chrislebo
Member
Posts: 168565
|
En arrivant chez moi ce soir j'ai déposé 350 euros sur la table de cuisine. J'ai allumé la télé et je me suis préparé un bon souper. Toute les nouvelles me semblaient bien banales. J'étais à l'étape du thé lorsque la voix de Maîtresse c'est fait entendre. -Place-toi au milieu du salon à genoux avec la cagoule et les menottes comme d'habitude salope. -Oui Maîtresses Liane. Cela voulait dire qu'elle traverserait bientôt et que j'aurais droit à une séance de domination en règle. Fébrilement j'ai exécuté les ordres. En moins de deux je me suis retrouvé nu au centre du salon cagoulé et menotté. Quelques minutes plus tard effectivement ma porte d'entrée grinçait. Le bruit de ces talons aiguilles c'est rapproché et une violente sensation de douleur à traversé ma poitrine lorsqu'elle à empoigner mon sein avec une traction vers le haut pour me faire mettre debout. J'ai senti ensuite qu'elle me tâtait le sexe. Voulait-elle me donner du plaisir pour une première fois. Cela commençait à m'exciter au plus haut point. Puis j'ai senti que mon sexe était compressé comme dans un étau, j'ai entendu clic et elle a cessé de me tripoter. Elle m'a attiré vers la causeuse et m'a obligé à m'étendre sur celle-ci sur le dos. Puis j'ai gouté à nouveau à *** sexe juteux qui se frottait à ma bouche. Pendant plusieurs minutes elle à fait des mouvements de va et vient sur ma figure pour se procurer du plaisir. J'avais de *** jus qui coulait dans mon coup. C'était incroyable comment cette femme était ruisselante. Lorsqu'elle c'est approché de l'orgasme elle serrait de plus en plus mes seins endoloris. Je me forçais pour la faire jouir au plus vite pour qu'elle arrête sa *******. Puis dans un grand tremblement elle c'est laissé emporter. Elle est resté un peu sur mon visage et c'est ensuite relevé. J'ai pu finalement reprendre mon souffle et abaisser mon rythme cardiaque. Elle est allée ensuite à la salle de bain faire un petit pipi, puis elle est reparti. Je suis resté sur la causeuse attendant les ordres de Maîtresse. -Enlève les menottes et la cagoule esclave. -Oui Maîtresse Liane. Je me dirige donc à tâtons vers ma chambre et je réussis non sans peine à trouver les clés pour me libérer de ces contraintes. À ma grande surprise je m'aperçois en enlevant la cagoule que lorsqu'elle est venu elle m'a installé une ceinture de chasteté. Et moi qui pensais qu'elle me tripotait. Pour en avoir vu plusieurs sur le net, je savais que c'était une cb3000. J'ai essayé vainement de la retirer. -Essaye pas, elle est bien en place et c'est moi qui est les clés. Et ne cherche pas le 350 euros sur ta table de cuisine j'ai du le prendre pour payer ce petit bijou. Ha ha ha... -Merci Maîtresse Liane. -Ha... Comme il est chou, il me re merci de pouvoir lui permettre de ne plus être en mesure de se procurer du plaisir. Ha ha ha... J'étais figé, qu'est ce que cela pouvais bien signifier. Étais-je condamné à ne plus pouvoir me masturber le restant de mes jours. Plus aucun plaisir. Je resterais un simple outil de plaisir pour ma Maîtresse et moi rien. La dernière fois que j'avais joui c'était il y a une semaine, en dessous de mes couvertures tard le soir pour que m'a Maîtresse ne me voie pas. J'avais fais cela en silence et de façon très discrète. -Bon va te reposer, maintenant. Car ce samedi tu va avoir une soirée bien rempli. -Bien Maîtresse Liane. Sur ce je suis retourné au salon pour éteindre la télé et me préparer pour faire ma toilette avant le coucher. Je me suis rendu compte qu'il y avait un dépliant sur la table du salon. J'en ai pris connaissance, c'était un petit manuscrit qui indiquait comment prendre soin de ces organes génitaux lorsque l'on porte la cb3000 pendant de longue périodes. J'ai lu le dépliant, puis ensuite je suis allé prendre ma douche. En sortant de celle-ci tout en m'essuyant avec ma serviette je me suis rendu compte qu'il n'était pas facile d'assécher mon sexe avec cette cage de plexi. J'ai du sortir le séchoir à cheveu pour faire le travail tout en essayant de ne pas bruler mes bijoux de famille. Maîtresse Liane devait bien se bidonner en me regardant faire. Une fois au lit cela à bien été, à part que le dodo sur le ventre est à proscrire avec ce truc entre les jambes, Et que me réservait donc ce samedi...
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Samedi matin, très tôt la voix de Maîtresse m'a réveillé. -Lève toi, allez lève toi... -Oui Maîtresse Liane -Prend un bon déjeuner et tu vas faire le ménage de ton appartement bien comme il faut. Après le diner tu vas faire ta toilette de façon très soigné puis à 15h30 je veux que tu sois en place au milieu du salon avec ta cagoule et tes menottes compris. -Oui Maîtresse Liane. -J'espère que tu as rempli ton frigo de bière et de bon vin comme je te l'ai demandé cette semaine et que tu as acheté plein de croustille selon mes bons vœux. -Oui Maîtresse Liane, Tout est dans le frigo et l'armoire. -Et n'oublie pas, ménage impeccable et à genoux avec ton attirail au milieu du salon à 15h30. -Bien Maîtresse Liane. Je me suis donc levé, j'ai déjeuné et j'ai entrepris de faire briller cette appartement de célibataire. L'aspirateur, l'époussetage, le rangement etc... Puis après un diner très copieux j'ai fait ma toilette avec tous les problèmes que cela comporte. Le rasage de l'anus, le séchage du sexe, après une épilation rendu difficile à cause de la cb3000. Mais avec un peu de crème, une pince à cil et beaucoup de patience je me débrouillais pas si mal. À 15h30 précises je me trouvais au centre du salon à genoux, menotte au poignet et cagoule sur la tête. Environs 15 minutes plus tard j'entendis Maîtresse arriver. Elle est passé près de moi et elle s'est assise dans la causeuse, puis elle à allumé la télé. Elle s'est relevée, puis me trainant par un sein elle m'a contraint de me coucher entre le mur et le fauteuil. Puis elle s'est assise de nouveau pour écouter la télé. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu ainsi. Puis le tintamarre de la ***nette d'entrée m'a sortie de mes ***ges. Mais qui pouvait bien me rendre visite en ce samedi après midi. Ma sœur? Ma mère? Un ami ? Mon corps réagissait violemment à cette situation. Je commençais à grelotter et à avoir des sueurs froides. Maîtresse c'est levé et à été voir qui c'était. Je l'ai entendu décrocher le combiné qui permet de voir qui est dans le hall d'entrée. -Allo, oui entrée, c'est au septième étage, appartement 704... C'est à droite en sortant de l'ascenseur. Puis elle raccroche. Mon dieu, elle avait fait monter *** interlocuteur. Enfin, il devait être au moins deux puisqu'elle avait dit monté. Et moi qui se trouvais nu dans un coin du salon. Cela ne m'aidait pas du tout à me contrôler. Les tremblements devenaient encore plus intenses. Puis la porte d'entrée c'est ouverte. -Allo, comment ca va. -Ça va très bien et vous? -Bien merci. -Entrée, ne restez pas la...Venez vous assoir au salon. Pas vrai, elles les invitaient au salon. Et moi qu'est ce que je faisais là. Je me faisais le plus discret possible, très près du mur collé contre le fauteuil. Les pas se dirigent vers moi tous des talons hauts. Je suis crispé et anxieux. -Vous voulez une bière les filles? -D'accord pour moi.... -Moi aussi Liane. -Très bien je vous sert ça en moins de deux... La porte du frigo se fait entendre, et le glou glou de la bière qui descend dans les verres. Puis Maîtresse revient vers le salon et s'assoie. -Alors Liane tu as été bien mystérieuse cette semaine, tu disais que tu voulais nous montrer quelque chose... -Oui et moi il y a une chose qui me tracasse aussi depuis que nous sommes arrivées... -Qu'est ce qui te tracasse Karine? -Et bien le condo que tu as hérité de ton oncle le mois dernier, il n'était pas de l'autre coté de la rue. Elle avait hérité de *** oncle le mois dernier. Mais alors, cela fait au moins quatre mois que je suis dominé, cela veux dire qu'au début c'est *** oncle qui m'a découvert et qui a tout manigancé. -Justement Karine, il est de l'autre coté de la rue. -Celui-ci, il est à toi aussi? -Mais non Françoise, celui-ci appartient à ma surprise. -Quoi tu veux dire que tu t'es fait un copain... -Pas du tout, vous connaissez tous ma vision de la vie, pourquoi s'encombrer d'un homme lorsque l'on peu vivre complètement libre. -Mais là je ne comprends pas du tout Liane, c'est tellement nébuleux ton histoire. Je commençais à sentir la soupe chaude, bientôt elle allait me sortir de ma cachette, et n'ayant aucun choix cela allait être ma fête. -Avance à quatre pattes au milieu du salon. -Mais tu ne veux tout de même pas que je fasse ça Liane. -Mais non Françoise, je dis cela à ma surprise. -Ta surprise? -Allez au milieu du salon esclave. Ces derniers mots m'ont glacé le sang. Je savais que commençais ici ma vraie condition d'esclave. Elle me ferait faire tout ce qu'elle voulait. J'allais avoir la honte de ma vie et cela ne faisait que commencer... Fin
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Maryse, naissance de la perversion En cette belle journée d'été, Maryse se console d'être encore devant *** écran d'ordinateur en se disant qu'il ne lui reste qu'une heure avant de quitter *** bureau. On est mercredi, *** travail et ses horaires lui permettent d'avoir sa demi-journée, ce qui était très pratique lorsque ses enfants étaient plus jeunes. Maintenant qu'ils ont treize ans pour le dernier et seize ans pour sa fille aînée, elle profite de ce temps pour vaquer à ses occupations. Mais d'abord elle doit finir sa comptabilité si elle ne veut pas avoir *** chef sur le dos le reste de la semaine. Ce dernier déboule dans *** bureau, sans frapper comme toujours, accompagné d'un stagiaire à tout faire : — Maryse, pourriez-vous me rendre un service ? Il faut que nous nous débarrassions de quelques cartons d'archives et je crois que la déchèterie est sur votre chemin... Et sans lui laisser le temps de répondre : — Bref, j'ai demandé au petit Martin de vous aider à charger les quelques cartons dans votre voiture. À demain. Le pauvre « petit » Martin ne sait plus où se mettre, le chef comptable M. Ribière vient de le laisser en plan dans le bureau de cette dame qu'il connaît à peine avec une mission qui ne doit pas l'enchanter. Maryse laisse la surprise passer, puis elle demande au jeune homme de la rejoindre devant *** bureau dans une demi-heure pour l'aider. Il lui reste peu de temps, mais elle réussit à prendre de l'avance sur *** travail. Elle retrouve le jeune Martin devant *** bureau. — Vous a-t-il dit au moins quels cartons devaient être jetés ? — Oui, madame. — Bon, je vais chercher la voiture et vous, vous commencez à sortir les cartons. Les cinq cartons chargés, Maryse se dit que vraiment Ribière exagère, quel goujat. Mais par les temps qui courent, mieux vaut garder *** emploi. Et puis la déchèterie est sur *** chemin. Elle rentre sa voiture sur le terrain, voit deux utilitaires garés. Deux hommes ***t en train de jeter leur détritus, un à la benne de recyclage des déchets organiques et l'autre à la ferraille. La casse de voitures se trouve juste à côté. Un homme en tenue de chantier s'approche d'elle. — Bonjour M'dame, vous avez votre carte ? Maryse reste un moment interdite. Quelle carte ? De quoi parle-t-il ? En plus il a un regard lubrique, il la dévore des yeux. — Euh bonjour... de quelle carte parlez-vous ? — Ben, je dois savoir si vous habitez le coin et si vous avez bien payé vot'taxe pour jeter vos ordures chez moi ! Maryse se dit qu'en plus d'être lubrique, le bonhomme n'est pas très aimable... — J'habite la ville d'à côté, d'habitude mon mari se charge de ça, mais là on m'a demandé de jeter des vieux dossiers... — Ouais OK, j'ai pas toute la journée. Montrez voir votre carte d'identité et vous reviendrez demain avec vot'carte pour que je valide. Elle fouille *** sac, sous le regard de l'employé qui n'en perd pas une miette. Pourtant elle est habillée sobrement comme toujours. Sa robe à motif vert est fraîche, mais elle la couvre jusqu'au cou. Elle lui tend sa carte d'identité. — OK c'est bon, pour le papier, c'est la dernière benne. Par contre, faut revenir demain avec votre carte si vous voulez pas recevoir une amende. — Merci. Elle dirige sa voiture vers la dernière benne. Les deux autres hommes la regardent passer. Elle commence à être troublée par le comportement de tous ces hommes. Elle se dit qu'il vaut mieux qu'elle se dépêche de jeter tous ces papiers pour rentrer chez elle. Les cartons étant bien trop lourds pour elle, elle jette dossier par dossier dans la benne dont l'ouverture se trouve un peu au-dessus de *** visage. L'employé ne perd pas une miette de ce spectacle. Ce n'est pas si souvent qu'une femme vient lui rendre visite. Celle-là dans sa robe verte lui plaît bien. Il peut deviner une belle paire de seins qui ballottent à chacun de ses mouvements et ses fesses bien rebondies lui ouvrent l'appétit. Les deux autres non plus n'en ratent pas une miette. D'ailleurs ils se font quelques commentaires imagés qui ne laissent aucun doute. L'un d'eux s'adresse à l'employé : — Eh Francis ! T'en reçois du beau monde aujourd'hui ! Tu nous avais caché ce joli petit lot. — Moi, je lui p'loterai bien les nichons ! Et Francis de répondre : — Ouais, tu peloterais n'importe quoi toi de toute façon ! S'en suivent des éclats de rire bien gras. Les hommes n'ont pas été très discrets et Maryse a tout entendu de l'échange et des premiers commentaires échangés. Et elle est mal à l'aise. Elle n'ose rien dire. *** cœur bat la chamade. *** souffle est plus court. Les efforts pour jeter ses fichus dossiers, se dit-elle. Mais elle sait qu'il y a autre chose, elle a une boule dans le ventre. Elle n'ose y croire, mais elle est excitée par les commentaires des ces vicieux. Il faut qu'elle se reprenne. Francis l'employé approche d'elle. — Madame, n'oubliez pas de revenir demain. J'ouvre à 8 heures et je ferme à 17 heures 30. Sauf le mercredi où je ferme à 14 heures. D'ailleurs l'heure approche, faudrait vous dépêcher. Le bonhomme s'en va sans même l'aider. Quel goujat, pense-t-elle. Et encore ce regard lubrique braqué sur sa poitrine. Il faut dire que les efforts (ou bien est-ce autre chose) lui font pointer les seins. Ses tétons tendent outrageusement le tissu de sa robe à travers *** soutien-gorge. Les derniers papiers jetés, elle quitte la déchèterie. Pendant le trajet de retour elle ne peut s'empêcher de repenser à ces derniers moments à la déchèterie. Elle a été troublée par le regard des hommes et surtout celui de Francis. Sans parler de leurs commentaires. Arrivée chez elle, elle prend un bon bain, se prélasse puis s'occupe de la mai*** en attendant le retour de *** mari et des enfants. Elle ne parle pas de cet épisode qu'elle essaie d'oublier. Le lendemain matin, elle décide de repasser à la déchèterie car elle ferme trop tôt le soir. Francis la voit arriver, mais il la laisse venir vers lui. Elle descend de voiture et, comme la veille, il la dévore des yeux. Aujourd'hui, elle s'est habillée d'un pantalon et d'un chemiser assez ample. Comme la veille *** regard est attiré par ces deux lobes qui bougent en cadence quand elle marche. *** regard la gêne, elle-même n'ose pas le regarder trop longtemps comme si elle risquait de libérer les pulsions de l'autre en le regardant. — M'dame. — Bonjour, je vous ai ramené ma carte. — C'est bien, ça. Voyons voir... il inscrit *** nom sur *** registre. — Il me faut votre téléphone aussi, Madame Lépie. — Pourquoi ? — C'est comme ça. J'fais pas le règlement. Elle lui donne *** numéro de portable machinalement. — Merci bien. Elle s'apprête à remonter en voiture quand Francis l'interpelle : — Eh M'dame Lépie, la prochaine fois faudrait venir habillée plus sexy ! Elle est abasourdie par ce qu'elle vient d'entendre. Elle ne sait quoi répondre. Et il lui tourne le dos et s'en va dans la casse de voitures. Elle se dit que cet homme est un véritable goujat, vulgaire et répugnant. Et pourtant, le reste de la journée elle repense encore à cette phrase et au regard de Francis qui la déshabille, la transperce...
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Une semaine passe dans la monotonie de *** travail. *** mari lui annonce : — Maryse, ma chérie, je suis désolé, mais dans trois semaines je dois partir en déplacement pour le boulot. — Ce sera long ? Cela tombe mal, les enfants ***t justement chez leurs amis à cette période, cela nous aurait permis d'être juste tous les deux... — Je sais, je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement. Je me ferai pardonner, promis. Oui, mais elle, elle doit rester à la mai*** seule. Cela obscurcit un peu sa journée. Elle repense encore à sa discussion avec *** mari quand *** chef déboule dans *** bureau : — Maryse, puisque vous connaissez la déchèterie, il faudrait y retourner aujourd'hui pour jeter encore quelques archives. À demain ! Encore ! Il a osé lui refaire le coup soi-disant avec humour ! Elle s'en prend à Martin qui est resté dans l'encadrement de la porte, en lui disant sèchement : — Revenez dans une heure pour charger les cartons ! Le pauvre n'y est pour rien, mais il fallait qu'elle passe ses nerfs sur quelqu'un ! Les cartons chargés, elle remonte en voiture et se dirige vers la déchèterie. En route, elle repense à sa dernière visite et la dernière remarque de Francis se répète sans arrêt. Aujourd'hui, elle est habillée encore une fois de manière assez classique. Une jupe qui lui arrive aux genoux, un chemisier blanc fermé jusqu'au cou, des chaussures à petits talons. Mais pourquoi passe-t-elle en revue sa tenue ! Cela n'a aucun sens, se dit-elle. Mais une autre voix lui dit qu'elle pourrait ouvrir quelques boutons de *** chemisier. Elle s'arrête sur le bord de la route. Elle regarde autour d'elle, pas une voiture. Ce n'est pas étonnant à cette heure-là. Il est plus de 13 heures. D'ailleurs il faut qu'elle se dépêche. Elle défait ses deux premiers boutons et puis un troisième. Elle se regarde dans le rétroviseur. *** cœur bat à nouveau la chamade. Est-il possible qu'elle soit excitée à ce point-là ? Elle redémarre et arrive à la déchèterie. Cette fois elle est seule, il n'y a pas d'autre voiture. Elle s'arrête devant la benne de papiers et commence à jeter ses dossiers. Elle n'entend pas arriver Francis derrière elle et elle sursaute quand il lui adresse *** salut : — M'dame Lépie. J'espère que vous avez votre carte aujourd'hui. — Bon... Bonjour, M. Francis. Oui, je l'ai, la voici. Elle lui tend la carte sous *** regard. Il peut voir la naissance de ses seins et le sillon entre les deux. Il a un sourire en coin. Elle est de nouveau bouleversée par ce regard libidineux. Elle n'a plus de doute sur *** excitation. Pourtant l'homme qui se trouve en face d'elle, dans sa tenue de travail tachée, n'est pas *** type. Il n'est pas très grand, il commence à avoir une petite bedaine. Il est mal rasé et coiffé n'importe comment. Bref il n'est absolument pas *** type d'homme. Après avoir noté les informations dont il a besoin, il la laisse en plan. Elle recommence à jeter ses dossiers. — Je ferme dans dix minutes ! — Oui, oui, je me dépêche. Toujours aussi aimable, se dit-elle. Mais *** trouble est bien là, elle en tremble ! Elle quitte l'endroit quelques minutes avant qu'il ferme. Sur le chemin, elle reçoit un SMS sur *** portable. — La prochaine fois encore plus sexy ! À nouveau elle ressent une boule dans *** estomac. Les battements de *** cœur s'accélèrent. Elle ne peut voir le numéro, mais elle sait que c'est M. Francis qui lui a envoyé ce message. Elle l'efface et rentre chez elle. Elle décide de se calmer avec un bon bain, un thé et une sieste sur la terrasse au soleil.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Une nouvelle semaine passe dans une monotonie relative. Les derniers événements ont beaucoup perturbé Maryse. Elle n'a rien dit à per***ne et *** mari met *** attitude sur le compte de *** déplacement qui approche. Le mercredi matin, elle s'habille plus légèrement. Les températures ***t chaudes et elle a fait quelques emplettes ce week-end pour renouveler un peu sa garde robe. Elle choisit de mettre une petite robe plissée avec un beau décolleté qui met sa gorge et sa poitrine en valeur sans être vulgaire tout en camouflant *** petit ventre. Elle se regarde dans la glace et est très contente de *** effet. Elle se doute que *** chef va encore débouler dans *** bureau pour l'envoyer à la déchèterie. Il est tellement prévisible. Elle sent une pointe d'excitation à l'idée de cette nouvelle rencontre. Et *** chef ne manque pas de lui demander d'aller à la déchèterie. Martin en chargeant la voiture ne manque pas de la regarder à la dérobée. Cela la conforte sur *** apparence. Confortée certes, mais *** trouble grandit au fur et à mesure qu'elle approche de la déchèterie. Sa respiration est courte. Elle se demande même ce qu'elle est en train de faire. Puis elle se dit qu'elle ne fait rien de mal. Elle arrive enfin à la déchèterie qui est une nouvelle fois déserte. Elle gare sa voiture. Cette fois, elle ne veut pas se laisser surprendre par M. Francis qui ne se montre toujours pas. Elle est déçue de ne pas le voir. Elle ne peut pas partir sans s'être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d'écoulement. Elle regarde à travers les portières d'une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui ***t au-dessus et se fige sur place. Elle s'arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l'impression que *** cœur bat tellement fort qu'on peut l'entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l'autre côté M. Francis en train d'uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l'homme, duquel s'échappe un gros jet d'urine. Il a retroussé la peau de *** gland et un fois qu'il a fini d'uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe *** sexe dans *** bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu'elle l'a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ? Le temps qu'elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard. — Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser ? Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec *** sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l'autre est sur sa hanche. — Alors, ça t'a plu ? Elle réalise qu'il la tutoie. — Je suis désolée, je ne voulais pas... je venais me faire enregistrer... — Ouais, je vais t'enregistrer, t'en fais pas. Elle est toujours tétanisée. — Bon, je vais fermer, rejoignez-moi à ma caravane derrière ce tas de bagnoles là. J'ai laissé ma pointeuse là-bas. — Euh oui, euh mais... Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu'il s'en va fermer la grille de la déchèterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu'il logeait ici. Et toujours cette boule dans l'estomac et sa respiration qu'elle ne contrôle plus. Un bref regard dans *** rétroviseur lui révèle le regard d'une proie affolée. — Venez ! Elle n'a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent *** regard sur elle. Elle sait qu'il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme. — Rentrez, soyez pas intimidée. Il referme la porte derrière lui. — Alors Maryse, tu m'as pas répondu ! Ça t'a plu de me mater ? Moi, j'aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd'hui. Ça te plaît de m'exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi. Maryse est tétanisée, elle est sous l'emprise de cet homme commun, vulgaire, qu'elle n'aurait jamais regardé, qui ne l'aurait jamais intéressée, elle en est sûre, mais la voilà seule dans cette caravane avec cet homme. — Fous-toi à poil ! Que fait-elle là ? Elle regarde autour d'elle. Elle ne fait pas partie de ce monde et pourtant presque mécaniquement elle défait la fermeture éclair qui se trouve sur le côté de sa robe. Elle retire une première bretelle, laissant apparaître un sein pri***nier dans un soutien-gorge couleur chair. Puis l'autre bretelle tombe et la robe glisse sur ses hanches. Elle a encore un geste de pudeur en plaçant un bras sur sa poitrine. Elle ne se rend pas compte qu'en faisant cela elle exhibe un peu plus ses seins lourds devant *** voyeur. Lui observe sa proie avec *** petit sourire en coin. Il est fasciné par le spectacle. Il n'en rêvait pas autant. Il aime ses courbes, *** petit ventre lui donne plus de charme. Il se retient de s'approcher et de la peloter. Il veut qu'elle s'abandonne à lui. — Le reste aussi. Sans rien dire, les yeux baissés, elle défait *** soutien-gorge. Et elle est obligée de lui montrer sa poitrine pour retirer sa culotte couleur chair. Ses seins pendent quand elle se penche pour enlever le dernier morceau de tissu qui la protège du monde extérieur. Il adore ce qu'il voit. Elle a de belles aréoles roses. Et ses tétons ***t tendus, il sait que la température n'y est pour rien, elle est excitée ! — Tourne-toi, que je puisse te voir entièrement. Elle s'exécute, elle tourne sur elle-même dans l'espace confiné de la caravane. — T'es vachement bien foutue, tu sais. Faut que je prenne quelques souvenirs ! Ses yeux s'agrandissent ! Là, cela va trop loin, mais elle a à peine le temps de répondre qu'elle voit un premier flash, puis un second. — Vas-y, tourne ! Et prend des poses comme les salopes sur les posters ! Fais pas ta mijaurée, t'es comme elles, sauf que tu le sais pas encore, eh eh eh ! Maryse ne pense plus ou pense trop vite. Elle est perdue. Le souffle lui manque. Elle est très excitée par la situation et elle finit par l'admettre. Elle commence par tourner sur elle-même sous les flashes de l'autre. Il prend autant de photos qu'il peut. Elle commence à prendre des poses. D'abord en lui tournant le dos et en tendant ses fesses vers lui. Elle essaie de se cambrer au maximum. Elle transpire. Elle se replace face à lui et se malaxe les seins. Ils ***t lourds sans être trop fermes. Les tétons ***t tendus. Elle se caresse la toi*** qu'elle a fournie. Se retourne et écarte les jambes. Elle lui offre une vue des plus érotiques sur ses deux orifices. Sa chatte s'ouvre et M. Francis peut voir qu'elle mouille en abondance. Elle se tient à la paroi d'une main et se caresse le clitoris de l'autre. Et elle jouit bruyamment sous les flashes de cet homme. Elle ne tient plus sur ses jambes. Elle se retourne et s'assoit devant *** voyeur. Quel spectacle elle vient de lui offrir ! Il est heureux, jamais il n'aurait cru cela possible. Elle le regarde comme enfiévrée. — C'était vachement bien ! Tu m'as excité à mort. Regarde ! Elle regarde *** entrejambe. *** bleu est déformé par *** membre tendu. Il baisse sa fermeture éclair et lui exhibe *** sexe tendu. De taille normale, mais tout veiné, ce qui excite Maryse. Il s'approche. Elle sait ce qu'il va lui demander. *** regard passe de *** sexe au regard de la brune qui se fait éjaculer dessus. Elle sait qu'elle va finir comme elle. Elle veut voir sa bite éjaculer. Il arrive à hauteur de *** visage. — Suce ! Elle lui prend la tige et commence à le branler. Il continue à prendre des photos le salaud, mais elle est trop excitée pour s'en faire et cela participe à *** excitation. Elle se découvre une nouvelle facette, l'exhibitionnisme. Mais elle n'a pas le temps de penser. Elle veut qu'il lui éjacule dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder. Elle ne le suce pas. Mais le branle vigoureusement. Elle sent la bite se tendre dans sa main. Il prend des photos par pur réflexe et soudain c'est l'explosion ! Un gros jet vient s'écraser sur *** front et ses cheveux. Puis un autre finit sur sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu'elle a ouverte de surprise. Le dernier se dépose sur *** sein gauche. Il grogne sa jouissance. Il reprend peu à peu ses esprits. Il prend quelques photos de Maryse couverte de *** sperme. Elle goûte *** sperme au goût fort, elle se sent... salope. Et cela lui plaît. — Putain c'était bon ! Mais la prochaine fois quand je te dis suce, tu suces ! Sinon... Elle ne répond pas. Elle est encore sous le choc de ce qui vient de se passer. — Mets tes fringues... Non, pas tes sous-vêtements ! Ça, je les garde ! Va falloir faire encore mieux la semaine prochaine à la même heure. J'en ai pas fini avec toi ! Maryse se rhabille après s'être essuyée du mieux qu'elle le pouvait. Et quitte la caravane en compagnie de M. Francis qui va lui ouvrir la grille. Il faut maintenant qu'elle se dépêche de rentrer pour prendre une douche. Le retour est à nouveau rempli de visions de ce qui vient de se passer. L'excitation ne la quitte pas.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Le lendemain, Maryse a d'abord du mal à se concentrer sur *** travail. Elle décide de ne plus penser à rien d'autre qu'à ses dossiers. Elle réussit à prendre un peu d'avance sur *** travail et c'est fière d'elle-même qu'elle quitte *** bureau. *** portable ***ne, elle l'ouvre et lit le message. Elle plonge à nouveau dans un état second lorsqu'elle lit le message : La semaine prochaine je te veux en dessous très sexy Le message est accompagné d'une photo d'elle toute nue tenant ses deux seins aux tétons érigés, les offrant au photographe. Elle est fascinée par le visage de cette femme offerte, *** visage. Elle peut y lire l'excitation mêlée à l'abandon de soi. De nouveau, elle ressent cette boule dans l'estomac. Elle monte en voiture et rentre chez elle en se remémorant tous les détails de *** aventure de la veille. Alors qu'elle s'occupe des différentes taches ménagères, *** portable ***ne à nouveau. Elle peine à respirer, elle a tout à coup très chaud. Elle observe le portable posé sur la table qui ***ne. Quand elle trouve enfin le courage de répondre, elle entend la voix de *** mari. Elle reprend ses esprits peu à peu en le laissant parler. *** mari lui explique qu'il ne sera pas là avant 21h30 car il doit absolument régler des problèmes sur des dossiers concernant *** futur déplacement. Il est 19h30, cela lui laisse deux heures de libre. Sa fille est dans sa chambre en train d'étudier en écoutant de la musique et *** fils dans le salon sur ses jeux vidéo. Elle décide de prendre l'ordinateur portable et de s'installer dans sa chambre. L'excitation la prend peu à peu. Elle prend soin de fermer sa porte à clef pour éviter de se faire surprendre. Avant tout, il faut qu'elle transfère la photo d'elle, reçue sur *** téléphone. Elle décide de la garder et de la copier sur une clé USB. Elle s'observe dans cette position obscène. Elle n'imaginait pas pouvoir être aussi excitée par le spectacle qu'elle offre sur cette photo. Il y a encore quelques semaines, elle vivait une existence tout à fait convenable partagée entre *** travail, ses enfants et *** mari. Il est vrai que *** mari est de plus en plus accaparé par *** travail, mais cela n'explique pas qu'elle se soumette aux désirs d'un homme comme M. Francis. Tout les sépare, ils ne ***t pas du même monde. Elle a de l'éducation, une famille. Lui est vulgaire, il vit seul, il est pervers et elle... Non c'est impossible, elle n'est pas perverse. Elle referme l'ordinateur, prend soin de ranger la clé usb au plus profond de l'un de ses tiroirs. Elle ressort de sa chambre pour préparer le dîner. Elle s'affaire dans la cuisine. Elle essaie tant bien que mal de repousser les dernières pensées qu'elle a eues. Mais elle ne peut nier l'état d'excitation qui a été le sien. Le week-end arrive enfin et c'est pour Maryse l'occasion de se promener en ville et d'aller voir les magasins et les nouveautés qu'ils proposent. Elle repense soudain à la demande de M. Francis en passant devant un magasin de lingerie. Plus par défi que par besoin elle rentre dans le magasin pour trouver de la lingerie plus affriolante, mais il n'en verra rien, se dit-elle. Elle prend la résolution de ne plus écouter la perversité de cet homme abject. Elle a fait une très grosse erreur, mais cela ne se reproduira plus. Armée de cette nouvelle résolution, elle rentre dans le magasin. Une charmante dame d'une quarantaine d'années l'accueille par un sourire : — Bonjour Madame, puis-je vous aider ou préférez-vous regarder tranquillement ? — Bonjour, je vais regarder ce que vous avez. Il y a plusieurs ensembles qui lui plaisent bien. Mais elle se rend compte que tout ce qu'elle a sélectionné reste classique. Rien ne sort de *** ordinaire. Ils ***t certes très beaux, mais il leur manque ce quelque chose de sexy. Après quelques instants de réflexion et surtout d'hésitation, elle se tourne vers la vendeuse occupée à trier des articles. — Euh, Madame, j'aurai besoin de vos conseils. — Mais bien sûr. En quoi puis-je vous être utile ? Après un léger moment d'hésitation. — Voilà, j'aimerais faire plaisir à mon mari, mais je ne sais vraiment pas quoi prendre. J'avais pensé à cet ensemble bleu turquoise, mais j'ai peur qu'il trouve cela trop classique. Que me conseilleriez-vous ? La vendeuse regarde les articles bleu turquoise, composés d'une culotte et d'un soutien-gorge à armature. Même s'ils ***t très beaux, ce n'est pas ce qu'il faut à sa cliente si elle veut quelque chose de moins classique. D'un regard professionnel, elle observe sa cliente afin de jauger sa taille, *** style ainsi que les couleurs qui lui iraient le mieux. — Vous faites un 95D n'est ce pas ? — Euh, oui, c'est exact. Maryse se sent troublée par le regard inquisiteur de la vendeuse. Elle essaie de se calmer en se disant qu'elle n'est pas la première que cette vendeuse regarde ainsi, elle ne fait que *** travail. Mais le trouble persiste. — Tout d'abord, si vous voulez surprendre votre... mari, il faut que vous changiez de style de lingerie. Je suppose que ce que vous avez choisi correspond plus ou moins à ce que vous avez l'habitude de porter ? — Oui en effet. Maryse se demande pourquoi la vendeuse a hésité en parlant de *** mari. C'est comme si elle savait ce qu'elle avait fait ou allait faire. Pourtant Maryse s'est juré de ne plus recommencer *** erreur. — Bon, il vous faut quelque chose de plus épicé. Voilà, ceci devrait faire l'affaire. C'est une guêpière bleu nuit et noire qui devrait mettre vos jolis yeux bleus en valeur. De plus elle vous soutiendra bien la poitrine. Cela vous fera une superbe silhouette. Tenez, voici le string assorti. Maryse regarde les articles, ils ***t très beaux, mais elle se demande si elle osera les porter. Elle rentre dans la cabine d'essayage et tire le rideau. Elle se déshabille, puis elle met le string et la guêpière. Sa poitrine est vraiment relevée et mise en avant. Cela lui fait une étrange impression. Elle se sent terriblement sexy, *** petit ventre est camouflé. Elle se tourne et regarde ses fesses. Elle n'imaginait pas que cela lui irait aussi bien. La guêpière se termine par quatre jarretelles qui ne demandent qu'à soutenir des bas-coutures. — Comment cela vous va-t-il ? Je peux regarder ? — Oui, vous pouvez. La vendeuse ouvre le rideau, elle reste un instant à regarder sa cliente. Le spectacle qu'offre cette dame est très plaisant. Il ne manque que des bas et des talons à sa cliente pour parfaire le tableau. — Là je pense que vous allez vraiment le surprendre. Vous êtes très belle dans cet ensemble. Attendez une seconde, je vais vous cherchez des bas. La vendeuse s'absente. Maryse s'observe dans la glace. Elle recule un peu pour essayer d'avoir une vue d'ensemble. En effet, elle va en surprendre plus d'un. Non, elle va surprendre *** mari. Soudain elle se rend compte qu'elle est sortie de la cabine. Quelqu'un aurait pu la voir. *** cœur bat la chamade. Malgré l'excitation, elle se réfugie dans la cabine. Que lui arrive-t-il ? Elle est maintenant excitée à l'idée d'avoir été surprise dans cet ensemble de lingerie sexy. La vendeuse revient avec une paire de bas et lui présente. Elle referme le rideau pour les mettre. Même si elle se sent troublée, elle ne veut pas que la vendeuse se fasse des idées. Elle met les bas et ne peut s'empêcher de caresser ses jambes ainsi habillées. La sensation est très sensuelle. Elle attache les jarretelles puis rouvre le rideau. — Vous êtes presque parfaite. Maryse qui n'est pas si à l'aise que cela est surprise par le « presque ». — Puis-je me permettre d'ajuster vos jarretelles ? Je vais vous montrer comment les mettre correctement. — Oui, allez-y. La vendeuse s'approche de Maryse et s'accroupit devant elle. Ses mains fines glissent légèrement sur les cuisses de Maryse lui provoquant des fris***s. Elle ne dit rien, elle ne sait quoi penser. La vendeuse ajuste les jarretelles de façon à ce que cela mette en valeur les fesses de sa cliente. Maryse est de nouveau excitée par la situation. Elle ne peut le nier. Ses pensées ***t tournées vers les mains de cette vendeuse qui s'affairent au niveau de ses fesses pour remettre en place les jarretelles. Elle sent leur douceur sur sa peau, cela l'électrise. Elle respire plus rapidement. — Voilà, cette fois, vous êtes parfaite. Maryse est troublée, elle est en lingerie devant cette inconnue et cela l'excite. Elle a du mal à retrouver une respiration normale. La vendeuse continue de la regarder en souriant. Maryse n'ose pas la regarder, elle bredouille des remerciements puis referme le rideau. Une fois seule dans la cabine, elle reprend peu à peu ses esprits. Elle est de plus en plus troublée par ses nouvelles sensations et ses nouvelles envies. Elle se change et ressort de la cabine, les jambes fébriles. Que lui arrive-t-il ? — Je vais prendre la guêpière, le string et les bas... — Très bien. Elle n'ose pas regarder la vendeuse. Elle observe ses mains, si douces et si troublantes, manipuler ses articles et les ranger délicatement dans leur emballage. — Voici, cela vous fera 120 Euros. Après avoir payé, Maryse quitte le magasin sous le regard de la vendeuse. Elle a toujours *** sourire qui la trouble, comme si cette per***ne était capable de lire ses pensées les plus intimes. Il est temps pour elle de rentrer. Elle ne parle pas de ses achats à *** mari et les range au plus profond de *** tiroir avec la clé usb. Durant le début de la semaine, Maryse redoute ce qui va se passer mercredi. Elle s'attend à ce que *** chef l'envoie une fois de plus à la déchèterie, mais elle ne veut pas. Dès qu'elle y pense, elle est partagée entre l'excitation et la peur de céder à nouveau à ce pervers. Maryse se réveille avec une boule dans le ventre. La journée qu'elle redoute depuis plusieurs jours est arrivée. Elle a passé une nuit agitée, elle a rêvé qu'elle se retrouvait dans la caravane de M. Francis, entourée des modèles des posters. Elles la touchaient, la caressaient sous le regard vicieux de M. Francis. La vendeuse était là aussi avec *** sourire. Elle savait tout et l'observait sans cesse. Puis M. Francis approchait et elle se retrouvait avec *** sexe en main. Il lui répétait sans cesse de le sucer. Toutes ces images se ***t répétées sans cesse durant *** sommeil. Après une douche réparatrice, elle se pose un dilemme. Va-t-elle ou non céder à la perversité de M. Francis ? Elle décide qu'il est nécessaire pour elle-même et pour *** amour propre de prendre la situation en main. Elle va donc porter sa nouvelle tenue pas pour M. Francis, mais pour elle-même. Maryse est décidée à ne plus se laisser faire. Elle s'observe avec *** nouvel ensemble de lingerie qui lui va à ravir. Elle opte pour une jupe droite arrivant aux genoux, un chemisier et des talons. Elle s'observe de nouveau, elle est habillée de façon classique. Le seul détail qui change, c'est sa poitrine qui est maintenue plus haut que d'habitude. Elle se trouve désirable et savoir qu'elle a une tenue aussi sexy en-dessous lui procure une petite pointe d'excitation. Maryse s'attend à tout moment à ce que *** chef lui demande de retourner à la déchèterie, mais il n'en parle pas. En fin de matinée, elle ne l'a toujours pas vu. Elle est presque déçue, mais finalement elle se dit que c'est mieux ainsi. Elle n'aura pas à affronter M. Francis. Elle est partagée entre ces deux sentiments quand elle monte dans sa voiture pour rentrer chez elle. Soudain *** chef apparaît devant la voiture. Elle se sent toute fébrile, ça y est, il va lui annoncer qu'il faut qu'elle retourne là-bas, dans le lieu de sa perdition. — Bonne après-midi, Maryse ! Pas de détour à la déchèterie aujourd'hui. Par contre la semaine prochaine prévoyez d'y aller. À demain. Comme d'habitude, il ne lui laisse aucun choix. Elle se sent rassurée, mais il n'a fait que retarder l'échéance. Elle rentre chez elle. Quelques kilomètres avant d'arriver, elle décide brusquement de faire demi-tour. Il faut qu'elle l'affronte. Elle doit prendre le dessus. Elle arrive à la déchèterie, il y a une voiture sur place. M. Francis est en train de discuter avec un homme d'un certain âge. Elle regrette d'être venue. Elle décide d'aller directement du côté de la benne destinée aux papiers. Elle descend de voiture. Fait mine de fouiller *** coffre. Le temps lui semble interminable. Mais qu'est ce qu'ils ont à se dire qui dure si longtemps. Soudain une idée lui traverse l'esprit. Il est possible qu'ils parlent d'elle. Il est possible qu'il lui raconte tout ce qui s'est passé la semaine dernière. Sa respiration est de nouveau difficile. Ses jambes peinent à la soutenir. Elle manque d'air. Elle a été totalement imprudente. Elle a perdu la tête. Soudain un bruit de moteur la sort de sa torpeur. Elle se retourne pour voir l'homme au volant de sa voiture qui quitte la déchèterie non sans l'avoir dévorée des yeux en passant. Ce regard plein d'envie la trouble encore plus. Elle essaie de ne rien montrer, de feindre l'indifférence, mais elle ne peut se duper elle-même. M. Francis s'approche d'elle doucement en la regardant avec *** sourire en coin. Elle lui retourne *** regard. Elle essaie de ne pas montrer *** trouble. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. Lui s'arrête à quelques mètres d'elle pour pouvoir l'observer dans *** ensemble. D'un coup un verrou se débloque en elle. Elle décide finalement de céder à ses propres envies. Elle veut le voir la désirer. Elle veut l'exciter. Elle passe une main tremblante sur ses seins qu'elle sent tendus. Ils ***t très sensibles. Elle ne cesse pas de le regarder pendant cette caresse. Elle retire plusieurs boutons de *** chemisier pour lui donner un aperçu de *** décolleté. Il peut voir, sous le simple chemisier, la dentelle de sa lingerie qui rehausse superbement sa poitrine. Il l'observe avec envie. Il ne bouge pas, pétrifié par le spectacle qu'elle lui offre. Elle ouvre légèrement *** chemisier pour en offrir un peu plus à *** spectateur. Elle se sent terriblement désirée par cet homme commun, qui pourtant a réussi à lui dévoiler une facette de sa per***nalité qu'elle n'imaginait pas. Elle se cambre pour lui offrir *** décolleté. Ses mains glissent doucement sur *** ventre et le long de ses hanches. Elles descendent sur ses cuisses. Cette caresse est terriblement sensuelle. Elle est excitée par le regard de M. Francis qui n'ose plus bouger. Un coup d'œil sur *** entrejambe lui assure qu'il la désire. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure. Elle se veut provocante. Elle tire doucement sur sa jupe pour la faire remonter le long de ses jambes. Peu à peu, elle dévoile ses cuisses. Il peut voir le début de la couture de ses bas. Il est au comble de l'excitation, il transpire. Il respire difficilement. Elle le rend presque fou. Elle continue de remonter sa jupe. Maintenant, il peut voir la peau nue de ses cuisses et les jarretelles qui tirent sur les bas. Tout à coup, ils entendent le moteur d'une voiture. Maryse panique et rabaisse sa jupe. Lui sort de sa torpeur et après un bref coup d'œil en arrière se tourne de nouveau vers Maryse. — Prends ta voiture et rejoins-moi dans ma caravane ! Maryse ne lui répond pas. Elle démarre, mais au lieu d'obéir, elle se dirige vers la sortie et rentre chez elle. Elle se sent forte, tout ce qu'elle a donné à ce pervers, elle l'a voulu. Elle ne lui a rien cédé d'autre. La situation l'a beaucoup excitée. Elle se sentait contrairement à la dernière fois, dominatrice. Elle contrôlait la situation. Avant d'arriver chez elle, elle reboutonne *** chemisier pour redevenir la sage femme mariée qu'elle a été. Elle ne tarde pas à recevoir un SMS sur *** portable. Elle se doute que c'est M. Francis. Pourquoi es-tu partie ? Elle lui répond rapidement : C'est vous qui êtes parti. Il va falloir attendre la suite... s'il y en a une. Elle sourit.
|
soumis8
Member
Posts: 3142
|
2 histoires en français! Tu nous gâtes (car je suppose qu'on est assez nombreux à te lire, même si beaucoup restent muets. La deuxième histoire (la déchèterie) je l'avais lue voici quelques années, je ne sais sur quel site. Mais j'ai hâte de (re)lire la fin. Merci encore
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
oui tu n'es pas le seul à aimer lire le Français (j'en fais partie aussi :smile merci
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Depuis ses exhibitions au magasin de lingerie et devant M. Francis, Maryse remarque de plus en plus les regards qui se posent sur *** corps. Elle y est de plus en plus sensible. Elle avait bien remarqué quelque fois ce type de regard, mais elle n'y prêtait pas attention. Et s'il lui arrivait de ressentir quelque chose, c'était plus du dédain. Maintenant tout a changé. Elle en est à rechercher ces regards, presque à les provoquer. Elle aime tout autant que ce soit un homme ou une femme qui la déshabille du regard, qui essaie d'apercevoir un peu plus que ce qu'elle dévoile. Ses tenues n'ont pas beaucoup changé. Mais elle laisse un décolleté plus généreux. Elle porte des robes ou des jupes un peu plus courtes sans être trop courtes. Ses dessous, par contre, ***t plus sexy, ils mettent ses formes beaucoup plus en valeur. Elle porte quelque fois des bas soutenus par des porte-jarretelles. Rien que le fait de porter ces dessous sexy suffit à lui provoquer une pointe d'excitation. La pensée que quelqu'un pourrait voir comment elle est habillée sous ses vêtements plutôt sages la trouble. *** mari doit partir en voyage d'affaires mardi et les enfants partent chez leurs amis mercredi matin. Les préparatifs la tiennent occupée, mais elle attend avec une certaine impatience cette semaine de liberté. Elle va pouvoir s'occuper d'elle, faire ce dont elle a envie... d'autres pensées lui viennent, mais elle les refoule au plus profond d'elle-même. Le mardi soir, elle accompagne *** mari à la gare. Elle s'est faite belle pour l'occasion, mais *** mari est bien trop préoccupé par *** déplacement. Elle se dit qu'il est bien trop stressé en ce moment... Une autre part d'elle est déçue qu'il n'ait rien remarqué. Pourtant elle porte un petit haut échancré avec un petit décolleté, une large ceinture, un pantalon moulant et des talons pour rehausser sa silhouette. Elle reste quelque temps sur le quai de la gare pour regarder le train partir avec *** mari à bord. Elle distingue les gens dans le compartiment. *** mari monte dans le train après l'avoir embrassée d'un baiser qu'elle aurait voulu plus passionné. Il s'installe ensuite, et après un bref signe de la main pour lui dire au revoir, il sort *** ordinateur pour se remettre au travail. Au moment où elle se décide à partir, elle remarque qu'un homme, dans le compartiment voisin de celui de *** mari, la dévore des yeux. Elle fait mine de ne pas le remarquer. *** regard la trouble. Elle est de nouveau prise par l'excitation. Elle peut deviner les pensées lubriques de cet homme et cela l'excite. Elle se cambre un peu plus pour faire ressortir sa poitrine. Négligemment, elle joue avec le tissu de *** haut dévoilant un tout petit peu plus la peau satinée du haut de ses seins. Elle l'observe discrètement en jetant quelques coups d'œil sans jamais croiser *** regard. Elle est très excitée. Elle sait que ses tétons dardent à travers le tissu. L'homme se détourne un instant et quand il la regarde de nouveau, il a un appareil photo. Il prend plusieurs clichés. À présent, elle est trop excitée, elle a peur tout à coup de ce qu'elle pourrait faire. Elle décide de quitter le quai sous le regard de *** photographe amateur. Elle se dirige vers sa voiture le cœur battant à toute vitesse. Elle a recommencé à céder à ses pulsions. Qu'importe, elle ne peut nier *** excitation quand on la regarde avec envie, lubricité et surtout quand on la photographie... Elle rentre retrouver ses enfants. Après le repas, elle vérifie que *** fils a bien pris toutes ses affaires, alors qu'il passe en revue les jeux qu'il a sélectionnés pour jouer avec ses copains. Après lui avoir dit bonsoir, elle le laisse jouer sur *** ordinateur dans sa chambre en lui faisant promettre de ne pas veiller trop tard. Sa fille, quant à elle, est prête. Sa valise bien plus grosse que celle de *** frère est enfin fermée. Elle décide de se coucher tôt pour être tout à fait en forme le lendemain. Maryse rentre dans sa chambre, et s'enferme à clef. *** expérience sur le quai de gare l'a beaucoup excitée et elle se dit que *** mari n'étant pas là, elle va se donner du plaisir elle-même. Elle prend d'abord une douche pour se détendre. Elle enfile ensuite un peignoir. Elle allume *** ordinateur portable et s'installe confortablement sur le lit. Elle n'ose pas vraiment commencer, elle regarde ses e-mails, regarde les derniers potins, elle fait quelques recherches. Et au fil de ses recherches, elle tombe plus ou moins consciemment sur un chat pour adulte. Elle se crée un pseudo par curiosité, juste par curiosité. Et elle se lance sous le nom de F-exhib, elle ne trouve pas cela très original, mais qu'importe, elle ne restera pas longtemps sur ce site. *** entrée sur le site ne passe pas inaperçue. Elle est assaillie de messages privés plus ou moins courts, voir minimalistes. Elle commence à lire les échanges sur le chat après avoir écrit un bonjour timide. Certains ont l'air de bien se connaître. Elle a un peu de mal à trouver sa place. Elle reçoit un nouveau message d'un certain H-mateur. Le pseudo la fait sourire. Contrairement à la plupart des autres messages, *** H-mateur prend le temps d'écrire. Elle lui répond et ils commencent à discuter. Après quelque temps, il lui demande si elle aime vraiment s'exhiber. Elle lui répond que tout cela est très nouveau pour elle. Elle lui explique que depuis peu de temps, elle est très excitée quand on la « mate ». Étant derrière *** écran, elle se sent comme protégée, hors d'atteinte. Elle essaie d'utiliser un vocabulaire plus fort, qu'elle n'a pas l'habitude d'employer. L'homme saute sur l'occasion et lui demande de se dévoiler devant sa webcam. Elle a un temps d'arrêt. Ses joues ***t en feu, une fois de plus, une boule se forme dans *** estomac. Elle se pose mille questions, mais une chose est sûre, elle est déjà excitée rien qu'à l'idée de se montrer devant cet inconnu. Elle lui dit que c'est la première fois sur internet. Elle ne veut pas montrer *** visage. Cela lui convient. Elle lui demande comment procéder. Il lui explique la marche à suivre. Elle suit ses instructions et *** image apparaît à l'écran. *** peignoir bien fermé ne laisse rien apparaître. Elle se place de façon à ne pas montrer *** visage. Elle est très excitée. L'homme apparaît maintenant à côté de *** image. Elle est très surprise de le voir entièrement nu. Sa webcam est braquée sur *** sexe rasé. Il repose sur ses bourses volumineuses complètement nues. Cette vision la pétrifie, elle ne voit que le sexe de cet homme qui l'attend. Un message de *** mateur la rappelle à l'ordre. Il lui demande de lui montrer *** corps. Ses gestes ***t tout d'abord tremblants. Elle ouvre doucement *** peignoir dévoilant le décolleté de sa poitrine généreuse. L'homme commence à caresser *** sexe. Elle observe la réaction qu'elle provoque chez cet homme. Elle se caresse la poitrine à travers *** peignoir. Elle ferme les yeux quelques instants pour apprécier au maximum le plaisir qu'elle ressent à cette simple caresse, *** excitation augmente. Elle sort *** sein droit pour titiller *** téton. Un coup d'œil sur l'écran lui montre que *** mateur a maintenant une belle érection. Il envoie quelques messages d'encouragement. Quand elle sort *** deuxième sein, l'inconnu se masturbe frénétiquement. Ses messages ***t beaucoup moins subtils. Il s'oublie. Il la traite même de « salope ». *** excitation s'amplifie en voyant ce qu'elle provoque chez cet homme. Elle éprouve beaucoup de plaisir à s'offrir à lui, elle en éprouve encore plus à le provoquer. Elle le regarde se masturber en se caressant les seins. Elle les malaxe. Elle se pince les tétons. Jamais elle n'aurait fait cela avant. Elle présente ses seins à la webcam, les soulève et les porte à sa bouche. Elle se suce les tétons avec avidité. Elle ouvre entièrement *** peignoir et montre à *** inconnu ses secrets les plus intimes. Elle mouille abondamment. Ses lèvres ***t ouvertes et brillent d'une humidité qui témoigne de *** état. L'homme se caresse toujours et lui dit d'en faire de même, de jouir devant lui. Il la traite de « chienne, de superbe salope.... ». *** vocabulaire se limite très vite. Tout *** être est tourné vers cette femme aux formes généreuses qui s'offre à lui. Elle se caresse le clitoris qui est d'une telle sensibilité qu'elle pense jouir d'un instant à l'autre. Il lui demande de se tourner. Il veut voir *** « cul ». Elle s'exécute, tout à *** plaisir de lui obéir. Elle se cambre pour lui offrir une vue des plus voluptueuse. Il lui demande ensuite d'ouvrir ses fesses pour qu'il puisse bien voir *** petit trou. Tout ceci excite beaucoup Maryse qui lui ouvre ses deux beaux globes pour lui montrer ce qu'elle n'a jamais montré à per***ne, ni même à *** mari. Elle se caresse le clitoris en lui montrant *** petit trou. Il en veut plus, il veut qu'elle se doigte. Elle commence à pénétrer *** vagin coulant d'excitation. Mais ce n'est pas ce qu'il veut. Il veut qu'elle s'introduise un doigt dans l'anus. Elle fait mine de n'avoir rien lu, mais il revient à charge. « Encule-toi ! Tu m'excites à mort, salope ». Elle n'est plus elle-même. Elle sort ses doigts luisants et commence à caresser *** anus. Elle n'a jamais fait cela. Elle est presque honteuse d'obéir à cet homme, mais l'excitation l'emporte. Elle s'introduit doucement un doigt. Elle pousse, elle sent une résistance, mais elle réussit à se l'introduire. Elle essaie de ne pas gémir trop fort. Ce n'est pas tant *** doigt que la situation qui l'excite. Elle fait quelques va-et-vient, puis il lui demande d'introduire un deuxième doigt. Le deuxième rentre plus facilement que le premier. De *** côté l'homme se masturbe avec *****. Il est maintenant trop excité pour écrire quoique ce soit. Elle le voit se pétrifier et elle voit un long jet de sperme s'écraser sur *** ventre puis plusieurs autres. Elle le voit respirer profondément. Elle a toujours ses doigts en elle. Elle s'est arrêtée de respirer le temps qu'il a joui. Plusieurs sentiments se bousculent. Elle a fait jouir cet homme en lui montrant *** corps, sans le toucher cela lui donne une impression de pouvoir. Tout ce temps, cet homme pensait qu'il la dominait, mais c'est elle qui l'a fait jouir. Mais elle est aussi honteuse de ce qu'elle vient de faire, même si elle y a pris énormément de plaisir. Maintenant il essaie de lui demander des informations plus per***nelles, *** numéro de téléphone... Il veut la revoir. Elle s'esquive, il pourra toujours la contacter sur ce mail. Le plaisir qu'elle a éprouvé ce soir lui suffit... pour le moment. Elle ferme la discussion et l'ordinateur. Elle se couche et ne tarde pas à s'endormir et retrouve ses rêves érotiques qui s'étoffent à chaque nouvelle expérience. Le lendemain matin, tout se passe très rapidement. *** fils part avec ses copains en discutant de tout ce qu'ils vont faire cette semaine, des jeux qu'ils ont prévus. Sa fille quitte la mai*** avec sa meilleure copine plus discrètement, elles se chuchotent leurs secrets. Une fois seule, elle prend plus de temps qu'à *** habitude pour choisir sa tenue. Elle décide de remettre la même tenue que la semaine passée pour reprendre *** « jeu » là où il s'est arrêté avec M. Francis. Sa poitrine soutenue bien haut monte et descend au rythme de sa respiration. En se regardant dans le miroir, elle se trouve désirable. Elle n'a pas boutonné *** chemisier jusqu'en haut. Elle a laissé un petit décolleté qui devrait lui attirer quelques regards. Elle se tourne, rien ne laisse deviner ce qu'elle porte sous sa jupe découvrant le bas de ses cuisses. Elle est prête. Elle récupère sa clé USB au fond de *** tiroir. Il faut qu'elle récupère les photos de M. Francis, mais elle ne sait pas trop comment elle va procéder.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
La matinée passe rapidement. Elle a quelques dossiers qui lui prennent tout *** temps. *** chef passe la tête dans *** bureau et lui rappelle *** « rendez-vous » à la déchetterie. Elle a remarqué *** regard plein d'envie sur ses jambes et *** décolleté. Elle sourit, elle est certaine que M. Ribière la regarde autrement maintenant. Est-ce qu'elle le fait fantasmer ? Certainement. Elle rougit de sa façon de penser. Elle se remet sans plus attendre à *** travail. Vers midi, Martin, le jeune stagiaire, se présente à *** bureau pour l'aider à charger la voiture. Il est moins timide qu'au début. Elle lui adresse un petit sourire et lui demande d'attendre quelques minutes, le temps qu'elle finisse *** dossier. Du coin de l'œil, elle peut le voir qui l'observe. *** regard passe des ses jambes légèrement découvertes à *** décolleté. Elle est assise à *** bureau, elle croise les jambes pour les lui dévoiler un peu plus. Il n'en perd rien. Il est comme **********. Elle fait mine de ne rien remarquer. Cette situation l'excite. Mais elle est aussi un peu confuse et troublée par *** attitude. Elle ne peut s'empêcher d'aguicher ce jeune homme. Tout en se cambrant légèrement pour lui offrir un meilleur aperçu de sa poitrine, elle lui dit : « Voilà... c'est terminé ». Puis elle se lève, mettant un terme à *** petit spectacle. Martin sort de sa léthargie et l'accompagne jusqu'à sa voiture pour charger les quelques vieux documents destinés à la déchetterie. Sa petite exhibition l'a bien émoustillée. Elle se rend compte que cela devient de plus en plus naturel et surtout qu'elle en a de plus en plus envie. Elle aime les sensations que cela lui procure. Par contre, il lui faut absolument récupérer les photos que M. Francis a faites lors de *** premier écart. Elle se demande comment elle va pouvoir faire. Elle arrive peu de temps avant la fermeture de la déchetterie. Elle ne le voit nulle part. Elle décide de se débarrasser des quelques dossiers qu'elle a dans *** coffre. Au moment de mettre le dernier, elle sursaute en entendant la voix de M. Francis : — C'est bien que tu sois revenue ! La dernière fois tu m'as laissé sur ma faim. Rejoins-moi dans ma caravane quand t'auras fini ! Elle le regarde s'éloigner. Elle ne sait plus si elle doit le suivre ou pas. La dernière fois, cela est allé très loin. Elle se rend compte qu'elle est de nouveau dans un état second, le souffle court. Elle ne peut pas nier *** excitation et elle doit récupérer ses photos. Elle n'ira dans cette caravane que pour les photos... Elle gare sa voiture devant la caravane. M. Francis l'attend à l'intérieur. Elle hésite encore à sortir de la voiture, mais elle finit par descendre et s'approcher presque machinalement de la porte. Elle s'arrête devant et elle reprend sa respiration avant d'ouvrir. Rien n'a changé depuis la dernière fois. Les femmes aux énormes poitrines des posters la regardent entrer. Elle voit M. Francis affalé sur la banquette, il regarde *** ordinateur portable. Il la regarde un instant, puis il tourne l'ordinateur pour qu'elle puisse voir ce qu'il y a à l'écran. Elle se voit sur une série de photos dans des positions indécentes. Viennent ensuite les photos où elle masturbe le sexe de M. Francis jusqu'à ce qu'il éjacule sur elle. Elle a l'air tellement offerte, avide... salope. Elle ressemble presque aux femmes des posters. Se revoir ainsi exposée la trouble encore un peu plus. Il fait une chaleur étouffante, elle a du mal à respirer. La moindre respiration provoque une petite friction sur ses tétons tendus. Cette sensation devient familière, mais cela n'atténue aucunement les effets. Elle est excitée, elle le sait... elle a peur de ce qu'il va lui demander et surtout de ses propres réactions. — Allez, montre-moi ce que tu portes en dessous ! Maryse voit *** regard lubrique et *** sourire en coin. Ses mains se déplacent le long de *** corps en une caresse sensuelle. Elles passent sur *** ventre, puis sur ses seins. Elle empoigne ses deux globes et les serre l'un contre l'autre offrant ainsi un décolleté généreux à cet homme. Elle pousse un petit soupir quand elle malaxe ses seins devant lui. Elle déboutonne *** chemisier lentement pour faire apparaître la dentelle noire et bleu nuit de sa guêpière. Il ne bouge pas, il est fasciné par le spectacle de cette femme qui se dénude devant lui. D'un geste, elle écarte *** chemisier, ce qui fait ballotter ses deux seins maintenus bien haut par la guêpière. Elle retire *** chemisier et le laisse tomber à terre. Elle prend quelques poses lascives, elle tourne sur elle-même lentement. Un mouvement sur l'écran attire *** attention, il est en train de filmer la scène grâce à sa webcam. Cette situation l'excite encore plus. Quant à lui, il commence à se caresser à travers *** bleu de travail. Elle se penche légèrement pour descendre lentement la petite fermeture éclair de sa jupe. D'un petit mouvement de hanche, elle se libère de sa jupe. Elle est maintenant en sous-vêtement devant M. Francis qui se caresse avec plus de *****, les yeux exorbités. Il admire les jambes mises en valeur par des bas fumés tirés par des porte-jarretelles. Elle se tourne devant lui en se caressant le corps. Il peut maintenant voir ses fesses rebondies dévoilées par un string en dentelle assortie à celle de la guêpière. Il l'observe se pétrir les seins pour lui. Ils ***t tellement appétissants, volumineux et souples. Il sort *** sexe pour se masturber devant ce spectacle. — Sors tes seins ! Elle lui obéit. D'une main, elle écarte la dentelle de la guêpière pendant que l'autre sort délicatement le sein. *** téton est érigé au milieu d'une belle aréole rose. Il le dévore des yeux. Elle sort l'autre de la même manière. Elle soupèse ses deux globes pour lui. Ils ont l'air lourd. Elle les pétrit de nouveau. Il adore ça et visiblement elle aussi car elle gémit doucement. C'est encore meilleur que devant sa webcam, pense-t-elle. — Maintenant ton string ! Elle descend ses mains le long de *** corps. Elle passe ses pouces entre sa peau satinée et les côtés du string puis le descend doucement. Elle se tourne de trois quarts pour lui montrer ses fesses ainsi qu'un sein voluptueux qui pend lorsqu'elle se penche pour retirer le minuscule bout de tissus. — Approche ! Elle n'ose pas l'entendre, elle n'ose pas lui obéir. Pourtant elle sait qu'elle ne peut plus se dérober offerte ainsi à cet homme. Elle ne peut plus nier ses propres envies. Elle est tellement excitée qu'elle n'a plus tous ses esprits. Elle regarde les posters de ces femmes offertes et se rend compte que finalement, elle est l'une d'entre elles. — Approche ! Il n'en peut plus, il faut qu'il profite de ce corps offert. Il faut qu'il la touche, qu'il la possède. Elle s'avance langoureusement vers lui alors qu'il la regarde intensément. Elle s'agenouille entre ses jambes sans quitter *** sexe des yeux. Elle le caresse du bout des doigts. Il gémit. Il se laisse faire. Les doigts de Maryse glissent le long de *** sexe tendu jusque sur ses bourses, il en fris***ne. Il passe sa main dans la chevelure brune de Maryse, passe derrière sa tête. Il l'attire vers *** sexe. Il veut qu'elle le suce. Elle résiste un peu et finit par approcher *** visage. Elle ouvre sa bouche et glisse le long de sa verge. Il sent l'humidité et la chaleur de sa bouche sur *** sexe. Sa langue joue avec *** sexe. Elle le ressort doucement en serrant ses lèvres dessus. Elle n'aime pas trop prodiguer cette caresse à *** mari, mais la situation est différente, elle se sent une autre femme avec M. Francis. Elle se laisse aller à ses envies. Elle continue ses va-et-vient lentement, alors que les mains de cet homme ***t crispées dans ses cheveux. Tout à coup, elle sent le sexe se tendre encore plus. Il va jouir, elle ne peut se retirer, le veut-elle seulement ? Elle lui caresse les bourses alors qu'elle accélère *** rythme. Il se tend en grognant. Elle reçoit un premier jet copieux dans la bouche. Le goût n'a pas le temps de la surprendre qu'elle en reçoit un second lui remplissant la bouche. Elle serre plus fort les bourses de l'homme qui grogne en jouissant dans sa bouche. Elle laisse s'échapper le sperme autour du sexe qui la remplit. Elle reçoit d'autres jets plus menus. Le goût envahit ses sens. Elle se surprend à aimer cela. Elle avale ce qui est encore dans sa bouche alors que le reste coule sur *** menton, *** cou jusqu'à ses seins. Il la lâche enfin, elle se redresse. Il la regarde, ébahi. Elle se caresse et en le regardant, elle recueille d'un doigt la semence chaude qui coule sur *** corps. Elle le suce ensuite devant lui, sans le quitter des yeux. Elle ne se reconnaît plus, c'est une autre femme qui l'habite. Elle recommence à récolter un peu de sperme pour le savourer de nouveau. — Tu me rends dingue ! T'es une sacrée salope ! Tu caches bien ton jeu... Tout en lui parlant, il se caresse le sexe semi-dur. Elle est dans un état second. Elle a besoin de jouir maintenant qu'il a eu ce qu'il voulait. Elle s'assoit par terre les jambes bien écartées et commence à se caresser le clitoris puis la vulve en gémissant de bonheur devant lui. Elle adore ce regard lubrique qui la dévore. Elle s'introduit un puis deux doigts pour titiller cette petite zone sur le haut de *** vagin tout en caressant de *** autre main *** clitoris qui est gonflé de désir. Il peut voir les tétons de Maryse grossir un peu plus sous l'effet de l'excitation. Ses seins ***t tendus et gonflés. Sa peau prend une teinte rosée et elle pousse un cri de jouissance en se caressant frénétiquement. Sa jouissance ne dure pas longtemps, mais est très intense. M. Francis retrouve toute sa vigueur devant cette femme jouissante et offerte. Il se caresse. Il prend le temps de mettre un préservatif avant de se lever. Il prend les jambes de Maryse et lui indique de se mettre à quatre pattes devant lui. Toujours dans un état second, elle lui présente sa croupe en se cambrant au maximum. Sa vulve est ouverte et accueillante. Elle est tellement mouillée qu'il s'enfonce d'un seul mouvement. Elle a un hoquet de surprise quand elle le sent entièrement en elle. Il l'empoigne par les hanches et s'enfonce vigoureusement en elle en mouvements saccadés. Il grogne alors qu'elle pousse des cris à chaque fois qu'il la pénètre entièrement. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau. Il continue de la prendre. Puis il sort de *** vagin. Il présente *** sexe devant *** petit anus et il pousse. Il pousse très fort, elle sent sa résistance céder. La douleur qu'elle peut ressentir est atténuée par *** excitation. Elle se sent tellement salope qu'elle est prête à lui offrir *** dernier trou pour le satisfaire. Elle le sent envahir cet orifice qu'elle n'a jamais ouvert à per***ne. Elle gémit longuement tout le long de la longue pénétration. Il lui empoigne une touffe de cheveux et il commence une série d'allers-et-retours, tout d'abord lentement puis de plus en plus rapidement. Elle pousse à nouveau des cris lorsqu'il la pénètre. Il est totalement excité par cette femme offerte en levrette devant lui. Il s'enfonce de plus en plus brusquement jusqu'à ce qu'il jouisse bruyamment en elle. Elle le sent se tendre en elle. Elle adore ça. Puis tout se calme. Il se retire et se rassoit sur la banquette, le sexe pendant encore gainé de latex. Elle se retourne et s'approche de lui, toujours à quatre pattes. Elle lui retire *** préservatif et reprend *** sexe en bouche pour goûter de nouveau à sa semence. Elle le nettoie méticuleusement pendant qu'il lui caresse les cheveux. Après quelques instants, il se lève et avant de sortir dehors, il se tourne vers elle : — On m'avait jamais vidé comme ça ! Elle le regarde quitter la caravane sans répondre. Elle se dit que c'est le moment de récupérer les photos et la vidéo. Elle a les jambes qui flageolent encore un peu, mais elle se précipite sur *** sac, trouve sa clé USB. Par chance il a déjà ouvert les répertoires contenant les photos et la vidéo. Elle copie tout et prend soin de supprimer définitivement les fichiers sur l'ordinateur. Elle récupère sa clé et éteint l'ordinateur. Elle commence à se rhabiller quand il revient de nouveau. — Tu t'en vas déjà ? J'aurais bien remis ça, moi ! — Je dois partir, on m'attend à la mai***. Elle dit cela d'une petite voix en espérant qu'il n'y décèlera pas *** men***ge. Maintenant que la tension et l'excitation ***t retombées, elle est honteuse de ce qu'elle a fait. Elle ne s'imaginait pas que cela irait aussi loin. Mais elle se justifie en se disant qu'il était nécessaire de récupérer les photos. Elle finit de s'habiller, et au moment de quitter la caravane, il lui claque les fesses. — Va falloir que tu reviennes ! Elle ne répond pas. Elle monte dans sa voiture et rentre chez elle, sous le choc de ce qu'elle a fait avec cet homme. Ses fesses et *** petit trou lui rappellent jusqu'où elle a été cette fois. Malgré la honte, elle est satisfaite. Jamais elle n'avait pratiqué le sexe de cette manière bestiale. Elle ne peut se cacher qu'elle a adoré ça ! Peu de temps après être rentrée, elle reçoit un coup de téléphone de M. Francis. — Tu m'as bien eu, salope ! — Vous comprenez, je ne pouvais pas vous laisser ces photos de moi... mais j'ai une proposition à vous faire. — Je t'écoute. — Je vous renverrai quelques photos sur lesquelles j'aurai effacé mon visage. De cette façon, vous garderez quelques souvenirs de nos rencontres. Et peut-être que je reviendrai... Qui sait ?
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Elle n'en revient toujours pas de ce qu'elle a fait avec M. Francis. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n'avait tentées et cela lui a plu... énormément. Rien que d'y penser, elle sent l'excitation la gagner de nouveau. Il faut qu'elle se rai***ne, elle ne peut pas continuer comme ça. Elle a dépassé les limites du convenable, elle a trompé *** mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour *** comportement, elle ne peut s'empêcher de penser à la jouissance qu'elle a ressentie. Après un rapide repas, elle allume *** ordinateur pour regarder ses mails. Elle en trouve un de H-mateur, *** admirateur de la veille. Il lui écrit qu'il a adoré leur petit jeu de la veille. Il serait ravi de recommencer ce soir vers 21H. Elle sourit. Pourquoi pas, se dit-elle. Elle se connecte sur le chat. Comme la veille, elle reçoit différents messages qui la laissent indifférente. Elle a encore un peu de temps devant elle pour surfer sur internet. Cette fois-ci, ses recherches ***t centrées sur le sexe. Elle est dans un état second en regardant toutes ces photos de femmes se faisant prendre par derrière par des sexes monstrueux. Certaines se font éjaculer abondamment sur le visage. D'autres ***t prises par deux hommes à la fois. Toutes la regardent, l'air de dire : « tu es comme nous, une salope ». Elle reçoit une invitation de *** H-mateur, qu'elle accepte. Ils discutent de tout et de rien. Puis il lui demande ce qu'elle a fait aujourd'hui. Elle hésite un instant, et finit par lui raconter *** aventure. Il n'en revient pas. Il veut des preuves. Cette discussion l'amuse autant qu'elle l'excite car elle sent *** partenaire très excité lui aussi. Elle l'invite alors à partager sa webcam, ce qu'il accepte avec empressement. Elle n'a pas pris le temps de se changer en arrivant. Elle commence à déboutonner *** chemisier pour lui montrer ses deux seins voluptueux soutenus par la guêpière. Il commence à se caresser en profitant du spectacle qu'elle lui offre. Il lui dit qu'elle est très désirable, mais que cela ne prouve pas qu'elle se soit fait baiser cette après-midi. La seule manière de lui prouver, c'est de lui montrer *** petit trou qui doit être encore rouge des assauts qu'il a subis. Elle retire donc rapidement sa jupe, ce qui fait monter d'un cran l'excitation de *** mateur. Il faut dire qu'elle est diablement sexy dans *** ensemble de lingerie. Elle se retourne et lui présente ses fesses bien rondes. Elle écarte *** string qui ne cache pas grand chose et lui offre *** petit trou. Elle peut voir sur l'écran qu'il est bien rouge et encore un peu ouvert. Il faut dire que M. Francis s'est acharné. Elle a adoré *** ardeur et sa bestialité au moment où il la sodomisait. Rien que d'y repenser, elle sent *** sexe mouiller. Elle lui dit : — J'ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n'ai rien sous la main. — Tu n'as pas de dildo ou de vibromasseur ? C'est étonnant de la part d'une nympho comme toi. — Eh bien non. Comme je te l'ai dit hier, je ne me découvre des envies que depuis peu temps. Où pourrais-je en trouver un ? — Tu as le choix, ou sur internet, ou dans un sex-shop... — Mmmmm il va falloir que j'y pense rapidement. Elle se caresse de plus en plus fort. Elle s'introduit même un doigt dans l'anus, ce qui l'excite encore plus. Elle le regarde se masturber comme un fou devant elle. Elle-même se caresse frénétiquement jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle se laisse aller à gémir bruyamment en le voyant décharger copieusement sur lui. — Tu es un vrai cochon. Tu en as partout, c'est du gâchis ! — Et toi tu es une magnifique salope et gourmande en plus de ça ! Elle se caresse doucement en lisant cette dernière ligne. Il a sans doute rai***, se dit-elle. Il lui demande à nouveau s'ils peuvent se rencontrer. Comme la veille, elle esquive les questions trop per***nelles, avant de lui dire qu'elle doit le quitter pour aujourd'hui. Elle repense à ce qu'il lui a dit. Et si elle osait ? Elle regarde rapidement sur internet. Elle trouve des centaines de modèles, bien sûr, mais elle ne peut attendre plusieurs jours avant de le recevoir. Il va falloir qu'elle trouve le courage d'aller le chercher directement en magasin... dans un sex-shop. Elle regarde les adresses des magasins les plus proches. Elle en choisit un qui se trouve assez loin de chez elle... peut-être qu'elle ira le lendemain après le travail. Pour l'heure, elle a bien besoin d'une douche avant de se coucher. Le lendemain est une journée monotone. Elle attend la fin avec impatience et évidemment la journée passe terriblement lentement. Elle a décidé de ne pas trop se laisser aller à ses nouveaux penchants au travail. C'est beaucoup trop risqué. Malgré cela, elle s'est habillée d'une robe arrivant au-dessus des genoux et très légèrement décolletée. Elle porte aussi une large ceinture pour mettre en valeur sa taille et cacher *** petit ventre. Elle a chaussé des petits talons qui la font légèrement se cambrer. Elle est ravissante. Elle attire quelques regards qu'elle fait mine de ne pas remarquer. Elle ne veut surtout pas se laisser aller à l'excitation qu'ils provoquent, sur le lieu de *** travail. Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu'au bout de sa démarche. Elle était si respectable avant sa rencontre avec M. Francis, maintenant elle est devient insatiable, tout l'excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Il lui semble qu'elle a perdu trop de temps empri***née par *** éducation de petite fille sage. Elle se dit qu'après tout, il s'agit juste de rentrer dans un magasin pour y acheter un produit... pas n'importe quel magasin, un sex-shop et pas non plus n'importe quel produit, un gode. Sur ces réflexions, elle arrive à l'adresse trouvée sur internet. Le quartier n'est certainement pas le plus huppé de la ville. Une enseigne lumineuse rouge indique le sex-shop. De l'extérieur, on ne voit rien de plus. Un épais rideau ferme l'entrée du magasin sans vitrine. Une femme en bottes de cuir noir à talons aiguilles la regarde approcher, un petit sourire aux lèvres. Elle présente fièrement une poitrine volumineuse et débordante dans un corset à lacet. Maryse fait tout pour éviter *** regard. Elle a le cœur qui s'emballe. Elle est morte de honte, mais décide de rentrer dans le magasin. Une fois dans le magasin, elle est surprise par la chaleur presque étouffante qui y règne. Un homme assez jeune l'aperçoit. Il fuit *** regard. Il semble encore plus honteux qu'elle d'avoir été surpris par une femme dans cet endroit. Il se détourne rapidement pour ne pas affronter *** regard. Derrière la caisse, elle voit un homme bedonnant qui après lui avoir jeté un regard, se remet à sa lecture. Le magasin n'est pas très grand. D'un côté, il y a de nombreuses publications qui semblent beaucoup intéresser le jeune homme. Au dessus des rayons de magasines, il y a plusieurs ensembles de lingerie et de combinai*** de cuir pour femme. Dans l'allée centrale, il y a de nombreux gadgets en tout genre. De l'autre côté, se trouvent les vidéos et au-dessus des rayons de DVD's, se trouvent d'autres ensembles de combinai***. Elle remarque un petit escalier qui descend au sous-sol. Le panneau, placé au-dessus des marches, indique qu'il faut prendre ses jetons à la caisse avant de descendre. À côté de l'escalier, se trouve une petite cabine d'essayage dont le rideau semble trop court pour remplir *** office correctement. Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu'elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains ***t vraiment très gros. Elle se dit qu'elle ne pourrait jamais s'introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité ? Le magasin propose aussi des sortes de martinets dont le manche est en forme de sexe. Elle aimerait essayer certains de ces modèles, cette pensée l'excite. Elle continue *** exploration et tombe sur des plugs. Certains ont une forme conique qui se rétrécit à la base. D'autres se terminent par une sorte de queue de cheval. Le magasin propose toutes sortes de crèmes et autres pilules, elle passe rapidement devant ces produits. Elle voit toute sorte de vibromasseurs. Là encore la diversité est telle qu'elle ne sait pas comment choisir. Elle trouve d'autres accessoires comme des gants en cuir, et des masques. Elle se dit que cela serait très pratique pour ses petites séances devant sa webcam. Elle en choisit un qui recouvre le visage jusqu'à la base du nez. Elle a hâte de l'essayer. Elle retourne près des godes. Elle en choisit un dont la boite dit qu'il a été moulé d'après le sexe de vingt-cinq centimètres d'un acteur. Elle le trouve très gros, mais elle est de plus en plus excitée. La boîte indique qu'il a plusieurs vitesses de fonctionnement. Par contre il est assez cher. Elle prend aussi un flacon de lubrifiant vu la taille de *** choix. Elle a une boule dans l'estomac en choisissant tous ces articles. Elle regarde les combinai***s, mais le prix de ces articles la dissuade rapidement. Maintenant, il va falloir qu'elle s'approche de la caisse avec ses achats. Tout à coup elle manque de courage. Elle regarde le caissier qui ne semble pas s'occuper d'elle. Elle hésite à tout reposer et à quitter les lieux au plus vite, mais ce serait ridicule. Elle s'approche et dépose les articles sur le comptoir. Il lève des petits yeux vers elle, puis il enregistre ses articles. Elle n'ose pas le regarder, mais elle remarque *** petit jeu. À chaque article, il semble chercher le prix et en même temps, il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir. — Eh bien c'est... assez cher... — Je sais ma petite dame, mais ce ***t des articles de qualité qui vous satisferont bien. Il la dévisage en lui disant cela. Elle est troublée qu'il lui parle ainsi. Elle ressent de nouveau toutes ces sensations qu'elle a quand elle se sent désirée. Elle ne peut pas contrôler *** excitation. — Je peux vous faire un prix, mais cela ne dépend que de vous ! — Comment cela ? — Et bien cela dépend de ce que vous accepterez... de faire pour moi ! Elle voit parfaitement où il veut en venir. Cet homme bedonnant, presque chauve qui la regarde avidement avec ses petits yeux. Elle le trouve abject, mais la situation et sa demande l'excitent de plus en plus. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu'au bout ? D'une petite voix elle lui demande : — Que voudriez-vous que je fasse ? — Oh, mais beaucoup de chose ma petite dame. Mais pour ces articles, laissez-moi réfléchir... 20% si je peux vous peloter les seins, 50% pour une petite gâterie en plus ! Bien entendu, elle se doutait qu'il allait lui faire ce genre de proposition, mais elle est quand même surprise. Elle trouve la situation totalement irréelle. En venant dans cet endroit, elle savait qu'elle devrait faire face à des regards lubriques. Elle avait honte d'entrer dans ce type de magasin. Elle ne s'attendait quand même pas à ce que cela tourne ainsi. — Comme je vous le disais, cela dépend entièrement de vous. Elle hésite. Elle n'en revient pas d'hésiter. Il y a quelques semaines, elle l'aurait envoyé balader. Oui, mais il y a quelques semaines, jamais elle ne serait rentrée dans un tel magasin. Elle jette un coup d'œil autour d'elle, il n'y a per***ne dans le magasin. D'une voix troublée, elle lui dit : — D'accord... — D'accord pour quoi ? Il veut l'entendre dire elle-même jusqu'où elle est prête à aller. — ... D'accord pour... 50%
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
C'est au tour du caissier d'être surpris. Ce qui n'était rien d'autre qu'un petit jeu sans espoir pour lui, devient tout à coup réalité. Elle est là devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s'agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n'ose pas encore profiter de la situation. Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément. Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d'abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Voyant qu'elle ne réagit pas, d'un coup, il lui empoigne avec plus de *****. Elle a un sursaut de surprise en sentant sa poitrine serrée dans les mains de cet inconnu. Elle se laisse faire, elle se perd une fois de plus dans *** excitation. Il profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie *** volume. Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n'a d'autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu'il profite pleinement de cette volumineuse poitrine. — Viens me rejoindre ! Elle fait le tour du comptoir pendant qu'il défait la fermeture éclair de *** pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de *** gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant. Elle s'agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir. Elle s'installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l'odeur forte qu'elle dégage. Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant *** volume dans sa bouche. *** front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu'elle fait en le suçant l'excite un peu plus encore. Tout à coup elle se fige en entendant la ***nette du magasin retentir. Quelqu'un vient d'entrer. Elle n'ose plus bouger. Si on la découvrait, elle mourrait de honte sur l'instant. D'un geste de la main, il lui ordonne de continuer. Après une hésitation, elle le reprend en bouche et, le plus discrètement possible, elle recommence à le sucer pendant que l'inconnu erre dans les rayons du magasin. Le client s'approche du comptoir et y pose quelque chose. Le caissier enregistre l'article et lui annonce le prix. L'autre cherche quelques instants sa monnaie, paye le caissier et quitte le magasin. Pendant tout ce temps, Maryse continue à sucer le sexe du caissier. *** cœur bat la chamade. La peur d'être découverte a décuplé *** excitation. Quand elle entend le client quitter la boutique, elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire *** sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d'une main jusqu'à la jouissance. L'homme n'en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la ***** à le garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d'avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s'échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de *** menton et s'écraser sur sa robe au niveau de *** sein gauche. Il la libère enfin en gémissant. — Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% ! Elle lui sourit ravie. Il lui présente un mouchoir en papier pour essuyer le surplus de sperme qui macule sa robe. Elle se relève et retourne de l'autre côté du comptoir un peu flageolante. Elle paie ses articles avec 50% de réduction et s'apprête à quitter le magasin quand il l'appelle. Elle se retourne. — Vous pouvez revenir quand vous voulez ma petite dame. Au revoir. Elle sort, elle apprécie l'air frais quand elle entend une voix de femme. — Eh bien, ma jolie, on a pris du bon temps à c'qu'on dirait ! Faudrait pas me faire trop de concurrence quand même ! Ça te dirait d'en prendre avec moi ? Elle se retourne et voit la femme qui était à l'entrée du magasin tout à l'heure. Elle lui sourit et a une moue entendue quand elle remarque la tache sur le haut de la robe de Maryse. Elle reste un moment figée sur place. Elle regarde cette femme habillée d'une combinai*** de cuir comme elle en a vues dans le magasin. Sa poitrine déborde de *** corset qui accentue la finesse de sa taille. Ses bottes à talons aiguilles lui cambrent la silhouette. Cette femme sait très bien ce qui s'est passé dans le magasin. Elle la regarde comme si elle appréciait une marchandise. Elle était déjà troublée en sortant du magasin et le regard de cette femme ne fait qu'augmenter *** état. Elle trouve enfin le souffle pour lui répondre : — ... Euh non... désolée... je dois y aller, on m'attend... — La prochaine fois alors. Maryse se retourne et se dirige vers sa voiture d'un pas mal assuré. Les sensations qu'elle a eues ont été trop fortes. Il faut qu'elle se calme avant de reprendre le volant. Elle essaie de respirer doucement pour se détendre. Elle démarre peu de temps après sa voiture pour rentrer chez elle. Quand elle sort de *** garage, elle est interpellée par sa voisine, Mme Chelau. Elle vérifie rapidement que ses achats ne ***t pas identifiables. Elle se dirige ensuite vers elle en la saluant. Mme Chelau est une petite femme sèche d'une cinquantaine d'années. Elle porte des lunettes, ses cheveux châtain clair ***t coiffés assez court. Elle a toujours une attitude pincée et *** sourire comme *** regard n'est jamais franc. Elles discutent de la pluie et du beau temps et des autres voisins. Mme Chelau est une vraie concierge... puis cette dernière lui dit : — Oh vous vous êtes tachée ! Maryse devient rouge pivoine et balbutie une histoire de café... qui ne convainc pas sa voisine inquisitrice. — Ça ne ressemble pas à une tâche de café, enfin bon si vous dites... Maryse essaie d'écourter aussi poliment que possible la conversation en prétextant une journée harassante au travail. Mais l'autre continue de plus belle en lui posant de nouvelles questions sur *** travail, ses conditions... Elle finit tout de même par lui dire au revoir. Elle rentre chez elle en essayant de ne pas se précipiter. Elle ne peut attendre plus longtemps avant d'ouvrir ses paquets. Elle essaie tout d'abord le masque qui s'ajuste sur *** visage jusqu'au nez. En se regardant dans le miroir, elle se dit qu'ainsi per***ne ne pourra la reconnaître. Elle sort le gode de sa boite. Il est vraiment gros et épais. Elle se dit qu'elle a peut-être exagéré en prenant ce modèle. La texture la surprend, elle ressemble à s'y méprendre à de la peau. Il est parcouru de grosses veines qui la font presque frémir d'envie. Il y a une grosse ventouse à la base des deux grosses boules de ce sexe géant. Elle manque de le lâcher quand elle l'actionne. Il est pris de mouvement rotatif d'une ***** qui l'impressionne. Elle sélectionne une autre position qui entraîne un mouvement de va-et-vient dont elle peut faire varier la vitesse. Elle se déshabille entièrement, puis elle se dirige vers *** armoire pour choisir une tenue dans laquelle elle va s'exposer devant sa webcam. Décidemment, elle se rend compte que sa lingerie est trop classique et rien ne va avec *** masque... Elle choisit un ensemble rouge à fines bretelles qui fera l'affaire. Elle est très excitée à l'idée d'essayer *** nouveau jouet sous le regard avide d'un spectateur. Elle passe ensuite un peignoir avant de s'installer sur *** lit. Elle cache *** jouet sous *** oreiller et démarre *** ordinateur. Elle a de plus en plus de succès sur *** chat. Elle discute un peu avec d'autres internautes avant d'accepter l'invitation d'une certaine Mme XDom. *** interlocutrice est très directe et directive. Elle lui pose de nombreuses questions sur sa vie sexuelle. Elle semble très intéressée par les changements qui se ***t opérés chez Maryse depuis quelques semaines. Elle lui demande si elle est aussi excitée par le regard des hommes que celui des femmes. Maryse lui répond que oui, mais que les femmes savent être plus discrètes, et qu'il est plus difficile de les surprendre. Maryse finit par lui raconter sa dernière aventure au sex-shop. Mme XDom met un peu plus de temps à lui répondre et finit par lui dire qu'elle est une sacrée salope et qu'elle aimerait bien la voir en action. Alors que Maryse se serait offusquée qu'on la traite ainsi il y a quelque temps, elle est maintenant très excitée dès qu'on lui parle ainsi. Elle l'invite à brancher sa webcam et *** micro. Elle désire voir *** interlocutrice. La femme qui apparaît sur *** écran doit avoir une quarantaine d'années. *** visage fin est encadré d'une chevelure brune très courte. Ses yeux d'un bleu très clair ***t mis en valeur par un maquillage foncé. Elle est, elle aussi, en peignoir négligemment ouvert laissant apparaître un petit sein dont le téton pointu darde au milieu d'une petite aréole rose. Cette femme dégage une autorité naturelle qui trouble Maryse. Tout à coup elle comprend le pseudo de *** interlocutrice, Dom pour Dominatrice. Elle en est encore plus troublée. Mme XDom, après avoir passé sa langue sur ses lèvres, lui dit : — J'aime beaucoup ton masque ma chérie. Il te va à ravir, mais j'aimerai voir le reste de tes charmes. — Euh oui... Avant qu'elle ait pu dire quoique ce soit d'autre, Mme XDom la reprend *********** : — Dès lors que tu t'adresses à moi, tu finis tes phrases par Madame ! Au moindre manquement, il t'en coûtera. Maryse est de plus en plus troublée. Elle se rend parfaitement compte de *** trouble et de l'excitation qu'elle ressent. Elle sent qu'elle commence à mouiller abondamment. Après tout qu'a-t-elle à perdre à jouer le jeu ? Si jamais cela va trop loin, elle peut tout arrêter en un clic. Elle lui répond timidement : — Oui, Madame — C'est bien, ma chérie, maintenant ouvre ton peignoir. Elle ouvre doucement *** peignoir, pour laisser apparaître sa lingerie rouge. Elle se sent intimidée par cette femme qui ne laisse rien deviner de ses sentiments. Elle finit par le retirer entièrement. — Cambre-toi... oui c'est bien, ma chérie. J'aime que tu m'obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux... oui c'est bien... cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits. Maryse obéit docilement à toutes ses demandes. Elle est de plus en plus excitée de se laisser diriger de la sorte par une autre femme. Elle lui présente ses seins en se cambrant. Cette position, bien qu'inconfortable, l'excite beaucoup et plus encore quand elle voit *** interlocutrice sourire en appréciant sa poitrine. — Tu me plais. Je me demande jusqu'où tu serais prête à aller pour me satisfaire... — Demandez-moi ce que vous voulez... je suis... à vous, Madame — Je me demande si tu te rends compte de ce que tu m'offres. Mais soit j'accepte. Avant que nous fassions réellement connaissance, tu vas me montrer ce fameux jouet dont tu m'as parlé. Maryse, le cœur battant, se retourne pour prendre le gode qu'elle vient de s'offrir. Elle lui présente ainsi ses fesses rebondies. Mme XDom n'en perd pas une miette. Elle sort le gode de sa cachette et le lui montre. — Eh bien, ma chérie, c'est une belle taille. Tu as déjà eu un homme aussi gros en toi ? — Non, Madame — Quel dommage que tu ne sois pas avec moi. — Oh oui, Madame — Es-tu prête à faire exactement ce que je vais te demander ? Réponds-moi franchement. — ... Oui... Madame — Bien. Demain tu viendras à 19h à l'adresse que je vais t'envoyer par mail. Il faudra que tu sois la plus désirable possible. Tu apporteras aussi ton gros jouet. Pour ce soir nous allons terminer là. Je ne veux pas que tu essaies ton jouet avant demain. Tu ne te feras pas jouir non plus. Je compte sur toi ! Est-ce que tu m'as bien comprise ? Maryse hésite. Dans quoi s'engage-t-elle ? Elle ne va quand même pas se présenter chez cette femme qu'elle ne connaît pas. Mais l'excitation l'empêche de se rai***ner complètement. — Oui, j'y serai... Madame
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Le lendemain est une journée plus courte pour Maryse. Le vendredi, elle finit *** travail plus tôt, ce qui va lui laisser une soirée plus longue. Elle ne cesse de repenser à Mme XDom. Une fois l'excitation retombée, l'idée d'aller chez cette inconnue ne lui semble pas rai***nable. D'ailleurs *** comportement de ces derniers temps est totalement irrai***nable. Une partie d'elle voudrait se reprendre mais les dernières expériences qu'elle a vécues lui ont apporté tellement d'excitation et de plaisir qu'elle ne s'en sent pas capable. Elle n'en a pas la volonté. Le moindre regard sur *** corps réveille en elle une envie insatiable. Elle reste tout de même assez forte devant ses envies à *** travail. Ce lieu est beaucoup trop difficile à gérer. Malgré cette décision, elle s'habille de manière plus sexy tout en restant correcte. Elle porte aujourd'hui des talons hauts qui cambrent sa silhouette, une jupe tailleur bleu clair arrivant au-dessus du genou, une veste légère assortie par-dessus un petit chemisier blanc. Elle remarque les regards qui se posent sur elle. Certains de ses collègues osent quelques compliments qui la font sourire. Elle trouve très agréable d'être aussi désirée, mais elle reste ferme sur sa décision de résister à ses envies les plus folles au travail. Elle décide aussi d'envoyer un e-mail à la mystérieuse Mme XDom : « Bonjour Madame, Je suis sincèrement désolée mais je suis obligée d'annuler notre rendez-vous de ce soir. Hier soir, j'ai été prise d'une folie provoquée par l'excitation. Je ne suis pas encore prête à vous rencontrer. Je serai heureuse de continuer à dialoguer avec vous si vous le souhaitez. Votre dévouée... » Elle envoie *** email avant de quitter le bureau. Elle se dit qu'elle va profiter de *** temps pour aller flâner au centre commercial. Elle trouvera sûrement quelques petits achats à faire et puis il y aura du monde... Elle monte dans sa voiture et se dirige vers le centre commercial. Elle conduit sans penser à rien. La journée est ensoleillée, c'est très agréable. À un feu rouge, elle retire sa petite veste de tailleur. Elle est obligée de se contorsionner un peu pour ne pas l'abîmer. C'est alors qu'elle remarque le regard d'un ouvrier dans une camionnette sur sa gauche. Il l'observe sans se soucier qu'elle le remarque. Elle fait mine de ne pas le voir. Elle sent qu'elle est de nouveau prise par l'excitation de se montrer. Sa respiration s'est accélérée. Sa jupe s'est un peu relevée alors qu'elle retirait sa veste et elle offre à cet ouvrier la vue de ses cuisses nues. Elle prend dans *** sac un petit tube de rouge à lèvre et fait remonter un peu plus sa jupe qui est maintenant un peu plus haute sur ses cuisses. Elle se passe sensuellement du rouge sur ses lèvres tout en essayant de voir *** spectateur dans *** petit miroir. Il la regarde avidement et cela l'excite de plus en plus. Il lui semble que la température monte de quelques degrés dans sa voiture. Le feu passe soudainement au vert et la camionnette démarre. Elle se reprend et démarre elle aussi. Elle a maintenant une petite boule dans l'estomac. Elle ne sait pas ce que va lui réserver cette soirée mais elle commence bien. Elle a de moins en moins d'inhibition, cela l'effraie un peu, mais l'excite davantage encore. Après s'être garée dans le parking couvert, elle se dirige vers les boutiques. Elle passe devant les vitrines sans grande conviction. Tout ce qu'elle voit est plutôt classique. Elle ne sait pas vraiment ce qu'elle recherche. Elle entre dans plusieurs boutiques, regarde les différents articles mais elle n'est pas satisfaite de ce qu'elle voit. Elle arrive devant une boutique qu'elle ne connaît pas. La vitrine présente des mannequins habillés de manière très sexy. Elle reste quelques instants devant cette vitrine. L'un des mannequins est habillé d'une mini-jupe blanche très moulante qui ne couvre qu'une toute petite partie du haut de ses cuisses. Le haut est de la même matière et fait ressortir impudiquement les tétons artificiels du mannequin. Des talons aiguilles blancs à la pointe argentée finalisent la tenue. Un autre mannequin porte des bottes à talons hauts, un short couvrant tout juste les fesses et un haut totalement ouvert à l'arrière et laissant deviner la forme de ses seins. Elle hésite quelques instants devant cette vitrine avant de se dire que c'est de la folie, elle ne peut se permettre de porter ce genre de tenue. Elle continue *** exploration de la galerie commerciale. Sans rien trouver. Tout lui paraît fade. Elle se retrouve « par hasard » devant la vitrine qui l'a faite hésiter une demi-heure plus tôt. Elle se décide à rentrer pour voir ce que le magasin propose d'autre. Elle est accueillie par le sourire d'une vendeuse d'une trentaine d'années. Elle regarde les différents articles. La vendeuse lui demande si elle a besoin d'aide. Elle lui répond que pour le moment elle souhaite découvrir par elle-même ce que la boutique propose. Elle prend le temps d'observer la vendeuse qui s'affaire à remettre des tops en place. Elle est plus grande qu'elle, fine, ses longues jambes ***t mises en valeur par des bottes à talons aiguilles, le même modèle qu'en vitrine. Elle porte une jupe courte évasée qui ne cache rien de ses cuisses fuselées. Ses petits seins ***t libres sous *** haut moulant. Elle peut distinctement voir les petits tétons tendre le tissu. Elle est très troublée d'observer cette femme et *** trouble augmente encore plus quand elle remarque à travers le tissu un petit anneau suspendu au téton droit de la vendeuse. Elle veut essayer la jupe blanche moulante qu'elle a vue en vitrine. Elle souhaite juste voir par curiosité ce que cela donnerait sur elle. Elle choisit aussi le top échancré dans le dos de même couleur. Une fois le rideau de l'unique cabine d'essayage tiré, elle se déshabille et enfile la jupe ainsi que le petit haut. En s'observant dans la glace, *** excitation augmente. Elle est tout à fait impudique. La jupe couvre tout juste le haut de ses cuisses et moule indécemment ses fesses. Le petit haut est très sexy, l'ouverture du dos est très large et la met joliment en valeur. Si elle lève les bras trop haut, on peut apercevoir la courbure de ses seins soutenus par un soutien-gorge blanc. L'avant du haut est tendu par sa poitrine. La vendeuse lui demande si elle est satisfaite ou si elle veut qu'elle lui apporte une autre taille. Maryse ouvre le rideau et aperçoit une lueur furtive dans le regard de la vendeuse. Après un regard appréciateur, cette dernière lui dit : — Il y a deux détails qui ne vont pas. Le premier, votre soutien-gorge. Avec un haut comme celui-ci, il ne faut pas en porter, cela gâche l'effet de l'échancrure du dos. Le deuxième, c'est que l'on voit le tracé de votre culotte, et avec ce genre de jupe il faut soit porter un string soit... rien du tout. Maryse est surprise par cette dernière remarque et est prise d'un petit rire nerveux : — Je ne pourrai jamais sortir comme ça sans culotte... La vendeuse lui lance un regard coquin : — Vous devriez essayer, cela peut être très excitant et amener du piment dans votre vie de couple... Maryse referme le rideau en lui disant qu'elle va essayer sans le soutien-gorge. Quand elle ouvre de nouveau, elle peut voir dans le regard de la jeune femme une sorte d'envie. Elle lui dit : — Je ne suis pas sûre que cela soit aussi joli que sur vous. Je n'ai pas les seins assez fermes je pense... Maryse s'observe dans la glace en disant cela. Elle peut voir dans le miroir que la vendeuse observe ses courbes. — Je trouve au contraire que cela vous va à ravir. Faites quelques pas... oui c'est très bien, cela vous va parfaitement. Vous allez rendre fou votre partenaire. En tout cas à sa place, je serais conquise... La jeune femme l'observe sans retenue. Maryse se demande quelles idées peuvent traverser *** esprit. Elle sent ses seins libres caressés par le tissu. À chacun de ses pas ils se balancent légèrement. Elle adore cette sensation de liberté qu'elle avait presque oubliée. Elle retourne dans la cabine et se change de nouveau. Puis elle se souvient des talons aiguilles de la vitrine. Pourquoi ne pas les essayer aussi se dit-elle. Elle demande à la vendeuse s'il lui reste cet article dans sa pointure. — Mais bien sûr. Je vais les chercher tout de suite. Elle revient quelques instants plus tard, avec une boîte et la fameuse paire de chaussures. Elles ***t superbes, fines et blanches. Le talon est argenté. La jeune femme s'accroupit devant elle pour lui passer délicatement les chaussures à ses pieds. Elle lui soutient la cheville. Ce simple contact l'électrise, mais elle n'ose pas aller plus loin de peur de rompre la magie de l'instant. Elle se lève et marche un peu à travers le magasin. Elle pensait avoir plus de mal à s'habituer à la hauteur de ces talons. Ils l'obligent à se cambrer un peu plus encore. Cela fait ressortir sa poitrine et ses fesses. Elle imagine sans mal l'effet qu'elle produirait avec la petite jupe qu'elle a essayée et le petit haut. La vendeuse l'observe et lui dit : — Vous semblez très à l'aise avec ces hauts talons, tout le monde n'a pas votre aisance. Ils vous vont à ravir. Maryse rougit légèrement et remercie la vendeuse pour ses compliments. Elle se décide à prendre tous les articles qu'elle a essayés. Elle remet ses chaussures à talons qui lui paraissent bien bas après avoir essayé les autres. La vendeuse réunit les articles dans un sac et après avoir encaissé lui dit de ne surtout pas hésiter à revenir si elle a un souci avec l'un des articles ou pour toute autre rai***. Maryse la remercie de sa gentillesse et l'assure qu'elle reviendra.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Elle continue à errer dans la galerie, puis une idée saugrenue lui traverse l'esprit. Elle a envie de voir l'effet qu'elle peut produire en portant cette nouvelle tenue. Rien que d'y penser, l'excitation la gagne. Il faut qu'elle trouve un endroit pour se changer. Elle ne peut pas revenir au magasin, cela serait absurde. Elle réfléchit, regarde autour d'elle puis elle aperçoit un panneau indiquant les toilettes publiques. Ce n'est pas l'idéal se dit-elle mais s'il n'y a per***ne, cela pourra faire l'affaire. Elle se retrouve dans un petit couloir éclairé de néons. L'ambiance est un peu glauque mais curieusement cela rajoute à *** excitation. Elle se sent presque fébrile. Elle ouvre la porte des toilettes pour dames. Il n'y a per***ne. Elle se dirige vers l'une des cabines du fond et s'enferme. Elle n'a pourtant pas couru mais elle est obligée de reprendre sa respiration pour se calmer un minimum. L'endroit est assez propre heureusement. Fébrilement elle retire sa veste et *** chemisier. Elle hésite quelques instants puis se décide à retirer *** soutien-gorge. Elle passe ensuite *** nouveau haut. Elle apprécie la sensation de l'effleurement du tissu sur sa peau. Elle retire ensuite sa jupe tailleur et là encore hésite un instant. *** cœur bat la chamade. Elle ne peut quand même pas se balader les fesses à l'air se dit-elle. Et pourquoi pas. Après tout, elle s'apprête à se promener dans une tenue plus que suggestive. Elle arrête ses réflexions et retire en toute hâte sa culotte. Elle se rend compte de la folie de *** attitude mais elle a envie de vivre cette petite expérience. Per***ne ne saura qu'elle est nue sous sa jupe. Elle passe la jupe et après avoir baissé le couvercle, s'assoit sur la cuvette pour mettre ses nouveaux talons-aiguilles. La jupe est si courte qu'elle sent la fraîcheur du couvercle sur une partie de ses fesses. Elle la tire vers le bas mais elle peine à la couvrir décemment. Une fois habillée et ses vêtements jetés dans le sac, elle sort de la cabine. Elle est saisie par *** reflet. Sa tenue la change du tout au tout. Elle qui s'habillait toujours assez classiquement, est maintenant très provocante. Elle se tourne légèrement, et en s'observant, se demande si elle n'a pas été trop loin... La porte s'ouvre et une femme d'un certain âge la regarde avec désapprobation. Elle ne peut plus revenir en arrière et ce regard est comme un défi pour elle. Elle va assumer cette envie de se montrer et de provoquer le désir. Elle sort des toilettes, et dans le couloir, elle croise un vigile à la carrure de rugbyman. Il la dévisage. Elle sent *** regard comme si c'était ses grosses mains qui lui parcouraient le corps. Les talons l'obligent à accentuer le déhanchement de sa démarche. Elle l'entend émettre un petit sifflement qui traduit *** plaisir de la regarder. Elle se retrouve dans la galerie de nouveau. Elle sent nettement la différence. Tous les hommes qui la croisent ne peuvent s'empêcher de la regarder. Leurs regards ***t tantôt discrets, tantôt appuyés. Certains lui sourient, d'autres restent la bouche ouverte. Elle croise un groupe de quatre jeunes dont elle entend les sifflements et les commentaires : — Regarde cette nana ! Elle a une de ces paires de nibards... — Elle a un cul d'enfer... — Elle est bandante ! Cela la fait sourire. Elle ne s'offusque pas de leurs commentaires, au contraire cela l'excite davantage. Elle croise un couple dont l'homme s'arrête tout net de parler en la regardant. Sa partenaire lui donne un coup dans les côtes pour le rappeler à l'ordre et la fusille du regard. Elle semble attirer tous les regards. Elle croise celui de certaines femmes où se mêlent un brin de jalousie et de désapprobation quand ce n'est pas de l'envie. Elle sent ses seins bouger au rythme de ses hanches. Le frottement du tissu sur ses tétons les fait se tendre et lui procure un plaisir augmenté par le regard que les gens posent sur *** corps. Elle s'arrête devant une vitrine autant pour observer le reflet des gens que pour regarder les paires de bottes qui y ***t exposées. Certains n'hésitent pas à lui regarder longuement les fesses alors qu'ils la croisent. D'autres se retournent plusieurs fois pour profiter le plus longtemps possible du spectacle qu'elle leur offre. Elle s'intéresse de près à une paire de chaussures en contrebas qui l'oblige à se pencher un peu. Elle offre ainsi sa croupe arrondie et moulée à la vue des passants qui n'en perdent pas une miette. Alors qu'elle admirait une paire d'escarpins, elle sent une main se plaquer sur sa fesse gauche et profiter l'espace d'un instant de leur fermeté. Elle sursaute en poussant un petit cri. En se retournant, elle voit un vieux monsieur s'éloigner d'elle et lui faire un petit signe de la main. Elle n'a pas vraiment eu le temps de réagir. La respiration haletante, elle ressent plusieurs impressions. D'abord une part de honte, elle s'est offerte dans cette tenue. Puis une satisfaction grandissante car elle sait qu'elle est excitante. Avec toute cette excitation, elle a besoin de boire quelque chose. Elle se dirige vers un petit bar assez branché pour se désaltérer et surtout pour reposer un peu ses pieds. Même si elle n'a eu aucun mal à adopter ses talons, ils restent difficiles à garder longtemps aux pieds. *** entrée ne passe pas inaperçue. Les hommes l'ont tous vue et elle a senti leur regard carnassier sur elle. Elle se met au bar. Elle ne compte pas rester bien longtemps. C'est une femme brune au regard bleu qui sert au bar. Elle semble apprécier tout autant que les hommes du bar ce qu'elle voit. Elle s'approche : — Qu'est-ce que je vous sers ? — Euh, je ne sais pas... surprenez-moi avec un cocktail, répond Maryse en souriant. — D'accord. En attendant tachez de ne pas créer d'émeute. Elle lui fait cette dernière remarque avec un sourire enjôleur. Peu après elle lui apporte un cocktail glacé d'une couleur rouge. — Et voilà pour la vamp de la soirée. Oh si, tout le monde vous dévore des yeux. Et je dirais que vous en êtes consciente... La serveuse la laisse déguster *** cocktail à base de rhum et de liqueur de fraise. Elle ne tarde pas à être rejointe par un homme d'une quarantaine d'année. Il est tout d'abord assez discret, mais elle le surprend à plusieurs reprises regarder ses jambes ou sa poitrine. Ce petit jeu l'amuse. Elle est grisée par le désir des autres à moins que cela ne soit l'alcool qui commence à faire *** effet. Cet homme a un physique assez banal, la quarantaine, ses cheveux commencent à virer au gris par endroit. Il porte un costume dépareillé. Il appelle la serveuse et lui murmure quelque chose qu'elle n'arrive pas à entendre. Elle s'éloigne pour préparer un nouveau cocktail et le présente à Maryse en lui disant que ce dernier est offert par *** voisin. Maryse se tourne vers lui et lui adresse un petit signe de la tête en souriant pour le remercier. C'est la première fois qu'elle se voit offrir une bois*** dans un bar, cela lui plaît et lui fait peur en même temps. Que va-t-il se passer ensuite ? Va-t-il s'approcher, lui parler, lui faire une proposition indécente ? Elle est plongée dans ses réflexions l'estomac un peu serré quand l'homme s'approche d'elle et s'assoit à ses côtés. Elle n'ose plus le regarder. Elle est soudain prise d'un doute, elle est sans doute allée trop loin. — Bonsoir, je me nomme Manuel, excusez mes manières un peu cavalières... mais il fallait que je fasse votre connaissance. Elle trouve le courage de lui sourire. Elle remarque que *** assurance n'est que feinte. — Bonsoir, je m'appelle Maryse. — Maryse, puis-je me permettre de vous féliciter de votre audace ? Vous êtes à tomber. Vous dégagez une sensualité irrésistible. Maryse se dit qu'il est vraiment direct. Il ne manque finalement pas tant que ça d'assurance... — Vous attendez sûrement quelqu'un... une femme comme vous n'est sans doute pas seule. — Je suis mariée mais ce soir je suis seule... mon mari est en déplacement. Je n'avais pas envie de commencer la soirée seule chez moi... Maryse se demande ce qu'il lui prend, elle vient de l'inviter à aller plus loin. — Je comprends tout à fait. Cela fait longtemps que votre mari est parti en déplacement ? — Quelques jours. La mai*** semble vide sans lui et les enfants qui ***t aussi partis chez des amis. Je me retrouve donc abandonnée. La discussion continue encore. Manuel est assez prévenant, il l'écoute, lui pose des questions sur elle, ce qu'elle fait dans la vie. Il lui offre un autre cocktail. Elle commence à se sentir plus à l'aise. Elle se confie à lui qu'elle ne connaît pas. Et puis elle commence à lui poser des questions. — Êtes-vous marié ? — Non. — Pourquoi cela ? — Di***s que ma situation professionnelle demande ... de la compréhension. Et que je n'ai pas trouvé la femme prête à en avoir. Et puis je tiens aussi à ma liberté. C'est peut-être plutôt cela d'ailleurs qui m'empêche de m'investir totalement dans une relation. — Quel est donc ce métier qui demande tant de compréhension ? — Je ne suis pas sûr que vous vouliez le savoir... — Maintenant vous m'intriguez ! Allez, dites-le moi. — Très bien, je suis réalisateur de films... pornographiques. Maryse est comme paralysée. Il se moque certainement d'elle... non pourtant il semble dire la vérité. C'était donc cela qui provoquait *** manque d'assurance. — Je... je suis désolée. Vous m'avez surprise. Ce n'est pas commun de rencontrer un réalisateur de films... Elle ne trouve pas la ***** de dire le mot. La conversation prend une tournure qu'elle n'aurait pas imaginée. — Oui c'est vrai. D'ailleurs je regrette mais il va bientôt falloir que je vous quitte. Je dois aller sur un tournage. — À cette heure-ci ? — Les horaires ***t très aléatoires... c'est aussi pour cela qu'une relation sérieuse est difficile à gérer. Je suis sûr que vous n'avez jamais assisté à un tournage quel qu'il soit ! Je sais que vous n'avez rien de prévu ce soir... peut-être que vous aimeriez m'accompagner ? — Moi, non... enfin je veux dire, je n'ai jamais assisté à un tournage... encore moins d'un film... Elle reprend *** souffle. Et pourquoi pas, se dit-elle ? Il ne lui propose pas de tourner, seulement d'y assister. Cela ne se représentera peut-être jamais. Qu'a-t-elle de mieux à faire ? Oui, mais elle ne le connaît pas... cet argument ne tient pas devant *** excitation croissante. Elle se laisse finalement convaincre par ses désirs. — D'accord, je vous accompagne ! — Prenons ma voiture, ce n'est pas très loin d'ici.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Il paye les consommations et la guide vers sa voiture, une Mercédès grise, intérieur cuir aux lignes agressives. Il lui ouvre la portière puis entre à *** tour. Le cœur de Maryse bat tellement fort qu'elle est sûre que Manuel peut l'entendre. Sa jupe ne cache rien de ses jambes croisées, et elle voit régulièrement Manuel les apprécier. Sa respiration est difficile, elle n'ose parler. Ils arrivent peu de temps après dans un pavillon imposant à deux étages. Il y a déjà trois véhicules sur place. Des câbles courent partout. Manuel la guide à l'intérieur. Dans une pièce, elle aperçoit deux femmes se maquillant en discutant. L'ambiance a l'air assez détendue. Un homme s'affaire aux réglages de sa caméra aidé d'un autre qui semble prendre des mesures de luminosité. Celui qui semble être le preneur de *** est concentré sur le boîtier électronique de *** micro. Des panneaux blancs réfléchissent la lumière des projecteurs et derrière eux, le décor apparaît. Il s'agit tout simplement d'un bureau éclairé d'une lampe ancienne et sur lequel ***t éparpillés des dossiers. Un écran d'ordinateur est posé sur la gauche. Derrière le bureau, il y a des étagères remplies de dossiers. Maryse est presque déçue par ce décor simpliste. Manuel lui présente l'équipe, il les appelle tous par leur prénom. Il y a Jeannot à la caméra, le petit qui l'aide à mesurer la luminosité se nomme Pierre. Ce dernier la dévore du regard en souriant. Le preneur de *** se nomme Max. Manuel lui demande de le suivre afin qu'il lui présente les acteurs. Dans la pièce voisine, elle fait la connaissance de Bruno, un beau trentenaire aux yeux bleu et à la stature impressionnante. Il est habillé d'un costume rayé gris. Les deux femmes qui discutent ensemble se nomment Gina et Sophie. La première est une grande blonde à lunette, habillée d'un tailleur strict mais très court. La seconde est une brune aux yeux très clairs, aussi grande que Maryse. Maryse est étonnée par la taille énorme de sa poitrine relevée par le corset d'une tenue de soubrette aussi courte que sa propre jupe. Maryse peut très bien imaginer le futur tableau que les acteurs vont jouer devant la caméra. Les trois acteurs lui semblent très sympathiques. Ils lui demandent comment elle a connu Manuel. Sophie l'observe avec insistance. *** regard trouble Maryse, elle n'ose pas le croiser. Bruno est plutôt charmant, il essaie de la mettre à l'aise. Un acteur n'est toujours pas arrivé mais Manuel décide de commencer le tournage. Il demande à chacun s'il a bien lu *** script qui ne tient qu'à une page. Puis les acteurs et les techniciens se mettent en place. Manuel indique un endroit ou Maryse pourra observer le tournage sans gêner les mouvements de chacun. Maryse se fait l'effet d'une voyeuse quand la scène commence, malgré les techniciens présents. La scène commence avec Sophie qui fait la poussière parmi les dossiers du bureau alors que Bruno tente sans succès de se concentrer sur *** travail. Ses yeux ***t attirés par le corps de Sophie qui fait tout pour se faire remarquer. Elle prend des poses aguicheuses qui ne cachent rien de ses lignes sculpturales. Elle se baisse devant le bureau les jambes tendues, montrant *** petit string coincé entre deux fesses rondes. Maryse est de plus en plus excitée par ce qu'elle voit. La démonstration de Sophie est très convaincante. Elle s'approche de Bruno qui s'écarte de *** bureau pour que la soubrette fasse correctement la poussière mais surtout pour mieux l'observer. Les deux acteurs échangent quelques mots sans intérêts. Maryse n'entend plus rien, elle vit presque la scène. Elle n'est plus elle-même. Sophie ouvre le pantalon de Bruno qui ne porte visiblement pas de sous vêtements. Elle extirpe un membre imposant bien qu'encore mou. Il est parcouru de grosses veines et est complètement imberbe. Elle le caresse doucement, puis le serre et commence un lent mouvement de va-et-vient. Maryse sent *** excitation croître au fur et à mesure que la scène s'intensifie. Sa vision se réduit à la main enserrant ce gros membre. Elle n'en a jamais vu de cette taille hormis dans les films ou photos qu'elle a pu regarder sur internet. Sophie écarte légèrement les jambes en les laissant tendues au maximum et se baisse sur le membre de Bruno pour le gober entièrement. Ce dernier prend du volume d'un coup en se gorgeant au maximum. Sophie gémit doucement alors qu'elle s'applique à sucer ce puissant sexe. Maryse se sent rougir de honte d'observer cette scène ou de vouloir être à la place de cette soubrette. Le cameraman approche des deux acteurs pour faire un gros plan. Bruno grogne de plaisir alors qu'il défait le laçage dorsal de la tenue de Sophie. Cette dernière se relève pour prendre *** souffle et pour offrir à la vue de tous sa magnifique poitrine libérée de *** corsage. Ses seins ***t en forme de poire, très lourds, aux aréoles assez larges. Ses tétons ***t tendus vers Bruno qui s'en empare pour les tirer, les pincer et pour finir par les sucer presque violement. Il presse *** visage contre un énorme sein qui se déforme. Sophie sourit, elle prend manifestement beaucoup de plaisir de ce traitement. Elle lui prend les cheveux et le ***** contre sa poitrine. Il la repousse ensuite. Il se lève alors qu'elle se retourne contre le bureau lui faisant dos. Elle se penche en avant, sa poitrine généreuse reposant sur la table. Il lui arrache *** string et s'agenouille derrière elle. Il commence alors à lui lécher ses lèvres intimes le visage pris entre ses deux fesses rondes. Maryse prend appui contre le mur derrière elle. Elle trouve la scène tellement sauvage et tellement excitante qu'elle a du mal à tenir sur ses jambes. Les techniciens autour d'elle, même si elle les voit, n'existent plus. Elle sent sa propre poitrine tendre le tissu fin de *** haut. *** sexe s'humidifie et commence à couler. Elle a du mal à se tenir sur ses talons hauts. La scène s'intensifie quand Bruno se relève et s'enfonce d'un seul coup dans le sexe de Sophie qui pousse un cri strident. Il entame un mouvement rapide qui provoque à chaque pénétration profonde un cri de Sophie. Maryse peut entendre un clapotis qui lui permet de deviner l'état du sexe de Sophie. Bruno s'arrête ensuite quelque temps. Le cameraman se place autrement pour avoir un autre angle de vue. Puis Bruno reprend avec plus de vigueur encore. Cette petite interruption ramène la présence des techniciens dans l'esprit de Maryse. Ils ***t tous témoins, comme elle, de l'accouplement sauvage de Bruno et Sophie. Manuel annonce une pose. Bruno est en nage. Il doit reprendre sa respiration. Manuel se tourne vers Maryse un sourire aux lèvres qui disparaît lorsqu'il la voit. Il lui demande si tout va bien. Elle lui assure que oui mais qu'il règne dans la pièce une chaleur qui l'étouffe. Manuel lui sourit de nouveau en lui répondant un « sans doute » qui laisse entendre qu'il n'est pas dupe. Pendant ce temps, Gina applique délicatement du gel sur le petit orifice de Sophie qui est toujours penchée sur le bureau. Elle semble apprécier cette nouvelle caresse, surtout quand Gina lui enfonce un, puis deux doigts en rajoutant du gel. Gina se s'attarde pas plus longtemps et se retire de la scène. Manuel annonce la reprise et tout le monde fait silence. Maryse espère que per***ne n'entend sa forte respiration. Elle a les yeux rivés sur le petit trou de Sophie qui ne va pas tarder à être envahi par le sexe de Bruno. Elle aimerait tant être à la place de la soubrette même devant tous ces gens. Elle veut se faire prendre sauvagement aussi. Elle essaie de repousser ses pensées quand elle voit le sexe investir le petit trou étroit de Sophie. Bruno va lentement mais sa progression est inexorable malgré le râle de Sophie. Une fois complètement en elle, il fait une courte pause avant d'entamer une lente sortie qui semble interminable à Maryse. Puis de nouveau, il la pénètre de toute sa longueur. Il accélère peu à peu jusqu'à être pris d'une fureur sexuelle. *** bas ventre claque sur les fesses de Sophie qui peine à freiner les mouvements de Bruno. Ses seins frottent sur le bureau. *** visage est crispé, ses dents ***t serrées et elle râle de plaisir ou de douleur, Maryse ne saurait le dire mais elle voudrait être à sa place. Elle aimerait subir les assauts de Bruno, le sentir en elle. Bruno n'y tient plus, il se retire rapidement et Sophie se retourne face à lui le visage au niveau de *** sexe. Il éjacule en poussant un cri bestial. Sophie prend trois premiers jets copieux sur le visage puis elle ouvre la bouche et deux autres jets atterrissent sur sa langue. Elle fait face à la caméra au moment ou elle avale le sperme de Bruno. Un filet blanc coule le long de sa joue pour s'écraser sur *** sein. Elle le récupère du bout de *** index et le suce en souriant. Maryse a le cœur qui s'emballe, le feu aux joues et une boule dans l'estomac. Elle est au comble de l'excitation. Elle n'aurait cru qu'elle pourrait prendre tant de plaisir à regarder une telle scène de débauche. Elle sent l'humidité de *** sexe libre de toute entrave couler légèrement sur ses cuisses. Manuel reçoit un bref coup de téléphone et annonce que Sergio arrive d'ici quelques instants. Il se rapproche de Maryse et lui demande de l'accompagner dehors quelques instants pour prendre l'air. Elle accepte avec joie. — Vous aviez besoin d'un peu d'air frais, dit-il en souriant. Il l'observe puis il s'arrête de marcher : — Maryse... ne vous sentez pas offensée de ce que je vais vous proposer... Aimeriez-vous faire un petit essai devant la caméra ? — Moi ? Devant la caméra... mais je... non ... enfin... et si quelqu'un me reconnaissait... vous n'y pensez pas... — Vous pouvez tourner masquée. Il lui fait un petit clin d'œil. — Laissez-vous tenter. Je pense que cela vous plaira... ne dites pas le contraire, tout votre corps parle pour vous et puis la paye est bonne. Je vous laisse y réfléchir quelques instants, je dois voir quelques détails avec Jeannot. Maryse ne le voit pas partir. Elle reste seule dans le jardin. Elle se repasse la discussion plusieurs fois en tête. À nouveau des sentiments opposés la partagent. Une mère de famille à la réputation irréprochable ne peut pas se permettre d'accepter, elle n'aurait jamais du se retrouver ici d'ailleurs. Irréprochable ? Depuis quelques semaines, sa vie a basculé dans la luxure. Elle n'est plus du tout l'oie blanche qu'elle était avant de pénétrer dans cette déchetterie. Elle a découvert une face de sa per***nalité qui l'effraie et l'attire en même temps. Elle a envie de céder à ses instincts sexuels, ses tabous ***t de plus en plus ébranlés. Elle se trouve sur le tournage d'un porno, dans une tenue à la limite de la décence. Elle ne porte pas de sous-vêtements. Elle est déjà allée trop loin pour refuser de continuer. Le cœur battant, les joues en feu, elle rentre dans la mai*** pour accepter l'offre de Manuel. — Manuel ? Je peux vous parler un instant ? — Mais bien sûr Maryse. Elle l'entraîne un peu à l'écart sous le regard amusé des acteurs et de l'équipe technique. — J'accepte, mais à plusieurs conditions. Je ne veux pas qu'on puisse me reconnaître, je porterai un masque comme vous l'avez suggéré. Je ne veux pas que mon nom apparaisse et je souhaite un rapport protégé. — Aucun problème. Vous serez donc masquée, pour le rapport protégé cela va de soi. Si toutefois vous vouliez continuer à tourner, je vous demanderai un test de dépistage complet. Ensuite, votre nom n'apparaîtra pas, mais je vous suggère un nom de scène... pourquoi pas Annabella ? — Oui... Annabella... ça me plaît... je suis terriblement anxieuse. — Vous allez vous en sortir. Avant qu'on ne commence, est-ce qu'il y a des pratiques qui vous dérangent. — Je... non je ne crois pas... enfin je ne sais pas... — Bon nous verrons cela au fur et à mesure. Sophie ? Pourrais-tu aider Annabella à se préparer. Tu lui trouves un masque pendant que je vais réfléchir à la scène. — Mais oui avec plaisir. Sophie s'approche d'Annabella et la prend par la main pour la conduire dans la pièce voisine. Elle se mordille la lèvre inférieure sensuellement en la regardant. — Alors tu as décidé de te lancer ? Hummm, tu ne vas pas être déçue. Tu vas commencer avec Sergio je pense. Tu vas voir, il est monté comme un âne. Il peut être un peu ... ********* mais c'est si bon avec lui. Je pense qu'il va falloir que je te prépare à l'accueillir. Installe-toi confortablement sur ce canapé. Annabelle s'assoit, mais n'ose pas ouvrir ses cuisses. Elle n'a jamais montré *** intimité à une autre femme. — Écarte les cuisses ma jolie... Ohhh, mais tu ne portes pas de culottes ! Je savais que tu étais une vicieuse. Tu aimes te donner des sensations fortes. Tu es toute trempée... Sophie lui caresse doucement les lèvres intimes recouvertes par un duvet sombre. Elle effleure de ses doigts *** clitoris qui est tendu par l'excitation. Ses lèvres ***t toutes ouvertes, prêtes à accueillir n'importe quoi pourvu que cela leur apporte du plaisir. Maryse sent un fris*** la parcourir des pieds à la tête. Elle se laisse aller à l'extase de cette simple caresse. Sophie est consciente de l'effet qu'elle a sur Maryse. Elle ressent une certaine fierté et *** désir pour cette femme augmente à mesure qu'elle voit les indices de *** excitation. Les pointes des seins de Maryse dardent à travers le tissu. *** sexe coule à flot autour de ses doigts. Elle la pénètre d'un doigt. Elle sent la chaleur et l'humidité de *** sexe autour de *** doigt. Elle trouve une petite zone plus rugueuse non loin de l'entrée de ce sexe béant qui fait immédiatement réagir Maryse. Elle se tend et pousse un long gémissement de plaisir. Sophie n'en revient pas de la réactivité de cette femme offerte. Elle aimerait pousser l'exploration de ce corps plus loin mais il faut qu'elle la prépare pour sa rencontre avec Sergio. Maryse l'observe dans un semi brouillard de conscience. Elle est dans un état second. Les doutes et les appréhensions ont disparu. Elle voit Sophie saisir un tube de lubrifiant qu'elle fait couler entre ses fesses. Ses doigts ramènent le gel au niveau de *** œillet et l'étale tout autour. L'intimité de cette zone encore vierge il n'y a pas si longtemps la rend très sensible aux caresses. Elle sent un doigt la pénétrer sans effort, puis un deuxième ramenant encore plus de gel en elle. Elle écarte au maximum ses jambes pour permettre à Sophie de la pénétrer au plus profond. Sophie prend visiblement autant de plaisir qu'elle mais elle est obligée de s'arrêter. Manuel les surprend et le sourire aux lèvres leur dit que tout le monde est prêt. Il tend à Maryse un masque vénitien décoré de petites plumes et de paillettes dorées. — Maryse... euh, Annabella pardon, je vais vous expliquer comment va se passer la scène. Vous allez entrer par cette porte quand on vous fera signe. Vous porterez votre masque et vous annoncerez que vous êtes le cadeau promis par Rafael. Il a fallu que je trouve quelque chose rapidement pour être raccord avec les autres scènes. En entrant vous surprendrez Sergio en mains avec Sophie et Gina. Les filles, vous laisserez votre place à Annabella qui lui fera une pipe. Sergio, tu te laisses aller sur les insultes. Ensuite, tu la placeras sur le bureau et en lui tenant les jambes, tu la besognes. D'après ce que j'ai vu elle est prête à en prendre plein les fesses, donc tu lui feras aussi les honneurs. Et tu finis par lui éjaculer sur le ventre. Les filles vous la caressez en même temps. Tout le monde a compris ? Alors en place. Maryse est soudain prise d'une sorte de trac. Sa respiration est difficile mais elle se refuse à reculer. Elle passe derrière la porte. Elle entend sans comprendre les dialogues derrière la porte. Et puis c'est à elle d'intervenir. Elle met *** masque et après avoir frappé à la porte, elle entre les jambes flageolantes. Elle reste un instant tétanisée par la scène qu'elle voit. Sergio est debout, face à elle. *** sexe est comprimé entre les bouches voluptueuses de Sophie et Gina qui s'arrêtent. Maryse se reprend et dit *** texte comme elle peut. Au signe de Sergio, elle approche. Il la prend par les cheveux, l'oblige à mettre sa tête en arrière pour l'embrasser. Sa langue omniprésente, lui fouille la bouche. Il s'arrête et la fait se reculer un peu. Il lui lâche les cheveux et agrippe *** haut pour le tirer vers lui, libérant ainsi les deux seins volumineux de chaque côté du tissu. Il s'en empare pour les pétrir.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Maryse n'avait pas vu la caméra jusqu'à présent. Mais elle sent la présence de Jeannot et de sa caméra. Puis elle sent le regard de toute l'équipe technique sur elle. La honte de se livrer à la caméra et aux regards de ces inconnus décuple *** plaisir. Elle sent les deux actrices lui caresser les jambes et s'insinuer sous sa jupe pendant que Sergio lui pétrit les seins. Il la reprend par les cheveux et l'oblige à s'agenouiller devant lui. Elle fait face à un sexe monstrueusement volumineux. Il est un peu plus court que celui de Bruno mais il est nettement plus large. *** gland est encore recouvert mais il ne demande qu'à s'échapper. Les bourses de l'acteur ***t volumineuses et complètement imberbes. *** corps est musclé et luisant de sueur. Elle caresse d'abord ses abdominaux saillants puis descend vers *** sexe puissant. Elle le prend en main délicatement puis le serre pour le décalotter. Le gland apparaît maintenant violacé et fuselé. Elle le branle quelques instants. Gina déchire un petit sachet rose. Elle présente le préservatif à Maryse qui le place sur le gland avant de le dérouler interminablement sur toute sa longueur. Elle le lèche, puis elle prend le gland autour de ses lèvres et joue avec sa langue sur le pourtour. Sergio grogne, la prend par les cheveux et lui ordonne de le sucer profondément comme une salope. Il l'oblige à avaler la moitié de *** sexe. Le volume de ce sexe déclenche chez Maryse une envie irrésistible de le satisfaire. Elle reprend sa respiration, puis elle le suce bruyamment en essayant d'en prendre le plus possible en bouche. Sergio continue de la tenir par les cheveux en grognant des insanités. Maryse est déchaînée. Les filles aussi la traitent de putain, de bouffeuse de bite. Plus elle entend ces insultes, plus elle se déchaîne. Le regard de l'équipe la galvanise. Soudain Sergio la tire de nouveau par les cheveux. Il la soulève presque pour la coucher sur le bureau. Il lui écarte les jambes en V, ce qui achève de remonter totalement sa jupe. Sans attendre, il la pénètre d'un coup jusqu'à ce qu'elle sente des bourses s'écraser contre ses fesses. Elle hurle sous l'assaut de Sergio qui lui empoigne les seins pour la pénétrer de plus belle. Ses mouvements ***t puissants. *** sexe l'envahit totalement et butte à chaque coup au plus profond. *** visage est crispé. Elle sent les mains des actrices sur tout *** corps. Gina lui fait sucer ses doigts pendant que Sophie lui caresse le clitoris. Sergio continue à la pénétrer sans relâche. Il lui tient maintenant les jambes pour permettre à la caméra de prendre des plans rapprochés de *** intimité. Elle se rend compte que tout le monde pourra la voir, que certains s'exciteront sur sa vidéo... et cela achève de la faire jouir une première fois. Elle se tend en se cambrant. Elle ne peut plus respirer alors que la vague de plaisir la transperce inexorablement. Puis elle se laisse aller, en gémissant. *** sexe est trempé, les pénétrations successives de Sergio produisent des clapotis indécents. Gina lui suce un sein alors que les doigts de Sophie s'activent toujours sur *** clitoris. Elle ressent soudain un grand vide alors que Sergio se retire. Puis, sans lui laisser le temps de se reprendre, il pousse *** énorme sexe à l'entrée de *** petit orifice. Elle n'a pas la ***** de paniquer, juste de gémir plus fort alors qu'elle sent le sexe s'enfoncer et l'envahir peu à peu. Il se retire totalement pour reprendre sa pénétration plus profondément. Ses dernières résistances lâchent et Sergio l'envahit totalement. Elle ne sait plus si elle souffre ou si elle jouit de plaisir. Les doigts de Gina la rendent folle et elle se sent totalement livrée au sexe de Sergio et à la caméra. Il accélère le mouvement. Elle est violemment secouée par les pénétrations. Ses seins ballottent en tout sens. Elle s'agrippe aux bras des filles qui continuent à la caresser. Gina pénètre frénétiquement *** sexe de deux doigts alors que Sergio continue telle une machine, à la sodomiser. Elle n'arrive pas à crier, mais elle gémit et grogne *** plaisir. Quand elle sent les doigts de Gina frotter en elle, une seconde vague de plaisir manque de lui faire perdre connaissance. Sergio n'en peut plus, il arrache le préservatif et jouit abondement sur le ventre de Maryse. Une bonne quantité de semence arrive sur le tissu de *** haut alors que le reste coule sur *** sexe et ses cuisses. Sophie et Gina prennent la place de Sergio et s'appliquent à lécher les traits de sperme, lui apportant encore un peu plus de plaisir. Maryse est épuisée par la scène. Manuel la rejoint et lui dit que c'était fantastique et criant de vérité. Elle se redresse et essaie de remettre un peu d'ordre dans sa tenue. *** top est maculé de sperme. Elle tire sur sa jupe pour la remettre en place et recouvrir *** sexe béant et trempé ainsi que ses fesses. Elle sent une douce souffrance au niveau de *** petit trou. Manuel l'accompagne jusqu'à l'écran de contrôle pour lui montrer la scène. Maryse a peine à croire ce qu'elle voit. Elle est déchaînée sur cette vidéo. Elle se voit jouir et en redemander. La caméra a filmé au plus près et elle voit les ravages que le sexe de Sergio a faits sur *** petit trou qu'elle voit béant, rouge et luisant. Un nœud a l'estomac, elle demande si elle peut avoir une copie. Manuel lui répond en souriant qu'il lui enverra un exemplaire du film. Elle accepte sans trop y penser. Puis Il lui fait un chèque pour sa participation et lui donne *** numéro de téléphone. Sophie s'approche d'elle et lui propose de la raccompagner ce que Maryse accepte avec joie. Sophie lui demande quelques instants, le temps qu'elle se change. Elle réapparaît peut de temps après habillée d'un jeans serré, d'un tee-shirt lui moulant avantageusement la poitrine, de bottes à talons aiguilles et d'une petite veste en jean assortie. Maryse la suit jusqu'à sa voiture, une mini-cooper. Quand elle s'assoit, elle ressent un gêne entre ses fesses, mais cette sensation lui plaît et lui rappelle l'expérience intense qu'elle vient de vivre devant la caméra. — Alors je t'emmène où ma cocotte ?
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Après cette journée Maryse est épuisée. Elle accepte avec joie la proposition de Sophie de la raccompagner. Il faut qu'elle récupère sa voiture restée au centre-commercial. Maryse n'arrive pas vraiment à réaliser ce qu'elle vient de faire. Pourtant, la gêne qu'elle ressent au niveau de *** petit trou est bien réelle. Elle est honteuse d'avoir cédé à ses pulsions. Et si *** mari et ses enfants découvraient ce qu'elle a fait... mais ces craintes n'atténuent pas le plaisir qu'elle a ressenti d'être filmée alors qu'un inconnu la prenait sauvagement. Pendant le trajet, Sophie lui parle de sa vie, de *** petit ami du moment. Maryse lui pose quelques questions et Sophie semble ravie de *** intérêt. Elles arrivent sur le parking désert du centre-commercial, retrouvent la voiture de Maryse. Sophie se gare juste à côté. — Voilà, tu es arrivée... Sophie lui sourit, ses yeux ***t pétillants. Maryse ne sait plus trop quoi faire. Elle doit prendre sa voiture, rentrer chez elle et redevenir la petite femme sage qu'elle était. Mais Sophie exerce une sorte d'attirance, elle représente la liberté et l'interdit. Sophie prend cette hésitation pour un indice de l'attirance que Maryse éprouve. Elle lui prend une main et la pose tendrement sur sa poitrine généreuse. Le contact électrise Maryse. Elle en a la chair de poule. Ses yeux ***t rivés dans ceux de Sophie qui caresse doucement le visage de Maryse. Elle s'approche doucement et elle embrasse Maryse tendrement. Cette dernière est tout d'abord paralysée mais sa bouche s'entrouvre légèrement. La langue de Sophie profite de cet abandon pour explorer doucement la bouche de Maryse. Leurs langues ne tardent pas à s'entremêler. La main posée sur la poitrine de Sophie exerce d'abord de légères pressions puis elle profite pleinement de la générosité de cette poitrine. Elle sent le téton durcir sous ses caresses. Après quelques instants, Maryse repousse légèrement Sophie qui lui sourit tendrement. Ses yeux pourtant semblent affamés. Elle la désire ardemment. Maryse éprouve une attirance pour cette femme si sûre d'elle, si libre mais elle n'est pas encore prête. Elle tente de lui expliquer ce qu'elle ressent, mais elle se perd, elle n'arrive pas à exprimer ses sentiments. Tout est confus. Sophie lui prend la main et lui susurre des paroles apaisantes. Elle fouille dans *** sac et en sort une petite carte. — C'est mon numéro, n'hésite pas à m'appeler à n'importe quelle heure. Je comprends. Ne dis plus rien. Elle lui dépose un dernier baiser sur la bouche et la laisse partir. Maryse monte dans sa voiture, elle est toute fébrile. Ses gestes ***t incertains. Elle lance un dernier regard à Sophie qui lui sourit toujours avant de démarrer sa voiture. Sur le trajet, elle repense à cette soirée incroyable qu'elle vient de passer. Elle essaie de se souvenir du moindre détail. Certains moments ***t plus forts que d'autres comme ce vieil inconnu qui lui a peloté les fesses dans le centre commercial, les remarques des petits jeunes qu'elle a croisés, le tournage bien que ce moment soit assez flou et surtout ce dernier baiser de Sophie... Heureusement, elle arrive chez elle au milieu de la nuit. Les risques d'être aperçue avec sa mini jupe et *** haut souillé de sperme ***t minimes mais suffisants pour la rendre nerveuse. Elle se rend compte, à sa plus grande honte, que cette situation l'excite. Après avoir vérifié que per***ne ne pouvait la voir, elle se précipite chez elle. Il lui semble qu'elle met une éternité à ouvrir la porte. Une fois à l'intérieur, elle prend quelques instants pour récupérer. *** cœur bat à toute vitesse. Elle peut s'observer dans le miroir de l'entrée. L'image qu'il lui renvoie est loin de celle de la femme sage qu'elle se prétendait être il y a quelques semaines. Elle aurait même été choquée de croiser une telle femme... mais aujourd'hui, elle se trouve dans un tout autre état d'esprit, elle a perdu le contrôle de ses envies. Elle se trouve outrageusement excitante et sexuelle. Elle se dirige vers la salle de bain, aspirant à prendre une douche pour se calmer avant d'aller se coucher. Elle retire ses vêtements tout en s'observant dans le miroir. Elle se tourne et tente d'apercevoir *** petit trou qui continue de la gêner. Elle est surprise de constater qu'il s'est refermé bien qu'il soit encore rouge de l'assaut qu'il a subi. La douche lui fait le plus grand bien. Elle passe ses mains sur tout *** corps. Elle insiste sur *** intimité, ce qui lui procure de nouvelles sensations. La fatigue la pousse à aller se coucher sans prendre le temps de mettre sa chemise de nuit. Elle savoure sa nudité un moment avant de s'endormir. Après une nuit agitée par des rêves érotiques, Maryse se réveille en fin de matinée. Elle commence sa journée par une nouvelle douche. Étant toute seule, elle décide d'en profiter pour rester nue. Le fait de s'occuper de l'entretien de la mai*** toute nue lui procure des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées. Elle grignote devant la télé qu'elle éteint au bout d'un moment tant la pauvreté des programmes l'exaspère. Elle s'installe dans le canapé pour lire une revue, elle apprécie ce moment de quiétude qui est soudain dérangé par la ***nerie du téléphone. C'est *** mari qui l'appelle. Cela lui fait tout drôle de lui répondre alors qu'elle est toute nue. Il lui annonce qu'il sera de retour le lendemain. Maryse cache sa surprise, *** déplacement devait être plus long. Après avoir raccroché, elle sent *** cœur s'accélérer. Les souvenirs de ses dernières aventures lui reviennent à l'esprit, elle en est honteuse. Elle se dit qu'il faut absolument qu'elle arrête ses écarts de conduite. Elle rentre dans sa chambre, en vérifiant que ses derniers achats ***t bien cachés, elle ressort le gode qu'elle n'a pas encore essayé. Elle glisse les doigts dessus, la texture ressemble à s'y méprendre à la peau humaine. Il est assez lourd, sa longueur et *** diamètre lui rappellent le sexe de Sergio. Elle sent *** sexe s'humidifier. Elle se mordille les lèvres hésitant à aller plus loin. Que fait-elle de ses résolutions ? Elle ne fera rien de mal en se donnant du plaisir... Elle réussit à résister à ses pulsions. Elle est très fière d'elle. Le reste de la journée passe assez vite entre ses différents préparatifs pour le retour de *** mari, le rangement et ses envies qu'elle repousse courageusement. La journée du lundi passe très vite. Elle a quelques dossiers à traiter qui lui demandent toute *** attention. Elle éprouve tout de même une certaine appréhension en pensant à *** mari. Se rendra-t-il compte de quelque chose ? Est-ce qu'elle pourra lui cacher ses aventures ? Va-t-elle lui avouer ses débordements ? Non, il ne doit rien savoir ! Jamais... Elle quitte le travail le ventre noué. Arrivée chez elle, elle commence à préparer le repas comme elle l'a toujours fait auparavant. Rien dans *** attitude ne doit la trahir. De toute façon c'est fini, elle ne cédera plus. Il faut qu'elle se débarrasse de *** gode... dommage, se dit-elle, qu'elle ne l'ait jamais essayé. Elle le range au plus profond de *** armoire sous une pile de vêtements. *** mari rentre exténué de *** voyage d'affaire. Il lui raconte en détail tout ce qu'il a fait, ses relations avec les clients, les accrochages... Elle a du mal à se concentrer sur *** récit. Elle culpabilise de *** attitude pendant *** absence et elle culpabilise encore plus de ses envies toujours présentes. *** mari ne tarde pas à aller se coucher, s'excusant de la laisser s'occuper de tout mais il est vraiment fatigué et il ne rêve que d'une bonne nuit de sommeil. Maryse au même moment essaie de repousser les visions érotiques voire pornographiques qui ne cessent de s'imposer à elle. Alors qu'elle fait la vaisselle, elle est honteuse de toutes ses pensées. Elle est mariée, mère de famille. Comment peut-elle agir ainsi ? Elle essaie d'oublier tout cela en allant se coucher. Une fois encore le sommeil tarde à venir. *** mari dort déjà à côté d'elle alors qu'elle revoit les images de ses dernières aventures. Elle en ressent encore une gêne entre ses fesses. Elle finit par s'endormir. La routine reprend dès le lendemain. Elle prépare le petit déjeuner pour *** mari qui le dévore en quatrième vitesse avant de se précipiter au travail. Elle finit de se préparer en optant pour une jupe longue, un chemisier, des dessous et des talons. *** miroir lui renvoie l'image d'une femme sage. Elle se dit qu'elle pourrait pimenter légèrement sa journée en omettant de mettre sa culotte. Elle ne fait rien de mal, per***ne ne s'en rendra compte. L'idée de se promener nue sous sa jupe lui procure déjà un certain plaisir accompagné d'un léger sentiment de culpabilité vis-à-vis de *** mari qu'elle repousse en se disant qu'il ne se passera rien de répréhensible. À *** bureau, elle ressent une certaine peur à l'idée que quelqu'un pourrait se rendre compte de *** audace, mais elle constate que cela l'excite aussi. Elle a l'impression que tout le monde peut deviner sa nudité. Elle a remarqué le regard de certains hommes sur *** corps. Auparavant elle n'accordait pas la moindre importance à ce genre de regard, elle en ressentait tout au plus du dédain. Maintenant ces regards lui donnent un indice du désir qu'elle provoque et cela l'excite. Au cours de la journée, la température augmentant, elle a défait les deux premiers boutons de *** chemisier, dévoilant la naissance de ses seins tout en restant tout à fait décente. *** chef qui n'est pas le dernier à se rincer l'œil, est venu la voir à plusieurs reprises sous prétexte de lui demander des éléments sur tel ou tel dossier. Elle a bien vu que *** regard était plus souvent plongé dans le décolleté de *** chemisier que sur ses notes. Elle ressent une très grande excitation à se dévoiler ainsi et à provoquer le désir autour d'elle. Maryse est totalement excitée en fin de journée. Elle rentre chez elle, se met à l'aise pour attendre *** mari. Ce dernier rentre une bonne heure plus tard. Il est toujours autant préoccupé par *** travail qui lui prend toutes ses ressources. Cette période est très stressante pour lui, se dit Maryse. Elle voudrait lui faire l'amour mais il n'est visiblement pas en état et elle a peur de faire le premier pas. C'est toujours lui qui était en demande, elle a peur qu'il se rende compte de ce qu'elle est devenue si elle se jette sur lui. Elle ne veut pas éveiller le moindre soupçon. Cette prudence nécessaire la frustre énormément. Le lendemain, à nouveau elle prépare le petit déjeuner pour elle et *** mari qui s'empresse une fois de plus de le finir pour partir à *** travail. Maryse sent la frustration l'envahir. Elle décide comme la veille de ne porter aucune culotte. Elle a besoin de ces sensations pour se sentir vivre malgré la honte et la culpabilité qu'elle peut éprouver. *** envie est plus forte. Elle choisit une jupe plus courte arrivant à mi-cuisse, un haut moulant sous lequel elle ne met pas de soutien-gorge et des talons qui améliorent sa cambrure. En s'observant dans le miroir, elle hésite. *** reflet lui renvoie l'image d'une femme sensuelle et sexy. Elle ne peut pas aller à *** travail dans cette tenue. Et pourquoi pas ? se dit-elle. Elle a le droit d'être sexy et elle n'est pas indécente. Dès *** arrivée, elle se rend compte qu'elle ne passe pas inaperçue. Les hommes la dévorent des yeux. Cela lui plaît énormément et elle sent l'excitation monter. Ses tétons durcissent et tendent le tissu de *** haut moulant. Per***ne ne peut les ignorer. Elle se dit qu'elle a été trop loin, mais elle ne peut plus reculer et n'en a pas la moindre envie. Elle se réfugie dans *** bureau. *** chef n'a de cesse de venir lui poser des questions comme la veille. Il a du mal à cacher *** intérêt pour sa poitrine. Elle a honte de *** comportement mais *** corps la trahit. Elle se sent mouiller, elle espère que cela ne marquera pas sa jupe, ce qui serait le comble de ***************. Ses tétons ***t plus durs que jamais. Elle est obligée de se rendre à l'évidence, elle est une fois encore excitée de se montrer ainsi. En fin de matinée, *** chef lui annonce qu'il faut qu'elle retourne à la déchetterie. Cette fois-ci, il l'aidera à charger sa voiture. Elle se doute que ce vieux cochon veut profiter encore un peu de la vue qu'elle lui offre. Elle est agacée de devoir retourner à la déchetterie. Elle ne comptait pas revoir M. Francis. Cette perspective la panique un peu car elle se trouve dans une tenue très suggestive qu'il va prendre pour une invitation. Elle reprend confiance en se disant qu'elle a le choix, que c'est elle qui décide et elle est déterminée à ne plus tromper *** mari. Ce qu'elle a fait ces dernières semaines ne doit plus se reproduire. *** chef remplit sa voiture de vieux cartons. Elle se demande s'il n'a pas fomenté tout cela pour continuer à l'observer, ce qu'il fait dès qu'il le peut. Il ne se cache même plus. Il regarde directement ses seins. Elle décide de l'exciter encore un peu plus en se cambrant bien pour les faire ressortir. Elle se dit que le pauvre homme va faire une syncope tant il est rouge. Cela l'amuse et l'excite de voir l'effet qu'elle produit sur *** chef. Une fois la voiture chargée, il bredouille un remerciement pour le détour qu'il l'oblige à faire. Elle ne daigne pas y répondre. Elle monte en voiture et se dirige vers la déchetterie. *** assurance diminue à mesure qu'elle s'en approche. Arrivée à l'entrée, elle est paniquée à l'idée de revoir M. Francis. Elle arrive avant la fermeture, il n'y a qu'elle sur le site. Elle se gare devant la benne à papier. Elle décharge les vieux dossiers. Elle sursaute en entendant derrière elle la voix de M. Francis :
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
— Alors tu t'es décidée à revenir. Tu m'as fait attendre, c'est pas bien ça. Tourne-toi et regarde-moi ! Maryse est pétrifiée. L'adrénaline lui parcourt le corps. Lentement, elle se tourne pour lui faire face sans oser le regarder. — Je suis certain que tu es toute excitée, salope. Tes gros tétons ne demandent qu'à se montrer. La vache ils tirent tellement le tissu qu'on dirait qu'il va se déchirer ! Tu me fais sacrément bander ! Maryse lève les yeux vers l'entrejambe de M. Francis et elle constate que *** bleu de travail est déformé par l'érection de sa verge. Elle sent *** propre sexe mouiller à cette vision. Elle devrait pourtant se révolter d'être traitée ainsi par cet homme malsain mais comme les premières fois, elle est trop excitée par la situation. Si *** mari la voyait ainsi, elle en mourrait de honte. — Tu m'attends là ! Je vais fermer le portail. J'ai pas envie qu'on vienne nous déranger, je vais bien m'occuper de toi ! Il se dirige vers l'entrée. Elle pourrait remonter dans sa voiture et quitter cet endroit sordide mais au lieu de cela, elle lui obéit et reste à l'attendre sans bouger. Elle a honte de *** attitude mais c'est plus fort qu'elle, cet homme exerce une telle influence sur elle. Elle le détaille de loin alors qu'il ferme la grille. *** bleu de travail est maculé de tâches. Il n'est pas très attirant mais elle trouve qu'il se dégage de lui une assurance irrésistible. Quand il revient, elle baisse de nouveau les yeux. Elle est restée alors qu'elle aurait pu décider de partir. Sa respiration s'est accélérée, elle se sent envahie d'une chaleur presque étouffante. Elle peut encore fuir, mais une partie d'elle refuse de bouger. — Nous ne serons plus dérangés ! Maintenant enlève tes fringues. Maryse regarde autour d'elle. Elle suffoque presque. Elle n'est pas à l'abri des regards, quelqu'un pourrait l'apercevoir de la route. Pourtant, elle ne peut s'empêcher d'obéir au désir de M. Francis. Elle enlève *** haut, libérant sa plantureuse poitrine. M. Francis l'observe sans bouger, un petit sourire de satisfaction au coin des lèvres. À chacun des mouvements de Maryse, sa poitrine se balance. Ses tétons dardent au maximum, ils ***t très sensibles. Elle défait maintenant sa jupe et M. Francis ouvre grand les yeux sous la surprise de voir qu'elle ne porte aucun sous-vêtement. — Eh bien ma petite salope, tu te balades le cul à l'air maintenant. T'as besoin de te faire baiser on dirait. T'as bien fait de venir me voir. Allez suis-moi, on va se mettre bien peinards chez moi. Elle est contrainte d'abandonner ses vêtements sur place pour le suivre. Elle garde ses talons. Elle est très excitée d'être nue, le risque qu'on l'aperçoive lui fait peur et en même temps décuple ses sensations. Elle le suit dans l'allée en savourant les caresses de la brise sur sa peau. Elle est dans un état second. Elle est assaillie de sensations. *** cœur se fige en entendant une voiture passer au loin sur la route, le conducteur l'a certainement vue. Elle n'ose pas regarder en arrière de peur qu'on la reconnaisse. Même si elle en a honte, elle adore s'offrir ainsi. M. Francis a accéléré le pas. Il prend de l'avance sur elle. Elle n'ose pas aller plus vite, chacun de ses pas fait ballotter ses seins. Il entre précipitamment dans sa caravane pour en ressortir peu de temps après, un appareil photo à la main. Il prend des clichés de Maryse au milieu des vieilles carcasses de voitures. Il y prend un immense plaisir. Maryse en voyant l'objectif sent une décharge d'adrénaline la traverser. Elle ne résiste pas longtemps et s'abandonne à *** photographe. Elle prend d'elle-même des poses suggestives, d'abord timide cachant au mieux ses seins et *** intimité puis de plus en plus osées. Elle se tourne et se penche sur le capot d'une carcasse en se cambrant au maximum. M. Francis prend des photos en continu, grognant *** approbation. Il lui en demande plus, la traite de tous les noms. Cela rend Maryse complètement folle. Elle s'abandonne de plus en plus lui donnant tout d'elle-même. Elle lui présente sa poitrine, se serre les seins pour faire ressortir encore plus ses tétons déjà tendus. Le plaisir qu'elle prend à s'offrir ainsi la fait gémir. Plus rien n'existe que *** plaisir et l'objectif. M. Francis rentre de nouveau dans la caravane, elle commence à le suivre. Arrivée à la porte, il en ressort et lui tend un long manteau. — Tiens mets ça. Tu vas m'emmener chez toi. Maryse reprend conscience. Elle ne peut l'emmener chez elle, c'est de la folie. Si *** mari la trouvait avec lui ce serait la fin de tout. Mais quelque chose la pousse à prendre le manteau et à le revêtir. Elle est terrifiée par ce qu'elle fait mais ne peut s'arrêter. Elle marche devant lui le manteau serré à la taille. Elle l'entend prendre de nouvelles photos. — Ramasse tes affaires et mets-les dans le coffre. Elle en profite pour lui offrir une pose des plus sexy, penchée dans le coffre, les jambes écartées et bien tendues alors qu'elle range ses affaires. Il prend de nouvelles photos, puis il s'approche et elle sent ses mains se poser sur ses hanches. Il soulève *** manteau et lui caresse les fesses. Elle s'abandonne en gémissant. Ses mains rudes parcourent ses fesses et leur sillon. Elle soupire. Il s'agenouille derrière elle et elle sent *** visage mal rasé se poser sur sa peau. Il écarte ses fesses et sa langue lui parcourt le sillon. Elle crie presque en sentant cette langue humide l'explorer. Il lèche avidement sa chatte trempée. Il la lèche de *** clitoris à l'entrée de sa grotte. Il se délecte de ce fruit juteux. *** doigt caresse l'entrée du petit trou alors qu'il enfonce au plus profond sa langue dans le sexe baveux de Maryse. Il accélère les mouvements de sa langue en s'attardant sur le clitoris de Maryse qui gémit de plus en plus. Elle se tend alors qu'elle sent un doigt lui pénétrer l'anus. Il le tourne en elle, la faisant gémir longuement. La langue de M. Francis s'acharne sur *** clitoris et sa jouissance éclate dans un cri perçant. Elle a peine à se tenir debout tant sa jouissance l'a vidée de *** énergie. M. Francis se relève, le visage mouillé. Il prend quelques clichés supplémentaires de Maryse le manteau relevé, la chatte trempée. — Allez, emmène-moi chez toi maintenant. J'ai envie de voir où tu crèches. Elle se met au volant, elle est encore bouleversée par sa jouissance. Elle n'arrive pas à se rai***ner. *** manteau s'écarte laissant apparaître le galbe de ses cuisses. Si elle n'y prend pas garde, elle risque de dévoiler *** intimité. M. Francis reprend quelques photos avant de monter en voiture et lui demande de démarrer. Ils quittent la déchetterie après qu'il ait refermé la grille. Sur la route, elle est dans un état d'excitation extrême. Malgré la tension qui la tenaille, elle est libérée de tous ses tabous. Elle sait qu'elle sombre à nouveau dans la luxure, elle en aura des remords mais aucun regret. Elle s'arrête à un feu rouge à côté d'un motard. Tout d'abord il ne remarque rien, mais quand M. Francis écarte un peu plus les pans du manteau de Maryse, il s'aperçoit qu'il a une vue plongeante sur le sexe de cette femme. La surprise ne l'empêche pas d'en profiter au maximum. M. Francis caresse maintenant le sexe humide de Maryse qui n'ose pas tourner la tête. Elle regarde fixement le feu en ressentant les doigts de M. Francis lui procurer des fris***s. Elle a honte de se montrer ainsi mais elle adore cela. Le motard a relevé sa visière pour profiter au mieux du spectacle. Maryse se trémousse sous les caresses appuyée de M. Francis sur *** clitoris qui darde outrageusement. Quand le feu passe au vert, Maryse démarre laissant le motard en plan. M. Francis abandonne ses caresses pour la laisser se concentrer sur sa conduite. Il ne parle pas durant le trajet la laissant à toutes ses interrogations et ses doutes.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Elle est terrifiée à l'idée d'être surprise avec M. Francis par des voisins. Elle gare sa voiture ; heureusement elle n'aperçoit per***ne à cette heure-ci. Elle se précipite vers la porte d'entrée suivie de M. Francis qui n'a pas oublié *** appareil photo. Ils rentrent dans la mai***. Il fait le tour du rez-de-chaussée. Elle n'arrive pas à croire ce qu'elle est en train de faire, elle a amené chez elle ce pervers. Il visite le salon en faisant le tour des photos de famille exposées ici et là. Elle est restée dans l'entrée sans oser bouger. Quand il repasse devant elle, il lui demande de retirer *** manteau et de le suivre. Sans poser de question, elle lui obéit docilement. Il entre dans la cuisine, trouve le réfrigérateur dans lequel il prend une des bières du mari de Maryse. Elle est nue devant cet homme encore habillé. Elle se sent soumise et elle a honte de trouver cette situation aussi excitante. — Viens me sucer ! L'ordre la tire de sa léthargie. Elle s'approche de lui lentement, puis s'accroupit devant lui en écartant les jambes. Elle lui sort *** sexe trapu. Elle est momentanément repoussée par *** odeur forte. Elle commence d'abord à le branler lentement en décalottant le gros gland luisant. Puis elle le prend totalement en bouche pour le sucer. Elle l'entend grogner sous ses caresses buccales et elle en tire un certain plaisir. Elle le regarde se crisper alors qu'elle a toute la longueur de sa tige dans sa bouche. Sa langue joue tout le long de ce sexe tendu. Sa main caresse les bourses pleines de cet homme à qui elle ne peut rien refuser. Il lui prend les cheveux en la regardant droit dans les yeux. Elle sent qu'il est sur le point de jouir. Il l'oblige à prendre tout *** sexe en bouche, sa salive coule autour de cette tige le long de *** cou. Il se crispe un peu plus, et se libère dans un grognement ******. Le premier jet de sperme lui remplit la bouche. Elle sent la chaleur de sa semence l'envahir. Un autre jet l'oblige à avaler ce qu'elle peut. Il continue de se déverser dans sa bouche en grognant, plié sur lui-même sous la puissance de sa jouissance. Elle recueille le liquide qui s'échappe de ses lèvres et le suce devant ses yeux ébahis. Il y en a un petit peu qui s'est écrasé sur le sol carrelé de la cuisine. — Montre-moi ta chambre ! Elle se relève et le précède. Il profite au maximum de la vue de *** postérieur qu'il prend en photo dans l'escalier. Elle se retourne pour être sûre qu'il la suit alors qu'il prend des photos de *** corps dénudé. Elle est très nerveuse à l'idée de lui ouvrir la porte de sa chambre. Cette pièce représente l'intimité de *** couple, pourtant elle l'invite à y pénétrer. Un grand lit occupe la plus grande partie de l'espace. Deux armoires font office de rangements. Il lui demande laquelle est la sienne. Elle lui montre d'un signe de tête n'étant pas capable de parler tant elle est nerveuse. Il est toujours habillé alors qu'elle ne porte que ses talons. Elle est soumise au moindre de ses désirs. Il ouvre *** armoire, apprécie les différentes tenues. Il tire les tiroirs, en sort quelques lingeries qu'il respire. Il fouille les moindres recoins alors qu'elle est de plus en plus nerveuse. Quand il sort *** gode, elle est mortifiée par la honte. Elle n'ose plus le regarder. Il lui lance un sourire pervers. — Je vois que tu es encore plus cochonne que je le croyais ! C'est un sacré morceau ! La honte la paralyse. Elle ne répond rien à M. Francis. Il jette le gros gode sur le lit. Il commence doucement à se déshabiller. Il prend *** temps. Elle trouve la ***** de lever le regard pour l'observer. Elle se demande comment elle a pu succomber à cet homme si banal, pourtant dès qu'elle croise *** regard elle se retrouve à sa merci. Il lui demande de s'allonger ; il se place entre ses jambes qu'il écarte puis *** visage descend vers sa chatte. Elle le voit s'approcher de *** sexe. Elle est sur le point de s'offrir à lui dans la chambre conjugale. Elle se rend compte de ce qu'elle fait pourtant elle n'empêche rien, au contraire, elle ouvre un peu plus ses jambes. Il écarte ses lèvres et commence à lui lécher le clitoris qui est très sensible. Elle soupire de plaisir. Elle sent un gros doigt glisser en elle sans rencontrer la moindre résistance tant elle est mouillée. Il titille cette petite zone rugueuse qui se trouve non loin de l'entrée de sa chatte. Cette caresse associée à celle de *** clitoris lui procure un plaisir immense. Elle se cambre pour essayer d'amplifier *** plaisir. Il continue inlassablement à la lécher et à la caresser. Elle sent la jouissance monter dans tout *** corps et elle explose tout à coup en inondant le visage de M. Francis qui continue sans relâche à la boire. Elle se détend peu à peu profitant au maximum des caresses de *** amant. Soudain elle sent quelque chose pousser à l'entrée de *** sexe. M. Francis s'est emparé du gode et est déterminé à la pénétrer avec. Il pousse dessus avec ***** et elle le voit entrer en elle. Elle absorbe cet immense sexe sans peine. Elle le sent déformer ses parois internes. Elle pousse un long râle durant la pénétration qui dure une éternité. Il actionne le gode à pleine vitesse. Elle pousse un cri en sentant le gode s'activer en elle. Elle a les bras écartés, les poings serrés. Elle gémit de plaisir. Le gode toujours en elle, il la retourne avec une ***** incroyable. Elle se retrouve à quatre pattes, les fesses en l'air, gémissant *** plaisir dans les draps. Il sort le gode d'un coup avec un bruit de succion humide. Elle sent sa mouille couler le long de ses cuisses. M. Francis pousse alors la tête du gode à l'entrée de *** petit trou. Elle hurle alors qu'elle le sent la pénétrer et lui dilater l'anus. M. Francis fait quelques va-et-vient avant de lui enfoncer au plus profond de ses entrailles. Elle est en sueur, sa respiration est forte et saccadée. Elle est totalement offerte à ce pervers qui lui fait tant de bien. Elle le sent ensuite lui pénétrer la chatte de *** sexe. Elle a deux sexes en elle. Elle n'aurait jamais imaginé qu'elle prendrait autant de plaisir à se sentir ainsi possédée par les deux trous. Elle gémit alors à chaque pénétration. Elle crie *** plaisir quand il actionne le gode à pleine vitesse en la pénétrant de toute ses *****s. Elle est littéralement pistonnée. Le lit est secoué dans tous les sens. Elle entend les bruits humides de *** sexe à chaque pénétration. M. Francis grogne *** plaisir qui dure plus longtemps car elle l'a déjà vidé une fois dans la cuisine. Il profite de ce corps offert. Ses mains ***t agrippées aux hanches de Maryse. Il lui sort le gode de *** petit trou et le jette sur le lit. Il la sodomise d'un coup. Le gode l'a bien élargie. L'idée de profiter de cette femme fait monter en lui la jouissance. Il se retire de *** anus dilaté et la retourne. Il éjacule bruyamment sur le corps de Maryse qui en reçoit sur les seins, la gorge et même sur le visage. À chaque jet qu'elle reçoit *** corps réagit par un soubresaut de surprise. Elle est maculée de sperme. Elle sent le liquide poisseux et chaud couler le long de ses seins. Elle l'étale sur sa peau dans un état second. M. Francis est en sueur, il tient encore *** sexe ramolli dans sa main. Ils ***t tous les deux abasourdis par ce qu'ils viennent de vivre. Seul le vrombissement du gode vient perturber la scène. M. Francis s'essuie les mains sur les draps, puis il prend *** appareil pour immortaliser la scène. Il la prend en photo sous tous les angles. Maryse se laisse aller à prendre de nouveau des poses suggestives. Elle lui ouvre ses lèvres intimes pour qu'il prenne des gros plans de *** sexe baveux et rougi par les pénétrations. Elle empoigne ses fesses pour qu'il puisse photographier *** petit trou dilaté. Elle s'empare du gode et se pénètre la chatte sous l'œil attentif de l'appareil photo. Elle se masturbe lentement en savourant *** abandon total devant *** photographe.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Elle actionne le gode tout en le faisant aller et venir en elle. Elle gémit en fixant l'objectif de l'appareil photo. M. Francis n'en revient pas. Il prend autant de clichés qu'il le peut. Il se dit que cette femme est insatiable. Elle empoigne le gode à deux mains pour se pénétrer. Il voit ce gros sexe déformer le sexe de cette femme qui était si réservée la première fois qu'il l'a vue. Il jubile de l'avoir libéré sexuellement et de pouvoir en profiter. Elle continue de se masturber les jambes bien écartées, puis elle augmente la vitesse du gode et elle jouit bruyamment sous les assauts de ce sexe mécanique. Elle est épuisée. Elle se rend compte que l'après-midi est déjà bien entamée mais elle n'ose pas mettre dehors *** amant. C'est avec soulagement qu'elle le voit se relever, s'habiller. Il la regarde et lui dit : — Quand peux-tu revenir me voir ? Maryse hésite à lui répondre. Une part d'elle ne veut pas s'engager dans cette relation, l'autre se dit qu'elle y est déjà. Elle culpabilise mais elle n'est pas prête à laisser tomber toutes ces sensations. — Je suis libre le mercredi après-midi... — Il va falloir que tu trouves du temps en plus. Nous n'en avons pas fini tous les deux ! Une nana comme toi a besoin de sexe. Débrouille-toi pour venir me voir avant. Il sort de la chambre. Elle le raccompagne toujours nue et maculée de sperme. Elle lui demande d'être discret. Il en rigole. Il sort de la mai*** le plus naturellement du monde. Elle le suit du regard par la fenêtre. Quelques instants plus tard sa voisine fait *** apparition. Heureusement qu'il n'est pas sorti de chez elle plus tard, il aurait été surpris par cette concierge. Maryse se dépêche de remonter dans sa chambre pour remettre de l'ordre. Le drap est tout froissé et taché, elle doit le changer. Elle ouvre en grand la fenêtre pour aérer la pièce qui dégage une forte odeur de sexe. Il faut qu'elle cache *** gode qu'elle décide finalement de garder tant il lui a apporté de plaisir. Après la chambre, elle doit prendre une douche. Elle s'abandonne au plaisir de sentir l'eau couler sur sa peau et ne voit pas le temps passer. Elle s'affole en voyant l'heure tardive. Elle s'habille en vitesse et descend à la cuisine pour préparer le dîner. Elle fera simple, elle n'a pas le temps de faire autrement. *** mari rentre un quart d'heure plus tard alors qu'elle s'affaire à préparer le dîner. Il dépose sa sacoche dans l'entrée et commence à lui raconter sa journée interminable. Il s'assoit à la table et tout en lui donnant les détails de sa dernière réunion, il lui fait remarquer qu'il y a de la sauce par terre. Maryse reçoit comme une décharge électrique. Elle se retourne en essayant de cacher *** affolement. Elle se précipite pour effacer les traces qui pourraient trahir la fellation qu'elle a offerte à M. Francis un peu plus tôt dans la journée. *** mari lui demande si tout va bien car elle semble perturbée. — Ce n'est rien. Le travail. J'ai pas mal de dossiers à traiter, je pense que demain je vais devoir rester plus tard. Je n'aime pas ça... mais bon, là il faut vraiment que je termine au plus vite. Tu comprends ? — Mais oui je comprends. Je serais mal placé de te dire le contraire. *** men***ge lui est venu tout naturellement et cela la culpabilise. Elle n'ose pas le regarder et continue de préparer le dîner. Il reprend le récit de sa journée sans lui poser plus de questions, ce qui la rassure. Elle essaie de se concentrer sur l'histoire de *** mari mais a vraiment beaucoup de mal. Il ne semble rien remarquer. Elle se demande si elle a bien effacé toutes les traces de sa folle après-midi. Une fois de plus, elle s'est laissée prendre en photo par ce pervers et cette fois elle ne pourra pas lui subtiliser comme la dernière fois. Il la tient et à sa plus grande honte, cela lui plaît. Elle monte se coucher plus tôt que d'habitude. Sa journée l'a exténuée. *** mari ne tarde pas à la rejoindre. Elle est mortifiée à l'idée qu'il se rende compte de quoi que ce soit. Elle se dit qu'il va forcément remarquer quelque chose. La scène est encore tellement présente dans *** esprit. Le contraste entre les événements de l'après-midi et la soirée est saisissant. Elle était une autre femme, assoiffée de sexe et de sensations fortes. *** mari l'embrasse doucement avant de se tourner pour s'endormir presque immédiatement, la laissant seule face au souvenir de la sauvagerie sexuelle de *** après-midi.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Aujourd'hui, le tailleur strict de Maryse l'excite encore plus que d'habitude. Elle voit une lueur dans les yeux de M. Francis qui lui fait un peu peur, même si *** corps réagit tout autrement. Elle sent ses tétons pointer à travers le tissu de *** soutien-gorge et de *** chemisier. *** entrejambe s'humidifie. Elle sait ce qu'elle doit faire quand elle le voit prendre *** appareil photo. Elle commence langoureusement à retirer sa veste, tournant sur elle-même, gonflant sa poitrine. Elle ouvre doucement *** chemisier sous les flashes impatients de l'appareil de M. Francis. Elle est dans un état second, peu à peu elle laisse sa vraie nature l'envahir. Elle retire *** chemisier, laissant apparaître la dentelle noire et bleue nuit de *** soutien-gorge. Elle se cambre pour offrir à *** photographe des poses plus excitantes les unes que les autres. Elle descend la fermeture de sa jupe en regardant l'objectif. Elle ne peut s'empêcher de penser un instant à *** mari. Elle est prise de remords mais l'excitation est trop forte. M. Francis réussit à prendre ces instants de doutes qui rendent la situation encore plus forte. La jupe glisse le long des jambes gainées de soie de Maryse. Le porte-jarretelles tire sur le haut des bas de soie fumée. Elle défait *** soutien-gorge en tentant de cacher sa poitrine dénudée grâce à ses bras. Les poses ***t très érotiques. D'un regard de M. Francis, elle sait qu'il faut qu'elle montre ses seins généreux. Elle retire doucement ses bras. Ses mains glissent le long de *** corps et tirent sur le string qui peine à cacher *** intimité. Elle le descend en tournant le dos à l'appareil et en gardant les jambes bien droites. Elle perçoit un grognement, témoignage de l'excitation de M. Francis. Elle en tire une étrange satisfaction. Elle se retourne et ne manque pas de remarquer la bosse qui déforme *** pantalon. Il lui intime l'ordre de se caresser, ce qu'elle fait avec empressement. Elle était déjà trempée à l'idée de le retrouver, *** striptease n'a fait que l'exciter davantage. Elle se place dans le canapé, les jambes largement ouvertes. Elle montre toute *** intimité baveuse à *** voyeur qui n'en perd rien. *** cœur bat à une vitesse incroyable, elle tremble alors qu'elle transpire à cause de la chaleur. Elle frotte *** clitoris qui darde fièrement. Elle gémit et grogne, alors qu'une vague de plaisir la submerge. Elle s'arrête soudain, vidée de toute énergie, les doigts trempés. Elle a les yeux fermés mais elle peut entendre que M. Francis continue de la prendre en photo avec avidité pour immortaliser ce moment toujours unique de l'orgasme. — Cette semaine, j'ai créé un site internet. Cette annonce, si simple au premier abord, fait l'effet d'une explosion de peur pour Maryse. Elle se doute déjà de la teneur de *** site. Elle ne peut pas le laisser faire. Elle ne peut pas le laisser l'offrir ainsi à tous ces voyeurs. Tous auront accès à ses photos les plus intimes, les plus perverses. Elle ne sait quoi dire, elle est tétanisée. Elle voit M. Francis lui sourire. Il savoure les émotions qu'il entraîne chez Maryse. Elle le sait, il se sert d'elle. Pourtant elle est toujours revenue vers lui, presque malgré elle. Elle trouve le courage de s'exprimer faiblement. — Vous ne pouvez pas me faire ça... j'ai une réputation... Il rit fortement. — Une réputation ? Ouais, je vois ça, tous les mercredis ! Elle rougit, ne sait plus quoi faire. Il a rai***, elle est revenue d'elle-même. — Je... S'il vous plait... Non... Il la regarde en souriant dédaigneusement. Il savoure sa peur. — Bah ! Je ne compte pas montrer ton visage même si je pourrais ! Je suis sûr que de savoir que des milliers de gars vont se branler sur tes photos te fait de l'effet. J'ai créé un forum pour qu'ils puissent faire des commentaires ou même faire des commandes. Je vais me faire un peu de pognon avec ton cul ! Y'aura un partie payante où je mettrai les photos hards qu'on va faire ensemble. Elle l'écoute sans respirer. Elle ne sait pas comment prendre cette nouvelle perversion de sa part. Pourtant, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'il a rai***. Savoir qu'ils seront des milliers à la regarder, à avoir envie d'elle et même à se masturber sur elle, l'excite énormément. Elle savait depuis quelques semaines qu'elle avait des pulsions d'exhibitionnisme mais pas à ce point-là. Cet homme la conduit sur les chemins d'un monde de perversités qu'elle n'aurait jamais pensé exister. Elle, la mère de famille si rangée, s'est perdue dans ce monde dès qu'elle est entrée la première fois dans cette déchetterie. Il lui montre alors le fruit de *** travail. *** ordinateur affiche une première page de mise en garde indiquant que le site est réservé aux plus de dix-huit ans. La seconde page affiche un menu simple avec une première photo du corps d'une femme dévoilant ses jambes mises en valeur par des bas maintenus par un porte-jarretelles. Elle a un choc en se rendant compte que cette femme, c'est elle. On ne voit pas *** visage fort heureusement. Il passe dans une galerie affichant les photos prise la semaine passée. Elle est *********** par l'écran. Elle se revoit poser pour lui, le résultat est affiché devant elle, devant des milliers de per***nes. Elle respire difficilement, *** estomac est noué. Mais, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu'elle se caresse machinalement. Il accède à la partie payante grâce à un code et là, elle est presque choquée par les photos qu'il lui montre. Est-il possible qu'elle ait fait tout cela ? Elle se voit prise en levrette par M. Francis, leurs visages ***t floutés mais elle n'a aucun doute. Elle voit des gros plans de *** petit trou rempli par le sexe de *** amant. Elle voit des gros plans de *** petit trou dilaté, ouvert et rougi par une sodomie sauvage. Elle est subjuguée par toutes ces photos, elle ne peut pas cacher *** excitation, d'ailleurs M. Francis non plus. Il a sorti *** sexe et le masturbe lentement à mesure que les photos défilent. La série se finit par une éjaculation copieuse sur sa poitrine offerte. — Je savais que ça te plairait. Tu joues les saintes mais tu n'es qu'une salope. Maryse ne réagit pas à ces mots crus. Elle est encore sous le choc de ce qu'elle vient de voir. Elle entend M. Francis prendre de nouvelles photos. Il approche d'elle et lui présente *** sexe devant la bouche. La pensée de se refuser lui traverse l'esprit mais elle ouvre la bouche sous la pression de ce sexe. Elle accepte peu à peu toute la longueur. M. Francis fait quelques va-et-vient dans sa bouche avant qu'elle commence à réagir. Sa langue joue autour de la tige. Ses mains remontent le long des jambes de M. Francis. L'une d'elle agrippe les bourses alors que l'autre enserre le pieu à sa base. Il grogne en voyant Maryse devenir vorace sur *** sexe. Elle s'active à le sucer telle une affamée. Il réussit à prendre quelques clichés malgré l'excitation. L'un de ses mains empoigne les cheveux pour l'obliger à le prendre plus profondément. Les bruits de succions et les gémissements décuplent leur plaisir. Tout à coup, M. Francis oblige Maryse à se retirer en lui tirant les cheveux. Elle le regarde alors qu'il pousse un grognement bestial tout en prenant des photos en rafale. Un jet de sperme s'écrase avec lourdeur sur le front et les cheveux de Maryse. Un second la macule du nez jusqu'au menton. Le troisième moins puissant s'étale sur la bouche entrouverte de Maryse qui laisse le liquide visqueux couler le long de *** menton et de *** cou pour arriver doucement sur *** sein droit. Le reste de la semence de M. Francis coule le long de la main de Maryse. Elle libère le sexe, ses yeux ***t embués par l'excitation. Il lui demande de lécher le sperme sur ses mains ; il prend des photos alors qu'elle lèche devant l'objectif le fruit de sa jouissance. — Ces photos vont faire un tabac ! Allez, rhabille-toi, tu peux rentrer chez toi, j'ai du boulot. Elle reprend ses affaires et se rhabille sans rien dire. Il a toujours une façon dédaigneuse et humiliante de la congédier. Pourtant, elle revient chaque mercredi. À *** travail, Maryse affiche une nouvelle assurance. *** chef, M. Ribière, ne la voit plus du tout de la même manière. Il lui a confié quelques dossiers importants qui l'ont fait remarquée par sa direction alors que *** chef semble très perturbé. M. Ribière est obnubilé par Maryse, il ne pense plus qu'à elle. Cela se ressent dans *** travail qui devient négligé. Dès qu'il le peut, il se retrouve dans le bureau de Maryse pour apercevoir *** décolleté, admirer ses jambes... Maryse n'est pas dupe, mais elle en rajoute en accentuant ses poses ou en écartant légèrement ses jambes pour faire remonter un peu sa jupe. Elle adore le rendre fou, mais elle reste toujours distante. Elle joue avec cet homme qui, il n'y a pas si longtemps, avait une attitude odieuse avec elle. Un jour, le directeur convoque Maryse dans *** bureau. Elle se demande ce qui se passe. Elle craint d'être allée trop loin, quel scandale ce serait si elle était renvoyée à cause de *** attitude. Que dirait-elle à *** mari ? Elle entre dans le bureau du directeur. *** cœur bat la chamade. M. Ribière est là debout à la regarder s'introduire dans le bureau. Elle voit dans *** regard l'envie et la frustration. Quand elle croise le regard de *** directeur, elle est rassurée. Il lui sourit et lui demande de s'asseoir. Elle s'installe en croisant les jambes. M. Ribière a du mal à en détacher *** regard. M. Turvan, *** directeur, la félicite pour *** travail : — M. Ribière ne tarit pas d'éloges à votre égard. Il m'a fait part des dossiers que vous aviez traités à la perfection et je vous en remercie. Elle jette un œil sur M. Ribière qui rougit un peu. Elle se dit qu'il a peut-être fait ça pour qu'elle lui soit redevable. Malheureusement pour lui, elle ne lui accordera rien, mis à part un sourire et un petit signe de remerciement de la tête. Elle sourit à M. Turvan qui continue : — Parmi ces dossiers, il y en a un d'une grande importance, le M34, vous voyez certainement celui dont je parle. J'aimerais que vous encadriez la mise en place des actions que vous avez préconisées dans notre filiale parisienne. C'est une grande opportunité d'évolution dans votre poste que je vous offre. Le déplacement à Paris ne devrait pas durer plus de quelques jours, mais je pense que vous devrez y aller régulièrement pendant un temps. Qu'en dites-vous ? Maryse est surprise. Elle s'attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace. — Quelle sera ma position hiérarchique sur ces dossiers ? Est-ce que M. Ribière m'accompagnera ? M. Turvan répond sans hésitation : — Vous êtes maintenant responsable au même titre que M. Ribière. Vous me ferez des rapports réguliers et j'attends de vous et de M. Ribière un travail d'équipe. Si vous avez besoin de conseils dans votre nouveau poste, je pense que M. Ribière se fera un plaisir de vous conseiller. Mais je suis sûr que vous avez la finesse et le doigté pour mener à bien vos futures missions. Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s'attendait pas à ça. Il a failli protester mais s'est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes. Tout *** plan tombe à l'eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s'en veut mais n'y peut plus rien. Il perd un peu de *** assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Maryse est extrêmement fière et heureuse. Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu'elle s'organise pour les enfants avec *** mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans *** bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec *** mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale. Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d'excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu'il l'accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l'ordre de passer le chercher à la date convenue. Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants ***t très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. *** mari se fait même câlin et lui fait l'amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n'est pas tout à fait présente. Une partie d'elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu'il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu'elle a vécus dernièrement et à ceux qu'elle va vivre bientôt. La veille de *** déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l'hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres. Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la mai***, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l'allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu'à la déchetterie pour prendre M. Francis. Elle se gare devant *** logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d'entrer. Il l'attend dans *** canapé usé. *** matériel est prêt. Il ne se sépare plus de *** ordinateur et de *** appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d'un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire. *** attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s'est déroulée l'entrevue avec *** directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l'intention de lui faire subir. Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d'un panneau annonçant une aire d'autoroute, M. Francis lui dit de s'arrêter pour qu'il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu'il veut qu'elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d'elle. Il y a quelques véhicules, mais per***ne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d'adrénaline la traverser alors qu'elle se décide à lui obéir. Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu'il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c'est chaque fois plus fort qu'elle. La décharge d'émotions contradictoires l'empêche de garder le contrôle. Elle a peur d'être surprise par un inconnu et pourtant la situation l'excite énormément. — Sors ma bite et tiens-la pendant que je pisse ! Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir *** pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu'il se libère. Elle est surprise par la pression de l'urine, le jet éclabousse d'abord le bord de la cuvette avant qu'elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme *********** par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s'asseoir sur la cuvette, ce qu'elle fait avec empressement tant elle est excitée. Sans ménagement, il lui enfonce *** sexe dur dans la bouche. Elle n'a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur. Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu'il peut. Elle salive énormément autour de *** sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s'enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu'elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l'envahissent. Elle ne peut faire autrement que d'avaler le liquide gluant et chaud. Il se retire enfin sans qu'elle arrête de serrer *** sexe avec ses lèvres. Il sort alors *** appareil photo pour immortaliser l'instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l'intensité de la situation. Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d'un homme dont le sourire en coin montre qu'il a deviné ce qui s'est passé dans cette cabine. Comme si cela n'était pas suffisant elle l'entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation *************** mêlée de plaisir. Elle n'ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai. Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l'hôtel, ils se rendent à l'accueil. Une femme d'une trentaine d'année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l'accompagne jusqu'à sa chambre au second étage. Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de *** amant. Elle remet un peu d'ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s'est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion. Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que *** charme et sa nouvelle assurance y ***t pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s'enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l'équipe mais refuse gentiment en leur disant qu'ils ne ***t vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l'équipe ***t déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d'accepter alors que M. Francis l'attend. Elle se demande ce qu'il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu'il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n'est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites. Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l'attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu'une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau. Elle l'interroge du regard, mais visiblement il n'y a rien à dire de plus. Elle sait qu'il va lui faire vivre une séance d'exhibitionnisme. Elle sent *** sexe s'humidifier à cette idée alors qu'elle se rend compte qu'elle n'a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire. Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d'une musique lancinante qu'elle imagine. Elle se tourne pour qu'il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève *** chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent *** sexe s'humidifier de plus en plus alors qu'elle s'effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts. Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons ***t dressés par l'excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l'appareil photo. Elle n'a plus de complexes devant l'objectif. Elle sait qu'elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos. Certains d'entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l'a excitée. Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu'elle a rencontré M. Francis et plus c'est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l'envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils ***t vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et *** dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière. M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l'aider à enfiler *** corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu'à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu'apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l'une de ces pin-up des années 50. Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de *** intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu'elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l'idée des sensations qu'elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy. M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d'accueil sous le regard amusé de l'hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C'est lui qui conduit. Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s'arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer *** manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d'excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s'approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas. C'est une chose de se montrer devant une caméra, mais c'est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent *** ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. *** sexe s'humidifie alors qu'elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s'approche plus près, lui aussi sort *** sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu'elle puisse les entendre. La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent *** corps, s'attardant sur ses seins et *** sexe trempé. Elle les entend lui dire qu'elle est magnifique, que c'est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur *** corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se ***t joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum. Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur *** corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse. L'un d'eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers *** sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s'abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans *** vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges. Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s'écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l'explorent. D'autres mains viennent profiter de *** corps. L'un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu'elle le touche à l'intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse. Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de *** masseur. Après quelque temps, les vitres ***t maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu'au parking de l'hôtel où il se gare dans un coin sombre. En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de *** pantalon, elle se réjouit à l'idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s'accroupit devant lui pour lui sucer *** sexe tendu au maximum par l'excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu'elle a l'air d'une prostituée, cette idée l'excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de *** sexe en bouche, manquant parfois de s'étrangler. Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l'excitation. Il s'approche et présente *** sexe dur sur *** anus. Elle aime tellement qu'il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s'entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène. Elle a perdu toute retenue, mais elle n'a pas le temps de penser plus. Le sexe, d'une poussée, se retrouve au plus profond de *** ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s'écraser contre *** sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher presque *********** pour *** plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui plait même si une part d'elle aurait été révoltée il n'y a pas si longtemps. Elle sent *** pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la ***** des pénétrations. *** petit trou doit être distendu. Ses seins ***t écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec ***** en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit *********** avant de s'affaler sur le capot. Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l'intensité de la situation. Elle sent le sperme s'écouler de *** petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu'au hall d'accueil. Ils passent devant l'hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n'ose pas la regarder, la honte l'envahit en-même temps qu'un délicieux sentiment de satisfaction. Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n'en revient pas. Elle s'est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis. Quand elle sort de la douche, c'est pour le retrouver devant *** ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur *** site et il lui dit qu'il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s'empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l'ordinateur, habillée d'une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l'excitent ***t les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu'elle en ait honte. Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s'attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu'elle éprouve, mais elle n'en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Un soir, elle décide de prendre les choses en main pour pimenter sa vie de couple. Elle envoie ses enfants chez ses parents pour le week-end. Elle s'apprête pour exciter *** mari en s'habillant d'une courte jupe volante, d'un haut moulant, en omettant de mettre des sous-vêtements. C'est dans cette tenue qu'elle reçoit *** mari qui rentre des courses. Il lui raconte ses aventures au marché d'un débit inlassable. Il a rencontré un tel qui est malade, et la commerçante... Blablabla... Il l'exaspère ! Il ne la voit pas. Pourtant, il la regarde mais comme d'habitude, sans lueur d'excitation, pas d'envie particulière, rien, le néant. Puisqu'il ne veut pas prendre l'initiative, elle se décide à faire le premier pas. Elle prend d'abord des poses langoureuses pour ranger ce que lui tend *** mari. Elle se penche en avant tout en gardant ses jambes bien droites pour placer les tomates dans le bac du réfrigérateur. Dans cette position, un voyeur pourrait apercevoir le bas de ses fesses et ne manquerait pas d'essayer d'en voir plus. *** mari ne réagit toujours pas. Il lui tend les courgettes tout en discutant. Elle se surprend à trouver excitante la forme phallique de ces légumes. Elle en caresse une langoureusement avant de se reprendre. *** mari ne voit rien, elle abandonne pour le moment. Elle ne réussit pas à apprécier leur délicieux repas tant elle rumine l'impossible réactivité de *** mari. Comme à *** habitude, *** mari décide de faire une petite sieste, elle profite de ce moment pour essayer de nouveau à l'exciter. Il s'allonge sur le lit, les bras croisés, perdu dans ses pensées. Elle apparaît dans l'embrasure de la porte. Elle se cambre, le visage relevé, les yeux entre-ouverts. Elle se mord la lèvre inférieure dans une moue érotique. Elle commence à se caresser les hanches. Ses mains descendent le long de *** corps et remontent doucement en relevant le tissu de la jupe. Il devient évident qu'elle ne porte aucune culotte. Elle relâche sa jupe et ses mains glissent sur sa poitrine généreuse et souple. Ses tétons tendent le tissu de *** haut moulant. Elle ne sait plus si elle se caresse pour réveiller la libido de *** mari ou pour *** propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève *** haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et ***t terriblement sensibles. Elle les pince, elle tire dessus en se mordant la lèvre pour ne pas laisser échapper ses gémissements. Elle redescend sa main droite vers *** intimité, elle n'est pas surprise de sentir l'humidité de *** sexe. Elle caresse *** clitoris en alternant les effleurements et les caresses plus appuyées. De *** autre main, elle continue à serrer *** sein, à le pétrir, à le presser. Elle sent *** plaisir monter rapidement, sa main quitte précipitamment *** sein pour venir pénétrer d'un puis de deux doigts *** sexe trempé. Elle sent *** point G, elle presse ses deux doigts dessus tout en continuant d'exciter *** clitoris en érection. La jouissance la traverse avec violence. Elle ne crie pas, ses lèvres ***t scellées dans un rictus de plaisir, *** corps est raidi au maximum. Elle relâche doucement ses muscles tout en se tenant au chambranle de la porte. Elle réalise avec tristesse que *** mari s'est endormi sans même la voir. La déception est immense pour Maryse qui souhaitait essayer de partager de nouvelles expériences. Elle est maintenant persuadée qu'elle ne pourra jamais vivre ces moments d'excitation intense avec *** mari. Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec lui pour ne plus avoir à le tromper, à lui mentir mais il ne possède pas la bestialité et la perversité de M. Francis. Cette révélation lui fait peur. Il faudrait qu'elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement dans la perversité et la luxure. Elle est déjà allée tellement loin dans ses expériences qu'elle pourrait y mettre un terme. L'éventualité est rapidement repoussée. Presque avec horreur, elle réalise qu'elle est accro à ces sensations... au sexe. Le reste du week-end se passe lentement, elle ne pense qu'à une chose : rejoindre *** amant. Elle apprend le lundi qu'elle doit de nouveau partir en déplacement à partir de mercredi. Elle se réjouit à cette idée. Une fois dans *** bureau, elle envoie un mail à M. Francis pour le prévenir. Quelque temps après, il lui répond qu'il pourra se libérer mais qu'elle devra suivre les instructions suivantes : — Tu passeras me chercher à la déchetterie mercredi après-midi. Tu viendras en tenue très sexy, quelque chose de très court et des talons aiguilles. Attends-toi à ce que je te défonce ton petit cul de salope ! Donc pas de culotte. Le langage très cru de M. Francis devrait la choquer mais bien au contraire. Elle ressent une décharge d'adrénaline et une bouffée de chaleur au moment où elle le lit. Elle sent *** sexe s'humidifier sous l'excitation que provoquent ces quelques mots. La journée se passe sans autre message de la part de M. Francis. Le soir, elle annonce *** nouveau déplacement. *** mari n'y réagit pas. Elle voudrait le secouer, le frapper pour qu'il la voit mais elle se dit que ce serait peine perdue. Alors elle se renferme, elle met *** masque de gentille femme mariée et joue le rôle qu'on lui attribue. Le mercredi, elle prend soin de choisir deux tenues. L'une pour aller travailler, juste féminine avec les fameux talons aiguilles demandés par M. Francis et l'autre très provocante. Elle choisit la mini-robe blanche qu'elle a achetée quelques mois auparavant. Elle la moule parfaitement. Elle est totalement indécente dans cette tenue mais elle sait qu'elle fera plaisir à *** mentor. Elle se maquille puis s'habille avant de quitter la mai***. La matinée passe rapidement, elle prépare jusqu'au moindre détail *** déplacement professionnel pour avoir l'esprit totalement libre pour M. Francis. Elle s'amuse des regards appuyés de ses collègues. C'est avec empressement qu'elle remonte dans sa voiture, fière de *** travail. Il lui faut maintenant trouver un endroit pour se changer. Elle ne pouvait décemment pas venir au travail dans sa mini-robe moulante. Elle choisit un petit bois non loin de la déchetterie pour s'arrêter. Elle prend quelques instants pour vérifier que l'endroit est bien désert, puis elle sort sa petite robe de *** sac. Un rapide coup d'œil supplémentaire pour la rassurer et elle commence à retirer *** chemisier et sa jupe longue. Elle hésite un bref instant, puis se décide à enlever *** soutien-gorge et *** string qui seraient de trop avec sa robe. Elle s'agite dans l'espace confiné de sa voiture pour se changer quand tout à coup elle aperçoit un mouvement sur sa gauche. Elle se fige de peur d'être découverte. *** cœur s'accélère, elle reçoit une décharge d'adrénaline lorsqu'elle voit un homme caché dans les feuillages d'un buis*** en train de l'observer. Il ne bouge pas, il semble aussi effrayé qu'elle d'être découvert. Maryse prend alors conscience que sa honte et sa peur cèdent peu à peu pour laisser place à une excitation irrésistible. Elle rougit fortement, elle a du mal à respirer mais elle recommence doucement à se changer. Elle ralentit ses gestes qui manquent de précision tant elle tremble pour faire durer ce moment. Elle observe du coin de l'œil *** voyeur qui bouge doucement. Il essaie d'en voir plus et en même temps, elle remarque que sa main gauche s'active précipitamment sur un sexe tendu comme un arc. Elle se remémore l'épisode dans Paris où tous ces voyeurs se ***t masturbés devant elle. Mais elle n'ose pas aller plus loin dans cette expérience, elle était alors accompagnée de M. Francis. Pourtant elle continue doucement à s'habiller. Elle en profite pour caresser ses seins, et les soupeser comme pour mieux les présenter à *** voyeur anonyme. Elle en tire une profonde satisfaction et un plaisir immense. Elle peut le voir se crisper avant d'éjaculer copieusement sur le buis*** et dans sa main. Elle met fin à sa petite exhibition en redémarrant rapidement le moteur. Elle est dans un état second après cette nouvelle expérience. Elle s'abandonne de plus en plus à cette nouvelle per***nalité avide de plaisir et de sexe. Elle arrive peu de temps après aux portes de la déchetterie. Une partie de *** être a peur de ce qui l'attend. Elle sait maintenant que plus elle est excitée plus elle s'abandonne facilement aux perversions sans limites de M. Francis. L'espace d'une seconde, elle hésite à faire demi-tour, à tout abandonner, mais c'est trop tard. Les grilles s'ouvrent et elle s'engouffre presque malgré elle dans ce lieu qui représente sa débauche. De nouveau *** cœur s'emballe. Ses gestes ***t mécaniques, elle ne pense plus qu'aux futurs désirs de *** amant. Elle les appréhende tout en les attendant impatiemment. Elle sort de la voiture, sa robe protégeant à peine *** intimité. Les talons aiguilles la cambrent bien et accentuent le balancement de ses hanches alors qu'elle se dirige vers la porte du logement de M. Francis. Elle tremble presque de retrouver *** amant. *** sexe est humide, elle le sent presque couler sur le haut de ses cuisses. Elle a honte de se comporter comme une catin mais elle ne peut se résoudre à faire demi-tour. Elle frappe à la porte, et c'est la voix empreinte d'autorité de M. Francis qui l'accueille. Elle ouvre la porte qui représente pour elle la frontière entre le monde normal et le monde de luxure auquel une partie de *** être de plus en plus importante aspire. Il l'attend assis dans un vieux fauteuil, *** appareil photo en main prêt à immortaliser ces instants de débauche. Il commence à la prendre en photo alors qu'elle avance dans la pièce. L'ordinateur est allumé, elle se voit évoluer dans la pièce habillée de cette micro robe. Elle se reconnaît à peine. Elle a le regard vague, puis tout à coup elle comprend ce qui se passe. Il la filme, le visage découvert. Elle prend peur. Elle se couvre le visage. D'une petite voix, elle exprime *** refus de se laisser ainsi filmer. Il était tellement facile de se laisser prendre en photo nue dans des positions indécentes sans que *** visage n'apparaisse. *** visage, c'est *** identité de femme mariée, mère de deux enfants, travaillant, respectable. Dévoiler *** visage c'est dévoiler *** intimité la plus profonde. Elle qui s'imaginait qu'il serait plus difficile de montrer un sein, sa vulve gonflée d'humidité ou même *** petit trou dilaté par les assauts de M. Francis. Non, le plus difficile c'est *** visage. M. Francis la sort de sa léthargie en lui intimant l'ordre de se découvrir, qu'elle ne risque rien. Il lui demande qui, dans *** entourage, regarde ce genre de site noyé dans la masse informe d'internet. Les mots ***t pour une fois relativement doux, il gagne peu à peu sa confiance. Il lui dit que *** plaisir en sera décuplé puisque sans limite, assumé. Peu à peu ses mains glissent le long de *** visage. Elles descendent sur *** cou, sur sa poitrine. Elle s'abandonne une fois de plus aux désirs de *** amant. Elle est surprise de sentir ses tétons durcis. Elle caresse ses seins devant la caméra, plus ouvertement. Elle aperçoit des commentaires sur le côté de *** image. Ils l'encouragent tous à en montrer plus. Certains déguisent leur demande de courtoisie, les autres ***t plus directs. Elle se donne en spectacle. Elle presse ses seins entre ses mains, elle joue avec. Elle se tourne pour leur montrer ses fesses rebondies. Elle se penche en avant pour qu'ils aient un bref aperçu de sa nudité. Elle sort sa grosse poitrine un peu molle de sa robe. Elle la fait bouger, cela les rend fous et elle aussi. M. Francis continue à prendre des photos pour immortaliser ces moments de pur abandon à la débauche. Elle fait glisser sa robe le long de ses cuisses galbées. Les internautes voyeurs ***t comblés par sa beauté et sa générosité. Elle se penche en avant pour leur montrer de nouveau ses trésors, ses deux orifices dont l'un coule littéralement d'excitation. Elle passe ses doigts entre ses lèvres boursouflées pour sentir la moiteur de *** sexe. Elle est au bord de la jouissance. Elle a besoin d'être pénétrée, d'être prise comme une salope qu'elle devient.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Ses dernières pensées attisent sa honte mais l'excitent encore plus. Elle s'agenouille par terre, se penche en avant et commence à investir sa vulve dégoulinante avec deux de ses doigts. Elle se pénètre facilement, fait quelques va-et-vient avant d'en ajouter un troisième. Elle gémit devant les internautes qui n'en reviennent pas de la chance qu'ils ont. Dans *** délire, elle essaie d'enfoncer un quatrième doigt mais ne réussit pas vraiment. La tête écrasée sur le vieux tapis, elle active maintenant les doigts de sa main gauche sur *** clitoris si sensible. Elle le titille, elle le pince en criant presque de plaisir et de douleur mêlés. Elle jouit *********** devant la caméra, le cul et la chatte offerts indécemment à ces spectateurs. Elle laisse passer les vagues de plaisir avec bonheur. Elle peine à retrouver ses esprits. Elle perçoit plus qu'elle ne voit M. Francis qui s'affaire à éteindre *** ordinateur. Elle est toujours dans la même position, elle pense être trop faible pour bouger. Elle entend alors M. Francis retirer *** pantalon et sans tarder, il présente *** sexe gonflé d'excitation devant *** vagin poisseux. Il la pénètre d'un mouvement brusque jusqu'à ce qu'il soit au plus profond. Elle gémit de plaisir en le sentant la posséder. Il la prend avec ***** tellement il est excité. Pourtant il quitte *** sexe pour s'enfoncer lentement dans ses entrailles. Elle gémit plus fort encore en sentant ce sexe la sodomiser longuement avec *****. Puis sans prévenir, il accélère le rythme. Les pénétrations ***t profondes et puissantes. Il tient sa promesse et la défonce littéralement. Elle halète, crie sous les coups puissants de M. Francis. Il crie à *** tour alors qu'il éjacule au plus profond des entrailles de Maryse. Il se retire et tombe presque à la renverse dans *** fauteuil, le sexe gluant de leurs sécrétions. Elle s'écroule sur le tapis, le sperme encore chaud sort lentement de *** petit trou dilaté et coule sur sa cuisse avant de créer une petite flaque que le tapis peine à absorber. Ils restent tous les deux ainsi abasourdis. Maintenant que l'excitation redescend, les pensées de Maryse se bousculent. Elle s'est, une fois de plus, laissé manipuler par M. Francis. Peu à peu il la soumet au moindre de ses désirs lubriques. Cette dernière expérience à visage découvert pourrait signifier sa perte si quelqu'un de *** entourage voyait la vidéo. Pourtant, ce qui la choque le plus, c'est qu'elle serait prête à recommencer s'il le lui demandait. Elle ne peut rien lui refuser. Après un moment, il lui dit d'aller faire une toilette avant qu'il reparte. Il lui dit qu'ils devront faire un crochet pour aller dans un magasin. Étant assez tard, elle se demande de quel magasin il peut s'agir. Tout à coup, elle croit deviner leur destination et redoute d'être dans le vrai. Elle ne montre pas *** appréhension pour éviter de le décevoir. Elle remet docilement sa petite robe moulante sans ses sous-vêtements. Ses talons aiguilles claquent sur le sol quand elle se dirige en compagnie de M. Francis vers sa voiture. Il lui indique la route à prendre, alors que sa main caresse ses cuisses et sa vulve humide. Elle peine à garder sa concentration sur la route. Ils s'arrêtent dans un quartier glauque de la ville. Ses talons aiguilles ré***nent à chacun de ses pas. Plus ils avancent dans cette rue secondaire, plus ses craintes se précisent. Elle a une boule au ventre pourtant elle continue d'avancer. Ils s'arrêtent devant une vitrine fermée illuminée d'un néon rose qui laisse peu de doute sur l'endroit. M. Francis ouvre la porte et laisse entrer Maryse qui aurait préféré le suivre plutôt que le précéder. Elle se trouve dans une petite pièce à l'éclairage tamisé où ***t présentés dans une vitrine toutes sortes d'objets en latex ou en métal chromé. De l'autre côté ***t suspendus des vêtements de toutes sortes. Quand elle les détaille un peu plus, elle se rend compte qu'il s'agit exclusivement de vêtements en cuir qui révèlent plus qu'ils ne cachent. Un homme l'observe depuis *** comptoir où ***t affichés de nombreuses photos toutes plus explicites les unes que les autres. Le vendeur est légèrement dégarni, il a un regard étrangement neutre. Elle se dit que contrairement à elle, il est saturé de tous ces objets sexuels. Pour elle, ce n'est que la deuxième fois qu'elle visite un tel lieu. Elle se demande ce que M. Francis a en tête. Il se dirige vers le comptoir, la laissant à l'entrée. Elle n'ose pas bouger, elle se contente d'observer tous ces objets aux formes arrondies ou en pointes. Elle cède à la curiosité et s'approche de la vitrine pour lire les étiquettes. Il y a ici des nipple rings, là des cock rings, des ball stretchers, des pinces de toutes tailles... Malgré elle, elle sent l'excitation monter. Elle, la mère de famille, est excitée de se retrouver dans ce lieu interdit. Une fois encore elle est surprise de ne pas s'enfuir. La peur de ce que lui réserve M. Francis s'ajoute à la sensation d'abandon au vice. Elle est sortie de ses pensées par M. Francis qui lui demande de le suivre dans l'autre salle. Elle n'avait pas remarqué qu'il y avait d'autres pièces. Le vendeur ne manque pas d'observer le corps de Maryse avec un petit sourire appréciateur. Elle se sent comme l'un de ces objets sexuels, relégué à la seule fonction d'assouvir les fantasmes les plus pervers. Dans l'autre pièce, trônent des godes de toutes tailles. Certains moulés sur le sexe d'acteurs pornos, d'autres aux formes biscornues de toutes les couleurs. Elle est honteuse mais ne peut refreiner *** envie de les sentir au plus profond de ses orifices bien trempés. Il y a bien plus de vêtements dans cette pièce, soit en latex, en vinyle ou bien encore en cuir. Un vendeur les attend et indique un siège à M. Francis. Il s'assoit alors qu'elle reste debout. Cette attitude l'aurait choquée avant de le rencontrer, là c'est naturel. Le vendeur observe Maryse, s'approche d'elle pour prendre quelques mesures sans lui parler. Il sort un mètre ruban et mesure sa poitrine, sa taille et ses hanches. Elle sent les doigts de cet homme de la quarantaine effleurer *** corps qui ne manque pas de réagir. Ses tétons tendent le tissu moulant de la robe. Sa poitrine s'est gonflée d'excitation. Elle respire difficilement, et se sent rougir. Elle a un hoquet de surprise quand le vendeur soupèse sa poitrine pour en tester la fermeté. Elle jette un œil apeuré à M. Francis qui suit toute la scène avec un plaisir non dissimulé. Le vendeur se dirige vers la collection de cuir et en sélectionne quelques articles. Le premier qu'il présente à M. Francis est une sorte de harnais muni de chaînes et d'anneaux métalliques. *** amant acquiesce et le vendeur demande à Maryse de retirer sa robe. Naïvement, elle se dirige vers la cabine d'essayage mais M. Francis lui fait comprendre d'un signe de la tête qu'elle doit se changer ici devant eux. Elle panique, le magasin est désert mais si un nouveau client entrait, il ne manquerait rien du spectacle. La femme mariée s'y refuse, mais c'est sans compter cette femme perverse avide de sensations lubriques. Doucement elle retire sa robe, révélant au vendeur sa voluptueuse nudité. Le vendeur n'en perd rien. Elle a le regard baissé mais peut apercevoir une large bosse déformer *** pantalon. Elle ne prend pas la peine de cacher sa grosse poitrine mais elle garde ses mains croisées devant *** sexe qu'elle sent moite. Le vendeur lui présente le harnais. Il l'aide à l'enfiler. Un string en cuir ouvert est attaché par un complexe réseau de ceintures que le vendeur resserre autour de sa taille lui coupant presque le souffle. Le string s'insère entre ses deux lobes généreux. Ses seins ***t écrasés par des ceintures qui s'entrecroisent au niveau de ses mamelons en érection. Un anneau métallique les laisse bien en vue. Elle peut voir le résultat dans plusieurs miroirs éparpillés dans la pièce. Elle est transformée, elle se reconnaît à peine dans cette tenue aux forts accents SM. Pourtant elle ressent un immense plaisir à se montrer ainsi à M. Francis. Le vendeur semble très excité par la situation mais il continue de suivre les directives de M. Francis et lui présente un autre accoutrement. Il s'agit cette fois-ci d'une robe en cuir noir à lacets sur toute sa longueur. Elle retire non sans difficulté le harnais pour essayer la robe. Elle doit avouer qu'elle est magnifique même si jamais elle n'aurait imaginé en porter une. Elle enfile la robe qu'elle remonte le long de *** corps. Les balconnets peinent à maintenir sa poitrine en place qui déborde légèrement ajoutant une certaine indécence à la tenue. Le vendeur commence alors à serrer les lacets de la taille. Une nouvelle fois, elle a le souffle coupé. Il lui fait perdre plusieurs centimètres de taille. Il lace ensuite le bas de la robe, empri***nant ses fesses charnues dans le cuir. Les lacets s'inscrivent dans sa chair. L'effet est terriblement érotique. La robe révèle *** corps. Les lacets ne cachent rien du sillon accueillant de ses fesses. Ses hanches et sa poitrine ***t mises en valeur par sa taille resserrée. Pourtant, jamais elle ne pourra sortir habillée ainsi. M. Francis approuve une nouvelle fois. Il se lève pour mieux observer Maryse qui en éprouve une certaine fierté mêlée de honte d'être ainsi traitée. Il demande alors au vendeur de lui montrer ce qu'il a comme bottes à talons aiguilles. Le choix n'est pas large mais M. Francis jette *** dévolu sur des bottes à lacets sur l'arrière et à talons aiguilles. Il les présente à Maryse pour qu'elle les essaie. Elle s'assoit mais ne peut les mettre toute seule à cause du corset de la robe. Le vendeur s'agenouille devant elle pour les enfiler avec ***** tout en jetant des regards furtifs entre ses cuisses pour essayer d'apercevoir *** sexe baveux. Elle ne peut faire autrement que d'écarter les cuisses et lui offrir ainsi ses lèvres ouvertes et gonflées d'excitation. M. Francis ne reste pas insensible à la situation, *** pantalon est lui aussi déformé par une généreuse érection. Il ne quitte pas des yeux la poitrine de Maryse qui ondule outrageusement au rythme des poussées du vendeur sur les bottes. Les bottes arrivent sous les genoux de Maryse. Une fois les lacets serrés, elle se lève pour faire quelques pas. Les talons ***t dangereusement hauts mais elle a acquis une assurance certaine ces derniers temps. Ces bottes complètent parfaitement sa robe. Elle se fait l'effet de l'une de ces reines de la nuit et du plaisir. M. Francis semble satisfait et demande au vendeur le prix de ces deux articles. La somme paraît astronomique à Maryse mais il ne semble pas s'en soucier et les accepte. Elle commence à vouloir se dévêtir mais de nouveau, d'un simple geste de la tête, il lui fait comprendre qu'elle doit rester ainsi. Une bouffée de chaleur l'envahit, elle panique. Mais elle ne peut rien y faire, elle est obligée de se résoudre à sortir habillée dans cette tenue qui ne cache rien de *** corps. Elle se résout à le suivre dans la première pièce. Le vendeur malgré *** expérience de ce monde écarquille les yeux en la voyant. Il encaisse la carte de M. Francis en lui disant qu'ils peuvent revenir quand ils veulent et qu'il pourrait les présenter à certaines de ces connaissances s'ils le souhaitent. M. Francis lui répond « Pourquoi pas, une prochaine fois... ». Elle n'aurait jamais pensé qu'il serait plus difficile de sortir de ce sex-shop que d'y entrer. Elle est terriblement effrayée de se montrer dans ces vêtements suggestifs aux passants. La petite rue est déserte quand ils sortent, elle pousse un soupir de soulagement jusqu'à ce qu'elle entende un sifflement approbateur qui la fait sursauter. Elle n'ose pas se retourner pour en voir la source, elle a trop honte. Elle est consciente que l'on peut voir le sillon de ses fesses mis en valeur par les lacets de la robe. Ses bottes claquent sur le bitume du trottoir. M. Francis ne prend pas le chemin de la voiture, il emprunte d'autres ruelles où ils croisent d'autres passants aux réactions diverses. Certains ***t ébahis de la voir dans cette tenue, d'autres s'arrêtent franchement pour la regarder. Ils croisent une femme d'une soixantaine d'année qui s'offusque à la voyant jusqu'à la traiter de dépravée. Cette insulte fait écho aux pensées de Maryse. Elle a honte de *** attitude et pourtant elle en tire un immense plaisir. Elle se soumet aux moindres caprices de M. Francis car il sait comment lui révéler sa plus profonde nature de dépravée.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Ils entrent dans un petit square presque désert occupé par un sans-abri qui semble dormir, une bouteille de rouge à la main. Elle se demande ce que *** amant lui réserve. Il lui dit de s'asseoir sur un banc alors qu'il sort *** appareil photo. Elle se mordille la lèvre inférieure. Lentement la crainte fait place à l'excitation sans totalement s'effacer. Elle vérifie rapidement que le sans-abri est bien endormi et peu à peu elle se laisse aller devant l'objectif inquisiteur de l'appareil photo. Elle prend des poses lascives, prenant soin de montrer sa cambrure accentuée par les talons et le corset serré. Elle se penche en avant sur le banc pour lui montrer ses fesses charnues enserrées dans le cuir. Elle jette un regard en arrière avec une moue érotique que M. Francis immortalise. Elle s'assoit sur le banc en croisant les jambes, les bras sur le dossier. Sa poitrine se lève à chacune de ses respirations, manquant de s'échapper à chaque fois. Alors qu'elle se tourne à nouveau pour montrer le laçage qui empri***ne ses fesses, elle aperçoit le SDF qui la regarde avec avidité. Il se masturbe ouvertement en la regardant. Elle est saisie de peur. Elle regarde M. Francis qui lui aussi a vu l'homme. Mais loin de le freiner, il lui demande de continuer devant *** nouveau spectateur. Elle hésite, mortifiée par cette demande. La stupeur laisse place lentement à une nouvelle montée de *** excitation alors qu'elle observe le membre massif du SDF branlé vigoureusement par *** propriétaire. Elle se laisse de nouveau aller à l'exhibition. Elle amplifie toutes ses poses pour être la plus désirable possible. Elle aussi regarde ouvertement le sexe de cet homme seul et rejeté. Il est de bonne taille avec de grosses veines. Les deux boules de ses bourses molles s'agitent à chacun de ses mouvements erratiques. Elle ne cherche plus qu'à le faire jouir. Il se lève pour s'approcher, le sexe fermement serré dans sa main. Ses bourses pendent mollement entre ses cuisses. Il s'arrête devant elle. Il n'ose pas la toucher, il jette un regard vers le photographe qui ne manque rien de la scène. Il comprend qu'il ne doit pas la toucher, il ne pousse pas sa chance plus loin. Il recommence à se masturber frénétiquement devant cette femme sortie d'un magazine pornographique. Elle continue à prendre des poses lascives en le regardant. Elle observe les va-et-vient de la main le long de cette grosse queue. Si elle osait, elle le prendrait en bouche pour l'aider dans *** plaisir. Elle se contente de sortir un sein de sa gaine de cuir. Le voyeur n'en revient pas et il accélère le mouvement en grognant comme une bête. Elle se retourne pour lui présenter *** cul, il en décharge une grosse quantité de sperme sur le cuir noir de sa robe. Elle sent les jets s'écraser lourdement sur ses fesses à travers le cuir et elle en tire un immense plaisir sans même se toucher. M. Francis a tout photographié, ravi de la tournure des événements. Il présente un paquet de mouchoir au sans-abri et lui indique de nettoyer *** sperme. C'est tout fébrile, la queue pendante entre ses jambes, qu'il tend le bras pour essuyer le liquide poisseux. Il en profite largement pour caresser à travers le cuir alors que la femme toujours penchée en avant sur le banc gémit *** plaisir pervers de se faire toucher ainsi. Il continue consciencieusement à la nettoyer en s'assurant qu'il ne reste rien sur *** fessier rebondi. Après quelques instants, M. Francis le remercie et lui donne quelques pièces. Le sans-abri regarde la femme alors qu'ils quittent le square. Il lui semble bien que sa démarche n'est pas très assurée, est-ce les talons ou bien autre chose. Il s'en retourne à sa place, rêvassant à ces quelques moments irréels de pur plaisir. Maryse a de plus en plus le sentiment qu'elle n'est plus maîtresse d'elle-même. Elle s'abandonne peu à peu totalement à M. Francis. Elle se soumet aux moindres de ses désirs. Les regards des passants glissent sur elle en ajoutant à *** excitation et à sa honte. Elle les sent plus qu'elle ne les voit car elle n'ose pas les regarder. Elle garde le visage baissé pour ne pas avoir à affronter leur réaction. Elle monte dans la voiture, le corsage l'oblige à se tenir bien droite, sa poitrine largement offerte. M. Francis semble satisfait, il a un léger sourire. Elle se dit que c'est sans doute *** manque de résistance qui lui plait à moins qu'il ne pense à la suite de la soirée. La femme bourgeoise appréhende la suite des événements alors que l'autre partie de sa per***nalité dépravée en demande toujours plus. Ils arrivent à l'hôtel à une heure assez tardive, pourtant Maryse peut voir qu'il y a encore du passage. Elle est autant effrayée qu'excitée à l'idée d'affronter le regard de ces inconnus. Elle n'a pourtant pas le choix, elle rassemble *** courage et descend de voiture. Elle essaie de se mettre dans la peau de cette femme fatale sûre de ses charmes et de sa sexualité. Elle y parvient presque mais tout s'effondre quand elle se retrouve devant l'hôtelier qui manque de s'étouffer en la voyant. Il retrouve un semblant de dignité et demande le nom de la réservation en les regardant l'un après l'autre et en s'attardant sur la générosité du décolleté de Maryse. M. Francis ne fait rien pour aider Maryse qui essaie aussi de retrouver une certaine contenance. Elle donne *** nom d'une voix timide mais se voit obligée de le répéter plus fort pour que l'hôtelier réagisse. Il leur donne enfin leur clé en leur indiquant le numéro de chambre et l'étage. Elle la prend et se hâte vers l'escalier alors que M. Francis la suit avec les deux valises. Elle n'a pas besoin de se retourner pour savoir que l'hôtelier lui reluque impunément les fesses mises en valeur et révélées par le laçage de sa robe de cuir noir. Dans sa hâte pour ouvrir la porte de leur chambre, elle fait tomber les clés. Elle s'accroupit pour les ramasser et remarque l'imposante bosse qui déforme le pantalon de M. Francis. Il la regarde de toute sa hauteur en frottant négligemment le paquet que forment ses bourses. Elle rougit de l'effet qu'elle produit sur lui et de sa vulgarité. Elle en a honte mais elle salive à l'idée de sucer ce membre dressé pour elle. Elle s'engouffre dans la chambre, elle a du mal à respirer. Elle ne sait que faire. Elle attend figée que M. Francis lui dise quoi faire. Il pose les valises à l'entrée. Puis il sort *** ordinateur qu'il branche ainsi qu'une webcam. Il la tourne vers elle. Elle est tétanisée. Il va de nouveau l'offrir en pâture à des internautes surexcités. Cette fois il lui dit qu'il va vendre ses charmes au plus offrant. Elle a tout d'abord du mal à comprendre ce qu'il veut dire. Il lui explique alors qu'elle devra offrir un « spectacle » à celui qui acceptera de payer pour en voir plus. D'une voix froide et autoritaire, il lui intime l'ordre d'exciter ses clients. Une pointe glaciale lui traverse le cœur. Elle est offerte comme une prostituée à ces internautes. Elle doit les exciter pour qu'ils payent pour ses charmes. Une partie de *** être crie, refuse, se révolte contre cette idée mais cette voix est impuissante face à l'excitation qu'elle ressent. Et lentement, comme dans le square, elle commence à bouger langoureusement en prenant des poses suggestives. Elle s'abandonne de nouveau devant l'objectif alors qu'il lui fait part des commentaires les plus vulgaires. Tout à coup, il lui dit qu'elle a *** premier client. Il veut voir sa chatte. Elle se couche sur le lit et écarte autant qu'elle peut ses jambes serrées par le cuir. Il lui dit qu'on ne voit pas assez, qu'il faut qu'elle se retourne. Elle se tourne et se met à quatre pattes en se cambrant au maximum ses fesses enserrées par la robe. Elle sent les cordes du laçage frotter contre ses grandes lèvres. Elle ondule pour accentuer le frottement. Elle gémit doucement de cette caresse hors-norme. Elle sent sa chatte s'ouvrir et mouiller sans qu'elle se touche. De très loin, elle entend M. Francis lui donner ordonner de montrer ses seins. Elle se retourne dans un état second et serre sa poitrine pour accentuer *** décolleté. Cela a l'air de plaire mais le client en veut plus alors elle tire le corsage vers le bas pour libérer le reste de sa poitrine généreuse et un peu molle. Elle triture ses seins, les offrant à la vue de *** client. Elle les serre l'un contre l'autre. Elle les pelote. Elle tire sur ses tétons durcis par l'excitation. Puis M. Francis lui dit que ce show est terminé. Il l'aide à retirer sa robe pour la suite qu'il souhaite plus active. Elle est dans un état second presque d'abandon. Elle lui obéit sans réfléchir. Il lui donne une robe de chambre presque trop courte qu'elle enfile. Puis il lui tend un gros vibromasseur qui a sans doute été moulé sur le sexe monstrueusement gros d'un acteur de porno. Elle le prend, le diamètre est imposant. Elle est comme fiévreuse en regardant ce membre. M. Francis redirige la webcam vers elle et lui dit de recommence à les exciter. Elle reste interdite quelques secondes puis s'assoit sur le lit et commence à caresser le vibromasseur. Elle le place entre ses deux grosses mamelles encore cachées par la robe de chambre comme pour tester la grosseur de cette bite. Elle en titille du bout de la langue la tête comme pour le goûter. *** petit manège semble exciter ses voyeurs car rapidement il y en a un qui demande un spectacle privé. M. Francis lui dit alors de se caresser la chatte avec le vibro, ce qu'elle exécute avec plaisir. Elle le fait glisser le long de sa fente, appréciant en gémissant cette douce caresse. *** clitoris est érigé au maximum et frotté par la grosse bite qu'elle manipule de plus en plus rapidement. M. Francis lui demande alors de se l'enfoncer. Elle se mordille la lèvre inférieure en appréciant une dernière fois la taille imposante du sexe. Elle le présente à l'entrée de sa vulve toute poisseuse de *** excitation et commence à pousser dessus. Il est énorme et elle crie en forçant l'entrée de sa chatte. Elle se sent écartelée. Elle attend quelques secondes le temps de s'accommoder puis pousse de nouveau sur la bite monstrueuse qui l'envahit peu à peu. Elle la retire pour mieux se pénétrer. Elle gémit comme une folle. M. Francis ne perd pas une miette du spectacle et l'encourage à continuer en la traitant de salope et d'autres mots plus crus les uns que les autres qui attisent l'excitation de Maryse. Elle pousse sur le membre jusqu'à l'accepter totalement en elle. Elle enclenche alors les vibrations qui la rendent folle. Elle ondule, elle prend un de ses seins en mains pour le maltraiter. Elle le serre très fort alors que la bite mécanique la prend sans relâche. Elle se crispe soudain en poussant un cri silencieux. Une vague de jouissance la traverse, brisant ses dernières ******. Elle s'écroule sur le lit en tremblant alors que le sexe continue de vibrer en elle la faisant couler continuellement. Elle sent alors qu'on lui retire le sexe dans un bruit de succion humide. Elle se sent vide et sans *****. Elle ne réagit pas quand deux doigts pénètrent sa vulve dilatée. Ils viennent écraser et exciter cette petite pièce de chair si sensible lui procurant un nouveau plaisir presque suffoquant. Elle sent un troisième doigt la fouiller. Puis ils ***t remplacés par le membre chaud de M. Francis, loin d'être aussi gros que le sexe mécanique mais tellement vivant. Elle apprécie les coups de reins presque violents de M. Francis qui écarte ses lobes fessiers pour pénétrer en même temps *** anus de deux doigts trempés de sa mouille. Elle jouit non moins intensément quand elle le sent éjaculer au plus profond de sa chatte. Elle lui appartient, même si cette idée terrorise la femme bourgeoise à la vie si bien rangée.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
The hyperlink is visible to registered members only!A Payment of Reparations The Auction Block It is with great fondness and clarity that I recall the thrill of standing naked upon the auction block with my arms and legs bound in chains, as Black hands worked over my body in particular grabbing my ass and fondling my cock and balls. My collar was chained to my wife's collar, and I watched through the corners of my eyes as she too was fondled, with Black hands feeling her D sized breasts, taking hold of her ample round ass, and inspecting her lovely pussy. I don't know as though my wife ever looked better than she did that day, standing naked in chains with her beautiful and curvy body out on display. On each side of us were other white couples, naked and bound in chains upon a stage that served as the auction block. Black Couples made their way around to inspect the "goods" on display. Sometimes they would stop to look us over, and shift through the brochure to find the page with our stats and contract terms listed. The room was filled with excitement and I was both nervous and excited. I could hardly keep myself from trembling. The other white couples on display looked very nice, but it seemed my wife and I received much attention and groping. I have observed that many Black Men appreciate curvy white women, and this point was proven. My wife is quite attractive with dark brown hair, deep brown eyes, and standing at 5'8", and the Black Men (and a few Black Women) could hardly stop feeling her up. I have a rather athletic build and stand at 6' tall, blond hair and blue eyes. I heard lots of positive comments about us, and our endowment. We were shaved of all body hair, as a sign of **********, and our shaved pubic regions made the fondling all the more sensitive. The hammer pounded and the bidders were asked to take their seats. A local BDSM club was kind enough to offer the use of their facility and to operate the auction. Members of the BDSM club were there working and watching, but it was only invited Black Couples that would be bidding on the white couples that were offered up. The lights were dimmed down outside the auction block, while overhead lights shown down upon us white couples to provide an effective display. The auctioneer began to explain the bidding process, as we white couples were paraded around the stage. It was the cheers from the crowd that determined the bidding order of the white couples. It was gratifying and erotic to hear cheers for us, as my wife and I were lead by a leash, still naked and with restricted movement in chains, around the front of the stage to be viewed by the bidders. We were all back stage and I could only hear the excited bidding, the loud cheers and the auctioneer's rambling voice as the first white couple was put out, auctioned and sold. When it was our turn, we were lead by leash to the front and center of the stage, with the bright spotlight shining down upon us. My stomach was turning with nervousness, and my wife was also squirming with anxiety. We had no idea who would end up owning us when we entered the auction. Now under the spotlight, we could hardly see into the dimly light audience to see who was bidding on us. We could only hear the rattling, motor-mouth of the auctioneer, but we could feel the excitement and the energy. It was this kind of energy that had brought us to this point in the first place. This event was a journey into our greatest adventure, and my wife and I are still very glad with our decision. We are lucky to live such fulfilling lives and to be a part of our Owners' lives. We get great satisfaction when we get to submit and serve. Every journey has its beginning, and it is here that I will tell how we arrived at the auction block. *** Life was pretty good for us. We were entering or mid-thirties and both our careers were really taking off. My wife had been promoted to Director of Nursing at a home health company, and I was a Biomedical Equipment Supervisor at a hospital. We had survived some hard times but were now living rather well. Our two ******** were in school and doing well. Things seemed good, but my wife and I still felt a little hollow spot in our lives. Having been through the Great Recession, we appreciated things more and liked to help out by volunteering and financially contributing to charities and church. Still, the void was still there. Having become bosses at work, we found that we still had the desire to please and we needed an outlet. For our anniversary, I bought some DVDs on tantra. Normally my wife and I would do yoga together after the kids were in bed. This night we tried tantra...and loved it! We could really feel the sexual energy that was generated and released. We worked techniques like breathing, positions, chakra alignment, massage, exercises, etc. We experienced full body orgasms and learned to control orgasms. Needless to say, we started reading all we could on tantra. We found books on tantra that also introduced us to BDSM. We jumped into this also and experienced more sexual energy building up as we tried BDSM power exchange play. This led to blissful orgasms that were so great we started to think about sharing this with others. Up to this point, the only sexual partners either my wife or I had were each other. This probably made us curious about trying other sexual partners, but working in the medical field, we were hesitant for fear of STDs. Working in the medical field fed our desires to heal others, and we learned that tantra and sexual energy can be applied for healing purposes, or so it was claimed. That, we agreed, was exactly what we wanted. We would share sexual energy with others (swapping partners) for healing purposes. We started searching online and looked at a lot of sites about swinging, tantra, and bdsm. Nothing had grabbed our attention as strongly as one particular internet group that was focused on "white couples serving Black Couples". Perhaps the interracial aspect was an intriguing proposal in itself, but the group was focused on reparations and healing past wounds and the healing is what had "sold us". My wife and I agreed that the Black race had suffered at the hands of whites through slavery, and it was time to give back and heal past wounds. We felt a need and desire to reverse the energy by experiencing the servitude and slavery while empowering and returning good energy to the Black race. We were willing to serve a Black Couple and to not only offer up our bodies for sexual use, but also do slave duties and work as part of giving back. We both had desires to do this in a 24/7 total power exchange manner, but that is very hard these days. For one thing, we have kids and jobs, and it would be a financial burden for anyone to keep slaves these days. We decided that we would offer ourselves up as part-time slaves. Part-time slavery was still giving more than nothing, and we hoped to find other white couples willing to also pay reparations.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
We joined this online group and introduced ourselves stating our desire to serve a Black Couple. We were a little disappointed that the group had low activity, and the Black Couples that were interested lived too far away for us to serve them. Another dilemma arose when someone pointed out that African slaves were captured and auctioned off without being able to pick and chose who their new Owners would be. My wife and I decided that we wanted to experience this too, but as we were volunteering our slavery, we wanted to ensure safety as well. After a lot of thinking, I devised a plan and put it in action. With the group moderator's permission, I promoted the group and a slave auction across the internet, focusing on our regional locality. I put in some long nights trying to put the word out that our group was going to auction of white couples to Black Couples as a means of reparations and to heal past wounds. Membership in our group rose and several more white couples offered themselves up as slaves to be put on the auction block. Black Couples took a keen interest and I was able to set up a pre-auction meet-and-greet between potential Owners and slaves. I reserved a private banquet room at a local restaurant and had the white couples show up early with some papers or brochures to pass out stating their stats, contract terms, limits, talents, and any personal info they could use to sell themselves. I encouraged the white couples to have some ****** to loosen up and gave out pens and papers. I asked everyone to wear name tags with their screen names on it. The Black Couples were able to work their way around the room of potential slaves and sit down and have a face-to-face interview with the white couples. It seemed that everyone was nervous, particularly at first, but things went rather well and there were lots of smiles and some laughing as the meet-and-greet went on. The white couples passed on their papers and brochures to the Black Couples in hopes that the Black Couples would buy them at auction. As part of a safety and consensual procedure, the white couples were able to write down the screen names of the Black Couples they would like to bid on them, and any Black Couples they wanted barred from that particular bidding. It was optional to bring a doctor's note of good health (STD free) and the Black Couples that did this, which was most of them, went on our list to be able to bid on us. I found a local BDSM club that was willing to conduct the auction for us. They were very helpful and all too willing to watch the spectacle and participate. A lot of work went into the planning and the BDSM club promoted the event and sold tickets. Black Couples were able to earn points from various participation activities online, and the points would be traded in for play money to bid with at the auction. Our internet group buzzed with excitement as the auction day drew nearer and nearer. My wife and I found ourselves getting more nervous and scared, but also thrilled and excited. After dropping our kids off to grandma and grandpa's for the weekend, my wife and I prepared ourselves. We showered together and shaved off all body hair to identify us as slaves. My wife checked her appearance in the mirror over and over, wanting to look her best on the auction block. We got dressed with shirts reading our screen name and grabbed our contract and sat waiting for the designated hour. Our contract stated that we would serve real-time one weekend a month and one night on-line a week, and pay a specified tax to our Black Couple, as well as some of the services we could provide. We had only the obvious hard limits and we had some limits that would be negotiated annually like, being marked, loaned out or sold, etc. Some of these things were typical slave procedures, but as we were new to this we just wanted time to warm up. The contract was to be presented and read at auction to ensure consensual agreement on all parties. I kept the contract in a nice big envelop with our screen name on it and kept checking it as we watched the time. At the planned time, my wife and I locked up our house for the weekend and started walking down the street. It was a peaceful evening and we were both quiet and wondering what would happen as we strolled hand-in-hand into the park. I tried hard to contain myself and not spoil it. We found ourselves in a secluded area and a van suddenly pulled up beside us and gang wearing ski masks jumped out from the doors. We tried to run away but we were tackled and captured. We both struggled and the ski masks were rough with us as they hog tied us and threw us into the van. Our mouths were duct taped and our hands and ankles bound. There were other white couples already in the van having been captured by our gang of friends at the BDSM club. The van made several more stops to capture more white couples, all wearing T-shirts that identified them by their screen names. The van arrived at the BDSM club and we were all taken inside. There was a large turnout by the BDSM club and they seemed to delight in watching us captured couples be scared and helpless. Our bounds were cut and we were ordered to stand up. We were then ordered to strip naked and place our clothes in the bags provided. It was rather embarrassing to strip naked before such a large audience, I think especially for the women. Our screen names were written on our clothing bags, and also upon our chests, arms, and butts. Our hands were bound and are legs shackled. We were all collared with a chain connecting to our spouse's collar. From here we were arranged on display upon the stage. *** There we were with our turn on the auction block. A club Mistress led us around and tried to display us well while working the crowd up. There was a lot of hooting and hollering and the terms of service from our contract were read and displayed on an overhead display. The bidding opened and it felt as though time had stopped as my wife and I stood naked for what seemed an eternity awaiting the exciting end of this rather humiliating moment of being offered up for sale like pieces of meat. "Sold!" cried out the auctioneer as he brought the hammer crashing down on the podium. There was some applause, and the Mistress led us off the stage. We were taken in the back where we were to sign our contract with our new Owners and surrender into their service as we were handed over to the highest bidder. I could hear the next white couple being auctioned off as we made our way back and knelt at a table with our contract on it. My wife and I both waited with high anticipation to see who had bought us and who our new Owners would be. This experience was thrilling and has led to a journey of surrender and service and healing.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
The hyperlink is visible to registered members only!This Cock Tastes Like My Wife Part 1 -- The obsession. "Oh god, DD! What have you done you filthy little whore?" I grunted, my dick in my hand, as my eyes jumped back and forth between the words on the computer screen and the naughty picture of my Asian wife that rested beside it. I focused on the photo for a moment as I stroked. I never got tired of looking at it. My wife, absent of clothes but for her black thigh-high stockings, kneeling forward on the bed with that dirty look on her face, biting down on her bottom lip. Her full, golden breasts were dangling beneath her and the crack of her tight Cambodian ass was visible just above her head. It was the only dirty picture DD had ever allowed me to take of her, thank god for Tequila! I remembered how I used to hate that she drank so much. She was such an angry, demanding bitch when she was *****. After the night that picture was taken, I'd wished she drank more often. My eyes returned to the screen and I read on. "Oh DD. Oh fuck. You dirty bitch! You can't even control yourself, can you? You need that cock! Fucking slut! Nasty slut! Dirty slut!" I rambled on incoherently as I took in the fictional account about some poor bastards cheating wife, soon bringing my cock to an eruption that landed all over my chest. In that way, as I always did, I imagined that my wife was the slutty central character in the story I was reading. Finding that dirty Literotica site had taken my rituals of fantasizing in an entirely new direction. My mind always became clear in the moments after I expelled my nut. Most of the time it was clouded by fantasy. I often had a hard time focusing on real life matters because of my obsession with the fantasy world that existed in my head. This was my release, and I welcomed the short-term clarity I got when I wasn't consumed by thoughts of sex. But that clarity also came with feelings of shame and guilt. What kind of man was I to think of my wife as a cock hungry slut? In fact I felt down right pathetic afterwards, not only for my outrageous fantasies, but also for the way I vicariously lived them out via the Internet, an erotic picture of my wife, and a bottle of Jergens lotion. As much as I obsessed over the idea of DD fucking other men, in those moments of clarity I knew that I'd never have the courage to broach the subject with her, nor the courage to risk losing her to another man. In my heart of hearts, I knew that was a good thing. The fantasy would have to remain exactly that, for my own good, and the good of my marriage. . *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** Part 2 -- The monotony. "Hey Boo Bear," DD said plainly as she walked through the door at 9pm that night. "Hey sexy," I smiled at her, feeling my cock twitch. DD got off work at five. When she came home late, it usually meant she'd stopped at the bar on her way home and had a few with her co-workers. But I knew right away she hadn't that night because if she'd been ******** she wouldn't have called me by that affectionate nickname. "Sexy? Not even," My wife modestly blew off my compliment. "Yeah, baby, you're always sexy," I said, getting up from my seat to give her a welcome home kiss. "Oh no, don't you even start that with me!" DD wiggled away from me, giggling, "I know what you want!" "Awww, come on! You know I'm always horny for you when you get home!" I followed her, grabbing her butt before she could escape. "No! Stop!" She slapped my hand away with a smile on her face. I relented for a moment, letting her take off of her shoes and put away her laptop. I knew eventually I'd get what I wanted. DD tended to make initiating sex with her a chore. I never saw it as her not wanting to, I just thought she liked to make me pursue her. "You're home late," I noted, waiting for an answer. "Oh, you know, we went to Bennigans after work." "Yeah?" I said, puzzled, "You don't seem like you've been ********." "I only had one. I've got kind of a headache today," DD shrugged. "I hope you're not going to use the headache excuse again," I said, wrapping my arms around her waist from behind, grinding the erection in my pants against her butt. DD gripped my hands and pried them off of her. "Stop it now, seriously. All you wanna do is screw, screw, screw when I get home. Go watch sports or something," DD said in a more serious tone as she walked into the kitchen. "Most women complain that their men pay too much attention to sports and not enough of it to them," I noted. "Well I certainly don't have that problem, do I," DD said coldly as she poured herself a glass of water. I frowned. DD was being more of a cold fish than usual. I decided to change my tactics. "Pleeeeease?" I sank to my knees and pulled her into me by her hips. DD rolled her eyes, "Will you stop?" "I can't help it baby," I said, unbuttoning the front of her suit jacket, "I just want to make love to my beautiful, hot, sexy wife." I pulled up the blouse under her jacket and began kissing her stomach. "Pleeeeeease?" I begged a little more. Finally she cracked a smile. "Awwww, you're so cute when you beg. You should do it more often." I grabbed the waist of her suit pants and attempted to undo the button, but she pushed my hands away and turned her back on me. "Come on, DD! What gives!" I whined. "I just don't want to, ok? What do you think anyway, I'm going to let you do it to me right here in the kitchen?" Now it was me rolling my eyes. I wanted to fuck her all over the house, but DD always insisted on going to the bedroom. I peeled my shirt off and dropped it on the floor, then undid my pants and dropped them to the floor along with my boxers. "Yes, I want to fuck you right here in the kitchen," I spun her around and pushed her back against the counter. Her eyes got big as she saw that I was naked. "I want to fuck my wife, and I want to fuck her now!" "But..." "Darareaksmey!" I stated her Cambodian name firmly. "Ok. Ok. But in the bedroom," DD bowed her head and slid out of my grasp, heading for our bedroom. I smiled, seeing my wife's submissive nature kick in. When all else failed, I knew all it took was demanding sex, rather than asking for it. I usually tried to avoid that tactic for two reasons, the first being that I wasn't the domineering type to begin with. I much preferred to feel like she wanted it as much as I did. And secondly, her enthusiasm for sex when I had to ***** it was minimal. But I'd settle for what I could get. DD stepped into the bedroom and methodically removed her clothes while I sat on the old, squeaky, queen-sized bed. She was mechanical in doing so, not trying to be sexy at all. Whether she tried to be or not, I always thought she was sexy. At twenty-nine years old with no kids, her body was a little thicker than when we'd first met, but still nice and firm. She stripped down to her panties and bra and slid under the sheets before removing her panties. I scooted closer to her and began kissing her sweet smelling neck as I slid my hand down to her hairy pussy. As my lips threatened to invade her cleavage she pulled me back up to her neck. "They're sensitive today," she said plainly. That was always the excuse when she didn't want me to touch her boobs, which was often. "I guess I'll have to find something else to do with my lips then," I said, giving her a soft kiss on her lips before sinking below the sheets on my way to her muff. Again she stopped me, grabbing my shoulder and giving me a tug. "You can just put it in me. I don't need that today." "But you're dry," I pouted, disappointed with all the rules she was throwing in my way. "It's ok," she said, putting her hand on top of mine and pushing my fingers inside of her. "Oh, wow," I said, surprised. She was as wet as I'd ever felt her once my fingers were inside. I climbed on top of her and worked my hard dick inside of her. She laid there silently as I began to slowly pump her. "You like this don't you? Damn you're so freaking wet tonight baby," I sported a cocky smile on my face. DD nodded, but stayed quiet, turning her head to the side. I was used to her lack of interaction during sex, so as always, I found a way to make it more fun for myself. I became somebody else. Some of my friends who were bored with their prude wives liked to close their eyes and picture another woman under them as they hammered away. But I liked to pretend that it was me, not her, that was another person. I was another man who was thrusting inside of my wife's pussy. Where's your husband, slut? I bet he doesn't fuck you like this! You like having another man's cock in your pussy? I bet you do! I kept all of these thoughts to myself, only vocalizing them in my mind. I was ready to cum quickly, as the idea of her lying there under another man excited me so much that I could hardly contain myself. But she put her hands on my chest and stopped my thrusting before I could. "Do you want to try doing that thing again?" she said, shyly. "What thing?" I searched my brain. "Don't make me say it," she quickly turned her head away from me, too embarrassed to look me in the face. "The other night...after I came home from Bennigans." "Ohhh!" I got excited. "Really?" She shrugged. "I mean, if you want to. I don't care, I guess." "Um...yeah, if it's ok?" She pushed up against my chest. "Let me turn." I eased off of her and let her flip around onto her stomach. She buried her face in the pillow. I'd had to get very ***** one night while out with my friends to find the balls to touch the topic of talking dirty during sex with her. I bitched about how she barely moaned and never said anything when we made love. I'd been *****ful that night, I pushed for it and she let me get away with a few mild comments; "You're bad girl" and "Who's your daddy", I didn't go too far with it. She'd insisted on lying on her stomach and having me screw her in the lazy dog position so she didn't have to look at me when I said those things. The next day she'd gotten mad and outright refused to let me ever do it again. In fact, she cut me off from her pussy for a week. But a few weeks later she'd come home half in the bag after work and nonchalantly asked for it again. She still insisted on lying face down, so I knew she was still embarrassed, but I got my wish. That time I got a little more vocal with it, and I lasted all of 60 seconds because I'd got so turned on. She didn't hold a grudge the morning after, but she could hardly look at me either, so I didn't push the issue again. I couldn't wipe the smile off my face as I slid into her sloppy wet cunt from behind, hoping that this was going to become a regular thing with her. As I began to thrust, I wasted no time in getting vocal with her. "You like that you naughty girl? You like being fucked from behind?" I gasped, measuring my strokes, being careful not to cum too soon like the last time. DD said nothing, but let out a very soft moan, so I continued. "You're a bad girl, aren't you? Do you need to be spanked?" "No," She said pointedly, into her pillow. Bummer, I thought. Another one of my fantasies vetoed. Her reluctance had an ill effect on my sexual mood and I felt myself getting a little softer so I thrusted harder. I decided to push it a little further. "You're my little Asian slut, aren't you?" I cringed as soon as I said it, half expecting to get slapped. DD said nothing, but moaned again. Oh yes! It's on! I thought. "Naughty little Asian slut! You like this white cock, slut? I know you do!" I was fighting with all my might to keep from cumming, but I couldn't get my self to slow down. "Fuck me," she moaned into the pillow. I almost came right there. DD never said stuff like that when she was sober! "Yeah I'm going to fuck you, you dirty Asian whore! You want this, huh? You want it? You like this strange dick? I bet your husband doesn't fuck you like this!" "What?" My wife turned her head from the pillow and looked at me from the corner of her eye. Fuck! I cursed myself in my head, realizing I'd just let my internal fantasy come out into words. How was I going to explain that? "I uh..." "I want you to stop now please," she said, making a sour face. "Um...ok. If you want me to," I couldn't hide my disappointment. I started to fuck her in silence as usual, but she pulled her self up and made me slip out of her pussy. "No, I mean just stop. Give me my panties," she sounded very uncomfortable. "Baby, I don't know where that came from. What a weird thing to say, huh? Just caught up in the moment I guess." "Can you just hand me my underwear?" DD now sounded irritated. "O...ok, baby," I said, crawling onto the floor to retrieve them. She snatched them from my hand and put them on under the sheets, then got up, grabbed her bathrobe and locked herself in the bathroom without another word. I slapped myself upside the head. "Fucking stupid!" I knew she wouldn't be speaking to me for the rest of the night. I didn't know exactly what it was about what I'd said that had set her off. It must have sounded odd but it was hardly an admission of my true fantasies. But as touchy as she was about anything outside of missionary sex, her reaction wasn't surprising. What was more pressing to me at the moment, was my raging hard on. I was back in that fantasy world and I knew I wouldn't be good for anything until I had an orgasm. Nothing mattered more at that moment -- it was my perpetual Achilles heel.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
Part 3 -- The journey. Once again I was back in front of my computer with the door to my messy office locked -- not that DD would come anywhere near me for the rest of the night -- but better safe than sorry. I pulled out the dirty picture from a locked desk drawer and put it in place, then pulled up the internet. I sat there thinking about how it had come to this. Porn had been an occasional crutch for my sex life in between girlfriends at first. But a long dry spell after college had made it more of a wheel chair than a crutch, and soon it was an obsession. I'd sometimes choose to sit home on the weekends while my friends partied, preferring to indulge in all night masturbation binges. Talking to girls wasn't easy for me, but porn stars were a sure thing. Straight boy-girl porn wasn't enough after a while. It turned into girl-girl, then three ways, then gangbangs, BDSM, fetishes, I just had to keep pushing the limits. At some point I even began whacking off to an occasional gay porno, just to push the envelope - to feel like there was something taboo still left out there. And when nothing seemed taboo anymore, I found myself increasingly unfulfilled, even depressed. Nothing satisfied my appetite anymore, everything was too tame. I couldn't even get it up half the time when I did find a girlfriend; they were all too vanilla to excite me. Ironically, I ended up falling in love with the most vanilla girl of them all, DD. DD was piss ***** when I met her at a nightclub with my friends, which made her the aggressor. I would never have had the balls to talk to a woman that hot, nor would she have approached me if she'd been sober, again, thank god for Tequila! She seemed wild, and that excited me. Plus she was so exotic, interracial dating was new territory for me and that also excited me. We fucked in the back of her car that night, and the sex was awkward and clumsy at best, but I'd never come close to screwing a woman that fine before, so that was all the excitement I needed. I never expected her to call me after that night, but she did. I'd soon find out that DD was just as boring as me without the liquid encouragement. But that's partly what made us click. I didn't need to pretend to be exciting and adventurous, and she was wholly content just having someone who she could talk to, cuddle with, and who didn't smack her around for not having dinner ready. She was in a miserable arranged marriage to a man from her country, and I was a lonely pervert who was tired of making love to my palm. We were both desperate for something more fulfilling, and we found that in each other. The fact that she was married never escaped me when I fucked her, and for the time, that was my excitement in the sex department. When she finally divorced him and married me, the thrill of sneaking around and poking another man's wife was gone. The taboo of marrying outside of my race was all I had left to excite me sexually, but that was wearing thin. White and Asian couples seemed to be everywhere, it wasn't such a big deal anymore. But we did have love, and that wasn't lost on me. We laughed a lot, we understood each other - at least outside of the bedroom - and we shared a deep emotional bond. She felt like I'd saved her from a life of servitude to an ungrateful prick, and she'd saved me from eternal loneliness. For a while I was able to focus on the less shallow aspects of our relationship. I was literally getting by on love alone - sex was side note. I convinced myself that I'd rather be happily married and sexually deprived, than the lonely pervert I was. But after the first couple of years we inevitably found ourselves in a rut, facing the ultimate relationship killer -- boredom. She'd been sober for the most part during those first years, but when she started ******** regularly again, I knew something was wrong. ****** had been her crutch when she was at her wits end with her last marriage, and I feared history was repeating itself. Likewise, I was back to my porn habit and hiding out in my office to jerk off. When she was sober she seemed content, albeit less affectionate than before. But when she came home *****, she had a laundry list of things to bitch about. I was suddenly too boring, we never went anywhere, we never had enough money, I left the toilet seat up, and I was always in that stupid office. I'd return fire with the only weapon I had -- you don't ever fuck me! She'd apologize for everything when she was sober, and so would I, but I knew -- a ***** mouth speaks for a sober heart. We were on edge for the next two years. Everyday I feared we were nearing the end. I knew that DD feared the same thing, but somewhere along the line we'd lost our ability to communicate with each other so we seldom discussed how things had gone down hill or how to fix them. She was keeping herself sane via her crutch -- ******, and I was using mine -- pornography. Falling back into my old habits, I was always searching for the next taboo fetish to get off to when the old ones had ceased to be interesting. I stumbled across one so obvious that I couldn't believe I'd never given it a serious look before - swinging. There were tons of wife swapping sites on the Internet. At first I watched videos of couples swapping partners. I remembered the feeling of screwing another man's wife and it immediately appealed to me. When watching other types of pornography I always personalized the fantasy by imagining myself doing those things with my wife. I even dared to think that some day she'd come out of her shell and doing those things would be a real possibility. But swinging was out of the question. My traditional foreign wife on rare occasion showed flashes of willingness to explore new kinks, but she was far too possessive to ever consider such a thing. So when I fantasized about swinging my mind ****** me to leave DD out of the fantasy, because it was plainly impossible.
|
chrislebo
Member
Posts: 168565
|
But at some point I stopped focusing on the pleasure of being able to screw someone else's wife, and began to ponder the other aspect of wife swapping that I'd largely ignored; what it was like to have another man screwing mine at the same time? It didn't take long for me to discard the idea of screwing other men's wives and completely zero in on the latter. I knew DD wouldn't swap with me, but would she cheat? The thought scared the **** out of me to the point of making me sick in the stomach at first, partly because we had drifted so far apart that I couldn't rule it out. She had after all, cheated on her first husband with me. But at the same time it excited me like nothing else ever had. Imagining my prude, pseudo-asexual wife, whoring around like some cheap slut, gave me a rush. Maybe it was easier to harbor a fantasy like that because we weren't as close at the time, so it was easier to detach myself from the emotional side of things. It was also easier for me to picture it as a reality more so than a fantasy, because unlike the other fetishes I'd obsessed over; this was something she'd actually done before. I knew I wasn't the first person she'd cheated on her ex-husband with. My newest sexual obsession had begun. After that, every time I watched porn I imagined that it was my wife getting fucked on that screen, by someone other than me. I drifted away from the swinger sites and found more of an infatuation with sites that focused solely on men watching their wives fuck other men. I learned the term cuckold and it became a staple in my search engine. That led me to Literotica. At first I wasn't so interested in reading about sex I could be watching on a video. But porno, with all of the cheesy plot lines, if there was one at all, left something to be desired. I knew those guys sitting their watching the porn starlet get screwed weren't actual husbands. Somehow it became just as important to me how they got to the scene as what happened in it. I wanted more realism in my fantasies, because for a while, there was a big part of me that actually considered just how real this fantasy could become. And I wanted that, I wanted DD to spread her legs for another man. It started with scenarios involving women who fucked men to please their voyeuristic husbands. But like everything else in the dark world of my obsession, it escalated. Soon I was paying attention to the most extreme, humiliating, cuckold stories there were. I couldn't get enough of it. As my obsession grew, my self-esteem plummeted. There were days I'd want to throw up just looking at my wife. The guilt of knowing what dirty fantasies I had about her ate at me. Our marriage was hanging on by a thread, and thinking about losing her forever was the saddest feeling in the world. One minute I'd be plotting on how to get her laid, the next I'd be racking my brain trying to figure out how to fix things between us. I was posting on cuckold websites asking strangers for advice on how to get DD to fuck someone else. I was serious about it. But no good advice came. Then I'd be on relationship websites asking strangers how to put the fire back in my marriage. No good advice came. Then one day I found an online friend named Ron. He was the author of some of my favorite cuckold stories from Literotica. I'd sent him a rather jubilant e-mail expressing my love of his work one day, which was more like worshipping at his feet since I was rock hard in my fantasy mindset when I wrote it. He replied in kind, and we began an ongoing dialogue about my wife, and my fantasies. Deep down I realized this guy was probably as sick as I was, but he also seemed very grounded and down to earth. Who was I to judge? We were seeds from the same tree. He made no outlandish claims about his experiences in the lifestyle, although he vaguely admitted to having some hands on experience with cuckolding. He didn't give me any pie-in-the-sky idea's about turning my wife into an overnight whore, but he did do his part in persuading me to pursue it. Sometimes I got the feeling he wanted to see it happen for me as badly as I did at the time. By the same token, he appeared sympathetic to the conflicted nature of my desires. He listened and showed empathy when I backpedaled and recanted my deviant wishes in favor of rekindling the love in my marriage. He could be a total perv right along with me, or play the role of marriage councilor. Not only that, he was the only one I had to discuss such things with. I might have gone nuts if I hadn't had that outlet to vent my conflicted feelings. During that vulnerable time in my life, I shared more information about myself and DD than any logical person would ever consider giving a stranger. Hell, I'd sent him pictures of DD and myself, talked about work, talked about family, this guy could have written my biography. But Ron never felt like a stranger to me, he was a friend. A very strange friend, but the same could have been said about me from his end. Then came that strange night - the night I'd taken the picture of DD naked on our bed. She'd come home ***** off her ass after another ******** binge at Bennigans. I was fully prepared for another unprovoked attack on my character and a lengthy, emotional fight. I was used to it when she came home in that state. I got attacked all right, but in a very different way. DD started peeling off her clothes the second she stepped in the door, laughing and stumbling around. I stood there in a total state of confusion, wondering what had happened to my wife. She stripped off everything but her thigh-high stockings and tackled me to the living room floor, kissing me with the kind of passion that hadn't existed between us in years. I was stunned but not about to ruin the moment by asking for an explanation, so I went with it. She was aggressively ripping off my clothes and using sexual innuendo like I'd never heard come out of her mouth before, save for the first night I'd met her. For the first time since the night I met her, we fucked somewhere other than the bedroom, as she mounted me and rode me hard right on the living floor. That was another first, DD never got on top. I remembered her pussy being wetter than I'd ever felt it before; it was sloppy and made a huge mess of our carpet. I remembered the hungry look in her eyes as she fucked me. Her aggressiveness had turned me on so much that I couldn't manage to make it last more than couple of minutes. But she wasn't satisfied with that. She led me to the bedroom and told me she was feeling naughty. That's when the camera came out, at her suggestion. She was posing for me in various suggestive positions, showing me an exhibitionistic side of her that I never knew existed. Unfortunately, in my excitement I'd forgot to put the memory card in the camera! It was too late when I finally realized it and dug out the memory card. She'd lost her mood for posing and I'd only gotten the one last photo of her kneeling on the bed, before she snatched the camera from me and moved on to something else. That something else was sucking my cock. That was big deal for me, because I could count on one hand the number of blowjobs she'd given me in the four years prior to that; three. She sucked me like she never had before that night, she was hungry and enthusiastic about it unlike the other times, and she refused to quit before I came. Having already cum once I was lasting quite a while, until she threw another curveball my way. While sucking my cock, she lubricated a finger with her mouth, reached between my legs and slithered her finger into my ass! That was my introduction the prostate massage, and with her working me over with her finger and mouth at the same time, I was blowing seed all over her face in no time flat. Staring at my sexy wife with my cum splattered all over her face drove me nuts. She looked the part of the cock hungry cum slut I'd always made her out to be in my fantasies. When she pulled me to her lips and kissed me that way, it was one of the most erotic things she'd ever done. She didn't wipe it off either when she demanded I fuck her again. I was exhausted but she did all the work, riding my face for a very long time while I licked her sloppy pussy before hopping on my dick again and riding me until the sun came up. The next day she was silent and hardly even looked at me. I knew she was embarrassed about it. But after that, things began to change for the better. Sex was still as mundane as ever on her sober days, but when she drank there was a lot less arguing and a lot more fucking. A blowjob was a virtual lock, along with the accompanying prostate massage, and I always got to blow my load on her face. She was aggressive, and needy, and took control. All I did was hang on for the ride and do whatever she asked. The catch 22 was that her ******** became much less frequent, and with it so did the good sex. But the rift between us seemed to dissipate. We were talking and communicating again, and enjoying each others company like we had before. It was like we'd somehow re-fallen in love. The next six months were good. With our relationship on more solid ground, I all but abandoned the idea of getting her to fuck other men. I did not however, abandon the fantasy. Wanting DD to be a slut for other men was still an obsession, and if anything, the obsession became even stronger. But I'd finally resigned myself to leaving it forever as a fantasy. I no longer thought of ways to actually make it happen. I sighed deeply after recounting those events in my head, feeling a little less horny than before. "Here I go again," I shook my head, "A fucking slave to a fantasy." I pulled up Literotica and clicked on one of my favorite stories, one written by Ron. I looked at the lotion, but hesitated to begin my ritual. I sat there, idle, cursing myself. I could have been fucking my beautiful wife, but instead I was about to masturbate to the idea of her fucking someone else. I rarely felt such remorse before an orgasm, that *********** was reserved for afterwards, but that night was different. I almost clicked off the Internet and went to try and make another go at my wife. And even if she wasn't going to put out that night maybe I'd just hold her...but I didn't. And that would later prove to be a life changing decision.
|