chrislebo
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Carole était surexcitée ce matin là. C'était *** premier jour à l'agence. Hier elle était passée chez l'esthéticienne pour une épilation intégrale du maillot et de la raie des fesses, au grand étonnement de *** mari. Comme *** employeur l'avait également exigé, elle avait mis la tenue réglementaire: Jupe courte, chemisier décolleté, pas de soutien-gorge (Carole pouvait s'en passer malgré une poitrine imposante mais encore bien ferme à 35 ans), mais elle avait gardé une culotte. En effet, elle s'était demandée comment elle expliquerait à Francis, si l'envie lui prenait de passer la main sous sa jupe avant de partir au boulot, pourquoi sa femme, subitement devenue adepte de l'épilation totale, ne portait pas de culotte pour aller travailler. Elle avait donc décidé de porter un petit string qu'elle enlèverait tous les jours discrètement dans la voiture et qu'elle remettrait en fin de journée sur le chemin du retour. Une fois à l'agence, Carole pris possession de *** bureau et de quelques dossiers simples à traiter avec l'aide des explications préalables de Manon, sa nouvelle collègue. Un peu avant 11 heures, Mr Brissot arriva à l'agence. Il salua l'ensemble du per***nel exclusivement féminin avant d'arriver devant le bureau de Carole. -Bonjour Carole, comment allez-vous? -Très bien Monsieur, je vous remercie. -Ma chère Carole, j'ai un rendez-vous ce midi au restaurant avec trois clients français qui pourraient nous passer un grosse commande. Puis-je compter sur vous pour m'aider à distraire ces messieurs pendant le repas afin qu'ils soient dans les meilleures conditions possibles pour parler affaires cet après-midi? -Euh...oui, bien sûr Monsieur, répondit Carole sans réfléchir. -Très bien, nous partons avec ma voiture à midi, le restaurant est à quelques minutes. -Oui Monsieur...d'accord. Le chauffeur arrêta la voiture devant l'agence à midi pile. Carole et *** patron montèrent à l'arrière. -Carole, venez vous mettre au milieu de la banquette. Relevez un peu votre jupe et écartez bien les cuisses afin que Paul puisse regarder votre chatte dans le rétroviseur. -Mais enfin..... -Carole, vous connaissiez la nature de cet emploi quand vous l'avez accepté. Alors ne m'obligez pas à me répéter à chaque fois que je vous demande quelque chose s'il vous plait. C'est une coutume avec Paul quand une de mes employées monte dans la voiture. Un petit plaisir que je lui octroie gracieusement. Il aime regarder les femmes qui se doigtent dans *** rétroviseur. Alors allez y pendant les quelques minutes que dure le trajet, branlez-vous bien s'il vous plait. -Oui... oui Monsieur, je vais le faire. -C'est une belle pute que vous avez trouvé là Monsieur, une fois de plus, dit le chauffeur. Carole rougit à ces mots mais n'osa pas répondre. -Merci Paul, vous me flattez. Pour vous remercier, je vous ferai faire tailler une pipe par cette dame à un autre moment quand nous aurons plus de temps. Di***s demain matin à 9 heures. Carole, veuillez noter dans votre agenda d'aller sucer Roger à 9 heures demain matin. -Oui, oui Monsieur, je vais le noter. Ce sera fait. Carole ne connaissait pas le restaurant. Quand ils arrivèrent, un serveur les accueillit et les conduisit à l'étage dans une petite salle privée au centre de laquelle était disposée un belle table. Trois hommes en costumes étaient déjà installés. -Puis-je prendre votre veste, Monsieur, dit le serveur à Mr Brissot. -Tenez, la voici mon ami. Vous prendrez également les affaires de Madame. -Carole tendit sa veste au serveur qui commença à ranger l'ensemble dans le vestiaire à l'entrée de la salle Mr Brissot interpela alors le serveur. -Excusez-moi mon ami, je n'ai pas été tout à fait clair. Je voulais dire que vous prendrez toutes les affaires de Madame. Le serveur, étonné, se tourna vers Carole. -Alors Carole? Qu'attendez-vous? Continua Brissot. D'abord hésitante, Carole finit par se déshabiller totalement, puis tendit l'ensemble de ses vêtements au serveur dont le regard ne pouvait se détacher du spectacle qui s'affichait sous ses yeux. Brissot s'était assis et Carole se trouvait maintenant totalement nue devant les quatre hommes. *** patron prit la parole. -Messieurs, comme je vous l'ai promis, je vous présente Carole, la nouvelle salope de l'agence qui va s'occuper de vos queues pendant le repas. Vous pourrez la prendre par tous les trous comme bon vous semble car pour nous, vous le savez bien, le client est roi. Carole, je suis désolé mais vous déjeunerez plus tard. Tout ce que vous aurez dans la bouche ce midi se limitera à de la bite et des couilles. Cela dit, vous aurez peut-être droit à un petit encas si ces messieurs ici présents ***t disposés à vous laissez avaler la jute. Ce sera à eux de voir si vous l'avez mérité ou pas. En attendant, pendant que nous choisis***s sur la carte, passez donc sous la table. Il y a quatre queues à pomper. Il ne faut donc pas chômer. Carole s'exécuta. Sous la table, les quatre hommes avaient déjà leur pantalon sur les chevilles. Carole les suça à tour de rôle avec application. Au dessus, le serveur prenait la commande. -Et pour Madame, ce sera quoi ?, dit le serveur à la fin en s'adressant à Brissot.. -Madame va prendre nos bites dans *** cul et dans sa chatte, ce sera tout pour elle. -Très bien Monsieur, c'est noté. Au bout de quelques instants, l'un des clients s'adressa à Mr Brissot. -Dites donc Brissot, c'est une belle salope que vous nous avez ramené là. Regardez comme elle me suce la bite. On dirait qu'elle jouit par la bouche cette pute. -C'est vrai, dit le deuxième. En plus avec la vue qu'on a sur ses gros nichons qui bougent quand elle pompe, c'est une merveille. -Merci messieurs, je dois dire que j'ai un certain talent pour dénicher les grosses cochonnes. Pour celle-ci, j' ai vu tout de suite qu'elle aimait la bite quand elle a postulé avec *** petit cul et ses gros nibards. Je ne crois pas m'être trompé. -Oui et je pense qu'on va se la partouzer, qu'est-ce que vous en dites? En tout cas, moi, je compte bien mettre ma queue dans tous ses trous, dit le dernier. -Patience mon ami, on la partouzera tous ensemble cet après midi, on sera bien plus à l'aise dans mon bureau sur le canapé pour lui remplir tous les trous en même temps. -Vous avez rai*** Mr Brissot, gardons cela pour cet après-midi. Mr Brissot reprit la parole. -Carole, veuillez sortir de là maintenant et mettez-vous à quatre pattes par terre, le cul tourné vers nous pour que l'on puisse admirer votre belle chatte toute lisse. Carole se positionna à l'endroit indiqué par Brissot. -Écartez bien les cuisses et cambrez-vous un peu que l'on voit bien votre trou du cul aussi. Et branlez-vous de temps en temps, cela nous fera un peu d'animation. Carole, garda cette position jusqu'à ce que les quatre hommes aient consommé leur entrée. Quand le serveur vint récupérer les assiettes, *** regard avait du mal à se détacher des fesses offertes devant lui. -N'ayez crainte mon ami, lui dit Brissot. Vous pourrez disposer de ce cul à la fin du repas si celui-ci nous satisfait. Alors je vous conseille de soigner le service si vous voulez y fourrer votre bite. -Merci Monsieur, je vais faire le maximum, répondit-il. -Messieurs, qui d'entre vous veut commencer?
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chrislebo
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-Moi répondit l'homme à sa droite. J'aimerai l'allonger le dos sur la table avec le cul au bord et la baiser par la chatte pendant que vous lui tiendrez les jambes relevées de chaque côté. -Vous avez entendu Carole, venez ici nous allons faire un peu de place sur la table. Carole s'allongea sur la table et l'homme en chemise cravate la pénétra immédiatement. -Aidez moi messieurs. Maintenez lui les jambes bien en l'air pour lui écarter la moule pendant que je la fourre. -Voulez-vous la prendre par le cul également?, Dit Brissot au bout de quelques minutes. -Non, elle est trop bonne par la chatte. Et en plus elle semble vraiment aimer ça. Regardez comme elle mouille, la salope. C'est vrai ça. Dites donc ma petite Carole, vous semblez prendre votre pied. Vous êtes une vrai cochonne en fait, n'est-ce pas? -Oui Monsieur, c'est vrai que c'est bon. -Vous les voulez nos queues hein? Dites le. -Oui Monsieur, je les veux. -Dites le encore mieux que ça. -Oui, je les veux vos grosses queues. Je les veux, dans ma chatte, dans mon cul et dans ma bouche. Je veux boire tout le sperme dans vos couilles. Baisez-moi, enculez-moi à fond. Oui, c'est bon, c'est bon...... -Maintenant, tournez la que je lui baise la bouche, dit l'homme Carole était maintenant sur le dos, la tête tombante en arrière en bordure de table afin de présenter sa bouche. L'homme attrapa Carole par les seins et lui enfourna *** sexe au fond de la gorge. -Regardez comme elle gobe bien, je peux y rentrer ma bite jusqu'aux couilles. -Vous pouvez lui juter direct dans le gosier si vous voulez, elle ne demande que cela, dit Mr Brissot. -C'est une bonne idée ça. Tu veux du jus ma belle, et bien en voilà..................Aaaaaahhh, avale tout ma cochonne. C'est bien ça, vas-y, pompe bien le foutre qui reste dans le tuyau. -Elle est gâtée la salope, dit un des deux autres. -Très bien Carole, puisque que vous êtes sur la table, vous allez y rester pendant que nous mangeons la suite. Serveur !, cria Brissot. Le serveur arriva en quelques secondes. -Veuillez nous amener quelques choses qui permettra à Madame de s'élargir le cul, une petite bouteille de coca vide, par exemple, en verre, fera très bien l'affaire. -Tout de suite, Monsieur. -Carole, je pense que l'un de ces messieurs va vous enculer après le plat principal. En attendant, montrez-nous comment vous vous dilatez le trou du cul. Tenez, voici du lubrifiant, dit-il en lui tendant un petit flacon. Carole, assise sur la table, s'introduit le goulot de la bouteille dans l'anus et passa la vingtaine de minutes suivante à l'insérer de plus en plus profondément en elle. -Voilà, c'est bien Carole, dit Brissot. Elle est presque entièrement rentrée. Je pense qu'on devrait même pouvoir vous enculer à deux en même temps. Venez donc vous assoir sur moi, je vais commencer le premier. -Carole vint s'empaler sur Brissot, face à lui. -Voilà, tu l'as bien dans le cul là, mais tu dois à peine la sentir vu comme t'as la rondelle ouverte. Messieurs, l'un d'entre vous veut-il me rejoindre dans *** cul, il y a largement la place pour deux. -J'arrive Monsieur, dit le deuxième homme se précipitant vers les fesses de Carole. -Penche toi bien en avant ma belle, tu vas être contente car le monsieur va mettre sa grosse bite avec la mienne dans ton trou du cul. Carole subissait maintenant une double pénétration anale. -C'est bon ça, hein? T'aimes ça hein? -Oui, oui, oui, c'est bon....c'est bon.....c'est bon....... -On va bien t'élargir le trou de balle ma belle. Ton mari va être surpris ce soir si tu lui montres ta rondelle grande ouverte. T'as intérêt à lui dire que t'as mal à la tête pour ne pas lui montrer si tu veux pas être grillée, ma salope. Après un bon quart d'heure dans cette position, Brissot s'adressa à *** partenaire. -Je crois qu'elle a bien mérité d'avaler deux bonnes giclées. Qu'en pensez-vous Monsieur?. -Tout à fait mérité, Mr Brissot. -Bien, retirons-nous et lais***s la se mettre à genoux par terre. -Voilà, relevez bien la tête Carole. Ouvrez grand la bouche et tirez la langue. Je ne veux pas une seule goutte sur le sol. Les deux hommes se masturbèrent au dessus de la bouche de Carole et éjaculèrent quasiment en même temps directement dans sa gorge. Carole déglutit et avala le sperme d'une seule traite. Le troisième homme, qui n'avait pas encore joui et qui se masturbait, se leva d'un bond et se précipita vers Carole. -Je ne peux pas me retenir. Ouvre la bouche, espèce de pute, t'as le droit à une dose supplémentaire de jute...........aaaaaaaaaaahhhhh!.. Une fois de plus, Carole accueillit le sperme dans sa bouche pour l'avaler immédiatement. Elle nettoya ensuite méticuleusement les trois sexes autour d'elle pendant cinq minutes avec sa langue avant que les trois hommes reprennent leur place à table. -Eh bien Messieurs, dit Mr Brissot, je pense que nous allons savourer notre dessert. Serveur !, apportez nous le dessert et ensuite vous pourrez la baiser comme vous voulez. -Merci Monsieur. Si ce n'est pas trop vous demander, pourrais-je l'emmener en cuisine. Ma patronne souhaiterait se faire lécher la chatte pendant que j'encule votre dame. -Mais faites donc mon ami, aucun problème. Carole, finalement vous aurez de la moule également à déguster, cela ne vous gène pas? -Pas....pas du tout Monsieur. -Nous, nous retournons à l'agence. Vous prendrez les transports en commun pour revenir. C'est dommage, je serai bien resté pour vous voir lécher le cul de la patronne pendant que le serveur vous ramone le fion, mais le boulot n'attend pas. N'oubliez pas que j'ai besoin de vous à 14 heures au bureau pour vous partouzer avec ces messieurs, alors à tout à l'heure Carole. -A tout à l'heure Monsieur. -Sur ces mots, le serveur tira Carole par le bras pour l'emmener dans la cuisine ou l'attendait déjà la patronne, assise sur le plan de travail, jupe remontée et trois doigts dans la chatte. Carole pensait déjà à cet après-midi ou elle devrait encore vider quatre paires de couilles et se disait que cette journée était très chargée pour un premier jour. Neuf queues et une chatte dans une seule journée, cela faisait beaucoup de bites à sucer, à prendre dans tous les trous et beaucoup de litres de sperme à avaler à l'année. Tout cela serait difficile à cacher à *** mari au final. Mais soit, elle ferait ce qu'il faut pour ne pas révéler sa véritable activité au travail et pour que *** patron soit content d'elle car elle aimait *** mari mais elle commençait également à prendre goût à *** nouveau job et il n'était pas question, pour Carole, de renoncer ni à l'un, ni à l' autre...............
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chrislebo
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Un an déjà que Carole travaillait pour Mr Brissot. Un an de fellations et de sodomies. Autant de sexes bien sucés au préalable et d'éjaculations proprement avalées pour finir. Elle était devenue une experte en matière de satisfaction client et *** patron ne tarissait pas d'éloges à *** sujet. Carole était devenue sa meilleure assistante, plus salope que n'importe laquelle de ses employées, comme il disait, et bien roulée par dessus le marché. Elle savait toujours quoi faire quand elle prenait un sexe en main, si bien que Brissot exigeait désormais sa présence à toutes les réunions importantes. Lors des assemblées générales des actionnaires par exemple, elle était toujours nue sous la grande table ovale pour sucer tour à tour tous les pénis en érection présents jusqu' à ce que tout le sperme de ces messieurs aux bourses bien pleines se répande au fond de *** estomac. Lors des comités de direction, et afin de motiver *** équipe de cadres dirigeants, Brissot accordait au meilleur collaborateur du moment le droit de sodomiser sa protégée devant l'assemblée et de jouir dans sa bouche. Carole adorait *** métier, elle adorait avoir tous ses orifices remplis à longueur de journée, elle avait pris goût au sperme et avait maintenant besoin de sa ration quotidienne, si bien que le week-end, quand elle se retrouvait en famille, elle saisissait la moindre occasion pour sucer *** mari et boire le précieux nectar. Elle n'avait jamais rien dit de *** métier à Francis, *** mari, et elle en venait parfois à considérer qu'elle faisait un métier comme un autre et qu'elle lui restait fidèle tant que cela restait dans un cadre strictement professionnel et cela même s' il lui arrivait fréquemment, à l'occasion de réunions entre amis, de succomber à la tentation de quelques fellations extraconjugales toujours discrètes. Après tout, ne disait-on pas que sucer n'est pas tromper ? Ce matin là, à *** arrivée, Brissot la convoqua dans *** bureau. - Ma chère Carole, vendredi prochain est un jour important, nous recevrons le PDG d'une des plus grande usine de la région pour un très gros contrat, il nous faudra tous vos talents pour satisfaire notre invité......plutôt nos invités, devrais-je dire car il sera accompagné de quelques uns de ses plus importants collaborateurs. -Bien sûr, Mr Brissot, comme d'habitude vous pouvez compter sur moi. -C'est un peu différent cette fois. Il s'agit de Mr Rigaud qui est comme vous le savez le patron de l'usine ou travaille votre mari. J'ai venté vos 'talents' à Mr Rigaud et il est à la fois impatient et curieux de connaitre la femme d'un de ses employé les plus dévoués. Carole était un peu gênée, avoir des relations sexuelles avec le patron de *** mari et certains de ses collègues pouvait amener à révéler la vrai nature de *** activité. Brissot continua : -Mr Rigaud a une exigence un peu particulière. Il souhaite la présence de votre mari qu'il apprécie tout particulièrement. -Hein ? Euh..., je ne comprends pas, dit Carole. -Et bien c'est simple Carole, il veut que votre mari regarde pendant que vous vous ferez baisée. Il a l intention de faire un gangbang avec vous sous les yeux de votre mari. -Mais...mais, non, ce n'est pas possible. -Comment ça, ce n'est pas possible ? Quel est le problème ? -Mais...Mon mari....Il ne sait pas ce que je fais ici, il croit que je suis une simple assistante commerciale. -Et bien....c'et un peu surprenant....je pensais que vous étiez un couple libre pour accepter un tel poste....voir un couple échangiste...je suis surpris. -Non, non, non ! J'ai pris ce poste pour l'argent et aussi pour le sexe, c'est vrai. Mais mon mari ne sait rien. -Je vois....Et bien Carole, je crains que nous ne puissions pas refuser. Mr Rigaud est très susceptible et je ne veux pas prendre le risque de faire capoter l'affaire. Vous avez quatre jours pour vous préparer et faire accepter cela à votre mari ou bien je devrais dorénavant me passer de vos services, vous comprenez ? Carole était désemparée. Tout pouvait s'arrêter maintenant, *** métier qu'elle aimait, ses revenus confortables qui lui permettait, à *** mari et à elle, de ne se priver de rien. -Très bien, je vais m'arranger, Mr Brissot, vous pouvez compter sur moi, dit-elle la mort dans l'âme. Sur ce, Carole quitta le bureau de *** patron et passa le reste de la journée à réfléchir au sérieux problème qui se présentait à elle. Comment présenter la chose à Francis en si peu de temps ? Lui qui semblait si attaché aux valeurs familiales et à la fidélité dans le couple. La tâche semblait impossible et Carole s'était déjà résignée à se faire licencier pour sauver *** mariage. Malgré tout, le soir venu, de retour à *** domicile avec *** mari, elle imaginait ce qu'elle pourrait faire pour lui expliquer la situation et pour l'inciter à prendre part au projet. Carole se décida finalement à tenter quelque chose après le repas, une fois les enfants couchés. -Chéri..., j'ai envie de baiser ce soir. -Oui, bonne idée, tu veux regarder un porno pour commencer ? -Non, j'ai envie de .......quelque chose d'un peu différent ce soir. -Très bien et c'est quoi ? Carole, armée de courage se lança. -Ne te fâche pas s'il te plait, j'ai envie de......deux sexes d'hommes. -Deux sexes.......tu veux dire.....un plan à trois? -Oui, chéri, c'est ça, un plan à trois Patrick semblait être en train de digérer l'information. Carole décida alors de poursuivre dans sa lancée. -J'aimerai bien...tu vois...enfin...ton copain François est tout à fait à mon goût. Tu pourrais l'appeler par exemple, et lui demander de passer maintenant. -Mais t'es folle ma pauvre ! Je lui dis quoi à François ? Tu peux venir baiser ma femme s'il te plait....et tout de suite parce qu'elle a le feu au cul ?
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chrislebo
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-Non, tu lui dis de venir t'aider parce que t'as un problème. On lui expliquera la situation et on verra comment ça passe une fois qu'il sera là. Patrick se prenait la tête à deux mains mais semblait pourtant hésiter. Une lueur d'espoir commençait à germer dans l'esprit de Carole. Et si finalement Francis était moins rigide qu'elle le pensait sur le sujet ? Après plusieurs minutes de silence, Francis répondit : -D'accord, je l'appelle, on peut tenter cette expérience finalement si c'est l'un de tes fantasmes. Mais je te préviens, c'est moi qui décide ce qu'il te fait. Et si ça ne plait pas, j'arrête tout ! -Ok chéri, appelle le maintenant, dit Carole sans montrer *** soulagement. François frappa à la porte moins de dix minutes plus tard. Quand Francis lui ouvrit, il constata que celui-ci était accompagné de *** beau frère, Christian. -Salut Francis, dit François -Ah, tu es venu avec Christian finalement, dit Francis complètement pris de court. Euh ... en fait je n'ai plus besoin de toi, j'ai résolu mon problème tout seul, finit-il par dire. -Si François, entre s'il te plait, on a besoin de toi, dit une voie derrière *** dos. La voix de Carole. -Mais chérie... Francis prit sa femme par le bras et l'emmena à l'écart. Il lui chuchota à l'oreille : -On a dit un plan à trois, pas à quatre ! -Oui, un plan à trois.... François, Christian...et moi. Francis en resta muet plusieurs secondes, un mélange indéfinissable de colère et d'excitation montait en lui. Carole continua. -Ecoute Chéri, maintenant qu'on y est, on ne va pas renoncer, non ? -Et moi, je fais quoi dans tout ça ? dit Francis. -Toi tu t'assoies dans un coin de la chambre et tu mates, je suis sure que ca va te plaire. Francis hésitait, il avait soudainement pris conscience de *** sexe en érection dans *** pantalon. Il en avait envie au fond de voir sa femme prise par ces deux hommes. Carole ne lui laissa pas le temps de la réflexion. Voyant que *** mari semblait complètement désorienté, elle s'adressa à François qui attendait patiemment dans l'entrée en compagnie de Christian. -François, dit-elle, nous t'avons demandé de venir parce que Francis aimerait me regarder faire l'amour avec un autre homme. Comme tu es *** meilleur ami, j'ai pensé que tu serais d'accord. -Mais...mais..., balbutia François pris au dépourvu. -Ne t'inquiète pas, cela restera entre nous. Pas question d'en parler à qui que ce soit et surtout pas à ta femme évidemment, continua-t-elle. -Mais....et....et Christian ? -Vous pourrez me faire l'amour tous les deux en même temps, ça vous va ? Tandis que Francis était inerte, résigné, tête baissé dans un coin de la pièce, François et Christian, eux, se dévisageaient, croyant certainement à une mauvaise blague. Après quelques instants, c'est Christian qui répondit, les yeux fixant le sol. -Ok pour moi...si tu veux Carole. Christian fixait Francis toujours prostré. -D'accord...c'est d'accord, finit-il par dire. -Très bien, dit Carole soulagée. On va tous dans la chambre alors. Les quatre protagonistes se rendirent dans la chambre à coucher du couple. Carole avait pris une chaise dans le salon et la plaça dans un coin. -Assis toi là chéri, dit-elle à Francis. Francis s'exécuta sans un mot et Carole l'embrassa tendrement sur la bouche. -Allez les gars, à poil sur le lit maintenant, dit-elle en se déshabillant. Toi aussi chéri, mets-toi à poil sur ta chaise. Je veux voir ton sexe pendant que je me fais baiser. Quelques instants après, tout le monde, hormis Francis installé sur sa chaise, se retrouva nu sur le lit conjugale. Carole, positionnée entre les deux hommes, prit les choses en main. -Regarde ces deux belles bites, mon chéri. Elles ***t toutes les deux nettement plus grosses que la tienne. Je vais commencer par bien les branler afin qu'elles soient bien juteuses et bien grosses. Carole masturbait les deux sexes, une dans chaque main en fixant *** mari qui semblait ********** par la scène. -Voilà, dit-elle au bout d'un moment. Elles commencent à mouiller, il va falloir que je suce et que j'aspire tout ça maintenant. Carole se mis en position assise sur le lit et s'adressa à François : -François, debout maintenant et mets ta bite dans ma bouche s'il te plait. François se mis debout sur le lit et présenta *** sexe à Carole qui le prit en bouche instantanément et qui entama immédiatement un mouvement de succion ininterrompu. -Regarde moi ça comment elle me pompe la bite cette cochonne ! s'exclama François. Elle m'aspire tellement la queue qu'on dirait qu'elle veut me vider les couilles. -Putain, dit Christian, que Carole continuait à masturber. Elle a une bouche faite pour y mettre des bites, la femme de ton beauf. A mon tour maintenant, dit-il en prenant position. Carole changea de partenaire en bouche. -Ah....qu'elle suce bien cette salope. Regarde un peu comme elle avale ma queue entièrement jusqu'aux couilles ! dit Christian à *** beau frère. Tout en suçant les deux hommes à tour de rôle, Carole observait toujours *** mari du coin de l'œil et constata que celui-ci avait *** sexe en main et commençait à se masturber. Francois, qui avait également noté ce point, lança à *** ami. -Ca te fait bander qu'on la baise ta femme, mon salaud ! Hein ? Regarde comme on lui baise sa bouche de suceuse bien à fond et après on va lui remplir la chatte et le cul ! Ca te plait comme spectacle, Francis ? Francis continuait à se masturber, les yeux fixé sur la scène qui se déroulait devant lui, sans répondre aux provocations de *** ami. François continua.
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chrislebo
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-J'suis sûr qu'elle en a sucé un paquet de bites pour pomper aussi bien que ça. Hein, pas vrai ma salope ? Il le sait ton mari que tu pompes de la bite ailleurs qu'à la mai***? Hein, Francis ? Tu savais qu'elle suçait pas que ta queue, ta grosse cochonne de femme? Je parie aussi qu'elle a déjà avalé quelques giclées, cette chienne. T'inquiète pas, ma belle, tu vas bien te régaler ce soir, on va t'en servir du jus de couilles. Hein Francis? T'es d'accord pour qu'on lui rince le gosier avec de la crème de bite, à ta femme ? Toujours aucune réaction de Francis qui restait prostré sur sa chaise. -Ok, il a l'air d'accord ton mari, continua Francois. Pour le moment, on va te limer la chatte mon beauf et moi. Comme tu m'as l'air d'être une grosse salope, on va te prendre direct en levrette. Mets-toi à quatre pattes au bord du lit et remonte bien ton cul ! Carole prit la position demandée et releva bien ses fesses pour accueillir ses partenaires. François la pénétra d'une traite et entama *** va et vient alors que Christian restait en retrait. -Tu la sens bien ma bite dans ta chatte ?, dit François. -Oh oui, c'est bon, répondit Carole, tout en continuant de surveiller *** mari qui, à sa grande satisfaction, avait accéléré le mouvement de sa main autour de *** sexe. -C'est meilleur, quand on prend une grosse bite comme celle là dans la chatte, plutôt qu'une petite queue comme celle de ton mari ? Pas vrai Carole ? -Oui...oui, c'est meilleur....mais ce serait encore mieux si j'avais une bite dans la bouche en même temps, répondit-elle. -D'accord, je vois, Madame est exigeante en plus de cela. Christian, qu'est-ce que t'attends ? Fais lui bouffer ta queue pendant que je lui remplie la chatte. Christian, s'allongea devant Carole qui prit *** sexe en bouche. -Voilà, Madame se sent mieux quand elle tétouille un gros zizi, n'est-ce pas ? Ca fait plaisir à voir, pas vrai Francis ? -Oui, répondit Francis, surprenant tout le monde. Après plusieurs minutes de ce régime, François et Christian échangèrent leur position. -Même ma grosse bite, elle rentre toute seule, dit Christian. Elle a la chatte ouverte comme une pute, c'est incroyable ! C'est pas la petite bite de ton pote qui a put faire ça ! Elle doit se faire fourrer dans *** dos, c'est pas possible autrement, moi je dis. -Oui, t'as rai***, répondit Francois. Et regarde comment elle me pompe la bite en même temps, si ça continue, j' vais pas pouvoir me retenir et je vais lui gicler dans la bouche. Arrête salope, j'ai pas fini de te baiser, j'vais t'enculer bien à fond maintenant. Hein Francis ?, on va lui ramoner le cul maintenant à ta femme ? Francis fixait la scène avec une expression indéfinissable - Oui, dit-il finalement, enculez là maintenant. -T' as entendu ton mari, Carole? Allez, ouvre bien ton cul ! Francois reprit position derrière Carole et Christian dans sa bouche. -T'es prête ? J'vais enfoncer ma bite dans ton cul maintenant, ma chérie, dit François. Francois pressa *** sexe à l'entrée de l'anus de Carole. -Merde, j'y arrive pas, dit François. C'est pas assez ouvert. Francis, viens m'aider à enculer ta femme s'il te plait. Tu lui ouvre bien le cul avec tes deux mains pendant que j'enfonce ma bite. Francis hésita quelques instants puis s'exécuta. Il prit une fesse dans chaque main puis ouvrit largement l'anus de sa femme avec vigueur. -Tiens Francois, dit Francis. Elle devrait rentrer ta bite, maintenant. Francois pressa sa queue dans l'anus largement ouvert et y pénétra complètement. -Bien joué Francis, dit Francois. Maintenant j'vais la ramoner jusqu'à ce qu'elle soit bien ouverte. En attendant, vérifie qu'elle suce bien la bite de Christian correctement. -Ok, je vérifie, répondit Francis. Francis attrapa les cheveux de sa femme et accompagna le mouvement de tête de Carole. -Aller chérie, pompe moi cette bite mieux que ça. Gobe la bien entièrement jusqu'aux couilles. Montre leur à mes potes que t'es la meilleure suceuse de la région. Carole était aux anges. *** mari avait complètement pris part à l'action. Une fois que tout cela serait terminé, ce devrait être possible de lui faire accepter l'épreuve qui l'attendait la fin de la semaine lors de la soirée spéciale organisée par *** patron - Oui chéri, dit-elle, mais demande à Francois de m'enculer plus fort, j'ai besoin de sentir sa bite plus profond dans mon cul. - T'as entendu, Francois ?, dit Francis. Si j'te prête ma femme, c' est pas pour bâcler le boulot, alors défonce lui le cul mieux que ça tu veux ? -C' est pas de ma faute si elle a le trou du cul si large, ta femme, à ***** de se faire enculer a tout bout de champ. On va y aller à deux. Avec nos deux bites dans *** cul, elle devrait prendre *** pied, cette pute. Carole était maintenant prise en double pénétration anale, à cheval sur Christian face à lui, François toujours positionné derrière elle. - Ca va mieux chérie?, dit Francis - Oui, c'est bon....mais je veux une bite dans la bouche aussi. -Tu veux me sucer pendant qu'ils t'enculent ? -Non, pas toi. Vas chercher le voisin du troisième. Il est célibataire, il doit pas baiser tous les jours. Je suis certaine qu'il ne serait pas contre une bonne pipe. Après un instant d'hésitation, Francis s'habilla rapidement et sorti de l'appartement. Quelques instants plus tard, il revint accompagné d'un jeune homme d'une vingtaine d'années. -Voilà, comme je t'ai dit, tu te fous à poil si tu veux te faire sucer la queue, dit Francis à *** nouvel hôte. -Le jeune homme s'exécuta sans discuter, il présenta *** membre déjà bandant au visage de Carole. -Merci chéri, dit Carole, avant de prendre le sexe en bouche. Après quelques minutes du spectacle de sa femme prise par les trois hommes, Francis ne put contenir plus longtemps *** excitation. - j'en peux plus les gars, j'vais lâcher la purée maintenant, dit Francis -Petit joueur, s'exclama Christian. Tu m'étonnes qu'elle cherche des bites ailleurs ta femme. Francis sauta de sa chaise. -Casse-toi petit con ! dit-il à l'occupant de la bouche de Carole, enlève ta bite de sa bouche, faut que je jute dedans ! Le jeune homme obtempéra immédiatement et Francis éjacula dans la bouche de Carole qui avala instantanément le sperme de *** mari. -Il est bon ton jus chéri, j'en veux encore. Dis à tes potes de tout garder pour ma bouche s'il te plait, dit Carole -Oui chérie, tout ce que tu voudras. Vous avez entendu les gars? Interdiction d'envoyer la sauce autre part que dans la bouche de ma femme, c'est compris?
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chrislebo
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Francois et Christian ricanèrent en même temps. - Ok, on n'avait pas l'intentionde faire autre chose de toute façon, dit Christian. Elle va tout avaler ta salope, des qu'on aura fini de bien l'enculer, t'inquiète pas. Francis reprit place sur sa chaise, totalement extenué. Après un bon quart d'heure de double sodomie, Francois et Christian se retirèrent l'anus de Carole. - Alors jeune homme, dit François s'adressant au jeune homme toujours dans la bouche de Carole, dépêche toi d'envoyer la purée maintenant parce qu'on veut finir nous aussi. -Vous voulez dire...dans sa bouche ? -Oui, dans sa bouche, tu peux y aller, elle aime le sperme, tu vas lui faire plaisir, répondit François. -C'est vrai, Monsieur ? dit le jeune homme s'adressant à Francis. Je peux jouir dans la bouche de votre femme ? -Vas-y mon petit, tu peux tout lui envoyer, elle demande que ça, répondit Francis. Sur ce, le jeune homme éjacula sans même sortir *** sexe de la bouche de Carole qui avala avec bonheur. Après quoi, ce fut le tour de François et Christian. - Allez ma belle, mets toi à genoux et ouvre grand ton bec. Carole prit place au sol, releva la tête et ouvrit grand la bouche. Francois et Christian se mirent debout de chaque côté, positionnèrent leur gland aux commissures des lèvres de Carole et se masturbèrent frénétiquement pour provoquer l'éjaculation. -Elle va venir la bonne crème pour Madame, dit Christian Les deux hommes éjaculèrent presque en même temps une dose impressionnante de sperme dans la bouche de carole qui avala la totalité avec un plaisir non dissimulé, une fois les dernières gouttes récupérées. -Oh la vache, elle aime boire le foutre la salope ! Tu savais ça Francis?, dit Christian -Non les gars, je le découvre en même temps que vous. -On pourra revenir avec des potes à nous pour lui remplir l'estomac quand tu veux si elle a une grosse faim, il suffit de nous appeler, dit Christian -Bien noté les gars, j'y manquerai pas. En tout cas, merci à vous trois pour vous être occupé de ma femme ce soir. - Pas de problème, c'est normal de rendre service à un bon copain. Sur ces mots, les trois hommes se rhabillèrent et quittèrent le domicile de carole et Francis. Une fois seule avec *** mari, Carole s'adressa à lui. -Merci chéri, j'ai bien jouie. -Moi aussi chérie, je t'aime, dit Francis en l'embrassant sur la bouche. Il te reste un peu de sperme sur le menton...là. Carole se sentait soulagée, tout en récupérant le sperme avec *** doigt pour le porter à sa bouche, elle profita de la situation pour aborder le sujet qui la préoccupait. - Au fait, chéri, qu'est-ce que tu as prévu de faire vendredi soir ?
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chrislebo
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Marché conclu dans un train Cela faisait environ une heure que le train roulait dans la campagne. Des champs, des pâturages et des petites collines défilaient par la fenêtre du compartiment. Le contrôleur venait de poinçonner nos billets. Le compartiment prévu pour six per***nes en accueillait quatre. Elle et moi, ainsi que deux blacks approchant la trentaine ou l'ayant juste passée, assis côté à côte prêt de la porte. Ils étaient grands, élancés, et leur t-shirt moulant et leur bermuda cachaient deux corps qui semblaient très bien faits. Je les observais un instant et remarquais qu'ils se rinçaient l'œil sur un magazine pour adulte, bien que l'un d'entre eux cherchait à en dissimuler le titre avec sa grande main d'ébène. Elle ne semblait pas les avoir remarqués, plongée dans un livre, les jambes croisées car elle portait une robe blanche ornée de fleurs qui lui donnait des airs de « belle des champs. » Je continuais à épier les deux lascars et l'un d'eux s'aperçut de mon inquisition. Gêné, je détournais le regard et lançais une banalité à ma copine à laquelle elle répondit promptement et se replongea aussitôt dans sa lecture. Ce coup-ci, je remarquais que c'était eux qui nous regardaient! Enfin j'eus plutôt l'impression qu'ils la reluquaient! Sous mes yeux! Je les affublais de nombreux adjectifs désagréables en pensée, et décidais de me lever pour aller faire un tour dans le couloir. Quand je passais à leur niveau, un des deux dit à l'autre quelque chose en créole ou bien en africain que je ne compris évidemment pas. Mais ils avaient l'air content! Ils étaient contents que je quitte le compartiment, pour mieux la zieuter! « Les enfoirés » me dis-je. En même temps que je proférais cette insulte, je fus surpris de constater que mon sexe tressautait légèrement dans mon pantalon. J'étais excité par l'idée qu'ils puissent la mater en mon absence et, étrangement, cela atténua la jalousie qui m'avait poussé à sortie du compartiment. Je me baladais dans ce couloir étroit et désert, fis quelques allers-retours avant de me diriger aux toilettes. Pendant que je pissais mon esprit commença à s'emballer, je les imaginais s'être rapprochés d'elle afin de pouvoir mieux la lorgner. Je voyais même par projection mentale, un des noir qui mettait la main dans la poche de *** bermuda pour se tripoter le sexe. Je me surprenais à imaginer leur vit. J'étais sûr qu'ils étaient énormes ! Un sentiment de jalousie malsaine commença à m'envahir. Je rangeai ma verge dans mon falzar remarquant que ces pensées l'avait faite croître. Je ne pouvais pas sortir comme ça. Si quelqu'un se trouvait dans le couloir, il remarquerait ma bosse. Je la serrai entre mes cuisses pour refréner mon érection naissante, mais je continuais à me représenter mentalement des scènes qui me dégoûtaient, enrageaient, et aussi m'excitaient. Tant pis pour la bosse, je voulais vérifier ce qui se passait dans le compartiment. Je traversais le couloir à grandes enjambées jusqu'à la porte de notre compartiment qu'il me semblait avoir laissée entrouverte... Elle était fermée! Un instant mon cœur s'arrêta de battre dans ma poitrine. « Les enculés! » marmonnais-je, prêt à tirer violemment sur la porte coulissante. Je me ravisais et décidais de regarder par un des côtés de la porte qui possédait une vitre, mais les rideaux bordeaux avaient été tirés des deux côtés. Cependant celui à ma gauche avait un coin relevé, découvrant un rectangle de vitre d'environ cinq centimètres sur trois. Je me baissai pour y coller mon œil gauche. L'un des blacks était assis face à elle et semblait fixer *** entrejambe. Elle avait les jambes décroisées. « La salope! Elle sait qu'il la mate et elle aime ça.» Je réfléchissais à quel sous vêtement elle portait? Et je ne voyais que des strings. Des rouges, des blancs, des bleus, des transparents. L'autre black s'était rapproché d'elle et semblait lire par-dessus *** épaule. « Tu parles! Il doit reluquer ses petits nichons. » J'étais en colère après elle et en même temps très excité. A cet instant je bandais même comme un âne. Je regardais à droite et à gauche pour m'assurer que le couloir était toujours désert et retournais à mon espionnage. J'étais maintenant convaincu que le black en face d'elle scrutait sa culotte et que l'autre rivait ses yeux sur ses petits seins nus sous sa robe. Comment pourrait-il lire par-dessus *** épaule? Et comment s'était-il rapproché aussi prêt d'elle sans y être invité? Autant d'interrogations qui ne faisaient que grandir un sentiment de jalousie extrême et une excitation intense dans les plus infimes parties de mon être. Et surtout un besoin de savoir ce qui aurait pu se passer. Ils n'allaient tout de même pas la violer. A moins qu'elle se laisse faire. J'imaginais des choses pas très catholiques. Elle savait que j'allais revenir d'un instant à l'autre? Elle n'oserait pas quand mêm? Celui qui prétendait lire par-dessus *** épaule s'approcha d'elle, *** biceps effleurant le bras dénudé de ma copine et le salaud appuyait carrément *** épaule musclé contre la sienne sans quitter sa place. Ses yeux étaient rivés dans *** décolleté. Et elle continuait à faire comme s'il ne se passait rien! Je décidais de mettre un terme à cette scène qui me rendait fou de rage et là, alors que j'avais toujours l'œil collé à la vitre, *** regard croisa le mien une fraction de seconde. Elle se leva brusquement, tira sur sa robe et se dirigea vers la porte. J'arrêtais immédiatement de les épier et rampais pitoyablement avant d'essayer de me relever pour faire semblant d'arpenter le couloir comme si de rien n'était. Mais avant d'être complètement debout la porte s'ouvrit et elle sortit, un sourire que je ne lui connaissais pas aux coins des lèvres.
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chrislebo
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Je me sentis ridicule et décontenancé. Mon cerveau cherchait quelque chose d'intéressant à dire, voire de drôle, mais je n'avais pas envie de rigoler. Je voulais crier, hurler, lui dire que c'était une salope, la mettre plus bas que terre, la rouer de coups. Mes pensées fusaient si vite que je ne m'aperçus pas qu'elle s'était approchée de moi. Je le remarquais quand sa main se positionna entre mes jambes et pressa délicatement mes couilles. Comme toujours ce geste m'attendrit. Ces chiennes ont le don d'annihiler la colère masculine avec une bonne gâterie ou une partie de jambes osée. C'est peut-être pour cela que les hommes ***t souvent en colère... Elle plongea *** regard bleu dans le mien tout en malaxant mes bijoux de famille et je crois que je devais sourire comme un niais. Elle approcha sa bouche de mon oreille. Je sentais *** souffle chaud qui s'engouffrait dans mes tympans et elle me susurra : « Avant de dire quoi que ce soit, laisse-moi aller jusqu'au bout de ce que je veux te dire, même si certaines parties de mon discours t'agacent, et le mot risque d'être faible, laisse moi aller jusqu'au bout. Sache que je respecterais ta décision finale. Alors qu'en dis-tu ? » J'imaginais le pire mais vu qu'elle respecterait ma décision finale, je n'avais rien à perdre. - Je t'écoute. Furent les mots qui sortirent de ma bouche. - J'ai envie de me taper les deux blacks! Et je crois qu'ils en ont aussi envie! T'as vu comme ils me regardent! Je sais que je n'ai jamais fait des trucs comme ça, mais là je me sens prête. J'ai envie d'être leur pute pour un moment. Tu peux regarder. Même peut-être participer. Ça dépendra de mon humeur... Elle s'arrêta net, certainement à cause du masque de rage qu'arborait mon visage. Je voulais la baffer, la traîner par les cheveux jusqu'à une porte de sortie et la foutre hors du train. J'espérais qu'un autre train passerait par là et désintégrerait *** corps de salope, éclaboussant de ses tripes et de *** sang de chienne la vitre de l'infortuné conducteur. D'une voix calme, elle me tira de mes rêveries assassines. - Tu dois écouter jusqu'au bout, et de toute façon si tu ne veux pas, comme je te l'ai dit il ne se passera rien. J'acquiesais et elle poursuivit *** discours tout en continuant à me tripoter les bourses. En fait, elle n'avait jamais arrêté et je remarquais que j'avais la verge qui tendait mon pantalon. - Pour le moment je comprends que tu ne vas pas me donner le feu vert, mais j'ai quelque chose à te proposer. Si tu me laisses réaliser ce fantasme qui vient de naître dans mon esprit je te laisserais réaliser une fois le tien avec autant de femmes que tu le souhaites et pendant ce temps je serai ta chienne ou leur chienne toute dévouée. Je te laisse... Avant qu'elle n'ait pu finir sa phrase je lui donnais mon approbation car sur l'instant elle avait transformé ma jalousie et ma colère en une lubricité sans borne. Mon sexe me faisait mal tellement il était devenu raide et dur. Et puis la proposition était intéressante. Il me tardait que ce soit mon tour! Elle lâcha mon entrejambe, déposa un baiser furtif sur mes lèvres, me sourit et dit à haute voix d'un ton sévère: - Mate nous comme tout à l'heure. Ce coup-ci ton voyeurisme sera satisfait.
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chrislebo
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Elle avait du quitter le compartiment pas plus de trois ou quatre minutes. Je retournais à mon petit bout de vitre et repris mon poste de voyeur. Elle reprit *** bouquin et s'assit en écartant amplement les jambes afin que celui face à elle puisse bien regarder cette fois ci. L'autre, comprenant ce qui allait leur arriver, ne se contenta plus d'appuyer *** épaule contre la sienne, il glissa sa grande main directement sur sa cuisse qu'il caressa à l'intérieur quelques secondes avant de remonter sous sa robe. Ma copine dit quelque chose à celui qui s'était enhardi et se tourna vers l'autre en lui demandant autre chose. Evidemment je ne voyais que ses lèvres remuer sans entendre le moindre *** et cela ajoutait de la tension érotique au spectacle qu'elle m'offrait. Je plongeais ma main dans mon pantalon palpant mon sexe en complète érection. Le black qui lui faisait fasse ouvrit la braguette de *** bermuda d'où jaillit un sexe flacide très sombre de circonférence hallucinante. J'imaginai comment elle devait être en érection. Ce que je n'allais pas tarder à voir car il se leva et fourra *** gourdin dans la bouche de ma femme tout en poussant sa tête avec ses grandes paluches pour qu'elle le pompe jusqu'au pubis tant que cela était encore possible. Au bout de cinq ou six allers retours il retira sa queue, laissa tomber *** bermuda sur les chevilles, et commença à se branler en approchant ses couilles de ma copine qui les goba, l'une après l'autre et les deux à la fois. Sa bite était vraiment énorme, très épaisse, digne des gros godes noirs que l'on peut trouver en sex-shops. L'autre devait enfoncer ses longs doigts dans *** con ou lui caresser le clitoris car elle se tortillait sous sa main. Elle léchait les couilles de l'autre et remontait le long de *** sexe hors norme en y baladant une langue experte couverte de salive. Elle s'attardait sur *** frein et le lui titillait en alternant pressions douces et fortes de la pointe de la langue. Il l'empoigna par les cheveux et lui dit un truc que j'imaginais salace et la força à engloutir ce chibre large qui lui distendait les joues. Elle avait la bouche grande ouverte comme si elle faisait une fellation à une canette de coca. Le black baisait sa bouche avec de petits coups de reins et l'obligeait à avaler presque la totalité de sa queue. De la voir faire des gorges profondes à ce chibre noir me filait une trique de tous les diables. Celui qui baladait ses mains vers la chatte de ma copine avait exhibé *** sein droit en tirant sur le soutif avec les dents. Il l'aspirait à pleine bouche, mordillait le téton, le suçait, le léchait tout en continuant ses caresses sous la robe. J'imaginais deux doigts qui s'immisçaient dans la fente déjà humide. L'autre s'amusait maintenant à la gifler avec sa gigantesque pine noire qui aurait pu être un tentacule de créature des fonds marins. Elle embrassait ce gros sexe que le noir baladait sur *** visage. Elle sortit la langue qu'elle fit tourner lentement sur ses lèvres avant de la faire remonter des couilles au gland circoncis, en plusieurs allers retours, en gardant toujours un regard coquin pour le black qui se tordait de plaisir sous la bouche mouillée de cette traînée improvisée. Puis, elle s'arrêta net, poussa celui qui lui tétait la poitrine et faisait je ne sais quoi sous sa robe, et cessa tout aussi brusquement de sucer l'autre. Puis elle se mit debout, tira une nouvelle fois sur sa robe et leur dit quelque chose. Le noir au gros sexe qui ballottait maintenant entre ses jambes tel un serpent accroché par la queue à une branche, recula et retira *** T- shirt dévoilant un corps imberbe aux muscles bien dessinés. Il devait mesurer dans les 1m90, possédait des épaules larges, des biceps développés par des heures passées à soulever de la fonte ou à effectuer un travail manuel éreintant, de robustes avant-bras qui se terminaient par de grandes mains aux doigts longs et effilés, des pectoraux puissants, des abdominaux sculptés comme ceux des athlètes de haut niveau, un cou imposant, une belle mâchoire carrée, des pommettes hautes, un front large, un petit nez épaté sans trop l'être, des cheveux coupés court comme *** pubis, des cuisses et jambes recouvertes d'un fin duvet de poil plantées sur de grands pieds capable de soutenir ce tas de muscles. Et ce gourdin! Il avait commencé à débander mais *** membre n'en restait pas moins éléphantesque. Il aurait fait pâlir le grand Rocco de jalousie. Le second était en train de faire glisser *** boxer découvrant une belle queue, déjà très longue en semi érection. Il était beaucoup moins impressionnant physiquement: plus petit, moins costaud, mais avait un corps plus élancé, un visage plus fin, plus féminin, monté sur un cou délicat qu'une magnifique paire d'yeux coquins illuminaient. Ma copine s'était assise sur la banquette face aux blacks qui se mettaient à poil pour elle, à ses ordres apparemment car elle continuait à leur dire des choses. Elle avait retroussé sa robe jusqu'aux hanches et se caressait les lèvres à travers *** petit string qu'elle finit par écarter pour enfoncer deux doigts dans sa petite moule. Elle leur dit quelque chose. Le moins costaud se mit à s'astiquer le manche, sa main droite montait et descendait le long de *** pénis gorgé de sang d'une longueur aussi impressionnante que la largeur de la bite de l'autre. Le noir au tentacule marin s'approcha de ma femme, posa les deux genoux à terre prêt de la banquette, attrapa ses cuisses pour amener *** entrejambe à *** visage. Il tira sur *** string qui se déchira, le jeta à terre, et plongea la tête entre les cuisses de ma belle. L'autre continuait à se branler énergiquement, *** pénis droit comme un i géant dépassait *** nombril de toute la longueur du gland. Mon regard retourna sur ma femme qui appuyait sur la tête du black qui lui bouffait la chatte. Elle ondulait des fesses, s'arc-boutait et écrasait la tête du costaud de service contre *** intimité certainement recouverte de cyprine. Elle fit signe au branleur de s'approcher.
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chrislebo
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Je bandais comme jamais. Ma main entière tripotait ma queue, je caressais le gland avec la paume de la main, ce qui m'agaçait et en même temps me procurait des sensations exquises, mes doigts caressaient mes couilles, s'amusaient à décalotter et calotter. « Bite longue » s'était approché de ma douce qui jouait avec la bouche autour de la couronne de *** gland. « Bite épaisse » avait toujours la tête entre ses jambes et lui léchait ou aspirait la vulve. Elle enfourna le sexe au fond de sa gorge et commença à effectuer un va et vient rapide qui semblait ravir « bite longue. » Le second promenait maintenait sa langue vers le clitoris et redescendait vers l'entrée du vagin en s'y introduisant de temps en temps. Elle se tourna vers moi et regarda dans ma direction, tirant sur les cheveux de « bite épaisse » pour qu'il lui lèche plus avidement le minou. En même temps l'autre tenait ma femme par les cheveux et lui baisait la bouche. Elle me fit signe de venir avec l'index. Je crois qu'il ne me fallut pas plus de cinq secondes pour me retrouver dans le compartiment le pantalon sur les chevilles, ma queue dressée dans les mains. -Ca te plaît? Dis-le que ça te plaît de me voir entre les mains de ces deux étalons. Tu as vu leur grosse bite noire. Tu aimes me voir les sucer. Tu veux que je suce les deux en même temps? Je l'avais déjà entendu me parler de manière crue pendant nos ébats amoureux, mais devant des inconnus, et qui participaient qui plus est, cela me troublait. J'étais mal à l'aise et excité comme rarement je l'avais été. Je n'avais donné aucune réponse mais elle avait fait se relever l'homme à la bite d'éléphant et prenait les deux phallus en bouche, engloutissant les deux glands en même temps. Puis, elle ressortait la plus longue et en tapotait la plus épaisse, ce qui n'avait nullement l'air de gêner les deux blacks, certainement complices de baise à plusieurs reprises. Elle tenait chaque verge dans une main et s'amusait à frotter les glands, l'un contre l'autre, avant de les reprendre en bouche, les ressortir pour les lécher, jouer avec la langue sur la longueur, la circonférence, les couilles. - Alors tu ne parles pas? Branle-toi plus vite. Maintenant j'ai envie qu'ils fourrent ma chatte. T'as envie de me voir baiser par ces deux queues? Dis-le. Sans m'en rendre compte, ni vraiment le souhaiter, du moins à voix haute, je m'entendis dire un « oui je le veux » qui me surprit et me fit sourire. Elle s'était relevée et avait fait s'asseoir la plus épaisse queue à sa place et s'apprêter à s'y empaler, tournant le dos à *** partenaire improvisé de baise hardcore. Je voyais ce sexe disproportionné qui avait du mal à rentrer dans le vagin de ma tendre moitié. Elle ondulait du bassin autour du gland, essayant de ****** l'entrée, se relevait, recommençait, jusqu'à ce que je vis le gland entrer en entier. Elle resta un instant immobile, appréciant la lente dilatation de *** trou. Le black exposait ses seins qu'il malaxait. Cet énorme sexe noir contrastait avec la peau très claire de ma femme et cela me rendait à la fois, fou de jalousie et de désir. Elle demanda à l'autre de lui sucer les orteils, ce qu'il fit en ce mettant à quatre pattes comme s'il était un chien soumis. Elle se balançait de droite à gauche et, d'un seul coup, elle descendit jusqu'aux couilles de « bite épaisse » en poussant un râle de douleur ou de plaisir. Le plaisir d'être remplie par un engin aussi gros? - Tu veux voir mon trou. Il doit être bien dilaté après avoir été pilonné de la sorte. Elle se releva un instant, s'assit sur le black en se balançant en arrière pour me montrer *** vagin grand ouvert qui dégoulinait d'excitation. J'avais envie de lui bouffer la moule. Mais déjà elle se retournait et demander à « bite épaisse » de la prendre en levrette. « Bite longue » se mit de l'autre côté pour se faire pomper pendant que l'énorme bite black défonçait l'entrée du vagin de ma femme qui haletait à chaque assaut, sa chatte déversant sa lubricité sur ce phallus noir qui la baisait comme elle adore l'être: A quatre pattes, le cul en l'air. Il jouait avec ses fesses, les écartant et les resserrant, examinant *** petit trou avec le majeur, pressant délicatement l'entrée de *** anus mais continuait ses allers retours violents qui faisaient tressaillir le corps entier de ma copine. L'autre se faisait branler et pomper en même temps. Ma femme utilisait ses deux mains pour astiquer ce long manche et il restait encore presque la place pour en utiliser une troisième. Il grognait de plaisir sous la bouche experte et gourmande de ma chérie qui l'astiquait et le suçait comme une folle pendant que l'autre labourait sa chatte à grands coups de rein bien placés. Elle se retira et s'allongea à même le sol les jambes repliées et relevées et demanda à « bite longue » de la pénétrer. « Baise-moi avec ton bâton! Je suis ta chienne pour un instant. Il ne se fit pas prier plus longtemps, mit un genou à terre et glissa sa queue dans la fente de ma femme. Elle y entra sans problème tant le terrain avait été préparé, déblayé conviendrait mieux, par « bite épaisse.»
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chrislebo
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le locataire Cette histoire date d'un mois. Je me présente, je m'appelle Jacques 44 ans, marié a Sophie 41 ans, parent d'un garçon qui viens de prendre *** envol. Il y a quelque temps, nous avions fait une extension de notre habitation pour notre fils. Chambre avec douche plus une lingerie. De ce fait, nous avions mis en location cette chambre depuis la rentrée pour un étudiant. La location fut vite prise et un jeune homme se prénommant Thomas était notre locataire. Il avait l'air sérieux et tout se passait bien. Pour revenir sur notre couple, depuis le début de notre mariage, j'ai toujours souhaité exhiber ma petite femme. Au début, elle était très prude mais au fil du temps, il y a eut du changement. J'ai arrivé à lui faire abandonner ses collants pour des bas, puis avec de la patience, ses jupes se ***t raccourcies et même ses sous vêtements ***t devenus plus affriolants avec maintenant des chemisiers plus transparents pour apprécier la dentelle de ses sous vêtements. Il lui arrive même lors de nos weekend, lorsque nous sommes sur de ne pas être dérangés de la voir déambuler en guêpière dans la mai***, avec un léger peignoir. Lorsque je l'accompagne dans les magasins de vêtements, lors de ses essayages; je profite a chaque fois de tirer le rideau au moment opportun pour l'exhiber en sous vêtements et a chaque fois j'espère qu'un ou plusieurs voyeurs profiteront de l'aubaine. A ces moments là, elle me traite de pervers mais ne se fâche jamais longtemps. Cette histoire a commencé bizarrement. J'étais en train de ranger du matériel dans le fond de mon jardin quand subitement, j'aperçu une silhouette. Intrigué, je me dissimulais quand je reconnus notre locataire. Que faisait il derrière en ayant une entrée sur le devant ? Je fus vite fixé, il se dirigea directement vers la fenêtre de notre chambre et se dissimula derrière un thuya. A la façon de se positionner, je compris vite que ce ne devait pas être la première fois. Je me déplaçais doucement et m'approchant délicatement, je vis que la lumière de la chambre était allumée et ma petite Sophie, nue venant de sortir de sa douche, était en train de se sécher. Notre locataire avait sorti *** sexe et se masturbait doucement. Cela confirma qu'il devait être coutumier du fait pour mater ma femme. J'étais flatté mais le bruit de craquement d'une branche sur laquelle je venais de marcher, lui fit tourner la tête dans ma direction. Il m'aperçu, pris peur, se réajusta puis disparut. Cette affaire me trotta dans la tête toute la soirée et le soir au moment du coucher, volontairement j'entrouvris un peu les rideaux et demanda a Sophie de mettre sa guêpière puis je lui fis l'amour en laissant la lumière allumée. Elle voulait que j'éteigne mais pour la rassurer, je lui rappelais que nous étions à l'arrière de la mai*** et le terrain était complètement clôturé, donc il n'y avait rien à craindre. Au plus profond de moi, j'espérais que notre locataire était là et je l'avoue, je fus plus performant ce soir là. La nuit porte conseil et le matin en me réveillant, j'avais pris une décision, j'avais décidé d'aller plus loin. En allant chez le boulanger, je croisais notre locataire qui essayait de m'éviter. Je l'interpellais en lui disant que j'avais deux mots a lui dire, je le vis blanchir. A la sortie du boulanger, je l'invitais à venir boire quelque chose au café qui était au coin, tout de suite, je pris un ascendant sur lui en l'obligeant à m'avouer depuis combien de temps il matait Sophie. Il m'avoua que cela faisait un mois qu'il profitait du spectacle. La deuxième question fusa aussitôt, à chaque fois tu te masturbes ? La réponse fut oui, de plus est ce que tu es revenu voir hier soir pendant que je faisais l'amour a ma femme ? La tête baissée, il avoua qu'il avait même éjaculé deux fois. J'étais aux anges. Puis, je me surpris à lui poser la question à savoir s'il voulait baisser Sophie. Là *** regard remonta et me fixant dans les yeux, il m'avoua qu'il ne pensait qu'a ca. Je lui expliquais donc le plan que j'avais muri depuis le matin. Il devait partir le samedi matin comme s'il partait en weekend, puis laisser sa voiture dans la rue, revenir a pied, passer par derrière et attendre à 15h00 précise à la porte de service.
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chrislebo
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Toute la semaine me parut interminable. Le samedi, j'étais anxieux, j'espérais que mon plan allait se dérouler comme prévu. En fin de matinée, je demandais à Sophie de mettre sa guêpière. Au début, elle refusa rétorquant qu'il y avait le locataire. Pour la rassurer, je lui indiquais que je l'avais rencontré la veille et qu'il était reparti dans sa famille. Pour me faire plaisir, elle alla se changer. Je bandais comme un fou. Un peu avant 15H00, je demandais expressément a Sophie si elle avait lavé mes affaires de travail, sa réponse fut négative et elle se dirigea vers la lingerie, je jubilais, après quelques instants je la rejoignais dans la lingerie. Elle était à quatre pattes devant la machine. Aussitôt, je me mis à la caresser. Tout en continuant de charger la machine sans se soustraire, elle me traita de cochon. J'entrepris de saisir un torchon dans le bac de linge, aussitôt j'en fis un bandeau avec lequel je lui couvris les yeux. Sophie se laissa faire, je me relevais en lui demandant de ne pas bouger et le sang battant dans ma tête, je me dirigeais vers la porte de service. En l'ouvrant, je vis notre locataire, lui faisant signe de ne faire aucun bruit, je l'invitais à me suivre. Un petit coup d'œil discret dans la lingerie me confirma que Sophie n'avait pas bougé, et là, chose que je n'aurais jamais pensé au plus profond de mes phantasmes, je me vis faire signe au petit jeune qu'il pouvait y aller. De suite il se libéra de ses vêtements et là je vis qu'il était bien doté par la nature. *** sexe était un peu plus long que le mien mais nettement plus gros et plus nervuré. Il se positionna derrière Sophie et joua à le faire aller de bas en haut en prenant bien soin à chaque passage d'exciter *** petit clitoris. En peu de temps, la respiration de ma petite femme s'accéléra et donnant des coups de bassin en arrière me demandant de la prendre, il ne s'en priva pas et doucement, il pénétra ma moitié. Lorsqu'il fut au fond, il commença à la pistonner doucement puis accéléra. Sophie était aux anges. Elle fit la remarque que j'étais un gros salaud car j'étais drôlement excité, elle avait la sensation que j'étais plus en forme que d'habitude. Excité, je l'étais et j'avais sorti mon sexe que je masturbais devant ce spectacle incroyable. Je m'approchais de notre locataire pour pouvoir donner le change avec ma voix pour ne pas la faire douter et je la traitais de salope, et de toutes sortes de mots qui déclenchèrent *** premier orgasme. Notre locataire augmenta encore la cadence. J'étais stupéfait de le voir tenir ainsi. Car souvent, après avoir fait jouir ma femme, je prends mon plaisir et ca s'arrête. Mais la, il entreprit de se saisir des ses seins tout en la pistonnant profondément. Il jouait avec ses tétons, puis voyant le plaisir monter à nouveau, les pinça. Ce qui déclencha un nouvel orgasme bruyant, il venait de faire jouir ma femme deux fois en peu de temps et il continuait toujours à la pénétrer. Il ralentit le rythme mais il la pénétrait totalement. A chaque fois qu'il était au fond, j'entendais un petit feulement sortir de la bouche de Sophie. Puis je le vis humecter *** doigt puis venir flatter sa rondelle. Il appuya doucement et *** doigt entra dans *** fondement. Elle me traita à nouveau de salaud et sa respiration s'activa de nouveau. Il retira *** doigt qui fut remplacé par *** sexe. Doucement il poussa, je vis la tête rentrer puis le reste suivi. Petit à petit, *** sexe pris possession de *** cul. Sophie respirait de plus en plus vite. Le locataire commença doucement puis activa la cadence, j'étais en transe, au bord de l'éjaculation. Sans réfléchir, je me mis devant Sophie et lui retirait *** bandeau. Elle comprit tout de suite qu'il y avait une anomalie, car quelqu'un était toujours en elle et j'étais devant *** visage. Jetant un coup d'œil à l'arrière, elle me demanda de le faire arrêter car il avait l'âge de notre fils. Mais moi trop excité, je la traitais de salope car elle avait joui déjà deux fois et qu'elle s'en prenait plein le cul. Le locataire accéléra la cadence, ce qui déclencha des spasmes chez Sophie, je vis ses yeux se révulser et dans un râle profond elle monta au septième ciel, je me soulageais sur *** visage et dans ses cheveux. Le soir pendant tout le repas, le regard de Sophie me fuyait. Au lit, je me mis à la caresser et doucement je revins sur l'aventure de cet après-midi. A lui rappeler ses aventures, je me rendis compte qu'elle mouillait beaucoup, plus que d'habitude et la traitant de grosse salope, qu'elle s'était livrée a un petit jeune les yeux bandes, elle jouis presque aussitôt sous mes doigts. M'étant excité moi-même, j'entrepris de la pénétrer aussitôt. Je la traitais de tout les noms et je voyais que cela lui faisait de l'effet. Je l'obligeais à dire tout haut qu'elle était une grosse salope en manque et docilement, elle le répéta, plus fort « Je suis une grosse salope en manque » Plus fort « Je suis une grosse salope en manque » J'étais excité au plus haut point, le rideau de la chambre était entrebâillé et après avoir crié comme ça notre locataire qui était je suis sur, devant la fenêtre pouvait savoir qu'il avait une grosse salope comme propriétaire. Sentant *** plaisir monter, je dis tout haut que j'allais livrer ma petite bonne le mercredi après-midi en guêpière pour faire le ménage. J'obligeais Sophie à accepter et a répéter tout haut ce qu'elle allait faire le mercredi après-midi quand le locataire n'a pas cours. Je serais sa petite bonne, le mercredi après midi, je serais sa soubrette, je ferais *** ménage et plus s'il veut Plus fort « Je serais sa chose »
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chrislebo
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Et dans un spasme profond, elle s'effondra sur le lit, pendant que je me vidais en elle. J'attendis le mercredi soir avec impatience. En rentrant, en voyant les cernes sous ses yeux, il ne fallait pas être dupe pour voir que Sophie avait fait l'amour fortement. Au lit, elle m'avoua que le locataire lui avait demande de lui faire un streap-tease, puis elle avait dû lui faire une fellation a genou devant le fauteuil pendant qu'il regardait la télé. Puis il l'avait prise pratiquement dans toutes les positions possibles, c'était un amant formidable et de plus bien monté, il avait pris un ascendant sur elle car il avait bien compris que pour la faire jouir plusieurs fois, il l'avilissait en la traitant de salope, d'exhibitionniste, qu'il lui en fallait de la queue a un folle du cul comme ça. Tous ces mots dans sa tête la rendaient encore plus accessible. Il lui a même dit que le mercredi suivant, il allait lui faire une surprise et qu'elle devrait venir avec sa guêpière. J'étais excité, mes plus gros phantasmes se réalisaient. Le mercredi suivant, j'étais encore plus excité que la semaine précédente et en franchissant le seuil, je fus étonné de ne pas voir Sophie. Après un moment d'inquiétude, je finis par la retrouver endormie dans notre lit, les cheveux en bataille, elle portait encore sa guêpière, *** visage était ainsi que ses cheveux maculés de sperme. Le lit était défait. Sur la table de nuit gisaient les vibromasseurs avec lesquels nous jouons de temps en temps, je compris vite la situation. Elle avait fait ça dans notre lit conjugal. Je la réveillais doucement et des qu'elle me vit, elle se mit à pleurer. Au bout de quelques minutes après s'être calmée un peu, elle me raconta avec une voix tremblante *** après midi. Comme convenu, elle était chez le locataire en guêpière. Comme la semaine précédente, il avait pris possession de *** corps quand elle entendit taper à la porte. Avec un large sourire, il lui dit que c'était la surprise. Affolée, elle se cacha dans la douche, la porte du studio s'ouvra et elle entendit distinctement deux voix inconnues, elle était paniquée, une des voix demanda si la petite soubrette était là. Le locataire pris les devant en leur disant de payer avant de s'amuser et elle entendit des bruissements de billets. Le salaud, il était en train de se faire payer et allait la livrer à des inconnus. La porte de la salle de bain s'ouvrit et la prenant par le bras tout en lui disant qu'une grosse cochonne comme elle, allait connaitre l'extase en devenant la chose de trois hommes. Arrivée devant les deux autres garçons, qui étaient a peu prés du même âge que le locataire, un silence pesant, tomba. Leurs yeux étaient fixés sur moi et un sourire malicieux apparaissait sur leurs visages. Tout à coup, six mains prirent possession de mon corps, une main était déjà entre mes cuisses, d'autres me caressaient les seins en étirant mes tétons, pendant que d'autres me caressaient le corps et me flattaient le cul. La sensation d'être caressée ainsi m'amena aussitôt a l'orgasme, une grande satisfaction se lisait sur leurs visages. L'un des garçons félicita même notre locataire d'avoir déniché une grosse vicieuse. Les mots ré***naient dans ma tête et me stimulaient encore plus. Puis ce fut la curée, je fus prise dans toutes les positions, dés que l'un avait pris *** plaisir, un autre le remplaçait, elle ne pouvait même plus dire le nombre de fois qu'elle avait jouie. A un moment, l'un des deux inconnus me demanda si j'avais un caméscope. Devant ma réponse positive, ravi, il proposa à ses amis de faire un film. Il me demanda d'aller le chercher. Le deuxième proposa de me suivre et c'est ainsi qu'ils débarquèrent dans notre chambre. Je fus filmée sous toutes les coutures même qu'à un moment ils posèrent le caméscope sur la table de nuit en direction du lit et ils me prirent à trois en même temps. L'un me sodomisait, l'autre me pénétrait par devant et j'avais le troisième en bouche. D'être ainsi a leurs merci je m'effondrais en jouissant très profondément, après un des deux plus curieux, informa ses camarades qu'une salope de mon genre devait avoir ses petits gadgets cachés quelque part et en fouillant, il découvrit la boite ou je mets mes vibromasseurs, ils m'obligèrent à me pénétrer avec l'un pendant qu'un des gars me sodomisait avec un autre. Le deuxième gars n'en perdait pas une miette en me filmant en gros plan et quand j'entendis le locataire dire qu'il allait mettre la vidéo sur un site porno en proposant mes services à des vieux vicieux prés à payer pour s'offrir une grosse salope, je sentais monter le plaisir à grand pas. Le locataire m'obligea même à dire devant la camera que j'étais une femme gourmande et disponible avec de gros besoins et que je savais satisfaire tous les vices. Le fait de le répéter devant l'objectif, un pied merveilleux me tétanisa et j'explosais bruyamment. Aussitôt, les trois compères excités, me reprirent dans toutes les positions et se soulagèrent sur mon visage et dans mes cheveux. C'est ainsi que tu m'as retrouvé. J'étais furieux de ce qui venait de se passer mais en même temps super excité, car *** histoire m'avait tellement stimulé que j'avais éjaculé dans mon slip sans me toucher. J'ai revu mon locataire et il m'a fait des éloges sur ma femme et gonflé, il m'a proposé de partir un weekend avec Sophie car suite a sa vidéo qu'il a posté sur le net, il avait reçu énormément de propositions dont une pour ce weekend, pour offrir ma femme a un homme de soixante ans qui lui a proposé de l'argent, il eut même le culot de me proposer de partager avec moi si j'étais d'accord. Il me laisse jusqu'à demain pour lui donner une réponse. Je suis tiraillé entre deux choses. L'une, virer ce petit goujat et l'autre pervertir cette petite Sophie, qui je le reconnais devient bien plus gourmande, mais est ce que mon couple résistera a ces dérives ?
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chrislebo
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Madame le maire Il est seize heure quand Natacha, maire de la commune, très belle rousse de cinquante ans, reçoit un coup de fil de sa fille Morgane, âgée de vingt ans, superbe elle aussi. On la voit souvent roder avec Richard, un jeune marginal de vingts deux ans, très beau gosse, mais un peu trop volage. Il habite seul dans une cabane à l'entrée de la ville, et vit de petits larcins. Natacha n'est pas au courant de cette relation. -Oui ma chérie, ça va? -Oh maman, si tu savais, dit Morgane en larmes. Tu sais le jeune qui habite la cabane? Ben, il a essayé ******* de moi. -Quoi, bondit Natacha. Mais c'est grave ça. T'inquiète pas, je m'en occupe séance tenante. Morgane vient de sortir un énorme men***ge, sentant que Richard allait la lâcher. Natacha quitte la mairie, pour aller rendre visite à ce fameux Richard. Elle est vêtue d'une jupe noire qui arrive à mi-cuisse, d'une veste noire ouverte sur un chemisier rouge, et des escarpins assortis. Elle arrive à la cabane, en fait le tour. C'est propre. Rien à dire de ce côté. Elle frappe à la porte. -Il y a quelqu'un, ouvrez s'il vous plait. Aucune réponse, elle tambourine la porte de plus en plus fort. La porte s'ouvre enfin. -Oui, oui, c'est pourquoi? Demande Richard.l'a D'un air autoritaire, Natacha pénètre dans la cabane du jeune garçon. Elle découvre un intérieur sobre, mais très bien entretenu. Une pièce unique. Petite kitchenette,un coin toilettes. Le reste de la pièce est jonché de d'épais tapis à poils longs, et de coussins. sans doute l'endroit ou il ***** de ses conquêtes. -Espèce de voyou, gronde-t-elle. Qu'est-ce-que tu as fait à ma fille? -Quoi? Oh, hé, la vielle, tu te calmes, OK? C'est quoi cette histoire. C'est qui ta fille? -Fait pas l'ignorant, salaud. Elle s'appelle Morgane. Je vais m'occuper de ton cas. Tu sais à qui tu as à faire, j'espère. Je suis Madame le maire de la commune. C'est moi qui gère les affaires de la ville. -Et alors, ça vous donne des droits? Et mes couilles, qui c'est qui les gèrent. On est pas à la mairie ici. D'un coup de pied, Richard ferme le porte, et s'avance vers Natacha. Il la saisit par le cou, et la clou contre le mur. Elle essaie de desserrer l'étau en portant ses mains à sa gorge. -Mais ça va pas, s'étouffe-t-elle. Lâche moi, ça va pas se passer comme ça. -A oui, répond-il, tu vas me faire quoi? Me faire mettre en pri***. Il descend une main, et la glisse de ***** entre les jambes de Natacha. Surprise, elle n'a pas le temps de les serrer. -Aie..salaud, hurle -t-elle, lève ta main de là. Tu te prend pour qui? aie.... Dans l'action, *** chemisier s'est largement ouvert, laissant apparaitre sa magnifique poitrine. La main est maintenant en contact avec le string de Natacha. Deux doigts écartent le mini vêtement. -Oh , sourit Richard, mais ces que Madame le maire est farouche. Mais elle peut crier, ici, per***ne peut lui porter secours. Richard fait courir ses doigts sur la fente de Natacha. Il la fixe ironiquement dans les yeux. 'Arrête, ça suffit, ça va te couter cher, petit délinquant. Sous la pression, Natacha est obligée d'écarter les jambes. la caresse se fait plus précise. Les doigts ouvrent les lèvres légèrement humides, trouvent le clitoris qu'ils sortent de la capuche. -Assez, je te dis. Mais qu'est-ce-que tu me fais. Laisse moi partir. La main qui essayait de libérer *** cou, et maintenant posée sur l'épaule de Richard. Il a compris qu'elle allait s'abandonner. -Tu veux pas qu'on se déshabille, et qu'on s'allonge sur les coussins. -Tu me prends pour qui? Se défend-elle. Pour une femme facile? Et...puis..si...quelqu'un nous..surprend. tu te rends compte. Dans ma position..ma réputation en prendrait un coup. Natacha succombe aux attouchements de Richard. Elle quitte sa veste et *** chemisier. Lui, s'occupe du reste. Il reste émerveillé devant le corps de sa nouvelle conquête, se longs cheveux roux tombant sur ses épaules. Ils glissent lentement sur les épais tapis. Il lui prend les lèvres, elle répond au baiser. Il la ***** à écarter ses cuisses, et la pénètre lentement. Elle noue ses jambes dans *** dos, en poussant des râles de plaisir. -Ha salaud, tu m'as eu hein? Il y a si longtemps que j'ai pas pris un coup de queue. Vas-y, nique la vieille, ha...oui, que c'est bon, ha..tu sens comme je mouille, ouiiii. Il aura fallu dix minutes, pas plus, pour que Natacha hurle sa jouissance. -Putain, ironise Richard, ton trou est plus gros que celui de te fille. Il a du en recevoir des coups de bites. -C'est normal, murmure Natacha, Morgane est jeune. Elle a une petite chatte encore. *** petit trou aussi doit être étroit. Je suis même sure que je taille le pipes mieux qu'elle. -Je demande à voir, répond Richard. Tu avales aussi? -Viens ici vicieux, tu vas voir de quoi je suis capable. Après une bonne turlutte, Natacha insiste pour que Richard la sodomise. Que sa queue pénètre *** petit trou jusqu'au couilles. -Si les élus voyaient comme tu m'encules, oh putain."Mais Madame le maire est une pute" diraient-ils. mais c'est tellement bon de se le faire mettre par une belle queue travailleuse. J'espère que je peux compter sur ta discrétion? -Ah, sourit-il. Je sais pas, ça se négocie. Tout les jours vers dix huit heures, par exemple. -Salaud, dit-elle en lui prenant les couilles. Est-ce que tu me laisses le choix? -Pas vraiment non. A moins que tu veuilles négocier cette nuit. -Oh putain, tu m'allumes? Tu vas voir ce que je vais te mettre. Je vais te vider les testicules grave. Je veux que tu me supplies à genoux d'arrêter. Madame le maire va se faire prendre une bonne partie de la nuit. Hurler comme une bête. Richard s'avère être un amant infatigable. Ils s'endorment vers trois heures du matin. Avant de partir pour la mairie, vers huit heure du matin, Natacha tient à se faire tirer une dernière fois.
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chrislebo
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Sylvie, la secrétaire de direction, très belle brune de vingt quatre ans, s'aperçoit d'un changement dans le comportement de Madame le maire. Le look déjà, mais aussi un léger flottement dans l'organisation du travail. Alors qu'elle n'aurai jamais laisser un dossier en attente, là, les papiers trainent sur le bureau. Elle remarque aussi, que deux fois par semaine, elle quitte la mairie vers dix sept heures trente. Un soir, elle décide de la suivre, et arrive jusqu'à la cabane en bois. Elle connait bien l'endroit pour y être venu se faire baiser par Richard. Elle colle *** oreille à la porte, et entend Natacha gémir de plaisir, proférer des mots obscènes, supplier qu'il la prenne encore. "Ben dit dont, se dit Sylvie, Madame le maire aime le sexe. C'est intéressant ça. Elle décide de contacter Richard pour lui proposer un deal. Comment profiter de la situation. Le temps d'un rendez-vous câlin, elle monte un plan avec lui. Il faut qu'il donne l'impression de n'être au courant de rien. Deux jours plus tard, vers dix huit heures, Natacha rejoint Richard pour qu'il lui donne sa dose. Les deux amants ***t en plein ébats amoureux, quand soudain, Sylvie surgit de la douche. -Tiens, je ne rêve pas, Madame le maire. Dit dont, elle a la cuisse légère. Tant bien que mal, Natacha essaie de cacher sa nudité en tirant le drap sur elle. Mais il est trop tard. -Quel sujet de conversation demain au bureau, sourit Sylvie. Allez, tchao. -Non, arrête, supplie Natacha. Ce n'est pas ce que tu crois. J'avais un problème à régler. -Mais je crois rien ma chère. Je vois simplement que vous êtes en train de vous le faire mettre. c'est tout. -Calme toi, demande Richard. Tu veux quoi au juste? Tu veux que ça se sache, c'est ça? -J'aimerai bien jouer avec elle moi aussi, reprend Sylvie. Surtout qu'elle a l'air réceptive, Natacha sent le sol se dérober sous elle. Elle se blottit dans les bras de *** amant. Elle ne voit pas le sourire plein de vice, et le clin d'oeil que s'échangent les deux complices. Vaincue, elle s'écroule sur les tapis' et décide de s'abandonner. C'est vrai qu'elle est très réceptive. -Mon dieu, gémit Natacha, si tu savais ce qu'elle me fait. Elle a tout décalotté mon clitoris. -Oh,mais la chatte de Madame le maire est pleine de mouille, sourit Sylvie. Comme elle est chaude. Vous sentez comme mes doigts glissent dans vos lèvres. Et si je vous en mettez un troisième. Là, comme ça ma chérie, c'est bon de se faire branler, même à vôtre âge, hein? Allez vilaine, remuez bien vôtre cul. Natacha s'agite de plus en plus sur le tapis. Elle se fait prendre par sa secrétaire, et elle se régale. Elle jouit. -Oui..ha..ha.je crache..oui..tu me fais jouir..t'arrête pas, haa... -Madame le maire avait une grosse envie. Tenez, léchez mes doigts . Goutez vôtre mouille. C'est bon, hein? Et toi Richard, qu'est-ce-que tu attends pour te faire tailler une pipe. Moi j'en ai pas fini avec elle. Je vais m'amuser un peu avec *** clitoris. Tu vas l'entendre gueuler. Sylvie rit aux éclats en voyant Natacha s'agiter dans tout les sens. Elle la tient par la chatte et le bouton du bout des doigts. -Oh mais c'est que vous aimez vous faire doigter aussi. Si vous voyiez vôtre clito dans quel état je vous l'ai mis. Il est dur, tout rouge , bien décalotté. On va bien s'amuser au bureau toute les deux. Je vous conseille d'être obéissante,OK? Natacha a de la difficulté à répondre, tant la queue de Richard est enfoncée profondément dans sa bouche, entièrement décalottée. Ses couilles tapent contre les lèvres. On distingue la forme du gland qui déforme les joues à l'intérieur. Puis, des jets de spermes, puissants giclent au fond de sa gorge. Natacha avale tout. -Ha, quelle pute, regarde comme elle me vide les couilles, oh putain, qu'est-ce-qu'elle est bonne. Meilleure que sa fille. L'orgasme de Natacha est terrible. Des cascades de mouilles s'échappent de sa chatte en feu. Elle ne se maitrise plus. Ses jambes ripent sur les tapis. Elle est couverte de sueur. Des larmes perlent sur ses joues. -Ouaou, dit Sylvie, Madame le maire a une sacrée pêche. Elle en voudrait pas encore, des fois? -Si..si..je vous en prie, donnez moi encore. Mon petit trou, per***ne ne s'en est occupé, il en veut lui aussi. je ferai ce que vous voudrez, mais niquez moi, enculez moi. Sylvie pose ses conditions quant aux relations au bureau. Dans l'intimité, elle veut Natacha soumise. Madame le maire accepte. Les deux jeunes gens vont la faire crier le reste de la soirée. Bien sur, Richard va se faire un plaisir de l'enculer. L'interphone de Sylvie ***ne. Elle sait que c'est Natacha. -Oui madame le maire, c'est pourquoi? Un besoin urgent. -Oh Sylvie, si tu savais, ma chatte est toute mouillée. Tu peux venir t'en occuper s'il te plait. -Mais bien sur Madame le maire, préparez vous. Jupe enroulée autour de la taille, jambes bien écartées, pas de string, évidemment. Vous avez pensé à bien épiler vôtre petit minou? Bien, j'arrive. Sylvie entre dans le bureau de Natacha. Celle-ci a ses jambes passées par dessus les accoudoirs du fauteuil. On aperçoit les lèvres humides, légèrement ouvertes. -Je voulais décalotter mon clitoris, mais je préfère que ce soit toi qui me le fasse. Regarde ma minette dans quel état elle est. Sylvie s'avance, se penche sur Natacha. Effectivement, la chatte est bien baveuse. Elle se place légèrement derrière elle, et glisse une main entre les cuisses offertes. Elle saisit le clitoris, qu'elle libère de sa capuche. -Hum..soupire Natacha, que c'est bon. Pince le ce salaud. -Madame le maire est une petite vicieuse. Elle aime se faire doigter, hein? Vous voulez que je vous tape une bonne branlette. Après, je vais bien vous ouvrir le petit trou, d'accord. Vous allez être la plus belle gouine de la mairie, petite pute. Oh, excusez moi, ça m'a échappé. -Non, vas-y, parle moi mal. Fesse moi, je le mérite. Prend moi comme l'autre fois, avec trois doigts, quatre si tu veux, fait moi gueuler. La porte du bureau s'ouvre sans bruit. C'est Henry, le premier adjoint, black de cinquante deux ans. Décidément, Sylvie a tout prévu.
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chrislebo
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Une maman soumise Regarde comme je suis écartée, salaud, je suis toute mouillée à cause de toi. Voila plus d'un quart d'heure que Véronique est empalée sur la queue de Nicolas, *** fils cadet âgé de dix sept ans. -Et alors, tu aimes pas, salope. Sent ton clitoris comme il est dur. Je suis sur qu'il est tout rouge. Papa te donne pas assez que tu fais la pute avec moi. -Tais toi, tu sais que j'aime la queue. Même si c'est celle de mon fils. Putain, gratte moi le bouton, oui...ouiii. -Moi aussi je viens, salope, ouais, prend çà. Que c'est bon de tremper sa queue dans ta chatte. Le couple s'écroule sur le canapé. -Tu iras doucement avec papa, j'ai besoin que tu soit en forme pour mes besoins, compris? -Oh oui mon amour, je simulerai avec lui. Véronique est entièrement soumise à *** fils, depuis qu'il l'a surprise au lit avec le jeune voisin âgé de seize ans. -Demain, y a Paul qui vient, dit Nicolas. Alors, tenue légère, rien dessous. Et tu auras intérêt à bouger ton cul. Paul est le cousin de Nicolas, donc le neveu de Véronique. Nicolas est de plus en plus dur avec sa mère. Il lui fait payer cash tout ses écarts. La semaine dernière, au cinéma, il a exigé qu'elle lui taille une pipe. La salle était pleine. Elle a été obligée de tout avaler. Une autre fois, elle lui a avoué qu'elle avait fait l'amour avec *** père. Il l'a mise sur ses genoux, et lui a donné une fessée. Elle en avait joui. -Ca c'est passé comment avec papa, hier soir? demande-t-il. -J'ai dis que j'étais fatiguée. Je lui est juste tapé une petite queue. Il s'est bien régalé. Paul arrive à quatorze heures. -Bonjour tout le monde, dit-il, ça va tata, en forme? -Et toi, tu t'es décidé à venir me voir. Comment va ma soeur? -Très bien, le petit train train. Nicolas est installé sur le canapé. Il a exigé que sa mère mette sa petite jupette, sans rien dessous. Il l'a prend par la taille, la tire et l'assoie sur ses genoux. il glisse une main entre ses cuisses. -Tu t'es épilée, m'man, ça m'excite ça. -J'ai fait ça pour toi, mon chéri. Paul est sidéré par la scène. Il aperçoit l'entre-jambe de sa tante. -Mais tu es fou, dit-il. Qu'est-ce-que tu fais ? C'est ta mère enfin. -Approche Paul, viens voir la petite chatte de ma maman comme elle est belle. Elle est déjà toute mouillée. Viens la lui caresser. -Arrête, gémit Véronique, tu vas me faire jouir. Tu sais que je résiste pas longtemps. Tu me rend folle. Paul s'avance timidement, et caresse le clitoris de sa tante. -C'est vrai qu'elle mouille, dit-il. -Je vous en prie, supplie-t-elle, niquez-moi. Vous voyez pas que j'en crève d'envie. Ils se déshabillent. Nicolas prend la tête de sa mère, et la ***** à le sucer. -Allez maman, une petite turlutte à ton fils, ça te dis pas ? Regarde comme elle est raide. Paul se place derrière sa tante, la queue en érection. Il l'a fait aller et venir entre les lèvres humides, puis la pénètre. -Ha..ha..l'enfoiré, hurle Véronique, quelle bite, oh putain, il est mieux monté que toi ton cousin, oh le con. Et ses couilles, fait moi toucher tes couilles.
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chrislebo
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Véronique passe une main entre les jambes de *** neveux, et fait rouler les testicules entre ses doigts. 13632 Paul accélère ses coups de queues dans la chatte en feu de Véronique. Nicolas donne des signes de faiblesses. -Salope, pipe, avale, bien, brave maman. Que tu es bonne. Pauvre papa, s'il savait que sa femme se fait tirer par *** fils. Quel cocu. -Tais toi, gémit Véronique, laisse moi jouir tranquille, vas-y Paul, maque moi, bourre moi, vide tes grosses couilles dans la chatte de tata. Ha..ha..oui..ouiii, je jouiiis. Paul envoie sa semence dans le ventre de sa tante, en hurlant de plaisir. Elle se retourne, l'embrasse. -Petit vicieux, dit Véronique, tu as pas honte de niquer ta tante, tu le ferai à ta mère? Vilain. Paul se retire. Nicolas tend une main, et lui prend la queue. -C'est vrai que tu es membré, dit-il. je comprend que tu ais fais gueuler ma mère. Tu veux qu'il t'encule maman? -Non, dit Paul, pas ça, je peux pas me permettre. Restons en là. -Comme tu veux, répond Nicolas, ce sera pour moi ce soir, hein m'man? -Bien sur mon chéri, dit Véronique, ton père rentre pas ce soir, on aura toute la nuit. Elle se retire dans la salle de bains. Les deux cousins restent assis sur le canapé. Nicolas prend la main de Paul, et la porte à *** sexe. -Caresse moi, lui dit-il, décalotte moi comme il faut. Prend moi les couilles aussi. -Comment tu es devenu, Nicolas. Oser ****** de sa mère à ce point. -Tu devrais essayer avec la tienne, répond-il. Du reste, tu devrais l'emmener un jour pour qu'elle se gouine avec sa soeur devant nous, ça doit être excitant, non? Oh putain, je crache, regarde, tu as fais jouir ma mère, maintenant tu fais jouir *** fils, quel salaud. -J'en ai assez vu et entendu, dit Paul, je préfère m'en aller. Deux jours plus tard, Véronique appelle sa soeur. -Allo, allo. -Ha..ha..oui. -Mais qu'est-ce-qu'il t'arrive ? demande Véro. -Si tu savais, c'est mon fils, il est en train de me mettre des coups de queue ce salaud, ça fait deux fois qu'il me fait jouir. Tu m'entendrais crier. Ha..ha...oui, je viens encore, je jouiiiis. Tut.tut.tut.tut.
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chrislebo
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Vieux pervers et ma copine Hello, Mon nom est Julien et je vais vous raconter l'histoire absolument véridique qu'il m'est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi ça fait un an que l'on est ensemble. On s'est rencontré à l'université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent. Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s'est tout de suite entendu, j'étais *** premier homme et elle est vite devenue accro au sexe. Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde. Laura n'aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d'hommes stupides bourré de testostérone qui supporte une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cour, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c'est vrai qu'a cette époque nous n'avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours. Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu'à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d'un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d'un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu'elle était très sexy et que beaucoup d'homme l'ont regardé. Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l'enceinte ce qui mit ma douce moitié d'une humeur plutôt mauvaise. C'est pour cela que quand sommes enfin entré, elle voulu directement aller s'acheter des cigarettes et s'acheter à boire. Evidemment qu'il y avait de nouveau la queue, c'est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout. Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés. A côté de nous, il y avait un homme d'une cinquantaine d'année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L'homme semblait déjà avoir un peu bu vu l'enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre. Laura, elle de *** côté, avait bu ses 3 bières en un peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment. Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue. Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c'est à ce moment que je vis l'homme effleurer les fesses de Laura. Il n'a surement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu'elle pensait également qu'il n'avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris. Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l'homme effleuré les fesses de Laura comme si c'était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n'y avait plus de doute, ce n'était pas tout à fait involontaire. J'étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura, me regarda et me dit : « on peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ». Et c'est là que je ne sais pas pourquoi, l'excitation et l'alcool je suppose, mais je lui glissai à l'oreille : « non, reste ! Moi ça m'excite », ces mots ***t sortis tout seul de ma bouche comme s'ils s'étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place.
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chrislebo
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Le match avait repris, toujours avec autant d'ambiance dans le public. Moi, de mon côté, j'avais de la peine à me concentrer sur le match car je n'arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m'imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n'aurais crus que de voir Laura se faire tripoter m'aurais excité et en plus à ce point. Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraina un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixai les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés. Sa main entière s'était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s'était alors légèrement déformée sous l'attouchement de cette main étrangère. L'homme qui avait une trentaine d'année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s'était passé et parlait même avec sa fille, qui n'avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d'ailleurs. Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés. J'observais l'homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L'homme ne savait absolument pas que j'avais remarqué *** petit jeu. Je n'en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi. La première pause s'approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j'avais l'impression qu'ils étaient collés, ils n'étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s'approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu. Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l'a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d'un léger mouvement pour lui signifier cette fois d'une manière certaine *** accord. La cloche ***na la pause et l'homme enleva rapidement sa main. Laura m'embrassa à nouveau et nous décidâmes d'aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s'était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants. « Je bande comme un fou » lui ai-je avoué. « Tu as vu comme il m'a touché le cul » me lança-t-elle d'un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta « je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m'excite vraiment. » « Tu sais la situation m'excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c'est moi qui ait voulu ce qui arrive. je t'aime » terminai-je. Je la pris par la main et l'emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l'homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J'étais déçu et croyait que le petit jeu était finit. Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris que après, voulait dire « tu veux qu'on continuer à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l'homme. Celui-ci a réagit tout de suite et toujours discrètement commença a caressé la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l'autre côté de l'homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moi de mon côté, je regardais du coin de l'oil pour ne pas me faire repérer. Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et *** visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petit mouvement en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir. Les doigts du vieux appuyaient sur l'avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c'est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main. A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d'excitation me prenait jusqu'au plus profond de mes nerfs. A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n'eus même pas le temps de me demander si ce qu'il se passa plus tard était réellement ce que je voulais.
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chrislebo
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L'homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvait les toilettes. J'avais maintenant tout compris à *** plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder. J'étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu'allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l'intérieur d'elle ? Est-ce qu'elle jouit ? J'étais bouleversé, mais d'imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu'elle me faisait bander au plus haut point. Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n'étais plus très attentif au match. La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l'absence de *** père. Je vis Laura revenir, le vieux lui n'était pas encore là. Il revint que quelques minutes après avec deux bois***s, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu'il avait fait à ma copine. Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu'à l'entrée du pantalon de Laura, avec l'autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans *** pantalon. Arrivé à l'intérieur, première surprise, Laura n'a plus de string. J'entre alors 2 doigt dans sa petite fente mouillé afin de trouver d'éventuelle traces de pénétration, Sa petite chatte est trempe mais il ne me semble pas qu'elle soit assez dilaté pour qu'elle ait été pénétré. N'en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l'oreille : « tu l'as sucé ? ». Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et *** pantalons. Mon index se pose sur *** petit trou du cul, je constate qu'il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l'anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l'a été. Mon doigt n'a aucune peine à entrer jusqu'au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu'au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec *** sphincter afin de vider *** rectum bien rempli. Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s'écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainée blanche qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu'à la dernière goutte le sperme du vieux pervers. Laura me raconta plus tard que le vieux l'attendait devant les toilettes. Qu'ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l'avait traité de salope et l'avait sauvagement déshabillé. Il l'a ensuite peloté tellement fort qu'elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s'y pas attardé longtemps. « il n'y avait que mon cul qui l'intéressait, il voulait juste m'enculer » m'a-t-elle dit plus tard. Il l'a alors mise à 4 pattes et lui à lécher l'anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L'homme l'insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s'assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s'assoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m'avoua que l'immense bite du vieux (comme elle l'appelle) eu de la peine à entrer, c'est pour cela qu'il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l'obliger à s'assoir sur sa bite malgré la douleur qui traversait Laura. Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l'alcool faisait toujours *** effet et l'aida à apprécier cette sodomie. *** anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur *** vieux pervers. A ce moment là elle se sentait rempli comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L'homme se contracta et Laura sentie *** anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n'avait connue une telle dose de sperme l'envahir. Le pénis qui était au fond d'elle, lui propulsa une dizaine de jet qui allaient tapisser les parois de *** rectum. Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot. Voila notre histoire, elle s'est passé la semaine dernière. J'ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m'a dit que si l'occasion se représentais, peut être. Ca fait une semaine que nous fai***s l'amour comme jamais, j'aime tellement me savoir cocu, j'aimerais bien avoir des témoignages d'autres hommes ou femmes dans ma situation, n'hésitez pas à m'envoyer vos mails de réactions !!!
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chrislebo
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Le mec de ma fille Notre fille, Josette, âgée de 21 ans, était venu nous rejoindre à la campagne, pour quelques jours, mon mari et moi. Nous étions bien heureux de cette visite, les occasions de se voir étaient si rares depuis *** départ de la mai***, il y avait déjà trois ans. Toutefois cette visite était un peu ombragée par la présence inattendue d'un copain, Marc, grand escogriffe, plutôt maigre mais musclé, aux cheveux ébouriffés, portant une barbe courte de quelques jours et vêtu de cuir et de jean. À peine plus âgé que notre fille, il parlait peu, avait des manières brusques et m'occasionnait un profond malaise. Le repas et la soirée furent sans histoires, sinon que j'avais remarqué les regards discrets mais particuliers de Marc. Certes à 45 ans je n'étais plus de première jeunesse, mais ayant toujours pris soin de ma per***ne, je n'avais aucune honte de mes courbes et me considérait encore comme une belle femme. Manifestement, Marc partageait cette perception et mon malaise en augmenta d'autant. Josette et Marc étant sorti tard en soirée, mon mari et moi étions au lit depuis longtemps lors de leur retour à la mai***. Le lendemain, comme de coutume, je me suis levée aux premières lueurs du jour et après les dispositions habituelles et un premier café, je me suis rendu à la salle d'eau pour y prendre ma douche quotidienne. Notre vieille mai*** de campagne, toute en pierres, avait été rénovée mais la complexité des travaux nous avait obligés à faire quelques concessions d'aménagement. Ainsi, la salle d'eau, avait été installée près de la cuisine, dans un appentis à l'arrière de la mai***. Comme nous vivions seuls, nous avions nos habitudes bien ancrées, et ce matin là, j'entrai dans la salle d'eau sans refermer la porte ni engager la serrure. Après m'être dévêtue, j'entrai dans la douche pour mes ablutions quotidiennes, d'une durée habituelle de trente minutes. Au bout d'à peine quelques minutes, en me savonnant sous le jet délicat de la douche, je me retournai et je vis au travers de la porte vitrée, une grande silhouette que je reconnus sans peine comme étant Marc. Je restai figée et après de longs instants, Marc referma la porte de la salle d'eau, retira *** slip et entra sous la douche. Au moment où il ouvrit cette porte, je détaillai en un instant *** corps mince et musclé. *** pénis en érection, d'une grosseur et d'une taille supérieure à la normale, attira immédiatement mon regard. Ayant refermé la porte, il me regarda longuement sans dire un mot. Puis, il tendit la main vers ma poitrine. Au contact de ses doigts, mes mamelons se durcirent instantanément, provoquant une sérieuse crampe dans mon vagin. Gênée et hésitant entre crier, me sauver ou m'abandonner, je me retournai et me blottis contre la paroi de la douche, lui demandant à voix basse de me laisser. Au contraire, Marc s'avanca tout contre moi, *** pénis se frayant un passage entre mes fesses que je tenais aussi serrée que possible. Ses mains se frayèrent un chemin vers mes seins et mon intimité. Je résistai de mon mieux, mais pas de toutes mes énergies : je voulais, je ne voulais pas... Marc était un étranger et jamais encore, après plus de 25 ans de mariage, je n'avais trompé mon mari. Devant ma résistance, Marc m'enlaça le bas ventre d'un bras et immobilisa mes deux poignets au-dessus de ma tête avec *** autre main. Puis il se pencha légèrement, plaça *** gland à l'entrée de mon anus, lequel était encore vierge de toute pénétration. En se relevant, il exerça une pression énorme et entreprit de se frayer un chemin par ce passage. Je protestai à voix basse, tellement basse qu'il ne put rien entendre. Je me relevai autant que possible, sur le bout des orteils et je tentai même de grimper sur la paroi pour échapper à la pression. J'y parvins un bref instant, mais ayant perdu pied, je retombai. L'eau qui s'écoulait sur nos corps en provenance de la douche était un excellent lubrifiant et en retombant, je m'empalai d'un trait sur toute la longueur de *** membre. La douleur fut beaucoup moindre que prévue et, comme Marc s'activait en retirant *** pénis jusqu'au gland puis en l'enfonçant à nouveau, je m'abandonnai, en tentant de conserver mon équilibre. Je le laissai fouailler mes entrailles selon *** bon vouloir. Tout en continuant le vigoureux ramonage de mon rectum, Marc explora adroitement de ses doigts mon vagin, mes lèvres et mon clitoris. Ce dernier fut agressé tantôt avec douceur puis avec violence, comme l'intérieur de mon vagin, où il trouva sans peine le point le plus sensible. En même temps, il me proféra des obscénités dans l'oreille, nous comparant moi et ma fille, décrivant avec soin les jouissances avec Josette et me félicitant d'être beaucoup plus salope que ma fille. Il savait y faire et je jouis, longtemps, geignant, à la fois honteuse et soumise. J'adorai être enculée malgré ma honte. Après de longues minutes, il libéra mes poignets et enfila ses deux bras sous les miens. Consolidant *** emprise, il s'enfonça *********** dans mon cul, me soulevant littéralement avec *** membre, étirant mon anus à l'extrême et s'immobilisant ; je ressentis enfin ses tressaillements de jouissance. Après une longue période d'attente, empalée à fond sur *** pénis et pleinement consciente que mon cul avait été vaincu par ses assauts, il me reposa délicatement. Je me retournai entre ses bras et je l'embrassai longuement pendant que, d'une main, je nettoyai tendrement *** pénis. Au bout de quelques instants, nos lèvres toujours soudées, je sentis *** membre reprendre de la vigueur et il m'ordonna de lui faire une fellation pour lui prouver que j'étais meilleure que ma fille. Toujours sous l'eau de la douche, agenouillée devant lui, j'entrepris de le contenter. Quel membre ! Je l'aurais avalé avec délectation. J'entrepris une longue caresse du bout de la langue, tout autour du gland et de là jusqu'à la base de la queue. D'une main, je massai ses couilles, alors que de l'autre, je massai et étirai *** membre. Tout cela alors que ma bouche avalais et palpais ce chibre vibrant de vie. Marc me repoussa soudain et je le crus enfin déterminé à me prendre. Mais non ! Il m'empoigna la taille et me bascula cul par-dessus tête, plaçant mes jambes sur ses épaules, de chaque coté de sa tête, sa face directement enfoncée au plus profond de mon intimité. Je me retrouvai en 69 debout, face à *** membre que j'avalai à nouveau avec délectation. Sa langue s'acharna sur mon clitoris et mon vagin pendant que je le suçai de mon mieux. L'eau chaude de la douche sur mon dos, sa langue et mon excitation furent un cocktail explosif : je jouis à répétition et avec une telle violence que je fus incapable de compléter ma fellation. Marc me déposa ensuite sur le sol, écarta mes jambes et me pris lentement, profondément, complètement. Il s'enfonça en moi en se tortillant doucement entre mes jambes, ce qui eut pour effet d'élargir le passage, d'exacerber mes parois et de compléter sa totale domination sur moi. Puis Marc me quitta, repu et sans coeur, me laissant étendue sur le sol, nue, mouillée, écartelée et ouverte par tous les trous. L'eau ne coulait plus et il faisait chaud. Il me fallu longtemps pour récupérer et retourner dans la mai***. Heureusement j'étais seul, Marc étant retourné se coucher avec ma fille. J'eus le temps de me refaire une toilette avant le réveil général. En fin de journée, Josette et Marc décidèrent de retourner à la ville. Un peu avant leur départ, Marc vint me dire bonjour dans la cuisine. Malgré la présence de Josée et de mon mari dans la pièce voisine, le goujat m'empoigna par la taille et m'embrassa pendant que *** autre main s'enfonça sous mes sous-vêtements. En quelques secondes je fus caressée et palpée aux seins, au ventre, aux fesses et à la vulve, ses doigts s'enfonçant tour à tour dans mon vagin puis dans mon cul. Je fus presque totalement déshabillée. Je l'aurais bien laissé faire et franchement, je regrettai qu'il me laissa ainsi pantelante pour aller rejoindre Josette. Marc et Josette se quittèrent quelques mois plus tard et depuis je n'ai plus de nouvelles de lui. Toutefois, il faut avouer que pendant la période où il fréquenta Josette, Marc vint très souvent à la campagne et il me fit subir autant de fois les pires outrages. Je n'offris jamais la moindre résistance, je ne refusai jamais la moindre de ses initiatives et je ne regrettai jamais cet épisode un tumultueux de ma vie... Dieu que c'était bon !
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chrislebo
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Apprentissage en chantier Je suis au collège et je suis en stage dans le bâtiment. Je travaille avec des hommes du Maghreb qui dorment dans des baraques de chantier, ils ***t très gentils, il y en a un avec de grosses moustaches qui me regarde avec un drôle d'air. Le chef, qui est aussi mon responsable de stage, me dit : - Je ne veux pas te voir en short comme la semaine dernière, même s'il fait chaud. Tu travailles bien, ce serait dommage que tu aies des problèmes. Tu collabores avec des types qui n'ont ni chèvres ni femmes, ne viens pas te plaindre. Et retourne au travail. Il me donne un bleu de travail et des chaussures de sécurité. Je ne comprends rien à ce qu'il me dit. Quelques semaines plus tard, je regarde des images de femmes nues collées dans les WC en me branlant, quand je m'aperçois qu'on me regarde par un trou dans la cloi***. Je me rhabille vite fait et sort prestement. Il est là devant moi, me barrant le passage, se lissant la moustache. Le regard dur, sans un mot, il prend ma main fermement et la plaque sur la bosse que fait *** sexe sous *** pantalon. Je me sens rougir et la retire prestement. Il dégrafe sa braguette et sort une généreuse queue au gland décalotté. Il pose ma main dessus, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, doucement il les fait coulisser sur toute sa longueur. - Branle-moi ! Je m'active, *** regard planté dans le mien. - C'est bien, tu es drôlement mignon ! Il déboutonne mon bleu et le baisse avec mon slip à mi-cuisses. - Tu es encore plus mignon comme ça ! Je suis tétanisé, il me pétrit les couilles et la queue avec vigueur. Sous ses caresses je ne tarde pas à bander, malgré la peur d'être surpris. Comme s'il avait lu dans mes pensées, il me pousse dans les WC, place sa queue sous mes couilles, saisit mes hanches et fait coulisser *** gros gland dur et chaud entre mes cuisses. Je suis impressionné par la dureté de sa queue, je bande. Très vite, il murmure des mots incompréhensibles, grogne, inonde mon entre-cuisses et le bas de ma raie de chaude liqueur, il remonte mon slip, mon pantalon et me plante là en criant "à la prochaine !". Les fesses et l'entrejambes englués de *** sperme, je retourne au boulot. Per***ne ne me regarde, je travaille soulagé. Depuis ce jour, il ne se passe pas une journée sans que sa main frôle discrètement mes fesses et mon sexe. À table, quand il est à côté de moi, il tripote ma braguette ou prend ma main et la pose sur la bosse de *** pantalon, je me sens rougir j'ai peur que les autres s'en aperçoivent et n'ose retirer ma main. De plus en plus entreprenant, Moustache m'entraîne dans les endroits isolés et sombres. - Allez, mon mignon ! Paralysé par la peur, je le laisse baisser mon pantalon et sa queue vigoureuse coulisse entre l'entrejambes enduit de sa liqueur. Je retourne au boulot. Au 5ème sous-sol, occupé à nettoyer un regard, un bruit me fait sursauter. Je me redresse, il est devant moi. Terrifié, je le regarde ouvrir sa braguette et sortir sa queue, pointer *** gland énorme vers mon visage. Il effleure mes lèvres, ne laissant aucun doute sur ses intentions. - Allez mon mignon ! Suce ! *** gland frappe mes joues et presse mes lèvres. Épouvanté, je desserre les dents. *** noeud envahit ma bouche, il passe une main derrière ma nuque et enfonce sa bite au fond de ma gorge, ce qui me fait tousser. - Ouvre ta bouche ! À chaque aller-retour, *** gland touche ma glotte, ce qui me fait éructer et monter les larmes aux yeux. Les jointures de mes lèvres me fond mal. Un jet brûlant frappe le fond de ma gorge. Surpris par la quantité je m'étrangle, tousse et ingurgite sa liqueur au goût poivré jusqu'à la dernière goutte. C'est les lèvres en feu que je regagne la surface. Un autre jour, dans un local où ***t entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant : - Baisse ton pantalon ! Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip. - J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée ! Il me pousse sur une bobine, des claques s'abattent à toutes volées sur mes fesses qui rougissent et me brûlent. - Tu as un cul prometteur ! Bien rebondi ! Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie. - Ça te plaît de te faire graisser le cul ! Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écartent, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et d'un coup il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant. - C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi ! Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant. Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, les Portugais veulent que je goûte au porto, on mangent du couscous, des Italiens que je ne connais pas me font boire du vin de leur pays. Nous sommes tous plus ou moins enivrés. Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent. - Quand le gland passe, tout passe !, plaisantent-ils de plus belle. Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je fris***ne sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détend, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, *** gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent. Je crie "À l'aide ! À l'aide !" J'entends une voix dire "Il s'est fait embourbé la petite lune !". Des rires fusent. Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur *** passage. Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce ti*** ardent qui ********* mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit. Je crie ma détresse. Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle ? Articule !", et ils rigolent.
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chrislebo
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Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir. De dehors me parviennent les rires et les quolibets. Je n'ai plus la ***** de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste *** élasticité avec *** pouce. Il s'exclame : - Tu as un beau cul ! Ta rondelle est très élastique ! Pousse ! Pousse ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne peux pas résister à une aussi jolie fleur bleue ! *** gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins. Chevillé à ce pieu, je me détend. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille : - C'est mieux qu'un doigt ! Tu es une vraie libellule ! Ton silence en dit long ! Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, *** gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte. Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec *** gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive est de ta faute. Allez, met-toi à quatre pattes." Asservi, je prend la pose. Je me crispe quand je sens *** gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle. - Tu ne gueules plus. Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse. - Allez, crie, ça m'excite. Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses. - Allez, braille. Il me claque les fesses à toutes volées. J'hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule. C'est la première fois que je jouis avec une telle violence, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à *** pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope." Puis, plus tranchant, il me dit "vas te laver le cul". Je vais me laver, vexé. Il s'approche, me regarde et me dit : - Tu as un beau cul, tu as la rosette encore ouverte. Si tu as encore un peu mal au cul, maintenant que le passage est ouvert, pas la peine de te plaindre : dans une heure ça ira mieux. À moins que tu te fasses encore enculer, avec tout le ramdam que tu as fais, tous ceux qui ***t dehors ***t au courant. Et saouls comme ils ***t, ça ne m'étonnerait pas qu'ils veuillent te baiser. Allez je me casse, et ne reste pas trop longtemps à poil. Je suis resté seul un peu désabusé.
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chrislebo
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La prise de poste Début juin, j'ai la pression, c'est aujourd'hui que je prends officiellement mon poste de chef de service. Déjà hier j'ai fait connaissance avec une partie du per***nel, essentiellement des femmes !! Je me réjouissais à l'avance mais hélas j'ai bien vite déchanté car ce n'étaient pas des canons, loin de là !!! Aujourd'hui je dois rencontrer la secrétaire, une femme de 58 ans, nous devons passer la journée à voir l'organisation du service donc c'est pas la joie. Je stationne ma voiture à une centaine de mètres du bureau et au moment ou je finis ma man'uvre, je vois passer une femme très élégante avec de longs cheveux blonds bouclés et des mèches rouges. Mon regard suit sa démarche et je devine sous sa veste d'été une jolie silhouette, je me surprends à rêver !!! Le temps de descendre de ma voiture et je l'ai perdue de vue, dommage!! Je ***ne pour pénétrer dans les bureaux, n'ayant pas encore la clé, et une agréable voix féminine me demande qui je suis et ce que je veux. Je m'annonce et aussitôt la porte s'ouvre, je grimpe l'escalier pour accéder aux bureaux et qui vois je en haut de l'escalier : ma belle inconnue aux longs cheveux blonds. Très agréablement surpris je me présente - Stéphane, le nouveau chef de service , et vous êtes ?? - Catherine, je suis la secrétaire, mais vous pouvez m'appeler Cathy c'est plus court. Je la regardais, complètement abasourdis, et elle s'en inquiéta - Que vous arrive-t'il ? demanda-t'elle. - Excusez moi mais je croyais que la secrétaire était une femme plus agée !! - C'est bien moi !! répondit-elle dans un charmant sourire. - Je suis vraiment désolé de ma réaction mais je m'attendais à voir une mamie aux cheveux gris et avec un ouvrage de couture à portée de mains répondis-je en riant à mon tour, mais je ne regrette pas du tout la petite mamie !!! - Merci du compliment me répond-elle en rougissant légèrement. Puis elle me propose de prendre un café pour mieux faire connaissance. Elle file dans le coin cuisine après m'avoir conduit à mon bureau et me dit qu'elle m'attend pour le café. J'inspecte les lieux, pose ma sacoche puis décide de la rejoindre. En passant devant le secrétariat, j'aperçois sa veste posée sur sa chaise, j'ai hâte de voir si mes suppositions sur sa silhouette ***t justes. Bingo!! quand je franchis la porte je l'aperçois de profil et là j'ai un choc!!! Sa silhouette est effectivement très mince ce qui déjà est rare pour une femme de *** age, mais elle arbore une jolie petite poitrine (je dirais 85c, à vue d'oeil) qui a l'air très ferme. Et cerise sur le gâteau elle est dotée d'une croupe magnifique !!! Un petit cul rond extraordinairement cambré (comme Jennifer Lopez) à faire fantasmer le plus blasé des sodomites !!! Quand elle se tourne vers moi je vois qu'elle porte un léger tee-shirt avec un joli décolleté qui offre une vue plongeante sur ses deux jolis seins mise en valeur par un soutien gorge dont on devine la forme sous le léger vêtement. Puis elle se retourne pour prendre la boite de sucre et j'ai alors une vue superbe sur *** petit cul moulé dans un pantalon de cuir ultra souple. J'ai la gorge sèche et les mains moites et je dois faire un énorme effort de volonté pour ne pas la saisir dans mes bras et caresser ce corps voluptueux, mais cela aurait été mal venu, aussi je me mis à discuter de choses et d'autres et la journée passa très rapidement du fait de la quantité de travail que nous avions devant nous. Mais au fond de moi je me jurais de faire tout mon possible pour la séduire tout en prenant mon temps. Les jours et les semaines passèrent et je m'aperçus que tous les jours de la semaine sauf le mardi, si elle était toujours habillée avec chic et élégance, variant tous les jours ses vêtements, elle restait classe mais pas sexy. Et le mardi, le jour ou nous étions seuls toute la journée, elle arborait des tenues beaucoup plus osées. Ce mardi de septembre le temps est magnifique et la température est déjà très élevée. Je me suis habillé léger, pantalon de toile et légère chemisette. Cathy m'a prévenue qu'elle serait en retard et j'attends avec impatience *** arrivée afin de vérifier ma théorie sur le fait qu'elle s'habille différemment ce jour là. Si ce n'est pas pour me plaire alors pourquoi ? Je suis bien décidé à tenter ma chance si tel est le cas. Enfin j'entends la porte du bas s'ouvrir et mon c'ur accélère, je l'entends monter l'escalier, ouvrir *** bureau, mettre sa veste au porte manteau puis m'appeler - Stéphane, vous êtes là ? - Oui lui répondis-je, je suis dans mon bureau j'arrive, le café est prêt vous pouvez nous servir. Je l'entends se diriger vers la cuisine et je m'y rends précipitamment. Là divine surprise !!! Elle s'est habillée très sexy, un tee-shirt moulant blanc avec un profond décolleté mettant en valeur ses seins. Le tee-shirt est tellement moulant qu'il dessine parfaitement ses beaux fruits d'amour, d'autant plus qu'elle n'a pas mis de soutien gorge !!! Les tétons pointent avec orgueil et sa poitrine ne s'affaisse pas du tout. Mon regard est attiré comme par un puissant aimant, et à ce moment elle se retourne pour prendre les tasses fumantes et à cette occasion je vois la partie face et quel spectacle : elle porte un léger pantalon de lin presque transparent ample à partir des cuisses mais hyper moulant au niveau de sa croupe d'enfer. Tellement que la couture centrale s'enfonce entre les deux globes de chair, je vois aussi qu'elle porte un string blanc. - Tu es superbe lui dis-je, en adoptant le tutoiement et en lorgnant sans vergogne ses magnifiques appâts - Merci je me rends compte qu'effectivement je te fais de l'effet me dit elle en souriant et en fixant la bosse qui se développe à toute vitesse dans mon pantalon. Je m'avance vers elle et la prend dans mes bras puis nous nous embras***s avec passion, mes mains courent sur *** corps je prends un sein à pleine main tandis que de l'autre je caresse ses fesses. Je bande comme un âne et bientôt je sens une main se poser sur ma bite, remonter au zip de ma braguette, le tirer vers le bas, s'insinuer par l'ouverture et sortir ma bite - Elle est énorme ! murmure Cathy en se reculant légèrement pour mieux l'observer. - Viens dans mon bureau. Je lui ordonne. Nous filons dans le bureau après nous être assuré que les locaux ***t verrouillés, aussitôt à l'intérieur je ferme la porte, me tourne vers elle et reprends notre baiser torride en la palpant sous toutes les coutures alors qu'elle me branle doucement avec ses deux mains. *********** j'interromps notre baiser et je lui demande d'un ton ferme. - Qui est le chef ici ? Rponds ! - C'est toi me répond-t-elle d'une petite voix. - Si je te donnes un ordre, que fais tu ? - J'obéis sans discuter ! - Ok alors : à poil et vite !!! Elle me regarde puis fais passer *** tee shirt par dessus ses épaules, dégrafe *** pantalon le baisse puis l'enlève se retrouvant avec juste *** minuscule string blanc et ses escarpins à haut talon. - Garde ton string !! Et tourne sur toi que je te vois bien. Cathy s'exécute avec grâce, un léger sourire sur *** jolie visage, elle tourne doucement sur elle même en écartant les bras, elle est superbe !! A la vue de ce magnifique spectacle je me masturbe doucement puis je m'assois dans mon fauteuil les jambes écartées et lui fais signe d'approcher. Quand Cathy est debout devant moi je lui ordonne : - A genoux et suce ! Docile elle s'agenouille, contemple ma bite dressée à quelques centimètres de *** visage la prend dans une main, dépose de petits baisers sur le gland turgescent, le mordille très légèrement tandis que *** autre main soupèse mes bourses puis elle ouvre la bouche et avale lentement la colonne de chair. Je n'en crois pas mes yeux, ma bite est pourtant énorme mais elle arrive à l'avaler entièrement et une fois qu'elle a tout avalé, commence un doux va et vient, alors que sa langue danse une véritable farandole autour du gland. Je suis aux anges, ma petite secrétaire me suce à la perfection je pose une main sur sa tête et je mate *** corps superbe seulement vêtu de *** mini string. Je lui ordonne de se cambrer au maximum, elle obéit aussitôt et je pose mon autre main sur *** cul d'enfer.
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chrislebo
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Ses mouvements de succion s'accélèrent et ses seins ballotent au gré de ses va et vient, ma main se glisse sous le string et découvre une véritable inondation. - Petite salope tu mouilles !!! m'écriais-je. Pour toute réponse elle plonge à nouveau sur ma bite et me suce de plus belle. A ce moment d'intense jubilation, catastrophe mon téléphone ***ne, Cathy veut interrompre sa fellation mais je maintiens la pression sur sa tête en lui ordonnant : - Continue petite salope n'arrête surtout pas !! Je retire ma main de sa chatte et regarde qui se permet de me déranger à ce moment crucial. Fred c'est mon pote Fred vivant actuellement au canada qui m'appelle. Bien que le moment soit mal choisi, je lui réponds avec une petite idée en tête, tout en maintenant avec fermeté la tête de ma suceuse. Cathy, matée, reprend *** activité de plus belle. - Hello Fred, comment vas tu ? - Hello Stéphane, ça va bien et toi ? - oh moi ça va on ne peut mieux. - Ton nouveau job se passe bien. - Que oui !!! Si tu savais ce que fais en ce moment tu serais vert !!! - Ah oui! raconte !! - Eh bien je suis assis à mon bureau et ma petite secrétaire chérie pratique sur moi une fellation divine. (Je sens Cathy se crisper quand elle entend mes paroles, je lui ordonne de ne pas s'interrompre.) - C'est pas vrai ! Décris moi la scène que je m'imagine. - Comme je te l'ais dit je suis assis et Cathy est agenouillée entre mes jambes et me suce avec application. Elle arrive à avaler toue ma longueur ! - Elle est bonne alors quand on connait ton engin ça tient de l'exploit. - Super bonne cette petite salope et en plus elle n'a plus qu'un string et je mate comme un fou. - Mets lui l'écouteur à l'oreille je veux lui parler. - Ok je garde l'autre écouteur tu peux lui parler. - Super ! bonjour Cathy surtout ne t'interromps pas et écoute moi bien, Steph m'avait parlé de toi, combien il te trouvait superbe et surtout qu'il avait très envie de toi, il m'avait même envoyé une photo et c'est vrai que tu es canon. Alors maintenant je veux qu'il te prenne en photo pendant que tu le suces et qu'il me l'envoie par mail. - Ok pour moi lui répondis-je, je vais même en envoyer plusieurs, tu pourras voir *** petit cul il est sublime. On va même se connecter et je vais brancher ma cam comme ça tu verras tout - Génial, qui sait peut être qu'un jour je viendrais vous rendre visite ! - Pas de problème à tous les deux on lui fera voir le septième ciel Une fois la cam branchée je me remis à l'ouvrage et je dis d'un ton autoritaire. - Maintenant tu vas me sucer à fond et tu avaleras tout.
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chrislebo
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La cam est en marche, Fred se régale déja, je me penche vers Cathy et lui dit. - Tu vas me sucer à fond. Elle lève *** regard sur moi, cesse sa fellation et me répond : - Je n'avale pas !! Aussitôt je prends ses longs cheveux en une natte improvisée et je la ***** à reprendre sa pipe. - Je te dis que tu vas tout avaler, ici c'est moi le chef, alors suce !!! Comme elle veut répondre je lui donne une bonne claque sur les fesses et lui dit - On ne parle pas la bouche pleine. Matée elle reprend ses mouvements de va et vient le long de mon gourdin en me massant les couilles d'une main. Fred se manifeste : - Ouais tu l'as bien matée cette petite salope, tourne un peu la cam, voila c'est bien je vois la scène de 3/4, c'est super j'ai une vue imprenable sur *** cul et j'aperçois ses seins qui ballotent au gré de sa fellation, pince lui les bouts et redonne lui une fessée ! Ce que je m'empresse de faire, je fais rouler le téton entre mon pouce et mon index et de l'autre main je donne une vigoureuse claque sur ses magnifiques globes fessiers, je vois la trace de mes doigts, Fred aussi je l'entends s'exclamer : - Regarde elle a l'air d'apprécier !!! En effet, Cathy gémit et se tortille en tous sens et ses gémissements ne ***t pas de douleurs !! Je l'interpelle : - Tu as l'air d'aimer petite pute !! - "Ouiiii" répond-elle en recrachant ma bite, "J'adoooooreeee", puis elle replonge, Ma main caresse maintenant les globes jumeaux et s'insinue sous le mini string, je trouve une véritable inondation, un puis deux puis trois doigts pénètre sa chatte trempée tandis que mon pouce caresse doucement *** petit bourgeon, elle se tortille de plus en plus en gémissant, je modifie la position de ma main et mon puce part en exploration un peu plus haut et trouve le petit oeillet palpitant, mon pouce redescend dans la chatte inondée, prend le plus possible de mouille et remonte au petit trou, le caresse et devant sa bonne volonté commence à s'y enfonce Cathy pousse un véritable rugissement Fred crie que c'est super, c'est une pipe qui restera dans les anales Moi je sens monter une terrible pression, j'enfonce mon sexe au fond de la gorge de Cathy, je lui tiens fermement la nuque afin qu'elle ne puisse pas reculer, mon pouce fait des allers retours dans *** petit cul et mes autres doigts lui défonce la chatte et soudain dans un cri - Je vieeeens ouiiii continue n'arrête pas Je sens à ce moment un torrent de sperme envahir la bouche couler au fond de la gorge de mon experte fellatrice. Elle déglutit péniblement, courageusement elle continue de me pomper, essayant de ne pas perdre une goutte du précieux liquide. J'entends Fred dire combien c'était superbe à voir et regretter amèrement d'être si loin de nous Cathy, consciencieusement continue d'avaler le flot impétueux qui fini quand même par se tarir, elle me lèche la hampe sur toute sa longueur puis lèche à leur tour mes couilles vidées, remonte le long du mat en donnant des petits bisous de ci de là, une petite coulée de sperme glisse à la commissure de ses lèvres, elle est magnifique!!! - Tu vois que tu as tout avalé petite gourmande!! - "C'était génial" me dit-elle avec *** plus beau sourire, "J'aime être dominée mais gentiment". - Je m'en étais aperçu ma belle dis je en la prenant dans mes bras Fred était scotché devant sa cam attendant la suite.
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chrislebo
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Fred était scotché devant sa cam, Cathy s'était lovée dans mes bras et moi même je dois dire que j'avais un peu de peine à reprendre pied. Reprenant mes esprits je caressais le corps voluptueux de ma belle fellatrice, m'attardant sur ses seins pleins et lourds que je soupesais chacun leur tour puis je m'attardais sur les tétons insolemment dressés et je les fis rouler entre mes doigts pour finir par les pincer doucement. Ma belle secrétaire commença à réagir et je l'entendis pousser quelques soupirs puis des gémissements de plaisir. Ma main droite abandonne *** sein puis descend le long de *** corps en suivant les délicieuses courbes de ses hanches épanouies, puis glisse vers *** ventre plat et glisse sur le string trempé de ma jolie suceuse. Ma main remonte légèrement puis se glisse sous le fragile bout de tissus et descend lentement vers l'antre des délices. Sous mes doigts avides je sens la peau nue et l'absence de toute pilosité, j'adore!!!, je tourne mon visage vers ma cam et m'adressant à Fred : - Cette petite salope est entièrement épilée !! - C'est vrai ? me demande-t'il avec un regard plein de lubricité, Fais voir me supplie-t'il. Alors je tourne Cathy face à la cam et très lentement, centimètre par centimètre, je fais glisser le minuscule dernier rempart de la féminité de ma jolie secrétaire. Elle se laisse aller contre moi et quand elle apparait dans sa splendide nudité, je la fais tourner sur elle même afin d'admirer *** corps voluptueux et d'en faire profiter Fred qui à plusieurs milliers de kilomètres de là profite de la vue merveilleuse de ce corps épanoui. - Elle est magnifique dit-il les yeux rivés sur *** écran, je réserve dès demain un billet pour la France, j'ai hâte de toucher cette peau soyeuse et de profiter avec toi de cette jolie petite salope dit-il d'un ton affectueux. - Tu vas avoir un avant gout de ce qui t'attend lui dis-je. Puis je je prends ma jolie Cathy et je l'allonge sur le dos, sur le bureau, elle fris***ne au contact du bois, mais se laisse aller, la tête pendant dans le vide et les jambes écartées, je la contemple un moment et je demande à Fred s'il a une bonne vue et il m'assure que oui. Je le vois sortir une nouvelle fois *** sexe et commencer à se branler doucement. Cathy regarde sa main glisser le long de sa hampe et s'humecte les lèvres avec sa langue en avançant sa main vers l'écran comme pour le masturber à travers l'écran. La scène est torride et la température monte d'un cran. je m'agenouille entre les jambes de ma jolie secrétaire et prenant ses cuisses à pleines mains je les écarte puis les poses sur mes épaules. - Bouffe lui la chatte me crie Fred. Ce que je m'empresse de faire. Commençant d'abord par humer ses odeurs intimes, puis donnant des petits coups de langue sur *** petit bourgeon qui pointe, je le pince délicatement avec mes lèvres puis le mordille légèrement et finit par l'aspirer. ma fellatrice commence à bouger sérieusement, sa main se pose sur ma tête m'invitant à continuer ma besogne, je sens *** désir monter, ses gémissements augmentent et je la sens partir vers la jouissance, alors vicieusement je cesse mes caresses à *** grand dam, - Continue, n'arrête pas ! me crie-t'elle.
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chrislebo
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Sournoisement je fais mine de ne pas l'entendre et me contente de fixer sa grotte ruisselante, enfin devant ses supplications je condescends à donner de petits coups de langue sur *** clito puis j'écarte ses grandes lèvres et glisse ma langue dans la fente trempée. Je la lèche, je l'aspire, je bois *** jus, puis je me relève le visage luisant de sa mouille délicieuse puis m'approchant de *** visage je l'embrasse pour qu'elle goutte *** jus puis je lui demande de me lécher le visage pour le nettoyer ce qu'elle fait avec empressement. Fred continue de s'astiquer en marmonnant : quelle superbe salope !!! je retourne vers sa chatte, et reprend ma position, ses jambes largement écartées, que je plie, ses genoux touchant ses épaules, elle est merveilleusement impudique. De ma position j'ai une vue magnifique sur sa chatte béante et trempée et je vois sa mouille coulée jusqu'à *** petit trou qui palpite. Cédant à mas pulsions, je glisse un puis deux doigts dans sa chatte et je commence à la limer, mes doigts ***t poisseux, alors je je rentre mon pouce à *** tour dans la chatte en feu puis le ressort luisant de secrétions et sans hésiter je l'enfonce dans le petit oeillet palpitant. Ma beauté a un sursaut et gémis de plaisir, alors je doigte sa chatte et *** petit trou en même temps, tout en m'assurant que Fred ne perd pas une miette du spectacle. Ma jolie suceuse tourne sa tête dans tous les sens *** bassin mime les plaisirs de la possession et me supplie de la prendre de suite au moment ou j'aspire *** clito. - Tu veux de la bite salope tu vas en avoir !! Sur ces paroles je lui écarte les cuisses et plonge d'une seule et violente poussée au fond de chatte. Elle hurle. Je ressors puis plonge à nouveau dans *** fourneau brulant, *** gémissement est maintenant ininterrompu, alors je ressors puis la prenant je la fais se retourner, et prenant ses hanches un peu grasses à pleine main je la prends tout aussi violemment en levrette, m'arrangeant pour que Fred ait une vue de 3/4, afin qu'il voit mon sexe s'enfoncer dans sa chatte béante et qu'il puisse admirer le balancement de ses seins lourds sous mes coups de boutoirs - Vas y défonce là cette petite chienne, donne lui un avant gout de ce qui l'attend quand je serais là !!! Cathy n'en peu plus elle jouit sans discontinuer sous mes assauts et aussi de sentir que Fred ne perd pas une miette du spectacle offert. La sentant partir une nouvelle fois, je la couche sur le coté, puis prenant une cuisse, je la lève avec mon bras dégageant une vue imprenable sur *** petit trou. Je prends ma bite en main et approche le gland du petit oeillet fripé Comprenant mes intentions : - Vas doucement me supplie-t'elle je ne l'ai jamais fait. Ne sentant plus ma joie et fort de cet accord tacite, je pose le gland et commence à pousser doucement, je la sens se contracter, mais comme elle avait abondamment mouillé précédemment, mon gland a pénétré facilement *** sphincter, elle a poussé un petit cri de douleur alors je me suis arrêté et j'ai caressé ses fesses et ses cuisses, la laissant se détendre quand je l'ai senti relaxée j'ai recommencé ma poussée et "oh miracle", mon sexe s'est enfoncé sans difficulté au fond de *** petit cul, alors je suis ressorti pour la reprendre sauvagement, elle a hurlé, j'ai recommencé plusieurs fois de suite, jusqu'à ce que ses cris de douleurs se changent en cris de plaisirs Repensant à Fred qui me criait de lui défoncer le cul je la fis mettre à quatre pattes face à la caméra, si bien que Fred avait *** visage en gros plan sur *** écran. alors je pris Cathy par les hanches et m'enfonçais violemment dans sa chatte, elle ouvrit grand la bouche et Fred pouvait voir cette bouche ouverte sur l'écran juste devant sa queue dressée. Alors je ressortis de sa chatte trempée et je l'enculai à grands coups de bite, elle hurlait maintenant de plaisir, me suppliant de lui défoncer *** petit cul ce dont je ne me privais pas. Fred de *** coté se branlait frénétiquement et soudain cria : - Je viens !! Ouvre la bouche salope et avale tout ! En envoyant de puissants jets de sperme sur l'écran. Cathy voyant les jets de sperme couler sur l'écran se mit à lécher celui ci comme si elle pouvait avaler le sperme jaillit à des milliers de kilomètres de là. A la vue de ce spectacle particulièrement érotique je jouis à mon tour dans *** petit cul en hurlant. Cette journée mémorable est restée notre secret à tous les trois et maintenant j'attends avec impatience l'arrivée de Fred prévue pour cet été. Mais si moi je suis impatient, ma merveilleuse secrétaire l'est encore plus à l'idée de ce que l'on va lui faire subir.
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chrislebo
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Soumis et cocu Mon mari fantasme depuis longtemps sur la soumission conjugale. Il est même allé jusqu'à rédiger un contrat de soumission. Au début, je trouvais tout ceci un peu ennuyeux, mais au fur et à mesure j'y ai pris goût et un soir, j'ai décidé de lui sortir le grand jeu. Comme toujours, il rentra après 20h et il s'installa à table pour dîner. Quand il me vit, il ouvrit tout grand ses yeux. J'avais revêtu pour la circonstance mon bustier en vinyle noir très pigeonnant, une paire de bas noirs et un string en tissu de même couleur. J'avais également enfilé une paire de bottes à talons hauts qui avaient d'ailleurs tout de suite attiré *** attention. Il me dit aussitôt : - Hum, c'est super excitant comme surprise. Je lui répondis : - Exact. Nous avons toute la soirée pour nous amuser un peu. J'ai pensé que tu aurais peut-être envie d'être mon ... esclave ? Ne croyant d'abord pas ce qu'il avait entendu, il me fit répéter. Voyant sa mine réjouie, je compris vite qu'il était comblé d'être accueilli ainsi. Je repris : - Je voudrais que tu ailles réimprimer notre petit contrat et que tu me l'apportes avant de commencer de dîner. Il se leva presque instantanément pour exhausser mon vœu. Quelques minutes plus tard, il revint avec le fameux papier. Il fut bien trop content d'y apposer sa signature et j'y ajoutai la mienne avec un sourire malicieux. Attention à quoi tu t'engages, en devenant mon esclave, tu m'appartiendras et ta volonté ne comptera plus. Ne crois pas que je ferai ce que tu désires. Tu seras obligé d'accepter des ordres dont tu n'as même pas idée. Sache bien que tu devras faire de nombreuses choses que tu n'aimes pas, ce serait trop facile de ne t'imposer que ce que tu aimes. Tu as bien compris j'espère ? - Oui. - Et tu es prêt à continuer en sachant cela ? - Oui. - Tu l'auras voulu. Je lui tendis une enveloppe en disant : - Tu trouveras là dedans des instructions sur ta tenue vestimentaire de ce soir. Dépêche toi de dîner et de te changer. Je t'attends au salon ! Mon enveloppe allait bien sûr lui réserver quelques surprises. Je lui demandais entre autre de se menotter les mains derrière le dos. Lorsqu'il revint, je le regardai en le détaillant très minutieusement tout en me moquant de sa tenue que j'avais choisie spécialement ridicule. J'avais passé l'après-midi à lui en choisir une parfaitement adaptée à la nouvelle situation qui allait être la sienne. Une tenue de soubrette avec la robe noire, le tablier et la coiffe blanche et les dessous assortis, une guêpière noire, une culotte fendue et des bas résille de la même couleur, des escarpins à talons plats complétaient l'uniforme. Puis après m'être assurée qu'il avait bien mis ses menottes derrière le dos, je lui murmurai à l'oreille : - Te voilà entièrement en mon pouvoir, mon chou... Je peux donc faire de toi tout ce que je veux... - Viens un peu par ici et tourne-toi ... - Voyons voir cette petite quéquette ! Toujours aussi minuscule, je vois. Je crois qu'on va commencer par un petit rasage ! Je l'emmène avec moi en le tirant par la bite jusqu'à la salle de bain qui se trouve à l'étage. Arrivés en haut, je lui enlève momentanément les menottes, puis je cherche *** rasoir mécanique et m'assoie sur la cuvette du WC. - viens là, debout devant moi, mains derrière le dos. Écarte les jambes ! Je commence d'abord par lui raser les couilles à sec. Puis, je lui demande de se retourner et de se baisser en gardant toujours les jambes écartées. Là, je lui rase avec application tout le pourtour de l'anus que j'agace au passage. - Parfait, dis-je en me reculant pour contrôler mon travail. Je le laisse volontairement dans sa position penchée que je sais gênante et j'en profite pour le toiser un peu plus. - Maintenant, pas***s aux choses sérieuses. Rentre dans la douche. Je passe le jet de la douche sur *** sexe et sur *** anus. Puis, je prends la mousse à raser que j'applique en couche épaisse sur *** pubis, jusqu'au nombril. - Je ne t'ai pas autorisé à bander mon chéri à ce que je sache. Je lui donne quelques claques sur la bite pour le calmer, mais je sais très bien que l'effet est plutôt inverse ! Au bout de quelques minutes, il n'a plus un poil autour de la queue, ni sur les couilles, ni autour de l'anus. - Voilà, mon chéri. Une vraie petite bite d'esclave. Comme ça au moins, c'est clair. Tu sais qui est la Maîtresse ici ! Viens, on retourne au salon ... Je l'entraîne derrière moi, toujours en le tirant par sa petite bite maintenant parfaitement lisse. Je n'oublie pas d'emporter les menottes. Arrivée en bas, je m'avance vers la table pour y prendre le Contrat qu'il m'avait signé quelques minutes plus tôt. Tout en prenant un air très sérieux, je lui relis le premier paragraphe ... - Le soussigné, ..., déclare par le présent contrat qu'il renonce avec effet immédiat à tous les avantages conjugaux que lui procurait jusqu'ici sa qualité de mari et d'amant de Madame .... Cela signifie qu'il lui sera interdit de la toucher, de la lécher et encore moins de la pénétrer sans *** accord préalable... Je le regardai dans les yeux avec un air hautain ... - Tu comprends ce que ça veut dire ? Fini la baise ... Si tu es bien sage, tu auras peut-être encore le droit de regarder de temps en temps ma petite foufoune ! - Par contre, tu devras la nettoyer à chaque fois que je l'exigerai et surtout après une bonne partie de jambes en l'air ! Et oui, pour moi il n'y aura pas d'abstinence, je ne me priverais pas d'avoir de nombreux amants. - Et le clou, c'est que tu seras tellement sevré que tu attendras ces moments avec la bave aux lèvres, la petite queue dressée et la langue prête pour la toilette intime de ta petite chatte adorée... - Je vois que tu commences tout doucement à comprendre ta nouvelle situation ! On va voir ça tout de suite ... A genoux et vite ! Je me penche un peu en avant. Mes seins ***t maintenant à la hauteur de ses yeux et je prends un malin plaisir à me trémousser pour l'allumer encore un peu plus.
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chrislebo
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- Tu vas commencer par me laver sous les bras. Sors ta langue et approche la tête. C'est ça, lèche lentement et partout ! Puis, j'enlève tout doucement mon bustier. Je le contemple un instant en le regardant de bien haut. Ses yeux ***t exorbités et fixent mes nichons comme un jeune puceau qui découvre le spectacle pour la première fois. - Sors ta langue et lèche ma poitrine. Commence par le sillon SOUS mes seins ... Mmm, je commence à te trouver plein de qualités ! - Remets-toi à genoux. Tu vas renifler toutes mes odeurs intimes par-dessus ma culotte, et tu as intérêt à le faire très doucement. - C'est bon, hein ? Je sais que tu as toujours aimé ça ! Et ce soir, tu es gâté. Toute la journée, j'ai fait exprès de lâcher les dernières gouttes dans mon string à chaque fois que je suis allée aux toilettes. Et en même temps, je mouillais en pensant que tu allais renifler ma culotte avec autant d'ardeur. Mais on dirait que tu commences à baver comme un toutou. - Maintenant, enlève mon string avec tes dents ; démerde-toi. Allez, allez, plus vite ! Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit ma chatte intégralement et impeccablement rasée... Ca faisait très longtemps qu'il ne l'a pas vu ainsi ! Ses yeux se firent encore plus grands et je commençais vraiment à prendre du plaisir à ce nouveau pouvoir. Tout en continuant à le regarder dans les yeux de bien haut, je lui enlève mon string de la bouche pour le coiffer avec, l'entrejambes bien calé sous *** nez. Puis, je me recule un peu et me fais contemplative ... - Je devrais faire une photo. Un string sur la tête et une petite quéquette rasée de puceau quel tableau ! - Je m'assois bien confortablement sur le canapé en face de lui, toujours à genoux et le débarrasse de mon string. - Maintenant, je veux te voir me nettoyer l'entre jambe avec ta langue. J'ouvre mes cuisses devant ses yeux implorant. - Lèche-moi soigneusement, nettoie bien ma chatte. Passe ta langue entre mes petites lèvres. - Tu ne trouves pas qu'elle a un petit arrière goût ? Tu devines ce que c'est, hein ? - Comme tu n'as plus le droit de me baiser, il fallait bien que je te trouve un remplaçant. Oh non, ne fait pas cette tête... Ce n'est pas parce que tu n'as plus le droit de me baiser que je vais me passer de ce plaisir, non ? - Mmm, ton petit nettoyage me donne envie de faire pipi. Viens, suis-moi aux toilettes. Je m'installe sur la cuvette et le fait mettre à genoux, la tête à hauteur de ma foufoune. Un grand flot jaillit de ma vulve et quelques gouttes éclaboussent *** visage. Pour les dernières gouttes, je m'installe carrément sur sa bouche. - Allez, lèche ... Essuie ma petite foufounette. - Oh, pardon, voilà encore quelques gouttes. J'espère que tu n'as rien laissé couler sur le sol ! J'inspecte le sol ... - C'est bien. En récompense, je vais te recoiffer de ma culotte. Comme ça, tu peux te délecter de mes odeurs à défaut de pouvoir me baiser. - Allez, debout p'tite bite ... Je l'entraîne à nouveau au salon où je lui ordonne de se mettre au coin. Je lui remets les menottes, mains derrière le dos. - Attends-moi ici et gare à toi si tu bouges. Je monte lascivement au premier étage dans notre chambre à coucher et j'en reviens avec un collier d'esclave, une laisse pour chien faites de cuir et de maillons métalliques d'une cinquantaine de cm de longs et un bâillon cuir muni d'une boule. Je lui passe le collier et la laisse. Je lui ordonne de se mettre à genoux à côté de la table basse. Je défaits la boucle en cuir de la laisse et la referme autour d'un des pieds de la table basse. Il se trouve ainsi attaché comme un chien, à genoux et la tête tirée vers le bas par la laisse. Je m'assois sur le canapé en face de lui, toujours nue, et je m'amuse à croiser et décroiser mes jambes. Il doit de tortiller pour profiter du spectacle Bien sûr, je ne lui laisse que peu de temps pour entrevoir ma petite chatte rasée et ça le rend fou. De temps en temps, je caresse ses joues avec mes pieds que je lui ordonne de lécher. Parfois, la laisse devient trop courte lorsque je fais exprès d'éloigner mes pieds ... - On dirait vraiment que ton nouveau rôle de mari soumis et cocu te plaît ... Mais, il y a une petite chose qui me préoccupe encore. Je sais que tu te branles en mon absence, et ne me dis pas que je me trompe... Tu as pourtant rédigé et signé un contrat qui te l'interdit formellement ! Ce contrat me donne également tous les droits sur toi. Je me trompe ? - J'ai longuement réfléchi et j'ai fini par trouver une solution à ce petit problème ! Je me penche en avant et je le regarde dans les yeux et me moquant de la situation dans laquelle il s'est mise. Attends, je vais passer un petit coup de fil ! - Allo, Jacques ? Je crois que mon petit mari a deux mots à te dire. Tu es loin d'ici ? A peine à 2 minutes ? Très bien, passe donc nous voir tout de suite ... Lorsque je revins au salon, mon mari avait un regard terrifié. Il m'implorait de le détacher et de lui permettre de se rhabiller. - Mais tu es très bien dans cette tenue. Elle te va à ravir !
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