chrislebo
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Anne réfléchit et elle sait que c'est la seule solution. À ce moment, naïvement, elle n'imagine pas l'ensemble des conséquences. Elle espère encore une voie de sortie. « Oui, j'obéirai ». « Pour te punir, je vais te donner une fessée. Enlève de suite ta jupe ». Anne ne comprend pas les mots. Punir, fesser, enlever la jupe. « Je ne vais pas le répéter. Soit tu le fais de suite, soit tu pars et je préviens notre mère ». Anne laisse tomber sa jupe. Thierry suit la chute de la jupe pour remonter le long de ces jambes et s'arrêter sur la culotte blanche en coton. Anne regarde le plancher et attend la suite des événements. « Viens vers moi ». Elle se déplace lentement puis la main de Thierry attrape *** bras et le tire pour qu'elle puisse se pencher. « Allonge-toi sur mes cuisses les bras d'un côté et les jambes de l'autre ». Ainsi positionnée, Anne attend. Thierry pose *** bras droit sur le dos d'Anne, et de *** autre main descend la culotte en coton sur les cuisses. Anne essaye de réagir. « Ne bouge pas. Tu m'obéis. Tu vas recevoir une fessée. À chaque frappe, tu dois compter sans jamais essayer de te soustraire ». La main tombe une première fois et le bruit retentit dans la chambre. « Un », « deux », « trois », « quatre, aie ». À la dixième Anne pleure, à la vingtième, elle crie et se débat. La trentième, elle ne pleure plus, ni ne crie. Ses fesses ***t rouges et chaudes. Thierry arrête, sa main le fait aussi souffrir tant les dernières frappes furent fortes pour couvrir les cris et les pleures d'Anne. Elle est encore sur ces cuisses, elle ne bouge plus. Thierry bande très fort. Le corps en abandon d'Anne éveille des sentiments nouveaux. Sa main vient reprendre possession des fesses chaudes. Ses doigts glissent entre les cuisses et viennent se poser sur le sexe d'Anne. Il est humide, chaud et doux. Anne sent les doigts de Thierry se poser sur *** intimité. Elle veut réagir, elle ne veut pas de cette caresse. Sur *** dos, le bras appuie plus fort comme pour lui dire de ne pas bouger, car c'est lui qui commande. « Ne bouge pas. Tu es à moi et à mes ordres. Je fais ce que je veux de toi ». Les mots ***t durs, et Anne les reçoit difficilement. Pourtant elle est vaincue. Les doigts écartent les grandes lèvres et viennent chercher *** clitoris. Il le caresse, le tire et le pince. Anne sent une autre chaleur l'envahir. Elle sent une onde partir du fond de *** ventre. Elle monte et gronde dans tout *** être. Sa respiration est plus rapide et des gémissements sortent de sa bouche. Anne jouit de tout *** être. Thierry arrête de la caresser. Il sent ses doigts. Il aime cette odeur, il goute maintenant et se régale de ce nectar. Anne est toujours sur ces cuisses, elle est inerte. Il la pousse et elle tombe à ses pieds. Il se lève. Du bout de ses pieds, il la pousse. « Lève-toi, chienne! » Les mots ***t durs. Anne inerte sur le plancher entend et ne comprend plus. Thierry défait la ceinture en cuir de *** jean, et l'utilise pour frapper les fesses d'Anne. Le premier coup génère une telle douleur qu'Anne crie et se relève en même temps. Elle se frotte les fesses qui la brulent encore plus. « À poil, je te veux nue ». Sans réfléchir, elle se met nue pour la première fois devant un homme. Il la regarde et lui caresse les seins. Puis en prenant chaque téton, il les tire vers le bas pour la ****** à la mettre à genoux. Il défait *** jean et descend *** caleçon. Il bande très dur. « Ouvre la bouche, et laisse tes mains dans ton dos ». *** sexe vient prendre possession de la bouche d'Anne. Ses mains en appui sur la tête impriment le mouvement de la bouche qui glisse sur toute la longueur de *** sexe. Un moment, il sent les dents d'Anne, sur la tendre peau de *** gland. Il sort sa queue. Une gifle vient laisser la marque de ses doigts sur la joue d'Anne. « Tu dois faire attention avec tes dents, ouvres ta bouche! » Il reprend possession de sa bouche et vient pénétrer sa gorge. *** sexe grossit et il jouit profondément dans sa gorge. Il maintient sa tête le temps qu'elle avale tout. Puis, il lui demande de nettoyer *** sexe avec sa bouche et sa langue. Anne épuisée s'écroule. Thierry repart s'assoir à *** bureau comme si rien ne s'était passé. Quelques minutes après, Anne refait surface. « Rhabille-toi. À partir d'aujourd'hui et sans contre ordre de ma part, toutes les fins d'après midi, lorsque nous serons seuls dans la mai***, tu viendras dans ma chambre, chienne! Je vais faire ton éducation de chienne soumise. As-tu compris? » Anne écoute, entend et comprend. Elle comprend que cela ne fait que commencer. Comment le dire et à qui? Sa mère sourde et qui lui a interdit d'être ici. À sa sœur qui est jalouse d'elle. À *** beau-père qui ne la considère pas plus. Non, elle n'a per***ne à qui le dire et surtout, elle n'a per***ne qui pourrait venir à *** aide. Anne sait maintenant que la soumission vient tout juste de commencer. « Oui, j'ai compris ». Thierry la regarde un moment puis il ajoute. « Tu m'appelleras Maître, et tu le diras à chaque fin de phrases. Redis-le maintenant! » « J'ai compris maître ». Le sexe de Thierry reprend de la vigueur à l'écoute de ses mots et aux idées à venir. « Passe sous le bureau, tu défais mon jean et tu prends mon sexe en bouche. Cette fois, tu vas me sucer sans que je te dise quoi que ce soit. Lorsque je jouis, tu avales tout et tu ne laisses aucune trace. Ensuite, tu pourras partir ». Thierry venait de jouir. Il était plus endurant. En travaillant, il avait des difficultés à se concentrer sur sa tâche. Il ne savait pas si cela venait de la fellation d'Anne ou de toutes les idées qui lui venaient quant à l'éducation de celle-ci dans un monde nouveau, la soumission. Il l'imaginait dans bien des situations dont certaines étaient des fantasmes inavouables.
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chrislebo
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Camping car torride Notre camping car était garé juste à côté de celui d'un couple d'allemands. Depuis notre arrivée, mon épouse avait remarqué que l'homme avait tendance à laisser les rideau ouverts et bien sûr il nous était arrivé de "surveiller" leurs activités ménagères et y avions pris goût. L'homme l'avait sans doute remarqué et il me gratifiait souvent d'un HELLO! en levant *** verre, quand il leur arrivait assez souvent de prendre l'apéritif ou une bière fraîche. Ce matin mon épouse était partie pour faire *** marché... et je vis arriver mon voisin qui m'invita à prendre l'apéritif. J'acceptais et le suivis dans *** camping car... où il était seul, madame étant partie pour une baignade à la plage proche. Il s'appelait Hans. Nous communiquions par gestes, Hans s'occupa de préparer les bois***s et amuse gueules et ce faisant, il passait souvent près de mon fauteuil et chaque fois il frottait *** sexe sur mon épaule qui dépassait dans l'allée. Je n'y prêtais pas trop attention, mais le contact se fit plus appuyé et je fus maintenant persuadé qu'il frottait *** membre qui avait grossi et durci. Hans leva *** verre et me fit un sourire charmeur. Ma respiration était devenue courte, j'étais très ému par ce contact, cette approche d'un mâle que je n'avais jamais connue auparavant. Je m'aperçus en baissant mes yeux que la bite raide de Hans dépassait sous le bas de *** short et maintenant il la frottait sur mon bras... ne sachant que faire, très excité par ce qui m'arrivait, je le laissais faire et bientôt je saisis sa bite dure et me mis à le branler délicatement. *** gland pointu était lisse et doux, je le frottais doucement... Hans me pris la nuque et abaissa ma tête vers sa bite, poussa *** gland en avant vers mes lèvres. Sa bite ouvrit mes lèvres. Je me mis à téter *** gland et à faire tourner ma langue tout autour. Je sentais le goût salé de ses sécrétions, puis il poussa sa tige au fond de ma gorge, tout au fond. Je caressais ses grosses couilles velues, les soupesais. Il retira sa bite de ma bouche en soupirant et je me mis à le branler fermement tout en tétant *** gland. Soudain il me releva, baissa mon bermuda et accroupi, se mis à me lécher entre les fesses, à introduire sa langue dans mon anus, en le mouillant de sa salive. Il se releva , me pris par les hanches. Je m'appuyais contre la cloi***, je sentis *** sexe dur se glisser entre mes fesses profondes... Hans poussait contre mon anus qui commençait à s'ouvrir sous la pression de l'allemand, qui par petits coups progressait. Il me faisait mal mais *** gland pointu et doux facilitait la pénétration. Enfin *** gland passa et Hans s'enfonça profondément. Je gémissais de douleur et de plaisir. Je sentais les va et viens de cet homme qui soufflait fort dans mon cou, dans mon dos. J'avais bien écarté mes cuisses, ses coups de bite se faisaient de plus en plus rapides et profonds. J'étais pris par un homme, je me sentais femme, salope. Je sentis Hans ralentir le rythme, pousser plus fort, je sentis des contractions dans sa bite et enfin des jets chauds m'aspergèrent. Il continua quelques mouvements, il glissait si bien dans *** sperme gluant. Il se retira, s'essuya rapidement....je regagnais notre camping car, le cul trempé de ce sperme poisseux qui coulait le long de mes cuisses. J'étais heureux d'avoir fait jouir cet homme. Des vacances qui s'annoncent bien pensais-je alors que j'apercevais mon épouse au bout du chemin qui menait vers le camping car.
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chrislebo
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Les Aventures de Marie Marie se préparait pour sortir, ce soir elle allait au restaurant avec ses collègues. Benoit, *** mari, une fois de plus était en déplacement, en effet, avec *** travail de consultant en informatique, il réalisait souvent des missions assez longues chez des clients dans toute la France. Marie avait finie par s'accommoder de cette situation, et c'est souvent qu'elle sortait avec ses collègues Florence et Eva. Elles travaillent toutes les trois au service comptabilité d'un groupe français d'agro-alimentaire et ont à peu près le même âge. Florence a 29 ans, est mariée, brune, plutôt grande est élancée, 1m75 pour 58 Kg. Malgré sa grossesse, elle a toujours un corps à faire tomber les hommes et rendre jalouse les autres femmes. Elle s'habille souvent classique mais chic, tailleurs cintrés, pantalons en toile près du corps. *** petit garçon a maintenant 3 ans et ces sorties hebdomadaires lui permettent un peu de s'échapper du train-train quotidien. Eva a 24, elle est encore célibataire, elle est également brune et un peu plus petite que Florence mais avec des formes plus généreuses. Elle se contente pour l'instant de papillonner ici et là. Il lui arrive parfois de raconter ses aventures à ses collègues, ce qui a souvent pour effet de gêner la prude Marie et au contraire d'émoustiller Florence. Marie quant à elle va bientôt avoir 26 ans. Elle mesure 1m 65, est blonde assez mince et avec une jolie petite poitrine. Avec *** mari Benoit, ils n'ont pas encore d'enfants. Marie ne sent pas encore prête pour assumer le rôle de mère, de plus les fréquents déplacements ce Benoit ne l'incitent pas non plus à franchir le pas. Marie finissait donc se préparer pour sa sortie du jeudi soir, on était en plein mois de septembre, il faisait encore assez doux. Elle avait choisi de mettre une petite jupe grise assez légère qui lui arrivait au dessus du genou avec un chemiser blanc et un petit gilet gris. Elle portait également un joli petit string blanc et le soutien gorge assorti. Elle avait longuement hésité entre un collant et une paire de bas, elle avait finalement opté pour les bas car ce soir elle avait envie de se sentir belle et désirable. Une fois au restaurant, elles passèrent, comme d'habitude, la soirée à refaire le monde. Tout le monde y passa, les hommes, le boulot, les collègues, mais une fois de plus, Mr Lambert leur chef de service occupa une place de choix parmi ces discussions. Il devait avoir une quarantaine d'années, petit, un peu enrobé avec un physique banal. Mais c'est surtout *** regard et ses attitudes qui dérangeaient les filles, il était notamment très tactile. Quand il allait voir une de ses collaboratrices, il ne pouvait s'empêcher de la toucher, c'était souvent innocent, comme une main sur l'épaule, mais c'était systématique. Il avait également tendance à reluquer les jambes de ces dames quand celles ci portaient des jupes et souvent *** regard avait une fâcheuse tendance à plonger dans les décolletés. Florence : Dis donc marie, t'es es toute pimpante ce soir, ce n'est pas souvent qu'on te voit en jupe. Marie : Oh merci du compliment, mais c'est sur que ce n'est pas au travail que tu me verras avec une jupe, sauf quand Mr Lambert est en congés ou en déplacement. Et puis ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie de me faire belle... Eva : Ahhhh Monsieur Lambert, quel gros dégueulasse celui là, l'autre jour en faisant le point sur les impayés, il est venu à coté de moi et comme d'habitude, il n'a pas pu s'empêcher de mettre la main sur l'épaule. Marie : Vous comprenez pourquoi je me mets rarement en jupe quand il est là, avec ses mains baladeuses et *** regard vicelard, cela ne me tente pas vraiment... Eva : Moi aussi j'ai bien vu *** petit manège, mais moi, je fais tout le provoquer... Ce gros porc. Florence : Et bien dis donc tu n'as pas froid aux yeux toi... Moi je ne m'y risquerai pas, mais tu fais quoi pour l'allumer ? Eva : Et bien souvent quand je suis en jupe, je mets une paire de bas, et comme je sais que dès que je recule ma chaise d'un mètre il a une vue imparable sur ses jambes, et bien je lui donne la matière à regarder. Marie : Mais tu es folle, il va croire que tu le dragues... Eva : mais ne t'inquiètes pas, je fais ça de manière discrète, je lui fais croire que c'est involontaire, en fait j'ai une technique, je recule ma chaise d'un bon mètre, je me tourne un peu sur la droite et je me penche pour faire sembler de chercher quelque chose dans mon sac qui est à terre. Quand je fais ça, ma jupe a tendance à remonter, il peut alors constater que je porte des bas, ca se trouve il voit même la couleur de ma culotte. Cela ne dure que 5-6 secondes, mais je suis sur qu'il en prend plein les yeux. Florence : Et bien dis donc, je ne vais plus jamais oser prendre quelque chose dans mon sac. Eva : En plus quand je lui fais le coup, il devient tout rouge et peu de temps après il quitte *** bureau pour aller aux toilettes... Je suis sur qu'il va soulager en se faisant une petite branlette... Sur ce commentaire, les trois jeunes filles éclatèrent de rire, la soirée se poursuivit et au moment de quitter le restaurant pour aller prendre un verre dans un pub juste à coté, Florence leur fit faux bond. Florence : Pour le dernier verre, ce sera sans moi les filles, je suis fatiguée et je ne me sens pas très bien. Marie : Bon bah tant pis, et puis moi aussi je suis un peu fatiguée, je crois que je vais rentrer également, tu ne nous en veux pas Eva ? Eva : Non ce n'est pas grave, vous n'avez quand rentrer, comme ça en plus vous ne me ferez pas concurrence ce soir, je vais essayer de me dégotter un mec pour la soirée... Marie : Décidément, tu es incorrigible... Florence : Bon et bien amuses toi bien... Je compte sur toi pour nous dire si la pèche a été bonne Sur ce, Florence et Marie rentrèrent respectivement chez elles, tandis qu'Eva les quittait pour se mettre en "chasse"...
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chrislebo
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Patrice força le serrure de la porte de derrière, avec *** compère Michel, ils avaient observé les habitudes des propriétaires, le mari était en déplacement et la femme était sortie. Ils avaient attendu la nuit pour venir cambrioler cette mai*** et ils savaient qu'ils avaient encore environ une heure pour réaliser leur larcin. Patrice et Michel avançaient silencieusement dans la mai*** vide la lampe torche à la main. Ils fouillaient méthodiquement chaque pièce de la mai***, ils cherchaient principalement de l'argent, des bijoux, des chéquiers,... Patrice était en train de fouiller la chambre de Marie, il regardait dans tous les tiroirs et tomba sur le tiroir ou elle rangeait ses sous vêtements. Il y avait un peu de tout : des slips en coton du genre "petit bateau", des slips, des strings et des boxers beaucoup plus jolis et sexy, il trouva même, "oublié" tout au fond du tiroir un superbe ensemble en dentelle blanche composé d'un string qui était quasiment transparent, du soutien gorge assorti ainsi que d'un très joli porte-jarretelles blanc avec une large ceinture de maintien. Il y avait également sous l'ensemble deux pochettes en plastique qui contenaient chacune une paire de bas, des noirs et des gris. Benoit avait acheté cet ensemble à Marie pour la Saint-Valentin, elle ne l'avait mis qu'une fois le soir même, Benoit avait insisté pour qu'elle passe l'ensemble afin de vérifier si tout allait bien au niveau de la taille. Elle l'avait ensuite ôté et ne l'avait plus jamais remis. Sans le dire à *** mari, elle trouvait que cela faisait un peu "pute". Malgré tout elle se disait en elle même qu'un jour elle le remettrait pour faire plaisir à *** mari, mais elle ne l'avait toujours pas fait. A la vue de ces jolis sous vêtements, Patrice se surprit à avoir un début d'érection, il est vrai que cela le changeait des grosses culottes taille 46 qu'il avait souvent l'occasion de découvrir lors de ses visites nocturnes. Un bruit le sortit de sa douce rêverie, c'était la porte d'entrée qui venait de s'ouvrir... Il éteignit vite sa lampe et se cacha derrière l'armoire. Patrice se dit alors: Putain c'est pas vrai, elle devait pas rentrer avant une heure... Il faut absolument qu'on se tire. Le problème pour Patrice était que pour ressortir par où ils étaient venus, il fallait qu'il passe devant la porte d'entrée, c'est pourquoi il se cacha derrière le coté de l'armoire de la chambre de Marie en attendant de pouvoir tenter une sortie. Patrice : Merde, j'espère qu'elle ne va pas venir ici tout de suite que je puisse me barrer... Et Michel, pourvu qu'il ait eu le temps de se planquer aussi. Patrice entendit un bruit de clés que l'on pose, Marie venait de les laisser comme tous les soirs sur la commode près de la porte d'entrée. Il commençait à devenir très nerveux et scrutait la chambre pour essayer de trouver une meilleure cachette, il tomba alors sur le valet de chambre qui était le long du mur juste à coté de lui. Il se dit alors : Faut pas que je reste ici, si elle rentre dans la chambre, elle va ********* venir poser ses affaires ici.
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chrislebo
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Au moment ou il se disait ça, Marie entra dans la chambre et se dirigea tout droit vers *** valet de chambre, elle tomba alors nez à nez avec Patrice, elle poussa alors un cri strident qui fit trembler les tympans de Patrice. Celui-ci se jeta alors sur elle en lui plaquant sa main sur la bouche pour l'empêcher d'ameuter tout le voisinage. Il la projeta ensuite sur le lit en la retournant. Sans qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, Marie se retrouva allongée sur le ventre, d'une main Patrice lui bloquait les deux bras derrière *** dos et de l'autre il étouffait ses cris. Patrice appela alors Michel à la rescousse : Michel t'es là, putain viens m'aider... Michel fit irruption dans la chambre, quand Marie est rentrée il était en train d'inspecter le salon et s'était dissimulé derrière le canapé quand il l'a entendu rentrer. Patrice : Viens m'aider à l'attacher... Regarde dans les tiroirs, j'ai vu des collants, va en chercher, on va l'attacher avec... Michel alla fouiller dans les tiroirs de l'armoire, il finit par tomber sur celui ou Marie rangeait ses collants, il en prit une poignée qu'il vint poser sur le lit. Michel sortit alors un cran d'arrêt de la poche de *** jean, il fit sortir la lame qu'il mit sous l'œil de Marie en lui disant : Écoute ma belle, on va t'attacher au lit le temps que l'on décide de ce que l'on va faire de toi... Patrice relâcha alors *** étreinte, la retourna dos sur le lit, puis ils lui attachèrent les bras et les pieds aux quatre coins du lit, Patrice apporta une petite touche finale au tableau en lui fourrant une des culottes "petit bateau" dans la bouche pour l'empêcher de crier. Marie était maintenant ligotée sur le lit une petite culotte dans la bouche, ses larmes avaient fait dégouliner *** mascara sur *** visage. Elle était terrorisée, elle se demandait ce qu'ils allaient faire d'elle, elle se mit à imaginer le pire, elle repensa à ses parents, *** mari, ses copines, l'enfant qu'elle n'avait pas encore eue. Pendant ce temps, Patrice et Michel étaient devant la porte de la chambre à coucher en pleine concertation. Marie les observait avec attention essayant de savoir ce qu'ils allaient faire d'elle. Patrice était grand et athlétique. Il devait mesurer environ 1 m 85 et devait avoir la quarantaine. Il avait les cheveux gri***nants, c'était plutôt un bel homme. *** acolyte avait à peu près le même âge, il était plus petit mais avait l'air aussi athlétique. Il avait le cheveu un peu long et gras. Il n'était ni moche ni beau, il avait en fait un physique assez quelconque. Michel : Putain qu'est ce qu'on va faire, si elle nous balance aux flics avec mon casier et ma conditionnelle, je risque de prendre pas mal cette fois... Patrice : Je sais bien, tu crois que c'est diffèrent pour moi, avec mon passif, il ne va pas me louper le juge cette fois. Michel : Qu'est ce qu'on va faire... Patrice regarda Marie, elle se débattait comme un misérable ver sur le lit, en essayant de se défaire de l'étreinte des collants, elle avait fait un peu remonter sa jupe, Patrice distinguait ainsi très nettement la jarretière de ses bas. Il dit à Michel : Je crois que j'ai une idée, mais laisse moi faire, OK ? Michel : OK, mais j'espère qu'elle est bonne... Patrice : T'inquiètes si ça se passe comme je l'espère tu risques de ne pas être déçu. Patrice alla alors s'asseoir sur le lit à coté de Marie, Michel quant à lui, alla s'asseoir sur un fauteuil au coin de la chambre. Patrice : Tu sais ma chérie, on ne te veut pas de mal, bien au contraire et si tu te montres gentille avec nous, on aura aucune rai*** de te faire du mal. Tout en lui disant ça, Patrice avait remonté la jupe de Marie sur *** ventre, et il lui caressait l'intérieur des cuisses, passant sans cesse de ces bas vers la peau de ses jambes. Marie était pétrifiée, elle n'osait plus bouger, elle fermait les yeux, tout ce qu'elle sentait c'était le souffle de Patrice dans *** cou. Patrice se décida à passer à la vitesse supérieure, il passait maintenant *** majeur sur le string de marie, il sentait les formes de sa fente à travers le tissu. Comme elle était attachée en croix sur le lit, il n'avait aucun mal pour accéder à l'intimité de sa victime. Marie ne disait toujours rien, elle se forçait à fermer les yeux et se disait en elle même : Vivement qu'il tire *** coup, comme ça il me laissera tranquille après...
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chrislebo
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Après quelques minutes de ce traitement, Patrice accéléra les choses, il écarta délicatement le string de Marie et commença à la caresser. Il passa ses doigts le long du sexe de Marie, celui-ci était soigneusement épilé, et *** pubis était orné d'un joli petit triangle de poils blonds. Patrice était très doux et délicat dans ses gestes, il voulait faire naître l'excitation dans le bas ventre de sa captive. Marie s'efforçait de penser à autre chose, mais elle commençait à sentir une vague de chaleur qui montait de *** entre-jambe, elle essayait de la combattre, mais elle avait de plus en plus de mal. Patrice sentait que le fente de Marie commençait à d'humidifier, il décida alors d'introduire de *** majeur dans le sexe de Marie, celle-ci poussa un léger soupir, Patrice ne savait pas si c'était un soupir de douleur ou de plaisir. Le doigt de Patrice continua de fouiller délicatement l'intimité de sa victime, le sexe de Marie était maintenant trempé, Patrice inséra alors un deuxième doigt, Marie poussa également un soupir beaucoup plus sourd celui-là, cette fois il en était sur elle commençait à être sérieusement excitée. Celait faisait maintenant 30 minutes que Patrice caressait Marie, *** bassin de Marie ondulait maintenant au rythme des doigts de Patrice, elle avait les souffle court et ses joues commençaient à rougir. Patrice ôta alors le "bâillon" de la bouche de Marie, *** souffle était court, Patrice lui dit : Alors, ça te plaît ce que je suis en train de te faire ? Marie ne put répondre que par un petit "Mmm.." Patrice fut déçu de la réponse de marie, vu les longues minutes qu'il avait passé à la caresser, il s'attendait à une réponse plus expressive. Il lui dit alors : Madame est exigeante à ce que je vois, ce n'est pas grave, je vais te sortir le grand jeu. Patrice descendit *** visage jusqu'au sexe de Marie, celle-ci se dit : "Mon dieu, il va finir par me faire jouir, je ne vais plus tenir très longtemps.." Il commença à passer sa langue sur la fente de Marie, tout en continuant à la fouiller avec ses deux doigts. Marie mouillait maintenant abondamment, *** bassin ondulait frénétiquement, Patrice avait même du mal à maintenir sa langue sur *** sexe. Elle devenait maintenant plus expressive :"Mmmmmm... Ahhhhhhhh." Patrice : Alors tu préfères comme ça ?? Marie : Mmm.. Ouii.. Patrice rajoutait d'une voix beaucoup, plus autoritaire : J'ai pas bien entendu, tu aimes ça te faire lécher la chatte.. Les paroles crues de patrice ne firent qu'exciter encore un peu plus Marie qui finit par lâcher : Ohh... Ouiiiiiii... Ahhh... Putain... Celui retourna alors à *** ouvrage, cette fois avec un troisième doigt il commença à titiller l'anus de Marie, il décrivait des cercles avec *** doigt tout autour de *** petit trou. Marie n'en pouvait plus : Ouuhhhhhhhh... Ahhhhh.. .Mmmmmm... Ouiiiiiiiiiii, vas-y continue... Patrice : Alors tu aimes ça ?? Marie : Ohhh... OUI... J'aime ça... Patrice continuait à explorer chaque pli de l'intimité de Marie avec sa langue, il avait même maintenant inséré un doigt dans l'anus de Marie. Marie était folle, *** bassin était devenu incontrôlable, elle gémissait de plus en plus : Ouuuuuuuuhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Continue... Patrice avait de plus en plus en mal à continuer *** travail de sape... Il décida alors de passer aux choses sérieuses. Il s'adressa à Michel qui regardait avidement la scène tout en en se caressant par dessus *** pantalon : Viens la détacher, on va passer aux choses sérieuses. Michel se leva et avec *** cran d'arrêt déchira les collants qui maintenaient Marie attachée aux barreaux du lit. Une fois sa tache accomplie Michel retourna s'asseoir dans le fauteuil. Patrice ordonna alors à Marie: Mets toi à quatre pattes sur le lit. Marie obéit sans dire un mot, elle se mit à quatre pattes et entendit un bruit de ceinture et un bruit de fermeture éclair. Marie sentit alors un gland qui allait et venait tout le long de *** intimité, elle soupirait de plaisir : Ahhh vas y... Prends moi... Patrice s'enfonça alors d'un coup sec qui fit lâcher un long gémissement à Marie, puis il commença la pénétrer régulièrement... Marie gémissait maintenant de plus en plus fort : Ohhhhhh oui... Continue... T'arrêtes pas... Encore... Mmmmmmmmm... Marie n'avait pas vu le sexe de *** "bourreau" mais vu les sensations qu'elle éprouvait, il n'y avait aucun doute qu'il était plus long que celui de *** mari, pas ********* plus gros mais au moins plusieurs centimètres de plus... Devant cette scène, Michel commençait lui aussi à être très excité, il défit les boutons de *** pantalon et en sortit un sexe impressionnant, il était moins long que celui de *** collègue mais il était très épais, parcouru par de grosses veines qui accentuaient encore en peu plus l'aspect gigantesque de la bête. Il commençait maintenant à se masturber doucement sous le regard de Marie. Cette dernière haletait sous les coups de boutoir de *** partenaire, même si intérieurement elle essayait toujours de lutter, *** corps avait pris le dessus sur sa volonté et elle ne pouvait s'empêcher de cacher le plaisir qu'elle éprouvait. Patrice s'adressa à Michel : Ne reste pas planter là, viens donc sur le lit, madame va s'occuper de toi... Puis il lança à Marie : Tu vas sucer mon pote, et t'as intérêt de t'appliquer...
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chrislebo
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Michel vint alors s'allonger sur le lit, il descendit un peu *** boxer et *** pantalon afin que Marie puisse s'occuper correctement de lui. Patrice poussa alors un peu Marie pour la rapprocher du sexe de *** complice, elle s'accouda sur le lit avec *** bras gauche, puis de sa main droite elle commença à masturber doucement le sexe de Michel. Elle était fascinée par se sexe dressé devant elle, il ne sentait pas très bon, un mélange d'urine et de transpiration, mais il était d'une telle taille.. Et ces veines... Elle n'en avait jamais vu d'aussi imposant avant. Patrice mit un terme à la contemplation de Marie : Arrête un peu de l'astiquer... Je crois que je t'ai dit de le sucer... Marie fit encore quelques aller-retours avec sa main sur la verge de Michel, puis elle se pencha pour donner un petit coup de langue sur le gland, le goût était un peu moins pire que ce à quoi elle s'attendait. Rassurée par ce premier contact elle se mit alors à lécher le gland tout comme elle l'aurait fait avec une glace. Il faut dire que Marie n'avait presque aucune expérience en matière de fellation, *** mari n'y avait que très rarement droit, et les rares fois ou *** sexe pouvait profiter de la langue de Marie, c'était par l'intermédiaire d'un préservatif. Mais Marie apprenait vite, entraînée par l'excitation, elle faisait maintenant tournoyer sa langue tout autour du gland de Michel tout en lui caressant la tige, elle alternait les caresses, tantôt elle léchait, tantôt elle aspirait, tantôt elle suçait. Devant les progrès de *** élève Michel lui lança : Lèche moi un peu les couilles ma belle... Marie hésita quelques secondes, puis inconsciemment, comme ***********, elle commença à faire descendre sa langue le long de la tige de Michel. Elle donna un premier coup de langue, elle retrouva l'odeur et le goût désagréable du début, mais elle finit par s'y accommoder une nouvelle fois. Elle lapait maintenant avidement les testicules de Michel tout en la masturbant. Elle en prit même une dans sa bouche, qu'elle se mit à faire tanguer avec sa langue. Michel poussait de longs râles de plaisir, d'ailleurs il semblait très satisfait des caresses buccales que lui procurait Marie : Ahhhh... putain. c'est trop bon, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas sucé comme ça... Une vraie pro la petite. Patrice lui répondit en rigolant : Parce que tu t'es déjà fait sucer toi... Michel rigola un peu jaune à cette remarque : Ah t'es malin toi... Puis comme pour contrarier Michel, Patrice se mit à pilonner Marie de plus en plus en fort, ses cris étaient maintenant beaucoup plus significatifs : Ahhh. Ouiiiiii... Vas-y... Plus fort...Encore... Patrice y allait tellement fort que marie avait été obligée de délaisser le sexe de Michel, celui s'en plaint aussitôt : Ehhh va moins vite, elle arrive même plus à me sucer tellement tu la secoues... Patrice : T'inquiètes... C'était pour rire... Patrice arrêta alors de baiser Marie, Michel lui remit aussitôt *** sexe dans a bouche qu'elle recommença à sucer avec application. Marie était étonnée qu'il la laisse comme ça, elle se dit qu'il allait peut-être vouloir se faire sucer lui aussi, mais hélas, elle sut rapidement ou il voulait en venir quand elle sentit le sexe de patrice appuyer sur *** anus. Marie : Non pas par là, j ne l'ai jamais fait..., supplia t'elle à Patrice.... Patrice : T'inquiètes pas ma belle, toutes celles qui y ont eu droit en ont redemandé après... Marie : Ahhh noon,.. Patrice enfonçait tout doucement *** gland dans les entrailles de Marie, il y allait sans ******, millimètre par millimètre. Il ne voulait pas lui faire mal, il voulait au contraire qu'elle y prenne un réel plaisir afin de finir de la briser psychologiquement. Marie continuait de crier de douleur : Nooon, s'il vous plaît... Le gland de Patrice avait fini par rentrer complètement, il s'arrêta pour laisser Marie s'habituer à cette nouvelle sensation. Il passa ensuite sa main sous le ventre de Marie, lui planta deux doigts dans le vagin et se mit à la caresser doucement. Au bout de quelques minutes, Marie se remit à onduler du bassin, tout d'abord de manière latérale, Patrice sentait ici la rosette de Marie se décontracter. Puis quelques minutes plus tard, elle se mit à onduler d'avant en arrière, s'empalant elle même sur se sexe qui était planté dans *** cul, dans un premier temps Patrice la laissa faire, puis il se mit également à faire avancer *** bassin. *** sexe rentrait progressivement mais sûrement dans le cul de Marie, cette dernière avait maintenant l'air d'apprécier ce traitement : Ohh oui... Doucement... Vas-y... Mmmmmmm. Voyant que Marie s'était quelque peu assagie, Michel lui recolla *** sexe dans la bouche, celle ci se mit alors à sucer Michel avec une frénésie intense, ses gestes étaient maintenant beaucoup plus francs. Patrice remarqua l'ardeur avec laquelle elle gobait maintenant le bite de *** copain, il donna lui aussi beaucoup plus d'ampleurs à ses mouvements. Marie gémissait de plus en plus fort, mais cette fois elle arrivait à poursuivre sa fellation. On entendait plus dans la chambre que les bruits de sussions obscènes que faisait Marie, les claquement de fesses contre Patrice et les soupirs de Michel. Au bout d'un moment Patrice se crispa et cria : Ahh putain... La salope. Puis en 2-3 aller-retours il se vida complètement dans les entrailles de Marie. Il resta encore quelques secondes enfoncé en elle, il finit par se retirer et s'adressa à *** compère : Tu peux venir, si tu veux, la place est chaude. Celle-ci fut submergée par une sensation étrange, elle sentait ce liquide chaud dans ses entrailles, elle avait l'impression d'être "ailleurs". Michel fit le tour du lit et vint se placer à *** tour derrière Marie, celle ci, vaincue ne dit rien et posa même sa tête sur le lit pour se cambrer encore plus. Michel lui dit : Tu m'as tellement bien sucé que je crois que je vais pas pouvoir te baiser longtemps, alors comme j'ai envie de profiter de ton petit trou de balle je vais t'enculer tout de suite... Marie : Non pitié, pas ça... Vous êtes trop gros vous allez me déchi... Ouuuuuuuuhhhhhhhhhh... Marie n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que Michel lui avait déjà planté *** dard dans l'anus. Il n'avait pas eu trop de difficultés à s'enfoncer, *** compère lui avait préparé le chemin... Marie mit de nouveau quelques minutes à s'habituer à ce calibre moins long mais beaucoup plus gros que celui de Patrice. Sa rondelle se détendit et Michel put commença à la pistonner. Michel était beaucoup plus loquace que *** collègue : Alors elle te plait ma bite... Marie : Ahh... Ouiii. Michel : c'est quoi qui te plaît, salope ??? Marie : Ahhhhhhh.. Ta... Michel : Ma quoi ????? Marie : Ahhh... Ta bite. Michel : tu t'es jamais prise une bite comme ça dans le cul, t'aimes ça petite pute... Marie : Ahhh ouiiiiiiii, J'aime ça... Ahhhhhhhhh. Michel : C'est autre chose quel celle de ton mari, hein... Tu préfères la mienne. Marie : Ohhh oui... J'aime mieux... La tienne... Ahhhhhhhh. Michel : Et pourquoi tu préfères la mienne ??? Marie : Ahhhhh... Parce qu'elle est... Ahhhhh... Plus grosse... Pendant ce temps là Patrice s'était rhabillé, il s'était placé de trois quarts derrière Michel et marie et était en train de faire des photos avec *** iphone. La scène était sans équivoque, on y voyait Marie à quatre pattes le cul en l'ait sur le lit, elle portait toujours ses jolis bas couleur chair, *** string que Patrice lui avait seulement écartée et sa jupe qui était repliée sur *** dos. Patrice admirait la dizaine de clichés qu'il venait de prendre, on y voyait Marie en train de faire copieusement sodomiser par Michel. En regardant les photos, il se dit qu'il manquait quelque chose... Le ***. Il prit alors une petite vidéo avec *** téléphone, on y entendait sans équivoque les cris de plaisir de Marie ainsi que les paroles très crues qu'elle échangeait avec Michel. Pendant ce temps là, Michel pistonnait Marie sans relâche : Ahhh putain, il est trop bon ton petit cul... Marie : Ahhh... Ouiiiiii... Bourre mooooooi... Salaud. Michel : Alors t'aimes ça la bite dans le cul... Marie : Ahhhhhh... J'aime çaaaaaa... Michel : T'aimes quoi salope ??? Marie : Ohhhhh me faire... Ahhhhhhhh... Baiser le cul...
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chrislebo
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Michel sentait qu'il allait exploser, il sortit du cul de Marie, la releva, la retourna et lui éjacula sur le visage. Il n'eut pas le temps de viser et le premier jet atterrit du front jusqu'au nez de Marie, il réussit à envoyer les suivants vers sa bouche. Michel : Tiens prends ça... Ahhhhhhhhh. Surprise, Marie n'eut pas le temps de fermer la bouche tout de suite, une giclée lui atterrit tout droit sur sa langue, les autres s'écrasèrent sur ses lèvres. Elle recracha aussitôt le sperme qui dégoulina sur *** chemisier. Marie était méconnaissable, *** maquillage avait coulé le long de ces joues, elle était en sueur et *** visage était maculé de sperme. Michel, quant à lui prit un morceau d'un collant qui était sur le lit et s'essuya le sexe avec, il se rhabilla. Patrice prit alors la parole : Écoute ma belle, quand tu iras voir les flics pour déclarer le cambriolage, tu as plutôt intérêt à leur dire que quand tu es rentrée, tu n'as vu per***ne, sinon je sens que ton mari et les per***nes de ton boulot pourront profiter des photos et vidéo que j'ai dans mon téléphone. Marie : Non je vous en prie... Pas ça... Patrice : Si tu te tiens à carreau, il n'y aura pas de soucis... compris ??? Marie : Oui... Patrice et Michel partirent discrètement par ou ils étaient venus, laissant la pauvre Marie, à la fois enivrée par les sensations qu'ils avaient fait naitre en elle, mais également tellement honteuse de s'être laissée aller de la sorte. De leur coté Patrice et Michel s'éloignaient bien contents de leur soirée. Michel : Bon bah on est rentré les mains vides, mais au moins on a pas que nos mains qui ***t vides... Patrice : Tu l'as dit, et heureusement que j'étais là pour te sauver la mise, si t'avais été seul, tu te serais encore foutu dans de beaux draps Michel : En tout cas, moi je repasserai bien la voir la petite un de ces jours... Patrice : T'emballe pas, on verra.
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chrislebo
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Cela faisait maintenant trois semaines que Marie avait reçu la visite des cambrioleurs. Elle repensait tous les jours à ce qui s'était passé ce soir là. Elle avait obéi aux ordres de Patrice, elle n'avait pas été au travail le lendemain matin pour aller déposer une plainte à la gendarmerie. Elle leur déclara que quand elle était rentrée, tout était en sans dessus-dessous, mais qu'il ne manquait rien. Un des gendarmes lui dit : Ça fait plusieurs mois que des cambrioleurs écument la ville, ils repartent généralement rarement les mains vides. Je pense que vous avez du les déranger, heureusement que vous n'êtes pas tombée sur eux. Oui... Heureusement, ajouta Marie pensive. *** mari avait été très choqué également, il avait annulé *** déplacement prévu toute la semaine suivante pour rester à l'agence et être ainsi présent tous les soirs. Marie en voulait beaucoup à *** mari, d'abord parce que comme d'habitude il avait été absent ce soir là, s'il avait été ici avec elle cela ne serait jamais arrivé. Elle lui en voulait ensuite de ne lui avoir jamais fait ressentir toutes les sensations que lui ont procurées ses deux tortionnaires. Elle gardait toute cette rancœur en elle, faisant semblant d'apprécier les rares gestes d'attentions dont Benoit faisait preuve à *** égard. Elle lui faisait payer en refusant tout rapport sexuel avec lui, prétextant toujours quelque chose pour y échapper. Benoit n'était pas dupe, il se rendait bien compte que quelque chose n'allait pas, mais il mettait ça sur le compte du traumatisme qu'elle avait subi. Marie n'en avait pas parlé non plus à ses collègues, elle leur raconta la même chose qu'aux gendarmes. Eva et Florence sentaient bien que quelque chose n'allait pas chez Marie, elles étaient incapables de dire de quoi il s'agissait, mais elles étaient persuadées qu'il y avait autre chose. Elles préféraient malgré tout de ne pas trop la questionner, tout cela était encore récent.
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chrislebo
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Michel attendait Patrice dans le bistrot où ils avaient l'habitude de se retrouver, il remuait nerveusement sa petite cuillère dans la tasse de café noir que venait de lui déposer le serveur. Michel : Qu'est ce qu'il fait, c'est pas normal... Michel attendit fébrilement pendant encore 10 bonnes minutes. Patrice finit par arriver, il s'assit et commanda un café au serveur. Patrice : Bon, c'est fait !! michel : Combien ??? Patrice : 3 000 euros... Michel : génial, t'es un champion... Patrice : ... Chacun... Michel : Chacun !!!! Alors la, tu me troues le cul, si t'étais pas aussi susceptible, je t'embrasserais, dit-il en rigolant. Patrice : Ouais, voila une bonne chose de réglée, ça fait du bien de finir par refourguer tout ce qu'on avait sur les bras... Michel : C'est clair, on a de quoi voir venir pendant quelques semaines, on va pouvoir prendre des vacances, ah c'est le pied... Patrice : En parlant de pied... Je retournerai bien faire une petite visite à la petite de l'autre soir... Tu te rappelles ??? Michel : Ah sur que je m'en souviens, *** petit cul aussi doit s'en souvenir aussi, ajouta t'il en rigolant. Michel : Mais c'est pas un peu risqué ton plan... ??? Patrice : fais moi confiance, elle n'a pas du nous balancer aux flics, vu qu'on est fiché, on se serait déjà fait pincer... Et puis elle doit avoir trop peur que certaines photos ne fassent surface. Michel : Arrête j'en bande déjà... Patrice : Faudra juste s'assurer que elle est seule et puis ca devrait être bon...
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chrislebo
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Le mardi d'après, Marie venait de rentrer du travail, Benoit avait repris ses habitudes et était de nouveau en déplacement. Cela faisait un quart d'heure qu'elle venait de rentrer du boulot, elle avait pris une revue et s'était assise sur le canapé en train de la feuilleter. Elle entendit frapper à la porte, elle se demanda qui cela pouvait bien être, elle n'attendait per***ne... Elle ouvrit la porte, aussitôt deux hommes pénétrèrent à l'intérieur, elle reconnut immédiatement ses deux cambrioleurs. Patrice lui plaqua de nouveau sa main sur sa bouche, puis mit *** doigt devant la sienne pour lui faire signe de se taire. Patrice : Écoute ma belle, on ne vient pas pour te faire du mal, on sait que tu nous as pas balancé aux flics, alors en signe de reconnaissance, on vient te redonner les petites photos que l'on a prises la dernière fois. C'est compris ? Marie hocha la tête pour lui faire comprendre qu'elle n'allait rien tenter. Patrice ôta doucement la main de sa bouche. Marie : C'est vrai... Vous n'allez rien me faire... Et vous allez me donner les photos ??? Patrice : Mais oui je te dis, tu sais on est pas des mauvais bougres, tu nous as juste surpris la dernière fois, il a fallu qu'on improvise... Hein Michel... Michel : Oui c'est vrai, on est pas méchants, ajouta-t'il en rigolant. Patrice : Mais oui t'inquiètes pas ma chérie... Mais tu ne vas pas laisser tes invités comme ça sur le seuil de la porte.. Tu vas peut-être nous offrir à boire. Michel : Bah oui c'est vrai, il est moins le quart, c'est l'heure du ricard, gloussa-t'il. Marie était embarrassée, elle avait envie de leur faire confiance afin de pouvoir récupérer les preuves de sa soirée de débauche, mais elle n'était pas tranquille, elle sentait l'entourloupe. Elle les fit quand-même rentrer dans le salon, ils s'assirent sur le canapé. Patrice : Pour moi ce sera un Whisky... Tu dois bien avoir ça... Michel : La même chose pour moi... Marie revint dans la salon, elle tenait une bouteille de Whisky ainsi que deux verres, elle posa tout ça sur la petite table devant le canapé. Elle allait s'asseoir à *** tour quand Patrice lui dit, Mais il manque un verre, tu ne vas quand même pas laisser tes invités trinquer tous seuls. Marie : Mais je ne bois presque jamais. Patrice ajouta d'une voix cordiale mais ferme : Mais si, allons ne te fais pas prier. Marie retourna dans la cuisine chercher un troisième verre, à *** retour Patrice lui dit: Viens donc te mettre en Michel et moi, je vais m'occuper du service. Il servit 3 verres de Whisky, et des bonnes doses. Ils trinquèrent tous les trois, Patrice fit la conversation pendant que tout le monde sirotait *** verre, il veillait également que Marie boive le sien en le lui rappelant régulièrement. Marie commençait déjà les premiers effets de l'alcool, elle avait un peu chaud. Patrice : Bon un dernier petit verre et puis on va y aller... Hein Michel. Michel : Oui oui, on a des trucs à faire... Patrice servit alors une autre tournée, chacun but *** verre, Marie un peu désinhibée par le premier but le second sans que Patrice ne l'y incite... Patrice dit alors: Bon Michel, tu dis au revoir à la demoiselle, on va y aller... Marie trouva la ***** de bredouiller : Mais... Euhhh... Les photos... Vous aviez dit que... Patrice : Ah oui... Quel étourdi je suis... Patrice se rassit sur le canapé, Marie était toujours coincée entre les deux bougres... Il sortit *** téléphone et commença à faire voir les photos à Marie : Ah c'est quand même dommage de supprimer toutes ces photos, elles ***t magnifiques... Tout en disant cela, il faisait défiler les photos, Marie devint subitement toute rouge, elle regardait attentivement les photos. Elle se contemplait, elle était le cul à l'air sur le lit, avec ses bas couleur chair et sa jupe retroussée sur le dos. Elle voyait très nettement sur les clichés le sexe de Michel qui lui écartait les fesses. Marie sentait que la situation était en train de lui filer complètement entre les doigts, à la vue de ces clichés elle sentait l'excitation monter en elle. Elle se dit en elle même : Quels salauds... Je suis vraiment trop conne... Pendant que Patrice montrait les photos, Michel y allait de *** petit commentaire : C'est dommage que tu ne l'aies pas prise pendant qu'elle me suçait, elle le fait tellement bien, hein ma belle... Marie ne répondit pas à cette remarque. Patrice ajouta : C'est pas grave, regarde, j'ai encore mieux... Il navigua dans le menu de *** portable, puis il lança une vidéo, Marie resta bouche-bée, elle se regardait en train de se faire copieusement pistonner l'anus pas Michel, de plus les paroles qu'elle échangeait avec Michel étaient très crues et sans équivoque, elle prenait *** pied. Sa fente s'humidifia instantanément, c'est à ce moment que Michel en profita pour la mettre une main sur sa cuisse. Comme elle ne dit rien, il commença à caresser sa jambe par dessus *** jean. Petit à petit il remontait vers l'intérieur de sa cuisse, Marie ne disait toujours rien, mais *** souffle devenait plus intense. Michel posa sa main sur le sexe de Marie et commença à la caresser doucement par dessus *** pantalon, à sa grande surprise elle recula un peu et écarta les jambes pour lui faciliter la tache. Patrice arrêta alors la vidéo, posa *** téléphone sur la table, il pencha Marie en arrière sur la canapé et l'embrassa à pleine bouche, elle hésita un moment et puis lança sa langue à la rencontre de celle de Patrice. En même temps qu'il l'embrassait il lui caressait doucement les seins, il prit ensuite la main de Marie et la posa sur *** sexe déjà bien dur. Voyant cela, Michel fit de même avec l'autre main de Marie, qui très vite se mit à caresser les deux sexes par dessus le tissu de leurs jeans. Michel commença à défaire les boutons du pantalon de Marie, une fois fini, il plongea sa main sous la culotte de Marie et lui mit un premier doigt dans *** vagin. Marie était complètement trempée : Chose que Michel ne put s'empêcher de signaler à *** complice : Dis donc, elle est déjà toute mouillée. Patrice ne répondit pas, il continuait d'embrasser Marie goulument. Pour une fois ce fut Michel qui prit les choses en main, il enleva le pantalon et la culotte de Marie, il la tira vers le bord du canapé puis il commença à lui lécher sa petite fente tout en y enfonçant deux doigts. Michel : Mmmmm elle est bonne ta petite chatte, je n'y avais pas gouté la dernière fois... Marie gémissait tout en restant soudée aux lèvres de Patrice : Mmmmfffffff... Mmmmmfffff... Patrice sortit *** sexe de *** pantalon, mit un terme au baiser et dit assez tendrement à Marie : Allez suce moi maintenant ma chérie... Patrice s'assit à une extrémité du canapé, Marie s'allongea sur le coté à commença à le prendre en bouche, Patrice ne tarda pas à pousser les premiers soupirs de plaisir. Dans cette position Marie avait les jambes écartées à 90° et Michel pouvait tranquillement continuer à lui lécher sa délicieuse petite chatte. Patrice était aux anges, il repensait au tout début quand il fouillait la chambre de Marie et la situation dans laquelle ils se trouvaient maintenant tous les trois. Cela lui rappela également le joli ensemble blanc qu'il avait découvert dans l'armoire de Marie. Il lui dit alors : Dis donc ma chérie tu ne veux pas aller te faire belle pour nous ce soir. Marie interrompit sa fellation : Belle... Mais... Je ne comprends pas... Patrice : Tu sais la dernière fois, je suis tombé un joli ensemble blanc avec un porte jarretelles et des bas noirs, si tu allais le chercher et venait le passer devant nous... Marie : Mais... Je ne comprends pas... Je... Patrice l'interrompit : Allez file chercher tout ça, presse toi... Marie partit dans la chambre et revint quelques instants après avec le fameux ensemble. Elle se déshabilla alors complètement.
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chrislebo
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Patrice et Michel étaient prêts pour le spectacle, ils étaient tous les deux assis sur le canapé et se masturbaient doucement. Cette situation finit par exciter Marie, elle savait que si elle mettait cette tenue elle allait être désirable comme jamais elle ne l'avait été. Elle commença par prendre le string qu'elle enfila délicatement, il était blanc et le tissu était complètement transparent, on pouvait voir très nettement chaque détail de *** intimité. Patrice ébloui par le spectacle, saisit *** téléphone et commença à la prendre en photo pendant qu'elle était en train de se vêtir. Marie s'en aperçut et ne dit rien, Patrice eut même l'impression qu'elle faisait maintenant durer le plaisir en faisant des gestes lents et soigneux. Elle mit ensuite le soutien gorge. Puis elle passa le porte-jarretelles, celui ci était également blanc et avait une ceinture très large, elle était magnifique. Elle s'assit ensuite sur le fauteuil qui faisait face au canapé, elle prit la pochette qui contenait les bas et les sortit de leur emballage. Elle prit le premier bas qu'elle enfila délicatement. Patrice et Michel étaient subjugués par ce bas qui escaladait doucement la jambe de Marie. Une fois le bas enfilé, elle le fixa soigneusement au porte jarretelles, se leva et parcouru tle long de sa jambe avec la paume de ses mains pour bien étirer le doux textile sur sa peau. Elle prit le second bas et recommença lentement la même opération, Patrice et Michel étaient remplis de désir, ils avaient rarement vus une femme aussi sensuelle et désirable. Marie ressemblait à un ange tout droit descendu du ciel. *** corps était parfaitement mis en valeur par la lingerie qu'elle arborait maintenant fièrement. Ses jambes déjà magnifiques étaient maintenant tout simplement splendides, le nylon des bas les sublimait. Une fois Marie habillée, Patrice l'invita à les rejoindre sur le canapé, elle se rassit entre les deux hommes et empoigna leurs sexes qu'elle commença à caresser délicatement. Patrice se remit à l'embrasser, quant à Michel, il avait sorti un sein de *** étui de dentelle et commença à le sucer. Puis Patrice interrompit de nouveau *** baiser et passa sa main derrière la nuque de Marie, cette fois il n'eut pas à lui demander ce qu'il attendait d'elle. Ils reprirent leur position de tout à l'heure. Marie suçait la queue de Patrice avec fougue et passion, pendant ce temps là, Michel lui léchait la fente par dessus *** le tissu de *** string. Celui ci lui collait littéralement à la peau. Tout en la fouillant avec sa langue Michel lui caressait ses jambes délicieusement gainées de ses bas noirs. Il était comme un fou, vêtue de la sorte, Marie l'excitait comme jamais il ne l'avait été, il ne pouvait plus, cette femme si belle, si sexy , il avait une envie furieuse de la baiser et de la faire hurler de plaisir. Il s'adressa à Marie : Mets toi à quatre pattes, ma belle, je vais te prendre pendant que tu continues de sucer Patrice. Marie fit encore quelques aller-retour sur le sexe tendu de Patrice, puis elle s'installa de biais sur le canapé comme le lui avait demandé Michel. Marie était prête, elle branlait vigoureusement Patrice en attendant que Michel s'enfonce en elle. Michel : Mmmm je vais commencer par ta belle petite chatte aujourd'hui. Il écarta le string de Marie sur ses fesses, il frotta quelques instants *** gland contre *** sexe trempé, puis il poussa doucement pour s'introduire en elle. Marie poussa un long soupir de plaisir : Mmmmmmmm... Oui... Elle était remplie de plaisir par cet énorme sexe, jamais *** intimité n'avait été envahie par une chose si monstrueuse. Michel la pistonnait maintenant à une cadence soutenue mais régulière. Marie exprimait *** bonheur : Mmmmmm... Oui... Ahh... C'est bon. Désormais habituée au rythme qu'imprimait Michel elle reprit le délicieux phallus de Patrice, elle lui lechait avidement le gland, la hampe, même les couilles. Elle ne se reconnaissait plus, ils avaient éveillé en elle une soif intense et inépuisable de sexe. Michel toujours aussi bavard lui dit : Alors... Elle lui plait ma bite à ta petite chatte. Marie : Mmm oui... Elle est bonne... Michel lui introduit alors un doigt dans l'anus, qu'il fit coulisser doucement. Marie : Ahh... Plus les secondes défilaient plus Marie avait l'air d'apprécier : Ahhhh... Ouiiiii... Ouhhhhh. Michel : Ca te dirait que j'y mette autre chose que mon doigt ?? Marie : Mmmm... Oui vas y... Michel : Mais tu veux quoi dans ton petit cul ?? Marie : Hannnnn... J'ai envie de... Hannn... Ta grosse bite... Michel se retira et commença à ****** l'œillet de Marie avec *** gland, Patrice le coupa dans *** élan : Attends, pas comme ça... Il vint s'asseoir sur le canapé, rapprocha ses fesses du bord, et il dit à marie : Viens sur moi ma chérie... Marie devina aussitôt où il voulait en venir, il voulait qu'elle soit prise par eux deux en même temps, Marie hésita, elle savait qu'elle pouvait plus reculer, mais cela lui paraissait si effrayant. Marie : vous êtes surs, je n'ai jamais... C'est si... Patrice : Sois sans crainte, on va faire très attention... hein Michel... Surtout toi, avec ce que tu as entre les jambes, ajouta-t'il en rigolant. Mise en confiance par ces paroles, Marie vint alors s'empaler sur le sexe de Patrice, elle se pencha sur lui pour l'embrasser à pleine bouche, Patrice fit faire quelques allers-retour à *** sexe pour qu'elle s'habitue à ce pénis, certes moins gros mais plus long que celui de Michel. Elle plongea sa tête contre *** épaule et gémissait doucement de plaisir : Ahhhhhh... Mmmmmmmm... Hannnnnn. Patrice s'immobilisa alors, c'était le moment ou Michel devait entrer en scène, il se baissa et appuya *** gland contre la rosette de Marie, celui ci s'enfonçait tout doucement dans les entrailles de Marie. Marie : Ouhhhh... Doucement s'il te plait... Oui comme ça... Vas y... Elle guidait Michel dans *** exploration, une fois qu'il avait enfoncé la moitié de *** sexe, il commença à se retirer doucement, il laissa juste *** gland, puis il se remit à pousser mais un plus loin cette fois. Marie : Oui...Comme ça.. .Ahhhh... Tu me fais du bien... Patrice répéta cette opération plusieurs fois, il rentrait millimètre par millimètre, pendant ce temps Patrice restait immobile dans le vagin de Marie tout en sentant le sexe de Michel coulisser contre le sien. Michel avait maintenant réussi à faire rentrer presque toute la longueur de *** pénis, il pistonnait maintenant Marie ave la régularité d'un métronome. Patrice se lança à *** tour, il leur fallut quelques secondes pour s'accorder sur le rythme. Marie hurlait *** bonheur : OOOOhhhh Ouiiiiii... Ahhhhh je vous sens bien... Marie : Ahhh plus fort... Hannnn... Hannnnnn... Hannnnn. Elle était incontrôlable, elle vibrait littéralement sous l'impulsion des deux sexes qu'elle avait en elle. Le trio s'agitait frénétiquement sur le canapé qui tremblait de toutes parts. Michel aperçut le téléphone de Patrice qui était resté sur le canapé, il se dit : Il faut que j'immortalise cette scène... Il saisit le téléphone, le tint en l'air à bout de bras et prit quelques photos, on y reconnaissait distinctement Marie, sexy en diable coincée entre ses deux amants. Sans montrer les détails, les photos laissaient facilement deviner ce qu'ils faisaient. Délicieusement enserré par le rectum de Marie, Michel fut le premier à venir, en trois va-et-vient, il lâcha sa semence au plus profond de ses entrailles de Marie : Ahh... Pfffff... Ahhhhh. Il fit encore quelques allers retours se leva et alla s'asseoir sur le fauteuil en face. Maintenant qu'il avait plus de liberté au niveau de la cadence, Patrice se mit à donner de grands coups de bassin. Marie apprécia ce changement de rythme et le lui fit savoir : Arrrrhhhhhhhh... Putain... Vas y... Baise moi bien... Patrice allait bientôt venir à *** tour, il fit lever Marie et lui demanda de vite s'allonger sur le dos, puis il se mit à se branler énergiquement au dessus des cuisses nylonées de Marie, il finit par lâcher, plusieurs jets de sperme qui atterrirent en haut des bas de Marie. Celle-ci caressa alors ses jambes avec la douce liqueur que lui avait servi *** amant, une fois tout étalée, elle releva *** buste à la verticale, saisit le sexe encore un peu dure de Patrice, en arracha les derniers gouttes qu'il fit tomber sur *** mollet, elle essuya ensuite délicatement le gland de Patrice le long de sa jambe. Puis repue elle plongea la tête en arrière pour se rallonger sur le canapé. Ils restèrent tous les trois plusieurs minutes à récupérer. Patrice contemplait Marie, il lui dit tu es vraiment magnifique, pourquoi tu te caches sous tes pantalons, tu devrais faire profiter de tes charmes à tout le monde tu es un régal pour les yeux. Marie ne savait pas quoi répondre : Ah bon... Mais... Enfin... Patrice : D'ailleurs à partir de maintenant je ne veux plus te voir qu'en jupe, que ce soit le week-end, à la mai***, au travail... Et puis sexy sous la jupe, fini les collants et les slips en coton. Que des beaux sous vêtements et des bas qui tiennent tout seul. Par contre, tu gardes le porte jarretelles pour les grandes occasions comme ce soir. Marie ne savait pas quoi répondre, un stupide : "Bon bah d'accord" sortit de sa bouche Patrice : Mais attention... On viendra vérifier de temps en temps... Marie : Vous... Tu veux dire que vous allez revenir. Patrice : Pourquoi, tu es déçue de notre visite de ce soir. Marie : Si... Euh enfin non, enfin c'est pas ça, c'est que mon mari est là des fois, c'est rare mais ça lui arrive. Patrice : Dans ces cas là, tu me donnes ton numéro de portable et je t'enverrai un SMS la veille de notre passage. Marie : Euhh... D'accord si tu veux.
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chrislebo
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Elle se leva, et griffonna *** numéro sur un bout de papier qu'elle donna à Patrice. Celui ci prit le papier et prit la direction de la porte : Allez Michel, on y va nous... Marie les suivit se rendit compte qu'elle n'avait pas remis *** string comme il faut, ce qu'elle fit discrètement. Il lui restait tout de même quelques restes de sa pudeur passée. Avant de franchir la porte, Patrice se retourna vers Marie et lui déposa un baiser sur la bouche : A bientôt ma chérie, lui dit-il en sortant. Michel emporté par *** enthousiasme tendit également sa bouche vers elle. Cela fit sourire Marie qui lui posa la main sur l'épaule, lui fit un petit baiser au coin de la bouche et lui dit gentiment : A bientôt Michel. Elle referma la porte derrière eux et se dirigea vers la salle de bains, après tous ces assauts, elle avait besoin d'un bon bain chaud. Elle vit le haut de *** corps dans la glace de la salle de bains, Patrice avait rai***, elle aussi se trouvait belle. Elle alla dans la chambre d'amis, où il y avait une grande glace avec laquelle elle allait pouvoir s'admirer. Elle se trouvait sensuelle et désirable vêtue ainsi. Elle remonta délicatement bien en haut de ses cuisses les bas souillées par le sperme de Patrice. Elle réajusta, *** string, *** magnifique porte jarretelles et *** soutien gorge. Elle pivota sur elle même, se regarda de face, de profil, de dos. Elle pensait : Ah, si j'étais un homme, j'aurai aussi envie de toi. Alors qu'elle continuait à se contempler, elle commença à sentir le sperme que Michel lui avait répandu dans *** joli petit cul. Cette étrange sensation provoqua en elle un relan d'excitation. Elle s'allongea sur le lit de la chambre d'amis, écarta *** string et commença à se caresser l'anus avec la douce sève qui en sortait. Elle fit rentrer ensuite un premier doigt dans sa rondelle et commença également à scaresser *** sexe de l'autre main. Au bout de quelques minutes elle se masturbait frénétiquement l'anus avec deux doigts tout en caressant vigoureusement *** clitoris. La chambre était rempli par ses gémissements : Annnnnn... Mmmmm... Ahhhhhhhhhh. OuuuuuuHHHHHHH... Ahhhhhhhhh. Elle se cambra une dernière fois une dernière fois et laissa tomber sur le lit, épuisée de bonheur.
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chrislebo
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Marie entra dans le bureau qu'elle partageait avec Eva et Florence, comme tous les matins, elle alla leur faire la bise, accrocha sa veste sur le porte manteau qui était situé dans l'angle de la pièce et alla s'asseoir face à *** ordinateur. Eva et Florence regardèrent Marie un peu bizarrement, elles pensaient à la même chose. Florence prit la parole : Mr Lambert est absent aujourd'hui ?? Marie : Bah je ne sais... Pourquoi cette question ? Florence : En fait comme tu as mis une jolie jupe aujourd'hui, on pensait qu'il n'était pas là. Marie : Non je ne sais pas, je pense qu'il doit être là, on se voit tout à l'heure, il veut faire un point sur le budget formation. Comme on arrive à la fin de l'année, il veut savoir si il reste encore de l'argent pour planifier des sessions supplémentaires et les faire passer dans le budget actuel. Il m'aurait prévenu quand même. Marie : Et puis ce n'est parce que mon chef est un vieux vicelard qu'il faut que je m'habille comme une nonne. Eva : Écoute, je suis bien d'accord avec toi... Mais là, ça va lui faire un choc, surtout que là c'est un peu sexy ta tenue quand même... Enfin je veux dire... Par rapport à d'habitude. Eva eut peur d'avoir fait une boulette, ça lui faisait plaisir de voir enfin Marie assumer sa féminité, elle espérait ne pas l'avoir vexée avec cette dernière remarque. Marie : Ne t'inquiètes pas, je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que ça change non, fit elle fièrement en se levant et en faisant le tour d'elle même. Florence : Oui, cette tenue te va à merveille. Marie portait un joli chemisier blanc, sous lequel on pouvait deviner un ravissant soutien gorge blanc également. Elle portait une jupe grise qui lui arrivait nettement au dessus du genou mais pas jusqu'à mi cuisse. Ses jambes étaient parées d'une jolie paire de bas gris assez épais avec lesquels elle avait mis des chaussures à talon. Elle était transformée, elle était chic et sexy sans une once de vulgarité. Il faut dire que suite à la dernière visite de patrice et Michel, Marie se décida d'appliquer au pied de la lettre leurs recommandations. Dès le lendemain comme elle avait des heures à récupérer, elle quitta *** travail en milieu d'après-midi. Elle se rendit dans le centre commercial qui était à coté de *** travail, et entama une remise à niveau de sa garde robe. Elle acheta principalement des jupes ainsi que des petits hauts pour aller avec. Elle fit ensuite quelques magasins de lingerie et se racheta quatre beaux ensembles composés chacun du soutien gorge du string et du boxer. Pour deux d'entre eux, elle trouva même le porte jarretelles assorti avec lequel elle reprit deux paires de bas, une couleur chair et l'autre noire qu'elle réservait pour les grandes occasions. Elle finit par la grande surface du centre commercial, se rendit au rayon collant et en repartit avec au moins une dizaine de paires de bas auto-fixants. Elle avait pris différentes couleurs, différentes marques. Certains avaient attiré *** attention plus que d'autres, elle avait notamment pris deux paires de bas assez fins, mais avec une large jarretière en dentelle, des noirs et des marrons. Elle avait également pris une paire de bas noirs imitation couture, elle ne voyait pas pour l'instant à quelle occasion elle les mettrait, mais elle avait flashé dessus. Marie était si fière d'elle, elle regarde rapidement autour d'elle, puis elle remonta un peu le coté de sa jupe pour montrer la lisière d'un de ces bas à Eva et Florence.
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chrislebo
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"Et bien dis donc, tu fais pas les choses à moitié toi..." dit Florence en rigolant. Eva : Et les filles regardez. Puis à *** tour Eva releva un peu sa jupe le long de sa jambe. Elle arborait également une jolie paire de bas marrons. Elle dit à Marie en rigolant : Bienvenue au club... Florence remonta également sa jupe et leur montrant *** joli collant noir : Désolée les filles, que crois que je ne peux pas être admise au sein de votre petit club. Marie : Ce n'est pas grave je suis sure que ce n'est que partie remise. Florence : Par contre les filles, évitez de fouiller dans vos sacs à mains qui ***t par terre, sinon j'en connais un qui risque d'avoir des ampoules à la main droite à la fin de la journée. Elles se mirent à rigoler, puis Eva dit : Mais au fait, il est passé où celui là, lui qui est si ponctuel d'habitude. A peine eut elle finie sa phrase que Mr Lambert arriva en pestant : Ahhh saloperie de voiture... Eva lui dit d'un air taquin : Bonjour Monsieur Lambert, qu'est ce qui vous arrive, vous avez eu des problèmes ? Mr Lambert : Bonjour mesdames, m'en parlez pas j'ai crevé et il a fallu que je change la roue. Puis il s'adressa à Marie : Écoutez Marie, vous viendrez me voir en fin de matinée pour faire un point sur le budget. Marie : D'accord Mr Lambert. Il était 11h45, les filles n'allaient plus tarder à partir déjeuner. Mr Lambert n'avait toujours pas appelé Marie pour faire le point. Marie : Tu vas voir, il va venir exprès à 11h55 pour me faire chier... Eva : Écoute tu nous rejoindras à la pizzeria, on te commande la même chose que d'habitude si tu veux. Marie : D'accord. 11h53 : Mr Lambert sort de *** bureau et franchit d'un pas le couloir qui le sépare du bureau des filles, il passe la tête par l'encadrement de la porte : Marie, on y va; je sais que je vous prends tard mais on va faire vite. Il retourna s'asseoir derrière *** bureau, Marie se leva prit le dossier et entra dans le bureau. Mr Lambert se figea quelques instants, il était frappé par la tenue de Marie, il pensa : Ouaaahh, le canon... Il se ressaisit et dit à Marie de s'asseoir sur le chaise de l'autre coté du bureau. Elle s'assit et croisa les jambes et posa *** dossier sur les cuisses et l'ouvrit dans l'attente des directives de *** supérieur. Mr Lambert était déçu, car dans cette position il n'avait aucune vue sur ces délicieuses jambes. Le crissement des bas quand Marie croisa ses jambes l'excita quand même énormément et provoqua en lui un début d'érection. Mr Lambert : Vous avez une synthèse des notes de frais de formation pour le premier semestre. Marie : Oui, tenez. Elle chercha quelques secondes dans *** dossier et donna une feuille à *** supérieur. Celui ci scrutait la feuille, puis il dit à Marie : Regardez ces deux là, ils ont quand-même beaucoup plus que les autres en frais de repas. Marie décroisa les jambes pour pouvoir se pencher et regarder le document, ce qui fit de nouveau crisser ses bas. Ce petit bruit qui était complètement anodin pour Marie, provoquait chez Mr Lambert une excitation extrême. Au cours de leur réunion il répéta *** petit manège plusieurs fois, montrant des choses sans importance à Marie juste pour lui faire croiser et décroiser les jambes. Il était maintenant 12h15. Mr Lambert s'excusa auprès de Marie de l'avoir retenue un peu plus longtemps que prévu, puis il lui dit qu'elle pouvait disposer. L'ultime bruit de frottement que fit Marie avec ses cuisses en se levant finit de faire bander complètement Mr Lambert. Il serait bien aller ce soulager dans les toilettes comme il le fait souvent quand l'autre petite mijaurée d'en face l'allume en lui montrant ses bas, mais il fallait absolument qu'il finisse ce dossier ce midi. Cela faisait bien 15 minutes qu'il remplissait des tableaux Excel avec les notes que lui avait donnés Marie, puis il commença à mettre *** bureau sans dessus-dessous, il lui manquait un document. Mr Lambert : Il a du rester dans le dossier de Marie. Il se dirigea dans le bureau des filles et chercha dans le dossier que Marie avait posé sur la gauche de *** clavier. Il trouva le document qui lui manquait, il tourna les talons pour retourner sur ses formules Excel quant un bruit attira *** attention. C'était le téléphone de Marie qui vibrait sur *** bureau, dans sa précipitation, elle l'avait oublié. Il ne sut pas lui même quelle mouche le piqua mais il se saisit de téléphone. Elle avait reçu un message sur *** téléphone, fébrilement il ouvrit le message : On peut venir te voir mercredi semaine prochaine. Préviens si empêchement. Pour te faire patienter, quelques photos dernière séance. Patrice. Il ouvrit la première des pièces jointes, c'était Marie qui était assise en train d'enfiler un bas, sur la deuxième, elle était debout et portait un ensemble blanc avec un sublime porte jarretelles et de magnifiques bas noirs. Il ouvrit la dernière et il découvrit Marie vêtue de la même manière que sur le cliché précèdent, mais cette fois prise en sandwich par deux hommes. Mr Lambert : Ahh c'est pas vrai, quelle petite pute... D'un seul coup, il se sentit à l'étroit dans *** pantalon et il sentait également des gouttes de sueur lui perler sur le haut du front. Le téléphone lui brûlait les doigts, il ne savait plus quoi faire. Il faut que je trouve quelque chose, une occasion comme ça ne se représentera jamais, ***gea t'il. Fébrilement il transféra alors le message vers *** propre téléphone, une fois la confirmation d'envoi reçu, il effaça le message envoyé ainsi que la confirmation d'envoi. Il remit le téléphone en place, prit aussi le document qu'il était venu chercher, alla le poser directement sur *** bureau et fila à vive allure vers les toilettes ....
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chrislebo
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Le lendemain matin, les filles arrivèrent toutes les trois en matin. Florence et Eva félicitèrent une fois de plus Marie pour sa tenue. Marie portait aujourd'hui une jupe noire qui lui arrivait en dessous du genou, sa jupe était fendue de chaque coté presque jusqu'à mi-cuisse. Elle avait mis une paire de bas noirs, ceux à large dentelle. Elle avait tout de même vérifiée qu'on ne voit pas la lisière de ses bas, par contre il fallait qu'elle fasse attention en étant assise, mais cela ne l'inquiétait pas plus que ça, cachée qu'elle était derrière *** bureau. Elle portait un chemisier rouge pour compléter le tout. Eva : Et bien dis donc tu nous fais un festival en ce moment... Florence : Elle te va super bien, ta jupe, c'est une nouvelle. Marie : Je l'ai acheté la semaine dernière quand je suis parti plus tôt l'autre jour. Et en dessous, tu fais toujours partie du club, demanda Eva d'un air mutin. Oui, dit elle en faisant voir une large jarretière noire sur le haut de sa cuisse. Moi aussi toujours au club, dit Eva en faisant voir une paire de bas noirs également. Elle se tournèrent toutes les deux vers Florence. Celle ci leur dit : Aujourd'hui je peux me joindre à vous. Elle souleva alors le coté de sa robe et leur dévoila alors une paire de bas mi-opaque. Elles pouffèrent de rire toutes les trois et se mirent à travailler. Il était 17h20, elles allaient bientôt partir, quand Mr Lambert entra en trombe dans le bureau des filles : Marie je suis désolé de vous imposer ça, mais il va falloir qu'on fasse un point sur le budget formation, je n'arrive pas à faire correspondre les montants. Marie : Mais Monsieur, vous avez vu l'heure ? Mr Lambert : Oui, j'ai vu l'heure, mais il faut absolument que le siège ait la synthèse demain matin. On se retrouve au deuxième dans la salle de réunion dans 5 minutes pour tout reprendre depuis le début. Une fois partie, Florence chuchota : Il est gonflé quand même, il aurait pu te prévenir avant. Marie : Bon c'est pas grave, et puis tu sais, je n'ai per***ne qui m'attend le soir en semaine, alors rentrer une heure de plus tôt ou plus tard. Eva : Et bien écoute, bon courage, et puis attention... Pas de folies, ajouta-t'elle ironiquement. Marie : Pff, c'est malin... Marie rassembla ses affaires et se dirigea vers la salle de réunion alors que ses collègues étaient en train d'éteindre leur ordinateur et s'apprêtaient à rentrer chez elles. Marie entra dans la salle, Mr Lambert était déjà prêt, il était à la grande table ovale en train de pianoter sur *** ordinateur portable. Mr Lambert : Venez vous asseoir à coté de moi. Marie obéit, elle tira la chaise, s'assit, la ravança vers le bureau et commença à croiser ses jambes comme elle le fait habituellement. Elle sentit sa jupe remonter légèrement et se rappela qu'elle avait une jupe fendue. Elle interrompit *** geste et se contenta de rester assise les cuisses l'une contre l'autre, elle n'osait pas regarder, si l'on voyait la lisière de ses bas. Elle voulait réajuster sa jupe mais ne voulait pas attirer l'attention de *** chef, elle préférait attendre le moment opportun. Cela faisait maintenant une vingtaine de minute qu'ils travaillaient, Marie commençait à fatiguer installée ainsi, elle se décida à bouger afin d'être assise plus confortablement. Elle se préparait pour être aussi rapide que discrète que possible. Elle descendit ses deux mains, les posa sur ses cuisses, se leva d'un coup, tira sur sa jupe se rassit et croisa les jambes tout en tirant un peu sur sa jupe. Mr lambert entendit encore le bruit du crissement des bas de Marie, il se tourna vers elle, et regarda vers ses jambes. Mr lambert : Marie, depuis quelques jours vous êtes ravissante. Surprise par cette remarque, elle lui dit un "Merci" aussi glacial que possible. Cela ne refroidit pourtant pas Mr Lambert : Mais dites donc, ce ***t de bas que vous portez, ajouta-t'il en pointant du doigt vers le bout de dentelle que l'on apercevait très nettement sur la cuisse de Marie. Elle était toute rouge, elle n'avait pas assez descendue sa jupe, on voyant le haut du bas sur au moins 3 cm. Elle ne savait pas quoi lui répondre : Euh oui... Mr Lambert : Je sais qu'Eva en met régulièrement, d'ailleurs je me demande si elle ne fait pas exprès de tout le temps fouiller dans *** sac à main quand elle est en jupe cella-là, je suis sur qu'elle m'allume la petite garce. Mais vous je ne pensais pas... Marie : Mais monsieur, ça ne va pas. L'homme fit semblant de ne pas entendre, il rajouta juste : Remonte un peu ta jupe que je vois ça de plus près. Marie : Mais attendez, mais... mais vous vous croyez ou là. Mr Lambert : Allez, fais pas ta mijaurée. Marie : Mais vous me prenez pour qui ??? Mr Lambert : Juste pour ce que tu es, une bonne petite salope sous des airs de Sainte ni-touche. Après avoir dit ça, il fit glisser la souris dans l'explorateur de *** ordinateur portable, il alla dans un dossier qui contenait trois fichiers. Il les ouvrit les uns après les autres, Marie se décomposa, elle ne sut quoi dire, elle mit quelques secondes avant de pouvoir bredouiller quelques mots : Mais... Mais comment... Marie regardait avec stupeur les photos d'elle en petite tenue puis en même temps par Patrice et Michel. Mr Lambert : Ce n'est pas prudent de laisser traîner ses affaires, encore moins *** téléphone. Elle comprit alors comment il s'était procuré les photos. Mr Lambert : On peut s'arranger tu sais, il va falloir être gentille avec moi si tu ne veux pas que ces photos se retrouvent éparpillées un peu partout dans les salles de pause, voir même dans la boite aux lettres de ta mai***. Il va même falloir être gentille, si tu vois ce que je veux dire. Malheureusement Marie voyait très bien. Marie : Non s'il vous plaît, pas ça. Mr Lambert : Ne te fais prier, tu as l'air d'aimer ça si j'en crois ce que j'ai vu sur les photos. Il posa sa main sur la cuisse de Marie et commença à remonter sa main en caressant le doux tissu : Mm c'est joli tout ça... Le contact de la main sur sa cuisse l'électrisa et commença à sentir *** intimité s'humidifier doucement : C'est pas possible, même ce gros porc me fait mouiller, mais qu'est ce qu'il m'arrive. Sans qu'elle ne s'en rende vraiment compte elle écarta un peu les cuisses. *** inquisiteur n'en demanda pas temps, il lui caressait maintenant l'intérieur de la cuisse et remontait petit à petit vers le string noir que portait Marie. Très vite, il mit la main dessus et commença frotter *** doigt contre la fente à travers le fin tissu. le string de Marie fut vite trempé. Cette dernière commençait à pousser de légers soupirs de plaisir : Mmm... Han... Mr Lambert continua *** travail de sape, Marie commençait à gémir plus fort : Mmm... Ahh... Excitée, Marie posa sa main sur la bosse qui émergeait du pantalon de *** chef. Mr Lambert ravi mais tout de même un peu surpris de cette victoire si rapide : Ah tu vois que tu aimes ça. Il passa sa main sous le string de Marie, il passa ses doigts sur le joli triangle de poils puis descendit un peu plus bas pour y insérer un premier doigt, puis rapidement un deuxième. Marie avait maintenant sorti le sexe de *** fourreau ou il était bien à l'étroit et le caressait depuis plusieurs minutes. Elle fut surprise et un peu effrayée de la taille de cette verge, elle était aussi longue que celle de Patrice et aussi grosse que celle de Michel. Elle se dit en elle même : Il ne paie pas de mine ce vieux vicieux, mais il est monté comme un âne. Marie appréciait de plus en plus les caresses de Mr Lambert et lui fit savoir : Ahhh oui... Continue... Caresse moi bien... Encouragé par ces paroles, Mr Lambert pencha *** visage vers celui de Marie et l'embrassa goulument. Marie résista un instant et offrit finalement sa bouche à *** envahisseur. Au bout d'un moment Mr Lambert se leva et dit : Viens je vais t'enlever ta jupe. Il tira la chaise de Marie en arrière la poussa contre le bureau, il vint ensuite derrière elle, défit la fermeture de la jupe et la fit tomber au sol. Il se plaqua alors derrière et lui passa une main sous le string. Il enfonça un doigt dans le sexe dégoulinant de désir de Marie : Ahhh... Hannnn... Ouiiii... Mr Lambert était fou de joie, lui qui n'avait jamais eu beaucoup de succès avec la gente féminine était en train de doigter une magnifique blonde habillée comme une petite pute. *** autre main ne reste pas inactive, il défit les boutons du chemisier puis s'empara d'un sein qu'il fit jaillir du soutien gorge, il l'empoignait à pleine main, puis il fit rouler ses doigts sur le téton qui devint tout dur. Marie ondulait maintenant du bassin, Mr Lambert restait collé à elle en suivant le mouvement, il lui plaquait *** sexe contre ses fesses. Tout en ondulant Marie se frottait à cette tige qui était dure comme de la pierre. Mr Lambert dit ensuite à Marie : Allez tourne toi, tu vas venir me sucer.
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chrislebo
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Marie désormais docile, s'agenouilla et empoigna ce sexe qu'elle commença à le masturber, il était tellement gros et long qu'elle ne pouvait en mettre qu'environ un tiers dans sa bouche. Elle se concentrait sur le gland, elle jouait avec, l'aspirait, le léchait. Mr Lambert poussait de longs râles de plaisir : Oufffff... Vas-y, suce moi bien... Oui... Comme ça... Marie était tellement excitée que de *** autre main, elle s'enfonça deux doigts dans *** intimité et commença à les faire coulisser rapidement. *** responsable vit *** manège et se dit en lui même qu'il était tombé sur une sacrée petite salope, il lui dit : T'aimes ça me sucer hein... Pour l'exciter encore plus, Marie lui répondit: Oui... Mmmm... J'adore sucer ta grosse bite... Mr Lambert : Tu vas voir comment tu vas la sentir dans ta petite chatte tout à l'heure. Marie : Ahhh je n'en peux plus... Viens me la mettre tout de suite... Mr Lambert était désarçonné, même dans ses rêves les plus fous, il n'aurait jamais espéré que cela se passe comme ça. Marie s'était relevée, elle se tourna et s'appuya d'une main sur le bureau, de l'autre elle empoigna l'énorme sexe qui sortait tout juste de sa bouche et l'introduit doucement dans *** intimité. Mr Lambert commença alors à baiser sauvagement Marie en la traitant de tous les noms : Tu l'aimes ma bite... Espèce de petite salope... Mari e: AAAAAhhhhhhhh Ouuiiiii... Comme ça... Vas-y... Plus fort... Mr Lambert : Alors elle te fait du bien... Marie : Haaannnn Ouiiii... Elle est bonne... Hannnn... Ta grosse queue... Hannnnn. heureusement qu'à cette heure tardive, il ne restait plus qu'eux dans les locaux, vu le bruit qu'il faisait, entre les cris de plaisir de Marie et Mr Lambert qui faisait claquer *** ventre contre les fesses de Marie. D'ailleurs depuis quelques minutes, il s'intéressait à la petite rondelle de Marie qui s'agitait sous ses yeux, il arrêta un moement de la baiser, lui écarta un peu les fesses et fit tomber un filet de salive sur *** petit trou. Il reprit ensuite *** rythme et enfonça un doigt dans l'anus de Marie. Il se mit à coulisser *** doigt de plus en vite, sa collaboratrice avait l'air d'apprécier : Haaaan... Mmmmmmm... Ouuuuhhhhhhhh... Il la baisa de plus en plus fort, au bout d'un moment Marie lui dit : Hannn... J'en peux... Encule moi... Sans attendre une seconde de plus, il retourna Marie, l'allongea sur le dos sur le bureau, lui posa les chevilles sur ses épaules et commença à pousser sa tige contre l'œillet de Marie, celui s'écarta et avala entièrement le gland. Il s'enfonçait petit à petit en se frayant un chemin au plus profond des entrailles de Marie. Marie poussait le longs râles : Ouuuuuuhhhhh... Douuucement... Emportée par la vague de chaleur qui coulait elle, Marie se mit à se caresser *** sexe et sa poitrine. Mr Lambert continua de sodomiser Marie, il la tenait par les chevilles et lui maintenant les jambes en V, faisant pointer les talons de ces chaussures vers le plafond. Il flottait également sa joue contre les compas de Marie qui étaient toujours empri***nés dans ses délicieux bas noirs, le contact de sa joue contre ce fin tissu l'électrisait. Au bout d'un moment il se mit également à lécher les mollets de Marie. Marie : Hannnn... Elles te plaisent Hannnn... Mes jambes ??? Mr Lambert : Ahh oui... Tu m'excites quand tu es habillée comme ça... Marie : Hannn... Oui... Hann... Moi aussi... Han... Ca m'excite... Mr Lambert : Maintenant tu ne porteras plus que des bas... Compris... Marie : Hannnn... Oui... Han... Plus que des bas... Mr Lambert : Comme ton autre petite pute de collègue Eva, je sais qu'elle met des bas aussi... Marie : Hannn... Oui... Han... Elle aussi... Mmmmm... En met... Mr Lambert : Elle aussi mériterait que je la baise... d'ailleurs tu vas m'aider à la baiser... Marie ne répondit pas à cette question, malgré la fièvre qui la possédait, elle ne voulait pas mêler ses amies à ça. Mr Lambert : Tu'as intérêt de m'aider... N'oublie pas les photos... Marie : Hnnn... Oui... D'accord... Mr Lambert avait gagné, non seulement il était en train de posséder Marie par *** fondement, mais celle ci allait bientôt l'aider pour qu'il puisse aussi profiter des charmes d'Eva. C'en était top pour lui, il envoya sa semence dans les entrailles de Marie, épuisé, il s'allongea sur Marie et lui arracha un baiser fiévreux. Ils se relevèrent ensuite tous les deux et remirent de l'ordre dans leur tenue. En se rhabillant ils ne s'adressèrent pas un mot. Marie se demandait ce qui était en train de lui arriver, elle qui était si prude et si réservée succombait maintenant aux avances du premier venu et y trouvait beaucoup de plaisir. Elle se rappelait également qu'elle avait dit à *** responsable qu'elle l'aiderait à piéger sa collègue Eva. Mr Lambert de *** coté était en train de se demander s'il n'avait pas rêvé, au bout d'un moment il se rendit compte que tout cela était bien réel. Il se dit même qu'il pourrait essayer de continuer de profiter des charmes de sa subalterne, mais sans la ****** cette fois. Il était en effet très étonné des initiatives qu'elle avait prises ainsi que du du plaisir qu'elle avait ressenti. Il dit tout simplement : On recommencera ce genre de réunion tardive, il me semble que vous avez apprécié n'est ce pas ma petite Marie ? Celle ci lui répondit d'un sourire mutin : Pourquoi pas Mr Lambert. Mr Lambert : Et n'oubliez pas, vous devez m'aider pour Eva. Marie lui répondit cette fois avec un tremolo dans la voix : Non, je n'ai pas oublié... Je vous aiderai. Mr Lambert : Bon, bous pouvez y aller je finirai tout seul. Marie : D'accord. Au moment ou elle tourna les talons, elle sentit une main lui déposer une petite claque sur les fesses, puis elle s'éloigna sentant à chaque pas la sève de Mr Lambert qui lui dégoulinait le long des cuisses jusqu'en haut de ses bas.
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chrislebo
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Il était 12H15, les bureaux étaient vides, le per***nel était parti déjeuner... De légers bruits provenaient tout de même d'un bureau, il s'agissait de celui de mr Lambert. En faisant attention, on distinguait très nettement des soupirs et des petits bruits de sussions, apparemment certains employés faisaient des heures supplémentaires. En pénétrant dans le bureau on pouvait voir mr Lambert assis à *** bureau, *** siège était tourné sur le coté et il poussait de longs soupirs la tête appuyée en arrière sur *** fauteuil : Ahhhh... Vas-y... Une per***ne était accroupie à quatre pattes sur le sol devant mr Lambert, on ne voyait pas le buste de cette per***ne qui était cachée derrière le bureau. On distinguait par contre *** dos qui était recouvert par une jupe grise qui avait été retroussée, *** postérieur recouvert par un petit string rouge et ses jambes gainées par de jolis bas marrons. En s'approchant du bureau, on distinguait Marie en train d'aspirer goulument le gland de mr Lambert : Mmmmffff. Suite à leur réunion tardive d'hier, Mr Lambert avait de nouveau eut besoin des services de Marie un peu avant le déjeuner. Il la convoqua donc à 11h50 dans *** bureau pour faire de nouveau le point sur un dossier "urgent", Marie n'était pas dupe et savait ce qui l'attendait à l'issue de la réunion, mais cela n'avait pas l'air de la déranger, bien au contraire. Dès qu'elle s'assit en face du bureau de mr Lambert, Marie commença à croiser et décroiser ses jambes, faisant ainsi crisser ses bas. Elle jubilait, elle savait que cela excitait *** responsable au plus haut point mais que pour l'instant il ne pouvait rien faire. Elle s'était même assise assez loin du bureau et avait légèrement remonté sa jupe en croisant les jambes, mr Lambert pouvait ainsi distinguer la dentelle de ses bas. Marie enfonça le clou in peu plus loin, en frottant ses cuisses l'une contre l'autre, elle dit à mr Lambert : Vous allez bien Monsieur, vous avez l'air bizarre ? Mr Lambert se racla la gorge puis répondit : Ne vous inquiétez pas, cela va passer, bientôt cela ira beaucoup mieux... Quelques minutes plus tard, une fois que tout le monde était parti, il sortit *** sexe de *** pantalon et invita Marie à passer de l'autre coté du bureau : "C'est bon, il n'y a plus per***ne, viens me sucer petite salope, je vais t'apprendre à m'allumer comme ça." Elle fit le tour du bureau, avec un délicieux sourire plein de malice, puis elle se pencha et goba le sexe de Mr Lambert en le fixant avec un regard rempli de désir. Mr Lambert poussait maintenant de profonds soupirs et lâchait même quelques obscénités : Ahhh... Vas-y suce moi bien petite salope... Ouiii... Tu aimes ça... Marie : Mffff... Oui... J'adoooore vous sucer... Mfffff... Mr Lambert. Marie suçait allègrement l'énorme sexe de mr Lambert, emportée par l'excitation, elle descendit *** pantalon sur ses chevilles afin de pouvoir également lui caresser les bourses avec sa langue. Elle en goba une entièrement qu'elle fit rouler dans sa bouche, pendant ce temps sa main coulissait sur la tige tendue par le désir. mr Lambert : Ahh... Vas-y... Suce moi bien... Je vais venir te baiser après. Marie : Mfffff... Oui... Viens me la mettre tout de suite... Mr Lambert se leva, il s'accroupit derrière Marie, lui baissa *** string jusqu'au milieu des cuisses, il lui écarta les fesses et commença à la lécher soigneusement, de sa fente jusqu'à l'anus. Marie fut un peu déçue au début, car elle s'attendait à autre chose, mais elle s'en accommoda bien vite. Il semblait à Mr Lambert que Marie soupirait un peu plus quand il passait sa langue sur sa rosette. Il ne se trompait pas, Marie appréciait énormément cette caresse qui était complètement nouvelle pour elle. Elle lui demanda même de concentrer *** attention sur cette zone : Ahh continue... Lèche bien mon petit trou... Mr Lambert ne dit rien, il se contenta d'obéir et léchait maintenant avidement l'anus de Marie. Cette dernière allongea le haut de *** corps sur l'assise du fauteuil de *** responsable, passa une main sous *** ventre et commença à frotter vigoureusement sa vulve avec deux doigts. Le plus petit orifice de Marie criait maintenant famine et réclamait quelque chose de plus imposant qu'une langue pour satisfaire sa faim : Ahhhh... Je n'en peux plus... Encule moi tout de suite... Mr Lambert : Eh bien on dirait que tu aimes ça te faire défoncer le cul... Marie : Ahh oui... J'aime ça... mr Lambert se releva et présenta *** sexe au face à à l'anus de Marie, il poussa un peu et s'enfonça sans aucune difficulté. Marie poussa un long soupir de plaisir : Ahhhhhhh... Une fois bien introduit, Mr Lambert commença à imprimer une cadence régulière : On est bien dans ton petit cul, il est si serré. Marie : Hannnn... Continue... Han... Plus fort... Encouragé et excité par ses paroles, Mr Lambert accéléra la cadence et l'amplitude de ses coups de reins, il se déchainait sur l'anus de Marie, cette dernière pour augmenter encore plus *** plaisir s'introduisit deux doigts dans *** sexe en feu. Marie : Haaaannn... Ouuuuuiiiiiiii... Hannnnn... C'est bon... Baise moi bien... Mr Lambert : Han... On dirait que tu es accro... Hannn... aux grosses bites hein... Marie : Ahhhhhhh... elle est bonne... Ahhhhhh... ta grosse queue... mr Lambert : Han... Ca tombe bien... Han... tu risques de te la prendre souvent Han... dans ton petit cul... Marie : Ouuhhhhhh remplis moi le cul... Ahhhhhh... Plus fort... Marie était en train de réaliser qu'elle devenait complètement accro au sexe anal, et qu'elle préférait presque cela à une pénétration vaginale. Le sexe de *** responsable était si imposant qu'il la faisait littéralement décoller. L'étroitesse du fourreau dans lequel il se trouvait ainsi que l'excitation ne tardèrent pas à venir à bout de mr Lambert qui se vida entièrement dans les entrailles de Marie. Celle ci poussa un long râle en sentant une douce chaleur s'insinuer en elle. mr Lambert resta quelques instants plongé dans les entrailles de Marie le temps de souffler et de récupérer, puis il chuchota à l'oreille de Marie : Dis donc toi, sous tes airs de gentille petite fille tu caches une vraie salope. Marie : Merci... et à ce que je vois, vous aimez ça les salopes. Ils rigolèrent tous les deux et se rhabillèrent. Mr Lambert remit *** pantalon et réajusta se chemise, tandis que Marie remonta soigneusement ses bas sur ses cuisses, fit retomber sa jupe sur ses jambes et remit de l'ordre dans ses cheveux. mr Lambert : Je pense que l'on renouvellera ce genre de réunions une à deux fois par semaine. Bien sur mr lambert, si je peux vous rendre service, le plaisir sera pour moi, glissa Marie d'un ton malicieux. mr Lambert : Au fait, n'oublie pas pour Eva, tu dois me l'offrir sur un plateau. Marie : Non je n'ai pas oublié, mais pour l'instant je ne vois pas comment faire. mr Lambert : Et bien il va falloir y travailler sérieusement ma petite Marie, sinon... D'accord, dit Marie en sortant du bureau de Mr Lambert. Elle repassa prendre ses affaires à *** bureau et prit le couloir pour aller rejoindre ses collègues qui étaient parties déjeuner. Une fois qu'elle eut rejoint ses collègues au restaurant, Marie contempla Eva et se demanda comment elle allait faire. Elle regardait pensivement sa collègue et essayait de trouver un moyen de pression qu'elle aurait pu transmettre à *** responsable, mais elle ne voyait rien. Marie, regrettait même de ne rien trouver, la situation devenait troublante et elle se surprenait à scruter avec envie sa poitrine opulente ainsi que ses lèvres pulpeuses. En fait il n'y avait pas que Mr Lambert qui voulait profiter des charmes d'Eva, Marie aussi commençait à être attirée par sa collègue. Pendant le repas, Florence s'absenta quelques minutes pour aller aux toilettes, Marie profita de cet instant pour tenter une première approche. Marie : Dis donc Eva, tu as de superbes jambes aujourd'hui, ce ***t des bas que tu portes ? Eva : Oui, ce ***t des nouveaux, tu les aimes bien ? Marie : Ah oui, déjà que tu as de belles jambes, avec ces nouveaux bas elles ***t magnifiques, je peux toucher pour voir ? Eva un peu décontenancée et prise au dépourvu ne peut répondre que : Euh... Oui... Si tu veux... Puis Marie posa discrètement sa main sur le genou d'Eva et la fit remonter tout doucement *** sous sa jupe vers le haut de sa cuisse, arrivée à la dentelle, elle la fit redescendre. Elle fit un dernier aller retour en accentuant la pression de sa main sur la jambe de sa collègue puis se retira. Marie : Tu as de la chance que je ne sois pas un homme, sinon...
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chrislebo
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Eva : Mais tu sais je ne suis pas intéressée que par les hommes. Marie ne put répondre à cette dernière remarque, car Florence venait de se rasseoir à table, mais elle avait semé le trouble chez Marie, *** cœur battait la chamade. Eva venait de lui faire des avances à peine masquées, ce premier contact était allé bien au delà des espérances de Marie. Elles finirent de déjeuner et quittèrent le restaurant. Pendant l'après-midi, Marie et Eva échangèrent plusieurs regards lourds de désir et de sous-entendus, puis à un moment, Eva s'adressa à sa collègue : Marie, ça ne te dérangerait pas de rester un peu plus tard avec moi ce soir, Mr Lambert m'a demandé un bilan sur les exportations pour demain et toute seule je pense que je n'aurai pas le temps. Marie : Non, pas du tout, et puis de toute façon je n'ai rien de prévu ce soir. Eva : Merci, c'est super gentil. Florence : Vous voulez un coup de main, à trois cela ira plus vite. Eva : Non, je pense qu'on devrait s'en sortir, et puis toi tu as ton mari et ton fils qui t'attendent. Florence : C'est comme vous voulez. Marie : Oui, c'est vrai Florence, je pense qu'à deux, cela ne devrait prendre pas trop de temps. Le cœur de Marie s'emballait, elle qui voulait juste tenter une première approche n'a pas été déçue, c'est carrément Eva qui lui faisait des avances. Marie devenait aussi perverse que que *** responsable car elle lui envoya le mail suivant : Ce soir je reste travailler plus tard avec Eva, à mon avis nous n'allons pas faire que travailler. Je pense que vous pourriez prendre discrètement quelques photos comme celles que vous avez déjà de moi. Le soir venu, tout le monde avait quitté les bureaux, Mr Lambert qui avait l'habitude de partir assez tard avait ce soir un rendez-vous per***nel et avait du s'absenter un peu plus tôt. Il ne restait plus que Marie et Eva qui pour l'instant travaillaient studieusement. Il régnait un silence pesant dans la pièce, aucune des deux jeunes filles n'osait prendre la parole. Finalement Eva se lança. Eva : Tu sais Marie, cela m'a beaucoup troublé ce que tu m'as dit ce midi après m'avoir caressé la cuisse. Marie : Ah bon, tu sais je disais ça un peu en rigolant, mais si tu veux tout savoir, ta réponse m'a également beaucoup étonnée. Tu es vraiment... Enfin... Eva : Bisexuelle ?? Oui, en fait je n'ai pas vraiment de "sexe" préféré, cela dépend de mon envie du moment et du feeling avec la per***ne. Et depuis que tu t'es décidée à changer de look, je dois dire que tu m'attires énormément. Marie : Tu sais, toi aussi tu ne me laisses pas indifférente. Sur ces paroles Eva se leva et vint s'assoir sur le coin de bureau de Marie. Puis elle prit la main de sa collègue et la posa sur sa cuisse : On va continuer où on en était restées ce midi. Marie se leva et commença à promener sa main sur la cuisse d'Eva, elle faisait glisser ses doigts sur l'intérieur de la cuisse entre le genou et la dentelle des bas. Puis Eva passa sa main dans les cheveux de Marie et l'attira vers *** visage, elle déposa un premier baiser humide sur les lèvres de sa collègue, puis très vite elle l'embrassa à pleine bouche. Les deux femmes s'embrassaient tendrement, Marie au début hésitante appréciait le baiser qu'elle échangeait avec Eva, c'était la première fois, elle n'avait jamais eue de relations avec une femme. C'était diffèrent d'avec les hommes, le baiser d'Eva lui semblait plus sensuel et délicat, de même ces lèvres lui paraissaient plus douces et soyeuses. Eva se leva et tout en continuant à embrasser Marie, elle passa ses mains sur ses fesses qu'elle caressait avec délectation, elle attrapa la fermeture éclair de la jupe de Marie qu'elle fit descendre lentement, puis elle fit tomber la jupe à ses pieds. Elle écarta ensuite la ficelle du string de marie sur le coté et commença à faire courir un doigt entre les fesses de Marie. Rapidement, elle tomba sur sa vulve et pénétra *** intimité. Marie apprécia cette intrusion : Ah... Cette dernière ne restait pas inactive, elles avait défait les boutons du chemisier d'Eva, enlevé le soutien gorge et malaxait *** sein gauche. Elle massait délicatement le lourd globe de chair et de temps en temps elle s'attardait sur le mamelon durci par le désir qu'elle faisait doucement rouler entre ses doigts. Eva finit par faire tomber le string de Marie sur le sol, puis d'un geste du bras elle balaya le bureau, poussant sur le coté le clavier, la souris et les dossiers qui étaient dessus. Elle poussa Marie contre le bureau, la fit s'asseoir dessus puis en posant sa main sur *** torse elle l'incita à s'allonger sur le bureau. Eva: Laisse toi faire... Fais moi confiance... Marie ne répondit rien. Eva prit une jambe de Marie, elle commença par lui embrasser délicatement l'intérieur de la cheville, puis elle remonta doucement vers le mollet puis le genou. Eva léchait maintenant l'intérieur des cuisses de Marie, sa langue laissait une trainée humide sur les bas de Marie. Eva : Hmmm, tu as des jambes magnifiques... Eva était maintenant arrivée jusqu'à l'intimité de sa collègue, elle passa doucement quelques coups de langue sur le sexe de Marie, celle ci réagit immédiatement : Ahhh... Oui... Eva arrêta ses caresses buccales et introduit délicatement un doigt qu'elle commença à faire coulisser doucement. Marie : Hannn... Mmmmmm... Elle mit un deuxième doigt, puis se remit à caresser chaque repli de l'intimité de Marie avec sa langue. Cette dernière se caressait maintenant la poitrine d'une main, et de l'autre elle appuya la tète d'Eva contre *** pubis porté à incandescence par les baisers de sa collègue. Eva maintenait ses doigts à l'intérieur du sexe de Marie, elle continuait également de titiller *** clitoris avec la langue. Marie gémissait de plaisir sous la langue de sa collègue : Ahhhh... Oui... Mmmmmmmm... Continue. Le bassin de Marie était devenu fou et se tortillait de plaisir, Eva avait même du mal à garder sa bouche sur le sexe de sa collègue. Au bout de quelques instants, Marie eut un puissant orgasme et se cambra une dernière fois. Eva arrêta ses caresses puis vint embrasser tendrement Marie qui se remettait doucement de ses émotions. Elle restèrent pendant plusieurs minutes à s'échanger de longs baisers, Marie pouvant même se délecter de ses propres secrétions intimes via la bouche de sa collègue. Marie : C'était formidable. Eva : Tu vois je t'avais dit de me faire confiance. Marie : Laisse moi te faire plaisir à mon tour. Marie se releva et cette fois ci, c'est elle qui plaça Eva le dos sur le bureau, elle enleva sa jupe. Elle commença ensuite à embrasser Eva sur ses jambes gainées par de jolis bas noirs à large dentelle. Marie : Tu es sublime. Puis elle commença à lécher le sexe de sa collègue par dessus le fin tissu du string. Une fois le tissu trempé, elle fit tomber ce dernier rempart et put admirer un joli sexe, dont les lèvres étaient déjà gonflées de désir et qui était surmontée d'une petite bande de poils finement taillés. Doucement Marie se mit à parcourir les lèvres avec sa langue, elle goutait pour la première fois ce doux nectar à la saveur si particulière, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle avait l'air d'apprécier. La respiration d'Eva était se faisait plus forte et elle commençait à pousser des petits soupirs. A *** tour elle passa sa main dans les cheveux de Marie, elle appuyait *** visage quand elle tombait sur une zone particulièrement érogène afin qu'elle s'y attarde un peu plus. Marie se retrouva donc rapidement sur le capuchon de Marie qu'elle léchait et aspirait avidement. Puis Marie enfonça un doigt dans le sexe d'Eva dont les gémissements étaient maintenant très nettement audibles : "Ahh... Mmm", elle l'enfonça et le fit tourner quelques instants, puis elle descendit et commença à caresser l'œillet de sa collègue. Eva : Mmm non... Pas par là s'il te plait... Tchhh... Fais moi confiance, lui répondit Marie d'une voix douce tout en continuant sa caresse. Après avoir caressé la rosette d'Eva pendant de longues minutes, Marie y plongea un doigt, celui ci rentra assez facilement,. Tout en continuant d'agacer le clitoris d'Eva, Marie faisait aller et venir *** doigt dans le petit trou de sa collègue. Eva : Mmmmm... Doucement... Ahhhh... Oui... Continue... Marie continuait *** intrusion tout en couvrant le sexe de baisers, puis une fois qu'Eva s'était habituée à ce premier doigt, elle en mit un deuxième qu'elle fit rentrer tout doucement. Eva poussa un petit cri de douleur : Ouhh... Progressivement elle se remit à apprécier cette présence en elle : Ahhhhh... Mmmmmmmm...Vas-y... Ahhhhhhhhh. Marie accélérait la cadence, ses doigts allaient et venaient de plus rapidement et sa langue se faisait de plus en plus pressante, le bassin d'Eva tressautait de toutes parts. Eva : Ahhhhhhh... Continue, c'est bon... Ouhhhhhh... Plus vite... Ahhhhhhh... Tu vas me faire jouir... Tous les muscles d'Eva se raidirent d'un seul coup, puis se relâchèrent, la laissant pantelante sur le bureau. Marie décolla la bouche de l'intimité de sa collègue et vint à *** tour l'embrasser tendrement. Marie : Tu as aimé ? Eva : C'était extra... Marie : Ce ne t'a pas fait trop mal quand je t'ai caressé ton petit trou... Eva : Au début j'étais un peu crispée car un des mes ex avait voulu essayer et comme il était beaucoup moins doux que toi cela m'avait fait mal, mais avec toi ça a été super. Les deux collègues s'embrassèrent de nouveau et se rhabillèrent, elle renfilèrent leurs strings et leurs jupes, réajustèrent leurs bas, se recoiffèrent et remirent le bureau en ordre. Puis elles empruntèrent le long couloir jusqu'à parking. Marie accompagna Eva jusqu'à sa voiture, elle lui dit : "A demain" tout en déposant un baiser furtif sur ses lèvres. Eva : A demain... Marie monta dans sa voiture, elle mit le contact et alluma la radio. En chemin elle repensa à ce qu'il venait de se passer, elle était partagée entre le plaisir qu'elle avait partagé avec Eva et le remord de l'avoir "offerte" à mr Lambert. En effet elle avait furtivement aperçu *** responsable, tout du moins un appareil photo qui dépassait de l'encadrement de la porte. Elle se disait : Le salop, ça va être pareil qu'avec moi, il va lui faire le coup de la réunion tardive.
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chrislebo
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Ce soir la Marie eut beaucoup de mal à trouver le sommeil, elle repassait en boucle dans sa tête les moments de plaisir qu'elle venait de partager avec Eva et s'était même caressée plusieurs fois. Elle culpabilisait également d'avoir permis à Mr Lambert d'avoir pu prendre des photos de toutes les deux en plein ébat. Cela ne la dérangeait pas d'être sa chose, elle y prenait même maintenant beaucoup de plaisir, mais elle s'en voulait d'avoir jeté Eva qui avait été si douce et si gentille dans les bras de Mr Lambert. Elle se surprit même à deviner ce qu'il pourrait lui faire, elle imaginait Eva en train de faire une fellation à *** responsable, elle voyait la langue de sa collègue se promener sur la queue épaisse de Mr Lambert. Elle l'imaginait même se faire sauvagement sodomiser sur la table de réunion, l'énorme pieux de *** responsable entrant et sortant de *** anus. Ces visions rallumèrent le feu en elle et elle se caressa une dernière fois. Elle finit par s'endormir, mais c'était un sommeil léger et tourmenté, elle était vraiment partagée entre l'excitation et le remord. On était le vendredi matin, Marie se demandait comment s'habiller : Benoit rentre ce soir, il va se poser des questions s'il me voit habillée un peu sexy... Et puis zut, après tout il ne va pas se plaindre quand même... Je n'aurai qu'à dire que c'est pour lui. Ainsi Marie opta pour un boxer blanc en dentelle et le soutien gorge assorti, elle mit une paire de dim-up de couleur claire, une jupe grise qui arrivait au dessus du genou et un chemisier rouge. Une fois arrivée au travail elle fit, comme tous les matins, la bise à Florence et Eva et alla s'asseoir à *** bureau. Florence : Vous n'avez pas trop galéré hier soir les filles ? Eva : Non ne t'inquiètes pas, cela a été, on a pas travaillé trop tard. Marie : Oui, on a pas vu le temps passer. Pendant toute la matinée, Marie et Eva eurent du mal à se concentrer sur leur travail, et pour cause, elles passèrent leur temps à s'envoyer des mails à propos de leur expérience d'hier soir. Eva : Alors, remise de tes émotions ? Marie : Oui, mais j'ai eu beaucoup de mal à m'endormir hier soir. Eva : Moi aussi, j'étais encore toute excitée. Marie : C'est pareil, j'avais encore envie de sentir tes mains et ta langue sur mon corps. Eva : Tu m'as donné tellement de plaisir hier, moi aussi j'avais encore envie de toi. Marie : Si tu veux, tu pourras passer un soir chez moi la semaine prochaine. Eva : Ce sera avec plaisir. Mr Lambert vint interrompre cet échange de mails un peu avant midi : Marie, vous pouvez venir dans mon bureau s'il vous plait. Marie savait très bien ce qu'il attendait, *** responsable allait réclamer *** du, mais elle était plutôt contente car cette échange de messages avec Eva l'avait un peu émoustillée. Marie s'assit de l'autre coté du bureau de Mr Lambert en prenant bien soin de faire frotter ses jambes l'une contre l'autre afin de faire crisser ses bas. Elle avait également fait remonter sa jupe de telle sorte que Mr Lambert ait une vue imprenable sur la lisière de ses bas. Marie n'écoutait même pas ce que lui disait Mr Lambert, elle passait de temps sa langue autour de ses lèvres, elle croisait et décroisait sans cesse ses jambes, continuant ainsi à faire crisser ses bas, elle grattait également délicatement le fin tissu qui recouvrait *** genou. Elle avait envie de le rendre fou afin qu'il se soulage de toute sa frustration et de *** excitation dans une partie de baise mémorable. Mr Lambert excité comme jamais avait du mal à garder *** calme et sa concentration, heureusement les deniers employés venaient d'aller déjeuner, ils étaient seuls. Mr Lambert se leva fit le tour de *** bureau, il fit tomber *** pantalon en sortit *** sexe et le présenta à Marie qui était toujours assise. Elle le prit en bouche immédiatement, offrant la douceur de *** palais à ce phallus déjà bandé par le plaisir. Mr Lambert : Suce moi petite salope, depuis le temps que tu m'excites. Marie ne répondit pas, trop occupée à déguster la queue qui lui était offerte. Mr Lambert : Au fait merci pour hier, grâce à toi j'ai des photos très sympathiques, je n'ai plus qu'à m'organiser un tête à tête avec Eva. Marie : Mfff... Mr Lambert : Bientôt je vais aussi la baiser cette petite salope, depuis le temps qu'elle m'allume, elle ne va pas être déçue. Marie : Mfff... Mr Lambert : Alors elle est bonne sa petite chatte, en tout cas tu avais l'air d'aimer hier. Marie : Mfff... Oui, elle est bonne sa chatte... Mr Lambert : Et *** cul, il a l'air serré *** petit cul. Marie : Mff... Oui... Mr Lambert : Elle s'est déjà faite enculer ? Marie : Mfff... Non, jamais... Mr Lambert : Génial, elle ne va pas être déçue quand je vais lui mettre dans *** petit cul, elle va devenir complètement accro, comme toi. Marie : Mfff oui... J'aime bien... Mffff... quand tu me la mets dans le cul... Pendant ce temps là, Marie avait écarté les jambes sur *** fauteuil, glissé une main *** *** boxer et commencé à se caresser. La situation actuelle l'excitait et en plus elle imaginait *** responsable en train de baiser sa collègue par tous les orifices, ces visions ne faisaient que décupler *** désir. Puis à un moment Mr Lambert allongea *** bras qu'il plongea dans le tiroir de *** bureau, il en sortit un préservatif et un petit tube de lubrifiant, il tendit le préservatif à Marie et lui dit : Mets moi ça, vu que tu as l'air d'être une sacrée salope, je préfère prendre mes précautions, on ne sait jamais. Cette remarque rappela Marie à la réalité, en effet, en quelques jours elle avait laissé plusieurs hommes déverser leurs semences en elle, elle se dit que *** responsable avait bien rai*** et que de *** coté, elle prendrait également ses dispositions à l'avenir. Elle déchira l'emballage du préservatif et le posa sur le gland, elle posa ses lèvres sur le capuchon et commença à faire descendre la fine protection en latex le long de la tige. A chaque fois, ses lèvres faisait descendre le préservatif un peu plus bas, puis une fois que le gland buta au fond de sa gorge, elle utilisa sa main pour dérouler le préservatif jusqu'en bas du sexe nervuré. Elle n'aimait pas trop le gout du latex, elle n'y goutait que quelques fois dans l'année, à chaque fois c'était pour faire plaisir à *** mari. Elle lui offrait le temps d'une poignée de minutes une courte fellation mais avec un préservatif. Elle continua de lécher avidement le sexe pendant quelques minutes, tout en le suçant, elle le fixait droit dans les yeux, avec un regard de chienne en manque de sexe. Au bout d'un moment, Mr Lambert la fit se lever et s'asseoir sur le bord du bureau, il remonta la jupe de Marie et plongea sa tête entre ses compas. Il fit tomber le boxer et commença à lécher le sexe de Marie. Mr lambert : Mmmm, j'adore ta petite chatte, elle sent si bon. Marie : Ahhh oui... Lèche le bien mon petit minou...
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chrislebo
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Mr lambert continuait de laper soigneusement Marie, puis il se saisit du petit tube de lubrifiant, appuya sur la pompe pour en faire sortir une noisette qu'il appliqua sur sa rosette. *** doigt coulissa instantanément et sans aucune difficulté dans *** œillet. Marie : Ahhh... Oui... Mr Lambert : Mm, ton petit cul me fait vraiment craquer, je crois que je vais encore t'enculer tout de suite. Marie : Oui, viens me la mettre dans le cul ta grosse bite. Mr Lambert se releva, déposa du lubrifiant sur le préservatif et posa *** gland sur l'anus de Marie qui avala aussitôt l'offrande qui lui était offerte. Marie : Ahhhhh... Putain c'est bon... Mr Lambert : Tu aimes vraiment ça te faire défoncer le cul, espèce de petite salope. Marie : Ahhhhh... Oui, putain c'est trop bon... Ahhhhhh... Continue... Marie avait également mis deux doigts dans sa sexe qu'elle agitait avec frénésie. Mr Lambert : Bientôt, elle sera dans celui de ta collègue ma grosse queue, elle a aimé ça quand tu lui as collé deux doigts dans le cul ? Marie : Hannn... Oui... Han... Elle a aimé. Mr Lambert continua de pistonner sauvagement Marie, il faisait rentrer la totalité de *** sexe dans ses entrailles, Marie haletait sur le bureau, *** visage était cramoisi et congestionné par le plaisir. Mr Lambert avait saisi les jambes de Marie et il avait déposé ses chevilles sur ses épaules, il léchait copieusement les jambes gainées de *** assistante. Mr Lambert : Ah putain tu m'excites trop petite salope, je vais te défoncer le cul Marie : Hannn ouuuuuiiiiiiiii... Défonce moi le cul... Marie gémissait de plaisir sous les coups de boutoir que lui assenait *** chef : Hannnnnn... Putain... Vas-y... Plus fort... Mr Lambert redoublait d'efforts et faisant claquer *** bassin de plus en plus fort contre les cuisses de Marie : Tiens... Prends ça dans ton cul petite salope... Je vais tellement bien te le baiser que tous les jours tu viendras mendier pour que je te la refourre dans ton petit cul. Marie : Hannnnn... Oui... Han... Tu pourras me... Han... Baiser tous les jours... Mr Lambert : Tu vas devenir ma petite pute ... Hein... Marie : Hannn... Putain c'est trop bon... Hannnnn... Claque moi bien le cul... Han... Avec ta grosse queue. Mr Lambert sentait qu'il n'allait pas tarder à venir, il sortit du cul de Marie, la fit mettre à genoux, retira d'un seul coup le préservatif et colla sa queue dans sa bouche : Tu vas me sucer pour finir, j'ai envie de te gicler dans la bouche. Marie sans rechigner, prit la queue dans sa main et commença à la branler énergiquement, elle avait la bouche ouverte, prête à recueillir ce précieux nectar. Emportée par le frénésie sexuelle qui s'était emparée de *** corps, Marie porta sa deuxième main jusqu'à la raie culière de *** responsable et commença à caresser *** anus. Cette caresse retentit comme une décharge dans le corps de Mr Lambert, presque aussitôt un premier jet de sperme sortit de *** sexe et retomba sur la langue de Marie, puis trois autres jets rejoignirent le premier et finirent leur course dans sa bouche. Mr Lambert : Ahhhhh putain salope... Vas-y avale tout... Marie eut un peu de mal à déglutir vu la quantité de sperme qu'il lui avait envoyé, mais elle réussit tant bien que mal à tout avaler. Elle passa même *** doigt à la commissure de ses lèvres pour récolter les quelques goutes qui s'y étaient égarées. Elle ne trouva pas le gout si désagréable que ça, c'était certes particulier mais nettement moins pire que ce qu'elle s'était toujours imaginée. Une fois qu'elle eut tout avalé, Mr Lambert s'adressa à elle : Décidément, tous m'étonnes un peu plus tous les jours, vu que as l'air d'aimer le sperme, tu vas me nettoyer la bite maintenant. Marie obtempéra et commença à nettoyer soigneusement le sexe avec sa langue, elle se mit à lécher méthodiquement la tige, puis elle enfourna le gland dans sa bouche et aspira les derniers résidus de sperme qui subsistaient ici et là. En quelques minutes, Marie avait effacé toute trace de jouissance de la queue qu'elle tenait en main. Mr Lambert : Décidément c'est un vrai repère de salopes ici, moi qui pensait que c'était Florence la plus chaude, je me suis bien trompé. Bon , tu peux aller déjeuner, je n'aurai plus besoin de tes services aujourd'hui, tu m'as complètement vidé. Par contre pour lundi, tu me reverras la coupe de ton maillot, je préfère un petit ticket de métro comme Eva, ou tu peux même tout enlever, je te laisse choisir. Marie : Très bien Monsieur je m'en occuperai ce week-end. La journée se termina normalement et Marie rentra chez elle. A sa grande surprise, *** mari Benoit était déjà rentré, lui aussi fut surpris de la trouver si élégante. Benoit : Dis donc ma chérie tu en es élégante aujourd'hui, c'est pour moi que tu t'es faite toute belle. Marie : je te plais habillée comme ça. Benoit : Un peu oui, ça change... Elle vint se coller à lui et l'embrasser tendrement, elle commença à se frotter contre la cuisse de *** mari. Sentant l'excitation monter, elle lui prit la main et l'entraina dans la chambre. Benoit était complètement déboussolé mais tellement content qu'il suivit bêtement sa femme. Elle jeta *** mari sur le lit et vint s'allonger sur lui, elle l'embrassait fiévreusement tout en frottant *** entre-jambe contre le sexe de Benoit qu'elle sentit durcir rapidement sous *** pantalon. Benoit caressait les cuisses de sa femme et remontait petit à petit. Il fut étonné et agréablement surpris de tomber sur des bas, Marie n'en mettait quasiment jamais. Il passa ensuite sa main sous *** boxer et commença à promener sa main entre les fesses pour finalement tomber sur la chatte toute humide de sa femme. Marie continuait d'embrasser Benoit pendant qu'il caressait tendrement *** sexe, elle poussait de petits gémissements encourageant *** mari à continuer ses caresses. Au bout d'un moment, Marie se releva et baissa le pantalon le boxer de Benoit, elle alla vers la table de nuit prit un préservatif. Benoit était aux anges, il savait qu'il aurait droit à une petite fellation, à sa grande surprise Marie vint placer sa croupe au dessus de *** visage, puis elle dit à *** mari : Lèche moi bien pendant que je te suce. Marie posa le préservatif sur la gland et commença à le faire descendre sur la tige, le sexe de *** mari était beaucoup moins long que ceux qu'elle avait côtoyé ernièrement, elle n'eut aucun mal à le descendre totalement. Une fois la fine protection de latex en place, elle se mit à sucer passionnément la queue qu'elle avait entre les mains. Benoit jubilait, jamais sa femme ne l'avait sucé de la sorte, contrairement aux fois précédentes, il sentait qu'elle y prenait du plaisir, il se décidait donc de lui rendre la pareille du mieux possible. Il avait ôté le boxer et léchait la fente qui était au dessus de *** visage, il enfonçait sa langue le plus loin possible dans la chatte de sa femme. Marie poussait maintenant des gémissements réguliers et prononcés : Mfffffff... Mffffffff... Encouragé par les nouvelles dispositions de sa femme, il commença à masser doucement sa rosette avec *** doigt, d'habitude, dès qu'il touchait à cet orifice, Marie le repoussait immédiatement. A *** grand étonnement, cette fois elle ne dit rien, cela faisait plusieurs minutes qu'il titillait *** œillet, il lui semblait que le bassin de Marie ondulait plus nettement depuis qu'il s'intéressait à *** petit trou. Il avait une envie folle de l'enculer mais n'osait pas lui demander de peur qu'elle se braque.
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chrislebo
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Marie se releva, se mit face à *** mari et vint s'empaler d'un seul coup sur *** sexe, elle se mit à le chevaucher sauvagement, c'est elle qui avait pris les commandes et qui imprimait le rythme. Benoit subissait le rythme effréné auquel il était soumis par *** épouse, il se contentait de caresser ses cuisses mises en valeur par les bas. Sa femme était également beaucoup plus expressive que d'habitude : Ah... oui... C'est bon... Continue... Marie commençait à ressentir un manque au niveau de *** cul, elle avait envie de se faire sodomiser mais elle n'osait pas le demander à Benoit, elle avait peur qu'il se doute de quelque chose face à de tels changements au niveau de *** comportement. Mais l'envie de se faire enculer fut la plus forte, elle se leva et se mit à quatre pattes sur le lit, puis elle dit à *** mari : Viens me prendre par derrière s'il te plait, si tu veux j'ai acheté du lubrifiant, il est dans la table de nuit. Benoit se demandait s'il ne rêvait pas, même dans ses rêves les plus fous il n'aurait jamais imaginé une soirée pareilel, il demanda quand même : Tu es sure, tu n'as jamais voulu avant. Marie : Oui mais ce soir je suis ta chose, j'ai envie que tu me prennes par là. Benoit appliqua du lubrifiant sur l'anus de Marie et commença à insérer un doigt, à sa grande surprise celui rentra facilement dans le cul de sa femme, il lui dit : Ca va, je ne fais pas mal ? Marie eut envie de lui crier : Vas y, fourre moi ta queue dans le cul tout de suite, avec celles que j'ai prises dernièrement tu peux me le mettre tout de suite. Elle lui répondit simplement : Non, ça va... Continue. Il continua donc ses va-et-vient dans le fondement de sa femme, mais celle-ci ne pouvait plus attendre et lui dit : Hann ...chéri, je n'en peux plus ...... mets là moi tout de suite. Benoit vint se placer derrière le cul de sa femme et posa sur gland sur *** petit trou, il poussa un peu et s'enfonça facilement. Il se retrouva très vite avec la totalité de *** sexe dans les entrailles de Marie. Même si la sensation était moins extrême qu'avec les sexes qu'elles avaient connus récemment, elle n'en demeurait pas moins très agréable. Pour augmenter *** plaisir, Marie passa la main sous *** ventre et se caressa le clitoris. Benoit lui appréciait étroitesse se ce conduit, mais fut quand même étonné de la facilité avec lequel *** membre coulissait dans le cul de sa femme, il se dit en lui même : Elle doit avoir des pré-dispositions pour la sodomie, pour une première fois cela se passe plutôt bien. C'était bien la peine de faire la mijaurée de me faire attendre si longtemps. Marie quant à elle encourageait *** mari : Hannn vas y... Han... Plus fort... Il se mit à la culbuter de plus en fort, faisant taper ses testicules contre le sexe de sa femme. Elle apprécia ce changement de cadence et lui fit savoir : Hannn... Ouiiiiiii... Hannn... Encore plus fort... Hannn... Défonce moi... Excité par les paroles crues de sa femme, il fit claquer encore quelques fois *** bassin contre les fesses de sa femme et il envoya sa semence au fond du préservatif. Il s'écroula ensuite sur elle, épuisé et vidé par l'appétit sexuel de sa femme. Cette dernière restait sur sa faim, mais elle allait devoir se contenter de *** mari pour ce week-end, et puis elle pensait à Eva qu'elle allait retrouver lundi et qu'elle comptait inviter le soir à la mai***. Il y aurait aussi les réunions du midi avec Mr Lambert et surtout à Patrice et Michel qui devaient repasser mardi. Bref elle se disait que la semaine allait être bien remplie, et elle aussi dans doute...
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chrislebo
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Marie fit l'amour plusieurs fois avec *** mari ce week-end là, elle lui avait demandé à chaque fois de la sodomiser, elle était devenue complètement insatiable, elle qui il y a encore très récemment ne laissait même pas Benoit lui toucher *** œillet s'étonnait elle même d'un tel changement de comportement. Lundi matin Benoit était reparti très tôt en déplacement, mais cette fois c'est avec un pincement au cœur qu'il quittait sa femme, elle l'avait mis sur les rotules et il avait déjà hâte d'être à vendredi pour passer un nouveau week-end de baise endiablée avec sa femme. Aujourd'hui Marie avait envie d'être sexy et provocante comme jamais, elle avait déjà prévue d'inviter Eva à diner le soir même et ne doutait pas que la soirée finirait de la plus torride des manières. Elle se doutait également que *** pervers de responsable allait une nouvelle fois la convoquer pour une "réunion" sur l'heure du repas. Ce matin là, elle l'enfila l'ensemble blanc que Patrice et Michel lui avaient fait mettre lors de leur deuxième visite,.Elle enfila délicatement le soutien gorge en dentelle, puis le porte-jarretelles avec une large ceinture. Elle y attacha une paire de bas gris qui galbaient parfaitement ses jolies jambes. Puis elle enfila par dessus un string blanc transparent qui laissait deviner un sexe maintenant complètement imberbe. Elle avait obéi à *** chef et s'était rendue samedi après-midi dans un salon pour demander une épilation intégrale du maillot. Elle avait dit à *** mari qu'elle avait fait ça pour lui faire plaisir, ce dernier eut d'ailleurs l'occasion d'apprécier la douceur de cette nouvelle "coupe". Par dessus elle mit une robe noire qui lui arrivait au dessus du genou et une paire de chaussures à talon. Marie arriva donc rayonnante au travail, elle salua Eva et Florence. Pendant la matinée Marie et Eva échangèrent quelques mails afin de convenir d'un rendez-vous, elles devaient donc se retrouver après le travail pour faire un peu de shopping, puis elles iraient ensuite diner chez Marie pour un petit tête à tête. La matinée se passa normalement, Marie voyait midi arriver, elle attendait que Mr Lambert la convoque dans *** bureau, elle imaginait la tête qu'il ferait quand il verrait sa belle lingerie et *** sexe vierge de toute pilosité. Elle pouvait presque sentir sa langue glisser sur sa fente. Bref Marie commençait quelque peu à se tortiller sur *** siège et *** sexe commençait à s'humidifier. Puis Florence dit : "On va manger les filles ?" Il était déjà 12h05 et Mr Lambert n'était pas venu la chercher, Marie était déçue, et c'est un peu à contre cœur qu'elle alla déjeuner avec ses collègues. L'après-midi fut studieuse, Marie réussit à calmer le feu qu'elle avait en elle pour se concentrer sur *** travail. C'était déjà la fin de la journée, les filles étaient de train de ranger leurs affaires et s'apprêtaient à partir quand Mr Lambert déboula dans leur bureau : "Marie, Eva il faut que je vous vois une petite demi-heure, j'aimerais faire un point sur un dossier que vous aviez vu toutes les deux l'autre soir, on se retrouve dans la salle de réunion dans 10 minutes." Les filles se regardèrent, stupéfaites. Marie quant à elle savait très bien où Mr Lambert voulait en venir, il voulait les baiser toutes les deux en même temps. Rien qu'à imaginer cette perspective, elle commençait à sentir sa fente s'humidifier. Docilement Marie et Eva prirent leurs dossiers et allèrent en salle de réunion. Mr Lambert arriva quelques minutes après, l'air grave. Il leur dit d'un ton solennel : "Mesdemoiselles, j'ai un problème avec vous" Eva : "Ah bon, mais de quoi s'agit il ?" Mr Lambert : "En fait c'est assez délicat." Marie : "Mais allez y, dites nous ce qui se passe." Mr Lambert : "Et bien en fait, on m'a transmis des photos de vous deux prises quand vous êtes restées travailler tard un soir. Malheureusement, vu le contenu de ces photos et surtout vu ce que vous faisiez, je n'ai pas le choix, il va falloir que je transmette tout ça à la direction." Tout en disant cela, Mr Lambert fit glisser sur la table plusieurs clichés dont la teneur ne laissait aucun doute sur le genre d'activités auxquelles s'adonnaient Marie et Eva ce soir là. Eva était rouge de confusion et ne parvenait à faire sortir aucun *** de sa bouche. Marie feignait également l'anéantissement. Elle savait très bien ou voulait en venir *** chef, elle argumentait alors dans ce sens en jouant la comédie du mieux qu'elle pouvait. Marie : "Mais ce n'est pas possible, vous ne pouvez pas nous faire ça." Mr Lambert : "Écoutez je suis désolé mais je n'ai pas le choix." Marie : "Mais il doit bien y avoir un moyen de s'arranger." Mr Lambert : "Mais je ne vois pas comment on pourrait s'arranger Marie, à moins que ..." Marie : "A moins que quoi ?" Mr Lambert : "A moins que vous soyez très gentilles et deveniez mes deux putes per***nelles." Le sexe de Marie s'humidifia instantanément, elle se dit : "Le salaud, il n'y va pas par quatre chemins." Eva quant à elle était au bord des larmes, elle protestait avec véhémence et indignation : "Non mais ça ne va pas espèce de dégueulasse." Mr Lambert : "C'est vous qui voyez." Marie : "Eva, tu te rends compte si ces photos ***t publiées et diffusées, tu penses à mon mari !!!" Eva ne répondit rien et se contenta de baiser les yeux, prête à éclater en sanglot. Mr Lambert : "Bon, commencez par vous gouiner un peu comme sur les photos." Feignant l'hésitation, Marie prit la main d'Eva et la fit se lever, puis elle commença à l'embrasser tendrement. Elles restèrent ainsi les lèvres collées pendant quelques minutes, Marie commençait à caresser les fesses de sa collègue par dessus sa robe, mais cette dernière restait pour l'instant indifférente et impassible à ces attouchements. Voyant cela, Mr Lambert leur ordonna de se déshabiller. Eva : "Non, je vous en prie." Mr Lambert : "Ferme là et pense aux photos !!!" Marie s'approcha d'Eva et commença à la dévêtir commençant par enlever *** chemisier puis sa jupe. Elle ne portait plus qu'un soutien gorge en dentelle noir, le string assorti ainsi qu'une paire de bas couleur chair. Eva fit tomber à terre la robe de sa collègue, laissant apparaitre le superbe ensemble blanc avec le porte-jarretelles auquel étaient suspendus une paire de bas gris. Mr Lambert : "Décidément, c'est un repaire de salopes cette boite, ce n'est pas possible !!!" Il dit ensuite à Eva : "Enlève ton soutien gorge et ton string, garde juste tes bas." Puis à Marie : "Reste comme ça toi, tu me fais bander avec tes dessous." Puis il ordonna aux deux jeunes filles de se mettre en 69 sur la table : "Vous allez vous lécher un peu pour commencer" Eva s'allongea sur la table, Marie vint se positionner au dessus d'elle offrant ainsi sa croupe à sa collègue. Voyant qu'elles hésitaient encore un peu, Mr Lambert les encouragea : "Allez ça suffit, léchez vous maintenant je commence à perdre patience". Marie plongea sa tête entre les jambes d'Eva et commença à lécher doucement sa fente. Une fois que *** sexe était un peu plus humide, elle y plongea doucement un premier doigt qu'elle commença à faire aller et venir dans sa vulve. Marie sentit à *** tour la langue de collègue se poser sur sa chatte. Au bout de quelques minutes, les deux femmes se léchaient et se doigtaient allégrement, elles avaient oublié la présence de Mr Lambert. Celui avait d'ailleurs sorti *** énorme tige qu'il masturbait doucement. Pendant que Marie et Eva continuaient de se butiner, Mr Lambert les encourageait : " Allez y petites salopes, vous aimez ça vous brouter le minou, profitez en bien, tout à l'heure c'est à ma queue que vous allez gouter". Elles ne faisaient pas attention à ses paroles tellement elles étaient excitées, elles se léchaient et se caressaient mutuellement tout en poussant des petits gémissements de plaisir. Leur responsable profitait du spectacle qui lui était offert, il commençait à caresser doucement les corps des deux femmes. Il passait sa main sur le dos de Marie puis il se mit à flatter ses cuisses et ses mollets recouverts pas ses bas gris. Il passa ensuite à Eva et commença à passer sa main à l'intérieur de ses cuisses elles aussi plongées dans de jolis bas. Les filles continuaient de se déguster pendant que Mr Lambert continuait d'explorer leurs corps. Marie excitée comme jamais commença à plonger un doigt dans l'anus de sa collègue, elle put le rentrer facilement car la cyprine qui coulait abondamment de la chatte d"Eva était venue lubrifier naturellement *** petit trou. Les corps des deux femmes s'agitaient fiévreusement sur la table. Dans la grande pièce on entendait les bruits des langues des deux jeunes femmes, leurs gémissements et le bruit du crissement des bas que provoquait Mr Lambert en passant sans cesse sa main sur les cuisses de ses deux victimes. Mr Lambert n'en pouvait plus, il avait envie de fourrer sa queue dans ces chattes qui avaient l'air si accueillantes. Il prit un préservatif dans sa veste et l'enfila rapidement, il fit ensuite signe à Marie pour qu'elle se relève, il attrapa Eva par les chevilles et le tira sur la table, les fesses près du bord. Il posa ses chevilles sur ses épaules et commença à frotter *** gland le long de la fente. Eva avait été chauffée à blanc par Marie, elle poussait des petites soupirs alors que le sexe de *** responsable courait le long de sa fente.
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chrislebo
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Avant de la baiser, Mr Lambert voulait la briser et faire d'elle sa chose comme il l'avait fait pour Marie, il lui dit : "Tu veux que je te baise ? " Eva : "Mmmm" Mr Lambert : " Je n'ai pas entendu, tu veux que je te baise ?? " Eva : "Mmmm ... ouiii ...." Mr Lambert : "Demande le moi alors " Eva : "Mmm allez y ..... baisez moi" Sans plus attendre, il commença à enfoncer sa queue dans le sexe d'Eva, cette dernière poussa un lourd gémissement, sans doute due à la taille du sexe qu'elle avait dans *** ventre. Elle qui papillonnait à droite et à gauche avait un certain vécu au niveau sexuel, mais elle ne se rappelait pas avoir jamais été remplie de la sorte. Elle se faisait maintenant baiser copieusement, *** responsable lui donnait de grands coup de rein, envoyant à chaque fois *** sexe un peu plus loin au fond du vagin d'Eva. Elle gémissait et ne pouvait plus cacher *** plaisir, ses seins ballotaient au rythme des coups de boutoir de Mr Lambert. Celui continuait *** travail ************ : "Alors salope, tu l'aimes ma bite ?" Eva : "Hann .... oui ...." Mr Lambert : "Dis le" Eva : "Hannn ouiii ..... elle est bonne ta grosse bite" Mr Lambert : "Tu vas lécher ta copine, pendant que je continue de te baiser" Eva : "Hann ... oui ....." Mr Lambert : "Tu aimes ça aussi lécher la chatte de ta copine" Eva : "Hann oui .... j'aime ça" Mr Lambert : "Et bien vas y" Puis il fit signe à Marie, celle ci comprit le message et vint s'asseoir à califourchon au dessus d'Eva, lui présentant *** sexe au dessus de *** visage. Marie ne tarda pas à pousser de petits gémissements sous l'effet des caresses buccales d'Eva, *** bassin ondulait et tressautait. Elle fixait Mr Lambert dans les yeux tout en se caressant les seins, elle le provoquait et l'allumait en passant sa langue autour de ses lèvres. Celui ci comme pour la narguer et l'exciter à *** tour se mit à frotter *** visage contre les mollets gainés d'Eva et se mit à les lécher par dessus ses bas. Ne voulant pas être en reste, Marie abandonna sa poitrine et se mit à passer ses mains sur ses cuisses, elle se mit à effleurer ses bas avec ses ongles, créant ainsi ce petit bruit très particulier qui excitait tellement *** responsable. Ce dernier rendu hystérique par ces crissements se mit à pilonner Eva de plus en fort, elle n'arrivait plus à lécher Marie tellement il y allait, elle criait *** plaisir : "Hannn oui ........ vas y .... Han ....... c'est bon ...." Mr Lambert se décida soudain à passer aux choses sérieuses, il dit à Marie : " Viens la lécher pendant que je vais l'enculer". Marie se pencha vers le bas ventre d'Eva et sa langue vint remplacer le sexe de *** responsable. Puis il tendit à Marie un petit tube de lubrifiant et lui dit : "Vas y prépare la bien, une fois que *** petit cul aura gouté à ma bite, il ne pourra plus s'en passer". Marie appliqua une petite noisette de gel sur la rosette de a collègue et tout en continuant à aspirer *** petit clitoris, elle commença insérer un puis deux doigts qu'elle commença à faire coulisser lentement. Eva appréciait la façon dont Marie s'occupait de ses deux orifices, elle ronronnait de plaisir. La jugeant prête à recevoir sa grosse queue, Mr Lambert positionna *** gland à l'entrée du cul d'Eva et se mit à pousser doucement. Il ne voulait pas la brusquer, il voulait au contraire lui procurer un maximum de plaisir afin de la soumettre complétement. *** gland était passé, il s'arrêta un moment, Eva poussait des petits gémissements de douleur. Voulant l'aider à passe ce cap difficile, Marie se remit et lécher sa fente et *** clitoris de plus belle. Mr Lambert voyant qu'Eva s'était maintenant accommodée à cette présence en elle se remit à pousser doucement, faisant ainsi progresser *** membre centimètre par centimètre au fond des entrailles de sa collaboratrice. Puis il se retirait tout en gardant *** gland dans *** conduit si serré. Il recommençait ensuite *** exploration en allant un peu plus loin à chaque fois. Eva commença vraiment à apprécier cette toute première sodomie, : "Hann doucement ....ouiii ....comme ça ....." Mr Lambert : "Mmmm il est bien serré ton petit cul, tu ne jamais faite enculer avant ?" Eva : "Hannn .... non jamais ...." Mr Lambert : "Et alors, tu aimes ça te faire enculer ?" Eva : Mmmm .... ouii" Mr Lambert d'un ton plus insistant : "Tu aimes quoi, je ne t'ai pas entendu ??" Eva : "Hannnn ...... j'aime .......quand tu m'encules ......" ******************* Florence venait de sortir du travail, elle allait pénétrer à l'intérieur du centre commercial situé à proximité. Au moment de rentrer elle se rendit compte qu'elle avait oublié *** sac à main au bureau : "Ce n'est pas vrai, quelle idiote je suis". Elle remonta donc dans sa voiture et prit la direction de *** travail. Elle pénétra dans les locaux, il n'y avait plus per***ne. Une fois arrivée dans *** bureau, elle trouva *** sac à main par terre près de *** fauteuil. Elle allait partir quand elle remarqua que les affaires de Marie et Eva étaient encore là. Elle pensa : "Les pauvres, elles doivent se prendre un sacré savon". Soudain remplie de curiosité, Florence se dirigea en silence vers la salle de réunion pour voir ce qui s'y passait et si ses collègues ne subissaient pas les foudres de Mr Lambert. Plus Florence se rapprochait de la salle plus il lui semblait entendre des bruits bizarres, le genre de bruits qui n'avaient rien à faire ici. Elle arriva près de la porte, elle s'arrêta près de l'encadrement, restant dissimulée derrière le mur. Elle entendait une femme gémir, la voix lui semblait familière mais elle n'en était pas sure. Elle pencha sa tête furtivement pour voir ce qu'il se passait, elle n'en crut pas ses yeux, Mr Lambert en train de baiser Eva, et Marie tête bêche sur sa collègue. Elle croyait qu'elle rêvait, elle se demandait comment cela pouvait être possible. Elle pencha de nouveau la tête, le trio ne la voyait pas trop occupé qu'il était. Elle n'avait pas rêvé, Mr Lambert avait posé les chevilles d'Eva sur ses épaules et était en train de lui donner de grands coups de rein. Marie était en 69 au dessus de sa collègue la tête entre ses jambes. Même si elle ne voyait pas distinctement ce qu'elle faisait, elle pouvait très facilement l'imaginer. Florence voulait partir, mais *** corps était figé, elle ne pouvait détacher *** regard de ce spectacle obscène. Pire même, *** bas ventre commençait à se réchauffer et *** sexe à s'humidifier. Elle commençait à avoir chaud, ses joues étaient cramoisies et ***s sang venait cogner contre ses tempes. Excitée par ce spectacle, elle passa une main sous sa jupe et commença à se caresser par dessus *** collant noir. Plus elle regardait ses collègues, plus elle avait envie de se joindre à eux, mais elle restait là à les regarder tout en passant sa main sur *** sexe. Pendant ce temps, Mr Lambert continuait d'enculer Eva, celle ci était au bord de la jouissance, la bite de *** chef et la langue de sa collègue lui procuraient des sensations inouïes. Mr Lambert : "Alors, tu aimes que je te fourre le cul avec ma grosse queue" Eva : "Hannn ...... ouiiii ......." Mr Lambert : "Maintenant tu seras à moi, je te baiserai tous les jours si j'en ai envie, compris salope ?" Eva : "Hann ..... oui ...... j'ai encore envie de ta queue ........." Mr Lambert : "Ne t'inquiètes pas, tu y gouteras tous les jours si tu veux à ma queue, je te la mettrai dans tous les trous" Eva était aux anges, elle sentait cet énorme sexe aller et venir dans ses entrailles, cette sodomie conjuguée avec les caresses de Marie la rendait folle. Elle n'arrivait même plus à s'occuper de la chatte de Marie tellement elle haletait. Excité par les deux femmes, Mr Lambert était au bord de la jouissance, il sortit *** sexe du cul d'Eva, ôta rapidement le préservatif et envoya plusieurs giclées sur le sexe et le bas ventre d'Eva. Puis il dit à Marie : "Nettoie là, lèche moi tout ça" Florence de *** coté était complétement émoustillée, sa main était maintenant sous sa culotte et elle avait introduit un doigt dans *** sexe en feu. Cette scène de débauche avait fait naitre dans *** bas ventre un incendie qui la consumait de l'intérieur. Même si elle ne le voyait pas complétement, elle était impressionnée par la taille du sexe de Mr Lambert. Elle qui pourtant offrait parfois *** plus petit orifice à *** mari, se demandait comment faisait Eva pour accepter un tel calibre et surtout pour y prendre autant de plaisir. Marie et Eva étaient toujours en train de se caresser et de se lécher mutuellement, il ne restait plus aucune trace de sperme sur le bas ventre et le sexe d'Eva. Marie, selon les ordres de Mr Lambert l'avait soigneusement nettoyée, voyant cela, leur maitre chanteur leur dit : "Venez me sucer maintenant pour que je sois bien dur afin que je puisse encore vous baiser" Les deux jeunes femmes descendirent du bureau et vinrent se mettre à genoux devant leur supérieur, celui-ci il tendit *** sexe à Marie qui l'empoigna et commença à le sucer et à dévorer *** gland. Eva restait accroupie à regarder sa collègue prendre cette énorme queue en bouche, mais elle n'osait pas la toucher et encore moins poser lèvres dessus. Voyant cela, Marie la délaissa et vint embrasser Eva, puis elle attira sa bouche vers la queue de *** chef. Eva se retrouva donc à *** tour en train de s'affairer avec le sexe de Mr Lambert, elle avait également beaucoup de mal à le sucer tellement il était imposant et se contentait de s'occuper de *** gland. Marie vint lui prêter main forte et se mit à s'occuper de sa tige, elle la lustrait avec application et remonta doucement vers l'extrémité pour rejoindre la langue d'Eva. Eva et Marie suçaient leur responsable tout en le regardant droit dans les yeux, elles le fixaient intensément avec un regard lubrique. Mr Lambert avait l'impression de se retrouver en plein milieu d'un film pornographique. Ses deux assistantes se battaient presque pour savoir laquelle allait déguster sa queue, il poussait de profonds soupirs de contentement et de plaisir. C'était inutile, mais il les encourageait quand même : "Allez y, sucez moi bien petites salopes". Émoustillées par ces paroles, elles redoublèrent d'ardeur sur la tige qu'elles étaient en train de dévorer. Elles s'embrassaient à pleine bouche tout en lapant le gland de Mr Lambert. Marie profita de cette proximité avec sa collègue pour passer une main sous ses fesses et commença à lui mettre un doigt dans sa vulve. Cette dernière, surprise mais loin d'être déçue, lui rendit gentiment la politesse en allant flatter à *** tour sa petite chatte qui dégoulinait de plaisir. Les deux femmes ondulaient maintenant du bassin sous l'effet de leurs attouchements respectifs, elles restaient néanmoins concentrées sur la fellation qu'elles étaient en train de prodiguer à leur responsable. Mr Lambert avait retrouvé une superbe érection et ne voulait pas se faire sucer trop longtemps afin de pouvoir baiser convenablement *** autre salope. Il releva Marie, la fit pivoter pour qu'elle lui tourne le dos et prenne appui sur le bureau, puis il enfila un préservatif et sans le moindre ménagement lui enfila sa queue dans la chatte. Alors qu'il commençait à la pistonner, il dit à sa collègue : "Viens sur le bureau, elle va te lécher pendant que je la baise". Docilement Eva vint s'assoir sur le bureau, elle écarta bien les jambes pour que Marie ait accès à sa fente, puis s'allongea sur le dos.
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chrislebo
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Tout en baisant Marie, Mr Lambert pouvait admirer le joli sexe d'Eva surmonté par une petite bande poils finement taillée. Il prenait Marie comme une chienne, lui envoyant de grands coups de rein, celle ci poussait de grands cris de plaisir et avait bien du mal à lécher correctement sa collègue. Eva était complètement décomplexée, elle appuyait la tête de Marie contre sa fente et lui disait : "Ah vas y, lèche moi bien, c'est tellement bon". Elle s'était allongée sur le dos et caressait ses seins pendant que Marie se délectait de sa fente. Mr Lambert avait d'ailleurs quelque peu ralenti le rythme afin qu'elle puisse la lécher correctement. Florence quant à elle se caressait toujours fiévreusement tout en se demandant comment ses collègues avaient pus s'adonner à ce genre de débauche. Elle sentit d'un seul coup une main se plaquer sur sa bouche, elle reconnut l'uniforme de la société qui faisait le ménage dans les locaux. L'homme était grand, sa peau noire comme l'ébène. Il fit un discret "Chuuuut" à Florence en enlevant sa main et pencha à *** tour la tête pour regarder le trio s'agiter dans la salle de réunion. Il restait la planté à coté de Florence sans dire un mot. Les deux voyeurs restaient la immobiles à profiter du spectacle. Doucement l'homme se colla derrière elle, elle sentait *** sexe venir se loger entre ses fesses. Emportée par le désir et l'excitation, elle commença à frotter doucement sa croupe contre cette tige. Face à cette prise d'initiative pour le moins inattendue, l'homme attrapa la poitrine de Florence avec ses deux mains et commença à malaxer ses seins tout en l'embrassant dans le cou, puis il fit descendre une de ses mains sous la jupe de Florence et la glissa sous *** collant et sa culotte. Il tomba tout d'abord sur *** pubis orné d'un triangle de poils finement taillé. Il descendit ensuite jusqu'à sa fente qui était déjà toute trempée. Il enfonça alors un doigt dans *** sexe. Le bassin de Florence commença à s'agiter sous l'effet des caresses de l'homme. Elle commençait à souffler de plus en plus fort, afin qu'ils n'attirent pas l'attention l'homme délaissa sa chatte, la prit par la main et l'attira dans le local d'entretien. A peine rentré à l'intérieur, l'homme plaqua Florence contre le mur et l'embrassa fougueusement, il remit également la main dans sa culotte et se remit à la doigter de plus belle. Enhardie et excitée, Florence s'intéressa à la bosse qui déformait le pantalon de *** partenaire et se mit à la flatter avec la paume de sa main. Le sexe de l'homme devait être aussi long que celui de *** mari mais avait l'air beaucoup plus épais. Ils s'embrassaient et continuaient leurs palpations, puis l'homme appuya un peu sur l'épaule de Florence, celle ci comprit le message, s'agenouilla face à lui et extirpa du pantalon un sexe déjà en érection. Elle le branla un petit peu tout en l'examinant soigneusement et goba finalement ce beau sexe et lui offrit la douceur de sa bouche. Elle enroulait sa langue autour de cette belle queue tout en la caressant. Pour que sa petite chatte reste également à bonne température, elle plongea sa main dans sa culotte et se mit à jouer avec *** petit bouton. Elle s'excitait toute seule et poussait des soupirs étouffés par le sexe qu'elle avait en bouche. Dans la salle de réunion, Mr Lambert se déchainait sur Marie, il faisait aller et venir *** sexe dans sa fente à toute vitesse. Les lèvres de cette dernière abandonnait parfois le petit bouton d'Eva pour supplier *** responsable de continuer : Marie : "Hannn continue ....baise moi comme ça ..... défonce moi avec ta grosse queue" Celui continuait *** matraquage, il était accroché aux porte-jarretelles et cognait le cul de marie avec *** ventre. Puis avec un doigt il commença à s'intéresser à *** petit trou, dès qu'il commença à le toucher, Marie voulut aussitôt qu'il le prenne par là : "Viens vite me la mettre dans le cul". Mr Lambert ne se fit pas prier, il appliqua vite un peu de lubrifiant sur sa rondelle et sans trop de ménagement commença à la sodomiser. Marie mit une poignée de secondes à s'habituer à cette grosse queue dans *** petit trou, mais elle avait maintenant l'habitude et rapidement elle se remit à glousser de plaisir. Ainsi de temps en temps elle sortait le visage d'entre les jambes d'Eva et disait à Mr Lambert à quel point elle aimait se faire sodomiser de la sorte : "Ouhhh .... c'est bon .... comme ça.... vas y ....." Mr Lambert dit à Eva : "Regarde ta salope de collègue comment elle est devenue dingue de ma grosse, queue, c'est même elle qui me demande de l'enculer maintenant". Eva ne répondit pas, elle était toujours allongée sur le dos et se caressait *** opulente poitrine, excitée qu'elle était par la langue de sa collègue et ses gémissements et cris de plaisir. Mr Lambert : "Tu verras, bientôt toi aussi tu viendras me supplier de t'enculer à nouveau". Toujours accroché au porte-jarretelles de Marie, il continuait de la sodomiser fougueusement, le chef de service un peu ringard s'était transformé en véritable dieu du sexe, bien aidé qu'il était pas *** anatomie très avantageuse. A l'étroit dans ce petit cul si accueillant, il sentait qu'il allait jouir, il interrompit sa pénétration, enleva *** préservatif et dit aux deux jeunes filles : "venez me sucer pour finir, j'ai envie de venir dans vos bouches". Toujours aussi dociles et obéissantes, Eva et Marie vinrent s'accroupir devant lui et se mirent à le sucer à tour de rôle, puis sentant qu'il allait venir, Marie le garda dans sa bouche, referma ses lèvres autour de *** gland et le masturba de plus en plus vite. Il lui envoya plusieurs giclées dans la bouche. Puis il dit à Marie :" Ne fais pas l'égoïste, donnes en à ta collègue". Marie alla donc embrasser Eva, lui versant en même temps dans la bouche la liqueur de Mr Lambert. Elles 'embrassèrent ainsi, délayant sa semence avec leurs langues, puis une fois qu'elles eurent tout avalé, il leur représenta *** sexe à demi mou et leur dit : "Nettoyez moi ça maintenant". Elles finirent de lécher et d'aspirer ce phallus et le rendirent propre comme un sou neuf à *** propriétaire. Comblé et vidé, Mr Lambert dit aux deux filles : "Vous serez mes salopes maintenant, je vous baiserai quand j'en aurai envie, compris ?" Elles ne répondirent rien et se contentèrent de baisser le regard. Puis il leur lança : "Vous pouvez y aller, je vais ranger la salle, au fait demain, je veux que vous soyez fringuées comme des trainées sous vos jupes". Elles se turent de nouveau se contentant de hocher la tête. Marie réajusta ses sous vêtements, remit ses bas correctement et renfila ses habits, elle était aux anges et pensait déjà à *** prochain trio avec *** chef et sa collègue. Eva était elle à la fois honteuse et humiliée de s'être faite prendre par *** "gros porc" de chef, mais elle y avait pris tellement de plaisir qu'elle ne voyait pas non plus d'objections à recommencer. Les filles étaient parties, Mr Lambert rangeait la salle de réunion afin que leur réunion tardive ne se remarque pas, il passa devant le local d'entretien et crut entendre des bruits qui en provenaient. Il s'arrêta devant la porte et tendit l'oreille, apparemment il y en qui ne s'ennuyaient pas non plus ici. Ayant eu sa dose de sexe pour ce soir, il allait partir mais sa curiosité le piqua, il se demandait de qui il pouvait s'agir. Il ouvrit tout doucement la porte et vit une femme qui était à quatre pattes en train de se faire prendre par l'homme chargé du ménage, il reconnut aussitôt Florence. Elle était par terre le cul en l'air, sa jupe était relevée autour de la taille, *** collant et sa culotte était descendus jusqu'à la moitié de ses cuisses. Il avait une vue parfaite sur sa croupe et voyait le sexe de l'homme s'engouffrer entre ses lèvres lisses comme de la peau de pèche. L'occasion était trop belle, il saisit *** smartphone dans sa poche et commença à mitrailler le couple. Il contrôla la qualité des clichés et se décida à entrer tout doucement dans la pièce, il arriva à hauteur de l'homme et lui fit signe de continuer à ce qu'il était en train de faire. Puis il ouvrit la braguette de *** pantalon et en sortit *** sexe. Il commençait à se masturber à coté de l'homme, celui regardait le sexe de Mr Lambert avec étonnement, surpris par sa taille. Le sien qui était pourtant déjà imposant semblait presque ridicule à coté. Mr Lambert continua de narguer l'homme pendant quelques secondes, puis il se mit à écouter les cris de plaisir de Florence, elle était déchainée : "Ouuhhh ouiiiiii ....... vas y ......... encore ......." Puis il se posta devant elle, exhibant sa bite monstrueuse, Florence ne dit rien, elle se laissait pistonner par l'autre homme, elle avait les yeux à moitié clos, des mèches de cheveux étaient collées à *** front en sueur. Elle fixait Mr Lambert et *** immense sexe, ses yeux semblaient perdus dans le vide. Tout en continuant à fixer Florence, il demande à l'homme chargé du ménage : "Elle est comment cette salope, elle est bonne ?" L'homme : "Ah oui, elle suce comme une reine, et sa petite chatte est un vrai délice". Sans plus attendre, Mr Lambert se baissa et présenta *** membre à Florence, il l'avança vers ses lèvres et franchit l'obstacle de ses dents. Elle commença à enrouler sa langue autour de *** gland, tel un boa autour de sa proie. Elle se mit à jouer avec, en explorant chaque recoin, elle passa tout en revue, la couronne autour *** gland, *** frein, elle s'amusait aussi à essayer de ****** l'entrée du méat avec la langue. Florence arrachait de longs et profonds soupirs à Mr Lambert. Ce dernier dit à l'homme : "Tu avais rai***, elle suce divinement bien". Puis il se tut et ferma les yeux, il voulait savourer ce moment, et profiter intensément de la douceur et de l'agilité de cette langue. L'autre homme continuait de baiser Florence mais avait quelque peu ralenti le rythme pour que *** collègue d'un soir puisse se faire sucer correctement. Ces deux sexes remplissaient Florence de bonheur, même si avec *** mari elle était pleinement satisfaite, elle n'avait jamais couché avec deux hommes en même temps. Elle découvrait donc cette nouvelle sensation, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle appréciait. Au bout d'un moment, Mr Lambert voulut changer de position, il dit à l'autre homme : "On va changer de position, elle va venir s'empaler sur toi, comme ça elle sera mieux installée pour me sucer". L'autre homme s'allongea sur le dos, Florence se releva, un peu entravée par *** collant et sa culotte qui étaient descendus jusqu'à ses genoux. Voyant cela *** responsable l'interpella : "Viens me voir petite trainée, on dirait que ça te gène tout ça". Mr Lambert se saisit de la culotte, le déchira et la laissa tomber sur le sol, puis il remonta le collant de Florence jusqu'à sa taille et en déchira l'entre jambe, prenant bien soin d'offrir un accès à chacun de ses orifices. Ensuite il lui ordonna d'aller s'empaler sur la queue de l'autre homme : "Allez va t'assoir sur le lui qu'il continue de te baiser". Elle s'assit à califourchon guidant elle même le sexe dans sa chatte détrempée, aussitôt le membre de l'homme se mit à la travailler en profondeur, Florence se remit à gémir : "Ouuhhh ...... ouiiiii .....c'est bon .......Hannn" Elle n'eut pas le loisir de crier très longtemps, *** responsable replongea sa bite dans sa bouche. Cette fois ci, Florence l'empoigna et se mit à la branler tout en lui léchant et lui aspirant le gland. De temps en temps, elle descendait le long de sa tige et lapait ses couilles, s'aventurant même parfois sous ses testicules tout près de *** anus. Mr Lambert se dit que des trois, c'était vraiment elle qui suçait le mieux, cela se sentait qu'elle avait énormément de pratique et d'expérience à ce niveau là, il ne se priva d'ailleurs pas de lui dire : "Mais tu es la reine des suceuses, tu as du en faire passer des kilomètres de bite dans ta bouche" Florence bien qu'excitée par ces paroles très crues ne dit rien, elle se contenta de poser *** regard de braise sur Mr Lambert, elle le fixait droit dans les yeux tout en continuant d'aspirer *** sexe. Mr Lambert : "Tu suces tellement bien que tu passeras tous les jours dans mon bureau, tu me rendras bien dur pour que j'encule tes deux collègues". Florence ne disait toujours rien et continuait de le sucer, elle l'excitait tellement que Mr Lambert se dit que si ça continuait, elle allait bientôt le faire jouir rapidement. Il décida donc d'aller gouter à ses autres orifices. Il abandonna cette bouche pourtant délicieuse, enfila rapidement un préservatif et vint se placer derrière elle. Florence voyant ou il voulait en venir le supplia : "Non pas par là, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer". Mr Lambert lui dit : "Chaque chose en *** temps,pour ton cul ce sera après".
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chrislebo
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Puis Florence sentit une deuxième queue ****** le passage de *** sexe, doucement elle se retrouvait complétement remplie, sa petite chatte était complétement écartelée et distendue. Elle criait de douleur et les suppliait d'arrêter. mais ils restaient en elle, et une fois qu'elle s'était un peu habituée à cette double présence, les deux hommes recommencèrent à s'agiter à l'intérieur de leur victime. Cette fois les cris de douleur se transformèrent petit à petit en hurlement de plaisir, Florence était complétement hystérique, elle invectivait carrément les deux hommes pour qu'ils la prennent encore plus fort : "Ahhhh espèces de salauds ...... allez y ..... baisez moi bien....". Les deux hommes ne se firent pas prier et se déchainèrent sur elle. Mr Lambert sentait qu'il allait bientôt venir, mais avant il avait envie de gouter à *** cul, il sortit donc de sa fente et posa *** gland sur *** petit trou. Florence, emportée dans un tourbillon de jouissance n'avait plus peur, au contraire : "Hannn oui ..... vas y encule moi ...... j'ai envie de la sentir dans mon cul". Mr Lambert poussa doucement et *** gland franchit sans trop de mal cet obstacle. Il commença à la pistonner doucement, enfonçant *** sexe un peu plus loin à chaque fois. Florence continuait de gémir comme une folle sous l'effet de cette double pénétration. Jamais elle n'avait été prise de la sorte, c'était également nouveau pour elle. Elle encourageait les deux hommes : "Hann ouiii ..... continuez ......c'est bon .......". Florence pratiquait parfois la sodomie avec *** mari, c'était uniquement pour lui faire plaisir car elle n'en tirait aucune satisfaction. Mais cette fois c'était completement different, la présence et l'action de ces deux sexes l'emporterent dans un tourbillon de jouissance. Cela en était également trop pour Mr Lambert, il sortit vite du cul de Florence, retira rapidement *** préservatif et posta *** sexe devant *** visage. Il lui envoya plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur sur sa joue et sur ses lèvres. Comme si sa vie en dépendait, Florence agrippa le sexe et l'enfourna dans sa bouche, recueillant au passage les dernières gouttes de ce précieux nectar. L'homme qui était sous Florence se mit à gémir à *** tour, il était en train de se vider dans *** ventre. Florence sentait un liquide chaux se répandre dans *** ventre. Elle se détendit et poussa un long soupir, savourant cette douce sensation de bien être qui se propageait dans *** corps. Le trio finit par se lever et se vêtir. Florence honteuse de s'être laissée aller ainsi, fuyait le regard des deux hommes. Mr Lambert marqua tout de suite *** territoire : "Je savais bien que tu étais une vraie chienne, des trois c'est bien toi qui t'es laissée aller le plus facilement". Florence ne disait rien, trop humiliée pour répondre. Mr lambert : "A partir de maintenant tu es moi, je te baiserai quand je voudrai, et si tu refuses j'envoie de jolies photos à ton mari ou il pourrait t'admirer en train de te prendre une grosse bite de black dans ta petite chatte, c'est compris ? " Florence lui répondit en sanglotant : "Oui ... c'est compris" Mr Lambert : "Et dorénavant, tu oublies les collants, tu viendras au boulot comme tes collègues, avec des bas ou des porte-jarretelles" Florence répondit un timide "D'accord ..." Puis elle sortit précipitamment du local et sortit du bâtiment pour s'engouffrer dans sa voiture. Mr Lambert quitta les locaux tranquillement, un sourire béat collé aux lèvres, il venait en effet de passer la plus belle journée de *** existence. Le lendemain matin au bureau, il régnait un silence pesant dans le bureau des filles, Marie et Eva n'osait pas parler de ce qui s'était passé hier. Florence de *** coté avait également passé sous silence sa séance de voyeurisme et *** trio avec les deux hommes. A 12h00, Mr Lambert entra dans le bureau et dit sèchement aux filles :"Vous viendrez me voir toutes les trois dans mon bureau dans 5 minutes". Ne sachant pas trop ce qui les attendait, les trois femmes pénétrèrent dans le bureau, Mr Lambert dit à Marie : "Fermez la porte s'il vous plait". Mr Lambert posa des photos sur la table, on y voyait entre autres, Marie avec Patrice et Michel, Marie et Eva et enfin Florence en train de faire prendre en levrette par l'homme chargé du ménage. Florence et Eva étaient mortes de honte. Marie quant à elle était complétement excitée, autant de se voir ainsi que de découvrir Florence en train de se faire prendre de la sorte. Puis Mr Lambert leur dit calmement : "j'ai découvert récemment que vous aviez des talents cachés mesdames, dorénavant vous serez mes choses, je ferai de vous ce que je veux. Je vous baiserai ou je voudrai et que je le voudrai". Florence se remit à sangloter, Eva avait l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds. Marie, elle, mouillait comme une folle. Il rajouta : "Vu que vous avez l'air d'aimer le sexe et que vous êtes très douées dans ce domaine, je connais des per***nes qui seraient prêtes à payer très cher pour vous baiser". C'était le choc parmi les filles, la boule de chaleur qui était dans le ventre de Marie se dissipa instantanément et le robinet qui inondait sa fente se ferma aussitôt. Elle sentit une autre boule se former, dans sa gorge cette fois. Ce salaud voulait louer leurs servcies à d'autres hommes. Eva et Florence étaient en larmes, elles l'imploraient : "On fera ce que vous voudrez mais pas ça, s'il vous plait" Mais leur chef demeurait inflexible : "Vous êtes à moi maintenant, vous ferez ce que je vous dirai de faire, sinon tout le monde saura quelles trainées vous êtes". Il les fit sortir de la pièce sans aucun ménagement et alla tranquillement déjeuner. Les filles retournèrent dans leur bureau encore toutes retournées, elles étaient catastrophées et désemparées. Marie voyait bien que cela allait trop loin, cette situation ne pouvait pas continuer.Elle eut soudain une idée, c'était leur dernière chance, elle prit *** téléphone et composa un numéro, à l'autre bout une per***ne décrocha : "Allo Patrice, c'est Marie, il faut absolument que tu m'aides, j'ai un gros problème"
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chrislebo
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Suite à *** coup de fil à Patrice, Marie fut obligée de tout avouer à ses collègues. Elle commença par le cambriolage où ses visiteurs d'un soir lui firent découvrir de nouvelles sensations, elle leur parla ensuite de leur seconde visite et du chantage de Mr Lambert. Florence quant à elle avoua à Marie et Eva qu'elle les avait surprises hier soir dans la salle de réunion. Elle fut tellement émoustillée par la scène qu'elle se laissa aller avec l'homme chargé du ménage. Mr lambert les avait ensuite surpris dans le local d'entretien et il avait profité de la situation pour se joindre à eux et profiter d'elle. Marie expliqua à ses collègues que Patrice avait un plan mais qu'il fallait qu'elles jouent toutes le jeu et laissent penser à leur responsable qu'il avait gagné la partie. Ainsi lorsque leur "proxénète" rentra de sa pause déjeuner, Marie pénétra dans *** bureau et referma la porte derrière elle. Solennellement elle lui dit : "Écoutez, on a bien réfléchi, nous sommes d'accord, mais nous voulons notre part du gâteau, 30 % des sommes que vous allez toucher, cela fait 10 % chacune, c'est quand même la moindre des choses". Mr Lambert : "Mais pour qui vous vous prenez bande de petites salopes, je vous ai dit que vous m'apparteniez, vous êtes à moi et vous n'aurez rien. Et en plus n'oubliez pas, j'ai toutes vos photos,elles ***t sur mon ordinateur à la mai***, j'ai même fait une sauvegarde sur un disque externe au cas où" Marie : "Certes vous pouvez nous obliger, mais croyez moi vos clients auront l'impression de coucher avec des poupées gonflables, nous ne ferons aucun effort, et avec vous non plus d'ailleurs. Alors que si nous avions cette source de motivation, je pense que nous pourrions être très coquines avec les clients, et avec vous aussi naturellement." Elle avait touché le point sensible, certes il était en position de *****, mais ce qu'il voulait avant tout, c'était qu'elles se laissent aller. En les forçant il redoutait bien sur qu'elles n'y mettent de la mauvaise volonté, alors que là, il aurait à sa dispotion trois chiennes lubriques obéissant au moindre de ses désirs. Il finit donc par lacher prise, pensant déjà à *** lot de consolation : "D'accord, on dit pour vous 30 %, mais vous avez intérêt à les mériter, sinon ..." Marie : "Ne vous inquiétez pas, vous y trouverez largement votre compte. Pour fêter notre accord, vous pourriez passer chez moi ce soir, il y aura Eva et Florence, comme ça nous pourrons commencer notre nouvelle et je l'espère fructueuse collaboration" Mr Lambert : "Effectivement, il faut arroser ça, il n'y a pas de problème je serai présent" Marie : "Par contre ne venez pas avant 20h30, laissez nous le temps de nous faire belles quand même ..." Mr Lambert : "Très bien, au fait tu diras à Florence de venir me voir tout de suite. Tu m'as excité avec ton rendez-vous de ce soir, elle va venir me sucer pour me soulager. Allez file et dis lui de se presser, j'ai du travail cet après-midi" Marie sortit du bureau et indiqua à Florence que Mr Lambert souhaitait la voir, elle lui passa la main dans le dos pour la réconforter et lui souffla à l'oreille : "Courage, bientôt tout sera fini". Florence entra dans la pièce la peur au ventre, *** responsable lui demanda de façon autoritaire de fermer la porte derrière elle. Puis il lui dit : "Bon tu es contente, j'ai accepté votre proposition, mais Marie m'a assuré que vous seriez très coquines avec moi en contre partie, tu vas me faire voir si votre parole vaut quelque chose, viens par là me sucer" Florence n'avait pas le choix, en attendant des jours plus cléments elle devait obéir, elle commençait à s'approcher du bureau quand il l'arrêta net et lui dit : "Avant déshabille toi, on va voir si tu as bien suivi mes consignes, je t'avais dit de t'habiller comme une pute, fais moi voir si tu as été obéissante". Florence commença à déboutonner *** chemiser rouge, Mr Lambert aperçut rapidement un magnifique soutien gorge en dentelle noire. Puis elle fit glisser le fermeture éclair derrière sa jupe et la fit tomber sur le sol. Florence arborait un joli porte-jarretelles noir ainsi que le string assorti. Ses jambes étaient parées d'un très belle paire de bas couleur chair qui mettaient particulièrement en valeur le galbe de ses mollets. Mr Lambert : "C'est bien, tu as respecté mes consignes, fais mon voir un peu ta petite chatte, enlève donc ton string ..." Florence ne put qu'obéir docilement, elle fit descendre le mince morceau de tissu le long de ses compas, puis elle leva le les pieds l'un après l'autre et ramassa *** string pour le poser sur le coin du bureau. Elle allait s'accroupir pour s'acquitter de sa tache quand Mr Lambert lui dit : "Reste un peu comme ça, j'ai envie de t'admirer ..." Elle resta donc là, immobile et incroyablement mal à l'aise, elle avait les mains posées sur les hanches pour se donner une certaine assurance, mais c'était loin d'être le cas, elle était très mal à l'aise, chaque seconde semblait lui durer une éternité. Mr Lambert scrutait méthodiquement le corps de Florence, elle pouvait presque sentir *** regard se poser sur chaque centimètre carré de sa peau. Au bout d'un moment, il lui dit : " Caresse toi un peu, donne moi envie de te baiser petite salope ..." N'ayant aucune autre alternative, Florence posa sa main sur *** bas ventre, ses doigts se perdirent quelques instants dans la fine bande de poils qui surplombait *** sexe. Ils arrivèrent ensuite sur sa fente, elle commerça à passer un doigt le long de *** sexe et se mit à ouvrir peu à peu ses lèvres, au gré des mouvements de *** index. *** responsable avait extrait *** sexe de *** pantalon, celui ci semblait déjà dur comme un roc. Florence continuait de se caresser tout en regardant le sexe démesuré qui lui faisait face. Elle aussi le scrutait attentivement, elle était fascinée par les grosses veines qui couraient le long de ce membre. Ces sens commençaient à s'agiter, *** ventre la consumait, elle devenait de plus en plus excitée, elle en plongea même un doigt dans *** sexe, ce qui lui arracha un petit gémissement. Telle une chatte, elle commençait à ronronner de plaisir, *** bassin ondulait au rythme de ses caresses. Elle se mit à fermer les yeux pour essayer de faire abstraction de la situation, emportée par le désir elle sortit un sein de *** soutien gorge et se mit à le palper énergiquement. Mr Lambert se masturbait doucement devant ce spectacle, il en savourait chaque instant, il était subjugué par *** assistante, il admirait ses jambes mises en valeur par ses bas, il regardait avec délectation les jarretelles se tendre et se relâcher au rythme du balancement de *** bassin. Il s'attarda ensuite sur *** sein, Florence l'enserrait et le malaxait avec passion, elle faisait rouler *** téton durci par le désir entre ses doigts. Florence ondulait sensuellement devant Mr Lambert, *** corps vibrait sous ses caresses, elle se mit à parcourir *** corps avec ses mains, elle les passait à l'intérieur de ses cuisses .Électrisée par le contact avec le fin tissu qui recouvrait ses jambes, ses mains s'agitèrent de plus belle sur sur ses jambes, puis elles de déplacèrent sur *** ventre et sur sa poitrine. Elle enserra esnuite ses deux globes qu'elle massait voluptueusement, elle passait sa langue autour de ses lèvres en fixant Mr Lambert d'un regard de braise. Quand à lui, il était vraiment au comble de l'excitation, il se décida à passer aux choses sérieuses : "Allez, mets toi à quatre pattes et viens me sucer maintenant." Docilement, Florence s'exécuta, elle s'approcha du sexe en érection et le prit dans sa main, elle commença à le faire coulisser timidement entre ses doigts. Elle le fixait comme si elle était ***********, elle était impressionnée et fascinée par cette tige épaisse et nervurée. Fébrilement, elle posa le bout de sa langue sur le gland, elle n'osa pas la prendre complétement en bouche. *** responsable la rappela à la réalité, il passa sa main derrière sa nuque et lui enfonça *** sexe au fond de la gorge. Surprise par ce geste soudain, elle commença à hoqueter et failli vomir tellement il était allé loin dans sa gorge. Durement il lui dit : "Applique toi un peu, sinon je te la recolle au fond de la gorge." Florence se retint de pleurer, elle sentait pourtant ses yeux s'humidifier, ses larmes étaient prêtes à rouler sur ses joues. Et c'est à contre coeur qu'elle avala ce sexe, elle le suçait avec application mais sans passion, de manière mécanique. Mr Lambert lui dit : "Applique toi un peu petite salope, mets y un peu de cœur sinon je vais te le faire regretter, ne m'oblige pas à être méchant" Florence ***gea alors au plan qu'elles avaient préparé, elle se dit que c'était un dernier effort à faire, elle rassembla ses ****** et d'une voix presque aguicheuse elle lui dit : "Oui, Mr Lambert, vous allez voir, je vais vous sucer comme jamais vous n'avez été sucé". Mr Lambert : "Et bien j'attends de voir ..." Florence se transforma d'un seul coup, elle fit tournoyer sa langue autour du phallus de *** supérieur, sa main s'agitait sur cette tige démesurée. De temps en temps elle mordillait délicatement le bout du sexe tout en le fixant droit dans les yeux. De *** autre main, elle caressait ces testicules, elle les griffait avec le bout des ses ongles. Volontairement elle lui faisait un peu mal avec ses dents et avec ses ongles, c'était sa façon à elle de se venger, en plus elle se doutait que cela exciterait ce vieux vicelard. Elle ne s'était pas trompée, il poussait de longs soupirs a chaque morsure et à chaque griffure et finit par lui dire : "Tu griffes et tu mords comme une chatte en chaleur, continue, j'adore ça ..." Mr Lambert, calé au fond de *** fauteuil poussait des profonds soupirs de plaisir. Il aurait pu profiter de la situation pour rabaisser Florence, mais il se contentait de savourer cet instant divin, car effectivement, il n'avait jamais été sucé de cette manière. Il avait l'impression que *** membre avait trouvé refuge dans un écrin de soie. Florence alternait les moments de ******* et de douceur, *** palais était à la fois un temple des supplices et des plaisirs. Avec ses mains, Florence continuait de s'occuper de ses bourses et de sa tige, sa langue continuait *** travail de sape sur l'extrémité du sexe. Elle continuait de fixer *** responsable intensément, elle commençait à se prendre au jeu, sa fente commençait à réclamer la chose qu'elle avait en bouche, la situation devenait terriblement excitante et elle commençait à éprouver un certain plaisir à cette séance de travail un peu particulière. Elle se dit quand même qu'elle n'allait pas céder, qu'il fallait qu'elle le fasse jouir, car si cela continuait elle irait elle même s'empaler sur cette énorme queue qui lui déformait la machoire. Mais elle n'avait pas envie de se livrer complétement, elle voulait juste lui donner le change, lui faire croire qu'elle lui obéissait. Ses mains s'agiteaient de plus en vite, elle malaxait ses testicules de plus en plus fort, elle sentait qu'elle allait bientôt gagner la partie car il soufflait de plus en plus intensément. Elle se mit à lui aspirer le gland comme si sa vie en dépendait, elle aventura un des ses doigts vers l'anus de *** responsable et commença à le caresser à cet endroit. L'effet ne se fit pas attendre, quelques instants plus tard, Mr Lambert se crispa et envoya plusieurs jets de sperme au fond de la bouche sa collaboratrice. Tant bien que mal, Florence arriva à déglutir la semence de *** responsable et le fixa fièrement, pleinement satisfaite de sa prestation.
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chrislebo
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Mr Lambert ne manqua pas de la féliciter : "Et bien, tu ne m'avais pas menti, je n'avais jamais été sucé comme ça, il faudrait que tu donnes des cours à tes collègues d'ailleurs, ce n'est pas qu'elle s'y prennent mal mais je vois qu'elles ont encore des progrès à faire". Puis il indiqua d'un hochement de tête la direction de la porte à Florence, lui indiquant qu'elle pouvait quitter le bureau. Florence retourna dans *** bureau sous le regard de ses collègues, elle les rassura en leur disant que cela vait été, qu'elle avait fait ce qu'il fallait pour que leur plan fonctionne. Elle mit quelques instants à chasser la boule de de désir qui avait pris place dans *** bas ventre, elle s'était tortillé sur *** fauteuil pendant quelques minutes, puis elle avait fini par se reconcentrer, avec comme objectif le rendez vous de ce soir. L'après-midi fut long, très long. Chacune des jeunes femmes imaginait le déroulement de la soirée en esperant que leur cauchemar allait prendre fin. Marie avait elle un léger pincement au cœur, elle se disait que ses parties de jambes en l'air avec *** responsable allaient lui manquer. Elle y avait pris gout, elle se surprit même à s'imaginer se faire prendre bestialement sur le bureau par *** supérieur. Mais très vite elle chassa ses idées perverses de *** esprit pour se reconcentrer sur leur objectif de ce soir. La fin de la journée arriva, chacune des jeunes femmes rentra chez elle pour se changer. Florence dut s'habiller sexy comme prévue mais dut faire très attention à ne pas éveiller la curiosité de *** mari. Elle enfila un tailleur bordeaux assez classe avec un chemiser blanc. Vêtue ainsi, elle envoyait l'image d'une femme distinguée et sensuelle. En dessous elle était beaucoup moins sage, elle avait enfilé un ensemble blanc quasiment transparent, on distinguait ainsi très nettement les auréoles de ses seins. *** string moulait divinement *** sexe qu'elle venait juste de raser intégralement pour l'occasion. Elle portait une paire de bas auto-fixants de couleur blancs ainsi qu'une paire d'escarpins noirs. *** mari fut un peu étonné par cette tenue, Florence se justifia tant bien que mal en prétextant que ce soir elles allaient diner dans un restaurant un peu chic et qu'il fallait qu'elle soit en adéquation avec l'ambiance des lieux. *** mari était tellement sous le charme qu'il commença à peu à la taquiner et a l'embrasser dans le cou. Florence commençait à sentir l'excitation monter, elle était très tactile et fondait littéralement sous les caresses de *** homme. Ce dernier l'avait attiré contre lui et avait commencé à passer sa main dans le creux de ses reins puis dans le sillon de ses fesses. Florence sentait une bosse naitre dans le pantalon de *** mari, elle commença à flancher sous les mains habiles de celui ci, il avait maintenant passé une main sur la cuisse de sa femme, il remonta le long de sa jambe et tomba sur la lisière d'un bas. Il lui dit : "Mmmm, tu es très en beauté ce soir, c'est pour moi que tu t'es faite belle comme ça j'espère" Florence lui répondit avec aplomb : "Je voulais te faire une surprise en rentrant, mais bon, tu es terrible, on ne peut jamais rien te cacher" Le mari de Florence continua *** exploration, il avait maintenant remonté la jupe de Florence jusqu'à sa taille et avait passé sa main entre ses fesses. Ses doigts ne tardèrent pas atteindre le sexe de Florence, celle ci commença à onduler et à se frotter contre le sexe de *** mari. Elle avait envie de lui, de se faire prendre, mais il fallait qu'elle se reprenne, elle avait quelque chose d'important à faire ce soir. Elle s'accroupit alors face à *** compagnon, et tout en le fixant avec un regard plein de malice, elle défit un à un les boutons de *** jeans, baissa *** boxer et saisit le phallus déjà en érection qui se présentait à elle. Elle caressa le membre pendant un court instant, puis elle l'avala goulument, elle adorait sucer ce sexe si familier, généralement elle prenait le temps de le savourer, mais ce soir elle devait faire vite. Elle se mit alors à branler très fort le sexe qu'elle avait en bouche, empri***nant le gland entre ses lèvres soyeuses, elle passa *** autre main sur le torse de *** mari, le griffant et le torturant. Elle entendait sa respiration s'accélérer et devenir de plus en plus bruyante. Celui ci ne restait pas inactif et avait placé ses mains derrière la tête de *** épouse, face à l frénésie de celle ci, il se prenait au jeu et commençait à imprimer un mouvement de va et vient avec *** bassin. Il se mettait à baiser la bouche de Florence, au début un peu surprise, elle accepta vite la lubie de *** mari et essayait désormais de suivre la cadence qu'il imprimait. Elle ôta la main du ventre de *** mari et la plaça sous ses testicules qu'elle se mit à malaxer et à griffer. Au bout de quelques instants, elle sentit le sexe de *** mari se raidir, elle l'empri***na dans sa bouche et sentit plusieurs jets de sperme envahir *** palais. Soulagée d'avoir satisfait *** compagnon si rapidement, elle suça encore quelques secondes avec délectation *** membre qui commençait à ramollir. Elle se rajusta ensuite, l'embrassa tendrement et prit la direction de la porte pour aller s'asseoir dans sa voiture. Une fois en route elle pensa à voix haute : "c'est malin, tu m'as bien excité, si tu savais que c'est quelqu'un d'autre qui risque d'en profiter, tu aurais surement gardé tes mains dans tes poches" Eva opta elle pour une tenue d'apparence beaucoup plus aguicheuse, elle avait mis une petite jupe volante ainsi qu'un paire de bas auto-fixants noirs. On distinguait très nettement la lisière de ses bas. Elle avait mis un petit haut moulant qui mettait particulièrement en valeur *** opulente poitrine. Pour ce qui des sous vêtements, elle avait longtemps hésité, et s'était finalement décidé à ne pas en mettre, elle avait envie d'exciter *** responsable une dernière fois afin qu'il tombe facilement dans le piège qu'elles avaient préparé. Elle s'imaginait déjà, assise face à lui les jambes croisées lui dévoilant le haut de ses bas. Puis de temps tout en le regardant fixement, elle se voyait décroiser et recroiser les jambes en prenant soin de les frotter l'une contre l'autre afin de faire crisser le fin tissu de ses bas, offrant ainsi pendant une fraction de seconde, une vue imprenable sur sa vulve vierge de tout poil. Elle pouvait presque sentir à cet instant le regard obscène de *** chef s'immiscer entre ses jambes. Elle pouvait presque sentir le sexe majestueux de Mr Lambert coulisser entre ses seins, elle aurait aimé à cet instant pouvoir poser sa langue sur cet énorme membre, le sentir vibrer dans *** palais. Puis elle sentait maintenant le souffle brulant de *** responsable sur *** sexe, elle était incroyablement excitée. *** être tout entier réclamait cette énorme queue, comme si il était sous l'emprise d'une drogue. Eva commençait à caresser la pointe de ses seins, elle passa sa langue sur ses lèvres, mais un rapide coup d'œil à sa montre la fit sortir de sa rêverie. Et c'est elle aussi le feu au ventre qu'elle prit la direction de la mai*** de Marie. Marie avait elle aussi décidé de sortir le grand jeu, elle avait enfilé une longue robe de soirée couleur ivoire qui était fendue sur le coté jusqu'au milieu de la cuisse. Elle avait enfilé une guêpière noire et le string en dentelle assorti. Elle avait paré ses jambes d'une superbe paire de bas coutures marrons. Sa tenue était un appel au sexe, car on distinguait très nettement ce qu'elle portait en dessous tellement le tissu de sa robe était fin. En rentrant du travail, elle avait fait couler un bain brulant rempli de mousse, elle était restée longtemps à se détendre et à savourer cet instant délicieux. Puis en sortant elle avait soigneusement sorti et etalé ses affaires sur *** lit et s'était placée devant la glace de *** armoire. Elle avait ensuite pris sa guepière qu'elle avait enfilé lentement, elle atacha soigneusement chaque agraffe et ajusta sa poitrine afin de la mettre en valeur le mieux possible. Elle prit ensuite le premier bas, elle le roula afin de mieux l'enfiler, le remonta doucement d'abord le long de *** mollet, puis après avoir verifié que la couture était correctement alignée, le monta sur sa cuisse. Une fois en place elle le fixa soigneusement aux attaches de la guepière. Elle se contempla ensuite dans la glace, pivotant sur elle même pour se regarder sous tous les angles. Satisfaite du résultat, elle prit le deuxième bas qu'elle prit le temps de revêtir comme le premier. Elle s'admira de nouveau dans la glace et commença à sentir une boule se former dans *** bas ventre. Elle commença à caresser sa poitrine par dessus la guêpière, puis ce fut *** sexe qui réclama sa tour. Elle passa sa main sur sa fente imberbe, Marie commençait à sentir le plaisir l'envahir, elle introduisit un doigt dans *** vagin qui était déjà tout humide. Tout en se caressant, elle se contemplait dans la glace, elle voyait sa main s'agiter sur *** entrejambe, ses joues commençaient à s'empourprer, sa bouche restait entrouverte et laissait s'échapper un souffle chaud et ardent, rempli de désir. *** ventre la brulait, ses sens étaient en ébullition, se main s'aventura encore un peu plus loin dans *** entrejambe et alla se perdre jusqu'à *** petit trou. Elle se mit à le caresser doucement, *** doigt lubrifié par sa fente gorgée de désir commençait à ouvrir délicatement *** anus. Marie alternait maintenant les caresses entre ses deux orifices, essayant de les satisfaire du mieux qu'elle pouvait. Ses seins la picotaient, *** ventre la brulait, *** cœur battait la chamade, elle avait l'impression que *** corps tout entier était en train de s'embraser. Elle aurait aimé se jeter sur *** lit et se caresser sauvagement, mais hélas l'heure tournait, il fallait absoluement qu'elle finisse de se préparer. Elle enfila donc *** string et passa sa robe de soirée. Elle prit de nouveau le temps de s'admirer, elle était très contente d'elle, elle n'avait pas le souvenir de s'être sentie aussi désirable. marie alla ensuite au salon où elle avait créé une ambiance intime en dispersant des bougies un peu partout et en ayant pris soin de tamiser lla lumière. Afin de mettre *** chef en confiance, elle avait également posé sur la table du salon un bocal en verre rempli de préservatifs. Elle avait aussi acheté quelques flacons d'huile de massage ainsi qu'un tube de lubrifiant. Une fois les trois collègues réunies, elles se félicitèrent pour leurs tenues respectives, Marie commençait même à sentir une pointe d'excitation s'emparer de ses entrailles à la vue de la tenue particulièrement provocante d'Eva. Alors qu'elles ne ne se trouvaient que toutes les deux, elle lui susurra même à l'oreille : "Dommage que l'on doive s'occuper de lui, sinon, je me serais bien occuper de toi, tu m'excites terriblement habillée comme ça". Eva lui répondit d'une voix langoureuse : " Ne t'inquiètes pas, ce n'est que partie remise, on aura tout le temps quand on aura réglé notre problème ..." Florence fit quand même remarquer à Marie : "Tu crois que tu n'en pas fait trop avec la décoration, cela risque de lui donner envie de nous ... enfin tu vois ce que je veux dire" Marie : "Ne t'inquiètes pas, c'est juste pour le mettre en confiance dès qu'il arrive, on lui offre à boire, et à ce moment là, tous nos problèmes seront bien loins" Florence répondit anxieuse : Oui, j'espère que tu dis vrai" Eva : " Il ne va pas avoir le temps de comprendre ce qu'il lui arrive ce gros dégueulasse" Les trois femmes attendaient maintenant nerveusement dans le salon, aucunes d'elles n'osaient parler, l'ambiance était particulièrement pesante. Le carillon de la ***nette vint briser le lourd silence qui régnait dans la pièce. Marie se leva d'un seul coup comme si elle était montée sur ressort. Elle se dirigea d'un pas volontaire et assuré vers la porte d'entrée, elle posa la main sur la poignée et ouvrit lentement la porte. celle ci laissa apparaitre Mr Lambert, elle remarqua tout de suite qu'il n'avait même pas pris la peine de se changer et qu'il était venu les mains vides. Même si elle n'espérait rien de spécial venant de sa part, elle se dit en elle même : "Un mufle restera toujours un mufle ..." Mr Lambert écarquilla les yeux quand il vit Marie derrière la porte, sa tenue lui donna aussitôt une bouffé de chaleur, il commençait déjà à sentir *** sexe se raidir dans *** pantalon. Il se dit en lui même : "Je pense que je vais passer une soirée inoubliable ..." Effectivement, il ne se trompait pas, la soirée allait être ..... inoubliable, mais peut être pas pour lui ...
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chrislebo
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Mr Lambert suivit Marie jusqu'au salon, il ne pouvait quitter des yeux *** postérieur qui se balançait langoureusement au rythme de ses pas. Alors qu'il la suivait comme un chien docile, il scrutait attentivement la tenue de la jeune femme et distingua nettement le relief des jarretelles sous la robe de soirée. Il put également admirer un court instant la cuisse gainée de *** hôte qui s'échappait du coté de sa robe. Il découvrit avec plaisir et excitation qu'elle avait enfilé une paire de bas couture. La vision de cette jambe restait figée dans sa esprit, il revoyait la fine couture escalader le mollet puis la cuisse de marie et se perdre dans les replis de sa robe. Il jubilait intérieurement et commençait déjà à avoir chaud, le sang battait contre ses tempes, il avait envie de la jeter par terre, de lui arracher sa robe et de la prendre sur le champ. Mais il se retint, il savait qu'il n'aurait pas à patienter très longtemps et que bientôt il pourrait profiter de Marie ainsi que de ses collègues. Marie le fit pénétrer dans le salon, il fut surpris par l'ambiance chaleureuse et intimiste qui y régnait, il scruta rapidement la pièce. Il découvrit des bougies qui étaient dispersées de ça et la, il vit aussi quelques bâtons d'encens en train de finir de se consumer. Il fut même surpris de trouver sur la table du salon un bocal rempli de préservatifs, ainsi que des flacons d'huile de massage et du lubrifiant. Il posa ensuite *** regard sur Eva, celle ci était confortablement assise au fond d'un fauteuil, les jambes croisées. Sa petite jupe était assez remontée pour qu'il puisse distinguer sans aucune gène la lisière de ses bas noirs. Ses yeux s'attardèrent également sur sa poitrine qui était particulièrement bien mise en valeur par le petit haut qu'elle arborait. Alors qu'elle sentait le regard de *** responsable redescendre vers ses jambes, Eva en profita pour décroiser ses compas, et les recroisa aussitot tout en prenant soin de faire crisser le fin tissu qui parait ses mollets. Des gouttes de sueur se formèrent sur le front de leur invité, il avait eu le temps de voir très distinctement le sexe glabre de la jeune fille. La petite brune était fière d'elle en voyant *** responsable changer de couleur, elle avait envie de l'exciter et de l'allumer. Elle était tellement émoustillée qu'elle se dit : "Dommage que l'on doive bientôt s'occuper de toi, j'aurais adoré profiter une dernière fois de ta grosse queue" Au même instant, il se dit en lui même : "Tu ne perds rien pour attendre petite salope, je vais te baiser et te faire hurler de plaisir comme jamais" Puis ce fut au tour de Florence de d'être passée au crible, il la scruta également de la tête au pied et apprécia énormément sa tenue de femme sensuelle et distinguée. Elle était sagement assise à une extrémité du canapé. Ses jambes étaient croisées, mais sa jupe ne remontait pas assez haut pour qu'il puisse voir ce qu'elle portait en dessous. Il se doutait quand même que ce qu'il y trouverait une fois qu'il l'aurait effeuillée allait le ravir. Encore tout transpirant d'émotion, Mr Lambert s'assit au milieu du canapé à coté de Florence et sans aucune gène, posa sa main sur la cuisse de cette dernière. Il la fit remonter jusqu'à ce qu'il sente la bande de dentelle des bas de Florence, à ce moment là, un sourire s'empara de *** visage. Florence surprise et mal à l'aise ne put faire autrement que d'accepter cette présence sur *** corps. Marie alla ensuite s'asseoir à *** tour à coté de Mr Lambert, ce dernier était désormais entouré de deux jolies jeunes femmes. Marie se mit à l'aise et croisa également les jambes. Elle offrit ainsi à Mr Lambert une vue imprenable sur celles ci. Ce dernier admirait le magnifique bas nylon retenues par une jaretelle blanche. Il ne put s'empecher de poser une main sur la cuisse de Marie et la fit remonter obligeant cette dernière à décroiser les jambes. Il en fit de même avec Florence qui dut elle aussi decroiser les jambes. Mr Lambert caressait avec avidité les cuisses de ses assistantes, il s'aventurait de plus en plus haut les obligeant à ouvrir legerement leur compas. Ses doigts finirent par rentrer en contact avec le tissu de leurs sous-vêtements. Il pensa à ce moment : "Tiens ces deux là portent une culotte, ce n'est pas comme la petite salope d'en face". Il porta *** regard vers Eva, cette dernière était toujours installée au fond de *** fauteuil. Elle se mordait la lèvre inférieure comme si l'excitation commençait à l'envahir et une de ses mains se promenait négligemment sur sa cuisse. Marie se disait : "Le salaud, il commence m'exciter à me caresser comme ça. S'il continue c'est moi qui vais lui sauter dessus pour profiter de sa queue une dernière fois". Voyant que la situation commençait à déraper et par égard pour Florence, Marie se dit qu'il fallait mettre leur plan à exécution immédiatement et proposa de porter un toast afin de célébrer leur nouvelle collaboration. Elle se leva sans que Mr Lambert ne puisse réagir. - Mr lambert, avant de passer aux festivités, vous allez bien boire quelque chose afin de sceller notre accord. Un whisky peut être, mon mari est un amateur et a de très bonnes bouteilles. - Oui bien sur, mais à condition que vous trinquiez aussi avec moi ! - Les filles, je vous sers la même chose ? Eva et Florence acquiescèrent d'un mouvement de la tête. Mr Lambert se dit : Je sens que la soirée va être intéressante, je comptais déjà bien m'amuser mais l'alcool risque de les désinhiber encore plus, je vais pouvoir faire ce que je veux de ces trois petites salopes. Marie s'éclipsa rapidement dans la cuisine et prit un plateau, elle y déposa quatre verres à whisky. Elle versa ensuite dans chacun des verres une bonne dose de Chivas Regal de 25 ans d'âge. Puis dans l'un d'entre eux qu'elle mit légèrement à part, elle versa quelques goûtes d'une petite fiole. Elle soupira un grand coup comme pour se donner du courage repartit vers le salon avec le plateau. Elle pénétra dans la salle et vit en premier le visage de Florence, cette dernière se mordait la lèvre inférieure. Marie ne mit pas de temps à comprendre quelle était la cause de la crispation de sa collègue. L'une des jambes de Florence était sur la cuisse de Mr Lambert. Une des mains de ce dernier s'agitait frénétiquement sous la fine culotte de Florence. De *** autre main, il caressait sa jambe avec de longs va-et-vient. Le bruit si caractéristique que produisait le frottement contre le bas de Florence électrisa Marie, elle sentit aussitôt une boule se former dans *** bas ventre. A cet instant, elle aurait voulu être à la place de Florence, imaginant les doigts de *** responsable fouiller *** intimité et sa main s'aventurer sur les méandres de ses jambes recouvertes de cette précieuse étoffe. A y réfléchir, elle aurait aimé être en train de caresser Florence, elle venait de percevoir sa collègue sous un autre jour, d'un seul coup elle se mit à la trouver sensuelle et désirable. La respiration de Florence devenait saccadée, *** pervers de supérieur savait comment s'y prendre pour l'exciter. Voyant que la situation dégénérait Marie proposa de porter un toast. - Mr Lambert, vous aurez toute la soirée pour ****** de nous, si nous trinquions maintenant. - Nous avons le temps, laissez moi d'abord profiter de cette cochonne ... Joignant les gestes à la parole, il prit la main de la Florence et la posa sur la bosse qui commençait à naître sous *** pantalon : - Allez ne fais pas ta timide, viens jouer un peu avec ma queue, tu avais l'air de l'apprécier la dernière fois. Florence se mit à masser le sexe de Mr Lambert par dessus *** pantalon, elle le sentait grossir et durcir sous ses doigts. Ce dernier continuait *** travail de sape en s'acharnant maintenant sur le clitoris de sa subalterne.
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chrislebo
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Enhardie par l'excitation, Florence fermât les yeux et commença à défaire un à un les boutons de la braguette, puis elle plongea sa main sous le slip et en sortit ce membre qui lui avait procuré tant de plaisir la dernière fois. Elle l'empoigna fermement et commença à le branler. Marie avait posé le plateau sur la table et profitait du spectacle, un peu jalouse de rester à l'écart des festivités. Eva s'était avancée jusqu'au bord du fauteuil afin d'avoir une meilleure vue. Les deux jeunes filles étaient subjuguées par les agissements de ce couple si inattendu. Mr lambert et Florence se caressaient l'un et l'autre avec énergie et vigueur, comme s'il s'agissait d'une passe d'armes entre eux et qu'ils voulaient se rendre coup pour coup. Mr Lambert approcha *** visage de celui de Florence et prit possession de sa bouche. il l'embrassait de manière bestiale et vulgaire, le contraste était saisissant, entre Florence qui était si belle et distinguée et Mr lambert qui était tout sauf un apollon. On se serait cru dans un des ces nombreux films pornographiques où de vieux dégoûtants ******* de charmantes jeunes filles. Il mit un terme à leur baiser obscène : viens me sucer maintenant, lui lança t'il d'un ton sec. Sans rien dire, Florence se leva, remit de l'ordre dans sa tenue et s'agenouilla devant *** responsable. Elle prit *** sexe en main et le caressa quelques secondes. Elle se pencha ensuite sur sa queue et en fit disparaître l'extrémité dans sa bouche. Elle commença à faire coulisser le sexe entre ses lèvres tout en lui caressant les testicules. De temps elle desserrait *** étreinte pour lécher avec application la tige de bas en haut. Plus ça allait, plus sa langue descendait, elle entra logiquement en contact avec ses boules. Elle se mit à les lechouiller tout en lui malaxant le gland avec la paume de sa main. Mr Lambert grognait de plaisir sous la langue experte de Florence. Mais il en voulait encore plus, il voulait que cette soirée devienne une véritable orgie. Il s'adressa à Eva et Marie : - Déshabillez vous toutes les deux, et vous allez me la préparer, je vais la baiser, et après je vais l'enculer. Puis il s'adressa à Florence : - Tu la veux ma grosse bite dans ton petit cul serré ? Florence sortit la tête de l'entre jambe de *** supérieur et répondit : - Mmmm oui, Mr Lambert, avec plaisir .... Florence se lâchait complètement, elle se disait que leurs problèmes seraient bientôt réglés et qu'elle pouvait bien profiter de l'anatomie avantageuse de ce sale pervers une dernière fois. Et puis de toute façon, elle n'avait guère le choix. Florence retourna s'affairer sur ce sexe qui l'excitait tant et à nouveau, des bruits de sucions obscènes se firent entendre dans la pièce. Pendant ce temps là et suite aux ordres de Mr lambert, Eva, s'était levée et était venue se coller derrière Marie, plaquant *** opulente poitrine dans le dos de sa collègue. Elle passa ses mains sur le ventre de Marie et remonta vers sa poitrine. Elle se mit a lui caresser délicatement les seins tout en lui déposant de petits baisers dans le cou. Marie ne resta pas inactive, elle passa ses mains en arrière pour attraper les fesses de ses collègues. Elle les pétrissait fougueusement et petit à petit se mit a remonter la jupe de sa collègue, jusqu'à ce que celle ci soit complètement enroulée autour de sa taille. Marie s'aperçut bien vite qu'Eva ne portait pas de culotte et lui fit remarquer en lui susurrant : - Dis donc, tu n'auras pas oublié de mettre quelque chose petite coquine ? Eva lui chuchota à l'oreille : - J'espérais tellement que ça se passe comme ça que je l'ai fait exprès pour allumer ce vieux salaud. J'ai tellement envie qu'il me baise une dernière fois. Et puis j'ai très envie de toi aussi, tu es encore magnifique ce soir. A peine Eva eut elle fini sa phrase, qu'elle attrapa le visage de Marie pour la ****** à se retourner et l'embrassa à pleine bouche. Mr Lambert se demandait s'il n'était pas en train de rêver, il profitait allègrement des caresses buccales de Florence et admirait Eva et Marie qui s'enlaçaient et s'embrassaient fiévreusement. Eva fit glisser les fines bretelles de la robe de Marie sur ses épaules. Marie enjamba sa robe qui était à terre et d'un geste délicat du pied la poussa un peu plus loin. Mr Lambert peut alors admirer la tenue que portait Marie. Il sentait *** cœur s'emballer et sa tête fut prise d'une subite poussée de chaleur. Elle avait acheté cet ensemble de lingerie spécialement pour la soirée, il était blanc avec du tissu transparent, on voyait distinctement les auréoles de ses seins ainsi que le replis de de *** sexe à travers la fine étoffe. *** porte-jarretelles avait une ceinture assez large et épousait magnifiquement sa taille. *** string s'intégrait de manière parfaite entre ses fesses. Ses bas nylon étaient noirs avec des coutures, ils montaient assez hauts ne dévoilant qu'assez peu la peau de ses cuisses. Mr Lambert voyait les mains d'Eva déambuler sur ce corps magnifique. Eva pétrissait les fesses de Marie de manière assez virile un peu comme le ferait un homme. Puis parfois elle lui caressait la croupe en passant une main entre ses fesses. Mais ce qui excitait le plus Mr Lambert c'était quand Eva caressait les jambes de Marie, ce bruit caractéristique émis à chaque passage des doigts d'Eva sur le nylon faisait littéralement trembler Mr Lambert de désir. Eva passait même sa main à l'intérieur d'un des bas de Marie, voir les doigts de sa subalterne s'agiter sous le fin tissu noir le mettait également en transe. Marie n'était pas en reste, elleflattait elle aussi l'entre-jambe de sa collègue tout en l'embrassant. Marie voulait goûter à l'opulente poitrine d'Eva, elle remonta un peu *** haut pour en extirper ses seins. Elle commença ensuite à les malaxer et prit soin d'embrasser et de mordiller chaque téton. Eva qui avait l'air d'apprécier poussait de lourds soupirs de plaisir. A cet instant précis, Mr Lambert se serait cru au paradis, il était totalement comblé. Que pouvait il espérer de plus. Une charmante jeune femme était en train de lui faire une fellation magistrale pendant que deux autres s'embrassaient sensuellement sous ses yeux. Il se décida quand même à accélérer la cadence, il avait hâte de plonger *** sexe dans les orifices de Florence. En bon "gentleman", il dit à Marie et Eva : Venez donc lui préparer *** petit cul si vous voulez qu'elle apprécie car elle m'a tellement excitée que je crois que je vais l'enculer directement. Florence fut à la fois terrorisée et troublée par ces paroles, elle appréhendait de recevoir cet énorme sexe dans *** fondement, mais elle se souvint aussi du plaisir que ce dernier lui avait procuré la dernière fois. Comme toute réponse elle se contenta de fixer *** responsable dans les yeux et de lui aspirer le gland avec le regard le plus lubrique possible. Eva et Marie vinrent s'agenouiller chacune de part et d'autre de Florence. Elles commencèrent à déshabiller leur collègue en la débarrassant de sa jupe. Elles en profitèrent pour caresser ses fesses et de temps en temps leurs doigts allaient se perdre sur sa croupe. Le slip de Florence devint très vite un obstacle et rejoignit donc rapidement la jupe au coin du canapé. Pendant qu'il continuait de se faire sucer, Mr lambert se saisit de la culotte de Florence et se mit à inspirer profondément les effluves qui en émanaient. Il s'adressa à Florence : J'adore l'odeur de ta chatte, je viendrai te la lécher tout à l'heure. Florence interrompit brièvement sa fellation pour répondre : J'y compte bien. J'ai très envie de sentir votre langue en moi. Mais au lieu de la langue de Mr lambert, ce ***t les doigts de ses collègues que Florence commençait à sentir. Elle n'avait jamais eu d'expérience avec des femmes et elle appréciait les caresses douces et délicates de qu'elles lui prodiguaient. Bientôt un maelström d'attouchements se déchaîna sur ses fesses, *** dos, ses jambes gainées de nylon et *** bas ventre. Elle crut même sentir les tétons de ses collègues venir lui effleurer *** sexe. Cela était d'autant plus troublant qu'affairée avec la sexe de Mr Lambert elle ne pouvait distinguer qui de Marie ou d'Eva la caressait. Elle sentit bientôt une langue glisser le long de sa fente, le rythme devint régulier et à chaque passage elle s'aventurait un peu plus vers *** petit trou. Elle sentit une autre langue se poser dans le creux de *** dos et une main se poser sur *** bas ventre. Des doigts commencèrent à caresser doucement le tour de *** nombril, descendirent ensuite vers *** sexe et tombèrent sur *** clitoris. Pendant ce temps une autre main vint se poser a l"intérieur d'une de ses cuisses et elle sentit aussitôt des ongles faire crisser le tissu de ses bas. Des temps en temps les baisers sur *** sexe et *** dos s'interrompaient, mais elle entendait toujours de bruits de sussions derrière elle, elle en déduisait que Marie et Eva s'embrassaient alors à pleine bouche. Du canapé Mr Lambert avait une vue imprenable. Il voyait Marie à quatre pattes derrière Florence en train de lui lécher la chatte pendant que Eva sur le coté lui embrassait le dos et la caressait. Marie fixait également Mr Lambert pendant que sa langue se promenait dans les replis de l'intimité de Florence, elle avait une lueur indescriptible dans les yeux, elle semblait assoiffée de sexe ce soir. D'un seul coup Marie arreta de s'occuper de Florence et s'avança telle une panthère vers Mr Lambert. Celui ci se dit qu'elle venait sans doute pour le sucer, mais à *** étonnement, Marie vit embrasser Florence à pleine bouche. Cette dernière surprise abandonna le sexe de Mr Lambert et rendit *** baiser à Marie. Elle fut quelque peu surprise et décontenancée de goûter à sa propre intimité. Elle se dit : c'est donc ça ... ce n'est pas si désagréable Marie abandonna les lèvres Florence et retourna s'occuper de sa croupe, elle s'attardait maintenant sur l'anus de sa collègue, elle voulait que Florence prenne vraiment du plaisir pour cette sodomie à venir, elle se mit alors en tête de la préparer du mieux possible. Sa langue virevoltait autour de *** petit trou, le bassin de Florence ondulait de manière incontrôlée et Marie et Eva avaient de plus en plus de mal à pouvoir l'embrasser. D'ailleurs ces deux dernières étaient également très excitées et elle avait toutes les deux porté une de leurs mains à l'entrejambe. Décidé à passer aux choses sérieuses Mr Lambert s'adressa à Florence : je n'en peux plus d'attendre, j'ai trop envie de te prendre le cul. Puis de manière autoritaire il énonça ses instructions : Marie, Eva, venez vous asseoir sur le canapé, Florence vous léchera pendant que je l'enculerai.
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