les cuisses de ma maîtresse avec gourmandise, la parcourant unlong moment du bout de sa cravache. Le premier coup, violent, tomba sansprévenir. Diane poussa un cri déchirant. Carole se plaignit:
- " Tu gueules trop fort... Toi, bâillonne-la avec ta queue.Si ta maîtresse t'aime toujours autant, elle te mordra peut-être... Allez, écarte. " Elle insinua la cravache entre ses cuisseset la força à ouvrir un peu les jambes, en les laissanttoutefois sur le canapé. Carole caressa le sexe de Diane avec insistancedu plat de la cravache et la ressortit bien luisante. Elle ne lui donnaqu'une dizaine de coups, mais très espacés. Elle s'arrêtaitpour la parcourir de sa cravache, ou même embrasser sa croupe etcaresser ses cuisses. Carole s'amusait de voir ses fesses se contracterquand elle croyait qu'un coup allait tomber, mais ce n'était jamaisquand elle s'y attendait. Diane sanglotait doucement, entre deux crisétouffés. J'avais une érection terrible, et j'aidû me faire violence pour ne pas aller et venir dans sa bouche.Elle l'aurait peut-être souhaité, mais Carole...

Elle jeta enfin la cravache àterre, me tira délicatement en arrière et s'agenouilla devantle visage rougi de Diane. Elle lui caressait tendrement le visage pourla consoler:
- " Je ne joue plus, j'en ai assez. J'ai envie de tendresse, maintenant." Elle serra la tête de Diane contre sa poitrine en lui caressantles cheveux jusqu'à ce qu'elle arrête de sangloter. Denis,qui semblait délaissé mais qui était le seul pourl'instant à avoir pris du plaisir -Moi, je n'en avais pas étéloin- s'était approché pour mieux assister à ************** *** épouse.

Diane s'était enfin calmée.Elle se releva en se rajustant et affichait un sourire apaisé.Carole la prit par la main et la raccompagna tendrement à sa place:
- " Viens. Je t'ai fait un bon gâteau pour te consoler. "

Elle était très maternelle.Elle se comportait comme ça avec moi après nos -trèsrares- disputes. Après, ça dégénèretoujours et nous finis***s sur le lit -ou la table, selon l'urgence. Denisla débarrassa de *** manteau -elle l'avait toujours sur elle etcommençait à avoir chaud.

Diane étouffa un petit cri ens'asseyant. Carole restait la maîtresse implacable qu'elle venaitd'être: elle avait frappé très fort. Elle lui pritla main et lui demanda doucement d'un air inquiet:
- " Tu as encore très mal, j'espère? Je t'ai corrigéedu mieux que j'ai pu. " Diane hocha la tête. Ses larmes revenaient.Carole attira le gâteau à elle -il était un peu disloquésuite à *** atterrissage ******- et le plaça devant ma maîtresse.Elle se tenait debout derrière elle, et plongea ses doigts dansla crème:
- " Mon chéri, Denis, vous pouvez faire le service? Je m'occupede ma pauvre Diane... "

Diane léchait ses doigts avecavidité, et une grande sensualité. Elle semblait adorerle gâteau, ainsi que la cuillère... Tout en lui donnantla becquée, Carole avait plongé sa main droite dans le strictcorsage à jabot de Diane et lui malaxait le sein gauche. Elle aussiy prenait un grand plaisir. Elle devait lui faire assez mal... Caroles'arrêta quand elle fut servie à *** tour. Elle fit la biseà Diane et finit de se lécher les doigts. C'étaitmoi qui servais les parts, moins généreuses que celles quefaisait Carole. Je donnais à Diane le morceau qu'elle avait "entamé ", Et bien sûr, *** gâteau étaittrès bon, très goûteux. Carole avait repris *** rangd'invitée bien élevée:
- " Alors, Diane, que penses-tu de mon gâteau? " Ma maîtresselui prit la main, immobilisant sa cuillère qui frappait bruyamment*** assiette et nous agaçait tous:
- " Il est divin! Et encore meilleur au bout de tes doigts... Tu as tous les dons... " Elle lui avait dit ça comme ellelui aurait dit: " Arrache ma culotte et prends-moi sur la table." Mais bon, elle n'en avait pas. Carole minaudait:
- " Oh! Tu sais, j'ai que ça à faire... Et je suistellement gourmande... Au fait, c'est quoi, cette excellente viandeque tu nous as servis? Luc a tellement aimé qu'il s'est tout goinfré... " Ben voyons... Nous nous sommes mis à rire. Moi y compris,quand même. Diane avait retrouvé toute sa jovialité,faisant tout de même quelques grimaces de douleur par moments:
- " C'est du pavé d'autruche. Tu n'en avais jamais mangé?Je nous en avais d'ailleurs déjà servi avant-hier soir."
- " Ah tiens... De l'autruche... "

Carole se rendit compte que j'étaisencore nu, et elle eut pitié de moi:
- " Rhabille-toi, mon petit staphylocoque doré, tu me donnesfroid comme ça. Et moi, je te vois toujours à poil, j'ail'impression d'être à la mai***. " Ses expressions fleuriesavaient ramené un peu de bonne humeur, après toute cettetension. Comme je finissais de me rhabiller, Denis rapporta le caféde la cuisine:
- " Il n'est pas aussi bon que le tien, Carole. Pourtant, Dieu saitsi on suit tous tes conseils à la lettre. " En fait, je letrouvais très bon. C'est Carole, la spécialiste incontestée,qui trancha:
- " Mais il est excellent, ton café! c'est vrai qu'il estun peu différent du mien, mais il est très bon quand même.Tu peux oublier tes complexes! "
- " Tant mieux. Vous prendrez bien un petit digestif, aprèsça? "
- " Ah oui! Avec plaisir! un cognac? Tu as? " Diane et Denisfirent le même choix. Moi, je préfère les fruits.Je savais qu'ils avaient une excellente poire. Denis aimait bien avoirun " accompagnement " avec *** verre, mais per***ne n'y fitallusion. Moi, j'aurais été prêt à me dévouer,pour toute la tablée s'il l'avait fallu. Mon épouse comprise.

Diane attendit que je finisse mon verrepour me mette à contribution:
- " Luc, tu peux installer la vidéo? j'ai demandé àDenis, mais il ne s'en sort pas. Il a du toucher quelque chose, depuis,on ne voit plus rien. "
- " Oui, maîtresse. " Moi, je voulais encore jouer àl'esclave. Je me penchais sur le problème, vite réglé:une fiche n'était pas à sa place sur le magnétoscope.Une connexion qui ne sert jamais, en principe. J'en fis part àDenis, qui n'apprécia pas outre mesure:
- " Tu vois, c'est comme avec Diane: il ne faut pas mettre sa petitefiche dans n'importe quel trou. " Elles avaient entendu, ce qui lesfit bien rire. Carole en rajouta:
- " On dirait que ces messieurs ont un penchant commun pour nos orificesde secours... " Diane sourit:
- " Ça me rassure. Je croyais être la seule àavoir ce problème. " Carole lui prit la main en la fixantdans les yeux:
- " Ce n'est pas un problème pour moi. Et pour tout dire,j'aimerais assez te voir te faire enculer par Denis. D'après ceque j'ai pu en juger, il en a une pas mal... " Diane ne réponditrien et baissa les yeux. Elle qui comptait sur la solidarité féminine...

Je fis quelques essais rapides, jene voulais pas que Carole puisse en voir trop. Denis m'aida à tournerle canapé en face de l'écran, à la place des deuxfauteuils. Je rameutais ces dames:
- " C'est prêt. Si mes maîtresses veulent bien se donnerla peine... " Carole, en princesse invitée, s'installabien au centre, Diane et Denis de chaque côté. Bien serrés.Moi, aux commandes, me contentais des pieds de mon épouse. Dianedonna le départ:
- " Carole, ce que tu vas voir, c'est ce qui s'est passé lorsde la fameuse soirée, quand il y a eu cet orage. Malheureusement,tout n'y est pas, c'est pas du cinéma. On ne voit pas toujoursbien, et Luc a dû rajouter quelques sous-titrages, car certainspassages ***t presque inaudibles. Nous, on s'en souvient et on arriveà comprendre... Enfin. Tu jugeras par toi-même. Luc, àtoi... "

Je lançais la lecture. Je nem'en lassais pas. Je n'étais pas fan de films pornos, mais se voiren action -à vrai dire, je n'étais pas le plus actif- estassez jouissif. Et les acteurs étaient assez bons. Je sentais Caroletrépigner derrière mon dos. Elle gloussait et faisait pleinde commentaires, Surtout à mon sujet. La vue de Diane se soulageantsous un arbre l'a beaucoup amusée, surtout quand elle s'étaitrendu compte de la présence de Carole, hors champ bien sûr:
- " Oh la coquine! Je t'ai vue, je t'ai vue! " Puis vint l'entréeen scène de Diane dans " l'aire de jeux. " Elle étaittout de suite devenue plus sérieuse. Elle me caressait les fessesavec ses pieds, d'une manière assez appuyée, jusqu'à*** coup de téléphone. J'avais sous-titré cette scène,en masquant le nom de Mélanie. Elle n'avait pas besoin de ça:
- " Ah! La vache... J'étais loin de me douter que tu étaisen train de dilater mon petit mari... Tu cachais bien ton jeu... Et tu as une sacré poigne, aussi. Tu l'as bien maté, lepetit saligaud. Mais pourquoi tu lui parles comme si c'était unefille? "

J'avais interrompu la lecture pourqu'elles puissent discuter. Diane lui répondit:
- " Ben... Sur le coup, vu de dos, je croyais que c'en étaitune. Il a un beau cul, ton homme... Et puis, comme on le traitait commeune petite cochonne, j'avais de plus en plus envie de le voir comme unefille. Moi aussi, j'adore les filles soumises... " Elle posa satête dans *** cou en disant cela. Carole fit mine d'être indisposéeet se leva, me bousculant au passage:
- " Vous me donnez chaud, à me coller comme ça, tousles deux! Si ça vous dérange pas, je vais me mettre àl'aise. " Elle fit glisser sa longue robe et se retrouva en guêpièreet bas noirs. Et avec une jolie petite culotte, assez transparente. Elledégageait une forte odeur de transpiration et d'excitation féminineà laquelle je ne pouvais pas résister. J'étais àla bonne hauteur et enfouis mon visage dans *** sexe. Elle rit:
- " Attends, petit gourmand! Je me rassois. " À ses voisinsde canapé:
- " J'espère que mon odeur ne vous incommode pas trop... J'ai beau me laver souvent et utiliser du déodorant, il paraîtque je sens très fort. C'est le lot des rousses, à ce qu'ondit... " Ils étaient fascinés par *** anatomie miseen valeur par la lingerie, humant tous les deux ses aisselles et *** décolleté.Denis était totalement sous le charme:
- " Tu plaisantes! Je n'ai jamais rien senti d'aussi excitant queton parfum... " Il se rattrapa maladroitement: " Àpart le tien, mon amour! " Diane le reprit:
- " Non, ne te ****** pas, Chéri. Cette créature derêve m'a ensorcelée, moi aussi. "
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