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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#7,561
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Ses yeux se firent encore plus suppliants lorsque la ***nerie retentit. Il se mit à m'implorer à haute voix en me promettant qu'il fera tout ce que je voudrai à condition de ne pas ouvrir la porte.
Pour toute réponse, je lui mis le bâillon et m'éloignais en direction de la porte. J'ouvris ...
- Ah, voilà mon baiseur adoré. Viens entre... Je te présente mon mari, ... Enfin mon esclave !
- Oh ! Quelle belle soubrette que voilà ! Ainsi je constate que tu ne m'avais pas menti, tu as réussi à le convaincre ?
- Ca n'a pas été très difficile, en fait il était très demandeur, ce fera un bon esclave, n'est ce pas mon chéri ? Dis-je avec ironie en m'adressant à mon mari.
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui madame.
- J'aime mieux ça, alors tu m'obéiras bien ?
- Oui madame.
- En tout !
- Oui madame.
- Et tu n'oublieras pas d'obéir aussi à Jacques !
- Suprême ***********, allait-il l'accepter ?
- Oui madame, répondit-il dans un souffle.
- Dis-le lui !
- Oui monsieur, je vous obéirais en tout.
- En entendant cela je crus que j'allais jouir sur place. Mon mari qui appelait mon amant monsieur et qui lui disait qu'il était prêt à lui obéir, sans même savoir à quoi il allait devoir obéir. Moment d'une rare intensité dont je savourais toutes les conséquences.
A peine ai-je prononcé ces mots, j'attirais Jacques vers moi pour l'embrasser à pleine bouche. Puis je posai ma main sur sa braguette en regardant mon mari ...
- Enfin, une vraie bite !
J'invite Jacques à prendre place sur le canapé. Moi je me rassois en face de mon mari.
- Je te présente Jacques, mon amant depuis maintenant quelques mois. Je me suis toujours demandée comment tu as pu être aussi aveugle et ne rien deviner de notre liai***. C'est vrai que jusqu'à présent, je t'ai permis de me baiser comme si de rien n'était. Mais vois-tu, Jacques n'aime pas que je continue à me faire baiser par quelqu'un d'autre que lui ! Alors, il fallait trouver une solution et, comble du comble, tu y as fortement contribué en souhaitant devenir mon esclave. Jacques, je te présente Eliane, en effet c'est comme cela que je l'appellerai désormais.
Jacques regardait la scène avec fascination.
- Ah, je ne t'ai pas encore dit que Jacques est un excellant chirurgien. Et tu vas t'en rendre compte par toi-même... Il va procéder à une petite intervention sur ta quéquette. Non, ne t'inquiète pas, il ne va pas te castrer ! Il va juste poser deux petits anneaux.
Cela dit, je me lève et détache la laisse de la table basse. J'entraîne mon mari vers notre chambre à coucher et je le pousse sur le lit. Puis nous lui attachons les pieds aux barreaux en les écartant au maximum. Je prends en main sa petite bite toute molle et rabougrie. Je lui explique que nous allons poser un anneau sur *** prépuce en lui montrant l'endroit.
- Nous allons en poser un autre là, à la base de ta bourse, au plus près de ton anus. Puis nous tirerons ta bite par-dessus les couilles et je joindrais les deux anneaux avec un petit cadenas dont je serai seule à détenir la clé. Ta queue sera en permanence collée contre tes couilles. Pour pisser, il faudra que tu fasses comme nous les femmes, car il te sera impossible de la prendre entre les doigts. C'est en plein air que tu comprendras ton malheur... Enfin, tu feras comme moi. Et pour bander, je crois que c'est tout simplement impossible ...
Pendant que je parlais, Jacques avait tout préparé. L'intervention dura à peine 10 minutes pendant lesquelles mon mari nous implorait, mais *** bâillon nous épargnait ses jérémiades.
Pour lui prouver que je disais vrai, je me suis agenouillée devant Jacques et après avoir sorti sa bite, je la pris dans la bouche pour lui administrer une fellation comme mon mari les aime tant. Toujours étendu sur le lit, celui-ci soulevait la tête pour mieux voir mes lèvres rouges aller et venir le long de la queue bien dure de mon amant. Ses yeux étaient exorbités et quand Jacques s'est arc-bouté pour éjaculer dans ma bouche, mon petit cocu a poussé un cri. Nous en avons bien ri ensuite, mon amant et moi. D'assister à la pipe avait fait bander mon mari, et les anneaux interdisant l'érection, la douleur et la gêne qu'il ressentait ont provoqué une éjaculation incontrôlée. *** sperme coulait sur *** anus, puis sur les draps. Sa bite ressemblait à un boudin à demi mou qui donnait à l'ensemble un air franchement ridicule.
chrislebo

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#7,562
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- Tu vois, ai-je remarqué en tamponnant mes lèvres gluantes avec un kleenex, je savais bien que j'arriverai à te faire jouir sans te toucher et tout en t'interdisant de bander. Dorénavant, il en sera toujours ainsi et tant pis si tu n'arrives pas à jouir. Moi, je n'en jouirai que davantage ! Regarde, je t'en apporte la preuve ...
Je me tournais vers Jacques. Je l'embrassais et le caressais très doucement jusqu'à ce que sa bite redevienne dure. Ceci ne mis pas beaucoup de temps à la grande stupéfaction de mon mari.
- Viens Jacques, mets-moi ta grosse bite dans ma petite chatte brûlante et montre à ce petit cocu comment un vrai mec baise SA femme ....
Nous avons baisé comme des fous à demi couchés sur notre cocu. Du coup, il était aux premières loges pour voir « en gros plan » une autre bite que la sienne fourrer la chatte de sa femme. Pour finir, Jacques éjacula pour la deuxième fois de la soirée dans mon vagin. Je lui demandais de se retirer avec un petit regard vicieux pour mon mari...
- Maintenant, Jacques, tu vas assister à ma toilette intime !
Ceci dit, je me retournai et chevauchai la tête de mon mari. Rapidement, je lui enlevai le bâillon ...
- Ouvre la bouche et nettoie ma chatte. C'est tout ce que tu mérites, petit vicieux.
Quand il eut fini, je le regardais dans les yeux et lui dit très calmement mais très fermement :
- Gare à toi si tu enlèves les anneaux sans ma permission ... N'oublie pas que Jacques est chirurgien et qu'il pourrait très bien te débarrasser de tes petites couilles pour de bon ! Il paraît que c'est très facile et sans aucun risque, n'est-ce pas Jacques ?

Jacques me regarda avec un regard complice.
- Après tout, ce ne serait pas une si mauvaise idée, tu ne crois pas ?

Le lendemain nous lui mimes les cartes en mains, désormais Jacques viendrait vivre à la mai*** et mon mari nous servirait de bonne à tout faire, il n'aurait bien évidemment plus le droit de me toucher qu'avec la langue, spécialement pour me nettoyer, il devrait être en permanence en tenue de soubrette et n'aurait plus le droit que de nous appeler maître et maîtresse. Pour sa part, nous l'appellerons Eliane.
Après un court moment de réflexion, mon mari accepta à mon grand soulagement, j'avais en effet craint un instant qu'il ne se rebellât, mais *** goût pour la soumission fut le plus fort.
Pour tester sa réelle volonté de soumission nous lui imposâmes une sorte de bizutage. A genoux il devait implorer la permission de Jacques de lui lécher les couilles.
- Maître puis-je vous lécher les couilles ?
- Plus poliment salope !
- Maître, s'il vous plait, puis-je vous lécher les couilles ?
- Vas-y salope !
Mon mari se rapprocha à quatre pattes de Jacques qui était assis dans un fauteuil, il lui lécha les couilles les avala entièrement les aspira, tout cela sous les yeux de sa chère épouse.
Voulant corser l'affaire je lui intimait l'ordre de lui lécher le trou du cul.
- Lèche lui le cul, tu n'es bon qu'à ça maintenant, lèche lui le avec la langue sortie comme on lèche une glace, voilà maintenant fais pénétrer ta langue dans *** cul, tu vois c'est bon tu lèches le trou du cul de mon amant, tu sens bien *** odeur, *** goût, et tu vois ça lui plait, tu le fais bander et après il me baisera, regarde bien, regarde bien ce que tu n'auras plus jamais le droit de faire, ça te plait ?
- Oui maîtresse, je suis votre esclave dévoué.
- Dis "je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul".
- Oui, je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul.
- Bon, maintenant tu vas prendre Jacques par la queue et l'amener à l'entrée de ma petite chatte !
Mon mari s'exécuta sagement et me présenta la bite de Jacques dure et frémissante devant mon minou.
- Dis-lui maintenant que tu lui offres ma chatte !
- Monsieur je vous offre la chatte de ma femme, dorénavant il n'y aura plus que vous ou toute per***ne que vous désignerez à vous en servir, elle me sera interdite et je n'aurais plus le droit que de la nettoyer avec ma langue.
J'étais surprise qu'il ait pris une telle initiative, mais en même temps très satisfaite, il était donc parfaitement décidé à nous servir d'esclave sexuel.
- C'est bien, tu as compris quelle serait ta condition dorénavant.
- Oui madame.
Sur ce, Jacques d'un puissant coup de rein se débarrassa de mon mari et me pénétra jusqu'à la garde.
Je ne mis pas longtemps à jouir. Mon mari comprenant sa tache me nettoya le minou de la semence de mon amant.
- Remercie-le !
- Merci monsieur.

chrislebo

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#7,563
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Après quelques jours passés, Jacques et moi décidâmes de tester un peu plus mon mari. Nous mîmes plusieurs heures à définir un scénario qui, s'il l'acceptait ferait accéder définitivement Eliane à *** statut d'esclave dévouée.
Nous lui expliquâmes que pour qu'il soit accepté, il devrait nous obéir en tout sans poser la moindre question et sans hésitation aucune. La moindre rebiffade et je le quitterai.
Mon mari nous regarda tout penaud, pesa le pour et le contre et au moins autant par goût de la soumission que par peur de me perdre, il accepta.
- Bien. Tu fais ta valise nous partons dans deux heures pour le Maroc.
- Hein ?
- On a dit que tu ne poses pas de question !
Arrivés à Tanger, nous nous installâmes à l'hôtel. Nous avions pris une seule chambre, ce qui fit tiquer un peu le réceptionniste, mais moyennant un généreux pourboire il ne posa pas de questions. C'est que nous tenions à avoir Eliane sous la main.
Nous passâmes un coup de téléphone et sortîmes de l'hôtel direction le souk, Eliane n'en menait pas large. Nous entrâmes dans une boutique et là un homme nous accueillit.
- Alors c'est elle ? Demanda-t'il en désignant Eliane.
- Oui.
- Elle est au courant ?
- Non, mais elle a promis de tout accepter.
Mon mari était de plus en plus inquiet, se demandant ce qui allait lui arriver. Et comprenant que nous avions tout préparé à l'avance Jacques et moi.
- Bon alors comme convenu, tu t'engages à tout accepter sans rechigner ?
- Oui madame.
- Absolument tout ! Précisa Jacques.
- Oui monsieur.
- Bon à partir de là nous allons t'expliquer. Comme on te l'a déjà expliqué Jacques et moi, on te met à l'épreuve pour voir si tu seras un esclave fidèle. C'est Jacques qui en a eu l'idée, nous allons aller dans l'arrière-boutique et là des hommes vont entrer et tu devras faire tout ce qu'ils désireront.
Eliane pâlit brusquement, il n'avait jamais eu le moindre penchant pour les hommes, et il se doutait bien maintenant de ce qui allait se passer. Ses jambes tremblèrent, mais quand il vit le regard dur que je lui lançais, il capitula et ne put répondre que :
- Oui madame, j'accepterai tout.
Une fois dans l'arrière-boutique, un arabe habillé d'un burnous noir entra. Sans un mot il attrapa mon mari par les cheveux et le força à s'agenouiller, il souleva *** burnous dévoilant un membre épais déjà à moitié bandé et dit Suce !
Tout en me regardant dans les yeux, Eliane prit le membre dans sa main et le porta à sa bouche. Abdul força d'un coup et le membre s'engloutit jusqu'à la glotte. Puis il fit des allers et retour rapides obligeant Eliane à avaler chaque fois un peu plus ce membre.
- Passe bien la langue dessus ! Ordonna Jacques.
Eliane aspirait, suçait, léchait cette bite qui prenait des proportions de plus en plus énormes. Abdul se fit aussi lécher les couilles, puis il retourna mon mari et lui baissa *** pantalon.
- Maintenant tu vas la prendre dans le cul Salope !
D'entendre mon mari traité de cette façon et surtout sous les yeux de mon amant, me faisait défaillir. Pour humilier un peu plus celui-ci je regardais Jacques, et tout en lui disant je t'aime je l'embrassais amoureusement sur la bouche.
Pendant ce temps, mon cocu se faisait limer la rondelle, Abdul se faisait plus violent, l'attrapant sauvagement par les cheveux. Tirant sa tête vers l'arrière, il lui renversa la tête et essaya de l'embrasser, mon mari se défendait, l'air dégoûté. Devant mon regard il comprit qu'il devait plier et se laissa embrasser, mais sans passion, il se refusait pratiquement à la bouche de cet homme. Abdul lui enfonçait sa langue dans la bouche aussi sauvagement que sa bite dans le cul. Je crois bien qu'Eliane préférait encore la bite que la langue, au retour il allait m'entendre, il devait TOUT accepter ! Abdul lui claquait les fesses avec ***** tout en l'insultant, jusqu'au moment ou dans un dernier sursaut il sortit sa queue du cul d'Eliane et lui déchargea un grosse quantité de sperme sur les fesses, puis lui étalant sa crème sur les dos et les fesses. Il passa devant Eliane et lui fit nettoyer ses doigts avec la langue.
Ne laissant aucun répit à Eliane, un grand noir pénétra à *** tour dans la pièce, il sortit sa bite, et mon mari étant encore appuyé à une table, le cul bien dressé, il l'encula instantanément. L'engin était aussi d'un très bon calibre même supérieur à celui d'Abdul, qui pourtant était déjà de très bonne taille, et le cul d'Eliane en fut une fois de plus élargi. Mamadou qui n'avait pas dû tirer *** coup d'un moment ne fut pas long à décharger un puissant jet de foutre sur le cul de mon mari. Le noir avait rentré sa bite et était déjà reparti que *** foutre coulait encore dans la raie d'Eliane et sur *** trou du cul.
C'est dans cette position que je lui dis.
chrislebo

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#7,564
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- Tu vois désormais, c'est ce qui t'attend, tu n'auras plus jamais le droit de me pénétrer ni aucune autre femme d'ailleurs, tu n'auras plus de sexe mais une bouche et un cul que tu devras t'employer à satisfaire les hommes que Jacques et moi te présenteront.
- Bien madame.
- Ce soir, nous t'habillerons en fille et nous te présenterons celui qui sera ton amant pour la durée des vacances.
- Bien madame.
Sur ce, nous rentrâmes à l'hôtel où Jacques et moi fîmes l'amour devant Eliane attachée à genoux sur la table de la chambre pour qu'il ne loupe rien du spectacle.
Une heure après, nous décidâmes de faire signer à Eliane le nouveau contrat d'esclavage que Jacques et moi avions concocté. Par ce contrat, j'offrais en réalité mon mari à Jacques.
Quelle volupté que d'offrir comme esclave *** mari à *** amant. Chez un couple normal un mari n'accepte jamais l'amant de sa femme, chez moi mon mari non seulement devait accepter mon amant, mais il devait en plus lui appartenir et lui obéir.
Le contrat comprenait dix clauses susceptibles d'évoluer selon nos besoins à Jacques et à moi.

1 Je ne m'adresserai plus à Jacques et à Carole que par madame et monsieur ou maître et maîtresse.
2 Il ne me sera pas permis de leur adresser la parole en premier.
3 Pour eux, je deviens Eliane petite salope n'ayant plus aucun droit sur ma femme mais que des devoirs.
4 Dans le privé ou dans les soirées que mes maîtres organiseront, je devrai avoir la tenue et les partenaires que mes maîtres me désigneront.
5 Il me sera interdit de jouir sauf permission exceptionnelle.
6 Le moindre écart de conduite sera sévèrement réprimé par mon maître Jacques ou par tout autre per***ne selon sa volonté.
7 Mon maître aura préséance sur ma maîtresse. En cas de désaccord entre eux sur la conduite à avoir envers ma per***ne, ce sera toujours lui qui décidera en fin de compte de mon sort.
8 Quand madame pour une rai*** ou une autre ne sera pas là, je devrais la remplacer auprès de monsieur, me maquiller comme elle, mettre une perruque avec sa coupe de cheveux (je suis blonde aux cheveux longs), ses habits, et lui faire l'amour comme madame aurait pu lui faire. Il est toutefois stipulé que ce ne sera que sexuel et qu'en aucun cas je ne pourrais rivaliser avec madame, restant même en ces moments l'esclave de monsieur.
9 Je devrai accepter que madame ait d'autres partenaires que monsieur, hommes ou femmes, partenaires que monsieur aura désignés.
10 D'autres actions pourront m'être imposées selon les caprices de monsieur ou de madame, caprices que je devrais accepter de la même façon que le reste sous peine d'être exclu.
- Tu sais, dis-je à mon mari, que tu peux refuser tout cela, rien ne t'oblige à dire oui. Après tout, tout peux redevenir comme avant, sache que je ne t'en voudrais pas. Sache aussi que par contre si tu t'arrêtes ici, plus jamais je ne te proposerais quelque chose de ce genre, nous reviendrons à la vie sexuelle morne et sans piment que nous avions avant. Je veux te dire que j'apprécie énormément ce que nous fai***s en ce moment, que je n'ai jamais été aussi excitée de ma vie et que j'ai follement envie de continuer. Te voir te faire prendre par ces deux hommes a été le moment le plus hard sexuellement de ma vie, et j'ai bien envie d'en vivre de nombreux autres. J'ai l'impression que tu apprécies aussi et je peux te garantir que Jacques est comme moi. Maintenant c'est à toi de décider. Si tu acceptes, c'est la dernière fois que nous te laisserons décider, après la volonté de Jacques sera la tienne. Réfléchis bien.
Après un long moment de réflexion où mon mari devait peser les différents aspects de la situation, il nous répondit :
- Evidemment ce que tu me demandes est énorme, d'un autre côté avec ce que j'ai accepté cet après-midi, j'ai dû faire le plus dur, de plus j'ai toujours eu envie d'être ton esclave et je comprends que tous les maris n'ont pas ma chance de voir réagir leur femme de cette façon. Ce que je n'avais pas prévu c'est qu'il y ait un homme dans l'affaire, d'autant que je n'ai jamais aimé les hommes mais ça ne m'en humilie que plus, et je crois qu'au vu de ces derniers jours, j'ai la confirmation d'aimer ça. Oui je crois être né pour être ton esclave, oui j'ai aimé être humilié. Pour moi aussi, ce moment a été le plus intense de ma vie sexuelle, je crois que plus tu m'ordonneras de faire des choses qui me dégoûtent, plus je vais aimer en fait. D'être principalement l'esclave de Jacques au lieu d'être uniquement le tien, pimente finalement un peu plus le contrat.
Alors OUI j'accepte. J'Accepte d'être l'esclave de Jacques, j'accepte de lui appartenir totalement, de me plier à ses quatre volontés, d'être soumis et humilié par lui, j'accepte tout de ce contrat et tout ce que Jacques, mon maître absolu désormais, exigera de moi.
- J'avoue que cet après-midi je ne me suis pas donné à fond, je l'ai bien vu dans tes yeux, notamment quand je rechignais à embrasser Abdul. Dorénavant j'offrirais tout mon corps et toute mon âme à tous les Abdul que vous me présenterez.
- Bon puisqu'il en ait ainsi, les dés ***t jetés. Et réemployant le ton sévère de la maîtresse que j'avais cessé d'être quelques instants, je lui intimais l'ordre d'aller s'habiller. Ce soir nous allions en boite de nuit où j'allais lui présenter l'homme qui allait être *** amant la durée de notre séjour.
- Fais-toi belle, lui susurrais-je pleine d'ironie.
chrislebo

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#7,565
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Sur *** lit étaient étendus une robe longue rouge vif, largement fendue sur le devant, des escarpins, une perruque, un collier, des bracelets et boucles d'oreille et un nécessaire de maquillage.
- Ne t'inquiètes pas, la boite où nous allons est habituée à recevoir des créatures comme toi, il faut que tu sois belle pour Abdul.
En effet nous avions décidé d'offrir mon mari à Abdul. Ce dernier avait réellement pris plaisir à se farcir mon mari contrairement au noir qui n'avait fait cela que pour l'argent. De plus, Abdul avait ce penchant naturel pour la domination que nous recherchions avec Jacques pour mon mari.
- C'est pour cela que nous avons pris une chambre à deux lits, nous voulons Jacques et moi profiter du spectacle de ma petite Eliane faisant l'amour avec Abdul.
- Il faut bien aussi que tu comprennes que tu devras y mettre toute ta passion et ne reculer devant rien.
- Je vous promets maîtresse que je ferai l'amour avec Abdul comme si j'étais sa vraie femme.
- Bien ? Tu auras intérêt à le prouver, sinon Jaques se chargera de te corriger.
- Oui maîtresse.
Une fois habillée, notre Eliane ressemblait à une véritable petite femme.
- Ca va, je crois que tu vas bien plaire à Abdul.
Jacques pris la parole :
- En attendant, comme nous sommes en avance, tu vas me lécher les pieds, ils ont besoin d'être relaxés après cette dure journée.
Sagement et sans rechigner mon mari se mit à genoux et pendant que je me préparais moi-même, il lécha avec application les pieds de *** maître. Celui-ci excité par la situation du mari de sa maîtresse lui léchant les pieds à genoux, sortit sa bite de *** pantalon et demanda une pipe à mon mari. Pendant que je finissais de me coiffer, Eliane pompa goulûment le membre de Jacques jusqu'à ce que celui-ci explose au fond de sa gorge. Eliane avala tout comme Jacques lui demandait.
- Et ! Laissez m'en un peu !
- Ne t'en fais pas Carole, répondit Jacques, je suis tellement excité que je pourrais te faire l'amour toute la nuit.
- J'espère bien mon chéri, et je l'embrassai tendrement sur les lèvres.
Il est temps d'y aller maintenant !
Nous prîmes un taxi qui nous emmena directement au Marrakech. La boite ressemblait à toutes les boites européennes, mis à part que la moitie de la clientèle était arabe. La deuxième moitie était composée de couples à la recherche d'un partenaire local et de créatures comme notre Eliane. Aucune femme du cru autres que les serveuses.
Nous fûmes vite rejoints à la table que nous avions réservé par Abdul. Il était toujours vêtu de *** burnous noir et ne semblait pas avoir autre chose dessous. Il s'assit d'emblée à côté d'Eliane qu'il s'appropria en lui passant le bras autour des épaules. Ayant compris la leçon et désirant montrer *** dévouement, Eliane prit de lui même l'initiative d'embrasser Abdul. Certes ce ne fut qu'un chaste baiser délicatement posé sur les lèvres, mais par cela il nous montrait *** acceptation.
Apres avoir bu quelques verres, Abdul prit Eliane par la main et nous allâmes danser tous les quatre sur la piste. Cette dernière était déjà bien remplie, et nous pûmes apercevoir les couples qui commençaient à se former. Abdul se frottait discrètement à Eliane, ils s'échangeaient de courts baisers et de petites caresses. L'attitude douce d'Abdul contrastait avec la ********** dont il avait fait preuve quelques heures auparavant. Je lui expliquais qu'il pouvait bien avoir l'attitude qu'il désirait, que cela ne nous choquait pas, bien au contraire. Il me répondit de ne pas m'en faire, plus tard les fesses d'Eliane allaient chauffer. Rassurée, je les laissais se bécoter doucement.
Vint le tour des slows, et Abdul se colla complètement contre mon petit mari. Celui-ci se lova contre lui et posa sa tête sur *** épaule. Puis Abdul embrassa Eliane à pleine bouche. Celle-ci se laissa faire. Je pouvais voir leurs langues se nouer, leurs bouches s'ouvrir, leurs salives se mélanger. Eliane était parfaitement consentante. Elle avait presque l'air d'y prendre goût. Ou alors était-ce pour ne pas me décevoir. Il faudrait que je vérifie cela par la suite.
Apres plusieurs séries de slow entrecoupées de pause bois*** à notre table, nous décidâmes de rentrer à l'hôtel.
Nous étions tous les trois légèrement pompettes, seul Abdul ne buvant pas d'alcool étant resté sobre.
Arrivé dans la chambre, Abdul se précipita sur Eliane et l'embrassa voracement.
- Alors, il parait que tu ne voulais pas m'embrasser cet après-midi ?
chrislebo

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#7,566
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- Excusez-moi Abdul, j'espère que vous me pardonnez.
- Il en faudra beaucoup pour que je puisse te pardonner lui répondit sèchement Abdul.
Sur ce, il recommença à embrasser mon mari. Ce dernier lui rendait ses baiser avec une fougue et une ardeur qui augmentaient avec le temps. Ils durent bien s'embrasser de la sorte plus de vingt minutes. Leurs caresses les portèrent naturellement sur le lit où Abdul tout en continuant de rouler de pelles à Eliane lui retroussa la robe atteignant la culotte de soie rouge qu'il avait mise pour l'occasion. Apparemment le toucher de la soie plut à Abdul. Ne restant pas à la traîne, Eliane avait entrepris de lui enlever le burnous, nous confirmant le fait qu'Abdul n'avait rien dessous.
Une énorme queue turgescente, encore plus grosse que cet après-midi, certainement suite à l'excitation des danses et caresses de la boite, apparut. Une queue comme seuls les noirs ou les nord-africains ont, un énorme cylindre de chair aux veines apparentes, au gland violacé et circoncis. Deux grosses couilles bien pleines complétaient le tableau.
Abdul se dressa sur les genoux et Eliane lui administra une fellation pleine d'amour. Elle aspirait la tige, la léchait, la caressait, lui embrassait le gland, salivait dessus et ravalait tout après, faisant courir à sa langue un ballet expert dont je ne l'aurais jamais crue capable. Elle se déchaînait, mettant tout *** cœur, toute *** âme à l'ouvrage, voulant compenser la faute de cet après-midi. Le corps d'Abdul se contracta et ne pouvant plus se retenir devant une telle pipe il déchargea tout *** jus dans la bouche de mon mari. Ce dernier vida tout le sperme sur la queue de *** amant marocain. J'allais le lui reprocher, quand Eliane tout en regardant Jacques, et non plus moi, droit dans les yeux ré engloba la queue luisante et aspira tout le sperme. Nous le vîmes déglutir et il ne rouvrit la bouche qu'une fois la queue marron bien nettoyée.
Il fut tout fier quand Jacques le félicita :
- Je suis content de toi, Eliane, tu as l'air d'avoir compris ce que devait être ton attitude afin de me faire plaisir ainsi qu'à Carole.
De voir mon mari tout heureux de satisfaire ainsi mon amant en avalant le sperme d'un troisième homme me fit dire :
- Et maintenant, il s'agira de t'occuper de ta petite femme adorée Jacques, mon chéri.
- Tout de suite mon amour.
Et Jacques me baisa longuement sous les yeux de mon mari et de *** amant musulman.
Devant ce spectacle je les vis bander tous les deux, et Abdul tout en ré embrassant mon mari le coucha sur le dos et s'allongea dessus. Eliane tout naturellement écarta les cuisses, et alors qu'Abdul la pénétrait d'un coup sec, elle referma fermement ses jambes derrière *** dos et aspira sa langue avec avidité.
Je l'entendis même lui dire :
- Baise-moi mon amour.
Lui était-ce destiné à lui Abdul, ou alors était-ce à moi, je n'en saurais pas davantage, jouissant à mon tour sous les coups de boutoir d'un Jacques déchaîné comme jamais.
Le lendemain matin, je me dirigeais vers mon mari pour ma petite toilette intime. Abdul dormait à côté de lui. Je l'enfourchais et collait ma petite chatte ruisselante de sperme sur sa bouche. Il me la nettoya jusqu'à la dernière goutte. Je remarquai alors qu'Abdul s'était réveillé et ne perdait pas une miette du spectacle de ma chatte en gros plan.
- Tiens me dis-je, ainsi il a l'air d'aimer aussi les femmes. Il faudra penser à lui demander. En effet, pourquoi ne pas goûter moi aussi à cette si belle queue.

chrislebo

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#7,567
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Pour corser un peu plus cette petite semaine, nous décidâmes de ramener mon mari dans la boutique du premier jour. Abdul fut chargé de recruter quatre de ses amis. Cette fois, nous désirions un épisode plus violent que la dernière fois. Nous expliquâmes à Abdul qu'étant venus au Maroc pour dresser mon mari, les choses ne devaient pas se passer non plus pour lui comme une lune de miel. Abdul avait parfaitement compris, et avec un ricanement prometteur il nous assura que nous ne serions pas déçus.
Après en avoir informé Eliane, celle-ci nous répondit que puisque telle était notre volonté, elle obéirait. Il s'inquiéta un peu quand je lui dis que cette fois ce serait plus violent, mais après avoir interrogé Jacques du regard, il nous assura qu'il serait à la hauteur.
Depuis le début de la semaine, nous n'habillions plus Eliane que d'un burnous comme celui d'Abdul, ce qui nous permettait à la fois de faire plus couleur locale, mais surtout ne portant aucun dessous, c'était plus facile de faire prendre mon mari par Abdul à tout moment et presque dans n'importe quel lieu. Ainsi vêtue, le soleil lui brunissant *** teint et les cheveux naturellement ondulés, elle pouvait passer pour une beauté locale. J'en fis la remarque à Jacques qui me répondit
- Puisqu'il en est ainsi nous n'avons qu'à la circoncire, elle fera encore plus locale.
Charmée par cette idée, les queues circoncises que nous voyions depuis deux jours m'ayant beaucoup plu, je lui répondis qu'après tout pourquoi pas, nous n'aurions qu'à profiter de la journée du lendemain.
C'est donc uniquement vêtu de *** burnous et de sandales de toiles que nous ramenâmes Eliane au lieu de rendez-vous. Au fur et à mesure que nous pénétrions dans le souk, le visage de mon mari palissait. Et ce ne ***t pas les moqueries de Jacques qui étaient faites pour le rassurer.
Eliane fut immédiatement introduite dans l'arrière-salle.
Abdul et ses quatre amis s'y trouvaient déjà. Il y avait le noir de la dernière fois avec un autre noir et deux arabes plus âgés qu'Abdul. La cinquantaine environ et tous les deux moustachus, ils étaient aussi costauds l'un que l'autre. Toutefois, l'un avec *** crâne entièrement chauve paraissait le plus cruel des trois.
- Chouf la petite salope que je vous ai amené. Elle est là pour nous, et a ordre de nous obéir en tout. Sa femme et *** amant ont décidé de la dresser pour qu'elle ne se rebelle plus, et qu'elle les serve sans rechigner.
- Allez-y, elle est à vous pour l'après-midi. Faites en ce que vous voulez, leur dis-je.
- C'est sur, madame, on peut en faire ce qu'on veut ?
- Absolument répondit Jacques, c'est une petite pute que nous vous offrons.
Les cinq burnous furent vite enlevés et les cinq hommes entourèrent promptement Eliane. Le chauve le pris violemment par les cheveux et le mit à genoux, il lui ouvrit la bouche en l'attrapant par la mâchoire et y enfonça sa bite dans la gorge.
- Suce putain ! Suce petite putain française !
Pendant que mon malheureux mari se faisait violer la bouche par Rachid, les quatre autre le tripotaient, le pinçaient, lui tiraient les tétons lui arrachant des larmes aux yeux. Quelques doigts s'aventurèrent bientôt vers *** cul et le pénétrèrent sans précaution.
Eliane s'évertuait à sucer consciencieusement la bite de Rachid, mais ce dernier ne l'en remerciait pas pour autant, tirant toujours plus violemment sur ses cheveux, lui enfonçant sans ménagement *** gros membre dans la bouche. Eliane en dégoulinait de salive le long de la hampe de chair, il aspirait cette bite, l'avalait profondément allant de plus en plus vite, espérant sans doute finir *** calvaire plus rapidement. Effectivement, Rachid ne fut pas long à s'arc-bouter, puis prenant la tête d'Eliane à deux mains, il lui enfonça sa bite tout au fond de la gorge et nous pûmes le voir tressaillir de tout *** corps. Sa bite complètement enfoncée se vidait directement dans le fond de la gorge d'Eliane ; il devait avoir une incroyable quantité de foutre dans les couilles, car il se vida ainsi une longue minute. Repu, il sortit sa bite et Abdul prit immédiatement la place laissée vacante.
Ils placèrent Eliane le buste sur une table, le cul bien offert et la bite D'Abdul dans la bouche. Le premier noir s'approcha alors par derrière et embrocha d'un grand coup de reins la croupe qu'il avait déjà connue deux jours auparavant.
Nous jouissions d'un spectacle surréaliste, le petit cul bien blanc et bien rasé d'Eliane et la grosse bite noire s'y enfonçant et ressortant à intervalles réguliers étaient saisissant de contraste.
Bientôt le deuxième noir pris la place de *** ami dans le cul accueillant de mon mari, et Abdul ayant déchargé dans sa bouche laissa la place libre au premier qui goûta ainsi cette bouche devenue experte en l'espace de trois jours.
Les queues se succédaient dans les deux trous d'Eliane, qui le prenait par le cul, qui par la bouche, on lui frappait violemment les fesses, ses seins étaient rouges des multiples ******** appliquées, mais Eliane, brave, tenait le coup, elle y prenait manifestement plaisir, sa queue était bandée depuis le début et restait raide.
- Alors ma petite pute, ça te fait quel effet de te faire traiter ainsi sous les yeux de ta femme ?
- Je suis là pour vous faire plaisir arriva-t'il avec peine à articuler, tant sa bouche était rarement libre.
- Je ne te demande pas ça salope, je te demande quel effet ça te fait !
- Je crois que j'aime ça maîtresse.
Rachid s'installa sur la table, il était allongé sur le dos, il replia ses jambes sur le ventre, rehaussant ses fesses, et ordonna alors à mon mari
- Maintenant tu vas bien me lécher le cul petite pute !
- Oui, lèche lui le cul comme une pute que tu es maintenant ajouta Jacques.
Et la langue d'Eliane s'enfonça alors dans ce trou du cul, en lécha les poils noirs, les plis de l'anus rentrant dans les parois anales comme pour les laver, sa langue entrait et ressortait comme une petite bite.
- Comme ça a l'air de lui plaire à cette salope, vous vous ferez tous lécher le trou du cul leur dis-je.
Toute l'après-midi se passa ainsi, le cul de ma petite pute était écartelé, sa bouche forcée, les baffes et pincements multiples pleuvaient, mais aucune plainte n'émanait d'elle. Je crois bien qu'elle était définitivement domptée et que *** statut d'esclave et de pute était dorénavant totalement acquis.
C'est une Eliane matée et épuisée que nous ramenâmes à l'hôtel. Epuisée, mais satisfaite.
Notre semaine au Maroc se terminait. Nous allions rentrer chez nous, mais que de chemin parcouru en une semaine. Mon mari avait accepté mon amant et avait même accepté de devenir *** esclave. Maintenant appelé Eliane, lui qui n'avait jamais connu d'hommes avait d'ors et déjà sucé cinq bites, s'était fait enculer par ces cinq bites, avait léché le trou du cul de six hommes et goûté leur sperme à tous. Il revenait même circoncis.
chrislebo

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#7,568
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La naissance d'une esclave




Le double au tennis
Cela faisait un petit moment que je désirais voir ma chérie jouer au tennis. Un jour de travail sans intérêt je demandais une autorisation d'absence à mon chef. Et je quittai le travail pour aller voir ma chérie jouer en double mixte.
Je profitais de ma moto pour arriver par un petit chemin qui dominait le cours. La partie semblait bien engagée. Il y avait peu d'échanges et les services se succédaient assez vite. Mais bizarrement seuls les hommes servaient. Etonné je décidais de m'approcher discrètement au travers des petits bois qui bordaient le cours.
La scène semblait ************ partenaire se préparer à servir pendant que ma femme dans la position de la vraie tennis woman, penchée en avant, bougeant d'un pied sur l'autre, les fesses en arrière lui présentait ses fesses quasiment nues la jupette de tennis bien remontée sur sa taille...
J'étais ahurie de ce spectacle. Ma femme s'offrant ainsi à un inconnu ! Idiot que j'étais un inconnu pour moi, pas pour elle.
Au changement de service, les joueurs ont tourné et j'ai vu le même manège avec l'autre paire du double. La femme avait de belles fesses et savait les remuer, à chaque point gagnant le serveur lui caressait ostensiblement l'entrejambe.
Je décidais de m'approcher encore plus quand je vis un jeune homme caché qui profitait du spectacle. Je le rejoignais en silence et quand il me vit, il me fit signe de me cacher à coté de lui et de faire silence.
J'avais envie de lui arracher *** appareil photo, mais le spectacle sur le court devenait vraiment incroyable.
Je voyais ma femme embrasser *** partenaire pendant que celui-ci lui pressait ses fesses. La partie semblait terminée, je voulais me lever pour hurler quand le jeune homme me dit :
"Attendez le plus beau est à venir, ils vont baiser dans la clairière à côté !"
"Suivez moi, c'est un spectacle rare, je fais toujours une bonne cinquantaine de photos"
Pourquoi je le suivais je ne sais pas, je voulais voir quoi ? Ma femme me faire cocu, baisait avec un inconnu ?
Apres quelques instants, je les voyais tous les quatre se caressaient.
Ma femme retirait un string que je ne lui connaissais pas, elle écartait ses jambes, l'autre femme se mit à lui lécher *** sexe, pendant que ma femme, ma femme!, s'occupait de deux beaux sexes bien tendus.
Sa bouche allait de l'un à l'autre, je voyais bien ses lèvres suçaient ces sexes avidement.
Mon sexe se mettait à durcir à ce spectacle. J'étais un voyeur qui regarder sa femme sucer des hommes, et cela me faisait bander terriblement.
Un homme s'allongeait par terre et je voyais ma femme s'accroupir sur le sexe, sa chatte avalait rapidement le dard et elle se mettait à bouger.
L'autre homme lui mettait *** sexe dans la bouche et elle, elle!, caressait la chatte de l'autre femme.
Je n'en pouvais plus tellement je bandais je sortais mon sexe pour me masturber, tant pis pour le jeune homme.
Celui ci me regardait faire, il s'approchait de moi et se mit à me caresser les couilles puis il écarta mes mains de mon sexe et doucement le glissa dans sa bouche.
Je ne savais plus où j'étais, ma femme se tapait deux mecs et moi sucer par un homme!!!
Sa bouche était douce sur mon gland, et le spectacle dans la clairière évoluait.
Ma femme s'était allongée sur un partenaire et visiblement l'autre allait la sodomiser.
Je pensais que je rêvais ma femme en double pénétration !!!
Ah je comprenais mieux *** intérêt pour les doubles en tennis, je devrais dire double en pénis...
Je voyais le membre se glissait entre les fesses et puis prendre un lent va et vient.
Ma femme poussait de petits cris et puis se mit à lécher le sexe grand ouvert que lui présentait sa partenaire debout devant elle les jambes bien écartées.
Ni tenant plus je jouissais dans la bouche du jeune homme, qui appréciait visiblement la chose.
J'étais dans un brouillard complet, je venais de voir ma femme se comportait comme une professionnelle du sexe, moi-même sucé par un homme...Je perdais mes repères.
Dans ce brouillard, je voyais le jeune homme qui lui aussi avait sorti *** sexe et se masturber à grande allure. Il ne quittait pas le spectacle offert par les 4 protagonistes du tennis. Il finissait par éjaculer une quantité de sperme qui m'étonnait fortement.
J'avoue que je ne savais plus quoi faire.
Au bout d'un instant le jeune homme me donnait une carte avec *** numéro de téléphone et une clé USB.
"Dans la clé il y a des photos et des films de ces 4 per***nes, vous les regardez et puis on se revoit pour que je puisse récupérer la clé ! Et peut-être faire plus ample connaissance ?"
Je suis parti vers ma moto sans un regard vers la clairière, je ne voulais plus voir ma femme, oh non!
J'ai roulé la tête un peu vide, et puis lentement, de manière insidieuse j'ai trouvé comment profiter du spectacle offert. J'ai vu le profit possible de cette aventure, il allait falloir jouer la partie finement .J'aurais vite la réponse, mon idée avait pris forme, si cela passait j'allais pouvoir réaliser tous mes fantasmes sexuels.
chrislebo

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#7,569
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le retour de Madame
Je garais ma moto dans le garage et en attendant *** retour je branchais la clé USB sur mon téléviseur. Quel spectacle ! Le jeune voyeur avait une sacré collection de photos et films où l'on pouvait voir ma femme s'adonner à des pratiques osées. Mes sentiments étaient partagés entre colère et désir de voir ces images qui m'hypnotisaient . Quand j'ai entendu sa voiture, je suis allé l'attendre derrière la porte d'entrée. Je voulais la mettre sous pression dès *** arrivée. Quand la porte s'est ouverte, elle fut surprise de ma présence et aussitôt annonça *** désir d'aller se doucher. Elle ne me demandait même pas la rai*** de ma présence à la mai***. Je lui dis que la douche attendrait car à la télé passait quelque chose d'intéressant et que je voulais qu'elle regarde.
Quand elle vit les photos défiler, elle tomba à genou et resta livide.
« Tu vois, c'est passionnant de voir sa femme en vraie salope, tu vas regarder et m'expliquer. »
Elle restait muette, la bouche légèrement ouverte avec une respiration saccadée.
Je m'asseyais dans le canapé et je regardais ma femme et les photos qui défilaient. On la voyait sucer *** partenaire, le lécher, la bouche pleine de sperme, se faire enfiler dans toutes les positions. Et là, une érection me prit, j'avais le sexe tendu, il me faisait mal. Alors j'ai baissé mon pantalon et mon slip et je lui ai dit :
« Suce moi pendant que je regarde ces images »
Tout allait dépendre de sa réaction, si elle obéissait je savais qu'elle serait alors mon esclave, sinon il ne resterait qu'à nous séparer.
Je voyais *** visage se tournait vers moi, des larmes dans les yeux, elle s'approchait de moi et au bout de quelques instants elle approchait sa bouche de mon sexe. Avant de commencer, elle dit « Salop ! »
Sa bouche me suçait le gland et je lui énonçais mes règles.
« A partir de maintenant tu feras tout ce que je veux, sans jamais protester, tu pourras continuer à faire tes doubles, mais en dehors de ces parties c'est moi qui prendrait les décisions pour le sexe »
Elle s'arrêta de me sucer, me regarda longuement. Elle devait réfléchir, pesait le pour ou le contre...
Elle reprit sa fellation...
J'avais gagné !
Maintenant qu'elle me suçait, et me sachant le maître, j'avais envie de plus de choses. Je lui demandais de tourner *** cul vers moi. Je relevais sa courte jupette de tennis et je voyais *** string. Je passais mon doigt sur ce fin tissu et je le trouvais humide. Je glissai ma main vers sa chatte et je la trouvais trempée. Je la ressortais et la portais à mes narines. Cela sentait le sperme.
« Combien de fois, ils t'ont baisé tes partenaires ? Chienne que tu es »
« 4 fois »
« Et ta chatte est pleine de foutre, ton cul aussi »
« Oui, je ne me suis pas lavée »
« Cela m'excite, ma salope de femme. Tu vas profiter maintenant de régimes spéciaux »
Je glissais 2 doigts dans *** sexe, je lui massais *** clitoris. Quand je retirais ma main, mes doigts étaient poisseux.
« Tu es excitée ou c'est le sperme des autres ? »
« Je suis excitée, je ne comprends pas ce qui m'arrive ! Tu aurais du me chasser et là tu me caresses et je te suces »
« Tu comprendras vite ma chérie, tu es mon esclave maintenant . Tu feras tout ce que je veux »
« J'ai peur...de toi »
« Non, ta chatte et ton cul doivent avoir peur, mais ce ne sera que du sexe. Maintenant tais toi et suce moi à fond. Ecartes bien tes jambes que je vois ta chatte grande ouverte »
Pendant qu'elle me suçait, délicieusement, je lui annonçais la première punition. Cela a eu pour effet de l'exciter d'avantage. Mais je refusais de lui donner du plaisir. Je lui ordonnais de continuer à me sucer. J'ai joui dans sa bouche à grands jets de sperme, elle m'a regardé en laissant couler du sperme le long de *** visage, puis elle a sorti sa langue avec une grosse goutte de sperme au bout. Elle s'est approchée de moi et m'a embrassé. J'ai goûté à mon sperme et j'imaginais trouver aussi le goût de ses partenaires.
« Mon chéri, je serais ton esclave, je serais tienne pour tout ce que tu veux ».
Je l'envoyais à la douche et préparais la première punition.
chrislebo

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#7,570
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Je pris rendez-vous avec le jeune photographe voyeur, que nous nommerons Luc. Je lui annonçais la possibilité de voir de plus prés encore une des participantes du jeu de tennis. Il était aux anges et avait hâte de voir cela. Je lui avais donné rendez chez lui. C'était pour cet après midi.
J'ai donné mes premiers ordres à ma femme. Quel plaisir de la voir s'exécuter ! Je voulais qu'elle soit épilée et je voulais surtout assister à cette opération. Je la regardais nue, appliquer des bandes sur ses jambes et ensuite les tirer énergiquement. Chaque bande lui arrachait un petit cri. J'ai alors pris la direction des opérations. Je la couchais sur le lit et lui attacher les mains et les pieds aux pieds du lit. Elle n'était pas rassurée !!!
Je voyais *** pubis avec ces poils fins et dorés. J'appliquais la première bande juste au dessus de sa chatte. Je lissais bien pour faire adhérer le maximum de poils. Je voyais ma femme qui commençait à trembler et s'agiter.
« Tu ne vas pas faire cela ? » me dit-elle avec angoisse.
Je ne répondais pas et tirais violemment la bande. Le cri fut soudain et court. Je la regardais, elle haletait, la bouche entrouverte.
Là où avait disparue la bande, la peau était lisse avec une granularité due aux bulbes arrachées. La deuxième bande je la plaçais le long d'une lèvre de sa chatte. Elle tremblait en me priant de ne pas le faire, qu'elle le ferait elle-même, qu'elle savait le faire mieux que moi. Je mettais court à *** bavardage en tirant un coup sec. Là elle ne cria pas mais *** corps se cambrait, elle montait *** bassin vers le haut. *** sexe était à demi épilé et cela commençait à m'exciter fortement. Je bandais et avais une envie folle de me masturber. Je mis alors un doigt dans sa chatte et la trouvait bien humide.
« Mais cela t'excite ces trucs ? Tu fais aussi dans le sado maso ? »
« Je ne sais pas, non » bredouilla-t-elle.
Je reprenais mon rôle de bourreau et terminais l'épilation de *** sexe avec rapidité sans accorder la moindre importance à ses cris. Ensuite je la détachais et la retournais sur le ventre.
« Pourquoi fais-tu cela ? » demandait-elle.
« Je vais t'épiler entre les fesses, même autour de ton petit trou, je ne veux aucun poil »
Mon sexe me faisait mal tellement il était tendu en appliquant la bande au creux de sa raie en écartant bien ses fesses.
« Je suis excitée comme une folle, je me sens comme une chienne quand tu me traites comme cela ! »
Je lui appliquais une violente claque sur les fesses en lui demandant de se taire et je tirais à nouveau violement la bande.
Je contemplais mon travail. On aurait dit un nouveau né. *** sexe était lisse, *** anus aussi. Je voyais sa chatte luisante et entrouverte, elle avait visiblement envie d'être prise.
« Maintenant tu vas t'habiller selon mes désirs »
« Fais moi jouir, s'il te plait, j'ai le sexe en feu, je t'en prie, j'ai envie de jouir »
« Tu jouiras quand je le voudrais. N'oublies pas que je suis ton maître maintenant. On verra cela tout à l'heure, tu n'ais pas encore prête. Maintenant il faut t'habiller ».
Je choisis un soutien-gorge blanc qui mettait bien en valeur sa poitrine et un petit string de même couleur. Elle s'habillait devant moi. Excitant instant. Je lui tendais une jupe de tennis très courte et un t-shirt bien serré. Satisfait de moi nous partions pour le rendez-vous.
Dans la voiture, je voyais presque *** slip tellement la jupe était courte. Les quelques camionneurs que je doublais dans les embouteillages avaient l'air d'apprécier le spectacle.
Cela me donnait une idée pour une autre punition, mais pour l'instant : chez Luc.
Je la faisais monter devant moi en lui répétant qu'elle devait obéir à mes ordres ou ceux de Luc. Si jamais elle émettait la moindre réticence devant un ordre, elle serait sévèrement punie.
Luc nous accueillait avec une étincelle dans les yeux en voyant ma femme ainsi vêtue.
Elle remarquait l'appareil photo et une caméra sur trépied. Elle me regardait de manière interrogative, mais je la poussais dans le studio d'étudiant.
« Luc, que veux-tu que Madame réalise devant toi ? »
Luc était surpris qu'une femme puisse lui obéir et il ne s'attendait pas à une telle situation.
« Je vais commencer si tu le veux Luc et après tu auras peut-être quelques idées ».
Je demandais alors à ma femme de se tourner et de se pencher légèrement en avant en faisant bien ressortir ses fesses. La jupette remontait très haut laissant apparaître ses fesses et *** petit string. Luc photographiait le spectacle. Je demandais à ma femme d'écarter ses jambes et à Luc de s'allonger par terre entre ses jambes. On voyait le petit string blanc et Luc ne lâchait plus le déclencheur de l'appareil.
« Tu vas tirer sur ton string pour qu'il entre dans ta fente en séparant bien les 2 lèvres de ta chatte ».
Elle obéissait et je voyais une belle bosse se développait dans le pantalon de Luc.
« Maintenant tu vas doucement le faire glisser le long de tes jambes pour que Luc puisse bien voir ta chatte épilée »
J'étais étonné de la docilité de ma femme et de sa science, inconnue pour moi, de jouer ce numéro d'effeuilleuse. Luc prit quelques photos et je voyais sa main caresser *** sexe au travers du tissu de *** pantalon.
« Maintenant, chérie, tu vas te mettre à 4 pattes, la croupe bien en l'air que l'on voit bien ton derrière ».
Luc commençait à sérieusement transpirer et je lui demandais de se déshabiller. Ma femme restait là, la croupe tendue vers l'arrière que sa mini jupette n'arrivait pas à masquer.
« Maintenant, chérie tu vas bien écarter tes fesses que l'on voit ton petit trou bien épilé, lui aussi ».
Luc regardait, fasciné et le sexe tendu, ces fesses s'écarter rien que pour lui. Il fit quelques photos bien rapprochées du petit trou de ma femme. *** sexe commençait à laisser perler quelques gouttes de liquide séminal. Je demandais alors à ma femme de le prendre dans sa bouche. Luc se laissait faire, l'appareil photo pendait au bout de *** bras pendant que ma femme délicatement glissait *** sexe dans sa bouche. Elle me regardait dans les yeux, le sexe de Luc immobile dans sa bouche. Je lui ordonnais de le sucer doucement. Elle m'obéissait mais ne me quittait pas des yeux. Je dois dire que cela m'excitais terriblement de voir ma femme suçait un jeunot de 20 ans. Ses lèvres montaient le long du membre et arrivées sur le gland, elle sortait sa langue pour lécher le méat avec douceur et application. J'attrapais l'appareil et prenait quelques belles photos de cette scène de cul. Luc gémissait à chaque coup de langue et il semblait près de jouir.
« Chérie, il va bientôt jouir et je ne veux pas voir une goutte perdue de *** sperme. Je veux que tu gardes bien tout dans bouche quand il jouira. »
chrislebo

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#7,571
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*** regard exprimait un accord qui me faisait moi aussi mouillé mon slip.
Luc jouissait dans un halètement en tenant à deux mains la tête de ma femme qui recueillait toute la giclée au fond de sa bouche. Elle faisait encore un ou aller retour sur le membre pour bien recueillir tout le sperme du jeune homme. Luc se retirait et s'agenouillait, visiblement épuisé par cette sucette.
« Ouvre ta bouche et montre nous ce que Luc a lâché dans ta bouche ! »
Elle me regardait droit dans les yeux et ouvrait la bouche. Un filet de sperme coulait le long de ses lèvres, pendant que sur sa langue une boule d'une substance blanche perlait triomphalement.
« Luc, embrasse Chérie et partagez-vous ce sperme »
Luc me regardait interloqué. « Je ne répèterais pas cet ordre ! »
Ma femme s'approchait de Luc, lui prenait tendrement *** menton et lui roulait un vrai patin. On voyait sa langue fourrager la bouche de Luc. Du sperme coulait entre leurs lèvres et visiblement ils prenaient du plaisir à ce petit jeu. J'avais envie d'y participer mais je décidais de rester dans le rôle du bourreau. Je glissais ma main entre les cuisses de ma femme et y trouvais une chatte brulante de désir. Je lui demandais de s'allonger sur le dos et de se caresser doucement. Luc restait agenouillé, un peu de *** sperme sur ses lèvres. Ma femme s'allongeait, les genoux bien relevés, et on voyait *** doigt caresser *** clitoris.
« Luc, mets un doigt dans la chatte de Chérie, et fais un léger mouvement de va et vient »
Luc se penchait, et regardait le sexe épilé de ma femme avec une admiration réelle. Timidement il introduisait un doigt dans le sexe et visiblement ne savait pas trop s'y prendre.
« Tu n'as jamais caressé une femme, Luc ? »
« Non, c'est la première fois. Je n'avais jamais rencontré de femme. »
« Chérie, tu vas dépuceler un jeune homme, tu dois être contente ! » Je voyais ma femme s'astiquait le bouton et je savais qu'elle ne serait pas longue à jouir.
« Luc, tu vas lécher Chérie et enfonce bien ta langue dans sa chatte. Tu vas sentir quand elle va jouir. Elle fera couler du miel dans ta bouche. »
Luc appliquait ses lèvres contre le sexe de ma femme. On voyait sa langue disputer les lieux au doigt de ma femme. Soudain, elle se cambrait et jouissait très fort. Luc lui glissait les mains sous les fesses la maintenait cambrée et on voyait sa bouche aspirer le liquide du plaisir de ma femme. Sa queue rebandait fortement. Le plaisir de ma femme fut assez long et mon slip avait du mal à contenir ma queue.
Quand Luc laissait ma femme s'allonger sur le sol je lui ordonnais de la prendre. Ma femme me regardait, ravie de cette annonce.
Je demandais à ma femme de bien tenir ses jambes écartées avec les genoux en l'air. On voyait sa chatte béante et humide ainsi que *** anus. Luc approchait sa queue de la chatte de ma femme.
« Non, Luc tu vas l'enculer devant moi ! »
Luc me regardait, indécis alors je prenais l'initiative. Je glissais mon doigt dans la chatte de ma femme et avec le liquide recueilli je lubrifiais l'entrée de *** anus. Je prenais le sexe de Luc et l'approchais devant ce trou. Luc se laissait faire. J'appuyais le gland de Luc contre l'orifice. Je lui demandais de pousser lentement. Le spectacle était vraiment superbe. Je voyais une queue que ma main guidait ouvrir l'anus de ma femme. Le gland écartait doucement les chairs et était presque entièrement entré. Alors d'un coup sec je poussais sur les fesses de Luc. Ma femme lâchait un petit ah. Luc n'osait bouger. Je lui demandais alors de remuer. Je voyais nettement bouger les lèvres de la chatte de ma femme quand le sexe reculait ou avançait. Luc avait des mouvements lents. Ce spectacle m'échauffait tellement que je me déshabillais et avant de me jeter dans la bataille appuyait sur le bouton « record » de la caméra.
Je m'approchais d'eux. Je caressais le clitoris de ma femme de ma main gauche et la droite les couilles de Luc. Je bandais comme un salop. J'approchais mon gland de la bouche de ma femme. Elle me suçait avec un regard de vraie salope. Au bout de quelques instants je prenais la tête de Luc pour lui glisser aussi ma queue dans sa bouche. Ma femme regardait *** mari sucé par un homme avec un étonnement non fin.
Luc avait cessé ses va et vient, alors je décidais de remédier à cette chose. Je me plaçais derrière Luc et glissait ma main entre ses fesses. La surprise lui faisait pousser fort en avant et arrachait un cri de plaisir à ma femme. Je mouillais un doigt et lui glissais dans *** petit cul. Luc ne disait rien. Mon doigt pénétrait plus avant et j'amorçais des allers retour de plus en plus rapide. Je décidais alors de le sodomiser. Luc était enfoncé jusqu'aux couilles dans le derrière de ma femme et moi je présentais mon gland devant *** anus. Je posais mon gland contre l'entrée et commençait à pousser. Luc gémissait de plaisir ou douleur peu importe. Mon gland enfin passait les résistances et j'enfonçais mon sexe dans ce petit cul de jeunot.
A chaque poussée de ma part, le sexe de Luc tapait au fond de ma femme. Quand je reculais, Luc reculait. Nous avions accordé notre rythme. Luc se penchait sur ma femme et je voyais *** visage irradié de plaisir à chacun de mes coups de queue au fond de Luc.
« Tu me baises au travers d'un autre, que c'est bon Chéri, vas y plus fort, plus fort... ». Elle prenait ma tête et me roulait une pelle pleine de goût du sperme du jeune Luc.
J'annonçais ma jouissance proche. Quand j'explosais dans le cul de Luc, je sentais que lui aussi jouissait. Ma femme nous accompagnait dans un long cri de plaisir.
Au bout d'un moment, elle me regardait et prononçait :
« Tu pourras me punir comme tu le voudras, je suis ton esclave. Jamais je n'ai joui autant et te voir baiser un homme devant moi a été un spectacle ravissant ».
Je me retirais de Luc, Luc se retirait de ma femme. Nos deux sexes pendaient, les couilles vidées. J'ordonnais à ma femme de nous nettoyer. Délicatement elle léchait un sexe puis l'autre. Il ne restait bientôt plus une seule trace de nos ébats sur nos queues. Le sexe de Luc lui semblait reprendre de la vigueur sous les effets de langue de ma femme.
Nous nous regardions étonnés de tant de vigueur. Ma femme accentuait ses coups de langue sur le gland de Luc. Je me surprenais à lui caresser les couilles, j'aimais ce contact au creux de ma main. Bientôt je voyais ma femme le pompait réellement, le sexe de Luc était bien tendu. Elle me regardait et soudain elle prenait ma tête et la dirigeait vers le sexe de Luc. J'ouvrais instinctivement la bouche et la refermais sur cette queue. Je trouvais cela très excitant. Je commençais à faire des va et vient sur cette bite. Je sentais un goût de chatte, de cul, de sperme, le tout mélangé, une véritable première pour moi. Je bandais de nouveau et je sentais ma femme qui me suçait goulument. Je voyais sa main qui glissait dans sa chatte pour s'astiquer le bouton. Luc jouissait le premier dans ma bouche. Je fus surpris par le jet et le léger mouvement de recul de ma tête fut corrigé par les mains de Luc qui me plaquaient sur *** sexe. *** gland touchait ma glotte et j'avalais toute sa giclée. J'avais alors une jouissance mentale et j'éclatais au fond de la bouche de ma femme.
Luc nous surprenait alors. Il nous réunissait, tête contre tête et tous trois nous avons échangé des baisers, lourds de sperme et de salives...
Bien plus tard, ma femme me disait :
« J'ai hâte d'être encore punie sévèrement... »
chrislebo

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#7,572
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La deuxième punition
Depuis quelques temps, j'avais en tête d'obtenir une promotion dans mon job. Plusieurs fois j'avais déjeuné avec mon patron, mais les résultats de ces entretiens ne se faisaient guère sentir. Alors j'ai eu l'idée d'organiser un déjeuner à la mai***. J'avertissais ma femme que mon patron viendrait déjeuner à la mai*** et qu'à cette occasion je comptais la punir d'une autre façon.
Le matin du déjeuner je préparais la tenue de ma femme. Un robe moulante, mais pas trop courte, avec juste un décolleté légèrement coquin. Je préparais des bas et portes jarretelles. Je lui précisais bien que je voulais qu'elle passe sa culotte style boxer noir sur *** porte jarretelles. Je lui annonçais le scénario du déjeuner. Elle me regardait en écoutant attentivement toute les explications.
Avant de passer au bureau je m'arrêtais dans un magasin spécialisé dans les affaires de chevaux pour acheter une cravache. Une vendeuse me proposait plusieurs modèles et devant mon indécision, elle me questionnait :
« C'est pour un étalon ou un jeune cheval ? »
Quand je lui annonçais timidement que c'était pour ma femme et que je m'attendais à une réprobation de sa part, elle eut une réaction inattendue. Elle appelait *** directeur et lui expliquait mon cas. Le directeur était un homme d'une soixantaine d'année, très smart et d'aspect très sévère. Il me guidait vers le fond de *** magasin en m'expliquant qu'il avait exactement ce qu'il fallait : une cravache douce pour la peau des jeunes pouliches. Il m'expliquait que les traces de coup disparaissaient en peu de temps, que ces cravaches étaient faites d'une peau spéciale...Devant mon étonnement, il me proposait une démonstration. J'acceptais. Il appelait alors la vendeuse :
« Marthe, annoncez une fermeture de dix minutes, nous avons une démonstration à faire »
Je ne comprenais pas trop ce qui allait se passer...Marthe fermait le magasin, puis se présentait devant le directeur au fond du magasin.
« Penchez-vous ! »
Marthe se penchait tout en relevant sa jupe pour dévoiler un joli petit cul nu, mignon à croquer. Je voyais *** directeur prendre une cravache, l'assouplir de quelques coups dans le vide puis brusquement frapper un coup ***ore sur les fesses de Marthe. Une rayure rouge zébrait le petit cul de Marthe. Marthe n'avait pas bronché. Per***ne ne bougeait. Une à deux minutes s'écoulait. La zébrure commençait déjà à s'estomper. Le directeur annonçait :
« Vous voyez, dans quelques instants plus de trace de coup ! Marthe vous pouvez aller ouvrir le magasin »
Devant mon étonnement, le directeur m'expliquait qu'il aimait bien dresser ses vendeuses et que si j'étais intéressé il pourrait à l'occasion me faire une démonstration plus longue du dressage des pouliches...
Rendez-vous pris pour plus tard je partais au boulot avec une belle cravache dans mon sac et une belle idée de punition.
A midi, mon patron et moi nous prenions la route pour déjeuner à la mai***. Sur le trajet il m'expliquait *** plaisir de faire la connaissance de mon épouse. Elle nous accueillait à notre arrivée avec un grand sérieux. Elle faisait vraiment petite femme d'intérieure dans sa robe noire et avec ses bas résilles. Elle se tenait bien cambrée sur des escarpins assez hauts, sa poitrine bien mise en valeur. J'avais bien vu que mon patron s'était laissé à jeter un regard dans le décolleté de ma femme.
Nous sommes passés dans le salon pour prendre l'apéritif. La table basse, entourée de fauteuils profond, était garnie de bouteilles et divers petits gâteaux. Ma femme en servant mon patron était obligée de bien se pencher face à lui. Je devinais qu'il devait bien voir ses seins dans le décolleté et moi je voyais bien ses fesses tendues vers moi. Quand elle me servait, je voyais que ma femme avait bien retenu sa leçon. Elle me servait en tendant sa croupe vers mon patron. Un apéritif spécial...
Après s'être servi, elle s'asseyait dans un fauteuil en croisant haut ses jambes tournées vers mon patron. Je devinais qu'il devait avoir un bel aperçu des jambes de ma femme. A chaque occasion de présenter un gâteau je voyais bien ma femme décroiser lentement ses jambes, les tenir un peu écartées et se pencher vers mon patron pour lui tendre le plat. Lui se penchait en avant et je voyais *** regard dirigé vers l'entre-jambe de ma femme, il devait voir le porte jarretelles ainsi que le boxer noir de ma femme. Nous avons joué à ce petit jeu une bonne demi-heure. Je voyais le visage de mon patron prendre une belle couleur cramoisie, mais rien au niveau de *** pantalon.
Nous passions à table et ma femme commençait le service. Elle servait impeccablement mon patron, puis moi-même. En arrivant à sa place elle avait un mauvais geste et renversait *** verre de vin sur la table. Je me levais excédé et lui disais que c'en était trop. Qu'il fallait qu'elle apprenne à se tenir et que je la punisse. Je prenais ma cravache dans mon sac et je me plaçais derrière ma femme. Elle ne s'attendait pas à me voir avec un tel outil et *** regard était vraiment effrayé. Je la penchais sur la table, relevais sa robe et frappais un coup sec sur ses fesses. Mon patron était muet et immobile. Mais il n'avait rien perdu du spectacle le coquin. Je rabaissais la robe et je reprenais ma place à table normalement.
« Tu peux continuer à servir le repas, mais gare à tes bêtises ! »
Mon patron pour faire diversion me parlait de futurs projets et je l'écoutais attentivement. Au second plat, ma femme arrivait avec un pois*** et une sauce hollandaise. En servant mon patron, le plateau laissait échapper la sauce hollandaise qui se répandait sur le pantalon de celui-ci.
« Alors là tu dépasses les bornes, tu vas t'excuser et réparer ces dégâts, après tu auras ta punition »
Elle s'approchait de mon patron et avec sa serviette, elle épongeait la crème sur le pantalon de mon patron. Je la voyais qui s'appliquait à bien masser la cuisse, puis avec de petits gestes lents s'approchait de l'entre-jambe. Mon patron insistait pour qu'elle cesse, en prétextant que ce n'était rien, mais je voyais qu'il commençait à apprécier ces caresses détournées. Une bosse commençait à se former...Je voyais la main de ma femme s'occupait doucement de cette bosse, l'essuyait en insistant un peu, et la bosse grossissait. Le visage de mon patron était de plus en plus cramoisi. Finalement toute la crème avait été épongée. Je lui demandais alors de se pencher sur la table. Je relevais à nouveau sa robe, elle nous présentait *** joli petit cul, avec *** boxer et *** porte jarretelles. Je tendais la cravache à mon patron et lui disait c'est à vous de la punir. Il hésitait. Ma femme le regardais et lui disait « C'est vrai, j'ai fait une bêtise sur vous alors je mérite une bonne correction ».
« Non je ne peux pas faire cela ! »
« Comme vous voulez ». Je lui prenais la cravache des mains et baissais le boxer. On voyait maintenant ces fesses, et comme elle était penchée sur la table, *** sexe aussi était apparent. Je frappais une bonne dizaine de coups sur les fesses de ma femme. Elle se mettait à gémir sous mes coups et ses yeux se bordaient de larmes, feintes ou pas, je ne savais pas.
A la fin je regardais mon patron, il avait les yeux rivés sur le fessier de ma femme et une énorme bosse tendait *** pantalon.
« Vous avez été fort, elle doit souffrir, je ne peux pas la laisser être punie aussi sévèrement » annonçait le patron.
« Si voulez atténuer ses souffrances, vous n'avez qu'à lui masser les fesses avec cette crème, moi je trouve que sa punition n'est pas encore assez forte »
Et là je découvrais mon patron qui appliquait de la crème sur les fesses de ma femme. Je le voyais prendre une noisette de crème, puis bien l'étaler. Au début ces caresses étaient thérapeutiques mais maintenant je le voyais insister. Il s'était placé derrière ma femme et tout en la massant il regardait ce cul et ce sexe bien humide. La bosse de *** pantalon ne faisait que grossir. Ma femme ondulait du cul devant lui et on sentait bien que les caresses faisaient l'effet escompté.
Je décidais d'intervenir. Je poussais mon patron et plaçais ma main entre les cuisses de ma femme. Je glissais deux doigts dans sa chatte, elle était trempée. Je me retournais vers mon patron et le prenant à témoin, en lui présentant mes doigts trempés, j'annonçais :
« Cette garce prend du plaisir, alors que je voulais la punir !!! Vous l'avez trop bien caressée ! »
J'appliquais alors une violente série de coups de cravaches sur les fesses de ma femme et je m'éloignais. Ce que je voyais, me plaisait !
Mon patron s'approchait de ma femme et doucement lui masser les fesses. Il se penchait et lui parlait doucement à l'oreille. La bosse de *** pantalon n'avait pas diminué... bien au contraire.
« C'est vrai que vos mains me font beaucoup de bien et j'ai la chatte qui mouille quand un homme sait si bien me caresser les fesses » lui annonçait ma femme. Elle joignait les actes aux paroles et se saisissait de la main du patron pour la guider vers sa chatte.
Mon patron me regardait et ne savait comment réagir.
« Je crois que nous avons une petite chienne en chaleur, et qu'il va falloir la calmer ! » annonçais-je.
«Vous devriez lui caresser un peu la chatte, que nous puissions ensuite terminer notre repas ».
L'étonnement de mon patron était tel qu'il restait immobile. Ma femme se tournait vers lui et guidait sa main dans sa chatte de manière plus autoritaire.
« J'ai envie que tu me fasses jouir » disait-elle. Tout en lui faisant cette demande, elle se mettait à lui caresser l'entre-jambe. Elle tenait dans sa main la bosse du pantalon.
chrislebo

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« Tu as une grosse queue, elle me semble énorme dans ma main ». Puis elle se mit à masturber cette queue au travers du pantalon. Elle se laissait glisser à genoux, déboutonner le pantalon, ouvrir celui-ci et extraire le sexe de mon patron. En effet c'était un sexe court mais énorme à la base. Un véritable cône de 12 cm de long mais bien de 6 cm de diamètre à la base. Sans lui laisser un instant de répit, elle se mit à le sucer goulument. On voyait sa bouche se tendre à l'extrême quand le sexe s'enfonçait presque intégralement dans sa bouche. Sa langue jouait avec le gland et ses mains caressés les couilles énormes et velues.
Je voyais mon patron prendre du plaisir à ce petit jeu. Je les laissais s'amuser. Mon patron posait ses mains sur la tête de ma femme et murmurait « Oui, ma petite, continue, c'est bon »
Je me plaçais derrière ma femme, la relevais en prenant garde qu'elle continua à sucer mon patron. Je relevais sa robe, et je caressais ses jambes. Je voyais *** sexe humide s'ouvrir à chaque approche de mes mains.
« Comment trouvez-vous ma femme, Monsieur le Directeur ? »
« Un véritable bijou, ah c'est bon. Elle est vraiment bonne suceuse »
« Voulez-vous la baiser ? »
« Vous pensez que je peux ? »
« J'aimerais voir votre belle bite lui défoncer la chatte ou le cul, au choix »
Mon patron se retirait alors brusquement de la bouche de ma femme, la faisait pivoter, la courber sur la table et écarter ses fesses. Il restait un moment à contempler ce spectacle puis il prenait *** sexe dans la main et le présentait devant la fente de ma femme. Sans hésitation il la pénétrait d'un seul coup. Ma femme poussait des cris sous les coups de boutoirs que lui assénait mon patron. Et lui redoublait d'ardeur. Je bandais comme un âne et je sortais ma queue pour me branler devant ce spectacle. Ma femme hurlait qu'elle jouissait, que c'était trop bon et je lâchais ma purée sur la table. A ce moment avec un grand han, mon patron lui aussi lâchait tout *** foutre dans la chatte de ma femme.
Quand il se retirait de la chatte de ma femme, j'ordonnais à celle-ci de prendre ce sexe encore bandant dans sa bouche et de bien le nettoyer. Je m'apercevais que mon patron n'était pas un habitué de ce genre de traitement.
« Votre femme m'étonne grandement, si seulement la mienne pouvait faire des choses comme celles-ci ! »
Nous sommes repassés à table, mais j'exigeais que ma femme retire sa robe et reste en soutien-gorge et porte jarretelles pour nous servir. Elle nous servait et restait à côté de nous pendant qu'enfin nous mangions un peu. De la voir debout, à moitié nue *** sexe bien exhibée qui laissait couler quelques gouttes de sperme m'excitait énormément.
Au moment du dessert, je proposais fruits ou gâteaux. Mais avant d'entendre la réponse, je proposais la spécialité de la mai*** : banana queen.
Mon patron me demandait ce qu'était ce banana queen. J'expliquais alors :
« Ma femme va nous porter des bananes, de la crème chantilly. Ensuite elle s'allongera sur la table sans *** soutien-gorge. La crème chantilly sera versée sur ses seins. Nous éplucherons nos bananes. Et avant de les déguster, on les glisse dans sa chatte, puis on les roule dans la chantilly entre ses seins. »
Mon patron ne se tenait plus et désirait vraiment des banana queen. La chose se mettait en place. Je voyais ma femme allongée sur la table, un coussin sous les fesses et les jambes bien écartées pour mettre en évidence *** sexe, une grosse boule de chantilly entre les seins. Mon patron prenait la première banane, l'épluchait sans quitter du regard la chatte de ma femme. Il introduisait alors doucement la banane dans *** sexe, et je le voyais faire tourner la banane, puis il la sortait et la promenais sur les seins de ma femme pour la recouvrir de chantilly. Il portait enfin le fruit à sa bouche et croquait voracement. Avec le bout qu'il restait, il recommençait. Il introduisait *** morceau de banane plein de chantilly dans la chatte et à ma grande surprise, c'est avec sa bouche qu'il allait retirer ce morceau. Ma femme gémissait de plaisir et moi je bandais très fort. N'y tenant plus je me déshabillais et demandais à mon patron de faire la même chose. En un instant, nous étions nus et on s'afférait sur ma femme, qui lui suçait les seins plein de chantilly, qui lui enfonçait une banane dans la chatte. Mon patron bandait lui aussi fortement.
« Je vais lui proposer un petit dessert à votre épouse ! », annonçait mon patron. Et je le voyais grimper sur la table, pour placer *** sexe entre les seins de ma femme et le recouvrir de crème. Il pressait les seins de ma femme pour se masturber entre eux. Sa bite allait et venait de plus en plus vite. Avant qu'il ne jouisse, je lui proposais à l'oreille un petit challenge.
Il était intéressé. Il s'allongeait à côté de ma femme.
« Ma chérie, tu vas venir poser ta chatte sur la queue de mon patron, et je veux que cela lui fasse grand plaisir ».
Je voyais ma femme s'accroupir au dessus du sexe tendu, les jambes bien écartées, la chatte grande ouverte dégoulinante de crème et de sperme. La chatte absorba le sexe en entier.
« Maintenant penche-toi bien en avant et ne bouge plus ».
Je prenais de la crème et en tartinais *** petit trou du cul. J'approchais ma queue et doucement je pressais contre *** anus. Il ne résistait pas bien longtemps et d'un coup je l'enculais profondément. Je commençais à bouger et je sentais le sexe de mon patron dans le vagin de ma femme. C'était comme si je le masturbais avec ma queue. Ma femme n'arrêtait pas de gémir de plaisir.
« Je sens votre queue qui frotte la mienne » annonçait mon patron. Cela me fit bander encore plus et j'activais mes mouvements. Mon patron lui aussi donnait de vigoureux coups de bite dans la chatte de ma femme. Je voyais les mains de mon patron caresser ses seins. Ses tétons étaient durs et érigés. Ma femme lui donnait un sein à sucer. Je finissais par jouir au fond de *** cul, mon patron continuait à la limer de plus en plus fortement. Je sentais ces coups de bite puissants au travers du vagin de ma femme. Elle, elle jouissait depuis un bon moment.
Finalement, dans un râle mon patron jouissait aussi.
Au bout d'un bon moment de repos, mon patron me regardait et de me demandait :
« Comment votre femme peut-elle accepter cela, la mienne est très prude et nos ébats ***t tristes et bien rares. Elle aime que je lui parle crument mais ne veux jamais passer à l'acte »
« Laissez réfléchir et peut-être, aurais je une solution »
Ma femme était encore allongée sur la table, le visage défait par toutes ces jouissances. Mon patron la regardait, puis il commençait à la caresser doucement. On voyait qu'il prenait du plaisir à caresser ce jeune corps féminin. Il s'attardait sur les seins, sur le sexe mais le tout avec une grande douceur. Ma femme avait l'air d'apprécier ces gestes d'après baise.
J'en étais un peu jaloux, je dois l'avouer !!!
Plus tard, après un bon café, mon patron nous invitait pour un diner intime chez lui.
chrislebo

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La surprise du chef

Mon patron avait tenu sa promesse pour une invitation à un diner intime. Il souhaitait provoquer une réaction de sa femme. Il aurait souhaité la voir se libérer et donner libre cours à tous ses phantasmes.
Pour cela je m'étais procuré un punch planteur martiniquais d'une grand douceur mais redoutable par ses effets euphorisants. Tout le monde connaît bien ses effets. J'avais l'intention de servir notre hôtesse plus de rai***. Mais je me gardais bien d'en avertir mon patron.
Pour cette soirée, je tenais à ce que ma femme soit nue sous sa robe. Je savais que mon patron serait ravi de cette initiative. Je demandais à ma femme d'être très attentive à notre hôtesse.
Nous arrivions vers les 8 heures du soir. J'étais agréablement surpris par notre hôtesse. C'était une belle femme mature d'environ 40 ans, bien en forme avec une superbe poitrine bien mise en valeur dans un chemisier blanc légèrement transparent. Elle portait une jupe plissée très classique juste au dessus du genou.
Nous prenions notre apéritif, et je constatais avec plaisir que mon patron s'était assis face à ma femme. Ma femme en profitait pour jouer avec ses jambes, les croisant, décroisant, légèrement écartées. Le regard de mon patron avait du mal à quitter l'entrejambe de ma femme. Quant à moi je discutais avec notre hôtesse des banalités quotidiennes tout en veillant à ce que *** verre soit toujours rempli.
Profitant de l'actualité, je lançais la conversation sur le droit à la fessée pour les enfants. Chacun donnait *** avis et le débat commençait à bien prendre, l'alcool aidant. Lentement j'orientais le débat vers la fessée en générale et surtout comme source de plaisir.
Notre hôtesse déclarait alors qu'elle n'avait jamais été fessée. Mon épouse lui déclarait alors tout de go :
« Quel dommage, pour moi c'est une source de grand plaisir de sentir des mains d'homme frapper mes fesses. La limite entre la douleur et le plaisir est bien mince. »
Mon patron en profitait pour remplir nos verres et je voyais bien que notre hôtesse avait bien du mal à rester cohérente.
Ma femme jouait avec le feu en racontant sa dernière fessée avec ***** détails. Je voyais mon patron devenir cramoisi, certainement la peur d'être annoncé comme spectateur !
Nous passions à table et effectivement le repas serait intime, la table était minuscule. Nous étions vraiment très proches l'un de l'autre. Mon patron assis à coté de ma femme et en face j'étais contre mon hôtesse. Celle-ci annonçait qu'elle ne comprenait pas pourquoi *** époux avait insisté pour diner sur cette table où nous serions serrés comme des sardines en boîte. Dés le début du repas je remarquai que la main gauche de mon patron passait souvent sous la table. Je faisais tomber ma serviette et je voyais les jambes de ma femme écartées et une main qui lui caressait le sexe. Je tentais alors de faire du genou à ma voisine. Au premier contact, je sentais sa jambe fuir. Au deuxième, sa jambe restait contre la mienne. Certainement l'effet de du punch qui commençait . Le repas se déroulait bien et le champagne excellent ne cessait de remplir nos verres. Je glissais ma main sur la jambe de ma voisine, je sentais un raidissement soudain des muscles sous le tissu du bas, mais je continuais ma caresse très douce. Mon patron relançait alors le débat de la fessée. Il expliquait que certain acte méritait vraiment une correction et que c'était le seul moyen de punir le ou la coupable d'un acte délictueux. Ma main progressait vers le haut et je remarquais avec plaisir qu'elle ne portait pas de collant, car je venais de sentir sa peau sous mes doigts. Je la regardais et je voyais bien qu'elle commençait à rosir. J'atteignais sa culotte et j'essayais de glisser un doigt vers sa chatte. Elle avait alors un fort mouvement de recul et renversait *** verre.
« Ma chère, que vous arrive-t-il ? » demandait alors mon patron.
« Rien, rien un sursaut stupide et peut-être trop d'alcool » répondait notre hôtesse.
« Je vais vous expliquer » lançais-je. Mon hôtesse posait sa main sur mon bras certainement pour m'avertir qu'elle ne voulait pas que je donne la vraie rai***.
« Votre femme se laissait caresser la jambe et quand je voulais toucher *** sexe elle a eu ce recul ******** annonçais-je crument.
A ces mots mon patron se levait et visiblement jouait très bien la comédie du mari bafoué. Après avoir sorti quelques propos peu amènes sur les femmes, il déclarait qu'une punition immédiate était nécessaire.
Ma femme se levait et prenait les mains de notre hôtesse dans ses mains et criait, presque hystérique « une fessée une fessée... » Elle attirait notre hôtesse vers le centre de la table. Notre hôtesse était au bord des larmes et n'arrêtait pas de me rejeter la faute de ce sursaut.
Mon patron se levait, passait derrière sa femme, l'obligeait à se lever et à se pencher sur la table. La tête de notre hôtesse était alors à quelques centimètres du visage de ma femme.
Mon patron soulevait sa jupe et la tenait levée.
« Mon ami, vous me m'était dans une position honteuse ! » Elle commençait à pleurer. Ma femme, doucement lui embrassait le visage avec une grande douceur en lui répétant que ce n'était pas grand-chose, une petite fessée.
Mon patron déclarait alors : « A vous de jouer mon petit, je vous dois bien cela »
Je contemplais ce fessier avec ses deux fesses bien rondes cachées par une très jolie culotte en soie. Doucement je faisais glisser la culotte vers le bas.
« Mon dieu, quelle honte, vous laissez un homme me déshabiller, quel mari êtes vous donc », murmurait notre hôtesse.
A la première claque sur ses fesses nous avions entendu un sanglot. Ma femme prenait alors l'initiative de l'embrasser doucement sur les lèvres. Sans aucune réaction, notre hôtesse continuait à sangloter. Les baisers de ma femme, sur les yeux, les joues, les lèvres se faisaient plus insistant. A la deuxième de mes claques, nous avions la surprise de voir notre hôtesse répondre aux baisers de ma femme. Elle, aussi, se mettait à l'embrasser doucement sur les joues, sur les yeux, puis doucement sur les lèvres.
Quel beau tableau que ces deux femmes, qui se tenaient les mains, courbées au dessus d'une table. L'une avec une jupe relevée sur le dos et une culotte à mi-jambe et l'autre cambrée avec ses jambes bien écartées. Je cessais de donner la fessée et laisser les femmes s'embrasser. Les baisers devenaient de vrais patins. Ma femme faisait le tour de la table, sans lâcher les mains de notre hôtesse. Elles se retrouvaient debout, leurs lèvres soudées. Visiblement elles nous avaient oubliés. Ma femme lâchait une main et se mettait à caresser le dos de notre hôtesse en descendant doucement vers ses fesses. Bientôt elle posait sa main sur une fesse et la massais lentement. Notre hôtesse faisait de même sur la poitrine de ma femme. Elle caressait un sein presque tendrement. Ma femme, alors se séparait de notre hôtesse et enlevait sa robe. Elle apparaissait nue sur ses hauts talons. Ensuite elle entreprenait de déshabiller notre hôtesse.
Mon patron était statique et muet devant ce show.
Doucement ma femme déboutonnait le chemisier en laissant de petits baisers sur la gorge de notre hôtesse. Elle découvrait un soutien gorge avec ouverture sur le devant. Quant la fermeture lâchait, deux beaux seins apparaissaient. Ma femme doucement prenait un téton dans sa bouche et le suçait goulument. A notre surprise, notre hôtesse glissait sa main vers le sexe de ma femme. Pour lui faciliter le travail, elle écartait bien ses jambes et bientôt on devinait bien que quelques doigts s'étaient glissés dans sa chatte. Je sentais bien que mon patron voulait intervenir, mais je l'en empêchais.
Nous nous asseyions pour regarder ce spectacle. Ma femme entrainait notre hôtesse vers un canapé. Elle finissait de déshabiller sa partenaire. Notre hôtesse poussait ma femme sur le canapé et se mettait à l'embrasser sur tout le corps. Bientôt on voyait sa bouche collée au sexe de ma femme. Elle lui glissait ensuite deux doigts dans la chatte pendant que sa langue léchait le clitoris bien dressé de ma femme.
« Je ne connaissais pas ces talents à ma femme, cela doit être un souvenir du pensionnat de bonnes sœurs » déclarait mon patron. Et visiblement ces talents le faisaient bander. Je voyais bien qu'il avait du mal à se contenir. Je lui demandais alors de se déshabiller et d'aller aider sa femme à s'occuper de la mienne. Je voyais alors mon patron caresser presque amoureusement les seins de ma femme. C'était presque ridicule de le voir nu et bien bedonnant avec ces 2 femmes. Ma femme lui caressait le sexe et de temps à autre lui pressait les couilles.
Au bout d'un moment elle l'attirait dans sa bouche. Notre hôtesse continuait à s'occuper de sa chatte.
Je ne pouvais plus rester spectateur. Le cul de notre mature m'attirait trop. Je me déshabillais et m'approchais derrière notre hôtesse. Elle était accroupie sur le canapé, les fesses vers le haut. Je lui caressais *** fessier et doucement je m'approchais de *** sexe. Oh qu'il était mouillé. Une vraie fontaine, dans laquelle je n'avais aucun mal à glisser trois doigts. Elle accueillait cette gâterie visiblement avec plaisir. Mais je la laissais pour rejoindre ma femme.
chrislebo

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D'autorité je lui mettais mon sexe dans la bouche et invitais mon patron à me rejoindre. Quel plaisir de voir ma femme suçer alternativement un sexe puis l'autre. Ses tentatives de nous prendre à deux restaient vaines. Très vite nous avions joui sur *** visage. Elle était couverte de sperme bien épais. Je passais ma main sur ce foutre, et je la tendais à notre hôtesse. Elle ouvrait bien grande sa bouche et je lui enfournais 3 doigts chargés de sperme. Elle me suçait les doigts avec un intérêt réel. Ce spectacle faisait rebander mon patron.
« Chéri, mets-toi à 4 pattes et offres ton cul à mon patron » ordonnais-je.
Elle obéissait et telle une petite chienne remuait *** cul devant le sexe de mon patron.
Visiblement, il choisissait de l'enculer lentement.
A ce moment notre hôtesse criait « Moi aussi je veux une queue, une queue dans ma chatte... »
Je lui montrais mon sexe en piteux état pour une pénétration. Alors elle prenait la bouteille de champagne qui trainait sur la table et me disait « Cela doit pouvoir me satisfaire ».
Je lui enfonçais alors doucement la bouteille dans la chatte. Elle était là à 4 pattes avec une bouteille dans le sexe et ne ménageait pas ces encouragements pour que je la fasse jouir.
Devant ce spectacle, nous entendions un grand han annonçant la jouissance de mon patron.
Il se retirait de ma femme rapidement, du sperme coulait encore de *** sexe. Je demandais à ma femme de nous montrer *** cul. Alors elle se tournait et nous présentait *** cul, les fesses bien ouvertes. On voyait *** anus dilaté d'où suintait une belle quantité de sperme. Je poussais la tête de notre hôtesse vers ce beau cul. Notre hôtesse après un instant d'hésitation se mettait à lécher la raie de ma femme. On voyait sa langue nettoyer chaque petite goutte que laissait échapper l'anus. Elle glissait même sa langue dans l'anus de ma femme. Ma femme appréciait fortement ce petit lavement. On voyait ses doigts caressaient *** clitoris vigoureusement. A ce spectacle mon sexe bandait fortement et je retirais *********** la bouteille et je pénétrais fortement notre hôtesse. Mon patron lui aussi avait repris des ****** et je le voyais glisser *** sexe dans la bouche de ma femme. Nous formions une bien belle chenille. A mon grand étonnement je voyais notre hôtesse prendre la bouteille de champagne et la diriger vers le cul de ma femme. J'arrêtais mon va et vient pour mieux observer. Elle avait longuement léché le petit trou de ma femme, il était donc lubrifié par sa salive et le sperme de *** mari. Le goulot pénétra très vite, les premiers centimètres aussi. Mais après je voyais bien qu'elle poussait fort pour faire entrer la bouteille. Je voyais l'anus de ma femme se dilatait. Elle abandonnait sa succion pour exprimer *** désaccord. Je voyais alors mon patron se saisir des épaules de ma femme pour l'empêcher de bouger. Sa femme retirait un peu la bouteille puis la repoussait un peu plus loin. Je voyais que le corps de la bouteille n'était plus très loin de pénétrer ma femme. Ses cris oscillaient entre la douleur et le plaisir. Mon patron encourageait sa femme en lui criant qu'elle l'excitait et c'est vrai que *** sexe avait l'air très tendu. La vision de ma femme le cul écartelé par une bouteille n'était pas pour me déplaire. Notre hôtesse continuait ses lents va et vient, poussant toujours un peu plus loin sa bouteille. Ma femme haletait et je voyais sa chatte humide coulait, elle prenait *** pied, la garce !!! Je redoublais d'effort pour bourrer la femme du patron, et à grand coups de queue je tapais mes couilles contre ses fesses.
« Oui, elle est bonne cette queue, plus longue que celle de mon mari, elle me fait du bien, ahhh c'est bon, je vais jouir, vous entendez mon cher, je vais jouir d'un autre homme » voila ce qu'elle hurlait presque.
Je lâchais tout mon sperme au fond de sa chatte, elle poussait de petits cris et *** mari se masturbait comme un fou en nous regardant. Ma femme aussi poussait *** cul vers la bouteille et hurlait à *** tour sa jouissance. Mon patron explosait de foutre, il nous arrosait de jets puissants. Il fallait quelques instants pour que cette tension retombe. Ma femme était allongée, une bouteille de champagne dans le cul, notre hôtesse était littéralement anéantie, *** cul lui aussi en l'air, les hommes avaient le sexe en berne.
« J'ai le cul en feu » ne cessait de murmurer ma femme. Je m'approchais alors d'elle et lui demandais « Cette punition était-elle bonne ? »
« Oui mon amour, oh oui » répondait-elle. Par pure malice j'appuyais encore un peu sur la bouteille, juste pour bien voir *** anus dilaté à l'extrême. Je pensais qu'il en avait fallu pas mal de grosses bites dans *** cul pour accepter un tel engin...
La soirée se terminait sur ces entre-fesses...
Le lendemain, la journée au boulot était surtout utilisée pour récupérer de la veille. Mon patron était passé me féliciter pour cet excellent repas. Mais ma surprise arrivait plus tard. Sur le coup de 16 heures j'ai reçu un appel de la femme de mon patron. J'avais un sentiment d'angoisse car je me souvenais de *** état d'ébriété...
« Mon cher, hier soir fut une révélation ! Je n'avais point connu autant de plaisirs depuis mes années d'internat au lycée de jeunes filles. Alors au risque de vous surprendre j'aimerai vous revoir. J'ai téléphoné avant à votre femme, et elle m'a raconté dans quelle situation vous vous amusiez à la placer. Je sais que je suis une femme mature, mais j'ai grande envie de combler quelques lacunes. M'accepteriez-vous comme deuxième esclave ? »
Je vous laisse deviner ma réponse...
chrislebo

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Les 2 chiennes

Suite au coup de téléphone de Clara, la femme de mon patron, je décidais de le rencontrer. Il était étonné des propos tenus par sa femme. Il réfléchissait un court instant et me demandait d'attendre le lendemain pour reprendre contact avec sa femme. Le lendemain sur mon bureau, à mon arrivée, reposait un paquet avec une enveloppe scellée. Dans ce paquet une caméra numérique avec un disque dur permettant 4 heures d'enregistrement en haute définition, dans le pli juste quelques mots et non signé :
« Je veux tout voir, tout savoir, tout entendre, je compte sur vous ! »
Je demandais une autorisation d'absence pour le lendemain après midi et donnais rendez-vous à Clara chez moi.
Le soir en rentrant chez moi je suis passé chez le fournisseur pour « pouliches ». Après une brève conversation sur les avantages et inconvénients de la cravache, j'achetais 2 colliers pour esclaves ainsi que deux longues laisses, deux bustiers en cuir avec lacets dans le dos. Ces bustiers mettaient en valeur les seins sans les cacher, de véritables petits balconnets de plaisir.
Deux jupettes en cuir, fendue sur le côté complétaient ces achats. J'avais l'intention de les mettre sur une note de frais bien spéciale pour mon patron !!! Surtout la location de la voiture !
Je présentais la journée du lendemain à ma femme et elle n'était pas sans s'inquiéter de ce qui l'attendait. Je profitais lâchement de la situation. Plusieurs fois, elle venait, câline, en murmurant :
« Tu vas loin, trop loin ! Je ne pourrai pas faire cela ! Pas comme ça ! »
Alors je sortais ma cravache et après quelques coups bien assénés sur ses fesses et même un sur ses seins, elle m'annonçait sa totale obéissance pour le lendemain. Jamais je n'avais douté de sa soumission. Restait le problème de Clara ? Irait-elle jusqu'au bout ? A voir.
Le jour J, Clara ***nait chez nous vers 14 heures. Ma femme l'accueillait, elles échangeaient les bises habituelles, et pourtant je voyais bien que les lèvres de Clara frôlaient celles de mon épouse. J'intervenais en leur disant de rentrer et de se mettre nue.
Clara me regardait avec un air de refus bien prononcé. Je ne lui laissais pas le temps de réagir et je hurlais « A poil ! ». Voyant ma femme se déshabiller, Clara commençait sa mise à nu.
Finalement, j'avais devant moi deux femmes nues. Clara, dans un réflexe pudique cachait ses seins et *** pubis avec ses mains. Un coup cravache sur celles-ci, laissaient apparaître ses seins lourds et *** pubis bien trop poilu à mon goût. Je questionnais ma femme sur sa capacité à rendre cette toi*** plus excitante rapidement. Elle me répondait qu'elle pouvait la raser et laisser un peu de poil juste au dessus de la chatte. Je lui donnais mon accord. J'assistais à un rasage de Clara, debout, les jambes écartées, ma femme s'activant autour des lèvres du sexe.
A la fin, content du spectacle j'osais glisser un doigt dans la fente de Clara, et sans surprise je la trouvais mouillée. Elle me regardait en disant :
« Comment, vais-je expliquer cela à mon mari ? »
Cette femme m'étonnait, elle se laissait traiter comme une chienne, et elle se préoccupait de l'opinion de *** mari sur sa toi*** pubienne !!!
Commençait alors l'habillage de ces deux garces. Je serrais fortement les corsets sur leurs seins. Ceux de ma femme, de tailles respectables avaient l'air de vouloir exploser hors du corset, ceux de Clara avaient pris la forme de respectables petits melons. Toutes les deux avaient les tétons au dessus du corset. Je leur demandais de passer de très petits strings noirs. Dans leur tenue de cuir, elles étaient diablement excitantes. J'adorais la fente des jupettes qui remontait très haut sur la cuisse. Cette habillage les avaient excitées et j'avais devant moi deux collégiennes pubères. Je leur présentais alors les colliers en cuir, je passais le premier à ma femme. Le résultat était splendide, une vraie chienne, à surtout bien tenir en laisse. Ma femme tenait à placer le collier de Clara. Je la voyais s'activer sur *** collier, et je voyais aussi la main de Clara cherchait l'entre jambe de ma femme. Je les laissais badiner quelques instants. Puis j'annonçais notre départ en voiture.
La capote de la voiture était fermée, elles ne risquaient pas d'être trop vite remarquées par le voisinage. Je demandais à ma femme de passer à l'arrière droit et à Clara à l'avant droit. Luc était à notre rendez-vous. Clara, intimidée par la présence d'un jeune homme, me questionnait du regard. Je le présentais comme le reporter du jour, la mémoire des instants à venir. Je rappelais à mes deux chiennes que les ordres de Luc étaient des ordres, qu'elles ne s'amusent point à l'oublier !!!
Nous prenions la direction d'une nationale où transitaient énormément de poids lourds. On m'avait raconté, au bureau, que certaines aires de parking ressemblaient à des baisodromes en plein jour. Arrivés sur la nationale, je baissais la capote pour profiter du beau soleil. Et surtout pour essayer de faire profiter les autres usagers de mes passagères. Je demandai alors à Clara de glisser ses fesses vers l'avant et de bien écarter ses jambes. Je lui disais qu'elle pouvait placer ses pieds sur le tableau de bord.
« On va tout voir ! » s'écriait-elle.
« C'est tout à fait ce que je veux » répondais-je.
Le spectacle était charmant, une femme en mini jupe noir, string noir, les jambes bien écartées laissait voir ses jambes quasi intégralement, *** sexe masqué par ce bout de tissu, les seins bien à l'air et offerts à tout passant. Je demandais à ma femme de faire de même.
Je doublais lentement un premier camion. Sans effet.
Pour le second, je décidais au préalable de klaxonner violement. Puis j'avançais la voiture à la hauteur de la cabine du camion. Je voyais le chauffeur se préparait à m'agonir d'injures.
A la vue du spectacle de ces deux femmes, jambes en l'air, il restait la bouche ouverte, les yeux rivés sur les attributs de mes passagères. A la fin il me faisait un petit signe du pouce, sur ce, je me laisser dépasser par le camion et me glissais derrière lui.
« Les filles, je veux que vous excitiez ce chauffeur. Faites ce que vous voulez, mais je veux qu'il bande à péter *** pantalon. Je veux qu'il nous fasse stopper à la prochaine aire de parking ».
Profitant du peu de circulation, je me portais à nouveau au niveau de la cabine et attendais.
Je jetais un clin œil à l'arrière et je voyais ma femme tenir ses seins, les caresser, sortir un bout de langue coquin pour se lécher les babines (de vrais chiennes vous disais-je), d'écarter ses jambes, avancer *** bassin pour bien montrer *** string. Luc ne perdait aucun détail de ces mises en bouches érotiques.
Clara démarrait plus timidement. Elle, aussi, se caressait les seins, mais sans grande conviction. Je la sermonnais alors en lui promettant une fessée mémorable si elle n'elle n'y mettait pas plus du sien dans cette partie. Serait-ce le mot fessée, mais en tout cas je voyais Clara osait un peu plus. Elle promenait *** doigt sur sa chatte, au dessus du string. Elle montait et descendait le long de sa fente. Elle glissait un doigt dans le string, le ressortait puis lentement le portait à ses lèvres pour le lécher avec passion. Le chauffeur suivait tout cela avec avidité. La circulation m'obligeait à repasser derrière le poids lourd. Je félicitais les filles et leur demandais d'oser encore plus ! A nouveau à la hauteur de la cabine, je voyais alors Clara, littéralement écartelée, tendre *** string pour que le fin tissu sépare ses lèvres. On voyait alors deux lèvres de chair rose séparées par une bande de tissu noir. Clara se saisissait alors de ses lèvres et tirer sur celle-ci pour les écarter au maximum. Luc, quasiment debout dans la voiture, filmait ces plans avec grand professionnalisme...hum grand voyeurisme...
Ma femme, elle avait décidé d'ôter *** string, et présentait *** sexe glabre avec un doigt qui caressait *** clitoris. Elle avait porté *** string à sa bouche et elle jouait avec ce bout de tissu. *** jeu était assez excitant, mais je préférais celui de Clara. Je lui annonçais que je punirais *** manque d'imagination érotique !
Sur ces entrejambes, notre chauffeur me faisait comprendre par signe qu'il allait stopper à la prochaine aire et que je devais le suivre.
Je suivais le camion sur la voie d'accès au parking, notre camion se dirigeait vers une zone voisine de bosquets d'arbres. Je me garais, et visiblement notre chauffeur attendait que nous soyons les premiers dans l'arène. Au jugé, je dirigeais ma troupe vers une petite clairière visible depuis le parking. Je tenais me deux chiennes en laisse, et je voyais avec surprise et plaisir deux hommes descendre de notre camion. Un de petite taille, le chauffeur et un grand costaud à l'air bestial. J'expliquais alors la règle du jeu que je venais d'inventer.
« Voila, nos cobayes ***t deux, la première qui fait jouir *** partenaire en le suçant à gagner. Donc l'autre sera fouettée jusqu'à la jouissance du deuxième »
Mes chiennes n'avaient plus l'air aussi joyeuses !!!
Les deux hommes arrivaient rapidement dans leur combinai*** de travail. Ils avaient un air surpris en voyant ces deux femmes tenues en laisse. Je leur expliquais que je sortais mes chiennes et qu'elles étaient à leur disposition, s'ils acceptaient la présence de la caméra.
Le grand s'approchait de ma femme, je voyais ses grandes mains s'avançait vers sa poitrine. Il lui malaxait les seins sans douceur et je remarquais une petite lueur d'angoisse dans les yeux de ma femme. D'une main il sortait *** sexe en érection, un assez bel engin bien veiné et déjà, il obligeait ma femme à le sucer.
L'autre homme était aux mains de Clara, et c'est le terme exact. Il se tenait debout bien cambré et Clara avait déboutonné sa combinai*** pour sortir *** sexe. Celui-ci était flasque. Clara me regardait, implorait presque mon aide du regard. Elle prenait le bout du sexe dans sa bouche, jouait avec sa langue sur le gland mais visiblement rien ne marchait.
A côté, les choses allaient bon train, ma femme avalait le membre qui entrait dans sa bouche, à chaque sortie elle glissait un coup de langue sur cette belle queue. A un moment, elle prenait le gland et se caressait les tétons avec. Visiblement, notre homme ne pouvait plus se retenir et il éjaculait une énorme quantité de foutre sur le visage et la poitrine de ma femme.
Je me tournais vers Clara, malgré tous se efforts, le sexe restait mou. Je prenais ma cravache et appliquais un coup sec sur ses fesses. Je continuais la punition, à chaque coup de cravache on avait l'impression de voir le sexe gonfler légèrement.
Je demandais alors aux chiennes de quitter jupette et string, de ne rester qu'en corset.
A cette vue, le grand reprenait des ******, sa queue se mettait à se tendre à l'horizontale. Quant à Clara, *** affaire progressait. Mes coups de cravaches ***naient sur de la chair et cela excitait *** partenaire. *** sexe grossissait dans la bouche de Clara et on voyait celle-ci mettre toute *** énergie à le pomper.

chrislebo

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Le grand s'était approchait de ma femme, je voyais sa grosse main jouait avec sa chatte, glissait un doigt dedans, le ressortir, lui fourrait dans sa bouche en lui disant
« Tu mouilles salope ! » Tous ces gestes étaient brutaux, ma femme n'avait que des regards affolés. Visiblement c'était la première fois qu'elle se faisait tripoter par un vrai inconnu et pas par un partenaire choisi. Je prenais un grand plaisir à la voir ainsi manipulée.
« Et ton petit trou ? Comment est-il ? ». Je voyais alors l'homme retourner ma femme, s'accroupir, écarter les fesses et lui glisser un doigt dans le cul. L'homme ressortait *** doigt, le léchait abondamment puis se cracher dans la main pour aller humidifier le trou du cul de ma femme. Elle ne bronchait pas, mais ses fesses ne reculaient pas sous les assauts des doigts.
A ce moment, l'homme plaçait un préservatif sur sa queue avec adresse, attrapait ma femme sous les genoux en se tenant derrière elle, la soulevait en écartant les jambes de ma femme, et dirigeait ses fesses vers *** sexe tendu. Quelle ***** il avait ! Doucement il faisait descendre le cul de ma femme sur sa queue.
On l'entendait murmurer :
« Ma bite est à l'entrée de ton cul ...tu sens mon gland qui te *****...ca y est il est entré...alors ça te plait salope... »
On ne voyait plus la bite de l'homme, il avait les fesses de ma femme collées à lui.
« Tu sens mes couilles au porte de ton cul, hein ma salope ». Il se mettait à soulever et laisser redescendre ma femme avec un rythme de plus en plus rapide.
Je me plaçais devant ma femme et effectivement le spectacle valait le coup d'œil !!!
Je voyais sa chatte grande ouverte, ruisselante de cyprine et *** cul pénétré par cette belle queue.
Bientôt ma femme se mettait à encourager *** enculeur :
« Vas y...oh c'est bon... elle est grosse dans mon ventre... plus fort... ahhhh tes couilles je les sens... j'ai le cul en feu... trop bon...ahh... je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis... » Elle poussait des cris à affoler un troupeau d'éléphants. Je vous avoue ma jalousie à la voir ainsi jouir par le cul et je l'enviais presque...
Luc ne perdait pas un instant de cette scène, il filmait tout, tout en s'astiquant la queue comme un malade...
En fait depuis un petit moment, quelques voyeurs s'étaient approcher de notre clairière et ils ne perdaient pas une miette du spectacle.
L'homme continuait *** va et vient. La jouissance de ma femme durait encore.
Subjugué par ce spectacle, je n'avais pas vu un homme s'approcherderrière Clara, qui continuait à pomper *** chauffeur. Elle se tenait accroupie, l'homme s'était allongé, les fesses de Clara au dessus de lui. Il regardait la chatte de Clara tout en se masturbant.
« Elle est belle ta chatte... j'aime les chattes des femmes mures... j'aimerai que tu me pisses dessus... oh oui une grande giclée de pisse dans ma bouche... » Murmurait-il pour Clara.
« J'aimerai coller mes lèvres à ton sexe... te sentir pousser pour uriner... couler ton urine dans ma bouche... chaude comme toi »
Je voyais les fesses de Clara bouger, visiblement elle appréciait les paroles de l'autre inconnu et cela devait l'exciter. Je décidais d'intervenir. Je lui demandais de se laisser aller et de pisser sur cet homme. *** regard était très expressif mais je ne comprenais pas le sens de *** expression. Je remuais la cravache et soudain je voyais un liquide dorée arroser l'homme. Celui-ci essayait d'avaler le maximum d'urine qu'il pouvait et on le voyait jouir à grandes giclées de spermes. Le chauffeur, sur ce, excité par ce, certainement, premier spectacle, éclatait en râlant dans la bouche de Clara. Elle continuait à le pomper soigneusement, jusqu'au retrait volontaire de notre chauffeur.
L'homme arrosé approchait sa bouche de la chatte de Clara et se mettait à la lécher consciencieusement. Visiblement il aimait la pisse et Clara avait décidé de jouer le jeu. Elle réussissait à faire jaillir quelques gouttes d'or. Deux autres voyeurs s'enhardissaient et s'approchaient d'elle la bite à la main. Je pensais la voir hésiter mais non !
Elle se redressait, allait vers eux et prenait un sexe dans chaque main. Elle regardait froidement ces hommes tout en les branlant. Je m'approchais d'elle et je continuais mon jeu de dressage :
« Tu dois faire jouir ces hommes en même temps sinon... la CRAVACHE ! »
Je la regardais masturber ces 2 queues avec application, le regard porté sur les visages des hommes. Je remarquais qu'elle aimait la position accroupie, les jambes accroupies. Moi aussi, car elle nous présentait sa chatte bien ouverte et *** beau cul bien charnu. Je bandais depuis un bon moment et j'avais bien envie de le baiser *** cul. Je jetais un regard à ma femme, j'étais rassuré (hum...), *** costaud continuait à lui pilonner le cul et *** ami le chauffeur avec une ardeur retrouvé tentait de glisser sa queue dans la chatte de ma femme. Je remerciais mentalement ces chauffeurs qui utilisaient des préservatifs. Délaissant ce spectacle je me tournais vers Clara, la relever, soulever sa jupe et présenter ma queue sur *** anus. Je l'avais déjà baisé mais pas enculé. Je mouillais un doigt et le glissais dans *** cul. Tout de suite après je poussai mon gland contre *** anus, je l'entendais protester, qu'elle n'aimait pas cela. Je n'écoutais rien et forçait *** cul avec une forte poussée. Je me retrouvais à moitié dans *** boyau chaud. Je lui demandais de continuer à masturber les 2 hommes et j'invitais Luc à se faire sucer car décidément, ce pauvre jeune homme manquait d'initiative. Quel spectacle, la femme de mon patron enculée, suçant un jeune et branlant deux inconnus. Je commençais à reculer ma queue et quand je sentais que mon gland allait sortir, je le repoussais doucement en avant. Je poussais jusqu'à coller mes couilles à ses fesses. Je restais un instant comme cela puis je me lançais dans une série de va et vient rapide.
Clara criait un instant avant que Luc ne lui replaçait sa bite dans la bouche, avide visiblement de jouir au fond de cette femme mature. L'amateur d'urine venait compléter le tableau en nous léchant, moi mes couilles et Clara sa chatte et *** cul. Je ne résistais pas longtemps à ce régime et je jouissais fort au fond de ses entrailles, suivi de peu par Luc et les deux hommes qui arrosaient le corps de Clara de belles quantités de sperme.
Apres quelques instants utilisés à récupérer je regardais ma femme. Elle était enculée et baisée par nos deux chauffeurs et un troisième larron lui caressait les seins tout en se faisant branler. Elle n'était donc pas en train de s'ennuyer. Luc, quant à lui faisait des effets de caméra, il filmait sa queue qui sortait de la bouche de Clara, lui demandait de garder la bouche ouverte pour bien cadrer le foutre au fond de la gorge de Clara, puis il filmait toutes ces taches de sperme sur le corps de Clara.......
Plus tard, dans la voiture sur le chemin du retour, les femmes avouaient avoir bien joui. Clara déclarait avoir fait jouir 4 hommes en même temps. Ma femme, médusée, la regardait.
Je déclarais alors :
« Ma chérie, tu as trois trous et deux mains, la prochaine fois tu devras faire jouir 5 hommes !!! »
« Et quant à vous Clara, nous vous ramenons chez vous ! »
Clara à ces mots, protestait vivement qu'elle devait se laver, se changer avant de rentrer. Je lui annonçais que *** mari l'attendait pour s'occuper d'elle et qu'il allait en plus avoir un film de ses activités en plein air. Clara se mettait alors à pleurer. Le dressage commençait pour elle...
Plus tard dans la soirée je recevais un premier texto de mon patron :
« Je l'ai baisée sans la laver, film excellent, bon boulot » et un peu plus tard :
« Un week-end dans notre mai*** de campagne vous intéresse-t-il ?
chrislebo

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#7,578
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Un dîner presque parfait



Delphine terminait les derniers préparatifs. C'était vendredi soir et dans quelques minutes, *** mari allait rentrer accompagné de *** patron et de deux des principaux cadres dirigeants de *** entreprise pour un repas à la mai*** prévu de longue date. Jean, *** mari, misait beaucoup sur ce repas. Il avait postulé à un poste de responsable des ventes pour l'Asie et il espérait bien marquer des points à cette occasion. Plusieurs semaines auparavant, il avait donc posé ces trois invitations aux trois per***nes les plus influentes de la société et ce soir était le grand soir. Tout devait être parfait. Delphine avait demandé à sa mère de récupérer les enfants au collège et de les garder le week-end. Ce matin elle avait commencé par nettoyer et ranger l'appartement du sol au plafond. Puis, en fin de matinée, elle s'était mise à la tâche pour préparer un repas qui, elle l'espérait, resterait gravé dans les mémoires. Elle avait dressé une belle table et pour finir, après une bonne douche , elle avait passé sa plus belle robe.

-Bonjour chérie, dit Jean en ouvrant la porte.

-Bonjour chéri.

-Voilà, je te présente Mr Ches***, mon patron, Francis, notre DRH et Cédric, responsable marketing.

-Bonjour Messieurs, enchantée. Puis-je vous débarrasser de vos affaires?

-Oui merci chère Madame, répondit Mr Ches*** en enlevant *** manteau, aussitôt imité par les deux autres invités.

Les trois hommes semblaient un peu plus vieux qu'elle et *** mari, pensait Delphine. Ils devaient avoir la quarantaine passée contre 34 pour elle et 35 pour Jean. Ils étaient tous les trois élégants, minces, assez grands et paraissaient très agréables et courtois, laissant présager une bonne soirée en perspective.
La soirée débuta par un apéritif pendant lequel *** mari et ses hôtes discutèrent travail et durant lequel Delphine intervint peu dans la conversation. Une fois à table, les conversations dérivèrent sur divers sujets tout au long du repas. Arrivé au dessert, les quatre hommes en étaient à discuter de l'argent et du pouvoir qu'il procure.

-Voyez-vous Jean, dit Mr Ches*** dans la conversation. Quand j'ai monté mon entreprise il y a 15 ans, j'avais du mal à payer mon loyer à la fin du mois. Aujourd'hui, je peux tout m'offrir, même ce qui n'est à priori pas à vendre. C'est ça le pouvoir de l'argent.

-Vous pensez que tout s'achète? Moi je ne pense pas, répondit Jean.

-Vous avez tort mon ami. Tenez, ce n'est qu'un exemple bien évidemment mais imaginons que je vous propose 10 000 euros, là tout de suite. Je vous signe un chèque ici même sur cette table.

-Euh...et bien....mais en échange de quoi?

-Pour que votre femme nous montre sa poitrine. Je le répète, ce n'est qu'un exemple pour illustrer mes propos.

-Euh.....et bien non, nous refuserions évidemment. Hein chérie, tu es d'accord?

-Bien sûr, quelle question!

-Je ne vous crois pas une seconde, vous laisseriez passer 10 000 euros pour si peu?

-Oui, exactement !

Mr Ches*** sortit *** carnet qu'il posa sur la table et commença à remplir un chèque.

-Voilà, je n'ai plus qu'à le signer. 10 000 euros pour vous si votre femme reste seins nus jusqu'à la fin de la soirée, quelle est votre réponse?
chrislebo

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#7,579
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Tout le monde resta muet pendant quelques secondes. Les deux autres invités se regardaient incrédules tandis que Jean et Delphine fixaient le chèque du regard sur la table. Au bout d'un petit moment, Jean reprit ses esprits.

-Euh......enfin Mr Ches***, répondit Jean. Vous n'y pensez....

-Attendez, dit Delphine. Laissez-moi parler quelques minutes avec mon mari. Chéri, vient dans la cuisine s'il te plait.

Une fois dans la cuisine, c'est Delphine qui commença.

-Jean, ces 10 000 euros, il nous les faut. On pourrait rembourser le crédit de la voiture et on ne commencerait plus systématiquement le mois avec 2 000 euros de découvert à la banque. Alors si c'est juste pour montrer mes seins pendant quelques heures, moi je le fait. Après tout, sur la plage, tout le monde les mate mes nichons; à ta grande satisfaction en plus, je te ferais remarquer...

-Jean fixa sa femme dans les yeux. D'accord !, on y va chérie. Si c'est ce que tu veux.

Jean et Delphine retournèrent à table.

-C'est d'accord. Ma femme et moi sommes d'accord pour ca, dit Jean rouge de confusion et de honte.

-Très bien dit Mr Ches*** en signant le chèque. Madame, je vous en prie.

Delphine déboutonna *** chemisier qu'elle jeta sur l'accoudoir du canapé puis elle dégrafa *** soutien gorge qui suivi le même chemin.

-J'en étais sûr, dit Ches***. Une magnifique paire de seins, assez gros et bien hauts, avec de jolis tétons bien proportionnés qui pointent. Mes compliments Jean, votre femme à une magnifique poitrine. Combien voulez-vous pour le reste?

Jean resta interloqué, ne sachant quoi répondre.

-Quoi?, comment?

-20 000 euros de plus pour que votre femme des mette totalement nue et le reste toute la soirée. Qu'en dites vous?

Jean ne pouvait prononcer un seul mot et restait prostré sur sa chaise.

-C'est d'accord, entendit-il au dessus de *** épaule.

Sa femme venait d'accepter l'inacceptable sans même le consulter. Avait-elle eu peur que Jean refuse la proposition? Pendant que Mr Ches*** remplissait un deuxième chèque, Jean vit Delphine enlever ses chaussures et sa robe, puis vint le tour des bas qu'elle enleva délicatement. Pour finir, elle retira *** string qu'elle laissa tomber à ses pieds.

-C'est un très joli petit cul ça mes amis, dit Ches*** à ses deux collaborateurs qui n'en croyaient toujours pas leur yeux. Regardez cette petite chatte toute lisse, pas un seul poil ne reste. Je vois que nous avons un goût en commun pour l'épilation totale, n'est-ce pas Jean?

-Euh...oui c'est vrai, j'aime que ma femme s'épile totalement le sexe.

-Delphine, pouvez-vous vous tourner et vous cambrer un peu s'il vous plait ?

Delphine hésita, puis lança un regard à *** mari qui lui fit un signe d'approbation. Elle se retourna et se plia légèrement en deux, les mains sur les genoux.

-Oh mon Dieu que c'est beau!. Ce petit abricot tout lisse m'émerveille. Et nous avons en plus un beau petit trou légèrement ouvert qui nous apprend que Madame pratique la sodomie, c'est absolument parfait. Madame est une connaisseuse, hein Jean?

-Oui, dit Jean sans autre commentaire.

Delphine servit le dessert à ses hôtes dans le plus simple appareil.

-Jean, pour être honnête avec vous, votre femme m'excite énormément et je me demandais si vous accepteriez de nous la mettre à disposition quelques heures. Je suis disposé à faire un effort financier important pour que vous nous la prêtiez à moi et aussi à Cedric et Francis. Je n'oublie jamais mes collaborateurs, dit-il en les regardant d'un œil malicieux. Di***s 40 000 euros , qu'est-ce que vous en dites?

-Non, non et non, cria Jean. Il n'en est pas question.

-Ne vous mettez pas en colère Jean. Une heure seulement si vous voulez. Je vous en offre 50 000 euros et ce sera ma dernière proposition.

Jean se tenait la tête à deux mains. Delphine lui parlait calmement à l'oreille.

-Chéri, juste une heure et c'est fini, lui susurrait-elle à l'oreille. 50 000 euros, c'est un apport pour la mai*** de nos rêves. Allez, dit oui chéri, s'il te plait.

Jean resta inerte, la tête dans les mains pendant une bonne minute.

-Oui......c'est d'accord, dit-il sans relever la tête.

-Très bien Jean, je vois que vous êtes rai***nable. Bien sûr, pour 50 000 euros, vous comprendrez que nous disposerons de Madame à notre guise et que rien ne pourra nous être refusé, on est bien d'accord?

-Oui......on est d'accord.

-Voici vos 50 000 euros Jean, faites en bon usage, dit Ches*** en lui tendant le chèque. Messieurs, mettons nous en tenue. Allez, déshabillez-vous, vous n'allez pas faire attendre une jolie femme. Jean, qu'allez-vous faire? Allez-vous rester dans la pièce pour regarder?

Jean lança un regard à sa femme qui hocha de la tête.

chrislebo

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-Oui, je préfère rester ici, sur ma chaise. Je ne vous gênerais pas.

-Comme vous le souhaitez mon ami, répondit Mr Ches***. Mais n'intervenez pas sinon notre marché est annulé.

Les trois hommes étaient désormais nus. Mr Ches*** vint s'assoir sur le canapé.

-Venez ici Delphine entre mes jambes, vous allez me sucer un peu.

Delphine, hésitante, se mit à genoux par terre entre ses jambes et le prit en bouche.

-Voilà c'est bien.........aspire moi bien la bite.........lèche moi un peu les couilles........oui, c'est bien, continue........quelle bonne suceuse tu fais.........allez pompe maintenant........pompe à fond........pompe ma salope........

Sur sa chaise, Jean était envahit par un sentiment ou se mêlaient la jalousie et l'excitation.

-Viens t'assoir sur ma queue maintenant, je vais te baiser la chatte.

Delphine se plaça sur lui, face à face, les jambes repliées sous les fesses.

-Allez bouge ma cochonne.......allez plus vite.........plus vite.......rapproche toi que je te suce le bout des seins..........

Malgré la situation, Delphine ne pouvait empêcher le plaisir de monter dans *** sexe et dans *** corps.

-T'aimes te faire baiser devant ton mari, hein?. Dis le que t'aimes ca.....Allez, dis le!

-Oui...j'aime.....ça, dit-elle.

-Alors dis le à ton mari. Regarde le et dis lui......allez ma belle.

Delphine était à présent submergée par l'excitation. Tout en continuant ses mouvement de bassin, elle se tourna vers Jean.

-Chéri, oui j'aime me faire baiser devant toi. J'aime les grosses queues comme celle là dans ma chatte. Oui, j'adore çà chéri......j'aime les bites......j'aime les bites.

-Et bien si tu aimes les bites, Cedric et Francis vont s'approcher et tu vas les sucer à tour de rôle pendant que je continue à te limer la moule. Allez les gars, venez ici.

Les deux hommes prirent place de chaque côté de Mr Ches*** debout sur le canapé, afin de présenter leur sexe à hauteur de bouche pour Delphine. Celle-ci les suça à tour de rôle en continuant de s'activer sur Ches***.

-T'aime baiser mais t'aime surtout sucer de la bite toi. Tu gobes comme une grosse pute. Je suis certain que tu adores avaler la jute, n'est-ce pas?

-Oui, j'aime ca aussi, dit-elle en passant d'un sexe à l'autre.

-Et bien il faut le dire à Jean, comment veux-tu qu'il le devine si tu ne lui dis pas.....allez, dis lui que t'aime sucer les bites !

-Oui chérie, dit-elle en se tournant vers lui à nouveau. J'aime sucer les bites.......toutes les bites bien juteuse........je veux pomper la bite de tes collègues mon chéri........Je veux avaler du jus de bite, j'adore ca le jus de bite chéri.....

Jean avait sorti *** sexe et se masturbait sur sa chaise.

-Très bien, dit Ches***. On va passer aux choses sérieuses maintenant. Delphine, mettez vous en levrette sur le canapé, les mains sur le dossier. Relevez bien les fesses, on va vous enculer chacun notre tour. Allez, c'est moi qui commence, ouvrez bien votre cul.

-Comme ça dit Delphine en se cambrant au maximum.

-Oui c'est bien comme ca........voilà, c'est bien, ma bite rentre toute seule........allez, tu la sens bien ma grosse queue dans ton cul là hein?

-Oh oui, c'est bon, elle est grosse.

-Elle est plus grosse que celle de ton mari celle-là hein?

-Oh oui, plus grosse

-Il te fait pas autant jouir par le cul ton mari hein?

-Non, pas autant, c'est bon là....,oh oui c'est bon dans le cul, chéri tu sais. Qu'est-ce qu'il m'encule bien ton patron........j'aime ça, chéri. C'est bon, oui c'est bon, c'est bon......

-Allez les gars, au suivant dit Ches*** en se retirant de l'anus de Delphine. Jean, j'ai de la peine à vous voir vous masturber sur votre chaise. Voulez-vous vous joindre à nous pour enculer votre femme ?

Jean se leva de sa chaise et vint se joindre au groupe qui se tenait autour de Delphine. C'est maintenant Cedric qui la sodomisait, puis se fut le tour de Francis et enfin Jean pris *** tour.

-Allez ma belle dit Ches***, vient t'assoir par terre et ouvre grand le bec, on va tous te juter dans la bouche et tu vas tout avaler.

Delphine s'assit sur le sol, la bouche grande ouverte en attendant sa ration de sperme, entourée des quatre hommes qui se masturbaient. Cedric éjacula le premier au fond de sa gorge. Delphine avala tout d'une traite puis ouvrit la bouche à nouveau pour accueillir le sperme de Francis et de Mr Ches*** mélangé. Elle avala les deux doses d'un coup puis reprit sa position. Jean attrapa sa femme par les cheveux et lui enfourna *** sexe entièrement dans la bouche.

-Tu veux de la bite espèce de chienne, dit-il à sa femme. En voilà de la bite, allez pompe moi la queue grosse salope. Je vais te l'enfoncer jusqu'aux couilles ma bite dans ta bouche de pute. Je vais t'envoyer la purée direct dans le gosier........aaaaaaaaaahhhhhh, voilà, je te jute dans la gorge............aspire bien ma cochonne, n'en perd pas une goutte.....

Les quatre hommes laissèrent Delphine épuisée sur le sol puis se rhabillèrent.

-Jean, ce fut une merveilleuse soirée. J'espère que nous aurons l'occasion de recommencer cela à l'avenir.

-Tout le plaisir fut pour moi Mr Ches***. Si vous le souhaitez, nous pouvons vous proposer une nouvelle invitation à diner vendredi prochain. Delphine se fera un plaisir de vous recevoir, au sens propre comme au figuré bien sûr. Bien évidement, inutile cette fois-ci de venir avec votre chéquier, il n'y aura aucun frais annexe. Cedric et Francis, vous êtes également invités bien sûr. N'hésitez pas d'ailleurs à amener quelques amis avec vous si vous le souhaitez. Je viens de constater que la capacité d'accueil de ma femme est bien plus importante que je ne pensais. Voilà, à bientôt Mr Ches***.

-Au revoir Paul et à lundi

Paul referma la porte et se dirigea vers sa femme. Il prit sa tête entre ses mains et l'embrassa tendrement sur la bouche.

-Merci chérie, c'était parfait.....

chrislebo

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#7,581
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Anaël et la grosse queue noire



Oula, je n'aurais peut être pas du faire ce concours de shots avec Marie il y a quelques minutes, la tequila ne m'a jamais fait de cadeaux! Elle m'a mise au défi de boire un mètre de shots (12 verres) plus rapidement qu'elle, citron et sel compris, la perdante paierait la tournée... j'ai gagné! Mais à quel prix!

Pour situer la soirée, mon amie Marie m'a convaincu d'aller boire quelques verres après notre service au restaurant où nous bos***s histoire de décompresser et, qui sait, faire de jolies rencontres. Généralement je ne suis pas super enjouée par ce genre de soirée, un peu timide dans les lieux publics, un peu complexée face au regard des hommes, je joue la petite souris qui préfère rester dans *** trou. Pourtant je ne suis pas repoussante, enfin je ne pense pas. Seulement voilà j'ai quelques kilos en trop et une peur panique qu'on me repousse... Mais certains soirs, je me laisse entrainer, je mets en valeur ma poitrine plutôt généreuse, mes lèvres pulpeuses, mes yeux émeraude et j'oublie que je ne rentre pas dans une taille 38 autour de quelques bières.

Je sens que ca monte, les murs autour de moi commencent à tanguer légèrement, les visages deviennent flous... Tout va bien. Autour de la table poisseuse, dans ce pub à tendance Reggae, l'euphorie a gagné tous les visages. Ça crie, ça rit, ca s'enlace, ca se chuchote au creux de l'oreille, ça s'émoustille, ça s'embrasse. Je laisse la sensation de bien être m'envahir, je suis bien.
Voilà que quelqu'un me tire de mon siège direction la petite piste de danse où Marie se trouve déjà en compagnie d'un jeune homme que je n'avais pas remarqué jusqu'à maintenant. Je flotte... ahhh l'alcool, je perds trop vite le contrôle lorsque j'en *****, mais c'est tellement agréable! Je regarde le visage de mon partenaire, je ne le connais pas non plus. Il me sourit et m'entraine dans un zouk endiablé. Je le suis, charmée par *** assurance. Il doit avoir une trentaine d'année, il est grand, 1m90 au moins, sa peau est noire comme la nuit et ses yeux encore plus sombres. A travers sa chemise je sens ses abdos, il doit être superbement bâtît. Il me dis quelque chose à l'oreille que je ne comprends pas bien à cause de la musique, il répète
- « Tu sais Anaël, pour bien danser le Zouk, nous devons avoir les bassins serrés au maximum »
Oui, donc déjà il connait mon prénom et j'ignore totalement pourquoi, mais bon, quelle importance, ce bel homme veut qu'on se rapproche, mais allons-y!
Il met sa main juste au dessus de mes fesses et me serre contre lui, et c'est reparti. C'est très agréable de se laisser guider, contrôler, il est ferme mais doux.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester à danser, ni combien de verres j'ai bu en plus dans la soirée, mais je me souviens qu'à un certains moment Marie m'a dit qu'elle partait avec Ernest:
« - Ana, j'y vais, tu veux que je te dépose ou Martin te ramène? »
Ok il s'appelait donc Martin, j'étais vraiment pas vivace ce soir! J'ai voulu répondre mais mon professeur de Zouk m'a devancé
« - C'est bon Marie, je vais la ramener moi, rentrez bien.
-Ok, parfait, alors bonne soirée » Dit Marie avec un petit clin d'œil.

chrislebo

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#7,582
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Nous avons encore dansé quelques temps, puis je me suis rendue aux toilettes pour me rafraichir un peu, histoire de reprendre mes esprits. J'étais là, devant le miroir, en train de me tamponner le front avec un peu de papier humide quand Martin est entré dans la pièce. Il est venu se mettre derrière moi et je voyais dans le miroir qu'il ne souriait pas du tout. Il m'a alors embrassé dans le cou, doucement, de ses lèvres charnues, il a passé ses bras autour des miens et m'a attrapé les seins, d'abord avec douceur puis avec plus de vigueur, de fougue. Et moi qui respirait de plus en plus fort. Ça m'excitait qu'il soit si ferme, et ça m'excitait que la porte des toilettes ne soient pas fermée à clefs.

- Tu sais que tu me fais bander Ana? Me chuchota-t-il.
Toujours derrière moi, il rapprocha *** bas vendre de mes fesses et, effectivement, je pu constater ses dires.
-J'aime tes nichons, j'ai envie de les lécher, de les mordre Ana, tu me laisserais faire n'est-ce pas ma petite salope.
Ce dernier mot me fit tressaillir, je n'avais pas du tout l'habitude qu'on me parle comme ca, mais, à ma grande honte, j'avais ressenti un certain plaisir.

Tout à coup, une femme entra, je sursautais et me détachais de Martin, réajustant ma tunique. Martin, lui, fit un grand sourire à la demoiselle qui ne dit rien mais se dépêcha de rentrer dans une cabine WC.
-Je crois qu'il est temps que tu me ramènes. Ai-je soufflé, à peine remise de mes émotions.
Nous sommes partis du pub et avons rejoint sa voiture. Sur le chemin Martin ne décrocha pas un mot, mais, à un feu rouge, m'embrassa langoureusement. Puis il posa sa main sur ma cuisse et la laissa jusqu'à notre arrivée. Je ne savais pas si je devais lui proposer de monter ou pas, il n'attendit pas que je me décide, il descendit de la voiture, fit le tour, et m'ouvrit la portière. Lorsque je suis sortie il m'embrassa à nouveau, plus sauvagement cette fois-ci, il me poussa contre la voiture et mis une de ses grosse mains sur mon sein droit et le palpa. Il pris une de mes mains et la posa de ***** sur *** entre jambes. Docile je me mis à le caresser et senti une bosse impressionnante se former.

- Toi t'as envie de ma queue, pas vrai salope?
Incapable de répondre, je gémis doucement.
-Mets toi à genoux de suite, dis t-il en commençant à enlever sa ceinture.
-Quoi? Tu rigoles, nous sommes au milieu de la rue, ai-je protesté
-Ferme là, y a per***ne dans cette rue, et puis la voiture nous cache, dit-il avec fermeté. Allez te fais pas prier, ça t'excite j'en suis sur.
Et comme pour confirmer ce qu'il pensait il passa une main sous ma tunique, descendit mon leggins sur mes cuisses et mis une main dans ma culotte.
-J'en étais sur, tu mouilles comme une chienne! Alors maintenant tu la fermes et tu me suces!!
Il avait rai***, j'étais ultra excitée, et même si je tremblais de peur qu'on nous surprenne, l'alcool n'était pas totalement dissout et je choisi de faire comme il disait. Je m'accroupie tout en restant adossée à la voiture et finit de dégrafer sa ceinture et *** pantalon. Je descendis un peu *** caleçon juste pour pouvoir sortir *** membre qui, au mon dieu, était énorme! Une matraque d'ébène d'au bas mot 25 cm et épaisse comme un salami. Je me jetais dessus telle la salope qu'il voyait en moi.
-C'est bon ça, tu es une vraie bonne suceuse, t'en ai pas a ta première espèce de trainée va, tu suces mêmes les clebs je paris pauvre salope!
Et plus il m'insultait, plus je le pompais fort, alternant le léchage de ses testicules et l'aspiration de sa grosse bite.
-C'est bon arrête je veux te baiser avant de gicler une première fois! Lève toi on rentre!

chrislebo

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#7,583
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Je m'exécutais, et ouvris la porte de mon immeuble avec peine tellement je tremblais. Lui ne prit même pas la peine de refermer *** pantalon et, une fois dans l'ascenseur, m'ordonna de le branler jusqu'au 3eme étage. Une fois arrivés devant ma porte, je pris mes clefs et il me laissa à peine le temps de les tourner dans la serrure et de rentrer, il m'agrippa soudain par les cheveux, me tira vers le bas sur le sol du couloir de mon appartement, referma d'un coup de pied la porte d'entrée et m'obligea a avaler de nouveau *** imposant membre.
-Allez, avale moi tout ça, finalement j'ai envie de t'en mettre partout sur ta gueule de pouffiasse, pompe moi bien, lèche mes couilles aussi!
Il me parlait vraiment comme si j'étais une merde, j'en avais les larme aux yeux, mais je n'avais pas envie que ca s'arrête alors je faisais de mon mieux pour le satisfaire, essayant de ne pas vomir lorsqu'il s'enfonçait trop loin dans ma gorge. Parce que c'est-ce qu'il faisait, il me baisait littéralement la bouche en me tenant fermement la tête pour que je ne puisse pas atténuer ses coups de reins. Au bout de quelques minutes il se figea au fond de ma gorge et étouffa un long râle.
-AAHHhhhh ouaiiis! Putain je te gicle sur la glotte! Avale tout! Je veux pas que tu recraches!! Ohhh c'est bonn!!!
J'étais rouge écarlate car sa queue m'empêchait de respirer, j' étais obligée de tout avaler, et quand il daigna enfin se retirer, je mis plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
-T'es une bonne soumise ma petite Ana, tu seras récompenser dans quelques minutes le temps que je me remettes! Et il alla dans la cuisine se servir un verre de whisky.

Après m'être remise, j'entrais dans le salon où Martin s'était installé, le verre à la main.
-T'inquiète pas, je vais vite rebander si tu m'aides un peu, et je vais te faire ta fête, je vais te prendre la chatte comme ça ne t'es jamais arrivé. Et je vais t'enculer !
M'enculer? Mais je n'avais jamais fait ça, et je n'en avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien. Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.
-Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t'éclater le fion. Ce soir Ana, t'es ma pute, et une pute, ca ne refuse rien si ça veut être bien payé à la fin!
Il m'attira vers lui et m'assis sur ses genoux en m'embrassant. J'étais emplie de doute et de peur, qu'avais-je fait de faire entrer un inconnu chez moi, un homme qui, de par sa carrure imposante, pourra faire ce qu'il veut de moi par la *****? Et si je lui demandais de partir maintenant? Après tout il ne va tout de même pas me violer! Si? Oh lala et sa bite, mais elle est trop grosse, même pour mon vagin, je vais avoir mal pendant des jours! Il faut que je lui dise de partir!
Mais il ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soir, il m'allongea sur le canapé, et commença à m'ôter mon leggins, avec une étrange douceur, comme s'il avait entendu mes pensées. Il m'enleva également ma tunique et je me retrouvais en sous vêtement devant cet homme noir qui me regardait avec désir.
-Écoute, cette expérience, tu ne la regretteras pas, je te promets, lâche toi, laisse moi faire. Dit-il avec assurance.
Et il plongea sur ma poitrine dont il dégagea les tétons du soutien gorge pour les embrasser, puis les lécher, les téter, les mordiller. Il m'avait convaincu! C'était si bon, je fris***nais. Il descendit ensuite sur mon ventre, toujours avec sa langue et ses lèvres, pour ensuite arriver sur mon intimité, il fit glisser mon boxer le long de mes jambes et commença à me lécher avec adresse.
-C'est bien, t'es épilée entièrement, j'adore ça!
Il savait y faire, il ne fallut pas longtemps pour que je gémisse de plaisir. Il jouait avec mon petit bouton d'amour et je perdais la tête, c'était si bon! Je mouillais comme une folle, et lorsqu'il introduisit 2 doigts d'un coup dans grotte, un petit cri s'échappa de moi. Pendant qu'il me masturbait, il en profita pour passer sa langue plus bas, entre mes fesses, sur mon petit trou, ce qui eu pour effet de me filer la chair de poule comme jamais. Il s'y attarda un moment tout en remuant ses doigts dans mon vagin. Puis il posa *** pouce contre mon anus et poussa légèrement, je me contractais.
-Laisse toi aller, tu vas voir, tu vas adorer.
Et il enfonça *** pouce... ce n'était pas désagréable en fait, il changea ensuite de doigt et mis *** majeur, plus profondément, et ensuite *** index. Il me branlait la chatte d'une main, et me sodomisait de l'autre, et moi je soufflais de plaisir.
-Ok, ca suffit, il est temps que je te baise maintenant ma salope à moi!
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il me fit me lever avec rudesse, me retourna sur le canapé, la poitrine contre le dossier, m'écarta les cuisses et d'un coup, sans préambule, m'empala la chatte sur *** mastodonte!
-Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fait mal!!! Hurlais-je les larmes aux yeux
-Ferme ta gueule sale putain, je t'ai dit que j'allais te baiser comme jamais, je tiens ma promesse. T'es une chienne! Alors je te monte! Je t'éclate la moule!!
Il sorti *** énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommença, encore et encore. Je criais ma souffrance mais après quelques minutes je commençais à ressentir des ondes de plaisirs m'envahir. Il me défonçais et me tirant les cheveux et moi j'en redemandais.
-T'aime ça, dis le que t'aime ça!
-Oui ouiii c'est bon, j'adore ta queue au fond de ma chatte, défonce moi!
Il me tirait les cheveux et me claquait les fesses. Il me poussa de nouveau sur le canapé, me retourna, passa mes jambes sur ses épaules et s'enfonça de nouveau en moi, plus profondément encore. J'avais l'impression d'être transpercé de part et d'autre de mon corps. Il se pencha et mordit un de mes seins, ce qui me fit hurler de douleur.
-Mais putain ta gueule je t'ai dit!
Et il claqua ce même sein avec sa main, je pu retenir mon cri cette fois ci.

chrislebo

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#7,584
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Après quelques minutes de ce traitement, il se retira, en nage, la bite toujours fièrement dressée et m'ordonna de me lever du canapé.
-Maintenant, trainée, tu vas te mettre à quatre-pattes par terre illico.
J'obéis sans broncher, après tout je prenais un pied d'enfer avec ce mec!
Une fois à quatre-pattes à même le sol, il me donna l'ordre de me cambrer au maximum.
-Comme une chienne qui donne *** cul au berger allemand du voisin, dépêche!
Il se pencha, mis sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l'étala entre mes fesses. Je savais ce qui allait se passer, la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur *** sexe, qui semblait encore plus gonflé qu'avant. Il s'agenouilla derrière moi, cracha sur mon anus, introduisit une nouvelle fois *** majeur puis *** index, fit quelques va et viens qui ne me firent pas mal une seconde.
-Tu vois, tu t'habitues, je savais qu'étais une belle salope, mais de là à accepter une première sodomie sans broncher, ça sa me tue!
Et là, il ôta ses doigts et posa *** gland sur mon œillet. Il poussa et la douleur m'envahit, les larmes coulèrent d'un coup.
-Ooohhh aïe aïe arrête Martin arrête, tu me fais mal!
-Tu rigoles ou quoi? Je vais te casser le cul! Prends ça
Et d'un coup il enfonça sa bite jusqu'à la garde dans mon fondement
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHH Putain!!!! Ahhhh t'es taré, ah putain, ca fait trop mal!
Il n'en avait rien a faire de mes cris, de mes supplications pour qu'il arrête tout, il fit coulisser sa queue jusqu'à la sortie et la renfonça d'un coup, m'arrachant un hoquet de douleur, et il recommença encore. La douleur était immense et je me mis à me débattre. Il claqua mes fesses, m'attrapa un bras et le tordit dans mon dos pour que je cesse de gigoter. Cette posture m'obligeait à me cambrer encore plus.
-Arrête de te débattre, sinon je tu vas te péter le bras toute seule!
Je me calmais pour ne pas aggraver les choses. Il me ramonait le cul avec énergie. Je sentais toujours une grosse douleur mais bizarrement je commençait également à aimer cette douleur justement, elle était mêlée à autre chose, et même si chaque coup de butoir me faisait hoqueter, entre mes cuisses ma chatte recommençait à couler. Quelle salope j'étais!
-T'aime que je te dilate le cul, hein ma grosse salope! Je sens bien que tu mouilles! Vas-y, crie bien fort, j'adore ça, ça m'excite!
-Oh putain tu m'éclates le cul avec ta grosse queue, t'arrête pas putain oh oui!
-T'es qu'une truie qui aime se faire péter le cul, t'es bonne qu'à te faire défoncer, salooppe
Il ne me ramonait plus maintenant, il me pistonnait carrément, comme un fou, il s'était relevé sur ses jambes, avait lâché mon bras pour attraper mes cheveux et les tirait en m'insultant, à bout de souffle.
-J't'encuuuule! Je te casse le cul!!!! Puuuuute!
Et m'assena le coup de grâce en ce plantant au plus profond de mon anus et en expulsant de longues giclées de foutre avec des soubresauts. Je tombais à la renverse et lui sur moi, chuchotant des mots sans queue ni tête et en inspirant et expirant très fort
-salope... prise... truie... encore.... Pute.... Salope.... Salope... foutre... chienne...
Puis, il se releva, alla se rafraichir dans la salle de bain pendant que je m'assis, non sans douleur sur le canapé. Il revint, récupéra ses affaires, s'habilla sous mon regard interrogateur, je pensais qu'il resterait dormir au moins. Il pris quelque chose dans sa poche, une petite liasse de billet qu'il me jeta à la figure
-T'es une bonne pute, je reviendrais te voir pour te mettre ton compte
Et il disparu, claquant la porte sans un baiser, me laissant seule, humiliée mais heureuse.
chrislebo

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Incapable de la satisfaire



J'ai laissé tomber ma femme pour Bénédicte, une femme plus jeune. Une femme très marrante, d'un physique un peu atypique, très mince et fine, peu de fesses et peu de seins, mais avec un je ne sais quoi qui me rendait fou. Elle venait de quitter *** mari. Elle avait reçu une éducation très catho, et n'était pas du tout du genre à provoquer les hommes. A 38 ans, je n'étais que le deuxième homme de sa vie.
Au début, tout se passa bien. Elle appréciait, je crois, les attentions que je lui témoignais. Tout cela était nouveau pour elle. Même physiquement, malgré la différence d'âge (j'ai 50 ans) et mon manque de sportivité, je trouvais cela très bien.
Très rapidement cependant, il est apparu qu'elle s'énervait souvent sur moi. Nos disputes étaient très fréquentes, et pour tout dire, incompréhensibles pour moi. Nous nous réconcilions toujours et elle disait m'aimer, mais le lendemain, c'était reparti, elle claquait la porte de mon appart et rentrait chez elle. J'étais prêt à n'importe quoi pour la garder, mais je n'identifiais pas ce qui n'allait pas. Je finis par me rendre compte qu'elle attendait autre chose, sexuellement. Elle m'avoua qu'elle éprouvait du plaisir, mais pas à la hauteur de ce qu'elle recherchait. Elle s'était toujours cachée à elle-même (à cause de *** éducation catho), ce besoin de sexe qu'elle éprouvait. Elle me disait que cela ne pourrait pas continuer, plus j'allais vieillir, plus le problème allait être aigu, d'autre part, elle n'avait pas envie de me quitter, mais elle pensait que cela se produirait immanquablement un jour.
J'étais désespéré, et ne savais que faire. Au bout d'une de nos nombreuses ruptures, qui avait duré plus longtemps que d'habitude, je finis par lui proposer honteusement de voir un autre homme. Elle me répondit avec sévérité que cela, elle ne l'accepterait jamais, et qu'elle me quitterait le jour où elle se donnait à un autre. Une autre dispute éclata, et elle finit par ne plus me voir. Je traînais souvent dans *** quartier et je remarquais très vite qu'une voiture noire était garée devant chez elle. Je vis un jour sortir un grand type, de *** âge environ, crâne rasé et mâchoire carrée. C'était donc *** nouvel amant.
En lui téléphonant, elle m'avoua que c'était un ancien collègue, qui lui tournait déjà autour quand elle était mariée. Je lui demandais comment ça se passait avec lui, et elle me dit avec cruauté que le sexe était extra, et qu'il la faisait jouir comme elle n'avait jamais connu cela. Cependant, elle m'avoua qu'elle regrettait ma gentillesse, ma conversation plus intellectuelle, et un certain train de vie que je lui procurais.
Cela me trotta dans la tête pendant quelques jours et je finis par revenir à la charge avec mon offre. Bénédicte mis du temps à accepter, mais finalement, un beau jour elle débarqua à l'appart avec deux valises et s'installa comme si de rien n'était. Nous connûmes de bons moments ensemble pendant près d'une semaine. Le week-end, elle s'éclipsait le samedi soir et ne revint que le dimanche en fin de matinée, toute langoureuse. Elle ne m'empêcha pas de lui faire l'amour. Le week-end suivant, cela recommença, et ainsi de suite toutes les semaines, où elle s'éclipsait une ou deux nuits ou soirées. Je ne pouvais m'empêcher d'être excité en la voyant se préparer pour ses rencontres avec Laurent, maquillage, bas noirs avec porte-jarretelles, nuisettes de soie noire. Elle m'avait garanti que Laurent ne sortait qu'avec elle et qu'ils avaient fait un dépistage sida.


Une nuit, alors qu'elle était rentrée vers trois heures du matin, elle vint se coucher sans se déshabiller entièrement ni se doucher. Elle était donc allongée à côté de moi portant l'odeur de l'homme qui venait de la prendre, et dans la tenue sexy qu'elle avait revêtue pour lui, pas pour moi.
Je sentais l'excitation monter et moi et je commençai à la caresser. Elle répondait mollement à mes caresses et me dit qu'elle était fatiguée, et que de toutes façons, je ne pourrais pas la faire jouir comme Laurent l'avait fait. *** mépris m'excitait encore plus, et, comme dans un rêve, je me sentis descendre le long de *** corps et je commençai à lui lécher le sexe. Elle avait dû se laver en quittant Laurent, mais il me semblait tout de même, en la léchant avec application, que je récoltait un peu de la semence de *** amant. Elle avait gémi pendant mes caresse, et lorsque je terminais mon travail, je l'entendis dire dans un couinement « et en plus , il aime ça, le cocu ».
J'avais mis le doigt (si l'on peut dire) dans un engrenage fatal.
chrislebo

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#7,586
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e lendemain, j'entendis Bénédicte dire par GSM à *** amant, "que j'avais mangé les restes", et ils semblaient en rire beaucoup. Quelques jours se passèrent encore. Tout allait bien entre nous, mais je sentais que Bénédicte était de plus en plus hautaine avec moi. Elle ne se gênait pas pour téléphoner à Laurent devant moi, avec des allusions à peine voilées. Lorsque vint le week-end suivant, elle m'appela dans la chambre, où se trouvait un grand miroir, ainsi que la garde-robe, et me demanda de l'aider à choisir une tenue pour le voir. Le cœur palpitant, je choisis pour elle une guêpière noire à laquelle elle pouvait fixer des bas noirs. Elle prit des bas avec un dessin un peu lourd et vulgaire, me disant avec un clin d'œil « si c'est pour faire la pute, autant ne pas le faire à moité ». Je connut ***************, mais aussi le plaisir sulfureux, de me mettre à genoux devant elle pour l'aider à fixer ses bas, à enfiler sa petite culotte en dentelle noire sans l'accrocher à ses talons aiguilles. Me dominant de la hauteur de ses escarpins, elle était superbe. Et je me l'imaginais avec envie dans les bras de *** amant.

Quand elle rentra aux petites heures, elle avait manifestement bu, et rit beaucoup en me voyant tout contrit, l'attendant en pyjama rayé. Elle me fit baisser mon pantalon « pour voir dans quel état j'étais » et rigola franchement en voyant mon pénis redressé . « On est loin de ce que je viens de m'enfiler » me dit-elle, « mais on voit que tu t'appliques. Sois heureux, je t'ai ramené de bon restes, encore tout frais ». Elle se coucha sur la table du salon et releva sa jupe. Elle n'avais pas remis sa culotte. « Vient ici, mon gros cocu », dit-elle. Et je m'agenouillai devant la table et enfuit mon visage entre ses cuisses maigres et musclées. Tout de suite, je sentis le goût âcre du sperme de *** amant. Je n'éprouvais aucun dégoût, juste l'envie d'en profiter pleinement. Pendant que je la léchais, elle m'expliqua qu'il avait joui trois fois en elle, et qu'ils avaient décidé de me faire tout nettoyer, puisque j'aimais ça. Elle me dit « tu pourrais dire merci », et éclata de rire. Puis, l'idée lui venant tout à coup, elle prit *** GSM et composa un numéro, elle dit « je te passe mon cocu, il veut te dire merci ». Je pris le téléphone en tremblant et j'entendis une voix très virile et très méprisante me dire « alors lopette, qu'est ce qu'on dit, maintenant que je t'ai baisé ta femme ? ». « Merci ». « Merci qui ? Merci pourquoi ? » « Merci Monsieur, d'avoir bien baisé ma femme ». Il partit d'un grand rire « eh bien, on va bien s'entendre alors ! ».

Je repris ensuite mon nettoyage minutieux de la vulve de Bénédicte pendant qu'elle reparlait avec *** mâle de leurs étreintes de la soirée. A ma grande surprise (et délectation) j'entendais mon ex-petite catho utiliser des expressions comme « tu as bien baisé ta salope - j'ai adoré ta grosse bite bien dure qui me pénétrait – tu es mon mâle – vivement que tu me reprennes par derrière comme une chienne, etc. ».

Lorsqu'elle eut raccroché et soupiré un peu plus bruyamment sous mes coups de langue, elle me dit « et maintenant, ta petite récompense ». Je croyais qu'elle allait me permettre de la pénétrer, mais il n'en fut rien. Elle se mit debout sur la table, et m'ordonner de poser mon sexe sur le rebord. Ensuite, elle posait le bout de *** escarpin dessus, en maintenant une pression suffisante pour le coincer. « branle-toi avec ma semelle » me dit-elle. Honteux et confus, j'obéis. Sa semelle m'écrasait un peu, mais je tâchais de faire aller mes fesses en avant et en arrière, jusqu'à ce que je jouisse. Elle rit encore, puis alla se coucher.

chrislebo

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#7,587
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des samedis inoubliables



Maintenant mon chef de services me regarde d'un autre oeuil. Paul lui a montré les photos et même un film avait été tourné a mon insu. Je passe pour une vrai salope. Quand je le suce ou qu'il me sodomise dans les archives, il ne prend plus de gants, il y va sauvagement. Les fellations se font de plus en plus profondes et quand j'ai des hauts de coeur il continue sans remords. Parfois je reste tard avec lui. Il me regarde me goder en se masturbant. J'aime qu'on me regarde cela m'excite. Je m'assied par terre entièrement nu les jambes en l'air bien écartées. J'introduis le gode lubrifié bien au fond de mon anatomie et je l'active en le regardant dans les yeux. Je me caresse les tétons et passe la main sur la cage posée pour m'empêcher de me masturber. Je prend mon plaisir autrement en excitant mon chef. Ca le rend fou et il se venge en me baisant par la bouche. La dernière fois nous avons failli nous faire surprendre par la femme de ménage. Elle avait entendu du bruit et venait voir ce qu'il se passait. Heureusement mon chef était habillé. Il est sorti du bureau pour dire qu'il faisait des heures supplémentaires.

Paul est revenu me chercher un samedi. Comme d'habitude j'ai fais le voyage nu dans le coffre. Entre temps il avait fait quelques travaux dans *** garage. Maintenant il pouvait m'attacher les bras en l'air et les pieds au sol. Au centre du garage là ou je me tenais je pouvais voir une allée allant de la nationale a la villa. Je voyais passer des voitures, si des gens se promènent a pied et tournent la tête, ils me verraient. Heureusement nous sommes dans un lieu isolé.
Il a commencé par écrire sur le torse ma condition, c'est à dire qu'étant un batard ceux qui verront les photos le savent. Donc des inscriptions sur tout le corps. Devant comme dernière en m'expliquant qu'il utilisait un feutre indélébile. Puis posa des pinces sur les seins puis enleva la cage sur mon sexe pour m'attacher les couilles avec un lien qu'il serra trés fort. La dessus il accrocha une autre ficelle avec des poids a *** extrémité. Ils pendaient entre mes jambes sans toucher le sol en me tirant les couilles. Il me baillonna. Nous étions que lui et moi. Il enleva sa ceinture et commença a frapper sur les fesses, mais aussi sur mon sexe. En remuant, les poids se balançaient accentuant la souffrance. Je gueulais mais le baillon laissa passer que des gémissements. En frappant, Paul récitait toutes les insultes possibles a chaque coup, une nouvelle insulte:

_"Salope, bâtard, chienne, pompe a foutre, buveur de foutre, pétasse, conasse, pédé, suceur de bites, etc, etc..."

Parfois il s'arrêtait pour venir me cracher au visage et prendre des photos et me demander si j'en voulais encore. Je secouais la tête pour dire non, mais il continuait. Les fesses me faisaient souffrir et le reste du corps aussi. Il arrêta enfin, enleva le baillon. Je le remercie:

_"Merci monsieur."

_"Dorénavant tu m'appelleras "Maitre". Tu seras mon esclave, je serais ton Maitre. Tu feras ce que je te demande. Si tu refuses je t'attacherais comme maintenant et je frapperais beaucoup plus fort. T'as compris?"

_"Oui Maitre."


Il m'enlève les pinces, les poids et me détache pour prendre la position du chien. C'est à dire a 4 pattes. Il caresse mes fesses meurtries en me flattant de ma docilité;

_"T'es un bon chien, pour te récompenser je vais te dilater le cul. Je vais commencer avec un gode puis je vais t'enfoncer la main entière. Je vais t'exploser le cul. Ok chien?"

_"Oui Maitre. Merci Maitre"

Il introduit un gode de bonne taille bien lubrifié et commença les vas et viens. C'était trés agréable. Beaucoup mieux que les coups de ceintures.Il me caressait la tête comme on caresse un chien. Il t'enduisis la main d'un puissant gel et me doigta en les enfonçant il tournait la main pour une meilleure pénétration et me demandait combien de doigts il rentrait.

_ "4 je crois Maitre."

_" Bien, bon chien qui sait compter. Maintenant j'entre le pouce."

chrislebo

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Sa main rencontre des difficultés. Il me tient par l'épaule et insiste. Je gueule. J'ai vraiment l'impréssion qu'il me déchire l'anus.

_"Ta gueule pétasse, j'y suis presque. Serre les dents et ouvre ton cul de salope. Laisse moi entrer en toi chien-chien."

Je creuse les reins pour l'aider. En poussant fort il y parvient. J'ai sa main entière dans mon cul. Il ne bouge plus, moi non plus.

_"Tu vois? C'était pas plus difficile que ça. T'es vraiment une pétasse. Maintenant je vais te ramoner comme une poufiasse. Je veux t'entendre couiner comme une femelle en chaleur. La prochaine fois tu te feras fister par mes copains. Il te prendrons devant moi et je te pisserais dans la bouche. Tu avaleras sans perdre une goutte car tu es une vraie chienne. Un bon batard obéissant. N'est ce pas?"

Je prenais du plaisir à me faire insulter avec sa main enfouie, j'étais vraiment une sacrée salope. Il le voyait et accélérait le mouvement.Je ralais de plaisir. Je ne puis m'empêcher de dire:

_"Merci Maitre. Merci Maitre de faire de moi une chienne. Je ferais tout ce que voudrez. Je suis une chienne haaaaaaaa, ho oui c'est bon."

_"Aboie chienne. Tu aimes ça on dirait"

J'aboyais comme je pouvais. Je ne savais pas qu'on pouvait prendre autant de plaisir en se faisant humilier de la sorte. Je ne pensais a rien, je n'étais que jouissance pure. J'avais les avants bras par terre le front sur le sol la croupe bien en l'air. Il me soulevait du sol avec la seule ***** de *** bras en continuant de limer. J'étais en nage, je transpirais de bonheur, a deux doigts de jouir. Il arrêta et retira sa main.

_"Léches mes chaussures femelle."

Je lui léche les pieds pendant qu'il s'éssuit les mains. Il me choppe par les cheveux.

_" Viens par ici petite fiote, je vais pisser dans ta gueule de salope."

Il m'entraine sans ménagements dans le jardin et m'éxplique comment prendre la position de l'urinoir. A genoux, assis sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement penchée en arrière, et la bouche grande ouverte. Je m'exécute et il m'innonde.

_"Avale pétasse, t'es qu'un conard de gosse. Si tes parents te voyais ils te déshériteraient. T'es qu'une merde con comme un balai avec un trou du cul plus gros que ton cerveau."

Puis il se masturba dans le même orifice.

_"Samedi prochain je te réserve une surprise on verra jusqu'ou tu iras. Maintenant il est l'heure de te ramener. J'ai fini avec toi pour aujourd'hui."

chrislebo

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L'amant de ma mère


A l'âge de 20 ans je n'avais pas encore une sexualité bien affirmée. Mon allure androgyne, les cheveux longs, un corps svelte et imberbe, créait la confusion chez les autres ainsi que pour ma libido ! Avec mon corps svelte et un joli cul pommelé et cambré, j'étais conscient de plaire à certains hommes d'âge mûr. Je devais avouer avoir également une certaine attirance pour des per***nes du même sexe. Un beau paquet et une longue bite qui déformait un jeans avaient le don de me faire saliver.
Le plus souvent en rentrant du lycée, étant seul à l'appartement pendant plusieurs heures j'avais pris l'habitude de me travestir avec les dessous en dentelle de ma génitrice. Le fait de me contempler ainsi parée devant le miroir m'émoustillait au plus haut point. Je pris assez rapidement conscience de la féminité qui émanait de mon corps et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes sous mes habits de garçon pour aller au Lycée. Même une fois l'heure d'aller se coucher venue, je chipais dans le bac à linge sale, une petite culotte portée par ma mère pendant la journée. Je me branlais dedans tout en m'endormant avant de sombrer dans les bras de Morphée toujours ceint par ce bout de tissu maculé de ma semence.
Je vivais alors avec une mère divorcée mais qui était encore très belle pour *** âge et surtout active sexuellement. Elle avait en conséquence, un amant qui était aussi notre voisin de palier. Cette relation était avant tout, pour elle, hygiénique, afin d'assouvir sa libido encore débordante. Une nuit que ma mère dormait avec *** amant dans sa chambre, une envie pressente me fit me lever au milieu de la nuit pour me rendre à la salle de bains commune pour faire pipi. Fidèle à mes habitudes, je portais un Dim up et une petite culotte en dentelle noire dont le gousset était encore blanc du mélange de la cyprine et de mon sperme sec. ***** de l'habitude j'avais négligé de fermer la porte à clef. Soudain, alors que j'étais en train d'uriner, assis sur la cuvette comme le ferait une fille, l'amant de ma mère poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de *** caleçon. Conscient de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposé à ses yeux, sans échappatoire, j'étais tétanisé incapable de réagir. Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes d'hésitation, Il bredouilla des excuses et sortit précipitamment non sans avoir posé *** regard sur la culotte roulée sur mes chevilles ainsi que sur les bas. Je sentis une certaine nausée monter en moi, un mélange de honte et de désespoir à l'idée de le recroiser le lendemain.
Pendant plusieurs jours j'évitais soigneusement de croiser le regard de cet homme lorsqu'il était à la mai***. Un matin, alors que je le croyais parti plus tôt dans la matinée en compagnie de ma mère, je me rendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en ce jour de vacance. A ma grande surprise, il était là, seul, attablé, en train de boire tranquillement *** café. Bien que cette fois je sois vêtu d'un tee-shirt et d'un caleçon, je ne pus m'empêcher de rougir. Ce fut lui qui brisa en premier la glace. "Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas d'ailleurs" me dit-il sur un ton enjoué avec un sourire en coin. Mon visage s'empourpra de plus belle et j'étais incapable d'articuler la moindre syllabe. Il sentit mon malaise et me dit: "Ne sois pas gêné, c'est naturel, tous les garçons de ton âge ont fait ça un jour pendant leur adolescence, même moi tu sais". Il avait l'air tellement compatissant. Je ne savais trop que penser de cela, cependant sa remarque me redonna confiance. C'était un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes gri***nantes, l'œil gris clair et vif. Pour la première fois j'éprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme l'amant anonyme de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme s'il avait deviné ma pensée il me dit: "tu n es pas en fille ce matin? » Avec un nouvel aplomb je lui répondis que je ne faisais pas ça tous les jours et lui répliquais pourquoi vous aimeriez me revoir habillé en fille ? Et pourquoi pas ! Cette réponse de sa part provoqua chez moi un déclic. Je lui dis attendez moi ici je reviens. Je me dirigeais alors dans la chambre de ma mère pour enfiler des bas noirs, un porte-jarretelles et un string assortis ainsi que des petites mules à talons légèrement trop petites pour moi. Je revins dans la cuisine, ainsi accoutré, avec une démarche mal assurée, juché sur ces petits talons. A mon entrée dans la pièce, je sentis aussitôt que le souffle de cet homme, qui était l'amant de ma mère, était plus court et qu'il me dévorait des yeux. Je vis dans ses yeux brillants qu'il éprouvait du désir pour moi. Tout d'un coup fier de mon corps, je restais immobile et muet devant le plan de travail, sans oser me retourner, attendant sa réaction. Il s'enhardit après m'avoir complimenté sur ma beauté et sur le choix de mes dessous, il me fit alors cette proposition étonnante: "Ecoutes, je comprends que ce ne soit pas très facile pour toi de t exhiber ainsi chez ta mère mais si tu veux tu peux le faire tant que tu veux chez moi, en plus au lieu de le faire seul tu auras un public et crois moi je suis un sacré connaisseur en la matière. Il ajouta qu'il m'achèterait tous les dessous que je voudrais. Je parvins à articuler un "d'accord" à peine convaincu et je compris qu'à compter de ce jour là commençait pour moi, une aventure dont je ne maitrisais plus le déroulement.
chrislebo

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Le lundi suivant comme convenu je me rends chez mon voisin de connivence. Je terminais mes cours à 15h. J'avais 3 bonnes heures devant moi avant que ma mère ne rentre du boulot en plus je n'avais que le palier à traverser pour rentrer chez moi.

Je ***ne alors à sa porte un peu fébrile, ce jour là je portais un string noir avec *** porte jarretelles assortis ainsi que de beaux bas nylons à couture, le tout emprunté à ma mère à *** insu bien sûr. Le tout était soigneusement camouflé sous un jeans et des chaussettes.

J'entends du bruit derrière la porte puis soudain elle s'ouvre sur mon futur nouvel amant du moins l'espérais-je du fond de mon cœur.

En effet depuis notre petite conversation, je n'avais cessé d'épier cet homme magnifique qui faisait tellement jouir ma mère il me suffisait d'entendre leurs ébats nocturnes, il faut dire que ma mère est du genre jouisseuse qui se lâche niveau décibels !

« Bonjour Paul »

« Bonjour....

Au fait nous n'en n'avons pas parlé quel prénom de fille souhaiterais-tu porter ? »

Je me sentis d'un coup tellement embarrassé et décontenancé, je n'y avais pas ***gé.

« Que dirais tu de Sarah ? » me demanda-t-il.

« Oui c'est joli » lui répondis-je.

« Tu comprends Sarah fut mon premier amour de jeunesse et tu lui ressembles tellement ! »

Il me fit entrer.

D'un pas hésitant je pénétrais dans *** appartement. Il était meublé avec goût et me paraissais très classe loin de notre appartement dépouillé. En effet ma mère se saignait aux quatre veines pour payer mes études et nous n'avions pas beaucoup d'argent à la mai***.

Paul sent mon trouble et me propose un « ***** » pour me décontracter. J'accepte *** offre et me love dans *** confortable canapé en cuir fauve en attendant *** verre.

2 minutes plus tard, il me tend alors un cocktail de sa fabrication, en tant qu'ancien barman de boîte de nuit, il faut dire qu'il en connait un rayon.

« Alors ma belle as-tu mis de beaux atours pour moi aujourd'hui ? » me demanda-t-il.

Sans même répondre je me lève et commence à descendre mon jean lentement pour qu'il puisse bien apprécier mon mini striptease rien que pour lui.

Petit à petit je dévoile mon porte-jarretelles puis mon string et enfin mes bas gainant mes longues jambes, en effet je fais un bon mètre quatre vingts, ce qui a tendance à pas mal exciter les hommes.

Paul reste sans voix.

J'enlève maintenant mon T-shirt, dévoilant à mon hôte un torse totalement glabre, j'ai en effet de la chance à 20 ans je n'ai aucun poil sur cette partie de mon corps.

Paul retrouvant d'un coup sa voix me dit...

« Tu es vraiment très belle Sarah, nous allons faire de grandes choses ensemble tu verras. »

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