chrislebo
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Paul me tend alors un paquet cadeau. Je l'ouvre rapidement tellement excitée à l'idée de voir ce que contient cette boite. Je me sens tellement nerveuse. « Oh ! » ma bouche s'arrondie de surprise, je découvre une magnifique guêpière. « S'il te plais Sarah pourrais tu la passer pour moi ? » « Oh Paul il ne fallait pas elle est superbe » « Ne t'ais je pas dit que j'allais bien m'occuper de toi ? Je vais te constituer ta propre garde robe tu n'auras plus à prendre les dessous de ta mère. » « Viens suis moi dans la chambre... » Sans même réfléchir j'emboîte les pas de mon «amant », maintenant c'est sur, je désire trop goûter à sa queue. « Sarah si tu le souhaites tu peux aller te préparer dans la salle de bain attenante à la chambre. » Pendant que je m'exécute dans la salle de bain, j'entends Paul qui se déshabille dans la chambre. L'excitation est à *** comble et a pris le pas sur ma nervosité. Je me presse donc d'ajuster la guêpière noire assortie à ma lingerie. Cela m'affine délicieusement la taille. Sur la tablette du lavabo bien en évidence je vois un tube de rouge à lèvres et un crayon eyeliner. Paul étant divorcé depuis bientôt 5 ans je supposes qu'il les a laissé là à mon attention, sans trop réfléchir, je commence à m'appliquer le rouge sur mes petites lèvres. C'est un rouge sang très violent qui me fait une bouche goulue. Maintenant l'eyeliner. C'est plus difficile à mettre il faut bien passer le crayon à la base des cils, je me concentre alors bien à l'aide du miroir. Voilà c'est bien, la vision dans le miroir me trouble, ainsi maquillée et parée de cette guêpière, je ressemble tellement à une femme, les seins en moins. Voir ainsi mon reflet dans le miroir me fait immédiatement bander. Cela à pour effet de déformer mon string. Heureusement pour moi j'ai un très petit sexe ce qui fait que même en bandant mon petit clito ne dépasse même pas de *** écrin de dentelle. En arrivant à la porte de la chambre je vois Paul entièrement nu étendu sur *** lit. Mon dieu quelle bite ! Elle est énorme ! tout d'un coups la peur me saisie. Jamais je n'arriverais à enfourner ce pieu de chair en moi. Paul conscient de mon trouble me dit alors. «N'ais aucune crainte ma chérie tu vas voir je vais bien te préparer tu n'auras pas mal. J'ai du gel anal parfumé et chauffant tu verras c'est très agréable. » Je me rapproche lentement du lit, visiblement ma tenue fait *** effet car Paul bande comme un taureau, je me sens à la fois inquiète et terriblement fière de susciter une telle excitation chez un homme. Pour moi c'est une première. « Sarah as-tu déjà sniffé du poppers ? » « Non c'est quoi ? » lui demandais je. « Tiens, ouvre ce flacon et renifles profondément à chacune de tes narines, tu verras tu te sentiras plus relax et tes muscles vont se relâcher, y compris ton sphincter. » Je le regarde alors étonnée. « Mon sphincter ? » « Oui ton trou du cul va être plus souple et tu accepteras plus facilement mon gourdin chérie. » Sans trop réfléchir j'inhale profondément par mon nez les effluves de ce petit flacon. La tête me tourne un peu mais au bout de quelques secondes je me sens plus détendue. « Pas***s aux choses sérieuses ma chérie, SUCE MOI ! ».
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chrislebo
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D'une main je lui saisis la bite et de l'autre je lui caresse le torse, tout en passant ma langue sur ses couilles bien pleines et poilues puis je remonte doucement le long de sa verge. Une fois arrivée au niveau de *** gland, Paul appuie sur ma tête pour me faire comprendre qu'il voulait que je le prenne tout en bouche. Je commence alors un va et vient un peu maladroit du à mon inexpérience mais je sent le corps de Paul qui réagit, il se tend et laisse échapper des grognements de plaisir. *** excitation est de plus en plus grande, il glisse vers le bord du lit. Soudain il relève ses jambes toujours écartées, j'en profite pour mieux lécher et malaxer ses couilles, ainsi accessibles. Mon amant est maintenant sur le dos, les jambes en l'air et bien écartées. Nous sommes l'un et l'autre dans un état second. J'abandonne alors sa bite et je me concentre à lécher uniquement ses bourses. Ma langue se rapproche de plus en plus de la raie de ses fesses. Cela semble lui plaire car il soulève légèrement *** cul et écarte ses fesses avec ses mains m'indiquant ainsi le chemin à suivre. Ma langue se promène de ses couilles à *** anus, je m'attarde sur *** petit trou. Paul m'encourage à continuer, c'est tellement bon ! Tout en continuant à travailler *** trou du cul avec mon index, je reprends ma pipe de plus belle. Au bout de longues minutes de travail acharné sur *** membre, en titillant en particulier *** méat avec la pointe de ma langue, je sentis tout d'un coups *** sperme jaillir. Je fus au début surprise mais j'appréciais vite le goût de ce liquide blanchâtre visqueux et épais. « Tu es vraiment douée pour tailler des pipes ma chérie ! » J'étais fier d'entendre Paul me complimenter, mais je me sentais un peu frustrée de n'avoir pas jouie. C'est alors que l'amant de ma mère et désormais également le mien pris un bas nylon et enfila sa main à l'intérieur. Ensuite il entrepris de me branler ainsi en prenant bien soin de décalotter mon gland et de faire coulisser le bas sur la peau délicate de mon sexe. Ce dernier ne devait pas faire plus de neuf centimètres en érection mais cette sensation tellement soyeuse et agréable me fit un effet immédiat. En 30 secondes j'eus l'orgasme de ma vie, d'ailleurs le sperme coulait à flot de mon sexe et maculait le bas. Je compris ce jour là que j'étais éjaculateur précoce ! Paul heureux de *** fait me dit : « Sarah, dorénavant tu ne jouiras que par ce moyen là ou par ton anus ! Je ne veux plus que tu te branles. C'est bien compris ? » Un peu surprise par cet élan d'autorité, je me rebellais quelque peu. « Non mais ça va pas ? Je fais ce que je veux de ma vie et ce n'est pas toi qui vas me dire ce que j'ai à faire. » « Vraiment ? » me répondit il, avec un petit sourire en coin. « Regardes petite sotte, tu vois sur mon bureau, la webcam de mon ordinateur ? Hé bien tout à été enregistré, il y a même quelques voyeurs de ma liste sur MSN qui ont du profiter du spectacle. » Tout d'un coups je me sentis désemparée, mon cœur battait la chamade, je sentis mon visage s'empourprer. Un sentiment de honte terrible me submergea. « Petite conne tu croyais peut être que tu allais te taper le mec de ta mère comme ça et aurevoir ? » « Idiote ! Maintenant tu seras mon petit vide couille per***nel, tu seras à ma disposition. Mon « fucktoy » comme disent les anglo-saxons. » Je restais prostrée sans voix. « Si jamais tu refuses, cet enregistrement ira directement dans les boîtes mail de tes amis de la fac, ainsi bien sur qu'au travail de ta mère chérie, qui verra qu'elle a engendré non pas un mâle mais une lope femillisée. » Je ne savais plus ou me mettre, j'avais débandé depuis longtemps, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes. Je sentis les larmes affluer aux coins de mes yeux. Je chialais comme une gonzesse ! Merde Paul à rai*** je suis une vraie fillette. « As-tu bien compris Sarah ? À partir de maintenant tu es à mon entière disposition » Je bredouillais un oui quasi inaudible. « Très bien, commençons maintenant alors ta mère ne rentre que dans une heure j'ai largement le temps de goûter à ton cul de pucelle... »
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chrislebo
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Le lendemain, je rentrais de la fac vers 16h. J'avais passé une très mauvaise nuit, en repensant à mon *********** et au moyen de pression dont disposait maintenant mon voisin. J'avais pleuré une bonne partie de la nuit. Je haïssais Paul, mais que pouvais je faire ? Il m'avait donné RDV en bas de notre immeuble, de plus il m'avait dit de m'habiller normalement cette fois pas de dessous féminins sous mes habits de garçon. Je devais juste porter un plug tout au fonds de mon cul afin de « le dilater convenablement » selon ses propres dires. Encore une *********** pour moi qui ais du me rendre dans le seul sexe-shop de la ville afin d'acquérir l'objet. Je me sentais si mal à croiser le regard libidineux du vendeur derrière sa caisse, avec la peur au ventre de croiser une connaissance dans ce lieu de débauche. Je choisie rapidement un plug pas trop gros et je m'empressais de payer pour rentrer rapidement à l'appartement. Une fois arrivée, je dus bien lubrifier l'engin avec de l'huile d'olive, n'ayant rien d'autre sous la main, et ainsi j'ai pus me l'introduire sans trop de difficultés. Cette sensation plutôt désagréable au début, finie par devenir supportable. Je m'avouais même que cela devenait agréable en marchant dans la rue de sentir ce mini sexe au contact de mon intimité. 16h10, il est tant pour moi de retrouver mon maître chanteur au local à poubelles. « Bonjour Sarah ! » Paul me fit sursauter. « Mes respects maître. », j'avais compris que je devais appeler ainsi mon nouveau maître faute de quoi mes fesses me cuiraient sous les coups de sa cravache. « Viens salope suis moi... » Nous nous dirigeâmes vers les caves de la résidence, après un long dédale de couloirs mal éclairés, la faute à des ampoules cassées, nous arrivâmes enfin devant une porte. Sûrement la cave de Paul. Il déverrouilla la porte et me fit entrer. Je le sentis me suivre et refermer la porte derrière nous, il faisait noir je ne distinguais rien, puis enfin la lumière jaillie. Stupéfaction ! La pièce était remplie d'objets de *******, une croix de Saint André un cheval d'arçon munis de chaînes aux 4 angles... Je sentis mes jambes flageoler elle ne me portaient plus, un petit cri m'échappa. « N'est pas peur petite chienne tu vas voir on va bien s'amuser tous les deux. » Il me releva et me fis mettre à poil. Heureux de voir que je portais mon plug il me félicita, tout en me flattant les fesses de sa main. « Bien maintenant mets ça ! » Mon affreux voisin me tendit une guêpière à balconnet, ainsi que de faux seins à placer sur mon torse, pour le bas il m'avait réservé une culotte PVC ouverte à l'entrejambe pour laisser libre l'accès à mon intimité, ajouté à cela des bas autofixants en latex également. Sans oublier une paire d'escarpins aux talons hauts perchés, de pointure 40, mais comment connaissait il ma pointure ? Je me dépêchais d'enfiler tout ça. Je devais bien admettre que la sensation de cette matière sur mon corps eut un effet immédiat sur mon petit sexe qui commençait à bander. A la vue de la bosse dans la culotte, Paul me dit : « Eh bien ma petite chienne il semblerait que tu commences à prendre goûts à nos petits jeux ! » « Tu vas voir tu vas adorer la suite, ajuste cette perruque sur ta tête ». Il me tendit un très mignon carré brune du type de celui d'Uma Thurman dans pulp fiction, sauf que là j'étais plutôt fagotée comme l'esclave latex aux prises avec le flic ripoux dans une cave un peu plus loin dans le film. Là mon maître me fit prendre position sur le cheval d'arçon, me fixa les membres aux liens, je me trouvais ainsi entravée à la merci de tout et de tous ! C'est le moment que choisi Paul pour sortir un caméscope et *** pied. Il commença à me filmer sous toutes les coutures et s'attardant sur mon visage très reconnaissable malgré la perruque. Je me sentais tellement à sa merci mon image livrée au public quelle *********** ! « Au fait » me dit il. « Hier j'ai bluffé je n'avais pas branché la Webcam, par contre maintenant on va faire un beau porno avec toi comme actrice principale à toi la gloire à moi l'argent pauvre petite conne naïve ! » Le sang avait quitté mon visage j'étais livide. Cette fois j'étais perdue, pour sûr mon visage allait se retrouver sur les écrans de nombreux pervers à travers le pays et même dans le monde maintenant avec Internet ! Et les réjouissances allaient commencer. Paul dégrafa *** pantalon et me présenta sa bite. « A toi de jouer Sarah suce moi du mieux possible, tout le monde te regardes »
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chrislebo
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Je m'appliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens. Du moins c'est ce que je croyais. Je m'appliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en m'attardant sur le méat, zone érogène par excellence de l'homme. « Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha t'il. Je m'exécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien qu'étant dans la position d'un viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse. Tiens au fonds de moi je m'exprime au féminin, comme c'est étrange ! « Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! » Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul. « Ne t'inquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien s'occuper de toi. » Nous mais de quoi parle t'il ? Je n'eus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul m'appuya sur la tête pour m'obliger à tout avaler. Je n'eus d'autres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste. Je fis une petite grimace qui ne manqua pas d'échapper à Paul. « N'ais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à ***** d'en boire, crois moi c'est comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée. « Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? » « Comment ? » « Pardon maître, pourriez vous avoir l'obligeance de me libérer s'il vous plait ? « Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous n'en sommes qu'aux préliminaires. » Mal à l'aise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes. « Maître s'il vous plait ! » Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec ***** sur les fesses et sur mes petites couilles ! Je criais comme une folle ! « Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici per***ne ne t'entendra » Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur ! Tout d'un coup, j'entendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car j'étais dos à la porte. J'entendis des pas se rapprochant. « Regardes Sarah, j'amène du renfort. » Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM. Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cœur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie s'écroulait tout à coups. Mamadou fut le premier à réagir : « Eh! Bien qui l'eu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm j'ai envi de ton boule de lopsa » « OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et n'oubliez pas que le titre du film c'est La tournante de Sarah dans les caves de la cité. Mon calvaire ne faisait que débuter. Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de *** survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en n'oubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers. « Putain, tu avais rai*** Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! » Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec violence, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans l'anus, je me félicitais d'avoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante. Du coin de l'œil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible. Je perdais la notion du temps et je n'entendais plus mes assaillants parler, j'étais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je n'étais d'ailleurs rien d'autre pour mes voisins de HLM en cet instant ! Mais d'un coup une douleur violente me fit réagir, j'étouffais un cri, du fait que la bite d'Abdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes. Je compris que Mamadou venait de me pénétrer l'anus d'un coup jusqu'à la garde, j'avais l'impression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence ! « Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu n'as pas déjà été ramonée par tout l'étage, comme la salope qui te sert de mère » Je n'en revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? J'étais en état de choc. C'est ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme d'Abdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment. Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes. « Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant. « C'est dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel c'est pas ton frère qui élève des pitbull ? » « Oui c'est vrai, il doit d'ailleurs passer avec le mâle dominant de la meute qu'il ne peut pas garder dans *** chenil, il attaque tous les autres. Je dois m'en occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. » C'est alors avec une peur viscérale que je vis l'œil de Paul s'éclairer d'une lueur démoniaque et lubrique à la fois.
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chrislebo
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Les mamans de l'école primaire Comment expliquer mon attirance pour les femmes mariées, et en particulier mon désire pour les mères de famille : peux on y voire une forme d oedipe, une névrose, une perversion innée ? Rien ne vaux le récit de mes aventure libidineuse pour mieux vous faire comprendre la nature de ma perversion, a commencer par ce que je suis en train de faire actuellement : et oui ! je vous le donne en mille je baise une maman, et pas n importe laquelle d'ailleurs, puisque il s agit de la femme de mon petit frère : a quatre pattes sur le lit conjugale comme je le lui ai ordonnée, sa jupe troussée, ainsi que *** string en dentelle mauve baissée a mi jambe, je la besogne fermement par derrière, faisant grincer le sommier, claquant mon ventre ferme et musclé contre ces fesse potelée : - alors Marie, tu aime toujours autant te faire monter par ton beaux frère ? Elle ne peux que répondre par un vague grognement toutes a *** plaisir adultère : - pas la peine de repondre ma salope, tu mouille comme une vraie fontaine, mes couille en ***t toutes poisseuses, tient prend ça dans ton cul ma cochonne ! et de lui mettre un bon coup de rein qui la fait râler plus fort, et frémir de tous *** corps. Pour faire bonne mesure je lui gifle *** gros joufflu lui faisant pousser un petit cri de douleurs surprise : - mais c est qu on a pris du poids depuis l accouchement ma grosse !!! Elle n est pas spécialement belle, avec un corps sans relief quoi que doté d un cul un peux plus rebondi que la moyenne. Ce qui m avais surtout excité chez elle, outre le fait qu elle soit la femme de mon frère, c est *** coté pincée et rai***nable issue de *** éducation : de confession chrétienne, elle considérais le mariage comme un engagement sacrée, qu on devais chérir pour la vie, croyant au vertus de la fidélité et autre faribole.... bref je m étais fait un plaisir de la séduire dans le dos de mon frère, réveillant ses pulsion de femme réprimée par les cours de catéchisme de *** enfance, elle c étais alors montrée veule et soumise.
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chrislebo
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Je me souvient parfaitement de sa première infidélité : cela c étais passé dans *** appartement, alors que j avais envoyer *** mari faire une course inutile au supermarché du coin. Je l' avais coincé par derrière contre la table du salon, lui troussant sa robe d une main et serrant méchamment sa gorge de l autre, la forçant a courber ses reins et baisser elle même sa culotte avant de l enfiler. Je lui avais fait dire sous la contrainte de ma main serrant sa gorge que désormais elle serait ma salope a moi, avant d être une épouse pour *** mari. Elle c étais soumise avec une langeur et un plaisir qu elle avait réprimée en se mordant les lèvres, pour étouffer les cris de jouissance qui montait en elle, et aujourd hui : -allez remue moi un peux tous ça, bouge ton gros derrière que je sente bien mon pieux te ramoner, petite salope.... Et oui, je fait d elle ce que je veux bien quelle soit la femme de mon frère, elle m obéit au doigt et a l oeil soumise a mon bon plaisir, contrairement a *** mari : selon mes directives, elle n a plus de relation sexuelle avec lui, je lui permet seulement de le masturber lorsqu ils ***t au lit, mais *** cul *** sexe et sa bouche me ***t réservé. Lorsqu je m invite chez eux alors que mon frère est au travail, elle doit me recevoir comme *** véritable maris, et m embrasser comme une femme aimante, bien quelle me craigne et me déteste, tous en me désirant. Elle a adoptée une attitude de plus en plus hautaine avec *** maris, reportant sur lui *** *********** de soumise. Entre moi et mon petit frère Daniel, il en a toujours été ainsi : une rivalité dont je suis toujours sortis vainqueurs, et ce depuis le tous débuts. Enfant j avais déjà la préférence de ma mère, *** 1er enfant sur qui elle avais concentrée toutes *** affection, considérant mon frère venus au monde 3 années plus tard comme une erreurs. J étais le plus beau beau, le plus vigoureux, le plus volontaire, la préférence que me donna ma mère creusa encore l écart entre lui et moi ; il devins de plus en plus renfermé, alors que moi je m épanouissait, conscient de ma supériorité. Plus tard, que se soit au collège ou au lycée, j étais non seulement bien meilleurs éleve que lui, mais j avais aussi beaucoup plus de réussite que lui avec les filles. Quant par chance, il arrivais a nouer une idylle romantique avec une de ces amies, je n avais aucun mal a la séduire pour la lui fauchée sous le nez, et ensuite lui raconter avec délectation et ***** détaille toutes les cochonnerie que j avais pue faire avec sa tendre amie, a telle point qu il n osa plus me présentée ces connaissances féminine de peurs que je les lui fauche. Ainsi pour l anniversaire de ces 17 ans, il avais invité sa petite amies du moment, une charmante rouquine trop belle pour lui qu il connaissait depuis l enfance : je m étais alors permis de la dépuceler dans sa propre chambre pour le remettre a sa place. Quant il nous découvrit en pleine action, alors que je baisait sa copine en levrette, *** aire surpris et effondré déclencha instantanément mon éjaculation dans le sexe de sa petite amie qu il considérais alors comme sa futur épouse.
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chrislebo
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Finalement il rencontra une femme qui consente a l épouser, ayant bien pris soin de la choisirez dans un milieux qui m étais étranger - elle faisait partie de la même association caritative que lui - afin d être sure que je ne la lui faucherait pas. Après 1ans d un heureux mariage, j avais fait de sa femme mon jouet sexuelle, usant et abusant d elle dès que j en avais l occasion. Arriva alors se qui devais arriver : elle tomba en ceinte de moi, ce n étais d ailleurs pas vraiment un hasards, car j avais calculer mon coup pour être sure de lui faire un enfant, allant j jusqu a remplacer dans *** dos ces pilules contraceptive par des placebo. Désormais, un de mes grand plaisir est de l asticoter sur cette preuve vivante de *** infidélité, tous en la baisant chez elle : - alors, espèce d ignoble salope, comment se porte le môme ? l enfant qu on a fait sur le dos de ton maris ! j espère que vous vous montrez digne de *** éducation, après tous il vient de mes couilles, tu devrais me remercier salope : grâce a moi tu a un belle enfant fort et vigoureux, alors que mon frère t aurait sûrement fait un beaux gâchis, a l image de sa vie de se loser! Tous en ponctuant mes phrase de coup de bite, je gifle *** cul en cadence, - alors tu n a rien a dire salope d infidèle ? Toutes a *** plaisir, elle hurle sa jouissance alors que ma 1ère décharge de sperme vient taper contre sa matrice : l' évocation de notre fils èléctrise systèmatiquement ma bite, et elle aussi n est pas indifférentes a l' idée que *** fils est de moi. Cette situation m'excite a telle point, que lorsqu je voix le 'père' et le fils réunis, je sens une érection monter en moi a l idée des perspectives d *********** possible : a sa majorité j' ai prévu d' apprendre a Alex que je suis *** vrais géniteur preuve consanguine a l' appuie, et ceci en présence de *** père et de sa mère. J imagine d ici la tête que fera mon frère quant il réaliseras que même en tant que maris et père, je l ai ridiculisé devant sa famille. Affalé contre le lit, le cul relevée et la tète enfouie dans l oreiller, ma belle soeur reprend ces esprit alors que j' essuie ma bite sur les draps du lit. Elle trouve la ***** de se rebeller pour me traiter de salop et me demander pour la énième fois de la laisser tranquille, j' en rigole un bon coup avant de lui lancer : - je suis peut être un salop, mais tu ne vaux pas mieux que moi : il a suffit que j évoque ton fils pour te faire jouire comme une truie, et dire que tu est ma belle soeur! Rougissante de honte elle abandonne la partie résignée, puis se tournant vers le réveille elle constate qu il est justement l heure d aller chercher *** fils qui est en classe de CP. Se redressant sur le lit, elle me demande : - va donc chercher Alex a l école - tu veux que j aille chercher mon fils a l école ? Elle comprend que je veux l entendre dire de sa bouche : - oui! va donc chercher ton fils a l' école, espèce d' ignoble salop ! Je lui répond avec un sourire au lèvre : -mais avec plaisir ma petite salope, après tous c est se que font tous les père de famille attentionné non ? Avant de partir, je saisie *** string (je lui en offre régulièrement pour qu elle les portes spécialement pour moi) sur le lit, et lui essuie l entrejambe avec avant de le glisser dans ma poche : - tu connais mon péché pignon ma belle(et oui, je suis aussi un grand fetichiste...) Je quitte alors l' appartement pour partir en direction de l école.
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chrislebo
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Esclave de ma femme et *** amant Je suis un homme de 42 ans, je suis gros, bien gras avec une petite bite et un gros cul. Il faut dire que quand je lui faisais l'amour, je la traitais de vide-couilles, et que j'aimais l'enculer à sec. Il y a deux ans, ma femme a décidé que je n'étais plus baisable et m'interdit donc toutes relations sexuelles. J'ai donc le droit de rester mais uniquement pour lui servir de soubrette et de défouloire. Elle prend beaucoup de plaisirs à m'humilier et à me faire souffrir. Le gros tas que je suis doit être puni en permanence à cause du gras que je possède et ************ doit être le quotidien des gros tas à p'tite bite me dit elle tous les jours. De plus, puisque mes attributs sexuels ***t tellement dégoûtant, il ne peuvent servir pour le plaisir d'une femme et doivent donc être torturés tellement ils ***t laids. Elle ajoute que, bien entendu mes couilles, ma bite et mon trou du cul devront souffrir en priorité. Cela fait deux ans maintenant que je lui sert de serpillère. Au début, elle m'a juste privé de sexe. La frustration fut difficile mais excitante et je me masturbais tout le temps. Le soir elle rentrait fatiguée et je devais lui préparer à manger. Elle m'autorisait à lui caresser les pieds pour la détendre. Ceci provoquait chez moi une érection systématique et je devais me cacher dans les toilettes après pour me masturber. Un soir elle rentra plus tôt et j'étais dans la salle de bain en train de me branler. Elle ouvrit la porte et me trouva entièrement nu, le gras du bide pendouillant, à quatre pattes sur le tapis, la main sur la bite qui astiquait. Je lui tournais le dos, et le spectacle que je lui offrais était celui de mon gros cul écarté, les couilles pendantes et ma main droite à l'ouvrage. Je fus couvert d'insultes, le premier coup de pied partit et atteignit directement mes couilles. La douleur fut énorme, je m'effondrais au sol en essayant de protéger mes parties, elle me traitait de gros porc dégueulasse, de tas de graisse répugnant. Le deuxième coup de pied toucha la raie de mes fesses et l'impact eut lieu directement sur l'anus, la douleur fut aussi très violente. J'étais prostré au sol et elle continuait à m'insulter. Elle me fit relever en me tirant les cheveux et me traina à quatre pattes jusqu'au salon en prononçant toutes les choses dégradantes qu'elle pouvait imaginé: j'étais mort de honte! Elle me giffla à plusieurs reprise et me dit alors qu'elle m'interdisait de me branler, d'éjaculer et de bander. Se rendant compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas me contrôler, elle m'ordonna de me connecter sur un site d'articles sexuels et de chercher les ceintures de chasteté. Elle prit *** temps pour choisir et m'ordonna de commander et de payer une cage de chasteté qui maintenait ma queue en position de repos, empêchant ainsi tout érection et toute masturbation, et forçant mes couilles à être écartées le plus possible. Le système se fermait avec un cadenas dont elle garderait la clef. Elle indiqua elle même la taille de l'article: la plus petite existante. Je dûes payer moi même l'objet en question. En attendant la livrai***, je fût obligé de vivre nu à la mai***, de façon à ce qu'elle puisse surveiller l'état de ma bite en permanence et je n'avais pas le droit de rester seul dans une pièce pour que je ne touche pas. Même pour faire mes besoins elle me surveillait, en profitant pour m'innonder de commentaires insultants sur mon odeur. La nuit elle m'attacha les mains dans le dos pour être sûre que je ne me touchais pas. Deux jours plus tard, le produit fut livré. Elle s'empressa de l'installer. Histoire de m'humilier, elle enfila des gants de chirurgien pour toucher ma « nouille ». Le logement pour la verge était vraiment étroit et je dûes m'y reprendre à plusieurs fois pour l'enfiler. Puis elle saisie mes testicules et tira violemment dessus pour fixer la barre de maintien. Elle attacha le cadenas. Elle rigolait et me trouvais ridicule. Pour vérifier l'efficacité du produit elle se déshabilla entièrement. Cela faisait deux ans qu'elle ne s'était pas mise nue devant moi. Elle se tourna dans tous les sens en me montrant de près les poils de sa chatte, ses nichons, la raie de *** cul en me disant: Alors, ça te fais envie gros porc, ça t'excite? Tu peux même plus bander hein, gros tas de merde. Elle se tourna et écarta ses fesses: Aller, renifle! Ça pue, t'aime ça, hein! Ma queue essayait de gonfler mais la coquille m'en empêchait. La douleur était atroce, j'avais mal à la bite. Impossible de se secouer la nouille. Je voulais la prendre, je voulais m'astiquer, je voulais juter mais impossible! Elle cria: Quel pied! Pendant toutes ces années où tu m'as prises, sans me demander mon avis, où tu m'as ****** le cul alors que j'aimais pas ça, où tu t'es soulager dans ma bouche, où je n'ai été qu'un vide-couilles! Alors maintenant je vais te priver de soulagement sale porc! Elle me cracha dessus. Voilà , je ne pouvait plus me masturber et elle allait en profiter un maximum. A partir de ce jour, elle me traita vraiment comme une merde qui devait lui obéir. Elle me dressa la liste de ce que je devais faire: le ménage: en particulier les WC qui devaient toujours être niquel! Quant elle chiait, elle ne passait jamais la brosse et ne tirait pas la chasse. A la place de la brosse, elle estimait que mes ongles était parfait pour ça. Elle me forçait à nettoyer après chacun de ses passages et en général m'obligeait à rester le nez au dessus de la cuvette pendant plusieurs minutes avant de m'autoriser à nettoyer. Les WC lui étaient réservé et m'étaient complètement interdit d'utilisation. Le reste de la mai*** devait être toujours propre. Pour mes besoins elle décidait de où et de quand. La cuisine: je devais me nettoyer les mains avec une brosse très dure avant chaque préparation. Moi je n'avais droit qu'à ses restes dans la gamelle du chien où elle jetait touts ses restes et crachait dedans. Quelque fois, elle urinait dans la gamelle avant de me servir. Je devais bien entendu la finir jusqu'à la dernière miette. La lessive: je devais nettoyer, repasser et ranger tout ses vêtements mais avec des gants car j'étais sale. Mes vêtements étaient limités à une seule tenue pour aller travailler. Tous le reste fût jeter. Plus de slips ni de chaussettes. Il me restait un pantalon, une chemise, une paire de chaussure qu'elle acheta deux pointure en dessous de ma taille pour que je souffre le plus possible. Le reste du temps je devais être à poil. Je ne pouvais nettoyer mes vêtements que quand elle me le disait et à la main. Je n'avais plus le droit au lit conjugal et je dormais par terre devant la porte de la chambre, entièrement nu bien entendu. Je fus raser autour de mon sexe ridicule et dans la raie des fesses. Je devais aller au travail tous les jours avec mes chaussures trop petites. A la fin de la première semaine elle m'a dit de venir devant *** bureau. Elle avait préparer des courriers que je devais recopier et signer. Le premier était un contrat dans lequel je signais que j'approuvais d'être en totale soumission à ma femme et que j'acceptais de faire absolument tout ce quel me demandais. Le second était un courrier où je reconnaissait avoir tripoté sa petite nièce Audrey qui avait douze ans en donnant des détails de ce que j'étais censé lui avoir fait subir (doigt dans l'anus, fellation) et elle ajouta des photos polaroids de sa nièce qu'elle avait photographiée nue dans les vestiaires de la piscine. Elle rajouta: 10 ans que je supporte ta graisse, maintenant tu vas en prendre plein le cul et tu ne peux même pas refuser, gros tas de merde! Le troisième était un courrier comme quoi puisque j'étais impuissant, j'autorisais ma femme à avoir toutes les relations sexuelles qu'elle voulait avec qui elle voulait et que c'est volontairement que je renonçait à toute relation sexuelle avec elle. Le dernier était une lettre à mon banquier où j'ordonnais le virement de mon salaire sur le compte de ma femme tous les mois. Elle me tenait par les couilles. Elle me précisa que: comme je l'avais fais souffrir pendant dix ans, j'allais souffrir au moins autant et que par conséquent je serais corrigé tous les jours au martinet et que je devais trouver ça normal et la remercier à chaque coup que je recevrais et en réclamer d'autres. Je devais bien entendu l'appeler Maîtresse. Elle me demanda de commander sur un internet des gods de gros calibres pour que je comprenne à quel point la sodomie était un grand plaisir ainsi qu'un plug pour que le plaisir soit permanent. Le surlendemain, le colis était là et moi j'étais allonger sur le ventre sur la table basse, les pieds et les mains attachés à chaque pied de la table. Elle mit des gants de chirurgien m'écarta mes grosses fesses et essaya de m'enculer avec *** gros god. Cele ne voulais pas rentrer. Elle dit:
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chrislebo
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Tu ne m'as jamais lubrifier le cul avant de m'enculer, tu disait que tu jutais plus fort quand tu m'enculais à sec! Alors ça va rentrer à sec! Elle posa le god à l'entrer de mon trou du cul et sans le lâcher elle se retourna et s'assis dessus. Le god força le passage et me défonça littéralement le cul. J'ai crû que mon cul allait explosé, la douleur fût horrible, j'hurlais. Elle m'attrapa par les cheveux et me dit: Alors? Tu vas juter plus fort, gros tas de merde? Elle m'astiqua le trou du cul pendant vint minutes sans s'arrêter. Je risquais pas de bander entre le douleur et la coquille. Elle ajouta: C'est trop fatigant, je vais trouver une autre solution. Elle me mit le plug dans le cul avc interdiction de l'enlever, je devais le porter tout le temps et surtout dans la journée en plus de la coquille. J'avais l'impression d'avoir une grosse crotte dans le cul que je n'avais pas le droit de chier. Pour faire mes besoins je devais la supplier de m'autoriser. Comme elle ne voulais pas que j'utilise les toilettes ni que je salisse le jardin. Elle me faisait patienter plusieurs heures avec mes envies d'uriner ou de déféquer. Quand l'envie était trop forte et que je me tortillais par terre à poil avec mon plug et ma coquille, elle prenait le collier et laisse du chien qu'elle m'obligeait à mettre et elle m'emmenait dans la rue à quatre pattes et à poil. Quand elle avait trouver un endroit qui lui plaisait (souvent un lampadaire entouré de crottes de chiens et recouvert d'urine de chiens) elle m'obligeait à renifler les crottes et l'urine par terre puis me disait de retirer le plug de mon cul, de le nettoyer en le lèchant et ensuite de chier au milieu des crottes de chiens sans uriner, ce qui était très difficile. Mais après quelques bons coups de pieds dans les couilles j'ai appris à chier sans uriner. Une fois terminé, elle me disait de remettre le plug sans me torché. Ensuite elle m'emmène dans des coins à orties où je devais entrer à quatre pattes, cuisses bien écartées et où je peux uriner en m'aspergeant le plus possible. Une fois fini nous pouvions rentrer à la mai*** toujours dans la même position. Là, bien entendu, j'étais fortement corrigé parce que je sentais mauvais. Ma toilette était faite au jet d'eau froide et à la brosse en chiendent. La raie de mes fesses et mes couilles étaient récurés dans la douleur. Après trois mois de ce traitement, ma femme me dit un soir qu'elle sortait. Elle m'attacha sur la table basse le cul en l'air et me fouetta longuement le cul et les couilles. A vingt heure elle sortit et ne rentra qu'à deux heures du matin. J'étais toujours attaché. Elle n'étais pas seule. Elle entra dans le salon et dit: Je te présente mon gros tas de merde de mari. Comme tu peux le voir c'est une vrai lopette. Je le garde pour me défouler et pour qu'il me refile sa paye. Un homme répondit: Et tu t'es fais mettre par un gros tas pareil? Avec une bite aussi ridicule? Oui, mais maintenant c'est fini et j'en profite bien! Je trouve aussi sa nouille ridicule mais comment est la tienne? L'homme baissa *** pantalon, puis *** slip. *** engin état énorme. Ma femme s'écria: Voilà ce que j'appelle une bite! Je peux toucher? Avant même que l'homme est répondu, ma femme tenait le sexe dans ses mains. Elle le manipulait dans tous les sens et *** autre main caressait les grosses couilles de l'homme. L'homme lui dit: Tu es une gourmande? Oui, je n'ai pas baisé depuis deux ans à cause de ce gros porc. Mais je vais me rattraper. Elle avala littéralement le sexe de l'homme qui avait triplé de volume. Elle qui avait horreur de me sucer avant. Je n'osais pas parler de peur des représailles. Ma nouille était enfermée depuis trois mois et mes couilles recevais des coups tous les jours. L'homme bandait comme un âne. Je n'avais jamais vu ma femme comme ça. Elle suçait d'une ***** incroyable. L'homme lui arracha chemise et jupe. Ils étaient assis sur le canapé. Elle finit de le déshabiller. Avant de la mettre à poil il lui demanda: Tu veux qu'on aille dans un endroit plus tranquille? Non, je veux qu'il voit ta grosse bite dans ma chatte? C'est bon qu'il voit ce à quoi il n'aura plus jamais droit. D'ailleurs s'il essaye de ne pas regarder tape lui sur les couilles. C'est très douloureux tu ne croies pas? Sûrement, mais ça lui fait le plus grand bien. D'accord! Je ne pouvais même pas éviter de regarder. Il lui enleva *** soutien-gorge et sa culotte. La chatte de ma femme était totalement ouverte, dégoulinante. Elle se releva et s'assit sur le sexe de l'homme. Ma tête était située juste devant l'homme assis, ses couilles à hauteur de mes yeux. Je vis les fesses de ma femme s'approcher de l'énorme gland. Plus elle s'accroupissait, pus ses fesses s'écartaient, je reconnu l'odeur si particulière de *** anus. Ma nouille se mit à bander, mais la douleur de la coquille me rappela à l'ordre. Je n'avais jamais vu ma femme avec une telle envie de baiser. J'avais envie d'elle et malgré la douleur de la coquille, ma nouille continuait à essayer de bander. L'énorme gland pénétra le sexe de ma femme. Elle cria, comme si *** premier orgasme fût instantané:
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chrislebo
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Que c'est bon!!!!!!!!!! Toujours accroupie sur l'homme, elle astiquait le sexe de l'homme en remuant *** cul frénétiquement. A chaque pénétration elle hurlait, sa chatte dégoulinait abondemment. Ma femme sentait vraiment fort de la raie et l'odeur de sa mouille venait se rajouter. Il lui dit: A quatre pattes! Elle se retira, lécha l'énorme bite et se mis à quatre pattes en haletant: Oui!!! Prend moi comme un chienne... Ma femme était là devant moi à quatre pattes, telle une chienne. Je n'en pouvait plus! Il lui dit: T'es une vrai salope! Il lui fessa le cul. Elle gémit fortement. Il la repénétra en continuant de lui fesser le cul, elle hurla de nouveau. Elle avait un nouvel orgasme provoqué par la fessée. Elle cria: Oui!!!!!!!! Tape sur mon gros cul de salope! Vas-y! Il lui saisie les nichons et lui tortilla dans tous les sens tout en l'astiquant à fond et en lui tapant sur le cul. Elle hurlait de plus en plus fort. Il la traitait comme une chienne et elle adorait ça. Il lui dit: T'es vraiment une sale chienne, en plus tu sens de la raie, tu vas me faire juter! J'ai pas de capote! Tu n'as qu'a te retirer et juter dans la raie de mon cul. Elle n'avait pas finit sa phrase que l'homme retirait sa grosse bite et la plaçait dans la raie de *** cul en jutant de longues giclées puissantes. La raie du cul de ma femme était remplie de jute. Il dit: T'as une serviette pour que je t'essuie? Non! j'ai mieux! Elle laissa glisser ses genoux du canapé et se retrouva à quatre pattes par terre, le cul à auteur de ma tête. Elle m'ordonna: Lèche gros tas de merde et avale bien tout gros porc. Elle approcha *** cul de ma bouche en disant: Vas-y! Je suis sûr que tu vas aimer le goût de mon trou du cul et de la jute d'homme, grosse pédale! Sinon, je dis à un vrai homme de t'exploser les couilles. Tu penses que ton mari est une pédale? Non, je pense qu'il a horreur de ça mais je pense aussi que c'est moi qui décide pour lui. Ca me donne une idée... Je m'executais, je lèchais toute la quantité de sperme répandue dans la raie de ses fesses, et j'avalais consciencieusement toute la jute. C'était dégoutant et j'avais envie de vomir. Ma nouille n'en pouvait plus. Maintenant, ils étaient assis sur le canapé et il lui parlait à l'oreille. Ils s'embrassaient, elle lui caressait doucement le dessous des couilles pendant qu'il manipulait ses nichons avec douceur. Elle rigolait de plus en plus et finit par dire: C'est une super idée! Ils partirent dans la salle de bain. L'homme prit *** téléphone et composa un numéro en partant. J'entendis la douche coulée et leurs rires pas discrets. J'étais toujours entravé sur la table basse. Près de trente minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. Ma femme, toujours à poil, alla ouvrir la porte. Une voix d'homme me parvint. Un homme gros entra dans la pièce. Il fixa les yeux sur moi et eut un large sourire. L'homme etait petit, très gras, et avait l'air très sale. Ma femme s'approcha de moi et me saisit par les cheveux en me disant: Alors gros porc! T'adore le sexe et ça te manque? Et bien tu vas en avoir du sexe mais pas comme tu aimes. Tu disais assez souvent que tu aimais pas les PD que ça te dégoutait. Moi j'ai envie que tu sois humilier complètement, j'ai envie que tu saches ce que c'est d'être enculé à sec, j'ai envie de te voir pris par autre homme aussi dégoutant que toi! Non Maitresse pas ça! Mon insolence fut récompensé par une bonne claque sur les couilles. Elle se retourna vers l'homme gros et lui dit: Alors, il paraît que tu aimes le cul des hommes, alors profites-en, tu peux lui faire tout ce que tu veux, il est là pour être utiliser! Tout ce que je veux??? Oui, défoule toi sur lui, il t'es entièrement offert... Je peux le prendre et le faire souffrir? Autant que tu veux! Et tu pourras revenir régulièrement, mon mari a bien le droit à une sexualité aussi... Elle éclata de rire. Ma femme et *** amant s'installèrent sur le canapé pour profiter du spectacle tout en continuant de s'embrasser et de se tripoter. Le gros se déshabilla rapidement. Il était très gras, *** ventre pendait et il avait une bonne grosse bite et deux belles couilles. Il s'approcha de moi. Il me souleva la tête en me tirant par les cheveux et me mit un grande gifle à travers la figure en me disant: Hum!!! Que je vais me régaler mon gros! Il sentait la sueur, l'urine et le vin. Il contourna la table et vint se placer derrière moi. Il me tripota les fesses en les malaxant puis commença a écarter mes deux énormes globes. Il vit mon plug dans le cul et dit: Je vois que tu aimes ça, tant mieux je n'aurais pas besoin de me retenir, je pourrait ****** autant que je veux... Il retira le plug et m'enfila deux doigts dans le cul sans ménagement. Il me fouillait littéralement le cul. Plus que la douleur c'était la honte et le dégout qui me tenaient. Il me saisit les couilles et les malaxa fortement. La douleur fut vive. Il regarda ma femme et dit: Elle est ridicule sa bite! Vous avez bien fait de l'empêcher de s'en servir. Quand on a une bite si petite c'est normal qu'on vous empêche de l'utiliser! Ma femme éclata de rire pendant que *** amant lui tripotait la chatte et la raie du cul. Le gros refit le tour de la table, prit une chaise et vint s'asseoir devant moi, sa bite, qui avait grossie et durcie, à hauteur de ma tête. Il me souleva la tête en me tirant les cheveux et m'enfourna sa bite dans la bouche. Sa bite puait l'urine. Il ne s'était sûrement pas lavé depuis plusieurs semaines. Ma femme gémissait tout ce qu'elle savait en disant: Putain que c'est bon! Regarde cette lopette sucer une bite! Oh quel pied! Lèche moi! *** amant se mit à la lècher, lui bouffant la chatte et le cul pendant qu'elle me regardait sucer. Le gros s'astiquait à fond dans ma bouche. Sa bite était bien dure et s'enfonçait jusqu'à la glotte. Il attrapa le martinet par terre et commença le traitement de mon cul tout en continuant à se faire pomper. Il fit durer le plaisir plus de dix minutes. Mon cul était en feu. Il se retira et fit le tour de la table, il écarta mes fesses et m'enfila sa grosse bite de ***** dans le cul. Il me dit: Je préfère à sec, je bande mieux! Ma femme eut un orgasme en entendant ces mots et hurla: Vas-y! Défonce le à sec ce gros tas de merde! Le gros m'explosa le trou du cul. Et se mit à m'astiquer à fond. Il passa la main sous la table, attrapa mes couilles et les tira très fort en les tordant. J'hurlais! Ma femme s'approcha de moi et me dit: Maintenant, voilà ce que tu vas vivre au quotidien. Tu regarderas ce à quoi tu n'as plus droit pendant que tu seras obligé de faire ce que tu ne veux pas! Elle repris sa position de chienne et *** amant l'enfila immédiatement. Pendant qu'il l'astiquait et que le gros me défonçait le cul, elle me disait: Alors c'est bon d'être le vide couilles? Le gros n'avait pas lâché mes couilles qui me faisaient énormément souffrir. Il cria: Ca vient!!!
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chrislebo
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Je sentis de grandes giclèes dans mon cul! Il bandait à fond et était vraiment au fond de mon cul. Ma femme hurla de plaisir, *** amant gicla sur *** dos et sur ses fesses. Elle me dit: Maintenant t'es vraiment un vide couilles et un PD! Tu es vraiment un sous-merde! Elle lècha avec plaisir le sexe de *** amant. Le gros fit de nouveau le tour de la table, me fourra sa bite dans la bouche et me dit: Nettoie ça comme il faut, elle est pleine de merde et de jute! Prend ton temps nettoie bien et avale bien tout. Il resta longtemps dans ma bouche et je m'appliquais à nettoyer. Sa bite se ramolie au bout de cinq minutes. Il dit: J'ai envie de pisser, où ***t les chiottes? Ma femmes lui répondit: Tu as la bite dans un urinoire, profites-en! Et si il y en a une goutte qui déborde, brise lui les couilles! Il se déversa dans ma bouche, j'avalais le plus vite possible en pensant à mes couilles et je réussie à ne rien laissé débordé. J'avais la nausée, je me dégoutait, mais je voulais de plus en plus obéir à ma femme. *** amant essuya le sperme sur les fesses de ma femme avec un mouchoir et essuya le mouchoir sur ma gueule en prenant soin de bien en étaler partout. Le gros demanda à ma femme: Je peux jouer encore un peu avec! Bien sûr! Tant que tu veux! Le gros me détacha et me fit mettre accroupit devant les autres, le cul vers eux. Il dit à ma femme: Je vais lui mascagner le trou cul pour qu'il comprenne bien, et aussi parce que j'en ai envie. Il me mit un grand coup de pied dans l'anus qui me fit tomber au sol. Il me releva par les cheveux et dit: Tu ne dois pas bouger, sinon c'est la même chose dans les couilles. Au deuxième coup j'acceptais la douleur et je ne tombais pas. En tout il me mit dix coups dans le trou du cul. Je ne pouvais même pas le toucher tellement la douleur était forte. Il me fit retourné, me giffla et me dit: C'est bien! Ta femme à dit que tu devais tout accepter! Ma femme riait, elle me dit: Tu ne peux rien refuser sinon j'envoie le courrier et les photos au sujet de ma nièce à ses parents. C'est ce que tu veux? Non! Alors tu as aimé tous ce qu'on t'as fais? Oui Maitresse! On peut te le refaire quand on veut? Oui Maitresse! Qu'est ce que tu es? Une sous-merde, un gros porc, un gros tas de merde, un PD et un vide couilles! Bien! Alors ton amant a été gentil avec toi, il t'a bien enculé et défoncé le cul, et il t'a pas brisé les couilles parce que tu as bien obéis? Oui Maitresse! Bien alors je veux qu'il te donne cinq grands coups de pieds dans les couilles! Mais Maitresse..... DIX! Et tu l'appellera chéri! Oui Maitresse! Le gros me fit mettre à quatre pattes au milieu de la pièces, jambes écartées et couilles pendantes, le cul vers les spectateurs. Le gros visa bien et m'explosa les couilles d'un coup de pied, j'hurlais de douleur et dit: AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore! Ma femme était aux anges, elle me dit:
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chrislebo
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C'est bien gros porc! Allez va lécher le cul de ton chéri! Le gros se tourna et écarta *** énorme cul. Il avait des traces de merdes plein la raie du cul. Je le lèchais consciencieusement. Ma femme s'approcha de moi et me dit: Comme tu a été une bonne lopette obéissante, je vais t'autoriser à juter, mais avec quelques conditions. Tu devras te masturber devant nous trois, au bord de la table basse, les couilles posées sur le bord de la table. Tu auras 60 secondes pour juter sur la table,mais attention tu ne devras pas jouir avant les 60 secondes, ni après. La première giclèe devra sortir à 60 seconde pile. Si tu jutes avant: dix coups de pieds dans les couilles. Si tu n'as pas juté à la 60ème seconde: dix coups de pieds dans les couilles. Pour te faire plaisir je te caresserais les couilles avec mes orteilles. Allez au boulot! Elle m'enleva la coquille et je me mis en position. Elle regarda sa montre et mis le pied sur la table. Elle cria: Go! Allez vas-y mon gros porc tu peux y arriver! Ses orteils entrèrent en contact avec mes couilles. Ma femme ne m'avait pas touchée depuis plus de deux ans. Je fus très touché de cette attention et je me mis à bander immédiatement. Elle comptait toutes les cinq secondes.Au bout de trentes secondes j'avais déjà envie de juter. Je lâchai ma queue pour ne pas jouir tout de suite. Ma femme arrêta ses caresses sur mes couilles et appuya très fort dessus en me disant: Tu ne dois pas arrêter de t'astiquer! Je repris le mouvement et elle repris ses caresses. Elle continuait de compter, je faisais tout pour me retenir. Les quinzes dernières secondes furent horrible et elle décomptait à la seconde en disant: 14, allez vas-y mon bon toutou,13, tu vas y arriver, 12, t'es un bon chienchien,11,.... A la 60ème seconde je laissait toute la sauce partir. Il y eut de longues giclèes sur la table basse. Ma femme m'écrasa les couilles avec *** pied et s'exclama: Regarde moi cette pédale qu'on peut dresser comme un petit chien! Je te les presses bien car t'es peut-être pas prêt de rejuter gros tas! Allez t'arrête pas d'astiquer, je veux les vider! Elle pressait de plus en plus fort et j'astiquait alors que plus rien ne sortait. Elle me fit continuer pendant une minute puis m'ordonna de me lâcher et enleva *** pied. Elle me dit: Allez nettoyes maintenant, lèches moi tout ça et avale bien! Je lèchais et avalais mon propre sperme. Ma bite débanda vite. Ma femme me remit ma coquille. Le gros excité par ma prestation dit: Oh c'était joli ça! Ca me donne envie. Allez tourne toi! Il me prit comme une chienne et se vida les couilles pendant que femme rebaisait avec *** amant. A la fin le gros partit après que je lui ai embrassé la bite, le cul et la bouche en lui disant Mon Chéri. Ma femme et *** amant allèrent se coucher dans la chambre conjugale. Quant à moi je dormis tout nu attaché devant la porte de la chambre avec ma coquille et mon plug dans le cul. Ma femme à beaucoup gémit et jouit pendant toutes la nuit.
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chrislebo
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Travesti et humilié Imaginez un homme de trente-cinq ans, plutôt moyen de taille, un peu fort, un peu passe-partout. Imaginez-le vêtu d'une robe décolletée, de bas de nylon noir et chaussé d'escarpins vernis à talons aiguilles. Imaginez-le vivant à genoux devant sa mailresse, humble et soumis à chaque instant, même quand elle n'est pas là, et vous aurez un parfait portrait de votre serviteur. Cela fait maintenant deux ans que je suis l'esclave de Claire. Elle m'a éduqué, féminisé, transformant l'homme un peu terne que j'étais en créature, sinon délicate, du moins ambiguë. Car, ne nous leurrrons pas, je ne suis pas un de ces travestis dont on a du mal à croire qu'ils ne ***t pas des femmes. Je ne suis pas une grosse brute non plus. Simplement, Claire a tenu à ce que je garde toujours quelque chose de masculin en moi. Si elle aime mes bas, elle aime aussi mes épaules larges et le contraste qui en découle ; si elle aime me provoquer, parfois jusqu'à la révolte contre elle, c'est parce qu'elle aime voir ma ***** d'homme lutter inutilement dans les liens qui m'enserrent. Et elle aime alors m'humilier et me soumettre à ***** de coups, jusque ce que je l'implore, que je crie grâce et m'excuse - même si je n'ai rien fait. Claire est devenu experte en ligotage, c'est normal, c'est moi qui l'ai formée. Et parfois, j'avoue que c'est une sensation étrange d'être là, impuissant sous les coups, a tirer sans succès sur les cordes en me disant que je suis quelque part responsable de cette situation. Claire aime me pendre par les pieds, elle aime caresser mes bas, et surtout m'enculer. Que n'ai-je pris dans le cul ! Des godes, bien sûr, mais aussi des bouteilles, des manches à balais des débouche-eviers, en fait, elle aime utiliser des instruments usuels. C'est un moyen de toujours me rappeler ma servitude, dit-elle. Et c'est vrai que je suis souvent troublée en prenant une louche (dont le manche m'a enculé il n'y a pas une heure), ou bien une clé anglaise au manche bien épais sur lequel trainent quelques-uns de mes poils culiers. Je me souviens de cette fois où ligoté dans le garage, j'observais le jardinier arrosant la pelouse. Se doutait-il que le tuyau sortait tout droit de mes fesses et qu'il allait y retourner, tout froid et humide qu'il était, sitôt qu'il aurait terminé sa tâche. Je me souviens également de notre rencontre avec Denis. Denis était plombier et il était venu faire quelques réparations chez nous. Alors qu'il tentait de dévisser un tuyau, il m'avait demandé de lui passer le tournevis. Tandis que je m'exécutais, Claire avait pouffé de rire. Denis l'avait regardé, un peu étonné, semble-t-il, et lui avait demandé ce qui l'amusait. Elle lui répondit que c'était la taille de l'engin. Denis regarde sa clé anglaise, sans comprendre. A ma grande honte, Claire se lance alors dans des explications. 'Biensur, dit-elle, vous vous en servez comme d'un outil. Mais savez-vous que certains vicieux de ma connaissance en font une toute autre utilisation ?' J'intervins, mais à mauvais escient : 'Claire !' Je ramassai une claque terrible qui me projeta contre le mur. 'Mon mari est une pédale, une tantouze. Il aime en prendre dans la rondelle. Ca, par exemple !" Et elle agita le tournevis sous mon nez. De nouveau elle me gifla et m'ordonna : 'Monsieur ne nous croit pas. Baisse ton pantalon !' je tentai un timide : 'Mais chérie !', mais un coup de manche de tournevis dans l'estomac me plie en deux. Je tombai à genoux aux pieds de Claire. "Tu sais que je n'aime pas que tu ergotes. Debout et baisse ton froc !' Je me relevai, sans oser regarder Denis qui n'en perdait pas une miette. J'ôtai donc mon pantalon, dévoilant mes bas noirs et mon porte-jarretelles assorti. 'Mais, c'est qu'elle ne porte pas de culotte, la salope !' s'exclama Denis. Oh non ! me dis-je, voilà qu'il joue le jeu ! "Tourne-toi face au mur, ordonne Claire, que monsieur puisse admirer ton petit cul" Comme je m'exécutai, elle ramena mes poignets sur mes reins et les menotta étroitement, avant de me baillonner avec un foulard. Et puis, je l'entendis qui me marchandait. Denis voulait m'enculer, et elle voulait lui faire payer ma virginité. Car, malgré les manches de pioche, les pieds de table et autres gadgets, malgré le tournevis qui, à l'instant même m'emplissait douloureusement le fondement, jamais encore je n'avais été réellement enculé. 'Je sais qu'il rêve d'en tâter, disait Claire. Je pense qu'il est prêt.' Et Denis paya. M'attrapant par la nuque, il me courba en avant, arracha le tournevis et planta *** gland, juste *** gland. Je le sentais palpiter à l'orée de mon conduit. J'étais effrayée, humiliée... et impatient. Mon anus se serrait, se desserrait, se resserrait, sur *** gland... et soudain il s'enfonça, d'un seul coup, au plus profond de moi. Malgré mon baillon, je hurlai. Faiblissant sous sa poussée, je m'agenouillai. Il me suivit sans déculer et commença à me bourrer à grands coups de reins tout en caressant mes bas. Sa queue était énorme et coulissait bien : 'Oh ! Comme il s'ouvre, comme il est bon encore un peu étroit mais malléable !' murmura Denis. Il se redressa, ralentit le rythme, me saisissant les hanches. 'Regarde, Claire, comme on y est bien. On y entre comme on veut !' Alors, abasourdi, j'entendis Claire lui répondre : 'Je suis heureuse qu'il te plaise, mon chéri. J'avais peur de le déflorer et de te le gâcher !" Elle se penche vers lui, par dessus moi et je l'entendis l'embrasser, en murmurant : 'Bon anniversaire, mon amour ! '
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chrislebo
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Depuis, Denis s'est installé à la mai*** et jouit de tout le confort qu'il peut désirer, le moindre n'étant pas mon entière soumission au moindre de ses caprices. Non pas que je sois amoureux de lui ou quoi que ce soit ; c'est Claire qui me l'a demandé et je ne peux rien lui refuser. Bien sûr, j'étais plutôt furieux quand j'ai appris, lorsqu'elle m'offrit à lui comme cadeau d'anniversaire, que j'avais été manipulé. Il était *** amant depuis bien longtemps et, connaissant ses penchants pour les culs fermes des garcons, elle lui fournissait de temps à autre de la chair fraiche. Mais elle me jura ses grands dieux qu'avec moi c'était différent, d'ailleurs n'avait-elle pas attendu deux ans avant de me livrer à lui ? Mais pourquoi, précisément, l'avoir fait maintenant ? En avait-elle assez de moi ? Mon angoisse l'avait fait rire : 'Ainsi donc, tout ce que t'inspirent ces événements, c'est que tu as peur de me perdre !' Je m'allongeai à ses pieds et pris délicatement sa cheville droite pour dégager *** pied de *** escarpin. Je l'embrassai, la léchai, suçai ses orteils. Elle me repoussa doucement et alla s'asseoir. Je rampai vers elle, mais elle me stoppa d'un ****** "arrête !'. 'Reste à quatre pattes, baisse la tête et ferme les yeux. Maintenant, décris moi comment tu es habillée !" Perplexe, je m'exécutai en bafouillant un peu : 'Je porte une robe de satin bleu qui descend à mi-cuisses. Sous la robe, je porte un corset. Au corset, ***t fixées des jarretelles qui retiennent mes bas. Ce ***t des bas noirs à couture que vous avez vous-meme choisis ! - Et dans les pieds ? - Je porte des escarpins vernis noirs à talons aiguilles ! - Est-ce là une tenue masculine. - Non, Maitresse ! - Comment est ton sexe ? - Entravé, Maitresse. Une corde est nouée autour de mes testicules et les étire en arrière, la corde passe entre mes fesses et est attachée à une ceinture. - Ta queue ? - Ma queue est plaquee par le bas contre ma cuisse gauche, une fine cordelette sur la cuisse elle-même et la corde qui retient les testicules l'empêche de se redresser ! - Est-ce là une attitude de mâle ? - Non, maitresse ! - Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de Denis ? Maintenant si je te dis que tu n'es qu'une larve, une petite tapette qui n'est bonne qu'à se faire mettre, qu'est-ce que tu diras ? - Rien, Maîtresse ! - Rien ? Vraiment ? - Non ! Je dirais que vous avez rai***, Maitresse. - Et si je te dis que quoi que tu fasses, tout ce que tu mérites c'est une bonne correction ! Même si c'est particulièrement injuste, que feras-tu ou que diras-tu ? - J'irai chercher le fouet, Maitresse, je vous le présenterais à genoux, en le tenant dans ma bouche. Et quand vous le prendrez, je vous dirais merci, Maitresse ! - Vraiment ? Alors, va le chercher. Et ramène des cordes par la même occasion. Je n'aime pas te voir libre, ça fait négligé' Je fus bientôt ligoté à plat ventre sur la table de la salle de séjour, robe retroussée sur les hanches et formant un X que Claire daigna qualifier d'harmonieux. Elle glissa un oreiller sous mon bas-ventre pour relever mon cul qu'elle commence a cingler avec fureur. Elle tapait comme rarement elle l'avait fait baissant soudain de rythme pour mieux repartir de plus belle, maintenant ainsi une tension qui me transforme vite fait en chien des plus serviles. Je ne sais combien de temps dura cette séance (beaucoup moins longtemps qu'il ne me le parut, probablement), mais j'étais épuisé, éreinté, moulu, en charpie, à demi-mort, lorsqu'elle s'arrêta. Elle s'approcha alors de moi. Ses yeux fixèrent les miens et sa bouche était proche de la mienne. Je me mis à pleurer parce que j'avais envie qu'elle m'embrasse. Je vis percer un brin d'émotion chez elle. Elle me demande : "Tu n'as rien à me dire ? - Merci Maitresse !' Elle me caressa la joue, puis m'embrassa en me disant : 'Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de toi ! Tu comprends pourquoi j'ai besoin de vous deux ! - Oui Maitresse.
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chrislebo
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Depuis que Denis s'est installé chez nous, je suis en fait plus souvent avec lui qu'avec Claire. Et je comprends enfin que lorsqu'elle m'a offert à lui pour *** anniversaire, elle était sérieuse. En effet, bien que restant sous sa coupe à elle, car c'est à elle que je suis soumis et c'est pour elle que j'obéis, c'est à lui que j'ai affaire, et c'est à ses ordres à lui que je dois me plier. Nous pas***s donc, lui et moi, de longues soirées ensemble. Il aime regarder la télé. Généralement, il s'installe dans ce qui fut un jour mon fauteuil. Il est nu, comme toujours lorsqu'il n'a pas à sortir. Je suis nu également, ne portant pour tout vêtement qu'un porte-jarretelles et des bas de Nylon noir, agenouillé entre ses cuisses, les bras ramenés dans le dos, ligotés au niveau des coudes et des poignets. Une fine cordelette relie mes chevilles à mes poignets, m'immobilisant totalement. Souvent, un énorme godemiché dilate mon anus et plonge au plus profond de mes fesses. La tête penchée sur le ventre de Denis, je suce sa queue tandis qu'il regarde un programme. il aime que cela dure longtemps (parfois la durée d'un film). Je dois donc veiller à le maintenir excité suffisamment, sans pour cela l'amener à l'orgasme. Parfois, pourtant, c'est lui qui craque, devant une scène particulièrement croustillante, ou simplement si une de ses actrices favorites passe à l'écran. Il m'agrippe alors par les cheveux et, m'imposant *** propre rythme, m'enfile jusqu'à la garde pour mieux décharger dans ma bouche. Tout cela en beuglant des 'Tiens, salope, prends ca !', qui ne s'adressent pas à moi, mais au fantasme qui s'anime dans la lumière bleutée du téléviseur. D'autres fois, plus excité encore, il me bouscule, me retourne brutalement et m'encule violemment, sauvagement - mais seules les grandes stars ont droit à cette démonstration. Ainsi donc, il baise les plus belles femmes du monde. Cette situation me laisse un goût amer dans la bouche. Car enfin, voilà que je me suis soumis à une femme, et à une femme seule, étant hétéro. Et voilà que cette femme semble me délaisser, me livrant à l'homme qui la saute pour lui servir de garage à bites. Ma queue n'a plus servi de manière active depuis longtemps. Moi qui aime les femmes, je ne connais plus la douceur d'un vagin, ni même celle d'une main aux ongles laqués de rouge. Je ne connais plus que des étreintes ********, des queues qui ******* mes lèvres ou mes fesses, je ne connais plus que de grands coups de reins qui me défoncent le cul ou la mâchoire. Je suis devenu, de fait, une tapette, une Tapette, un défouloir à mâles en rut. Car, une chose en entraînant une autre, Denis a fini par rameuter ses copains. je plais en robe de dentelles ou tailleur Chanel. Je plais en talons aiguilles, en guêpière, ou en caraco. Tout vêtement masculin m'est interdit. Je suis paré comme beaucoup de femmes ne le seront jamais. Ma garde-robe est des plus riches, des plus chatoyantes. Denis aime surtout mes bas. Il aime me voir déambuler en porte-jarretelles, il aime caresser mes jambes, et sentir mes bas crisser, frotter contre sa peau. Il aime voir ma bite pendre, entravée, ou bien libre, se dresser entre mes jarretelles. Il aime me prendre à tout instant, quoi que je fasse, il aime me trousser et m'enfiler, peser sur moi et, parfois, tâter mes couilles pour mieux encore apprécier le fait de m'enculer. "Tes bas ***t plus doux que ceux d'une femme, car ils ont la douceur de l'interdit, me dit-il un jour. Ton trou n'en est que meilleur. Si tu n'avais pas ces robes, ces jupes, ces falbalas, je ne crois pas que je te toucherai. Mais là, de te voir si maladroitement féminin en renforce le caractère, je croirais presque que tu es plus féminin qu'une femme, parce que, cette féminité, tu la gagnes au jour le jour car, quoi que tu fasses, ta bite est là, et bien là, qui dément tous tes efforts !" Depuis ce jour, nos relations ont changé. C'est ainsi qu'un soir Denis me tend *** pied à lécher - je vois alors qu'il porte des bas. "Eh bien, lèche ! dit-il, ne me dis pas que cela te gêne !' il ôte *** pantalon, et je remarque qu'il a mis un de mes porte-jarretelles, ainsi que des bas noirs, qui plaquent ses poils car il ne s'est pas rasé. Il bande comme jamais (et pourtant, croyez-moi, c'est un étalon). 'Mets-toi à quatre pattes", me dit-il. Sa voix est presque câline, je sens qu'il est troublé. J'obéis et il me grimpe dessus. Tondis qu'il cherche et trouve mon trou du cul et s'enfonce en moi, nos jambes se frôlent. Un délicieux fris*** électrique nous parcourt. Nos bas frottent les uns contre les autres, et c'est comme si à chaque fois nous étions aiguillonnés par un dard - ce qui, en l'occurrence, est mon cas. Comme ses bas ***t doux sur les miens ! Comme c'est bon de sentir la caresse du Nylon ! Sa queue emplit tout mon cul, et jamais, je crois, elle n'a été aussi présente. Chacun des crissements de nos bas semble la grandir encore un peu plus, vraiment elle grossit de plus en plus et mon anus s'ouvre, s'ouvre comme s'il voulait l'engloutir, lui, tout entier. Il va et vient doucement entre mes fesses, et ce n'est qu'au terme d'une longue étreinte qu'il finit par décharger et m'inonder le cul de foutre.
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chrislebo
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Comment je suis devenu soumis Je suis devenu un adepte du S.M, par la faute ou grace à Jenny, Elle était ma maîtresse et je l'avais larguée. Avant elle, j'étais le genre homme à femmes, et jamais longtemps la même femme. Je papillonnai, lâchant l'élue quand elle avait cessée de m'intéresser, Avec Jenny ce fut différent. Si je la plaquai, assez salement, elle ne l'accepta pas de bon coeur et me prévint, par téléphone, que je le paierais cher, J'en ris naturellement, Quelques jours plus tard je ne ris plus, Je tournai la clé dans la serrure de mon appartement quand je fus sauvagement agressé. Le jet d'une bombe paralysante me rendit sans *****, on m'enfonça une sorte de cagoule sur la tête et je plongeai dans le noir, au propre et au figuré. Quand je revins à moi j'étais toujours dans la nuit car on n'avait pas retiré ma cagoule. J'étais couché sur le sol, mes membres étaient si étroitement entravés, que les liens de cuir pénétraient ma chair. J'entendai parler mais la cagoule étouffant les bruits, je n'aurais sû reconnaître les voix, ni à quel sexe elles appartenaient. Une main tira sur mon zip. Ma bite fut extraite de mon pantalon, et une main en manchon commença de me caresser avec une parfaite connaissance de ce sport, ordinairement solitaire. Le silence s'était fait. Je savais qu'ils (elles?) étaient plusieurs à se repaître du plaisir que je prenais, contre mon gré. Bien que cela devenait de moins en moins vrai. Pourtant c'était comme si je subissais un viol. J'étais mal à l'aise, honteux, mais, indiciblement, le plaisir montait de mes reins à ma colonne que l'on agitait d'une main experte. Une éjaculation violente me secoua. Mais à peine mes spasmes terminés, qu'une autre main, plus douce et adroite me sernbla-t-il, recommença le même travail. Cela demanda plus longtemps mais j'éjaculais tout de même avec une violence qui prouvait ma bonne santé. Las! j'étais encore secoué de spasmes qu'une nouvelle main prenait la relève de la seconde et agitait mon sexe avec une sorte de **********. Mon éjaculation, je pense que les lecteurs le comprendront, fut plus lente à venir. Mon plaisir fut à la limite de la douleur insupportable et je commençai de protester et de me débattre. Des doigts pressèrent cruellement mes couilles repues. Puis cela se gâta. Une pointe d'acier piqua mes (faussement dénommées) joyeuses et j'entendis une voix (féminine?) m'annoncer que si je ne parvenais pas à bander on allait m'émasculer. La peur me crispait les entrailles et cependant ces salopes (car il s'agissait de plusieurs femmes), j'en eus bientôt la preuve, multiplièrent les agaceries pour obtenir que je bande. Tour à tour des langues léchèrent mon gland, des doigts visitèrent mon rectum et des bouches onctueuses, se relayant, m'infligèrent des fellations sous lesquelles aucun moine n'aurait pû résister. Je bandais encore, la tête en feu et le crane vide. Je fus chevauché puis après quelques va et vient un autre sexe féminin plus chaud encore et étroit qui aurait emporté la décision Si, un autre, n'avait pris la place du second en enserrant mon sexe comme si il pouvait I'avaler. Je jouissais comme un dingue, me répandant dans cet endroit inconnu mais tellement accueillant, mon corps, dans ses liens, s'arc-boutant et tressautant. Je n'étais pas au bout de mon calvaire, je fus retourné, proprement déculotté et pus constater à la douleur qui me transperça que je n'avais pas affaire qu'à des femmes. Je m'éveillai des heures plus tard, épuisé sur la moquette de mon appartement. J'étais seul. Mais sur le miroir de ma salle de bain on avait écrit au rouge à lèvres: « La vengeance est un plat que j'aime manger chaud !» Depuis... je ne jouis plus que si on me violente, me tanne la peau, ou si l'on m'inflige différentes ********, raffinées ou brutales.
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chrislebo
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Le bouleversement LE mois dernier, un copain m'a demandé de lui présenter mon épouse, car l'ayant aperçue en ville, il l'avait trouvée très sexy. J'acceptai, histoire de tester le comportement de ma femme dans une situation donnée. Je fus très surpris par sa réaction qui alla très loin, ce qui changea toute ma vie. Ma femme est mon copain m'ont attaché et ont fait l'amour ensemble devant moi. Ma femme me nargua et m'humilia, la séance se termina par une saillie imposée par ma femme. J'ai été enculé par mon pote ! Je me suis comporté en mari complaisant et me suis plié a toutes leurs exigences. Comment un homme sans problème comme moi, peut il être amené à se soumettre de la sorte ? Tout simplement parce que c'est terriblement bandant ! Mais les choses n'en ***t pas restées là ! Un soir, ma femme me dit que mon copain avait téléphoné pour qu'elle aille lui vider les couilles. Je la regardai d'un drôle de regard, c'est alors qu'elle s'approcha de moi, m'attrapa par les couilles à travers mon pantalon et me les broya en me disant qu'elle aimait me voir cocu. Puis elle ajouta : - Je te laisse pour aller goûter a cette merveille qu'il a entre les jambes, et si tu t'avises de refuser, je vais te couper les tiennes. Je la conduisis en voiture devant chez *** amant. En sortant de la voiture, elle me dit : - Je vais bien garder le foutre de ton pote dans la chatte et te le faire bouffer en rentrant ! Le soir mon copain raccompagna ma femme. - J'espère que vous vous êtes régalés dis-je. Mon copain répondit : - Oui, super, mais j'ai encore assez de foutre pour sauter ta femme dans le lit conjugal. Tu vas assister, les pieds attachés au lit. Ma femme me fit mettre à poil. Lorsque ce fut chose faite, j eus droit à des regards ironiques et des remarques désobligeantes sur mes parties. Je dus assister à leur coït, lorsque ma femme dit tout à coup: - Je veux que ma salope de mari te lèche les couilles et le cul, détache-le ! Je me suis exécuté comme la vraie salope que je suis. Ma femme exigea alors que je demande moi-même à genoux à mon copain de m'enculer. Je le lui demandai. Il sortit alors *** chibre qu'il me donna à sucer avant. Je fus ensuite sodomisé sans ménagement, ce qui ne m'empêcha pas de remercier sincèrement mon fouteur. La semaine suivante, ils m'emmenèrent dans une boutique S.M. à Paris. Ma femme demanda un pantalon en simili-cuir avec les fesses découvertes pour recevoir des corrections, fesses à nu. Elle demanda aussi des menottes, fouets, cravache, etc. Mon copain demanda : - Peut on essayer ces accessoires ? Le vendeur nous emmena dans l'arrière-boutique. J'enfilai le pantalon qui me seyait bien. On m essaya aussi les menottes. C'est alors que ma femme essaya les fouets et autres engins de *******, afin de faire *** choix. Elle osa même demander au vendeur si cette scène ne lui donnait pas envie de jouir. Il fit signe de la tête et ouvrit sa braguette pour sortir une queue bien grosse mais assez longue. Ma femme proposa à ce jeune mâle m enculer. Il refusa, mais ajouta : - Je vais prévenir le patron, il aime se faire un client de temps en temps, surtout devant sa femme. Moi, je prefère me masturber en matant la scène ! Le patron nous fit des compliments sur notre manière d'opérer, mais qu'elle manquait un peu de fermeté. Avec un grand martinet, il me fit mettre à genoux et me frappa jusqu'à ce je dise que j étais sa chienne, et qu'il était mon dieu salaud. Je m'effondrai mollement. C'est alors qu'il dit : - Il est à point ! Je répondis. - Je vous en prie, enculez-moi, je suis votre pute, asservie à votre verge ! Mon cul fut présenté au mâle en rut qui me fit sucer sa tige. Puis il décida que je serai enculé à sec. Je me cramponnai. Ma femme et mon copain me maintenaient pour ne pas que je m écarte de cette pine de cheval qui alla bien jusqu au fond de mon trou, ses couilles me battaient rudement les fesses. Il décula en me faisant un mal terrible dû à *** gland bien plus gros que le reste de la pine. Je me précipitai aussitôt à ses genoux pour le remercier en ajoutant : - Je serai la pute servile de tous les mâles qui voudront bien m enculer. On me remit dans la voiture, mais je ne pouvais plus m'asseoir. Arrivé à la mai***, je fus autorisé à ma masturber devant ma femme et *** mec. J'éjaculai un grand flot de foutre. - Regarde, fit ma femme, tout le sperme que cette pute à fabriqué sous la contrainte ! Salope ! Tu vas lécher toute cette sale purée produite par ta servilité ! Quel heureux bouleversement, dans ma vie tranquille !
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chrislebo
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Madame GISELLE Bonjour, j'ai vingt et un ans et aujourd'hui je me mets au clavier pour vous raconter ce que je vis en ce moment. Tout a commencé il y a un an, quand je suis devenu étudiant. J'ai trouvé une petite chambre en ville, chez madame Gisèle, une femme d'une cinquantaine d'années. J'ai toujours été impressionné par les femmes autoritaires et avec madame Gisèle j'étais servi. Grande, forte, c'est une maîtresse femme, habituée à commander. Dès le début, elle m'a fustigé. Elle m'à imposé des horaires draconiens et m'a prévenu que j'avais intérêt à marcher droit, sinon elle saurait me mettre ou pas. Madame Gisèle a de l'expérience et elle a rapidement percé à jour ma nature de soumis. Un soir, alors que je rentrais en retard elle s'est mise en colère, j'ai eu droit à une bonne engueulade et à deux paires de claques. Eprouvant une délicieuse sensation de plaisir et abomination, je me suis spontanément mis à genoux pour demander pardon. Avec un petit sourire sadique, madame Gisèle m'a ordonné de me déshabiller. Je me suis retrouvé à poil, allongé sur la banquette de piano. Elle m'a solidement attaché, et sentir les cordes me serrer m'a fait bander ! Tranquillement, madame Gisèle a retiré *** chemisier, sa jupe et sa combinai***. Elle portait un bel ensemble gaine-bustier et des bas, le tout couleur chair. C'est vraiment une belle femme, et elle était très impressionnante, surtout vue de ma position. Elle a tourné un moment autour de moi, me mettant des claques et me promettant d'en baver. Je ne demandais que ça et je la dévorais des yeux. Pour commencer elle s'est placée à cheval au-dessus de ma tête et m'a dit de lécher entre ses cuisses. Se gaine n'était pas fermée, je voyais *** épaisse fourrure noire avec au milieu le large et profond sillon de sa vulve. Elle s'est frottée sur ma figure et j'ai commencé à lécher, mais j'étais maladroit et j'ai reçu des coups de martinet sur le ventre et les cuisses. Je me suis appliqué, fouillant les replis de chair à petits coups de langue, avalant le jus qui coulait de plus en plus. J'étais très excité, avec une érection extraordinaire. Madame Gisèle a changé de position, elle s'est mise au-dessus de ma bite dressée sur laquelle elle s'est lentement empalée. Elle a commenté à monter et à descendre, lentement d'abord puis de plus en plus vite, jusqu'à nous faire jouir tous les deux. Quel pied ! Depuis madame Gisèle m'a complètement soumis, elle a fait de moi *** jouet. Elle me donne *** sexe à lécher, mais aussi ses opulentes mamelles el ses dessous de bras très poilus, quand je bande à en avoir mal elle s'empale sur mon sexe et m'impose *** rythme. Elle me soumet aussi Par les gifles, le martinet, le ligotage, elle aime me punir et m'humilier, et moi j'en redemande, je désobéis exprès ! Il y a un mois, madame Gisèle m'a surpris en train de me branler (je l'avais fait exprès), elle s'est mise dans une colère terrible, j'ai pris des claques partout, elle m'a mis à poil, m'a planté une balayette dans le cul et m'a flanqué une raclée au martinet. Pour finir, je lui ai léché les pieds à travers ses bas. Quelques jours plus tard, elle m'a mis une ceinture de chasteté, une cage en plastique qui enferme étroitement et efficacement ma bite. Madame Gisèle me met cette ceinture la nuit ou quand elle veut me punir, je ne me branle plus, je garde tout pour elle, c'est encore meilleur. Si j'ai une *********** supplémentaire car je suis obligé de pisser accroupi, comme une femme. Aujourd'hui madame Gisèle m'a mis la ceinture pour m'empêcher de me branler en écrivant ma lettre. Tout à l'heure quand elle va me délivrer, ma bite va se tendre comme un ressort, elle va me vider jusqu'à la dernière goutte après m'avoir corrigé et humilié. Je ramperai à ses pieds, heureux.
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chrislebo
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Domination permanente Bonjour, j'ai 38 ans, je me nomme Pierre et je suis un esclave depuis près de dix ans. J'avais toujours fantasmé sur la soumission à une femme. J'avais, comme beaucoup de jeunes mâles, eu plusieurs aventures de jeunesse. Jamais je n'avais osé avouer à mes compagnes mes fantasmes. Aussi, après quelques semaines de vie commune, je reprenais toujours ma vie solitaire, préférant la masturbation en lisant des revues de domination achetées en sex-shop. Je possède un petit magasin de vêtements prêts à porter. Je recherchais, il y a environ dix ans, une jolie vendeuse. Cathy se présente un matin. Je fus tout de suite sous le charme de cette belle fille aux yeux verts, élancée, l'air très 'femme', qui avait l'air de savoir ce qu'elle voulait ! La vendeuse, bien sûr, devint vite la patronne, Cathy était autoritaire et je lui avouais, sans cacher mes sentiments pour elle, tous mes fantasmes les plus cachés ! En quelques mois je passais au stade du larbin, puis à celui de l'esclave intime. Nous avions tous deux trouvé le grand bonheur. Tout ce que je possédais est depuis à Cathy, que je n'appelle plus que 'Maitresse' ou 'Maîtresse chérie". Je suis devenu employé du magasin. Celle-ci possède aussi l'appartement situé au-dessus, dans lequel mon rôle est celui d'esclave. Maîtresse me cloitre ainsi au magasin et à l'appartement, ne me permettant de sortir que pour faire les courses, ou faire le chauffeur si elle sort. Si elle va chez un amant par exemple, je peux quelques fois l'attendre des heures dans la voiture. Maîtresse bien sûr, ne travaille plus et passe *** temps entre ses nombreux loisirs (piscine, équitation, cinéma), ses copines et ses amants. Je vais vous décrire la vie que Maîtresse me fait mener depuis près d'une décennie. Tout d'abord, préci***s qu'aucun contrat écrit nous lie. Mais nous ne saurions plus ni l'un ni l'autre vivre autrement. Maitresse a tous les droits sans aucune exception. L'esclave n'a que le devoir de satisfaire *** rnaitre tant matériellement que sexuellement. Il doit précéder sa Maîtresse dans tout désir, devinant à l'avance ce qu'elle va lui demander. L'esclave travaille donc à cent pour cent pour ses Maîtres. A la mai***, il doit faire toutes les corvées domestiques. Maitresse m'a d'ailleurs fait suivre, dès le début, des cours ménagers et des cours de cuisine. Soumis, je n'ai plus le droit à aucune gaterie : alcool, vin, tabac sucreries ou petits plats me ***t désormais interdits. L'esclave ne peut avoir du temps libre pour trainer. Il doit toujours s'occuper aux corvées ou au bien-être des Maîtres. De même, je suis frustré sexuellement. Maîtresse m'interdit toute caresse sans *** ordre. Depuis plus de six ans, je n'ai plus eu le droit de lui faire l'amour. En effet, Maitresse pense, à juste titre, qu'un esclave très frustré sera d'autant plus amoureux et servile et qu'une Maîtresse ne doit se faire pénétrer que par un homme de sa classe : un dominant. Seule la masturbation m'est accordée, mais pas systhématiquement et pas chaque soir. Maîtresse adore me laisser 'mijoter', fou de désir, durant quelques fois plusieurs jours. Décrivons une journée d'esclave. Le matin, je vais préparer le petit déjeuner. Je réveille doucement Maitresse (qui peut être au lit avec un amant ou une amie intime). Je présente, à genoux, nu comme toujours, le plateau que je tiens, pendant que Maîtresse mange. Parfois, Maîtresse me fait allonger sur le dos dans le lit et s'assoie sur mon visage. Elle se sert alors de mon ventre comme plateau. Elle s'amuse dans ce cas à griffer me queue raide, à poser le bol de chocolat brûlant sur mes testicules, etc... Inutile de vous dire que c'est pour moi le bonheur quand je suis enfouis entre ses fesses, dans ses senteurs de la nuit. Ensuite, je vais travailler au magasin. Elle peut me faire porter sous mon pantalon un gode-ceinture dont elle gardera la petite clé ! Je signale ici, qu'à la mai*** aussi Maîtresse peut me faire porter le gode. Ceci est très humiliant devant les invités et spécialement devant les femmes ! C'est, je pense, une des ************ suprêmes pour un mâle.
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chrislebo
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Entre midi et deux heures, le magasin reste ouvert. Je mange un sandwich dans l'arrière boutique. Maîtresse, la plupart du temps, partie depuis la fin de la matinée, ne rentrera que le soir. Bien sûr, si Maîtresse est dans l'appartement à midi, je ferme alors le magasin et je monte la servir. Le soir, après la fermeture, jevais à pieds faire les courses sans avoir le droit de m'attarder. Je reviens dans I'appartemment, je me remets en tenue d'esclave, c'est à dire totalement nu, et je prépare le diner. Maitresse rentre, je me jette à ses pieds, les lui embrasse et la déchausse. Je déshabille avec douceur Maîtresse, lui faisant couler un bon bain chaud. Avant d'entrer dans l'eau, Maitresse aime se faire lécher sa fente merveilleuse. Je lui butine l'anus, je lave avec amour ce beau sexe, j'enlève les traces de sueur, je suis heureux. Bien léchée, voici Maîtresse dans *** bain moussant, elle peut lire longuement, Je reste à genoux à attendre ses ordres, à lui couler une nouvelle eau très chaude... Puis je savonne, rince et sèche Madame. Maîtresse enfile pour la soirée un large sweet, laissant *** minou et ses jolies fesses à l'air. Pendant qu'elle sirote l'apéritif au salon, je termine de préparer le repas. Je sers celui-ci à genoux, Maîtresse aime vider ses petits restes, gras, peau de fruits, pépins, etc... dans ma bouche. Quand des invités ***t là, c'est le même cérémonial. Je suis très stylé, choissant de bons vins pour mes Maîtres (vins auxquels je ne gouterai jamais !). Quand les amies ***t présentes au repas, il n'est pas rare qu'à quatre pattes sous la table, je lèche à tour de rôle ces dames ! Après la vaisselle, je rejoins Maîtresse au salon. Je peux alors lui servir de pouf, de dessus de canapé ou être simplement allongé par terre à ses pieds, comme un bon chien. Si Maîtresse a ce soir-là un amant avec elle sur le canapé, il n'est pas rare que ce soit le moment pour moi de lui faire une fellation correcte. En effet, les amants ne se privent pas de m'utiliser sexuellement. Sous les rires de Maîtresse, je peux être durement sodomisé et ressodomisé toute la soirée. Si des femmes ***t présentes, c'est terriblement humiliant d'être possédé devant elles ! Je dois bien sûr, durant ces soirées, continuer à servir digestifs, champagne, etc... Maitresse va ensuite se coucher. Si elle est seule, Je la rejoins au lit et je la lèche longuement.. Je dois lui masser les seins, les cuisses, le ventre avec dextérité et amour, tout ceci pour la détendre. En la léchant, Maîtresse arrive souvent à l'orgasme. C'est pour moi le plus grand des bonheurs que de voir par ma langue, *** joli ventre onduler, écouter ses râles, voir ses paupières closes ! Ensuite, après un dernier baiser sur ses pieds, je me couche à mon tour. Mais moi, c'est par terre, sur la moquette, près d'elle, que je m'allonge. Si ce soir-là Maîtresse couche avec une amie intime, je lèche les deux femmes. Je précise que Maîtresse a deux amies intimes : Martine et Caroline. Chacune des trois femmes à sa propre odeur sexuelle, sa pilosité, ses rondeurs per***nelles, etc... Je sais reconnaitre le goût de chaque sexe. Chaque anus a de même ses saveurs. Autant Maitresse a peu de poils, autant Martine cache ses attraits dans une forêt noire, drue et étendue de jolis poils. Si Maîtresse a *** amant ce soir là , je n'ai droit à rien. Elle se réserve entièrement à lui ! Etendu au pied du lit, je les entends jouir et rejouir dans les bras l'un de l'autre. Quel bonheur quand j'entends Maîtresse qui crie de plaisir, pénétrée par *** amant, quand le lit grince de toutes parts, quand elle en redemande. Et moi, allongé à leurs pieds, je n'ai même pas le simple droit de me masturber. Mon sexe est raide depuis des heures et je ne peux me satisfaire. En effet, plus Maitresse jouit, moins j'en ai la possibilité. Le désir est si grand qu'il m'arrive de demander d'être ligotté pour m'empécher de me masturber. Je passe alors la nuit attachée serré, engodé et le slip de Maitresse sur le museau. Maitresse aime alors jouir bruyamment pour m'humilier encore plus. Inutile de vous dire que ces nuits-là je ne ferme pas beaucoup l'oeil ! Mon rêve est de pouvoir pénétrer un jour de nouveau Maitresse. En effet, nous faisions l'amour au début de nos relations. Pensez que ce sexe de femme, je le cottoie à quelques milimètres quand je le lèche, quand je le nettoie et que je n'ai plus le droit d'y mettre ma queue ! Je rêve aussi de me faire faire une fellation. Cela aussi m'est interdit. Devant moi, Maîtresse fait de bonnes 'pipes' à *** amant, avalant le sperme, grignotant la queue, la suçant. Quand elle le fait, elle adore dire: «Ca, c'est réservé aux Maitres ! ». En fait, un des grands plaisirs de l'esclave est de se sentir vraiment esclave. Depuis trois ans, nos relations de domination ont encore évoluées. Maîtresse (et ses amies) ne se servent plus de papier WC à la mai***. Une langue d'esclave peut essuyer délicatement des poils et une fente mouillée ou enlever toute souillure d'un bel anus ! Ainsi, après chaque passage d'une femme aux toilettes, j'arrive. Je tiens à dire que les femmes adorent se faire toucher par une langue servile. De plus, Maitresse aime s'accroupir au-dessus de ma bouche et se libérer totalement en moi. C'est un bouillon de luxe pour un esclave. Maîtresse s'amuse aussi à me faire avaler des choses plus consistantes. « C'est pour bien te rappeler ton rôle » me dit-elle en poussant. C'est la communion suprême entre Maître et esclave.
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chrislebo
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Maintenant, il n'est pas rare que Maîtresse s'accroupisse au-dessus de ma gamelle pour donner un peu plus de goùt aux restes de nourriture. Quand Martine et Caroline passent une journée (ou une nuit) à la mai***, il arrive qu'elles m'humilient ainsi toutes les unes après les autres. Après, je dois aller me laver dans la salle d'eau que Maitresse a fait construire à mon intention. En effet, Ia mai*** étant domaine de Maitre, je n'ai qu'une douche, un lavabo et un WC sommairement aménagé, en bas, dans l'arrière boutique. Parlons maintenant des punitions. Maitresse me punit très souvent non pour des fautes, mais par simple plaisir. La première punition est le martinet. Plusieurs fois par semaine, une séance me fait rougir le cul. C'est immanquable si Martine ou Caroline ***t là. Quand plusieurs femmes ***t ensemble, cela décuple leur envies ! A la belle sai***, c'est avec des orties que je dois confectionner un fouet! Les pinces à linge me ***t appliquées sur les testicules assez souvent. Là encore, quel plaisir ont les femmes de me voir faire le service avec dix ou quinze pinces accrochées aux testicules. Le gode, comme je l'ai dit, m'est aussi souvent imposé. Maitresse aime aussi me ligoter dans diverses positions, toutes plus humiliantes les unes que les autres. Maitresse m'attache en chandelle, les jambes ramenées derrière la tête, le cul en l'air. Elle aime m'enfoncer alors une bougie allumée et à la lueur de *** chandelier, elle baise avec *** amant ! Je passe des nuits attaché, la tête dans la cuvette des WC, les mains ligotées par derrière, à genoux. Pendant que Maîtresse dors confortablement dans les bras de *** amant, je respire les odeurs, là encore humilié... et heureux ! La punition la plus fréquente est 'le placard'. Maitresse m'enferme dans un placard qu'elle a fait aménager. Deux bracelets au mur, m'immobilisent en position accroupie. Maitresse m'envoie au placard des heures, sinon des jours entiers. Elle m'y envoie quand, par exemple elle recoit un amant, ou des amis ignorant mon existence. Elle se dit alors seule à la mai***. Elle peut m'y envoyer aussi quand elle n'a plus besoin de mes services, pour m'oublier un peu, ou bien juste pour *** plaisir. J'y passe des dimanches entiers quand celle-ci part avec un amant. Elle m'y a laissé plusieurs fois un week-end entier, du samedi matin au dimanche soir. Dans le noir, courbaturé, immobile, souvent engodé, j'attends le retour d'une Maîtresse merveilleuse. Alors que Maîtresse s'amuse, se promène, fait l'amour, je suis là à attendre *** retour. Quand, après avoir passé des heures interminables à attendre, j'entends enfin le rire fluté de mon adoroble Maîtresse, Quel bonheur ! Elle me fait encore attendre après *** retour surtout si elle refait l'amour avec un amant. Libéré, je baise longuement ses pieds. Décourbaturé, je cours me vider dans mes WC. Maîtresse aime, le soir, me raconter sa sortie, insistant sur les détails anormaux ou sur les bons moments, aimant me dire : « Ah ! si tu n'étais pas un esclave, attaché dans le placard, tu en profiterais, tu serais mon amant... ». Voilà , notre vie de domination, épanouie et heureuse
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chrislebo
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IRENE MA SECRETAIRE Il s'agissait d'une annonce dans un journal gratuit où j'avais proposé de me soumettre à des hommes, femmes ou des couples particulièrement vicieux et imaginatifs : « pour fantasmer tous azimuts ». Ma garce de secrétaire ouvrit toutes les lettres, tira des photocopies et pas génée le moins du monde, vint dans mon bureau me remettre ce courrier d'un genre très spécial. Elle avait fermé la porte. Inutile de vous expliquer ce qui ce passa dans ma tête en m'apercevant qu'elle avait tout lû. J'étais pétrifié, me doutant que cette salope comptait en tirer des avantages puisque, assise en face de moi, elle remontait maintenant sa robe pour me montrer *** slip d'où s'échappait des touffes de poils. Je cherchais ce que j'allais pouvoir dire, quand d'une voix sêche, elle me lança : « A genoux esclave et Lèche moi ! » Je crois avoir essayé de dire : « vous êtes folle » ou quelque chose comme ça, ce qui me valut une menace d'envoyer à mon épouse quelques documents intéressants. De la même voix dure, elle me demanda d'obéir immédiatement. Je n'avais pas le choix, et je pensais qu'en lui donnant du plaisir, je reprendrais une certaine emprise sur elle. Il n'en fût rien, bien au contraire. Elle m'obligea à lire mes lettres à haute voix, à me masturber sur la plus exitante de toute et à lécher le papier couvert de ma semence, puis elle confisqua mon courrier er s'en alla. Elle revint une demi-heure plus tard. J'étais prostré. « Téléphone à ta putain légitime, esclave, pour lui dire que tu ne rentreras pas de la nuit. - Mais enfin, c'est impossible ! Elle éclata de rire. « Je ne te demande pas ton avis, chien. Cette nuit tu viens chez moi où alors je dis tout à ta putain moi-même » J'inventais une histoire folle de représentant accidenté à 200 kilomètre de là et après le départ du per***nel je descendis avec Irène qui me conduisit chez elle. Elle me fit déshabiller et m'odonna de faire la vaisselle, de passer l'aspirateur. J'étais ridicule. Je dus aussi lui servir à boire et me mis à bander. Pour cette érection non autorisée, Irène me fouetta avec une violence inouie à l'aide de ma ceinture. Je gardais des marques pendant trois semaines. Je ne lui fis pas l'amour mais elle se fit longuement lécher avant d'aller se coucher et m'enchaina au pied du lit, m'obligeant à dormir par terre sur une simple couverture. Le lendemain matin, elle me libéra en me disant qu'elle n'irait pas au bureau puisque je lui avais donné sa journée. Au point où j'en étais, que pouvais-je dire ? Elle ne vint pas non plus le surlendemain mais me téléphona en me disant de prévenir ma putain qu'il rne fallait de nouveau découcher. J'eus beau proroger et essayer de discuter, rien n'y fit, elle fut au contraire très menaçante... J'utilisais cette fois encore, mon soi-disant accidenté, pétextant que *** état inspirait des inquiétudes et ma femme alla même jusqu'à me plaindre d'être obligé de ... Bref, javais un peu honte. A 19h30, j'étais chez Irène. Deux types étaient assis au salon. Elle me présenta comme *** esclave et m'ordonna de me déshabiller. Je dus rester nu et à genoux au millieu du salon pendant que les autres papotaient. Irène se mit à caresser la braguette du plus agé. "Tu bandes Jean Charles, ça te ferais plaisir de m'enculer ?" L'autre se déboutonna exhibant un sexe plutôt imposant et décréta qu'il avait envie d'une pipe. Il vint alors vers moi et s'enfonça dans ma bouche. Au cours de la soirée et de la nuit, je dus satisfaire toutes leurs exigences. Irène m'engoda, Claude me sodomisa deux fois et Jean-Charles, adepte des pipes, se vida à trois reprises dans ma gorge. Je fut un peu fouetté, ma maitresse acceptant de m'épargner compte tenu des marques de l'avant-veille qui zébraient entièrement mon corps. Par contre, cette garce fit de nombreuses photos. Je savais qu'avec ça elle allait me tenir définitivement et pourtant, je commençais à prendre goût à ma nouvelle condition. Quinze jours plus tard, il me fallut avouer à ma femme que j'avais une liai***. J'étais chez Irêne et c'est elle qui m'a tendu le téléphone après avoir composé le numéro de mon domicile. Mon épouse à été d'une patience exemplaire. Nous avons divorcé l'année dernière, et j'ai épousé lrène sous le régime de la communauté universelle. Elle gère tous mes biens et mes revenus qui ***t versés sur *** compte dont je n'ai pas la signature et je suis sous *** entière dépendance financière. Elle est enceinte mais pas de moi et pour cause, je n'ai jamais fait l'amour avec elle. Le jour de notre mariage,elle m'a fai tatouer ses initiales sur mon pubis et m'a installé un dispositif de chasteté en inox médical dont la fermeture à été soudée de façon permanente. Voilà donc un an que je n'ai plus eu aucun plaisir et plus aucun contact avec mon sexe, si ce n'est celui de cette cage qui le comprime fortement lors de mes érections. Je n'ai ce que je mérite et ce que j'ai voulu et je ne suis pas malheureux. Ce qui me gène, c'est que mon ex-femme ne s'est pas très bien remise de notre divorce. Je ne fais plus rien avec les femmes si ce n'est ce que font les esclaves : Léchouilles et touche-cul. A la mai***, je ne dois porter que des dessous féminins avec soutien-gorge et porte-jarretelle et Irène à décidé que ma seule sexualité serait celle d'une femme, c'est à dire que j'ai le droit aux hommes à condition de rester passif et soumis et de recevoir mes amants ou les types que mon épouse à choisi dans une chambre dont Irène à enlevé la porte. Hier encore, j'ai pleuré de plaisir en me faisant défoncer par l'amant actuel d'Irène : Un noir immense avec une queue comme un baobab qui a passé près de 3 heures à s'occuper de mon cul
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chrislebo
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Paradoxe de la volupté C'était en 89, au printemps, 3615 et hop... C'est parti... Me voila sur le Minitel "rose ", à cette heure tardive, je vais encore rencontrer des adeptes, comme moi, des conversations sur la domination, et, pourquoi pas, tomber sur une "Maitresse " en mal de soumis... Le rêve... Ou plutôt, le fantasme, car combien de fois ai-je tapoté sur le Minitel, avec cette résolution : Cette fois, si je trouve une femme qui veut me soumettre, je fais un essai. Mais, hélas, à chaque rencontre sur le petit écran, les postulantes à ce jeux s'avèraient toujours alléchantes, mais jamais aucune d'entre elles ne passait à l'action, juste des écrits, là, sur le Minitel... Voyons ce soir... Qui est-là ? Toujours les mêmes répondeurs électroniques qui vous débitent des réponses toutes faites pour que vous restiez connecté le plus longtemps possible... Tiens, une nouvelle venue : Maitresse Caroline... Joli prénom, voyons si le CV est alléchant : " Cherche soumis ou soumise pour séances ou plus si affinités ".C'est bref mais c'est clair ! Pourquoi pas ? Encore une qui coupera la communication quand il faudra passer aux actes...J'affiche à l'écran : " Quelles sont les conditions ? " La réponse ne se fait pas attendre : " Qui est tu ? Si c'est pour blablater, laisse tomber, mais si tu veux du réel, alors réponds " Tiens ce n'est pas la réponse habituelle, allez, je me lance " J'ai trente ans, je suis plutôt enrobé, 1.70m pour 75 kg, châtain clair, et toi ? " Les quelques secondes qui passent en attendant la réponse, me permettent d'imaginer, de rêver, que, peut-être, cette fois, c'est du Réel ! La réponse arrive enfin : " tout d'abord, c'est VOUS, et si tu veux continuer cette conversation, c'est Maîtresse Caroline, et enfin, tu me donnes ton téléphone, tout de suite ! Ca devient sérieux, mais qu'est ce que je risque ? Mon épouse, qui elle, ne veux rien entendre à tout ce qui à trait à la domination, dort profondément à l'autre bout de la maison, alors... Pourquoi pas ? Je tape les six chiffres de mon numéro de téléphone sur le clavier, puis j'envoie... Je coupe la communication et j'attend.... Une minute passe... puis deux... encore un fantasme ! Elle ne m'appellera pas... Je sursaute : Le téléphone sonne, je me jette sur le combiné et décroche, mon coeur est prêt d'éclater, c'est la première fois, que je vais si loin dans mon "fantasme"... J'émets un " "allô!" presque inaudible, et une voix féminine m'annonce tout de suite la "couleur", sèche, mais pas vraiment dure, tout simplement autoritaire, qui, je crois, n'admet pas de réplique : " A genoux, quand tu me parles ! Et d'abord, tu ne parleras que lorsque je te l'autoriserai ! " Inconsciemment, je tombe à genoux, je me sens presque mourir, à la fois d'émotion, de plaisir et d'appréhension. " Ecoutes bien, Chris,(c'est le nom que que j'avais tapé sur le Minitel) j'habite dans ta région de ToursRennes, ", Elle me donne l'adresse d'un restaurant et me dit de m'y rendre le lendemain pour le déjeuner, à 12h 30 précise, en demandant la table de Madame D. Puis elle raccroche. Je reste là, à genoux, le combiné téléphonique à la main, le front couvert de sueur...Est-ce la réalité, ou suis-je victime d'une hallucination ? Je repose lentement le combiné, puis me relève. Là, debout, planté prés du téléphone, je réfléchis : Que faire ? Est-ce une blague ? dois-je y aller ? Tout se bouscule dans mon esprit et c'est dans un état second que je vais me coucher... Mais le sommeil ne vient pas. Au petit matin, ma décision est prise : Je n'irai pas à ce rendez-vous, la raison l'emporte sur la passion. C'est de fort méchante humeur que j'entame la matinée. Après une journée bien remplie (je travaille dans le tourisme), je rentre chez moi et mes aléas de miniteliste de la veille ne sont plus qu'un souvenir. Je m'installe devant la télévision en compagnie de mon épouse et, vers 22 heures, le téléphone sonne : Panique à bord. Je saute sur le téléphone, à la grande surprise de ma femme, qui ne m'a jamais vu me précipiter de la sorte pour répondre et, blanc comme un linge, les jambes flageolantes, je prononce un " allô" dans le même répertoire que la veille. C'est bien Elle. Je me sens presque défaillir, heureusement mon épouse s'est réinstallée devant la télé et parait très intéressée par une émission de variétés. Maîtresse Caroline semble très en colère et d'une voix martelée, me fait comprendre que j'ai fait une grave erreur : Chris, tu n'est pas venu et ça, je ne le tolère pas. C'est toi qui m'a contacté et je t'avais prévenu : je n'aime pas les plaisantins. Alors tu as deux solutions : soit tu obéis, soit je m'arrange pour que l'on en sache un peu plus sur toi...! Je suppose que tu as une famille, un travail, il m'est très facile de savoir tout ça. J'ai des relations bien placées et je pourrais tout savoir de toi... Alors écoute bien : Demain, je t'attend au même endroit et à la même heure et je pense que tu as intérêtintèret à venir...! Puis elle raccroche. Décomposé, tremblant comme une feuille, je pose le combiné, puis réfléchis non sans mal, car tout s'embrouille. Bien sûr, si je n'avais pas donné mon numéro, je n'en serais pas là, mais maintenant le mal est fait. Bon, je ne vais pas me laisser faire, je vais y aller et lui dire ma façon de penser, ce n'est pas parce que je suis un adepte du Minitel et que je fantasme sur la domination que je vais me laisser mener par le bout du nez par la première venue, je ne sais même pas qui elle est et à quoi elle ressemble, alors... Je rejoins ma femme au salon bien décidé à mettre un terme à cette farce qui commence à mal tourner. Chérie, demain je dois faire journée continue, c'est un collègue qui est malade. Mon épouse, absorbée par l'émission de télévision n'a même pas remarqué ma voix un peu étranglée et me répond distraitement que je fais comme je veux comme d'habitude. Pour la deuxième nuit consécutive, j'ai du mal à fermer l'oeil, mes quelques assoupissements sont peuplés de femmes bardées de cuir avec un air cruel et un fouet à la main, mais cette fois-ci, la vision tiens plus du cauchemar que du rêve car je me réveille en sursaut au moment ou ces femmes me lacèrent de coups de fouet. Enfin le réveille sonne et je rejoins la réalité, un peu vaseux, comme après une bonne nuit de fête, mais quand même prêt un mettre un terme à tout cela. Je me rend donc au restaurant indiqué, mais une bonne heure avant le rendez-vous, afin de repérer les lieux mais aussi de " La " voir arriver et ainsi déjà, sinon la connaître, tout au moins éviter la surprise quand je me trouverai devant elle et peut être prendre l'avantage... L'heure du déjeuner approche, " Elle " n'est toujours pas arrivée, peut-être ne viendra-t-elle pas ? Cela m'éviterait bien des soucis et me permettrait de la moucher si elle avait le culot de me téléphoner encore un fois. 12 heures 30 passé de quelques secondes..., elle ne viendra pas, mais pour plus de sûreté, je sors de ma voiture et entre dans le restaurant, peu fréquenté à cette période de l'année. Par acquis de conscience, je demande à la réceptionniste la table de Madame D. Et celle-ci me répond tout sourire : - Bien sûr Monsieur, c'est la table au fond, derrière les grands bouquets de fleurs.
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chrislebo
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Mince, me dis-je, per***ne n'est entré et elle est déjà là, il doit certainement y avoir une autre entrée... Je me dirige vers la table indiquée dont je n'aperçois qu'un coin car elle est cachée par une somptueuse composition florale. Je m'avance prêt à sortir les phrases préparées pour " liquider " l'adversaire avant qu'elle n'ai le temps d'attaquer. Enfin j'aperçois une main aux doigts effilés jouant avec le couteau sur la nappe blanche. Ces quelques mètres qui me séparent de la table me paraissent un véritable parcours du combattant, chaque pas provoque en moi une véritable révolution, je sens ma gorge se dessécher, et je me sens fondre d'angoisse, perdre mes moyens. Ca y est, je suis devant " Elle ", je n'ose la regarder, mon coeur bat à une cadence effrénée, j'ai toujours les yeux fixés sur la main qui joue avec ce couteau. Je voudrais dire tout ce que j'ai préparé, mais aucun *** ne sort de ma bouche et c'est dans un état second que j'écoute, j'écoute celle qui m'a déjà conquis et va faire de moi... - Chris, tu as trois minutes de retard, de plus tu aurais du te présenter à genoux, comme je te l'ai dis, mais, comme je suis magnanime et que, peut-être, tu es encore novice, je me contenterai de noter ces deux erreurs, nous les absoudrons plus tard... Ta présence prouve ta bonne volonté, et c'est déjà une bonne chose. Je vois que tu gardes les yeux baissés, c'est bien. Elle marque un temps d'arrêt, peut-être pour me permettre d'assimiler tout ce qu'Elle a dit ou bien juste pour m'observer. Sa voix est beaucoup plus douce que je ne l'avais entendue au téléphone, un peu grave pour une femme, mais aux fins de mots soufflées qui me font fris***ner de plaisir. Je commence à sortir de ma torpeur et , peu à peu je relève les yeux. Mon regard monte le long du bras légèrement halé, puis atteint l'épaule, recouverte d'un chemisier de soie blanche. Là, je peux admirer un décolleté profond et la naissance d'une poitrine aux rondeurs épanouies soutenue par un petit soutien gorge blanc dont j'aperçois la lisière. Là aussi, la peau est légèrement bronzée. Puis j'ose remonter le long du coup que je perçois nerveux et fin, et enfin j'arrive au visage, à la fois dur et serein, un léger sourire est dessiné par une bouche charnue, presque une petite moue permanente d'un rouge éclatant car les lèvres carminées donnent encore plus de relief à ce qui parait être un mirage. Les narines, légèrement dilatées, palpitent à chaque respiration, le petit nez, à peine retroussé, semble être le plus beau nez que j'ai jamais vu. Enfin, je croise *** regard, bleu, profond, avec une sorte d'éclat métallique qui veux vous transpercer. Je reste là, sans bouger, sans pouvoir dire un mot, mes yeux fixés dans les siens, ne pouvant me détacher de *** regard, comme **********, envoûté. Envolé mes résolutions, mes phrases préparées. Il se dégage de cet " être " une *****, une puissance cérébrale, une impressionnante autorité, qui me laissent pantois. Ce visage, encadré d'une chevelure châtain foncé brune méchée de blond, coupée court, presque à la garçonne, dégage une sensualité sans bornes. Le sourire s'efface, elle reprend : - Regarde autant que tu veux si ça te fait plaisir, mais dis-toi que c'est la première et la dernière fois que tu me regarde dans les yeux. Désormais, plus jamais tu ne seras autorisé à croiser mon regard, et si, par hasard, tu t'avisais de désobéir, cela te coûterai très cher, crois-moi...! Bon assez bavardé, tu es là, c'est donc que tu as décidé d'être à Moi. Tu vas sortir et tu vas attendre dans ta voiture que j'ai fini de déjeuner, mais auparavant, donnes moi tes papiers et tes clefs afin d'éviter que tu ne fasses quelque chose que tu puisses regretter. Je sors de ma poche mes clefs et lui tends mon porte feuille. Elle s'en saisit et dit : - Allez, files, et installe-toi au volant de ta voiture, j'adore me faire conduire. Comme un automate, je fais demi-tour et me dirige vers la sortie. L'air frais de l'extérieur me fait retrouver quelque peu mes esprits et encore un peu abasourdi, je reste là sur le pas de la porte à réfléchir : Mais qu'est ce que je fais là ? Pourquoi ne lui ai-je rien dit ? Tout un tas de questions me vient à l'esprit. Lentement, je me dirige vers ma voiture, m'y installe, et attends. C'est sur mon terrain que je serai le plus fort, quand elle s'installera à coté de moi, je lui dirai que je regrette mais que c'est une erreur et qu'elle veuille bien me pardonner, puis me laisser tranquille. Si il le faut je lui donnerai de l'argent pour payer les frais que tout cela aura pu lui occasionner. 14 heures, je la vois sortir du restaurant, féline, sa démarche ondulante fait vibrer sa poitrine plus opulente qu'elle ne m'était apparue tout à l'heure. Je peux du coin de l'œil, détailler *** corps qui, sous un tailleur gris, semble presque parfait, presque, car je n'ai pas le plaisir de le voir de prés et sans... vêtements ! Malgré la situation ennuyeuse dans laquelle je me suis mis, je me sens quelque peu excité et j'ai des difficultés à garder mon sang froid quand elle monte à coté de moi. Un parfum envoûtant, Parfum d'été de Kenzo, je crois, envahit l'habitacle et je me sens transporté dans un monde de sensations... Elle me tend les clés et dit : - Tu roules droit devant et je te dirai quoi faire. Je démarre, et, une fois sur la nationale, je vaincs mon émotion et dis : - Madame, je ... Une claque magistrale me cloue le bec, me faisant faire une embardée. Profitant de cette mise en condition, si je puis dire, elle enchaîne : - Je sais, tu crois que tu vas pouvoir faire demi-tour, que tu vas pouvoir m'envoyer balader, me dire que c'était pour s'amuser, peut-être vas-tu me proposer un peu d'argent pour pouvoir fuir, fuir ce que tu considères encore comme une bêtise... Mais là, tu fais une erreur, tu es à Moi, que tu le veuilles ou non, que tu en sois conscient ou non, dés que j'ai reçu ton numéro de téléphone sur mon Minitel, tu étais à Moi, et toi, inconsciemment, tu t'es donné, tu t'es offert à Moi. Le reste n'est plus maintenant, que pure formalité. Physiquement, tu sembles assez résistant pour endurer ce qui me plaît, tu n'es pas bête d'après ta situation professionnelle, et je pense que, vu ton comportement et tes réactions, tu es certainement, sans le savoir, un soumis-né, même si, dans la vie courante tu sembles sûr de toi, c'est que tu n'avais pas encore rencontré La Femme, la vrai, celle qui te révélerai ta véritable nature. Alors voilà comment je vois la suite des événements, ou plutôt comment les choses vont se passer : " 1 Tu vas démissionner. 2 Tu vas dire à ta femme que tu demandes le divorce à tes torts et tu feras en sorte que ça aille vite. Je te laisse six mois pour en terminer avec cela. En attendant, tu vas te débarrasser de tout ce que tu possèdes en le mettant au nom de ta femme. Je veux que dans six mois, tu n'aie plus à toi que ton nom... De toute façon, tu n'as pas le choix car si tu penses changer cela, je ferai en sorte que ton employeur te licencie et que ta femme te quitte. Je pense qu'il est plus normal que cela se fasse de par ta volonté, c'est toi qui l'a voulu, pas ton employeur, ni ta femme, alors prends, une dernière fois, tes responsabilités. Dés que tu en aura fini avec ton monde médiocre et sans relief, je te ferai connaître une vie durant laquelle chaque battement de ton cœur, chaque geste, chaque pensée, tu me les devras et tu m'en seras éternellement reconnaissant. Tournes là à droite, dans le chemin." Je tourne, comme indiqué, dans un petit chemin qui mène vers un bosquet, nous devons avoir fait 10 à 12 kilomètres depuis le restaurant. Arrivé dans le bois, Elle me fait stopper. - Descends, et à genoux ! Je descend donc, et m'agenouille sur le tapis de feuilles mortes un peu humide. Elle descend à *** tour, ouvre *** sac et en sort un petit paquet en papier d'aluminium. Elle l'ouvre et me met *** contenu devant le nez.
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chrislebo
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- Mange, ce ***t mes restes de ce midi au restaurant. Quand tu sera à moi, chez moi, ce sera là, ta nourriture quotidienne, presque un repas de fête, et ce jusqu'à ta mort... Le mélange d'odeurs me fait lever le cœur, mais, comme **********, j'avance la main pour prendre les déchets. Une claque retentissante me fait vaciller. - Tu n'es pas un peu malade de vouloir manger avec tes doigts. Avec moi, si j'ai la bonté de te nourrir, il te sera obligatoire de manger sans l'aide de quoi que ce soit. Tu as une bouche, utilise-la ! J'approche ma bouche du papier, et commence à ingurgiter les déchets de pomme, de viande, de fromage, de salade et d'autres choses dont le goût très discutable me donne la nausée. Une fois le paquet terminé, Maîtresse Caroline s'assoie sur le capot de la voiture, jambes croisées, et dit : - Maintenant, pour notre première rencontre, comme ta as été très gentil, que tu as bien obéit, je vais te récompenser. A poil ! Dépêche-toi ! Je reste à genoux, réalisant qu'une ***** (ou une faiblesse ?) intérieure me pousse à obéir à cette Femme dont je ne connais rien. Un coup de pied à l'estomac me rappelle à l'ordre et comme un automate, toute fierté, toute autorité brisée, je commence mon déshabillage. Une fois en slip, j'arrête et j'attends. J'ai dit : A poil ! Encore hésitant, je quitte mon slip et reste penaud les mains dissimulant mon sexe à demi tendu car, malgré la honte qui m'envahit, le piment de la situation me fait quelque peu réagir. Il est vrai que je ne suis pas vraiment conscient, à ce moment là que je viens de basculer, qu'une page de ma vie vient de se tourner, et que jamais je ne vivrai comme avant... - Tes mains dans le dos ! Voilà c'est mieux ! Elle pose *** escarpin sur mon sexe, et s'amuse avec. - Je vois que ça a l'air de te plaire, bien, alors à genoux et lèche ! Elle me tend sa chaussure un peu humide et collante de la terre du sous-bois, et moi, comme groggy j'ouvre la bouche, et, du bout de la langue, je commence à nettoyer le cuir fin de *** escarpin. Un goût saumâtre m'envahit la bouche et j'ai du mal à réprimer un haut le cœur, mais fort heureusement, le parfum de ma Maitresse m'emplit de nouveau les poumons et mes yeux ont la chance de pouvoir apercevoir ses longues jambes jusqu'à la naissance de sa jupe relevée à mi-cuisse de par sa position assise, jambes croisées. - La semelle aussi ! Et pour ce faire, Elle relève légèrement le pied et par-là même, la jambe, et j'ai le plaisir, le bonheur, de voir la bordure du bas ainsi qu'une des jarretelles le retenant. Face à ce spectacle au plus haut point érotique, le goût des semelles me paraît exquis et j'aurais voulu que cela dure longtemps, longtemps... - Ca suffit, maintenant écoute bien ce que je vais te dire : Je te laisse une semaine pour entamer une procédure de divorce et démissionner de ton emploi. Jeudi en huit, tu viendras me rendre compte de tout cela, ici même. Je veux te retrouver dans la même tenue et dans la même position, c'est à dire nu et à genoux à 12 heures 30. Maintenant je reprends ta voiture, je la laisserai devant le restaurant ou tu pourras la reprendre tout à l'heure. Cette petite marche te fera beaucoup de bien. Embrasse une dernière fois ma chaussure, et remercie-moi de la bonté que j'ai de te prendre en main ! J'approche mes lèvres de l'escarpin et embrasse le bout avec application, sinon dévotion, puis, chuchote un "merci Maîtresse d'avoir la bonté de me prendre en main. " Elle descend du capot de la voiture, fouille dans *** sac et en sort un petit appareil photo, puis prend quelques photos de moi, là, à genoux et nu. - Ca peut toujours servir, si l'envie te prenait de ne pas obéir. J'ai maintenant de quoi briser ton avenir professionnel et ton mariage. Elle range l'appareil dans *** sac, puis prend la place du conducteur, et repart avec ma voiture, me laissant seul, à genoux et nu, avec mes vêtements éparpillés autour de moi. D'un seul coup la tension tombe et je sors de cette torpeur qui m'avait envahie, depuis ma rencontre avec cette Femme. La fraîcheur du sous-bois me fait fris***ner et, tout ankylosé, je me relève et m'habille afin d'éviter, non seulement le coup de froid, mais aussi que quelqu'un puisse me surprendre nu et dans cette position. Je commence à me rendre compte du ridicule de la situation et mon caractère d'habitude plutôt énergique reprend peu à peu le dessus. Une fois rhabillé, je prend le chemin du retour qui va me permettre de réfléchir un peu et de chercher une porte de sortie à ce petit jeu, qui, même s'il est excitant, n'en est pas moins ennuyeux pour mon avenir per***nel et professionnel. Tout en marchant, je fais le point. La manière dont s'y est prise cette Femme est tellement parfaite que j'ai beau réfléchir et retourner le problème dans tous les sens, je ne trouve pas de solution pour éviter de tomber sous *** joug. D'un autre coté, ma vie actuelle, sans être médiocre comme Elle le dit si bien, n'est pas vraiment des plus agréables. Après plus de 10 ans de mariage, mon épouse semble de moins en moins tenir à moi, et il n'y a plus entre nous qu'une amitié, sincère certainement, mais la passion n'est plus au rendez-vous, hélas. Coté professionnel, il est vrai que j'aime mon travail, mais pas assez passionnément pour faire cela toute ma vie, et quoi faire d'autre, aucune envie, aucune passion, en fait, en regardant les choses en face, mon avenir est plutôt terne... Elle n'a pas vraiment tort... De plus, dés mes premiers émois sexuels, j'ai toujours été attiré par les Femmes de caractère, être un fainéant en amour, j'ai toujours aimé être dirigé plutôt que de diriger. j'ai aussi été toujours été attentif au plaisir de ma partenaire et j'ai toujours fait passer *** plaisir avant le mien. Il m'est même souvent arrivé de leur donner du plaisir sans pour autant prendre le mien, et ces moments là m'ont toujours apporté un certain bien-être psychologique, voire même une certaine volupté. J'en suis là dans mes réflexions quand enfin j'arrive sur le parking du restaurant ou je retrouve ma voiture, les clés sur le contact et le portefeuilles posé à Même le plancher, coté passager. J'observe les alentours espérant revoir ma Belle Maîtresse, mais aucun signe de vie ; Je reprends donc la route vers mon domicile, qui bientôt ne le sera plus car ma décision est prise : Elle me veut ! Et bien, soit, Elle m'aura... Ce coup de foudre, ce coup de coeur, cette passion soudaine est peut-être, non, certainement une folie, mais Elle a rai***, je le voulais et j'en ai envie, sinon je ne serais pas là aujourd'hui. Alors... Remettre ma démission fut une chose facile, presque agréable, comparé au pénible moment ou j'ai annoncé à ma femme ma décision de divorcer. D'abord, elle ne m'a pas cru, c'est seulement quand nous sommes allé voir ensemble avocat et notaire pour tout préparer qu'elle a compris que ce n'était pas une plaisanterie. Là, elle a tout entrepris pour qu'il ne me reste rien, chose aisée, puisque justement, je ne voulais rien. Enfin le jeudi suivant arrive et, c'est très angoissé que je me rend au " petit bois ". j'arrive avec 15 minutes d'avance, et j'attend 12 heures 25 pour me mettre nu et à genoux comme Elle me l'avait demandé. J'attends, j'attends un certain temps, j'entends 13 heures ***ner au loin, au clocher d'une église. Et si Elle ne venait pas ? J'ai tout foutu en l'air pour Elle. La peur m'étreint et je commence à m'en vouloir de m'être laissé emporté dans cette histoire.
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chrislebo
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Soudain j'entends un bruit de moteur derrière moi qui s'approche. Si ce n'est pas Elle, je vais mourir de honte. Mais si c'est Elle, je ne peux pas me retourner car je sais qu'il m'en cuirait... J'entends la voiture stopper à quelques mètres derrière moi. Une portière s'ouvre, puis se referme. Pourvu que ce soit Elle...Des pas... Des pas approchent doucement... Puis soudain, un parfum, Le parfum, J'ai reconnu *** parfum, je " sais " que c'est Elle.. L'excitation de la savoir derrière moi, mais de ne pouvoir la voir, de savoir qu'Elle est venue ette que donc je n'ai pas eu tort de continuer dans la voie que je m'étais fixée, me font fris***ner. Les pas s'arrêtent, Elle doit être juste derrière moi. J'entends un bruit métallique, puis un contact froid sur mes poignets... Des menottes ! Deux petits déclics et me voilà menotté les mains dans le dos. - Bien, cette fois ci tu es venu, tu es à l'heure, et dans la bonne position. Maintenant, tu vas me rendre compte des démarches que je t'avais demandé d'effectuer. Je lui explique donc que dans 3 semaines, le préavis terminé, je serai sans emploi, et que pour mon divorce cela prendra 2 mois vu que je prends tous les torts à ma charge et ma femme semble satisfaite de ma volonté de tout lui laisser. - Je vois que tu as décidé de m'obéir et d'être à moi sans aucune limite ! Le " sans aucune limite " me fait l'effet d'une douche glacée et une peur viscérale m'étreint, j'arrive cependant à articuler : - Oui, Maîtresse. - Bien, je veux que tu saches bien que tu n'as rien à regretter car j'ai une certaine expérience dans le domaine de la domination, et j'ai décelé en toi, dés les instants de notre rencontre des détails qui me prouvent que tu es un esclave-né, qu'il suffisait de mettre à nu ta vrai per***nalité pour qu'enfin tu t'assume. Pour l'instant, tu ne présente aucun intérêt à mes yeux puisque tu n'es pas totalement libre. Alors tu vas rentrer chez toi, et le jour ou tu seras prêt, ou tu n'aura plus rien, ni attaches, ni biens, ni argent, juste tes vêtements sur toi, tu te rendra la gare dont le nom est inscrit sur cette clef et tu ouvrira la consigne qui correspond à cette clef. Elle dépose la clef sur le capot de ma voiture. - Et tu suivras les instructions. J'entends une nouvelle fois un bruit métallique et mes chevilles se trouvent, elle aussi, menottées. Puis elle s'éloigne vers sa voiture. J'entends le bruit du coffre que l'on ouvre, puis que l'on referme, puis elle revient vers moi. - Il faut pour devenir mon esclave être endurant et supporter tout ce dont j'ai envie, tu le sais, aussi j'ai décidé de te donner un petit avant-goût de ce qui t'attend lors de ta prise en main. Je vais être aujourd'hui magnanime et te marquer seulement de 20 coups de cravache afin que tu penses à moi pendant quelques jours, lorsque tu t'assoiras...Penche-toi en avant et met le front au sol, fesses relevées. Je m'exécute, terrorisé à l'idée de la douleur que je vais endurer. J'avoue que la soumission m'a toujours fait fantasmer mais là, la réalité dépasse la fiction, et j'ai peur, maintenant de ne pas être à la hauteur. - Tu vas compter les coups à haute voix et me remercier à chaque fois. Sclac ! La douleur terrible me surprend comme une brûlure, mais elle disparaît presque aussitôt, laissant la place à une douleur intérieure plus lancinante, plus profonde. La gorge serrée, je parviens à articuler difficilement un: - Un, merci Maîtresse. - Plus fort, s'il te plaît. Un deuxième coup me fait sursauter, et mes fesses commencent à me brûler. La douleur est, cette fois, plus longue à s'atténuer. - Deux, merci Maîtresse. Puis les coups se suivent à un rythme lent et régulier, suffisamment espacés pour qu'à chaque coup, j'ai le temps de ressentir pleinement la douleur. Au vingtième coup, enfin, je m'écroule en la remerciant pour la dernière fois, en feu des genoux jusqu'au milieu du dos, les larmes me coulant sur les joues. Maîtresse Caroline s'approche de moi, me détache, reprend ses menottes, et sans un mot, s'en va. Il faut plus d'une demi-heure pour que la douleur s'estompe, afin que je puisse enfin me relever. J'essaie de voir les dégâts, et ce que je parviens à voir n'est pas très beau : la peau est balafrée, boursouflée, violacée et même, à certains endroits, éclatée, quelques gouttes de sang ont coulées sur mes jambes. Complètement exténué par la douleur subie, je me rhabille tant bien que mal, car le contact du tissu sur les zébrures, est presque intolérable. Il me faut encore un bon quart d'heure pour m'asseoir au volant de mon véhicule et je reprends la route vers mon domicile. La route me parait interminable, tant je souffre, mais, paradoxalement, je suis heureux, heureux d'avoir réussi à ne pas crier et à supporter, presque sans broncher, la douleur infligée. Je me dis que dans quelques jours la douleur aura disparue, et cela me fait beaucoup de bien. Elle est venue, et je crois que je lui ai plu puisque la transition entre ce monde et le Sien va s'opérer dans un avenir tout proche. Ces quelques semaines me parurent une éternité, mais la clef de consigne que je m'étais attachée autour du cou m'aida beaucoup. Rien qu'en la regardant, en la touchant, je savais que je touchais au but. Enfin, début juin, rendez-vous fut pris chez le juge aux affaires matrimoniales. Sortant du palais de justice ma femme, ou plutôt mon ex-femme me dit :
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chrislebo
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- Adieu, et bonne chance et je luis répondis :Adieu et merci. En effet, pendant ces deux longs mois, contrairement à toute attente, mon épouse m'a beaucoup aidé à en finir au plus vite avec notre divorce et a toujours donné *** accord à chaque étape, permettant ainsi d'accélérer les démarches. Je me rends à la banque ou je rends chéquier et carte de crédit et solde mon compte. Je prend dans ma main les quelques francs que le guichetier me remet...Ce qui reste de 30 ans de vie... Un certain doute passe en moi et un goût amer me vient à la bouche. Ai-je rai*** ? L'avenir, tout proche, cette fois-ci, me le dira. Les quelques cicatrices sur mes fesses me chatouillent un instant et m'incitent à y aller maintenant. Je prends le train et me rends à la gare indiquée sur la clef ; Trajet qui aurai pu être plus agréable si ce doute ne subsistait en moi, mais il est trop tard pour faire demi-tour, alors...Arrivé à la consigne, je sors la clef, casier A 167, je cherche, mon coeur bat un peu plus vite qu'à l'habitude, je m'étais pourtant préparé à ce moment t là des nuits entières... Je m'étais vu ouvrir ce casier, mais là, c'est la réalité...Ca y est, j'ai trouvé, je l'ouvre fébrilement et en sort une petite enveloppe. Je la décachette et déplie la feuille qu'elle contient. Tapé à la machine , le texte en est aussi court qu'explicite : Prends la carte téléphonique dans le casier, téléphone à ce numéro, dit "c'est chris" raccroche, puis va attendre à l'arrêt de bus situé devant la porte des départs de la gare. Puis suit un numéro de téléphone. Je prends la carte téléphonique et sort de la gare. J'entre dans une cabine téléphonique et suit les instructions, puis je m'assoie sur le banc de l'arrêt de bus comme convenu, et j'attend, j'attend... C'est, je crois la plus longue attente de toute ma vie, en effet, non seulement l'anxiété, la peur de l'inconnu et de l'avenir faisaient couler en moi les secondes avec une lenteur infinie mais je passais près de 9 heures à attendre.. Une voiture aux vitres fumées s'arrête devant moi, il est minuit moins le quart. La vitre coté passager s'ouvre et je distingue dans la pénombre ma Maîtresse, elle déclenche l'ouverture de la malle arrière et dit : Monte ! puis elle referme la vitre. Je saute sur mes jambes, ouvre la malle arrière en grand, grimpe à l'intérieur, puis referme. Je sens la voiture démarrer, puis partir vers ... un autre monde... Malgré la longueur du parcours et l'exiguïté du coffre, l'air ambiant parait être toujours frais. En effet j'aperçois qu'une prise d'air extérieure à été aménagée derrière la plaque minéralogique, ce qui me fait supposer que je ne suis pas le premier à occuper cette place et donc que je suis entre les mains d'une dominatrice confirmée. Après un trajet que j'évaluerai à 2 heures, la voiture ralentie et s'arrête, elle redémarre et roule sur des graviers, d'après le bruit qui me parvient. De nouveau un arrêt, puis quelques manoeuvres sur un sol lisse, ciment ou bitume, puis le moteur stoppe. Ca y est, me dis-je, nous y voici ! J'entends la portière claquer, puis les talons de chaussures de ma Maîtresse marteler le sol que je dirai d'un garage, d'après la ré***ance des bruits. Une faible raie de lumière apparaît par les trous d'aération, puis le bruit des pas décroît, la lumière s'éteint, une porte claque, puis ... Le silence. Seuls les bruits du moteur qui refroidit perturbent ce silence qui, avec la pénombre et l'exiguïté de l'endroit ou je me trouve, est véritablement angoissant. C'est dans cette atmosphère oppressante et recroquevillé dans ce coffre que, las de tant d'émotions, je m'endors. Sommeil peuplé de Femmes fières et hautaines, me toisant du regard avec un sourire cruel... L'ouverture du coffre me réveille en sursaut. - Allez, descends, et à genoux. La lumière m'aveugle instant et j'ai des difficultés à m'extirper du coffre, tant je suis ankylosé. - Dépêche-toi ! J'exige une obéissance instantanée. Une fois à genoux, je n'ose regarder ma Maîtresse plus haut que ses chevilles, mais un bref coup d'oeil vers le haut me permet de voir qu'Elle est vêtue d'un petit tailleur rouge et d'un chemisier blanc qui lui siéent à ravir. - Déshabille-toi, et mets moi tout ça dans ce sac. Elle me jette un petit sac de sport dans lequel j'entasse tous mes vêtements, ainsi que ma montre et mon portefeuille. Il ne subsiste sur moi rien de ma vie passée.Elle prend le sac et va le ranger dans un placard avec des outils de jardin, puis revient vers moi. - Aujourd'hui, pour toi commence une nouvelle vie. Désormais ta vie m'appartient, tous tes actes, toutes tes pensées te seront dictés par moi. Pour que tu saches bien à qui tu as à faire, je vais me présenter et te préciser ce que j'attends de toi. " Je m'appelle Maîtresse Caroline, toute autre appellation venant de ta part sera sévèrement punie et tu verras, après cet exposé que je ne plaisante pas. Je suis la fille d'un professeur spécialisé dans la chirurgie esthétique. Il est propriétaire de deux cliniques, une dans la région parisienne et une sur la côte d'azur. J'ai fait des études de médecine et je suis chirurgien-dentiste. Pour l'obtention de mon diplôme, mon père m'a offert la mai*** dans laquelle nous sommes entourés d'un parc de 5 hectares. Il m'a, de plus offert un portefeuille d'actions qui rapporte suffisamment pour m'assurer un train de vie très confortable jusqu'à la fin de mes jours.Aussi j'ai décidé de vivre pleinement mes fantasmes, et de consacrer ma vie à MES plaisirs. Donc, pour mes 25 ans, je me suis offert un fiancé que j'ai voulu immédiatement soumettre, mais celui-ci n'a pas pu supporter mes caprices, il m'aimait, mais ne m'adulait pas. Il a réussi à s'évader au bout de 6 mois. C'est dommage car il était très résistant et surtout, il n'avait aucunes attaches donc je n'avais aucune surprise à craindre de ce coté là. Après *** évasion, j'ai fait monter un mur de 3 mètres autour de la propriété et j'ai fait installer tout une série de systèmes d'alarme et de télésurveillance pour éviter que ce genre d'inconvénients ne se reproduise. Donc, toute tentative d'évasion de ta part se solderait par un échec, tiens-toi le pour dit. Après avoir recherché par moi même, et sans résultat, un homme à soumettre, pas un fantasmeur, un esclave-né, je me suis résolue à passer par une dominatrice professionnelle qui m'en a vendu un avec des qualités tout à fait exceptionnelles. Il était presque parfait, je dis presque, car il avait un défaut : Il ne m'était soumis que sur ordre de *** ancienne maîtresse, et dans certains cas de soumission très poussés, il lui arrivait d'avoir des haut-le-coeur, et même des semblants de rébellion, aussi, au bout de 2 ans de bon travail, mais sans sincérité et sans dévotion, je l'ai rendu à sa maîtresse pour *** bonheur. Car, ça, c'est primordial. Pour moi, un esclave doit être bien dans sa peau, il doit être heureux, il doit m'aimer, il doit m'adorer, il doit m'aduler mais il faut que cela vienne de lui et non pas sur un ordre. Si je t'ai choisi, ce n'est pas par hasard. Je ne sais pas si tu as remarqué, je sais beaucoup de choses sur toi, de plus, ton épouse ne t'a pas créée beaucoup de problèmes pour divorcer, et pour cause. Lors de notre première rencontre, quand j'ai pris tes papiers, j'ai tout noté te concernant, et après, je suis allée voir ta femme, et je lui ai expliqué ce qui s'était passé et surtout ce qui allait se passer. Nous nous sommes mis d'accord moyennant certains arrangements dont tu feras les frais plus tard pour accélérer au plus vite ta mise à ma disposition. Elle est très bien placée pour connaître tes points forts et surtout, tes points faibles. Après ma visite à ton ex-épouse, j'ai acquis la certitude que ce serait toi, mon esclave à vie. Tu as des prédispositions qui correspondent pratiquement à ce que je recherche." Un fris*** d'anxiété me traverse à ce moment le corps, car j'ai le souvenir de conversations enflammées avec mon ex-épouse, sur le sujet qui m'intéresse tant et je me souviens lui avoir fait part de nombreux fantasmes, quelque peu poussés, dont j'ose espérer qu'elle a oublié de faire part à Maîtresse Caroline. " Avant de te choisir, j'ai recherché par l'intermédiaire du minitel et de clubs de rencontre l'homme qui serait à moi. J'en ai rencontré une bonne dizaine dans des conditions similaires aux tiennes, mais aucun d'eux n'a donné suite au premier rendez-vous. De plus, avec aucun d'eux, je n'aurai pu arriver à mes fins, tous des fantasmeurs...Aussi, si j'ai jeté mon dévolu sur toi, dis-toi que c'est un grand honneur pour toi, car en dehors des professionnelles et des mégères, je n'ai que très rarement entendu parler de femmes recherchant ce style de vie, uniquement par plaisir. Tu dois savoir que le mot " plaisir " doit être omniprésent dans ton esprit, non pas ton plaisir, mais le mien naturellement. Si je perds mon temps à t'expliquer tout cela, c'est pour, justement, que je ne perde plus jamais mon temps avec toi. Tout ce que je ferai avec, sur, sans ou en toi, ce sera pour mon plaisir. Vu le comportement que tu as eu depuis que je t'ai appelé et toutes les informations que j'ai recueillies sur toi, j'ai la conviction que, sachant que ce que toutes mes actions à ton encontre, je les fais pour mon plaisir, cela te rendra heureux. Maintenant je vais dresser une liste des différents commandements que j'ai établis à ton intention. Puisque je suis maintenant ta " Déesse ", il est normal que tu suives mes commandements. 1- Tu m'appelleras désormais " Maîtresse Caroline " 2- Je serai à jamais ta seule et unique rai*** de vivre. 3- En ma présence, tu t'agenouilleras et tu baisseras la tête. 4- Tu obéiras toujours, sans aucune restriction, sans aucune hésitation à tous mes ordres, quels qu'ils soient. 5- Quand je déléguerai mes pouvoirs à une autre per***ne, tu lui obéiras de la même manière qu'avec moi. 6- Jamais tu n'essaieras de te soustraire, ni à ton statut d'esclave, ni à aucun traitement que je suis susceptible de te faire subir.
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chrislebo
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Voila, je crois avoir fait le tour de tout ce qui va maintenant être ta vie. Encore une dernière chose, dans cette mai***, il y a une autre per***ne à laquelle tu seras soumis. C'est elle qui gère tout dans la propriété, c'est elle qui, quand je le désirerai, s'occupera de toi et tu l'appelleras " Maîtresse Eva ". Elle sera ta seconde Maîtresse et tu lui obéiras autant qu'à moi. Je vais d'ailleurs te la présenter maintenant puisque c'est elle qui va te prendre en main jusqu'à mon retour." Ma déception est grande de savoir que ma Maîtresse s'en va. Fort heureusement, en apercevant Maîtresse Eva je revis un peu, car, sans être aussi séduisante que Maîtresse Caroline Elle est d'une grande beauté et ses yeux durs et étincelants me présager une certaine cruauté... - Eva, voila chris, il est à moi, tu feras comme avec Louis pour commencer, puis on verra comment il réagit. Sur ce, Elle fait demi-tour et prend un petit escalier qui doit certainement rejoindre le rez-de-chaussée de la mai***. Quelque peu déçu par ce départ et croyant ne dépendre que d'Elle, un sentiment de frustration point en moi et me laisse un peu désappointé. Maîtresse Caroline m'aurait-Elle déjà abandonné ? - Ne t'inquiètes pas, me dit Maîtresse Eva, suffisamment perspicace, pour s'être rendu compte de mon dépit, tu la reverras, et crois-moi, comme elle dit, tu lui appartiens, et si tu n'éprouve pas pour elle tout l'amour, la dévotion et l'adoration qu'elle attend de toi, tu ne tiendras jamais le coup, parce que chaque jour qui va passer à partir de maintenant, elle exigera un peu plus de toi, toujours plus, et je la connais bien, elle n'a aucune limite. Heureusement pour toi, je suis là, et moi, je suis lesbienne, bien sur, avec Caroline c'est normal, elle est tellement exceptionnelle, mais c'est vrai que je ne suis pas spécialement dominatrice et si tu dois souffrir avec moi, ce sera uniquement parce que j'en tire un avantage et je sais me limiter, je ne fais pas ça par passion, juste par plaisir et toujours rai***nablement. Tu verras, tu ne regretteras pas d'être de temps à autre sous mon joug.. En attendant, debout et suis-moi ! Je me lève, les genoux douloureusement marqués par cette longue position, puis je suis ma Maîtresse " intérimaire " vers une porte au fond du garage. Elle l'ouvre et nous commençons à descendre un escalier qui parait faire la hauteur de 2 étages. Arrivé en bas, un long couloir apparaît avec, en *** début une énorme porte métallique style coffre-fort. Devant mon étonnement, Maîtresse Eva a la gentillesse de m'expliquer : - Cette mai*** a été construite, il y a quelques années, par un Suisse obsédé par la guerre nucléaire. La partie ou nous sommes est donc un abri anti-atomique pouvant recevoir jusqu'à 10 per***nes et ce, pour 10 ans. Nous y avons fait faire quelques aménagements et maintenant, c'est l'endroit privilégié pour y effectuer le dressage des gens comme toi. Aucune possibilité d'évasion, aucun bruit ne filtre à l'extérieur; alors inutile d'avoir de mauvaises pensées, si tu vois ce que je veux dire... De chaque coté du long couloir éclairé de néons, des portes, toutes fermées, 10 au total et au bout, encore une porte. Maîtresse Eva l'ouvre, une odeur d'humidité et de moisissure m'agresse les narines. Là, c'est le cachot, cette pièce a été construite sur ordre de Caroline, c'est une sorte de souterrain, style moyenâgeux, il n'y a pas l'air conditionné, et l'atmosphère, quoique renouvelé y est toujours chargé d'humidité, nous t'y avons préparé ta " niche ", tu ne la trouveras certainement pas à ton goût, mais il faudra t'y faire. Après avoir marché une dizaine de mètres dans un étroit couloir taillé à même la roche et seulement éclairé par deux faibles ampoules, nous stoppons devant une véritable porte de cachot moyenâgeux. - Nous y voila ! Elle ouvre la porte. - Entre, et à genoux ! Je m'exécute, mes yeux s'habituent à la pénombre qui règne dans ce cachot : Les parois ***t brutes de taille, dans la roche, scellés en plusieurs endroits, sur les murs, au plafond et au sol, des anneaux en métal. A certains de ces anneaux ***t accrochées des chaînes relativement courtes terminées par des bracelets de cuir. Inutile de faire un dessin pour comprendre leur utilité...Maîtresse Eva se penche sur moi et me fixe un collier autour du cou, y accroche une chaîne et y met un cadenas. Elle sort du cachot sans un mot et ferme la porte à clef. Par la petite grille placée à hauteur du visage de Maîtresse Eva, Elle me lance avant de s'éloigner: - Tu as un seau, si tu as des besoins à faire, et un pichet si tu as soif. L'eau en est aromatisée. Il faudra t'y habituer, Maîtresse Caroline sera désormais ton unique rai*** de vivre, et chaque sensation, chaque geste chaque pensée sera marqué par ta Maîtresse, pour toujours, ne l'oublies pas... Puis Elle s'éloigne, et j'entends la porte du couloir se refermer. Comme si je pouvais l'oublier ! Je m'assoie et regarde autour de moi. Dans la pénombre, seule une faible raie de lumière passe par le trou de la porte à environ 1m 50 du sol et cela donne suffisamment de luminosité pour distinguer tous les coins de ma cellule. Celle-ci doit faire 2m 50 sur 2m 50 et à peu prés 2 m de haut. Le sol est en terre battue, sauf aux endroits ou ***t scellés les anneaux, là, le béton affleure. Les parois ***t en tuffeau, ce qui conserve un peu d'humidité au lieu, d'où cette odeur de moisissure. J'aperçois un seau dans un coin et dans l'autre un pichet d'un litre environ. Je suppose que c'est ce dont m'a parlé Maîtresse Eva. La chaîne est assez longue pour que je puisse aller partout dans ma cellule sauf auprès de la porte, m'interdisant ainsi de voir ce qui se passe dans le couloir. Mais, quelle importance ? Le temps passe, le silence est total. Peut-être 3 ou 4 heures que je suis ici, j'ai soif, je m'approche du pichet et sent cette eau " aromatisée ", une faible odeur s'en dégage, un peu acidulée, pas assez forte pour la reconnaître. Je porte le pichet à mes lèvres et en laisse couler quelques gouttes sur ma langue. Pouah ! Je crache sur le sol ces quelques gouttes. " Aromatisé ", oui, un goût, certes très léger, mais sans équivoque d'urine m'a rempli la bouche. Je préfère rester avec ma soif. Encore quelques heures qui défilent lentement dans ce silence... J'ai de plus en plus soif, je ne peux me résoudre à boire cette eau, je suis conscient qu'il faudra bien que je le fasse, mais les tabous de mon éducation de mon " ancienne " vie ***t encore trop frais dans mon esprit. Certes, cela me répugne, mais d'un autre coté une certaine excitation me gagne. C'est ce deuxième coté qui l'emporte, avec la soif, et quelques heures de plus...Par petites gorgées, j'en bois juste de quoi calmer ma soif, et la faim qui commence à me tenailler. Le goût, certes pas très agréable, n'est, avec la soif, pas si fort que je le redoutais et je vide d'un trait le pichet sans trop de dégoût. J'en éprouve une certaine fierté, (peut-être est-ce une preuve de ma volonté de soumission ?) et même une certaine excitation : Boire les urines (enfin presque) de ma Maîtresse ! Si bien qu'une érection inopinée me donne l'envie de me masturber et c'est avec beaucoup de plaisir que j'éjacule sur le sol terreux.. L'excitation retombée, je me sens particulièrement ridicule et j'efface les traces de mon plaisir en jetant de la terre sur les traces blanches laissées sur le sol. Puis je m'assoie dans un coin et essaie de dormir. Je tente de m'allonger mais la chaîne a été judicieusement coupée assez courte pour que ma tête ne puisse pas reposer sur le sol, et c'est donc uniquement assis que je m'endors. Le bruit de la clef tournant dans la serrure me réveille. Maîtresse Eva apparaît dans un petit ensemble, style soubrette, à la seule différence que le décolleté descend jusqu'au nombril et que la jupe en est ultra courte, laissant apparaître de longues jambes parfaitement moulées dans des cuissardes de cuir noir, et je peux découvrir à chaque mouvement de Maîtresse Eva, qu'Elle ne porte ni slip, ni soutien-gorge. Cette vision, quasi paradisiaque me fait de nouveau entrer en érection. Je la cache avec peine en repliant mes genoux. - Je crois que tu n'as pas compris ce que Maîtresse Caroline t'a dit. Je vais t'apprendre à obéir. A genoux ! Et vite ! Toujours à genoux devant tes Maîtresses ! Je me précipite pour me mettre en position, mais je sais, hélas, qu'il est déjà trop tard et qu'il me faudra payer ce crime de lèse-majesté. - Tourne-toi, et les mains au-dessus de la tête ! Toujours à genoux, je m'exécute. - Debout ! Je me lève et Elle enferme mes poignets dans des bracelets de cuir au-dessus de ma tête, bras presque tendus. Elle me fait écarter les jambes dans des bracelets qui me les immobilisent dans cette position me tendant ainsi les bras. J'entends Maîtresse Eva sortir puis revenir avec un bruit métallique. - Ca, c'est pour éviter de voir ton " machin " devenir agressif quand tu nous vois. D'une petite claque, Elle me fait retomber mon érection puis, avec des gestes professionnels, Elle m'enfile une petite cage métallique sur mon pénis à demi-tendu et entoure les seuls bijoux de famille qui me restent d'un cadenas, le tout relié autour de la taille et entre les fesses par une courroie de cuir épais. Clac, un autre cadenas situé dans le dos vient sceller cette sorte de ceinture de chasteté, si on peut dire, qui, si elle ne m'empêche pas d'uriner, m'interdit toute érection totale, et par la- même, toute éjaculation. Le contact du cuir et du métal, dans ces endroits produisent chez moi, une érection, mais dés le début, très douloureuse, car stoppée par la " cage ". Je grimace de douleur et, hélas, à cause de l'excitation, ne parvient pas à débander. - Je suppose que, comme ceux qui t'ont précédé, tu t'es branlé en buvant l'eau que je t'avais laissée ? - Oui, Maîtresse Eva. - Hé bien, c'était la dernière liberté que nous t'ayons accordé, cette " ceinture " ne te sera enlevée que par tes Maîtresses, et ça ne sera pas souvent, crois-moi ! Un esclave en manque de jouissance est toujours bien plus obéissant. Remarque, de la jouissance, tu en auras, quand tu auras appris à jouir autrement...Mais cela, nous nous ferons un plaisir de t'initier ! Pour l'instant, tu vas payer ta faute, comme les autres. Je l'entends sortir, puis rentrer presque aussitôt, et là, la cravache me rappelle par 20 fois que je dois toujours obéir ! Une fois les 20 coups assénés, la douleur est telle que les larmes me coulent sur le visage, et j'ai honte, car j'ai la sensation d'être comme les autres, ceux qui ***t passés ici, d'agir comme eux, de subir les mêmes choses. Moi qui croyais être une exception, être l'élu, choisi par ma Maîtresse, je me déçois d'agir de la sorte, et je me jure de réagir et de me comporter le mieux possible afin que mes Maîtresses soient fières de moi et aussi sortir bien vite de ce cachot, pour revoir ma Déesse, celle dont la " liqueur " me rend si fébrile... Sans un mot, Maîtresse Eva referme la porte et s'en va, et je reste pendu à ces anneaux, attendant le bon vouloir de celles dont toute ma vie dépend, désormais. Peut-être 3 ou 4 heures voire plus après cette correction, la douleur toujours cuisante m'ayant laissé tous mes esprits, j'entends de nouveau la porte s'ouvrir sur... Maîtresse Caroline, *** parfum, envahit mon cachot. Tournant le dos à la porte, il ne m'est pas possible de la voir, mais je baisse la tête pour bien lui montrer que j'ai compris la leçon, et que, désormais, j'obéirai. - Bien, Je vois que Maîtresse Eva t'a appris les bonnes manières. Bien sûr, Elle est un peu cruelle, mais il faut que tu comprennes que l'obéissance est à la base de tout, que plus tu obéiras docilement, moins pénible, ce sera pour toi. Enfin, que ça te serve de leçon !
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chrislebo
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CHAMPAGNE ET CAVIAR J'écris cette confession parce que depuis un an, j'obéis à Madame Hélène.C'est elle qui accepte ou refuse mes rendezvous. C'est encore elle qui, par l'intermédiaire du minitel, demande à mes éventuels bourreaux de me punir de telle ou telle facon. Celle fois, ce n'est pas dans sa BAL que je dois faire le compte-rendu de ma dernière séance, mais à vous tous, en public. Je n'ai pas eu de consignes spéciales pour mon dernier rendezvous, seulement porter sous mon pantalon une culotte de femme en dentelle noire. Je ne vous ai pas précisé que je suis un homme, 1 m77, 70 kgs, châtain. Madame N. (mon rendez-vous) m'a ordonné, avec la bénédiction de ma maitresse, de porter constamment une culotte de femme. Bien sûr, il m'est impossible de satisfaire cet ordre et je suis régulièrement puni pour cela. Madame N. est venue me chercher avec sa voiture au point de rendez-vous. Suivant *** habitude, elle a fait en sorte que je ne puisse voir la route qui mène chez elle. Cette fois, c'était une cagoule noire sur la tête, et j'ai passé le trajet en boule sur le sol à la place du passager avant. Arrivé chez elle, elle m'a tout de suite ordonné de me déshabiller, me laissant seul dans le couloir d'entrée. Elle a disparu dans sa chambre et en est ressortie vêtue comme j'aime. Une guêpière de cuir noir laissant libre sa poitrine, un string, des bas noirs fixés aux jarretelles de la guêpière, et de très hauts talons. Je me suis jeté à ses pieds, en lui disant qu'elle était belle, je lui léchai les chaussures. Elle m'a repoussé d'un coup de pied en me traitant de chien, de petite pute, de merde. Elle m'a mis un collier au cou, elle m'a attaché les poignets derrière la tête, elle m'a posé un lacet de cuir autour du sexe, elle m'a bandé les yeux, et ainsi en laisse, elle m'a traîné jusque la salle de bains. Dix fois, j'ai cru qu'elle m'arrachait le sexe car je ne pouvais pas marcher aussi vite qu'elle. Elle m'a douché à l'eau froide en m'interdisant de prononcer un mot. Elle m'a enlevé mon bandeau, et elle m'a fait mettre à genoux. Elle a enlevé sa culotte en me disant qu'elle avait mangé des asperges hier, et que ca allait être plutôt amere. "Ouvre tu bouche, sale pute !" Elle a posé la bonde à la baignoire, puis elle s'est installée au-dessus de mon visage, les jambes écartées. La douche chaude a commencé. Lorsque ce fut fini, j'ai dû bien la lécher, de manière à ce que *** sexe soit bien propre. Je me suis aperçu, avant même qu'elle ne me le dise en riant, que cela faisait quelques jours qu'elle ne s'était pas lavée (trois exactement). Elle s'est tournée pour que je lui lèche l'anus qui, lui aussi, n'avait pus vu de papier hygiénique depuis autant de temps. Elle est sortie de la baignoire en me disant; "Bois et lèche tout ce qui reste, je vois changer mes bas. Tu auras une surprise." Je me suis exécuté. Lorsqu'elle est revenue, elle avait un martinet à longues lanières dans la main. Nos accords étaient simples : tout sauf des marques. Je le lui ai fait remarquer. Sans répondre, elle a ouvert l'eau froide pour me rincer. Je suis sorti de la baignoire, tout tremblant de froid et de peur. Elle m'a tiré par mon lacet jusqu'ou salon. Madame N m'a montré la table en me disant : "Choisis, et ramène moi ton choix !" Il y avait le martinet à côté d'un gode de taille moyenne, et à l'autre extrémité de le table une badine ainsi qu'un gode, mais quel gode, énorme ! Devant mon hésitation, elle a ri et elle m'a précisé que les objets étaient groupés par deux, d'un côté confort et marques, de l'autre pas de marques mais... "A toi de voir si tu ne vas pas avoir le cul qui va éclater. Raméne-moi vite ce que tu as choisis". Avec la bouche? Les yeux baissés, je lui ai apporté la badine. Elle l'a prise, elle m'a fait prosterner, les fesses bien en l'air, et elle a commencé à frapper ma raie en visant bien mon anus. Jamais elle ne m'avait frappé si fort, je n'ai pas pu rester dans cette position, j'ai hurlé, je lui ai supplié d'arrêter. Elle m'a mis un bâillon, elle s'est assise sur mon dos, et elle a continué à frapper, j'en pleurais. Lorsqu'elle s'est arrêtée, elle m'a interdit de bouger. J'avais un chalumeau entre les fesses, elle m'a passé sur l'anus ce que j'ai cru être une pommade, mais qui en réalité n'était que de la vaseline. "Ah, tu as choisi le gros, tu vas l'avoir, et je te jure qu'il va rentrer." Elle s'est de nouveau assise sur mon dos et elle a commencé à pousser sans ménagement l'énorme gode dans mon cul. Au bout de 10 minutes, mon cul étroit rempli par le gode, elle me l'a attaché à la taille par un ensemble de chaînettes. Puis elle m'a trainé par le sexe jusqu'au garage, et elle m'a attaché les bras en croix sur le mur. Je suis resté toute l'après-midi dans cette position, je n'ai été détaché que 30 minutes environ, juste le temps de prendre un repas : champagne et caviar, dépêche-toi de bouffer. Ca va refroidir !'. J'ai tout avalé, les mains liées dans le dos. Tout le reste de la soirée, je l'ai passé avec ce gode qui me distendait le cul. À minuit, elle m'a détaché, le moment où j'ai été libéré du gode a été tellement fort que j'en ai joui. Madame N. ne m'a pas puni, elle m'a seulement fait lécher mon sperme. Puis elle m'a dit d'aller me laver, et de revenir la faire jouir. Elle était subitement tendre... pour la première fois.
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chrislebo
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TRAITEMENT DE CHOC Le mois dernier, je me suis disputé avec ma femme qui me reprochait de ne pas assez m'occuper d'elle. Elle est secrétaire de direction, très belle, toujours tirée à quatre épingles, et jamais fatiguée par *** travail La dispute se termina tard dans la nuit, et j'ai été une fois de plus, incapable de la satisfaire, après cette dispute plus violente que d'habitude. Elle me dit alors qu'il existait des établissements spécialisés pour ce genre de déficience conjugale. Je restais penaud, et consentis d'essayer d'affronter cette épreuve. Je pensais surtout qu'elle ne trouverait jamais l'adresse d'une telle mai***, persuadé que ça n'exister que dans sa tête. Puis un soir, sans me demander mon avis, elle accepta l'invitation de *** patron à un dîner d'affaire avec d'autres hommes. Je la regardais se faire belle. Je n'avais jamais vu les dessous qu'elle mettait. Porte jarretelles, string, soutien-gorge balconnet, et par dessus tout ça un parfum, qui donne envie de violer la femme qui le porte. J'ai voulu lui en faire la réflexion, mais la réponse a était tellement cinglante, que même si j'avais bandé à ce moment là, elle ne risquait plus rien, j'étais rendu au point zéro. En partant, elle me demanda de me masturber en pensant à elle; qu'elle était bien décidée à se faire sauter plusieurs fois si elle en avait l'occasion. Puis avant de refermer la porte elle me cria : – Au fait, j'ai trouvé une adresse pour les maris impuissants dans ton genre à Paris, il faut que je te prenne rendez-vous ! Je restai comme un rond de frite, planté comme un idiot au, milieu du couloir. Une voiture démarra en trombe emportant celle pour qui j'avais tant d'amour. Elle ne revint que le lendemain, radieuse, rayonnante, sûre d'elle, avec un sourire qui voulait en dire long ! Deux jours plus tard elle avait un rendez-vous à Paris avec moi. Un véhicule nous attendait à la gare, l'homme me banda les yeux avant de reprendre sa place derrière le volant. Quand nous sommes arrivés, tout de suite je me suis retrouvé dans une grande salle où trois femmes m'attendaient, cravache à la main. – A poil, lopette, me crièrent-elles en même temps, et comme je restais éberlué, ma femme vint au centre de la pièce et me donna une paire de gifles en me demandant si j'étais sourd. – Aller, espèce d'impuissant, à poil, tu étais d'accord, non ? J'étais mort de honte devant ces femmes vêtues de panthère, cuissardes à talons aiguilles, elles avaient toutes le même air. On les aurait cru sorties tout droit d'une séance de dressage dans un cirque. Le claquement du fouet me fit jeter mes vêtements au sol en un tour de main, je n'en revenais pas moi-même. Aussitôt un collier en cuir m'enserra le cou, et deux autres les chevilles. L'une d'elle vint me tâter les testicules, et me les tordre au passage. Ce n'était pas des femmes, mais des monstres à qui ma femme m'abandonnait. Le matin dans le couloir qui mène aux douches, j'ai rencontré des hommes, qui comme moi marchaient à la laisse; sans un mot. Sous la douche et sous la flagellation qui l'accompagnait, je me suis mis à bander ; j'ai pensé que les résultats commençaient à se faire sentir, j'étais peut-être masochiste, il me fallait des coups pour me faire bander. Quelques jours plus tard ma femme vint en visite. Je suis arrivé devant elle en laisse, et en la voyant je me suis mis à bander comme un cerf, mais j'avais une surprise de taille qui m'attendait. Au milieu de la pièce il y avait un grand lit, j'ai cru que c'était pour nous deux, juste pour voir les résultats du traitement, en attendant que je rentre à la mai***. Ma femme s'est installée sur le lit, entièrement nue, une femme est venue lui soulever les jambes pour les attacher aux anneaux qui pendaient. Juste en face de moi, je voyais sa chatte ouverte, offerte, je n'y tenais plus, mais celle qui me tenait en laisse n'avait aucune intention de me lâcher du lest. Une autre dompteuse arriva accompagnée d'un énorme noir qui marchait à quatre pattes à ses côtés, tel un chien bien dressé. Tout de suite j'ai vu le regard de ma femme s'enflammait, elle passait sa langue sur ses lèvres, et sa chatte s'est mise à mouiller. J'avais envie de foncer sur elle, mais une large ceinture de cuir me retenait accroché au mur, j'avais envie de fermer les yeux, mais je voulais voir, alors impuissant, malgré moi, j'allais devoir assister au spectacle ma femme jouissant avec un autre. Le noir est venu lui renifler les lèvres vaginales accompagné par sa dompteuse. Puis il s'est mit debout pour lui présenter sa bite, qu'elle s'est empressée de sucer langoureusement. Comme elle avait les jambes bien en l'air, je pouvais voir *** clito qui avait des soubresauts. Puis sous un coup de laisse, il a compris qu'il fallait qu'il vienne prendre place entre les cuisses de mon épouse, oh combien consentante. Quand j'ai vu cet. énorme sexe noir qui la pénétrait, cette paire de couilles pendantes qui tamponnaient *** anus, j'ai cru devenir fou. Ma femme hurlait de plaisir, j'entendais les clapotis de *** sexe largement lubrifié, le noir s'en donnait à coeur joie. Je ne sais pas depuis combien de temps il n'avait pas baisé, mais apparemment il y avait certainement quelques semaines, car l'éjaculation ne s'est pas faite attendre, et ma femme est venue en même temps que lui, en lui criant "je t'aime ". Puis mon tour est arrivé, j'allais être content du voyage, il m'a fallu aspirer tout le foutre du noir et celui de ma femme mélangé, j'ai eu un haut le coeur, puni d'un coup de cravache cinglant sur les reins. Je suis resté encore une semaine, puis de retour à la mai***, je suis devenu le toutou sexuel de madame. Dès qu'elle parle. un peu fort je bande, on baise, et tout rentre dans l'ordre. Je suis devenu un étalon, car maintenant, pour se rembourser les frais du stage, elle me loue aux copines, et même au couples pour des soirées auxquelles elle participe largement, mais pas avec moi, la salope.
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