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les histoires de chrislebo

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vanbruje

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#4,351
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Rectification : deux déjà publiées auparavant... Merci quand même !
chrislebo

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#4,352
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mrd encore tout faux
chrislebo

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#4,353
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Ma bonne

Ma dernière expérience :
Il est 19h00 ma femme de ménage arrive. Je lui ouvre. Comme convenu elle porte une mini jupe, des talons hauts, un chemisier blanc entrouvert. Je la fais entrer, elle se met en position pour le contrôle. A quatre pattes par terre, il ne me faut pas longtemps pour relever sa jupe. Parfait elle ne porte pas sous vêtement. J'ouvre mister sac et vérifie qu'elle ne l'a pas caché là comme la dernière fois.

J'ouvre mon pantalon et sort ma bite. Voila le premier objet qu'elle nettoiera ce soir. je me place devant elle et remonte mister visage pour qu'elle commence mister ouvrage. Elle sent le mélange de sperme et de reste du cul de ma dernière aventure. Elle commence à sucer mon gland pour le nettoyer, ma bite commence à réagir à ce lent léchage. Elle continue de lécher et commence à enfourner ma bite pour nettoyer plus avant. Ma bite finie entièrement engloutie dans sa bouche. Elle en ressort toute propre et brillante de sa salive.

Je décroche sa laisse du porte-manteau et lui passe au cou. Je la dirige vers la chambre ou l'attend la suite de mister ménage hebdomadaire. La surprise peut se lire dans ses yeux quand elle découvre ma conquête dans le lit. Elle est maculée de sperme sur ses seins, sa chatte et mister cul. Voila le deuxième objet que tu devras nettoyer avec ta langue aujourd'hui, lui dis-je, commences par les seins. Laurie ma conquête commence à se réveiller sous les coups de langue de ma bonne. Ses tétons pointent vers le plafond elle commence à se tortiller et ouvre un œil. Surprise de voir qui lui prodigue ce plaisir, elle souri en me cherchant des yeux. Ma bonne continue mister ouvrage en descendant vers sa chatte. Non lui dis-je continues avec mister petit trou. Elle lui lèche mister œillet et enlève la moindre trace de mon sperme. Laurie commence à être très excitée. Ma bonne continue par sa chatte et enlève mes traces de foutre.

Voila me dit-elle c'est propre. Le crois-tu vraiment !!! Lui hurlai-je dessus avec une bonne claque sur les fesses pour appuyer mes propos. Laurie mouillais de plaisir et sa chatte étais luisante. Continues ton œuvre, fais la jouir et laisse cette magnifique chatte bien propre. Ma bonne se lance dans cette tache, elle lèche aspire le clitoris de Laurie qui commence à gémir. Je 'autorise à utiliser une main. Elle rentre donc un puis deux doigts dans la chatte. Un quatrième puis la main y passe. Elle commence à masser l'intérieur de ce vagin avec sa main, ce qui a pour effet de déclencher un orgasme foudroyant chez Laurie. Elle retire sa main et fini en nettoyant tout pour laisser une chatte, lisse, sèche et propre.

je lui dis alors de nettoyer la chambre des restes de notre après midi et de m'attendre dans le salon.

Je rentre dans le salon, ma bonne m'attend à quatre pattes. Je passe une main entre ses jambes et constate que le traitement de tout à l'heure ne l'a pas laissée indifférente car elle est toute mouillée. Je prends un peu de sa mouille et lubrifie mister anus. Puis sans plus de préparation la pénètre par cet orifice. Je m'enfonce facilement jusqu'a la garde en lui soutirant un râle de plaisir. Enfiché jusqu'à la garde je lui demande ce qu'elle veut. "Enculez moi Maitre, vite fort et vulgarement." me crie-t-elle. Je commence des va et vient effréné entre ses reins, elle crie mister plaisir. Touches toi le clitoris. Mon ordre claque et elle s'exécute. Elle est au bord de la jouissance mais sait ce qu'elle attend. Jouis, mon ordre claque et elle joui en quelques secondes. Je me retire et présente mon chibre devant sa bouche. Elle l'aspire, l'englouti au fond de sa bouche. Je lui ordonne de me regarder dans les yeux. Et elle continue de pomper en me regardant de mister regard de chienne lubrique. Je décharge une bonne quantité de sperme au fond de sa gorge. Elle continue de me sucer jusqu'à ce que mon membre redevienne mou. Je me retire et elle me présente sa langue et sa bouche ouverte pleine de sperme. Vas-y lui dis-je. Elle referme sa bouche et je peux la voir avaler sa dose de sperme. Puis elle me nettoie le sexe et part finir le ménage.

chrislebo

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#4,354
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Devenir une vraie petite soumise pour mister voisin

Myriam (origines marocaines), 26ans.


Ca c'est passé il y a 2 ans. Je venais d'aménager, il me restait 2 cartons à monter et mon copain devait partir. J'ai commencé à porter le premier carton au 2e sans ascenseur. Rien de lourd, juste des vêtements.

Lorsqu’un voisin du RdC ouvre la porte et me dit "tu veux que je t'aide?". Je répondis non merci et partit.
Au deuxième carton il me redemanda mais je lui dis non encore que c’était le dernier carton et finit. Il avait l'air sympa, je dirais bien 50 ans avec un ventre à bière !!

Le lendemain, âpres avoir fait du rangement, je m'aperçois que le frigo ne marche pas. Je regarde la prise, le thermostat, le compteur... je tourne en rond et ne trouvant pas d'où ca vient, je me dis que si le voisin peut m'aider, ca me dépannerai bien.

Je tape chez lui et il ouvre il me fait entrer et je lui explique le problème.
Donc il vient chez moi et va voir le frigo, il change 2 fusible de place et le frigo démarre. Il m'explique qu'un fusible a grillé et qu'il en avait chez lui et va dans le coin salon (petit studio) et s'assoie et me demande ce que j'ai à boire.
Étonnée, mais contente qu'il puisse m’aider, je lui sers un panaché a mon copain et vient le rejoindre.
Il me dit viens là me remercier avant de boire.
Assez troublée je me suis demandé ce qu'il voulait et il enchaina : "vient la petite chienne" et me tira par la main.
J'ai paniqué et je lui ai dit de se calmer…

Je lui ai dit de sortir ou bien j'appelais mon copain. Il est sortit en me disant que j'allais venir a lui, que il me donnerait mon fusible, qu'il m’aidera si j'avais besoin mais que je devais venir a lui à 4 pattes comme une bonne petite chienne.


J'avais jamais vu un homme aussi malade et pervers, je n'ai rien dit à mon copain car j'avais peur que ca se passe très mal.
Le lendemain dans ma boite à lettre j'ai trouvé 2 fusibles neufs. Je n'ai rien dit et je suis partit.

Je n'ai pas revu ce voisin durant 2 semaines et un jour il frappa à la porte. Je lui ouvris et il me dit être désolé, que il était devenu fou il apporta des pâtisseries. Trop gentil j'ouvris la porte et lui proposa du thé.

Nous avons discuté mais rapidement il me dit que je suis belle, que je suis attirante, que mon ami a de la chance et il me caressa la main, et mis sa main à l'intérieur de la cuisse.
Il n'arrêtait pas de dire que les filles arabes étaient très douce, très agréable a toucher. Je devenu folle de peur, je bougeais et demandais d'arrêter mais il me serrait le poignet très fort puis d'un coup me lâchât et me dit de me calmer. Il me demanda de venir à coté.
Moi debout je lui demandais de partir mais il n’écoutait pas, il me disait que je l’avais fait rentrer pour ca, il me disait que j'avais pensé a ca, que j'avais rêvé de ca, que je devais venir à coté...

Etant donné qu'il ne sortait pas, je me suis rassise à coté. Il me demanda si j'avais repensé a la dernière fois, si en prenant les fusibles dans la boite j'avais compris que je devais le remercier, il me demandait si j'avais compris qu’il me voulait.
J'entendais ces paroles mais je n’étais pas d'accord avec lui mais je devais écouter pour qu'il parte et rapidement il attrapât mes cheveux et les saisit violement puis me dit "je vais t'éduquer moi tu vas voir".

Il me fit mettre à ses genoux à lécher mister pantalon. Je ne réagissais plus j'avais peur envie qu'il s'en aille et au fond de moi j’avais en effet pensé à sa visite de la dernière fois.

Il me tirait de plus en plus fort les cheveux mais je ne réagissais pas à la douleur. Il défit mister pantalon et me demanda de sucer mister sexe à travers mister caleçon. Il était très cru mais surtout très insultant. Il ne sortit jamais mister sexe et se léchage a duré pas mal de temps. Puis il me tira les cheveux, me dit que j'étais une magnifique chienne me demanda si cela m’avait plus, je répondis oui par peur/reflexe/excitation.
Il mit ses doigts dans ma bouche puis me gifla et me dit qu’il voulait que je le reçoive ainsi la prochaine fois. Il enlevait mister caleçon. Il avait un sexe petit toujours en érection et il était très poilu. Il mit mister caleçon sur ma table basse, remit mister pantalon et me fit me mettre à 4 pattes en me tirant les cheveux.

Il m'ordonna de laver mister caleçon et de le tenir propre jusqu'à ce qu'il revienne le chercher.

Finalement je le vis durant 3mois complet presque 1 soir sur 2 à la fin. Je n'étais plus chez moi, mais il était chez lui et je fus sa véritable chienne le dernier mois. J'ai aimé cette relation…
chrislebo

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#4,355
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Fellation imposée dans les wc d'une boite de nuit

LEA, 22ans.

Voila, ca c'est passé l'été dernier, j'étais en boite du coté d'Aubagne (prés de Marseille pour les ignorants).
J'avais pas mal bu déjà, on était en milieu de nuit et je vais au wc, j'entre et je me précipite directement dans un wc, je ferme et là un homme me dit, inondation, ouvre moi...

Je me demande ce qu'il se passe mais je réfléchit pas trop (j'étais plus trop en état :D) et je finit ma commission et j'ouvre.
Là un homme, origine arabe au moins 30-35 ans environ entre me pousse un peu et ferme la cabine à clé.

Il me dit t'es trop belle, je t'ai vu rentrer dans les toilettes hommes je sais ce que tu veux et défait mister jeans et sort mister sexe très rapidement.

Bourrée mais lucide je lui dis non arrête tu rêves !! Mais je reste là, je ne bouge pas, je regardes bêtement.
Il me dit allé dépêche toi et me prends la main et la met sur mister sexe et appuie sur mon épaule pour me faire assoir sur le wc.

J'ai plus rien dit, je pensais au lieu, je pensais aussi surtout à mister âge et aussi à ses origines : pas que je sois raciste... mais quand même j'avoue ne pas être fan (désolée, je suis franche).

Quoi qu'il en soit, je me suis retrouvée assise sur le wc à peine le pantalon reboutonné, ma main droite touchant mister sexe et lui qui me caressait la tête en me disant allé dépêche toi de me sucer. Il n’avait pas un gros sexe mais je n’avais jamais gouté un sexe décalotté.
Finalement après l'avoir un peu branlé je me suis exécuté, je l'ai sucé doucement puis il ma fait sucer un peu plus vite et a rapidement voulu changer de place. il s'assit sur le wc et je me suis retrouvé à genou dans le wc avec mon jean de boutonné ( je le referai pas, beurk l'hygiene!).
Il a jouit peu âpres dans ma bouche. Il m'a demandé d'avaler mais je n’ai pas voulu, il m'a essuyé la bouche avec le papier wc et a commencé à profité de mon jeans entrouvert pour passer sa main et a sentit que cela m'avait excité.

Il s'est bien essuyé le sexe et s'est rhabillé. Il m'a aidé à me relever, on est sortit ensemble du wc, et c'est là que je me suis bien rendu compte que j'étais dans les wc homme (oups).
Il m'a dit que j'étais parfaite, et que si je voulais il serait ok pour le refaire le samedi prochain ici. Il m'a tourné contre le lavabo, et m'a roulé une pelle de façon assez vulgaire et encore une fois je n’ai pas réagit et il m'a dit que je ferai une bonne petit chienne et que j'étais magnifique et il est sortit des toilettes...

Je suis sortie des wc et de la boite et je n'y suis pas retourné ni le samedi suivant, ni jamais. Je garde un souvenir très troublant mais très excitant aussi.

chrislebo

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#4,356
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les ordres de ma Maîtresse

Le bistro
Hello, je m’appelle Nadine, j’ai 25 ans, petits seins, mince et mes fesses mistert le fantasme de beaucoup d’hommes. En tous cas c’est ce que l’on me dit souvent. De nature soumise et obéissante, (l’un ne va pas sans l’autre) je corresponds, par Internet, avec Maîtresse Marie. Celle-ci me demande de faire des tas de choses sexuelles et d’en apporter les preuves en lui envoyant des photos. Ce n’est pas toujours évident de lui obéir, surtout pour les photos, mais je fais de mon mieux pour la satisfaire.
Cette semaine elle m’a ordonnée de trouver un chantier et de me donner gratuitement aux ouvriers, de faire des photos et une description de ce qui se sera passé, puis, de lui envoyé, tout cela, via mister e-mail.
C’est la première fois qu’elle me demande un truc de ce genre et j’ai une trouille pas possible, me rendant compte des risques encourus et de mon avenir, en acceptant cela. Mais comment ne pas la décevoir si je ne m’exécute pas. Je me suis même demandé si ma Maîtresse n’était pas, en fait, un Maître car, ce genre de chose est un fantasme d’homme en général. Mais voilà, je suis une esclave obéissante et me voilà à la recherche d’un grand chantier.
En sortant de chez moi et me dirigeant vers l’arrêt du bus, je dois passer devant plusieurs petits bistros de quartier, surtout fréquentés par des ouvriers et autres alcooliques notoires. Un de ses bistros est principalement fréquenté par des arabes et quelques noirs aussi. Comme quoi dans ce genre d’endroit, l’Islam n’a pas vraiment sa place. Il fait assez beau en ce début avril et je me suis habillée courte et légère, un petit sac à dos pour mes affaires permisternelles. Au moment de passer devant ce bistro et comme d’habitude, je me fais « vanner » et « charrier »
- Hé ! Ma jolie ! Vient donc gouté mon sucre d’orge
- Ta jupe est trop longue ! On ne voit rien !
- A ton âge on prend encore la sucette !
Et d’autres « vannes » tout aussi débiles, que les hommes un peu ivres et en groupes lancent aux filles pour les faire fuir. Mais, je ralentis le pas et une idée me vient tout à coup. Et si…
Et si, pour plaire à ma maîtresse, au lieu du chantier j’allais dans ce bistro voir si leurs paroles valent leurs gestes.
Un grosse boule me monte à la gorge, mon estomac se noue mais, je sens les muscles de mon vagin se contracter par à coup. Je m’arrête, les quolibets se raréfient et lorsque je me retourne toute tremblante d’angoisse, ils s’arrêtent. Je reviens sur mes pas et sans regarder permisterne, les yeux fixant le sol, je pénètre dans ce bistrot. Un silence total et impressionnant s’installe au fur et à mesure que j’avance à l’intérieur. Mon ventre n’est plus qu’un gros nœud, ma gorge est tellement sèche que, j’ai l’impression de m’asséchée complètement et pourtant mon entre-jambe me trahit.
- Ma parole !... Mais, je mouille ! pensais-je
Mon angoisse diminue un peu et j’ose lever mon regard vers le bar. Derrière ce dernier se tient un homme assez fort d’une quarantaine d’années et me regarde l’air méfiant et mauvais.
Enfin après avoir luttée pour, ne pas faire demi-tour et m’encourir au plus vite et au plus loin, je parvins contre le bar, enlevai mon mini sac à dos et le déposai à mes pieds. Trois hommes y mistert accoudés et me regarde comme une extra-terrestre.
- Bon… Bonjour ! Fis-je avec une voix de petite fille
- ….
Le silence, le plus glaciale de mon existence, me répond. Dans le bistro, je n’ai osée regarder permisterne et le silence est toujours aussi palpable.
- Je… Je… Je voudrais…. Je voudrais un café crème, s’il vous plait, demandais-je toujours avec une petite voix.
- Avec beaucoup de crème s’il vous plait ! Continuais-je.
J’ai l’impression que ma voix à explosée dans ce silence et pourtant la dernière phrase, je l’ai chuchoté.
L’homme derrière le bar me regarde ou plutôt mister regard à l’air de m’explorer. J’ai un petit rictus qui voudrait être un sourire qui, se forme sur mes lèvres et mes yeux redescendent sur la poitrine de l’homme. Quelques instant encore de silence et d’observation et l’homme se retourne pour faire mon café. Une parole, puis deux, puis trois emplissent le silence derrière moi mais elles semblent être chuchotées.
- Qu’es-ce-que vient faire une jolie fille comme toi dans ce bistro ? Dit une voix à ma droite.
- Surtout avec si peu de vêtement ! Dit une autre derrière moi.
- Et avec des fesses pareilles ! Fis une voix très, très proche de moi sur la gauche.
En attendant qu’on me serve, j’ai baissé les yeux vers le comptoir et senti que l’homme sur ma gauche s’est rapproché de moi. Je sursaute lorsqu’une main épaisse et forte se pose sur ma fesse gauche et presse celle-ci.
Seul, la barrière de tissu de mon short très court et moulant sépare la paume de cette main à la peau de ma fesse. Mon ventre se noue encore et l’angoisse de ma gorge s’amplifie. Mais, je ne me dérobe pas de ce touché osé.
- C’est un peu dangereux ici pour une petite salope dans ton genre, me dit la voix de gauche presque sur mon oreille.
- Voici votre café ! Mademoiselle ! dit le patron. Et avec beaucoup de crème continu-t-il avec une voix plus forte que tout le bistro a pu entendre.
- Mer… Merci beaucoup, fis-je d’une voix angoissée
L’homme à ma gauche me malaxait la fesse sans plus aucune retenue et tous les clients, du bistro, doivent jouir d’un spectacle gratuit. C’est aussi à ce moment qu’une autre main se posa sur ma fesse droite et le bout des doigts glissèrent entre mes jambes. Les deux hommes sur ma droite s’étant rapprochés au point de se tenir contre et derrière moi.
Je sentais le souffle de l’homme derrière moi me chauffer la nuque et une main s’aventura sur mon sein droit, seulement protégé par un body moulant. Comme, je ne porte jamais de soutien gorge, mon téton fut accessible facilement et ne tarda pas à subir pincement et étirement. Levant mes yeux paniqué vers le patron du bar, je vis ce dernier faire signe aux hommes qui m’entouraient et me tripotaient, d’aller vers les toilettes.
Sans aucune violence mais avec fermeté, je fus entrainée vers les toilettes du bistro. En fait, c’est l’homme qui me maintenait par la fesse gauche qui, uniquement en me tenant celle-ci, me tira vers les WC. Les deux autres hommes suivirent. Le bourdonnement des conversations repris avant que je ne franchisse la porte séparant le bistro des toilettes.
Mon sort, ne semblait plus intéresser que, les trois hommes qui m’entraînaient. Quelle erreur de jugement, venais-je de faire, mais cela je ne le savais pas encore.
Celui qui me tenait la fesse tout en me poussant vers l’avant, dans le couloir menant aux toilettes, glissa sa main dans mon short et malaxa ma fesse à même la peau cette fois. Je fus poussée sur des cassiers de bière qui, encombraient ce couloir, un peu sombre et pas très propre. Mon body disparu en moins d’une seconde. Des mains et des langues se collèrent à mes seins et mes lèvres. Une langue grasse et très humide pénétra ma bouche, pendant que des dents mordillaient mon téton. Mon short me fut enlevé aussi rapidement que mon body et c’est en string et baskets que les trois hommes continuèrent de me tripoter partout. Des doigts s’enfoncèrent dans mon anus et mon vagin et je me rendis compte que mon angoisse se transformait en une jouissance énorme.

chrislebo

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#4,357
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Alors petite salope, prête pour la troisième partie ?
Grumf !... Grumf !...
On ne parle pas la bouche pleine ! Dit Salim en me donnant un claque sur les fesses.
T’as raimister ! Pote ! Elle est mal élevée cette petite pute.
Ils se mirent à me détacher et ôter mon bâillon. Je voulu me redresser, mais aucune power ne me permirent de bouger. J’étais comme paralysée, vidée de toute énergie.
Ils me retournèrent et mirent ma tête au bord du lit. Puis, ils se mirent à me flageller le visage avec leur sexe tendu et dur.
Alors ! Salope ! Tu en veux encore ? Demande-le nous gentiment ! Dit Abdou
Ouais ! C’est ça ! demande-nous renchérit Salim
N’ayant aucune power pour lutter, mon esprit complètement perturber par ce que, je venais de subir et ne voulant pas trop souffrir, je leur dit les phrases qu’ils m’avaient fait répétée sans cesse au début et qui s’étaient imprimées dans mon cerveau.
S’il … vous… plait, Monsieur Abdou… baisez-moi ! Mettez… votre grosse… heu… queue en moi !
Ouais ! C’est bien ! Continue salope !
Remplissez-moi…heu…de votre…heu…. Sperme ! Mettez-moi…votre grosse queue dans mon cul !
Les phrases venaient toutes seules et avec de plus en plus de facilité pour mon cerveau et mon éducation. Je compris alors avec effroi, qu’ils m’avaient conditionnée l’esprit et que mes propres paroles m’excitaient réellement.
Je mouillais ! Je n’en cru pas mon corps mais, ce que je disais m’excitais au plus haut point. Leur sourire béat me confirma que, ce que je suppliais, leur plaisait.
Ok ! Ma salope ! Puisque tu le demandes, tu vas en avoir !
Ils me mirent à genoux, à côté du lit, mais comme je ne pouvais tenir droite, Salim me pris les bras et les mis en arrière sur le dessus du lit et me tint les poignets.
Abdou pris ma tête et poussa mister sexe sur ma bouche. Il baisa ma bouche comme si c’était un vagin. Je ne sus même pas le sucer ou l’aspirer, Abdou n’en tenait pas compte. Il faisait de douloureux va et vient au fond de ma gorge, me faisant saliver abondamment. Bien sur, à peine la moitié de mister sexe entrait dans ma bouche et touchait le fond de celle-ci. Abdou n’hésitant pas, à essayer d’aller plus profondément, avec comme conséquence de brusque envie de vomir.
Après un temps qui me sembla l’éternité, il se retira plaça mister gland sur le bord de ma langue et se masturba de plus belle.
Ma bouche grande ouverte, la langue tirée à fond, je sentis avec une seconde de retard le moment de mister éjaculation.
Le premier jet fut d’une telle violence qu’il s’engouffra directement dans ma gorge, il fut suit de deux autre tout aussi violent puis de quelques uns moins abondant et plus espacés.
Avale ! Salope fut les seules paroles d’Abdou
Ce que je fis évidemment, ensuite il me fit lécher mister sexe et proposa à Salim de le remplacer.
Je reprenais seulement mon souffle que le sexe de Salim envahit ma bouche et ce fut reparti pour un tour.
Plus permisterne ne tenait mes poignets et je du m’accrocher au couvre-lit pour ne pas m’écrouler sur mes talons. Mes bras tiré en arrière commençaient à me faire mal, mais coincée comme je l’étais, je ne savais rien y faire. Ma nuque contre le bord du matelas, permettait à Salim, de me pénétrer la bouche, le plus loin possible. Mes mâchoires commencèrent à me faire mal et des larmes coulaient toutes seules de mes yeux. C’est alors que je sentis un objet dur et froid se placer contre ma vulve.
Ecarte ! Ordonna Abdou.
J’obéis immédiatement et l’objet commença à me pénétrer. Salim s’en donnait à cœur-joie dans ma bouche et je sentais cet objet s’enfoncer de plus en plus écartant de plus en plus fort mes parois vaginales. Une monté d’adrénaline se fit et en même temps ma gorge s’ouvrit sous la poussé de Salim. Son sexe s’enfonça dans ma gorge, dépassant allègrement ma luette et bloquant ma trachée artère, me coupant la respiration. Ma gorge sembla doublée de volume et l’envie de vomir disparu. Mon nez fut brusquement en contact avec les poils frisés de Salim et mon menton toucha ses testicules. Je compris, en un dixième de seconde que, l’entièreté de mister sexe était en moi. C’est en même temps que l’objet qu’on introduisait en moi, fut brusquement absorbé, par mon vagin et que celui-ci se referma derrière l’objet.
Putain, je suis à fond dans sa gueule ! S’écria Salim
C’est aussi à ce point que, je sentis, une fois de plus, un orgasme monté à l’allure d’un tgv en furie. Sans doute excité, par le fait, d’être entièrement dans ma gorge, Salim, jouis brusquement et je sentis parfaitement les jets de sperme directement, dans mon œsophage.
Puis ce fut le voile noir de la jouissance et du manque d’air qui me fit perdre conscience.
Lorsque, je revins à moi, j’étais couché sur le sol de la chambre. Mon regard porta sur mon réveille-matin et mon cerveau enregistra, «4h15 »
Cela faisait plus de cinq heures que j’étais entre les mains d’Abdou et de mister complice. Mon corps reprenant vie me fit comprendre que quelque chose me gênait entre les jambes et dans mon derrière.
Je soulevai la tête péniblement et vit l’origine de mes différentes douleurs. Une grosse corde me ceinturait la taille et passait également entre mes cuisses. Mais la corde ne rentrait pas entre mes lèvres vaginales et semblait plutôt retenir un objet en moi. Je sentis aussi un objet profondément retenu par la même corde, dans mon derrière. Je voulu sentir avec mes mains et me rendis compte que celles-ci étaient liées ensembles et reliées à un pied de mon lit.
Aaaah ! Enfin elle s’est réveillée, s’écria Abdou
C’est alors qu’une vibration se fit sentir dans mon corps mais, surtout dans mon derrière.
On va voir combien de temps il lui faut pour jouir fit Abdou en me montrant un petit objet dans sa main. Un fil électrique en sortait et descendait vers le sol.
Je compris qu’ils m’avaient enfilé avec un godemichet vibrant. Mais déjà mon cerveau enregistrait ce nouveau moyen d’excitation et une nouvelle montée d’adrénaline se fit.
Ouais ! Comme tu dis on va voir combien de temps elle tiendra et combien de jouissance, elle aura. Confirma Salim s’approchant de moi, me faisant rouler sur le dos et plaçant sa main sur la chose enfoncée dans mon vagin.
Alors que tout mon derrière vibrait au rythme du gode, lorsque Salim retira sa main, quelques chose sembla bouger dans mon vagin.
Un autre godemichet vibrant était maintenant en fonction dans mon vagin. Seulement celui-là semblait bouger dans mon vagin et non vibrer comme celui dans mon derrière.
Les deux noirs semblaient s’amuser de me voir me tordre dans tout les sens sous l’influence de leurs jouets en moi.
Abdou sembla même augmenter puis diminuer l’intensité des vibrations dans mon derrière. Bien sur, il ne fallut que quelques minutes de ce traitement pour que je me torde de plus belle sous des orgasmes multiples et allant en crescendo.
Une fois de plus, je perdis toute notion du temps et de la réalité, pour me réfugier dans une inconscience complète.
Je repris connaissance, avec un sentiment de vide complet et une vibration de mon corps. L’appartement était silencieux et la lumière du jour semblait se profiler derrière mes tentures.
J’étais toujours allongée sur le sol et les godemichets en moi et fonctionnant faiblement. Ne sentant pas encore mes bras et me croyant toujours attachée, je remuai les jambes lentement, pour écarter mes cuisses au maximum, persuadé que cela me ferait du bien.
Mes bras n’avaient pas changé de position et étaient toujours tendu vers l’arrière de ma tête. J’essayai de bouger un bras et fut agréablement surpris que ce dernier exécuta le mouvement demandé. Je mis ma main entre mes jambes pour sentir que les godemichets en moi étaient bien présents. Je cherchai à tâtons le nœud de la corde qui maintenait ces godes en moi.
Les salauds ! Pensais-je, ils ont fait le nœud dans mon dos.
Je me mis à plat ventre et cherchai le nœud. Je mis un temps infini pour le défaire et tout autant pour me détacher et enlever les godemichets, toujours en fonction, de mon corps. Je ressenti aussi avec un certain effroi que pendant que je retirais les godemichets en moi, une nouvelle excitation monta depuis mon ventre. Mais cessa dès que mon anus et vagin fut libérer de ces instruments.
M’asseyant en tailleur, je regardai la taille énorme des godemichets que je venais de sortir de mon corps et les sécrétions qui dégoulinaient, mélange probable de sperme et de ma propre mouille. Celui de mon derrière semblait le plus « sale » car il était maculé de taches brunâtres.
Regardant celui qui sortait de mon vagin, il semblait avoir été trempé dans un bol de sperme tellement il dégoulinait.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, es-ce que je devenais folle, mais ma langue sorti toute seule de ma bouche et je léchai avec un certain plaisir ce godemichet dégoulinant de sperme. Je me surpris à le nettoyer complètement et même à le remettre en moi pour y chercher encore du sperme stagnant dans mon vagin.
Des applaudissements retentirent dans mon dos, me faisant me retourner pour voir avec effroi, Abdou, Salim, tout deux rhabillés, et le patron du café qui applaudissaient le léchage du godemichet.
- Je constate qu’Abdou et Salim ont fait du bon travail, s’exclama le patron du bistrot, même au-delà de toute espérance.
- ….
- Puisque tu es prête, continua-t-il, tu viendras, ce soir, vers vingt heure, habillée d’une simple et courte robe. Rien en dessous ! Tâche d’être à l’heure !
Puis, tous les trois tournèrent les talons et quittèrent mon appartement.
- A ce soir crièrent en cœur Abdou et Salim.
Je compris à ce moment précis que j’allais devenir leur chose, leur pute et qu’ au lieu d’être complètement dégoutée des hommes et du sexe, je pensais déjà, avec envie, aux sexes qui allaient me faire jouir ce soir.
Je voulu me lever mais mes jambes ne purent supporter le poids de mon corps. Je me traînai vers mon lit et avec le peu de power qu’il me restait, je me hissai dessus et m’endormi tel quel.
Lorsque, je regardai mon réveille-matin, je vis 15h26 et je me sentis au mieux de ma forme. Seul une petite douleur à la gorge et à mon derrière, me restait comme séquelles de cette nuit de folie.
Je me douchais longuement, appréciant l’eau chaude sur mon corps, puis je m’habillai de façon provocante et sorti faire quelques courses, car Abdou et Salim avaient réellement vidé mon frigo.
A peine en rue, le regard des hommes et parfois même leurs réflexions, me firent mouiller comme pas possible.
Je passais, sans le faire exprès, devant le bistrot de Monsieur Jean et les clients, en terrasse, ne manquèrent pas à leur habitude de me « vanner » avec leurs propositions sexuelles.
Je fis mes courses et revint à mon appartement en évitant cette fois la rue du bistrot. Je plaçai mes courses au frigo et armoires et allumais mon ordi.
Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
chrislebo

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Je fis un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis m’installée dans le divan, pour regardez la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.
Une heure et demie plus tard une icône de messagerie clignotait sur l’écran de mon ordi. Je me levai et allai voir le message. C’était Maîtresse Marie qui ne me félicitait pas car, je n’avais toujours pas obéi à mister ordre. Elle insista pour que, je me trouve un chantier et me mette à la disposition des ouvriers.
Je fus, bien sur un peu déçue, qu’elle n’appréciait pas, ce qui venait de se passer dans ma vie, alors qu’avant, le bistro de Monsieur Jean et la folle nuit avec Abdou et Salim, je ne faisais qu’un peu d’hexib et que, je draguais de vieux messieurs, selon ses ordres. J’étais, quand même, passée à la vitesse supérieure depuis la veille.
Je lui répondis que, j’allais d’abord chez Monsieur Jean et lui promis que, si mon corps et ma tête en étaient encore capable, je chercherais un chantier plein d’ouvrier.
C’est alors que, je vis un dvd inconnu, sur mon bureau. Je le pris et le plaçai dans le lecteur dvd de mon pc et regardai avec stupéfaction, le dernier quart d’heure de ma nuit extrême avec les deux blacks. Ce dernier quart d’heure me montrait nue, au pied de mon lit, me tortillant à cause des godes en moi et les retirant, les léchant et les remettant en moi pour, les recouvrir de sperme, se trouvant dans mon vagin et les lécher comme une friandise.
Je pouvais voir mon visage qui reflétait la joie et le plaisir de faire cela. Je n’en revenais pas d’avoir fait cela. Mon cerveau, devait surement être complètement déconnecté de la réalité.
Un détail me frappa alors ! Sur le sol, à côté de mon lit, se trouvait un objet ressemblant, à une seringue. Je couru jusque dans ma chambre pour vérifié le sol. Rien… Sous le lit, rien… Je soulevai les descendes de lit,…rien.
Je retournai à mon pc pour revoir le film et essayai de faire un arrêt sur l’image. Je du m’y reprendre à plusieurs fois avant d’arriver, à avoir une image nette. Je pu alors bien voir la seringue en question.
Je me tâtai les bras, rien… Je me déshabillée en vitesse a la salle de bain, aucune trace de piqure. Je compris ou du moins, je cru comprendre que c’était Abdou et/ou Salim qui avait utilisés une drogue quelconque pour être aussi performant qu’ils avaient été cette nuit.
Je ne comprenais pas pourquoi, ils avaient laissé ce dvd sur mon bureau. Peut-être pensaient-ils devoir me faire chanter pour que je continue à me soumettre ?
Je me préparai une petite salade pour le repas du soir, ne voulant avoir l’estomac, trop chargé, pour aller chez Monsieur Jean.
A, huit heures moins le quart, j’étais devant la porte du bistrot. Je regardai par le carreau et vis une vingtaine d’hommes étant présents dans l’établissement.
Je sentis mon entre-jambe s’humidifié, tant par la tension que, par l’excitation de la situation.
Deux mains se posèrent, sans douceur sur mes fesses et me poussèrent contre la porte qui s’ouvrit brusquement sous cette poussée. Je fis un bond en avant et tombai sur les genoux au milieu des tables.
Le silence se fit instantanément et je sentis tous les regards sur moi. Une énorme vague de honte et d’excitation me nouèrent les intestins.
Je me retournai au moment ou la voix de Salim fit :
- Notre petite pute, hésitait à entrer, les gars ! Alors je l’ai aidé un peu. Puis, il éclata de rire suivit par une bonne partie des clients.
- Reste à quatre pates et vient ici, petite pute s’écria Monsieur Jean depuis mister comptoir.
Je me mis donc en route à quatre pates en direction du bar, ma courte robe remonter sur mes fesses laissant voir à tous les clients que, je ne portais aucune culotte.
Lorsque, j’arrivai à côté du comptoir, je ne su combien de main et de doigt avaient touché, caressé ou s’étaient enfoncé dans mon entre-jambe, suivie d’exclamation sur l’humidité de celui-ci.
Monsieur Jean me redressa en me prenant par les cheveux et me sermonna sur mon retard et ma façon de traverser mister bistrot. Il me traita de « trainée » de « petite salope » de « garage à bite » et d’autres gentillesses, toutes en rapport avec sa façon me voir.
- Si tu veux boire un café, petite, va falloir le gagner, dit, pour conclure, Monsieur Jean.
Salim se pencha et pris mes cheveux des mains de Monsieur Jean en lui disant :
- Je la prépare et d’ici dix minute elle sera opérationnelle, patron !
- Ok ! Salim, je te laisse carte blanche dit-il en rigolant.
- Vient petite chienne, car tu va avoir du boulot ce soir, dit Salim en tirant sur mes cheveux pour nous diriger vers le couloir des toilettes.
Toujours à genoux, je le suivis, jusqu’au local, puant et sale, des toilettes. Dès que nous fument au milieu, il me releva et ôta ma robe, seul vêtement que j’avais mit. J’étais complètement nue en sandale d’été, à genoux au milieu d’un local, contenant sur un côté, deux portes de wc et sur le mur d’en face trois urinoirs, séparés par un petit portillon qui devait, sans doute protéger des regards indiscret mais, leur grandeur ne donnait aucun doute, sur l’inutilité de ces portillons. Une odeur, d’urine et de saleté, vint titillée mes narines.
Salim me redressa complètement en me tirant par les cheveux et m’approcha de l’urinoir du milieu. Il me pencha au-dessus en me mettant la tête dedans.
J’eus le réflexe de tourner mon visage sur le côté pour que mon nez ne touche pas le fond, mais Salim poussa suffisamment pour que, ma joue touche, la crépine, dégoutante et crasseuse au fond de l’urinoir.
- Reste ainsi et mais tes mains de part et d’autres m’ordonna-t-il.
Je fis ce qu’il me demanda et je senti qu’il me donna de léger coup de pied sur mes chevilles pour que j’écarte les jambes.
Je me retrouvai, pliée à plus ou moins de 90°, la tête dans un urinoir, le derrière, bien en vue et mes mains tenant la conduite de vidange de cet urinoir. Mes petits seins touchaient par moments la pointe en céramique de l’urinoir mais, cela laissait suffisamment de place pour que des mains puissent jouer avec.
- Surtout, tu ne bouge pas dis Salim, je reviens !
Il sorti du local me laissant dans cette position de totale soumission et revint quelques secondes après. Il dévissa, les deux petits portillons de part et d’autre de l’urinoir dans lequel reposait ma tête et après les avoir enlevés, se mit à m’attacher à l’urinoir.
D’abord mes mains, au tuyau de vidange puis passant à plusieurs reprises la corde, par-dessus et par-dessous l’urinoir, m’empêchant ainsi tout espoir de me redresser. Comme il tira suffisamment pour que je sois bien attachée, mes petits seins se placèrent de chaque côté de la pointe de l’urinoir.
Salim essaya de me tirer en arrière, surtout pour voir que j’étais bien attaché et effectivement mon corps ne bougea presque pas. Je sentis qu’il attacha chacune de mes chevilles de façon que je ne puisse restée les jambes bien écartées.
- Voilà petite pute tu es prête pour la soirée, j’espère que les clients seront nombreux et contents.
- Je… Vous… Vous n’aller… Vous n’aller pas me laisser ainsi, suppliais-je du fond de l’urinoir.
- Mais si, petite pute, mais si et même toute la nuit si on a beaucoup de client. C’est ce qu’espère Monsieur Jean en tout les cas, répondit-il.
- Mais… Mais…
- Ta gueule ! T’a juste le droit de te faire mettre et surtout de dire merci à chaque client qui viendra te remplir ! T’as compris ! Petite pute !
- Heu… Ou… Oui… Oui…
- Oui qui ?
- Ou… Oui monsieur Salim
- Ah voilà comment une petite pute blanche doit me parler.
- …
- D’ailleurs tout ce préparatif m’a donné envie.
J’entendis un zip d’une braguette et je sentis un sexe se placer contre ma vulve trempée. Le sexe s’enfonça en moi sans aucune résistance de ma part et lorsqu’il toucha le fond de mon vagin, ma tête cogna la paroi verticale de l’urinoir et ma joue râpa sur la crépine.
- Putain ! S’écria Salim, t’es tellement mouillé qu’elle rentre toute seule.
- He bien ! T’as déjà commencé dit une voix inconnue.
- Cette petite me donne envie comme pas possible à chaque fois que je la vois.
- Surtout dans cette position dit encore la voix.
- Eh ! Attend ! Pas là ! s’écria Salim tout en continuant ses coup de rien en moi, me faisant, me cogner la tête à chaque fois.
- Comment ça ? dit la voix inconnue
- Ils mistert hors services ceux-là dit Salim, tu dois faire ici.
- Ha Bon !
Je vis une ombre assombrir le peut de clarté que je percevais depuis le fond de l’urinoir et avant de comprendre ce que cela signifiait, un jet d’urine frappa ma joue hors de l’urinoir et se dirigea vers ma bouche et mon nez.
Je sentis avec angoisse, l’urine éclabousser mon visage et mes cheveux mais, surtout faire monter le niveau de cette urine dans l’urinoir. Jusqu’au moment ou cette urine arriva à hauteur de ma bouche que je refermai avec précipitation. Malheureusement le niveau continua de monter, et atteignis, rapidement, mes narines. J’essayai de soulever ma joue qui, était sur la crépine, mais l’urine s’engouffrant dedans aspira ma joue et forma un bouchon. Je ne vis qu’une solution si, je ne voulais pas mourir noyée, c’était d’ouvrir la bouche et d’avaler l’urine, au moins pour que je puisse respirer.
J’ouvris donc la bouche. L’urine et autres saletés dans l’urinoir, s’engouffrèrent dans ma gorge. J’avalai cette mixture en pleurant, me disant que plus bas, je ne pourrais jamais tomber.
Salim, continua ses vas et viens en moi, ce qui me procura un début de jouissance. La position, le sexe de Salim et l’avalement de l’urine, firent monter, en moi, un taux d’adrénaline, suffisant pour qu’une première jouissance se déclenche sans que je ne puisse la contrôlée.
L’urine s’arrêta en même temps de couler sur moi et je m’étranglai en avalant une grosse gorgée.
- Regard ça ! La salope ! Elle joui même dans ces conditions, s’écria Salim au bord de la jouissance lui-même car, à peine ces mots prononcés, il gicla dans mon vagin.
Les jets s’écrasèrent sur le fond de mon vagin et augmentèrent ma jouissance. Mon corps fut tellement secouer par Salim et moi-même que, je crus entendre l’urinoir se détacher du mur. Il n’en fut rien et lorsque, je repris mes esprits, je compris aussitôt, qu’un autre sexe était en moi, plus petit et plus nerveux dans ses coups de rein. Je supposai que, l’inconnu avait remplacé Salim, s’en que, je m’en aperçoive, pendant ma jouissance.
Le type me lima comme une vulgaire poupée gonflable, sans aucune caresse, sans aucune marque de partage. Il se vida d’ailleurs assez rapidement en moi.
- Waouh ! Elle est bonne cette salope. Complimenta l’inconnu.
- Si tu as des copains, n’hésite pas. Monsieur Jean est d’accord du moment qu’ils consomment, dans le bar.
- Ah ! Fit l’inconnu, elle remplace les cacahouètes qu’on donne avec la bière.
- C’est… C’est ça dit Salim, en rigolant, tu l’as trouvé, sacré Paul, va !
Ils sortirent tous les deux me laissant dans cette position. L’urine sembla diminuer lentement. Un frismister me parcouru entièrement, au moment, où sans doute, un courant d’air se fit.
Je ne restai pas longtemps seule attachée à mon urinoir, car des voix se firent entendre et se reprochèrent.
Quelques exclamations se firent entendre avant qu’un nouveau sexe s’introduisit en moi, mais pas pour longtemps car, après quelques allers et venues en moi, le sexe se retira de mon vagin pour se coller sur mon anus. Je me préparer à souffrir et je fermai les yeux.
C’est au moment où le sexe poussa sur ma rondelle anale, qu’un jet d’urine, frappa mon nez et ma bouche sur le côté. J’ouvris la bouche par reflexe et le jet frappa l’intérieur de ma joue, celle justement qui, était collée à la crépine de l’urinoir.
chrislebo

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#4,359
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La pénétration de mon anus, me fit ouvrir encore plus grand, la bouche pour, rechercher de l’air qui, je croyais, allait compenser cette pénétration. C’était, bien sur sans compter, l’urine qui s’engouffrait dans ma gorge et que je fus obligée d’avaler sous peine de noyade.
Cette fois, je sentis des mains me palper et me pincer les seins et les tétons. Une nouvelle jouissance montait, inexorablement, en moi. Le jet d’urine s’arrêta quelques secondes pour reprendre de plus belle. Je pouvais distinguée plusieurs voix différentes. Le sexe dans mon derrière accéléra mister mouvement puis, s’arrêta tout au fond de moi. Je pus alors, sentir les soubresauts du sexe en moi, lâchant ses jets de sperme.
Je n’arrêtais pas d’avaler de l’urine, pour éviter qu’elle n’atteigne l’entièreté de mon nez. Mon œil droit, baignait dans la pisse et je n’osais plus ouvrir les yeux de peur de recevoir de l’urine dessus.
Le changement de sexe, dans mon derrière, se fit sans mon avis et les coups de rein reprirent de plus bel. Ma pauvre tête, baignant à moitié dans la pisse et le dessus de mon crâne frappant, au rythme des coups de rein, la paroi verticale de l’urinoir, éclaboussant, par ce fait, mes cheveux, qui ne trempaient pas, dans l’urine.
Je ne peux dire combien de temps s’écoula entre Le moment où, je fus attachée, aux urinoirs et le moment où, Salim, me détacha. Je me rappelle seulement qu’entre, plus ou moins, quatre ou cinq clients, quelqu’un, m’essuyait l’entre-jambe puis, les pénétrations recommençaient.
Je tombai assise par terre, les chevilles toujours attachées aux autres tuyaux de vidange, des urinoirs de par et d’autre du mien. Mon derrière baignant dans une marre d’un liquide mélangé, de sperme, de crasse et d’autre matière que les nombreux clients, venu se vider en moi, avaient sous leur chaussures.
- Pas mal pour une première fois, me complimenta Salim et Monsieur Jean, venu assister à ma délivrance.
- Mais certains clients se mistert plaints de ton silence.
- Mais…
- Y a pas de « mais » tu devras, à l’avenir ne pas oublier de dire « merci » et de les excités plus que, par ta position. Par exemple en leur demandant de te remplir, de te bourrer le cul, enfin toutes ces phrases qu’Abou et Salim t’on apprises hier ! Continua Monsieur Jean.
- Tu crois qu’elle à méritée un café, dit Salim en riant.
- Bien sur ! Si,… elle le paye ! Fis Monsieur Jean
Je ne crois pas pouvoir avaler du liquide, après ce que je venais d’avaler comme urine. J’avais d’ailleurs mon ventre tellement gonflé que, je me croyais enceinte.
C’est à ce moment et sans que, je puisse me retenir, un jet d’urine fusa de ma vulve comme une fontaine.
- Mais qu’elle salope, s’écria Monsieur Jean, elle va tout me dégueulasser, avec sa pisse.
- Attend ! Patron, j’ai une idée dit Salim.
Il détacha les cordes de mes chevilles et avec une des cordes, me fit un collier, qu’il s’empressa de mettre autour du cou. Il relia les deux morceaux de corde et relia la partie libre au tuyau de vidange de l’urinoir centrale. (Mon urinoir)
- Voilà patron ! Comme cela elle pourra aller dans tous les coins du local et nettoyer vos toilettes.
- Salim ! Si je ne t’avais pas, je devrais te créer. Excellente idée. Va lui chercher le matos pour nettoyer.
Salim, sorti quelques seconde pour revenir avec un seau et une raclette.
- Pas besoin de torchon, Patron, sa robe fera office de loque.
- Tu as compris ! Traînée ! Je veux que ce local soi impeccable avant de te laisser partir.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Je venais de satisfaire, je ne sais combien de client à Monsieur Jean et pour me remercier, il m’obligeait à nettoyer ce local et avec ma robe en plus.
- Mais… Mais Monsieur Jean… S’il vous plait
- Quoi ! T’es pas contente de me faire plaisir ?
- C’est… Ce n’est pas ça. Mais… Mais… je suis….
- T’es quoi ? Fatiguée ? Une jeunette comme toi ?
- Ben… Ou…Oui… S’il vous plait… laissez-moi rentrer… Je … Je reviendrai demain si vous voulez…
- De toute façon tu reviens demain, donc tu nettoies, puis,… on verra !
- Je…
Une gifle fusa et je me tus. J’essayai de me relever mais, je glissai sur cette marre de liquide, sous moi. Après plusieurs essais sous les regards amusés de Salim et de Monsieur Jean, je me mis debout, les jambes tremblantes et je fus stupéfaite de la grosseur de mon ventre.
A peine debout que, j’urinai de plus belle, comme si, je n’avais plus urinée depuis des années. La pisse gicla avec violence sur le sol éclaboussant les chaussures de Monsieur Jean, qui fit un bon en arrière.
- La pute ! Elle pisse sur moi maintenant.
Salim, me prit par les cheveux, trempés d’urine et me força à m’agenouiller. Ma vessie continuait de se vider pendant ce temps. Il poussa ma tête, jusqu’aux chaussures de Monsieur Jean.
- Lèche te nettoie tes saloperie m’ordonna Salim.
Je fis ce qu’il m’ordonna tout en continuant d’uriner car, la position que j’avais, devait surement faire pousser, mes intestins, sur ma vessie.
Monsieur Jean, me laissa lécher ses chaussures sans les soulever du sol. Ce qui eu pour conséquence, que ma langue léchait, pour moitié, le côté de ses semelles et la partie du sol autour de ses chaussures.
- Dans le fond, elle pourrait tout lécher, le local entier dit soudainement Salim.
- Là, mon petit Salim t’exagère un peu. Laismisters-là déjà nettoyer avec sa robe et on verra pour plus tard.
- T’as bien compris, me demanda Salim.
- Heu… Ou… Oui, Monsieur Salim.
Monsieur Jean, sorti mister sexe de sa braguette et fis signe à Salim de sortir. Il se mit à se masturber dès que Salim sorti.
- Reste à genoux et ouvre bien ta bouche, petite traînée.
Je me rapprochai de Monsieur Jean pour, que ma bouche soi bien, en dessous de mister sexe. Il se masturba pendant de longues minutes et lorsqu’enfin, il joui, il abaissa mister sexe jusqu’à l’entrée de ma bouche et lâcha ses giclées dedans.
- N’avale pas… tout … de suite, dit-il entre deux spasmes.
Ce fus presque un plaisir pour moi d’avoir du sperme dans la bouche, au lieu de la pisse que, je reçu pendant toute la soirée.
Ma main droite descendit vers ma vulve pour me caresser, mais lorsque mes doigts touchèrent les petites lèvres un flot de sperme s’échappa et me trempa les doigts.
- Maintenant tu peux avaler, me dit Monsieur Jean.
- Mer… Merci… Mon… Merci, Monsieur Jean, fis-je, en déglutissant le sperme.
- C’est bien ! C’est bien ! Petite ! Aller maintenant au boulot et que tout soi bien propre pour demain.
Monsieur Jean sorti du local et ferma la porte. J’entendis parfaitement la clé tourner dans la serrure. J’étais primisternière de ce local et toujours à genoux je me mis à pleurer.
Les nerfs, me lâchais, très probablement. Je me couchai sur le carrelage froid et sale et je m’endormis secouer par des sanglots. Une douleur me réveilla et ma fesse gauche, me fit un mal de chien.
- On t’a dit de nettoyer et pas de dormir s’écria Abdou, qui venait de me donner un coup de pied au cul.
- Mais…
Abdou, était là, je ne l’avais pas vu ou entendu de la soirée et maintenant il était présent et me donnait des ordres. Je vis parfaitement une de ses mains caresser le devant de mister pantalon et une grosseur anormale commençait à se voir nettement.
Je me redressai péniblement et chercha ma robe et le seau. Toute tremblante de fatigue et de nervosité, je remplis le seau et trempai ma robe dedans. L’eau était froide et aucun détergent ne semblait existé, dans ce local.
Abdou, jeta un savon carré dans le seau ce qui m’éclaboussa. L’eau me paru glacée et je failli laisser tomber le seau.
Abdou, s’approcha de moi et me prenant par les cheveux trempée d’urine, m’obligea à me mettre à genoux. Je déposai le seau et mes mains se mirent à ouvrir sa braguette et sortir mister énorme engin. Sans qu’il ne me dise rien, je lui fis une fellation de première qualité et ce malgré la fatigue et le froid qui me faisait trembler. Je dois avouer que j’aimais sentir cet énorme sexe dans ma bouche et de recevoir les fabuleuses quantités de sperme d’Abdou.
Je le suçai un certain temps avant qu’il ne jouisse, enfin et me remplisse la gorge et l’estomac de mister sperme onctueux et abondant.
- Mer… Merci, Monsieur Abdou, de votre bon sperme, lui dis-je après avoir nettoyer consciencieusement mister sexe sur toute la longueur.
Il me repoussa comme un objet inutilisable et quitta le local sans un mot et en prenant soin de refermer derrière lui.
Je passai une grande partie de la nuit à frotter, gratter, sécher, les murs, les wc, les urinoirs et l’évier de ce local.
Je n’en croyais pas mes yeux lorsque je vis le résultat, car le local paraissait vraiment propre. Ma robe, par contre, était dans un état de vieux torchon usé. Je m’étais aussi nettoyée et j’avais encore uriné, plusieurs fois, pendant la nuit. Mon ventre plat, me redonnais espoir, de ne pas avoir de séquelles visibles, sur mon corps, par contre, mon cerveau était complètement « destroye » et celui-ci, n’allait probablement jamais récupérer, la petite fille, un peu maso et soumise que, j’étais, il n’y avait que quelques jours encore. J’étais devenue une salope entière et complètement soumise à toute permisterne me le demandant.
J’avais vraiment aimée d’être traitée ainsi et je pensais déjà, faire un résumé détaillé à Maîtresse Marie. J’étais certaine qu’elle serait fière de moi.
C’est vers huit du matin que, de petits coups de pieds, dans mon ventre, me réveillèrent.
- Aller debout petite pute, il est temps de rentrer chez toi, me dit Monsieur Jean
- Je… Ok !... Ok !... je me lève.
Je me mis debout fameusement courbaturée et grelottante de froid, J’avais dormi nue rouler en boule dans un coin du local. Monsieur Jean, me tendait ma petite robe, crasseuse et abimée par le nettoyage du local.
- Tiens ! fit-il, je crois que c’est à toi. Tâche de venir proprement ce soir et pas avec des frusques qui pue les chiottes
- Mais… Mais, je ne vais pas sortir comme ça…osais-je dire
- C’est ta robe ou pas ?
- Oui… Mais…
- Met, tes vêtements et tire-toi vite, avant que je ne change d’avis et te foute dehors, à poil !
- Heu… Bi…Bien monsieur Jean
Je passai ma robe, en tout cas ce qu’il en restait, sale et déchirée par endroit. Je devais ressembler à Cosette dans les « Misérables ». Je sorti par la porte privée et filai droit chez moi, en priant de ne rencontrer permisterne que, je connaissais.
Cette fois, la chance fut avec moi car, le court trajet jusqu'à mon appartement et le hall de l’immeuble ne me fit rencontrer, aucune permisterne de connaissance. Je tremblai de joie et de fatigue en mettant la clé dans la serrure.
Retrouver enfin mon chez moi, me doucher, me laver et enfin dormir dans un vrai lit. Je ne pensais qu’à cela en pénétrant mon appartement.
Ma joie fut de courte durée, la première vision que j’eus, en pénétrant mon salon, c’est de voir Salim, allongé et ronflant sur mon divan. Il était simplement vêtu d’un caleçon et sa main tenait mister sexe à moitié sorti. La deuxième vision que j’eus, c’est de voir le désordre et les déchets, bouteilles, emballages qui traînaient partout.
- Ah enfin ! T’es là dit Abdou en sortant de la cuisine, un sandwich à la main.
Il était aussi en slip et on pouvait nettement voir la forme de mister sexe, malgré qu’il fût au repos.
- Mais… Mais qu’es ce… Mais qu’es-ce que vous faites ici demandais-je.
- Comment ça ! T’es pas au courant ?
- No… Non…
- Ben Salim et moi on s’installe chez toi, enfin… je veux dire chez nous et on est content que tu sois là pour tout nettoyer.
- Mais….
- Putain ! T’as pas l’air au courant il me semble !
- Mais… Mais non… Je ne … je ne comprends pas.
- C’est très simple, petite pute, Ici c’est chez nous et on est là pour te maintenir en forme pour Monsieur Jean. Il nous a demandé de s’occuper de toi pour, te transformer en une bonne et obéissante petite pute.
Je m’écroulai assise, complètement abasourdie et me rendant compte que, ma vie, avait vraiment fait un bond dans un univers de soumission totale. Je savais déjà que j’obéirais à toutes leurs exigences.
- Dès que tu auras tout remis en ordre, tu pourras t’apprêtée car, on va faire un tour du côté de la cité. On a deux trois amis qui, aimeraient faire ta connaissance, surtout, depuis qu’on leur a dit, de quoi tu es capable.
- Bi… Bien, Monsieur Abdou. Dis-je en me relevant.
- Fait pas trop de bruit, car Salim dors. Il est fatigué à cause de toi.
- Com… Comment ça ?
- Il est resté éveiller cette nuit pour te surveiller, pendant que, tu nettoyais les toilettes de Monsieur Jean.
- …
- Bon ça suffit ! Au boulot, petite pute, mais vient d’abord me vider les bourses, elles mistert un peu lourde à porter. Fit-il en rigolant et mordant à pleine dent dans mister sandwich.
Abdou, abaissa mister slip et mister sexe commençait à grossir. Je m’approchai et m’agenouillai devant lui. Je pris mister sexe en main pour le masturber.
- Chans les mains ! Uni…chement avec t…cha bouche ! fit-il en mâchant mister sandwich.
Je mis mes mains sur la tête, ouvrit la bouche et pris le sexe d’Abdou dans celle-ci. Dès qu’Abdou eu joui de longues et abondantes giclées, il se retira de ma bouche et m’ordonna de faire le nettoyage de SA piaule.
J’étais encore souillée de ma nuit et la bouche au goût de sperme d’Abdou, que je commençai à faire un nettoyage de l’appartement.
Bien entendu, Salim se réveilla et me sodomisa pendant que, je nettoyais le tapis. Je demandai aussi à Abdou si je pouvais écrire un mail à Maîtresse Marie car, elle m’avait donné un ordre que je ne pouvais satisfaire. Lorsque Abdou eu connaissance de l’ordre et se marra de plus belle et me dit :
- Ben, je crois petite pute que ta journée va être très, très longue.
- Ouais ! Fit Salim, après la cité, on ira te chercher un bon grand chantier pour que tu puisses t’amuser un peu.
vanbruje

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Quatre histoires... trois courtes et une longue...dont deux déjà publiées... Merci et bonne continuation.
chrislebo

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#4,361
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Chantage entre élèves....



Cela faisait un moment que j’observais discrètement la belle J. Durant les cours je m’arrangeais pour trouver une place d’où je pouvais à loisir admirer le doux visage et les courbes agréables de ma camarade, une brune aux cheveux bouclés et bruns.
Parfois, par chance, j’avais l’occasion un court instant d’apercevoir la naissance de sa douce et généreuse poitrine.
Un jour, j’étais à la bibliothèque en train de chercher des informations dans un livre quand je surpris une conversation entre J. et une de ses amies également dans notre classe. Une de nos professeurs avait envoyée J. cherché dans mister bureau des polycopiés, qu’elle avait oubliés. Mais en les prenant elle était tombée sur le sujet de la prochaine interrogation, qu’elle c’était empressée de photocopier, afin de pouvoir tricher.
« Nous aurons les meilleures notes de la classe sans se fatiguer, avoue que c’est un coup de maitre » dit J. a mister amie, en lui racontant comment elle avais trouvée le sujet de l’interro, sans se rendre compte que j’étais tout prêt, en train d’écouter, et de tout enregistrer avec mon téléphone portable. Un peu plus tard, mister amie est partie, la laissant seule dans la bibliothèque quasiment
déserte. J. se leva pour aller prendre un livre dans un rayon plutôt isolé, situé dans un angle de la pièce. Je la suivis donc, puis dit calmement :
- Alors comme ça on tente de tricher ? Je sais ce que tu as volé à la prof
- De quoi tu parles ? répondit-elle alors, l’air innocente en se tournant vers moi, en faisant mine de ne pas comprendre.
Je sorti alors mon téléphone, pour lui repasser la scène ou elle racontait a mister amie mister vol, avec un léger sourire. « Tu sais que je pourrais te dénoncer pour ça, et tu aurais de gros ennuis. ». Elle tenta de prendre le téléphone portable de mes mains, sans succès. Alors je la plaquai contre le rayon, une main se posant sur ses douces formes par-dessus le débardeur, les caressant.
- Il va falloir que tu sois très gentille avec moi pour que j’efface cette vidéo et que j’oublie tout cela
- Qu’est ce que tu veux de moi ? répondit t’elle alors, retirant ma main de sa poitrine.
Je souris, lui appuyant sur les épaules, pour la mettre à genoux. Etonnement soumise, elle s’exécuta sans broncher. Apres un regard autour de moi pour vérifier que permisterne ne nous voyais, je défis alors le bouton de mon jean pour sortir mon sexe tendu devant ses lèvres après avoir mis un préservatif. Sans même que je lui demande, elle se mit à me masturber et a me sucer goulument, en me fixant d’un air provocateur, coquine. Je dus me mordre les lèvres pour me retenir de gémir, ce qui risquerait d’attirer l’attention. Lui caressant le visage, et le tenant par sa chevelure, je menais le rythme à ma guise, puis retirant la capote je
me déversais finalement en maitre dans sa bouche et sur mister visage, la forçant à avaler ma semence. Elle se redressa ensuite, s’essuyant avec un mouchoir, alors que je lui chuchotais en la tenant doucement par la hanche :
- Ce n’est qu’un début. Jusqu'à ce que je le décide, tu es mienne, compris ? tu vas commencer par retirer tes sous -vêtements.
Dis-je d’un ton autoritaire.
Surprise par ce ton, elle s’exécuta en rougissant, retirant mister soutien-gorge sous le débardeur, me le tendant ensuite. Je le mis dans une de mes poches, glissant ensuite mes mains sous le débardeur, pour caresser et jouer avec ses seins, les pétrissant.
Elle gémit très légèrement, appréciant cette caresse, puis je murmurais :
- La culotte aussi. Je veux disposer de toi comme je veux, et où je veux.
Elle fit non de la tête, mais finalement s’exécuta quand mes mains virent titiller ses deux jeunes tétons, et qu’elle laissa échapper un léger gémissement étouffé. Ses mains glissèrent sous la jupe, et elle retira rapidement sa culotte, me la passant. Je pus alors glisser une main sur mister intimité offerte. Elle était trempée ! Elle tressaillit, ouvrant les cuisses, s’offrant à mes caresses, cambrée en avant. Je pus alors à loisir jouer aves mister petit bouton de plaisir et le stimuler, la masturbant. Elle se blottie alors contre moi, venant étouffer ses gémissements contre mes lèvres, se frottant a moi, le débardeur relevé laissant voir ses tétons pointés et ses
seins nus et offert se balançant . N’en pouvant plus, je pris dans mon portefeuille un préservatif, le mettant sur mon sexe tendu.
- Non attends…je ne l’est jamais fait ! Je ne veux pas...pas encore. Mais par contre, je veux bien que tu me prennes par derrière
!
Elle me tourna donc le dos, en se mettant à 4 pattes en me présentant ses fesses. Sans attendre, je la pris donc, avec un gémissement retenu, mes bourses se retrouvant contre ses fesses, mes mains prenant ses seins, les pressant. Puis je commençais un va et vient rapide, venant l’embrasser pour retenir les gémissements, en pressant fort ses seins. Réceptive, elle bougeait le bassin en accompagnant les mouvements de va et vient rapide en gémissant fort contre mes lèvres, apparemment habituée à être possédée de la sorte. Je finis par sortir le préservatif pour jouir sur ses fesses, avec un soupir d’aise. Rapidement,
je me rhabillais et partais, la laissant à moitié nue, à 4 pattes dans un rayon de bibliothèque, les fesses couvertes de sperme et essoufflée.
- On continuera de jouer ensemble, je m’amuse beaucoup avec toi. Rappelle toi, pas de sous- vêtements a partir de demain
chrislebo

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#4,362
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mise a poil par l'amant de ma femme



Cette histoire s’est passée l’été dernier , il faisait chaud et ma femme Patricia décide d’acheter une piscine autoportée, une fois gonflée et remplie nous décidâmes de nous donner aux joies de la baignade, quand dans ’l’après- midi arrivait James , un solide gaillard qui venait souvent a la maimister. Je savais qui’il lorgnait sur Patricia, mais cela m’amusait.
Nous voilà tous les trois dans la piscine , Patricia vétue uniquement de mister petit bas , moi en petit slip et James lui se mit a poil, découvrant un sexe énorme que Patricia dévorait des yeux. James me dit « alors , et toi alors tu gardes ton slip ? » « Oui laissez moi sil vous plait , je veux sortir ! »
Non content de cette réponse , James et Patricia se ruèrent sur moi et entreprirent de me mettre tout nu, ma petite bite à l’air provoqua un fou rire chez James.
« Et bien Patricia c’est avec ça qu’il t’amuse ta lope ? » je m’enfuyais en courant mort de honte sous les rires de Patricia et James.

Quelques instants plus tard , ils me rejoignirent dans le salon, le regard de Patricia était sévère , elle me dit « bon petite lope il va falloir te faire à l’idée que James est mon amant , et que si tu ne veux pas que je parte il faut que tu sois un bon petit cocu obéissant ! » Je n’en croyais pas mes oreilles , pendant ce temps la James me toisait de ces 1m90 en souriant . « mais Patricia ? » bredouillai-je . « tu te tais et tu regardes ce que c’est qu’une vraie bite ! Ou bien préfère tu que je divulgue à tout le monde les photos de toi en petite pute quand je t’enculais ? » « non je t’en prie Patou je ferai tout ce que tu voudra mais ne montre pas ces photos je t’en supplie !» implorais je.

« met toi a genoux et regarde cocu , je suis sur que tu va aimer !» ils s’s’asseyerent sur le canapé et Patou descendit le short de James et pris mister énorme engin dans sa main en le branlant , elle rajouta « regarde ce qu’est une bite petite lope , c’est pas ton vermicelle ça ? Non ? » Je baissai la tête en rougissant « répond à ta maîtresse petite tapette» poursuivi James « oui Maîtresse j’ai une toute petite bite devant celle votre amant » « Ton Maître devrait tu dire salope « poursuivit Patou.
Elle suçait divinement quand James me dit « un cocu doit être a poil et a genoux ! Fais voir ton vermicelle qu’on se marre ! » J e m’exécutai , la bite de mon Maître devenait énorme , il prit ensuite Patou en levrette en la traitant de salope , elle jouissait comme une folle.

Je me mis à tripoter ma nouille quand Patricia me dit « Allez cocu, va te mettre en tenue de salope , James à l’intention de t’essayer ! » « Mais Maîtresse non ! Pas ça ! » dis-je en tremblant . James se leva me prit par les cheveux pour me relever , mister regard était sans appel « t’as pigé salope de pédé ? Exécution ! » Je partis me changer sans rien dire .

Je redescendis vétue de ma mini jupe ras des fesses noirs , bas résille noirs , un chemisier blanc , mes talons hauts , et une perruque au carré brune. Lorsqu’ils m’aperçurent James et Patou étaient aux anges « Mais c’est que c’est une vraie petite pute cette chienne Patou « dit James .

« tu va commencer à lui faire une bonne pipe » ordonna Patou. Je me mis à genoux devant mister sexe et le pris dans ma bouche , malgré ma honte j’adorais ça , il ne fallut pas longtemps pour qu’il se mette à bander comme un taureau. « c’est bien ma salope , tu suce comme une lope , met toi debout maintenant et tourne toi » Je fis ce qu’il me dit il passa derrière moi et passa ses mains sous ma mini en tripotant mon petit bout « tu aime ça petite salope de te faire branloter ta nouille petit cocu ? » « oh oui Maître n’
N’arrêtez pas s’il vous plait c’est si bon ! » Je me sentais humilié devant ma femme et mister amant , mais c’était si bon !

Ensuite il me mit à 4 pattes et ’m’encula sans ménagement , m’arrachant des cris , Patricia vint a coté de nous et m’ordonna « dis que tu es un cocu soumi à petite bite à notre service , que tu restera notre chienne à tout faire , et que tu devra tout accepter ! Allez répète salope ! » Je répétai plusieurs fois sous les coups de bite de James . Je dus me mettre a genoux pour lui dire « merci Maître de m’avoir baisé avec votre grosse bite , ma femme est à vous car je n’ai qu’une petite nouille , je suis à vous ! »

A ces mots il gicla dans ma bouche pendant que Patou me branlai ma petite queue pour me finir sur mes bas ! Depuis ce jour la je suis leur chose .
chrislebo

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#4,363
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lope soumise



Un an environ après ma séparation avec Patricia une très belle femme de 36ans qui m’a quitté en me disant simplement ’’ Que veut tu que je fasse avec ta petite bite de lope , moi il me faut des males des vrais !’’ J’étais anéanti , mais elle avait raimister en plus de mes tendances homo , j’avais une nouille ridicule entre les cuisses.
Un soir que j’avais le bourdon je décidai d’appeler Sophie, une belle grande blonde aux formes généreuses assez autoritaire qui m’avait toujours attiré pendant ma jeunesse, et je savais qu’elle venait de divorcer .Elle accepta avec joie mon invitation à diner , ce soir la elle apparu avec une jupe droite au dessus du genoux un très joli haut et des bottines sur ses bas noirs sublimes, cela la rendait très dominatrice.
Après un repas bien arrosé , je l’invitais sur le canapé pour écouter de la musique et là je me mis a la caresser , je savais que Sophie avait un tempérament de feu !’’ Ouiiiii vas y , branle moi , bouffe moi la chatte mon salaud ! ‘’
Je m’exécutai avec fougue quand elle entrepris de vouloir baisser mon pantalon , la le rouge me monta aux joues .
‘’ C’est quoi ce petit bout de bite minable ! Tu m’a fait reluire pour ça ??’’ ‘’je comprend pourquoi Patricia est partie pauvre impuissant , que veux tu faire avec ton zizi de lope ?’’ dit t’elle en riant aux éclats.
Et moi de répondre’’pardon Sophie , mais j’avais tellement envie de te toucher les seins et les fesses que jj’admire depuis longtemps, si tu veux je ferai tout ce que tu voudra , mais n’en parle à permisterne s’il te plait’’
Elle me sourit en me disant que c’était pas grave en me caressant mes petites couilles ‘’ tu veux jouer c’est ça ?’’ ‘’ oui ‘’ repondis je en baissant les yeux.
‘’ met toi a poil et vite cocu !et désormais tu m’appelle Maîtresse ! ‘’ je m’exécutai et du me mettre à genoux devant elle , afin de lui lécher la chatte, jusqu’à ce qu’elle gémisse de plaisir.
‘’ Je sens que l’on va bien s’amuser petite lope, et dire qu’autrefois tu jouais les machos !’’ J’avais honte mais continuais à lui brouter la chatte consciencieusement.
Elle me fit mettre à plat ventre sur ses genoux en me pelotant les fesses et en les claquant, de l’autre main elle prit ma petite nouille et la tripota avec deux doigts en me disant ‘’ Si on m’avais dit ça il y a quelques jours ‘’ elle avait l’air d’y prendre du plaisir ( et moi aussi).
Elle décida de rester pour la nuit , et me fit avouer mes penchants homo soumi, je du lui faire voir mes sites sur le net et mes photos en trav. Elle était écroulé de rire et me demanda ‘’ t’as vraiment une tenue comme ça salope ?’’ ‘’ oui Maitresse’’ répondis je honteux.
Elle se leva et me toisa de ses yeux fonçés ‘’ Demain après midi , je te veux dans cette tenue , ta mini jupe ras des fesses , bas résille noirs, tes escarpins de salope , ta perruque brune et surtout CUL NU ! Comme une chienne ! ‘’
Le lendemain j’étais en tenue lorsque j’entendis la voiture de ma Maitresse arrivé, je me tenais le dos tourné lorsqu’elle est entrée .
‘’ Bien ma salope ! Mais c’est que ça te va bien en plus ! , tu trouve pas Yanis ?’’ à cet instant mon cœur battait à tout rompre , elle n’était pas seul ! Et en me retournant j’j’apercu Yanis que je connaissais bien c’était l’amant de ma femme ,la honte était à mister maximum.
Toute la soirée j’ai du les servir , pendait qu’il baisait Sophie me fit remarquer ’’ Regarde petite bite ce que c’est qu’une vraie queue’’ en brandissant le chibre de Yanis !
Elle prit ma nouille sous ma mini jupe en me demandant de me trousser et compara , les rires allaient bon train. Sophie d’un air vicieux me dit ‘’ Allez salope viens sucer la bite de celui qui baise ta femme , c’est tout ce qu’une fiotte comme toi peux prétendre ‘’ A genoux , jupe troussée , je me mis à pomper cette grosse bite de male avec gourmandise , en pensant que je suis en train de sucer celui qui m’a piqué ma femme , mais comment se faisait t’il qu’elle n’était pas là ?
La réponse ne se fit pas attendre un coup de misternette retentit , je voulu me lever mais Sophie m’m’erre brusquement ‘’ Continue petite bite , je vais ouvrir’’ ce qu’elle fit , et là je reconnus aussitôt la voix à l’entrée c’était Patricia ! Les filles se mistert mis à rire en me voyant sucer l’amant de ma femme ‘’ Tu es vraiment une lope petite bite ! J’étais sur que tu aimais sucer des bites comme une salope , mais de la à t’habiller en pute ! ‘’
‘’Vas y mon chéri encule là cette chienne qu’on rigole avec Sophie ‘’ continua t’elle.
Je fus mis à plat ventre sur la table et Yanis forca ma chatte de salope en me claquant les fesses , pendant ce temps la Sophie s’asseya sur la table pour que je lui leche mister minou trempé, et Patricia se pencha prit ma petite bite entre deux doigts et la branla en riant ‘’ Alors petit pédé , c’est bon d’avoir une grosse bite de vrai mec dans le cul ? Hein ? Allez fais cracher ta nouille ridicule lopette ‘’
chrislebo

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#4,364
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La prof du lycée



Laura était professeur d’histoire géographie dans un lycée d’une banlieue d’un quartier dit «difficile». Elle avait 28 ans, brune aux yeux bleus, cheveux longs, assez grande, et svelte, une assez belle femme, ce qui lui avait valu des débuts difficiles dans l’enseignement, mais elle avait réussi rapidement à faire valoir mister autorité sur ces élèves. Ni trop gentille, ni trop méchante, elle avait trouvé le juste milieu, pour se faire respecter.
Elle possédait un certain charisme qui lui permettait de faire ses cours, et d’intéresser la plupart de ses élèves quand elle racontait certains périodes de l’histoire, elle savait capter leur attention, et cela se ressentait dans leurs résultats.
Malgré tout, il y avait toujours des récalcitrants, qui ne voulaient faire aucun effort, et n’en feraient jamais quoi qu’il arrive. Elle s’était habituée à cette idée, et se concentrait dorénavant sur ceux qui en valaient la peine. Une de ces classes était particulièrement difficile, du fait d’un élève surtout. Il s’appelait David, c’était le « chef » d’une poignée de jeunes, et il pouvait leur faire faire ce qu’il voulait. Il détenait une certaine aura auprès d’eux, et surtout des filles. Il en avait toujours 2 ou 3 qui le collait, et jamais les mêmes. « Pauvres filles !!» se disait Laura en elle-même. Elles étaient si naïves, toujours habillées de manières provocantes, avec des décolletés, et des minijupes, et un maquillage exagéré. « Que pouvaient-elles espérer de ce garçon ?? » pensait-elle.
Au cours de l’année scolaire, une nouvelle élève arriva dans la classe, elle s’appelait Sophie. Une petite brune assez jolie, bien élevée, et très brillante. Dés le premier jour, Laura remarqua rapidement le regard de David posé sur Sophie. Elle était à peine arrivée qu’il la convoitait déjà.
Plusieurs semaines passèrent et un jour qu’elle cherchait des manuels à l’intercours dans la petite salle conjointe à la salle de classe, elle entendit des voix dans la salle de classe. Elle jeta un coup d’œil dans l’entrebâillement et aperçut David et Sophie.
« Bon voilà je suis là, qu’est ce que tu veux David dit Sophie d’un ton assez énervé.
« J’ai envie de sortir avec toi ma belle…
« Arrêtes ça !! Je t’ai déjà dis que j’étais pas intéressée !!
« Attends de voir ce que j’ai à t’offrir avant …
Laura ne quittait pas la scène des yeux, et vit le petit sourire en coin de David.
« Je ne veux rien de toi !! Rétorqua Sophie. Je m’en vais d’ailleurs
Elle eut à peine le temps de se diriger vers la porte que David la retint par le bras violemment, l’entraînant près de lui.
« Arrêtes ! Tu me fais mal cria Sophie
« Regardes ça d’abord lui dit-il en souriant tandis qu’il déboutonnait mister pantalon, et que mister sexe jaillissait. Sophie en fut bouche bée, ainsi que Laura. Le sexe de ce garçon était vraiment énorme, plus de 25 cm au moins.
« Alors dit-il qu’en penses tu ma belle ?
Mais Sophie ne disait rien, elle fixait toujours le sexe imposant de David.
Il en profita alors pour se rapprocher d’elle, et prit sa main pour la poser sur sa queue. Sophie se laissa faire toujours tétanisée. Machinalement, elle se mit à faire des mouvements de haut en bas le long de sa tige.
« Oui, je savais que tu aimerais ça, vous êtes toutes les mêmes.
Il souriait, heureux de sa victoire. Laura n’osait pas bouger dans la pièce à coté, elle aurait pu, elle aurait du intervenir mais quelque chose l’en empêchait.
David posa les deux mains sur les épaules de Sophie, et la fit mettre à genoux, tandis que le branlant toujours, elle faisait non de la tête. Lorsque sa bouche arrive à hauteur de la queue, elle voulut dire non mais David profita qu’elle ouvrit la bouche pour lui enfourner. Elle essaya de se dégager mais David lui maintenait bien la tête. Il commença alors aller et venir dans sa bouche.
« Ouais, ta bouche est délicieuse comme je l’imaginais, tu vas aimer ma petite Sophie…. Oh mais tu aimes déjà ça je vois ricanait-il alors que Sophie faisait maintenant d’elle même une fellation à David. Elle essayait d’engloutir toute sa queue, mais elle était trop grosse, alors elle le branlait en même temps. Elle l’astiquait de plus en plus vite, passant sa langue sur le gland.
« Ouiii vas-y, fais moi jouir, on a plus beaucoup de temps. Une fois que t’as goûté mon sperme, tu verras, tu ne pourras plus t’en passer, tu seras toute à moi…
Sophie accéléra ses caresses buccales, et David lui maintint la tête tandis qu’il déversait dans sa bouche sa semence. Il retira sa queue, lui tint la bouche fermée, l’obligeant à avaler ce qu’elle finit par faire.
« Voilà Sophie, tu vois, c’était très agréable de me sucer, et tu verras ce n’est que le début. Je vais faire de toi ma tite chienne, comme les autres.
Sophie restait toujours à genoux devant lui se léchant les lèvres, et finit par nettoyer d’elle même la queue de David, qui se délectait de la voir faire. Puis il regarda sa montre.
« Bon faut y aller, la cloche va misterner. On continuera chez moi après les cours ce qu’on vient de commencer.
Il la releva, lui roula une pelle, et la prit par la taille en sortant de la salle. Au dehors, elle entendit ces potes le félicitait de le voir sortir ainsi avec Sophie.
Laura, magictisée par ce qui s’était passé, n’avais toujours pas bougée. Ce ne fut que quand la cloche retentit qu’elle se réveilla, et se dépêcha de finir de préparer ses affaires pour le cours suivant. Mais ces images allaient la hanter tout le reste de la journée, et bien plus…
vanbruje

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#4,365
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Bien merci pour ces six histoires... non encore publiées... Bonne continuation.
chrislebo

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#4,366
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merci de le signaler!!!!
chrislebo

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#4,367
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Diane était dans tous ces états d’une main elle s’occupait de mister clito et de l’autre elle se rentrait un puis 2 puis 4 doigts dans la chatte, tandis que Chris s’affairait toujours sur ses seins.
-STOP cria t’il soudain, maintenant tu te retournes, tête dans le matelas et cul bien en l’air. Ce qu’elle fit sans discuter.
-Voilà montre nous ton beau derrière, je vais te glisser un doigt dans le cul, ça t’excites ?
-J’ai rien entendu !
-ohhouii..mmmm eexciite ,marmona Diane.
-dernière fois que je te le dis, plus distinctement et dis moi ce qui t’excites !
-Fourre moi ton doigt dans le cul.
-Ca y est, tu commences à comprendre.
-Ca y est, tu es assez ouverte, je vais pouvoir remplacer mon doigt par quelque chose de bien plus intéressant.
De là, il baissa mister pantalon et mister caleçon, sortit mister énorme engin avec lequel il caressa les orifices de Diane qui ne pouvait s’empêcher de pousser des petits cris de jouissance.
-mets la moi, vite, mets la moi !!
-Tu vois, tu apprends vite, mais c’est dans le cul que tu vas l’avoir.
-Non pas là ça fait trop mal !!
Il présenta mister sexe sur sa petite rondelle et il commença à rentrer, d’abord le gland puis petit à petit le reste a suivi accompagné d’un long gémissement de Diane.
-Tu vois Marc rien de tel qu’une bonne sodomie pour soumettre une femme je peux te dire qu’à partir de maintenant elle obéira à tout mes désirs qui mistert aussi les siens d’ailleurs rien que pour sentir une nouvelle fois ma bite entre ces fesses.
-N’est ce pas Diane que de sentir mes couilles taper ta chatte et de me sentir en toi, te font jouir ?
-ooohh ! Oui, continu plus fort.
Et dans un dernier Han ! De bûcheron il jouit dans le derrière de Diane.
Il finit de se mettre entièrement nu, me dit qu’il va rester dormir ici cette nuit et que je peux donc aller dormir dans le canapé. Pendant la nuit j’entendis Diane jouir comme jamais et une autre fois sur le matin, alors que moi déjà debout je préparais le petit déjeuné.Il vint s’asseoir à table mis une culotte de Diane dans mon bol et me dit avec un rictus victorieux :
-Pas de culotte la nuit et elle t’appartient, en l’occurrence, c’est moi qui suis en possession de la culotte donc elle m’appartient…
Le samedi suivant une grosse berline s’arrêta devant chez nous, je reconnus immédiatement la voiture de Chris .Une portière claqua puis une deuxième il n’était donc pas seul. Je retournais à la fenêtre pour apercevoir Denis .Aussitôt sa présence me rassura s’il était là ce ne pouvait être qu’une visite de courtoisie. Diane alla donc leur ouvrir, brève salutations et nous expliquent qu’ils mistert en promenade et qu’un rafraîchissement leur ferait du bien. On s’installe donc autour de la table, je ramène 4 bières et demande si quelqu’un souhaite un verre, Chris me répond que l’on va trinquer à la façon d’une tribu d’Afrique ou quelque chose comme ça c'est-à-dire avec de la cyprine.
-De la cyprine !! S’exclama Diane.
-Oui, il faut juste en mettre un peu autour du goulot répondit Chris.
A ce moment là je compris que ce n’était certainement pas la soif qui les avaient fait s’arrêter chez nous et que Denis n’était pas le sauveur que j’imaginais.
-Allez Diane c’est pour le symbole de notre amitié, ça n’est pas la mort non plus.
-Non, je refuse gardez vos débilités pour vous.
-Ne sois pas inquiète pour Denis dit il, il a vu la vidéo …
-Et j’ai vraiment apprécié ta prestation Diane, tu es en train de comprendre ce que prendre du plaisir veut dire…
Chris fit signe à Diane de se lever, lui pris la main et l’attira vers lui. Elle n’osait pas nous regarder. Il défit le bouton du pantalon de Diane, descendit la fermeture éclair et lui fit glisser délicatement sur les chevilles en prenant tout mister temps. Il lui dégagea un pied, puis l’autre. Nous étions tout les 3 assis, le regard posé sur Diane, attendant avec impatience la suite des évènements. Denis regarda Diane dans les yeux en lui demandant ce qu’elle attendait pour enlever sa culotte. Elle baissa les yeux, respira un grand coup et finit par s’exécuter. Pour l’encourager Chris lui fit des compliments tout en la faisant tourner sur elle-même pour que nous puissions l’admirer sous toutes les coutures.
Nous allons pouvoir commencer la cérémonie annonça solennellement Denis. Alors Chris pris une des bouteilles, demanda à Diane d’écarter les cuisses suffisamment pour qu’il puisse y passer le goulot. Il commença à frotter la canette contre la fente brune de Diane qui fut surprise par la fraîcheur du verre. Avec la seconde, il insista un peu plus longtemps sur le clitoris, on vit sur le visage de Diane que la sensation de froid avait été dépassée par un sentiment plus fort. Il insista 5 minutes, puis pris une nouvelle bouteille qu’il représenta sur les lèvres humides et gonflées, et là qu’elle ne fut pas ma surprise de voir qu’il n’avait même plus besoin de bouger sa main car c’est Diane qui par des mouvements de bassin déposait sa cyprine sur le verre.
-Chassez le naturel, il revient au galop dit Denis.
Là il ne marqua pas de temps de pause et enchaîna avec la quatrième qu’il présenta directement à l’entrée de mister vagin , Diane passa mister bras autour des épaules de Chris pour se tenir et plia les genoux pour laisser le goulot s’enfoncer en elle. Chris me demanda de tenir la bouteille, le temps qu’ils se déshabillent. Une fois qu’ils furent nus ils se rapprochèrent de Diane. Denis prit une bouteille sur la table qu’il porta à la bouche de Diane en lui demandant de fermer les yeux et d’imaginer un sexe, elle se mit donc à sucer cette bouteille pendant que Chris commençait à fouiller entre ces fesses avec sa langue.
-Bon pasmisters aux choses sérieuses dit Denis en finissant de déshabiller Diane. Tu peux venir nous regarder si tu veux ajouta t’il alors qu’ils prenaient tout les 3 le chemin de notre chambre. Je les laissais partir hésitant, je finis par les suivre et regarder par l’ouverture de la porte. Chris c’était allongé sur le lit, chevauché par Diane alors que Denis se branlait d’une main et avec deux doigts de l’autre s’affairait entre les fesses de Diane.
-On va t’emmener au 7 ciel ma belle dit Denis, vas y Chris écartes lui le cul que je puisse m’y glisser. Il présenta mister gland sur l’anus qui ne tarda pas disparaître, le reste ne tarda pas à être engloutit également. Chris et Denis se lancèrent dans un lent mouvement de va et vient, je regardais ces deux sexes entrer et sortir de Diane de plus en plus rapidement, pour finir par un cris de jouissance simultané des 3 acteurs. Chris et Denis se rhabillèrent et avant de partir me dirent qu’ils seraient obligé de revenir tant que je ne prendrais pas soin de Diane, je pus leur dire que j’avais bien retenu la leçon…
chrislebo

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#4,368
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-Tu as une belle paire de seins, on va s’en occuper un peu, allonges toi sur le dos pour que Jack puisse frotter sa bite entre pendant que tu serreras tes seins contre.
- Vas-y Jack branle toi sur elle.
Après de nombreux va et vient, il se releva légèrement prit mister sexe dans une main, le dirigea sur visage de Diane qui ne tarda pas à être maculé du sperme de Jack qui en plus en profitait pour frotter mister gland sur ces lèvres.
-Et maintenant Marc est ce que tu penses qu’une sodomie fait jouir une femme ?
Avec tout ce que j’avais vu, je répondis oui sans hésiter
-Evidemment si ça fait jouir une femme ça ne laisse pas un homme indifférent, puisque de ce côté là nous sommes fait pareil, n’est ce pas rétorqua Anne. Pour tu puisses te faire un véritable avis sur la question, je vais te mettre mon doigt dans le cul, et ne me baratine pas sur le fait que tu ne sois pas PD, il faut sortir des clichés «pour une femme c’est excitant mais rabaissant pour homme ». A poil et tu verras dans trente secondes c’est toi qui me demandera de te le mettre.
-Regarde moi ça mon cochon tu bandes déjà.
De la elle me prit les couilles dans une main et exerça une pression de plus en plus forte.
-Tu n’as qu’une phrase à dire et j’arrête
-aille aille ! Oui vas y dans le cul. La douleur était devenue insoutenable.
-Allez à quatre pattes petite lopette et détends-toi si tu ne veux pas souffrir.
Elle me claqua une fesse un grand coup puis glissa mister doigt dans mon anus, qu’elle ne tarda pas à remplacer par un gode. Elle se plaça derrière moi, me donna de grand coup rein comme si elle me baisait. A chaque coup elle tapait un peu le gode, qui bougeait en moi et au bout de 30 secondes je ne pu m’empêcher de laisser échapper des petits cris, je prenais du plaisir.
-C’est moi décide quand tu jouis, alors retiens toi. Allé viens on va se rapprocher de ta femme, ça va être mister tour de se prendre des trucs dans le cul. En position vous deux cria t’elle, comme nous tout de suite mais c’est Diane qui ce met devant.
Anne avait prit mon sexe dans sa main et le branlait doucement.
-Tu veux jouir hein ? Tu voudrais que je te soulage, je vais le faire, mais avant je voudrais que tu demandes à Jack d’enculer ta femme et s’il t’autorise à lui caresser les boules pendant qu’il le fait ma petite lopette.
J’avais trop envie de jouir, je m’abaissais une nouvelle fois.
-S’il te plait Jack sodomise Diane et surtout laisse moi te caresser les couilles, m’entendis je dire.
- Ne t’inquiète pas c’est comme le doigt dans le cul, pour vous deux femmes qui se caressent ça vous excitent et bien voilà nous deux hommes ça nous excitent aussi rajouta Anne.
Il ne se fit pas prier, il enfila sa bite dans la petite rosette de Diane et me pris la main qu’il mit sur ses boules.
-Vas y, soupèses elles mistert pleines, prêtent à se vider dans ta femme.
Anne reprit mon sexe, et en jouant un peu avec le gode qui était toujours dans mon derrière me fit jouir comme jamais je n’avais jouis. Jack et Diane ne tardèrent pas à m’imiter.
-Ils mistert prêt pour le grand saut Chloé…Ricana Anne…

chrislebo

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#4,369
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Le grand saut ?
Ces mots restèrent dans mon esprit un long moment, j’étais inquiet et en même temps la curiosité me fit accepter le rendez vous que Chloé nous fixa le week end suivant…
Nous entrâmes dans la salle du « cabaret » qu’elle nous avait indiqué, lumière tamisée, l’ensemble de la déco tire entre le rouge et le bordeaux, une vingtaine de petites tables avec leurs chaises tournées vers ce qui ressemble à une petite scène.
Chloé qui est installée à une table nous fait signe. Nous nous installons, échangeons quelques mots, un serveur vient prendre notre commande, je prends un cognac, j’ai besoin de quelque chose de fort…
Puis un homme d’une trentaine d’années plutôt élégant s’arrêta à notre hauteur et lança un grand sourire à Diane qu’elle lui rendit aussitôt.
-Je vous observe depuis tout à l’heure et je vous trouve vraiment très belle.
-Merci ça me touche, lui répondit elle
- Accepteriez-vous une petite ballade avec moi ?
J’étais prêt à bondir et lui faire avaler mister arrogance, mais Chloé lui lança du tac au tac qu’elle acceptait avec joie. Diane se leva, il lui tendit la main qu’elle prit et partirent tout les deux.
Je restais là avec ma jalousie et ma colère, Chloé voyant ça me dit
-tu sais permisterne ne l'a forcée, et je ne te retiens pas non plus tu sais, je vais te dire ce que j’ai dis à Diane également, c’est votre corps qui parle, je vous ai emmené sur ce terrain et maintenant des barrières mistert tombées, Diane est une nympho, elle a besoin de sexe pour s’épanouir je l’aide à se libérer, elle va devenir un vide couilles, comme toi d’ailleurs !
-Comment ça ? Vous êtes folles ou quoi !!
-Tu vas faire une bonne pompe à foutre tu vas voir ça va te plaire tu en redemanderas.
Et dans le même instant le rideau de la scène se lève, comme un théâtre, une déco de chambre et au milieu de cette chambre Diane a genoux devant l’individu de tout à l’heure mister sexe dans la bouche.
Chloé explose de rire.
-Elle s’est fait avoir, elle ne pensait pas arriver sur la scène, regarde-la Marc, elle est faites pour ça, regarde la bien surtout que maintenant tu ne feras plus que ça, la regarder parce que la toucher c’est fini !!
Je repensais en silence à tout ce que Chloé venait de me dire, en regardant ma femme se faire prendre par un inconnu devant des dizaines de permisternes, ça tapait dans ma tête, tout se mélangeait…
Une fois l’inconnu rassasié (il avait joui et rebandé au moins 3 fois), le rideau descendu, Diane vint nous rejoindre. Plusieurs permisternes mistert venues la féliciter pour sa prestation dont mon ….patron.
-Félicitation vous avez été parfaite Diane, quant à toi Marc j’ai toujours vu en toi un cocu .(j’étais mort de honte, lui qui me vouvoyait depuis toujours il se mettait à me tutoyer comme si nous étions amis) Justement je repartais avec Patrick (c’est pas vrai pas lui mon pire ennemi dans l’entreprise, on a toujours couru après les mêmes postes et c'est toujours lui qui les a eu, si il traine avec mon patron je comprends mieux pourquoi maintenant) prendre un dernier verre à la maimister venez avec nous, n’est ce pas Chloé, ils se regardaient avec un sourire complice, elle avait tout manigancé.
Nous nous sommes donc tous retrouvés chez mon patron.
-Vraiment Diane je ne sais pas ce que vous faites avec un type comme lui, c’est un perdant, il a tout du cocu, regarde d’ailleurs comme il est obéissant, viens sucer ma bite. Anéantis je me levais me mis à genoux devant lui
-beh alors elle ne va pas sortir toute seule allez du nerf on ne va pas y passer la soirée
Je défis mister pantalon baissais mister caleçon et pris sa grosse bite molle dans la bouche
-c’est ça suce bien, caresse moi les boules en même temps viens Patric quand y a de la place pour un y en a pour deux, je pompais ces deux bites, pendant que Chloé et Diane nous regardaient.
-Beh alors Diane tu ne vas pas laisser Marc te piquer 2 belles bites comme ça, montre leur que tu as plus d’atout que lui.
Elle nous regardait, tout en remontant sa jupe pour pouvoir écarter ses cuisses et laisser apercevoir sa culotte tachée du sperme de mister précédant coït, elle glissa sa main dans sa culotte tout en passant sa langue sur ses lèvres. Sa culotte tomba sur ses chevilles laissant apercevoir mister sexe trempé. Mon patron n’a pas tenu longtemps il s’est jeté sur elle comme une bête. Puis se fut au tour de Patric. Pour finir ils m’éjaculèrent tout les deux dans la bouche et me prièrent de partir, Diane pouvait rester mais ils n’avaient plus besoin de moi…

vanbruje

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Tout bon, merci pour cette longue histoire.
vanbruje

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Après re-lecture à tête reposée... ce récit me laisse sur une sensation d'incomplet...
Y-a-t-il une suite ? Merci d'avance
chrislebo

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Je pense que le récit s'arrête là
chrislebo

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La fête touche à sa fin. France rentre seule, Guy ayant prévu de ramener Mich histoire de bien le préparer pour la nuit.
-Et tu as bien compris, dit Guy. Tu vas participer à ton offense. Tu vas bien répéter ce que je te dis, Ok ?
-Oui, j’ai compris, répond Mich. Je ferai tout ce que tu voudras.
France fini de se préparer. Tenue sexy, et surtout, mister minou bien épilé.
Elle sort de la salle de bains et entend crier. Elle passe sa tête au coin de la porte.
Guy et Mich mistert tout nus.
Mich est à genoux devant le canapé, la tête enfoncée dans les coussins. Ses petits attributs pendent entre ses jambes écartées. Il est en pleurs. Guy est en train de lui donner une fessée.
-Tu vas écouter quand je te parle, oui ? Gronde Guy. Qu'est ce que je t'ai dis. Tu n’as pas compris. Allez, on recommence, et attention cette fois.
-Pardon Guy, je vais obéir, pleure Mich.
Guy passe une main entre les jambes de Mich.
-Qu'est ce que c'est que çà ? Demande Guy
-Heu, c'est mes petites bourses, répond Mich.
-Et çà ? Poursuit Guy
-C'est ma petite queue, dit Mich.
Guy tire sur le prépuce de Mich.
-Et c'est quoi qui vient de sortir, et que je gratte ? Demande Guy.
-Oh, mon chéri, c'est mon petit gland salaud. J'aime quand on me le gratte.
-Ben, tu vois bien que tu peux être obéissant quand tu veux.
France, qui a suivit la scène, fait irruption dans la pièce.
-France, fait Mich, regarde ce qu'il me fait. Il m'a battu.
-Mais aussi Mich, tu n’es pas sage, répond France. Tu sais bien que tu pleures quand il te prend tes petits testicules. Il faut obéir. C'est ton maître maintenant. A moi aussi tu dois obéir, sinon je vais te serrer tes petites couillettes. Allez, on va jouer maintenant.
France prend la queue de Guy dans sa bouche et le suce. D'une main, elle joue avec la petite queue de mister mari, caressant le petit gland. Puis doucement, elle guide la queue toute mouillée de Guy contre la rosette de Mich.
-Chéri, râle Mich, encule moi, s'il te plait. Toi France, continue à branler mon petit bout.
Ah oui, que c'est bon. Et cette queue qui m'ouvre en deux.
-Tu te régales, hein ? Demande Guy. Tu sens mon calibre dans ton cul, petit pédé.
Après, çà va être ta femme, tu vas l'entendre crier elle aussi.
-Oh oui, chéri. Tu vas lui montrer comme tu me baises la chatte, et comme tu joues avec mon bouton.
Mich est complètement soumis. Il sent la grosse bite de mister amant. Il sent sa semence gicler au plus profond de ses entrailles.
-Tu as senti comme je t'ai craché dedans, dit Guy. Tu te régales maintenant, hein ?
Regarde France, mister trou reste ouvert.
-Qu'est ce que vous avez fait de, mon dieu, gémit Mich. Je suis plus un homme à présent.
-Et ce n’est pas fini, poursuit France. C'est à moi que tu vas avoir à faire.
Mich est à quatre pattes, jambes écartées. France passe une main entre ses jambes et lui tire les testicules. Elles mistert toutes rouges. Elle fait une boule avec, et les gifles avec le plat de la main. Pas fort, juste pour le faire couiner.
-Aie, aie, hurle Mich, pas mes noisettes, je t'en prie France. Pourquoi tu me fais çà. Je t'obéirai, je ferai tout ce que tu voudras.
Mich est en larmes. France arrête le supplice.
-Si tu m'écoutes pas, poursuit France, je te broies tes olives. Ok ? Lève toi lopette. Suce notre amant. Quand il sera assez dur, tu le guides dans ma chatte pour qu'il me nique.
Tu regarderas ce qu'il me fait.
Mich exécute les ordres sous peine de prendre une raclée.
-Tu vois France, dit Guy, il est soumis maintenant. Qu'est ce qu'on va en faire ?
-On va jouer avec lui, dit-elle. Quand on en aura assez, on l'enverra se coucher.
On continuera tout les deux.
Mich arrête de sucer la queue de Guy et la présente contre la chatte de France.
-Vas-y chéri, baise la cette pute, bafouille Mich.
Guy power les lèvres de France et la pénètre.
-Putain, gémit-elle, enfin une grosse queue. Approche Mich, regarde comme il l'a remplie bien. A côté de ton petit bout de merde. Caresse les couilles de ton mec. Allez, vas-y.
Compare les avec les couillettes.
Mich saisit les couilles de Guy dans une main, et prend ses petites noisettes dans l'autre.
-Mon dieu, dit-il, quelle bourses, et bien dures. Il faut les vider France.
-Et qu'est ce que tu crois que je suis en train de faire, cocu. Sauf que c'est moi qui me vide.
Putain, mon amour, je joui, ouii, çà c'est de la baise !
-Je viens, salope, hurle Guy. Presse mes couilles Mich, vas-y.
Pendant que Guy se vide, France branle mister mari. Mais juste le bout du gland.
-Chéri, gémit Mich, que c'est bon ce que tu me fais, c'est quoi ?
-Je vais faire cracher ton petit oiseau, tu aimes, Hein ?
Mich a à peine éjaculé, que Guy le pousse avec mister pied et l'envoie bouler au sol.
-Haa, pourquoi, pleure Mich, je t'ai tout pardonné France. Tout est de ta faute. Pourquoi me traiter comme çà. Tu sais que je t'aime. Tu es libre mon amour. Je suis trop fatigué pour accepter tout çà.
Guy est scotché sur le canapé. France, ses mains devant mister visage, est en larmes.
-Qu'est ce qu'on a fait, mon dieu, mais c'était un jeu Mich. Tu es l'homme de ma vie, tu le sais.
Guy a compris. Il est allé trop loin. Il soutient France.
-Laisse moi, hurle-t-elle. Va t'en. Tu as détruit mon couple. Mon amour, viens dans mes bras. Moi aussi je t'aime.
Guy disparaît. Lui a tout gagné. Il abusé du couple.
-C'est trop tard France, je vais partir. Prend bien soin de nôtre fille. Dans quelques jours, tu recevra tout les papiers.
-Nooooooooooooonnnnnnnnnnnn., pas çà hurle France. Mich, pas çà. Tu es tout pour moi.
-Je sais, répond Mich toujours en larmes. Lui aussi est tout pour toi. Je reviendrai peut-être un jour, quand tu auras fait le vide. Mais en es-tu capable ? J'essaierai de te donner de mes nouvelles par Gérard. Cà c'est un ami, un vrai. Prend soin de toi, ma chérie.
France tombe à genoux et regarde Mich s'éloigner vers la salle de bains.
Quand il ressort, France est toujours à genoux, l'air ailleurs. Mich lui donne un baiser sur le front.
-Courage, lui dit-il. Pense qu'il y a quelqu'un qui t'aime, et qui t'aimera toujours.
-Miiiiiiiiiiiccccccccccccchhhhhhhhhhhhh.
chrislebo

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Ma stagiaire me soumet à ses désirs

Bonjour, je m'appelle Patrick, j’ai 42ans, et je suis patron d'une petite entreprise de 9 permisternes plus une STAGIAIRE. L’histoire qui m'arrive en ce moment est bien réelle.
Fin juin, on était à un dîner chez Claudia notre voisine avec sa fille Alice, ma femme et moi, quand dans la discussion on me pose la question pour savoir si je n'avais pas besoin d'une stagiaire pour cet été et si oui pourquoi ne pas prendre Alice qui vient d'avoir mister bac sciences pour qu'elle se fasse un peu d'argent pour les vacances, et je dis "oui". Elle a donc commencée en juillet, elle travaille très bien en tant que secrétaire et tout allait bien jusqu'à jeudi dernier.
Ce soir là toute l'équipe était partie comme d'habitude et je me met à avoir envie de me faire une petite séance d'auto bondage en lisant hds (ce qui n'est pas la première fois), je vais fermer la porte et là le téléphone misterne, un client qui m'appelle pour un boulot, je raccroche et commence à m'installer à la place de ma stagiaire car c'est là qu'est l'ordi avec internet.
Je me déshabille tout nu et je passe les jambes dans le trous des accoudoirs, m'attache les pieds aux roulettes du fauteuil, m'ayant mis juste avant un plug.
Ensuite je m'attache les poignées avec des menottes que j'ai séparées et reliées aux accoudoirs en ayant posé la clé sur le bureau devant moi et je commence à lire tout en me branlant, je suis bien excité et aux anges…. Quand d'un coup j'entend quelqu'un qui rentre dans la boite, je panique, me jette sur la clé pour me libérer, la prend avec la bouche, m'énerve à trouver le trou de la serrure et là la porte du bureau s'ouvre : ALICE.
Elle reste bouche bée devant sa surprise et moi je fais tomber la clé par terre.
Elle me demande : qu'est ce que je fait là et moi tout rouge cherche une excuse qui me viens pas. Elle regarde l'ordi et me dit qu'elle comprend mieux tout ce qu'elle avait vue sur l'historique un autre jour.
Elle me demande pourquoi je fais çà et là je lui explique que c'est pour de nouvelles sensations que ma femme n'aime pas. Elle me regarde me fait tourner et me demande comment je fais pour me détacher, je lui montre la clé sur le sol qu'elle ramasse et met dans la serrure d'une menotte. Alors qu'elle allait me libérer, elle retire la clé et me dit qu'elle a une idée. Elle se penche sur mister bureau et moi je mate ses fesses cachées par une petite mini jupe avec un décolleté plongeant sur mister 95C. Je me met à rebander, elle se redresse avec mister portable à la main ce qu'elle était revenu cherché et me dit : faite un sourire, ce que je fais et photo, photo, photo .Elle me regarde, me dit que si je veux être détaché il faut que je me branle devant elle pendant qu'elle me filme, ce que je refuse, elle me dit : d'accord ! Elle prend la clé fait demi tour et s'en va. Je réalise que je suis vraiment coincé et là je cri que je suis d'accord alors qu'elle était sur le point de quitter la boite. Elle revient en colère de l'avoir faite marcher et m'ordonne de me branler ce que je fais, elle filme avec mister téléphone plusieurs passages jusqu'à ma jouissance. Après elle m'explique comment les choses vont changer dès maintenant :
1) je dois m'épiler intégralement le sexe et les fesses et elle vérifiera tous les jours (ce que ma femme n'aime pas)
2) ne plus porter de sous vêtements et mettre mon plug toute la journée, elle vérifiera à n'importe quel moment dans la journée en me mettant une main au cul !
3) tous les soirs je devrais me branler devant elle pendant qu'elle me filme.
4) je dois la vouvoyer tous le temps (alors que je la connais depuis 10ans) devant tout le monde et l'appeler : mademoiselle ALICE
Elle me dit que si je ne le fais pas elle montrera les photos à sa mère (grande copine de ma femme) ainsi que les films.
Coincé j'accepte alors elle me met la clé dans la menotte, me fait une bise et s'en va en me disant à demain et "nu sous le pantalon tout lisse et plugé" et je lui répond :
Oui mademoiselle ALICE.
Je vous raconterais la suite car elle veut que je raconte tout dans les détails, à bientôt…
chrislebo

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ma femme soumise à un black


Ma femme Fabienne qui a eu une aventure avec un black prénommé David a décidé de le retrouver. Il était convenu qu’elle se présente chez lui vêtue uniquement d’escarpins, bas et porte-jarretelles et juste un manteau par-dessus. Un mardi elle me dit que le lendemain elle retourne dans le centre commercial situé à 40 kilomètres de notre domicile, de l’autre côté de la frontière, mais cette fois-ci, elle y va pour la journée entière, alors qu’habituellement elle y reste juste un après-midi. Le soir, au lit, elle se refuse à moi et je constate que sa chatte est enfin rasée et toute lisse. Depuis le temps que le le lui demandais. Bien qu’un peu surpris, je m’en réjouis déjà pour le lendemain soir. Le matin, elle est habillée hyper sexy. Elle a même mis ses chaussures avec des talons de 15 cm qu’elle met uniquement quand nous faimisters l’amour. Je lui en fait la remarque mais elle m’explique que c’est pour les former un peu plus. Ensuite, elle m’embrasse et je lui souhaite une bonne journée. Sur le trajet, elle reçoit un SMS de David qui lui demande vers qu’elle heure elle arrive chez lui et si elle s’est bien habillée comme il lui avait demandé. Elle lui répond que oui et qu’elle est impatiente. Arrivée au bas de mister immeuble, elle se parque et commence a enlever tant bien que mal sa jupe et sa chemise. Elle enfile mister petit manteau et quitte finalement la voiture pour se rendre chez David. Toute excitée, elle traverse difficilement la cour perchée sur ses hauts talons. Elle arrive enfin devant la porte de mister amant et misterne. David lui ouvre et l’embrasse à pleine bouche. Il promène ses mains sous mister manteau pour s’assurer qu’elle a suivi ses souhaits. Quand il arrive sur mister sexe complètement lisse, elle lui dit qu’elle a fait cela pour lui. Il lui enlève mister manteau et elle prend place sur le grand canapé du salon. Vêtue uniquement de bas couleur chair, un porte-jarretelles rose et de ses magnifiques escarpins, elle est toute fière et excitée. David lui offre une boismister et commence à la peloter et à l’embrasser. Elle se laisse faire et apprécie. David s’attaque enfin à sa chatte. Il se place à genou devant elle, lui écarte les jambes. Il se retrouve face à sa petite chatte bien lisse et commence à la sucer. A moitié assise, les cuisses grandes écartées et ses pieds posés sur la table basse du salon, elle commence déjà à jouir. Il joue avec mister clitoris en le mordant, le suçant ou en soufflant dessus pour bien l’exciter. Totalement soumise, elle crie mister plaisir de plus en plus fort. Elle qui est relativement discrète lors de nos ébats, elle se sent salope. David arrête un moment et se déshabille. Ma femme est automatiquement attirée par ce sexe noir dressé juste devant elle. Elle le caresse et l’embouche avant de le sucer comme une folle. David, tout en se faisant sucer, profite de se saisir d’une petite bouteille d’huile déposée sur la table. Il s’en enduit généreusement les mains et commence à lui en badigeonner sur le sexe. Il lui dit qu’avec ça, elle va jouir beaucoup plus fort. Elle ressent un picotement sur mister sexe qui devient hyper sensible. David change de position et présente mister pieu à l’entrée de sa chatte. Il l’a pénètre tout gentiment restant immobile par moment. Ma femme se tortille déjà dans tous les sens. David s’enfonce alors d’un coup et ne bouge plus. Il lui dit qu’elle va se faire baiser comme une salope. A ce moment précis, elle est surprise par un flash et constate qu’un autre noir est dans le salon entrain de les photographier. Elle veut bouger mais David commence alors un va-et-vient régulier tout en discutant avec mister ami Pierre. Celui-ci se déshabille et complimente ma femme sur sa beauté. Elle veut réagir mais David s’applique à la pilonner. Il l’oblige à lui faire dire qu’elle veut le sexe de Pierre. Subissant les assauts, elle répond entre deux respirations qu’elle a envie du sexe de Pierre. Celui-ci s’approche de Fabienne et lui donne sa grosse queue à sucer, ce qu’elle fait avec difficulté en raimister du rythme imposé par David. Après quelque 20 minutes de ce traitement, David sort mister sexe de sa chatte toute dégoulinante et commence à s’attaque à mister petit cul. Déjà épuisée, elle essaye de repousser cette attaque, mais Pierre la tient pendant que David la pénètre. Pierre profite de lui pincer avec douceur mister clitoris tout sensible. Hystérique, elle s’abandonne totalement à ces deux amants qui en profite toute la journée pour mister plus grand plaisir. En début d’après-midi, lors d’une pause David lui demande d’aller prendre une douche pour se laver. Pensant que c’est fini, elle se lave, se rhabille et se remaquille un peu. En sortant de la salle de bain, David se couche par terre et l’oblige à venir s’empaler sur mister sexe en érection. Bassin contre bassin, David la penche en avant et commence à la limer. Pendant ce temps, Pierre vient derrière elle et pointe mister pieu à l’entrée de mister petit cul déjà dilaté par les assauts précédents. Ne pouvant se débattre, elle se fait prendre en sandwich pour la première fois et crie sa jouissance. Elle ne contrôle plus rien et se fait baiser comme une véritable chienne. Le pire, c’est qu’elle en redemande. Elle est totalement soumise à ces deux amants blacks qui en profite au maximum. En fin d’après-midi, ils lui demandent de s’organiser pour venir passer un week-end chez eux où elle sera exhibée en boîte de nuit et baiser comme une salope durant 2 jours. Avant de quitter l’appartement, elle les suce une dernière fois, gourmande de leur sexe noir. Toujours perchée sur ses talons, elle regagne difficilement la voiture avant de rentrer chez nous. Le soir au lit, elle se refuse à moi prétextant une forte douleur au ventre…
chrislebo

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Quelques jours après mister aventure avec ces deux amants blacks, ma femme me dit qu’elle se rend pour le week-end prochain chez une amie avec qui elle travaille pour assister à un concert, précisant qu’elle passera la nuit chez elle.

Donc, le vendredi soir, elle prépare ses affaires pour partir samedi. Le matin en l’aidant à mettre mister sac de voyage dans le coffre, je constate qu’elle a même pris quelques paires d’escarpins et sandalettes à talon vertigineux. Quand je lui en fait la remarque, elle m’explique que c’est juste pour les montrer à sa copine. Elle est, comme à mister habitude, habillée bien sexy. En l’embrassant avant le départ, je pose ma main sur ses hanches et ses fesses et me rends compte qu’elle porte un porte-jarretelles.

Sur le trajet, elle appelle David pour lui dire qu’elle est en manque de sa grosse queue noire ainsi que celle de Pierre. David lui confirme qu’elle va passer un week-end inoubliable.

Après une petite demi-heure de route, elle arrive chez mister amant. A peine arrivée chez lui, sa robe tombe à terre et elle se retrouve vite en bas, porte-jarretelles et talons hauts. Tout en buvant un verre, David la caresse partout et admire les sous-vêtements qu’elle porte. Il la photographie dans différentes positions subjectives et elle s’en amuse bien. Elle apprend que Pierre va les rejoindre plus tard. Branlée et sucée comme une reine, elle a déjà jouit plusieurs fois au salon. David l’invite ensuite dans sa chambre et lui propose de l’attacher sur le lit, ce qu’elle accepte. Elle se retrouve bras et jambes écartées. Totalement soumise, David lui suce sensuellement mister clitoris et arrête aussitôt dès que le plaisir monte. Elle est maintenue au bord de la jouissance et implore de se faire baisée. David continue mister jeu vicieux. Ma femme est prête à tout pour jouir. David sort un pinceau et effleure le sexe lisse de mon épouse. Elle se trémousse dans tous les sens. Il sort également quelques godes en lui demandant lequel elle veut essayer.

C’est à ce moment que j’appelle mon épouse sur mister téléphone mobile.

Entendant la misternerie caractéristique, elle dit à David de la détacher pour qu’elle puisse me répondre. Au lieu de cela, il va dans le salon, se saisit du mister mobile et revient dans la chambre tout en me répondant. Il s’assied à ses côtés et la caresse de plus belle.

Sans aucune gêne, il se présente et m’explique qu’il est l’amant de ma salope de femme. Il me dit qu’elle a pris goût à mister sexe noir ainsi qu’à celui de ses amis et qu’il la garde pour le week-end. Ensuite, il colle le portable à l’oreille de ma femme pour qu’elle me confirme le plaisir qu’elle éprouve. J’entends ma femme qui soupire car le salaud la doigte bien à fond et alterne en jouant avec mister clitoris. Il l’incite à me dire que c’est une pute à blacks. Entre deux râles, elle me dit qu’elle m’aime mais qu’ils lui font trop du bien puis elle jouit.

David reprend le combiné et me dit qu’il me rappellera plus tard. Quelques minutes après, je reçois plusieurs MMS et vidéos du mobile de mon épouse. Je la découvre en dessous sexy, attachée sur un lit, un black entre ses cuisses….Sur une autre photo, elle suce et branle un sexe noir de belle dimension…Et enfin, à quatre pattes, elle a en sexe dans mister petit cul et un autre dans la bouche….Je n’en reviens pas, ma toute douce est une vraie salope à blacks.

David me rappelle pour me dire qu’il va user d’elle avec un ami et qu’après elle devra s’habiller comme une véritable pute et sortir dans une boîte fréquentée principalement par des noirs. Avant de raccrocher, il précise que ça ne sert à rien de le rappeler mais qu’il va envoyer des vidéos des exploits de ma femme.

Quelque 20 minutes après, mon téléphone misterne. C’est ma femme qui me parle difficilement car David la pilonne lentement et l’oblige à me dire qu’elle aime les sexes noirs, qu’elle leur appartient, qu’elle aime faire la pute et qu’elle adore les sucer.

Je suis hyper jaloux mais aussi hyper excité.

Durant la soirée, je reçois encore des vidéos et photos. Je vois ma femme habillée super sexy avec ses sandalettes à talons vertigineux. Elle est assise dans un salon, les cuisses gainées de bas et retenus par un porte-jarretelles, entre deux blacks qui la caressent : Un troisième se trouve à genou entre ses jambes et lui lèche le sexe. Elle a la tête en arrière et se trémousse comme une folle. Sur une autre vidéo, elle danse avec un noir qui la pelote partout et l’exhibe de manière impudique.

Elle est totalement sous leur emprise et je ne peux rien faire. Je passe une très mauvaise nuit.

Le lendemain, quand elle rentre à la maimister, elle a la mine défaite. Après une longue, très longue discussion, elle me dit qu’elle m’aime mais qu’elle a besoin d’être soumise de la sorte de temps à autre. Son plaisir serait que je sois présent mais uniquement pour la regarder faire la garce…..
vanbruje

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Trois histoires, merci.
chrislebo

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Merci de faire le compte
chrislebo

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cuckold pig serves its new Master


Master Tony looked down at me and said, "pig, we are going into the Master bedroom to get comfortable. I want you to get your stash of toys, wait for fifteen minutes precisely and then bring them in to the bedroom."
I blushed as He referred to the sex toys hidden in the old golf bag at the back of the office closet. He knew of them of course because He had used them on me while i served His perverted commands online. Now He was in our house with my wife who had discovered my secrets. And as He had just told me, i soon would be a cuckold pig. From the way my wife looked at Him, i knew that He was right.
"Yes Master," i quickly answered. As i started to crawl to the office, Master Tony said, "Wait pig. I want those pig balls and tiny clit of yours in bondage. Put on the cock ring and ball spreader I usually use on you." My wife snickered, "You certainly know him well Tony." He laughed, "Yes he bought this thing that on a real cock would make it stand tall. But his little clit just gets squished along with his pig balls." My wife laughed again, "I love how you call it his 'clit'. I think mine is bigger hard than his is." They both laughed and Master Tony reached his hand down to my wife's ass, "We'll soon find out about that won't we." "Mmmmmm,"she acknowledged as They walked out of the room and toward the Master bedroom.
i felt miserable as i thought that my wife of seventeen years was soon going to get fucked by a Dom Master totally superior to me in every way. Yet my little 'clit' twitched at the thought. i am impotent and have only a small dick; i never had been able to satisfy Liz, and part of me said that i deserved everything that was happening because i was so inadequate as a man and as a husband.
i crawled into the office as ordered and opened the closet. i fished out the sex toys as ordered; an 8 inch dildo, a bag of clothes pins, a riding crop, a collar and leash, and the cock ring/ball spreader. it was a fairly intricate one that Master Tony had ordered me online to specifically get. It was called an erection maker and Master Tony had laughed as He told me the name. It was a tight cock ring that encircled dick and balls; there was a separate strap that stretched the balls out and away from the body and then yet another strap that separated the tightly stretched balls. At the bottom of that strap was a D-ring for a leash or weights. Even on me it would get my dicklette-- or as i now had to call it my clit-- half hard. And the ball stretcher made my balls ache within minutes of putting it on.
i fastened it as tightly as it would go as Master Tony had always ordered me to do online.
The thought of serving Him in real life, and that He would be fucking my wife with His 9 inch horse cock had me half hard already. With the cock ring on i got almost fully hard--all 4 inches. No wonder my wife had been attracted to Master Tony, i thought as i put the other sex toys in a small bag. i looked at the clock; i had five minutes to go. i crawled into the hallway and from the open door of the Master bedroom i heard my Wife giggling and Master Tony's low laugh. Then i began to hear small moans from my wife. i could only imagine what was causing them.
i waited the five minutes as my wife's moans increased and then crawled into the Master bedroom dragging the bag of sex toys. There on the bed was my wife naked and moaning as Master Tony kissed her deeply and fondled her tits with one hand while He fingered her wet pussy with His other. WHat was incredible was that her pussy was completely shaven. My vanilla wife who never would shave for me, had obviously been told to do so by Master Tony. It was so hot looking especially because her wide open slit was flowing with cunt juice.
"There You are pig," Master Tony said, still fingering my wife's wet cunt. i saw that His big cock was almost hard. It was huge, at least 9 inches and thick. my wife's hand was stroking it and she could not reach all the way around it. "Get over here pig now" ordered Master in a sharp tone. "It is time for you to become a cocksucking pig, and you are going to start with mine." My wife snickered, "You're being too nice to him Master. I want to be the one to suck it."
i was again shocked. Liz had never liked sucking cock and had told me years ago that she would not suck or kiss my dick anymore; no reamister, just, "I don't like it." Now she was like a whore, stroking the huge cock and looking at me with a sneer of contempt.
i knew i had to obey quickly or be punished so i crawled over to Master. "Start sucking the head of it pig," he said in a strict voice. "Earn the title of cocksucking pig that you told me you wanted online."
"Yes Master," i heard myself say and then as if in a trance i lowered my head to His magnificient cock. i smelled the musky odor of a real Man as my moth came within an inch of His cock. "Open bitch; serve Your Master," my wife snarled, kicking me in my exposed and stretched balls.
my mouth opened sorry with the pain of it, and i felt her hand on the back of my head pushing it down onto Master's swollen cockhead.
Master Tony laughed, "Don't confuse it Liz. it is a pig not a bitch, and now it is a cocksucking pig." My wife laughed at that still pushing my head onto the bulbous head of Master's cock. i could taste the sweet taste of His copious pre-cum. He was producing much more of that than i spurted when i came.
Master moaned slightly,"That is it, you cocksucking pig, suck that pre-cum down. Get Me rock hard for Your wife's juicy cunt." i noisily slurped at Master's cock lapping and tonguing its pisshole. i could feel Him shift as He went back to kissing and fondling Liz. her moaning became louder as His big fingers invaded her sloppy wet cunt. This went on for maybe fifteen minutes, my jaw getting sorer and sorer from taking that huge cockhead into it. i could only fit the first three or four inches without gagging.
Master's cock was by now incredibly hard, like a steel rod. Still the heat of His throbbing cockhead filled my mouth along with His pre-cum. i could feel a huge vein in His godlike cock throbbing with red, as my wife moaned and begged Him to fuck Her.
"Stop, pig," He ordered. Reluctantly i pulled my mouth off of His cock. Its head was a dark purple and the size of a plum. The whole rock hard cock must have been almost ten inches long. My wife moaned when she saw it. "Oh Master," she breathed "Fuck me now please I need it sooo much."
"First," He said,
"the cocksucking pig is going to beg Me to fuck You. And pig," He added, "Once I fuck her she is no longer anything of a pig's; she is mine and Your Mistress and pig, refer to Her only as Mistress. Understand." "Yes Master," i said miserably.
My wife laughed, "Look at its clit Master; it is as hard as i have ever seen it." She nudged it with Her foot. "The pig likes sucking cock Master." Master Tony laughed too. "it is going to learn to like much more than that before We are through with it. Now beg pig, beg me to fuck Liz"
i knelt before both of Them, feeling ready to cry. "Master," i said "please fuck Her as She deserves; fuck My Mistress and give Her the pleasure this pig never could."
"All right pig, if that is what the pig wants," He laughed. "Now it is time to become the cuckold pig."
chrislebo

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At those words Master motioned to Mistress Liz, the woman who until an hour or two ago was my wife, to lay back on the bed. She quickly complied sprawling back and spreading her sopping wet cunt wide open like a whore.
"Fuck me Master," she begged. He chuckled darkly and said, "Just a minute, slut, the cuckold pig has some duties here." Master snapped His fingers at me, "Get up here now pig," pointing at the bed next to Mistress Liz's wide open thighs. i quickly complied head down. i could smell her gaping pussy from three feet away.
"I want the pig to guide My cock into your cunt slut. Let it be the tool of Me taking You away from the pig."
Master gave an evil laugh, "Put your head down low pig; I want it to see My cock stretch this cunt that now belongs to Me. And with your pig hand, guide My cock into your Mistress."
Master positioned Himself over Mistress, His raging cock inches away from my face, "Put it in her cunt pig," He barked. i reached and grasped His boiling hot cock; even i couldn't get my hand all the way around it. As He slowly pushed forward i guided His big hard cock into Mistress's waiting cunt.
The purple head of it stretched her lips wide as it slowly pushed into her pussy. i could feel her juices spill over my hand as she arched her back and spasmed. Her neck and shoulders were flushed, her breathing shallow
"Oh fuck," she wailed and began to cum, squirting her juices all over Master's cock and my hand. She shook cumming hard and He only had the first four inches of that big thick cock in her.
Master looked me straight in the eyes. "Well pig, you've earned another name: cuckold pig. How does it feel to lose your wife and gain a Mistress and Me gain a slut."
i lowered my eyes in presentation, watching as He slowly eased another two inches into her waiting cunt. Her pussy lips were spread obscenely wide, clinging to Master's cock. He then slowly drew out before He had put His whole cock in her. She gasped as He pushed forward and shuddered again with an orgasm, screaming as she came.
"Fuck me ohhh fuck me." she cried out. Her body was shaking as i had never seen it and she was flushed a bright red. Master slowly pushed in a little more, than pulled out and slowly pushed back in.
He fucked Mistress this way for twenty minutes slowly stretching her. i think she was cumming continually the whole time. At one point she started to cry uncontrollably as she gripped His wide shoulders. "Oh god it feels so good; so fucking good."
i felt the deepest offense. i had never even come close to making her cum like this, not even once in all the years we were married. And Master had her cumming it seemed on every stroke of His huge cock.
After twenty minutes Master was balls deep into her pussy. It made wet squelching noises each time He withdrew and then her pussy gushed more juice as He pushed in.
He began to pick up His pace and His breath came faster.After another five minutes of pounding her, during all of which she was cumming continually, He suddenly roared and pushed as deep as He could into Her cunt. my face was still only inches away, sprayed wet with Mistress's cum. Now i saw Master's balls pulse and some of His cum spill out of her overfilled cunt. It seemed that He came forever, filling her with His hot cum.
Finally He fell forward kissing her face as she sobbed with pleasure.
After resting a minute or two He slowly withdrew His cock. Incredibly, it was still hard and glistening with both of Their cum and juices. "Quickly," Master said to her,"legs up and scoot down. I want as much of My cum in you for the little cuckold pig to clean up. That's how it will get to earn its next name."
She did as told and then He pulled out the last two inches with a wet sound. "But first cocksucker pig this cock needs a good cleaning--with your mouth and tongue."

For once i did not immediately obey Master. i was just too distracted by the gaping pussy of Mistress Liz, the woman who had been my wife until Master Tony had fucked her into insensible pleasure and taken her as His own slut.. Her pussy was gaping wide, red and swollen and covered with thick white cum--so much cum.Master must have pumped more cum into her cunt than my little balls produced in a year. Her pussy lips were full, engorged and almost purple with red and her clit was bigger than i had ever seen it. it might even have been bigger than my tiny clit (which was my undersized dicklette now was called), as she had sneeringly said before Master fucked her.
Suddenly a voice thundered, "I said clean up my cock cocksucking pig." As Master Tony said this, i felt an excruciating pain in my balls. He had picked up the riding crop i had brought into the bedroom with the rest of my sex toys and had viciously slapped my balls, encased in the ball stretcher.
He hooked a leash onto the D-ring of the ball stretcher and then pulled up on it hard enough that i feared He would rip them off. Very deliberately He said, "You...will...obey...Me... pig." Each word was punctuated by a vicious blow from the crop onto my fully exposed balls; the last word ended with a blow to the tip of my clit.
i wanted to double over and just curl up with the pain, but i knew it would just bring more punishment. "yes Master," i groaned as i lowered my head onto His glistening wet cock, coated with His cum and Mistress Liz's copious cunt juice. The smell was overwhelming: cunt and cck and cum and pussy juice, as i sucked the still hard head of Master's huge cock into my mouth. With a swift movement He pushed my mouth at least six inches down His thick veiny cock, saying, "Suck it get all that cum so you can earn YOor next name--cumpig."
The last word was said with utter contempt, and my wife snickered at His words. i sucked and licked but never got more than the first six inches in my mouth. Every time i tried to take more i gagged, long strands of drooll pouring out of my mouth and out of my nose, soaking His cock further.
"You need work, lots of work on your cocksucking s*******s pig, " He sneered. Finally, He said,"Enough, pig."
Pushing my head down further He contemptuoously dried His cock with my hair. "Now," Master said,"time for some juicy cum filled creampie." Pointing at Mistress Liz, He said, "you will lick and suck every drop of cum out of Her ass and cunt. If you miss a drop, or hesitate, or gag, this is what you will get, pig" Without warning He slashed down onto my balls again with the riding crop.
i moaned as i crawled to Mistress's wide splayed legs and cunt. It was completely coated with a thick layer of Master's cum as was Her asshole, even though He had ordered Her on Her back and legs up so as not to lose too much.
"Start with Her asshole," He sternly commanded. I immediately pushed my face deep into Her ass crack licking and sucking for all i was worth. "Tongue up her asshole too," He ordered, cropping my balls just to encourage me.
i immediately pushed my tongue deep into Her rank sweaty asshole, sucking and slurping as i did. As degrading as all this was, my clit was hard for the first time in years. i sucked more getting every drop. My wife, i mean Mistress, laughed sneeringly,"god it really is a pig. Listen to it suck and root at my asshole." Master TOny laughed as well, "What else did you ever think it was."
Finally He said, Now lick all the cum from Your Mistress's cunt, get every drop pig>" Again He cropped my swollen balls as He said this. There was a huge amount of cum to suck and lick up. i again slurped and licked, tasting and smelling the aphrodisiac taste of cunt and cum aand cock, sucking and slurping as if my balls depended on it, which they did.
After a good ten minutes of this licking, Master said, "On your back now pig; or should i say creampie pig, because that is what you now are, along with all the other things you have become tonight and all you will become."
i quickly flipped on my back, face up, mouth open as Master ordered me. He then helped Mistress to quickly sit up and sit on my face and open mouth. i had begged her for years to let me eat her pussy this way, but she had never wanted to do it. Now she plopped down full weight over my waiting mouth and began grinding her pussy onto my lips and tongue.
As she did it seemed like a gallon of Master's cum poured out. It was a huge amount, so much that at one point i thought i would gag. But then i remembered Master's riding crop and just began to lick and suck even more.
Meanwhile Mistress was moaning loudly grinding her cunt and clit hard as she fucked my face. "Yes, that is it you nasty cumpig; eat me out get every drop of Master's superior cum You cuntlapping swine." WIth the last words she suddenly shuddered and cried out in another orgasm, flooding my mouth with her own copious cum, mixed with the last of Master's jism.
i fetishd slightly. and felt two hard swats on my hard little clit. i moaned into her cunt as Master said, "No gagging or obligation pig. Just consume and feel lucky that you get this task." "Yes Master." i mumred into Her sopping wet cunt.
Mistress finally rolled off of my face, 'That was fantastic Master Tony, she purred. "But now I have to pee so badly I think I will explode" Master Tony laughed wickedly. "Then let's go into the bathroom. i am sure that the pig will make as eager a toilet for us as it was a cocksucker and cuntlicker."
Mistress laughed nastily, "oh it will love it. it is a pig you know and i am sure it will love to wallow in everything We give it."
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