chrislebo
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Merde alors, ma mère était vraiment perverse! J'ai alors pensé que finalement, elle avait tellement cherché cette situation... qu'elle allait être servi copieusement si je puis dire!!! J'acceptais donc que les deux gars qui étaient à peine plus âgés que moi reste. Ma mère sourit et m'embrassait comme pour sceller notre accord et repris sa position m'offrant *** cul en pâture! J'appelais les deux gars et leur demandais de se foutre à poil et qu'ils avaient intérêt à être en forme car je voulais que tout le monde la défonce par tous les trous! Qu'il n'y aurait aucune limite à notre perversion... Elle voulait être une chienne soumise et remplie? Elle allait être fourrée au sperme et allait bouffer de la queue! Le premier des deux à s'approcher était un métis, il avait une queue énorme... Je ne savais pas qu'un monstre pareil pouvait exister!!! Le deuxième, un Italien je crois... très brun était moins bien loti mais restait de très belle taille! J'attrapais les cheveux de ma chienne et l'ai tournée face à ses deux nouveaux braquemarts en lui disant : "T'AS INTERET A T'APPLIQUER SALE PUTE!!!" FAIT LEUR VOIR CE QU'UNE SALE FEMELLE COMME TOI PEUT FAIRE AVEC 2 BELLES QUEUES COMME CA!!!"
Elle s'agenouilla et attrapa les deux queues et les faisait aller et venir très vite et fort dans sa bouche qui se déformait quand c'était celle du métis... quel plaisir de voir sa mère jouir comme ça!! Elle les dévorait, se régalait, gloussait de plaisir! Les deux gars en profitaient pour lui triturer ses tétons au travers de *** chemisier entre ouvert. Mon érection reprenait rapidement sa vigueur et j'ordonnais à ma mère de s'appliquer! Je dis au métis de se poser sur le sol, que cette salope allait s'empaler sur sa bite énorme! Il s'installa de suite sur des cartons vides et ma mère à qui j'avais retiré *** chemisier et fait rouler sa mini-jupe au sol, s'empala rapidement sur ce manche de taille disproportionnée... Ma mère dont la chatte ne cessait de couler gémissait bruyamment, je demandais au brun de venir se placer sur *** cul de pute... Le gars mouilla ses doigts pour la préparer un peu et l'enfila très rapidement... il y allait sans ménagement le bougre! Elle hurlait *** plaisir et n'arrêtait pas d'encourager ses deux amants de passage "BAISER MOI BANDE DE SALAUD, HHHOOOOOO JE VEUX VOS BITES PARTOUT DANS MON CORPS... HUMMMMMMM JE VEUX ÊTRE REMPLIE... ET DEFONCEE... COMME ON VOUS L'A DEMANDE!!
Je me plaçais devant *** visage déformé par le plaisir d'être ainsi malmenée, saisis d'une main ses cheveux et de l'autre *** menton et la força à prendre ma queue dans le fond de la gorge!! Ma mère failli déglutir tellement j'étais loin dans sa gorge et lorsque que ma queue ressortait, toute sa salive accumulée et mélangée à ma liqueur séminale coula sur *** menton et alla finir sa course sur ses seins! Ma mère était en furie et les coups de butoirs de ses deux amants la mettaient dans un état de surexcitation... Le brun fut le premier à jouir dans le cul de ma mère. J'ai joui à mon tour sur la bouche de ma femelle et le métis lui continuait ses va et vient profonds. J'ai alterné avec le brun en lui disant de venir se faire nettoyer la queue par cette salope qui ne rêvait que de ça! Je me suis à mon tour placé dans le cul profond et maintenant bien dilaté de ma mère et l'ai enculé avec vigueur... Ma mère hurlait de plaisir en continue... Je sentais contre la cloi*** l'énorme bite du métis. Ma position n'était pas assez confortable à mon goût, je l'ai alors retirée du pieu du métis et me suis allongé sur le dos, ma mère est venue planter *** cul sur ma queue et le métis s'installa à nouveau dans sa chatte, les pieds sur les épaules! Ma mère était traitée de tous les noms et insultée comme elle avait souhaité. J'ai déchargé à nouveau dans *** cul cette fois-ci et ma mère s'est ensuite positionnée à quatre pattes pour faire jouir le métis à *** tour dans *** cul... c'était un festival! J'en profitais pour me faire nettoyer la queue par cette chienne toujours plus avide de sensations fortes! Le métis ne ménageait pas sa monture et ma mère avait du mal à s'appliquer à me nettoyer correctement, il la faisait gueuler!!!
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chrislebo
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Le métis arrivait au bout de ses ****** et *** visage se crispa, il sortit sa bite de *** cul et dégorgea de tout *** être sur le cul de cette salope... De longs jets s'écoulaient sur ses reins... je n'en revenais pas de voir autant de foutre se déverser comme ça sur elle... Elle gémissait encore tant l'émotion et le plaisir était intense. J'ai remercié mes deux compagnons de queue qui se ***t rhabillés et ***t repartis. Je m'occupais maintenant de ma mère avec soin et délicatesse après cette session très forte de sexe et je l'ai aidée à se rhabiller et nous sommes repartis à la mai***. Nous sommes restés vingt minutes au moins sous la douche à nous savonner et à faire des câlins tendres... Nous avons ensuite été faire l'amour dans sa chambre avec beaucoup de tendresse... Elle ne cessait de me dire qu'elle m'aimait et que j'étais *** fils adoré! Le lendemain matin avant de nous lever, nous avons à nouveau fait l'amour mais c'était beaucoup plus fort... Nous avions tous les deux les réminiscences des souvenirs de la veille...
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chrislebo
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Je vous ai parlé de Françoise, une amie de ma mère qui nous avait apporté *** chien Molosse à garder chez nous le temps de ses vacances. Nous sommes au début de l'hiver et ma mère m'annonce que *** amie Françoise sera chez nous vendredi soir pour dîner. Je me réjouissais déjà de sa venue car j'aimais bien cette femme et je la trouvais vraiment belle! La semaine s'écoula bien vite et le vendredi montra vite le bout de *** nez. Celui de Françoise aussi d'ailleurs mais je ne savais pas qu'elle viendrait avec *** ami du moment Abou, un grand noir imposant aux larges mains et au visage plutôt sympathique. J'étais déçu c'est sûr, mais je m'appliquais à ne pas le montrer et leur proposais de rentrer et de s'installer dans le salon le temps que ma mère finisse de se préparer. Je leur ai servi à boire et m'installais avec eux afin d'échanger quelques mots. La Conversation était sympathique et ma mère ne se fit pas beaucoup attendre. La voilà qui apparaissait tel un ange... Mon dieu que j'aimais cette femme qui était ma mère. Elle était vêtue d'un jeans ultra moulant, (c'est vrai qu'à l'époque c'était la mode) et d'un tee-shirt au col très largement échancré qui tombait sur l'épaule avec une fine ceinture à la taille et des escarpins noirs vernis aux talons vertigineux qui rappelaient la ceinture... Quelle femme sexy, me suis-je exclamé lorsqu'elle est entrée dans le salon. Elle s'approcha avec un large sourire et Abou qui était le plus proche de la porte se leva pour la saluer... ses yeux étaient rivés sur elle comme des aimants. Françoise à *** tour se leva et embrassa ma mère tout en lui glissant quelques mots à l'oreille... Je ne savais pas ce qu'elles s'étaient échangé mais ma mère a souri et lui a fait un clin d'oeil assez coquin... Je me levais et proposais à ma mère un verre de Champagne car c'est sa bois*** préférée. Nous voilà tous servit et en train de boire et de parler tous ensemble de tout et de rien, mais l'ambiance est vraiment bon enfant! Puis, ma mère se leva rapidement et s'en alla vers la cuisine en riant et en expliquant qu'elle avait oublié de commencer à préparer l'entrée du repas. Abou se leva aussi et lui proposa de l'aider, ma mère ne refusa pas *** aide et je suis resté avec Françoise... seul pendant bien vingt minutes à parler. Ses questions devenaient de plus en plus inquisitrices à l'égard de ma vie privée... J'entends par là qu'elle voulait savoir absolument si j'avais une copine? Si j'avais déjà eu des rapports sexuels et autres questions assez gênantes au début mais qui finalement m'excitaient plutôt et comme elle me plaisait beaucoup, je prenais un certain plaisir à lui laisser entendre que j'avais depuis quelque temps des rapports avec une femme très belle et bien plus âgée que moi. Elle souriait et avait les yeux rieurs et surpris tout de même. Elle me complimenta sur mes charmes et me dit que j'étais maintenant devenu un très beau jeune homme. J'étais certes flatté, mais je comprenais mal ce qu'elle me trouvait alors que je l'avais toujours vue avec des hommes plutôt exotiques! Abou, entra dans le salon et nous dit de venir à table. Je me levais et tandis la main vers Françoise afin de l'aider à se relever du fauteuil. Elle me regarda droit dans les yeux tout en se levant, me fit un très grand sourire et s'approcha de mon oreille et dit "Merci jeune homme, pour votre galanterie!" et finit ses mots par un baiser sur la joue. J'étais soufflé parce qui venait de se passer! Elle passa devant moi et avançait en chaloupant sa magnifique croupe dénudée. Elle portait une robe rouge sans décolleté devant mais qui offrait une superbe vue de *** dos accompagné par sa crinière blonde. La robe arrivait juste au-dessus des genoux, droite et une petite fente derrière qui laissait à peine entr'apercevoir la couture de ses bas et des escarpins rouges. Cette vision m'excita au point que je me suis mis à bander directement... sans appel!
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chrislebo
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Nous voilà à table, à discuter, rire, boire, manger sans interruption. Ce moment était vraiment d'une grande convivialité. Nous avons beaucoup bu et les discussions finissaient comme vous pouvez l'imaginer toujours sur le sexe. Et mon dieu, que nous étions intarissable sur ce sujet... J'ai appris d'ailleurs à ce moment-là que Françoise avait déjà connu plusieurs relations saphique. Et que ma mère et elle s'étaient embrassées à plusieurs reprise lorsqu'elles étaient jeunes, pendant leurs soirées de débauche! Ma mère laissait parfois échapper quelques allusions sur nos ébats mais sans dire évidemment qu'il s'agissait de nous. Mais François à un moment a saisi la balle au bond et dit à ma mère: "Tu savais que ton fils a une relation avec une femme plus âgée que lui?" J'étais très gêné et je suis devenu rouge et ma mère répliqua "Mon fils est comme *** père... un vrai étalon!" un blanc se fit marquer et tout le monde s'est mis à rire. Heureusement pour nous que l'alcool était là pour masquer tout ce qui aurait pu être compris pendant le repas!!! Le dessert arriva sur la table, un grand saladier rempli de fraise avec de la crème. Tout le monde se servait et ma mère commença à jouer avec une fraise la faisant entrer et sortir de sa bouche et dit " Cela ressemble au fruit défendu... non? " Françoise regardait ma mère et tout en l'imitant et ne se priva pas de rajouter " hummm *** parfum, *** goût et sa texture est tel que si ce n'était pas une fraise dont je raffole alors il faudrait que ce soit une queue!" avant de pointer le bout de sa langue toute fine dessus. Abou se mit à rire très fort et s'approcha de Françoise et pris avec sa langue la fraise, dans la bouche de Françoise et ils se ***t roulé une pelle très érotique! Ma mère, ne voulait pas les voir se gâter alors elle s'approcha de moi et prit mon menton de sa main et m'attira vers ses lèvres et m'embrassa très sensuellement que je suis resté tétanisé et mes mains n'avaient aucune réaction. Ce ***t les paroles de Françoise qui nous firent revenir à la réalité " Et bien je pense maintenant comprendre les expériences très matures de ton fils, maintenant! " Ma mère s'arrêta et me regardait fixement avec plein d'amour et de tendresse et reprit " Oui c'est vrai mais c'est aujourd'hui un mâle entreprenant et sûr de lui et je suis devenue sa femelle... Il peut faire de moi ce qu'il veut, ou il veut et quand il veut! " Abou ajouta, que j'étais très chanceux. Françoise ne semblait absolument pas décontenancée par la situation et même elle insista en répliquant: " Où il veut, quant il veut et comme il veut? " OUI répondit ma mère. Et bien je voudrais bien voir ça! Françoise avait un sourire au coin des lèvres en disant ses mots. Je regardais ma mère et lui dit avec beaucoup d'affection: Je veux que tu ouvres mon pantalon et que tu me suces avec beaucoup de désir! Ma mère ne pouvait plus se contenir et ses mains prirent le pas tandis que ses yeux ne me lâchaient pas. La ceinture et les boutons de ma braguette se retrouvèrent bien vite défaits et mon pantalon en bas des jambes, ma mère passa sa main dans mon boxer et commença à me masturber doucement, j'ai alors descendu mon caleçon. J'entendis la voix de Françoise dire " En effet, Il a une belle queue... Tu avais rai***, s'il est aussi bon amant que *** père alors je comprends que tu ne puisses plus t'en passer!" Qu'est-ce que cela voulait dire... Mon père aurait sauté Françoise et ma mère??? Mais l'heure n'était pas aux questions mais à l'action et ma mère descendit *** visage, me décalotta le gland et goba ma queue d'un seul coup. Elle s'affairait avec beaucoup d'attention sur ma queue et Abou ne put s'empêcher de me le faire remarquer! "Woaw... ta mère sait faire des pipes!!!" Ouai je répondis et encore tu n'as rien vu de ce qu'elle est capable de faire pour moi! La situation était devenue tellement excitante qu'Abou a défait les boutons de *** jeans et mit sa main sur la tête de Françoise et lui a dit "à ton tour ma belle! Montre à ce jeune homme ce que tu sais faire sur une queue!" Mais c'est la première fois que je voyais une bite aussi grosse et encore il ne bandait même pas complètement... Françoise s'appliquait à le faire bien bander et suçait avec beaucoup d'entrain. La bite d'Abou était tellement grosse que la bouche de Françoise se déformait. j'ai réalisé à ce moment-là vraiment la situation, j'étais en train de me faire sucer par ma mère devant mon idéal féminin, qui elle-même suçait *** mec!
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chrislebo
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Je n'ai pas tardé à jouir tellement la situation était forte, j'ai posé mes mains sur la tête de ma mère et appuyer très fort au moment où l'éjaculation est arrivée et ma mère comme à *** habitude a tout avalé sans rien cacher de *** plaisir... Françoise aussi à reçu une sacrée décharge en pleine bouche, qu'elle a même suffoqué tellement il l'a inondée! Nous sommes ensuite passés au salon et avons commencé les choses sérieuses.... Ma mère est partie dans sa chambre changer de tenue tandis qu'Abou et moi nous nous occupions de Françoise. C'est une femme tellement belle et d'une sensualité naturelle. Abou a baissé les bretelles de sa robe délicatement et défait *** soutien gorge et laissé ses deux gros et beaux seins lourd se revigorer d'être sortis. Françoise portait un porte-jarretelles rouge avec des bas noirs et un string en dentelle brésilien rouge et noir. Elle était entre nous deux et nous nous occupions chacun de l'un de ses gros seins blanc laiteux. C'était la première fois que je les voyais et je voulais profiter un maximum de ce moment alors avant de me jeter dessus, je l'ai sous-pesé et souligné du bout du doigt. Elle me regardait avec insistance et feulait alors qu'Abou appliquait une succion bien marquée de *** côté. J'étais aux anges et je commençais moi-même à le mordiller, le lécher, le sucer, l'avaler, l'aspirer de tout mon souffle, je voulais que ce sein soit mien pour un moment et je lui imposais à mon tour un certain traitement qui ne la laissait pas indifférente. Ma mère arriva et Abou, avant même que j'ai eu le temps de relever la tête s'est levé et la prise dans ses bras, ma mère l'a complètement déshabillé et a voulu elle aussi s'occuper et goûter à cette queue énorme. Françoise me déshabilla aussi rapidement et je l'ai basculée afin de lui bouffer sa chatte, je voulais y goûter absolument c'était vital... Mes premiers coups de langues ont été avec retenus, je voulais sentir *** parfum intime et je lui ai dit que sa chatte était délicieuse avec un parfum très agréable! Abou me fit des compliments sur ma mère et sa façon si per***nelle de sucer... Dans ma position, en relevant les yeux je pouvais voir ma mère de *** côté, accroupie en bas et porte jarretelle noir jouissait déjà de ne pouvoir prendre cette queue tout entière dans la bouche tellement elle était grosse. J'ai retourné Françoise, l'ai mise à quatre pattes et lui ai bouffé le cul et la chatte, elle jouissait fort et a eu *** premier orgasme. Abou avait maintenant mis ma mère sur le fauteuil et lui bouffait également la chatte comme il se doit et ma mère gémit sous les coups de langue certainement très affûté d'Abou. Il s'est ensuite relevé et a placé sa bite à l'entrée de sa chatte et est rentré doucement, centimètre par centimètre afin qu'elle s'habitue à la taille de *** membre. J'ai fait de même avec Françoise, je me suis calé derrière elle et observait *** formidable cul avec les bretelles du porte-jarretelles rouge fendre sa peau bien blanche. Je bandais très dur et j'ai frotté mon gland à l'entrée de sa chatte ruisselante de désir, elle gémissait et me priait de la prendre tout de suite. J'ai fait durer le plaisir de façon presque malsaine tellement *** envie était forte. Je voulais qu'elle en crève d'envie vraiment et mes très légers allers-retours ont eu pour effet de la mettre dans un tel état de d'attente et de transe que lorsque je suis rentré complètement et à fond jusqu'au col de l'utérus, elle a hurlé un OOOOUUUUIIIIII si fort qu'Abou s'est retourné et ma mère aussi afin de voir ce qui se passait!
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chrislebo
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PRENDS-MOI !!! criait-elle et la synergie s'est si bien créée entre les deux couples que ma mère aussi criait sur Abou de la prendre sans ménagement sauf que lorsqu'Abou commence à y aller fort... Il faut être prêt à recevoir! Ma mère gueulait tellement il la défonçait et Françoise emmenée aussi par l'énergie de groupe me demandait de la traiter de salope, de pute, de sac à foutre et de la défoncer! Je ne me suis pas fait prier et je l'ai insultée, lui ai claqué les fesses si fortement, que la marque de chacun de mes doigts apparaissait clairement sur ses fesses. Abou et moi les avons installés sur le grand canapé toutes les deux et les avons prises en levrette encore pendant qu'elles s'embrassaient. J'appuyais très fort pour la faire cambrer au maximum, je lui ai craché sur le petit trou avant de lui dire que j'allais l'enculer comme il faut, Elle criait OUUIII VAS-Y BAISE MOI... DEFONCES MON CUL DE SALOPE!!!! Je suis rentré doucement dans *** colon tout étroit tandis que ma mère n'en finissait plus de jouir sous les coups de boutoir d'Abou. Ma mère lui dit qu'elle voulait aussi se faire enculer comme une pute! Abou me regarda et confirma qu'il avait rarement vu une telle furie et baiseuse! Il faisait aller et venir *** majeur dans le cul de ma femelle de mère et déjà il me semblait qu'elle avait orgasme sur orgasme... Mais lorsque que sa queue est vraiment venue à la rencontre de *** petit trou du cul alors là j'ai cru ne jamais l'avoir vu gueuler de cette façon... à part avec Molosse certainement! Quant à moi je m'activais toujours dans le cul de cette charmante Françoise qui ne cessait de gémir... je commençais à arriver au bout, mais il n'était pas question de finir maintenant alors me vint une idée folle. Je suis partie chercher dans la cuisine un concombre que j'ai lavé et que j'ai apporté et j'ai fait positionner nos deux charmantes salopes cul-à-cul avec le concombre dans la chatte et nous nous sommes fait sucer pendant un moment... le temps de recharger un peu les batteries mais c'était *** compter le caractère fougueux de nos deux chiennes à disposition ! Françoise dit à ma mère que la dernière à nous faire jouir devrait prendre une double pénétration, Abou et moi. Ces salope avait de la ressource Françoise s'est mise à me pomper tellement fort que j'ai joui le premier... Mais le concombre faisait aussi *** effet et Françoise a joui en même temps que moi et Abou est venu pratiquement derrière moi à quelques secondes... Ma mère aussi a joui très fort et je pense qu'elle se réjouissait déjà de ce qui l'attendait!
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chrislebo
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Abou, s'est installé sur le canapé et ma mère est venu s'empaler sur sa queue énorme, tandis que je me plaçais derrière le cul subliment bandant de ma mère et suis rentré pratiquement sans effort tellement Abou l'avait avant dilatée! Nous avons commencé nos va et vient, ma mère déjà hurlait sa jouissance et Françoise est venue s'accroupir sur l'accoudoir en cuir épais du canapé, au-dessus du visage d'Abou qui en profitait pour lui bouffer la chatte pendant que les deux se gouinaient encore. Ma mère avait du mal à entretenir ses embrassades avec Françoise tellement nous l'avons malmenée... La jouissance était trop forte et elle a eu trois orgasmes successifs. Repue, elle descendit et laissa sa place à Françoise qui voulait bien sûr aussi goûter à nos deux queue en même temps! Mais Françoise s'installa dos à Abou et par conséquent face à moi... C'est Abou qui était dans le cul de cette salope qui en fait n'attendait que cela! Et moi dans sa chatte à la baiser tout en la regardant dans les yeux... nous étions ********** tous les deux par le rythme des va et vient et *** visage malgré tout se déformait sous le plaisir et la douleur provoquée par nos queues qui ne lui laissaient aucun répit! Après deux gros orgasme et quinze minute de ce traitement, elle était repue et nous nous sommes dégagés. Ma mère s'est jetée sur la bite d'Abou. Françoise m'a enfourné et cette fois-ci je voulais jouir sur *** visage. Je voulais qu'elle prenne tout mon foutre sur *** visage d'ange et j'ai attrapé ses cheveux et ai accéléré la cadence si bien que j'ai baisé sa bouche sans ménagement. Au moment de jouir, Françoise a senti que la coulée de sève arrivait et elle-même, l'a retiré de sa bouche, m'a regardé dans les yeux et dit : VAS-Y JOUIS MAINTENANT SUR MOI, JE VEUX QUE TU M'INONDES DE TA SEMENCE... GICLE SUR MON VISAGE! J'ai joui d'abord sur *** visage à gros coup de jets, plusieurs saccades ***t venues se répandre sur *** front, ses cheveux, ses joues, *** nez... puis elle a pris ma queue dans sa bouche tout en me regardant et m'a pompé furieusement encore comme pour en extraire tout ce qu'elle pouvait contenir! Ma mère aussi a eu le droit à *** feu d'artifice surtout qu'Abou a déversé des litres de sperme, c'était incroyable de voir ça, ma mère n'a jamais pu tout avaler tellement la quantité était importante... Mais le plaisir aussi fût de grande quantité! Ils ont passé la nuit entière à la mai*** et ***t repartis le lendemain vers midi. Cela restera un très grand souvenir pour ma mère et moi. Je n'ai jamais revu Abou et Françoise... c'est une autre histoire!
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soumis8
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Même si le sujet n'est pas ma tasse de thé (ni de café d'ailleurs!), mille mercis pour ces recits en francais!
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chrislebo
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la pute a mon chéri Je m'habitue peu à peu à la présence du rosbud dans mon cul, la sensation est nouvelle et pas désagréable une fois passé le moment de l'introduction qu'en aux pinces à seins je les ai presque oublié. Je ramasses les nombreux sextoy's posés sur la table pour les ranger dans notre chambre bien à l'abri du regards des enfants. Alors même que j'étais à l'étage, la ***nette retendis. Je m'arrête de suite pour écouter qui c'est, j'entends thierry qui discute avec un homme dont la voix ne me dit rien du tout. Thierry m'appelle... A quoi il joue, il sait très bien que vu ma tenue je ne peux pas me présenter comme cela. Il insiste un peu mais je maintiens mon refus. Il remercie l'inconnu, l'invitant à repasser un autre jours. -Qui c'était? -Un démarcheur d'une société de peintures, il veut savoir si l'on souhaite faire la façade. J'ai sa carte de visite. Pourquoi tu n'es pas descendu? -Bien je n'avais pas le temps de me changer. -Qui t'a demander de te changer? tu m'a déçu et désobéi c'est pas bien je m'en souviendrais. -Oh chéri excuse moi. -Évites la prochaine fois: que dirais tu d'aller prendre l'air au parc, j'ai envie de faire quelques photos. -Si tu veux mon chéri. Je mis mon manteau de cuir, et nous sommes partis bras dessus bras dessous au parc qui se situe à deux pâtés de mai*** de la notre. Tout du long, j'étais partagée entre la crainte de rencontrer des parents d'élèves et qu'ils puissent un seul instant découvrir à quel jeux pervers que nous adorions thierry et moi, j'avais à cet effet remonter le col du manteau pour dissimuler le collier, et par un sentiment de fierté d'avoir osé cette audacieuse promenade. Nous nous sommes isolés et thierry à pu faire toute les photos de moi dont il avait envie; plus d'une centaine, il me prit même entrain de faire pipi. Je pense que seul un homme qui promenait *** chien s'est douté de notre manège parce qu'il nous a suivi un petit moment s'arrêtant lorsque nous aussi nous marquions une pause. Tierry qui a l'oeil partout, défi sa braguette, sorti sa bite."suce moi" -Ici? -Ben tu crois qu'elles font ça ou les putes aux bois de boulogne? J'entrepris immédiatement la queue de thierry, il mit moins de 5min à se répandre dans ma bouche. Il lâcha un merde à ce moment là. -Qu'es ce qu'il y a? -Tu fais chier tu me fais jouir trop vite. -C'est pas grave chéri, je tentais de le rassurer mais il est vrai que thierry n'a jamais été très endurant au lit. Nous sommes rentrés à la mai***, thierry est monté à *** bureau, moi j'ai commencé à préparer le repas et une jolie table, avec le bougeoir argent de notre mariage qui d'habitude ne sortait que pour noël. Je suis allée me faire un brin de toilette, je passais un oeil dans l'entrebâillement de la porte du bureau il était sur internet surement, je le laissais tranquille. Dans la salle de bain j'ôte les pinces de mes seins, me les caresses pour leur faire reprendre une forme normale. J'enlève mes bottes, et m'accroupis pour ôter le rosbud. J'ai un peu d'appréhension à le faire ressortir, peur de ressentir une douleur. Je prends mon courage, souffle un grand coup et tire dessus. Je ressens une inflammation divine de mon anus, qui dure quelques minutes. Aux retour des toilettes, j'entreprends un toilettage intime en bonne et du forme, j'évite toutefois de me caresser la chatte, je veux garder cette excitation en moi et pour lui.
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chrislebo
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Je remet le rosbud en place avec facilité et sans plus d'appréhension je rejoins thierry au bureau, il est en train de constituer un dossier d'image des photos de l'après midi, du parcs. Il me les fait défiler, et je me vois tour à tour sur le fauteuil jambes grandes ouvertes, au parc à poil entrain d'écarter mes fesses exposant le brillant du rosbud etc etc...lorsqu'il referme le dossier je vois qu'il a appelé celui ci "ma pute adorée" je l'embrasse tendrement dans le cou et pose ma mains sur *** sexe. Je lui glisse à l'oreille quand es-ce que tu va me la mettre? Il repousse ma caresse. Je suis déçu mais je sais déjà que ce soir je vais jouir, je remarque un nouveau dossier intitulé X. J'essaie de lui prendre la souris pour l'ouvrir mais il m'en empêche, nous jouons quelques instant tout les deux évidement thierry a le dessus. -Tu veux vraiment voir? -Ben oui c'est porno c'est ça? c'est ce qui t'excite gros cochon? -Je te laisse regarder pendant que je vais prendre ma douche! -Oui chéri mais interdit de branlette, garde en pour ta petite pute.. On rigole,thierry partit, j'ouvre le dossier. La première photo qui apparait et le visage d'une jeune femme recouvert de sperme elle en a partout, dans les yeux, la bouche, cela lui coule du menton, la deuxième est plus classique des fantasmes masculins: ce ***t deux femmes au corps parfait en 69, il en a plusieurs dans des positions diverses. Je continue à faire défiler les photos lorsque je m'arrêtes sur une qui me fait fris***ner immédiatement, c'est celle d'une femme en corset de cuir noir, elle est penchée buste sur la table en bois massif qu'elle tient de part et d'autre, elle a de grande cuissarde. Nous nous ressemblons, cela ne fait aucun doute, je fais défiler les photos suivantes, il s'agit d'une série et il ne fait aucun doute que cette femme reçoit une punition, ces fesses ***t rouges, même *** dos. Je la retrouve quelques instants plus loin attachée sur un X en bois des poids au seins et à ses lèvres intimes, elle a un collier avec une boule dans la bouche. La dernière série la concernant la montre sur une espèce de tréteaux capitonnés bras et jambes attachés, la chatte et le cul humide, on devine qu'elle vient de se faire prendre. Sans même m'en rendre compte je suis entrain de me caresser, je zappe les photos suivantes qui ***t une succession de trio hhf ou ffh avec des blacks, blondes,asiatiques, pour retomber sur une petite série d'une asiatique justement qui est ficelée comme un rôti dans des positions très variées j'avoue que j'aime bien et la trouve belle. Lorsque thierry revient: je suis sur une série ou les femmes se font sodomiser se ***t des gros plans, vraiment pas glamour voir écoeurant. "Ah c'est cela qui t'excite cochonne? Tu aimerais te faire défoncer la rondelle?" je ne réponds même pas à sa provocation, je me lèves pensant passer à table mais thierry se rassois et m'installe sur ces genoux. "Tu n'a pas fini de les voir" Il attrape la souris et pose *** autre main sur le haut de ma cuisse, la glissant entre mes jambes. "Mais je vois que cela t'excite ces photos, cochonnes que tu es"
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chrislebo
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Les photos suivantes ***t des femmes réalisant des doubles pénétrations, puis il y en a quelques unes ou elles se fistent la dernière de cette série la femme a carrément la mains dans *** cul,je trouve celà hallucinant. Le dossier se finit par trois photos de filles se pissant dessus. Thierry referme le dossier. "Tu vois ce qui t'attends maintenant, tu veux jouer à la pute mais il va falloir que tu assumes tes choix." -Si c'est cela qui t'excite? qui te dit que je n'y prennes pas goût..mais faudra que toi aussi tu assure. -Fait moi confiance je vais te matter moi petite pute. -Arrête tu m'excites quand tu fait ton gros dur. -N'oublie pas que je t'ai payé pour 24h alors fait gaffe à ton cul... -Tu me veux comment: là sur le bord du bureau, dans le cul? Désolé chéri je suis déjà pleine. Joignant le geste à la parole j'écartais mes fesses, penchée sur le bureau. Tout en rigolant et pleine de provocation, je reçus une claque magistrale sur les fesses qui m'arracha un cri.. -Aieee -Insolente -Aie une deuxième sur l'autre fesse. Le souffle coupé je me relève, le regarde, il sourit " tu l'a bien cherché celle la, vas te voir dans la glace" J'avais les 5 doigts de sa main sur chaque fesse. On prit l'apéritif au comptoir de la cuisine, lui sur un tabouret, moi debout entre ses jambes, au tout début il prit la laisse de MARIUS (c'est le chien de mes beau parents) qu'il avait accroché à mon collier et il tirait dessus à chaque fois que je cherchais à bouger tant est si bien que j'arrêtais. Deux fois il demanda d'aller allumer les bougies et lorsque je m'approchais de la table, il tirait sur la laisse. En me disant qu'il avait changer d'avis, et il me ramenait entre ses cuisses. Il mit sa cuisse entre les miennes et me demanda de me frotter la chatte dessus comme font les chiens en chaleur..il me fit boire le champagne bouche ouverte langue bien sortie. -Allez pendant que je finis la bouteille tu vas me sucer les couilles et que les couilles je te préviens. -Oui J'enlevais *** pantalon et *** slip et à genoux j'entrepis ses couilles, les léchant, les gobants une après l'autre c'était pas très agréable tous ces poils dans la bouche mais je me faisait un devoir de m'appliquer. J'entendais ses gémissements et ses compliments. Je me redressais lorsqu'il tira sur la laisse. Il n'emmena dans la chambre, me demanda de choisir un gode, je pris celui qui me semblait être le plus proche de la taille de *** sexe à lui.
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chrislebo
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-Non pas celui la prends l'autre juste au dessus. Il faisait 18cm pour un diam de 4, couleur chair très réaliste avec une veine qui courrait le long, il y avait même les testicules. je m'assoie dessus pendant tout le diner. Thierry m'observait à chaque fois que je me levais mais encore plus à chaque fois que je me rasseyais à plusieurs reprises il me fit lever et rassoir pour rien ou si juste pour le plaisir de me voir me goder. Je jouis peu avant le dessert, je ne sais pas si thierry s'en est aperçu, mais je sentais ma chatte complètement dilattée et humide alors que je me levais pour débarrasser, thierry me demanda de faire la vaisselle à la main, je me mis donc à l'évier avec mes beaux gants mappa jaune, avec le noir de mon corset cela rappelait la couleur de ma mini cooper. Il prit quelques photos de moi jambes toujours écartées, les mains dans le bac, puis il me retira le rosbud et m'encula directement, j'ose le dire mais je le sentais à peine, j'avais plus d'excitation à sentir ses mains plantées dans mes hanches que sa bite qui me limait le cul..je l'encourageais "oui baise moi, encule moi oui" -Ta gueule petite pute. Il ne tint pas au delà de 3 minutes et jouit dans mon cul, il me remit le rosbud pour empri***ner sa semence en moi. -Finit la vaisselle et je vais t'apprendre à te taire quand je te baise. -Excuse moi je ne savais pas. Il s'échappa à l'étage, lorsqu'il redescendit *** café l'attendait, il avait descendu la cravache et le martinet qu'il avait maladroitement essayer de dissimuler dans les coussin du canapé. -C'est pas ma faute chéri si tu es trop excité, c'est peut être parce que c'est nouveau pour toi. Tu sais moi aussi je jouis plus vite et plus fort que d'habitude. -Si c'est de ta faute à m'encourager comme tu le fais cela me fait jouir..ne m'adresse plus la parole quand je te baise dorénavant. Et pour t'apprendre je vais te punir mais comme je suis gentil tu aura le choix cravache ou martinet? -Mais je connais ni l'un ni l'autre comment veux tu que je choisisse? -Très juste, alors tu auras cravache et martinet -Ohh non? -Si si comment tu veux te mettre!! j'eus le flash de la fille sur la photo. -Sur la table? -Allez va Je plaquais ma poitrine sur la vitre froide de la table et lui tendais mon postérieur.. Après avoir passé plusieurs fois la cravache entre mes cuisses il commença à me fesser, il s'arrêta à la dizaine, me demanda si cela allait et si j'étais prête pour une autre série de 10. -Oui Les dix suivantes furent plus douloureuses parce qu'il tapait plus fort et parce que j'avais le cul chaud.. mais j'aimais oui je n'ai pas honte j'aime la cravache, il voulu s'arrêter je lui en réclamais dix de plus.. et gode pour contenir mes cris qui parfois s'échappaient sans contrôle. Je mordais à pleines dents dans le gode de latex à chaque coups qui s'ablataient sur ma croupe en feu. On atteignit les 30. Exténuée sur la table je ne compris même pas se qui m'arriva lorsque thierry me mit *** pouce dans la chatte et effleura mon clitoris, il sortit de ma chatte un flot indécent de liquide translucide, mi eau mi urine ,thierry le reçu en pleine figure.. Je venais de découvrir que je pouvais être une femme fontaine
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chrislebo
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pendant que sa fille est au lit Salut , je me présente Tonio 1m70, les yeux bleus cheveux châtain, assez sportif. Cette histoire m'est arrivée alors que je travaillais comme chauffeur de car scolaire. J'allais chercher des enfants âgés entre 3 et 11 ans pour les emmener à l'école. J'arrive devant l'école et une maman (***ia) se trouve devant l'école, je ne l'ai jamais vu auparavant, elle est grande 1.90 avec de longue jambe fine et très sensuelle, des cheveux coupé au carré de couleur blond et une jolie petite paire de fesses avec une poitrine de 90C. J 'arrête le bus devant l'école et la maman viens vers moi, j'entrouvre mon carreau, elle se présente, bonjour je suis nouvelle dans la région et il paraît que le bus passe à domicile chaque matin est-ce vrai? Je la regarde très sensuelle et lui réponds que oui et qu'il est possible que je vienne chez elle prendre ses enfants. Elle me donne *** adresse et me demande s'il serait possible que je passe demain matin, je lui réponds a nouveau que oui et lui signale que je passe vers 06.45 hres chez elle le lendemain. Le lendemain j'arrive devant chez elle et klaxonne, ***ia sort en nuisette transparente avec un joli soutien noir que j'aperçois au travers, pour le bas elle porte déjà un leggings. Sa plus grande fille âgée de 9 ans prend place dans le bus, ***ia me demande si je peux repasser après mon service avec les documents à remplir car elle est en panne de voiture, j 'avoue que l'idée de la revoir seul me procure une légère érection. OK ***ia je reviens vers 09.00 hres avec les papiers. Je fini à 08.30hrs à l'école, j'ai été reprendre ma voiture et les papiers au bureau et me rends chez ***ia, en secret j'espère qu'elle est toujours en nuisette et cela m'excite à nouveau, j'arrive devant sa porte et ***ne. ***ia m'ouvre en tenue de sport, un petit haut moulant juste sur le haut de ses seins et le ventre à l'air, et toujours ce petit leggings noir sur ses fesses, elle me fait entrer. Je la suis et matte discret *** joli cul sur le haut de ses fesses, je découvre un tatouage de fée. Entre Tonio, je fessais ma gym, j'entre, elle me dit que sa plus petite fille Victoria est au lit, cela me déçoit car... Je la suis, ***ia m'invite a m'assoir face a elle, intrigué j'obéis, tu veux un coca Tonio, me lance ***ia? Volontiers et quelques glaçons aussi. Elle ouvre le frigo et me sert avec des glaçons un coca très frais en se retournant j'aperçois ses bouts de seins pointer sous sa blouse.
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chrislebo
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***ia sourit et me demande ce que je regarde comme ça, un peu gêné au début je détourne les yeux. ***ia me dit qu'elle est veuve depuis peu, *** mari est mort, alors qu'il creusais un puis dans le jardin, d'une émanation de gaz. Depuis elle vit seule. Moi je suis toujours les yeux fixer sur ses seins, qui pointe bien sous le tissu de sa blouse. ***ia s'approche et me dit, je vois que j'te fait un peu d'effet Tonio, je n'avais pas remarquer que mon jeans était tendu. ***ia pose alors le verre sur la table et se penche vers moi, dépose un doux baiser sur mes lèvres et me sourit. J'te trouve très mignon me dit ***ia, je lui réponds qu'elle est splendide et que ses seins ***t magnifiques, tu peux les toucher tu sais me dit ***ia et elle pose ma main sur sa blouse. Le tissu collé sur ses seins, je passe lentement ma main et caresse ses tétons dessous, ***ia gémit lentement et se serre les lèvres, je glisse ma main sous sa blouse et palpe plus ses seins, je soulève sa blouse et aperçoit deux magnifiques seins que je m empresse de gober l'un après l'autre, ***ia se laisse aller et se cambre vers la table vitrée de la cuisine. Je mordille ses tétons et descend une main sur *** leggings entre ses jambes, je la sent tremblante et frémissante. ***ia me dit, ca fait longtemps que per***ne ne m'a toucher et elle se relève devant moi, puis s'écarte un peu, je repousse la chaise et ***ia me dit qu'elle aime particulièrement prendre les choses en main. Je reste assis sur la chaise. Tu sais Tonio, je suis prête à tout sauf à avaler me dit ***ia et pose sa main sur ma queue déjà bien tendue dans mon jeans. ***ia dégrafe mon jeans et le fait tomber sur le sol, elle baise mon caleçon noir moulant et sort ma queue de 17cm par 6 de diamètre tendue. Hummm quel belle bite dit ***ia et l'embrase sur toute la longueur, mon mari était aussi gros mais pas si long Tonio. ***ia cambrée du haut de ses jambes ses seins à l'air, gobe toute ma bite dans sa bouche et la garde quelque instant au fond de sa gorge, elle me regarde droit dans les yeux et commence un va et viens avec sa bouche sur ma queue, quel bouche ***ia, avale moi bien, comme ça oui. J'ai omis de vous signaler qu'elle à un piercing sur la langue se qui accentue encore plus la pipe!!! ***ia me branle alors en même temps, je sent alors mon sperme sur le point de gicler une première fois et retire ***ia. Tu veux pas jouir dans ma bouche Tonio? Mais tu m'a dit que tu n'avaler pas ***ia? Beh oui mais je recrache tout par la suite Tonio et elle se rue alors sur ma bite et me suce plus fort encore, je ne peux me retenir que quelques instant et lui lâche alors de grosse giclée en bouche, elle en avale quelques gouttes puis en me suçant je vois mon sperme sortir de sa bouche, hummmmmmmmmm oui ***ia avale moi bien encore......... Puis ***ia se relève la bouche pleine de sperme et recrache tout dans un verre. La suite très bientôt...
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chrislebo
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***ia se relève alors et crache mon sperme dans un verre, soudain sa petite fille crie, ***ia monte à l'étage calmer sa fille et revient dans la cuisine, cette fois en tenue plus sexy. Elle porte une nuisette avec les seins sortis et nue en dessous, je peux voir sa chatte rasée et *** cul se dandiner dans l 'escalier. Tu ne vas pas en rester là tonio, me dit ***ia? J'ai très envie de sentir ta bonne grosse bite me défoncer et tu sais que j'aime prendre les choses en main. ***ia arrive vers moi et me reprend la bite en bouche, elle palpe mes couilles et descend un doigt vers l'entrée de mon cul, cela me fait bander plus fort encore dans sa bouche et ***ia me sourit avec ma queue entière dans sa bouche. Elle me doigte plus profond le cul et je gémit, hummmmm ***ia, per***ne ne m'avait jamais fait ça, j'ai un peu mal au début mais la suite est meilleur. une fois ma queue durcit à nouveau, ***ia se redresse et se cambre, les seins sur la table vitrée de la cuisine et m'ordonne de lui lécher la chatte. J'en meurs d'envie je lui lance, je m'agenouille sous ***ia et ma langue glisse lentement sur toute la longueur de sa chatte. Hummmmmmm encore Tonio........... Enfonce ta langue................ ma langue entre dans sa chatte qui dégouline à grosse goutte. OHHHHHHHHHHHHHHHHHHH vas-y salop bouffe moi la chatte lance ***ia....... Surpris d'entendre ses paroles sortir de sa bouche, j'aspire alors *** clito en bouche et le mordille. OHHHOUIIII t'arrête pas: putain mange mon clito........... je pose deux doigts sur *** cul et les entre d'un coup sec. AIE OHHHHHHHHHHHHHHHHHH PLUS fort tonio..............; mes doigts fouille alors *** cul et je mord plus fort *** clito. D'un coup la chatte de ***ia se mets à pisser, OHHHHHHHHHHHHHHHJE JOUIIIIIIIIIIIIIII me crie ***ia, mes doigts entièrement dans *** cul et sa pisse m'inonde le visage. Mais je ne veux pas en rester là et ***ia non plus, je me redresse et d'un grand coup de rein, j'encule ***ia. Ma queue pénètre *** cul violemment. OHHHHHHHHHHHHHHHHH TONIOOOOOOOOOOOOOOO Ca fait si longtemps, mes couilles claque sur *** clito et j'accéler le va et vient OHHHHHHHHHH OUIIIIIIIII DEFONCE MON CUL SALOPARD............
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chrislebo
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je pose alors deux doigts sur sa chatte et les entre bien à fond, ma bite fait de long va et vient en sortant à chaque fois dans *** cul ce qui fait hurler plus encore ***ia. PUTAIN quelle bite Tonio........... Je sors alors de *** cul et entre dans sa chatte, pour mieux la baiser. ***ia écarte plus les jambes et ma queue entre au fond de sa chatte, HUMMMMMMMMMMM c'est trop bon Tonio baise moi bien mon sale petit chauffeur .................. Je sens alors le sperme monter dans ma bite qui défonce les deux trous ouvert de ***ia. Je veux te gicler sur les seins ***ia viens là devant moi ***ia me sourit, s'agenouille devant moi, Viens Tonio gicle sur moi J'me branle qq instants devant *** visage, ***ia ouvre sa bouche et sort sa langue avec *** piercing bleu OHHHHHHHHHHHHH, ***iaaaaaaaaaaaaaaaaa mon sperme gicle à gros jets sur *** visage et recouvre ses seins. ***ia reçoit du sperme dans sa bouche et le recrache sur ses seins.......... Je colle ma bite au fond de la gorge de ***ia et elle avale toute ma queue pour la nettoyer. ***ia se relève et se passe les mains sur ses seins recouvert de mon sperme et les enduit ***ia se lèche les doigts et viens m'embrasser d'un long baiser tendre.
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chrislebo
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Lettres d'une femme mariée Mon chéri, La clé que tu trouveras dans cette enveloppe est celle du vieux secrétaire du grenier. En l'ouvrant tu découvriras dans la partie droite plusieurs liasses de lettres qui te sont adressées. Je sais qu'en les lisant, je vais te faire de la peine... J'ai la certitude, pourtant aujourd'hui encore, que je ne pouvais agir autrement ! À côté de notre vie quotidienne faite d'un amour si tendre où tu as su m'apporter tant de satisfactions, je me suis mise à vivre une vie parallèle. Cette autre vie, c'est aussi la mienne. Cette Lauranne que tu n'as pu connaître et qui est pourtant bien ta femme, je ne sais si tu auras le courage de la découvrir. À la fois je le désire et je le redoute. Je veux en tous cas que tu saches que je n'ai jamais douté de mon amour pour toi. Cet amour s'est seulement transformé. Si tu pouvais seulement, malgré tout ce qu'ils te révèlent, découvrir cette succession de récits comme un témoignage réel, bien que singulier, de mon amour pour toi. La relation que j'ai avec celui qui n'était à tes yeux que mon patron est venue s'immiscer dans l'espace qui existait entre nous. C'est un monde où la passion est aussi importante que la tendresse. J'espère que tu comprendras que la situation que j'ai voulu te décrire n'a pas été simple à vivre pour moi, dans un moment où tu étais finalement toi-même plutôt insouciant. Je ne pouvais évidemment me confier à toi directement, mais tu as bénéficié, sans le savoir, des débordements de désir et de tendresse que cette relation nouvelle a révélés en moi. Ma fidélité, d'une certaine manière, je l'ai mise toute entière dans celle à te rapporter les faits tels que je les ai vécus dans les moindres détails. Pourtant, je dois reconnaître que la description qui t'est faite est tout sauf celle d'une épouse fidèle ! Mon nouvel employeur a exigé dès le début que je rédige cette correspondance régulière comme un gage indéfectible de l'attachement que j'avais pour lui. Il m'a avoué bien plus tard que cela l'excitait beaucoup d'imaginer qu'un jour, je pourrais être prête à tout te révéler en assumant pleinement mes actes dès que ce serait possible, c'est à dire dès que j'aurais quitté définitivement le foyer conjugal... Il était convenu dès le début, que je garde cet espace de liberté de ne pas lui faire lire certaines de mes lettres, si je le désirais. Il voulait ainsi que j'exprime mes sentiments avec la plus grande sincérité. Mais il lui arrivait cependant régulièrement de me demander de lui en dévoiler une de mon choix qu'il souhaitait que je lui lise à voix haute, ce qui le rendait fou d'excitation. Ainsi, souvent, après la lecture de celle-ci, il me faisait l'amour. Cela peut te paraître incroyable, mais j'avais l'impression dans ces moments-là d'être un peu avec toi, de ne pas réellement te tromper, puisque j'allais un jour tout te révéler, même si cela devait l'être bien des jours plus tard. Paradoxalement, te décrire avec la plus grande franchise ma relation passionnelle avec celui qui, pour toi, n'est que le patron de mon agence, me rapprochait en quelque sorte de toi. Je crois que tu as dû ressentir quelque chose, car j'avais l'impression que tu devenais plus amoureux à la mesure de l'amour naissant qui grandissait en moi, sans que tu le saches alors, pour un autre homme. D'ailleurs tu me disais souvent ne m'avoir jamais vue aussi radieuse. Maintenant que les enfants sont partis faire leur vie, je sais que tu auras la ressource de refaire la tienne, si ce n'est de m'oublier. Tu es un homme séduisant et beau qui sait apporter le confort et le réconfort, et tu n'auras pas de mal à séduire d'autres femmes. Quant à moi, je ne pouvais plus continuer à vivre dans cette double réalité. Je ne pouvais éternellement te mentir. J'ai conscience que cette révélation me sépare définitivement de toi et de cette vie douillette et tendre qui, pendant de longues années, a été la mienne. Sache que, si je ne me suis jamais sentie aussi heureuse, c'est en grande partie grâce à toi. Mais ce que m'apporte cet homme, tu ne peux pas me l'offrir, et d'ailleurs je n'aurais jamais osé te le demander. Il est inutile que tu cherches à me contacter. Nous avons tout mis en place pendant ces derniers jours pour ne pas être joignables. Je peux seulement te dire que nous voyagerons beaucoup et que je ne cesserai probablement pas de t'écrire, mais je ne t'enverrai mes lettres qu'en quittant les lieux où je les aurais rédigées. Je te couvre une dernière fois de mille baisers, mon petit mari chéri que j'aurais aimé pouvoir serrer une dernière fois dans mes bras. Ta femme qui t'aime
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chrislebo
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lundi 27 avril Mon cœur, Je viens de quitter l'agence et, avant de venir te rejoindre, je me suis installée dans le café d'en face. Il y a beaucoup de bruits autour de moi, mais cette agitation ne me dérange pas... Je suis sur un petit nuage !... Je ne sais comment te décrire ce que je ressens. Il y a la joie, bien sûr, de me sentir redevenir quelqu'un, maintenant que j'ai à nouveau un travail, mais aussi de l'excitation qui me rappelle l'exaltation que j'avais lorsque j'étais collégienne et que j'étais tombée sous le charme d'un garçon pour la première fois ! Aussi, je ressens une fébrilité un peu folle à écrire ces lignes, et même si je sais que c'est absurde, je crois que je me sens amoureuse. J'avais préparé cet entretien en ayant conscience que dans ce genre de rencontre il y a toujours une part de séduction. Tu m'as d'ailleurs encouragée à porter ce tailleur qui, selon toi, m'allait à ravir, parce qu'il mettait en valeur ma « jolie silhouette ». Tu me disais aussi que l'on pouvait apprécier davantage la finesse de ma taille et l'honnête volume de ma poitrine, dont je dois avouer être assez fière. Et puis, il y avait ce généreux décolleté que tu m'as encouragée à mettre et que tu m'as assuré n'être pas vulgaire. Tu m'as même incitée à mettre des porte-jarretelles et ces bas de soie au discret motif. Ceux-là même que je ne porte d'habitude que pour te séduire davantage ou lorsque nous allons à une soirée et cela, malgré le fait que je dévoile largement mes jambes sous cette jupe moulante, fendue sur le côté. À vrai dire, il a fallu tous tes talents de persuasion pour me convaincre de m'habiller ainsi, alors que je craignais que le relief de mes jarretelles soit visible pour un œil attentif, sous la finesse du tissu. Pour toi, cette sensualité que je dissimulais sous mes vêtements me rendait encore plus radieuse et plus « femme », et mettait ainsi toutes les chances de mon côté dans un tel entretien pour un métier de relation avec la clientèle. Tu me disais l'importance de la première impression lors d'un entretien d'embauche. J'ai conscience de pouvoir plaire aux hommes. Du moins, je me sais désirable, tout en sachant l'aspect superficiel et intéressé du regard qu'ils portent souvent sur moi. Durant mes études, j'avais de nombreux garçons qui me tournaient autour, mais j'étais aussi très timide, et les quelques aventures que j'ai eues avant de te rencontrer n'étaient en rien torrides. Avec toi, Damien, j'ai connu quelque chose de fort, même si je soupçonne, précisément à cet instant, que ce n'était pas de la passion. Tu étais beau, gentil et rassurant, et tu avais de l'argent, ce qui ne gâchait rien, pour moi qui était d'une origine plus modeste. Nous avons, durant des années, construit notre vie selon mes désirs, et nos deux enfants ont pu eux-mêmes accéder au confort matériel et à la jouissance d'une relation stable et heureuse. Mais aujourd'hui, je me sens bouleversée et ce que je viens de vivre, je ne m'en croyais pas capable ! J'étais très intimidée en rentrant dans l'agence. Pour m'accueillir, une jeune femme et un jeune homme à la fois beaux et avenants m'orientèrent vers la porte du bureau du patron en me demandant de patienter un instant. En attendant, je me mis à feuilleter des magazines de voyages qui ne parvenaient pas à capter mon attention.J'étais distraite par la voix grave qui me parvenait derrière la porte. Visiblement celui qui devait m'accueillir avait une discussion plutôt vive au téléphone avec *** interlocuteur. Avant même de le voir, je me rappelle de ce côté vulgaire qui est si étranger à toi : — Espèce de connard ! Tu n'es qu'un petit branleur ! J'attends cette livrai*** depuis une semaine ! Démerde-toi, sinon t'auras affaire à moi ! On ne peut pas dire que cela me rassurait. Il s'écoula encore quelques minutes, lorsque la porte s'entrouvrit. Avant de le décrire, je dois te parler de l'expression de *** visage qui curieusement me laisse un souvenir ému. Il était visiblement encore sous l'effet de la colère, mais lorsqu'il a levé les yeux sur moi, il s'est soudain attendri pour me gratifier d'un sourire radieux qui contrastait violemment avec ce que je venais d'entendre. *** attitude était même un peu mielleuse, mais curieusement tout cela me flattait. Il me fit asseoir face à *** bureau et je me souviens du trouble rencontré, alors que j'étais en train de le dévisager, pendant les fractions de secondes qu'il mit pour s'installer face à moi. Il y avait avant tout, cette odeur capiteuse qui saturait l'atmosphère et que j'aurais jugé vulgaire sur un autre que lui, mais que je ne jugeais pas. Sa corpulence était un peu massive, voire trapue, encore une fois à l'opposé de toi, avec un ventre plutôt proéminent, propre à la cinquantaine de celui qui se laisse un peu aller. Lorsqu'il commença à s'asseoir derrière *** bureau dont la transparence me laissait distinguer sa silhouette enrobée, mais cette fois-ci de face, je découvris un visage qui n'était ni beau, ni laid, de type méditerranéen, pas très bien rasé. Je percevais des cernes sous ses yeux, ce que je mis sous le compte de la charge de travail d'un homme tel que lui qui a des responsabilités. Il était maintenant calé dans *** fauteuil et *** attitude était plus qu'affable. Il semblait ravi comme un enfant qui découvre un nouveau jouet, mais je lisais dans *** regard bien plus qu'un désir enfantin. J'arrêtai de l'observer avec trop d'insistance car sa façon de me scruter devenait pesante et me mit mal à l'aise. C'était à *** tour de me dévisager, ou plutôt de me déshabiller du regard. Nous avions à peine échangé une parole que je me sentis prise d'un trouble totalement nouveau. J'ai parlé de *** visage qui était quelconque, mais ce qui l'était moins, c'était ses yeux noirs à l'expression intense à cet instant et qui, lorsqu'ils croisèrent les miens, après s'être attardés de façon interminable sur diverses parties de mon corps, me semblèrent d'une profondeur in***dable comme si je devais m'y noyer ! J'étais complètement accrochée par ce regard que je soutins pendant plusieurs secondes, tout en réalisant qu'une telle attitude pouvait être interprétée comme l'aveu impudique d'un désir de femme pour un inconnu. En vérité c'était comme si, en me dévisageant, il venait littéralement de lire en moi et que je ne devais rien devoir lui cacher ! — Vous êtes absolument ravissante ! Je dois avouer que je ne m'attendais pas. Il se ravisa alors, comme s'il avait peur de se livrer davantage... — Êtes-vous très motivée par ce travail ? Je lui répondis franchement qu'il correspondait exactement à ce que j'attendais. Mais il continua aussitôt : — C'est quelque chose que je ne dis jamais, surtout lors d'un premier entretien, mais je dois avouer que j'aimerais vraiment voir une femme telle que vous travailler avec moi ! Je sais combien une per***ne aussi belle peut présenter d'atout dans une agence telle que la notre, dont l'objectif premier est d'apporter du rêve, de l'évasion. Il marqua alors une pause. Je me sentais terriblement tendue et en même temps excitée par ses propos. L'attention qu'il venait de me porter et cette douce sensation de dépendance, faisait que je me sentais totalement en sa possession et prête à accepter bien des choses. Mais, j'étais en même temps troublée parce que je n'avais pas même montré mes compétences pour ce poste, et je craignais qu'il se méprenne sur la femme que j'étais vraiment. — J'ai aussi des exigences qui peut-être vous paraîtront bizarres... mais j'attends un engagement sans faille de la part de mes employés. Il est très important pour moi que vous sachiez bien que c'est moi qui décide de ce qui se passe ici. Il faut que vous ayez toujours présent à l'esprit qu'à la base du sérieux que j'exige de vous dans une telle activité, ce que j'attends, c'est surtout que vous me soyez fidèle ! Ce mot fidèle me paru immédiatement dans toute *** ambiguïté mais celui qui était déjà mon nouveau patron, dissipa celle-ci d'une façon encore plus troublante : — Vous dites dans votre CV que vous êtes mariée. — En effet. — Vos enfants ne vivent plus avec vous ? J'étais étonnée par cette remarque, mais je n'hésitai pas à lui répondre : — Le dernier vient tout juste de se marier. — Parfait ! Je pense que vous êtes naturellement très attachée à votre mari, aussi je vous demanderai un travail régulier en dehors des heures à l'agence qui, si vous l'acceptez, vaudra acceptation d'embauche. Encore une fois, il y eut un long silence pendant lequel j'observai ses doigts un peu trapus mais, tout en pensant à la finesse de tes propres mains, mon chéri, je réalisai que j'avais envie de toucher ou d'être touchée par ces mains là. — Ce que j'attends de vous, c'est que vous écriviez régulièrement une lettre à votre mari, mais que vous la gardiez près de vous. Ce que je veux, c'est que vous y exprimiez avec la plus grande franchise possible ce que vous ressentez à mon égard et, pour que cela soit possible, je vous demande de garder ces lettres dans un endroit qui soit secret aussi pour moi-même. De temps en temps, je vous demanderai seulement de me lire une d'entre-elles de votre choix. C'est pour moi un gage de fidélité indispensable pour une bonne relation de travail ! Bien sûr, per***ne d'autre que vous, que moi-même ou que votre mari un jour, ne doit prendre connaissance de l'existence de cette correspondance ! Je ne m'attendais évidemment pas à un tel contrat ! Avant même d'avoir réfléchi, je me mis pourtant à lui répondre, ce que j'aurais répondu à n'importe quelle question : — C'est comme vous voudrez. Il n'en fallait pas plus pour le contenter, au moins pour le moment, car il se releva et il ne m'échappait pas que ses yeux s'attardaient pesamment sur ce qu'il pouvait voir de ma poitrine alors que j'attendais pour ma part un signal avant de me redresser. Tout en contournant le bureau, je sentis *** regard glisser sur mes cuisses. Il me prit la main comme on prend la main d'une « dame », à l'ancienne, pour me faire signe de me relever. Ses doigts étaient brûlants et sa peau un peu moite. J'étais maintenant debout face à lui, à quelques centimètres, et *** parfum puissant, un peu trop fort, emplissait mes narines. Il me regardait à nouveau de la tête aux pieds sans dire un mot ! Je n'ai jamais ressenti ça à un tel point et surtout aussi vite, mais j'avais une envie folle qu'il me prenne dans ses bras et qu'il me serre très fort contre lui ! Au lieu de cela, il a reculé d'un pas et m'a adressé un large sourire : — À demain ! J'ai déjà confiance en vous et je pense que vous ne me décevrez pas ! J'espère que vous avez confiance en moi... Je me mis alors à lui sourire à mon tour et j'étais assez fière de parvenir à ne pas rougir devant lui. Mais alors, il m'adressa à nouveau la parole ! — C'est une très bonne idée d'avoir mis des porte-jarretelles. J'adore les femmes qui portent des sous-vêtements sexy, n'hésitez surtout pas les jours suivants ! Cette fois je devais être écarlate et je n'osai plus croiser *** regard en quittant la pièce, comme une gamine prise en faute !
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chrislebo
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mardi 28 avril Mon tendre chéri, Hier, de retour de mon premier rendez-vous, tu m'as complimentée sur mon tailleur fuchsia qui découvrait mes « superbes » jambes gainées de soie à mi-cuisse. Je venais à peine d'être embauchée par celui qui n'était alors que mon nouvel employeur, mais je me souviens t'avoir embrassé avec toute l'énergie possible. Tu me trouvas vraiment sensuelle et j'avoue que tes propos n'ont fait que confirmer ce que je devinais ce jour-là. Mon bonheur n'était pas dû au simple fait d'avoir enfin trouvé du travail ! J'étais, bien sûr, heureuse de retrouver un poste dans une agence de voyage qui correspondait parfaitement à ma formation et à mon désir, mais l'entretien que je venais de passer, telle une élève appliquée auprès de mon nouveau patron, avait produit un curieux effet. Au retour de ce premier rendez-vous, j'avais une envie si forte de toi, que je t'ai léché avidement les lèvres pour te pénétrer de ma langue. Tu m'as *********** agrippé les fesses sous l'effet de la surprise. Pendant que tu caressais le haut de mes cuisses nues, en frôlant du bout des doigts mes porte-jarretelles... J'ai alors fait sauter l'agrafe de mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine. Je portai ce jour-là un chemisier de satin et j'éprouve encore de l'émotion en pensant aux caresses de mes bouts de seins gonflés contre ton torse. Je n'ai pu m'empêcher de te pousser doucement vers notre chambre tout en continuant à t'embrasser, comme si je devais boire un divin nectar issu de tes lèvres. Je me suis mise alors torse nu et puis j'ai libéré ton sexe déjà gorgé de désir ! J'ai arraché ma culotte et relevé ma jupe pour faire glisser ton membre dans mon intimité que je savais déjà chaude et onctueuse. J'avais envie de te regarder fixement, et le fait de te sentir en moi m'apaisa. En même temps, alors que je savourai ta présence, je pensai à lui... à cet homme que je venais de rencontrer et qui avait eu le pouvoir de me trouver enfin un travail. J'avais désormais besoin, plus que tout, de tendresse, et cette envie folle de partager jusqu'à la duplicité de mon émoi. J'aurais voulu même, si j'avais cru cela possible, que tu sois mon confident, mon complice. Je t'ai parlé de *** âge, la cinquantaine et du fait qu'il m'avait mise tout de suite à l'aise. Tout en continuant de parler, je te massai la verge doucement avec mon sexe. Je t'ai dit qu'il m'avait demandé de parler de mes motivations et que j'avais alors exprimé combien je désirais ce poste. Pendant ce temps, je te gardai en moi en bougeant le bassin avec une lenteur voluptueuse et, alors que je te chevauchai, ma voix était à peine altérée par de faibles soupirs de jouissance. Je t'ai alors parlé de *** ton flatteur en me disant que je correspondais exactement au profil qu'il recherchait. J'ai ressenti à cet instant que le fait de continuer, malgré tout, à te parler de cet homme devait te troubler. Ta voix n'était pas habituelle lorsque, comme un garçon timide, tu t'es mis à me demander s'il avait cherché à me séduire. Curieusement, était-ce sous l'effet de la jouissance, alors que je ne cessai de te caresser de mon vagin, ou parce que je me sentis alors avoir un pouvoir sur toi, je me souviens avoir esquissé un sourire en te disant que tu plaisantais, que c'était un entretien purement professionnel et qu'il avait été très correct. Tu étais persuadé en tout cas que je lui avais « tapé dans l'œil », et tu m'as dit alors ne jamais m'avoir vue aussi radieuse ! Je sais que je souriais vraiment et essentiellement cette fois parce que j'étais flattée. Alors que je me laissai envahir par le plaisir, mes yeux cherchèrent vainement à croiser les tiens, mais je n'arrivai plus à me contrôler et je me sentis partir... Avec le recul, je crois avoir été totalement impudique en t'offrant le contact de mon postérieur se frottant contre tes doigts et le spectacle de mon abricot d'amour presque imberbe qui coulissa sur ta verge tout en la lubrifiant... Et puis il y avait surtout le fait de continuer à te parler, sans plus réaliser ce que je disais. Je me souviens t'avoir dit qu'il n'était pas sans charme mais pas très beau non plus. Un peu trop enrobé et, qu'au moins dans *** apparence, il ne devrait pas te plaire, avec *** côté un peu m'as-tu-vu et macho. Et puis j'ai dû t'avouer que malgré tout, il me faisait bonne impression, qu'il m'inspirait confiance. Ce dont je me souviens aussi, c'est que ce jour-là, j'ai joui comme cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps... Plus tard dans la soirée, j'ai pensé que j'étais peut-être allée trop loin et, qu'en te montrant à quel point j'étais excitée, tu devrais forcément te douter qu'il s'était passé quelque chose. Mais ce matin, quand je suis partie avec ma jupe blanche plus courte encore que la veille et un chemisier échancré, je n'ai senti aucun reproche de ta part ; plutôt un sentiment de fierté, puisque tu m'as dit que j'étais plus séduisante et plus belle que jamais. Ce que tu n'as pas remarqué ce jour là, c'est que j'avais encore mis des porte-jarretelles et ce n'était pas, cette fois, sur tes conseils. Et qu'il suffirait que je sois assise, pour qu'apparaissent au-dessus de mes bas de soie claire, le haut de mes cuisses nues ! J'avais mis également une fine culotte de dentelles qui, par de menus frottements à chacun de mes pas, agaçait délicieusement mes petites lèvres. Arrivée à l'agence, je ne le vis tout d'abord pas. Et puis en entrant dans *** bureau, il me gratifia d'un bonjour un peu sec sans même lever *** regard vers mon visage. En le voyant essentiellement attiré par les courbes de ma silhouette, je ne pus m'empêcher de penser à *** côté décidément rustre et macho ! Mais dès qu'il a plongé ses yeux dans les miens, j'étais à nouveau prête à fondre. Il m'a demandé de l'attendre dans *** bureau tout en lisant le dossier de présentation de mon nouveau travail. Il n'y avait là rien que de très classique pour moi à l'égard d'un métier que j'avais déjà exercé. Il insistait sur le devoir d'information à la clientèle, la capacité à convaincre, l'appât qu'il fallait exploiter concernant les promotions, le fait de donner le sentiment que l'offre proposée avait quelque chose d'unique, même pour les produits standards. Bien sûr, l'accent était mis sur la patience et l'amabilité. Tout cela me paraissait tout à fait naturel et, dans ce document officiel, il n'était évidemment pas question du contrat bien particulier qui me liait à mon patron. À vrai dire, je ne savais pas quelle était la nature profonde de ses exigences, même si le simple fait d'écrire ces lettres singulières qui t'étaient adressées, impliquait d'évidence des rapports bien plus étroits que ceux que l'on entretient d'habitude avec un supérieur. Il m'a dit ensuite, en quittant la pièce, de revenir dans quelques instants. J'étais assez tendue, une fois la lecture du rapport achevée, et l'attente me parut interminable. J'ai eu alors le loisir d'observer certains objets qui parsemaient *** bureau. Il y avait quelques petites figurines d'origines diverses qui, bien que discrètes, lorsqu'on y prêtait une réelle attention avaient toutes en commun leur caractère sexuel explicite : que ce soit cette Vénus africaine en ivoire, à la poitrine et au fessier généreux ou un phallus dressé qui basculait de façon lancinante, à côté d'un coupe-papier aux motifs également érotiques. Outre les inévitables photos de paysages paradisiaques, se trouvaient aux angles opposés de la pièce, un peu dans la pénombre et visibles de *** seul bureau, des photos « artistiques » de femmes passablement dénudées et lascives, aux origines les plus diverses. S'il en était besoin, j'avais la confirmation du goût certain de mon employeur pour les jolies femmes. Il y avait ainsi une superbe Noire à la poitrine arrogante, dont le corps quasi-nu recouvert d'huile, brillait sous un soleil de plomb. Plus loin, une Asiatique au corps menu, bien que parée d'un voile de soie, ne masquait pas grand chose de *** anatomie, sous l'effet à la fois de l'humidité moite qui faisait adhérer le tissu à sa peau et d'une lumière directe qui révélait *** entrecuisse à la sortie d'un bain. Plus loin encore, c'était une Indienne dans une position plus impudique encore, parce qu'elle paraissait dérobée par le photographe, qui soulevait *** sari pour se livrer à des ablutions intimes... Mais ma « petite visite » fut interrompue par le bruit de ses pas. Quand la porte s'ouvrit, je ne pus m'empêcher de sursauter. C'était déjà la deuxième fois que je me sentais prise en faute... — Mes photos vous plaisent ? Cette fois, je ne savais quoi répondre. Dans ma tenue « d'hôtesse d'accueil » apprêtée avec soin, je me sentais mal à l'aise. Sans doute qu'il ressentit cette situation puisque ses premiers mots furent pour me rassurer. — Vous êtes parfaite ! Je vois que vous avez le sens de ce qui peut plaire à la clientèle. Vous êtes à la fois tout à fait classe et, en même temps, diablement séduisante dans ce petit tailleur qui met vos formes délicieuses particulièrement en valeur. Je n'étais pas insensible à toutes ces flatteries qui émanaient de l'homme auquel je n'avais cessé de penser lorsque j'avais choisi soigneusement ces vêtements. — Est-ce que vous avez commencé à rédiger vos lettres ? Je lui ai répondu que oui, aussi naturellement que si j'avais terminé de taper un rapport de travail. — Rassurez-vous, je ne vous demanderai pas tout de suite de m'en faire la lecture. Il faut au moins que vous ayez le choix entre plusieurs. Je savais que je m'étais soumise à ces comptes-rendus ************* sans savoir encore à quelle occasion tu pourrais toi-même les lire. Mais je ne lui posai pas davantage de questions. — Je vais vous laisser auprès de Muriel et d'Andrew à la boutique pour qu'ils vous accompagnent dans votre première confrontation à la clientèle. Mais je sais, de toute façon, que vous ne me décevrez pas ! Par contre, j'aimerais vous demander pour aujourd'hui une dernière faveur. Curieusement, je devinai encore une fois que je ne pourrais que lui dire oui, alors que j'ignorais la nature même de sa requête... — Je voudrais que vous me montriez ce que vous cachez sous votre jupe pour savoir si... si vous êtes attentive à ce que je vous ai dit. Je ne pus m'empêcher de penser alors au tableau de l'Indienne que je venais de voir. Pour ne rien faire paraître de mon émotion, je décidai de regarder fixement cette photo. Je n'étais plus moi-même, c'était comme s'il venait de s'adresser à une autre que moi. Je m'aperçus pourtant alors, que le plus simplement du monde... c'était bien moi, ta petite femme d'habitude si timide, qui était en train lentement de relever sa jupe de mi-cuisse jusqu'à la taille ! J'étais littéralement sous *** emprise et je réalisai que, si telle était sa volonté, il était capable de m'emmener très loin, dans des territoires pour moi aussi inconnus que la plupart de ces destinations qu'il me fallait aider à vendre pour le satisfaire. Curieusement le temps paraissait suspendu et je n'entendis bientôt plus que le frottement du tissu sur mes bas, sur mes dessous de dentelle et ma peau nue. Ensuite ce fut le doux bruit de sa respiration lente et profonde alors qu'il s'était placé à genoux sans que je m'en sois rendue-compte. *** visage était proche, au point que je sente la douce caresse de *** souffle entre mes cuisses. Je ne pus réfréner mon envie de baisser les yeux pour découvrir mon patron prostré, comme en prière, qui semblait fasciné par le spectacle de mon intimité parée de minces pièces d'étoffe et de dentelle. Je ne sais combien de temps tout cela a pu durer, mais comme la veille, un désir irrépressible commençait à me gagner. Ce n'étais plus me serrer entre ses bras qui aurait pu alors me satisfaire... mais qu'il enfouisse sa tête entre mes cuisses et qu'il y fourre sa langue comme un chien gourmand pour y goûter un succulent nectar ! J'avais l'impression que j'allais vaciller sur mes jambes qui se tendaient sous l'effet d'une excitation grandissante, quand il se releva en s'appuyant à mes poignets, pour les abaisser doucement, afin que je rajuste ma jupe. — J'avais envie de voir ce que vous allez cacher aux clients de l'agence alors qu'ils seront si près de vous... et que vous avez peut-être caché à votre mari ! C'est vrai que je n'ai pas voulu, dès aujourd'hui, te mettre dans la confidence des dessous sexy que j'ai décidé de porter. C'est un secret intime, que finalement je n'étais prête à partager qu'avec mon troublant employeur. Je pense que tu ne peux pas comprendre... même si je sais qu'à partir de maintenant, plus je te dissimulerai de choses sur la nature de cette relation nouvelle, plus un fossé irrémédiable risquera de se creuser entre nous... En même temps ma conscience se libère un peu, à l'idée qu'un jour tu liras ce texte et qu'ainsi ce men***ge trop lourd à porter te sera révélé... Ton épouse pleine de pensées tendres pour *** mari...
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chrislebo
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mercredi 29 avril Mon amour, Tu peux penser que les mots tendres qui ponctuent mes lettres ont quelque chose d'artificiel voire d'un peu sadique. Je peux comprendre qu'ils soient cruels pour toi en ce moment où tant de vérités, sans doute douloureuses, te sont dévoilées ; mais sache que je n'y mets aucune malice... et que c'est même l'absence d'arrière-pensées qui m'interdit de feindre avec toi une artificielle froideur. Si je t'appelle mon chéri, mon amour, c'est que malgré l'intensité de ce que je vis, malgré tous ces bouleversements et ceux que je suis peut-être amenée à connaître, je sais que tu resteras toujours un être cher auquel je ne pourrai m'empêcher de penser avec la plus grande tendresse. Cet amour qui a duré entre nous plusieurs années, rien ne peut nous le retirer. L'amour naissant que je te décris, autant que je le décris à moi-même, ne fait que succéder au nôtre, sans l'effacer pour autant. Je sais seulement qu'il ne peut y avoir de place dans une vie de femme comme la mienne pour deux hommes aussi importants que vous. Tu dois te demander comment je peux te comparer à un être que je connais si peu, toi qui m'as tout donné ! Mais c'est précisément là le problème, aucun homme ne peut tout donner à une femme. Il se révèle en moi depuis si peu de temps des désirs, une soif de posséder, de vivre des sensations que tu ne pourras jamais m'offrir. Je ne peux pas t'en faire le reproche, et je me dis que tu feras sans doute une rencontre toi-même avec une femme qui t'offrira d'autres horizons et d'autres sensations... alors tu comprendras peut-être ce que je suis en train de vivre ! Bien sûr, tu dois penser que c'est facile pour moi de te dire cela aujourd'hui, moi qui partage ma vie entre deux hommes que j'aime. Ce que je peux admettre, c'est que t'écrire ces lettres c'est aussi pour moi la possibilité de rester avec toi à chaque instant où je suis avec lui, puisque je sais que j'aurai à t'en rendre compte... Ta chérie qui t'aime tendrement.
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chrislebo
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jeudi 30 avril Mon doux chéri, Excuse-moi ! Excuse-moi d'être si directe et si crue dans les descriptions que je vais te faire. Mais je suis tenue au compte rendu le plus sincère et je souhaite trahir le moins possible la vérité, à l'égard de lui, mais aussi de toi... Je savais qu'en arrivant ce matin, il allait se passer quelque chose de plus sérieux et je ne me suis pas trompée. Pourtant tout avait commencé au contraire d'une façon banale. Michel était venu me voir, toujours avec ce regard « baladeur » et peut-être un peu inquisiteur, mais comme les autres jours, il semblait satisfait de ma tenue. Je ne souhaite pas m'attarder la dessus si ce n'est pour te dire que j'assume de plus en plus le fait de m'apprêter le matin dans le but premier de le séduire et de séduire, selon sa volonté, les clients de l'agence... Ensuite, je ne l'ai pas revu de la matinée, mais l'activité était assez soutenue ce matin et je n'en n'ai pas trop souffert. Je me souviens particulièrement d'un couple de jeunes mariés dont l'époux semblait plus attentif à la profondeur de mon décolleté qu'aux propositions de voyages que je leur présentais. Visiblement il aurait aimé découvrir autre chose que des contrées lointaines. Alors que je ne voyais jamais Michel le midi, il s'est proposé de m'emmener au resto. C'était un lieu fréquenté essentiellement par de jeunes cadres « actifs » du quartier de l'Opéra où se trouve notre agence. Il était visiblement fier de me faire passer pour sa maîtresse ! D'un certain côté avec ce qui s'était passé entre nous, je savais bien que notre relation, malgré la quasi absence de contact direct, avait déjà quelque chose de puissamment charnel ! En marchant dans la rue à ses côtés, je constatai pour la première fois qu'il n'était pas très grand. Bien sûr je portais des talons assez hauts, mais il arrivait tout juste à ma hauteur. En nous regardant tous les deux alors qu'il venait de glisser sa main, un peu boudinée et toujours moite dans la mienne, comme si nous étions de jeunes amoureux, je ne pus m'empêcher de penser au contraste que nous formions aux yeux des passants qui nous croisaient sur le trottoir... Lorsque je suis à tes côtés en public, j'ai l'impression parfois que nous offrons l'image d'un couple « équilibré » qui attire l'attention, un peu comme ceux qu'on voit dans les publicités. Nous sommes tous les deux grands et sveltes et je sais par expérience que tu as comme moi cette faculté de séduire d'emblée sans trop d'effort. Avec lui c'était différent. Je me rends compte que les regards plus encore qu'à tes côtés étaient focalisés sur moi. Il faut dire que j'étais habillée de façon sexy et presque provocante avec ma jupe courte et fendue qui dévoilait mes cuisses. Mais cela était dû aussi à l'effet de contraste de mon « amoureux » à la démarche sans élégance, les pieds légèrement écartés, qui trahissait un côté trop sûr de lui, accentué par le fait qu'il portait une chemise largement ouverte. Sur *** torse parsemé de poils bruns reposait une lourde chaîne d'argent. La grosse chevalière qu'il avait à *** doigt ainsi qu'un bracelet assorti à sa chaîne accentuait *** aspect clinquant, un peu superficiel. Il n'a rien des hommes qui m'ont jusqu'ici attirée, et peut-être bien que dans un autre contexte, je l'aurais trouvé ridicule. Mais aujourd'hui je suis à ses côtés, il me tient la main et je me sens bien ! Ces regards qui ***t plus encore focalisés sur moi en ces moments où je suis avec lui, finalement, ne ***t pas pour me déplaire. Il n'a ni ton élégance, ni ta beauté, mais peut-être que c'est cela qui me rassure. Avec lui, je ne me sens pas en compétition et les quelques coups d'œil sarcastiques que je devine, qui laisseraient penser que je suis auprès de lui pour l'argent, me laissent indifférente. Et puis tu sais que ce n'est pas vrai ; qu'avec toi, je n'ai jamais manqué de rien, et si mon nouveau compagnon montre davantage « qu'il a du fric », il n'a probablement pas plus d'argent que toi... Bien sûr, il est « à l'aise » et cela a de l'importance pour moi et il faut avouer que cette aisance se traduit aussi par un comportement plus ostentatoire dans sa générosité pour moi. Plus j'y pense et plus j'ai des rai***s de penser que tu détesterais faire sa connaissance. Que tu détesterais tout ce qu'il représente... De toute façon je ne souhaite pas votre rencontre et puis je doute qu'elle se réalise un jour. Je pense que notre per***nalité est souvent faite de contradictions et que bien des souffrances résultent de ces confrontations subies entre deux désirs opposés. Je suis bien avec lui, je suis bien avec toi, mais être à vos côtés, indépendamment de la ******* de devoir penser à ce que chacun penserait de l'autre, c'est aussi mettre en relation deux parts contradictoires de ma véritable identité et me mettre ainsi en face de mes propres lâchetés ! Je préfère vivre ces relations en parallèle sans avoir la certitude encore de celle qui prendra le pas sur l'autre. Pour revenir au déroulement de cette journée qui marque un tournant dans ma relation avec lui, nous nous sommes donc retrouvés au restaurant, pour la première fois longuement, l'un en face de l'autre. Il m'a posé beaucoup de questions sur toi. Je ne lui ai rien caché de l'attachement que j'avais encore à ton égard et il en paraissait ravi ! Il l'était plus encore de constater, lorsqu'il a pris mes mains dans les siennes, que je ne me dérobai pas. Il ne savait pas combien j'attendais cet instant d'un contact prolongé avec lui, combien je me sentais heureuse de pouvoir plonger mon regard dans le sien tout en buvant ses paroles si flatteuses. — Vous ne pouvez pas savoir ce que cela représente pour moi, de partager ce précieux moment auprès d'une femme aussi belle que vous. Au risque de vous choquer, dès que je vous ai vue, je vous ai imaginée d'une façon précise... entièrement nue devant moi ! Comme si vous étiez l'apparition de la femme parfaite que j'ai toujours espéré rencontrer. J'avais l'impression de lire en vous un désir irrépressible que j'avais jusqu'ici gardé enfoui en moi. J'ai connu, je dois l'avouer, beaucoup de femmes, mais en vous voyant debout si proche, j'avais comme la révélation pour la première fois de percevoir ce qu'est vraiment la féminité. Bien sûr, au fond, j'ai pensé que ce discours, il l'avait tenu avec bien d'autres femmes et je devine ta conviction à se sujet. Mais j'avais terriblement envie de le croire ! Comme la chaleur de ses mains, c'était une chaleur si douce qui m'enveloppait toute entière,jusqu'au bout de mes pieds. J'ai ressenti alors un léger picotement délicieusement sensuel qui bientôt fut perceptible à la pointe de mes seins. Je sais que tu dois penser que je suis folle, que je te raconte là des histoires de midinettes. C'est peut-être vrai. Je crois que je suis folle de lui ! Tout doucement, il m'a demandé de me déchausser, pour moi aussi lui offrir la jouissance d'une « douce chaleur », celle du plat de mes pieds gainés de soie, caressant les siens. Nous sommes restés longtemps comme cela après le dessert, pour en savourer un plus succulent encore, celui de ce plaisir tactile, sensuel, éminemment sexuel aussi, comme si malgré la table qui nous séparait, nous ne formions qu'un, dans l'entrelacement de nos mains, les caresses de nos pieds presque nus... Comme la veille, j'étais soudainement possédée d'un désir terriblement violent et irrationnel. Un instant j'eus la vision exquise de cet homme se jetant sur moi pour m'arracher mes vêtements et me pénétrer à même le sol. Ce qui me tira de ma rêverie, c'est le regard de concupiscence avide qu'il porta clairement sur moi comme s'il était au même instant animé des mêmes intentions. Je ressentis dans tout mon être ce qu'il m'avait dit tout à l'heure. C'était comme si j'étais vraiment nue devant lui ! Il semblait deviner avec une telle ardeur ce que dissimulaient mes vêtements que je me sentis plus impudique encore, ici au milieu de ce restaurant, que si je m'étais retrouvée dans le plus simple appareil dans un lieu plus intime. — J'ai envie que nous partions d'ici !... Voulez-vous revenir dans mon bureau ? Cette phrase suscita chez moi un sourire involontaire lié au souvenir des douces paroles, pas si lointaines, où il me conviait pour la première fois à pénétrer dans *** lieu de travail. En revenant dans la rue, main dans la main, j'aurais voulu encore ignorer la présence des passants pour le voir réaliser un désir fou : qu'il vienne glisser ses doigts chauds et humides sous ma petite culotte, qui l'était bien davantage ! Quelques instants plus tard, c'est précisément dans *** bureau que nous nous retrouvions et que je me dis qu'enfin il allait faire cesser mon supplice. Mais au lieu de se jeter sur moi, il me demanda à nouveau de m'asseoir et s'installa dans *** fauteuil ! Je me trouvais démunie. Je ne savais ce qu'il attendait ! J'avais tellement à lui offrir. Au bout d'un instant qui me paru interminable, il fit glisser *** siège vers le mien pour se retrouver assis face à moi. Il se baissa alors et pris délicatement ma cheville droite pour la relever avec la même attention que celle que l'on porterait à cueillir une fleur fragile. À vrai dire, je ne me sentais plus du tout forte à ce moment là, et je me serais bien laissée cueillir toute entière. Pour l'instant il ne semblait convoiter que l'extrémité de ma jambe. Il se mit à me masser délicieusement la cheville, remontant doucement jusqu'au mollet et au pli du genou mais, alors que je pensais qu'il allait pousser *** investigation plus loin vers un territoire qui ne demandait qu'à être exploré, il redescendit à ma cheville pour la libérer de la fine lanière qui la couvrait ! Il fit glisser ensuite ma chaussure qui tomba doucement en un bruit feutré sur la moquette et se mit alors à me masser la voûte du pied, procurant chez moi une sensation à la puissance érotique des plus exquises ! D'un côté, j'aurais souhaité que ce moment dure une éternité, et en même temps je voulais qu'il me pénètre. Je me surprenais alors à imaginer *** sexe et c'est le moment qu'il choisit pour me mettre en contact avec lui. Il approcha un peu plus *** siège et souleva encore mon pied pour le faire glisser entre ses grosses cuisses qu'il venait légèrement d'écarter. Je ressentis alors à travers le tissu de *** pantalon *** membre en érection, à la fermeté pour moi véritablement flatteuse. J'avoue que cette sensation de pouvoir sentir sa verge sous mon pied était des plus agréables et que ce contact électrisait tout le bas de mon corps, lorsque je fis glisser, dans un mouvement régulier, mes orteils le long de sa braguette. Bien sûr, le relief que je découvris ainsi, et que j'imaginai venir bientôt en moi, n'était pas d'un volume spectaculaire ! *** sexe paraissait plus court que le tien, mais aussi plus massif, à l'image du reste de sa corpulence. Sans même m'en rendre compte, j'étais bien en train de le branler ! En vérité, c'est l'étreinte de plus en plus forte de sa main sur ma cheville, pour accompagner et accélérer le mouvement de ma jambe, qui me fit m'en rendre compte. C'est alors que je pris l'initiative de me libérer de sa main pour ôter ma seconde chaussure et venir blottir, bien au chaud, mes deux pieds contre *** sexe. J'osai ainsi avec une certaine témérité soutenir *** regard sans bouger, comme si soudainement je me sentis la ***** de prendre la direction des opérations. J'écartai légèrement les cuisses pour lui offrir, comme la veille, mais de façon plus avantageuse, une vue sur ma petite culotte. Je saisis l'occasion, tant j'étais parvenue à capter *** regard à la naissance de mes cuisses, pour reprendre un massage lascif de sa verge bandée, en faisant cette fois coulisser l'intérieur de mes pieds. Dans le silence feutré de la pièce, le crissement de mes bas contre *** pantalon ne faisait qu'attiser l'atmosphère puissamment érotique qui se dégageait de notre petit jeu, plus du tout innocent. Pourtant, au moment où j'écris ces lignes, je ne me suis pas encore donnée physiquement à lui. Je veux dire que nous n'avons pas fait totalement l'amour. Il s'en est presque excusé. En fait, c'est lui qui a très vite repris le contrôle, en me demandant seulement de le branler ainsi jusqu'à la jouissance ! Il a voulu me rassurer en m'affirmant qu'il n'était pas fétichiste, qu'il souhaitait faire durer le plaisir ! Il m'a juste demandé de te faire l'amour ce soir-là de la façon la plus débridée en pensant très fort à lui, et d'en rendre compte dans ma prochaine lettre. Mon cœur, je te quitte... pour savoir que je vais te retrouver tout à l'heure afin que tu me fasses l'amour comme je l'adore. À ce moment, je ne t'ai pas encore fait totalement cocu, mais je pense que dans cette nuit où je vais te laisser savourer particulièrement le contact de mon corps, je vais franchir un pas de plus, car c'est à lui que je penserai... Mille baisers.
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chrislebo
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Samedi 2 mai Mon chéri, Hier soir, je voulais me donner entièrement à toi, mais j'avais peur que tu te doutes de quelque chose. Pour « t'allumer », je me suis approchée, alors que tu étais allongé en train de lire, vêtue de ma nuisette transparente, en dessous de laquelle je portais les sous-vêtements qui avaient été les miens durant toute cette journée. Cela m'excitait de me dévoiler à demi nue en pensant que j'attisais ton désir par la vision de ma petite culotte, celle-là même qui, quelques heures auparavant, avait tellement troublé Michel... Il en était de même de mon soutien-gorge dont l'armature en partie visible n'avait pas contribué qu'un peu à émouvoir mon nouveau soupirant, comme elle avait ému ce jeune mari, à l'accueil de l'agence... Je t'ai laissé me regarder avec complaisance... j'aurais aimé que ce soit lui qui me voie ainsi, quasiment nue, et déjà je me prenais à l'imaginer à ta place. Ce soir-là, bien plus que d'habitude, j'ai fermé les yeux quand nous avons fait l'amour. Je ressentais ton odeur et le grain soyeux de ta peau me rappelait que j'étais dans tes bras, mais je pensais à lui autant qu'il est possible. Avec un effort de concentration qui témoignait de la ***** de mon amour, je me plaisais à m'imaginer m'abandonnant à ses caresses, et laissant pénétrer mes chairs intimes de *** sexe humide et chaud ! J'ai joui comme jamais et tes compliments soutenus ce soir-là m'ont montré que cela t'avait plu ! Ce qui m'a rassurée sur ma capacité à le séduire ! Le lendemain, j'étais plus heureuse encore de reprendre le travail. Je n'avais jamais connu auparavant ce délicieux privilège d'être payée pour faire ce que j'adore le plus au monde : satisfaire au mieux les volontés de l'être que j'aime. Chaque jour, il me faut trouver des vêtements appropriés qui puissent séduire, attirer les regards, sans jamais franchir les bornes de la vulgarité... et puis je dois aussi convaincre les femmes, si je veux emporter des contrats... Depuis que j'ai ce travail, tu as sans doute remarqué à quel point j'accorde de l'importance à mon apparence, et le temps que j'y consacre avant de partir le matin. Et encore, tu ne sais pas la plupart du temps... ce que je porte en dessous. J'ai pour ma part bien compris le message de mon séduisant employeur. Michel attend de moi que je sois plus féminine encore lorsqu'il s'agit des vêtements que lui seul sera, s'il le souhaite, amené à découvrir... Il prétend qu'en portant une lingerie des plus sexy, je suis plus performante encore dans mon pouvoir de séduction vis-à-vis des hommes. Je sais également que si tel est *** désir, je serai capable de ne rien porter en dessous... Mais pour l'instant en tout cas, il accorde une extrême attention à ce que je choisisse une lingerie intime. Ainsi dès ce matin, il a souhaité que je le rejoigne à *** bureau. Et à l'instant où la porte s'est fermée, il m'a demandé de venir tout près... J'étais intimidée, surprise, mais aussi flattée d'attirer *** attention. — Je ne vous ai pas dit à quel point j'apprécie le port altier de votre buste, la beauté que je devine et en partie que je vois de vos seins... Aujourd'hui, j'aimerais faire connaissance un peu plus avec eux... Ces propos, comme tout ce qui émanait chez lui d'un désir à mon égard, diffusaient en moi comme une douce chaleur. Je ne me vivais plus alors comme l'employée de mon supérieur, mais comme la femme mariée qui s'apprêtait à succomber aux exigences que lui soumettrait *** nouveau maître. L'une de celles-ci étant, qu'à travers la rédaction de ce courrier que je t'adresse, j'aie toujours présent à l'esprit que la relation que j'ai avec cet homme n'est pas anodine. Que dans ce jeu délicieusement pervers qui se développe entre Michel et moi, il y a avant tout une relation adultère... avec la saveur singulière de l'interdit... le plaisir que je dois avouer d'avoir à te tromper, même si, je te le rappelle, c'est sans volonté de te faire souffrir... Je n'aurais jamais imaginé la satisfaction profonde, attisée par ce léger sentiment de culpabilité et d'insécurité, que toi, mon petit mari chéri, tu me procurerais indirectement. Comment t'expliquer à toi le plaisir que je retirais de la conscience pleine et entière que j'étais en train de te faire cocu ? J'ai retiré mon chemisier. Il a pu dès lors entrevoir ma poitrine que tu aimes tant et dont tu sais également que je suis si fière... Un peu par orgueil et dans le désir de retrouver les sensations que j'éprouve à exhiber mes seins nus sur la plage, j'ai ôté l'agrafe de mon soutien-gorge... Mais d'un geste ferme qui m'a surprise et un peu déstabilisée, il a bloqué mon bras ! — Je ne souhaite pas que vous me montriez tout ! En tout cas, pas tout de suite... Je veux d'abord apprendre à les découvrir, à les apprivoiser... Et pendant qu'il me disait cela d'une voix assurée mais douce, il s'est levé et m'a serrée dans ses bras très fort tout en m'invitant à me rajuster... Tout cela, comme le contact de *** torse contre le mien, m'excitait terriblement et je sentis mes mamelons gonflés contraints par l'armature de ma parure de dentelle, plus fermes et imposants que jamais. Cette sensation d'être trop à l'étroit avec une pièce de vêtement que j'avais pourtant l'habitude de mettre avec toi me révélait le trouble physique particulier qu'il était le seul, pardon de te le dire mon chéri, capable de provoquer en moi. J'avais l'impression de vivre une véritable métamorphose, comme si une part cachée de ma féminité se développait à *** contact ! Curieusement, ce sentiment trouble de sentir ma poitrine serrée dans mon vêtement sexy me donnait l'impression d'être plus impudique encore que si j'avais été nue. J'éprouvais, dans ce contact inédit de ma chair, à la fois le contour enveloppant de l'armature et le dessin des motifs de dentelles qui laissaient entrevoir bien des aspects de ma poitrine. Il ne pouvait pas échapper à l'observateur avide que j'avais devant moi que mes tétons, dont la pointe tendait le tissu, exprimaient un désir puissamment érotique envers lui ! *** attitude encore fut différente de celle que j'attendais... Au lieu de s'approcher pour me sucer les mamelons que je m'apprêtais bien volontiers à lui offrir, il m'observait sagement et esquissa tout juste un geste timide qui frôla à peine et brièvement ma poitrine. Mais ce contact furtif provoqua chez moi un plaisir d'une ***** étonnante et je ressentis instantanément sur tout le corps un agréable fris***... Il baissa alors la tête, pour la blottir entre mes seins, alors qu'il semblait vouloir savourer l'odeur qui se dégageait, mêlée de parfum et de sueur au creux du sillon accueillant de ma poitrine... Après quelques minutes de pure tendresse où *** visage semblait vouloir trouver refuge contre moi, il parut vouloir inverser les rôles. Une fois assis dans *** confortable siège de bureau, il me fit comprendre d'un seul geste qu'il souhaitait que je vienne sur ses genoux. Je n'avais aucune rai*** de lui témoigner la moindre réticence... et en un instant j'avais mes cuisses posées sur les siennes ! Le bonheur que j'avais à être simplement là, sur ses genoux, avait quelque chose de presque enfantin. Il y avait une part d'innocence en une attitude qui pouvait sembler naturelle... J'avais envie d'être contre lui, comme il semblait avoir envie d'être contre moi... Mais cette posture perdit de *** naturel dès qu'il glissa sa main entre mes cuisses à la recherche d'une autre chaleur moins innocente ! À la sensation de ses doigts contre ma fine culotte déjà passablement humide, je savourais pour la seconde fois ce contact directement sexuel ! Je me sentais curieusement toute petite et un peu honteuse, car je savais que les lentes caresses qu'il me prodiguait ne dissimulaient plus rien de mon état d'abandon à la moindre de ses exigences. Littéralement, je me sentais fondre sur lui. Je savourais avec délectation le fait qu'il me branle avec une si grande douceur, un peu comme aurait pu le faire la seule caresse du vent... vu l'état dans lequel je me trouvais déjà, prête à réagir à la sollicitation la plus légère ! Il avait, pendant ce temps, approché sa bouche. Du bout de la langue, délicatement, il s'est mis à laper le bout d'un de mes seins, ce qui provoqua en moi des fris***s aussi inattendus que délectables... Sans même m'en rendre compte, et peut-être, au début, tout juste pour chercher un soutien, j'avais glissé ma main dans *** entrejambe contre la couture du pantalon... De la façon la plus naïve et, pour une fois, sans attendre sa permission, j'ouvris habilement sa braguette et introduisis mes doigts à l'intérieur de *** slip. *** petit sexe était encore tout mou mais déjà chaud et gluant dans le creux de ma main. Curieusement, j'avais envie de le dorloter comme on le fait d'un ****** familier. En même temps, sa consistance modeste, alors que je savais qu'en état d'érection, il était tout à fait à même d'offrir tout le plaisir auquel peut aspirer une femme, m'amena à lui donner un surnom : « ma petite coquillette » ! Elle était là, blottie dans ma paume et, une fois encore, nos rapports de domination semblèrent s'inverser. De la femme un peu timide et soumise qui s'était blottie sur les genoux de *** maître, je me sentais devenir la maîtresse d'un jeu érotique et pervers où c'était moi qui le dominait, assise sur lui et possédant au creux de ma main l'objet de sa possible jouissance. Mais je n'avais pas l'intention de le faire souffrir bien longtemps en le plaçant dans une intenable attente. Sa « petite coquillette » m'inspirait plus que tout de l'affection et je me mis à la caresser avec autant de douceur et d'application qu'il en mettait maintenant à flatter mes seins de sa bouche et de sa langue légèrement râpeuse... Nous étions en train de nous masturber l'un l'autre, mais cela était venu avec un tel naturel et une telle douceur que cet échange de caresses avait encore la saveur d'une relative innocence, hormis le fait que ce contact émanait aussi d'une femme mariée, jusqu'ici, en tous points honorable... Par moments, il glissait *** visage dans le creux de mes seins pour y frotter *** joli nez, me léchant au plus profond de ce que lui offrait mon décolleté... Ses petites mains un peu massives avaient entrepris, d'une façon que je dois avouer à la fois habile et tout à fait agréable, de caresser au travers du tissu mes mamelles qui me semblaient être devenues encore plus lourdes et gonflées que tout à l'heure ! Sa verge commençait flatteusement à réagir à mes caresses manuelles et occupait maintenant un volume tout à fait convenable. Alors que je chatouillais ses bourses du bout de mes doigts qui glissaient et se faufilaient le long de ses poils, *** gland m'arrivait désormais au poignet qui était maintenant humecté d'un chaud liquide fluide, prémisse, sans aucun doute, d'une prochaine sécrétion plus onctueuse et épaisse... Mais à nouveau, je ne contrôlais plus vraiment la situation. Il avait glissé *** majeur dans ma culotte et pénétré ma fente d'amour... *** doigt me baisait d'une façon sublime et sa paume massait divinement mon clito... Aussi je m'étais lovée plus encore contre lui et, ayant relevé les jambes, le bas de mon corps n'était plus en contact avec lui que par mes fesses qui se frottaient à ses cuisses au rythme de ses caresses. Au bout de quelques minutes, la crème épaisse et gluante qui recouvrait mes doigts m'annonçait la fin prochaine de nos jeux érotiques. Mais je fus bientôt surprise par la brusquerie avec laquelle il arrêta de me branler... pour me glisser doucement à l'oreille, et j'ai encore l'impression de ressentir le souffle de *** haleine, ces mots qui firent tressaillir mon corps abandonné : — Retirez votre culotte ! Je veux la garder tout humide avec moi... et que vous rentriez à la mai*** cul nu sous votre jolie jupe, pour retrouver votre gentil mari ! Terriblement frustrée par l'interruption soudaine de nos ébats, je me mis à faire glisser la pièce de dentelle effectivement humide et odorante... Il la porta alors à ses lèvres et à ses narines, comme s'il voulait s'imprégner profondément de ma saveur de femme ! Il me regardait désormais droit dans les yeux, et *** beau regard noir me donnait le vertige. C'était comme s'il parvenait à absorber une partie de moi, comme si je devais lui avouer qu'aujourd'hui, après ce qui venait de se passer... j'étais encore plus « sa chose », *** employée, la petite épouse modèle d'un autre, mère de famille en pleine maturité, mais surtout la servante soumise à ses moindres caprices... Je me sentais possédée ! Comme on l'est d'un être cher... ou d'un démon ! Alors que je termine cette lettre, j'ai selon sa volonté posé mes fesses nues sur la banquette en cuir du café. Vu mon état d'excitation et la chaude liqueur qui doit perler encore de mes lèvres intimes, je pense que celui ou celle qui me succédera sur cette banquette se posera peut-être quelques questions... Je ne sais pas si tu es rentré à la mai***, mais si c'est le cas et que tu es un peu trop curieux, je crois que toi aussi tu auras ta petite surprise, s'il te venait l'envie de glisser tes mains sous ma jupe ! Ta femme, ton épouse, qui t'adore... et te trompe.
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chrislebo
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Lundi 4 mai Mon cœur, Samedi soir j'étais impatiente de rentrer, toute à mon excitation qui n'était en rien retombée ! Il faut dire qu'après ces « coquineries » échangées avec Michel, le fait de me balader dans la rue avec la sensation d'être nue sous ma jupe avait fini de me mettre dans tous mes états ! J'avais terriblement peur, si tu étais rentré, que tu découvres mon secret... et en même temps, j'en avais secrètement envie ! Aussi, quand j'ai vu que tu n'étais pas là, j'étais presque déçue ! Je me suis rendu compte que c'était dû au lien particulier qui me liait désormais à Michel et à toi... Je ne pourrais pas lui raconter... comme je ne pourrais pas te l'écrire, la surprise naissante telle que je l'aurais lue sur ton visage. Je ne pourrais pas lui parler des soupçons que tu aurais certainement exprimés à mon encontre... Quand tu es arrivé quelques minutes après moi, alors que j'avais finalement tout juste pris le temps de remettre une culotte, c'était toujours pour afficher cette même confiance envers « ta petite femme chérie », comme tu aimes souvent m'appeler... « Ta petite femme chérie » avait choisi ce jour-là de ne pas se laver en rentrant, pour garder la saveur odorante et puissante de *** patron entre ses doigts... pour sentir encore entre ses jambes l'effet tout aussi odorant, mais cette fois encore humide, des caresses de ce dernier à l'égard de mon petit minou... pour garder aussi la trace olfactive, plus discrète, du forfait commis à peine une heure avant, en préservant les traces de sueur séchée, particulièrement abondantes entre mes seins et à l'intérieur de mes cuisses ! Très vite, j'ai senti ton excitation plutôt inhabituelle, car au retour du boulot, tu as toujours un moment de fatigue... Tu m'as fait sentir que tu avais envie de moi... en m'étreignant et en me caressant les fesses ! Je me disais qu'inconsciemment, mes odeurs « femelles » étaient en train de jouer leur rôle... Mais ta confiance ou ta naïveté t'empêchaient de développer le moindre soupçon vis-à-vis de « ta fidèle épouse ». Cette naïveté, cette confiance aveugle, je me rends compte que c'est un des traits de ta per***nalité que j'apprécie le plus en toi. Après avoir souhaité plus ou moins, peut-être aussi par jeu, que tu devines en partie la vérité, je me dis que, finalement, c'est bien que tu gardes ton innocence, que ton intégrité ne soit pas perturbée par la révélation de la perversité grandissante qui est en train de gagner la mère de tes enfants... Que tu sois totalement vierge de tout cela, de tout ce qui fait que j'ai la sensation qu'une partie de ma vie déborde de moi-même, pour m'entraîner en des lieux inconnus que je devine ne pas être sans risques... J'aime que tu ne saches rien... en tout cas pour l'instant ! J'étais ce soir-là, comme je te l'ai dit, particulièrement excitée et je savais qu'il en était de même pour toi... et pourtant j'ai eu envie de me refuser à mon gentil mari ! Ce n'était cependant ni par sadisme, ni par masochisme. Il y avait comme ce partage en moi qui témoignait en partie de la folie amoureuse qui me gagnait. Je voulais garder le plus longtemps possible la trace exquise du forfait de mon adultère et sa saveur qui recouvrait mon corps, et préserver cette innocence que j'aimais voir en toi. Aussi il ne fallait pas te compromettre à faire l'amour avec celle, qui à cet instant n'était plus réellement ton épouse, mais davantage une catin ! C'était pour nous, ce soir-là, une souffrance mutuelle que je savais que tu respecterais... comme tu m'as toujours respectée. C'était aussi quelque chose qui me rapprochait davantage de toi que si nous avions fait l'amour dans le partage d'un désir refoulé, d'une douleur physique. Ce qui arrivait rarement, je l'ai vécu ce jour-là. Tu t'es masturbé à mes côtés d'une façon qui se voulait discrète, mais je percevais dans la pénombre le rythme accéléré de ta respiration, et tu n'as pu m'empêcher d'entendre avec délectation le soupir étouffé de ta jouissance solitaire ! J'étais si heureuse de savoir que j'en étais la cause ! J'ai attendu que tu t'endormes pour me caresser à mon tour... mais ce n'était pas à toi que je pensais ! Allongée sur le ventre, ma poitrine se frottant aux draps, j'avais relevé mes fesses et je m'imaginais me faire posséder ***********, par-derrière, par mon nouvel amoureux... comme la petite chienne que j'étais devenue ! Ce matin, une fois encore, à peine étais-je arrivée à l'agence que Michel m'a appelée dans *** bureau... Il m'a alors fait chercher une de mes lettres dans mon coffre per***nel pour que je la lui lise. Ce fut un moment merveilleux où j'avais l'impression que le temps était suspendu ! Ce n'est pas que mon écriture puisse avoir quoi que ce soit d'exceptionnel... mais m'entendre lui parler, alors que je parlais à toi, provoquait en moi un trouble indicible. J'avais beaucoup de peine à ne pas rougir lorsque j'arrivais à ces passages où je parlais sans détour de mon désir pour lui. Alors qu'il était là, impassible au fond de *** fauteuil, un léger sourire aux lèvres, je le devinais en train de déguster mes paroles... et puis quand j'ai terminé ma lecture, il s'est levé. — Une fois encore vous avez été parfaite ! Vous savez répondre exactement à ce que j'attends de vous ! Être fidèle à votre infidélité... C'est tellement beau de vous voir assumer comme vous le faites, de tromper votre mari... C'est comme le tromper une seconde fois ! Je sais à quel point je perce votre intimité, lorsque vous me lisez ces lettres qui lui ***t adressées... et j'adore ça ! Et puis il se remit à me dévisager de la tête aux pieds, ce qui devenait un rituel entre nous, avant qu'il ne me demande une faveur... — Hier, j'ai adoré sentir vos fesses contre mes cuisses, surtout lorsque vous étiez complètement lovée contre moi et que je recevais tout le poids de votre corps par la pression de votre cul ! J'ai envie maintenant de le voir et de le remercier à ma manière ! Il n'en fallait pas plus pour que je lui tourne le dos et que je soulève ma jupe afin de lui offrir le spectacle de mes globes fessiers à peine couverts d'une fine culotte de couleur chair et si transparente qu'elle pouvait donner un instant l'illusion que j'étais les fesses à l'air ! Il me dit apprécier le contact de la fine étoffe et le crissement si léger qu'elle provoquait lorsqu'il entreprenait de me caresser la croupe. En vérité sa caresse était si appuyée qu'il s'agissait plutôt d'un massage qu'il s'appliqua à prodiguer à mon postérieur d'une façon intense. C'était à tel point vrai qu'il devait pouvoir découvrir en toute impudeur à chaque pression le relief savoureux et fripé de ma petite rosette. Cette fois, ses gestes étaient moins tendres encore et je me rendais compte que cette ********** comblait totalement mon désir. Celui d'être violentée, pénétrée par celui que je considérais, dès lors, comme mon maître en amour ! Je n'allais pas être déçue ! Sans aucun préliminaire, il me fourra *** large pouce dans l'anus... pour masser cette fois l'intérieur de mon cul ! Et pour la première fois, je me surpris à parler sans plus rien contrôler de mes propos lubriques : — Oh oui, je vous en prie, baisez-moi par là ! C'est tellement bon de me faire fourrer par mon gentil patron ! N'arrêtez pas... n'arrêtez pas, je vous en prie ! Un moment, je perçus ces propos comme ridicules, comme issus d'un mauvais film X... et puis je me suis rendu compte que cela finalement l'excitait. — Vous aimez ça que je vous branle le fion avec mon pouce ? Vous êtes une petite épouse vicieuse ! Qu'est-ce que dirait votre mari s'il devait vous voir comme ça ? Et si je lui avais dit de venir vous chercher à l'agence ? — Je ne peux pas... Je ne veux pas que ça s'arrête, je n'en ai pas la ***** ! Je vous en supplie ! Je ne veux pas qu'il me voie ! Dites-moi que ce n'est pas vrai ! Dites-moi qu'il ne peut pas me voir ! — Et pourquoi n'aurait-il pas le droit de voir sa petite femme chérie se faire doigter le cul par *** patron ? Il a le droit de connaître la vérité ! Je ne savais plus où était la part de jeu dans ce dialogue totalement irréel alors que, sous l'effet du plaisir qui montait en moi, j'étais désormais incapable de prononcer une phrase sans pouvoir m'interrompre... — Finissez-en ! Je n'en peux plus... S'il vous plaît, j'ai si peur qu'il... Je ne veux pas qu'il me voie ! Il ne pourrait pas... comprendre ! C'est alors que quelqu'un frappa lourdement à la porte et je me sentis soudainement prise d'une peur panique ! J'aurais voulu me dérober, mais Michel m'attrapa la nuque pour me faire basculer plus en avant, mes fesses étant relevées dans une position plus obscène encore ! Ce que j'entendis alors me glaça littéralement : — Entrez donc ! J'étais comme paralysée, les jambes tendues, en train de me faire masser l'anus par mon patron, et brusquement je me disais que c'était toi... que Michel m'avait tendu un horrible piège qui témoignait bien de *** esprit pervers et plutôt torturé ! Lorsque la porte s'est entrouverte, je ne savais plus où me mettre ! Je venais de croiser le regard d'Andrew, le jeune hôte anglais de l'agence, qui apportait seulement un document. Il me parut d'un calme désarmant, comme s'il n'était pas surpris... et quitta la pièce, sans plus nous adresser le moindre regard, mais toujours avec cette prestance qui lui semblait décidément naturelle... — Pourquoi avez-vous fait ça ? Pourquoi m'avoir fait croire que c'était lui ? — Parce que j'avais envie de mesurer à quel point vous étiez à moi... Je voulais me rendre compte si vous pouviez vous dérober par peur... et puis j'ai vu que, malgré votre volonté, vous n'en étiez pas capable ! Il avait décidément une assurance qui frôlait l'arrogance ! Mais je ne lui en voulais pas... j'avais finalement envie qu'il me parle ainsi... En définitive, le fait qu'Andrew nous ait vus, qu'il ait vu que j'étais la maîtresse de notre patron, ne me perturbait pas plus que cela... C'était un peu comme si cette aventure, dont je me demandais jusqu'ici si elle n'était pas seulement l'objet de mes rêves, venait de s'ancrer dans la réalité. Ma relation adultère n'existait plus uniquement par le secret que nous partagions, Michel et moi, elle devenait désormais concrète, puisqu'il y avait maintenant un témoin, et je sais que Muriel, la charmante hôtesse qui était, elle aussi, ce jour-là à l'agence, ne pourrait longtemps ignorer ce qui ce passait... Un peu plus tard, lorsque j'ai quitté la boutique et que je leur ai dit à tous deux « à lundi ! », j'éprouvai finalement un sentiment de honte mais aussi de tendre complicité envers ces beaux étudiants qui auraient fait un si joli couple... et qui maintenant savaient !
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chrislebo
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Mardi 5 mai Mon amour, Cela ne fait qu'une semaine que ma vie a basculé, et pourtant j'ai l'impression de vivre cette passion dévorante depuis si longtemps... J'ai envie de te parler de lui, même si je sais que cela peut te faire souffrir, même si je sais que je ne pourrai jamais te faire vraiment comprendre ce qui m'attache à lui avec une telle vigueur ! J'ai envie de te parler de lui surtout parce que j'ai envie de te parler de moi... de ce que tu n'as pas su voir en moi, mais que lui a su déceler dès qu'il m'a rencontrée ! Tu sais combien mon éducation a été stricte à la suite de la mort de mes parents. J'ai alors dû m'affirmer dans un milieu bourgeois ultra catho qui n'était en rien le mien ! Le choc de cette « prise en main » a coïncidé avec la découverte de la puberté et d'une sexualité naissante honteuse. Je me souviens de mes premiers émois, dont je ne t'ai jamais parlé, et que j'ai dissimulés, car ils ne correspondaient en rien à l'image de la « trop sage » étudiante en lettres que tu as rencontrée il y a quelques années... Je n'ai jamais osé te dire que ce qui m'attirait par-dessus tout chez les hommes depuis l'adolescence, c'était quelque chose que je me répugnais moi-même à accepter... jusqu'à la semaine dernière ! J'ai remarqué que bien des hommes qui m'attiraient alors possédaient une part de vulgarité, quelque chose comme de la sauvagerie, si éloignée du cadre de mon adolescence. La première fois que j'ai eu le courage de me masturber, c'était en pensant à mon prof de gym qui était une caricature de gros macho à la voix grave et à la démarche un peu ridicule, doté d'une pilosité et d'une musculature qui nous impressionnait autant qu'elle nous faisait rire, mes copines et moi. Je me souviens alors avoir fantasmé sur ce corps que j'imaginais nu, plus poilu encore qu'il ne devait l'être, se vautrant littéralement sur moi en ayant pris à peine le temps de me dévêtir. J'aimais, pour ajouter à la crudité érotique de ces tendres visions, nous imaginer lui et moi maculés de sueur après un exercice physique, et sentir sa peau brûlante adhérer à la mienne en imprégnant mon corps de cette forte odeur qu'il avait souvent et qui nous laissait penser qu'il ne se lavait certainement pas tous les jours ! C'était précisément ce genre de détail, à l'opposé de l'éducation dans laquelle j'étais immergée qui, elle, ne supportait aucune aspérité, pas la moindre trace de souillure, qui m'excitait au plus haut point. J'aimais, sans souvent oser l'avouer, précisément me sentir souillée ! Comme si faire l'amour avec un homme ne pouvait se concevoir pour moi qu'en étant prise par un individu peu fréquentable, dans une relation dégradante... Je me souviens ainsi, lorsque j'étais étudiante et que j'étais venue récupérer ma première voiture chez le garagiste, avoir été bouleversée, je veux dire attirée sexuellement d'une façon aussi soudaine qu'inattendue, par un ouvrier mécano recouvert de cambouis qui aurait pu être mon père et qui puait la sueur... J'imaginais sa grosse bedaine crasseuse se frotter sur mon ventre pendant qu'il introduirait *** gland baveux entre mes cuisses de jeune femme toujours vierge... Une fois mon amant inavouable parti, je me voyais me regarder longuement dans la glace pour apprécier le spectacle de mon corps à la peau claire et jusqu'ici immaculée... recouvert de traces de graisse et d'huile, de sueur et de sperme ! Ces visions fugitives, j'en ai eu quelques autres par la suite à l'égard de types avec qui je n'aurais jamais pu échanger une conversation soutenue, parce que nous n'aurions rien eu à nous dire... Je me les imaginais toujours rustres et pas très nets, moi l'intello « tirée à quatre épingles »... Et puis je t'ai rencontré ! Et c'est comme si notre liai*** m'avait subitement « lavée » de tout cela. Je me sentais bien, pleinement femme, parce que je me sentais pleinement respectée comme telle ! J'avais le sentiment d'avoir vraiment mûri et d'avoir chassé à jamais ces pensées secrètes. La rencontre avec Michel me prouve qu'il n'en était rien ! J'ai mis cette part essentielle de moi entre parenthèses pendant de nombreuses années... mais depuis ce jour, mes inavouables émotions de jeunesse me reviennent brusquement en mémoire... et avec quelle ***** ! Si ma rencontre avec Michel fait à nouveau émerger cette aspiration à vivre une sorte ************** un peu sauvage, elle m'apporte aussi quelque chose de différent. C'est un peu comme s'il me permettait de réconcilier ces deux parts de mon être : celle qui est avouable et celle qui l'est un peu moins... Ainsi ce qui me séduit et me fascine en lui, c'est le fait qu'il puisse montrer un certain raffinement lorsqu'il m'exprime la nature de *** attirance pour moi avec beaucoup de justesse... même si c'est souvent dans la perversité. Mais c'est aussi le plus grand respect avec lequel il peut s'adresser à la femme « très classe » dont je suis l'incarnation à ses yeux. En même temps, aurais-je le même attrait physique pour cet homme pas spécialement beau, un peu trapu et légèrement ventripotent, s'il n'y avait ce côté vulgaire et un peu ****** qui coexiste en lui et qui si souvent me trouble et me déstabilise ? Là, plus encore, il sait toucher juste... comme à un point sensible de ce que je suis secrètement. Alors j'aspire à ce qu'il soit plus ******, plus injuste, plus humiliant encore... et c'est le spectacle même de ma dégradation possible qui me met au comble de la jouissance ! Je t'embrasse.
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chrislebo
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Mercredi 6 mai Mon tendre chéri, Je t'ai parlé hier en partie de la nature des sentiments qui font que j'éprouve un lien indéfectible envers mon nouveau patron. Mais je me rends compte, encore aujourd'hui par ce que je viens d'apprendre, combien je le connais mal. Il est vrai que je te parle de lui comme si j'étais prête à tout pour le satisfaire y compris à tout quitter ! C'est peut-être pour cela que les lettres que je te destine ont pour moi une valeur si chère... C'est vrai que je suis prête à tout pour lui et que j'en prends conscience davantage chaque jour. Je serais sans doute prête à te quitter, et je réalise maintenant d'une façon évidente que c'est aussi la rai*** de cette correspondance ! C'est précisément parce que je l'aime plus que tout que je me sens prête et fière de pouvoir lui faire un jour, s'il le souhaite, le sacrifice de notre amour... tout en souhaitant secrètement que cela n'arrive pas trop vite ! Pourtant en apprenant ce que j'ai appris aujourd'hui, en d'autres circonstances et avec quelqu'un d'autre que lui, je crois que j'aurais rompu. Je viens de découvrir qu'il me cachait et qu'il avait l'intention de le faire longtemps... qu'il était marié et père de deux enfants du même âge que les nôtres ! Ce qui a attiré mon attention, c'est la rapidité avec laquelle, un jour que je rentrais dans *** bureau, il a refermé un tiroir, comme s'il voulait me dissimuler quelque chose... Par défi et par une audace que je ne me soupçonnais pas, je lui ai demandé de me dire s'il avait quelque chose à me cacher. C'était comme si de maîtresse soumise j'osais pour la première fois me placer telle une concubine attitrée qui demandait des comptes... Il avait du mal à soutenir mon regard pour une fois, et réagit tout d'abord comme un petit garçon qui aurait été pris en faute... et puis après une hésitation perceptible, il a rouvert *** tiroir ! J'ai eu un peu peur du mystère qu'il allait dévoiler... lorsqu'il a sorti la photo encadrée d'une femme qui devait avoir à peu près mon âge et qui avait un visage superbe, avec un joli chignon relevé qui mettait en valeur ses traits. Associée au port d'un fin collier de perles, celle-ci m'évoqua tout de suite l'image d'une grande bourgeoise un peu altière mais au regard si doux ! Je ne mis pas longtemps à réaliser... — Je ne voulais pas t'en parler... Je pensais que tu ne comprendrais pas ! C'est bien le portrait de ma femme ! Le problème entre nous est que, depuis des années, elle n'a plus aucune attirance physique pour moi. Cela remonte même à plus de vingt ans ! Un peu après la naissance de nos deux fils, elle qui n'a jamais été d'une sensualité débordante m'a clairement signifié qu'elle n'avait plus aucun désir pour moi... et que ça ne lui posait pas de problème ! Que maintenant qu'elle s'était engagée avec moi et qu'elle avait des enfants, elle pensait pouvoir vivre à mes côtés comme une épouse sérieuse et appliquée. Il m'a précisé qu'elle entendait par là aussi ne pas se dérober lorsqu'il aurait le désir de se satisfaire sexuellement avec elle, mais qu'elle ne voulait pas non plus jouer la comédie en lui faisant croire qu'elle éprouverait du plaisir dans ces étreintes. — C'est ainsi qu'a commencé une longue et nouvelle relation entre nous, faite d'une grande complicité et d'une franchise sans faille et qui était plus de l'ordre de l'amitié et de la confiance que du véritable amour. Depuis ce jour, non seulement elle n'a plus exprimé aucun désir d'ordre sexuel, mais elle a cessé quasiment de me toucher tout en témoignant de *** attachement à ce que notre relation se prolonge comme si de rien n'était. Ainsi, nous avons continué à donner l'apparence d'un couple comme les autres où le plaisir charnel ne serait plus jamais partagé ! J'étais stupéfaite de ressentir cette intrusion soudaine d'une femme dans ce que je croyais être mon intimité exclusive avec Michel ! Je ressentis tout d'abord une blessure, un profond sentiment de trahi***, et puis curieusement très vite j'ai pensé à ma propre situation. Ne suis-je pas moi-même une épouse qui vit en parallèle deux relations, qui se partage entre deux hommes et qui de plus entretient avec eux une activité sexuelle ? Soudain, après m'être sentie propulsée si loin de lui et renvoyée à une cruelle solitude, j'ai éprouvé cette révélation comme quelque chose qui nous rapprochait. Il y a chez lui cette même duplicité qui est la mienne, si ce n'est que toi, tu éprouves toujours un profond désir pour moi... — Est-ce que vous continuez à lui faire l'amour ? Une fois encore mes paroles m'ont surprise, par l'assurance et la détermination retrouvée que j'avais à connaître, plus encore, la vérité... même si cela devait me faire souffrir ! Il a continué ainsi d'un ton assez neutre : — Il s'est établi dès le début un accord entre nous... Elle m'a dit ne pas vouloir se dérober à « *** devoir d'épouse » et, malgré une certaine froideur et une distance ressenties au quotidien dans notre relation physique, elle s'est dite prête à se plier à mes désirs... « Autant de fois que j'aurais envie de me soulager en elle ! »... Ainsi paradoxalement, nous avons fait l'amour... ou en tout cas baisé, bien davantage à partir du moment où elle n'en a plus éprouvé aucune satisfaction, si ce n'est celle d'apporter un peu de soulagement et de plaisir à *** mari... et d'éviter ainsi que je sois tenté d'aller voir ailleurs ! Cette dernière réflexion me rendit soudain un peu perplexe et doublement fautive. À la faute de l'adultère vis-à-vis de toi, mon tendre époux, venait s'ajouter celle de la tromper elle, cette femme dont j'ignorais un instant auparavant l'existence, et pour laquelle j'éprouvais soudainement une certaine tendresse... Il continuait : — Dès que j'en avais le désir, je pouvais « la prendre vite fait » dans la position et à l'endroit que je souhaitais et, si nous avions un peu de temps, elle ne se dérobait jamais. Bien sûr, toutes ces révélations provoquèrent un certain trouble en moi. J'avais l'impression de vaciller entre deux mondes. Je ne savais plus ce qui était réel ou non. Je ne savais pas même où était mon propre désir dans cette relation avec Michel qui avait tout renversé dans ma vie, et dont je découvrais un peu plus la vraie nature ! Je ne savais pas non plus pourquoi, après m'avoir dissimulé jusqu'à *** existence, celui-ci se complaisait à me décrire avec une telle sincérité le fait de faire l'amour avec une autre femme, jusqu'à m'apporter des détails que je ne lui demandais pas. Était-ce pour m'éprouver ou pour soulager sa conscience ? — Depuis, cela s'est passé souvent dans la cuisine... avant le p'tit dèj ou quand elle préparait le repas. Je n'avais pas un mot à lui dire... Il me suffisait de retrousser sa robe ou sa jupe et d'écarter sa culotte pour m'introduire en elle. C'était toujours un rapport bref et sans tendresse ! Elle reprenait alors ses occupations comme si de rien n'était... Cela pouvait se produire aussi en plein repas, bien sûr, les jours où les enfants n'étaient pas là. Je pouvais lui demander par exemple d'ajouter un breuvage très particulier à *** menu, par une simple pression sur l'épaule. Elle venait alors s'agenouiller sous la table et elle me gratifiait d'une fellation bienfaisante avec l'application studieuse d'une jeune bourgeoise qui veut satisfaire en tous points *** mari. Là encore, une fois rajustée, elle reprenait la conversation comme si de rien n'était... Mais cela pouvait se produire aussi, bien sûr, hors du cadre de la mai***... dès que les circonstances, là aussi, le permettaient. Je me souviens ainsi de la visite de l'intérieur de la vierge du Puy où je l'ai prise en levrette alors que nous entendions des pas dans l'escalier... De cette autre visite tout en haut d'une tour médiévale où je lui ai léché la chatte tout en me masturbant et en abandonnant sur place une petite flaque de sperme que de proches visiteurs, croisés l'instant d'après, ont bien dû découvrir ! Il nous arrivait aussi d'avoir parfois l'audace de « forniquer » à la sauvette chez des amis chez lesquels nous étions invités. Nous prétextions un besoin d'aller fumer ou d'aller aux toilettes pour nous enfermer dans leur propre chambre ! J'avais un plaisir particulier, je ne sais pas pourquoi en ces circonstances, à l'enculer à sec debout contre le mur... et elle se laissait toujours faire avec beaucoup de dignité. J'appréciais particulièrement ensuite de la voir retrouver à table les convives avec une égale prestance... quand j'étais le seul à savoir *** anus maculé de ma semence! Je l'écoutais mi-prostrée, mi-fascinée. Je voulais savoir et n'en pouvais plus de savoir. Mais même si j'avais conscience que cela devait me faire souffrir, je lui demandais d'une voix peu assurée : — Vous parlez au passé... mais vous continuez à avoir des rapports avec elle ? — Oui, mais de moins en moins... et j'en tire de moins en moins de plaisir. — C'était quand, la dernière fois ? Il eut un moment d'hésitation. Jusqu'à présent, pendant cette longue confession, il n'avait plus eu la ***** de soutenir mon regard... que j'essayais de capter, moi, désespérément. Cette fois, il plongea celui-ci dans le mien, intensément... — Je l'ai fait à nouveau avec elle plusieurs fois cette semaine... mais je dois vous avouer qu'à chaque fois c'était en pensant à vous ! À chaque fois je m'imaginais, en fermant les yeux, que c'était vous que je prenais... Je me suis mis à nouveau... je veux dire que j'ai eu à nouveau le désir de la posséder, parce qu'à nouveau j'ai eu du désir... grâce à vous ! À chaque fois, c'est avec vous que j'ai envie de faire l'amour ! Après un silence où il n'avait cessé de me regarder fixement... — Je vous aime... et en même temps je ne sais comment vous aimer ! Avec vous, j'ai envie de prendre mon temps. Je sais que c'est totalement différent... Je veux dire que je ne peux m'imaginer faire l'amour avec vous comme je le fais avec elle, en sachant qu'elle n'a pas de réel plaisir ! J'ai envie de faire vraiment l'amour avec vous, avec tout ce que cela implique d'engagement affectif. Même si je dois parfois vous paraître cruel, comme à cet instant en vous parlant de ma femme... Je veux que vous sachiez que je ne veux vous *****r en rien... Après ce que je vous ai dit, je comprendrais que vous vouliez me quitter. Je veux dire quitter cette agence ! Il ne m'avait jamais semblé aussi beau. Je le croyais vraiment sincère et j'étais vraiment émue de *** témoignage et de la confiance qu'il semblait placer en moi. En même temps je perçus pour la première fois qu'il devait avoir peur, qu'il était suspendu à une réponse de ma part ! C'est alors que, sans plus réfléchir, je me suis doucement approchée de lui. Comme l'autre fois, je me suis assise sur ses genoux et puis j'ai déboutonné mon corsage pour libérer un sein, sans même défaire mon soutien-gorge, et je l'ai porté à sa bouche ! C'était un instant d'une tendresse infinie. Il me tétait comme l'aurait fait un petit enfant. Je n'avais d'autre désir que de le rassurer... et je crois que *** attitude, toute à l'abandon et à la jouissance de l'instant, me rassurait aussi. Je fis glisser mes doigts dans ses cheveux en un lent et tendre massage jusqu'à sa nuque, que je me mis à caresser. Pendant ce temps, j'observais avec ravissement mon patron, que je savais maintenant marié et père de famille, sucer avec délice mon mamelon, et une attention exquise à ne pas me faire mal... Je savourais de façon intense l'avidité qu'il avait à me « boire », même si je n'avais pas de lait ! Il a ensuite glissé sa main sous mes vêtements pour caresser l'autre sein. Cette double caresse de ma poitrine commençait à faire *** effet, et je ne voulais pas être en reste... Moi aussi, j'ai glissé ma main sous la barrière du tissu pour atteindre sa « petite coquillette ». Sa proportion encore modeste m'attendrit comme l'autre jour, mais je prolongeai mon attouchement et bientôt chacune de mes mains flattait une part de sa pilosité : celle éparse qui parsemait ses bourses... et celle à peine plus fournie qui recouvrait *** crâne. Mais bientôt *** sexe se raidit et prit un certain volume et je le libérai d'un geste rapide, ayant dégrafé sa braguette. Je pouvais ainsi le branler librement. Ce qui avait aussi gonflé pendant ce temps, c'est ma poitrine trop serrée dans mes vêtements. Sans doute pour répondre au soulagement que je venais de lui apporter en libérant *** sexe, Michel la libéra de toute contrainte, faisant sauter une simple attache entre mes seins. C'est maintenant goulûment qu'il entreprenait de les lécher, de les sucer, de les mordiller. Je ne me maîtrisais déjà plus et me mis à le supplier : — Je vous en prie, sucez-les encore ! Mordez-les... n'hésitez pas ! Je savais pleinement que ce que nous faisions n'était pas bien en pensant à toi, mais je n'avais surtout pas envie d'arrêter... J'avais seulement envie de sentir la culpabilité dans ma chair ! D'un autre côté, je le masturbais moi aussi sans ménagement, et je découvrais aussi sa complaisance à ressentir sa propre douleur ! — Vous aussi allez-y plus fort ! Branlez-moi... même si j'ai mal ! Griffez-moi les couilles avec vos ongles ! Cela peut te paraître étrange que nous continuions à nous vouvoyer... après tout ce qui s'est déjà passé entre nous. Maintenant cela m'apparaît avec plus d'évidence ! Notre liai*** doit rester singulière. Pour chacun d'entre nous, elle coexiste avec celles qui paraissent plus « légitimes ». Garder cette distance verbale entre nous, c'est aussi en partie nous préserver. Nous préserver, par exemple, de certains dangers de la routine et de la familiarité. Cela maintient quelque chose de la fraîcheur de la découverte, quand, au début d'une relation, on n'a pas encore l'illusion de se connaître. Nous devons rester l'un pour l'autre avant tout un mystère. Et c'est vrai que si, chaque jour, j'ai l'impression de découvrir davantage ce qu'est vraiment la per***nalité de mon patron, de mon amant, je dois avouer que j'ai bien conscience de la distance qui nous sépare. Et puis, il y a celle qui résulte de notre présence-absence, toi et moi ! Lorsque nous ne sommes pas l'un avec l'autre... nous savons que nous pouvons nous retrouver dans les bras l'un de l'autre et y puiser l'apparence d'un réconfort bourgeois. Avec lui, c'est précisément ce que nous voulons éviter : tout ce qui est de l'ordre de « l'installé », du confort ! Cela nous aide aussi à mieux vivre l'ambiguïté, d'avoir à connaître deux relations affectives à la fois ! Mille baisers de ton épouse qui t'aime !
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chrislebo
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Jeudi 7 mai Je m'aperçois que ma relation ************ « suspendue » avec toi, prend une part non négligeable de mon temps et de ce qui est mon travail chaque jour. Elle instaure ainsi, paradoxalement, le ren*****ment d'un lien entre nous. Celui d'une femme à *** mari qui en vient à rendre des comptes, même si par ce moyen, c'est aussi rendre des comptes à mon amant... Je suis avec toi en pensées plus souvent que tu ne le crois et en même temps, si tu savais à quel point lorsque je suis avec toi... je pense à lui ! Cette situation fait que j'ai l'impression d'être doublement conquise et comblée, par le petit mari tendre qui a une totale confiance en moi et qui m'aime tendrement et exclusivement, et par l'amant fougueux, passionné et avide de moi qui m'avoue pourtant ne pas avoir rompu sexuellement avec sa propre femme ! Avec Michel malgré, ou peut-être à cause, de la révélation du fait qu'il trompe lui aussi... qu'il trompe sa femme avec moi ; j'ai l'impression de vivre un nouveau rapprochement, une complicité plus étroite qui émane de notre double secret. J'ai perçu combien, en arrivant ce matin au travail, je me sentais plus qu'une simple maîtresse. Quelque chose de formel s'installait entre nous. Tous les matins, peu après mon arrivée, je me rends compte que mon emploi du temps intègre cet « entretien » privé avec mon supérieur. Une fois encore, il m'a demandée de lui lire aujourd'hui un extrait de mes lettres. Il a voulu que je ne m'arrête pas. Il souhaitait continuer à entendre le « joli *** de ma voix », me voir parler en quelque sorte à mon mari... pendant que je me laissais faire. L'extrait que je lui ai lu ce jour-là a été beaucoup plus long que d'habitude et j'ai continué ma lecture tant que je l'ai pu, tant que mon corps, soumis à ses caresses et attouchements, m'en a laissé la ***** ! Il s'est d'abord glissé derrière mon siège pour me caresser la poitrine sans chercher tout d'abord à ôter mes vêtements. En se penchant vers moi, il m'a gratifiée de petits baisers dans le cou dont la ***orité délicate et brève m'émoustillait autant que le doux contact. Et puis j'ai senti sa langue effleurer délicieusement ma nuque. Parfois quelques mots tendres parvenaient à mes oreilles, sans que je ne cesse pour autant de lui parler... de te parler, en lui dévoilant la teneur de mes écrits. Il me flattait à propos de mon parfum, de la douceur de ma peau... de la fermeté de mes seins. Il ne les caressait plus vraiment, mais les massait, les pétrissait, comme si, tel un artisan, il souhaitait en apprêter la forme avant de leur accorder une attention plus fine et rigoureuse... Et c'est ce qui se passa ! Finalement il vint s'agenouiller entre mes jambes, mais ce ne ***t pas elles qui pour l'instant retenaient *** attention. Autant il avait été doux et d'une patience infinie lorsqu'il était placé derrière moi, autant en m'offrant le spectacle de *** regard vicieux irrésistiblement porté sur ce qu'il appelait mes superbes nichons, il m'apparut dévoré par un désir sauvage et soudainement ******. Il fit sauter deux boutons de mon corsage et ne dut pas prêter une attention extrême à la finesse délicate de ma lingerie, car il découvrit un de mes mamelons pour le téter aussitôt, goulûment, comme un jeune veau l'aurait fait, ayant été sevré durant plusieurs jours des mamelles gorgées du lait de sa mère ! En me tétant, en me suçant, en aspirant bruyamment mes bouts de seins, il me fit pousser les premiers soupirs qui commençaient à entrecouper mes phrases. Mon excitation était soudaine, *******, savoureusement inédite... tu ne m'avais jamais sucée comme ça ! Comme si sa violence ne suffisait pas, je voulais en rajouter, et comme je ne pouvais le faire par les mots, concentrée encore en partie par ma lecture, je lui agrippai d'une main la tignasse comme pour me branler la poitrine avec sa bouche. Il se mit alors à mordiller mes tétins, puis à les mordre sans trop de ménagement, mais je n'eus aucun geste de recul, bien au contraire. Et tout en lui signifiant de ma main libre combien j'appréciais également cette étreinte douloureuse, je dus cette fois interrompre ma lecture... — N'arrêtez pas ! Mordez-les moi plus fort ! Bouffez-moi les nichons ! Je n'en revenais pas, que ces paroles sortent de ma bouche ! J'avais l'impression d'être devenue quelqu'un d'autre... et pourtant j'étais cette même femme discrète et sérieuse, un peu honteuse aussi de lui avoir lu tes lettres. C'était moi, l'épouse et la mère de famille, jusqu'ici bien sage et réservée, qui me mettais à éructer des obscénités à l'égard d'un homme qui n'était pas mon mari et que je vouvoyais ! — J'ai envie de vous ! C'est tellement bon de vous sentir me dévorer les seins... J'ai envie de votre bite ! ... S'il vous plaît baisez-moi ! Je veux vous sentir en moi ! Je ne savais plus moi-même où j'étais et je crois qu'à cet instant je me serais peut-être laissée me faire baiser par n'importe quel inconnu ! Il faut dire que mon « amant de travail » se montrait sous un jour nouveau ! Je n'étais plus en présence que d'un rustre, d'un « mâle dominant » décidé coûte que coûte à satisfaire ses pulsions ! Quant à moi, je m'apprêtais à lui offrir l'abandon le plus total de mon corps, après lui avoir livré celui de mon esprit. C'est avec cette même rudesse qu'il a abandonné brusquement mes seins pour enfouir sa tête sous ma jupe. Le mot sauvagerie est ce qui correspond le mieux à *** comportement soudain. De même, je me sentais désormais plus femelle que femme, comme si j'étais envoûtée et gagnée par cette part de bestialité qui semblait exulter de tout *** être. L'homme qui me lapait la chatte sans aucune tendresse, évidemment j'avais conscience que ce n'était pas toi ! Et je dois dire que c'était bon aussi parce que c'était la première fois, la première fois que je me faisais brouter comme cela... Mais curieusement à ce moment-là, je n'avais pas non plus l'impression que cet homme entre mes cuisses, c'était Michel. Il n'était plus ce patron, exigeant mais patient, qui aimait faire durer le désir, qui aimait savourer l'idée que je puisse un jour m'offrir à lui. Je le voyais pourtant qui fourrait désormais sa langue dans mon minou ! Bientôt, il se mit à sucer mon clito avec la même gourmandise et la même vigueur que mes bouts de seins l'instant d'avant. En me penchant vers eux pour en éprouver l'état, je ne les reconnus plus, eux aussi... Ils étaient rouges et tuméfiés comme de petites verges, qui auraient voulu encore tellement qu'on les agace et les flatte ! Là encore, je me rendis compte que la montée de mon plaisir était associée à une exquise douleur. Celle de sentir le frottement énergique de *** visage sur mon sexe, de sa bouche, de sa langue, de *** nez, fouinant sans ménagement au tréfonds de mes petites lèvres. Par la suite, ce ***t mes propres mains qui ne se ***t plus contentées de caresser et de masser mes seins, mais désormais les pinçaient, les griffaient sans aucun ménagement. Mon plaisir sans équivoque devenait celui d'une jouissance délicieuse de caresses sensuelles, mêlée de la saveur de la souffrance qui imprégnait mes chairs. Et puis rapidement, cela ne me suffit plus. Je n'en pouvais plus de lui... Il fallait qu'il me prenne ! — Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi !... Mon amour !... Il n'en fallait pas plus. Déjà, il s'était extirpé de ma jupe pour saisir soudainement mes chevilles. Il releva mes jambes sans ménagement et arracha ma culotte. Il avait devant *** visage, rougi par ses profondes caresses autant que par *** désir sauvage, le spectacle de mon sexe nu tout aussi écarlate. Celui-ci était à peine paré de poils fins que j'avais pris soin de tailler soigneusement, rien que pour lui, en un petit triangle, comme un écrin pour l'accueillir... Mais il ne s'attarda pas longtemps sur ce touchant spectacle d'une femme à l'abandon, qui offre ce qu'elle a de plus cher et de plus intime à un homme qui n'est pas *** mari ! Déjà il avait glissé sa verge en moi ! Enfin, je lui appartenais complètement, exclusivement et totalement ! Je ne peux pas te décrire à quel point j'étais heureuse et comblée ! Je me faisais baiser par mon patron chéri ! Il me besognait avec la ********** et la maladresse d'un puceau, mais aussi avec la même fougue qu'un soupirant accédant enfin, après des années, aux appâts les plus convoités d'une princesse ! Il me pilonnait sans délicatesse. Quel plaisir que d'accompagner ses saillies en empoignant ses fesses velues, tout en fourrant mes doigts dans la raie de *** cul ! — Allez-y ma belle... palpez-moi la raie... et griffez-moi l'anus ! J'étais *** employée, j'étais sa servante. Une servante qui se faisait baiser comme jamais. Je n'étais plus une femme, j'étais un sexe en feu qui se faisait limer... J'étais une croupe embrasée par les frottements du cuir... une paire de seins lourds et tendus qui ballottaient impudiques, à chaque secousse. J'étais ce corps inondé de sueur qui sentit bientôt dans ses entrailles la brûlure du foutre s'écouler en elle et la souiller. Je n'étais plus qu'une pute qui trompait *** mari et qui adorait ça ! Excuse-moi de te le dire encore, mais il est le seul qui ait pu me faire connaître une telle jouissance. Mais en même temps, si la part qu'il me restait d'esprit n'avait pas été à cet instant en partie avec toi, est-ce que j'aurais joui avec la même plénitude ? Je n'en suis pas vraiment sûre ! Ta femme qui continue toujours à t'aimer très fort... même en prenant *** pied avec un autre !
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chrislebo
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Vendredi 8 mai Malgré ce que je t'ai évoqué, si je dis que la relation que j'ai avec Michel est sans tendresse, je ne te dis pas la vérité. Or, le pourquoi, la rai*** de ces lettres, est de te rendre compte le plus fidèlement possible des différents aspects de ma liai*** avec lui. Je ne connais pas à ses côtés, lorsque je suis nue contre lui, cette affection tendre et douce, presque fraternelle que nous partageons, et qui je crois, est le privilège des couples qui vivent ensemble depuis bien longtemps. Tu fais partie de l'univers familier et rassurant qui est le mien. Je sais qu'avec toi je ne risque rien. J'ai la conviction que tu ne peux me faire volontairement du mal et j'aime à croire que me tromper ne t'a jusqu'ici pas effleuré l'esprit. Il en était de même pour moi jusqu'ici, avant que je ne vienne, il y a seulement quelques jours, pour me rendre à mon entretien d'embauche... Au moins consciemment, je n'avais pas jusqu'ici désiré te tromper parce qu'il me semblait me retrouver totalement en toi. J'avais l'impression que tu avais la capacité de combler entièrement mes désirs de femme et d'épouse. Mais ma rencontre avec Michel, m'en a révélée d'autres, enfouis et inavouables, que je ne peux avoir à envisager avec toi sans avoir à te blesser. Et puis il y a cette autre dimension. J'ai confiance en toi en toute sérénité comme étant un être protecteur qui me préserve souvent des duretés de cette vie. Mais je me suis rendue compte qu'à tes côtés j'étais devenue, en même temps qu'une femme fidèle à *** foyer, un peu aussi une femme-enfant. Dès lors, une part importante de ma féminité s'est trouvée étouffée dans ce cadre trop confortable. Avec Michel, je vis des sentiments et des émotions bien différents, en ce sens où j'ai confiance en lui et en même temps, j'ai peur. Je me sens prête à tout partager sans savoir même où il veut m'emmener. Je me demande si ce qui me rassure chez lui, ce n'est pas finalement *** pouvoir et l'autorité qu'il a sur moi. Je me sens d'ailleurs incapable de contester des ordres futurs qu'il pourrait m'adresser, même si jusqu'ici il ne m'a forcée en rien. Avec lui je suis prête à avoir peur, comme je suis prête à devoir souffrir si cela est nécessaire. Avec lui déjà, j'ai peur de découvrir d'autres mystères... et en même temps j'en ai envie ! J'ai l'impression que l'insécurité, le sentiment de trahi***, la douleur physique et morale éveillent en moi des sens qui s'étaient assoupis à tes côtés sous ta protection et ta tendresse. J'ai l'intuition de vivre une renaissance, comme si d'un seul coup mon existence un peu terne retrouvait du sens. Je sais pourquoi j'existe... J'existe pour lui ! J'existe pour satisfaire ses exigences et combler ses désirs ! J'existe à travers lui en quelque sorte et pourtant je ne cesse pas vraiment de penser à toi ! J'ai l'impression d'ailleurs que mon épreuve la plus douloureuse sera celle-là. Celle qui m'imposera de faire un choix entre ces deux aspects de mon identité de femme. Mais peut-être que j'ai déjà choisi sans me l'avouer... sinon pourquoi ces lettres ? Pour revenir à la tendresse que je partage malgré tout avec Michel, et qui est si différente de la tienne, elle s'apparente à un réconfort nécessaire, une accalmie, après m'avoir fait franchir un pas supplémentaire vers lui et vers des territoires inconnus. Ainsi, suite à l'âpreté et la rudesse que j'ai connues ces derniers jours, liées à la révélation de sa vie conjugale et à ************** un peu sadique qu'il peut exprimer dans sa sexualité, j'ai retrouvé à ses côté une attention d'une douceur extrême... Même si je sais déjà qu'il me faudra affronter d'autres défis et vivre, sans doute, d'autres révélations douloureuses ! Il a su, en tout cas, se montrer particulièrement doux et tendre aujourd'hui. En m'accueillant, il m'a dit vouloir me détendre. Il souhaitait se faire pardonner de sa conduite d'hier. Il me disait qu'il m'avait manqué de respect. J'aurais voulu l'excuser, lui avouer combien j'y trouvais mon compte... Mais j'aimais le voir ainsi, comme s'il avait une dette envers moi. Il m'a fait m'allonger sur le ventre, sur le large canapé qui longe le mur opposé à la fenêtre, et a commencé par me masser délicatement la nuque. C'est ensuite le haut de mon dos qui a bénéficié de ses attouchements. Je lui ai ainsi découvert un don supplémentaire. Il masse divinement bien, et ce fut pour moi un moment d'une détente exquise qui, bien qu'empreint de sensualité, n'avait alors aucune connotation sexuelle. Excuse-moi encore pour cette comparai*** qui pourra te blesser, car je sais l'importance de nos petites séances de massages réciproques, mais je n'ai jamais été touchée, frictionnée, malaxée, pétrie... avec un tel bonheur. Il parvint alors par le simple contact de ses mains habiles, à me faire retrouver cette harmonie, cette unité de tout mon être, malmené ces derniers temps par tant de désirs opposés. Il réussit par la magie de ses manipulations à me faire apprécier simplement mon corps de femme qui gardait encore les séquelles des petites violences et agacements de la veille. J'étais plongée dans un bain voluptueux d'une exquise tendresse. La fermeté des pressions qu'il exerçait patiemment sur chaque partie de mon corps alternant avec la douceur de ses caresses, me firent accéder à une jouissance d'une nature singulière. Une fois encore, je me rendais compte que je lui étais redevable de me faire découvrir une part inconnue de ce que je suis vraiment. Cette femme si coupée d'elle-même, si étrangère à sa propre identité ! Il m'aidait à devenir une per***ne, à redevenir quelqu'un... à être pleinement féminine, et non plus seulement la docile et attentive épouse que tu connais. Une fois ce long massage terminé, sans qu'il ait cherché à me prodiguer le moindre attouchement directement sexuel, la seule reconnaissance qui me parut naturelle fut de lui prodiguer un délicat baiser sur le front. Je t'embrasse fort, Ta chérie qui t'aime...
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chrislebo
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Samedi 9 mai Mon amour, Quand je te disais que les jours ne se ressemblent décidément pas dans la relation tumultueuse que j'ai avec Michel, je ne pensais pas si bien dire. À cet instant, c'est la souffrance de la lucidité qui me « travaille » à nouveau et m'angoisse. Devoir passer de la confiance à la crainte, au soupçon, à la peur, certainement que cela me rend compte combien je suis en vie et combien je suis amoureuse... mais par moments j'ai l'impression que je pourrais tout perdre. Je sens que notre relation naissante est encore si fragile. J'ai peur qu'il me quitte pour une autre !... Et je sais que si je le perds, je t'aurais de toute façon perdu en partie toi aussi, car rien ne pourra jamais plus être comme avant ! J'avais, pendant ces moments de grâce, effacé de mon esprit que Michel devait avoir et avait tout... pour être un homme à femmes. *** aisance, *** bagou pour flatter ma part de féminité, les objets et tableaux qui parsèment *** bureau, sa capacité de dissimulation pour ce qui était de sa relation toujours vivante, au moins sur le plan sexuel, avec sa femme, sa passion évidente pour le sexe, et *** fétichisme... Au fond, je me disais qu'il me cachait encore la vérité. Ce n'était pas possible qu'un homme comme lui ne s'intéresse qu'à moi, n'ait du désir que pour moi. Je me mettais également à le soupçonner de me mentir sur la nature réelle de sa relation conjugale. Sans doute le désir qu'il avait pour sa femme n'était pas exclusivement la transposition du désir qu'il avait pour moi... Bien que je continue moi-même à me plier sans déplaisir à mes devoirs d'épouse en faisant l'amour avec toi, l'idée qu'il puisse lui, continuer à prendre du plaisir avec une autre, insinuait insensiblement en moi sa dose de souffrance, comme l'aurait fait un lent poi***. Certainement, j'étais consciente de ce que je faisais ce jour-là, en arrivant plus tôt que prévu à l'agence. Et je crois, avec le recul, que c'est la preuve d'un certain masochisme naissant en moi. Il m'avait laissée les clés, tout en insistant fermement pour que je n'arrive jamais avant 9 h 30. Ainsi chaque matin, je suis d'habitude la dernière à arriver à l'agence, et j'ai le plaisir d'être accueillie dans la boutique par les charmants sourires de Muriel et d'Andrew. En entrant ce matin-là et en ne voyant que ce dernier, visiblement embarrassé, pour la première fois ne me gratifiant pas de *** sourire radieux, j'ai tout de suite compris qu'il se passait quelque chose ! Je l'ai vu esquisser un mouvement vers le bureau du patron, mais cela m'a déterminée plus encore à me diriger vers sa porte, consciente et inconsciente à la fois du spectacle que je craignais de découvrir ! Ces quelques secondes m'ont paru brèves et interminables à la fois, car j'ai eu le temps de repenser à tout ce qui me faisait craindre d'avoir été à nouveau trompée. Je me disais que cette fille était si jolie... et je repensais au regard concupiscent de Michel que j'avais cru percevoir bien des fois et qui ne s'adressait pas qu'à moi ! Quand j'ai ouvert la porte, j'ai essayé de faire le moins de bruit possible et je les ai découverts là... lui assis à *** bureau, comme à *** habitude... et elle tout naturellement, installée face à lui, en train de prendre les notes qu'il lui dictait ! J'ai cru percevoir chez elle un léger soubresaut quand, malgré mes efforts, le bruit de mes pas a percé le silence de la pièce. Lui, il était resté impassible comme à *** habitude. — Excusez-moi de vous déranger, mais j'étais en avance et... En fait je ne savais trop quoi dire et je m'en voulais déjà d'avoir eu des pensées aussi déplacées... Et puis elle s'est tournée vers moi. J'ai bien cru que je les dérangeais, et c'est vrai que c'est la première fois que je m'immisçais dans leur travail, à cette heure de la journée. En voyant pour la première fois Muriel assise dans ce bureau, dans un cadre pour moi chargé de tant de souvenirs et d'émotions, et à une place où j'avais déjà commis avec mon maître bien des forfaits, je ne pus m'empêcher de ressentir un trouble... Elle était tellement jolie et fraîche dans *** petit tailleur ajusté et toujours aussi coquette et belle ! Quand elle s'est relevée comme pour me céder la place, j'ai eu l'impression de la découvrir pour la première fois ! Elle était si jeune ! Elle pourrait être ma fille et en voyant cette longue et fine silhouette parée de tous les atours harmonieux qui attirent le regard des hommes... je me rendis compte que j'étais moi-même sous le charme ! C'était la première fois qu'à un tel point, en parcourant des yeux la superbe anatomie d'une femme, je fus surprise d'un désir spontané : la voir entièrement nue devant moi et m'approcher, ayant ôté mes vêtements, pour sentir la douceur et la chaleur de *** corps contre le mien ! C'est avec la même évidence que mon regard fut attiré par *** joli décolleté qui était comme à *** habitude tout sauf provoquant, mais qui pourtant laissait entrevoir de bien jolis appâts. Était-ce la perception chez elle de la nature singulière du regard que je portais sur elle, ou l'effet de la surprise provoquée par mon introduction dans ce bureau, ou bien une conséquence de mon imagination ? Mais j'aurais juré avoir vu ses jolies petites joues rosir ! Lorsqu'elle s'est éloignée pour me laisser seule avec lui me confronter à des explications que je ne savais comment formuler... j'étais fascinée par tout ce qui se dégageait d'elle : ce parfum exquis et pur qui imprégnait la pièce, la grâce de sa démarche, le spectacle de la courbe de ses hanches ondulant d'une façon si plaisante... Et puis il y avait *** petit cul ravissant et ferme, moulé avantageusement dans une jupe étroite, qui se balançait sans excès... Cette séduction qui paraît si naturelle chez certaines jeunes femmes qui n'ont guère à s'apprêter pour capter le regard des hommes, était avantageusement servie par le port de chaussures à talons qui soulignaient la cambrure de ses reins. Ce n'est que lorsqu'elle a franchi la porte que j'ai vu le détail qui curieusement brisa en moi cette délicate harmonie. La sangle de sa chaussure droite était défaite. Je fus étonnée par cette constatation, et plus encore par le fait qu'elle n'ait pas pris soin de la remettre... Il était impossible qu'elle ne ressente pas cette absence de lien sur sa jolie cheville ! Le reste de la journée s'est déroulé normalement et finalement assez sagement. Une fois que je me suis tirée de justifications un peu embarrassées mais finalement crédibles, Michel s'est « contenté » ce jour-là de m'écouter lui lire une nouvelle lettre, assise sur ses genoux, pendant qu'il tripotait mes seins sous mes vêtements sans même les dénuder ! Mais au moment où je t'écris, et malgré l'agitation du café qui me distrait encore, je me rends compte sans trop savoir pourquoi, que la vision de cette chaussure défaite continue d'occuper mes pensées... Je t'embrasse et je suis contente de bientôt te retrouver... Ta chérie qui t'aime...
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chrislebo
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Lundi 11 mai Mon petit mari, Lorsque je suis venue te rejoindre en fin d'après-midi après cette dure semaine, car tu étais cette fois à la mai***, j'avais sans doute du mal à dissimuler combien j'étais contrariée. J'ai accueilli ton attention et ta tendresse comme un moindre réconfort, et dans tes bras un peu plus tard, lorsque nous nous sommes couchés, je ne pensais plus à Michel seulement, mais à Michel et à Muriel, à Michel avec sa femme, et aussi, pour la première fois, à Michel pouvant être dans les bras d'autres femmes ! Il y avait quelque chose qui s'était brisé en moi et en même temps, je constatais combien ma passion restait intacte. Je l'aimais plus que tout, j'avais envie de lui et qu'il me fasse l'amour, mais je n'arrivais plus à croire qu'il puisse m'aimer exclusivement. Quand je me suis retrouvée nue contre toi et que tu as commencé à me caresser les fesses, j'ai pensé à ses larges mains à lui, cajolant les jolies fesses de Muriel. Lorsque tu m'as sucé la poitrine, j'ai revécu ces moments dans la boutique où je l'avais vu scruter les décolletés plongeants de quelques clientes peu farouches venues seules, et qui semblaient déjà se sentir en vacances avant même le départ... En tout cas ces jours-là, elles semblaient en vacance de leur mari ! L'attitude séductrice de certaines d'entre elles à *** égard ne m'avait pas échappée, mais la semaine dernière j'étais trop naïve et confiante encore pour imaginer qu'il puisse céder à quelque tentation. Aujourd'hui je n'en suis plus si sûre... et pourtant je n'ai la preuve de rien. Une fois encore, un sentiment est en train de naître en moi et de se développer, un sentiment que je n'ai jamais éprouvé vis-à-vis de toi : la jalousie ! Je souffre de me rendre compte que d'autres femmes pourraient éprouver du plaisir par lui... et je souffre même du plaisir qu'il peut leur apporter par un simple regard désirant, ou la moindre des flatteries concernant leur charme prétendu comme il s'amuse parfois à le faire à l'agence. J'en viens à être même jalouse de sa propre femme ! D'ailleurs je n'ai fait que penser, alors que tu me pénétrais et que tu me besognais avec ta fougue habituelle, qu'il faisait peut-être de même, au même instant, avec *** épouse ! Cette douleur naissante de la jalousie est d'autant plus cruelle pour moi qu'elle me confronte à une solitude incontournable. Tiraillée entre deux hommes, et coupée de plus en plus de mes amies par les contraintes de ma double vie, j'ai l'illusion de la tendresse dans le contact de corps qui me convoitent et que j'aime, mais je me trouve incapable de parler directement de ce que je ressens à quiconque. Encore une fois, je perçois une fonction à ces lettres que je t'adresse, mon chéri, mais je me rends compte aussi que leur existence m'aliène plus qu'elle ne me libère ! Je t'écris, je te parle à toi qui ne peux pas m'entendre, et je porte le secret même de ces lettres que je ne peux dévoiler à nul autre qu'à vous deux... comme une pri*** que j'élabore moi-même, captive que je suis d'une passion dévorante. Ainsi, en arrivant ce matin à la boutique, je me sentais un peu comme une étrangère, comme si j'étais de trop. L'accueil de Muriel aussi chaleureux que d'habitude avait soudain une saveur cruelle. Je me suis rendue à mon « entretien » habituel, mais j'avais du mal à extraire de mes pensées cette sensation de lassitude qui résultait à la fois d'une nuit sans sommeil, à penser à lui en train de me tromper, et d'un sentiment de fatalité. Cela ne pourrait pas durer, il allait de toute façon me quitter pour une autre... et peut-être était-ce déjà fait ! Plus que jamais en m'installant dans le fauteuil, je pensais avoir été ridicule de croire que cette aventure pourrait encore durer. De toute façon je ne le méritais pas. Ma jalousie nouvelle ne faisait que confirmer, avec l'apparition en moi de sentiments aussi mesquins, que je n'étais pas à la hauteur. La question n'était plus celle de la confiance que je pourrais avoir à *** égard, elle était celle de la confiance perdue vis-à-vis de moi-même. Autant je me sentais transformée, plus forte et peut-être plus belle sous l'effet d'un amour que je croyais exclusif, autant le doute qui s'était insinué en moi et qui prenait toutes les apparences de la certitude, me rendait soudain terriblement fragile et « laide ». Bien sûr, en venant comme chaque matin, j'ai remarqué quelques regards de passants qui auraient pu me rassurer, mais au lieu de me flatter, j'avais l'impression que ces derniers glissaient sur moi comme s'ils s'étaient adressés à quelqu'un d'autre ; à une femme à l'apparence épanouie et dynamique et à la réussite sociale éclatante... mais qui n'était finalement qu'une femme d'apparence ! Profondément lovée dans mon fauteuil, j'ai vraiment pensé qu'il chercherait rapidement à se débarrasser de moi, et je me demandais comment il pourrait s'y prendre. Au début, quand il a commencé à me parler, j'étais comme anesthésiée par la douleur probable que j'attendais de ses propos. — Excusez-moi pour ces derniers jours ! Je me suis rendu compte que j'étais trop absorbé par des problèmes de travail. Je m'en veux terriblement d'avoir abusé de vous d'une façon si *******. Vous êtes la femme la plus délicieuse et la plus exquise que j'ai rencontrée et j'ai peut-être tout gâché en me jetant sur vous comme un affamé... Je vous ai manqué de respect. Pardonnez-moi ! Si vous saviez comme je vous aime ! J'ai tellement peur de vous perdre ! J'ai cru que j'étais dans un mauvais rêve dont il me faudrait bientôt m'extraire, ce qui rendrait encore plus difficile le retour à une réalité cruelle. Mais je l'avais bien écouté, et puis il y avait *** si beau regard humidifié d'émotion... Pas un instant de plus je n'ai douté de sa sincérité ! Il était beau comme jamais, et je me suis à nouveau sentie belle... parce qu'il me l'a dit ! — Vous êtes ravissante ! Je suis tellement flatté que vous puissiez éprouver un quelconque intérêt pour moi !... Qu'est-ce que je pourrais faire maintenant pour vous faire plaisir ? Je n'avais qu'un désir à cet instant... qu'il me serre très fort dans ses bras et qu'il continue à me témoigner ainsi de l'affection, comme si nous étions seuls au monde. Je me suis approchée de lui et en prenant *** visage entre mes mains, j'ai rapproché ses lèvres des miennes, comme j'aurais porté à ma bouche un calice pour en boire la saveur sacrée. Quand je les ai senties tout contre moi, la caresse de sa respiration me devenant sensible, j'ai eu l'impression que j'allais l'embrasser pour la première fois. Ce fut un baiser tendre, sensuel et langoureux comme seuls en connaissent les amoureux des premiers jours. Je m'abandonnais d'autant plus à sa puissante étreinte, qu'une fois encore, il agissait comme je le souhaitais... Longtemps il a caressé mes cheveux tout en embrassant avec la plus grande délicatesse les moindres recoins de mon visage. Et puis j'ai eu cette envie ******* de me donner à lui, curieusement, moins portée par un désir physique intense, que par celui de le remercier. J'avais vraiment l'intuition qu'être à lui, comme cela, tout de suite, sans plus de préliminaires, était ce que j'avais en cet instant magique, le mieux à lui offrir ! J'ai ôté ma culotte d'une façon si discrète, alors qu'il ne cessait de cajoler mon visage, que je ne suis pas certaine qu'il s'en soit d'abord aperçu... et lorsque j'ai pris sa main pour la porter sous ma jupe. J'étais davantage guidée par la tendresse que par l'excitation. Lui offrir le contact que j'espérais soyeux de ma petite motte à la toi*** discrète, n'était pour moi qu'une caresse de plus que je lui prodiguais. En effet, c'est moi qui guidais ses gestes plus qu'il ne me caressait. Il se laissait faire, et c'était bien ... Nous étions debout et j'avais l'impression d'être plus fermement campée sur mes jambes que lui, malgré mes talons et ma posture indécente. Et puis ses doigts qui venaient se nicher dans ma fente devenue crémeuse, commencèrent à faire leur effet... À mon tour je me sentais vaciller. J'ai dégagé *** membre déjà bandé et me suis laissée glisser jusqu'à me retrouver, le plus naturellement du monde sur les genoux en train de le sucer avec gourmandise. Je le caressais pendant ce temps si légèrement entre les jambes que je devais le chatouiller car je sentis bientôt, par l'aspect soudainement granuleux de sa peau et la perception chez lui d'un léger tremblement... qu'il venait d'être saisi d'un fris***. J'étais comblée de sentir à quel point j'avais la faculté encore de lui procurer du plaisir, et c'est vrai que j'y mettais alors toute mon attention et ma patiente application. Certes, j'avais aussi envie d'être comblée d'une autre manière, mais je souhaitais par dessus tout faire durer notre étreinte le plus longtemps possible, comme une réponse des plus féminines à nos ébats précédents si sauvagement masculins ! C'est pour cette rai*** que je me suis mise à ralentir la cadence. Je ne cessais pas d'avoir sa verge adorée dans ma bouche, mais je la suçotais plus que je ne la suçais. C'était ma langue qui œuvrait à lui prodiguer de douces caresses alors que mes ongles grattaient à peine, pour l'agacer davantage, les contours de *** anus. Je gardai sa petite bite gorgée de désir bien au chaud dans ma bouche et fis glisser mon majeur dans le trou de *** cul. C'était mon doigt maintenant qui était seul en mouvement, car mon partenaire décidément passif, était tout à l'abandon de cette nouvelle caresse. J'aimais sentir cet étui plutôt sec et râpeux envelopper et se frotter à mon doigt. Pendant que je sentais au contraire, au contact de ma langue, la saveur salée et maintenant humide de *** gland. C'est alors que je me suis mise à lui téter la bite comme l'aurait fait un petit ****** qui cherche désespérément du lait. Tout cela était pour moi avant tout le témoignage de la plus grande tendresse que je pouvais lui fournir. Le sexe n'était finalement ici qu'un moyen. Je voulais qu'il vive ainsi le fait que « nous fassions l'amour » à l'opposé des saillies sans tendresse qu'il faisait subir à *** épouse. Ainsi je me sentais plus que jamais dans cet état de soumission et de domination, comme étant sa tendre concubine. Du même coup, j'avais l'impression qu'à ses yeux je redevenais quelqu'un. J'avais de toute façon, quoiqu'il advienne, ma place auprès de lui ! Finalement, qu'il puisse séduire, jouir, ou faire jouir d'autres femmes, cela n'avait plus d'importance, si par mon inventivité et la nature singulière de mon amour, j'étais capable de lui offrir quelque chose de différent, qu'aucune autre ne pourrait lui donner. Il fallait pour cela que je ne faiblisse pas comme je venais de le faire. Je devais toujours lui montrer une disponibilité sans faille. Je devais non seulement être capable de répondre, mais aussi d'anticiper ses désirs les plus secrets. Je serais maintenant *** esclave consentante, mais aussi plus que cela. Désormais, en prenant également l'initiative, j'aurais le plaisir de me sentir maîtresse en partie de ma destinée, même si celle-ci devait rester encore enveloppée de mystère ! C'est avec cette conscience et cette confiance retrouvée, que je l'ai fait basculer sur le tapis. J'ai libéré *** sexe complètement en baissant *** pantalon, pour lui offrir un écrin plus savoureux encore. Avec la détermination d'une cavalière qui veut apprivoiser un jeune étalon, j'ai entrepris de le chevaucher. Quand j'ai senti *** membre s'engloutir dans mon sexe, j'ai vécu une intense excitation d'une nature singulière. Moi qui depuis le début éprouvais le plus grand plaisir à sentir qu'il me possédait, j'avais le bonheur, parce que je le dominais et qu'il était entièrement soumis, empri***né entre mes cuisses, de jouir de ce nouveau pouvoir que je croyais finalement avoir sur lui. Après l'avoir savouré longuement, tout en maintenant ses mains au sol, afin de lui interdire de me prodiguer la moindre caresse, j'ai senti sa semence inonder mon vagin, comme un cadeau hors de prix qui était finalement ma juste récompense ! Un baiser sur tes lèvres de la part de la mère de tes enfants...
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chrislebo
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Mardi 12 mai Mon chéri, Si, consciemment, je me disais accepter le désir évident de Michel à l'égard d'autres femmes. Si je prétendais avoir la capacité de vivre jusqu'au bout cette relation en surmontant ma propre jalousie, il fallait néanmoins que je sache ! Il fallait que je connaisse la vérité et, si celle-ci devait être cruelle, il fallait que j'éprouve à quel point j'étais prête à m'y confronter et à la dépasser ! En termes d'épreuve, pour ce qui est de mon orgueil de femme, je n'ai pas eu à attendre longtemps... Je me suis décidée à venir, une nouvelle fois, plus tôt que d'habitude à l'agence, et je suis même arrivée avant l'heure d'ouverture... J'ai donc ouvert pour la première fois la boutique. J'avais l'intention de profiter de ce moment de tranquillité pour une fois seule sur mon lieu de travail, pénétrer dans *** bureau à la recherche d'indices qui auraient pu transformer mes soupçons de « tromperie » en certitude. Quand j'ai poussé la porte, je n'ai d'abord rien remarqué dans la pénombre et le silence étouffé de la pièce. Moi-même, je ne faisais aucun bruit, par peur que quelqu'un n'arrive bientôt et ne me découvre là, à fouiller dans les affaires de mon patron ! Et puis, presque par hasard, je l'ai vue ! Face à moi, moulée dans la jupe un peu stricte de *** tailleur, j'ai vu *** postérieur saillir sous le bureau. Il ne m'a pas fallu longtemps pour reconnaître aussi la silhouette de Michel affalé dans *** fauteuil... Les lents mouvements du joli fessier de Muriel ne laissaient évidemment aucun doute sur la nature de ses activités... Elle avait, avec un soin méticuleux, posé ses fines sandales à ses côtés et je voyais le charmant et douloureux spectacle de ses petits pieds tendus, parés de bas de soie, qui témoignaient par leur crispation de la concentration extrême avec laquelle elle suçait *** patron. Ils ne m'avaient pas entendue, et ils ne pouvaient pas m'entendre, tant j'avais pris de précautions à me faire discrète et surtout tant ils étaient absorbés par leurs ébats. La voix de Michel me fit ressentir ce pincement douloureux que j'espérais pouvoir définitivement chasser de moi : — Continue... oui, continue comme ça... J'aime tellement comme tu me suces ! ... Tu es si douce ! ... Sa tête était rejetée en arrière et pendant ce temps il caressait la blonde chevelure de sa jeune employée dont le chignon était défait. — Ce matin, j'ai envie que tu me boives ! Et que tu me lèches la bite et les couilles ! ... S'il te plaît, nettoie-moi bien avec ta jolie petite langue ! J'étais déstabilisée par ce spectacle fascinant et cruel... et par le fait qu'il la tutoie, elle, ce qu'il n'avait jamais fait avec moi et qu'il ne faisait jamais avec elle à l'agence en ma présence. J'étais là, si près d'eux... au point de sentir cette étrange odeur mêlée de leurs parfums et de leurs chairs, mais rien ne pouvait leur laisser soupçonner une quelconque présence. Il prenait sa tignasse à pleines mains pour faire désormais coulisser plus vite ses jolies lèvres carmin sur sa verge. Et puis il se cambra sur *** siège tout en poussant un râle de jouissance. J'étais en train de réaliser qu'il inondait sa jolie gorge de cette même semence onctueuse qui avait fait mes délices. Elle ne cessa pas pour autant de l'avoir en bouche, et j'entendis même distinctement un léger clapotis. Elle tétait sa bite pour le boire tout entier ! C'est le moment que je choisis pour me dérober discrètement. J'ôtai rapidement mes sandales à mon tour pour ne pas faire de bruit. Et c'est en me retournant doucement que j'entendis le *** sec d'un objet qui se brise ! Je venais d'effleurer une statuette qui jonchait maintenant le sol. J'eus à peine le temps d'entendre le bruissement produit par les deux amants dérangés... que déjà j'avais refermé, sans précaution cette fois, la porte derrière moi ! Je ne pus pas rester un instant de plus. Il fallait que je respire l'air de la rue, que je me libère de cette vision, de cette atmosphère saturée de leur odeur, de leur jouissance. Je me suis mise à errer sans but, sans plus savoir ce que je faisais là... Dès que j'ai pu trouver un endroit calme, je me suis assise sur un banc et j'ai pleuré ! Cela faisait si longtemps que je n'avais pas senti mes larmes... Pourtant à peine une heure plus tard, j'étais à mon poste à l'agence, disposée à accomplir mon travail avec le plus grand sérieux et une détermination sans faille ! Mais quand Michel m'a demandée de le rejoindre au bureau, alors que, bien sûr, je savais qu'il savait, j'ai prétexté un entretien avec des clients pour éviter de le revoir si vite. Au fond de moi, je venais d'accepter et même d'excuser ce que je venais de voir et qui, d'une certaine façon, confortait ce que je soupçonnais déjà... J'étais prête à lui pardonner et même à l'encourager à vivre librement cette relation alors que j'étais désormais dans le secret. J'acceptais finalement totalement cette nouvelle liai***, comme j'avais accepté celle qu'il avait avec sa femme. Mais je ne voulais tout de même pas le rassurer si vite... Quant à Muriel, j'ai fait le choix de venir rapidement vers elle pour lui demander de passer à mon bureau. Je n'étais en rien sa supérieure hiérarchique mais sous l'effet de cette situation nouvelle, j'avais un peu l'impression de le devenir. Dire qu'elle était mal à l'aise en rentrant, c'est encore peu dire. Lorsqu'elle vint s'asseoir, elle semblait désemparée, et le simple bruit sourd que fit le fauteuil lorsque ses jolies fesses vinrent s'y poser, suffit à provoquer un léger rosissement sur ses si jolies joues. Il lui était pénible visiblement, d'avoir ainsi à se montrer à moi en me faisant face en pleine lumière, et *** regard semblait chercher comme un soutien en fixant le plumier de mon bureau. Cette situation était inédite pour moi. Je l'avais face à moi, selon ma demande et elle ne pouvait se dérober physiquement, alors que je savais que c'était ce qu'elle désirait le plus au monde ! Il y eu un moment de silence, où je me mis à la scruter, et je fis immédiatement le rapprochement avec « l'inspection visuelle » que j'avais dû subir la première fois de la part de notre patron. J'avais l'impression de la redécouvrir encore. Bien sûr, dès le premier jour, j'avais perçu combien elle était jolie et même ravissante. Toujours coquettement habillée et maquillée d'une façon à la fois soignée et discrète, le petit chignon qui était sa coiffure la plus habituelle, en plaquant ses cheveux blonds le long de ses tempes, lui aurait donné un air sévère, sans l'extrême douceur des traits de *** visage. Sa peau claire était parsemée de quelques taches de rousseurs et d'un petit grain de beauté sur le coin des lèvres qui ravivait l'éclat lumineux de sa peau. Ses beaux yeux verts qu'elle osait maintenant timidement lever vers moi, comme si elle se sentait peu à peu le courage de me regarder, eux-aussi exprimaient cette même sensation de douceur. On aurait pu la soupçonner de candeur, sans la détermination un peu fière avec laquelle elle soutenait en d'autres occasions le regard des clients. Jusqu'ici, elle n'avait jamais semblé particulièrement impressionnée. *** attitude altière sans être hautaine, associée à cet apprêt un peu strict, n'était pas sans évoquer celui d'une hôtesse de l'air. Mais je venais de découvrir que *** apparence toujours avenante et soignée, sans jamais une faute de goût, comme peut l'être celle d'une fille de « bonne famille », ne s'adressait pas uniquement et peut-être pas essentiellement au désir de séduire les clients... Je crus enfin la redécouvrir pleinement lorsqu'elle retrouva le courage, si ce n'est l'audace, de soutenir cette fois pleinement mon regard. C'est ce qui me détermina à lui adresser enfin la parole. — Je ne veux pas qu'il y ait une quelconque hypocrisie entre nous ! Tu connais la nature de mes relations avec Michel et je sais ce qu'il en est entre vous... Je fis semblant de ne pas prêter attention au fait qu'elle souhaitait visiblement me répondre, sans doute pour se justifier. — Sache que je trouve tout cela naturel et que je ne vous juge pas. D'ailleurs, ce que j'en pense n'a aucune importance. Comment pourrais-je te reprocher d'avoir éprouvé du désir pour lui, alors que j'en éprouve moi-même ? Et puis au nom de quoi pourrais-je te faire la morale alors que j'entretiens une relation adultère avec lui ? ... Je n'attends rien de toi, je n'attends rien de vous... pas même la discrétion... et en tout cas pas la recherche de la moindre justification ! Curieusement, comme si elle reprenait décidément de l'assurance, elle m'adressa alors un sourire où je croyais voir poindre un désir de connivence. Et c'est vraiment sans malice, sans même y penser, que je pris alors ses mains entre les miennes. J'en éprouvais ainsi l'extrême finesse et la douceur, ainsi que le calme retrouvé. Je lui retournais *** sourire. — J'aimerais, mais si seulement tu en as le courage et la volonté, que tu me parles de lui... de ta relation avec lui. Il y eut alors chez elle comme une réticence, et je perçus qu'elle tentait un instant de dérober ses mains à mon étreinte. — Crois bien que je me livre à toi avec la plus grande confiance. Ce que je te demande, c'est uniquement un témoignage de la tienne... J'aimerais que nous devenions amies. Mais si tu ne le souhaites pas et si tu veux que les choses en restent là... Au bout d'un moment, je sentis à nouveau l'abandon de ses mains et un nouveau sourire charmant m'offrit comme l'amorce d'une réponse. Ce qui se jouait entre nous, c'était la confiance qui peut naître entre deux femmes, mais dont je sais par expérience qu'elle peut être si fragile... Lorsqu'elle commença à se livrer, et à me raconter leur rencontre, il y a seulement deux mois, je percevais qu'elle vivait ce que j'aurais désiré pouvoir vivre : la possibilité de se décharger d'un important fardeau en partageant enfin avec quelqu'un d'autre une part si importante de *** secret. — Le premier jour, je me suis présentée à ce poste sans trop savoir ce que je voulais. J'avais d'autres rendez-vous en tête, et je ne savais pas trop si je souhaitais travailler en agence... Lorsqu'il m'a reçue dans *** bureau, les choses ont curieusement changé. Sans savoir vraiment pourquoi, et j'avoue que je ne le sais pas même aujourd'hui, j'ai eu immédiatement envie d'être embauchée par lui. C'est curieux parce qu'il ne correspond en rien à ce qui me séduit naturellement chez un homme ! On pourrait même dire qu'il est l'opposé des garçons qui jusqu'ici m'attiraient... mais j'avais un désir physique de rester près de lui et de répondre à ses volontés ! Ce qui est également curieux, c'est que lorsque j'y pense et que je ne suis pas avec lui, je me dis que je n'ai vraiment rien à faire ici, à vouloir absolument contenter un homme qui pourrait être mon père et pour qui je ne suis qu'une relation parmi d'autres, et plutôt moins importante que d'autres ! On ne peut pas dire que ce « parmi d'autres » m'était agréable à entendre. J'espérais au moins qu'elle me compte dans celles qui étaient plus importantes que la sienne... — Il ne faut pourtant pas te tromper sur la nature du début de cette liai***. J'aimais être *** employée et cela n'allait pas plus loin que la relation d'estime et de soumission que l'on doit à *** boss. En même temps ma volonté de le satisfaire et mon caractère plutôt perfectionniste faisaient que, sans m'en rendre compte, je passais de plus en plus de temps à mon travail, et même en dehors des heures nécessaires ! Je voulais tellement lui offrir l'image d'une employée modèle, lui montrer que j'étais disposée à tous les sacrifices... C'est ce qui a fini par détruire la relation que j'avais alors avec un garçon de mon âge. Je me rendais bien compte que je me coupais de la vraie vie, mais rien ne me faisait plus plaisir que les rares signes d'encouragement qu'il pouvait m'apporter quelquefois. En parlant ainsi, elle semblait avoir perdu toute retenue. J'avais l'impression qu'elle pourrait parler ainsi des heures. Je ne reconnaissais plus en elle cette jeune femme passionnée qui dévoilait ses pensées avec impudeur, la calme hôtesse de l'agence de voyage rigoureuse et professionnelle qui intimidait un peu par sa raideur, autant qu'elle séduisait. Elle paraissait désormais devant moi sans fard, comme une femme en détresse. Et cette détresse n'était pas éloignée de celle que j'avais connue ces derniers jours. En me parlant d'elle, j'avais l'impression souvent qu'elle parlait de moi. Bien sûr, notre destin n'était pas comparable, mais nous partagions cette même fascination inexpliquée, cette même volonté de dépendance aveugle, cette capacité à sacrifier une part importante de notre liberté pour le satisfaire ! — Je ne sais pas ce qui a fait que notre relation a basculé. Ce qui a fait que je suis brusquement devenue sa maîtresse !... Finalement, sans sincèrement y avoir pensé, car je n'avais vraiment pas fantasmé sur lui avant que cela n'arrive, je me suis logiquement pliée à ses autres exigences de plus en plus particulières... C'était la continuation normale sans doute, de ma volonté de le combler et d'être comblée par sa seule reconnaissance. Je pensais que *** récit à ce moment pourrait s'interrompre sous l'effet de sa pudeur... mais je me trompais ! — Un jour que nous travaillions à *** bureau, après qu'il m'ait félicitée de la qualité d'un dossier que je venais de lui fournir, il m'a remerciée de lui apporter tant de satisfactions. Il m'a alors curieusement demandée jusqu'où j'étais prête à aller pour lui faire plaisir. Je peux difficilement décrire l'expression que j'ai dû avoir à ce moment là... Finalement, l'étonnement passé, je me suis mise à lui sourire parce que je me sentais flattée, sans trop savoir pourquoi, qu'il puisse seulement penser que je pouvais encore le contenter. En même temps je sentis la chaleur monter à mon visage. Je ne réalisai qu'à cet instant la vraie nature du plaisir qu'il pouvait me demander ! Et j'étais à la fois paniquée et envieuse qu'il exprime quelque chose dont j'avais honte... Je me sentais d'une fébrilité incroyable ! J'avais l'impression d'avoir rétréci dans mon siège et j'étais suspendue à ses lèvres en réalisant déjà que je ne pourrais me dérober !... Mais il n'a pas dit un mot ! Il s'est seulement levé et a fait pivoter d'un geste assuré mon siège qui se trouvait maintenant tourné vers la porte. Il s'est alors avancé et je me voyais là, déjà humiliée par une attente vaine et folle, me laissant plantée seule dans *** bureau alors qu'il irait, comme si de rien n'était, vaquer à ses occupations en sortant de la pièce !... Finalement il est resté tout près, debout face à moi... et, toujours sans un mot, il a défait sa braguette dont il a extrait *** sexe bandé ! Elle fit une brève pause, comme pour rassembler ses idées tant elle semblait, plus que jamais, gagnée par l'émotion ! Mais elle ne me regardait plus, elle était ailleurs, comme si elle revivait les scènes qu'elle m'évoquait sans aucune retenue. — J'ai fait ça sans trop y penser, parce que c'était normal... Il me demandait de lui faire plaisir et j'avais envie de lui faire plaisir !... Je ne peux pas dire que j'ai eu un jour un réel désir sexuel pour lui. C'est plutôt le désir de le combler, de le satisfaire, qui a fait que je me suis donnée à lui. Quand j'avais sa queue dans ma bouche, dont j'appréciais finalement l'aigreur pour la première fois, j'étais simplement contente d'entendre bientôt ses soupirs. Même si cela peut paraître absurde, c'était toujours dans l'objectif surtout d'être *** employée modèle ! Et lorsque j'ai avalé *** sperme, contrairement à ce que j'avais connu avec mon copain, c'était sans gourmandise particulière, seulement satisfaite et même comblée d'être allée jusqu'au bout du travail accompli... Bien vite d'ailleurs, sans doute conscient que la motivation de nos relations sexuelles bientôt régulières n'étaient pas de même nature, et peut-être aussi parce qu'il y avait un tel décalage d'âge entre nous (Il me parlait souvent de la jeunesse de mon corps, de la « fermeté arrogante » de mon « petit cul » ou de mes seins !), il se sentit dans l'obligation de me faire des petits cadeaux... Au début, c'était surtout des présents et puis avec le temps, cela a pris surtout la forme de billets qu'il posait au coin de *** bureau et qui devenaient comme un signal pour moi à devoir le contenter ! À partir de ce moment, il s'est mis souvent à m'appeler sa petite courtisane. C'est ce que j'étais finalement et ce que je suis restée pour lui, rien qu'une petite pute, prête à faire ça pour de l'argent !
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