« Mais non ! Raphaël ! Qu'est ce que tu fais ? »
J'essaye de me dégager de sa poigne de fer, mais rien à faire.
Il frappe et la porte s'ouvre.
L'intérieur est sombre. Je ne vois que de nombreuses flammes de bougies vaciller, de ci de là.
Raphaël me pousse violemment dans la mai*** et claque la porte.
C'est une grande pièce très peu meublée. Deux canapés ou ***t assis quatre hommes dont celui qui nous a ouvert la porte. Je ne distingue pas leurs visages à cause du faible éclairage. Une table basse en bois sur laquelle ***t posées des coupes de champagne, un seau et sa bouteille. Une table de salle à manger en bois massif ou trônent deux chandeliers en fer forgé, cinq chaises et au mur...une croix de Saint-André.
Mon sang se glace.
« Raphaël ! Ne restons pas là ! Sors-moi de là ! Qu'est ce qui te prend ? Tu es devenu fou ? »
Il prend ma main et me tire jusqu'aux canapés puis il me débarrasse de mon manteau avec violence et le jette au loin, par terre.
Les hommes me dévisagent. J'imagine très bien le spectacle que je leurs offre. Poupée fragile habillée comme une pute.
Je peux à présent voir les traits de leurs visages.
Dieu qu'ils ***t laids.
Il y a un gros, le nez écrasé. Il porte un marcel taché de traces de nourriture, qui dessine les rondeurs de *** bide gras. Il arbore également un short horrible qui laisse voir ses cuissots de porc.
A contrario, près de lui, est assis un homme maigre qui chausse de petites lunettes rondes. Il porte un costume sans âge. Nez crochu et cheveux gras, c'est une véritable caricature.
Sur l'autre canapé ***t installés des jumeaux d'une vingtaine d'années. Ils ***t en survêtements de marque et font, par rapport aux autres, plutôt classe.
Je suis tétanisée. Je cache mon décolleté en croisant mes bras sur ma poitrine et je tente de reculer. C'est sans compter sur mon mari qui m'agrippe par les cheveux et me ramène près des canapés.
« Chose promise, chose due ! Messieurs, voici la salope d'en face ! Amusez vous bien ! »
Puis il tourne les talons et s'en vas en claquant une nouvelle fois la porte.
Je suis certaine que tout ceci n'est qu'une mascarade destinée à me punir. Il veut me faire peur et il y arrive très bien. Ces types doivent être de ses amis. Ils se ***t déguisés pour ajouter au scenario.
D'ailleurs, je ne sais même pas lequel d'entre eux est notre voisin !
*** petit jeu ne m'amuse pas du tout et c'est lui qui maintenant mérite une leçon.
Je décide de renter dans la combine. De plus je suis curieuse de voir la réaction de ses complices quand ils vont voir que je ne me rebelle plus.
Je les fixe à tour de rôle et je décroise doucement mes bras que je laisse pendre le long de mon corps.
« Harggg ! »
Le gros manque de s'étouffer à la vue de mon décolleté qui file jusqu'à mon nombril en laissant entrevoir l'intérieur de mes seins.
« Sers nous à boire ! »
Le grand maigre me donne l'ordre tout en caressant ma cuissarde du revers de sa main.
Ils n'oseront jamais aller plus loin. J'en suis sur. Ils vont me mater pour m'humilier et ca en restera là.
Je me penche pour servir. Le tissu s'écarte de mon corps dévoilant mes seins. En fait, je serrais nue qu'ils n'en verraient pas plus.
Ils écarquillent les yeux, regrettant surement l'ambiance tamisée des bougies. Ça m'amuse beaucoup.
Le gros se lève et passe derrière moi. Il caresse mon dos de haut en bas avec *** index.
J'ai fini de servir, mais je ne me redresse pas, bien décidée à les mettre à mon tour dans l'embarra. Je pose mes mains sur la table basse et ferme les yeux.
Le doigt qui glisse le long de ma colonne vertébrale me donne des fris***s. Je me sens même humide.
Mais soudain, il se plaque à moi et je sens *** membre dressé dans *** short, épouser la fente de mon cul.
D'un coup mes certitudes s'envolent. Il ne fait plus que de me caresser, il se frotte à moi.
Mince ! Il ne s'agit pas uniquement de me foutre la trouille.
Je me redresse d'un coup.
Le gros passe ses bras autour de moi et agrippe ma poitrine. Il m'écrase contre lui et sa panse appuie dans mon dos, poussant mon bassin vers l'avant comme si je me cambrais.
Il a une ***** herculéenne et mes bras pri***niers des siens ne me ***t plus d'aucun recourt.
Le type à lunette s'accroupi devant moi. Il caresse mes bottes un long moment, avec un plaisir non caché. Sans doute un de ces fétichistes, comme on en trouve sur les sites de cul.
Lorsque ses mains touchent mes cuisses, je me raidie et pourtant, je sens une douce chaleur m'envahir et une certaine excitation me submerger. Mais surtout ne pas le montrer.
Ses mains montent doucement le long de mes cuisses et disparaissent sous ma robe.
S'il me touche il s'apercevra que je mouille abondamment et ma réputation de salope prendra tout *** sens.
Mais il prend *** temps. Et descend mon string avec délicatesse.
Je me défends comme je peux, en pleurnichant, en secouant la tête ou encore en serrant les cuisses et en faisant passer un genou sur l'autre. Mais il parvient à ses fins et il porte le triangle de tissu à ses narines.
Pendant tout ce temps, les jumeaux ***t toujours assis au fond de leur canapé, très sage, très calme et ne montrent aucun signe d'excitation.
Ce n'est pas le cas de « gras double ».
Il prend mes deux poignets dans une de ses mains et de l'autre dégage *** membre.
Je sens *** gland humide frotter mon dos dans le bas de l'échancrure de ma robe.
Je le sens respirer dans mon cou. Il pousse de petits grognements.
Soudain, il m'embrasse dans le cou et tire sur la chainette avec ses dents. Celle-ci, bien sur, casse.
Il s'écarte un peu et ma robe tombe à mes pieds. Très vite, elle rejoint mon manteau à l'autre bout de la pièce et aussitôt, il reprend mes seins en main.
Me voilà entièrement nue, juste chaussée de mes cuissardes.
Je sens *** sexe contre mes fesses. Elle semble courte, mais il est vrai que *** ventre l'empêche de se coller à moi.
Le « croque mort » se retrouve le visage à quelques centimètres de mon vagin luisant de mouille, lisse comme un abricot. Il s'en approche, le sent, le renifle.
Il lape mon clito de quelques coups de langue. Trahi*** ! Celui-ci réagit au stimulus et gonfle d'un coup, m'envoyant de petites décharges électrique dans le bas ventre.
« Humm ! »
« Ha ! On savait que tu allais aimer ! Putain ! »
« C'est pas demain la veille que tu me fera jouir ! Gros porc ! »
« Hahaha ! Pas besoin que tu jouisses pauvre conne ! Que je me vide dans ton cul me suffira ! Haha ! »
Comme pour me montrer que je l'agace, il triture mes pointes de seins sans ménagement.
Mais pendant que je me dispute avec « gros lard », monsieur « croque machin » a prit possession de mon antre avec ...*** nez.
Il me besogne enfonçant la totalité de *** appendis en moi. Très vite et contre ma volonté, je jouis sans pouvoir le cacher. Il semble très satisfait de lui et se relève. Il caresse ma joue en me faisant un grand sourire.
Je peux enfin voir *** visage de près. Il est moins vieux qu'il n'y parait, mais est d'une maigreur accablante. Derrière ses lunettes je vois qu'il a de beaux yeux. C'est surement la seule chose qu'il a de beau.
*** nez luit de ma jouissance et il se passe la langue au dessus de sa lèvre supérieure pour en apprécier le nectar.
Il fait un signe au gros.
Toujours empri***née de ses bras, il me soulève et me transporte jusqu'à la croix de Saint-André. Malgré mes gesticulations, Il lui est facile de me faire lever les bras pour menotter mes poignets.
Je me sens ridicule ainsi exposée et tellement impuissante. Les hommes éclatent de rire et me délaissent pour aller boire un verre de champagne. Je prends toute la mesure du mot « *********** ».
J'écarquille les yeux pour détailler la pièce. Les rideaux ***t tirés, mais je repère la fenêtre qui est en vis-à-vis avec notre mai***. Sur un trépied, je vois la longue vue et au sol j'aperçois un appareil photo agrémenté d'un gros objectif digne d'un paparazzi.
Mes observations s'arrêtent ici. Les deux jumeaux jusqu'ici très sages, s'approchent de moi, un grand sourire aux lèvres.
« S'il vous plait ! Vous avez l'air d'être gentil ! Détachez-moi, s'il vous plait, je vous en supplie ! »
« Pas question ! Ce n'est pas tout les jours qu'on a une salope à disposition ! »
Fil de fer approche.
« Qu'est ce qu'elle a la petite pute ? Elle a la moule qui se refroidie ? »
« Laissez-moi partir ! »
« Oui, bien sur ! Mais pas avant de t'avoir tronché dans tout les sens ! »
Alliant le geste à la parole, il baisse *** pantalon et *** caleçon mais il garde sa chemise et sa veste. Il a l'air ridicule.
Du bas de sa chemise dépasse *** sexe. Un long truc fin avec un gland rougeoyant.
Il fait un signe aux jumeaux. Ils attrapent mes jambes en passant leurs bras sous mes genoux et les lèvent à hauteur de mes seins.
Mon poids tire sur mes poignets et je dois m'agripper à mes chaines pour ne pas me blesser.
Ainsi pendue, mes deux orifices ***t accessibles. Je me sens comme une truie que l'on va ouvrir et vider.
Il s'approche de moi et frappe mon clito à plusieurs reprises avec sa baguette de chair, puis il s'enfonce en moi.
Ce sexe effilé, me procure une drôle de sensation. Je le sens, mais il ne me remplit pas. Il semble frétiller en moi comme un pois*** et m'électrise à chaque fois que le bout de *** gland frôle mon utérus.
J'essais de le cacher, mais je prends mon pied. Il malaxe mes seins tout en me baisant et mes tétons ***t dressés, durs. Il les roule entre ses doigts, ajoutant à mon plaisir.
« Tu mouilles, salope ! Hein ? Tu mouilles ? Tu jouis, pouffiasse ? »
Je craque.
« Ho oui ! C'est bon ! Ouii ! »
« Et ton cul ? Il jouit ton cul ? Hein ? »
Je n'ai pas le temps de réagir et il saute d'un trou à l'autre en une seconde. Il fait si vite et si adroitement que je ne me contracte pas et le pic rose s'engouffre dans ma pastille brune jusqu'à la garde.
Il me prend ainsi de longues minutes sautant de l'un à l'autre m'arrachant au passage de petits cris de bonheur.
Il choisit mon abricot pour se vider de sa semence, écrasant *** bas ventre au mien en appuyant sur mes fesses.
Les jumeaux relâchent mes jambes ankylosées qui ont bien du mal à me soutenir et je peux enfin lâcher mes chaines.
Ils s'en vont boire, me laissant le front dégoulinant de sueur. Je sens le foutre encore chaud, s'échapper de mon vagin et couler le long de mes cuisses.
Le goret avale *** verre et revient vers moi. Il me décroche et m'entraine vers la table basse. Là, il m'oblige à m'y assoir, face à lui.
Je peux enfin observer ce qui lui sert de sexe.
C'est une chose immonde de dix ou douze centimètres, presque aussi large que courte. Elle semble tellement gonflée, que le gland a peine à en sortir. Celui-ci sécrète un liquide transparent et visiblement huileux. C'est une véritable usine de liquide pré éjaculatoire.
Raphaël, en fournit très peu. C'est dommage, car j'aime bien ca. Mais là...
Il pose *** gland sur mes lèvres. *** ventre l'empêchant de voir sa queue, il cherche, il tâtonne. Il badigeonne ma bouche de ses secrétions gluantes.
L'odeur m'affole et m'excite. Il faut que j'y goutte.
Discrètement, je sors un petit bout de langue juste au passage du gland.
Quel délice ! Beaucoup plus puissant que celui de mon homme, mais tellement plus bon et gouteux.
Je n'hésite pas plus longtemps et laisse le bout de viande glisser entre mes lèvres.
Je tète plus que je ne suce, *** ventre cognant à mon front m'empêchant d'aller aussi loin que je le voudrais.
Le goret brame comme un cerf en rut. Il applique une main derrière ma tête pour accélérer ma succion ridicule.
« Oui ! C'est ca ma belle ! Continue comme ca ! Je vais te remplir le gosier ! »
Vu la taille de *** sexe, j'en doute for et pourtant...
« Tiens ! Avale moi ca salope ! Bois tout mon jus ! Allez ! Avale ! Harggg ! »
C'est un bouillon épais qui remplit ma bouche en deux jets puissant. J'avale par instinct et par surprise. La quantité est impressionnante et je manque de m'étrangler.
Mais d'autres libérations interviennent rapidement et ma bouche ne peut pas contenir tout le sirop. Il s'en échappe qui tombe sur ma poitrine et une cuisse.
Sa semence est épaisse, lourde. Elle est très blanche et semble faire des grumeaux comme une farine mal mélangée.
« Haha ! Tu ne t'attendais pas à ca, hein ? Sale chienne ! Tu vas dégueuler mon foutre par les narines ! Haargh ! »
Je ne lui ferais pas ce plaisir et j'avale tout. Pour rehausser la provocation, je lève mes yeux vers lui, lèche mes lèvres, ramasse le foutre sur mes seins avec mes doigts avant de les porter à la bouche.
J'ai gagné ! Il semble un peu énervé. Il me relève, me reconduit à la croix et m'attache de nouveau.
La glue sur ma cuisse glisse lentement et disparait dans le haut de ma botte tandis que les hommes finissent une autre bouteille de champagne.
Je les observe discuter. Il parle de moi car il se retourne souvent pour me regarder.
Puis, les jumeaux se lèvent et s'approchent de moi.
Finalement, ils ***t plutôt mignons, bien qu'ils n'aient pas l'air d'avoir inventé l'eau chaude.
Ils ouvrent leurs vestes de survêtements. Ils ne portent rien dessous. Ils ***t costaud, bien taillés et leurs abdos ***t bien dessinés. Ils retirent leurs pantalons et leurs caleçons. Bien qu'ils ne soient pas en érections, je trouve leurs sexes déjà hors normes. Ca m'effraie un peu.
Ils se collent à moi, caressant mes seins, m'embrassant dans le cou, frottant leurs ventres et leurs queues à mes hanches et mes cuisses.
Ils ***t en forme très rapidement et je sens les deux pieux glisser sur mes cuisses ou frôler ma chatte.
La clef tourne dans mes menottes et ils m'amènent vers les canapés. L'un d'eux s'allonge et m'invite à venir m'empaler. Pas question ! Est ce le contraste avec celle du gros, mais il me semble que ce membre est bien trop grand pour ne pas me blesser.
*** frère ne voit pas cela d'un bon œil, et après m'avoir agrippé les cheveux il me fait grimper sur le canapé.
J'enfourche le jeune homme, inquiète. Je me place au dessus du gland tumescent et me laisse glisser lentement dessus.