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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#6,571
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Voilà. Julien était complètement recouvert par la combinai***. Il regretta de ne pas pouvoir se voir dans le miroir. Il pouvait à peine ouvrir les yeux et ne voyait qu'une lueur rouge. Une autre idée lui vint, il décida de passer la robe accrochée au cintre, il glissa cette dernière par dessus cette combinai***. Il passa ses mains sur tout *** corps et ses membres et sentit que le latex était bien lisse et bien tendu. Cette sensation ne lui déplaisait pas. Il s'assit et sentit la couche, une envie de pipi vint, c'était la première fois qu'il « se faisait dessus », mais rien, aucune sensation de fuites, la couche remplissait *** rôle. Il attrapa la cagoule et commença à la palper pour sentir comment elle se mettait. Julien se dit qu'il aurait dû regarder avant de ne plus y voir et il allait enlever la cagoule quand il se dit qu'il n'avait pas envie et qu'il verrait cela plus tard... Il se souvint d'un anneau, qui devait se mettre vers l'extérieur. Il positionna le collier à *** cou, mais il avait une forme particulière qui ne correspondait pas à *** cou. Il le retourna, ensuite ça allait beaucoup mieux. Il remontait bien sous la mâchoire et remontait bien le long de la nuque. Il mit en place les trois solides sangles dans des pièces qui paraissaient dures. Il ne ressentait pas bien les choses avec ses mains gantées, mais il sentait quand même que les ouvertures étaient de la taille des sangles.
Elles ressortaient de l'autre côté et Julien les tendit en tirant dessus fermement. Il avait un peu trop serré à *** goût et voulu les desserrer. Mais il ne trouva pas de système pour ouvrir. En fait, le collier lui serrait le cou, gênant la respiration, mais sans l'étrangler. Il lui empêchait aussi tous mouvements de la tête. Il commença à paniquer, et il voulu se voiler la face pour un moment en se disant qu'il n'avait qu'à profiter des ces nouvelles sensations et qu'il avait encore le temps pour se libérer. Il se dit que dans le pire des cas, il descendrait à la cuisine à tâtons pour prendre un couteau et couper les sangles. Il s'allongea sur le lit et commença à caresser *** corps. Il aimait vraiment cette sensation de seconde peau. Il avait l'impression d'être un autre.
Il fit glisser ses mains sur ses seins, sa tête, *** ventre, ses cuisses, et *** sexe... Il se mit à se caresser le sexe à travers le latex et la couche, puis ouvrit le zip à partir du nombril, jusqu'à *** entrejambe. Il prit assez vite *** pied, car il était déjà bien excitée. Il finit par s'assoupir.

Quand il reprit ses esprits, il était attaché sur le lit, bras et jambes écartés. Il sentait qu'on lui introduisait quelque chose dans l'anus. Il essaya de se débattre, mais ne pouvais rien faire. Les chaînes étaient bien tendues, le collier minerve l'empêchait de bouger la tête et d'ouvrir la bouche à cause du bâillon. Il poussait des gémissements. Une sorte de sangle large qui faisait le tour de sa taille plusieurs fois et était fixée de chaque côté du lit le serrait atrocement et la plaquait. On lui introduisait maintenant quelque chose dans l'anus. Il entendait une sorte de bruit de pompe à main et sentit l'objet dans *** anus gonfler. Ça gonflait et le dilatait petit à petit, *** ventre se remplissait de liquide. Il finit par se sentir presque déchirée. Le gonflage cessa. Il resta un petit moment comme ça. La per***ne lui mit des pinces aux tétons. Malgré le latex, ça lui faisait mal. Au bout d'un moment, ses tétons paraissaient engourdis et il ne sentait plus la douleur. Mais il sentit que petit à petits, ils étaient tirés vers le haut. Le ballon en lui fut dégonflés mais un gode vint le remplacer. Il resta en place environ cinq minutes, avant d'être changé par un gode de plus en plus gros. Julien prenait *** pied malgré lui. Il se dégoûtait de prendre *** pied, mais c'était tellement bon, qu'il ne cherchait plus à gémir, ni de se plaindre des douleurs au ventre, si ce n'est de plaisir. Bientôt, le gode fut enlevé et ce fut une main qui s'introduisit doigt par doigt dans *** anus. Ce fut plus long et douloureux pour Julien. Julien s'évanouit.

Quand il revint à lui, Julien était toujours sur le lit, mais plus attachée. Il était toujours dans la combinai***. Julien pensa de suite à poser ses mains sur la fermeture du collier, et celui-ci était débloqué. Aux douleurs qui le faisaient souffrir à l'entrejambe, il savait qu'il n'avait pas rêvé. Il se hâta de défaire la combinai***. Une fois la cagoule ôtée de sa tête, il vit qu'il était seul et qu'il portait à l'entre jambes, un énorme paquet de couches, il les enleva et s'aperçu qu'il n'y avait pas que le pipi dans la couche, cela le rebuta. Il se demandait vraiment qui lui avait fait subir toutes ses choses. Il n'y avait aucun bruit dans la mai***, donc per***ne. Julien se rhabilla vite fait et partit en hâte. Sur la route du retour, Julien pensa beaucoup à tout ça, il était fébrile et énervé. Il s'en voulait et en voulait à la per***ne qui lui avait fait ça.

chrislebo

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#6,572
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Les nuits suivantes, Julien fit beaucoup de rêves agités dans lesquels revenait la scène qu'il avait vécue. Le problème pour lui, c'est qu'il avait goûté, malgré lui, à des choses qui le répugnaient, mais en s'imaginant offert et transformé en poupée de latex, il était de plus en plus excité.

La semaine d'après, le même jour, il retourna chez ses amis. Il alla directement à l'armoire pour sortir la combinai***, mais il ne trouva rien d'autre qu'une sorte de ceinture de chasteté équipée d'un gode creux à l'intérieur assez large en diamètre en latex noir avec une large bague métallique à la base, et une cage en forme de pénis métallique à l'avant. Il y avait aussi une cagoule en latex noir assez épais aussi et une paire de gants longs d'un latex rouge. Julien ne résista pas et voulu se sentir dilaté de nouveau. Il enfila les gants, pris la ceinture qui était faite d'une armature métallique et la partie en contact avec la peau était garnie d'une couche de latex épais noir. La ceinture était ouverte. Julien repéra le verrou qui la verrouillait mais vit une clé posée au fond de l'armoire. Il prit la clé et la posa sur le lit près de lui, pour ne pas se faire avoir cette fois ci. Il positionna la ceinture et commença à glisser *** pénis et ses testicules dans la cage métallique, une fois fait, un clic se fit entendre, le tout était dedans. Le gode creux était vraiment large en diamètre, et il y allait doucement. Là, se fut plus dur. *** sexe était maintenant bien dilaté au diamètre du gode, mais *** anus se dilatait de plus en plus au fur et à mesure qu'il poussait le plug dedans. Il eut vraiment mal quand ce fut le diamètre maximum, mais juste après, le diamètre diminua fortement, de manière à se que le plug ne puisse pas ressortir tout seul. Mais de toute façon, il était fixé, comme la cage métallique, à la ceinture de chasteté. Sans trop hésiter, il clipsa la ceinture en la serrant le plus possible. Elle était large et lui faisait une taille très fine. Il se regarda dans le miroir de l'armoire et se fit un sourire très coquin. Il se dit qu'il devait avoir l'air d'une vraie salope comme ça. Il prit la cagoule et l'enfila. Cette cagoule avait des ouvertures aux narines, aux yeux mais elle était aussi équipée d'un bâillon- boule. La cagoule fut dure à mettre, à cause du latex très épais, et elle lui compressait le visage. Mais Julien aimait bien. Il se regarda de nouveau dans la glace. Puis la cache se mit à vibrer doucement. Il le sentit et posa ses mains au niveau de *** sexe pour chercher un interrupteur, mais il n'y avait rien. Les vibrations augmentaient progressivement d'intensité, et en même temps, se fut le plug qui se mit à vibrer, et de plus en plus fort lui aussi.

Julien se précipita sur la clé, mais il n'arrivait pas à la rentrer dans le verrou. Ce n'était pas la bonne clé! Il chercha dans l'armoire quand tout à coup il reçu une petite décharge électrique au niveau de *** sexe. Il se redressa d'un coup. Puis il reçu une autre décharge au niveau de l'anus. Les vibrations étaient très fortes maintenant. Une nouvelle petite décharge. Julien se laissa tomber sur le lit en arrière et essaya de tirer sur la ceinture pour la faire bouger, mais il n'y avait rien à faire. Les décharges étaient de plus en plus rapprochées, un coup au sexe, un coup dans l'anus. Des fois aux deux endroits en même temps. Soudainement, alors que la cage et le gode vibraient plus doucement, il y eut une décharge dans les deux endroits, de six secondes.
Julien se cambra en poussant sur ses cuisses, en mordant le bâillon boule et en gémissant très fort. Quand ça se calma, sa respiration était saccadée, il était en sueur. Il retira la cagoule, mais ne savait pas quoi faire pour la ceinture.
Il rechercha une autre clé, mais ne trouva rien. Il dut se résigner à remettre ses habits par dessus pour vite se sauver de là. Il était venu avec un pantalon jogging en lycra blanc et assez transparent, un slip dessous et un petit débardeur en lycra moulant bleu qui s'arrêtait au dessus du nombril. Il ne remit pas *** slip mais à la place un couche culotte par dessus la ceinture, enfila le débardeur et le pantalon. Non seulement la couche se voyait au travers, mais en plus elle dépassait largement au niveau de la taille. Julien voulu courir de la mai*** à sa voiture, mais avec la couche et la ceinture, ça n'était pas bien possible. Il marcha vite.

chrislebo

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#6,573
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Au moment où il allait ouvrir sa voiture, une autre voiture se gara juste à côté de la sienne. C'était la fille d'une voisine, qui avait à peu près *** âge. Il ne se connaissait que de vue. Julien lui esquissa un sourire et fit un petit signe de la main, et il vit que la jeune fille regardait ses fesses et la couche avec un sourire narquois. Julien se glissa vite dans sa voiture, démarra et partit sans demander *** reste. Il priait pour que le système ne se mette pas en marche quand il conduisait. Mais il put rentrer chez lui sans "encombres". Il se hâta dans l'immeuble, s'arrêta dans le hall pour relever *** courrier, il avait des lettres et un colis. Il entra dans l'ascenseur pour monter chez lui. Au moment où la porte se ferma, il reçu une décharge dans l'anus assez violente, puis les deux appareils se mirent à vibrer au maximum. Julien cria et se cambra, dos à la paroi. Heureusement, il n'y avait per***ne d'autre dans l'ascenseur. Les vibrations continuaient, mais Julien serrait les dents et put atteindre *** appartement. Au moment où il ferma la porte, les vibrations s'arrêtèrent, mais il reçut une nouvelle décharge au sexe. Puis plus rien.
Julien souffla un instant et chercha quelque chose pour crocheter le verrou. A chaque fois qu'il essayait, avec des trombones ou des épingles, il recevait des décharges. Il finit par se laisser tomber sur le canapé et se mit à pleurer. Il s'en voulait d'avoir cédé à la tentation comme ça. Puis il se dit qu'il fallait qu'il se calme, qu'il pense à autre chose avant de s'énerver et de faire n'importe quoi. Il allait réfléchir pour trouver une solution. Il se força à s'intéresser à *** courrier. Des factures et des publicités. Comme d'habitude.
Et le paquet. Il n'avait rien commandé. Il l'ouvrit, et sur le dessus, il y avait un DVD et l'inscription "à lire en premier". Il le posa à côté puis sortit un sachet blanc avec quelque chose dedans. Il l'ouvrit. Il reconnu la matière au toucher. Il en sortit un habit en latex transparent qu'il déplia.
C'était une combinai***. Elle couvrait tout le corps, les mains et les pieds et remontait bien au cou. Julien prit le DVD et le mis dans lecteur intégré à sa télé. Une vidéo se mit en route. Il resta bouche bée quand il se reconnu. Il avait été filmé la semaine dernière chez ses amis. On le voyait se déshabiller et s'habiller en latex, s'allonger sur le lit, se caresser et jouir. Ensuite un texte défila à l'écran. Le message lui disait qu'il avait été filmé la semaine dernière et s'il était venu aujourd'hui il avait de nouveau été filmé. Il lui disait aussi que pour éviter que ces vidéos ne tombent entre les mains de ses parents, il devait mettre les habits en latex qu'il recevrait, même en public; il n'y avait rien d'autre comme contrainte. Le message expliqua pour finir que si il avait essayé la ceinture de chasteté aujourd'hui, il trouverait la clé au fond scotchée du paquet. Il se jeta sur le carton et prit la clé. Il ouvrit la ceinture et s'enleva doucement le plug et sorti *** sexe endolori de la cage.
L'écran qui était resté noir à la fin du message en afficha un nouveau, lui ordonnant de mettre uniquement la combinai*** qu'il avait reçu, un jogging noir ainsi qu'un polo noir sans manche. Avec ça, il devait mettre des tennis. Il devait se rendre accoutrée ainsi dans une certaine boutique où des chaussures plus adéquates avaient été commandées à *** nom. Julien hésita, puis se déshabilla. Une fois nue, il enfila la combinai***. Elle avait déjà été enduite de cette huile siliconée qui la rend brillante. Julien alla se voir dans le miroir de la salle de bain. Il avait sur lui une seconde peau en plastique. Ça l'embêtait de le reconnaître, mais il se trouvait bien dedans. Il se caressa.
Une fois qu'il eut jouit, il se mit à la recherche d'habits correspondants le plus à ce qui lui été demandé de porter. Il se regarda dans le miroir. Il se trouvait hyper sexe, limite vulgaire, mais se qu'il n'aimait pas, c'est que la combinai*** et la brassière lui aplatissaient trop le sexe, déjà petit.
chrislebo

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#6,574
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Il s'en alla à la boutique. Il dut traverser quelques rues. Il eut droit à quelques sifflets et railleries de gars assis en terrasse de bars, il sentait les regards vicieux des hommes et ceux accusateur des femmes sur elles.

Il entra dans la boutique dans laquelle il n'était jamais venu. La vendeuse l'appela pourtant de suite pas *** nom et *** prénom. Elle lui demanda de s'asseoir et des quitter ses tennis pendant qu'elle allait chercher ce qu'elle avait pour lui. Elle revint quelques instants après avec une grande boite. Elle en sortit des sortes de cuissardes qui étaient plus un mélange de talons aiguilles et de bas en latex noirs. La vendeuse lui fit essayer. Elle l'aida à les enfiler. Vu qu'elles étaient déjà latexées, c'était assez facile à mettre. La vendeuse ne paraissait pas choquée de voir Julien dans cette tenue. Elle était habillée d'une robe longue en lycra. Julien voyait par transparence qu'elle avait dessous un string noir et une brassière noire. Quand la vendeuse se pencha, Julien aperçu par l'ouverture du dos nu que la brassière était en latex... Voilà pourquoi elle n'était pas choquée de voir quelqu'un avec cette matière. Les bas en latex des cuissardes remontaient jusqu'en dessous de fesses.
Ils étaient mats. La vendeuse prit un aérosol et pulvérisa de l'huile siliconée dessus. Julien senti le froid. La vendeuse étala l'huile en massant le latex avec ses mains. La vendeuse lui dit de marcher un peu pour voir si ça lui allait. Julien n'était pas très à l'aise avec les talons très hauts et très fins. Il était obligé de se cambrer, et sa démarche faisait vulgaire. Il fit quelques pas et la vendeuse lui dit qu'ils devaient aller dans l'arrière boutique car elle avait autre chose à lui remettre. La vendeuse passa devant et Julien la suivit, du mieux qu'il put. Elle ouvrit une porte métallique qui paraissait lourde et entra, suivie de Julien. C'était une sorte de couloir qui menait à une pièce plus grande. Dans la pièce, il y avait deux fauteuils, dans laquelle la vendeuse invita Julien à s'asseoir. Elle lui servit un verre de jus d'orange et sorti une pochette plastique. Elle s'assit face à Julien et ouvrit la pochette. Elle en sorti un corset en latex très épais noir et rouge. Julien devait le mettre avant de repartir. Elle aida Julien à quitter *** jogging et polo, et lui mit le corset par dessus la combinai*** transparente. Elle lui fit rentrer le ventre et souffler pour le creuser le plus possible. La vendeuse serra tellement la taille que Julien avait du mal à respirer. La vendeuse lui dit qu'il allait vite s'y habituer. Julien commença à se sentir fatiguée, ses paupières devinrent lourdes. Il regarda le jus d'orange, puis la vendeuse.
Celle-ci laissa glisser sa robe à ses pieds. Elle était en sous vêtements en latex. Julien la vit sortir une seringue et des outils d'un tiroir et elle piqua le bras de Julien, qui sombra dans un sommeil profond.

Quand il émergea, Julien ne voyait pas grand chose. Il comprit qu'il avait une cagoule en latex sur la tête. Cette cagoule avait de petites perforations au niveau des yeux, des narines et de la bouche. Il commença à se redresser mais il sentit une douleur au niveau de sa poitrine. Il perdit connaissance. Quand il se réveilla réellement, il avait toujours la cagoule. Il se redressa pour se relever et il sentit sa poitrine lourde. Il regarda et toucha ses seins, une vraie poitrine de femme, ils étaient devenus gros comparés à leur taille normale, et à chaque téton pendait un anneau. Julien cria. La porte de la sorte de chambre sans fenêtre où il se trouvait s'ouvrit. La vendeuse entra, mais dans une tenue d'infirmière en latex blanc. Elle expliqua à Julien que pour pouvoir continuer, elle avait du subir quelques transformations, mais que d'autres viendraient. Julien demanda ce qu'elle entendait par continuer, et qu'il ne voulait pas continuer quoi que ce soit.

chrislebo

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#6,575
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Calmement, la vendeuse infirmière lui répondit qu'il n'avait plus le choix maintenant, qu'il était rentrée dans une longue spirale qu'il l'amènera à la perfection. Elle aida Julien à se lever et l'emmena devant un grand miroir.
Julien avait aux pieds des ballets boots. Il avait beaucoup de mal à marcher. Il découvrit *** nouvel aspect. Julien était nue, mis à part la cagoule. Elle observa *** corps. Ses seins avaient été gonflés et percés, à la place de *** pénis : un sexe de femme, aux lèvres de *** sexe pendaient une multitude d'anneaux, et sa taille était aussi fine qu'avec le dernier corset qu'on lui avait mis, sauf... qu'il n'avait pas de corset! Julien se débattit et voulu s'enfuir en courant, mais les ballet boots la gênait trop. Un homme entra. Il était très musclé et portait un boxer ainsi qu'un débardeur avec cagoule intégrée en latex noir. Il saisit Julien et l'emmena jusqu'à une sorte de lit et avec l'aide de l'infirmière ils l'attachèrent. Le lit pouvait pivoter et se redresser. Julien se retrouva bientôt vertical, face à un autre grand miroir.
L'homme sortit d'un tiroir une série de poids. L'infirmière expliqua à Julien, "du moins maintenant c'était Julie *** prénom", qu'il allait tester la solidité de ses anneaux et que si elle avait mal elle pouvait toujours crier, mais que l'endroit était parfaitement in***orisé. L'homme accrocha des poids aux anneaux des seins, puis à chacun des anneaux des lèvres de *** sexe. Après avoir torturé un moment Julie, l'infirmière lui fit une injection. De nouveau le noir.

Quand elle reprit conscience, Julie se découvrit des seins de la taille de gros melons. La peau était distendue, les anneaux toujours là. Sa taille était encore plus fine, et les lèvres de *** sexe n'avaient plus d'anneaux, mais étaient...
cousus !

Julie se trouvait encore dans le lit vertical. Elle hurla. L'infirmière arriva.
Elle portait une combinai*** en latex bleu avec des ouvertures aux seins. Des seins généreux en sortaient, percés eux aussi. Elle lui expliqua qu'elle avait profité de la chirurgie elle aussi. Ensuite elle lui expliqua qu'elle allait lui enlever sa cagoule pour lui montrer *** nouveau visage, car ils lui avaient apporté quelques petites retouches esthétiques d'une part, mais aussi pour lui couper l'envie de rentrer chez elle et de se plaindre. Elle enleva délicatement la cagoule. Julie n'en cru pas ses yeux. Elle avait l'impression de voir quelqu'un d'autre. Ou plutôt quelque chose d'autre... Elle n'avait plus un cheveux ou un poil nul part. *** crâne était lisse. Ses sourcils n'existaient plus, ses paupières avaient été comme taillées, ses yeux paraissaient globuleux et ronds, comme les poupées. Elle ne pouvait presque plus les bouger. Sa bouche avait été transformée aussi. Elle n'avait plus aucune dent et ses lèvres avaient tendance à dessiner un "O" tous seuls. Elles avaient été gonflées. A *** nez pendait un anneau planté dans la paroi nasale. Elle était méconnaissable.
L'infirmière lui expliqua que ses tendons d'Achille avaient été sectionnés pour qu'elle ne puisse pas courir et que si elle criait trop, ses cordes vocales subiraient le même traitement. Elle lui dit qu'il ne restait plus qu'une étape.
L'homme musclé arriva et détacha Julie. Il lui mit un collier de chien, y accrocha une laisse et la traîna derrière lui. Elle avait vraiment du mal à marcher. Elle devrait toujours se déplacer avec ces ballets boots maintenant.
L'homme l'entraîna dans un couloir. L'infirmière les suivait. Ils s'arrêtèrent devant une grande vitre. Il y avait un homme à quatre pattes dans la pièce.
Julie reconnu *** ami. L'infirmière expliqua que c'était un de ses esclaves depuis longtemps et qu'il était chargé de lui ramener des sujets compatibles à ses projets et qu'elle allait le remercier tout de suite de lui avoir apporté Julie sur un plateau. *** beau-père était dans une combinai*** en latex noir, il n'y avait que sa tête qui n'était pas recouverte. Il avait un bâillon-boule dans la bouche. L'infirmière entra dans la pièce et Julie la vit prendre un gode ceinture. Le gode était énorme. Elle se le mit puis elle vint se placer à genoux devant l'homme à quatre pattes. Il lécha le gode et le mouilla de sa salive.
Elle se leva et vint se positionner de nouveau à genoux derrière lui. Elle pressa le bout du gode contre *** anus et commença à le pénétrer doucement.
Julie se rendit compte qu'il devait vraiment en avoir l'habitude car le gode d'un diamètre énorme rentra facilement dans *** anus. Elle accéléra la cadence jusqu'à le secouer vraiment.

chrislebo

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#6,576
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L'homme musclé tira Julie par la laissa stoppant net cette vision. Il l'amena dans une pièce dans laquelle se trouvaient des appareils et un grand cylindre avec une partie vitrée. Il enleva le collier à Julie et ses ballet boots. Il lui mit des gants et des chaussettes en latex rouges. Sur la tête, il lui mit une cagoule rouge elle aussi mais elle était anatomique. Elle épousait les formes de sa tête, de sa bouche, de ses yeux. Du plafond descendait un tuyau souple dont il lui mit l'embout dans la bouche. Il mit des sortes de petits bouchons dans les narines et lui apposa sur les yeux des sortes de lunettes de natation, mais sans lanières. Il lui accrocha ensuite les pieds en position jambes écartées à des anneaux fixés au sol, et les bras à des chaînes qui pendaient accrochés à niveau d'épaule au murs de chaque côtés. Julie était donc bras et jambes écartés et respirait par le tube. Avec un ******** à peinture, il lui enduisit ensuite le corps d'une couche de latex liquide rouge. Julie resta ensuite plusieurs heures suspendue, quand l'homme revint remettre une couche. Julie était maintenant complètement recouverte de latex rouge. Dans les moindres recoins.
Quand le latex fut sec, l'homme vint avec l'infirmière et ils détachèrent Julie.
Ils l'installèrent dans le caisson cylindrique. Ils changèrent les sortes de lunettes de Julie, lui remirent un autre tube qui venait du caisson dans la bouche. Ils lui dirent de bien rester au centre du cylindre, que ça n'allait pas durer très longtemps. Julie entendit une sorte de turbine se mettre en route doucement. Cela dura un petit moment, puis il y eu une sonnerie et l'homme appuya sur un gros bouton rouge. A ce moment, une violente rafale d'air extrêmement chaud traversa le cylindre. Puis un liquide tiède envahit de suite après le caisson. Julie crut mourir. Elle resta un moment dans le liquide où elle sombra dans l'inconscience.

Quand elle se réveilla, elle était sur le lit. L'infirmière vint l'aider à se lever et l'amena devant le miroir. Elle lui expliqua que maintenant sa peau et le latex avaient fusionné, qu'elle serrait comme ça le restant de sa vie. Julie se regardait, elle était devenue une poupée de latex vivante. Le latex faisait partie d'elle. Elle lui expliqua aussi que maintenant le sexe lui était interdit, ses lèvres avaient été cousues, mais elle pouvait toutefois toujours uriner. Les seuls plaisirs qu'on lui laisserait si elle le mérite, seraient la sodomie où de sucer des queues d'hommes ou autres... Julie, qui avait toujours eu un comportement plus ou moins soumis accepta rapidement sa nouvelle condition et fut rééduquée en tant que poupée sexuelle vivante...
chrislebo

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#6,577
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Le Détective


Je m'appelle Eric. J'ai 55 ans, je suis divorcé. Pendant plus de 25 ans, j'ai été flic. Aujourd'hui, j'ai ouvert une agence de détective privé... Enfin, agent privé de recherche, c'est la dénomination officielle. J'enquête sur l'espionnage industriel, les per***nes disparues et bien sur les femmes, ou maris, infidèles. Justement, la femme que je suis en train de suivre aujourd'hui a un amant. Du moins, c'est *** mari qui le pense et il m'a demandé d'amasser des preuves. Elle s'appelle Caroline, 41 ans. Très belle. Blonde, grande, fine et élancée. Très bourgeoise. Je suis en train de la suivre au volant de ma voiture depuis *** départ de chez elle. Elle habite un superbe hôtel particulier en plein cœur du XVIème. *** mari est avocat international, pas souvent là, mais des revenues confortables, très confortables. Elle stoppa et fit un créneau garant sa BMW Cabriolet. Je fis de même, trouvant une place par miracle! Je m'emparais de mon appareil photo numérique équipé d'un puissant téléobjectif. J'allais devoir prendre des preuves de l'adultère. Enfin si adultère, il y avait. Caroline ouvrit la portière et descendit de *** cabriolet exhibant par la même occasion ses jambes gainées de noirs. Sa jupe se retroussa dévoilant des cuisses fuselées. Elle referma la portière et se dirigea vers un café. Ses talons aiguilles claquant sur le trottoir. Elle s'assit à la terrasse du café et croisa les jambes. Je traversais la rue et entrais dans l'immeuble en face du café. J'avais une vue superbe sur Caroline et malgré la distance, grâce à mon télé, je ne pouvais pas rater les photos. Il ne me restait plus qu'à attendre...


Je n'attendis pas longtemps. Un type grand, la quarantaine sportive, élégant, vint s'asseoir à coté d'elle. Ils s'embrassèrent fougueusement. Caroline lui prenant la nuque. Clic, première photo, première preuve, ça commençait très bien. Le garçon s'approcha et ils commandèrent des cafés. Le type posa une main possessive sur la cuisse de Caroline et remonta la main. Caroline pouffa et je la vis distinctement poser sa main sur la sienne pour l'arrêter. Mais le bellâtre n'a pas l'air d'accord du tout. Il continue, remontant la jupe le plus haut possible. J'aperçois l'attache d'un porte-jarretelles. Le garçon revint à ce moment là et je fus persuadé, à voir sa tête, que lui aussi, il avait vu. Caroline repoussa précipitamment la main de *** amant. Elle est toute rouge. L'homme l'embrasse de nouveau, ses mains ***t vraiment baladeuses. Je n'en perds pas une miette et je commence à avoir la trique. Caroline décroisa ses jambes, visiblement à la demande de *** amant, et elle entrouvrit légèrement les cuisses. Je n'en pouvais plus! Quelle salope! Soudain, l'homme se leva et prenant Caroline par la main, il l'entraîna dans le café!

chrislebo

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#6,578
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Je restais un instant décontenancé, merde... Je fais quoi moi maintenant? Je sortis de l'immeuble et me précipitais vers le café. J'allais voir le garçon.
- Dites moi, le couple qui était en terrasse...
Il m'interrompit avec un clin d'œil...
- La bourgeoise qui montre à tous le monde qu'elle a un porte-jarretelles?
Je lui adressais un sourire complice...
- Elle même...
- Ils ***t descendus en bas, aux toilettes...
Je descendis le plus silencieusement possible les escaliers. J'arrivais aux dernières marches quand j'entendis Caroline chuchoter:
- Non attends! Tu es fou, on pourrait venir...
- Je m'en fous, j'ai trop envie, ma chérie...
Je jetais un rapide coup d'œil. Caroline se débattait dans les bras de *** amant, qui tentait de lui relever sa jupe... Il appuya sur ses épaules et elle se retrouva accroupi devant lui, exhibant *** cul.
Elle s'activait de ses doigts manucurés sur la braguette du pantalon de *** amant et elle en sortit *** sexe déjà gonflé.
- Suce moi, caroline...
- Oh, Alain, qu'est ce que tu me fais faire....
Elle ne semblait pas spécialement choquée ceci dit... J'étais caché par un pan de mur et je commençais à mitrailler. Caroline engouffra la bite d'Alain dans sa bouche. Ses lèvres rouges s'arrondissant autour du sexe. Les joues déformées par l'épaisseur, elle commença la fellation. Sa tête montant et descendant sur la bite dressée. Alain appuyait sur la tête de Caroline qui avalait entièrement la queue de *** amant. Il donnait des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans sa bouche.
- Vas y ma chérie, suce moi...
Caroline gloussa et le pompa avec encore plus d'énergie. Je prenais des tonnes de photos et je bandais comme un cerf. Caroline sortit le sexe de sa bouche et lui titilla le gland avec sa langue. Elle lécha la hampe et replongea dessus, salivant sur la bite. De *** autre main, elle lui malaxait les couilles. Soudain, Alain la releva et la poussa vers le mur. Elle poussa un petit cri quand farfouillant sous sa jupe, ses doigts s'enfoncèrent dans sa chatte. Il faisait coulisser *** index et *** majeur et Caroline secouait la tête de droite à gauche en gémissant. Puis, s'accroupissant devant elle, il entreprit de lui lécher la fente la faisant gémir de bonheur. Elle posa sa main sur la tête de *** amant. Le salaud lui bouffait la chatte. Ma petite bourgeoise gémissait sans discontinuer. Alain se releva et de nouveau poussa Caroline vers le lavabo. Il la courba en avant, releva la jupe autour de sa taille et l'embrocha d'un coup arrachant un cri rauque à Caroline. Les mains posées sur ses hanches, il se mit à la pilonner violemment. Je photographiais Caroline en train de se faire défoncer par *** amant dans ces toilettes sordides. Le mari allait apprécier... Alain pilonnait Caroline qui poussait des feulements, ondulant de la croupe. Le ventre de *** amant venait claquer contre ses fesses qui tressautaient à chaque coup de reins. Il accéléra soudain la cadence la faisant gémir encore plus fort et il sortit précipitamment, retournant Caroline qui s'accroupit d'instinct et avala le sexe de *** amant. Elle le pompa quelques minutes et il éjacula avec un grognement lâchant sa semence dans sa bouche.

chrislebo

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#6,579
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Ayant photographié toute la scène, je remontais précipitamment et tout aussi discrètement les escaliers. J'étais content de moi. J'avais la preuve que Caroline avait un amant. *** mari allait être ravi... Enfin, si on peut dire...J'attendais la sortie du couple adultère. Caroline ne tarda pas, elle c'était refait une beauté, redevenant une sage bourgeoise bcbg, femme aimante et mère de famille exemplaire. Elle regagna *** Cabriolet et repris la route de *** hôtel particulier. Je la suivais, encore sous le choc de ce que je venais de voire. Bandant comme un fou, je ne rêvais que d'une seule chose: baiser à mon tour cette superbe bourgeoise....


Caroline rentra chez elle directement; J'attendais un peu dans mon véhicule. Hésitant sur la conduite à tenir. Bien sur, je devrais rentrer chez moi, écrire mon rapport pour le mari cocu et lui remettre... mais... Il y avait peut être une autre solution qui s'offrait à moi. Je pris ma décision et je montais voir Caroline.

Elle ouvrit et sembla surprise en me voyant.
- Monsieur?
- Bonjour madame, dis je d'un ton poli, je suis détective privé, puis je entrer?
Elle resta un instant immobile, figée...
- Détective? Mais...
- Comme à la télé oui, je peux?
Et je rentrais, la poussant presque. Elle protesta énergiquement.
- Mais pour qui vous prenez vous, enfin!
- C'est votre mari qui m'a engagé.
Je la vis distinctement blêmir sous *** maquillage. Elle balbutia:
- Comment, mon mari? Mais... Je ne vois pas... Pourquoi...
- Vraiment? Vous ne voyez pas chère madame dis je avec un sourire en coin.
Je lui montrais les photos sur l'écran de mon appareil. Je crus qu'elle allait s'évanouir.
- Votre époux va être très déçu de votre attitude, il est très amoureux. Il demandera le divorce, tous les torts seront pour vous, vous n'aurez pas de pension alimentaire...
- Que voulez vous? demanda t'elle d'une voix blanche...De l'argent?
- Non, c'est vous que je veux...
Elle recula terrorisée.
- Comment ça?
- Je veux vous baiser!
Elle me regarda, essayant sans doute de voir si j'étais sérieux ou non. Mon expression dut la convaincre que je ne plaisantais pas.
- Obéit! Si tu ne veux pas que ton mari reçoive mon rapport et qu'il continue de croire que t'es une bonne épouse.
Blanche comme un linge, Caroline remonta sa jupe dévoilant le porte-jarretelles. Elle ne portais pas de string sous sa jupe.
- Pas de sous vêtements? Déjà prête pour se faire enfiler, t'es une vraie salope...
Elle rougit violemment mais ne dis rien. Je lui demandait de marcher dans l'immense salon. Ses talons claquaient sur le parquet. Puis elle dut ouvrir *** chemisier de soie dévoilant ses seins empri***ner dans un soutient gorge en satin. Je prenais des photos d'elle. Cambrée sur la table, cul à l'air. A genoux, langue pendante. Cambrée sur ses talons, ouvrant *** cul à deux mains. Puis, je la poussais vers un guéridon et la cambrait en avant. Je sortis ma bite et l'enfilais sans ménagements. Elle poussa un gémissement. Je la défonçais comme un fou, haletant, lui donnant de furieux coups de reins. Caroline gémissait et le guéridon grinçait. Trop exciter, je ne tardais pas à jouir, lâchant mon sperme sur ses cuisses et ses bas de luxe.


Je me rajustais et Caroline se releva. Elle voulut baisser sa jupe mais je l'en empêchais. Je l'obligeais à me raccompagner sur le palier, jupe troussé, seins à l'air, mon foutre souillant ses cuisses.
- A bientôt, Caro.
Paniquée, elle gémit:
- Mais... Vous ne me donner pas les photos?
- Pas tout de suite... On va se revoir, une salope comme toi, je ne vais pas te laisser tranquille. On va bien s'amuser, ma chérie. A partir de maintenant, t'es disponible pour moi, quand je veux, ou je veux et surtout avec qui je veux....
Je partis dévalant les escaliers abandonnant cette femme de bonne famille, respectable et respectée que je comptais bien transformer en pute....


chrislebo

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#6,580
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Maintenant que je tenais cette salope de bourge, je comptais bien lui en faire baver. Les affaires n'allaient pas très fort en ce moment et je commençais à me dire que j'allais me lancer dans une activité beaucoup plus lucrative. Caroline pouvait me ramener un max de blé après un dressage intensif... Et le dressage allait commencer tout de suite. Je montais chez elle et ***nais à sa porte. Elle devint blanche en me reconnaissant et j'entrais. Elle se tenait devant moi les bras ballants. Elle portait un pull fin moulant sa poitrine et une jupe courte sur des bas couleurs chair.
- Bien dormi Caro? demandais je, ironique.
Elle me fusilla du regard mais ne répondit pas. Je sortis une caméra numérique et lui montrait.
- Tu sais que je possède des clichés compromettants, n'est ce pas? Si tu ne veux pas que ton mari les retrouve sur *** bureau, tu devras m'obéir. Tu feras tout ce que je te demande sans rechigner.
Elle baissa la tête et bafouilla...
- Oui...Je ferais tout ce que vous voudrez...
- On va commencer par faire un film!
Elle rougit violemment.
- Marche un peu dans le salon, ondule du cul, comme une chienne en chaleur...
Elle obéit et elle avança dans *** salon pendant que je la filmais.
- Retrousse ta jupe...
Elle s'exécuta et j'arrêtais net de filmer!
- T'as mis des collants! Viens par ici.
Effrayée, elle s'approcha de moi, j'avais parlé d'un ton sec et elle appréhendait ce qu'il allait lui arriver. Je l'agrippais par les cheveux et l'emmenais vers le guéridon ou je l'avais baisée hier. Je lui fessais le cul violemment à travers le nylon. Elle criait, sanglotant. Je lui déchirais *** collant qui se retrouva en lambeaux.
- je t'interdis de mettre des collants sauf sur mes ordres! Que des bas et des porte-jarretelles! Pareil pour les sous-vêtements, que sur ordre. Tu dois toujours être disponible, comme une bonne putain... D'ailleurs vient par ici, montre moi ta chambre, je vais faire le tri dans tes fringues...
Elle se releva et me conduisit vers sa chambre à coucher.
Dans le couloir, j'aperçu la laisse d'un chien posé sur une petite table.
- t'as un chien?
Elle me regarda, surprise.
- Euh...Oui, Milou.
- Il est ou?
Je venais d'avoir une idée.
Caroline cria et *** chien apparut, remuant la queue. C'était un épagneul noir. Il grogna en me voyant mais des que je lui caressai la tête, il se calma. Je me penchais et lui enlevais *** collier.
- Tiens salope, maintenant, c'est toi la chienne.
Je mis le collier autour du cou de Caroline et lui accrochait la laisse. Elle baissa les yeux, honteuse.
- Allez! A quatre pattes, comme une chienne!
Elle réprima un sanglot et s'exécuta. Je tirais sur la laisse et elle me suivit la jupe troussée dévoilant *** cul. Milou nous suivait et par moment je le voyais qui essayait de renifler le cul de sa maîtresse.
Nous montons les escaliers, ce qui ne fut pas évident pour chienne Caroline qui peina. Je lui fessais le cul avec la laisse pour la faire accélérer. Elle gémissait de honte et de dégoût chaque fois qu'elle sentait la truffe de Milou reniflant *** cul ou sa fente.
- Oh...Je vous en supplie, écartez mon chien ...
- Pourquoi, il a droit à *** petit plaisir lui aussi...
Nous arrivons dans sa chambre et je me dirige vers sa penderie. Je fais le tri rapidement dans ses vêtements. Je jetais d'office tous les pantalons, je ne la voulais plus qu'en jupes. Je jetais également les jupes trop longues. Je jetais aussi tous les sous-vêtements qui n'étaient vraiment pas sexys. Dieu merci, ils n'y en avaient pas beaucoup. Caroline appréciant visiblement la lingerie fine. Idem pour les chaussures, je me débarrassais de tout ce qui n'était pas des talons aiguilles...
Ce fut Caroline elle-même qui dut aller chercher un sac poubelle et y fourrer tous ses vêtements. Nous redescendons ensuite l'escalier. Caroline toujours tenue en laisse, tenant entre ses dents le sac poubelle.
chrislebo

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#6,581
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Revenue dans le salon, je veux terminer mon film. Je donne des instructions à Caroline.
- Retire ta jupe et ton pull. Dis-je tout en filmant.
Elle retira sa jupe dévoilant ses jambes fines et se débarrassa des restes du collant déchiré. Elle se retrouva en soutien-gorge devant moi.
- Enlève moi ça!
Elle passa les mains dans *** dos pour dégrafer le sous-vêtement. Ses seins apparurent ronds et fermes.
- Tire sur tes pointes!
Elle obéit, se mordant les lèvres tous en se pinçant les bouts. Ses pointes devinrent vite rouges.
- Retire ton slip maintenant...
Elle ôta *** slip ne se retrouvant plus qu'avec ses talons aiguilles. Elle tenta dans un geste de pudeur de cacher sa fente.
- Enlève tes mains! Mets les sur ta tête!
Elle n'eut pas la ***** de résister et elle se retrouva les mains sur la tête s'exhibant sans retenue.
Je filmais en gros plan sa chatte. Elle voulut serrer ses cuisses et je lui ordonnais de les écarter.
- Accroupis toi, montre tout.
Je lui fis tirer sur ses poils et écartés ses lèvres intimes. Elle s'exécuta en hoquetant de honte... Elle plongea ses doigts dans sa fente et les retira, les montrant à la caméra. Ils étaient humides...
- Tu mouilles ma salope! ça te plaît d'être exhibée comme une pute...
Je lui fis prendre des positions obscènes. Debout, jambes écartées au maximum, dévoilant sa chatte. Penchée en avant pour je puisse filmer *** trou du cul. Allongée sur le sol, jambes relevées et bien écartées exposant ses lèvres intimes. Je lui ordonnais de se toucher la chatte et elle réprima un sanglot, me suppliant de lui épargner cette ***********.
- C'est justement de t'humilier qui me fait bander, alors obéit!
Caroline se caressa devant la caméra, s'enfonçant deux doigts dans *** vagin et massant du pouce *** clitoris. Elle gémissait, trempée.
- Arrête toi salope! Tu vas jouir...
Caroline s'arrêta, le souffle court. Je lui ordonnais de se relever et lui palpait le corps sous toutes les coutures. Enfonçant mes doigts dans sa fente, *** trou du cul puis dans sa bouche. Elle salivait sur mes doigts. Je triturais ses seins, jouant avec, suçant les bouts. Je la tirais par la laisse et la forçait à se mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Je positionnais la caméra de façon à filmer Caroline. Celle-ci attendait, passive, soumise. Je la cambrais en avant et touchai sa vulve, étirant ses lèvres. Elle poussa un gémissement. Je me dégrafais sortant mon sexe qui me faisait mal tellement il était dur. Je m'enfonçais dans sa fente et Caroline poussa un petit cri. Je la pris par les cheveux et je la limais ***********. Mon gros ventre allait buter contre ses fesses. Ses seins ballottaient. Je fis encore plusieurs va et vient et je ressortais brusquement. J'enfonçais mon index dans *** anus et Caroline tressailli.
- Non, non... Pas ça, je vous en supplie, je n'ai jamais été...
J'éclatais de rire.
- T'as jamais été enculée? Tu vas voir, tu vas adorer!
Je tournais mon doigt dans *** trou du cul, le faisant coulisser de plus en plus vite. Je pointais mon gland sur l'ouverture des reins et je la pénétrais d'une ******* poussée la faisant crier de douleur. La tenant solidement aux hanches, je la ramonais violemment. J'entendais les halètements de Caroline. Je ressortais ma bite et replongeait dans le cul de cette bourgeoise friquée avec un plaisir sadique. Elle ondulait du bassin, bougeant ses reins, s'empalant d'elle même sur ma queue. Elle secouait la tête dans tous les sens, gémissant sans discontinuer. Sentant le plaisir monter dans mes reins, je sortis précipitamment et allait devant le visage de Caroline. J'éjaculais, lâchant des traînées de sperme qui allèrent s'écraser sur *** front et *** nez...


Je lui ai dit que j'allais mettre le film sur internet et elle a eu l'air terrifiée. Pour y avoir déjà été, je savais qu'il existait des sites ou on pouvait prendre contact avec des mecs pour des gangs-bangs ou des soirées d'abattage, je comptais bien y emmener chienne Caroline pour sa formation avant de la mettre sur le trottoir... Il faudrait que je mette aux points les tarifs... Je lui demandais *** numéro de téléphone portable pour la joindre plus facilement. Elle me le donna sans protester...
chrislebo

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#6,582
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Le lendemain, je laissai tranquille Caroline ce qui me permis de créer un blog sur le Net que j'intitulais « Chienne Caroline ». Je mis en ligne les photos et le film. Je mettais également une annonce pour recruter des mecs de toutes races, du moment qu'ils étaient TBM, très bien montés... J'indiquais également que je recherchais des endroits tel que cave, entrepôt, sauna, bar, pour y organiser des soirées d'abattage. J'appelais ensuite un pote à moi, Franck qui travaillait dans un commissariat de quartier. Je l'avais connu quand je faisais encore parti de « la Grande Mai*** ». Nous nous entendions bien tous les deux à l'époque surtout pour aller sauter les putes qu'on embarquait sans vraiment leurs demander leurs avis. On en avait même racketté quelques unes. C'est suite à une plainte de l'une d'entre elles que j'avais du quitter la Police, mais je n'avais jamais dénoncé Franck.



J'ai donné rendez vous à Franck chez moi. Il débarque et je lui montre sans tarder le blog.
- C'est qui? Tu la connais? me demanda-t-il en matant le film mettant en scène Caroline.
Je lui expliquais toute l'histoire.
- Ca doit très excitant de soumettre une bourgeoise des beaux quartiers, me lança t'il.
- Tu vas pouvoir t'en rendre compte par toi même, je vais l'appeler...
Je composai le n° du portable de Caroline. Elle répondit très vite.
- Salut salope, tu t'habilles sexy et tu viens chez moi immédiatement...
J'entendis Caroline bafouiller des excuses.
- Mais... Mais, ce n'est pas possible, j'ai déjà des rendez vous...
- Tu les annules! Tu mettras le tailleur noir sexy que j'ai vu dans ta penderie hier, aucuns sous-vêtements à part un porte-jarretelles. Et tu amèneras ta laisse et ton collier...
Je lui donnai mon adresse dans le 1er arrondissement.



La ***nerie de la porte d'entrée retentit à 14h précise. J'allais ouvrir. J'avais déjà installé la caméra de façon à tous filmé. Franck était complètement excité à l'idée de baiser une bourgeoise salope...
Caroline entra vêtu de *** tailleur noir cintré. Ses longues jambes gainées de bas fumés émergeaient de la jupe courte. Ses talons aiguilles vernis la faisaient paraître encore plus grande. Elle s'était fais un chignon la rendant encore plus distinguée. Je la détaillais de haut en bas ce qui fit rougir Caroline.
- Soulève ta jupe!
Elle me regarda, affolée, jetant un œil vers Franck qui l'observait, goguenard.
- T'inquiète! C'est un copain...
Elle baissa la tête et leva lentement la jupe de *** tailleur chic dévoilant des bas accrochés aux jarretelles. Elle retroussa sa jupe entièrement, elle ne portait pas de string.
Je jubilais intérieurement! Elle m'avait obéit...
Franck s'approcha de Caroline et lui posa la main sur les fesses. Caroline sursauta et tenta de se dégager.
Fou de rage, je me jetais sur elle, l'agrippant par le bras.
- Ca ne va pas non! T'es une pute, ma pute! Si je veux qu'un pote à moi te baise, tu ne dis rien!
Des larmes vinrent perler sur ses paupières...
Franck massait délicatement la vulve de Caroline. Sous la veste de *** tailleur, elle portait un haut rouge décolleté moulant ses seins. Je tirais et dégageais ses nibards que je malaxais sans vergognes. Je lui suçais les pointes. Maintenant, l'ambiance est devenue très chaude. Franck contraint Caroline à l'embrasser sur la bouche et celle ci émet une protestation étouffée.
- Non, non, laissez moi...
chrislebo

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#6,583
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Je m'approchais d'elle, l'air menaçant.
- Qu'est ce que je viens de te dire! Tu ne dois pas protester! Je te préviens, je connais des proxénètes à qui je pourrais te prêter pour qu'ils te dressent! Ils ne sauront pas aussi gentil que Franck et moi!
Caroline me regarda une lueur de panique mais aussi d'incompréhension dans *** regard.
- Des proxénètes? Mais...Pourquoi faire?
J'éclate de rire.
- Vraiment? Tu ne vois pas...
Elle blêmit nettement en comprenant que *** petit univers tranquille de bourgeoise oisive venait de s'écrouler définitivement.
- Mais... Ce n'est pas possible, bafouilla t'elle, vous voulez me prostituer?
- En échange de mon silence, oui.
Caroline eut alors une réaction que je n'avais pas prévue, elle fit demi-tour et elle voulut s'enfuir, courant maladroitement sur ses talons aiguilles.
Franck et moi nous la rattrapons et nous empoignons Caroline qui se débat. Nous l'entraînons dans ma cuisine.
- A poil, salope!
Terrorisée, elle s'exécute. Tremblante, elle enlève la veste de *** tailleur et *** haut moulant. Elle retire sa jupe ne restant qu'en porte-jarretelles et talons aiguilles. Je lui demande si elle a emmené *** collier et sa laisse de chienne soumise et elle répond « oui » dans un murmure inaudible.
Franck parti les chercher dans *** sac à main. Il revint avec et accrocha le collier autour du cou de Caroline qui portait déjà un luxueux collier de perles. Le contraste entre ce luxe et ce collier en cuir de *** propre chien était très excitant. Ca plairait aux internautes. Franck accrocha la laisse à l'anneau et il s'amusa à promener sa chienne dans la cuisine. Caroline, à quatre pattes, fit le tour de la table. J'allais reprendre la caméra pour tout filmer. Franck tannait le cul de notre chienne avec sa ceinture le faisant rougir ce qui arrachait des cris de douleur à Caroline. J'arrêtais de filmer et allait prendre une serviette que je roulais en boule et enfonçais dans la bouche de Caroline qui émis un gargouillis affolée. Je dénichais du ruban adhésif et nouai le tout autour de sa tête.
- Voila, comme ça, elle ne nous emmerdera plus.
Gémissement étouffée de Caroline, mâchoire totalement déformée...
Nous la relevons et la courbons en avant sur la table de ma cuisine. Nous l'écartelons sur la table l'attachant avec le ruban adhésif. Ses poignets ***t liés aux pieds de la table ainsi que ses chevilles. Elle est totalement à notre merci... Ses jambes ***t écartées au maximum dévoilant bien sa chatte et *** cul. Je reprends la caméra et filme en gros plan et prenant toute fois bien soins de ne pas filmer nos visages ni celui de Caroline. De toute façon, au pire, je pourrais flouter les visages sur le site.


Caroline gémit et se débats dans ses liens. Je décide de mettre les choses aux points et de lui expliquer les conditions de sa nouvelle vie.
- Écoute mois salope, à partir de maintenant tu m'appelleras « Monsieur », Franck aussi. Comme tu ne travailles pas et que ton mari est souvent absent, tu viendras me voir tous les jours ou je viendrais chez toi. Pour l'instant t'es en formation, mais avec le film et les photos que j'ai déjà mis sur le site que j'ai créé, je commence déjà à avoir pas mal de demandes de rendez-vous. J'en connais beaucoup qui rêve de se taper une belle bourgeoise comme toi.
Grognement étranglé de Caroline.
- J'ai déjà mis au point les tarifs. Tu vas me rapporter une petite fortune...
- Il faudra que tu nous donne les jours ou ton mari sera absent. Lança Franck tous en fouillant dans mes tiroirs.
Il sortit une spatule en bois et sans ménagement enfonça le manche dans l'anus de Caroline qui se cabra en poussant un hurlement étouffé.
Je lui donnais des claques sur ses fesses qui rougirent rapidement. Franck fit coulisser le manche dans le cul de caroline.
Puis, il le retira et se tourna vers moi
- Il faudrait faire des achats ...On a besoin de godes, de baillons, menottes, fouets. Vêtements de putes aussi, qui soient bien vulgaires et des déguisements sexys...
- On l'emmènera dans un sex-shop demain.
Tout en discutant, nous continuons d'enfoncer divers ustensiles dans la chatte et le cul de notre bourgeoise. Je sortis un concombre et je l'enfonçais dans la chatte de Caroline. Frank filmait la scène en rigolant. Je faisais coulisser le concombre rapidement et caroline gémissait de plus en plus fort. Elle bougeait dans ses liens. Je la branlais sans ménagement, je voulais la voir jouir. Le corps de Caroline se cabra soudain et resta inerte sur la table de la cuisine, le concombre encore enfoncé dans sa fente....
chrislebo

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#6,584
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Nous détachons Caroline et lui enlevons *** bâillon improvisé. Franck voulut changer de pièces et nous retournons dans le salon. Je tiens Caroline par la laisse et elle avance à quatre pattes derrière moi, ses seins ballotant à chaque mouvement.
Elle fut contrainte de nous servir un verre de whisky. Uniquement vêtue de ses escarpins et de *** porte-jarretelles cela faisait une soubrette très sexy... À chaque passage devant nous, nous lui enfonçons nos doigts dans sa fente, et elle gémit à chaque fois, le regard chaviré.
Nous sommes assis dans mon canapé. Nous l'obligeons à s'accroupir devant nous.
- Suce-nous, salope!
Elle commença à s'exécuter quand je la rappelais à l'ordre
- Tu n'oublies rien? aboyais-je.
Elle resta un instant décontenancée...
- Heu...Non, je ne vois pas...
Frank la releva en la tirant par les cheveux défaisant *** chignon strict et elle poussa un couinement.
Il la courba sur ses jambes et lui fessa le cul violemment en criant:
- Tu dois appeler ton maitre « Monsieur », qu'on ai plus à te le dire!
Il la lâcha et elle se remit devant nous à genoux.
- Je vais vous sucer, monsieur...
Elle défit ma braguette de ses mains aux ongles vernis...
Elle eut un sursaut en voyant ma bite jaillir comme un ressort. Elle hésita et Franck dut lui frapper le cul avec la laisse pour qu'elle avance la tête vers ma bite. Mon gland heurta ses lèvres pulpeuses, se promenant dessus, elle eut une mimique dégoutée. Pendants ce temps, Franck s'accroupis et enfonce ses doigts dans sa fente faisant coulisser ses doigts.
- Quelle salope! Elle est trempée!
J'appuyais sur la tête de Caroline et elle avala ma queue avec une grimace de dégout.
Sous mon regard impérieux, elle s'applique. Je sens sa langue titiller mon gland. Elle me pompe maladroitement au départ puis de mieux en mieux. Ses joues ***t déformées par ma bite. Franck réclama sa part et elle dut s'interrompre pour le libérer. Elle nous suce à tour de rôle maintenant, alternant entre la bite de Franck et la mienne. Elle nous branle tous les deux en même temps. Elle donne des coups de langue sur la bite de Franck et ensuite suce la mienne. Sous nos ordres, elle suce nos couilles. Puis, nous la forçons à avaler nos deux bites; Les larmes aux yeux, elle tente tant bien que mal, d'accepter nos queues dans sa bouche. La mâchoire complètement déformée par l'épaisseur de nos sexes que nous enfonçons le plus loin possible dans la bouche de cette bourgeoise bien née... Elle a plusieurs fois un haut le cœur...

Nous décidons d'en finir. Nous la repous***s et nous masturbons devant *** visage. Elle ouvre la bouche et tire la langue. Je jouie le premier aspergeant ses cheveux de mon foutre. Frank me suit, libérant des trainées de sperme qui vont s'écraser sur *** front, ses lèvres, ses yeux. Comme ultime ***********, elle doit nous nettoyer la bite en nous suçant encore de longues minutes....


Caroline a remis *** tailleur bcbg, redevenant une élégante bourgeoise du XVIème arrondissement. Je lui redonne ses instructions pour demain.
- Demain, tu t'habilles encore très bourge mais toujours sans aucuns sous-vêtements. Je vais t'emmener faire des courses rue Saint-Denis dans un sex-shop. N'oublie pas ta carte bleue, c'est toi qui paie....
chrislebo

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#6,585
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Elodie est une jeune secrétaire de 24 ans qui travail dans une petite entreprise commerciale. Elle est blonde aux yeux verts clairs, les cheveux coupés au carré, elle mesure 1m65. Elle est très belle malgré quelques kilos en trop, mais qui ***t bien répartis, notamment dans ses deux gros seins bien ronds et dans ses fesses bien pleines. La patronne de l'entreprise est elle aussi assez jeune. Elle s'appelle Caroline, elle a 28 ans. Caroline est une sublime métisse d'1m68. Elle a des longs cheveux noirs, le visage bien dessiné, des lèvres pulpeuses, les yeux bruns et la taille fine. Mais malgré sa taille fine Caroline a elle aussi deux beaux seins mais plus petits que ceux d'Elodie, ainsi qu'une paire de fesses vraiment attirante. C'est simple le corps de Caroline est parfait. Caroline est une célibataire lesbienne, mais évidemment per***ne dans l'entreprise ne le sait. Cela fait deux ans qu'Elodie est la secrétaire de Caroline, et depuis deux ans Caroline fantasme sur sa secrétaire blonde. Sans jamais avoir osé passer à l'acte. Les deux femmes s'entendent très bien au travail, elles rigolent ensembles mais ne se voit jamais en dehors de l'entreprise. Elodie vivait avec *** copain depuis deux ans mais il l'a quittée la semaine dernière pour une autre fille, il lui a appris qu'il la trompait depuis plusieurs mois. Elodie est donc logiquement perturbée en ce moment, elle sourit moins, parle moins et semble moins concentrée. Caroline s'aperçoit de ces changements mais ne souhaite pas interroger sa secrétaire sur sa vie privée.

Aujourd'hui Caroline arrive à *** entreprise peu après 9h30, comme tous les jours elle salue la dizaine de salariés présent dans les différents bureaux. C'est une patronne respectueuse et appréciée de ses employés. Puis elle entre dans le bureau de sa secrétaire, c'est un passage obligé pour atteindre le sien.
"-Bonjour Elodie. Comment tu va aujourd'hui?
-Bonjour Caro ça va et toi? J'ai mis le courrier sur ton bureau comme d'habitude, il y en a pas beaucoup se matin." Vu leur peu de différence d'âge les deux femmes se tutoie. Elodie à répondu avec un sourire forcé, mais Caroline ne veut pas la questionner.
"-Ça va très bien. Ok merci pour le courrier, tant mieux si il y en a peu. A plus tard."
Caroline entre dans *** bureau pose sa veste et *** sac à main, s'assoie à *** bureau et écoute le message sur *** répondeur. Le message est celui de monsieur Martin, un important client qui est très en colère. Il reproche à Caroline de ne pas être venue à deux reprises à des rendez-vous pour affaire. Il dit qu'il va immédiatement aller chez les concurrents. Caroline est surprise par ce message car elle ne se souvient pas avoir eu de rendez vous récents avec ce client. C'est Elodie qui s'occupe de prendre les rendez vous et de les noter sur l'agenda de sa patronne. Caroline utilise l'interphone pour appeler sa secrétaire.
"-Elodie viens dans mon bureau tout de suite avec l'agenda, s'il te plait.
-J'arrive."

chrislebo

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#6,586
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Elodie prend l'agenda et entre dans le bureau de sa jeune patronne. Elle lui tend l'agenda et Caroline regarde aux pages d'hier et avant-hier. Il n'y a pas de rendez vous de notés avec monsieur Martin.
"-Dit moi, est-ce que monsieur Martin a appelé pour prendre rendez-vous avec moi récemment?
-Euh...oui avant hier et hier aussi car tu n'y es pas allé la première fois. C'est ce qu'il m'a dit.
-Pourquoi tu n'as pas marquée ces rendez-vous sur l'agenda? Et pourquoi tu ne m'en as pas parlé?
-Je croyais l'avoir fait. T'es sur que je ne t'en ai pas parlé?"
Caroline est en colère contre sa secrétaire.
"-Non tu ne m'en a pas parlé! C'est un double oublie grave tu comprends?! Monsieur Martin était un important client, tu le sais en plus!! C'est une faute professionnelle!!"
Elodie reste debout devant le bureau de sa patronne, elle ne dit rien, elle baisse les yeux. Au bout de quelques secondes des larmes commencent à perler sur ses joues. Elodie est toujours immobile, elle sanglote en silence. Caroline, qui s'aperçoit que les nerfs de sa secrétaire lâchent, se lève et s'approche de celle-ci puis lui dit sur un ton calme et posé.
"-Qu'est-ce que tu as Elodie? C'est à cause de se que je viens de te dire que tu pleure?
-Non Caro, c'est juste que je ne suis pas dans mon assiette en ce moment. Pardonne moi. Mon copain ma quitté pour une autre, j'étais cocu depuis plusieurs mois. Je sais que ça n'a rien à voir avec le travail mais j'ai du mal à me concentrer depuis une semaine. Je suis vraiment désolé."
Elodie continue de pleurer, Caroline la sert délicatement dans ses bras pour la consoler, comme le ferait une amie. Mais cela fait deux ans que Caroline fantasme sur sa secrétaire. Elodie porte une jupe moulante et un chemisier fin qui met en valeur se deux gros globes. Caroline sent se corps chaud contre elle, et cela lui donne des idées perverses, pendant qu'Elodie continue de sangloter sur *** épaule.
"-Ecoute, je crois que tu as besoin de repos, je t'accorde ta journée et si tu veux se soir tu peux venir boire un verre chez moi vers 20h. Nous parlerons de tout ça, si tu souhaite en discuter avec moi bien sur.
-C'est très gentil, merci beaucoup Caro. Je viendrai avec plaisir se soir, ça me ferra du bien de parler.
-De rien, tu sais ça fait deux ans que tu es ma secrétaire, alors si je peux te remonter le morale ça me fait plaisir. Maintenant rentre te reposer. A se soir chez moi. Repose toi bien Elodie.
-D'accord à ce soir, encore merci Caro."
Elodie quitte le bureau de sa patronne, récupère ses affaires et rentre chez elle. Caroline explique aux autres employés qu'Elodie ne se sentais pas bien sans donner plus de détails. Puis elle poursuit sa journée de travail comme si de rien n'était.

A 18h Caroline quitte *** entreprise, elle rentre chez elle, prend une douche, puis enfile une robe bleu légère, qui laisse apercevoir la naissance de ses seins et qui s'arrête au dessus du genou, ainsi si elle se baisse trop l'on aperçoit *** string assortit à la couleur de sa robe. Elle ne porte pas de soutien gorge et ajoute à cela une paire de chaussures à hauts talon qui la grandis de quelques centimètres. Puis elle attend l'arrivée d'Elodie en regardant la télé.
A 20h10 on ***ne à la porte de *** petit pavillon. La jeune métisse se lève et va ouvrir. Elodie est là, elle porte un simple jean, un t-shirt qui fait ressortir ses deux grosses mamelles et une paire de chaussures basses.
"-Bonsoir Elodie. Ça va mieux? Tu t'es bien reposée?
-Bonsoir Caroline. Oui merci. C'est très gentille de m'inviter se soir. Je suis heureuse de pouvoir parler à quelqu'un."
Elodie est toujours sur le pas de la porte. Elle regarde sa patronne. La robe bleue contraste avec la peau caramel de Caroline. Elle trouve sa patronne très élégante et se sent ridicule dans *** jean et *** t-shirt.
"-Ta robe est vraiment belle. Je suis désolé d'être habillé si simplement.
-Ne t'en fais pas. Ton t-shirt te met très bien en valeur."
Elodie rougit légèrement, elle sait que *** t-shirt laisse tout deviner de sa poitrine opulente.
"-Vient, rentre, fais comme chez toi. On ne va pas discuter sur le pas de la porte."
Elodie rentre et Caroline lui fait visiter la petite mai***, qui se compose d'une chambre, d'un bureau, d'un grand salon, d'une petite cuisine, d'une salle de bain, d'un WC et d'une cave. Les deux jeunes femmes s'installe sur le canapé et commence à discuter en buvant un verre de vin blanc.
Elodie explique ses problèmes de cœur à sa nouvelle confidente. Caroline l'écoute avec attention et la conseil comme le ferait une amie. Les deux femmes discutent pendant deux bonnes heures et la bouteille de vin est vide. Caroline fixe les seins d'Elodie. Elle a l'habitude de là voir porter des chemisiers au bureau et là dans se t-shirt moulant, les seins de sa secrétaire ***t encore plus attirants. Elle a remarquée qu'Elodie l'avait reluqué à plusieurs reprise. Alors lorsque celle-ci lui demande si elle n'est plus en colère pour ses fautes professionnelles. Caroline décide de sauter sur l'occasion pour faire une proposition à sa secrétaire, en manque d'affection.
"-Maintenant que tu m'a expliquée les rai***s de tes fautes, je ne suis plus en colère contre toi, au contraire tu peux compter sur moi pour t'aider moralement... Mais tu comprendras, que deux erreurs comme celle que tu as commises ne peuvent rester impunis. Les autres salariés ne comprendraient pas.
-Tu n'es pas sérieuse?! Je ne peux pas perdre mon emploi. Je croyais que tu voulais m'aider à retrouver le sourire?!

chrislebo

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#6,587
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-Bien sur, je suis ton amie. Mais je suis aussi chef d'entreprise. Je n'ai pas vraiment le choix, sinon je te garderai.
-Je t'en supplie! Si tu me licencie je ne m'en sortirais jamais. S'il te plaît garde moi!"
Caroline voit de la détresse dans les yeux vert clair d'Elodie. *** regard est un véritable appel à l'aide. Bien sur Caroline ne souhaite pas licencier sa secrétaire, elle veut juste la mettre dans une situation qui l'oblige à accepter *** offre. Et en voyant se regard inquiet elle se dit que c'est le bon moment.
"-Ecoute Elodie. J'ai une solution à te proposer qui pourrait te permettre de garder ta place. Mais je te préviens c'est un peu...spécial."
Elodie est encore plus inquiète.
"-Euhh... va-y propose.
-Voilà, tu es clairement en manque d'affection et de repères, tu as besoin de quelqu'un pour te guider, quelqu'un en qui tu as confiance, quelqu'un qui t'aime et qui ne te décevra pas. Je te propose de devenir ma soubrette."
Elodie à cru s'évanouir lorsqu'elle a entendu ce mot. Pendant quelque secondes elle croit avoir mal compris. Mais le regard dominateur de la jeune métisse ne trompe pas.
"-Euhh...Ta soubrette... C'est à dire???
-C'est à dire, t'installer chez moi et être à mon services. Satisfaire le moindre de mes désirs, même sexuelle évidemment. En gros je te propose de devenir ma chienne."
Puis comme pour appuyer ses propos et finir de convaincre sa secrétaire. Caroline se lève, se place face à Elodie et commence à se caresser le corps au travers du tissu de sa robe. Elle plote ses seins, ses tétons pointent légèrement, elle caresse ses cuisses puis se retourne et se penche, de manière à ce que *** string soit bien visible. Caroline voit qu'Elodie n'a pas détournée le regard. Elle est sous le choc et en même temps sous le charme de cette jeune et sublime métisse.
"-Si tu accepte ma proposition. Je promets de te rendre heureuse. J'ai de l'argent tu ne manqueras de rien, tu conserveras ton emploi. Au travail tout sera comme avant, mais une fois ici tu devras m'être totalement soumise. Bien sur si tu n'es pas une bonne soumise: tu seras soumise. Tu devras me donner du plaisir et je te promets que si tu es sage tu en prendras également. Jamais je ne te trahirai. Tu l'as compris je suis une lesbienne dominatrice, cela fait deux ans que je fantasme sur toi et se soir j'ai compris que nous étions faite l'une pour l'autre. Je veux t'aimer à ma façon. Maintenant je vais aller dans ma chambre me changer. Si tu es encore là lorsque je reviens alors c'est que tu accepte ma proposition, dans ce cas là je veux que tu sois nu. Si tu refuse, la porte est ouverte tu peux partir, mais dans ce cas inutile de venir travailler demain, tu recevras ton chèque pour le licenciement."
Elodie n'a pas bougé d'un pouce, durant tout le discours de Caroline, elle la fixait en restant immobile. Caroline va dans sa chambre. Elle retire sa robe, *** string et enfile un corset en cuir blanc qui s'arrête sous ses seins, de manières à les soutenir pour les faire ressortir. Le corset s'arrêtant juste au dessus de *** pubis, elle met un string en cuir blanc également et des bas blancs, puis une autre paire de chaussures à hauts talons. Le blanc de ses <<vêtements>> contraste avec sa peau métissée. Elle est vraiment magnifique. Elle fouille dans *** armoire et trouve un collier en cuir ainsi qu'une laisse et une paire d'escarpins à talons plats. Au moment de retourner dans le salon, Caroline n'entend aucun bruit mais elle est persuadée qu'Elodie l'attend totalement nue. Non pas parce qu'elle aurait peur de perdre *** emploi, mais parce que Caroline sent que l'amour qu'elle porte à Elodie est réciproque. Pendant que Caroline se changeait, la jeune secrétaire est resté sous le choc de la proposition de sa patronne. Elle réfléchie, elle ne peut pas perdre *** emploie, mais elle n'est ni lesbienne, ni soumise. Elle pourrait partir, mais la déclaration d'amour de Caroline avait l'air sincère et puis elle à l'image de Caroline qui se caresse, dans sa tête. Finalement à ***** de réfléchir, Elodie n'a pas bougée, elle est toujours assise sur le canapé et bien sur elle est toujours habillée lorsque que sa patronne redescend
chrislebo

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#6,588
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Caroline est heureuse de voir qu'Elodie est encore là. Elle entre immédiatement dans *** rôle de maîtresse.
"-Je suis heureuse que tu sois restée, mais je t'avais demandée d'être nue. Tu commence déjà à me désobéir!"
Elodie ne sait pas quoi répondre. Elle ne souhaite pas vraiment être la soubrette de sa patronne, mais elle ne souhaite pas partir non plus.
"-Euh... Caro attend je..... Je ne veux..."
<<CLAK!>>
"-AIL!!
-Ta gueule salope!! Je t'ai dit de te mettre à poil!! Et maintenant quand nous sommes toute les deux, tu m'appelle maîtresse!!"
Caroline à violemment claqué Elodie, sa joue est toute rouge. La jeune secrétaire est désorientée, elle ne réagit pas.
<<CLAK!>>
"-AAHH!
-Bouge ton cul de te foutre nue. Sinon c'est moi qui vais le faire et je ne suis pas douée pour la douceur!!"
Elodie comprend qu'elle n'a plus le choix. Elle se lève, retire ses chaussures, *** jean et *** tee shirt. Elle est maintenant juste en string. Ses deux gros seins se dressent fièrement.
"-Tu ne portais même pas de soutien-gorge, t'es vraiment une salope, je crois que je vais me faire plaisir avec toi. Enlève ton string!!"
Elodie hésite puis s'exécute. Elle est nue devant sa patronne. Une petite touffe de poils blonds entoure ses grandes lèvres. La jeune femme se sent honteuse, humiliée, se qui fait encore plus rougir ses joues déjà marquées par les claques.
"-Cela fait deux ans que j'attends ça, je ne suis pas déçu. Je vais te mettre ton collier de chienne. Il y a une clochette dessus pour que je sache ou tu es, et un anneau pour que j'attache ta laisse. Je veux aussi que tu mettes ses bas. Le tablier c'est pour les tâches ménagères, je te conseille de prendre soin de tes affaires, sinon tu sera sanctionnée."
Elodie a écouté les consignes en silence. Elle est complètement perdue. Elle prend les bas et les enfiles, en faisant attention de ne pas les filer. Puis Caroline lui mets le collier et y accroche la laisse en cuir.
"-Maintenant tu va me faire du bien. Montre moi si tu sais donner du plaisir à ta maîtresse. Si tu fait ça bien tu sera récompensée mais si tu fait ça mal tu subira ta première punition."
Elodie qui n'a jamais eu de relation lesbienne a peur de mal satisfaire sa maîtresse
"-Mais Caro tu sait que je n'ai jamais fait l'amour à une fille."
<<CLAK! CLAK!>>
"-AH AH CA FAIT MAL!"
La jeune métisse vient de frapper sèchement les seins de *** esclave.
"-T'es conne ou quoi?! Je t'ai dit de m'appeler maîtresse et de m'obéir!!"
Caroline retire *** string et s'assoie au bord du canapé en écartant les cuisses. *** sexe est totalement épilé. Elodie abandonne un peu plus *** amour propre en s'agenouillant entre les cuisses de sa dominatrice. Ne sachant pas trop comment s'y prendre, elle décide de faire se qu'elle même aime se faire lorsqu'elle se masturbe. Délicatement la jeune blonde caresse les seins de sa maîtresse. Puis elle lui caresse les cuisses, remonte sur les seins, les embrassent, suce les tétons, les lèches...
"-Arrête de faire durée! Je ne t'ai pas demandée de me faire l'amour, je t'ai dit de me faire jouir. Alors bouffe moi la chatte blondasse!!"
chrislebo

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#6,589
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Elodie obéit. Elle embrasse le mont de vénus de la jeune métisse, elle lui lèche la fente, sa langue cherche le clitoris, le sort de *** capuchon, Elodie le masse délicatement avec un doigt. Sa langue glisse le long des lèvres vaginales. Pour une première fois elle se débrouille très bien. Caroline mouille abondamment mais elle se retient de jouir. Elodie à maintenant enfoncer un doigt dans la moule rosée de sa maîtresse et commence à la masturber. Caroline se concentre pour ne pas jouir, elle ne veut pas montrer qu'Elodie à réussie. Elodie qui s'en est rendu compte décide de donner le coup de grâce. Elle veut mordiller le bouton de sa maîtresse, mais elle s'y prend mal et le mort trop fort. Se qui fait mal à Caroline.
"-AAHHH!!! Salope tu ma mordu le clito!! Tu a osé me faire mal!! Tu va me le payer sale traînée!!
-Pardon, je suis désolée, je n'ai pas fait exprès, pardonnez moi maitresse. S'il vous plaît!"
Caroline se lève, remets *** string, prend la laisse de sa chienne et la tire pour la faire se lever. Puis elle prend une clé dans un tiroir et emmène sa chienne, en tirant sur la laisse, devant la pièce fermée au premier. Caroline ouvre la porte avec la clé. Dans la petite pièce il y a un lit d'une place, une petite armoire et surtout deux bracelets accrochés au mur.
"-Voilà ta chambre de pute!!"
Elodie veut dire quelque chose mais le choc psychologique l'empêche de parler. Elle se sent encore plus humiliée. Elle comprend qu'elle va devoir vivre dans cette pièce comme une vulgaire esclave. Caroline tire sur la laisse pour la forcée à avancer et l'installe dos au mur puis lui accroche les poignets avec les bracelets. Elodie est terrorisée, elle est immobilisée, les bras en croix, complètement offerte. Caroline va chercher dans sa chambre un martinet. Puis elle se place en face de sa soubrette et commence à lui asséner des coups sur ses gros seins.
<<CLAK! CLAK!! CLAK!!! CLAK!!!>>
"-AAAAHHHHH!! PUTAIN!!! OOOOHHHH!! AAAAHHHH!!
-Tu va sentir ta douleur ma grosse!! Je vais t'apprendre à me faire mal, salope!!"
<<CLAK!! CLAK!! CLAK!!...>>
"-AAAHHHH!! STOP!!! OOOHHH!! PARDON!! AAAAHHH!!
-Je vais défoncer tes mamelles de vaches!!"
<<CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!! CLAK!!!...>>
"-AAAAAHHHH!!! STOP!!!! AAAAHHHH!!! AIL!!!"
Au total Caroline assène une vingtaine de coups sur les seins de sa secrétaire. Ils ***t marqués par les lamelles de cuir du martinet. Une fois la punition terminée, Caroline détache *** esclave qui se laisse tomber par terre épuisée.
"-Maintenant enlève tes bas et va te coucher. Bien sur tu n'a pas le droit de te caresser sans mon autorisation. Demain matin je te réveillerais en attendant je ferme ta porte à clé. Elodie obéit et Caroline quitte la petite chambre en fermant derrière elle. Elodie a honte d'elle même. Tout s'est passée si vite, la voilà esclave sexuelle de sa patronne. Elle ne sait pas se qui l'attend demain et s'endort en pleurant de honte et de douleur à cause de ses seins très endoloris.

chrislebo

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#6,590
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Le lendemain matin à 6h la maîtresse métisse vient réveiller *** esclave. Elle ouvre la porte de la petite chambre et vient secouer sa soubrette encore endormie.
"-Lève toi ma grosse cochonne!!! Debout lève ton cul!!!"
Elodie sursaute et mets quelques secondes à réagir et à se rappeler de sa situation. Caroline tire les cheveux de la blonde pour l'obliger à descendre du lit. Celle-ci se retrouve au sol à genoux aux pieds de sa maîtresse.
"-On t'a pas appris à dire bonjour?! Tu veux me mettre de mauvaise humeur dès le matin?!
-Non pardon, bonjour maîtresse, vous allez bien?
-C'est bien ma coquine. Ça va merci, et toi tu aime ta chambre d'esclave?"
Il est évident qu'Elodie déteste cette pièce mais elle ne souhaite pas être punie pour commencer la journée. Alors elle répond en souriant:
"-Oui, merci maîtresse de m'offrir tant de confort.
-Bien, je t'ai amenée ton petit déjeuner, là bas dans deux gamelles.
-Merci maîtresse."
Elodie voit dans un coin de la pièce, deux gamelles en plastique, avec dans l'une d'elle, du café et dans l'autre, deux tartines de confitures. Elle sent les larmes montées, comment peut elle accepter une telle situation. Mais au fond d'elle un sentiment de reconnaissance envers sa patronne l'empêche de se révolter.
Caroline regarde *** esclave avec un sourire jubilatoire.
« -Mange! Et ne laisse rien dans les gamelles!! Je viendrais te chercher pour te préparer à aller travailler. »
Caroline quitte la pièce et referme derrière elle. Puis elle va prendre *** petit déjeuner dans le salon. Une fois qu'elle a fini elle remonte chercher sa secrétaire qui a vidé ses deux gamelles.
"-C'est bien tu as tout mangé. Maintenant viens avec moi dans la douche. Tu va me laver.
-Avec plaisir maitresse."
Les deux femmes entre dans la salle de bain. Elodie est déjà nue, les marques du martinet ***t encore légèrement visible sur ses gros seins. Caroline retire *** peignoir et entre dans la douche. Elodie en profite pour mater le corps bronzé de sa maîtresse. Puis elle entre à *** tour dans la douche.
"-Maintenant tu va me laver. Fait ça bien, délicatement, sans rien oublier. Et je t'interdis de me masturber, c'est clair?
-Oui maîtresse, j'ai compris."
Elodie fait couler de l'eau sur le corps parfait de sa dominatrice, puis elle la savonne le plus délicatement possible sur toutes les parties du corps. Enfin elle la rince et l'essuie avec application.
Caroline jubile de la domination qu'elle à réussie à imposer à Elodie. Mais elle sait que si elle veut la garder, et la faire tomber amoureuse. Elle ne doit pas seulement la dominée, mais aussi lui donner, de temps en temps, du plaisir.
"-Puisque tu ma bien laver et que depuis ce matin tu es une bonne salope soumise, je vais te faire un cadeau. Je vais t'apprendre à faire jouir une femme. Va t'allonger sur le canapé du salon et attend moi."
Elodie obéit, tellement heureuse de savoir qu'elle va prendre du plaisir. Caroline la rejoint quelques minutes plus tard avec dans la main, un gode en plastique dur. Il fait une vingtaine de centimètre de long mais semble d'une épaisseur supérieure à celle d'un sexe humain. Elodie est un peu inquiète, elle à peur d'avoir mal, car *** ex copain n'était pas monté comme un âne.
« -Je vais te faire jouir. Je te conseille d'être attentive à ce que je vais te faire, car les autre fois c'est toi qui devras me faire jouir! Écarte les cuisses et laisse toi faire.
-Oui maîtresse. Merci maîtresse. »
Caroline dépose beaucoup de salive dans sa main et l'étale sur le vagin de *** esclave. Puis elle masse légèrement *** clitoris pour le faire sortir de sa capuche, ce qui fait frémir la jeune blonde.
Puis Caroline présente le gode à l'entrée de la fente, Elodie lance un regard effrayé à sa maîtresse, avec si peu de préliminaires elle est sur d'avoir mal. Mais Caroline n'en tient pas compte, et pousse d'un coup sur la verge en plastique. Le gros gland plastifié ***** l'entrée de la grotte d'Elodie, qui grimace, et le gode s'introduit d'un coup sec dans sa fente, en lui dilatant les chairs et tapant au fond de *** trou. Se qui arrache un cri à Elodie qui manque de s'évanouir sous le coup de la douleur.
"-AAAAHHHHHH!!!
-T'inquiète pas, tu va finir par aimer ça!"
La jeune métisse entame des vas et vient très intense. A chaque fois elle retire entièrement le gode et le renfonce d'un coup sec, faisant hurler Elodie.
"-OOOOHHHH!! J'ai mal!!! C'est trop gros!! AAHHHH!!"
Mais au bout de plusieurs minutes d'un tel traitement, le sexe d'Elodie s'habitue à la dilatation. La jeune femme commence à ressentir du plaisir. Caroline qui s'en aperçoit, utilise sa main libre pour lui peloter ses grosses mamelles.
"-T'aime ça ma traînée?
-Oui maîtresse... Oh oui, c'est bon...Hum oui!!"
Caroline intensifie encore plus la pénétration et utilise maintenant sa deuxième main pour jouer avec le clitoris de sa soubrette. Celui-ci est gorgé de sang, à chaque caresse Elodie reçoit une décharge électrique. Elle sent la jouissance montée en elle.
"-Ouii maitresse, oui encore, ouii!!! Ouiiiiiiiiiii!!!!"
Elodie jouie comme jamais ça ne lui est arrivé. Mais Caroline continue de la pénétrer toujours sur le même rythme. Elle continue de masser et de pincer *** petit bouton, qui est maintenant tellement sensible que chaque caresse fait mal à Elodie.
chrislebo

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#6,591
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"-S'il vous plait doucement avec mon clito.......Ohh putain ouiii!! Ouii encore!! Ouiiiiii!!!!"
Elodie jouie une deuxième fois, et Caroline continue encore de la baiser. La jeune blonde est épuisée, elle à du mal à garder les yeux ouverts, les lèvres de *** vagin lui font mal, tellement les va et vient les irrites.
"-Je vous en prie, maitresse stop. Je vais m'évanouir, stop!"
Caroline ne répond pas, elle continue de faire rentrer et sortir le gode de la chatte de sa secrétaire, et de maltraiter *** clitoris. Elodie est au bord de l'évanouissement. Mais malgré tout elle sent une fois de plus le plaisir monter dans *** ventre. Elle jouit encore une fois, mais sans pouvoir crier, tellement elle est épuisée. Puis elle s'évanouie de plaisir.
Caroline stop alors sa pénétration. Elle retire le gode et le lèche pour le nettoyer. Elle aime le gout des sécrétions vaginal de sa soumise. Puis elle la réveil en lui tapotant les joues. Elodie ouvre les yeux, elle a du mal à reprendre ses esprits tellement la baise fut intense.
"-J'espère que ton appétit sexuelle de nymphomane est satisfait!
-Oui merci beaucoup maitresse. Je n'ai jamais autant joui.
-J'espère que tu t'en souviendras car la prochaine fois c'est à toi de me faire jouir. Maintenant va prendre une douche et va te raser la moule intégralement. C'est dégueulasse tes poils sur la chatte!!
-Oui maitresse, merci maitresse.
-Dépêche toi, dans 40 minutes on part travailler. Je vais te prêter des affaires à moi et se soir en sortant nous passerons récupérer tes affaires chez toi."
Elodie va prendre une douche rapide et s'épile la fente intégralement. Elle trouve qu'elle ressemble à une pute, mais elle n'a pas le temps de pleurer sur *** sort. Lorsqu'elle sort de la salle de bain, Caroline lui tend une robe noire et un chemisier blanc.
"-Tu mettra également les bas et les chaussures que je t'ai donnée hier soir. Tu ne mets pas de sous vêtements, les salope comme toi n'en ont pas besoin.
-Mais si je ne mets pas de sous vêtements tout le monde va le voir. Je vais passer pour une putain.
-Et alors tu en es une!!"
Elodie enfile ses vêtements. La robe étant une taille trop petite, elle moule outrageusement les fesses de la jeune blonde, on distingue clairement la raie de ses fesses et l'on voit qu'elle ne porte rein en dessous; Idem pour le chemisier, il presse ses gros seins et même si il n'est pas transparent, il laisse deviner ses mamelles non cachées. Elodie est rouge de honte, elle à peur de la réaction de ses collègues.
"-Les autres employés vont se moquer de moi.
-N'ai pas peur, tu m'appartiens, je te protégerai si il te touche trop. Pour hier, tu leur dit juste que tu ne te sentais pas bien. Et travail, quand tu viens dans mon bureau et que nous ne sommes que toute les deux, tu redeviens ma soumise. C'est bien compris?
-Euh... oui maitresse."
Les deux femmes partent dans la voiture de Caroline, direction leur travail. Elodie est très inquiète pour cette première journée de travail comme soumise.
soumis8

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#6,592
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Vraiment, Chrislebo, tous ces textes en français, cela fait plaisir. Merci.
chrislebo

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#6,593
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faut en profiter avant le déferlement te texte en anglais
chrislebo

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#6,594
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Le cobaye

J'ouvre les yeux. Je suis attaché sur un lit, dans une cave. « Qu'est ce que je fous là?! ». Un coup sur la tête. Je m'évanouis.

J'ouvre de nouveau les yeux. Cette fois, la lumière du Soleil m'éblouit. Je suis allongé et attaché, sûrement sur une table. Un homme est à ma gauche:

« Enfin réveillé! T'en a mis du temps! »
« Où suis je? Et qui êtes vous? »
« Je m'appelle Tony, et tu es sur mon bateau. »

En effet, en tournant la tête, je vois la mer. De part et autre, aucune terre en vue. On est au large.

« Pourquoi suis je ici? »
« Pour une expérience. Tu es un cobaye! »
« Quoi! Mais je ne l'ai jamais voulu! »
« Personne ne t'a demandé ton avis! »
« Et qu'allez vous me faire? »
« On l'a déjà fait! »
« Quoi?! »

Je me regarde. Je ne vois pas mes pieds. D'énormes seins m'en empêchent. Je me rend compte alors que je suis nu, mais ce n'est pas ce qui me préoccupe le plus pour le moment.

« Que m'avez vous fait?! »

Je me débat, en vain.

« Juste quelque modifications! » répondit-il en souriant. « Mais ne t'inquiètes pas, tu n'es pas travestie! Tu es entièrement femme ajoute-t-il
Sur ce, il me montre trois photos. La première, mon pénis, entièrement rasé mais à sa place. La deuxième de mon bas ventre, mon pénis coupé, la troisième où je vois un vagin très excitant.

« La troisième est toi maintenant. » dit-il en me voyant perplexe. « Désormais, tu es une femme! ».
« Mais pourquoi?! Je n'ai rien demandé à personne! »
« Sois heureuse, tu as aidé la science! »
L'utilisation du féminin me trouble. Je suis une femme! D'un seul coup, plein de questions arrivent en même temps dans ma tête:
« Comment vais je faire pour continuer ma vie?! »
« Ne t'en fais pas. Nous t'avons choisi en partie car tu étais célibataire, que tu étais au chômage et que tu ne côtoyais pas beaucoup de gens. Il te suffira de trouver un autre travail, ce sera facile à la vue de tes mensurations! » me répond il en souriant.

Je regarde alors plus attentivement mon corps. Mes énormes seins m'empêchant de voir quoi que ce soit de plus que mes épaules, je demandais à Tony de me détacher. Il réfléchit puis y consent. Une fois détachée, j'écarte mes seins. Je découvre avec stupeur mes hanches magnifiques et mon sexe fraîchement rasé en ticket de métro. Je suis superbe. La curiosité me prend soudain:

« Comment avez-vous fait? »
« Secret professionnel » répondit-il.
« J'ai quel tour de poitrine? »
« 100 E »
« Mais c'est énorme! »
« Oui, mais tu t'y feras très vite! »

Je me lève. Il me propose de le suivre dans sa chambre.
chrislebo

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#6,595
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« Que voulez vous me faire? »
« Te donner des nouveaux papiers, t'expliquer certaines choses et surtout t'amener devant un miroir. »
« Je voudrais des vêtements »
Il me tend alors une robe de chambre qui était posée sur une chaise. Tout en marchant, j'observe autour de moi. Le bateau luxueux est arrêté en pleine mer. Cette dernière est calme. Tout le contraire de mon esprit. Le Soleil est magnifique, la mer somptueuse. Le bateau, nommé « La Sophie », me rappelle ma collègue de bureau, que je ne reverrais probablement jamais ...

Tony ouvre une porte, et m'emmène à l'intérieur. Il fait sombre par rapport au dehors. Un miroir est devant moi. J'y vois une femme extraordinairement belle. Ses cheveux bruns descendent sur ses épaules, ses seins énormes ont du mal à se cacher sous la robe de chambre. *** visage m'est familier. Ses traits ***t fins, ses yeux étincelants et sa bouche pulpeuse. *** nez est petit. Ses pieds ***t fins et splendide. Le reste est dissimulé sous le vêtement. C'est moi. Je n'en revient pas.

« Tu es belle n'est ce pas? Viens ici. »

Je me dirige vers lui. Il est assis à une table ornée de nombreux papiers. Il m'en tend quelques uns.

« Voici tes papiers. Tu es française, tu t'appelle Julie et tu as 26 ans. Tu es née le 28 Janvier. Nous avons transformé ton permis, tu as le même nombre de points, les mêmes permis et le même casier judiciaire, excepté que tous ces documents ***t maintenant au féminin. »

Je m'assois sur un canapé et observe mes papiers. J'y vois ma nouvelle photo. Je me crois en rêve.

« On t'a refait ta garde-robe. Tu habites toujours au même endroit, mais ton ancien toi est considéré comme mort dans un accident de voiture. »

Je ne parle pas. Je suis en pleine réflexion, j'ai du mal à comprendre ce qui m'arrive. En y réfléchissant, je ne me souviens pas des trois derniers jours.

« Je ne me suis jamais habillé en femme de ma vie, comment voulez-vous que j'y arrive maintenant! »
« Je t'aiderais. Tu restera sur ce bateau quelques temps, pour apprendre à devenir une femme. »
« Ok. Je n'ai pas vraiment le choix ... »
« Nous avons fait quelques tests sur toi après l'opération pour voir si tous les nerfs étaient bien raccordés et si tu réagissais normalement, mais il en reste un à faire. »
« Lequel? »
« Voir si tu peux jouir en tant que femme »
« Quoi?! Vous êtes cinglé! »
« Tu n'as pas le choix. Si tu ne consent pas, je t'y *********. »

Je baisse la tête. Il a rai***. Tant que je serais ici, je vais devoir lui obéir. Je détache ma robe de chambre et laisse apparaître mon corps. Je découvre que je suis plutôt mince. En me voyant m'observer, il me parle:

« Tu pèse 70 kg et tu mesure 1m79. Tu es parfaite. Et tu ne peux pas grossir: nous avons installé un système électronique sur ton estomac qui gère tes besoins pour que tu n'ai pas de surplus. »

Il marche vers moi.

« Allonge toi sur le canapé »

Je lui obéit. Une fois allongé, j'écarte les jambes. Il prend dans un sac un gode vibrant. Il s'assoit sur le canapé et penche la tête. Il compte me faire un cunnilingus. Dès qu'il commence, je crie:

« Aaaaaaaaaahhhhhh!! »

Je sens sa langue pénétrer mon vagin et titiller mon clitoris. Je sens mon plaisir monter. Un liquide sort de mon vagin.

« Qu'est ce que c'est! » m'écriais-je.
« C'est ta cyrpine, ta mouille. Tout se déroule parfaitement. »

Après quelques minutes où il augmente encore mon plaisir, il pose le petit vibrateur sur ma chatte. Je sens les vibrations sur mon clitoris et sur mon mont de Vénus. Je jouis intensément. Essoufflé, je parle avec Tony:

« C'est énorme, j'ai joui comme je n'avait jamais joui! »
« Et oui, les femmes ***t plus sensibles que les hommes! Tout c'est déroulé parfaitement, tu es une vraie femme. Tu n'as pas encore découvert toutes les possibilités qui s'ouvrent à toi! »

Je me demande comment le séjour sur le bateau va se passer et comment je vais vivre ensuite !

chrislebo

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#6,596
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Je me réveille. Un réveil posé sur ma table de chevet m'indique qu'il est 7h30. « D'habitude je dors plus » me dis-je. Je me lève machinalement et prend mon veston. Je l'enfile, mais je ne parviens pas à le fermer. « J'avais oublié. Je suis une femme ... ». Je vois un soutien gorge sur une chaise, accompagné d'un débardeur. « Je n'ai pas vraiment le choix. Après tout, ce n'est pas si terrible! ». Je pose les balconnets sur mes seins et essaie tant bien que mal de les faire tenir pendant que je ferme l'agrafe dans mon dos. En vain. Je m'y prend autrement: je m'allonge sur le lit, le soutien gorge toujours en place, de cette manière je n'ai plus besoin de tenir le vêtement. Je parviens alors à fermer l'attache. « Quelle galère! ». Une fois habillé, je sors.

Il fait un temps magnifique, une brise légère me soulève les cheveux. J'adore cette sensation!

Je m'allonge sur un transat', savourant le moment. Je me retourne quand Tony ouvre sa porte.

« Salut! Tu as passée une bonne nuit? »
« Oui »
« T'es vraiment mignonne, même de dos! »
« Je suis pas homo! »
« Ok, pas de problème » dit-il en riant. « Viens dans ma chambre dès que t'es prête à commencer la leçon ».

Je le fait patienter cinq minutes et me lève.

« Commençons » dit-il quand j'entre.
« D'accord »
« Tu es une vrai femme. Donc tu as des règles, tu les a eu pendant que tu dormais ». Il me montre l'état de ma culotte.
« Wow! Y en a plein! »
« Ouaip! Mais fait gaffe, tu pourrais devenir enceinte vu que tu as tes règles! » m'annonce-t-il en souriant.
« Pfff! »
« Met ces chaussures » m'ordonne-t-il en me montrant une paire d'escarpins haut de 5 à 6 cm de talon. J'obéis.

« Viens jusqu'à moi maintenant ».

J'avance mon pied, le pose et m'appuie dessus ... puis me casse lamentablement la figure sur le tapis.

« C'est dur! »
« Je sais »

Aucun mot de plus. Je me relève et y vais plus doucement. J'arrive à marcher au bout d'une vingtaine de minutes.

« Tu te débrouilles bien! »
« Merci »
« Maintenant, tu resteras tout le temps en chaussures à talons hauts, tu t'y habitueras plus vite. »
« Ok ».
« Maintenant déshabilles toi »
« Pourquoi?! »
« Pour que je te montres comment t'habiller en femme »

J'hésite. Il le voit et me parle.

« Si tu ne le fais pas, je te laisse seule dans le prochain port. »
« Ok, je le fais. »
chrislebo

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#6,597
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J'enlève mon débardeur et me retrouve en soutien gorge. J'ôte ma mini jupe. Ma culotte blanche ne parvient pas à cacher tout mon sexe.

Il s'approche et m'enlève le soutien gorge, laissant tomber mes énormes seins. J'ai toujours du mal à m'habituer à ces énormes masses. Je les prends dans mes mains pour alléger le poids subi par mon dos.

« Enlève tes mains et regarde bien » me dit Tony.

J'obéis. Il pose les balconnets sur mes seins et passe ses bras dans mon dos. Il est collé à moi. Je sens *** odeur. Au moindre geste, il frotte contre ma peau. Ma culotte se mouille. Encore cette terrible sensation de bien-être et de chaleur.

Il ferme le soutien-gorge sans se rendre compte de mon état.

« Tu as compris? »
« J'ai pas bien vu »
« Ok, attends »

Il décroche le soutien gorge mais laisse les balconnets où ils ***t. Il tourne le soutien gorge ce qui a pour effet de frotter mes tétons sur la soie douce du soutien gorge. Ces derniers se dressent. Tony le voit.

« Oho! Tu es facilement excitée! »
« Fermes là! »
« N'oublies pas que tu ne peux rien sans moi »

Je ne réponds pas. Il tourne le reste du soutien gorge. Il me montre comment fonctionne l'agrafe. Je ne risquais pas de trouver seul!

La séance finie, je sors de la chambre et vais dans la mienne. Alors que j'ouvre la porte de la pièce, je sens une piqûre dans le cou. Je me retourne, mais je m'évanouis avant de voir qui m'a fait cela.

Je me réveille attaché dans une pièce très sombre. Tony est à coté de moi.

« Qu'est ce qui se passe? » demandais-je?
« On a été enlevés par des pirates Somaliens »
« Quoi?! Et mes papiers?! »
« Je ne sais pas. Sûrement revendus. »
« Quoi!!!! Mais je fait comment moi! »
« Les pirates ont vu que tu n'existait pas au yeux du monde. Ils vont surement te garder. »
« Pourquoi me garderaient-ils? Il ne peuvent pas avoir de rançon! »
« Tu es une femme ... »
« Hein?! Quel rapport? Que peuvent-il me ... Ils ne vont quand même pas me ... Ils n'ont pas le droit! »
« Tu n'est pas répertoriée. Per***ne ne sait que tu es là à part moi et les pirates. »
« Sauve moi! »
Alors que Tony s'apprêtait à répondre, un pirate entre, laissant pénétrer dans la pièce la lumière éblouissante du jour.
chrislebo

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#6,598
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Ma fille, maitresse et amante



Un dimanche après-midi tout à fait banal se déroulait depuis quelques heures. Je préparais le souper pour moi-même, mon fils et ma fille, ma femme étant partie chez une de ses amies pour la soirée. Un spaghetti tout simple qui devait être complété par une petite salade (je ne raffole pas vraiment, mais je n'aime pas voir mes enfants manquer de légumes) et quelques tranches de pain tartinées à l'ail saupoudrées de parmesan et passées quelques minutes au four. Un délice quoi.

Ma fille m'aidait comme elle avait habitude de le faire avec sa mère, tantôt coupant les carottes, tantôt en mélangeant la sauce. Elle avait bien plus de talents en cuisine que moi, mais elle détestait cuisiner seule. J'engageais la discussion sur l'école, les amis, les amours. Rien d'autre que les sujets habituels qu'un parent aborde avec ses enfants.

Mon fils, bien le portrait de *** père, jouait à quelconque jeu vidéo dans sa chambre. Il passait certainement plus de temps à jouer qu'à faire du sport, mais comment le lui reprocher? Je gagne ma vie en pianotant sur un clavier d'ordinateur. En fait, en ce moment même, il doit être en train de tester ma toute nouvelle création. Ai-je oublié de préciser que j'étais programmeur de jeux vidéos?

À 17 heures ***nantes, le souper fut servi. J'appelai mon fils du bas des escaliers, me demandant pour la énième fois pour quelle rai*** les chambres ***t presque toujours au deuxième étage dans une mai*** à deux étages. Il descendit rapidement, désirant sans aucun doute terminer de manger le plus tôt possible pour continuer à jouer. Les adolescents d'aujourd'hui ***t surement encore pire que ceux de mon époque de ce côté là!

Nous mangeâmes presque jovialement, discutant de sujets et d'autres. Le repas était délicieux, malgré que la salade semblait, comme à *** habitude, insipide et inodore. Les plats vidés, les enfants décidèrent de ranger la table sans même que j'aie eu à le leur demander. Akim et Sarah, 14 et 16 ans, s'entendaient étrangement bien pour des frères et sœurs. J'aurais tant voulu des enfant qui se battent ou se chicanent tout le temps.

Devant le sofa, je choisis la chaine de science fiction, ma favorite. Je ne cesse jamais de m'émerveiller du réalisme des effets spéciaux et de l'histoire de certaines séries. Et pour tout dire, la moitié de ce que j'ai à mon actif comme jeux est basé sur la science fiction.

Sarah, toujours le nez dans un livre, soit pour se documenter, soit pour se détendre, soit pour étudier pour l'école, ne jetait que de brefs coups d'œil à la télévision en entendant des phrases que je leur ai souvent dites pour leur faire la morale. Était-ce un message subtil qui voulait dire « Je sais que tu n'invente pas ces phrases philosophiques »?

Vingt-deux heures. Je n'entendais rien provenant d'en haut. Akim était visiblement déjà couché. Étrange, il n'avait pas pour habitude de se coucher de lui même. Peut-être avait-il mis ses écouteurs pour jouer? J'envoyai Sarah vérifier et lui dire de se coucher.

Une demie heure plus tard, elle n'était pas redescendue. Pas de bruit en haut, encore et toujours. Que faisait-elle? Je montai tranquillement et une à une toutes les marches de l'escalier dans un silence absolu pour ne pas les réveiller s'ils dormaient. Arrivé en haut, je tournai le coin, toujours silencieux, et je vint apparemment à trouver ma fille debout, dos à moi, qui regardait au travers de la porte de chambre de *** frère. Je m'approchai subtilement, espérant savoir ce qu'il se passait sans avoir à déranger qui que ce soit.

-Oh... Sarah... Hum... C'est bon...

Quoi? Mon fils était-il en train de se masturber? Et... en fantasmant sur Sarah en plus? Je me plaçai juste derrière elle, toujours semblait-il, non détecté. Je jetai un coup d'œil au travers de l'entrebâillement de la porte. Il semblait bel et bien que mes soupçons étaient fondés. Que faisait alors ma fille devant sa porte, figée me semblait-il?

En observant la scène plus attentivement, comme je le fis à cet instant même, on pouvait constater que l'une des mains de Sarah disparaissait dans *** pantalon. Ses doigts ne semblaient pas bouger. Était-ce par la stupeur provoquée par les quelques mots qu'Akim venait de prononcer?

-Papa... pourquoi es-tu derrière moi?

Repéré. Évidemment, j'aurais du m'en douter. Elle ne bougeait plus ses doigts pour se caresser parce que j'étais derrière elle et qu'elle m'avait repéré. En chuchotant tout comme elle l'avait fait, je répondit.

-Je m'inquiétait de savoir ce que mes enfants faisaient. Viens, lais***s-le tranquille. Va dans ta chambre si tu veux, mais je ne veux pas qu'il te voie l'espionner. Elle obéit docilement et s'enferma dans sa chambre surement pour la nuit.

Je retournai au salon finir la soirée devant la télévision. J'étais bien sur troublé par ce qui venait de se passer. Je venais de surprendre ma propre fille en train de se doigter en espionnant mon fils se masturber. Je me demande quelle sera l'atmosphère entre moi et Sarah dans les jours qui suivraient.
chrislebo

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#6,599
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Je me suis levé le lendemain avec les paupières aussi lourdes que possible. Maudite soit cette ***nerie énervante qui armait mon réveil-matin depuis que j'ai l'âge de 9 ans. Chaque fois, j'ai tout simplement envie de me rendormir. Je me levai, par contre. J'aimais mon travail et j'étais ponctuel.

Dans la cuisine, je m'emparai lentement du lait et de la boite de céréales. J'avais faim, visiblement et ça pressait. Reprenant peu à peu mes esprits, je me rappelais la rai*** pour laquelle je m'étais couché aussi tard la veille. J'avais du m'assurer que chacun de mes deux enfants était dans *** propre lit, malgré le fait que faisant cela je dus les voir nus tous les deux. Ce qui s'était passé hier serait bien sur inconnu d'Akim. Comment se comporterait Sarah envers moi?

-Bonjour papa.

-Oh, Akim. Bien dormi?

-Je dirais que oui.

-Tu t'es couché tôt? Pourtant, ce n'est pas ton genre.

-Pas si tôt que ça. Il était tout de même 22 heures. J'ai eu un peu de difficultés à m'endormir.

La discussion démarra à peu près avec ces mots. La douche commença à couler pendant que je plaçais mon bol dans le lave-vaisselle Sarah n'allait pas tarder à faire *** apparition. Pendant ce temps, je discutais de choses et d'autres avec Akim qui semblait ignorer qu'on l'avait vu la veille.

Je commençais à peine à nettoyer un dégât que j'avais fait quand Sarah est entrée dans la cuisine, signifiant à *** frère que la salle de bains était libre. Il s'y dirigea joyeusement. Il était de très bonne humeur ce matin-là.

-Bonjour.

-Sarah. Bien dormi?

-Un peu mal. J'avais peur que tu viennes m'espionner pour me voir nue. Mais vers minuit, je crois, j'ai réussi à dormir.

-Voyons Sarah. Je ne ferais jamais une chose pareille. Et... l'incident d'hier soir. Ta mère ne dois rien en savoir. Je la connais, elle voudra qu'on discute avec ton frère et je n'ai pas du tout envie de lui expliquer quelque chose qu'il connait déjà surement par cœur.

-Tu penses vraiment que je lui dirais? C'est déjà une situation assez troublante, n'en rajoutons pas.

Là dessus, j'étais parfaitement d'accord. Je lui en était redevant de faire cela, même si c'était autant pour elle que pour moi. Je m'apprêtais à préparer leurs repas pour la journée avant d'aller m'habiller pour aller travailler lorsque mon fils fit irruption dans la cuisine pour me demander si j'avais vu sa clé USB. Bien sur, il l'avait (encore) perdue, mais je ne savais pas où il l'avait laissée.

-C'est bien ma chance. La perdre le jour où j'étais supposé aller faire mon travail d'équipe chez Jordan. J'espère qu'on ne perdra pas notre après-midi à faire ça pour ne pas pouvoir faire de back-up. *** ordinateur plante vraiment trop souvent.

Après-midi... chez Jordan... Oups! On est Samedi! Je rangeai le pain et la confiture ainsi que mon couteau en me maudissant de m'être levé un Samedi matin. J'imagine que ce qui s'est passé m'a fait perdre notion du temps.

La matinée fut remplie de parties d'un jeu de stratégie sur PC. Je jouais en Réseau Local avec Akim. Il m'a battu à plate couture 2 fois, mais j'ai pris ma revanche à la troisième partie. Aline, ma femme, étant supposée rentrer vers 15 ou 16 heures, je me retrouvais donc à refaire un repas pour la mai***née. Les restes du spaghetti d'hier réchauffés furent un repas vite fait.

Akim partit chez Jordan, m'abandonnant seul avec Sarah. Elle lisait, fidèle à *** habitude, pendant que moi, je pianotait sur mon portable per***nel. Mon programme avait un léger bug, mais très minime. Je cherchais le moyen de le régler sans avoir à tout recommencer. C'était un programme tout simple, mais avec énormément de lignes de code. Malheureusement, quand je lui donnait certaines informations très précises, il plantait en me donnant une réponse ridicule.

Un mouvement inhabituel me déconcentra, ma fille semblait se désintéresser de *** livre pour entrer sa main dans *** pantalon. Je fis semblant de travailler sur mon programme, mais en réalité, je l'observait. Elle semblait agiter a main dans *** vêtement, mais très peu paraissait. Elle semblait détendue, couchée sur le divan, les yeux fermés, la main en train de faire dieu sait quoi sur *** intimité.

-Est-ce que je peux savoir pourquoi tu fais ça ici?

Elle parut surprise que je la voie faire. Quand je lui ai annoncé que je la regardais faire depuis le début, elle m'a alors lancé une question particulièrement troublante.

-Pourquoi est-ce que tu me regardais? Tu espérais en voir plus? Désolée, pour toi, papa, mais je n'ai pas été plus loin qu'hier.

Je fus déstabilisé par la question. J'avoue y avoir pensé. Est-ce que cela fait de moi un pédophile? Est-ce que je serais la malheureuse victime d'un fantasme **********? J'espère que les réponses aux deux questions ***t non et non.

-Bon, si ça ne te dérange pas, j'aimerais bien finir. À moins que ça ne te trouble au point que tu préfère que j'aille dans ma chambre?

Je lui dis qu'elle pouvait rester, que je continuerais à travailler tranquillement. Je reportai mon attention vers mon écran, espérant me sortir cette obsession de la tête. Quand je pense qu'en plus j'ai une érection. Pourquoi a-t-il fallu que je lui dise de rester? J'aurais pu me masturber au moins. Par dépit, je continuai de la surveiller du coin de l'œil.

Elle semblait avoir la respiration saccadée, surement était-elle en plein orgasme. J'entendis un gémissement soudain et unique, et quelques secondes plus tard elle retirait sa main de *** pantalon. Elle s'endormit ainsi.

Je tuai mon après-midi jusqu'à ce que Aline arrive et que j'avais du réveiller Sarah pour qu'elle reprenne une activité plus normale. C'en était fini de mon temps de fantasme **********... ou bien n'était-ce qu'une pause?
chrislebo

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Chapitre 3 : Procréation nue et pénétration

Aline était de retour! Ou du moins, pour quelques minutes. Elle venait prendre quelques affaires pour aller passer la fin de semaine au complet au chalet d'une de ses amies. Après accolades et baisers, je lui souhaitai une bonne fin de semaine pour retourner au salon avec ma petite Sarah. *** livre était sur la table, un signet à l'intérieur. Elle voulait qu'on discute.

-Papa. Pourquoi m'as-tu laissée me caresser devant toi?

J'étais pris au dépourvu par la question, mais j'étais aussi impressionné par l'audace de ma propre fille. Je lui répondis alors une réponse seulement à moitié vraie.

-Parce que c'est un besoin naturel. Je crois tout simplement qu'il ne faut pas se gêner pour le combler n'importe où.

-Dans ce cas, pourquoi tu ne t'es pas masturbé quand tu as eu ton érection en me regardant.

-Pour ne pas avoir l'air d'un pédophile.

Elle sourit. Elle semblait sur le point de répondre par une belle attaque.

-Tu sais, à 16 ans, j'ai atteint ma majorité sexuelle. Tu n'es pas considéré comme pédophile pour fantasmer sur une jeune femme sexuellement majeure, non?

Et toc. Elle venait de me piéger. Franchement, elle avait de bons arguments... pour me voir me masturber devant elle? Visiblement, je n'était pas le seul à fantasmer sur un membre de ma famille.

Mes rêvasseries suivant la conversation furent coupées par un coup de téléphone. C'était Akim qui voulait savoir s'il pouvait souper et passer la soirée chez *** ami. Je lui dis que c'était OK et il raccrocha. Je dis à Sarah qu'on serait tous les deux pour souper. Elle me demanda si on pouvait se permettre de commander une pizza, qu'on commanda effectivement.

Le souper fut vite englouti. Je me sentais bizarre. Peut-être couvrais-je quelque chose? Non. C'était juste un manque d'atmosphère conviviale pendant le repas. Je me rendis dans ma chambre pour me reposer un peu, espérant avoir la paix.

Sarah m'avait suivi. Elle voulait « s'assurer que je dorme bien ». Elle se mit en sous-vêtements, « c'est plus pratique pour faire un bon massage à mon papa ». Je m'allongeai sur le ventre, ma fille assise sur mes fesses en train de caresser plus que me masser mon dos, ne faisant qu'ajouter à mon malaise. En effet, une légère érection était apparue dans mon pantalon. Elle cessa ce massage et vint se coucher à ma droite.

-Est-ce que tu te sens mieux?

-Un peu.

-Bien. On va pouvoir se reposer ensemble. Ça ne te dérange pas si je dors ici?

-Non. Bonne sieste.

Elle me plaqua un baiser sur la joue gauche.

-Bonne sieste.

Je m'assoupis lentement, et très peu de temps. En effet, dans mon sommeil, j'avais bougé comme si Sarah était sa mère. J'avais une jambe par dessus elle, la main à peu près dans la même position mais posée sur un sein, le pénis en érection sur sa fesse. Elle m'avait réveillé avec un sourire peint au visage. Elle commençait à retirer *** soutient-gorge et plaça ma main sur *** sein nu. Je n'aurais jamais cru que je serais un jour excité par ma propre fille.

Elle avait commencé à masser mon sexe en plein durcissement au travers du pantalon que j'avais conservé.

-Laisses-toi aller. Embrasses-moi.

Je m'exécutai, trop ensommeillé pour avoir deux pensées cohérentes une à la suite de l'autre. Je l'embrassai langoureusement, sans même me demander ce que je faisais. Lorsque nos lèvres se séparèrent par contre, j'étais parfaitement éveillé... et excité. Je lui massai les seins de mes deux mains, la laissant me masturber après avoir sorti mon pénis de mes sous-vêtements. Quel plaisir.

-Fais-moi ce que tu veux. Ce soir, papa, je ne suis pas ta fille. Je suis ta maîtresse.

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