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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#7,381
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Je vous laisse imaginer que je n'ai cessé de penser à ça tout au long du trajet.

Nous arrivons à destination, fatigués. Après avoir mangé et, bien évidemment, raconté notre quotidien à mes parents, nous allons nous coucher. Visite dans la famille, le lendemain passe vitesse grand V.

Notre chambre se situe en face de celle de mes parents. Ils habitent un appartement dont les murs ***t en papier à cigarette. Je vous laisse imaginer qu'on profite fréquemment de la vie en communauté. Ne partant jamais sans mon ordinateur portable, je profite de la connexion Internet pour faire mes petites recherches. Et j'ai trouvé.

— Tiens, tu vois je te le disais.
— Quoi ?
— Bah le club !
— Décidément t'as du flair pour ça.
— Que pour ça ? dis-je en m'approchant d'elle en reniflant ses seins, *** ventre, faisant mine de descendre vers *** nombril.
— Allez t'excite pas... Tu vas encore dormir sur la béquille. Elle éclate de rire

Un peu vexé, je retourne à mon club et visite par l'intermédiaire des photos.

— T'es fâché ?
— Non pourquoi ?
— Allez montre-moi ton moulin, je veux voir à quoi ça ressemble.

Et nous voilà partis à délirer sur les photos du club, sauna, hammam, coin câlin, etc.

Mathilde porte, ce soir-là, une petite nuisette noire ras la moule, dont le haut est transparent. Ses gros seins ne demandent qu'à sortir de leur emplacement. Oui, parce que j'ai oublié de vous dire une chose importante. Mathilde n'est excitée que quand nous sommes chez les autres ou à l'hôtel. Et dans ces situations, elle est toujours très excitée. D'où l'idée, en partie, de l'emmener ailleurs qu'à la mai***, comme je lui ai déjà dit : elle aurait dû faire pute, jamais dans le même hôtel. Je vous avouerai que ça ne la fait pas vraiment rire.

Sa tenue m'excite vraiment, je m'aventure à sortir un sein et à le malaxer doucement, je joue avec le téton et me penche pour le prendre entre mes lèvres. Elle soupire. J'ai *** feu vert. Je sais quand elle en a envie. Ma main glisse entre ses cuisses qui s'ouvrent en grand comme par enchantement. Elle est déjà trempée. J'adore quand elle est dans cet état. Quand je vous dis qu'elle mouille, ce n'est pas un vain mot. Elle dégouline de mouille. Pendant que je lui bouffe les seins ma main gauche s'affaire a titiller *** microscopique clito, mais oh combien sensible. Instantanément elle se cambre, sa respiration s'accélère, elle gémit. Elle adore ça. Je glisse entre ses cuisses et pose ma bouche en grand sur sa chatte. Doucement, je l'aspire, la lèche, la mordille. Elle grimpe comme une flèche et commence déjà à s'énerver.

Une autre caractéristique particulière de ma femme, c'est qu'elle ne supporte pas les préliminaires. Ça la rend complètement dingue. Si vous vous aventurez à la tripoter trop longtemps, vous avez 99 chances sur 100 de vous faire violer.

Alors, vous comprendrez que j'ai rarement l'occasion de lui bouffer sa belle grosse chatte qui est pourtant étroite, j'ai du mal à lui mettre deux doigts. Et déjà elle me tire les cheveux pour que j'arrête de lui lécher la chatte et que je vienne la baiser.

— Dis donc ça a l'air de t'exciter tout ça.
— Tout ça quoi ?
— Bah le club.
— Non c'est toi.
— Allez va regarde comme tu mouilles, cochonne.
— Ne commence pas.
— Commence pas quoi ?
— À m'insulter.
— Je t'insulte pas je dis que t'es une cochonne. Regarde.

Je glisse un doigt dans sa chatte puis deux et commence à la branler avec vigueur, elle démarre au quart de tour. Elle ferme les yeux, soupire, gémit.

— T'as rai*** c'est pas une cochonne que t'es, c'est une petite salope.
— Je ne suis pas une salope.
— Si t'en es une, dis-je en m'enfonçant d'une seule poussée en elle.

Selon une récente étude réalisée du 7 au 14 avril 2008, les Français auraient en moyenne les pénis les plus longs au sein de l'Union Européenne, soit 15,48 centimètres et la plus épaisse avec 13,63 centimètres de circonférence, soit 4,34 cm de diamètre.

Je n'ai pas une queue très longue, 16 à 17 cm mais par contre elle est plutôt large, genre 5.5 cm de diamètre. J'ai toujours du mal à la pénétrer mais alors, après je vous dis pas une fois dedans, je la dilate bien et elle adore ma queue épaisse. En principe les femmes apprécient plutôt bien. Enfin la mienne apprécie et c'est quand même l'essentiel. Cette entrée en matière, si l'on peut dire, lui fait pousser un petit cri qu'elle étouffe tant bien que mal. Elle n'est généralement pas très expressive au lit mais encore moins quand on n'est pas chez nous.

À la missionnaire. Je descends doucement, centimètre par centimètre, jusqu'au fond, jusqu'à ce qu'elle grimace parce que je lui tape dans le fond. Me voilà bien au fond, je joue un peu en remuant puis ressors quasiment totalement, rejoue un peu avec le gland. Elle me griffe les fesses pour me tirer vers elle. Puis je recommence tout aussi lentement quatre ou cinq fois. Puis soudain je lui mets un grand coup. Puis un autre. Je me retire pour ne pas éjaculer trop vite et j'en profite pour lui mettre trois doigts, quand je vous disais que je la dilate bien, la branle vigoureusement. Elle se tortille, geint, soupire, elle va jouir. Puis je lui relève bien les jambes sur la poitrine, mes mains aux creux des genoux et là je me mets en position de pompe, ne tenant que par la pointe des pieds et les mains qui lui écrasent les genoux contre le torse. Elle me regarde dans les yeux, me défie. Je joue avec mon gland doucement à l'entrée de sa chatte, ça la rend folle.

— Je vais te défoncer.
— Oui viens.
— Demande-moi de te défoncer.
— Viens.
— Dis-le !
— Défonce-moi.

chrislebo

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#7,382
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Je me mets à la défoncer de tout mon poids (100kg). Le lit craque un grand coup et là je lui imprime un tempo de fou. Ressortant quasiment complètement pour me renfoncer à fond. Je transpire comme un bœuf. Sa chatte fait des clapotis obscènes. Je lui déboîte sa grosse chatte de salope.

C'est dans ces moments-là, quand je suis en manque, que je deviens fou, que ma per***nalité change.

— Tiens, tiens, prends ça salope. Je te défonce bien la chatte. Hein salope.
— Je ne suis pas une salope, dit-elle en hoquetant.
— Si t'es une petite salope. Han, han, han !
— Nan.
— Une grosse salope, je te baise et tu aimes ça. Je te défonce ta sale grosse chatte de salope.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Puis je me lâche dans sa chatte en râlant, déversant toute ma semence dans *** con inondé de mouille. Nous roulons enfin sur le côté. Épuisés.

— Salaud tu m'as tuée.
— Et moi je suis mort à deux doigts de l'infarctus. T'es quand même un bon coup, c'est dommage de pas partager, c'est égoïste, je trouve.
— T'es con. Allez arrête de rêver. Dors

Nous rions, nous nous embras***s comme des fous.

Le reste des vacances a été plutôt calme, on n'en a même pas reparlé, même si déjà j'essayais d'échafauder un plan pour l'emmener dans cet endroit. Le chemin du retour sera parfait. Il faut que je regarde les heures d'ouverture afin de préparer notre retour et d'arriver au bon moment. Le club est apparemment ouvert le jeudi et ça m'arrange bien. De plus, c'est gratuit pour les couples. C'est décidé, je tenterai ma chance en passant devant.

chrislebo

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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout ......."La tentative réussie"



La capacité de Mathilde à partir en délire complet, de changé d'avis, de comportement, d'humeur du jour au lendemain, voir d'un moment à l'autres, vient, en réalité, du fait qu'elle est cyclotimique. La cyclothymie est un trouble de l'humeur allant de la forme la plus légère à la plus grave, proche de la maniaco-dépression. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de l'humeur, qui oscille entre des périodes d'excitation marquée et de mélancolie profonde, entrecoupées de périodes de stabilité.

Par exemple : Un jour, nous sommes allez faire les boutiques de fringues. Ce n'est pas mon activité préférée, mais je m'y plie pour lui faire plaisir. Nous entrons dans un magasin, Mathilde prends quelques habits puis s'engouffre dans une cabine d'essayage, j'attends patiemment qu'elle m'appelle pour lui donner mon avis, mais au bout de 5 minutes, elle sort de la cabine comme une balle, reposant les fringues. Je lui demande ce qui se passe. Et là :

- Y a rien qui me va. De toute façon je suis un boudin.
- Mais non pourquoi tu dis ça ?
- J'en ai marre. On rentre.

Et voilà, la journée était terminé. Soixante kilomètres pour cinq minutes de shopping. Nous sommes rentrés, elle s'est fourré dans le canapé devant la télé et ne m'a pas décroché un mot avant que *** cycle ne soit terminé. Ca a duré 4 bonnes heures. En vingt en de mariage, j'ai des centaines d'exemples aussi fous les uns que les autres.

Mais revenons à nos moutons.

Nous y voilà c'est le jour du grand départ. Il fait beau, chaud même, la voiture est prête, Mathilde est vêtue d'une robe d'été légère maintenue par deux petites bretelles et une paire d'espadrilles, un petit string et un soutien gorge sans prétention. Je suis en jean, tee-shirt et basket, tenue décontractée pour la route. Nous embras***s tout le monde et déjà, alors que Mathilde fait au revoir à tout le monde, mon esprit vagabonde. Un coup de coude bien placé dans les côtes me rappelle à la réalité.

- Ouchh
- Fais leur signe, bon sang.
- Oui, oui

Quel fichu caractère. Va falloir manéger la bête pendant presque 4 heures pour qu'elle arrive dans les meilleures dispositions. Le trajet se passe sans encombre, la route est déserte.

Durant le trajet mon esprit vagabonde. Par moment, j'imagine ma femme, une fois de plus, dans un monstrueux Gang Bang entrain de sucer des gros membres, de se faire défoncer par plusieurs hommes en même temps. Je me surprends à bander. Alors je glisse ma main sous sa petite robe pour lui caresser l'intérieur des cuisses. Elle me regarde, sourie, ferme les yeux, me laissant la caresser tendrement. Ses cuisses ***t si douces. Je remonte encore et au moment où j'approche de sa chatte elle serre les cuisses et me demande d'arrêter. Je sens cette rage monter en moi. Je ne peux comprendre cette sensation qui m'envahie.

Nous sortons de l'autoroute. Il fait encore jour, nous roulons depuis 4 bonnes heures, il reste, 1h30 de route, il faut que je me lance. Nous y sommes presque, à peine quelques kilomètres.

- Tu veux qu'on s'arrête boire un coup ?
- Oui se serai pas mal, j'ai soif. T'as une idée ? Il n'y a pas grand-chose d'ouvert.
- Oui, je ne sais pas. Ecoute on verra bien en route, on va bien trouver quelque chose.
- Avec plaisir.

La tension est à *** comble, je me sens transpirer, j'ai les mains moites. On y est presque, 20 kilomètre, à peine quelques minutes et on sera fixé. Je ralentis, j'aperçois la pancarte, je me lance :

- Et si on s'arrêtait là.
- Ou ça là ?
- Ben là !! Accompagné d'un signe de la tête, je désigne la pancarte qui grossit doucement.
- Non mais je rêve. Tu ne perds pas le Nord. Tu l'avais prémédité.
- Non !!! Dis-je en riant.
- Tien !! Mon œil !!! Tu me prends pour une conne ? dit-elle en riant.
- Mais non mon cœur, tu me connais.
- Oui, trop bien. De toute façon ils ***t sûrement fermés, même les obsédés prennent des vacances. Dit-elle en éclatant de rire.
- Ah bon ? Tu crois ? Moi je n'en prends jamais....

Puis je tourne pour entrer sur le parking où déjà stationnent quelques voitures, de toutes marques et de toutes catégories.

- Tu vois eux non plus ne prennent pas de vacances.
- Pfff !!!

L'atmosphère devient soudain pesante, lourde à mourir. Je me gare, coupe le moteur, regarde ma femme qui regarde le bâtiment, dubitative.

- Bon ben on y est. Dit-elle, d'un ton excédé. Je te préviens le premier qui me touche je lui pète sa gueule.

Le ton était donné. Va falloir marcher sur des œufs. Comme dirait l'autre : ça va être chaud patate.

Chose que j'avais complètement zappé. C'est le coup du casier qu'on vous donne pour que vous puissiez vous changer. Quand ça m'est revenu, j'ai été pris d'une bouffée d'angoisse, j'ai cru défaillir. Mais bon. Elle est sortie de la voiture, prête à y aller. Je risque plus rien de toute façon les jeux ***t fait.

Nous nous dirigeons vers l'entrée, je ***ne, une femme ouvre :

- Bonsoir messieurs, dames
- Bonsoir.
- Entrez
- Merci,

Je laisse entrer Mathilde la première.

- C'est la première fois ?
- Oui, dis-je. Ca se voit tant que ça ?
- Vous inquiétez pas, on a l'habitude. Faut un commencement à tout.

Et là Mathilde :

- Oui !!! Et une fin aussi !!! Dit-elle sèchement en me regardant.

Je me suis senti m'effondrer. La dame a rit aux éclats.

- Bon ! L'initiative vient de Monsieur apparemment. C'est souvent le cas. Je vais donc m'occuper de vous. Suivez-moi.

Nous suivons donc cette femme qui porte un mini short noir avec fine bande de strass sur le haut, laissant voir le galbe de ses fesses. En haut un top à paillette attaché derrière le coup avec un décolleté vertigineux et entre les deux seins un joli petit pendentif, le tout se terminant par un paire d'escarpins relativement haut. C'est au moment ou elle nous donne les clefs des fameux casiers que j'ai sentit que ça allait, comment dire .... Merder.
chrislebo

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#7,384
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- Tenez les clefs de vos casiers respectifs, suivez moi je vais vous montrer, puis vous me rejoindrez au bar, je vous ferai visiter.

Avec les clefs, elle nous tend 2 serviettes, ma femme reste bouche bé. Stupéfaite.

- Faut se déshabiller ?
- Oui madame, pour que tout le monde soit sur un pied d'égalité.

Mathilde me jette, à ce moment là, un regard qui se passe de commentaire. J'ai cru mourir fusillé sur place. Nous allons donc de plus ou moins de bon gré nous déshabiller et attachons nos serviettes. Moi autour de la taille mon bidon par-dessus et ma femme autour de la poitrine sous les bras. La serviette s'arrête à mis cuisse pour elle, heureusement, elle est petite. Elle s'accroche à cette serviette comme à *** dernier souffle. Je suis plutôt complexé de mon ventre depuis mon accident où j'ai pris 20 kilos, et je n'ai pas le courage de me remettre à faire du sport après presque 2 ans d'arrêt. Mais bon, il faut montrer l'exemple, alors j'essaye de détendre l'atmosphère.

- Je me demande où on va mettre la clé maintenant.

Et du tac au tac la réponse fuse.

- t'as qu'à te la foutre dans le cul. Connard

Un fois de plus le ton été donné.

- C'est délicat... vraiment.

Elle éclate de rire et vient se coller contre moi en me souriant. J'étais sauvé et fier comme un bar tabac.

Nous entrons donc dans la salle, une musique douce règne. Des couples, sur la piste, dansent doucement, d'autres sur les canapés discutent, un ou deux hommes seuls au bar regarde le spectacle qui leur est donné.

Nous approchons du bar et la dame nous réclame nos clefs afin de les garder au chaud. Voilà une bonne chose de faite. Un souci de moins. Puis on suit la dame qui nous promène de pièces en pièces et nous fais une visite guidée du club. Le Hamann, le sauna, la piscine à bulles, les coins calins, etc.

Elle nous offre un verre (sans alcool) au bar puis on discute, on papote. De tout de rien. L'ambiance se décrispe, le contact entre Mathilde et cette femme est plutôt bon. J'en fais même parfois un peu les frais, essuyant quelques boutades par rapport à mon physique. Moi j'en profite pour mater un peu l'étalage. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. Quelques vieux libidineux, un ou deux couples, pas très beau d'ailleurs. Finalement les plus belles restent encore ma femme et la patronne. Décidément pas de bol.

Le temps passe doucement, et j'en profite pour entraîner ma femme au Hammam, je sais qu'elle adore la chaleur. Il fait chaud et humide, on se voit à peine. Une forte odeur d'Eucalyptus diffusée en brouillard. Tout cela nous amuse et on chuchote car nous ne sommes pas seuls. Effectivement, en face de nous, une femme s'active penchée en avant sur le membre d'un homme pendant que d'autres la tripotent sans vergogne. Les seins, la chatte, le cul tout y passe. Ma femme se colle a moi, ma main caresse sa cuisse doucement remontant vers sa chatte. Je masse doucement *** clitoris insinuant un doigt dans *** intimité. Elle me sert plus fort, puis se mets à respirer plus fort, plus vite.

Les hommes, soudain, se succèdent derrière le femme en de rapide va et vient laissant leur tour au suivant quand ils en avaient apparemment fini. Une dizaine d'hommes défilèrent ainsi jusqu' à ce que l'homme qu'elle suçait jouisse dans un râle rauque.

Ma femme soupire maintenant fortement, tremble fébrilement, fris***ne, attachée à mon bras comme une moule à *** rocher. Je la sens vulnérable. C'est le moment où jamais de profiter de la situation.

- Suis-moi !!!

Je me lève l'entraînant hors du Hammam, et je me dirige vers un coin câlin. Un lit rond trône au centre de la pièce, volontairement je ne ferme pas la porte, je la jette sur le lit puis engouffre ma tête entre ses cuisses faisant voler la serviette au passage. Me voilà entrain de lui dévorer la chatte comme jamais. Je bande comme un âne. J'en ai mal aux couilles tellement j'ai envie de la baiser. Mais je veux faire durer le plaisir, je veux qu'elle me supplie de la prendre, de la baiser, de la défoncer.

Je continue donc à lui sucer, lécher, bouffer, la chatte, mordillant *** clitoris gonflé, elle soupir fortement, gémis plus bruyamment que d'habitude. Puis, je lui mets un puis deux doigts dans la chatte, elle mouille encore plus que chez mes parents, elle dégouline de mouille dans ma bouche. Maintenant je la branle, en même temps que je lui suce le clito. Et enfin le moment que j'attendais tant arriva.

- Baise-moi !!!
- Quoi ?
- Baise-moi j'te dis !!!

Elle me tire par les cheveux pour que je la prenne.

- Dis le plus fort
- BAISE-MOI !! dit-elle vraiment à haute voix.
- Tu veux que je te baise comment ?
- A fond
- A fond comment ?
- A fond comme une salope ....

Enfin elle l'a dit. Je lève la tête et je vois que nous ne sommes plus seuls. Nous avons des spectateurs. Des hommes et une ou deux femmes ***t là à nous regarder, la patronne aussi qui me fait un petit signe de la tête pour m'encourager. Ils ne font pas de bruit pour ne pas briser la magie de l'instant. La situation me rend plus hardi.

- Redis le plus fort, je veux qu'on t'entende
- Baise-moi comme une salope.
- Oui, je vais te baiser comme une salope que tu es.

Et joignant le geste à la parole, je m'enfonce en elle en missionnaire de tout mon poids. Lui collant ma bite bien au fond de la chatte. Je tape dans le fond elle grimace exprime sa douleur par un : AIE !!

Je ressors et recommence moins fort pour ne pas lui faire mal mais bien a fond quand même. Je bande dur comme jamais, excité par la situation. Je la baise à fond par de grand coup de reins, ça glisse tout seul tellement elle mouille, elle râle, gémie.

- T'aime ça salope, t'aime ça te faire défoncer la chatte par une grosse bite. (Faut bien se faire des fleurs). Avoue que tu aimes ça espèce de grosse salope.
- Ouiiiii !!!

Et plus elle crie « oui » plus je la défonce. Puis je lui relève les jambes pour les mettre contre *** torse, les genoux bien contre la poitrine. Enfin je l'ai mise à 4 pattes face à *** public et je la prends en levrette. D'elle-même elle se cambre pour bien m'offrir *** cul.

- Oui vas y cambre toi bien salope. Offre-moi ton gros cul. Tu vas faire une bonne pute je vais t'enculer comme une chienne, je vais te défoncer le trou du cul. Putain. J'étais comme fou.

Je me redresse, pointe mon sexe contre *** anus.

- Vas y écarte bien ton cul.

Avec ses deux mains, elle écarte ses fesses.

- Oui comme ça c'est bien, t'es belle.

Et après l'avoir bien lubrifié de sa mouille, je m'enfonce doucement mais sûrement. En deux ou trois fois, je suis au fond de *** cul. Elle pousse un long râle de plaisir et de douleur plus ou moins mêlé. Une fois au fond, je reste un court instant sans bouger, puis commence à bouger doucement en lent va et vient. Je vois *** trou du cul s'ouvrir et se tendre sous la pression de ma queue et de mon poids. Je ressorts complètement afin d'admirer le joli trou du cul qui palpite bien ouvert. Puis je m'y renfonce d'un coup. A fond, jusqu'aux couilles. Certains se ***t déplacés afin de pouvoir admirer, eux aussi, le trou du cul dilaté de ma femme. Une fois bien dilatée, je me suis mis à l'enculer comme jamais je l'avais fais auparavant. Avec *****, lui claquant les fesses, vociférant, l'insultant copieusement.

- Tien putain. Regarde comme je t'encule bien maintenant. T'as vraiment un cul de pute. Hein que t'aime te faire démonter le cul pétasse.

Et là ... oh surprise. Je n'en reviens pas.

- Oui. Oui. Oui. Encule-moi fort. Vas-y défonce moi le cul.
- T'es une pute.
- Oui. Vas y plus fort. Encore. Ouiiiiiii.

Nous jouis***s en même temps. Nos nous effondrons sur le lit, épuisés. J'ai bien cru que mon cœur allait ressortir par la bouche et que j'allais crever là. Mais je m'en fous. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes. Ma femme a jouie devant tout le monde. Et j'en suis la cause. Une fierté au delà de ce qu'on peut imaginer. Oui j'étais fier.
C'est d'ailleurs tout aussi fier que je sortais du club, ma femme à mon bras épuisée. Nous sommes remontés dans la voiture. Elle s'est instantanément endormie. J'ai bien eu de mal à finir la route. Nous nous sommes couchés en arrivant sans un mot.

Je pensais avoir gagné. Je me trompais lourdement. En gros lourdaud que je suis.
chrislebo

Member

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#7,385
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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout...." On remet ça."




Les jours qui ont suivis cet épisode furent bien longs. Pendant près de 15 jours, on c'est à peine parlé, de banalités en banalités nous nous sommes ignorés. Nous n'avons même pas fait l'amour. Jusqu'au jour ou, n'en pouvant plus, j'ai pris mon courage à deux mains.

Nous sommes mercredi. On se couche chacun de *** coté. Pas un mot pas un bruit.

- Chéri ?
- Oui !
- Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Bah rien !!!
- Je vois bien que ça ne va pas.
- Pourquoi ça n'irait pas ?
- Je ne sais pas, depuis l'autre jour, je te sens ailleurs.
- Tu as eu ce que tu voulais. Non ? Alors me fait pas chier.

Je restais un peu abasourdit sans comprendre pourquoi elle réagissait de la sorte alors qu'elle avait jouie comme une folle.

- Ca ne t'a pas plus ?
- Si
- Et bien alors ?
- Et bien alors ... J'ai jouie comme une folle oui. Mais tu m'as traité de tous les noms et je déteste ça.
- Tu as jouie, ce n'est pas l'essentiel ? On ne connaissait per***ne. Qu'est-ce que ça peut faire ? On y est bien allez pour ça non.

Et là, elle éclate de rire. Je ne comprends plus rien.

- Non !!! Je te rappelle qu'on s'était juste arrêté boire un coup et que pour le coup c'est toi qui m'en as mis un. Et quel coup mon salaud.
- T'es vraiment cinglée.
- Et toi t'es vraiment trop con.

Elle se jette sur moi et se mets à m'embrasser comme une folle. Puis, elle descend le long de mon torse poilu, doucement, me mordille les tétons, j'étouffe un cri de douleur.

- La ferme !!! Salaud !!! Ce soir t'es a moi.
- Oui mon amour.

Elle continue ça descente et prends mon sexe directement dans sa bouche. Elle commence une fellation terrible. Elle ne m'avait jamais sucé comme ça. Sa bouche monte et descend sur ma queue qui devient raide en rien de temps, elle me pompe à fond, aspire ma queue, me malaxe les couilles. Je passe mes mains dans ses cheveux et commence à lui imprimer un mouvement de plus en plus ample lui baisant la bouche.

- Ahhh la vache, tu suces trop bien. Tu l'as bien dans la bouche là hein ? hummm oui... ohh putain je vais pas tenir.

En entendant ça, elle accélère le va et vient aspirant encore plus fort. Je sens que je vais exploser.

- Ahh putain, arrête. Je vais jouir. Ahhh salope....... Ouiiii

J'explose enfin dans sa bouche. Elle avale tout. Il lui en reste un peu au coin de la lèvre. Le ramasse avec sa langue puis viens m'embrasser. Je luis rend *** baiser, qui n'à pas un goût terrible soit dit en passant.

Nous restons un moment enlacés. Et c'est par excès de confiance que j'ai osé poser la question fatidique.

- Tu veux qu'on y retourne ?
- Où ?
- Bah au club !!
- Tu crois ?
- Pourquoi pas. Ce n'était pas si mal.
- Oui c'est vrai, mais je ne sais pas si c'est une bonne idée.
- On fait comme l'autre fois ni plus ni moins.
- D'accord !!

Puis elle se retourne et éteint la lumière.

Impossible de dormir. Quand allons-nous y retourner ? Comment allons-nous réagir ? Que va-t-il se passer ? Toutes ces questions se ***t bousculées dans ma tête toute la nuit. Ca faisait 15 jours que je n'avais pas baisé et à nouveau je ressentais ce besoin de l'avilir, de la voir se faire traiter comme une moins que rien. Une fois de plus j'étais prêt à tout pour baiser. Comment expliquer le fait que quand je suis en manque de sexe, c'est ma femme que j'ai envie de voir se faire baiser. Je ne comprends pas ce processus.

Un jeudi. On se met d'accord pour prendre une journée afin d'y retourner. On se dit qu'en semaine il y aura moins de monde et pas forcément trop d'hommes.

Nous sommes Jeudi. Grasse matinée, petit déjeuné, petit resto, balade en ville et enfin retour à la mai*** pour se préparer. J'ai commandé à ma femme une petite tenue très sexy pour notre sortie. C'est une robe noire très décolletée et fendue jusqu'en haut des cuisses, des talons assez haut (10cm) et un micro string ficelle noir transparent qui ne cache pour ainsi rien presque rien de sa belle chatte. Elle, se prépare dans la salle de bain. Comme souvent, elle se rase la chatte laissant juste un petit ticket de métro comme on dit. Puis elle débarque dans la chambre. Elle veut essayer les habits que je lui ai acheté, ça lui va plutôt bien. Bien qu'un peu juste la robe lui moule parfaitement les seins et les fesses, les mettant merveilleusement en valeur. Seul petit hic impossible de mettre de sous vêtement sans que ça se voit.

- Chéri t'aurais pas voulu être un peu trop flatteur ? dit-elle en riant.
- Pourquoi ?
- Ben vient voir
- Je rentre dans la chambre et je la vois habillée, le string et le soutien gorge marquant la robe par-dessous. Une horreur.

Nous éclatons de rire. Un fou rire à se pisser dessus. Un rire nerveux à n'en pas douter.

- Je pensais mettre des dessous coquins mais là je crois que c'est cuit. Dit-elle.
- Ouais c'est clair. Mais bon. On s'en fout t'en aura peut-être pas besoin.
- Ouais. Ouais. Ne commence pas à te faire des films gros.
- Un gros ? Ou tu as vu un gros ? Qui est-ce qui est gros hein ? Dis-je en faisant mine de regarder de droite à gauche.

Je m'approche d'elle par derrière et la mets face à la glace mes mains passe sur la robe sous ses seins, je les soupèse, les caresses, aussitôt les tétons apparaissent sous le tissus.

- Qu'est-ce que tu es belle.

Elle me sourit

- Tu as une paire de seins magnifique, dis-je en lui pelotant les seins fermement.

Elle ferme les yeux.

- Non regarde toi ma belle, regarde comme tu aimes qu'on te touche.
- Ouiii ! soupire-t-elle.

Je bande comme un fou.

- Suce-moi. Maintenant.

chrislebo

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#7,386
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Sans discuter, elle s'accroupie, la fente de sa robe me laisse voir ses cuisses nus, ses hanches larges. Oh ! Mon Dieu, Qu'elle est belle. Elle extirpe mon sexe à demi bandé de mon pantalon et l'enfourne dans sa bouche entièrement. Je pousse un soupir de contentement, puis elle commence à me pomper, ma queue gonfle à vitesse grand V. je sens que je vais tenir bien longtemps à ce train là. Elle me presse les couilles, tire sur le manche et je m'envole au Paradis. En moins de 2 minutes, je lui lâche tout dans la bouche. Elle avale tout, se relève le sourire narquois, comme si elle venait de gagner une bataille. Elle éclate de rire. Finalement ce n'est vêtu uniquement de la robe fendue et de ses talons que nous prenons la voiture, il faut une bonne heure pour y aller. Le Trajet se passe bien et en silence, j'en profite pour glisser une main sur sa cuisse lisse et la câliner. Sa petite faveur a calmé mes ardeurs. Nous y sommes. La tension est maintenant palpable. Je ***ne. La femme de l'autre fois nous ouvre et nous reconnaît.

- Bonsoir. Heureuse de vous revoir. Entrez !

Nous discutons puis nous nous dirigeons vers les fameux casiers en riant et en plaisantant. Nous sommes finalement plutôt détendus. Nous rejoignons le bar et nous nous installons sur les grands tabourets. Mathilde laisse la serviette découvrir ces cuisses. Elle a gardé ses talons. La vue de ses jambes me trouble. Les hommes la regardent et ça aussi, ça me trouble énormément. Je me surprends même à bander légèrement.

La soirée défile doucement nous dan***s. Certains couples se forment dans les coins, d'autres se tripotent discrètement. J'en profite d'être sur la piste pour passer ma main sous sa serviette et caresse doucement ses fesses. Lentement, je passe un doigt dans sa raire et vie titiller *** petit trou discrètement. Elle me sourit et viens se blottir contre moi. On ne bouge quasiment plus, elle se laisse faire. Mon doigt appuie parfois plus fort sur sa rosette pour l'assouplir. Puis je passe derrière, elle me colle contre *** corps mes mains caressent ses seins au travers de la serviette. Je bande, elle le sens contre ses fesses, qu'elle remue doucement puis mes mains descendent doucement sur ses hanches puis sur ses fesses, je repasse devant, entrouvre la serviette et doucement pose d'un doigt sur *** clitoris dévoilant plus ou moins *** sexe à la vue de ceux qui ***t en face. Elle a glissé une main entre nous et me caresse la bite. Je sens ma fureur sexuelle monter. Une fois de plus, je me sens devenir fou. Mon cœur accélère, ma respiration s'affole. J'ai envie de la jeter par terre de la baiser jusqu'à l'os, de l'insulter, de la faire gueuler, crier, de la traiter comme une pute, une chienne. Je crois que je deviens fou. Pour me calmer je retourne au bar la laissant se dandiner sur la piste ou quelques hommes et couples nous ont rejoins. Je bande comme un salaud et ça se voit. Je suis gêné. Un homme s'approche d'elle et l'invite à danser. Il est fin élancé, maigre même. Certainement d'origine magrébine, vu *** teint de peau et ***t visage, il fait plus jeune. Un peu plus de la trentaine. Il est apparemment seul. Une fois de plus pas grand-chose à se mettre sous la dent. Décontractée elle se laisse faire. Ils dansent doucement langoureusement au *** de la musique. Je les regarde, Ca m'énerve de les voir comme ça et voilà que ça me reprend. Je l'imagine à 4 pattes en train de le sucer pendant que je l'encule. Cette vision me dérange, m'effraie. Mais je patiente j'ai très envie de voir ce qu'il va se passer. Ils dansent l'un contre l'autre, il lui parle dans l'oreille. Elle rit. Les mains de l'homme s'égarent sur ses fesses. Elle ne lui a pas pété sa gueule comme elle l'avait suggéré la dernière fois. Etrange. Prendrait-elle goût à la situation. Incroyable. J'ose à peine y croire et pourtant c'est bien ce que j'attendais, non ? Je ne sais plus. Je ne sais plus si c'est ce que je voulais qu'il arrive ou si j'aurais préféré autre chose. Je deviens fou sans doute. Qu'est-ce qu'on fait là ? C'est bien moi qui l'ai entraîné. Oui, c'est ça que je veux. Je veux qu'elle devienne ma chose. Mon objet sexuel. Je veux enfin en faire ce que je veux.

Blottie dans ses bras, elle se laisse peloter les fesses sans aucune gêne. Je suis sûr qu'elle mouille. Puis elle jette un regard au moment ou leurs lèvres se frôlent.

Soudain, je me lève, me dirige vers ma femme.

- Viens, je veux te baiser. Dis-je à haute voix.

J'entraîne ma femme, qui a l'air surprise, dans le coin câlin ou nous étions la première fois.

Suivi discrètement par l'homme avec lequel elle dansait. Je la jette une fois de plus sur le lit et me jette sur elle, je lui bouffe les seins qui ***t bandés, tendus, je les mordille. Elle cri de douleur. Mais je persiste. Elle gémie, soupir. L'homme est sur le bord du lit mais je fais mine de l'ignorer. Me disant que si je l'ignore, il s'en ira. Mais je suis trop con et j'oublie la phrase culte :

« Qui ne dit mot, consent. ».

Ma femme a les yeux fermés au moment où je m'introduis en elle, je veux la baiser. Mais aucun mot ne peut sortir de ma bouche. J'ai envie de la traiter de tous les noms. Mais je n'y arrive pas. L'homme assis sur le bord du lit m'empêche de m'exprimer. Il m'agace d'être là à nous regarder. Quand sa main vient s'emparer d'un sein de ma femme, tout en me regardant dans les yeux, je suis au bord de la folie. Il insiste et maintenant pétrie franchement *** sein en jouant avec le téton. Ma femme, toujours les yeux fermés, pense sans doute que c'est moi qui lui prodigue cette caresse ou peut-être est-elle très consciente que ce n'est pas moi. Cette idée me rend dingue. Mais je n'arrive pas à l'empêcher de faire ce qu'il fait. Puis sa bouche s'empare de *** autre sein. Elle ne peut maintenant plus ignorer que ce n'est pas moi. Il lui suce le téton, pince l'autre entre ses doigts. Il bande. Sa queue est longue et fine. Mathilde gémie, soupir, elle prend *** pied. Alors que je la baise à fond, je transpire.

Puis tout s'accélère. L'homme approche sa queue de la bouche de ma femme. Lui pose le gland sur ses lèvres. Toujours les yeux fermés, je la vois entrouvrir les lèvres et le sexe s'enfoncer dans sa bouche. Elle le suce. Il gémit. Moi je ralentis profitant du spectacle. Si je fais deux allez retour de plus je jouie. Je sors et enfile 3 doigts dans sa chatte et la branle sans ménagement pour la maintenir sous tension, je triture *** clitoris de l'autre main. Je bande tellement que je crois que ma queue va exploser. Et finalement c'est lui qui se met à l'insulter.

- Oh putain oui qu'elle est bonne sa bouche. Elle suce comme une reine cette salope. Quel bol tu as. L'accent de l'autre ne trompe pas.

L'accent des cités renforce fortement la scène. Mathilde se met à le sucer plus activement. *** accent l'exciterait-elle d'avantage ? L'idée de se faire sauter par un jeune des citées lui plairait-elle ? Elle qui comme les femmes un peu bourgeoise en a peur ? Et moi ? Que dois-je faire ?

Et le voilà qui remet ça.

- Ouais, vas-y comme elle suce trop bien ta femme. Sa bouche, elle est vraiment trop chaude. T'as trop bien fait de revenir, elle m'a trop excité l'autre jour. Hummm. Oui vas-y pompe ma queue salope.

Il me tutoie. Je n'en reviens pas, mais je comprends mieux *** comportement, il devait faire partit des spectateurs et vu comme j'avais insulté Mathilde, il ne se gène pas pensant que finalement elle apprécie. D'autorité, je la mets à 4 pattes. Ma femme ouvre les yeux pour chercher la queue qu'elle suçait et se jette dessus. Je n'en crois pas mes yeux. Elle accélère et le prends en main. D'une main, elle lui malaxe les couilles et de l'autre elle le branle en le suçant. Et le voila qui recommence me prenant a témoin.

- Oh la vache, elle m'aspire la queue comme une folle la « tepu ». Elle adore ça, la bite hein ?

Je suis incapable de répondre et je me remets à la baiser bien a fond dans la chatte. Puis il continue. Il m'excite ce con à parler comme ça de ma femme.

- humm oui, que c'est bon vas y défonce là. Défonce la bien, fait la gueuler cette chienne.
- Oui je vais la faire gueuler. Je me mets à lui claquer les fesses.
- Oui vas y bourre là.

Il lui maltraite les seins pendant qu'elle le suce à fond. Il tire sur les tétons. Elle grimace de plaisir. Elle relâche la queue de temps en temps pour m'encourager :

- oui .. oui ... défonce moi ouiii. Plus fort.

Elle dégouline de mouille sur ma queue, ma queue fait des bruits obscènes dans sa chatte. Je ne l'ai jamais vue dans cet état. J'accélère lui mettant de grand coup de bites, la percutant le plus fort possible. Elle va jouir je la connais, je lui enfonce mon pouce à fond dans le cul.

Elle rugie, quand l'orgasme la submerge. Moi aussi je vais jouir. Dans un râle, il éjacule dans sa bouche la tenant par les cheveux.

- Ouiiiii prend tout, pétasse. Tien prends tout dans ta bouche.

A ces mots, Je me colle au fond de sa chatte et j'éjacule. Elle est secouée de spasmes. Mathilde déglutit, tant bien que mal, le foutre de cet inconnu pendant que je fini de me vider en elle. Puis il ressort sa queue de la bouche de Mathilde nous remercie et s'enfuit discrètement. On s'effondre une fois de plus sur ce lit. J'ai un mal de chien à respirer, Mathilde aussi apparemment. Je suis hors de moi. Comment ma femme a-t-elle pu sucer un inconnu ? Je n'en reviens pas. Quelle salope. Non mais ce n'était pas prévu comme ça. Elle est folle.

Rapidement et sans un mot on se douche, on se rhabille et on rentre à la mai***. Dans la voiture elle dort. Moi je n'en reviens toujours pas. Elle ne perd rien pour attendre. Jusqu'où serait-elle capable d'aller. Il faut que je le sache, que j'en aie le cœur net.

chrislebo

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#7,387
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La dernière fois nous sommes retournés au club du moulin et nous avons eu notre première expérience à trois. Un peu malgré moi d'ailleurs. Depuis je suis comme fou.

Depuis l'aventure du club, je fais comme si de rien n'était. Mathilde a paru un peu gênée au début, le lendemain surtout, mais rapidement elle s'est détendue. Contrairement à la première fois, tout est très vite redevenu normal. Comme si rien ne s'était passé. Il fallait que je sache jusqu'où elle serait prête à aller. Quelle histoire devrais-je encore mettre au point ? Puis soudain l'idée m'est venue comme ça. J'allais faire venir un homme à la mai***. Je ferai tout pour les mettre en situation et nous verrons comment elle réagit. En fonction, je serai fixé, et je pourrais alors poser mes conditions et la prendre en main comme je l'ai toujours espéré.

Je décide donc de m'inscrire en tant qu'homme sur un site de rencontres. Je choisi un site plutôt orienté rencontre d'un soir, de sorte à trouver des hommes vraiment accrocs, expérimentés et surtout très cochons. Je veux vraiment la pousser dans ses derniers retranchements en prenant un homme qui saura peut-être déclencher en elle le démon qui sommeille, me permettre enfin de profiter pleinement de ma femme et de *** corps.

Un homme qui recherche un autre homme pour sa femme, c'est, je pense, toujours plus intéressant, pour les pervers qui traînent.

Je sélectionne donc quelques photos d'elle, habillée pour la plupart ou légèrement vêtue. Il me faut maintenant trouver une annonce aguicheuse. Après quelques heures de recherche en lisant d'autres annonces, je griffonne une annonce puis l'améliore. Voilà elle est prête.

Homme 40 ans, marié, recherche pour sa femme, 50 ans, homme, 55 - 60 ans, très expérimenté pour la séduire et lui faire l'amour. Femme plutôt BCBG, mais coquine et volontaire. Hommes fortement membrés appréciés. Merci de bien vouloir faire suivre photos.

Pourquoi avais-je parlé de coquine, volontaire? Sans doute pour justement qu'il y aille franco. Pas de fioriture. Je voulais un mâle un vrai. Je voulais qu'il l'a séduise et qu'elle se donne à lui corps et âme.

Les réponses n'ont pas tardées à pleuvoir. Deux cents mails en trois jours. J'ai commencé par trier par âge enlevant tout les moins de 55 ans. J'ai réussi à mettre des filtres sur ma messagerie pour que seuls les profils correspondant à ma recherche puissent m'écrire. Tout c'est rapidement calmé. J'ai ensuite éliminé ceux qui n'avaient pas envoyé de photos. Il me restait finalement qu'une dizaine de profils. J'ai ensuite doucement trié pour finalement rester sur un profil intéressant.

Ce profil m'a vraiment beaucoup surpris et intrigué :

Je m'appelle Bernard, j'ai 65 ans, photographe de charme professionnel à la retraite, mobile et expérimenté. Je me propose de vous aider à débloquer votre femme pour en faire la salope dont vous rêvez. En bonne condition physique et bien membré, je saurais lui faire apprécier le plaisir qu'on peut prendre à se donner sans contrainte, sans tabou et sans honte.

La photo le présentait en costard, légèrement bedonnant et dégarnis, pas un top modèle mais une certaine classe qui ne laissera pas Mathilde indifférente, j'en suis sur. Puis il me parle de ma femme en des termes très polis puis très crus disant qu'elle une belle bouille de suceuse qu'elle doit bien prendre et que je fais bien de la prêter car se genre de femmes, et il a l'œil dit-il, aiment la queue et il faut leur en donner. Enfin, je tombe sur la photo de *** sexe en érection. Un bel engin. Assez long mais bon dieu vraiment large avec un gros gland. Mon dévolu se posa sur lui, encore faut il que je sache ou il habite et s'il se sent capable de rentrer dans mon délire et participer à mon stratagème. J'apprends au final qu'il est veuf et qu'il passe *** temps à batifoler de droite à gauche. Rapport toujours protégé, il est sain.

Pendant plus d'une semaine nous avons conversé par mail. Nous échangions des photos, pour sa part, de modèles plus ou moins, voire pas du tout connus. Certaines photos étaient mêmes à caractère pornographique, il m'avoua avoir, à une certaine époque, travaillé pour un metteur en scène porno dont il refusa de me donner le nom et fini par concédé avoir vu grand nombres de castings, prises de vues et scènes aussi hard les unes que les autres. Je lui fis parvenir quelques photos volées, à l'occasion, en nuisette ou en maillot de bain. Il me dit que Mathilde était très photogénique et que bien qu'à la retraite, il avait gardé un petit studio dans sa mai*** d'Arcachon et qu'il était toujours aussi mordu de photographie investissant encore dans du matériel de haute qualité et que se serait avec plaisir qu'il ferait un petit book à Mathilde, en ma présence bien évidemment. En confiance, je lui racontais nos deux escapades, comment elle avait réagit, ce qu'elle aimait, etc...

J'ai pris beaucoup de plaisir de parler de Mathilde avec Bernard. Jamais je n'avais aussi peu pensé à faire l'amour avec Mathilde. Puis vain le jour où je lui ai soumis de mette en place notre rencontre. Voilà le plan :

Nous avons pas mal d'amis et nous sortons régulièrement en boîte. J'organise donc une soirée, resto, bar, boîte avec évidemment un capitaine de soirée qui passera nous prendre et nous ramènera. Donc pas de voiture, on pourra boire tranquillement. Mathilde adore faire la fête. Elle aime boire et quand elle boit ses inhibitions disparaissent comme par enchantement. Souvent nous avons faillit avoir des ennuies parce que justement elle n'a plus aucune limite quand elle a trop bu. Même si depuis quelques années elle s'est calmée, il n'en reste pas moins que parfois le naturel revient au galop.

Nous convenons donc de nous rencontrer en boite de nuit samedi prochain. Il est d'accord le rendez-vous est fixé. Le soir même, je dis à Mathilde, ravie, que nous avons rendez-vous en boite avec des amis ce week-end. Mathilde adore faire la fête avec ces copines. J'organise tout ça tranquillement. L'air de rien.

Le samedi arrive, doucement m'a femme s'apprête, je l'encourage a mettre une tenue un peu sexy pour l'occasion. Elle opte finalement pour les chaussures à talons de l'autre fois, une paire de bas noir, *** micro string et une jupe mi-cuisse légère. Un petit chemiser blanc translucide assez décolleté ou l'on aperçoit ses tétons au dessus des demi-bonnets du soutien gorge dentelles que je lui ai offert et qu'elle rechigne à mettre. Et nous voilà partit.

Arrivé en boite nous retrouvons nos amis. Je me mets en quête de mon apollon. Je trouve un coin discret et calme et l'appelle sur *** portable. Il me dit qu'il est en route, il sera là dans 10 minutes que je le retrouve à l'entrée. Dix minutes paraissent des heures. Je ne cesse de regarder ma montre. Ma femme boit et s'amuse comme une petite folle. Elle tourne à la vodka orange, moi au whisky coca. Elle ne supporte pas super bien les alcools forts, et rapidement elle est un peu éméchée. Dans ces moments là, elle est très amoureuse et très tactile. Elle me colle, m'embrasse, elle est chaude, je le sens. Elle colle aussi nos amis leur passant la main sur les cuisses ou dans le dos sans même une arrière pensée. Je ne bois pas trop, je veux rester maître de la situation. Je m'approche de l'entrée, j'attends un moment puis le voilà qui entre habillé plutôt classe. Je lui montre rapidement ou nous sommes placé et laisse libre cours à sa méthode d'approche. Ca me permettra de le tester et ainsi de voir ce qu'il vaut.
chrislebo

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#7,388
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Le voilà partit sur la piste de danse, Il attrape une amie de ma femme et la fait danser, elles rigolent, dansent, il sait y faire, c'est sur, il danse super bien l'ancien. Mathilde adore danser, sa jupe virevolte laissant parfois apparaître le haut de ses bas. Puis arrive une séance de slow. Mathilde déteste ça. Les filles, elles ***t trois, invitent notre homme à venir boire un verre sans doute pour le remercier de les avoir si bien faites danser. Je dois avouer que la chance a joué en ma faveur cette fois, il leurs a plu de suite. Nous sommes entre mecs on papote et on picole tranquillement. On le salut, lui serre la main, nous discutons tous ensembles comme si de rien était. Le temps passe et la soirée tire à sa fin, nous riions tous de bon cœur, Bernard fait danser les filles, je danse aussi un peu et Mathilde est maintenant à point, elle n'arrête pas de me faire des bisous. Elle a une pêche d'enfer, ça fait longtemps que je ne l'avais pas vu aussi joyeuse. Une dernière danse avec Bernard, elle est accrochée à *** coup comme une Bernique à *** rocher. Ses mains à lui se baladent sur sa jupe, sur ses fesses. Elle ne dit rien, c'est qu'elle est à point. Tant mieux.

Finalement tout le monde se prépare à rentrer. Bernard nous propose de nous ramener évitant ainsi un détour à l'un de nos amis. On accepte avec plaisir. Bernard nous précède et c'est une superbe BMW série 7 qui nous attends.

- On ne se refuse rien ! Dis-je jaloux. J'aime les belles voitures et j'ai presque faillit gaffer en parlant de *** métier alors que j'étais censé ne pas le connaître. C'est le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui m'a empêché de finir ma phrase
- Oui depuis le décès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et j'ai la chance d'avoir bien préparé ma retraite.

Je fais monter Mathilde derrière qui malgré *** désintérêt total pour l'automobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je n'en croyais pas mes yeux. J'aurais donné n'importe quoi pour avoir la même.

Arrivé devant la mai***, il est déjà 4h30 du matin, Mathilde, bien éméchée, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, j'acquiesce, Mathilde me félicite de cet élan de savoir vivre qui ne me caractérise pas, surtout à cette heure. Bien sur il accepte. Mathilde sourit et dit :

- Allez champagne pour tout le monde.

Bernard éclate de rire, détendu et serein, comme si tout était normal.

- Quelle santé !!! Dit-il.

Il l'attrape par la taille et l'accompagne jusqu'à la porte d'entrée. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sur de mon coup. Elle ne cèdera pas, malgré l'alcool, je suis sur qu'elle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde s'installe dans le canapé pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et on commence à discuter de tout de rien. Des enfants, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard détailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontée et laisse voir la lisière de ses bas, elle a défait un bouton de *** chemisier, offrant une vue imprenable sur *** décolleté. Bernard n'en perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me détendre. Bernard saute sur l'occasion pour la faire danser. Décidemment, il est vraiment doué pour s'attirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacés doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses épaules. Il caresse le haut de ses jambes, *** dos, lorgnant franchement dans *** chemisier.

-J'adore votre soutien gorge. J'adore ces soutien gorge qui n'enveloppe que le galbe des seins et laisse libre les tétons. Dit-il
- C'est mon mari qui me l'a offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insisté pour que je le mette aujourd'hui. Répond-elle en rougissant.
- Et bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goût et il a bien eu rai***, car il vous va à ravir.

Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans même un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer d'avantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de rai***. Quand ils reviennent, j'ai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me décide à lancer les hostilités.

- Et votre femme ?

Surpris pas la question. Il me fusille du regard.

- Non mais t'es con ou quoi !!! Eructe Mathilde. Je suis navrée, mais l'alcool le rend complètement idiot.
- Ce n'est pas grave, je vous ai dit tout à l'heure, mais vous n'avez sans doute relevé qu'elle était décédée. Dit-il en me souriant, comprenant que je venais, malgré moi, de le faire entrer dans le cœur de mathilde.
- Ca fait maintenant 10 ans, mais il en reste toujours quelques choses.
- Ca doit être dur de vivre seul non ? Demanda Mathilde.
- Vous savez ? Je m'occupe, j'ai beaucoup d'activité, j'aime rencontrer des gens nouveaux comme ce soir.

Il profitait de la situation. Je lui avais raconté notre petite expérience. Je sentais l'affaire m'échapper, j'étais saoul et j'ai voulu faire le malin.

- Vous allez en club échangiste ?
- Oui ! Ca m'arrive de temps en temps. Quand je me sens seul.
- Ah oui. Nous aussi nous y somme allez. Deux fois. N'est-ce pas chérie ?

Mathilde, une fois de plus me fusille des yeux. Cette fois, je crois que je me suis grillé tout seul. Et pourtant, imbécile et alcoolisé j'insiste.

- Bah quoi ??? Y a pas de honte. En plus t'as aimé ça il me semble non ? Surtout la dernière fois.
- Mais tu vas la fermer !!!
- Allez quoi raconte à Bernard il sait ce que c'est. Je ricane.
- Oui Mathilde. Racontez-moi.
- Sûrement pas.
- Allez quoi... fait pas ta mijaurée. Dis-je.
- Fous-moi la paix.

Mathilde est écarlate, rouge vif, gênée, et pourtant je suis sur, excitée. Bernard vient à *** secours.

- Laissez tomber. Allez venez danser.

Mathilde se lève et se love dans ses bras comme une pauvre petite chatte, me jetant au passage un regard assassin dont elle en a le secret. Moi, plein comme un âne, je lui fais un clin d'œil.

Finalement. Je fini par m'éclipser dans la cuisine, je ramasse les assiettes qui traîne dans l'évier et les mets dans le lave vaisselle. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il fallait que je me change les idées. J'avais le cerveau embrumé par l'alcool que j'ai bu trop vite. Puis, je me suis souvenu que Mathilde dansait avec Bernard. Je ne sais pas combien de temps, c'est écoulé, mais je reprends un peu mes esprits en me disant que j'ai peut-être bien jeté ma femme dans les bras de cet homme avec mes réflexions idiotes. Je décide donc de les épier. La porte de la cuisine entrouverte, ils ne peuvent pas me voir. Je les vois tout aussi bien que je les entends. Je suis bien placé.

- Alors comme ça, Mathilde, vous avez aimé vous rendre dans ce club ?
- Oui, j'ai trouvé ça étrange et à la fois excitant. Dit-elle timidement.

chrislebo

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#7,389
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Voilà qu'elle se confie. Je n'en crois pas mes oreilles. Je m'appuie doucement contre le mur afin d'observer la scène confortablement.

- Vous avez aimez être vu et touché par d'autres ? Vous avez fait l'amour avec d'autres hommes ?
- Non. Dit-elle.
- Qu'avez-vous fait ?
- Je l'ai .. je l'ai ... juste une fellation.
- Oh Mathilde que vous êtes belle comme ça, toute timide. On vous donnerait le bon dieu sans confession.
- Elle rit, et se serre un peu plus contre lui.

Elle est rouge comme une pivoine, signe caractéristique qu'elle est bien attaqué niveau alcool. Je crains le pire et pourtant m'interdit d'intervenir. J'essaye de me rassurer. Ce n'est pas possible tout va bien se passer.

Et pourtant, la voilà dans ces bras. En train de se confier à un inconnu alors qu'elle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant légèrement la jupe puis la relaissant descendre. Et moi je matte. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottie sa tête dans *** épaule. Le voilà maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse ***t dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprécie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zook, elle ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de l'oreille, tout en l'embrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle fris***ne. Par-dessus *** épaule il a une vue plongeante sur *** décolleté.

- Vous avez une poitrine magnifique Mathilde.

Et joignant le geste à la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur *** ventre et viennent se caller sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les pressent doucement. Elle, ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il déboutonne doucement *** chemisier laissant apparaître *** soutien gorge où les tétons ***t à nus. Délicatement, il les frôle qui durcissent instantanément. Puis, d'un geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ca a pour effet de faire bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors à masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tétons qui pointent comme jamais j'ai vu ça ? Ils ***t vraiment bien sortit. Elle est vraiment excitée. Moi je commence à bander. J'en reviens pas et pourtant je suis fasciné impossible de bouger.

- Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ?

Il la tutoie maintenant.

- Il me prenait dit-elle.
- Tu as bien jouie ? Dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois s'agite de plus en plus rapidement. Il dépose de petits baisés dans le cou de Mathilde qui semble apprécier en inclinant légèrement la tête. Il presse les seins fermement attendant une réponse qui tarde à venir.
- Oouii dit-elle dans un souffle court. Elle ferme les yeux aux moments même ou les mains de Bernard se referment sur ses seins.
- Oui tu as bien jouie petite coquine. Tu as aimé le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant d'avantage ses gros seins.
- Ouiiii ... sa voix se fait plus troublée, haletante.

Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais qu'elle adore ça. Ca la rend folle. Je suis comme dingue devant se spectacle, je bande comme un âne. Décidemment l'âne me caractérise à merveille ce soir :

- Ane bâté,
- Bandé comme un âne,
- Plein comme un âne.

Un festival.

D'un geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dévoilant sa peau nue au dessus de ses bas et *** mini string et pendant qu'une main continue de travailler un sein, l'autre s'insinue entre ses cuisses. D'une main experte, il pose la main à plat sur la chatte de Mathilde et fait une pression à l'endroit de *** clitoris. Je la vois se tétaniser. Elle pousse un soupir, il prend ça pour un encouragement et écarte le string et enfile un doigt dans la chatte déjà humide.

A ce moment là, je comprends qu'elle a cédé. Elle a complètement oublié ma présence. Elle s'offre à cet homme qu'elle ne connaissait pas il y quelques heures. Il la branle doucement un doigt sur *** clito. Elle se dandine doucement frottant *** cul contre *** sexe et il lui pétrit les seins sans ménagement, franchement et elle apprécie.

Mathilde respire fort. Ils ne dansent plus. Il lui malaxe un sein et tien un doigt dans sa chatte. Debout. Elle a écarté légèrement les cuisses pour lui laisser libre accès. *** string est maintenant au sol. Il lui masse la chatte sans vergogne. Insinuant tour à tour un puis deux doigts dedans.

Il l'a dirige vers la table basse et la penche en avant. Mathilde par réflexe pose les mains sur la table trop basse, ses seins pendent dans le vide et *** cul est bien cambré. Bernard derrière relève la jupe et commence à lui bouffer le cul. Je le vois laper la chatte jusqu'à l'anus. Elle soupir, gémie, souffle. Moi, j'ai sortit ma queue et me masturbe devant se spectacle dont je ne comprends pas les enjeux.

- T'aimes ça qu'on te bouffe le cul ! Hein ma belle ?
- Ouiii, dit-elle dans un soupir.
- Tu vas voir je vais bien te faire grimper aux rideaux lui dit-il en lui fourrant deux doigts dans la chatte.
- Ahhhh
- Humm oui tu dégoulines bien. Coquine. Sortant ses doigts plein de mouille il les remet et commence à les tourner dans la chatte en faisant des vas et viens.
- Ahh Ahhh Ahhh fait-elle timidement.
- Mais quel cul t'as. Un bon gros cul. J'adore ça. Dit-il en collant sa langue dans l'anus.
- Ohhh

Mathilde remues *** cul pour mieux sentir les caresses, les seins ballottent au rythme de la pénétration.

- Tu vas voir, je vais bien te dilater tes trous avec ma grosse queue. Je vais faire de toi une accroc de la bite. Espèce de petite pute. Tu crois que tu vas me la faire à moi ? Je les connais les petites bourgeoises de comme toi. Elles font leurs saintes nitouches et une fois qu'elles ont une grosse bite dans le cul elles en redemandent. Ton mari, c'est un pauvre type, il n'y connaît rien. Tu vas voir.
chrislebo

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Je suis abasourdie, effondré, je ne comprends plus rien à ce qui ce passe. Quel changement d'attitude et Mathilde qui ne réagit pas. Si je lui en avais dit le quart, je serai passé par les armes et là, lui, l'excite. Et pourtant, je suis incapable d'intervenir. J'aurai l'air malin la queue à la main. Que dois-je faire ? Si j'interviens. Que va-t-il se passer ? Comment vas t'elle réagir ? Et si je laisse faire. Ils ne savent pas que je sais.

Puis d'un geste, il sort sa queue de *** pantalon. Il bande ferme. Je suis impressionné par le diamètre. Un gourdin. La photo n'était pas aussi impressionnante. L'excitation y est sans doute pour quelque chose. Il va la défoncer. Enfin, il se penche sur elle collant sa queue entre ses cuisses, la prend par les cheveux, tirant vers lui pour qu'elle se redresse.

- Alors ma belle, tu sens ma grosse queue entre tes cuisses ? Je vais bien te la foutre. Et après je te casserai le cul.
- Oui prends moi. Dit-elle.
- Oui salope je vais te baiser. Dit-le
- Oui baise moi, oui viens baise moi fort.
- C'est bien tu commences à comprendre, espèce de petite traînée. Tu sais les vielles putains comme toi, normalement, on les encule d'abord. Mais je vais faire une exception. Mais pour bien te mettre à la page et pour que tu comprennes qu'une chienne comme toi c'est juste bon qu'à prendre de la bite. Je vais pas mettre de capote, je suis sur que tu détestes ça !!!!

Comment savait-il qu'elle avait horreur de ça. Mathilde n'avait jamais voulu qu'on en mette quand on c'est rencontré. Elle m'a même avoué ne jamais avoir fait l'amour avec.

Puis d'une main il dirige *** gland à l'entrée de sa chatte et commence à la pénétrer doucement la tenant par les hanches. Il ***** doucement puis petit à petit il la pénètre. Mathilde à la bouche ouverte. Aucun mot ne sort. On pense presque qu'il va lui ressortir par la bouche, empalée. Moi je me branle frénétiquement absorbé par ce magnifique spectacle.

Le voilà au fond. Jusqu'aux couilles ! Il commence ses va et vient. Il se penche pour tirer, malaxer, pétrir les gros seins de Mathilde qui pendent sous elle d'une façon obscène.

- Ohhh putain qu'elle bonne chatte tu as. Tu me serres la queue c'est trop bon.
- Ouiii ouii plus fort.
- Oui, je vais t'en donner pétasse.

Tout en commençant à la limer, il lui titille le trou du cul avec le pouce. Insinuant un doigt puis deux. Il lui prépare l'anus d'une façon experte. Mathilde n'en peut plus, elle jouie. Prise de spasmes.

- Ouiiiii, c'est bon ouiii bien à fond baise moi ouiii.
- Tiens chiennasse. Prends ça. Il la défonce de plus belle.

Puis elle s'effondre sur la table. Rapidement il prend quelques coussins et les jette à terre. Puis l'aide à se mettre à 4 pattes la tête dans les coussins, le cul bien en l'air, large, luisant de mouille. Mathilde se laisse faire et déjà il lui bouffe le cul en la doigtant sauvagement. Il lui met trois doigts dans la chatte et la branle. Elle ne met pas 5 minutes avant de redémarrer. Il crache dans *** cul ouvert par deux doigts, pendant qu'il la branle avec les autres.

Puis il se relève, crache dans sa main, enduit *** gland de salive et de mouille. Puis crache dans *** petit œillet, pose *** gros gland contre l'anus de Mathilde. Il commence sa progression doucement, mais sûrement, il est bien droit au dessus d'elle.

- Ecarte ton cul sinon tu vas dérouiller.

Mathilde la tête écrasée dans le coussin écarte ses fesses de ses deux mains en tirant bien dessus.

- Voilà ouvre bien. Pousses. Voilà ça rentre. Ahhh la vache t'es serrée.

Mathilde grimace, geint, souffle, et pourtant halète comme jamais. Bernard est maintenant à fond dans *** cul. Il attend un peu puis commence à ressortir. Crache dans le trou puis rerentre comme ça 3 ou 4 fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique.

- Voilà, tu l'as bien dans le cul maintenant.
- Hummm oui
- Tu la sens bien ?
- OUIII
- Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te la ramoné. Je vais te le refaire à neuf.

chrislebo

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#7,391
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Et il commence de tout *** poids à percuter le cul de Mathilde.

- AHHHHHHHHHHHH !!!!!! crie-t-elle
- Ahhh tu vois. C'est bon de se faire défoncer le fion.
- OUIIIII plus fort ouiiiiii
- Tu vois que tu aimes ça.
- OUIIIIII
- Dit le que t'aime ça.
- Ouiii j'aime ça, vas y.
- Maintenant tu peux te vanter d'être une belle enculée.
- Ouiiiii
- Tiennns, ohh putain je vais jouir.

Il redouble de violence à la défoncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi j'éjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je m'éclipse doucement jusqu'à la chambre me débarrassant de ma semence dans un kleenex.

J'écoute les derniers bruits dans la salle à manger. Sans savoir ce qui ce passe réellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir.

Il est 7h00 du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondément. Je retourne au salon, ça sent le cul à plein nez. Bernard est apparemment partit. Je m'assieds dans le canapé face à la scène des exploits de mon amour, je me sens vidé, dégoûté, anéantit. Je me repasse le film encore et encore, n'oubliant aucun détail, je bande et pourtant, j'ai envie de chialer. D'ailleurs ça y est.


Ps : Entre le début de cette histoire et ce moment, il c'est passé environ 4 mois. En 4 mois j'ai réussi à foutre 20 ans de mariage en l'air. Enfin je crois. Mais si seulement ça c'était arrêté là. Rappelez-vous ce qu'elle me disait :

- Méfies toi !!! Qui sait ??? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plait, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça te plait pas.
- Tu m'as traité de tous les noms et je déteste ça.

chrislebo

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#7,392
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Ca fait une bonne heure que je me lamente sur mon sort. Que vais-je lui dire. Que dois-je faire ? Si je lui fais une scène, elle va me dire que c'est de ma faute, qu'elle m'avait prévenu. Et si je ne disais rien. Si je laissais faire. Peut-être qu'on en reparlerait plus. Que l'épisode serait clos. Mais comment vivre avec ça ? J'ai bien peur de ne pas avoir le choix. Soit je lui dis et je brise, sans doute, tout, soit je me tais, tout sera fini et j'oublierai peut-être avec le temps. Il me reste encore la solution de partir, mais comment ne pas faire face à ce dont je suis l'initiateur ? Ce serait pure lâcheté. Je ne suis pas un lâche.

Je fini par m'endormir sur le canapé.

Il doit être 14 heures lorsque Mathilde viens me réveiller tendrement.

- Chéri ? Que fais-tu dans le canapé ?

Je me réveille. Elle est assise à côté de moi, en nuisette noire transparente, nue dessous, ses gros seins pendent joliment. Elle est belle. Je ne peux pas la perdre. Je l'aime.

- Oh, rien je n'ai pas très bien dormis je crois que j'ai trop bu.
- Oui moi aussi, je ne suis vraiment pas bien. Je vais aller me recoucher.

Je passe une main sur un de ses seins puis entre ses cuisses. Elle sursaute en gémissant.

- Aie !!!
- Excuses-moi. Je t'ai fait mal ?
- Oui, enfin Non. Ce n'est rien, j'ai chopé une hémorroïde. J'ai l'anus en compote.

Sachant que ça lui arrive de temps en temps quand elle fait trop la fête, elle a sans doute pensé que ça ferait l'affaire. Avec ça, la voilà tranquille une à deux semaines. Mais je ne suis pas dupe. Je sais pourquoi elle a mal au cul cette pute qui en plus, me ment outrageusement avec une décontraction mal assurée. Non mais qu'est-ce qu'elle croit cette traînée ? Que je vais me laisser faire ? Puis, je me vois dans la glace. C'est de MA FAUTE !!!!! Allez !! Du calme, tout ça passera avec le temps.

Le dimanche passe finalement calmement. Nous regardons la télé chacun dans *** fauteuil. Demain boulot. Nous verrons bien dans quel état nous serons.

Le lendemain matin, je suis levé de bonne heure et je me prépare rapidement, je n'ai pas très envie de la croiser. J'arrive au bureau, m'installe, et me connecte au site de rencontre afin d'y détruire mon profil. De nombreux mails m'attendent. Je les parcours rapidement avant de les effacer mais je tombe sur un mail de Bernard. Mon cœur passe de 0 à 100 en un millième de seconde. Cet enculé ose me parler ? Alors qu'il a baisé et enculé ma femme ? Non mais je rêve. J'ouvre *** mail, me promettant de l'insulter, voire d'aller lui casser sa grosse gueule de frimeur.

« Bonjour.

J'espère que tu as bien dormis, mais c'est vraiment dommage que tu n'ais pas assisté à une belle enculade de ta femme. J'aurais aimé que tu sois là pour voir comment je l'ai bien baisée. Elle est vraiment trop bonne. Tu sais il y a sûrement moyen d'en faire quelque chose. »

Putain je vais le tuer. Il me parle comme à un ami. Comme si ... comme si ... comme si je lui avais demandé de baiser ma femme ... Non, mais quel con, je fais. C'est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Je suis vraiment le dernier des connards.

« Tu sais c'est vraiment un grosse chienne. Puisque tu n'étais pas là je vais te raconter. »

S'il savait que j'étais là. Je lis malgré tout, *** histoire. Il me raconte se qu'il a ressentit, quand il a été tour à tour dans sa chatte et dans *** cul. Comment il l'avait trouvée serrée, puis comment elle s'était bien dilatée et comment elle mouillait comme une folle. Je bandais à nouveau.

« Tu sais, dans le porno, j'en ai vu des chiennes qui aimait la bite. Je peux te dire que Mathilde et du bois dont on fait les cochonnes, elle se le cache mais elle adore ça. Tu verras on va bien la baiser, ça va te plaire. Avant de partir, je lui ai laissé mon numéro de téléphone et mon adresse mail perso. Histoire de voir ce que ça donne. Je suis sur qu'elle va me rappeler. C'est une salope, tu avais rai***.

A bientôt Bernard. »

Je n'y crois pas une seconde. Non seulement elle m'a mentit, mais en plus elle a les coordonnées de ce mec. Il a rai*** tout au fond de moi je sais que ça me plait, mon corps approuve et mon cœur saigne. Mais bon. Elle a essayé, pas de rai*** qu'elle recommence. J'efface donc tous les mails de la boîte et supprime le profil. Voilà une bonne chose de faite.

Quelques semaines passent, tout est redevenu normal. Elle passe ses soirées à dormir devant la télé et me rejoints dans la nuit comme avant. Normal, en apparence, seulement. Il y a toujours cette petite tension bizarre, ce je ne sais quoi de malsain qui règne. Elle est calme détendue. Trop beau pour être vrai. Je suis peut-être con mais pas débile. D'habitude, ***t boulot la stress, elle est toujours fatiguée, alors que là, je la trouve sereine et détendue. Il y a quelque chose d'autre, j'en suis sur.

Mathilde c'est inscrite à la gym. Elle veut, soit disant, perdre *** gros cul et ses bourrelets disgracieux. Moi, je ne vois pas la différence. Mais bon si ça lui fait plaisir. Ca fait maintenant trois mois qu'elle va à la gym 2 fois par semaine et effectivement elle a perdu quelques kilos, mais franchement rien d'exceptionnel. Et si elle n'allait pas à la gym. Si c'était une connerie et qu'elle revoyait Bernard. Non !! Impossible !!! Pas si sur.

Je me décidais un soir de la suivre jusqu'à *** cours de gym. Discrètement je suis partit un bon quart d'heure après elle me rendant à la salle. Sa voiture est bien garée devant. Je pousse la porte et je la vois, soulagé, entrain de se secouer les miches comme une damnée au milieu de plein d'autres gonzesses. Je me dis que je suis trop con et me décide à rentrer.

Elle arrive, 45 minutes plus tard, toute transpirante. Je lui sers l'apéro pendant qu'elle prend sa douche. Quand elle revient, elle est toute belle, toute propre dans *** pyjama en pilou. Elle sent bon. Je le serre contre moi fier de sa fidélité, je l'embrasse, elle me rend mon baisé, nous roulons sur le tapis et je la déshabille délicatement.

- Mon amour, je t'aime.
- Moi aussi mon cœur,
- Tu es toute ma vie. Lui dis-je en suçant la pointe des seins.

Elle soupire. Doucement, je descends, lui caresse la chatte puis je la lèche doucement, tendrement. Je veux quelle ressente oh combien je l'aime et combien je suis tendre et que tout ce que j'ai fait avant est du passé. Finalement, je la pénètre doucement, je lui fais l'amour lentement passionnément et fini par éjaculer dans un râle. Elle pousse un soupir de plaisir me serrant fort contre elle. Je suis heureux.

Pourtant en y repensant, je n'ai pas l'impression qu'elle y ait prit beaucoup de plaisir. Ca manquait franchement de sincérité. Je sais pas pourquoi. Comme si il lui avait manqué quelque chose. Mais bon je me fais sans doute des idées. Il faut vraiment que j'arrête ça.

Un samedi soir, elle me dit qu'elle sort avec des copines de boulot. C'est assez rare, mais ça arrive lors d'anniversaires. Evidemment ça pourrait être n'importe quand je ne connais pas une seule date d'anniversaire de ces copines mais je sais que c'est souvent l'occasion d'une virée entre filles.

Moi je décide soirée télé, match de foot, ça me passera le temps.

Quand Mathilde débarque dans le salon, je suis à deux doigts de l'infarctus. Elle a effectivement bien perdu du poids et un peu de ventre. Je suis surpris du résultat et déjà je m'en veux de ne pas en avoir fait autant. Elle doit avoir honte de sortir avec un gros tas comme moi maintenant. Surtout que la tenue mets vraiment ses formes en valeur. Un petit chignon bien rangé, une petite robe courte moulante qui s'arrête bien au dessus du genou, des jambes nues finissant dans des escarpins que je ne lui connaissais pas. Visiblement pas de soutien gorge et pas de slip.

chrislebo

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#7,393
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- Et bien, et bien. Dis-je. Tu vas où comme ça ?
- Je sors cher ami, me dit-elle, en me narguant tournant sur elle-même.
- Tu es drôlement belle et bien habillée pour une soirée entre filles?
- Pourquoi devrai-je m'habiller comme un sac quand je sors avec mes copines ?
- Je ne dis pas ça, c'est juste que je te trouve particulièrement ravissante.
- Et bien oui ! Monsieur à une belle femme, ne lui déplaise.
- Mais... je te rassure ça ne me déplait pas du tout.
- Et bien tant mieux parce que de toute façon t'as pas le choix.
- Bien chef, dis-je en me mettant au garde à vous.

Elle rit, vient m'embrasser puis se dirige vers la porte d'entrée en prenant une petite veste à la volée, puis revient.

- Au fait ce soir on dort chez Mélanie.
- Oui, tu as rai*** c'est aussi bien, je préfère que tu ne roules pas bourrée, je sais que tu en es capable.

Elle éclate de rire et disparaît. Finalement, en voilà une bonne idée. Une nuit télé tout seul dans mon canapé. La vie de célibataire a parfois du bon. Je me décide donc à prendre un bon petit apéro. Un vieux whisky 16 ans d'âge derrière les étiquettes ça n'a jamais tué per***ne. Après, on se fera une petite raclette avec un coup de rouge. Peut-être un porno, une branlette et au lit.

Mais pourquoi je ne lui ai pas dit que j'avais remarqué qu'elle ne portait pas de culotte et que ça ne lui arrivait jamais. Qu'elle refusait systématiquement quand je lui demandais. Pareil pour le SG. Mais qu'est-ce qui se passe bordel ? Je deviens cinglé ou quoi ? Je deviens complètement parano. La soirée passe, finalement, comme une lettre à la poste. Apéro aidant, toutes mes questions saugrenues s'évaporent dans l'alcool. Mathilde rentre pimpante le dimanche sur le coup des 13 heures. Je lui ai préparé le repas. Nous déjeunons rapidement puis nous nous mettons dans le canapé, dans lequel nous fai***s une petite sieste. Elle a du passer une sacré nuit, elle c'est endormie quasi instantanément.

Deux semaines passent. Un lundi bon pied bon œil, j'arrive au bureau. 11 heures, le courrier. Un paquet à mon nom. Etonnant, je n'ai jamais que des lettres en général. J'ouvre et à l'intérieur un DVD. Dessus, il est écrit :

« Souvenir, Souvenir. »

Mais c'est quoi cette connerie ? Qui a bien pu m'envoyer ça ? Peut-être ma sœur. Elle vient d'accoucher et mitraille *** fils. On reçoit des tonnes de photos et de vidéos. Mais pourquoi au boulot ? Pourquoi en recommandé ? Ca n'a pas de sens. Je vais rentrer un peu plus tôt pour voir ça.

15 heures, je quitte le boulot. Je vais faire deux trois course vite fait, histoire de casser une bonne croûte ce soir et je vais me mater cette vidéo pendant l'apéro. Une fois à la mai***, je pose mes affaires sur mon bureau. Je prends une bonne douche puis me met dans le canapé. Les vidéos ***t plus souvent des clips qu'autres choses ou des diaporamas mis en musique et ça ne dure jamais très longtemps.

Je mets le DVD dans le lecteur, branche le BOSE, me sers un petit Kiki de la même marque que l'autre fois et c'est partit...... Je sais c'est un peu tôt mais que voulez vous en ce moment ça va quand même mal et il n'y a que ça qui me détend.

L'image est noire quelque seconde, film amateur oblige, puis ça tourne. Un salon que je ne connais pas, puis une ombre, je souris déjà dans l'attente d'une connerie, et là je manque de m'étouffer. Je recrache mon whisky sur la table basse du salon. A l'écran. Bernard !!!!!!!!!!!!!!

- Putain, c'est quoi cette connerie ????

Mon cœur bat à tout rompre. Il va sortir de ma poitrine. Qu'est- ce qu'il fout là. Qu'est-ce qu'il veut ?

- Salut Laurent !! Tu me reconnais ?? Bien sur que tu me reconnais. Comment oublier le mec qui a baisé sa femme hein ? Comme tu peux le constater, j'ai installé une caméra dans le pied de ma télé sur le meuble du salon. Ce qui me permet de pouvoir enregistrer tout ce qui s'y passe. Le tout branché sur mon ordi qui enregistre bien gentiment. Tu te demandes sans doute pourquoi je t'envoie cette vidéo. Et bien, j'ai un regret. Comme tu dormais la nuit ou j'ai niqué ta femme, je me suis dit que ça te ferait certainement plaisir de savoir qu'elle m'a appelé la semaine dernière et que je l'attends d'une minute à l'autre. Et que je ne pouvais, décemment, pas la baiser une seconde fois sans que tu en profites un peu. Je sais, c'est frustrant derrière un écran. Mais bon !!! C'est mieux que rien. Evidemment, elle n'en sait rien. Sinon ne se serait pas drôle ! Hein ? Je suis sur que t'es d'accord avec moi.

Je suis ..... Je suis ...... je ne saurais dire ce que je ressens à ce moment là. Il a disparu de l'image. Il revient avec une bouteille de champagne dans un seau. Il installe les petits fours. Il doit être tard. Tout se mélange dans ma tête. Quand ? Comment ? Pourquoi ?

- Ohh Putain... la salope. L'anniversaire de sa copine.

J'entends ***ner. J'entends parler. Je reconnais distinctement la voix de Mathilde qui rit. Elle apparaît à l'écran dans la tenue de cette fameuse soirée d'anniversaire. Bernard arrive, elle se jette à *** cou. L'embrasse à pleine bouche. Il la soulève et la fait tourner.

- Tu es magnifique petite cochonne.
- Merci, dit-elle en rougissant.
- Vraiment !!! Ces séances de gym t'ont fait le plus grand bien.

?????

Quoi ? Comment sait-il qu'elle fait de la gym ? Seraient-ils restés en contact pendant tout ce temps sans que je m'en rende compte ?

- Oui, j'ai tout donné pour obtenir ce résultat, je n'ai pensé qu'à ça. Je voulais te plaire, que tu me trouves à ton goût.
- C'est très bien Mathilde je suis fier de toi.
- Merci. Tu vas me faire rougir.
- Je voudrais que tu regardes la télé.
- Ah oui ?
- Oui regarde bien la télé fixe là, je veux que tu ne penses à plus rien d'autres qu'à toi.

Elle fris***ne. Puis elle fixe le téléviseur, comme si elle me regardait. Bernard est derrière elle. Ses mains ***t sur ses hanches. Elles remontent sur ses seins. Il les soupèse par-dessus la robe fermement, sans ménagement il les malaxe, puis frôle les tétons que l'ont voit apparaître au travers du tissus. Puis sans doute allume-t-il le téléviseur.

- Mais que fais-tu ? Tu nous filmes ?
- Oui !!! Ca te fera un souvenir !!!
- Cochon. Va !!!
- Oui et tu adores ça.

Mathilde ferme les yeux pour mieux savourer les caresses de Bernard. Il remonte la robe sur ses hanches et masse l'intérieur de ses cuisses qu'elle a légèrement écartées. Il caresse sa chatte puis l'écarte doucement, insinuant un doigt dedans. Elle pousse un soupir de soulagement comme si ça faisait des mois qu'on ne l'avait pas caressé. Il joue avec le clitoris.

- Alors ma belle tu ne regrettes pas d'être venu ?
- Oh non Alors
- Tu vas prendre ma grosse queue. C'est pour ça que tu es venu. Salope.
- Ouiiii

Il lui branle clito rapidement, elle commence à se dandiner.

- Tu vas me sucer.

chrislebo

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#7,394
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Il appuie légèrement sur les épaule de Mathilde et se met de profil pour que la caméra film la scène. Mathilde, elle, extirpe la grosse queue du pantalon et commence à lécher le gros gland violacé. Bernard lui enlève la main.

- Apprend à sucer sans les mains. Les vraies salopes ne sucent qu'avec leur bouche

Alors elle lèche le gland puis se contorsionne pour attraper le gros gland. Puis prend la queue dans la bouche qui ne tarde pas, à vraiment prendre forme. Il bande maintenant bien dur et Mathilde monte et descend avec sa bouche sur l'énorme mandrin qui lui déforme bien les joues.

- Regarde-toi comme tu suces bien. Caresse-toi en même temps. Profite.

Puis il passe d'une main derrière la nuque de Mathilde et alors qu'elle regarde l'écran les yeux brillant, il commence a lui fourrer sa grosse queue bien a fond dans la bouche. On voit la queue de Bernard lui déformer la bouche, il lui enfonce si profond que parfois elle manque de s'étouffer. Quand je lui faisais ça, elle se fâchait. Et là ...

- Ohh oui comme ça vient, regarde comme je te baise bien la bouche. Ouvre la grande. Humm Elle est bouillante. Ohhhh oui. Ohh la vache que t'es bonne. Je ne vais pas tenir longtemps. Tu vas me faire gicler.

La bouche de Mathilde fait des bruits obscènes. Il lui bourre la bouche de sa grosse queue bien à fond puis dans un râle lui colle tout dans la bouche et le visage. Elle en a partout.

- Ohhh ouiiiiiiiii c'est trop bon dit-il en éjaculant. T'as tout pris dans la gueule. Le coup est partit tout seul. Dit-il en riant.
- Oui j'ai tout pris dis donc.
- Nettoie ma queue et vas te rafraîchir, je sers le champagne.

Mathilde fini de lécher la queue de Bernard puis sort de l'écran. Bernard s'approche et dit à voix basse en s'adressant à moi.

- Bon t'as vu elle suce pas mal hein ? Mais maintenant je vais lui casser le cul à ta femme. Tu vas pouvoir voir comment je vais lui exploser *** trou du cul. Il me montre sa grosse bite flasque, épaisse. Tu vas voir qu'avec ça je vais lui ramoner le conduit comme jamais tu lui as ramoné.

Mathilde reviens.

- Tu peux éteindre la télé s'il te plait ? Je n'ai pas envie que tu film la suite.
- Oui si tu veux dit-il en riant. Et coupe sans doute l'image.

Ahh ma femme et la technologie. Elle ne se doute même pas que ça continue de filmer. Excès de confiance sans doute. Ils trinquent et boivent une ou deux coupes de champagne. Ils s'observent, ils ne se parlent pas. Un silence inquiétant comme s'il allait se passer quelque chose de grave.

- Enlève ta robe ! Dit soudain Bernard. Mathilde s'exécute. T'es vraiment pas mal. Pour 50 piges.
- Merci. Elle tourne sur elle-même.
- Allez vient me sucer, fait moi bien bander.

Mathilde finit sa coupe puis se penche vers la queue et sans les mains, attrape le gland pour le prendre en bouche.

- Oui c'est bien tu apprends vite pour ton âge.

Elle le suce et sa grosse queue reprend vigueur. Il faut un peu de temps pour qu'il rebande bien.

Si je ne vous décris pas ce que je ressens à ce moment là, c'est sans doute parce que je ne sais pas encore vraiment ce que ça m'a fait. Mathilde prend visiblement un certain plaisir à être insultée et bousculée par cet homme qu'elle connaît peu finalement. Les images se bousculent dans ma tête. Pourquoi quand je la traite de salope ou de pute je me fais incendier, alors que lui a droit à ses faveurs ?

En vérité, j'ai coupé le DVD. Je me suis enfilé deux gros verres de whisky. Je suis resté là, planté comme un con pris à mon propre jeu dont il allait quand même falloir à un moment ou à un autre en assumer les conséquences et en payer le prix. Ce n'est que plus tard que j'ai décidé de continuer à regarder. Parce que malgré tout, je bandais.

Je me rassois dans le canapé bien décidé à voir la suite.

Mathilde a genoux entre les cuisses de Bernard, le suce. J'ai une vue sur *** cul et sa chatte qui est déjà luisante de mouille. Il lui caresse les cheveux tendrement tout en lui disant qu'elle est belle, quelle suce comme une reine, que ca bouche est accueillante, qu'elle le rend dingue. Tous ces compliments, bien sur, flatte l'égo de Mathilde qui pour ne pas être en reste s'applique de *** mieux à sucer cette grosse queue. Moi, bien sur, je suis fasciné par le spectacle.

Puis Bernard la queue bien raide se lève et fait mettre Mathilde à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier le cul vers la télé. Il lui demande de bien se cambrer. Il est debout à coté d'elle et commence à lui malaxer les fesses très fermement. Ouvrant et refermant les fesses laissant apparaître à la caméra *** petit trou fripé, s'ouvrant légèrement quand Bernard tire sur les fesses.

- Quel cul tu as ! Un bon gros cul ! Dit-il en claquant sèchement les fesses, laissant échapper un petit cri de surprise ainsi qu'une trace de main sur la fesse droite qui disparaît doucement.
- Ca donne qu'une envie. T'enculer. On a envie de l'enculer à longueur de journée. On a envie d'y enfoncer des tas de trucs de plus en plus gros pour voir comment il est capable de se dilater. C'est comme tes nibards, un vrai appel au viol. Tes grosses miches on a envie de les bouffer. Moi je te verrai bien dans un bar à putes. A prendre des kilomètres de bites. Je suis sur que tu adorerais ça.
- Non mais tu es fou, dit Mathilde en tournant la tête pour le voir. Je ne suis pas une pute.
- Non c'est vrai t'es pas une pute. La preuve t'es là à te faire tripoter le cul par un mec que tu connais à peine pendant que ton mari te crois je ne sais où et tout ça pour pas un rond. Alors effectivement, t'es pas une pute. T'es une vraie salope. Une bonne vieille salope.

- Oui, je suis une salope. Je suis ta salope.

Il lui fourre deux doigts dans la chatte, les ressortant luisant de mouille.

- Regarde dit-il en lui mettant ces doigts sous le nez de Mathilde, regarde comme tu mouilles déjà. Et bien moi je te le dit Mathilde, t'es pire que ça. Et je vais te le prouver. Dit-il en lui remettant les doigts dans la chatte et en faisant des va et viens, en les faisant tourner de plus en plus vite la faisant vraiment mouiller.

Mathilde ne mets pas longtemps à remuer du cul. Elle rentre dans sa phase marre des préliminaires. Je reconnais *** attitude. Dans moins de 5 minutes, elle le supplie de la baiser et sera prête à tout pour ça. Bernard la branle vraiment bien. Il se relève, se place derrière elle la queue à la main. Il bande comme un cerf le salaud. Il va la défoncer avec *** gros truc. Puis, il pose *** gland à l'entrée de la chatte de ma femme et d'une seule poussée s'enfonce en elle de toutes ses ******. J'entends les fesses de Mathilde claquer sous l'impact.

- AHHHHHHHHHHH !!!! OUIIIIIII !!!!! Crie Mathilde. D'une voix rauque d'une bête en chaleur.
- Tien prends ça. Dit Bernard moqueur et certain de *** effet.

Il ressort complètement et recommence de la même façon 3 ou 4 fois de suite et à chaque fois Mathilde pousse le même cri. La queue rentre de plus en plus facilement dans sa chatte.

- Ahhh Ahhh Ouiii Ouiii

Elle aime ça se faire défoncer par Bernard, elle est devenue dingue de sa grosse queue. Alors que moi je subis. J'ai sortit mon sexe et me masturbe doucement. Je matte ce film comme si c'était un bon porno. J'en oublierai presque que c'est Mathilde comme ça vu de dos.

Bernard se retire et maintenant, lui colle 3 doigts dans la chatte et la branle à nouveau. Il lèche *** anus et sort la mouille de sa chatte pour lubrifier *** cul tellement elle dégouline. J'ai souvent fais de la sorte pour la sodomiser. Je n'utilisais pas de gel mais uniquement la mouille de sa chatte. Il en profite pour glisser un doigt dans *** cul puis lui remet les trois doigts dans la chatte, jusqu'à se qu'il puisse en mettre un second dans le cul. Mathilde, elle continue à grimper aux rideaux, on peut la voir griffer le dossier, un doigt dans la bouche, les yeux fermés pour ne pas hurler. Bernard, lui, l'encourage.

- Allez Mathilde laisse toi aller. Prend ton pied, tu adores ça que je te branle la chatte. Dit-il en insinuant un quatrième doigt. Il pousse doucement et fini par y arriver. Il la Branle maintenant avec quatre doigts lui dilatant bien la chatte et deux doigts dans le cul.
- Ohh ouii vas y viens baise moi fort, je t'en pris
- Il se redresse puis lui fourre la queue dans la chatte. Doucement puis plus vite, plus fort. Il alterne. Mathilde prend *** pied. Elle va jouir.
- Ouiii baise moi fort. Plus vite, ouiii encore plus fort.

Il la pilonne maintenant comme un sauvage, accroché à ses hanches.

- Ohh oui je viens. Dit-elle. OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
- Jouies bien salope, parce que maintenant de vais t'enculer.

A peine a-t-elle récupéré, qu'il la tire à 4 pattes sur un coussin préalablement jeté par terre et lui fait bien cambrer le cul. La tête par terre, les seins pendant, lui remet ses doigts dans la chatte, crache dans *** anus lui plante un puis deux doigts qu'il tourne tout en les faisant entrer et sortir.

- Aie, doucement. Dit-elle.
- Ferme un peu ta gueule, tu vas me faire débander, di-il en accélérant les doigts dans *** cul.

Puis du tiroir de la table du salon il sort un petit gode qu'il fourre dans le cul de Mathilde et le met en route aussitôt on entend le gode vibrer et Mathilde pousse un râle de surprise et de plaisir. Puis il sort une espèce d'élastique et un petit sachet. Il passe l'élastique autour de sa queue le plaçant à la base de *** sexe derrière les couilles et le serre fermement on voit la queue se gorger de sang ce qui la rend encore plus impressionnante. Enfin du sachet il sort je ne sais quoi, et se l'enfile sur la bite. C'est une capote avec des picots en plastique apparemment. *** sexe ainsi harnaché est monstrueux. Puis, enjambant Mathilde qui a 4 pattes dos à la caméra. Il se place face à moi. Retire le gode du cul de Mathilde qui se plaint de ce vide soudain, laissant *** cul bien ouvert.

Me regardant d'un air vainqueur.

- Regarde bien maintenant. ..... Je vais lui casser le cul à ta connasse de femme.

Mathilde est trop dans les vaps pour comprendre ce qu'il fait et a qui il parle. L'action dure peu de temps.

- Après ça elle ne pourra plus se passer de ma grosse queue pour lui boucher *** trou du cul.

Puis d'une poussée, il descend et s'enfonce dans le gros cul de Mathilde. Lui fourrant le gode dans la chatte à la vitesse max. en même temps

- Ahhhhhhhhhhh,
- Oui vas y gueule salope. Je sais que tu aimes te faire déboîter le fion.
- Ouiiiii. Oh ouiiiii. Encore.....
- Tu vois c'est magique regarde ce trou du cul comme il est beau.

Effectivement l'anus de ma femme est là devant mes yeux béant. Et elle réclame de lui la remettre.

- Vas-y Bernard. Encore.

Bernard lui remet sa grosse queue et commence un va et vient frénétique lui défonçant le cul de tout *** poids. Mathilde gémie, crie, hurle sa jouissance. Il jouit, Mathilde l'accompagne et moi aussi.

Une nouvelle fois la question se pose de savoir comment je vais réagir. Que dire à Mathilde qui cette fois volontairement m'a trompé. Je vous avoue qu'à cet instant. Je n'en sais rien. Je suis encore sous le choc.

Je vous passe le récit du reste du DVD qui ne film plus que le salon de Bernard vide, mais où l'on entend clairement Mathilde prendre du plaisir. Je ne saurai vous dire combien de fois il l'a faite jouir cette nuit là, mais je comprends mieux pourquoi elle était si fatigué le dimanche en rentrant.

Comment ma femme a-t-elle pu se laisser traiter de la sorte. Elle qui ne supportait pas les mots crus. Jamais, je n'aurais imaginé ma femme dans une telle situation, humiliée et qu'elle y prenne autant de plaisir.

Au moment même où j'écris ces mots (5h30 du matin), je ne peux dormir. Je me passe et repasse ces images dans ma tête, en boucle. Je n'arrive plus à penser à autre chose. Ma femme, mon amour de ma vie, ma rai*** de vivre.......

Il reste un épisode à écrire. Je ne peux m'y résoudre mais il faut que je le fasse.

Pourquoi me demanderez-vous ?

Je n'en ai aucune idée. Peut-être que ça m'aidera à exorciser la détresse dans laquelle je suis plongé. Je dois avouer. Ecrire cette histoire m'excite autant qu'elle me fait souffrir.

Je dois être un grand malade......

chrislebo

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Nous y voilà. Deux mois ce ***t écoulés depuis le dernier épisode. Mathilde m'a quitté quinze jours plus tard n'y tenant plus. J'ai eu beau prendre soin d'elle, la chouchouter, la câliner, rien n'y a fait, J'avais l'impression d'être en face d'un bloc de granit. Elle ne m'aime plus, ça ne fait aucun doute.

Je sais maintenant que le jour où j'ai reçu le DVD, soit une quinzaine de jours après qu'elle soit allée chez Bernard, elle n'était pas en déplacement, mais avec Bernard les 2 jours.

Mathilde est quelqu'un d'entier. Elle a quitté *** premier mari de la même façon. Elle l'a trompé, puis elle est partie. A l'époque c'était avec un ancien militaire mythomane qui lui avait promis monts et merveilles. Elle l'a quitté avec prés de 45000,00 € de dettes que nous avons mis 20 ans à éponger. Et maintenant elle est amoureuse et elle est prête à tout et n'importe quoi pour vivre pleinement *** nouveau délire.

C'est en rentrant qu'elle m'annonce qu'elle me quitte. Quand je lui demande pourquoi.

- Ecoute chéri ! Je ne t'ai pas épousé pour que tu me traites de tous les noms. Alors tant qu'à être la pute, la trainée ou la chienne de quelqu'un, autant que je choisisse avec qui. Moi je voulais être ta femme pour que tu m'aimes en tant que telle. Maintenant, je pars avec Bernard parce que j'aime qu'il me traite comme il le fait. Tu n'as rien compris. Tant pis pour toi.

Elle boucle une petite valise prend quelques affaires per***nelles puis quitte la mai*** sans même que je puisse lui dire quelques choses. Aucun mot ne sort de ma bouche, je reste là, à la regarder passer. Je reste un long moment debout dans le salon à regarder la porte d'entrée close.

Puis je suis allez dans la chambre, la salle de bain, comme pour me réveiller de ce cauchemar et pour bien me rendre compte qu'elle est partie. Partie, sans rien ou presque, pas une photo, pas un souvenir, rien qui nous relie, rien de ce qu'on a en commun. Vingt ans de mariage biffés d'un claquement de porte. Elle m'a rayé de sa vie comme un tourne la dernière page d'un mauvais roman, roman que l'on sait que jamais on le relira et qu'on pose sur une étagère, dans un vieux tiroir ou jette négligemment dans la première poubelle venue.

Depuis, je suis en pleine dépression. J'ai été remercié à mon travail. Je suis au chômage, assez confortable pour que je puisse continuer à vivre, mais il va me falloir en retrouver, me reconstruire. Ce n'est pas en me bourrant la gueule comme je le fais tous les soirs que je vais y arriver.

Je profite de ces quelques moments de clartés pour finir d'écrire cet épisode qui me pèse car je ne sais par quel bout le prendre. Alors je vais vous le donner comme il vient. Vous me pardonnerez. J'espère.

Je suis donc au chômage depuis une semaine. Depuis presque deux mois, tous les soirs je me bourre la gueule. Mon patron en a eu marre, je lui ai raconté rapidement mon histoire, sans évoquer les détails auxquels vous avez eu droit, il m'a dit qu'il ne me pouvait pas me garder et qu'il me proposait de me licencier à l'amiable afin que je touche le chômage et en m'offrant une prime de départ intéressante. J'ai accepté !

Depuis j'ère dans mon appart crade, j'ai coupé mon téléphone, je ne sort quasiment pas, je me fais livrer des pizzas, je sors acheter deux trois trucs à grignoter à l'épicerie du coin, de l'alcool et des cigarettes, car je me suis remis à fumer.

Il y a trois jours j'ai reçu un recommandé de Bernard. Je suis resté un long moment dans le canapé à regarder cette enveloppe encore celée sur la table basse du salon

A l'intérieur, une lettre et trois DVD numéroté de un à trois comme il se doit.

La lettre manuscrite :

« Bonjour Laurent,

Je t'écris ce courrier alors que Mathilde t'a quitté. Je suis désolé pour toi. En fait non je n'ai aucun regret. Jamais je n'aurais pensé au début de notre aventure récupérer ta femme. Cela, dit je ne regrette pas car c'est vraiment un bon coup. Elle est insatiable. Pour preuve, je te fais parvenir les photos et vidéo de ses derniers exploits. Je sais que tu regarderas ceci avec attention et que sans doute tu y prendras du plaisir.

Elle est raide dingue de ma grosse queue et je peux te dire que j'en profite un max. Elle est prête à tout pour que je la baise, même à des choses que tu n'aurais sans doute jamais imaginées de sa part. Je n'hésite pas à la prêter aux copains, à la faire baiser par n'importe qui. Depuis quinze jours que nous sommes ensembles, elle est en vacances pour 4 semaines, nous bai***s tous les soirs et parfois même plusieurs fois par jour.

Je vais faire de ta femme un paillas***, une serpillère, tu m'entends ? Je vais la faire baiser jusqu'à l'os par la terre entière et te la rendrai quand elle ne serra plus que l'ombre d'elle-même. Mais avant je vais le faire tourner dans un ou deux bons pornos amateurs, histoire de me rembourser.

Allez, je te laisse profiter du spectacle.

Bonne branlette

Bernard »

Je tiens cette lettre dans mes mains, ne sachant qu'en faire. La détruire, les déchirer, la jeter. Je suis abasourdi et à la fois excité par ce que je viens de lire.

Je prends les DVD, les regardes et m'avance vers le lecteur. Introduit le n°1 et le met en route. Je reviens m'asseoir dans le canapé, j'allume une cigarette, me sers un verre de whisky et attends patiemment la première image.

C'est à nouveau Bernard qui apparaît décidemment, il me persécute, je m'en déferai jamais.

« Salut Laurent,

Je savais que tu ne résisterais pas à la tentation.

Nous sommes donc dans ma mai*** de campagne près d'Arcachon, il fait un temps magnifique et je te propose de profiter de quelques photos de ta femme faites par ci par là. Je les ai bien sélectionnées. Mais je te rassure que du soft.

Tu te souviens sans doute du jour au tu as reçu le premier DVD. Mathilde était sois disant en déplacement. Tu le sais depuis un certains temps elle était avec moi.

Profites »


L'image devient noire et laisse la place à un défilement de photos de Mathilde.

La première série, Mathilde est vêtue d'une longue robe noire fendue très haut au dessus des hanches maintenue par un lacet de chaque côté. On aperçoit d'ailleurs qu'elle ne porte pas de soutien gorge, sa lourde poitrine tombe légèrement. La robe s'arrête au milieu du dos et juste eu dessus de la poitrine. Elle porte de jolis escarpins noirs qui laissent apparaître de jolis pieds dont les ongles ***t joliment colorés de rouge. Mathilde sourie à *** photographe prenant des poses plus suggestives les unes que les autres puis rapidement baisse le haut de la robe dévoilant ses seins magnifiques puis relevant sa jupe pour nous laisser découvrir un string ficelle noir lui passant entre les fesses puis faisant entrer le string dans sa chatte en le tirant vers le haut.

Puis une seconde encore en robe de soirée noire sans bretelle, dos nu et s'arrêtant au dessus de la poitrine surmontée d'une jolie broche mais cette fois avec un rabat d'un pan sur l'autre. Encore une fois pas de soutien gorge et on découvrira par la suite qu'elle ne porte pas de culotte non plus.

Une troisième dans un salon sur un canapé en cuir avec une robe dont le haut est complètement transparent puisque l'on distingue les auréoles de ses seins, seule une partie opaque, démarre juste sous le galbe des seins et viens se finir juste sous les fesses.

Puis une série en extérieur ou je l'aperçois tour à tour dans un verger en robe orange à 4 pattes les seins pendant et le cul à l'air, puis dans une voiture en pleine ville avec un petit haut blanc qui laisse bien à l'air *** nombril et pendre ses seins sans soutien gorge dans une petite jupe fendue, déguisé en cowgirl, ou encore dans une robe blanche dans l'entrée d'un immeuble dévoilant ses charmes à je ne sais qui.

Et enfin une série en intérieur dans toutes les pièces dans la mai***, je suppose, des toilettes, à la salle de bain, en passant par la buanderie, le salon, la cuisine et le dressing. Toujours dans des positions de plus en plus osées. Une photo d'elle dans la bibliothèque avec un haut en filet de pêcheur blanc à grande maille nue dessous et un pantalon noir transparent. Sur une photo de cette série, elle pose les yeux fermée dos au photographe face à la bibliothèque juste vêtue de *** filet de pêche elle cambre les reins d'une façon obscène et s'écarte les fesses à pleines mains nous dévoilant ainsi *** anus et sa chatte. On constate d'ailleurs sur cette photo que *** anus et meurtrit et boursouflé.

Sur une autre vêtue d'une nuisette en satin, elle s'enfile une banane tout en discutant au téléphone.

Puis des gros plans de *** anus, de ses seins, de sa chatte, ainsi qu'avec un gros gode rose avec lequel elle se donne du plaisir.

Le premier DVD s'achève donc sur quelques vidéos de Mathilde entrain de se masturber dans la chambre, dans la baignoire et dans les toilettes.

Je bande comme un âne. Je me masturbe doucement prenant beaucoup de plaisir à regarder ce DVD. Je me demande ce qui va bien pouvoir suivre. La curiosité me gagne.

J'insère donc le second DVD dans le lecteur. A nouveau Bernard.

« Bonsoir Laurent,

Oui nous sommes le soir. Vois-tu ? Il est presque 20 heures et j'ai invité quelques vieux amis à dîner. Trois. Pour être exact. Je te rassure, ils ***t tous aussi vicieux les un que les autres, elle va se régaler. »

Comme tu peux le constater, nous sommes dans mon salon. Tu le connais déjà et je suis sur que l'avais reconnu. Mathilde est entrain de se préparer j'espère que la tenue te plaira. Tu sais mes amis ***t de vieux beaux, ils adorent les petites jeunes, mais ne crache pas de temps en temps sur une veille pute. Je l'ai donc habillée en conséquence. J'avoue avoir eu du mal à la décider à mettre ce que je lui ai acheté mais elle a fini par accepter. C'est assez étonnant d'ailleurs, comme elle mégote à mettre une tenue de pute alors qu'elle est prête à se faire tringler par tout le quartier.

Elle est bizarre ta femme non ? Ha ! Ha ! HA ! »

chrislebo

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Oui, je sais qu'elle est bizarre. C'est bien pour ça qu'elle est chez toi connard, criais-je à haute voix dans mon salon.

Je suis comme fou. Je n'imagine pas que je vais voir ma femme se faire baiser par plusieurs hommes en même temps comme ça. Alors qu'elle était réticente à le faire avec moi. Je suis aussi déboussolé qu'excité à l'idée de la voir se faire prendre par de vieux vicieux.

L'image se coupe un instant puis revoilà le salon, toujours cette fameuse caméra qui film. Quatre hommes dont Bernard ***t assis dans le salon et discute de choses et d'autres. Les hommes ***t habillés classique pantalon de ville et chemise. Tous ont, au moins, la soixantaine, plutôt pas mal, style cadres à la retraite légèrement ventripotents mais beaucoup de classes.

- Messieurs. Dit Bernard, il est temps que je vous présente notre perle de ce soir. Ces paroles ***t accueillies par un brouhaha collectif.
- Mathilde ? Viens, sert nous l'apéritif ! Tu veux bien ?

A cet instant tous les regards se tournent, je pense, vers l'entrée de la pièce. On voit dans les regards une curiosité malsaine. Puis soudain les visages s'éclairent et tous se mettent à siffler. Mathilde fait *** apparition.

- Ah oui !!! Dit l'un d'entres eux.
- Superbe !! s'exclame un autre.

L'autre reste bouche bé alors que Bernard, déjà, jubile. Il jette un œil à la caméra et me fait un clin d'œil. Mais que se passe-t-il ?

La première vision que j'ai de Mathilde est de dos. Je vois une robe ultra courte, une bande allant du galbe des fesses à la naissance du dos, juste au dessus des reins lui laissant le dos nus. Seules deux bandelettes nouées sur la nuque maintiennent apparemment le devant de la robe.
Les jambes nues et des chaussures à talons vertigineux l'obligeant à se cambrer. La hauteur des talons lui donne une cambrure de reins superbe et des mollets magnifiques. Elle pose le plateau sur la table du salon en se penchant en avant jambes tendues. Aussitôt la jupe remonte sur ses fesses laissant une vue imprenable sur *** gros cul et sa chatte toute lisse dont les grandes lèvres ressortent légèrement. On dirait qu'elle mouille déjà.

- Mathilde vient t'assoir avec nous !

Mathilde contourne la table puis se retourne avant de s'assoir en croisant les jambes au centre du canapé entre deux inconnus qui ***t en admiration. Effectivement, je comprends mieux pourquoi. Les deux bandelettes nouées sur la nuque descendent de chaque coté du ventre juste reliées par de fines bandes de tissus. On peut donc voir un bande de peau nue descendant sous le nombril presque jusqu'au pubis. Le spectacle est hallucinant. On voit *** ventre, *** nombril, ses gros seins dont seul la partie extérieure et les tétons, déjà dardés, ***t cachés par la robe. On peu profiter de ce magnifique entre deux seins profond et généreux pendant lourdement.

Tous s'exclament sur la beauté de Mathilde et sa tenue ultra sexy. Puis Bernard prend la parole.

- Cher amis je vous présente Mathilde ma nouvelle conquête.
- Mathilde, je te présente Serge, Henri et Marcel. Ils ***t venus faire ta connaissance.
- Enchantée. Dit Mathilde.
- De même. Répondent les trois autres à l'unis***

Sur le plateau un seau à champagne et 5 coupes. Bernard se lève et ouvre la bouteille puis commence le service. Je suis dans tous mes états. A la fois fasciné, intrigué, anxieux, excité, malheureux, tous ces sentiments se mêlent pour finalement me laisser complètement subjuguer par ce qui se passe à l'écran. Chacun y va de sa conversation avec Mathilde, il parlent de tout et de rien, puis trinque et vide leur coupe cul sec. Bernard ressert tout le monde. Mathilde a l'air si détendue, c'est hallucinant. Maintenant qu'ils dégustent la seconde coupe, déjà Serge glisse une main sur la cuisse de Mathilde. Délicatement il caresse sa peau nue. Henri, assis de l'autre côté passe une main entre deux bandelettes entre les seins et viens saisir à pleine main le sein qui lui est opposé. Il le masse langoureusement regardant la réaction de Mathilde qui continue à boire et à discuter avec Marcel et Bernard. Puis Henri, félicitant Mathilde quant à la douceur de sa poitrine, saisi le téton entre deux doigt et commence à le faire rouler et à tirer doucement dessus. Serge lui décroise les cuisses de Mathilde, laissant à la vue de tous et surtout à la mienne, qui suis bien placé, une vue imprenable sur sa chatte. Sa main est déjà entrain de fouiller sa chatte alors que sa bouche se saisie de celle de Mathilde qui a posé *** verre pour mieux pouvoir lui rendre *** baiser. Leurs langues se mélangent en dehors de leurs bouches pour se rapprocher. Mathilde prend la tête de Serge entre ses mains pour l'embrasser à pleine bouche pendant qu'Henri lui maltraite le sein droit.

Marcel : Regarde Bernard elle en veut la petite.
Bernard : Oui, elle adore ça.

Henri profite que Mathilde embrasse goulument Serge pour défaire le nœud qui maintient le haut de la robe, puis tire délicatement sur le devant pour libérer ses seins dont les tétons ***t magnifiquement érigés. Il passe une main de chaque côté pour pouvoir prendre un sein dans chaque main. Par derrière, il commence à les soupeser, les malaxer, les triturer sans vergogne embrassant Mathilde dans le coup. Mathilde fri***ne. Serge, lui, a pris de l'avance à fourrer sa grosse paluche entre les cuisses et s'affaire sur ou dans sa chatte. Marcel et Bernard se resservent copieusement attendant certainement leur tour.

Henri : Putain, cette paire de nibards qu'elle a, c'est un plaisir de les tripoter. Ils ***t doux à souhait et ses tétons réagissent au car de tour. Regardez les gars.

Henri tire sur Mathilde pour quelle relâche *** étreinte sur Serge afin que tout le monde puisse voir à quel point ses tétons *** gonflés et a quel point ils ***t sortit de sa poitrine. Henri, toujours les mains sous les seins de Mathilde les soupèses et fait rouler les tétons entres ses pouces et ses index afin d'accentuer la tension.

Serge profite de l'occasion pour lui écarter les cuisses en grand et lui mettre deux doigts dans la chatte. Mathilde grimace légèrement puis ferme les yeux pour savourer la caresse.

Serge : Elle est déjà trempée. Tu parles d'une salope.


Henri allonge Mathilde sur le canapé puis se met à genoux pour lui bouffer les seins et lui prendre la bouche fiévreusement. Serge lui ramone la chatte avec férocité et rapidement Mathilde se laisse aller. On l'entend maintenant respirer fortement gémir sous les baiser d'Henri et les caresses ********** de Serge. Bernard une caméra au point fait le tour de la scène. Nous voici sous un autre angle. Bernard film par-dessus le dossier du canapé. Mathilde, les yeux fermés se fait mordiller les tétons alors que Serge porte ses doigts pleins de mouille à la bouche de Mathilde qui les suce sans rechigner. Sa robe n'est plus qu'un petit bandeau de tissu autour de sa taille. En arrière plan dans un fauteuil Marcel se caresse doucement au travers de *** pantalon déjà déformé par une belle bosse qui laisse présager un beau morceau. Puis Henri se relève, et sort sa queue longue, fine et toute rasée déjà à demie bandée pour la présenté à la bouche de Mathilde qui n'hésite pas une seconde à la prendre, tout en prenant l'initiative d'extirper la grosse paires de couilles du pantalon.

Henri : Oh, ouiii ! Elle a une bouche, c'est un vrai fourneau. Hummm oui vas-y suce bien. Oui tiens prends la toute hummm.

Serge : Elle est trempée, elle me dégouline sur la main, je vais lui en mettre un troisième, je suis sûr qu'elle va apprécier. Elle est quand même serrée pour *** âge, *** mec était mal monté ou quoi ?

Je ne réagis même pas à ses paroles sur le coup tellement je suis excité. Je me caresse doucement la queue que j'ai sortie.

Bernard : Vas-y Mathilde pompe lui bien *** dard à notre ami Henri il va tout te mettre dans ta petite bouche.

Sur ces paroles Mathilde redouble d'effort pour sucer Henri qui commence à gémir. Il sent qu'à se train là il ne va pas résister longtemps. Serge de *** côté a réussi à lui foutre trois doigts dans la chatte et la ramone bien a fond, le pouce écrasant *** clitoris.

Serge : Elle a un clito minuscule. Mais alors regarde comme il marche bien.

A chaque fois que Serge appuie sur le clitoris Mathilde se cambre ou pousse un soupir d'enchantement. Puis utilisant l'abondante mouille de sa chatte, il lui enduit l'anus et commence à jouer avec en faisant de petit rond et en insinuant un doigt de temps à autre. Rapidement il pose sa bouche sur la chatte trempée et tout en lui dévorant le clito lui visse littéralement jusqu'à la garde *** majeur dans le cul en lui faisant faire de long va et vient et le tournant à l'intérieur. L'anus se déforme et on le voit nettement entrer et sortir au rythme des allez venue, preuve d'un manque de lubrification et pourtant Mathilde gémie de plus belle toujours la queue d'Henri dans la bouche qui maintenant lui a pris la tête et lui assène de grand coup de reins.

Henri : Ohhh oui tien bouffe, je vais tout te mettre dans la bouche. Ouiii !! Ohh putain je viens.

Henri lui enfonce la queue à fond dans la bouche et visiblement jouie. Mathilde déglutit tant bien que mal du foutre dégouline légèrement de ses lèvres, elle a les yeux qui pleurent. Il va l'étouffer. Puis doucement, il relâche la pression alors que Mathilde lui pompe le nœud comme une furie, il est obligé de la repousser tellement elle lui fait mal. Alors qu'Henri se recule et que Mathilde reprend *** souffle difficilement à cause du traitement de Serge, Marcel et déjà devant elle lui présentant sa queue épaisse et sombre. Elle ouvre la bouche et se laisse docilement investir.

Henri : La vache elle m'a vidé en rien de temps.

Et se ressert une coupe de champagne.

Serge : Attend Marcel tu vas t'asseoir elle va te sucer à genoux.

chrislebo

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#7,397
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Marcel relève Mathilde et viens s'asseoir sur le canapé pendant que Mathilde s'agenouille entre ses jambes pour reprendre sa fellation. J'ai une vue imprenable sur *** gros cul luisant et sa grosse chatte maintenant bien dilatée, trempée de mouille. Serge derrière pousse la table du salon sur le côté, se débarrasse de sa chemise et de *** pantalon et recommence à lui fourrer trois doigts dans la chatte tout en lui léchant l'anus. C'est lui finalement le moins bien monté de l'équipe une queue tout fait normale ni trop longue, ni trop grosse, mais il bande bien raide.

Marcel prends la tête de Mathilde à deux mains et lui imprime le rythme. On entend les bruits obscènes que fait sa bouche et les clapotis de sa chatte.

Serge tout en se redressant, prends les mains de Mathilde est les poses sur ses fesses.

Serge : Vas y salope ouvre moi bien ton cul, je vais te la mettre directe dans le fion.

Mathilde comme par réflexe et très fermement tire sur ses fesses pour bien ouvrir *** anus.

Serge : Voilà une fille bien obéissante. Tu vas voir je vais bien t'enculer maintenant.

Il crache sur l'anus, puis enfonçant comme de rien *** majeur dans le cul de Mathilde, il se positionne au dessus, la queue bien à la verticale et une fois *** doigt retiré pose le gland contre l'anus qui déjà palpite. Il s'enfonce doucement mais surement dans *** cul laissant Mathilde pousser un cri étouffé par la queue de Marcel. Une fois bien au fond, il attend un moment afin que le cul de Mathilde se dilate puis commence à limer lentement, puis plus vite écartant lui aussi les fesses charnues de ma femme. Puis lui imprime un rythme soutenu.

Serge : Ohhh putain comme elle est serrée. C'est trop bon. Elle va me faire gicler la salope. Hummm. Tien prends ça sale garce, je vais t'éclater le cul. Han han han.

Mathilde toujours la queue de Marcel dans la bouche étouffe des cris de plaisir, se faisant refaire le conduit par Serge à grand coup de reins. Il la défonce maintenant bien de tout *** poids, ressortant parfois complètement, admirant l'anus bien dilaté pour lui la remettre a fond. C'est au moment où Marcel se lâche dans la bouche de Mathilde que Serge explose dans *** cul. De long râle emplisse le salon. Mathilde déglutit tant bien que mal. Marcel reprend ses esprits.

Bernard et Henri se branle doucement en regardant la scène. J'ai éjaculé dans un papier absorbant. Je mets sur pause le temps de faire une toilette, me servir un coup et de fumer une clope.

Je reviens quelques minutes plus tard et relance la lecture.

Bernard : Bravo Mathilde tu as été superbe si tu allais te refaire une beauté.

Mathilde toute échevelée se relève souris à Bernard et disparaît du salon. Les trois hommes commentent allègrement les performances de Mathilde.

Bernard : Alors vous la trouvez comment ?

Serge : Oui, elle est vraiment bonne, je n'aurais pas cru qu'elle aurait un cul aussi serré.

Marcel : Elle suce vraiment pas mal, elle a vraiment du potentiel.

Henri : Dommage qu'elle ne soit pas plus jeune on aurait pu la présenter à Abdel.

Bernard : Oui je sais. Mais bon, j'aimerai bien lui trouver un plan bien salace tu vois ? Qu'elle en prenne plein le cul pour de bon. Je veux la rendre à *** connard de mari quand elle sera bien usée.

Marcel : Bonne idée.

Une autre bouteille de champagne a été ouverte, la discussion continue une dizaine de minutes avant que Mathilde ne refasse *** apparition. Vêtue cette fois d'une espèce de robe noire dans le même style que la précédente mais complètement transparente. On aperçoit un string ficelle qui lui rentre dans la raie du cul et ses grosses mamelles aux tétons érigés. Je ne lui connais pas ces tenues, Bernard a surement du lui prévoir toute une garde robe, ce n'est pas possible autrement. Je me souviens des photos que j'ai vues sur le premier DVD et je m'aperçoit que je ne connaissais aucune de ces tenues.

Une fois de plus, elle est accueillie sous les applaudissements. Elle adore ça apparemment et tourne sur elle-même pour bien leur en faire profiter, puis retourne s'asseoir cette fois entre Bernard et Henri qui après avoir trinqué et vidé leur verre commence à nouveau à tripoter Mathilde sous le regard de ses amants précédents. Bernard lui malaxe les seins fermement pendant qu'Henri lui tripote la chatte au travers du string, tirant parfois pour qu'il pénètre dans sa chatte écartant ses lèvres. Il tire plus fort pour exacerber *** clitoris déjà irrité par la séance précédente. Puis passe une main sous le string et lui fourre un doigt dans la chatte et rapidement un deuxième. Il lui bouffe un sein pendant que Bernard agace le second. Mathilde naturellement écarte les cuisses afin de faciliter le travail d'Henri. Je suis impressionné de voir comme elle est docile, je la reconnais à peine.
Henri s'assied dans le canapé et demande à Mathilde de venir sur lui, elle enlève *** string et le plus naturellement du monde, elle lui sourie et s'empale doucement sur sa queue. Bernard derrière lui prépare *** petit trou.

Bernard : On va te prendre en double ma belle, tu vas adorer. Une bite dans chaque trou tu vas voir c'est le paradis sur terre.

Mathilde : Ohh ! Oui venez, je veux tout essayer. J'ai tellement envie de baiser.

Il prend alors une coupe de champagne sur la table et pendant que Mathilde monte et descend sur la bite d'Henri il en verse une peu dans le sillon de *** cul puis y colle la langue. Enfonçant celle-ci dans *** petit trou. Mathilde pousse un petit cri de surprise entremêlé de gémissements, elle savoure déjà l'effet que lui fait la queue d'Henri. Puis Bernard se mets en position pour lui la mettre.

Bernard : Attend bouge pas. Voilà tiens hum regarde ca rentre tout seul maintenant. Tu vois qu'on te la bien élargis ton trou du cul. Serge a fait du bon boulot.

Mathilde : Oui. Vas-y mets la moi, bien à fond. Oui putain, oui que c'est bon. Soupire-t-elle.

Serge : La vache elle aime ça

Marcel : Oui ca se sent.

Bernard : Humm oui bien à fond, jusqu'aux couilles. Bien emmanchée.

Puis il commence un lent va et vient alors que Mathilde est toujours assise sur la queue d'Henri. Bernard lui taraude l'anus méthodique, un vrai métronome, puis accélère doucement accroché au hanche de Mathilde qui commence à partir sérieusement, on la sens prendre *** pied, elle a la tête dans le cou d'Henri l'ambrasse fougueusement étouffant ses cris dans *** épaule. Puis Henri commence à bouger doucement. Dans un rythme un peu désordonné ils prennent Mathilde, elle apprécie le traitement.
Bernard joui dans ces fesses et se retire laissant Mathilde empalé sur Henri qui fini de la baiser alors qu'elle est épuisée et éjacule dans *** con. Une fois épanchée il l'allonge sur le canapé ou elle s'endort quasi instantanément. Il prend une petite couverture et la recouvre.

Bernard s'approche de la caméra. J'espère que ça t'as plus ? A là prochaine et m'envoie un baiser.

Fin du DVD.

Je suis décomposé dans le canapé. J'aimerai la prendre dans mes bras la câliner ou la tuer, je ne sais pas vraiment. A ce moment les sensations se mélangent. Je suis là désolé, attristé, excité et désemparé.

Je me demande ce que peux bien contenir le dernier DVD. Mais je ne pense pas que je le regarderai. Maintenant il faut me reprendre et trouver du boulot. La vie doit continuer.

Fin Mais qui sait...
chrislebo

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Depuis le dernier Episode m'a vie a, en apparence, changé. J'ai retrouvé du travail. Je suis maintenant VRP, ce qui me laisse assez de souplesse quant à mon emploi du temps. Je ne suis pas très doué mais je m'en sors pas mal, juste assez pour gagner ma vie et surtout assez pour ne pas me faire virer. Dans ce milieu, rien ne fait foi, l'argent pour l'argent, rien n'est laisser au hasard. Technique de vente, méthode, psychologie, etc.

En quelques mots : Je déteste ce Job !!!

Bref, je vivote tant bien que mal. Mathilde et moi ne sommes toujours pas divorcés et je ne sais pas ce qu'elle devient. Plus de nouvelle depuis que j'ai reçu les DVD. J'avoue qu'elle m'était, par moment, presque sortie de la tête. Ce n'est que le soir quand je rentre, le plus tard possible de préférence et rarement à jeun, mais bien alcoolisé, que je mesure l'étendu des dégâts et la misère affective dans laquelle je me suis mis. Vous ne pouvez imaginer, pour certains d'entre vous, à quel point on peut faire le point sur un tas de choses qui nous semblaient complètement futiles, sans importance, anodines et qui une fois misent bout à bout, avec un peu de recul et beaucoup de souffrance vous apparaissent comme une évidence.

J'ai été nul !!! Point !!!

Ce constat ce fini toujours par un verre ou deux et quelques cigarettes.

J'ai depuis eu une aventure avec ma voisine que je n'avais même pas remarqué avant. Une famille qui habite au dessus, des « cas sos » comme on dit. Elle une grande brune, plutôt bien gaulée, et idiote à n'en plus pouvoir. Une gueule de marchand de chien et un tempérament de blonde. Toujours les cuisses ouvertes. Quand je pense que pendant toutes ces années je ne m'étais rendu compte de rien. Ou je n'avais pas voulu me rendre compte que j'avais la dernière de salope deux étages au dessus tellement j'étais bien avec Mathilde.

Bref tout cela fera sans doute l'objet d'un autre récit, parce que la aussi, y a matière à raconter.

Nous sommes Vendredi. Je hais le week-end parce que je n'ai rien à faire. J'adore le week-end parce que je ne suis pas obligé de faire ce boulot de merde. Je rentre du boulot vers 20h00 et prend le courrier. Pubs, pubs, pubs et re-pubs, factures, bien évidemment et une enveloppe kraft sans timbre, donc déposée sans nul doute directement dans ma boîte aux lettres. Dessus mon prénom au feutre indélébile noir.

Je monte les escaliers doucement en regardant cette lettre et mes pensées ce ***t tournées instantanément vers Mathilde, alors qu'à l'intérieur de l'enveloppe tout porte à croire, de part la forme que je devine, qu'elle contient un disque.

J'entre pose le courrier sur la table de salon, me sers un verre, allume une cigarette. Comment est-ce possible ? Pourquoi après tout ce temps ? J'aurai presque fini par l'oublier. J'hésite à ouvrir cette enveloppe. Je n'ai pas regardé le dernier DvD. Ca fait presque 6 mois maintenant. Quand je revois la chronologie des évènements. J'ai publié le premier texte alors que Mathilde m'a déjà quitté. Oui six mois ce ***t écoulés depuis qu'elle m'a quitté et quatre mois depuis la réception des 3 DVD.

Délicatement, je décolle le rabat de l'enveloppe, comme si j'avais l'intention de la refermer plus tard pour que per***ne ne sache que j'ai vu ce qui avait à l'intérieur. Comme pour me faire croire que ce que contient l'enveloppe ne m'intéresse pas et que je ne l'ai pas ouverte parce que je me fous de ce qu'elle devient. Reflexe idiot mais pourtant nécessaire.

A l'intérieur un DVD. Je fri***ne. Je le sort doucement de l'enveloppe, il est protégé par une petite pochette plastique que j'ouvre tout aussi méthodiquement que l'enveloppe. Puis le pose sur la table devant moi.

Que vais-je trouvé dans ce foutu Dvd ? Que vais-je encore apprendre sur les sordides activités de ma femme. Qu'a, encore, inventé Bernard pour m'humilier ?

Je continue de boire. Encore et encore et encore, jusqu'à être bourré à en vomir. C'est d'ailleurs ce qui arrive. J'ai vidé la bouteille de Jack Daniels et fini mon paquet de clopes. Je suis à 4 pattes la tête dans la cuvette des chiottes à vomir trippes et boyaux. Je suis mort. Comment puis-je être aussi sur que c'est elle ? C'est elle !!! J'en suis sur et c'est tout. Je me traine jusqu'à la paillasse qui me sert de lit.

Je me réveille en sursaut. J'ai la tête prête à exploser. Je jette un œil au réveil. Trois heures du matin. Un troupeau de bi***s repasse dans mon cerveau pendant un instant. J'ai la tête qui tourne, j'ai un haut le cœur mais ça passe. Je m'assois sur le bord du lit crasseux puis me dirige tant bien que mal vers le salon. J'aperçois le Dvd posé sur la table du salon. Je me décide. Allez courage.

J'insert le Dvd dans le lecteur. Je me sers un grand whisky et allume une cigarette. Le film n'a pas encore commencé que déjà je sens mon cœur accélérer et mon sexe palpiter dans mon pantalon. Décidément, je ne suis pas guéri.

L'image est noir, puis soudain un salon. On dirait un boudoir, décoré à l'ancienne par de vieux meuble qui doivent valoir une fortune et en face de la caméra un canapé deux places. Puis soudain une voix :

- Vas y Mathilde c'est à toi.

Soudain Mathilde apparait à l'écran, vêtue comme la dernière des putains. Je suis abasourdi de la voir dans cette tenue. Elle porte un mini robe rose hyper décolleté jusqu'au milieu du ventre dont les pans de tissus ***t attachés sur la nuque, essayant vainement de dissimuler ses gros seins. La robe s'arrête quelques centimètres sous les fesses et remonte dans le dos pour rejoindre l'attache sur la nuque par une espèce de petit bijou. Je constate mis à part ça que le dos est nu et que l'on aperçoit très facilement le galbe des seins par le côté, elle ne porte évidemment pas de soutien gorge. Outrageusement maquillée de rose surligné de noir sur les paupières de même que *** rouge à lèvre, elle porte de grandes boucles d'oreilles brillantes en forme de gros anneaux. Puis le tout assortit de chaussure à talon rose d'une hauteur incroyable qui fait qu'elle se déhanche d'une manière complètement obscène. Elle à tout le look d'une fille qui vas jouer dans un film de cul. A cinquante ans, je trouve ça pathétique et pourtant je bande déjà comme un âne. Elle arrive donc du fond de la salle. En fait le tour comme s'il était prévu que je puisse la détailler. Ses gros seins ballotent sous sa robe et on aperçoit parfois par l'échancrure, sous les bras, la totalité de *** sein. Ses jambes *** nues, et ses mollets tendues par la hauteur de ses talons. Elle a maigri. Elle a perdu au moins 15 kilos. Elle est belle fine, musclée, magnifique pour *** âge.

Puis elle s'assoie sur le canapé et croise les jambes. Repassant la scène au ralenti on peut très rapidement se rendre compte qu'elle ne porte rien sous sa robe. C'était prévisible. Je suis atterré, excité, affolé, décontenancé. Je ne sais plus quoi faire : arrêter, continuer, me masturber. J'avale mon whisky est m'en ressert un autre. Rallume une cigarette et tire nerveusement dessus.

Toujours cette voix que je ne reconnais pas :

- Tu peux y aller.

Elle regarde cette per***ne puis revient vers la caméra.

chrislebo

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#7,399
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- Bonjour Laurent.
- Bernard viens de me dire que tu avais reçu les Dvd de nos différentes rencontres. J'avoue avoir été fâchée sur le coup car je ne voulais pas que tu puisses avoir le plaisir de partager ces instants de pur bonheur avec moi, mais, après coup, je me suis dit que ça pourrait être une belle vengeance et que finalement tu ne méritais pas mieux.
- En effet, je suis finalement heureuse que tu ais pu voir comment, alors que nous étions encore ensemble, Bernard, que tu m'as fait rencontré, c'est si bien occupé de moi. Mais ce qui m'excite le plus c'est que tu ai aussi pu voir une de mes plus belles performances avant celle de ce soir. Car se soir je vais repousser les limites de se que je pensais pouvoir faire et accepter. Et tu vas en profiter. Je peux te dire que ce que tu as vu dans le 3ième Dvd que tu as reçu n'est rien à coté de ce soir.

Putain, mais qu'est-ce qu'il y a sur ce putain de Dvd que je n'ai pas voulu regarder ? Qu'est-ce que j'ai raté de si important ? Et d'abord, ou est ce Dvd. Je me lève et commence à fouiller dans le capharnaüm. Impossible de remettre la main dessus. Arrête !! Réfléchis !!! Essaye de te souvenir de ce que tu en as fait espèce de poivrot dégénéré.

Je m'assieds un moment fixant Mathilde souriante sur l'écran en pause de la télé. Puis soudain je me souviens. Il est dans le tiroir du bahut avec les factures. Je me lève, ouvre le tiroir, jettes les enveloppe sur la table de salle à manger, prends la pochette et revient m'assoir. Remet en mode lecture.

- Bien voilà, je pense t'avoir tout dit. Je te souhaite une bonne branlette, secoue bien ta petite bite et apprête toi à voir ta femme, puisque je le suis encore, te cocufier comme tu en rêve depuis longtemps. J'espère que tu vas bien en profiter.
- Encore une chose. Je vais demander le divorce et j'espère que tu crèveras seul la bite à la main comme un conard que tu es. Bye pauvre nase.

*** regard est dédaigneux, haineux, je sens de la colère et de la hargne. Elle me déteste. C'est sur. L'image se coupe et revient sur le boudoir et c'est Bernard qui est maintenant assis à la place de Mathilde.

- Mon pauvre Laurent. Qu'est-ce qu'elle t'a mis. Elle n'y est pas allez de main morte. Hein ? Mais que veux-tu c'est la vie.
- Au fait ! Petite bite et gros lâche comme tu es, je suis sur que tu n'as pas osé regarder le 3ième Dvd. Alors un conseil. Regarde-le avant celui là. Ca te donnera un avant goût et ça te permettra de te demander ce qu'elle peut bien être capable de faire après ça.
- Allez !!! Je te laisse c'est qu'on a du pain sur la planche. Mais avant regarde bien.
- Mathilde !!!
- Viens ma belle salope. Viens me sucer.

Mathilde reviens dans le chant de la camera et s'assied à coté de Bernard. Elle défait méthodiquement la braguette et sort le monstre demi bandé. J'avais oublié qu'elle était si grosse.

- Tu as vu mon chérie. Dit Mathilde en regardant la caméra. Tu as vu comme elle est grosse. Ca c'est de la bite. Une vraie bite d'homme. Si tu savais combien j'en ai sucé et prise dans tout les trous des comme ça. Tu serais impressionné.
- Si tu fermais un peu ta gueule. Je t'ai demandé de me sucer.

Aussitôt elle se jette sur la queue de Bernard qui déjà fourre la main dans ses cheveux pour lui imprimer le mouvement.

- Que c'est bon ça. De ne plus être obligé de filmer en douce. Regarde Laurent comme le plan et l'angle de vu est bien meilleur.

Mathilde suce la queue en fixant la caméra. Elle s'applique à bien le sucer tout en malaxant ses grosses couilles. Je bande. Je sors ma queue de mon boxer et commence à me masturber. Très rapidement Bernard bande à fond et commence à s'énerver. Il bourre la bouche de Mathilde comme un ********. Elle apprécie le traitement. Il l'étouffe à moitié en lui fourrant sa queue à fond dans la bouche, jusqu'au fond de sa gorge.

- Vas y prends la toute veille trainée. Régale-toi. Ohhh !! Putain oui je vais tout de foutre dans la gueule. Ouiiii !!!

Puis il se tend. Je vois Mathilde déglutir les yeux fermés. Elle avale tout jusqu'à la dernière goutte. Puis nettoie bien la queue de Bernard avant de la remettre dans le pantalon et de refermer la braguette. Puis elle se réajuste comme si de rien était et disparait du champ. Bernard me regarde, me fait un clin d'œil.

- Allez !!! Cette fois on y va. Profite bien.


L'image devient noire et je coupe avant que la prochaine scène apparaisse. Je ne sais plus quoi faire. Pourtant je suis dans tous mes états. Je bande comme un fou. Il faut que je sache cette fois. Je ne suis pas un lâche.

Je me lève est sort le Dvd en le remettant délicatement dans la pochette puis insert le 3ième Dvd de l'autre fois. Puis appuie sur Play.

Une petite musique débute. Puis un canapé. Une mise en scène bizarre. Le titre apparait : Le casting de Mathilde.

La voix off : Bonjour à tous. Aujourd'hui notre ami Bernard, que vous connaissez tous pour ses talents de rabatteur, nous amènes une quinquagénaire nommée Mathilde. Je sais que d'habitude nous ne recevons que des jeunettes, mais il a vraiment insisté pour que nous la recevions et on ne pouvait pas lui refusé ça. Il nous a dit que c'était sa nouvelle petite trouvaille, que nous n'allions pas être déçus, qu'elle avait un super potentiel et un tempérament de feu. Comme vous le savez, on aime les bonnes grosses salopes qui aiment la bite, alors espérons qu'elle soit à la hauteur. Si *** casting est convainquant on lui donnera peut-être un petit rôle.

Sa frappe. La caméra se dirige vers la porte et s'ouvre. Sur le pas de la porte, Bernard suivie de Mathilde. Bernard porte un pantalon de ville, une chemise largement ouverte sur ses poils avec une grosse chaine en or ainsi que des grosses bagouses et des lunettes noires. Il fait vraiment l'effet d'un mac. Mathilde, qui suit juste derrière, porte un grand manteau de fourrure. Elle est maquillée comme une pute : gros rouge à lèvre, mascaras, couleur sur les paupières, etc. Elle porte un petit bandeau noir autour du cou serti de petits brillants. Le plan s'élargit un peu et fait un plan sur ses pieds gainé de nylon dans des chaussures ouvertes aux talons vertigineux. J'ose à peine imaginer se qu'elle peut porte dessous.

La voix – Bonsoir Bernard, tu connais la mai*** accompagne Mathilde jusqu'au salon.

Bernard – Salut Abdel. Content de te revoir. Merci d'avoir accepter de nous recevoir.

La voix - C'est tout naturel. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.

La caméra film en suivant Mathilde qui du fait de ses hauts talons se déhanche diaboliquement, puis le couple s'assieds sur le canapé. Le dialogue s'installe entre la voix et Mathilde.

chrislebo

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- Bonjour Mathilde.
- Bonjour
- Alors Mathilde. Dis-nous ce qui t'amène ici ? Et raconte-nous un peu ton parcours.
- Eh bien. J'ai 50 ans. Je suis mariée, sans enfant. Et mon mari avait comme fantasme de me voir faire l'amour avec d'autres hommes. Alors un jour nous sommes allez dans une boite échangiste. Nous y sommes retournés deux ou trois fois et à chaque fois il me traitait comme une pute. Jusqu'au jour il m'a présenté Bernard avec qui j'ai fait l'amour le soir même pendant que mon mari dormait. J'ai tellement jouie que j'ai eu envie de le revoir et depuis nous vivons « ensemble » si l'on peut dire.
- Et ton mari ?
- Je l'ai quitté.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne suis pas sa pute mais sa femme. Alors tant qu'a être traite comme telle autant que ce soit avec quelqu'un qui me fasse vraiment jouir et qui sait de quoi il parle.
- Ok !!! Ca a le mérite d'être clair. Alors du coup. Maintenant tu fais les quatre cents coups avec notre ami Bernard et *** gros braquemard. Ha ha ha !!!

Mathilde baisse les yeux, honteuse.

- Mathilde si on parlait de tes pratiques. Tu aimes sucer ? Tu avales ?
- Oui j'aime bien sucer une grosse queue et j'avale parfois.
- Bien et la sodo ?
- Oui j'adore.
- Cool !!! Qu'elle est ta position préférée ?
- La levrette.
- Ah oui et pourquoi ?
- Parce que j'aime sentir mes seins pendre dans le vide. Ca m'excite tout particulièrement.

J'écoute très attentivement. Je ne veux pas en perdre une miette. Je me caresse doucement sur le canapé en sirotant des whiskys. Je suis fasciné par la décontraction avec laquelle elle répond aux questions sans aucune pudeur. Mathilde a bien changé. Elle avec qui on ne pouvait discuter de rien. Qui n'aimait pas ********* sucer, ni qu'on lui bouffe la chatte et encore moins qu'on la sodomise. Voilà qu'elle dit en redemander. J'hallucine. Elle était si prude, si réservé, que je voulais la décoincer un peu et j'en ai fait la dernière des putains.

- Excellent. J'adore les femmes comme toi. Je suis sur qu'on ne va pas regretter de t'avoir fait venir.

Bernard souris. Un sourire qui en dit long. Pervers, vicieux, malin, comme si il savait déjà ce qui allait se passer.

- Tu aimes le SM ?
- Non. Pas vraiment. Ce n'est pas mon truc d'avoir mal.
- Même si ça apporte le plaisir ?
- Je ne sais pas. Surement que ça doit dépendre des circonstances.
- Ok !! L'uro ? Le scato ?
- Je n'ai jamais pratiqué ce genre de chose. J'avoue que ça ne m'attire pas vraiment.
- Pas vraiment ?
- Non je ne vois pas quel plaisir on peut en retirer.
- Ok. Mais tu n'es pas fermée à l'idée.
- Ce n'est pas que je sois fermée. C'est juste que pour pratiquer certaines choses, il faut encore qu'elle soit pratiquée dans de bonnes conditions. Je ne dit pas que si je suis vraiment très excitée, que dans un moment de folie, de plaisir et de jouissance, je ne sois pas capable de faire des choses que je n'aurais pas forcément faite avant.
- T'es vraiment géniale.
- Merci, mais j'essaie d'être sincère comme me l'a demandé Bernard.
- Bien. Je vois que tu as un joli manteau de fourrure. Je suis certain, connaissant Bernard comme je le connais, qu'il y a une surprise la dessous. Je vois déjà que tu portes de très haut talon et apparemment des bas, mais si tu nous montrais ce que tu caches la dessous.

Mathilde regarde Bernard qui lui fait un signe d'approbation de la tête puis se lève. Fais glisser *** manteau et le jette sur le fauteuil. A ce moment là, la voix siffle et moi je reste bouche bé. Mon dieu qu'elle est belle. Quelle tenue magnifiquement portée. Je me mets à bander rien qu'en la voyant. Je vais tenter de vous la décrire. Déjà le premier truc qui m'a surpris, c'est le piercing au nombril. Un magnifique diamant, ou du moins ça y ressemble, sur un ventre plat musclé. Elle a du faire beaucoup de sport c'est dernier temps. Je regarde ma brioche mélancolique. Je n'ai vraiment plus rien à voir avec elle.

Elle est donc vêtue d'une guêpière seins nus noire en dentelles transparentes avec des jarretelles accrochées à de magnifiques bas résilles dont le haut est superbement brodé. Puis un string fendu assortit, fente au travers de laquelle on a volontairement fais sortir les grandes lèvres. Entre elles une ficelle.

- Mathilde, dis moi ? C'est quoi cette ficelle ?
- Des boules de Geisha. Bernard voulais que j'arrive déjà excitée. Pour me détendre plus facilement.
- Magnifique. Vraiment. Tu veux bien te retourner ?

Mathilde se retourne sans répondre.

- Penche-toi en avant.

Mathilde se penche et prend appuie sur l'assise du canapé offrant une magnifique vu sur *** postérieur fendu par la ficelle du string. Entre ses fesses on aperçoit quelque chose.

- Ecarte tes fesses.

Mathilde pose la tête contre le dossier du canapé puis pose ses deux mains sur ses grosses fesses et les écartes largement. On peut voir qu'elle a un bijou sur l'anus.

- Tu as un Plug dans le cul ?
- Oui
- Et bien ma salope, tu nous as fait la totale. Bernard tu es un génie. Bernard montre nous un peu ce Plug que tu lui as mis.

Bernard se lève et doucement enlève la ficelle du string d'entre les fesses de Mathilde et attrape le bout du Plug et tire doucement. On peut voir l'anus de Mathilde réagir et s'écarter pour laisser apparaitre la partie évasée du Plug de 4 ou 5 cm de diamètre. Il tire doucement et fini par le sortir complètement du fondement de Mathilde qui pousse un soupir de plaisir.

- Dis donc Bernard elle a l'air d'aimer ça. Remet lui pour voir ?

L'anus, qui était resté ouvert un court instant se détend sous la pression du Plug que Bernard lui remet dans le cul. Il entre facilement malgré la taille qui reste rai***nable. Doucement il commence un léger va et vient dans le cul de Mathilde sans le sortir complètement mais juste sur la partie la plus évasée puis le remet. Mathilde, dont les seins pendent de façon obscène sous elle commence à remuer du cul.

- C'est qu'elle aime ça cette trainée. Vas y ouvre lui bien l'anus parce qu'elle va en avoir besoin.

chrislebo

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Bernard retire le Plug et lui fourre direct deux doigts dans le cul. Il la lime copieusement et Mathilde commence vraiment à apprécier le traitement. Il lui laboure vraiment le cul. Je suis impressionné de voir comment elle prend les deux doigts. Il lui met le Plug dans la bouche pendant qu'il lui astique le fondement. Il enlève ses doigts pour montrer à la caméra qui fait un gros plan comme *** cul est dilaté. Puis il tire sur les boules de Geisha et les enlève de sa chatte. Elles ***t luisantes de mouille.

- Très bien les enfants. Mathilde tu sais pourquoi tu es là ce soir ?
- Pas tout à fait. Un casting ?
- Oui en quelque sorte, mais c'est plutôt un test de capacité.
- Ah ?
- Oui, On a invité quelques amis pour qu'il te test.
- Quelques ?
- Oui trois exactement.
- Ok
- Assois-toi et regarde ce qu'on t'a réservé.

Mathilde s'assied cul nu sur le canapé, les seins pendant. Arrive trois lascar déjà nu avec entre les jambes des braquemards comme Bernard. Mais en plus long. Ils ***t trop bien montés. Mathilde en reste la bouche ouverte de surprise et ses yeux se mettent à briller.

Aussitôt les mecs commencent à l'entreprendre en lui tripotant les seins, en faisant rouler les tétons entre leurs doigts. Ils l'insultent copieusement puis rapidement lui fourre une queue dans la bouche pendant qu'un autre lui bouffe la chatte, le dernier lui malaxe ses grosses mamelles. Le mec qui se fait sucer lui défonce la bouche.

- Vas y prends tout pétasse. Je vais te la mettre jusqu'aux amygdales.
- Argggghhh !!! fait Mathilde dont les yeux commencent à pleurer tellement il va profond

Je pourrais vous décrire l'ensemble du DvD mais ça serait trop long. Tout ce que je peux vous dire c'est que pendant près de deux heures elle s'est faite défoncée comme une chienne par tout les trous. Pipe, sodomie, double pénétration, double vaginale, fist de la chatte, gorge profonde. Ils l'ont giflée, fessée, insultée comme la dernière des dernières et pour finir lui ont tous giclés sur la figure, les seins et dans la bouche. Même Bernard a participé et à la grande surprise de tous c'est fait sucer direct en sortant de *** cul et il a tout fait avaler en lui éjaculant au plus profond de la gorge.

Moi j'ai fini par éjaculer sur la table du salon comme un porc, complètement exténué. Mathilde, elle de *** côté, recevait les félicitations du juris, en lui promettant qu'ils allaient très bientôt se revoir. Pour une scène encore plus chaude. Mathilde les remercie pour leur confiance et leur dit que ce sera avec plaisir.

L'image se coupe et gros plan sur Bernard.

- Salut Laurent. Voilà la fin de l'aventure de ta femme pour l'instant. A l' instant où je te parle elle dort. Je suppose que tu n'es pas surpris après ce qu'elle vient de prendre. Dis toi bien que ce que tu viens de voir n'est rien à côté de ce que je lui réserve. Je vais faire de ta femme un garage à bite, un sac à foutre. Je te promets qu'elle ne vivra plus qu'avec une seule idée en tête : Se faire baiser et cela n'importe où, n'importe quand et avec n'importe qui. Et quand j'en aurais fini avec elle. Elle aura pris 20 ans et sera juste bonne à faire la pute dans un rade à 10 sous.
- Tu n'es qu'un pauvre type. Mais je te promets de te redonner de nos nouvelles quand ça en vaudra la peine. Bye.

Puis le plan s'écarte. Mathilde est assise à côté de lui. Elle sait donc ce qu'il veut faire d'elle. J'en suis scotché, atterré et anéanti comme jamais je ne l'ai été. Détruit et excité à la fois.


chrislebo

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Mom Is Being Blackmailed



I thought I'd do something special for my mom on ******* Day, and surprise at her work with lunch from her favorite restaurant. She prefers to eat alone during that time so I knew she would enjoy the surprise from her ***.

But as I parked in the lot of her office, I coincidently saw my ****** as she was leaving the building with her boss. Seeing them walking together to his car was a sight which would capture anyone's attention; a petite, professionally dressed, middle aged white woman with a large black man as they headed off together. He must have been a foot taller than her and at least a hundred pounds heavier.

My ****** looked particularly good today. Her make up was done extra nicely and she wore a classier than usual outfit as if today was some sort of special occasion. Physically speaking, she has a fairly fit body for her small 5'3 frame. Her hair was done up nicely as well; she has long wavy brown hair which she parts down the middle. I've always thought of my mom was an attractive lady. At 47 years old, I've seen her turn as many heads as women half her age, even despite the slight wrinkles and signs of aging which were starting to show on her face.

Even though he was her boss, I couldn't figure out why they would be going out somewhere together. It just felt too strange. There was no way they were 'together' in that sense- could they be? There was only one way to be sure.

MOM IS BEING BLACKMAILED

I followed them as they got in his car and left. Horrible thoughts swirled through my mind as I drove. Were they just friends? If so, fine, whatever. But was she cheating on my dad with him? That I couldn't live with. The thought of my mom having an affair with him was turning my stomach into knots.

***THE MOTEL***

I had about a good 5 minutes to think about all of this before they pulled into the driveway of a nearby motel, and I immediately felt sick as I parked on the opposite side of the lot.

How could she do this to our family? How could she risk everything over sex with this guy who I'm sure doesn't give a **** about her. It was particularly surprising because I had always regarded my ****** as being a very conservative family oriented per***. She always kept her body covered, even on hot days. She always greeted people with a warm smile and always taught me to do the right thing. Now here she was at a motel...

They got out of his car and walked up the stairs to a room he rented as he took out the key from his pocket. It was an interesting sight regardless of how I felt about the situation; a soccer mom and a large black guy discreetly walking to a motel room in broad day light. My elegant and classy mom suddenly looked like a thousand dollar escort in my eyes. Yet, her face was still very serious while he appeared to be excited about the whole thing. It was almost as if she didn't want to do it, but had to. I had the urge to jump out and stop but the whole thing, but I couldn't bring myself to do so for whatever rea***. Instead of driving away, I decided to check it out. As they entered their room and closed the door, I got out of my car and approached their room. I didn't have a plan or anything, I just needed to get close, to at least hear something. I had to be sure she was cheating with him even though the proof was already there.

I walked quietly in front of their room and it looked like I was in luck; there was a small opening in the curtains where it looked like I might be able to catch a glimpse of whatever it was they were planning on doing. And since it was foggy outside, there wouldn't be a glare, and it would also be harder for them to see me from the inside.

I bent down and spied on them through the opening and I saw what was to be the beginning of my worst fear coming true- I saw him naked from behind. He was completely nude facing the mirror, and doing what appeared to be stroking his penis to get it hard. My mom wasn't in sight for a moment, that was, until she opened the bathroom door and came out. She was still fully dressed and it looked like she was in a pretty bad mood. A brief feeling of relief came over me as I thought she might have changed her mind about this whole thing. Maybe this was supposed to be their first time together and she was having second thoughts?

But that didn't seem to be the case as she walked over to the bed and started unbuckling her belt which caused my stomach to sink. If that wasn't enough, seeing her boss walk behind her and reveal his penis in my directing did. That thing was huge. It looked like he had been rubbing a lubricant on it which was why he was stroking it a moment ago. Easily that thing must have been around 9 inches, and it wasn't even fully erect yet. How the hell were they even going to have sex? My mom was only 5'3 and weighed around 110 pounds. But there was no point in wondering anymore, I was soon about to find out.

My ****** pulled her pants and panties down revealing her large dark bush, which marked the first time I had ever seen her private area. I've always been turned on by the sight of a woman's pubic hairs, and hers was no exception. The muscles on her thighs also got my attention as she kept herself in shape by doing long distance running and going to the gym. She then bent over the bed with a look on her face saying 'let's get this over with'.

It was clear at this point that they weren't going to be using a condom. He got behind and had to use both of his hands to spread her vagina open wide enough so that he could insert himself inside of her. He said something to her to which she reached back and spread herself open for him, and then he guided his cock towards her vagina. It took a few seconds for him to even get his head inside before he could begin to penetrate her. I could see her letting out a gasp each time he thrusted. He placed his hands around her waist and really started to push himself in. It was painfully obvious that this cock had no business being inside her.

The contrast that was as equally as obvious as their skin color, was the look on their faces. He was looking down at her like she was just a white piece of ass for him, enjoying the face that he was ruining her both sexually and emotionally. My ******, on the other hand, had a different look; she was in agony the entire time.

He started going faster and faster, but this time moving his cock out further and then pushing it all the way in. I was amazed by how far that giant cock of his could be rammed so far deep inside my ******* petite body. I could see her clinch her jaw from the pain and squeeze her eyes shut, causing all the lines on her face to show making her look older than she was. He started going harder to the point where she could no longer hold herself up and had to bury her face onto the bed in tears.

I could barely stand watching this happen to my ******. Yet at the same time, I found myself becoming incredibly aroused as well. The taboo was amazing; interracial sex was something I've always fantasized about, not to mention the fact that this was the first time I had ever seen my ****** in any sort of sexual setting. I debated whether or not to keep watching, but I didn't have to make that decision as someone was walking up the stair case so I had to leave. I walked as casually as I could back to my car. As casual as I could given that my penis was now semi-erect and that my stomach was in knots.

***

My mind was in an absolute frenzy as I waited in my car and tried to think of what to do next. But it didn't take long for me to make my decision. As awful as all of this was, I had an unnatural and overwhelming urge to continue watching my ****** get fucked by him for whatever rea***. So I got out of the car and walked back to their room as quietly as I could and looked through the window again.

They were done having sex. My ****** was still naked from the waist down, with her face on the bed, and her boss wasn't it sight. He then suddenly walked out of the bathroom while still in the nude. His penis was flaccid now, and it still looked huge as it hung straight down.

He walked over to my mom and tossed some tissue on the bed and got dressed. My ****** finally sat up facing away from me and used the tissue to wipe the cum off of her vagina. The tissue didn't seem to be enough for all the sperm leaking from inside her body, so she used her feet to push her pants off and walked bare bottom to the bathroom while using one hand to hold the tissue on her vagina. He smiled and slapped her ass and laughed for a moment as she walked to the bathroom. She didn't respond.

I walked back to my car and waited for them to come out. He came out of the room looking like a man who had just gotten laid with his head held high. My ******, on the other hand, had a defeated look on her face. And that was the end of it as they both headed back to work.

chrislebo

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***LATER AT HOME***

I was in a state of utter confusion. Why would she do this? What if dad found out? Should I try and talk to her? I loved my family too much for something like this to tear us apart. As I was sitting in my room trying to process this whole situation, I heard the garage door open. At this early in the afternoon, and given the days events, I figured it had to be my mom who came home early. Without thinking, I ran down the stairs to go see her.

"Hi mom," I said as casually as I could from the bottom of the staircase.

"Hey sweetie, I wasn't expecting to see you here at this time. Don't you have class at this hour?" she replied as she walked towards the kitchen. I noticed she was still walking as if she were in pain.

"I don't have afternoon class on Tuesdays and Thursdays in the afternoon. So why are you home so early? " I asked, already knowing the answer.

She looked stumped for a moment, "I've got a bad case of cramps, must have been something I ate. My boss noticed I wasn't looking so good and let me take the rest of the day off."

"Oh, well I hope you feel better. And I stopped by your work before lunch time to bring you something nice to eat, but you weren't there," I replied.

She then turned around and opened the refrigerator to pour herself a glass of juice, "Well thanks, and sorry I missed you. I went out to eat with a couple of friends from work. It was just us ladies, you know, for ******* Day. But I really do appreciate the gesture."

As far as I knew, this was the first time my ****** had ever lied to me about anything. She had always preached honesty and morality all her life, and here she was lying about an affair.

She quickly finished her ***** and headed towards the stairs where I was standing and playfully pinched me on the cheek, "It was awful nice of you to do that for me. It's always a good feeling to be appreciated around here. Anyways, I need a shower and a quick nap. I'll see you before dinner time," she said as she walked up the stairs to her room.

Seeing her up close like that got me worked up again. Her usually neat hair was messed up from laying face down on the bed and getting pounded so hard. Her eyes looked like she had done a bit of crying as her mascara was a little smeared. She looked like she had been sweating as if she had just come from the gym. But what I found most arousing was that she had a faint smell of cum on her body as she walked by me. Her new black lover must have really filled her up with his sperm for her to still have that odor. And judging by his size and how much tissue she needed to wipe herself with, I'm sure there's still plenty of cum inside her.

***GIVING IN TO MY NEW FEELINGS***

I went back to my room and closed the door. At this point, I was extremely aroused and was hard as a rock thinking about what had just happened and what I saw earlier today. Could I really do it? Could I really pleasure myself thinking about my own ******? A part of me wanted to just take a cold shower and pretend this whole thing never happened. The other part of me said 'to hell with taboo', and start taking care of my now urgent sexual needs.

That's when I did it; I laid on my bed and pulled my cock out and started masturbating thinking about my mom. I thought about what a cheating whore she was going to a motel and letting her black boss use her as his sex object. I thought about the size of that guys cock and how much it had to struggle to fit inside her tiny pussy and fuck her insides. I thought about how her face looked when he was screwing her. Two hours ago, the look of pain she had on her face as she clenched her teeth and squeezed her eyes shut from being fucked was something that was difficult for me to watch; now it was something that drove me wild.

I heard the shower start to run in her bathroom and I began to fantasize about her body for the first time in my entire life. The image of his cum running through her dark pubic hair and down her thick legs and into the drain also fueled my raging hard on. She must still be aching down there by the way she was still walking in pain after having been with him.

I was close to cumming. What sent me over the edge to a massive orgasm was thinking about her being bent over the bed while her boss impaled her with his giant black cock causing her to cry in pain.

***

I laid there in bed for a few minutes with cum all over my stomach thinking about what I had just done. For the first time in my life, I had fantasized thinking about my very own ******; the woman who raised me and gave birth to me, the woman who I loved more than any other woman in the world. A sense of shame came over me as I realized what I just thought about. But I knew this wouldn't be the end of it. What I saw today was just too erotic to stop fantasizing about.

But at the same time, for the sake of our family, I had to make sure that this affair ended. I decided to go see her boss as soon as I could and convince him to end it since I didn't have the heart to talk to my ****** about this. I knew where his office was since mom introduced me and dad to him during a tour she gave us of her work place. I spent the rest of that day figuring out how to approach him about the whole ordeal and how to tell him to strop screwing my mom. But in the mean time, before I went to bed that night, I couldn't resist jerking off thinking about her one more time.

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***THE NEXT MORNING***

I woke up the next morning to find that my mom was staying home for the day. She said she was still feeling a little sick from yesterday and needed the extra rest. I noticed as well that she still looked like she was hurting down there when she walked. 'Perfect,' I thought to myself. It was the perfect opportunity to go see her boss and find out what was behind this whole thing and end it. So instead of going to class, I headed straight to her work.

I wasn't hard to find his office once I got there. And the closer I got to his office, the more nervous I became. I had no idea how any of this was going to play out, and that was the scariest part. But I had to do it, for the sake of our family.

***HIS OFFICE***

He let me in as soon as I knocked on the door.

"Hey there, I remember you," he said in a friendly manner as he shook my hand. "So what brings you here today?"

"Thanks for your time. I'll get straight to the point, I'm here about my mom," I replied.

"Oh, that's right, she called in sick today. I hope she's doing okay".

I cleared my throat and took a deep breath before saying what I needed to say. "It's not that, well it sort of is. Look, what I mean to say is, I saw you and my mom at the motel yesterday, and I'm here to ask you to stop."

I at least expected him to look surprised, but he stood there with a straight face and stayed silent for a moment. "Why should I?" he asked.

His response and cold demeanor caught me off guard. "Because she's my ******, and she's married. If my ****** ever found out about this, our family would be over."

"Well he won't find out," he replied. "Trust me, we're both very careful. No one knows about this, well, except for you now."

"Fine, I'll go to your superiors and tell them. And judging by those family pictures over there, I'm sure your wife would love to hear about this as well."

"I highly doubt the people who run this company will believe you since your mom will just say whatever I want her to say. And she's really in no position to say otherwise to our private little meetings. She doesn't want to either. Let's just say we have an agreement about this. You'll just be embarrassing yourself and your ******."

The bastard was right, I had no real way of stopping him outside of telling my ******, and I didn't want to ruin our relationship by bringing that up. "What agreement are you talking about?" I asked him.

"You see, upper management has ordered lay offs. And since your ****** has been here for nearly 15 years, she gets paid a generous salary making her high on the list of people I need to get rid off since we can just get someone younger to do the same job...."

"So you're making her have sex with you in exchange for her job?" I asked, cutting him off.

"Call it what you want, but it's not that simple in my view," he relied. "She saw the writings on the wall and she knew what was coming. So she came to my office crying about how she really loves this job and is saving up for retirement and this and that. I mean she really started sobbing. She went on about how she wouldn't be able to find another job because of her age, and well; you get the idea of what happened next..."

At this point I found myself transfixed on his every word. I was no longer angry, but curious. It was obvious what he had implied happened, but I needed details for my own personal reasons.

"Tell me what happened," I asked him immediately.

"Well if you really want to know, I came over to console her, right where we're standing now, and she started kissing me and rubbing my pants. She asked me if this would help with her job, I told her it might, so she got on her knees, unzipped my pants and started sucking me off like the good little whore she is."

Hearing him describe that moment the way that he did sent a small shiver through my body. I suddenly felt the same rare emotion of utter disgust mixed with a strong sense of sexual arousal that I had experienced yesterday watching them at the motel.

"So why are you still seeing her?" I asked, continuing our conversation.

"Because we agreed that she would take care of me a while longer so that I wouldn't lay her off. Twenty more times is the number I gave her, and she thought it was fair. And if she didn't, and wanted to go crying to anyone about it to anyone, I'd make sure her husband finds out about that little blowjob she gave me. If not that and it goes to our superiors, then it's her word versus mine, and I'm a much better liar than she is- and she knows it."

A wave of emotions came over me hearing this. I just couldn't believe my mom would ever stoop this low. And even worse, I couldn't believe she was being blackmailed by this guy for sex. And it looked like they weren't about to end it anytime soon since her job was on the line.

I found myself still being curious about all of this and feeling the same intensely erotic feelings I had felt yesterday.

"So how many times...you know?" I asked

"That afternoon in the motel was the first time. So we'll definitely be seeing more of each other. But don't worry, she's in good hands," he said with a smirk at the end.

"And what about protection? I can't imagine someone like my ****** taking such risks."

"Well, well, well..." he said. "You peeped inside didn't you? You wouldn't have known that we didn't use a condom otherwise. And if you must know, her tubes are tied, have been for years, and she made sure we both got tested beforehand."

"I was just checking up on her, making sure you weren't hurting her..." he cut me off before I could finish that thought.

chrislebo

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I took my time heading home that afternoon as I was still trying to process everything; what I had just witnessed, what I had just taken part in, and the feeling of guilt. But no matter how guilty I felt for participating in the sexual blackmailing of my ******, I knew it wouldn't be the end of it for me. The feeling was almost unbearable. Watching their affair up close and seeing them having sex together gave me a thrill the likes of which I had never experienced before. It was a feeling of sexual excitement which I never knew existed.

Mom was home when I arrived. I didn't see her, but as I went upstairs, she yelled a quick hello from her bedroom as she was about to shower, just to let me know she was there.

I closed the door in my room and laid on my bed. I couldn't stop thinking about what I had just watched an hour ago. I thought of my sweet and caring ****** being sexually ravaged by her black boss. I took her panties out of my pocket and started examining them for the first time. I smelled them, taking in its musty odor. It was obvious that she was sexually aroused while heading over to the hotel.

That's when I felt my penis growing again, took it out, and starting masturbating for the second time that afternoon while holding her undergarment and thinking about her. For the next few minutes, I kept stroking myself remembering how she sucked that giant cock and got fucked by it. As I was still masturbating, I held her panties to my face where I continued smelling it and rubbing the insides against my face and lips. I then brought it down and began rubbing her soft panties against the head of my penis, imagining how her thick pubic hairs and labia were pressing against it for the entire morning. I finally came inside her panties thinking about my own mom, but for the first time, the guilt was no longer there.

***EVERYTHING IS REVEALED***

Suddenly, the door bell rang.

"Sweetie! Can you go get that for me! I'm expecting a package!" My mom yelled from her room, after having just gotten out of the shower.

I quickly shoved her now cum filled panties underneath my pillow before running to go get the door. Mom was right, it was her package.

"You're right, it was the clothes you ordered!" I said loudly so she could hear me.

I then headed back up the stares towards her room. Only she wasn't in her room, she was in my room, sitting on my bed. She was wearing nothing but a white bath robe and was holding the panties I had carelessly shoved under my pillow. She didn't look at me as I stood in there in horror, instead, she kept her eyes down at the panties in her hands with her lips quivering as if she were about to cry. It felt like an eternity before one of us finally spoke.

"You never were very good at hiding your things," she said with her voice trembling.

"Mom...I'm so sorry..."

"Where did you get this?...Where!?" she yelled after I didn't immediately respond.

"Okay...I'll start from the beginning," I said in a disarming tone, walking slowly towards her and sitting next to her on my bed. "It was when I went to go bring you lunch the other day, I saw you leaving the office with him. It just didn't feel right, so I followed both of you and saw that you went to a motel and saw what you did inside. Deep down, I couldn't allow it to continue for the sake of our family, and I couldn't speak to you about it either. So I went to go talk to him in his office when you stayed home the next day. He told me about your job, and what you did for him so he wouldn't lay you off, and what you had to keep doing for him. We talked for a while and made an arrangement where I had to hide in the closet earlier today at the hotel and watch the whole thing so he would agree to see you fewer times. I'm sorry for doing this."

"What...How?...You watched us!?!" she yelled, doing her best to fight back her tears. "Why the hell would watch us!?! I'm your ******! Oh god, I feel like I want to throw up right now. And this doesn't explain why there's sperm in my panties?"

She had me stumped, and she knew it looking right in my eyes.

All I could muster was a simple, "I'm sorry."

"You're sorry? That's it?! I know you well enough to know when you aren't giving me the whole story mister. So you're telling me that he just invited you there, and now there's cum on my panties laying underneath your pillow? There has to be more to this."

"I...I was aroused by what I saw the first time. I couldn't stop thinking about it. There, I said it."

A sudden look of guilt came over her, and she no longer looked mad, "Aroused by what you saw? Now there's a phrase I never thought I'd hear my own *** say about me. How could this have happened?"

"I don't know, it just did. I've always had a thing for older women...and, well...interracial sex has always made me curious. So...it just happened."

"You really enjoyed watching this whole thing didn't you? Much more than you're willing to admit. That's probably why he invited you in the first place. And by the looks of my panties, you've pleasured yourself in them not too long ago," she said, figuring everything out.

I didn't reply and all I could do was to hold my head down in shame.

She reached over and held my hand and said, "I'm sorry about all of this. I really am. I never should have cheated on your ****** to try and save my job. You know I would NEVER want to hurt you guys and that I love you and your ****** more than anything else in this world. But at the time, I thought I did what I had to do; what was best for our family with this economy and all. But you should have come to me first rather than to him. Now I want you to swear to me that you'll no longer stay in contact with him, and that you will never spy on us in any way."

"I swear mom, I won't do it again," I assured her. "But I take it this means you'll still be seeing him after the way he treated you today..."

"Honey, I have to. I know it's a horrible situation for me and our family, but my career is at stake here. And he's already told me what he would do if I tried to back out or tell anyone. Neither of those options are risks I'm willing to take."

"I understand," I told her. "And...I don't know any other way to say this...but do you really think you'll be able to stop seeing him once this is over if you keep this up? I know it's a terrible thing to ask, but seeing the way you two kissed and talked to each other really got me wondering if you have feelings for him or not."

"Fair enough, since we're being completely honest with each other and it's regarding our family," she said, looking completely caught off guard from my question. "Truthfully, I had always considered him a good friend after all these years, before this happened. But now it seems like he's a completely different per*** with sex involved. He really has turned out to be a complete asshole. I really had no intention of this going any further than...you know...that time in his office which I'd rather not repeat. So no, I don't have any feelings for him and want nothing to do with him after this is over."

"And I'm sure his size has a lot to do with you not wanting to see him anymore right? Or was that the most enjoyable part for you?" I blurted out, before realizing how tasteless what I had just said to her was.

She raised her eyebrow and had half a smile on her face like she couldn't believe what I had just said, "Don't get cute with me young man. Just promise me again you won't tell a soul about any of this. You know our family would be ruined if word got out."

"I promise... but only if you tell me what it was like taking those 10 inches inside of you," I said with a playful smile as the mood of our conversation started to change.

"HA!" she laughed. "10 inches? Oh gosh, is that how big he is down there? I never bothered to ask. I just figured hearing its exact size would make me even more scared of it. But if you really want to know, every second he was in me hurt like hell."

chrislebo

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"Is that all you're going to say about it? After all I've seen and this big secret I'm keeping for you? Come on mom, you can do better than that," I teased in a suggestive tone.

She let out a sigh and rolled her eyes at me, "Well, if you must know, it was excruciating-every second of it. I even felt him inside my stomach. And it doesn't exactly help that the guy who's using it on you only care's about his pleasure and not whether he's hurting you or not. But at the same time, I'll admit that it's also the rea*** I came so hard. I've never experienced anything close to that in my life...not that it's any of your business."

I took a deep breath after what I heard my own ****** just say, and was suddenly becoming aroused again, "You felt that thing in your stomach? Jeez... I didn't even realize that was possible."

She then opened the lower part of her both robe and spread her legs open in my direction, revealing her hairy vagina with its gaping hole to me. Her vaginal opening was still clearly recovering from the hard fucking it had received earlier. Her dark labia was long and looked like it was hanging down around a hole which normally should have been closed.

"Do you believe me now?" she asked, as I was at a complete loss for words. "You know, normally you shouldn't be able to see an opening this big from a woman's vagina- not even close. He really did a number on me. I cried a lot after the first time we had sex thinking it would never go back to its regular size, and that your ****** would find out because of it. But it will, in another day it will go back to it's normal size. But it's still pretty sore as we speak."

Without thinking, I reached over and put my hand on top of her vagina, feeling her pubic hairs across my hand- to which she abruptly slapped my hand and closed her robe.

"No touching," she said. "You've already seen more than any *** ever should of his own ******."

I then got on my knees right between her legs and started rubbing her bare thighs with my hands, opening her bath robe again in the process.

"What do you think you're doing?" she asked in a concerned tone.

"Remember when I was young; whenever I would get a bruise you would always kiss it for me to make it feel better? Well now I want to return the favor."

With that, I used my hands to part her legs further, revealing her vagina directly in front of my face. I started planting kisses around her crotch and then on her large clitoris, feeling her thick pubic hair on my lips. I took a good look at it for a moment- her vagina was beautiful. It had long brown lips but was bright pink on the inside and it was still very wet. I was even able to see deep inside of her body courtesy of her boss.

That's when I did it; I stuck my tongue inside of her. I felt the wetness and soft flesh of her vagina all across my tongue. Her wetness was seeping inside of my mouth as I began to suck on her vagina, feeling the thick size of her labia and clitoris across my lips. I heard her beginning to moan, and the harder she moaned, the harder I sucked and swirled my tongue around inside of her.

This must have gone on for a good 10 minutes as I became fully erect again. Feeling her hands rub across my hair and feeling her body squirm only added to my wanting to please her. Never in my life would I have imagined that most aroused I would ever become while performing oral sex on a woman would be with my own ****** of all people. I loved it. And I loved that she loved it. I felt her legs begin to tense up as she threw her back onto my bed and squeezed my blanket tightly- she was cumming.

A sudden rush of liquid from her vagina flowed into my mouth as she began to scream loudly. It was the same scream she wanted to let out at the hotel not long ago, but couldn't out of fear of others hearing. But in this house, it was just the two of us. I looked up at her to see her laying there in bliss. Her robe was almost completely open and I had a clear view of her right breast with its large brown nipple pointing up in the air. She suddenly sat up and closed the top of her robe. She looked confused as she sat there quietly, while I waited for her to say something.

"I need to go now," she said with a bewildered look on her face as she couldn't believe what had just happened between her and her ***.

I took my hands off her legs as she stood up and closed her robe completely before leaving my room and heading back to hers. I then did the only thing I could do at this point- masturbate.

***THAT NIGHT IN MY ROOM***

Our family had dinner that night as if nothing had ever happened between us. I had assumed there would be a lot of tension or awkwardness between me and my mom, but there wasn't. We both avoided eye contact for a while, but beyond that, there was nothing out of the ordinary.

I cleaned the dishes afterwards before heading back to my room to use the internet, while my parents watched tv in the living room as usual.

Suddenly, I heard a knock on my door. It was my ****** asking if she could come in.

"Hi," she said, sitting on my bed in the same spot as this afternoon. "I wanted to talk about what happened earlier. Look, I know we both enjoyed it, but it doesn't change the fact that it was wrong and that we should never do anything like that again. I know it's been an...interesting...day for the both of us, but on top of everything we've already talked about, I want you to make another promise to me- promise me that something like that would ever happen again between us. I need to hear you say it."

"Mom, I...I can't. I can't stop thinking about you since I saw you with him at the motel. And what we shared earlier today was something special. I've already kept my promise and emailed your boss telling him that I won't be watching anymore. So please, at least let us keep what we had earlier, just until you're done seeing him."

I reached out and held her hand.

"I can't believe I'm hearing this. My own ***," she said, holding my hand in return.

"You've already said you enjoyed it. Please mom, I won't tell anyone. Just until you're done seeing him, I'm already doing you a big favor by keeping this from dad."

She stood up with a hurt look on her face and prepared to walk out of the door. Without thinking, I got up wrapped my arms around her to stop her from leaving. I planted kisses all over face as she tried as hard as she could to push me off.

"What are you doing? Let go," she said, wanting to yell, but couldn't knowing that her husband would hear if she did.

I moved my kisses towards her lips. I felt her mouth open and that's when I immediately slipped my tongue inside her mouth the exact same way I stuck it in her vagina earlier. Her mouth felt as soft and as warm as her vagina did, but what made this so different was feeling her hard tongue flicker across mine for a brief moment.

She suddenly broke off the kiss and looked at me with her eyes filled with shock and disbelief.

"We'll continue this talk another time..." she said in a serious tone as she walked out of my room.

chrislebo

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***A WEEK LATER***

A week had past before anything new had happened. It seemed like we were both too afraid of bringing any of this up. She was afraid I might make another move, and I was afraid of ruining our relationship despite everything we had already done and told each other. I kept my promise of not contacting her boss again, though he emailed me twice asking if I was still interested.

The garage door suddenly opened at around 2pm. At this hour, it could only be one person...

"So, what brings you home this early? You're never this early?" I asked with sarcasm.

"Oh cut it out you. And stop giving me that look," she replied with her face almost turning red.

She clearly had sex with him again. Her hair was a complete mess as was before. She was dressed in a nice outfit and her make up looked like it was partially washed off recently. She also had a smirk on her blushing face when I asked.

"So I see you were with him again. Mind if I have another look?"

"Shame on you. I thought we went over this already. I'm your ****** and this is really nothing you should be involved in. It's really none of your business. And I've already told you that we did together was wrong and to never mention it again. Now I'm going to my room, I need a shower."

I walked up to her and wrapped my arms around her like before, "None of my business huh? So it's none of my business that my mom is sucking some giant black cock behind my dad's back? Or taking those 10 inches inside her stomach as you so eloquently put it?"

I leaned forward and started licking her lips. I used my tongue to taste one end of her mouth to the other, just before sticking it inside her mouth. I felt her tongue in her mouth as she was trying her best to hold it back. But this time, I was the one who broke off the kiss.

"You cleaned him up again, didn't you?" I asked, commenting on the odd taste.

A big smile suddenly appeared on her face as if she wanted to laugh, "Oh wow, I can't believe you just did that. You do realize that you just tasted his cum right?"

She broke out into full blown laughter after she said it.

I did my best to hide my embarrassment and put a positive spin on it telling her, "Whatever it takes to put my mouth in you again. Well...what about the rest of you?"

"I suppose it would be nice having someone clean up after me for a change. But I have to warn you, it's a little messy down there," she said as she started unbuckling her pants.

She took off her pants and panties and uncharacteristically threw them on the floor. She then walked over to the living room couch and sat down and immediately spread her legs wide open for me.

I followed her to the couch and knelt down right in front of her. The pubic hairs surrounding her vagina were covered in sperm. His cum was also leaking from deep inside of her.

"You weren't kidding when you said it was messy," I told her, using my fingers to part her labia.

"I just figured it would be a good deterrent in case you had any funny ideas. But I guess a little cum isn't enough to stop you, now is it?" She said as she started waving her crotch around in my face. "I'm waiting..."

I stuck my tongue out and began licking the cum off of her pubic hair. I first started licking the outer layer of her vagina, before sticking my tongue inside once again, and starting to suck the cum and other fluids from inside her body. There was no doubt about it, it tasted disgusting. I couldn't stop thinking about what I was ingesting; how I was eating a massive load of her bosses cum, and how I was eating mom's orgasm as well, along with the sweat from them fucking for whoever long they fucked.

I continued probing her vagina with my tongue regardless of what I was eating. And just as she started to tense up, that's when she stopped me by gently pushing my head back.

"I'm flattered by what you're doing for me. But I swore to myself I wouldn't let this happen again. And I can't let you keep doing what you just did, cleaning up after me like this. I know how horrible it must be for you, and well, anyone really. I'm sorry..."

She then got up and walked over to grab her clothes, and then walked back to her room naked from the waste down. Seeing her half dressed like that with her large bare bottom jiggling and she walked up the stares only added to my sexual frustrations. I couldn't just stop at this point. I wanted more. I needed more.

chrislebo

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***Three Months Later***

"Is next week really the last time you'll have to screw him?" I asked my mom as she was giving me a hand job on her bed.

"That's what we agreed, 20 times. And believe me, I've constantly reminded him about that and made sure he kept his word."

My mom replied casually as if nothing was out of the ordinary, and we were just a normal ****** and *** having a friendly conversation; but of course that isn't the case here. She was still in her professional attire from the waist up, but naked from the waist down as she continued pleasuring me with her hand. Her vagina was still soaking with my saliva from me having just performed oral sex on her.

This was our little ritual for the past three months after I had first discovered that my ****** was having an affair with her boss in order to save her job. She never told me when she was going to see him next, but it was obvious whenever she did. She would come home from work early wearing one of her more expensive outfits, her hair and make up would be a mess, and she would always blush whenever I tried talking to her.

There was one area we never explored though- sex. Soon after we started this, she made it clear that sex between us was something that would never be considered. And by the look in her eyes, I knew how serious she was about that. She was already doing me a huge service by gratifying my sexual needs and letting me gratify hers. And I didn't want to mess that up by trying to push things further than my mom was willing to go. So we stayed content with what we had with each other and made the best of a bad situation.

***HER LAST DAY***

Monday morning- it was the last day she would ever have to have sex with her boss again. It was a huge relief for both of us because we no longer had to worry about him putting our family in jeopardy. But at the same time, a part of me didn't want it to be over. Because if it was over between them, it would mean it would be over with me and my mom as well.

***

The garage door opened at around 2 pm that afternoon. It was around an hour later than when she normally came home after seeing him, but I didn't think much of it as it was their last time together.

"So how was it?" I said in a teasing manner as soon as she walked through the door. I expected her to be excited today, but the opposite was true. She looked like an emotional wreck and was in a horrible mood.

She tried brushing me off and said, "I'm sorry, I can't right now. Not today."

"What's wrong?" I asked her, feeling confused over how she was acting.

"I know I owe you an explanation but I don't want to talk about it right now..."

"Don't want to talk about it? Out of everything that's happened these past few months and all that we've done with each other?"

She had a look on her face as if she knew that arguing about this was pointless, and she replied, "Fine...he...he sodomized me. We were having sex, he turned me over and pressed himself against me there, I told him to stop and he didn't listen. He pushed himself inside me and covered my mouth when I started to scream...I was so stupid to ever get started with him in the first place..."

She nearly burst into tears when she said that.

I was completely shocked by what she had just said. Sodomized her? I could only imagine how much pain she must have been in considering how big he is and how much she already has to deal with just having vaginal sex.

"Oh god...I don't know what to say right now..." I told her. "What do you want to do? Do you want to report him to the police?"

"No. I'll be fine. Really...I've gone through too much just to let everything get out in the open at the last moment."

I placed my hand on my ******'s shoulder in a small attempt to comfort her. Then almost without thinking, I began undoing her pants.

"What are you doing?" she asked. "I told you I'm not in the mood for this right now."

"I need to see it."

She made no effort to resist as I pulled her pants down and turned her around. She bent over and held onto a nearby table and I was able to get a good look at her by spreading her cheeks. I was amazed by what I saw: her once tight anus was now stretched open and was seeping with his cum. The insides of her most private area were now ravished to fulfill her bosses own sexual needs.

I pulled her pants back up and wrapped my arm around her and said, "Let's go upstairs, I'll help you get cleaned up."
chrislebo

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***LATER THAT NIGHT***

Mom was back to her normal self that night during dinner, or at least she tried her best to put a smile on her face so dad obviously wouldn't suspect anything. I never would have thought that she had just received a traumatic experience earlier on in the day if I hadn't been home earlier to find out Well, aside from the fact that she walked like she was in little bit of pain.

***

I opened my bedroom door after I heard a soft knock late that night after my parents had gone to bed. It was my ******. She wore her ivory colored silk pajamas, and by the serious look on her face, I couldn't tell what she wanted.

"May I come in?" she asked quietly.

"Of course you can. What is it?" I replied, wondering why she came here so late.

She closed the door as she entered and said, "Your ****** is asleep. I just wanted to thank you for how you handled the whole thing earlier. You were a real gentleman about it and really helped me get it together. And I'm glad you didn't use that opportunity to take advantage of me while I was so vulnerable. So...thank you."

She leaned forward and gave me a soft kiss on my check. Then she wrapped her arms behind my neck and started kissing me full on the mouth. It was the first time since we started doing this together that she was the one who initiated such a deep kiss. It was also the most effort she ever put in kissing me as she pressed her mouth and tongue hard against mine.

She stopped and we looked each other in the eyes for a moment.

"That was wonderful mom, I really enjoyed that."

"Good, I'm glad you did. I have something else you might like."

My eyes turned towards her chest as she started unbuttoning her top. And it wasn't long before it was undone revealing the middle part of her braless chest. She used both of her hands to open her top to reveal her bare breasts to me.

"These are yours tonight, you've earned them," she said with a warm smile.

I didn't reply, I didn't need to. It was the first time as well that she offered herself to me outside of our afternoon meetings when she comes home from being with her boss. And it certainly was an opportunity I didn't let go to waste as I bent down and began sucking on her large brown nipples. I used my hands to massage both of her breasts as I continued to suck, rolling each nipple around in my mouth, for both her pleasure and mine.

She briefly ran her hands across my hair and moaned before giving me a few pats on the back, signaling it was time for me to stop.

"I still owe you for this afternoon. Now lay down on the bed and take your bottom off," she commanded in a low voice.

I did as she told, pulling off my shorts and underwear in one brief motion. I laid on my bed as she ordered me to, not knowing what to expect, but exited at what she had in store for me. She clearly wanted to take things further than we've ever gone before at this point. Maybe she was just that appreciative for what I did for her today and all the support I've shown her? Maybe a part of her actually enjoyed what her boss did to her today and was still aroused by it? Frankly, I didn't care. This was the most sexually willing and open she's ever been with me, and I wasn't going to second guess any of it.

She got on all fours on my bed and positioned herself right between my legs. I immediately noticed her soft breasts hang straight down from her chest. Her sagging breasts and big nipples were my favorite parts of her body. And I especially enjoyed any sight of her bending down to see them hang forward. But the sight of them hanging straight down only added to how special this moment was for me.

Then she did it; she stuck her tongue out and gave my penis a nice lick. She started off giving me small licks. Then she gradually increased the strokes of her tongue from the base of my cock to the tip of my head.

She opened her mouth and took my hard cock inside her and started sucking. What made the whole thing even more surreal is how we looked each other in the eyes while she increased her tight suction which made her face look gaunt. She then started to bob her head up and down. It was slow at first, but she began picking up speed as she got more comfortable.

After a few minutes of her sucking me off, she spit my cock out of her mouth and gave me one her familiar hand jobs while she started sucking my balls. She went back and forth flickering her tongue across each one of my balls and sucking on them.

"I'm about to cum," I warned my mom.

She kept stroking me with her hand while taking my penis back inside her mouth and continued sucking. It didn't take long for me to orgasm. And as usual, she consumed every single drop of cum I had for her with her vacuum like mouth and eager tongue.

After she finished what she came here to do, my mom got out of bed and began putting her pajama top back on. I on the other hand, was still laying in bed, relishing in what she had just done for me. She smiled at me the entire time she buttoned up her top and gave me a playful slap on the leg.

"Oh snap out of it," she said jokingly. "You're acting like this is the first blowjob you've ever gotten in your life."

"Well it's the first blowjob I've gotten from you isn't it?" I teased back.

I got up and gave my mom a big hug along with kisses on her check, not caring that my wet penis was staining her pajamas.

"I loved that mom. Please tell me we'll be doing this again," I said in her ear as we hugged.

"I don't know. I really don't know. I never planned on us going any further than today, and I doubt that it will. We'll talk more about this tomorrow when we get our heads clear, but right now, both of us should get back to bed."

chrislebo

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***THE CONCLUSION***

My mom stayed home from work the following day. She said it was because she wasn't feeling well, but of course that wasn't the entire truth.

She spent the morning in the kitchen making breakfast for me and my dad along with a doing a few small chores as she always likes to stay busy. She looked really sexy as she played the model housewife this morning. But instead of the stereotypical apron and dress, she wore a large t-shirt and sweat pants. Her hair was in a pony tail and she had little make up on. It briefly crossed my mind that just a few months ago, I wouldn't have even noticed her in that way.

It was excruciating waiting for my dad to leave before I could make a move. And when the sound of his car driving off finally faded away, that's when I did it; I got up and walked behind my ****** while she was doing the dishes, and gave her a great big hug wrapping my arms around her waist and kissing her on her exposed neck.

My mom had no reaction to me doing that as she kept her gaze a few houses down the street towards her neighborhood friend as she headed off to work, and said, "I wonder what she would think about me if she knew. Sometimes I wonder what all my friends and family would think if they knew what I've done with my boss...and...with you. I'm sure my family would disown me. And my friends, well, I'm sure they would pretend they didn't know me. I'd be the laughing stock at the work place, assuming I still have a job. Not to mention a pending divorce."

"That won't happen mom. You're just being paranoid. It's over between you and him now and I definitely won't be telling anyone," I said in my mom's ear, before kissing it.

"Maybe you're right. Maybe I am overreacting."

"So what happens next? With us?" I asked her.

She continued to gaze outside of the window. "I don't know. I haven't decided yet. All I can think about is how I could ever face him again. Tomorrow is going to be a tough day for me, that's for sure."

"I know how much of an asshole you think he is, but deep down, there's part of you that will miss being with him- isn't there?" I said as I brought one hand down and began rubbing her groin through her sweat pants.

She gently grabbed my wrist that was touching her and lifted my hand off her pants and pushed it underneath her panties. I inserted my fingers inside her vagina and could feel her wetness. The combination of me touching her and her discussing these personal matters had aroused her.

"Are you really going to make me answer that?" she said as she turned her head to the side to give me a soft kiss on the lips.

I kissed her back and she responded by slipping her tongue in my mouth and we continued making out for a long moment, as I continued to rub her clit and finger her now soaking wet vagina. She broke the kiss as she released a sensual moan courtesy of my fingers.

I used my other hand to squeeze one of her large butt checks. "So how are you feeling down here? Any better?"

"A little bit. But why don't you be a good boy and check for your ******?"

I didn't need a further invitation as I pulled her pants and panties to her ankles, leaving her completely bare from the waist down. She rested both of her hands on the kitchen counter and spread her legs the best she could. I got down on my knees and parted both of her checks wide open for my viewing pleasure; that is, before remembering the original purpose of seeing if she was doing okay in that area.

I stared at her little brown anus for a few seconds. Her tiny hole looked much smaller than it had been yesterday after it had been mercilessly fucked by her well hung boss. Regardless, I had a nice clear view up her narrow rectum as I used my fingers to spread it open.

Staring at her anus for this long had gotten me hard as a rock at this point, but I didn't want to her to know. I wanted to be as 'professional' as I could her for about this.

"It looks great mom. I mean...It looks a lot better than yesterday. But I'm sure you already knew that."

"Of course I did." She turned her head and looked at me with an innocent, yet sex filled look in her eyes. "Remember what you said a few months ago when we first started doing this together, about you kissing me where it hurts? Well...I'm still a little sore right now..."

I suddenly felt overwhelmed with lust as it was clear what my ****** had just implied and what she wanted me to do. We were about to cross a line in the foreplay we shared for months that I never even thought would happen. She gave me permission to please her anally.

With my fingers still spreading her anus, I leaned forward and began kissing the soft flesh of her rear end before making my way to the outer rim of her anus. I gave it a long kiss planting my lips on it before slowly sticking out my tongue to begin licking her. It was my first time doing this, and I would imagine it was the first time she was experiencing this kind of oral pleasure as she trembled the moment my tongue touched her body's most intimate area. But her trembling only emboldened me to please her more as my tongue started circling her small hole, feeling each and ever line she has down there.

I took the final plunge as I pushed my tongue deep through the small opening of her anus and inside her rectum. She let out an immediate yelp the moment I entered her tiny opening. I moved my tongue around her rectum, probing her, tasting her as far as the length of my tongue would allow. Each time my tongue would find a new place inside her, she would start to squirm. I even felt her legs start to shake as I held onto them.

She unexpectedly stopped me and had me stand up. She took my hand and said, "Let's go upstairs. I want to finish this in the bedroom."

"Do we have to? I love the idea of us doing stuff like this in the kitchen." I replied.

"It's not that," she said. "I want to make love to you."

THE END
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