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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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Nadine



Chapitre 1

Il y a quelques annees maintenant, Nadine etait l'epouse quelque peu oisive de Jean, directeur commercial d'une grande entreprise. Avant *** mariage, elle gerait la pharmacie qu'elle avait reussi a acheter peu apres avoir obtenu *** diplome. C'est la qu'elle rencontra Jean. Elle tomba immediatement amoureuse de ce tres bel homme d'apparence extremement elegante et raffinee. Moins de trois mois plus tard, elle s'installa dans *** appartement, laissant dans *** ancien logement tous ses bibelots, ses anciens vetements et ses habitudes.

A partir de cet instant, Nadine eut une activite mondaine trepidante avec deux ou trois receptions hebdomadaires et des domestiques a gerer. Elle renonca rapidement a continuer a travailler, vendit *** officine et consacra *** temps a visiter les mai***s de haute couture et discuter avec les traiteurs pour la prochaine reception. Chaque jour, elle faisait du jogging ou du tennis dans un club voisin et de l'aerobic. Elle allait aussi entretenir *** corps par des traitements divers de l'estheticienne a la thalassotherapie sans oublier le coiffeur et le cabinet de massage.

*** professeur de tennis, Pierre, etait lui aussi un tres bel homme, marie au grand desespoir de plusieurs de ses eleves. Sa femme etait une fille tres jolie mais assez timide. Apres un an de cours, deux fois par semaine auxquels *** mari venait parfois assister et quelques discussions au club-house apres les entrainements, Pierre et Jean etaient devenus amis. Depuis, les deux couples se recevaient regulierement. Les deux femmes allaient souvent courir les magasins ensemble.

Un jour ou elle etrennait une toute nouvelle tenue de tennis avec une jupette peut-etre plus courte que d'habitude, Nadine remarqua que Pierre suivait plus le jeu de sa poitrine ou de ses fesses que le trajet de la balle. N'ayant pas la tete au jeu, il ne profitait pas de toutes les fautes de la jeune femme. Pour une fois qu'elle n'etait pas nettement surclassee, elle en profita et ne fit aucune remarque. Les fois suivantes, le manege continua et elle y prit insidieusement gout : il est toujours agreable d'etre admiree. Mais au bout de quelques semaines, Pierre eut a nouveau l'esprit au jeu et reprit sa superiorite. Il lui fit meme remarquer que ses resultats devenaient moins bons.

Nadine fut peinee : elle avait pris l'habitude que Pierre la reluque. Elle ne se cachait plus que la situation la faisait mouiller copieusement sa petite culotte et *** mari avait parfois bien profite le soir d'un appetit sexuel dont il n'etait pas vraiment responsable. Nadine a ces occasions jouissait a en crier. Sevree *********** de ces sensations quelque peu inavouables, elle decida donc de reagir sans reflechir aux consequences de ses actes. Elle denicha chez un marchand de lingerie un string particulierement reduit puis passa chez *** estheticienne juste avant la seance de tennis. En sortant, elle avait la chatte totalement rasee sauf un mince triangle de poils au dessus de la chatte.

Elle denicha des baskets a semelles compensees, pas vraiment indiquees pour faire du sport mais qui lui affinaient la jambe. Elle mit un soutien gorge pigeonnant nettement trop decollete et une chemisette trop petite d'au moins deux tailles qu'elle noua juste sous les seins sans la boutonner. Enfin, elle roula le haut de sa jupe pour la raccourcir encore de cinq bons centimetres : meme au repos, on distinguait le bas de *** slip. Un regard dans la glace de sa chambre lui suffit pour s'assurer que, vu de derriere, la ficelle etait totalement invisible. Elle completa sa preparation par un maquillage soigne avec du rouge a levre et de l'ombre a paupieres rose brillant, allongeant et recourbant ses cils autant qu'elle le pouvait. Une touche de parfum dans le creux de ses seins et la voila partie.

Des qu'elle vit Pierre sur le court desert, elle ralentit *** pas, amplifia le roulement de ses hanches. Ravi de la voir aussi jolie, il l'embrassa sur la joue comme d'habitude mais, cette fois, elle se serra contre lui, ecrasant sa poitrine contre la sienne, lui mettant une main derriere le cou et l'autre sur le ventre. Elle resta serree contre lui pendant un instant et ne s'ecarta de lui que quand elle sentit une reaction difficile a cacher sous le short de Pierre.

Celui-ci etait plutot surpris de *** comportement. Pendant pres de deux ans, Nadine n'avait ete qu'une eleve parmi d'autres, jolie certes mais sans interet reel pour lui puis, il y a cinq ans, il avait rencontre Jean et elle etait devenue la femme d'un ami, rien de plus. Depuis quelques semaines seulement, *** interet sexuel s'etait brusquement eveille. Il avait essaye de se rai***ner car il tenait a l'amitie de Jean qu'il ne voulait pas blesser et voila que Nadine se frottait contre lui comme une chatte en chaleur, maquillee comme pour une soiree de gala et a moitie nue. Pour masquer *** trouble, il lui lanca :

- Bon pour commencer, on va faire quelques balles. . .

Des qu'elle dut aller chercher quelques balles au fond du court, Nadine fit expres de tourner le dos a Pierre et de ramasser les balles sans presque plier les jambes. La jupette ultra courte remonta et Pierre ne vit qu'une paire de fesses totalement nues apparemment. Ce ne fut que lorsqu'elle renvoya avec difficulte une balle lobee qu'elle sauta en l'air en lui permettant de decouvrir le devant de *** string plus qu'exigu qu'il comprit sa meprise.

Des lors, il ne fut plus du tout a *** jeu, faisant faute sur faute. Il ne voyait que ses seins qui dansaient devant lui, les hanches qui tournaient lorsqu'elle devait se deplacer. Elle marquait des points mais il l'obligeait a se demener comme une furie, faisant danser ses seins, ses fesses ou ses jambes, l'obligeant a montrer tantot sa chatte rasee a peine voilee d'un morceau de tissu qui devenait transparent avec la sueur, tantot ses fesses.

A la fin, elle etait epuisee et il gagna le second set au tie break et pour le troisieme, il l'humilia par un 6-0 sans appel. Elle s'agenouilla sur le court, epuisee. Il la releva, la prit par la taille jusqu'aux vestiaires sans qu'elle ***ge a se rebeller, puis lui offrit un alcool au bar. Elle ne reprenait que lentement des ****** et il la raccompagna jusqu'a sa voiture en lui mettant carrement la main sur le cul toujours sans obtenir de reaction. Au moment de lui dire au revoir, il la prit par la taille et la serra contre lui mettant carrement ses deux mains sur les fesses. D'un doigt, il lui releva le menton. Il la regarda droit dans les yeux un instant, fit glisser sa main droite sous la jupe courte et se pencha pour l'embrasser sur les levres. Sideree, elle n'eut aucun geste de defense. Elle laissa la langue de Pierre lui ***der profondement la bouche. Lorsqu'un doigt forca l'anneau de *** anus, elle voulut protester mais sa bouche etait deja totalement envahie par une langue imperieuse. Pendant ce temps, la main libre de Pierre s'etait faufilee sous la chemisette, soulevant le soutien gorge souple et, profitant de *** avantage, il se mit a lui masser la pointe du sein d'un doigt habile.

Nadine se figea, le doigt plante dans *** cul s'agitait maintenant follement, entrant et sortant rapidement, sa respiration s'accelerait. Elle n'eut pas le moindre geste de defense. Elle allait jouir lorsqu'elle trouva, elle ne savait pas ou, la ***** de le repousser, de se degager et de monter dans sa voiture. Avant qu'elle ne demarre, il eut le temps de lui lancer :

- Quand tu voudras, ma petite Nadine, mais la prochaine fois, je serais plus exigeant!

Tandis qu'elle roulait vers *** domicile, elle avait l'impression que sa main s'attardait encore sur *** corps, que sa langue se pressait contre la sienne, Elle etait en nage mais *** corps lui paraissait brulant. En arrivant chez elle, elle prit un grand bain tres chaud avec beaucoup de mousse. Elle y resta pendant plus d'une heure en se demandant ce qui l'avait pris d'aguicher ainsi Pierre et surtout de ne pas le repousser lorsqu'il s'etait mis a la peloter puis a l'embrasser. Il lui avait meme mis un doigt dans le cul ce qu'elle n'avait jamais permis a Jean. En plus, si elle ne l'avait pas surpris en le repoussant, elle devait s'avouer qu'elle aurait joui, la sur le parking et qu'apres il aurait pu la baiser par tous les trous dans la voiture sur le parking ou meme sur le capot a la merci de l'arrivee de n'importe quelle per***ne. Elle aurait pu le sucer au milieu du court voire du club house s'il le lui avait demande. . .

- Qu'est ce qui t'arrive, ma petite Nadine? Ton mari ne te suffit plus?

Elle resolut d'avoir une discussion avec lui. Il y avait quelques points datant d'avant leur mariage qu'elle voulait eclaircir. En attendant, elle se calma en se frottant le clitoris avec une science qu'elle pensait avoir oublie depuis *** mariage. De toutes facons, elle ne pouvait se plaindre de ce qui lui etait arrive a Jean : c'est elle qui s'etait comportee comme une salope et Pierre avait mis pas mal de temps a reagir comme presque tous les hommes l'auraient fait face a ses avances caracterisees.
chrislebo

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#6,482
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Chapitre 2

Jean parut decontenance par la question a laquelle il ne s'attendait visiblement pas.

- C'est exact ; la police m'a demande a trois ou quatre reprises ou se trouvaient des filles qui avaient ete mes petites amies attitrees. . . Mais c'etait bien avant notre mariage, deux ou trois ans avant meme que je te rencontre.

- Et alors?

- Je leur ai indique ou les joindre. Ils ont verifie et l'enquete s'est arretee la. Elles etaient majeures et consentantes, meme si elles n'etaient pas libres!

- Comment ca, pas libres?

- Tres simple : elles etaient devenues volontairement les esclaves d'hommes auxquels je les avais vendues.

- Des esclaves! Et comment se fait-il que tu ne sois pas en pri*** pour cela? La police ne t'a pas arrete?

- Non! Ils n'y pouvaient rien : il s'agissait d'un contrat de service de type escort girl pour un an renouvelable. Les filles etaient majeures, je te le repete, et touchaient des honoraires. Elles avaient un contrat en bonne et due forme, etaient declarees et ont paye des impots sur ces revenus et, en fait, elles pouvaient quitter les lieux sans grandes difficultes, la plupart du temps. Et elles touchaient bien plus que l'inspecteur venu les interroger. . .

- Mais qu'est ce qu'on leur fait faire?

- Tout ce qui passe par la tete de leur Maitre depuis voyager nue et enchainee dans un coffre de voiture, capitonne, je te rassure, jusqu'a se prostituer au coin d'une rue en passant par se faire baiser par tous les trous par quarante mecs dans un foyer pour immigres. . .Les Maitres ont souvent l'imagination fertile. Si tu avais vu la tete de l'inspecteur lorsque l'une d'entre elles lui a annonce, releve de banque a l'appui, que tout ce qu'elle avait gagne comme cela un soir dans une rue chaude de Marseille avait ete integralement verse aux oeuvres de la police. . .

- Et les filles aimaient ca?

- Apparemment! Elles m'avaient demande de leur faire subir un entrainement adequat et cela leur a tellement plu qu'elles ont decide d'en faire leur mode de vie. . . Je me suis arrange pour leur donner satisfaction.

- Mais c'est du proxenetisme!

- Pas du tout. Elles m'ont demande de les former, les dresser si tu veux, pour un boulot qui les interessait. Rien de plus. Elles pouvaient tout arreter quand elles voulaient. Elles m'ont paye pour cette formation mais je n'ai rien touche sur leurs contrats ni de leur part ni de leurs clients. . . Entre deux contrats, elles revenaient parfois pour quelques semaines de perfectionnement, mais c'etait, a mon avis, plutot pour le plaisir, pour voir ce que j'allais pouvoir encore inventer pour elles... Mais, rassure-toi, depuis notre mariage, je me suis contente de repondre a leurs vÏux de nouvel an et de leur envoyer un mot ou un petit cadeau pour leur anniversaire.

- Donc, tu as toujours des contacts dans ce milieu?

- Plutot distendus depuis cinq ans, mais encore tres amicaux! PourquoiÊtu me demandes ca?

- Tres simple, mon cheri. Tu sais que nos cinq ans de mariage ont passe comme un reve avec tous les voyages qu'on a faits ensemble, les repas, les toilettes, les conferences en Amerique ou au Japon ou tu m'as emmenee deux fois, cette mai*** et le luxe dont tu m'as entouree mais, - comment te dire? - depuis quelque temps, je voudrais un peu plus de piquant dans notre relation et je me suis dit en t'ecoutant que j'aimerais assez que tu me fasses subir cette fameuse formation dont tu parles. . ..

- Mais je t'aime! Tu ne sais pas a quoi tu t'engages. Ca peut aller tres loin et faire tres mal.

- Si ca change un peu de nos habitudes, c'est ce que je cherche, meme si ca fait un peu mal a l'occasion et tu m'as dit que je pouvais tout arreter quand je voulais.

- Certes mais celles qui refusaient definitivement un obstacle, et elles n'etaient pas rares, je les vidais sans menagement. Je ne veux rien faire de tel vis a vis de toi.

- Alors, que me proposes-tu?

- Il y a peut-etre une solution. Tu y tiens absolument? Tu as bien reflechi?

- OuiÊ! Ton petit discours m'a plus excitee qu'inquietee. Alors, vite?

- Voila ce que je peux t'offrir mais, je t'en prie, rappelle toi toujours que c'est toi qui l'as demande.

- Au fait, cheri. Ne tourne pas autour du pot. . .

- OK : C'est un peu complique. Je te propose comme tu me le demandes une formation - un dressage, plutot, comme je te l'ai dit- sur un an au maximum. Chaque semaine, je te ferais subir une nouvelle epreuve et chaque vendredi, je te demanderais si tu veux continuer. Si tu refuses, on en resterait la. Si tu acceptes, je t'annoncerais a ce moment la seulement l'epreuve de la semaine suivante ; ce sera toujours une surprise pour toi.

- Si je refuse, on arrete tout?

- Non, je me suis borne a dire qu'on en resterait la. Je ne veux pas me souvenir que tu avais accepte un truc qui me plait mais que tu ne veux plus. Je voulais dire que tout ce que tu as fait jusque la, tu t'engages par avance a continuer a le faire a nouveau avec moi tant que nous serons maries et chaque fois que je le demanderai. Un exemple : si, une semaine, je t'impose, car ce ne seront plus des demandes, de ne plus mettre de chaussures a talons de moins de dix centimetres, et que tu as accepte par avance, tu ne porteras plus que des talons tres hauts que ce soit en ville, a la plage ou a un mariage . . .

- Et si je ne veux plus du tout jouerÊa ton petit jeu?

- Alors, tu as triche et je refuse de vivre avec une tricheuseÊ: on se separe immediatement. Tu veux reveiller mes vieux demons. Il y a un prix a payer. . .

- Je vois. Mais si je refuse cette nouvelle exigence?

- Je vais etre genereux : tu auras droit dans les memes conditions a une epreuve de remplacement sous forme d'une punition ou situation humiliante pour toi pendant une semaine et cette fois, tu n'auras pas le droit de la refuser. Cette punition pourra ensuite t'etre imposee des ce moment a chaque fois que je le voudrais. Une punition que j'ai imposee a une de mes stagiaires par exemple a ete de devoir faire ses courses avec un gros gode dans la moule. Il s'agissait d'un modele telecommande avec une antenne souple qui lui pendait entre les jambes et qui etait dissimule par une jupe longue jusqu'aux pieds. Pour corser le tout, elle etait nue sous sa jupe et *** T-shirt. Je me suis beaucoup amuse a lancer l'engin chaque fois qu'elle parlait avec un vendeur pour l'arreter aussitot apres. Lorsqu'elle est passee a la caisse d'un super marche, je l'ai mis en continu a la puissance maximale. Elle a joui deux ou trois fois et se cramponnait desesperement a *** chariot en gemissant. La caissiere etait affolee et a failli appeler une ambulance.

- Tu me fiches la trouille. Ca doit etre une experience horrible a vivre. Elle a du t'en parler apres?

- Pas vraiment : Nous etions un vendredi et c'etait la fin de *** stage. Elle devait rentrer le matin suivant chez *** mari. Des qu'on est rentres, je lui ai demande si elle voulait accepter une nouvelle epreuve. Elle m'a donne *** accord tout de suite. Je l'ai baillonnee et cravachee jusqu'a ce qu'elle s'evanouisse. Le soir, toujours baillonnee avec un bandeau sur les yeux, je l'ai enfermee bien sanglee dans une cais*** d'isolement sensoriel : tu es nue dans le noir, le cais*** est totalement etanche au bruit et il y a un peu d'eau chaude au depart dans laquelle tu baignes mais dans laquelle tu finis par pisser et meme plus si le sejour se prolonge. Je l'ai expediee en colis urgent par le train a *** mari a Toulouse. Elle avait juste dix litres d'eau dans un biberon relie a *** baillon. Un mois plus tard, elle m'a appele pour me dire qu'elle etait bien arrivee en moins de vingt-quatre heures mais que *** mari l'avait laissee dans le cais*** deux jours au milieu de ses excrements avant de la liberer. Il lui remplissait seulement *** biberon de temps en temps. Elle a cru devenir folle. Il l'a fait ensuite laver au jet par *** chauffeur avant de la faire enculer devant tout leur per***nel par un berger allemand. Depuis, elle etait le jouet de toute la mai***nee depuis *** mari, *** beau-frere, *** beau-pere, *** chauffeur, sa cuisiniere, *** jardinier jusqu'a la femme de chambre sans parler du chien. Elle m'a juste dit qu'elle etait tres heureuse comme cela et elle m'a demande au telephone ou je m'etais procure mon petit jouet. La petite seance avait du plaire a *** mari lorsque elle la lui avait racontee et il voulait depuis l'emmener faire des courses ou jouer avec elle lors d'une reception.

- Ca lui avait peut-etre plu a elle surtout.

- Elle etait une esclave accomplie. Ce qui lui plaisait n'entrait plus vraiment en ligne de compte!

- Ah bon! On en discutera apres mais revenons a notre cas. Que m'arriverait-il alors si je ne veux pas accepter quelque chose car je suppose que le vendredi suivant, tu redemanderais la meme chose?

- Certainement. A ta place, le vendredi suivant, je refuserais de continuer. Sinon les punitions seront de plus en plus severes. Remarque que si tu es vraiment maso, une serie de refus successifs pourrait t'apporter rapidement des sensations fortes. Une punition a la cravache inclut, bien sur, la possibilite de punitions moins severes comme de te frapper avec une canne, une laisse, une ceinture, un martinet, des orties ou a main nue. Donc, si ton refus d'une epreuve est definitif, tu as interet a reflechir rapidement.

- Si je comprends bien, si j'obeis a toutes tes exigences, je ne serais pas battue?

- Pas pour desobeissance mais, parmi les epreuves que je t'imposerai, il y aura, un jour ou l'autre, l'apprentissage de toutes ces punitions meme si tu obeis de facon parfaite. Remarque que je suis fair play : si tu refuses une epreuve, je ne te l'imposerai pas immediatement comme punition. Mais, apres tout, un Maitre (moi ou quelqu'un d'autre) peut apprecier de te donner le fouet pour *** seul plaisir et non seulement comme punition.

- Comment cela : quelqu'un d'autre? Tu veux me donner a un autre homme! Ca, je ne pourrais jamais l'accepter. . . Je ne suis pas une Marie-couche-toi la! Tu ne veux pas faire de moi une pute, quand meme!!

- C'est pourtant le lot de toutes les esclaves : a un moment donne, tot ou tard, elles seront partouzees, pretees, louees, peut-etre meme un jour vendues a quelqu'un si leur maitre se lasse d'elles. Il n'y aura pas d'exception pour toi, sauf si tu arretes tout avant ce moment-la ou que tu echanges cela contre une nouvelle punition. En devenant mon esclave, tu devras renoncer rapidement a decider quoi que ce soit : qui nous recevrons et chez qui nous irons, comment nous organi***s nos vacances, comment tu t'habilleras, avec qui je ferai l'amour et avec qui tu baiseras. Mais, chaque vendredi pendant un an, ce sera encore a toi de decider. . . - Tu t'autorises a faire l'amour avec une autre fille! Et si je veux faire la meme chose ou si je deviens jalouse?

chrislebo

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#6,483
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- Stop! Nous parlons d'une relation de Maitre a esclave. Moi je fais l'amour a une egale et je baise une esclave. Toi, si tu entreprends un dressage, je ne te ferai plus l'amour, je te baiserai sans que tu aies ton mot a dire. Ton but, ta rai*** de vivre sera uniquement de me faire jouir, moi. Si tu prends ton pied en meme temps, tant mieux pour toi mais ce n'est pas une priorite et je pourrai meme te l'interdire. Meme si tu meurs d'envie de coucher avec un mec, tu ne pourras le faire que si je l'ordonne et encore, si j'apprends que tu le souhaites, tu peux etre sure que je l'interdirai a moins que je ne veuille faire plaisir a lui mais pas a toi. Je lui proposerai probablement alors de t'enculer a sec ou de se faire sucer sans aucune caresse pour que tu ne puisses pas jouir. Une esclave ne doit plus avoir de volonte, elle doit abandonner tout orgueil en s'abandonnant a *** Maitre. Les ************ a repetition ***t destinees a lui en faire prendre conscience. Si j'amene une femme a la mai***, tu assisteras a nos ebats surtout les premieres fois sauf bien sur si c'est une novice et uniquement parce que ca pourrait l'effaroucher!

- Je vois! Et si je vais jusqu'au bout du stage? Si tu ne m'as pas tuee, bien surÊ!

- Ne t'inquiete pasÊpour cela! Tu ne subiras aucun degat irreversible pendant cette annee au moins mais tu connaitras certainement la fessee a main nue, avec des orties ou une palette, le martinet, le fouet, la cravache ou meme le fouet pour chevaux. Et pour completer ton information, a la fin du stage, dans un an au maximum mais moins si tu es douee, je te poserai encore une fois la meme question mais cette fois tu auras un choix un peuÊdifferent : soit on s'en tient la et tu deviens ma petite esclave per***nelle sans nouvelles exigences de ma part soit tu veux aller plus loin encore, et la, il faudra, que tu le veuilles ou non, que je te confie a ceux qui ont recu mes anciennes petites amies. Je n'ai ni le temps ni les moyens de t'amener a ces stades superieursÊ!

- Ca peut durer longtempsÊ?

- C'est toi qui decideras. Les contrats durent, je te l'ai dit, habituellement un an, renouvelables par accord mutuel, s'il y en a un qui te plait. Il existe meme des contrats a vie. En passant, le contrat prevoit l'etendue des modifications que tu acceptes. Pas question qu'un malade te transforme en vache a lait ou te fasses percer les seins sans que tu y consentes avant. Maintenant, si tu veux tout explorer, ta vie entiere ne suffirait pas. Certains de mes amis ont une imagination vraiment fertile. Et puis, n'oublie pas que tu peux y prendre gout et decider de ne plus me revenir.

- Il y a peu de chance : c'est toi que j'aime.

- J'en suis sur, aujourd'hui du moins. Mais tu sais, si tu es vraiment une maso, tu pourrais te punir toi-meme en decidant de me quitter. Certaines vont meme jusqu'a se livrer de leur plein gre a des reseaux specialises de films gore ou elles ***t mises a mort reellement. J'ai vu des videos insoutenables ou les filles dans une folie suicidaire s'infligeaient elles-memes des supplices qui ne pouvaient que les tuer. Je ne veux pas de ca pour toi ou pour n'importe quelle autre fille.

- Merci, cheri. J'ai bien compris. On est vendredi, ca tombe bien. Que souhaites tu me faire subir la semaine prochaine?

- Tu ne veux pas attendre une ou deux semaines pour bien reflechir?

- C'est tout reflechi, Jean!

- Ok, tu l'auras voulu mais avant, un petit probleme d'etiquetteÊ: Je ne suis plus desormais pour toi ni Jean ni cheri mais Maitre, et tu dois me montrer a tout instant un respect total sans quoi tu le regretteras! Tu as bien note?

- Oui, Maitre. Alors, dis moi vite : quelle est ton exigence pour la semaine prochaine?

Une gifle claqua sur sa joue gauche. Presque aussitot, une autre atterrit sur l'autre joue. Elle ne s'attendait pas a cela. Elle avait les larmes aux yeux et voulut se jeter sur lui, toutes griffes dehors. Elle se retint au dernier moment, lorsqu'il lui jeta d'une voix autoritaire qu'elle ne lui connaissait pasÊ:

- C'est cela que tu appelles me montrer un respect total. A partir de maintenant, tu n'auras plus jamais le droit de me tutoyer pendant le dressage ni apres d'ailleurs, ni meme de m'adresser la parole si je ne t'ai rien demande. Mais tu veux peut-etre tout arreter deja?

Elle hesita quelques secondes.

- Non, je vous prie de continuer, Maitre.
chrislebo

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#6,484
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Chapitre 3

Jean semblait rayonner d'une autorite insoupconnee qu'elle ne lui avait jamais connue. Elle attendait sa premiere exigence avec inquietude : serait-elle a la hauteur? Arriverait-elle a subir un an d'epreuves humiliantes, desagreables ou douloureuses? Elle comprenait bien qu'elle s'engageait sur une pente dangereuse, peut-etre irreversible mais elle etait attiree comme par un aimant.

- Bien, nous allons commencer doucement : J'exige que tu ne portes dorenavant plus que des jupes et robes a moins de rester a poil. Tu ne porteras plus aucun pantalon, jupe culotte ou short d'aucune sorte, ete comme hiver. Tu vas jeter immediatement toutes tes frusques que je ne veux plus voir, dans des sacs poubelles que tu iras donner le plus vite possible a qui tu veux.

Elle ouvrit la bouche mais rappela juste a temps qu'elle n'etait pas autorisee a parler. Elle etait deja nue. Sans un mot, elle se dirigea vers la cuisine pour prendre quelques sacs pour executer les ordres recus.

- Pas comme cela : tu y vas a quatre pattes en tenant les sacs entre les dents

Deja domptee, elle obeit instantanement. Il vint avec elle jusque dans la cuisine, prit trois sacs qu'il lui mit en travers de la bouche. Elle le suivit pour retourner dans la chambre. Il ouvrit *** placard et jeta pele-mele ses jeans, *** ensemble pantalon de chez Dior qu'il venait de lui offrir comme ses shorts de jogging. Lorsqu'il eut fini, le placard etait au trois quart vide mais les sacs etaient bourres a craquer. Il les referma, lui en mit deux sur le dos - c'etait affreusement lourd - et presenta les poignees du troisieme a sa bouche, elle dut tout transporter jusqu'a la porte de leur appartement. Lorsqu'il l'ouvrit, elle se regimbaÊ: sortir dehors a quatre pattes, toute nue trainant un sac par la bouche et deux autres sur *** dos, pas questionÊ! Elle recracha la poignee du sac qu'elle tenait dans la bouche. Dans le mouvement, les deux autres sacs tomberent au sol. Elle se releva.

- Tu es devenu fou : tout le monde peut me voirdehors!

Sa velleite de resistance fut brisee net par une nouvelle paire de gifles qui la renvoya par terre.

- C'est comme ca que tu obeis? Si j'ai envie que le facteur ou les voisins te voient a poil , ce n'est deja plus ton probleme! De toutes facons, d'ici un an, ils connaitront probablement tous tes trous et bien d'autres mecs aussi. . . Au surplus, je te rappelle que notre appartement est le dernier au troisieme et que peu de monde monte jusqu'ici. Je t'ai giflee mais je considere cela comme le niveau zero de la punition tout comme une fessee a main nue. A la prochaine incartade, c'est le martinet que je te donnerai. Tu veux bruler les etapes?

Elle fit un violent effort sur elle-meme et parvint a balbutier en retenant ses larmes :

- Non, maitre. Je vous obeirai maintenant. Ne me frappez plus.

- Ca, c'est a moi d'en decider. Et desormais, tu me remercieras chaque fois que je te battrai en me disant que je peux te frapper plus fort si je le desire. Tu as compris? Vas-y!

Il lui appliqua une nouvelle paire de gifles plus fortes que la precedente.

- Oui, Maitre. . . Je vous remercie de m'avoir giflee. . . Vous pourrez me frapper plus fort la prochaine fois si vous le desirez. . .

- Mais rassure toi, c'est bien mon intention! Ne t'en fais pas pour cela!

Elle recut une nouvelle paire de gifles encore plus forte sans esquisser un seul geste pour se defendre. Elle etait domptee, au moins pour le moment et elle le remercia a nouveau. Elle reprit l'un des sacs dans sa bouche par les anses tandis qu'il replacait les deux autres sur *** dos. Elle le suivit sur le palier, miserable et degoutree de sa propre docilite. Il ouvrit la porte du reduit a sacs poubelles mais lui interdit d'y entrer, la laissant sur le palier. Il prit chaque sac un par un pour les placer dans le local en prenant tout *** temps. Il jouissait de la voir trembler de frousse chaque fois qu'une porte claquait dans l'immeuble. Apres l'avoir contemplee quelques minutes, un sourire aux levres, il lui fit signe de rentrer. Elle poussa un soupir de soulagement en passant la porte.

- La prochaine fois, il faudra que je t'attache nue a la porte du palier pendant que j'irais faire mon jogging. Bon, ce n'est pas tout. Habille toi, on va completer ta garde robe. Il fait chaud : tu n'as qu'a mettre ta sortie de bains jaune Elle peut passer pour une robe d'ete. Elle est un peu transparente, alors choisis bien ta petite lingerie. Tu mets tes sandales jaunes, celles a talons tres hauts que tu ne voulais plus. Mets un nÏud jaune citron dans tes cheveux et tu vas te maquillerÊ: fard a paupiere jaune clair, et insiste un peu et, tant qu'a faire, rouge a levres brun a paillettes jaunes, celui que tu avais utilise pour le reveillon.

Lorsqu'elle fut prete, elle chancelait sur ses talons trop hauts - elle avait failli tomber dix fois la seule fois ou elle avait essaye de les mettre. *** visage trop lourdement maquille lui donnait l'impression d'etre une prostituee mais l'ensemble parut satisfaire Jean qui la toisa d'un air approbateur.

- Je n'avais jamais vu ce soutien gorge jaune ni ce slip. On les distingue a peine. Une autre fois, je te ferai mettre un string et un soutif noirs pour qu'on les voie bien a travers ou meme rien du tout: cela sera encore plus bandant. . .

Au lieu de se diriger vers ses boutiques habituelles, il se dirigea vers les vieux quartiers pres de la gare. Il entra dans une cour ou se cachait un magasin a la vitrine opaque et une enseigne enigmatique : A l'homme de gout. . . L'ambiance etait tres differente de celle des magasins qu'elle frequentait habituellement : jupes en cuir tres moulantes ou audacieusement ajourees, chemisiers tres decolletes ou carrement transparents. Un rayon de "lingerie" presentait des corsets en cuir et des guepieres incroyablement serrees. Elle en avait le souffle coupe rien qu'a les voir. Au fond, on distinguait un rayon, pour l'equitation apparemment, avec des harnais, des selles et des cravaches. Elle fris***na en pensant a ce qu'il lui avait promis. . .

Jean donna ses instructions au vendeur sans meme demander *** avis a sa femme. Elle repartit avec une robe chinoise tres collante fendue sur le cote presque jusqu'a la taille, deux jupes longues en velours bleu et noir, une fendue devant tres haut et un fourreau serre qui l'empechait de marcher normalement. Toutes deux avaient sur les cotes une bande de dentelle diaphane courant sur toute la longueur du vetement ne laissant rien ignorer de ses sous vetements ou de leur absence... Jean avait ajoute plusieurs minijupes, presque des ceintures qui lui couvriraient tout juste le slip, en jersey stretch de differentes couleurs . Elles etaient tellement moulantes que meme un string ferait des marques sur le tissu. Lorsque le vendeur fit remarquer a Jean que tous ces vetements devaient se porter sans rien en dessous, elle s'affola a nouveau. Comme elle le craignait, il lui fit retirer *** slip puis se mettre nue au milieu du magasin. Ses hesitations avaient ete balayees a coup de martinet. Elle dut mettre une de ces minis rouge fluo avec un petit pull assorti de deux tailles trop petit qui lui laissait le nombril a l'air et moulait outrageusement ses seins. Le vendeur fourra rapidement vetements et sous-vetements dans un sac.

Pendant tous les essayages, le vendeur lui avait tourne autour, ajustant la taille, ecartant le tissu pour montrer a Jean les particularites du vetement. Elle prit peur a l'idee que Jean puisse la livrer a cet homme mais fut soulagee lorsqu'il sortit sa carte de credit sans commentaire.

Le vendeur lui donna les paquets a porter et Jean n'avait visiblement pas l'intention de la soulager. . .Elle fit sensation dans la rue avec *** accoutrement qui attirait le regardl des passants. Elle etait essoufflee lorsqu'ils franchirent la porte de leur appartement. Elle alla ranger leurs acquisitions et revint dans le sejour prendre ses ordres pour la soiree.

- Felicitations, tu t'es bien comportee. Pas un mot et tu as accepte de porter les sacs sans rechigner.

Elle ne lui dit pas que la vue des cravaches au fond du magasin l'avait beaucoup aidee. Il reprit :

- Pour ce soir, tu vas prendre une douche, mettre la jupe de stretch noir, ton chemisier rouge transparent. Rien dessous, ni slip ni soutien gorge, fard a paupiere rose fonce et rouge a levres vermillon . Tu t'en mets aussi sur le bout des seins. . . Des questions?

- Oui maitre! Que dois-je preparer pour le diner?

- On va faire la fete pour le debut de ton dressage. Repas aux chandelles : foie gras, bar poche aux huitres, sabayon de peches. Comme bois***, du champagne et du bon!. Je me charge de mettre la table.

Lorsqu'elle apporta les plats, deux heures plus tard, elle eut la surprise de ne trouver sur la table qu'une seule assiette. Elle fit le service sans commentaires et, le reste du temps, se retrouva a genoux a ses pieds, les bras croises dans le dos. La faim la tenaillait mais elle n'osait pas se plaindre. Il ne l'autorisa qu'a lecher ses assiettes pour les debarrasser des reliefs du repas. Elle dut ensuite le suivre a quatre pattes a la cuisine ou il vida tous les restes du refrigerateur dans le mixer sans meme les laver ou les eplucher : il y avait des flageolets, un peu de salade, quelques radis et deux carottes. Il y rajouta un oeuf cru et du pain dur. Il lui servit la mixture obtenue dans une assiette posee par terre. Elle dut la manger sans l'aide des mains comme une chienne.

Des qu'elle eut fini, il la ramena dans le salon en l'obligeant a rester a quatre pattes, releva sa jupe autour de la taille devoilant *** cul libre de tout voile, deboutonna *** chemisier pour mettre a nu ses seins lourds qui pointaient vers le sol, la pointe dardee. Il la forca a ecarter les cuisses et s'enfonca dans *** vagin en levrette avec *********. A sa grande surprise, elle ne ressentit aucune douleur tant *** sexe etait inonde. Il le remarqua et la ramona sans douceur quelques minutes en broyant ses seins entre ses doigts. Lorsqu'il ejacula au fond de *** vagin, elle eut un orgasme etourdissant et s'evanouit. Elle se reveilla au milieu de la nuit. Il l'avait ramenee dans la cuisine ou elle gisait, glacee, le visage colle sur le carrelage, toute seule. Elle avait une menotte a chaque poignet, fixee aux deux extremites du grand radiateur, l'obligeant a rester couchee sur le ventre. Le radiateur etait coupe, la fenetre etait grande ouverte et l'air frais de la nuit de septembre tombait sur elle. . .

Le reste de la semaine se deroula sans incident. Meme Pierre ne l'importuna pas pendant leurs seances de tennis. Il se comportait comme si rien ne s'etait passe. En fin de compte, elle se faisait tres bien a ne porter que des jupes et a ne mettre que ce que Jean lui choisissait. *** mari avait tres bon gout et les tenues qu'il lui faisait porter etaient souvent provocantes mais restaient toujours elegantes. Elles lui rappelaient plus les filles superbes de Madame Claude que celles qui faisaient le trottoir dans *** quartier.

Elle ne couchait plus jamais maintenant dans *** lit mais nue, par terre, menottee a un meuble ou un autre, souvent au pied du lit ou dormait *** Maitre qui l'avait abondamment remplie de sperme, avant d'aller se coucher.

Pour repas, elle n'avait droit qu'a la mixture qu'il lui preparait, insipide car sans sel et sans le moindre epice, tout juste assai***nee de complements nutritifs necessaires. Une fois, il s'amusa a se branler devant elle toujours a quatre pattes en ejaculant dans le bol. Il dut lui administrer une fessee memorable, mais elle finit par accepter de manger la mixture en lechant le recipient. La quantite de nourriture lui paraissait toujours insuffisante mais il lui avait annonce *** intention de la faire maigrir vers cinquante kilos pour *** metre soixante dix comme lorsqu'elle avait dix huit ans.

Pour eviter qu'elle perde du poids la ou il ne le voulait pas, elle devait masser ses seins, ses cuisses et ses fesses chaque matin pendant une heure avec une pommade speciale avant deux heures de gymnastique intensive. La methode etait efficace puisqu'elle avait en une semaine perdu plus d'un kilo et quatre centimetres de tour de taille tout en gagnant deux centimetres de tour de poitrine qu'elle sentait se raffermir et deux autres centimetres de tour de hanches. Elle voyait deja dans le miroir sa silhouette se modifier. A ce rythme, d'ici un mois, tous ses vetements neufs et anciens devraient etre remplaces.

Le vendredi arriva et la question attendue revint. La reponse fut facile sans hesitation.

- C'est tres supportable, maitre. Je vous prie de continuer. J'attends impatiemment vos ordres. . ..

chrislebo

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Chapitre 4

Nadine venait d'accepter de continuer ce qu'on pourrait appeler *** dressage pour encore une semaine au grand plaisir de *** mari.

- Tres bien! Bien entendu, le port de pantalons est toujours interdit mais, en plus, tu devras porter des talons hauts. Tu vas jeter tout ce qui n'atteint pas huit centimetres, y compris mules d'interieur, sandales et bottes. Va chercher un autre sac.

Sans que Jean lui dise quoi que ce soit, elle se deshabilla en ayant bien soin de se presenter de face ou de profil pour qu'il en profite au maximum. en se mettant a quatre pattes, elle eut l'audace de poser *** visage au sol, d'ecarter de ses mains les globes de ses fesses pour lui montrer sa fente luisante et *** anus. elle poussa de toutes ses ****** et le sentit s'ouvrir. elle eut le plaisir de l'entendre siffler de satisfaction. Elle se releva et partit vers la cuisine en balancant des fesses, sure d'avoir attire *** attention et esperant bien en profiter rapidement.

Le tri des chaussures fut rapide et sans pitie. elle ne fut pas surprise lorsqu'il lui annonca qu'ils retournaient au magasin pour lui acheter quelques chaussures. Avant de partir, il lui fit prendre sa patee. Juste avant de la servir, il lui vint une nouvelle idee repugnante : il urina dans le bol, melangea le tout avant de lui servir une espece de soupe ecoeurante. Comme la semaine precedente, il lui fallut endurer une correction severe cette fois a la cravache avant de se soumettre.

Pour aller au magasin, il exigea qu'elle se maquille plus lourdement encore que la premiere fois, soulignant ses levres rouges d'un trait brun, insistant sur le fard a paupieres. Il lui choisit la grande jupe de velours avec une bande de dentelle et un chemisier presque transparent. Elle n'etait encore jamais sortie avec. en dessous, il l'obligea a mettre des bas fonces et rien d'autre. Tout le monde saurait qu'elle etait totalement nue sous sa jupe. D'ailleurs, sur le trajet a pied pour gagner le magasin, elle entendit des femmes s'exclamer sur sa tenue en la traitant de salope, de putain et d'autres termes encore moins plaisants.

A un moment ou Jean s'etait un peu ecarte pour jeter un coup d'oeil dans une vitrine, un homme, la prenant pour une prostituee, lui demanda *** tarif. Sans lui repondre, elle se refugia aupres de *** mari qui s'amusait beaucoup de sa confusion et de sa honte. Mais elle ne lui dit pas qu'en arrivant au magasin, *** visage etait certes rouge de honte mais surtout sa fente etait humide comme jamais, degoulinante d'excitation. Elle se surprit a se demander ce que l'homme lui aurait fait si *** mari avait accepte ses propositions.

Sur place, elle fut assez effaree de n'essayer que des chaussures a talons demesures de plus de douze centimetres. L'une de celles que Jean retint avait le talon colle a la semelle et la distance entre la pointe avant de la chaussure et l'arriere du talon ne devait pas depasser cinq centimetres. Des chainettes avec un minuscule cadenas empechaient de les enlever. Elle etait contrainte de faire des pointes en permanence. Dans le miroir, elle avait l'impression (premonitoire?) de porter des sabots comme un cheval. Meme les mules d'interieur lui donnaient l'impression de reposer sur un piedestal.

Pour completer le tableau, elle dut marcher comme un mannequin en croisant les pieds, ce qui faisait valser ses hanches au grand plaisir de *** mari.

- Ces chaussures a talons vertigineux ***t une invitation au viol. Je veux que tu les portes meme la nuit, pour t'habituer. Tu vas les garder pour rentrer. Il y a une bonne trotte jusqu'a la mai*** : je vais pouvoir me rincer l'oeil. Viens!

- Mais, je ne peux pas marcher avec ca! et on ne prend pas la voiture?

- Non, on la laisse ici. Je reviendrai demain en taxi la prendre mais tu vas avoir droit a la punition que je t'avais promise pour avoir encore ose parler sans que je te pose une question et ici tout de suite. Je voulais t'aider en portant les paquets, mais, tout compte fait, tu devras porter ces quatre sacs qui t'occuperont les deux mains. Comme cela, tu ne pourras meme pas t'appuyer sur moi.

Le pire fut lorsqu'il la fit poser le ventre sur un tabouret, au milieu du magasin, lui releva la jupe en mettant ses fesses a l'air. Il la laissa un instant devant les quelques clients et le vendeur qui la detaillaient sans honte. Jean revint avec un petit martinet dont l'extremite de chaque laniere de cuir formait un noeud. Il lui expliqua qu'ainsi, ca faisait nettement plus mal et lui annonca que, en complement de punition, il porterait la hauteur minimale de ses talons a douze centimetres dans un delai de quatre semaines pour lui laisser le temps de s'habituer.

Le comble fut lorsqu'elle dut accepter la punition a haute voix pour que tous les assistants l'entendent. Lorsqu'il commenca la correction, Nadine serra les dents mais au dixieme coup, elle ceda, se mit a pleurer, crier avant de hurler au milieu du magasin. Pourtant, elle resta le ventre colle sur le tabouret sans chercher a se lever, ne fut ce qu'un instant. elle dut ensuite le remercier platement a voix haute. Il proposa aux clients de tater ses fesses pour verifier qu'il n'avait pas fait semblant. Il dit ensuite a un vendeur de lui mettre le doigt dans le vagin pour voir si elle etait mouillee. L'homme lui enfonca tout l'index et le sortit brillant de sa mouille. Il annonca a haute voix :

- Cette salope est trempee. Elle est tellement ouverte que j'aurais pu y enfoncer le plus gros de nos godes, celui a picots pour le dressage des masos avant de les envoyer a l'abattage dans les bordels.

elle ne bougea pas pendant toute l'operation et se mit a sucer le doigt du vendeur lorsqu'il le presenta devant sa bouche. Avant de partir, elle vit que plusieurs clients avaient achete des martinets et certains le monstrueux gode a picots dont avait parle le vendeur. A cause d'elle, plusieurs femmes allaient avoir une soiree plutot desagreable.

Le retour fut un vrai calvaire, d'autant qu'avant de sortir du magasin, il lui avait fait retirer le K-way qu'elle avait mis pour se proteger d'une petite pluie fine. Elle etait totalement exposee a tous les regards et la bruine rendait *** chemisier encore plus impalpable. Attentive a eviter une chute, les fesses endolories, elle ne pensait pas a sa tenue pourtant scandaleuse qui lui attirait les regards excites de tous les hommes qu'elle croisait et ceux haineux ou meprisants de toutes les femmes.

On distinguait facilement ses mamelons peints en rouge ecarlate. A l'aller, tout etait dissimule sous *** K-way mais, la, elle ne pouvait plus rien cacher et Jean prenait un malin plaisir a l'exhiber dans des zones tres eclairees et bien achalandees et a y flaner plus que de coutume. Lors d'un de ces arrets, elle sentit quelques mains furtives sur *** cul mais elle etait trop fatiguee pour s'en formaliser. De toute facon, Jean lui aurait certainement ordonne de se laisser faire. Ca risquait de l'emmener loin et elle n'y tenait pas du tout.

Finalement, elle prit l'habitude de porter ces echasses plus rapidement que Jean lui-meme ne l'avait escompte et ses anciennes chaussures de soiree a talons d'a peine dix centimetres qui lui avaient paru le comble de ce qu'elle mettrait dans toute sa vie se retrouverent a la poubelle beaucoup plus vite que prevu. Elle se debarrassa meme bientot de ses fameuses sandales jaunes qui lui avaient cause tant de problemes. Elles avaient pourtant la hauteur minimale que Jean lui imposait mais comparees a ses nouvelles chaussures, elle avait l'impression de porter des chaus***s ecules. Certes, il ne lui etait plus guere possible de courir mais elle pouvait maintenant presser le pas sans risque important de chute.

Le vendredi soir, la question attendue vint :

- Alors, Nadine, tu t'habitues? Est ce qu'on continue?

- Oui, Maitre, aux deux questions! Je supporte bien tout ce que vous m'avez fait subir jusqu'a maintenant, mais j'ai cru mourir de honte lorsque, en revenant a pied de votre magasin, nous avons croise Pierre et sa femme. Pendant que vous discutiez, Pierre n'a pas arrete de lorgner mes seins, mes talons et la fente de ma jupe. Sa femme m'a dit hier au telephone, qu'il etait si excite en revenant chez eux qu'il l'a sautee trois fois de suite et qu'il voulait meme qu'elle le suce. Elle s'etait sentie violee. Comme elle refusait et resistait, il a meme essaye de l'enculer, tu te rends compte!

Le mot lui avait echappe. Tutoyer *** maitre, un peche impardonnable qui necessitait une expiation immediate, elle s'en rendait compte elle meme. Les machoires serrees par la colere, Jean alla ouvrir un placard et en sortit un martinet a longues lanieres nouees a l'extremite : le fameux chat a neuf queues utilise jadis dans la marine anglaise. Elle allait avoir vraiment mal, pas comme avec le jouet qu'il avait utilise au magasin.

- La semonce au magasin ne t'a pas suffi? Parfait. Ce sera donc, comme c'est la seconde fois, six coups sur les fesses et trois sur les seins. Comme c'est aussi la premiere fois qu'on te les touche, je ne frapperai pas trop fort mais en echange, les coups sur les fesses seront bien appuyes. Tu vas peut etre saigner et tu porteras des marques pendant quelques jours. . . Ah oui, n'oublie pas de compter a haute voix les coups recus. Si tu contentes d'un cri, le coup ne comptera pas. . .

- Pitie, Maitre! Ces mots m'ont echappe.

- C'est vrai mais tu verras que les coups t'aideront a te rappeler.

chrislebo

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Chapitre 5

Jean appliqua le fouet avec une dexterite extraordinaire qui arrachait a la malheureuse des hurlements de souffrance : les lanieres s'abattaient, epousaient le contour de ses fesses ou de ses reins et les nÏuds glissaient sur la peau lorsqu'il reprenait *** elan, lui griffaient la peau et le sang perlait par endroits. Elle parvint entre deux cris a compter jusqu'a six mais elle perdit le compte a deux reprises lorsqu'il s'attaqua a sa poitrine si bien qu'elle fut gratifiee de deux coups supplementaires. Elle aurait voulu s'evanouir mais il lui fallut encore remercier *** maitre et l'encourager a frapper plus fort la prochaine fois. Etait-ce possible? Comment pouvait-elle aller jusqu'a prononcer ces mots elle meme? Il ne lui vint pas un instant a l'idee de se rebeller ni meme seulement de se proteger.

Enfin, Jean reprit la parole :

- Voila une bonne chose de faite, et bien faite! Si tu voyais les marques! Elles mettront au moins huit jours a disparaitre et elles seront bien visibles sous un chemisier transparent! De toute facon, tu recevras desormais le martinet matin et soir pendant cette semaine. : di***s quatre coups sur les fesses, deux sur le dos et deux coups a mon choix sur le ventre, les seins ou meme sur le sexe. Eh oui, petite, on te frappera aussi la : ca fait un mal de chien et tu devras tenir toi meme tes jambes ecartees pour que je te frappe plus facilement. C'est une punition tres raffinee, tu ne crois pas? Bien sur, si tu fais une betise, tu auras droit a une autre seance a midi a la place de ton repas. . . Compris?

- Oui, maitre.

La voix de Nadine etait brisee. Elle supporta vaillamment la semaine, comptant tout arreter la. Elle n'eut droit qu'a une seance de punition le jeudi lorsqu'elle l'avait supplie d'arreter quand un coup plus violent que les autres avait entame sa peau et fait perler quelques gouttes de sang. Le vendredi, pourtant, elle decida de continuer, en esperant seulement que les flagellations soient moins violentes. Jean la soulagea en lui donnant ses nouvelles instructions:

- Desormais, tu ne recevras plus tous les jours que deux coups sur les fesses, deux sur les cuisses, un sur ta poitrine et un autre sur ta fente mais tu en prendras quinze sur les seins si tu as commis une faute grave et je frapperai de plus en plus fort pour t'endurcir. Pour ta nouvelle epreuve, voila ce que j'ai decide pour toi : je te veux toujours accessible, jour et nuit. Donc, je t'interdis desormais, sauf contrordre explicite de ma part, de porter slip, soutien gorge ou collant meme en hiver. Tu n'auras plus droit qu'aux porte jarretelles, soutien gorge sans bonnets laissant la pointe des seins libre ou culottes fendues et, dans ma generosite, je t'accorde pour quelque temps encore le port de strings mais uniquement des ficelles comme celui que j'ai trouve dans ton tiroir : je verifierai moi meme et gare a toi s'ils ***t plus larges. . . Cette semaine, pas question d'en mettre, il va falloir t'habituer!

Ce nouveau coup porte a sa garde robe l'atteignit plus profondement que les precedents. Comment pourrait-elle sortir avec ces mini jupes en stretch, a peine plus larges qu'une ceinture de cuir. et puis, si elle allait au tennis comme chaque mercredi. . .? *** air affole fut remarque par Jean. Lorsqu'elle lui expliqua les causes de *** affolement, il lui jeta simplement :

- Je ne vois pas ou est le probleme! C'est justement prevu pour cela! Je maintiens absolument mon exigence, surtout sur les courts de tennis . Lorsque tu te pencheras, tout le monde aura une vue imprenable. A propos, c'est toujours notre ami Pierre qui est ton moniteur, non?

- Oui, maitre. Mais rappelez vous lorsque nous l'avons rencontre en ville : il m'a deshabille du regard tout le temps, il me frole chaque fois qu'il peut : il doit fantasmer sur moi depuis longtemps. S'il me voit sans slip, il va surement me violer!

Ellle ne voulait pas lui avouer qu'elle avait deja failli y passer quelques semaines auparavant. Cette fois, elle etait certaine de ne pas y couper. En plus, il lui avait promis d'etre tres exigeant la prochaine fois. Quelle erreur elle avait commise, ce jour-la. Le moment de payer le capital et les interets allait ***ner. Jean reprit :

- Impossible techniquement, ma chere, je te l'ai deja dit : une esclave comme tu es en train de le devenir, on ne peut pas la violer : elle doit etre disponible partout, tout le temps, pour tous ceux qui le demandent et autant qu'ils le souhaitent.

Mortification supplementaire, Jean decida que chaque matin, des qu'elle le verrait, elle devrait lui dire a haute voix comme un mantra indien: ce que mon maitre veut, quand mon maitre veut, ou mon maitre veut juste apres l'avoir suce. Apres *** depart le matin, elle devrait se mettre a genoux devant une glace et repeter cent fois la meme phrase toujours a haute voix en regardant *** reflet dans la glace. Il poursuivit :

- Je veux te dresser pour que tu puisses aller plus loin encore : autant de fois que mon ou mes Maitres le pourront! Une bonne esclave se contente de ne jamais dire non a *** maitre mais je veux que toi, tu provoques tous les hommes jusqu'a l'epuisement; pas le tien (c'est sans importance et ca fait partie de ton entrainement), mais le leur. Je veux que tu vides completement les couilles de tous les males qui te passeront dessus. Si, ou que ce soit, tu sens une main baladeuse qui cherche a te peloter ou une bite qui essaie de t'enfiler, tu dois m'en informer si je suis a proximite et, dans tous les cas, te disposer pour faciliter la tache a ton visiteur ou l'amener dans un coin tranquille ou il pourra te faire ce qu'il veut. Tu ne dois plus refuser aucun homme que ce soit un ouvrier, un livreur, un clochard, un homme dans la rue ou quelqu'un que j'aurais designe et tu ne le regarderas en face que s'il t'en donne l'ordre. . . Il faut te mettre dans la tete que tu n'es plus qu'un receptacle a sperme, un objet sexuel uniquement destine a assouvir le plaisir de tes maitres.

Elle se rendit compte que tout ce qu'elle avait subi n'avait pour but que de lui faire accepter la loi de ses Maitres. Apprendre que desormais, elle n'avait plus le droit de repousser les avances d'un livreur, d'un voyou dans la rue ou du fils de la voisine lui fit prendre conscience de sa decheance. Pourtant il ne lui vint pas a l'esprit la moindre idee de revolte. Elle etait deja bien dressee. Jean reprit :

- Pour l'instant, je vais parler a Pierre pour qu'il s'occupe desormais de toi convenablement. S'il daigne s'interesser a toi, je veux que tu te mettes nue devant lui, a genoux et que tu lui dises aussi ta petite phrase. Tu t'en souviens?

- Ce que vous voulez, quand vous voulez, ou vous voulez, mon Maitre, et autant de fois que vous voudrez! Mais, la femme de Pierre m'a dit qu'il revait que je le prenne dans la bouche ou le cul. . .

- Bravo, tu viens de gagner une seance supplementaire de correction : tu viens encore de discuter un ordre clair. . . Quant aux fantasmes de Pierre, eh bien, ou est le probleme? Ils vont simplement se realiser et j'espere bien tous les deux, le plus vite possible a moins que tu ne tiennes a remplacer cette epreuve par la cravache tout de suite et un refus de continuer vendredi prochain. . . Tu es libre! Qu'est ce que tu decides?

- Je veux bien vous obeir mais tu, heu, je n'ai jamais fait ca. C'est t. . . vous que j'aime. C'est repugnant de sucer un autre homme que vous et puis par le cul, ca fait mal!

- Tu as rai***! Chaque fois que je t'ai demande ces petits extras, tu as toujours cherche a y couper en me traitant parfois de noms d'oiseau. Maintenant, c'est fini. Il va falloir t'y faire. A ce propos, je trouve que tu ne sais pas tailler une pipe correctement. Comme tu l'avais deja fait de temps en temps avant nos accords, tu vas pouvoir commencer ton entrainement de pipeuse sans attendre la semaine prochaine mais pour l'enculage, il faudra peut etre attendre encore quelques semaines. Je dirai a Pierre d'etre prudent.

- Non, je ne veux pas! Surtout avec ce mec la!

- Et encore une punition, une! Allez, ne discute pas. Viens ici, a genoux, devant moi, tu vas prendre ta premiere lecon. Il est temps que nous completions ton education. Pendant quelques semaines, je me servirai seulement de ta bouche et je laisserai tes autres orifices a Pierre. Je te parie une semaine de repos sans nouvelle exigence, que, d'ici peu, tu pourras avaler la plus grosse queue jusqu'aux couilles sans haut le coeur et, bien entendu, je veux que tu avales la fumee en plus, sinon, tu auras droit a la cravache jusqu'au sang immediatement. Je t'ai bien dit que tu brulais les etapes. . . On va faire vraiment quelque chose de toi!

chrislebo

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Chapitre 6

- Je te rappelle que tu as gagne le droit a au moins deux punitions : croise les bras derriere le cou. Je vais te les attacher pour que tu ne puisses pas te proteger.

C'etait aussi la premiere fois qu'on l'entravait pour la baiser. Elle le laissa passer un collier de chien a *** cou et attacher ses poignets en croix derriere. Ainsi sa poitrine etait totalement degagee et il lui etait impossible de se proteger. Elle sentit soudain avec surprise *** vagin se lubrifier abondamment au point qu'un filet de mouille commenca a suinter de *** sexe. Ce n'etait pas possible : Elle etait excitee a l'idee seule d'etre battue : Elle devenait vraiment maso! Elle recut les quinze coups bien assenes sur les seins et la moule en hurlant et en comptant a chaque fois. Elle le remercia et le pria a nouveau de frapper encore plus fort. Elle pensa que dans ce cas, elle tournerait sans doute de l'oeil mais ca faisait partie du rituel qui lui paraissait deja normal de respecter.

- Maintenant pas***s a ton education dit Jean en s'asseyant sur un fauteuil profond. Viens a genoux devant moi.

Docilement, elle s'approcha de *** mari, dut parcourir des levres puis de la langue toute la longueur de la bite decalottee. Jean lui commanda ensuite de lecher la tete deja tendue et violacee. L'odeur du sexe en erection etait forte, Elle y retrouvait *** propre parfum, residu d'un vite fait dans la salle de bains un quart d'heure auparavant.

Jean l'avait juchee sur la machine a laver, l'avait enfilee sans aucune fioriture comme un soudard et avait lance un essorage long. Les vibrations de la machine, un vieux modele qu'il n'avait pas voulu jeter meme s'il ne servait plus et dont elle comprenait maintenant l'utilite, se transmettaient a *** corps qui etait secoue en tous sens. Aucun d'eux n'avait besoin de bouger. Elle eut trois orgasmes successifs mais Jean se retint presque jusqu'a la fin du programme. Il se lava rapidement sans lui permettre de se lever. Le sperme coulait de sa fente. A la fin, il la deposa a terre et la forca a laper le sperme qui maculait le capot. Il etait froid maintenant mais elle aspira tout le liquide ecÏurant.

Elle dut ensuite faire penetrer le gland dans sa bouche et le caresser avec ses levres et sa langue en insistant sur le frein et le meat. La bite grossit encore sous cet attouchement. Nadine avait de plus en plus de peine a respirer. Ce fut pire encore lorsqu'il voulut s'enfoncer plus loin : Tres excite, il atteignait alors pres de vingt centimetres et sa bouche aurait ete bien en peine de recevoir un pareil visiteur. Des qu'il lui toucha la luette du bout du gland, elle eut un haut le cÏur et recracha instinctivement l'intrus.

- Petite imbecile. Je vais t'apprendre a me recracher.

Le martinet siffla un bon nombre de fois avant que Jean ne se calme, fatigue. Les marques s'entrecroisaient sur *** dos, ses fesses, ses cuisses, *** ventre et sa poitrine. Tout *** corps la brelait. Sans dire un mot, le regard noir, il prit des cordes et la ligota , a genoux a un radiateur. Il la laissa attachee, et sortit en claquant la porte exterieure.

Lorsqu'il revint, deux heures apres, il tenait a la main un objet qui l'aurait fait hurler si elle l'avait pu : un long godemiche noir de pres de vingt cinq centimetres avec des sangles pendantes. Elle comprit qu'il voulait le lui mettre dans la bouche. Elle chercha a resister, dents serrees mais il lui tordit mechamment un sein. Elle ouvrit la bouche pour hurler mais se retrouva instantanement baillonnee. Lorsque le leurre toucha sa luette, elle eut a nouveau des nausees mais il l'empecha de rejeter le gode et continua au contraire a l'enfoncer!

Lorsque les testicules en plastique toucherent *** menton, elle etait secouee de spasmes mais il s'en moquait apparemment. Il fixa rapidement les sangles derriere la tete par un cadenas. Au milieu de ses larmes, a moitie asphyxiee, elle l'entendit lui annoncer ses intentions.

- Tu garderas ce gode dans la bouche toute la nuit, pour que tu t'habitues le plus vite possible, On fera un nouvel essai demain matin puis demain soir, jusqu'a ce que tu puisses me recevoir sans difficulte. Des que tes nausees cesseront, je te retirerai les sangles mais tu garderas le gode dans la bouche jusqu'a ce que tu sois bien decoulissee. Tu as compris?

Au milieu de ses larmes, hoquetante de nausees a repetition, elle parvint a acquiescer de la tete. Il la laissa toute la nuit nue attachee au radiateur. Le lendemain matin, il lui retira le leurre et tenta un nouvel essai. Ce n'est qu'au bout de trois jours qu'elle put le garder dans sa bouche et pres d'une semaine supplementaire pour qu'elle arrive a le masser de la bouche, de la langue et meme de la gorge jusqu'a ce que, triomphant, il se vide dans le conduit devenu enfin accueillant. Elle eut encore un instant de panique la premiere fois que le sperme se deversa dans *** gosier mais elle parvint a tout avaler sans perdre une seule goutte.

Le vendredi, il estima qu'elle etait maintenant assez habituee pour se passer du leurre en permanence. Il lui suffirait desormais de pratiquer regulierement cet exercice pour qu'elle se perfectionne. Lorsque l'heure de la question rituelle fut arrivee, il s'attendait a ce qu'elle veuille arreter. Il etait pret a se contenter d'une fille obeissante, nue sous sa mini jupe avec un chemisier transparent, en talons vertigineux, pipeuse entrainee qu'on pouvait attacher et battre sans qu'elle resiste mais elle le surprit encore en acceptant de continuer le stage.
chrislebo

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Chapitre 7

Jean parvint a dissimuler sa surprise. Decidement, il s'etait lourdement trompe sur Nadine. Il allait vraiment pouvoir faire quelque chose d'elle!

- Parfait! On va suivre le programme prevu. Tenue exterieure cette semaine: mini jupe stretch et tu changes au moins deux fois par jour de couleur pour attirer un peu l'attention des voisins, chemisier transparent ou tres decollete, talons hauts, rien en dessous, bien sur. Tu sors aussi souvent que possible. Tu dois etre dehors au moins six heures par jour cette semaine que ce soit dans le jardin, a faire tes courses, en ville ou au club. Tu vas passer a trois seances de tennis, cette semaine, d'ailleurs. Je vais telephoner tout de suite a Pierre. Tu vas enfin sortir dans le monde. . .

Il decrocha le telephone, fit rapidement le numero de leur ami. Il ordonna a Nadine de venir le sucer pendant qu'il telephonait. Elle se mit aussitot a l'oeuvre. Il etait plus gros qu'elle ne l'avait jamais vu et elle dut utiliser toutes ses nouvelles ressources pour l'accueillir et lui donner totale satisfaction. Elle fut meme tres fiere lorsque ses testicules vinrent buter contre *** menton : elle avait reussi a le recevoir en entier malgre sa taille. Il lui interdit de le finir avant qu'il ne raccroche.

- Bonjour, Pierre. Ici Jean. Dis, je voulais te parler de quelques changements dans mes relations avec Nadine. Non, non, rassure toi, nous ne divorcons pas, pas pour l'instant au moins. En fait, elle m'a demande il y a quelques semaines de lui faire subir un dressage d'esclave. . .. Oui, comme la petite Francoise. . .. Non, je ne sais pas chez qui elle est maintenant. On s'est un peu perdu de vue, depuis mon mariage. . .Merci pour tes felicitations mais je vais avoir besoin de ta collaboration. . ..Oui, je sais. . .. Voila: en ce moment, Nadine en est encore au stade du cul nu sous sa jupe et de la pipe debutante. Elle est d'ailleurs en pleine action en ce moment. Je te l'envoie comme d'habitude des lundi pour *** cours de tennis. Voila ce que je te propose. . .

S'ensuivit une conversation rapide que Nadine ne comprit pas completement. Elle ressentait une *********** profonde a l'idee que maintenant quelqu'un qu'elle frequentait, qui venait diner a la mai*** savait maintenant qu'elle n'etait qu'une esclave qu'il allait pouvoir baiser comme bon lui semblait. Jusque la, elle n'avait pas vraiment reflechi aux consequences de *** esclavage sur sa vie en dehors de sa mai***. Elle allait en faire l'apprentissage tres bientot. Des que Jean eut raccroche, elle reprit sa fellation active. Au moment d'ejaculer, il se retira et le sperme lui jaillit sur le visage maculant ses joues, *** front et *** nez. Une giclee se perdit meme dans ses cheveux.

- Tu nettoies tout avec tes doigts et tu les suces. Je veux que rien ne se perde, jamais.

Elle dut meme lecher quelques gouttes tombees par terre. Jean n'avait pas voulu qu'elle utilise un doigt ou du papier. Il verifia sa tenue avant de l'envoyer a *** cours.

En se garant sur le parking du club de tennis, Nadine passa le doigt sur sa fente pour constater qu'elle mouillait au point qu'une tache humide aureolait *** siege. Une odeur lourde de femelle en chaleur flottait dans la voiture. Lorsqu'elle arriva pres du court, elle vit Pierre qui l'attendait. Elle voulut l'embrasser sur la joue comme d'habitude mais il lui attrapa les cheveux d'une main et avec *********, lui prit les levres de *****. Sa langue toujours aussi imperieuse appuya sur ses dents. La lueur agressive qu'elle vit dans ses prunelles lui fit desserrer les machoires. La langue de Pierre se mit a explorer sa bouche avec assurance. Il lui jeta :

- A partir d'aujourd'hui, tu me fais un vrai baiser d'amoureuse meme en public et si j'ai envie de te peloter, tu te laisses faire. Compris?

- Oui, Pierre. Je ferai comme tu voudras.

- Eh bien, commence par me vouvoyer et a m'appeler Monsieur en public et Maitre lorsque nous sommes seuls ou avec Jean.

- Oui, Maitre. Et comment devrais-je m'adresser a votre epouse Claire?

- Bonne question! Elle n'est pas au courant de nos petits jeux de domination a Jean et a moi. Continue a l'appeler par *** prenom et a la tutoyer. Mais tu me donnes une idee : vous etes tres copines et tu vas lui parler de tes nouvelles relations avec Jean. Tu lui feras de la retape et tu peux gouiner avec elle si ca peut faire avancer les choses. Je veux que d'ici trois mois, elle demande aussi de subir le meme traitement. Avec toi pour lui montrer ce qu'il faut faire, elle t'aura vite rattrapee.

- J'essaierai, Monsieur

- Nous sommes seuls. Tu peux m'appeler Maitre, ca me fera bander!

Se rappelant brusquement les instructions de Jean, elle jeta un coup d'oeil aux alentours. Per***ne en vue. Elle retira en quelques secondes ses vetements en tremblant de peur, se mit a genoux et recita : "ce que vous voulez, quand vous voulez, ou vous voulez, autant de fois que vous pourrez".

Pierre eclata de rire.

- Rassure toi! Avec mon travail, je vais avoir du temps a te consacrer. Il serait peut etre temps d'ailleurs de travailler. Rhabille-toi : quelqu'un peut quand meme venir. Renoue tes lacets. . .Non pas comme cela : tu me tournes le dos, tu releves ta jupette au maximum, tu gardes une jambe droite et tu appuies ton pied sur le premier gradin. . .Voila! Comme cela je vois tes deux lunes et meme ta moule et ton petit trou! Fascinant! Je ne pensais plus avoir l'occasion de te voir comme cela.

En guise d'echauffement, instruit par sa premiere experience, il lui fit faire quelques balles hautes, ce qui l'obligeait a sauter en l'air. Sa jupe voletait autour d'elle et il pouvait detailler sa chatte couverte d'un fin duvet blond qui avait repousse. Au debut, elle cherchait a retenir la jupette d'une main mais alors elle ne rattrapait plus la balle et il l'obligeait ensuite a la ramasser sans flechir les genoux en lui tournant le dos. La position etait encore plus obscene et un visiteur pouvait passer a chaque instant. A la fin, elle renonca completement a se cacher et, en ameliorant *** jeu, lui offrit, en prime, un spectacle fort agreable qui l'incita a pousser plus loin *** avantage :

- Bon. Maintenant apres ces quelques balles, on va faire un petit match comme d'habitude. Cette fois, on va l'interesser un peu : On le fait en trois sets : si je gagne les trois, tu me suces au milieu du court, a genoux et a poil. N'importe qui risque de passer. . .Si je n'en gagne que deux, tu me suceras dans le vestiaire des profs mais si un de mes collegues est present, tu lui feras la meme chose. Si je n'en gagne qu'un, je me contenterai de te baiser sur la moquette et si tu les gagnes tous, c'est toi qui decideras si, comment et ou cela se passera! Prete?

Elle perdit successivement les trois sets, se deshabilla entierement au milieu du court sans faire de difficultes, enlevant meme ses chaussures et ses chaussettes et s'appliqua a lui faire un pompier inoubliable, long et jouissif au milieu du court. Elle ne lui proposa meme pas de s'abriter un peu des regards sous les peupliers qui bordaient le court. Alors que Pierre commencait a geindre, elle vit arriver Frederic, un autre moniteur. Pierre, les yeux fermes, ne le vit pas. Le nouveau venu, realisant ce qui se passait, se cacha dans l'ombre pour les observer mais Nadine l'avait apercu. Le rouge de la honte monta a ses joues mais en meme temps une excitation folle la gagna. *** ventre devint lourd, ses seins se gonflerent et les mamelons se dresserent. Elle sentit *** vagin se transformer en marecage. Pourtant, Frederic n'avait rien de bien attirant, laid, mal habille, pas toujours rase et lave superficiellement.

Lorsqu'elle eut bu la derniere goutte de sperme et nettoye parfaitement la bite de Pierre, elle entrevit Frederic s'eclipser vers le vestiaire des moniteurs. Elle proposa a Pierre une revanche aux memes conditions. Pierre accepta, certain de remporter une nouvelle victoire. Mais Nadine se mit a jouer a un niveau qu'elle n'avait jamais atteint sans plus chercher a dissimuler ses appats, ce qui deconcentrait *** adversaire. Pierre, fatigue par ses exploits sexuels, perdit successivement les trois sets et, beau joueur, lui demanda quelles etaient ses intentions.

- Ca me gene toujours de faire l'amour en public. Alors, on va faire une variante de ce que je devais subir : on va dans le vestiaire ; si tu as besoin que je te remette en forme, je te sucerai et tu me baiseras sur la moquette ou meme sur le carrelage des douches si ca te chante et si on tombe sur un autre mono, il aura aussi droit a une pipe et il pourra me baiser si ca l'interesse. . .

Bien sur, ils tomberent sur Frederic et elle se vit donc "contrainte" de sucer Pierre pendant que Frederic la pistonnait puis d'alterner. Bien sur, ils voulurent tous les deux lui mettre un doigt dans l'anus, elle les laissa faire mais elle refusa tout net lorsque Frederic voulut l'enculer seance tenante. Pierre s'assoupit mais Frederic l'entraina sur le court pour une pipe en plein air pour se dedommager de *** refus. Il s'etait bien depense et il fut long a se liberer. Nadine avait mal aux machoires lorsque le sperme fusa enfin tout au fond de sa gorge.

- J'ai bien remarque que tu m'avais vu. Alors, la seconde partie, c'etait pour moi?

- Oui, je l'avoue. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Cette impulsion etait plus forte que moi. Mais, je t'en prie, oublie tout cela.

- Oublier, certainement pas mais recommencer, oui, surement : tu as du temperament et ca me plait. On va faire quelque chose de toi, petite pute.

- Je ne te permets pas de m'insulter!

Une claque atterrit sur sa joue. Decidement, tout le monde s'y mettait!

- Je me permets tout ce que je veux et toi, tu n'as qu'a obeir. Je vais te prendre en main, moi, tu vas voir! Et d'abord tu vas me dire, la, tout de suite, a poil au milieu de ce court, que tu es ma putain.

- Jamais! Vous etes fou!

Frederic attrapa sa raquette de tennis, pencha Nadine en avant sans qu'elle puisse resister et lui donna une grele de coups sur les fesses avec sa raquette jusqu'a ce qu'elle demande grace en repetant tout ce qu'il lui disait.

- Oui, je suis votre putain. Oui, vous pouvez me faire tout ce que vous voulez. Non, je ne dirai rien a Pierre ni a Jean. Oui, je ferai la pute pour vous si vous le souhaitez mais ne me frappez plus, je vous en supplie!

Elle aurait promis tout ce que Frederic voulait pour qu'il arrete de la frapper. Apres qu'elle se soit rhabillee sommairement, il la traina jusque derriere sa voiture, fourragea dans le coffre et en sortit un collier de chien et une laisse. Il referma le collier de chien autour du cou de Nadine en serrant a l'etrangler a moitie. Elle n'osa pas protester pour eviter une nouvelle correction. Il lui jeta :

chrislebo

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- Ah, tu es ma putain : c'est ce qu'on va voir! Grimpe dans le coffre et deshabille toi. . .

Il referma le coffre sur elle apres l'avoir menottee en croix, cheville a poignet oppose, puis demarra et se rendit a vive allure dans un bois a quelques kilometres. Dans *** coffre elle pensa a ce que lui avait dit Jean avant qu'elle ne decide de commencer *** apprentissage. Ca y etait : elle voyageait nue et entravee dans le coffre. La pensee des etapes suivantes la fit trembler. Frederic se gara dans une clairiere ou plusieurs voitures attendaient. Il la fit sortir sans douceur de la voiture. Il lui menotta les poignets dans le dos. Elle dut s'etendre sur une table de beton probablement destinee aux pique-niqueurs du dimanche. Ses poignets ecrases sous elle lui firent pousser des gemissements de douleur. Des hommes sortirent des voitures et s'approcherent. Apres un rapide conciliabule avec Frederic, ils lui tendirent l'un apres l'autre quelques billets et s'approcherent d'elle.

Nadine chercha a se relever pour tenter de s'echapper mais Frederic avait garde l'extremite de la laisse a la main. Il la recoucha de ***** sur la table et elle dut subir successivement huit hommes qui a sa grande stupeur horrifiee, n'eurent aucune difficulte a la penetrer tant elle etait mouillee. Un a un, ils se munirent d'un preservatif, se viderent tour a tour dans *** vagin sans s'inquieter le moins du monde de ce qu'elle pouvait ressentir. Elle ne s'etait pas lavee depuis que Pierre l'avait baisee mais Frederic qui l'avait prise en premier sans preservatif prit plaisir a se vautrer une derniere fois dans le sperme de Pierre et de Jean en la finissant comme il le dit. Tout le temps qu'ils ********* d'elle, elle pleura a chaudes larmes sans attendrir qui que ce soit. Un moment, elle apercut a quelques metres une autre femme qui la regardait avec un sourire meprisant. Elle crut reconnaitre la secretaire de *** mari,

Pour ses derniers "clients", Frederic avait lache la laisse et sorti de *** sac un appareil photo. Il filma *** abandon et meme exigea qu'elle recoive elle meme le payement des derniers hommes pour une photo souvenir, lui dit-il en lui deliant les mains. Elle obeit aussitot, tendit l'argent a Frederic, se recoucha au bord de la table en ecartant les cuisses. Elle se degoutait elle-meme d'accepter cela mais elle ne pouvait pas se cacher qu'une sourde excitation insidieuse la gagnait : Ca y etait! Elle etait devenue une vraie pute. Des inconnus avaient donne de l'argent pour la baiser, elle l'avait recu et avait ecarte les cuisses pour leur faciliter l'acces sans qu'il ait eu a la battre pour la faire obeir. Il ne lui restait plus qu'a devoir les aguicher au bord d'un trottoir mais, brusquement, elle n'y pensait plus avec le degout qu'elle avait ressenti jusque la. D'ailleurs Frederic pensait apparemment a la meme chose qu'elle :

- Ta comptee a ete plutot moyenne mais c'est une premiere fois. La prochaine occasion, je te mets sur le trottoir avec une ancienne pour te driver et si tu ne ramenes pas au moins cinq cents euros, tu le regretteras! A quatre vingts euros par tete, ca te fera sept clients. Roulee comme tu es, tu devrais pouvoir atteindre le double par jour en t'y prenant bien. Tiens ca me redonne la trique, l'idee de mettre sur le trottoir une bourgeoise comme toi. En attendant, je vais me soulager sur la bete! Tourne toi! Et tout de suite, sinon. . .

Elle s'executa sans rien dire, lui offrant le spectacle de ses fesses somptueuses avec une raie profonde et ombreuse. Il ne put s'empecher de l'admirer puis, il la fit se pencher en avant en ecartant les cuisses. Il put voir de pres *** anus serre et sa fente qui degoulinait de foutre. Il lui enfonca un doigt dans *** anus, sans precaution et sans lubrification. Elle hurla de douleur dans la nuit.

- Quel beau cul, tu as rai*** de le montrer aux passants. Dis, tu es vachement serree! On ne doit pas t'enculer souvent! Tous les amants que tu dois avoir, avec un cul pareil, et ton mari encore pire, ce ***t des cons. A leur place, je ne te baiserais que par la. Je te ferais peut-etre bien exciser, a vif, a la pince coupante comme ca tu ne pourrais plus prendre ton pied que par le cul. Ah tu as la trouille! Je te sens qui te resserre. Chouette, je vais pouvoir te defoncer comme une gamine. Tu vas gouter la pine d'un vrai mec au lieu de la ficelle ramollie de ton mari. . .Surtout, ne bouge pas, sinon tu auras droit a une nouvelle raclee.

Elle sentit la bite de l'homme appuyer sur *** anus. Elle serra desesperement *** cul pour empecher l'intrusion mais elle sentit que *** muscle commencait a lacher. Millimetre par millimetre, le gland dur comme la pierre la penetrait en lui arrachant des glapissements de douleur pour le plus grand plaisir de ses derniers clients encore presents. Elle comprit que sa resistance etait sur le point de ceder d'un coup lorsqu'une voix familiere re***na pres d'elle. C'etait celle de Jean. Dans la surprise, elle relacha *** sphincter et emporte par *** elan, Frederic s'enfonca d'un coup jusqu'a la garde, lui arrachant un lancinant cri de douleur. Surpris lui aussi, Frederic s'arreta immediatement. La peur fit que *** sexe se ratatina instantanement et il se degagea aussitot. La voix de Jean reprit :

- Alors, mon cher Frederic, on veut mettre la femme du con sur le trottoir sans l'accord de celui ci? Heureusement que Pierre vous a vus partir et m'a appele. Sans cela, tu partais pour Tanger ou Beyrouth d'ici quelques mois, ma pauvre Nadine, apres un dressage bien plus dur que tout ce que je pourrais te faire subir. Ce triste monsieur, dont j'ai utilise jadis les services pour faire decouvrir ce que tu viens de subir a mes protegees, fournit differents reseaux en chair fraiche. Avec lui, les contrats ***t a vie et la paye est maigre.

Frederic restait petrifie, ne sachant s'il devait fuir ou essayer d'assommer le nouveau venu. Mais il savait que Jean etait ceinture noire de judo ou de karate, il ne savait plus trop mais assurement un trop gros morceau pour lui. Les voyeurs qui etaient restes autour s'eclipserent discretement. Il decida de parlementer :
chrislebo

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- Qu'est ce que vous allez faire de moi?

- Mais rien, mon cher ami. C'est la beaute de la chose. Je comprends, remarque, ta reaction : Nadine est tres bandante surtout cul nu en train de sucer un mec au milieu d'un terrain de tennis. Tu vas poliment t'ecarter de la dame. Non! laisse-lui donc le collier et la laisse. Maintenant qu'elle y a goute, autant continuer. Di***s que tu me les offres. Et merci d'avoir anticipe sur *** dressage, la partie de plein air etait bien reussie. J'ai apprecie depuis les fourres. J'avais prevu cela dans deux ou trois mois mais, au fond, pourquoi pas?

Nadine, a ces mots, explosa :

- Quoi? Tu etais la depuis le debut et tu n'es pas intervenu! Tu m'as laisse violer par tous ces mecs et ce salaud m'a enculee comme un soudard. . .

- Eh oui! Le vin etait tire, ma pauvre cherie. Il fallait le boire. Tes clients auraient ete trop decus. . .Mais je te rappelle qu'en me tutoyant, meme maintenant, tu as gagne en plus une correction mai***. Frederic, je t'ai abondamment filme lors de la prestation de Nadine. Avec nos temoignages, le sperme qu'un de mes amis medecins va conserver avec les constatations d'usage, tu seras a ma merci : Nadine porte plainte et tu vas pour quelques annees en cabane. En plus, j'ai un temoignage fascinant : tu te rappelles Francoise, une de tes anciennes petites amies que tu as mise au tapin a Malaga. Eh oui, je sais cela aussi! C'etait auparavant une de mes eleves mais elle m'a laisse tomber parce qu'elle pensait avoir trouve le grand amour avec toi. Apres cinq ans de punition, elle a reussi a appeler la police. Elle ne t'a pas denonce mais un gars avec ton signalement est maintenant recherche la bas. Tu sais, le proxenetisme et la traite des blanches, c'est interdit. Si on leur dit ou tu creches, tu finiras au trou pour quelque temps, tes employeurs risquent de s'inquieter et meme le fisc va s'interesser beaucoup a toi. Tu as interet a collaborer! D'accord?

- Vous me tenez pour l'instant. Ca va! J'ai compris!

- Pas tout, je crois : en ce qui concerne Nadine, je te la confierai dans quelques heures et toute la semaine suivante pour completer sa formation. Tu vas me la mettre des que tu le jugeras bon vraiment sur le trottoir comme une debutante avec comptee et rouste si elle n'a pas ramene assez de fric a ton gout ; mais pas de degats, bien compris! Les chiffres que tu as indiques me semblent rai***nables. Tu me la ramenes vendredi en huit a quatorze heures tapantes au club pour une nouvelle partie de tennis avec les memes enjeux. Tu vas aussi m'organiser pour elle dans un mois ou deux un sejour dans un bordel en Allemagne ou a Amsterdam avec passage en vitrine et, deux mois apres, une seance d'abattage dans la region avec au moins cinquante mecs a la suite. Je veux aussi que tu l'emmenes aussi a l'occasion dans un peep-show pour un strip-tease integral. Organise-lui une seance avec deux ou trois acteurs. Elle pourra recevoir les clients apres si tu veux. Tu garderas le fric pour tes oeuvres.

Nadine etait completement desorientee : Jean l'avait sauvee au dernier moment des griffes de cette brute et il la remettait immediatement entre ses mains avec un programme repugnant. En plus, toutes ces nouvelles epreuves, elle ne les avait jamais acceptees. Elle se crut protegee par leur accord.

- Desole, ma cherie, mais je n'ai pas de nouvelles exigences pour toi, la semaine prochaine : tu vas seulement faire la pute comme tu l'as fait ici, il y a quelques minutes. Je n'ai donc pas a te demander ton avis, selon nos accords. Les autres exigences, c'est pour plus tard. Di***s que je te donne deux semaines de vacances.

Nadine ne chercha plus a discuter mais se dit :

- Attends, mon gaillard. Tu vas avoir une surprise desagreable le vendredi a la fin!

Dans la voiture, elle repensa a la femme qu'elle avait entrevue pendant qu'elle se faisait baiser par tous ces hommes. Si c'etait bien Carmen, la secretaire de *** mari, c'est qu'elle etait avec lui et ils avaient joui ensemble du spectacle qu'elle leur avait involontairement offert. Est- ce que pendant que Frederic essayait de l'enculer, Carmen sucait Jean ou qu'ils faisaient l'amour dans les fourres. Dans ce cas, ils allaient avoir deux semaines pour filer le parfait amour pendant qu'elle allait subir un sort "pire que la mort" comme on disait jadis.
chrislebo

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Chapitre 8

Le jour venu, Frederic la ramena ponctuellement a l'endroit prevu. Pendant ses "vacances" avec Frederic, elle n'avait guere chome et ces quelques jours l'avaient bien changee. Le premier soir, Frederic l'avait tringlee par tous les trous pendant deux heures, l'enculant sauvagement sans aucun lubrifiant. Il lui avait ensuite enfonce des godes de plus en plus gros qu'elle avait ete ****** de garder toute la nuit, enchainee au levier du volet, sans couverture, la fenetre grande ouverte. Il avait commence le dressage proprement dit au petit matin par une fouettee severe a la cravache puis il l'avait confiee a une prostituee, Marine, qui travaillait pour lui. Celle-ci l'avait emmenee avec elle sur le trottoir apres lui avoir fait enfiler quelques vetements voyants qui ne cachaient qu'a peine *** corps.

Les clients etaient un peu surpris mais Marine avait beaucoup d'habitues qui ne firent aucune difficulte. Elle dut assister a leurs ebats a trois ou quatre reprises sans participer en aucune facon puis sa formatrice lui mit des menottes et des chaines et suggera au client suivant de la caresser. Lorsqu'il vit les marques de cravache, il se jeta sur elle, effleurant ses marques du doigt et de la langue. Toujours enchainee, Nadine dut sucer le client suivant avant qu'il n'encule Marine. Moins d'un quart d'heure apres, elle dut nettoyer la capote d'un client sortant du con de la prostituee. Elle dut insister jusqu'a qu'il se retrouve tendu et dur. Il ejacula dans sa bouche.

Des le lendemain, elle dut s'occuper elle meme des derniers clients, leur mettre leur capote et les recevoir dans la bouche, dans sa moule ou dans *** cul, sous l'oeil inquisiteur de la fille. Il avait a nouveau fallu la convaincre a la cravache a toute volee sur les seins qui etaient encore marques deux semaines apres. Avant de rejoindre Frederic pour la comptee, Marine passa un coup de telephone et elles furent rejointes par un grand noir. Il se deshabilla, revelant un sexe prodigieux tant en grosseur qu'en diametre. Il etait nettement plus imposant que le plus gros gode que Frederic lui avait impose jusque-la. Elle eut peur lorsqu'il l'attrapa par les cheveux pour l'attirer vers lui. Il positionna sa bite juste sous l'orifice de *** vagin et forca ses jambes a s'ecarter avec ses genoux. Le gland fint cogner contre l'orifice. Elle chercha a se degager mais il insista. Le gland commenca a la dilater lentement.

Voyant qu'elle resistait de toutes ses ******, il eut un grand sourire, appuya plus fortement sur ses genoux, l'attrapa par la taille et la tira vers le bas. Dans un grand cri, elle sentit la mentule monstrueuse s'enfoncer sans merci en elle. Elle fut sideree lorsqu'elle sentit les couilles de l'homme s'ecraser sous ses fesses : elle avait englouti ce chibre gigantesque jusqu'a la garde! Apres quelques mouvements dans *** sexe qui declencherent des gemissements de plaisir, il se degagea en la soulevant lentement. Elle sentit alors le doigt de sa formatrice appuyer sur *** anus et s'y introduire, couvert de graisse, tournant lentement pour bien la lubrifier et l'elargir.

Nadine fut alors soulevee par la poigne vigoureuse de l'homme. Il quitta rapidement *** sexe ravage, la laissant beante et lui arrachant un gemissement de frustration. Elle fut retournee sans menagement et sentit le terrible mandrin appuyer sur *** anus lubrifie. Elle eut beau hurler, se debattre et serrer ses fesses de toutes ses ******, elle sentit le sexe s'enfoncer lentement dans ses entrailles, ecartelant sa fragile rondelle.

- Tu sens, je te defonce le cul. Maintenant tu pourras recevoir par la les plus grosses bites. Tu ne pourras plus t'en passer!

Elle s'attendait a ce que la dilatation enorme provoque une hemorragie mais lorsqu'elle sentit qu'il ne pouvait pas aller plus loin, elle ouvrit les yeux pour decouvrir sa compagne devant elle. Elle avait un gode encore plus gros que le sexe qui lui ravageait le fondement fixe par des sangles a ses hanches comme un sexe d'homme. L'objet tout noir luisait lui aussi abondamment lubrifie. Le noir la ceintura par derriere, l'empechant de se liberer. Elle dut subir la double penetration jusqu'au bout en hurlant de toutes ses ******.

Frederic entra a cet instant dans la piece, interrompant un court instant leurs ebats sans que ses deux tortionnaires ne se retirent. Il la felicita pour sa docilite et maintenant pour sa capacite. Il rigola de sa plaisanterie puis prit quelques photos, un grand sourire aux levres. Il lui annonca que, des le lendemain, elle travaillerait en solo et qu'il lui imposait une comptee minimum de huit cents euros, soit huit clients a cent euros la passe. Pas cher pour une pute a sados!

Tout le temps de *** stage, elle fit le tapin depuis 16 ou 17 heures jusqu'aux petites heures du matin. Au debut, Frederic ou le noir restaient dans une voiture, la surveillant a distance mais au bout de quelques jours, ils constaterent que la comptee depassait nettement les objectifs de Frederic et la laisserent sans surveillance. Elle avait pris le pli.

Nadine eut un beau succes avec ses marques de cravache et ramena ponctuellement a *** mac ses huit cents euros, et souvent plus, chaque soir de la seconde semaine. Apres la comptee, il la ramenait chez lui. Elle le sucait dans *** entree, a genoux sur une regle de metal, les poignets menottes dans le dos, ramenes par une chainette courte presque jusqu'a *** collier de chien qu'elle ne quittait plus. Elle faisait ensuite sa toilette intime sous l'oeil de Frederic en s'enfoncant dans le vagin et l'anus un gode demesurement long en savon, ce qui lui permettait de se savonner interieurement parfaitement. Ensuite Frederic lui enfoncait a la place une pomme de douche en forme de canule pour bien la rincer de l'interieur. Lorsque le jet concentre frappait le col de l'uterus ou la paroi de ses intestins, elle ressentait un plaisir violent et inavouable.

chrislebo

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#6,492
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Frederic interrompait le traitement trop vite pour qu'elle puisse jouir, la mettait a quatre pattes dans la salle de bains, lui menottait les poignets, le visage au sol et alternait les penetrations ******** dans *** vagin et *** anus. Lorsqu'il avait fini, elle devait le nettoyer avec sa bouche meme si ses intestins parfaitement nettoyes ne laissaient aucune trace suspecte sur la bite.

Ensuite, il la couchait dans un superbe lit a baldaquin sous une couverture pour qu'elle puisse se reposer. Il se bornait a attacher sur le ventre ou sur le dos ses quatre membres aux piliers du lit apres avoir glisse sous elle un gros coussin qui lui rehaussait les fesses. Il la reveillait vers onze heures du matin et recommencait sa penetration alternative sauf que la seule lubrification venait cette fois de *** vagin lorsqu'il n'avait pas decide de l'enculer a sec. Il se faisait ensuite sucer mais cette fois des trainees brunes maculaient sa bite.

Pour lui faire accepter cela, il l'avait battue longtemps a main nue, au martinet puis a la cravache. Les marques l'avaient couverte des epaules aux orteils. Elle n'avait pourtant cede que lorsqu'il lui avait enfonce dans la fente des feuilles d'orties qui lui avaient cause une douleur abominable. Les marques fraiches sur *** corps lui avaient attire une clientele nombreuse des le lendemain.

Frederic ne lui preparait pas de repas lui-meme. Elle n'avait droit qu'a une boite de nourriture pour chien avec des croquettes dans une ecuelle par terre. Ses mains etaient alors menottees dans le dos pour qu'elle ne puisse pas s'en aider. Elle avait d'abord refuse de manger cette nourriture infame mais il l'avait privee d'eau jusqu'a ce qu'elle mange sa pitance. Il avait pousse le chauffage de sa "chambre" pour accroitre sa soif. Il avait fixe sa laisse a un radiateur et avait pose une bouteille d'eau hors de sa portee mais bien en vue. La soif est souveraine pour faire ceder une fille bien plus recalcitrante qu'elle. En deux jours, elle avait mange sa patee en lechant l'ecuelle et, depuis, elle ne se rebellait plus.

Apres le repas, elle devait aller chez un photographe ami de Frederic pour des series de photos erotiques ou carrement porno. Lorsqu'elle avait refuse tout d'abord, il lui avait montre les photos prises dans la clairiere en faisant remarquer que Jean avait affirme que si elle avait deja fait quelque chose, elle devait le refaire sur simple ordre. . .Elle avait bien du reconnaitre que cela faisait effectivement partie du contrat avec Jean. Pour la punir de *** refus, Frederic lui avait rase les levres de *** sexe et elle avait pris quinze coups directement sur la fente fraichement degagee. Pendant la correction, elle dut tenir elle meme ses chevilles ecartees au maximum en comptant a haute voix et le remercier comme pour Jean.

Tous ses ebats avaient ete filmes par Frederic ou *** ami photographe lequel se payait aussitot sur Nadine, en general en l'enculant a sec sans aucun egard pour elle, ne cherchant que *** propre plaisir. Trop plonge dans ses sensations bestiales, il ne se rendit pas compte qu'elle finissait par y trouver *** propre plaisir mais elle reussit a lui faire croire que ces gemissements n'etaient que de douleur. Ils monterent les pellicules rapidement et en firent un film X gratine qu'ils visionnerent avec Nadine prise en sandwich entre eux deux et dont ils offrirent un exemplaire a Jean et a Pierre. Ils ne preciserent pas qu'ils en avaient deja commercialise quelques milliers sur le marche specialise. Frederic fit remarquer en la ramenant a *** rendez-vous qu'en deux semaines seulement, il avait reussi a lui faire accomplir des progres autrement plus importants que Jean n'avait pu le faire.

En quelques jours de travail intensif seulement, Nadine etait en effet devenue une pute accomplie. Pour Frederic, elle etait faite pour cela. *** cul etait parfaitement decoulisse et ne necessitait plus de lubrifiant pour recevoir les plus grosses pines, elle sucait des bites sortant de *** cul, elle posait pour des photos et des films sans rechigner. *** sexe etait totalement rase mais Frederic l'avait terrifie en lui disant qu'elle serait bientot epilee definitivement au laser.

En arrivant au club, elle portait, sans la moindre gene apparente, un collier de chien cloute blanc et une courte laisse en maille d'acier qui pendait ostensiblement jusque sur *** ventre. Ses seuls vetements etaient une courte jupe fendue haut devant et derriere et un debardeur de soie tres reduit, avec un decollete large et tres lache. Les deux vetements etaient noirs pour mettre en evidence le collier blanc. Suivant les instructions de Frederic, elle marchait, le ventre rentre, les seins offerts et les fesses cambrees autant que possible. Ses fesses se dandinaient, faisant se dresser la queue de tous les hommes qui pouvaient l'apercevoir. Elle gardait les yeux baisses vers le sol, ne regardant per***ne en face comme Frederic le lui avait ordonne.

Lorsque Frederic et Jean s'assirent dans un coin, elle ne prit pas l'un des sieges disponibles mais se mit d'elle meme a genoux au pied du fauteuil bas de Frederic, tournant le dos a *** mari. Elle ecarta largement les cuisses, attrapa l'extremite de sa laisse et la tendit a celui qui l'avait prostituee pendant ces deux semaines. Elle croisa ensuite spontanement les mains derriere la nuque indifferente aux regards du serveur et des quelques clients. Elle ne jeta meme pas un regard a Jean. Elle avait du encore perdre un ou deux kilos. Sa taille s'etait encore affinee tandis que les massages repetes de sa poitrine lui permettaient de conserver deux mamelles bien fermes. Elle se tenait cambree au maximum, tendant ses seins vers *** maitre. Dans le mouvement elle faisait saillir ses fesses et Jean profitait aussi du spectacle.

Les pointes libres des seins de Nadine menacaient de perforer a chaque instant le debardeur minimal ultra collant que Frederic lui avait fait mettre. Il lui caressait les seins sans se cacher et passait le doigt de temps en temps par les fentes de sa jupe tantot par devant et tantot par derriere. Nadine se laissait faire, decollant au besoin les fesses de ses chevilles pour lui faciliter l'acces. Apres avoir renifle *** doigt, Frederic le frottait sur ses seins lorsque le doigt sortait de *** vagin ou dans sa bouche lorsqu'il sortait de *** cul.

Frederic felicita longuement Jean pour sa petite amie (il ne l'appelait plus sa femme ni Nadine), il decrivit a voix haute tout ce qu'il lui avait fait faire. Il fit remarquer comme on voyait bien ses mamelons et proposa de les faire percer ainsi que ses grandes levres pour y suspendre des anneaux ou des poids.

Jean s'extasia sur les progres accomplis. Il decida de continuer la journee chez eux. Il se leva mais Nadine, bien dressee, ne se redressa que lorsque Frederic se leva a *** tour et lui donna l'ordre de les suivre toujours tenue en laisse ostensiblement. Aussitot arrives, Frederic lui ordonna de saluer Jean. Nadine se leva, se prosterna devant celui-ci et entreprit de faire briller ses chaussures en les lustrant avec sa langue. Soudain, sans recevoir d'ordre, elle alla a genoux jusqu'au porte parapluie, prit dans ses dents une cravache, puis elle s'agenouilla a cote de *** accoudoir, et deposa la cravache dans la main ouverte de Jean sans dire un mot. Elle se deplaca a genoux jusqu'au milieu de la piece, se mit nue, colla sa joue au sol et fit saillir ses fesses en les cambrant au maximum.

Sans un mot, Jean se leva, s'approcha de la victime volontaire et consentante, leva la cravache qui siffla en s'abattant sur ses fesses. Elle recut dix coups qui formerent un reseau boursoufle sur les fesses puis Jean s'ecarta en tendant l'instrument de ******* a Frederic qui lui administra encore cinq coups regulierement espaces sur l'arriere des cuisses puis Pierre fit de meme par devant. Toujours muette, se mordant les levres pour surmonter la douleur, Nadine se remit a genoux puis prit ses seins dans ses mains et les offrit a la morsure de la cravache administree avec plus de legerete par Jean. Elle voulut encore offrir *** sexe mais il refusa en craignant de la blesser. Par contre, il s'y enfonca, la verge tendue comme jamais par l'excitation. La mouille bavait de sa fente et faisait une petite flaque sous elle.

Elle dut ensuite retourner au club jouer trois parties de tennis totalement nue. Heureusement, le club etait ferme a cette heure la et per***ne ne pouvait la voir. Pierre les attendait. Handicapee par *** corps meurtri, elle perdit tous les sets et dut satisfaire devant les trois hommes les desirs successivement de Pierre, de Frederic et finalement de *** mari. Excites par les photographies de Frederic, ils choisirent tous de la baiser puis de l'enculer a sec avant de se faire sucer leur bites souillees d'excrements jusqu'a ce qu'ils ejaculent dans la bouche accueillante. Bien entendu, elle fut obligee de nettoyer les traces brunes avec la pointe de sa langue en gardant les yeux bien ouverts pour pouvoir s'appliquer. Lorsque Jean se vida enfin en elle, elle ouvrit grande la bouche pour que chacun put apprecier le volume de sperme qu'il lui avait mis puis avala le tout a petites gorgees. Elle s'effondra aussitot apres, epuisee par pres de deux heures de baise ininterrompue.

Dompte par Jean, Frederic s'etait montre tres exigeant sans jamais cependant depasser les limites de ce qu'elle pouvait supporter. Elle devait reconnaitre qu'il lui avait donne finalement beaucoup de plaisir. Emportee par la vague d'excitation qui l'avait amenee a se soumettre d'elle meme a la cravache, elle se surprit elle meme en acceptant de continuer, alors qu'elle savait par avance ce qu'elle allait devoir subir a l'avenir. En y reflechissant apres, elle comprit qu'elle avait voulu quelque part se punir de ce qu'elle n'avait oppose aucune resistance a sa prostitution et qu'elle avait d'elle-meme travaille sa facon de marcher ou de se tenir pour aguicher les hommes et augmenter sa comptee.
chrislebo

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Ch9

- Nadine, je peux maintenant t'appeler ma petite pute puisque tu l'es vraiment désormais. A propos, Marine la fille qui t'a appris les rudiments du travail t'en veut à mort. Suite à tes résultats extraordinaires, Frédéric a augmenté sa comptée de presque cinquante pour cent. Elle va devoir faire des efforts pour appater le client ou en accepter qui rapportent plus, comme les sados. Il faudra qu'on organise une soirée ou elle s'occuperait de toi : cela sera gratiné à mon avis.

Jean décida de lui préparer un vrai programme de travail décrivant précisément tout ce qu'il attendait d'elle. Le matin, elle devrait se lever à six heures, prendre un yaourt et du jus d'orange, partir pour un jogging en jupette et tee-shirt court sans rien dessous avec le nombril à l'air, été comme hiver dans le parc voisin, prendre une douche d'eau froide et le réveiller vers huit heures par une pipe très lente. Après avoir servi Jean à table, nue bien sur, elle devrait faire la toilette de *** mari en lui nettoyant le sexe et le cul avec sa langue. S'il avait envie de pisser, il se soulagerait sur elle ou dans sa bouche auquel cas, elle devrait avaler autant que possible l'urine avant de le nettoyer a nouveau avec sa langue.

Nadine pourrait, après le départ de Jean, se doucher toujours à l'eau froide avant deux heures d'aérobic ou de stretching. Ensuite seulement, elle pourrait prendre un bain chaud et procéder à ses soins de beauté. A midi, elle n'aurait droit qu'à une petite boite de pâtée ou des croquettes pour chien mais si Jean était présent, elle devrait se contenter des miettes de *** repas. Le lundi, mercredi et vendredi après midi, elle irait rejoindre Pierre au tennis. Il pourrait faire ce qu'il voudrait avec elle mais elle devait être rentrée pour huit heures du soir.

Le mardi et samedi, elle devrait se prostituer dans la rue ou ailleurs pour le compte de Frédéric. Elle rentrerait chez Jean dans la matinée du lendemain à pied en faisant *** jogging. Ca lui ferait dix kilomètres à faire au minimum mais de temps en temps (lorsque le terrain était détrempé), elle devrait aller pieds nus en prenant un chemin de terre et ça lui ferait cinq kilomètres de plus. Les jours ou elle était de service, elle devrait rentrer chez Frédéric vers trois heures du matin au plus tard. A elle de se débrouiller pour avoir la comptée suffisante pour Frédéric et dormir un peu sur la descente de lit de *** mac. Si elle se faisait draguer sur le chemin de retour, elle ne devait jamais se refuser.

- Si tu veux faire moins de passes, je te signale que tu pourrais gagner beaucoup plus et tu aurais bien le temps de récupérer d'une semaine sur l'autre mais c'est toi qui vois.

Du mercredi en fin d'après midi jusqu'au vendredi matin, elle avait quartier libre. Elle devrait en profiter pour aller chez *** coiffeur, *** esthéticienne, acheter les accessoires que Jean lui indiquerait au magasin près de la gare en les payant avec l'excédent de ses passes. Elle ne devait pas rentrer à la mai*** avant le vendredi à midi pour *** repas. En fait, au bout de quelques semaines, elle comprit par une odeur qui flottait dans l'air, des mégots de cigarette maculés de rouge à lèvres que Jean avait une liai*** et en profitait pour la recevoir chez lui, mais il s'était arrogé ce droit dès le départ.

En plus, *** dressage d'esclave avait déjà tellement modifié sa façon de voir les choses que Jean aurait pu amener la femme à la mai***, baiser avec elle sous les yeux de Nadine ou faire de celle-ci la servante de cette femme, baisable et corvéable à merci, qu'elle aurait trouvé cela normal et y aurait même peut être pris plaisir. Pour l'esclave qu'elle se sentait devenue, aucun Maître n'avait plus besoin de justifier quelque acte que ce fût. Elle était dans l'état d'esprit dont lui avait parlé Jean : S'il lui avait annoncé qu'il voulait la filmer s'empalant elle-même à mort, elle serait montée d'elle même sur un escabeau, et se serait mis des chaînes et des poids au pied avant de prendre place en se tournant vers la caméra pour que chaque étape de *** supplice soit parfaitement filmée.

Sentant qu'elle s'installait trop dans *** rôle d'esclave, Jean tint à partir de ce moment à passer un week-end tranquille avec elle, comme avant. Le samedi, lorsqu'elle le réveillait en revenant de chez Frédéric, il l'embrassait, la faisait coucher dans le lit à coté de lui, allait lui préparer un petit déjeuner qu'il lui servait au lit. Le soir, il l'emmenait dans des restaurants parfois très luxueux. A ces occasions, elle portait une robe longue ou un tailleur habillé. Lorsque des marques zébraient ces épaules ou sa poitrine, un chemisier opaque masquait les dégâts. Chaque fois que c'était possible, Jean lui faisait porter un grand décolleté devant et derrière. Bien entendu, elle avait ses éternelles échasses de quinze centimètres, parfois des bas et souvent un porte-jarretelles mais rien d'autre. Il lui avait dit :

- Je tiens à ce que tu gardes pour l'instant un contact avec la bonne société. Le dimanche, tu t'habilles élégamment et nous irons au spectacle ou en réception le dimanche soir et nous ferons l'amour comme avant.

Pendant ces réceptions mondaines, elle pensait souvent que le lendemain à la même heure, *** prof de tennis se serait vidé les couilles dans tous ses orifices, lui aurait uriné en plein visage et l'aurait renvoyée chez elle sans même lui permettre de se laver et que le surlendemain, à la même heure, quinze ou vingt hommes lui seraient déjà passés dessus.

Pour les nuits qu'elle devait passer dehors, elle avait trouvé rapidement la solution : Pierre envoyait sa femme chez sa mère qui était malade le mercredi et baisait toute la nuit avec Nadine. Le jeudi soir, elle le passait dans un grand hôtel de la ville voisine où on la prenait pour une riche femme d'affaires. Elle payait avec ce qu'elle ramenait des soirées pour le compte de Frédéric : elle prenait toujours au moins deux clients de plus que nécessaire chaque soir, ce qui lui laissait plus de cinq cents euros chaque semaine. Avec cela, elle pouvait aller au restaurant et au spectacle et même inviter parfois un homme qui lui plaisait.

Un jour, elle tomba sur Claire, la femme de Pierre, désemparée car elle était persuadée qu'il profitait de *** mercredi pour coucher avec une femme! Elle avait remarqué que *** mari était beaucoup moins ardent le jeudi soir. Nadine appela aussitôt Pierre pour lui dire qu'elle avait rencontré sa femme en ville, qu'elle l'emmenait au spectacle et qu'elles coucheraient à l'hôtel dans la ville voisine. En fait de spectacle, elles allèrent dans une boite rétro ou elles dansèrent pas mal, burent encore plus et finirent la nuit dans la chambre de Nadine avec un bel Espagnol qu'elles avaient dragué ensemble. Au matin, Claire n'avait plus rien à reprocher à *** mari.

Les deux femmes prirent l'habitude de se retrouver le jeudi soir. Pierre trouvait souvent une amie pour lui tenir compagnie mais Claire trouvait maintenant cela tout à fait normal et lui signalait les jolies filles de leur entourage. Elle allait jusqu'à prendre un verre avec elles pour lui faciliter les premières approches. Un soir, ou Nadine et Claire avaient trop bu de champagne, elles se retrouvèrent au petit matin dans les bras l'une de l'autre. A partir de ce jour, elles se mirent aussi à explorer les plaisirs lesbiens lorsqu'aucun homme à leur goût ne se présentait.

Pierre, au courant de l'idylle qui se nouait entre les deux femmes vint les rejoindre un mercredi soir et ils finirent tous les trois dans le même lit. Ils continuèrent le jeudi soir et les semaines d'après. La femme de Pierre ne mit pas longtemps, à partir de ce moment à suivre l'exemple de sa tendre amie en se prostituant régulièrement. C'était Nadine qui s'occupa du dressage de Claire. Elle savait mieux que Jean, que Pierre et souvent mieux que Frédéric jusqu'où elle pouvait aller avec *** élève.

Une grande fête fut organisée avec Jean, Pierre et Frédéric ainsi que *** copain noir le jour ou Claire reçut pour la première fois trois hommes en même temps. Jean avait choisi *** vagin pendant que Frédéric avait préféré *** cul tandis que Pierre s'enfonçait dans la bouche devenue accueillante. Pendant ce temps là, Nadine se faisait enculer d'importance par le noir. Ensuite, les hommes changèrent de position jusqu'à ce que Claire s'endorme épuisée. Ils besognèrent ensuite Nadine plus résistante jusqu'au matin.
chrislebo

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Chapitre 10

- Nadine, tes progrès ***t inespérés. Je vais devoir bientôt déclarer forfait et mettre fin à ta période de dressage, en tout cas avec moi. Tu veux toujours continuer, je suppose?

- Plus que jamais, Maître. J'ai découvert avec Pierre et Frédéric que je prenais un plaisir pervers à exciter les hommes. Même mes clients n'ont plus aucune difficulté à m'enfiler, tellement je suis mouillée en permanence. Si Frédéric, déjà, m'avait un tant soit peu lubrifiée avec mon jus, la première fois, il m'aurait enculée sans difficulté avant que vous n'interveniez.

- Ne me dis pas que tu regrettes que je sois venu?

- Il m'a fait un mal de chien en m'enculant mais, lorsque vous avez fixé le programme pour moi avec lui, j'ai eu un orgasme rien qu'en pensant à ce qui m'attendait. Je suis devenue une salope pas possible.

- C'est probablement que tu t'habitues comme les précédentes filles que j'ai dressées. Et puis nous n'en sommes encore qu'au début. Il faudra voir si tu dis la même chose à la fin. Mais, à ce train, tu ne mettras pas six mois à arriver à maturité. J'en conclus que tu veux continuer. Je me trompe?

- Oui je veux continuer pour voir. . .

- Voir quoi?

- Jusqu'ou on peut m'avilir sans que je me rebelle et en y prenant plaisir. Je n'arrive déjà plus à imaginer à la fin du stage de revenir à la situation d'avant. Tu, Non, Maître, vous avez perdu la petite femme qui vous attendait sagement à la mai***. Je suis désolée.

- Je m'estime gagnant dans l'échange, d'ores et déjà. Revenons plutôt à ta nouvelle épreuve. Grâce à Claire, tu sais déjà sucer une femme, partager un ou plusieurs hommes mais tu n'as jamais été dominée par une femme. Je vais demander à Carmen, ma secrétaire, de venir s'occuper de toi. C'est une dominatrice encore plus experte que moi. A propos, j'ai remarqué que tu tutoyais toujours Pierre. Ce n'est pas convenable pour une soumise comme toi. Je veux aussi que tu le vouvoies et que tu l'appelles Maître, lui aussi, désormais et Carmen sera pour toi simplement Maîtresse. Tu vas les appeler l'un après l'autre pour leur expliquer mes intentions vis à vis de toi. Ecoute-moi bien!

Peu après, Nadine se mit, d'elle même, à genoux devant le téléphone, ce qui fit plaisir à Jean. Elle composa rapidement le numéro de Pierre

- Allô, Monsieur? C'est Nadine. Oui, je vous remercie. Ca n'a été finalement pas trop désagréable, la dernière fois! Justement, nous venons d'en parler. Mon maître veut que je m'adresse à vous de la même façon. . . Non, je crois que ce serait plus normal. Après tout, je ne suis qu'une esclave en cours de dressage. A ce propos, mon Maître souhaiterait aller un peu plus loin. Il veut me dilater les orifices. . . Oui tous les deux pour que vous soyez aussi à l'aise dans mon cul. Lorsque je viendrai vous voir désormais, j'aurais le vagin et l'anus lubrifiés avec un gros gode dedans. Il faudra me renvoyer avec. Jean voudrait aussi que vous étrenniez avec moi le gros gode à picot qu'il m'a fait acheter et qu'il vous a montré. . . Oui celui pour les putes à sados avant une séance d'abattage! Vous ferez comme vous voudrez, Maître! Bien sur, vous pourrez me renvoyer à mon Maître avec ce pal dans mon cul si vous le souhaitez. . . Oui, vous inviterez une douzaine d'amis qui m'enculeront jusqu'au soir. . . Je ferais tout mon possible, MaitreÊ! Bien. . .! Je le lui dirai. . . Bonjour à Claire. Au revoir, Maître.

- C'est bien, tu as parfaitement obéi et Pierre doit être satisfait. Qu'est ce que tu devais me dire?

- Il souhaiterait que vous filmiez désormais mon dressage comme l'a fait Frédéric et que vous lui en envoyiez une copie. . .

- C'est une très bonne idée. On va faire quelques cassettes pour garder des souvenirs de ton dressage. Je vais aussi en envoyer une copie à ta cousine, la gouine qui voulait que tu te mettes avec elle et que tu me laisses tomber. Comme cela, elle saura que sa petite Nadine est devenue une salope qui se fait mettre par tous les trous. J'aimerais qu'elle vienne assister à ta première séance d'abattage. Peut-être que cela lui ouvrirait de nouveaux horizons. Qu'en penses-tu?

- Le seul problème, Maître, est qu'elle va faire des copies à toute ma famille et je n'oserai plus aller voir ma soeur. Mais, bien sur, vous pouvez faire comme vous le souhaitez. Maître Pierre a fait d'autres suggestions : me faire porter en permanence le collier de chien et des liens assortis aux poignets et aux chevilles, me faire faire mes besoins nue dans le jardin, tenue en laisse même sous la pluie ou la neige. Il a parlé aussi de nier mon humanité en m'interdisant de parler avec un piercing bloquant la langue, en m'empêchant de me mettre debout, en me donnant un nom ******** et en me faisant saillir par un chien ou un singe.

- Oui, encore de bonnes idées. Tout cela est envisageable mais il ne faut pas aller trop loin pour l'instant : c'est le rôle des Maîtres auxquels je te destine si tu tiens jusque là. Mais n'oublie pas d'appeler Carmen

- Tout de suite, Maître. . . Allo, Carmen. . . Ici Nadine. Comment allez-vous?. . . Je vous appelle de la part de Jean. . . Non ce n'est pas pour le travail. C'est pour moi! Eh bien, je vais être directe : Jean vient de me dire que vous étiez une dominatrice très expérimentée. . . Oui. . . Il vous a peut-être dit qu'il avait commencé mon dressage. . . Ah c'était bien vous que j'avais vue dans la clairière. . . Bien, Maîtresse, j'essayerai de ne pas oublier. . . Justement, Jean voudrait que vous y preniez désormais une part active.

Carmen donna *** accord total à cette proposition qu'elle attendait en fait depuis longtemps. Elle demanda à Nadine pourquoi Jean ne l'avait pas appelée lui même plus tôt. Lorsque Nadine lui eut expliqué leur petit jeu du vendredi, elle s'attira un rire méprisant : une esclave qui a droit de décider ce qu'elle accepte qu'on lui fasse, une esclave qu'on emmène au restaurant, qu'on sert au lit, qui reçoit des invités et puis quoi encore!

Pour Carmen, une esclave doit faire tout ce qu'on lui dit, mange les restes de *** maitre, un brouet d'esclave ou un repas simple. C'est elle qui apporte le repas au lit à *** maitre. Si on l'emmène au restaurant, c'est pour se faire servir par elle, s'amuser avec elle, l'exhiber devant les clients ou l'offrir en pourboire au serveur. Il n'est pas question qu'elle partage le repas de ses maitres comme une égale. Et on lui met un corset ultra serré ou un gros gode dans le cul et des pinces aux seins et aux grandes lèvres, comme cela, elle se rappelle à chaque instant pourquoi elle est là.

Si *** maitre reçoit des invités, elle est nue avec un collier d'esclave et elle leur présente une cravache et un fouet. Lorsqu'elle dort, c'est par terre ou sur un sommier sans drap ni couverture, enchaînée à un anneau au mur.

Bref, toute l'éducation de Nadine était à refaire. Pour commencer, elle allait perdre ses privilèges et même *** nom. Un nom de femme libre ne pouvait convenir à une petite esclave. Désormais, elle devrait répondre au nom d'esclave de Juanita. Carmen allait venir chez Jean mais elle voulait en arrivant que Juanita ait déjà dit à *** mari qu'on ne devait plus lui donner que *** nom d'esclave, qu'elle offrait à Carmen tous ses vêtements et sa chambre, qu'elle renonçait à sa possibilité de refuser un ordre et qu'elle voulait qu'elle soit fouettée sur tout le corps ce soir même, bras et jambes en croix, suspendue par les pieds. Elle s'exécuta aussitôt après avoir raccroché sans même une seconde de réflexion.

- Maître, Maitresse Carmen insiste pour que je vous annonce que la cérémonie du vendredi en revenant de chez Pierre, lorsque vous me débarrassez de toutes mes entraves et que vous me demandez poliment si je veux bien continuer mon dressage n'a plus de sens pour moi. Je me sens maintenant une esclave, à part entière. J'ai parfois de la peine à accepter une nouvelle épreuve mais je ne souhaite pas y échapper ou arrêter le déroulement de mon dressage. Je propose donc de m'abandonner totalement à vous en vous demandant d'utiliser tous les moyens pour me contraindre si nécessaire et faire taire tous mes refus éventuels sous le fouet. Je vous supplie de ne plus me demander mon avis sur quoi que ce soit. Je suis votre esclave jusqu'à ce que vous vous sépariez de moi d'une façon ou d'une autre. Lorsque vous m'en estimerez digne, vous pourrez me proposer pour les contrats que vous avez prévus sans me demander mon accord, verser l'argent de mes contrats sur un compte en Suisse ou vous pourrez vous servir et même me vendre dans un bordel à l'autre bout du monde ou à un vrai sadique qui me fera subir de vraies ********. J'ai beaucoup parlé alors que mon rôle n'est que de m'occuper de votre plaisir, de crier de douleur ou de gémir de plaisir. De plus, je dois vous dire que Maitresse Carmen va venir. Je lui cède tout ce qui est à moi dans cette mai***. Elle veut qu'on m'appelle désormais Juanita et que vous me fouettiez au sang les bras en croix et la tête en bas avant *** arrivée. Elle veut que vous me fouettiez les fesses, le dos, les cuisses devant et derrière, les seins et le sexe. . .

La longue déclaration de Nadine fit extrêmement plaisir à Jean qui voyait *** dressage couronné de succès bien avant le terme prévu. Il restait certes à habituer Nadine aux rigueurs extrêmes qu'elle pouvait devoir endurer. Maintenant, il n'avait plus de gradation à respecter, il n'avait plus qu'à obtenir *** obéissance et elle venait de l'autoriser à utiliser la *****.

- J'ai bien compris et j'accepte volontiers ce changement de programme. Tu vas déguster. Je ne t'épargnerai plus désormais.

La punition fut effectivement sévère a la mesure de la satisfaction de Jean : Nadine fut attachée au plafond la tête en bas et les jambes à angle droit. Elle fut hissée à près d'un mètre de haut. Jean apporta une variante au programme Ses bras complètement retournés, ses poignets furent fixés directement à *** collier. Pour augmenter *** inconfort, des poids furent accrochés à ce collier. La douleur devint extrême lorsque Pierre introduisit dans *** anus et *** vagin près d'une livre de feuilles d'orties bien piquantes. Pierre la fustigea avec des brassées d'orties sur tout le corps. Elle se mit à hurler de douleur. Jean et Frédéric prirent de grands fouets de cocher et se mirent à la frapper sur tout le corps avec de grands mouvements amples du poignet.

Lorsque les cris de la jeune femme devinrent insupportables, ils lui placèrent trois gros godes. Celui qui fut introduit dans sa bouche était gonflable ce qui rétablit le silence. Un harnais de cuir passé autour de sa tête empêchait de le rejeter. Les deux autres écrasèrent les feuilles d'orties sur la paroi tendre du vagin et de l'anus. Les tortionnaires appuyèrent sur un interrupteur ce qui fit sortir une série de protubérances sur toute leur longueur. Lorsque les godes s'animèrent d'amples mouvements de pénétration et de recul, le corps torturé sembla se tétaniser. Jean s'en inquiéta quelques instants jusqu'à ce qu'il constate une émission abondante de mouille qui débordait du sexe de Nadine. Les trois hommes recommencèrent à fouetter leur victime.

Nadine ressentit outre une douleur horrible, des élancements dans tout *** corps qui ressemblaient étrangement à un plaisir incroyable. Elle sentit un liquide remplir *** vagin et une odeur caractéristique flotta vers ses narines : elle n'avait pas une hémorragie mais elle mouillait comme une malade. Au bout de quelques minutes, elle ressentit un orgasme tellement violent qu'elle s'évanouit. La voyant inerte, Jean et Pierre arrêtèrent de martyriser *** corps et se précipitèrent sur leur victime, la reposant à terre. Ils la débarrassèrent avec précautions de tous les instruments de *******. Carmen, la secrétaire de Jean, était arrivée pendant ce temps. Elle n'avait pas participé à la fustigation mémorable subie par Nadine mais, elle introduisit sa main gantée jusqu'au poignet dans le vagin puis l'anus distendus pour en retirer elle-même toutes les feuilles d'ortie restantes.
chrislebo

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- Vous auriez pu éviter de la laisser s'évanouir! Je lui fais *** premier fist fucking et double par dessus le marché et elle est dans les pommes. Vous m'avez gâché la moitié du plaisir! Tiens, je suis dans *** cul jusqu'au coude. Prends une photo, Jean : ça lui fera un souvenir.

Carmen passa une pommade apaisante sur tout le corps puis fit quelques piqûres à la suppliciée. Lorsque ce fut fait, elle sortit différents instruments de *** sac, retira les enveloppes stériles. . .

Lorsque Nadine se réveilla bien plus tard, elle était couchée, seule, nue et entravée sur un lit dont on avait retiré le matelas, les draps et les couvertures. Elle reposait directement sur le sommier métallique. *** corps était engourdi par la douleur mais elle constata que des anneaux d'or perçaient maintenant les bouts de ses seins, les grandes lèvres de *** sexe et aussi le capuchon de *** clitoris. Elle avait même un petit anneau dans le nez. Le collier de chien en cuir clouté qu'elle portait autour du cou avait été remplacé par un lourd collier de fer poli. Elle se regarda dans un miroir, trouvant le collier lourd mais bizarrement beau et convenant bien à une jeune esclave comme elle. Elle s'aperçut alors que la charnière et la serrure avaient été soudées! Sa servitude prenait maintenant un caractère inexorable et définitifÊ: terrifiant et en même temps terriblement excitant!

chrislebo

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Ch11 la chambre de bonne

Nadine mit un certain temps à reconnaître l'endroit ou elle se trouvait : un grenier de leur mai*** ou avait été aménagé il y avait peut-être des dizaines d'années une chambre de bonne rudimentaire. Le local était devenu une sorte de débarras ou elle n'avait pas du entrer trois fois depuis *** mariage.

Apparemment, Jean avait fait débarrasser tout le fatras qui se trouvait encore là trois mois auparavant. Il avait fait poser des miroirs tout autour du lit et des anneaux avaient été fixés un peu partout : sur le sommier, les murs, le plancher et même le plafond.

Elle avait soif mais on ne pouvait certainement pas l'entendre de l'étage en dessous et de toute façon, elle était parfaitement bâillonnée. Apparemment, on s'était servi d'un de ses bas pour maintenir un bout de tissu dans sa bouche : mouchoir ou peut-être l'autre bas. Un bruit de serrure la tira de la contemplation de *** environnement au bout d'un temps qu'elle n'avait pas pu estimer. Carmen entra. Elle portait une jupe ultra courte de chez Dior que Nadine appréciait particulièrement et un de ses plus beaux chemisiers de soie. La nouvelle arrivée sourit en se rendant compte immédiatement que Nadine avait remarqué quels vêtements elle portait.

- Bonjour, Juanita. Tu t'es enfin réveillée? Tu es restée évanouie pendant plus de trois heures, je commençais à m'inquiéter. Comme tu vois, je me suis approprié ce que tu avais de mettable. Jean et moi sommes allés faire quelques emplettes pour te reconstituer une garde robe convenable pour ton nouveau rôle dans cette mai***.

Nadine trembla : qu'est ce que Jean et Carmen avaient encore pu inventer? Carmen reprit :

- Désormais, c'est moi qui suis la compagne de Jean. Toi, tu seras la soubrette, la bonne à tout faire, baisable et corvéable à volonté. Tu prendras tes ordres directement de moi aussi bien pour la tenue à porter, les taches à effectuer ou ce que tu seras autorisée à manger. Si Jean ou un de nos invités, homme ou femme, a envie de toi, c'est moi qui déciderai si tu te mets à sa disposition, ce qu'il ou elle peut te faire ou ce que tu dois lui faire et dans quelles conditions. En cas d'impromptu, si je ne suis pas présente, tu te laisses faire sans réaction mais je t'interdis de jouir. Bien compris?

Nadine opina de la tête, seul moyen pour elle d'approuver.

- Bon je vais te libérer. Ta première tache va être de vider tes vêtements de MA chambre. J'ai jeté par terre tout ce que je ne voulais pas. J'ai vu quelques tenues de grands couturiers que je prendrai pour moi à moins que je ne les vende. Toi, je suis sure que tu n'en auras plus besoin. Pour le reste de tes frusques, je te dirais ce que tu pourras garder et ce que tu iras donner à une oeuvre.

- Bien Maitresse!

- Ah tant que j'y pense, tu feras des avances aux livreurs, au facteur, aux voisins. Je veux que tout le monde te prenne pour une salope et trouve normal de te sauter sur la table de cuisine, sur le sol de la terrasse ou même sur une poubelle.

Juanita prit une douzaine de grands sacs poubelle et entreprit de vider ce qui avait été pendant des années sa chambre sous la direction de Carmen. Celle-ci avait jeté à terre pêle-mêle tout ce qu'elle ne voulait pas, y compris ce qu'elle voulait que Juanita garde. La jeune femme comprenait parfaitement que c'était simplement une façon de l'humilier encore un peu plus.

Lorsque tant de souvenirs et de cadeaux de *** mari finirent définitivement dans les sacs poubelles destinés à des Ïuvres de charité, Juanita dut encore les descendre à la cave, nue avec seulement des sandales à talons de douze centimètres. Les vêtements qu'elles conserveraientÊ: jupes simples et très courtes, chemisiers à décolletés très profonds, robes avec de la dentelle ou du macramé aux endroits stratégiques qui auraient été sexy avec des sous vêtements devenaient extrêmement osés sans ces sous vêtements. Une robe, par exemple, la seule qui descende en dessous du genou était dans un tissu rêche qui frottait sur ses mamelons qui gonflaient et s'allongeaient désespérément. Les gros trous du macramé laissaient aisément passer ses mamelons turgescents que le tissu immaculé révélait de façon très ostentatoire.

Juanita pleurait lorsqu'elle évacua le dernier sac de *** ancienne chambre. Carmen ne lui laissa pas le temps de réfléchir à sa situation. Elle devait déjà s'habiller en soubrette et servir le gouter à Jean et Carmen. Celle-ci lui fit rajouter à sa tenue une ceinture sur laquelle elle roula sa jupe pour la faire servir cul nu ses patrons. Dès qu'elle tournait le dos à l'un ou à l'autre, un doigt fureteur venait tourner sur *** anus avant de s'y enfoncer parfois d'une phalange et d'autres fois tout entier.

Ces jeux paraissaient beaucoup émoustiller aussi bien Jean que Carmen. Celle ci troussait sans vergogne sa jupe et sa robe pour faire apparaître le string ficelle qu'elle mettait habituellement. Elle le baissait à ses chevilles d'un geste rapide et l'envoyait valser dans le lustre d'un geste vif de *** pied. Ensuite elle appelait devant elle Juanita, lui faisait joindre les pieds et se pencher pour sucer et lécher le sexe de sa maitresse. Ce faisant, elle laiisait ses fesses sans défenses. Jean s'approchait alors, ouvrait sa braguette, se masturbait entre ses fesses ou venait s'appuyer contre *** anus directement si sa verge était assez dure avant de s'enfoncer avec un Han! de bucheron dans *** petit trou qui devenait de plus en plus accueillant à ***** d'être ramoné tous les jours par la bite de Jean ou les longs doigts de Carmen.

Bien entendu, après que l'un des deux amants avait fait usage soit de *** sexe soit de *** cul, Juanita se devait de nettoyer parfaitement avec sa langue la bite ou les doigts qui avaient fouillé *** intimité. Avec les jours, ce travail lui semblait de plus en plus normal, allant de soi. On la faisait jouirÊ: il était normal qu'elle nettoie ce qu'elle avait sali.
chrislebo

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Ch10 rasée en public exhibée

Carmen voulait encore plus humilier Juanita. Elle suggéra de raser complètement la jeune femmeÊ: chatte et crane mais cette fois, Jean s'y opposa. Détruire la chevelure opulente de Juanita qu'elle avait mis tant de temps à laisser pousser lui semblait un crime intolérable même si ************* de Juanita aurait été totale comme il le reconnut lui-même. Carmen dut abandonner *** projet et ne se rabattit qu'avec plus de véhémence sur sa suggestion de lui raser la chatte couverte d'une fourrure épaisse. En argot, on appelait ce genre de toi*** un tablier de sapeur et les hommes du 19¡ siècle en raffolaient.

Jean appréciait aussi de passer les doigts dans ces poils si doux, voire parfois de la tirer à lui pour la baiser en s'accrochant à *** pubis mais il comprenait qu'il devait céder parfois aux demandes de Carmen pour lui complaire. Il lui parut très politiquement correct de lui proposer de raser elle même la jeune femme soumise.

Carmen voulait un rasage en public devant tous leurs amis. Elle leur téléphona à tous pour connaître leurs disponibilités et ils se réunirent tous chez Jean par une chaude journée de Juin. Juanita avait été autorisée à mettre sa robe avec des incrustations de macramé. L'effet habituel se reproduisit et les mamelons pointèrent rapidement par les trous du macramé. Juanita était de service à la porte pour accueillir un à un tous les nouveaux arrivants. Ils furent surpris de la trouver habillée en apparence aussi normalement mais ils ne manquèrent pas de repérer les petites pointes de chair qui pointaient au dehors. Ils se firent un malin plaisir à les caresser et les faire s'allonger encore un peu plus. Carmen eut l'idée particulièrement perverse de fixer des pinces à linges au bout de ses mamelons étirés. Juanita cria lorsque les pinces se refermèrent sur les pointes si tendres et sensibles. Elle pleura même en réalisant que Carmen n'avait aucunement l'intention de lui enlever ces pinces qui lui faisaient si mal.

Lorsque le dernier des huit invités de Carmen fut arrivé, elle ordonna à Juanita d'enlever sa robe en prenant bien garde de laisser les pinces à linge en place. Chaque effleurement la faisait grimacer de douleur au grand plaisir des spectateurs qui guettaient chaque expression de *** visage.

Carmen officierait elle-même. Elle commença par éclaircir aux ciseaux la fourrure intime qu'elle voulait faire disparaître. Pour cette fois, elle travaillerait aux ciseaux puis au rasoir mais plus tard, elle utiliserait la cire chaude qui avait la réputation d'être un peu plus douloureuse mais lorsqu'elle se lasserait de jouer avec sa poupée, elle avait déjà résolu de passer à une épilation définitive au laser. Après une dizaine d'interventions, le fameux tablier de sapeur de Juanita ne serait plus qu'un souvenir.

Carmen couvrit ensuite la chatte de sa soumise complètement avec du savon à barbe, avant de la raser avec un coupe choux en ne laissant qu'un cordon de poils sur les grandes lèvres. Elle tira sur l'anneau qui ornait maintenant cette partie sensible de l'anatomie de la jeune femme pour faciliter *** travail. En haut et bas de la fente, elle glissa deux doigts à l'intérieur pour terminer avant de passer à l'autre lèvre. Ensuite, elle rinça soigneusement la chatte maintenant aussi dénudée que la fesse d'un bébé. Elle la sécha soigneusement, appliqua un peu d'aftershave.

Juanita dut ensuite se retourner et écarter ses fesses avec ses mains pour permettre à Carmen de raser les poils qui poussaient autour de *** anus. Elle ne fur guère surprise lorsque sa maitresse enfonça *** index jusqu'à la seconde phalange, le crocha à l'intérieur pour pouvoir éliminer sans danger les quelques poils restants.

La dernière touche à ************* de Juanita fut de convier l'ensemble des spectateurs à venir éprouver eux mêmes la douceur de la peau fraichement rasée. Juanita dut pour ce faire se mettre à genoux et faire un pont arrière pour offrir sa chatte aux doigts ou lèvres inquisiteurs.

Frédéric fit un commentaire goguenard en disant que ses clients apprécieraient certainement de voir dans quoi ils enfonçaient leurs bites et qu'il pourrait bientôt augmenter sa comptée de vingt pour cent.

Pierre ne fit aucun commentaire mais il prit tout *** temps pour toucher chaque endroit de la chatte si impeccablement rasée, visiblement très intéressé par les plaisirs nouveaux que la jeune femme pourrait lui apporter. Il devait aussi se demander s'il pourrait faire la même chose à sa femme Claire et surtout aux autres élèves de ses cours de tennis. Il avait justement pour élèves une jeune fille de dix huit ans et sa mère de trente cinq ans, toutes les deux très appétissantes et visiblement subjuguées par ses pectoraux, sa peau bronzée et ses Rayban. Il se donna trois mois pour qu'elles se retrouvent dans un lit avec lui, toutes les deux en même temps, nues et la chatte rasée. Il lui faudrait juste un peu plus de temps avant qu'elles acceptent de se gougnotter l'une l'autre pour l'exciter. Il choisirait alors laquelle il baiserait et laquelle devrait se contenter de les regarder.

Claire, de *** coté, se borna à demander à Juanita si l'opération n'était pas trop désagréable et si la perte probablement définitive de sa toi*** ne lui était pas trop pénible. Visiblement, la jeune femme avait réalisé que *** mari prévoyait de lui faire subir le même sort et elle prenait déjà quelques renseignements.

Les autres hommes qui avaient assisté au rasage de Juanita étaient des habitués de Nadine puis de Juanita. Lorsqu'ils l'avaient découverte avec *** collier d'acier soudé autour du cou et ses piercings, ils étaient devenus comme fous et, depuis, elle n'avait plus eu l'occasion de racoler dans la rue: chaque quart d'heure de *** temps était réservé des semaines à l'avance dans ce que Carmen appelait *** carnet de bal.
chrislebo

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Ch11 entraves et chaines

Nadine, rebaptisée Juanita par Carmen en était à sa seconde semaine de dressage entre les mains de la secrétaire de *** mari. Elle trouvait déjà tout naturel de préparer le repas et de servir à table *** mari et sa maitresse qui commençait à recevoir régulièrement des amis, hommes et femmes soit dans la journée, soit le soir. Juanita était de toutes les réceptions pour bien montrer sa soumission la plus totale à Carmen. Celle-ci faisait tout *** possible, apparemment pour humilier Juanita en la présentant comme l'épouse de Jean qu'elle avait réduite en esclavage.

- Vous connaissez certainement Juanita. C'est l'épouse de Jean. Elle s'appelait alors Nadine. Vous vous souvenez de *** air hautain? J'en ai faite ma servante, une petite salope tout juste bonne à se faire baiser par n'importe quel homme si je lui en donne l'ordre!

Cependant avoir fait d'elle une simple servante ne parut rapidement plus suffisant à l'impitoyable secrétaire qui s'ingénia à trouver des moyens pour rendre plus pénible la vie de sa victime. Elle se retrouva donc d'abord avec des menottes aux poignets et des fers aux pieds. Les menottes comprenaient une longue chaine pour lui permettre de faire le service à table. Cependant, elle ne pouvait pas tenir un plat à deux mains devant elle. Si elle tendait le bras droit vers l'avant, le bras gauche devait se retrouver derrière *** dos dans des positions parfois plus qu'inconfortables.

L'étape suivante fut le rendez vous chez une esthéticienne. Carmen l'accompagna et donna ses instructions très précises à la jeune femme qui allait s'occuper de sa protégée : elle voulait une épilation laser complète, aisselle, maillot et anus. L'esthéticienne la prévint que c'était assez douloureux et qu'il faudrait plusieurs séances avant que les poils ne repoussent plus.

- Cette petite salope supporte très bien la souffrance! Je crois qu'elle aime bien avoir mal, en fait. Faites ce qu'il y a à faire et ne vous occupez pas de *** petit confort!

Lorsque l'esthéticienne s'attaqua au pourtour de *** anus, Juanita fit des sauts de carpe tellement elle avait mal. Finalement, Carmen se déclara satisfaite du travail réalisé. Maintenant on pouvait voir sans difficulté les anneaux qui décoraient *** corps et la fixation de mousquetons ne poserait plus de problèmes! A l'horreur de Juanita, sa maitresse s'approcha d'elle alors qu'elle venait de se rhabiller avec une laisse de cuir blanc vernissé. Elle n'allait quand même pas la promener en ville avec la laisse accrochée à *** anneau de nez! Mais Carmen avait une autre idée, encore plus humiliante. Elle lui ordonna de remonter sa jupe noire. C'était un modèle très serré, si on la remontait, elle restait en place et il fallait la lisser pour la faire redescendre. Juanita comprit aussitôt qu'elle allait être menée par l'anneau de *** clitoris.

Dieu! Rien ne lui serait donc épargné : pour ne pas avoir affreusement mal, Juanita allait devoir suivre sa maitresse comme une petite chienne fidèle et, quoi qu'elle face, la laisse repousserait sa jupe vers le haut. En même pas cent mètres, on pourrait voir sa chatte si on regardait bien et une laisse blanche sur une jupe noire, cela attirerait certainement l'oeil des passants. Rien que l'idée faisait rougir la pauvre Juanita mais elle avait été bien dressée. Elle n'émit pas même un murmure de protestation. Ses épaules s'affaissèrent juste un peu lorsqu'elle sortit dans la rue derrière Carmen mais ce fut tout.

Carmen fit exprès de tenir l'extrémité de la laisse le plus haut possible. L'inévitable se produisit rapidement : la laisse tirait vers le haut l'ourlet de la jupe qui avait déjà tendance à se soulever lorsque Juanita marchait. La jupe remonta en faisant des plis au niveau de ses hanches et Carmen put enfin distinguer la chatte glabre de sa soumise. Bien entendu, Juanita avait interdiction formelle de chercher à rabaisser sa jupe. Se promener en pleine ville, la chatte à l'air et visible pour les passants qui les croisaient était une expérience totalement nouvelle et proprement inimaginable pour la fille plutôt discrète qu'avait été Nadine mais c'était du passé tout cela, Juanita le comprenait très bien!

Carmen s'arrêta chez un épicier pour faire quelques courses. Une barre devant la porte servait à attacher les chiens qui n'étaient pas autorisés à rentrer dans le magasin. Un épagneul et un caniche étaient déjà à l'attache et passaient le temps en se flairant l'un l'autre. Devant Carmen, un homme attacha *** berger allemand qui se tourna vers Juanita en frétillant de la queue. Carmen eut un sourire méchant et noua l'extrémité de la laisse de Juanita à coté de celles des trois chiens. Juanita était mortifiée d'être ainsi traitée comme un ****** domestique. Le berger allemand mit sa truffe sous sa jupe. Elle sentit l'haleine chaude de l'****** et recula, dégoûtée. Carmen la réprimanda :

- Sage, ma belle. Tu fais des touches même chez les chiens, maintenant! Quand je te disais que tu étais une vraie petite chienne. . . Je t'interdis de toucher à ta laisse ou de chasser ce gentil chien. Pour le reste, il a une laisse plus longue que la tienne. Tu n'as aucune chance de lui échapper. Je vous laisse, les tourtereaux!

Carmen entra dans le magasin. Juanita n'avait aucun moyen pour se défendre à moins d'enfreindre les instructions de Juanita et de risquer une punition très certainement sévère! Le chien, un instant surpris par *** recul, l'accula tout au bout de sa laisse et revint renifler sa chatte. L'odeur dut lui plaire car elle sentit la langue râpeuse de l'****** toucher les lèvres de sa fente puis se mettre à les lécher activement. Les coups de langue agaçaient aussi bien ses lèvres que *** clitoris. Elle crut vomir dix fois. Elle devait être rouge pivoine, léchée en public par un chien sur la voie publique! Le chien se moquait complètement de ses états d'ame et continuait à lui frotter le bouton et lui lécher la chatte.

A *** corps défendant, Juanita sentit *** sexe s'humidifier. Ses secrétions poisseuses parurent redoubler l'intérêt de l'******. Sa chatte s'ouvrit et la langue put la pénétrer profondément. Elle se mit à haleter sans plus s'inquiéter d'être vue par autrui! Un rire gouailleur la tira de sa transe. C'était Carmen accompagnée du propriétaire du chien. Ils la regardaient en souriant.

- Regardez moi cette fieffée salope! Elle se fait lécher la chatte par mon chien en pleine rue! Un peu plus et il la faisait jouir! Vous ne pourriez pas tenir votre chienne en laisse, madame : mon chien va prendre de très mauvaises habitudes!

La honte remuait de plus en plus profondément Juanita qui aurait bien voulu disparaître sous terre tandis que le chien continuait à la lécher tranquillement et que Carmen riait franchement!

- Je vois que ce spectacle ne vous laisse pas indifférent. Si vous voulez, cette petite salope peut vous faire une gaterie pendant que votre chien s'occupe d'elle.

- Euh, ici, en public!

- Mais non, ne soyez pas bête. Il y a de petits arbustes là derrière. Il suffit de se mettre derrière!

- Alors d'accord! J'adore ce genre de petite chienne docile.

Les laisses de Juanita et du chien furent détachées de l'anneau. Si le chien fut probablement déçu d'être séparé de cette chienne inhabituelle, Juanita savait très bien ce qui allait suivre ce qui ne l'empêcha pas de suivre docilement sa maitresse vers l'endroit à l'abri des regards qu'elle avait choisi. Carmen lui intima l'ordre de retirer sa jupe et de se mettre à quatre pattes par terre. Le cœur de Juanita se mit à battre follement tandis qu'elle sentait une nouvelle vague de cyprine inonder *** vagin tandis que l'excitation du moment la gagnait.

Le chien sautait de joie. *** maitre le retenait à grand peine tandis qu'il ouvrait sa braguette. Carmen et lui s'échangèrent les laisses pour plus de commodité. Le chien reprit *** léchage intensif de la chatte de Juanita tandis que *** maitre s'enfonçait dans la bouche accueillante de la jeune femme.

Le dard rouge et pointu du chien jaillit très vite tandis que *** maitre éjaculait au fond de la gorge soumise de Juanita. L'homme se rhabilla hativement tandis que Carmen dit à sa protégée de s'occuper maintenant du chien.

- Prends sa bite très doucement dans ta main et caresse-le!

Juanita s'exécuta même si le contact qu'on lui imposait la dégoutait profondément. Le chien finit par éjaculer dans la main de la jeune femme. Il ne fit aucune difficulté pour suivre ensuite *** maitre qui partit sans même saluer ni Carmen ni Juanita. Les deux femmes restèrent interdites, derrière le buis***. Carmen revint de sa surprise devant ce départ inopiné.

- Eh bien, ma petite chienne! Il te reste à avaler tout le sperme que tu gardes dans la main. Je veux que ta main soit bien propre!

Juanita était restée agenouillée par terre. Elle contempla quelques instants sa main souillée avant de lever des yeux implorants vers sa maitresse. Comme elle ne vit qu'un visage inflexible, elle baissa la tête, porta sa main à sa bouche et commença à lécher le fluide visqueux.

- C'est bien, Juanita! Tu es une bonne petite chienne. La prochaine fois, je pense que nous pourrons aller beaucoup plus loin avec un autre chien, tu ne crois pas?

Nadine- Juanita n'eut pas besoin d'autres explications pour savoir quel avenir lui était réservé sous peu, elle en était certaine. La prochaine fois, le chien serait autorisé à s'enfoncer dans sa chatte ou dans *** anus voire les deux successivement et elle savait déjà qu'elle en tirerait un plaisir violent venant en partie de ************* intense qu'elle subirait et qui était de plus en plus le pivot de sa jouissance.

chrislebo

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Ch12 Juanita fait la chienne pour Carmen

Carmen avait regagné *** domicile depuis deux semaines car elle devait prendre quelques jours de vacances en famille en Amérique du Sud. Jean ne vit pas d'objection à ce qu'elle se réinstalle dans sa chambre. De cette façon, elle était toujours disponible lorsque l'envie de tirer un coup si on peut utiliser cette expression populaire le prenait.

- Alors, on s'habitue, petite pute?

Nadine opina de la tête ; elle ne pouvait lui faire grand chose de plus depuis que Jean lui faisait porter presque en permanence lorsqu'il était là un lourd carcan qui exposait *** corps aux coups de martinet ou de cravache, l'empêchait de protéger ses seins lorsqu'il lui prenait la fantaisie de les couvrir de pinces à linge puis de les faire sauter à coup de fouet.

Depuis quatre semaines, elle portait jour et nuit des godes dans *** vagin, *** anus et sa bouche. On ne les retirait que pour faire usage -fréquent- de l'un ou l'autre de ses orifices, parfois des trois simultanément ou pour la nettoyer, la nourrir ou lui permettre de faire ses besoins. A ces moments, il lui était absolument interdit de parler. Jean la contemplait de temps en temps d'un air très satisfait.

- Les deux semaines à venir, tu vas faire la chienne. Je dois partir en déplacement mais Carmen va revenir à la mai*** pour s'occuper de toi. Compris?

L'idée de voir envahir cette mai*** qu'elle considérait toujours comme la sienne par la secrétaire de Jean avec laquelle il avait longtemps fait l'amour devant elle lors de sa dernière visite n'était pas pour l'enchanter. Leurs relations amoureuses ne dataient certainement pas de cette occasion et Nadine - Juanita était dévorée de jalousie. Néanmoins, en bonne esclave, elle ne se permit pas d'élever la moindre protestation. D'ailleurs dans sa situation, cela lui aurait été difficile.

Le lendemain, Carmen arriva avec deux petites valises et un vanity-case où elle avait disposé ses bijoux et ses produits de beauté. Elle s'installa immédiatement dans la chambre de Jean, jetant dans un sac poubelle les quelques objets et bijoux de Nadine qui lui restaient encore. Celle-ci dut se réinstaller dans le grenier comme lors de la première visite de Juanita. Elle se remaquilla comme elle le put devant un miroir mal éclairé à la cave.

Avant de partir, Jean prit Carmen dans ses bras jusque dans sa chambre et lui fit longuement l'amour, la couvrant de caresses et lui murmurant des propos enamourés. Juanita entravée au pied du lit, la laisse nouée à l'un des pieds du lit, n'eut droit à aucune caresse ni même à un mot d'adieu gentil. Par contre, elle dut nettoyer avec sa langue et sa bouche le sexe de Jean qui sortait de l'anus de Carmen et présentait des traînées brunes. Elle l'avait ensuite sucé pour lui rendre sa rigidité et lui permettre de baiser encore une fois celle qu'elle considérait comme sa rivale.

Lorsque Jean partit, Carmen l'accompagna jusqu'à *** taxi et l'embrassa avec passion. De retour dans la mai***, elle mit tout de suite les choses au point vis à vis de Juanita.

- Il est hors de question qu'un ****** dorme dans cette mai***. Puisque tu es une chienne pour deux semaines, tu vas aller dans la niche dehors. Je vais te débarrasser de tout ton attirail mais je t'interdis de parler. Tu auras des menottes aux mains et aux pieds et tu auras interdiction absolue de te redresser sauf pour faire la belle. Ah! J'oubliais, je t'ai amené un petit cadeau!

Elle alla chercher un gros paquet dans l'entrée, l'ouvrit et en sortit une masse de poils attachée à un cylindre creux de plastique. Elle comprit vite de quoi il s'agissait lorsque Carmen enduisit rapidement le cylindre de vaseline, lui en mit une noisette sur l'anus et commença à l'enfoncer : c'était un gros gode avec une extrémité recourbée sur laquelle étaient fixés des poils synthétiques ayant l'allure d'une queue de chien de traîneau ou d'écureuil. Carmen avait l'intention de lui donner vraiment l'aspect d'une chienne. Celle-ci reprit :

- Tu coucheras dehors dans ta niche dès cette nuit et tu seras à la chaîne pour t'empêcher de filer. Je t'ai amené comme d'habitude des boites et des croquettes pour chien, tu vas te régaler. Je vais même te mettre un collier anti-puces car tu partageras ta niche avec un berger allemand que je t'amènerai demain. Je t'emmènerai faire tes besoins dans le jardin chaque jour avec lui. Comme ton gode est creux, je n'aurai même pas besoin de l'enlever. Pour éviter que tu ne tombes malade, ce qui déplairait à Jean, je te débarbouillerai au moins le visage et le sexe tous les jours et tu auras droit à un bain au bout de la première semaine et juste avant le retour de Jean mais seulement si tu es obéissante.

La nuit fut fraîche et Juanita n'eut qu'une pauvre couverture trop petite pour se protéger. Au matin, Carmen vint la chercher, accompagnée d'un superbe berger qui vint aussitôt lui flairer le cul. Elle voulut se dérober et rentrer dans sa niche mais reçut quelques coups de laisse qui la convainquirent de se laisser faire. Le chien lui lécha le cul, le sexe et le visage. Elle faillit vomir.

Carmen lui fit faire le tour des arbres du jardin. Elle interdit à Juanita de s'accroupir pour faire ses besoins. Elle dut se soulager comme une chienne en écartant les cuisses. Cela fait, elle reçut l'ordre de se mettre à quatre pattes. Le chien vint lui lécher le cul ce qui augmenta ses nausées. Cela donna une idée à Carmen :

- J'avais prévu de te nettoyer le cul avec du papier mais, si Warrior s'en charge, tant mieux! Cela fera toujours cela de moins à faire. Ca me donne une idée : tout à l'heure, lorsque cela sera mon tour d'aller aux toilettes, tu remplaceras le papier hygiénique avec ta langue et gare à toi si tu résistes.

Carmen ramena Juanita à sa niche, lui remit sa chaîne. Elle lui retira le gode qu'elle rinça sommairement au robinet. Elle le lui fit ensuite nettoyer avec ses lèvres et sa langue et, sans autre lubrifiant que la salive, le lui remit dans le cul d'une seule poussée. Deux heures après, elle fut appelée dans le cabinet de toilettes et dut s'appliquer à faire disparaître toutes traces sur la peau de sa Maîtresse. Celle ci lui lava aussitôt la bouche au bicarbonate.

- Par mesure d'hygiène, ce n'est pas pour te faire belle! En remerciement, après ta promenade de l'après midi, tu me lècheras jusqu'à ce que je jouisse.

Le soir arriva et le chien vint de lui même près de la niche. Il commença à lui tourner autour.

- Ton mâle semble s'intéresser à toi! Ce chien sera le seul mâle auquel tu auras droit pendant ces deux semaines. Profites-en!

Le chien mit ses pattes sur le dos de Juanita. Affolée, elle voulut se relever mais Carmen l'attrapa par *** collier et la força à rester à quatre pattes. Elle sentit un instant plus tard la bite de l'****** buter contre *** sexe. Sa Maîtresse l'empêchait totalement de bouger, l'étranglant à moitié. Brusquement, elle sentit la pointe du gland du chien trouver l'entrée de *** vagin. Immédiatement, il donna une ruade et elle sentit le sexe conséquent de l'****** glisser dans *** fourreau. Carmen se mit alors à lui caresser adroitement les seins et le clitoris pendant que le chien s'agitait activement dans sa fente. Au bout d'un moment, elle sentit avec horreur et dégoût la semence du chien se répandre dans *** vagin. Sous le choc, sa propre jouissance éclata pour le plus grand plaisir de sa tortionnaire.

Le chien s'agitait toujours en elle. Elle sentit le nœud de l'****** la pénétrer et gonfler en elle empêchant l'****** de se libérer. Carmen leur donna à chacun un sucre trempé dans *** café pour les faire tenir sage. Le gland du chien mit près de vingt minutes à se dégonfler suffisamment pour qu'ils puissent se désunir. A ce moment, le sperme du chien s'était solidifié en une masse glaireuse qui adhérait aux parois de *** vagin. La dégradation de Nadine était maintenant complète. Elle n'était rien de plus qu'un ****** soumis au bon plaisir de *** Maitre, de sa Maitresse et de tous les males qu'ils choisiraient pour elle, qu'ils soient des humains ou des animaux.

- Bravo, petite chienne. Tu as un nouvel amant bien vigoureux. Dès demain soir, tu le caresseras et le suceras pendant mon repas pour me distraire. Lorsqu'il sera dans un état d'excitation adéquat, il pourra t'enfiler par devant ou par derrière comme il voudra. Tu te débrouilleras pour l'aider. Pendant ces deux semaines, je veux que tu lui serves de femelle aussi souvent que possible et qu'il soit épuisé à la fin.

Juanita eut quelque difficulté à partager l'écuelle du chien et à manger les croquettes et les boîtes pour chien avec lui. Quelques coups de cravache la convainquirent brusquement du caractère gastronomique de sa nourriture. Elle eut plus de difficulté à laper sa bois*** car Carmen lui interdit l'usage de ses mains et même de tremper les lèvres dans l'eau.

Le seul avantage de la situation fut qu'elle eut beaucoup moins froid la nuit suivante qu'elle passa adossée au chien, d'autant que Carmen avec sadisme l'avait forcée à ramener la couverture à la mai*** en la tenant par un coin dans sa bouche. Le lendemain matin, le chien sortit, s'ébroua, lui lécha le visage et urina contre le côté de la niche puis fila dans un coin faire ses besoins. Carmen avait installé un appareil photo devant la niche et elle mitrailla Juanita toute la journée. Devant l'objectif, elle dut manger dans l'écuelle, lécher le museau du chien, pisser près de la niche, laisser l'****** lui lécher la chatte puis, à *** tour, lui caresser la bite jaillie de *** fourreau velu. Un nombre appréciable de coups de cravache sans complaisance ne parvinrent pas, par contre, à la convaincre de lécher le cul du chien après qu'il eût fait ses besoins. . .

Le soir, elle dut le masturber devant Carmen qui la filmait toujours au caméscope. Dès que la bite sortit de *** fourreau, rose et pointue, elle reçut l'ordre de la prendre en bouche et de la sucer. Ses protestations ne lui valurent qu'une grêle de coups qui réduisirent à néant sa résistance en un instant. Curieusement, l'****** se laissa faire sans difficulté. Sa bite grossit encore. Sur l'ordre de Carmen, elle l'abandonna, dut se graisser l'anus avec de l'huile de table qu'elle dut appliquer avec ses doigts. Elle se remit à quatre pattes et tourna ses fesses vers le chien. Warrior prit appui sur *** dos et présenta *** sexe. Elle tendit une de ses mains entre ses jambes et attrapa le membre de l'******. Carmen intervint :
chrislebo

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- Tu l'as déjà pris dans ta chatte de salope! Alors qu'il t'enfile par le cul cette fois!

Docilement, Juanita dirigea le sexe de ******** vers *** anus bien lubrifié. Elle poussa comme pour faire ses besoins pour s'ouvrir et faciliter la pénétration. Celle ci fut un peu difficile car ******** était déjà très excité. Néanmoins, en quelques ruades ********, il parvint à ses fins sous l'oeil de la caméra en gros plan. Cette fois, Carmen n'intervint pas pour la caresser pendant le co·t. Le chien s'agitait depuis un certain temps lorsque Juanita perçut que *** ventre se contractait et que *** vagin se remplissait de secrétions. Ce n'était pas possible : elle éprouvait un plaisir inouï, immense, total à se faire enculer par un chien!

Carmen eut immédiatement conscience de ce qui arrivait à *** esclave. Elle abandonna immédiatement ses gros plans de la bite du chien entrant et sortant du cul de Juanita pour se consacrer à filmer la montée inexorable du plaisir sur *** visage. Juanita chercha d'abord à se calmer mais elle se mit à tendre *** cul aux coups de boutoir de *** mâle. Ses halètements se transformèrent progressivement en gémissements puis carrément en cris de plaisir. Dans *** délire, elle hurlait à Warrior de s'enfoncer plus vite, plus loin, plus fort. La jouissance la frappa au moment où le chien projetait *** sperme dans *** cul. Elle fut totale et si dévastatrice que Juanita s'évanouit.

Lorsqu'elle reprit connaissance, Warrior était encore fiché en elle. Elle dut attendre quelques minutes encore pour que le gland dégonflé glisse enfin de *** anneau avec un bruit visqueux. Carmen lui ***da du doigt le vagin. Elle le sortit luisant de mouille.

- Eh bien, tu as vraiment pris ton pied comme une chienne. Tu as tellement mouillé qu'on pourrait t'enfoncer une bite de cheval! Il faudra que tu recommences!

Carmen reprit du doigt les traces de sperme du chien qui coulaient de *** anus et la força à l'avaler puis à sucer le doigt jusqu'à ce qu'il soit parfaitement propre. Elle n'eut pas besoin de jouer de la cravache pour obtenir sa soumission. A la fin de la deuxième semaine, elle jouait toute la journée avec le chien et celui-ci la montait deux ou trois fois par jour sans qu'elle ne manifeste plus aucune répugnance. Il n'était plus nécessaire de la faire jouir par des caresses. *** mâle lui suffisait. Il utilisait de lui même indifféremment ses deux trous. Lorsqu'il visitait *** anus, elle faisait très attention à contracter *** sphincter en rythme pour le traire soigneusement. Elle essayait même de le faire, quoique avec encore moins de succès, avec les muscles intimes de *** vagin. Elle se rendait pourtant compte qu'elle en prenait, progressivement, un contrôle conscient. Bien sur, Carmen ne put s'en apercevoir mais Jean, à *** retour, le remarqua immédiatement, en profita longuement et la félicita pour cette nouvelle possibilité qu'elle lui offrait.

Elle fut très déçue de voir partir Warrior que Carmen, plus soucieuse encore de la déstabiliser que de l'avilir, insista pour ramener chez elle. Elle aurait voulu continuer à profiter de sa fougue, mais, de toutes façons, le chien était épuisé : il mit près de trois mois à se remettre du traitement que lui avait infligé Nadine.

Pendant quelques jours, Jean la laissa se reposer, la faisant dormir comme d'habitude sur le tapis au pied de *** lit, attachée à un pied par une laisse courte, poignets et chevilles menottés, bâillonnée par une boule de tennis enfoncée dans sa bouche et maintenue par un lien de cuir, mais sans la toucher. Depuis longtemps, elle n'avait plus été sevrée de sexe. Elle commença à avoir des picotements dans le vagin.

Un soir, Carmen passa à la mai***. Juanita dut servir *** mari et sa maîtresse à table, vêtue en tout et pour tout d'un tablier de soubrette, d'un rond de dentelle dans les cheveux et d'escarpins aux talons démesurés. Elle dut lécher Carmen puis Jean. Ils l'entravèrent à genoux près du lit. Ils firent l'amour plusieurs fois sous ses yeux sans qu'elle reçoive la moindre caresse. Tout au plus, dut-elle nettoyer encore une fois la bite de Jean qui sortait du cul de Carmen et lui rendre sa vigueur pour qu'il replonge dans le ventre accueillant de sa secrétaire. Elle se mit à verser des larmes de frustration.

Jean et Carmen sourirent d'un air entendu. Aussitôt, ils téléphonèrent à Frédéric et se mirent d'accord avec lui. Le lendemain soir, elle était dans une chambre de bonne près de Barbès et une queue se formait dans le couloir : des clients qui attendaient pour la baiser ou l'enculer. Carmen était venue et vérifiait elle même que chacun mettait un préservatif et disposait au maximum de quinze minutes tout compris. Elle rembarrait sèchement tous ceux qui s'intéressaient à elle-même. Juanita se demandait les rai***s de la sollicitude suspecte de Carmen.

La queue d'attente étant impressionnante, Carmen décida d'admettre les hommes deux par deux. Ils se partageaient les trous de Juanita comme bon leur semblait. A la fin de la séance, elle avait reçu les hommages de près de quatre vingt dix hommes. Elle était épuisée mais sa faim de sexe était provisoirement éteinte.

Jean arriva alors que le dernier client la baisait. Il attendit que l'homme eut fini sa petite affaire (forcément, il revenait pour la troisième fois). Juanita ne bougeait plus, à moitié endormie déjà. Il la secoua sans obtenir d'elle plus qu'un grognement. Alors, il la prit à bras le corps, la mit sur *** épaule, la descendit dans la cour et la coucha sur le ventre dans une sorte d'auge à ciment. Il pleuvait à torrent. Il y avait plusieurs centimètres d'eau déjà dans l'auge. *** nez se trouva immergé. La sensation de noyade la réveilla brusquement. Elle se redressa. Jean lui fit alors :

- Tu ne m'as pas accueillie comme tu dois le faire pour ton Maître. Pour ta punition, tu vas devoir choisir entre vider cette auge en buvant l'eau ou te noyer dedans.

Il la repoussa de ***** dans l'auge et fit glisser deux lourdes poutres en bois sur ces épaules. Elles reposaient sur les rebords de l'auge et l'empêchaient totalement de se relever. *** nez replongea dans l'eau et elle suffoqua à nouveau. Alors, elle se résigna et entreprit d'avaler l'eau heureusement propre. L'averse était abondante et elle sentit progressivement sa vessie se remplir. Elle supplia Jean de la libérer, en vain! N'y tenant plus, elle se mit à uriner sous elle. Le jet éclaboussa l'auge. Une partie tomba au sol mais une part importante resta dans la vasque. *** visage fut à nouveau à moitié immergé mais ce n'était plus dans l'eau de pluie. Elle pleura, supplia tant et plus mais elle fut forcée de boire sa propre urine.

Aussitôt après, Jean la libéra. Elle dut successivement se faire enculer couchée sur une chaise de jardin, le sucer pour le débarrasser de toute trace suspecte puis le recevoir dans le vagin où il poussa ************* jusqu'à uriner dedans sous les yeux excités de Carmen. Juanita avait toujours cru que ce tour de ***** était une impossibilité physique mais il semblait qu'elle se soit trompée. S'il restait encore un peu de respect pour elle même dans l'esprit de Nadine, il disparut totalement ce jour là.

Deux jours plus tard, Jean réunit ses amis Carmen, Frédéric et Pierre accompagné de sa femme Claire. Celle-ci était nue car Pierre lui interdisait de porter tout vêtement sauf une cape sans boutons si elle devait absolument sortir en ville. Elle était arrivée chez Jean dans le coffre de la voiture, nue, enchaînée, bâillonnée et menottée. Ses fesses et ses seins montraient des traces d'une fouettée qui avait dé être cinglante administrée juste avant de partir. D'ailleurs, Pierre n'avait pas du se contenter de cela puisque des traces de sperme étaient collées sur *** visage, dans ses cheveux, autour de *** sexe et de *** anus gonflés et tuméfiés par le traitement qu'ils avaient subi.

Pierre raconta, très fier qu'il participait à un tournoi de tennis privé avec une vingtaine d'amis et que depuis la veille, Claire était attachée nue toute la journée à un des piquets portant le filet et servait de récompense à chaque vainqueur qui la prenait devant près de trente per***nes. Pendant les pauses, les spectateurs pouvaient l'enfiler et Pierre avait eu la surprise, peu avant de venir, de voir sa propre soeur et celle de Claire s'équiper de godes de belles dimensions et baiser Claire sans la moindre douceur. Elles avaient voulu ensuite lui gonfler une baudruche dans le vagin mais Claire ne s'était pas laissé faire. C'était la rai*** de la fouettée dont elle portait les traces. Pierre annonça alors sa dernière idée.

- J'ai discuté avec René, un gynécologue de mes amis qui participe au tournoi. Il m'a proposé d'introduire un ballon gonflable dans l'utérus de Claire et de le gonfler progressivement avec de l'eau jusqu'à lui donner un ventre de femme enceinte de jumeaux et vraiment dix ou quinze kilos de plus. Avec des hormones, elle n'aura pas ses règles pendant quelques mois et on pourra lui laisser le ballon pendant tout ce temps là. Moi et René, ça nous excite de baiser une femme enceinte jusqu'aux yeux et on n'est pas les seuls. J'ai un autre copain qui va tourner un petit film porno où Claire va jouer le rôle central d'une petite fonctionnaire revêche célibataire qui va se faire baiser par *** gynéco et se retrouver enceinte.

Au fur et à mesure que *** ventre s'arrondira, tous les collègues, les amis et les voisins vont lui tourner autour et finir par la baiser. Juste avant l'accouchement, ils se succéderont du matin au soir et elle y prendra goût. Après, brusquement, ils ne viendront plus et elle devra se prostituer au coin d'une rue pour satisfaire ses nouveaux besoins. A la fin, elle retournera voir le gynéco pour le supplier de la remettre en cloque. Pour cela, elle devra devenir *** esclave totale et se faire enfiler par toutes sortes d'animaux : chien, bouc, porc, âne et, si elle est suffisamment large, un cheval pour le final.

- Génial! On veut tous participer et on en voudra aussi une copie!

Claire tourna effectivement *** film qui eut un certain succès mais l'amena aussi à se prostituer réellement, ce qui faisait de toute façon partie de la formation prévue. Ce fut Nadine qui initia Claire à la prostitution peu avant le tournage, elle qui enfonça un gode impressionnant dans le vagin de sa tendre amie pendant que le grand noir la sodomisait en *****, elle qui guida la bite de l'âne lorsque le tournage approcha de la fin. Ce fut Nadine encore qui la conduisit plus tard au peep show et joua avec *** corps pendant près de deux heures avant de faire entrer les figurants mâles qui piaffaient d'impatience.

Pierre découvrit parmi ses élèves quelques jeunes beautés qu'il voulut à leur tour initier. Pour être libre de ses mouvements et compléter ses revenus, il décida de confier Claire à Frédéric à temps plein. Lorsqu'il avait envie d'elle, de temps en temps, il venait la chercher, la faisait mettre à genoux dans l'herbe et se vidait la vessie dans sa bouche. Le trop plein dégoulinait de *** menton sur ses vêtements.

Parfois, Claire ne voyait pas *** mari pendant deux ou trois semaines. Frédéric trouvait alors amusant de l'envoyer chez Pierre un jour où il savait qu'il avait une fille chez lui. Claire était nue sous une cape qui lui couvrait à peine les fesses. Frédéric avait confectionné un rouleau avec l'argent qu'elle avait gagné, l'avait recouvert de plastique et le lui avait enfoncé dans le cul sans ménagement. Les instructions de Claire étaient strictes : elle devait se mettre nue devant la fille qui était avec Pierre, fléchir les genoux en lui tournant le dos et pousser comme pour chier pour expulser le rouleau. Elle devait ensuite nettoyer le cylindre avec sa langue avant de le prendre avec ses dents sans utiliser ses mains et de l'apporter à Pierre. Avec le temps, le rouleau grossissait et Claire se faisait doucement dilater sans le savoir.

Bien dressée avec l'aide de Nadine, Claire n'éleva jamais un mot de protestation, même lorsqu'il venait la voir sur *** lieu de travail avec l'une de ses nouvelles conquêtes. Et Claire, à *** tour participa à l'initiation de quelques filles. Maintenant, Pierre ne tolérait plus ses accès de timidité ridicule et de pruderie dépourvus de sens pour une jeune esclave comme elle. Nadine avait brillamment réussi dans la mission que Pierre lui avait confiée.
soumis8

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Qu'elle imagination dans la perversité !!!!
chrislebo

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Chapitre 13 le haras. le poney de Jean

Un jour, Jean jeta négligemment à Nadine:

- Ta formation se termine. Tu as déjà fait la chienne avec Warrior. Il te reste encore à être réduite à un rôle ******** vraiment utile : Je vais te confier à Julien : il dirige un centre équestre qui te conviendra parfaitement.

Julien arriva quelques jours après. Il fit mettre Nadine à genoux sur une table basse. Il lui fit passer une large ceinture de cuir garnie de boucles et d'anneaux qu'il serra au maximum autour de sa taille. Lorsqu'il se redressa, elle ne pouvait presque plus respirer, sa taille était fortement réduite et Jean présentait une érection monstrueuse. Jean et Julien la prirent en sandwich devant un grand miroir pour qu'elle puisse admirer sa taille de guêpe. Puis elle dut enfiler un harnais de cuir qui la serrait depuis les reins jusqu'à la tête. Julien lui fit ensuite tirer la langue, pulvérisa quelque chose sur sa langue qui la rendit totalement insensible. Il lui fit une injection dans la langue et approcha un outil bizarre pendant que Jean lui bandait les yeux. Elle sentit qu'on lui mettait quelque chose dans la bouche sans comprendre ce qu'on lui faisait.

Quelques minutes après, Jean lui retira *** bandeau et lui présenta un miroir. Elle avait maintenant un mors comme un cheval de course relié à des rênes qui lui pendaient sur le ventre. Le mors était articulé avec deux tiges métalliques arrondies qui venaient appuyer sur *** palais lorsqu'on tirait sur les rênes. Sa langue était prise dans une pince fixée à *** mors. Elle ne put émettre que quelques grognements incompréhensibles.

- Tu es maintenant une pony girl de l'élevage de Julien. Une jument ne peut pas parler donc tu seras muette tant que tu resteras avec lui. Il va t'entraîner pour que tu puisses être une ponygirl passable. Tu vas devoir apprendre les différents pas de la promenade au galop, ainsi que la façon de vivre sans l'aide de tes mains. Lorsque tu seras habituée, on te mettra des sabots et on te mettra des fers comme pour un vrai cheval. Ensuite lorsque tu seras entraînée, tu recevras une selle pour porter des gens pas trop lourds ou un bat pour transporter des marchandises. Enfin on t'apprendra à tirer un petit sulky où je ferai de grandes promenades avec toi lorsque j'en aurai envie. Bien entendu, tu ne porteras que ton harnais, été comme hiver car je compte bien faire quelques promenades dans la neige notamment pour Noël. Julien va finir de t'équiper.

Nadine se mit à trembler à la perspective de ce que Jean voulait lui faire subir. Elle s'imaginait déjà, presque nue, bleue de froid, attendant patiemment sous la neige le bon vouloir de *** maitre. Une tape sur le sein droit la fit sortir de sa rêverie.

- Rassure-toi : c'est presque fini. Il ne reste plus qu'à fixer des oeillères pour réduire ton champ de vision : comme cela, tu seras moins distraite et tu feras plus attention aux ordres transmis par les rênes ou par la voix. Et bien sur, il faut que je te fasse admirer ce qui va te servir de queue.

Il lui montra une magnifique queue de cheval qui avait exactement la couleur de ses propres cheveux. Elle était ornée de rubans à la base et en plusieurs points de sa longueur. Elle faisait près d'un mètre de long et se terminait par une tige fine et souple elle même fixée à un gros cylindre long et creux. Julien lui expliqua :

- Je vais te faire prendre un lavement puis bien te lubrifier l'anus : ce cylindre est vraiment gros. D'ailleurs, pour ne pas te blesser, je vais devoir t'élargir avec un gode gonflable. Lorsque le diamètre sera suffisant, je mettrai un gode dans ce cylindre et je t'enfoncerai le tout dans le cul. Lorsque ça sera rentré assez profond, je retirerai le gode et tu garderas le cylindre. La petite tige sortira juste un peu de ton cul pour porter ta queue. Comme cela, tu n'auras jamais besoin de la retirer pour faire tes besoins ou quoi que ce soit d'autre et ton anus fera *** travail normal ou presque. Tu pourrais garder l'ensemble pour le restant de tes jours. Remarque que la base de cette queue est très relevée pour que tu ne salisses pas tes poils même si tu as des problèmes intestinaux. Dans quelque temps, cette superbe queue fera tellement partie de toi que tu auras de la peine pour t'en passer si ton futur Maître ne souhaite pas t'en mettre une.

Effectivement, la pénétration fut laborieuse mais après beaucoup d'efforts de Julien, de paroles rassurantes et de caresses de Jean, de pleurs et de gémissements de Nadine, l'opération fut menée à bien. Pour lui montrer que le cylindre ne gênait en rien l'usage qu'on pouvait faire de *** cul, Jean et Julien l'enculèrent longuement à tour de rôle. Julien précisa que le diamètre de l'objet et la profondeur de pénétration avaient été calculés pour qu'elle puisse recevoir une verge d'un vrai étalon de taille moyenne si Jean ou ses futurs maîtres le souhaitaient. Il faudrait peut-être la graisser et l'élargir progressivement comme on venait de le faire mais il tenait à ce qu'une vraie pony girl puisse être montée de cette façon par un vrai étalon même si elle devait être déchirée.

- Pendant ton stage de pony girl, tu dois porter un nom de jument. Nadine ne convient pas, pas plus que Juanita. Cette année, les yearlings ont un nom en W. Comme tu es une pony girl de l'année, je te donne le nom de Warrior Queen en souvenir de ta première expérience *******.
chrislebo

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Chapitre 14 Carmen. Sellée

Après la vente sans qu'on ait daigné lui dire qui était *** acheteur, on l'amena dans la salle d'expédition. On lui mit une couche pour per***nes incontinentes toujours sans explications. On la plaça, allongée sur le dos, dans une caisse sur une sorte de sac en plastique bleu. On lui en mit un autre sur le ventre puis on lui plaça un masque sur le visage avec des tuyaux pour respirer. On referma la caisse. Elle entendit un vrombissement et sentit les deux sacs se gonfler. Avant de refermer la caisse, on lui avait dit de respirer à fond. Elle eut la présence d'esprit d'obéir et ne comprit qu'après ce qu'on lui faisait.

Une mousse plastique avait été injectée dans les sacs. La polymérisation ne dégageait pas beaucoup de chaleur et la température restait supportable. Bientôt, elle sentit les sacs commencer à durcir.. Elle se rappela les conseils qui lui avaient été donnés et gonfla sa poitrine au maximum pour se ménager un volume respiratoire suffisant. Lorsque la prise fut totale, on rouvrit la caisse, on découpa le sac supérieur pour dégager le masque qu'on lui enleva. Elle ne pouvait absolument pas bouger, semblable à une statue. Dans l'espace libéré, on fixa un réservoir d'eau avec une tétine qu'on lui fixa dans la bouche par une sangle. Il lui suffisait d'aspirer pour boire un peu de liquide. A vue de nez, il y en avait à peine dix litres. Pas de quoi aller bien loin

La caisse fut refermée et clouée sans un mot puis mise sur un quai de chargement. Un chariot vint la prendre pour la transférer dans un camion. Après un parcours de près de trente minutes, de nouveaux bruits lui parvinrent : un avion qui décollait. Elle pensa que *** acheteur n'habitait pas tout près, finalement

Une fois installée dans la soute, pressurisée, elle l'espérait, elle s'endormit. Elle perdit complètement la notion du temps dans sa pri*** noire. Au bout d'un temps qui lui parut infini, l'avion se posa rapidement sur un aérodrome peu fréquenté. Elle sentit qu'on transportait la caisse où elle se trouvait sur un camion plat. Après encore un assez long parcours qui devenait progressivement plus cahoteux et au cours duquel sa provision d'eau vint à s'épuiser, elle sentit le camion manoeuvrer. La caisse fut emmenée à bras d'homme. Elle entendit enfin distinctement l'ordre d'ouvrir la caisse. Elle se trouva brusquement plongée en pleine lumière. Elle ne pouvait rien voir, complètement éblouie.

Brusquement, une voix féminine qu'elle avait déjà entendue s'adressa à elle :

- Alors, tu as fait bon voyage, petite pouliche?

Cette voix? Est-ce que ce n'était pas? Elle cligna des yeux. Elle commençait à distinguer *** environnement. . . Elle regarda celle qui lui avait parlé. Oui c'était bien elle, Carmen, la secrétaire de *** mari, celle qui avait participé à *** dressage, à l'occasion, qui l'avait gardée pendant deux semaines lors d'une absence de Jean avec une rigueur inflexible et sans la moindre trace de compassion pour *** sort. Jean lui avait effectivement dit que Carmen était brésilienne ou colombienne, elle ne s'en souvenait plus, mais, ce dont elle se rappelait parfaitement, c'était d'avoir éprouvé de la jalousie pour la secrétaire - maîtresse de *** mari, de la haine aussi pour la dresseuse adjointe. Maintenant, elle était totalement entre ses mains. Respecterait-elle la règle du jeu fixée à l'avance? De toute façon, l'année risquait d'être longue et pénible.

- Oui, c'est encore moi, ta chère Maîtresse Carmen! Je te dois peut-être quelques explications : Tu ne savais pas que j'étais très riche? En fait, mon père faisait des trafics divers! Je n'ai jamais voulu savoir de quoi- et m'a laissé deux ou trois cents millions de dollars et cette hacienda isolée avec un per***nel totalement dévoué.

- Vous vous connaissez Jean depuis longtemps?

- Je l'ai rencontré à Washington il y a cinq ans peu après votre voyage de noces. Nous avons sympathisé immédiatement, couché ensemble le soir même et je lui ai servi de secrétaire pendant ces quatre dernières années. Je baise avec lui depuis, presque tous les jours, même pendant vos vacances. A Pâques, par exemple, Jeanne Dupont, la fille seule qui occupait le pavillon voisin du tien, tu sais, celle que tu as draguée pendant trois semaines, que Jean disait trouver moche et sans intérêt et avec laquelle tu sortais souvent le soir, avec qui tu faisais tes courses et que tu as fini par embrasser sur la bouche, c'était moi.

- Je vous aurai reconnue!

- Avec les cheveux et une perruque châtain, un nouveau maquillage pastel, des talons plats, une jupe simple et un chemisier BCBG, tu n'as pas fait le rapprochement avec la fille aux cheveux brique courts, au maquillage assez agressif, qui ne porte que des talons hauts et des tenues de luxe qui t'a initiée, toi! Quelle meilleure couverture que d'être juste sous tes yeux, tu ne trouves pas? Bien entendu, dès que tu allais à la plage, on faisait l'amour avec Jean comme des malades de toutes les façons imaginables. Un jour où tu ne te sentais pas bien, tu m'as même demandé d'aller avec Jean à la ville voisine pour ne pas qu'il s'ennuie. Ca, je peux t'assurer qu'il ne s'est pas ennuyé avec moi.

- Vous m'avez eue dans les grandes largeurs, Maîtresse. J'ai bien été jalouse de vous mais je ne pensais pas que vous comploteriez contre moi avec autant de soin. Je suppose que vous voulez prendre ma place auprès de Jean et me chasser ou me faire disparaître?

- Epouser Jean est effectivement mon premier objectif. Lui faire deux ou trois enfants mon second. Mais te garder auprès de nous pour que tu assistes tous les jours à ma victoire, que je puisse t'humilier devant lui vient juste derrière. Mais, depuis que tu m'as fourni une occasion en or en demandant à Jean à être dressée pour devenir une esclave, j'ai éprouvé de plus en plus de l'affection pour toi et je me suis fixée un objectif supplémentaire : que tu sois pleinement satisfaite du sort que je te réserve et que tu collabores avec moi activement et non que je doive prendre des précautions pour éviter une tentative de fuite ou de vengeance. Oui, je veux épouser Jean mais je ne le ferai que si tu es à côté de moi le jour de notre mariage et que tu participes à la fête en étant parfaitement heureuse.

- Ca, jamais. Il faudrait que vous soyez le diable!

- Je vais prendre cela pour un compliment. Il n'empêche que tu as parlé et plusieurs fois sans que je te pose des questions, tu auras donc droit à la cravache dès ce soir devant tout le monde. Mais comme c'est aussi ton baptême dans ton nouveau statut d'esclave avouée et vendue, tu n'auras droit qu'à dix coups sur les fesses puis cinq sur les cuisses, cinq autres sur les seins et trois sur ta moule qui ne sera plus jamais poilue. Après, on t'enfermera dans la case des ouvriers agricoles. J'en ai une bonne vingtaine et ils auront toute liberté sur toi pour toute la nuit. A charge pour eux que tu sois à dix heures demain matin, propre, douchée, brossée, maquillée, des clochettes au bout des seins devant la porte des écuries. Je te réserve une petite surprise!

Qu'est ce que cette femme avait pu encore imaginer? On lui avait tout fait en matière équestre : elle avait du apprendre des pas de marche et de présentation, répondre au moindre mouvement de sa bride, tirer une charrette, une charrue ou un sulky de course. Elle avait participé à des présentations et des courses de pony girls, à des films porno où elle s'était fait enfiler par un type, couchée sur une table sur le ventre avec une selle sur le dos. Elle s'était même fait baiser par un vrai étalon.

Cette surprise à venir la torturait toujours lorsqu'un homme qu'elle ne connaissait pas vint l'équiper pour la soirée. Elle reçut mors, bride et rênes ; sa chevelure fut nattée avec des guirlandes de fleurs entrelacées. Guidée par les rênes par Carmen, elle fut amenée dans la salle à manger. Elle fut présentée sous le nom de Juanita en l'honneur de Jean qui semblait connu des assistants, et dont Carmen avait toujours partagé le goût pour la domination des femmes. Carmen expliqua en quelques mots la situation et ajouta qu'elle espérait bien mener à *** terme le dressage de cette nouvelle pouliche avant de convaincre Jean et Juanita qu'une esclave ne pouvait être l'épouse légitime d'un Maître et prendre à la nouvelle esclave de l'hacienda la place qui lui revenait dans le lit de Jean.
chrislebo

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Carmen définit ensuite pour tous les règles du jeu pour l'année à venir : tout le monde pouvait l'avoir pendant sa journée de service ou le soir lorsque Carmen, ses invités ou ceux qu'elle désignerait n'en auraient pas l'usage. On pourrait la réserver à l'avance. Si une femme la voulait, Carmen exigeait seulement d'assister au spectacle. Au cas où la femme voudrait la prendre en dehors de la présence de Carmen, Juanita n'avait pas droit de se refuser, mais elle serait punie de vingt coups de fouet pour avoir dévoyé la délinquante. Celle-ci serait punie elle aussi et éventuellement chassée de la propriété avec sa famille.

La punition annoncée fut sévère : les coups étaient assénés sans douceur là où cela faisait mal. Si elle tint bien le coup pour les coups sur les fesses, elle gémit à chaque coup sur les cuisses, hurla comme chaque fois lorsqu'on s'occupa de ses seins qu'elle dut présenter aux coups une main sous chaque mamelle. La cravache s'arrondissait et frappait chaque bras et chaque sein en même temps. Ce fut bien pire lorsque ses tortionnaires s'attaquèrent à *** sexe. A chaque coup, elle s'évanouissait. On la jetait alors dans la fontaine du jardin et on la ramenait immédiatement dans la salle à manger, dégoulinante d'eau et de larmes.

Lorsque *** supplice se fut enfin achevé, ils la laissèrent au milieu des tables sans autre chose à manger que des morceaux que les convives lui lançaient par terre. . . Pour boire, Carmen avait trouvé drôle de lui imposer avant chaque verre de sucer un des convives en avalant *** sperme. En guise de dessert, Carmen remplit une coupe de *** urine et exigea qu'elle la boive jusqu'à la dernière goutte devant tout le monde. Donnant l'apparence d'être vexée de la moue de dégoût que Juanita fit en reposant sa coupe, elle lui annonça que, désormais, elle devrait boire chaque matin les urines de sa maîtresse assai***nées du sperme des hommes avec lesquels elle aurait passé la nuit. Elle espérait bien que Jean passerait la voir bientôt dans sa résidence. Ce jour-là, elle lui promit de l'inviter pour assister aux ébats et à y participer, comme souffre douleur, bien entendu.

Contrairement à ce que prévoyait Carmen après une telle séance, lorsque Juanita fut enfermée avec les ouvriers agricoles, elle était brûlante de désir et s'appliqua à donner autant de plaisir qu'elle pût à ces hommes qui lui inondèrent aussi bien la chatte que le cul ou la bouche. Elle réussit même à improviser une figure assez acrobatique qu'elle avait déjà pratiqué à plusieurs reprises en recevant simultanément une bite dans le vagin, une dans l'anus, une dans la bouche tandis qu'un autre homme se démenait entre ses seins dont les bouts étaient malmenés par un cinquième tandis qu'elle en branlait encore un dans chaque main.

Lorsqu'ils eurent tous été totalement vidés, chacun lui proposa de finir la nuit sur *** bat-flanc mais elle refusa : Elle était maintenant trop habituée à coucher à même le sol, à l'attache près d'un lit. Elle obtint qu'ils lui bricolent un collier et une laisse courte qu'elle attacha elle-même à la poignée des toilettes. Il fallait la déplacer pour y accéder ce qui lui valut d'être réveillée à plusieurs reprises au cours de la nuit. Elle se mettait alors à genoux puis se prosternait en présentant sa fente et *** anus. Elle fut enfilée sans ménagement par certains de ses visiteurs auxquels la nuit avait rendu quelques ******. C'était exactement ce qu'elle avait espéré. Deux hommes exigèrent même qu'elle nettoie leurs bites et leur anus avec sa langue après avoir fait leurs besoins.

Le lendemain matin, elle fut réveillée ponctuellement à huit heures, conduite dans la cour, douchée au jet d'eau glacée comme elle s'y attendait, puis séchée très énergiquement. Elle fut brossée, ses cheveux nattés autour d'un curieux support en bambou en forme de poignée, maquillée artistiquement mais lourdement par une fille venue de la mai*** principale. Celle ci insista pour qu'elle reste à quatre pattes pendant toute l'opération mais la fit monter sur une table pour faciliter la tache. Elle lui fixa un mors en métal tenu par un assemblage complexe de courroies de cuir. Curieusement, les rênes étaient beaucoup plus courtes que ce qu'elle avait déjà porté pour tirer une charrette.

Avant de la mettre à l'attache devant l'écurie à un anneau fixé au mur, la fille lui fixa des clochettes assez grosses par des pinces au bout du mamelon. Elle le lui avait fardé en rouge vermillon avec un produit qui lui avait mis la pointe des seins en feu et fait saillir ses mamelons de façon grotesquement obscène. L'application lui avait fait un mal de chien et lui avait arraché des gémissements de douleur. D'autres clochettes avaient été fixées à *** collier, et aux bracelets de cuir qu'elle portait aux poignets et aux chevilles ainsi qu'aux anneaux qui ornaient les lèvres de *** sexe.

Lorsque Carmen arriva avec près d'une heure de retard que Juanita avait passée en plein soleil, face au mur, elle portait une jupe longue, des bottes mais ce qui fit frémir Juanita, c'était la cravache noire luisante et surtout un flacon contenant un liquide jaune et trouble. Elle la détacha et la tenant par les rênes, elle lui fit faire quelques tours du bâtiment pour l'échauffer comme elle le lui dit. En revenant devant l'écurie, elle la fit mettre à quatre pattes et lui présenta le liquide jaunâtre qu'elle avait vidé dans un bol qui traînait par-là. L'odeur ne laissait aucun doute : c'était de l'urine et on distinguait des filaments blanchâtres qui flottaient ça et là. Il suffit de deux coups de cravache sur ses fesses pour qu'elle vide le bol et d'un autre pour qu'elle lèche les secrétions restées collées sur la fa·ence.

- C'était bon? Tu as de la chance : j'ai beaucoup bu hier soir et c'est pas mal dilué mais attends que Jean vienne. Avec lui, je veux apprécier chaque instant et je bois très peu d'alcool. Comme je me déchaîne avec lui, ça sera beaucoup plus fort et tu auras bien plus d'assai***nement.. J'ai aussi plein d'autres idées pour toi Viens voir la première.

Elle la conduisit dans l'écurie ou trônait un bizarre chariot à quatre roues en plastique transparent, ce qui le rendait presque invisible.

- Tu vois, ma belle, j'ai conçu ce support pour toi! Avec cela je vais pouvoir te seller et surtout te monter réellement comme ******** que tu vas être pendant un an et peut être plus si tu l'acceptes. A ce propos, une jument ne parle pas et je ne veux donc plus jamais entendre ta voix sous aucun prétexte, même lorsque tu ne porteras pas de mors. D'ailleurs, je te préviens : dans un an, je te proposerai des modifications notables de ton corps : si tu acceptes, un vétérinaire car tu n'auras plus jamais droit à un médecin, pratiquera sur toi une ablation des cordes vocales. Le silence éternel! Ah Ramon! Prépare Juanita comme prévu.

Juanita trembla de terreur à l'idée du sort qu'on lui promettait. Jusqu'à présent, toutes les prédictions de Jean et de Frédéric s'étaient réalisées. Elle vit dans un brouillard Ramon lui fixer des bottes montantes sans revers qui faisaient ressembler ses jambes à des pattes de chevaux. La forme en était très bizarre. Elles étaient très lourdes. Ramon lui montra que la botte avait exactement la forme d'un sabot et qu'elle portait un vrai fer à cheval. Il y avait même des poils qui pendaient autour de sabots ferrés. Il lui fixa à chaque bras des espèces de gants avec des échasses démesurées, ferrées elles aussi puis il la fit s'étendre sur le chariot. Tout avait été parfaitement calculé. Les «pattes» avant rasaient le sol et *** torse était presque horizontal. Les roues arrière lui assuraient une bonne stabilité tandis que ses membres antérieurs étaient fixés à une sorte de pédalier en plastique transparent.

Juanita comprit aussitôt que, de loin, on aurait l'impression de voir un vrai quadrupède. *** ventre était bien soutenu par une barre assez forte mais ses seins pendaient, toujours terminés par cette clochette qui la torturait. Une grande échancrure au creux de sa taille l'intrigua jusqu'à ce que Ramon après lui avoir mis un rectangle de tissu sur le dos, pose sur *** dos une vraie selle d'amazone qu'il sangla en serrant fort à lui couper le souffle. Cette fois, elle était vraiment sellée.

Ce n'était plus un simulacre comme dans le film qu'elle avait tourné et un adulte allait la monter réellement. Elle devrait faire une promenade, voire courir, non : galoper plutôt, avec Carmen sur le dos, elle le pressentait Voilà pourquoi les rênes qu'elle portait étaient courtes comme pour un vrai cheval. Les sabots et les échasses lui donnaient en effet une taille nettement supérieure à celle des poneys qu'elle connaissait. Ramon compléta le harnachement par un gros gode qu'elle connaissait bien et qu'il lui enfonça dans l'anus après l'avoir rapidement lubrifié. Carmen avait vraiment le souci du détail. Ramon attacha ensuite deux sacoches sur les fesses, plaça une toile de tente roulée derrière la selle.

Carmen s'appuya sur les mains jointes de Ramon pour monter Juanita et tira sur les cheveux nattés en forme de poignée de sa monture. La douleur fit gémir Juanita, mais le mors étouffa *** cri. Elle fut surprise de ne pas se retrouver écrasée, mais tout avait été parfaitement étudié et le poids de sa maîtresse ne la gênait finalement qu'assez peu. Celle-ci lui ordonna, d'un appel sur les rênes, d'avancer. Elle l'amena par une piste parfaitement lisse devant la mai*** devant un appareil photo pour une longue séance de pose. Elle comptait envoyer une épreuve à Jean, et faire publier les images sur Internet pour que le monde entier puisse voir jusqu'où on pouvait aller en terme de dressage. Après la séance photos, Carmen l'emmena pour une promenade dans la propriété sur cinq ou six kilomètres sur une piste toujours aussi parfaitement lisse. Elle avançait sans effort et pouvait même atteindre une bonne vitesse : elle n'avait qu'à assurer la propulsion.

Le lendemain, Ramon lui apporta *** flacon d'urine quotidien, la munit d'une selle normale. Il attacha un étui à fusil au niveau de *** épaule. Il tenait à la monter per***nellement pour procéder au débourrage du matin, surtout les premiers jours. Le poids de *** cavalier, beaucoup plus conséquent que celui de Carmen l'écrasa bien sur *** support mais elle s'y fit sans trop de problèmes. Il lui fit travailler les différents pas qu'elle devrait mémoriser et qui étaient différents de ceux appris à la ferme de pony girls. Le trot lui sembla évident mais pour galoper, elle devait appuyer des deux jambes en même temps, ce qui n'est guère évident pour une bipède de naissance.

Pour l'encourager, Ramon disposait et faisait un large usage d'une petite cravache et de ses éperons qui venaient piquer ses cuisses ou parfois ses seins. Le travail continua jusqu'à ce qu'elle soit épuisée. *** cavalier, au retour à l'écurie, lui retira *** leurre et l'encula sauvagement sans la lubrifier et sans lui dire un mot. Elle apprécia la ********** de l'étreinte mais elle comprit obscurément que ce n'était que le début de l'entreprise de déshumanisation que Carmen tentait sur elle.
chrislebo

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Chapitre 15 Epilogue

Lorsque Jean passa à l'hacienda trois mois après, la voiture qui l'amenait s'arrêta juste après avoir franchi l'enceinte et on lui proposa de prendre une voiture tirée par deux chevaux ou plutôt par un cheval et par Juanita (elle pensait désormais à elle-même sous ce nom et Nadine était bien oubliée) accouplés. Il ne la reconnut pas tout de suite tant elle s'était coulée dans *** rôle ******** de trait ou de selle.

Jean complimenta Carmen pour les progrès qu'avait faits sa protégée. Il vint examiner de près *** harnachement sans lui adresser la parole. Il fut impressionné par la taille du gode qui portait sa queue. Vu le diamètre, il n'arrivait pas à croire que *** cul soit encore capable de servir à un homme normal.

Carmen le prit au mot, enleva immédiatement le gode du cul de Juanita, l'enfonça sans même l'essuyer dans le sexe de la malheureuse qui poussa un grognement de douleur et invita Jean à l'enculer séance tenante. Dès que Jean se mit en place, celle qui était toujours officiellement sa femme, sans même le regarder, resserra *** anus autour de *** gland, ne se relâchant que progressivement pour l'accueillir lentement. Lorsqu'il fut enfoncé jusqu'à la garde, elle se mit à le traire sans bouger, alternant les serrages presque douloureux et des massages onctueux comme l'aurait fait une bouche. Il se vida dans *** anus avec des grognements de bête. Carmen lui demanda de remettre le gode en place.

Pendant le repas de bienvenue, Juanita toujours sanglée sur *** chariot mais dessellée, fit les frais du spectacle : tour à tour frappée à coups de martinet, de ceinture, de cravache ou de fouet qui laissaient de vilaines marques violacées et boursouflées sur ses fesses, *** dos, ses cuisses et même ses seins qui pendaient sous elle. Entre deux corrections, elle se faisait parfois baiser, mais surtout enculer ou suçait une demi-douzaine de figurants qui se relayaient, la prenant parfois à deux.

Après le dessert, Carmen la fit emmener dans la cour, nettoyer sommairement en fourrant un tuyau d'arrosage dans ses trous pour une douche interne glacée. Après avoir été séchée, elle dut écouter les remarques cuisantes de Carmen qui décrivit à Jean tout ce qu'elle avait du subir depuis *** arrivée à l'hacienda. Elle offrit à Jean un album de photos et un jeu de cassettes vidéo pour qu'il puisse voir lui même ce qu'elle avait enduré.

Carmen fit aussi remarquer que Juanita n'avait plus rien à voir avec la petite bourgeoise qui avait épousé Jean : Elle n'était plus qu'une esclave qu'on pouvait fouetter, un trou ou plutôt des trous qu'on pouvait fourrer sans qu'elle se plaigne. On l'avait jadis prostituée au coin d'une rue, elle avait subi des séances d'abattage sans se révolter. Elle servait maintenant de jouet obéissant à l'hacienda et à ses hôtes. Elle avait forniqué avec un chien et même avec un étalon lors de *** séjour au haras. Elle ne méritait plus d'être considérée comme une femme mais rien de plus qu'un ******. Elle devait accepter *** nouvel état qui, conclut Carmen, n'était plus compatible avec le statut de Maître de Jean. Celui-ci n'émit aucune objection.

Juanita, en larmes, fut forcée d'admettre, en *** for intérieur, que Carmen avait rai***, qu'elle s'ennuyait comme épouse de Jean mais que, depuis le début de *** dressage, elle avait éprouvé des sensations qu'elle n'aurait jamais imaginées et qui se renouvelaient à chaque invention de ses Maîtres. Le lendemain, on lui présenta des papiers permettant à *** mari d'obtenir un divorce aux torts exclusifs de *** épouse. Elle y reconnaissait se prostituer régulièrement, y prendre plaisir, avoir baisé avec des dizaines d'hommes et de femmes et quelques animaux. Carmen lui avait juste libéré la main droite pour qu'elle puisse signer. En dehors de cela, elle était déjà totalement harnachée, sellée et ses fontes étaient remplies de victuailles et de vêtements de rechange pour un peu de camping tout au bout de la propriété. Jean chevauchait un bel étalon alezan.

Arrivé à destination, il attacha les deux montures à un petit arbre, monta la tente, déchargea les paquets. Tandis que Carmen rangeait le matériel, Jean dessella *** étalon d'abord puis Juanita, lui libéra les mains mais la laissa sur *** perchoir. Avisant un petit bosquet de bambous, il prit une hache et revint avec un tronçon de trois mètres de long. Il ficela ce tronçon en le faisant glisser entre *** corps et le chassis puis arrima les chevilles de Juanita à une extrémité du tronçon. Les deux poignets furent de la même façon entravés en croix devant elle ce qui lui permit de reposer sa tête. Le confort n'était guère présent mais elle pourrait dormir un peu.

Devant la tente, après le repas, Jean et Carmen commencèrent à s'embrasser puis à se caresser. Ils se déshabillèrent l'un l'autre puis Jean prit Carmen dans ses bras pour rentrer sous la tente dont il négligea de refermer la porte. Juanita essaya de bouger un peu dans ses liens pour apercevoir Jean mais les bruits, les gémissements et les mots d'encouragement de Carmen ne laissaient aucun doute sur leurs activités. En retombant, elle frotta *** pubis dépourvu maintenant de tout poil sur le bambou. Elle réalisa qu'elle avait juste assez de jeu pour frotter *** clitoris contre le bambou. En entendant les roucoulements de Carmen, elle se mit à se masturber avec ce gode improvisé. En dépit de l'avance qu'avaient pris Carmen et Jean, les cris de jouissance des deux femmes se confondirent. Avant de s'endormir, elle remercia ardemment en pensée Jean en lui promettant de ne pas décevoir Carmen.

Le mariage de Jean et de Carmen fut célébré à l'hacienda deux mois après. Une calèche blanche attendait, à la porte du bâtiment de réception, les jeunes mariés pour les emmener dans un pavillon au bout de la propriété dans une petite forêt, au bord d'un ruisseau frais. Bien entendu, Juanita y était attelée. Elle avait un harnais neuf de cuir blanc avec des plumes et des rubans, des clochettes avec des noeuds blancs avaient été fixées un peu partout : à ses mamelons, aux anneaux de *** sexe et de *** nez ainsi qu'à ses oreilles et même dans ses cheveux où on lui avait fait de nombreuses petites nattes terminées chacune par une petite clochette. Ses cheveux avaient été décolorés en blond platine, coloration qui serait désormais permanente en souvenir de ce mariage, lui avait annoncé Carmen. Dans *** anus, était fiché un gros gode avec une crinière exactement de la même couleur que ses cheveux avec un gros flo blanc.

Ainsi, le souhait de Carmen, serait réalisé : elle serait au coté de sa Maîtresse le jour de *** mariage et elle allait participer activement aux réjouissances. Elle serait même sur toutes les photos des mariés après la cérémonie à voir le mitraillage dont elle faisait l'objet.

Juanita eut quelques difficultés à faire avancer seule la calèche un peu lourde avec ses deux passagers, mais quelques coups de fouet à chevaux bien appliqués par Jean l'aidèrent efficacement à se mettre en route rapidement sous une pluie de grains de riz. Arrivée au pavillon, Jean ressortit le morceau de bambou et lui lia les chevilles et les poignets de la même façon que lors de leur première escapade. Juanita avait appris à Carmen au retour ce qu'elle avait fait de *** coté, cette nuit-là. Sa Maîtresse en avait été amusée mais avait pensé à tirer partie de la souplesse de sa protégée.

Sur l'ordre de Carmen, elle se mit à s'agiter en rythme, faisant tinter les clochettes en un carillon bien réglé. *** long entraînement avait constitué à bien apprendre quand elle devait bouger telle ou telle partie de *** corps pour interpréter le long morceau choisi par Carmen. Le fin du fin était qu'elle devait jouir au moment où la musique s'achevait par un tintement simultané de toutes les clochettes.

Pressé de rejoindre sa nouvelle épouse, Jean lui tapota la joue et la fesse et lui mit la tête dans un sac de croquettes pour chien. Lorsque le soir vint, Carmen attira Jean sur la terrasse, le fit s'étendre dans un canapé en se blottissant contre lui et appela Juanita :

- Vas-y, Queen et toi Jean écoute!

La petite musique aigrelette s'éleva dans la nuit tandis que Jean, sidéré, écoutait sans bruit. Lorsque la musique s'arrêta et fut remplacée par les gémissements de jouissance de l'interprète, Jean embrassa profondément Carmen, la caressa, dénudant peu à peu *** corps et entraîna sa femme, nue, dans leur chambre. Les cris de jouissance et les gémissements de plaisir de Carmen et les grognements de Jean ponctuèrent à leur tour la nuit. Juanita s'endormit. Carmen la réveilla moins d'une heure plus tard en lui demandant depuis sa couche :

- Encore une fois, Juanita!

Le concert de clochettes reprit aussi harmonieux que la première fois et tout se déroula de la même façon. Encore deux heures plus tard, Carmen la réveilla avec la même exigence en lui demandant toutefois de compter jusqu'à 200 avant de commencer. Un rien surprise, Queen obéit. Au milieu des tintements des clochettes, elle entendit cette fois les mots d'amour de Carmen. C'était au tour de sa Maîtresse de régler *** rythme sur celui de *** esclave. Sa synchronisation fut parfaite puisque leurs orgasmes se confondirent. Vers quatre heures, tout le monde finit par s'endormir définitivement.

Ce fut Carmen qui vint au matin, assez tard, triomphante dans les lambeaux de sa robe de mariée que Jean lui avait presque arrachée dans sa hâte, retirer les clochettes ce qui fit grogner Queen de douleur dans *** mors car à ***** de s'agiter, les pinces fixées directement sur la peau avaient fini par la faire saigner. Carmen la désinfecta rapidement après l'avoir dételée. Elle lui ôta le sac à croquettes. Elle alla ensuite lui chercher un grand verre d'urine où les filaments de sperme étaient en nombre inhabituel. Encore une promesse qui se réalisait.

A la fin de l'année, Carmen lui proposa de la libérer mais en la laissant libre de *** choix. Juanita choisit de rester mais n'accepta pas de se faire enlever les cordes vocales. Lorsque le premier né de Carmen vint au monde, elle devint sa poussette attitrée. L'année suivante, juste avant la date de renouvellement de *** contrat, sa Maîtresse la convoqua.

chrislebo

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- Je sais que tu ne veux pas qu'on te prive définitivement de la parole et tu sais que c'est un de mes fantasmes les plus importants. Je viens de rencontrer à un congrès médical un homme qui peut nous satisfaire toutes les deux : Pour restaurer la voix d'un chanteur, il a déposé sur ses cordes vocales un produit qui forme une gangue autour de la corde vocale. Ce truc te rend complètement muette, ça s'applique en quelques secondes et ça disparaît tout seul en quelques mois mais on peut aussi le dissoudre rapidement en buvant de l'eau chaude. Bien sur, tu n'aurais plus droit au thé ou au café ni même à un bol de soupe mais, je ne t'en fais jamais servir. Qu'en penses-tu?

Bien sur, elle ne fit plus aucune difficulté pour satisfaire enfin Carmen. Elle réussit bien à signaler quelques besoins élémentaires en modulant les ***s avec sa bouche seule mais lorsqu'on la fouettait ou la baisait, elle n'émettait plus que de longs gémissements inarticulés. Elle n'avait plus à compter les coups, petit avantage.

Depuis lors, chaque fois que Carmen, Jean ou les quatre enfants qu'ils ont eus ***t à l'hacienda, ils ne manquent jamais de la monter parfois plusieurs fois par jour parfois lentement pour une promenade, parfois très vite pour une course à moins qu'ils ne l'attellent à l'un ou l'autre des petits sulkys. Les enfants préfèrent une course à bride abattue. Rien de tel que quelques coups de cravache sur les fesses ou sur sa fente voire la morsure des éperons sur *** ventre ou ses seins pour obtenir l'effort maximum.

Pour leur anniversaire de mariage, ils font tous les trois le même voyage, seuls changent la robe de mariée déchirée à chaque fois et la mélodie de la sérénade que leur joue Warrior Queen. Cet accompagnement musical a eu beaucoup de succès au point que des enregistrements en ont été vendus sur CD. Des articles flatteurs ***t sortis dans la presse. Per***ne n'a obtenu de voir l'artiste ni a réussi à reproduire le caractère entraînant et sensuel de la musique!

Il arrive souvent que Jean la baise dans la cour après une promenade quoiqu'il vienne parfois la visiter dans *** box. Elle est alors toujours disposée sur *** support. Comme elle porte souvent bride, mors et queue, il n'utilise le plus souvent que *** vagin et il se contente de lui adresser les ordres et les encouragements qu'on adresse ordinairement à un ******. D'autres fois, il lui fourre le gode sans ménagement dans le vagin ou dans la bouche, à charge alors pour elle de le sucer pour le rendre parfaitement propre. Si elle le laisse tomber par terre dans sa jouissance, il la cravache sur tout le corps jusqu'à l'évanouissement. Elle en est venue à trouver cette punition normale. Elle se souvient à peine du temps où ils faisaient l'amour dans leur lit conjugal doucement et sans violence.

Une fois par mois à peu près, Jean et Carmen donnent une grande fête dans leur résidence. Juanita est l'une des attractions les plus appréciées. Elle fait la navette avec la calèche entre le parking de l'entrée et la résidence. Lorsque tous les invités ***t arrivés, elle est mise à l'attache à un anneau mural sur la terrasse. Les hommes et certaines femmes viennent se faire sucer, lui donner le martinet ou la baiser. La cravache est proscrite pour ne pas l'épuiser trop vite.

Après le repas, elle est amenée sur une estrade dans le salon. De temps en temps, elle doit interpréter un petit morceau de musique céleste avec ses clochettes. Voir *** corps nu danser avec la musique est un puissant excitant pour les assistants. Ensuite, elle peut être l'enjeu d'une loterie où le vainqueur pourra la cravacher jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse. Des paris ***t pris pour savoir combien de temps elle tiendra. Les gagnants -ils ***t souvent plusieurs- la raniment en lui plongeant la tête dans une bassine d'eau de la fontaine et la baisent ensuite sur l'estrade devant tout le monde dans la lumière de projecteurs. Ses cris inarticulés ne ***t alors que des encouragements à des assauts plus vigoureux.

D'autres fois, le spectacle consiste à la faire prendre par un ******. Il y a eu tour à tour un chien, un bouc, un bélier, des ânes et un poney. Elle était déjà habituée aux chiens mais un braque de Weimar est quand même très gros. Ce fut bien pire avec le bélier, les ânes et le poney mais ce dernier est si doux que Juanita aime bien le recevoir. Après, beaucoup de visiteurs deviennent fous de désir et ses trous ne désemplissent plus pendant des heures au point qu'il faut lui ramoner de temps en temps le vagin avec un goupillon à bouteilles. Certaines visiteuses s'équipent de godes monstrueux pour lui ravager le cul pendant que Juanita avale le sperme de leur partenaire.

Au petit matin, le signal de la fin de la fête vient lorsque Juanita vide le verre d'urine et de sperme que Carmen lui présente.

Lorsque ses maîtres ***t absents, les employés l'utilisent pour tirer une charrette avec toutes sortes de charges. Tous les matins à sept heures, elle amène aussi les sacs poubelles de la mai*** à la porte de l'hacienda. Bien sur, elle doit subir les attentions de cinq à dix hommes, parfois plus, durant la journée. Heureusement, les femmes demandent rarement à Carmen l'autorisation de jouer avec *** corps. Elles ne lui adressent presque jamais la parole, même pour les quelques mots affectueux que lui prodiguent les hommes. Au contraire, lorsqu'elles doivent l'utiliser, elles usent du fouet sans retenue comme si la vue de Juanita leur était répugnante, ce qui est peut être le cas.

L'une de ses pires tortionnaires, une servante nommée Mercedes, a même suggéré à Carmen d'utiliser Juanita comme mère porteuse pour gagner de l'argent. Carmen, bien informée de ce qui se passe chez elle, a tout de suite compris que le but était plutôt de lui déformer le corps pour le rendre moins attrayant pour *** propre compagnon qui en faisait trop régulièrement usage. La femme fut vertement réprimandée et voulut se venger sur Juanita. Le tournevis dont elle la menaçait lui fut arraché par Jean lui même et on ne sut jamais si elle voulait la défigurer, lui crever les yeux ou la tuer purement et simplement.

La punition fut immédiate : les deux femmes ont échangé pour trois mois leurs situations. Mercedes pour rendre complète la punition a bénéficié du traitement la rendant temporairement muette. Pas prévenue, elle s'affola jusqu'à ce que Carmen lui explique ce qui lui arrivait. Elle ne fut tranquillisée que lorsque Juanita eut bu trois litres de soupe très chaude avant de recouvrer sa voix, rendue un peu rauque par l'inactivité.

Juanita a dé servir, redressée, habillée, aux cuisines et à table, préparer la nourriture de *** compagnon provisoire Pedro et de ses deux enfants, faire la lessive, la vaisselle et le ménage dans leur petite mai***. Carmen lui avait fait faire rapidement quelques jupes et chemisiers car sa poitrine était trop forte pour les vêtements de Mercedes qui n'avait pas non plus sa taille fine et ses hanches épanouies. Elle voulut lui faire porter des slips et des soutien-gorges, mais Juanita ne put supporter leur contact. Carmen avait même veillé à faire teindre ses cheveux en un noir de jais tandis que Mercedes était devenue à *** tour blond platine. Le soir, au lit, Pedro était déchaîné et très exigeant, bien sur, et elle devait le satisfaire cinq ou six fois chaque nuit mais cela suffisait tout juste à la satisfaire maintenant. A plusieurs reprises, l'inversion des rôles fut complète lorsque, par exemple, Juanita attela Mercedes à un petit sulky pour aller préparer un pique nique de Carmen près d'une source.

Elle découvrit au cours de cet entracte que la position debout qu'elle ne prenait plus que pour quelques minutes chaque jour, lui était devenue un peu pénible. Pendant ce temps, la compagne de Pedro qui avait toujours repoussé dédaigneusement les avances de tout le per***nel, même lorsque *** mari lui avait dit avec insistance qu'il souhaitait qu'elle soit moins farouche, leur était livrée sans défense toute la journée et toute la nuit. Lorsque ce fut le tour de Pedro de faire la corvée des poubelles, elle eut droit aux coups de fouet nécessaires pour l'encourager, pas un de moins, et il l'encula, ce qu'elle lui avait toujours refusé, devant l'écurie sous le regard indifférent de plusieurs employés qui passaient par là. A sa très grande honte, elle se rendit compte qu'elle mouillait comme jamais pendant que les hommes autour d'elle s'astiquaient la bite avec frénésie en attendant leur tour!

Comme pour Juanita, Carmen a donné à chaque femme de l'hacienda l'autorisation de se servir de Mercedes. Seulement, avec Juanita, peu d'entre elles en ont profité, soit que l'état d'ancienne épouse du maître de mai*** l'ait protégée, soit que la couleur de sa peau ne les attire pas. Par contre, avec Mercedes, cette retenue ne semblait pas de mise puisqu'elle est passée entre les mains de toutes ses consoeurs.

L'une de ces femmes, ayant vu dans sa stalle la photographie de Carmen, en train de faire subir un fist fucking à Juanita, a voulu rééditer l'exploit avec Mercedes. Lors de la fête suivante, on fit prendre à celle ci un lavement de près d'un litre d'huile. Lorsque la graisse se mit à suinter de *** anus, la femme fit pénétrer deux doigts puis trois sans difficultés. Elle mit plus de temps à l'élargir suffisamment pour faire pénétrer le quatrième et Mercedes, bâillonnée, pleurait de douleur. La femme lui enleva *** bâillon, lui cravacha longtemps le cul pour qu'elle pense à autre chose, puis se ré-enduisit copieusement la main d'huile et, mettant ses doigts en cône, elle poussa de toutes ses ******, en vrillant *** poignet comme si elle voulait enfoncer une vis. Mercedes hurlait maintenant, cherchant désespérément à fuir cette douleur qui lui déchirait l'anus
chrislebo

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Mais la femme fut sans pitié. A la fin, elle s'enfonça triomphalement jusqu'au coude, s'amusant à pousser sur les parois pour que la peau du ventre soit soulevée de l'intérieur. Elle ramona longuement le cul de la malheureuse qui sanglotait puis, de l'autre main, elle mit un peu d'une crème d'un pot que Carmen lui tendit sur le clitoris de Mercedes. L'effet fut presque instantané : *** corps s'arqua, ses hurlements redoublèrent mais ils n'étaient plus de douleur mais témoignaient d'un plaisir extrême. D'elle même, elle se mit à bouger pour sentir le poignet bouger en elle.

A *** quatrième orgasme, une femme suggéra de lui mettre le poignet dans le vagin. L'autre avec un sourire de carnassier sortit *** bras de l'anus distendu. Un bruit de bouchon de champagne retentit lorsque le poignet se libéra avec un flot d'huile souillée. Elle s'essuya les mains sommairement dans les cheveux de sa victime puis entreprit de faire subir le même sort au vagin. D'un rire moqueur, elle annonça qu'on n'aurait pas besoin d'huile tant Mercedes était trempée. Lorsque la pénétration fut totale, elle caressa le col de la matrice puis écarta les doigts en éventail, distendant les parois comme au passage d'un bébé. Mercedes s'évanouit de jouissance au milieu de la prestation au grand dépit de la femme qui aurait voulu poursuivre encore longtemps *** office.

Curieusement, ce traitement paraît avoir dompté la mégère qui ne récrimine plus après *** mari lorsqu'il fait usage de Juanita ni même lorsqu'elle le surprend avec une autre femme. Elle ne le chasse plus comme auparavant lorsqu'il veut la caresser et l'a même laissé lui faire l'amour sur une table un après-midi en public. Elle ne repousse plus non plus ceux qui lui font des avances ; elle semble, au contraire, plutôt rechercher celles-ci en soignant ses vêtements, *** maquillage, ses bijoux et même sa démarche devenue beaucoup plus sensuelle qu'avant.

Mercedes s'est ainsi attiré les faveurs de Jean à l'occasion alors qu'il ne l'avait jamais remarquée auparavant. La première fois qu'il l'a prise, c'était dans la stalle de Juanita, debout contre le mur. Elle a crié de jouissance tout le temps qu'il la ravagea, la prenant successivement par devant et par derrière. Un autre signe de *** changement d'attitude est que lorsqu'elle doit conduire Juanita, elle est devenue très douce et se contente souvent de faire claquer le fouet, sans même la toucher.

Depuis lors, lorsqu'une des femmes de la mai*** a commis une faute grave ou est jugée paresseuse, sa punition est de partager le travail de Juanita ou de la remplacer purement et simplement dans les cas graves. Les maris poussent parfois leur épouse à faire de grosses bêtises pour pouvoir avoir pour eux tout seuls la superbe Juanita pendant quelques semaines.

Un chariot en métal semblable à celui de l'ancienne épouse de Jean, mais réglable selon la taille de l'intéressée, permet aussi de seller et monter la fille punie et parfois de l'atteler en couple à la jument de l'hacienda. Ses compagnes occasionnelles pour une journée finissent toutes leurs journées de punition épuisées, misérables et souillées de foutre alors que Juanita, tout comme Mercedes maintenant, paraît encore fraîche et heureuse. Même les traînées de sperme font comme des bijoux sur sa peau, *** visage ou dans ses cheveux.

Les filles punies font tout leur possible désormais pour ne plus mériter une nouvelle punition semblable et se demandent comment Juanita et Mercedes ont réussi à tenir pendant des mois. La participation active de Juanita aux orgies nocturnes dépasse leur entendement. Mais toutes celles qui ont été condamnées à une longue peine ont été transformées par l'expérience. On les distingue dans la cour sans peine avec leurs vêtements propres et non rapiécés, très ajustés, au décolleté généreux et leur démarche particulière : poitrine gonflée, ventre rentré, fesses cambrées et hanches ondulantes. Il faut dire que Carmen leur procure les crèmes pour faire gonfler seins et cuisses et les suppléments alimentaires pour supporter un régime assez particulier qu'elles continuent toutes volontairement à suivre scrupuleusement même en service normal.

Le résultat ne s'est pas fait attendre : une vague de naissances a touché l'hacienda : chaque femme en état de tomber enceinte a eu un ou deux enfants dans les cinq années suivantes. Carmen a même décidé que Juanita devait participer à cet effort. Elle n'avait pas besoin de lui demander *** avis mais résolut d'en profiter pour humilier un peu plus Juanita. Un jour, elle se promenait sur le dos de Juanita quand il lui prit la fantaisie de la faire galoper sur la longue piste qui menait au pavillon de *** mariage. En quelques kilomètres, Juanita fut épuisée. Carmen lui redonna un peu de ****** en la piquant de ses éperons aux cuisses et sur les seins, ce qu'elle ne faisait presque jamais sauf pour de petites courses de vitesse. Elle utilisa même sa cravache de jockey et la fouetta sur les fesses jusqu'au sang. Lorsque sa monture ne put vraiment aller plus loin, elle tira *********** sur les rênes et descendit, l'air furieux.

- Juanita, tu me déçois beaucoup. Tu vieillis. Tu n'es plus capable de faire un petit galop de rien du tout. Tu étais ma monture préférée mais je crois que tu n'es plus digne que de servir de mère porteuse comme Mercedes l'avait proposé. Un de nos amis m'a déjà fait la demande et je vais accepter.

Juanita était ulcérée par les mots qui la blessaient par leur injustice car elle savait bien que Carmen ne l'avait jamais soumise à pareille épreuve. Elle en conclut que sa Maîtresse ne l'aimait plus et voulait se débarrasser d'elle. Qu'allait-elle devenir? Est ce qu'elle serait jetée à la rue ou vendue à un bordel quelque part en Afrique ou en Asie? L'engagement de l'entretenir sa vie durant pris par Carmen pouvait être tenu en la jetant menottée dans une rivière avec quelques pierres de lest. Très abattue, elle écouta Carmen lui expliquer *** plan.

- Ca tombe bien, tu es juste dans la bonne période. A partir de demain, je ne te donnerai plus la pilule. Les hommes, même Jean, devront tous mettre un préservatif avec toi sauf, bien sur, pour t'enculer ou se faire sucer. Il faut que ton client soit certain que l'enfant sera bien de lui. On te mettra tout ton équipement que tu portais pour notre mariage avec les clochettes. Lorsqu'il te montera, cela fera un joli carillon car il est très bien monté et il peut durer longtemps. Tu devrais apprécier. Autre chose, tu es habituée à baiser pas mal de fois chaque jour. Lorsqu'il viendra le dimanche après midi, tu n'auras pas eu d'hommes depuis le mercredi soir et je te ferais boire un grand verre de mon puissant aphrodisiaque! Tu devrais être capable de le traire à sec sans même t'aider de ta bouche. Interdiction en passant qu'il te jute dans la bouche. Je compte sur toi. Dernier point, tu ne dois pas savoir qui il est. Tu porteras en permanence un bandeau sur les yeux et des bouchons dans les oreilles.

L'homme était effectivement bien monté, plus même que Jean à *** avis. Il arriva déjà plus qu'à moitié tendu. Elle le suça quelques minutes puis il la contourna pour s'enfoncer dans *** sexe sevré d'amour qui n'avait certainement pas besoin de lubrification. Elle hurla de bonheur dès la première pénétration et tout le temps qu'il la prit. Ensuite, il reprit vigueur dans sa bouche avant d'inonder le fond de *** vagin à nouveau. Avant qu'il ne la quitte, elle le suça une dernière fois pour le nettoyer.
chrislebo

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Le client dut être un peu déçu car il n'eut pas besoin d'attendre sa période suivante, la vie saine en plein air de Juanita avait fait le reste. *** ventre arrondi ne lui permit plus au bout de trois mois de continuer *** service. Mercedes se proposa alors pour la remplacer. Pedro, enchanté à l'idée de retrouver sa seconde épouse temporaire, accepta à la seule condition que l'année suivante, il pourrait à *** tour engrosser la superbe cavale. Elle s'occupa des deux jeunes enfants de Mercedes en plus de toutes ses obligations vis à vis de Carmen, de l'hacienda et de Pedro.

Lors de l'accouchement, elle eut à nouveau les yeux bandés et un bouchon de cire la rendit sourde, officiellement, pour ne pas savoir le sexe de l'enfant ni la couleur de sa peau. Juanita était très affectée de ne pas avoir même entrevu *** bébé. Trois mois plus tard, un nouveau né arriva à l'hacienda. Carmen annonça que sa soeur, gravement malade ne pouvait plus s'occuper de l'enfant et qu'il serait élevé désormais avec les siens. Carmen attendit encore six mois avant de révéler à Juanita que la petite Julia était en fait sa fille et que le père n'était autre que Jean qui avait apporté *** concours à cette mascarade. Elle lui révéla alors qu'elle allait devoir faire maintenant un enfant à Pedro.

Voir *** enfant et apprendre que la colère de Carmen étaient feinte ramenèrent la sérénité dans le coeur de Juanita. Mercedes la remplaça à nouveau le temps qu'elle se retrouve enceinte pour la seconde fois puis trois mois après lorsqu'elle ne put plus à nouveau assumer *** rôle. *** ventre était nettement plus gros que la première fois. Elle donna effectivement à Pedro deux beaux jumeaux : Victoria et Ramon. Depuis, une part importante du travail de Juanita consiste à promener, souvent en couple avec Mercedes, dans un sulky construit à cet effet des ribambelles d'enfants pour lesquels elle fait partie du paysage quotidien.

L'ancienne épouse de Jean, quant à elle, est heureuse en regardant grandir ses enfants et ceux de Carmen et ne demande rien de plus sur Terre. Les hommes qui l'utilisent tous aussi souvent que possible vantent *** vagin accueillant et toujours humide qui est néanmoins capable de les traire jusqu'à la dernière goutte tant il peut se resserrer sur leur bite. *** cul, *** vagin et sa bouche se moulent parfaitement à tous les calibres depuis celui d'un puceau adolescent jusqu'à celui d'un âne ou d'un poney. Elle est fière d'avoir, à la dernière fête de Carmen, battu *** propre record et d'avoir satisfait en une nuit d'orgie digne de Fellini, soixante quatorze hommes, dix-huit femmes, un poney, un âne et même un gros chien qui a profité de l'assoupissement général au petit matin pour sauter sur elle.

En dépit de ses excès, *** corps reste parfait grâce à *** entraînement physique quotidien, une nourriture saine et peut-être à sa bois*** du matin: même lorsqu'elle est loin de l'hacienda, à Paris ou à New York, Carmen veille à faire congeler ses urines avec la contribution de Jean pour les envoyer à la mai***.

Juanita a été présentée à plusieurs reprises à des concours de dressage en exhibition mais, jusqu'à présent, seul Marc a réussi à convaincre une femme d'aller aussi loin dans le dressage.
chrislebo

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Sweetie


I'd been called to the GF's (general foreman's) office! 'What the hell is wrong now?' I thought.

As I entered the trailer, I blanched to see Charlene sitting there with Bob, the GF.

"Hey folks," I cheerfully cried, hoping like hell she hadn't followed up on her words yesterday.

"Sit down, Mills," Bob spoke in that low tone I knew meant big trouble. "Seems Miss Gavins has a rather large complaint."

Turning to her, I asked what was wrong.

"You, Mills," she replied haughtily. God, I hated that tone coming from any woman! "I told you I'd be coming in here today. I'm fed up with your remarks."

"Aw, c'mon, Charlene! I wasn't all that offensive!"

"No? Well, let's just see what Mr Stimson thinks of my complaint. And if HE agrees that it's perfectly alright to say & do the things you do, as my supervisor, then I'll just have to take it all to the court, & the papers!"

"Mills," Bob interjected, "it seems that you've gone way over the line any number of times with Ms Gavins. Did you actually say 'Nice ass,' yesterday, when she bent to pick up her tools?"

"Well...er...I might have said something, but I'm not sure it was those words."

"And did you really touch her buttocks several times? Brush against her chest? Make constant sexual innuendos?"

"Bob! You know me. Do you believe this stuff?"

Bob smiled, & looked at me over the top of his glasses.

"I've never liked you, truth be told, Mills. I think you're a big-headed jerk, but your work has always been above reproach...until this, that is. I'm afraid that, if any of this is true, you'll be out of a job, & most likely out of the union, as well."

"I haven't admitted to anything, here, Bob. It all comes down to her word against mine, and..."

"HAH!" Charlene guffawed. "I GOT you, Mills! I recorded your little comments yesterday on my handy little pocket recorder. Let's just hear the evidence, shall we?"

I reddened as she took out her little recorder, & clicked the play button.

"Hey, sweetie!" I heard myself say, "Shuffle that hot little ass of yours up to the rafters, so I can watch you work from below! I think I'd dearly love to work below you, if you get my meaning!"

She hit the pause button, & I said something about illegal recordings not being allowed as evidence.

"This is not a courtroom, Mills. I find your actions reprehensible in any setting! I am quite within my rights to fire you, AND to have you removed from the union, as well. And unless you can come up with another plan of action that satisfies both Ms Gavins AND myself, that will be what occurs, here."

I sat there, stunned, glancing frantically from the recorder to Gavins to Bob & back. I had no words within me to extricate myself from this situation.

"If I may," Charlene spoke after a full minute of silence. "I might have a solution that would satisfy me, anyway."

Bob turned to her.

"What could possibly be done to fix this?

"I want him off this job. Right now. But," here she paused, looking directly at me with pure evil in her eyes, "if Mills here wants to work, I'll give him a job, for the next six months. If he does that job in an adequate fashion, I'll drop all charges against him & the union. No harm done."

"What job?" I sputtered, grasping at any straw I could find.

"You'll be my personal assistant. My butler. My maid, if you will. You'll be on duty 24/7. Your food & uniform will be provided, & the pay is $250 per day."

"So, I'll have to move in with you?"

"I have a spare room," she sneered. "I've taken the liberty of writing up a little contract that would assure us all that everything is on the up & up."

Bob chuckled, "I see you've thought this through rather well, Miss Gavins. What do you say, Mills? You want to take a 6 month's leave of absence to fulfill your obligations, & to make things up to Miss Gavins?"

I reached for the contract. It had to be at least 20 pages long.

"Take your time," Charlene sneered. "Read it thoroughly if you wish. But the offer is off the table in exactly..." she checked her watch..."10 seconds."

What could I do? I signed it. I also initialed every paragraph in the damned thing, though I couldn't really read it, as she moved it around so fast for me to sign or initial every damned line of the thing.

Bob chuckled again, & I glared daggers into his eyes as he spoke.

"Mills, I don't envy you, but if you actually go through with this, I'll have all of this erased from your files. Nothing will ever be said about it again. DO follow through on the contract, or there will be huge ramifications. You will probably be sued for sexual harassment, as well as losing your job & your position in the union. You won't find work anytime soon if I have anything to say about it."

"I understand, Bob."

Charlene snatched up the contract as soon as it was signed, & Bob had witnessed it. I had a feeling that I was well & truly fucked.

Little did I know...

"Get your tools & your personal affects, & get the hell off my job site," Bob said, after having me sign the leave of absence papers.

Charlene smirked, following me all the way to my locker. She didn't say anything, thankfully, as I told some of the other guys that I had some family troubles, & had to leave for awhile.

As she escorted me to my truck, I asked her if she was happy that she'd ruined my life.

"Don't be such a drama queen, Mills! I SAVED your ass in there, & don't you forget it!"

"Yeah, I guess maybe you did."

"I took the day off to get you started in your new job. Do you have anything at home you need to take care of? Better get to it. Here's my address. Better hurry. Mills. You're on the clock! Your ass is mine for the next six months! I want you at the house in 3 hours."

"Yes ma'am!" I replied in a surly voice, as I climbed into the truck & raced home to get my new life in order.

I called Gina, a girl I'd taken out a few times, & told her I'd be gone for 6 months. It didn't seem to matter to her. Same for my friends. I cleaned up the place, stashed my tools, grabbed some clothes & headed to Charlene's with my heart in my throat.

Charlene met me at her little cabin in the woods. She had me park my truck behind her house so it couldn't be seen. She also had me leave my suitcase in the truck, reminding me that she would provide me with my uniform.

As I entered her small two-story house, Charlene cried "Strip! Right there! You will not be wearing those clothes for the next six months, 'Sweetie!' Your ass is mine, now!"

I stood there, shocked for a moment, both at her tone, & her words.

"Did you not understand me, Mills?"

I slowly took off my jacket, & she snatched it out of my hands.

"Look, I know you didn't get to read the contract, Mills, so I'll explain it to you as we go on. Stop gawking at me & take it all off."

I unbuttoned my shirt & handed it to her, wondering what I'd gotten myself into.

"These are the rules, Mills: for today, your uniform will consist of this."

She handed me a wispy little garment. As I unfolded it, I saw it was nothing more than a lacy apron.

"You can't be serious. I'm not wearing that."

"You will, or you can expect to go to jail. They aren't very kind to sexual offenders in there, I've heard. But it's up to you.

"You've come to my home, supposedly to work for me, & yet here I find you, naked & rampant! Are you planning on ****** me, Mills?"

I looked down to see that I was, indeed, "rampant." My erection surprised me, but not as much as the click & flash of the camera.

I turned to see two women standing there. The elder held the camera, while the younger held what appeared to be a ******, but I couldn't make it out in the dark corner where they sat glowering at me.

"You set me up! What the hell is going on?"

"Listen carefully. From here on out, you will be referred to as 'Sweetie.' That's your name in my household. Do your work well, Sweetie, & you may go away from here a responsible,. caring man with much to offer the world. Do it poorly, & I'll see you in much more embarrassing straits than this one. Refuse to cooperate, & you'll end up in jail, stripped of all rights, & you'll be ruined financially as well as unemployable. Do I make myself clear?"

"Oh, Christ!"

"That sort of language is not tolerated here, Sweetie! Now put on your uniform, bow in the back."

I had a hell of a time tying the damned thing, but eventually I had it in place, the big, fluffy bow at the rear, with the strings tickling my thighs.

"This is Melissa," Charlene said, referring to the elder of the two ladies. "She & her assistant, Rachael, will work with you to help you learn what to do & how to do it."

The shorter, older woman walked to me very fast, with a tape measure in her hand. She took measurements of my body in a very swift, yet thorough fashion, calling out numbers to Rachael, who wrote them all down. As they worked, I checked them out.

Melissa was about 40 to 45, with short bobbed very dark hair. Her bosom was very full, as were her hips. She had a thick waist, & pudgy little hands & fingers. I guessed her to be around 5 foot 6, around 160 lbs, & I had to try not to stare at her large breasts.

Rachael was about 25. She was taller by several inches ( I guessed about 5-foot-10), & had a wispy quality to her. Her hair was a dark red, & her breasts were much smaller than Melissa's.

Both women were dressed rather well, in heels, stockings, skirts & blouses all in matching colors. I looked over to see Charlene grinning at me as Melissa measured my penis in her rough hands.

"What are you doing?" I asked Charlene.

"You're being measured for your new clothes, Sweetie."

Every time she called me by that name, I flinched inside.

Rachael ran her hands over my ass, & I jumped at the intrusion.

"What the fuck!?"
chrislebo

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"Hey! I told you not to speak like that, Sweetie! Apologize immediately!"

A grin formed on my face, & in spite of my situation, I found myself turning to her to say. "So sorry, Rachael. Feel freely!"

At that, Melissa gasped, & slapped my bare ass hard.

Rachael, however, wasn't the least put off as she responded.

"Thank you, but no. I find it to be much too hairy for my taste!"

At that, all three women laughed loudly.

"Melissa is here to help you with that, Sweetie, amongst other things," Charlene said.

"I'll need to work with her today & tomorrow, then you can expect her uniform in 3 to 4 days, Charlene."

"Thank you, Melissa. I'm going to run into town to get us some food. I'll be back shortly. Sweetie, you are to follow every direction that Melissa or Rachael give you, without complaint or hesitation. Is that clear? Remember, we have your future in our hands!"

Charlene took the camera & left.

Melissa immediately went to work.

"Rachael, take Sweetie & go to the car & get the table & the boxes."

"Yes, m'lady," Rachael answered, taking my arm & walking me to the door.

I paused at the door, not wanting to go outside. I thought I might be seen, though I knew there were no other houses at this end of the street.

"I can't go out there!"

"Yes, you can, Sweetie. The sooner we go, the sooner we can come back in."

With that, she pushed at my back, & I was out the door, walking to the car in the driveway.

The table that Melissa had referred to was a massage table, a pro model, folded up in the back seat. I took that, while Rachael carried in a couple boxes. We carried it all into the kitchen, which was rather large & open. Rachael set up the table, & Melissa came in from the bathroom.

"Good! Now, Sweetie, up with you!"

I climbed up onto the table, my erection had diminished somewhat, but I was still at least half hard. As I lay on my back, Rachael took some straps out of a box, & strapped me down onto the table at my knees, waist, & chest. My arms were also held down in this position, & when she cinched the straps tight, I found I couldn't move.

"Very nice," Melissa hummed.

She then put a bowl in the microwave, & turned it on. As the machine hummed, she turned to stand over me.

"You will be silent. You will not cry out," she said.

Now I was truly afraid. The microwave's bell went off, & Rachael brought the bowl to rest on the edge of the massage table. Melissa scooped some goo out of the bowl, & smeared it onto my chest, & then immediately covered it with a strip of cloth. They continued to do this until my entire chest was covered with cooling goo & rags.

The bell went off again, to time things, I suppose, as Melissa worked on my legs in the same fashion as she had my chest. Rachael began to quickly rip the cloth from my chest, which also ripped out my chest hair. Man, did that hurt! next, they removed the strap from my chest, to get that area as well. They worked silently. All I could hear was the rip when they yanked my hair out, & the gloppy sound of the goo being applied to those places not yet completed.

My eyes were running with tears as they continued until my entire body, on the front side, was free from body hair, save for my pubic area. Then, Melissa went to work on my face. She started plucking my eyebrows, as Rachael put some cuffs on my ankles.

I was distracted by the eyebrow shaping, so I missed when Rachael tied ropes to the D-rings in my ankle cuffs. But I started to panic when she pulled my legs wide apart up over my face, & tied them off to the table, just as Melissa finished her work on my eyebrows. Thus far, I had kept silent, but when they started to smear the goo on my pubic hair, I thrashed as much as I could, & began to yell & curse them.

Rachael simply went to another box, & pulled out a rather nasty-looking instrument, with a stubby fat penis shape on it. Melissa took my balls in her hand, & squeezed it firmly.

"Open up, Sweetie! We can't have you talking like this," she said.

My eyes wide, I opened my mouth & accepted the rubbery-tasting intruder, & Rachael buckled it behind my head. They both played with my cock until it was rock hard & nearly dripping with need, giggling like school girls as they smeared the dreaded goo all over it & my ball sack. Quickly adding the cloth strips, we all waited until they cooled enough to pull off.

Melissa leaned in to my ear & whispered, "Now Sweetie! I can pull your hairs out one at a time, making it very very uncomfortable for you. Or I can do it fast, & get them all in one go. Aren't you sorry that you spoke to us so badly, little girl?"

I nodded my head frantically, hoping to assure them that I was indeed sorry as hell. 'If I ever get out of this, I'll **** them,' I thought.

They toyed with the little strips of cloth for awhile, & then started pulling them off very slowly. It was pure agony! I screamed into the rubber cock in my mouth. I thrashed. I drooled down the sides of my face as my eyes rolled back into my head. Just when I thought I could take no more & live, they ripped them off quickly, & I screamed again.

Melissa then tied a thick string to my ball sack, as Rachael removed the straps from my body.

"Roll over, Sweetie," Melissa ordered, with a little tug on the string.

I complied obediently. I knew this was a woman who took great pleasure in my pain. She held the string as Rachael waxed my reverse side, even getting deep into the crevasse of my ass. It was, to date, my most humbling, horrifying experience, & in the end, my body was totally hair-free.

Next, they had me stand as Melissa held the string, & Rachael rubbed some perfumed moisturizer into my skin. I smelled like a French whore, & looked ridiculous, by the time Charlene returned with food.

"Wow," she said. "That really makes a big difference, doesn't it?"

She had me put that damned apron back on, asking if I'd given them any trouble at all.

Melissa reported my loss of control, & my bad language, in a matter-of-fact way.

"Sweetie! WHAT will I do with you?"

"Charlene, I have something that might help her to remember her place," Melissa said, holding a feather duster in her hand.

"Ooooo, that's a great idea" Charlene laughed. "Has she been prepped for that?"

"Not yet. I wanted to make sure it's the one you wanted, first."

What I hadn't seen, was the other end of the duster was actually a rather nasty-looking purple butt plug (of a medium size, I later learned). The plug part was in her fist, so I couldn't see it.

"After lunch, ladies! I can hardly wait."

I wolfed down a slice of pizza, & was reaching for another, when Charlene stopped me.

"Sweetie! Ladies eat slowly, with small bites. You will act like a lady in my house!"

I blushed furiously, which made them all laugh.

"I love as girl who can still blush in this day & age," Melissa mused, which brought about another round of laughter at my expense.

"Okay, Mel, should we get her prepped?" Charlene asked.

"Yes, I think it's time."

I was led by that damned string upstairs to the bathroom, where Melissa told me to "assume the position."

I must have looked like a deer in the headlights, because they all started laughing again.

"On the floor, wench! Hands & knees!"

A quick tug on the string & I was at their mercy once again. Rachael filled an enema bag with warm soapy water, & hung it on the shower rod. Melissa lubed up my hole. I was shaking all over at this point.

"Easy, girl! it's just a little cleansing. Nothing to get alarmed about," Melissa told me as she eased the tube into my passage.

SLAP!

Charlene hit my ass!

"I've been wanting to do that for two years, bitch!" She laughed. "Now wag that ass for me!"

Tears again fell from my eyes as I swayed my bottom from side to side.

"Put some FEELING into it! Make me believe it, slut," she said as she hit me again.

I wiggled faster, then slower, then in circles.

"That's more like it!" She laughed again.

Charlene & Melissa left me in Rachael's care, with her holding the string to my balls. The bag emptied, but she made no move off her perch on the toilet. She merely shut the clamp on the hose. I felt the urge rise within, & asked her, in a quiet voice, to let me use the toilet.

"Not yet, Sweetie. It has to be held for awhile."

The cramps set in, & I writhed on the floor, trying to find a position that alleviated the pressure, to no avail. Finally, she told me to purge, & I rushed to the receptacle, almost pushing her over in my frantic rush to make it in time. To my chagrin, she held the string, & filled another bag full.

She inserted the tube, & released the clamp. This was repeated two more times, until I felt so 'flushed out' that I could barely move.

After all of that, she gave the string another tug, saying, "Up with you. Let's get going."

I stumbled along behind her, feeling weak as a limp noodle, until we made our way back down to the kitchen. Charlene & Melissa were sitting there, ******** glasses of wine.

"Did she give you any trouble, Rachael?"

"No, Charlene. She was very compliant."

"HAH! I'll bet she was!" Melissa exclaimed.

"Sweetie, do you have any questions about your duties?" Charlene asked.

"Um...yeah...what ARE they? Do I have to dress like this all the time? Isn't this illegal?"

"Okay, first, your duties are to provide me with whatever I need. That includes doing the laundry, cooking, dishes, dusting, etc. It also includes entertaining me & my friends. As far as the legality is concerned, YOU stripped in my living room, in front of my friends. You also signed the contract, which puts you in my debt for the near future. Perhaps you should have read it after all, huh? The waxing & the other enhancements I have in store for you were all spelled out in plain English, dear.

"Don't interrupt me! You will dress like this until I've decided that you are deserving of a promotion. You can wear more clothes when you have worked hard, & earn them. Understand?"

I nodded my head.

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