chrislebo
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L'homme sort de la voiture, en fait le tour et ouvre ma portière. Il ouvre également *** pantalon et me présente sa queue dressée. Je pourrais refuser, m'offusquer, mais c'est sans doute ce qu'attend mon hôte. Pas question de lui donner le plaisir de ma colère. Je sors mes jambes et les écarte en grand. Puis, je déboutonne mon chemisier et dégage mes seins. Je m'applique ensuite à offrir un pourboire au chauffeur, dont il se souviendra longtemps. Il me palpe les seins en poussant de longs gémissements de plaisir, tandis que ma bouche sert de fourreau à *** épée de chair. Je pense avoir gagné une bataille sur Sir Jeffer***, mais c'est sans compter sur sa malice. « Allez-y, chauffeur ! Madame est généreuse ! Servez vous sans retenue ! » Inutile de lui dire deux fois. Il me pousse, me couche sur la banquette et me saute littéralement dessus. Il place sa queue à l'aide de sa main et me pénètre sans ménagement. « Putain ! Salope ! Tu as déjà servie aujourd'hui ? Tu sens le foutre ! Trainée ! » Ces insultes ont un effet aphrodisiaque que j'ignorais jusqu'à maintenant. Je perds la tête. « Ho oui ! J'aime ca ! Défonce-moi bien ! Ho ouiii ! » « Viens là que je t'encule, morue ! » Il se relève, me sort de la voiture et me retourne. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il rempli mon fondement de sa bite. Je pousse un cri de jouissance et demande encore à être défoncée. Deux minutes plus tard, des jets bouillonnants éclaboussent mes intestins. Epuisée, je tombe assise dans les gravillons mouillés. L'homme essuie *** membre sur mon visage, remonte dans *** auto et disparait au bout de l'allée. Débraillée, souillée, je gis au milieu de la cour sous le regard amusé de Sir Jeffer***. « Hahaha ! Tu as le choix entre attendre Chastity ici ou entrer boire un café, au chaud ! Haha ! » Le choix est simple. Je suis frigorifiée. Je monte les quelques marches du perron et passe une lourde porte en fers forgés. Un immense et luxueux vestibule met en valeur un grand escalier de pierre. Le sol est en marbre rose et de chaque cotés s'élèvent des colonnes en pierre blanche. Un gigantesque lustre de cristal se balance légèrement projetant des éclats de lumières sur les murs et les tentures. Sir Jeffer*** ôte *** manteau et le pose sur la rambarde de l'escalier. Intimidée, je reste près de la porte. « Entre Cathy, entre ! N'est pas peur. Viola vas s'occuper de toi le temps que le café se fasse. VIOLA ! Ou est-elle encore ! » « Je suis là, Maître ! » C'est une jeune fille blonde de vingt ans environ. Elle est nue, juste couverte d'une chasuble blanche très transparente, qui ne cache rien de ses courbes. Je remarque *** collier. Le même qui orne le cou de Chastity. Elle est superbe. « Conduit Cathy à la salle de bain. Elle a besoin d'une douche. Redescend de suite préparer du café. » « Oui Maître. » « Ha ! Cathy ! Inutile de chercher à discuter avec Viola. Elle ne te répondra pas. » La jeune fille me prend par la main et me fait monter le grand escalier. J'ai l'impression d'être dans un film. Nous longeons un corridor orné de vieux tableaux d'un coté et de grandes fenêtres de l'autre, qui donne sur le parc. « C'est magnifique ! Tu travail ici ? Tu es une servante de Sir Jeffer*** ? Comme Chastity ? Dis voir, Viola, c'est ton vrai prénom ? » La jeune fille me sourit. Elle a les yeux d'un bleu azur, légèrement en amande. On dirait un ange. Nous nous arrêtons devant une porte. Elle l'ouvre et je pénètre dans une salle de bain superbe. « C'est somptueux ! Tu as de la chance de travailler dans un tel décor ! » Je me tourne vers elle. « Allons ! Nous sommes seules, tu peux bien me parler, non ? » Elle fait un pas vers moi et prend mon visage dans ses mains. Elle approche *** visage du mien, doucement. D'instinct, je me recule, mais elle revient à la charge et dépose un baiser sur mes lèvres. Est-ce ses yeux, la chaleur de ses mains sur mes joues ou *** parfum qui me font tourner la tête ? Je n'en sais rien, mais c'est moi maintenant, qui lui offre ma bouche. C'est le baiser le plus fougueux et le plus tendre de toute ma vie. Puis, sans rien dire, elle s'éclipse. Je trouve tout ce qu'il faut pour prendre une douche réparatrice. Je me recoiffe et inspecte ma tenue avant de redescendre, mon imper sur le bras. Sir Jeffer*** m'attend au bas de l'escalier. « Donne ton manteau à Viola et viens par ici. » La jeune fille prend mon imperméable tout en plongeant *** regard dans le mien. Elle a un air polis***. Tête légèrement baissée, elle se mord la lèvre inferieur comme une petite fille intimidée. Je pénètre dans une pièce qui doit être la salle à manger. Je n'en ai jamais vu de si grande. Mon hôte me fait m'assoir sur une chaise en bout de table. Je vous laisse imaginer la table et ses deux chandeliers d'argent. Viola m'apporte thé, café, petits gâteaux et fruits de toutes sortes, tandis que Sir Jeffer*** se sert un verre de vin qui décante dans une carafe de cristal. « Je suis tres en colère Cathy ! » « Après moi, Sir ? Qu'ai-je fais ? » « Tu as tenté de faire parler Viola, alors que je te l'avais formellement interdit ! » La traitresse est auprès de *** Maître, tête baissée et mains dans le dos. « Comprends-tu maintenant ce qu'est une allégeance totale ? C'est obéir, même en mon absence. Le collier qu'elle porte se mérite ! Il se gagne ! C'est gage de ma confiance aveugle.» « Je suis désolée, Sir Jeffer***. » « Oui, tu peux. Mais tu serras puni comme il se doit et je laisserai Chastity s'en charger ! » « Sir Jeffer***, j'ai une requête. » « Je t'écoute. » « Comme vous le savez, je suis mariée. Il me faut rentrer. » « Je te l'ai dis, tu es libre. Tu n'es pas pri***nière et la porte est ouverte. Toutefois, j'exige ta présence demain, à partir de vingt heures. » « Mais ? Sir, c'est samedi ! » « Haha ! Elle ne viendra pas ! Elle n'a pas les couilles ! » Chastity vient de faire *** entrée dans la salle. Avec les cheveux collés et *** maquillage qui a coulé, elle ressemble à une clocharde. Je ne relève pas ce qu'elle vient de dire et je vais dans le vestibule récupérer mon imper. « Viola, appelle un taxi pour Cathy et règle le ! »
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chrislebo
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Je suis rentrée bien avant Eddy. Je me suis allongée, épuisée et je me suis endormie. « Cathy ? Tu es déjà rentrée ? » La plupart du temps, c'est lui qui rentre en premier. Le cabinet médical ferme relativement tard. Ca explique *** étonnement. « Oui, je t'expliquerai. » « M'expliquer quoi ? Tu es virée ? » « Mais non ! Ne sois pas idiot ! » En fait, je n'ai rien à lui expliquer. Je suis en conflit intérieur et je le vis très mal. Une partie de moi refoule totalement ce que j'ai vécu aujourd'hui, mais une ***** inconnue incite l'autre moitié à vouloir retourner chez Sir Jeffer***, demain. La soirée est morose. Une fois couchée, je cherche un peu de réconfort dans les bras de mon homme. Je le sens réactif à mon approche. Je me tourne vers lui et calle ma jambe entre ses cuisses. Il est en érection. Mes seins ***t écrasés contre *** corps et *** parfum me tourne la tête. Je le veux ! Je me couche sur lui, glisse mes mains dans ses cheveux et je l'embrasse avec passion. Les images de Viola me tendant ses lèvres me reviennent à l'esprit et ca m'excite. C'est tout naturellement que j'essais de reproduire *** baiser fougueux. « Humm ! Tu semble allez mieux dis donc ! Je te sens toute chose ! » « Tais toi et donne moi ta queue, que je la dévore ! » Tout en l'embrassant, je descends doucement sur *** thorax, *** ventre et mes lèvres rencontrent les premiers poils pubiens. Ma bouche attaque la base de *** pénis et remonte lentement vers le gland. Deux ou trois coups de langue plus tard, je le laisse glisser entre mes lèvres. « Hoo ! Cathy ! Comme c'est bon ! Tu suce bien, mon amour ! Bouffe-moi les couilles, je t'en supplie ! » C'est avec plaisir que je m'exécute. Tout en gobant ses testicules, je branle doucement sa queue. Je me surprends à penser à celle de Sir Jeffer***. Elle était plus grosse et plus ferme que celle d'Eddy. Je deviens folle ! C'est mon mari tout de même ! Oui, bien sur, mais les nervures de Sir... Mes constatations ***t interrompues par une douche de sperme sur mon visage. J'aspire rapidement les dernières petites giclées que je déguste avec une gourmandise non dissimulée. « Humm ! J'aime ton jus ! Tu aurais pu me donner tout ! » J'en ai plein les mains et comme ce matin à la brasserie, je lèche et suce mes doigts pour les nettoyer. « Hummm ! c'est aussi bon que.... ! » « Que quoi ? » Heureusement, je suis encore sous les draps et il ne me voit pas rougir et me mordre les lèvres. Imbécile que je suis. « Heuu ! Que du miel, chéri ! Que du miel ! » « Hummm ! Du miel pour ma petite abeille ! » Apres un passage rapide par la salle de bain, je me blottis de nouveau aux creux de *** épaule. « Chéri ? J'ai quelque chose à te dire. » « Hum ! Je t'écoute, trésor. » « J'ai fais une connerie. Une énorme bêtise. » « Oui, je sais ! Tu m'a fais cocu ! »
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chrislebo
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Mon corps tout entier devient mou. Une onde électrique me monte des pieds jusqu'au cerveau. Là, il me semble que tous mes circuits disjonctent. Je vais...je dois mourir. « Quoi ?...Mais ?...Que...Comment... » « Haha ! C'est bon, chéri ! Je déconne ! Je sais bien que tu serais incapable d'une telle chose ! Haha ! Regarde ! Tu es toute déconfite ! Haha ! T'es vraiment trop sensible, toi ! » Il me faut quelques secondes pour que mon cerveau retrouve toute sa capacité de logique. Je tremble et j'ai les larmes aux yeux. « T'es pas drôle Eddy ! Je croyais que tu étais sérieux ! » « Rhooo, allons ! Si on peut plus rire. Bon ! Alors, c'est quoi cette grosse bêtise ? » Il ne me reste que quelques secondes pour décider de ce que je veux faire demain. Vouloir rester une petite épouse et mère de famille modèle ou laisser libre cours à mes pulsions sexuelles. Je prends une grande inspiration. « J'ai planté l'ordi du cabinet. » « Ce n'est que ca ? Ce n'est pas bien grave ma chérie ! » « Si ! Ca l'est ! Ce n'est pas la première fois. Lorsque c'est arrivé, le docteur a passé *** samedi à tout remettre en ordre. Là, c'est sur, il va me virer ! » « Et tu ne peux rien faire pour arranger le coup ? » « Si, bien sur ! Mais c'est très long. » « Ben vas-y demain ! » « Non ! Il lui arrive de passer au cabinet pour prendre des dossiers. Non, la seule solution...c'est que je répare ma connerie demain soir. Mais ca risque de me prendre la nuit. » « Allez ! Ne t'en fais pas, je suis sur que tu vas assurer ! » Honteuse, j'ai évité *** regard toute la journée. Je me demande encore si j'ai pris la bonne décision. Pourtant, je suis là, dans ma salle de bain, à tricher une fois de plus. J'ai passé un chemisier noir transparent, que je cache avec un vieux gilet défraichi. Idem pour ma mini jupe plissée que je dissimule sous une jupe longue. Je n'ai plus qu'à enfiler mon imperméable pour parfaire ma forfaiture. « Allez ! Courage chérie ! Je suis sur que tout va bien aller. » « Oui, j'en suis sur aussi. » Je lui donne un baiser de Juda et je m'en vais. Je prends la voiture. J'ai mémorisé le trajet et je n'aurais aucune difficulté à retrouver le domaine de Sir Jeffer***. En chemin, je m'arrête sur le parking d'un supermarché. Discrètement, je retire mon gilet et ma jupe longue, puis j'enfile des bas que j'avais dissimulés dans ma poche. Dans la boite à gants, je laisse en permanence un petit nécessaire de maquillage. Trois coups de crayon plus tard, je me sens prête, belle et sexy. J'arrive à l'heure. Près du perron, une dizaine de voitures de luxe ***t stationnées en épi. Je range la mienne. Elle semble ridiculement petite. Mais je suis plus préoccupée de savoir à qui appartiennent ses véhicules, qu'à leurs tailles. Viola m'accueille en haut des marches. Elle est radieuse et très souriante. Pieds nus, dans *** vêtement transparent, elle me fait penser aux servantes romaines de l'antiquité. Je lui souris aussi, sans toute fois lui parler, puisque c'est inutile. Elle prend mon manteau qu'elle accroche avec d'autres sur un portant. Puis elle revient vers moi et à ma grande surprise, elle glisse sa main sous ma jupe et effleure ma vulve. Sans doute un ordre donné, pour vérifier que je ne porte rien. Comme si cela ne suffisait pas, elle déboutonne deux boutons de mon chemisier. Mes seins ***t trop apparents à mon gout et je m'apprête à en reboutonner au moins un, mais elle me l'interdit en fronçant les sourcils. Elle me conduit dans une salle opposée à la salle à manger. C'est un grand salon ou une dizaine d'hommes de tout âge, discutent enfoncés dans de grands fauteuils de cuir. Ils fument et déguste ce que je pense être du whisky. Ils ***t tous très élégants, très classieux. Je reste à la porte et per***nes n'a remarqué ma présence. Viola va rejoindre Sir Jeffer*** qui, près d'une grande cheminée, est en grande discussion avec un jeune homme plutôt mignon. Elle lui glisse un mot à l'oreille. « Haaaa ! Chers amis, permettez moi de vous présenter ma dernière petite trouvaille ! Cathy ! N'est-elle pas délicieuse ? » Il vient vers moi et après m'avoir prit la main, me conduit au centre du salon. Les hommes se lèvent et me déshabille du regard. Rougir est devenue pour moi une seconde nature et je n'y prête même plus attention. Un homme s'approche de moi et pose sa main sur mes fesses. « Tu as quel âge belle enfant ? » « Trente cinq ans, monsieur. » « Hum ! C'est agréable, tu es polie. » Un autre, plus jeune, glisse ses doigts dans mon chemisier et énerve mes tétons. « Tu portes une alliance. Tu es mariée ? » « Oui, monsieur. » « Et il t'as laissé venir ? » « Je lui ai menti, monsieur. » « Bien ! Très bien ! » Leurs attouchements ***t furtifs. Ils n'insistent pas et reprennent leurs places. Le jeune homme qui discutait avec mon hôte, le plus jeune semble t'il, m'apporte une coupe de champagne. *** regard est pénétrant et il me trouble profondément. Ses doigts effleurent les miens et je ne pense pas que ce soit du hasard. Sir Jeffer*** s'approche de moi, passe *** bras autour de mes épaules et me serre un peu contre lui de façon très paternelle. « En répondant à mon invitation, tu fais preuve de courage et de détermination. Vois-tu, j'étais certain que tu viendrais. Ce ***t des choses que je ressens. Si ce soir j'ai invité mes amis « Maîtres en soumissions », c'est pour participer et jouir comme il se doit, de ton baptême. » SOUMISSION ! Ca y est, le mot est lâché ! Ho, j'avais bien compris ce qu'était et ce que faisait Sir Jeffer***. Mais je ne voulais pas me l'avouer. Moi soumise ? Est ce possible ? Ce soir, il me faut bien l'admettre. OUI ! C'est possible. « Ce soir, tu vas changer de nom. Pour moi, pour nous, tu ne serras plus jamais Cathy. Mais pour commencer la cérémonie, déshabille toi ! » J'allais protester, mais je me ravise de le faire. Le jeune homme me débarrasse de mon verre et s'écarte. En cercle, autour de moi, les hommes attendent. Tremblante, je défais les trois boutons restant de mon chemisier. Je le dégage de ma jupe et le fais glisser sur mes épaules. Il glisse sur mes bras et tombe au sol. J'ai froid. Sans doute par la trouille. Mais ca a un effet immédiat sur mes tétons qui pointent et se durcissent d'un coup. Les yeux des hommes ***t plus brillants, plus pétillants. Des bosses se dessinent dans quelques pantalons. Une certaine excitation s'installe en moi, à la simple idée que c'est moi qui leurs fais cet effet là.
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chrislebo
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Je passe mes mains dans mon dos. Je fais sauter l'agrafe de ma jupe et descend lentement la fermeture éclair. Un petit moment d'hésitation et je lâche tout. Elle chute au sol et me dévoile nue. Désormais, chez tout les Maîtres, des bosses ***t visibles, y compris sur Sir Jeffer***. Je dégage mes pieds de mes chaussures à talons hauts et je me penche pour faire rouler mes bas. Je me rends bien compte que dans une telle position j'offre une vue imprenable sur mon fessier et qu'en ouvrant légèrement les cuisses, ils aperçoivent ma fente rose et humide. Cette idée m'émoustille et lorsque j'ai retiré le premier bas, je me retourne pour ôter le second, afin que tous profite du spectacle. Voilà ! C'est fait. Je suis nue comme un vers devant dix inconnus. Ils s'approchent, ils me caressent, ils me palpent. Des doigts me pénètrent, ******* mon intimité anale. D'autres, fouillent ma bouche, caressent mes cheveux. Je me sens étrangement bien, comme transportée par un plaisir nouveau. Mais soudain ! Tout s'arrête. Ils se reculent, laissent de l'espace. Ils ***t en cercle autour de moi et ils sortent leurs queues presque tous en même temps. Tous ***t en érection. C'est alors que Chastity fait *** entrée. Tout comme Viola, elle est nue sous une chasuble transparente. Je vois ses formes charnues, sa poitrine provocante et fière, sa toi*** brune. Ses cheveux ***t coiffés. Plus rien à voir avec la gothique d'hier. Elle est...belle ! Elle affiche un sourire narquois qui n'annonce rien de bon. Elle se place près de *** Maître et celui-ci prend la parole. « Cathy ! Nous allons maintenant procéder à ton baptême, à la suite de quoi tu recevras ton nouveau prénom. Mais tu n'es pas sans savoir qu'avant même de faire partie de notre famille, tu as transgressé la loi et que tu dois être punie. Comme je l'ai dis, j'ai décidé de laisser Chastity s'en charger. Elle m'a fait une proposition, que j'ai acceptée. Par conséquent, à l'issu de la cérémonie, elle te fera subir SA punition. » Tout ce cérémonial me fait un peu peur. J'ignore ou je m'engage vraiment. Mais le sourire de Viola et l'amour de Chastity pour *** Maître, me conforte dans l'idée qu'il ne peut rien m'arriver de grave. « Cathy ! Agenouille-toi et place tes mains dans ton dos. » Une fois fait, un premier homme vient se placer face à moi. Je n'ai pas besoin d'explication pour deviner ce qu'il attend. J'ouvre la bouche et engouffre le membre tendu aussi loin que possible dans ma bouche. Je m'applique à le sucer et lui donner un maximum de plaisir comme je le ferais avec mon propre mari. Au moment de jouir, l'homme se dégage et se termine à la main. *** but...Ejaculer sur mon visage. Mes joues ***t souillées et de longues coulées s'étirent vers mes seins. Mais pas le temps de les observer touchant leurs buts. Un autre homme se présente déjà. Il se produit le même scenario et de nouvelles giclées viennent éclabousser ma frimousse. Très vite, le foutre me dégouline de partout. J'ai la sensation que plus une parcelle de peau n'est encore visible. J'ai un œil fermé qui me brule et je respire doucement pour ne pas inspirer les semences grâces qui encombrent le dessous de mon nez. Le huitième, puis le neuvième. Je fatigue et j'ai de plus en plus de mal à la mâchoire. Mais pas question de faiblir et je m'applique à l'identique, sur chaque verges. Enfin le dixième se libère. Peut être que le meilleur a été gardé pour la fin, car la quantité de jus qu'il déverse sur moi est vraiment très impressionnante. Longue et presque ininterrompue. Pourtant, l'homme est déjà bien mature. Je pense qu'il y en a autant sur mon corps que sur mon visage. De mon œil valide, je vois Sir Jeffer*** s'approcher. Il me plante *** sexe au fond de la gorge. Je suis à la limite de la nausée. « Cathy ! Ce prénom, je le prononce pour la dernière fois. Désormais, tu répondras au prénom de Léna. Eclat du soleil. Désormais, tu me dois une obéissance et une abnégation totale. Tu m'appelleras Maître et tu n'auras plus de rapports sexuel sans mon accord, y comprit avec ton époux. Les sous vêtements te ***t interdits tout comme le fait de serrer les jambes lorsque tu es assise. D'autres directives te seront données au fur et à mesure. Léna, je te baptise. Bienvenue parmi nous. » Et à *** tour il déverse *** plaisir sur mon visage. « En principe, arrivé à ce stade, nous t'apportons eau, savon et serviettes. Mais ce soir, nous te lais***s aux bons soins de Chastity pour subir ton châtiment. » Je vois le visage de ma petite « copine » s'illuminer. Elle s'approche de moi avec une sorte de calice à la main et une petite cuillère. J'ai la sensation de savoir exactement ce qu'elle veut faire. La suite me prouve que j'avais deviné juste. Elle s'accroupie face à moi et commence à racler mon visage avec la cuillère, prenant bien soin de récupérer la liqueur poisseuse dans le récipient. Peut être une bonne grâce de sa part, elle dégage mon œil encombré rapidement. Front, joues, menton, tout est soigneusement nettoyés. Puis elle s'attaque à mon corps. Mon cou, mes seins et mon ventre ***t à leurs tours débarrassés de toutes souillures. Satisfaite de *** travail, elle me tend le calice. Environs deux cuillères à soupe de semences froides, commence à coaguler lentement au fond du bol. Pas question que je donne une chance à cette fillette de me ridiculiser. J'approche le verre de mes lèvres. Je reconnais l'odeur caractéristique de la spermine. Certain disent que c'est proche de l'odeur de la truffe. L'odeur, peut être, mais certainement pas l'aspect. Je prends sur moi et décide de provoquer la gamine. J'ouvre la bouche en grand et penche la tête en arrière. Je positionne le calice et verse tout doucement le liquide blanchâtre. Il s'écoule plus ou moins. Parfois lisse et continu. Parfois en paquet gras et gluant, en grumeaux. Je prends sur moi et sans aucune grimace...j'avale d'un coup. Pour compléter mon coup d'éclat, je récupère le fond du calice à grands coups d'index que je lèche ensuite goulument. Elle semble étonnée et regarde *** Maître avec de grands yeux tout ronds. « Chastity, conduit Léna à la salle de bain et occupe toi d'elle. Elle a gagné ton respect et le notre. » Elle se lève, m'aidant à en faire autant. Pas facile car d'être restée à genoux si longtemps a tétanisé les muscles de mes jambes. Elle me prend par la main et nous sortons de la salle entre une rangée d'hommes admiratifs. Pour la plupart, les sexes ***t retournés dans les caleçons. Seuls trois hommes se masturbent encore en nous regardant avec convoitise. Chastity semble plus agréable avec moi. Sa main est douce et tendre sans aucune agressivité. Nous arrivons à la salle de bain et elle m'aide à monter dans la baignoire. Elle retire sa chasuble et me rejoint. A l'aide d'une grosse éponge elle nettoie mon visage, puis, mes seins, mon ventre. Sans m'en rendre compte vraiment, je ferme les yeux. L'eau tiède qui s'écoule sur mon corps m'apaise. L'éponge frôle et caresse ma peau avec grande douceur. Soudain, je sens le tranchant d'une main glisser sur ma fente. J'ouvre les yeux. Elle est rayonnante de beauté. Sa main se fait plus pressante, plus curieuse et je craque. Je passe mes bras autour de *** cou et nous nous embras***s passionnément. Je suis tellement heureuse de découvrir l'autre Chastity. La douce, la tendre, la femme. Nos seins se touchent, se frottent. Nos tétons se dressent de plaisir. Les miens appellent la bouche de la belle qui les aspire et les mordille tendrement. Puis, elle continu sa course aux plaisirs et tombe à genoux. Je pose un pied sur le bord de la baignoire pour mieux m'offrir. Elle croque à pleines lèvres l'entrée de mon puits d'amour. Je me sens mouiller comme une fontaine. L'eau qui coule sur mon corps, ne peut éteindre le feu qui me consume de l'intérieur. Je jouis comme jamais je n'ai jouis. Je crois que je crie...fort.
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chrislebo
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Tout en me dégustant, la jeune fille s'est masturbée et ma jouissance a déclenché la sienne. Plus discrète, elle l'étouffe dans un souffle. Il nous faudra plusieurs minutes pour retrouver un rythme cardiaque normal. Elle me fait descendre de la baignoire et m'essuie consciencieusement. Puis, elle ouvre une petite armoire. A l'intérieur, une dizaine de chasubles blanches ***t pliées et rangées cote à cote. Sur chacune, un collier comme ceux des deux servantes est posé. Elle glisse une chasuble sur mon corps encore humide, puis, prend un collier et me le passe autour du cou. Ensuite, elle me place devant un grand miroir. Elle pose sa tête sur mon épaule et nous nous contemplons en nous souriant gentiment. Nous redescendons le grand escalier, sans nous être adressé un seul mot. Mon Maître est au bas des marches. « Léna, tu es superbe. Je suis très fier de toi. Je te trouve remarquable, courageuse, pleine d'ambition et je pense très obéissante. Chastity, je suis ravi de constater que tu as changé de politique concernant Léna. J'ai un coup de téléphone à donner. Rejoignez Viola dans le grand salon et offrez vous une coupe de champagne. Un baptême, ca ce fête, non ? Vous êtes autorisées à discuter toutes les trois, juste entre vous. » Cette autorisation nous apparait comme un cadeau merveilleux et, de joie, nous nous sautons dans les bras l'une de l'autre. « Ho Chastity ! Je suis si heureuse que nous soyons devenues amies. Pourquoi m'en a tu autant voulu dès notre rencontre ? » « J'aime mon Maître et je suis sa favorite. Quand je l'ai vu te regarder, j'ai senti que mon statut était en danger. » « Qu'est ce qui t'a fais changer d'avis ? » « Maître a toujours rai***. S'il décide que tu es meilleure que moi, alors, je n'ai rien à dire. En plus, quand je t'ai vu boire avec bonheur la coupe de miel, je me suis dis que tu étais surement meilleure que moi. » « Ca, je ne le pense pas. Et puis je ne suis que de passage et je ne suis pas amoureuse de ton Maître. » « En es tu sure Léna ? La soumission est comme une drogue et on y prend vite gout. Tu reviendras en rampant dès qu'il te sifflera. Tu verras. » Elle me donne un dernier baiser et nous retournons au salon. En y entrant, la première chose que nous voyons, c'est Viola, à quatre pattes sur une table basse, la chasuble remontée jusqu'à la taille, se faisant prendre en levrette par un des hommes. « Ca vas être difficile de trinquer avec elle ! » Mais lorsque nous nous approchons du buffet, deux hommes viennent à notre rencontre. « Entre nous également d'ailleurs ! » Chastity est entrainée dans le fond du salon. Moi, l'homme me couche sur une table proche et remonte la robe transparente sur mon ventre. Il extirpe sa queue de *** pantalon, monte mes jambes sur ses épaules et me pénètre d'un coup, sans préliminaires. Je ne m'en étais pas rendu compte, mais je suis restée dans un tel état d'excitation que mon vagin sécrète de la cyprine en grande quantité, semble t'il. L'homme s'enfonce en moi sans aucune gêne physique. Durant la nuit, j'irais de jouissance en jouissance, presque ininterrompues. Je passerais de mains en mains, s'en aucune gênes ou complexes. Je me fais un devoir de faire plaisir au maximum aux hommes qui me choisissent. Et ils me le rendent bien. A deux reprises on m'a demandé de faire l'amour avec Viola puis Chastity. Deux grands moments de tendresses. Puis, les hôtes ont commencés à prendre congé, les uns derrière les autres. Cinq heures ***nent quand tous ***t partis. « Maître, je dois partir à mon tour. Mon mari doit m'attendre. » « Pas de problèmes. Chastity et Viola rangeront le salon. Elles restent à demeure. Viola va t'apporter tes affaires. » « Merci, Maître. » « Écoute bien ces quelques consignes Léna ! Je t'interdis d'avoir des relations sexuelle avec quiconque, y compris ton mari. Je te téléphonerai et t'indiquerais une date, un horaire, un lieu. Tu devras te présenter sans sous vêtement et tu devras arborer ton collier. Tu dois rester dans un état d'excitation permanente. Tu te masturberas en conséquence durant la journée, mais sans jouir. Ta jouissance m'étant réservée. Je suis très content de toi. Ne me déçois pas. » Pour la première fois, mon Maître me prend dans ses bras et m'embrasse. Je me sens toute petite et fragile, mais tellement bien. « Allez ! Viola t'attend dans le vestibule. » J'enlève ma chasuble et remets mes vêtements à l'exception de mes bas. J'embrasse les filles, sans un mot et je remonte dans ma voiture. Je m'arrête sur le parking désert du supermarché et je renfile mon gilet et ma jupe longue. Fatiguée et inquiète, je rejoins mon domicile. Eddy dort profondément devant la télé encore allumée. J'enlève mon imper et je le couvre avec. Grossière erreur ! Ca le réveille. « Ha ! ca y est ! Tu es enfin rentrée ? » « Oui, tout vas bien ! Rendors-toi. Je vais prendre une douche. » « C'est quoi ca ? » « Quoi donc, chéri ? » « Ce truc autour de ton cou ? » Merde ! J'ai oublié de retirer mon collier. Me voilà fraiche ! « Ho ! ca ? C'est rien, je te raconterais. Rendors-toi vite mon amour ! » Je ne lui laisse pas le temps de me poser d'autres questions et je fille dans la salle de bain. Je me déshabille et me démaquille. Le miroir me renvoie mon image portant ce collier de cuir. Je le retire avec regret. Je l'aime bien moi, ce collier ! Eddy a rejoint notre chambre et c'est couché. Mais il ne dort pas. « Ou étais tu ? » « D'après toi ? Au cabinet médical bien sur ! Je suis contente, j'ai tout remis en ordre. » « J'y suis passé à onze heures pour t'apporter du café. Il n'y avait per***ne. » « Ha ! Ho ! Onze heures dis tu ? Ha oui ! J'étais descendue à la brasserie ! Nous avons eu la même idée, tu vois. » « La brasserie était fermée ! » « Hein ? Ha oui ! C'est pour ca ! Je suis allée plus loin vers la gare. Tiens ! C'est là que j'ai rencontré un vendeur à la sauvette. Il m'a tellement saoulé que je lui ai acheté le collier de cuir. » « On dirait un collier pour chien ! Haha ! » « Oui ! Hihi ! Tu as rai*** ! Je ne suis pas prête de le remettre ! Hihi. » Il rit ! Je n'en crois pas mes oreilles. Il a cru à mon histoire. J'en tremble encore. Je reviens de loin.
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chrislebo
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Deux semaines ***t passées. Je suis franchement dégoutée. Je me suis fait avoir par un coureur de jupons. Il m'a prêté à tous ses amis et je reste là, comme une conne, sans nouvelles. Le salaud ! De plus, dans mon couple, c'est plus trop la joie. A plusieurs reprises, j'ai retrouvé le collier sur mon oreiller. Comme ca, sans rai***. Ou plutôt, si... A chaque fois que je ne voulais pas faire l'amour, prétextant un mal de tête, de la fatigue. Ce douterait t'il de quelque chose ? Quand je lui en parle, il me répond que c'est pour me taquiner et que si je suis fatiguée... « Tu travaille chez un toubib, non ? Fais-toi soigner ! » Cette phrase, je l'ai entendu six ou sept fois depuis que mon Maître m'a interdit tout rapport sexuel. Chez moi, c'est sur, le doute s'est installé. Mon Maître ? Quel Maître ? Qui peut m'interdire de faire l'amour à mon mari ? Un pur inconnu ? Un boiteux avec une canne ? Un bigame qui veut agrandir *** cheptel et devenir polygame ? Mais qui est t'il pour diriger ma vie, disposer de mon corps ? Qui peut m'interdire de parler ou m'obliger à tout laisser tomber au moindre coup de fil ? Qui ? Il faudrait que je sois folle ! Folle ...amoureuse, peut être ? Moi ? Mais non ! Mais non, bien sur ! Eddy est parti coucher Amandine, notre fille de neuf ans. La soirée n'est pas des plus joyeuses. Je suis très perturbée et ca se reporte sur mon couple. Parfois, j'ai envie de tout avouer. Parfois, j'ai envie d'oublier. Mais parfois, j'ai envie d'espérer. Espérer un coup de téléphone. Pauvre de moi. Et ce soir... Je finis de débarrasser la table quand le téléphone ***ne. Eddy étant occupé avec Amandine, je décroche. « Allo ? » « Demain, quatorze heures, parc des deux horloges. » « Allo ? » Ca a raccroché. Je reste pétrifiée, le combiné à la main. Mes jambes ne me portent plus, ma tête tourne. « Ho ! Cathy ! Qu'est ce qui t'arrive ? Assied toi chérie. » Eddy est arrivé juste à temps ou je crois que je me serrais effondrée sur la moquette. « Mais qu'est ce qui t'arrive ? Je vois bien que tu n'es pas bien depuis un petit moment ? » « Non, non ! Je vais bien ! Tout va bien. Juste un étourdissement. » « Ce coup de fil...une mauvaise nouvelle ? » « Non, du tout ! Un faux numéro et puis la tête m'a tourné. De la fatigue sans doute. » « Ok ! Parles-en au docteur Milhaud. Tu veux bien ? » Quel docteur pourrait bien me soigner du mal qui me ronge ? Ce soir là, je me couche de bonne heure, laissant mon mari devant la télé du salon. Mais je ne trouve pas le sommeil. Demain, quatorze heures ? Demain, c'est jeudi ! Demain, je travail ! Demain, le docteur compte sur moi ! Et puis il y a Eddy ! À quelle heure rentre-t-il déjà ? Amandine ! Amandine pourra t'elle être récupérée par Sylviane, notre voisine ? Mon dieu ! J'ai honte ! Je tire des plans sur la comète pour me rendre à ce rendez vous. Lorsqu'Eddy vient se coucher, je ferme les yeux pour lui faire croire que je dors à poing fermé. Le lendemain, tout est organisé et au point dès onze heures. Sylviane récupérera Amandine et Eddy est prévenu que je pourrais bien faire des heures supplémentaires. Reste le docteur. Je ne dis rien jusqu'à treize heures, puis : « Je suis désolée docteur, je dois m'absenter cet après midi. » « Bien ! Je me débrouillerais seul, une fois de plus ! » Si ca continu, je vais perdre mon boulot. Je connais bien les environs de ce parc et je sais que j'aurais toutes les peines du monde à me garer. Alors je prends la décision de m'y rendre en métro. Aujourd'hui, il fait beau et chaud. J'ai glissé mes pieds dans des chaussures Platform noires avec de petits lacets rouges qui imitent le laçage d'un corset. Elles ***t magnifiques, classe tout en étant sexy. Je suis restée jambes nues sous une mini jupe plissée noire. J'ai passé un chemisier en satin rouge et une petite veste noire également. Seul accessoire, un petit sac, que je porte à l'épaule. Le métro n'est pas trop chargé et je m'assois sur un strapontin. Une des recommandations de mon Maître, me revient à l'esprit. -« Les sous vêtements te ***t interdits tout comme le fait de serrer les jambes lorsque tu es assise. » Facile à dire, pas évident à faire. Pourtant, je veux obéir, mais face à moi, un jeune homme est également assis. En plus, je dois bien lui plaire car il ne me lâche pas du regard. Il doit avoir à peine dix huit ans, et semble timide et réservé. Je ne dois pas craindre grand-chose de la part de ce gamin. Je l'observe dans le reflet des vitres et doucement, j'éloigne mes genoux, l'un de l'autre. Pas de trop, juste le nécessaire. Mais c'est bien suffisant pour qu'il puisse entrevoir mon minou rasé. Sa mâchoire tombe d'un coup. Il reste ainsi, bouche ouverte et yeux rivés sur mon entrejambe. Je dois reconnaitre que ca m'amuse beaucoup. Pauvre garçon. Il va se masturber toute la nuit en pensant à moi. -« Tu devras te présenter sans sous vêtement et tu devras arborer ton collier. Tu dois rester dans un état d'excitation permanente. Tu te masturberas en conséquence durant la journée, mais sans jouir. Ta jouissance m'étant réservée. » Et ca ! Je fais comment ? Le collier, encore...passe ! Mais me masturber ? Gros casse tête. Le pauvre chérubin ne s'en remettrait pas ! C'est sur ! Je prends mon courage à deux mains et sors le collier de mon petit sac. Le gamin me regarde avec des yeux étonnés, tandis que je le passe à mon cou. Pour le cacher, j'ai également prévu un foulard. Le temps ne s'y prête pourtant pas. Mais bon ! Je pourrais ne pas en faire d'avantage, mais j'ai peur que mon Maître ne vérifie que je sois bien humide. Je me lève et me tourne de trois quart vers la porte. Il me faut également prendre soins que le reste du wagon ne me voit pas. Je glisse une main sous ma jupe et titille mon clito. Je suis assez surprise de me rendre compte que cet exercice m'excite. Il y a du plaisir dans la peur. Bien sur, le jeune homme ne peut que me voir. Mais moi qui pensais qu'il resterait gentiment à sa place...je me suis trompée Il se lève d'un bond et vient près de moi. Sans aucune hésitation, il plonge sa main sous ma jupe et me masturbe délicieusement. Ne pas jouir sera difficile. J'entends sa respiration et je sens *** souffle près de mon oreille. Puis : « Tu viens chez moi ? Je vais te baiser comme une reine ! » « Désolée ! J'ai d'autres projets. Au revoir ! » Je suis arrivée à ma station et je m'enfuie dans le dédalle de couloir, prenant bien soin de ne pas être suivie.
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chrislebo
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Parc des deux horloges. Il est déjà là. Je l'aperçois appuyer à la margelle d'une fontaine. Je le rejoins, le cœur battant comme une ado à *** premier rendez-vous. « Bonjour Maître. » « Qu'est ce que c'est que ca !? » Il arrache le foulard de mon cou et le met dans sa poche. « Tu dois être fière de porter ce collier. Je t'interdis de le cacher ! C'est comprit ? » « Oui, Maître. Je suis désolée. Je vous demande pardon, Maître. » « Tu apprends vite. Je sais que tu retiendras la leçon. » « Je peux vous poser une question, Maître ? » « Je t'écoute. » « Être masturbée par un homme, est ce enfreindre les règles ? » « C'est un acte sexuel. Je te l'ai interdit. Explique-toi ! » « Je me suis caressée dans le métro et un jeune homme m'a vu. Il est venu ...et a remplacé mes doigts ...par les siens. » « Je te pardonne parce que tu me l'avoue et que tu a fais ton possible pour m'obéir. Une prochaine fois, sois plus discrète. » Tout en me parlant, il sort une laisse en métal de sa poche et l'accroche à mon collier. Il sent mon malaise, car je regarde tout autour de moi. « C'est une grande journée pour toi. Ta première ballade en laisse. » « Ca me fais un peu peur, Maître. » « Tu n'a rien à craindre. Ouvre ta veste et déboutonne un peu ton chemisier. Tu a de beaux seins, il faut les montrer. Ensuite, tu mettras tes mains dans ton dos. C'est la position pour une promenade en laisse.» Il y a un monde fou. Je dois être rouge corail. Certains passent sans rien voir, mais la plupart regardent et pire... ils commentent. « Non, mais ! T'a vu ca ? » « Si c'est pas malheureux ! » « N'importe quoi ! Fou la à poil, pendant que tu y es ! » « Salope ! Suceuse de bites ! » Mon Maître semble indifférent à tout ca. Je dirais même qu'il semble apprécier les commentaires et en retire une certaine fierté. Apres m'avoir exposé à tout ces gens et à leurs injures, il m'entraine dans une allée nettement plus calme. Nous marchons depuis un petit moment, quand... « Regarde là-bas ! Tu vois cet homme sur le banc ? » « Oui, Maître. » Il détache ma laisse et déboutonne entièrement mon chemisier, me mettant les seins à l'air. « Vas t'asseoir sur le banc, en face de lui. Tu pose tes fesses sur le bord, les mains de chaque coté et tu te tiens bien droite. N'oublie pas les règles ! » J'ai au moins cent mètres à parcourir jusqu'au banc. Il n'y a per***ne. Une chance car je ne pense pas que ca aurait été un handicap pour mon Maître. L'homme m'a vu. J'ai la trouille mais je me refuse à abandonner. J'arrive au banc et m'assieds sur le bord, bras de chaque coté et je respect la règle. J'ouvre doucement les cuisses. L'homme, surprit, regarde partout. Mon Maître c'est fait discret. Même moi, je ne le vois plus. Puis, il me fixe et me détaille. Moi, figée, je lui souris timidement. Il regarde encore, à droite, à gauche, derrière et ne voyant per***ne, il se lève et vient s'asseoir près de moi. « T'es folle, ou quoi ? Qu'est ce que tu fou ? Tu veux quoi ? » Je ne suis pas sur d'avoir le droit de parler. Alors je fixe devant moi et je me tais. C'est un homme d'une soixantaine d'années. Encore pas mal pour *** âge. Mais surement pas habitué à se retrouver avec une jeune femme, quasiment nue, dans un parc. « C'est quoi ? Un jeu ? Un défit ? Je peux toucher ? » Il hésite et se décide enfin à palper mes seins. « T'es bien foutue, tu sais ? Hummm ! Tu a de très beaux seins ! » Puis ses mains descendent sur mon ventre et vont ensuite à la rencontre de mon intimité brulante de plaisir. « Tu as une belle petite chatte, tu sais ? Hummm ! Tu mouille comme une salope. » Je le sens stressé. Il tremble comme une feuille. « Putain ! Si je pouvais encore bander, je t'aurais mis une sacrée troussée ! » J'ignore si je peux, mais je tends mon bras vers sa braguette. « Hum ! J'ai peur que tu perdes ton temps chérie ! Il y a longtemps qu'elle n'a pas fonctionnée ! » N'empêche qu'il m'aide à extirper *** engin d'un slip kangourou, sans âge. Elle est chaude, molle, grosse et plissée. Pourtant, elle mouille. J'étale la liqueur sur le gland avec mon pouce. Ca semble lui plaire. « Et ben ! Si on m'avait dit ! C'est bien agréable tout ca. Tu ne me sucerais pas, des fois ? » Ses désirs ***t des ordres. Je m'accroupie face à lui et porte l'escargot à ma bouche. Il râle et grogne comme un ****** et à ma grande surprise, le bout de mou prend du volume et deviendrait presque dur. Je le suce pendant un temps qui me semble une éternité, et soudain ! « Hooo ! Je vais faire pipi, je vais faire pipi ! » Trop tard ! Je n'ai pas le temps de me pousser et je prends tout en pleine face et sur mes seins. Mais ce n'est pas de l'urine. C'est bel et bien du foutre. Certes, très clair et très liquide, mais du foutre tout de même. « Tu m'a fais jouir ? Hein ? C'est ca ? J'ai joui ? » Il est attendrissant. Il a presque les larmes aux yeux. Je lui fais mon plus beau sourire. Je me relève, dépose un baiser sur *** front et je repars là ou mon Maître m'attend. Je pourrais m'attendre à des félicitations ou des encouragements, mais rien. Il me tend juste un mouchoir, c'est tout. « Nettoies tout ca et rajuste toi. Nous allons ailleurs. » J'essuie mon visage et mes seins, puis, je referme mon corsage et ma veste. Il ne m'a pas attendu et je dois le rejoindre en trottinant. « Que dirais tu de faire un tour sur les grands boulevards ? Tu a un portable ? Donne-moi ton numéro. »
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chrislebo
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Nous arrivons sur une grande avenue, très fréquentée. Peut être un peu trop à mon gout. Car même si je ne déambule plus en laisse, j'ai toujours mon collier et ca attire bien des regards. Maître vérifie ma tenue, ouvre ma veste et défait deux boutons de mon chemisier. « Voilà ! Promène toi, fais du lèche vitrine, détends toi. Mais surtout, réponds au téléphone. » Me voilà partie dans la foule des promeneurs, mon petit sac en bandoulière. Beaucoup de couples, de jeunes filles en bande et finalement assez peu d'hommes seuls. Bien sur, ceux que je croise, me déshabillent du regard. Ca m'amuse beaucoup. Certains, font de petit bruit avec leurs bouches, comme ils feraient pour appeler un chien, un chat ou un moineau. Ils ***t un peu ridicules. Mon téléphone ***ne. « Assois-toi sur un banc ! N'oublie pas les règles ! » Il y en a un tout près, coincé entre un arbre et un marchand de journaux. Il est relativement discret et légèrement en retrait par rapport au kiosque. Voilà qui me va très bien. Je m'installe et tout comme dans me métro, je respect la règle, mais sans exagération. Je me croyais à l'abri, mais il n'en est rien. Si les couples passent sans me prêter attention, il n'en est pas de même pour les hommes seuls. Ils s'arrêtent, tournent et virent comme des oiseaux de proie. Il y en a un qui c'est appuyé contre le mur en face de moi et il plonge *** regard sous ma jupe depuis plusieurs minutes. Jeans, blou***, la trentaine, pas très beau et mal rasé. J'aimerai beaucoup qu'il s'en aille. Surtout qu'il n'est pas très discret et attire le regard des gens. Une nouvelle fois, mon portable ***ne. « Tu a un admirateur. Donne-lui ce qu'il veut. Ouvre plus. Reste au téléphone ! » « Oui, Maître. » J'écarte un peu plus mes cuisses et le résultat ne se fait pas attendre. Le type s'accroupi pour être à la bonne hauteur. Il me fait une espèce de mimique des plus vulgaires, avec sa langue, et porte une main sur *** entrejambe pour me montrer le renflement de *** pantalon. Je cesse de le regarder et lis les gros titres des journaux exposés près de moi. « Lève une jambe pour te gratter la cheville. Laisse bien ton dos collé au dossier du banc. » Voilà qui ce complique. J'imagine aisément ce qui va se produire. Pourtant, je sais que je vais le faire. Encore et toujours cette étrange peur qui m'excite incroyablement. Je reste bien assise et monte mon genou droit. Pour atteindre ma cheville, je dois le monter très haut. Jambes écartées, ma jupe s'ouvre en grand, dévoilant mes cuisses, mon sexe et mon cul aux passants. Trois grattouilles à ma cheville et je repose ma jambe. Je me sens humiliée, outragée, honteuse comme jamais je ne l'ai été. « Léna ? Comment te sens-tu ? » « Les mots me manquent, Maître ! » « Sois fière de ton abnégation. Rien d'autre ne compte. Lève toi et redescend l'avenue, doucement. Montre-toi, fais du lèche-vitrine. » A la grande déception de mon voyeur, je me lève et m'éloigne doucement. Mais celui-ci, ne lâche pas l'affaire et me rejoint. « Attend ! Ne t'en vas pas comme ca ! Tu m'a l'air d'être une sacrée salope, toi ! Tu dois aimer la bite, hein ? J'en ai une grosse pour toi ! » Je suis toujours au téléphone et mon Maître entend la conversation. « Ne répond pas, Léna ! Fais comme si il n'existait pas ! Il va lâcher l'affaire. » Et en effet, ne me voyant pas réagir, il laisse tomber sans oublié de m'injurier bien fort. « Connasse ! Sale petite pute ! » Tous les regards se tournent vers moi. Je n'en peux plus et je disparais dans une galerie marchande. « Maître ! C'est dur ! » « Je trouve que tu te débrouille très bien. Ressort de là ! Dépêche-toi ! » Je fais demi-tour et reprends ma ballade sur l'avenue. Cinq, dix minutes passent, sans commentaires de mon Maître, puis : « Léna ! Retourne-toi doucement et regarde. » Je me tourne. A dix mètres de moi, le type de tout à l'heure est là. Mon sang se glace. Je reprends ma marche. « Il me suit ? » « Bien sur qu'il te suit ! Avant le prochain carrefour, je veux que tu te retourne et que tu lui souries. Un vrai et beau sourire. Ensuite tu tourneras dans la rue à gauche ! » « Lui sourire ? Vous êtes sur, Maître ? » « Depuis quand, doute tu de moi ? Fais ce que je te dis ou il va t'en cuire ! » Sourire à un homme qui vient de vous insulter. Pas facile ! Mais si Maître le veut. Le carrefour approche. Je respire un grand coup et prends mon courage à deux mains. Je me retourne, je le fixe et lui décoche un sourire qui rendrait jalouse la Joconde. Il semble surprit. Je ne lui laisse pas le temps de réagir plus et je tourne vite au coin de la rue. Ma respiration est difficile et mes jambes tremblent un peu. « Maître ? Je fais quoi ? » « Regarde devant toi. Il te suit toujours. » Ca, ce n'est pas fait pour me rassurer. « Bon, maintenant écoute moi bien et suis mes instructions à la lettre. A cent mètres de toi, il y a une épicerie. Tout de suite après, ce trouve une entrée d'immeuble. Le code ne fonctionne pas. Pousse la porte et entre. Monte entre le premier et le deuxième étage. Là, tu t'appuies au mur, tu dégrafe ton chemisier et tu attends. Quoi qu'il arrive, je t'interdis de t'enfuir ! Tu peux raccrocher. » « Mais Maître ? » Il n'y a plus per***ne au bout du fil. Plus je me rapproche de l'épicerie, plus j'ai peur et plus je tremble. Si j'osais, je me retournerai pour voir s'il suit toujours. Mais maintenant que je lui ai donné ce sourire, c'est sur, il ne va plus me lâcher. C'est sans doute ce que voulait mon Maître. Je trouverais dommage d'abandonner maintenant, après tout le parcourt que j'ai fait, depuis que je l'ai rencontré. L'épicerie n'est plus qu'à une dizaine de mètres. Je ralentie mon pas. Je passe devant l'étale de fruits et de légumes. Le portail est là, devant moi. Je le pousse. Il s'ouvre. C'est un immeuble ancien et bourgeois. Moquette au sol, plantes grasses et de grands miroirs habillent le hall d'entrée. Je m'approche de l'escalier, lui aussi garni d'un tapis central et je monte. Il fait un U et entre les deux étages, il est coupé par un espace sans marche, un palier sans porte. Je m'y arrête et m'adosse au mur. Alors que j'entends le portail s'ouvrir à nouveau, je déboutonne mon chemisier, le cœur battant. Des pas se font entendre sur la moquette du hall. Puis ils montent les premières marches. Une ombre se dessine sur le mur. Je voudrais être ailleurs.
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chrislebo
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« Haa ! Te voilà, coquine ! Je savais que tu serrais là ! Mais dis donc, tu es déjà prête ? T'es une chaudasse toi ! J'en étais sur ! » Je ne suis pas étonnée de voir l'inconnu de la rue. Il s'approche et se colle à moi. Il passe une main dans mon dos tandis qu'il me broie un sein de l'autre. Sa bouche avale mes lèvres. Il les aspire et les lèche. Le pire, c'est que ca m'excite. Je lui offre ma langue pour qu'il la suce. *** blou*** griffe mon ventre. Je sens sa queue gonfler dans *** jeans. Il est comme un fou et se frotte à moi comme un dément. « Je vais te défoncer, salope ! T'en a envie, hein ? Tu la veux ma bite, hein, putain ? » Si je pouvais lui répondre, je lui crierais de se taire et de me baiser. Mais tenue par mes engagements, je ne dis rien et plonge une main vers sa braguette. « Hennn ! J'en peux plus de toi ! Suce-moi ! Suce-moi bien à fond ! » Il me tire par les cheveux pour me mettre à genoux. « Dépêche-toi ! Branleuse ! » C'est ce que je fais, je me dépêche. Je parviens enfin à extraire le membre gonflé et il me l'enfonce dans la gorge. Plusieurs fois, je manque de vomir sous la violence de ses introductions forcées dans ma trachée. Je m'étouffe et tousse ma salive. Mes yeux pleurent tout ce qu'ils peuvent. C'est un soulagement de l'entendre dire : « Viens là, que je te baise ! Je vais te défoncer la chatte ! » Je me relève et il me plaque contre le mur. Apres m'avoir levé une jambe, il me pénètre d'un coup jusqu'à la garde. Il reprend ma bouche et m'offre des baisers baveux. Ce n'est pas que j'adore, mais là, dans cette circonstance, j'ai envie d'être souillée, presque maltraitée. Envie de n'être plus rien, juste un jouet entre les mains de cet homme. Envie qu'il fasse de moi ce qu'il voudra, même les choses les plus inavouables. C'est vrai, tout ceci ne me ressemble pas. Peut être que je me lâche enfin. Peut être que c'est le fait d'être dans cet escalier ou je risque de me faire surprendre. Peut être est ce tout simplement que je suis une salope perverse qui se découvre. En attendant, je suis pendue à *** cou et accompagne ses coups de reins en avançant mon bassin à chaque coup de buttoir. J'aimerais lui dire « Plus fort ! Plus loin ! » Mais je n'en fais rien. Et je fais bien, car j'aperçois une ombre dans l'escalier derrière mon partenaire du moment. Et très vite, mon Maître apparait en haut des marches. Il est beau, élégant avec sa canne à la main. J'ai envi de lui. Me voyant regarder ailleurs, l'homme tourne la tête. Il prend peur et veut se retirer. Je l'en empêche en jetant mes jambes autour de sa taille. Voyant que l'autre ne bouge pas, il reprend ses mouvements en moi. Il les reprend encore plus fort, excité d'être regardé. « Regarde ca, mon pote ! Des salopes comme ca, c'est rare ! C'est elle qui m'a entrainé ici ! Je ne la connais pas ! Si, si je te jure ! Elle veut de la bite cette salope ! Tiens, chérie, en voilà ! Tu la sens, hein ? Tu la sens bien ma queue ? Elle te fait du bien, chienne ? » Ce con, à parler et à m'insulter comme ca, m'excite de plus en plus. Soulagée par la présence de mon Maître, et fière d'avoir été aux bout des ses désirs, en respectant les règles, je me libère enfin et je craque. Un éclair traverse mon ventre. Le tonnerre craque dans ma tête. Je bloque ma respiration et je mords mes lèvres pour ne pas crier et encore moins parler. Je sens mon vagin se vider sur les couilles de l'homme. Je crois que c'est une de mes plus belles et plus fortes jouissances. Me voyant venir, au comble du plaisir, l'homme se libère aussi. Il pousse fort en moi et jouit de longues secondes au fond de mon ventre. Mes jambes retombent et l'homme me lâche. Je glisse doucement contre le mur et me retrouve assise sur mon cul, jambes pliées, écartées. Essoufflée, la tête baissée, je caresse mes seins d'une main et étale les jus mélangés que me rend ma chatte. « Regarde ca ! Elle est crevée la môme ! Putain ! Elle a tout donné cette salope ! Baise là, tu vas te régaler mon pote ! » « Elle n'a plus besoin de toi ! Tu peux partir ! » Surprise par *** ton, je relève la tête. L'inconnu aussi est très surprit. « Quoi ? Qu'est ce que tu dis ? » « Tu a très bien entendu. Tu peux partir. Ma soumise et moi-même, n'avons plus besoin de tes services ! » MA soumise. Il a dit MA soumise. Mon cœur ce remplit de bonheur. « Haaa ! C'est caaa ! » L'homme redescend doucement en marche arrière. Il est moqueur et semble t'il furieux. Il nous montre du doigt.
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chrislebo
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« Vous êtes deux détraqués ! T'es impuissant et tu la fais baiser par d'autre. C'est ca, hein ? Et ta folle du cul se fait troncher à tous les coins de rue ! Grosse pute ! » Nous l'entendons arriver dans le hall. Il cri une dernière fois sa rage d'avoir été ainsi évincé. « Enculés ! Salope ! Pédé ! » Puis le lourd portail claque. Le silence, enfin. Mon Maître s'approche de moi et me tend la main. Mon cœur tape dans ma poitrine. Je me relève et il me prend dans ses bras pour me donner un baiser plein de tendresse, puis il me regarde en me caressant les cheveux. « Que dirais tu de devenir ma favorite ? » « Chastity le prendrait très mal, Maître ! Et ca m'engage à quoi ? » « Tu lui demandera toi-même. En attendant, déshabille-toi, entièrement. » J'étais sur le point de lui dire : « Ici ? Dans les escaliers ? » Mais après sa proposition de faire de moi sa favorite, c'est peut être déplacé. J'ignore si ce n'est pas un test d'obéissance. Alors, je fais tomber veste, chemisier et jupe au sol. Entièrement nue, dans cet environnement, je me sens très vulnérable. Mais, dans le même temps, je suis étrangement troublée et émoustillée. « Penche toi et appuie toi à la quatrième marches ! » Je m'incline en avant, devinant très bien ce qui m'attend. Avant même qu'il ne me le dise, j'écarte les jambes et cambre mes reins au maximum afin d'offrir une vue imprenable sur mes deux orifices. *** gland, dur comme du béton, vient heurter ma pastille brune. La poussée augmente. Je respire et me détends autant que je peux. Mes chairs acceptent le corps étranger et elle se laisse pénétrer doucement. Il se penche sur moi et pèse de tout *** poids. Sa queue entière est en moi et je sens ses couilles frotter ma vulve détrempée. Il se dandine ainsi, enfoncé en moi, se frottant de droite à gauche durant un instant. Puis, lentement, *** pilon se met en action, montant et descendant de plus en plus vite. Ses testicules frappent mon vagin et mon clito avec *****. Je ne peux contenir de longs soupirs de satisfactions, qui très vite se transforment en cris de jouissances, qui ré***nent dans l'escalier. Mes jambes ne me tiennent plus et je tombe à genoux. Il s'agrippe à mes cheveux et reste malgré tout en moi, continuant à remplir mon petit orifice dilaté. Soudain, il empoigne mes épaules et les tire en arrière. Un dernier râle, un dernier assaut et il se libère de *** miel en longues giclées dans mes intestins. Puis il se retire lentement, me laissant pantelante, la tête dans les bras, effondrée sur les marches. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre le contrôle de ma respiration. J'ai chaud et je transpire à grosse gouttes. Je suis ravie et fière de moi d'avoir encaissée cette sodomie sans broncher. Je me retourne et m'assoies sur les marches, un grand sourire aux lèvres. Mais je suis seule. « Maître ? Vous êtes là, Maître ? » Pantelante et dégoulinante, je me rhabille et regagne la station de métro la plus proche. C'est la sortie des bureaux et les rames ***t bondées. Pour une fois, je ne m'en plains pas. Ainsi écrasée, per***ne ne peut remarquer les auréoles sur ma jupe. Je me sens sale, malodorante, mais comblée.
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vanbruje
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Cela valait sans doute la peine d'attendre... Merci pour ce long texte à déguster à l'aise...
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vanbruje
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Finalement, je pense que cela appelle une suite !
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chrislebo
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oui je crois qu'il y'a sa
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chrislebo
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Finalement, je ne rentre pas si tard que ca. J'aurais le temps de prendre une douche et d'aller chercher Amandine avant qu'Eddy ne rentre. Mais lorsque j'arrive, il est dans le salon à regarder la télé. « Ho ! Ben, t'es déjà là ? » « Oui, j'ai pu me libérer plus tôt et...Putain ! Mais qu'est ce que tu fou !? » Il s'est levé et tourné vers moi. Mais tout à coup, il a l'air furieux. « Qu'est ce qui t'arrive ? Pourquoi te fâches-tu ? » « Tu veux me faire croire que tu a été bosser avec ca !? » Il a passé *** doigt dans l'anneau du collier et il tire dessus. Pauvre de moi. J'étais tellement obsédée par les taches sur ma jupe, que j'en ai oublié de le retirer. Dire n'importe quoi, mais dire quelque chose. « Ben non ! Bien sur que non ! Je l'ai mis quand je suis parti. Enfin, Eddy ! Je l'ai acheté, ce n'est pas pour le laisser au fond d'un tiroir ! » « Cathyyyyy ! C'est un collier pour chien ! » « Pffff ! Mais non ! Sors un peu ! C'est à la mode ca ! » Rejoindre la salle de bain. Me changer. Il me faut le faire tout de suite avant qu'il ne découvre les taches. « Hooo ! Et puis tu m'ennuie à la fin ! Laisse-moi tranquille, tu veux ! » Je le laisse planter là et je fonce m'enfermer dans la salle de bain. Je me déshabille et balance mes affaires dans la machine à laver, que je mets en route sans attendre. Voilà ! Je me sens déjà mieux. Une douche plus tard, toutes preuves envolées, je rejoins Eddy, le cœur léger et prête à faire la paix. « Je suis désolée chéri. Tu sais, j'ai eu beaucoup de travail et... » « Arrête ca tout de suite, tu veux ! Le docteur vient d'appeler. Il voulait savoir s'il pouvait compter sur toi demain ! Ou étais tu cet après midi ? Pourquoi t'es tu empressée de prendre une douche ? Tu a un amant ? C'est ca ? » « N'importe quoi ! T'es parano, mon pauvre ami ! J'ai couru les magasins pour te trouver un cadeau, si tu veux savoir ! Et à courir partout, j'ai beaucoup transpiré ! Voilà ! Ca te va comme explication ? » « Cathyyy ! Je ne pouvais pas deviner ! Je suis désolé, pardonne moi, j'ai été stupide. » Mentir ! Voilà une chose que je n'ai jamais faite de toute ma vie. Pourtant là, j'ai l'impression d'être une professionnelle. Je suis remplie de honte face à cet homme que je trompe à tour de bras, et que j'aime pourtant passionnément. Mais comment pourrait t'il comprendre mon nouveau comportement, ma nouvelle vie, mes nouvelles envies. Je m'assois sur ses genoux et passe mon bras autour de *** cou. « N'en parlons plus. Je t'aime Eddy. » Nous nous embras***s tendrement. Eddy me caresse doucement et je sens le désir monter en moi. J'ai envi de lui, là, tout de suite. Je dois fuir. Je me relève d'un coup. « Amandine ! Faut que j'aille chercher Amandine ! » « Cathyyy ! Amandine est chez Sylviane ! Il n'y a pas le feu, tout de même ! Allez ! Viens là ! » « Non, non ! Je ne veux pas ****** de sa gentillesse ! » « Cathyyy ! » Mais je suis déjà dehors. Je suis prise de tremblements et je dois m'appuyer contre le mur pour reprendre mes esprits. Toutes ses émotions rapprochées me perturbent. Il va falloir que je me ré***ne et que j'arrête ce petit jeu stupide. C'est trop dur. Mon cœur s'emballe lorsque soudain mon téléphone ***ne. La voix chevrotante, je dis un « Allo ? » timide. « Samedi, quatorze heures, devant le zoo ! » « Ho non, Maître ! Je dois vous dire... J'arrête tout ! » « Samedi, quatorze heures, devant le zoo ! » Il a raccroché. Per***ne ne peut m'obliger à me rendre à ce rendez vous. Il se déplacera pour rien. Apres tout, je m'en fou. C'est avec, je crois, l'esprit libéré que je ***ne chez Sylviane. J'adore cette fille. Lesbienne de la première heure, elle ne cesse de me draguer pour me taquiner. Mais je sais que si je lui disais oui, elle en serait ravie. Eddy aussi d'ailleurs. C'est un de ses plus grands fantasmes. Mais je ne suis pas sur que Sylviane accepterait de le faire devant lui. C'est une jeune fille de vingt deux ans. Rousse, grande, belle et mince, elle porte des cheveux longs et bouclés qui coulent dans *** dos. Elle est souvent juste couverte d'une petite robe d'été. Ca lui va bien. Ses seins ne connaissent pas le soutien gorge. Il est vrai que bien que sa poitrine soit plus grosse que la mienne, elle est aussi plus ferme et a un maintien incroyable. J'en serrais presque jalouse. Tout comme moi, elle est une adepte inconditionnelle des talons hauts, et elle chausse en permanence des chaussures à talons aiguille, au grand désespoir de *** parquet. « Bonjour Cathy ! Tu es magnifique aujourd'hui ! Plus belle et plus désirable de jour en jour ! » « Arrête dont, tu veux ? » « Tu donne dans le sado-maso, maintenant ? À moins que ce ne soit la soumission ? » « Ca vas pas ! Pourquoi tu dis ca ? » « Ton tour de cou fait penser à ca. C'est très spéciale, ma chérie, mais j'aime beaucoup. » Je ne m'étais même pas rendu compte que je le portais toujours. J'ai pris ma douche sans le retirer. Je m'y suis tellement habitué, qu'il fait presque partie de moi. « Il te plait ? Je te l'offre ? » « Tu es folle ! Tu veux être punie ? » « Qu'est ce que tu racontes ? » « Laisse tomber ! Regarde ! » Elle s'approche de *** buffet et ouvre un tiroir. Je crois mourir, lorsque j'aperçois une chasuble blanche bien pliée et un collier identique au mien. Elle capte mon désarroi et tente d'apaiser ma honte. « Ce n'est rien Cathy ! Ce sera notre secret, ne t'inquiète pas. Comment s'appelle-t-il ? » « Hein ? Quoi ? » « Ton Maître ? Comment s'appelle-t-il ? » « Sir Jeffer***. » Prononcer *** nom me fais un effet étrange, envoutant. Je suis parcourue par un grand fris***. « Haa ! Je le connais bien ! Comment va-t-il ? » Je décide de couper court. « Bon ! Je dois y aller ! Tu veux bien appeler Amandine ? » « Ha ! Ok ! Je vois que tu es dans ta période d'incertitude. Ca fait ca à tout le monde, c'est normal. Mais tu comprendras très vite que ta place est auprès de ton Maître. AMANDINE ! Ta maman est là ! » Ce soir, sa bise pour me dire au revoir, est plus proche de la commissure de mes lèvres. Plus appuyée aussi. Le souper se fait dans le silence. Je vois bien qu'Eddy est vexé d'avoir été de nouveau, évincer. Lorsque je lui apporte le café, le téléphone retenti et je manque de tout renverser. J'aurais préféré répondre, mais Eddy a été plus rapide que moi. « Allo ! Oui ! Oui, bien sur ! D'accord, je lui dis. Bonsoir ! » J'essais de cacher mon trouble. Qui cela pouvait t'il bien être ? J'ai la réponse rapidement. « C'était Sylviane. Elle a retrouvé le film dont elle t'a parlé. Elle voudrait que tu viennes le regarder avec elle. » « Le film ? À oui, le film ! » « Tu vas y aller ? » « Je ne sais pas. »
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chrislebo
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« Tu sais, tu peux. Vu ta frigidité fulgurante et soudaine, tu peux bien devenir cinéphile. » « Ca, c'est dégueulasse ! Ben tu vois, ce soir je voulais te faire plaisir ! Et bien tant pis pour toi ! Tu peux aller dormir, moi, je vais chez Sylviane ! Bonsoir ! » Je claque la porte. Elle habite un rez de chaussée. Un ancien petit bistrot, réaménagé en habitation. Rien de particulier sinon deux colonnes de chaque cotés de *** salon. Lorsque je ***ne chez elle, j'ai les larmes aux yeux. « Déjà ! Ben dis dont, tu n'as pas mis longtemps à te décider ! Hé ? Qu'est ce qu'il y a ? Tu pleure ? » Submergée par l'émotion, je ressens un grand besoin de tendresse et je me jette au cou de mon amie. Ce qui devait arriver...arrive. Je lui tends mes lèvres et nous échangeons un tendre et passionné baiser. Je suis surprise par la douceur de ses lèvres, la délicatesse avec laquelle elle enroule sa langue autour de la mienne. *** parfum m'enivre. Je sens sa poitrine se soulever contre la mienne. Une main sur ma nuque, l'autre caresse doucement ma joue. Mais soudain, elle s'arrête. « Je suis désolée Cathy ! Je n'ais pas le droit de profiter de ta fragilité. » « Non, Sylviane. Tu n'a pas à être désolée. C'est moi qui le voulais. Je viens de me fâcher avec Eddy. J'avais besoin de réconfort. » « Viens par là. Raconte-moi tout. » Nous nous installons dans le canapé. Sylviane prend mes mains et je commence à parler. Je commence et ne m'arrête plus. Je me vide de tous mes maux, de tous mes doutes, mes erreurs, mes folies. Je dis tout. « ... Vu ta frigidité fulgurante et soudaine, tu peux bien devenir cinéphile. J'ai claqué la porte et je suis venue ici. Voilà ! Tu sais tout. » « Je connais cette situation. Je l'ai vécu avec une de mes ex. Il ne faut pas écouter ta logique mais ton cœur. Que te dit-t-il de faire ? » « De ne pas réfléchir, dans l'immédiat. » Je m'enfonce dans le canapé et je tourne la tête vers elle. Elle me regarde étonnée. Je remarque que, tout comme moi d'ailleurs, elle reste les genoux décollés. Dans la logique, je l'imagine sans culotte. Ca m'excite malgré moi et je pose une main sur sa cuisse. « Tu es sur que c'est ce que tu veux ? » « Non, je ne sais pas. » « Alors, je ne vais pas attendre que tu t'enfuis. » Elle se penche sur moi et m'embrasse de nouveau, mais avec fougue cette fois ci. C'est pourtant vrai que je ne sais pas. Jamais l'idée de m'offrir à une fille n'a effleuré mon esprit. Un peu perdue, je me laisse aller et ferme les yeux. Sa main caresse mon ventre et soulève habilement mon tee-shirt pour se faufiler dessous. Je suis prise de fris***s lorsque ses doigts se posent sur mes tétons. Elle les titille et les pince, jusqu'à ce qu'ils soient prêt à exploser. Je passe ma main derrière sa nuque afin de l'empêcher d'abandonner *** baiser. Tournée de trois quart, elle fait glisser *** genoux sur ma cuisse, jusqu'à mon bas ventre, alors que sa main, désormais, palpe ma poitrine avec savoir-faire. C'est Maintenant toute sa jambe repliée qui monte et descend sur les miennes. Et enfin, dans un dernier effort, la voilà assise face à moi, sur mes cuisses. Obligée de lâcher notre étreinte, je laisse mes bras tomber sur le canapé. Intimidée, je suis incapable de lui montrer que j'ai envie d'elle. Elle semble avoir bien compris mon trouble et me gratifie d'un sourire ravageur. Lentement, elle défait les boutons de sa robe et la quitte. C'est une pure merveille. Sa beauté m'intimide encore plus. Elle agrippe le bas de mon tee-shirt et en un rien de temps, il vole loin derrière elle. Elle se soulève un peu et approche sa poitrine de mon visage. J'embrasse le téton qui se présente, puis, timidement, je le pince de mes lèvres. Si le contact, nouveau pour moi, me trouble, il n'en est pas moins agréable. Je sens la pointe durcir et je prends confiance en moi. Je saisis sa poitrine à pleine mains et lèche et aspire ses mamelons à tour de rôle. Elle semble y trouver plaisir et pousse de petits gémissements. « Hoo, ouiii ! C'est bon ! Tu a fais ca toute ta vie, ce n'est pas possible ! Tu te débrouilles très bien, Cathyyy ! » « Tais-toi, s'il te plais ! » « Alors embrasse-moi ! » Elle repose ses fesses sur mes genoux et prend mon visage à pleine main. Nous nous embras***s de nouveau, avec gourmandise. Nos seins se frôlent et me donnent la chair de poule. Et soudain, en un éclair, la voilà à genoux entre mes jambes. « Donne-moi ta chatte, chérie ! » Il ne lui faut qu'une petite seconde pour soulever ma jupe, que je porte toujours, et plonger *** visage entre mes cuisses. Une décharge électrique fulgurante traverse mon corps, m'obligeant à me cambrer et à jeter ma tête en arrière. Jamais les cunnilingus d'Eddy ne m'ont procuré autant de plaisir. Je crois bien que je crie. Sa langue fouille tous les recoins de mon sexe dégoulinant. Parfois, elle se retire et descend jusqu'à ma pastille brune qu'elle titille rapidement, puis retourne à ses premières amours. Mes doigts glissent dans sa chevelure. J'appuie sur *** crane pour qu'elle me fouille, plus loin, plus fort. Aveu de mon extase. Soudain la ***nette retentie. C'est comme un poids lourd qui rentre dans un mur. Tout s'arrête, brusquement, violement. « Merde ! On n'est jamais tranquille ! Cache-toi là ! Je reviens ! » Elle me pousse dans une espèce de grand réduit. Je laisse la porte légèrement entrouverte pour voir ce qu'il se passe. Je la vois ouvrir sa porte et se pencher, pour cacher sa nudité au visiteur. « Ha ! C'est toi ! Entre ! » L'homme qui rentre n'est autre qu'Eddy. Il s'avance dans la pièce et se retourne. Il découvre le corps nu de Sylviane. Il détourne *** regard aussitôt. « Oups ! Je suis désolé ! Je t'en prie, couvre toi ! » « J'ai bien trop chaud ! Tu veux boire un truc ? » A quoi joue t'elle. Je vois mon homme mal à l'aise comme jamais. « Heuu ! Oui ! Un whisky ! Un double même ! Je cherche Cathy. Ou est-elle ? » « Tu devrais lui foutre la paix. » « Je n'ai pas de conseils à recevoir d'une... » « D'une quoi, Eddy ? D'une gouine ? C'est ca ? » « Tu dis n'importe quoi ! Bon, Cathy n'est pas là, je m'en vais ! » « Si vite, pourquoi ? Tu n'as même pas fini ton verre ! Si je n'étais pas homo, tu partirais aussi vite ? » « À quoi tu joue Sylviane, là ? » « À rien, je t'assure, mais j'aimerais comprendre pourquoi tu ne m'aime pas. » « Tu te fais des idées, je n'ai rien contre toi, mais tu te présente nue à moi, et en plus tu es lesbienne. Tu sais je suis comme tout les hommes. Vous êtes un fantasme pour nous. » « Les fantasmes ***t fait pour être réalisés, mais pourtant celui-ci reste inaccessible. Je comprends. Ca doit être dur. » Je la regarde jouer au chat et à la souris, sans comprendre vraiment ou elle veut en venir. « Devine ce que je faisais quand tu es arrivé ! » « J'en sais rien moi ! Tu te préparais à prendre une douche ? » « Non, Eddy ! J'étais allongée sur mon canapé et je me masturbais. » Elle va trop loin. J'ai envie de sortir de ma cachette, mais je suis seins nus et ca ne ferrait qu'aggraver les choses. « Mais, tu es chez toi ! Tu peux y faire ce que tu veux ! Ca ne me regarde pas. » « Oui, bien sur, mais qu'elle chance inespérée pour l'homme que tu es, si j'acceptais de le faire devant toi ! » « Arrête Sylviane ! Ce n'est pas drôle du tout ! Tu te rends même pas compte de ce que tu dis ! Un truc comme ca, et je deviens fou en deux minutes. Je te sauterais dessus ! Allez, je m'en vais ! » Je suis très fier de mon Eddy. Il n'a pas succombé à ce diable féminin. Mais elle n'a pas dit *** dernier mot. « Et avec ca, Eddy ? » Elle ouvre un tiroir. « Quoi ? Des menottes ? T'es complètement folle, ma pauvre fille ! » Il est tellement troublé et perdu, qu'il se laisse menotter dans le dos, autour d'un des poteaux.
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chrislebo
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« Mais qu'est ce que...Détache moi tout de suite, Sylviane ! » « Deux minutes, deux petites minutes. » Elle s'agenouille devant lui et défait sa ceinture et sa braguette. Sous les protestations d'Eddy, après lui avoir descendu pantalon et caleçon aux pieds, elle entreprend de déboutonner entièrement sa chemise. « Héé ! Mon gaillard ! Mais tu bande déjà ! » C'est pourtant vrai. De ma cachette, je vois très bien le sexe d'Eddy, droit comme la justice. Moi qui dois le caresser de longues minutes pour arriver à ce résultat ! J'en suis toute vexée. Elle ne le touche pas. Fière d'elle, elle tourne autour, puis s'installe dans le canapé, jambes bien écartées et entreprend de se masturber doucement. « Salope ! Tu vas voir ton cul, quand tu vas me détacher ! » « Et Cathy ? » « Cathy ! Cathy ! Quoi Cathy ? Je suis un être humain, avec des pulsions humaines, et les miennes me disent de te baiser comme une chienne ! » « Ca...C'est pas gagné ! N'est ce pas Cathy ! » Le rideau tombe. Je sors de ma cachette, sous les yeux hagards de mon mari. « Vous m'avez piégé ? Vous êtes deux belles salopes ! » Il a l'air très en colère et je n'aime pas beaucoup ses injures. C'est donc tout naturellement que je me refugie dans les bras de Sylviane. Je me blottie contre elle comme une petite fille apeurée. « Eddy ! Calme-toi ! Ta femme à quelque chose à te dire. Écoute-la. » Mais aucun mot ne sort de ma bouche. « Très bien ! Je vais le faire moi-même. » Je n'ai pas le temps d'intervenir. « Cathy a un Maître. » « Quoi, un Maître ? C'est quoi ca ? Qu'est ce que c'est que ces conneries ! » « Comment te dire...C'est le résultat de pulsions humaines, qui aboutissent à l'envie d'obéir à une per***ne extérieure à *** couple et en qui ont a une confiance totale. Je sais, c'est dur à expliquer. Aussi dur que d'expliquer une érection non désirée, devant une lesbienne, par exemple. » « Tu m'embrouille le cerveau là ! Je ne comprends rien ! » Je me lève et retire ma jupe avant de m'approcher d'Eddy. Je me colle à lui, mes seins contre *** torse, *** sexe toujours dressé, entre mes cuisses. « Je t'aime, Eddy. Per***ne n'est à l'abri de ce qui m'arrive. Je veux le vivre, avec ou sans toi, mais je préférerais avec toi. Je t'expliquerai et tu comprendras. Tu verras. Je veux juste m'ouvrir à la vie et tout comme toi, ne plus résister à mes pulsions. » Je l'embrasse dans le cou tout en palpant ses testicules, puis je lui susurre à l'oreille que je l'aime. Il s'est calmé et semble perdu. Il ne dit plus rien. Peut être se résigne t'il ? Peut être reconsidère t'il *** futur, sans moi ? J'espère que non, car j'aime vraiment cet homme de tout mon cœur et de toute mon âme. Mais jamais plus, je ne pourrais vivre sans mon Maître. Aujourd'hui, j'en suis sur. Je le laisse à ses pensées et je m'agenouille face à Sylviane. Mes mains sur ses cuisses, je lève les yeux vers elle. « Sois indulgente. » « Tu sais, moi aussi, j'ai commencé un jour. N'ai pas peur, tout ira bien. J'en suis certaine. Fais-moi jouir, ma chérie. » J'écarte doucement ses grandes lèvres pour découvrir *** clito. Il pointe et réagit au passage de mon pouce. Les effluves que dégage cette grande rousse, ***t poivrées et enivrantes. Comme tout le monde, j'ai entendu des tas de choses sur les rousses, et je suis heureuse de constater qu'il n'en est rien, ou du moins, pas grand-chose. Un baiser timide, une pointe de langue, puis une autre plus frivole, plus présente. Je fais glisser le bouton rose entre mes lèvres pour le pincer légèrement et l'aspirer par de petites succions. Comme je suis heureuse d'entendre mon amie gémir grâce à moi. Confortée par le fait que je peux donner du plaisir, je m'aventure plus avant et plonge mon visage dans les chairs détrempées de cyprine. Je comprends très vite le pouvoir de ma bouche, associé à l'attouchement de mes doigts ou de mes pouces. « Haaa ! Je viens ! Regarde Eddy, comme ta femme me fait jouir ! Haaa ! Hoooo ! » Elle explose et se jette à terre, m'entrainant sous elle. Nous sommes comme deux serpents. Nous enroulons nos jambes, frottons nos ventres et mélangeons notre salive dans de grossiers et bestiaux baisers. J'aperçois furtivement Eddy. Il a les yeux exorbités et sa queue raide, sursaute toute seule, comme secouée par une main invisible. Il semble souffrir. Mais mon plaisir est plus important. Nous nous asseyons l'une en face de l'autre et approchons nos fentes juteuses jusqu'au contact. Penchées en arrières, en appuit sur nos bras, nous nous frottons comme des démentes, mélangeant nos liqueurs dans de longs gémissements. Des bruits de succions accompagnent nos plaintes, et nous invitent à nous donner encore, et encore. Nous jouis***s ensemble ou presque et nous nous écroulons au sol, comme deux loques. Au dessus de nous, le membre baveux de mon mari, s'agite toujours de haut en bas...de bas en haut, comme une marionnette à fil. Il me regarde, suppliant. « Suce-moi Cathy ! Je t'en supplie, suce moi ! Ne me laisse pas comme ca ! Tu feras ce que tu veux, mais suce moi ! » « Pas question, Cathy ! » Sylviane c'est relevée et elle s'équipe d'une ceinture gode, sortie de je ne sais ou. « Je n'en ai pas fini avec toi. Place-toi à quatre pattes face à ton mari. » Je m'installe, le pantin de mon homme à cinquante centimètres à peine de mon visage. Etrange sensation que les mains de Sylviane sur mes hanches. Etrange également, le contact du gland de latex contre mon vagin. Mais sentir mon con se remplir, me transporte une fois de plus dans le monde magique du plaisir. Sylviane me baise, fort, profond, sans ménagement. Je ne peux m'empêcher de lui crier : « Ouiii ! Plus fort ! Encore ! Ouiii ! » Je relève la tête et vois l'organe d'Eddy, aller et venir sous mes yeux. Mon visage ne s'arrête qu'à quelques millimètres. « Harggg ! Suce moiii ! Suce-moi, salooope ! » Je prends une claque sur les fesses. « Je te l'interdit ou je le répéterais à Sir Jeffer*** ! » Pourquoi a-t-elle prononcé ce nom. Le simple fait de l'entendre me donne un orgasme incontrôlable. « Ho, ouiiii ! Dis luiii ! Qu'il me punisse ! Je suis sa chose, *** jouet ! Je suis sa trainée ! Il doit me châtier ! Ouiiiii ! »
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chrislebo
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« C'est moi qui vais te punir, ma belle ! Tiens, prends ca ! » Sans préambule, elle quitte mon vagin et pénètre mon cul d'un coup. « Ho, ouiii ! Encule-moi ! Encule-moi fort ! Ouiii ! » Elle pilonne mon anus avec une ***** terrible. Le gland en arrivant en fin de course, propage une onde de choc incroyable dans mes intestins, mon ventre tout entier. Je ne crie plus, je hurle mon plaisir comme une hystérique. Mes yeux se voilent, inondés de bonheur. Pourtant, dans un ultime sursaut de lucidité, j'entrevois le sexe d'Eddy, s'arrêter de gigoter. Il semble vibrer, palpiter, battre comme un cœur. Et c'est l'explosion. Des jets plus puissants, les uns que les autres, atteignent mon visage, éclaboussent mes joues, souillent ma bouche, mon menton. D'autres finissent leurs courses dans mes cheveux et même dans mon dos. Tout ceci semble plonger Sylviane dans une sorte d'euphorie. Elle rit et pleure tout à la fois, injuriant et encourageant mon mari. « Ouiii ! Vas-y, connard ! Salit la, souille la ! Mais regarde, cocu ! C'est moi qui la baise ! Hahaha ! Vide-toi bien, mais c'est moi qui remplis *** cul ! » Soudain, il y a un grand éclair et c'est le noir. Je viens de m'évanouir. Lorsque je reviens à moi, Sylviane et Eddy ***t penchés sur moi. « Ca vas aller, chérie. Tu as perdu connaissance. Je vais t'aider. Nous rentrons à la mai***. » « Non Eddy ! Ce soir, je reste ici. » Il soupire et résigné, il se lève puis sort de l'appartement. Il y aura du travail, des discutions, des concessions à faire, mais c'est décidé, je commence ma nouvelle vie de soumise. Dans les bras de sylvaine, je m'endors pour une douce et longue nuit, peuplée de rêves érotique.
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chrislebo
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J'ai dormi comme un loir. A mon réveil, l'appartement est désert. Sylviane est déjà partie à *** travail. Sur la table de la cuisine, un petit mot griffonné sur une serviette en papier. -Fais comme chez toi. Claque la porte en sortant. Bisous. Sylviane- Je ne commence qu'à neuf heures. Ca me laisse le temps de déjeuner tranquillement et de prendre une douche. Je passe chez moi pour me changer. Eddy est déjà parti et j'ai du rater Amandine de peu. La journée est longue et j'appréhende la soirée. Mon mari ne manquera pas de me demander des explications. Quoi lui dire ? Comment lui faire comprendre ? Et pour couronner le tout, j'ai rendez vous avec Sir Jeffer*** demain, et Eddy va passer *** samedi seul, une fois de plus. « Au revoir docteur ! À lundi ! » « Bon week-end Cathy et à lundi ! » Amandine fait ses devoirs dans sa chambre et Eddy est dans la cuisine. Fébrile, je vais voir ma fille en premier. « Bonjour ma chérie, tu va bien ? » « Oui, ca va. Tu sens comme ca sent bon ? Papa m'a dit qu'il allait nous faire un bon petit plat. » « Hum ! Je vais aller espionner pour voir ce que ca peut être. Comment est-il ? De bonne humeur ? » « Ben ! Comme d'hab., quoi ! » Je suis très surprise car en général, quand Eddy est fâché, c'est moi qui cuisine. Lui, il fait grève. Le cœur battant, j'entre dans la cuisine. Il est aux fourneaux et me tourne le dos. « Bonjour chéri. » « Ha ! Bonjour mon amour ! Je ne t'avais pas entendu rentrer. Tu vas bien ? » Il semble souriant et continu à touiller ses gamelles. Rassurée par *** accueil, je me glisse dans *** dos et entoure sa taille de mes bras. « T'es pas fâché ? » « J'ai bien réfléchi et si je veux te récupérer, ce ne sera surement pas en faisant la gueule. Alors... » « Me récupérer ? Mais tu ne m'as jamais perdu, chéri ! » « Pourtant, hier ! Cette soirée avec Sylviane et cette histoire de Maître ? » « Rien à voir ! Sylviane ca n'a été qu'un jeu ! Surprenant, c'est vrais, mais ne me dis pas que ca ne t'a pas plu ! » « Heu ! Le partage, tu connais ? Ca m'aurais surement amusé si moi aussi j'avais pu jouer avec elle ! Tu vois ce que je veux dire ? Et ce Maître c'est quoi, ca aussi ? » J'ai très peur que le ton monte, mais il est trop tard pour faire machine arrière. C'est maintenant que je dois tout essayer d'expliquer. Une heure plus tard... « Tu comprend que pour moi, ce que tu me demande est terrible. Tu me demande de te partager, et d'avoir le droit de vivre deux vies. Tu veux que j'accepte l'impensable. Moi, par amour pour toi, j'essayerai, mais à deux conditions. Je veux rencontrer ce Maître et je veux également faire partie de temps à autre, de ta deuxième vie. » « Je le vois demain. Je lui en parlerai, je te le promets. » « Demain ? Tu ne perds pas de temps à ce que je vois ! » Samedi treize heures. Tandis qu'Eddy c'est jeté dans la vaisselle, je me prépare dans la chambre. Il y a une tension palpable entre nous, mais Eddy fait *** possible pour rester positif. Je suis vite prête. J'enfile une robe d'été blanche et une belle paire de Platform blanches également. Un petit sac assorti en bandoulière et je suis parée. « Tu es ravissante. » « Merci, chéri. » « Ou vas-tu maman ? » « Ta mère vas voir une vieille tante malade, elle ne sait pas quand elle rentrera. » Il me fait un clin d'œil discret. « Merci chéri. Je t'aime. » « Je t'attendrais. File, tu vas être en retard ! » Je me rends compte à cet instant précis, que j'ai épousé l'homme le plus extraordinaire de toute la galaxie et de ses environs. Dans le métro qui me conduit de l'autre coté de la ville, je ne passe pas inaperçue. Non seulement à cause de mon collier, mais également à cause de la finesse de ma robe. Elle est d'ordinaire déjà très sexy, laissant deviner les dessous, mais là, sans rien... Je n'avais pas pensé à ca en l'enfilant. Pour ce qui est de mon collier, je m'y habitue très vite et je trouve même plaisir maintenant, à voir des regards se poser sur moi, ou entendre des commentaires pas toujours gentils. La provocation commence, semble t'il, à m'exciter. Mon Maître n'est pas là et je fais les cent pas devant le zoo. Je ne serais pas surprise que l'ont viennent me demander mes tarifs. Enfin, j'aperçois sa voiture. Je grimpe dedans et après un « Bonjour Maître », je me dépêche de faire sauter deux boutons au bas de ma robe et de faire de même pour le haut. Mes jambes écartées, laissent entrevoir l'intérieur de mes cuisses et la moitié de ma poitrine est visible. Voilà qui devrait faire plaisir à mon Maître, mais... « La prochaine fois, n'attends pas que je sois là pour le faire ! Ou tu seras punie ! » J'allais lui dire « Oui, Maître. » mais il me coupe la parole. « J'ai reçu un appel d'Homia. » « Je ne connais pas cette per***ne, Maître ! » « Tu la connais mieux sous le nom de Sylviane. Elle m'a rapporté votre petite sauterie d'hier soir ! Qu'as-tu à dire à ce sujet ? » Je n'aurais jamais imaginé que Sylviane raconte notre soirée à Sir Jeffer***. Je suis prise au dépourvu et ne sais pas trop quoi dire pour ma défense. « Rien Maître. J'ai été faible et désobéissante. Je vous demande pardon. » « Tu sera punie pour ca ! Et ton mari, maintenant qu'il est au courant de ta vie extraconjugale, que pense-t-il de tout ca ? Comment a-t-il réagi à l'idée que tu appartiennes à ton Maître ? » « Il désire vous rencontrer. Il s'interroge et est très inquiet. Mais je le sens à l'écoute. » « Très bien ! Je le rencontrerais et j'en ferais un cocu volontaire. Tu aimeras, tu verras. Maintenant, descends ! Je voulais t'exhiber, mais je ne tiens pas à me mouiller.» Pauvre de moi, il tombe une grosse pluie d'orage. « Maître il... » « Considère que c'est ta punition, et estime toi heureuse, je pourrais exiger que tu rentre à pied ! Allez, descend ! Je t'appellerais. » En me rendant vers le métro, je constate que ma robe n'est plus blanche, mais rose. Mouillée, elle ne me cache plus et elle est devenue quasiment transparente. Elle colle à mon corps laissant apparaitre mes seins, mes cuisses et mes fesses. J'aperçois même un grain de beauté, alors mes tétons...n'en parlons pas. Par chance, elle sèche rapidement dans le courant d'air des couloirs souterrain, non sans avoir attiré plusieurs regards intéressés J'attends un métro, lorsque mon portable ***ne. C'est mon Maître. « Allo, Maître ? » « J'ai changé d'avis. Rends-toi dans le hall de l'immeuble, près de l'épicerie et attends-moi ! » Il a raccroché. Heureusement pour moi, j'ai bien retenu le trajet et je m'y rends sans hésitation. La pluie a cessée et c'est sèche que j'arrive au rendez vous. J'attends depuis une bonne demi-heure et je commence à désespérer, lorsqu'il arrive enfin. Il m'invite à le suivre. Il marche vite et je dois allonger mon pas pour ne pas me faire distancer. Il s'arrête devant un petit cinéma de quartier et prend deux places. Nous entrons. Tout c'est passé si vite que je n'ai même pas eu le temps de voir ce qui était programmé. Mais l'image sur l'écran ne laisse aucun doute sur la nature du film. Nous restons là un instant, sans aller plus avant dans la salle. « Retire ta robe ! » « Maître, non, je... » « Tu ne désire pas obéir ? Alors retourne à ta petite vie minable ! » Penaude, je déboutonne lentement ma robe. Un regard rapide à la salle et je vois une dizaine d'hommes. Ils nous tournent le dos et n'ont pas remarqué notre entrée. Je donne ma robe à mon Maître et celui-ci accroche ma laisse. « Mets tes mains dans ton dos et marche devant, lentement. Nous allons faire le tour de la salle. Avance ! » Je frémie à l'idée d'être ainsi exposée. Je dois être rouge coquelicot, mais dans l'obscurité, per***ne ne le remarquera. Je commence mon chemin de croix, lentement, comme désiré par mon Maître. Je regarde devant moi, n'osant pas tourner mes yeux vers les fauteuils. Nous arrivons en bas et je tourne à gauche pour passer devant l'écran qui nous surplombe.
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chrislebo
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Un homme est assit dans la première rangée, bien au centre et je ne peux pas faire autrement que de le voir. Il me regarde arriver vers lui, les yeux exorbités. Lorsque je passe à sa hauteur, je m'attends à être touchée ou recevoir une tape sur le cul. Mais rien. Je tourne de nouveau à gauche pour remonter la salle par l'autre allée. Les hommes, pour mieux me voir, ce ***t tous installés dans les fauteuils qui la bordent. Nous atteignons le fond de la salle. « Maintenant, c'est moi qui te conduit. Laisse-toi tirer en laissant la chaine tendue. » Il avance en passant la laisse au dessus de *** épaule. Nous redescendons de nouveau l'allée. Il me tire, comme on tire un chien, déformant mon collier Mais cette fois, les hommes ***t bien moins sages, et chacun y vas de sa caresse ou de *** claquage de cuissot. Nous repas***s devant l'écran. L'homme du premier rang est toujours là, mais il a dégagé *** sexe et se masturbe en me regardant. Lorsque je passe à sa hauteur, il glisse une main furtive entre mes cuisses pour caresser ma chatte. Grace à cet attouchement, je remarque que je mouille abondement. Ca ne s'invente pas, cette petite ballade m'excite. Contrairement à ce que je pensais, mon Maître, ne remonte pas, mais ce dirige vers une porte marquée « Toilettes ». Ca m'effraie un peu. Nous pas***s la porte et entrons dans un petit couloir sombre. Une vieille moquette rouge et poussiéreuse habille les murs et deux ampoules de soixante watts tentent d'éclairer le tout. Une forte odeur se dégage. Acide et poivrée à la fois. Dire que ca pue serrait mentir. C'est une odeur forte, certes, mais enivrante et troublante à la fois. Nous débouchons dans les toilettes. C'est une grande pièce ronde. A droite, quatre portes, à gauche six urinoirs et au centre un lavabo rond avec six robinets. Mon Maître me détache, me laisse près du lavabo et va s'adosser contre le mur. Deux hommes ***t en train d'uriner. Ils se tournent pour me regarder puis, d'autres qui viennent de la salle débarquent dans les toilettes. Très vite, tous les spectateurs ***t présents. Je suis pétrifiée par la peur, ne sachant quelle attitude avoir. Je reste mains dans le dos, les fesses appuyées à la faïence froide. Le premier qui s'approche est un grand black, sculptural. Il fait une tête et demie de plus que moi. Il pose directement une main sur mon sexe et y fait pénétrer *** majeur. *** doigt est si long, que je pourrais le confondre avec une queue. Il s'enfonce profond, appliquant une pression incroyable, si forte que j'ai l'impression qu'il va me soulever. Je m'agrippe au lavabo pour ne pas perdre l'équilibre. Sir Jeffer*** intervient. J'en suis surprise. Ce n'est pas *** genre. Il pose le pommeau de sa canne sur le torse de l'homme et le tapote un peu. « Comme tu y va, jeune homme. Tu pourrais demander la permission ! Rassure toi, vous allez tous la baiser, mais avant, je voudrais qu'elle se présente. » Il s'approche de moi. « Tu sais de quoi je parle ? » « Heuu ! Non, Maître, je ne vois pas. » « Menteuse ! Tu seras punie, pour cet affront ! Homia t'a appris à te présenter ! C'est vrais ou pas ? » Il hurle dans mes oreilles et sa voix grave ré***ne dans les toilettes. Effectivement, Sylviane m'a vaguement parlé d'un rituel de présentation et m'en a montré la base rapidement, estimant que chacune devait le faire comme elle le ressent. Pour la première fois, mon Maître me fait peur. Tétanisée, je lui réponds craintivement. « Oui, Maître, c'est vrais, mais... » « Tu va te présenter, mais nous attendons un invité. Il ne devrait pas tarder ! » Un silence pesant s'installe dans la pièce, juste troublé par une chasse d'eau qui fuit. Les hommes ne disent mot. Ils se contentent de me regarder. Certain se masturbent doucement, prenant bien garde de ne pas jouir. Ils ne peuvent oublier que Sir Jeffer*** leurs a promis qu'ils me baiseraient. Invité surprise ? Qui cela peut il bien être ? Surement une de ses connaissances. Un autre Maître, peut être ? L'attente me parait une éternité. Puis, j'entends la porte s'ouvrir...des pas dans le couloir...et Je crois défaillir, lorsqu'Eddy entre dans les toilettes. Mais je pense que lui aussi doit sentir ses jambes devenir molles. D'instinct, je place un bras sur mes seins et une main sur mon sexe. « Eddy ? Qu'est ce que...Qu'est ce que tu fais là ? » « Et toi, salope ? Qu'est ce que tu fou à poil au milieu de ces mecs ? Espèce de petite dépravée ! Sale pute !» Il fonce vers moi. J'ai peur qu'il ne me frappe, mais mon Maître l'arrête. « Elle fait ce que je lui dis, Eddy ! Tu voulais me rencontrer, voilà, je suis là ! » Mon homme, à les yeux qui lancent des éclairs à Sir Jeffer***. « Haa ! Cool ! On se tutoie alors ? C'est donc toi le pseudo « maitre » de merde, qui débauche ma femme ? Tu va lui foutre la paix et plus vite que ca ! » Sir Jeffer***, reste d'un calme étonnant. C'est dans un moment comme celui-ci que *** charisme prend toute sa dimension. Eddy en est troublé, je le vois. Il devient moins furieux, bredouille, bafouille et baisse parfois les yeux. Je crois qu'il se rend compte que face à cette ***** de la nature, il n'est pas très crédible. Le pommeau de la canne se pose sur *** épaule droite et le pousse doucement contre le mur. « Non Eddy ! On ne se tutoie pas ! Je TE tutoie ! Tu crois avoir des droits sur cette femme, Eddy ? » « Ben, plutôt, oui ! C'est la mienne, pas la votre, merde ! » Malgré ma gêne et mon désarroi, je m'amuse de voir mon mari baisser ainsi sa garde. Il vouvoie mon maître, sans même s'en apercevoir. « Peut être pourrions nous lui demander ? N'est ce pas Léna ? » « Pff ! Léna ? Vous prétendez la connaitre, vouloir la changer et vous ne savez même pas *** prénom ? C'est Cathy, pauvre idiot ! » « Pour le commun des mortels, surement ! Pour moi c'est Léna ...et Léna va reprendre une position digne de moi, AVANT D'ETRE PUNIE ! » Je sursaute et me redresse d'un coup. Je remets mes mains dans le dos et écarte mes jambes. Eddy me regarde faire, ahuri par mon comportement. « Ben vas-y-toi ! En plus tu lui obéis, au doigt et à l'œil ? » « Oui Eddy ! Elle m'obéit ! À ce propos, elle était sur le point de se présenter à ces messieurs. » « Se présenter ? Mais vous êtes tous fou ! *****r une femme à... » « Léna ! Est tu forcée de quoi que se soit ? Répond ! » « Non Maître, je suis ici de mon plein gré, sans contrainte d'aucune sorte, et je peux partir quand je veux. » Le pauvre Eddy s'arrache les cheveux. « C'est pas possible ! Je rêve ! Je vais me réveiller ! » « Oui, Eddy ! Tu vas te réveiller et découvrir ce qu'est vraiment celle que tu appelle Cathy. C'est la rai*** pour laquelle je t'ai fais venir. Maintenant, Léna, présente toi à nous ! » J'ai très envie de protester. Se présenter devant des inconnus était déjà une chose très difficile, mais en plus devant Eddy, ca devient tout simplement humiliant et rabaissant. Me revient une phrase qu'Eddy a prononcée. « Je veux rencontrer ce Maître et je veux également faire partie de temps à autre, de ta deuxième vie. » Et bien, soit ! Même si c'est avilissant pour moi, il est temps de montrer qui je suis vraiment à mon mari. Je prends une grande respiration, et tremblante, je commence ma présentation. « Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! » J'ouvre grand la bouche et tire sur les commissures avec mes index. Je tourne la tête pour que chacun aperçoivent bien l'intérieur de ma bouche et ma langue. Mon regard croise celui d'Eddy. Il semble calme, résigné même. Il est appuyé contre le mur, mains dans le dos, à deux pas de mon Maître. Mais j'ai très peur que la suite lui plaise moins.
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chrislebo
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Je cambre mes reins et fléchis mes jambes pour pousser mon vagin vers l'avant. Je l'ouvre de mes doigts en tirant sur mes grandes lèvres, à m'en faire mal. « Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! » Une fois de plus, je tourne lentement de droite à gauche. J'aperçois mon mari épier les réactions des hommes. Puis, je me tourne, me penche en avant et écarte mes fesses. « Voici mon cul, pour que vous m'enculiez ! » Lorsque je reprends ma position initiale, je suis rouge comme une pivoine. « Mes orifices vous appartiennent, mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, l'instrument de votre jouissance. » Jamais je n'ai eu honte de la sorte. J'en ai les larmes aux yeux. Puis, Sir Jeffer*** s'adresse au grand black... « Voilà ! Maintenant elle est à toi et aux autres ! » Ce n'est pas du tout du gout d'Eddy. « Pas question ! Rhabille-toi ! On s'en va ! » J'hurle. « EDDY ! CESSE TOUT DE SUITE OU VAS-T'EN ! » Et comme pour appuyer encore ma phrase, je saute au cou du black et l'embrasse de façon indécente et provocatrice. Tandis que l'africain me serre contre lui et que d'autres commencent à me caresser, Sir Jeffer*** écarte Eddy pour lui parler. Je me laisse tomber à genoux pour me délecter du black, et j'attrape deux sexes au hasard, que je masturbe doucement. La verge qui a pris possession de ma bouche, est immense et dure comme de la corne. Les « on dit » sur le sexe des noirs se confirment, ici. Par moment, entre deux jambes, j'entrevois Eddy. Il écoute mon Maître sans rien dire en m'observant faire. Parfois je le vois même acquiescer de la tête. Rassurée par *** calme revenu, je me donne entièrement à mes hommes du moment. Le grand black libère ma bouche. « Je me réserve pour ton cul, tout à l'heure ! » L'idée de me faire défoncer par ce pieu m'effraie un peu, mais m'excite tout à la fois. « Allez ! Venez là, que je vous boive ! Donnez-moi vos queues ! Humm ! Je suis votre salope ! » Des phrases comme celle-ci, je n'aurais plus l'occasion d'en redire durant les trois quart d'heure qui suivent. Ma bouche est continuellement encombrée de queues qui se vident aussi rapidement qu'elles la pénètrent. Les éjaculations se succèdent à une cadence presque infernale. Parfois, je n'ai même pas le temps de finir d'avaler qu'une autre bite se présente déjà. Je me délecte de ces nectars chauds. Je ne suis plus moi-même, je suis passée de l'autre coté, du coté de ma vrais nature. Un homme me relève. « On veux ta chatte maintenant, on veux te baiser, putain ! » « Ho, ouiii ! Baisez-moi fort ! Remplissez-moi ! Je suis votre chienne !» Je pose mes fesses sur le bord du lavabo et écarte mes cuisses en grand. J'ouvre ma chatte de mes doigts et provoque le membre dressé devant moi. « Viens, salaud ! Viens me remplir ! Viens me faire jouir ! Regarde comme je mouille ! » Le choc est violent. L'homme m'a pénétré d'un coup en prenant *** élan. Il me baise avec frénésie et dévore ma langue en même temps. Il semble être dans une sorte de transe. Le flot de miel brulant qu'il me déverse au fond du ventre attise mon plaisir, mon envie. « Ouiii ! C'est bon de vous sentir ! Encore ! Encore ! vite ! Laissez-moi devenir votre putain !» Combien se videront ainsi dans ma chatte, rougie par le frottement des poils pubien ? Une dizaine je pense. Mais pas le temps de calculer. Me voici debout, penchée en avant, mains au mur et la tête au dessus d'un urinoir. Des mains palpent mes seins, d'autre mon vagin, alors qu'un gland pousse sur ma pastille brune. Mes chairs en demande, s'écartent et acceptent le membre vigoureux. « Ouiii ! Encule-moi fort ! Défonce mon cul ! Défonce-moi ! Haaa ! J'aime me faire enculer ! » Le type ne se fait pas prier et me pilonne l'anus sans retenue. Les liqueurs bouillantes, très vite, se mélangent dans mes intestins. Le grand black, me défonce le dernier. Défoncer est bien le mot, et j'avoue que si je n'avais pas été lubrifiée par les nombreuses semences, j'aurais surement hurlé de douleur. *** gland atteint mon colon et repousse dans mon intestin les foutres gluants. Lorsqu'il éjacule enfin, il me semble que tout remonte jusqu'à mon estomac. C'est comme ci je subissais un lavement au sperme. Epuisée, en sueur, je tombe à genoux. C'est ainsi que je retourne au centre de la pièce, mes genoux glissant sur le carrelage, taché de ci de là par des gouttes suspects, grasses. J'aperçois mon Maître et mon mari. Le premier semble satisfait de sa poubelle humaine et le second, à n'en pas douter, s'interroge encore sur ce qu'il vient de vivre. Revenue au centre de mes hommes, je tends les mains. « J'en veux encore ! Salissez-moi ! Souillez-moi ! Je veux être couverte de votre foutre ! Votre chienne veut être sale et odorante ! » Je n'ai pas fini ma phrase qu'un jet puissant vient éclabousser mon bras. D'autres suivent. Les hommes se branlent et jouissent sur mon visage, mes seins. Prise de folie sexuelle, j'étale le jus sur mon corps, je me masse et fait pénétrer cette crème épaisse. Puis les jouissances se font plus rares, plus espacées. Fatiguée, je me relève doucement et me présente face à mon Maître, sans un regard pour mon époux. Il me tend ma robe et mon sac. « Je passerais chez toi. Ton mari commence à comprendre, semble t'il. Ce soir je t'autorise à avoir un rapport avec lui. Ce soir, et ce soir seulement ! Tu peux rentrer. » « Merci Maître. » Eddy, sans un mot, m'aide à remettre ma robe, qui redevient transparente aux endroits où les souillures ***t encore présentes. Il essuie mon visage à l'aide d'un mouchoir en papier, puis, il prend gentiment ma main pour m'emmener à la voiture. Il pleut de nouveau à grosses gouttes. J'écarte mes bras et lève la tête au ciel. L'eau froide me fait du bien. Je suis heureuse.
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vanbruje
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Holà... fameux... Merci PS: dommage pour cette stupidité "pudibonde" des ************
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chrislebo
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A faire l'idiote sous la pluie, voilà ma robe de nouveau transparente. Ca n'a pas l'air de gêner Eddy. Je l'observe, à chaque feu rouge, qui me déshabille du regard. Il s'égare aussi sur mes cuisses, dégagées par trop de boutons défaits et mes jambes écartées. Soudain, sans motif apparent, il s'arrête et se range le long du trottoir, puis il coupe le moteur. « Il faut qu'on parle, que je te parle. » « Eddy, ca ne pourrait pas attendre qu'on soit à la maison ? » « Ca concerne cet après midi. » « Bon, c'est bien ce que je disais, ca peut attendre que l'on soit rentrés. Ecoute, Eddy, je me sens bien et détendue, et je n'ai ni l'envie, ni la ***** d'affronter une scène de ménage. Alors ou tu repars ou je prends le métro et je rentrerai ...demain... peut être. » « Mais non, chérie ! Je n'ai pas l'intention de te faire une scène ! » Il s'est tourné vers moi et me caresse les cheveux de sa main droite. « Tu sais, j'ai beaucoup parlé avec Jefferson et... » « SIR Jefferson, s'il te plait ! » « Ho ! Pardon. J'ai beaucoup parlé avec Sir Jefferson et... » « Que t'a-t-il dit ? » « Cathyyy ! Cesse de me couper la parole et écoute ce que j'ai à te dire. C'est assez dur comme ca ! Et bien voilà. J'ai beaucoup parlé avec Sir Jefferson et je dois reconnaitre qu'il est très persuasif. Il m'a ouvert les yeux et l'esprit sur pas mal de choses. Et...je voulais te dire que... ce que j'ai vu et ressenti... m'a plut et excité. Voilà. » Etonnée, je me tourne vers lui. Il est rouge de honte. Je lui offre mon plus beau sourire. « C'est bien vrais ce que tu viens de me dire ? Prouve-le, alors ! » Sans attendre, il se penche sur moi et m'embrasse fougueusement. Sa main gauche s'égare dans mon décolleté et il caresse mes seins comme le ferrait un adolescent avec sa première conquête. Mais soudain, il retire sa main et la regarde d'un air dégouté. Je ne peux m'empêcher d'éclater de rire. Elle est toute gluante de foutre et il ne sait plus quoi en faire. « Hahaha ! Ca t'apprendra de n'avoir nettoyé que mes joues. T'a l'air fin, maintenant ! Hahaha ! » « Attends, coquine ! Tu vas voir ! » Nous voilà tout deux, chahutant dans la voiture, comme des enfants. Eddy, bien plus fort que moi, gagne et essuie sa main sur mes joues. Nous rions à en pleurer, puis après un autre long et doux baiser, nous repartons. A un feu, je vois Eddy passer sa langue sur ses lèvres. « Qui a-t-il ? Tu a les lèvres gercées ? » « Non, non ! Ce n'est pas du tout ca. C'est ton baiser...Il était salé ! » J'éclate de rire de nouveau. « Hihihi ! Et tu ne sais pas pourquoi ? Tu n'a même pas une petite idée ? » Il réagit et fait une petite grimace. A peine dans l'appartement, il me prend dans ses bras et me serre fort contre lui. « Embrasse-moi ! » « Hihi ! Tu sais, ca risque d'être encore salé ! » Mais, semble t'il surexcité, il prend ma bouche et la dévore. Puis, semblant perdre le contrôle, il embrasse et lèche mes joues et mon cou, ou là aussi, je le sens, des restes de jouissances sèchent lentement. « Eddyy, arrêteeee ! » En colère, il me repousse et s'appuie contre le mur. « Ha oui, j'oubliais ! Tu n'a pas le droit de faire l'amour avec ton mari ! » Je m'approche de lui et pose mes mains sur ses joues. « Mais si ! Sir Jefferson m'a donné l'autorisation pour ce soir. Tu peux me baiser ! Tu es content ? » Il me reprend dans ses bras. « Évidement que je le suis ! Vas vite prendre une douche, d'accord, » « Non ! Pas d'accord ! Je veux faire l'amour encore souillée, comme ca ! » « Tu es sur ? »
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chrislebo
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« Oui, je veux que tu me sentes remplie du plaisir de ces hommes et que tu y rajoutes le tiens. » Il passe ses avant bras sous mes fesses et me soulève. Il m'emmène ainsi jusqu'à la chambre et il me jette sur le lit. Après m'avoir sauté dessus et enfourché, il arrache les boutons de ma robe pour l'ouvrir en grand. Une forte odeur se dégage de tout mon être et je ne pense pas qu'Eddy aille jusqu'au bout de mes désirs. Pourtant. Il retourne dans mon cou, descend et lape chaque parcelles de ma peau, jusqu'à mes seins. Eux aussi ***t nettoyés et léchés avec application. Mon nombril est débarrassé d'un jus stagnant, qui avait coulé là, dans le plus fort de la bataille. Fier de lui, il se redresse en se léchant les babines. *** regard trahi sa honte, mais également *** plaisir à avoir fait une chose auquel il n'aurait jamais pensé auparavant. « T'arrête pas ! Continu ! » Soudain, devant cet homme qui vient de s'avilir seul, cet homme qui me regarde avec du sperme séché autour des lèvres, je me sens plus grande, plus forte. « Continu ! Lèche-moi ! » « Heuu ! Là ? Non, merci ! Hihi ! » « C'est pas une demande, Eddy ! C'est un ordre ! Bouffe-moi la chatte ! » Je me sens prise par une étrange fièvre. « Ho ben non, Cathy, c'est... » « Moi, c'est Léna et bouffe ca, connard ! » Je l'attrape par les cheveux et je trouve la ***** de lui baisser le visage jusqu'à quelques centimètres de mon sexe. En un éclair, je me rends compte que j'y suis allée un peu fort, et je m'attends à une énorme rébellion. « C'est bon, c'est bon, Léna ! Lâche mes cheveux ! Je vais le faire ! » Pas de rébellion ? Il m'appelle Léna ? Je suis envahie par un étrange sentiment de puissance. Il s'est passé quelque chose, c'est certain. Serrais-je en train de prendre autorité sur mon mari ? Hésitante, j'essaie quelque chose. « T'a intérêt à le faire ! Et à bien le faire, si tu veux jouir ce soir ! Nettoie bien tout les recoins, cocu ! » « Oui, Léna ! » « Maitresse Léna ! » « Oui, Maîtresse Léna ! » Je n'en reviens pas. J'arrive à soumettre Eddy à ma volonté. C'est divin et je comprends mieux le plaisir qu'éprouve Sir Jeffer***. Il sera fier de moi. Il tire un bout de langue ridicule pour lécher mon clito. Puis, hésitant, il descend le long de ma fente. « On va pas y passer la journée, cocu ! » J'appuis de toute mes *****s sur *** crane et sa bouche s'écrase sur mon vagin poisseux. Je le maintiens ainsi, et il n'a pas d'autre alternative que de faire ce que je lui ai demandé. Je sens toute sa langue plonger dans le liquide visqueux et odorant, qui encombre encore ma chatte. Il renifle, avale et tousse un peu. Mais très vite, mon plaisir rajoute au travail à faire. Il aspire de grandes quantités de jus, dans des bruits de succions liquides. Mon cerveau se met à l'envers et je craque. « Viens ! Viens me baiser, mon chéri ! Viens vite me remplir ! Haaa ! J'en peux plus ! » Inutile de lui dire deux fois et *** pantalon descend à ses genoux en une fraction de seconde. Jamais je ne l'ai connu si fort bandé. Il me pénètre jusqu'à la garde, m'arrachant au passage un râle inhumain. Il prend aussi ma bouche, sans hésiter et par surprise. La forte odeur et le gout amer me font tourner la tête. « Ha, non ! Petite trainée ! Tu as voulu te faire remplir, putain ! Et bien, tu vas y goutter aussi, espèce de morue ! » Sa main coince ma mâchoire et il m'embrasse en me crachant dans la bouche. Emportée dans un tourbillon de folie, je cède et finie par apprécier l'étrange mixture. Eddy, trop longtemps privé, explose et se vide, les larmes aux yeux. Cette nuit, nous referons l'amour dans la salle de bain, dans la cuisine, dans notre chambre...salle de bain...
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chrislebo
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Une semaine c'est écoulée et nous avons reprit notre vie, comme avant, à un détail près. De nouveau, j'interdis à Eddy de me toucher. « Ca commence à me gaver, tes conneries ! » C'est ce qu'il m'a dit hier. Lui qui me disait avoir compris. Je n'en suis pas si sur aujourd'hui. C'est vendredi et je sens que le week-end va être morose. Ce qui m'ennuie, c'est que je ne voudrais pas qu'Amandine en pâtisse. La ***nette retentis et Eddy va ouvrir. « Cathy ! C'est pour toi ! C'est ta gouine ! » « Eddy ! Je t'interdis de parler comme ca ! Je suis désolée Sylviane. » « C'est pas grave chérie, il est juste frustré et aigri, le pauvre homme. Je viens chercher Amandine. » « Amandine ? Ha bon ? Pourquoi ? » « Ben ! Tu n'es pas au courant ? » « Au courant de quoi, Sylviane ? » « Sir Jeffer*** m'a téléphoné pour que je la prenne chez moi , cette nuit ! » « Quoi ? Qu'est ce que ca veux dire ? Qu'est ce qui lui veut ? Il n'en est pas question ! » « Mais non, Cathy ! Ce n'est pas ce que tu crois. Il m'a demandé de prendre ta fille, parce que ce soir...Il mange chez toi ! » « Ho c'est pas vrais ! Eddy va péter un plomb. Houlàlà ! Surtout ne pas paniquer. Heuu ! Commençons par le début. AMANDINE ! Viens là mon cœur ! » J'ai une grosse bouffée de chaleur et mon cœur s'emballe. Une fois Amandine partie, je vais voir Eddy qui est à la cuisine. « Chéri, j'ai un truc à te dire. Promets-moi de ne pas te fâcher. Tu veux ? » « Qu'est ce que tu a encore trouvé pour m'emmerder !? » « Ce n'est pas moi Eddy, c'est...Heuu ! Bon !... Sir Jeffer*** vient manger à la mai***, ce soir ! Voilà ! » Il pose ce qu'il a dans les mains et sort furieux de la cuisine. « Bon ! Moi, j'en ai mare ! Je me tire. » « Qu'est ce que tu fais ? Tu ne peux pas me faire ca ! J'ai besoin de toi, là ! » « En es tu sure, Cathy ! Moi je dirais que tu a besoin d'un bouffon, pas d'un mari. Je te laisse en tête à tête avec « ton Maître » vénéré ! » Affolée, je tente le tout pour le tout. Je tombe à genoux et je serre ses jambes dans mes bras. « Si tu t'en va, tu me perds ! Tu me perds pour toujours ! Eddy ! Reste et je serrais ton esclave, tu pourras faire ce que tu veux de moi, je serrais ta chienne ! Je dormirais par terre si tu le veux, mais reste ! Je t'en supplie ! » Seules les femmes savent faire ce genre de choses. Et j'atteins mon objectif. Mon mari prend pitié. « Rhoo ! C'est bon ! Relève-toi et arrête ton cinéma ! Mais c'est la dernière fois. Tu le diras à Sir machin truc ! » « Sir Jeffer***, chéri ! Sir Jeffer*** ! » Il retourne à la cuisine. Fière de moi, je me relève et sèche mes larmes de crocodiles. Je file dans la chambre pour me changer. Mon Maître s'invite chez moi ! Quel honneur ! Je veux être éclatante de beauté. J'ouvre placard et armoire et cherche, la tenue qui scotchera mon Maître. Porte jarretelle, bas noirs à coutures. Ha oui, cette délicieuse robe noire. Elle est si courte qu'elle ne cache pas le haut de mes bas, et laisse une bande de chair rose apparaitre. Elle est également très décolletée, épaules et dos nus, et n'est retenue que par de très fines bretelles. Pour compléter ma tenue, je choisie des escarpins talons aiguilles. Ils ***t vernis noirs et ***t original par leurs semelles rouges. J'oubliais...Les aiguilles font seize centimètres et de ce fait je ne repose que sur mes doigts de pied. Ca me fait des jambes magnifiques et une silhouette de rêve. C'est dur de marcher avec ce genre de chaussures, mais ca vaut vraiment le coup, lorsque l'on veut plaire. Une heure trente plus tard, je me présente en cuisine. « Je te plais ? » « Ha oui, énormément ! Tu feras beaucoup d'effet quand tu seras sur le trottoir à tapiner ! Bravo ! » « T'es vexant, Eddy ! Mais ca sent tellement bon, que je te pardonne. » Je prends des gants avec mon homme. Je n'ai pas trop envie qu'il me plaque maintenant. On a ***né à la porte et c'est le cœur battant que je vais ouvrir. « Bonjour Maître. Ho ! Mais vous n'êtes pas seul ? » « Maître Yang et Sir Agnimel m'accompagnent. Tu connais Chastity et Viola. » Cinq, ils ***t cinq. Je suis complètement décomposée. Eddy vas me tuer. Mais en attendant, je les fais entrer et les conduit au salon. Les hommes s'installent dans le canapé. Sir Jeffer***, trône au centre, alors que les filles se ***t placées près des deux autres hommes, debout et mains dans le dos. Chastity est habillée à l'identique du jour ou je l'ai rencontré. Mais je découvre une des tenues de Viola, que je n'ai connu jusqu'ici qu'en chasuble transparente. Elle porte un robe noire,courte et moulante, avec de nombreuses déchirures sur le coté qui laissent apercevoir ses cuisses et le coté de *** sein gauche. Ca lui donne un petit air sauvage. Elle est grimpée sur des sandales à talons aiguilles de douze centimètres, en satin noir, maintenues à la cheville par des brides serties de brillants étincelants. Elle est superbe et troublante. En ce qui concerne les deux hommes, Maître yang, comme *** nom l'indique, est asiatique. Pas très grand, cheveux gri***nants, il a un regard pervers qui m'effraie un peu. Sir Agnimel est un immense africain d'une quarantaine d'années, au crane rasé. Il est imposant et appelle au respect par *** charisme. D'ailleurs, cette brochette d'hommes, habillées de sombre et affalées dans mon canapé, appelle toute entière au respect. Je coure partout, sors des verres et les range pour en prendre d'autres, pratiquement identiques. Sir Jeffer***, agacé par mon trouble et ma panique, me stoppe net dans ma course. « Le cocu n'est pas là ? » « Hein ? Le cocu ? Ha oui, le cocu ! Je vais le chercher Maître ! » Je fonce dans la cuisine. « Hé ! Le coc...Eddy ! Sir Jeffer*** te réclame ! Arrive vite ! » « Ce n'est pas mon Maître et je ne suis pas à sa botte ! Comprit ? J'arriverais quand je le déciderais ! » « Pas ton Maître ? Tu en es bien sur, Eddy ? Ah, à propos ! Il n'est pas seul, il est...Heuu... Cinq ! » Je n'attends pas sa réaction retourne au salon pour informer qu'Eddy ne tardera pas à arriver. Je suis surprise de trouver les filles aux mêmes endroits et dans les mêmes positions, mais nues. Eddy est là, presque aussitôt. Je le connais bien et je sais qu'il a été très impressionné au cinéma, par mon Maître, et qu'il doit marcher sur des œufs. Il essuie ses mains au torchon qui pendouille de *** pantalon et s'approche du canapé, main tendue.
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chrislebo
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Evidement, il prend un vent mémorable et je pense qu'à cet instant, il comprend qu'il n'est pas sur un pied d'égalité avec ces hommes. « Chers amis, voici le cocu dont je vous ai parlé. Il va aller se mettre dans le coin, là bas, afin que Léna puisse se présenter à nous ! » Eddy, vexé et honteux, la main toujours tendue, rougit pour les trente prochaines années et va, obéissant, dans le coin désigné, les mains dans les poches. Sir Jeffer*** lui lance un regard irrité, qu'il interprète très bien. Il retire ses mains de ses poches et les met, comme les jeunes filles, dans *** dos. « Léna, approche toi et retire ce vêtement ridicule ! » Moi qui étais fière de ma petite robe... « Présente toi à mes amis et vite, nous avons faim ! » Comme je l'ai fait au cinéma, je commence ma présentation. « Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous m'enculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. » « Merci Léna. Agenouille-toi ! » Les trois hommes se penchent les uns vers les autres et chuchotent un instant. Puis, Sir Jeffer*** se lève. « Chastity ! Approche ! » Elle semble surprise et troublée. Elle doit se demander ce qu'elle a bien put avoir encore fait, pour être ainsi désignée. « Retire la chevalière et donne moi là ! » Le visage de la jeune fille se crispe. « Ho, Maître ! Non, pas ca ! Je vous en supplie ! » « Le conseil en a décidé ainsi ! Tu perds tes droits et tu rends la chevalière ! » Elle pleure en tournant une bague à *** auriculaire droit. J'ai déjà aperçu l'objet sans y avoir vraiment porté attention. Totalement décomposée, elle tend la chevalière à *** Maître. « Ton attitude durant cette année à été très décevante. Tu as abusé de tes droits et les a utilisé à des fins d'intimidations envers les tiens. Aussi, dès aujourd'hui, tu redeviens simple soumise ! » « Oui, Maître. Merci, Maître. » En larme, elle retourne à sa place. Elle me fait de la peine, même si je n'ai pas très bien compris ce qu'il vient de se passer. « Léna, approche ! » Je me relève et avance vers celui qui a changé ma vie. Pour la première fois, je le vois sourire franchement. « Léna, je suis heureux de faire de toi ma nouvelle favorite. Cet anneau en fait preuve. Sois fière de le porter. Désormais et tant qu'il sera à ton doigt, tu pourras avoir des rapports avec ton cocu, une fois par semaine. Tu pourras également t'exprimer librement, mais avec parcimonie et respect. » Il passe la chevalière à mon doigt et pour la première fois, je la détaille. Elle est en or. Le chaton est ovale recouvert sans doute d'une résine rouge sur laquelle ***t gravées finement les lettres S.J., recouvertes d'or fin. « Maître, je suis très honorée, mais je pense que cet anneau revient de droit à Viola. » Les trois hommes éclatent de rire. « Et depuis quand les soumises pensent t'elles ? Hahaha ! Tu mériterais que je te destitue de suite. Mais je mettrais ca sur le compte de l'ignorance. Viola à eu sa chance aussi, et une soumise ne peut être deux fois favorite du même Maître. Te voilà renseignée, mais fais bien attention à ne jamais contredire un Maître. Qu'il soit le tiens ou non ! » Je baisse la tête comme une enfant qui a fait une bêtise. « Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. » « Bien ! Alors à table ! Nous avons faim ! » Je m'éclipse dans la cuisine avec Eddy pour prendre des couverts. « Pardonnez moi, Maître, cela ne se reproduira plus. Haha ! T'avais l'air fine, je te jure. » « Eddy, ne te moque pas veux tu ? Ou il n'est pas dit que nous fassions l'amour une fois par semaine. » « Pffff ! Est ce que cette mascarade va finir un jour ? » Je ne réponds pas et retourne à la salle à manger avec sept assiettes. Je commence à dresser la table, lorsque mon Maître intervient. « Dis-moi, Léna. Tu n'aurais pas l'intention de nous faire tous manger ensemble ? Trois assiettes suffiront ! » « Heuu ! Oui, bien sur ! Ou avais-je la tête. Désolée, Maître. » Voilà qui va arranger Eddy, qui n'avait préparé que pour trois per***nes. Je passe le repas sous la table en compagnie de mes amies soumises, prêtent à satisfaire la moindre envie d'un des Maîtres. Eddy, est condamné à faire le service et je l'imagine très bien, bougonnant dans sa cuisine. Le repas fini, ils retournent au salon. Cafés et digestifs avalés, ils se mettent, à ma grande surprise, totalement nus. Eddy, commençant à accepter *** statut de cocu, reprends place dans *** coin, mains dans le dos. Sir Agnimel se couche sur le tapis, un coussin sous la tête. *** sexe est dressé et sa taille est...attrayante. Il me fait signe d'approcher. Je me place à califourchon sur lui et pose le gland contre ma fente. Je mouille déjà et je n'ai aucune peine à me laisser glisser sur la verge. Sir Agnimel prend possession de mon ventre et déjà je ressens le plaisir qui monte en moi. Sa queue est bonne et me remplit bien. Il ne me fait pas l'amour, il me baise comme on baise les salopes. Sur le canapé, Maître yang et Sir Jeffer***, honorent les bouches de Chastity et Viola. Ils me regardent me faire défoncer la chatte par le Maître africain, et en semblent très excités. A tel point que Maître yang délaisse la délicieuse langue de Chastity, pour venir se placer derrière moi. Je n'ai jamais pratiqué la double pénétration. Anxieuse, je sens le gland se poser sur mon anus. La pression augmente, mais Maître Yang ne ***** pas. Il applique de légers coups de reins, appuyant de plus en plus. Déjà très excitée, je ressens soudain l'envie folle de me donner sans retenue. Je profite de mes nouveaux droits pour le faire savoir. « Ho oui, Maître ! Enculez-moi ! Défoncez-moi ! Je veux me sentir pleine de vos membres à tout deux ! » Il ne le se fait pas dire deux fois et agrippé à mes hanches il pousse en moi, loin, profond. J'ai la sensation d'être déchirée de l'intérieur et je pousse un cri. « Tiens ! Prends ca ! Ca t'évitera de beugler ! » C'est Sir Jeffer*** qui vient d'agripper mon crane et qui me présente *** membre à sucer. Voilà, c'est fait.
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chrislebo
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Ce qui depuis très longtemps n'est qu'un fantasme, se réalise enfin. Avoir tout les orifices occupés. Bien que mon cul me fasse un peu souffrir, j'apprécie d'être baisée comme une chienne. Je sens les membres se frotter contre la fine paroi qui les sépare. Je suis comme une marionnette, incapable d'appliquer moi-même un rythme régulier. Je suis secouée de toute part, par les cadences irrégulières des trois verges. Mes yeux humides de douleurs, de plaisirs et de folies passagères aussi, me permettent d'avoir quelques flashs rapides. Mon homme dans *** coin, mains dans le dos, les deux filles couchées l'une sur l'autre sur le canapé, ondulant et s'embrassant à pleines bouches. Ces visions augmentent encore mon envie d'atteindre le nirvana. Et soudain ! Ils explosent tour à tour. En moins de trente secondes, ils se libèrent de leurs jus précieux, pour mon plus grand plaisir. Un tsunami de foutre se déverse dans mon ventre et mes entrailles. Ma bouche déborde de la semence délicieuse de mon maître, surprise que je suis par une quantité exceptionnelle. Un court instant, mon cerveau n'analyse plus rien et ne me renvoie plus que la ***** de mon plaisir. Le paradis...j'y suis. La redescende sera longue et délicieuse. Un peu plus tard, les Maître invités et les filles, nous quittent. Je reste seule avec mon homme...pardon ! Mon cocu, et mon Maître. Ce dernier me fera l'amour toute la nuit devant les yeux du cocu, assit près du lit. Au petit matin, je parviens à parler à mon Maître en privé. Je lui fais part de mon expérience avortée de domination sur Eddy. « De quoi ? Tu as osé ? De quel droit ? Pour qui te prends-tu ? Tu es et restera une soumise toute ta vie Léna. Tu n'a aucun droit, à part celui de m'obéir ! Tu payeras pour ton insolence ! »
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chrislebo
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Le repas avec les trois Maîtres, est devenu la discussion préférée d'Eddy. Il ne tarit pas d'éloges sur la façon dont j'ai été 'utilisée', il y a maintenant trois semaines, ni sur le spectacle offert par les deux soumises ce soir là. « Qu'est qu'ils t'ont mis. Ils t'ont bouché par tous les trous. C'était génial de te voir te tordre de plaisir. Et les deux petites salopes, sur notre canapé ! Hummm ! Que du bonheur ! Tu sais que le lendemain, le cuir sentait encore la mouille de ces putes ? » Ca ne ressemble pas à mon mari de tenir un tel discourt. Pour moi, il ne s'agit là que de provocation et de dissimulation du mal être qu'il a dut ressentir ce soir là. J'ai très mauvaise conscience de le voir comme ca, mais pourtant, je continue à voir Sir Jeffer***, régulièrement ou presque. Je fais en sorte qu'Eddy ne le sache pas tout le temps pour ménager sa jalousie, et je suis devenue une experte du men***ge en tous genres. Shopping, ciné ou restau avec des amies, surcharge de travail, courses urgentes, je me suis inventée tout une palette d'excuses pour pouvoir m'échapper du cercle familial et retrouver mon Maître lorsque celui-ci le désire. Mais parfois, dissimuler est impossible. Impossible comme aujourd'hui ou il m'a donné rendez vous dans un parc, pour me remettre quelque chose. « Assieds-toi, Léna. Tu vas avoir la possibilité de rendre un immense service à ton Maître. Pour cela, tu serras récompensée, bien sur. Regarde le jeune homme sur le banc, là-bas. » Il me désigne un tout jeune garçon de dix huit ans, environs. Il est bien habillé, dans le style riche étudiant anglais, petites lunettes rondes, cheveux gominés et une acné sur le point de disparaitre, sous le duvet naissant d'une future barbe brune. Mais, sous cet aspect d'ado, mal dans sa peau, je détecte un garçon très mignon qui n'a juste besoin que d'un bon dépoussiérage. Il est plongé dans un livre, format pavé. Près de lui, une valise et un sac à dos. « Il s'agit de Léopold, mon neveu. Gentil garçon, mais beaucoup trop timide et trop studieux. Les études occupent trop *** esprit et il passe à coté de sa jeunesse. » « Je crois comprendre, Maître. Il est puceau et vous voulez que je m'en occupe. C'est bien ca ? » « Oui, je te charge de le déniaiser, et pour cela tu a huit jours. Il demeurera chez toi, pendant cette durée. Je lui ai dit que je partais en voyage et que je le confiais à une amie pour qu'il ne se sente pas seul. Voici une enveloppe pour les faux frais. Tu pourras garder ce qu'il restera.» « Eddy ? Tu es là ? » « Oui, chérie ! Je suis dans la cuisine ! » « J'aimerai que tu viennes, j'ai quelqu'un à te présenter ! » Quelle va être sa réaction quand je vais lui annoncer que ce grand dadet va scouater chez nous, toute une semaine. « Je te présente Léo, le neveu de... » Mince ! Sir Jeffer*** ne m'a pas dit sous quel prénom Léopold le connaissait. « Jeff ! Mon oncle est Jeff. » « Harf ! Bien sur ! *** prénom m'a échappé. C'est idiot, non ? Hihihi ! Il va rester avec nous une petite semaine. Ca ne te dérange pas, au moins ? » Je peux lire dans le regard d'Eddy, qu'il me trouve pathétique. « Rien à foutre ! Je bosse ! » Il tourne les talons et retourne à sa cuisine. Je suis gênée. Il aurait pu faire un effort. « Hihi ! Ne t'inquiète pas Léo. Il bougonne parce qu'il est un peu fatigué, mais il est très gentil. » « Ho ! J'ai l'habitude ! Tonton Jeff est pareil ! » « Ha oui ? Sacré tonton Jeff ! Mon patron est à un congrès, je ne travaille pas cette semaine. Je resterais donc avec toi. Tu vas t'installer dans la chambre de notre fille. Elle est en vacances. Tu y serras bien. Viens, je vais te montrer. » Je lui indique où ranger ses affaires et je l'aide un peu. Au fond du sac, qu'elle n'est pas ma surprise d'apercevoir des revues pornographique. Je suis surprise de le voir les sortir et les jeter sur le lit, sans même chercher à les dissimuler. Léo serrait t'il moins niais et timide qu'il veut le faire croire ? Bien sur, je fais celle qui n'a rien vu et arrange sa pile de tee-shirts dans l'armoire. Sans doute ne l'a-t-il pas fait exprès, mais le revers de sa main vient d'effleurer mes fesses, de façon appuyée. Dans le doute...je ne relève pas. « Voilà Léo ! J'espère que ca te conviens ? » « Ho oui, tata Léna ! C'est parfait ! » Il me saute au cou comme le ferait un gamin de huit ans. Sauf que là... Il m'embrasse dans le cou et sur l'épaule. Il se plaque à moi si fort que je sens ma poitrine s'écraser contre *** torse. Déroutée et très gênée, je le repousse gentiment. « Bon, allons voir ce qu'Eddy nous mijote ! » Je me retourne pour sortir. Il est là, dans l'encadrement de la porte. Qu'à t'il vu ? Je l'ignore, mais il boudera toute la soirée. Après manger, Léo exprime le souhait de prendre une douche. C'est un ado pré-pubère qui entre dans la salle de bain, c'est un Playboy qui en sort. Plus de lunettes, cheveux encore humides, coiffé avec classe et rasé de près, il passe devant moi, torse nu. Je ne peux m'empêcher de contempler sa musculature et en particulier ses abdominaux encore ruisselants. C'est une véritable publicité pour parfum d'homme, qui entre dans la chambre d'Amandine. « Tu va t'en remettre ? Tu baille devant ce môme ! » « Eddy ! Enfin ! Ce n'est qu'un gosse, mais reconnais qu'il est joliment bâti ! Tu ne serais pas un peu jaloux, toi ? » Alors, lorsque nous nous couchons, je me presse contre lui et glisse une main sous les draps. L'effet ne se fait pas attendre. « Allez ! Ne fais pas la tête. Il n'est pas méchant ce garçon, et ce n'est que pour une semaine. » Il se tourne et se couche sur moi. « Oui, mais tu diras à Sir machin chose, qu'ici ce n'est pas une auberge de jeunesse ! » « Sir Jeffer***, chéri ! Sir jeffer...Haaa ! » Il vient de me pénétrer d'un coup, sans prévenir. « Humm ! Tu mouilles bien, salope ! C'est rentré comme dans du beurre ! » C'est pourtant vrai que je mouille énormément. Qu'est ce qui peut bien m'exciter à ce point ? Pas ce gamin, tout de même ? « Hooo ! Tais-toi, Eddyy ! Baise-moi ! Baise-moi fort, mon amour ! » Et c'est ce qu'il fait. Il me pénètre avec ardeur et me fait grimper au rideau. Je tourne la tête pour mordre le coin de mon oreiller, afin de ne pas crier, lorsque...j'aperçois la silhouette du jeune homme dans l'entrebâillement de la porte. La honte me monte aux joues, mais je fais celle qui ne l'a pas vu. « C'est bon, hein ! T'es toute rouge ! Ca donne chaud, hein ! T'aimes ca d'être pilonnée, hein ! Avoue, t'aime ca ! »
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chrislebo
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« Rhooo ! Tais-toi, mon amour ! Continu ! Ne t'arrête pas ! Vas-y ! Fort ! » Me savoir épiée, m'excite terriblement. C'est une étrange et délicieuse sensation perverse. Avec mes pieds, je pousse le drap pour nous dégager. « Retourne-toi ! Donne-moi ton cul ! » Je me mets en position de levrette et Eddy plonge dans mon fondement, m'arrachant au passage un cri de plaisir. Je glisse une main sous mon ventre et je me masturbe le clito comme une hystérique. Un coup d'œil rapide à la porte, me permets de voir Léo que je devine queue à la main, s'astiquant avec frénésie. Je suis emportée par un terrible orgasme et Eddy se libère au fond de mes intestins. Nous tombons tout deux, épuisés et heureux. Le membre de mon mari reste encore en moi quelques minutes, avant d'être expulsé par de petites contractions volontaires de mon sphincter. A la porte, il n'y a plus per***ne. Profitant de ce repos, dû au déplacement du docteur, je traine un peu au lit et ne me lève que vers dix heures. Eddy lui, doit déjà être au volant de *** camion. Je saute sous la douche et me détends sous la pluie chaude. Mais, rapidement, au travers du rideau, je distingue une tête qui passe à la porte. Je ne comprends pas. J'ai pourtant tourné le verrou. Je ne sais quelles attitudes adopter. Me fâcher ? Ignorer ? Ou provoquer comme hier soir ? Je choisie l'ignorance et finie ma douche sans me soucier du petit voyeur. Lorsque je coupe l'eau, je vois la tête disparaitre et la porte se refermer. Je me sèche, me maquille rapidement et je sors de la salle de bain, sans oublier de vérifier la porte. Le petit saligaud à posé un scotch. Ce qui empêche la serrure de fonctionner correctement. Décidément, l'analyse de Sir Jeffer***, tombe à l'eau, définitivement. Léo n'est ni niais, ni timide. J'en suis sure. Je décide d'ignorer ce petit vicieux et je vais à la cuisine déjeuner. Perdue dans mes pensées, je ne l'entends pas arriver. « J'ai entendu tonton Eddy t'appeler Cathy ! Je croyais que c'était Léna ? » Surprise, je renverse la moitié de mon petit déjeuner. « Léooo ! Tu m'a fais peur. Préviens quand tu arrive ! Eddy n'aime pas Léna. Voilà pourquoi il m'appelle Cathy. Satisfait ? » Je me lève pour entamer la vaisselle de la veille. Lorsque je suis à la mai***, je garde cette corvée pour le lendemain. Léo s'assoit sur le plan de travail près de levier. « Mouai, satisfait. Pourquoi tonton n'aime pas Léna ? C'est joli Léna ! » « Ho ! Léo ! Tu m'ennuie, là ! Et cesse de nous appeler tonton et tata ! Nous ne sommes pas de ta famille que je sache ! » « Mince, t'a rai***. Excuse-moi Cathy Léna. » « Cathy ! Ca ira très bien ! » « Ok ! Ben dis dont, Cathy, qu'est ce que Eddy t'a mis hier soir ! Whouaaa ! » Je lui balance une baffe, mais il arrête ma main. « Allons, allons ! Que dirait Jeff s'il apprenait que tu claque *** gentil neveu ? » « Tu es immonde Léo et manipulateur ! Tu me dégoute. » « Tu ne pensais pas ca hier soir, quand tu a viré les draps. N'est ce pas ? » « C'était un moment de faiblesse et je le regrette fortement ! » « Regarde, tu t'es salie ! » Effectivement, une tache brune orne le bas de mon peignoir blanc. Je prends un essuie-tout que je mouille et je frotte la tache. Ainsi penchée, mon peignoir baille. Si moi, je n'y prête pas attention, il n'en est pas de même pour le garnement qui y plonge une main pour m'attraper un sein. « Humm ! Ils ***t comme je les aime ! Pas trop gros et fermes. » « Enlève ta paluche de là ! » Je me dégage de *** bras avec mon coude. « Je crois que je vais appeler Jeff et lui dire que tu es incorrecte. » « Ca te fais quoi, de l'appeler Jeff ? Léna ! » « Quoi ? Qu'est ce que tu racontes ? Je ne vois pas ce que tu veux dire ! » « Mais si ! Tu vois très bien, belle petite soumise ! Tu as vu ta porte de salle de bain ? J'ai fais la même au bureau de ton Sir Jeffer***, et j'ai tout découvert sur ses petits jeux. » Je rougie et j'ai du mal à cacher que mes mains tremblent. « Tu sais qu'il note tout ? Je sais tout ce qu'il y a à savoir sur toi. Jusqu'à la datte de tes ennuis mensuels. » La honte est très vite remplacée par un énorme sentiment *************** et des larmes me montent aux yeux. « Arrête ca Léo ! Je t'en supplie ! Arrête et dis-moi ce que tu veux ! » « Tu n'a pas une petite idée, Léna ? Je te veux toi, dans un premier temps et ensuite que tu face en sorte que mon oncle m'accepte di***s...comme Maître adjoint ? » « Tu n'es qu'un gamin ! Je pourrais presque être ta mère ! » « Presque ! Presque seulement ! Et ne dit on pas que c'est dans les vieux... » « ARRETE ! » « T'en a pas mare de te taper des reliques ? Tu ne rêve jamais de bouffer un bâton tout frais et pas ridé ? Comme celui-ci, par exemple ? » Il a sorti sa queue et je dois bien reconnaitre que je n'imaginais pas qu'il soit si bien outillé. Il bande fort et ses couilles semblent gonflées de désir. « Arrête Léo ! Ce n'est pas la question...tu me gênes, là ! » « Donne ta main ! Palpe-la ! » « Surement pas. Ce soir je rapporte ton comportement à Eddy ! » « Tu n'en feras rien et tu le sais. Tu crève d'envie de la prendre dans tes mains, de me sucer, peut être même ! Pas vrais ? » Mon cœur bat la chamade et la chaleur qui m'envahie n'est pas de nature extérieure. Je me rends à l'évidence. Je suis excitée et j'ai envi de ce garçon. « Petit con ! » Je ne trouve rien d'autre à dire et je saute sur *** sexe dressé. C'est vrais qu'elle est belle, jeune, dure. Je la presse dans ma main et lui applique un mouvement lent de vas et vient. Sans les voir, je sens les artères et les veines gonflées de sang, sous ma paume. Mon pouce caresse doucement le gland, et lorsque celui-ci devient humide, je ne me contiens plus. « Ouiiii, tata Léna ! Voilà ! C'est bien ! Suce-moi bien ! Alors, elle n'est pas bonne ma bite ? Hein, tata ! » Ca aussi c'est vrais. Elle est bonne et douce. Je lèche et aspire le gland puis je le suce entier sans retenues. Parfois, je délaisse le pieu pour déguster les deux gros testicules. Je les gobe ou les mordille, puis reviens au totem dressé. Soudain, il saute du plan de travail. Il me tourne et me penche sur la table de la cuisine. Ma robe de chambre relevée, il se plante en moi, pour mon plus grand plaisir. Il alterne avec délice rapidité et lenteur. Ce type n'est pas un débutant. Il est à l'écoute de mon corps, de ma respiration et très vite, il me monte à l'orgasme. « Ho ouiii ! Baise moiii ! Jouis maintenant ! Avec moiii ! » Mais il sait se contrôler et n'en fait rien, malgré mes suppliques. Il me fait jouir encore deux fois de suite et après m'avoir mise à genoux, il se libère enfin dans ma bouche et sur mon visage. Je n'ai jamais rencontré quantité de foutre aussi importante.
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chrislebo
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Je suis aux anges et me régale de *** jus chaud. Durand la journée, il me baisera encore deux fois. Le soir venu, me coller une main aux fesses ou caresser mes seins, ou encore m'embrasser dès qu'Eddy a le dos tourné, devient *** jeu favori. Une fois au lit, je bénie Sir Jeffer*** de ne pas m'autoriser à coucher avec Eddy, plus d'une fois par semaines. Je suis épuisée. Les jours suivant ressemblent au premier et je me fais prendre dès qu'il en ressent le besoin ou l'envie. Il me rejoint au lit dès le départ d'Eddy, ou il me rejoint sous la douche, dans une salle de bain dont la porte reste désormais, volontairement ouverte. A chaque fois, il me pousse dans mes retranchements et m'oblige à extérioriser mes cris de plaisirs. Avec lui, je ne crie plus, je hurle. Le dernier soir, sous un prétexte bidon, il s'assoit près de moi pour manger. Sous les yeux crédules de mon mari, il me caresse sous la table durant tout le repas et au coucher, il n'hésite pas à m'enlacer et à m'embrasser goulument dans le couloir, au risque de se faire surprendre. Le pire, c'est que ca me plais. Il m'a transmit l'insouciance de sa jeunesse. Belle semaine que celle-ci. Ce petit con, risque de me manquer. Trois heures du matin. « Psssst ! Pssssst ! » J'ouvre un œil et j'aperçois Léo qui passe sa tête à la porte. Le pauvre fou ! Si Eddy se réveille... Je chuchote. « Vaaaa t'ennn ! » « Nonnnn ! viennnns ! » « Pffff ! T'esss fouuuu ! » Je me lève doucement et à pas de velours, je le rejoins dans le couloir. Il est nu. « Tu es fou ! Eddy pourrait ce réveiller ! » « Oui, je sais, mais j'ai trop envie de toi, Léna ! » « Mais enfin, Léo ! Nous avons fait au moins trente fois l'amour en cinq jours ! Comment peux-tu avoir encore envie de moi ? » « Non, Léna ! Je t'ai baisé, trente fois, mais je ne t'ai pas fait l'amour. Mais là, maintenant, ici, j'ai envie de t'aimer. J'ai envie que tu m'aimes. » Il est touchant et semble sincère. Comment résister à un aveu si romantique ? Il m'enlace et m'embrasse dans le cou. « Et Eddy...Si Eddy... » « Oublie ! Aime-moi, tata chérie ! » Je me laisse glisser doucement le long du mur et c'est à même le lino froid du couloir qu'il remonte ma nuisette. Il est vrais que cette fois il est doux et caressant, voir prévenant. Il me fait l'amour comme jamais on ne me l'a fait. Je voyage dans des nuages de voluptés et je crois bien l'avoir mordu pour ne pas hurler. Je pleure. Je pleure de bonheur. Je pleure de plaisir. Peut être aussi à l'idée de perdre ce délicieux amant. Entre deux larmes, dans le flou de mes yeux mouillés, il me semble distinguer Eddy, à la porte de notre chambre. Mais il disparait très vite. Je ne saurais jamais si c'était bien lui ou mon imagination qui m'a joué un mauvais tour. « Bonjour Maître. » « Bonjour Léna. Alors ! As tu remplie ta mission ? » Bien sur, je ne dirais rien du secret de Léo. « Oui, Maître. Je crois pouvoir affirmer que Léo, maintenant, connait bien les femmes et les techniques de l'amour. De plus, il a fait un gros travail sur lui-même et a presque réglé ses problèmes de timidités. Je me demande même, s'il ne ferait pas un bon Maître ! » « Parfait, mais c'est à moi de juger ce qu'il peut être ou non ! Comme promis tu serras récompensée pour cela. Communique-moi tes dates de vacances au plus vite. » C'est le cœur serré que je vois partir mon petit Léo. Eddy, me prend dans ses bras. « Ne sois pas triste. Je suis sur que tu le reverras un jour ou l'autre. Tu me semble fatiguée, vas te reposer, je vais faire la popote. » Mon sixième sens féminin, me dit que c'est bien Eddy que j'ai cru voir cette nuit. « Tu es un homme exceptionnel ! Je t'aime mon chéri ! »
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vanbruje
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Et bien... ce n'était pas fini... Un grand merci pour ce très bon texte. Est-ce terminé ou pas encore ? A vus lire
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