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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#5,101
 Down to the last message
Maria saw the way Lisa dominated her ****** and lost all respect for her. She didn't heed her warning to not fuck Max. She needed his cock and needed it now. Maria lowered herself over Max's dick and guided it into her pussy. Maria gasped for air as his large dick filled. She had been with several boys but no one as big as Max. Maria began to ride wildly on her brother's penis. Her big tits were bouncing on her chest; Max eagerly reached up and began to grope them, causing her nipples to become fully erect. Maria's body was overcome with passion and lust. She tossed her head back and her eyes rolled all the way back. She urged her brother to fuck her, "Oh Max! Fuck me, fuck me baby. Ahhhhhhhhhhhhhhhh!" Max shot his cum into his sister's pussy. Maria's body shook as she was racked with pleasure.

Lisa looked at Rachel with a sick smile on her face, "Hey slut, Max's cock is filled with pussy juice. I think you should clean it off!" Lisa ****** the beautiful Latina to her knees; Rachel's massive tits nearly reached the floor. Max closed his eyes and licked his lips as his mom stroked his shaft with her hands. Within seconds, Max was once again erect. Rachel lowered her pouty lips over son's cock and bobbed her head up and down. Rachel could taste her own juices on her son's cock and it only turned on her more. Lisa had dominated and humiliated them; it drove Rachel wild. She closed her eyes and sucked her own son's cock like it was a lolli-pop.

Lisa looked on in delight. She leaned up against the table and spread her legs, grabbing Maria by the hair and ******* her to eat her pussy clean and lick Max's cum from her. Lisa looked over at Rachel. Lisa reminded Rachel of an important lesson, "Now you fat slut, now, you're my bitch!"
chrislebo

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#5,102
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le dressage de cathy


Cette histoire commence un après midi.

Je sors de mon travail à 14h et pour mon malheur il y avait une grève de bus. Rentrer à pieds me prendrait au moins 2 à 3 heures, je décidais donc de faire du stop. Après de longues minutes une voiture s'arrête à ma hauteur.

Une discussion s'engage entre le passager avant et moi-même.

« - vous allez où ? me demande le passager .
- à Gentilly
- si cela ne vous gène pas, on peut vous y emmener
- d'accord »

La porte arrière s'ouvre pour laisser sortir un homme, un black comme le passager avant. Il me fait monter et une fois dans la voiture je me retrouve entre deux hommes. Il m'était impossible de descendre, la voiture démarra.

« - bonjour dis-je. Je vous remercie de m'accompagner
- de rien c'est un plaisir pour nous si on peut rendre service
- mais où allez-vous ce n'est pas la direction pour Gentilly!
- non on fait un petit détour puis on vous dépose
- merci »

Le chauffeur fait les présentations :

« - Moi je suis Jimmy, à côté de moi c'est Max, à votre gauche c'est Stef et à votre droite c'est *** frère Bob. Et vous c'est comment votre petit nom ?
- moi c'est Catherine
- c'est joli comme prénom, on va vous appeler Cathy dit Stef
- non je n'aime pas comme surnom
- c'est juste entre nous
- ce n'est toujours pas le chemin »

Pas de réponse, mais Stef et Bob mettent chacun une main sur mes genoux.

« - non mais ça va pas ! Ne me toucher pas et puis vous me laissez descendre maintenant!
- impossible jolie Cathy tu es avec nous et tu restes avec nous
- non je veux descendre maintenant ou bien je crie »

Jimmy monte le *** de la radio pour couvrir mes cris. Stef et Bob se ***t tournés vers moi, ils ont chacun une main sur mes cuisses, je me débat temps bien que mal.

« - arrêtes de gigoter me dit Stef. On veux juste s'amuser avec toi
- non arrêtez, laissez moi sortir
- trop tard ma salope tu es à nous maintenant
- non je ne suis pas une salope »

Pendant ce temps, Stef et Bob remontent leurs mains sur mes cuisses et commencent à ouvrir mon manteau. Je ne peux plus bouger car Stef et Bob ont bloqué mes jambes sous les leurs. Mon manteau ouvert, ils commencent à passer leurs mains sous mon pull, dessous je ne porte rien.

« - hey les gars dit Stef. Cette salope ne porte rien en dessous c'est cool »

J'ai les larmes aux yeux, je ne sais plus quoi dire. Maintenant, Stef et Bob caressent mes seins, ils jouent avec les bouts, les pincent, les caressent, malgré tout je sens l'envie qui monte en moi. Puis Stef commence à passer sa main dans mon pantalon.

« - non s'il vous plait
- dégrafes toi-même ton pantalon ou bien je l'arrache s'exclame Stef. Dépêches toi salope
- non pas question je vous en prie »

Bob me donne une gifle, je me mets à trembler de peur.

« - Dépêches toi de le déboutonner ou bien j'arrache »

Me sentant menacée, je dégrafe mon pantalon.

« - c'est bien ma pute dit Stef »

chrislebo

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#5,103
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Je n'ose plus rien dire sur les insultes, et sa main descend sur mon sexe.

« - tu vas enlever ton manteau et ton pull pendant que Stef s'occupe de ton minou
- non pas question »

Il me donne une autre paire de gifles. J'enlève mon manteau, puis je retire mon pull, je suis maintenant pratiquement nue. Stef et Bob tirent sur mon pantalon pour le faire descendre,
sans m'en rendre compte je me soulève pour faciliter mes deux agresseurs. Je me trouve maintenant en petite culotte, Stef et Bob en profitent pour me caresser, je me rends compte aussi que Max me filme.

« - non pourquoi il me filme ?
- c'est notre garantie, pendant que tu étais occupée à te déshabiller, j'ai fouillé dans tes affaires pour savoir où tu loges, dans le cas où tu ne nous obéie pas, on envoie le film en recommandé chez toi tu piges ma salope
- oui je répondis
- maintenant tu les branles, tu fais ce qu'on te dit petite pute ou bien le film est envoyé chez toi en recommandé »

Mes mains tremblent, je prends ces deux gros sexes il me semble énormes, puis je commence timidement à les masturber. Plus vite salope s'écrit Max, fais nous voir que tu es une bonne pute. Mes mains se serrent sur les sexes, puis mes va-et-vient deviennent plus rapides, Stef et Bob continu de s'occuper de mon sexe, de mes seins et de ma bouche. Stef enfonce plusieurs doigts dans mon sexe sans ménagement, un petit cri sort de ma bouche mais il est vite étouffé par la langue de Bob. Puis je sens mon corps qui onduler, au fur et à mesure que Stef me masturbe.

« - elle mouille la salope dit Stef aux autres. C'est bon on va pouvoir la faire bosser pour nous »

Sur ces paroles, je me rebiffe mais je vois le caméscope et je me laisse aller, comme ils le veulent, comme une pute bien sage que l'on éduque.

« - maintenant tu vas les sucer l'un après l'autre »

Je me penche sur Bob et je commence à lécher *** sexe, puis de sa main il fait pression sur ma tête *** sexe s'enfonce au point de m'étouffer. Je me rends compte que j'aime sucer ce gros sexe, Bob s'en est rendu compte car il a enlevé sa main. De *** côté, *** frère Stef me fait pivoter, je me retrouve un genoux sur la banquette et un pied sur le sol. Stef est derrière mo, il pointe *** sexe entre mes cuisses, il s'agrippe à mes cuisses et il s'enfonce pleinement. Ses va-et-vient ***t violents, mais la douleur s'estompe pour le plaisir. J'enfonce mes ongles dans les cuisses de Bob, je sens que je mouille.

« - aller à mon tour dit Bob à *** frère »

Je me tourne de moi même et je commence à sucer ce gros sexe qui venait de me défoncer. Bob lui derrière moi, m'écarte les jambes au maximum, puis il me pénètre c'est bon j'aime me faire prendre. Après quelques va-et-vient, il se retire et présente *** sexe sur mon anus.

« - non pas par là je ne l'ai jamais fait
- c'est pas grave ma salope, on va te dépuceler après tu vas aimer et en redemander »

*** sexe appuie sur mon petit trou, j'ai mal et pour éviter que je cri, Stef me ***** la bouche avec *** sexe. Max lui a déjà commencé à me pénétrer, j'ai toujours mal mais moins. Puis, Max s'enfonce d'un cou, il me déchire et il commence ses va-et-vient violents.

« - aller ma salope bouge ton cul, prends la cadence tu vas faire une bonne pute »

Stef s'est retiré de ma bouche, je sens le plaisir qui monte en moi, oui c'est bon, défoncez moi encore et encore j'aime vos gros sexes.

« - oui c'est bon ma salope continue à nous parler
- encore, encore je veux vous sucer tous les quatre, je veux être baisée et sodomisée comme une pute par vous quatre
- c'est bien ma pute s'écrie Bob je viens »
Et je sens sa semence chaude couler dans mon corps.
« - maintenant tu vas me sucer »
Bob se retire, je me tourne vers lui et je prends dans ma bouche, avec gourmandise ce sexe qui vient de me sodomiser.

« - on passe à la cité ? demande Jimmy
- non il lui faut des fringues de pute, tu passes au sex-shop dabord
- pourquoi vous voulez que je fasse quoi ?
- tu n'as pas bien compris, tu vas te prostituer pour nous tu es notre gagne pain
- non ce n'est pas possible je dois rentrer
- après quand nous aurons décidé »

Jimmy c'est arrêté devant le sex-shop, il me demande d'enfiler uniquement mon manteau et si je n'obéie pas il me balance sur le trottoir. J'enfile donc mon manteau et je le suis dans le sex-shop. Le patron nous accueille et ferme la porte juste après nous, je me sens très mal.

« - fais lui voir ce que tu as en dessous »

J'ouvre mon manteau, le patron n'en revient pas, il s'approche de moi et me caresse les seins d'une main et de l'autre me doigte. Je dois me retenir à *** épaule, il écarte mes cuisses et il me pénètre violemment avec plusieurs doigts, cela me déclenche une jouissance.

« - mais tu es une sacrée salope avec l'accord de Bob tu vas pouvoir travailler dans mes boxes
- comment ça travailler ?
- et bien petite pute tu rentres dans un boxe et des clients te prennent à plusieurs par tous les trous et d'autres payent pour voir
- Jimmy tu choisi des fringues pour cette salope c'est gratuit »

Jimmy m'apporte une paire de bas résille, une jupe très courte en cuir noir, un haut en mousseline transparent noir et une paire de botte.

« - habille toi salope, fais toi belle on t'attend »
Je m'habille sur ses ordres mais je n'ose me regarder.
« - maintenant on sort
- non pas comme cela je ne peux pas
- écoutes espèce de pute, tu obéie ou bien dès ce soir tu tapines »

Je n'ai pas le choix, je sors du sex-shop habillée comme une vulgaire pute, les gens me regardent se retournent sur mon passage j'ai honte.

« - c'est bien salope tu peux monter dans la voiture pour aujourd'hui c'est suffisant, on te ramène tu nous donnes ton portable que l'on puisse te joindre
- je peux me changer
- il n'en est pas question, tu es notre pute tu rentres chez toi comme ça tu prends juste ton manteau et rappelle toi on ta filmée, un pas de travers et tu connais la suite »
Je suis rentrée chez moi et par bonheur mon mari n'est pas encore là. Je me précipite dans la chambre pour me changer et là je m'aperçois dans le miroir, je vois une pute, je me change et attends sagement mon époux. Mon téléphone ***ne, c'est Bob.

« - prépares toi pour vendredi, car nous avons des clients au sex-shop »
vanbruje

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Posts: 282
#5,104
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Très bonne histoire, merci... Une suite peut-être ? Bonne continuation
soumis8

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Posts: 3142
#5,105 · Edited by: soumis8
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chrislebo

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Posts: 168565 Pictures: 3 
#5,106
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Monsieur, mon voisin.


Je n'ai jamais voulu acheter cette mai***. Elle ne me plaisait pas, bien qu'elle fût spacieuse et lumineuse.
Ce qui me dérangeait, c'est cette grande baie vitrée au salon qui donne directement sur la mai*** du voisin, à moins de cent mètres de la notre.
Mon mari, égoïste qu'il est, n'avait vu que *** intérêt et les dix petites minutes seulement qui le séparaient de *** boulot.
Quand à moi, je ne travail pas, Raphaël considérant que *** salaire suffit largement à notre train de vie. Je reste donc dans cette pri*** dorée qu'est notre nouvelle demeure.
Je passe mon temps entre courses et ménage. Bref ! Rien de bien passionnant.
Pourtant, au bout de quelques mois, j'ai trouvé mes marques et je suis de plus en plus à l'aise dans cette mai***.
Le voisin ? On ne le voit jamais. Je ne sais même pas à quoi il ressemble. Si bien que je fini par oublier totalement ce fâcheux désagrément que représente ce vis-à-vis et il n'est pas rare que je fasse mon ménage, baie ouverte et en petite tenue.
Jusqu'à ce jour de juillet.

Il fait chaud.
Je passe l'aspirateur dans le salon, la baie grande ouverte. Je m'arrête un instant pour reprendre mon souffle et m'éponger le front du revers de ma main.
Le rideau du voisin à bouger. Juste avant il m'a semblé voir un truc noir, une masse, un objet, sur le coin de la fenêtre.
Les jours passent et je remarque cette chose plusieurs fois, sans arriver à distinguer ce que cela peut être et uniquement le matin, à l'heure de mon ménage.
Curieuse que je suis, plusieurs fois, de bonne heure, je suis allée me cacher dans le jardin, derrière la haie qui sépare notre espace de celui du voisin.
Ma curiosité a été récompensée. Le quatrième jour, le truc noir s'installe dans l'angle droit de la fenêtre. Et là... Aucun doute. Je suis assez proche pour voir qu'il s'agit de l'extrémité d'une longue vue de bon diamètre.
J'ai voulu en parler à Raphaël, mais trop prit par sa petite per***ne, je savais qu'il ne prêterait pas attention à mon histoire.
Durant deux semaines, j'ai fais mon ménage fenêtre fermée, mais la chaleur est trop forte et un jour, agacée par cette situation, je suis allée frapper à la porte de la mai***.
« Qui est là ? »
« Bonjour monsieur ! Je suis votre voisine ! J'aimerai vous parler deux minutes ! »
« Qu'est ce que vous me voulez ? »
« Ben ! Ouvrez et je vous le dirais ! »
« Non ! Laissez-moi tranquille ! »
Je retourne chez moi, furieuse.
J'ai plusieurs options. Aller voir la police, insister pour que Raphaël m'écoute, finir ma vie les fenêtres fermées ou jouer avec ce porc.
C'est ce que je choisis avec la promesse de le coincer s'il fait un faux pas.
C'est ainsi que chaque jour depuis deux semaines, je passe l'aspirateur et fais les poussières, baie ouverte et en petite nuisette courte, n'hésitant pas à me baisser quand il le faut.
La longue vue est au rendez vous tout les jours et je me pique au jeu, imaginant cet inconnu matant mon cul ou mes courbes derrière sa lorgnette, en se masturbant comme un ********.
De temps en temps, je ne porte plus de string, ou mon string sans nuisette, les seins nus.
Parfois, lorsque je fais mes courses au supermarché et qu'un homme me reluque, je me dis que c'est peut être lui. Là, je l'imagine nu, la queue à la main et l'œil dans le tube.
Toute cette histoire finie par m'exciter et ce matin, c'est entièrement nue que je tire mes rideaux et que j'ouvre ma baie en grand. Il est là, au rendez vous.
Le vent frais me donne la chair de poule et excite mes tétons qui se dressent.
J'écarte légèrement mes cuisses et je m'étire comme une chatte.
Bien décidée à le pousser à la faute, je fais quelques exercices bidons pour lui montrer mes seins en me baissant ou encore mon cul en me tournant.
La faute, il va la commettre un samedi matin. Il doit pourtant savoir que ce jour là je ne fais pas mon ménage à fond, préférant partager un bon et copieux petit déjeuné avec mon homme.
Alors qu'il boit *** café, le regard de Raphaël s'arrête sur la mai*** d'en face.
« Dis dont ! T'a vu ca Carine ? »
« Quoi donc mon chéri ? »
« Là ! En face ! Ce n'est pas une jumelle ou un truc comme ca à la fenêtre ? J'ai vu un truc briller. »
« Ha, ca ! Ben, je ne serais pas étonnée. Il me semble bien qu'il m'épie parfois. »
« Houlà ! Mais pourquoi ne pas me l'avoir dis ? »
« Ho ! Tu sais, je ferme la fenêtre et puis c'est tout. »
« Il va voir de quel bois je me chauffe ce con ! »
J'ai beau essayé de le rai***ner, j'en ai trop dis et il est bien décidé à aller voir notre voisin à la première occasion.

Dimanche midi.
Je sors acheter du pain. Je traine un peu en regardant quelques vitrines. Décontraction totale.
Je rentre et trouve la mai*** vide. Sur la table du salon, je trouve un petit mot.
« Je suis chez le voisin. »
Mon sang se glace.
Raphaël est un peu jaloux et serrait bien capable de casser la figure au voisin. J'imagine déjà les conséquences... Convocation au commissariat et tout le tintouin.
Il revient deux heures après.
« Tu ne l'a pas frappé, j'espère ? »
Il ne répond pas et s'assoit dans le canapé.
« Ben répond ! Qu'est ce que tu lui a dis ? Qu'est ce qu'il a dit ? »
Il lève les yeux vers moi avec un regard remplit de haine.
« T'a pas une petite idée, salope ? »
L'insulte vaut une paire de gifle. Il n'a jamais eu ce genre de langage avec moi. Je ne me sens plus très à l'aise, mais j'essais encore de le cacher.
« Pourquoi me traites-tu ainsi ? Qu'est ce que je t'ai fait ? »
Il sort une enveloppe de sa poche et la jette sur la table basse.
« Qu'est ce que c'est ? »
« Regarde ! Et dis-moi ce que tu vois ? »
Tremblante, craignant le pire, je ramasse l'enveloppe et l'ouvre.
Elle contient une trentaine de photos...de moi.
On m'y voit en nuisette ou nue, dans toutes les positions, plumeau à poussière ou aspirateur à la main.
J'essais encore de sauver les meubles.
« Ho ! Le salaud ! Tu vois, j'étais sur qu'il me matait quand je faisais le ménage ! »
« Et là ! Tu faisais le ménage ? »
Il me montre plusieurs photos ou l'on me voit de face, me caressant les seins et la chatte ou encore suçant mon doigt.
Me sentant perdue, je tente la mauvaise foi.
« Ho ben comme ca, c'est facile, hein ! Sorties du contexte, évidemment ! Mais je devais faire mes exercices de maintient ou... »
« Tais-toi, petite putain ! Quand je pense que tu a toujours refusé de me faire un striptease et que tu te fou à poil devant ton voisin ! Tu me dégoute ! »

Voilà deux semaines que Raphaël ne m'adresse plus la parole. Il passe presque tout *** temps libre dehors. Je l'ai même vu aller chez le voisin à plusieurs reprises.
Quand il est à la mai***, l'ambiance est lourde et commence à me peser. Je pleure tout les jours, dès que je suis seule.
Je laisse la baie fermée et ne fais que survoler mon ménage. Je n'ai plus gout à rien.
Un après midi, le téléphone ***ne. C'est Raphaël.
« Carine ? Ce soir on sort. Tiens-toi prête pour dix neuf heures. Tu trouveras une robe sur le haut de l'armoire. »
« Ho ! C'est gentil ! Tu n'es plus... »
Il a raccroché.
Je fonce dans notre chambre et prend une chaise. Effectivement, il y a un carton sur l'armoire. Je l'ouvre, fébrile.
J'en sors un bout de tissu noir, très fin. À prime abord, ca ne ressemble pas vraiment à une robe, mais en cherchant bien, je finis par trouver comment l'enfiler.
C'est une petite chose ultra courte avec un décolleté vertigineux et le dos échancré jusqu'au creux des reins. Elle ne tient que par une chaine très fine qui passe derrière mon cou.
Je suis assez excitée à l'idée que Raphaël veuille faire la paix. Je n'en pouvais plus de cette situation. Certes, j'ai déconné mais je crois avoir suffisamment payé ma faute.
Ou va t'il m'emmener ? Au restaurant ? Non, je ne pense pas. La robe n'est pas assez sage. Je penche plutôt pour un vernissage ou un truc comme ca. Super ! Je vais me goinfrer de petits fours toute la soirée.
Dix neuf heures approche.
J'enfile des cuissardes noires. Elles se lassent derrière les mollets et les genoux.
Elles vont bien avec la robe et je me trouve super sexy. Pour finir, je me couvre d'un long manteau qui me cache jusqu'aux chevilles.
J'entends la voiture arriver. Je sors vite de la mai***, ferme la porte à clef et me retourne. Il est là.
« Oups ! Tu m'a fais peur ! Tu as vu, je suis prête à l'heure. »
J'efface très vite mon sourire. *** visage est toujours fermé.
Me serrais-je trompée quand à ses intentions de faire la paix ?
Je fais profil bas et me dirige vers la voiture.
« Tu vas ou comme ca ? »
« Ben à la voiture. Non ? »
Il empoigne mon bras à m'en faire mal.
« C'est par ici que ca se passe ! »
Il me tire. Il marche vite et me traine presque et trente secondes plus tard nous sommes sur le perron de la mai*** du voisin.
chrislebo

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#5,107
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« Mais non ! Raphaël ! Qu'est ce que tu fais ? »
J'essaye de me dégager de sa poigne de fer, mais rien à faire.
Il frappe et la porte s'ouvre.
L'intérieur est sombre. Je ne vois que de nombreuses flammes de bougies vaciller, de ci de là.
Raphaël me pousse violemment dans la mai*** et claque la porte.
C'est une grande pièce très peu meublée. Deux canapés ou ***t assis quatre hommes dont celui qui nous a ouvert la porte. Je ne distingue pas leurs visages à cause du faible éclairage. Une table basse en bois sur laquelle ***t posées des coupes de champagne, un seau et sa bouteille. Une table de salle à manger en bois massif ou trônent deux chandeliers en fer forgé, cinq chaises et au mur...une croix de Saint-André.
Mon sang se glace.
« Raphaël ! Ne restons pas là ! Sors-moi de là ! Qu'est ce qui te prend ? Tu es devenu fou ? »
Il prend ma main et me tire jusqu'aux canapés puis il me débarrasse de mon manteau avec violence et le jette au loin, par terre.
Les hommes me dévisagent. J'imagine très bien le spectacle que je leurs offre. Poupée fragile habillée comme une pute.
Je peux à présent voir les traits de leurs visages.
Dieu qu'ils ***t laids.
Il y a un gros, le nez écrasé. Il porte un marcel taché de traces de nourriture, qui dessine les rondeurs de *** bide gras. Il arbore également un short horrible qui laisse voir ses cuissots de porc.
A contrario, près de lui, est assis un homme maigre qui chausse de petites lunettes rondes. Il porte un costume sans âge. Nez crochu et cheveux gras, c'est une véritable caricature.
Sur l'autre canapé ***t installés des jumeaux d'une vingtaine d'années. Ils ***t en survêtements de marque et font, par rapport aux autres, plutôt classe.
Je suis tétanisée. Je cache mon décolleté en croisant mes bras sur ma poitrine et je tente de reculer. C'est sans compter sur mon mari qui m'agrippe par les cheveux et me ramène près des canapés.
« Chose promise, chose due ! Messieurs, voici la salope d'en face ! Amusez vous bien ! »
Puis il tourne les talons et s'en vas en claquant une nouvelle fois la porte.
Je suis certaine que tout ceci n'est qu'une mascarade destinée à me punir. Il veut me faire peur et il y arrive très bien. Ces types doivent être de ses amis. Ils se ***t déguisés pour ajouter au scenario.
D'ailleurs, je ne sais même pas lequel d'entre eux est notre voisin !
*** petit jeu ne m'amuse pas du tout et c'est lui qui maintenant mérite une leçon.
Je décide de renter dans la combine. De plus je suis curieuse de voir la réaction de ses complices quand ils vont voir que je ne me rebelle plus.
Je les fixe à tour de rôle et je décroise doucement mes bras que je laisse pendre le long de mon corps.
« Harggg ! »
Le gros manque de s'étouffer à la vue de mon décolleté qui file jusqu'à mon nombril en laissant entrevoir l'intérieur de mes seins.
« Sers nous à boire ! »
Le grand maigre me donne l'ordre tout en caressant ma cuissarde du revers de sa main.
Ils n'oseront jamais aller plus loin. J'en suis sur. Ils vont me mater pour m'humilier et ca en restera là.
Je me penche pour servir. Le tissu s'écarte de mon corps dévoilant mes seins. En fait, je serrais nue qu'ils n'en verraient pas plus.
Ils écarquillent les yeux, regrettant surement l'ambiance tamisée des bougies. Ça m'amuse beaucoup.
Le gros se lève et passe derrière moi. Il caresse mon dos de haut en bas avec *** index.
J'ai fini de servir, mais je ne me redresse pas, bien décidée à les mettre à mon tour dans l'embarra. Je pose mes mains sur la table basse et ferme les yeux.
Le doigt qui glisse le long de ma colonne vertébrale me donne des fris***s. Je me sens même humide.
Mais soudain, il se plaque à moi et je sens *** membre dressé dans *** short, épouser la fente de mon cul.
D'un coup mes certitudes s'envolent. Il ne fait plus que de me caresser, il se frotte à moi.
Mince ! Il ne s'agit pas uniquement de me foutre la trouille.
Je me redresse d'un coup.
Le gros passe ses bras autour de moi et agrippe ma poitrine. Il m'écrase contre lui et sa panse appuie dans mon dos, poussant mon bassin vers l'avant comme si je me cambrais.
Il a une ***** herculéenne et mes bras pri***niers des siens ne me ***t plus d'aucun recourt.
Le type à lunette s'accroupi devant moi. Il caresse mes bottes un long moment, avec un plaisir non caché. Sans doute un de ces fétichistes, comme on en trouve sur les sites de cul.
Lorsque ses mains touchent mes cuisses, je me raidie et pourtant, je sens une douce chaleur m'envahir et une certaine excitation me submerger. Mais surtout ne pas le montrer.
Ses mains montent doucement le long de mes cuisses et disparaissent sous ma robe.
S'il me touche il s'apercevra que je mouille abondamment et ma réputation de salope prendra tout *** sens.
Mais il prend *** temps. Et descend mon string avec délicatesse.
Je me défends comme je peux, en pleurnichant, en secouant la tête ou encore en serrant les cuisses et en faisant passer un genou sur l'autre. Mais il parvient à ses fins et il porte le triangle de tissu à ses narines.
Pendant tout ce temps, les jumeaux ***t toujours assis au fond de leur canapé, très sage, très calme et ne montrent aucun signe d'excitation.
Ce n'est pas le cas de « gras double ».
Il prend mes deux poignets dans une de ses mains et de l'autre dégage *** membre.
Je sens *** gland humide frotter mon dos dans le bas de l'échancrure de ma robe.
Je le sens respirer dans mon cou. Il pousse de petits grognements.
Soudain, il m'embrasse dans le cou et tire sur la chainette avec ses dents. Celle-ci, bien sur, casse.
Il s'écarte un peu et ma robe tombe à mes pieds. Très vite, elle rejoint mon manteau à l'autre bout de la pièce et aussitôt, il reprend mes seins en main.
Me voilà entièrement nue, juste chaussée de mes cuissardes.
Je sens *** sexe contre mes fesses. Elle semble courte, mais il est vrai que *** ventre l'empêche de se coller à moi.
Le « croque mort » se retrouve le visage à quelques centimètres de mon vagin luisant de mouille, lisse comme un abricot. Il s'en approche, le sent, le renifle.
Il lape mon clito de quelques coups de langue. Trahi*** ! Celui-ci réagit au stimulus et gonfle d'un coup, m'envoyant de petites décharges électrique dans le bas ventre.
« Humm ! »
« Ha ! On savait que tu allais aimer ! Putain ! »
« C'est pas demain la veille que tu me fera jouir ! Gros porc ! »
« Hahaha ! Pas besoin que tu jouisses pauvre conne ! Que je me vide dans ton cul me suffira ! Haha ! »
Comme pour me montrer que je l'agace, il triture mes pointes de seins sans ménagement.
Mais pendant que je me dispute avec « gros lard », monsieur « croque machin » a prit possession de mon antre avec ...*** nez.
Il me besogne enfonçant la totalité de *** appendis en moi. Très vite et contre ma volonté, je jouis sans pouvoir le cacher. Il semble très satisfait de lui et se relève. Il caresse ma joue en me faisant un grand sourire.
Je peux enfin voir *** visage de près. Il est moins vieux qu'il n'y parait, mais est d'une maigreur accablante. Derrière ses lunettes je vois qu'il a de beaux yeux. C'est surement la seule chose qu'il a de beau.
*** nez luit de ma jouissance et il se passe la langue au dessus de sa lèvre supérieure pour en apprécier le nectar.
Il fait un signe au gros.
Toujours empri***née de ses bras, il me soulève et me transporte jusqu'à la croix de Saint-André. Malgré mes gesticulations, Il lui est facile de me faire lever les bras pour menotter mes poignets.
Je me sens ridicule ainsi exposée et tellement impuissante. Les hommes éclatent de rire et me délaissent pour aller boire un verre de champagne. Je prends toute la mesure du mot « *********** ».
J'écarquille les yeux pour détailler la pièce. Les rideaux ***t tirés, mais je repère la fenêtre qui est en vis-à-vis avec notre mai***. Sur un trépied, je vois la longue vue et au sol j'aperçois un appareil photo agrémenté d'un gros objectif digne d'un paparazzi.
Mes observations s'arrêtent ici. Les deux jumeaux jusqu'ici très sages, s'approchent de moi, un grand sourire aux lèvres.
« S'il vous plait ! Vous avez l'air d'être gentil ! Détachez-moi, s'il vous plait, je vous en supplie ! »
« Pas question ! Ce n'est pas tout les jours qu'on a une salope à disposition ! »
Fil de fer approche.
« Qu'est ce qu'elle a la petite pute ? Elle a la moule qui se refroidie ? »
« Laissez-moi partir ! »
« Oui, bien sur ! Mais pas avant de t'avoir tronché dans tout les sens ! »
Alliant le geste à la parole, il baisse *** pantalon et *** caleçon mais il garde sa chemise et sa veste. Il a l'air ridicule.
Du bas de sa chemise dépasse *** sexe. Un long truc fin avec un gland rougeoyant.
Il fait un signe aux jumeaux. Ils attrapent mes jambes en passant leurs bras sous mes genoux et les lèvent à hauteur de mes seins.
Mon poids tire sur mes poignets et je dois m'agripper à mes chaines pour ne pas me blesser.
Ainsi pendue, mes deux orifices ***t accessibles. Je me sens comme une truie que l'on va ouvrir et vider.
Il s'approche de moi et frappe mon clito à plusieurs reprises avec sa baguette de chair, puis il s'enfonce en moi.
Ce sexe effilé, me procure une drôle de sensation. Je le sens, mais il ne me remplit pas. Il semble frétiller en moi comme un pois*** et m'électrise à chaque fois que le bout de *** gland frôle mon utérus.
J'essais de le cacher, mais je prends mon pied. Il malaxe mes seins tout en me baisant et mes tétons ***t dressés, durs. Il les roule entre ses doigts, ajoutant à mon plaisir.
« Tu mouilles, salope ! Hein ? Tu mouilles ? Tu jouis, pouffiasse ? »
Je craque.
« Ho oui ! C'est bon ! Ouii ! »
« Et ton cul ? Il jouit ton cul ? Hein ? »
Je n'ai pas le temps de réagir et il saute d'un trou à l'autre en une seconde. Il fait si vite et si adroitement que je ne me contracte pas et le pic rose s'engouffre dans ma pastille brune jusqu'à la garde.
Il me prend ainsi de longues minutes sautant de l'un à l'autre m'arrachant au passage de petits cris de bonheur.
Il choisit mon abricot pour se vider de sa semence, écrasant *** bas ventre au mien en appuyant sur mes fesses.
Les jumeaux relâchent mes jambes ankylosées qui ont bien du mal à me soutenir et je peux enfin lâcher mes chaines.
Ils s'en vont boire, me laissant le front dégoulinant de sueur. Je sens le foutre encore chaud, s'échapper de mon vagin et couler le long de mes cuisses.
Le goret avale *** verre et revient vers moi. Il me décroche et m'entraine vers la table basse. Là, il m'oblige à m'y assoir, face à lui.
Je peux enfin observer ce qui lui sert de sexe.
C'est une chose immonde de dix ou douze centimètres, presque aussi large que courte. Elle semble tellement gonflée, que le gland a peine à en sortir. Celui-ci sécrète un liquide transparent et visiblement huileux. C'est une véritable usine de liquide pré éjaculatoire.
Raphaël, en fournit très peu. C'est dommage, car j'aime bien ca. Mais là...
Il pose *** gland sur mes lèvres. *** ventre l'empêchant de voir sa queue, il cherche, il tâtonne. Il badigeonne ma bouche de ses secrétions gluantes.
L'odeur m'affole et m'excite. Il faut que j'y goutte.
Discrètement, je sors un petit bout de langue juste au passage du gland.
Quel délice ! Beaucoup plus puissant que celui de mon homme, mais tellement plus bon et gouteux.
Je n'hésite pas plus longtemps et laisse le bout de viande glisser entre mes lèvres.
Je tète plus que je ne suce, *** ventre cognant à mon front m'empêchant d'aller aussi loin que je le voudrais.
Le goret brame comme un cerf en rut. Il applique une main derrière ma tête pour accélérer ma succion ridicule.
« Oui ! C'est ca ma belle ! Continue comme ca ! Je vais te remplir le gosier ! »
Vu la taille de *** sexe, j'en doute for et pourtant...
« Tiens ! Avale moi ca salope ! Bois tout mon jus ! Allez ! Avale ! Harggg ! »
C'est un bouillon épais qui remplit ma bouche en deux jets puissant. J'avale par instinct et par surprise. La quantité est impressionnante et je manque de m'étrangler.
Mais d'autres libérations interviennent rapidement et ma bouche ne peut pas contenir tout le sirop. Il s'en échappe qui tombe sur ma poitrine et une cuisse.
Sa semence est épaisse, lourde. Elle est très blanche et semble faire des grumeaux comme une farine mal mélangée.
« Haha ! Tu ne t'attendais pas à ca, hein ? Sale chienne ! Tu vas dégueuler mon foutre par les narines ! Haargh ! »
Je ne lui ferais pas ce plaisir et j'avale tout. Pour rehausser la provocation, je lève mes yeux vers lui, lèche mes lèvres, ramasse le foutre sur mes seins avec mes doigts avant de les porter à la bouche.
J'ai gagné ! Il semble un peu énervé. Il me relève, me reconduit à la croix et m'attache de nouveau.
La glue sur ma cuisse glisse lentement et disparait dans le haut de ma botte tandis que les hommes finissent une autre bouteille de champagne.
Je les observe discuter. Il parle de moi car il se retourne souvent pour me regarder.
Puis, les jumeaux se lèvent et s'approchent de moi.
Finalement, ils ***t plutôt mignons, bien qu'ils n'aient pas l'air d'avoir inventé l'eau chaude.
Ils ouvrent leurs vestes de survêtements. Ils ne portent rien dessous. Ils ***t costaud, bien taillés et leurs abdos ***t bien dessinés. Ils retirent leurs pantalons et leurs caleçons. Bien qu'ils ne soient pas en érections, je trouve leurs sexes déjà hors normes. Ca m'effraie un peu.
Ils se collent à moi, caressant mes seins, m'embrassant dans le cou, frottant leurs ventres et leurs queues à mes hanches et mes cuisses.
Ils ***t en forme très rapidement et je sens les deux pieux glisser sur mes cuisses ou frôler ma chatte.
La clef tourne dans mes menottes et ils m'amènent vers les canapés. L'un d'eux s'allonge et m'invite à venir m'empaler. Pas question ! Est ce le contraste avec celle du gros, mais il me semble que ce membre est bien trop grand pour ne pas me blesser.
*** frère ne voit pas cela d'un bon œil, et après m'avoir agrippé les cheveux il me fait grimper sur le canapé.
J'enfourche le jeune homme, inquiète. Je me place au dessus du gland tumescent et me laisse glisser lentement dessus.
chrislebo

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#5,108
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Le corps humain et ses mystères. Ce que je pensais impossible ne l'est pas.
Je coulisse sans problème sur ce que je pensais trop long. Déjà stimulée par la pénétration de l'homme fil de fer, je monte très vite en jouissance et même si j'essaie de le cacher, mes yeux fermés et ma respiration rapide ne peuvent que me trahir.
En parlant de fil de fer...il est près de moi et m'offre sa tige à sucer. Ce que je fais tout en chevauchant mon bel étalon.
Mais voilà que je frangin veut sa part du gâteau. Il se place derrière moi, entre les jambes de *** jumeau et pousse *** gland contre ma pastille. Il appuie sur le bas de mon dos pour me cambrer et pénètre d'un coup.
Je ne souffre pas, même si je me sens remplis à outrance.
Le plaisir est nouveau, intense. Très vite la tête me tourne. Je crois devenir folle, ne pouvant plus contrôler mes orgasmes à répétition.
Puis, vient le bouquet final. Tout d'abord, ma bouche se remplit de miel humain, véritable nectar. Puis dans un coup de rein salvateur, les deux garçons explosent en moi presque simultanément. Je perds la rai***, pousse un cri...et plus rien. C'est le trou noir.
S'évanouir de plaisir est la chose la plus étrange que j'ai vécu.
Je reviens à moi après je pense quelques minutes.
Je suis allongée dans le canapé, les fesses sur le bord, les jambes levées et porcinet me baise aussi profond qu'il le peut.
Dans une espèce de brume, je l'aperçois vaguement, transpirant, haletant.
Ce con parvient à me donner du plaisir et je gémie lorsque *** foutre épais se répand en moi.
Les hommes me laissent ainsi, effondrée dans le sofa, un petit moment, puis...
« Allez ! Dégage ! Vite ! »
Je me relève, surprise de ce ton dédaigneux. Le grand maigre me balance mon manteau et j'ai tout juste le temps de l'enfiler avant de me retrouver dehors sur le trottoir.
Mon manteau n'est pas fermé et je le tiens croisé pour qu'il ne s'ouvre pas.
Sur les quelques mètres qui me séparent de ma mai***, je sens mes orifices se vider sur mes cuisses. Mes cuissardes ***t collantes et la doublure de mon manteau surement tachée.

Je pousse la porte de ma mai***. Il y a de la lumière au salon. Je jette mon manteau au sol et je m'y rends.
Raphaël est assit dans le canapé, nu et il se masturbe doucement en arborant un grand et large sourire.
Je m'approche de lui, le chevauche et je m'empale sur ce sexe qui m'a tant manqué ces derniers jours.
Mon vagin, plein à ras bord, fait un drôle de bruit et du foutre s'en écoule dégoulinant sur les couilles de mon homme.
« Salaud ! Tu a fais fort ce coup si. J'aime bien nos petits jeux de rôles, mais là, ca été dur. »
« Pour moi aussi mon amour. Me ****** à te faire la gueule aussi longtemps a été super pénible. »
Tout en parlant, je monte et je descends sur sa verge gonflée.
« Mais dis moi...notre voisin, c'est lequel ? »
« Haha ! Aucun ma chérie ! J'ai loué la mai*** pour un mois. J'avais passé une annonce pour recruter des types et j'ai choisi ces quatre là. C'est pour ca qu'il m'a fallu du temps. Quand à la croix, c'est le gros qui l'a amené.»
« Bravo mon amour ! C'était extra ! Tu a une idée pour une autre aventure ? »
« Hum ! Je crois, oui. Que dirais tu d'une journée porte ouverte, pendant di***s...douze heures ? »
« Porte ouverte ? Explique ! »
« La mai*** est encore louée pour quelques jours. Je t'imagine bien menottée à la croix avec les clefs pas trop loin, à disposition des visiteurs. »
« Des visiteurs ? Quels visiteurs ? »
« Ceux qui répondront à mon annonce pour visiter la mai*** et... *** occupante ! »
« Douze heures, dis tu ? »
Cette simple idée me fait jouir comme une folle.
chrislebo

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#5,109
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Une histoire incroyable

Première enveloppe jaune



Je vie à Anjou sur une rue où il y a plusieurs immeubles à étages multiple. Je demeure dans l'un d'eux au septième étage. Je suis célibataire et je mène une belle vie. Quoique sans compagne, je voyage beaucoup, je fais du sport et je prends tout cela au jour le jour. Mon manque de sexe et mon goût pour le style de vie bdsm me porte à faire des petits trucs un peu bizarres lorsque je suis seul.

Ainsi, il m'arrive, lors de mon retour du travail, de me déshabiller, de me ligoter et de me masturber ainsi pour me procurer du plaisir. Je me donne moi-même la fessée. Et même parfois je me fais une séance de selfbondage. Ces petits plaisirs solitaires, que je considère bien légitime, me procure un bien être qui me permet d'évacuer la pression et me détendre.

Cela faisait bien deux ans que j'habitais se condo au septième. Un soir en revenant du travail je prends mon courrier au passage dans le hall d'entrée et je monte à mon appartement. Je dépose les enveloppes sur le comptoir et commence à préparer mon souper. Je soupe tranquillement en regardant les nouvelles et tout va bien. Ensuite pour relaxer je me fais un thé et bien installé dans ma causeuse, je dépouille mon courrier. Des comptes et des publicités principalement. Mais il y a une enveloppe qui attire mon attention plus particulièrement.

C'est une enveloppe jaune de grandeur moyenne avec aucune adresse de retour. Je prends mon couteau et j'ouvre l'enveloppe. Je retire *** contenu. Il s'agissait d'un dvd et d'une feuille avec quelques lignes inscrite dessus...


Place le dvd sur ton player et regarde les photos. Tu recevras une autre enveloppe d'ici peu salope.

Mon visage devient écarlate en moins de deux. Qui pouvait bien me traiter de salope comme cela, il s'agissait probablement d'une erreur. J'insère le dvd dans mon appareil et j'appuis sur le bouton play. Des photos commencent à défiler sur mon téléviseur. Ce ***t des photos de moi en train de m'adonner à mes petits jeux bdsm dans mon appartement. Il y en a une vingtaine. On y distingue très bien mon visage. Plusieurs ont été prises avec un télé objectif. On me voit ligoté en train de me masturber. Sur certaine on voit que j'ai des pinces à linge sur le sexe et les seins. Mon cerveau arrête de penser pendant un court instant.

Puis la folie s'empare de nouveau de moi. Tout me semble si irréel. Puis après avoir repris un peu mes esprits, j'examine à nouveau ces photos. Elles semblent avoir été prisent d'un appartement situé de l'autre coté de la rue. Avec l'angle de prise de vue elles doivent avoir été prise du huitième ou neuvième étage de l'immeuble d'en face. Ce qui représente environ huit appartements possibles. Sur les photos j'étais allongé au milieu de mon salon. Je me souvenais de cette séance. Je l'avais fait il y a environ un mois, un vendredi soir.

Mon coté un peu exhibitionniste me poussait à laisser mes stores ouvert. Je me promenais nu dans mon appartement. Lorsque je pratiquais mon péché mignon mon cerveau se téléportait dans un autre monde et les fenêtres étaient le dernier de mes soucis.

Ce soir la n'étant pas capable de fermer l'œil je me suis assis près d'une fenêtre en essayant de trouver ce photographe indiscret. Mais ma tentative ne porta pas fruits. J'ai été hanté toute la nuit par ce courrier mystérieux. Et je devais recevoir une autre lettre, j'étais très nerveux. Qu'est ce que cela pouvait me réserver dans l'avenir...
chrislebo

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#5,110
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Deuxième enveloppe jaune

Depuis une semaine maintenant que j'ai reçus cette lettre anonyme avec ces photos compromettantes. Chaque matin que je vais au travail j'ai l'impression d'être observé. Chaque soir que je reviens à la maison je suis nerveux à l'idée de trouver une enveloppe jaune dans mon courrier. Depuis ce temps je ferme mes stores et je suis aux aguets. Je n'ai refait aucune autre séance de self bondage, je ne me suis même pas masturbé une seul fois depuis.

Ce soir en entrant du travail il y avait une autre enveloppe jaune comme celle de la semaine dernière dans mon courrier. Je me suis empressé de monter chez moi et de m'enfermer à double tour pour ouvrir fébrilement cette enveloppe.

J'ouvre une lumière pour faire un peu de clarté, car avec tous les stores bien fermés ont y voit rien chez moi. Je m'installe à la table de la cuisine et déballe cette enveloppe probablement empoisonnée. Il n'y a qu'une lettre cette fois ci. Mais elle comporte deux pages. Je commence donc à lire...

Salut salope.

Tu vas lire attentivement cette lettre. Et tu vas faire tout ce que je te demande.

Premièrement tu vas ouvrir tout tes stores. Et je veux qu'il soit ouvert au complet, et tu ne les referme plus jamais. Ne lit pas le reste de cette lettre tout de suite. Va ouvrir tes stores immédiatement. Et sache que je te surveille. Allé va ouvrir tes stores.

Si tu continue à lire cette lettre et que tes stores ne sont pas ouvert alors sache qu'une de ces merveilleuses photos de la semaine dernière pourraient se retrouver collé dans le hall de ton immeuble. Allez ouvre tes stores MAINTENANT.

Je me suis donc levé, et j'ai fait le tour de mon appartement pour ouvrir tout les stores. Chaque fois que j'en ouvrais un je regardais pour voir si je n'apercevrais pas le voyeur aux enveloppes jaune. Mais sans succès. Je suis retourné immédiatement à la cuisine pour continuer la lecture de cette lettre.

Tu vas te foutre à poil immédiatement et aller continuer à lire la lettre dans ta causeuse au salon. Et sache que je t'observe, allez EXÉCUSSION SALOPE.

Fébrilement je retire tout mes vêtements et je vais m'assoir dans ma causeuse au salon. Mon cœur bat à tout rompre. Des sueurs froides parcourent tout mon corps. Je commence même à trembler.

Bien, alors chaque fois que tu vas entrer dans ton appartement à l'avenir tu vas te foutre immédiatement à poil. Interdit d'être habillé chez toi. De plus tu n'a plus le droit de fermer ta porte à clés lorsque tu es chez toi. Alors va la débarrer IMMÉDIATEMENT et revient te rassoir dans la causeuse.

Je me lève donc, je débarre ma porte d'entrée et je retourne m'assoir sur la causeuse. Il devait m'observer. J'étais rouge de honte.

Si tu m'as obéit jusqu'à présent c'est que tu es docile et que tu comprends que cela serait la catastrophe pour toi de ne pas obéir à mes ordres. Car il pourrait y avoir plusieurs de tes photos qui pourraient se retrouver dans le hall d'entrée de ton immeuble ou bien sur un babillard au centre commercial.

À partir d'aujourd'hui tu es en mon pouvoir et tu dois m'obéir sinon tu sais à quoi tu t'expose. Pour l'instant contente-toi d'avoir tes stores ouvert en tout temps et de te foutre à poil lorsque tu arrive chez toi. Et n'oubli pas de laisser ta porte débarré lorsque tu es la. Et obéit, car mes contacts me permette de vérifier cette dernière petite chose très facilement...

Je venais de perdre le contrôle de ma vie. Et dans quelle histoire on m'avait donc embarqué...Je me devais d'obéir à cette personne, car sinon ma vie pourrait être un enfer encore plus difficile. Était-ce un homme ou une femme? Que me voulait-elle exactement cette personne?

Pendant des jours entier je me suis foutu à poil en arrivant chez moi, sans fermer ma porte à clés, ni fermer les stores. Je me sentais observé à chaque minute. Et a aucun moment je ne pouvais voir qui pouvait bien me regarder et de quel appartement. Cinq jours on passés jusqu'à ce que ma boite aux lettres contienne à nouveau une enveloppe jaune...
chrislebo

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#5,111
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En ouvrant mon courrier ce soir encore une fameuse enveloppe jaune. Je me suis précipité à mon appartement, fermé la porte sans la barrer. Je me suis foutu à poil et je me suis dirigé en vitesse dans ma causeuse pour prendre connaissance de *** contenu.

Salut salope

Bien jusqu'à présent tu es très obéissant. Peut-être que je n'aurai pas à faire développer quelques photos pour les afficher un peu partout. Et en passant c'est bien de laisser ta porte ouverte lorsque tu es la

Cette dernière phrase m'a fait rougir elle savait vraiment que je laissais ma porte débarrée. Si non elle n'aurait pas pris le risque de se tromper et de perdre toute crédibilité. Mon état de stress était à *** comble.

À présent on va être un peu sérieux. Tu vas me faire une liste de tous les objets que tu utilises pour faire tes petites séances perverses et tu vas me dire à quel endroit tu les ranges. Tu vas me mettre cela dans un fichier word et tu va me l'envoyer à [email protected] . Tu incluras aussi à la fin de ta liste ton numéro de téléphone à la mai*** petite pute. Oui, oui tu as bien compris. Et tu sais pourquoi tu vas le faire... Je veux cela pour ce soir 20h00.

Je tremblais comme une feuille à l'automne. Il voulait mon numéro de téléphone. J'ai presque perdu connaissance. Jusqu'ou allait-il aller? Moi et mon goût pour l'exhibitionnisme, voila ou cela me conduisait. À présent je me trouvais dans une aventure diabolique sans possibilité de m'en sortir, à moins de faire face à tous les problèmes que j'aurais s'il mettait ces menaces à exécution. Je me remis à lire.

Chose très importante, demain matin lorsque tu partiras travailler je veux que tu laisse un double de tes clés près du pot de fleur à gauche de l'entrée de ton immeuble. Et ne rouspète pas. Tu n'as pas le choix n'est ce pas... Je sais que tu es rai***nable.

Dernière petite chose. Quand tu partiras n'essais pas de revenir et de regarder qui prendra possession des clés car cella déclencherait ma colère et tu sais...

Bonne nuit la salope.


J'étais sidéré. Cette per***ne me tenait à la gorge et m'étouffait de plus en plus. C'était vraiment comme un piège qui se refermait sur moi sans que je n'y puisse rien. J'avais l'estomac noué, mon appétit s'était envolé. Je tremblais et vacillais en me dirigeant vers ma chambre pour faire la liste de mes jouets bdsm.

J'ai tout sortie mes jouets et j'en ai fait la liste dans un fichier word. J'ai eu du mal à inscrire mon numéro de téléphone. Mes doigts n'arrivaient pas à appuyer sur les bonnes touches. J'ai senti une larme couler le long de ma joue. J'ai ensuite ouvert mon email, j'ai inséré le fichier word et j'ai finalement appuyé sur « envoyer ».

7h40, j'ai fermé l'ordinateur et je me suis fait couler un bon bain chaud. J'y suis resté pendant au moins 2h00. C'est l'eau qui s'était refroidit qui m'a sorti des limbes où je m'étais perdu. Je suis allé me coucher sans vraiment dormir de la nuit.

Le lendemain matin, je partais pour mon travail sans grand enthousiasme. Je laissais le double de mes clés près du pot de fleur et quittais mon appartement inquiet et bouleversé par ce qui m'arrivait...

chrislebo

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#5,112 · Edited by: chrislebo
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Ce soir je suis rentré chez moi fatigué et vidé. Non pas d'avoir travaillé fort, mais d'avoir pensé toute la journée à ce qui m'arrivait. Je me suis mis nu, c'était une routine maintenant pour moi. J'ai été porter mon linge dans ma chambre. J'ai tout laissé tomber dans l'ouverture de la porte lorsque j'ai aperçu tous mes jouets sur mon lit. Il était venu ici. Il avait fouillé dans mes affaires. J'avais la trouille. J'ai commencé à faire le tour de mon appartement pour voir si tout était là, quand soudain le téléphone s'est mit à sonner.

-Oui hello!

-Salut salope!

J'ai figé immédiatement. C'était une voix androgyne un peu robotisée. Je ne pouvais pas dire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme.

-Alors on ne répond pas petite pute.

-Heuuu. Oui.

-Va voir au salon j'ai un petit cadeau pour toi sur la table centrale.

Je me dirige donc au salon et je vois sur la table une cagoule noire, un petit cadenas et une paire de menotte. Mon cœur s'est mit à prendre du rythme. Je recommençais à trembler comme la veille au soir.

-Tu vois la cagoule, tu vas la mettre et refermer le tout avec le cadenas. Ensuite tu vas lier tes poignets avec la paire de menotte dans ton dos et tu vas t'agenouiller au centre du salon. T'as compris.

-Heuuuu! Oui.

-Bien, alors tu vas raccrocher le téléphone et tu vas faire cela immédiatement et tu vas attendre. C'est moi qui ai les clés des menottes et du cadenas.

-D'aaaacord.

Je raccroche le téléphone, j'enlève mes lunettes et je commence à installer la cagoule sur ma tête. Elle couvre bien les yeux et laisse le nez et la bouche dégagés. Il y a une fermeture éclair derrière qui descend jusqu'à la base de celle-ci. C'est à cet endroit que l'on peut y glisser le cadenas. Une fois celui-ci installé il est impossible de retirer la cagoule. Je fixe finalement mes deux poignets dans mon dos avec les menottes. Puis je prends place à genoux au milieu du salon et j'attends.

L'attente est interminable. Si c'est lui qui a les clés, alors il va venir ici. Mes tremblements sont incontrôlables. J'ai très froid, le stress envahit mon corps, mon esprit ne peu plus réfléchir, c'est le néant.

Soudain j'entends la porte de mon appartement s'ouvrir. Cette personne inconnue entre chez moi. Moi qui suit au milieu du salon, nu comme un ver et dans une position peu enviable. J'entends les pas qui se rapprochent de moi. La personne semble s'être assise dans la causeuse. Je me sens observé, j'ai honte et je suis angoissé.

Après plusieurs minutes de ce traitement psychologique infernal la personne se relève finalement et s'approche de moi à nouveau. Un de mes seins se fait pincer violemment et se fait tirer vers le haut. Je n'ai pas le choix et je dois me lever. Ensuite la personne pince le bout de mon pénis et le tire vers l'avant elle me promène dans toutes les pièces de l'appartement. Je n'ai d'autre choix que de suivre.

Mon pénis a pris de l'expansion et j'en ai honte. Si je n'avais pas de cagoule mon bourreau pourrait surement voir que mon visage est rouge comme une tomate. Revenu au salon il m'oblige à me coucher à plat ventre sur la causeuse. Il me pousse les bras vers le haut du corps pour dégager mes fesses et là débute une fessée magistrale. Les claques fusent à une vitesse infernale. Je pleure, mais je n'ose crier car je ne voudrais surtout pas alerter mes voisins. La fessée est donnée avec tant de vigueur que je pense que mon bourreau est surement un homme. Ma cagoule est remplie de larmes qui ne peuvent s'échapper.

Finalement il m'oblige à reprendre ma position initiale, soit à genoux au centre du salon et me place les deux mains avec les paumes vers le haut. Soudain je sens qu'il y dépose dans chacune d'elle quelque chose. Puis j'entends des pas qui s'éloigne de moi et ma porte d'entrée qui s'ouvre et se referme.

Je prends quelques instants pour reprendre mes esprits et je commence à tâter les objets dans mes paumes. Ce sont les clés des menottes et du cadenas. De peine et de misère je réussis à me défaire des menottes, puis j'enlève la cagoule. Mes larmes coulent enfin sur mes joues. Mon cerveau est aussi embrouillé que ma vue. Je replace mes lunettes sur mon nez et je vais me passer une débarbouillette d'eau froide sur le visage.

Dans la salle de bain, face au miroir, je constate que mes fesses sont de couleur rouge vif. Elles sont devenues sensibles. Je peux même y distinguer l'empreinte des mains de mon bourreau. C'est incroyable ce qui vient de m'arriver. Un parfait inconnu, qui demeure de l'autre coté de ma rue est entré ici et m'a donné une super fessée. Dire que je pourrais le croiser sur la rue sans le reconnaître.

Je me fais un café et je vais m'assoir dans le salon. Non, je me ravise, mes fesses sont trop sensibles à présent. Je dois rester debout. J'essaie de me relaxer, mais sans grand succès. Puis, le téléphone...

-Oui hello!

-Tu vois salope, c'était seulement un petit aperçu pour te montrer que c'est moi qui contrôle ta vie à présent. Tu me dois obéissance. Tu as bien fait cela aujourd'hui. Et ne soit pas triste on va se revoir bientôt. En attendant n'oublie jamais les consignes.

À suivre...(4)
vanbruje

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#5,113
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Waouh... très bien...merci !
chrislebo

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#5,114
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suite....


Quelques jours plus tard le téléphone retenti de nouveau à mon arrivé du travail.

-Oui hello!

-Salut petite pute...Écoute moi bien, ce soir tu vas aller à la banque et tu vas retirer $400. Tu vas les déposer sur ta table de cuisine. Demain je vais passer les prendre.

-Mais vous voulez avoir mon argent en plus...

-Ferme la idiot, tu n'y es pas du tout, j'ai juste quelques emplettes à faire pour toi et ce n'est pas moi qui va payer petit con.

-Heuuu, bien....

-Tu sais ce qu'il peut arriver si tu n'obéis pas salope.

-Bon, d'accord.

-Bien, et ne me déçoit pas. À plus tard connard.

Et il raccroche aussitôt. Une autre soirée à jongler à mon triste sort. Je suis passé à la banque en soirée et j'y ai retiré $400. J'avais l'impression que tout le monde sur mon passage savait pourquoi je retirais cet argent. J'étais dans un autre monde, rien de rationnel. En revenant chez moi en voiture, le paysage qui défilait devant moi me semblait abstrait. Je perdais le contact avec la réalité. Je ne pouvais plus penser par moi-même, de plus en plus quelqu'un d'autre prenait le contrôle de mon corps et de mon esprit.

Arrivé chez moi j'ai déposé l'argent sur la table de cuisine et après avoir pris une bonne douche je me suis mit au lit. Combien allait-il me soutirer encore. Devrais-je lui payer une mensualité. Ou tout cela me conduirait-il. Soudain le tintamarre de mon réveil me sort de ma torpeur. Sans m'en rendre compte mon esprit avait finit par laisser place au sommeil. Et finalement j'avais passé une assez bonne nuit.

Mais au passage dans la cuisine pour préparer mon petit déjeuner la liasse de billet vert sur la table a vite fait de me réintégrer dans la réalité. Angoissé et découragé je suis parti pour mon boulot sans grand enthousiasme.

Une journée comme les autres, stressante et pénible. L'esprit toujours vagabondant dans l'enfer de ma situation. Et lorsque j'arrivais chez moi le soir je ne savais jamais à quoi m'attendre.

Je ferme la porte et me déshabille. Je marche jusqu'à ma chambre pour mettre mon linge dans la boite à lavage. Je retourne vers la cuisine pour préparer mon souper, mais je fais un pas en arrière. Une chose à attiré mon attention. Mon ordinateur est en mode écran de veille. Il est venu fouiller dans mon ordi pendant mon absence.

Je bouge la souris, je prends quelques instants pour comprendre. Mon écran d'ordinateur est divisé en neuf écrans égaux et dans certain d'entre eux je peux reconnaitre les pièces de mon appartement. Ainsi dans le carré gauche en haut je peux me voir moi-même dans ma chambre. Je lève les yeux et j'aperçois une caméra dans le coin au plafond. Je regarde à nouveau sur l'écran et je remarque que je peux voir dans mon salon, ma cuisine, l'entrée et même dans la salle de bain.

Je fais le tour de l'appartement et constate qu'effectivement il y a des caméras partout dans les coins près du plafond. Dans la salle de bain cependant je ne les vois pas.

-Elles sont caché derrière le miroir salope.

J'ai fait le saut. Cette voie venue de nulle part, une voix androgyne et robotisé comme celle du téléphone. Il avait installé un système pour m'observer à distance, j'étais figé.

-Alors tu ne dit rien petite pute.

-Mais.... Euuuhhh

-Bien oui je t'entends aussi.

Ça alors, il peut me parler et m'entendre aussi, il me voit, il est en train de prendre vraiment le contrôle de ma vie.

-Que voulez-vous exactement.

-Tut... tut... tut... Apelle moi Maître Ordinateur quand tu t'adresse à moi à présent.

-Mais qu'est-ce....

-J'ai dit Maître Ordinateur, si non tu sais...

-D'accord Maître Ordinateur

-Bien, à présent écoute-moi bien sans dire un mot. Comme tu vois je peux t'observer grâce à ces merveilleuses webcams sans file. À tout les samedi matin à l'avenir tu vas changer les piles de toutes les caméras. Il y a un système de chargeur dans la petite chambre.

-D'accccorddd..

-Tu as oublié mon nom salope.

-Ok, d'accord Maître Ordinateur

-Bien, pour les piles des deux caméras de la salle de bain elles sont dans le garde robe de ta chambre, car j'ai du installer des miroirs sans thym pour camoufler les caméras au cas où tu aurais des visiteurs.

-Oui mais pour les autres Maître Ordinateur.

-Bien...Je vois que tu apprends vite petite pute. Tu n'auras qu'as dire que c'est un super système de sécurité.

-Oui Maître Ordinateur.

Ensuite il m'a détaillé le système. M'interdisant de fermer mon ordinateur en tout temps à l'avenir. S'il y avait une panne et bien l'ordi était doté d'une batterie backup. Il m'a aussi fait comprendre qu'a l'avenir il me serait interdit de naviguer sur le net à ma guise. Le seul temps ou je pourrais aller sur le net, c'est lorsque je verrais apparaître un icône dans la case noir au centre de mon ordi, la, il n'y a pas de fenêtre pour une caméra.

J'étais stupéfait. Plus de possibilité d'aller sur mes sites bdsm favori. Être épié 24 heures sur 24. Dire que je voyais le bdsm comme un jeu, mais la c'était devenu du sérieux...

chrislebo

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#5,115
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Samedi matin, je sors de la douche, il est 9 heures. Je m'essuie vigoureusement pour bien m'assécher. Quand soudain une voie vient me sortir du néant.

-La douche à été bonne salope.

-Euuuuu oui...

-On dit oui Maitre Ordinateur salle pute

-Oui Maitre Ordinateur.

-Tu vas t'habiller et tu vas aller chercher de la crème épilatoire à la pharmacie immédiatement et défense de mettre des sous-vêtements.

-Oui Maitre Ordinateur

-Allez dépêche toi et revient vite dans la salle de bain en suite.

-Oui Maitre Ordinateur.

Je me suis donc habillé en vitesse et j'ai filé à la pharmacie. J'ai acheté un kit d'épilation et je suis revenu immédiatement à mon appartement...

-Pas trop tôt salope, vite à la salle de bain et comme d'habitude à poil poufiasse.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis dirigé en courant à la salle de bain et j'ai attendu les ordres.

-Je veux que tu te rase le sexe et la raie du cul petit con, et je ne veux plus un poil compris.

-Oui Maitre Ordinateur

Cela me faisait tout drôle de m'épiler ainsi tout en me sachant observé par cet inconnu. J'ai donc commencé avec les ciseaux pour enlever le plus de poil possible. Ensuite j'ai enduit mon sexe de la crème à épiler, puis j'ai attendu 10 minutes. Ensuite j'ai rincé mon sexe sous la douche et tous les poils ont disparut. J'ai ensuite savonné ma raie et délicatement avec un rasoir bic j'ai fait disparaître les poils autour de mon anus. Je me sentais comme un jeune garçon.

-Bien salope, et à l'avenir je veux que tu t'entretiennes et que tu sois lisse comme un bébé en tout temps.

-Oui Maitre Ordinateur

-Tu vois, je suis ton maitre et tu es mon esclave tu devras toujours m'obéir, je vais te faire franchir plusieurs étapes qui vont te mener à la domination total.

-Oui Maitre Ordinateur

-Je t'ai envoyé un fichier avec plein de questions, je veux que tu prennes la journée pour y répondre et que tu me le retourne ce soir à 6 heures. Et pas de mensonges salope, si non tu sais se qui t'attend.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis donc dirigé vers ma chambre ou est mon ordi et j'ai cliqué au centre de l'écran sur l'icône du questionnaire. Car mon ordi à présent est totalement sous le contrôle de mon Maître. Je ne peux que cliquer sur les icônes qu'il veut bien me montrer. Si non je ne vois que les 8 écrans qui me renvoie les images de mon appartement. J'ouvre donc le questionnaire.

Âge :
Sexe :
Cheveux :
Yeux :
Taille :
Poid :

Adresse :
Téléphone :

Employeur :
Téléphone :

...... Et cela continuait ainsi en me demandant toute mes goûts, tendances, dépravations, tout ce que j'avais déjà essayé etc... Après ce questionnaire je n'avais plus aucun secret pour Maître Ordinateur. Cela m'avait pris toute la journée pour répondre. Il y avait l'équivalent de 50 pages de questions.

À exactement 5heures 45 je retourne le document complété à mon Maître.

-À présent va devant ta porte patio et masturbe toi devant ta porte.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis donc dirigé vers la porte patio et j'ai commencé à me masturber.

-Oui c'est cela, plus vite salope et je veux que tu éjacules sur la vitre.

-Oui Maître Ordinateur.

Après plusieurs minutes de ce manège j'ai finalement jouit et éjaculé sur la vitre. Je voyais le coulis de sperme descendre le long de la paroi.

-Lèche ton sperme qui coule sur la vitre salope, allez plus vite que ça.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis donc exécuté. J'ai léché mon sperme qui coulait. Je sentais que mon bourreau se délectait de me voir ainsi à sa merci dans une position honteuse. Il devait jouir de me voir exécuter tout ces ordres dans les moindres détails. Mais que pouvais-je faire d'autre. Si je n'obéissais pas ma vie deviendrait encore plus pénible. Je ne pourrais même plus me rendre à mon travail ou à l'épicerie sans que tout le monde me regarde avec dégoût et me harcelle et me rejette.

-Bien tu peux retourner à tes activités maintenant petite pute.

-Merci Maître Ordinateur.

Bon j'avais du temps pour moi maintenant, il était 19 heures 30 et comme nous étions en début d'été et qu'il faisait jour jusqu'à 21 heures. J'ai décidé de m'habiller et d'aller faire une randonné de vélo pour me détendre et ne plus penser à rien...
chrislebo

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#5,116
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Le dimanche il n'y a rien eu de spécial. Probablement que Maître Ordinateur était sorti. Le lendemain matin je suis parti travailler et la journée s'est déroulée comme à l'habitude. 16 heures 30 j'étais de retour chez moi. J'ai débarré ma porte, je suis entrée et je me suis déshabillé. J'ai pris mon linge dans mes bras et je me suis dirigé vers ma chambre. En passant près de la cuisine je me suis aperçu qu'il y avait un paquet sur la table. J'ai déposé mon linge sur une chaise et j'ai regardé plus attentivement ce colis. Il y avait une note.

Voici un petit film pour te distraire salope.

Une chaleur indescriptible a envahit mon corps. La personne qui me contrôlait avait encore pénétré chez moi. J'ai ouvert la boite et dans celle-ci il y avait un autre dvd. Je l'ai inséré dans mon player et j'ai regardé. Je pouvais me voir moi-même me masturber devant ma porte patio. Tantôt en plan éloigné, tantôt en plan rapproché. Un close up du visage, une vue d'ensemble. Un plan où l'on pouvait voir ma main masturber mon sexe jusqu'à être assez loin pour que l'on voit ma porte patio au centre de l'image et deux étages de l'immeuble en dessous et au dessus.

Ensuite on me voyait éjaculer dans la vitre. Puis en gros plan rapproché on me voyait lécher mon sperme. Je croyais le video terminée. Comme j'allais éjecter le dvd...

-Attend salope ce n'est pas fini reste assis.

-Oui Maitre Ordinateur

Je me suis assis de nouveau dans la causeuse et j'ai continué à regarder. La même scène recommençait, mais vu de l'intérieur. La caméra web du salon avait tout enregistré. J'avais la confirmation qu'il filmait tous mes faits et gestes.

-Bonne soirée salope, fait de beaux rêves.

-Merci Maître Ordinateur

Maître Ordinateur devait être occupé ce soir et me laissait à mon triste sort comme il le faisait souvent. J'ai vaqué à mes occupations après avoir soupé. Comme souvent, depuis que l'on avait pris possession de ma vie ce fut long avant que je trouve le sommeil.

Puis bizarrement j'ai été plusieurs semaines sans avoir de nouvelles de Maître. Était-il malade ou parti en vacance. J'observais quand même scrupuleusement ma routine. J'étais nu dans mon appartement, la porte débarrée et j'attendais les ordres de Maître...
vanbruje

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Très bonne suite, merci
chrislebo

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#5,118
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suite.....



Près d'un mois s'était écoulé depuis le dernier contact avec Maître Ordinateur. Sans avoir la possibilité de naviguer sur internet et de faire quoique ce soit sans l'ordre de mon Maître alors je me défoulais dans le sport et la lecture.

Puis un soir après souper alors que je faisais ma vaisselle.

-Qui es-tu ?

Je fis le saut. Il y avait si longtemps que je n'avais pas entendu la voix de mon Maître. Et quelle question bizarre. C'était peut-être un nouveau jeu. Un nouveau défi qu'il me lançait.

-Je suis votre esclave Maître Ordinateur.
-Et que dois-tu faire?

-Et bien je dois vous obéir Maître Ordinateur.

-Et comment?

-Bien en faisant absolument tout ce que vous me demandez Maître Ordinateur.

C'était vraiment bizarre ces questions. De plus la voix androgyne émanant des haut-parleurs semblait un peu différente de l'habitude. Était-il toujours malade, un problème de voie, j'en perdais mon latin.

Il y avait eu un silence de quelques minutes. Cela m'avait semblé très long.

-Ou demeures tu esclave?
-Bien je demeure en face de chez vous Maître Ordinateur.

Pourquoi ces questions? Je ne savais plus quoi penser, de plus le ton était différent. Il ne me traitait plus de salope ou de petite pute. C'était déstabilisant. Peut-être voulait-il modifier la façon de me dominer. Voulait-il raffiner sa domination sur moi.

-Approche-toi de ta porte de salon et reste la.

-Oui Maître Ordinateur.

Je m'approche donc de la porte patio et je reste la. J'essais d'observer quelqu'un qui pourrait m'épier d'un des appartements d'en face. Mais je ne vois rien. Je suis resté ainsi pendant plus d'une demie-heure. Je me demandais bien ce qui se passait. Est-ce que j'allais passer la nuit ainsi? Puis la voix à retenti de nouveau.

-Allez c'est correct tu peux continuer ce que tu faisais.

-Oui Maître Ordinateur.

Et la voix s'est éteinte pour le reste de la soirée. J'ai regardé un peu la télé et je me suis couché de bonne heure. J'ai pensé et repensé à tout cela sans pouvoir trouver une vraie explication. Tout était tellement inhabituel.

Le lendemain matin j'ai repris le chemin du travail. J'étais heureux dans un sens d'avoir été recontacté par mon Maître inconnu. Je ne savais plus quoi faire de ma vie après avoir déjà passé trois mois en compagnie de cette personne qui gérait dorénavant ma vie.
chrislebo

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#5,119
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Deux jours on passé sans nouvelle de Maître. Puis le mercredi, j'avais à peine enlevé tout mes vêtements que la voie se fit entendre dans l'appartement.

-Met toi à genoux au milieu du salon.

-Oui Maître Ordinateur.

J'avais laissé mon linge près de la porte d'entré et je me suis placé, nu, à genoux, au centre du salon. J'attendais la suite impatiemment. J'étais toujours fébrile lorsque je ne savais pas se qui allait se passer ensuite.

-Met tes mains sur ta tête.

-Oui Maître Ordinateur.

Puis il c'est passé encore plusieurs minutes dans le silence. C'était comme d'habitude incroyable. J'étais la au milieu du salon à genoux les mains sur la tête et nu en plus. J'étais la à obéir à une voie d'un inconnu qui provenait directement du web.

-Tu dois m'obéir n'est ce pas ?

-Oui Maître Ordinateur.

-Tu dois faire exactement tout ce que je te dis sans rouspéter!

-Oui Maître Ordinateur.

-Si tu ne le fait pas qu'est ce qui peu t'arriver?
-Bien, vous pouvez divulguer les photos compromettantes de moi, Maître Ordinateur.

-Et aussi les films n'est ce pas ?

-Oui Maître Ordinateur.

Bien oui, depuis le temps que Maître Ordinateur me dominait, il avait amassé bien d'autre photos et films de moi dans des situations encore plus délicates. Mais pourquoi me posait-il toutes ces questions. Étais ce pour me préparer à accepter un nouveau défi tout en me rappelant la menace qui pesait sur moi?

-Va mettre ta cagoule de latex qui cache bien ta vue, mais qui laisse ta bouche dégagé.

-Oui Maître Ordinateur.

Je me suis rendu dans ma chambre et je me suis mit la cagoule en question. Une fois sur la tête je ne pouvais plus rien voir.

-Ferme la avec un cadenas, enferme tes deux poignets avec une paire de menotte derrière ton dos, laisse les clés du cadenas et des menottes dans le tiroir de ton bureau et retourne au salon dans la position ou tu étais tout à l'heure.

-Oui Maître Ordinateur.

J'ai donc fermé le cadenas sur les anneaux qui empêchaient d'enlever la cagoule et je me suis joint les poignets derrière mon dos en laissant les clés dans le tiroir de mon bureau. Je me suis dirigé au salon de peine et de misère, car je n'y voyais rien. Et je me suis mit à genoux au centre, du moins je pense.

-Reste dans cette position quoiqu'il arrive. Ne bouge pas d'un poil avant que je ne t'en donne l'ordre, compris.

-Oui Maître Ordinateur.

Qu'allait-il se passer? Mon esprit envisageait toute sorte de scénario possible. C'était peut-être seulement pour utiliser *** pouvoir sur moi. Me faire faire des choses, juste pour voir mon obéissance. Le coté psychologique de l'exercice était enivrant. S'il fallait que les per***nes de mon entourage qui ***t vanille me voie dans cette position. OUFFF ! vision d'horreur. Il ne fallait pas. Et pour cela je me devais d'obéir.

Soudain j'entends la porte de mon appartement s'ouvrir. Une chaleur intense m'envahit alors. Étais-ce Maître ou une autre per***ne. La porte s'était refermée. Un voisin peut-être. On s'approchait de moi. Pas un mot. Je tremblais de peur et d'angoisse. Des goutes de sueur ruisselaient sur mon corps.

Soudain j'ai senti que l'on me pinçait un sein, puis je me suis senti tiré vers l'avant. La per***ne semblait me rapprocher de la causeuse. Puis deux mains m'ont plaqué contre un entre-jambe et j'ai été obligé de lécher celle-ci. Était-ce Maître Ordinateur?

Chose donc j'étais certain Maintenant c'est que Maître Ordinateur était une femme. Je goutais *** sexe ruisselant de plaisir. Il était juteux et odorant. En me pinçant les seins et en me plaquant le visage sur *** sexe elle m'obligeait à lui lécher avec vigueur. Après quelques minutes je l'ai senti prendre *** plaisir et elle à maculé le bas de mon visage de *** jus. Ces jambes se ***t serré de chaque coté de ma tête très fort. *** corps c'est tordu de plaisir. Elle m'a, pendant plusieurs minutes bien badigeonnée de *** nectar.

Puis, me prenant par un sein elle m'a redirigé vers le centre du salon pour reprendre ma position. Je l'ai senti s'éloigner et elle est sortie de l'appartement en refermant la porte. Je suis resté au centre du salon attendant de nouveaux ordres. C'était incroyable, elle s'était enfin vraiment servie de moi pour la première fois après ces presque quatre long mois. Décidément j'entrais dans une seconde phase de mon dressage. Quelques minutes plus tard le silence de l'appartement à été rompu.

-Tu va aller enlever tes menottes et la cagoule et tu pourras vaquer à tes occupations normales. Mais défense de te laver le visage ou de te brosser les dents pour ce soir.

-Oui Maître Ordinateur.

-Et à l'avenir tu va m'appeler Maîtresse Liane

-Oui Maîtresse Liane.

-Et demain lorsque tu arriveras chez toi je veux que tu dépose 350 euros sur la table de cuisine.

-Mais Maîtresse...

-Il n'y a pas de mais, obéit ou sinon...

-Oui Maîtresse Liane

suite.....
vanbruje

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#5,120
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Toujours bon, continuez ... Merci
chrislebo

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#5,121
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En arrivant chez moi ce soir j'ai déposé 350 euros sur la table de cuisine. J'ai allumé la télé et je me suis préparé un bon souper. Toute les nouvelles me semblaient bien banales. J'étais à l'étape du thé lorsque la voix de Maîtresse c'est fait entendre.

-Place-toi au milieu du salon à genoux avec la cagoule et les menottes comme d'habitude salope.

-Oui Maîtresses Liane.

Cela voulait dire qu'elle traverserait bientôt et que j'aurais droit à une séance de domination en règle. Fébrilement j'ai exécuté les ordres. En moins de deux je me suis retrouvé nu au centre du salon cagoulé et menotté. Quelques minutes plus tard effectivement ma porte d'entrée grinçait. Le bruit de ces talons aiguilles c'est rapproché et une violente sensation de douleur à traversé ma poitrine lorsqu'elle à empoigner mon sein avec une traction vers le haut pour me faire mettre debout.

J'ai senti ensuite qu'elle me tâtait le sexe. Voulait-elle me donner du plaisir pour une première fois. Cela commençait à m'exciter au plus haut point. Puis j'ai senti que mon sexe était compressé comme dans un étau, j'ai entendu clic et elle a cessé de me tripoter. Elle m'a attiré vers la causeuse et m'a obligé à m'étendre sur celle-ci sur le dos.

Puis j'ai gouté à nouveau à *** sexe juteux qui se frottait à ma bouche. Pendant plusieurs minutes elle à fait des mouvements de va et vient sur ma figure pour se procurer du plaisir. J'avais de *** jus qui coulait dans mon coup. C'était incroyable comment cette femme était ruisselante. Lorsqu'elle c'est approché de l'orgasme elle serrait de plus en plus mes seins endoloris. Je me forçais pour la faire jouir au plus vite pour qu'elle arrête sa *******. Puis dans un grand tremblement elle c'est laissé emporter. Elle est resté un peu sur mon visage et c'est ensuite relevé.

J'ai pu finalement reprendre mon souffle et abaisser mon rythme cardiaque. Elle est allée ensuite à la salle de bain faire un petit pipi, puis elle est reparti. Je suis resté sur la causeuse attendant les ordres de Maîtresse.

-Enlève les menottes et la cagoule esclave.

-Oui Maîtresse Liane.

Je me dirige donc à tâtons vers ma chambre et je réussis non sans peine à trouver les clés pour me libérer de ces contraintes. À ma grande surprise je m'aperçois en enlevant la cagoule que lorsqu'elle est venu elle m'a installé une ceinture de chasteté. Et moi qui pensais qu'elle me tripotait. Pour en avoir vu plusieurs sur le net, je savais que c'était une cb3000. J'ai essayé vainement de la retirer.

-Essaye pas, elle est bien en place et c'est moi qui est les clés. Et ne cherche pas le 350 euros sur ta table de cuisine j'ai du le prendre pour payer ce petit bijou. Ha ha ha...

-Merci Maîtresse Liane.

-Ha... Comme il est chou, il me re merci de pouvoir lui permettre de ne plus être en mesure de se procurer du plaisir. Ha ha ha...

J'étais figé, qu'est ce que cela pouvais bien signifier. Étais-je condamné à ne plus pouvoir me masturber le restant de mes jours. Plus aucun plaisir. Je resterais un simple outil de plaisir pour ma Maîtresse et moi rien. La dernière fois que j'avais joui c'était il y a une semaine, en dessous de mes couvertures tard le soir pour que m'a Maîtresse ne me voie pas. J'avais fais cela en silence et de façon très discrète.

-Bon va te reposer, maintenant. Car ce samedi tu va avoir une soirée bien rempli.

-Bien Maîtresse Liane.

Sur ce je suis retourné au salon pour éteindre la télé et me préparer pour faire ma toilette avant le coucher. Je me suis rendu compte qu'il y avait un dépliant sur la table du salon. J'en ai pris connaissance, c'était un petit manuscrit qui indiquait comment prendre soin de ces organes génitaux lorsque l'on porte la cb3000 pendant de longue périodes.

J'ai lu le dépliant, puis ensuite je suis allé prendre ma douche. En sortant de celle-ci tout en m'essuyant avec ma serviette je me suis rendu compte qu'il n'était pas facile d'assécher mon sexe avec cette cage de plexi. J'ai du sortir le séchoir à cheveu pour faire le travail tout en essayant de ne pas bruler mes bijoux de famille. Maîtresse Liane devait bien se bidonner en me regardant faire.

Une fois au lit cela à bien été, à part que le dodo sur le ventre est à proscrire avec ce truc entre les jambes, Et que me réservait donc ce samedi...

chrislebo

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#5,122
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Samedi matin, très tôt la voix de Maîtresse m'a réveillé.

-Lève toi, allez lève toi...

-Oui Maîtresse Liane

-Prend un bon déjeuner et tu vas faire le ménage de ton appartement bien comme il faut. Après le diner tu vas faire ta toilette de façon très soigné puis à 15h30 je veux que tu sois en place au milieu du salon avec ta cagoule et tes menottes compris.

-Oui Maîtresse Liane.

-J'espère que tu as rempli ton frigo de bière et de bon vin comme je te l'ai demandé cette semaine et que tu as acheté plein de croustille selon mes bons vœux.

-Oui Maîtresse Liane, Tout est dans le frigo et l'armoire.

-Et n'oublie pas, ménage impeccable et à genoux avec ton attirail au milieu du salon à 15h30.

-Bien Maîtresse Liane.

Je me suis donc levé, j'ai déjeuné et j'ai entrepris de faire briller cette appartement de célibataire. L'aspirateur, l'époussetage, le rangement etc... Puis après un diner très copieux j'ai fait ma toilette avec tous les problèmes que cela comporte. Le rasage de l'anus, le séchage du sexe, après une épilation rendu difficile à cause de la cb3000. Mais avec un peu de crème, une pince à cil et beaucoup de patience je me débrouillais pas si mal.

À 15h30 précises je me trouvais au centre du salon à genoux, menotte au poignet et cagoule sur la tête. Environs 15 minutes plus tard j'entendis Maîtresse arriver. Elle est passé près de moi et elle s'est assise dans la causeuse, puis elle à allumé la télé. Elle s'est relevée, puis me trainant par un sein elle m'a contraint de me coucher entre le mur et le fauteuil. Puis elle s'est assise de nouveau pour écouter la télé. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu ainsi.

Puis le tintamarre de la ***nette d'entrée m'a sortie de mes ***ges. Mais qui pouvait bien me rendre visite en ce samedi après midi. Ma sœur? Ma mère? Un ami ? Mon corps réagissait violemment à cette situation. Je commençais à grelotter et à avoir des sueurs froides. Maîtresse c'est levé et à été voir qui c'était. Je l'ai entendu décrocher le combiné qui permet de voir qui est dans le hall d'entrée.

-Allo, oui entrée, c'est au septième étage, appartement 704... C'est à droite en sortant de l'ascenseur.

Puis elle raccroche. Mon dieu, elle avait fait monter *** interlocuteur. Enfin, il devait être au moins deux puisqu'elle avait dit monté. Et moi qui se trouvais nu dans un coin du salon. Cela ne m'aidait pas du tout à me contrôler. Les tremblements devenaient encore plus intenses. Puis la porte d'entrée c'est ouverte.

-Allo, comment ca va.

-Ça va très bien et vous?

-Bien merci.

-Entrée, ne restez pas la...Venez vous assoir au salon.

Pas vrai, elles les invitaient au salon. Et moi qu'est ce que je faisais là. Je me faisais le plus discret possible, très près du mur collé contre le fauteuil. Les pas se dirigent vers moi tous des talons hauts. Je suis crispé et anxieux.

-Vous voulez une bière les filles?

-D'accord pour moi....

-Moi aussi Liane.

-Très bien je vous sert ça en moins de deux...

La porte du frigo se fait entendre, et le glou glou de la bière qui descend dans les verres. Puis Maîtresse revient vers le salon et s'assoie.

-Alors Liane tu as été bien mystérieuse cette semaine, tu disais que tu voulais nous montrer quelque chose...

-Oui et moi il y a une chose qui me tracasse aussi depuis que nous sommes arrivées...

-Qu'est ce qui te tracasse Karine?
-Et bien le condo que tu as hérité de ton oncle le mois dernier, il n'était pas de l'autre coté de la rue.

Elle avait hérité de *** oncle le mois dernier. Mais alors, cela fait au moins quatre mois que je suis dominé, cela veux dire qu'au début c'est *** oncle qui m'a découvert et qui a tout manigancé.

-Justement Karine, il est de l'autre coté de la rue.

-Celui-ci, il est à toi aussi?

-Mais non Françoise, celui-ci appartient à ma surprise.

-Quoi tu veux dire que tu t'es fait un copain...

-Pas du tout, vous connaissez tous ma vision de la vie, pourquoi s'encombrer d'un homme lorsque l'on peu vivre complètement libre.

-Mais là je ne comprends pas du tout Liane, c'est tellement nébuleux ton histoire.

Je commençais à sentir la soupe chaude, bientôt elle allait me sortir de ma cachette, et n'ayant aucun choix cela allait être ma fête.

-Avance à quatre pattes au milieu du salon.

-Mais tu ne veux tout de même pas que je fasse ça Liane.

-Mais non Françoise, je dis cela à ma surprise.

-Ta surprise?

-Allez au milieu du salon esclave.

Ces derniers mots m'ont glacé le sang. Je savais que commençais ici ma vraie condition d'esclave. Elle me ferait faire tout ce qu'elle voulait. J'allais avoir la honte de ma vie et cela ne faisait que commencer...

Fin
vanbruje

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#5,123
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Merci pour ce beau texte.
Juste une petite chose : je n'ai toujours pas la traduction des ***** ! Peut-être pourriez-vous nous éclairer ?
Merci d'avance
paco2244

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#5,124
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les ***** remplacent les lettres S-O-N qui, attachées, sont la traduction en anglais du mot désignant le rejeton mâle de quelqu'un (dur à expliquer quand il ne faut pas employer aucun des termes synonymes !). C'est comme ça depuis que ces c*** (là, c'est moi qui met volontairement les étoiles !) se sont mis à vouloir censurer sur ce site tout ce qui pourrait inciter de près ou de loin, ou faire référence à des relations contre-nature (ou du moins qui enfreignent certains tabous de nos sociétés car je rappelle que, au Japon, il est d'usage que les génitrices soulagent manuellement leur progéniture jusqu'à ce qu'elle soit en âge et capacité de le faire seule).
Mais tout ceci est bien trop complexe et subtile pour nos amis d'outre-Atlantique qui trouvent forcément plus normal de priver le restant de la planète de l'usage de trois lettres de leur alphabet et du vocabulaire qui les utilise, sans aucune connotation perverse, que de se pencher sur le cas autrement plus sérieux des effets sur leur jeunesse de la vente libre des armes dans leur pays.
Laissons nos mômes se faire massacrer à coups de M16, du moment que les autres n'ont pas d'idées malsaines, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...
soumis8

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#5,125 · Edited by: soumis8
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.............................
chrislebo

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#5,126
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Paix Syndicale



Patrick Mitchell avait laissé ses problèmes derrières lui. *** ex-employeur avait décidé de ne pas le poursuivre pour l'argent qu'il avait détourné pour payer ses dettes de jeux. Il avait dû contracter un emprunt important pour rembourser ses dettes, mais après une thérapie salutaire, il avait postulé sur un poste de directeur de chantier dans une petite ville isolée du Nord. Ainsi, loin de ses démons, il pourrait payer ses dettes et rebâtir sa vie.

C'est ainsi que Patrick 38 ans, sa femme Catherine 32 ans et leurs 3 enfants se ***t installés dans une petite mai*** fournie par la compagnie dans ce secteur du pays presque exclusivement nourri par l'industrie minière.

Patrick s'est rapidement plongé dans *** travail. *** mandat était de restructurer l'organisation du travail. *** prédécesseur, Mark Cassidy, un petit comptable né dans la région, avait quitté *** poste précipitamment après environ un an pour retourner travailler sur un chantier loin dans le nord. Pour le peu que Patrick sache, la pression de l'emploi était trop forte pour ce petit commis mal formé. Il faut dire qu'on ne se battait pas pour aller travailler dans le nord. *** poste est resté vacant pendant environ 2 ans. Si ce n'était de *** besoin de s'éloigner des casinos, jamais Patrick et sa famille n'aurait accepter ce genre de travail.

Après quelques mois, Patrick avait réussi à mettre au point un plan de restructuration ambitieux qui allait modifier en profondeur l'organisation du travail dans la mine et l'usine adjacente. Avec les économies réalisées, Patrick aurait sûrement une promotion et pourrait finalement tourner la page sur *** passé de gambler et lui permettre de régler les dettes qui l'étouffent tout en levant les possibilités de poursuite que *** ancien employeur maintenait jusqu'au paiement complet de sa dette.

Un soir vers 11h, alors que les enfants dormaient, Patrick révisait ses dossiers pour la rencontre prévue avec les hauts dirigeants la semaine suivante. La porte s'ouvre sans qu'on ait ***né. En sortant de *** bureau, Patrick tombe face à face avec 4 hommes de forte stature armés de barres de fer. Immédiatement, il reconnaît un des hommes. Il s'agit de John Bloom, le président du syndicat de la mine. Cet agitateur était le premier élément à éliminer dans le plan de Patrick. Sans même le regarder, un des hommes le prend par le bras pour l'entraîner vers le salon alors qu'un autre se rend directement dans la chambre à coucher où Christine dors. Quelques instants après, il voit sa femme conduit poliment mais fermement jusqu'au divan par une brute de plus de 300 lbs.

Per***ne ne parle, mais le regard affolé de Christine et la sueur qui coule sur le corps de Patrick témoignent de la tension qui règne dans la mai***. Un des hommes prends *** téléphone portable et compose un numéro, puis le referme. Per***ne ne souffle mot.

Soudainement, la porte s'ouvre à nouveau. Une femme dans la quarantaine d'environ 5'4, ne pesant pas plus de 120 livres, entre dans la mai***, la tête basse. Elle s'avance au centre du salon, fait face au couple terrorisé et retire lentement ses vêtements. Ses seins ne ***t plus aussi ferment que dans sa jeunesse et sa chatte agréablement entretenue montre un poil noir et court. Une fois nue, elle s'agenouille sans dire un mot et fixe intensément le plancher. Aux yeux de Patrick et de sa femme, il est clair que cette femme n'apprécie ni sa condition, ni sa position.

Dans un silence accablant, un des hommes s'avance et baisse *** pantalon devant le visage de la femme qui place lentement ses mains derrière *** dos. Il empoigne fermement sa riche chevelure et enfouie sa gigantesque queue profondément dans sa bouche.

La pièce se remplie du *** de la femme qui tente de respirer tout en suçant cette queue qui, en grossissant, obstrue presque entièrement sa bouche. Râles, bruits de succion et grognements se mélangent sans que la femme n'offre la moindre résistance. L'homme est dur et ne montre aucune délicatesse pour la suceuse. Parfois, sa main glisse vers ses seins qu'il malaxe maladroitement pour finalement lui pincer le téton. Le corps de la fille se raidit sous l'effet de la douleur, mais sans jamais tenter le moindre mouvement pour éviter ces violentes caresses.

John Bloom se place à côté de Christine et prend la parole.

« Il est de tradition dans le coin que les représentants du syndicat rendent visite au nouveau patron en dehors du cadre de la mine, question de créer des liens plus amicaux.»

Patrick en a le souffle coupé. Jamais John ne tient compte de la fille qui ne cesse de s'user les genoux sur la moquette. Il fixe Christine dans les yeux.

«Va nous chercher quelque chose à boire. Tu n'as pas appris à recevoir la visite en ville? »

Maladroitement, Christine se lève. Elle passe le plus loin possible de la femme à genoux et reviens quelques instants plus tard avec 4 bières. Les hommes la remercient poliment et elle retourne s'assoire. Le gars qui reçoit la fellation ralentie le rythme et dépose sa bouteille sur la tête de la pauvre suceuse. Tous sirotent leur bière en silence.

Après une dizaine de minutes de ce traitement, le gars se retire en bousculant la fille qui tombe sur le côté, épuisée. Il la ramasse par le bras, la bouscule et s'allonge sur le sol, la queue fièrement dressée. Curieusement, Patrick à une pensée pour l'impressionnant engin et surtout pour l'endurance de cet athlète. Il chasse rapidement cette idée de *** esprit, envahi par l'horreur de la situation. La brute de 300 livres empoigne la femme par les bras, la brasse un peu et celle-ci va s'asseoir d'elle-même sur la bite tendue, face à Patrick et Christine.

Elle se laisse descendre lentement sur la queue de l'homme en grimaçant. Il est clair qu'elle n'est absolument pas lubrifiée et que la pénétration est douloureuse. Soudain, le gars lui agrippe les hanches et s'enfonce profondément d'un violent coup de rein.

« Arrrrrgh!!! » s'exclame t'elle alors que des larmes de douleur éclatent dans ses yeux.

« Arrête de taponner chienne! Bouge ton cul! »

Lentement la femme commence à monter et descendre sur la bite de *** tourmenteur.

John Bloom s'avance vers elle et lui allonge une puissante gifle. Elle doit s'accrocher aux jambes du baiseur pour ne pas tomber et garder un semblant de rythme. Alors que l'empreinte de la main de John prend une couleur rougeâtre sur *** visage, elle prend la parole sans arrêter de baiser l'homme étendu sur le sol.

« Je... suis la.... touffe de la ... arrgh... mine. »

Le gars au sol lui donne périodiquement de violents coups de queue, mais jamais la fille ne stop *** discours.

« Je suis la femme ... Unnh...de Mark Cassidy. »

« Quand mon... mari était patron de la mi...... Ahiiie ... ne »

L'homme lui assène une cuisante claque sur le cul pour qu'elle bouge plus vite.

« Il a voulu mater... le... syndicat. Il a congédié John. »

À la mention de ce souvenir, ce dernier lui envoie une puissante gifle. Mme Cassidy poursuit.

« Unhh... Peu de temps après, Mark... a été battu et nous avons été harcelé quotidiennement par... »

« Ahhh moins fort SVP... »

«... tous le monde au village. »

Les larmes coulent alors librement sur ses joues. Voyant cela John lui ordonne.

« Allez chienne bouge tes tétons. »

Immédiatement, la pauvre femme augmente le rythme de ses vas et viens et laisse librement bondir ses seins, rendus moins fermes par l'âge et les abus, sur sa poitrine dans un bruit de claquement.

« J'aime les voir bondir comme ça. »

« Jouie salope! »

Sur ce, Mme Cassidy se lance dans le plus mauvais orgasme simulé qu'on ait connu.

« Ah oui, Ah oui, plus fort... Baise-moi... Aahhhhh! Ihhhhh! Je jouiiiiie!!! Aaaaahhh! »

Le tout est dit sans aucune conviction, *** visage traduisant sa douleur et sa honte. John et les autres rient à gorge déployée.

« Elle n'a jamais réussi à jouir correctement. Malgré *** dressage, elle est incapable d'y arrivée. »

« Allez continue garce. »

Elle reprit *** vas et viens plus lentement. « Nous avons appelé ... la police. Arggh... mais le policier du.... village est l'ami de John... »

THUD! L'homme que chevauchait madame Cassidy la projette sur le sol. Il prend la femme par les cheveux et, sans ménagement, la dispose à quatre pattes, sa tête reposant sur les genoux de Christine.
chrislebo

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L'homme lance un salut de la main au couple terrorisé et leur fait un clin d'œil amusé. C'est le policier.

« Marc a tenu *** bout, le harcèlement s'est transformé en guerre. Ma sœur a été agressée. Mon fils battu à l'école et ma fil... fille ».

Le reste de la phrase s'est perdue dans les sanglots. Le silence était total dans la pièce à l'exception des pleurs de Mme Cassidy qui mouillaient la chemise de nuit blanche de Christine.

Elle reprend rapidement, le souffle court.

« Une nuit, ma fille de 18 ans est revenue chez nous à moitié nue, les vêtements déchirées, des bleues partout sur le corps, les cheveux et le visage couverts de sperme séché. »

Vint un long moment de silence.

« Sur *** dos et ses fesses, on pouvait lire écrit au feutre: La salope est toujours vierge. On s'est bien amusé. La prochaine fois, elle ira lécher des anus dans les mines du nord. »

« AAAARRRRGGGHHHHH »

Le hurlement de la femme fend la nuit. Le policier vient de planter *** énorme pénis dans le cul de la pauvre femme. Sous le rire gras des trois autres hommes, il se lance alors dans un rapide mouvement qui ne laisse aucune chance à la pauvre soumise.

Tout au plus, peut-on entendre la voix de Mme Cassidy en sourdine alors que sa tête s'enfonce dans le ventre de Christine.

« Pitié..... Lubrifiant.... Pitié... »

« Moi, je préfère ça à sec. Le lubrifiant, c'est pour les bites molles » lance le policier sous le rire tonitruant du gros bonhomme de 300 lbs.

La femme est malmenée pendant quelques minutes. Les seuls bruits qu'on entend ***t les grognements du policier qui s'exécute sans retenu et les pleurs des enfants au loin.

Christine perd soudainement conscience sous le coup de l'émotion. Remarquant cela, le dernier homme quitte la pièce. Il revient peu après avec une chaudière d'eau glacée qu'il lance à la figure de la jeune femme. Celle-ci ce réveil brusquement pour voir le visage tordu par l'effort du policier qui jouie dans le cul de la femme pliée sur *** ventre.

Sous l'effet de l'eau froide, les seins de Christine se cabrent laissant deviner des mamelons bien définis et une poitrine agréable.

Le gros homme, sans dire un mot, se place juste devant Christine. *** odeur est atroce et, au moment où il retire *** pantalon, l'odeur devient tout bonnement écoeurante.

Mme Cassidy, complètement ***née, se place d'elle-même à quatre pattes derrière le gros homme. Elle cale *** visage dans *** cul et reprend d'une voix faible et étouffée.

« Suite à l'agression de ma fille, la police à porté des accusations de fraude contre mon mari.»

CLAC!!! Une formidable claque s'abat sur le cul de la femme.

« Plus Fort! »

Elle reprend.

« John est venu à la mai*** un soir. Il nous a expliqué jusqu'à quel point notre situation était désespérée et il nous a offert une solution. »

*** discours est entrecoupé de SLURPS et de ***s de succion alors que Mme Cassidy nettoie avec dédain le cul de l'obèse. Celui-ci masturbe frénétiquement sa petite queue tout en fixant les seins de Catherine avec des yeux exorbités, la bave coulant du coin de ses lèvres.

« Allez continue chienne! Lèche-moi le cul! Ça fait 5 jours que je ne l'ai pas lavé en prévision de notre rencontre. »

« Allez. Dis-moi que tu l'aimes. »

« J'aime le goût de ton cul Richard. Il est merveilleusement épicé ton cul poilu. »

Ses mots se perdent dans les sanglots.

Elle continue néanmoins.

« Mark devait aller travailler dans la mine la plus éloignée au nord. Il devait rétablir les anciennes règles et réengager John. On laisserait alors ma famille tranquille. Seulement pour signer l'entente, John a exigé que la signature se fasse sur mon dos pendant que sa bite fouillerait le fond de mon cul. Je me suis retrouvée pliée sur la table de la cuisine. John m'a prise pendant que Mark signait l'entente en pleurant. »

Madame Cassidy parlait maintenant d'un ton monocorde. Elle ne léchait plus Richard qui semblait s'en foutre complètement et continuait à se branler frénétiquement face à Catherine.

« John nous a ensuite dit que c'est moi qui devrais présenter le nouveau plan de travail à Mr Ming (le président de la compagnie). Le chinois m'a enculé pendant 3 jours et il a signé le plan avec un sourire pendant que je le suçais, nue sous *** bureau. »

« Depuis, nous n'avons plus de problèmes. Ma fille vie dans une autre ville minière et le syndicat la laisse tranquille. Moi, je travail pour le club social du syndicat. Je remplie de petits contrats. Comme ce soir... »

Sa voix s'est éteinte. Elle n'a plus dit un mot. Richard a déchargé une importante quantité de sperme sur Catherine qui fut prise de nausée.

John a signifié aux autres de partir. Mme Cassidy est sortie, sans dire un mot, nue dans la neige et la pluie froide de l'automne.

John pris la parole.

« Dans cette enveloppe, vous trouverez une copie du nouveau contrat de travail. Monsieur Ming le signera sans problèmes la semaine prochaine grâce à Mme Cassidy qui résidera sous votre bureau pour la durée de *** séjour. Je vous invite à en profiter. Elle n'est pas exclusive. D'ailleurs, Mr Ming aime bien les doubles pénétrations. »

« Nous sommes bien au courant de votre passé et de ton problème de jeu. Je crois que vous avez compris ce soir que le syndicat ne recule devant rien pour protéger ses membres. »

Il se tourna vers Catherine, blanche et tremblante.

« Si ton copain veut jouer au malin avec nous, pas de problèmes. Mme Cassidy appréciera sûrement de voir sa charge de travail réduite. »

Il fit un clin d'œil et ajouta.

« Ne barre jamais ta porte. Je reviendrai sûrement prendre une bière en ta compagnie. Si jamais la porte était barrée.... »

Il se retourna et sorti sans un mot.

Par la fenêtre, on pouvait voir Mme Cassidy, pliée en deux sur le capot d'une auto, toute grelottante dans la pluie froide, qui se faisait prendre lentement pas le quatrième homme.
chrislebo

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fantasme sur ma femme



Par ce beau jour d'automne,je me préparais pour partir en ville faire diverses choses qui me prendraient une bonne partie de la journée mais cela se ferait sans ma femme caroline,une petite blondinette qui possède une jolie poitrine au formes généreuses. Elle décidais de rester chez mes parents pour défaire les valises car nous étions en vacances chez eux.
Je la prenais dans mes bras et l'embrassait à plein poumon,elle me repoussait gentiment et me disait de partir comme ça je reviendrais plus tôt.
Ma mère qui faisait des ménages à droite et à gauche en avait pour une bonne partie de la journée, était absente. Il ne restait que mon père qui lui était à la retraite et qui montait une maquette de bateau au salon.
Je lui demandais s'il voulait venir avec moi mais il refusait et préférait rester à la mai***.
Bref me voilà parti et au bout de 4....5....kilomètres je m'apercevais que j'avais laissé mes papiers de voiture dans le salon et je fais donc demi tour.
Je me garais devant le portail qui est tout de même à plus de cent mètres de la mai***,et courrais dans la cour rejoignant le palier de la porte d'entrée.
Je rentrais et fonçais dans le salon les récupérant sur le meuble mais la pièce était vide,la maquette à l'abandon sur la table..bizarre me dis-je ?
Puis un cri de caroline attirait mon attention alors que j'allais sortir.
Je décidais de monter en douce pour voir ce qu'il se passait et là je fus choqué et figé sur place par ce que je voyais.
Mon père avait plaqué ma femme sur le lit; il était à genou au dessus d'elle l'empêchant de pouvoir s'échapper.
Il avait déjà sorti *** pénis tout mou qui venait tapoter le menton de ma femme et moi dans tout ça, je ne bougeais point,de toute façon il ne pouvait me voir de là où j'étais. Ma femme se faisait violer et je dois dire que c'était l'un de mes fantasmes le plus profondément enfoui en moi: d'en voir un ou de le faire mais là, j'avais la chance d'en voir un alors je ne m'en privais pas.
Mon père insultait caroline de petite salope qui méritait ce qui lui arrive et qu'il allait la mater.
Caroline se débattait et tournait la tète à chaque fois qu'il voulait lui enfouir sa verge bien molle dans sa bouche.
De ses deux mains mon père lui maintenait la tête bien fixe et essayait d'enfourner sa queue dans la bouche de ma femme, qui restait bien fermée.
Tu vas la prendre petite pute lui disait il très énervé...
Il lui pinçait le nez pour l'empêcher de respirer ce qui eut comme réflexe de lui faire ouvrir la bouche et il ne se fit pas prier pour enfourner sa verge dans sa gorge.
Caroline se débattait se servant de ses bras pour donner des coups mais mon père étant un ancien videur, cela ne lui faisait pas grand chose. Elle tentait également de donner des coup de pied dans le dos de mon père mais elle n'arrivait pas à l'atteindre et dans la lutte sa jupe se relevait à chaque tentative. On pouvait voir entièrement *** collant chair et *** string rose.
A entendre les bruits de succion,caroline devait encaisser un sacré morceau mais ce ne fut pas la longueur de *** pénis qui me surpris mais *** épaisseur,il devait bien faire 5 à 7 cm de diamètre.
La bouche de ma femme se déformait à chaque passage,les mains crispées de caroline serraient fort les draps du lit, mon père profitait de sa nette domination pour caresser chaque partie du corps de caroline et sa main descendait encore et encore jusqu'à atteindre la partie la plus intime de ma femme.
Mon père se mettait à frotter frénétiquement sa main sur la chatte protégée par le collant et string,caroline eut le réflexe instantané de serrer ses cuisses pour empêcher ce frotti-frotta violent.
OH putain je vais te défoncer salope,tu m'excites avec ton petit collant lui disait il !!!
Il se retournait de 180 degré d'un coup la bloquant toujours sur le lit,caroline pouvait respirer normalement dès à présent car la bite épaisse de mon père restant tendu au dessus du chemisier de ma femme. Après avoir écarte les cuisses de caroline,deux déchirements distinct ré***naient dans la chambre,elle se retrouvait la fente à l'air,le string tombant à coté du lit,elle eut à peine le temps de crier que la langue fougueuse de mon père s'enfonçait dans sa chair bien rose.
Il léchait tel un ****** sauvage,il ne lui ménageait pas *** clitoris qu'il étirait en le mordant et cela dura 5 bonnes minutes pendant lesquelles ma femme appelait de l'aide et lui demandait d'arrêter mais en vain.
Il se levait du lit pour enlever le peu d'affaire qu'il lui restait sur le dos et juste au moment où il faisait tomber *** slip au sol,caroline tentait de s'échapper mais sans bouger il lui attrapait le bras et la faisait tomber à genou et sans qu'elle est le temps de réagir,il lui enfonçait sa verge violemment dans la gorge a tel point que ses testicules vinrent taper les lèvres de ma femme.
Il lui maintenait bien la tête et lui imprimait une cadence régulière,caroline essayait de s'extraire en poussant ses bras sur le torse de mon père mais niet.
Après plusieurs va et viens,il la relevait et la jetait sur le lit,il eut beaucoup de mal à lui faire écarter ses cuisses pour se glisser entre elles mais là ça y était.
Mon père tout excité lui parlait crûment....
Je le voyais frotter sa queue sur la fente très peu ouverte malgré le léchage en règle quelle avait subi quelques minutes auparavant.
Caroline se mit à hurler soudainement plus fort,l'énorme barreau disparaissait centimètre par centimètre puis il donnait un grand coup de rein pour la dominer totalement.
A chaque pénétration,il n'arrêtait pas de lui dire qu'elle était bonne puis il lui prit les jambes et les mettaient sur ses épaules. De cette manière il pouvait mieux contempler *** sexe prendre possession de caroline. Elle était à bout de ***** et ses légères repoussades sur le ventre de *** violeur ne parvenait plus à le freiner dans la pénétration.
Mon père commençait à râler et sorti sa bite illico et éjaculait à flot sur le ventre de ma femme qui pleurait depuis un bon moment,puis il s'essuyait *** pénis ruisselant sur la fente de caroline.
Le sentant toujours raide,il se ré-enfonçait en elle et reprenait un rythme effréné la faisant hurler de douleur.
Mais au bout de quelques secondes,il criait sa nouvelle jouissance et restait bien ancré au plus profond d'elle,déversant le peu de sperme qu'il devait rester dans ses couilles.
Quant à moi je fus vite revenu à la réalité quand le réveil ***na et oui ce n'était qu'un pure fantasme que je venais de rêver..............mais je fis l'amour à ma femme la surprenant dans *** sommeil.
vanbruje

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#5,129
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Bonnes histoires, toujours affublées des mêmes problèmes... Je veux bien croire aux explications données qui semblent plausibles mais cela n'explique pas la "nonchalance" de l'auteur, qui n'est lui pas américain...
Bonne continuation...
chrislebo

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#5,130 
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faut savoir passer au dessus
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