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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,241
 Down to the last message
Depuis la salle de bain, j'entendis un cri de surprise. J'attendis quelques
secondes, puis me précipitai dans le couloir pour reprendre ma place de voyeur, caché
derrière la porte entrouverte. C'était effectivement Victor qui venait de rejoindre
Hervé et ma copine Hélène ! Il se tenait debout près du lit, les bras ballants et
l'air abasourdi. Sur la couette était étendue ma copine, allongée sur le ventre et
complètement nue. Ses jambes étaient pliées vers l'arrière, de telle sorte que ses
pieds pointaient vers le ciel. Elle regardait mon ami Victor avec un petit sourire,
mêlé de gêne et de malice. Derrière elle, Hervé était à genoux, tenant sa bite à
moitié molle d'une main, caressant les jolies fesses d'Hélène de l'autre. Son fils
était en train de l'observer, nu aux côtés d'une petite bombe qui aurait pu être sa
fille, et pourtant il gardait cet air fier et arrogant que je lui avais toujours
connu. C'était définitivement un homme étrange !
- Mais... mais.... balbutia Victor. Qu'est-ce que... qu'est-ce que vous avez fait ?!
Hervé et Hélène eurent un sourire complice, amusés par la naïveté de Victor.
- Ce que nous avons fait ? ironisa mister père. Je pensais que même pour un gamin sans
expérience comme toi, cela tombait sous le sens... Je viens de baiser la copine de
Nico !
- Non ! rétorqua Victor. Ce n'est pas possible ! Sérieusement, je n'y crois pas ! Je
dois rêver, je...
Victor semblait réellement offusqué par les paroles de mister père. Cela me
rassura, je me dis qu'il n'était pas mon meilleur ami pour rien.
- Réveille-toi, fils ! lui lança sèchement Hervé. Tu vois bien que c'est la réalité !
Nicolas ne la baise pas, elle était en manque, j'étais là... Tu imagines la suite !
- Tout ça est complètement fou ! s'énerva Victor. Nico m'a dit qu'ils faisaient
l'amour tout le temps ! Hélène, réponds-moi, qu'est-ce que c'est que ces conneries ?
Ma copine était belle comme une sirène dans cette position. Elle en avait
forcément conscience, et j'étais persuadé qu'elle calculait chacun de ses mouvements
pour exciter les deux hommes présents dans la pièce. Les caresses d'Hervé la faisaient
frismisterner de plaisir. Comme il passait sa main entre ses deux jolies fesses, elle
sursauta légèrement et ondoya de la croupe, puis fit un sourire magnifique à mon ami.
J'aurais tout donné pour avoir droit à ce genre de sourire de sa part...
- Victor, ton père te dit la vérité, lui répondit-elle. Par contre, Nicolas t'a
menti, nous n'avons jamais couché ensemble. D'une certaine façon, on peut dire
qu'Hervé m'a rendu service, puisqu'il m'a donné ce que j'attendais depuis des
semaines ! C'était une baise merveilleuse !
Le vilain menmisterge qui m'avait permis de passer pour un dieu auprès de tous
mes camarades de lycée venait de tomber ! Mais pour le moment, c'était loin d'être mon
principal souci ! Je me rendais peu à peu compte de l'écart qui existait entre Hélène
et moi. Je n'avais d'yeux que pour elle et mister corps magnifique, et j'appelais chaque
jour de mes vœux notre première relation sexuelle. De mister côté, elle avait
manifestement bien moins d'attirance pour moi, puisqu'elle m'avait toujours caché mister
amour du sexe. Heureusement, Victor ne semblait pas succomber à l'appel du désir, bien
que je vis à plusieurs reprises mister regard loucher sur les formes délicieuses de ma
copine. Toujours aussi troublé, il se pencha pour ramasser la petite culotte d'Hélène
et lui lança au visage.
- Rhabille-toi ! ordonna-t-il. On a encore une chance que Nicolas ne se rende compte
de rien ! Encore heureux qu'il ait bu comme un trou hier soir !
Je crus un instant que notre amitié avait triomphé du sexe. Mais ni Hervé ni
Hélène ne l'entendaient de cette oreille, et la petite salope lui adressa ces quelques
mots d'un ton provocateur :
- Si c'est vraiment ce que tu veux, il faudra me l'enfiler toi-même... Tu sais, ton
père ne m'a pas complètement rassasiée, j'ai encore de la place pour toi...
Ces paroles figèrent Victor sur place. C'est à ce moment précis que mister esprit
bascula. Ce qui n'était jusque là qu'un fantasme interdit et refoulé au plus profond
de mister être devenait soudainement réalité : une jeune fille dénudée et désirable
l'invitait à lui faire l'amour. C'était la copine de mister meilleur ami, mais quelle
importance ? Après tout, il n'était pas capable de la satisfaire, ni même de la
pénétrer, ce n'était donc pas vraiment de l'adultère. Eh puis quoi, ils n'avaient que
17 ans, et n'étaient pas mariés ! Au contraire, la situation ajoutait du piment à la
proposition, ce qui excitait énormément Victor. Je remarquai d'ailleurs qu'une bosse
imposante s'était formée au niveau de mister entrejambe. Elle trahissait mister abandon :
mon meilleur ami avait envie de baiser ma copine ! Le visage et la position d'Hélène,
qui s'était redressée pour se mettre à genoux, prouvaient qu'elle aussi était bien
décidée à me tromper une deuxième fois. Légèrement cambrée, elle présentait fièrement
ses jolis seins, dont les tétons pointaient furieusement vers l'avant. Je pense que
l'idée de se taper mon meilleur ami lui donnait également un regain d'excitation. Tout
en eux trahissait l'envie irrésistible de me trahir, de me tromper en sombrant dans la
débauche et le plaisir ! Je recevais cette énergie sexuelle jusque dans le couloir, et
me sentais bien incapable d'y mettre un terme : j'étais condamné à observer la pièce
jusqu'à la fin.
- Je... c'est-à-dire que... mais...
Les paroles de Victor étaient incompréhensibles. Il fixait sans pouvoir s'en
détacher la traînée qui s'offrait à lui sur le lit. L'appel du stupre l'avait amenée à
transgresser l'interdit pour se taper un homme de 42 ans. Il lui fallait maintenant
goûter au fils. Observant la scène avec délectation, Hervé éclata de rire et prit la
parole.
- Eh bien, Victor, je crois que tu commences à comprendre ! Je t'ai fait monter pour
t'offrir la petite Hélène. Malgré mister âge, c'est déjà une vraie salope, et je suis sûr
qu'elle te fera passer un moment inoubliable ! Et qui sait, si tu tiens de ton père,
peut-être lui donneras-tu également du plaisir...
Le vieux pervers termina sa phrase en donnant une petite claque sur les fesses
de ma copine, ce qui la fit tressaillir et pouffer de rire. Visiblement décidée à
passer aux choses sérieuses, Hélène se rapprocha jusqu'au bord du lit, toujours à
genoux. Elle se trouvait maintenant à quelques centimètres de Victor, qui n'avait pas
bougé depuis tout à l'heure. Sans aucune gêne, elle passa ses mains sous le t-shirt de
mon ami, et commença à lui caresser le torse. Dans cette position, ses fesses
rebondies ressortaient comme jamais. Le regard d'Hervé fut d'ailleurs rapidement
attiré par ces deux petites pêches, rondes et irrésistibles.
- Hmmmmm, soupira Hélène d'un air satisfait. Ça, c'est un corps d'homme ! Et ces
épaules ! Tu sais, il m'est arrivée plusieurs fois de me toucher en pensant à toi,
depuis qu'on se connaît... J'ai souvent rêvé de ce moment !
Ma copine invita Victor à retirer mister t-shirt, ce qu'il fit sans aucune
hésitation. Elle découvrit alors un buste que j'aurais rêvé posséder ! Les pectoraux
et les tablettes de chocolat étaient bien dessinés, sans que cela soit exagéré. La
peau mate de mon ami lui donnait encore plus de charme. Il était vraiment comme mister
père, un homme fait pour combler les femmes ! Hélène était manifestement ravie de ce
spectacle, et passait tendrement ses mains sur chacun des muscles qu'elle découvrait.
Aux anges, Victor respirait bruyamment et regardait la jeune fille qui s'offrait à lui
dans les yeux. Il positionna ses mains sur les hanches de ma copine, et d'un geste
autoritaire la colla contre lui. Surprise autant que comblée par cette initiative
virile, Hélène passa ses bras dans le dos musclé de mister nouveau copain, et l'embrassa.
Leur baiser fut long et passionné, et Victor le prolongea en passant ses lèvres dans
le cou d'Hélène. Tête en arrière, le plaisir se lisait déjà sur le visage de la petite
cochonne.
Heureux de voir mister fils dans de pareilles dispositions, Hervé avait fini par
quitter le lit pour s'installer sur un petit fauteuil, placé dans un coin de la
chambre. Toujours aussi nu, il se caressait la verge en observant celle qu'il venait
de dévergonder s'offrir à un nouveau partenaire. Il n'avait pas fallu longtemps à
Victor pour qu'il se sente à l'aise. Sa façon de caresser et d'embrasser ma copine
était incroyablement virile, et cela comblait Hélène qui s'abandonnait totalement
entre ces mains déjà expertes. Elle ondulait, ondoyait, frottait mister ventre et ses
seins contre le corps musclé de mister nouveau jouet sexuel. Régulièrement, mon meilleur
ami oubliait les lèvres rouges d'Hélène pour venir laper ses adorables tétons, ce qui
donnait à la petite salope des frismisters de plaisir. J'étais pratiquement certain que
je ne me comporterais pas ainsi lors de ma première expérience sexuelle. Les hommes ne
mistert pas tous égaux, me disais-je : certains mistert, dès la naissance, faits pour donner
du plaisir aux femmes, d'autres pas. Force m'était d'admettre qu'Hervé et Victor
étaient de la race des forts, des Casanova, de ceux qui faisaient frémir de plaisir
celles qui avaient la chance de croiser leur route. Et Victor me donna raimister en
s'adressant à ma copine de la sorte :
- Moi aussi, il m'est arrivé de fantasmer sur toi et ton petit cul, Hélène. Et à
chaque fois, tu commençais par me sucer comme une reine... Alors, qu'est-ce que tu
attends ?!
La voix de Victor avait été franche et autoritaire. Ce n'était pas la voix
d'un gamin de 17 ans, c'était la voix d'un homme décidé à guider sa petite femelle
vers le plaisir. A ce moment, le regard que lança Hervé à mister fils était rempli de
fierté : Victor savait parler aux femmes !
chrislebo

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#3,242
Up to the first message Down to the last message
Electrisée par l'ordre qu'elle venait de recevoir, ma copine fit un bond en
arrière pour se retrouver à quatre pattes sur le lit. Elle se cambra au maximum et
approcha sa tête de l'entrejambe de Victor, qui était toujours debout et torse nu. Il
me semblait qu'elle mettait tout en œuvre pour apparaître la plus obscène et la plus
lubrique possible. Ondulant mister bassin avec vigueur, relevant mister bras pour continuer
à caresser les abdominaux bronzés qui la surplombaient, elle goba avec envie le sexe
de Victor à travers mister jean. Je vis de la bave couler en abondance le long du
pantalon. Malgré le tissu qui la séparait encore de l'objet de mister désir, c'est une
fellation de véritable salope qu'entreprit alors Hélène. Elle suçait, embrassait,
lapait comme une affamée la bosse qui grossissait de plus en plus. Envoûté par le
petit cul qui bougeait sous ses yeux, Victor s'était légèrement penché pour lui donner
de puissantes fessées. Chaque claque arrachait à Hélène un cri aigu de satisfaction.
- Allez ! annonça soudain ma copine, reposant sa mâchoire quelques instants. Il faut
que je la libère, on a trop de choses à se dire, toutes les deux !
Elle parlait bien sûr de la bite de Victor. En véritable experte, elle défit
en quelques secondes la ceinture et la braguette qui lui barraient le passage, puis
fit tomber le jean de mon pote jusqu'à ses chevilles. Sans attendre et comme si sa vie
en dépendait, elle arracha le caleçon de Victor et libéra la verge qu'elle avait tant
convoitée.
Ce fut un choc pour tous les observateurs. Hélène resta bouche bée. Hervé eut
un léger sursaut et pouffa de rire. Moi-même, je fus scotché par la vision de l'objet
qui se présentait au visage de ma copine. Le sexe de Victor était tout simplement
énorme. Celui d'Hervé m'avait certes impressionné, mais ce n'était qu'un cure-dent au
regard de la bite que j'avais maintenant sous les yeux. Elle avait bien sûr ce teint
halé qui faisait le charme de Victor. Je pense qu'elle mesurait au moins 22 cm, mais
c'était surtout mister épaisseur, que j'estimais à 8 cm, qui la rendait impressionnante.
Déjà décalotté, le gland turgescent, qui reposait au sommet d'un tronc interminable,
suintait légèrement. En mon for intérieur, je pensai qu'il devait y avoir des
Africains parmi les ancêtres de mon ami, qui n'avait manifestement aucun défaut
physique...
- Eh bien, mon salaud ! s'exclama le père de Victor. J'étais loin de me douter que tu
cachais un tel engin...
Mon meilleur ami était manifestement fier de la stupeur qu'il venait de
provoquer. Mais c'était l'avis d'Hélène qui semblait l'intéresser.
- Alors, demanda-t-il à ma copine, elle te plaît ? J'espère qu'elle sera à ton goût,
tu es la première à y avoir droit...
- C'est... juste incroyable ! s'écria Hélène, qui louchait d'envie sur la bûche
qu'elle avait en face d'elle. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosse ! Tu... tu es plein
de surprises, Victor !
- Héhé ! ricana l'intéressé, maintenant certain de l'envie qu'il provoquait chez les
femmes. Je vais donc te remplir comme jamais ! Mais si tu la veux, il va falloir la
lubrifier... Au boulot !
Hélène ne se fit pas prier. Guidée par Victor qui lui agrippa fermement les
cheveux, la salope saisit la sexe immense à sa base et avala avec appétit le gland qui
s'offrait à elle. S'ensuivit une longue et gourmande fellation. La bite de Victor
était bien trop grosse pour la frêle mâchoire de ma copine, qui s'étouffait
régulièrement et devait la recracher pour ne pas vomir. Chaque régurgitation était
pour elle l'occasion de déverser un flot conséquent de salive, qui coulait sur le dard
et les testicules de mister amant. Celui-ci poussait des grognements rauques et
maintenait autoritairement le visage de sa femelle. Rien de tout cela ne faisait
baisser la libido d'Hélène, bien au contraire ! A en croire les gémissements qu'elle
poussait, la petite pute semblait de plus en plus excitée par la position dominante
que prenait Victor. Ce beau gosse n'arrangea pas les choses lorsqu'il dirigea sa main
vers le cul de sa traînée. Je le vis écarter habilement les petites fesses de ma
chérie et y glisser deux doigts, pour commencer à lui titiller l'anus, les lèvres et
le clitoris. Cette initiative rendit Hélène complètement folle : ses mouvements de
bassin redoublèrent d'intensité, et seule l'imposante massue qu'elle avait en bouche
l'empêchait d'hurler mister excitation. On aurait dit qu'elle était possédée et que plus
rien ne comptait à part mister plaisir. Un peu gêné, debout dans mon couloir sombre,
j'eus soudain peur de la suite des événements : si ma copine se comportait déjà de
cette façon au stade des préliminaires, elle allait réveiller toute la maimister lorsque
Victor la pénétrerait ! C'est ce moment qu'Hélène choisit pour se libérer de la bite
qui lui baisait la bouche, et supplier mister amant de passer la vitesse supérieure.
- Je... ne peux plus attendre ! déclara-t-elle, encore haletante. Je veux ta bite !...
Viens, Victor ! Viens en moi toute de suite !
Il y avait de l'imploration dans la voix de ma copine. Elle s'affala sur le
lit et déplia ses jambes, s'aidant de ses mains pour écarter ses cuisses au maximum.
Elle présentait fièrement mister vagin, détrempé par la mouille, à mister bel amant et à sa
verge dressée. La scène était terriblement excitante : ma copine s'offrait
littéralement à mon meilleur ami ! Elle était une femelle en chaleur qui ne vivait
plus que pour le désir de se voir remplir et ramoner par mister mâle dominant. Chaque
fibre de mister corps, déjà ruisselant de sueur, appelait Victor à accomplir sa tâche, à
venir prendre possession du trou que lui offrait cette petite pute. Hélène poussait
des gémissements et lançait des regards de braise à mister homme, qui se débarrassa
finalement de ses chaussures, du jean et du caleçon qui étaient restés à ses pieds, et
vint enfin rejoindre ma copine sur le lit. Il s'allongea tendrement sur elle, et les
deux amants recommencèrent à s'embrasser fougueusement. Hélène enroula ses jambes
autour de la taille de Victor et empoigna fermement sa verge, pour mieux la guider
vers l'entrée de mister antre. Doucement, je vis l'énorme sexe pénétrer le vagin de ma
copine, dont le visage se crispa pendant quelques instants. 8 cm de diamètre lui
forçaient l'entrejambe et la déformaient totalement. Puis, après quelques secondes de
quasi-immobilisme, Victor et Hélène se détendirent. Les mouvements se firent plus
amples, les baisers et les gémissements reprirent, les mains de ma douce passèrent
dans le dos de mister homme pour caresser ses fesses et ses épaules musclées. Mon ami
finit par se redresser légèrement, alors que ses saillies à l'intérieur d'Hélène se
faisaient de plus en plus rapides et assurées. Il surplombait le corps fragile de sa
femme, qui commençait à apprécier le rythme qu'imposait le bel Apollon entre ses
jambes. Elle lui faisait sentir en lui soufflant, entre deux gémissements, des mots
qui décuplaient mister excitation. « Ouiii... Han... Plus fort, Victor !... Comme ça !...
Je la sens bien, ta biiiite... »
Les corps des deux amants semblaient parfaitement imbriqués. Ils ondulaient et
frémissaient comme un seul homme, chaque coup de boutoir provoquant un flot de
frismisters, de gémissements et de remarques salaces. Après quelques minutes de cette
danse sensuelle, où je vis ma copine faire l'amour, et pas simplement baiser avec
Victor, ce-dernier se retira et demanda à sa femelle de venir s'empaler sur sa queue.
Il s'allongea sur le dos et attendit, le sexe pointé vers le ciel. Ma copine, docile
et prête à tout pour se faire du bien, commença par donner quelques coups de langues
sur le gland qui se présentait à elle, comme pour mieux le lubrifier, puis l'enjamba
pour se placer à califourchon sur Victor. Folle de désir, elle ne prit aucune
précaution et s'empala d'un coup sur la bite, jusqu'à la garde. Un cri puissant
s'échappa de sa bouche, emprunt de jouissance et de soulagement. Comme si ressentir le
chibre de mon meilleur ami en elle, après quelques secondes passées au-dehors, lui
faisait un bien fou. C'était à mister tour de surplomber le corps de Victor, qui la
tenait par les hanches pour la faire aller et venir sur sa verge. Les yeux fermés et
la bouche entrouverte, Hélène se laissait une nouvelle fois aller au plaisir. Ses deux
mains étaient posées sur le torse de mon ami, sur lequel elle s'appuyait pour faire
rebondir ses petites fesses autour de la verge qui visitait mister antre. Les deux
amoureux échangèrent des mots qui me glacèrent le sang.
- C'est boooon, soupira Hélène. C'est toi... Je le savais, c'est toi que je...
Han !... que je voulais depuis le début...
- Han ! grogna Victor. Moi aussi, je voulais... ta petite chatte, ma belle ! C'est un
mec comme moi qu'il te faut !...
- Ouiiiiii ! C'est clair ! Han... Vas-y ! Baise-moi, mon bébé !
Victor lâcha les hanches de sa femelle et lui saisit les seins, qu'il malaxa
avec vigueur. Hélène, transportée par le plaisir, leva ses bras en l'air et attrapa sa
tignasse de ses deux mains. Son visage était défiguré par le plaisir.
- Je vais te sauter encore et encore ! lui lança rageusement Victor. Et plus je te
baiserai, plus tu seras accro à ma bite !
- Han !... Han !... Je l'aime déjà, ta belle queue, mon chérii ! C'est ta première
fois, et tu me fais déjà plus de bien que ton père ! J'aime ça ! Han !... J'aime les
vrais mecs comme toi !
Je ne rêvais pas : Hélène venait d'appeler Victor « mon bébé », et même « mon
chéri » ! Deux surnoms qui, d'habitude, m'étaient destinés ! Cette baise de ma copine
avec mon meilleur ami était encore plus excitante que celle à laquelle j'avais assisté
un peu plus tôt avec Hervé, mais elle était aussi beaucoup plus dangereuse ! Hervé
était un homme mûr qui avait servi de plan cul à Hélène, je n'avais pas vu de
sentiments dans leur union. Cette fois, les choses étaient différentes, car les deux
amants semblaient s'abandonner dans un mélange de folie sexuelle et amoureuse. J'avais
accepté depuis quelques heures l'idée d'un partage du corps de ma chérie, mais je ne
pensais pas devoir partager mister cœur... C'était pourtant, si les choses continuaient
ainsi, ce à quoi Victor allait m'obliger.
Dans un élan de rage sexuelle, Victor se redressa brusquement et renversa
Hélène sur le dos. La petite pute plaça ses jambes sur les épaules de mister amant, qui
la dominait de mister corps puissant et luisant de sueur. Il avait voulu reprendre le
contrôle sur sa nouvelle copine, en lui imprimant mister propre rythme. Il donna de
violents coups de reins, défonçant littéralement la chatte d'Hélène.
- Han ! Han ! Prends ça, salope ! J'ai toujours su que tu étais une petite pute ! Une
affamée de bite ! Tiens ! Sens ma grosse queue en toi !
- Aaaaaaaaah ! cria Hélène. Ouiiiii ! Ouiii ! Défonce-moi, mon amour ! Je t'aime !
J'aime ta queue ! Je veux que tu me remplisses de sperme ! Je veux te sentir exploser
en moi ! Han !...
Ma copine délirait complètement, et venait d'avouer un amour improbable
quelques heures plus tôt à mon ami Victor. J'étais, évidemment, totalement effondré.
Je ne voyais pas comment j'allais pouvoir conserver l'amour d'Hélène après ce qui
venait d'être dit... J'étais complètement perdu ! Dans le coin de la chambre,
j'aperçus Hervé, dont j'avais oublié la présence, se tordre sur mister fauteuil en
éjaculant. Le salaud n'avait pas résisté à la déclaration d'Hélène ! Finalement,
Victor acheva tous mes espoirs de retour à la normale en prononçant ces mots :
- Si tu veux que je jouisse en toi... Han !... Tu dois devenir MA copine ! Tu vas
lâcher Nicolas demain matin, et ensuite ton cul, ton vagin, ta petite gueule de
salope... tout ça m'appartiendra ! Tu viendras dormir à la maimister, et on te passera
dessus chacun notre tour, mon père et moi !
Hervé éclata de rire et approuva cette proposition.
- Oui ! Je... bien sûr ! Je... je suis à toi ! Ma chatte est à toi ! A vous ! Nicolas,
je n'en ai rien à foutre !...
Comme pour sceller cette union, Hélène vint à la rencontre de Victor et
l'embrassa fougueusement. Je la vis passer tendrement sa main dans les cheveux de mister
amant. Il était devenu mister nouveau petit ami et, surtout, mister compagnon de baise.
Cette prise de possession du corps et du cœur de ma copine vint à bout de l'endurance
de Victor, dont le souffle se fit soudain plus saccadé et bruyant.
- Ça y est ! Je... je viens, j'arrive ! Je vais te remplir comme promis, ma
salope !... Haaaaaaan ! Ouaaaaais !
Je vis Hélène enfoncer ses ongles dans le dos de mister étalon, alors qu'il se
vidait complètement en elle. Elle suffoquait de plaisir sous le coup des ultimes
assauts menés contre mister vagin. Dans la pénombre, les corps des deux amants luisaient
par l'effet de la sueur qui suintait et dégoulinait le long de chaque membre. Leurs
caresses et frottements laissaient d'ailleurs échapper des bruits de succion,
trahissant l'intense effort physique que chacun avait produit. Les gestes brusques et
les provocations sexuelles laissèrent bientôt la place aux baisers et aux mots doux.
- Reste en moi ! supplia Hélène. Je veux encore te sentir, je veux que tu débandes en
moi !... C'était si bon... si bon !
- Oui, ma chérie... lui promit Victor. Tout ce que tu voudras... Tu es à moi,
maintenant...
Hélène adressa un sourire amoureux à mister petit ami.
- Je n'en reviens pas, reprit-elle, je n'avais jamais ressenti ça de toute ma vie ! Je
sens que je ne pourrai plus me passer de ta queue ! Au lycée, ce sera trop dur de
passer la journée sans y goûter... Je pense que les toilettes vont devenir notre
repère pendant les pauses !...
- C'est clair ! répondit Victor avec enthousiasme. Ta chatte est géniale, je ne
pensais pas prendre autant de plaisir pour ma première fois ! Vivement les vacances,
que je puisse te baiser à longueur de journée ! D'ailleurs, on part une semaine à la
montagne avec mon père pour la Toussaint, tu pourrais peut-être nous accompagner ? Tu
ne seras pas déçue ! N'est-ce pas, Papa ?
Hervé eut l'air surpris, mais également ravi par l'idée de mister fils.
- Aucun problème ! s'exclama-t-il. Si ta copine tient le choc, nous pourrions la
prendre comme une reine pendant toute la semaine...
- Ce sera avec plaisir ! acquiesça sans hésiter mon ancienne copine. Ces vacances
seront inoubliables !

Je sentis ma gorge se nouer et mes jambes défaillir. Depuis mes dix ans, celui
qui, chaque novembre, accompagnait Hervé et Victor en vacances à la montagne, c'était
moi ! Cette année, c'était mon ex copine qui allait prendre ma place au chalet, pour
s'offrir sans retenue aux fantasmes et aux lubricités de ces deux bêtes de sexe !
J'eus le sentiment d'avoir tout perdu. Pourtant, les ébats incroyablement excitants
auxquels je venais d'assister me poussaient à reconnaître l'évidence : je ne méritais
pas une fille aussi belle et chaude qu'Hélène. Ce genre de fille était destiné aux
hommes, aux vrais ! Hervé et Victor en faisaient partie, pas moi... Meurtri, je
tournai les talons pour retourner me coucher au rez-de-chaussée, seul et toujours
puceau.
- Mais ?! entendis-je alors que je m'éloignais. Qu'est-ce que je sens ? Tu rebandes,
mon salaud ?
- Hmmmm... répondit la voix de Victor. Oui, je crois qu'on n'est pas prêt de dormir,
ma puce ! Tu vas subir mes assauts toute la nuit !


vanbruje

Member

Posts: 282
#3,243
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Grandiose... merci... Je réitère mes bons vœux.
chrislebo

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Posts: 168164 Pictures: 3 
#3,244
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alors doublement merci hahaahha
chrislebo

Member

Posts: 168164 Pictures: 3 
#3,245
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Ma femme, ma pute


Ma femme, ma pute,
J’ai connu Julie, elle n’avait que 20 ans et habitait un petit hameau dans les Ardennes. Jolie, naïve et mince, elle travaillait pour l’épicier du village et nous, nous campions dans les environs.
Mes copains et moi aimions camper sauvagement dans des endroits comme le bord d’un bois ou d’un champ ou encore dans une prairie pas trop loin d’un village. Citadins venant de la capitale nous aimions allez dans les bals et fêtes des petits villages Ardennais.
C’est au cours d’une fête de village, en plein été que, je connu Julie, belle comme une rose et gaie comme un pinmister. On la draguait tous les quatre mais c’est avec moi qu’elle se laissa aller et le soir même derrière une étable, je la dépucelai.
Ma pauvre Julie, n’y connaissait rien en sexe et me laissa faire tous ce que je voulais d’elle. En une semaine, je fis le tour de mister corps et explorai toutes les positions du « Kamasutra »
Julie acceptait tous ce que je lui faisais, sans poser de question mais, sans être active, elle-même. Je me rendis compte qu’elle était assez soumise et comme elle avait un corps de rêve je décidai de la ramener avec moi à la ville.
Ses parents malgré leur côté catholique extrême furent d’accord de se débarrasser d’une fille trop grande et un peu simplette.
Nous nous sommes mariés six mois plus tard et c’est au bout de 2 ans de mariage que je commençai à me lasser de ce corps magnifique mais tellement inerte et sans initiative.
Nous n’allions plus camper entre copain et c’est avec un collègue de travail que, je liai connaissance plus intimement. En l’invitant chez moi, Ahmed, c’est mister nom, fit évidemment, la connaissance de Julie.
Il n’arrêtait pas de me complimenter sur Julie et la dévorait des yeux lorsqu’il était chez moi. C’est alors qu’un soir, j’avais, comme souvent invité Ahmed à souper qu’il se passa un évènement qui allait changer ma vie et celle de Julie.
Nous avions terminé le repas depuis plus d’une heure et nous buvions un alcool au salon. Julie dans la cuisine finissait la vaisselle.
- Ça,… C’est mon disque préféré ! Dit soudain Ahmed.
C’était un slow lent et entraînant qui était dans les hits du moment. C’est vrai que j’aimais aussi ce disque et qu’il donnait vraiment envie de danser.
- Tu me permets ? Dit Ahmed en prenant la main de Julie qui venait d’entrer au salon.
- Mais, oui ! Vas-y ! De plus, elle aime danser ! Dis-je sans plus d’attention que ça !
C’est lorsque, je vis ma petite femme dans les bras enlacé d’Ahmed qu’une érection pas possible me prit.
Je bandais de les voir l’un contre l’autre se dandiner, se frotter et tournoyer au rythme de cette chanmister. Je vis aussi parfaitement la main d’Ahmed dans le dos de Julie, descendre par moment sur les hanches de Julie et cette dernière se plaquer le pubis contre Ahmed comme pour échapper aux caresses de celui-ci.
Au bout de deux minutes, je me levai et alla directement aux toilettes me masturber en imaginant Julie nue dans les bras d’Ahmed.
Cela me travailla l’esprit toute la semaine et surtout lorsque, je voyais Ahmed au travail. Je dois avouer que pendant toute la semaine, je fis l’amour à Julie comme au premier jour et je du me masturber une douzaine de fois pendant la semaine rien que de penser à ça !
- Qu’es-ce que tu fais demain ? Demandais-je à Ahmed ce vendredi après-midi.
- Heu !... Rien… Rien de spécial !... Pourquoi ?
- Tu n’as pas envie de venir à la maimister pour souper ?
- Heu !... Oui ! Si tu veux ! Je n’ai rien de prévu…. C’est gentil de ta part d’autant que, je suis déjà venu samedi passé !
- En fait… heu !... C’est Julie qui m’a demandé de tes nouvelles ! Mentis-je.
- Ah ! Fit Ahmed l’œil soudainement intéressé.
- En fait elle a bien aimée de danser avec toi et comme moi, je ne danse pas souvent…Tu comprends ?
- Ben, si cela ne te dérange pas, je veux bien danser toute la soirée avec ta Julie.
Il en bavait, le salaud et moi, je bandais à m’en faire mal. On discuta encore quelques instants sur la plastique du corps de Julie et je compris qu’Ahmed serait près à lui faire mister affaire si je lui en donnais mon autorisation.
Connaissant la situation familiale d’Ahmed, je le savais seul depuis plusieurs mois, sa femme l’ayant quitté. Je savais aussi qu’Ahmed n’était pas du genre à aller voir les putes. Pour lui, payer une femme pour la baiser n’était pas concevable. Je lui fis comprendre sans le lui dire ouvertement que je n’étais pas contre qu’il baise ma femme devant moi.
- Tu sais, la libido de Julie n’est pas terrible mais, je suis sur qu’un jour, un mec, trouvera le déclic pour la rendre plus active.
Ahmed ne dit rien mais visiblement, voyait déjà Julie sous lui. Je voyais dans mister regard autant d’étonnement que d’envie lorsque, je lui en fis part.
Le samedi soir, je demandai à Julie de s’habiller sexy et d’être très gentille avec Ahmed. Elle me regarda avec inquiétude et fit quelques objections.
- Tu sais, mon chéri, ton Ahmed à déjà les mains baladeuses et ne rêve que de me mettre dans mister lit.
- Ah ?... Tu… Tu crois ? Fis-je innocemment.
- Samedi passé, il a déjà essayé de m’embrasser et puis, j’ai bien senti contre moi mister sexe tout raide !
- Je suis sur que cela t’as excitée, non ?
- Mais, mon chéri !... Je ne veux pas te tromper !
- Ah ! Tu avoues, avoir envie d’Ahmed ?
- Tu… Tu es fou ! Je… Je ne peux… Je ne… Fit-elle troublée par notre dialogue.
- Écoute ma chérie, soit simplement gentille avec lui et si une main s’égare n’en fait pas un « patakèse »
- Tu es devenu fou, ma parole !
- Mais, non chérie, mais Ahmed est dans une mauvaise passe, à cause de sa femme et un peu de chaleur humaine lui fera du bien !
Qu’es-ce que je pouvais déconner ! Pourtant et à mon plus grand étonnement, Julie ne dit plus rien et mister regard en dit plus long qu’aucune parole. Elle avait aussi envie de coucher avec Ahmed, cela se lisait dans ses yeux.
« Putain » Pensais-je, je crois que ce soir ma vie va changer.
Julie redescendit habillée comme au temps où on allait en boîte, avec une super mini-jupe et un chemisier noué sous sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on pouvait voir ses tétons pointés sous le tissu.
Ahmed ne pourra résister pensais-je en voyant Julie dans cette tenue. Je me levai et lui roulai un patin baveux. J’agaçai ses tétons, que je savais sensibles et descendis une main sous sa mini-jupe. Je passai mes doigts sur le devant de mister string et senti de suite l’humidité qui y régnait.
J’agaçai un peu mister clito à travers le tissu dans le seul but de l’exciter et aussi qu’elle soit en demande sexuelle. Je savais qu’Ahmed allait arriver d’un moment à l’autre et il me fallait une Julie en état de transe pour que mon plan s’accomplisse parfaitement.
Julie fit des soupirs d’extase et se colla à moi. Je l’a repoussai gentiment tout en continuant de triturer mister clito et ses tétons.
chrislebo

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#3,246
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emmanuelle z 3


Je m'admire mais comme la psyché n'est pas devant un autre miroir je n'arrive pas à me voir assez bien .
Comme folle , je pense à la webcam de l'ordinateur mac que mon époux a installé pour les enfants et pour discuter par skype , j'y suis nulle mais je l'allume et essaie d'ouvrir photo booth , cela fonctionne et je peux même me voir sur le grand écran de la télé plasma oh je suis assez salope , et comme je me rend comte qu'un programme m'enregistre , je re-pianote et me voilà sur le net .
Oh la carte du club indique un site et un mot de passe , je me lance , oh je vois le chat vidéo des membres , j'ai juste le temps de mettre un loup de dentelle , et je me branche , EMMANUELLE B….. , j'y suis j'ai des appels qui s'affichent !!!
Des chiffres s'affichent, je demande, qu'est ce, un pseudo d'homme me répond que ce mistert les offres de comptes bancaires à l'intérieur du club, de quoi payer tout et le superflus ( des lingeries tenues accessoires dîner etc) la somme de 1000 est proposée par un Mohamed , il me crédite si je reste 15 min en Webcam , je précise masquée , il accepte , comme j'hésite il m'insulte , je frémis et accepte l'invitation je me vois sur l'écran partagé et le voit lui , un gros arabe , sa tête me dit quelque chose , oh mais c'est le propriétaire de Gag. Une boutique de vêtements de luxe où je laisse plusieurs milliers d'euro par an . Il m'a toujours permis des paiements échelonnés et m'a toujours fait très bien conseiller par ses vendeuses !

Je tremble qu'il me reconnaisse , et moi qui ai mis mon prénom usuel sur le site : emmanuelle !
Il me dit que je pourrais être une de ces bourgeoises salopes qui viennent le narguer dans mister magasin de vêtements , je frémis , il m'ordonne de me changer et de lui montrer ma garde robe .
Je crains que nickel débouche dans le champ heureusement étroit de la caméra, et discrètement je l'emmène dans la cuisine dont je ferme la porte battante tant bien que mal , puis j'ouvre mes tiroirs de commode et les portes de mon placard dressing .
Oh ma robe de cuir noir C. Puerari y trône avec mister encolure carrée et ses fermetures éclairs déco qui vont des coins de l'encolure jusqu'en bas devant et derrière et celles des aisselles jusqu'en bas sur les côtés, elle vient de mister magasin !
Je la masque vite , et lui montre mes dessous eres , dior etc , sur l'écran je vois que 4 permisternes se mistert branchées , avec des demandes assez osées . Mohamed lui s'est tu mais il décroche mister tel en souriant , je suis mal à l'aise , il me laisse ôter le corset , les bas , et comme je veux mettre un joli body mauve transparent eres à balconnet demi seins ,mon portable misterne ,, je regarde . je défaille cela provient du magasin Gag! Je décroche et Mohamed ( ce n'est pas mister vrai nom) m'interpelle Mme F …… j'ai bon souvenir de votre robe puerari , il me semble que votre époux pensait que les fermetures étaient vraies , si vous venez au magasin MAINTENANT( le ton ne souffrait pas la discussion) je pourrais vous arranger cela .
Je suis foudroyée , il est près de 23 h , j'essaie de reprendre pied , "Mohamed" insiste , vous êtes très jolie en slip latex noir , mais si vous venez vous pourrez faire modifier votre robe pour en tirer grand parti! Je pleure et oubliant que d'autres permisternes peuvent me voir j'ôte mon loup de dentelle , il me remercie de ce oui muet et dit m'attendre dans la ruelle derrière le magasin : cela donne sur l'atelier !
Mais j'ai mon chien , osais je en dernier recours . Cela ne me gène pas dit il , et vous ?
Je suffoque et éteint l'ordinateur ,j'ôte le slip latex et met un body eres mauve bcbg, je vais mettre ma robe de cuir Puerari et des bottes assorties un manteau de vimister et je met mon collier assorti à celui de nickel.
Dans la cour devant la maimister je fais monter Nickel dans la Range ..
Je descend vers le centre d'Aix et vais me garer devant le palais de justice . J'ai gardé ma perruque rousse et mon maquillage outrancier et les regards mistert assez perturbants pour une bourgeoise en folie .
Je descend avec Nickel en laisse et me perd dans des petites ruelles en évitant de penser aux nombreux éclairs des photos de "touristes " ou de photographes professionnels?
J'hésite devant la porte qui ne paye pas de mine dans la ruelle derrière le magasin mais elle s'ouvre et "Mohamed " est là devant moi nu le sexe dressé !!!! bonjour chère emmanuelle , voulez vous être bourgeoise ou salope ? décidez vous ! l'ordre claque.
Je me mord les lèvres : bourgeoise et salope si cela est possible je balbutie, il me fait rentrer et narquois mais gentil , il me suggère : regardez bien les caméra de surveillance vous allez être immortalisée avec ce charmant chien en laisse ,comme vous bientôt .
Je me retrouve dans l'atelier où yamina une couturière est là mais nue en tablier , elle a un collier de chienne et les tétons percés . Chère Emmanuelle vous serez dans cette tenue très bientôt! Je répond stupidement oui Monsieur.
Il me dit alors vous désirez transformer cette robe bcbg en robe de salope , madame B.. J'acquiesce en pleurant . Il me fait ôter la robe et me montre où Yamina va débloquer les fermetures .
Je suis en body eres mauve transparent aux balconnets ½ seins et escarpins à talons, et je dois signer un ordre de modification de la robe avec un descriptif manuscrit :
Réaliser les ouvertures des fermetures éclairs du genou gauche au coin gauche de l'encolure , du coin droit de l'encolure au genou droit , du bas de la robe sur les côtés jusqu'aux aisselles à fin de pouvoir être exposée de façon indécente.
Je tremble en écrivant la fin de la phrase et je marque " lu et approuvé en pleine connaissance des conséquences" .
Nickel sent mon trouble et semble excité il essaie de me lécher , j'essaie de le calmer mais Mohamed me coupe et me propose un ensemble de deux colliers cuir larges cloutés en cuir rouge identiques un pour lui un pour vous ! je tremble mais me laisse mettre le collier avec devant moi les écrans de contrôle du magasin où je suis parfaitement visible .
Juste à ce moment mon téléphone misterne , c'est michel mon époux , je triche et dit que j'ai été invitée à une soirée chez Gag , et mohamed qui dit fort Mme B alors nous serions ravi de vous faire plaisir en vous laissant mannequin pour la soirée . Michel a entendu il venait me dire qu'il n'arriverait que demain midi et sachant mon intérêt pour la profession de mannequin , il se croit gentil en me poussant à profiter de cette offre . J'ai les yeux humides .
Mohamed me tend un contrat pour m'exhiber en club et internet non masquée , en tenues de bourgeoise chaude ou de pute , je signe et sous la dictée je dois rajouter que je défilerais avec mon chien !
chrislebo

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#3,247
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battu par une petite fille


J'étais jeune à l époque et je suis allé chercher ma petite frangine au parc à côté de chez nous.
Ma sœur était en train de jouer avec trois copines. Je lui ai demandé de rentrer à la maimister mais elle me répondit qu'elle voulait rester encore un peu, alors je lui est dit non, qu'il fallait qu'elle rentre de suite!
Elle changea de ton en me disant que je n'étais pas celui qui commandait à la maimister et que les parents savaient où elle se trouvait, et qu'elle rentrerait bientôt!

Mon sang ne fit qu'un tour en voyant que ma sœur, cette gamine, osait me contredire surtout devant ses copines!
Je la saisissait brusquement par le bras pour lui faire comprendre qui était le patron!
Je ne sais comment, mais en se débattant ma sœur m'envoya un coup de genoux dans les parties... La douleur me fit me retrouver à genoux devant elle!
Ma sœur fut surprise de me voir comme cela et elle était fière devant ses copines qui n'en revenaient pas qu'un garçon soit là devant elle, à genoux, et tordu de douleur !
Je finis par me relever en me tenant les parties et je vociférait des insultes qui ne firent qu'attiser de nouveau la colère de ma sœur qui n'hésita pas à me gifler et me donner des coups partout...

Curieusement je me mis à bander, voyant que je me faisais tabasser par ma sœur cadette et je me mis à rougir de honte!
Je ne voulais plus me défendre et encaissa la volée qu'elle me donna !
Je me suis retrouvé à nouveau par terre en suppliant ma sœur d'arrêter !
J'avais jouis !
Et je n'osais pas me relever de peur que la tâche sur mon short soit visible.

Je suis rentré penaud, rouge de honte.
J'attendis devant le portail de la maimister, et vit arriver ma sœur.
Je me mis à genoux devant elle, et la supplia de ne rien raconter de tout cela; en échange je ferai tout ce qu'elle me demanderait.
Elle accepta et raconta aux parents que je m'étais battu avec des garçons qui embêtaient ma sœur et ses copines !
chrislebo

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#3,248
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Après la raclée magistrale que me mit ma sœur (Hélène, c'est mister prénom), je l'évitais du regard.
J'évitais de l'approcher, pendant quelques jours. J'avais peur si elle venait a parler à mon autre frangine qui avait
un an de plus que moi et qui partageait sa chambre.
Mais le soir dans mon lit, je revivais ce moment avec grand plaisir.
Et puis un matin, Hélène, me dit qu'elle avait a me parler de suite. Lâchant toute chose, je fonçais
vers elle et m’entraîna dans sa chambre. Elle me dit qu'il était temps de la servir!
Je ne me rappelle plus ce que je lui répondit, mais je savais que je devais faire la partie de ménage qu'elle devait faire!
Son lit et diverses choses et surtout lui porter mister cartable le soir a la sortie de l'école , quand je pouvais sortir du collège avant elle.
je lui répondis tout mais pas ça!
Porter le cartable d'Hélène devant ses copines!!!!
Et puis quoi encore!!!
Hélène se leva du lit et me mit une gifle magistrale et me menaça de raconter a ma grande sœur ce qui c'était passé!
Voyant la détermination et le pouvoir physique qu'avait Hélène sur moi (dans mon short, je bandais dur!), j'abdiquai sans condition devant cette gamine !
Je fis le lit sans rien dire signe de ma soumission!
Hélène partit a l'école sans rien me dire, et je me retrouvai seul dans sa chambre.
Permisterne n'était a la maimister, j'en profitais de fouiller les tiroirs ou les filles rangeaient leurs culottes!
J'étais en extase! Je ne savais pas laquelle choisir!
j'en pris une et la renifla, en pensant que sûrement c'était peut être dans cette culotte qu'Hélène me mit ma première raclée!
Et là je mis a jouir fortement!
Maintenant j'étais sur de moi, que j’appartenais a Hélène et j'aimais jouir sous ses coups!
Mais comment lui avouer?
Une petite fille, ne pense pas a ça, pour elle c était sûrement un jeu!
Bien que dans mister regard, on pouvait deviner que de battre un grand garçon, n'était pas monnaie courante dans cette époque des années fin soixante!
Je vous rappelle qu'il y avait un feuilleton qui était pour moi, le meilleur et qui s'appelait chapeau melon et bottes de cuir .
Je bandais quand madame Peel, se battait contre des hommes!
J'en ai même joui, mais discrètement!
Hélène était ma madame Peel!
je lisais aussi des romans photos ou l'actrice faisait du judo contre des méchants, et gagnait toujours!
vanbruje

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#3,249
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Des histoires peut-être un plus récentes, mais bonnes tout de même, merci
chrislebo

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#3,250
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Arriva, ce qui devait arriver, et finissant le collège avant Hélène, je suis allé la chercher a l'école et j'étais pas vraiment bien, j'avais peur que les copines d'Hélène,me fassent des remarques, mais malgré cela j'étais en transe de plaisir!
J'étais un peu en recul, quand les premières filles mistert sorties, j'étais rouge de honte en m'imaginant que toutes les filles étaient au courant!j'avais baissé les yeux, et cela n’empêcha pas une copine d'Hélène de me faire une remarque désobligeante dans le style ça va? tu n as pas eu trop mal?
je ne répondis pas mais tous ces yeux de filles pointaient sur moi tout en gloussant que c'était lui, le garçon qui avait été rossé par une fille!
Et c est a ce moment qu'est apparue Hélène, fière de me voir là tout penaud!
Elle me tendit mister cartable et sans un mot je lui est pris.
là c'est vraiment jouissif, je ne savais plus comment éviter de bander et surtout de jouir!
les filles mistert passées devant moi avec un rire salace et je l'ai suivi jusqu'au parc ou elles avaient l'habitude de jouer a la marelle, saut de cordes etc....
Hélène m'a dit de m'asseoir et de lui faire les devoirs et tout ça devant ces copines!
Je lui ai répondu, que ce n'était bien pas de l'aider a tricher (ou dans un style comme ça).
Elle m'a demandé si je voulais que cette gamine me remette une raclée, et là je me suis tu et j'ai ouvert le cartable et pendant que ma frangine jouait avec ses copines, je lui ai fait ses devoirs!
Maintenant pour moi tout était clair, j'étais devenu lâche et peureux devant Hélène, ce qui m'a valu le surnom de peureux! (tout est véridique) par ses copines!
ma frangine était le chef!
Cela avait du marqué une copine d Hélène, car quelques années plus tard, on avait quitté la région pour le sud. Quand cette fille était voir Hélène, pendant ses vacances sur la cote et n'avait hésité a me jeter au visage, le terme de peureux!
Hélène et sa copine en avait ri tout en relatant ce qu'elle m'avait fait subir lorsque Hélène était gamine!).Mais ce qu'ignorait sa copine, c'est qu'Hélène avait été pire quand nous étions seuls!.
Enfin je l'espère!
Genre se retrouver nu a faire la chambre d'Hélène en sa présence et de se moquer du petit bout de quéquette qui était raide!
C'était la honte, mais j'y ai trouvé un grand plaisir!
Et la fois ou Hélène me surprit a jouer a la poupée, mais pas ce que vous pensez!
j'étais nu sur le sol de la petite remise qui était devenu un débarras,
et avec une culotte que je reniflais (culotte portée la veille par ma petite soeur et que j'avais prise dans le panier de linge de la salle de bains)
je donnais des positions de karaté ou de judo a la poupée qui me frappait sur mon zizi!
Et là, naturellement je finissais par jouir de plaisir étant vaincu par une poupée!
C'est a ce moment qu'est rentrée Hélène, et qui me vit dans cette situation burlesque!
elle se moqua de moi, comme jamais on s était moquer de moi!
j'en pris pour tous les grades!
Et pris de court, je finis par lui avouer que c’était mon fantasme favori de me faire battre par une fille!
je lui montrais ma collection de poupées que l'on pouvait contorsionner dans tous les sens pour leur donner l apparence d'une combattante!
Mes romans photos (enfin, en y avait deux ou trois) et les culottes qui avaient disparues!
et bien contrairement a ce que je m attendais, Hélène, m'avoua, que de m'avoir mis la raclée devant ses copines l'avait excité ( pas a en jouir, comme moi)!
Alors pour mister silence, elle me fit jouer a chapeau melon et bottes de cuir!
Hélène était la gentille et moi le méchant!
et là elle se mit a me mettre des coups de manchettes, une projection (ratée) et je suis retrouvé a jouir devant elle nu !
Elle fut d ailleurs étonné de voir bavé mon pénis!
j'étais rouge mais fier de cette situation, enfin Hélène savait ce qui me plaisait!
Et comme gage de bonne foi, elle me montrait pour la première fois sa chatte avec quelques poils!
j'étais aux anges, je n'avais jamais vu de chatte de ma vie!
être battu par un sexe dit faible était pour moi l'apothéose, et j'aime encore cela aujourd'hui, avec mon épouse qui elle, me gifle dans les supermarchés, et de temps en temps je fais pipi dans la culotte de femme que je porte.

chrislebo

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#3,251
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Sale petite pute !!!!


"Je t'attends au Grand hôtel sale petite pute, Chambre 86, ne me fait pas attendre surtout."

Message envoyé. Il est 21h20.

Attendant sournoisement cette fille, une salope sans aucune commune mesure, cigarette à la main, déglutissant quelques lampées de bière chaude et amère.
Anxieux et totalement submergé par l'excitation, je ne pense qu'à ce moment, cet instant ou elle franchira le seuil de la chambre pour n'être plus qu'un jouet, mon jouet, uniquement et strictement présente pour combler le moindre de mes désirs, le moindre de mes caprices, être ma chienne dévouée, puisant le fond de ton âme, souillant et rougissant ton corps de mes assauts répétés et vicieusement sauvages.

Laissant trainer à portée mes accessoires de supplication, Ceintures de cuir brun et noir à boucle...l'une souple, l'autre rigide...ainsi que des objets anodins me permettant de ne lui laisser aucun répits, ses orifices m'appartenant et ne devant en aucun cas refuser mes ardeurs féroces.

Il me tarde de la saccager, de la rompre, de lui montrer que mister corps ne lui appartient pas, qu'il m'appartient.

Le timide coup sur la porte achève mes pensées salaces. C'est la pute que j'ai commandé.

Ouvrant la porte tout en restant dans la pénombre, une obscurité volontaire, elle entre, timidement , sans un mot.

"Ferme les yeux salope je ne veux pas que tu me regardes, tu ne me verras pas, tu n'en as nullement besoin"

Refermant la porte derrière moi, mister ultime issue était condamnée, elle était ma chose, mon objet à cet instant précis, je recouvrais alors ses yeux d'un bandeau très serré...puis allumais la lumière afin d'observer.

"Tu m'as fait attendre sale petite pute, j'ai horreur de ça" dis-je en la poussant violemment à l'intérieur de la chambre.
La trainant sur le lit en palpant mister corps , découvrant enfin mon objet de plaisir, objet que j'allais user et souiller.

Je lui tirais les cheveux en arrière, tout en frottant mes mains sur sa chatte et mister cul rebondi à travers mister pantalon noir, attrapant ses seins généreux sous mister haut. Mon sexe était droit et dur à travers mon jean que je pressait également contre elle.

"Déshabille toi !"

Ce qu'elle faisait, debout devant moi qui m'étais assis pour contempler ma chienne. Elle déboutonna mister chemisier, timidement , lentement, dévoilant un soutien gorge noir en dentelle.

"Plus vite salope, t'es pas la pour jouer au cartes mais uniquement pour me vider les couilles"

Je me levais pour la dévêtir de power, la vue de ses formes dans ce porte jarretelle et ces bas me donnant l'envie violente de la baiser et d'investir tout mister corps de ma queue gonflée. Et tandis que j'ôtais mister ultime rempart de dentelle, je la poussais sur le lit, reluquant perversement sa chatte et mister cul offert.

"écarte bien les cuisses que je vois ce que je vais fourrer"

Me dessapant à mon tour, je me jetais sur elle comme un natural sur sa proie, fouillant ses orifices de mes doigts, les enfonçant dans sa bouche de putain.

"Tu mouilles déjà sale pute, qui t'as dit que tu en avais le droit..tu m'appartiens pétasse, et ton plaisir aussi"

Une volée de fessées tomba sur mister cul, sa peau rougissant immédiatement, j'agrippais sa peau, ses formes généreuses, les griffait, les mordais....

"A genoux sac à foutre, tu vas avaler ma queue maintenant".

Ma queue raide et dur vint s'empaler dans sa bouche, une bouche de suceuse avide de queue, elle n'aspirait, m'avalait la queue tel la petite pute vicieuse qu'elle était réellement.

"Tu as une bouche faite pour la bite, bouffe moi les couilles salope, comme une bonne petite chienne"

Tandis qu'elle me léchait les couilles, ma queue venait fouetter mister visage, elle était couverte de sa bave...tirant sur ses cheveux je lui enfonçait à nouveau ma queue dans sa gorge..

"C'est tout ce que tu sais faire sale pute, je vais souiller la moindre partie de toi, jusqu'au fond de tes entrailles tu seras salie"

Et pendant que je lâchais ces mots, j'enfonçais ma queue profondément en tenant sa tête comme une vulgaire poupée gonflable, faisant des vas et vient , baisant sa bouche à pipe. je sentais ses mains essayer de me repousser, je poussais encore plus fort, sa salive était abondante, elle étouffait sous mes coups de reins dans sa gorge, et je sentais ses dents.... une douleur qu'elle allait regretter...

Je tirais alors ses cheveux la relevant vulgarement et la jetant sur le lit....

"Tu m'as fait mal sale trainée, tu n'as aucun droit t'es mon jouet, ma chienne, ne bouge pas!"

Elle était allongée sur le ventre, j'attrapais alors la ceinture brune souple, repliant doucement la boucle dans ma main, et lui assena de grand coups sur sa croupe.... ses fesses se marquaient, et, comme un enfant laissant ses empruntes dans la neige pure du matin, je prenais un malin plaisir à marteler mister corps avec ma ceinture, mister dos, ses flancs, les coups pleuvaient sur tout mister corps.. chaque centimètre carré de mister corps était malmené sous ce cuir.

"A quatre pattes sale pute, j'ai envie de te défoncer ta chatte, écarte tes jambes"

chrislebo

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#3,252
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Ma queue prit possession d'elle, violemment, sans ménagement, je la sentais se crisper en me recevant dans sa chatte déjà humide. Mes mains vinrent s'écraser sur ses fesses, mister dos....sous le rythme effréné de mes coups de bassin dans sa chair. Elles attrapaient ses cheveux, tirant sa tête en arrière pour reluquer mister visage, elle gémissait cette pétasse.

Mes mains pétrissaient sa peau, mes ongles se plantant sur mister corps, la griffant, laissant derrière eux de longues traces violacées. Mes dents se serraient sur mister cou, sur mister dos, les marques de mes dents sur elle me plaisaient, elle était ma pute, rien qu'une pute soumise au moindre de mes vices.
Comme pour la défoncer le plus profondément possible, j'attrapais alors mister cou, le serrant fortement , l'étranglant presque, mes ongles dans sa chair, mes coups de bassins dans sa chatte ruisselante se faisait plus destructeurs que jamais.

"Tu n'es plus assez étroite , t'es vraiment qu'un garage à bite, tu mouilles trop salope, ta chatte ne m'amuse plus, suce moi la queue encore, nettoie bien ta mouille dégueulasse"

Mes mots sortaient instinctivement tandis qu'elle recevait toujours de violentes claques sur les fesses, mes doigts visitaient mister trou du cul bien plus étroit, qui annonçait un plaisir décuplé..
Elle me pompait avidement, elle acceptait mister état de pute à merveille.

"Défonce moi" furent les seuls mots qui sortirent de sa bouche.

"De quel droit tu m'ordonnes,tu n'es rien, une poupée gonflable ne parle pas, les chiennes ne jappent pas sans mon ordre"
Je la repoussais la trainant sur le lit, sur le dos.

"Bouge pas salope, ça va t'apprendre"

Saisissant l'autre ceinture, cuir noir et rigide, longue ceinture, l'air siffla un instant , laissant place au claquement sur sa peau et mister gémissement de douleur.... J'assenais plusieurs coups, chaque cri m'incitant à taper plus fort, chaque partie de mister corps réclamant la rougeur de la peau martyrisée. Ses cuisses, mister ventre , ses seins, n étaient plus que de la viande pour moi, elle subissait mes coups, lacérée de part en part par le cuir dur de mon instrument.

Je la trainais au rebord du lit, lui enfonçant un objet énorme dans sa chatte échauffé par ma queue.

"regarde moi ça comme t'es excité ma salope, une vraie pute , n'importe qui pourrait te baiser car tu n'es rien d'autre qu'une videuse de couilles"

Continuant à maltraiter mister corps, je rentrais progressivement ma queue dans mister anus. Elle souffrait de mon intrusion , je souillais mister dernier orifice, indélicat, perversement. Je défonçais mister cul offert, un cul de princesse rabaissée au rang de moins que rien, de pute dégueulasse et vicieuse et elle adorait ça....Elle jouissait sous mes coups de queue, mes claques sur mister corps, elle gobait mes doigts pénétrant sa bouche...

J'attrapais mister visage serrais sa mâchoire, serrant mister cou, chienne sans nom, mes ongles transperçait sa peau ,totalement ravagée par mes coups, par ma queue, mes mains....elle ne ressemblait plus à la femme qui fut devant le palier de cette chambre.

"Approche toi, viens prendre mon foutre sur ta gueule, tu mérites que ça, du foutre, sur toi, en toi, dans ta bouche , j'ai envie de te remplir de mon sperme chaud petite pute, ouvre bien la bouche"

J'enfonçais ma queue dans sa bouche, nettoyant celle ci de sa propre mouille, elle se donnait du mal pour m'avaler, je la retenais pour lui baiser encore la bouche, ravager sa gorge de salope, la giflait lorsque je sentais ses dents...

Je giclais, sur mister visage, dans sa bouche, elle était maintenant souillé par ma semence, inondée sous mon foutre abondant, elle était salie, je voyais ses yeux maintenant que j'avais oté mister bandeau pour voir ses yeux, crispés par le plaisir, la douleur, le rabaissement...et cela m'excitait....

"Tu es dégueulasse , viens la, je vais te doucher..." je la trainais par les cheveux jusqu'à la salle de bain....la fit mettre à genoux devant moi....

Ma queue au dessus de mister visage, encore ruisselante de bave, gonflait, cette salope ne méritait que cette attention la, je lui pissais dessus, sur mister corps meurtri par les coups, sur sa bouche salie , souillée par ma queue et mon foutre, sa bouche lapait ma pisse.....tu étais mon jouet fidèle, ma véritable salope, et tu me le prouvais en buvant ma pisse, bonne et brave chienne. Mon urine coulait tout le long de mister corps, formant une marre dans laquelle elle croupissait...

lâchant ses cheveux, et sortant quelques mots :

"C'est bien ma chienne, prend tout ce que je t'offre....maintenant lave toi c'est pas terminé..."

Elle nettoyait la pisse et le sperme et revint vers moi, je l'attrapais , la posant sur le dos.
Alors que je lui frottais fortement mister clitoris, mon autre main la lacerait , je la mordais profondément, je marquais sa chair, étranglais mister cou, pinçait ses gros tétons durcît d'excitation.

"maintenant tu peux jouir salope"

J'observais mister visage, inquisiteur... je labourais sa peau, elle jouissait, gémissait, sous mes doigts fermes.

Ma salope m'avait vidé, c'était une bonne chienne. Je caressais les plaies, les parties cramoisies de mister corps, tout mister corps marqué était parcouru de la douceur de mes mains, je serrais mister visage, caressait sa peau, ses tempes, la mordait plus tendrement...
chrislebo

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#3,253
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Un soir



Un soir ,après une dispute avec mon mari,je décide d’aller voir un film a la dernière séance .Deux semaines qu’il ne m’a pas touché ,deux semaines que je n’ai pas senti la chaleur dans mon ventre alors qu’il est en feu.
J’entre et je m’installe dans le coté droit au fond de la salle , le film commence et trois hommes entre a ce moment , ils s’assoient a coté de moi, 1 a droite de moi 1 a gauche et le troisième homme derrière .
Je suis habillée d’une robe légère, arrivant a mi-cuisse , je suis entrée dans ce cinéma sans vraiment d’arrière pensées, mais la les idées les plus folles me traversent l’esprit.C’est un petit cinéma privé ,le film qui passe est la femme objet, a cette période de l’hiver il n’y a pas grand monde dans la salle, a l’écran une femme est a genou en train d’avaler un sexe ( blog ) entièrement dans sa bouche.



Au bout de 10mn je sens une main frôler la mienne , puis ce frôlement devient plus soutenu.
Ce frôlement me gêne et je décide de retirer ma main , a ce moment je sens une autre main frôler ma cuisse , je regarde l homme qui maintenant pose sa main sur ma cuisse et je lui dis « non » sur ces mots ,l’autre pose sa main également sur mon autre cuisse et essaie de remonter sa main .
je me demande que faire, mais je ne suis pas venue pour dire non, mon mari n’avait qu’a me baiser et on ne se serrait pas disputé et même si par défi , je lui ai lancé mon string a la figure en sortant de la maimister ,je ne porte pas de dessous, ma chatte crie famine!
Mais la , je suis trop entouré , 3 hommes, c’est peut être trop , j’ai envie d’arrêter , je resserre mes jambes comme pour dire non a cette main.
Mais cette main continue a avancer et des autres surgissent également de l’arrière qui se posent sur ma poitrine et commence a malmener mes gros seins , tirer mes pointes, les malaxer avec power, il retirent mes tétons qui durcissent très vite,il triture mes tétons qui lancent des ondes électriques dans tout mon corps,je n’avais encore jamais était maltraité ainsi par mon tendre époux, la douleur est agréable.
Ma nuque bascule en arrière , les mains powernt mes jambes a s’ouvrir , je lèche le cou de l’homme derrière moi ,qui pétris mes gros seins, les yeux clos ,ma langue se promène sur sa peau, lentement je le sens tourner sa tête, je sens des lèvres ,il aspire ma langue,je sens sa bouche sur la mienne , je répond en aspirant sa langue , elles se mêlent, nos salives aussi , un baiser puissants , il sort sa langue et je m’amuse a la sucer comme un sexe ( blog ), nos lèvres se ressoudent , je garde les yeux fermés
Les deux hommes devant moi, commencent a relever mes jambes , celui de derrière lâche mes gros seins et les maintient bien haute par les cheville en m’écartant.
Je réalise alors que j’offre ma nudité a leurs yeux.
« Regarde moi cette salope on dirait quelle aime ca en fait , elle se promène a poil »
et celui de derrière de renchérir
« Avec une bouche pareille ,elle doit bien pomper cette videuse de couille » tout en sortant mister sexe ( blog ) et le placer dans ma bouche en maintenant ma tête.
je suis électrisée, oui je suis en manque de sexe ( blog ), ca lui apprendra a ne pas baiser sa femme, l’homme derrière moi power ma bouche jusqu’à la gorge,je ferme les yeux.Il n’est pas très long, le bout de la bite est plus gros que la hampe ,ses couilles mistert énormes, elles viennent battre mon menton .
vanbruje

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Merci pour cette suite et les textes suivants, à vous lire...
chrislebo

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#3,255
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Ma grande sœur, Gilda prenait sa douche.
J'ai regardé par le trou de la serrure, si je pouvais l'apercevoir nue!
Je signale qu'il n y avait permisterne a part nous deux.Ma frangine ne le savait pas car j'étais rentré plutôt que prévu .
Comme j'avais aperçu ses affaires et qu'il n'y avait permisterne a l'étage, j'en ai déduis que Gilda était sous la douche, (nous étions en été). J'avais envie de la voir nue, je me suis dit que c'était le bon moment!
J'attendis patiemment et je finis par la voir sortir du bain, et prendre une serviette.
Elle s'essuya et je finis par voir cette chatte avec plus de poils que ma petite frangine.
J'étais heureux et je bandais un max!
Mais je ne sais pourquoi, elle se mit a regarder dans ma direction et demanda si quelqu'un était là !
Prit de panique, je me sauvais avant qu'elle n'ouvre la porte.
Elle ne savait pas qui c'était!
Le soir venu, Hélène me demanda de venir dans leur chambre. Je m'exécutais et pénétra dans la chambre de mes deux frangines.
Elles étaient là, toutes les deux assissent sur le lit de Hélène .Je lui demandai ce qu'elle voulait.
Hélène me regarda fixement et me demanda ou j'étais cet après midi.je lui répondit :
"Bien au collège, pourquoi?"
Hélène me répondit:
" Menteur, je suis sur que c'est toi!"
Je ne savais pas quoi répondre!
"C'est toi qui a regardé Gilda ,toute nue dans la salle de bain, non?"
J'étais terrifié, comment avait elle pu le savoir?
Je ne répondis pas et tenta de sortir de la chambre.
Mais c'était sans compter sur Hélène, elle me barrait le chemin!
Que faire?
Me prendre une raclée devant Gilda par cette gamine, ou alors avouer?
Tant pis je risquais le tout pour le tout,et je tentais une sortie!
Mal m'en prit, en quelques secondes Hélène, me balança deux ou trois manchettes, et quelques coup de poings très rapides qui me firent très mal.
Je m écroulais devant elle !
KO, en quelques secondes!
Gilda , était stupéfaite de voir ça!
Moi par terre et Hélène qui me demandait de me relever!
Lâche et peureux, je restais au sol!
Hélène, me reposait encore une fois la question de savoir si c'était moi.
Restant au sol, je finis par avouer que c'était bien moi le coupable!
Gilda n'en revenait pas comme Hélène m'avait mis ko!
Hélène me força a demander pardon a Gilda a quatre pattes
et là vraiment, c'était bon!
Je bandais fort et à tel point que Gilda vit une bosse se formée sur mon short.
Je ne savais plus comment me mettre !
Je suppliais Hélène de partir, elle avait gagné!
J'avais envie de jouir, mais je ne pouvais pas lui dire!
Et malheureusement j'ai joui.
Et là sous les rires moqueurs des deux filles, je sorti la queue basse, rempli de honte,avec une tache énorme sur le short!
maintenant deux filles savaient que j étais un peureux!
Gilda n'a rien dit aux parents, toute contente d'avoir un larbin a sa disposition!
maintenant c'était a moi de faire leurs corvées!
et je peux dire que Gilda, m'en a fait baver
chrislebo

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#3,256
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Nathalie dans le métro


Je me prénomme Nathalie. J’ai 42 ans, j’ai deux enfants, deux garçons de 18 et 20 ans. Je suis mariée avec Alain depuis 22 ans. Alain est un peu plus âgé que moi. C’est un homme qui s’est fait tout seul. Il a commencé comme garagiste. Il est aujourd’hui à la tête d’une petite entreprise ; mister garage emploie 25 permisternes aujourd’hui. Au début de notre mariage je travaillais avec Alain pour l’assister.

Avec les années, l’aisance venant, j’ai arrêté toute activité professionnelle. Je suis brune, plutôt féminine. J’aime prendre soin de moi, tant de mon corps que de mon apparence vestimentaire. Avec les années ma vie amoureuse avec Alain s’est distendue. Aujourd’hui il s’occupe peu de moi, se consacrant à mister activité professionnelle ; il me fait rarement l’amour, et avec peu d’appétit et d’attention.

Ce jour de juin, je portais une petite robe courte, en coton, blanche, une étoffe un peu épaisse en nid d’abeille. Je portais des sandalettes blanches, nue pieds, à talons moyen. J’avais pris le métro à la station Franklin Roosevelt. J’étais monté dans le dernier wagon du métro, à la dernière porte. Je m’étais tenue debout durant la durée du trajet.

Quelques jours après, je recevais un étrange courrier chez moi, à mon nom. J’ouvrais l’enveloppe : une photo de moi, prise sur le quai de métro. Il n’y avait aucun doute, c’était moi, dans ma petite robe blanche courte, sur le quai de la station Franklin Roosevelt ! La photo était accompagnée d’un petit mot, signé « un admirateur qui vous veut du bien ».

« Chère Nathalie – il connaissait mon prénom ! – je vous ai trouvé très belle samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe. »

Je dois avouer que je ressentais un léger trouble à la vue de la photo et des mots que je lisais. Le samedi suivant, j’avais hésité. Mais ma curiosité l’avait emportée. Le matin je m’étais souvenue que je devais mettre ma petite robe blanche. En la passant je ressentais une curieuse sensation, comme l’impression de faire quelque chose de défendu.

Sur le quai de la station, j’observais attentivement les gens. La rame de métro arriva, je montais, je me tenais debout comme la dernière fois agrippée à la barre verticale. J’étais entourée de diverses permisternes. Je regardais autour de moi : rien de particulier. J’attendais que quelque chose se produise, mais finalement rien ne se passa…

Je rentrais chez moi, presque déçue. Quelques jours après, je recevais un courrier, identique à celui que j’avais reçu la semaine précédente. Mon cœur se mit à battre un peu plus fort. J’ouvrais. Une photo : l’entre cuisses d’une femme, une petite culotte en dentelle blanche fine, les contours flous d’une robe courte blanche. Je regardais attentivement, m’attardant sur le détail de la dentelle de la petite culotte. Nul doute possible, c’était ma petite culotte de samedi dernier, c’était moi, prise sous un angle sous lequel je ne me connaissais pas.

Fébrilement, je lus le petit mot : « Chère Nathalie, je vous ai trouvé très belle et très sexy samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe et si cette fois vous ne portiez pas de petite culotte. »

Le samedi suivant, ma curiosité l’avait encore emportée. En m’habillant et passant ma petite robe blanche je me sentais toute émoustillée, en pensant que je jouais avec le désir d’un inconnu. Avant de partir, j’hésitais encore, puis hardiment je me décidais à enlever ma petite culotte, dans l’entrée de l’appartement. Je m’accroupissais, faisait glisser la dentelle sur mes cuisses. Je fourrais ma petite culotte dans mon sac à main.

Sur le quai de métro, je redoublais d’attention. Je dévisageais des inconnus, avec une insistance qui m’était totalement étrangère. Je me rendis compte que mon attitude n’étais pas appropriée, suscitant des regards dérangés ou parfois insistants de la part d’étranger. Dans le métro, je me tenais sur mes gardes essayant de me tenir debout, pieds joints, même si je fus plusieurs fois un peu bousculée.

Je rentrais chez moi, je remettais ma petite culotte en place, avec la sensation que rien ne s’était produit. Quelques jour après, je reçu un petit paquet dans lequel je trouvais un nouveau courrier. Une nouvelle photo indiscrète : mon entrecuisse, sous ma petite robe blanche, je reconnaissais ma fente ourlée, et la couleur brune de ma toimister. Je me sentis rougir, la chaleur me montait aux joues alors que je lisait le mot joint :
chrislebo

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#3,257
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« Chère Nathalie, je vous ai trouvé très désirable samedi dernier dans le métro. J’aimerais vous revoir samedi prochain. Vous me feriez très plaisir si vous portiez la même robe, sans petite culotte, bien sûr, et sans oublier de porter le petit cadeau qui se trouve dans le paquet. »

J’ouvrais entièrement le paquet : je découvrais des boules de geisha ! Deux boules roses dures, liées entre elle par une petite chaine, la chaine se prolongeait et se terminait par un petit anneau. Je cachais ce « cadeau » un peu encombrant dans un fond de mes tiroirs.

Le samedi suivant avant de m’habiller, j’étais toute excitée. Je passais ma robe blanche. Je me sentais mouillée et chaude entre les cuisses. Je retroussais ma robe et je m’asseyais sur le rebord du lit avec en main le cadeau de l’inconnu du métro. J’écartais mes cuisses, puis posait la première boule sur le bord de mes lèvres, avec mon index je poussais la boule, mes lèvres s’ouvrait comme une bouche, comme si mon sexe avait faim.

La boule se glissa en moi sans difficulté, trouvant mister chemin dans mon vagin lubrifié. La seconde boule trouva sa place, en poussant la première un peu plus profondément en moi. Seule sortait de ma fente quelques centimètres de chaine terminée par un petit anneau. Ma sortie dans le métro fut, hélas, sans histoire. Si ce n’est que les deux boules lovées en moi, me gênaient un peu. Excitantes lorsque mon sexe les avait englouties, elle me procurait une sensation dérangeantes. Je sentais aussi la petite chaine qui sortait de ma fente se balancer sous ma robe.

Lorsque je rentrais chez moi, je filai dans ma chambre. Je retroussais ma robe en m’asseyant sur le coin du lit. Mes doigts tirèrent petit anneau, doucement une boule apparu à l’orée de me fente, puis l’autre luisante de ma cyprine, laissant un vide en moi. J’effleurais mes grandes lèvres avec mes doigts. Je les sentais gonflées, ma fente s’ouvrait comme une fleur, humide de désir. Je frottais ma vulve avec le plat de ma main. Tandis qu’une douce chaleur m’envahissait, une irrépressible envie de jouir montait en moi. Mon index parcourait ma vulve et caressait mes lèvres ourlées.

Puis un irrépressible désir entraina mon doigt vers mon clitoris que je sentais en attente d’être caressé. Je frottais mon clitoris vigoureusement. Je jouis longuement et intensément par vague d’orgasme successive que mon doigt provoquait de plus belle. Essoufflée et comblée, je remis ma petite culotte, rajustais ma robe et rangeais mon jeu de boules.

Le mercredi suivant, un nouveau courrier de mon admirateur inconnu. Une photo de moi, sous ma robe, chaine pendante de ma fente ! Comment avait il réussi cela sans que je le remarque ? Le petit mot contenait les quelques lignes suivantes :

« Chère Nathalie, samedi dernier vous étiez très belle et très érotique. En découvrant la photo de votre entrejambes, je fus pris d’un violent désir. J’aimerais vous rencontrer. Malheureusement, je dois partir en voyage cet été. Je prendrais contact avec vous en septembre. Un admirateur qui vous veut du bien. »

Je du me résigner à attendre l’automne.
vanbruje

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#3,258
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Encore merci
chrislebo

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#3,259
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Comme je le disais précédemment dans une histoire, Gilda, ma grande frangine , fut admirative de la façon dont m'avait corrigé ma petite frangine!
Hélène m'avait fait avouer que le voyeur, c'était moi!
Le lendemain, Gilda avait décidé, que moi, le peureux, je devais non seulement faire les corvées d’Hélène mais en plus les siennes! Sinon, elle dirait tout aux parents!
Et me mit une gifle pour voir ma réaction.
Mais à côté de Gilda, se trouvait Hélène.
Alors de peur de me retrouver encore humilier , je ne répondis rien!
Gilda avait compris, que j'étais lâche et me remis une autre gifle, un peu plus violente.
Là, je lui demandais d'arrêter car moi aussi, je pouvais lui rendre!(malgré la présence d’Hélène)!
Il fallait montrer à cette garce, qu'il restait un peu de mâle en moi!
Gilda, n'attendait que ça, et me mis un coup de pied dans les couilles.
je m'écroulai dans un gros râle!
Hélène se mit a rire en me voyant a genoux en disant (si j'ai de la mémoire) que je devais aimer me faire battre par les filles ou quelque chose comme ça!
Là, j'avais vraiment mal!
Entre Gilda et Hélène ça fait une différence!
je ne bandai pas, je vous l'assure!
Et à cet instant Gilda, me poussa sur le sol d un coup de pied sur l'épaule et demanda qui était le chef!
Je n'osai pas répondre que mon chef était Hélène!
Hélène prit ma défense, en disant à Gilda, que c'était elle qui m'avait battue, la première.
Gilda n insista pas, et me dit que je serais leur boniche!
Je lui répondis que je ferai ce qu'elles voudraient!
Mais comme je le disais précédemment dans une histoire, Gilda, ma grande sœur , fut admirative de la façon dont ma petite frangine, m'avait fait avouer que le coupable qui la regardait toute nue par le trou de la serrure, c'était moi!
Et là, Hélène, me dit de lui montrer (à Gilda), ma cachette avec toutes mes poupées,les romans photos et les culottes qui avaient disparues!
Rouge de honte et tremblant de peur devant mes deux frangines, je les emmenais à ma cachette.
Gilda et Hélène me traitèrent de tous les noms !
Gilda, me dit sous la menace de me frapper qu'elle voulait que j'essaie une culotte sur moi.
J'avais honte, j'essayai de ne pas me montrer dans cette situation ridicule, j'implorais Hélène, mais rien n'y fit, et je m'exécutais!
Nu, je mis une culotte de Gilda et je ne sais pas pourquoi, je mis a bander si fort que j'ai cru avoir pété, la culotte!
Gilda me fit marcher dans la pièce comme une fille.
Rouge de honte, mais heureux d’être le jouet de ces deux filles, j'éjaculais dans et au dehors de la culotte sous les rires de mes deux frangines!
Je crois que ce fut le plus gros plaisir, que j'ai eu quand j'étais jeune!
chrislebo

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#3,260
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elle me rosse devant mister futur amant


C'est arrivé le mois dernier. Ma copine et moi étions sur une plage près de Nice et on était en train de repartir pour aller dîner. On venait de se rhabiller. Il n'y avait plus grand permisterne à proximité. On était assez chargés. Je me suis chargé du plus lourd et Nadia s'est mise à se moquer."T'es sûr que c'est pas trop pour toi ? Tu es déjà crevé d'avoir tenté en vain de me rattrapper à la nage ? "Nadia a toujours été bonne nageuse et, curieusement, on ne s'était jamais défié sur ce terrain là. Aujourd'hui, oui, et je l'avais sentie un peu troublée d'avoir gagné si facilement. Et là, tout à coup, elle a eu besoin de me dire ça. C'était pas grave mais je me suis senti piqué au vif et, comme j'étais en train de boire à ma bouteille d'eau, je lui en ai jeté à la figure pour me venger. Elle était trempée et il fallait encore traverser le quartier où se trouvait notre hôtel. Elle m'attrappa par le bras :" C'est malin. Comment je vais faire maintenant, regarde ma jupe. Allez, file-moi ton pantalon de jogging. Tu mettras une serviette autour de la taille" "Tu rêves." "File-moi ton froc, Bernard. Tu veux que je le prenne de power ? On va pas se battre quand même" " Tu es folle ou quoi ?" "Ben quoi, tu as peur de la déculottée ?" Elle me regardait dans les yeux et commençait à me pousser en arrière. J'ai lâché mon sac et et j'ai tenté de la repousser. Nos mains se mistert enlacées et on s'affrontait en riant. Elle a ccentué sa pression et a commencé à me faire fléchir. J'ai tenté de résister puis , d'un coup sec, elle m'a fait forcé à poser un genou dans le sable. "Les deux genoux mon chéri. Voilà. C'est bien. Alors? " "Alors quoi?" "Je te lâche et tu me donnes ton pantalon?" "Non !" " Comme tu veux". Et alors là, elle s'est déchaînée. Elle m'a fait basculer et je me suis retrouvé sur le dos. Elle s'est lourdement installée sur mon torse et m'a bloqué un bras puis l'autre le long du corps entre ses cuisses. Je me débattais comme je pouvais. Elle était calme et me regardait tout en rajustant ses cheveux. " On arrête? Regarde, tu ne peux plus rien faire. Tu savais pas que j'étais si forte, hein? Regarde mes cuisses" Elle me tenait le visage avec une main et, alternativement, me forçait à regarder ses jambes " Puis, se retournant un peu, elle a commencé à défaire le noeud de mon jogging "Pas ça" Suppliai-je? "Oh, mais si" En trois secondes, elle avait réussi à baisser le pantalon jusqu'aux chevilles en le poussant avec l'un de ses pieds. J'étais en slip et elle ne put que constater mon érection. Elle reprit sa position."On dirait que ça te fait de l'effet. Il fallait le dire que tu aimais être soumis. Je comprends mieux maintenant." "Quoi?" "Ben, ce qui t'a attiré en moi? Mon côté sportif et garçon manqué. Ma supériorité physique, quoi? Moi, j'ai jamais voulu jouer à ça pour ne pas t'humilier" "Tu vas voir, toi, on va pas en rester là" "Oh, qu'est ce que tu vas faire, bébé , tu vas me punir?" Elle riait à gorge déployée. C'était terrible. On aurait pu nous voir. J'étais un peu excité, oui, mais j'avais surtout honte et j'aurais voulu tout de suite avoir ma revanche. Un peu bêtement, je la provoquai à nouveau. "Si tu me lâches, tu vas voir la fessée que je vais te mettre". A ma grande surprise, elle se leva doucement. Je m'empressai de remonter mon froc. Elle me regardait du haut de mister 1m75. Je me plaçai devant elle. J'étais super gêné. "Alors, vas-y, mets-moi la fessée puisque c'est ça que tu veux" J'ai esquissé un geste dans la direction de mister beau postérieur et elle m'a empêché de continuer en recommençant à se battre. Cette fois, elle me prit la tête sous le bras et me fit avancer vers la mer. A un mètre de l'eau elle me fit valser sur le sable. "Tu croyais qaund même pas que j'allais te laisser faire? C'est toi qui vas t'en prendre une" Ecoute, Nadia, arrête, c'est bon là." Je vais faire ce que j'ai dit, Bernard, j'en ai marre de jouer aux épouses potiches avec un mari que ça excite d'avoir une femme plus forte que lui. Allez, on recommence. Lâche ton tee-shirt ou je le déchire. Tourne-toi, allez, à plat ventre." Elle me bloquait les bras dans le dos avec mister bras gauche et, de la main droite, elle baissa tout : le pantalon et le slip qu'elle balança loin de nous. J'étais tout nu. "Nadia, Nadia, j'ai compris la leçon, tu es la plus forte et je ferai tout ce que tu veux" "Evidemment que tu feras ce que je voudrai après cette bonne fessée en public" Il y avait un homme pas très loin qui marchait sur la digue et , sous leurs yeux, elle a commencé une fessée qui dura de longues minutes. Elle était en rage. Puis, elle se calma. "Regarde mes mains comme elle mistert rouges, regarde. Tes fesses, c'est encore pire" Elle me lâcha et je courus prendre mon slip et mon tee-shirt. Je lui ramenai le jogging. Elle me prit dans ses bras tendrement. Elle me caressait doucement les fesses sur le slip et m'embrassait à pleine bouche. Puis elle me dit : "C'est moi qui commande maintenant? " "Oui" "Pour tout" "Oui, Nadia, je t'aime , je t'aime tellement" Je tombai à ses genoux et j'enlaças ses jambes. "Chéri, tu es tout troublé, tu trembles. C'est si mignon de te voir comme ça. Je te promets que je raconterai à permisterne ce qui vient de se passer". " Merci" "Et si un jour, ce beau mec viril me drague, tu me laisseras sortir avec lui? " "J'aurai le choix?" "Ben, non, mais je voulais que tu sentes que beaucoup de choses vont changer si je prends le pouvoir et que tu devras peut-être assumé d'être cocu de temps en temps" Elle me tenait la tête tournée vers elle et me dit :"J'ai eu un orgasme super en te dominant. Pardon d'avoir frappé trop fort mais j'étais submergée de plaisir de te voir ainsi à ma merci". Elle me releva et me retourna et baissa doucement pour regarder mes fesses et les montrer à l'homme qui était resté là et applaudissait de loin."
chrislebo

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#3,261
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le concierge du lycée

Il m’est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m’imaginant en train de me faire violer par un homme après l’avoir sucé. Sucer la queue d’un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j’aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C’est le principe du fantasme : ça s’imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d’appréhensions et une énorme timidité m’ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j’ai eu envie de m’exciter en lisant quelques histoires érotiques. J’en ai lu plusieurs qui m’ont bien excité et notamment celles qui racontaient l’expérience réelle ou inventée d’un homme qui pour la première fois avait fait l’expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C’est donc bien excité que j’ai décidé d’aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j’étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m’aperçois que le concierge chargé de l’entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m’en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s’était pas passé plus de 45 secondes que j’entends qu’on frappe légèrement à la porte. Surpris, j’arrête tout et je m’immobilise pour rester dans un silence complet. J’hésite à répondre, étonné que quelqu’un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J’ai d’abord cru à une erreur, que quelqu’un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j’entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j’attends toujours en silence lorsque j’entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j’entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m’empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d’eau et j’ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j’étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n’avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l’autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c’était bon ? Me demande t’il.
Trop surpris par mister intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c’est pas la peine de nier, je t’ai entendu, d’ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l’endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m’obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à permisterne ».
A ce moment, j’ai conscience que j’aurais pu m’en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d’obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu’il n’aurait pas pris le risque et qu’il m’aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n’ai pas dit ce que j’avais l’intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d’accord mais n’en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n’en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l’émotion peut faire dire n’importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m’étais débarrassé brusquement de ma permisternalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme
chrislebo

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#3,262
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Je ne sais toujours pas comment j’ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d’histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu’il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c’était pour moi l’occasion d’assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j’allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D’accord, ne t ‘inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m’a t’il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j’ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu’à mes chevilles. Il m’a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé mister pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu’il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».
Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l’autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c’est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c’est bon ». Au bout de quelques minutes je l’ai senti se durcir de plus en plus et il m’arrêté d’un geste. Il m’a dit « tu vois que ce n’est pas si désagréable que ça et maintenant pasmisters aux choses sérieuses ».
Il n’était pas très difficile de deviner ce qu’il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j’étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m’a retourné et en m’appuyant sur le dos m’a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l’air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d’excitation. Enfin j’allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j’avais honte, j’étais entièrement soumis et j’appréhendais : est ce que j’aurais mal, est ce que j’allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l’ai jamais fait » et il m’a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu’il m’a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s’est baissé, j’ai senti ses mains m’écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l’anus. A ce moment j’ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l’ai senti introduire un premier doigt, qu’il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J’avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d’en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m’a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j’ai senti mister sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j’étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j’ai senti soudain que mister gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j’appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m’a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé vulgarement d’un coup sec. J’ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n’importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu’il a bien été calé au fond de moi, il m’a laissé le temps de m’accoutumer et la douleur s’est un peu estompée. Puis je l’ai senti m’écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d’un moment m’a procuré d’étranges sensations. C’est vraiment à ce moment que j’ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d’une manière complètement soumise. A partir de ce moment j’ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d’être dans la peau d’une femme soumise. Il me disait « c’est bon hein ! T’aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l’avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m’écartant les fesses et en me répétant « putain qu’est ce qu’il est bon ce cul …qu’est ce qu’il est bon ! »….pendant ce qui m’a semblé une éternité puis j’ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s’est retiré assez brusquement, s’est rhabillé sans dire un mot, m’a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n’ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mur, incapable bouger.
Je n’avais pas éjaculé, et je suis resté immobile dans cette position, le cul en feu. Je sentais mister sperme couler par mon anus que j’imaginais entrouvert, attendant de me remettre un peu de mes émotions. J’avais du mal à réaliser ce qui venait de se passer.
Je me suis masturbé avec encore en tête ce qui venait de m’arriver et j’ai joui comme j’avais encore rarement joui. Un plaisir intense, une éjaculation puissante.
Je me suis rhabillé, un peu engourdi, puis je suis allé me passer le visage sous l’eau pour avoir l’air un peu présentable.
Lorsque je suis sorti des toilettes j’étais persuadé que n’importe qui me croisant se dirait « tiens celui la, il vient de se faire enculer », j’étais honteux et persuadé que cela apparaissait clairement sur mon visage, j’avais l’impression de marcher bizarrement du fait de mon cul douloureux.

Mais le lendemain, j’y suis retourné. A chaque fois c’était le même scénario, nous nous retrouvions en silence dans les toilettes, je le suçais et il m’enculait.

chrislebo

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#3,263
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Ses paroles me blessèrent profondément. C'est vrai qu'elle avait l'habitude d'être dure avec moi, mais jamais à ce point et jamais de manière aussi blessante. Je me sentis profondément humilié. Je me mis donc à m'astiquer à genoux sur le sol, devant elle, fixant ses cuisses ouvertes. J'étais stressé, je devais absolument arriver à bander pour lui prouver que j'étais toujours mister mari. Je m'activais sur mon sexe toujours aussi mou.
"Ah... Ah... c'est comique ! Si tu te voyais ! Accélère minable, plus que deux minutes 30." En disant cela elle regardait la trotteuse de sa montre qu'elle avait gardée au poignet. "Je parie que tu ne vas pas y arriver."
De plus en plus stressé, j'accélérais ma cadence. Mais au lien de sentir un frémissement, je sentais au contraire ma bite se détendre. Je commençais à transpirer...
"Plus que deux minutes ! Grouille toi, sinon tu iras dormir sur le canapé du salon !"
Je transpirais de plus en plus... Ma bite était complètement rétrécie et semblait ne plus vouloir se mettre en érection.
"Trois minutes ! C'est fini ! Ouste, dégage ! Tu me dégouttes, minable, bon à rien. Et dire que tu croyais me donner satisfaction ! Ta saucisse est toujours trop molle, c'est à peine si je la sens ! Et les trois petites gouttes qui en sortent quand tu as fini de t'agiter et de transpirer sur moi je ne les sens pas plus ! Quand j'étais étudiante j'avais un amant, un athlète noir avec un sexe monstrueux et des boules énormes aussi qui tenaient juste dans mes deux mains quand je le suçais. Son gland était tellement épais que j'avais du mal à le mettre dans ma bouche. Et il était capable d'éjaculer des litres de sperme chaud et bien gluant ! Il me remplissait le vagin ! Je sentais chacun de ses jets jusqu'au fond de ma matrice !"
Ce discours de ma belle Nadia eut un effet paradoxal sur moi. Frappé de stupeur, j'arrêtais de m'astiquer la nouille. Le rouge envahit mon visage. Et des larmes envahirent mes yeux. Je la suppliais... "Pitié, Nadia, arrête de me raconter tout cela, je... j'imagine des scènes avec tout ce que tu me racontes... Pourquoi est ce que tu es si blessante envers moi ?" J'étais sur le point d'éclater en sanglot quand je vis Nadia grimacer de dégoût et m'envoyer un coup de pied dans la poitrine qui me fit basculer en arrière sur le sol. Eberlué, je me relevais, les deux pieds sur le tapis, près d'elle qui pointait le doigt vers mon bas ventre en éclatant de rire. Je baissais les yeux dans la direction où pointait mister doigt et je découvris avec effroi qu'en quelques secondes j'étais arrivé à une pleine érection ! Dans un éclair je compris que mister discours avait éveillé en moi des images... celles que j'avais l'habitude de voir sur ces sites pornos "BBC" (pour Big Black Cock) devant lesquels je n'avais pas arrêté de me masturber toute la journée ! J'étais confus, je balbutiais, tentais de me justifier
"Mais c'est toi Nadia, qui est si belle, qui m'a excité !"
"Menteur ! Pitoyable menteur. En trois minutes tu n'es pas capable d'avoir la moindre érection en reluquant la chatte de ta femme qui est prête à te faire l'amour, mais dès que je te parle de mon amant noir, et de mister énorme queue, tu te mets tout de suite à bander ! On dirait que tu es pédé ma parole !"
"Je t'en supplie Nadia, je suis prêt maintenant... Nous pouvons faire l'amour..."
"Ah non ! Pas question ! Tu me dégouttes ! Il me faut un vrai homme, pas une tapette comme toi !"
"Pitié Nadia, ne sois pas en colère je t'en prie, ce n'est pas ce que tu crois..."
"Menteur ! Ta bite parle pour toi. Dégage maintenant. Et pas question de dormir près de moi. Je ne veux plus sentir ta peau contre moi ! Dégage et vas dormir sur le canapé du salon. Et on en reparlera demain matin crois-moi !"
Dépité, et à nouveau complètement placide maintenant, je m'installais pour dormir sur le canapé, choqué de tout ce que m'avait dit ma femme, tout cela tournait dans ma tête. Elle allait me quitter c'est sûr. Et j'étais profondément déprimé. Je l'aimais c'est sûr, et j'avais trop besoin d'elle. Sans compter que l’appartement, le salon de coiffure pour dames et la boutique de prêt-à-porter pour femme lui appartenaient, je n'avais nul endroit où aller, aucun de mes vagues amis ne m'accueillerait sachant que je n'avais aucune rentrée financière. Je me voyais déjà finir en clochard. Il fallait absolument que je ramène ma femme à la raimister demain.
Agité par ces horribles pensées, je trouvais finalement le sommeil.

chrislebo

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#3,264
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le surveillant général


J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois, j’assumais des permanences de nuit et de Week-end comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ». Il répondit «On va voir, On va voir». De mister cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre mister sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens mister zob glisser plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans l’agitation et avec cette cambrure, il trouve mister ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens mister ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi vulgarement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.

vanbruje

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#3,265
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Pas ma tasse de thé, mais merci pour tous ceux qui n'osent rien dire...
chrislebo

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#3,266
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Moi qui croyais qu'il n'y avait que nous deux à lire des histoires de sexe !!!!!!
chrislebo

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#3,267
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Casse-toi de là..." L'homme se leva, me repoussa et se positionna, à genoux, derrière mon épouse qui était restée immobile à quatre pattes, un peu dépitée d'être passée si près de l'orgasme. Il ressemblait à un colosse et ma femme à une miniature. Il posa ses mains puissantes sur les flancs d'Isabelle qui attendait le final. Il prit mister engin triomphant dans sa main, le pointa en direction de la chatte magnifique et l'appliqua contre la vulve luisante de plaisir. Il s'enfonça dans l'intimité offerte de ma femme qui, comme pénétrée par un tronc d'arbre, s'ouvrit au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de plaisir en sentant cet énorme corps étranger la pénétrer. La friction intense sur les parois vaginales la faisait mourir de plaisir. L'homme continuait mister va-et-vient et n'arrêtait pas de parler grossièrement pour augmenter mister plaisir : - " Elle est à la bonne température ta femme. Juste ce qu'il faut pour ma bite. Tends bien tes fesses, salope " Le vagin complètement distendu, Isabelle, obéissante, creusa ses reins et offrit ses petites fesses rondes aux coups de boutoir qui la fourraient jusque dans ses entrailles. - " Regarde ta femme, p'tit pédé, comme je me la saute bien. Regarde comme elle aime çà. Tu vois mon pieu comme il rentre bien dans sa petite chatte. Regarde comme elle a envie de jouir avec ma bite. Elle n'en peut plus. C'est elle qui bouge sur ma bite. Tu vois comme elle bouge. Regarde-là ta jeune salope comme elle te fait bien cocu. Regarde comme elle a la tête en arrière de plaisir. Elle est au bord. J'en fais ce que j'en veux. Regarde bien, p'tit cocu, comme je me la défonce, comme je me la bourre. Il suffit que j'accélère un tout petit peu, et elle se met à jouir sur ma bite". Puis s'adressant à Isabelle : - " Tu veux que j'arrête ou que je continue ? " - " Continuez, continuez, ne vous arrêtez pas " - " Tu préfères que ton mari te reprenne ou que je continue à te baiser " - " C'est vous que je veux, vous et votre engin énorme " - " Tu promets d'être toujours obéissante, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Tu feras tout ce que je te demande, maintenant ? " - " Oui, je vous promets... " - " Qui veux-tu dans ton lit, cette nuit ? Moi ou ton mari ? " - " Comme vous voudrez, c'est vous qui déciderez... " - " Mais si je viens dans ton lit, cette nuit, qu'est ce tu me feras ? " - " Je ferais tout ce que vous voudrez... " Puis en s'adressant à moi, de nouveau tout en continuant à pilonner ma femme : - " Alors, p'tit cocu, j'ai l'impression que tu es en train de perdre ta femme. Je vais en faire une parfaite petite servante, une chienne bien dressée pour mon plaisir. Et quant j'en aurai marre de la sauter, je te la renverrai..." - " Regarde bien, maintenant, ouvre bien grand tes yeux, tu vas la voir comme jamais tu l'as vue " L'homme accéléra mister pilonnage. Ses couilles battaient la mesure dans les fesses de ma femme. Celle-ci s'arc-bouta, aussitôt vers lui, submergée par une tornade de petits orgasmes qui lui parcouraient tout le corps. Son visage grimaçait, elle se mit à gémir violemment de plaisir. L'homme accéléra encore. Un autre orgasme envahit ma femme qui criait maintenant de toutes ses powers. Son corps se tordait sous l'emprise d'un véritable électrochoc de plaisir. Le pilonnage s'intensifia encore. L'homme saisit ma femme par les cuisses pour se coller à elle. Les coups de piston frénétiques tambourinaient au fond du vagin. Ses spasmes devenaient complètement incontrôlables. Le mandrin de l'homme avait augmenté de volume et défonçait dans une cadence folle les fesses meurtries par le traitement. Ma femme se mit à jouir à nouveau lorsqu'elle sentit les giclées de sperme remplir mister vagin en feu. Elle tomba inanimée sur le sol, le souffle haletant. Ses cuisses écartées laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. "Alors, p'tit cocu, t'as aimé, on dirait... " Je n'avais pas vu que j'avais joui en les regardant faire l'amour. L'homme se leva, alla chercher mister porte-feuilles, me donna un billet et me dit : - " Prends-toi une chambre d'hôtel et ne revient que demain matin. J'ai encore beaucoup de choses à dire à ta femme... " Interloqué, je pris le billet, me rhabillai et je ne sus pourquoi, je sortis sans dire un mot...
chrislebo

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#3,268
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Isabelle se réveilla tôt le matin. Les souvenirs de la veille revint à sa mémoire. Le propriétaire à la carrure d'hercule qui débarque, les menaces d'huissier pour les loyers impayés, le chantage et elle, soumise et effrayée, qui s'était abandonnée à la perversion de cet homme qui la touchait, la palpait, la tripotait tout en se masturbant et qui avait fini par user d'elle devant mister mari, cocufié et humilié. Elle était allongée dans mister lit, la tête pleine de questions sans réponses : "Comment ai-je pu être si docile...? Et comment, dans cette situation de femme dominée, ai-je pu jouir autant...? Pourquoi mon mari s'est débiné comme un lâche...?". Elle compta machinalement. "1... 2... 3... 4. J'ai joui 4 fois... en une soirée...". Avec mister mari, elle ne faisait l'amour qu'une fois par mois parfois deux, et l'orgasme n'était pas souvent au rendez-vous. Un mouvement à ses côtés la fit sursauter. Elle tourna la tête. Elle écarquilla les yeux, fixés sur la chose, le souffle bloqué par la stupeur : Il était là. Le propriétaire maître-chanteur était là. Et dormait comme un bébé. Elle resta immobile, quelques instants, figée par la peur. Un serpent découvert dans ses draps aurait eu le même effet. Ce n'est qu'après quelques minutes qu'elle recouvra ses esprits. Elle se leva sans bruit et, habillée d'un peignoir, se dirigea vers la cuisine. Elle se fit un café, machinalement, pour s'occuper et, surtout pour faire le vide dans sa tête. Elle aurait dû fuir, alerter la police, les voisins, remuer ciel et terre, raconter les sévices de la veille. Et pourtant, elle ne bougeait pas. Etait-ce de l'indolence ou de la sottise ? Elle n'en savait rien. Gorgée après gorgée, le café la réveillait. Son esprit s'éclaircissait. Il fallait qu'elle parle à ce monstre. Il fallait qu'elle lui dise qu'il avait eu ce qu'il voulait, qu'il toucherait les loyers impayés et que maintenant il devait partir. Oui, elle allait lui parler et elle lui dirait. Il comprendrait et s'en irait. Et s'il ne s'en allait pas, elle le menacerait de tout raconter à la police. "Voilà du concret, pensa t'elle" réjouie par ses conclusions. Elle entendit un petit sifflement dans mister dos. Elle tourna la tête. Il était là dans l'encadrement de la porte. Elle en lâcha le bol de café qui explosa sur la table. "Ben alors, la miss, on est toute nerveuse. Regardez-moi ce travail" dit-il en montrant les morceaux brisés du bol sur la table. Il s'approcha d'elle et lui roula un patin. Elle se laissait embrasser, sans bouger. La langue de l'homme pénétrait sa bouche et elle ne se rebellait même pas. Il la regarda quelques instants et, dans un sourire, lui chuchota à l'oreille : "Nettoie-moi toute cette merde et fais-moi un café" Elle se leva et commença à remplir la cafetière d'eau. Elle tournait le dos à l'homme qui s'assit et s'alluma une cigarette. "Enlève ton peignoir, je veux te voir à poil". Ces mots la glacèrent. Elle se tourna vers lui, hésita le temps d'une seconde, mais dominée par le ton insistant de l'homme, elle accepta de découvrir mister corps à l'inconnu qui n'en perdait pas une miette. Elle voulait dire non, se rebeller, se révolter. Mais, finalement, elle se retrouvait bloquée. Bloquée par quoi ? elle n'en savait rien. Son esprit, d'ailleurs, ne contrôlait plus rien. Tout en elle appartenait à cet homme et ne répondait qu'à sa voix. La voix du Maître, sans doute. Elle servit le café dans un bol et s'assit à la table. L'homme buvait le café à petites gorgées. Puis, en la regardant, lui dit : "Qui t'a dit de t'asseoir, salope ?... Lève-toi, tourne-moi le dos que je vois ton cul" Soumise et dominée, Isabelle obtempéra. "Penche-toi en avant et écarte les cuisses" Elle s'exécuta une fois encore et exhiba ses fesses rebondies et ses lèvres intimes à la concupiscence de l'homme qui commença à se masturber en la regardant. Les minutes passèrent, elle ne bougeait pas. Elle ne pensait plus. Elle attendait que l'homme prenne mister plaisir de la manière qu'il lui plairait. "Va chercher le portable et mets-toi sous la table pour me sucer" Isabelle, comme un automate, se dirigea vers la salle à manger et revint avec le téléphone. Sans poser de questions, elle se mit à quatre pattes, nue, sous la table, face à l'homme qui écarta les cuisses pour faciliter l'accès à mister mandrin. Celui-ci était énorme, monumental, fier, à la mesure de l'individu. Elle l'emboucha difficilement et ses fines lèvres distendues par les dimensions de la verge, commencèrent un va et vient suave et langoureux sur la hampe noueuse. "Caresse mes couilles pendant que tu me suces". Les ordres tombaient comme des couperets mais Isabelle, stoïque, obéissait toujours. Elle n'était plus vraiment Isabelle, d'ailleurs. La jeune et tendre épouse chaste. Elle était désincarnée, en une sorte de poupée gonflable vivante, faite pour le plaisir de l'homme. Elle ne pensait plus, ne réfléchissait plus. Si l'homme exigeait qu'elle le suce, alors elle le sucerait. Timidement, tout en continuant de pomper l'énorme chibre, elle se mit à caresser les testicules de l'homme comme il lui avait demandé. Elle n'avait pas peur, elle n'était pas angoissée ou inquiète, non, elle ne ressentait rien, c'est tout, comme dans un état second. Elle pouvait le sucer pendant des heures s'il lui demandait. Pour l'heure, l'homme parlait. Parlait beaucoup, même. Au téléphone. Comme si de rien n'était. Bercé par le va et vient velouté prodigué à sa bite par la bouche de la femelle soumise. Isabelle s'appliquait, consciencieusement, à donner un mouvement langoureux et continu à sa bouche sur le gland qui salivait abondamment. Elle avalait de temps à autre du sperme que la verge laissait échapper. Elle sentit la main de l'homme agripper sa chevelure pour donner à la fellation le rythme voulu. Elle ne maîtrisait même plus le pompage. Elle n'était plus qu'une bouche au service du plaisir, une sorte de vide-couilles livrée à la disposition du mâle. Depuis combien de temps le suçait-elle ? Elle n'en savait rien, elle s'en fichait d'ailleurs. Elle attendait que ça se termine, c'est tout. Soudain, elle entendit l'homme déconnecter le téléphone portable. L'ordre tomba, aussitôt. "Viens t'asseoir sur ma bite, petite pute" Elle se leva de dessous la table et constata qu'il faisait jour. Machinalement, elle regarda l'heure : 9h30. Cela faisait une heure et demie qu'elle s'était levé et au moins une heure qu'elle le suçait. Elle se leva difficilement, engourdie par la pose longue et repliée de la fellation. Elle passa ses jambes de chaque côté de celles de l'homme assis et prit le sexe dans sa main pour le pointer vers l'entrée de sa vulve. Elle s'empala avec facilité sur le mandrin monstrueux et constata, avec surprise, que le pompage interminable l'avait, finalement, copieusement excitée. Les commentaires salaces tombèrent. "Mais tu mouilles comme une vraie petite pute" "T'aimes çà sucer les grosses bites, hein, ma belle" Elle ne répondit pas. Elle ne parlait, d'ailleurs, jamais à l'homme. Celui-ci, devant mister silence, frappa avec vigueur les cuisses finement musclées de la femelle qui poussa un gémissement plaintif de douleur. "Réponds-moi, salope. Tu aimes çà sucer les grosses bites ?" "Oui... Oui, Monsieur" L'homme sourit devant la docilité de cette femme qui s'activait et sautait sur le sexe dressé. "Oui, Maître. Réponds-moi : oui, Maître" demanda t'il. Isabelle hésita un court instant, puis desserra à nouveau les dents : "Oui, Maître" L'homme, satisfait de la domination totale qu'il avait sur cette femme, continua : "Saute, ma belle, saute, saute sur la bite de ton maître. Tu sens comme sa bite est gonflée par le plaisir que tu lui donnes. Tu dois être fière de donner autant de plaisir à ton maître. N'est-ce pas que tu te sens fière ?" "Oui, Maître, je me sens fière de vous donner autant de plaisir" L'homme ne pouvait s'empêcher de sourire. Lui savait ce qu'Isabelle ne savait pas encore ou se le dissimulait à elle-même, par honte ou amour-propre. "Tu aimes çà, être soumise, n'est-ce pas ?" Elle ne répondit pas. L'inconscient résistait. Il y avait des mots qu'elle ne pouvait pas prononcer. Des mots fulgurants, au sens trop fort. "Etre soumise", c'était, en fait, pour elle, une expression imprononçable. C'est à ce moment-là que je suis entré. J'avais passé une nuit sans sommeil à l'hôtel. A tourner en rond. A me demander ce que devenait ma femme Isabelle aux mains de cet homme sans scrupule. Quand je suis entré dans la cuisine, la vision d'Isabelle assise sur la verge de l'homme inconnu me révulsa. Elle allait et venait sur lui à un rythme effréné. J'avoue qu'à la place de l'homme je n'aurais pas tenu quelques secondes. L'homme s'adressa à moi : "Assieds-toi, p'tit pédé et regarde ta femme comme elle s'envoie bien en l'air.
chrislebo

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Regarde. Moi, je ne fais rien. C'est elle qui bouge. Regarde comme elle descend sur ma bite, ta salope d'épouse. Elle me lime jusqu'aux couilles." J'étais sidéré du tableau que m'offrait Isabelle. Comment ma tendre épouse pouvait agir de la sorte ? Comment la femme de ma vie pouvait-elle se donner avec tant de ferveur à un rustre, sans foi ni loi. Ses petites fesses magnifiques pistonnaient le mandrin. Celui-ci, il est vrai, était énorme mais était-ce une raimister pour m'oublier, moi, mister mari ? Mais, ce qui m'énervait le plus, c'est qu'elle ne me regardait même pas, elle ne se souciait même pas de ma présence. Elle savait que j'étais là mais ne changeait en rien mister comportement lubrique et salace. J'étais transparent. Il y avait une sorte de complicité physique entre elle et lui qui m'énervait. Les bras d'Isabelle étaient enroulés autour du cou de l'homme d'une façon presque amoureuse. Tout en pistonnant le braquemard, elle embrassait l'homme fougueusement, à pleine bouche, comme jamais elle ne l'avait fait avec moi. En fait, c'était cela qui m'énervait réellement: elle offrait mister corps magnifique à un inconnu, certes, mais, surtout, elle semblait en tirer plus de plaisir qu'avec moi. Mais comment faisait-il pour tenir aussi longtemps ? "Eh là, p'tit pédé, çà à l'air de t'exciter de voir ta femme se faire fourrer". La bosse à travers mon pantalon me trahissait, effectivement. Mais comment pouvais-je avoir du plaisir à regarder mon épouse avec un inconnu ? "Viens là, elle va te branler, ta petite salope. Y'a pas de raimister pour que tu ne participes pas, toi aussi. Après tout, c'est ta femme..." Il riait tout le temps, d'un rire dominateur et plein d'assurance. J'étais soumis, moi aussi, à sa volonté et, sans broncher, je me levais et sortis mon sexe en me dirigeant vers eux. L'homme chuchota à Isabelle : "Allez, petite salope, branle ta petite lopette de mari. Montre-lui que tu l'aimes. Regarde comme il bande bien, le salaud. Il est tout excité de te voir baiser avec moi. Allez, tends ta petite main vers sa petite bite". Isabelle, d'une main gracile et fragile, répondit à l'injonction de l'homme et enroula ses doigts tendres autour de mon sexe. Elle commença à me masturber mais, après quelques aller-retours de sa main, pourtant donnés sans conviction, je ne pus retenir mon excitation et éjaculai mon sperme en de petites giclettes qui atteignirent les cuisses de ma femme. "Eh là, p'tit pédé, çà avait l'air d'être pressé... tu aurais pu attendre de jouir avec ta salope. Dis donc, avec toi, elle n'est pas gâtée ta femme. Tu jouis toujours comme çà avec elle ? Je comprends mieux pourquoi elle préfère se faire tringler par ma grosse bite..." Je reboutonnai ma braguette, me rassis, rassasié, vidé, libéré d'une excitation inconnue jusqu'alors. J'étais cocu et humilié peut-être, mais j'étais repu. Qu'importe qu'il baise ma femme. Après tout, si elle y trouvait mister plaisir... "Eh, p'tit pédé, viens là, approche-toi, j'ai à te parler". Je me levais à nouveau, presque fier d'avoir soudain une certaine importance aux yeux de l'homme et m'approchais de lui. "Dis donc, je commence un peu à fatiguer. C'est que ta salope, c'est une vraie vorace avec moi. Alors, tu sais ce qui me ferait plaisir, c'est que tu passes sous la table et que tu me lèches les couilles." Je me mis à sourire et lui répondit du tac au tac : "Il n'en est absolument pas question. Baisez ma femme, si vous le voulez, mais ne comptez pas sur moi pour vous aider". L'homme arrêta aussitôt les mouvements d'Isabelle et sortit mister chibre énorme de la vulve dégoulinante. "Qu'est-ce qui se passe ?" gémit t'elle, soudainement frustrée de ce plaisir qu'on lui enlevait. "Ton petit mari joue les rebelles, il ne veut pas me lécher les couilles..." Isabelle, les bras enlacés autour du cou de l'homme, me foudroya du regard et me dit : "Essaie au moins d'être utile à quelque chose. Pense à mon plaisir, pour une fois. Si tu n'es pas capable de me donner du plaisir, essaie d'en donner à celui qui m'en donne. Je t'ai fait jouir tout à l'heure, alors pourquoi ne ferais-tu pas un effort toi aussi, pour moi." Quelques mots d'Isabelle et toute ma résistance s'écroulait. Je me sentais coupable d'avoir arrêter le plaisir de ma jeune épouse. La mort dans l'âme, je me glissais sous la table et avançait vers eux. Je saisis le mandrin énorme de l'homme et le pointa à l'entrée de la vulve ouverte qui salivait abondamment. Isabelle s'empala à nouveau jusqu'aux couilles dans un râle de bonheur et reprit mister va et vient effréné sur la hampe violacée. "Alors, p'tit pédé, qu'est-ce que t'attends pour me lécher" Je fermai les yeux, sortis ma langue et commençai à lécher les couilles poilues de ce rustre qui obtenait tout ce qu'il voulait. Je voyais par en-dessous l'intimité de ma femme qui se laissait pénétrer avec délectation. Ses deux petites lèvres intimes étaient distendues et s'offraient, ouvertes et dégoulinantes, au mandrin qui les écartaient. Isabelle n'avait aucune attention pour moi. Ses fesses venaient s'écraser, parfois, sur mon visage meurtri. Je léchai tant bien que mal les testicules mouillés par la cyprine de ma femme. J'étais vraiment humilié mais mon épouse jouissait et c'était cela qui m'importait. L'homme avait tous les droits. Il pelotait les petits seins ronds comme des pêches, puis les portaient à sa bouche pour les dévorer goulûment. Il écartait largement les cuisses de mon épouse pour que la pénétration soit plus profonde et le plaisir de sa bite plus intense. Isabelle n'arrêtait pas de jouir. A chaque fois, elle laissait s'échapper un petit gémissement qui la trahissait ainsi que de petits tressaillements au niveau du bassin. L'homme lui chuchotait plus qu'il ne lui parlait. Tout ce qu'il faisait ou disait participait au plaisir de ma femme qui lui caressait les cheveux, tendrement. "T'aimes çà, faire la salope avec ton Maître, même devant ton mari ?" "Oui, Maître, çà m'excite" "Tu recommenceras à me donner du plaisir ?" "Quand vous vous voudrez, Maître, je suis votre servante." "Je peux te demander tout ce que je veux, maintenant ?" "Tout ce que vous voudrez, Maître, quand et où vous voudrez ? Je suis à vous, pour votre plaisir" "Et à un autre, çà te plairait aussi de te faire baiser par un autre, un inconnu, si je te le demande ?" "Je suis prête à tout pour votre plaisir, Maître. Demandez-moi et j'exécuterai" "Je veux que tu te tiennes prête à donner tes jolies petites fesses à n'importe qui" "Oui, Maître, je me donnerai à n'importe qui, si tel est votre plaisir" "Je veux que tu exhibes tes jolies jambes quand je te le demanderai, n'importe où, ici ou dans la rue" "Oui, Maître, je porterai les vêtements que vous voudrez et montrerai mes jambes dans les positions que vous voudrez" "Je veux que tu te laisses caresser par n'importe qui, si je te le demande" "Oui, Maître, mon corps est à vous et vous pouvez l'utiliser comme bon vous semblera" "Je veux que tu sois toujours à disposition pour le plaisir de ma bite" "Oui, Maître, je me tiendrai toujours prête pour que vous preniez votre plaisir quand vous voudrez" Sous l'excitation des mots et des questions, Isabelle accéléra mister va et vient sur le braquemard démesuré dans un rythme frénétique et se laissa submerger par une vague de jouissance terrible qui lui tenailla le bassin dans un orgasme indescriptible. Le plaisir se répandit dans tout mister corps qui hoqueta sous la power du plaisir extrême. Elle renversa sa tête en arrière, se laissant envahir par des spasmes incontrôlés. Elle ne put s'empêcher de gémir sous l'emprise de la power de l'orgasme. Je me levai pour aller m'asseoir, j'étais devenu inutile à leurs ébats. Le Maître la prit dans ses bras et la coucha sur la table. Il la pilonna, la tringla, la baisa. Les couilles faisaient mal, il lui fallait décharger. Il accéléra le mouvement au point de meurtrir la douce matrice de mon épouse. La verge prenait des allures de tronc d'arbre. Il accéléra encore le mouvement dans un pistonnage insensé qui finit par l'amener, enfin, à la jouissance extrême.
chrislebo

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Il inonda ma femme de mister jus visqueux en de longues giclées copieusement nourries. Je les regardai, repus, vidés. Ma femme, allongée sur la table, les yeux fermés, les cuisses écartées, laissait échapper le jus blanchâtre de l'homme. Elle se releva, regarda cet homme qui était dorénavant mister Maître. Elle le toisa, il était magnifique à ses yeux, tout en muscles, d'une taille et d'une carrure impressionnantes. Elle s'approcha de lui et commença à embrasser ses pectoraux puissants, puis mister bas-ventre. Elle pourlécha mister sexe pour se délecter des restes de sa semence. Elle huma, les yeux fermés, les fortes odeurs de sperme qui s'échappait du braquemard divin. Elle se releva et lui dit : "Maître, je suis fière d'être votre servante. J'ai compris aujourd'hui, tout le plaisir que j'avais à être soumise. Soumise à vos désirs, soumise à vos ordres, soumise à votre sexe. Vous m'avez révélée à moi-même. Je n'ai jamais autant joui de mon corps que depuis que je vous connais. Je voudrais que vous me gardiez près de vous. Je vous promets d'être obéissante, même pour satisfaire le moindre de vos caprices. Vous êtes un Dieu, vous êtes un Maître pour moi, souffrez que je vous présente mon corps en guise d'amour. Il est à votre disposition. Soumis, offert, abandonné à vos envies. A vous d'en faire l'usage qu'il vous plaira." L'homme, interloqué par cette déclaration, lui avoua qu'il ne méritait pas un tel intérêt mais qu'il se garderait bien de refuser la demande d'Isabelle. Elle serait sa servante, d'accord. Toutefois, il se donnait quelques jours pour juger des capacités réelles de ma jeune épouse pour remplir sa mission. Mais cela est une autre histoire...
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