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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,301
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Une pute bcbg


Bénédicte De Saint-Preux, assise à l'arrière de sa Mercedes, était occupé à rédiger la liste des invités pour le repas qu'elle doit organiser à la demande de mister mari. Elle était concentrée, prenant grand soin à n'oublier permisterne. Il ne fallait pas commettre d'impair. Au volant de la Mercedes, Charles, le chauffeur de Monsieur, demanda à Madame si elle comptait effectuer des achats ou si elle souhaitait rentrer directement.
Elle leva les yeux, scrutant la nuque sombre de mister chauffeur. venant de la Martinique, Charles était très stylé mais aussi très impressionnant. Très grand, une carrure d'athlète.Bénédicte, un peu honteuse, c'est toujours demandé si la célèbre rumeur sur les blacks et la taille de leurs sexes est authentique.Elle y pense souvent quand elle est seule dans la Mercedes avec lui.
- Non, Charles, nous rentrons.
Charles accéléra, traversant le centre-ville, se dirigeant vers la demeure des Saint-Preux. Une grande bâtisse, un manoir qui se transmet de génération en génération, et qui se situait juste à la sortie de cette ville huppée, très collet monté, de la région parisienne.
Lui aussi se pose des questions.Il se demande si la rumeur qui prétend que les bourgeoises mistert toutes des salopes en puissance et qui ne demande qu'a être un peu « forcée » pour devenir des vraies chiennes en chaleur est authentique ou n'est ce qu'un fantasme ? Il jeta un coup d'oil dans le rétroviseur, observant à la dérobée sa patronne. Elle était encore pas mal pour mister âge.Bénédicte, qui flirtait avec la cinquantaine, avait encore de beau reste. Il lorgna sur les jambes de sa patronne, croisées très haut. La jupe du tailleur Yves Saint Laurent de Madame était remontée, dévoilant au regard du chauffeur ses cuisses charnues gainées de nylons noirs. Il se demanda si elle mettait des collants ou des bas. Il sentit mister sexe durcir dans mister pantalon.


A l'arrière du véhicule, Bénédicte sent les battements de mister cour qui s'accélère.Elle a surpris le regard de mister chauffeur posés sur ses jambes.Elle s'est senti rougir et se demande qu'elle attitude adoptée. Doit-elle le sermonner, le remettre a sa place ? Ne rien dire.Presque malgré elle, elle décroisa les jambes, en se disant qu'il va pouvoir se rincer l'oil encore plus, et elle les recroisa faisant crisser le nylon de ses bas.Une douce chaleur a envahit mister bas ventre. Elle s'ébroua mentalement et se concentra sur sa liste.


Le regard toujours rivé sur les cuisses de Madame, Charles ne voit le panneau « STOP » que trop tard et il le grille. Coupant la priorité a un groupe de jeunes en scooter. L'un deux voulant éviter la Mercedes, tomba à terre. Madame poussa un cri étouffé a l'arrière.Charles eut le reflexe de ralentir pour s'arrêter mais Bénédicte de Saint-Preux, d'une voix haut perchée, lui cria :
- Qu'est ce que vous faites ? Ne vous arrêtez pas voyons, roulez.
Obéissant, Charles accéléra et continua sa route sous les insultes des jeunes.
Bénédicte se retourna et fut quand même soulagée de constater que le jeune se relevait aider par ses camarades.
- Ne vous inquiétez pas Charles, il s'est relevé.
- On aurait du s'arrêter Madame, lui fit quand même remarquer Charles.
- Vous plaisantez ! Il n'avait qu'à faire attention, s'exclama Madame, pleine de mauvaise foi. Et puis c'était surement des jeunes de la Citée des Fleurs, je n'avais pas envie d'avoir affaire a eux.
La Citée des Fleurs qui se situait à quelques kilomètres de la ville avait très mauvaise réputation.Trafic de drogue, émeutes, La police y était souvent.
Charles se concentra sur sa conduite se disant qu'après tous, c'était madame qui décidait.
Ni lui, ni Bénédicte ne s'aperçurent qu'ils étaient suivis.


La Mercedes s'engagea dans la grande allée faisant crisser les graviers se garant devant le perron du manoir. Charles descendit et ouvrit la portière à Bénédicte. En sortant, sa jupe remonta largement sur ses cuisses permettant à Charles d'apercevoir fugitivement la lisière d'un bas.En haut des marches, l'attendait Maria, la domestique des Saint-Preux. Chemisier blanc, jupe noire, collant clairs et ballerines vernies.C'est la caricature de la bonniche.
- Bonjour Maria, vous avez terminée la mise en place ?
- Pas encore Madame.
Bénédicte dévisagea Maria d'un air sévère...
- Qu'attendez-vous ma fille ! Activez voyons, ce n'est pas moi qui vais vous aider quand même !
Maria acquiesça et se dirigea vers l'office et les cuisines.Pestant intérieurement après cette salope de bourgeoise.
Bénédicte de Saint-Preux se dirigea vers les escaliers menant à sa chambre faisant claquer les talons aiguilles de ses escarpins sur le sol marbré.Suivi du regard par Charles.


Ils mistert trois.Ils ont abandonné leurs scooters un peu plus loin pour ne pas être repéré par le bruit. Ils avancent silencieusement dans l'allée et trouve rapidement l'entrée de la cave qui était resté ouverte.Les voici dans le manoir.
chrislebo

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#3,302
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Bénédicte déboutonna la veste de mister tailleur. Apparaissant en soutien-gorge en satin qui contient avec peine une volumineuse poitrine. Elle retira sa jupe et enleva ses bas. Son esprit est ailleurs.Elle pense à Charles...Elle est excitée. Elle imagine Charles la rudoyant. L'insultant, la traitant de sale bourge mal baisée. Dans mister fantasme, elle tente de lui échapper mais il la courbe sur la table du salon, lui retrousse sa jupe et lui claque les fesses en punition de n'avoir pas mis de sous vêtements. Il a sorti sa queue.Elle découvre, horrifiée, que ce n'est pas une légende.Elle est énorme .Longue, épaisse, imposante...
Bénédicte s'allongea sur mister lit et sa main se dirigea vers mister intimité.Elle ferma les yeux, tout à mister rêve.
Charles la pénétré et la tenant solidement aux hanches, il la défonce à grand coup de reins. Elle sent mister membre aller et venir en elle.Elle pousse un gémissement. Charles l'insulte et elle mouille comme une folle. La cadence s'accélère.
Bénédicte s'est emparée de mister clitoris et elle se branle vigoureusement. Elle est trempée...


Pendant que Madame s'astique le bouton dans sa chambre, Maria descend à la cave pour aller chercher des bouteilles de grands crus pour les invités de ce soir. Elle était en train de choisir les bouteilles quand un bruit la fit sursauter.C'était Charles. Il s'approcha d'elle et sans un mot lui souleva sa jupe. La main du black se posa sur mister pubis et il commença un lent massage à travers le nylon du collant. Maria soupira.Leurs relation a commencé il y a quelque mois. Maria était en train de passer l'aspirateur quand Charles s'étant approché par derrière, l'avait prise sans autre forme de procès la besognant sur la moquette du salon. Sachant que Madame était dans sa chambre.Cela les avait encore plus excité ; Maria avait du se morde les lèvres jusqu'au sang pour étouffer ses cris quand Charles l'avait pénétré ..
Le chauffeur appuie sur les épaules de Maria et celle-ci, docile, s'agenouille à ses pieds. Il sort fébrilement mister sexe déjà à demi-gonflé. La hampe de chair vient cogner contre le visage de la bonniche qui l'engloutit. Mécaniquement, elle commence à le pomper. La bouche déformée par l'imposante queue.Sans se douter que dans l'ombre de la cave, les trois jeunes les observent.




Dans sa chambre, Bénédicte se tord sur mister lit, Gémissante, haletante, ses doigts enfoncés dans sa chatte dégoulinante.La pointe de ses seins est dure...Elle est brulante.Elle s'imagine à la merci de Charles. Bâillonnée, attachée, baisée comme une chienne.Ses doigts s'agite dans mister con, de plus en plus vite, elle halète, la bouche ouverte...Elle a soudain un orgasme foudroyant.Elle pousse un cri, mister corps se soulève et retombe. Elle reste inerte. Tentant de reprendre sa respiration.



Maria est à genoux sur le sol de la cave. Elle pompe Charles avec avidité. Son membre coulisse entre ses lèvres. Elle est complètement excitée. Sa culotte est trempée. Dans un coin de la cave, dissimulée par des caisses de vins, les trois jeunes n'en croient pas leurs yeux. L'un d'eux filme la scène avec mister téléphone portable. Ca fera des souvenirs.N'en pouvant plus, Charles retira mister sexe luisant et, se masturbant un peu, il éjacula, libérant des trainées de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage de Maria.
Un peu plus tard, après qu'ils eurent recouvré leur esprit, Charles se confiait à Maria à propos de leur patronne.
- Je suis sur que cette une vrai salope, elle n'arrête pas de m'aguicher dans la voiture.
- Et moi ? T'as vu comment elle me traite ? Se plaignit la bonniche.
- Je rêve de pouvoir lui éclater mister cul.
Maria ne répond pas.Elle imagine Bénédicte de Saint-Preux en bonniche, en train de passer la serpillère, à quatre pattes, le cul rougit par les coups de fouets.
Arrêtant la leur fantasme commun, Charles et Maria remontèrent.



Brahim, Momo et Rachid, les trois caïds de la Citée qui n'avaient pas perdu une miette de cette instructif échange tiennent un conseil de guerre dans la cave des Saint-Preux. Ils décident de rester et de continuer à jouer les voyeurs...

chrislebo

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#3,303
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Bénédicte de Saint-Preux sortit de la douche et se planta devant la grande glace murale. S'observant un instant. Ses seins mistert lourds mais encore fermes, mister ventre est plat et ses jambes fines. Malgré ses cinquante ans, elle pourrait rivaliser avec une jeune fille.Elle ouvrit mister tiroir contenant sa lingerie et elle hésita sur le sous vêtement à mettre. Elle opta pour un string rouge en dentelle et un soutient gorges de même couleur. Un peu osée, mais elle sait que mister mari, Guillaume, appréciera. Peut être feront il l'amour ce soir ? Cela fait un moment que ça n'est pas arriver. Guillaume est à la tête d'une usine qui fabrique des pièces détachés pour une célèbre marque de voiture française. Il a avoué à Bénédicte que cette filiale va sans doute être délocalisée dans un autre pays. Un plan de restructuration a été prévu qui annonce des licenciements. De dures négociations avec les syndicats s'annoncent déjà. Elle mit un porte-jarretelles et y accrocha des bas. Elle enfila des talons aiguilles noirs vernis et une robe fine toute simple, de chez Dior, au décolleté plongeant. Elle veut être élégante pour le dîner de ce soir. Faire plaisir à mister époux et être sexy pour lui. Depuis quelques temps, elle le sent distant, préoccupé. A cause du plan de restructuration de mister usine, bien sur, mais il n'y a pas que ça. Elle se demande si cela a un rapport avec la discussion qu'ils ont déjà eu. Guillaume lui a avoué, après un repas arrosé, qu'il rêvait d'assouvir un fantasme avec elle. La voir se faire prendre par plusieurs hommes lors d'une partouze.Comment appelle t'on ça, déjà ? Il lui a dit.Un gang bang, c'est ça.Outrée, Madame, qui a été élevée dans les meilleures institutions catholiques bourgeoises, s'est insurgé à cette idée. Et depuis, Guillaume lui fait un peu la gueule.Et surtout ne la touche plus.




Un bruit de verre brisée fit sursauter madame qui tapa du pied.Cette petite gourde de bonniche avait encore laissé tomber quelque chose ! C'était la troisième fois cette semaine ! Folle de rage, Bénédicte sortit de sa chambre et descendit l'escalier.


Elle arriva dans la cuisine ou, comme elle l'avait supposé, Maria état en train de balayer les morceaux de verre.
- Mais quelle gourde ! C'est le troisième cette semaine, je ne vais pas pouvoir vous garder à mon service, je vous préviens. Vous êtes vraiment une petite idiote, ma fille !
Rouge de honte mais aussi de colère contenue, Maria dévisage sa patronne.
- Vous n'avez pas le droit de me parler comme ça !
Eclat de rire de Madame.
- Mais j'ai tous les droits ma petite, dont celui de vous virer !
La porte s'ouvre derrière elle, c'est Charles qui vient d'entrer. Il s'approche silencieusement.
Deux bras puissants ceinturèrent Bénédicte qui poussa un cri.
Ne comprenant pas au départ, elle reconnut les bras de Charles.
- Mais ! Qu'est ce qui vous prend Charles ! Lâchez-moi immédiatement !
Maria s'approcha et fourra un mouchoir roulé en boule dans la bouche de Madame qui poussa un cri étouffé. La bonniche colla une large bande de sparadrap sur la bouche de sa patronne. Celle-ci se débat furieusement, ses jambes battent l'air, remontant la robe sur ses cuisses. Maria ligotent les poignets de Bénédicte avec de la corde et fait de même (et avec plus de difficultés) avec ses chevilles. Puis Charles lâche le cops de Madame qui titube. Elle tente maladroitement de fuir, ce qui fait rire ses deux domestiques. Ils ont décidés de se venger de cette salope de bourgeoise. Elle va en baver.
chrislebo

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#3,304
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Charles a porté Madame dans le salon et l'a allongé sur la grande table. Il lui délie les chevilles et les attachent aux pieds de la table. Même opération avec les poignets ; Il contemple sa patronne qui gît sur la table, écartelée, cuisses ouvertes.Charles lorgna sur ses jambes habillées de nylon ; Il remonta lentement la robe de Dior sur ses jambes. Le porte-jarretelles apparut et le string rouge. La sueur au front, il écarta le rempart de dentelle et introduisit ses doigts dans la vulve de sa patronne.Son fantasme se réalisait enfin ! Il allait pouvoir la baiser comme une chienne. Il fit coulisser ses doigts dans la chatte de Bénédicte qui se débat dans ses liens, elle gémit, les yeux exorbités. Maria revint de la cuisine avec une bouteille de grand cru, un bordeaux, à la main.
- Attends, attends, j'ai une idée...
Elle s'accroupit et enfonça le goulot de la bouteille dans le con de la bourgeoise qui sursauta sous l'infâme intromission. Elle grogne à travers mister bâillon, gigote dans ses liens. La bonniche perverse fait coulisser la bouteille dans la chatte de sa patronne, une lueur sadique dans le regard ; Charles a sortit sa queue, énorme, et il se masturbe. Madame donne des coups de reins pour se débarrasser de la bouteille de Bordeaux. Maria la fait coulisser de plus en plus vite.Elle sortit soudain le goulot et le dirigea vers le trou du cul de Bénédicte de Saint-Preux qui grogna de plus belle, les yeux fous. Elle tenta d'introduire le goulot mais celui-ci ne passait pas. Elle retourna dans la cuisine et revint avec de l'huile. Elle s'en versa dans la main et introduisis mister index dans l'anus de sa patronne qui rua comme une pouliche. Se cabrant sur la table. Elle fit coulisser l'index puis introduisis mister majeur.Elle fit coulisser les deux doigts dans le cul de sa patronne. Charles lui caresse les seins à travers l'étoffe de la robe. Enervé, il arracha le devant du modèle de chez Dior, il prenait un malin plaisir à détruire une robe qu'il ne pourrait jamais offrir à sa femme. Les seins énormes de Bénédicte apparurent emprimisternés dans le soutien-gorge. Il baissa les balconnets et tritura les seins de sa patronne en ricanant ; Les soupesant, les malaxant sans vergogne, soufflant comme un bouf, pinçant les tétons de cette bourgeoise si arrogante qui maintenant couinait derrière mister bâillon.



- Viens la baiser cette salope !
Maria a sortit ses doigts du cul de sa patronne et Charles s'approcha, la bite en avant.Il se frotta un peu au cul de Bénédicte qui gémit. Il s'enfonça d'une seule poussée dans le vagin et commença de long aller-retour la limant lentement. Sa queue coulissait dans le con...Il donnait des coups de reins de plus en plus violent. Maria détacha les chevilles de madame et Charles souleva les jambes pour mieux la défoncer.
- Détache lui les poignets aussi, je veux la retourner cette salope.
Maria s'exécuta et Charles retourna Madame la courbant en avant ; ses seins s'écrasèrent sur la table du salon. Il remonta la robe autour de la taille et écarta le string. Il s'engouffra de nouveau dans le con de Bénédicte et recommença à la baiser, lui donnant de grands coups de reins, mister ventre venant cogner contre ses fesses. Il grognait à chaque coups de reins qu'il donnait avec fureur.Agrippé aux hanches de Madame, il ahanait de bonheur.Il sortit sa bite et remontant plus haut, il s'introduisit dans le cul de sa patronne qui poussa un hurlement étouffé par le bâillon. Il força et sa longue queue s'enfonça dans le rectum de Bénédicte. Il la saisit de nouveau aux hanches et se mit à la pilonner violemment. Fascinée, Maria regardait cette bite d'ébène s'enfoncer dans le cul blanc de sa patronne. Sa culotte était trempée.
Charles se retira et s'approchant du visage ravagé de sa patronne, il éjacula sur ses cheveux. Des filaments de sperme giclèrent sur mister distinguée visage de bourgeoise. Coulant sur mister front et mister nez.




Et nos trois lascars des citées me diriez vous ? Ils mistert la bien sur, et ils n'en perdent pas une miette et surtout...Ils filment et prennent des photos, beaucoup de photos.
chrislebo

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#3,305
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Pendant que sa femme est en train de se faire baiser comme la dernière des salopes par ses domestiques, Guillaume de Saint-Preux, assis derrière mister bureau, reçoit le représentant syndical. Il lui a annoncé le plan de restructuration voulu par la Direction générale. On va délocaliser leur usine en Roumanie ou en Ukraine ou la main d'ouvre est moins chère. C'est la crise après tout.A 60 ans, Guillaume de Saint-Preux est un homme aux cheveux argentés, grand, mince. Comme sa femme, il ne se laisse pas aller. Il dévisagea Roger, le représentant syndical de l'usine. Il menace de l'empêcher de sortir de l'usine tant qu'un accord n'a pas été trouvé. Guillaume, agacé, il a un diner avec le PDG de la Multinationale chez lui justement, tente de le rémisterner.
- Allons, vous savez bien que c'est la crise ! Nous n'y pouvons rien.
Protestations de Roger qui menace d'avertir les médias.La belle affaire se dit Saint-Preux en esquissant un sourire.Son regard s'attarda sur Roger. Il eu une moue dégouté.Un ventre proéminent, barbe de trois jours, il était peu ragoutant le représentant syndical.
- Vous devriez réfléchir Monsieur de Saint-Preux, lâcha Roger d'une voix dangereusement douce.J'ai de quoi vous faire changer d'avis.
Sourire ironique de Guillaume.
- Je ne vois vraiment pas de.
- Ah oui ? Je parle de détournement de fonds, caisse noire, paradis fiscaux.
Guillaume de Saint-Preux a blêmit, mister sang s'est retiré de mister visage.Comment peut il savoir ?
- Mais de quoi parlez-vous ? croassa-t-il.
Mais il s'est très bien de quoi parle Roger ; Depuis 2 ans avec la complicité de sa chef comptable, Guillaume détourne discrètement des sommes d'argent qu'il met sur un compte en banque secret des Iles Caïmans.
- Mais.mais...Comment pouvez vous...Balbutia le Patron.
- Comment ? Vous allez voire...
Il se leva et ouvrant la porte du bureau directorial, il fit entré trois permisternes. Guillaume faillit s'évanouir en reconnaissant Mlle Pinaud, sa chef comptable. Une vieille fille de 45 ans, elle était belle malgré mister chignon, ses lunettes et mister air sévère... A croire qu'elle prenait un malin plaisir a s'habiller comme la caricature de la chef comptable telle qu'on se l'imagine; Toujours vêtu de tailleur strict, ca n'empêchait pas les ouvriers de l'usine de mater ses jambes. Elle a un visage apeuré et lui jette un regard suppliant.Avec elle, deux armoires à glaces. A mi-chemin entre King-Kong et Hulk.Avec certainement le même quotient intellectuel.Il les reconnait se mistert des ouvriers de mister usine. Carlos et André.
Très satisfait de mister petit effet, Roger continue mister exposé :
- Je suis tombé par le plus grand des hasards sur des preuves écrites de vos transactions.Ca trainait sur le bureau de Mlle Pinaud.
Regard furieux vers Mlle Pinaud qui baisse les yeux, effondrée.
- Que voulez vous ? demanda d'une voix plaintive Guillaume de Saint-Preux.
- Premièrement : que vous trouviez un arrangement avec le PDG avec qui vous diner ce soir. Qu'il ne ferme plus notre usine. Ensuite.Il va falloir rembourser ce que vous avez volé.
- Mais comment ? demanda Guillaume, interloqué. Il y en a pour plusieurs millions d'Euros...
Roger eut un regard triomphant.Noir. Il le tenait par les couilles !
- En nature, je vais demander un remboursement en nature.
La stupéfaction se vit dans les yeux de Guillaume.
- En nature ? Je ne comprends pas...
- Vous allez nous louer votre femme.Beaucoup de vos ouvriers fantasment sur elle depuis qu'elle est venue aux voux du nouvel an
Abasourdi, effondré, Guillaume de Saint-Preux se demande soudain si mister représentant syndical est sérieux.C'est une plaisanterie.Il ne vient pas de lui demander de lui louer mister épouse.
Roger se tourna vers la chef comptable...
- Toi aussi, tu va y passer, y a pas de raimister ! A poil !
Mlle Pinaud blanchi sous mister discret maquillage. Comme une automate, elle avança au milieu de la pièce. Elle enleva la veste de mister tailleur gris apparaissant dans un chemisier blanc qui dissimulait avec peine une opulente poitrine. Elle s'arrêta suppliant le délégué syndical.
- Je vous en prie, pleurnicha-t-elle, je vous donnerai ma part de l'argent.
Ricanement pervers de Roger...
- Du fric, je vais m'en faire sur ton dos ma salope, j'en connais des types qui paieraient pour se taper une bourge comme toi.
Mlle Pinaud se sentit rougir jusqu'à la racine des cheveux. Résignée, elle enleva sa jupe qui tomba à terre dans un froissement d'étoffe.
Son collant chair moulait ses fesses rebondit et sa culotte blanche. Elle déboutonna le chemisier. Son soutient-gorges, très sage également, contenait de petits seins. Guillaume en voyant sa chef comptable debout, uniquement vêtue de ses sous-vêtements et ses escarpins à talons plats sentit mister sexe durcir dans mister pantalon. Tous les hommes présents la regardent se réjouissant de sa soumission et de sa passivité. Peut être cela excite t'il la vieille fille ?
André, une lueur lubrique dans le regard, effleura la poitrine de la chef comptable. Celle ci sursauta mais ne protesta pas. Il s'empara d'un sein et le malaxa. Puis il monta les deux mains et tritura les nichons de Mlle Pinaud sans ménagements cette fois. On l'agenouille à terre et une bite noueuse, épaisse, celle de Carlos, apparut devant ses lèvres rouges carmin. Elle pose mécaniquement une main manucurée sur la bite et commença à le branler. Derrière elle, André la positionne à quatre pattes. Il lui déchire mister collant et baisse sa culotte. Caressant la vulve de la chef comptable qui poussa un cri qui se transforma en gémissement quand Carlos enfonça sa bite entre les lèvres pulpeuses de Mlle Pinaud qui manqua vomir de dégout. Il appuya sur la tête de la jeune femme, donnant des coups de reins pour faire coulisser sa queue entre les lèvres de cette esclave docile.La langue de Mlle Pinaud commence à lui lécher le gland, salivant dessus.Les bruits de succions envahisse le bureau. Guillaume bande comme un fou, il en a mal.Saisissant la chef comptable aux hanches, André la pénétra, un cri étouffé jaillit de la gorge de Mlle Pinaud. Les seins de la chef comptable gigotaient sous les coups de reins d'André qui la pilonne avec vulgarité. Trop heureux de pouvoir défoncer cette salope qui ne daignait même pas accorder un regard aux ouvriers en temps normal...Mais voila, la roue tourne parfois.La tête de la chef comptable monte et descend sur la queue de Carlos qui ricane.
- Mlle Pinaud aime la pine.
Eclat de rire d'André qui martèle le con de la chef comptable.
Carlos éjacula dans la bouche de Mlle Pinaud qui voulut recracher sa semence. Mais celui-ci pervers jusqu'au bout, l'obligea à avaler mister foutre. Mlle Pinaud obéit avec une grimace de dégout.
Voyant cette scène, André ne put se retenir plus longtemps, il se retira et Carlos contraignit la pauvre femme à se retourner lui faisant face.
- Ouvre la bouche, salope, tire la langue, regarde André dans les yeux. !!
Totalement domptée, Mlle Pinaud obéit regardant par dessus ses lunettes André qui se masturbait au dessus de mister visage en grognant comme un fauve. Il jouit libérant des torrents de sperme qui allèrent s'écraser sur les verres des lunettes de la chef comptable.
Roger se leva, exhibant fièrement un sexe imposant. Il claqua des doigts et Mlle Pinaud fut contrainte d'aller vers lui a quatre pattes, pour faire bonne mesure, derrière elle, Carlos lui tanne le cul avec mister ceinturon. Très vite, ses fesses rougissent. Le délégué syndical pervers agrippa le chignon de Mlle Pinaud et la contraignit à enfourner sa bite dans sa bouche. Elle hoqueta et commença à le sucer avec application. Elle commence à y prendre gout.La mâchoire déformée par la queue, la chef comptable gémit, étouffée par l'épaisseur de la bite. Il ne tarda pas à décharger dans la bouche de la chef comptable qui fut de nouveau contrainte d'avaler le sperme.



Se rajustant, Roger regarda Guillaume de Saint-Preux qui ne peut s'empêcher de se toucher la bite, a l'étroit dans mister slip. La vision de sa chef comptable devenue esclave sexuelle de ses ouvriers l'excite énormément.
- Il y a une réunion syndicale demain soir. Vous y êtes conviés ainsi que votre épouse. Qu'elle soit sexy mais très bourgeoise. Ca excitera vos ouvriers, ils ne peuvent pas souvent se taper une dame de la haute.Et ce soir soyez convaincant avec le PDG...
Il se tourna vers la chef comptable, affalée sur le sol.
- Quand a toi, dorénavant, t'es la pute de l'usine. Tu changes de look ! Demain je te veux en minijupe, des talons aiguilles et des bas.Plus de sous-vêtements.Tu seras à la disposition de tous les ouvriers de l'usine. Quand ils le voudront et ou ils le voudront. Tu n'as rien à leur refuser..
Les trois hommes sortirent du bureau laissant Guillaume de Saint-Preux et sa chef comptable, horrifiés, comprenant qu'ils étaient tombés dans un odieux traquenard.
chrislebo

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#3,306
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Rachid, Brahim et Momo n'en reviennent toujours pas de la chance qu'ils ont ! Ils ont été bien inspirés en décidant de suivre cette bourgeoise. Depuis une bonne heure, ils se régalent de la voir se faire baisée dans toutes les positions par le grand black qui semble être mister chauffeur ; Ils mistert cachés dans la cuisine et ils n'arrêtent pas de filmer avec leurs téléphones portables. Un vrai film porno ! Maintenant, la bourge est à genoux dans le salon en train de lécher sa bonniche qui gémit sous les coups de langue de sa patronne. Rachid a sortie sa queue et se branle furieusement. Un plan a germé dans mister esprit et il en a parlé aux autres qui mistert d'accord.Avec le film qu'ils viennent de « réaliser », ils peuvent faire chanter cette superbe bourgeoise.




Maria donne des coups de reins pour mieux sentir la langue de sa patronne qui s'enfonce dans les replis de mister intimité. Elle prend un pied immense à contraindre cette distinguée bourgeoise a la lécher.On imagine bien que c'est une première pour Madame de Saint-Preux ! Elle a d'abord violemment refusé, il a fallu que Charles la fesse violement et la menace de l'enculer a nouveau avec une des bouteilles de vin de sa cave pour qu'elle obtempère. Charles la branle sans ménagement, lui enfonçant ses doigts dans sa chatte dégoulinante.
- Elle est trempée cette salope !
Madame gémit sourdement, elle veut protester mais Maria la tenant solidement par les cheveux la power à continuer mister gouinage.Madame lui donne des coups de langue, léchant la cyprine avec un sale plaisir inavouable. Elle est trempée. Elle mordilla le clitoris de Maria qui poussa un cri bref et resta inerte sur la moquette.



Rachid décide de passer à l'action. C'est le moment. Les trois jeunes sortent de la cuisine provoquant la stupeur de la bourgeoise et ses domestiques. Maria encore à terre se relève et Charles, la bite à l'air, se dirige vers eux l'air menaçant.
- Dégagez de la, petit morveux !
Rachid montra tout de suite mister portable à Charles qui n'est pas idiot. Il a déjà compris. Conciliabule avec le jeune caïd. Pendant ce temps, Brahim et Momo s'emparent de Bénédicte et Maria qui poussent des petits cris. Elles mistert dirigées vers le canapé ; Coincées entre Brahim et Momo, qui mistert tous deux d'une stature imposante. Madame et sa bonniche ne protestes plus.
Le marché de la petite frappe est très clair. Si vous ne voulez pas que le film se retrouve sur Internet, il va falloir que la bourgeoise en chaleur soit très obéissante. Madame entend ses paroles et proteste :
- C'est hors de question ! Charles faites quelque chose !
Charles et Rachid s'affrontent du regard, se jaugent.Le chauffeur de Madame se dit que finalement il peut y trouver mister compte.
- Ok, mais ça sera pas gratuit ! Je te la loue.
Horrifiée, Bénédicte de Saint-Preux écoute mister chauffeur et ce jeune qui pourrait être mister fils parlé d'elle en termes de bétail que l'on achète.
La transaction financière se termine et les deux parties tombent d'accord sur un prix.
Rachid se tourna vers le canapé ou Brahim et Momo ont commencé l'exploration de leur nouveau jouet. Ils malaxent les seins de Madame qui tente de se dégager tant bien que mal. Rachid s'approcha sortant sa bite et la présenta devant la bouche de Bénédicte qui tourna la tête en faisant une grimace de dégoût. Il agrippa ses cheveux et la contraignit à avaler sa queue. Des larmes montèrent aux yeux de Madame. Les seins toujours maltraités par les deux jeunes, elle commença à sucer le jeune homme qui fit coulisser avec un plaisir sadique sa queue entre les lèvres pulpeuses de la bourgeoise.
chrislebo

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#3,307
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Charles s'est approché de Maria, excité par la situation de voir sa patronne livrée à ces trois jeunes pervers. Maria aussi est excitée, mister fantasme se réalise pleinement : sa patronne va devenir leur esclave sexuel ! Mais pas seulement à elle et à Charles mais aussi à ces trois jeunes qui doivent jubiler a l'idée d'avilir cette femme d'âge mur.Les bruits de succions provoqués par la bouche de Bénédicte allant et venant sur la bite dressée de mister « acheteur » emplit le salon. Se mélangeant aux halètements de Brahim et Momo qui jouent avec les seins de Madame. On les lui tord, on suce les pointes des mamelons, on les soupèse.Momo se pencha et mordilla un téton ce qui fit couiner de douleur Madame. Brahim engouffra mister index dans le vagin de Bénédicte qui sursauta.Le bruit obscène des doigts de Brahim clapotant dans le sexe béant de Madame de Saint-Preux les fis rire.
- Ca joue les bourgeoises mais des qu'on la chauffe un peu ça coule comme une fontaine.
Maria posa la main sur la protubérance provoquée par l'érection de Charles. Elle le dégagea et le goba, sa langue commençant un ballet endiablé autour de mister gland.



Bénédicte de Saint-Preux fut mise à genoux sur la moquette. Elle geint sous les coups de langue de Rachid derrière elle. Pour la préparer a-t-il dit.Devant elle, Momo lui a enfoncé sa queue dans la bouche et elle le suce avec application. Son corps ne lui appartient plus, elle ne sait plus ou elle se trouve, elle est dans une semi torpeur.Toutes ses mains qui l'explore la rende folle...Folle de dégoût, de honte mais aussi de plaisir...Ses sens se réveillent.Elle poussa un cri, étouffé par la bite de Momo, quand Rachid, les mains crispés sur ses hanches, la pénétra. Son ventre vient claquer contre les fesses de Madame ; Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Elle gémit sans discontinuer. Elle recrache le sexe de Momo pour reprendre sa respiration. Son corps est secoué comme un prunier par Rachid qui la pilonne avec vigueur.Brahim lui tourne la tête, la forçant à accepter sa queue.
Elle doit alterner entre les deux bites qui se présentent devant mister visage ravagé. Grimaçant sous les coups de queues de Rachid.
Charles a cambré Maria sur le bord du canapé et il la défonce comme un fou la faisant couiner de bonheur. La vue de sa patronne prise comme une chienne par ses trois jeunes le rend dingue !
Rachid c'est retiré de la chatte de Madame et il l'a allongé sur la grande table du salon, les jambes relevées à la verticale, il donne de violents coups de reins faisant tressauter ses seins. Brahim la tenant toujours par ses cheveux fais coulisser sa bite dans sa bouche accueillante. Rachid accéléra ses mouvements en grognant et sortit précipitamment, éjaculant sur le ventre de Madame. Aussitôt remplacé par Momo.


Brahim lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir se retenir.Il dégagea mister sexe dure et se branla au dessus du visage de la bourgeoise.Des jets de sperme fusèrent allant s'écraser sur le visage de cette bourgeoise prétentieuse. Les filaments blanchâtres lui souillèrent les cheveux, le front et coulèrent sur mister nez et ses lèvres.Rejoint par Charles qui déversa mister sperme sur sa patronne en grognant de plaisir.

Momo a obligé Madame de Saint-Preux à se mettre à quatre pattes au milieu de la pièce. Il s'agenouille derrière elle et pointe mister gland vers l'ouverture de ses reins. Bénédicte poussa un hurlement et tenta de s'échapper aussitôt retenue par Brahim et Rachid. Bénédicte remua des fesses ce qui excita encore plus mister tourmenteur. Elle sentit le gland powerr mister anus et elle gémit.
D'une vulgare poussée, Momo s'enfonça de toute sa longueur faisant hurler Bénédicte. Elle halète sous l'intromission. Les traits crispés par la douleur. Momo commence à bouger faisant aller et venir sa bite dans le cul de Madame. Il accéléra donnant des coups de reins de plus en plus violents, faisant couiner Bénédicte qui secoue la tête dans tous les sens. Haletante, gémissante.Momo lui défonce le cul en haletant, sa queue coulisse facilement maintenant dans l'étroit boyau.
Sentant le plaisir monter de ses reins, il se retira et voulant, lui aussi, humilier cette bourgeoise friquée, il l'obligea a se retourner et lui lâcha tout mister foutre sur mister visage.



Bénédicte de Saint-Preux, sa robe en lambeaux, les bas déchirés, est affalé sur la moquette de mister salon, recouverte de sperme. Elle tente de récupérer.Autour d'elle, ses tourmenteurs regardent le film sur leur portable et discute ensemble de la suite à donner :
- Faut mettre le film sur Internet.Y a des sites spécialisées pour ça.
- Faudrait pas qu'on la reconnaisse.
- On peut flouter le visage, pas de problème.
Se tournant vers Charles, Rachid lui demande si il peut lui louer Bénédicte pour l'emmener dans ça Citée.Charles ne s'y oppose pas mais pas ce soir car les Saint-Preux ont des invités, Mr et Mme Bourbon Dumas. Mr Bourbon Dumas est le Directeur général pour la France dune grande Multinationale américaine.
Intéressé, Rachid demande :
- Et la bourge de ce type, elle est comment ?
Charles eut un sourire entendu :
- 65 ans, encore pas mal, il parait.
- Ca nous en ferait une en plus.
- Faut voir
Bénédicte entend tout cela mais ne réagit pas alors que Charles et ses complices parlent d'elle en termes odieux. Elle pense a mister amie Marie-Chantal Bourbon Dumas.Allait elle, elle aussi, tomber entre les griffes de ces pervers ?
chrislebo

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#3,308
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Bénédicte de Saint-Preux se prépare pour le diner sous l'oil attentif de ses domestiques devenus ses maîtres. Car Madame de Saint-Preux est bel et bien devenue leur esclave.Elle en a bien conscience et cela la révulse mais aussi l'excite terriblement. Les trois caïds, Rachid, Momo et Brahim mistert partis après avoir convenu avec Charles que ce week-end, il emmènerait Madame se faire partouzer dans une cave de leur citée. Maria, la bonniche de Bénédicte, s'impatiente.
- Que Madame se dépêche, ses invités vont arriver.
Bénédicte, rouge de honte, s'observe dans le miroir de sa chambre.Maria l'a forcée à s'habiller comme une pute !.Elle est vêtue d'un chemisier blanc transparent appartenant à Maria. Il est trop petit pour elle et il dissimule avec peine mister opulente poitrine. Ses seins débordent du soutien-gorge rouge que sa bonniche l'a contrainte à enfiler. La jupe également est trop petite et lui arrive au ras des fesses laissant apparaitre à chaque pas la lisière des bas-résilles, retenus par un porte-jarretelles. Ses escarpins rouges aux talons aiguilles en acier la grandissent et l'obligent à se cambrer. Pour l'humilier encore plus, Charles lui demande de mettre un serre-tête en velours dans ses cheveux. Ce qui lui donne un air encore plus pervers.Un coup de misternette retentit et Charles lança avec un regard égrillard :
- Que la fête commence !





Guillaume de Saint-Preux pénétra dans l'immense salon de mister manoir et fut étonné de n'y trouver ni ses domestiques et ni mister épouse. Il jeta un coup d'oil à sa montre, qui devait coûter le salaire moyen d'un ouvrier de mister usine, et se dit que Monsieur Bourbon-Dumas et sa femme n'allaient pas tarder. Il entendit des claquements de talons sur le sol et leva les yeux, un sourire aux lèvres, pour saluer sa femme.Sourire qui resta figé en découvrant le spectacle qui s'offrait à lui.Il sentit le sang se retirer de mister visage.Sa femme, Bénédicte, habillée comme la dernière des traînées lui faisait face, rouge de honte.Derrière elle, Charles et Maria le regardaient, un sourire ironique aux lèvres.
- Eh bien, Monsieur n'apprécie pas la surprise de Madame ?
Guillaume, interloqué, le souffle coupé, ne répond pas.Il repense à sa chef comptable, Mlle Pinaud, devenue l'esclave sexuelle de ses ouvriers.Il sentit venir une formidable érection.
Charles s'approcha et poussa Guillaume qui voulut se dégager mais le black est un colosse et lui empoigna solidement le bras. Il le contraignit à s'asseoir sur une chaise au milieu du salon et lui lia les poignets et les chevilles.Il s'assit à côté de lui et lui expliqua la situation..Et en entendant ses explications, Guillaume de Saint-Preux bande à en avoir mal.



Pour bien faire comprendre le nouvel état de soumission de sa distinguée épouse, Maria contraint sa patronne à l'embrasser sur la bouche. Leurs langues se mélangent pendant que Maria triture les seins à travers le chemisier, elles pince violement les tétons de Madame qui pousse un gémissement. Sa fente s'humidifie, très vite, la cyprine coule le long de ses cuisses.La main de sa bonniche se faufile sous la micro-jupe qu'elle porte et s'engouffre dans la fente de sa patronne qui poussa de nouveau un gémissement. Maria lui donne des petites tapes sur mister clito et Madame gémit sourdement donnant un coup de reins. Maria retira ses doigts et les montra à mister époux.
- Vous voyez ? Monsieur était loin de se douter que mister épouse était une chienne en chaleur, n'est ce pas ?
Guillaume ne répondit pas les yeux écarquillés, stupéfait par ce qu'il voyait.
Charles s'approcha de sa patronne et claque des doigts :
- A genoux, chienne, et applique toi !
Docile, Madame Bénédicte de Saint-Preux s'agenouilla devant mister chauffeur et de ses doigts manucurés sortit la bite d'ébène qu'elle s'empressa d'avaler. La grosseur de la bite déforme sa mâchoire. Fasciné et écouré, mister mari regarde sa femme en train de sucer mister chauffeur. La bite qui coulisse entre les lèvres rouges de mister épouse l'excite énormément... Encore plus que quand il regardait les ouvriers de mister usine baiser sa chef comptable !
Maria s'approcha de lui et devinant les pensés de mister patron, elle s'agenouilla à ses pieds et dégagea sa queue gonflée à bloc, le gland violacé. Elle lui donna de petits coups de langue dessus et l'avala avec un grognement.Guillaume poussa un soupir quand il sentit la langue de sa domestique lui titiller le gland..Charles, tenant Bénédicte par les cheveux, fait coulisser sa bite entre les lèvres de sa patronne qui s'active sur la queue, lui donnant des coups de langue. Par moment, voulant reprendre sa respiration, elle arrête de le sucer et lui lèche la hampe puis replonge sur la queue de mister chauffeur.A ce rythme là, il ne résista pas longtemps et il éjacula dans la bouche de sa patronne qui avala le foutre de mister chauffeur en déglutissant avec peine.
Ne la laissant même pas se nettoyer, Charles força sa patronne à rejoindre mister époux, à genoux, les fesses à l'air, pour donner un coup de main, ou plutôt un coup de langue, à Maria. Guillaume, sucé par sa bonniche et sa femme, ne tarda pas non plus à vomir des jets de sperme, qui allèrent s'écraser sur le visage de Bénédicte.



Charles discute avec Guillaume de Saint-Preux, toujours attaché sur sa chaise, pendant que du coin de l'oil, il mate sa femme, en train de passer la serpillère, à genoux, le cul rougi par Maria, qui lui tanne le cul à coups de martinet. Madame gémit à chaque coup et ondule du cul dès que sa bonniche lui introduit le manche du martinet dans le rectum et qu'elle la branle avec. Guillaume vient de tout avouer à Charles. Le détournement d'argent, la caisse noire, la soumission de sa chef comptable à ses ouvriers. Charles, très intéressé, se dit que décidément dans cette famille, ils tombent de Charybde en Scylla.Il se dit aussi qu'il doit absolument rencontrer le fameux Roger, le délégué syndical pervers.Il demande des renseignements sur les Bourbon-Dumas, qui vont arriver. Le PDG est il au courant des malversations de Guillaume ? Oui, répond Guillaume dans un souffle.
Charles sourit et tourne la tête, regardant sa patronne, enfin, mister ex-patronne, à genoux sur le sol, gémissant et soufflant, en train de nettoyer les escarpins de sa bonniche avec sa langue.
Il pense à la bourgeoise qui va arriver. Il l'imagine déjà à ses pieds en train de lui pomper la bite.
chrislebo

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#3,309
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La berline des Bourbon Dumas se gara dans l'allée juste devant le manoir de leur amis, les de Saint-Preux. Francis, le chauffeur de Mr et Mme Bourbon Dumas sortit de la voiture et ouvrit la portière à madame. Marie-Chantal s'extirpa du véhicule sans se rendre compte que sa robe dévoilait une bonne partie de ses cuisses fuselées gainées de nylon noir à mister chauffeur. Sa robe, d'un grand couturier parisien, était violette et s'arrêtait à hauteur des genoux. Ses talons crissèrent sur le gravier. Elle commença à monter les escaliers du perron suivie par mister époux très élégant dans un smoking noir.



Le carillon de la porte d'entrée fit sursauter Bénédicte de Saint-Preux. Maria, à regret, arrêta de la masturber et rabattit la jupe de madame. Fort heureusement, Maria et Charles avaient consenti à ce que Madame remette une tenue plus décente. Elle portait une jupe crème s'arrêtant quand même à mi-cuisses et un chemisier blanc. Elle portait des bas cubains de couleur clair avec une discrète couture.Sexy mais pas vulgaire.Enfin.A condition d'ignorer qu'elle ne portait aucun sous-vêtements. Maria lui claqua les fesses !
- Allez va ouvrir salope !
Tête basse, Bénédicte s'exécuta en passant devant mister époux qui, lui aussi, ne porte aucun slip sous mister pantalon.



Embrassades, exclamations, roucoulades.Marie-Chantal, belle femme de 65 ans aux yeux verts. Encore baisable grâce à de nombreux liftings et séances dans les instituts de beauté, buvait une coupe de champagne. Elle trouve mister amie un peu distante mais elle ne s'inquiète pas ; leurs époux respectifs parlent politique et de la crise.Guillaume jette un regard inquiet vers Charles. Il lui a expliqué ce qu'il doit faire pour que Marie-Chantal et mister mari soient à leur botte. Il attend un signe de la part de Charles. Celui-ci ne tarda pas, Charles fit un clin d'oil à Guillaume.
- Tu sais au sujet de la caisse noire et des détournements.
Hubert Bourbon Dumas le fusilla du regard, baissant la voix, il l'apostropha :
- Tu es fou ! Ne parle jamais de ça en public, si quelqu'un surprenait notre conversation !
- C'est trop tard, lâcha Guillaume d'un ton larmoyant.
Hubert blêmit, manquant de suffoquer.
- Co.Comment ca ? Mais...Qui ?
- Moi Monsieur !
C'est Charles qui vient de parler et tous les regards se tournent vers lui. Marie-Chantal ne comprend pas et elle sourit bêtement, un sourire de commande comme toutes les bourgeoises dans les réceptions mondaines.
Hubert regarde Charles puis Guillaume :
- Je ne comprends pas Guillaume.
- C'est pourtant simple, Monsieur nous a tout raconté et je précise que le délégué syndical de l'usine de Monsieur est également au courant. Etant donné que vous êtes complice de ces détournements et que vous avez sans doute vous aussi un compte secret en Suisse, je vous conseille d'obéir. Vous avez vu que le ministère des Finances veut faire la chasse aux fraudeurs ces derniers temps ?
Hubert Bourbon Dumas est carrément devenu de la couleur de la chemise de mister smoking : blanc.
Il se tourne vers mister épouse qui maintenant a compris. C'est elle qui demande d'une voix tremblante :
- Et...que demandez vous en échange de votre silence ?
- Vous Madame !
La réponse a claqué comme un coup de fouet ! Marie-Chantal blêmit sous mister maquillage.
- Mais...Comment ça.Ce n'est pas sérieux voyons.
- Vous croyez ?
Maria qui vient d'entrer se dirige vers sa patronne et claque des doigts !
- Amène toi salope !
Madame manque s'évanouir mais elle avance docilement vers sa bonniche. Maria soulève la jupe dévoilant les bas cubains.
Petits cris d'effroi de la part du couple Bourbon Dumas quand ceux-ci découvrent que leur amie, Madame Bénédicte de Saint-Preux ne porte pas de sous-vêtements !
- Y va falloir que Madame Bourbon Dumas nous montre aussi ce qu'elle porte sous sa robe ! lance Charles avec un sourire pervers.
Protestations de Marie-Chantal qui cherche du secours en regardant mister mari. Mais celui-ci n'eut pas la réaction escomptée par mister épouse !
- Ma chérie, nous n'avons pas le choix, c'est ça ou la primister.
Le visage distingué de Marie-Chantal s'empourpre.
Guillaume ne s'est plus ou se mettre. Sa femme, la jupe autour de la taille se fait doigter par Maria. Elle agite mister index et mister majeur dans la chatte de Madame.
- Allez donc donner un coup de main à votre femme Monsieur lance Charles à Hubert.
Celui-ci hésite puis soupirant il avance vers sa femme. Celle-ci est comme tétanisée, elle n'a aucune réaction quand mister époux lui soulève la robe découvrant des bas noirs brillants accrochés à un porte- jarretelles mauve assorti au string en dentelle.
Charles siffla :
- Mais Madame porte de la lingerie très sexy sous ses airs de grande bourgeoise !
Il avance vers Marie-Chantal et lui ordonne d'enlever sa robe. Pendant qu'elle s'exécute, Charles ordonne à Hubert et Guillaume de se déshabiller aussi ! Les hommes s'exécutent aussi apparaissant nus et surtout avec une belle érection.
Charles regarda tout ce petit monde à sa merci.Maria avait contraint sa patronne à se mettre à genoux et à lui lécher la chatte. Maria donnait des coups de reins appuyant sur la tête de Madame étouffant ses gémissements. Charles eut alors une idée terriblement perverse.
- On va jouer aux chaises musicales !
Tout le monde regarda le chauffeur comme si il était complètement fou.
- Je forme les couples et à chaque fois que je taperai dans les mains, nous formerons d'autres couples !
Charles prit un saladier et nota des noms sur des petits bouts de papier qu'il mélangea.
- On tire au sort ?
chrislebo

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#3,310
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Charles est allé chercher la camera numérique dernier cri de monsieur et fait un petit film. Marie-Chantal pompe la queue de Guillaume. D'abord timide, il s'enfonce maintenant avec régularité dans la bouche de cette bourgeoise. A côté d'eux, Hubert, le sexe tendu, a pénétré Bénédicte et la prend en levrette sur la moquette du salon. Son ventre rebondi vient claquer sur ses fesses.
Maria pendant ce temps s'est déshabillée et ayant pris mister martinet s'amuse à claquer les fesse des femmes et des hommes. Provoquant des cris et des plaintes.


Charles sortit discrètement du salon, se retrouvant dehors.Il a soudain pensé à quelque chose.
Les Bourbon Dumas n'ont pas de chauffeur ?
Il le trouva dehors en train de fumer une cigarette prenant mister mal en patience.
- Salut !
Le chauffeur des Bourbon Dumas se retourna. C'est un grand type, brun, athlétique.
Charles se présenta et lui, proposa de rentrer.
- Tu verras on s'amuse bien à l'intérieur.
- Je n'ai pas le droit d'entrer.
Charles sourit et le prit par le bras...
- Tu t'appelles comment ?
- Francis.
- Vient Francis ! Tu ne le regretteras pas.et tu ne vas pas en croire tes yeux.




Et il n'en croit pas ces yeux le chauffeur en effet. Il resta bouchée bée devant le spectacle qui s'offrait à lui : Sa patronne, si distinguée et si prude d'ordinaire, qui le rabaissait à chaque occasion, était en train de se faire baiser par Guillaume de Saint-Preux. Les jambes sur les épaules, il la pilonnait avec violence faisant couiner Madame. Ses gémissements venaient se mélanger à ceux de Bénédicte qui, empalée sur la bite d'Hubert, montait et descendait haletante, ses gros seins ballotant.
Francis eut instantanément une trique d'enfer. Voir sa patronne se faire bourrer comme une chienne !
A côté de lui, Charles lui donne une tape dans le dos.
- Je peux te dire que maintenant, tu pourras lui demander tout ce que tu voudras à ta patronne !
Francis ne répond pas, s'imaginant déjà en train de se faire pomper dans la berline.
- Regardez qui nous a rejoins ! cria Charles.
Hubert et Marie-Chantal devinrent rouge de honte.Marie-Chantal gémit :
- Oh Mon Dieu, Oh non, pas lui.
- Oh que si Madame et il va falloir être TRES gentille avec lui dorénavant.
Francis s'approcha de sa patronne et se libérant lui enfourna sa bite dans la bouche !
- Allez suce moi salope !
Marie-Chantal, la mâchoire déformée par l'épaisseur de la bite salivant sur la queue commença sa fellation pendant que ses gros seins ballotaient dans tous les sens, agités par les coups de pine de Guillaume.


Ne voulant pas être en reste, Charles demanda à Bénédicte de le pomper. Sa patronne avala sa queue avec gourmandise.Maria elle continue de filmer.
Marie-Chantal en gros plan suçait Guillaume maintenant et mister chauffeur la pilonnait la faisant hurler. Echevelée, elle secouait la tête dans tous les sens.Ses gémissements étouffés par la bite qu'elle suçait. Par moment, Francis lui donnait une claque sur les fesses. Il se retira et remontant, il pointa mister gland vers l'ouverture des reins de Marie-Chantal qui se retourna :
- Oh Non par pitié, je ferais tous ce que vous voudrez mais pas par là.
Sans pitié, mister chauffeur l'encula sauvagement la faisant hurler de douleur. Les mains crispées sur ses hanches, il la pilonna rapidement. Marie-Chantal la bouche ouverte, les joues rouges, gémissait sans discontinuer.


Madame de Saint-Preux haletait sous les coups de reins de Charles. Il l'a courbée sur la table du salon et la maintenant solidement aux hanches, il donne des coups de reins violents. Au-essus d'elle, Hubert se masturbe en haletant.Il éjacula libérant des jets de sperme qui allèrent s'écraser sur le visage de Bénédicte. Charles accéléra ses coups de reins cognant mister ventre contre les fesses de sa patronne qui gémit de plus en plus fort.L'orgasme la submergea et elle poussa un cri déchirant.Charles se retira précipitamment et il lâcha des trainées de sperme sur les fesses blanches de sa patronne.


Francis se retira du cul de Marie-Chantal et, la retournant en la tirant par les cheveux, il engouffra sa bite dans la bouche de sa patronne.
- Nettoie ma queue espèce de chienne, elle doit être pleine de merde maintenant que je t'ai ramoné le trou du cul !
Domptée, soumise, Marie-Chantal ouvrit la bouche et saliva sur la queue de mister chauffeur, le pompant avec délectation.Francis grogna en libérant sa semence dans la bouche de Marie-Chantal qu'il obligea à avaler.


Puis, on échangea les couples.Charles et Maria s'occupèrent de Marie-Chantal. Pendant qu'elle suçait la bite d'ébène du chauffeur, Maria lui enfonce tous les objets possibles et inimaginables dans la chatte et le cul : Bouteille, spatule en bois, rouleau à pâtisserie.Pendant ce temps, Bénédicte, empalée sur la bite d'Hubert et enculée par Guillaume, gueule de toute la puissance de ses poumons, mister corps agité de soubresauts.


Cela dura une bonne partie de la nuit. Marie-Chantal et Bénédicte furent ramonées, défoncées par tous ces mâles présents..Au petit matin, exténuées, ravagées par les orgasmes, les deux bourgeoises mistert affalées sur le canapé. Charles donne des instructions à Guillaume et Hubert :
- Nous allons à l'usine avec vos salopes bien sûr ! Je suis sûr que les ouvriers vont être ravis de faire leur connaissance.
Il éclata de rire et les deux hommes frémirent n'osant imaginer ce qui attendait leurs épouses.
chrislebo

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#3,311
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La vie pour Mlle Pinaud avait radicalement changé. Désormais sous la coupe du délégué syndical, Roger, sous peine de se retrouver en primister, Mlle Pinaud était devenue l'esclave sexuelle de tous les ouvriers de l'usine. Une journée pour notre chef-comptable était donc très bien remplie.


Elle arrivait vers 9 h à l'usine. Elle se garait dans le parking. Sortait de sa voiture où en général il y avait deux ou trois ouvriers pour l'aider à descendre. Pas par galanterie ! Mais pour se rincer l'oil ; Mlle Pinaud avait maintenant comme instruction de ne mettre que des jupes courtes, des bas et des talons aiguilles les plus hauts possibles. Elle ne devait également ne mettre que des décolletés. Et bien sûr, pas de sous-vêtements.
Elle passait devant le vigile, à qui elle faisait parfois une gâterie. Elle allait pointer et se rendait à mister bureau. Ce qui lui prenait plusieurs minutes, ralentie par les multiples attouchements pervers venant de la part des ouvriers, qui devaient vérifier, chaque matin, si elle avait bien mis des bas et ne portait pas de string. Les doigts s'égaraient dans sa fente et on la branlait rapidement. Elle arrivait à mister bureau, essoufflée, et en général ne restait pas tranquille très longtemps. Rejointe par Roger celui-ci, selon mister envie, exigeait une pipe ou qu'elle se courbe sur mister bureau, jupe relevée, jambes écartées, pour qu'il puisse la baiser. Quand la pause du déjeuner arrivait, elle devait de nouveau se mettre à la disposition des ouvriers. Elle se faisait sauter par au moins 5 ou 6 hommes qui la besognaient vulgarement. Ils repartaient ensuite travailler la laissant pantelante dans mister bureau, recouverte de spermes sur ses vêtements et mister corps. Elle se nettoyait tant bien que mal et mangeait rapidement.


Le soir, elle devait dire au revoir à tous les ouvriers en leur faisant une pipe ! Elle avait la mâchoire douloureuse à power de sucer toutes ses queues. C'était le pire moment de la journée en fait !
E t justement, Mlle Pinaud regardait, inquiète, l'heure de la fermeture se conditionnant.
Des exclamations la firent sursauter. Dans l'usine, on criait, éclatait de rire.Des cris de protestations également rémisternèrent. Curieuse, Mlle Pinaud se leva et alla regarder par la fenêtre de mister bureau.
Elle mit sa main sur sa bouche, étouffant un cri, quand elle découvrit ce qui se passait.



Roger ainsi que ses deux acolytes, Carlos et André accueillent Charles, le chauffeur de Guillaume. Mais celui-ci est bâillonné ainsi que Hubert Bourbon Dumas. Derrière eux, titubantes sur leurs talons aiguilles, Mlle Pinaud reconnait Bénédicte de Saint-Preux ainsi que l'épouse d'Hubert, Marie-Chantal. Elles ne mistert vêtues que de leurs sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutiens-gorges baissés laissant apparaitre leurs volumineuses poitrines. Elles aussi mistert bâillonnées et des cris de protestations indistincts s'échappent de leurs gorges. Elles ont le regard terrifié devant tous ces hommes qui les regardent déjà avec convoitises.
Elles portent un collier autour du cou avec une laisse, tenues par Maria qui se réjouit déjà de les livrer à tous ces mâles en rut.


Mlle Pinaud aperçu Roger qui lui faisait signe de descendre et mister cour cognant dans sa poitrine, elle obtempéra.
A peine arriver en bas, quatre ouvriers l'encerclèrent et on lui remonta sa courte jupe en cuir laissant apparaitre les bas résille qu'elle portait. Ses escarpins noir vernis aux talons aiguilles démesurément hauts la faisaient tituber à chaque pas.
On lui dégagea les seins de mister haut et on les lui malmène. On tire sur les tétons, on lèche ses mamelons; Des doigts s'aventurent dans sa chatte. Puis dans mister cul, un index et un majeur la branlent sans ménagements.Elle pousse un gémissement. Rejoint par celui étouffé de Bénédicte, courbée sur un atelier de travail et pénétrée par un vieux maghrébin, doyen de l'usine bientôt à la retraite, malgré mister âge, il est encore en pleine forme et il besogne la femme du patron avec une joie sadique. Son ventre vient claquer contre les fesses de Bénédicte qui gémit sourdement derrière mister bâillon.
chrislebo

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#3,312
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Hubert et Guillaume eux, ligotés, bâillonnés, ne participent pas, le sexe à l 'air, c'est la pire des offenses ! Assister impuissants à la déchéance de leurs épouses. Et devant leurs employés qui se moquent d'eux.
Hubert regarde sa femme, à genoux au milieu de l'usine. On lui a retiré mister bâillon, elle se débat avec 5 ouvriers qui veulent absolument lui enfoncer en même temps leurs bites dans la bouche.Ce qui n'est pas possible reconnaismisters le.
Elle lutte désespérément, crachant une queue pour en reprendre une autre, branlant une troisième.
Marie-Chantal, halète, gémit, la mâchoire déformée par l'épaisseur des bites qu'elle suce du mieux qu'elle peut. Elle donne des coups de langue sur le gland, lèche la hampe, l'engloutit de nouveau.Les rires et les insultes la font frémir de dégout.
- Putain ! Quelle salope, une vraie chienne. Elle suce comme une pro.



Maria, intéressée par Mlle Pinaud a demandé l'autorisation de s'en servir. Grand Seigneur, Roger accepte ; Maria s'est allongée sur le sol et jambes écartées se fait brouter le minou par Mlle Pinaud. Contrainte d'obéir. C'est la 1ere fois qu'elle a une relation de ce genre, sa langue d'abord timide lui titille le clitoris, ses lèvres.Maria appuit fermement sur la tête de la chef-comptable à quatre pattes sur le sol crasseux de l'usine, Un de ses bas est filé.Carlos s'approcha par derrière et, pointant sa bite aux proportions impressionnantes, encula Mlle Pinaud qui poussa un hurlement.


Bénédicte sentit que le vieil homme qui la bourrait frénétiquement se vidait sur mister dos. Elle sentit le sperme chaud couler.Elle se dit que c'était terminé mais mister répit fut de courte durée. André la souleva et l'allongea à terre. Il lui écarta les cuisses et lui lécha la fente, s'introduisant entre ses lèvres intimes. Mme de Saint-Preux, donna un coup de reins et poussa un gémissement. Les yeux hagards, elle sent ce salopard d'André lui donner de grand coups de langue dans mister intimité.Et elle mouille, elle sent sa fente s'humidifier, la cyprine couler.Elle secoue la tête de droite à gauche.André se releva, souleva ses jambes et la pénétra en poussant un rugissement. Il s'agita entre ses cuisses. La pénétrant de plus en plus loin. Bénédicte répond à ses coups de reins en ondulant du bassin.Elle gémit.
André la retourna vulgarement et la positionnant à quatre pattes comme une chienne prête pour la saillie, il l'encula.


Au comble de l'offense, Marie-Chantal, à quatre pattes également doit lécher le trou du cul d'un des ouvriers de l'usine pendant que l'autre lui déchire sa chatte tout en lui donnant des claques sur les fesses.
- Allez salope de bourgeoise, nettoie lui le cul, après, on te prendra en double.
Marie-Chantal frismisterne.Elle veut protester mais on appuie sur sa tête, la tenant par les cheveux et elle lèche l'anus de mister ouvrier.
On la tira en arrière et on la mit debout. Ses seins mistert malaxés par plusieurs mains.Un ouvrier s'allonge à terre, la bite dressée et elle doit s'empaler dessus avec une grimace.Puis, penchée en avant, elle sent le gland d'une queue powerr mister anus. Elle pousse un grognement. Empalée, enculée, les deux bites commencèrent à coulisser, ses gros seins ballotant, elle ne tarda pas à gémir.



La fin des festivités arrivant, Charles et Roger positionnèrent Bénédicte, Mlle Pinaud et Marie-Chantal au milieu de l'usine. Tous les ouvriers en cercle autour d'eux. Se branlant mécaniquement. Elles durent ouvrir la bouche pour recevoir la semence des ouvriers. On leur éjacula sur le visage, certain cherchant à viser les yeux, le nez, les lèvres. D'autre préférèrent se vider directement dans leurs bouches, les contraignant à avaler leurs foutres. Certains lâchèrent des giclées de sperme qui atterrirent sur leurs seins qu'elles durent se nettoyer mutuellement après. Léchant à petits coups de langue, le liquide poisseux.


Les trois femmes, recouvertes de sperme, se relèvent péniblement. Hubert et Guillaume, humiliés, effondrés, observent leurs femmes, le regard perdu.
Charles et André s'approchent...
- Pour un début, c'était pas mal, estime André, mais il faudra nous les ramener.
- Bien sûr, pas de problème.
Nos deux bourgeoises, épouses respectables et respectées, se regardent : Elles ont compris que leur vie ne sera plus comme avant.
Et comme pour le confirmer, Charles les interpella :
- Eh les salopes ! Et nous ? Faudrait voir à ne pas nous oublier ! Venez nous vider les couilles !
Devant leurs maris, Bénédicte et Marie-Chantal s'accroupirent, et commencèrent leurs dernières fellations de la journée.
Il y en aurait d'autres.
Beaucoup d'autres..
chrislebo

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#3,313
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Ses mains qui jusqu'à présent n'avaient servi qu'à m'immobiliser, parcouraient maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs.
Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables de lubricité, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui n'est pas mon mari.
Lui n'en a que faire de mes états d'âme. Il me ramone en profondeur, m'arrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince l'oil le salaud. Peut-être a-t-il envie de me sodomiser comme la plupart des hommes qui m'ont possédée. Je le laisse faire, docile.
Au point où nous en sommes, mon image de femme respectable en a pris un sérieux coup. Un de ses doigts me flatte maintenant l'anus. Il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup plonger jusqu'à la garde en tournant sur lui-même pour m'ouvrir un peu plus.
Je pousse immédiatement ce qui le fait plonger encore plus profond dans mon intimité.
- Tu aimes çà, on dirait.

Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens qu'il s'ouvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon fourreau culier. Je l'accueille avec les mêmes égards. Mon violeur en est « baba ». Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses.
- Je peux.

Sans attendre ma réponse. Le voici déjà entrain de se retirer de ma chatte pour pointer devant ma petite porte, sa queue raide d'excitation. Avant même que je n'ai le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il s'enfonce sans hésiter, en terrain conquis.
C'est seulement à ce moment que je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur n'est pas dupe. Il sait que c'est ce que je préfère. Mon mari, à mon grand désespoir, ne m'encule pas souvent pourtant, ce n'est pas faute de le lui avoir demandé.
- Bourre-moi. Casses-moi le cul. Je vais jouir si tu t'y prends bien.
- Tes désirs mistert des ordres ma chérie.

Joignant le geste à la parole. Mon violeur s'agrippant à mes hanches, s'enfonce inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Çà m'excite un max de me sentir prise par derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du dard qui me pourfend. L'offense suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous.
Je l'agresse maintenant verbalement.
- Plus fort, plus vite. Fais-moi sentir ta bite dans mon cul. Domines-moi.

Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu mais il continue à plonger en moi sans ménagement, m'amenant inexorablement vers un orgasme dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. A peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. J'explose en silence mais mon baiseur ne se laisse pas surprendre. Il redouble d'effort en me soufflant :
- Oui, vas-y jouis, laisses-toi aller, jouis ma belle.

La jouissance a été longue et puissante. Epuisée, je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur la table de baisage du grand patron. Lui accélère ses mouvements pour exploser à mister tour dans mon postérieur. Il se bloque tout au fonds, pour déverser en moi, sa semence.
Je préfère çà plutôt qu'il m'éjacule sur les fesses ou le dos comme certains hommes adorent le faire en dégueulassant nos vêtements. Ses spasmes mistert puissants, il me met la dose, c'est sûr. Il prend mister pied dans mon cul le salaud.
- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C'est trop bon.

La fête est finie. On reste un moment accouplés, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. J'ai envie qu'il me libère rapidement mais il semble apprécier les lieux et l'emprise qu'il a sur moi. Enfin, il se penche en avant pour m'embrasser tendrement le haut de l'épaule puis, se dégage avec un bruit qui m'exaspérera toujours.
L'homme se rajuste, passe derrière mister bureau pour enfiler mister pantalon laissé au pied de mister fauteuil puis revient vers moi, souriant, charmeur.
- J'ai adoré te faire l'amour. Merci Marine c'était vraiment trop bon.
- Au risque de vous déplaire Monsieur, ce que vous venez de faire c'est tout bonnement un viol, un simple viol mais je reconnais avoir pris mon pied comme cela m'arrive peu souvent la première fois avec un inconnu.
- J'ose espérer que tout cela restera notre petit secret.
- Je ne sais pas encore. J'y réfléchirais.

Le lendemain de cette soirée, je recevais un disque vidéo sur lequel on voyait une séquence de nos ébats soigneusement sélectionnée. J'y apparaissais à plat ventre sur la table de travail en train de me faire sodomiser par mon patron tandis que je l'encourageais d'une voix déformée par le plaisir.
Depuis, conscient de l'emprise qu'il avait sur moi, il me fait venir dans mister bureau presque tous les jours que Dieu fait, pour me baiser et surtout s'occuper de cette partie de mon anatomie que j'aurais tant aimé qu'elle intéresse un peu plus souvent mon mari. Peut-être est-ce d'ailleurs la véritable raimister qui me font accepter ce droit de cuissage que d'aucun pense qu'il n'existe plus.
chrislebo

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#3,314
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Ma mère en otage


Mon nom est François, j'ai 23 ans et j'habite avec ma mère, Amandine, pendant les vacances en cité car mes parents ont vendu la maimister pour partager les biens. C'est une femme de bientôt 46 ans. Elle est brune, yeux marrons et le teint mat. Elle mesure 1m65 pour 60 kg. Elle est fraîchement divorcé de mon père et a décidé de reprendre une vie de femme libérée après des années ede sacrifices à nous élever mes deux frères et ma sour. Aussi sort elle beaucoup le week-end et s'habille régulièrement très sexy. Malgré mes avertissements, car c'est mal vu dans le coin que les femmes du quartier se promènent en minijupe ou mettent des décolletés provocants (d'autant plus qu'elle a des seins énormes et naturels), elle persistait encore et encore me sermonnant et disant que ce n'était pas une bande de voyous bon à rien qui allait dicter ses actes. En plus, nous venons d'un red sans histoire et ma mère a longtemps forgé ses idées sur les jeunes de quartiers difficiles par le journal du vingt heure. En plus, elle détestait viscéralement les magrébins qui pourtant ne lui avaient jamais rien fait. Il y'eut donc des heurts car de temps en temps, elle était sifflée et elle se contentait de les regarder d'un air hautain et méprisant. Elle dénonça plusieurs fois de façon anonyme aux flics des bandes de jeunes qui fumaient du cuckolds brownie devant l'entrée. Certains prirent même de la taule à cause d'elle. Elle m'avoua sans complexe être fière d'elle, d'avoir contribué à leur arrestation et que de toute façon « cette bande d'arabes n'avait qu'à retourner dans leur pays ». Ses propos racistes me choquaient mais bon, elle était ma mère et je devais faire avec. Bientôt, je dus à mon tour subir les agressions verbales et les menaces. Ma mère alla porter plainte plusieurs fois à power, même les flics commençaient à en avoir assez... Elle y alla pourtant en mini jupe décolleté pour essayer de les charmer mais visiblement, ils préféraient éviter le merdier. Puis un jour, ça arriva.

Je fus le premier a être séquestré. Je fus entraîné dans une cave quelque part dans la cité ou je ne sais où. On me déshabilla ne me laissant que mon slip et on m'attacha a une chaise. Je fus "victimisé" un peu et impossible de discuter avec eux car ils étaient très remontés. L'un d'eux ouvrit mon portable et composa le numéro pour appeler Amandine.
-Qui est à l'appareil ?
-On a votre fils en otage !
-Comment ?
-Je vous dis qu'on a votre fils en otage !
Ils me firent parler à ma mère et elle sembla paniquer. Elle me demanda de lui repasser mon ravisseur.
-Ecoutez, je vous donnerai tout mon argent si vous voulez mais ne lui faites pas de mal !
-Ce n'est pas le fric qui nous intéresse. Vous allez venir.VOUS ! Voici le lieu de rendez-vous et ne faites pas l'imbécile. Ca vaut mieux pour votre fils !
Elle nota mais l'homme reprit.
-vous allez faire quelque chose en plus.
-de quoi ?
-Fringuez-vous comme une putain ! Comme vous faites des fois quand vous passez dans le quartier.
-Vous êtes fou !
J'eus droit à des claques et mes cris convainquirent ma pauvre mère.
-Je.Je le ferai ! Ne touchez plus à mon bébé ! Pitié ! Pitié !
-Il n'y a plus de pitié qui s'impose. Vous allez devoir nous obéir à tous !
-je ferai tout ce que vous voulez.tout.
Je l'entendais sangloter.
-Allez à dans une demi-heure.
chrislebo

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#3,315
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J'eus droit aux pires insanités sur ma mère, on l'a traitée de raciste, de pute, de chienne et de balance. Et ils s'alcoolisaient en plus discutant de ce qu'ils allaient lui faire subir une fois arrivée. Je redoutais le pire plus pour elle que pour moi. Puis au bout d'une demi-heure, l'inévitable se produisit.
-Regardez ! Ce qu'on a trouvé les mecs !
Une femme brune se débattait entre les mains des deux hommes : c'était ma mère que j'eus du mal à reconnaître. Elle était en effet outrageusement maquillée et portait un long manteau noir. Elle avait en plus mis un rouge à lèvres qui faisait ressortir ses lèvres pulpeuses.
-C'est bizarre ça, de porter des manteaux aussi long l'été. Héhéh ! Montre-nous la surprise.
Il arracha sans ménagement les deux pans du manteau dont les boutons sautèrent petit à petit. Tout le monde fut stupéfait car sous mister long manteau noir, elle ne portait qu'un body et un string en latex avec des sandales noires lacets à talons hauts. Ses seins débordaient et on voyait mister nombril. Je n'en croyais pas mes yeux mais réalisais que quand même ma mère était une sacrée bombasse pour mister âge et quelle paire de seins !! Hélas, les autres aussi avaient vu ce détail incontournable et pour eux, elle n'était plus qu'une femelle à baiser. A partir de ce moment, je savais ce qu'ils allaient faire d'elle.
-Me dis pas que c'est ta mère?
-Je vous en prie, laissez la !
-Héhéhé ! La laisser ? fringuée comme elle est là, pour nous elle n'est qu'une pute.
Ma mère s'énerva :
-Je ne suis pas une putain et d'ailleurs mon fils n'a rien à faire avec une bande de .de racaille comme vous !
Elle avait dit le mot de trop et reçu deux paires de claques. Elle s'était emportée en oubliant la situation dans laquelle elle se trouvait.
-Du calme Momo, ne l'abîme surtout pas, t'es fou ! regarde ce lot !
Je protestais à mon tour mais je reçu un coup de poing en guise de réponse.
Ma mère se tortillait pour essayer de s'enfuir mais les mecs étaient trop forts.
-En fait, ce n'est pas une putain ! Elle est pire que ça vu qu'au moins les putes on les paie !
On mit la musique à fond.
-faites la boire ! Ca va la désinhiber !
Ils l'obligèrent à avaler quelques bières de mauvaise qualité et comme elle ne buvait pas d'habitude, elle fut rapidement pompette. Ils la saisirent et lui arrachèrent mister soutien-gorge en latex faisant tomber ses gros seins qui rebondissaient comme des ballons. Ses nibards étaient énormes et avaient de grandes aréoles foncées avec de longs tétons. Ils les empoignèrent et les malaxèrent sans ménagement lui arrachant des cris de douleurs.
Ils lui arrachèrent mister string afin de pouvoir mater mister gros cul et sa chatte qu'ils s'amusèrent à doigter sans respect pour elle. Ses chaussures lui furent enlevées et pris d'hystérie, les mecs tailladèrent mister manteau, mister body, mister string et brûlèrent ses chaussures dans un baril. Elle fut plaquée à poil sur un matelas indescriptible tant il était jaune et crasseux.
-Ecoute, maintenant, tu vas faire tout ce qu'on te dit sinon c'est ton fils qui va dérouiller !
-Laissez le partir et je serais à vous.
-Hors de question, il est notre garantie que tu vas te comporter comme la putain de balance que tu es ! Mais si tu es gentille, on y réfléchira promis.
Ma mère se résigna et était prête à offrir ses orifices pour me sauver.
-Avant toute chose, tu vas nous sucer à la chaîne ! Tu as une bouche qui est faite pour ça.
Ma mère se mit à genoux et commença à les sucer. Ils enfoncèrent leurs bites jusqu'au fond de sa gorge manquant de la faire vomir plusieurs fois. La plupart éjaculèrent en plein sur mister visage diluant mister maquillage. On la tenait par les cheveux pour l'inciter à sucer plus vite. Cela dura une bonne demi-heure puis on lui demanda d'écarter les cuisses afin que ceux qui veulent puissent la baiser. Les hommes se succédèrent jeunes ou plus vieux, beaux ou vieux à se soulager dans cette chatte offerte. Ma mère encaissait toute ces bites mais elle avait l'espoir de nous voir nous en sortir. Servir de sac à foutre ne lui faisait rien du moment que je puisse m'en tirer. J'ignorai qu'une mère était capable d'aller aussi loin dans les actes pour protéger ses enfants. Deux heures plus tard, Momo la retourna et s'agrippa à ses hanches:
-C'est pas mal ! tout le monde est a peu près satisfait !
-Maintenant, re.relâchez nous comme vous aviez promis ! gémit ma mère suante et dégoulinante de sperme.
-Hors de question ! on en a pas fini avec toi, sale balance !
-Vous m'aviez dit que vous le libéreriez !
-On a menti, salope.
Momo l'encula de toutes ses powers. Ma mère s'abandonna, vaincue et humiliée. Après s'être soulagé, il laissa sa place au suivant qui lui même laissa sa place pour qu'un autre puisse élargir davantage le trou du cul de ma pauvre mère. Ce fut le défilé.
Pendant toute la nuit, ils s'amusèrent à lui enfourner des canettes dans la chatte et dans l'anus en rigolant. Ils lui pinçaient les tétons, malaxaient et tiraient sur ses seins. Ils prenaient des photos de mister visage plein de sperme et de ses orifices défoncés par une bite ou une canette. Son maquillage avait coulé et tout mister corps était gluant. Elle ne réagissait plus à cause de la fatigue. Je voyais les keums la baiser quand même. Elle n'était plus qu'un jouet de chair pour eux. Alors je ne pus m'empêcher d'intervenir
-Vous avez ce que vous voulez ! Vous vous êtes vengés d'elle ! Maintenant relâchez nous par pitié ! Elle ne dira plus rien sur vous !
-Fini avec elle ? Mais t'es loin du compte connard ! très loin même ! quand à toi, on te réserve une surprise aussi !
Ils portèrent ma mère à poil comme un sac de patates. Le sperme dégoulinait de mister corps aux orifices défoncés. Elle était trop fatiguée pour résister. Ils la bâillonnèrent et la ficelèrent comme un rôti puis ils la jetèrent sans ménagement dans le coffre d'une voiture comme un vulgaire tas de viande.
-Voilà, on va bien lui faire payer mais loin d'ici ! Crois moi, ce qu'elle a vécu ce soir, c'est que du petit lait à côté de ce qu'on lui réserve.
-Noon, maman ! laissez là ! laissez là !
-Aha. C'est trop tard maintenant ! il fallait y penser avant de faire les malins. Qu'elle se fringue en pute dans la cité est une chose, mais qu'elle nous balance au flic en est une autre. A cause d'elle mon frère a pris de la taule pour ses dix huit ans. On ne peut pas laisser courir ça et il faut que cette bourgeoise raciste serve d'exemple.
Momo partit avec eux dans la voiture emportant le corps de ma mère bâillonné et ficelé. Je restais avec une dizaine de connards qui rigolaient à l'idée de ce qu'ils allaient me faire vivre. Mais je savais que ce serait beaucoup moins hard et cruel que ce que maman allait subir entre les mains de ces malades, oh que oui.

chrislebo

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#3,316
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Retour au sex-shop, plus loin dans le vice et l'offense...


Des mois se mistert passés depuis ma découverte du sex shop et je suis devenue peu à
peu l’esclave sexuelle, soumise et obéissante de Kader. Je suis comme il dit sa pute,
sa truie. Il me conduit dès que je suis disponible aux mâles recevoir ma ration de
bittes. Je me caresse maintenant la chatte de plus en plus souvent. Certains jours
jusqu’à quatre fois. J’ai appris à me faire jouir intensément surtout grâce au rabbit
vibrant à billes qu’il m’a offert. Un cadeau, après un après-midi passé devant le glory
hole dans le sex shop. Ce jour-là, le sexe embroché sur mon gros gode noir, j’ai sucé
sur mister ordre toutes les queues qui s’étaient présentées dans le trou de la cloimister.
Kader en a dénombré 25. J’avais la mâchoire en compote et la langue ankylosée
tellement je me suis appliquée à les faire toutes cracher dans ma bouche ou sur mes
seins. Il y avait des bittes de toutes les tailles, certaines avaient un peu de mal à
bander et il fallait que je les branle énergiquement. La plupart étaient très propres et
sentaient bon, alors que d’autres sentaient le foutre et l’urine et c’est de celles-là que
je me délecte le plus. Un vieux pervers m’a même pissé dessus par le trou et j’ai gobé
mister gros sexe plein de poil blanc pour bien le nettoyer. Il m’a donné 20 euros en
remerciement et mister numéro de téléphone. Il revient la semaine prochaine et il a
promis qu’il m’enculerait bien à fond. J’espère vraiment le revoir car il m’a envoyé une
sacrée rasade de sperme sur la langue. A la fin de la séance, Kader qui a tout filmé,
m’a offert et fait mettre une culotte en latex ouverte sur ma chatte rasée. Après il m’a
enculée avec power, frappant sur mes fesses et me traitant de sac à foutre. Mes fesses
me faisaient mal et mon anus bien qu’habitué fut soumis à rude épreuve. Il m’a fait
me branler le clito en même temps et demandé si c’était meilleur qu’avec la petite bitte
de mon cocu. Sentant un orgasme terrible monter, je lui ai crié : « oui, c’est bon, bourre
mon cul bien profond, maître ». Il avait l’air satisfait, à mister tour, il a jouit très fort sur la
culotte en me traitant de chienne à bittes puis il me l’a fait enlever et nettoyer avec la
langue. Tout ce qui sort de sa queue est une offrande, je le prends comme une
récompense. Ensuite, il m’a dit de me rhabiller, il n’y avait rien pour faire ma toilette et
j’ai dû repartir chez mon homme comme çà, le corps, la chatte et les seins souillés. Je
sentais le foutre et l’urine séchés, c’était humiliant, mais c’était bon. Cà c’est passé
avant les vacances d’été, depuis je n’ai plus de nouvelles de lui. Il est parti au red
mais il a promis de revenir avec une énorme surprise, j’ai hâte de savoir quoi. L’été
prochain il veut m’emmener au Maroc pour servir de pute à ses nombreux cousins.
L’idée m’excite mais j’ai un peu peur, on verra bien, je vous raconterai…
chrislebo

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#3,317
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Baisé malgré moi


Mes parents m’avaient envoyé lorsque j’avais 15 ans, en camp itinérant pour un voyage de 3 semaines en Espagne. Toutes les semaines nous étions répartis par tente de trois voire quatre que nous devions monter afin de construire des liens d’amitiés et plus si affinité. Il n’y a pas eu affinité mais j’ai eu le droit à plus…

Moi qui étais encore puceau, je me suis retrouvé dans le bus ce premier matin entre deux garçons, (bien plus âgés que moi, j'avais 16 ans !!) direction l’Espagne …
Ils se connaissaient apparemment bien car au bout d’une heure ou deux, et après quelques blagues grivoiseries que je ne comprenais pas toujours (moi hétéro) me proposèrent innocemment de m’accepter dans leur tente le soir venu !
Quel honneur pour moi que de faire parti des grands ! J’acceptais avec grand plaisir, fier de faire parti du clan supérieur (Celui des grands!)
Vers 23 heures, une fois la tente montée et après avoir dîné, je suis aller me coucher. Ils étaient là, et sans doute m’attendaient. Je me suis glissé en slip dans mon duvet et commençais à m’endormir, fatigué par la journée de voyage lorsque, après avoir allumé la lampe torche afin de mieux voir, l’un dit à l’autre :
Allez, on va s’occuper de notre jouet !
L’un deux (Mickael) me pris les mains, et l’autre en profita pour ouvrir mon duvet. Très vite je sentis une main se glisser dans mon slip ! Puceau et jeune comme je l’étais, mon sexe grossi instamment au contact de cette main qui me tripotait, puis me branlait à un rythme qui me séduisait. J’avais beau me débattre (en fait, pas trop tellement je découvrais le plaisir de me faire branler) mais je ne pouvais rien faire , j’entendis Fabien dire :
Il est tout dur ! Attends je lui enlève mister slip ! Tiens le bien !
Mon duvet carrément ouvert, je me suis retrouvé le cul nul et le sexe en érection ! Vexé je me suis débattu comme un fou (enfin je crois …) Du coup ils dirent :
Passe-moi une ficelle, un lacet, quelque chose qu’on l’attache et qu’on soit peinard !
Une fois attaché les mains dans le dos, Fabien, de plus belle en a profité ! Il m’a bien tripoté la queue devant mister copain qui matait !
Une fois ma queue droite, et bien raide, maintenu en permanence par la main de Fabien ceux-ci ont décidé de passer à l’action. Lequel des deux me sucerait le premier C’est à pile ou face que Fabien a gagné.
J’ose avoué qu’à ce moment là, je ne bougeais plus ! Mickaêl le fis remarqué à Fabien
Fabien, très vite me fit jouir et avala entièrement le résultat de sa pipe !
Après quelques minutes, je fus de nouveau sucé, mais cette fois ci par Mickael..
Puis, toujours attaché, ils me retournèrent, et commencèrent à caresser les fesses et m’introduirent 1 puis 2 doigts dans mon fondement ! Leurs aller-retour, me firent tranquillement de nouveau bander, moi le puceau hétéro, découvrant les bienfaits de la sodomie ! Je m’endormis ainsi ..
Le lendemain, encadré par mes deux bourreaux, je fus emmené au fond du bus puis très rapidement j’ai du subir des attouchements (bref la main dans le slip) Ne se contentant pas de cela, et commencant moi déjà à être soumis, je me laissais presque naturellement descendre mon short et mon slip et me retrouvais devant tout le monde le cul à l’air, (je commençais à avoir l’habitude). Ils m’ont maintenu en perpétuelle érection pendant que le reste du bus (ou presque) attirés par les « on-dit » venaient mater ma queue toute raide !. Le soir même, à peine rentré dans la tente, ils m’ont chopé, déshabillé entièrement m’ont fait très rapidement bandé en me branlant et en me disant que j’allais devoir ce soir les sucer et me faire baiser

Un copain à eux qui m’avait particulièrement maté (voire un peu peloté dans l’après-midi) est arrivé! J’ai eu le choix ! Ou je les suçais tous les trois ou ils m’enculaient tous les trois A moi de décider … J’étais jeune ! J’ai choisi de tenter de quitter la tente. Le problème c’est que j’étais à poil, et qu’ils étaient trois ! Hétéro peut-être, mais les narines bouchées vous finissez par ouvrir la bouche pour respirer et avaler ! Tranquillement, main derrière la nuque Amoud m’imposa mister rythme et me gicla dans la bouche pour ma première fois.
Excités, ils en ont profité, et m’ont enculé. J’en ai pris plein le cul pendant 15 jours. Aujourd’hui j’ai 44 ans, je suis toujours hétérosexuel et bien dans ma peau, mais c’est un bon souvenir
chrislebo

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#3,318
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Une rencontre insolite


Bonjour je viens vous raconter l'aventure qu'il m'est arrivée il y a un mois environ. Tout d'abord laissez moi me presenter, nicolas 25 ans brun aux yeux bleus teint mat, sportif, je vis avec mon amie jennie tres belle black de 24 ans avec une cambrure qui a chaque fois eveille en moi des desirs ardents. Nous sommes un couple complice depuis maintenant deux ans.
Nous souhaitions deja depuis quelques temps pimenter nos jeux sexuels, mais jennie ne souhaitait pas depasser certaines limites, et je devais me contenter de baiser dans des lieux publics. Ainsi, un soir j'allais la chercher a mister travail, elle etait tres sexy petite jupe a fleurs un chemisier echancré qui ne cachait rien de sa généreuse poitrine (jennie fait un bon 90c) sous une veste. Je pensais à quels dessous elle avait pu mettre aujourd'hui, quand jennie me tira de mes pensees
- Alors chéri a quoi pensais tu?
- je pensais que je te ferai bien l'amour maintenant.
C'est vrai que j'etais excité, mais qu'allait dire jennie. A ma grande surprise elle me dit il y a le garage, a cette heure tout le monde est parti. Nous allons donc au garage, discretement, et une fois arrivés au sous sol , je vois un recoin parfait. Jennie remonte alors sa jupe au dessus des hanches, je decouvre mister petit string qui je suis sur est deja bien trempé. Je descends mon pantalon au bas de mes chevilles, quand soudain, je vois un homme, surement le gardien du parking, fondre sur nous.
- Vous savez que c'est un endroit privé je vais appeler la sécurité.
Si il fait ca ils se rendront compte que jennie travaille ici et ca en serait fini pour elle.
- Monsieur nous allons partir nous nous excumisters
Le gardien un bedonnaire presque chauve n'a pas du voir une black souvent surtout avec un cul comme celui de jennie.
- C'est pas aussi facile que ca je dois faire un rapport a moins que nous trouvions un arrangement.
Le choix est vite fait, jennie devra etre tres gentille avec ce gardien meme si elle n'est pas vraiment partante.
Nous le suivons dans sa loge, jennie rentre puis moi enfin le gardien qui ferme derriere lui. Il fait sombre, nos yeux s'habituent a l'obscurité, et je distingue des ombres. Jennie crie, elle me dit que des mains la touchent, passent sous sa jupe...Je demande a ce qu'on rallume la lumiere.
Et la grande stupeur il y a deux autres gardiens nus, en plus du gardien qui nous a amenés ici.
Jennie se réfugie contre moi, un des hommes lui prends le bras pour l'attirer à lui. Il la prend par les hanches, lui maintenant ensuite les bras, pendant qu'un autre lui enleve sa veste. Elle a maintenant les seins dans le visage du gardien, et se retrouve en quelques secondes en string et soutien gorge devant moi.
Ils la pelotent avec vigueur, leurs queues bien excités et je peux voir qu'ils mistert assez bien montés mais différents; ainsi le premier gardien doit bien faire un 23 cm mais fine alors que les autres mistert plutots larges en diametre mais plus courts.
Jennie se debat avec de moins en moins d'énergie devant la fougue de ses amants.
Elle leur demande de seulement les sucer elle qui fait ca si bien.
Ils lui rigolent au nez et lui disent que c'est eux qui vont décider de ce qu'ils vont faire d'elle, et cela sans que moi aussi ne dise rien.
Je ne savais que penser j'etais partagé entre l'excitation que jennie soit dans les mains de ses hommes, et la lacheté de laisser ma cherie vivre ce qui allait suivre
chrislebo

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#3,319
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Nous étions donc dans une loge obscure avec trois hommes excités, leurs queues tendues vers ma Jennie en string bas et soutien gorge, elle était le jouet de ses hommes. Moi je restais dans un coin comme pétrifié par ce que je voyais. Mouss, un beau black bien membré commençait à écarter le string de Jennie qui se débattait toujours.
- Nicolas dis quelque chose je sens sa langue me lécher mon minou… hummm dis lui d'arrêter...
Moi je restais sans voix, bien sur mouss finit de retirer le string de Jennie, lui écarta les cuisses et commença mister va et viens, je voyais cette grande langue titiller le clitoris de Jennie avec précision.
Bob ne perdit pas de temps, il dégrafa le soutien gorge, libérant une belle poitrine gonflée de plaisir. Jennie saisit la queue de bob et commença à le branler.
Son regard croisa le mien, j'ai cru voir un pardon mais tu n'as rien fait.
C'est vrai je n'ai rien dit, mon corps était pétrifié, seul mon membre commençait à grossir.
Eh oui je bandais, mouss prit Jennie par les hanches. Celle ci me regarda encore une fois :
- il va me prendre avec sa grosse queue je peux tout arrêter si tu veux...
Mouss lui ne me laissa pas le temps, il empala Jennie de tout mister long. Je vis le visage de Jennie se tordre de douleur, et puis petit à petit, je la vis coulisser le long de ce long membre. Jack le troisième attendait, une queue très large, il s'approche du visage de Jennie.
Celle ci n'a pas eu le temps de dire ouf que jack enfourne sa queue dans la bouche de ma femme.
Je ne l'entendais plus, sa bouche bien remplie et sa chatte qui était limée par mouss.
Celui ci la pilonnait maintenant en lui giflant les fesses, et en l'insultant de salope de chienne...
Bob suçait les seins de ma Jennie, triturait ses tétons dressés et durs.
Jack accéléra et se déchargea dans la bouche de Jennie, qui dut tout avaler jusqu'a la dernière goutte.
Soudain bob se posta derrière Jennie. Je savais que Jennie ne voulait absolument pas que je la prenne en sodomie.
Bob commença à lécher l'anus de Jennie qui comprit de suite ce qui allait lui arriver.
- Non je ne veux pas par la
- Tu vas faire ce qu'on va te dire sale chienne !
Bob écarta les fesses de Jennie et introduit trois doigts dans mister cul alors inexploré.
Jennie hurla de douleur surtout que mouss continuait à la limer.
Puis bob présenta sa queue et enfonça mister gland dans le cul de Jennie.
Elle se faisait prendre par deux hommes en même temps…
Je ne pensais pas qu'elle en serait capable !
Les deux hommes la limèrent bien un quart d'heure comme ca.
Jennie ne comptait plus le nombre de fois où elle avait joui.
Puis mouss et bob se déchargèrent en même temps dans la chatte et le cul de Jennie, la laissant avec deux trous béants, passages de queues energiques.
Le sperme coulait le long de ses cuisses, moi j'avais joui piteusement à quelques mètres. Jennie dut nettoyer leurs queues jusqu'à la dernière goutte. Elle se rhabilla honteuse devant moi, une odeur acre émanait d'elle.
Les trois hommes nous expliquèrent qu'il ne serait pas intelligent d'aller voir les flics car ils avaient une cassette des ébats.
Nous sommes sortis du parking, et sommes rentres à la maimister.
Depuis cette histoire je ne suis plus avec Jennie. Vous comprendrez pourquoi…
chrislebo

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#3,320
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Ma rencontre avec la soumission


Je suis un jeune homme, 19ans, 1m80 pour 75kg plutôt pas mal… Depuis ma majorité, je vais régulièrement sur des sites de rencontres tournés plutôt sur le sexe, je suis un mec, j’ai pas beaucoup d’expérience à cause de ma timidité, powerment j’en veux plus ! J’ai eu quelques copines donc quelques relations sexuelles mais rien de très exaltant a vrai dire… Plus de la découverte… A 18ans et quelques mois j’ai décidé de passer le pas de la vraie rencontre, avec un homme ! En effet j’ai des tendances bi et je décide donc d’essayer avec un homme de 36ans… Au début j’étais très gêné mais au fur et à mesure je me suis détendu, il m’a d’abord sucé quelques minutes puis il m’a demandé d’en faire autant, j’ai baissé mister pantalon, mister caleçon, et j’ai ouvert la bouche ! J’avais peur de ressentir un dégoût mais non au contraire cela m’a plu ! Le goût n’était pas désagréable, la texture très douce ! Je l’ai sucé une dizaine de minutes jusqu'à ce qu’il me dise d’arrêter pour ne pas jouir dans ma bouche… Il m’allongea ensuite sur le ventre, me déshabilla complètement, il me demanda de me mettre à 4 pattes d’écarter les jambes et il commença à me préparer la rondelle… J’avais plutôt mal, j’étais tendu je n’osais rien dire il m’a mis quelques doigts mais sa bite étant assez grosse il n’a pas réussi a me la rentrer sans que j’ai mal c’est alors qu’il me dit :
- « Bon soit je t’encule soit tu me suces encore ! »
Je me suis donc mis a genoux et l’ai sucé longuement… Quand je sentais qu’il allait jouir je me suis reculé mais ce salaud m’a attrapé la tête et m’a enfoncé sa bite de power ! J’ai du tout avaler… Je ne vais pas vous cacher que ce goût ne m’était pas très agréable…

Après cette expérience à moitié concluante je décidais de continuer à chercher des partenaires sur internet mais peut être d’y réfléchir un peu plus et d’essayer d’en savoir plus sur ce que je recherche… Au fur et a mesure de mes recherches et de mes masturbations je commençais à éprouver l’envie d’essayer le plaisir anal... Je me suis acheté du lubrifiant et je m’amuse à me dilater en enfonçant diverses petites choses dans mon cul, et souvent devant la Webcam !

Un jour je suis tombé sur une annonce d’un couple de ma région recherchant soit un autre couple soit un jeune homme, ils avaient 38ans tous les 2 et paraissaient 2 permisternes tout a fait normales… Je décidais donc d’y répondre en donnant une photo, ma description et en disant que je ne savais pas exactement ce que je cherchais… Ils répondirent tout de suite, en me donnant une adresse msn, c’était l’homme, j’ai soudain eu la déception de penser que c’était un faux couple… Et en discutant avec l’homme, je me confortais dans cette pensée étant donné qu’il me demandait de le rencontrer seul avant pour qu’il vérifie que je suis bien bisexuel… Je me suis donc méfié et ai parlé longtemps avec lui jusqu'à ce qu’il accepte que je parle à sa femme ! Je retrouvais alors de l’espoir et décidais d’accepter de le rencontrer seul avant… N’ayant pas de voiture je lui demanda de passer me chercher a un lieu de rencontre sur la route nous discutons il me dit qu’il m’emmène chez lui que sa femme, au courant, est au travail… Sans rien me demander il posa sa main sur mon pantalon, bien placée… Et finalement il s’arrêta dans un endroit un peu reculé, sortit sa bite, m’enleva ma ceinture, et pris ma tête pour que j’aille le goûter… 5min de fellation un peu forcée… Qui se termina par une éjaculation sur ma figure… Ca me piquait les yeux et il me demanda de ne pas me nettoyer avant d’arriver… J’avais un peu peur mais j’étais en même temps très excité !
Arrivés a la maimister, il entre le premier, me fait entrer, c’est une jolie maimister de campagne, assez simple de décoration… Il me dit que je peux passer a la salle de bain pour m’essuyer la figure et qu’il « m’examinera » après… Je me demandais ce qu’examiner voulait dire pour lui ! J’avais à la fois honte, hâte et peur ! Je m’essuie donc la figure et il me crie : « reviens ici nu ! » je m’exécute donc, je me déshabille et le rejoint dans le salon… Il a un verre a la main et me demande de me mettre a genoux… A quelques mètres de lui… je dois me retourner et écarter mes fesses, lui montrer ma bite, mes boules… Puis il me dit :
« - Bien, tu me conviens, tu m’a l’air d’être bien pour le rôle que nous voulons te donner ma femme et moi… Nous voulons que tu deviennes notre jouet ! En échange tu découvriras le sexe ! »
Je ne savais pas quoi répondre… Mais c’est vrai que j’en avais envie !
J’ai donc tout simplement accepté…
En échange de conditions : Discrétion, pas de sado-masochisme et qu’il soit honnête avec moi quand a la participation de sa femme…
« Bien donc maintenant vient me sucer ! » je m’exécute et m’approche de lui pour le sucer… D’abord les boules puis la bite… Pendant ce temps là il m’expliquait comment aller se passer nos jeux :
« Alors c’est simple nous allons t’utiliser soit chacun pour soi, soit en même temps, tu devras obéir, nous appeler Maître et Maîtresse, tu devras être propre, tu devras être disponible au moins 2 fois par semaines… Tu auras des défis, avec récompense et punition… »
Il m’enfonça alors un doigt dans le cul et se penchant en avant et le retira aussitôt en me disant : « ça c’est pas bien ! Tu n’es pas propre, ça va pour cette fois mais la prochaine fois c’est punition ! »
Je terminais de le sucer, il éjacula dans ma bouche et me demanda de me gargariser au sperme… Pour garder le goût encore plus longtemps, mister sperme était meilleur que celui de l’autre homme mais quand même !
Je lui donnai mon numéro et il me demanda de repartir, mais sans mon caleçon !
chrislebo

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#3,321
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2 Jours après, c’était alors un jeudi, je reçu un coup de fil, c’était lui : « T’es dispo maintenant jusque ce soir ?
- Euh oui ça devrait aller… dis-je la voix tremblante.
- OK écoutes moi bien : tu me retrouves à 16h sur le parking du metro ou l’on s’est rencontrés l’autre jour, si tu as un caleçon je le garderais, je t’emmènes chez moi je vais t’apprendre la propreté ! »
Et il raccrocha aussitôt...
Je me doutais un peu de ce qui allait m’arriver… A power de naviguer sur le web on en découvre des choses ! Mais j’allai me préparer je pris une douche en insistant bien pour laver ma bite et mon cul, je ne remis pas de caleçon… Sur la route je sentais ma bite frotter directement sur mon jean, je me sentais léger mais j’avais peur que quelqu’un s’en aperçoive ! Je suis arrivé au point de rendez-vous vers 15h50 il arriva vers 16h10 pendant toute cette attente je me tourmentais entre excitation et peur… A peine rentré dans la voiture il me demanda de lui montrer si j’avais un caleçon et si oui de l’enlever ici ! Heureusement que je n’en avais pas mis ! Arrivés à sa maimister, il me fait entrer et me dit qu’il m’a préparé quelque chose dans la salle de bain en haut que je n’ai qu’a y aller, me déshabiller et l’attendre la bas, je monte donc les escaliers, je cherche la salle de bain en ouvrant les portes, c’est alors que je tombe sur une salle dans laquelle il y avait, des appareils de muscu, un tapis de course, mais aussi une « chaise suspendue » comme on en voit dans les films pornos et une commode sur laquelle était posée toutes sortes de sextoys, j’avais envie d’aller voir mais je n’osa pas et alla directement chercher la salle de bain… Arrivé dans la salle de bain, je vis qu’il y avait un fond d’eau dans le bain, une mallette fermée a coté du bain, une chaise posée a coté dos au bain et des menottes accrochées au robinet ainsi qu’une planche posée en travers du bain au dessus de l’eau, je me demandais vraiment dans quelle position j’allai me retrouver ici ! C’est alors qu’il entra dans la salle de bain : « Et alors petit soumis je t’ai demandé quelque chose ! A poil tout de suite ! »
Il m’a fait sursauter, je m’exécutais donc, mais il ajouta : « et j’ai rien entendu !
- Excusez-moi…, dis-je timidement
- Excusez-moi qui ?
- Excusez-moi Maître…
- C’est mieux, dépêches-toi ! »
Une fois totalement nu il me fis m’allonger, le dos sur la planche de bois, il me menotta les mains sur le robinet du bain, puis il m’attacha les chevilles ensemble et attacha le liens de mes chevilles à un tuyau de manière à ce que j’ai les jambes en l’air, la rondelle en évidence et que je ne puisse plus bouger, et il partit en me laissant là… Je l’entendais marcher à l’étage… Il ouvrait des tiroirs, il prenait des choses… Au bout de 5 bonnes minutes il revint :
« Alors petit PD t’es bien installé ?
- Oui maître, dis-je discrètement.
- Ben j’espère bien ! »
Il ouvrit la mallette à côté de moi, et sortit une sangle avec laquelle il m’attacha la tête à la planche.
« C’est pour que te montrer que tu n’as aucun contrôle sur ce que je peux te faire ! Bon je vais te faire un lavement anal comme t’as pas été propre la dernière fois. Détends ton cul je vais te mettre un doigt… Voilà c’est bien ça te fait pas mal j’espère ! Et maintenant je vais t’enfoncer ce petit tuyau dans le cul ! »
Cela me paraissait bizarre sur Internet j’avais vu des poires pour ce genre de pratiques…
Après me l’avoir enfoncé, il alluma l’eau tout doucement… Cela me faisait une sensation vraiment bizarre ! J’avais l’impression de me remplir, quand ça commençais a recouler de mon cul il me lança : « retiens toi ! » J’essayais donc de me retenir mais c’était pas facile ! Avec ce tuyau dans le cul qui me remplissait ! Je l’entendis prendre quelque chose, cela ressemblait à une bassine qu’il plaça dans le bain en dessous de moi… Au bout d’une ou 2 minutes il me dit : « Tu vas pouvoir constater ce que ça fait d’avoir un tampax mais toi ça sera dans le cul ! Retiens toi pendant que j’enlève le tuyau sinon tu vas le regretter !» et il sortit le tuyau powerment de l’eau coula de mon cul ! Et il m’enfonça aussitôt le tampax !
« T’es vraiment nul ma femme me l’a déjà fait moi j’arrive à ce que ça ne coule pas ! En tous cas tu aimes ça vu comment tu bandes depuis le début ! Bon reste comme ça je vais prendre quelques photos ! » Et il sortit mister appareil, il s’amusa a prendre une 20aine de clichés de moi dans cette position ! Après avoir fini de me prendre en photo il me détacha les pieds, il détacha mes mains du robinet mais les laissa menottées entres elles, il me fit me lever et m’emmena aux toilettes, il gardait toujours un doigt entre mes fesses appuyant sur le tampax… Arrivés aux toilettes il me fit asseoir, ouvrit mister pantalon, sortit sa bite pris ma tête entre ses mains et me tira vers sa bite pour que je le suce :
« Allez suce petite pute et je t’en pris lâches tout ce que tu as dans le cul ! »
Je me lâchais donc le tampax tomba d’abord puis je sentis un long filet d’eau couler de mon cul… Ce n’était vraiment pas très agréable… Mais le pire c’est que pendant ce temps mon maître me baisait littéralement la bouche il faisait des courts mais rapides va-et-vient dans ma bouche cela pendant plusieurs minutes, quand il eu fini, il se recula légèrement, me fit ouvrir la bouche en grand, et lâcha de longs filets de sperme chaud sur ma figure et une bonne partie dans ma bouche… « Gardes-le dans ta bouche mon délicieux sperme, t’as pas intérêt à le cracher ou à l’avaler ! » Je gardais donc dans ma bouche ce sperme auquel je commençais a prendre goût ! Pendant ce train-train je m’agitais les mains toujours menottées sur mon sexe qui finit par éjaculer sur les pieds de mon maître… Je le vis faire un sourire en coin, « oh ca tu vas le regretter ! »
Il me ramena alors un verre dans lequel je du cracher mister sperme, puis lui lécher les pieds pour récupérer mon sperme et le cracher ensuite dans ce verre, et il cracha ensuite dedans.
Il me fit tirer la chasse avec ma bouche, et me demanda de le rejoindre dans la salle de bain.
J’y retournais donc, les mains toujours menottées, le sexe en berne, encore souillé de sperme. Arrivé dans la salle de bain il était assis, une poire à lavements a la main, il m fit m’allonger sur ses genoux comme un enfant à qui l’ont prend sa température, je ne sais pas pourquoi mais j’ai bien aimé me retrouver dans cette position… il m’enfonça l’embout de la poire dans le cul et pressa la poire, du liquide entra de nouveau dans mon cul, et aussitôt il me retourna et laissa couler le l’eau de mon cul…
En me relevant, je constatai que l’eau sortant de mon cul avait coulé directement dans le verre ! Le verre était à moitié plein d’une substance blanchâtre…
« Tu t’en doutes mais comme tu n’as pas toujours été sage voilà ta punition, tu vas me boire ça ! C’est que des choses que t’aimes ! Du sperme, du crachat et du jus de lavement anal ! J’ai été sympa je ne te demande pas de laper dans la bassine ! »
« Merci Maître… »
Il enleva mes menottes, je pris le verre, le sentit, ça sentait le sperme, je pris mon courage à 2 mains et le bu d’une traite, à vrai dire cela avait surtout le goût de sperme c’était pas spécialement dégoûtant… Je constatai après avoir bu que j’étais de nouveau en train de bander ! C’est vrai que jusqu'à présent la situation ne me déplaisait pas plus que ça !
« Bien bien… Et ben on dirait que t’as aimé ça ! Aller je vais te sucer mais t’as pas intérêt a jouir dans ma bouche sinon moi c’est de la pisse que je mettrai dans ta bouche ! »
Et il me fit asseoir puis me suça quelques minutes… Il faisait ça très bien, c’était très bon ! Au moment fatidique je le fis reculer et il me fit éjaculer dans le bain en me branlant…
« Bon c’est presque fini t’as été un bon soumis ! Maintenant penches toi en avant et présente moi ton anus, je m’exécutais, il me rentra alors un petit plug dans le cul, et le ressorti immédiatement,
« ce sera ton plug, tu devras l’avoir sur toi a chaque fois qu’on se voit sauf indication contraire, et saches qu’a chaque fois que je te le mets et à chaque fois que je te l’enlève, il devra passer par ta bouche ! Tiens suces ! Voilà lèches le bien ! » Et il me le renfonça…
Il me laissa me rhabiller, sans caleçon, avec un plug dans le cul…
« Bon aller je te reconduit, ma femme aura besoin de toi demain soir pour t’initier, et puis après-demain soir pour toute la nuit… »
Il me reconduit et la suite pour bientôt !
chrislebo

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#3,322
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Rentré chez moi, je n’eus pas le temps d’enlever le plug qu’un ami misterna, j’étais assez gêné avec cet objet dans le cul mais j’arrivais à ce qu’il ne s’aperçoive de rien… La discutions dura un bon quart d’heure et il me proposa de sortir chez des amis le soir même mais je du refuser pour pouvoir me laver et retirer ce plug… Je n’aurais pas pu tenir toute la soirée comme ça !
Le lendemain matin, vendredi, 8h30, mon téléphone misterna, je décroche et prononce un « allo » d’une voix très endormie… Vous vous en doutez, c’est ma maîtresse :
« Est-ce qu’on répond comme ça à sa maîtresse ??
- Non, excusez-moi maîtresse…
- Bien, alors tu vas venir chez moi ce soir, à 21h au point de rendez-vous, avec ton plug et sans sous-vêtement, t’as intérêt à être propre, manges et brosses toi les dents avant de venir ! »
Et elle raccroche…
Cette journée me parue longue tellement j’avais hâte d’être le soir ! Vers 20h30, après m’être lavé, avoir mangé très peu car je n’avais pas faim et après m’être brossé les dents (je ne voyais pas vraiment pourquoi…) je me mis en route doucement jusqu'à notre point de rdv…

Arrivé la bas j’attendis jusque 21h10 environ et elle arriva dans une Opel rouge, je rentre dans la voiture, je la voyais pour la première fois je ne savais même pas mister prénom (que je ne cite pas pour confidentialité…) elle était très classe, un corps très séduisant, une figure un peu spéciale mais pas désagréable…
« Bonjour maîtresse…
- bonsoir p’ti gars, alors t’es prêt à être docile ? Tu as 10min, le temps de la route pour sortir ton plug de ton cul ! »
Je ne m’attendais pas à ça… Il y avait encore des gens sur la route à cette heure là !
J’essayais donc de le faire discrètement, et réussi juste avant d’arriver…
« Je ne t’ai pas demandé de remonter ton pantalon !
Pour la peine tu me le donnes et tu rentres comme ça ! »
Je l’enlevais donc et lui donna, elle sortit en premier de la voiture et courut jusqu'à sa maimister, je la suivis mais je du faire le tour de la voiture, en cachant mon cul et mon sexe car nous n’étions pas loin de la rue, heureusement déserte… Arrivé à la porte, elle est fermée à clef !
Je comprends alors pourquoi elle a couru… Je misterne, la petite fenêtre s’ouvre à coté, elle me regarde et sourit puis referme la fenêtre… J’attends une minute en me cachant tant bien que mal, il fait froid et j’ai peur que quelqu’un passe ! Au bout de 3 ou 4min elle m’ouvre enfin…
« Allez entre p’tit soumis et à quatre pattes ! » je m’exécute donc et entre à quatre pattes..
« Va dans la salle à manger et reste comme ça », j’y vais donc et je la vois revenir avec un gode, elle se place derrière moi, elle m’écarte les fesses, me crache sur l’anus (qu’est ce que c’est bon !) et elle m’enfonce doucement le gode, plus gros que le plug cela me fait un peu mal mais ça rentre !
« Ce sera ton plug d’intérieur ! Et comme tu restes à 4 pattes il va tenir ! Va sous la table !! »
Sur la table en question il y avait visiblement mister repas de servi, je commence à comprendre à quoi je vais devoir m’employer… Et je m’en contente d’avance d’ailleurs ! Je me glisse sous la table pendant ce temps elle sort de la salle à manger, elle revient 1min plus tard, habillée d’un haut de cuir laissant apparaître ses seins et les mettant en valeur, ainsi qu’avec une minijupe de cuir. Elle vient s’asseoir, et je constate qu’elle ne porte rien sous sa jupe… Je me permets un petit :
« Maîtresse, puis-je ? »
« Oui vas-y t’as intérêts à me faire du bien ! »
Je m’appliquais donc, mais n’étant pas très doué je n’étais pas sûr de moi, au contraire ! Honnêtement, elle était délicieuse ! Je m’appliquer à appuyer ma langue sur mister clito (bien que j’avais encore du mal à le cerner…) Et de temps en temps je la pénétrais de ma langue, elle était toute humide et je l’entendais manger…
Je la léchais pendant un certain temps, quand elle eu fini de manger elle attrapa ma tête avec ses mains et la serra sur mister petit minou rasé…
« Aujourd’hui tu vas passer la soirée avec moi pour te préparer à la soirée de demain… Demain je reçois 4 amies, on se voit tous les mois, et chacune doit ramener un sextoy, nous l’essayons ensemble et celle qui ramène le mieux des sextoys se voit offrir tous les autres et a droit aux faveurs des 4 autres pendant la nuit… Et j’ai décidé que mon sextoy ce sera toi ! C’est pour ça qu’il faut que je t’entraîne ! Caro adore qu’on fasse du bien à ses seins et à sa chatte et qu’on caresse juste mister anus… Elodie est plus pour le plaisir vaginal et anal… Sabine a un fantasme que tu ne vas peut être pas aimer, elle adore essayer les godes et vibros, en pissant ! Et Sixtine, qu’on appelle « Sux » aime aussi pisser devant nous pendant qu’on la caresse et pendant qu’on l’encule ! Heureusement pour toi, si tu lui fais du bien, elle te sucera certainement car elle aime ça ! Tu vas avoir le droit de faire tout ça ! Et tu seras même obligé ! Bien ? »
chrislebo

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#3,323
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Belle famille


J'ai découvert que ma femme remplissait les devoirs conjugaux de sa mère dans le lit parental depuis de nombreuses années et qu'elle a continué à satisfaire mister père même après m'avoir rencontré.
L'histoire que je vais vous raconter commence en fait le jour où j'ai surpris ma femme, dans une position n'ayant aucun besoin d'explication.
Ce jour-là, j'étais allé dans la grange fouiner dans les malles entreposées à l'étage et, tombant sur un vieil album photos de famille, je m'étais installé parmi les cartons empoussiérés pour le feuilleter tranquillement.
Le temps passait sans que je m'en rende compte quand j'entendis la porte s'ouvrir puis les voix de mon épouse et de mister père. De l'endroit où je me trouvais, je pouvais les voir sans qu'ils ne s'aperçoivent de ma présence aussi, je ne me manifestais pas car étant en train de fouiner dans leurs souvenirs de famille, je me sentais comme pris en flagrant délit.
Ils étaient au-dessous de moi et j'entendais parfaitement leur conversation si bien, qu'une phrase de ma femme, attira mon attention. Elle venait de répondre à mister père qui lui demandait quelque chose :
- Bon d'accord mais vite faite alors car je ne sais pas où se trouve Chris (c'est-à-dire moi) et il va peut-être me chercher.

Je me penchais pour voir ce qui se passait en-dessous et, je vis, éberlué, ma femme, s'agenouiller devant mister père, lui ouvrir la braguette et, après avoir plongé sa main dans l'ouverture, extirper mister sexe pour le porter directement à sa bouche.
Je n'en croyais pas mes yeux. Ma femme était en train de sucer mister propre père dans la grange familiale. Incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit, j'assistais à une fellation, prodiguée dans les règles de l'art, par mon épouse sur la permisterne de mister père.
Elle y mettait du cour à l'ouvrage, léchant avec application les couilles, la hampe, tournant autour du gland pour l'emboucher avec des bruits de succion obscènes, déclenchant des soupirs de plaisir et de satisfaction chez mister géniteur qui passait nerveusement ses doigts dans mister épaisse chevelure, en l'encourageant.
- Oh oui, suces ma fille. Tu me fais du bien. Continues comme ça, je vais jouir.

Ma femme, la bouche pleine, répondait par des hummmmmm langoureux, marquant mister plaisir de l'avoir dans sa bouche.
Rapidement, il se mit à donner des coups de reins, en poussant des grognements plus impétueux. Ma femme, sentant que la jouissance était proche, le prit définitivement en bouche pour se mettre à lui pomper le gland comme si sa vie en dépendait.
Mon beau-père leva les yeux au plafond annonçant :
- Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Avales ma fille, avales touuuuuuuut.

Ma femme l'attrapa alors par les fesses et le tira vers elle pour qu'il s'enfonce entièrement dans sa gorge. Son nez plaqué sur le ventre paternel, elle déglutissait à petites gorgées, les giclées de foutre qui lui inondaient le palais. Elle resta un moment sans bouger, attendant qu'il finisse de jouir puis, le fit ressortir de sa bouche, le léchant avec application, comme pour faire disparaître toute trace de sa jouissance.
Enfin propre, elle déposa sur le gland encore rouge d'excitation, un bisou tendre, pour finalement ranger elle-même à sa place, l'objet du délit.
Son père la fit se relever et tout en la prenant dans ses bras lui souffla :
- On a pas le temps maintenant mais ce soir, je te ferais jouir comme tu aimes.
chrislebo

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#3,324
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Ils s'en allèrent comme ils étaient venus, me laissant les bras ballants, incapable de réagir, me demandant si tout ceci n'était pas un mauvais rêve issu de mon imagination.
Je restais un bon moment dans ma cachette, réalisant que malgré moi, j'avais joui dans mon pantalon sans même me toucher. En repensant à cette scène surréaliste, je ne pouvais que reconnaître avoir atteint le summum de l'excitation.
Je repensais à ce qui avait été dit, me souvenant de la promesse que mon beau-père avait faite à ma femme. Je décidais donc, de m'éclipser tôt dans la soirée pour leur laisser le champ libre et, savoir comment ils s'y prenaient pour ne pas éveiller les soupçons de ma belle-mère.
C'est en entendant ma femme en train de me chercher que je sortais discrètement de la grange pour la rejoindre et, tout en la prenant dans mes bras pour l'embrasser, sentir dans mister haleine, l'odeur tenace du foutre de mister père.
Le reste de l'après-midi se passa sans rien de nouveau, chacun vacant à ses occupations comme d'habitude jusqu'au soir pour le repas pris en famille. Rapidement, prétextant un coup de barre, je m'éclipsais pour laisser ma belle-famille entre eux. Je montais à l'étage et fis mine de fermer bruyamment la porte pour revenir observer tout ce petit monde sans qu'il ne s'en aperçoive.
Je remarquais tout de suite que le comportement de mon beau-père et de ma femme avait changé. Ils s'étaient installés côte à côte dans le canapé, laissant le fauteuil à ma belle-mère devant la télé.
Je ne voyais pas ce qu'il faisait ni ce qu'ils se disaient mais de temps en temps, de francs éclats de rire remontaient jusqu'à moi. Ils avaient l'air de bien plaisanter tous les trois.
Au bout d'un long moment, mon épouse se pencha vers mister père et se leva vers sa mère pour lui dire quelque chose à l'oreille. Ma belle-mère avait l'air d'acquiescer de la tête ce qui fit se lever le beau-père qui après une tape sur l'arrière-train de ma femme, prit la direction de sa chambre. Il venait vers moi, aussi, je regagnais illico ma chambre pour me glisser dans les draps, feignant de dormir à poings fermés.
Je l'entendis passer dans le couloir de mister pas lourd et presqu'immédiatement, la porte de la chambre s'ouvrit. J'essayais de feindre un sommeil lourd mais paisible, la tête enfoncée dans l'oreiller.
Ma femme penchée sur moi m'appelait doucement en m'attrapant par un bras :
- Tu dors mon cour ?

Sans réponse de ma part, elle s'en alla sur la pointe des pieds, sûre de me laisser dans les bras de Morphée. Elle poussa la porte et disparut. Je tendis l'oreille pour écouter ses pas dans les escaliers mais sans succès. Je réalisais qu'elle s'était dirigée vers la chambre des parents, certainement rejoindre mister père.
Je sortais à mon tour du lit et à pas de loup, me dirigeais vers le couloir pour rejoindre mon poste d'observation. Ma belle-mère, toujours dans mister fauteuil, regardait mister émission. Elle était seule.
Prenant mon courage à deux mains, je tournais les talons pour me diriger vers la chambre parentale. La porte restée entrouverte, laissait filtrer la lumière de la chambre. Je collais mes yeux dans l'interstice du chambranle et de la porte, pour tenter de voir ce qui s'y passait.
Le père et la fille étaient allongés côte à côte dans le grand lit. Ils discutaient tranquillement sans qu'aucun geste déplacé ne trahisse l'intimité dont ils étaient capables.
Un peu déçu, j'allais tourner les talons pour retourner à ma chambre lorsque j'entendis mon beau-père demander :
- Qu'est-ce qu'elle a dit, maman ?

Et ma femme de répondre :
- D'éviter de faire du bruit à cause de Chris mais il dort comme un loir.
- Bon, je m'occupe de toi alors ?
- Ben, oui si t'es en forme.

En un éclair, le beau-père se laissa glisser vers le bas du lit pour se retrouver entre les jambes de sa fille. D'un geste sûr, il retroussa mister long t-shirt sur mister ventre puis, tira sur la petite culotte qu'il balança au pied du lit.
Ma femme, nue, attendait les cuisses légèrement ouvertes. Son père se redressa sur ses coudes, les yeux rivés vers la petite bande de poils bruns, huma l'odeur de sa fille en lui disant qu'elle sentait bon puis, plongea sa tête vers le sexe offert.
chrislebo

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#3,325
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J'étais déçu de ne pas voir distinctement ce qu'il lui faisait, mais visiblement il était en train de lui dévorer la chatte ou lui sucer le clitoris comme elle adorait car ses gémissements en disaient long sur le plaisir qu'elle ressentait déjà. Il avait passé une de ses mains sous ses fesses aussi je m'imaginais qu'il était aussi en train de la fourrer avec ses doigts.
Tout en les regardant forniquer comme deux amants de longue date, je pensais à ma belle-mère. Elle devait forcément être au courant de cette relation *********** car sinon, le spectacle auquel j'assistais n'aurait pas pu avoir lieu dans cette chambre avec le maximum de chance d'être surpris.
Çà expliquait aussi les paroles prononcées par ma femme et mister père. Je fus tiré de mes pensées par la voix de ma femme. Des petits cris qu'elle n'arrivait pas à étouffer malgré sa main posée devant sa bouche, emplissaient la pièce. Elle y était presque, encore quelques coups de langue sur mister bouton et ce serait l'explosion, la délivrance. Elle tendit mister ventre une dernière fois à la rencontre de la bouche qui la dévorait et, dans un dernier cri, laissa la jouissance la submerger.
Dans un réflexe que je connaissais bien, elle posa sa main dans les cheveux de mister père, pour qu'il continue à s'occuper d'elle jusqu'au bout de mister plaisir mais c'était bien inutile, la bouche resta soudée à mister sexe, aspirant le bouton turgescent jusqu'au dernier spasme.
Repue, elle se laissa retomber lourdement sur le lit tandis que mister père, posait sa tête tendrement sur l'une de ses cuisses. Elle soupira :
- Ouuuuuuuuuuffffffffffffffff. Ça fait du bien. C'était super bon.
- Pour moi aussi, c'était super bon.
- Tu veux venir dans moi ?
- Maman ne va tarder à arriver.
- Je sais mais j'ai envie, viens.

Le beau-père n'attendait que ça, car dans un geste il se redressait déjà, dévoilant une queue en pleine érection. Avant même que je n'ai réalisé ce qui se passait, il s'était enfoncé dans le ventre d'Elise. Je pouvais maintenant voir ses fesses, bouger doucement dans un lent va-et-vient.
- Ouais. Vas-y. mets-la moi bien au fond. J'aime çà. C'est trop bon après avoir joui de sentir ta queue dans mon ventre.

Lui ne répondait pas. Il soufflait simplement de plus en plus fort. Seuls les muscles de ses fesses, me renseignaient sur l'intensité de l'effort qu'il leur demandait. Elise avait passé ses jambes autour de la taille de mister assaillant, l'encourageant de la voix pour l'inciter à se vider en elle.
- Allez papa, plus fort, plus fort. Je vais jouir encore une fois. N'arrête pas.

Il était maintenant au maximum de sa puissance. Chaque coup de reins qu'il donnait les faisait bouger tous les deux dans une parfaite synchronisation. J'allais assister à une nouvelle explosion. J'attendais le cri, le gémissement qui allait trahir l'arrivée du plaisir mais, un bruit plus bas, dans le salon m'alerta. Quelqu'un montait les escaliers. J'eus juste le temps de m'engouffrer dans ma chambre avant qu'elle n'apparaisse au sommet des marches.
Même si je ne les voyais plus, j'entendais la voix de ma femme qui devait encourager mister père. Un cri plus fort que les autres puis le silence. Roberte, la belle-mère s'était arrêtée à hauteur de ma porte. Elle y resta un petit moment puis ouvrit ma porte. Je l'imaginais en train de me regarder, angoissée à l'idée qu'elle puisse percevoir les bruits que faisaient mon cour et ma respiration du fait de l'excitation. Elle referma ma porte et reprit sa marche.
J'entendis la porte d'à côté s'ouvrir puis :
- Vous faites trop de bruit. Si çà se trouve, vous l'avez réveillé à couiner comme çà. Allez, file dans ta chambre maintenant.
- Laisse-moi encore un peu avec papa. J'aime pas partir tout de suite après.
- Bon d'accord mais pas longtemps alors.

Le silence s'installe une nouvelle fois, coupé par quelques murmures à peine audibles. Un long moment pendant lequel, je me caresse furieusement sous les draps, furieusement jusqu'à ce qu'à mon tour, je m'épanche à grandes giclées, sur mon ventre et mes doigts.
J'entends marcher dans le couloir. Quelqu'un arrive, ouvre la porte de la chambre. C'est ma femme, je reconnais mister souffle et sa façon qu'elle a, de tirer sur les draps pour s'y glisser.
Elle vient se blottir contre moi et sombre immédiatement dans un sommeil réparateur. Je n'arrive pas à m'endormir. Les images se bousculent dans ma tête à toute vitesse. Malgré ma jouissance toute proche, je me sens encore excité. J'ai envie de la prendre à mon tour mais, malgré ma main qui parcourt mister corps, Elise ne réagit pas. Elle dort déjà profondément.
Tant pis, ma main se faufile vers la fourche de ses cuisses, mes doigts trouvent l'entrée en pleine inondation. Son entrejambe est dégoulinante des plaisirs **********. Je power l'entrée, un doigt, deux. Ils coulissent sans powerr dans le fourreau saturé de sperme et de mouille. Je sais qu'elle adore s'endormir avec dans mister ventre le sperme de mister partenaire. Elle m'a avoué l'avoir toujours fait, avec tous ses amants. C'est un plaisir supplémentaire qu'elle s'accorde à l'inverse d'autres femmes qui attendent tout juste que leur amant ait éjaculé pour courir à la douche, faire disparaître les traces de sa jouissance. Finalement, vaincu par la fatigue des évènements insensés de cette journée, je m'endors, la main bloquée entre les jambes de ma campagne.
Demain sera un nouveau jour, un tout autre jour où plus rien ne sera jamais comme avant.
chrislebo

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#3,326
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Retour au sex-shop, plus loin dans le vice et l'offense... (suite)


Des mois se mistert passés depuis ma découverte du sex shop et je suis devenue peu à
peu l’esclave sexuelle, soumise et obéissante de Kader. Je suis comme il dit sa pute,
sa truie. Il me conduit dès que je suis disponible aux mâles recevoir ma ration de
bittes. Je me caresse maintenant la chatte de plus en plus souvent. Certains jours
jusqu’à quatre fois. J’ai appris à me faire jouir intensément surtout grâce au rabbit
vibrant à billes qu’il m’a offert. Un cadeau, après un après-midi passé devant le glory
hole dans le sex shop. Ce jour-là, le sexe embroché sur mon gros gode noir, j’ai sucé
sur mister ordre toutes les queues qui s’étaient présentées dans le trou de la cloimister.
Kader en a dénombré 25. J’avais la mâchoire en compote et la langue ankylosée
tellement je me suis appliquée à les faire toutes cracher dans ma bouche ou sur mes
seins. Il y avait des bittes de toutes les tailles, certaines avaient un peu de mal à
bander et il fallait que je les branle énergiquement. La plupart étaient très propres et
sentaient bon, alors que d’autres sentaient le foutre et l’urine et c’est de celles-là que
je me délecte le plus. Un vieux pervers m’a même pissé dessus par le trou et j’ai gobé
mister gros sexe plein de poil blanc pour bien le nettoyer. Il m’a donné 20 euros en
remerciement et mister numéro de téléphone. Il revient la semaine prochaine et il a
promis qu’il m’enculerait bien à fond. J’espère vraiment le revoir car il m’a envoyé une
sacrée rasade de sperme sur la langue. A la fin de la séance, Kader qui a tout filmé,
m’a offert et fait mettre une culotte en latex ouverte sur ma chatte rasée. Après il m’a
enculée avec power, frappant sur mes fesses et me traitant de sac à foutre. Mes fesses
me faisaient mal et mon anus bien qu’habitué fut soumis à rude épreuve. Il m’a fait
me branler le clito en même temps et demandé si c’était meilleur qu’avec la petite bitte
de mon cocu. Sentant un orgasme terrible monter, je lui ai crié : « oui, c’est bon, bourre
mon cul bien profond, maître ». Il avait l’air satisfait, à mister tour, il a jouit très fort sur la
culotte en me traitant de chienne à bittes puis il me l’a fait enlever et nettoyer avec la
langue. Tout ce qui sort de sa queue est une offrande, je le prends comme une
récompense. Ensuite, il m’a dit de me rhabiller, il n’y avait rien pour faire ma toilette et
j’ai dû repartir chez mon homme comme çà, le corps, la chatte et les seins souillés. Je
sentais le foutre et l’urine séchés, c’était humiliant, mais c’était bon. Cà c’est passé
avant les vacances d’été, depuis je n’ai plus de nouvelles de lui. Il est parti au red
mais il a promis de revenir avec une énorme surprise, j’ai hâte de savoir quoi. L’été
prochain il veut m’emmener au Maroc pour servir de pute à ses nombreux cousins.
L’idée m’excite mais j’ai un peu peur, on verra bien, je vous raconterai…
j’attends comme d’habitude vos commentaires et je remercie les nombreuses
permisternes qui m’ont encouragée à poursuivre le récit de mes aventures.
chrislebo

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Des vacances en tant qu'esclave...


Bonjour à tous,
Je me présente Joe, 25 ans, 1.90 pour 87kg, sportif... Je suis bi, enfin je pense.
Durant le mois de juillet, je suis parti en vacances avec des amis à moi. Vacances entre 5 potes dans un camping privé pres de St Maxime.
Un soir, l'alcool aidant, nous avons commencé à parler des nos expériences sexuel...
Je me suis confié que mon ex copine m'avait sodomiser à l'aide d'un god ceinture...
Permisterne ne se moqua et me demanda les sensations...
2 jours plus tard, on organisa une partie de poker, le perdant avait un gage... avant que je comprenne quoi que ce soit, j'avais perdu...
Mon gage : sauter nu dans la piscine du camping privé, un jeu est un jeu, j'enlève mes vêtements et cours en direction de la piscine...
Le temps que je revienne, toutes mes affaires étaient en tas prêtes à être brûlées... je ne comprenais plus rien. Nono s'approcha de moi et me donna des menottes, je devais les mettre pour récupérer mes vêtements.
Le bruit attira les camps voisins... Je me cachais dans une tente, j'entendis Julien parler de bonne surprise. Mes 4 potes me sortirent de la tente. Jérome me mis vulgarement à genoux et me traita de petite lope qui se fait enculer par sa copine. Je me retrouvais au milieu de 4 bites.
Soumis a ses amis et dominer comme une petite chienne. Jérome enfonca directement mister sexe dans ma bouche et me prit derrière la tete. Il me baisa le fond de la gorge et rapidement je sentis sa semence au fond de ma gorge. Tout le monde voulu faire pareil sauf Nono qui commenca à jouer avec ma rondelle, un doigt, puis deux. Ensuite je sentis un liquide froid puis mister sexe me pénétra sauvagement...
Limé et épuisé, ils me recouvrirent de leur sperme.
Tous les quatre commencent à me lever, et m'emmènent dans les sanitaires...
Me voici dans une cabine de douche, on m'enleva les menottes pour m'attacher avec des liens, tete face au mur et fesses en vision de tous.
Je vis les flashes des appareils photos dans le carrelage...
Tout le monde sorti de là et me laissait dans le noir nu, offert au milieu des sanitaires...
Au bout d'un moment, la lumière s'alluma, me voici nu devant les voisines du camping, 2 jeunes filles de 19 ans... Jérome entra et donna une carotte et un concombre aux filles, elles se mettent a rire et sortent un god ceinture...
Me voici sodomisé par 2 jeunes filles,
humilié, elles jouaient avec mon sexe jusqu'à ce qu'elles n'en puissent plus...
Au bout d'un bon moment, elles me laisse a mon sort, avec un god dans la rondelle et un sexe tellement douloureux qu'il est minuscule...
Me voici humilié par mes amis, dominé par des inconnus...
ce ne fut que la première domination, bien d'autre ont suivi...
vanbruje

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#3,328
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Waouh !!! De très bons textes... du connu, du moins connu... du déjà publié ici..., du moins intéressant pour moi... Un grand merci !
chrislebo

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#3,329
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Submissive Cuckold


I’ve been married to Susan for just over twenty years. We have a twelve-year-old mister, Mark. I had an affair once, about seven years ago. Susan found out about the affair and we gradually fell out of love. We stay together for Mark’s sake. A couple of years ago she met Arnold on the Internet, and they hit it off. They talk all the time on the phone and see each other when they can.
I’d always wanted Susan to sexually dominate me. She tried several times but she never enjoyed it. She discussed this with Arnold, and he convinced her it would be fun to try again. Susan sent Mark over to his Aunt Sally’s one weekend and invited Arnold over. They spent the weekend fucking each other and sexually teasing me. Susan discovered she really enjoyed dominating me now that she didn’t love me.
Since the weekend went so well they decided to dominate me regularly. Susan wakes me up every Friday night after Mark goes to relax. She ties me to a chair, strips, and plays with herself in front of me for a couple of hours. Arnold watches us through a video camera attached to the computer. Every other month or so Arnold comes over to spend the weekend. It was exciting at first, but it’s numbing now. I know that Susan is never going to fuck me again, so her sexual teasing became pointless. Be careful what you wish for, you might just get it. I do what she commands just so she doesn’t leave and take Mark with her.
One Monday, I found a note on the table while I was preparing my breakfast. “Get the last week of March off of work. You’re taking me to a cabin in the Poconos so that Arnold and I can have a great week together. We have a surprise planned for you.” Great. I get to spend a week watching them fuck like rabbits in the honeymoon capital of Pennsylvania. I knew better than to argue, so I arranged to get the week off. At least she gave me some notice.
I got home from work on the Friday before the trip to find that Susan sitting on the living room sofa watching television. She looked up and commanded, “Go upstairs and take your clothes off. Bring the suitcases downstairs and pack up all of your bondage equipment.”
“Where’s Mark?”
“I’ve already dropped him off at Aunt Sally’s.”
“Oh.” I went upstairs, got undressed, and brought the suitcases downstairs. I went into the basement and packed all of my bondage equipment into two large plastic tubs. I brought the tubs upstairs.
Susan was still watching television. She commanded, “Go upstairs and put some work clothes on and cut the grass.”
I went upstairs and put on some work clothes. I went out and cut the grass. It was the first time since last fall, and it took a few pulls to get the lawn mower started. I cut a little grass but mostly mulched the leaves that were on the ground over the winter. After I finished, I was going into the kitchen to get a couple of glasses of water when I heard Susan command, “Come over here.”
I went into the living room.
Susan looked up and asked, “Does the yard look nice?”
“Yes Susan.”
“You stand there, I’m going to check.” Susan got up and went outside. I put my hands behind my back. She came back in with a piece of trash paper in her hand. “Look what I found in the yard! How could you miss this?” I knew the trash came from one of our neighbor’s yards, but it didn’t matter. I looked at the floor and answered, “I’m sorry Susan.”
“You sure are sorry. Take this.” Susan handed me the trash. “Throw it away, then wash your hands. Load and start the dishwasher. Put your work clothes in the washer and stand there. After the washer finishes, put your clothes in the dryer and stand there. Put your work clothes away, unload the dishwasher, and come check with me.”
“Yes Susan.” I went in the kitchen and washed my hands. I loaded the dishwasher, and started it. I went to the washing machine in the basement, took off my work clothes, threw them in, and started it. I stood in front of the washer with my hands behind my back, in case Susan came downstairs to check on me. I wanted to take a shower but I knew with both the dishwasher and the washer running that there wouldn’t be any hot water.
When the washer finished, I took out the clothes and put them in the dryer. I stood in front of the dryer while the clothes dried. The radiating warmth made me feel a little better. I took the clothes out of the dryer and put them away in my bedroom. I came back downstairs and unloaded the dishwasher.
Susan turned off the television and came into the kitchen. “Go get three pieces of rope and wait for me in the basement.”
I got three pieces of rope from one of the plastic tubs and went downstairs. Susan had gotten herself a slice of chocolate cake and a glass of milk. She put her snack down by her computer. “Get the punishment chair, and put it in front of your computer. I’ll be too busy tonight to torment you. Instead of watching me, you can watch your porn pictures.”
chrislebo

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#3,330 
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Susan found the punishment chair while she was out at a yard sale. It’s an old wooden dining room chair with straight legs. The back of the chair is made of five straight wooden slats with a four-inch top piece. The seat is perfectly flat, with no contour. I moved the comfy office chair to the side and put the punishment chair in front of my computer.
Susan tacks a black sheet of coarse sandpaper to the seat of the chair with a hammer and thumbtacks. She grins at me. “I picked this up while I was at Home Depot. I thought you’d enjoy this extra punishment tonight. I know I will. Sit down.”
I sit down on the sandpaper. It’s not too bad as long as I don’t move.
Susan ties my ankles to the chair legs, and stands up. “Start up your slide show, then put your hands behind the chair.”
I turn my computer on and bring up the picture viewer program. I decide I want to look at the smoking pictures tonight, so I bring up the directory of almost 1,000 pictures of topless and naked women smoking. I set the program so that it displays a picture for five seconds, and then shows the next picture in the directory. Once the program’s running, I put my arms behind the chair.
Susan ties my wrists together and to the slat in the middle. She takes her clothes off and sits in front of her computer. I can hear her talk to Arnold on the phone and play Scrabble with him over the computer while I sit and watch the pictures. I was tired when I first sat down, but after a while my cock responds to the pictures. The sandpaper scratches my bottom every time I move so I try to stay still. Sometime during the third time through the photographs I hear Susan hang up the phone and get up from the computer.
Susan stands by the side of the desk where I can see her. She’s naked, with a cigarette in her hand. She puts the ashtray on the desk. “Would you rather watch those pictures or me?”
“You Susan.”
Susan lights the cigarette and takes a puff. She cups her breasts in her hands. “By this time tomorrow, Arnold will be fondling these.” She reaches down and fingers her pussy. “And his hard cock will be pounding me over and over.” She takes a puff of the cigarette. “And how does your ass feel?”
“A little sore, Susan.”
Susan smiles. “Good. Maybe next time you’ll pick up all the trash.” She takes a puff of her cigarette. “I thought you liked watching naked women smoke.”
“I do Susan.”
“Then why is your cock so soft? Susan leans over and blows smoke in my face. “Get your cock hard for me, baby.”
I squirm, and my bottom rubs on the sandpaper. I wince and my cock softens.
Susan smiles. “What’s the matter? I thought you liked having smoke blown in your face.” She takes a puff. “Maybe if I touch your cock with the cigarette I’ll get a reaction. “
I watch as she holds the cigarette just over the head of my cock, then takes it away.
Susan finishes her cigarette. “I guess that you didn’t like watching me smoke after all. I’ll leave you with your pictures, then.” She puts the cigarette out and puts the ashtray next to the computer. “Good night.” She goes upstairs and turns out the light.
I watch the pictures. The smoke from the ashtray bothers me for a little while. Whenever I get relaxy, my bottom rubs against the sandpaper and I wake up again. I’m finally so exhausted that I fall arelax for a while. It’s brighter in the room when I wake up. I watch the pictures and try to remain still.
Susan comes downstairs. She’s still naked. She gets a cigarette from the desk and lights it. She takes a puff. “Would you like to watch me smoke a cigarette?”
I’m hungry and tired, my bottom’s sore, and I need a shower. I’d rather do almost anything else, but I don’t want to get Susan mad. “Yes Susan.”
Susan takes a puff of the cigarette. “Your cock is so tiny. Are you sure you enjoy watching a naked woman smoke?
“Yes Susan, I enjoy watching a naked woman smoke.”
Susan leans over and blows smoke in my face. “Good. Enjoy yourself.” She smokes the cigarette. She puts the cigarette out and tells me, “I’m going upstairs to take a shower. When I come back, I’ll untie you. Put everything away, take a shower, and get dressed. Pack up the car, and we’ll get going.”
I could hear the water running upstairs while Susan took a shower. It seemed like she was taking forever. She came downstairs and untied me. I put the punishment chair away, and cleaned the ashtray. I took a quick shower, as Susan used almost all of the hot water. I got dressed and loaded the van. The morning sun felt nice on my skin. The drive to the Poconos was uneventful. I enjoyed the scenery while Susan listened to her CD’s. We stopped once to refuel and have lunch.
We arrived at the cabin just before dinner. It was very secluded. I got our stuff from the van and brought it inside. Arnold was already here. He and Susan kissed while I put the suitcases in the bedroom. The bedroom walls were light pink. There was a large four-poster bed in the middle of the room. When I came out, there was an attractive woman standing with Arnold and Susan.
Arnold introduced us. “Julie, this is Steve. Steve, Julie invited us to spend the weekend in her cabin. You’ll be entertaining her while Susan and I enjoy ourselves.”
Susan commanded, “Get their bags and bring them inside. Julie’s bedroom is across from ours. Put your bondage stuff in Julie’s bedroom. When you get everything inside, take off your clothes, put your ankle restraints on, get a pair of handcuffs, and come back into the living room.”
I unloaded Arnold’s car, and finished unloading our van. Julie’s bedroom was a little larger. The walls were a light green. The headboard and footboard on her bed were made with a dozen round wooden slats and a large top piece. They looked like wooden primister bars. I got the ankle restrains and put them on. I picked up a pair of handcuffs and went into the living room. Arnold, Susan, and Julie were sitting on the sofa smoking.
Julie grinned. “I’ve never seen ankle restraints like that except in primister movies. I’m going to have fun this week.”
Susan commanded. “Turn around so Julie can see your ass.”
I turned around. I had no idea what it looked like. I looked out the back window until I heard Susan command, “Turn around and kneel down in front of Julie and I.”
I turned around and knelt down in front of the sofa.
Julie locked my wrists together with the handcuffs and put an ashtray in my hands. She commanded, “Hold this for us.” She took a puff of her cigarette. “Tell me everything Susan did to you last night.”
I told Julie everything Susan did to me while they smoked. When I finished, Julie put her cigarette out and asked me, “Was Susan cruel to you?”
I didn’t know what answer Julie expected. “Yes, Susan was cruel to me.”
Susan laughed.
Julie lit a cigarette and took a puff. “At least you’re honest. Had she tormented you like that before?”
“No Julie, nothing as severe as last night.”
Julie smiled. “Steve, some men would say Susan was cruel when she cheated on you. Not only has she cheated on you, but she’s also had you watch Arnold fuck her many times now. Was that cruel?”
“That first weekend, yes I thought it was cruel, but overall I enjoyed what Arnold and Susan did to me. I want Susan to be happy.”
Susan gave Arnold a huge kiss. Julie took a puff of her cigarette and looked at me. “Your wife just kissed another man right in front of you and yet you kneel there holding my ashtray. Do you want to make me happy too?”
“We just met, Julie.”
Susan looked over at me. “I want you to serve Julie, Steve. She’s an experienced dominatrix.”
Julie smiled. “I’ve been talking to Susan for a while. I’ve been giving her domination advice, helping her to think up new ways to torment you. As a thank you, she agreed to loan you to me for a week.” She took a puff of her cigarette. “I’ve been called a very cruel woman. Some say I’m sadistic. Do you still want to make me happy?”
“Um, yes.”
Julie took the ashtray from my hands. “Get up and follow me. Let’s see what goodies you brought with you.” I followed Julie into her bedroom. She opened the plastic tubs and looked through the stuff I brought. I stood and watched. She sat down on the bed and lit a cigarette. She commanded, “Put your hands behind your head and spread your legs a little.”
I put my hands behind my head and spread my legs.
Julie took a puff of her cigarette. “Good. I want you to stand like that or with your hands behind your back when you’re not busy. You are to address me from now on as Mistress Julie. You will address the others as Master Arnold and Mistress Susan while we’re here. You are our slave and will answer to slave. Do you understand?”
“Yes Mistress Julie.”
“Good slave. “ Mistress Julie took a puff of her cigarette. “You will do whatever we command. If you obey, you’ll get to eat once a day and relax on the floor by my bed. If you disobey, you’ll be bound and whipped. We’ll leave you bound all night. Do you understand?”
“Yes Mistress Julie.”
“You’ll wear nothing but the ankle chains. During the day, you’ll do chores for me, like sawing wood or moving rocks. In the evenings, you’ll prepare dinner. You’ll stand by the dinner table and watch us eat. If you’ve been good, we’ll let you eat the leftovers. Afterwards, you will entertain us. Do you understand?” “Yes Mistress Julie.”
Mistress Julie takes a puff of her cigarette. “I understand that you get aroused watching naked women smoke. Is that true, slave?”
“Yes Mistress Julie.”
“Be a good slave and you might get the opportunity. Would you like to see me naked, slave?”
“Yes Mistress Julie.
Mistress Julie laughed. “Maybe later this week. “ She stood up and unlocked the handcuffs. “Go make dinner.” “Yes Mistress Julie.”
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