chrislebo
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« Tu avais vu juste Francis, ta Catherine est un sacré numéro qui a comblé tous mes désirs. Comme promis, je te laisse juger par toi même en regardant les photos prises pendant mon dernier 'cours' » Malgré ma grande ignorance des choses de l'informatique, j'ai appris que les fichiers finissant en JPG ***t des images. Tous les éléments joints portent ce nom. J'ouvre fébrilement la première photo jointe – il y en a au moins une quinzaine d'autres avec. Pas de doute, on me reconnaît bien sur celle-là et elle a bien été prise pendant ma leçon de vendredi passé. Je me vois de profil, couchée sur le dossier du fauteuil, les seins presque à l'air et ma jupe relevée laissant apparaître mon postérieur. Ma figure montre une profonde satisfaction. Je me précipite sur les autres et toutes les scènes de ce fameux vendredi ***t là, même une, prise à mon arrivée certainement, car je suis encore habillée de ma veste. L'autre message ne contient que le reste des photos sans commentaire avec des poses et des situations de plus en plus osées. La dernière est la plus chaude : je suis assise au pied de la porte fenêtre, les cuisses largement ouvertes, le chemisier ouvert sur ma poitrine dont les mamelons ***t proéminents. Mon visage affiche une image de plaisir et d'extase totale pendant que ma main s'occupe un peu plus bas. Toutes y ***t, du début à la fin, les scènes de flagellation, à la fenêtre, à ses pieds et le reste rien ne manque. L'instant de surprise passée, bizarrement je n'ai pas une seconde un sentiment de colère de voir qu'Anne-Marie a diffusé ces images de nos ébats à *** frère. Je suis moi même surprise quand je m'en rends compte et rapidement, je sens que cela m'excite. Je deviens vraiment dingue, me voilà excitée de savoir que mon patron mate des photos de moi à poil et bien plus. Mais je n'y peux rien, je peux seulement le constater et j'ai beau me dire « mais ça va pas bien », rien ne change et je repars du bureau avec des bouffées de chaleur et les seins qui me démangent. Bien sûr auparavant, j'ai tout remis en ordre. Cette découverte me travaille toute la matinée, mais dans le sens sexuel du terme, c'est à dire qu'elle me met sur des charbons ardents. L'après-midi, le boss est de retour et il passe sans faire plus attention à moi que d'habitude. Cela me démange de voir quelle va être *** attitude devant moi maintenant, aussi je trouve une excuse pour aller le voir dans *** bureau avant de partir à mon rendez-vous. J'entre les bras remplis de paperasse et je lui dis : — Pardon de vous déranger mais j'aurais aimé vous montrer un truc sur mon dernier dossier de vente car je ne suis pas sûre de bien tout comprendre. — Bien sûr Catherine, qu'est-ce qui ne va pas ? — Eh bien, le client a voulu rajouter une clause dans le précontrat et je ne sais pas si c'est bien légal. Répondant cela, je m'approche en levant les bras pour montrer les dossiers que j'ai dans les mains. Je vois que *** regard plonge vers mon bas-ventre pour ne plus le quitter. Je me rends alors compte que la spirale du cahier que j'ai, entre autres, dans les mains s'est accrochée à ma tunique et l'a tirée vers le haut. Mon bas-ventre, moulé à la perfection par mon legging, est maintenant bien visible. Il n'y aurait pas forcément matière à en faire tout un plat mais là, effectivement, c'est un peu différent. Je ne m'en étais pas rendu compte ce matin mais, de la même façon que le vêtement me moulait un peu trop les fesses, il me détaille de façon incroyable le sexe. Les renflements de ma vulve ***t parfaitement visibles : on discerne tout, comme si j'avais la peau peinte en noir brillant. Il n'en faut pas plus pour faire remonter mon excitation à *** plus haut niveau. En voulant libérer ma tunique de la spirale métallique accrochée, je tire celle-ci un peu plus hors de mon ceinturon et maintenant, elle s'arrête juste au-dessous de mon ventre aussi bien devant que derrière. Francis a toujours les yeux rivés sur mon intimité ; j'imagine que les images des photos prises par sa sœur doivent défiler dans sa tête à cet instant. Peut-être sous le coup de l'émotion, la chemise contenant un tas de papiers m'échappe et se déverse sur le sol. Les feuilles s'éparpillent de droite et de gauche. Je laisse échapper un juron et je me penche pliée en deux pour ramasser. Quelques secondes après, je me rends compte que le boss ne m'aide pas du tout. Il est trop occupé à mater mon postérieur que je lui colle sous le nez ; pour une fois, j'ai fait ça sans vraiment le vouloir. Je sais très bien à quoi ressemble mon cul gainé de ma nouvelle tenue aussi je ne fais rien pour écourter mon exhibition. Mais même en prenant mon temps, j'arrive au bout des feuilles éparpillées et je suis bien obligée de me redresser. Pour la suite, on ne peut pas dire que le patron soit d'une grande aide quand je lui présente mon problème. Il bafouille deux ou trois fois « ça devrait aller » et je repars toute excitée et amusée de sa réaction. Jusqu'à présent il s'était toujours montré relativement discret quand j'arborais des tenues sexy au boulot mais là, certainement motivé par le mail d'Anne-Marie, il a eu beaucoup de mal à faire preuve de retenue. Malheureusement le reste de la semaine s'avère beaucoup moins amusant. Anne-Marie grippée a annulé les cours. Le boss est venu me l'annoncer avec un sourire en coin en me précisant « tous ses cours », bien sûr, j'ai joué celle qui ne comprenait pas l'allusion. Il a même parlé pour deux semaines au moins. J'en suis là, ce vendredi, à faire ce triste bilan de la semaine qui pourtant s'annonçait bien quand je reçois un mail d'un expéditeur inconnu. Le nom, pour le moins curieux, me fait froncer les sourcils, « Maitrevoyeur » : voilà bien un nom à la con ! Curieuse j'ouvre le message : « Je connais tout de tes amusements, regarde les photos jointes dans ce message. Si tu ne veux pas que toute ta liste de contact de ta messagerie soit destinataire de ces photos et de toutes les autres, tu as intérêt à faire ce que je vais te demander dans mes prochains messages. » Mes sourcils se froncent encore plus quand je visualise les deux photos. Je retrouve deux des images trouvées dans la messagerie du patron, celles d'Anne-Marie. Je suis paralysée sur le moment : qui ? Comment a-t-il eu accès à ces photos ? À moins que ce ne soit mon boss lui-même ? Ou Anne-Marie pour un nouveau jeu pervers ? Je reste tétanisée, je ne sais plus quoi faire. Finalement je décide d'ignorer le message. Je reste fébrile tout le reste de la matinée, chaque nouvelle arrivée dans ma boîte me fait trembler. Évidement ce que je craignais survient en début d'après midi. « Maitrevoyeur » me contacte de nouveau : « Je sais que tu es là et que tu as certainement lu mon message, je te donne 30 minutes pour me répondre. Pour te montrer que j'ai bien les moyens de faire ce que je dis, voici tout ton carnet d'adresse. » Je suis moins surprise et je reste moins pétrifiée que la première fois sans pour autant savoir quoi faire. Mon cerveau ne pense qu'à trouver un coupable maintenant qu'il me semble illusoire de voir ce maître-chanteur d'opérette lâcher prise. Un collègue serait-il comme moi, tombé sur la messagerie du patron ? Dans tous les cas c'est quelqu'un qui me connaît. Il a aussi toutes les adresses per***nelles que j'ai dans l'ordinateur à l'agence, il les a mises dans *** dernier message. Malgré tout, je choisis de continuer à ignorer ce message toujours dans l'espoir de voir mon maître-chanteur se lasser. À peine les trente minutes passées que je reçois un nouveau mail de « Maitrevoyeur » : « Espèce de salope, tu ne me prends pas sérieux, voilà un dernier avertissement avant de passer aux choses sérieuses si tu continues à m'ignorer. » J'ai à peine fini de lire ses mots qu'un autre message du même auteur arrive, je l'ouvre, je vois qu'il n'y a pas de texte mais qu'une image est jointe. La liste des destinataires est complète et je n'ai nul besoin de tout lire pour voir que c'est mon carnet d'adresse en entier. Il faut dire que j'utilise aussi bien ma messagerie professionnelle pour des messages privés que pour le reste. Mon carnet contient donc des clients et les collègues, amis et membres de ma famille. Ma main a du mal à aller précisément sur la photo jointe tellement elle tremble. Quand elle apparaît enfin je suis à demi soulagée, c'est la seule image correcte de la collection d'Anne-Marie. Celle que je n'ai d'ailleurs pas vu prendre, où je suis encore toute habillée de ma tenue d'étudiante. La tenue reste malgré tout très subjective. Je me précipite pour répondre cette fois-ci de peur qu'il ne fasse un deuxième envoi beaucoup moins innocent. Je pense aux membres de ma famille et aux amis présents dans cette liste – ma sœur en premier – avec qui j'évite les tenues trop voyantes lors de mes visites. Ils risquent d'être choqués rien qu'avec ça. « D'accord, que voulez vous de moi ? » En attendant la réponse j'envoie un message à tous les destinataires sensibles, en les séparant plus ou moins par catégorie. J'explique à la plupart le même scénario : une amie a sa fille étudiante en Angleterre et lors d'une invitation chez elle, comme sa fille était là en vacances, je me suis amusée à essayer sa tenue dont la jupe était trop courte pour moi ; cette amie m'a prise en photo pour rigoler, me l'a envoyée et comme je suis nulle en informatique en voulant lui répondre, j'ai envoyé la photo à tout le monde. Ça devrait marcher, mes compétences informatiques ***t suffisamment désastreuses pour que cela soit crédible. Nouveaux message de « Maitrevoyeur ».
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chrislebo
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« T'as enfin compris à qui tu devais obéir. Ne t'amuse plus à me prendre pour un con ! Maintenant tu vas faire ce que je te dis sinon tous tes contacts connaîtront tes jeux pervers de salope. J'ai bien vu que ta liste contient toute sorte de per***nes plus ou moins proche et des amis aussi sûrement. Je veux que mardi prochain tu viennes à ton boulot avec la robe du lien que j'ai collé dans mon message. » Je vois en effet une adresse internet sous le texte. Je l'active et je tombe sur un site visiblement spécialisé dans les tenues et la lingerie sexy et coquines. La page s'est ouverte sur une robe de couleur saumon ultra courte à manche longue, tellement courte qu'elle se finit juste sous les fesses. Je vois qu'elle est en viscose, élasthanne et terriblement moulante. Les manches ***t en voile transparent à partir des épaules. C'est affreusement, ou superbement, sexy et suggestif. J'aurais certainement adoré m'en vêtir en certaines circonstances mais, même si mes habitudes vestimentaires ***t loin d'être celles d'une nonne, je me vois mal avec cette robe sur le dos au boulot. J'hésite un peu et je réponds. « Je n'ai pas de robe comme ça et je ne peux pas mettre ça au travail. Je n'oserai jamais. » La réponse arrive aussi vite que l'internet le permet. « Te fous pas de moi, tu peux l'acheter. Ils livrent en 2 jours. Pour le reste tu as intérêt si tu ne veux pas que toute ta famille et les autres te voient le cul à l'air en train de te faire fouetter. Je veux aussi que tu mettes des bas avec, que tu sois à poil dessous et des chaussures à talons aux pieds. » Comme pour appuyer ses dires une photo est dans ce message. Je l'ouvre mais je me doute de ce que je vais voir. C'est une vue de trois quart arrière, je suis au pied d'Anne-Marie agenouillée le cul vers le ciel dans mon collant déchiré. On voit la badine me frapper les fesses. J'ai le visage tourné vers l'objectif que je ne semble pas voir car j'ai les yeux à demi fermés et j'affiche une mine défaite de plaisir. Je panique totalement à l'idée de voir cette image et les autres parvenir à mes proches, voire aux collègues. Je me précipite pour répondre. « D'accord je vais le faire. » Dans la foulée, de peur de ne pas être livrée pour le jour demandé, je passe la commande. D'habitude j'hésite toujours à laisser mes coordonnées bancaires sur des sites inconnus mais là, cela ne m'effleure même pas l'esprit. Il n'y a que deux tailles S et M, je prends M espérant que cela ne soit pas trop petit. Heureusement le prix total n'est pas exorbitant, juste une quarantaine d'euros. À l'heure de rentrer chez moi, je suis tellement préoccupée que je quitte l'agence sans dire au revoir à per***ne et avec une bonne demi-heure d'avance. Heureusement pendant le week-end, j'ai la visite de Sabrina et je lui explique ce qui m'arrive. Elle est d'abord très curieuse de voir les photos en question. Ce n'est pas vraiment le type d'aide que j'attends mais je lui promets de faire suivre ici, sur mon adresse per***nelle, celles que j'ai reçues de mon maître-chanteur. *** second commentaire est de me dire : — Heureusement que ça tombe sur toi qui n'as pas peur de se faire remarquer. — Oui, c'est peut-être vrai, mais j'aurais quand même aimé que cela tombe sur quelqu'un d'autre, dis-je avec un sourire forcé. Sabrina semble trouver ça drôle car elle insiste : — D'autres n'auraient peut-être pas ce type de photo dans leur album. T'es une grosse vicieuse et il faut que tu l'assumes. — J'aime bien assumer sans que l'on me ***** la main. Je suis surtout énervée de me faire manipuler plus qu'autre chose. — Je suis sûre qu'au fond de toi, ça t'excite — La question n'est pas là, au lieu de me taquiner, aide-moi à trouver qui ça peut être. — Et après, tu feras quoi ? — Je saurai quoi faire quand j'aurai une idée sur la per***ne. Je verrai bien. Finalement, elle finit par accepter de réfléchir avec moi. On écarte les principaux suspects, c'est-à-dire Anne-Marie et le patron car on ne voit pas vraiment de rai***s valables. Anne-Marie peut déjà me demander bien pire et le patron suit visiblement mes escapades avec elle de près. On finit par en déduire que c'est quelqu'un qui a accès à mon ordinateur et à celui du patron et, par conséquent, a accès à l'agence ou y travaille. Cela laisse pas mal de monde finalement entre les clients que l'on fait souvent patienter dans les bureaux des uns ou des autres par manque de place, les collègues ou services extérieurs qui passent parfois. Le petit câlin bien mérité qui suit avec Sabrina lui donne encore l'occasion de faire une réflexion. Elle regarde sa main qu'elle vient de retirer de mon entrejambe alors que l'on commence juste à s'embrasser et me dit avec un sourire victorieux : — J'avais rai*** ! Ça t'excite ton histoire ! T'as la chatte qui dégouline déjà, espèce de grosse cochonne. — Arrête de m'emmerder et caresse-moi. C'est vrai qu'elle à rai*** la garce mais je ne veux pas lui avouer. Maintenant que le moment de panique est passé, que le sentiment de frustration se dissipe un peu, je me rends compte qu'il me reste une profonde excitation de cette histoire. Sabrina va rapidement m'aider à combler ça, et vite parce que je sens qu'elle monte de plus en plus. Le week-end se passe ainsi, ne me laissant si j'ose dire, que le côté positif des choses. Le lundi me ramène vite à la réalité, à midi je profite d'une visite pour foncer chez moi et vérifier ma boîte aux lettres. Énorme soulagement, un paquet m'attend bien à l'intérieur. Je serai prête demain, j'avais si peur. Je n'ai pas le temps d'essayer cette fameuse robe ce midi mais le soir je me libère le plus tôt possible, impatiente malgré tout de voir de quoi je vais avoir l'air avec ça sur le dos. La robe dans les mains, je me rends compte que le tissu est terriblement fin. Je me déshabille et j'enfile la chose. Mon dieu ! Ils osent dire que c'est une taille M, même pour un S je trouverais ça serré ! J'ai beau tirer dessus, la robe arrive juste sous mes fesses. Je marche un peu avec et je suis soulagée de voir qu'elle n'a pas l'air de vouloir remonter plus haut. Par contre, dès que je m'accroupis, je me retrouve la robe au milieu du cul. Ma poitrine aussi est moulée de façon indécente comme le reste de mon corps. Mes bouts apparaissent clairement en tendant le tissu. Comme le disait Sabrina, heureusement que je suis habituée à porter des tenues sexy ou au moins légères. Mais là, c'est vraiment beaucoup plus court que la plus courte de mes jupes, c'est surtout ça qui me gêne le plus. Mais que faire ? Je suis bien obligée de me plier aux volontés de ce salaud pour l'instant. Ceci dit, je ne peux m'empêcher de m'admirer dans le miroir en me tournant et retournant devant... J'arrête, je vais finir par y prendre goût. J'ai passé une nuit horrible et je me réveille ce mardi avec une triste mine. L'angoisse a pris le pas sur l'excitation finalement ressentie durant le week-end. J'ai un peu désobéi à mon mystérieux « Maitrevoyeur », j'ai quand même enfilé une culotte pour me sentir moins nue. Un shorty pour avoir la sensation d'être couverte même s'il est en dentelle fine et transparente, mais je n'en ai pas d'autre... Pour le reste, j'ai suivi les exigences de mon maître chanteur. J'ai les seins nus sous la robe, des chaussures à talon et des bas autofixants. J'ai essayé d'en choisir qui remontent le plus haut possible et ils me vont jusqu'à l'aine. Bien sûr, le large bandeau en dentelle dépasse largement de la robe. En chemin la tension monte de plus en plus, je me ******* l'esprit en essayant de deviner ce que va exiger de moi l'infâme « Maitrevoyeur ». Pour aller au travail, j'ai revêtu un manteau long même si le temps est incroyablement doux pour la sai***. Cela masque ma tenue et me permet d'atteindre mon bureau sans me faire particulièrement remarquer. Je remercie le patron de m'avoir donné l'occasion d'être seule dans mon bureau alors que les collègues ***t plusieurs ou même directement à l'accueil. Il est petit et per***ne n'en avait voulu. Je m'attends à trouver un mail de mon tyran, mais rien : on est pourtant bien le jour voulu. Pour essayer de me déstresser, je me plonge dans mon travail. En l'occurrence un long message envoyé par des clients anglais qui, depuis que me suis essayée à parler dans leur langue, ne correspondent avec moi que dans celle de Shakespeare. Je les avais trouvés très sympa tous les deux d'où mon effort. Pour tout dire, madame me faisait des grands sourires qui me semblaient qu'une simple forme de politesse. De plus, ils faisaient souvent des messes basses avec un air complice quand je tournais le dos et j'étais visiblement le sujet de la conversation, ce qui me les avait rendus très sympathiques. Quand Marc rentre dans mon bureau, je suis donc totalement absorbée par ma traduction, je lève la tête avec un regard interrogateur et il me demande : — Ce n'est pas toi qui aurais le dossier de M. Joussemont ? Il me semble que tu voulais regarder un truc dedans l'autre jour. — Oui, tu as rai***, j'ai dû le poser sur les étagères à côté et je voulais te le rendre mais j'ai oublié. Disant cela je me lève pour vérifier et je me mets à fouiller les rayons de l'étagère en question. Lorsque je tourne la tête pour préciser que je suis sûre que les documents ***t là, je vois que Marc a les yeux exorbités rivés sur le bas de mon dos. À ce moment-là, le souvenir de ma robe me rattrape, me gifle même. Je réalise aussi qu'elle a eu la bonne idée de remonter jusqu'au milieu de mes fesses. Marc a une vue imprenable sur mon cul seulement à moitié couvert, mon shorty n'offrant qu'une très modeste protection. Je tire précipitamment sur ma robe et la descends autant que possible, c'est-à-dire peu. Je trouve enfin ce satané dossier et je le tends à Marc en disant. — Tiens, voilà, je savais bien qu'il était là. — Ah merci...
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chrislebo
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Sa main se tend mais *** regard est en train de glisser sur tout mon corps. Il est tellement ébloui par ma tenue du jour qu'il n'arrive pas à en décoller les yeux. Je place la liasse de papier directement dans sa main pour le faire réagir, ce qu'il fait enfin. Il me lâche un merci et quitte la pièce en tournant toujours la tête dans ma direction. Il manque d'ailleurs de se fracasser sur le battant de la porte. Je me précipite à l'abri très relatif de mon bureau et je vois que finalement, je n'ai pas ressenti de gêne de m'afficher ainsi. Sur l'instant oui, mais si peu de temps. Maintenant je ressens ces habituels coups de chaleur dans mon bas-ventre depuis que *** regard a fouillé mon corps. Cette réaction me fait peur et je replonge dans mon message pour ne plus y penser, je ne veux pas céder à mon vice dans ces conditions là. Le temps passe, peut-être une demi-heure, quand on frappe à ma porte restée entrouverte. Une tête passe et je vois celui que l'on appelle « le boutonneux » dans l'agence. En terme plus élogieux, c'est Romain le neveu du patron. C'est un jeune, étudiant je crois, qui s'occupe des ordinateurs de l'agence et des trucs de ce genre. Comme il y a peu à faire, le boss lui a confié ce boulot qu'il fait à la demande. Il passe de temps en temps pour bricoler ces machines infernales et avoir ainsi un petit revenu. On l'appelle le boutonneux car malgré sa vingtaine d'année, il a encore pas mal d'acné qui lui marque la face. Devant mon visage interrogateur, il m'annonce qu'il vient mettre à jour un je ne sais quoi qui se trouve dans mon bureau. Je dois avoir le regard d'une vache qui regarde passer un train car il me dit : — C'est le boîtier au fond de la pièce. — Ah, le truc avec les lumières et les fils de partout, en face de mon bureau ? — Oui, c'est bien ça. — Bien, vas-y ! Il faut que je débranche un truc ou quelque chose ? — Non, non, vous pouvez rester là et continuer, au contraire c'est mieux d'avoir quelqu'un de connecté. — Parfait, dans ce cas je te laisse faire. Il pénètre dans la pièce et s'accroupit à côté de l'étrange boîtier et commence à bricoler dessus en y raccordant *** ordinateur portable. De mon côté, je me replonge dans mon texte et dans mon travail. Je ne tarde pas à me sentir observée. Même si mes yeux ***t posés sur mon écran, je vois fréquemment la tête de Romain se tourner dans ma direction. Je comprends vite pourquoi : mon bureau est évidé au centre et il a donc une splendide vue sur le dessous de celui-ci, c'est-à-dire mes jambes. Bien qu'elles soient serrées, il a certainement observé la particularité de ma robe. J'essaye de ne pas y prêter attention mais au bout d'un moment cela me démange trop et je ne résiste plus à la tentation. Tant pis si c'est sous la pression d'un chantage que je me retrouve dans cette situation, autant y prendre du plaisir. J'écarte légèrement les jambes, la réaction est immédiate. *** regard se fait plus insistant, ce qui me pousse à en faire plus. Mon bureau est suffisamment large pour que je puisse croiser mes jambes en faisant reposer ma cheville droite sur ma jambe gauche. Il a ainsi une vue fantastique sur mon entrejambe. Je n'ai pas besoin de vérifier, je n'ai qu'à voir la tête qu'il fait. Mon bas-ventre bouillonne maintenant et ma chatte doit être bien humide. Je suis incorrigible, je ne peux m'empêcher de m'en vouloir de céder à la tentation mais le plaisir pris dépasse largement ma culpabilité. Faisant mine d'être sujette à une démangeai*** subite au genou, j'en profite pour reculer ma chaise et écarter largement les jambes. Romain n'en rate pas une miette et admire toute la finesse de la dentelle de mon shorty. Ma robe s'est tellement retroussée que je peux moi-même voir mon entrejambe en gratouillant mon genou. Ne pouvant en rester là, je me lève pour aller chercher des papiers dans la même étagère que tout à l'heure. Je sens que ma robe est au milieu de mes fesses après les diverses gesticulations à mon bureau. Je prends un plaisir pervers à me pencher pour fouiner dans les étages du bas durant quelques minutes. En revenant, je lance à Romain tout en tirant négligemment sur ma robe : — Alors ça avance ces réparations ? Romain plonge le nez sur *** fatras de fils et de machine quand je porte mon regard sur lui et marmonne : — Oui, oui, c'est plus long que prévu. À mon retour au bureau un message de « Maitrevoyeur » m'attend, ce qui réduit notablement mon excitation du moment. « J'espère que tu as obéi à tous mes ordres. Que tu as bien mis la robe que je t'ai montrée et que tu es entièrement nue dessous. » Je réponds tout en étant consciente de mon men***ge : « Oui, j'ai tout fait comme vous l'avez demandé. » La réponse arrive très rapidement. « Bien, je ne vais pas tarder à le savoir. Je veux que tu ailles maintenant dans la vitrine de l'agence et que tu y restes un moment. Tu n'as qu'à ranger les annonces affichées pour t'occuper. Donne-moi ton numéro de portable, je t'enverrai des ordres dessus. T'as intérêt à bien avoir TOUT fait comme je veux, sinon tu sais ce qui t'attends. » Me voilà coincée, il va sûrement me demander des trucs qui lui montreront que j'ai une culotte. Je dois l'enlever, je n'ai pas le choix. Le salaud, il faut vraiment que je trouve une solution pour arrêter ce cirque. Heureusement, Romain choisit ce moment-là pour m'annoncer qu'il doit aller chercher quelque chose et quitte la pièce en emportant *** matériel. Libre, j'en profite pour enlever rapidement ma culotte que je glisse dans un tiroir du bureau. Je donne juste mon numéro de portable ; je ne juge pas utile d'en dire plus car il est évident qu'il constatera probablement de visu la mise en pratique de ses ordres. C'est presque midi, cela va être terrible, il va sûrement y avoir beaucoup de passage dans la rue. Sans parler du fait que je vais devoir traverser toute l'agence pour aller dans la vitrine. Allez, courage ma fille, vas-y ! Je me lève et tire autant que je peux sur ma robe. La sensation d'avoir mon minou à l'air avec ce timbre poste qui recouvre mon corps est horrible mais je suis à moitié surprise de sentir une excitation perverse me tenailler malgré tout. Je n'ose regarder per***ne quand je rentre dans la salle principale qui sert d'accueil et aussi de bureau à trois per***nes habituellement. Je vois que deux collègues ***t là, occupés chacun avec des clients, je sens aussi les regards de tous me suivre. Je me précipite plus que je ne marche vers le panneau mobile placé devant la vitrine, mes seins ballottent dans tous les sens sous le rythme effréné de mon pas. Arrivée à destination, je fais pivoter rapidement le panneau et stupidement j'ai le sentiment d'être à l'abri quand je me glisse derrière, alors que je suis exposée aux yeux de la rue désormais. Je pose le téléphone que j'avais à la main sur un rebord. Je manipule les pancartes accrochées pour me donner une bonne contenance en tournant le dos à la rue. Mon maître-chanteur est probablement là, quelque part en face dans la rue, dans une voiture ou à une fenêtre peut-être. Les lumières des spots qui éclairent le panneau à annonces m'éblouissent et m'empêchent de voir autre chose que des silhouettes à travers la vitre. Le téléphone ***ne, un message vient d'arriver. Je le lis: « Débrouille-toi pour montrer ton cul de salope. » Je me doute qu'il veut que je me donne en spectacle derrière cette vitrine. Je n'ai pas le choix. Obéissante, je me penche pour saisir les annonces au bas du panneau et reste ainsi pliée en deux, le cul en l'air. Je sens ma robe glisser le long de mes fesses, remontant inexorablement pour le plus grand bonheur des passants et de mon tyran. Nouvelle ***nerie du téléphone et nouveau message. « Écarte plus tes jambes ! » Je réponds par un message, les mains tremblantes sous les regards de tous ceux qui passent dans la rue, aussi bien à pied qu'en véhicule. J'arrive à les discerner car, malgré moi, je jette des coups d'œil nerveux à travers la vitre. « D'accord mais après on n'arrête par pitié, svp. » J'attends un peu, espérant une réponse et elle arrive par un nouveau SMS. « Ok si tu fais bien ce que je dis. Vraiment très bien, sinon. » Pressée d'en finir avec ce show immonde que l'on m'impose, je m'exécute. J'écarte ostensiblement les pieds et reprends ma position indécente, le cul en l'air. Bien sûr, la robe que j'avais remise en place remonte aussitôt me découvrant le postérieur. Malgré moi, je ne peux m'empêcher d'imaginer la vue que j'offre ainsi, ma robe s'arrêtant au milieu des fesses, jambes écartées. Ma chatte doit être bien visible pour peu que l'on s'attarde sur le sujet. Ce que ne doivent pas manquer de faire tous ceux qui m'observent. Nouvelle ***nerie du téléphone : « Penche-toi plus. » J'obtempère me penchant aussi bas que possible, jouant avec les annonces placées au pied du panneau. Je garde la position quelques minutes, consciente de la vue que j'offre, la vitrine n'aura jamais eu autant de succès. Puis je décide qu'il y en a assez. Je me redresse, replace ma jupe dans sa position la plus basse et quitte la place. Alors que je me précipite vers mon bureau, mes seins ballottant encore plus qu'à l'aller lors de mon passage, le téléphone ***ne, nouveau SMS : « Salope, je ne t'ai pas dit de partir. » Tout en me précipitant dans mon bureau, je réponds. « Mais vous avez dit qu'après je pouvais arrêter. » La réponse arrive aussitôt « Ok, mais la prochaine fois, c'est moi qui dis quand. » Encore tremblante je m'assois. Je sens bien que, malgré l'énorme stress causé par ce que je viens de faire, une flamme perverse continue à me dévorer le ventre. La main humide que je retire d'entre mes cuisses me le confirme. J'enrage contre moi-même, si encore c'était Anne-Marie qui m'avait demandé de faire ce show. Cette idée qui aurait pu calmer mes ardeurs à l'effet totalement inverse, je me trouve envahie par une bouffée d'excitation à la simple idée qu'Anne-Marie pourrait être le maître de ce jeu vicieux. C'est midi passé, j'avais prévu un casse-croûte pour éviter d'avoir à sortir mais je n'ai pas faim du tout. Je reste ainsi seule un moment, je passe un coup de téléphone à Sabrina pour lui raconter la matinée et ce que j'ai été obligée de faire. La chose qui l'intéresse le plus est de savoir si j'ai fait suivre les photos que j'ai reçues, incorrigible petit ange.
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chrislebo
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En début d'après-midi, j'ai droit au retour de Romain qui m'annonce venir finir ses travaux. Comme le matin, il passe plus de temps à regarder sous mon bureau qu'à travailler sur *** ordinateur ou sur l'étrange boîtier où il est raccordé. Je reste bien sagement les jambes serrées d'autant plus que j'ai toujours mon shorty dans le tiroir, n'ayant pas pensé à le remettre. Puis je suis vite rattrapée par l'envie et je me laisse aller à un jeu de jambes qui lui permet de noter qu'il a eu du changement depuis ce matin. *** regard devient si insistant que cela en est presque plus drôle qu'excitant. Ce jeu dure un petit moment quand le téléphone ***ne une fois de plus, j'ai le plaisir d'entendre une douce voix anglaise : — Bonjour Catherine, c'est Gloria McLood au téléphone. Je vous appelle pour vous prévenir que nous allons avoir vingt minutes de retard. — Vingt minutes de retard ? — Oui, pour la visite de la mai*** que nous n'avons pas pu voir la dernière fois, celle où vous n'aviez pas les bonnes clés. Je vous ai envoyé un mail et vous avez répondu que vous étiez disponible pour cette visite. — Mais ce n'est pas jeudi ? — Non Tuesday, mardi (Ndr : en français dans la conversation) — Oh, mon dieu, j'ai inversé Thursday et Tuesday. Bien, je vais être en retard moi aussi je crois. Je pars immédiatement, nous devrions arriver en même temps finalement. — Parfait, à tout à l'heure. J'enfile mon manteau et je pars précipitamment sous le regard désolé de Romain certainement très déçu de voir un spectacle prometteur s'achever si vite. Heureusement cette mai*** est à moins de trente minutes et lorsque j'arrive mes deux anglais préférés, monsieur et madame McLood, sortent juste de leur voiture. Gloria McLood m'accueille avec un large sourire qui me semble toujours plus accueillant que celui d'une simple bienvenue. — Bonjour monsieur et madame McLood — Je vous en prie, appelez-moi Gloria. Disant cela elle me prend la main et la serre en laissant traîner ses doigts d'une façon que je trouve aussi ambiguë, peut-être la culture anglo-saxonne qui veut ça ? — Cette fois, j'ai les bonnes clés, nous allons pourvoir visiter la mai***. Je pense qu'elle correspond bien à vos critères. — Parfait, je vous fais confiance. *** mari approuve lui aussi à sa façon, c'est-à-dire en restant silencieux et en hochant la tête. Nous venons juste de pénétrer à l'intérieur quand une ***nerie de téléphone se fait entendre, monsieur McLood s'empare de *** appareil. J'attends poliment qu'il en ait fini avant de poursuivre. Après un bref instant, il pose la main sur le combiné et me dit : — Je vais en avoir pour un moment, il faut que je retourne à la voiture prendre mon ordinateur, j'ai un problème à résoudre pour mon travail. Démarrez la visite sans moi. Puis il disparaît par la porte me laissant seule avec Gloria qui juge bon de me préciser : — Ne vous en faites pas, si la mai*** me plaît, elle lui plaira aussi. — Dans ce cas, allons-y ! Comme pour m'enlever tout doute, elle ajoute en clignant de l'œil et en rigolant : — C'est moi qui décide et c'est lui qui paye ! Je fais visiter le rez-de-chaussée, Gloria est enchantée par la luminosité des pièces. Cette mai*** a de grandes baies vitrées et le soleil tape fort cet après-midi donnant encore plus de clarté. Je lui propose d'aller visiter l'étage : — Attention Gloria, l'escalier est en colimaçon très serré et les marches ***t un peu étroites. C'est vraiment, je crois, le seul défaut de cette mai***, même si l'escalier est magnifique. Je passe devant pour la guider et commence à grimper les marches. L'escalier est vraiment superbe, tout en fer forgé, la rampe est régulièrement décorée par des ornements travaillés. Peut-être trop occupée à l'admirer, ou à cause de mes chaussures à talon, arrivée à mi-chemin je rate une marche. Je me rattrape à la rampe en partie mais cela ne m'empêche pas de m'effondrer, les fesses en arrière, sur Gloria. Mon manteau s'accroche à l'une des décorations, ce qui le retrousse complètement laissant ainsi apparaître mon postérieur à peine recouvert par ce qui me sert de robe. Gloria m'a réceptionnée les mains en avant ; c'est-à-dire qu'elle prend mes fesses à pleine main maintenant. Je suis toujours accrochée à la rampe, ce qui m'empêche de m'écrouler complètement sur elle. À ma grande surprise, elle ne fait aucun effort pour me repousser en avant et m'aider à me remettre sur pied. Je sens seulement deux mains me malaxer le cul sans vergogne. Je me retourne vers elle pour m'excuser de ma maladresse et elle me répond avec un sourire coquin : — Mais tout le plaisir est pour moi. Je me redresse enfin, à la ***** des bras, toujours pelotée par les mains avides de Gloria. Afin de me donner bonne contenance, je la remercie pour lui faire croire que j'ai pris ses mains baladeuses pour uniquement de l'aide. Dans l'accident, mon manteau s'est ouvert laissant apparaître toute la splendeur de ma robe. Arrivée au sommet de l'escalier, Gloria l'étudie sans s'en cacher le moins du monde et me dit : — Très belle robe, vous l'avez mise spécialement pour notre visite ? — Oui, un peu. Je n'ai pas su quoi répondre devant un discours aussi direct et c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit. La pièce où nous nous trouvons désormais est encore plus lumineuse que les autres car elle est en plein soleil. Gloria jette un coup d'œil panoramique et me dit toujours avec ce sourire pervers aux lèvres : — Magnifique, je ne sais pas comment vous faites pour supporter votre manteau avec la chaleur qu'il fait dans cette pièce. — Oui, vous avez rai***, il fait très chaud ici, inutile de mettre le chauffage. Décidément cette anglaise n'y va pas par quatre chemins et comprenant clairement ce qu'elle attend de moi, je ne résiste pas à l'envie de lui faire ce plaisir. J'ôte mon manteau et l'accroche à une poignée de fenêtre. Sa réaction est immédiate : — Vous avez vraiment une très belle robe, Catherine, il va falloir me donner l'adresse de la boutique. — Je l'ai acheté sur le net, je vous donnerai l'adresse. J'ai un peu de mal à l'imaginer avec cette robe sur le dos car elle est habillée de façon très classique mais il est vrai que *** corps est tout à fait capable de supporter une tenue de ce genre sans être ridicule. Nous fai***s rapidement le tour de l'étage quand Gloria s'arrête et me demande : — C'est quoi cette échelle qui monte au plafond ? — C'est l'accès au grenier, vous voyez, il y a une trappe au plafond. — J'aimerai bien aller voir, vous passez devant. — Oui, bien sûr. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'elle me demande ça pour profiter un peu plus de ma tenue ; elle a bien dû sentir dans l'escalier que je suis nue dessous. De toute façon, je suis sur des charbons ardents depuis cet incident. Tout mon corps est sous l'emprise d'une profonde excitation depuis qu'elle a montré clairement *** intérêt pour moi aussi bien par le geste que par la parole. Avec la matinée que j'ai passée, il ne m'en faut pas plus. Aussi je n'ai aucun mal à attaquer l'ascension de l'échelle tout en sachant que Gloria sera juste derrière moi le nez dans mes fesses. Arrivée au plafond, je pousse la trappe qui pivote sur ses charnières. L'échelle stoppe brusquement, arrivée au plancher du grenier. Il n'y a rien où s'accrocher et faciliter la dernière étape pour prendre pied. Je suis obligée d'écarter une jambe pour poser un genou sur le plancher et ainsi pouvoir me mettre debout. Je sens ma robe glisser sur mes fesses et stopper au niveau de ma taille. J'ai maintenant le cul complètement à l'air, une jambe écartée et repliée reposant sur le plancher. Je ne peux pas être plus offerte à *** regard. Mes deux mains ***t posées sur sol prêtes à me hisser mais Gloria ne résiste pas plus longtemps. Je sens ses doigts glisser sur mon bas-ventre alors que l'autre main s'attaque à une de mes fesses. Je lâche un cri quand je sens un doigt suivre mes grandes lèvres qui, bien ouvertes, accueillent cette visite avec plaisir. Le doigt se fait plus insidieux et pénètre plus profondément dans mon sexe, joue avec lui ; je ne peux pas résister plus longtemps, je m'affale sur le plancher en gémissant, une jambe toujours reposant sur celui-ci, me forçant à faire un grand écart. Gloria se déchaîne alors en enfonçant *** doigt *********** et exécute un va-et-vient rapide. Je sens aussi sa langue attaquer une lèche sur les parties qu'elle peut atteindre. Pour faciliter mon plaisir et le sien, je rampe et je pose mon autre genou sur le plancher. Toujours à plat ventre, mes fesses dépassent au-dessus de la trappe, mes jambes largement ouvertes. La tête de Gloria surgit et se jette immédiatement sur mon entrejambe ; sa langue et ses doigts reprennent leur travail. Il n'en faut pas plus pour m'arracher de nouveaux cris de plaisir. Instinctivement je me trémousse, mes seins frottent sur le plancher et me délivrent ainsi une délicieuse caresse qui finit de m'amener à l'extase. Ma jouissance explose rapidement, mon corps se tend et mes cris deviennent plus rauques. Je lâche en quelques secondes toute cette excitation accumulée depuis le début de la journée. Alors que je suis prête à subir le deuxième assaut, Gloria s'étant déjà remise à l'ouvrage, j'entends la voix de monsieur McLood:
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chrislebo
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— Chérie vous êtes où ? Nous devons partir, j'ai un problème urgent à régler. Gloria lève sa tête et lance de façon la plus banale du monde la bouche humide de mon jus : — J'arrive chéri, nous avons vu le principal avec Catherine. Encore un doigt en moi, elle se penche pour déposer un dernier baiser sur mon minou et me dit : — Je crois que nous allons devoir interrompre là notre visite d'aujourd'hui. Mon sexe enfin libre de toute intervention, j'arrive à opiner de la tête, Gloria a déjà disparu pour redescendre l'échelle. J'arrive péniblement à me remettre à quatre pattes pour prendre, moi aussi, le même chemin. Arrivée en bas Gloria me dit : — Il vaudrait peut-être mieux réajuster votre magnifique robe, même si cela plairait énormément à Robert de vous voir ainsi. Quand je regarde ce qu'il en est, je vois que j'ai la robe retroussée jusqu'à la taille ; mon minou encore bien ouvert et humide des plaisirs qu'il vient de recevoir, est à l'air. Je remets tout en place juste à temps, Robert débouche dans le couloir où nous nous trouvons. Il jette un regard surpris à ma tenue, pourtant bien plus sobre qu'il y a quelques secondes. Gloria ne lui laisse pas le temps d'en dire plus et l'embarque en lui disant. — Nous avons fait le tour et bien plus encore, n'est ce pas Catherine ? Il faudra d'ailleurs revenir rapidement sur les points les plus intéressants. Je compte sur vous Catherine ? — Avec plaisir Gloria, je suis ravie que la visite vous ait plu. — Elle m'a enchantée, je te raconterai tous les détails en chemin chéri. Nous nous séparons rapidement. Monsieur McLood est visiblement pressé, bien que surpris par les derniers mots de sa femme. La connaissant, il doit se douter de quelque chose. Je rentre directement chez moi après cette journée si mouvementée, je suis exténuée. Le lendemain j'ai un message de « Maitrevoyeur » : « Tu as bien obéi, je suis satisfait mais attention, la prochaine fois c'est moi qui décide quand tu peux arrêter de faire ce que je demande, c'est clair ? Je t'enverrai d'autres exigences plus tard. » Rien de bien passionnant ne se passe le reste de la semaine, jusqu'au vendredi. Seul Marc me fait une réflexion en disant qu'il trouvait ma robe de l'autre jour plus jolie... Le plus intéressant survient un peu plus tard lorsque j'entends le Boss hurler dans *** bureau. — C'est pas vrai ! Cette saloperie d'ordinateur est encore en panne ! Comme je suis dans le couloir pour aller dans mon bureau, je poursuis jusqu'au sien et lui dis : — Qu'est ce qui vous arrive, Francis ? L'informatique vous fait des misères ? — Ne m'en parlez pas, cette saleté vient de s'éteindre pendant que je travaillais dessus. Quand je redémarre ce merdier, ça me fait une espèce de je-ne-sais-pas-quoi à l'écran. Je n'y comprends rien. — Comptez pas sur moi pour vous aider, je suis tout juste capable de démarrer le mien. — Pourtant Romain est passé bricoler dessus car j'avais déjà des trucs bizarres mais là, c'est pire. — Ah oui, je l'ai vu passer mardi cette semaine. — Non, c'était la semaine passée, mercredi ou jeudi, je sais plus. — Ah bon ? Je ne l'ai pas vu pourtant. — Oui, il est passé en coup de vent. Je l'avais déjà appelé à cause de ce foutu PC. Cette nouvelle m'éclaire soudain l'esprit : mercredi ou jeudi et je reçois le mail de mon maître-chanteur le vendredi. Comme par hasard, Romain a eu accès à l'ordinateur du patron. Comme par hasard, il est dans mon bureau le mardi, jour où je dois me vêtir de cette fameuse robe. Je tourne et retourne tout ça dans ma tête toute la journée et, plus le temps passe, plus je suis persuadée d'avoir rai***. Je demande à Sabrina de passer le soir pour lui parler de ma découverte et elle est d'accord avec moi. Nous avons enfin un nom à mettre sur « Maitrevoyeur ». Mais elle me pose alors la question essentielle : — Alors, qu'est-ce que tu comptes faire ? — Je ne sais pas, c'est délicat. En parler au patron serait gênant, il faudrait avouer que j'ai regardé *** courrier mail et que je sais qu'il sait tout de mes « cours ». Et puis l'autre salopard pourrait envoyer les photos par vengeance. — Tu lui diras de me mettre dans la liste des destinataires. — Très drôle, aide-moi donc, plutôt que de faire des blagues douteuses. Si tu veux des photos, j'ai qu'à poser pour toi, tu en auras autant que tu veux comme ça... — C'est une bonne idée ça ! Répond Sabrina un grand sourire aux lèvres. Mais voyant que je lève les yeux au ciel, elle poursuit : — Le meilleur moyen d'arrêter ce chantage et de supprimer le moyen de pression qu'il a sur toi. — Oui, mais comment ? — Il faut que tu reprennes ces photos. — Facile, et comment je sais où il les a mises ? — Bien c'est facile, non ? — Non, désolée, je ne vois pas où tu veux en venir. — C'est pourtant simple et j'en suis presque sûre à cent pour cent. Tu dis que ce Romain est un spécialiste des ordinateurs ? — Oui, il adore ça visiblement. — Il a trouvé les photos sur l'ordi de ton patron et il en a fait quoi après, à ton avis ? — Bien... mais oui, il les a mises sur le sien. Il se balade toujours avec un ordinateur portable quand il vient chez nous. — Voilà ! Ce n'est pas compliqué. — Oui, pas bête en effet. Mais comment mettre la main sur *** portable et comment retrouver les photos dessus ? Je perds déjà la moitié des trucs sur le mien alors que c'est moi qui les mets quelque part. — Bon, je vois qu'il va falloir que je te fasse une formation moi aussi. Disant cela, elle affiche un sourire pervers à souhait — Oui, je suis très nulle en ordinateur. Sabrina s'arrête de parler et réfléchit quelques minutes, je n'ose l'interrompre dans sa réflexion. Elle reprend enfin la parole : — Je crois que j'ai une idée. Tout d'abord il faut connaître le nom qu'il a donné à tes photos. J'ai vu que celles que tu m'as montrées s'appellent « Cath » suivi d'un chiffre. Il y a de forte chance qu'elles se nomment toutes comme cela. — Comment je fais ? — Dès qu'il t'envoie un nouveau message, tu lui dis que tu ne connais pas ces photos et que ça t'excite de les voir et que tu voudrais qu'il te les envoie toutes par mail. En plus, ce n'est même pas mentir. — Oui c'est vrai que je ne les connais pas. — C'est surtout vrai que ça va t'exciter de les voir. Et elle rigole toute contente de sa blague. — Admettons, et après ? — Après, il faut sortir le grand jeu. Tu lui dis que tu sais qui il est. Que ce que tu as fait sous ses ordres t'a plu et que tu aimerais faire beaucoup plus, rien que pour lui. — Beaucoup plus ? C'est ça ton idée ? — Attend, rien que pour lui, j'ai dit. — Quoi, par exemple ? — Je ne sais pas, un truc que l'on fait en privé. Un striptease ! Voilà ce que tu vas lui proposer. Il faut un moyen d'aller chez lui et un striptease ; c'est l'idéal. — D'accord je vois, pas bête non plus ça ! Mais une fois chez lui, je fais comment pour mettre la main sur *** ordinateur. — Là, il va falloir improviser sur place. Il faut que tu trouves une excuse pour être seule une fois que tu as mis la main sur *** ordi. Maintenant je t'explique comment retrouver les photos dessus en fonction de leur nom... S'ensuivent de longues explications que j'essaie de comprendre et, après un certain nombre de manipulations avec mon nouveau professeur sur mon ordinateur per***nel, j'arrive enfin à maîtriser ce nouveau savoir. Le lundi arrive, je suis impatiente de mettre notre plan à exécution. Je suis presque contente de voir qu'un message de « Maitrevoyeur » m'attend. « Je veux que tu achètes cette robe pour jeudi, c'est le même site que la dernière fois. Tu sais comment faire. Et complètement nue dessous ! »
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chrislebo
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Je clique sur le lien et je découvre une robe encore plus extravagante que celle de la semaine passée. Un peu moins courte mais tout le haut est en voile transparent. On voit parfaitement les seins du mannequin sur la photo. Le côté de la robe est fendu jusqu' à la taille. Malgré tout, j'envoie le message prévu : « Avant j'aimerai beaucoup voir toutes les photos que vous avez. Je ne les connais pas et je trouve très excitant de me voir ainsi dessus. Pouvez-vous me les envoyer ? » La réponse tombe rapidement : « T'es vraiment une salope toi ! D'accord, voilà pour toi. » L'email contient tout un tas d'images, il m'a tout envoyé. Comme le pensait Sabrina, tout commence par Cath et nombre. Je ne peux m'empêcher de toutes les visionner et je suis bien obligée d'admettre que Sabrina avait aussi rai*** sur l'autre point... Un peu perturbée par cette constatation j'interromps mon visionnage et je décide de sortir le grand jeu. J'envoie l'email selon l'idée fomentée par Sabrina. « Romain, je sais que c'est toi ; j'ai tout compris. Ce que tu m'as fait faire l'autre jour m'a beaucoup plu, excitée. Je me suis caressée toute la nuit à cause de toi. Je voudrais en faire plus, rien que pour toi, ça serait terriblement plus excitant. » J'envoie. Pas de réponse pendant plus de deux heures. Je désespère, le plan de Sabrina qui me semblait si génial tourne-t-il à la catastrophe ? Mais répond, bon dieu ! Je m'attends à recevoir le même mail que tout à l'heure avec mes photos mais avec tous mes correspondants en copie. Je suis incapable de faire quoi que ce soit. Mon cerveau refuse de se concentrer sur autre chose. Une réponse enfin, je me jette dessus : « Qu'est-ce que tu proposes ? » Ouf, pas de catastrophe ! Il a mordu au piège. Ma réponse est aussi rapide que mes doigts me le permettent. « Un striptease rien que pour toi. Toi et moi seuls. J'ai toujours rêvé de faire un striptease pour quelqu'un. On pourrait aller chez toi, quand tu veux. » La réponse est immédiate cette fois-ci : « Pourquoi pas chez toi ? » Merde, ce n'était pas prévu ça ! Il faut que je trouve une excuse. Je n'ai pas fait le ménage ? Non ça, il s'en fout certainement, voyons... J'ai trouvé : « J'ai mes parents à la mai*** en ce moment. Je ne peux pas. » La aussi la réponse fuse : « Ok, je te dirai comment t'habiller et quand. » Je respire enfin et j'appelle aussitôt Sabrina pour lui annoncer la nouvelle : — Sabrina, ça y est ! Ça a marché. Il veut que j'aille chez lui pour un striptease. — Il t'a envoyé toutes les photos ? — Oui, aussi, et comme tu disais, elles commencent toutes par Cath et un nombre. — Envoie-les-moi maintenant, que je voie ça ! — Tu es sûre que c'est pour le nom des photos que tu voulais qu'il me les envoie ? — Oui, bien sûr, mais autant en profiter un peu aussi... — Et c'est moi qui suis une cochonne après ça ! Voilà, c'est fait. — Parfait ! Et maintenant ? — Il doit me recontacter, j'attends. Attendre, c'est le mot juste et c'est ce que je fais toute la journée sans plus de nouvelle. Le lendemain un message m'attend : « Je veux que tu mettes ça dessous. Pour le reste, je te fais confiance et ne me déçois pas. Je veux que tu sois vendredi vers 17h00 à l'adresse suivante. » Encore une fois un lien Internet m'amène sur le site de vente en ligne habituel. Je découvre une guêpière bustier mauve et noire ; elle soutient à peine les seins en n'en couvrant qu'une faible partie. Elle s'arrête bien sûr au niveau du ventre, des jarretelles en sortent pour aller accrocher des bas. Je vois qu'ils proposent d'acheter les deux en même temps. Ce que je fais n'ayant pas de bas pour porte-jarretelles. Je regarde l'adresse donnée, je connais bien la rue. Elle n'est pas très loin d'ici. C'est un quartier fait de vieux appartements. Jeudi ma commande est arrivée comme prévu. Sabrina, curieuse de voir ça, est là aussi ce soir. — Allez ! Enfile ça vite que je vois de quoi tu as l'air Je me déshabille pour enfiler la guêpière et le reste. Tout en finissant d'attacher les bas, je demande : — Alors, tu en penses quoi ? — Que je vais te sauter dessus dans quelques secondes, tellement tu es craquante. — J'espère qu'il ne fera pas la même chose, ce n'est pas ce que je cherche. — Pas sûr, là t'es vraiment trop sexy ! — Bon, j'en déduis que ça te plaît ; ça aura au moins été un achat utile pour plus tard. Je n'avais pas encore pris le temps de me regarder, aussi je me dirige vers mon grand miroir. Effectivement, c'est sexy et je prends un réel plaisir à me regarder. Ma poitrine est à peine contenue par le bustier, mes aréoles débordent de la dentelle au moindre mouvement. En me trémoussant au rythme d'une musique imaginaire et en faisant semblant de m'effeuiller, je dis : — Alors, je vais être à la hauteur ? — Je n'ai aucun doute la dessus. Je t'accompagnerais bien pour profiter du spectacle, répond Sabrina — Ça risque d'éveiller ses soupçons, même si cela me rassurerait. — Oui, j'en ai peur et tu comptes mettre quoi par-dessus ? Il faut trouver quelque chose qui fasse durer ton striptease en longueur pour te laisser le temps de repérer *** ordinateur et de trouver un moyen de l'approcher. — Je n'y ai pas encore réfléchi. — Tu devrais conserver la tenue de tes clichés ; ça me paraît adapté à la situation. — Oui, pourquoi pas. Maintenant, il y a plus qu'à espérer que tout se passe bien. Je commence à angoisser pas mal. — T'inquiètes pas, tu verras tout ira bien. Dis-lui pour que tout soit bien clair, que tu veux juste faire ton show parce que cela t'amuse mais pas plus. Qu'il peut regarder, mais pas toucher. La dernière phrase de Sabrina ne me rassure qu'à moitié mais je trouve quand même l'idée bonne. Elle reste avec moi le restant de la soirée ce qui permet de me détendre et de penser à autre chose. Le lendemain je revêts donc ma tenue d'étudiante avec les dessous demandés accompagnés d'un beau string : ça fera toujours un truc de plus à enlever, si besoin. Je vois peu de monde dans la journée, seul le patron me regarde avec un air étonné pour me demander si j'ai cours avec Anne-Marie. Je prends l'air le plus surpris possible pour répondre : — Non pourquoi, elle n'est plus malade ? Vous avez des nouvelles ? — Non, pas récemment, je demandais ça juste comme ça, comme on est vendredi... — Et il est reparti, un sourire coquin sur le visage, visiblement peu convaincu de ma réponse. L'heure du rendez-vous arrive enfin. Je dis enfin car toute cette journée m'a paru si longue tellement mon angoisse montait crescendo au fil des heures. Aussi je sens cela comme une délivrance. Toute la journée je me suis demandé comment j'allais faire pour mettre la main sur *** ordinateur et agir dessus. Je vais bientôt savoir si je vais être à la hauteur. Je marche jusqu' à l'adresse car c'est proche de l'agence ; j'ai d'ailleurs garé ma voiture à proximité ce matin, en prévision d'un départ précipité. C'est bien un immeuble ancien comme je le pensais. Me voilà devant la porte, je prends ma respiration et je ***ne. Les secondes défilent et elle s'ouvre enfin. Romain m'apparaît et il a l'air encore plus embarrassé que moi. Je pourrais presqu'avoir pitié, si les circonstances étaient différentes. — Euh... Entrez ! Entre... Me bafouille-t-il
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chrislebo
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Il est loin du rôle qu'il jouait durant nos échanges par mail. Je pénètre dans un hall assez grand pour un appartement que je présume petit. Il semble prendre de l'assurance car il me dit sur un ton plus volontaire : — Avance par là, on va se mettre dans cette pièce. Tout en avançant j'examine autour de moi, aussi bien pour repérer les lieux que pour voir si j'aperçois ce maudit ordinateur. Plusieurs portes donnent sur le hall, je devine les toilettes au poster qui en orne une. Pour le reste c'est plus simple car je peux voir à l'intérieur des pièces : une petite cuisine, une chambre et la pièce où je me dirige. Mais point d'ordinateur en vue, ça commence mal. On rentre dans ce qui doit être un salon, il y a pas mal de bazar un peu partout. Un canapé trône au milieu, des affiches, des étagères le long des murs, l'ensemble donne l'impression d'avoir été meublé de bric et de broc. L'appart d'étudiant dans toute sa splendeur. Romain s'affale sur le canapé et prend une bouteille posée devant lui sur une table basse et se sert ce qui me semble être du whisky. Il me demande : — T'en veux un ? Sans répondre, j'opine de la tête : un verre d'alcool fort me donnera du courage, j'en ai bien besoin. Il me tend mon whisky et dit avec un ton encore plus assuré que tout à l'heure : — Alors, tu as fait ce que j'ai demandé ? — Oui. — Pour le reste j'espère que tu ne vas pas me décevoir. *** regard fuit le mien et il ajoute : — Sinon, tu sais ce que je ferai. — Oui, je pense que ça ira. Disant cela, j'écarte le long manteau qui me couvre toujours. Il peut alors voir en réel ce qu'il a certainement admiré en photo : ma veste bleu marine aux boutons dorés, ma jupe courte plissée bleu, mes bas blancs planté dans mes escarpins. Tout en me tendant un nouveau verre d'alcool, Romain me dit : — Super, tu es prête à renter en fac à Cambridge, t'es vraiment une... sexy ! Il a eu du mal à dire le nom qu'il m'a si souvent donné par mail, pas si courageux que ça, le gars. Je bois mon nouveau verre rapidement pendant que Romain me dit : — Je vais mettre de la musique, il faut ça pour un striptease. Il attrape une télécommande et une musique rock envahit la pièce puis il s'affale de nouveau dans le canapé. Je comprends que c'est à moi de jouer. J'ai beau fouiller la pièce du regard, je ne vois toujours rien qui ressemble à *** ordinateur. Tout en reposant mon verre, je lui dis que je prends plaisir à me montrer mais qu'il ne doit pas toucher sans mon autorisation. Il grommelle quelques mots que je considère comme un accord. — Bon, tu démarres ? En guise de réponse j'ôte mon manteau que je balance dans le hall et je commence à me dandiner au rythme de la musique. Je tourne sur moi-même, ce qui fait décoller ma jupe et déclenche l'enthousiasme de mon spectateur. Cela m'a permis de fouiller une fois de plus la pièce mais sans succès. Romain commence à s'exciter et en est à *** troisième verre : — Allez ! Allez, bouge ! Ouais, comme ça ! Enlève ta veste ! — Patience, laisse le plaisir monter. Sers-moi un autre verre, s'il te plaît. Je descends d'un trait mon troisième verre tout en continuant à me trémousser. Je suis toujours très nerveuse et il me faut ça pour me détendre. Mais je me rends compte que l'alcool me monte déjà à la tête, je n'ai rien dans l'estomac depuis ce matin. Ce n'est pas une bonne idée finalement ce whisky, mais trop tard maintenant. Je dégrafe les boutons de la veste un à un en partant du bas. Elle s'ouvre enfin sur mon chemisier blanc transparent. Je joue avec les pans de la veste pour le découvrir ou le cacher pendant quelques secondes puis je fais glisser ma veste sur les épaules et finalement la laisse tomber au sol en secouant les bras. D'un coup de pied, je l'envoie valser dans le hall par la porte restée ouverte. Le chemisier laisse bien voir en transparence la guêpière exigée par Romain, ce qui déclenche *** enthousiasme et lui donne envie d'un autre verre, il en sert un autre pour moi par la même occasion. J'ai déjà la tête qui tourne et me sens de plus en plus grisée par la bois*** et la situation. Quand il me tend le verre, je le prends sans réfléchir, mécaniquement, et bois une longue gorgée. Je sens la chaleur me monter de plus en plus aux joues. Je voulais me détendre, c'est réussi. D'ailleurs Romain le remarque car il ajoute. — Bois encore un coup, tu danses de mieux en mieux ! Je ris comme une bécasse et je m'enfile une gorgée de plus. Ma gorgée est si importante que je repose un verre vide, toute surprise qu'il le soit déjà. Romain aussi est maintenant très détendu sous l'effet du liquide made in Scotland et il se lâche. — Vas-y salope remue ton cul, danse et fous-toi à poil! En réponse, je me mets à secouer ma poitrine pour bien la mettre en valeur. Mes seins s'agitent en tous sens, à peine retenus par le bustier. L'effet de l'alcool est encore monté d'un cran, je suis franchement pompette et contrairement à ce qui était prévu, je prends plaisir à cette situation. J'en oublie la cause, la rai*** de ma présence ici et l'excitation qui a toujours été présente en moi passe au premier plan. Je m'entends même demander un autre verre que Romain s'empresse de servir encore plus empli que les précédents et de me le tendre. Je bois et garde le verre à la main tout en continuant ma danse sensuelle. — Allez, finit ton verre et enlève ta chemise. De plus en plus enivrée, aussi bien par la bois*** que par mon show, je bois d'un trait ce qui reste et lui lance le verre qu'il essaye d'attraper au vol. Il lui échappe et après une partie de ping-pong entre ses deux mains, il tombe sur le divan ; je rigole encore plus. Je tire mon chemisier hors de la jupe et fais sauter les boutons un à un. — Ouais ! C'est ça, salope, montre-moi tes melons. J'ai arrêté de compter les verres qu'il a bus ; il est encore plus imbibé d'alcool que moi et ne fait preuve d'aucune retenue désormais. Comme pour la veste tout à l'heure, je joue avec les pans du chemisier un moment et les écarte d'un coup dévoilant la guêpière et *** contenu. Je mets à nu mes épaules et laisse le chemisier tomber au sol. Comme pour le reste, je le fais voler vers le hall du bout du pied. La poitrine en avant, je me trémousse. Mes seins tressautent et s'échappent à moitié des bonnets, les bouts tendus ont passé la frontière de la dentelle et exhibent fièrement leur excitation. En me penchant en avant, je prends mes nichons à pleine main par-dessous, ce qui finit de les rendre visibles dans leur totalité. Romain est aux anges — Montre-moi ton cul de salope maintenant, fais-moi bander ! Je rigole comme une gourde enivrée que je suis par ces paroles. Je lève les bras au ciel en dessinant des arabesques au rythme de la musique et toujours en agitant ma poitrine nue qui ballotte à n'en plus finir. — Ton cul, salope ! Je veux voir ton cul ! Obéissante, mes doigts descendent et passent entre mon ventre et la jupe, tirant le tissu pour l'écarter de ma chair. Je joue sur l'élastique pour la faire tomber. Elle commence *** chemin vers le bas mais mes hanches trop larges bloquent le passage. Je tourne alors le dos à Romain et, en dandinant des fesses, mes mains vont vers la fermeture éclair. Je l'ouvre tout en me cambrant en arrière pour bien faire ressortir mon cul. Dans cette position, même avec la fermeture éclair grande ouverte, la jupe peine à passer la large courbure de mon bassin mais un coup sec en a rai***. La jupe se retrouve autour de mes chevilles, je reste le cul seulement recouvert de mon string. J'extirpe une jambe du vêtement et, de l'autre, je l'envoie rejoindre les autres dans le hall. Toujours dos à Romain, je me cambre de nouveau et agite mon croupion sous *** nez au rythme de la musique. Mes mains glissent sur mes fesses, les écartent, jouent avec pour dévoiler mon intimité seulement recouverte de la fine dentelle du string. — T'as vraiment un super cul de salope !
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chrislebo
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Confortée par ce que je prends comme un compliment, je me déhanche pour bien agiter mes fesses sous *** nez. Il me lâche alors une claque dessus, je me suis trop approchée on dirait. Loin de m'effrayer ce geste renforce mon excitation qui embrase tout mon être. Je me tourne pour lui faire face et, toujours en agitant mon bassin, je saisis le devant de mon string d'une main pour le rétrécir et n'en faire qu'un étroit bandeau de dentelle. Ma toi*** dépasse de part et d'autre. Je tire dessus pour jouer avec et il s'enfonce alors dans mon sexe, pénètre ma vulve, laissant mes lèvres l'avaler. Je reste ainsi, l'autre main en l'air décrivant des volutes alors que mon bassin fait des mouvements de va-et-vient au rythme des booms, booms, qui font vibrer les murs. Les yeux rivés sur ma chatte, Romain explose : — Vas-y ! Fait péter ton string que je vois ta chatte de cochonne. Dans l'état où je suis, il ne m'en faut pas plus ; mes doigts se glissent entre l'élastique et mes hanches. Je commence à décoller le slip de mon ventre. Je joue un moment ainsi le baissant et le remontant dès que les poils de mon minou dépassent par-dessus mais finalement mes mains le laissent là où il est. — T'attends quoi salope, vas-y je te dis ! Je veux voir ta chatte de cochonne ! — Faut garder le meilleur pour la fin. Je ne me rends même plus compte que j'ai vraiment tout oublié de la rai*** qui m'a fait démarrer ce striptease. Mes sens ont pris le dessus avec l'aide diabolique de la bois*** qui me fait maintenant perdre totalement pied. Je me laisse aller à mes plaisirs les plus pervers une fois de plus. Je me tourne vers la porte et après m'être déchaussée, mes escarpins rejoignent mes autres vêtements au milieu du hall. Je m'allonge sur le sol face à Romain, une jambe levée. Je commence à retirer un bas que je lui lance, l'autre suit rapidement le même chemin. Je reste au sol écartant les jambes tout en les caressant l'une après l'autre de façon suggestive. Mon regard doit donner à mon visage un aspect de débauche totale, je le sens malgré l'ivresse. Je me relève bien décidée à aborder l'étape finale. Tout en glissant de nouveaux mes doigts sous mon string au niveau des hanches, je m'entends dire : — Tu veux voir ma chatte de cochonne, hein ? — Ouais ! Vas-y ! Montre-la ! Je descends le petit triangle de dentelle petit à petit, quand il arrive à mon entrejambe, une de mes mains se positionne pour masquer l'objet de tant de convoitise. Je pousse vers le bas de mon autre main le bout de tissu et je me tortille en suivant la cadence de la musique. Le string finit par dégringoler à mes pieds, je m'en saisis de ma main libre. Je m'en sers alors pour masquer mon sexe, le transforme en un cordon que je fais coulisser le long de ma chatte. Le contact de ce bout de lingerie frottant mes lèvres et le reste déclenche une vague de plaisir profond, j'ondule du bassin pour encore mieux le ressentir. — Mets-toi à quatre pattes comme tout à l'heure et montre-moi encore ton cul de salope maintenant, me crie Romain imbibé d'alcool au bord de l'explosion. Sans le moindre signe de rébellion, je m'exécute. Je lui lance mon string bien humide de mon plaisir. En quelques secondes, je suis le nez au sol, les fesses cambrées vers mon voyeur alcoolisé. C'est en levant la tête pour entamer une danse du fessier digne des mille et une nuits que la vision d'une sacoche attire mon attention quand je regarde dans le hall par la porte restée ouverte. Mon cerveau passablement embrouillé ne me permet pas de réagir immédiatement. C'est seulement après de nombreuses ondulations de mon croupion que je réalise enfin que cette sacoche posée contre le mur est celle qui contient l'ordinateur portable. Là aussi, le mot ordinateur ne fait pas immédiatement tilt dans ma tête, il me faut un certain temps pour me souvenir du but de ma visite. Je ne suis pas là pour me déhancher à poil devant Romain mais pour mettre la main sur ce maudit ordinateur. Par miracle, j'arrive à sortir suffisamment de ma torpeur et prendre la décision qui s'impose. Je me redresse sur mes jambes et j'entends Romain se plaindre : — Oh, qu'est-ce que tu fous ? — Je dois aller aux toilettes, dès que je suis excitée ça me fait ça. Je reviens vite. — Ok, je vais voir si j'ai une autre bouteille pendant ce temps, celle-ci est vide. Je me lève la tête toujours embrumée, je passe dans le hall en prenant soin de fermer la porte derrière moi. Bien que mon esprit soit maintenant obnubilé par le but principal de ma visite, mon corps est toujours sous l'emprise de l'excitation qui refuse de me quitter. Je m'empare de la sacoche et je m'enferme dans les WC. Là, un deuxième miracle se produit, malgré la quantité de whisky ingurgitée, j'arrive à refaire les manipulations expliquées par Sabrina. Je trouve un dossier où toutes mes photos ***t rangées, j'efface comme me l'a expliqué Sabrina et vérifie de nouveaux. C'est fini il n'y'a plus de trace nulle part, même dans sa messagerie. J'entends alors Romain qui s'impatiente : — T'arrive ? J'ai trouvé une autre bouteille. Je veux voir ton cul moi ! — Oui, oui ! Une minute... Je me précipite pour tout remettre en place et, aussi étrange que cela puisse paraître, j'ai un moment d'hésitation car j'ai pris beaucoup de plaisir durant mon striptease et l'alcool est toujours en train de m'engluer les méninges, de plus en plus. Je suis à deux doigts de franchir la porte toujours nue dans ma guêpière pour rejoindre Romain quand finalement je me reprends et je me dis « mais qu'est que tu fais ? ». J'attrape mon manteau qui gît sur le sol, l'enfile rapidement ainsi que mes chaussures. Je regroupe le reste de mes affaires présentes et m'enfuis par la porte les bras chargés de mes habits. La peur de succomber à la tentation et de revenir me fait ****** l'allure et je suis enfin dans la rue. Il fait nuit, la lumière du lampadaire m'éblouit, j'ai la tête qui tourne, je vacille. Je retrouve péniblement ma voiture, je sens ma démarche mal assurée et je suis incapable de conduire. Il faut que je demande à Sabrina de venir me chercher, elle devait de toute façon passer ce soir pour savoir. — Sabrina ? C'est Cath, tu peux passer me récupérer ? Je suis au début de la rue de la liberté. Je ne peux pas conduire, je t'expliquerai. — D'accord, je suis justement en voiture pour aller chez toi et je ne suis pas loin Peu de temps après, enfin je crois, la voiture de Sabrina stoppe à côté de la mienne et je m'empresse de monter dedans. Sur le chemin je lui explique tous les détails en bafouillant, l'alcool rendant mon élocution difficile. — Tu t'es bien débrouillée, t'es une championne et en plus t'as pris ton pied. T'es vraiment incroyable, me dit Sabrina le sourire aux lèvres. — Oui, je suis passée près de la catastrophe mais j'ai pu reprendre mes esprits au bon moment finalement. — Je ne suis pas sûre que tu aies complètement repris tes esprits comme tu dis, t'as vu comment tu es ? me répond Sabrina en rigolant de plus belle. Je jette un coup d'œil sur ma per***ne et je vois que mon manteau est largement ouvert sur ma nudité, mise en valeur par ma guêpière. Sabrina ajoute : — Et ça à l'air de plaire au gars dans la camionnette à côté de moi et au cycliste de ton côté, il ne nous quitte pas d'une semelle depuis un moment. En regardant sur ma gauche je vois effectivement un cycliste tourner rapidement la tête quand je regarde vers lui. Je réponds alors d'un rire enivré : — Si ça leur plaît ! Ça serait dommage de les en priver et puis accélère un peu, j'ai une excitation à assouvir et encore plus maintenant. — Ah, là, là, t'es vraiment...
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vanbruje
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Pas mal... pas mal... je suppose que ce n'est pas fini... Merci et bonne fêtes de fin d'année
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chrislebo
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si
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chrislebo
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Candaulisme – jour J Ça fait maintenant trois ans que ma femme connaît mon envie d'être cocu. J'ai toujours été excité à cette idée et ce serait un complément logique à mon goût pour la soumission et *************. Depuis quelques temps, lorsque j'en parle, elle semble très excitée et plus réceptif à cette idée. Pourtant elle ne laisse pas paraître d'envie réelle de baiser avec un autre. Nous avons décidé de refaire une semaine de vacances au même endroit que l'an dernier, dans le sud de la France. Il y a une immense plage et après 20 minutes de marches, nous sommes dans un endroit suffisamment isolé pour être seul. Comme, même proche du parking, il n'est pas rare de voir des per***nes se bronzer nus, nous ne nous gênons donc pas d'en faire de même. Les quelques promeneurs (parfois autant voyeur que promeneur) ne semblent pas gêné ma femme. Dimanche matin, nous allons avec plaisir dans ce coin tranquille de la plage. En s'installant, ma femme me dit : - Tu as toujours envie que je couche avec un autre mec. Un peu surpris de cette entrée en matière, je baragouine une réponse - Tu sais bien qu'oui - Alors si un beau mec passe, je veux être libre de le draguer un peu. Ça veut dire que chaque fois qu'on voit du monde approcher, tu iras te baigner en restant à au moins 100 m de moi. Tout a commencé à tourner dans ma tête. Est-elle sérieuse? Va-elle le faire? Est-ce juste pour me tester? Dans l'heure qui suit, d'abord un homme, puis un couple passent. A chaque fois je parts dans l'eau, mais, à part quelques regards, per***ne ne parle à Sylvie. Puis un homme seul arrive, je parts docilement me baigner. Il est vêtu d'un short et, à ce que je vois, il semble plutôt bel homme. Mon pouls augmente lorsque je le vois commencer à discuter avec ma femme, puis s'asseoir à coté d'elle. Je n'ai pas de montre, mais le temps me semble long, il la drague s'est sur. Je me mets à bander lorsque je vois sa main sur la cuisse de ma femme. Il finit par la doigter, et par la peloter. Plus tard, il sort un préservatif de sa poche. Ça y est je vais être cocu et je bande terriblement. Il se couche sur ma femme pour la baiser. Il la pistonne pendant de longues minutes, avec le bruit de l'eau je n'entends pas ma femme, mais je n'ai aucun doute, elle jouit et jouit même bien. Il est bien plus endurant que moi et il continue aller et venir avec beaucoup de virilité pendant de longues minutes N'y résistant pas, je m'approche jusqu'au qu'au bord de la plage, mais en restant dans l'eau. Je vois bien le corps de ma femme trembler de plaisir alors que *** amant se crispe, il est en train de jouir à *** tour. Il leurs faut plusieurs minutes pour reprendre leurs esprits. Ils se lèvent et viennent dans l'eau. Ma femme vient vers moi, me regarde d'abord avec un peu de gène, mais lorsqu'elle voit mon sexe dressé, elle sourit, me dit - On dirait que le spectacle t'a plus. *** amant me salue et me dit : - Ta femme est un sacré bon coup. Ma femme me tape les fesses et me dit mets-toi à genoux dans le sable à coté de nos linges, les mains dans le dos pendant qu'ont se baigne. J'obéis et, alors que les deux amants batifolent dans l'eau, mon sexe de cocu reste dressé d'excitation. Lorsqu'ils reviennent, nous fai***s connaissance, Jerôme est informaticien et habite la région. C'est un bel homme de 40 ans. La discussion est plaisante. Le seul élément qui rappelle ma situation de cocu c'est que je reste dans le sable alors qu'il est couché sur mon linge. Ma femme me demande d'aller à la voiture chercher la bouteille de rosé qui est dans la glacière et les deux verres qui ***t avec. J'obéis et je les laisse donc seuls 45 minutes. Jérôme en a profité pour continuer à faire connaissance du corps de ma femme car lorsque je reviens, elle est assise, jambes largement écartées. Lui s'amuse avec ses seins et *** clito. Il me regarde à peine quand j'arrive et ne se gène pas de continuer *** "exploration". Je leur ai servi à chacun un verre de rosé. Il n'y a pas de 3ème verre, je n'y ai donc pas droit. Nous sortons notre pique-nique que nous partageons avec lui. L'alcool et les mains baladeuses de *** amant aidant, le dialogue se fait rapidement plus coquin. A un moment ma femme, détendue par le vin et excitée par les mains baladeuses de *** amant, prend mon sexe dans une main et le sien dans l'autre, elle dit en rigolant : - Il n'y a pas photo, le sien est plus gros. D'ailleurs si j'ai si bien jouis s'est parce qu'il tapait contre mon utérus
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chrislebo
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Moqueuse elle rajoute : - Et puis lui n'est pas un lapin comme toi, il m'a baisée plus que 2 minutes. Jérôme explique à Sylvie qu'il fait régulièrement des tests HIV. Comme il a reçu les résultats du dernier test il y a moins d'une semaine il lui demande s'il peut la baiser sans capote ? Sylvie me regarde et me demande ce que j'en pense. Comme je lui dis que si elle a confiance en lui, pour moi il n'y a pas de problème, Elle lui demande : - Tu as vraiment fait un test? - Oui j'ai le résultat dans ma voiture. Je te le montrerai tout à l'heure Elle hésite un moment puis dit : - Ok je suis d'accord. Je me retrouve à genoux, ma femme à 4 pattes en face de moi et Jérôme derrière elle la pénètre en lui disant que, à voir comme elle mouille, elle n'attendait que ça. Elle jouit en me regardant droit dans les yeux. Ça a été un moment très fort pour moi et pour elle. Me voir bander et mon sexe mouiller l'a énormément excitée. Elle jouit plusieurs fois et, je l'avoue, plus intensément et plus bruyamment que quand je la baisse. D'ailleurs ça fait plusieurs année que je ne l'ai pas baisée en levrette. Dans ma tête il y a un mélange de jalousie et d'excitation, mais ce qui est sur c'est que je bande alors que *** amant s'est répandu au fond de *** vagin. Quand il s'est retiré, Sylvie a voulu aller se rincer dans la mer. Mais il l'arrête en lui disant: - Non reste comme ça avec le sperme dans ton ventre. - Mais, je n'aime pas trop quand ça coule sur mes jambes. - Tu n'as qu'à frotter ton sexe sur ton mari pour enlever ce qui coule. Après un moment d'hésitation, elle me regarde. Je lui fais un petit signe et je me suis couché dos contre le sable. Elle est venue à cheval sur mon ventre pour s'essuyer. Elle m'a regardé une lueur coquine que je lui connais bien dans les yeux. Elle se penche, me fait une bise en me disant à l'oreille : - Puisque tu aimes être humilié, tu va être servi. Je t'aime Alors qu'elle se redresse, je me demande ce qu'elle va faire. Elle se met debout sur moi et dit : - J'ai aussi besoin de faire pipi. Elle n'a pas fini de le dire qu'elle me pisse dessus. Je ne l'aurais jamais crue capable de ça. Malgré la surprise, je reste tout de même docilement sans bouger, en train de vivre une *********** que j'avais souvent imaginée mais que je n'avais jamais osé lui demander. Alors que Jérôme rigole, elle me dit moqueuse, - Même ça fait bander ta petite bite ! Jérôme remet *** short et demande à Sylvie de le raccompagner un bout. Comme elle veut aussi remettre *** bikini, il lui dit : - Non, vient comme ça. Les bronzeurs les plus proches devaient être à 600 ou 700 mètres et ma femme serait juste considérée comme une amoureuse de la nature qui ne ***t pas rare ici. Même si, habituellement nous avions plutôt vu des couples où monsieur se promène nu. Elle ne proteste pas et suit Jérôme qui part sans même me dire au revoir. C'est à *** retour, une heure vingt plus tard, qu'elle me raconte sa ballade. Vu sa nudité et, surtout, le sperme qu'elle sent couler le long de sa jambe, elle pense ne faire que quelques centaines de mètres avant de revenir. Mais elle n'a pas osé protester lorsqu'il lui a dit : - Tu viens avec moi jusqu'à la voiture. Le sperme, tu le sens mais per***ne ne le voit. Il est là juste pour te rappeler que tu as été une bonne petite chienne avec moi. Même si la plage reste peu fréquentée, plus ils approchent du parking, plus il y a de per***nes se bronzant ou pêchant. Ma femme m'avoue que les regards des hommes l'ont mise mal à l'aise, mais l'ont aussi fait beaucoup mouiller. Elle me dit : - Je n'aurais jamais imaginé que d'être exhibée et traitée comme une simple femelle à baiser m'exciterait autant. Arrivé à la voiture, de nouveau à l'abri des regards derrière celle-ci, mais avec le risque que d'autres per***nes viennent récupérer leur voiture, elle a du appuyer ses deux mains sur la carrosserie. Il a sorti de sa voiture un tube de lubrifiant et disant : - Je vais encore m'occuper de ton cul. Sans bouger, Sylvie proteste sans conviction et se laisse faire lorsqu'il introduit un doigt dans *** petit trou. - Doucement, je n'ai pas l'habitude - Ton mari ne te sodomise pas? - Non, je m'amuse de temps en temps avec un petit gode, mais c'est très rare. - Parfait, tu seras bien serrée comme j'aime. Détends-toi, je vais y aller doucement. Tu continueras à interdire l'accès à ce trou à ton mari. C'est un trou réservé à tes amants. Il a su la sodomiser avec douceur. Même si elle n'a pas jouis, elle y a trouvé du plaisir. Il l'a ensuite laissée partir, le sperme dégoulinant de *** cul. Elle est allée se baigner pour se laver avant de revenir. Si, sur cette plage, des vacanciers nus ne ***t pas rares, une femme seule marchant nue ne passe pas inaperçue. Ça lui a valu quelques commentaires plus ou moins salaces. Après m'avoir raconté tout ça, ma femme se couche sur *** linge et s'endort. Environ une heure passe avant qu'elle ne se réveille. Elle vient se blottir contre moi et m'explique que Jérôme n'est pas arrivé la par hasard. Décidée à réaliser mon fantasme qui l'excitait beaucoup, elle a rencontré Jérôme sur un chat sur Internet il y a déjà 3 mois... Depuis ce moment, jusqu'au lendemain matin nous avons vécu beaucoup de tendresses et d'érotisme. Je lui ai fait l'amour en rentrant à l'hôtel puis au milieu de la nuit.
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chrislebo
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Au réveil, après cette première journée chaude, câline dans mes bras, ma femme me dit : - J'ai beaucoup aimé hier et toi? - Moi aussi, tu l'as bien vu - Tu sais maintenant que j'ai goûté un sexe plus gros que le tien et surtout plus endurant, si on continue, je risque d'y prendre définitivement goût. - J'en ai envie Comme elle sent que je bande, elle sourit : - Tu ne crois quand même pas que tu va me baiser une troisième fois de la nuit avec ton petit zizi et tes coups de 2 minutes? Je vois à ces yeux qu'elle prend plaisir à se moquer de moi et mon sexe dressé ne lui laisse aucun doute de l'effet qu'elle provoque. Elle me dit encore : - Mais comme je t'aime, pour cette semaine tu pourras me faire l'amour chaque fois que je me serai faite prendre par un amant qui a un plus petit sexe que toi. Je précise la que mon sexe n'est pas minuscule puisqu'il fait 14 cm en érection, mais selon des données trouvées sur le net, 80% des hommes ***t mieux monté que ça. Ce qui veut dire que Sylvie n'aura aucune peine à trouver un amant mieux équipé si elle veut me ****** à l'abstinence. Notre chambre est au rez de chaussée avec un accès au jardin et à la piscine au bord de laquelle est servis le petit déjeuner. Alors que nous sommes près à nous y rendre, ma femme me dit : - Le patron est la, comme c'est un bel homme et qu'il me drague chaque fois que je le croise, tu me laisses aller seule au petit déjeuner. Tu me rejoins dans un quart d'heure. J'ai, bien sur, obéis en la regardant discrètement depuis notre chambre. Le résultat qu'elle espérait n'a pas manqué de se produire. Le patron vient discuter avec elle. Il y a des sourires et, m'a-t-il semblé, des joues un peu rose. Quand je la rejoins, elle me dit juste qu'ils ont parlé du confort de l'hôtel et de la taille agréable des douches faites pour que les belles femmes puissent y être accompagnées. Un peu plus tard nous nous retrouvons dans une pharmacie. Ma femme me dit d'aller demander des préservatifs à une vendeuse plutôt jolie et sexy. J'obéis un peu gêné, comme si elle pouvait deviner que ce ne sera pas pour moi. Elle me demande : - Oui quelle taille voulez-vous? C'est ma femme qui répond - Lui a une petite taille, mais ce n'est pas pour lui. Donnez-nous une boite de taille moyenne et une boite de grande taille. Elle me dit de sortir les préservatifs des boites et de les mettre dans un petit sac à main. Sur la plage, une fois installés au même endroit que la veille, Je décide de partir faire un petit peu de courses. Lorsque je reviens, 45 minutes plus tard, ma femme est en train de baiser avec Jérôme. Mais cette fois je ressens une pointe de jalousie car elle est sur lui. Quand lui la baisait, je la voyais comme une femme qui offre *** corps, la c'est elle qui est empalée sur lui, c'est donc elle qui s'offre un homme. Dans ma tête c'est tout différent. De plus quand elle vient sur moi, mon gland frotte de telle façon dans *** sexe que je suis incapable de me retenir plus de quelques secondes. Jérôme lui ne semble pas connaître ce problème et c'est ma femme qui jouit de longues minutes plus tard. Elle finit par s'affaler sur lui les jambes coupées. Il lui demande alors de le sucer. Heureuse de *** orgasme, elle lui obéit, se retrouvant à quatre pattes entre ses jambes, *** sexe dans sa bouche. La fellation ne dure pas très longtemps. Jérôme lui retient la tête en lui disant d'avaler. Alors qu'elle me l'a toujours refusé, elle ne proteste pas et je la vois docilement déglutir la semence de *** amant. Alors qu'ils reprennent leurs esprits ma femme me dit de me mettre à genoux et ils discutent comme si je n'étais pas la. Jérôme, qui doit aller travailler, se rhabille en demandant à ma femme de le raccompagner, comme la veille, nue jusqu'à sa voiture. Elle obéit et ne discute pas lorsqu'il lui dit de prendre le petit sac à préservatif "au cas ou". Elle me fait un bisou sur la bouche en me disant : - A tout à l'heure cocu. Elle me racontera que, en allant vers le parking, un homme légèrement bedonnant qui l'avait déjà bien matée la veille, les regardait arriver, debout et nu au bord de l'eau. Jérôme à murmuré à ma femme : - Comment tu trouve *** sexe? Elle a répondu sans que l'homme puisse entendre : - Il est de belle taille déjà au repos Comme ils arrivent vers l'homme qui ne se gène pas pour regarder le sexe lisse de ma femme, Jérôme lui dit : - Bonjour. Ma femelle semble vous intéresser et comme elle trouve votre sexe de belle taille, si vous voulez l'essayer, on peut aller dans les dunes. Sylvie regarde Jérôme, rougissante, mais n'ose pas protester. L'homme, souriant s'approche d'eux, serre la main à Jérôme puis pelote d'abord les fesses, puis un sein de Sylvie comme pour "tester" la marchandise. Elle m'avouera avoir beaucoup mouillé d'être traitée comme une simple femelle. Elle se sent tout de même très gênée lorsque la main de l'inconnu vient inspecter *** pubis. A cet endroit de la plage, proche du parking, il y a tout de même quelques vacanciers et elle a vu un ou deux regards très intéressés par la scène. Jérôme tape les fesses de Sylvie en la faisant se diriger vers les dunes. Une fois à l'abri des regards, il lui a dit de se coucher et d'écarter les jambes. Elle a obéis, remarquant que l'inconnu bande déjà bien. Elle lui a tendu un préservatif et, sans préliminaire, il la pénètre avec beaucoup de facilité. Jérôme lui dit : - Je vous laisse, je dois aller travailler. L'inconnu la "ramone" une dizaine de minutes, ça lui permet de bien jouir pour la deuxième fois de la matinée avant qu'il n'éjacule dans le préservatif au fond de *** ventre. De retour sur la plage, l'inconnu lui tape sur les fesses en lui disant : - Tu reviens quand tu veux. Après m'avoir raconté *** aventure, ma femme se blotti contre moi, caresse mon sexe et me dit : - Tu devras encore attendre, *** zizi était bien plus gros et en plus lui il a su me faire jouir avec. Jusqu'à notre retour à l'hôtel, le reste de la journée a été calme. Mais, chauffée par le soleil, ma femme a toujours des envies coquines. Le patron nous reçoit et l'échange de regard avec ma femme ne m'échappe pas, mais je me garde bien de le faire remarquer. Ma femme lui dit : - Mon mari a envie de monter sur la montagne qui est au-dessus du village. Est-ce qu'il y a un chemin pour y aller? L'homme s'empresse de nous sortir une carte et ne nous montrer le chemin en précisant qu'il y a pour une heure de marche. Ma femme reste penchée sur la carte, lui donnant une vue superbe sur *** décolleté et me dit : - Tu peux y aller maintenant, tu as le temps. Moi je vais me bronzer un peu au bord de la piscine. J'ai compris que ce n'est pas une suggestion, mais un ordre. Je réponds, comme si je ne voyais pas leurs manèges : - Bonne idée, je vais mettre des meilleures chaussures. Alors que je finis de lasser mes chaussures, Sylvie arrive dans la chambre. Elle se met nue et, l'œil brillant elle me dit : - Il va m'amener une bois*** Je crois que je vais le recevoir dans cette tenue. Interdiction de revenir tant que je ne t'ai pas appelé. Bonne ballade mon cocu.
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chrislebo
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Je croise le patron qui a un verre de vin blanc sur un plateau. Il me souhaite une bonne marche avec un grand sourire. Lorsqu'il frappe à la porte, Sylvie nue ouvre la porte et cachant *** sexe dit : - Excusez-moi, j'ai cru que c'était mon mari qui avait oublié quelque chose. - Il ne faut pas vous excuser, vous êtes superbe et le plaisir est pour moi. Je pose le verre sur la table? - Non à la salle de bain, je vais prendre une douche - Vous voulez que je vous frotte le dos? Entre temps il a posé *** plateau et s'est approché de ma femme. Il prend ses poignets et les écarte. Sylvie se laisse faire, lui permettant de mater *** corps. Il lui lâche les mains, lui tapote les fesses en lui disant : - A la douche petite coquine, je te rejoins. Il ferme la porte à clé et rejoint ma femme dans la salle de bain en se déshabillant. Ma femme a la confirmation que c'est un bel homme plutôt musclé. Il fait connaissance avec *** corps en la savonnant. En gémissant d'aise elle lui dit qu'il y a des préservatifs dans le sac sur le lavabo. Il lui pince les tétons en lui disant : - Tu es une jolie garce toi, tu as tout prévu! Il ne se fait pas fait prier pour la baiser une première fois alors qu'elle est appuyée contre le fond de la douche. Il éjacule dans le ventre de ma femme au moment ou elle jouit. Ils se sèchent ensuite mutuellement et le patron de l'hôtel dit à ma femme : - On a encore le temps avant que ton mari rentre. Attends-moi dans ton lit, je vais chercher une bouteille et un deuxième verre. - Volontiers Sourire aux lèvres, il se rhabille et sort par la terrasse avant de revenir avec une bouteille et retrouver Sylvie nue sur le lit. Après une petite pose, leur partie de jambes en l'air durera encore une heure. Sylvie se fait prendre par tous les trous et il finit par éjaculer alors qu'il la sodomise en levrette. Alors qu'ils reprennent des ****** en finissant la bouteille, elle prend *** téléphone pour m'appeler : - Bonjour mon cocu, ta ballade se passe bien? - Oui je suis en train de redescendre - A tout à l'heure, je t'attends Pendant le téléphone, il la doigte pour lui montrer qu'elle est sa femelle. Après mon retour, elle me dit : - J'ai jouis comme tu n'as jamais su me faire jouir. J'ai une mauvaise nouvelle pour toi, tu ne va pas me baiser cette nuit, *** sexe doit faire 4 ou 5 cm de plus que le tien. Ma femme en a assez pour la journée, la soirée et la nuit qui suivent ***t très calme. Je la sens fatiguée, mais heureuse.
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vanbruje
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Dommage pour l'histoire précédente qui parait vraiment inachevée... Merci pour celle-ci, toujours aussi bon...
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chrislebo
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suite
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chrislebo
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Le lendemain matin, ma femme a sorti de sa valise ma cage de chasteté en silicone. Je ne savais pas qu'elle l'avait prise avec elle, mais en bon soumis j'ai accepté de la mettre sans discuter. Le reste de la journée s'est passé calmement, nous avons fait du tourisme dans la région et avons parlé de ce que nous étions en train de vivre. J'ai compris que *** plaisir était aussi grand que le mien... En fin de soirée, en rentrant à l'hôtel, elle s'est fait siffler par des jeunes hommes. Je lui ai dit : - Si Jerôme était la, il t'aurait sûrement offerte à eux. Je l'ai sentie troublée mais elle n'a rien répondu. Nous sommes rentrés à l'hôtel où elle m'a enlevé ma cage 10 minutes, le temps d'une douche. Mercredi matin, vers 8 heures, nous sommes réveillés par le téléphone de Sylvie. Elle répond et je vois *** sourire lorsqu'elle dit : - Bonjour Jerôme, comment vas-tu. Je n'entends que ses répliques qui ***t plutôt courtes : - ... - oui - ... - 24 - ... - oui d'accord - ... - Je t'embrasse, à tout de suite Le 24 correspond au numéro de notre chambre. Lorsqu'elle raccroche, elle me dit : - Va te mettre à genoux au coin, face au mur et interdiction absolue de tourner la tête. Elle va ensuite faire pipi pour être prête à le recevoir. Lorsqu'il frappe à la porte, elle va ouvrir nue. J'entends qu'il l'embrasse et la pelote. Ils vont sur le lit pour s'envoyer en l'air. J'entends ma femme jouir et Jérôme lui dire : - Mets-toi à quatre pattes, j'ai envie de te prendre comme une chienne. Puis il me dit : - Cocu vient ici ! Il rigole en voyant ma cage et me fait me coucher sous ma femme, comme pour faire un 69. Il la pénètre en levrette me disant : - Regarde un sexe viril qui sait baiser ta femelle! J'assiste, en gros plan, à *** sexe aller en venir dans l'intimité de ma femme. Je vois le ventre se crisper, je les entends jouir et je devine qu'il éjacule au fond du ventre de ma bien aimée. Avant de se retirer, il me dit : - Ouvre la bouche pour ne pas qu'on tache le lit. J'ai ************* de devoir récolter, non sans excitation, le sperme qui dégouline du sexe de ma femme. Alors qu'il se rhabille, il lui demande comment s'est passé sa journée de la veille. Elle lui raconte notre journée qu'il trouve trop sage. Il lui dit: - Une journée de vacances sans un coup de queue, c'est inadmissible. Tu as au moins été draguée? - A peine, rien de sérieux - Tu devrais avoir honte, une femelle comme toi devrait savoir comment attirer les mâles! Je vais devoir te trouver une punition pour t'apprendre ça! Pour sa défense ma femme lui raconte l'histoire avec le patron de l'hôtel et les sifflements des trois jeunes. Il lui dit : - Bon, je vais être indulgent. Mais je te demande de te faire baiser par le patron et au moins un autre homme d'ici ce soir. Soit sur la terrasse du bar au centre du village à 21 heure 30 ! Si tu as été sage, je t'offrirai un verre. Elle lui promet d'être obéissante. Au petit déjeuner, après le départ de Jérôme, le patron vient nous dire bonjours. Je vois à *** regard qu'il n'attend que l'occasion de sauter ma femme. A part un autre couple qui nous tourne le dos, il n'y a per***ne sur la terrasse. Dés que le patron est retourné dans *** bureau, ma femme enlève discrètement *** string et me le tend : - Vas dans la chambre jusqu'à mon retour, je vais le voir dans *** bureau. Elle me rejoint une vingtaine de minutes plus tard rayonnante. Elle me dit : - Il baise super bien. Il m'a prise debout contre *** bureau. J'ai adoré. Le reste de la journée se passe tranquillement à la plage. Ma femme ne cherche pas trop à attirer un amant. Pour notre rendez-vous du soir avec Jérôme, elle met une robe courte, entièrement boutonnée devant, sans rien dessous pour plaire à Jérôme et ainsi pouvoir lui avouer plus facilement qu'elle n'a pas eu ses deux bites pendant la journée. Après un petit repas dans un resto sympa nous nous installons sur la terrasse du bar et comandons des whiskys pour attendre Jerôme. Lorsqu'il arrive, ma femme se lève pour l'embrasser. Il lui prend les lèvres et lui roule une pelle. Je vois, autour de nous quelques regards étonnés et un brin moqueurs. Assez rapidement, *** amant la questionne sur sa journée. Une main sur sa cuisse, sous sa jupe, il lui dit ensuite : - Tu dois encore apprendre à obéir. Il te manque une queue pour ta journée! Comme punition, tu vas ouvrir complètement ta robe. Sylvie rougis, regarde autour d'elle. Comme elle tourne le dos aux per***nes présentes sur la terrasse, elle ose déboutonner sa robe. La main de *** amant remonte jusqu'à *** intimité et il la doigte. Alors que le serveur nous ramène une tournée, il ne l'autorise qu'à rabattre les pans de sa robe. Lorsque nous nous levons pour partir en direction de notre hôtel, elle doit tenir sa robe sans la reboutonner. Nous arrivons vers la voiture de Jérôme, il demande :
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chrislebo
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- Il y a un gardien de nuit dans votre hôtel? - Non, seulement jusqu'à 23h00 - Parfait, ton cocu peut donc aller se coucher en te laissant les clés et en se faisant ouvrir la porte puisqu'il n'est pas 23h00. Toi tu viens avec moi, tu as encore besoin de bites avant d'aller dormir. Les yeux baisser, dans une attitude que je ne lui connaissais pas, elle lui dit : - D'accord, c'est comme tu veux. - Donne ta robe à ton mari, tu n'en as plus besoin Gênée, elle regarde autour d'elle, puis enlève et me tend sa robe. Elle me dit : - A plus tard mon cocu. Un peu déboussolé, je vais me coucher, laissant partir Sylvie nue. Elle me racontera *** escapade en rentrant. Avant de démarrer la voiture, *** amant a envoyé un texto : "on arrive". Elle a compris qu'ils étaient attendus. Ils ont roulé 15 minutes puis la voiture s'est arrêtée prés d'un vieil immeuble que semble désaffecté. Sylvie remarque tout de suite des ados sur le trottoir devant la porte, alors que Jérôme lui dit : - Voilà trois jeunes mâles pour toi. Ils aiment les bourgeoises comme toi et vont te faire jouir comme tu aimes. Ma femme, qui n'a jamais été attirée par les Arabes dit, inquiète : - Ce ***t des arabes ? Jérôme souris : - Pourquoi ? Tu es raciste? Oui ce ***t des Rebeux, mais j'ai choisi ces trois parce qu'ils savent respecter les femelles qu'ils baisent et les faire bien jouir pour qu'elles aient envie de revenir. Vas vers eux, si tu es bien obéissante, tu jouiras beaucoup et demain tu auras envie de recommencer! - Tu ne reste pas avec moi? - Non, je dois rendre visite à une autre femelle mariée. Je reviens te chercher dans 2 heures pour te ramener à l'hôtel. Ne t'inquiète pas je serais à l'heure, le mari de la femelle que je vais voir rentre du travail à une heure du matin ! Sylvie n'ose pas protester, partagée entre la peur et l'excitation, elle sort de la voiture nue et se dirige vers les trois jeunes hommes. Elle estime leur age à environ 17 ans. Rapidement les mains commencent à peloter et doigter Sylvie, elle entend des commentaires humiliants alors qu'elle est entraînée dans l'immeuble. Dans une pièce il y a un matelas par terre. Un des jeunes lui dit : - Ici tu ne crains rien, c'est notre repère. Tu es la 43ème femelle blanche à y passer et la 17ème mariée. Elles ont toutes jouies comme des chiennes en chaleurs. S'en est suivit une partie de baise où ma femme les a sucés et s'est fait baiser par tous les trous, avec un mélange de douceur et de **********. Jérôme avait rai***, ils l'ont baisée en lui faisant avoir orgasme sur orgasme. Elle se souviendra longtemps de sa première avec trois hommes... Il est 1h30 heures du matin lorsqu'elle revient. Je l'aide à se doucher. Dans le lit, elle se blottit contre moi et me dit : - Je sais pas pourquoi j'ai attendu si longtemps avant de te faire cocu, j'ai adoré être prise à la chaîne par ses trois jeunes. Malheureusement pour toi, non seulement ils baisent bien mieux que toi, mais en plus le moins bien monté à un sexe de 2 ou 3 cm plus long que toi puisque je le sentais taper le fond de mon sexe, ce que je ne sens jamais avec toi.
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chrislebo
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Le réveil de jeudi matin s'est fait assez tard puisque nous sommes les derniers au petit-déjeuner. Ma femme me redit le plaisir qu'elle a ressenti d'être utilisée comme un jouet par trois jeunes inconnus. Elle me demande : - Et toi, être cocu et humilié est à la hauteur du plaisir que tu imaginais? - Oui, plus que jamais, je me souviens pas avoir été aussi excité Elle rigole, moqueuse : - Heureusement pour toi parce que je ne pourrai sûrement plus jamais me contenter de ton petit machin d'éjaculateur précoce Je n'ai rien répondu, j'ai juste baissé la tête et rougis. Le patron vient nous dire bonjour. Ma femme, qui n'a rien mis sous sa robe, s'arrange pour qu'il ait une vue plongeante dans *** décolleté. Je reste discret, faisant celui qui ne voit pas *** manège. Dés qu'il a tourné le dos, elle me dit : - Va te préparer pour aller faire ton petit footing, j'ai besoin d'une heure de tranquillité. Il baise trop bien, j'ai envie de sentir sa queue dans mon ventre. - Je peux finir mon petit déjeuner? - Non, vas-y tout de suite ! Le ton impératif ne prête aucune discussion. J'obéis donc. Lorsque je repasse vers elle pour lui dire que j'y vais, le patron est la, en train de discuter et sûrement pas du temps puisqu'il s'arrête en me voyant arriver et fait mine de retourner vers la réception. Je dis à Sylvie : - Vu le tour que je veux faire, j'en ai pour au moins pour une heure. - Je t'interdis de te retourné en quittant la terrasse, tu auras ************* d'imaginer ta tendre épouse complètement ouvrir sa robe dans ton dos, devant ton cocufieur. Je remarque que deux boutons de sa robe ***t déjà décrochés. Le patron est au bord de la terrasse. A part lui et nous, il n'y a per***ne. Quand je passe vers lui, il me souhaite une bonne course en regardant par-dessus mon épaule. Je devine à ses yeux que la phrase de ma femme n'était pas une phrase en l'air ! Sylvie se fait baiser pendant plus d'une demi-heure. Il l'a prise dans notre lit, d'abord à la missionnaire, en levrette et fini par la sodomiser A mon retour, ma femme me dit : - Il baise vraiment bien et j'aime de plus en plus être prise vigoureusement par des sexes bien durs ! Je n'ai rien répondu et nous sommes partis en direction de la plage après un crochet par la pharmacie pour remplir le "sac à capote" de madame. Pendant le trajet en voiture, elle téléphone à Jerôme. Répondant à ses questions elle lui dit qu'elle a vu à chaque passage sur la plage le gros homme qui l'avait baisée dans les dunes, mais qu'il ne l'a plus approchée. *** amant lui ordonne donc de partir nue de la voiture et d'aller vers lui pour se faire de nouveau baiser comme la dernière fois. Comme je n'ai jamais pu lui donner d'ordre, je n'imagine pas ma femme aussi docile car elle a obéis sans discuter. Comme je lui en fait la remarque, elle rigole et me dit, moqueuse : - Lui me fait grimper au rideau, c'est pas comme toi. Je trouve très excitant d'obéir à un étalon. Nous lais***s donc la voiture sur le parking, je dois aussi me mettre nu et c'est vêtu de ma seule cage de chasteté, portant nos linges, un pique-nique et un parasol que je m'engage sur la plage. Ma femme n'a que *** petit sac à capote. Lorsqu'elle voit l'homme assis sur une chaise en haut de la plage, en train de lire un journal. Elle me dit : - Tu va t'installer dans le même coin que d'habitude, moi je vais lui dire bonjour et profiter d'une queue pas très performante, mais quand même plus que la tienne. Je ressens une grande honte en lui obéissant, mais je n'hésite pas une seconde. La voyant nue comme la fois ou il en avait profité, l'homme se lève pour venir à sa rencontre. Je le vois, au milieu de la plage, la peloter sans hésiter. Une main sur un sein et l'autre entre ses jambes. Alors qu'il l'emmène dans les dunes, je remarque un homme dans la cinquantaine, bedonnant et qui semblait dormir se lever et les suivre. Alors que je continue ma marche vers notre coin isolé, ma femme se retrouve rapidement couchée et pénétrée par *** amant du moment. Il éjacule assez rapidement, après l'avoir besognée 5 minutes et lui avoir procuré un petit orgasme. Le deuxième homme s'est rapproché, en regardant le couple il a pris un préservatif dans le sac et s'est préparé. Il vient, à *** tour la pénétrer. Ça ne durera pas longtemps et il éjacule sans se préoccuper de plaisir de Sylvie. Lorsqu'elle me rejoint, ma femme me dit : - Tu auras ta chance de me faire l'amour, j'ai à peine senti le deuxième qui m'a baisé, il avait un sexe aussi insignifiant que le tien. Je n'ai pas osé lui demander de lui faire l'amour tout de suite. Elle s'est couchée pour se bronzer et m'a fait mettre à genoux à coté d'elle. Elle me caresse les couilles en me disant : - Alors, on est à l'étroit dans la cage ? On a envie de baiser sa maîtresse ? Je sens mon excitation à *** comble. Mon sexe aurait envie de gonflé mais ne peut pas. Ça qui a pour effet de me faire énormément mouiller et de faire sourire ma femme. - Tu mouilles plus qu'une femme en chaleur. Ça me promet une partie de baise d'au moins 15 secondes! Je suis toujours dans cette position quand Jérôme arrive. Sans le moindre préliminaire, il se couche sur ma femme et la pénètre en lui disant : - Salut petite pute, je vois que tu m'attendais, déjà bien mouillée. Il l'a fait crier de plaisir avant d'éjaculer au fond de *** ventre. Alors que les deux amants reprennent des ******, nous mangeons notre pique-nique. Un peu plus tard un groupe d'hommes noirs s'approche de nous. Je vois Sylvie regarder Jérôme pour savoir si c'est lui qui les a fait venir. Elle ne se pose pas longtemps la question puisque *** amant lui dit : - Mets-toi à quatre pattes pour les recevoir comme une bonne chienne.
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chrislebo
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Il lui tapote le cul en lui disant : - Ils m'avaient dit qu'ils seraient deux ou trois et ils ***t cinq ! Ton cul va être content, il aura sa dose. Elle se fait peloter, puis se retrouve avec un sexe dans la bouche et un autre dans le ventre. Je remarque que la réputation des noirs n'est pas usurpée pour eux. Ils décident de tous passer dans chacun de ses trous. Pendant deux heures, des bites la feront jouir. Alors qu'ils boivent une bière en commentant les talents de "la chienne blanche", ma femme reprend ses esprit tranquillement, puis se tourne vers moi. - Vient que j'enlève le cadenas, ça va être à ton tour. Tu auras trente secondes pour te masturber et te faire durcir puis trente secondes pour éjaculer dans mon ventre. Les six hommes me regardent amusés. Obéissant, je me masturbe, faisant durcir mon sexe sans trop de problème. Je ne sais pas si c'est la peur de devoir remettre la cage sans jouir ou une envie ************* encore plus forte, mais je caresse habilement et discrètement le dessous du gland. C'est chez moi une zone hyper sensible chez moi et cette caresse est susceptible de me faire éjaculer très rapidement. Alors qu'elle m'annonce que les 30 secondes de masturbation ***t passées, j'approche mon sexe de *** vagin sans arrêter mes caresses. La j'ai la honte de ma vie, alors que je m'apprête à la pénétrer, j'éjacule. Moi qui aime les ************, me voilà servi avec les éclats de rire des 6 hommes et de ma femme. Elle m'oblige à lécher mon sperme pour la nettoyer, puis à remettre ma cage de chasteté. Les noirs remercient Jérôme de leur avoir prêté sa pute et repartent. Un peu plus tard nous repartons en même temps que Jérôme. Pendant le trajet il demande à Sylvie : - Tu te souviens de notre dial sur le net à propos de tes fantasmes? - Oui - Demain je te ferai réaliser celui que tu m'as avoué. Mais je veux ton accord avant qu'on se quitte aujourd'hui. Sylvie devient rouge et ne dit rien. Je porte toutes les affaires tandis qu'il pelote ma femme jusqu'au parking. Il l'a baise une dernière fois à l'abri des regards, derrière sa voiture. Il demande ensuite à Sylvie : - Alors prête à réaliser ton fantasme demain? Je la vois fébrile, elle fait oui timidement de la tête. Il nous quitte en disant à Sylvie : - Je passe de prendre à 11h00 à l'hôtel. Préviens ton cocu que tu seras absente jusqu'à samedi matin. Je te garderai dans mon lit pour ta dernière nuit de vacances. Bonne soirée Dans notre voiture, Sylvie me parle du fantasme : - Dans la discussion sur msn, il m'avait demandé si j'avais le même fantasme que la plupart des femmes : celui d'être violée par des beaux mâles. Je lui ai répondu que ça m'arrivait d'y penser, mais que c'était pas le fantasme qui me trottait le plus dans la tête. J'ai fini par lui avouer mon fantasme le plus inavouable que je n'avais jamais raconté. Après un moment de silence elle continue : - Je m'imagine louant mes charmes. Faisant la pute quoi. Elle est soulagée que je ne prenne pas mal *** fantasme puisque je lui fais remarquer que, ce qu'elle vient de vivre sur la plage y ressemble, il ne manquait que l'argent. Elle m'embrasse et me dit : - Je t'aime mon cocu, merci de me laisser découvrir tous ses plaisirs. - Moi aussi je t'aime et j'aime être ton cocu. Nous pas***s une soirée en amoureux. Sylvie est fatiguée mais heureuse...
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chrislebo
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Vendredi matin, vers 8 heure, alors que nous nous réveillons tranquillement, ma femme montre le ton de la journée en me disant : - J'adore baiser en me réveillant. Va te promener, que je puisse appeler le patron! Je n'ai pas osé discuter et j'ai enfilé un short. Juste avant que je parte elle me montre le texto qu'elle envoi à *** amant :"Dés que mon cocu passe devant la réception rejoint moi, il va faire un footing et sera absent une heure au moins". Le patron m'a salué en me voyant passer, puis il a rejoint ma femme. Ce jour la, il l'a fait jouir en la baisant en levrette. Pour le remercier elle lui fait une pipe et avale *** sperme. Plus tard, alors que nous sommes au petit déjeuner, ma femme me dit : - Ne t'étonne pas si tu vois des sourires moqueurs, hier j'ai expliqué à la réceptionniste ce qu'est la clé que j'ai autour du cou. J'imagine que maintenant tout le per***nel le sait. Le patron lui sait que tu es mon soumis depuis le début de la semaine. Comme je serai absent ce soir, la rai*** officiel c'est que je vais rendre visite à une amie et que nous fai***s une sortie entre filles. Vers 11h00 Jérôme amène une robe très décolletée que ma femme enfile pour partir avec lui. La réceptionniste a du bien sourire en voyant la tenue de Sylvie pour une sortie "entre filles". Ce qu'elle ne voit pas c'est que la robe est le seul habit que Sylvie a sur elle. *** amant amène ma femme dans une ville, à environ 1h30 de voiture. Pendant le trajet, il s'arrête dans une petite forêt pour baiser "sa femelle" comme il l'appelle. Il la fait encore une fois jouir comme je suis incapable de le faire Vers 14h00, ils se retrouvent dans un quartier populaire, proche du port. Ma femme ne passe pas inaperçue avec sa petite robe. Jérôme le lui fait d'ailleurs remarquer : - Cette robe te vas à ravir et correspond parfaitement à ton activité du jour. Tu es toujours d'accord de faire la pute? La gorge un peu serrée, elle murmure un oui. *** amant lui dit : - Dans ton fantasme c'était plutôt la pute de luxe que tu t'imaginais faire. Moi je pense qu'il faut toujours commencer en bas de l'échelle. Aujourd'hui tu seras une pute bon marché de quartier populaire. - J'ai décidé de t'obéir, c'est comme tu veux. - Tu mouilles d'y penser? - Oui, mais c'est un sentiment bizarre, mélange de peur et d'excitation. Il arrivent devant un bar ou les attend Amhed, un homme d'origine magrebine d'environ 40 ans. Il salue Jérôme sans s'occuper de Sylvie. Jérôme s'assied à sa table en disant à Sylvie de rester debout. Morte de honte, mais docile, elle obéit. Les deux hommes discutent et Amhed demande : - Alors c'est elle la bourgeoise ? - Oui, une véritable bourgeoise qui a laissé *** mari à l'hôtel pour venir faire la pute. - Elle est pas mal pour *** age. En disant ça il a passé une main sous la robe et pelote les fesses puis le sexe - En plus elle mouille bien ! Il n'y aura pas besoin de lubrifiant. Les deux hommes emmènent Sylvie dans une pièce située à l'arrière du bar. Il y a un matelas par terre. - je vais la tester, si elle me convient, je la garde 3 heures. La moitié de l'argent sera pour toi et elle. Pour la première fois il adresse la parole à Sylvie : - A poil la pute et mets toi à 4 pattes pour me recevoir. Honteuse, elle obéit. Le magrebin la découvre très mouillée et n'a aucune peine à la prendre en levrette. Il la fait jouir puis éjacule dans *** ventre. - Elle est parfaite, je la garde jusqu'à 17h00. Prend sa robe, elle n'en a pas besoin ! Les deux hommes se saluent et Jérôme laisse Sylvie nue avec *** "protecteur". Il lui explique : - Je serai à la porte de la pièce, j'encaisse 20 Euros par homme qui a envie de rentrer. Toi tu seras couchée sur le matelas et tu serviras de vide couilles. Ils mettrons tous un préservatif et baiseront ton ventre. Pour que ça aille vite, per***ne ne te sodomisera et tu ne devras pas non plus sucer. Sylvie à vécu un gang bang de 3 heures. Des hommes viennent, se vident dans *** ventre et repartent. Elle m'avouera se souvenir de 3 orgasmes alors que 27 hommes de tout age, la plupart ***t d'origine d'Afrique du Nord, se vide dans la pute vide-couilles qu'elle est. Lorsque Jérôme vient la rechercher, il doit l'aider à s'habiller. Il l'emmène dans un bord de mer rocailleux et l'installe pour qu'elle puisse se reposer au soleil. Il lui dit qu'il a une course à faire et qu'il revient dans 2 heures. Comme le coin est discret, elle se met nue et se couche pour bronzer. Le soleil est déjà bas lorsque la voix de Jerôme la réveille. Sylvie a dormi tout le temps qu'elle était seule et se retrouve quelque peu requinquée. Elle remarque qu'une femme accompagne *** amant. Elle demande : - Quel heure est-il? J'ai dormi depuis que tu es parti - Il est 7 heure et demi. Je te présente Catherine, c'est, comme toi, une bourgeoise, mère de famille, adultère et très obéissante. Embrassez-vous pour faire connaissance. Sylvie, nue s'approche de la femme brune pour lui faire la bise. Jérôme l'arrête. - Je me suis mal expliqué. Embrassez-vous comme deux lesbiennes amoureuses! Sylvie a un temps de recul car elle n'a jamais fait ça avec une femme, Mais Catherine n'hésite pas et rapidement ma femme lui rend *** baiser. Leurs langues se mélangent et elle sent les douces caresses de la femme sur *** corps. Elle commence, elle aussi, à caresser le corps plus plantureux que le sien.
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chrislebo
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Jérôme les emmènent dans un restaurant. Sylvie va "dévorer" *** menu. Catherine est assise à coté de Sylvie et ne se fait pas prier lorsque Jérôme lui dit de s'occuper discrètement du clitoris de ma femme. Elle se crispe sur *** siège et jouis alors qu'elle n'a pas fini *** dessert. La soirée se fini chez Jérôme, Il prend les deux femmes l'une après l'autre. Sylvie, après avoir jouis, s'endort alors que Jérôme et Catherine continuent à baiser. Au petit matin, c'est la bouche de Catherine sur *** sexe qui réveille ma femme. Gémissant, elle se laisse volontiers faire. Sa maîtresse lui procure un long et violent orgasme. Une fois remise de ses émotions, Sylvie, guidée par Catherine, va aussi lui faire un cunnilingus. Réveillé, Jérôme vient derrière ma femme et l'enfile sans préliminaire à 4 pattes pour la baiser. Il est 11h00 lorsque Catherine ramène Sylvie à l'hôtel. Sylvie m'a envoyé un sms : "mets toi nu, prends les menottes qui ***t dans la table de nuit et croche les sur tes poignets dans ton dos. Attends comme ça à genoux au milieu de la chambre!" Je n'ai jamais vu ces menottes et me demande quand elle les a acheté. Pourtant, excité, j'obéis sans hésiter. Elle entre dans la chambre. Accompagnée de Catherine. Je me sens terriblement honteux, c'est la première fois qu'une autre femme me voit comme ça. Elles rigolent alors que Catherine lui dit : - Alors c'est ça ton cocu éjaculateur précoce à petite bite? Sylvie me dit : - Comme j'ai remarqué le plaisir que tu prends à te faire pisser dessus, On a bu chacune un litre d'eau avant de venir. Va te coucher sur le dos dans la douche! La douche spacieuse, à même le niveau du carrelage me permet de m'y installer facilement, malgré l'inconfort des mains dans le dos. Sylvie arrive nue, elle pose un gobelet à l'envers sur l'écoulement en me disant : - Tu restera comme ça aussi longtemps que je ne t'ordonnerai pas de te lever. Je bouche le trou pour que tu aie le plaisir de sentir longtemps notre pisse. Elle me met ensuite un bandeau car je n'ai pas à voir le sexe de Catherine. Debout sur moi, une jambe de chaque coté de mon corps, elle pisse sur mon torse et sur mon visage avant que Catherine en fasse de même. J'entends ensuite les deux femmes faire l'amour dans la chambre. Ça a été le premier 69 entièrement féminin de Sylvie. Elles reviennent, ensuite, de nouveau faire pipi sur moi en rigolant. Puis Sylvie me dit qu'elle la raccompagne à sa voiture, me laissant comme ça. Je reste seul de longue minutes sans oser bouger. Lorsque Sylvie reviens, je la sens se mettre au-dessus de moi. Elle s'accroupi sur mon visage en me disant : - Ouvre la bouche, j'ai un cadeau pour toi. Comme se sens du sperme, elle me dit : - Nettoie moi, le patron vient de me faire un cadeau d'au revoir. Alors que je fini de la nettoyer, elle plaque *** sexe sur ma bouche grande ouverte. Assez rapidement je sens qu'elle me pisse dans la bouche. Elle me dit : - Avale tout! Un peu plus tard elle me détache et vient se doucher avec moi. Tendre et amoureuse, elle m'embrasse et me dit : - Ton fantasme de jeux uro allait jusqu'à boire à ma source? - Oui, je rêvais d'y goûter. - J'ai beaucoup aimé, tu y goûteras encore, je te le promet.
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vanbruje
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Merci pour cette suite, j'espère que les "excès" de cette fin/début d'année n'entraveront pas votre production de bons textes... A vous lire
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chrislebo
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!My Wife's ***** bearing hips I remember it like it was yesterday. In reality, it was only about a year ago. It was Superbowl Sunday and I had the usual crowd over. My wife and I have been married for about three years now and I love Heather very much. She is 27, fit and very sexy. She stands 5'4" with strawberry blonde hair. I am 31 and in decent shape. I'm 5'7" and could use a few muscles. We were high school sweethearts and she practically grew up with me and my friends. Eddie, one of our friends, has always wanted Heather. I fell that thare has always been an unspoken attraction between them. We have been working on heating up our sex lives and as a result, kinky fantasies have crept their way into our lovemaking. We fantasize about her being taken by another man as I watch helplessly. It is just a fantasy, that's all. I would never really want that to happen. I am her husband. For the last three years running, my buds have come over and watched the game at my house. It stands to reason considering that I have the wide screen flat panel T.V. , not to mention the hottest wife of the group. That Sunday morning Heather slept in. She got out of bed just a few minutes before the guys were to show up. She got up, showered and then got dressed. She put on her usual short shorts and t-shirt. She didn't wear a bra or panties around the house when it was just us, but I had friends coming over. Just as I was about to tell her to put more clothes on, the doorbell rang. I left the bedroom to answer the door without saying a word. Eddie, Gary and Keith made themselves at home on our couches as I fumbled with the remote control. Eddie and I were high school pals and have always been very competitive with each other, not to mention.. he has always wanted my wife. I secretly despise this guy. Eddie is about 6'0" and weighs about 230 lbs. A very strong fellow you might say. He has been a part of our group of friends for so long that I have learned to tolerate him. My wife was bringing us some cold ones and I caught Eddie staring my wife's body up and down. Heather noticed his attention and gave him a quick smile. I think that the thought of Eddie wanting her turned her on. I got a little bothered by the interaction but let it go. A few moments later, she brought in some chips and dip and made her way to Eddie's side of the coffee table and bent all the way over as she placed the dip on the coffee table. This allowed him full view of my wife's crotch. I know from memory that those shorts cling to her body and accentuate her hips when she bends over. Eddie looked over at me and gave me an evil grin. He could tell that Heather was doing this on purpose and was using this to his advantage. He reached over and gave Heather's ass a little squeeze and said, "Damn Heather, you have those ***** bearing hips." Suprised by Eddie's actions, Heather looked up at me startled. Gary and Keith sat there with their jaws on the floor as to what they had just fell witness to. Gary and Keith were not going to get involved with this. They both know from experience that Eddie can get pretty damn mean after a few beers. He has beaten their asses a few times over the years. Sensing that there was about to be an altercation, both Gary and Keith left hurriedly. Heather asked Eddie, "Who the hell do you think you are?" I sat there watching what was transpiring unable to stand up to Eddie. He looked very determined which intimidated me. He grabbed Heather around her waist and pulled her to him and kissed her deeply. She made a half ass effort to pull away from him but reciprocated him to a small degree. She fought her mouth away from his and asked me breathlessly, "Are you going to stop him? Help me!" I finally stood up to intervene and took a right cross to my jaw. I was out cold for just a few seconds. When I awoke, Eddie stood over me and he punched me in the gut, knocking the wind out of me. He said, "Listen here John, I'm gonna fuck your wife and if you make another stupid move like that I'll break your neck." Heather just stood there and made no effort to get away. I don't know if she was afraid to leave me alone there with Eddie or the thought of getting taken by another man while her husband watched helplessly turned her on. Eddie turned his attention back to Heather. I laid there helplessly as he pulled her to him. She called to me one last time breathlessly, "John!" She looked flushed and very aroused. She knew that my friend Eddie was going to fuck her and that there was nothing we could do to stop it. She was getting hot but knew it was wrong. She was getting very hot and sexually aroused and tried not to succumb to him. "Please don't. I am married. Please, Oh god." Then she glance over at me to see that I was just laying there on the floor watching helplessly. I was too scared to do anything about it. She was growing weak to his advances and beginning to give in seeing that her husband was just laying there letting it happen.
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chrislebo
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Eddie pulled her t shirt off and began sucking on her nipples. They were rock hard and swollen with excitement. She loved to have her nipples suckled which made her very wet. I noticed his hands had made their way to her crotch and was rubbing her through her shorts. He went from one nipple to the other furiously as she dry humped his hand. It was too far to stop him now. He released her from his grip and commanded her to pull off her panties. She did so as she looked at me to see if I would make a last effort to stop it. I looked away from her in shame as I continued to lay there on the floor. My cock was rock fucking hard and struggling against my pants as I watched Eddie have his way with my wife. Her panties fell to the floor. Eddie stared at her perfectly trimmed pussy and began to strip his own clothes off. He was practically ripping them from his body in anticipation. A nude Eddie paused momentarily as his very large thick cock stood there between them. Heather looked down at it surprised at it's size. She quickly looked at me and said, "Oh my god John, are you really going to let him fuck me?" Eddie said, "Get on your knees Heather and suck a real man's cock." She looked at me the whole time. She got on her knees and grabbed his cock and began to lick the end of it with her tongue. She never took her eyes away from mine. She opened her mouth really wide to get the head of it in her mouth. His cock was so large that she could barely get the head in her mouth. Unable to ***** down anymore of his cock, she suckled on it. She was unable to get another inch down her throat. She held onto the length of it with her hand as she sucked the end of his cock like a baby feeding. Eddie groaned and held onto my wife's head with his right hand as she sucked his cock, allowing me full view.
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chrislebo
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The hyperlink is visible to registered members only!Doctored Into a Cage Here are all the usual disclaimers. You must be over 18 to read this! This story is pure fiction! You have been warned! This is for adults only! "This woman has been in there for almost twelve years now," Melody said while sipping some more of her zinfandel wine. "It makes little difference to me." Timothy Forbes said with a grimace in his face. She is a psychopath and a serial ****er. I don't want you anywhere near her...you got it?" "You don't seem to understand, honey, it is my job to try and help those whose minds need repair work." "Look, you just said it yourself, she ****ed nine women and while she has been in there she destroyed five nurses' minds and almost ****ed another. I think that puts her on the most dangerous list to me. Why would you even want to be within eye shot of this maniac?" He picks up his napkin and politely rubs the corners of his mouth. "Well for one thing, she is a challenge. You see no one has been able to help her. I also think I would learn a great deal from delving into her mind. You don't need to worry. They have her in restraints; she won't get near me." "Mom, can't we just have once glass of wine like you and dad?" Jennifer asked. "No, that is out of the question." Melody said. In her perfect little world she is always in control and never afraid to exercise her authority. "But we are almost eighteen now." Sharon said with a frown. "I wouldn't care if you were twenty; now both of you just drop it." "But why is it you and dad can ******** "Jennifer," Timothy said, "it is our anniversary and you both know we don't make a habit of it, so mind your ****** and drop it now." "Yes, listen to your ******, you two will be old enough and on your own soon, then you can do whatever you like, but when you are in this house you play by our rules. Do you understand Missy?" "As always you win, Mom." Jennifer said while shoving some more lettuce in her mouth. The two girls smiled deviously at each other as if to say 'you wait and our time will come.' Dr. Forbes, for all her conservative and strong upbringing really was clueless as to her ************ whereabouts and games. If she had been keener to concentrate on her family instead of her profession she would see through their charade and realize they have already gone a step further and drank on their own and even did some pot, but alas, this was the perfect family, wasn't it? "Now, back to what I was saying. I don't want you going there." Tim seemed adamant. "I know how you feel honey, but I wouldn't be worth anything as a shrink if I didn't go that extra mile. You are going to have to just accept this as something that I must do," she tried to sound reassuring. "But for God's sake, she turned those nurses into nymphomaniacs!" She burst out into laughter and said, "Well, my dear, she obviously preyed on their weak minds and manipulated them somehow. Nobody can just turn somebody into a nymphomaniac unless they already have a disposition to it." "Well, then how do you account for it happening to five nurses then? Are you saying they were all disposed to being sex crazed nuts?" Both ********* giggled. "Okay, you two, up to your rooms now, your ****** and I are drifting into an adult conversation. You can bring your dishes with you if you want." "Come on, Mom, we never get to hear the juicy stuff." Sharon said. "Off with you now!" Timothy said as they returned to their dialogue. "Now you know why I have to speak with her and delve into her mind. It is amazing to me, and almost impossible for me to believe, that she could do that to five women like that." "I don't see why, after all, she did **** nine women," he said nervously. "Tell me, are you at least going to have a guard present when you chat with her?" "No, that won't be necessary. She will be heavily restrained and won't be able to get near me; besides, I can't get into her head with a guard there, and she wouldn't open up to me then." "Melody, are you sure?" "Of course I am sure, darling." "No, I mean are you sure this woman can't get to you either physically or mentally...are you absolutely sure?" He looked directly into her eyes. "Yes, sweetie, I am sure. I haven't been a doctor for over twenty years now for nothing," she made sure to make direct eye contact back so as not to waiver to her husband's worries." "Okay then here is the deal." "Honey, you know I am not making a deal with you here," she said forcibly. "You damn well will if you want me to remain your husband." His response shocked her. "Are you threatening me, Tim?" "Never, but I must point this out to you, here and now. The minute you feel like she is getting to you. I want you to stop. Will you do this for me? Please, honey, do it for me?" His voice became soft, almost like a begging whisper. "Okay, sweetie, I can tell you are afraid for my life. I promise that if she gets to me I will stop. "Fair enough, now I think some passionate necking on the couch is in order today." "Oh, you do, do you?" She smiled and said, "Me too!"
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chrislebo
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Gracie's Clinic as it was known as was not designed for psychopath ****ers. The Grace Thompson Clinic for all its giant, wide doors had been open to many a patient but none the likes of Tara White. For a while they kept her in a straight jacket, but each time they tried this she would go into a fit of rage and bang her head. She would do it so hard that she came close to damaging her skull and ending her life with a contusion. They eventually designed a new system. She would be strapped down to her bed to ***** at night, but to relieve bed sores and keep her body active enough they would let her out a while and then strap her to a metal pole with metal straps for a few hours every day. This was necessary since no one wanted to be in the room with her and they were sure she would try something devious if left alone and free. No one wanted to admit it but she had this uncanny ability of manipulating minds even from a distance. Doctors had studied her before and most became quite perplexed at her apparent mind abilities. Though all studies remained inconclusive, she still showed a great ability to think her way into people's minds somehow. It was a strange set up to be sure, and she often laughed in their face and told them that she could easily just bang her head up against the pole and **** herself, but for some reason she did not, and this too baffled the staff. Due to her dangerous actions they were ****** to keep surveillance on her at all times. Someone was constantly observing her by camera, and a microphone was installed in her room. Dr. Melody Forbes strode purposefully into the asylum. She wore a neatly pressed suit outfit, dark green in color with a long skirt and tan blouse. She discussed at length her need to be inside alone with her new patient. She convinced Dr. Vance to allow her to do this since everything was watched and recorded and the patient would be restrained. Still, there was a worried look upon Dr Vance's face, he had since stopped pursuing Tara's case and elicited the help of other doctors to try to rehabilitate her just out of his own fear of even looking upon the woman. "You must be very careful, Dr. Forbes. This woman is dangerous and she knows how to frighten and destroy lives. I implore you to be careful at all times with her. May God watch over you." The terrified look on his face was enough to tell Melody that he truly meant business. She was not about to let down her guard down, at least that is what she thought. His reference to God also surprised her since it is seldom heard of in her profession. "Very well, Dr. Vance, now please open up this door and let me down to the corridor to her room." "A guard will go with you and open her door. He will remain outside the door at all times and if you have any problems or worries at all just buzz us with the button and out you come. We will be watching you on our monitors so we can come in at any moment if you need assistance." He hesitated for a moment after telling her this as if he was keeping some deep, dark secret. "Very well, let us proceed," she said in a matter of fact tone of voice. The doctor and guard walked her down. The door to room one-eleven was then opened. She stepped in and the view was a bit shocking as the door was closed and locked behind her. There was Tara White. She had on two metal belts; one above her chest and one around her waist and each was attached to a metal pole a few feet away from her bed near a corner of her white, padded cell. All she had on was a white and pink gown. Dr. Forbes approached her carefully and kept a good distance away and pulled up the chair which had been placed in there solely for her visit. She sat down and looked at the woman for a few minutes and said, "That really does not seem to be a humane position you are in." She took out her note pad. "It is really not that bad. I am only placed in this thing two hours at a time, and then they release me and let me walk around or sit on my bed for an hour. Once my time is up I am put back in this position unless I am tired and then they simply strap me down to my bed and let me *****." Tara's eyes gazed deep into Dr. Forbes' eyes. She had stunning green eyes which seemed so wide open. Melody still felt uncomfortable looking at the woman this way. It seemed odd to see her steel belted to a pole but her hands and legs remain free. "So, you are happy with your accommodations then?" She asked. "Are you just some stupid bitch or what?" Tara said. "Excuse me?" She stood up. "Sit down!" Tara said in a commanding tone of voice. "I prefer to stand now, thank you." Melody said assuredly. "Dr. Forbes, is it?" "Yes, I am Dr. Forbes." "Only a stupid bitch would think I am happy with these accommodations. I am caged in and practically chained up, so why the fuck would I enjoy staying here like this?" "I am sorry. I didn't mean to upset you. I just thought..." she cut her off. "You just thought...you just thought. You doctors are always thinking and never understanding anything. You will admit that your question was stupid, yes?" "Okay well, yes maybe it was a bit stupid." "So you do admit that you are stupid at times, correct?" "I don't see a need for us to continue in this way. Why don't you tell me..." again, Tara cut her off. "No doctor, no misdirection. I want an honest answer from you. If you seek answers from me then you are going to have to answer my questions as well. Now, be honest, you are stupid at times, right?" Tara's eyes seemed unforgiving. Melody could hardly take her own eyes away from them. She did not want to show it but her legs were feeling weak already and she had only been in the room with this woman for no more than five minutes. "Okay, I sometimes say stupid things before I think them through." "Yes you do, Dr. Forbes, so why not put it in a nice complete sentence for me and just say it. You are stupid at times, yes?" Tara continued on her relentless tract, and Melody gave in. "Yes, I am stupid at times." She seemed depressed and saddened by this admission and that was exactly what Tara wanted. "Good, now we are getting somewhere. Go ahead and have a seat Dr. Forbes I totally love honesty in a woman." She sat down almost like a ***** being directed to do so and said, "Well, I am glad we got that out of the way. I hope you are not going to question every single thing I say." "Why not, isn't that what you want to do to me, Doctor?" Tara's answer seemed smug. "I can understand appropriate questions, but we will get no where if you are going to go nuts if I say the slightest thing out of place, now won't we?" "That is not my problem. I don't like stupidity and you openly admitted that you are stupid at times. Now if you want to continue you need to sharpen up or are you afraid that your stupidity may linger in here for a while?" Tara smiled. "Let's get down to business shall we?" Dr Forbes returned sharply. "Hey, I am not the stupid one in here now am I?" "I believe that is debatable since you are the one incarcerated for ****ing nine women." "Well done, Doctor, but I wouldn't call that stupid. I would call that genius." "So, you are telling me it takes genius to **** another person?" "Not necessarily, but it takes genius to seduce them into wanting to die." "Are you saying they wanted to die?" "Yes, in fact they begged me to die." "My question, which would be anyone's first question...is, why?" "Well, doctor, mine would be why not. Now I have a question for you?" "Go ahead." "Are you sure you are being watched in here, Doctor?" "Now, don't you think that is a stupid question, of course we are being watched in here. You can see the camera. They can also hear us in here as well." Tara looked up to the camera briefly and then brought her eyes right back down on the doctor's eyes and said, "You really have no idea of my powers do you?" She smiled. "Are you saying you have special powers?" "Yes, I am. I am sure you have read that I have tried to **** myself by banging my head into walls or the floor correct?" "Well, yes it is in your file." "But I am sure they did not tell you that I was under surveillance while it happened and yet they do not have one tape on it. Surely they were monitoring me." "What are you getting at?" Melody seemed perplexed. "Just that I can make them see or hear what I want them to here. I can change every picture on the tape and every sound bite to be just as I want it to be." "That is impossible." "Is it now? Close your eyes for a few seconds." "Why?" "It is perfectly safe. I am restrained as you can see." Tara baited her. "Very well." Melody closed her eyes.
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chrislebo
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"Good, now just relax, and keep your eyes closed. That's it...just relax and listen to the sound of your heartbeat. It is beating nice and fast now and you feel alive. Listen to it and relax now, Dr. Forbes." Melody could really feel her heart beating much faster now. She made herself especially aware of it so as not to let this woman talk her into anything. "Good, just relax....now, open your eyes!" She said sharply. The good doctor opened her eyes and was in a state of shock. Her mouth flew open. Tara no longer had her gown on. She was completely naked, but the belts still remained in place. Her gown was now on her bed. Melody remained silent and looked at the woman. She was sexy and thin. It was a shape that burned into your mind as one belt remained beneath her navel and the other was above her small, yet pert breasts. She had that figure that widened perfectly from her belly button down and it seemed to just shoot out like a three dimensional pear. It was sexy and stunning with her long black hair flowing down her shoulders and her wide open green, penetrating eyes. "I don't...uh, is this some sort of a trick?" Melody asked. "What is the matter, doctor, haven't you ever seen a sexy young, female body like this before," she said. "I am more concerned about how you managed to do that." True, Tara was still relatively young, considering she had committed the ******* while she was nineteen; but now she was thirty one, and the remark did not go unnoticed by Dr. Forbes. "I told you that I can manipulate things, now do you believe me?" "Are you not wearing clothing now, or are you just making me see you not wearing clothing?" Melody asked while still in a daze. "Does it really matter which it is? Does it make you horny, doctor, seeing me in my birthday suit? You can tell me. Why don't you just let it all out?" "I just...I don't understand." "I am sure you don't. I bet you even have a nice little wet spot right down between your legs now. Oh, it may just be a little piss from fear or it may even be some pussy juice, but I will bet it is there isn't it, Doctor?" "I am not sure I can continue this today." Melody's words were a quiver, and she made a turn to leave. "Awe, what's wrong, Melody, does the big bad doctor have a nice little wet spot sitting right there for Tara, hem, does she?" "How do you know my name? I did not tell you my first name." "Oh, but I know so many things about you, Doctor. You are married to Timothy Forbes and you have two *********, Sharon and Jennifer. You are fifty one and he is fifty five. I must say you keep yourself in wonderful shape my dear. We will have to explore that body together." "Stop it, stop it right there! I know you made five nurses become nymphomaniacs so I am not falling for your tricks." "Are you afraid to admit that you have a little tingle in your pussy, Melody?" Tara smiled and stuck out her tongue and wiggled it. Melody just shook her head in confusion and said, "You will address me as Doctor Forbes, please." Even in her direct command she acquiesced by saying please. "You had better sit down again, Doctor. I know your legs are feeling weak. Did my tongue excite you? Would you like to come closer to me and feel my tongue swirl around your own, would you, Doctor, would you?" Tara once again stuck her tongue out and wiggled it. Now she also put her arms out as if she wanted to hug Dr. Forbes. It was as if she was beckoning her to come to her. "Come to me, Doctor. You know you want to, just come to me and let me hold you, come into my arms and hold you like you have never been held by your husband before. You can feel my body pulling you. You want to come into my arms. You need to embrace me and feel the power of my touch. Look at my body. It is calling you, now come to me, Doctor!" She kept repeating the words over and over again almost in a ********, suggestive way. Melody could hardly stand anymore. She kept looking at Tara's open arms. Something about them made her quiver. She found herself moving closer to her as if she had a need she had never felt before. They were so outstretched, just waiting to envelop her. She could not resist it. Slowly she seemed to shuffle her way closer to Tara White and her open arms. "Please stop now." Melody begged. "No, you must come closer dear, much closer. Come to me, come to my loving arms and embrace me. You need to come to me." Dr. Forbes could no longer contain herself. Tara's words seemed to just go on and on burning into her mind and soul. Before she could stop her movement any more she found herself pulled into Tara's arms. "Now I've got you. Do you like being held, Doctor?" She embraced Dr. Forbes like she was a little ***** that needed comforting. "Yes, please hold me, I need it." Melody's voice squeaked out like she was being embraced by her own ******, not a ****er, and yet here she was in the arms of a psychopath who ******** nine women and who could probably ****** her just as easily. The fear and excitement thrilled her. Tara embraced and held her tight to her bosom and then just as sharply she pulled Melody's hair back and shouted at her, "Open your mouth bitch! Come on, ahhhhh, nice and wide!" She ordered and Melody complied. She made a snorting sound and pulled up some phlegm and spit right into her mouth and then moved her finger on her jaw and lips to close her mouth. "That's right, Doctor. Let it swirl around your mouth for a while. A part of my body is now inside of your mouth and you are going to carefully swallow it down and feel one with a part of me, swallow it now bitch, swallow my fucking spit!" Tara said as she rubbed Dr. Forbes throat to make it go down. "Ggggrrhh!" Melody gurgled and swallowed it right down. "How does it feel to take my green slime and swallow it down into your belly?" She pulled her back close to her face again and took out her tongue and swirled it into Melody's mouth. "Suck it bitch, suck on your ****er's tongue. Take it deep into your mouth and suck on it. I could **** you now, Doctor. I could strangle you to death. How does it feel to be helpless and horny?" She began to rub her breasts against Dr. Forbes breasts and then she would take her finger and flick at her nipples while still holding her with one arm around her underneath her jacket. Soon Melodies breasts just popped out from under her bra and Tara continued to manipulate them with her finger while flicking at her nipples. "You love it don't you bitch!" "Emmm, please, oh god, please you must stop, this is wrong." Melody cried out while her legs began to push together and her thighs met and pushed out an incredible orgasm that ran down beneath the bottom of her panties and flowed into her stockings. "Look at those pretty boobies! Look at them just stick right out for me and how lovely those nipples are pointing to your new Mistress. Look at me bitch, look right into my eyes and feel your loins being taken from your body. Deeper, bitch, I own your soul now." Then just as suddenly she pushed Dr. Forbes back and away from her and she fell to the floor. "Get up bitch, or do you even have the legs to do so? What's the matter, Doctor? Does the big bad doctor wonder what she is going to tell her hubby tonight. Are you going to tell him you sucked the tongue of a ******er and swallowed her spit and came in your panties while holding her tight against your tits and pussy, well are you, cunt doctor?" Dr. Forbes got up slowly. Her entire body was shaking from the several orgasms she just had. Guilt was all over her mind. She had just basically humped a ******er and was ashamed of it. She even had a few tears in her eyes. She could barely even look at Tara. "You are evil!" She confessed. "Yes, and you loved every minute of it. I bet you rush home tonight and fuck hubby while you think about me." Melody looked down at the floor. "Yes, you are going to go home and fuck Timothy tonight; but all the while your thoughts will be on me. Right now you want to run out of here and never come back, but you will come back. Your addiction has begun. Dr. Forbes ******** slavery has commenced. You can feel it. You can even taste it. Maybe I will seed you with my spit and make you get a protruding belly that will look like you are a fat, pregnant whore. Are you not wondering, Doctor? Are you not wondering why no one came in to save you? Remember they did not see a thing in here and if you say anything they will think you are the nut case. Next time we will go deeper. Who knows maybe I will turn you into a whore and make you fuck other men, now get the fuck out bitch!" Tara screamed with fire in her eyes. Dr. Forbes adjusted her skirt, bra and blouse...then she ran to the buzzer. She was suffocating. She wanted out. She wanted to run and crawl away some where, but would she come back?
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chrislebo
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Here are all the usual disclaimers. You must be over 18 to read this! This story is pure fiction! You have been warned! This is for adults only! The ride back to her office seemed particularly arduous. She fiddled with her hair in the mirror. She blew on it and parted the dark brown strands to get it out of her eyes. Her mind was rolling on and on as if in a loop. She kept trying to rationalize what just happened to her self. "Cindy, cancel all my appointments for today or call in Dr. Stevens to fill in." "Oh is there something wrong, Dr. Forbes? Are you okay?" "I am fine...it's just...well I feel a bit sick right now. You will handle this for me won't you Cindy?" She pressed on the steering wheel with her left hand while holding the cell phone in her right hand. Her nails seemed to dig into it. "Oh yes, of course, Doctor. You have three appointments today so I will contact Dr. Stevens. Listen, you just take it easy and call me if you need anything at all, Doctor." "Thanks, Cindy, you are a godsend." She flipped the cover to her cell phone and began to move back into her own mind again. "Get a grip girl. You are going to be fine. You are going to just go home and run a nice hot bath and soak in it for a while. Your husband doesn't need to know what happened. You will wash her filth right off of yourself. How could I be so stupid and do such an act. Who is this woman? What is she? Did that really happen to me? I don't understand what made me get like that. I can understand why they locked her up, and why no one wants to go near her. I don't ever have to see her again. She is too crazy. She gets into your head. My God, I am lucky to be alive. She could have killed me right there and then. So, why did she let me live? I don't understand this. Melody you've got to stop thinking and get a grip on yourself. You are a professional. Don't let this woman do this to you. My God, she was so erotic and so intense. I have to be crazy. I can't get her out of my mind..." And so the ramblings continued, but soon she would be safe at home. * * * The mirror reflecting back at her seemed to hide the fact that underneath all that beauty and swagger was a woman who was confused and self doubting for the first time in a long time. She took off her jacket and looked at her own breasts. She gently caressed them over her tan blouse and squeezed them ever so lightly while closing her eyes and taking in a deep breath. "Mom, what are you doing?" Jennifer said. "Oh...I was just...um...nothing. I am getting ready to take a bath." Melody's face turned red. "I think someone was having a hot fantasy." Jennifer said with a sarcastic tone of voice. "Shhhhh, never you mind. What are you doing home this early anyway? I didn't hear you come in." She started unbuttoning her blouse. "We had an exam today and those who finished early were allowed to leave early. Can I borrow your pink nail polish?" "Sure, it is in the other drawer." "Thanks...see you later, Mom." The sound of the water filling up the bath tub was music to her ears, as layer upon layer of her clothing began to peel off. She felt extremely sexy for the moment and didn't understand why. She lingered over her breasts as she took off her white bra and then slipped down her white panties and tossed them in the laundry basket. For a second her mind flashed back to the filth and for an instant she felt a tingle between her legs. She let out a soft moan as if something soft was brushing up against her pubic hairs. Her clit was unusually sensitive, but she refused to stroke it or rub it around. In the back of her mind she still saw that horrible woman and knew it was the thought that was making her get wet. Finally the bath was ready and she added some soap and could get in and just relax for a while. She let the warmth of the water seep into her body and mellow her out. She rested her head back and closed her eyes. She wanted to wipe away her thoughts and leave them in the tub. "You are going to fuck him deep tonight!" She opened her eyes real fast, "what the fuck..." Something had entered into her mind. It wanted her to have sex with her husband, but it seemed lustful and dirty. She remembered what Tara had said to her, that she would fuck her husband tonight and think of nothing but Tara. "You want it in your ass tonight. You have never tried that before. You will take his cock deep into your asshole." Again she buckled in the water. "Why am I having such nasty thoughts? This can't be happening. I just want to rest. Leave me alone, damn you just leave me alone." She shouted out to the room, but nothing was there. She needed to get a grip. She decided that once her husband got home she would take him and the girls out for dinner tonight. * * * "So, how did things go with your new patient today?" She swirled around her cream spinach and said, "Oh, fine, we didn't talk that long. I didn't want to tax her mind too much on my first day." "Mel, you are being evasive. You haven't said one thing about it since we came in here. Is everything all right?" "Oh, yes..." She seemed preoccupied and distant. "Oh yes, what?" He insisted. "Did you know that I glossed over the fact that she was in other institutions before this one. They were much tougher ones. I wonder why she was sent to this one." "Okay, now, what else?" He pressed on. "Nothing, Tim, can't we just enjoy our food and be quiet for a change. What are you writing a book?" She took a sip of her soda. "You okay, Mom?" Sharon asked. "Of course I am. Why does everyone think something is wrong?" "Well, for one thing you have hardly eaten anything off your plate." Jennifer said. "Well this chicken is a bit tough. I should really tell the waiter." "Is that really the problem, Mel?" Tim asked. "Let's just have a good time tonight, shall we. So, Tim how was work today? Jen, how do you think you did on your exam?" She moved the conversation to another gear and acted like nothing happened. After a few minutes of some baseless chat, she excused herself and went to the ladies room. She proceeded to check herself in the mirror and adjust her blouse; and fix her makeup; and check her lipstick. She didn't need to go to the bathroom. She just felt uneasy and wanted a break. Something started drifting into her head. It was a thought, almost like a whisper. It was telling her to go to the stall. She looked at one of the two stalls and decided to go into the handicapped one. She always felt that they were roomier. After locking the door she looked at the bowl and it was pretty filthy. Someone did not remember to flush and there was piss inside of it. She reached down to flush it and her hand suddenly slipped back. She pulled her hand back to herself or at least that is what she thought. She started staring at it. Something inside of her said to remove her jacket. She took it off and put it on the hook in the side panel of the stall. She immediately started fondling her breasts while looking at the bowl. She then slid down her slacks and left them at her ankles. She suddenly had an uncontrollable urge to push her fingers inside her panties and play with herself. She did this for a few minutes, and then slowly unbuttoned her blouse and took it off and put it under the jacket on the hook. She was wearing a lacey black bra that she always wore under her red blouse. She loved the feel of it and started to caress it and fondle her breasts and nipples. It almost felt as if someone else were playing with them instead of her self. "Pull them out and slap them nipples!" The voice suddenly said in her mind. She pulled them out and let her boobs rest on top of the bra and she pulled on her nipples and slapped the tips of them with her fingers. She flicked at them. Then she slid down her panties and let them lay around her ankles like her slacks. She furiously started to rub her pussy up and down. Her clit was sticking out, almost obscene. "Lift up the lid." The voice in her head commanded. She lifted it up and looked at the piss. "Sit down in the bowl, you want to so badly." The voice erupted inside of her. She felt her heart racing like a teenager. She knew she was about to do something bad and disgusting and yet her body felt thrilled. She hesitated briefly and thought about it and then she turned around and sat her ass right in the piss filled toilet bowl. She was sitting in someone else's piss. She let herself soak in it while her pussy was on fire and then stuck her fingers deep inside of her slit and had a huge orgasm. After she exploded and tried to keep her moaning down she realized what she just did. She quickly got up and rushed for toilet paper to start cleaning the piss off of her body. "What is happening to me?" She thought. "Oh God, I could get some terrible disease doing this. What have I done to myself? I got to get it off." She was frantic. She did not have the necessary items to clean herself properly and she would have to go home with dried piss all over her vaginal lips, ass, and inner thighs. She began to cry as she continued to try to remove the waste that she soaked herself in. It was someone else's waste; piss from another woman. She looked at it and cried...and then the voice in her head started up again. It said, "You don't want to leave so soon. Look at it. It is waiting for you. Go ahead and soak your ass in it again." Her fingers wandered to her pussy again and she could not restrain herself she got down and dirty in it again. Even after all the cleaning she just did she went right back down into it and soaked herself again. It was as if the voice was beckoning her to do it and she could not resist. Finally the madness let go of her and with tears in her eyes, and yet another orgasm, she gathered herself together and left the stall on shaky legs. It was the most disgusting thing she ever did. "We are leaving right now!" She said to her husband. "But what about dessert?" He said. "Forget it, let's go now." She said. He called the waiter over to pay the bill and they left.
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