chrislebo
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On en parle Avant toute chose, je vais tenter de vous expliquer comment j'en suis venu à me confesser ici. Je suis marié depuis vingt ans avec Mathilde. Ses dix ans de plus, je vais en avoir quarante, n'ont jamais été un problème. En effet, elle fait plus jeune que *** âge et moi un peu plus mûr. Petite brune d'1m55 et de 55 kg. Elle a pris quelques rondeurs ces dernières années qui l'ont transformée avantageusement. Du moins, de mon point de vue. Sans être grosse, elle fait, maintenant, un 40 en pantalon, mais un magnifique 90D. Seul inconvénient, depuis le départ des enfants, une grosse dépression et la prise d'antidépresseurs, elle a perdu goût au sexe. Elle adore ça, mais elle n'en a pas l'envie. Un peu comme lorsqu'on dit que l'appétit vient en mangeant. Eh bien, pour elle, ça fonctionne comme ça. Pour s'habiller, le problème est le même. Il est très difficile de lui faire mettre des choses qui sortent un peu de l'ordinaire. Elle est toujours habillée très classe, parfois un peu sexy, mais uniquement au boulot. Pour moi, le week-end c'est pyjama en pilou et couverture chauffante. Bref ! Tout ça, c'était avant. Avant que j'aie cette idée pour le moins destructrice de vouloir la montrer, la partager, l'offrir, la dévergonder. Attention, j'ai bien dit l'idée. Car dans la réalité, je n'avais pas vraiment envie de la partager, je voulais juste créer un choc psychologique. Seulement, il y a un moment donné où je deviens fou. Oui, je dis bien : FOU ! Le manque de sexe donne aux hommes des idées obscènes. Quand je suis en manque, je ne peux m'empêcher de l'imaginer dans des situations impensables, obscènes, humiliantes, en un mot : pornographiques. Alors ? Alors, vous serez peut-être parfois choqué, outré de la façon dont je vais parler à ou de ma femme. Mais sachez que je l'aime plus que tout et que je ne l'ai jamais obligée à faire quoi que ce soit. Elle a toujours été consentante et à la fin même, volontaire. Dans ce texte, je vais essayer de vous faire partager ce qu'on peut ressentir dans ma situation et comment on interprète les agissements de *** conjoint lorsque la communication n'est pas *** fort et qu'il ne vous laisse que ses actes pour conversation. Aujourd'hui ma femme a changé. Je ne profite pas du tout de ce que j'ai initié, bien au contraire. Pour preuve, il est 23 h 05, je vous écris et me confie à vous alors qu'elle est sortie. Mais commençons par le commencement : Ça fait longtemps, maintenant, que je la tanne pour qu'on aille faire un tour en boîte échangiste. Juste pour nous changer les idées. Boire un verre, rencontrer des gens, etc. Je me dis qu'avec un peu de chance, je rencontrerai des gens sympas et que de fil en aiguille, j'arriverai à la décoincer et peut-être même à baiser une autre femme que la mienne faisant ainsi d'une pierre deux coups. Si l'on peut dire. Mais systématiquement, j'essuie un refus catégorique. Elle me dit que je suis un pervers, un cochon. Mais bon. Elle n'est pas réellement surprise, j'étais déjà comme ça quand on s'est mariés et ce n'était pas pour lui déplaire. Il y a quelque temps, le ton a bizarrement changé. Cette fois-là je n'ai pas essuyé de refus mais cette réflexion : — Méfie-toi ! Qui sait ? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plaît, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça te plaît pas. Je suis resté, pour une fois, scotché dans mon fauteuil. Et puis par fierté j'ai répondu : — Qui te dit que ce n'est pas ce que j'attends... Hein ? J'ai envie qu'on te fasse plaisir ! On n'est pas obligé de consommer. Dans un premier temps, on y va juste pour voir comment c'est. — Oui, mais n'empêche... Et là, alors qu'elle me défie du regard, je sens qu'elle me provoque et qu'elle avance ses arguments pour me dissuader d'insister. Mais je suis trop fier ou trop con, je ne sais pas, je l'ai prise au mot. — Oui, je suis prêt à prendre le risque, sexuellement on se fait vraiment trop chier. Elle n'a pas répondu. La discussion était close. Deux mois passèrent, sans qu'on en reparle. Nous sommes au mois d'août. Il fait beau et chaud, nous sommes en vacances et comme chaque année, nous allons passer quelques jours dans ma famille, que nous voyons peu à cause de la distance qui nous sépare. En général, nous prenons ce qu'on appelle le chemin des écoliers. Tout par la route. On prépare les casse-croûte, les bois***s et on s'arrête dans un coin sympa pour pique-niquer. Mais cette fois-là – le hasard fait parfois de drôles de choses – j'ai chopé une crève d'enfer. Mais impossible de reporter le départ, sous peine de tout décaler. Il y a environ une centaine de kilomètres jusqu'à l'entrée de l'autoroute. Pendant le trajet, ma femme aperçoit une pancarte. — T'as vu cette pancarte ? Elle est bizarre non ? Elle n'avait pas fait le rapprochement, mais moi au premier coup d'œil j'ai reconnu deux femmes enlacées et lui ai dit : — Ça doit être un club échangiste, regarde, c'est sympa, on dirait un moulin. Et le nom en dit long. — Toi évidemment... — Si je te le dis. On regardera sur Internet. — Pfff... Je vous laisse imaginer que je n'ai cessé de penser à ça tout au long du trajet. Nous arrivons à destination, fatigués. Après avoir mangé et, bien évidemment, raconté notre quotidien à mes parents, nous allons nous coucher. Visite dans la famille, le lendemain passe vitesse grand V. Notre chambre se situe en face de celle de mes parents. Ils habitent un appartement dont les murs ***t en papier à cigarette. Je vous laisse imaginer qu'on profite fréquemment de la vie en communauté. Ne partant jamais sans mon ordinateur portable, je profite de la connexion Internet pour faire mes petites recherches. Et j'ai trouvé. — Tiens, tu vois je te le disais. — Quoi ? — Bah le club ! — Décidément t'as du flair pour ça. — Que pour ça ? dis-je en m'approchant d'elle en reniflant ses seins, *** ventre, faisant mine de descendre vers *** nombril. — Allez t'excite pas... Tu vas encore dormir sur la béquille. Elle éclate de rire Un peu vexé, je retourne à mon club et visite par l'intermédiaire des photos. — T'es fâché ? — Non pourquoi ? — Allez montre-moi ton moulin, je veux voir à quoi ça ressemble. Et nous voilà partis à délirer sur les photos du club, sauna, hammam, coin câlin, etc. Mathilde porte, ce soir-là, une petite nuisette noire ras-la-moule, dont le haut est transparent. Ses gros seins ne demandent qu'à sortir de leur emplacement. Oui, parce que j'ai oublié de vous dire une chose importante. Mathilde n'est excitée que quand nous sommes chez les autres ou à l'hôtel. Et dans ces situations, elle est toujours très excitée. D'où l'idée, en partie, de l'emmener ailleurs qu'à la mai***, comme je lui ai déjà dit : elle aurait dû faire pute, jamais dans le même hôtel. Je vous avouerai que ça ne la fait pas vraiment rire.
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chrislebo
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Sa tenue m'excite vraiment, je m'aventure à sortir un sein et à le malaxer doucement, je joue avec le téton et me penche pour le prendre entre mes lèvres. Elle soupire. J'ai *** feu vert. Je sais quand elle en a envie. Ma main glisse entre ses cuisses qui s'ouvrent en grand comme par enchantement. Elle est déjà trempée. J'adore quand elle est dans cet état. Quand je vous dis qu'elle mouille, ce n'est pas un vain mot. Elle dégouline de mouille. Pendant que je lui bouffe les seins ma main gauche s'affaire à titiller *** microscopique clito, mais ô combien sensible. Instantanément, elle se cambre, sa respiration s'accélère, elle gémit. Elle adore ça. Je glisse entre ses cuisses et pose ma bouche en grand sur sa chatte. Doucement, je l'aspire, la lèche, la mordille. Elle grimpe comme une flèche et commence déjà à s'énerver. Une autre caractéristique particulière de ma femme, c'est qu'elle ne supporte pas les préliminaires. Ça la rend complètement dingue. Si vous vous aventurez à la tripoter trop longtemps, vous avez 99 chances sur 100 de vous faire violer. Alors, vous comprendrez que j'ai rarement l'occasion de lui bouffer sa belle grosse chatte qui est pourtant étroite, j'ai du mal à lui mettre deux doigts. Et déjà elle me tire les cheveux pour que j'arrête de lui lécher la chatte et que je vienne la baiser. — Dis donc ça a l'air de t'exciter tout ça. — Tout ça quoi ? — Bah le club. — Non c'est toi. — Allez va, regarde comme tu mouilles, cochonne. — Ne commence pas. — Commence pas quoi ? — À m'insulter. — Je t'insulte pas, je dis que t'es une cochonne. Regarde. Je glisse un doigt dans sa chatte puis deux et commence à la branler avec vigueur, elle démarre au quart de tour. Elle ferme les yeux, soupire, gémit. — T'as rai***, c'est pas une cochonne que t'es, c'est une petite salope. — Je ne suis pas une salope. — Si t'en es une, dis-je en m'enfonçant d'une seule poussée en elle. Selon une récente étude réalisée du 7 au 14 avril 2008, les Français auraient en moyenne les pénis les plus longs au sein de l'Union européenne, soit 15,48 cm et les plus épais avec 13,63 cm de circonférence, soit 4,34 cm de diamètre. Je n'ai pas une queue très longue, 16 à 17 cm mais par contre elle est plutôt large, genre 5.5 cm de diamètre. J'ai toujours du mal à la pénétrer mais alors, après je vous dis pas une fois dedans, je la dilate bien et elle adore ma queue épaisse. En principe les femmes apprécient plutôt bien. Enfin la mienne apprécie et c'est quand même l'essentiel. Cette entrée en matière, si l'on peut dire, lui fait pousser un petit cri qu'elle étouffe tant bien que mal. Elle n'est généralement pas très expressive au lit mais encore moins quand on n'est pas chez nous. À la missionnaire. Je descends doucement, centimètre par centimètre, jusqu'au fond, jusqu'à ce qu'elle grimace parce que je lui tape dans le fond. Me voilà bien au fond, je joue un peu en remuant puis ressors quasiment totalement, rejoue un peu avec le gland. Elle me griffe les fesses pour me tirer vers elle. Puis je recommence tout aussi lentement quatre ou cinq fois. Puis soudain je lui mets un grand coup. Puis un autre. Je me retire pour ne pas éjaculer trop vite et j'en profite pour lui mettre trois doigts, quand je vous disais que je la dilate bien, la branle vigoureusement. Elle se tortille, geint, soupire, elle va jouir. Puis je lui relève bien les jambes sur la poitrine, mes mains aux creux des genoux et là je me mets en position de pompe, ne tenant que par la pointe des pieds et les mains qui lui écrasent les genoux contre le torse. Elle me regarde dans les yeux, me défie. Je joue avec mon gland doucement à l'entrée de sa chatte, ça la rend folle. — Je vais te défoncer. — Oui, viens. — Demande-moi de te défoncer. — Viens. — Dis-le ! — Défonce-moi. Je me mets à la défoncer de tout mon poids (100 kg). Le lit craque un grand coup et là je lui imprime un tempo de fou. Ressortant quasiment complètement pour me renfoncer à fond. Je transpire comme un bœuf. Sa chatte fait des clapotis obscènes. Je lui déboîte sa grosse chatte de salope. C'est dans ces moments-là, quand je suis en manque, que je deviens fou, que ma per***nalité change. — Tiens, tiens, prends ça salope. Je te défonce bien la chatte. Hein salope. — Je ne suis pas une salope, dit-elle en hoquetant. — Si t'es une petite salope. Han, han, han ! — Nan. — Une grosse salope, je te baise et tu aimes ça. Je te défonce ta sale grosse chatte de salope. — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Puis je me lâche dans sa chatte en râlant, déversant toute ma semence dans *** con inondé de mouille. Nous roulons enfin sur le côté. Épuisés. — Salaud, tu m'as tuée. — Et moi je suis mort, à deux doigts de l'infarctus. T'es quand même un bon coup, c'est dommage de pas partager, c'est égoïste, je trouve. — T'es con. Allez, arrête de rêver. Dors Nous rions, nous nous embras***s comme des fous. Le reste des vacances a été plutôt calme, on n'en a même pas reparlé, même si déjà j'essayais d'échafauder un plan pour l'emmener dans cet endroit. Le chemin du retour sera parfait. Il faut que je regarde les heures d'ouverture afin de préparer notre retour et d'arriver au bon moment. Le club est apparemment ouvert le jeudi et ça m'arrange bien. De plus, c'est gratuit pour les couples. C'est décidé, je tenterai ma chance en passant devant.
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chrislebo
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La tentative réussie La capacité de Mathilde de partir en délire complet, de changer d'avis, de comportement, d'humeur du jour au lendemain, voire d'un moment à l'autre vient, en réalité, du fait qu'elle est cyclothymique. La cyclothymie est un trouble de l'humeur allant de la forme la plus légère à la plus grave, proche de la maniacodépression. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de l'humeur, qui oscille entre des périodes d'excitation marquée et de mélancolie profonde, entrecoupées de périodes de stabilité. Par exemple : un jour, nous sommes allés faire les boutiques de fringues. Ce n'est pas mon activité préférée, mais je m'y plie pour lui faire plaisir. Nous entrons dans un magasin, Mathilde prend quelques habits puis s'engouffre dans une cabine d'essayage. J'attends patiemment qu'elle m'appelle pour lui donner mon avis, mais au bout de cinq minutes, elle sort de la cabine comme une balle, reposant les fringues. Je lui demande ce qui se passe. Et là : — Y a rien qui me va. De toute façon, je suis un boudin. — Mais non, pourquoi tu dis ça ? — J'en ai marre. On rentre. Et voilà, la journée était terminée. Soixante kilomètres pour cinq minutes de shopping. Nous sommes rentrés, elle s'est fourrée dans le canapé devant la télé et ne m'a pas décroché un mot avant que *** cycle ne soit terminé. Ça a duré quatre bonnes heures. En vingt ans de mariage, j'ai des centaines d'exemples aussi fous les uns que les autres. Mais revenons à nos moutons. Nous y voilà, c'est le jour du grand départ. Il fait beau, chaud même, la voiture est prête, Mathilde est vêtue d'une robe d'été légère maintenue par deux petites bretelles ; et d'une paire d'espadrilles, un petit string et un soutien-gorge sans prétention. Je suis en jean, tee-shirt et baskets, tenue décontractée pour la route. Nous embras***s tout le monde et déjà, alors que Mathilde fait au revoir à tout le monde, mon esprit vagabonde. Un coup de coude bien placé dans les côtes me rappelle à la réalité. — Ouchh ! — Fais leur signe, bon sang. — Oui, oui... Quel fichu caractère ! Va falloir manéger la bête pendant presque quatre heures pour qu'elle arrive dans les meilleures dispositions. Le trajet se passe sans encombre ; la route est déserte. Durant le trajet mon esprit vagabonde. Par moments, j'imagine ma femme, une fois de plus, dans un monstrueux gang-bang en train de sucer des gros membres, de se faire défoncer par plusieurs hommes en même temps. Je me surprends à bander. Alors, je glisse ma main sous sa petite robe pour lui caresser l'intérieur des cuisses. Elle me regarde, sourit, ferme les yeux, me laissant la caresser tendrement. Ses cuisses ***t si douces. Je remonte encore et au moment où j'approche de sa chatte, elle serre les cuisses et me demande d'arrêter. Je sens cette rage monter en moi. Je ne peux comprendre cette sensation qui m'envahit. Nous sortons de l'autoroute. Il fait encore jour, nous roulons depuis quatre bonnes heures. Il reste 1 h 30 de route, il faut que je me lance. Nous y sommes presque, à peine quelques kilomètres. — Tu veux qu'on s'arrête boire un coup ? — Oui, ce serait pas mal, j'ai soif. T'as une idée ? Il n'y a pas grand-chose d'ouvert. — Oui, je ne sais pas. Écoute, on verra bien en route, on va bien trouver quelque chose. — Avec plaisir. La tension est à *** comble, je me sens transpirer, j'ai les mains moites. On y est presque, vingt kilomètres, à peine quelques minutes et on sera fixés. Je ralentis, j'aperçois la pancarte, je me lance : — Et si on s'arrêtait là ? — Où ça, là ? — Ben là ! Accompagné d'un signe de la tête, je désigne la pancarte qui grossit doucement. — Non, mais je rêve. Tu ne perds pas le nord. Tu l'avais prémédité. — Non ! dis-je en riant. — Tiens ! Mon œil ! Tu me prends pour une conne ? dit-elle en riant. — Mais non, mon cœur, tu me connais. — Oui, trop bien. De toute façon, ils ***t sûrement fermés. Même les obsédés prennent des vacances, dit-elle en éclatant de rire. — Ah bon ? Tu crois ? Moi je n'en prends jamais... Puis je tourne pour entrer sur le parking où déjà stationnent quelques voitures, de toutes marques et de toutes catégories. — Tu vois, eux non plus ne prennent pas de vacances. — Pfff ! L'atmosphère devient soudain pesante, lourde à mourir. Je me gare, coupe le moteur, regarde ma femme qui regarde le bâtiment, dubitative. — Bon, ben, on y est, dit-elle d'un ton excédé. Je te préviens, le premier qui me touche, je lui pète sa gueule. Le ton est donné. Va falloir marcher sur des œufs. Comme dirait l'autre : « ça va être chaud patate ». Chose que j'avais complètement zappée, c'est le coup du casier qu'on vous donne pour que vous puissiez vous changer. Quand ça m'est revenu, j'ai été pris d'une bouffée d'angoisse, j'ai cru défaillir. Mais bon ! Elle est sortie de la voiture, prête à y aller. Je risque plus rien, de toute façon les jeux ***t faits. Nous nous dirigeons vers l'entrée, je ***ne, une femme ouvre : — Bonsoir messieurs-dames. — Bonsoir. — Entrez. — Merci. Je laisse entrer Mathilde la première. — C'est la première fois ? — Oui, dis-je. Ça se voit tant que ça ? — Vous inquiétez pas, on a l'habitude. Faut un commencement à tout. Et là, Mathilde , — Oui ! Et une fin aussi ! dit-elle sèchement, en me regardant. Je me suis senti m'effondrer. La dame a ri aux éclats. — Bon ! L'initiative vient de Monsieur, apparemment. C'est souvent le cas. Je vais donc m'occuper de vous. Suivez-moi. Nous suivons donc cette femme qui porte un minishort noir avec une fine bande de strass sur le haut, laissant voir le galbe de ses fesses. En haut, un top à paillettes attaché derrière le cou avec un décolleté vertigineux et, entre les deux seins, un joli petit pendentif, le tout se terminant par une paire d'escarpins relativement hauts. C'est au moment où elle nous donne les clefs des fameux casiers que j'ai senti que ça allait, comment dire... merder. — Tenez, les clefs de vos casiers respectifs. Suivez-moi, je vais vous montrer. Puis vous me rejoindrez au bar, je vous ferai visiter. Avec les clefs, elle nous tend deux serviettes, ma femme reste bouche bée. Stupéfaite. — Faut se déshabiller ? — Oui madame, pour que tout le monde soit sur un pied d'égalité. Mathilde me jette, à ce moment-là, un regard qui se passe de commentaire. J'ai cru mourir, fusillé sur place. Nous allons donc, de plus ou moins bon gré, nous déshabiller et attachons nos serviettes. Moi autour de la taille, mon bidon par-dessus et ma femme autour de la poitrine sous les bras. La serviette s'arrête à mi-cuisses pour elle, heureusement elle est petite. Elle s'accroche à cette serviette comme à *** dernier souffle. Je suis plutôt complexé par mon ventre, depuis mon accident j'ai pris vingt kilos et je n'ai pas le courage de me remettre à faire du sport après presque deux ans d'arrêt. Mais bon, il faut montrer l'exemple, alors j'essaye de détendre l'atmosphère. — Je me demande où on va mettre la clé maintenant. Et, du tac au tac, la réponse fuse. — T'as qu'à te la foutre dans le cul, connard ! Une fois de plus, le ton est donné. — C'est délicat... vraiment. Elle éclate de rire et vient se coller contre moi en me souriant. J'étais sauvé et fier comme un « bar-tabac ».
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chrislebo
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Nous entrons donc dans la salle, une musique douce règne. Des couples, sur la piste, dansent doucement, d'autres sur les canapés, discutent, un ou deux hommes seuls au bar regardent le spectacle qui leur est donné. Nous approchons du bar et la dame nous réclame nos clefs afin de les garder au chaud. Voilà une bonne chose de faite. Un souci de moins. Puis on suit la dame qui nous promène de pièce en pièce et nous fait une visite guidée du club. Le hammam, le sauna, la piscine à bulles, les coins-câlins, etc. Elle nous offre un verre (sans alcool) au bar puis on discute, on papote. De tout, de rien. L'ambiance se décrispe, le contact entre Mathilde et cette femme est plutôt bon. J'en fais même parfois un peu les frais, essuyant quelques boutades par rapport à mon physique. Moi, j'en profite pour mater un peu l'étalage. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. Quelques vieux libidineux, un ou deux couples, pas très beaux d'ailleurs. Finalement, les plus belles restent encore ma femme et la patronne. Décidément, pas de bol. Le temps passe doucement, et j'en profite pour entraîner ma femme au hammam. Je sais qu'elle adore la chaleur. Il fait chaud et humide, on se voit à peine. Une forte odeur d'eucalyptus diffusée en brouillard. Tout cela nous amuse et on chuchote car nous ne sommes pas seuls. Effectivement, en face de nous, une femme s'active penchée en avant sur le membre d'un homme pendant que d'autres la tripotent sans vergogne. Les seins, la chatte, le cul tout y passe. Ma femme se colle à moi, ma main caresse sa cuisse doucement remontant vers sa chatte. Je masse doucement *** clitoris, insinuant un doigt dans *** intimité. Elle me serre plus fort, puis se met à respirer plus fort, plus vite. Les hommes, soudain, se succèdent derrière la femme en de rapides va-et-vient, laissant leur tour au suivant quand ils en ont apparemment fini. Une dizaine d'hommes défilent ainsi jusqu'à ce que l'homme qu'elle suçait jouisse dans un râle rauque. Ma femme soupire maintenant fortement, tremble fébrilement, fris***ne, attachée à mon bras comme une moule à *** rocher. Je la sens vulnérable. C'est le moment ou jamais de profiter de la situation. — Suis-moi ! Je me lève, l'entraînant hors du hammam, et je me dirige vers un coin-câlin. Un lit rond trône au centre de la pièce. Volontairement, je ne ferme pas la porte, je la jette sur le lit puis engouffre ma tête entre ses cuisses faisant voler la serviette au passage. Me voilà en train de lui dévorer la chatte comme jamais. Je bande comme un âne. J'en ai mal aux couilles tellement j'ai envie de la baiser. Mais je veux faire durer le plaisir, je veux qu'elle me supplie de la prendre, de la baiser, de la défoncer. Je continue donc à lui sucer, lécher, bouffer la chatte, mordillant *** clitoris gonflé, elle soupire fortement, gémit plus bruyamment que d'habitude. Puis je lui mets un puis deux doigts dans la chatte. Elle mouille encore plus que chez mes parents, elle dégouline de mouille dans ma bouche. Maintenant je la branle, en même temps que je lui suce le clito. Et enfin le moment que j'attendais tant arrive. — Baise-moi ! — Quoi ? — Baise-moi, j'te dis ! Elle me tire par les cheveux pour que je la prenne. — Dis-le plus fort — BAISE-MOI ! dit-elle, vraiment à haute voix. — Tu veux que je te baise comment ? — À fond. — À fond comment ? — À fond, comme une salope... Enfin, elle l'a dit. Je lève la tête et je vois que nous ne sommes plus seuls. Nous avons des spectateurs. Des hommes et une ou deux femmes ***t là à nous regarder, la patronne aussi qui me fait un petit signe de la tête pour m'encourager. Ils ne font pas de bruit pour ne pas briser la magie de l'instant. La situation me rend plus hardi. — Redis-le plus fort, je veux qu'on t'entende. — Baise-moi comme une salope. — Oui, je vais te baiser comme une salope que tu es. Et joignant le geste à la parole, je m'enfonce en elle en missionnaire de tout mon poids. Lui collant ma bite bien au fond de la chatte. Je tape dans le fond, elle grimace, exprime sa douleur par un : « AIE ! » Je ressors et recommence moins fort pour ne pas lui faire mal mais bien à fond quand même. Je bande dur comme jamais, excité par la situation. Je la baise à fond par de grands coups de reins. Ça glisse tout seul tellement elle mouille, elle râle, gémit. — T'aimes ça, salope ! T'aimes ça, te faire défoncer la chatte par une grosse bite (Faut bien se faire des fleurs) ! Avoue que tu aimes ça, espèce de grosse salope ! — Ouiiiii ! Et plus elle crie « oui », plus je la défonce. Puis je lui relève les jambes pour les mettre contre *** torse, les genoux bien contre la poitrine. Enfin, je la mets à quatre pattes, face à *** public et je la prends en levrette. D'elle-même, elle se cambre pour bien m'offrir *** cul. — Oui, vas-y. Cambre-toi bien, salope. Offre-moi ton gros cul. Tu vas faire une bonne pute, je vais t'enculer comme une chienne, je vais te défoncer le trou du cul. Putain. Je suis comme fou. Je me redresse, pointe mon sexe contre *** anus. — Vas-y, écarte bien ton cul. Avec ses deux mains, elle écarte ses fesses. — Oui, comme ça, c'est bien, t'es belle. Et après l'avoir bien lubrifiée de sa mouille, je m'enfonce doucement mais sûrement. En deux ou trois fois, je suis au fond de *** cul. Elle pousse un long râle de plaisir et de douleur plus ou moins mêlés. Une fois au fond, je reste un court instant sans bouger, puis commence à bouger doucement en lents va-et-vient. Je vois *** trou du cul s'ouvrir et se tendre sous la pression de ma queue et de mon poids. Je ressors complètement afin d'admirer le joli trou du cul qui palpite bien ouvert. Puis je m'y renfonce d'un coup. À fond, jusqu'aux couilles. Certains se ***t déplacés, afin de pouvoir admirer, eux aussi, le trou du cul dilaté de ma femme. Une fois bien dilatée, je me suis mis à l'enculer comme jamais je ne l'avais fait auparavant. Avec *****, lui claquant les fesses, vociférant, l'insultant copieusement. — Tiens, putain. Regarde comme je t'encule bien maintenant. T'as vraiment un cul de pute. Hein, que t'aimes te faire démonter le cul, pétasse ? Et là... ô surprise. Je n'en reviens pas. — Oui. Oui. Oui. Encule-moi fort. Vas-y, défonce-moi le cul. — T'es une pute. — Oui. Vas-y plus fort. Encore. Ouiiiiiii. Nous jouis***s en même temps. Nous nous effondrons sur le lit, épuisés. J'ai bien cru que mon cœur allait ressortir par la bouche et que j'allais crever là. Mais je m'en fous. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes. Ma femme a joui devant tout le monde. Et j'en suis la cause. Une fierté au-delà de ce qu'on peut imaginer. Oui, j'étais fier. C'est d'ailleurs tout aussi fier que je sortais du club, ma femme à mon bras, épuisée. Nous sommes remontés dans la voiture. Elle s'est instantanément endormie. J'ai bien eu du mal à finir la route. Nous nous sommes couchés en arrivant, sans un mot. Je pensais avoir gagné. Je me trompais lourdement. En gros lourdaud que je suis.
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chrislebo
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On remet ça Les jours qui ont suivi cet épisode furent bien longs. Pendant près de quinze jours, on s'est à peine parlé, de banalités en banalités nous nous sommes ignorés. Nous n'avons même pas fait l'amour. Jusqu'au jour où, n'en pouvant plus, j'ai pris mon courage à deux mains. Nous sommes mercredi. On se couche chacun de *** côté. Pas un mot pas un bruit. — Chérie ? — Oui ! — Qu'est-ce qui ne va pas ? — Bah rien ! — Je vois bien que ça ne va pas. — Pourquoi ça n'irait pas ? — Je ne sais pas, depuis l'autre jour, je te sens ailleurs. — Tu as eu ce que tu voulais. Non ? Alors me fais pas chier. Je restais un peu abasourdi sans comprendre pourquoi elle réagissait de la sorte alors qu'elle avait joui comme une folle. — Ça ne t'a pas plu ? — Si. — Eh bien alors ? — Eh bien alors... J'ai joui comme une folle oui. Mais tu m'as traitée de tous les noms et je déteste ça. — Tu as joui, ce n'est pas l'essentiel ? On ne connaissait per***ne. Qu'est-ce que ça peut faire ? On y est bien allés pour ça, non ? Et là, elle éclate de rire. Je ne comprends plus rien. — Non ! Je te rappelle qu'on s'était juste arrêtés boire un coup et que pour le coup c'est toi qui m'en as mis un. Et quel coup mon salaud ! — T'es vraiment cinglée ! — Et toi t'es vraiment trop con. Elle se jette sur moi et se met à m'embrasser comme une folle. Puis, elle descend le long de mon torse poilu, doucement, me mordille les tétons, j'étouffe un cri de douleur. — La ferme ! Salaud ! Ce soir t'es à moi. — Oui, mon amour. Elle continue sa descente et prend mon sexe directement dans sa bouche. Elle commence une fellation terrible. Elle ne m'avait jamais sucé comme ça. Sa bouche monte et descend sur ma queue qui devient raide en rien de temps, elle me pompe à fond, aspire ma queue, me malaxe les couilles. Je passe mes mains dans ses cheveux et commence à lui imprimer un mouvement de plus en plus ample lui baisant la bouche. — Ahhh la vache, tu suces trop bien. Tu l'as bien dans la bouche là, hein ? Hummm oui... Ohh putain je vais pas tenir. En entendant ça, elle accélère le va-et-vient aspirant encore plus fort. Je sens que je vais exploser. — Ahh putain, arrête. Je vais jouir. Ahhh salope... Ouiiii ! J'explose enfin dans sa bouche. Elle avale tout. Il lui en reste un peu au coin de la lèvre. Elle ramasse avec sa langue puis vient m'embrasser. Je lui rends *** baiser, qui n'a pas un goût terrible soit dit en passant. Nous restons un moment enlacés. Et c'est par excès de confiance que j'ai osé poser la question fatidique. — Tu veux qu'on y retourne ? — Où ? — Bah au club ! — Tu crois ? — Pourquoi pas ? Ce n'était pas si mal. — Oui c'est vrai, mais je ne sais pas si c'est une bonne idée. — On fait comme l'autre fois ni plus ni moins. — D'accord ! Puis elle se retourne et éteint la lumière. Impossible de dormir. Quand allons-nous y retourner ? Comment allons-nous réagir ? Que va-t-il se passer ? Toutes ces questions se ***t bousculées dans ma tête toute la nuit. Ça faisait quinze jours que je n'avais pas baisé et à nouveau je ressentais ce besoin de l'avilir, de la voir se faire traiter comme une moins que rien. Une fois de plus j'étais prêt à tout pour baiser. Comment expliquer le fait que quand je suis en manque de sexe, c'est ma femme que j'ai envie de voir se faire baiser ? Je ne comprends pas ce processus. Un jeudi. On se met d'accord pour prendre une journée afin d'y retourner. On se dit qu'en semaine il y aura moins de monde et pas forcément trop d'hommes. Nous sommes jeudi. Grasse matinée, petit déjeuner, petit resto, balade en ville et enfin retour à la mai*** pour se préparer. J'ai commandé à ma femme une petite tenue très sexy pour notre sortie. C'est une robe noire très décolletée et fendue jusqu'en haut des cuisses, des talons assez hauts (10 cm) et un micro string ficelle noir transparent qui ne cache pour ainsi rien presque rien de sa belle chatte. Elle se prépare dans la salle de bain. Comme souvent, elle se rase la chatte laissant juste un petit ticket de métro comme on dit. Puis elle débarque dans la chambre. Elle veut essayer les habits que je lui ai achetés, ça lui va plutôt bien. Bien qu'un peu juste la robe lui moule parfaitement les seins et les fesses, les mettant merveilleusement en valeur. Seul petit hic, impossible de mettre de sous-vêtements sans que ça se voie. — Chéri t'aurais pas voulu être un peu trop flatteur ? dit-elle en riant. — Pourquoi ? — Ben, viens voir. — Je rentre dans la chambre et je la vois habillée, le string et le soutien-gorge marquant la robe par-dessous. Une horreur. Nous éclatons de rire. Un fou rire à se pisser dessus. Un rire nerveux à n'en pas douter. — Je pensais mettre des dessous coquins mais là je crois que c'est cuit. Dit-elle. — Ouais c'est clair. Mais bon. On s'en fout t'en auras peut-être pas besoin. — Ouais. Ouais. Ne commence pas à te faire des films, gros. — Un gros ? Où tu as vu un gros ? Qui est-ce qui est gros hein ? dis-je en faisant mine de regarder de droite à gauche. Je m'approche d'elle par-derrière et la mets face à la glace, mes mains passent sur la robe sous ses seins, je les soupèse, les caresse, aussitôt les tétons apparaissent sous le tissu. — Qu'est-ce que tu es belle ! Elle me sourit. — Tu as une paire de seins magnifique, dis-je en lui pelotant les seins fermement. Elle ferme les yeux. — Non, regarde-toi ma belle, regarde comme tu aimes qu'on te touche. — Ouiii ! soupire-t-elle. Je bande comme un fou. — Suce-moi. Maintenant. Sans discuter, elle s'accroupit, la fente de sa robe me laisse voir ses cuisses nues, ses hanches larges. Oh ! Mon Dieu, qu'elle est belle ! Elle extirpe mon sexe à demi bandé de mon pantalon et l'enfourne dans sa bouche entièrement. Je pousse un soupir de contentement, puis elle commence à me pomper, ma queue gonfle à vitesse grand V. Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps à ce train-là. Elle me presse les couilles, tire sur le manche et je m'envole au Paradis. En moins de deux minutes, je lui lâche tout dans la bouche. Elle avale tout, se relève le sourire narquois, comme si elle venait de gagner une bataille. Elle éclate de rire. Finalement c'est vêtue uniquement de la robe fendue et de ses talons que nous prenons la voiture, il faut une bonne heure pour y aller. Le trajet se passe bien et en silence, j'en profite pour glisser une main sur sa cuisse lisse et la câliner. Sa petite faveur a calmé mes ardeurs. Nous y sommes. La tension est maintenant palpable. Je ***ne. La femme de l'autre fois nous ouvre et nous reconnaît. — Bonsoir. Heureuse de vous revoir. Entrez ! Nous discutons puis nous nous dirigeons vers les fameux casiers en riant et en plaisantant. Nous sommes finalement plutôt détendus. Nous rejoignons le bar et nous nous installons sur les grands tabourets. Mathilde laisse la serviette découvrir ses cuisses. Elle a gardé ses talons. La vue de ses jambes me trouble. Les hommes la regardent et ça aussi, ça me trouble énormément. Je me surprends même à bander légèrement.
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chrislebo
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La soirée défile doucement, nous dan***s. Certains couples se forment dans les coins, d'autres se tripotent discrètement. Je profite d'être sur la piste pour passer ma main sous sa serviette et caresse doucement ses fesses. Lentement, je passe un doigt dans sa raie et viens titiller *** petit trou discrètement. Elle me sourit et vient se blottir contre moi. On ne bouge quasiment plus, elle se laisse faire. Mon doigt appuie parfois plus fort sur sa rosette pour l'assouplir. Puis je passe derrière, elle se colle contre mon corps, mes mains caressent ses seins au travers de la serviette. Je bande, elle le sent contre ses fesses, qu'elle remue doucement puis mes mains descendent doucement sur ses hanches puis sur ses fesses, je repasse devant, entrouvre la serviette et doucement pose un doigt sur *** clitoris dévoilant plus ou moins *** sexe à la vue de ceux qui ***t en face. Elle a glissé une main entre nous et me caresse la bite. Je sens ma fureur sexuelle monter. Une fois de plus, je me sens devenir fou. Mon cœur accélère, ma respiration s'affole. J'ai envie de la jeter par terre, de la baiser jusqu'à l'os, de l'insulter, de la faire gueuler, crier, de la traiter comme une pute, une chienne. Je crois que je deviens fou. Pour me calmer, je retourne au bar la laissant se dandiner sur la piste où quelques hommes et couples nous ont rejoints. Je bande comme un salaud et ça se voit. Je suis gêné. Un homme s'approche d'elle et l'invite à danser. Il est fin, élancé, maigre même. Certainement d'origine maghrébine, vu *** teint de peau et *** visage, il fait plus jeune. Un peu plus de la trentaine. Il est apparemment seul. Une fois de plus, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Décontractée elle se laisse faire. Ils dansent doucement langoureusement au *** de la musique. Je les regarde, ça m'énerve de les voir comme ça et voilà que ça me reprend. Je l'imagine à quatre pattes en train de le sucer pendant que je l'encule. Cette vision me dérange, m'effraie. Mais je patiente, j'ai très envie de voir ce qu'il va se passer. Ils dansent l'un contre l'autre, il lui parle dans l'oreille. Elle rit. Les mains de l'homme s'égarent sur ses fesses. Elle ne lui a pas pété sa gueule comme elle l'avait suggéré la dernière fois. Étrange. Prendrait-elle goût à la situation ? Incroyable. J'ose à peine y croire et pourtant c'est bien ce que j'attendais, non ? Je ne sais plus. Je ne sais plus si c'est ce que je voulais qu'il arrive ou si j'aurais préféré autre chose. Je deviens fou sans doute. Qu'est-ce qu'on fait là ? C'est bien moi qui l'ai entraînée. Oui, c'est ça que je veux. Je veux qu'elle devienne ma chose. Mon objet sexuel. Je veux enfin en faire ce que je veux. Blottie dans ses bras, elle se laisse peloter les fesses sans aucune gêne. Je suis sûr qu'elle mouille. Puis elle jette un regard au moment ou leurs lèvres se frôlent. Soudain, je me lève, me dirige vers ma femme. — Viens, je veux te baiser. Dis-je à haute voix. J'entraîne ma femme, qui a l'air surprise, dans le coin câlin ou nous étions la première fois. Suivi discrètement par l'homme avec lequel elle dansait. Je la jette une fois de plus sur le lit et me jette sur elle, je lui bouffe les seins qui ***t bandés, tendus, je les mordille. Elle crie de douleur. Mais je persiste. Elle gémit, soupire. L'homme est sur le bord du lit mais je fais mine de l'ignorer. Me disant que si je l'ignore, il s'en ira. Mais je suis trop con et j'oublie la phrase culte : « Qui ne dit mot consent. » Ma femme a les yeux fermés au moment où je m'introduis en elle, je veux la baiser. Mais aucun mot ne peut sortir de ma bouche. J'ai envie de la traiter de tous les noms. Mais je n'y arrive pas. L'homme assis sur le bord du lit m'empêche de m'exprimer. Il m'agace d'être là à nous regarder. Quand sa main vient s'emparer d'un sein de ma femme, tout en me regardant dans les yeux, je suis au bord de la folie. Il insiste et maintenant pétrit franchement *** sein en jouant avec le téton. Ma femme, toujours les yeux fermés, pense sans doute que c'est moi qui lui prodigue cette caresse ou peut-être est-elle très consciente que ce n'est pas moi. Cette idée me rend dingue. Mais je n'arrive pas à l'empêcher de faire ce qu'il fait. Puis sa bouche s'empare de *** autre sein. Elle ne peut maintenant plus ignorer que ce n'est pas moi. Il lui suce le téton, pince l'autre entre ses doigts. Il bande. Sa queue est longue et fine. Mathilde gémit, soupire, elle prend *** pied. Alors que je la baise à fond, je transpire. Puis tout s'accélère. L'homme approche sa queue de la bouche de ma femme. Lui pose le gland sur ses lèvres. Toujours les yeux fermés, je la vois entrouvrir les lèvres et le sexe s'enfoncer dans sa bouche. Elle le suce. Il gémit. Moi je ralentis profitant du spectacle. Si je fais deux allers-retours de plus je jouis. Je sors et enfile trois doigts dans sa chatte et la branle sans ménagement pour la maintenir sous tension, je triture *** clitoris de l'autre main. Je bande tellement que je crois que ma queue va exploser. Et finalement c'est lui qui se met à l'insulter. — Oh putain oui qu'elle est bonne sa bouche ! Elle suce comme une reine cette salope. Quel bol tu as ! L'accent de l'autre ne trompe pas. L'accent des cités renforce fortement la scène. Mathilde se met à le sucer plus activement. *** accent l'exciterait-elle davantage ? L'idée de se faire sauter par un jeune des cités lui plairait-elle ? Elle qui comme les femmes un peu bourgeoises en a peur ? Et moi ? Que dois-je faire ? Et le voilà qui remet ça. — Ouais, vas-y comme elle suce trop bien ta femme. Sa bouche, elle est vraiment trop chaude. T'as trop bien fait de revenir, elle m'a trop excité l'autre jour. Hummm. Oui vas-y pompe ma queue salope. Il me tutoie. Je n'en reviens pas, mais je comprends mieux *** comportement, il devait faire partie des spectateurs et vu comme j'avais insulté Mathilde, il ne se gêne pas pensant que finalement elle apprécie. D'autorité, je la mets à quatre pattes. Ma femme ouvre les yeux pour chercher la queue qu'elle suçait et se jette dessus. Je n'en crois pas mes yeux. Elle accélère et le prend en main. D'une main, elle lui malaxe les couilles et de l'autre elle le branle en le suçant. Et le voilà qui recommence me prenant à témoin. — Oh la vache, elle m'aspire la queue comme une folle la « tepu ». Elle adore ça, la bite, hein ? Je suis incapable de répondre et je me remets à la baiser bien à fond dans la chatte. Puis il continue. Il m'excite ce con à parler comme ça de ma femme. — Humm oui, que c'est bon ! Vas-y défonce-la. Défonce-la bien, fais-la gueuler cette chienne ! — Oui je vais la faire gueuler. Je me mets à lui claquer les fesses. — Oui vas-y bourre-la. Il lui maltraite les seins pendant qu'elle le suce à fond. Il tire sur les tétons. Elle grimace de plaisir. Elle relâche la queue de temps en temps pour m'encourager : — Oui... oui... défonce-moi ! Ouiii. Plus fort. Elle dégouline de mouille sur ma queue, ma queue fait des bruits obscènes dans sa chatte. Je ne l'ai jamais vue dans cet état. J'accélère, lui mettant de grands coups de bite, la percutant le plus fort possible. Elle va jouir, je la connais, je lui enfonce mon pouce à fond dans le cul. Elle rugit, quand l'orgasme la submerge. Moi aussi je vais jouir. Dans un râle, il éjacule dans sa bouche la tenant par les cheveux. — Ouiiiii prends tout, pétasse. Tiens, prends tout dans ta bouche. À ces mots, je me colle au fond de sa chatte et j'éjacule. Elle est secouée de spasmes. Mathilde déglutit, tant bien que mal, le foutre de cet inconnu pendant que je finis de me vider en elle. Puis il ressort sa queue de la bouche de Mathilde, nous remercie et s'enfuit discrètement. On s'effondre une fois de plus sur ce lit. J'ai un mal de chien à respirer, Mathilde aussi apparemment. Je suis hors de moi. Comment ma femme a-t-elle pu sucer un inconnu ? Je n'en reviens pas. Quelle salope ! Non mais ce n'était pas prévu comme ça. Elle est folle. Rapidement et sans un mot on se douche, on se rhabille et on rentre à la mai***. Dans la voiture elle dort. Moi je n'en reviens toujours pas. Elle ne perd rien pour attendre. Jusqu'où serait-elle capable d'aller ? Il faut que je le sache, que j'en aie le cœur net. À suivre...
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chrislebo
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Depuis l'aventure du club, je fais comme si de rien n'était. Mathilde a paru un peu gênée au début, le lendemain surtout, mais rapidement elle s'est détendue. Contrairement à la première fois, tout est très vite redevenu normal. Comme si rien ne s'était passé. Il fallait que je sache jusqu'où elle serait prête à aller. Quelle histoire devrais-je encore mettre au point ? Puis soudain l'idée m'est venue comme ça. J'allais faire venir un homme à la mai***. Je ferais tout pour les mettre en situation et nous verrions comment elle réagit. En fonction, je serais fixé, et je pourrais alors poser mes conditions et la prendre en main comme je l'ai toujours espéré. Je décide donc de m'inscrire en tant qu'homme sur un site de rencontres. Je choisis un site plutôt orienté rencontre d'un soir, de sorte à trouver des hommes vraiment accros, expérimentés et surtout très cochons. Je veux vraiment la pousser dans ses derniers retranchements en prenant un homme qui saura peut-être déclencher en elle le démon qui sommeille, me permettre enfin de profiter pleinement de ma femme et de *** corps. Un homme qui recherche un autre homme pour sa femme, c'est, je pense, toujours plus intéressant, pour les pervers qui traînent. Je sélectionne donc quelques photos d'elle, habillée pour la plupart ou légèrement vêtue. Il me faut maintenant trouver une annonce aguicheuse. Après quelques heures de recherche en lisant d'autres annonces, je griffonne une annonce puis l'améliore. Voilà elle est prête. Homme 40 ans, marié, recherche pour sa femme, 50 ans, homme, 55 - 60 ans, très expérimenté pour la séduire et lui faire l'amour. Femme plutôt BCBG, mais coquine et volontaire. Hommes fortement membrés appréciés. Merci de bien vouloir faire suivre photos. Pourquoi avais-je parlé de coquine, volontaire ? Sans doute pour justement qu'il y aille franco. Pas de fioritures. Je voulais un mâle, un vrai. Je voulais qu'il la séduise et qu'elle se donne à lui corps et âme. Les réponses n'ont pas tardé à pleuvoir. Deux cents mails en trois jours. J'ai commencé par trier par âge enlevant tout les moins de 55 ans. J'ai réussi à mettre des filtres sur ma messagerie pour que seuls les profils correspondant à ma recherche puissent m'écrire. Tout s'est rapidement calmé. J'ai ensuite éliminé ceux qui n'avaient pas envoyé de photos. Il ne me restait finalement qu'une dizaine de profils. J'ai ensuite doucement trié pour finalement rester sur un profil intéressant. Ce profil m'a vraiment beaucoup surpris et intrigué : Je m'appelle Bernard, j'ai 65 ans, photographe de charme professionnel à la retraite, mobile et expérimenté. Je me propose de vous aider à débloquer votre femme pour en faire la salope dont vous rêvez. En bonne condition physique et bien membré, je saurai lui faire apprécier le plaisir qu'on peut prendre à se donner sans contrainte, sans tabou et sans honte. La photo le présentait en costard, légèrement bedonnant et dégarni, pas un top-modèle mais une certaine classe qui ne laissera pas Mathilde indifférente, j'en suis sûr. Puis il me parle de ma femme en des termes très polis puis très crus disant qu'elle a une belle bouille de suceuse qu'elle doit bien prendre et que je fais bien de la prêter car ce genre de femmes, et il a l'œil dit-il, aiment la queue et il faut leur en donner. Enfin, je tombe sur la photo de *** sexe en érection. Un bel engin. Assez long mais Bon Dieu vraiment large avec un gros gland. Mon dévolu se posa sur lui, encore faut-il que je sache où il habite et s'il se sent capable de rentrer dans mon délire et participer à mon stratagème. J'apprends au final qu'il est veuf et qu'il passe *** temps à batifoler de droite à gauche. Rapport toujours protégé, il est sain. Pendant plus d'une semaine nous avons conversé par mail. Nous échangions des photos, pour sa part, de modèles plus ou moins, voire pas du tout connus. Certaines photos étaient même à caractère pornographique. Il m'avoua avoir, à une certaine époque, travaillé pour un metteur en scène porno dont il refusa de me donner le nom et finit par concéder avoir vu grand nombre de castings, prises de vues et scènes aussi hard les unes que les autres. Je lui fis parvenir quelques photos volées, à l'occasion, en nuisette ou en maillot de bain. Il me dit que Mathilde était très photogénique et que, bien qu'à la retraite, il avait gardé un petit studio dans sa mai*** d'Arcachon et qu'il était toujours aussi mordu de photographie investissant encore dans du matériel de haute qualité et que ce serait avec plaisir qu'il ferait un petit book à Mathilde, en ma présence bien évidemment. En confiance, je lui racontai nos deux escapades, comment elle avait réagi, ce qu'elle aimait, etc. J'ai pris beaucoup de plaisir à parler de Mathilde avec Bernard. Jamais je n'avais aussi peu pensé à faire l'amour avec Mathilde. Puis vint le jour où je lui ai soumis de mettre en place notre rencontre. Voilà le plan : Nous avons pas mal d'amis et nous sortons régulièrement en boîte. J'organise donc une soirée, resto, bar, boîte avec évidemment un capitaine de soirée qui passera nous prendre et nous ramènera. Donc pas de voiture, on pourra boire tranquillement. Mathilde adore faire la fête. Elle aime boire et quand elle boit ses inhibitions disparaissent comme par enchantement. Souvent nous avons failli avoir des ennuis parce que justement elle n'a plus aucune limite quand elle a trop bu. Même si depuis quelques années elle s'est calmée, il n'en reste pas moins que parfois le naturel revient au galop. Nous convenons donc de nous rencontrer en boîte de nuit samedi prochain. Il est d'accord, le rendez-vous est fixé. Le soir même, je dis à Mathilde, ravie, que nous avons rendez-vous en boîte avec des amis ce week-end. Mathilde adore faire la fête avec ses copines. J'organise tout ça tranquillement. L'air de rien. Le samedi arrive, doucement ma femme s'apprête, je l'encourage à mettre une tenue un peu sexy pour l'occasion. Elle opte finalement pour les chaussures à talons de l'autre fois, une paire de bas noirs, *** micro string et une jupe mi-cuisse légère. Un petit chemiser blanc translucide assez décolleté où l'on aperçoit ses tétons au-dessus des demi-bonnets du soutien-gorge dentelle que je lui ai offert et qu'elle rechigne à mettre. Et nous voilà partis. Arrivés en boîte nous retrouvons nos amis. Je me mets en quête de mon apollon. Je trouve un coin discret et calme et l'appelle sur *** portable. Il me dit qu'il est en route, il sera là dans dix minutes que je le retrouve à l'entrée. Dix minutes paraissent des heures. Je ne cesse de regarder ma montre. Ma femme boit et s'amuse comme une petite folle. Elle tourne à la vodka-orange, moi au whisky-coca. Elle ne supporte pas super bien les alcools forts, et rapidement elle est un peu éméchée. Dans ces moments-là, elle est très amoureuse et très tactile. Elle me colle, m'embrasse, elle est chaude, je le sens. Elle colle aussi nos amis leur passant la main sur les cuisses ou dans le dos sans même une arrière-pensée. Je ne bois pas trop, je veux rester maître de la situation. Je m'approche de l'entrée, j'attends un moment puis le voilà qui entre habillé plutôt classe. Je lui montre rapidement où nous sommes placés et laisse libre cours à sa méthode d'approche. Ça me permettra de le tester et ainsi de voir ce qu'il vaut. Le voilà parti sur la piste de danse, il attrape une amie de ma femme et la fait danser, elles rigolent, dansent, il sait y faire, c'est sûr, il danse super bien, l'ancien. Mathilde adore danser, sa jupe virevolte laissant parfois apparaître le haut de ses bas. Puis arrive une séance de slows. Mathilde déteste ça. Les filles, elles ***t trois, invitent notre homme à venir boire un verre sans doute pour le remercier de les avoir si bien fait danser. Je dois avouer que la chance a joué en ma faveur cette fois, il leur a plu de suite. Nous sommes entre mecs, on papote et on picole tranquillement. On le salue, lui serre la main, nous discutons tous ensemble comme si de rien n'était. Le temps passe et la soirée tire à sa fin, nous rions tous de bon cœur, Bernard fait danser les filles, je danse aussi un peu et Mathilde est maintenant à point, elle n'arrête pas de me faire des bisous. Elle a une pêche d'enfer, ça fait longtemps que je ne l'avais pas vue aussi joyeuse. Une dernière danse avec Bernard, elle est accrochée à *** cou comme une bernique à *** rocher. Ses mains à lui se baladent sur sa jupe, sur ses fesses. Elle ne dit rien, c'est qu'elle est à point. Tant mieux. Finalement tout le monde se prépare à rentrer. Bernard nous propose de nous ramener évitant ainsi un détour à l'un de nos amis. On accepte avec plaisir. Bernard nous précède et c'est une superbe BMW série 7 qui nous attend.
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chrislebo
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— On ne se refuse rien ! dis-je jaloux. J'aime les belles voitures et j'ai presque failli gaffer en parlant de *** métier alors que j'étais censé ne pas le connaître. C'est le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui m'a empêché de finir ma phrase. — Oui depuis le décès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et j'ai la chance d'avoir bien préparé ma retraite. Je fais monter Mathilde derrière qui malgré *** désintérêt total pour l'automobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je n'en croyais pas mes yeux. J'aurais donné n'importe quoi pour avoir la même. Arrivés devant la mai***, il est déjà 4 h 30 du matin, Mathilde, bien éméchée, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, j'acquiesce, Mathilde me félicite de cet élan de savoir-vivre qui ne me caractérise pas, surtout à cette heure. Bien sûr il accepte. Mathilde sourit et dit : — Allez, champagne pour tout le monde. Bernard éclate de rire, détendu et serein, comme si tout était normal. — Quelle santé ! dit-il. Il l'attrape par la taille et l'accompagne jusqu'à la porte d'entrée. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sûr de mon coup. Elle ne cédera pas, malgré l'alcool, je suis sûr qu'elle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde s'installent dans le canapé pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et on commence à discuter de tout de rien. Des enfants, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard détailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontée et laisse voir la lisière de ses bas, elle a défait un bouton de *** chemisier, offrant une vue imprenable sur *** décolleté. Bernard n'en perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me détendre. Bernard saute sur l'occasion pour la faire danser. Décidément, il est vraiment doué pour s'attirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacés doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses épaules. Il caresse le haut de ses jambes, *** dos, lorgnant franchement dans *** chemisier. — J'adore votre soutien-gorge. J'adore ces soutien-gorge qui n'enveloppent que le galbe des seins et laissent libres les tétons, dit-il — C'est mon mari qui me l'a offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insisté pour que je le mette aujourd'hui, répond-elle en rougissant. — Eh bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goût et il a bien eu rai***, car il vous va à ravir. Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans même un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer davantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de rai***. Quand ils reviennent, j'ai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me décide à lancer les hostilités. — Et votre femme ? Surpris pas la question. Il me fusille du regard. — Non mais t'es con ou quoi ! éructe Mathilde. Je suis navrée, mais l'alcool le rend complètement idiot. — Ce n'est pas grave, je vous ai dit tout à l'heure, mais vous n'avez sans doute relevé qu'elle était décédée, dit-il en me souriant, comprenant que je venais, malgré moi, de le faire entrer dans le cœur de Mathilde. — Ça fait maintenant dix ans, mais il en reste toujours quelque chose. — Ça doit être dur de vivre seul non ? demande Mathilde. — Vous savez ? Je m'occupe, j'ai beaucoup d'activités, j'aime rencontrer des gens nouveaux comme ce soir. Il profitait de la situation. Je lui avais raconté notre petite expérience. Je sentais l'affaire m'échapper, j'étais saoul et j'ai voulu faire le malin. — Vous allez en club échangiste ? — Oui ! Ça m'arrive de temps en temps. Quand je me sens seul. — Ah oui. Nous aussi nous y somme allés. Deux fois. N'est-ce pas, chérie ? Mathilde, une fois de plus me fusille des yeux. Cette fois, je crois que je me suis grillé tout seul. Et pourtant, imbécile et alcoolisé j'insiste. — Bah quoi ? Y a pas de honte. En plus t'as aimé ça, il me semble, non ? Surtout la dernière fois. — Mais tu vas la fermer ! — Allez quoi, raconte à Bernard, il sait ce que c'est ! Je ricane. — Oui Mathilde. Racontez-moi. — Sûrement pas. — Allez quoi... fais pas ta mijaurée ! dis-je. — Fous-moi la paix. Mathilde est écarlate, rouge vif, gênée, et pourtant j'en suis sûr, excitée. Bernard vient à *** secours. — Laissez tomber. Allez venez danser. Mathilde se lève et se love dans ses bras comme une pauvre petite chatte, me jetant au passage un regard assassin dont elle en a le secret. Moi, plein comme un âne, je lui fais un clin d'œil. Finalement. Je finis par m'éclipser dans la cuisine, je ramasse les assiettes qui traînent dans l'évier et les mets dans le lave-vaisselle. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il fallait que je me change les idées. J'avais le cerveau embrumé par l'alcool que j'ai bu trop vite. Puis, je me suis souvenu que Mathilde dansait avec Bernard. Je ne sais pas combien de temps s'est écoulé, mais je reprends un peu mes esprits en me disant que j'ai peut-être bien jeté ma femme dans les bras de cet homme avec mes réflexions idiotes. Je décide donc de les épier. La porte de la cuisine entrouverte, ils ne peuvent pas me voir. Je les vois tout aussi bien que je les entends. Je suis bien placé. — Alors comme ça, Mathilde, vous avez aimé vous rendre dans ce club ? — Oui, j'ai trouvé ça étrange et à la fois excitant, dit-elle timidement.
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chrislebo
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Voilà qu'elle se confie. Je n'en crois pas mes oreilles. Je m'appuie doucement contre le mur afin d'observer la scène confortablement. — Vous avez aimé être vue et touchée par d'autres ? Vous avez fait l'amour avec d'autres hommes ? — Non, dit-elle. — Qu'avez-vous fait ? — Je l'ai... je l'ai... juste une fellation. — Oh Mathilde que vous êtes belle comme ça, toute timide. On vous donnerait le Bon Dieu sans confession. Elle rit, et se serre un peu plus contre lui. Elle est rouge comme une pivoine, signe caractéristique qu'elle est bien attaquée niveau alcool. Je crains le pire et pourtant m'interdis d'intervenir. J'essaye de me rassurer. Ce n'est pas possible, tout va bien se passer. Et pourtant, la voilà dans ses bras. En train de se confier à un inconnu alors qu'elle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant légèrement la jupe puis la laissant redescendre. Et moi je mate. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottit sa tête dans *** épaule. Le voilà maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse *** dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprécie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zook, elle a ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de l'oreille, tout en l'embrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle fris***ne. Par-dessus *** épaule il a une vue plongeante sur *** décolleté. — Vous avez une poitrine magnifique, Mathilde. Et joignant le geste à la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur *** ventre et viennent se caler sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les presse doucement. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il déboutonne doucement *** chemisier laissant apparaître *** soutien-gorge où les tétons ***t à nu. Délicatement, il les frôle qui durcissent instantanément. Puis, d'un geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ça a pour effet de faire bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors à masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tétons qui pointent comme jamais j'ai vu ça. Ils ***t vraiment bien sortis. Elle est vraiment excitée. Moi je commence à bander. J'en reviens pas et pourtant je suis fasciné, impossible de bouger. — Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ? Il la tutoie maintenant. — Il me prenait, dit-elle. — Tu as bien joui ? dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois s'agite de plus en plus rapidement. Il dépose de petits baisers dans le cou de Mathilde qui semble apprécier en inclinant légèrement la tête. Il presse les seins fermement attendant une réponse qui tarde à venir. — Oouii, dit-elle dans un souffle court. Elle ferme les yeux au moment même où les mains de Bernard se referment sur ses seins. — Oui, tu as bien joui petite coquine. Tu as aimé le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant davantage ses gros seins. — Oouii... Sa voix se fait plus troublée, haletante. Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais qu'elle adore ça. Ça la rend folle. Je suis comme dingue devant se spectacle, je bande comme un âne. Décidément l'âne me caractérise à merveille ce soir : Âne bâté, Bandé comme un âne, Plein comme un âne. Un festival. D'un geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dévoilant sa peau nue au-dessus de ses bas et *** mini string et pendant qu'une main continue de travailler un sein, l'autre s'insinue entre ses cuisses. D'une main experte, il pose la main à plat sur la chatte de Mathilde et fait une pression à l'endroit de *** clitoris. Je la vois se tétaniser. Elle pousse un soupir, il prend ça pour un encouragement et écarte le string et enfile un doigt dans la chatte déjà humide. À ce moment-là, je comprends qu'elle a cédé. Elle a complètement oublié ma présence. Elle s'offre à cet homme qu'elle ne connaissait pas il y a quelques heures. Il la branle doucement, un doigt sur *** clito. Elle se dandine doucement frottant *** cul contre *** sexe et il lui pétrit les seins sans ménagement, franchement, et elle apprécie. Mathilde respire fort. Ils ne dansent plus. Il lui malaxe un sein et tient un doigt dans sa chatte. Debout. Elle a écarté légèrement les cuisses pour lui laisser libre accès. *** string est maintenant au sol. Il lui masse la chatte sans vergogne. Insinuant tour à tour un puis deux doigts dedans. Il la dirige vers la table basse et la penche en avant. Mathilde par réflexe pose les mains sur la table trop basse, ses seins pendent dans le vide et *** cul est bien cambré. Bernard derrière relève la jupe et commence à lui bouffer le cul. Je le vois laper la chatte jusqu'à l'anus. Elle soupire, gémit, souffle. Moi, j'ai sorti ma queue et me masturbe devant se spectacle dont je ne comprends pas les enjeux. — T'aimes ça qu'on te bouffe le cul ! Hein ma belle ? — Oouii, dit-elle dans un soupir. — Tu vas voir je vais bien te faire grimper aux rideaux, lui dit-il en lui fourrant deux doigts dans la chatte. — Ahhh — Humm oui, tu dégoulines bien. Coquine. Sortant ses doigts pleins de mouille il les remet et commence à les tourner dans la chatte en faisant des va-et-vient. — Ahhh, ahhh, ahhh, fait-elle timidement. — Mais quel cul t'as ! Un bon gros cul. J'adore ça ! dit-il en collant sa langue dans l'anus. — Ohhh !
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chrislebo
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Mathilde remue *** cul pour mieux sentir les caresses, les seins ballottent au rythme de la pénétration. — Tu vas voir, je vais bien te dilater tes trous avec ma grosse queue. Je vais faire de toi une accro de la bite. Espèce de petite pute. Tu crois que tu vas me la faire à moi ? Je les connais les petites bourgeoises comme toi. Elles font leur sainte-nitouche et une fois qu'elles ont une grosse bite dans le cul, elles en redemandent. Ton mari, c'est un pauvre type, il n'y connaît rien. Tu vas voir. Je suis abasourdi, effondré, je ne comprends plus rien à ce qui se passe. Quel changement d'attitude et Mathilde qui ne réagit pas. Si je lui en avais dit le quart, je serais passé par les armes et là, lui, l'excite. Et pourtant, je suis incapable d'intervenir. J'aurais l'air malin la queue à la main. Que dois-je faire ? Si j'interviens, que va-t-il se passer ? Comment va-t-elle réagir ? Et si je laisse faire ? Ils ne savent pas que je sais. Puis d'un geste, il sort sa queue de *** pantalon. Il bande ferme. Je suis impressionné par le diamètre. Un gourdin. La photo n'était pas aussi impressionnante. L'excitation y est sans doute pour quelque chose. Il va la défoncer. Enfin, il se penche sur elle collant sa queue entre ses cuisses, la prend par les cheveux, tirant vers lui pour qu'elle se redresse. — Alors ma belle, tu sens ma grosse queue entre tes cuisses ? Je vais bien te la foutre. Et après je te casserai le cul. — Oui, prends-moi, dit-elle. — Oui salope, je vais te baiser. Dis-le — Oui baise-moi, oui, viens, baise-moi fort. — C'est bien tu commences à comprendre, espèce de petite traînée. Tu sais les vielles putains comme toi, normalement, on les encule d'abord. Mais je vais faire une exception. Mais pour bien te mettre à la page et pour que tu comprennes qu'une chienne comme toi c'est juste bon qu'à prendre de la bite, je vais pas mettre de capote, je suis sur que tu détestes ça ! Comment savait-il qu'elle avait horreur de ça ? Mathilde n'avait jamais voulu qu'on en mette quand on s'est rencontrés. Elle m'a même avoué ne jamais avoir fait l'amour avec. Puis d'une main il dirige *** gland à l'entrée de sa chatte et commence à la pénétrer doucement la tenant par les hanches. Il ***** doucement puis, petit à petit il la pénètre. Mathilde a la bouche ouverte. Aucun mot ne sort. On pense presque qu'il va lui ressortir par la bouche, empalée. Moi je me branle frénétiquement absorbé par ce magnifique spectacle. Le voilà au fond. Jusqu'aux couilles ! Il commence ses va-et-vient. Il se penche pour tirer, malaxer, pétrir les gros seins de Mathilde qui pendent sous elle d'une façon obscène. — Ohhh putain, quelle bonne chatte tu as ! Tu me serres la queue c'est trop bon. — Ouiii, ouii, plus fort. — Oui, je vais t'en donner, pétasse. Tout en commençant à la limer, il lui titille le trou du cul avec le pouce. Insinuant un doigt puis deux. Il lui prépare l'anus d'une façon experte. Mathilde n'en peut plus, elle jouit. Prise de spasmes. — Ouiiiii, c'est bon, ouiii bien à fond, baise-moi, ouiii. — Tiens, chiennasse. Prends ça. Il la défonce de plus belle. Puis elle s'effondre sur la table. Rapidement il prend quelques coussins et les jette à terre. Puis l'aide à se mettre à quatre pattes la tête dans les coussins, le cul bien en l'air, large, luisant de mouille. Mathilde se laisse faire et déjà il lui bouffe le cul en la doigtant sauvagement. Il lui met trois doigts dans la chatte et la branle. Elle ne met pas cinq minutes avant de redémarrer. Il crache dans *** cul ouvert par deux doigts, pendant qu'il la branle avec les autres. Puis il se relève, crache dans sa main, enduit *** gland de salive et de mouille. Puis crache dans *** petit œillet, pose *** gros gland contre l'anus de Mathilde. Il commence sa progression doucement, mais sûrement, il est bien droit au-dessus d'elle. — Écarte ton cul, sinon tu vas dérouiller. Mathilde la tête écrasée dans le coussin écarte ses fesses de ses deux mains en tirant bien dessus. — Voilà, ouvre bien. Pousse. Voilà ça rentre. Ahhh la vache t'es serrée. Mathilde grimace, geint, souffle, et pourtant halète comme jamais. Bernard est maintenant à fond dans *** cul. Il attend un peu puis commence à ressortir. Crache dans le trou puis re-rentre comme ça trois ou quatre fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique. — Voilà, tu l'as bien dans le cul maintenant. — Hummm, oui — Tu la sens bien ? — OUIII. — Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te l'a ramoné. Je vais te le refaire à neuf. Et il commence de tout *** poids à percuter le cul de Mathilde. — AHHHHHHHHHHHH ! crie-t-elle — Ahhh, tu vois ? C'est bon de se faire défoncer le fion. — OUIIIII, plus fort, ouiiiiii. — Tu vois que tu aimes ça ? — OUIIIIII. — Dis-le que t'aimes ça. — Ouiii j'aime ça, vas-y. — Maintenant tu peux te vanter d'être une belle enculée. — Ouiiiii ! — Tiennns, ohh putain je vais jouir. Il redouble de violence à la défoncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi j'éjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je m'éclipse doucement jusqu'à la chambre, me débarrassant de ma semence dans un kleenex. J'écoute les derniers bruits dans la salle à manger. Sans savoir ce qui se passe réellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir. Il est 7 h du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondément. Je retourne au salon, ça sent le cul à plein nez. Bernard est apparemment parti. Je m'assieds dans le canapé face à la scène des exploits de mon amour, je me sens vidé, dégoûté, anéanti. Je me repasse le film encore et encore, n'oubliant aucun détail, je bande et pourtant, j'ai envie de chialer. D'ailleurs ça y est.
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chrislebo
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Ça fait une bonne heure que je me lamente sur mon sort. Que vais-je lui dire ? Que dois-je faire ? Si je lui fais une scène, elle va me dire que c'est de ma faute, qu'elle m'avait prévenu. Et si je ne disais rien ? Si je laissais faire ? Peut-être qu'on n'en reparlerait plus. Que l'épisode serait clos. Mais comment vivre avec ça ? J'ai bien peur de ne pas avoir le choix. Soit je lui dis et je brise, sans doute tout, soit je me tais, tout sera fini et j'oublierai peut-être avec le temps. Il me reste encore la solution de partir, mais comment ne pas faire face à ce dont je suis l'initiateur ? Ce serait pure lâcheté. Je ne suis pas un lâche. Je finis par m'endormir sur le canapé. Il doit être 14 heures lorsque Mathilde vient me réveiller tendrement. — Chéri ? Que fais-tu dans le canapé ? Je me réveille. Elle est assise à côté de moi, en nuisette noire transparente, nue dessous, ses gros seins pendent joliment. Elle est belle. Je ne peux pas la perdre. Je l'aime. — Oh, rien, je n'ai pas très bien dormi, je crois que j'ai trop bu. — Oui, moi aussi, je ne suis vraiment pas bien. Je vais aller me recoucher. Je passe une main sur un de ses seins puis entre ses cuisses. Elle sursaute en gémissant. — Aïe ! — Excuse-moi. Je t'ai fait mal ? — Oui, enfin non. Ce n'est rien, j'ai chopé une hémorroïde. J'ai l'anus en compote. Sachant que ça lui arrive de temps en temps quand elle fait trop la fête, elle a sans doute pensé que ça ferait l'affaire. Avec ça, la voilà tranquille une à deux semaines. Mais je ne suis pas dupe. Je sais pourquoi elle a mal au cul cette pute qui, en plus, me ment outrageusement avec une décontraction mal assurée. Non mais qu'est-ce qu'elle croit, cette traînée ? Que je vais me laisser faire ? Puis, je me vois dans la glace. C'est de MA FAUTE ! Allez ! Du calme, tout ça passera avec le temps. Le dimanche passe finalement calmement. Nous regardons la télé chacun dans *** fauteuil. Demain boulot. Nous verrons bien dans quel état nous serons. Le lendemain matin, je suis levé de bonne heure et je me prépare rapidement, je n'ai pas très envie de la croiser. J'arrive au bureau, m'installe, et me connecte au site de rencontre afin d'y détruire mon profil. De nombreux mails m'attendent. Je les parcours rapidement avant de les effacer mais je tombe sur un mail de Bernard. Mon cœur passe de 0 à 100 en un millième de seconde. Cet enculé ose me parler ? Alors qu'il a baisé et enculé ma femme ? Non mais je rêve. J'ouvre *** mail, me promettant de l'insulter, voire d'aller lui casser sa grosse gueule de frimeur. Bonjour. J'espère que tu as bien dormi, mais c'est vraiment dommage que tu n'aies pas assisté à une belle enculade de ta femme. J'aurais aimé que tu sois là pour voir comment je l'ai bien baisée. Elle est vraiment trop bonne. Tu sais, il y a sûrement moyen d'en faire quelque chose. Putain, je vais le tuer ! Il me parle comme à un ami. Comme si... comme si... comme si je lui avais demandé de baiser ma femme... Non, mais quel con je fais. C'est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Je suis vraiment le dernier des connards. Tu sais c'est vraiment une grosse chienne. Puisque tu n'étais pas là je vais te raconter. S'il savait que j'étais là ! Je lis malgré tout *** histoire. Il me raconte ce qu'il a ressenti, quand il a été tour à tour dans sa chatte et dans *** cul. Comment il l'avait trouvée serrée, puis comment elle s'était bien dilatée et comment elle mouillait comme une folle. Je bandais à nouveau. Tu sais, dans le porno, j'en ai vu des chiennes qui aimaient la bite. Je peux te dire que Mathilde est du bois dont on fait les cochonnes, elle se le cache mais elle adore ça. Tu verras, on va bien la baiser, ça va te plaire. Avant de partir, je lui ai laissé mon numéro de téléphone et mon adresse mail perso. Histoire de voir ce que ça donne. Je suis sûr qu'elle va me rappeler. C'est une salope, tu avais rai***. À bientôt. Bernard. Je n'y crois pas une seconde. Non seulement elle m'a menti, mais en plus elle a les coordonnées de ce mec. Il a rai***, tout au fond de moi je sais que ça me plaît, mon corps approuve et mon cœur saigne. Mais bon. Elle a essayé, pas de rai*** qu'elle recommence. J'efface donc tous les mails de la boîte et supprime le profil. Voilà une bonne chose de faite. Quelques semaines passent, tout est redevenu normal. Elle passe ses soirées à dormir devant la télé et me rejoint dans la nuit comme avant. Normal, en apparence, seulement. Il y a toujours cette petite tension bizarre, ce je-ne-sais-quoi de malsain qui règnent. Elle est calme, détendue. Trop beau pour être vrai. Je suis peut-être con mais pas débile. D'habitude, *** boulot la stresse, elle est toujours fatiguée, alors que là, je la trouve sereine et détendue. Il y a quelque chose d'autre, j'en suis sûr. Mathilde s'est inscrite à la gym. Elle veut, soi-disant, perdre *** gros cul et ses bourrelets disgracieux. Moi, je ne vois pas la différence. Mais bon si ça lui fait plaisir. Ça fait maintenant trois mois qu'elle va à la gym deux fois par semaine et effectivement elle a perdu quelques kilos, mais franchement rien d'exceptionnel. Et si elle n'allait pas à la gym ? Si c'était une connerie et qu'elle revoyait Bernard ? Non ! Impossible ! Pas si sûr... Je me décidai un soir à la suivre jusqu'à *** cours de gym. Discrètement je suis parti un bon quart d'heure après elle, me rendant à la salle. Sa voiture est bien garée devant. Je pousse la porte et je la vois, soulagé, en train de se secouer les miches comme une damnée au milieu de plein d'autres gonzesses. Je me dis que je suis trop con et me décide à rentrer. Elle arrive, 45 minutes plus tard, toute transpirante. Je lui sers l'apéro pendant qu'elle prend sa douche. Quand elle revient, elle est toute belle, toute propre dans *** pyjama en pilou. Elle sent bon. Je la serre contre moi, fier de sa fidélité, je l'embrasse, elle me rend mon baiser, nous roulons sur le tapis et je la déshabille délicatement. — Mon amour, je t'aime. — Moi aussi, mon cœur, — Tu es toute ma vie, lui dis-je en suçant la pointe de ses seins. Elle soupire. Doucement, je descends, lui caresse la chatte puis je la lèche doucement, tendrement. Je veux qu'elle ressente combien je l'aime et combien je suis tendre et que tout ce que j'ai fait avant est du passé. Finalement, je la pénètre doucement, je lui fais l'amour lentement, passionnément, et finis par éjaculer dans un râle. Elle pousse un soupir de plaisir me serrant fort contre elle. Je suis heureux. Pourtant en y repensant, je n'ai pas l'impression qu'elle y ait pris beaucoup de plaisir. Ça manquait franchement de sincérité. Je ne sais pas pourquoi. Comme s'il lui avait manqué quelque chose. Mais bon je me fais sans doute des idées. Il faut vraiment que j'arrête ça. Un samedi soir, elle me dit qu'elle sort avec des copines de boulot. C'est assez rare, mais ça arrive lors d'anniversaires. Évidemment ça pourrait être n'importe quand, je ne connais pas une seule date d'anniversaire de ces copines, mais je sais que c'est souvent l'occasion d'une virée entre filles. Moi, je décide soirée télé, match de foot, ça me passera le temps. Quand Mathilde débarque dans le salon, je suis à deux doigts de l'infarctus. Elle a effectivement bien perdu du poids et un peu de ventre. Je suis surpris du résultat et déjà je m'en veux de ne pas en avoir fait autant. Elle doit avoir honte de sortir avec un gros tas comme moi maintenant. Surtout que la tenue met vraiment ses formes en valeur. Un petit chignon bien rangé, une petite robe courte moulante qui s'arrête bien au-dessus du genou, des jambes nues finissant dans des escarpins que je ne lui connaissais pas. Visiblement pas de soutien-gorge et pas de slip. — Eh bien, eh bien ! dis-je. Tu vas où comme ça ? — Je sors, cher ami, me dit-elle en me narguant, tournant sur elle-même. — Tu es drôlement belle et bien habillée pour une soirée entre filles ! — Pourquoi devrais-je m'habiller comme un sac quand je sors avec mes copines ? — Je ne dis pas ça, c'est juste que je te trouve particulièrement ravissante. — Eh bien oui ! Monsieur a une belle femme, ne lui déplaise. — Mais... je te rassure, ça ne me déplaît pas du tout. — Eh bien tant mieux, parce que de toute façon t'as pas le choix ! — Bien chef, dis-je en me mettant au garde-à-vous.
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chrislebo
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Elle rit, vient m'embrasser puis se dirige vers la porte d'entrée en prenant une petite veste à la volée, puis revient. — Au fait, ce soir on dort chez Mélanie. — Oui, tu as rai*** c'est aussi bien, je préfère que tu ne roules pas bourrée, je sais que tu en es capable. Elle éclate de rire et disparaît. Finalement, en voilà une bonne idée. Une nuit télé tout seul dans mon canapé. La vie de célibataire a parfois du bon. Je me décide donc à prendre un bon petit apéro. Un vieux whisky, 16 ans d'âge derrière les étiquettes, ça n'a jamais tué per***ne. Après, on se fera une petite raclette avec un coup de rouge. Peut-être un porno, une branlette et au lit. Mais pourquoi je ne lui ai pas dit que j'avais remarqué qu'elle ne portait pas de culotte et que ça ne lui arrivait jamais ? Qu'elle refusait systématiquement quand je le lui demandais ? Pareil pour le soutien-gorge. Mais qu'est-ce qui se passe, bordel ? Je deviens cinglé ou quoi ? Je deviens complètement parano. La soirée passe, finalement, comme une lettre à la poste. Apéro aidant, toutes mes questions saugrenues s'évaporent dans l'alcool. Mathilde rentre pimpante le dimanche sur le coup de 13 heures. Je lui ai préparé le repas. Nous déjeunons rapidement puis nous nous mettons dans le canapé, dans lequel nous fai***s une petite sieste. Elle a dû passer une sacrée nuit, elle s'est endormie quasi instantanément. Deux semaines passent. Un lundi bon pied bon œil, j'arrive au bureau. 11 heures, le courrier. Un paquet à mon nom. Étonnant, je n'ai jamais que des lettres, en général. J'ouvre et à l'intérieur un DVD. Dessus, il est écrit : Souvenir, souvenir. Mais c'est quoi cette connerie ? Qui a bien pu m'envoyer ça ? Peut-être ma sœur. Elle vient d'accoucher et mitraille *** fils. On reçoit des tonnes de photos et de vidéos. Mais pourquoi au boulot ? Pourquoi en recommandé ? Ça n'a pas de sens. Je vais rentrer un peu plus tôt pour voir ça. 15 heures, je quitte le boulot. Je vais faire deux-trois courses vite fait, histoire de casser une bonne croûte ce soir, et je vais me mater cette vidéo pendant l'apéro. Une fois à la mai***, je pose mes affaires sur mon bureau. Je prends une bonne douche puis me mets dans le canapé. Les vidéos ***t plus souvent des clips qu'autre chose ou des diaporamas mis en musique et ça ne dure jamais très longtemps. Je mets le DVD dans le lecteur, branche le BOSE, me sers un petit Kiki de la même marque que l'autre fois et c'est parti... Je sais, c'est un peu tôt, mais que voulez-vous en ce moment ça va quand même mal et il n'y a que ça qui me détend ! L'image est noire quelques secondes, film amateur oblige, puis ça tourne. Un salon que je ne connais pas, puis une ombre, je souris déjà dans l'attente d'une connerie, et là je manque de m'étouffer. Je recrache mon whisky sur la table basse du salon. À l'écran, Bernard ! — Putain, c'est quoi cette connerie ? Mon cœur bat à tout rompre. Il va sortir de ma poitrine. Qu'est-ce qu'il fout là ? Qu'est-ce qu'il veut ? — Salut Laurent ! Tu me reconnais ? Bien sûr que tu me reconnais ! Comment oublier le mec qui a baisé sa femme, hein ? Comme tu peux le constater, j'ai installé une caméra dans le pied de ma télé sur le meuble du salon. Ce qui me permet de pouvoir enregistrer tout ce qui s'y passe. Le tout branché sur mon ordi qui enregistre bien gentiment. Tu te demandes sans doute pourquoi je t'envoie cette vidéo. Eh bien, j'ai un regret. Comme tu dormais la nuit où j'ai niqué ta femme, je me suis dit que ça te ferait certainement plaisir de savoir qu'elle m'a appelé la semaine dernière et que je l'attends d'une minute à l'autre. Et que je ne pouvais, décemment, pas la baiser une seconde fois sans que tu en profites un peu. Je sais, c'est frustrant derrière un écran. Mais bon ! C'est mieux que rien. Évidemment, elle n'en sait rien. Sinon ne se serait pas drôle ! Hein ? Je suis sûr que t'es d'accord avec moi. Je suis... Je suis... Je ne saurais dire ce que je ressens à ce moment-là. Il a disparu de l'image. Il revient avec une bouteille de champagne dans un seau. Il installe les petits fours. Il doit être tard. Tout se mélange dans ma tête. Quand ? Comment ? Pourquoi ? — Ohh, Putain... La salope ! L'anniversaire de sa copine ! J'entends ***ner. J'entends parler. Je reconnais distinctement la voix de Mathilde qui rit. Elle apparaît à l'écran dans la tenue de cette fameuse soirée d'anniversaire. Bernard arrive, elle se jette à *** cou. L'embrasse à pleine bouche. Il la soulève et la fait tourner. — Tu es magnifique, petite cochonne. — Merci, dit-elle en rougissant. — Vraiment ! Ces séances de gym t'ont fait le plus grand bien. Quoi ? Comment sait-il qu'elle fait de la gym ? Seraient-ils restés en contact pendant tout ce temps sans que je m'en rende compte ? — Oui, j'ai tout donné pour obtenir ce résultat, je n'ai pensé qu'à ça. Je voulais te plaire, que tu me trouves à ton goût. — C'est très bien Mathilde, je suis fier de toi. — Merci. Tu vas me faire rougir. — Je voudrais que tu regardes la télé. — Ah oui ? — Oui, regarde bien la télé, fixe-la, je veux que tu ne penses à plus rien d'autre qu'à toi. Elle fris***ne. Puis elle fixe le téléviseur, comme si elle me regardait. Bernard est derrière elle. Ses mains ***t sur ses hanches. Elles remontent sur ses seins. Il les soupèse par-dessus la robe. Fermement, sans ménagement, il les malaxe puis frôle les tétons que l'on voit apparaître au travers du tissu. Puis sans doute allume-t-il le téléviseur. — Mais que fais-tu ? Tu nous filmes ? — Oui ! Ça te fera un souvenir ! — Cochon, va ! — Oui et tu adores ça. Mathilde ferme les yeux pour mieux savourer les caresses de Bernard. Il remonte la robe sur ses hanches et masse l'intérieur de ses cuisses qu'elle a légèrement écartées. Il caresse sa chatte puis l'écarte doucement, insinuant un doigt dedans. Elle pousse un soupir de soulagement comme si ça faisait des mois qu'on ne l'avait pas caressée. Il joue avec le clitoris. — Alors ma belle tu ne regrettes pas d'être venue ? — Oh non, alors ! — Tu vas prendre ma grosse queue. C'est pour ça que tu es venue. Salope. — Ouiiii ! Il lui branle le clito rapidement, elle commence à se dandiner. — Tu vas me sucer. Il appuie légèrement sur les épaules de Mathilde et se met de profil pour que la caméra filme la scène. Mathilde, elle, extirpe la grosse queue du pantalon et commence à lécher le gros gland violacé. Bernard lui enlève la main. — Apprends à sucer sans les mains. Les vraies salopes ne sucent qu'avec leur bouche. Alors elle lèche le gland puis se contorsionne pour attraper le gros gland. Puis prend la queue dans la bouche qui ne tarde pas à vraiment prendre forme. Il bande maintenant bien dur et Mathilde monte et descend avec sa bouche sur l'énorme mandrin qui lui déforme bien les joues. — Regarde-toi comme tu suces bien. Caresse-toi en même temps. Profite. Puis il passe une main derrière la nuque de Mathilde et alors qu'elle regarde l'écran les yeux brillants, il commence à lui fourrer sa grosse queue bien à fond dans la bouche. On voit la queue de Bernard lui déformer la bouche, il lui enfonce si profond que parfois elle manque de s'étouffer. Quand je lui faisais ça, elle se fâchait. Et là... — Ohh oui, comme ça vient, regarde comme je te baise bien la bouche. Ouvre-la grande. Humm, elle est bouillante. Ohhhh oui. Ohh, la vache, que t'es bonne. Je ne vais pas tenir longtemps. Tu vas me faire gicler. La bouche de Mathilde fait des bruits obscènes. Il lui bourre la bouche de sa grosse queue bien à fond puis dans un râle lui colle tout dans la bouche et le visage. Elle en a partout. — Ohhh ouiiiiiiiii, c'est trop bon ! dit-il en éjaculant. T'as tout pris dans la gueule. Le coup est parti tout seul, dit-il en riant. — Oui j'ai tout pris dis donc. — Nettoie ma queue et va te rafraîchir, je sers le champagne. Mathilde finit de lécher la queue de Bernard puis sort de l'écran. Bernard s'approche et dit à voix basse en s'adressant à moi. — Bon t'as vu, elle suce pas mal, hein ? Mais maintenant je vais lui casser le cul, à ta femme. Tu vas pouvoir voir comment je vais lui exploser *** trou du cul. Il me montre sa grosse bite flasque, épaisse. Tu vas voir qu'avec ça je vais lui ramoner le conduit comme jamais tu lui as ramoné.
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chrislebo
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Mathilde revient. — Tu peux éteindre la télé, s'il te plaît ? Je n'ai pas envie que tu filmes la suite. — Oui, si tu veux, dit-il en riant. Et il coupe sans doute l'image. Ahh ma femme et la technologie. Elle ne se doute même pas que ça continue de filmer. Excès de confiance sans doute... Ils trinquent et boivent une ou deux coupes de champagne. Ils s'observent, ils ne se parlent pas. Un silence inquiétant comme s'il allait se passer quelque chose de grave. — Enlève ta robe ! dit soudain Bernard. Mathilde s'exécute. — T'es vraiment pas mal, pour cinquante piges. — Merci. Elle tourne sur elle-même. — Allez, viens me sucer, fais-moi bien bander. Mathilde finit sa coupe puis se penche vers la queue et sans les mains, attrape le gland pour le prendre en bouche. — Oui c'est bien tu apprends vite pour ton âge. Elle le suce et sa grosse queue reprend vigueur. Il faut un peu de temps pour qu'il rebande bien. Si je ne vous décris pas ce que je ressens à ce moment-là, c'est sans doute parce que je ne sais pas encore vraiment ce que ça m'a fait. Mathilde prend visiblement un certain plaisir à être insultée et bousculée par cet homme qu'elle connaît peu finalement. Les images se bousculent dans ma tête. Pourquoi quand je la traite de salope ou de pute, je me fais incendier, alors que lui a droit à ses faveurs ? En vérité, j'ai coupé le DVD. Je me suis enfilé deux gros verres de whisky. Je suis resté là, planté comme un con pris à mon propre jeu dont il allait quand même falloir à un moment ou à un autre en assumer les conséquences et en payer le prix. Ce n'est que plus tard que j'ai décidé de continuer à regarder. Parce que malgré tout, je bandais. Je me rassois dans le canapé, bien décidé à voir la suite. Mathilde à genoux entre les cuisses de Bernard, le suce. J'ai une vue sur *** cul et sa chatte qui est déjà luisante de mouille. Il lui caresse les cheveux tendrement tout en lui disant qu'elle est belle, qu'elle suce comme une reine, que sa bouche est accueillante, qu'elle le rend dingue. Tous ces compliments, bien sûr, flattent l'ego de Mathilde qui, pour ne pas être en reste, s'applique de *** mieux à sucer cette grosse queue. Moi, bien sûr, je suis fasciné par le spectacle. Puis Bernard, la queue bien raide, se lève et fait mettre Mathilde à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier, le cul vers la télé. Il lui demande de bien se cambrer. Il est debout à côté d'elle et commence à lui malaxer les fesses très fermement. Ouvrant et refermant les fesses, laissant apparaître à la caméra *** petit trou fripé, s'ouvrant légèrement quand Bernard tire sur les fesses. — Quel cul tu as ! Un bon gros cul ! dit-il en claquant sèchement les fesses, laissant échapper un petit cri de surprise ainsi qu'une trace de main sur la fesse droite qui disparaît doucement. Ça donne qu'une envie : t'enculer. On a envie de l'enculer à longueur de journée. On a envie d'y enfoncer des tas de trucs de plus en plus gros pour voir comment il est capable de se dilater. C'est comme tes nibards, un vrai appel au viol. Tes grosses miches, on a envie de les bouffer. Moi je te verrais bien dans un bar à putes. À prendre des kilomètres de bites. Je suis sûr que tu adorerais ça. — Non mais tu es fou, dit Mathilde en tournant la tête pour le voir. Je ne suis pas une pute. — Non c'est vrai, t'es pas une pute. La preuve t'es là à te faire tripoter le cul par un mec que tu connais à peine pendant que ton mari te croit je ne sais où et tout ça pour pas un rond. Alors effectivement, t'es pas une pute. T'es une vraie salope. Une bonne vieille salope. — Oui, je suis une salope. Je suis ta salope. Il lui fourre deux doigts dans la chatte, les ressortant luisants de mouille. — Regarde, dit-il en lui mettant ces doigts sous le nez, regarde comme tu mouilles déjà. Eh bien moi je te le dis, Mathilde, t'es pire que ça. Et je vais te le prouver ! dit-il en lui remettant les doigts dans la chatte et en faisant des va-et-vient, en les faisant tourner de plus en plus vite la faisant vraiment mouiller. Mathilde ne met pas longtemps à remuer du cul. Elle rentre dans sa phase marre des préliminaires. Je reconnais *** attitude. Dans moins de cinq minutes, elle le supplie de la baiser et sera prête à tout pour ça. Bernard la branle vraiment bien. Il se relève, se place derrière elle la queue à la main. Il bande comme un cerf, le salaud. Il va la défoncer avec *** gros truc. Puis, il pose *** gland à l'entrée de la chatte de ma femme et d'une seule poussée s'enfonce en elle de toutes ses ******. J'entends les fesses de Mathilde claquer sous l'impact. — Ahhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! crie Mathilde d'une voix rauque d'une bête en chaleur. — Tiens, prends ça ! dit Bernard moqueur et certain de *** effet. Il ressort complètement et recommence de la même façon trois ou quatre fois de suite et à chaque fois Mathilde pousse le même cri. La queue rentre de plus en plus facilement dans sa chatte. — Ahhh ! Ahhh ! Ouiii ! Ouiii ! Elle aime ça, se faire défoncer par Bernard, elle est devenue dingue de sa grosse queue. Alors que moi je subis. J'ai sorti mon sexe et me masturbe doucement. Je mate ce film comme si c'était un bon porno. J'en oublierais presque que c'est Mathilde, comme ça, vue de dos. Bernard se retire et maintenant lui colle trois doigts dans la chatte et la branle à nouveau. Il lèche *** anus et sort la mouille de sa chatte pour lubrifier *** cul tellement elle dégouline. J'ai souvent fait de la sorte pour la sodomiser. Je n'utilisais pas de gel mais uniquement la mouille de sa chatte. Il en profite pour glisser un doigt dans *** cul puis lui remet les trois doigts dans la chatte, jusqu'à ce qu'il puisse en mettre un second dans le cul. Mathilde, elle, continue à grimper aux rideaux, on peut la voir griffer le dossier, un doigt dans la bouche, les yeux fermés pour ne pas hurler. Bernard, lui, l'encourage. — Allez Mathilde, laisse-toi aller. Prends ton pied, tu adores ça, que je te branle la chatte ! dit-il en insinuant un quatrième doigt. Il pousse doucement et finit par y arriver. Il la branle maintenant avec quatre doigts lui dilatant bien la chatte et deux doigts dans le cul. — Ohh ouii, vas-y, viens, baise-moi fort, je t'en prie. Il se redresse puis lui fourre la queue dans la chatte. Doucement puis plus vite, plus fort. Il alterne. Mathilde prend *** pied. Elle va jouir. — Ouiii, baise-moi fort. Plus vite, ouiii, encore plus fort. Il la pilonne maintenant comme un sauvage, accroché à ses hanches.
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chrislebo
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— Ohh oui, je viens, dit-elle. OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! — Jouis bien, salope, parce que maintenant, je vais t'enculer. À peine a-t-elle récupéré, qu'il la tire à quatre pattes sur un coussin préalablement jeté par terre et lui fait bien cambrer le cul. La tête par terre, les seins pendants, lui remet ses doigts dans la chatte, crache dans *** anus, lui plante un puis deux doigts qu'il tourne tout en les faisant entrer et sortir. — Aïe, doucement ! dit-elle. — Ferme un peu ta gueule, tu vas me faire débander ! dit-il en accélérant les doigts dans *** cul. Puis du tiroir de la table du salon, il sort un petit gode qu'il fourre dans le cul de Mathilde et le met en route. Aussitôt on entend le gode vibrer et Mathilde pousse un râle de surprise et de plaisir. Puis il sort une espèce d'élastique et un petit sachet. Il passe l'élastique autour de sa queue le plaçant à la base de *** sexe derrière les couilles et le serre fermement. On voit la queue se gorger de sang ce qui la rend encore plus impressionnante. Enfin du sachet, il sort je ne sais quoi, et se l'enfile sur la bite. C'est une capote avec des picots en plastique, apparemment. *** sexe ainsi harnaché est monstrueux. Puis, enjambant Mathilde qui est à quatre pattes dos à la caméra, il se place face à moi. Il retire le gode du cul de Mathilde, qui se plaint de ce vide soudain, laissant *** cul bien ouvert. Me regardant d'un air vainqueur : — Regarde bien, maintenant... Je vais lui casser le cul, à ta connasse de femme. Mathilde est trop dans les vapes pour comprendre ce qu'il fait et à qui il parle. L'action dure peu de temps. — Après ça elle ne pourra plus se passer de ma grosse queue pour lui boucher *** trou du cul. Puis d'une poussée, il descend et s'enfonce dans le gros cul de Mathilde. Lui fourrant le gode dans la chatte à la vitesse max. En même temps — Ahhhhhhhhhhh ! — Oui, vas-y, gueule, salope ! Je sais que tu aimes te faire déboîter le fion. — Ouiiiii. Oh ouiiiii. Encore... — Tu vois, c'est magique, regarde ce trou du cul comme il est beau ! Effectivement, l'anus de ma femme est là devant mes yeux, béant. Et elle réclame de la lui remettre. — Vas-y Bernard. Encore. Bernard lui remet sa grosse queue et commence un va-et-vient frénétique, lui défonçant le cul de tout *** poids. Mathilde gémit, crie, hurle sa jouissance. Il jouit, Mathilde l'accompagne et moi aussi. Une nouvelle fois la question se pose de savoir comment je vais réagir. Que dire à Mathilde qui cette fois, volontairement, m'a trompé ? Je vous avoue qu'à cet instant, je n'en sais rien. Je suis encore sous le choc. Je vous passe le récit du reste du DVD qui ne filme plus que le salon de Bernard, vide, mais où l'on entend clairement Mathilde prendre du plaisir. Je ne saurais vous dire combien de fois il l'a fait jouir cette nuit-là, mais je comprends mieux pourquoi elle était si fatiguée le dimanche en rentrant. Comment ma femme a-t-elle pu se laisser traiter de la sorte ? Elle qui ne supportait pas les mots crus ! Jamais, je n'aurais imaginé ma femme dans une telle situation, humiliée et qu'elle y prenne autant de plaisir. Au moment même où j'écris ces mots (5 h 30 du matin), je ne peux dormir. Je me passe et repasse ces images dans ma tête, en boucle. Je n'arrive plus à penser à autre chose. Ma femme, mon amour de ma vie, ma rai*** de vivre... Il reste un épisode à écrire. Je ne peux m'y résoudre mais il faut que je le fasse. Pourquoi me demanderez-vous ? Je n'en ai aucune idée. Peut-être que ça m'aidera à exorciser la détresse dans laquelle je suis plongé. Je dois avouer. Écrire cette histoire m'excite autant qu'elle me fait souffrir. Je dois être un grand malade...
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chrislebo
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Nous y voilà. Deux mois ce ***t écoulés depuis le dernier épisode. Mathilde m'a quitté quinze jours plus tard n'y tenant plus. J'ai eu beau prendre soin d'elle, la chouchouter, la câliner, rien n'y a fait, j'avais l'impression d'être en face d'un bloc de granit. Elle ne m'aime plus, ça ne fait aucun doute. Je sais maintenant que le jour où j'ai reçu le DVD, soit une quinzaine de jours après qu'elle fut allée chez Bernard, elle n'était pas en déplacement, mais avec Bernard les deux jours. Mathilde est quelqu'un d'entier. Elle a quitté *** premier mari de la même façon. Elle l'a trompé, puis elle est partie. À l'époque c'était avec un ancien militaire mythomane qui lui avait promis monts et merveilles. Elle l'a quitté avec près de 45 000 de dettes que nous avons mis 20 ans à éponger. Et maintenant elle est amoureuse et elle est prête à tout et n'importe quoi pour vivre pleinement *** nouveau délire. C'est en rentrant qu'elle m'annonce qu'elle me quitte. Quand je lui demande pourquoi : — Écoute chéri ! Je ne t'ai pas épousé pour que tu me traites de tous les noms. Alors tant qu'à être la pute, la trainée ou la chienne de quelqu'un, autant que je choisisse avec qui. Moi je voulais être ta femme pour que tu m'aimes en tant que telle. Maintenant, je pars avec Bernard parce que j'aime qu'il me traite comme il le fait. Tu n'as rien compris. Tant pis pour toi. Elle boucle une petite valise, prend quelques affaires per***nelles puis quitte la mai*** sans même que je puisse lui dire quelque chose. Aucun mot ne sort de ma bouche, je reste là, à la regarder passer. Je reste un long moment debout dans le salon à regarder la porte d'entrée close. Puis je suis allé dans la chambre, la salle de bain, comme pour me réveiller de ce cauchemar et pour bien me rendre compte qu'elle est partie. Partie, sans rien ou presque, pas une photo, pas un souvenir, rien qui nous relie, rien de ce qu'on a en commun. Vingt ans de mariage biffés d'un claquement de porte. Elle m'a rayé de sa vie comme on tourne la dernière page d'un mauvais roman, roman que l'on sait que jamais on ne le relira et qu'on pose sur une étagère, dans un vieux tiroir ou jette négligemment dans la première poubelle venue. Depuis, je suis en pleine dépression. J'ai été remercié à mon travail. Je suis au chômage, assez confortable pour que je puisse continuer à vivre, mais il va me falloir en retrouver, me reconstruire. Ce n'est pas en me bourrant la gueule comme je le fais tous les soirs que je vais y arriver. Je profite de ces quelques moments de clarté pour finir d'écrire cet épisode qui me pèse car je ne sais par quel bout le prendre. Alors je vais vous le donner comme il vient. Vous me pardonnerez. J'espère. Je suis donc au chômage depuis une semaine. Depuis presque deux mois, tous les soirs je me bourre la gueule. Mon patron en a eu marre, je lui ai raconté rapidement mon histoire, sans évoquer les détails auxquels vous avez eu droit, il m'a dit qu'il ne pouvait pas me garder et qu'il me proposait de me licencier à l'amiable afin que je touche le chômage et en m'offrant une prime de départ intéressante. J'ai accepté ! Depuis j'erre dans mon appart crade, j'ai coupé mon téléphone, je ne sors quasiment pas, je me fais livrer des pizzas, je sors acheter deux trois trucs à grignoter à l'épicerie du coin, de l'alcool et des cigarettes, car je me suis remis à fumer. Il y a trois jours j'ai reçu un recommandé de Bernard. Je suis resté un long moment dans le canapé à regarder cette enveloppe encore scellée sur la table basse du salon À l'intérieur, une lettre et trois DVD numérotés d'un à trois comme il se doit. La lettre manuscrite : « Bonjour Laurent, Je t'écris ce courrier alors que Mathilde t'a quitté. Je suis désolé pour toi. En fait non je n'ai aucun regret. Jamais je n'aurais pensé au début de notre aventure récupérer ta femme. Cela dit je ne regrette pas car c'est vraiment un bon coup. Elle est insatiable. Pour preuve, je te fais parvenir les photos et vidéos de ses derniers exploits. Je sais que tu regarderas ceci avec attention et que sans doute tu y prendras du plaisir. Elle est raide dingue de ma grosse queue et je peux te dire que j'en profite un max. Elle est prête à tout pour que je la baise, même à des choses que tu n'aurais sans doute jamais imaginées de sa part. Je n'hésite pas à la prêter aux copains, à la faire baiser par n'importe qui. Depuis quinze jours que nous sommes ensemble, elle est en vacances pour 4 semaines, nous bai***s tous les soirs et parfois même plusieurs fois par jour. Je vais faire de ta femme un paillas***, une serpillère, tu m'entends ? Je vais la faire baiser jusqu'à l'os par la terre entière et te la rendrai quand elle ne sera plus que l'ombre d'elle-même. Mais avant je vais la faire tourner dans un ou deux bons pornos amateurs, histoire de me rembourser. Allez, je te laisse profiter du spectacle. Bonne branlette. Bernard » Je tiens cette lettre dans mes mains, ne sachant qu'en faire. La détruire, la déchirer, la jeter. Je suis abasourdi et à la fois excité par ce que je viens de lire.
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chrislebo
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Je prends les DVD, les regarde et m'avance vers le lecteur. Introduis le n°1 et le mets en route. Je reviens m'asseoir dans le canapé, j'allume une cigarette, me sers un verre de whisky et attends patiemment la première image. C'est à nouveau Bernard qui apparaît, décidément, il me persécute, je ne m'en déferai jamais. — Salut Laurent, Je savais que tu ne résisterais pas à la tentation. Nous sommes donc dans ma mai*** de campagne près d'Arcachon, il fait un temps magnifique et je te propose de profiter de quelques photos de ta femme faites par-ci par-là. Je les ai bien sélectionnées. Mais je te rassure, que du soft. Tu te souviens sans doute du jour où tu as reçu le premier DVD. Mathilde était soi-disant en déplacement. Tu le sais depuis un certain temps elle était avec moi. Profite ! » L'image devient noire et laisse la place à un défilement de photos de Mathilde. La première série, Mathilde est vêtue d'une longue robe noire fendue très haut au-dessus des hanches maintenue par un lacet de chaque côté. On aperçoit d'ailleurs qu'elle ne porte pas de soutien-gorge, sa lourde poitrine tombe légèrement. La robe s'arrête au milieu du dos et juste au-dessus de la poitrine. Elle porte de jolis escarpins noirs qui laissent apparaître de jolis pieds dont les ongles ***t joliment colorés de rouge. Mathilde sourit à *** photographe prenant des poses plus suggestives les unes que les autres puis rapidement baisse le haut de la robe dévoilant ses seins magnifiques puis relevant sa jupe pour nous laisser découvrir un string ficelle noir lui passant entre les fesses puis faisant entrer le string dans sa chatte en le tirant vers le haut. Puis une seconde encore en robe de soirée noire sans bretelles, dos nu et s'arrêtant au-dessus de la poitrine surmontée d'une jolie broche mais cette fois avec un rabat d'un pan sur l'autre. Encore une fois pas de soutien-gorge et on découvrira par la suite qu'elle ne porte pas de culotte non plus. Une troisième dans un salon sur un canapé en cuir avec une robe dont le haut est complètement transparent puisque l'on distingue les aréoles de ses seins, seule une partie opaque démarre juste sous le galbe des seins et vient se finir juste sous les fesses. Puis une série en extérieur ou je l'aperçois tour à tour dans un verger en robe orange à 4 pattes les seins pendants et le cul à l'air, puis dans une voiture en pleine ville avec un petit haut blanc qui laisse bien à l'air *** nombril et pendre ses seins sans soutien-gorge dans une petite jupe fendue, déguisée en cow-girl, ou encore dans une robe blanche dans l'entrée d'un immeuble dévoilant ses charmes à je ne sais qui. Et enfin une série en intérieur dans toutes les pièces dans la mai***, je suppose, des toilettes à la salle de bain en passant par la buanderie, le salon, la cuisine et le dressing. Toujours dans des positions de plus en plus osées. Une photo d'elle dans la bibliothèque avec un haut en filet de pêcheur blanc à grandes mailles, nue dessous et un pantalon noir transparent. Sur une photo de cette série, elle pose les yeux fermés dos au photographe face à la bibliothèque juste vêtue de *** filet de pêche elle cambre les reins d'une façon obscène et s'écarte les fesses à pleines mains nous dévoilant ainsi *** anus et sa chatte. On constate d'ailleurs sur cette photo que *** anus est meurtri et boursouflé. Sur une autre vêtue d'une nuisette en satin, elle s'enfile une banane tout en discutant au téléphone. Puis des gros plans de *** anus, de ses seins, de sa chatte, ainsi qu'avec un gros gode rose avec lequel elle se donne du plaisir. Le premier DVD s'achève donc sur quelques vidéos de Mathilde en train de se masturber dans la chambre, dans la baignoire et dans les toilettes. Je bande comme un âne. Je me masturbe doucement prenant beaucoup de plaisir à regarder ce DVD. Je me demande ce qui va bien pouvoir suivre. La curiosité me gagne. J'insère donc le second DVD dans le lecteur. À nouveau Bernard. — Bonsoir Laurent, Oui nous sommes le soir. Vois-tu ? Il est presque 20 heures et j'ai invité quelques vieux amis à dîner. Trois. Pour être exact. Je te rassure, ils ***t tous aussi vicieux les uns que les autres, elle va se régaler. Comme tu peux le constater, nous sommes dans mon salon. Tu le connais déjà et je suis sûr que tu l'avais reconnu. Mathilde est en train de se préparer j'espère que la tenue te plaira. Tu sais mes amis ***t de vieux beaux, ils adorent les petites jeunes, mais ne crachent pas de temps en temps sur une veille pute. Je l'ai donc habillée en conséquence. J'avoue avoir eu du mal à la décider à mettre ce que je lui ai acheté mais elle a fini par accepter. C'est assez étonnant d'ailleurs, comme elle mégote à mettre une tenue de pute alors qu'elle est prête à se faire tringler par tout le quartier. Elle est bizarre ta femme non ? Ha ! Ha ! Ha ! »
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chrislebo
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— Oui, je sais qu'elle est bizarre. C'est bien pour ça qu'elle est chez toi connard ! crié-je à haute voix dans mon salon. Je suis comme fou. Je n'imagine pas que je vais voir ma femme se faire baiser par plusieurs hommes en même temps comme ça. Alors qu'elle était réticente à le faire avec moi. Je suis aussi déboussolé qu'excité à l'idée de la voir se faire prendre par de vieux vicieux. L'image se coupe un instant puis revoilà le salon, toujours cette fameuse caméra qui filme. Quatre hommes dont Bernard ***t assis dans le salon et discutent de choses et d'autres. Les hommes ***t habillés classique pantalon de ville et chemise. Tous ont, au moins, la soixantaine, plutôt pas mal, style cadres à la retraite légèrement ventripotents mais beaucoup de classe. — Messieurs, dit Bernard, il est temps que je vous présente notre perle de ce soir. Ces paroles ***t accueillies par un brouhaha collectif. — Mathilde ? Viens, sers-nous l'apéritif ! Tu veux bien ? À cet instant tous les regards se tournent, je pense, vers l'entrée de la pièce. On voit dans les regards une curiosité malsaine. Puis soudain les visages s'éclairent et tous se mettent à siffler. Mathilde fait *** apparition. — Ah oui ! dit l'un d'entre eux. — Superbe ! s'exclame un autre. L'autre reste bouche bée alors que Bernard, déjà, jubile. Il jette un œil à la caméra et me fait un clin d'œil. Mais que se passe-t-il ? La première vision que j'ai de Mathilde est de dos. Je vois une robe ultra courte, une bande allant du galbe des fesses à la naissance du dos, juste au-dessus des reins lui laissant le dos nu. Seules deux bandelettes nouées sur la nuque maintiennent apparemment le devant de la robe. Les jambes nues et des chaussures à talons vertigineux l'obligeant à se cambrer. La hauteur des talons lui donne une cambrure de reins superbe et des mollets magnifiques. Elle pose le plateau sur la table du salon en se penchant en avant jambes tendues. Aussitôt la jupe remonte sur ses fesses laissant une vue imprenable sur *** gros cul et sa chatte toute lisse dont les grandes lèvres ressortent légèrement. On dirait qu'elle mouille déjà. — Mathilde, viens t'assoir avec nous ! Mathilde contourne la table puis se retourne avant de s'assoir en croisant les jambes au centre du canapé entre deux inconnus qui ***t en admiration. Effectivement, je comprends mieux pourquoi. Les deux bandelettes nouées sur la nuque descendent de chaque côté du ventre juste reliées par de fines bandes de tissu. On peut donc voir une bande de peau nue descendant sous le nombril presque jusqu'au pubis. Le spectacle est hallucinant. On voit *** ventre, *** nombril, ses gros seins dont seuls la partie extérieure et les tétons, déjà dardés, ***t cachés par la robe. On peut profiter de ce magnifique entre-deux-seins profond et généreux pendant lourdement. Tous s'exclament sur la beauté de Mathilde et sa tenue ultra sexy. Puis Bernard prend la parole. — Chers amis je vous présente Mathilde ma nouvelle conquête. — Mathilde, je te présente Serge, Henri et Marcel. Ils ***t venus faire ta connaissance. — Enchantée, dit Mathilde. — De même, répondent les trois autres à l'unis*** Sur le plateau un seau à champagne et 5 coupes. Bernard se lève et ouvre la bouteille puis commence le service. Je suis dans tous mes états. À la fois fasciné, intrigué, anxieux, excité, malheureux, tous ces sentiments se mêlent pour finalement me laisser complètement subjuguer par ce qui se passe à l'écran. Chacun y va de sa conversation avec Mathilde, ils parlent de tout et de rien, puis trinquent et vident leur coupe cul sec. Bernard ressert tout le monde. Mathilde a l'air si détendu, c'est hallucinant. Maintenant qu'ils dégustent la seconde coupe, déjà Serge glisse une main sur la cuisse de Mathilde. Délicatement il caresse sa peau nue. Henri, assis de l'autre côté passe une main entre deux bandelettes entre les seins et vient saisir à pleine main le sein qui lui est opposé. Il le masse langoureusement regardant la réaction de Mathilde qui continue à boire et à discuter avec Marcel et Bernard. Puis Henri, félicitant Mathilde quant à la douceur de sa poitrine, saisit le téton entre deux doigts et commence à le faire rouler et à tirer doucement dessus. Serge, lui, décroise les cuisses de Mathilde, laissant à la vue de tous et surtout à la mienne, qui est bien placée, une vue imprenable sur sa chatte. Sa main est déjà en train de fouiller sa chatte alors que sa bouche se saisit de celle de Mathilde qui a posé *** verre pour mieux pouvoir lui rendre *** baiser. Leurs langues se mélangent en dehors de leurs bouches pour se rapprocher. Mathilde prend la tête de Serge entre ses mains pour l'embrasser à pleine bouche pendant qu'Henri lui maltraite le sein droit. Marcel : — Regarde, Bernard, elle en veut la petite. Bernard : — Oui, elle adore ça. Henri profite que Mathilde embrasse goulument Serge pour défaire le nœud qui maintient le haut de la robe, puis tire délicatement sur le devant pour libérer ses seins dont les tétons ***t magnifiquement érigés. Il passe une main de chaque côté pour pouvoir prendre un sein dans chaque main. Par-derrière, il commence à les soupeser, les malaxer, les triturer sans vergogne embrassant Mathilde dans le cou. Mathilde fris***ne. Serge, lui, a pris de l'avance à fourrer sa grosse paluche entre les cuisses et s'affaire sur ou dans sa chatte. Marcel et Bernard se resservent copieusement attendant certainement leur tour. Henri : — Putain, cette paire de nibards qu'elle a, c'est un plaisir de les tripoter. Ils ***t doux à souhait et ses tétons réagissent au quart de tour. Regardez, les gars. Henri tire sur Mathilde pour qu'elle relâche *** étreinte sur Serge afin que tout le monde puisse voir à quel point ses tétons ***t gonflés et à quel point ils ***t sortis de sa poitrine. Henri, toujours les mains sous les seins de Mathilde les soupèse et fait rouler les tétons entre ses pouces et ses index afin d'accentuer la tension. Serge profite de l'occasion pour lui écarter les cuisses en grand et lui mettre deux doigts dans la chatte. Mathilde grimace légèrement puis ferme les yeux pour savourer la caresse. Serge : — Elle est déjà trempée. Tu parles d'une salope. Henri Allonge Mathilde sur le canapé puis se met à genoux pour lui bouffer les seins et lui prendre la bouche fiévreusement. Serge lui ramone la chatte avec férocité et rapidement Mathilde se laisse aller. On l'entend maintenant respirer fortement, gémir sous les baisers d'Henri et les caresses ********** de Serge. Bernard une caméra au poing fait le tour de la scène. Nous voici sous un autre angle. Bernard filme par-dessus le dossier du canapé. Mathilde, les yeux fermés se fait mordiller les tétons alors que Serge porte ses doigts pleins de mouille à la bouche de Mathilde qui les suce sans rechigner. Sa robe n'est plus qu'un petit bandeau de tissu autour de sa taille. En arrière-plan dans un fauteuil Marcel se caresse doucement au travers de *** pantalon déjà déformé par une belle bosse qui laisse présager un beau morceau. Puis Henri se relève, et sort sa queue longue, fine et toute rasée déjà à demi bandée pour la présenter à la bouche de Mathilde qui n'hésite pas une seconde à la prendre, tout en prenant l'initiative d'extirper la grosse paire de couilles du pantalon. Henri : — Oh, ouiii ! Elle a une bouche, c'est un vrai fourneau. Hummm oui vas-y suce bien. Oui tiens prends-la toute hummm. Serge : — Elle est trempée, elle me dégouline sur la main, je vais lui en mettre un troisième, je suis sûr qu'elle va apprécier. Elle est quand même serrée pour *** âge, *** mec était mal monté ou quoi ? Je ne réagis même pas à ses paroles sur le coup tellement je suis excité. Je me caresse doucement la queue que j'ai sortie. Bernard : — Vas-y Mathilde pompe-lui bien *** dard à notre ami Henri il va tout te mettre dans ta petite bouche. Sur ces paroles Mathilde redouble d'efforts pour sucer Henri qui commence à gémir. Il sent qu'à ce train-là il ne va pas résister longtemps. Serge de *** côté a réussi à lui foutre trois doigts dans la chatte et la ramone bien à fond, le pouce écrasant *** clitoris. Serge : — Elle a un clito minuscule. Mais alors regarde comme il marche bien.
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chrislebo
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À chaque fois que Serge appuie sur le clitoris Mathilde se cambre ou pousse un soupir d'enchantement. Puis utilisant l'abondante mouille de sa chatte, il lui enduit l'anus et commence à jouer avec en faisant de petits ronds et en insinuant un doigt de temps à autre. Rapidement il pose sa bouche sur la chatte trempée et tout en lui dévorant le clito lui visse littéralement jusqu'à la garde *** majeur dans le cul en lui faisant faire de longs va-et-vient et le tournant à l'intérieur. L'anus se déforme et on le voit nettement entrer et sortir au rythme des allées et venues, preuve d'un manque de lubrification et pourtant Mathilde gémit de plus belle toujours la queue d'Henri dans la bouche qui maintenant lui a pris la tête et lui assène de grands coups de reins. Henri : — Ohhh oui tiens bouffe, je vais tout te mettre dans la bouche. Ouiii ! Ohh putain je viens. Henri lui enfonce la queue à fond dans la bouche et visiblement jouit. Mathilde déglutit tant bien que mal du foutre dégouline légèrement de ses lèvres, elle a les yeux qui pleurent. Il va l'étouffer. Puis doucement, il relâche la pression alors que Mathilde lui pompe le nœud comme une furie, il est obligé de la repousser tellement elle lui fait mal. Alors qu'Henri se recule et que Mathilde reprend *** souffle difficilement à cause du traitement de Serge, Marcel est déjà devant elle lui présentant sa queue épaisse et sombre. Elle ouvre la bouche et se laisse docilement investir. Henri : — La vache elle m'a vidé en rien de temps. Et se ressert une coupe de champagne. Serge : — Attends, Marcel, tu vas t'asseoir elle va te sucer à genoux. Marcel relève Mathilde et vient s'asseoir sur le canapé pendant que Mathilde s'agenouille entre ses jambes pour reprendre sa fellation. J'ai une vue imprenable sur *** gros cul luisant et sa grosse chatte maintenant bien dilatée, trempée de mouille. Serge derrière pousse la table du salon sur le côté, se débarrasse de sa chemise et de *** pantalon et recommence à lui fourrer trois doigts dans la chatte tout en lui léchant l'anus. C'est lui finalement le moins bien monté de l'équipe une queue tout à fait normale ni trop longue, ni trop grosse, mais il bande bien raide. Marcel prend la tête de Mathilde à deux mains et lui imprime le rythme. On entend les bruits obscènes que fait sa bouche et les clapotis de sa chatte. Serge tout en se redressant prend les mains de Mathilde et les pose sur ses fesses. Serge : — Vas-y salope ouvre moi bien ton cul, je vais te la mettre direct dans le fion. Mathilde comme par réflexe et très fermement tire sur ses fesses pour bien ouvrir *** anus. Serge : — Voilà une fille bien obéissante. Tu vas voir je vais bien t'enculer maintenant. Il crache sur l'anus, puis enfonçant comme de rien *** majeur dans le cul de Mathilde, il se positionne au-dessus, la queue bien à la verticale et une fois *** doigt retiré pose le gland contre l'anus qui déjà palpite. Il s'enfonce doucement mais surement dans *** cul laissant Mathilde pousser un cri étouffé par la queue de Marcel. Une fois bien au fond, il attend un moment afin que le cul de Mathilde se dilate puis commence à limer lentement, puis plus vite écartant lui aussi les fesses charnues de ma femme. Puis lui imprime un rythme soutenu. Serge : — Ohhh putain comme elle est serrée. C'est trop bon. Elle va me faire gicler la salope. Hummm. Tiens prends ça sale garce, je vais t'éclater le cul. Han han han. Mathilde toujours la queue de Marcel dans la bouche étouffe des cris de plaisir, se faisant refaire le conduit par Serge à grands coups de reins. Il la défonce maintenant bien de tout *** poids, ressortant parfois complètement, admirant l'anus bien dilaté pour la lui remettre à fond. C'est au moment où Marcel se lâche dans la bouche de Mathilde que Serge explose dans *** cul. De longs râles emplissent le salon. Mathilde déglutit tant bien que mal. Marcel reprend ses esprits. Bernard et Henri se branlent doucement en regardant la scène. J'ai éjaculé dans un papier absorbant. Je mets sur pause le temps de faire une toilette, me servir un coup et de fumer une clope. Je reviens quelques minutes plus tard et relance la lecture. Bernard : — Bravo Mathilde tu as été superbe si tu allais te refaire une beauté. Mathilde tout échevelée se relève sourit à Bernard et disparaît du salon. Les trois hommes commentent allègrement les performances de Mathilde. Bernard : — Alors vous la trouvez comment ? Serge : — Oui, elle est vraiment bonne, je n'aurais pas cru qu'elle aurait un cul aussi serré. Marcel : — Elle suce vraiment pas mal, elle a vraiment du potentiel. Henri : — Dommage qu'elle ne soit pas plus jeune on aurait pu la présenter à Abdel. Bernard : — Oui je sais. Mais bon, j'aimerais bien lui trouver un plan bien salace tu vois ? Qu'elle en prenne plein le cul pour de bon. Je veux la rendre à *** connard de mari quand elle sera bien usée. Marcel : — Bonne idée. Une autre bouteille de champagne a été ouverte, la discussion continue une dizaine de minutes avant que Mathilde ne refasse *** apparition. Vêtue cette fois d'une espèce de robe noire dans le même style que la précédente mais complètement transparente. On aperçoit un string ficelle qui lui rentre dans la raie du cul et ses grosses mamelles aux tétons érigés. Je ne lui connais pas ces tenues, Bernard a surement dû lui prévoir toute une garde-robe, ce n'est pas possible autrement. Je me souviens des photos que j'ai vues sur le premier DVD et je m'aperçois que je ne connaissais aucune de ces tenues. Une fois de plus, elle est accueillie sous les applaudissements. Elle adore ça apparemment et tourne sur elle-même pour bien leur en faire profiter, puis retourne s'asseoir cette fois entre Bernard et Henri qui après avoir trinqué et vidé leur verre commencent à nouveau à tripoter Mathilde sous le regard de ses amants précédents. Bernard lui malaxe les seins fermement pendant qu'Henri lui tripote la chatte au travers du string, tirant parfois pour qu'il pénètre dans sa chatte écartant ses lèvres. Il tire plus fort pour exacerber *** clitoris déjà irrité par la séance précédente. Puis passe une main sous le string et lui fourre un doigt dans la chatte et rapidement un deuxième. Il lui bouffe un sein pendant que Bernard agace le second. Mathilde naturellement écarte les cuisses afin de faciliter le travail d'Henri. Je suis impressionné de voir comme elle est docile, je la reconnais à peine. Henri s'assied dans le canapé et demande à Mathilde de venir sur lui, elle enlève *** string et le plus naturellement du monde, elle lui sourit et s'empale doucement sur sa queue. Bernard derrière lui prépare *** petit trou. Bernard : — On va te prendre en double ma belle, tu vas adorer. Une bite dans chaque trou tu vas voir c'est le paradis sur terre. Mathilde : — Ohh ! Oui venez, je veux tout essayer. J'ai tellement envie de baiser. Il prend alors une coupe de champagne sur la table et pendant que Mathilde monte et descend sur la bite d'Henri il en verse une peu dans le sillon de *** cul puis y colle la langue. Enfonçant celle-ci dans *** petit trou. Mathilde pousse un petit cri de surprise entremêlé de gémissements, elle savoure déjà l'effet que lui fait la queue d'Henri. Puis Bernard se met en position pour la lui mettre. Bernard : — Attends bouge pas. Voilà tiens, hum regarde ça rentre tout seul maintenant. Tu vois qu'on te l'a bien élargi ton trou du cul. Serge a fait du bon boulot. Mathilde : — Oui. Vas-y mets-la moi, bien à fond. Oui putain, oui que c'est bon ! soupire-t-elle. Serge : — La vache elle aime ça ! Marcel : — Oui ça se sent. Bernard : — Humm oui bien à fond, jusqu'aux couilles. Bien emmanchée. Puis il commence un lent va-et-vient alors que Mathilde est toujours assise sur la queue d'Henri. Bernard lui taraude l'anus méthodique, un vrai métronome, puis accélère doucement accroché aux hanches de Mathilde qui commence à partir sérieusement, on la sent prendre *** pied, elle a la tête dans le cou d'Henri l'embrasse fougueusement étouffant ses cris dans *** épaule. Puis Henri commence à bouger doucement. Dans un rythme un peu désordonné ils prennent Mathilde, elle apprécie le traitement. Bernard jouit dans ses fesses et se retire laissant Mathilde empalée sur Henri qui finit de la baiser alors qu'elle est épuisée et éjacule dans *** con. Une fois épanché il l'allonge sur le canapé ou elle s'endort quasi instantanément. Il prend une petite couverture et la recouvre. Bernard s'approche de la caméra. « J'espère que ça t'a plu ? À la prochaine ! » et m'envoie un baiser. Fin du DVD. Je suis décomposé dans le canapé. J'aimerais la prendre dans mes bras la câliner ou la tuer, je ne sais pas vraiment. À ce moment les sensations se mélangent. Je suis là désolé, attristé, excité et désemparé. Je me demande ce que peut bien contenir le dernier DVD. Mais je ne pense pas que je le regarderai. Maintenant il faut me reprendre et trouver du boulot. La vie doit continuer. Fin.
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chrislebo
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ENCEINTE L'ascenseur s'arrête, un homme entre, appuie sur le bouton. L'ascenseur repart vers les étages. 23 ans, jeune et jolie femme aux longs cheveux bruns et yeux noisette, Mélanie le regarde sans appréhension. Elle a le visage d'un ange, le sourire radieux, les yeux pétillants de bonheur. Elle a les mains posées sur *** petit ventre rond. Cela donne un air épanoui à sa silhouette de future maman. L'ascenseur n'a parcouru que quelques mètres, quand le nouveau venu appuie sur le bouton rouge. L'appareil s'arrête, le bouton clignote. L'ascenseur est arrêté entre deux étages. Mélanie le détaille, amusée, gardant sur *** visage *** sourire presque enfantin. Elle est belle, très belle, et l'homme en convient. Elle lui sourit, sans comprendre pourquoi il a arrêté la cage. La cinquantaine, bien mis, très distingué, tempes gri***nantes, cet homme mur respire la tranquillité et la sagesse. Il ressemble à *** père, d'ailleurs, elle le trouve beau, séduisant en tout cas, comme *** père. L'homme s'avance, s'approche d'elle. Mélanie le regarde avancer, faire les deux pas qui le sépare d'elle. Elle tressaille mais ne bronche pas. Elle est contre la paroi de la cabine. Il est devant elle, presque à la toucher. Que lui veut-il ? Elle n'a pas peur, n'est pas anxieuse, juste intriguée. Elle a en elle une sorte de ... sérénité. *** état la rend forte, elle se dit qu'elle est heureuse, invulnérable, que la vie est belle. Elle n'a pas de rai*** d'avoir peur, cet homme ne peut pas lui vouloir de mal. La main se pose sur *** ventre, le caresse un instant, elle est troublée par cette caresse inattendue. La main remonte plus haut, en direction de sa poitrine. Mélanie ne bouge pas, ne dit rien, elle reste adossée à la paroi de la cabine et regarde cette main qui se promène sur elle, caresse *** corps. Elle respire plus vite, *** cœur s'emballe, mais elle n'a pas peur, c'est l'émotion, simplement. Il la caresse, s'approprie *** sein. Elle regarde cette main qui se referme sur *** sein gauche, le pelote. Elle ressent dans sa chair cette émotion, ce toucher. Instantanément, elle sent *** bout durcir. Elle ferme les yeux un instant, submergée par l'émotion. Elle flotte, c'est étrange. Elle ne s'était jamais trouvée dans pareille situation et n'avait jamais ressenti une pareille émotion sous les caresses d'un homme. Elle est comme ... anesthésiée. Elle ne peut se soustraire à ses caresses. Elle devrait fuir, crier, tenter de se débattre, mais, étrangement, elle reste passive, laissant l'homme disposer d'elle, de ses seins. Elle rouvre les yeux, regarde à nouveau cette main qui la touche. Elle ne peut détourner *** regard de ce qu'il est entrain de lui faire, passive. Il lui prend le sein, le presse fermement, comme pour juger de sa fermeté, elle ne dit rien, étrangement passive, ressentant dans *** corps cette incroyable émotion des caresses d'un homme qui pourrait être *** père. Elle ne réagit pas d'avantage en voyant l'autre main se poser sur *** sein droit. La main se referme dessus, le presse à *** tour, puis cherche le bout au travers du tissu. Mélanie a un spasme, ses paupières se ferment à nouveau une fraction de seconde. Elle souffle d'émotion mais reste toujours aussi passive, totalement incapable de se soustraire aux caresses de cet homme. Elle est forcée, mais elle ne semble pas en avoir conscience, vaincue par un étrange état de torpeur qui gagne tout *** corps. Elle ne se sent pourtant pas en danger, n'a pas peur, se laisse aller, se laisser peloter contre la paroi de l'ascenseur.
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chrislebo
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Une main abandonne *** sein, descend sur *** ventre, le caresse à nouveau. Mélanie aime cette caresse sur *** ventre, tandis qu'il lui malaxe toujours la poitrine. Puis, lentement, la main descend vers le bas du ventre, sans rencontrer la moindre résistance. L'homme à l'impression que la jeune femme attendait cette caresse. Mélanie le sent glisser sur *** bas ventre, les doigts la touchent, les doigts s'incrustent, les doigts la palpent. Elle souffle à présent, gémit à nouveau mais se laisse faire. Enfin, elle réagit. *** corps bouge, ses lèvres s'ouvrent, elle souffle, le regard agrandi par la surprise et l'émotion. - Je ... je suis enceinte ! - Hum, je sais, j'ai vu ! C'est pour çà que je t'ai choisie ! - Ha ! Mais ... mais ... pourquoi ... qu'est-ce que vous faites !? - Je te caresse Mélanie. Rassure toi ... je ne vous ferai aucun mal, ni à toi ... ni à lui ... Vous avez besoin de caresses, tous les deux. Vous avez besoin qu'on vous fasse du bien. Tu en as envie, toi aussi. Tu aimes ce que je te fais, çà se voit ! Je te touche ... et tu aimes çà. Tu en as envie Mélanie, ton corps le réclame ... sens mes doigts! - Huummmpppffff ! Sur cette affirmation, les doigts crochètent *** sexe, s'enfoncent entre ses jambes, la ******* à écarter les cuisses. A travers le tissu, elle sent ces doigts prendre possession de *** sexe, le masser entre les cuisses. Elle se pose des questions, mais ne peut se résoudre à fuir cet homme, à se débattre. - Tu vois ... tu aimes çà Mélanie. Tu aimes que je te touche là ! - Ohh! Vous ... vous connaissez mon nom ? - Je sais tout de toi Mélanie, tout ! Même tes désirs et tes envies ... - Oh, pourquoi ? - Parce que ... tu es belle Mélanie. Tu es jeune, et ... tu es enceinte. C'est beau un corps de femme enceinte. C'est rond, c'est plein, c'est tendre. Les seins ***t tendus, gonflés de vie, faits pour l'amour. Les tiens ***t parfaits, si j'en juge, bien pleins, bien fermes et bien remplis. Je les ai sentis ... bander sous mes doigts. C'est la preuve qu'ils apprécient mes caresses. Et la chatte d'une femme enceinte ... tu sais que c'est très beau ? Le mont de vénus gonflé, les lèvres enflées, et cette liqueur abondante ... le sexe d'une femme enceinte est fait pour être caressé, et ne demande qu'à être enfilé ! - Ummpppfff ! Nooonn! - Tu vois, tu t'ouvres à mes caresses, oui, c'est çà ... écartes les cuisses Mélanie. Ouaiiisss !!!! Mélanie suffoque à moitié sous l'émotion ressentie. Ses cuisses se séparent malgré elle. Elle ne comprend pas pourquoi, elle ne comprend pas comment, mais elle continue de se rendre, elle s'ouvre même aux caresses. Elle ressent dans *** corps et dans *** ventre les doigts qui jouent à présent avec *** sexe. Il lui caresse la vulve à pleine main, une main passée à plat sur sa culotte. Il lui a retroussé la robe sur le devant. Ses cuisses ***t découvertes, on voit la main masser *** pubis, glisser sur sa fente, s'incruster entre ses lèvres en s'insinuant dans le tissu. Mélanie a un nouveau spasme sous la caresse précise. Elle plaque ses mains de chaque côté, contre la paroi, s'abandonnant définitivement aux caresses. Ses yeux se ferment par intermittence, selon la pression des doigts sur *** sexe. Mélanie se rend, se laisse aller, sa tête fait non mais *** corps se donne. - Nooon ... oh noonnn ! Qu'est-ce que vous faites !? - Je te caresse Mélanie, et t'aime çà ! Tu coules, ta chatte se donne, sens mes doigts sur toi ! - Oh noonn !!! - Ouais ! C'est çà. C'est bon, hein ? Ouvre toi Mélanie. Donne moi ta chatte. Laisse moi la prendre, je sais que tu en as envie Mélanie ... tu as envie que je te l'enfile ! - Je ... je suis mariée ... - Oui, je sais ! Et il te fait l'amour, mais tu as besoin de plus, Mélanie. Tu as besoin de jouir d'un autre. Tu as besoin de jouir de moi, de me sentir en toi, dans ton ventre. Prends moi en toi Mélanie ! - Ummmppfff ! Non ... ohhh! Mains plaquées contre la paroi de la cabine, Mélanie ressent fortement les caresses. L'homme la branle maintenant, deux doigts passés dans l'élastique de sa culotte. Elle tremble d'émotion: un homme la touche, un homme la branle ... et il lui fait du bien. *** ventre se donne, *** ventre s'ouvre. Elle sent sa chatte gonfler et elle mouille en abondance. Elle ne peut cacher *** état. Cet homme est diabolique. Elle ne le connaît pas, pourtant, il la touche, la pelote et lui branle le sexe. Il prend peu à peu possession de *** corps et elle se sent bien, étrangement bien sous ses doigts. L'homme continue de la caresser et de la peloter. Les doigts glissent entre les lèvres de sa chatte, l'autre main lui pelote doucement le sein gauche. Soudain, il s'arrête et entreprend de déboutonner le haut de la robe. Mélanie regarde sans protester, sans réagir autrement que par des gémissements, cette main qui la déboutonne. Il écarte le haut de la robe, faisant saillir une poitrine fabuleuse, tendue sous un soutien gorge de dentelle noire. Gentiment, mais fermement, il fait glisser le haut de la robe sur ses épaules. Mélanie ne proteste pas, décolle même *** dos de la paroi, lui facilitant le travail. Il ne lui laisse pas le temps de réfléchir, passe ses mains dans *** dos et se saisit de l'attache du soutien gorge. Mélanie le regarde, les yeux troubles, il est entrain de la dénuder et elle se laisse faire. - Ouais ! C'est bien Mélanie. Tu es belle, tu as envie d'être caressée. Montre moi tes seins, tes seins merveilleux, remplis d'amour ... fais les voire ... montre les ...donnes moi les ! - Oh! Noonnn!
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chrislebo
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A nouveau, Mélanie dodeline de la tête. *** regard se trouble encore plus tandis qu'elle sent *** soutien gorge se relâcher. L'homme tire à lui le sous vêtement, l'entraînant dans *** mouvement. Mélanie se retrouve seins à l'air, souffle bruyamment, regarde cet homme qui la pelote, regarde la main qui s'approche à nouveau de *** sein et qui va la toucher. Les doigts prennent possession de *** bourgeon et le font rouler délicatement. Mélanie en a un spasme. - Ouuuaahhh! Noonnn! - Ouaiisss ! C'est bon hein ? T'aimes çà hein ? Laisse toi aller Mélanie. Laisse moi prendre tes seins ... et les goûter ... L'homme approche sa bouche du téton durci et le gobe. Mélanie rue sous la caresse, se trémousse mais ne se dérobe pas. Elle se fait sucer les seins et en gémit de plaisir. L'émotion la secoue. *** ventre se noue, *** ventre sur lequel la main parcourt toujours sa nudité, deux doigts glissant entre ses cuisses ouvertes. *** ventre se donne, ses cuisses s'écartent encore, les sensations ***t incroyables. Les doigts écartent ses lèvres humides et courent sur *** clitoris. Un nouveau spasme lui traverse le ventre, elle écarte les genoux provoquant un léger tassement du bassin, elle va au devant des doigts qui l'explorent, au devant de la pénétration qu'elle désire maintenant, qu'elle réclame avec impatience. Elle veut cet homme en elle, elle veut sentir ses doigts la visiter, pénétrer *** ventre, ce ventre qu'elle a toujours réservé à un seul homme. Inconsciemment, elle se donne à cet inconnu. Et soudain, elle crie, un cri de plaisir malgré ses dénégations. Un doigt s'enfonce dans *** ventre, lui enfile la chatte: - Oôôôôaaaaahhhhh! Nooooonnnnn ! Qu'est-ce que vous faites ... Vous êtes ... dans moi ! Oooohhhh! - Je t'enfile la chatte Mélanie ... je sais que tu aimes. Je sais que c'est çà que tu veux ! N'est-ce pas Mélanie ? - Oohh! Ouaiiiss! C'est ... c'est fort !!! - Je vais t'en mettre un autre Mélanie ... dedans ... bien au fond ... - Huuummmppfff! Mélanie souffle, donne du ventre, se laisse doigter par cet inconnu. La sensation dans *** ventre est trop forte, trop bonne, trop excitante. Elle ne peut résister. Elle s'ouvre encore, pour se sentir remplie. L'homme sort de *** vagin mouillé puis s'enfonce à nouveau en elle. Elle rue à nouveau, râle de plaisir sous la poussée. - Huuummmppfff! Oouuaaahhh ! Deux doigts la pénètrent à présent, tout au fond de *** ventre, tout au fond de sa chatte. Ils glissent en elle et la fouillent dans *** intimité. L'homme la regarde ruer de plaisir, souffler sous l'excitation croissante. *** ventre rond est pris de spasmes. - Tu as déjà eu un amant Mélanie ? - Hofffcchhh ! Non ... Puis regardant le ventre rond: - Le papa ... c'est ton mari ? - Ouaiiis ! Oh ... ouiiiiii ! - Et avant lui ... t'as eu ... d'autres hommes ? - Oh! Un ... un seul ... Toute à ses sensations, Mélanie répond machinalement aux questions de l'inconnu, sans se soucier de *** indiscrétion. Elle lui répond comme à un confesseur, sans tabou, sans se poser de question, sans savoir pourquoi elle le fait, excitée par ces questions, excitée d'y répondre sans détour. - Donc, tu as déjà eu un amant ! Avant ! Et ... c'est ... celui là, qui t'a ... baisée le premier ? - Ouaiisss! Oh ouais ! - Et depuis, tu n'as jamais eu d'amant Mélanie ... pourtant, je sais que t'en as envie maintenant ! Regarde, ton ventre se donne. Ta chatte le réclame. Sens ! Sens mon doigt dans ton ventre. Et tes seins qui gonflent. Ta chatte, ta petite chatte le réclame Mélanie. Elle coule, elle a envie de se faire enfiler ... sens moi... dans ton ventre ... - Ouaaahhh ! Ouaiiiisss ! C'est ... fort !!! - Je vais te prendre, Mélanie. Je vais venir en toi ! Je vais te prendre ta chatte, profond ... et te faire mienne !!! - Ohhh! Ohh ! Oui ! - Tu vas te donner, tu vas me sentir Mélanie ! - Oui ! oui ! - Dis-le ! Je veux que tu me le dises Mélanie Mélanie donne du ventre, s'empale elle-même sur les doigts qui la forent en profondeur. Elle s'ouvre, et elle sait qu'il a rai***, qu'il dit vrai, que *** corps le réclame, qu'elle se donne et qu'elle veut le sentir.
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chrislebo
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- Dis-le Mélanie, que tu veux me sentir en toi, que tu as besoin que je te prenne. Dis-le ! - Oui ! Oui ... Oh ! Prenez ... prenez moi !!! Dans un réflexe nerveux, il attrape sa culotte sur le côté, d'une main, tente de la faire glisser sur ses cuisses. Elle ne résiste même pas. L'homme abandonne *** vagin. Il sait qu'il a gagné, qu'il l'a amenée elle-même à se donner, à offrir *** corps. Il tire sur le slip vers le bas et la déculotte, puis la prend dans ses bras, la ***** à se tourner et la fait pencher en avant. Mélanie pose ses bras sur la rampe de maintien. Courbée, croupe offerte, elle écarte les cuisses sans qu'il lui demande. Il lui relève la robe sur le dos et s'agrippe à ses hanches. Mélanie tressaille: une queue raide et chaude se promène entre ses lèvres humides. Elle est fébrile. Il va la prendre, cet homme va lui enfoncer sa queue dans la chatte et la faire sienne. Elle le sent bien, tout contre *** sexe, elle est à présent impatiente d'être pénétrée, de sentir cet inconnu s'enfoncer dans *** ventre de femme. Elle pose sa tête comme elle peut sur ses bras et ferme les yeux, goûtant l'instant ultime de la pénétration. Se donnant sans réserve. L'homme s'accroche à ses hanches et pousse. Elle le sent pénétrer *** ventre. Sa chatte s'ouvre, gonfle sous la poussée. Une queue gigantesque la pénètre toute, se propulse en elle et la remplit. Elle se sent baisée, remplie totalement. Elle est prise, enfilée par un homme, et c'est incroyablement bon , incroyablement fort ! Elle en a un vertige. Immédiatement, il la lime en profondeur. Immédiatement, elle se met à crier. Elle n'en peut plus. La future maman, jusqu'ici fidèle, se laisse baiser et crie *** plaisir ! - Oôôôôaaaahhhh ! Noonnn! Oh noonnn ! Elle est ... dedans ...Ouiiii! Oh oui ! C'est bon ... encore, encore ... baise moi, baise moi ! Enfonce ! - Ouais ! C'est bon. Tiens ... prends moi. Je suis ton amant Mélanie ! - Oh ! Oh non ! C'est bon ! - Je vais te la remplir Mélanie ! Je vais te faire ce cadeau ... et venir en toi ... profond ... - Oh! Oh oui ... oui ... c'est bon ! - Oh tiens ... enfile ... prends là ... profond ! - Oh non ! Oh non !!! - Je viens Mélanie ... je viens !!! - Ouuuuaaaahhhh ! C'est ... fort ... Je sens ... c'est fort !!! Mélanie reçoit la première giclée au fond de *** ventre. Elle a senti la queue gonfler au fond d'elle, se raidir dans *** sexe. Il s'est planté rudement, tout au fond, et elle s'est laissée investir, consciente qu'il allait exploser en elle, la remplir de sa semence, consciente qu'elle allait le sentir décharger dans sa chatte. Complètement submergée par le plaisir d'être prise par cet homme, incapable de lui résister, elle s'est laissée prendre sans résister, s'abandonnant au plaisir de se sentir investie par sa queue, offrant *** corps et *** ventre en se laissant remplir par cet inconnu qui ressemblait tant à *** père. La jouissance la submerge. Il y a longtemps qu'elle n'avait pas joui aussi fort. Lui aussi a fini de jouir en elle, râlant et soufflant des mots sans suite. Mélanie s'est laissée enfiler et remplir sans protester, jouissant sous les assauts de cet homme, se laissant même caresser le ventre tandis qu'il lui remplissait la chatte. L'adultère est consommé, mais elle n'en est pas encore consciente, envahie par le plaisir et la torpeur qui gagne peu à peu *** corps de future maman. L'homme se retire du vagin brûlant, l'homme se rajuste, puis l'homme appuie sur le bouton, libérant l'ascenseur. Le départ de la cage est les vibrations de l'appareil réveillent Mélanie de sa torpeur. L'homme lui rabat la robe sur ses cuisses. Elle se redresse, difficilement, alanguie par cette séance inattendue et incroyable. Elle se retourne. L'homme lui sourit. Elle le regarde, le dévisage. Un fris*** la parcourt des pieds à la tête, parcourt *** échine. Elle émerge peu à peu. - Qui êtes vous ? - Chut ... je suis ton amant Mélanie ! La jeune femme reste incrédule devant la réponse. Elle réalise qu'elle vient de faire l'amour avec un parfait inconnu et qu'elle ne sait toujours pas qui il est. La porte s'ouvre, l'homme dépose un baiser sur ses lèvres. Elle ne réagit pas, n'essaie pas de le repousser. Il sort à reculons, lui fait un petit signe de la main: - A vendredi Mélanie ! Puis il disparaît, la laissant seule avec ses pensées, interloquée qu'il puisse lui donner un nouveau rendez-vous après ce qui vient de se passer. L'ascenseur repart pour l'étage supérieur, le sien, la laissant avec ses pensées, ses fris***s, ses questions. Qui est-il ? Pourquoi s'est-elle laissée faire ? Comment et où la connaît-il ? Et maintenant ? Elle est fébrile quand elle glisse la clef de *** appartement dans la serrure. *** mari est là, il l'attend, va-t-elle lui dire, lui avouer ce qui vient de se passer ? Va-t-elle oser lui avouer qu'elle vient de faire l'amour avec un inconnu ou ... garder ce secret pour elle ? .......... Un baiser sur la bouche et Mélanie se dérobe, gênée. Elle ne veut pas qu'il lui pose de question, qu'il la voie dans cet état d'excitation, les joues rouges, les cheveux défaits, le regard trouble. Elle se réfugie à la salle de bains. J-Paul la regarde s'échapper sans comprendre: allez comprendre les femmes enceintes ! Il n'a pas eu le temps de remarquer *** trouble, tout juste *** essoufflement, qu'il met sur le compte de *** statut de femme enceinte.
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chrislebo
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Mélanie, enceinte, s'est laissée prendre dans l'ascenseur, par un inconnu lors du 1er châpitre. Le bel inconnu lui a donné rendez-vous le vendredi suivant, au même endroit. Viendra-t-elle, jusqu'où cela va t elle la conduire? En attendant, épuisée par ce qu'elle vient de vivre, elle est rentrée chez elle où l'attend *** mari, et s'est réfugiée dans la salle de bains pour masquer *** état d'excitation et sa gêne. Une demi heure plus tard, elle réapparaît, en peignoir de bain, transparent, bien entendu. *** petit ventre s'en échappe un peu, elle est à croquer dans cette tenue, sans culotte, ni soutien gorge. Elle vient se frotter à *** mari, qui la prend dans ses bras, étonné de cette tenue et de *** attitude à cette heure de la journée, mais il ne pose pas de question. C'est Mélanie qui entame. Elle se pose des questions, beaucoup de questions et le remord commence à poindre, alors elle décide de prendre les devants, histoire de trouver une justification à tout cela. - Tu aimes les femmes enceintes, mon chéri? - Mais ... pourquoi cette question? Bien sur, c'est évident! Je veux dire, toi, bien sur ... - Et les autres? - Hein? Quelles autres? - Ben ... en général. Est-ce que tu aimes les femmes enceintes? Il parait que les hommes aiment les femmes enceintes. Il parait qu'ils aiment leurs seins ... et toi ? - Ben ... ouais ! Comme tout le monde. C'est vrai que vos seins ***t plus ronds, plus fermes, plus majestueux. - Ouais ? C'est vrai ? Et le reste ? - Quoi, le reste ? - Ben, le reste de nos formes, nos fesses, notre ... sexe ... le ventre ... - Ben ouais. C'est beau, le ventre rond, c'est agréable, surtout à toucher. - Et le sexe ? - Mais dis donc, toi ! Qu'est-ce que tu as aujourd'hui? - Rien, je me pose des questions. J'ai entendu dire que les hommes adorent le sexe d'une femme enceinte, alors ... - Ben ... ouais, c'est peut être vrai. C'est vrai que ... tu mouilles plus et ... avec ton petit ventre, on a tout de suite envie de plonger dedans! - De plonger ... quoi? - Mais ... tout mon amour. La langue, les doigts, et ... la queue ... - Tu ... hem ... tu crois que c'est l'effet que je fais aussi ... aux autres hommes? - Çà, je suis sur qu'ils ne peuvent pas résister quand ils te regardent. Et ... je suis sur que tu les fais bander mon amour ... c'est çà que t'as envie de savoir? - C'est vrai? Et ... tu crois ... qu'ils ont envie de moi!? - Envie de toi, ma chérie! Envie de te baiser, envie de te prendre et de t'enfiler une queue longue et pointue dans ta petite chatte en chaleur. Oh, toi! Je t'aime. Viens, c'est moi qui vais te la mettre ... bien au fond. - Oh mon chéri, tu me rends folle. Ce que tu dis, c'est ... terrible ... prends moi ... viens ! C'est ainsi que Mélanie évacue ce qui s'est passé dans l'ascenseur. Grâce aux déclarations de *** mari, qui l'ont troublées, mais aussi apaisées, Mélanie se laisse aller dans les bras de Jean-paul, sans arrière pensée. Au moment où *** mari la pénètre, elle se revoit dans l'ascenseur, prise par cet homme. Ce n'est pas la queue de *** mari qu'elle ressent alors en elle, mais celle de cet inconnu. C'est comme s'il la pénétrait une seconde fois, et elle se met aussitôt à crier. Mélanie jouit alors intensément, s'empalant profondément sur la verge, pour le plus grand bonheur de *** mari. Maintenant, elle sait qu'elle ne regrette pas de s'être abandonnée à cet inconnu. Elle ne regrette pas d'avoir joui dans ses bras, enfilée par sa queue, profondément, complètement. En pensant à lui, à *** regard face à elle, elle se dit qu'il a eu envie d'elle, envie de la peloter, envie de la regarder et de la toucher, et qu'il a eu rai*** de la prendre. Elle arrive même à éprouver de la sympathie pour lui, pour cet homme qui lui rappelle *** père. Oui! Il a eu rai*** de la baiser et il a bien fait de lui remplir la chatte: elle en a joui et elle en gardera un merveilleux souvenir. Elle sait que l'adultère est consommé, elle sait qu'elle a trompé J-Paul, mais elle ne le regrette pas, elle en est même excitée. La semaine passe lentement pour Mélanie. Elle baigne à présent dans une douce euphorie, avec le souvenir de cet homme, entrain de la prendre, dans cet ascenseur. Elle ne peut chasser ces images de sa tête, elle ne peut chasser ce souvenir, ni cette impression qu'elle ressent, tout en elle, au fond de *** ventre, chaque fois qu'elle pense à lui, à ses mains sur *** corps, à *** sexe, pénétrant le sien. A mesure que le vendredi approche, sans s'en rendre compte, Mélanie devient fébrile, émotive. Les sensations éprouvées reviennent de plus en plus, s'affirmant comme un besoin. Mélanie regarde le calendrier distraitement. Jeudi! Encore un jour! Puis elle réagit: pourquoi regarde-t-elle le calendrier? Pourquoi attend-elle ce vendredi avec tant d'impatience? Elle ne sait pas encore ce qu'elle a décidé, mais *** corps parle pour elle. *** subconscient la place déjà avec un jour d'avance: Vendredi! Pourquoi? Pourquoi, se dit-elle? Vais-je y aller? Pourquoi est-ce que j'attends ce jour comme çà?
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chrislebo
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Mélanie se réveille. Après quelques minutes, les caresses de J-Paul la ramènent à la réalité: on est vendredi! Les caresses de *** mari attisent soudain *** envie. Elle se remémore à nouveau les mains de cet homme jouant avec *** corps. Elle se lève précipitamment, laissant J-Paul une fois de plus sans comprendre. Il la retrouve plus tard alors qu'elle sort de la salle de bain. Un bisou, et elle s'esquive. Elle passera la matinée seule, J-Paul s'est rendu à *** travail. Il ne rentrera que vers 17 h 00, c'est le dernier jour de la semaine de travail: Vendredi! Après un dîner pris rapidement, Mélanie s'allonge mais elle ne réussit pas à faire sa sieste habituelle. Quelque chose la perturbe. Elle essaye de ne pas y penser, de ne pas se rappeler, d'écarter le sujet de *** esprit. Pourtant, le sujet reste bien là, accroché dans sa tête, comme une image indélébile, un appel irrésistible. Elle tente encore de repousser ces idées mais ne fait que les amplifier. A 15 h 00, Mélanie sort de *** immeuble et se dirige chez *** épicier. Elle sait que c'est à cette heure que "l'homme" est apparu. Inconsciemment, elle ne reste que quelques instants, achète quelques fruits, puis retourne chez elle. Inconsciemment, toujours, elle espère croiser à nouveau la route de cet homme, tout en se disant à haute voix " que ce n'est pas pour cela qu'elle est sortie dehors". Le hall de l'immeuble est presque vide. Seule, une femme déjà aperçue, probablement, une locataire, est présente à cet instant. Elle aussi attend l'ascenseur. Mélanie la regarde, un peu contrariée bien qu'elle ne veuille pas le reconnaître. C'est au moment où la porte s'ouvre qu'il apparaît. Mélanie le regarde avancer, tétanisée. Elle ne peut plus bouger, reste sur le seuil de la cage. La femme lui prend la main et l'aide à entrer, pensant probablement à un léger malaise de cette jeune femme enceinte. - Attendez, laissez moi vous aider! Mélanie la regarde. Le rouge lui monte aux oreilles. Elle remercie du bout des lèvres puis *** regard se dirige vers cet homme qui entre à *** tour, feignant de l'ignorer. Deux étages: Mélanie le trouve étrange, il ne semble même pas l'avoir remarquée. L'ascenseur s'arrête, la porte s'ouvre, la femme sort, un petit signe amical en direction de Mélanie, qui lui sourit à *** tour. L'ascenseur repart. Mélanie lève les yeux, il la regarde. Çà y est, il la regarde ! Lentement, il s'approche d'elle. Le regard trouble, elle se recule puis s'adosse à la paroi de la cabine, consciente de ce qui va se passer, consciente qu'elle n'attendait que lui, consciente qu'il va la prendre à nouveau et la faire sienne. Elle ne résistera pas! Elle va se donner, entière, à cet homme si beau, et le laisser la prendre comme il voudra. C'est elle-même qui tend le bras. C'est elle-même qui appuie sur le bouton rouge, c'est elle-même qui stoppe l'ascenseur. L'homme lui sourit. Il s'approche d'elle, tout contre. Mélanie plaque ses mains à plat, contre la paroi, de chaque côté d'elle, elle s'offre, consentante. - C'est bien Mélanie. Je savais que tu viendrais. Je savais que tu m'attendrais. Tu es belle Mélanie. Tu es belle et je vais te prendre. Je sais que tu es venue pour çà Mélanie, pour que je te fasse l'amour. Avant, je voudrais que tu me montres ton ventre. Montre moi ton petit ventre Mélanie, ensuite, je te prendrai. - Oui ... ouffccchhh ! Oui ... Mélanie a déjà perdu tous ses moyens. Elle n'a même pas capitulé, elle était offerte dès le départ. Elle ne sait pas pourquoi, elle ne sait pas ce qui l'attire tant dans cet homme; peut-être parce qu'il ressemble à *** père, peut-être pour ses cheveux aux tempes gri***nantes. Mélanie soulève *** chemisier, lentement, tremblante de désir, dévoilant *** ventre rond. L'homme avance les mains, et puis, elle le sent. Il la touche. Ses mains se promènent sur *** ventre. Il se penche et dépose soudain un baiser sur *** nombril. Mélanie a l'impression de recevoir une décharge électrique et laisse fuser un petit soupir. Les mains se déplacent alors vers le haut, faisant sauter les boutons du chemisier un à un sans qu'elle ne ***ge à s'y opposer. Mélanie reste passive sous les doigts de cet homme qui la déshabille. Comme la première fois, elle se laisse faire, se laisse dénuder sans broncher, sauf que cette fois, elle sait ce qui va se produire, elle sait qu'il va la caresser, toucher ses seins. Elle sait qu'ensuite, ses mains descendront sous sa jupe pour fouiller sa culotte et qu'il plongera dans *** sexe. Comme l'autre fois, elle se laissera enfiler, comme l'autre fois, il la prendra, debout et elle se donnera. Le chemisier est écarté par les mains habiles. Mélanie apparaît en soutien gorge blanc. Ses seins volumineux ne demandent qu'à sortir des bonnets. Elle se sait belle, irrésistible, elle a envie qu'il la touche, elle a envie de sentir ses doigts à nouveau sur ses seins. Alors, sans qu'il lui demande, Mélanie décolle *** dos de la paroi, l'invitant à sa manière à la déshabiller. L'homme passe ses mains dans le dos et fait prestement sauter l'agrafe du sous vêtement. En même temps que le soutien gorge, l'homme fait glisser le chemisier sur les épaules. Mélanie ne résiste pas, se laisse dénuder. L'homme lui baisse chemisier et soutien gorge dans un même élan. Il se penche sur elle. Aussitôt, une bouche avide gobe *** téton. Mélanie laisse fuser une plainte, témoin du plaisir ressenti. - Humppfff ...
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chrislebo
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Dans le même temps, elle propulse *** ventre en avant, contre la bedaine du cinquantenaire. L'homme s'accroche d'une main aux seins fabuleux, tandis que sa bouche fait merveille sur la petite fraise brune. Mélanie ferme les yeux et se laisse aller aux caresses, déjà consentante, déjà entièrement offerte. Elle n'a d'ailleurs aucune réaction hostile quand les mains passent sous sa jupe, glissent entre ses cuisses, pour remonter jusque sur *** petit slip de dentelle. Elle souffle d'émotion: une main se plaque sur *** pubis bombé. Elle retrouve toute l'émotion de la première fois, cette émotion qui la prend entre les jambes, jusque dans la poitrine, cet état d'excitation qui la transperce et la transporte à la rencontre des caresses, à la recherche de l'interdit, de cette émotion qui lui prend le corps, en entier. Elle se sent bien, fabuleusement bien sous les doigts de cet homme. Elle aime ce qu'il lui fait, elle aime sentir ses mains, ses doigts qui prennent possession de *** corps, de *** sexe. Elle se donne, sans compromis, sans restriction. Il va l'enfiler, il va la baiser, s'enfoncer dans *** ventre, elle le sait, elle sera à lui, encore une fois! Elle en a trop envie, envie de le sentir en elle, envie qu'il la prenne et la remplisse, qu'il se vide dans *** corps de femme. L'homme écarte le slip, une main glisse dans la culotte, un doigt directement posé sur *** bouton. - Oooôôaaahhh ! Ooffccchhh! - Ouais ... c'est bon. Tu aimes ce que je te fais Mélanie? - Ouaiisss. Oh ouais! - Tu mouilles Mélanie. Ton sexe sent l'amour. Il a envie que je l'enfile Mélanie! - Ouais ... oh ouais ... - Ecarte toi Mélanie ... laisse moi passer ma chérie. Laisse moi te prendre, et t'enfiler... ouais ... comme çà ... bien profond! - Uummmpfff ... ouffcchhh !!! Ouaiiisss ... c'est bon !!! Profond ... - T'aimes çà, hein? Tu te donnes et tu mouilles ma chérie. Tiens! Sent moi. Prends moi, profond, dans ta chatte! - Oh ouais ... c'est ... fort ... c'est bon ... - Tiens, sent moi. Attends la suite ... je vais te baiser Mélanie. Tu vas me donner ta petite chatte, comme l'autre fois, et je vais la prendre. Tu seras mienne, encore une fois. Tu seras baisée ... et remplie ... et tu vas jouir Mélanie. Tu vas jouir de ma queue, dans toi! - Oh ! Nooon ... qu'est-ce que vous faites ... c'est bon ... Oh non ! Oh non! - Là ... doucement. Ne pars pas trop vite. Tu as besoin de moi, besoin de me sentir en toi, besoin d'être prise, profondément. - Oh ! Oh non ! Arrêtez !!! - Là ... maintenant, tourne toi. Viens ... tu es prête. Donne toi à moi Mélanie. Dans un énorme soupir, Mélanie se laisse guider, complètement débraillée, slip en bas des genoux. Il la retourne et elle ne résiste pas. Elle sait que le moment est venu, qu'il va la prendre, et qu'elle va se laisser baiser, jusqu'au bout. Elle se tourne, comme la première fois, pose ses bras en appui sur la rampe de maintien et se penche en avant, en reculant légèrement les fesses, tandis que l'homme lui relève la jupe sur le dos. Elle se sait impudique, seins pendant dans le vide, fesses à l'air tendues comme une invite dans la direction de celui qui va la prendre. Elle se cale, pose sa tête sur ses bras, écarte les cuisses sans qu'il lui demande. Elle s'offre carrément, se donne sans restriction, tend *** cul et sa chatte dans une invite à la pénétration. Les mains chaudes qui se posent sur ses hanches l'électrisent, la verge dure qui glisse et coulisse plusieurs fois dans sa fente la fait pâmer de désir. Et puis d'un coup, elle le sent, il la prend. Elle pousse un cri rauque. La verge dure la pénètre et s'enfonce en elle. - Oôôôôaaaaahhhh!
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chrislebo
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L'homme la possède, elle est prise, baisée une nouvelle fois par cet inconnu qui la fait délirer. La queue la pistonne, s'enfonce en elle, la fait sienne. Elle se sent remplie, possédée avec bonheur, envahie par cette queue étrangère. Le plaisir vient, monte dans *** corps, dans *** ventre, rapidement. Elle a soudain un flash, une fraction de seconde: l'image de J-Paul, *** mari, s'imprime dans ses yeux, furtivement, mais suffisamment pour la mettre dans tous ses états. Paradoxalement, cela la trouble, l'excite furieusement, elle a l'impression, l'espace d'un instant, qu'il la regarde se faire pénétrer. Alors elle part, elle crie *** plaisir, râle à pleins poumons en pensant à lui, comme s'il était présent. - Oh ! Ouiiii !! Mon chéri ... oui ... c'est bon ... il me ... baise ... fort! Encore. Profond. Baise moi ... Prends moi ... Fais le! C'est ... fort!!! - Oui Mélanie ... prend moi. Tiens ... tiens ... Oh!! Je vais ... te la mettre ... et te remplir ... ma chérie ... - Oui ... oh oui ... mets moi ... profond ... mets moi ... Oh! Je ... je viens ... je viens ... ouiiii!!! Oh oui ... prends moi ... L'homme ne peut se retenir plus longtemps. Mélanie sent la verge durcir, se planter au fond d'elle. Elle sait qu'il vient, qu'il va décharger dans *** ventre. Cette idée la transporte complètement. Elle rue, se pâme, sa tête roule de droite à gauche, et puis ... c'est l'extase. L'homme se plante en elle et explose dans *** corps. Il se vide et la remplit une nouvelle fois de sa semence. C'est chaud, c'est fort, c'est excitant, c'est bon ! Les deux amants finissent de jouir ensemble. Mélanie se cramponne et se retient à la rambarde. L'homme se plante une dernière fois en elle, comme s'il voulait la transpercer. Elle crie sous la poussée, râle une dernière fois puis se relâche, repose sa tête sur ses bras, alanguie, bouillante du plaisir qui vient de la terrasser. L'homme se retire d'elle. Elle le sent farfouiller derrière elle, il lui remonte lui-même *** slip et rabat sa jupe. L'ascenseur repart. C'est alors qu'ils entendent la ***nerie. Quelqu'un appelle désespérément la cage, ce qui a déclenché la ***nerie d'alarme. Au redémarrage de l'appareil, l'alarme stridente s'arrête. Complètement partis dans leur jouissance, aucun des deux ne l'avaient alors entendue. La porte s'ouvre, l'homme sort. Précipitamment, Mélanie se retourne et sort à *** tour, croisant une vieille femme qui la regarde étonnée. Mélanie ne se rend pas compte de sa tête. Elle transpire, est complètement décoiffée, *** corsage est complètement ouvert sur ses gros seins laiteux, le soutien gorge pendant sur *** ventre. L'homme se retourne, se rend compte de la situation et la prend dans ses bras. La porte de l'ascenseur se referme sur la vieille dame décontenancée. L'homme prend Mélanie par les épaules puis lui remet *** soutien gorge. Alors seulement, Mélanie réalise la situation. Le chemisier enfin remis en place, elle le regarde, blottie dans ses bras. - Je ... je sais pas qui vous êtes, mais ... c'était bon ... pourquoi? - Parce que tu en avais envie Mélanie! Tu en avais envie. - Mais ... pourquoi? Comment vous avez fait pour ...? - Je te connais Mélanie, c'est tout ce que tu dois savoir. Ne te pose pas de question. Prends le plaisir comme il vient. Vis ta passion à fond. Profite de la vie Mélanie, prends du plaisir chaque fois que tu peux, autant que tu veux. Tu as vibré, tu en as joui Mélanie, et tu t'es donnée, sans restriction. Tu as aimé, aimé faire l'amour, aimé être prise, ne freine pas ta passion! - C'est vrai, j'ai ... j'ai aimé. Je sais pas comment mais .... j'aime ce que vous me faites. Vous m'avez fait ... jouir!
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chrislebo
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Sur cette déclaration bouleversante pour elle, l'homme la serre dans ses bras. Elle approche sa tête de celle de *** amant. Leurs lèvres se soudent. Mélanie ouvre la bouche et reçoit le baiser, pour la première fois, goûtant la langue dans *** palais. Elle est prise de fris***s, tandis qu'une main prend possession de sa poitrine. Mélanie se laisse embrasser, rendant le baiser d'une langue avide, tournoyant dans le palais de *** amant, puis elle cesse à bout de souffle, le regard trouble, laissant la main parcourir ses seins dans un nouvel émoi. Mélanie reste confondue, étonnée de la facilité avec laquelle il l'amène à se rendre, à s'offrir à ses caresses. - Oh! Comment vous faites ... je ... comprends pas. Pourquoi? - Je te l'ai dit, ma chérie: ton corps a besoin de caresses, tu débordes de désir. Le désir d'être caressée, aimée, le désir d'être prise et d'offrir ton corps. La pénétration de ton ventre n'est que l'aboutissement de tes fantasmes, de tes envies. Laisse parler ton corps. Donne toi chaque fois que tu en as envie. - Qui êtes vous? - Tu le sauras bien assez tôt. Ne pose pas trop de question. Vas, ma chérie. - Mais ... pourquoi? Pourquoi moi? - Parce que ... je t'ai choisie Mélanie, et parce que ... tu en avais besoin, toi aussi. Un jour, tu sauras qui je suis. Un jour! - Je ... je vous reverrai? - Si tu le désires Mélanie! Uniquement si tu désires poursuivre ce que tu recherches, ces contacts charnels que ton corps réclame. Je suis ton amant Mélanie, je pourrai devenir ton maître si tu le désires. - Je ... je sais pas ... je comprends pas ... - Si, tu comprends Mélanie. Si tu ne comprends pas tes envies, ni pourquoi, tu sais maintenant que tu ne peux les contenir, que tu as besoin de ressentir toute la sensualité de ton corps. C'est pour cela que je suis là, pour t'apprendre à découvrir cette sensualité qui déborde en toi, et t'apprendre à la reconnaître. Si tu veux poursuivre cet apprentissage de l'amour, le vrai, celui du désir pur et de l'extase charnelle, alors je serai ton maître autant que ton amant. Je sais que tu le veux. Troublée, Mélanie tente d'analyser les paroles de cet homme, sachant qu'elle finira par se laisser aller à cette domination mentale et érotique qui l'attire comme un aimant. Elle ne sait pas pourquoi elle l'écoute, elle ne sait pas pourquoi elle se rend et se donne à cet homme dès qu'il apparaît, mais elle sait qu'il dit vrai, qu'il a rai***. Tout cela n'est que la vérité, une vérité qu'elle se refusait à entrevoir jusqu'ici, et pourtant ... Elle le regarde, de plus en plus troublée, vaincue par ces déclarations. De quelle manière cet homme envisage-t-il de la conduire? Jusqu'où va-t-il la mener? Elle s'interroge, déjà rendue à ses arguments, elle ne peut que constater qu'il a rai***, qu'elle le désire aussi. Tout cela la trouble, lui fait perdre la tête. Mais ... comment veut-il la prendre, quelles ***t ses intentions, la question lui brûle les lèvres? - Mon maître? Je comprends pas ... c'est ... - Si Mélanie. Tu me comprends. Je sais que tu me comprends. - Je ... je sais pas ... comment vous voulez ...? - Si tu le désires, c'est simple. Il te suffit de faire ce que je te dirai. Te laisser conduire est la seule solution Mélanie. Est-ce qu'il t'arrive d'aller au cinéma ? - Heu ... oui, des fois. - Seule? - Non, avec J-Paul. - Alors, vendredi, Mélanie, vendredi, je veux que tu ailles au cinéma, seule. Ce sera notre secret. Tu y seras rejointe, comme tu le désires. Tu te laisseras conduire dans la découverte de tes sens. - Mais ... je ... - Chut! Je ne t'oblige pas Mélanie. C'est simplement un conseil auquel tu vas réfléchir. Je te laisse avec ta conscience, tes envies et tes besoins ma chérie. Si tu ne le veux pas, c'est simple, il te suffira de rester chez toi, mais, je sais que tu viendras, je te connais. Tu ne pourras pas résister à la tentation qui t'attire vers le plaisir et l'extase. Si c'est le cas, à la séance de 16 heures, tu iras salle 11. Tu monteras jusqu'au dernier rang et tu te mettras juste sous la lucarne du projecteur. Arrange toi pour que per***ne ne vienne s'asseoir à côté de toi jusqu'au début du film. A ce moment là, une main viendra caresser la tienne, que tu auras posée sur l'accoudoir. Alors tu sauras que ton amant vient s'asseoir à tes côtés. Tu sentiras ses mains, tu t'abandonneras au plaisir. Tu connaîtras la volupté, je te promets que tu ne le regretteras pas.
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chrislebo
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- Mais ... au cinéma? Vous voulez me faire ... des choses au cinéma? C'est çà? C'est pas possible? - Tu verras bien Mélanie. Tu verras bien! Mais, quoi qu'il se passe, laisse toi aller. Laisse le plaisir t'envahir. Donne toi, comme tu sais te donner. - Au cinéma? Vous allez ... venir pour ... me toucher et ... Oh là, là! Je sais pas si ... je sais plus. Tout çà va trop loin pour moi. - Je suis sur que non. Vendredi ... n'oublie pas! - Mais ... il y a plein de monde au cinéma!? - A ces séances, il n'y a jamais grand monde, et puis, les rangées du haut ... ***t pour les amoureux, ceux qui ont envie de câlins. - De ... de câlins? Des amoureux? Je ... je suis amoureuse de ... mon mari. Juste de mon mari. - Oui Mélanie, je sais. Mais tu es aussi amoureuse de ton corps, de tes sensations. Et je sais que ton corps réclame mes caresses. Tu viendras Mélanie, je sais que tu viendras, car tu en as envie! - Bon ... je sais pas! Je sais plus. - A vendredi Mélanie. - Au revoir ... et ... merci. Sur le départ, Mélanie se retourne, étonnée et inquiète, regardant *** amant s'éloigner, cherchant à comprendre, mais n'y comprenant plus rien. Une moue comique sur les lèvres, elle le regarde puis tourne les talons, reprenant l'ascenseur. Une fois chez elle, elle se dirige directement dans sa chambre et s'allonge, pensive, prise de fris***s de volupté en mémoire de ce qui vient de se passer. Elle ne cherche plus à analyser, s'abandonne au délice qui parcourt *** échine, sans remord. Cet homme, elle ne le connaît pas, et pourtant ... elle a éprouvé beaucoup de plaisir à se donner à lui, beaucoup de plaisir à sentir ses mains sur *** corps. Une énorme excitation l'étreint au souvenir de ce qu'elle vient de vivre. Elle ressent encore la pénétration de *** sexe par cette verge inconnue. Franchira-t-elle l'étape suivante ?
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vanbruje
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Tout bon, mais le précédent est encore meilleur... et dire que je l'avais loupé... Merci, bonne continuation
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chrislebo
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