les histoires de chrislebo

"Bon, maintenant je veux que tu appelle ta secrétaire pour lui indiquer que tu ne veux pas être déranger quelque soit la rai*** pour les prochaines 30 minutes.

Suzanne voulut protester, mais elle obéit rapidement.

Ses yeux étaient pleins de peur lorsqu'elle raccrochât.

"Qu'est ce que tu m'a fait?"

"Je t'ai simplement donné une petite drogue qui te rendra plus gentille."

Il s'était encore rapprocher, murmurant a présent dans *** oreille.

"Maintenant, on va s'amuser un peu. Tu ne dois pas hurler, ni tenter de me frapper en aucune sorte. Les rôles ***t inversés. Je suis le chef à présent.

Tom avait un sourire satisfait alors qu'il la contemplait.

"Alors, Suzanne, dit moi honnêtement, à quoi pense-tu?" Dit il.

"Je vais te tuer dès que j'en ai la chance."

"Non, sa n'arrivera pas rassure-toi, on va devenir très amis. On a plus beaucoup de temps, autant commencer de suite. Lèves-toi et passe devant ton bureau."

Elle obéit et Tom s'assit dans *** siège si confortable, posant ses pieds sur *** bureau.

Il la fit attendre pendant quelques terribles minutes avant de continuer. "Laisse tes cheveux retomber en arrière.

Suzanne fut incapable de retenir ses mains qui se dirigèrent à *** chignon, laissant ses cheveux tomber par derrière ses épaules.

"Très jolie, bon, retire ta veste."

Suzanne se défit de sa veste et la laissa tomber au sol, révélant sa chemise de satin très chère qui allait parfaitement avec sa jupe à la mode.

Tom vit qu'elle commençait à pleurer.

"Allons donc, ne pleure pas. Met un petit sourire sur ce visage et retire le reste, mis a part tes bas et tes talons."

Un sourire naquit sur les lèvres de Suzanne qui n'allait pas avec le regard de terreur qu'elle lui lança. Ses mains recommencèrent à se mouvoir. Elle déboutonna sa chemise et s'en défit, puis fit tomber sa jupe. 
 Elle était magnifique en sous-vêtements, mais ils disparurent bientôt, rejoignant le tas de tissu au sol.

Lorsqu'elle fut presque entièrement nue, Tom attira *** attention, puis la fit tourner sur elle même afin de pouvoir l'admirer sous tout les angles.

*** corps était encore mieux qu'il ne l'avait pensé. Sa poitrine était ample et ferme et elle n'avait pas un gramme de graisse superflue.

Et *** sourire était encore sur ses lèvres. " Ravissante.. Tu fait du sport?"

"Oui, trois fois par semaine."

"C'est génial" répondit-il en jetant un coup d'œil à sa montre. "Hélas, nous n'avons guère le temps aujourd'hui, donc je me contenterais d'une bonne pipe."


Elle semblait terrifiée.

"Dis moi honnêtement, Suzanne, est ce que tu suce tes copains?"

"Je n'ai pas eu de petit ami depuis plusieurs années et je n'ai jamais fait sa, c'est dégoutant." Répondit elle.

"Et bien, il est temps que tu apprenne." Dit il en ricanant. "Commençons donc en rampant jusqu'ici et en me retirant mon pantalon?" 
Suzanne ne pouvait résister et tomba à quatre pattes avant de ramper jusqu'a Tom. Lorsqu'elle atteignit la chaise, ses mains se levèrent pour défaire sa ceinture et ouvrir le pantalon.

Elle allait prendre la fermeture lorsqu'il ordonna "Utilise tes dents."

Cela lui pris du temps, mais elle fut finalement capable de descendre sa braguette entre des dents.

Tom lui prêta main forte en faisant glisser *** caleçon, révélant brusquement sa queue.

Suzanne sembla sur le point de s'éloigner vivement, mais Tom ordonna "Allez, au travail.", et elle se pressa de glisser sa bouche sur *** sexe.

"Au faite, Suzanne, pendant que tu y est, tu vas être incroyablement excitée par ce que tu fait. Laisse donc tes liquides couler, mais tu ne jouira pas."

Tom avait adoré la vue de sa patronne se dénudant et rampant vers lui qu'il ne tiendrais pas longtemps.

"Avale moi chaque goûte" dit il avant de se déverser dans sa bouche.

Suzanne n'avait pas d'expérience dans ce domaine, et une partie de la semence tomba aux cuisses de Tom.

"J'ai dit avale tout... Lèche moi tes bêtises!"

Suzanne, qui n'arrivait a croire ce qu'elle venait de faire, se trouvait incroyablement en manque. Elle penchât la tête et lécha le sperme des cuisses de Tom.

A sa surprise, il se releva et remis *** pantalon.

"Sa suffit pour aujourd'hui." dit-il en regardant sa montre "Mais t'en fait pas, je passerai chez toi ce soir et on s'amusera. Maintenant, habille-toi et continue ton travail habituelle. Tu ne dira à per***ne ce qui est arrivé. Lorsque je frapperai à ta porte ce soir, tu me laissera rentrer. A propos, je prend congés pour la journée."

Il sortit enfin, laissant sa patronne apeurée et trempée.

La tournée d'Aline (je sais pas si ces déjà passer?)



Cette histoire trouve *** origine dans les pensées coquines que le passage de la préposée à la distribution du courrier faisait naître dans mon adolescence.
Nouvelle postière d'un bureau d'une petite ville de Normandie, Aline est un beau brin de fille d'une vingtaine d'année, mais qui accumule les erreurs et les bévues depuis sa prise de fonction. Cela lui vaut les remontrances de *** chef de bureau qui pour passer l'éponge, lui « propose » de faire la prochaine tournée en tenue sexy et sans aucun dessous.
Aline est bouleversée par la demande de *** supérieur. Elle trouve difficilement le sommeil et seule une caresse très intime et prolongés jusqu'à la jouissance lui permet de trouver le repos.
6H00... le réveil tire Aline de *** sommeil, les paroles de *** chef lui reviennent en mémoire. C'est donc sans aucun dessous, vêtue du seul chemisier réglementaire et d'une jupe très courte qu'Aline se rend d'un pas hésitant vers le bureau de poste.
L'accueil de ces collègues est pour le moins flatteurs... Les regards insistant, les attouchements très furtifs durant la préparation de la tournée font monté un long et lent plaisir dans le ventre d'Aline.
7H45... Départ de la tournée, Aline est la dernière à partir sous les yeux de *** chef de bureau qui exige des vérifier l'absence de dessous..... Rouge de honte, Aline remonte sa jupe et dévoile un sexe totalement épilé, lisse et humide comme le constate le chef de bureau avec le sourire. Il en profite pour dégrafer les corsages s'emparant d'une paire de ciseau pour ôter les trois premiers boutons laissant quasiment la poitrine nue d'Aline offerte à tout les regards...
Bien......tu peux y aller... et si tu es sage, j'oublierais les erreurs du mois.... Les paroles du chef ré***nent dans la tête d'Aline dans ce début de distribution qui parait normale excepté, quelques regards des hommes croisés sur le chemin ***t bien très insistant et dévoile des envies non dissimulées...
Aline arrive à la boulangerie avec un recommandé pour le maitre artisan...elle va devoir donc pénétrer dans le laboratoire pour faire signer le patron.... Celui-ci est en train d'enfourner quand l'apparition d'Aline lui procure une montée de désir aussi fort qu'inattendu.
Bonjour Monsieur, j'ai besoin d'une signature commence Aline qui s'approche du boulanger en lui remettant le pli recommandé...celui-ci ne quitte pas l'ouverture du corsage de la jeune postière. Aline remarque également une bosse se former dans le pantalon du boulanger ...cette vue lui procure une montée de chaleur dans le ventre.
Le boulanger ordonne d'une voix calme mais autoritaire à Aline de déposer *** sac à courrier, comme ***********, Aline obéit.
Appuie-toi sur le comptoir et remonte ta jupe ...petite salope assène le patron
Comme Aline hésite, Le boulanger lui saisi les épaules et la place face au comptoir en la ***** à se pencher en avant, remontant la jupe totalement pour découvrir deux fesses bien ronde qu'il ne tarde pas à caresser, à malaxer avec vigueur... il lui écarte les jambes sans ménagement.
Il prend un peu de recul pour admirer le spectacle...ordonnant à Aline d'ouvrir *** cul et de se pencher en arrière pour mieux lui offrir.
Pour la punir des hésitation, le Boulanger décide de faire rougir les deux globes d'Aline.. qui est surprise par le premier coup et pousse un cri de surprise, la douleur est vite remplacée par un plaisir qui gagne *** sexe et lui arrache des soupirs de douleurs mélanger de plaisir.
Pour en finir, le patron doigte sans ménagement la jeune Aline, découvrant *** sexe humide.. la traite de salope et décide de la prendre par le cul pour lui donner une leçon.... C'est ainsi que sans ménagement Aline est rapidement sodomisé par la longue queue du boulange
Aline offerte aux assauts du Boulanger ressent à la fois douleur et honte qui lui arrachent des larmes...mais très vite les assauts du patron boulanger transforme cette douleur en un plaisir qui s'empare du corps entier de la jeune femme.
Elle s'entend maintenant demander au patron d'aller plus vite et plus loin, de l'enculer et de la baiser comme une salope... c'est donc sans management avec une vigueur jusque la inconnue de notre jeune femme que le boulanger la besogne
Rapidement la besogne du boulanger arrache des cris de plaisir à Aline qui reçoit la semence du boulanger dans *** cul.
Sans autre procès, le patron ordonne à Aline de reprendre sa tournée... tu as encore beaucoup à faire ma jeune Salope de postière..dit-il avec ironie et laissant l'empreinte de farine de sa claque affectueuse sur la jupe de la jeune postière
Aline se retrouve dans la rue, le cul plein du sperme de notre boulanger.... La honte de s'exhiber ainsi et le plaisir charnel se mélange dans l'esprit de notre jeune Aline sur le chemin de *** prochain client.

Aline encore sous l'émotion de la sodomie subie chez le boulanger, pénètre dans la brasserie principale de la commune. Heureusement peu de monde en ce début de matinée, un sourire à la patronne étonnée de la tenue d'Aline dont le corsage voile à peine des seins fermes dont les tétons ***t encore durcis par le plaisir encore présent dans l'esprit de notre préposé à la distribution.
Aline demande un verre d'eau et se dirige vers les toilettes de l'établissement après avoir remis le courrier à la patronne, une belle femme de 45 ans, grande blonde au physique très agréable, se prénommant Nathalie.
Nathalie avec un sourire demande à la serveuse de la remplacer et se dirige vers les toilettes. Aline vient à peine de nettoyer le sperme qui coulait le long de sa raie, de ses cuisses. Surprise par la présence de la patronne, elle rougit et se dirige vers la sortie. Nathalie ne peut s'empêcher d'interroger d'un ton ironique, la jeune femme sur sa tenue négligée, en profitant pour lui caresser la naissance des seins.
Face à cet assaut câlin, Adeline ne sait que faire, elle cherche à s'échapper. Mais la patronne insiste la bloque contre le mur et dépose un tendre baiser dans le cou de la jeune femme suivi très rapidement d'un second sur la bouche. Submergé par la soudaineté de ce baiser la jeune femme ne peut résister et les langues des deux femmes entrent dans une danse éperdue. Les deux femmes se caressent alors mutuellement sans aucune retenue, Aline se retrouve dénudée, les tétons pincés, titillés et sucés par une Nathalie déchainée.
Nathalie en profite pour ôter sa jupe et se caresser la chatte avec vigueur. Elle contraint alors la postière à s'agenouiller et à caresser sa partie la plus intime.lui ordonnant de la faire jouir.
C'est donc à plaine bouche que la jeune postière absorbe les lèvres intimes, le clitoris qui subit les assauts de la langue d'Aline. Nathalie ne peut retenir des soupirs de plaisirs et ***** Aline à poursuivre sa caresse en lui plaquant la tête contre *** sexe afin que la langue s'active encore plus et pénètre tel un mini pénis *** vagin offert
La chatte de Nathalie est ouverte, trempée de la cyprine et de la salive d'Aline qui lui introduit deux doigts dans le sexe se lançant dans un doigtage qui arrache des cris à la patronne. Soudain dans une dernière contraction, Nathalie explose et libère un jet de cyprine qui vient se répandre sur le visage, les cheveux et la poitrine de la jeune postière.
Sans un merci, ni un baiser, Nathalie contraint la jeune femme à quitter *** établissement par la porte arrière sans lui laisser le temps d'effacer les conséquences de la jouissance de Nathalie. C'est donc le visage et la chevelure encore mouillée, un corsage souillé et une jupe marquée de l'empreinte du boulanger que notre jeune postière poursuit sa tournée.

Sous le soleil, tentant de faire bonne figure Aline, notre jeune postière de Valognes poursuit sa tournée malgré les dégâts causés par le boulanger et la patronne de la brasserie. Elle a néanmoins le ventre en feu, les tétons durcis par la pensée des deux épisodes précédents.
Rayonnante de sensualité dans sa tenue plus que sexy, Aline parvient à l'hôtel de ville sans autres rencontres sinon des regards réprobateurs de quelques mères de famille jalouses
Franchissant le portail, Aline se souvient qu'elle demanderait bien une entrevue avec le Maire pour faire avancer *** dossier de demande de logement. Oubliant sa tenue provocante, Aline préoccupée par sa demande, remet le courrier à la secrétaire qui ne peut pas détacher les yeux de la poitrine d'Aline qui laisse apparaitre un téton.
Aline aperçoit le premier magistrat en discussion avec un policier municipal. Elle s'approche pour faire part de sa requête afin de profiter de l'occasion. Le maire lui propose de la recevoir de suite et glisse quelques mots au policier. Aline surprend simplement l'expression « passer un bon moment et tu la prépares... »
Le Maire indique à Aline de suivre le policier municipal pendant qu'il règle une question avec la secrétaire.
Se faisant, le policier qui se prénomme Antoine, pose une main affectueuse dans le dos d'Aline pour la mener vers le bureau du Maire, il ne peut s'empêcher de faire glisser sa main vers les reins de la jeune femme exerçant une légère pression.
Sitôt la porte refermée, Antoine s'adresse fermement à la jeune postière et lui dit clairement « si tu veux un logement, il va falloir être très très sage.. Tu as le choix ».... Aline, les larmes aux yeux hésite pour partir, mais une poigne ferme la retient tandis que l'autre main lui caresse fermement les fesses, s'insinuant dans sa raie sans ménagement.
« Alors, tu décide quoi..» interroge le policier municipal
D'un léger signe de tête Aline cède au chantage du policier en essuyant une larme... Antoine, lui pose alors un bandeau sur les yeux en lui ordonnant de ne pas l'enlever quelques soit les circonstances. Il oblige la jeune femme à mettre les mains dans *** dos et ouvre totalement le corsage qui déjà cachait peu la poitrine ferme. Antoine en profite pour vérifier la dureté des tétons et pour doigter sans ménagement le sexe de la jeune postière....Aline toujours en larme, subit les caresses intimes et ******** du policier sans se rebeller.
Après quelques minutes qui lui semblent une éternité, elle entend la porte du bureau s'ouvrir, des pas, des voix. Le maire, *** adjoint et la secrétaire viennent de pénétrer dans le bureau le sourire aux lèvres. Le policier pousse Aline devant le premier magistrat et la met à genoux la forçant à se présenter bien cambrée, offerte.
Le Maire interroge Aline sur sa demande de logement social, sur sa situation sentimentale et l'informe qu'elle aura *** logement si *** comportement de soumise est à la hauteur de sa demande
Elle ne devra prendre aucun plaisir, ne pas avoir d'orgasme et servir de trou à sperme après avoir été punie pour avoir souillée *** uniforme
Sans attendre de réponse, il ordonne au policier d'allonger Aline sur la table de réunion, le cul offert. Deux mains écartent les jambes de la jeune femme qui entend des compliments sur *** anatomie, sent des mains écartées ses fesses, fouillées *** sexe..... Soudain, on lui attrape les poignets afin de la maintenir ainsi allongée sur la table offerte et immobilisée pour la fessée que le Maire a décidé de lui infligé avec *** premier adjoint.
Chacun pourra lui asséner 21 claques sur chacune des fesses... Ne pouvant s'échapper maintenue les bras tendus, Aline est en pleurs, des cris s'échappent sous les premières claques qui viennent chauffer ses fesses offertes....
Mais rapidement, la douleur est accompagnée d'une sensation de plaisir qui monte lentement dans *** ventre, rendant *** sexe humide puis bientôt totalement trempé de la cyprine ... s'apercevant du plaisir ressenti par la soumise, les dernières claques ré***nent fortement dans la salle arrachant des cris à Aline suivi de gémissement de plaisirs quand des doigts viennent fouiller *** sexe et caresser doucement les fesses endolories. Une langue vient lécher le cul de la jeune femme et un doigt s'introduit dans *** cul, elle pense deviner l'action d'une femme.
Aline sent des mains la relever pour l'obliger à se mettre à genoux. Aussitôt elle sens un gland devant sa bouche et une voix qui lui ordonne de sucer...lentement la langue d'Aline joue avec le gland, sa langue descend le long de la verge qu'elle trouve interminable puis elle la prend en bouche, aspire ce membre tandis que deux autres se présentent pour être branler.....à tour de rôle, elle suce et branles les queues puis les hommes décident de la baiser dans la bouche et alors très vite chacun leur tour ils viennent décharger leur foutre dans la bouche de la jeune femme, sur *** visage et sur sa poitrine.
Ensuite, Gisèle se place au dessus de la jeune femme et la contraint de lécher *** cul et *** sexe pour la faire jouir, la préparer pour les trois mâles qui se branlent devant le spectacle offert
Pour faire bonne mesure, le policier encourage Aline de quelques claques bien senties sur ses fesses.
Gisèle, la secrétaire est une petite brune à la forte poitrine avec un sexe et un cul totalement épilé. Elle va au devant de la langue d'Aline écartant ses fesses pour que la langue de la jeune femme lui pénètre le cul et le sexe, que sa bouche aspire *** clito. Plaquant la tête de la jeune femme contre *** cul, Gisèle parviens à jouir inondant le visage d'Aline..
Les trois mâles écartent alors sans ménagement la jeune Aline, la contraignant à être à genoux, les mains croisées sur la tête pour l'empêcher de se caresser. Chacun des hommes s'empare d'un orifice de la secrétaire pour la baiser, la défoncer dans un concert de gémissement et de cris de plaisirs. Ils viennent ensuite, à tour de rôle décharger leur semence dans le sexe de la secrétaire qui connait un nouvel orgasme et se faire nettoyer la queue par Aline.
Aline souillée par le sperme sur *** corps, humiliée par l'interdiction de prendre du plaisir est allongée sur le sol. Gisèle place *** cul et *** sexe au dessus du visage de la jeune femme lui ordonnant de la nettoyer totalement du sperme qui coule de *** sexe. Aline s'applique donc à lécher à sucer et à aspirer le sexe de la secrétaire avalant le sperme recueilli.
A l'issue de ce nettoyage, Aline est relevée, conduite dans une pièce. Le policier lui ôte *** bandeau en la caressant une dernière fois, il lui ordonne alors de remettre de l'ordre dans sa tenue puis de quitter la mairie à l'instant. A la question, d'Aline sur *** logement, une réponse cinglante « plus tard, petite salope » fait éclater en sanglots la jeune postière. Sans lui laisser le temps de se nettoyer Aline quitte l'hôtel de ville par une porte dérobée....
Dans la rue, elle reprend sa tournée, les larmes aux yeux....

Aline, jeune postière poursuit sa tournée mouvementée dans le quartier résidentiel de cette petite bourgade de Normandie. Elle tente de faire bonne figure malgré sa tenue souillée par les traces de sperme. Elle évite le regard des passants allant très vite d'une boite aux lettres à la suivante quand le ciel bleu laisse la place à des nuages annonciateurs d'averses. Celle-ci ne tarde pas à éclater.
Sous la pluie, le corsage d'Aline colle à sa peau, le rendant quasiment transparent et mettant en évidence la jeune poitrine ferme aux tétons durcis. C'est ainsi, que la jeune postière écarlate de confusion, ***ne à l'entrée d'un pavillon dont elle connait la rigidité apparente des occupants pour remettre un paquet.
Yvette, la cinquantaine élégante, grande et mince brune aux cheveux courts ouvre et découvre une jeune postière qui tremble de froid et de honte.
« Bonjour, Madame, un paquet en recommandé pour vous »... articule difficilement Aline. « Ah oui, mon mari va être content, mais ne rester pas sous la pluie, entrez mademoiselle » lui répond Yvette dont le regard ne peut se détacher des atouts dévoilés de la jeune femme.
Elle la fait entrer dans le vestibule et face à la détresse de la jeune femme lui propose un café et de se sécher. Aline n'ose refuser d'autant que la pluie redouble. En toute confiance, elle suit Yvette vers la salle de bain.
Pour se sécher, Aline ôte *** chemisier et sa jupe. Elle est donc nue quand elle entend Yvette lui proposer de passer ses vêtements dans le sèche linge, le temps que la pluie se calme.
Aline n'a pas le temps de répondre que la porte s'ouvre, dévoilant sa nudité à Yvette qui marque un temps d'arrêt pour admirer la beauté de la jeune femme. *** regard s'attardant sur la chatte lisse et gonflée de désir de la jeune postière... Sans un mot, Yvette s'empare de la jupe et du chemisier en proposant à la jeune femme de prendre une douche compte-tenu de sa tenue.
« Prends ton temps, je vais déballer le paquet et sans doute l'essayer sur mon mari »... dit –elle en quittant la jeune femme le sourire aux lèvres.
Une fois sortie de la douche, Aline entend des gémissements et des râles. Intriguée mais curieuse, « vêtue » d'une seule serviette de bain, Aline ouvre délicatement la porte de la salle de bain. Les bruits et les soupirs sans équivoque viennent de la chambre conjugale dont la porte est entrebâillée.
Aline découvre ainsi Yvette totalement nue mais harnachée d'un gode ceinture dont l'emballage traine à terre face à un homme un peu grassouillet à genoux devant sa femme. Celui-ci suce avec application le gode en se masturbant une queue courte mais épaisse, sous les encouragements de sa femme. Satisfaite par l'action de *** Raymond sur le gode, Yvette lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle lui écarte les cuisses et s'empare d'un gel qu'elle étale avec plaisir dans la raie, jouant avec l'entrée de l'anus avant d'y pénétrer lentement mais fermement un doigt puis un second élargissant la rondelle de *** époux
Raymond soupire de plaisir et lui demande de l'enculer. Sa femme présente enfin le gode à l'entrée de l'anus. Le sexe artificiel écarte les chairs de Raymond qui tend ses fesses pour mieux être pris encourageant sa femme.
Yvette commence un lent va et vient dans le cul de *** mari, s'enfonçant plus loin à chaque pénétration. Raymond gémit partagé par la douleur et le plaisir qu'il sent envahir *** cul, *** ventre et l'ensemble de *** corps. Plaisir qui redouble quand Yvette se retire pour le pénétrer d'un coup lui remplissant l'anus avec le sexe artificiel puis elle accélère le rythme en prenant fermement ces hanches pour mieux l'enculer..
La scène réveille le feu intérieur qui sommeille dans le ventre d'Aline. Elle se caresse s'introduisant un doigt dans la chatte de nouveau humide tandis que *** pouce stimule *** clitoris.
Encouragée par les râles de plaisir de Raymond mais aussi par l'action procurée par le double gode fiché dans *** vagin, Yvette accélère encore le mouvement et sodomise sans ménagement *** mari jusqu'à parvenir ensemble à la jouissance, à un orgasme intense.
Le calme qui suit cette jouissance des deux époux écroulés l'un sur l'autre, est troublé par les gémissements d'Aline également emportée par un orgasme qui la submerge de plaisir
Découvrant la présence de la jeune femme, Raymond est le plus vif à réagir. Il attrape Aline par le bras et la traîne dans la chambre découvrant à la fois la nudité et la beauté de la jeune femme.
« Il s'agit de notre jeune dévergondée de postière à qui j'ai proposé de sécher ses vêtements trempés. Comme tu le constates, il s'agit d'une petite salope qui ne porte aucun dessous...dit Yvette à *** mari... à mon avis, nous pouvons l'utiliser pour notre plaisir » ajoute Yvette...... - « sans aucun doute » répond le mari qui glisse un doigt dans la fente humide de la jeune femme « elle est mouillée, la salope » constate Raymond.
Oui... d'abord ma petite tu vas sucer mon Raymond pour qu'il te baise pendant que je l'encule une nouvelle fois... ensuite nous verrons...allez au turf...

Raymond s'allonge sur le lit, la jeune femme à genoux entre ses cuisses s'empare d'une queue flasque et commence une masturbation lente du membre qui ne tarde pas à réagir. Sa langue experte lèche les testicules, monte jusqu'au gland quelle s'amuse à sucer comme un cornet de glace puis redescendant jusqu'à l'anus largement ouvert. Yvette en profite pour faire des photos en gros plan.
Aline prend totalement en bouche le sexe l'aspirant, le suçant, jouant de la langue sur le gland arrachant des gémissements à Raymond qui maintient la tête de la jeune femme pour mieux lui baiser la bouche.
Durant ce temps, Yvette caresse la jeune femme, lui fouillant la chatte et humidifiant *** anus avec sa mouille pour préparer celui-ci. Sans ménagement, elle écarte les fesses d'Aline l'encule très rapidement d'un coup, elle pénètre le gode entièrement dans l'intimité de la jeune femme lui arrachant un cri de douleur.
Après la surprise et sous les assauts d'Yvette, Aline connait alors des instants merveilleux de plaisir contractant les muscles de *** cul. Elle jouit plusieurs fois de suite avant de connaître un orgasme dans un dernier assaut d'Yvette qui hurle *** plaisir et de recevoir le sperme du mari, par de longs jets dans la gorge. Raymond lui maintient la tête la forçant à avaler sa liqueur et à nettoyer le sexe qui reprend aussitôt de la vigueur.
Yvette ôte alors le gode ceinture et en pare la jeune femme.... Pour qu'elle encule à *** tour Raymond pendant que celui-ci va prendre sa femme en levrette.... Aussitôt dit, le trio se met en position, Raymond après un rapide léchage du sexe et du cul de sa femme, présente *** gland et le fait pénétrer sans difficulté tant l'envie d'Yvette est forte.
Dans un même temps, Aline écarte les fesses de Raymond et le sodomise à fond. Elle synchronise *** mouvement dans le même rythme que Raymond dans le sexe de *** épouse. Celle-ci exprime bruyamment *** plaisir et se masturbe le clitoris avec vigueur. Raymond se retire du sexe de *** épouse et lui basculant le bassin dégage *** cul pour l'enculer d'un coup.
Une série de gémissements, de cris de plaisir accompagnent ce « train » du plaisir anal... pendant un long moment s'enculant tantôt avec vigueur, tantôt avec douceur conduisant le trio vers les sommets de l'extase.
Dans un dernier sursaut Raymond décharge dans le cul de sa femme qui contracte tout les muscles de *** corps dans un orgasme intense. Elle en tremble de bonheur. Raymond écroulé au côté de sa femme ordonne à Aline de nettoyer à la fois *** sexe et le cul d'Yvette. Celle-ci s'exécute avec plaisir.
Il est temps de quitter le couple, après quelques derniers baisers et caresses, revêtue de ses vêtements sec, Aline que le plaisir rend plus sexy, reprend d'un pas guilleret sa tournée qui touche à sa fin

Saluant une dernière retraitée à qui elle vient de remettre sa pension, Aline prend la direction du bureau de poste terminant très en retard une tournée qui restera gravée dans sa mémoire. Approchant du bureau, Aline s'interroge sur l'accueil de *** chef de bureau et sur le devenir des clichés qui ont été pris par à la Mairie et par Yvette.
C'est avec un large sourire qu'Aline pousse la porte du bureau étonnamment vide, seule Evelyne, sa meilleure collègue est présente. Elle s'adresse à Aline avec un large sourire lui demandant si la tournée avait été agréable.
« Tu ne peux pas imaginer » lui répond Aline... mais où ***t passé les collègues demande-t-elle.
Sans répondre, Evelyne embrasse la jeune femme, lui souhaitant un joyeux anniversaire. Elle l'informe que sa mission consiste à lui bander ses yeux pour qu'elle puisse finir de découvrir *** cadeau.
« Pourquoi, tu me dis finir... per***ne ne me l'a souhaité ce matin » s'étonne la jeune postière.
« Tu comprendras, tout à l'heure » répond de manière énigmatique Evelyne en lui bandant les yeux.
Evelyne guide la jeune jusqu'à la salle de tri lui promettant beaucoup de bonheur. Dès *** entrée, elle entend des murmures. Evelyne guide Aline au milieu de la pièce et lui propose de partir à la recherche de ses cadeaux qui se trouvent autour d'elle.
Les yeux bandés, Aline avance prudemment, sa main se pose sur un torse velu... après un moment de surprise elle fait glisser sa main vers le bas jusqu'à ce qu'elle identifie un sexe long et fin mais en érection. Un baiser ponctué d'un joyeux anniversaire surprend la jeune femme dont la main ne quitte pas le sexe pour le branler lentement.
Elle poursuit sa recherche en pivotant sur elle-même découvre un, deux, jusqu'à six sexes. A chaque découverte le propriétaire salue Aline d'un baiser appuyé et lui souhaita bon anniversaire.
Evelyne encourage la jeune femme et ajoute : « Profite ma belle, ses queues raides ***t là pour toi, pour ton seul plaisir.... tu as un crédit de 21 orgasmes, une jouissance par année offerte par ses mâles que tu découvriras plus tard, es-tu heureuse de ce cadeau ? »
Pour toute réponse Aline entreprend de sucer et de branler chacune des queues ainsi offertes. Pendant un long moment, la jeune femme gourmande dévore les sexes, lèche, suce les glands comme autant de cornets de glace arrachant des râles de plaisir. Durant tout ce temps, elle sent les caresses de multiples mains sur ses seins, sa nuque, *** ventre, ses cuisses et bien sur *** sexe. Pour sa part, Evelyne immortalise la scène en la filmant.
Avant que les hommes ne puissent retenir leur semence, Evelyne allonge la jeune femme sur une table, installant un coussin pour relever *** bassin et mieux offrir ses orifices. Toujours les yeux bandés, Aline entend le bruit caractéristique de plusieurs bouteilles de champagne débouchées. Très vite, elle sent un liquide frais caresser la pointe de ses tétons mais aussi glisser le long de *** ventre, pénétrer *** sexe. Le froid produit de délicieuses sensations lorsque le nectar pénètre *** vagin et glisse le long de sa raie. Elle bascule *** bassin pour mieux absorber le liquide glacé dans *** sexe ouvert par deux mains prévenantes.
Aline sent des lèvres se posées sur les siennes et un liquide envahir sa bouche. Evelyne vient d'offrir un peu de champagne à la jeune Aline dont l'ensemble du corps et parcouru par les six langues récoltant le divin nectar. Les langues envahissent chaque recoin, *** sexe est fouillé par une langue qui lape le champagne procurant une montée irrésistible du plaisir. Aline se tord de bonheur, *** corps entier s'offre indécent allant au devant des multiples caresses pour exploser une première fois.
Acte 2 du cadeau, Aline est allongée, offrant *** vagin et *** sexe aux mâles impatients de la pénétrer pour la mener vers l'extase. Tandis que deux langues s'amusent à mordiller les tétons de la jeune femme, un premier sexe la pénètre s'activant avec vigueur pour rapidement décharger sa semence sur *** ventre. Aline est pénétrée par six membres à la suite sans répits. Elle connait une série orgasmes qui la laisse pantelante.
Evelyne participe à la fête en nettoyant les queues puis le ventre d'Aline. Elle saisie l'occasion pour lui lécher le clitoris, le sexe ainsi que *** anus provoquant un nouvel orgasme à la jeune femme, hyper sensible.
Le bandeau sur les yeux d'Aline est enlevé. Elle découvre autour d'elle : le boulanger, le Maire, *** chef de bureau, Raymond et deux collègues. Pour remercier, ces hommes du plaisir apporté, elle saute au cou de chacun afin de lui faire un french kiss profond et appuyé. Et Evelyne, sa collègue organisatrice de sa journée, bénéficie pour sa part, à un léchage de chatte en règle jusqu'à ce que l'orgasme la submerge devant les six mâles qui retrouvent une vigueur certaine en se branlant devant la scène.
Soudain des coups ré***nent à la porte du local. Evelyne entraine Aline qui oubliant sa tenue d'Eve, ouvre la porte et découvre un immense gâteau d'anniversaire porté par la patronne de la Civette et Yvette, la bourgeoise

Aussitôt la pâtisserie posée sur la table, Aline se jette aux cous des deux femmes qui bien sûr en profitent pour caresser de manière très intime la jeune et jolie postière. Dans une ambiance très détendue, chacun se restaure et reprend des ******, non sans jouer de manière très coquine avec la crème chantilly et les fraises qui parsèment le gâteau anniversaire.
Des matelas ont fait leurs apparitions pour l'acte trois du cadeau d'anniversaire. Placée à quatre pattes, Aline prend en bouche de nouveau les six sexes aidée par les deux autres femmes. Le boulanger prépare par l'anus de la jeune femme à la série de sodomies qui doit suivre. Le Maire présente le premier *** membre épais à l'entrée du cul d'Aline. Le gland violacé écarte lentement les chairs de la jeune femme qui soupire jusqu'à gémir de plaisir quand le sexe la remplit. Le maire accélère ses mouvements ressortant *** sexe pour mieux enculer la jeune femme. Rapidement, il se libère à longs jets dans le cul de la jeune femme déclenchant une nouvelle jouissance qui submerge la jeune femme.
Le Maire cède sa place au boulanger qui pénètre facilement Aline tant l'anus est ouvert et lubrifié par le sperme du Maire. Maintenu en érection par les deux autres femmes qui ne manquent pas de caresses, chaque homme se succède dans le cul d'Aline. Elle connait à chaque éjaculation, un orgasme intense dans chaque fibre de *** corps
Le dernier à sodomiser la jeune femme est *** chef de bureau qui prend *** temps pour décharger dans le fondement de *** employée. Le cul débordant de sperme, la jeune femme se présente celui-ci à Yvette et Evelyne qui se régalent de cette semence. L'action des deux langues ne tarde pas à laisser Adeline comme un pantin sans ***** après un ultime et énorme orgasme.
Pour le final, Aline est littéralement portée par ces deux collègues afin d'être empalée sur le sexe de *** chef de bureau qui lui malaxe les seins pour la laisser reprendre ses esprits avant d'entreprendre un va et vient infernal dans *** sexe lui procurant quasiment immédiatement un orgasme tant *** corps est tendue par le plaisir.
Raymond décide alors de planter sa longue queue dans le cul de la jeune femme qui reçoit également le sexe d'un collègue dans la bouche. Cette triple pénétration donne des idées à Yvette qui souhaite bénéficier du même traitement. Evelyne pour sa part se lance dans une masturbation active de *** clitoris.
C'est alors un déchainement de soupirs, de cris de plaisirs et de gémissement qui emporte l'ensemble des participants au septième ciel dans un orgasme collectif synonyme d'un déluge de sperme et de cyprine.
Le silence fait suite à ce déchainement de plaisir... Après un long moment, les trois femmes se retrouvent sous la douche. Evelyne et Yvette en profitent pour faire une toilette poussée et très coquine d'une Aline épuisée mais qui connait un ultime orgasme sous les caresses précises des deux femmes.
Chacun se retrouve ensuite pour admirer et contempler les photos et la vidéo remisent à Aline comme ultime cadeau pour *** 21ème anniversaire qui restera dans sa mémoire.

Jeu de Famille


Je suis l'homme le plus heureux du monde, pensait-je alors que ma queue pilonnait le cul de ma femme qui était actuellement entrain de me supplier de continuer. Une heure auparavant je les avait ************, elle et sa sœur pour un petit 'jeu de famille'. Depuis mon accident je n'avait eu de cesse d'entrainer mes nouveaux dons, et j'était enchanté de pouvoir les tester sur des vrais sujets.

Quoi qu'il en soit, retournons au sujet principal. J'avais relevé les jambes de ma femme au dessus de ses épaules, et *** petit trou était écarté au maximum alors que ma queue la pistonnait sans répit. Je l'avait programmée afin qu'elle devienne ma chienne et qu'elle vive pour mon entrejambe. *** nom était Michelle, et malgré *** léger surpoids, elle n'en restait pas moins sexy, surtout avec *** 110D de poitrine. Sa sœur Mandy était sur le sol, *** index massant *** entrecuisse machinalement. De petits soupirs s'échappait continuellement de ses lèvres pulpeuses. D'infime perles de sueurs coulant adorablement de sa petite mais ferme poitrine. Je lui avait donné l'interdiction de jouir avant d'avoir gouté a mon sperme. Mandy me donnait le spectacle de ses jambes bronzées grande ouverte et sa main droite tentant en vain de se donner du plaisir en s'occupant de *** clitoris érigé et a présent détrempé.

« S'il Vous plait, Maitre, prenez-moi a fond » Me supplia ma femme alors que je lui ramonais le cul.

Mon engin palpitait et j'était tout près de me déverser en elle lorsque je sortit du cul de Michelle. Les pupilles de sa sœur s'écarquillèrent alors que je m'empressait de me mettre face a elle et que j'enfonçais mon membre dans sa bouche suppliante.

« MMFF... » Roucoula-elle tandis que ma queue sortit de ses lèvres attirantes. Ses doigts n'avait eu de cesse de jouer avec *** petit bouton d'amour lorsque j'avait enfoncé mon monticule et mes bourses dans sa bouche. Je lui donnât alors l'ordre de faire glisser *** index gauche dans *** cul et de l'écarter afin de préparer le terrain a venir. Mandy obéit sans poser de question et inséra *** index profondément dans *** fondement et décrivit de petits cercles afin de se préparer pour *** imiante pénétration.

Ma femme était étendue sur le lit, se caressant l'entrejambe a *** tour, obéissant a l'indication que je lui avait donné. J'avais également programmé sa sœur afin qu'elle n'ait pas le réflexe de bloquer sa gorge, me permettant de faire entrer jusqu'à mes bourses entre ses lèvres. C'était magnifique de voir ses lèvres écartés autant qu'elle pouvait se le permettre afin de prendre mon membre dressé entièrement en bouche.

« Maitre, puis-je lécher et sucer vos bourse? » Me demandât Michelle.

« Bien évidemment, et tu en profiteras pour t'occuper de mon cul » Ordonnais-je.

C'était vraiment incroyable. Ma queue baisant la bouche de sa sœur alors que ma femme me léchait les couilles et mon culs. Les sensations était trop importante pour que je puisse tenir plus longtemps. Je me déversa puissamment dans la bouche de Mandy, la regardant avaler chaque décharges. Les levers de Michelle léchait le sperme qui tombait sur le menton de sa sœur et je souris lorsqu'elle avala le restant de mon foutre. Puis les deux femmes se relevèrent et attendirent mes nouveaux ordres. Toutes deux sortirent une cigarette et l'allumèrent. La fumée dépassa leur silhouette nue et les enveloppèrent. Je regardait avec un vrai plaisir s'assirent dans les fauteuils, le visage vide. Michelle était une rousse légèrement trop grosse et sa sœur était une fine blonde. Les seins de Michelle était massif, 100D au minimum avec de gros mamelons et des aréoles roses. Mandy, au contraire avait de petits seins mais des levers pulpeuses. Elles étaient cependant toute deux étaient parfaitement rasées a l'entrejambe.

La fumée retomba sur leurs tétons toujours dressés, provoquant la création d'une aura brumeuse autour d'elles. Encore existé, je décida de m'amuser encore un peu avec mes deux salopes. J'avais décidé d'en faire une nuit particulièrement longue pour tout les trois.

« Mandy, a chaque fois que tu suceras mon membre, tu sentira des langues prendre possession de ton cul et de ta chatte, ce qui te provoquera un grand orgasme » Dis-je. « De plus, plus tu pourras me prendre en bouche, plus profondément irons les langues que tu sentiras dans ton cul et ta chatte. Ma semence te causeras un orgasme si puissant que tu perdras connaissance pendant quelques minutes. » Terminais-je.

« Oui, maitre, je vous obéirais. » Répondit-elle, pérennant une bouffée sur sa cigarette. La fumée de cigarette s'écoulât doucement de ses lèvres. Mandy miaulât légèrement a la pensée du plaisir que pourrait lui procurer notre partie de sexe oral a venir.

« Michelle, tu sentiras ma queue a chaque bouffée de cigarette que tu fumeras. Les bouffés épaisses et grasses ressemblerons au gout de mon sperme chaud s'engouffrant dans ta bouche. » Annonçais-je alors a mon autre esclave.

Je regardais Michelle apporter la cigarette a ses lèvres et se mettre a la suçoter avec gourmandise. Après avoir sortit la cigarette de sa bouche, sa langue se mit en quête de la fumée qu'elle venait d'expulser. Michelle se remis doucement sur *** cousin. Ses seins se dressait a chaque inhalations. Fumer et respirer, fumer et respirer. Ses yeux roulèrent en arrière et *** index droit redescendit vers sa chatte humidifiée, caressant langoureusement *** clitoris. L'air était remplit de l'odeur de *** jus d'amour qui s'écoulait a présent comme un vrai ruisseau. Elle s'ébranlât a la succession de ses orgasmes terrassant, sans cesser de taper dans sa cigarette. Je regardait avec excitation ma femme être transformée en véritable nympho maniaque devant moi.

En même temps, Mandy s'était allongé, la tête pendante du lit et sa bouche grande ouverte, me suppliant de lui donner ma queue afin qu'elle puisse sentir ces fameuses langues invisibles s'occuper d'elle avec *****. Je m'alignas face a sa bouche et plongeât dans cette bouche si accueillante jusqu'à ce que je sente *** menton taper contre mes couilles. Mandy approuvât presque instantanément un orgasme envahir *** corps comme elle n'en avait jamais sentit. Deux heures durant je jouais avec mes nouvelles esclaves, trouvant toute sorte de dépravations sexuel pour elles. Je finit par les faires redevenir elles-mêmes, leur laissant la suggestion de m'obéir n'importe quand, n'importe ou et pour n'importe qu'elle ordre que je puisse leur demander. Je leur ai également ordonnée de n'en parler a per***ne.

Douze jours passèrent avant que je ne décide de les remettre sous ma domination afin de terminer l'esclavage de leur famille. Je pris ma femme a part lorsqu'elle rentrait a la mai***, la forçant a redevenir la docile petite salope que j'appréciait. Sa volonté disparue rapidement alors que les souvenirs des plaisirs qu'elle avait prise envahir *** esprit. Elle allait m'aider a séduire *** père et elle allait aimer chaque instant.

« Michelle, tu vas m'aider a ****** ton père a se plier a ma volonté. » Lui dis-je. « Tu lui procureras une fellation a laquelle il ne Pourrat pas résister, mais il devrait au contraire perdre toute volonté de résister a tes lèvres. Il deviendra dépendant de tes lèvres et ne devras pas se rendre compte que je baiserais sa femme. » Continuais-je. « Tu adoreras le fait de sucer ton propre père jusqu'à ce qu'il te donne sa semence et tu n'hésiteras pas. » Finissait-je.

Michelle retourna dans la chambre et commença a se préparer pour aller rendre visite a ses parents. Elle prit un tee-shirt bien trop petit pour cacher la faille de ses deux magnifiques lobes mammaires. Elle prit également une très courte jupe sans mettre de sous-vêtements. Elle mis du rouge a lèvres profond et se maquilla afin de parfaire sa tenue de pute que je lui ordonnais d'avoir. Alors que Michelle finissait *** maquillage, J'appelais sa sœur.

« Salut » Répondit Elle au téléphone.

« Est-tu prête ma chère? » Demandais-je.

« Oui, maitre, je suis prête a vous obéir. » Répondit-elle machinalement.

"Habille-toi dans ta tenue la plus excitante et retrouve nous a la mai*** de tes parents. Lorsque tu arriveras tu ressentir un grand besoin de bouffer la chatte de ta mère. Et tu le feras. » Dis-je.

« Tu le feras, et tu aimeras le faire bien plus que tout ce que tu auras pu faire jusqu'à présent, »Ajoutais-je.

« Elle ne te résisteras pas, Mandy, parce qu'elle aimeras la sensation de ta douce langue sur *** clitoris, la mordillant qu'a ce qu'elle s'y abandonne. » Continuais-je. « Ensuite, elle voudras te chevaucher, ce que tu feras , parce que je te récompenserais ensuite. » Finissais-je. Nous raccrochions le téléphone avant de se diriger jusqu'à la mai*** de leurs parents. Pendant le trajet Michelle m'avait fait jouir avec sa bouche et avait léché amoureusement mes bourses. Lorsque nous sommes arrivés, je commençais a m'insinuer dans l'esprit des parents de ma femme, leur installant des pensées sexuel sur leur envie de baiser leur filles, ainsi que d'autres dégradations. Peter était le premier de ma liste.

Je donnais a Peter un appétit insatiable pour le sexe oral. Il voulait sentir les lèvres de Michelle plus que l'air. Au tout début il tentât d'y résister, avant de s'apercevoir que ses tentatives était trop futiles. Je regardais alors ma femme entrer dans le garage et commencer les gestes que je lui avait ordonnais de faire. C'était évident que Peter avait des difficultés avec *** érection grandissante dans *** pantalon, et il était également évident qu'il ne faisait pas grand-chose pour l'en dissuader. Je regardait avec excitation ma femme tomber a genou avant de défaire lentement le pantalon de *** père. Ses mains caressant sa virilité a travers le tissu de *** sous-vêtement. Les lèvres teintés de Michelle engouffrèrent gentiment l'érection de *** propre père jusqu'aux couilles. L'excitation de Peter grandissait a chaque allé et venu des lèvres de sa fille sur *** membre. La sueur s'écoulait sur le front de Peter alors qu'il laissait sa fille faire *** travail. *** visage se détendit brusquement lorsqu'il se déversa dans la bouche de sa petite fille. Lorsque ce fut fait, Michelle me l'apporta pour que je le reprogramme. Ces deux derniers quittèrent le garage et se dirigèrent vers mon véhicule garé quelque mètres plus loin afin de ne pas être vue pas la femme de Peter.

Ils arrivèrent a moi un instant plus tard et nous nous mirent dans un bois afin d'être seuls afin que je commence ma reprogrammation.

« Peter, tu obéiras a chaque ordres que je te donnerais. » Commençais-je.

« J'obéirais a chaque ordres que tu me donneras. » Répondit-il.

"Tu croiras tout ce que je te dit comme si j'étais Dieu."

« Je ne douterais pas de vous, maitre. » Dis-il.

« Tu vas aller a ta mai*** et m'aider a violer ta femme pendant que tu sodomiseras ton autre fille. Compris? » Demandais-je pour voir si la reprogrammation était réussi.

« Je vous aiderais a violer Carrie pendant que je prendrais le cul de Mandy, J'ai compris » Répondit-il, la gorge sèche.

« Lorsque nous serons de retour dans ta mai*** tu attendras l'arrivé de Mandy. Si ta femme veut parler tu réagira normalement, comme si rien n'avait eu lieu. » Ordonnais-je.

« Lorsque Mandy arriveras elle sauras exactement ce que je veut qu'elle fasse et le ferras. Obéis-lui et je te récompenserais correctement. Essaye de me désobéir et ta famille en payeras les conséquences. Dis-je méchamment.

« Je peut et je vous obéirais sans poser de question mon maitre. » Répondit-il.

J'étais très excité par le pouvoir que j'avait. J'ordonnais a Michelle de prendre soin de ma virilité devant *** père. Sa bouche engouffrât mon gland pendant qu'elle me prenait gentiment le cul avec *** doigt. Lorsque je sentit ma semence monter j'ordonnais a Peter de se mettre face a moi, a genou. Je me sentais prêt a exploser mais j'était déterminé a me retenir afin de m'amuser encore un instant. Je sentais la bouche de ma femme s'occuper vigoureusement de mon sexe tandis que *** doigt faisait des vas et viens en moi. Les sensations devinrent finalement trop puissante pour que je ne puisse me tenir. Et je me sortit de la bouche de Michelle et éjaculat sur *** visage. Je forçât alors *** père a nettoyer tout le sperme avec sa langue avant que nous repartions vers leur mai***.

Toujours excellent,,, "La tournée d'Aline" avait effectivement déjà été publiée,
Merci et bonne continuation

Ma Chère Soumise


Chapitre 1 - Ce que tu voulais...

Ma vie sexuelle avec Liz était devenue terne et ennuyante. Ma femme était tellement belle : elle avait 24 ans, mesurait 1 mètre soixante-quatre, pesait 52 kilos et possédait un bon 95C de poitrine, avec des jambes magnifique, un cul parfait et de long cheveux bruns légèrement frisées lui descendant jusqu'a la taille. Il n'y a vraiment pas d'autres mots pour décrire *** visage fin que celui d'un ange. *** père était Italien et sa mère hollandaise. Sa peau couleur d'olive est parfaite. Des douces pupilles couleur azur, accentuées par ses longs cils, vous captivant par leur promesse de douce innocence. *** nez est fin, sans défauts. Et ses lèvres : large, généreuse et rouge. Lorsqu'elle se met à bouder, vous feriez tout ce qu'elle vous demande. Elle pourrait facilement créer des embouteillages si elle prenait des habits qui auraient mis en valeur ses formes, mais ce n'est pas *** genre. Elle ne se trouve pas jolie et mes efforts pour l'en convaincre n'étaient pris que comme simple compliments obligatoire d'un tendre mari. Je vous avouerait que ce n'est pas *** corps qui m'avait attirer le premier, non pas que j'ignorais sa beauté.

A l'époque, j'était fou d'amour d'une autre. Se que j'avais remarqué en premier chez elle, s'était sa gentillesse, sa façon de plaisanter et de rire, et sa capacité a s'entendre avec tout le monde. C'est ce qui m'avait captivé. La première fois que nous fîmes l'amour je faillit m'étrangler de surprise, m'apercevant qu'elle possédait tout les beautés d'une actrice porno. C'était comme une merveilleuse surprise qu'elle m'avait caché. Elle ne le montrait jamais, pensant qu'elle était bien plus simple que cela. Le mauvais coté des choses, c'est qu'elle ne faisait pas l'amour comme une actrice. C'était gentils, doux et affectueux, mais ce n'était jamais sensuel, érotique ou ******.

Nous étions ensemble depuis deux ans et j'étais plutôt heureux. Mais très bientôt j'obtenu un nouveau travail et une bonne baise commença a me manquer. La rai*** a cela était probablement due a mon patron, Paul, ou plus particulièrement à sa femme, Kathy.

Kathy avait un tempérament totalement diffèrent, elle était très provocatrice. Elle n'hésitait pas mettre *** corps en valeur. Elle faisait bien 1m79, bien qu'en faisant toujours 81 avec ses chaussures a talons. Un tour de poitrine d'au moins 95 D, si ce n'est pas 100. De longues jambes sensuels, des cheveux rouge feu qui tombait dans *** dos comme d'une rivière. Kathy avait des yeux verts humide de chatte en chaleur. Tout le contraire de Liz. Ces lèvres n'était pas aussi généreuse que celle de Liz mais elle était très attirante. Je ne pense pas les avoirs jamais vus sans cette effet de brillance donnée par *** vernis de rouge a lèvres, donnant une irrésistible envie de les lécher. Elle avait quelques taches de rousseur autour de ses yeux et de *** petit nez. L'effet de rougissement sur ses joues était dû a *** maquillage qu'elle semblait utiliser parfaitement chaque jours. Utilisant sagement de *** mascara, de *** stick a cils, même les contours et la couleur de ses lèvres était maquillées, l'un complémentant l'autre. Sa tenue vestimentaire était constamment excitante, moulant ses formes sans gènes.

Elle se déplaçait comme une sirène dans l'eau, avec élégance et sans gestes brusques. Elle aimait les regards des hommes sur elle et se mettait même a jouer avec eux. Un frémissement exagéré par ici, un ajustement de sa jupe par la. *** jeu favoris était de vous regarder dans les yeux, entre-ouvrir sa bouche et vous faire apercevoir sa petite langue. Si elle restait dans une salle plus de 5 minutes, je peut vous garantir que tout les hommes de la pièce avaient leurs pantalons déformés. Et, je savais qu'elle se donnait fréquemment a Paul car je les avait surpris un jour au boulot.

Ce fut ce jour la que je découvris que ces visite durant l'heure du repas n'avais pas pour seul motif de manger avec lui. Je le vis se tenir prés de *** bureau. Elle était a genou devant lui, *** haut défais jusqu'a ses hanches, et *** sexe en bouche. Elle le suçait comme si c'était ELLE qui y prenait du plaisir, ce qui était probable. *** membre mesurait au moins 22 centimètres et demi, au moins 4 centimètres plus grand que moi et bien plus large, ce qui était proportionné car Paul faisait 1 mètre quatre-vingt, presque 90 kilos, soit 6 centimètres de plus que mois et 15 kilo de plus. Il était imposant et charismatique et je comprenait facilement pourquoi il était avec une fille aussi canon. Ma femme acceptait aussi de me sucer, mais elle ne le faisait pas très bien. Je n'avais jamais joui dans sa bouche et je doutais qu'elle l'accepterais si je le voulais. Sa chatte douche et étroite me satisfaisait suffisamment cependant. Quoi qu'il en soit, Paul me fit un clin d'œil discrètement alors que Kathy avalait *** membre en gémissant et, ce que je m'aperçut en partant, se doigtant, 3 doigts profondément ancrée en elle.

Un après-midi après que Kathy ait quittée le bureau, j'ai demandé a Paul comment il arrivait à la supporter. La façon dont elle s'habillait et sa façon de chauffer tout *** entourage, n'était-il pas inquiet de la voir aller vers un autre? Paul se mit a rire et me dit que Kathy ne le tromperais jamais, parce qu'elle avait besoin de *** membre. En faite, il adorais l'idée de savoir tout ses hommes fantasmer sur elle en vain. Je lui demanda alors "Et si une queue plus grosse se montrait?"

Il se mit a rire de nouveau. "Il y aura toujours une queue plus grosse, Jim. Le secret, c'est de les mettre dans un tel état d'excitation, et de les combler tellement chaque jours que, pour elles, c'est ton sexe qu'elles veulent parce que c'est une partie de toi." Il restât silencieux pendant un temps avant de me demander '' N'en est-il pas ainsi entre toi et Liz?

"Non." Répondis-je. "Je veux dire, oui et non. Liz ne me tromperais jamais mais pas a cause de mon membre. Sa serait tellement bien. Je ne dit pas que je n'ai rien dans le pantalon, mais la mienne n'est pas aussi grosse que ces gars sur les vidéos... ou que la tienne. On s'aime beaucoup tout les deux, mais j'aimerais tellement si elle pouvait s'habiller un peu plus sensuellement et si elle assurait un peu plus au lit, mais cela ne lui ressemblerais pas."

Paul sourit, "Reste un peu plus longtemps après le staff, Jim. Je te montrerais quelque chose que tu risque d'apprécier."

Dès que l'heure de débauche ***nât, je me dirigeât jusqu'a *** bureau, et il éteignit les lumières et déclenchât la télévision a l'aide d'une télécommande. Nous praires une chaise et regardâmes Ma Tendre Dame. Je n'arrivais pas a croire qu'il me faisait regarder ce film en entier. Je n'arrêtais pas de lui demander ce qu'il y avait d'intéressant mais Paul ne répondais rien et m'incitait a regarder encore, comme si quelque chose d'inattendu allait bientôt se produire. Puis se fut la fin. Il rallumât les lumières alors que je lui demandât d'une voix sèche. "Bon, et alors?"

Il arborait un grand sourire. "Et bien... comment te sent-tu?"

J'y réfléchie un instant avant de réaliser. "Légèrement excité."

J'était maintenant confus. Paul attrapât une autre vidéo et m'assurât que celle-ci serrait bien plus courte. Il laissât les lumières allumée. Nous regardâmes la vidéo d'une bibliothécaire coincée et obstinée qui rencontre un homme grand et charmant qui la séduit et la baise comme une chienne en manque. Elle le suppliât en regardant sa queue, elle le suçât, la prise dans sa chatte avant que l'homme ne s'introduise dans *** cul. Elle était tellement bruyante lorsqu'il la chevauchât, beuglant des "Baise moi! Prend moi comme une putain! Je suis ta chienne!"

La vidéo n'avait durée qu'une demi heure. J'aurais aimé que la durée de cette dernière et de la précédente eu été échangés.

"Et maintenant, comment te sens-tu?"Demandât-il.

"Gonflé a bloc, qu'est ce que tu crois?"

"Prend Ma Tendre Dame et regarde la avec ta femme. La deuxième video est en faite ensellé dans la première. Toute deux on le même thème. Une femme est transformée. Ma Tendre Dame permet d'améliorer ses désirs, s'apprécier et aimer *** homme. L'autre augmente *** désir sexuel, sa passion et la transforme également en esclave sexuel a celui qui satisfait ses désirs."

Je n'arrivais pas a croire ce que j'entendais. "Et tout ce qu'elle a faire pour changer, c'est de regarder cette vidéo?"

"Et bien, ce n'est pas aussi simple," Répliquât-il."Elle doit la regarder respectivement. Les changements viendrons progressivement mais tu verras les résultats au bouts d'une semaine, je te le garantis. C'est le temps que sa a pris pour Kathy."

"Kathy???"

"Ouais. Elle était aussi conservatrice que Liz."

"Mais comment je vais lui faire regarder constamment?"

"Cette idée est également dans la cassette. Si tu peut lui faire regarder deux ou trois fois alors elle utilisera *** temps libre soit a te faire l'amour, soit a regarder la vidéo. Dans les deux cas tu est gagnant."

Je remercias Paul a plusieurs reprise et ramenât la vidéo pour la regarder avec Liz. La première nuit nous firent l'amour avant d'aller nous coucher. Il n'y eu évidemment aucun changement. Je me convainquit qu'il n'y en aurait jamais, mais j'espérais secrètement que quelques parties de la video allait marcher. La nuit d'après, je la remis en prétextant qu'il n'y avait rien d'intéressant sur les chaines actuellement."

Elle s'assit a mes cotés et je vis qu'elle modifiais sa position a chaque fois qu'Eliza faisait un pas de plus vers *** titre de Dame. Etais-ce intentionnel ou bien était-ce a ces endroits que Paul avait rajoutés les videos de sexe subliminal que nous avions regardé? Sa paraissait sensé.

De retour dans la chambre a couché, je fis exprès de ne rien commencer. Alors que nous étions couché, Elle se collât a moi, comme a l'accoutumé, mais ses mains semblèrent tomber suros membre, alors qu'il était coincé dans mon pyjama. Nous restâmes silencieux pendant quelques temps. Je fis semblant de m'endormir. Rapidement ses doigts s'entourèrent sur ma bite et sa main me serra gentiment. Mon sexe tremblât puis grossit. Je tint mes résolutions et ne fit aucun mouvement. Elle poussât sa chance et commençât a me masturber. Lorsque je me tournas finalement face a elle, elle se rapprochât de mon visage pour m'embrasser. Je la serrât contre moi, pressant mon sexe contre elle. Ses bras m'entourèrent et *** bassin se frottât a moi gentiment. Mon pantalon de pyjama disparut rapidement et Liz se mis sur moi, me faisant entrer en elle avec expertise. Nous commencions avec notre rythme habituelle. Liz était magnifique avec ses cheveux flottant contre ses épaules et ses seins retenues dans sa nuisette. Je détestes ces soutiens gorges serrés qu'elle portait toujours, pressant ses seins contre elle. Elle posât ses mains sur mon torse afin d'amplifier le mouvement. Etait-elle plus attentionnée que les autres soirs? J'espérais tellement voir un indice me prouvant que cette vidéo marcherais que chacun de ses mouvements me semblait être des signes. Ses gémissements semblait plus forts, ses mouvements accentués, *** visage en manque. Je tint plus longtemps qu'a mon habitude a cause de toute ces pensées. Elle jouissait trois fois avant que je ne me vide en elle.

Elle m'embrassât amoureusement après s'être nettoyée et être revenu au lit. "Tu étais superbe ce soir mon cœur." M'annonçât-elle. Elle repris sa position, logée contre mon torse, sa main cette fois contre ma poitrine.

Le jour suivant je l'appelât depuis le boulot dans la matinée. Elle nettoyait la mai*** mais je pouvais entendre la cassette tourner au fond. Lorsque je fut de retour a la mai*** elle me surprise avec un dinée au chandelle. Lorsque je lui demandât pour quelle rai***, elle me demandât pourquoi il devrait y avoir une rai***.

Elle sortit des fraises et de la crème chantilly pour le dessert et me surpris de nouveau en s'asseyant sur mes cuisses pour apporter la nourriture a ma bouche. Lorsqu'elle pris une fraise enrobée de chantilly et l'apportât a sa bouche, léchant la crème avant de l'engouffrer sensuellement entre ses lèvres, je ne tint plus. Je la pris et l'amenât en haut jusqu'a notre chambre, la jetant sur le lit avant de l'attaquer. Elle rigolât bêtement lorsque je me dépêchât de lui retirer sa robe.

"Qu'est ce que j'ai dit?" Me taquinât-elle. J'était resté tendre les deux nuits précédentes, mais le petit spectacle m'avait vaincu. J'étais sous le coup d'une pulsion. Je me mis a téter ses seins avec *****, les

serrant fortement.

"Ohh, Qu'est ce qui te prend cette nuit?" me demandât-elle, mais elle retirait mon pantalon avec la même urgence que j'avais. Je l'aidât a me défaire de mon pantalon avant de glisser jusqu'a sa chatte qui était trempée. Je ne lui fit pas l'amour. Cette nuit la, je la baisât. Elle ne protestât pas ni tentât de me calmer. Elle m'encourageât et fit de *** mieux pour suivre le rythme. "Oh oui, Jim c'est Boon..." miaulât-elle. "Sa ne te ressemble pas."

"Tu préfère que j'arrête?" Demandais-je.

"Non..." Soufflât-elle."C'est juste je ne m'atte...m'attendais...uuugggghhhh"

L'entendre jouir aussi fortement me forçat a la baiser encore plus fort.

"Jim, ralentit." Haletât-elle. "Je viens juste de jouir. Je suis sens...sensi...oh...Oh....OH....PUTAAAIIN!"

Elle fut terrassée par un nouvelle orgasme, avant que poser sa main sur sa bouche, réalisant ce qu'elle avait dit. "Je-Je suis désolée."

Je ralentit afin de la laisser récupérer de sa jouissance et lui sourit. "C'est pas grave si tu jure de plaisir." Lui dis-je. "Sa me prouve que je fais du bon boulot."

"Jim, tu fais un exilent boulot. Tu est sur que tu n'est pas vexé?

"Ce 'Putain' était sans doute le meilleur compliment que tu m'ai donné au lit." Remarquais-je.

"L'orgasme a du être intense."

Elle acquiesçât, souriante. "Immense."

"Et bien, voyons si je peut t'en donner un autre, d'accord?

*** visage se crispât légèrement. "Oh Jim, je ne sais pas si je pourrais en...UGH!"

Je ne lui laissât pas le temps de finir, la ramonant virilement. Sa tête se balançât en arrière et ses doigts se crispèrent sur mes fesses. Je me mis a embrasser et lécher *** cou tout en continuant mes

vas et viens.

"Mon Dieu! Jim, je t'aime tellement!!" geignait-elle.

"Je t'aime aussi, mon cœur." Lui assurais-je. Je nous fit tourner sur le lit pour qu'elle se mette sur moi puis, pris par une envie machiavélique, je m'arrêtât mes mouvements de bassin.

Elle me regardât, paniquée, restant immobile pendant un instant. Puis elle commença a faire bouger ses hanches presque violemment. "Oh Oui, Oui , Oh Oui" chantât-elle. Si j'avais encore des doutes concernant la vidéo, ils disparurent instantanément. Je ne l'avais jamais vu ainsi. Elle semblait possédée. Elle avait vraiment besoin de jouir et comptait utiliser mon corps pour y parvenir. Elle gémissait, pantelait. *** corps brillait de sa sueur. Ses yeux était remplie de désir."Fr-Jim, pitié, aide-moi." m'implorât-elle."J'y suis presque..."

Je pris ses hanches et me mit a la prendre aussi fortement et rapidement que je le put.

"Ho Putain Oui, Oui OUI!" Hurlât-elle, sans s'arrêter de me baiser. "Putain, Putain! PUTAIN!"

Elle ne pus continuer lorsque ***t orgasme la terrassât, l'empêchant de bouger. *** corps s'écroulât contre moi, *** visage disparaissant contre mon épaule. Chaque de ses inspirations profonde pressant sa poitrine contre mon torse. Finalement, elle se relevât pour me regarder, fatiguée.

"Je vais te servir des fraises plus souvent." Sourit-elle.

Nous furent prit d'un fou rire.

Après s'être reposés dans les bras de l'autre pendant près d'une demi heure, Liz se levât et rapportât les fraises a la chantilly. Nous mangions, en continuant de parler avant de se déposer de la chantilly sur nos corps avant de le lécher. Nous avons fait l'amour encore deux fois avant de nous coucher. 'Putain' était maintenant devenue sa façon d'annoncer *** orgasme imminent. La parole n'avait jamais était courante dans notre relation. J'aimais la tournure que prenait les événements.

Le jour suivant elle me sautât dessus dès mon arrivée, vêtu uniquement de ses sous-vêtements.

"Je n'ai pas arrêtée de penser a toi toute la journée." affirmât-elle en se démenant pour me retirer mes vêtements. "J'imaginais ton corps et ta queue. J'ai vraiment besoin d'une bonne bourre."

"Une quoi?" Dis-je, interloquée. Je ne l'avais jamais entendu dire ca.

Nous n'avons pas pu aller a la chambre. Elle se pressât de reculer en retirant ses sous-vêtements après avoir ouvert la braguette de mon pantalon. Je me pressais de retirer le reste lorsque nous parvinrent a l'escalier. Elle réussit a monter quelque marche avant que je perde mon équilibre et tombe sur elle, mon visage touchant sa toi*** humide.

Elle me traitât de maladroit et éclatât de rire pendant quelques secondes avant que ses yeux s'écarquillent et que ses mains atteigne mes cheveux, tandis que ma langue commença a s'occuper d'elle. Elle m'avait toujours empêché de faire cela dans le passé, mais cette fois elle pressât ma tête contre *** vagin. "Oh Jim, qu'est ce que tu me fais?!" gémissait-elle.

Ses jambes s'écartèrent, m'invitant a continuer. Mes mains parcourrais *** cul et ses jambes. Je goutais le jus intime de ma femme pour la première fois, et je comptais bien le savourer.

"Ohhh, ce n'est pas bien." Susurrât-elle. "Pas... correct..."

"Correct? Tu veux du correct?"

Je plongeait deux doigts dans sa chatte. Un moment plus tard un autre pénétrât *** derrière, qui se soulevât lorsque *** corps s'arquât. Je continuais de la dévorer.

"PUUTAAAIINN!" S'égosillât-elle, si puissamment que je crus que les voisins pourrais l'entendre. *** corps tremblât pendant quelques minutes. Puis elle se pressât contre moi fermement. "En moi. Prend moi. Oh, vas y Jim, baise moi!"

Je ne me le fis pas répéter. Je l'ai baisée sur les escalier. Je savourais cette instant magique, cette femme ravissante se faire baiser dans les escalier comme une star du porno.

"Comme sa! Baise moi! Oh Oui! C'est boonn! Ohhh, ta queue est si bonne!"

C'était ma star porno. J'était au ange. Sa ne faisait pas une semaine et j'avais la femme de mes rêves. Tout sa m'excitait beaucoup trop. Je me déversât en elle. Me sentant me répandre en elle, elle m'entourât de ses cuisses.

"Jouit pour moi, chérie!" Roucoulât-elle. "J'adore te sentir venir en moi. Sa me montre que je te plait.

Je la regardât. "Pourtant je n'ai jamais jouit en toi."

Elle souriait. "C'est diffèrent. Nous n'avions pas baisés auparavant.

Mes yeux s'écarquillèrent, elle cillât.

"Ne t'en fais pas. Je ne suis pas naïve. Je connais la différence. Mais nous allons aussi faire l'amour de temps en temps, n'est ce pas?"

Je l'embrassât amoureusement. "Je te le promet."

"Par Saint Jove, je pense qu'elle a saisit!" Annonçât la télé. Je me tournât pour voir la cassette continuer de tourner.

Nous avons mangés rapidement, puis avons regarder la cassette. J'était surprit qu'elle ne fasse pas attention au fait qu'elle la regardait a présent constamment. Je m'en fichait autant qu'elle, d'ailleurs, connaissant ses effets sur elle. Elle n'y faisait même plus attention, et elle continuait de la regarder distraitement, même si elle était sur mes cuisses, ma queue incrusté en elle. Je ne pouvais pas bien voir la vidéo, *** corps me bloquant la vue, mais j'en m'en fichais. Je me contentais de m'occuper de ses seins et d'apprécier l'instant présent.

Elle m'annonçât qu'elle était fatiguée lorsque nous sommes allés au lit. Elle s'était écartée un peu de moi pour se reposer. J'était toujours excitée et je me collât a *** dos. Mon sexe était bandé alors que je m'insérait doucement en elle.

"Jim....." murmurât-elle.

Je me rapprochât encore alors que mon membre avançait plus profondément. Elle ricanât gentiment avant de s'écarter un peu. Je me rapprochât encore d'elle. Elle tentât de me faire reculer, mais cela ne fit que me faire entrer plus profondément en elle, presque jusqu'a la garde.

"Jim..." continuât-elle, cette fois d'un ton plus pressé.

"Oui, chérie?"

"Ne me taquine pas. Si tu veux me baiser, baise moi."

Je l'entourât de mes bras et entrât fortement en elle. Un de ses pieds se relevât afin de me donner plus ample accès.

"Tu est insatiable." Dit-elle, entre deux gémissement.

"C'est de ta faute."

"Prend mes seins."

Je le fit.

"Plus fort."

Je le fit.

"Oh oui. Baise moi, mon amour, baise moi a fond."

Je la pilonnât comme je put. Je voulais qu'elle y prenne beaucoup de plaisir, puisqu'au départ, elle voulait juste dormir.

Lorsque le premier "PUTAIN!" sortit de ses lèvres, je baissât ma main afin de titiller *** clitoris. Elle devint folle. "OUI!" criât-elle avant de perdre sa voix momentanément. Je la baisât de mouvement circulaire afin que mes doigts sur *** clitoris puissent imiter les mouvements. "PUUUTAIIN!" criât-elle alors qu'un second orgasme la frappât. Cela ne me suffisait pas. Je continuais de la prendre avec *****. Elle tentât de s'écarter et m'arrêter. "Jim qu'est... qu'est ce que...t...tu...ohhhhh....Mon.....mon.......Je....je...... OH PUTAAAAAAIN!"

Je ralentissait après que *** orgasme l'eu terrassée et la laissât reprendre *** souffle. Lorsqu'elle reprit le contrôle de *** corps elle se tournât pour m'embrasser, tentant de faire entrer sa langue aussi loin qu'elle le pouvait dans ma bouche. Je compris qu'elle me remerciait.

"Je t'aime!" S'exclamât-elle. "Je t'aime tant." Puis elle s'immobilisât, un regard inquiet sur le visage.

"Tu... Tu n'a pas jouit!"

"J'ai eu ce que je voulais" Lui dis-je honnêtement.

"Oh non!" Se rebellât-elle.

La chose que je me souviens ensuite, c'est que sa tête disparut sous les couvertures, puis je sentit la chaleur de sa bouche entourer ma queue. Liz ne m'avait jamais sucée avait, mais il semblait qu'elle ne veuille vraiment pas me laisser m'endormir sans avoir jouit aussi, alors qu'elle même avait eu un orgasme dévastateur. Je fut abasourdit de voir a quelle point elle y arrivait. Ca semblait naturel chez elle. Ses mains complémentait les mouvements de sa bouche. Elle savait s'arrêter avant de me mordre avec ses dents. Je me rependit dans sa bouche en moins d'une minute. Je m'attendais a ce qu'elle s'écarte, mais elle me gardât en bouche et me léchât jusqu'a ce que mon sperme sorte. J'en sentit quelque peu sortir de sa bouche. Un instant plus tard elle réapparut a mes côtés.

"Tu n'étais pas obliger d'avaler." Lui dis-je.

"Je ne voulais pas avoir a nettoyer ensuite." Répliquât-elle simplement

Je ne put me retenir de rire.

C'était la première pipe que me donnait ma femme. La seconde fut au réveil, le lendemain matin. Il n'y a pas de meilleur réveil que celui d'ouvrir ses yeux et de voir une charmante femme faisant coulisser sa tête le long de votre engin en souriant comme si elle aimait cela.

Après avoir jouit de nouveau dans sa bouche, je pris une douche. Elle me rejoint rapidement et s'occupât de me redonner une rigidité convenable afin que je puisse la baiser sous l'eau chaude. J'était presque trop fatigué pour retourner au boulot, mais je savait que si je restait, elle allait encore chercher a ce que je la baise.

Ce fut de mieux en mieux. Nous baisions toute les nuits, souvent plusieurs fois d'affilé. Ses tenues de tout les jours changèrent. Elle commença a s'habiller plus sensuellement, comme si elle était devenu une nouvelle femme. Lorsque je plongeait ma queue en elle me demandait de la prendre comme une salope, et se traitât elle-même de chienne. Elle me demandait aussi de la prendre par derrière et je fut surpris de voir avec quel facilité j'entrait en elle. Elle écartait ses fesses pour m'aider. Et ses fellations pouvait me faire jouir en deux minutes, si elle le voulait. Mais elle aimer jouer avec mon membre raide, me garder au bord de la jouissance pendant un long moment. Lorsque j'éjaculais, ou bien elle avalait ma semence, ou elle libérait ma queue afin que je lui jute sur le visage et sur ses seins. Elle aimait vraiment sa. La chose la plus étrange c'est que je pensait que cela en ferait ma soumise mais ce fut le contraire. Elle avait besoin de ma queue et la demandait, bien sur, et a j'était plus que volontaire, mais elle faisait souvent en sorte de m'allonger afin qu'elle puisse me chevaucher ou lui manger la chatte. Elle savait ce qu'elle voulait et comment elle le voulait. Je la laissât prendre le contrôle sans problème.

Une nuit, après qu'elle m'ait complètement épuisé et que je lui eu dit que j'en avait eu assez pour ce soir, je me levait a cause de bruits au rez-de-chaussée. Je me tournais vers elle, et rencontrât une place vide. Je descendit en faisant attention de ne pas faire de bruit et la trouvât entrain de regarder Ma Tendre Dame, se masturbant comme une folle. C'était si beau. Je la regardait pendant un long moment avant de me rendre compte que je me caressait également. Je finit de descendre et mis mon membre en face de *** visage. Lorsqu'elle le vit elle haletât de joie et l'avalât, me suçant comme si sa vie en dépendait. Je dut finalement m'écarter d'elle parce que je savait qu'elle voulait être baisée. Bien qu'elle ait développée un grand appétit pour mon sperme, si je la laisser avaler ma semence, il n'y aurais aucun moyen de lui donner ce qu'elle voulait.

Le mauvais côté de tout sa c'est qu'elle commençait a se détacher de nos baise constante mais je me disais que ce n'était pas si important. Quoi qu'il en soit je décidait de rendre la vidéo après cette nuit. Je pourrais toujours l'emprunter de nouveau si elle commençais a redevenir comme avant.

J'arrivait au bureau de Paul juste avant le repas du jour suivant. Il était déjà partit manger. J'entrât et ouvrit l'armoire qu'ou il l'avait pris. Il y avait un paquet de vidéos. Je parcourus les titres des yeux. Ma Tendre Dame (encore), Lucie, Janice, Carole, Vanessa. Vanessa? C'était la secrétaire sexy de Paul! Une jolie blonde qui n'avait certainement pas été embauchée pour ses talents au clavier. Avait-il fait regarder Ma Tendre Dame a toute ces femmes? Puisque le repas avait juste débuté, je retournas d'abord a l'entrer pour verrouillera la porte, puis fit démarrer la cassette. C'était certainement Vanessa entrant dans *** bureau sur l'écran.

"En as-tu besoin?" L'entendis-je demander.

"Oui, s'il vous plait, j'en ai besoin." Répondit-elle, sa main caressant *** cou.

"Et que dit-tu?"

"S'il vous plait, Monsieur. Baisez-moi? Baisez votre petite chienne?"

Paul entrât dans le champ de la camera et commença a l'embrasser. C'était intense, elle gémit sous ses lèvres. Je me sentait moi-même raidir. Vanessa déboutonnât *** chemise et fit de *** mieux pour la retirer. Sa propre robe tombât au sol, révélant une paire de sous-vêtements bleus.

"Oh oui!"Gémit-elle. "Votre touchée me rend folle."

Elle s'en prit a *** pantalon, se mettant a genoux pour le retirer, avant de baisser *** slip et commencer a le sucer. C'était une habituée, léchant sa grandeur avant de l'avaler. Elle réussit a prendre ses 22 centimètres dans sa gorge, le faisant jouir dans sa bouche. Elle avalât tout. Puis il la fit s'allonger pour lécher sa chagatte. Elle jouit trois fois sous ce traitement avant qu'il ne la relève. Je regardais attentivement comment il faisait pour l'avenir. A ce moment précis il était a demi tendu et il la fit le sucer a nouveau pour être enfin bien dur.

"Ou le veut-tu, salope?" Demandât-il.

"Mon cul, Monsieur. S'il vous plait prenez mon cul! J'adore vous sentir dans mon cul!"

Il ne perdit pas *** temps, plongeait *** membre en elle. Elle hurlât mais balançât ses hanches a sa rencontre. Ils prirent un rythme soutenu et s'envoyèrent en l'air a vive allure. Elle continuait de lui dire de la prendre a fond. Elle disait qu'elle était sa chienne, sa salope. Elle voulait sentir *** sperme. Et il le lui donnât, dans *** agréable cul. Il se retirât ensuite et elle se pressât de se retourner pour le

nettoyer.

J'avais attrapé des lingettes sur *** bureau et m'été rependu dessus. Retirant la vidéo, j'en attrapait une seconde : Lucie. Je me rappelais que Stéphane, un de mes collègues avait une femme du nom de Lucie. La vidéo démarrât. Une sueur froide me parcourut l'échine lorsque la camera se pointât a la porte de la mai*** de Stéphane, alors que sa femme, Lucie, ouvrit la porte. *** visage s'éclairât. "Oh enfin! Vous êtes la! Je devenait folle a attendre."

Elle fut attrapée par les cheveux et envoyée dans la mai***, mais pas par Paul, par Kathy. "Ouais, ouais, on sait, petite conne."Répliquât-elle, niaisa dément."Maintenant ferme-la et mets-toi a genoux. Ma chatte a besoin d'être léché."

Lucie se pressât d'obtempérer alors que Kathy relevait sa jupe pour révéler une chatte rasée sans sous-vêtements. Lucy commença sa besogne immédiatement. Mon esprit n'avait pas encore compris toute les implications de cette vidéo. J'était trop ********** par la vue de ces deux femmes. Kathy se déshabillant pendant que Lucie la léchait, ses halètements faisant bougés ses seins nue me faisant presque jouir a nouveau. Elle avait un vrai corps de célébrité. Elle relevât Lucie jusqu'a sa poitrine et Lucie se mit immédiatement a sucer et caresser ses deux monts. Ce que j'aurais voulut être a la place de Lucy. Puis la camera bougeât dans la pièce gardant les filles en avant, avant d'être placée sur une table. Paul entrât dans le champ de vision.

"Kathy, suce-moi pendant que la soumise retire ses vêtements."

"Oui Monsieur." Répondit Kathy en se mettant elle aussi a genoux. Je remarquais un changement chez elle. Pour Lucie elle était la salope dominatrice, mais pour Paul elle était une soumise obéissante. Lucie se mise a nue et les filles se mirent en 69, Lucie au dessus. Paul se mit derrière elle et plongeait *** membre dans sa chatte.

"Oh oui Maitre" Geignait-elle. "Baisez ma chatte. Votre soumise aime Votre grosse queue!"

"Ferme-la et lèche mon clito, salope!"S'écria Kathy, et Lucie retournât a sa tache.

Ce fut a cette instant que je remarquais l'horloge dans la pièce. 12h15. Il avait passé l'heure du repas a baiser la femme de Stéphane. Je compris enfin. Merde! Liz!

Je ne pris même pas le temps d'arrêter la vidéo. Je fus dehors en un instant, en direction de la mai***. Lorsque j'arrivât enfin, la voiture de Paul était dans l'allée. Mon cœur battait a tout rompre. Je ne pouvais pas avaler ma salive. Comment avait-il put me faire ça? Je me mit à la fenêtre et ne put en croire mes yeux. Liz était a quatre pattes, suçant Paul comme une vrai salope alors que Kathy lui défonçait la chatte avec un gode-ceinture. Aussi choqué que je fut la scène m'excitait. Je me tournât, plein de colère. J'ouvrit la porte a la volée.

"Qu'est ce que vous pensez être entrain de faire, bordel?" Greulais-je.

Tout trois se tournèrent vers moi, mais mon entrée eu l'air de les rassurer.

"Oh, c'est toi, Jim" plaisantât Paul. "Pendant un instant j'ai eu peur. Ferme la porte et rapproche toi."

Je fermas la porte, surpris qu'il puisse être aussi calme.

"Liz! Arrête de sucer ce connard! Immédiatement!" Criât-je.

Liz levât les yeux vers Paul qui secouât la tête, et elle recommençât a le sucer, m'oubliant totalement.

Je ne pouvais pas y croire. "Eloigne-toi de ma femme, espèce d'enfoiré ou sinon je-''

"Ou tu feras quoi, Jim? Tu vas me tuer? Si c'est ce que tu voulais tu l'aurais déjà fait. Assied-toi."

Je m'assit, et ce fut a cette instant que je commençais a vraiment m'inquiétait de ce qui ce passait. Pourquoi m'étais-je assit?

"A présent regarde et ne te lève pas." Ordonnas-il.

Kathy continuât de la ramoner et je regardât Liz avoir deux orgasmes avant que Paul ne lâche sa semence dans ses cheveux et sur sa tête. Elle récupérât le tout avec ses doigts et l'avalât. Elle souriait jusqu'au oreilles. "Merci, Maitre."

"Nettoye ma queue, soumise, mais n'avale rien." ordonnât-il, ce a quoi elle obéit. "A présent partage mon sperme avec ton mari."

Liz vint jusqu'a moi et commença a m'embrasser. Je goutât au sperme de Paul. Je voulais la repousser mais je ne pouvais pas bouger d'un poil. Je gémit de dégout.

"Oh, allez, Jim" Dit-il. "Tu l'a gouté assez souvent lorsque tu rentrait du boulot!"

Je ne pouvais croire ce que j'entendais. "Qu'est ce que tu m'a fait?"

"Hé, TU a regardé la vidéo."

"Juste une ou deux fois."

"Plus souvent que tu ne te l'imagine. Simplement tu ne t'en souviens pas. Sa marche comme sa. La première fois c'était l'intrusion. Ce n'est pas la même vidéo que celle que tu a ramené a la mai***. Et le porno que je t'avais déjà montré a favorisé la suite. Toute les vidéos subliminal que tu a regardé te font supposer que je suis le Maitre et que tu devrais m'écouter et faire tout ce que je te dit. Et bien sur leurs effets sur moi me font juste aimer plus le contrôle. Je t'ai donné des suggestions et fait oublier des choses depuis quelques temps. Tu ne te souviens même pas les repas que tu as passé dans mon bureau en tant que petit chien per***nel de Kathy, passant ton temps a lécher ses pied et sa chatte, te faire fouetter par elle et enculer par *** ami ici présent." Il pointât le gode-ceinture du doigt

Ce ne pouvais pas être vrai me dis-je. "Tu ne peut pas obliger les gens a faire ce qui est contre leur nature!" Hurlais-je.

"C'est vrai." acquiesçât-il. "Heureusement pour nous que tu sois de nature assez soumise. Il n'y pas de doute a avoir lorsque l'on voit ta queue.

Liz ouvrit mon pantalon et ma queue se dressât. J'était très dur. Etre dans cette situation humiliante m'excitait.

Paul eu un regard mauvais. "J'adore la chatte de ta femme, elle est si serré." Et je compris bien vite pourquoi elle se désintéressait a nos baises quotidiennes, pourquoi je l'avait prise par derrière aussi facilement. Il l'avait nourrie de sa queue depuis des semaines maintenant. Je ne voulais pas penser a ce que j'avais provoqué. Et pour empirer les choses, Liz s'allongeât sur *** dos. Il la surmontât, sa queue proche de sa chatte trempée. Lui aussi, était dur comme roche a la vu de *** pouvoir. Il la regardât dans les yeux "Que veut tu, petite chienne?"

"Je veux votre sexe, Maitre. S'il Vous plait, baisez-moi."

"Mais ton mari est juste ici? Ne préférerais-tu pas que ce soit LUI qui te baise?"

Elle secouât la tête. "Il ne peut me donner autant de plaisir que Vous. il est si faible et inutile, ce n'est pas un vrai homme comme Vous. J'ai détesté prétendre aimer qu'il me baise. Pitié, Maitre, baisez Votre soumise en manque, je ferais tout pour Votre sexe."

"Veut-tu te faire prendre devant lui?"

"Montrez-lui comment un vrai homme fait plaisir a une femme. Pitié, Maitre, j'ai besoin de votre sexe en moi."

"Jim." Dit-il, me regardant a nouveau. "Ta femme veut que je la prenne mais je pense avoir besoin de ton accord."

Je ne pouvais pas imaginer a quel jeu il jouait. "Vas te faire foutre! Tu ne l'auras jamais!"

Paul sourit encore. Je déteste ce sourire. "Je prendrais tes gestes pour un accord. Si tu mets ma queue dans la chatte de cette chienne alors j'aurais ton accord."

"Je ne ferais jamais cela!" Lançais-je.

"Jim, viens mettre ma queue dans la chatte de ta femme."

Je me quittât le canapé et m'approchât d'eux. Il semblerait que ma bouche soit la seul chose que je contrôle.

"Arrête sa tout de suite, enfoiré!" Criais-je alors que je m'agenouillât et prit sa queue en main. Les deux femmes haletèrent a cette vue. Kathy avait actuellement une main sous *** gode entrain de se caresser doucement. Sa queue était tellement plus grosse que la mienne. Je le guidas jusqu'a l'entrée du vagin de ma femme. Elle gémit au contact. Je le suppliais, :"Pitié, ne me fais pas faire sa," Mais per***ne ne semblait m'entendre. Je commençais a la faire pénétrer, centimètre par centimètre en Liz, qui miaulait comme un chaton.

Lorsque je l'eu fait entrer a la moitié, il lançât :"Merci pour ton accord, Jim. A présent lève toi et regarde. Ne bouge pas."

Je me levât et regardât alors qu'il la défonçât de plus en plus vite, entrant de plus en plus profondément dans la chatte de ma femme bien-aimée. Ma queue était devenue si dur qu'elle m'en faisait mal. je voulais me caresser mais je ne pouvais pas bouger. Liz ballottait sa tête d'avant en arrière sans arrêt, hurlant "Baisez moi, Oh Oui... C'est si bon! oui! Oui! Oui!

Kathy vins vers moi, pour me tourmenter, me donna une lichette sensuelle sur mon gland fris***nant.

"Il a utilisé la vidéo sur toi aussi, tu sais." Lui dis-je. "Tu n'est pas vraiment comme sa. Je peut t'aider a t'échapper, redevenir qui tu était."

Elle éclata de rire, fortement amusée. "Jim, mon chérie, j'ai toujours était ainsi. Paul t'a simplement dit ce que tu avais besoin d'entendre pour que tu fasse ce qu'il voulait."

Merde!

Liz, elle, semblait au paradis, couinant comme une pute. Je suppose qu'elle en ETAIT une a présent. Paul continuais de me regarder en souriant. A la fin il annonçât. "Je vais jouir, soumise."

Liz criât "Déversez-vous en moi, Maitre, Plus loin que Jim. Remplissez-moi de votre foutre, Pitié, je veux vos bébés!"

Je ne pouvais croire ce que j'entendais. Elle me regardât même lorsqu'elle le disait. Elle le disait pour me casser, pour me montrer a qui elle appartenait et a quel point. Puis Kathy me léchât encore et je faillit me rependre. Paul se déversât dans la chatte impatiente de Liz qui jouit pour la quatrième fois depuis qu'il avait commencé a la défoncer. Il sortit et elle le nettoyât Lorsqu'il se relevât Kathy se pressât jusqu'a la chatte de Liz et commença a y récupérer le sperme de *** mari, faisant ronronner Liz de plaisir. Je regardais encore lorsque ma femme subit une nouvelle jouissance de la léchouille experte de Kathy. Paul vins jusqu'a moi et attrapât ma queue. Je n'y comprenait rien.

"Tu veux voir un jolie tour?" Demandât-il.

Je fit non de la tête. Il me regardât profondément dans les yeux et dit : "Jouit!"

J'éjaculat avec tant de ***** que j'en reçu sur le visage. Paul éclata de rire en s'éloignant.

"Ha ha. J'adore faire sa!"

Je ne pouvais qu'imaginer ce qui viendrais ensuite...

Waouh... La suite est attendue impatiemment...
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La pile de boulot qui m'attendais a mon bureau me donnat envi de retourner chez moi. Mais je suis déja bien en retard dans ce travail et per***ne ne le fera a ma place. Je décidat de le faire immédiatement. Je suis crevé. J'ai du m'occuper d'un client en dehors de la ville cette nuit. Paul m'a appellé a la dernière minute et j'ai passé la soirée a refuser d'autre verres -qui était toujours plus que suffisemment remplie pour me rendre saoul, et a le conduire de bar jusqu'au club de striptease jusqu'a ce que l'homme me conjedit a 5h du matin.

Deux minutes plus tard Paul me fit venir dans *** bureau. Genial. Il sait que ce taff doit etre fait et il sait pourquoi je suis en retard. Qu'est ce qu'il a encore pour moi? J'entrat et vit Kathy, assise sur *** bureau, les jambes croisées. Mes yeux suivirent ses bas noirs, probablement tenue par des jartierres jusqu'a sa jupe en cuir et *** top qui semblait avoir du mal a contenir ses seins. Ses cheveux rouges tombant en tresses de par ses epaules. Elle m'acceuillit d'un sourire si coquin. Si j'était du genre a tromper ma femme, sa serait avec elle, mais ce n'est pas mon genre. Mais sa serait tellement stupide de gaspiller mon mariage pour un instant de désir. Je lui lancat un nouveau coup d'oeil.

"Salut Kathy." Lui lançais je essayant de la regarder dans les yeux.

"Salut Jim'' elle se retournat vers Paul, "Puis-je?" demandat-elle avec un semblant de suplique dans la voix.

"Dans un instant, petite" Repliquat-il. Je n'arrivais pas a croire qu'elle le laissait l'appeller ainsi. Mais mis a part cette façon desagréable de la nommer 'ma petite' il la traite correctement. Il traite ses employés aussi correctement. Merde, Paul est un gars super!

"Assied-toi, Jim." Me demandat-il, presentant une de ses chaises en cuir. "Fais comme chez toi.''

Cette enfoirée. Qu'est ce qu'il veut a présent?

"Je voulais juste te felliciter pour avoir amusé notre client cette nuit, Jim." Cet enculé semblait fière de lui et il allumat la télévision.

"Il a été très heureux de ton... hospitalité."

Mon esprit tentat instictivement de se rappeller de ce que j'avait bien pu faire la nuit dernière mais je l'arretat rapidement. Il a déjà changé mes souvenirs. Et là j'était sur l'écran, nu devant un homme que je me souvenait vaguement avoir vu au club de striptease.

"Feras tu tout ce que je veux, soumis?" Me lançait l'homme.

"Maitre a dit de vous satisfaire par tout les moyens possible, Monsieur." Répondis-je, la voix horriblement sevile.

"Alors mets-toi a genoux, soumis." Je le fit et il sortit *** membre. Je me vis l'attrapper et la carresser jusqu'a ce qu'elle devienne dur. Je m'etouffas d'horreur en me voyans le prendre avec avidité en bouche pour le sucer.

"Allons, Jim, ce n'est pas très gentil pour toi, sa" Dit Paul en ricanant. "Calme toi, tu a reçu un bonus pour sa. J'ai l'habitude d'envoyer une ou plusieurs de mes Filles pour amuser les clients, mais depuis que Stanfield t'a rencontré dans le bureau, il t'a demandé per***nelement. Quel coincidence, j'allais lui envoyer ta femme. Mais bon, le contrat et signé et préparé."

Kathy avait écartée ses jambes sur le bureau et se masturbait sans retenue en me regardant à l'écran. J'avais finit de sucer le sexe de l'homme et j'était étendu a quattre patte, me faisant defoncer le cul et en demandant toujours plus.

"Tu est vraiment exeptionnel, Jim. Mon meilleur employé, mon meilleur ami, mon meilleur soumis.

"Je ne suis pas ton ami." Repliquais-je. "Pas depuis tout ces mois. Depuis que tu m'a transformé en tno petit jouet. et je TROUVERAIS une façon de m'en sortir, ducon."

"Et Comment, Jim? Comment? Ton esprit a été séparé en trois per***nalité. Le Jim habituel n'a aucun souvenir des deux autres. Il vas au travail, est un de mes meilleurs amis et vis une vie normale. Le Jim soumis n'a également aucun souvenir des deux autres et existe uniquement pour Me servir. Et puis il y a toi. Tu n'existe que pendant de cours moments pour que je puisse jouer avec toi et te montrer ce que tu est devenu. Pas assez longtemps pour y changer quelque chose. Si tu savais a quel point cela existe Liz et Kathy, de te voir ainsi : impuissant, enragé et

pourtant sous controle."

A ce moment, Kathy jouit dans un faible gémissement. Paul vint a *** niveau, enfonçat ses doigts dans sa chatte puis les lechat. Puis ils echangèrent un long baisé. Je ne pouvais me lever, mais je pouvais bouger, et utilisat les quelques secondes restantes comme je le put.

"Puis-je l'avoir, Maitre?" Demandat-elle.

"Tu est vraiment en chaleur, toi. Tu peut pas attendre jusqu'a 3 heure?" Plaisantat-il.

"Je le veut dans cette état."

"Oh, je vois. Très bien. Juste pour quelques minutes."

Les yeux de Kathy se plongèrent dans les miens, plein de désir et de malice. "Viens me lecher la chatte, Jim."

Je ne bougat pas.

"Fait ce qu'elle te dit, Jim." Ordonnat Paul.

Malgrès le refus catégorique qui sortit de ma bouche, je me levat pour me mettre a genoux devant elle et commençat a m'occuper de sa chatte.

"Oh, oui, Jim!" couinnat-elle de plaisir. "J'aime tellement ta langue!"

J'essayait de rendre cet instant aussi désagréable que possible mais ma langue et mes doigts travaillèrent avec connaissance, indépendamment de ma volonté. Ca ne pris guère de temps avant que je me mette a boire sa liqueur d'amour. Elle carressat amoureusement ma tête avant que je soit renvoyé travailler de nouveau.

L'entrevue avec Paul a été plus longue que prévue. Et il n'a fait que me dire a quel point j'avais bien travaillé cette nuit. Ma matinée était gaché et je pris toute l'après-midi a travailler sur ces putains de dossiers. Je jetat un oeil vers les autres. Tout le monde est si stressés le Vendredi. Je sais que le week-end approche mais ce n'est pas cela. Je regardat a nouveau tout le monde se démener comme des fou pour finir leur travail. Il n'est pas encore 3 heure qu'il agissent comme si il allait bientôt être 5 heure. J'ai toujours du boulot, étant le numero 2. Et je sais que je vais devoir en rammener pour le week end.

Bien sur, tout le monde n'est pas derrière *** travail. Vanessa, la réceptionniste, as suffisement de travail pour toute la journée mais ne s'y interesse pas vraiment.

Paul l'a engagé pour attirer l'attention des clients plus qu'autre chose. Les clients l'aiment beaucoup. Je regardais Roger Harri*** draguer Alice Jenkins encore. Ses avances pourraient être considéré comme du harsellement sexuel mais Alice est franche. Ennuyante mais franche. Jolie a regarder, également. 1 metre 73, des cheveux blonds coupés court, une petite poitrine, un cul assez plat mais bon... Roger aimerais bien aller sous sa culotte mais d'une part elle est mariée, et d'autre part je ne pense pas qu'elle soit attirée par lui. Jeannie, ou la bibliothèquère comme j'aime l'appeler est toujours absorbée par ses feuilles sur *** bureau propre. Des cheveux de jais tirés dans un chignon serré, de grosse lunette sur le net, un complet gris clair sans ouverture, aucun maquillage, semblant cacher du mieux qu'elle le pouvait qu'elle était une femme. Je ne sais pas trop si elle est lesbienne ou simplement pudique. *** attitude est toujours professionnel et elle ne viens que rarement au rendez-vous de boulot. Je doute qu'elle est baisée depuis quelques temps et, si c'était le cas, j'avais pitié de l'homme avec qui elle aurait été. C'est la caricature même d'un mauvais coup. Il y a aussi Kurt. Grand, musclé, confiant. Il y avait eu un espoir perdu commun de la gente feminine lorsqu'il était venu avec sa ravissante femme. Je voyais souvent Alice lui jeter des regard de biais et je me disais qu'elle serrait bien capable d'oublier qu'elle était mariée pour une nuit avec lui. Le fait qu'il fut noir lui faisant sans doute se demander ce qui pouvait bien se trouver dans *** froc. C'est notre meilleur vendeur et *** charisme naturel était renforcé par *** apparance physique. Même les gars l'aimaient bien. Il pouvait parler de presque tout les sujets avec un très bon humour.

3 heure pile. Je sentit des mains sur mes épaules et me tournat vers Madame Vanessa.

"Enleve tes vêtements, soumis. J'ai envie de ta queue." Exigeât-elle. Je me pressa d'obtempérera.

Maitresse Jean défit ses cheveux et retira sa tenue grise. *** soutien gorge en cuir noir était accentué par ses jarretelles en filet et ses haut-talons Lui donnait une apparence dominante dans la pièce. Elle se dirigea directement vers Kurt et le fit mettre a genoux devant Elle. Bientôt *** visage fut plongé dans Sa chatte alors qu'elle attrapait un fouet qu'elle utilisa sur ses fesses. Esclave Roger se mis a sucer les seins de Madame Alice. Ses ongles disparurent dans *** dos alors qu'Elle gémissait de plaisir. Madame Vanessa quant a elle était descendu sur ma queue. Elle aime sucer des sexe gonflé a Sa façon. Je sentais des vagues de plaisir avant qu'elle me mordit de ses dents. Puis la douce fellation recommença mais mes couilles commencèrent a se faire lentement enserrer. Elle mordilla mon gland, me faisant grimacer alors que ses mains me caressait avec grâce. Le plaisir et la douleur continuèrent de me faire grossir, perdre mon excitation avant d'être reprit de ma raideur. Puis Maitresse Jean hurla sans faire attention a qui pourrait l'entendre lorsque Kurt la fit jouir. Elle retourna Kurt dos au sol pour chevaucher sa queue, sans se mettre a genou, et bougeant avec tant d'expérience qu'il sortait presque de Sa Chatte a chacun de Ses mouvements, sans toutefois y parvenir. "Masse moi les seins!" Ordonna-Elle et les mains de Kurt se levèrent pour accomplir leur tache. Elle a de très gros seins, et a la façon qu'elle a de Les faire rebondir, il eu tout d'abord du mal a les attraper. Maitresse Jean est la meilleure baiseuse que j'ai pu rencontrer. C'est comme si chaque fois était la seule fois qu'elle Baiserais et Elle ne voulait en perdre la moindre excitation. J'avait déjà éjaculé rien qu'a la regarder passer a l'acte. Je me sentit grossir en la regardant, malgré la ******* que m'infligeait Madame Vanessa. Alors que Maitresse Jean jouit de nouveau, Madame Vanessa me mordit fortement sachant les effets que Jean me procurait.

Jean brailla pendant au moins trente secondes alors que *** orgasme la pris violemment. Puis elle pris un moment pour souffler et reprendre sa respiration, souriant éperdument vers Kurt avant de regarder Madame Alice et Roger. Roger était assis dans *** fauteuil et Alice s'empalait sur sa queue s'abandonnant a l'instant magique. Mais ensuite tout deux crièrent lorsque Jean La retira de *** étreinte pour la foutre sur le sol. Roger reçut l'ordre de se mettre sous Alice et de continuer ce qu'il faisait auparavant. Il fut heureux d'obtempérer. Il se mit derrière Elle et enfonça sa bite dans *** cul. Elle hurlât sous cette pénétration violente et fut heureuse qu'il était aspergé du jus intime de Maitresse Jean ou les choses aurait put être plus douloureuse. Puis Jean se mis face a Alice et la forçât a lécher Sa chatte trempée. Les mains de Jean s'agrippèrent a la chevelure d'Alice fermement et la plaqua contre *** buis*** bien rasé. "N'essaye pas de jouir avant moi, soumise!" S'exclama Jean mais, au vu de la double pénétration qu'Alice expérimentait, je doute qu'elle serrait capable d'obéir a cette ordre. Je regardait, fasciné cette course de jouissance. Madame Alice léchant furieusement la chatte de Maitresse Jean et lui plongeant deux doigts avec rapidité. Sa tête partit en arrière alors que ses mains pinçaient ses propres têtons et malaxaient sa poitrine. Mais les couinements de Dame Alice s'échappait de la chatte de Maitresse Jean alors que les deux hommes faisaient de leur mieux pour La faire jouir. La respiration de Roger commençait a être bien trop rapide et il commença a grogner. Sa ne serait plus très long. Les couinements de Dame Alice augmentèrent en réponse. Elle le sentait prêt et s'apprêtait également a jouir mais Maitresse Jean n'est pas prête a jouir, elle.

"Pas avant M'dame!" Hurlât Kurt en frappant *** cul. Je ne sais pas d'ou un soumise comme lui pouvait agir ainsi. Fesser une Dame, lui crier des ordres, est interdit. Mais même sachant cela, il ne s'en Privat pas. Ses intentions étaient bonne mais n'ures pas le résultat attendu. La fessé ne fit qu'exciter Dame Alice encore plus et elle s'écrasa violement sur le sexe de Roger. S'en fut trop pour lui et il se déversa en elle. Elle cria en sentant *** propre orgasme la toucher mais sa langue ne s'arrêta pas un instant sur la chatte de Maitresse Jean. Le corps de Dame Alice se mis a trembler et Elle miaula, *** cul se serra contre le sexe de Kurt, le faisant bientôt jouir également, provoquant le second orgasme de Dame Alice. Ce fut cette vision conjugué a l'effet de langue d'Alice qui fit trembler les jambes de Jean jouissant pour la troisième fois, tombant a genoux. Je sentait mon propre orgasme arriver lorsqu'elle fut arraché de la bouche de Dame Vanessa. Maitresse Kathy la mis dans la sienne, avalant mon flot de sperme avec délectation. Elle me pris en gorge tandis que je continuait de me déverser dans Sa bouche et Elle me nettoyant doucement ensuite.

"Maitresse Diana!" Se plaignit Vanessa, "C'était a moi!"

"Tu veux du sperme? Vas donc lécher le cul d'Alice!" Dame Vanessa rougit mais obéit servilement. Maitresse Kathy me souris. "Tu a un si bon goût... C'est le meilleur. C'est pour sa qu'elle le voulait. Mmmm Je ne sais pas ce que tu as mis dedans mais ne change pas."

Maitresse Jean releva la tête d'Alice. "Tu a jouie trop rapidement, trainée. Tu dois être punit."

Mais alors Maitre releva Maitresse Jean a *** tour. "Sa pourra attendre" Dis-Il avant de la projeter fermement contre *** bureau. Maitresse

Jean n'aime pas être prise, pas même par Maitre. Alors qu'elle tentait de se relever, il lui lia les mains. Elle continua de se battre et cria mais Il

La bloqua de *** poids, puis enfonça un bâillon-boule dans sa bouche. Puis Il la prit par les cheveux et fit entrer Sa bite en Elle. Il la baisa avec *****, utilisant *** propre fouet contre Elle-même. Ses cris étouffés devinrent des soupirs puis des gémissements. Elle cessât de se débattre pour le laisser faire, l'encourageant lorsqu'elle sentait *** orgasme approcher. Lorsque sa respiration devint une saccade d'alitements Maitre se dégagea de *** antre. Maitresse Jean tenta a nouveau de crier. Maitre la retourna et retira le bâillon. "Oui?" Demanda-il calmement.

"Pitié, Maitre! J'y suis presque! Ne me laissez pas ainsi?" Demanda-elle.

"Tu te prêtant Maitresse, mais qu'est tu en réalité?" Demanda-il.

Elle nous regarda, inquiète. Elle ne voulait pas le dire devant nous. Finalement sa tête tomba. "Je suis votre soumise, Maitre, Votre plus vil soumise."

"Une soumise qui ne veux rien d'autre que d'être baisée?"

"Oui, Maitre. S'il Vous plait baisez-moi. J'en ai besoin, tellement!"

"Penche toi, soumise" Ordonna-Il.

Elle le fit d'une façon complètement différant que celle qu'elle avait quelques minutes auparavant. Elle était évidement une soumise, désireuse d'être utilisée par *** Maitre. Maitre acquiesça et la baisât avec virilité. Elle couina de jouissance, un orgasme long et puissant, Le remerciant, Lui disant qu'Elle l'aime.

Je regarda mon sexe, visiblement revigorifié par cette performance. Je jetait un coup d'œil vers les autres hommes et réalisa que je n'était pas le seul.

Maitre releva Maitresse Jean et l'embrassa doucement. "M'aime-tu, soumise?"

"Oui, Maitre."

"Tu ferais tout ce que je désire?"

"Oui, Maitre."

"Suce donc la bite de tout les hommes présent."

Elle se mise alors a genoux devant Lui. Il La repoussa. "Excepté la Mienne." Dit-il. Je suis sur d'avoir entendu un soupir de détresse sortir de Ses lèvres lorsque Maitre s'écarta. Maitresse Kathy nous mit tous en ligne, et Elle commença par moi. Sa bouche était excellente. Maitre s'assit sur un bureau, Alice et Vanesse nue, a genouillés devant lui, les mains sagement liée dans le dos par Kathy, se partageant Sa queue. Maitresse Kathy s'assit a côté de *** mari L'embrassant alors qu'il jouait perversement avec *** clitoris, regardant Maitresse Jean. Malgré le plaisir que je ressentait je me surpris a vouloir sucer la bite de Maitre également, mais Il ne m'y a jamais autorisé au bureau.

Je sentit mon orgasme approcher, et Maitresse Jean aussi. Elle pénétra mon cul a l'aide de deux de ses doigts, me faisant jouir avec *****. Elle Lechat le tout et l'avala en se mettant en évidence pour Maitre. Puis elle Le regarda et souris, léchant ses lèvres et attrapant mes couilles qu'elle serra avec ***** avant de me faire reculer.

"Suivant." Dit-Elle, s'avançant vers Roger. Il me regarder me tenir les couilles, gémissant. Je vit la peur et l'excitation monter dans ses yeux.

Maitresse Jean fit parcourir ses ongles sur ses couilles afin de l'effrayer et il se rependit sur *** visage.

"Dé-désolé, Maitresse" S'excusa-il. Elle n'était pas contente. Elle le punirait sévèrement si elle ne devait pas avant exécuter les ordres de Maitre. Elle décida de faire les deux. Elle revint rapidement a *** pureau et attrapa un gode de 22 centimètre de long. Elle l'utilisa pour récupérer tout le sperme de *** visage, s'assura que l'objet en fut couvert. Puis elle prit la queue débandé de Roger et suça. Sa peur et la fellation le firent reprendre sa vigueur lorsque Maitresse Jean lui défonça le cul de *** gode. Elle continua a le sucer avec une ***** égale. Roger ne pouvait plus se tenir. Il aurait voulut tomber mais ne voulait pas affronter les conséquence d'un acte pareil. Finalement il se rependit de nouveau, dans Sa bouche cette fois, comme il aurait dut. Puis Elle se tourna vers Kurt avec un regard affamée...

Je me sent toujours plein d'énergie durant le retour a la mai*** le Vendredi soir. Vous penserais que c'est parce que je suis près pour le weekend et libéré du travail, mais c'était plutôt comme si je m'était éclaté au boulot. Je ne peut même pas me l'expliquer. C'était du boulot habituel. Alors que je chantais en cœur avec la radio je remarquait des taches d'encres sur ma main. Je la relevât pour voir des écriture sur ma paume. "MTD FBF" C'est mon écriture. Je ne me rappelle pourtant pas avoir écrit cela. Comment donc ai-je bien put réussir a faire cela et qu'est ce que cela peut bien vouloir dire?

Cette question me resta en tête durant tout le trajet. Je fit passer en mémoire tout les acronymes que je connaissait sans résultat. Liz n'est pas a la mai***. Un rapide coup d'œil sur *** message m'informe qu'elle serait de retour a la mai*** dans une heure avec le repas. Je n'avais rien d'autre a faire qu'a attendre, alors je pris une bière et m'installât dans le canapé. Il y a bien assez de temps pour regarder la fin de mon film préféré, Ma Tendre D-Whoua! MTD! Je démarra la cassette. Elle en est déjà a une demi heure plus loin que je ne l'avait vu la dernière fois. Mes yeux se posèrent sur la télécommande et s'arrêtèrent sur le bouton FBF. Frame By Frame, soit image par image. C'est quoi ce délire? J'appuya sur le bouton. Juste un instantané comme d'autres. Je continuais d'appuyer encore et encore. A la sixième image quelque chose attira mon regard. L'image n'était pas terrible. Je me battit avec les réglages des couleurs et de l'intensité de lumière et ce que je vis devint évident. Une autre image surplombait l'original. C'était l'image d'un homme baisant une femme. Je me demande ce que cela peut bien vouloir dire et continua de faire défiler les images. Plusieurs images plus tard il y en eu une autre. Elle ***t mélangées au film. J'avait entendu parler de programmation subliminal dans le passé et réalisât que cette cassette devait rendre le spectateur très excité. C'est pour sa que je la regarde en continue? Je ne me souviens même pas d'ou elle viens. Plusieurs image plus tard je vis un message dans le coin de l'écran. 'J'adore regarder ce film.' Je continuais mon périple et les choses empirèrent de message en message, chacun placé a des endroits pas très évident de la vidéo. "Je ferais de mon mieux au travail. "Je resterais en forme. Je fais complètement confiance a Paul Knight." Quoi??!! Et bientôt un de ces message me donna envi de vomir.

Merci pour cette suite. Y en a-t-il encore ?

oui dernier bout

"Paul Knight est mon Maitre."

C'est quoi ce bordel? Je m'assis mieux, tentant d'y trouver un sens. Si ce que je voit est bien vrai j'ai était un esclave sans le savoir pendant... pendant... Je n'en sais rien. J'ai commencé a travailler pour Paul depuis 4 ans a présent. Quand est ce qu'il m'a donné cette cassette? Mais si les messages marchent pourquoi je ne pense pas a lui comme a un Maitre? Je veux dire jusqu'a maintenant je pensais que c'était un bon ami et je lui faisait vraiment confiance. Putain, Jim, réfléchi, réfléchi. Ok, di***s que j'ai été **********. Sa voudrais dire qu'il peut contrôler facilement mes souvenir. Mais visiblement pas tout le temps, car lorsque je me suis souvenu de quelque chose, je me suis laissé un indice. Donc l'autre moi sais ce qui ce passe mais ne peut pas changer les choses. Sa se tiens. Alors il essaye de me le faire faire. Mais alors, que dois-je faire? Puis-je lui renvoyer un memo? No, je ne peut pas. Si j'ai rai***, il saura. Et essayer de m'envoyer une note informerais Paul que j'ai tout découvert. Ok alors maintenant? Aller le voir? Non. Il pourrait me remettre en état d'obéissance avec une phrase clef ou autre chose. Trouver de l'aide. Oui mais qui? La Police? Peut être bien. Me croirais-ils? J'avais d'abord besoin de preuve. Peut être Liz pourrait prendre une vidéo lorsque Paul ***********. Si je lui fait faire. Merde. Elle regarde aussi cette vidéo aussi souvent que moi. Cela l'a telle affecté? Je dois supposer que oui. Je doit lui dire ce

qui nous arrive.

Ce fut a cet instant que qu'elle entra dans la mai***.

"Coucou chéri!" Dit-elle, un grand sourire sur les lèvres a ma vue.

"Liz!" M'exclamais-je. "Chérie, tu ne vas pas croire ce qui se passe!''

"Jim?" Elle avait le visage consternée. "Qu'est ce qu'il y a? Qu'est ce qui ne vas pas?"

"Nous avons été ************"

"Quoi?!" Alors que l'incrédulité marquât *** visage je réalisa a quel point ce que je disais pouvait parêtre stupide.

"Viens la et regarde!" Je la conduisit jusqu'a la télévision toujours en arrêt sur la dernière image "Paul Chevallier est mon Maitre. "Tu vois? Paul a mis des messages subliminaux dans la cassette. Il nous contrôle depuis longtemps sans que l'on soit au courant!''

Elle regarda l'écran pendant quelques temps avant de me regarder et de me sourire. "Oh, chéri, Je le sais bien!''

Je ne savais pas quoi dire. J'avais le sentiment étrange que quelque chose de mauvais aller se passer et je ne savais comment y mettre un terme.

"Jim, fais comme chez toi."

Oh Putain! Liz est au courant?!!

"Tu le savais! Et tu n'a rien essayée? Après ce qu'il nous a fait?!" M'exclamais-je.

"Tout d'abord, chère époux, sache que c'est toi qui m'a fait quelque chose. Tu n'étais pas heureux de la femme que tu avais. Tu as ramené cette vidéo à la mai***. Tu m'a transformée en la soumise que je suis désormais. Ce que tu ne comprend pas c'est que tu me l'avais demandé d'une façon normal, rien de tout ceci ne serais arrivé, car j'ai toujours aimée être soumise. Je te le promet. Je ne me suis jamais sentit aussi vivante, désirable, érotique. Et Paul me donne tout ce que je veux : des hommes et des femmes a baiser, un esclave obéissant en ta per***ne, Sa grosse bite, et des punitions. Oh, j'adore tellement lorsqu'Il me discipline."

Elle sourit de nouveau face a ses souvenirs. Je m'approcha d'elle, avec l'intention de la rai***ner fermement.

"Ne m'approche pas, Jim. Et ne pense même pas a quitter cette pièce."

Je savais que je devais obéir. Elle prit le téléphone et appela Paul. Je restait immobile, essayant de réfléchir a quelque chose et j'ouvris ma valise. Je me déplaça rapidement, faisant croire que je voulais l'approcher de nouveau et puis m'arrêta comme si la suggestion me gardait a distance.

"Maitre? C'est Liz. Jim sais. Je suis rentrée et il me l'a dit. La cassette est démarrée. Il a dut l'arrêter pile au bonne endroit. Oui? Oui, Maitre, Nous vous attendrons. Je vais juste le baiser pendant que Vous arrivez."

Elle se tourna vers moi et je recula d'elle jusqu'a ce que nous soyons près de la valise.

"Maitre arrive pour effacer tes souvenir et t'empêcher d'examiner cette vidéo encore."

Je recula davantage, tremblant.mes mains tombèrent sur la valise et la fermèrent lorsque je tomba a la renverse.

Elle sourit. "Effrayé, Soumis?"

"Non, Maitresse."

"Alors viens ici et fait moi un bon cunni."

Mmmm. J'adore lécher la fente de ma Maitresse. J'aime tout d'Elle. Si je le fait bien peut être je pourrais Lui faire l'amour. Je me mis a genoux et rampât jusqu'a Elle. Je sais qu'Elle adore me voir a quatre pattes comme un petit chien et j'aime me sentir ainsi. Etre sa salope. Elle ne porte pas de strings et Elle releva sa jupette pour révéler le plus beau spectacle du monde. Je plongeât jusqu'a Sa chatte commençant a la lécher avec *****. Elle tapota ma tête et dit "Doucement, soumis, .N/nous avons tout autre temps. Maman veut que sa prenne du temps."

je réduisit mon rythme mais mon besoin de La gouter était toujours présent. Je veux tellement faire plaisir a cette femme. Ses gémissements ***t comme une drogue pour moi. Plus elle gémit, plus Elle en reçoit. Ma petite bite est toute dur a présent. Je veux la toucher. Je veux me couvrir de mon sperme, avec l'espoir qu'elle en lèche un peu. Je me pressais de plonger ma langue en Elle. Elle s'arquât, et plaqua fermement ma tête dans sa chagatte trempée.

"Oui, soumis. Lèche Moi! Oh putain, tu fais sa siiiiiiii bien."

Ses mots m'encouragèrent. Si Elle pouvait continuer de m'humilier ainsi je pourrais jouir sans même me toucher. Ma langue entoura *** clitoris et je plongea mes doigts jusqu'a *** con ruisselant. Elle piailla bruyamment de cette invasion.

"Putain! Oui! Lèche Moi! Baise Moi avec tes doigts! Fait Moi Jouir, ma salope!"

Mes doigts bougèrent avec adresse. Ma langue faisait des ronds vastes puis je mordis *** clitoris. Ses mains serrèrent très fort ma tête, hurlant sa jouissance "Ooooh Pu-Pu-Pu-Putain!!!!" Je continuais l'action de mes doigts durant sa jouissance et rapprocha encore ma tête afin de boire tout *** délicieux jus. Elle se calma et me poussa fortement en arrière.

"Mmmmmm, Maman pense que tu a le droit a une récompense pour sa, soumis." Dit-elle en se levant et quittant la pièce.

Je ne put me retenir de sourire, me demandant ce qu'elle pouvait avoir prévue pour moi. Sa récompense ne fut pas comme je l'attendais. Elle revint vêtu d'un des gode-ceintures que Maitresse Kathy lui avait offert. La plus grosse. 30 centimètre de plastiques. Sa fait toujours mal de

recevoir ce truc.

"Mets-toi en position, salope." Sourit-elle et j'obéit servilement, me mettant par terre, les genoux au sol en parallèles des bras. Je sentit une substance froide remplir mon cul. Elle l'avait lubrifié, Dieux merci. Je sentit ce monstre entrer en moi. Elle commença avec de petits mouvement mais entra de plus en plus loin. 7 centimètres, 10, 25! Ugh. La douleur mêlée au plaisir me remplit lorsque les 30 centimètres de souffrance ures prit possession de mon cul de trainée. Mes larmes était a moitié de pur extasie, et a moitié de pur agonie. Elle le savais et continua de me défoncer pour ce qui semblait une éternité, et pourtant un instant si court. "Tu t'éclate, sale petit soumis?" mon sperme partit jusqu'au sol. Ses mots m'avait vaincu. Mes bras me lâchèrent mais elle n'arrêtât pas. Le gode ceinture jouait avec *** clitoris et elle humidifia la sangle lorsqu'elle jouit a *** tour, enfonçant le gode plus loin que je ne l'aurait cru.

"C'est si beau d'être accueillit ainsi." Dit soudain Maitre, qui était entré dans la pièce.

Maitresse sortit de mon cul et se mis a genou devant lui, les yeux remplit d'admiration, alors que je me prosterna au sol face a Lui.

"Il est a votre merci, Maitre." Dit-elle, et Elle avait rai***, je l'était.

"Merci, salope, tu auras ta récompense plus tard." Les yeux de Maitresse se remplirent de joie.

"Oh, Merci Maitre!"

Puis il me regarda dans les yeux et dit "Dort."

Professeur et Maitre


Kimberly Washington était très énervée. Elle était actuellement dans une situation difficile, voire désespérée. Elle risquait bien de perdre ses excellentes notations annuelle et la chance d'entrer dans cette merveilleuse Université.

Kimberly savait que c'était entièrement sa faute. Elle avait bien trop fait la fête durant l'année passé. Depuis qu'elle avait eu 18 et qu'elle avait commencée a attirer l'attention, ses résultats scolaires semblaient s'évaporer. Elle était sortit avec ses amies chaque nuits, la tentative de contrôle effectué par ses parents s'avérant un échec total.

Une des rai***s de ces sortis était sa découvert du sexe. Après qu'une grosse queue bien dur et tremblante avait pris possession de *** corps pour la premier fois, Kim s'en était extasiée. Elle savait qu'elle commençait a ce faire une sacrée réputation, mais la jolie brunette s'en fichait. Elle put baiser avec les joueurs de foot du lycée, avec le Président de la Mai*** Des Lycéen, quelques étudiants universitaires, et elle les avait tous appréciés. Les phallus masculins faisait tant de bien dans sa chatte chaude et langoureuse.

Kimberly aimait également montrer *** tout nouveau corps en beauté. Elle avait commencée le sport a la fin de l'année dernière et avait perdu suffisamment de poids. Ses seins était gros et ferme. Elle faisait un bon mètre soixante, mais avec des talons aiguilles elle arrivait à la taille de ses petits amis. Porter des talons lui plaisait, car cela mettait en valeur ses douces cuisses soyeuses.

Kim avait aussi commencée a laisser pousser ses cheveux dorée et frisée jusqu'a ses fesses. Une de ses meilleures amies lui avait montrer comment utiliser du maquillage et elle en portait toujours a présent pour accentuer ses yeux d'océan.

Dans tout cela, elle avait négligée ses études. Elle voulait aller a une bonne Université et travailler dans les Finances Privées. Ses devoirs de Maths avait cependant atteint un niveau critique et elle comptait supplier Monsieur Springfield de l'aider.

Monsieur Springfield était considéré comme le prof le plus ringard du lycée, mais il avait quand même l'air sympathique. Il portait une paire de ces grosses lunettes et un sweater ample et moche. *** pantalon était un bag gy également ample, et ses cheveux n'était jamais vraiment bien peignés.

Elle entrât dans la salle de cours et il releva la tête. "Bonsoir, Kimberly. Que puis-je faire pour toi?"

Elle sourit, lui montrant ses dents parfaitement étincelantes. "Bonsoir, Monsieur Springfield. J'ai depuis quelques temps de grosses difficultés dans en Maths et j'aurais besoin d'aide. En calcul et en géométrie principalement, mais dans bien d'autres domaines également. J'aurais aimée savoir si vous connaissiez quelqu'un qui puisse me donner des cours particuliers et m'aider a remonter mes notes?

Il lui sourit et semblait déjà plus joli. "Par pur coïncidence, Je fait des cours particuliers en parallèle. Je ne donne pas grand chose a faire, mais je demande cependant un travail très important et une vrai promptitude. Je suis au courant de tes gouts pour les soirées... corsées, cela posera-il un problème?"

Kim lui répondit par un nouveau sourire. "Je ferais TOUT pour remonter mes notes. Pourriez-vous s'il vous plait m'aider, monsieur?"

"J'en serrais ravi, Kim. Peut-tu commencer ce soir?"

********************************

Kim se montrât au perron de la porte de *** professeur avec juste une minute de retard. Elle s'était pressée de manger, voulant faire une bonne impression. Elle ***na a la porte et attendit.

La porte s'ouvrit et elle ne put tout d'abord pas reconnaitre *** professeur. Ses cheveux était désormais bien peignés et il ne portait plus ses grosses lunettes ou ses vêtements sans formes. Il ne souriait pas.

"Tu est en retard."

"Juste d'une minute. Désolée."

"Une minute de retard est toujours un retard. Entre, s'il te plait."

Sa mai*** n'était pas du tout comme elle s'y attendait. Elle était spacieuse, bien éclairé et propre. "Voudrait-tu boire quelque chose?" Lui demanda-il.

"Du jus de fuit, si vous en avez."

Ils s'assirent dans la cuisine et commencèrent immédiatement. C'était un très bon prof, beaucoup de concepts qu'elle n'avait put comprendre auparavant lui devinrent rapidement plus clair et précis au fur et a mesure que les minutes s'écoulait. Lorsque l'heure fut écoulée, et se leva et quitta la table.

"Nous n'avons pas parler de ta méthode de paiement."

Elle rougit, Elle n'en avait pas parlée. Elle n'avait pas beaucoup d'argent, mais elle avait crut qu'une jolie fille comme elle pouvait s'en sortir facilement en se montrant gentille et en le paillant un peu moins. "Pouvons-nous trouver un moyen?" Demanda-elle d'une petite voix.

"Oui. Je pense que oui. Mais qu'est tu prête a sacrifier volontairement pour entrer dans une si bonne école Kimberly?"

"Je viendrais tout les soirs. Je travaillerais très dur. Je le veux vraiment monsieur!"

"Ce n'est pas ce que je voulais dire!" Il attrapa *** bras et la regarda intensément, plongeant *** regard dans ses yeux bleus. "Qu'est ce que toi, Kimberly, peut-tu sacrifier per***nellement pour sa?"

Elle fut légèrement terrifiée. "Monsieur, vous me faite mal. Je donnerais tout pour avoir de meilleurs notes. Tout!"

Il sourit et elle sentit ses craintes s'évanouirent. "Bien. Tu le devras sans doute. Suis-moi."

Kimberly obéît, ne comprenant pas vraiment pourquoi. La jolie adolescente suivit Monsieur Springfield dans *** garage. Lorsqu'elle vis ce qu'il y avait a cette endroit, ses yeux s'écarquillèrent de choc.

Sur le mur trônait des menottes et des liens. Il y avait aussi des fouets, une queue de chat longue. Il avait également une grande collection de godes et d'autres objets sexuels, de cravaches. C'était comme un donjon. Elle sentit ses peurs revenir et se tourna pour rencontrer ses yeux grands et très expressifs.

"Tu disais que tu ferais tout. Pour la durée de tes cours, tu seras mon Esclave Sexuel. Entendu?"

Elle était horrifiée, cependant une petite partie d'elle était intriguée. D'autres part, il était si ringard, elle pourrait sans doute le surmonter.

"Oui," Annonça-elle d'une petite voix.

"Excellent" Dit Monsieur Springfield. "La prochaine fois, ce sera Oui, Maitre. Entendu?"

"Oui, Maitre."

"Vas jusqu'au lit."

Sa respiration s'accéléra, mais Kimberly fit ce qui lui avait été demandé. Elle se tint devant lui, lui montrant *** corps ferme et jeune, ses tétons large et durs, *** corps sensuel et chaud. Il regarda *** corps, admiratif. Ceci m'appartient, compris? Per***ne ne doit l'avoir, a moins que je te le demande. Entendu?"

Elle le regarda, reconsidérant l'offre pendant une seconde. Pas d'autres amants? Mais elle voulait vraiment avoir ces notations. "Oui" Dit-elle.

"Oui, QUOI??" S'exclama-il.

"Oui, Maitre."

"C'est mieux. Maintenant viens ici et déshabille-moi."

Elle le fit sans se rebeller. Elle retira *** tee-shirt et poussa une exclamation de surprise.

Il était vraiment bien bâti. Musclé et sans surplus de graisse. Il n'était ni trop gros, ni trop fin pensa-elle. "Surprise, esclave?" Kim hocha la tête.

"Je ne veux pas que ces idiotes jeunes filles se colle a moi, alors je fait semblant d'être un naze. C'est un honneur pour toi, esclave, tu vas découvrir ma vrai per***nalité. Remercie-moi."

"Merci Maitre."

"Retire mon pantalon et mon sous-vêtements. Dépêche-toi."

Kimberly fit ce qui lui avait été demandé et ne pus s'empêcher de s'exclamer a nouveau de surprise. *** sexe était immense. Plus gros que toute ce qu'elle avait jamais eu. Elle ne savait pas si elle pourrait le prendre en elle, mais saliva face a la perspective. Elle releva *** visage fin vers lui et souris. Elle allait dire quelque chose mais il l'en empêcha.

"Tu ne peut parler que lorsque je te le demande. Compris?" Kim acquiesça et Mr Springfield continua. "Prends-le entre tes lèvres et suce-moi. Sois gentille, ne me mord pas. Fais moi une bonne fellation et tu serras récompensée."

Kim obéit fervemment et fit de *** mieux, le léchant et le suçant. Monsieur Springfield la stoppa au bout d'un moment cependant. "Tu vas trop vite, soumise! Ce n'est pas une course. On doit vraiment t'apprendre le self-control. Penche toi!"

Elle le fit et le vit prendre un fouet. Elle était terrifiée, mais *** vagin se crispa a cette pensée. Il abaissa sa petite jupe et lui retirât sa petite culotte qu'elle portait alors. *** cul était maintenant a nue et exposé. Elle était sur qu'il pouvait voir a quel point elle était mouillée.

"Tu recevras 10 coups avant de prendre ton travail et le finir."

A chaque coups que Springfield lui administra. Kim devenait encore plus chaude. Sa faisait mal, mais c'était délicieux. Lorsqu'il eu finit, elle retourna jusqu'a sa queue et la Lechat plus doucement, utilisant plus sa langue, massant ses couilles de sa main et les serrant tendrement. "Je vais jouir. Avale-moi, salope!" Elle le fit, passionnément.

Il la regarda, content de *** travail. "Tu a bien fait ton boulot pour une novice. Tu peut parler, si tu veut."

"Oh Maitre, c'était si bon!"

Il sourit. "Je suis content que tu sois contente. Nous allons faire de grandes choses, toi et moi. Aimerais-tu?

"Oui Maitre."

Il inspira. "Lorsque nous ne jouons pas, tu pourras m'appeler Matt ou Matthew." Il sourit et Kim compris qu'il avait rai***, si les filles le voyait ainsi, elles ne lâcheraient pas. Elle se sentit honorée qu'il l'ai choisi pour être *** esclave.

"Déshabille toi maintenant!" Commanda-il. Elle se dévêtit donc, tortillant *** petit corps contre le sien. "Du calme, soumise!" Grogna-il, mais elle savait qu'il ne le pensait pas vraiment. Elle se tint devant lui, fière et sensuelle. Springfield se dressa pour la prendre, mais il savait qu'il devait garder le contrôle de la situation.

"Viens ici, Marche pour moi, J'aime bien ces talons que tu porte."

Kim sourit, elle portait des talons très fins sans même y penser. "Merci Maitre. Puis-je les porter pour vous a l'avenir?"

Il sourit. "Oui. Sauf si j'insiste sur des bottes en cuir. Tu les porterais aussi pour moi?"

Kim sourit encore plus, entrant dans *** rôle. "Oui, Maitre. Quoi que vous demandiez. Je suis à vous."

Il prit sa main et la serra. Fermement. "Tu l'est, c'est évident." La douleur la tétanisât, mais il lui donna envie de se faire baiser. "Mets-toi sur le lit, tout de suite!"

Elle fit ce qu'il voulait, et il lui dit de se mettre sur ses mains et ses genoux, a quatre pattes, comme une chienne. Elle le vit prendre un préservatif et le lubrifier avec de le faire glisser *** long, gros et dur sexe dans sa chagatte. Elle se sentit empaqueté par *** membre et se raidit, l'invitant a poursuivre. Il continua a entre en elle plus profondément encore, touchant le fond de sa grotte et la faisant trembler de désir. Elle était *** esclave, une chienne bonne a se faire baiser par *** Maitre, sa la rendit plus heureuse que ce qu'elle n'avait jamais été.

Cette joie devint encore plus grande lorsqu'elle le sentit pousser un gode lubrifié sur *** petit trou et commencer a l'enculer avec cette outils alors que sa queue lui remplissait la chatte. Elle était compressée, une vrai chienne, et elle aimait cela plus que tout autre chose.

"Alors sa te plait, soumise?" Demanda-il.

"Oh oui maitre. J'adore sa. Merci beaucoup!"

Matthew fit bouger ses hanches de plus en plus vite, le gode encore dans *** cul. "Tu vas jouir, soumise?"

"Oh oui, ouuuui mmmmm, oui Maitre!" Grogna-elle en réponse.

"Pas encore. Tiens bon ou tu aura le droit a des coups de fouets. As-tu une très bonne amie, salope?"

"Oui Maitre. *** nom est Marine."

"Est-elle attirante?"

"Oui Maitre. Elle est ravissante, elle a des cheveux châtains clairs et une peau cuivrée. De jolies jambes et un beau cul. Tout les garçons la veulent. Quelques femmes aussi, de ce que j'ai crut comprendre."

Springfield hocha la tête. "Sa te comprend?"

Elle secouât la tête. "Non Maitre. Vous êtes tout ce que j'ai besoin."

Il lui sourit, visiblement ravit de sa façon de réagir. "Tu peut être honnête. La trouve-tu désirable?"

De nouveau elle secoua la tête. Kimberly répondit :Je n'ai jamais pensée a le faire avec une femme, Maitre."

Il ricana doucement, ses yeux verts la regardant tel un diablotin. "C'est trop dommage sa ma salope, parce que tu vas avoir un mois pour l'amener ici et lui faire l'amour."

Kimberly ne pus cacher sa surprise. "Maitre, je..."

"Tu m'appartient, soumise, mais si tu est gentille, elle t'appartiendras a toi! Je vous aurait toute les deux, compris?"

Kimberly se sentit capituler. Elle savait qu'elle avait perdue, mais cela ne l'embêtait plus désormais. "Oui Maitre."

"Bien. Tu peut alors jouir comme une petite chienne."

Elle explosa a ses mots, succombant au pire orgasme de sa vie. Il se permit de jouir, puis retira la capote, laissant sa chienne le nettoyer avec sa langue. Il se lavèrent, faisant encore l'amour dans la douche. S'était si bon de sentir les coulées de la douche pendant qu'elle était a genou, suçant sa queue du mieux qu'elle pus en se caressant, se faisant jouir lorsqu'il rependit le reste de sa semence sur *** doux visage. Puis ils s'habillèrent et elle retourna chez elle.

********************************

La semaine qui suivit fut trouble. Elle retourna a la mai*** de Matthew chaque soir et laissait *** Maitre lui apprendre les Maths avant de lui apprendre a relâcher ses pulsions sexuelles. Elle savait qu'elle était désormais totalement soumise a *** maitre. Elle en était même tombée amoureuse. Elle resta souvent seule avec Marine, essayant d'en apprendre le plus possible sur *** amie et insister pour qu'elle vienne avec elle pour lui tenir compagnie durant les séances de cours particuliers. Après 5 jours, la jolie adolescente accepta.

Les deux filles portaient des jupettes et des chemises cette nuit la, Kim lui ayant dit qu'elle voulait aller séduire quelques garçons plus tard dans la soirée. Marine était très sexy, avec sa jupe courte et ses sandales a ficelles posées sur ses cuisses douces. *** soutien-gorge était assez petit et mettait en valeur la forme de ses seins, et lorsque le vent relevait sa jupe, Kim pouvait voir que *** amie portait un string vraiment très fin. Marine vit *** regard et la regarda.

"Hé ho, arrête de me passer au scanner!"

Kim rougit. Elle n'avait jamais pensée a l'amour entre fille, mais depuis que *** Maitre adorée lui en avait parlé, c'était la seule chose qu'elle avait à l'esprit. Partager *** Maitre avec *** amie et laisser *** amie lui appartenir a elle était les images qui lui passait par l'esprit lorsque, le soir après ses séances, elle allait dans sa chambre et tomber a genoux pour se masturber, la main sous la jupe, d'une envie très pressée.

Matthew et Marine parlèrent un peu pendant leur leçon et Kim s'en trouva un peut jalouse, jusqu'a ce qu'elle comprenne que c'était une parti de *** plan de détendre la jeune fille. Il demanda a Marine si elle aimerais voir sa salle d'enregistrement et elle accepta. Kim les suivant.

Les yeux de Marine aussi s'écarquillèrent lorsqu'elle vit la salle et elle s'apprêta a partit, mais Kim l'en empêcha. Marine hurla mais Matt la fit taire.

"Per***ne ne t'entendra et tu ne serrât pas blessée. Tu est là pour nous servir. Kim, attache la au mur." Kim s'empressa d'attacher les poignées de sa futur petite amie au mur, sa chatte se trempant déjà a la vue du regard de biche de Marine. "Retire ses vêtements, tous!"

Kim déshabilla la jeune fille terrifiée, la regardant. "Détend toi, sa va aller."

Marine regarda sa meilleure amie. "Kimmy, c'est stupide. Pitié, laisse moi partir. Pitié..."

Kim se penchât et l'embrassa doucement sur les lèvres. "Mon Maitre est un amant formidable. Il vas t'honorer avec sa grosse queue. Tu vas adorer ma puce, tu va voir."

Marine se débâtit en vain contre ses liens. "Pas du tout, vous êtes fous, tout les deux! Je ne vais pas aimer sa!"

"Kimmy?"

"Oui Maitre?"

"Mange sa chatte. Fait la jouir. Prend ton temps. Apprécie ta première chatte. Je veux regarder sa. Après, si ton travail aura été une réussite, je te baiserais. Tu aimerais sa?"

"Oh, Maitre, bien sur!" Kim se dirigea jusqu'au cuisses de Marine, si douce et si bronzées, puis se mit face a *** tendre fruit, chaude et odorante, avec un tout petit buis*** en V au dessus. Elle se pressa contre ses lèvres intimes et commença a lécher sa première chatte. Au moment ou sa langue se connecta avec la chatte de Marine, elle adora cela.

Elle dévora se délicieux morceau de chair, bougeant *** visage de tout côté, sa langue profondément enfoncé dans sa chatte jusqu'a ce que, malgré elle, Marine se répande sur *** visage. Kim avala chaque goutte de *** jus, mais n'oublia pas d'en échanger un peu avec *** Maitre adoré.

"Comment voulez-vous me prendre, Maitre?"

"Tu a fait sa comme une gentille petite soumise. Tu a le choix." Le visage de Kim s'illumina. "Baisez-moi de toute votre grandeur, maitre. Faites moi sentir votre queue resplendissante et laissez-la voir a quel point mon Maitre -et le sien- peut être un bon amant!"

Marine entendit tout ce que je dit et en fut terrifiée. Pensez-ils la faire prendre part a leur jeux de malade? Malgré le fait que Kim l'ai fait jouir comme il faut, elle ne consentirait jamais a cela. Jamais!

Mais lorsque Matthew baisa *** amie, elle dut admettre qu'elle était surprise de la beauté du spectacle. Elle n'aurait jamais imaginée qu'il fut aussi bien bâtit. Sa queue de cheval entrait et sortait de la chatte de Kim -Elle se demandait bien comment elle se sentait a ce moment la - Oh, elle se surprise a être trempée, excitée!

Sa grosse queue était entrain de défoncer Kim, *** Maitre savait quel boutons utiliser. Sa chatte trempée le serrait fermement, vibrant contre *** engin de mammouth alors qu'il la baisait avec connaissance et précision. Le fait que Marine les regarde rendait la baise encore meilleure, elle pourrait partager les capacités de *** Maitre avec Marine.

Sa grosse queue la prenait avec vigueur. En moins qu'une semaine, il savait comment la faire jouir. Il devait la prendre avec *****, plonger sa queue bien en elle, puis ralentir presque jusqu'au stand-by, puis plonger encore plus loin. Le corps de sa soumise se raidissait a chaque fois qu'il s'empalait en elle, elle gardait toujours quelques marques sur les fesses venant de *** fouet favoris qu'il utilisait chaque jours, et elle ne s'était jamais sentit aussi vivante!

Elle jouit et se laissait aller, *** Maitre la suivant de peu. "Merci Maitre" Dit-elle. Il hocha la tête en réponse.

"Tu veux ton tour, salope?" Demanda-il a Marine.

Elle avait tentée de combattre ses besoins, mais Marine acquiesça. Voir *** amie et *** professeur baiser comme des bêtes l'avait excitée, elle ne pouvait le démentir. C'était sale mais oh, si excitant, si sexy!

"Oui, S'il te plait. Ne me faites pas attendre. Baise moi."

"Pas encore. Je veux que tu lui fasse un bon cunnilingus. Je veux que tu la fasse jouir avant que ce soit ton tour!"

"Quoi? Je ne suis pas lesbienne. Je ne lèche aucune filles."

Springfield regarda la brunette sulfureuse avec détermination. "Tu n'a pas besoin d'être lesbienne pour aimer la douceur d'une femme. As tu aimée lorsque ma Kimmy a mangée ta chatte?" Marine hochât la tête, admettant la vérité. "Alors, fait ce qu'on te dit!"

Résignée, Elle accepta. Kim la défit de ses liens et la serra fortement contre elle en la menant au lit. Elle sentit la poitrine de *** amie contre *** dos, et elle sentit ses propres tétons durcirent d'excitation. "Crois-moi, tu vas être bien, ma puce!"

"Je n'ai apparemment pas le choix."

Kimberly enjambât *** amie a la demande de *** Maitre et sentit les mains de Marine attraper *** cul alors qu'elle faisait descendre sa chatte contre le visage de la jeune adolescente. Les coups de langue étaient tout d'abord hasardeux, mais il devinrent de plus en plus précis a chaque coups. Rapidement, Marine se mis a lui bouffer la chatte avec plaisir et Kim en tremblait d'excitation, gémissante sous sa langue. Elle regarda *** délicieux Maitre.

"Puis-je, Maitre?" Il acquiesça et Kim se mis en 69 avec Marine, qui se mis alors a *** tour a gémir et trembler de désir en sentant la langue de *** amie prendre possession de sa chatte qui n'avait jamais était aussi humide. Malgré elle, elle commençait a vraiment aimer tout cela.

Matt savait qu'il était temps. Il se glissa derrière le duo et fit glisser *** membre, prêt et tout dur, dans la chatte serrée de Marine et commença a la baiser a couilles rabattus. Il la pris avec ***** et rapidité, la baisant pendant que sa chienne soumise lui léchait les boules en mémé temps que la chatte de Marine, qui relevait a plusieurs reprise la tête de al chatte de Kim pour hurler *** plaisir.

Finalement, il ne put tenir plus longtemps et se déversât contre le cul de Marine. Il ordonna a Kim de tout nettoyer avec sa langue, ce qu'elle fit en vitesse. Sur ses ordres, les filles continuèrent leur jeux érotique, Marine étant dorénavant une participante volontaire. Elles ures quelques orgasmes jusqu'a ce que la lueur du jour se montre.

Les filles était entrainent de s'habiller lorsque Matt s'approcha de Marine. "Tu sais, bien sur, que tu ne peut rien dire de tout cela. Si tu le fait, Kim et moi dénierons." La fille hocha la tête, silencieuse.

"Aimerais-tu revenir et jouer encore avec nous, Marine?"

Elle y pensa pendant un moment. Ca lui avait fait peur, mais Kim avait rai***, elle avait vraiment aimée tout cela. Elle hocha la tête de nouveau.

"Alors, tu doit accepter que je serais ton Maitre, mais également que ma chère Kimmy sera ta Maitresse. Tu lui obéiras autant qu'a moi. OK?"

Marine regarda *** amie qui lui souriait avec amour et passion. "Oui Maitre."

Matthew sourit au deux femme et les fit sortir. Sa serait les meilleurs moments de leurs vies.

5 ans plus tard. Marine servait *** Maitre adorée et sa femme et soumise, Kimberley. Tout trois n'avait jamais était aussi heureuse de leur vies, et les deux femmes attendait toute deux leur première filles, mais ceci est une autre histoire, que je serais ravie de vous écrire si vous me le demandez...

Toujours excellent... Merci

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********


I sat in my apartment on my couch trying to make sense of what I was doing. Only months earlier I had been snooping around a male-for-male message board out of pure curiosity when he started the conversation.

His name was Todd. He began pleasantly and we developed a rapport about sports and other mundane things. I wasn't looking for a hook up, and was on my defensive, but the conversations melted away my misgivings. Weeks followed and I looked forward to hearing from him. There was nothing sexual about the exchanges per se, but every once in a while there would be a little innuendo thrown in as a tension breaker. These exchanges being via internet, I would respond in kind, and there was nothing that felt inappropriate about them.

Finally, with the Super Bowl approaching he suggested we make a bet. He was thinking Patriots, I was thinking St. Louis. I couldn't in good conscience agree to New England as I was a staunch Dolphins fan.

"You're pretty sure of yourself, aren't you?" he said.

"Pretty sure the Patriots lose, yes," I said in response.

"Ok," he said. "Let's make this interesting."

Thinking he meant money, I said, "I'm listening."

"Ok. You're a good bit younger than I am, so I'd feel bad about taking your money. How about the loser has to do something for winner?"

"Like what?"

"Ok, I've got it. The winner gets a blowjob."

I was without words. I mean, I knew there was a little vague sexual tension around, but this was way more out front than I was ready for. I was a straight guy, yes curious perhaps, but definitely not experienced or experimental.

"Cat got your tongue?" he said. "Or are you suddenly less confident in your football knowledge?"

The grade school-like challenge was enough to make me speak before thinking it through. Plus, this was over the internet, and I never had to actually meet the guy if I wasn't comfortable.

"Ok," I said. "It's a deal. The winner gets a blowjob."

The next week was filled with trash talking on both sides. We'd never exchanged photos, but I knew that he was a psychologist, a bit out of shape, and had a way with words. Through conversation, I also found that he dabbled in ********. He told me it helped people with phobias or even mild addictions overcome their issues. I told him that as a cyclist I'd been having a bit of performance anxiety before races and he suggested we try it sometime. It seems like a good icebreaker, but I put a pin in it for some other time.

The game came and went. I lost to a last second field goal by Adam Vinateri, in what would be the start of New England's dynasty. Roundly beaten, I kicked around the idea of just ceasing all communications with Todd, but remained intrigued about what he'd mentioned regarding ********. The thought of having to give a blowjob was plenty disturbing, though. I'd never had any interested in other guys, save for the curiosities of my classmates in the locker rooms. Never sexual in nature, only comparison and contrast. I could certainly appreciate a well built guy and could say if one was more attractive than another, but I'd never thought of a sexual encounter with one.

I expressed my nerves with Todd, and he responded by saying that it was just kind of a joke. He didn't want give one either. I was relieved, but it was enough to spark curiosity. After the change in plans, we continued to talk as before. Sexual innuendo continued as well. In the middle of a conversation he might spout off with, "Yeah, well you still should giving me a blowjob." It was met with laughter, but also kept the tension there, just under the surface.

I was a rabid internet porn junkie and used them to masturbate frequently. As I wondered what a blowjob would be like, I began to pay more and more attention to the male actors in the pornos; the size of their dicks, how they came, and what the women did to them. I was increasingly interested in blowjob videos rather than straight-up sex. It became such that just watching another guy cum was enough to get me hard as a rock.

One day Todd suggested we try a little ******** to see how susceptible I was. I wasn't sure about it, but finally agreed to meet up at my apartment the next day and give it a shot. So here I was, waiting for this stranger I'd met online. A man who I'd at one time agreed to give a blowjob.

The knock at the door startled me. I didn't know what to expect, and had I expected anything, he wouldn't have been it.

"Todd?" I said.

"Yes. Hi Kevin, good to finally meet you."

We shook hands and I invited him in. He definitely wasn't the most physically attractive man I'd ever seen. He was a couple of inches shorter than I, a bit out of shape (as he had previously mentioned), balding, and just generally homely in appearance. We sat on the couch and I offered him something to *****, which he turned down. He quickly came to the subject of ******** with me.

"So, do you want to try what we discussed?" he asked.

"Sure. I don't really know what I'm doing, so you'll have to guide me through it."

He told me to lay down on the couch and get comfortable, while he grabbed a nearby chair that he positioned next to me. He sat down in the chair as I reclined. He told me to close my eyes and relax, so I did as he instructed and placed my hands across my stomach. He went through some basic breathing exercises with me and repetitively told me I would be getting more and more loose and relaxed. After about five-or-ten minutes of this I was truly becoming relaxed and felt I was almost sinking into the cushions. Finally he said, "At the count of three you will fall completely a*****. You will be conscious enough to do what tell you to do, but you will be in a completely relaxed state. One...two...three."

At the count of three, I really did feel somewhere between ***** and deep relaxation, yet somewhat conscious of certain things going on around me. Mainly, I was just completely focused on the sound of his voice instructing me. He spoke to me about my anxieties and what was making me nervous before races. He told me that I would no longer have these nervous feelings, but would be in control of myself. He repeated these several times and after each instruction would ask if I understood him. I would give him a simple, "yes" in response. I was in a complete state of focus and calm when the subject veered off in a new direction.

"Your whole body is completely relaxed from head to toe. You are completely comfortable with me, aren't you?" he asked.

"Yes," I said.

"Now you are completely relaxed. All your muscles are completely at ease, except for one area of your body. You are beginning to feel a small amount of tension in your groin area. Do you feel it?" he asked.

As he said it, I became focused on my crotch and did feel a bit of movement. "Yes," I said in response.

"You don't know why you are feeling this way, but you are becoming aroused. You can feel yourself getting an erection. Do you feel that?"

"Yes," I said. I felt a familiar twitch in my jeans and began getting hard instantly.

He continued, "There is nothing to be ashamed of. You are experiencing an erection in front of your *********, Todd. He is a friend, and you have nothing to hide from him. It's getting very hard now, isn't it? Your jeans are straining to hold it in, aren't they?"

"Yes," I said. My hands instinctively went to the growing bulge in my jeans.

"That's ok. You are comfortable touching yourself in front of Todd. You're beginning to feel hot in this room. You are even beginning to sweat in your clothes, aren't you?"

"Yes." Just as he said, I was feeling stifled in my clothes.

"You want to take your shirt off to get cool. Do you want to take it off?" he asked.

"Yes." I quickly pulled my shirt over me head and tossed it to the ground. I felt relief from the heat almost immediately.

"Good," he said. "You are starting to feel a little better, but you are still hot in your jeans. You want to take them off, don't you?"

"Yes," I said again. With urgency, I quickly unzipped and pulled off my jeans, tossing them nearby as well, all the while keeping my eyes clothes *************. I lay back on the couch in just my boxers.

"You are feeling better, but still a little hot. You are comfortable around your friend and *********. You want to take off your boxers. You don't have any fears of being naked in front of your friend, do you?"

"No," I said.

"Take off your boxers," he said.

I pulled them off and felt my hard cock snap back to my stomach. I lay back on the couch completely naked, but still relaxed. I was aware of Todd's voice and his presence but had no misgivings about being naked in front of him. It felt natural.

"You're feeling much better now, and still completely relaxed. You feel comfortable around Todd even though you have an erection. You want to touch yourself, don't you?"

"Yes." My hands moved to my hard-on and began to stroke it up and down.

"That's good. You are beginning to think of a bet you made with your friend Todd, now. Do you remember a bet you made with him recently?" he asked.

I paused for a moment before admitting it. I continued to stroke myself as he spoke to me.

"You feel like you want to pay your debt to Todd now, don't you?"

I said, "yes" before I could even think about it. It was completely reflexive and visceral. I knew what was about to happen, but I felt calm about it. I heard him stand up out of his chair, but remained supine in the couch, continuing to stroke my hard dick.

"You're doing fine. You are continuing to touch yourself while you going to pay your debt to your friend," he said. I heard a zipper open and the sound of a pair of pants with keys in the pockets dropping to the ground. "You are ready to pay your debt aren't you?"

"Yes," I said. My dick was so hard I thought it might burst. I continued to stroke and grip it in my hand.

I heard him step forward. "You are going to turn your head toward my voice now, and see the most beautiful penis you've ever seen. When you see it, you're going to want to put it in your mouth. Now turn your head to me."

I did as he told me, and opened my eyes. His cock stared my straight in the face. It was about 6 inches in length, and his ample belly protruded above. Suddenly I felt an uncontrollable urge to taste his cock, so I opened my mouth and went to it. He pushed it between my open lips and I heard him sigh. Precum dripped onto my lips and tongue as he entered my mouth. The taste sent a shock through me and I felt precum oozing from my own dick as I stroked it with my free hand. My other hand propped me up so I could be at a comfortable level with his stiff cock. One of his hands went to the back of my head and he pulled me closer to him. I felt his pubic hair on my face and his heavy testicles beneath. His pace quickened and he began to grunt with each stroke.

"Yes, that's it. You're paying your debt to Todd. You're sucking his cock. You've never wanted anything as much as this. You love sucking his cock, don't you?" he said, breathlessly.

"Yes," I said as I sucked his cock. He wasn't very big and his round belly only made it appear smaller, but I wanted it. I greedily sucked him as much as I could. His balls were slapping me gently in the chin as I took him as far as I could go. I didn't want it to stop.

"Yes, you're going to make Todd cum. You want to taste him when he comes. You've never wanted anything so bad in your life!" he grunted as his pace became more intense. I took each stroke of his cock into my mouth, only wanting more. Then he began to grunt loudly and erratically.

"Oh yes, oh yeah!" he shouted, and spasmed as streams of semen shot into my mouth. He held my head tightly to his crotch and continued to shoot his cum into me. I swallowed as much as I could, but still felt it drip from the corner of my mouth and stream down my neck. He came far more than I was ever able to.

He then withdrew from my mouth and I fell back onto the couch. My own cock began to soften. I didn't feel the need to cum-the excitement of pleasing Todd seemed to be enough for me. I heard him gasping for air as if he had just run a marathon.

"You did well," he said. "You paid your debt and you enjoyed it. Your job was to please Todd and you did very well." I heard him getting dressed next to me. He began having me put my clothes back on, and I did, returning to the same recumbent position on the couch. Finally, he had me start to awaken slowly, and by the end I was fully awake.

I sat up on the couch feeling strange, but not having a clear recollection of what had transpired. He told me it was very productive, but that we may need some more sessions to really get "to the root of it". I walked him to the door and we said our goodbyes, but something told me we would be doing this therapy again very soon.