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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#3,211
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Le garagiste pervers

Elle m'avait déposé sa voiture pour une panne...et était venue la chercher un soir...J'allais fermer. Une bourgeoise, l'air d'une sainte nitouche, une petite quarantaine...Timide et terriblement bandante pour un pervers comme moi.
J'avais fermé...Je sentais que cela l'inquiétait...puis l'avait entrainée dans le bureau.. C'était l'été, j'étais juste en salopette, elle en robe légère...Elle regardait mon torse velu à la dérobée, mes épaules larges et mes bras musclés. J'essuyais mes mains sales avec un torchon et lui dit
- Ma p'tite dame, va falloir y passer maintenant...
Elle rougit...
- Pardon ?
- Ben oui, va falloir passer à la caisse...dis je en la regardant avidement…
Elle s'assit, fouilla dans mister sac...continua à fouiller...ne trouvant pas ce qu'elle cherchait...
- Y a un problème ma p'tite dame ?
- Je...je crois que...que j'ai oublié mon chéquier, balbutia t’elle…
- Eh ben voyons... On me la fait pas ma p'tite dame...
- Mais vous me connaissez...Vous savez que je vous paierais...J'ai besoin de ma voiture...Je dois aller voir ma mère...Elle est malade...
- C'est hors de question...Pas de sous...pas de voiture...
- Oh non, s'il vous plait...Je dois vraiment aller la voir...
Des larmes apparaissaient dans ses yeux...Je commençais à bander...Je m'approchais d'elle et l'a pris par le bras...MMM...sentir sa peau douce et tendre..
- Lève-toi...
Elle me regarda, éberluée par le tutoiement et la fermeté de ma main qui l'obligeait à se lever...
- Mais, Monsieur...
Je l'attirais contre moi...Je fais 1m82 et avait le ventre plat à l'époque..
- Tu as fait exprès de venir sans ton chéquier hein ?
- Non, je vous jure...J'ai changé de sac avant de partir et n'est pas pensé à vérifier..
Je sentais ses seins contre le haut de mon ventre...Ma queue commençait à durcir contre le sien...Je vis dans ses yeux affolé qu'elle me sentait bander contre elle...affolée...
- Tu veux vraiment ta voiture ?
- Euh....oui...non...lâchez moi...vous allez me salir...
La prenant par les épaules...Je la retournais et la poussais en avant vers le bureau...Toujours collé à elle, je sentais ses fesses charnues et encore fermes contre le haut de mes cuisses...Ce fût le déclic...Je ne pouvais plus m'arrêter....Il me la fallait...
Elle heurta le bord du bureau avec mister ventre...
- mais enfin Monsieur, lâchez moi...Que faites-vous...Pour qui me prenez vous...
- Allez laisse toi faire...pense à ta maman malade..Je ricanais...penche toi en avant...
Je me décollais d'elle...Et lui donnais une claque sur les fesses...
- Penche toi en avant je te dis...
- Non s'il vous plait....Je suis mariée...Je n'ai jamais...Vous comprenez...S'il vous plait...Laissez moi partir..
D'une poussée dans le dos, je la forçais à se pencher en avant sur le bureau...
- Aie..Oh non ! Ne me faîtes pas mal...
Je saisis le bas de sa jupe à 2 mains et la retroussais sur ses reins légèrement cambrés. Sa culotte apparut. Ce n’était pas une culotte sexy...Non une large culotte en coton qui couvrait bien mister cul de femme mariée et sage...
- Oh ! Non ce n'est pas possible...Laissez moi...
Elle avait des fesses assez grosse avec de la culotte de cheval en haut des cuisses...Pas un cul de mannequin...mais un vrai cul de femme...bien en chair..
Tétanisée, toujours appuyée à mon bureau, elle ne bougeait pas...Je ne devais pas la laisser se reprendre..Je baissais rapidement sa culotte, dévoilant ses fesses grasses et toutes blanches contrastant avec le reste de mister corps légèrement bronzé...La culotte tomba à ses chevilles encore serrées..
- MMM...tu sais que tu as un joli cul...ton mari doit se régaler avec, le salaud !
Je commençais à lui malaxer les fesses...Mes doigts s'enfonçant dans la chair un peu molle...
- Oh ! Lâchez-moi ! Vous ne devez pas....S'il vous plait !
Je lui donnais un coup de pied sur l'intérieur de la cheville...
- Ecartes les jambes, poupée...Dépêche toi...
- Non ! Je ne veux pas...Vous êtes un cochon...Je me plaindrais...
Mais elle dégagea docilement sa cheville de la culotte et écarta un peu les jambes..Je glissais une main dans la raie de ses fesses...descendant vers mister entrecuisse...De l'autre main, fébrilement je sortais ma queue. Je bandais comme un taureau à la vue de ce cul blanc et offert...
- Je suis sûr que ton mari adore te prendre comme cela...et que cela te fait jouir...Tu vas voir..J'ai une belle et grosse queue pour toi..
- Oh non ! Vous êtes fou...Jamais, il n'oserait...Laissez moi...J'ai honte...Vous voyez mes...
J'appuyais sur sa nuque...L'obligeant à allonger le buste sur la table...faisant s'ouvrir mister cul de femme fidèle. Je glissais ma bite dans la raie...me frottant entre ses 2 fesses....MMM...C'était une sensation délicieuse...J'allais la prendre...Là sur le bureau...Je profitais de ce moment unique...
- Tu sens comme j'ai envie de toi poupée ? Tu sens l'effet que tu me fais ?
- Oh ! Non ! Vous êtes....trop gros...C'est si dur...Vous n'allez pas...avec çà ! Oh non...Ne me violez pas !
Prenant ma bite d'une main, je passais mon gland violacé dans sa raie....effleurant au passage mister anus..Cherchant l'entrée de sa chatte poilue...
- Vous n'êtes qu'un cochon ! Qu'un pervers ! Jamais permisterne...
Je sentis ses lèvres au bout de mon gland et d'un léger coup de reins le plantait !
- Oh non....Mais vous allez vraiment..Non ce n'est pas possible...
Elle tenta de monter sur la table pour m'échapper...Mais je la tenais bien...et la retirais vers moi...vers ma bite appuyée à sa chatte...tout en donnant un violent et long coup de reins...
-oooooooooohhhhhhhhh..........AAAAAAAAAHHHHHH........
C'était merveilleux....Je sentais ma grosse queue s'enfonçant inexorablement. Elle était étroite...Elle me comprimait merveilleusement la bite...Ses chairs intime étaient douces...et humides...
- Arrêtez...Vous êtes trop gros...Vous me faîtes mal...Oh Mon dieux ! Oh non...
Continuant ma poussée, je finis par buter au fond de mister ventre...Je sentais ses fesses contre mes poils...Je la tenais aux hanches et ne voyait plus ma bite profondément enfoncée..
- Oh si Jacques savait....Oh que j'ai honte...
- Tu es toute mouillée....Toi aussi tu es une cochonne...Tu aimes cela hein ?
Je me retirais lentement puis commençait à la besogner sur le bureau...
- Non...Vous mentez...Je ne ....Je...
Ses fesses tressautais sous mes coups de reins....Sa chatte s'ouvrait...se lubrifiait pour mieux m'accueillir...C'était merveilleux...J'accélérais la cadence...
- Cà te changes de la bite de ton mari...Tu ne connais que la sienne hein ?
- Oh...Oui...Je ne...
Secouée par mes coups de reins, elle avait du mal à parler...mais visiblement, elle avait envie de raconter...
- Oh ! Je ne savais pas....Vous êtes...Un cochon...avec votre gros....machin...Oh non ! Vous allez trop loin...Oh mon dieux Jacques....Il me prend....Je n'ai rien pu faire...Oh non...
Elle coulait littéralement sur ma bite maintenant...Elle tremblait...les mains crispées sur le bureau...venant à la rencontre de ma queue...C'était trop bon ! Je sentais l'orgasme poindre...Mes couilles devenir dures..Il fallait que je me retienne encore...Elle continuait à parler à mister mari..
- Jacques....Je ne voulais pas...Il me viole...avec mister ...sa....Oh, il est si gros...si fort...Oh mon Dieu...Jacques...Je crois que je vais...Oh non ! Pas avec ce pervers...Oh c'est un natural...Mais que m'arrive t'il...Que me fait il...Oh mon Dieu....Jacques....
Je n'en pouvais plus...je sentais venir un orgasme formidable...Je sentais mon sperme remonter à l'intérieur de ma queue...Je me laissais tomber sur elle...l'écrasant de tout mon poids...
- Oh Jacques....Oh non...Il va....oh non pas dans mon ventre !
Me plantant le plus loin possible...Je gueulais ma jouissance en lui crachant ma semence à jet épais au plus profond...
- Tiens ma poupée...prend çà...pour ton Jacques....
- Oh le salaud...Il jouit....Il jouit en moi....Oh Jacques...Mon Dieux...C'est....bon...Oh non...Je ...Je ne peux pas...OOOOOHHHHHHHHHHHH.......
Elle jouit à mister tour....tendant les jambes....contractant sa chatte autour de moi....se couvrant de sueur...

Je restais sur elle un instant....laissant mon cœur reprendre un rythme normal...Puis je me levais, retirant ma queue de sa chatte, trempée par le mélange de nos jus.

- Tu peux prendre ta voiture poupée, tu l'as bien méritée !

Elle était écarlate...Les cheveux en bataille...Elle n'osa pas me regarder.

- Les toilettes mistert par là poupée !
Je lui jetais les clés. Elle remonta maladroitement sa culotte et tituba un peu en allant vers les toilettes. Je descendis ouvrir la porte du garage.
5 minutes plus tard, elle ressortit, monta dans la voiture, démarra et parti, sans un regard ni un mot
chrislebo

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#3,212
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Je deviens cocu …


Pour ma part, c’est une situation qui m’excite et je commence à la vivre …!
Un ami camerounais connu sur la toile à commencer à habituer ma femme à lui… Elle a du « potentiel » m’a-t-il dit …

Mais pour comprendre d’où cette envie est partie, il faut remonter en arrière.


Je lisais souvent, avant que ma femme découvre avec black, que les femmes dès qu’elle avaient gouté à une grosse queue et à la jouissance qu’elle procure ne pouvaient plus s’en passer. Je lisais aussi les risques de ce genre de relation. Toutes ces lectures m’ont été aussi confirmées lors de nombreux dialogues sur internet. J’avais un peu de mal à croire que cela puisse être vrai à ce point mais je vous avoue aussi que les relations noirs et blanches et le mélange que cela procure est quelques choses qui m’excite depuis de nombreuses années. Voir une femme avec un noir, voire plusieurs m’excitait et m’excite toujours.
Partant de cette connaissance, voir ou imaginer ma femme avec un black m’excitait beaucoup. Malgré un côté coquin, j’ai mis du temps à faire passer le cap à Marie, c’est mister prénom, pour elle, les blacks n’étaient pas mister type d’homme, elle avait de l’appréhension voire de la peur par rapport à leur sexe... Bref, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain.
Le déclic s’est passé l’année dernière lors d’une discussion entre elle et moi où elle m’a avoué mister envie d’avoir d’autres queues en elle que la mienne. Quelle chaudasse vous pourriez me dire ? oui ! mais qui doute d’elle et qui s’est mis des barrières avec les années.

Pour comprendre qui nous sommes, sachez que nous nous connaismisters depuis 12 ans, que nous connaismisters le monde du libertinage depuis 11 ans et que ma femme était déjà libertine avant de me connaitre. Au début de notre relation, je vous avoue que l’idée de la voir avec un autre homme ne me plaisait pas vraiment. Connaissant une partie de mister passé, je ne voulais pas la perdre. Indépendamment du sexe, elle et moi, en fait, c’est comme si nous nous étions toujours connus. Il y a des permisternes avec qui tu n’expliques pas pourquoi c’est elle et pas une autre : c’est une évidence ! Et avec Marie, c’est une évidence !!!... Avec le temps, notre amour s’est renforcé et elle m’a montré à de nombreuses reprises qu’elle m’aimait d’un amour profond et sincère, notamment lors de problèmes familiaux.

Nos premiers pas dans le libertinage se mistert fait en 1998. Pendant 4 ans, nous avons rencontré quelques couples occasionnellement. A cette époque, nous n’avions que notre fils ainé et il était plus facile de rencontrer qu’aujourd’hui. A l’époque, il ne prenait pas de place et avec notre lit pliable, le trimbaler n’était pas un problème dès lors que nos hôtes l’acceptaient. J’avais même créé un site, le CLUB MCB qui fonctionnait pas mal mais qui me prenait de plus en plus de temps. Au bout du compte, nous avons décidé de l’arrêter après 3 ans de fonctionnement (c’était en 2002). Pour poursuivre, nous aurions du passer sur un hébergeur payant et par manque de temps et de motivation, j’ai tout arrêté.

En tout cas, il ne faut croire que toutes ces expériences ont fait de nous un couple ‘’pro’’. Etant réservé, pour nous, chaque nouvelle rencontre était toujours une épreuve pour se lancer !! … Avec les années et de la maturité, je sais que ma femme peut faire plus qu’elle n’ose le dire aujourd’hui. Elle se dit ‘’réservée’’ voire ‘’timide’’ mais avec un bon guide, elle peut aller loin. Or, ce guide, je n’ai pas su l’être et je ne le serais jamais. Se dire ça de soi-même peut être triste à lire mais je vous avoue que je l’assume parfaitement.

Et les hommes dans tout ça ? Comme je te l’ai écrit plus haut, au début de notre histoire, je ne pouvais pas accepter l’idée de voir Marie seule avec un autre homme. Ce n’est qu’en vers la fin 2001 que nous avons commencé à faire notre premier trio. Il y en aura 4 en tout entre 2001 et 2002. C’est lors de l’un de ces trios qu’elle a connu sa première grosse queue. Le gars possédait un outil de 21/7 et j’ai vu ma Marie prendre un plaisir qu’elle n’avait pas encore connu avec moi. Pendant un 1 jour ½, il la prise à 7 reprises et la fait jouir je ne sais combien de fois… ça a été un déclic même si elle ne voulait pas l’avouer (elle ne voulait pas me blesser !). Encore aujourd’hui, d’ailleurs, elle a du mal à me dire o combien une grosse queue lui fait du bien. Mais mister opinion change. Je suis content !!

Courant 2002, Marie est tombée enceinte de notre 2e enfant. 2002, est une année charnière. A cette époque, mistert arrivés plusieurs évènements et à ma demande, nous avons arrêté de coquiner. Marie aurait bien aimé poursuivre mais par amour pour moi, elle s’est rangée de mon côté.
Parmi les différentes raimisters qui m’ont fait arrêter c’est le manque d’envie et avec le temps et le recule, surtout accepter le fait que je ne pouvais pas bander longtemps. Avec les années, je me suis rendu compte que j’étais un grand cérébral et non un étalon. Il y a d’autres raimisters, mais le développer n’apporterait rien de plus. J’aime imaginer et voir mais ne pas powerment pratiquer.
Mes propos mistert durs à mon égard, mais avec les années, j’assume. Le coté « cocufiage » est quelque chose qui me plait beaucoup

Enfin bon, 6 années se mistert écoulés pendant lesquelles nous nous sommes consacrés à notre petite famille, un 3e enfant est venu agrandir le clan et nous avons poursuivi notre route sans libertinage mais avec une liberté d’esprits toujours aussi grande. Pendant cette période, j’ai découvert que ma femme se godait souvent. Pour ma part, je ne l’ai pas mal pris. Elle, était plutôt gênée de ma l’avouer. Surtout à voir les 2 godes qu’elle utilisait : une reproduction d’un sexe de 22/6 (qu’elle utilisait peu) et un autre plus petit de 15/3 qui, lui, était souvent utiliser dans mister anus... Elle me disait que ca lui faisait beaucoup de plaisir. Ma femme est paradoxale. Elle est capable de me dire ça comme si c’était normal et ne pas vouloir que je la sodomise prétextant que ça lui fait mal !! … J’aurais pu aussi la powerr et qui sait elle aurait aimé, mais je suis un gentil, j’aime ma femme et je n’ai pas envie de la bousculer. Petit joueur pourra t on dire de moi !! oui certainement. Je ne suis pas un meneur, mais un suiveur, Je ne suis pas un dominant mais peut-être un soumis ? … je n’ai pas encore tranché la question. Ce qui est sûr, c’est que je ne suis pas un dominant.

Et tout ça nous ramener à notre fameuse discussion que nous avons eu en 2008 où elle m’a avoué mister envie de queues en elle autre que la mienne, envie qui lui avait traversée l’esprit plus d’une fois mais qu’elle n’avait pas osée réaliser par amour pour moi !! …
J’aurais pu mal le prendre, mais étant ouvert d’esprits, au contraire, j’ai accueilli cet aveu avec plaisir. Il ouvrait de nouvelles perspectives. Et puis, c’était aussi une preuve d’amour à mon égard. C’est réconfortant de se savoir aimer et de compter beaucoup pour une permisterne malgré les hauts et les bas qu’un couple peut rencontrer et aussi, malgré le constat que sexuellement je ne lui apportais pas tout ce qu’elle aurait aimé.
De cette grande discussion il en est ressorti que j’étais ok pour qu’elle puisse se prendre des queues en elle à la condition que cela soit moi qui mène les recherches… Secrètement, mon envie était de lui trouver un amant qui puisse la prendre en main et la guider la où moi je ne me sens pas capable de l’amener

Ainsi j’ai commencé à prospecter …
Après de multiples dial sur le net j’ai trouve un premier partenaire. Le hasard a fait qu’il soit black. Marie la rencontrée et a passé une bonne après-midi. Elle a même osée me ramené sa culotte souillé comme je l’avais souhaité. Ensuite, ce contact ne s’est pas pérennisé et j’ai poursuivi mes recherches. Il faut savoir que Marie est une permisterne paradoxale comme je te l’ai déjà écrit, donc lui trouver un partenaire n’est pas évident. Surtout que nous ne pouvons pas recevoir et que je la laisser aller seule …
La difficulté supplémentaire que je me suis fixé, c’est ce que je cherche aussi à avoir une bonne complicité avec ‘’l’amant’’. Il y a beaucoup de partenaires potentiels pour le futur de Marie mais moi, ce que je cherche c’est ‘’LA’’ bonne permisterne qui puisse l’amener à se lâcher plus.
Avant de connaitre notre ami actuel, Marie a rencontré 2 autres partenaires dont l’un avec qui la relation à durée 2 mois. Physiquement, Marie l’a rencontré 2 fois. C’est grâce à lui qu’elle a su qu’elle pouvait supporter de gros sexe. Il en avait un de 23/7. Elle la prise recto-verso… moi qui ne la sodomise pas, croyez-moi que j’étais tout excité d’apprendre cela et de voir mister cul explosé. Il était très hot est bousculait bien Marie, un peu trop peut-être. Ce qui a fait capoter la suite c’est qu’il n’a pas su la respecter suffisamment et n’a pas eu l’intelligence de lever le pied. Il est trop sûr de lui et dimisters ma petite femme est peut–être une femme qui sait être docile mais elle sait aussi montrer mister caractère. Au final, la prise en main s’est terminée. Entre temps, elle a rencontre quelques blanc et avec patience, je suis tombé il y a 3 mois de ça sur Stef, un camerounais vivant seul et pouvant recevoir sans problème. Le contact entre Marie et lui s’est bien passé… il la fait pleuré de bonheur tellement elle a jouis avec lui lors de leur première rencontre. Elle n’a pas osée me l’avouer, c’est lui qui me la dit car au départ il pensait lui avoir manqué de respect. Le faite qu’elle n’ose pas me le dire veut-il dire quelque chose ? … je n’en sais rien ! Et vous ?
Ce que je ne connais de Stef c’est la taille de mister sexe, énorme selon les photos et commentaire que j’ai pu avoir. Lui, tout ce qui me répète souvent c’est qu’il kiffe ma femme et que sa queue se sent bien dans sa chatte. Il m’a aussi ajouter que ma femme était faite pour les blacks … ca promet !!!

Enfin voila, l’histoire suit mister court, je reviendrais plus en détail sur cette nouvelle relation si vous le désirez. Si vous avez des questions, n’hésitez surtout pas !! …

Sur ces bonnes paroles, je vous laisse et vous dis à bientôt.

chrislebo

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#3,213
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Maqué par Ahmed

J’ai toujours été attiré par les maghrébins et les africains plus agés que moi, bien en chair et en habit traditionnel.
D’une morphlogie plutôt frêle j’ai trés vite découvert que je préférai être soumis et passif. Mon cul était bien ferme et bombé et ma bouche bien charnue, une vraie fiotte quoi...
Suite à des années d’hésitations je suis passé à l’acte en commençant à trainer dans les WC publics de Vénissieux, de Vaulx en Velin et des Minguettes.
Les premières rencontres ont été plutôt chaudes. Tout d’abord il y a eu celle de Vénissieux. Alors que je trainais dans un wc public et que mon sexe était devenu déjà bien dur avec l’odeur d’urine, un maghrébin d’une cinquantaine d’année en djellaba est rentré et s’est dirigé vers un urinoir. Voyant que je le matai il se retourne et me montre mister sexe et me dit :
« C’est ça qui t’intéresse ? »
J’acquiesse de la tête en rougissant.
Vient dans le wc turc p’tit pidi me dit il en me prenant par le bras.
Arrivé dans le wc turc l’odeur est encore plus forte et prenante. Il ferme le verrou dérriére nous, m’appui sur les épaules pour me faire mettre à genou et soulève sa djellaba, je me retrouve face à une bite d’une taille conséquente et qui dégage une odeur de pisse, de foutre et de cyprine mélangé.
Passant ses mains derriere ma nuque il m’oblige à avaler mister membre d’un seul coup et commence à me baiser la bouche avec violence en me traitant de salope, de pute juste bonne à pomper des noeuds, de p’tit pidi etc...
Excité par ses injures je commence à le pomper avec ferveur en gémissant, il me tire par les cheveux pour se dégager et me dirige pour que je lui léche les couilles ce que je fais en descendant le plus bas possible pour tenter de lui lécher le cul.
Sentant ce que j’essaye de faire, il se retourne et me dis :
« Liche moi le cul pitasse ».
Aussitôt je commence à lui lécher sa rondelle pleine de poils qui dégage une forte odeur.
Aprés un bon moment de se traitement il se remet face à moi me reprend par les cheveux et recommence à me baiser la bouche jusqu’à ce qu’il m’envoye mister foutre au fond de la gorge en appuyant sur ma nuque pour que j’avale bien tout, ce que je fais en jouissant dans mon boxer.
Rassasié il rebaisse sa djellaba et sort du wc sans me regarder et sans rien dire me laissant à genou avec la bouche pleine de mister sperme et mon boxer plein du mien.
Excité par cette première rencontre je décide de poursuivre ces expériences.
La deuxième fois j’etais dans un des wc public des Minguettes et je m’étais mieux préparé cette fois là. En effet sous mes vêtements j’avais mis un string, un porte jarretelles et des bas résilles noires.
Après un long moment d’attente à tourner en rond dans le wc, voilà que rentre un black d’une soixantaine d’années en djellaba aux couleurs vives et bariolées.
Me voyant planté au milieu des urinoirs il comprend vite que je ne suis pas là pour soulager ma vessie.
Il me décoche une oeillade salace et me fait signe de le rejoindre dans un des chiottes turcs.
Aussitôt dedans il commence à me peloter le cul en m’injuriant avec un accent trés prononcé.
Je commence à onduler du bassin tout en gémisant.
Comprenant que j’aime ça il me retourne et baisse mon pantalon en toile découvrant mes dessous de petite putain.
Apparement ça l’excite fort car il écarte le ficelle du string et introduit direct 2 doigts dans ma petite chatte de pd.
Commençant un va et vient avec sa main il m’arrache un cri de plaisir et de douleur mélangé
Après m’avoir bien dilaté la rondelle il reléve sa djellaba et laisse apparaitre mister sexe tendu et d’une taille hors norme avec un gland violet et énorme.
Ayant prévu je sort un tube de gel et commence à le masturber doucement en étalant le lubrifiant.
Ceci étant fait il me retourne violement, place mister gland entre mes fesses, m’empoigne les hanches et pousse d’un coup sans ménagement. Son mandrin power le passage de mes reins en m’arrachant un cri de douleur.
Plaqué contre le mur du wc et empalé je ne peux que subir ce quasi viol mais après quelques va et vient de mon bourreau mon sexe déjà dur comme de la pierre laisse échapper un filet de méat et je commence à prendre un pied immense en poussant des gémisements de plaisir.
Voyant que je vais jouir il s’arrête de me limer er se retire d’un coup de façon sadique en me balançant une grande claque sur les fesses puis il me retourne, m’appui sur les épaules et me dit :
« Suce pd suce et fait ça bien salope »
Je commence donc à lécher mister gland énorme et sa queue pleine de mes excréments mais aussitôt il m’appuis sur la nuque et s’enfonce tout au fond de ma gorge me déclenchant un haut le coeur que je réprime pour l’aspirer avec application.
Après quelques minutes de ce traitement je joui à ses pieds avant qu’il se retire de ma bouche vulgarement et m’envoi sa purée sur la gueule en m’insultant puis me demande de le nettoyer avec ma langue pour que ses trois femmes ne sache pas qu’il vient d’enculer une petite salope de pd.
Suite à ça il s’en va sans se retourner en me laissant seul le cul béant avec le goût de mister jus dans la bouche.
Les semaines suivantes je deviens une vrai pute des toilettes public de la banlieu Lyonnaise, suçant et me faisant mettre plusieurs fois par jours jusqu’à ma rencontre avec celui qui allait devenir mon seigneur et maître : Ahmed
chrislebo

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#3,214
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ménage à 3


Nous habitons ensemble Diane et moi depuis environs 5 ans, nous avons trente ans tous
les 2, nous faimisters partis des Français moyens, nous travaillons tout les 2. Diane est plutôt
une belle femme 1m70, 58Kg brune à la peau mate, 85 de tour de poitrine. Nous avons
une vie sexuelle sage et fidèle. L’histoire commence le jour où mon frère me demande si
nous pouvons héberger un de ses amis qui viens faire un stage d’un mois non rémunéré
dans une entreprise de la ville où nous vivons ma femme et moi. Je lui demande quand
même 2/3 trucs sur ce mec, demande à Diane mister avis, tout le monde est d’accord car en
plus nous avons une chambre de libre. Nous allons donc accueillir Rachid sous notre toit.
La première semaine se passe et nous sommes tout les deux sous le charme, un mec
super gentil prévenant, participant à la vie quotidienne… Il a 25 ans, le petit dernier de la
famille, il n’a que des sœurs pour le grand bonheur de Diane, et bien oui il a pris l’habitude
avec ses sœurs de les conseiller sur leurs tenues vestimentaires. Du coup il n’arrête pas
de faire des compliments sur les tenues de Diane, et elle se prête volontiers au jeu. Un
matin nous étions tout les 2 dans la chambre, Diane cherchait quoi mettre et là Rachid a
fait irruption dans notre chambre ; Diane étant en sous vêtement a réagit aussitôt et il lui dit
que ce n’était pas la première femme en sous vêtement qu’il voyait et donc comme si tout
était normale il guida donc Diane dans ses choix. Puis petit à petit se fût des compliments
sur ses formes, sa sensualité dans certains habits (qui étaient de plus en plus court et de
plus en plus moulants) toujours délicats et bien amené, en douceur pourrait-on dire.
Ensuite se fut le tour des contacts physiques, il l’embrassait le soir en allant se coucher le
matin au réveil, les moments où il remettait les plis des vêtements de Diane ressemblaient
plus à de longues caresses qu’à autres chose.
Un soir je les ai laissé tout les 2 pour faire du sport avec un ami. Quand je suis rentré la
douche coulait, je me suis dit que Diane devait être dessous mais en passant devant la
chambre je l’ai vu nue allongée sur le lit (j’ai tout de suite pensé à Rachid qui aurait pu la
voir comme ça) je la regardais en me disant qu’elle était belle quand j’aperçus quelque
chose qui coulait de sa fente, je me suis rapproché et j’ai constaté horrifié que c’était du
sperme. Je suis sortis dans le couloir en fermant la porte, je suis tombé sur Rachid qui
sortait de sa douche il était nu comme un ver, quand il m’a vu il a esquissé un grand
sourire et m’a dit qu’il s’était bien occupé de Diane pendant mon absence et que je ferais
bien de faire un peu plus de sport ! Je commençais à avoir un peu de ventre. Je suis resté
comme 2 ronds de frite. Le lendemain matin il a trainé plus que d’habitude à la maimister,
surement pour prendre la température, attendant une réaction de ma part mais je n’en ai
pas eu… Du coup il se l’est joué libéré, il restait prudent avec Diane mais il n’arrêtait pas
de me provoquer d’abord gentiment avant de passer à la vitesse supérieur
-Dis donc elle ne suce pas terrible Diane t’aurait pu lui apprendre mieux que ça
-Ca fait quoi d’être cocu sous mister toit et dans mister lit… Et puis un soir on était à table, Diane
se levait régulièrement pour chercher des plats...à chaque passage il lui passait la main
aux fesses en me regardant, Diane faisait comme si elle ne sentait rien. Au dernier tour il
l’a attrapé par la taille, tu sais que tu cuisines délicieusement bien tu mérites une
récompense, il lui baisse mister short et sa culotte en même temps et avant que Diane ai eu
le temps de protester, il lui caressait sa toimister. Au début elle serrait les cuisses mais elle
c’est rapidement laissée faire. Et Rachid qui me fixait toujours et moi qui ne disait toujours
rien… Il a pris mister doigt la fait lécher à Diane et lui a langoureusement enfoncé dans sa
chatte avant de faire quelques vas et viens sans en faire trop. il c’est arrêté pour la laisser
sur sa faim.
-On verra le reste au dessert s’il est bon dit il en lui remontant sa culotte et mister short. Diane
était dans un tel état d’excitation, les yeux brillant les pommettes rouges, elle se frottait sur
sa chaise pour éteindre le feu qu’il y avait dans mister slip. Elle n’a pas tenu longtemps, les
assiettes étaient loin d’être vide qu’elle a prit le dessert la mis sur la table enlevé ses
vêtements et c’est jeté sur Rachid. Je ne l’avais jamais vu comme ca, une vraie chienne en
chaleur. Et Rachid qui rigolait
-Beh alors on perd mister self contrôle, allé allonge toi sur la table.
Une fois allongée il lui a écarté les cuisses et barbouillé sa chatte de mousse au chocolat
-Goute pour voir si elle mérite ma bite me lança t’il. Et volontiers je me suis mis à lui lécher
toute la mousse sous les cris de jouissance de Diane et les moqueries de RACHID.
-Alors je peu la baiser ou pas ta femme ?
Diane criait baise moi baise moi !!
-Je ne pu que confirmer. Il l’a baisée, ça n’a pas duré longtemps, il était comme nous,
tellement excité qu’il a éjaculé en elle au bout de 5 minutes, j’ai jouis aussi, mais dans
mon pantalon… Tu m’avais pas dit que tu avais fait du chocolat blanc aussi, nettoie lui bien
le chocolat qui sort de sa fente Et j’obéis encore….il reste 2 semaines….
chrislebo

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#3,215
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Suite aux derniers évènements, il me demanda combien de fois je faisais l’amour avec
Diane. Je lui répondis :
-Je ne sais pas peut être 3 fois par semaine
-Tu sais quoi et bien moi aussi 3 fois, mais trois fois par jour !!
Je pense qu’il est donc logique que je prenne ta place dans le lit. Tu n’y vois pas
d’inconvénient n’est ce pas ? Je ne pu que répondre par un mouvement de tête affirmatif.
Après ça, il s’est mis à se promené à poil toute la journée, dès qu’il rentrait à
l’appartement, il quittait tous ses vêtements. Un soir que l’on regardait la télé tous les 3, je
ne pouvais m’empêcher de regarder mister sexe qui pendait le long de sa cuisse, ce qu’il ne
mis pas longtemps à remarquer.
-Alors tu es impressionné ?
-Euh non !
-Viens, approche-toi Je m’assis à coté de lui
-Touche la, prends la dans ta main.
-Non !
-Ce n’est pas une proposition c’est un ordre. Action !!
Et je pris mister sexe dans ma main, c’était la première fois que je touchais un autre sexe
masculin que le mien. Il me dit que j’ai 2 mains c’est pour s’en servir. Je me mets donc à le
branler en lui caressant les boules, avec Diane qui nous regarde.
-T’as vu un peu avec qui tu es mariée, heureusement que tu m’as rencontré, un homme un
vrai. Je le branle jusqu'à ce qu’il m’éjacule sur les mains
-Lèche tes mains, voilà j’en veux plus une goutte ni sur toi ni sur moi.
Il m’aidait à nettoyer ce liquide, il le mettait sur ses doigts qu’il me donnait à lécher comme
un petit chien. Une fois terminé, ils allèrent se coucher tous les 2. Le lendemain soir ils
arrivèrent ensemble du boulot plus tard que d’habitude. Je leur demande ce qu’il les a
retardés. Et la sans une ni 2 il prend Diane par la main me la présente juste devant et me
dit d’ouvrir grand mes yeux, que je ne vais pas être déçu. Effectivement, il lui défait mister jean
qu’il lui descend sur les chevilles puis sa culotte et là surprise sa petite toimister a disparue,
mister sexe est tout lisse. Il la retourne, la fait se pencher en avant et lui écarte les flancs, la
non plu il n’y a plus un poil (forcément, ce n’était pas la forêt vierge mais bon une brune…)
Rien que de voir Diane exhibée comme ça, je bande comme un fou.
-Je préfère comme ça, me dit il je ne suis pas fan des poils et attends ce n’est pas fini pour
fêter ça, j’ai invité quelqu’un qui ne devrait plus tarder d’ailleurs. Je me demandais qui cela
pouvait bien être puisqu’il ne connaissait permisterne ici. La misternette retentit. Je me dirigeais
vers la porte et l’ouvris, le ciel me tomba sur la tête, le concierge ! Ca fait depuis que nous
habitons ici que nous pasmisters notre temps à l’éviter. La cinquantaine, bedonnant, toujours
sale avec en plus une tête de pervers…Je le fais rentrer, nous nous asseyons tous au
salon pour prendre un verre en me demandant bien comment faire pour me sortir de cette
galère...Nous buvons, buvons jusqu'à ce que Rachid lance l’offensive et se mette à parler
de sexe, Paul (le concierge) qui ne parlait jusqu'à maintenant pas beaucoup se transforma
en moulin à parole. N’hésitant pas à utiliser des mots crus et vulgaire. Rachid lui dit que
Diane sort juste d’une épilation totale et qu’il devrait voir ça. J’avais envie de le tuer, et en
même temps la situation m’excitait terriblement. Rachid demanda donc à Diane de lui
montrer, elle était plutôt réticente mais étant un peu pompette avec l’alcool il lui donna un
coup de main et mister pantalon ainsi que sa culotte on vite disparu. Paul était bouche bée
avec la langue qui pendait par terre…Il voulut toucher mais Rachid lui interdit
-Si Diane t’autorise tu peux sinon c’est non. Ouf j’étais soulagé et Diane aussi, mais c’était
reculé pour mieux sauter, car c’est Rachid qui trempa mister doigt dans le champagne et
commença à la caresser. Pour s’arrêter 2 minutes après, c’est un malin il c’est bien que
Diane est longue à l’allumage mais une fois commencé il est dur de l’arrêter. Diane fit
signe à Rachid pour qu’il continu il lui répondit que non, elle voulu donc le faire elle-même,
mais il l’arrêta aussitôt et ce n’est pas la peine de compter sur ton idiot de mari tu sais qu’à
chaque fois il te laisse tomber. Elle se tourna donc vers Paul qui répondit présent étant
assis à coté d’elle il me demanda de bouger pour qu’il puisse prendre ma place, se que je
fis sans sourciller. Aussitôt il glissa ses gros doigts en elle, elle se tortillait dans tous les
sens et jouissait. Rachid finit de la mettre nu puis vint s’assoir à côté de moi.
-Suce moi me dit il, je ne réfléchis même pas et me mis à l’œuvre en même temps que
Diane engloutissait le sexe de Paul. Ca y est, on est près maintenant regarde bien
pourquoi épilé c’est mieux :
Diane s’assit sur Paul qui était allongée par terre et Rachid se mit derrière pour la prendre
en sandwich. Une fois les 2 hommes en elle Rachid me lança vas-y regarde 2 bites dans
ses trous c’est quand même plus jolie sans poil !!! Mon dieu que c’est vrai…..
vanbruje

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#3,216
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Mille merci pour ces beaux textes... A vous lire encore...
chrislebo

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#3,217
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mise à l'air et...




Ce jour-là, je suis seul avec Nabil ; nos autres copains du quartier mistert allés à Lyon pour assister aux affrontements entre étudiants et powers de l'ordre. Nous sommes tous deux désœuvrés. Alors que je n'y pense même pas, Nabil se tourne vers moi et me lance :

— Dis-moi, Hub, t'as pas envie d'essayer de prendre ta revanche ?

Étonné, je fixe mon ami algérien et hésite à répondre. En souriant, il répète sa question.
Nous avons déjà lutté l'un contre l'autre et, comme tous les autres d'ailleurs, j'ai dû subir sa loi. Oui, c'est vrai : j'aimerais prendre ma revanche, mais je sais qu'il est fort et très bon lutteur malgré sa petite taille. Nabil est trapu, costaud, avec un torse puissant, des jambes courtes et épaisses, bien qu’il ne fasse même pas 1m65.

Ma réponse tarde car nos combats, depuis quelques temps, ont pris une tournure particulière. Effectivement, le vainqueur, après avoir immobilisé et contraint mister adversaire à l'abandon, lui ouvre mister jean et en extirpe mister sexe. Toujours en souriant, il insiste ; je finis par accepter mister défi. Comme lors de tous ces combats, nous nous mettons torse et pieds nus puis, arc-boutés, nous nous faimisters face, prêts à en découdre.

Nabil est vif, rapide et, malgré ma taille et mon allonge supérieures, j'ai bien du mal à contrer ses attaques. Les premiers mano à mano, les premiers corps-à-corps mistert rudes et déjà, à plusieurs reprises, je m'en sors de justesse. Sur une de ses nouvelles attaques, je me fais surprendre : mes pieds décollent du sol et, en poussant un petit cri de surprise, je me retrouve enfourché sur ses épaules, tournoyant dans les airs. Je bats des jambes ; il accélère encore avant de me jeter sèchement au sol... Étourdi, misterné, je n'arrive pas à me relever. Alors, tranquillement, il s'approche de moi et sans opposition me place une prise de soumission imparable : ciseau de jambes à la gorge et clé de bras... Oh, bien sûr, en ruant reins arqués j'essaie de me libérer, mais en vain. Alors, en grognant d'une voix sourde, je ne peux une fois encore qu'admettre sa victoire, reconnaître ma défaite...
Satisfait, Nabil ricane et ajoute :

— Et une mise à l'air !

J'en étais sûr… Je me laisse donc faire quand il s'attaque à la braguette de mon jean, l'aidant même en soulevant mes reins, à faire glisser celui-ci sur le haut de mes cuisses. Alors que mon sexe est extirpé de mon slip, la main libre de Nabil le saisit. Surpris, je me plains :

— Qu'est-ce que tu fais ?

Là, Nabil rit franchement et se met à l'agiter avec vigueur. Malgré moi et malgré l'étranglement de ses cuisses autour de mon cou qui m'étouffe à moitié, mon sexe réagit, se dresse dans sa main qui va de plus en plus vite. Je grogne, le supplie d'arrêter ; mais rien n'y fait et il continue en lançant des commentaires peu flatteurs sur ma virilité. Mes grognements deviennent gémissements et, ne pouvant me retenir, je me cambre et jouis en poussant une longue plainte...

Essoufflé, abasourdi parce qu'il vient de me faire, je n'ai pas le temps de comprendre que Nabil qui m'a enfin libéré de sa prise victorieuse est assis à cheval sur le haut de mon torse en sueur, me toisant, ironique, alors que ses mains s'affairent sur la braguette de mister jean.

— À mon tour… Tu vas voir ce que c'est, un zob !

Quand après quelques contorsions il réussit à extirper sa verge brune, médusé, j'écarquille les yeux en comprenant aussitôt ses réflexions précédentes. Il ne bande pas complètement, mais déjà mister sexe est bien plus long et bien plus gros que le mien en totale érection. D'une main ferme il le saisit puis, se penchant en avant, il le pointe sur mon visage qu'il se met à fouetter, glissant au passage sur mes lèvres closes... À chaque impact, je gémis. Bientôt il est raide, énorme...

— Allez, ouvre la bouche ; sûr que tu vas l'aimer, ma grosse bite !

Je ne cherche même pas à lui résister ; à quoi bon ? J’ouvre grand la bouche, où aussitôt il s'engouffre. Je suffoque, les mâchoires prêtes à se décrocher tant il est gros.

— Ouais, je vais bien te niquer ! rugit-il.

Et là, il se met à me bourrer la bouche en me tenant la tête. Plusieurs fois je crois m'étrangler, vomir, tant il va loin... Je n'en peux plus tant il me taraude les lèvres... Enfin, soudain il se retire et, se finissant à la main, il m'inonde le visage en jets violents et abondants...
Calmé, il se relève alors que, souillé, je reste prostré dans l'herbe.

— Demain, à la même heure ici ; sinon je dis à toute la bande que tu es une bonne suceuse ! me lance-t-il sur un ton qui n’admet aucune réplique.

Le lendemain j'y étais, et ce fut encore autre chose…
chrislebo

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#3,218
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Ma copine Aline - infidelité


Après l’expérience avec Jean qui se passa au début de notre vie de couple, nous avons reparlé de cela plusieurs fois, Aline avait aimé mais n’était pas certaine de recommencer.
Puis il y a eu les heureux évènements, nos enfants, la famille s’est agrandie et l’histoire avec Jean a été mise de côté malgré ses relances lors de repas ou fêtes de famille. Aline n’avait plus envie de cela, mister rôle de maman était sa seule préoccupation.
Pendant six ans, nos coquineries mistert devenues ordinaires, la routine s’était installée. Maintenant nos enfants mistert plus grands et il y a 2 ans Aline a commencé mister retour coquin avec moi lors de nos ébats, elle redevenait comme au début. Alors petit à petit, j’ai relancé l’histoire avec Jean et notre excitation est revenue. L’an dernier, un soir ou elle chevauchait mon sexe, je lui ai demandé si elle avait encore envie de lui, sa réponse positive m’a rendu fou d’excitation. Je lui ai donné mon accord et je l’ai poussé à revoir Jean même sans ma présence.
Mais à ce moment il a eu un problème pénal et avait fait un séjour de primister de 6 mois pour des infractions.

La suite de mister infidélité.

Un soir elle m’informa d’avoir reçu une lettre de lui à mister travail, il voulait la voir seule et lui parler lors d’une visite à la primister, il sortait deux semaines après. Je lui ai dit qu’elle pouvait y aller si elle voulait.
Donc un jour, elle a rendu visite à Jean, elle n’était pas à l’aise d’allez dans ce lieu, ils ont parlé de tout et de rien pendant un temps mais ensuite il lui a dit qu’il voulait la voir lors de sa sortie.
Elle accepta, elle savait que cette rencontre était le démarrage d’une nouvelle relation. Elle m’a tout raconté et on a parlé de cela avec un peu de peur et aussi d’excitation.
Le jour de la sortie de Jean, il téléphona à Aline pour la revoir le lendemain soir, on avait prévu cela et à 21H elle l’a rejoint dans un appartement prêté car mister divorce et sa situation le prive de logement pour l’instant. Elle était tendue, une situation entre l’excitation et la peur de cette relation.
Elle rentra à 1h du matin, fit de gros bisous à nos enfants puis s’éclipsa dans la chambre, je la suivi et lui demanda :
Moi : < Tout va bien, ça été avec Jean ?>
Aline : < Oui et non, enfin oui je ne sais plus où j’en suis !! >
Moi : < C’est compréhensible, tu as envie de lui mais tu n’oses pas te l’avouer et franchir ce cap.>
Aline : < Oui, c’est un peu cela sauf que la aujourd’hui je l’ai franchi ! >
Moi : < Vous étiez chez lui ?>
Aline: < Oui, enfin chez un ami à lui qui prête mister appart car il est absent et on est resté là-bas.
On a longuement parlé de notre situation, il sait ton point de vue, il veut respecter notre couple mais a craqué sur moi et il a très envie d’avoir une relation discrète avec moi.
Pendant sa détention, il n’a pas arrêté de penser à moi, il a même une photo de moi. De mon côté, je me sens bien avec lui, j’aime cette situation mais uniquement pour des rencontres occasionnelles.
Ensuite Jean m’a embrassé, m’a caressé, puis léché et je l’ai sucé mais on n’a pas été plus loin car il était crevé.
Moi : < C’était les retrouvailles alors, tu n’as pas aimé ?>
Aline: < Si beaucoup mais il est trop vicieux, il m’a fait faire une fellation jusqu’au bout.>
Moi : < Ok pas cool pour les retrouvailles, tu n’aimes pas ça, et il a éjaculé dans ta bouche ! >
Aline : < Oui, il m’a maintenu la tête pour le faire.>
Moi : < C’est la première fois que tu faisais cela ! Du dégout !! Tu as recraché >
Aline: <Non il m’a obligé à avaler tout, j’ai horreur de ça et du gout !>
Moi : <Je sais que tu as horreur, tu as toujours refusé ! Jean avait trop envie, beaucoup d’homme aime ça.>
Aline: <Ensuite on a bu un verre et je suis rentrée !>
Moi : <Assez calme pour ce retour>
Aline :<Jean veut me voir une fois par semaine, j’ai un peu peur de cela pour nous 2 et notre famille>
Moi : < C’est osé de sa part, rien ne changera pour nous 2, on le désire ensemble et notre complicité sera encore meilleure et ne t’inquiètes pas permisterne ne sera au courant.>
Puis elle partit se doucher, je l’ai baisé comme un fou en reparlant de mister rendez-vous ! Le lendemain Jean lui téléphona pour la revoir la semaine suivante.
Le jeudi soir suivant
Aline retrouvait Jean seule dans le bar du coin. Après le dîner, elle est partie le rejoindre avec mon accord bien sûr.
Elle rentra à 23h30, j’étais resté avec les enfants, je pensais beaucoup à elle, cela m’excitait.
A mister arrivée, elle m’a rejoint du le canapé, elle est venue dans mes bras et m’a embrassé. J’avais remarqué que mister chemisier était encore bien ouvert et que sa jupette blanche était d’une couleur proche du brun !!!
Je l’ai questionné sur sa soirée tout en la caressant
Moi : < La soirée a été bonne avec lui, vous étiez ou ? >
Aline : < On a été près de mister étang de pèche, il faisait bon, on est resté dehors >
Moi : < Tu as aimé être seule avec lui, quelle sensation cela te procure ?>
Aline : < Oui j’aime bien, et j’ai l’impression d’avoir une seconde vie intime >
Moi : < Jean, t’as fait quoi d’excitant >
Aline : < Il m’a beaucoup caressé en discutant puis biensur il m’a léché car il adore me le faire ensuite je lui ai fait une fellation>
Moi : < il a joui ?? et toi ? >
Aline : < Lui, oui après mais moins rapidement en sentant sa langue>
Moi : < Tu m’excites coquine>
Ma main a vite glissé sous sa jupe et à ce moment, elle stoppe ma main, et me dit :
Aline : < Non arrêtes s’il te plait >
Moi : < Pourquoi ? Tu as quoi ? >
Aline : < Je suis sale, il a joui en moi 2 fois>
Moi : < Vous avez fait ça sans capote !!?>
Aline : <Oui et non, au début avec mais après sans car il n’aime pas cela !>
Je suis fou d’excitation, ma copine est souillée, je retire sa main et enfonce 2 doigts en elle, ça dégouline de ses lèvres, mister string est trempé par le sperme de Jean. Sa petite chatte est encore ouverte et bouillante, je me lève et enlève mon short et boxer, puis relève sa jupe et je me place entre ses cuisses. Je plante ma queue en elle, mon sexe glisse facilement en elle, je suis trop excité de la prendre derrière mister amant ! Je jouis en elle, elle me donne un baiser langoureux en remerciement de l’avoir prise derrière Jean. On reste collé l’un et l’autre et elle me dit :
Aline : < Merci pour cette soirée >
Moi : < De rien ma chérie, j’aime quand tu es avec lui et j’aime te prendre après lui >
Aline : < Tu n’as pas honte de moi et de ce que je fais, je deviens une salope >
Moi : < Non je n’ai pas honte, et tu es ma salope et tu deviens la sienne, j’adore >
Aline : < Je le revois mercredi prochain, mais je crois que mes parents font un barbecue ce week end >
Moi : < C’est cool, la situation de dingue pour nous 3 >
On se serre et ensuite on va se coucher, en attendant le week end déjà excitant.
chrislebo

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#3,219
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Après sa rencontre avec Jean, Aline s’est beaucoup confiée à moi. Elle m’avoua aimer cette situation de mère de famille sérieuse et ce rôle de femme infidèle. Cette relation mélangeait l’excitation, la provocation et la peur de cette situation dangereuse si celle-ci était visible dans notre entourage. Nous vivons dans un petit village, des histoires comme celles-ci peuvent être une catastrophe.
Le week end suivant sa rencontre avec Jean, nous avions un repas chez les parents d’Aline. Jean étant un ami était présent parmi d’autres invités pour ce barbecue donc la situation était très tendue au début car Aline avait une grosse appréhension de le voir. Après les bonjours et l’apéritif, l’ambiance était cool, Jean discutait tranquillement avec nous. Aline était un peu gênée alors elle restait plutôt en retrait des discutions et s’occupait du service avec sa mère. Le repas était calme même si le rosé commençait à bien chauffer certain(e) surtout après plusieurs verres. Puis après le repas, c’est la sieste sur un transat pour mon beau père et Jean. Moi je suis allé dans la piscine avec les enfants et Aline faisait du rangement avec sa mère. Après la baignade les enfants mistert allez dans le jardin et moi faire une petite sieste. Au bout d’une 1 heure, le beau-père se promenait et la belle-mère jouait avec les enfants, mais Jean était absent et ma copine aussi. Ma belle-mère me dit qu’Aline dort avec le petit, je vais vers la chambre au 1er étage et je stoppe direct mon arrivée quand j’entends Jean parler, Aline est sur le lit en chien de fusil, le petit dort en face. Jean est derrière elle et la caresse, sa jupe est relevée et je comprends vite qu’il est entrain de la prendre. Le sexe de Jean s’enfonce en elle rapidement puis ressort doucement. Le sexe de Jean est de longueur normale mais d’un diamètre très impressionnant, il dilate fortement la petite chatte de ma copine . Je suis dégouté et en même temps excité, ma copine se fait prendre comme une salope chez ses parents et en plus pendant la sieste de notre fils. Mais elle est superbe, elle commence à prendre du plaisir, elle tend ses fesses vers Jean qui la laboure de plus en plus fort. Je bande tellement que je me branle caché en haut des escaliers. Jean la met en levrette et la prend durement, elle gémit de plus en plus fort. Aline crie à Jean de stopper mais celui-ci la baise de plus en plus, il enfonce en même temps mister pouce dans mister anus, Jean se retire du sexe de ma copine puis frotte sa queue sur mister cul, mister gland masse mister anus, elle demande à Jean de stopper mais celui-ci lui dit : < ta gueule, tu vas réveiller ton gosse et faire venir du monde>. A ce moment Jean devient fou d’excitation, il bloque d’une main les poignets de ma copine et crache sur ses doigts puis mets ses crachas sur sa queue, il frotte mister gland contre mister anus puis enfonce sa queue. Ma copine crie dans un oreiller puis Jean enchaine avec des va et vient puissants, il claque ses grosses couilles contre le petit cul de ma copine, il lui dit en même temps : < il est trop bon ton cul, salope, tu vas devenir ma pute>
A ce moment je me sauve au rez de chaussé car j’ai entendu parler, je vais rejoindre mon beau père au salon. Quelques minutes après, Jean revient par le jardin, il est passé de l’autre côté de la maimister et nous salue car il repart. Aline redescend avec le petit, elle va à la salle de bain, puis on range les affaires pour repartir. Après les au-revoirs, on monte en voiture, Aline conduit et ne parle pas, au bout de 15mn on est chez nous, les enfants vont dans leurs chambres.
Je retrouve Aline au salon, je l'a caresse, elle semble très gênée alors je lui dit :
Moi : < ça ne va pas, tu dis rien>
Aline : < Tu sais pourquoi, tu m’as vu dans la chambre, Jean t’as vu dans la glace, il me l’a dit>
Moi : < Oui je venais te voir et je vous ai vu, tu es dingue de faire ça chez tes parents et avec le petit pas loin>
Aline :< C’est lui, au début les caresses ça allait mais après il est devenu fou>
Moi : < Tu avais l’air d’aimer ça, tu as joui>
Aline : <Oui, j’avoue j’aime cela avec lui, c’est cette situation qui m’excite, mais pas la sodomie>
Moi : < Je sais, c’est ta deuxième sodomie, tu as eu mal ? il a joui en toi>
Aline : < Oui mal au début après moins mais je n’aime pas ça, il a joui en moi>
Aline : < Je vois Jean mercredi soir, je le rejoins à l’appartement. >
Moi : < Tu en as envie, il te l’a demandé cet après-midi ? >
Aline : < Oui, et oui j’ai envie de lui, j’aime le sexe avec toi mais avec lui c’est différent, c’est un autre plaisir>
Moi : < C’est le plaisir d’être une autre femme, un rôle qui t’excite, ce rôle de salope ! >
Aline : < Oui c’est un peu cela. >
Moi : < Vous faites cela sans capote c’est dangereux au niveau hygiène et tu ne prends plus la pilule >
Aline : < Oui, je sais pour la pilule, l’hygiène, j’ai peur même avec mister test mais Jean veux uniquement sans capote. >
Moi : < J’espère que Jean est discret qu’il n’a répété cela à permisterne. >
Aline : < Oui sauf qu’il a raconté mister histoire avec mister compagnon de cellule, celui qui lui prête l’appartement. >

Je l'a prends dans mes bras, l'embrasse et la caresse de nouveau, ma main fouillle sa petite chatte encore trempée, je la doigte.
Je la prends par la main et nous allons dans la salle de bain, elle se met assise sur la baignoire, je releve sa jupe et ecarte ses cuisses puis enfoui ma tete entre ses cuisses pour la lecher, elle gemit sous les passages de ma langue sur mister sexe, je profite aussi pour lécher mister anus. Je me releve et sort ma queue, je me branle sur elle pour jouir sur ses cuisses.

Nous avons reparlé de cela les 3 jours suivant et le mercredi soir arriva, après mister retour du travail et le repas, elle prit une douche et s’habilla en jeans et d’un chemisier assez échancré puis après de gros bisous à nos enfants et aussi à moi , elle prit sa voiture et partit rejoindre Jean. Un quart d’heure après, je reçus un texto de sa part ‘’ je suis arrivé, ça va, je t’aime’’
A ce moment la tension était forte en moi, excitation et inquiétude mistert mêlées mais c’est une situation toujours aussi existante de vivre cela. Deux heures après, Aline rentre à la maimister, elle m’embrasse tendrement et s’installe dans le divan.
Moi : < Jean va bien, la soirée a été bonne ? >
Aline : < Oui ça été, on n’est pas resté à l’appartement, on a été boire un verre dans un bar en ville, on a discuté autour de 2 verres. Nous avons parlé de mister séjour en primister et il m’a aussi dit qu’il s’était souvent masturbé là-bas avec la photo de moi et m’a avoué qu’il avait essayé des trucs avec mister compagnon de cellule. >
Moi : < Oh venant de lui c’est bizarre ! >
Aline : < Oui surprise aussi, il m’a dit qu’il se branlait en duo avec mister pote, qu’il lui avait prêté ma photo et parlé de moi. >
Moi : < Tu as des admirateurs alors ! >
Aline : < Selon Jean, il a beaucoup fantasmé sur moi, il lui a fait parvenir une photo du week dernier lors du repas, j’étais en jupette le jour-là, il adore. >
Moi : < C’était calme alors ? >
Aline : <On est revenu au village et avons discuté dans sa voiture près de chez nous. Jean m’a caressé et godé, il a acheté un gode pour moi. Ensuite j’ai sucé Jean mais il y a eu un problème ! >
Moi : < Quoi, il a fait quoi ? >
Aline : < Lui rien, mais le voisin nous a vu, et il m’a reconnu quand je suis sorti de la voiture, ça craint je crois qu’il a vu quand j’ai fait la fellation !! >
Moi : < Tu crois qu’il t’a reconnu, si c’est le cas ça craint, il va ramener sa gueule dans le quartier ! >
Aline : < Oui, il m’a même dit bonsoir par mon prénom donc ça craint, ça me fait peur. >
Moi : < Le voisin à côté est assez discret et ne parle pas aux autres, j’espère qu’il dira rien et il n’a peut-être pas vu ce que vous faisiez dans la voiture. Tu revois Jean quand ? >
Aline : Mercredi prochain à l’appartement si il y est encore car mister pote de primister doit être libéré et donc il ne sait pas si il pourra encore loger là.
chrislebo

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#3,220
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Voici la suite la suite de la transformation de ma copine si sérieuse et coincée en femme infidèle, et même salope. Petit retour sur sa dernière rencontre avec Jean dans sa voiture, elle l’avait sucé et Jean avait godé Aline. En rentrant, elle avait vu notre voisin qui avait peut être fait le voyeur et donc qui devait connaître la situation coquine de ma copine avec Jean.
Le mercredi suivant, elle allait voir Jean, elle est partie vers 21h et annonça mister retour avant minuit car elle bosse le lendemain. Elle était vêtue en pantalon blanc très moulant, d’un chemisier blanc et d’un gilet noir. L’absence d’un soutien-gorge était visible, ceci était à la demande de Jean tout comme une obligation qu’elle porte un string noir.
Après de gros bisous à nos enfants et aussi à moi, sa voiture s’est éloignée pour rejoindre Jean à l’appartement et comme d’habitude une boule au ventre était présente en moi. Toujours ce mélange de jalousie, de peur et d’excitation. Quinze minutes après mister SMS « c’est bon chéri je suis devant chez lui, à tout à l’heure », ma réponse « ok ma puce, je t’attendrai pour que tu me racontes, bises »
Je regarde la TV, au bout d’une heure, Aline est déjà de retour, et je lui dis : < Tu es déjà là, c’est surprenant ? >
Aline : < Oui, j’ai vu Jean, on a été à l’appartement mais mister ami était présent car il est sorti de primister et donc on n’est pas resté. On a été dans la voiture près du bois, il n’y a eu que des caresses, je l’ai masturbé et sucé mais le lieu n’était pas tranquille alors Jean a décidé de partir et je suis rentrée. >
Moi : < Ok c’était calme alors, tu es déçue ? >
Aline :< Non, car pas trop envie dans la voiture et on a aussi discuté, Jean sait que cette situation est spéciale et que tu es au courant mais je lui ai dit que cela te plaisais aussi. Voilà c’est tout, j’avais oublié, on est invité samedi soir avec Jean chez mister ami pour fêter la fin de sa peine. >
Moi : < On ne le connait pas, c’est qui ? >
Aline : < Assez sympa, je l’ai vu vite fait il s’appelle Abdel, environ l’âge de Jean, il était mister compagnon de cellule. >
Moi : < Ok, on ira, les enfants iront chez tes parents le soir >

Le samedi arriva très vite, et on se préparait à sortir pour aller à cette fête. Aline était en jupe (mi-cuisses) et un chemisier, des bottes et une veste. On dépose les enfants et on arrive à l’appartement dans un quartier d’immeubles de la ville à côté. On misterne, la porte s’ouvre et on grimpe au 6eme étage. On rémisterne et c’est un homme trapu de petite taille de 55ans environ ouvre et se présente et dit : < Salut moi c’est Abdel bienvenue à vous 2 >
Aline répond en lui faisant la bise : <Bonsoir Abdel, tu vas bien ? Tu vois, j’ai trouvé le chemin ! >
Abdel ajoute : < Oui tu connais l’appartement n’est-ce pas !>

Quelques présentations avec 2 autres permisternes Christian et Agnès la quarantaine puis on a vite un verre à la main, à ce moment Jean arrive, il salut tout le monde et discute avec Abdel. On boit d’autres verres avec des gâteaux et pizzas puis avec Aline on s’installe dans un canapé ceci met ses jambes en valeur car sa jupe est bien remontée. Jean regarde avec insistance le spectacle, mister ami n’est pas en reste. Agnès est une femme assez ronde avec un joli visage et Christian lui est plutôt maigre et un visage marqué par l’alcool, ils discutent avec nous. Puis Jean vient s’installer à côté d’Aline et Abdel en face près d’Agnès, la conversation devient plus axée vers le sexe et je comprends vite que Christian et Agnès mistert des amis très intimes d’Abdel, d’ailleurs Abdel a une main sur les cuisses d’Agnès et la caresse sans gêne devant nous. A ce moment Jean pose une main sur la cuisse de ma copine et caresse celle-ci de façon à relever doucement sa jupe. Abdel voit bien la situation ainsi qu’Agnès est très souriante, de mister côté Christian joue avec mister portable mais lui aussi caresse Agnès. Je regarde tout ceci avec excitation. On grignote un peu mais les verres défilent et ça chauffe vite. Abdel a une main entre les cuisses d’Agnès, celle-ci l’embrasse. Jean lui a ouvert le chemisier de ma copine et d’une main masse ses seins puis embrasse Aline.

C’est à ce moment qu’Abdel se lève et me dit : < Viens avec nous fumer une cigarette. >
Je me lève et le suis sur la terrasse pour fumer, peu de temps après Agnès nous rejoint, elle se serre contre Abdel et l’embrasse.
Abdel me dit : < Ta copine est timide, elle est jolie, laisses là s’amuser avec Jean, je suis sûr qu’elle en a envie.>
Agnès ajoute : < Ta copine est très mignonne, Jean est proche d’elle un peu comme Abdel avec moi on dirait, elle est bien foutue mais se la pète un peu ou alors elle n’est pas à l’aise avec nous >
Abdel répond : < Je pense qu’elle est timide et gentille, Jean a une relation avec elle depuis pas mal de temps, il m’en parlait en primister, il me montrait des photos d’elle >

A ce moment Abdel tripote Agnès avec vigueur et remonte sa jupe, il masse mister cul assez volumineux et elle le caresse aussi en sortant un sexe énorme d’environ 20cm mais un diamètre impressionnant et un gland très large, la main d’Agnès ne fait pas le tour du pénis. Donc avec cette situation, je repars mais Abdel me dit : < Reste avec nous ta chérie est aussi occupée >
Christian nous rejoint avec des verres, embrasse et pelote aussi Agnès puis retourne à l’intérieur.

Puis Abdel dit en prenant Agnès par la main : < Bon aller on va s’amuser dans ma chambre. >
Elle ajoute en rigolant : < Tu vois donc pourquoi j’aime le sexe avec Abdel, si t’a copine goute ça, elle sera décoincée ! >
chrislebo

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#3,221
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Je retourne à l’intérieur pour aller aux toilettes et je vois Aline est sur les genoux de Jean qui là tripote et l’embrasse. En revenant c’est la surprise, Aline est allongée sur le canapé et Jean la lèche, Christian est à côté du visage d’Aline et se branle, puis il approche mister sexe de sa bouche et pose mister gland contre ses lèvres, elle ouvre la bouche et avale ce sexe fin et long, puis d’un coup elle repouse ce phallus,
Jean lui dit : < Qu’est-ce que tu as , suces le, elle n’est pas belle ?? >
Elle répond : < si mais elle a un gout et je n’aime pas ça.>
Christian ajoute : < C’est rien miss, juste que j’ai baisé Agnès avant de venir ici, suces moi.>
Aline reprend en bouche la queue de Christian dans sa bouche, puis celui-ci accélère les mouvements. Je suis scotché par la scène, je bande comme un fou. Jean se relève, me regarde et prend Aline par la main et l’emmène dans la chambre, il ferme la porte. Christian me regarde en souriant et me dit : < Ta copine est très bonne, Jean va bien s’amuser, elle me fait aussi bander >

On entend Agnès gémir, et même dire : < Abdel oui viens, encore, j’adore !>
Avec Christian, on se retrouve tous les deux, on repart fumer une clope et boire un verre, puis Agnès et Abdel mistert de retour et me dit en me regardant et en riant : < Je suppose que Jean s’occupe d’Aline dans l’autre chambre et en plus on a le mister >
Agnès ajoute : < Eh bien la petite coincée se fait coincer par Jean, elle va prendre mister pied >
Abdel et Agnès se tripote toujours, elle le branle et lui la doigte. Depuis le salon, on entend Aline gémir, Christian entrouvre la porte et rentre dans la chambre, on voit Aline sur le lit avec les cuisses écartées, Jean la lèche. Puis il se positionne entre les cuisses d’Aline et la pénètre d’un coup, elle gémit avec power sur cette pénétration, les coups de reins de Jean mistert rapide et puissant, Christian rentre dans la chambre, s’approche d’eux et redonne mister sexe à sucer à ma copine, elle lèche mister gland jusqu’au moment où il se recule et jouit sa poitrine. Jean poursuit avec power ses pénétrations. Christian ressort de la chambre et referme la porte sur ordre de Jean.

Christian revient et me dit : < Elle suce comme une reine ta nana. >
Abdel dit : < J’ai envie de la gouter aussi >
Agnès dit : < Toi aussi, vous préférez cette garce que moi. >
Je commence à dormir sous l’effet des alcools. Environ 20 minutes après, Jean revient , Aline est restée dans la chambre et j’entends Jean dire doucement à Abdel : < Vas- y mon pote, elle est toute à toi, je te l’avais promise en primister, fais toi plaisir >

Abdel se lève et va dans la chambre, les autres discutent et moi j’essaye de rester éveiller. Puis on entend Aline gémir très fort puis crier < Non, oh non pas ça, je n’aime pas par là. >
Abdel répond : < Tu verras c’est bon avec moi, tu vas en redemander. >
Agnès se lève et ouvre la porte et dit : < oh ta copine va prendre, il veut la sodomise. >
Je me lève du canapé pour aller voir ma copine mais Christian me dit : < Restes là, regardes tu bandes aussi, laisses là avec lui elle va adorer, branle toi, fais comme moi, Abdel est un champion >
Je regarde avec Christian, Jean dort à moitié, Agnès fume, dans la chambre Aline est à 4 pattes sur le lit, Abdel derrière elle et il pousse mister gland entre les fesses de ma copine. Celle-ci bouge pour essayer d’éviter cette pénétration mais Abdel l’a maintien avec power puis Aline crie très fort, le gros sexe d’Abdel s’enfonce doucement, puis d’un coup il vient contre mister cul. Puis commence à bouger doucement dans ses fesses et dit : < Voila c’est bon, tu vois, tu aimes ma grosse bite d’arabe >

Agnès ferme la porte et me dit : < Ta copine va se faire enculer sévèrement, elle mérite ça, Abdel m’avait dit qu’il vous avait invité pour baiser ta nana , il va lui faire aimer ça, tout comme moi il y a dix ans, j’ai commencé comme elle et depuis je suis accro au sexe avec Abdel >

On les entend gémir et à un moment Aline criait, puis plus de bruit pendant dix minutes. Je me branle encore, Agnès fait de même à Christian mais il a un coup de fatigue tout comme Jean qui dort nu.
La chambre s’ouvre et Abdel sort, il me regarde et me dit : < Elle est terrible ta nana, depuis longtemps je voulais la gouter, je me branlais souvent sur sa photo.>
Je ne réponds pas et vais rejoindre ma copine, je l’embrasse et la serre contre moi, une odeur de sueur mélangée à celle du sexe est horrible, je m’aperçois qu’elle a des traces de sperme sur ses fesses.

Je lui dis dans l’oreille : < Ma chérie ça va ? Tu veux rentrer ?>
Elle répond : < Oui ça va, je me repose un peu ici, reste là avec moi.>
J’ajoute : <Ok reposes toi, je reste un peu avec elle, puis je vais rejoindre les autres, Jean est parti dans l’autre chambre, Agnès et Abdel s’amuse dans le canapé et Christian picole encore. Je retourne voir Aline et la réveille pour partir.

Elle s’habille puis on va saluer les autres, Abdel nous dit de revenir prochainement, il caresse les fesses d’Aline et lui dit : < il est à moi ton petit cul, je l’adore.>
Agnès me salue puis fait de même à Aline en lui disant : < J’aimerais aussi te gouter un jour, tu verras c’est trop bon.>

On sort de l’appartement, remontons en voiture et rentrons, il est deux heure du matin, on est claqué.
On prend une douche vite fait puis allons au lit. Je me serre contre elle.

Je lui demande : < Tu as joui avec Abdel, tu as aimé ?>
Elle : < Oui deux fois.> Moi : < Pendant la sodomie ? >
Elle m’avoue : < C’était horrible, je n’ai pas aimé ça du tout, je n’ai pas joui à ce moment.>
J’ajoute : < Mais tu as jouis quand ? >
Elle m’avoue :< j’ai joui oui mais c’est quand il m’a godé pendant sa sodomie que j’ai jouis.>
Je suis étonné et dis : < Tu as reçu mister sexe et un gode, oh putain, je comprends mais pourquoi après c’était calme pendant une bonne dizaine de minutes ?>
Elle me répond : < Tu es con ou quoi, a-t-on avis, je l’ai sucé complètement et ensuite on a parlé un peu.>
Moi : < parlé de quoi ?? Tu as aimé coucher avec lui >
Elle : < Oui et non, c’est une brute mais il est aussi très doux, je n’ai jamais senti un sexe comme le sien. Abdel voudrait me revoir seule et m’a proposé que toi et moi, on aille chez lui au Maroc en vacances en fin d’année. >
Moi : < eh bien, il est fou de toi, on verra bien pour le Maroc, on a nos enfants. >
Elle : < Oui c’est clair, un grand week-end maximum là-bas ! Bon je suis fatiguée. >

Je l’embrasse puis on s’endort, le lendemain on a repris nos esprits, on fait un petit tour en VTT pour se changer les idées.
En rentrant Aline reçoit un SMS d’Abdel : < Tu me rends fou, tu es si belle, j’ai déjà envie de toi, à bientôt, viens mardi soir >
Elle répond par : < Merci pour ton compliment, mais pas mardi ci, la semaine prochaine, bises. >

On profite du beau temps pour jardiner un peu, on salue notre voisin, je continue seul de tondre quand Aline reste du côté du voisin.
Elle revient vers moi et me dit : < Le voisin m’a dit que j’étais très belle dans la voiture mercredi dernier, il a beaucoup de chance votre compagnon !! J’étais rouge de honte et trop gênée.>
Je lui réponds : < Eh bien, ça craint, mais je pense qu’il restera discret !! >
chrislebo

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#3,222
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Julie, pute de l'école


Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers mister ventre, s’attarda sur mister nombril un moment, essayant de reprendre mister souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec mister clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.

Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l'arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frismisters sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira mister doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura mister jus intime et manifesta mister plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans mister vagin et se branla après avoir guidé mister autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à mister premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans mister vagin...

La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le mister du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de mister lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté mister ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maimister était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa mister reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement mister petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse.

Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de mister fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer.
– Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière mister bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !
– Oui, maître. Tout de suite.
Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De mister côté, le proviseur visionnait les devoirs de mister élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone misterna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de mister élève.
– Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.
Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer mister ouvrage. Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de mister bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur.
« Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »
La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de mister père, tâchant de conserver mister souffle alors qu’on lui baisait la bouche.
« Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle... »
Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.
– Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
« Je ne sais plus comment la gérer… »
– Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à mister âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour mister propre bien. Faîtes-moi confiance.
« Vous avez raimister, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.
– C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot.
Le proviseur raccrocha.
– Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?
– Oui, maître.
Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.
– Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans mister anus.
Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de mister fondement. Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.
– Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.
La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes.
– Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.
– Je vous remercie, maître.
chrislebo

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#3,223
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Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de mister vagin et la pilonna sans vergogne. Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de mister précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise.
– Relève-toi.
Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées.
– Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf.
L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple.
– Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.
Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur.

La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette offense plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.
– Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.
– On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale.
Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.
– Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois.
Julie rejoignit mister poste de travail alors que la misternerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.
– Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante deux.
Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.
– Commence la lecture.
Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :
« Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte Oooh !... »
Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura mister bas ventre, risquant de la faire tomber de mister tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations.
– Poursuis la lecture, s’il te plaît.
Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.
« …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »
Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans mister intimité.
« Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »
Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler mister bassin sur la surface en bois.
« Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »
– Julie !
Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?
– Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.
Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse.

Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre.
– Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.
Le professeur abaissa mister pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant.
– AAAAH !
Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De mister côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir.
– C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.
L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements.
– C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion.
Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec.
– Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.
Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes.
– Oh, mon dieux ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens.
Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta mister petit trou pour lâcher mister jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.
– Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.
Le professeur caressa une dernière fois les fesses de mister élève, la laissant retourner à mister poste de travail.

Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir mister affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloimister pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.
– Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.
– Pas question, répondit la lycéenne.
– Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.
Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.
– Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet.
Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.
– J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction.
– C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.
Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa mister dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait mister jus pour que cette histoire prenne fin.
– A présent, je me paierais bien ta chatte.
Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de mister maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer mister clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.
– Aaaaah !
– C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
Julie ignora les louanges de mister partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir mister engin frétiller à l’intérieur de mister vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.
– Je vais pas tarder à jouir…
Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans mister ventre.
– Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.
Julie resta à l’intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n’était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s’y mettaient aussi.
chrislebo

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#3,224
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Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…

Julie, pute de l’école. Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raimister pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raimister de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser mister regard, devinant le fort sentiment de haine à mister égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.
– Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème.
Julie frismisterna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement.
– Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !
Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.
– C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher mister irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse.
Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans mister pantalon.
– Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?
Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint mister attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.

Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de mister membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.
– Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien.
Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale.
– Et nous alors ? gronda le blondinet.
Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira mister gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième.
– C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre mister membre jusqu’à la garde.
Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.
– Je vais bien m’occuper de toi…
Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raimister ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.
– Aaaaah !
Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.
– Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sortit mister membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.
Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet.

Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec mister portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet.
– Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique.
Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.
– Aïe !... cria Julie. Oui… J’aime ça !
Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle.

Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de mister petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser mister insertion mais le black avait une autre idée en tête.
– Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !
Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de mister fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus vulgar. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.
– Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses.
Julie ne contrôlait plus mister corps. Elle était comme possédée, criant mister plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée.

Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de mister vagin. De mister côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester mister plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de mister corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre mister engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur mister joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner.

Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.

Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec mister téléphone.
– A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.
Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.
– Pas maintenant.
– J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi. C’était le deal.
Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :
– C’est vrai. Mais pas devant elle.
Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.

Julie se retrouva toute seule. Elle observa mister reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur mister visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raimister. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.
– Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout.
Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.

Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui.
– Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…
Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?
– Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi.
Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit mister sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans mister dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille…
vanbruje

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Merci pour ces textes et bonn et heureuse... et fructueuse année 2013 !
chrislebo

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Elle trompe mister mec avec mister pote


Je me présente une nouvelle fois, je m'appelle Emilie j'ai 23 ans et je suis en couple avec Arnaud (28ans) depuis 4ans. Il y a quelques semaines nous avons décidé de pimenter notre vie sexuelle en nous lançant dans le triolisme (lire mes autres histoires, pseudo Girlandboy)... Après notre 1ere expérience, nous nous sommes inscrits sur un site de rencontres grâce auquel nous avons rencontrés plusieurs Hommes... Je dois avouer que les trios ont boosté notre libido, surtout la mienne... Depuis je ne pense plus qu'à ça ; je pense au cul tout le temps, je suis devenue une grosse obsédée limite nympho : partout ou je vais quand je croise un mec qui me plait, je ne peux pas
m'empêcher de me faire des films, d'imaginer sa queue etc c'est presque incontrolable ! Aujourd'hui je vais vous raconter une histoire un peu particulière pour moi car c'est la 1ère fois que je me comporte comme ça et que je franchis certaines limites...


Mercredi 12/12/2012, il est 18h45, on misterne à la porte de l'appart c'est Remy un ami de mon homme. On lui avait donné rendez vous chez nous pour d'abord prendre l'apéro et ensuite on avait prévu d'aller au resto tout les 3, bref une soirée entre amis banale sauf que mon mec n'était toujours pas rentré du travail. Remy me fait la bise et me complimente sur ma tenue :petit haut blanc un peu transparent par endroit, une jupe noire assez serrée, des bas et des bottes... On s'installe tranquillement dans le canapé, ça faisait un moment qu'on ne s'était pas vu. On papote de tout et de rien,et il me dit qu'Arnaud devait lui montrer les photos de nos dernières vacances... le tel misterne, mon mec nous dit qu'il est sorti plus tard que prévu du taf et qu'il y a des bouchons sur la route...

Pour passer le temps je décide d'allumer l'ordi et de montrer ces fameuses photos à Remy... Il se met à côté de moi, sa présence me trouble 1 peu : on est que tous les 2, il est presque collé à moi...Je dois avouer qu'il est plutot bel homme : bien bati et musclé, il joue au rugby depuis plusieurs années et toujours très élégant dans ses tenues, aujourd'hui il porte une chemise qui met mister torse en valeur et un pantalon noir.
Je l'ai toujours trouvé élégant voire attirant mais ça s’arrêtait la car c'est 1 pote de mon mec... Mais pas aujourd'hui, je ressentais une drôle de sensation, ma face libertine cherchait à prendre le dessus...

Dans ma tête, j'espérais que mon homme allait rentrer très vite...Je me suis concentré sur les photos, c'était nos vacances du mois d'aout dans le sud. On arrive aux photos sur la plage, remy pose une main sur ma cuisse qu'il retire très vite et me demande d'attendre.
Sur cette photo je suis en maillot de bain 2 pièces, la peau bien bronzée et légerement huilée : "t'as vraiment un beau corps" me dit Remy

Un peu troublé par cette remarque, je lui ai répondu merci en le regardant, j'étais gêné... dans ma tête ca commencait à me travailler, c'était un peu malsain, je ressentais une certaine tension sexuelle. Les photos défilaient,et Remy a posé sa main sur la mienne " remontre moi celle d'avant !!" me dit-il !! je me suis exécuté, sur cette photo je posais de profil à coté d'un jet ski (toujours en maillot). C'est le jet qui t'interesse ?!,
NON me répondit Remy, c'est ton cul !! les mecs sur la plage ont bien du se rincer l'oeil et te mater !!

Suite à cette remarque, j'ai ressenti comme une pulsion, nous nous sommes regardé, il a approché mister visage du mien, j'ai eu l'impression que le temps c'était arreté, une grosse bouffée de chaleur m'a envahi.Je n'ai pas pu résisté, je me suis mise à l'embrasser à pleine bouche, très vite Remy s'est retrouvé allongé sur le canapé, j'étais sur lui on se mangeait littéralement la bouche. De nos respirations s'échappaient quelques rales, on était tous les 2 très excités et pret à exploser. On se roulait des pelles comme des ados, on avait du mal à respirer mais on ne pouvait pas s'arreter de nous embrasser. Ses mains parcouraient mon corps : mes seins, mon dos, en passant ses mains sous ma jupe il l'a remonté et m'a touché les fesses, puis les a serrées, ses mains étaient grandes et puissantes...

J'ai abandonné sa bouche, j'ai commencé à descendre le long de mister corps jusqu'a mister pantalon, j'allais le déboutonner quand il a attrapé ma main et m'a dit " on peut pas faire ça, pense à Arnaud !!"
Je lui ai répondu avec un voix essouflée par l'excitation, presque dans un soupir "il le saura pas... t'as voulu me chauffer maintenant tu vas me baiser !!! tu peux pas me laisser en plan comme ca !!"

Il m'a regardé et s'est laissé faire, j'ai baissé mister pantalon et mister calecon jusqu'à ses chevilles, je suis vite remonté et j'ai gobé sa queue avec ma bouche, je l'ai sucé très vite car je savais qu'on avait pas beaucoup de temps et que mon homme pouvait rentrer à n'importe quel moment !! un dernier va et vient dans ma bouche, puis je suis remonté j'ai collé ma chatte à mister sexe et je me suis frotté un peu à sa bite à peine sorti de ma bouche... Je n'en pouvais plus, j'ai demandé à remy d'écarter mon string, avant de le faire il m'a demandé si je voulais qu'il mette une capote, je lui ai répondu " non on se connait depuis assez longtemps !"

Il a passé sa main sous ma jupe, a écarté mon string, j'ai attrapé sa bite, j'ai passé mister gland sur ma chatte et je me suis enfoncé très lentement sur lui. Sa queue me pénétrait, je la sentais entrer en moi lentement, et que c'était bon !!
Mes 1ers mouvements on était lents car j'aime bien sentir chaque cm au début d'un raport puis j'ai accéléré, on gémissait tous les 2...

Remy adorait et me le faisait savoir : "qu'est ce que t'es bonne !!" me dit-il et il ajouta "Arnaud a beaucoup de chance !!", je lui ai répondu "pourquoi ?!? t'es pas en train de me baiser la ???".Dans ma tete je réalisais les choses : j'étais sur mon canapé en train de baiser l'ami de mon mec qui allait bientot rentrer du taf... la misternerie de mon portable me ramena à la réalité.Nous nous sommes arreté, c'était un sms de mon homme... j'ai regardé Remy et lui ai dit "on a encore 30 mns maxi devant nous", j'ai repris mes mouvements, j'enfoncais sa queue au plus profond de mon vagin. Puis Remy a levé ses jambes, m'a soulevé 1 peu et s'est mis à bouger en dessous de moi, j'adore quand un mec me prend comme ça. Je prenais mon pied, il bougeait bien en allant au plus profond, il a accéléré le mouvement,
sa queue me défoncait ses couilles claquaient contre mon cul, je n'ai pas pu retenir mes cris. c'était trop fort.

Il m'a rappelé à l'ordre en me disant "chut, j'ai pas envie qu'arnaud t'entende si il arrive !!", alors je me suis penché vers lui et je l'ai embrassé fougueusement, ma langue tournait dans sa bouche à toute vitesse, je gémissais tout en l'embrassant... la voix tremblante et troublée par le plaisir que me procurait ses coup de bite, je lui dit "tu baises trop bien toi", soudain il m'a attrapé sauvagement les cheveux, s'est mis à me mettre des gros coups de bites, à chaque coup je décollait de mister corps... un violent orgasme m'a envahi, j'ai serré les dents pour ne pas crier, mes mains serraient ses bras si fort que j'ai du lui couper la circulation du sang... Puis je me suis écroulé sur lui... " tu m'as tué", lui ai je murmuré à l'oreille !! il m'a demandé de me mettre à 4 pattes pour mater mon cul, je l'ai fait j'ai jeté un oeil à sa queue qui était toute blanche, recouverte de ma jouissance.

"Tu as un cul de ouf" me dit il en me mettant un claque sur la fesse, puis j'ai senti mister gland entré dans ma chatte, il allait me prendre en levrette quand nous avons entendu des bruits de pas dans le couloir, puis des clefs... C'était mon homme qui rentrait !! Remy s'est très vite rhabillé, moi j'ai couru dans la salle de bains...

Le reste de la soirée fut étrange, on était gêné tous les 2, on osait pas se regarder... perso j'avais envie que l'on finisse ce qu'on avait commencé. Le resto fini on est reparti chacun de notre coté comme ci de rien était, moi je n'ai pu m'empecher d'y penser et de me dire que j'avais fait quelque chose de mal...Les jours qui ont suivi cette soirée, la vie a repris mister cours normal, enfin presque. Je repensé souvent à ce que j'avais fait. J'étais partagé entre culpabilité et excitation. C'était étrange.

Lundi 17/12 alors que mon homme était au travail, le téléphone a misterné. C'était Rémy. "Slt ca va ? Arnaud est la ?" me demanda t-il. Non il est au travail, il va rentré vers 19h" ai je répondu.J'ai tout de suite compris qu'il avait une idée derrière la tete quand il m'a dit "je sais qu'il bosse, c'est toi que je voulais avoir !!"

Je n'ai pas relevé et nous avons continué à discuter... puis il m'a fait une confidence par rapport aux photos. Il m'a dit qu'il m'a demandé de les voir car il devait vérifier un truc. Quand je lui ai demandé quoi, il m'a répondu ; "je suis inscrit sur le même site de rencontres que vous... je t'ai reconnu tout de suite quand j'ai vu le profil..."Je me suis senti 1 peu gêné ne savait pas trop quoi dire, il s'est mis à me poser des questions du genre : depuis quand on faisait des trios, de qui venait l'idée etc Lui était plus expérimenté que nous : trios HHF, FFH, clubs, partouzes etc

La discussion me donnait envie, il a du le remarquer à ma voix car il m'a proposé de venir terminer la conversation chez moi et il a ajouté " et peut etre finir ce que l'on a commencé l'autre jour !!" De nouveau je ne me sentais plus moi meme, je ne me controlais plus, poussée par des pulsions libertines, j'ai répondu "ah bon ?! quoi ?!". Je le provoquais malgré moi. Il m'a dit "ok, j'arrive te rafraichir la mémoire !!" et il a raccroché.

Les minutes suivantes, j'étais mal je pensais à cà et à mon homme. Je me suis dit que j'étais vraiment une garce de faire ça etc Ok Emilie tu vas te resaisir et dire à Remy que vous allez simplement parler, rien de plus !! mais je n'en ai pas eu le temps. Il a misterné à la porte et quand j'ai ouvert il est vite entrer à l'intérieur, il a claqué la porte, il m'a attrapé les mains m"a plaqué sauvagement contre le mur et s'est mis à m'embrasser à pleine bouche. j'ai senti l'une de ses mains descendre dans mon dos jusqu'à ma cuisse. Il a levé ma jambe et s'est collé contre moi en frottant mister sexe contre le mien.

C'était trop tard, Emilie la libertine avait repris le controle, j'étais surexcitée par mister comportement, il ne me laissait pas le temps de réfléchir. Trsè vite je me suis retrouvée à genoux devant lui en train de le sucer dans mon entrée. Il m'a soudainement relevé et m'a baisée une premiere fois contre la porte d'entrée, il me portait et j'adorais ca. J'entendais les gens passer dans le couloir et ça me rendait folle. On a baisé toute l'après midi dans tous les coins de l'appart, nous avons terminé dans le lit conjugual. C'était la 1ere fois qu'un autre homme que le mien venait dans ce lit.

Il a fini en beauté, il me prenait en levrette quand il m'a dit : "ton cul me faire grave envie !!!" Sans me faire attendre, je lui ai dit " vas y encule moi si tu veux", ça l'a surpris. IL m'a demandé si j'avais déjà pratiquer la sodo, je lui ai répondu "oui on fait ça souvent avec arnaud"

je lui ai indiqué mon tiroir magique pour qu'il prenne du lubrifiant. Il a sorti ma boite pleine de trésors : god, bandeau, menottes etc c'était marrant de le voir avec ca dans les mains.

Vous ne devez pas vous ennuyer tous les 2 m'a t-il dit. Je commencais à refroidir alors je l'ai remotivé " tais toi et viens t'occuper de mon cul !!" lui ai je dis. il s'est tartiner la bite de lubrifiant, il m'en a mis sur et dans mon petit trou avec mister doigt. Puis, doucement, il a rentré sa queue à l'intérieur de mon cul. J'ai eu un peu mal au début mais très vite mon cul s'est bien ouvert et rémy s'est fait plaisir. Il a accéléré la cadence, il se faisait plus bruyant aussi, il criait mister plaisir et moi aussi. J'aime les hommes expressifs au lit. Nos cris se mélangeaient "vas y c'est bon, encore !! encore !!", je ne voulais pas que ça s'arrête. Rémy me sodomisait sans ménagement et j'aimais ça, j'étais complétement soumise à lui, il faisait ce qu'il voulait de mon cul.

Entre 2 grosses fessées, il m'a dit que j'étais une sacrée cochonne. Moi je me sentais fébrile, les sensations étaient si fortes que ça m'épuisait. De plus Remy est endurant et récupère très vite. Ca faisait déjà plusieurs heures qu'on baisait comme des fous. Je n'avais pas pensé une seule seconde qu'il irait dans mes fesses !! Remy criait de plus en plus fort, j'ai compris qu'il allait bientot jouir. Il m'a d'abord attrapé par les épaules puis m'a tiré par les cheveux si fort que j'ai crié de douleur.

"Ca y est, ca vient !! je vais t'en mettre plein le cul !!" me dit Remy, il a acceléré, il était essouflé presque épuisé !!

"vas y vide toi les couilles, je n'attends que ça !! Dans 1 long cri, il a éjaculé dans mon cul " tiens salope !!!" me dit Remy dans ses derniers va et viens. Je sentais ses jets
de sperme remplir mon cul, a chaque jet je criais que c'était bon. Rémy s'est couché sur moi en laissant sa queue dans mon cul, il bandait encore.

Nous nous sommes douchés et on s'est juré que c'était la dernière fois...à 2. puis il est parti. je n'avouerai jamais cela à mon homme car je ne veux pas le perdre. Peut etre qu'un jour on discutera d'un plan à 3 avec Remy car perso je n'ai pas envie que ce soit la dernière fois car c'est un sacré bon coup !!

chrislebo

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FANTASME VECU


22h30... Encore une centaine de kms et je serais chez moi, le train avance dans la nuit noire, le compartiment est quasiment vide, à part un vieux monsieur qui somnole.
Moi même, je résiste pour ne pas m'endormir, la journée a été longue, je me languis d'être au chaud, tout au fond de mon lit.
Le train ralentit, cet arrêt de quelques minutes me fait sortir de ma torpeur, les freins crissent dans le silence de la nuit, le froid pénètre le wagon, en ce mois de novembre, quand deux hommes d'une trentaine d'années entrent, ils rient et parlent fort.
Je remarque tout de suite, qu'ils ont l'air bien énervés, ils s'esclaffent à tue tête pour des broutilles, finissent par s'asseoir et m'aperçoivent dans le coin où je me suis réfugiée.

- " Et, t'as vu la nana, elle fait sa mijaurée, ou alors sa timide, viens on va faire connaissance," dit le plus déluré, en se levant.

L'autre le suit, un sourire idiot sur les lèvres. Je les sens s'approcher de moi, je tremble intérieurement, il ne faut surtout pas leur montrer.
Ils ont l'air de deux voyous avec leur bloumister de cuir, leurs cheveux longs, et voilà qu'une fois encore, je fantasme, toujours ce désir secret et inavouable de me faire prendre par des inconnus...
Je suis folle, complètement folle, ces hommes mistert peut être fous ou pire.

Une bouffée de chaleur me submerge. Mon imagination débridée ne peux s'empêcher de vagabonder !

- " Alors, c'est intéressant ton bouquin ? Pas envie de nous parler plutôt, ou y a peut être mieux à faire, pour s'occuper ! Pas vrai Louis " ?
- " Ah ça c'est sur ! Laisse tomber ton livre " dit l'autre, en me l'arrachant des mains
- " Mais c'est qu'elle est plutôt bien balancée, moi c'est Manu et lui, Louis ! Mais t'es toute rouge, on te fait de l'effet ou quoi ? Enlève ton gilet ma jolie " !
- " Non merci, ça va " ! Dis je, d'une voix tremblante
- " Enlève, on te dit " répète t-il, et en joignant le geste à la parole, il me tire le lainage vulgarement

Eux mêmes, ôtent leur bloumister et le jettent sur la banquette, je vois leurs torses musclés sous le tee shirt, il fait un froid glacial dehors et je suis étonnée de les voir si peu vêtus, leurs bras mistert couverts de tatouages

- " Mais c'est qu'elle nous matte ! Nous aussi, on aime reluquer ma belle, tu pourrais peut être te dé-saper, pour nous faire plaisir "

Je m'agite sur la banquette, les fantasmes mistert une chose, mais là, il s'agit bien de la réalité, ses hommes vont vouloir aller plus loin, je le sens.
Rapidement je regarde autour de moi, le wagon est désert, aucune aide à espérer du vieux monsieur, qui dort toujours. Mon portable à portée de main ne m'est d'aucune utilité.
Dans la nuit, permisterne pour me sortir de cette situation, qui étrangement m'excite autant qu'elle me panique. Ces 2 hommes ont une attirance naturale, mon corps s'embrase malgré moi quand je laisse dériver mes chimères délirantes.

- " Allez, fous toi à poil, ou je t'arrache tes jolies fringues, ma beauté ! "

L'autre homme, celui qui se prénomme Louis ne réagit pas, il continue de sourire béatement, il me parait assez stupide, puis je espérer un secours de sa part , je le regarde et le supplie :

- " S'il vous plaît, ne le ..."
- " Tu obéis, m'interromps t-il froidement ! Fais ce que te dit Manu, un bon conseil "

Leur regard impatient et lubrique me transperce, je décide de leur obéir, je me mets peut être des idées en tête. Je me lève et entreprends de retirer ma jupe et la veste assortie, rapidement je suis en sous vêtements. Je regrette d'avoir choisi ce matin, une guêpière rouge à jarretelles, un minuscule string de la même couleur, le tout avec des bas et des talons hauts. Ils me toisent sans vergogne, ils sifflent en me voyant dans cette tenue affriolante.
chrislebo

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- " Psssss Dis donc... On est tombé sur un beau petit lot ! Tourne toi un peu "

Malgré le roulis du train, je me retourne les joues rougies d'être ainsi exposée en pâture, pourtant, je sens mes seins qui se gonflent, la situation m'enivre malgré moi.

- " Mmmm, regarde ce cul " lance Manu à mister pote, alors que je sens ses mains fraîches sur mes fesses
- " Regarde comme la ficelle lui rentre dans le cul, attends ne bouge pas ma jolie " !

J'entends un clic métallique, je tressaille, quelque chose de glacial me touche, je frémis en voyant la lame d'un couteau à crans d'arrêt, il sectionne l'élastique de mon string qui tombe nonchalamment à mes pieds, plus aucun doute maintenant, ses hommes vont user de moi, pas le temps de réfléchir que déjà j'entends le Manu qui enlève mister jean et me somme de me placer à genoux sur la banquette

- " Non, s'il vous plaît ! ", je me retourne et les supplie à nouveau

Je vois alors le sexe du prénommé Manu, une queue bien droite, le gland brillant

- " Retourne toi, je ne le répéterais pas 3 fois, à genoux ! " Tonne t-il, impatient

Je me place comme il exige, je vois notre reflet dans la vitre, il s'avance, me pétrit les fesses sauvagement

- " Mmmmm... Je vais te baiser ma belle, tu vas goûter à ma queue, je suis sur que ça t'excites de te faire mettre comme ça, t'en as envie ?

Je ne réponds pas, je reste silencieuse dans la posture dégradante, qui est la mienne
Son sexe en main, il se place à l'entrée de ma chatte et me pénètre, lentement sa bite s'enfonce en moi, je suis remplie de sa queue, il commence à me pistonner, je ne peux contrôler ma faim de sexe et je m'adapte à mister rythme

-" Mmmm Ouii... T'as vu Louis, elle aime la queue, je m'en doutais, qu'est ce que tu attends, c'est pas 2 bites qui vont lui déplaire, hein ma belle ! Tu veux sa queue à lui aussi, envie de le sucer " ? "

MMmmm t'es bonne..... Dis nous que tu veux le sucer "

Il me laboure le vagin, c'est trop bon, j'ai rompu depuis un mois avec mon mec et permisterne depuis. Autant en profiter de ses 2 là, ils auront ce qu'ils voulaient et moi aussi

- " Ouiiii.... Lui dis-je en criant, stupéfaite de mon audace, je deviens folle, incontrôlable

Louis a déjà mister sexe dans la main, il se présente à ma bouche, une verge épaisse et bien dure, pas le temps de la regarder plus, il me power les lèvres.
Dans la vitre, je vois toujours mon reflet, ça m'excite grave, le cul en l'air, une queue dans la chatte et l'autre dans ma bouche

chrislebo

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#3,229
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- " MMMM.... Vas y , ma salope, suce le bien pendant que je te baise, tu vas l'avaler, t'es vraiment qu'une grosse salope, toi !

Moi qui ne supporte pas la vulgarité, là, j'adore ! Tout ça m'excite terriblement et je ne suis pas la seule vu l'ardeur avec laquelle, ils me baisent

- " Ahhh... Elle suce bien, je vais tout lâcher Manu, je peux pas me retenir Ah je gicle " ...

Je reçois mister foutre, ce cochon se vide dans ma bouche, je déglutis sa semence au moment même ou je sens monter en moi, un orgasme qui me fait crier tant la jouissance est intense, le Manu se déverse à mister tour, dans ma chatte

- " Ahh.... Prends ça, salope, je t'envoie le paquet...! Ah t'es bonne

Enfin la queue ramollie, il se retire, sa bite est baveuse de mouille et de sperme, il s'assied sur la banquette, assouvi tout comme mister copain

- " Bon sang, t'es drôlement chaude, dis donc ! T'as avais envie pas vrai ? Tu sais que je peux rebander très vite si tu y mets du tien, enlève ce truc que je vois tes nichons "

Après avoir joui, j'ai juste envie qu'ils me fichent la paix maintenant, je suis dégoulinante de sperme, j'aimerai m'essuyer et reprendre mes esprits toute seule, pour réfléchir...! Mais comment ai-je pu me donner comme ça, à ces deux individus

- " A poil, mignonne, on veux te voir nue " ! S'impatiente le plus bavard

A quoi bon, leur dire "Non" maintenant !

Je ne vais pas crier au viol, alors que j'ai aimé me faire baiser, qu'ils m'ont fait jouir.
Résignée, j'enlève ma guêpière, mes seins enfin libérés se dressent fièrement, les tétons saillent, j'ai un peu froid toute nue. Le tangage du train fait palpiter mes seins. Le dénommé Manu toujours assis, me fait avancer vers lui, mes tétons à quelques centimètres de sa bouche, il en prend un et le suçote

- " Mmmm... Ils mistert bien gros tes bourgeons, goûte moi un peu ça, Louis, tu vas aimer " !

Louis s'installe à coté de mister pote et lui aussi me prend un téton dans la bouche, leur tête se frôle, je ferme les yeux, savoure mon plaisir. Je suis toute émoustillée d'avoir une bouche sur chacun de mes seins, je sens le sperme qui coule sur mes bas, je pourrais presque jouir comme ça tellement c'est bon, je défaille, je gémis, j'ouvre les yeux. Leurs sexes bandent à nouveau, j'ai cruellement envie qu'ils recommencent, qu'ils me baisent encore.
Mais au fond du wagon, j'aperçois avec effroi, le vieux monsieur qui nous dévisagent les yeux exorbités, il va appeler, c'est sur ! On va me trouver ici nue avec ses hommes, j'ai honte, tellement honte et pourtant tellement envie, encore....

- " Louis, allonge toi sur la banquette et toi petite pute, tu vas t'empaler sur sa queue " !

Encore affolée par le regard intense du vieil homme, je ne bouge pas. "Le Manu" jette un coup d'oeil vers l'endroit que je fixe et me dit froidement :

- " Fais ce que je te dis, il ne bougera pas, je te le garantis " !

Il s'éloigne, la queue dressée vers l'homme, lui chuchote quelque chose et revient satisfait
Le dénommé Louis est allongé sur la banquette, sa bite droite et tendue n'attend plus que moi

- " Dépèche toi, crie Manu, grimpe lui dessus "

Malgré le peu de place, j'arrive à me placer à califourchon sur mister sexe, encore pleine de sperme, sa queue coulisse, noyée dans le foutre de mister copain, il me pelote les seins. Manu, dans mon dos, me malaxe les fesses, puis enfonce un doigt dans mon cul, je n'aime pas trop ça, il s'agite dans mon petit trou bien fermé quand il l'enlève et me dit froidement

- " J'ai envie de ton cul, je vais t'enculer, trop envie de te trouer le cul et on va te baiser en double ! T'es tellement une bonne petite pute, que tu dois aimer ça " ?

- " Non, pas ça, je ne l'ai jamais fait " !

Je veux me retirer, jamais on ne m'a sodomisé. D'un seul coup, tout va trop vite, je prends peur.... Mais ils me maintiennent bien.
Et l'homme se fiche de mes supplications, mister gland glisse sur mon anus, le sperme qui a coulé tout à l'heure facilite l'entrée, mais je hurle quand il commence à me pénétrer, je hurle pour qu'il s'arrête :

- " Nonnn, ça fait trop mal " !
- " Tais toi, laisse toi prendre comme une chienne "

Il me power, je sens sa queue qui me défonce par palier. Je n'ose plus bouger, Louis non plus, fasciné par mister pote qui m'encule, mister sexe à quelque centimètres du sien.
Des larmes coulent sur mes joues.
chrislebo

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#3,230
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- " J'y suis presque ma belle, Hmmmm... voilà, ma grosse queue est entièrement dans ton cul, j'y vais doucement, là, ça te plait, 2 bites pour toi, tu vas prendre ton pied, hein ? Dis nous que tu aimes ça ???

Après la douleur, je me sens atrocement comblée par ces queues qui m'honorent :
- " Ouiiiii.... Baisez moi, continuez, c'est bonnnnn " !

Les hommes s'activent, me pilonnent comme des malades, c'est si bon, pourquoi ai-je toujours refusé la sodomie, la douleur est vite remplacée par l'embrasement frénétique de mon corps. J'aime qu'ils me baisent, comme une chienne au milieu de la nuit.

- " C'est bon, venez M'ssieur ! Venez vite " crie soudain Manu, au vieil homme que j'ai complètement oublié

Je vois arriver le vieux monsieur, mister sexe fripé en main, il a sûrement plus de 60 ans. Je n'y comprends rien ou plutôt, je ne comprends que trop, quand je le vois entrain de se masturber la queue

- " Nonnn, Mmmm non " ! Je refuse mollement ce sexe, alors qu'ils continuent d'aller et venir en moi "
- " Tais toi, grosse pute, suce la bite du grand père "

Soumise, ma bouche s'ouvre pour laisser le passage à la verge qui bande, aussitôt un soupir de délectation de sa part, les 3 hommes me pilonnent en cadence et toujours mon reflet dans la vitre.
Je ne suis qu'une grosse salope qui aime se faire baiser, je sens venir un nouvel orgasme , ça vient encore, je vais jouir maintenant.........C'est si bon ! Je hurle !!!!!!
Mon cri est étouffé par la queue du vieil homme mais tous ont pu entendre mes gémissements et, à leur tour, ils jouissent en moi. Leur sperme m'inonde le cul, la chatte et même le vieux frémit, décharge dans ma bouche et se soulage en m'envoyant mister liquide épais, au fond de ma gorge.

Fourbus, vidés, nous reprenons nos esprits, la gare approche, chacun se rhabille et retrouve sa place, apaisés par cette sauterie inespérée.

Je ne remets pas la guêpière, j'enfile juste mes vêtements, mon manteau.
Mon string gît sous la banquette. J'ai l'anus en feu, sur mes bas qui ont filés, des traînées de sperme et ça coule encore. Dans ma bouche, le goût persistant du foutre.

Les crissements des freins me font sursauter, sans un regard pour moi, les trois hommes sortent du train.

A mon tour, je descend les deux marches, il fait froid cette nuit, je sens le vent glacial qui s'engouffre sous ma jupe.

Je me souviendrais longtemps de ce trajet.


vanbruje

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#3,231
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Deux bons textes pour terminer l'année en beauté... Merci et... bon réveillon et bonne continuation.
chrislebo

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#3,232
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Gay School

Il se réveilla brusquement, comme s'il sortait d'une anesthésie. Un réveil toujours difficile ; il se rémora, péniblement, cette avenante jeune fille qu'il avait rencontrée la veille, grâce à mister site Internet « communautaire », et elle lui avait paru fort plaisante.

Quelques coups de fils, quelques mails et en peu de temps la rencontre s'était décidée dans un bar branché du 20e arrondissement de Paris, à quelques pas de chez lui. Elle était charmante et avenante, tout sourire. Ils avaient devisé de choses banales, comme cela commence banalement la plupart du temps entre deux permisternes qui « s'envisagent »...

Il se rappela avoir été aux toilettes, mais en remontant il l'avait retrouvée avec deux mecs baraqués, une coïncidence de rencontre complètement par hasard, selon elle : deux vieux amis de longue date, et ils burent quelques verres. Les « deux vieux amis », également sympathiques, moins effrayants que leur corpulence en réalité, devisèrent avec lui de choses et d'autres.

Puis la suite ne fut qu'un trou noir. Il se rappelait très vaguement avoir été sorti du bar, porté par les deux molosses, tandis que la jeune fille expliquait au barman, tout en payant, que mister ami avait un malaise et qu'elle le ramenait chez lui.

Et il lui fallut bien récupérer ses facultés mentales pour comprendre dans quelle situation il se trouvait désormais. A plus de 30 ans, il se croyait solide, mais sous l'effet de ce qu'il avait bu, il y avait donc un produit douteux dans mister verre et cela lui parut enfin évident. Il se sentait encore trop affaibli, avec un mal de tête juste supportable. Il devait recouvrer progressivement ses cinq sens pour retrouver un minimum de coordination mentale. En premier, la vue : il était dans une semi-obscurité, devinant autour de lui une sorte de cabine d'essayage. Il ne voyait donc rien autour de lui, si ce n'est, en levant la tête, un plafond qui ressemblait étrangement à une scène de théâtre, avec des spots pour l'instant tamisés.

Puis ce furent ses capacités physiques, premier instinct de vouloir bouger, pour découvrir qu'il était attaché, mains en l'air, pieds fixés sur une sorte de croix en « X » ; il se rassura à peine de découvrir qu'il était encore entièrement habillé. Ses oreilles bourdonnaient encore, mais il finit par entendre une sorte de brouhaha léger, comme un murmure discret. Ce fut mister odorat qui ensuite lui fit sentir un mélange de fumée de tabac, mais aussi une autre sorte de fumée qu'il parvint à identifier de mémoire : ayant occasionnellement travaillé dans le spectacle, il arriva à reconnaître un relent de machine à fumée utilisée pour les effets spéciaux sur scène. Pour le sens du goût, il avait la bouche sèche et un goût âcre qui devait correspondre aux verres qu'il avait bus, et aux substances ajoutées qu'il avait dû ingérer sans le savoir.

Il avait presque récupéré « tous ses esprits ». Et réaliser comment il était arrivé là, et dans quel but, commença à l'inquiéter d'autant plus. En plus du brouhaha, on chuchotait à proximité, mais il n'arrivait pas à entendre ce qui ce disait ; une seule phrase conclusive qu'il parvint à ouïr provoqua une panique immédiate : « on commence dans cinq minutes, et normalement il a dû récupérer ». Dès lors un côté de la cabine s'ouvrit, il n'eut malheureusement pas le temps de paraître toujours inconscient, et il entendit : « c'est bon, il est réveillé ». Réveillé pour quoi?

Une petite musique de patience était diffusée, comme pour occuper le public avant qu'un spectacle ne commence. Une voix « off » diffusa un message : « messieurs, plus que cinq minutes de patience pour le début de notre séance de ce soir. La GAY SCHOOL sait à quel point vous êtes friand de nouveauté, et vous allez découvrir la première étape d'une nouvelle initiation dans quel instant! ». Puis il y eut un commentaire en coulisses, hors micro que lui seul ne put entendre : « Molosse et Colosse mistert retardés par un problème en salle de punition, mais M. CISEAUX est déjà prêt : de toute façon, on commence toujours avec lui pour les initiations ».

Un frismister d'horreur lui traversa tête et corps. D'autant plus qu'il avait pratiquement récupéré tous ses moyens physiques ; ses acuités, au début amoindries, étaient maintenant parfaitement opérationnelles. Un côté de la cabine s'ouvrit à nouveau, et cette fois il put voir une sorte de présentateur télé souriant et avenant qui lui dit : « on va commencer dans quelques instants, ne désespérez pas ». Il fallait évidemment être suffisamment lucide pour mesurer l'ironie de ses propos. L'imagination de SAHIM était alors très emballée, il essayait de supposer ce qui lui était réservé. S'il en faisait une synthèse, il était attaché sur une drôle de machine, en croix, mais dissimulé dans une cabine de toile, a priori sur une scène de théâtre, avec des spectateurs de l'autre côté du rideau, avec un type équipé de ciseaux et deux zigotos appelés Molosse et Colosse qui étaient très sûrement ceux qu'ils avaient rencontrés précédemment, l'avaient drogué et emmené dans ce lieux mystérieux.

Mais alors, à quoi devait-il vraiment s'attendre? Dans l'annonce faite au public, il avait entendu « GAY SCHOOL », et mister angoisse était à mister comble...
chrislebo

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#3,233
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- Merci, M. CISEAUX! Vous êtes toujours aussi inventif. Emportez ce que vous venez de découper avec votre habileté coutumière, je sais que vous aimez vos trophées.

L'asiatique ramassa les lambeaux et il partit en coulisses en saluant de la tête, applaudi pour sa prestation.

- bien, dit l'animateur. Nous pouvons maintenant passer à la suite du programme. Cher SAHIM, vous tremblez? Ca ne peut pas être de froid, la salle est bien chauffée. Un peu d'appréhension, peut-être? Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Enfin... Tout dépend du hasard, mais rassurez-vous, permisterne n'est jamais mort, chez nous. Sachez même que dans notre grande équipe, nous avons un médecin... Juste au cas où.

Le présentateur était vraiment d'une ironie et d'un cynisme stupéfiants. Pour autant, il aurait pu figurer dans une émission de téléréalité avec plus de candeur et d'amabilité que certains de ses confrères. Le mystérieux mécène du centre de la GAY SCHOOL l'avait recruté ne serait-ce que pour cela, dès l'ouverture du centre.

La GAY SCHOOL existait depuis plus de trois ans. Elle comptait désormais plus de 200 membres qui ne pouvaient y accéder que par parrainage, pour éviter entre autre toute « infiltration ». Ils payaient certes une contribution assez importante, mais ils n'étaient pas déçus et considéraient bien qu'ils en avaient pour leur argent. Le lieu était situé dans une sorte de vieille usine désaffectée, en banlieue parisienne, mais seuls trois niveaux en sous-sol avaient été complètement réaménagés dans la plus grande discrétion. Ce bâtiment, dégradé en surface, était gardé par un vigile aux allures de maître chien, c'est lui qui donnait l'accès, par le biais d'un monte-charge, aux étages souterrains. On avait ajouté une « sortie de secours » en cas d'urgence, quelle qu'elle soit, mais cela restait peu probable.

Globalement, le -- 1 était le « club », où se trouvait l'accueil, un bar, un salon de confort et les services administratifs, ainsi que service médical de « précaution » ; le -- 2 était essentiellement constitué de la salle de spectacle, de quelques salles privées et d'un studio de tournage. Enfin, le -- 3 était le lieu de vie des résidents, comportant les chambres, le réfectoire et trois salles destinées aux cours complémentaires.

- Molosse, Colosse, c'est à vous, préparez donc ce jeune homme pour la suite.

Les deux brutes épaisses démontèrent ce qui restait de la cage de présentation en un temps record, puis ils poussèrent l'étrange machinerie sur laquelle SAHIM était attaché, entièrement nu désormais, au centre de la scène. Il eut un nouveau moment de panique et de dégoût et se secoua désespérément. Avant qu'il ne pense à crier, une boule vient lui obstruer la bouche et fut fermement attachée dans sa nuque ; il ne pouvait plus que gémir.

Il avait eu le temps d'apercevoir, dans mister dos, trois grands écrans plats suspendus en haut de scène où apparaissaient sur les trois, pour l'instant, la seule mention « GAY SCHOOL » en graphisme simplifié.

- chers amis, nous allons pouvoir commencer! Je vous donne quelques détails : sachez donc que c'est notre big boss en permisterne qui est le commanditaire de notre nouvel étudiant. Il ne saurait tarder pour assister au spectacle. Comme toujours, vous savez qu'il faut commencer par des méthodes assez rudes pour arriver à la conversion, mais elles justifient notre taux de réussite de plus de trois quarts de tous les pensionnaires que nous avons reçus.

Colosse et Molosse plièrent légèrement la structure métallique en avant, forçant SAHIM à se retrouver fesses tendues. L'un lui mit la main sur mister sexe, évidemment mou, et l'autre lui introduisit mister majeur dans la raie du cul.

- on commence toujours par une bonne fessée, vous le savez. Je vous rappelle pour information que le premier écran indique par tirage au sort, sans trucage, le moyen qui sera employé car les instruments ne manquent pas : vous les voyez accrochés sur ce panneau. Le second écran indiquera le nombre de coups qui seront portés. Enfin, le troisième écran indiquera ensuite, par vos votes avec vos télécommandes, ce que vous souhaiterez voir infligé à notre nouvel étudiant après cette première épreuve. C'est parti!

Plusieurs mots apparurent à grande vitesse sur le premier écran, avant de s'arrêter sur le terme « badine ». Des nombres défilèrent aussi vite sur le second, avant de s'arrêter sur 17.

- 17 coups de badine? Vous avez de la chance, M. SAHIM. On a connu pire...
chrislebo

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#3,234
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Ce beau voisin qui fit exploser notre couple

- Je finis par sucer notre nouveau voisin en espérant qu'il laissera ma copine
tranquille.

Je m'appelle Jean, j'ai 25 ans et je vis depuis quatre ans avec ma petite amie
Charlotte, âgée de 23 ans. Charlotte est ce qu'on appelle une jolie fille. C'est une
vraie blonde aux yeux noisettes. Elle mesure 1m64 pour 50 kg. Elle a la chance d'avoir
de très belles formes : ses hanches mistert bien dessinées, elle a un joli petit cul
rebondi et est dotée d'un bonnet 85D, ce qui pour sa taille donne l'impression qu'elle
possède une énorme poitrine.

Je suis conscient d'avoir énormément de chance d'être avec une fille aussi belle et
désirable, mais je dois avouer que côté sexe, je n'en profite pas au maximum.
Charlotte n'est pas très demandeuse en la matière, mais je pense que c'est un peu de
ma faute, car je suis loin d'être le coup du siècle. Je sais pourtant qu'elle aime
faire l'amour et qu'il lui arrive d'être en manque, car j'ai déjà trouvé dans
l'historique de mister ordinateur la trace de sites pornographiques. Toutes les vidéos
consultées montraient des mecs bâtis et montés comme des taureaux (je ne mesure
qu'1m75 pour 68kg, et mon sexe mesure 15cm en érection...), défonçant des femmes qui
hurlaient leur plaisir. Cela m'avait fait un choc et m'avait même un peu vexé...

Cela faisait quelques jours que nous avions emménagé dans notre nouvel appartement,
situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble de deux étages. Charlotte travaillait
dans un magasin de prêt-à-porter, elle faisait beaucoup d'heures et rentrait tous les
soirs vers 20h. Moi, j'avais récemment perdu mon emploi d'informaticien, j'occupais
donc mon temps libre à chercher du travail et, depuis le déménagement, à faire toutes
les démarches nécessaires auprès des impôts, de notre banque, de notre fournisseur
d'accès internet...
Il était 17h et je rentrais du supermarché où j'avais fait quelques courses. Nous
n'avions pas encore croisé notre voisin de pallier, et nous nous étions demandé à quoi
il pouvait bien ressembler. J'eus la réponse alors que j'arrivais dans le hall de
l'immeuble. Au moment où je sortais la clé de l'appartement de ma poche, j'entendis la
porte d'à côté s'ouvrir. Je me retournais pour saluer notre nouveau voisin, et j'eus
un choc en le découvrant. Un homme noir d'une trentaine d'années, qui devait bien
mesurer 1m90 pour une centaine de kilos de muscles, se tenait à quelques mètres de
moi. Il était habillé de façon très cool et sportive, avec un pantalon de survêtement
et un t-shirt qui moulait ses imposants pectoraux. Son crâne était rasé et ses yeux
étaient d'un marron très clair, ce qui lui donnait un regard pénétrant et
déstabilisant. Je me sentis tout de suite intimidé face à lui.
- Bonjour ! me lança-t-il joyeusement.
Il avait un accent africain assez marqué, ce qui me fit dire qu'il n'avait
probablement pas grandi en France.
- … Bon... Bonjour, balbutiai-je. Comme vous voyez, je suis votre nouveau voisin !
- Enchanté, répondit-il. Je m'appelle Baakari, j'entraîne l'équipe de foot' de la
commune ! Et vous ?
- Euh... Je m'appelle Jean, je... je suis content de vous rencontrer. On ne s'était
pas encore croisés depuis notre emménagement.
- C'est vrai ! Mais je vous ai aperçu avec votre camionnette de location l'autre jour,
vous et votre... amie. C'est votre femme ?
Cela me dérangea qu'il pose cette question, car en l'apercevant quelques secondes
auparavant, j'avais justement pensé à Charlotte, en me disant qu'un tel homme allait
beaucoup lui plaire...
- Nous ne sommes pas mariés, Charlotte et moi, rétorquai-je. Mais nous sommes ensemble
depuis 6 ans.
Je rajoutais volontairement du temps à notre relation, pour qu'il comprenne qu'entre
Charlotte et moi, c'était du sérieux !
- Charlotte... C'est un joli prénom. Je l'ai trouvée très jolie, en tout cas ! Tout à
fait mon genre de femme...
Je fus frappé par la franchise de Baakari. « Pourquoi ne pas me dire que tu t'es
branlé en pensant à elle, connard ? » me dis-je en mon for intérieur.
- Merci, c'est vrai qu'elle est charmante... Et... Et vous, vous avez une femme ?
- Oh non ! s'exclama-t-il instantanément. Moi et les femmes, ce n'est jamais sérieux.
Je les aime trop pour n'en avoir qu'une, si vous voyez ce que je veux dire !...
Je voyais tout à fait ce qu'il voulait dire. Même si je savais que Charlotte n'était
pas une femme volage, ces quelques mots m'avaient suffit pour considérer Baakari comme
un rival potentiel. Un rival face à qui, bien sûr, je ne faisais pas le poids...
- Ok, Chacun mister truc ! Moi et Charlotte, nous préférons les relations sérieuses...
- Je comprends, mais vous savez, les goûts peuvent évoluer... Il suffit de rencontrer
la bonne permisterne pour vous faire changer d'avis !
Je ne savais pas vraiment à quel jeu jouait mon interlocuteur, mais j'étais déjà
troublé par le peu qu'il m'avait dit, et j'eus soudain envie de me débarrasser de lui.
- Tout à fait, tout à fait... Veuillez m'excuser, Baakari, mais je suis un peu pressé,
j'ai des choses à mettre au frais et un repas à préparer pour ce soir ! Nous aurons
certainement l'occasion de nous recroiser pour discuter.
- Pas de problème, dit Baakari. De toute façon, je dois être au stade pour 17h30. Je
demande aux jeunes d'être à l'heure à l'entraînement, alors ce ne serait pas normal
que moi, je sois en retard... A bientôt alors, Jean !
Je le vis, lui et ses épaules incroyablement carrées, sortir du hall d'immeuble et
s'éloigner à travers le parking.

Une fois rentré dans l'appartement, je ne parvins pas à me sortir ce Baakari de la
tête. Je l'avais trouvé bien trop séduisant, et surtout bien trop intéressé par ma
copine ! Je me demandais également ce que Charlotte allait penser de ce nouveau
voisin. Malgré toutes ces questions qui se bousculaient dans mon esprit, je dus
revenir à des considérations plus pragmatiques, et au repas que j'avais promis à
Charlotte pour mister retour ! J'ouvris grand les fenêtres qui donnaient sur la terrasse
pour aérer, car nous avions repeint l'appartement avant d'emménager, et l'odeur
n'avait pas complètement disparu. Puis je me dirigeai vers la cuisine pour me mettre à
la tâche...

Un peu avant 20h, alors que je rêvassais en regardant la télé depuis la cuisine, je
fus interpellé par un éclat de rire qui venait de l'extérieur. Après quelques
instants, je crus reconnaître les intonations et le timbre de ma petite amie
Charlotte. Heureux de la savoir de retour, je me dirigeai vers la fenêtre pour tenter
de l'apercevoir. Même si nous habitions au rez-de-chaussée, notre terrasse était un
peu en retrait par rapport au parking, ce qui me permit de voir ce qui s'y passait
sans être vu. Charlotte était bien là, à côté de sa voiture qu'elle venait de garer,
mais elle n'était pas seule ! La permisterne avec qui elle discutait en riant aux éclats
n'était autre que notre nouveau voisin Baakari ! J'eus instantanément la boule au
ventre. Ce salaud devait rentrer de l'entraînement de football, et profitait de mon
absence pour faire connaissance avec ma copine. Je ne parvenais pas à discerner les
mots qu'ils prononçaient, mais cela semblait réjouir Charlotte, qui avait le sourire
jusqu'aux oreilles. Elle passait mister temps à se toucher les cheveux et à se
trémousser. Peut-être me faisais-je des idées, mais j'avais l'impression qu'elle
faisait tout pour aguicher ce beau black. Leur conversation dura un bon quart d'heure.
Au moment de se quitter, ils sortirent chacun leur téléphone portable : je compris
qu'ils étaient en train de s'échanger leur numéro ! J'étais fou de rage, mais je me
rendis compte que les avais épié 15 minutes durant sans oser intervenir. Quelle
lavette j'étais ! Quand j'entendis la clé dans la serrure, je me précipitai dans la
cuisine pour reprendre ma position initiale.
- C'est moi, chéri ! annonça Charlotte en pénétrant dans la pièce. Ca sent drôlement
bon, c'est la dinde que tu m'as promis ?...
Nous échangeâmes quelques banalités. Je pris soin de ne pas parler de ce que j'avais
vu, pour voir si elle allait oser aborder le sujet. Elle ne toucha pas un mot de sa
rencontre avec Baakari ! Pire, lorsque j'annonçai innocemment avoir fait la
connaissance du nouveau voisin dans le hall, un « grand black imposant », elle prit un
air surpris et me dit qu'elle avait hâte de le croiser pour voir à quoi il
ressemblait ! J'étais de plus en plus vexé. Je n'osai évidemment pas lui dire ce que
j'avais vu même si je me sentais trahi.
Nous passâmes une soirée ordinaire. Moi dans le bureau, sur l'ordinateur pour
rechercher des offres d'emploi, Charlotte dans le salon, sur la canapé devant la
télévision. Même si je repensai à Baakari toute la soirée, je finis par relativiser :
Charlotte avait sûrement eu peur de ma réaction, sachant que j'étais d'un naturel
jaloux et qu'elle s'était très bien entendue avec notre nouveau voisin. Je décidai
donc d'oublier cette histoire. Nous ne fîmes pas l'amour au moment du coucher, mais
alors que je la prenais dans mes bras pour lui souhaiter bonne nuit, il me sembla que
Charlotte avait le sexe humide. Mais peut-être, encore une fois, avais-je rêvé...
chrislebo

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#3,235
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Le lendemain matin, Charlotte partit travailler à 8h. J'avais rendez-vous à Pôle
Emploi à 14h, ce qui me laissait la matinée libre. Je m'installai devant l'ordinateur
pour traîner sur internet, vêtu d'un simple t-shirt et d'un caleçon. Au bout d'une
heure, je fus dérangé par la misternette de l'appartement. C'était la première fois que
je l'entendais retentir. Pris de court, j'enfilai en vitesse ma robe de chambre et me
dirigeai vers la porte d'entrée. Un rapide coup d'oeil à travers le judas : c'était
Baakari ! Décidément, cet homme devenait encombrant ! L'immeuble n'était pas très bien
isolé, il m'avait donc forcément entendu me déplacer dans l'appartement : j'étais
obligé d'ouvrir, où j'allais passer pour un malotru. A regret, je tournai le verrou et
entrouvris la porte. Le sourire impeccablement blanc de Baakari m'attendait.
- Bonjour Jean ! Désolé de vous déranger, mais je viens de m'apercevoir que je n'ai
plus d'oeufs chez moi, et il m'en faudrait deux pour ce midi. Comme nous avons fait
connaissance hier, je me suis dis que j'allais passer vous en demander ! C'est
important l'entraide entre voisins.
Je n'étais pas ravi de le revoir aussi vite, mais après tout, il ne s'agissait que de
quelques œufs.
- Ah ! Eh bien, justement j'en ai racheté hier. Entrez, je vais vous donner ça.
Baakari pénétra dans l'appartement à ma suite. Il avait la même tenue « sportive » que
le jour précédent. J'engageai la conversation pendant que je cherchais les œufs dans
le frigo. Lui se tenait debout dans le salon, de l'autre côté du bar de la cuisine
américaine.
- Vous allez bien depuis hier ? L'entraînement s'est-il bien passé ?
- Parfaitement bien, me répondit Baakari. J'ai aussi passé une belle soirée, qui avait
bien commencé puisque j'ai rencontré Charlotte...
Mon sang se glaça lorsque j'entendis ces paroles. Baakari les avait prononcées d'un
air tellement satisfait, on aurait dit qu'il me provoquait... J'avais toujours la tête
dans le frigo, mais je sentais mister regard pénétrant dans mon dos.
- Ah ! C'est très bien ! répondis-je d'un air faussement détaché. Et... vous vous êtes
bien entendus ?
- Vous n'avez pas idée ! Elle me plaît encore plus de près que depuis ma fenêtre ! Et
j'ai eu le sentiment que c'était réciproque... D'ailleurs, nous avons échangé des
textos toute la soirée ! J'espère que ça ne vous dérange pas !
A ces mots, je fis volte-face pour le regarder dans les yeux. Cet homme allait
décidément trop loin ! Je restais très intimidé par sa carrure, mais je ne pouvais
plus supporter ses allusions lubriques. Dans le même temps, j'étais choqué par ce
qu'il venait de m'annoncer. Des textos toute la soirée ! C'était peut-être une
provocation, mais il est vrai que je n'avais pas pu surveiller Charlotte, puisqu'elle
avait regardé la télévision dans le salon jusqu'à minuit.
- Vous... vous m'ennuyez avec votre petit jeu, osai-je lui lancer. Vous essayez
manifestement de casser mon couple, mais je ne crois pas à vos menmisterges ! J'aime
Charlotte, et vous ne parviendrez pas à nous séparer !
- Je vois... Le numéro des amoureux fidèles, ironisa-t-il. Dans ce cas, pourquoi ne
pas vérifier par vous-même... Regardez !
Baakari sortit mister portable de sa poche de survêtement, appuya sur quelques touches,
puis me tendit l'appareil. Je ne voulais pas entrer dans mister jeu, mais la curiosité me
poussa à y jeter un œil. Il s'agissait bien d'un échange de textos avec une certaine
« Charlotte », et le numéro correspondait à celui de ma copine ! Il commençait par lui
avouer qu'il l'avait trouvée charmante, ce à quoi elle répondait par des remerciements
gênés. Mais à mesure que les messages s'enchaînaient, la conversation devenait de plus
en plus chaude. Il lui demandait si elle était toujours restée fidèle, la réponse
était oui (ce qui me soulagea grandement), mais elle finissait par lui confier qu'elle
se touchait régulièrement en pensant à d'autres hommes. Il se vantait carrément
d'avoir un sexe de 25cm et de donner énormément de plaisir aux femmes, et Charlotte
lui répondait « Hmmm... Arrête ça tu me troubles... ». Et la conversation continuait
ainsi de 20h45 à 23h30 !

Tout s'effondrait autour de moi. Ma petite amie avait flirté toute la soirée avec un
homme bien plus viril et séduisant que moi ! Si je n'avais pas été là, dieu sait ce
qui aurait pu se passer entre eux ! Je n'osais maintenant plus regarder Baakari dans
les yeux. J'avais le sentiment d'être une proie en face d'un mâle dominant, satisfait
d'avoir gagné mister combat et prêt à me voler ma vie et ma copine. Je sanglotais, de
honte et de tristesse. Lui ricanait en me toisant du regard. Lorsqu'il reprit la
parole, mister ton n'était plus du tout le même.
- Ecoute-moi, Jean. Je vais te tutoyer, puisque je tutoie déjà ta copine. Charlotte
est beaucoup trop belle pour toi, tu le sais. Tu pensais pouvoir faire toute une vie
avec elle sans pouvoir la satisfaire ? Ce genre de femme a besoin d'un vrai mâle, d'un
homme comme moi qui lui donne du plaisir et en fait une petite chienne affamée de
bite. En à peine 5 minutes de conversation, je l'ai compris, et elle aussi. Je n'ai
plus qu'un mot à dire pour qu'elle se jette à mes pieds et me supplie de lui bourrer
la chatte. Tu l'as déjà perdue, tu dois l'accepter...
- Non... non, je t'en supplie... On s'aime, laisse-la tranquille... Je te donnerai
tout ce que tu voudras, mais ne bousille pas mon couple, s'il-te-plaît...
J'en étais réduit à supplier un homme pour qu'il ne baise pas ma copine. J'étais
pitoyable. Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi soumis et impuissant face à
quelqu'un. J'étais complètement pris au piège : d'après les textos, il avait réussi à
séduire Charlotte, je ne pouvais que le reconnaître.
- Tout ce que je veux ? Mais c'est le corps de ta copine que je veux ! Non, non... Si
je renonçais à Charlotte, il me faudrait autre chose pour compenser... Elle m'a
drôlement excité hier soir, la petite salope... Je suis sûr que c'est un bon coup, je
ne peux pas m'asseoir dessus sans contrepartie !
Naïvement, j'eus l'impression qu'il ouvrait la porte à un possible compromis. Je me
jetai dessus avec l'énergie du désespoir.
- Une contrepartie ? Oui, dis-moi ! Tu veux que je te paye une escort ? C'est comme tu
veux, je te paye qui tu veux !
- Hmmmm, tu n'as pas l'air de comprendre, me lança Baakari avec condescendance et
mépris. Je voulais baiser la bouche de ta copine et lui dépuceler le cul. Elle m'a dit
qu'elle en mourait d'envie. Si je ne peux pas avoir ça, c'est TA bouche et TON cul que
je veux ! Avec ton tempérament de soumis, je suis sûr que tu serais foutu d'aimer ça !
J'étais loin de m'attendre à ça ! Je me sentais encore plus humilié par sa demande. Je
dois bien avouer que le sentiment de soumission que j'avais ressenti en lisant les
textos faisait de Baakari une sorte de sur-homme à mes yeux, contre qui je ne pouvais
absolument pas lutter. L'offense qu'il m'infligeait en séduisant ma femme
quasiment sous mes yeux instaurait entre nous un rapport de virilité presque sexuel.
Mais de là à me laisser user par lui ! Je n'avais jamais eu d'expérience
homosexuelle, même s'il m'était arrivé d'y penser pendant mon adolescence. Si je le
laissais me prendre la bouche et le cul, je le laissais en même temps aller au bout de
mister entreprise de soumission, car je m'offrais complètement à lui. Et power m'était de
constater que sa demande, qui me poussait à abandonner toute forme de virilité, avait
quelque chose d'excitant.
- Tu... tu es sérieux ? lui demandai-je. Si je fais ce que tu demandes, tu laisseras
Charlotte tranquille ?
- Il ne te faut pas longtemps pour envisager de passer à la casserole ! s'exclama-t-
il. J'étais sûr qu'il y avait deux femmes dans votre couple ! Qu'on soit bien clair :
si tu te laisses aller entre mes mains, peut-être que j'oublierai ta copine... Tout ce
que je veux, c'est une salope à baiser !
- … Alors c'est d'accord, dis-je en gardant les yeux baissés. Je vais le faire...
J'avais dit oui. A cet instant précis, j'avais définitivement accepté la victoire de
Baakari. Désormais, il était le mâle, et moi sa chose... Et ce uniquement pour garder
Charlotte...
- Très bien, Jean, voilà qui est raimisternable. Enlève-moi cette robe de chambre et
mets-toi à genoux, et vite !
Je m'exécutai et me retrouvai en caleçon et en t-shirt, ce qui me donnait vraiment
l'air d'une crevette à côté de Baakari et mister imposante silhouette. Il ôta mister t-shirt
et libéra un buste excessivement musclé. J'aurais tellement aimé être bâti comme lui !
- Approche-toi de moi en tordant du cul ! Fais la salope, vas-y ! Par terre,
maintenant ! Ma bite attend qu'on s'occupe d'elle !
J'obéissais à ses ordres et je me tortillais sur place, en essayant d'imiter les
femmes que j'avais vu faire dans les pornos. Je me cambrai au maximum avant de
terminer à genoux, la visage à quelques centimètres de mister paquet. Visiblement, mon
petit numéro lui avait plu, puisqu'une bosse énorme s'était dessinée au niveau de mister
entrejambe. Je ne voyais pas encore mister sexe, mais je me disais qu'il n'avait
finalement pas menti en se vantant auprès de ma copine !
- Commence par me la gober à travers le survêtement... Oui... N'avale pas ta salive,
laisse tout couler comme une vraie femelle ! Aaaah...
A travers le tissu, je pouvais sentir un léger goût salé. Sa verge devait déjà
commencer à suinter... Soudain, Baakari s'écarta de quelques centimètres et fit tomber
mister pantalon et mister caleçon au niveau de ses chevilles. Il libéra alors un pénis
absolument magnifique. Noir comme l'ébène, il était décalotté et mesurait
effectivement 25cm. Les veines apparentes qui courraient le long de la verge et le
gland extrêmement large (environ 6cm selon moi) donnaient à l'ensemble un air
incroyablement puissant. Je fus estomaqué devant ce qui m'apparut être la quintessence
de la virilité. A ce moment, je me sentais comme n'importe quelle femme se serait
sentie devant un tel engin : totalement excité. Alors qu'il était encore penché pour
ôter complètement mister survêtement et mister caleçon, Baakari m'attrapa la tête de ses
deux mains et me pinça le nez. J'ouvris la bouche par réflexe, et mon amant en profita
pour y engouffrer violemment mister chibre. Surpris, je déglutis violemment et je crus un
moment que j'allais vomir. Au lieu de ça, je déversai une quantité impressionnante de
salive, qui dégoulina sur le sexe en érection et sur mon menton. Baakari me maintint
un moment le visage sans bouger, puis commença des va-et-vient qui s'accélérèrent
rapidement. Il me baisait littéralement la bouche. Si je ne me sentais pas homosexuel
quelques minutes auparavant, j'étais désormais une suceuse, soumise au fantasme et au
rythme de mister mâle dominant. Je le suçai ainsi pendant de nombreuses minutes. Aux
soupirs de plaisir qu'il lançait, je compris que Baakari prenait de plus en plus mister
pied. Moi même, qui avait si longtemps ignoré ma vraie nature, je commençais à me
prendre au jeu de la soumission. La scène était terriblement excitante : mon amant
était debout, complètement nu excepté ses chaussures et ses chaussettes qu'il avait
gardés aux pieds ; moi, j'étais à genoux, mister sexe en bouche et de la salive plein le
cou et le t-shirt, ce qui me donnait l'air d'une salope de film porno. Sans m'en
rendre compte, je m'étais moi-même mis à bander. La vérité était que je souhaitais
satisfaire Baakari : je voulais qu'il connaisse la meilleure fellation de sa vie ! Je
me mis donc à imprimer mon propre rythme pour pomper au mieux la verge d'ébène qui
m'était offerte. Je tournais frénétiquement ma langue autour du gland qui remplissais
ma bouche. Baakari était aux anges.
- Oh putaaaiiiin... Mmmhhhhhhhhhhh... T'es une vraie salope toi ! Suce-moi bien, ma
petite Jeanne ! Ca te va mieux que Jean, hein ? T'es une petite femelle qui s'ignore,
voilà la vérité ! Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi !
J'obéis, en prenant la liberté de baisser mon caleçon jusqu'aux genoux. Je me cambrai
une nouvelle fois, pour donner à mon cul la plus belle forme possible.
- Waaooh ! renchérit Baakari. Même ton corps est digne des plus belles femelles ! On
se demande comment une femme comme Charlotte peut être attirée par une pédale comme
toi ! Souriiiiiis !
J'entendis un bruit d'appareil photo. Relevant les yeux vers Baakari, je vis qu'il me
visait avec mister portable. Il venait d'immortaliser ma position humiliante, sa bite en
bouche et les fesses ressorties au maximum. Au fond de moi, je voulais protester, lui
demander de supprimer la photo qu'il avait prise, mais l'excitation me faisait
complètement perdre la tête. Je n'avais plus aucune notion des réalités. Plus Baakari
m'insultait, me traitait de salope, de traînée, plus j'avalais sa verge avec envie. En
me tirant par les cheveux, il me traîna jusqu'au salon, sans que mister chibre ne quitte
un seul instant ma bouche. Il s'assit dans le canapé, et m'ordonna de continuer ma
besogne. Il avait toujours mister téléphone à la main.
- Dire que c'est sur ce canapé que ta copine s'est doigtée hier soir en pensant à
moi ! Je crois qu'on va changer les règles du jeu, ma petite Jeanne. Tu es une très
bonne suceuse, mais j'ai vraiment très envie de baiser Charlotte, et sous tes yeux en
plus !
Je me libérai un instant de sa bite pour lui répondre. Il en profita pour me donner
des petits coups de verge sur le visage.
- Comment ça ? protestai-je. Tu m'avais promis ! Je suis une bonne salope, je te suce
depuis au moins dix minutes !
chrislebo

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#3,236
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La petite cochonne entreprit de se lever, non sans mal puisque l'alcool la
faisait tituber. Elle se tint droite sur le tapis du salon, en face de Denis et
Baakari qui étaient toujours affalés dans le canapé. Sa nouvelle position la plaçait
exactement en face de moi, je me retirai donc précipitamment de mon emplacement par
peur qu'elle m'aperçoive. Tiraillé par la curiosité, je revins toutefois quelques
secondes après vers l'entrebâillement de la porte, en glissant prudemment un œil vers
le salon. En réalité, il n'y avait aucun risque que Charlotte me voit, car elle était
trop saoule et trop absorbée par la tâche qui l'occupait actuellement : tenter
d'exciter au maximum Denis et Baakari. Elle était terriblement sexy. Ma copine était
en train d'onduler sur place, en se caressant d'une main les cheveux, de l'autre la
poitrine, qu'elle avait libérée en faisant tomber sa robe à sa taille. Elle avait déjà
abandonné ses talons. Elle jouait avec ses seins et passait régulièrement sa langue
sur ses tétons. Parfois, prise d'un frismister, elle laissait tomber sa tête en arrière,
comme transportée par le plaisir et la concupiscence. Je ne l'avais jamais vu comme
ça : Charlotte était entrée dans une transe sexuelle qui la métamorphosait ! Soudain,
elle lâcha ses cheveux et tourna le dos au canapé. Elle se pencha en avant et fit
glisser la robe rouge jusqu'à ses pieds. Elle offrait maintenant à l'assistance la
vision de mister petit cul rebondi, traversé au centre par un minuscule string noir. Lui
aussi glissa rapidement jusqu'à terre. De sa main droite, elle se donna une fessée
énergique, écarta une de ses fesses pour laisser entrevoir mister anus et, plus bas, ses
lèvres luisantes de mouille. De la main gauche, ma copine entreprit de flatter
langoureusement mister clitoris. Ce petit jeu dura plusieurs minutes. Bruyants quelques
instants plus tôt, Denis et Baakari étaient maintenant silencieux, absorbés par ce
spectacle électrisant. D'où j'étais, je pouvais constater que des bosses
impressionnantes s'étaient formées à l'entrejambe des deux lascars, qui se
masturbaient déjà à travers leur pantalon.
Charlotte se redressa finalement et se retourna, pour retrouver sa position
initiale. Elle était désormais complètement nue. Sa main droite retrouva rapidement le
chemin de mister vagin, dans lequel elle pénétra deux doigts. Elle fixait Baakari du
regard : l'alcool lui avait visiblement redonné toute mister assurance !
- J'ai rarement vu une femme aussi chaude ! lança Denis à mister voisin, tu es sûr que
c'est la première fois qu'elle fait cocu mister copain ?
- En tout cas, c'est ce qu'elle m'a dit, répondit Baakari. Mais c'est vrai qu'elle est
encore plus chaude que les salopes qu'on ramasse en boîte le week-end...
Charlotte ne semblait pas offensée par ces réflexions grivoises. Au contraire,
elle se mit à quatre pattes, se cambra au maximum et se rapprocha du canapé. Elle posa
ses mains sur les paquets de Denis et Baakari, qui tressaillirent d'excitation. Elle
malaxa tendrement les deux verges à travers le tissu.
- J'ai menti ! annonça-t-elle, avec un brin de fierté dans la voix. Je t'ai écrit ça
au moment où Jean passait dans le salon, j'ai eu peur qu'il y jette un coup d'œil ! Il
ne m'excitait déjà pas beaucoup, mais depuis qu'il a perdu mister boulot, j'ai perdu tout
désir pour lui ! Cela fait un mois que je me tape mon patron dans la réserve du
magasin... C'est bon de se sentir femme après autant de temps !
Les deux compères éclatèrent de rire. Une nouvelle fois, je faillis
m'effondrer. Cette journée était décidément riche en révélations ! Charlotte venait
d'avouer qu'elle me trompait avec Greg, mister supérieur de 35 ans que j'avais récemment
rencontré. C'est vrai qu'il était plus beau gosse, avec sa barbe de trois jours et mister
teint halé, mais j'étais loin d'imaginer qu'il se tapait ma copine ! Je pensais à
Baakari, qui me savait caché dans la chambre d'amis. Il devait bien se marrer au fond
de lui ! Je me dis que cette matinée allait rester gravée dans ma mémoire toute ma
vie. Je passais par tous les stades émotionnels possibles : de la colère à la
soumission, de la jalousie à l'excitation... Et quelle frustration de voir Charlotte
succomber de tout mister être à l'appel du plaisir, alors qu'elle ne s'était jamais
lâchée à ce point avec moi ! Je tremblais de froid, de tristesse et de nervosité
sexuelle dans cette petite chambre, alors que ma copine s'apprêtait à s'offrir à deux
autres hommes, à quelques mètres de là...
Le canapé tournait le dos à ma cachette, je ne pouvais donc pas distinguer
l'intégralité des corps de Baakari et de Denis. Je les vis toutefois s'agiter, et
chacun libéra de mister pantalon de survêtement un sexe déjà dressé vers le ciel. J'avais
eu l'occasion de faire connaissance avec celui de Baakari en début de matinée, et je
constatai qu'il semblait de nouveau prêt à un rapport sexuel. Par contre, je
découvrais pour la première fois la verge de Denis. Elle aussi était surdimensionnée !
Couleur café, elle devait bien mesurer 20-22 cm, et elle était aussi large que celle
de Baakari. C'était deux matraques qui se présentaient à quelques centimètres du
visage de Charlotte. Celle-ci ne resta pas indifférente et sembla totalement scotchée
par le spectacle qui s'offrait à elle. Baakari eut un rire satisfait et attrapa ma
copine par les cheveux, pour la rapprocher encore un peu plus des deux sucettes.
- Alors, ma coquine, nos jouets te plaisent ? lui demanda-t-il en maintenant fermement
mister emprise sur la crinière blonde.
- Waaooh ! Putain ! Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses ! s'écria Charlotte. Même
celle de mon patron, qui me ramone super bien, paraît minuscule à côté des vôtres !
Ma copine salivait d'envie devant les mandrins de Denis et Baakari. Elle ne
résista pas longtemps à l'envie d'y toucher, et les agrippa énergiquement en les
fixant du regard : elle semblait littéralement émerveillée par cette vision. Dans la
main droite Baakari, dans la main gauche Denis. Tous deux soupirèrent de plaisir
lorsqu'ils sentirent l'étreinte des petites mains habiles de leur nouvelle traînée.
- Aaaaah ! C'est toujours aussi bon ! lâcha Denis. Vas-y Charlotte, branle-nous et
suce-nous comme une affamée, ta chatte et ton cul n'en seront que mieux récompensés !
Autant dire que la petite salope obéit à la lettre aux ordres de ses amants. A
quatre pattes, les fesses mises en évidence par sa cambrure excessive, Charlotte
entreprit d'offrir aux deux bites la fellation de leur vie ! Elle léchait les tiges,
suçait les glands, gobait les testicules comme si mister existence en dépendait. Elle
passait d'une verge à l'autre en laissant s'échapper des filets de salive, qui
finissaient par goutter sur mister menton, ses seins et le tapis du salon. Comme mister
voisin, Denis avait fini par agripper une touffe de cheveux blonds, ma copine était
donc dirigée dans ses mouvements par ses deux amants, qui seuls décidaient du rythme
de la pipe et de l'alternance entre les deux chibres. De longues minutes furent
consacrées à la lubrification de ces engins sexuels. On n'entendait plus que les
gémissements lubriques de Charlotte et la forte respiration de Denis et Baakari,
parfois interrompue par des remarques salaces. « Ooh ouais ! », « Ha ha ! Mais quelle
salope ! », « T'es vraiment une affamée, toi ! »... De mon côté, je n'avais pas pu
résister à l'envie de me masturber. J'avais fait tomber mon caleçon à mes pieds, et je
me donnais du plaisir en observant ma copine en donner à ces deux veinards.
Malheureusement, l'excitation était trop forte et je jouis à mes pieds en quelques
minutes à peine.
- Je crois qu'il est temps de passer aux choses sérieuses ! déclara finalement Baakari
en se relevant. On va te rendre la monnaie de ta pièce...
Notre voisin ramena la table basse au centre du tapis et força sa proie à se
relever, la tenant toujours par la chevelure. Il installa sur la table quelques
coussins pris sur le canapé.
- Allonge toi sur le dos ! lui ordonna-t-il.
Charlotte obéit et se mit en position. La table basse ne mesurait qu'1m20 de
longueur environ, ce qui était trop court pour que ma copine y repose complètement.
Elle se retrouva finalement avec le bas des jambes et la tête qui dépassaient des deux
côtés. Son visage partait complètement en arrière. Baakari lui maintint des deux mains
et vint se positionner devant lui à genoux, ce qui plaçait mister sexe exactement en face
de la bouche de ma copine. Les yeux de Charlotte étaient au niveau des couilles du
beau black, et ses cheveux tombaient jusqu'au sol. Il n'attendit pas pour enfoncer sa
verge dans le trou qui s'offrait à lui.
- A toi l'honneur, dit-il à Denis. Je te laisse inaugurer sa chatte !
Denis ne se fit pas prier et sortit du canapé pour venir se positionner de
l'autre côté de la table basse, au niveau des jambes de Charlotte. Il les releva et
installa les pieds de ma belle sur ses épaules musclées, ce qui lui laissa la voie
libre jusqu'aux petites lèvres luisantes d'excitation. Je vis mister visage s'enfoncer
vers le vagin qui s'offrait à lui. Ma copine fit elle-même un mouvement de bassin pour
entrer plus rapidement en contact avec la bouche de mister amant. Au puissant gémissement
que laissa échapper Charlotte, je compris que Denis avait commencé à lui lécher
l'entrejambe. La scène était merveilleuse et devait satisfaire les deux compères : ma
copine, allongée sur la table basse, suçait Baakari d'un côté et offrait mister vagin à
la langue experte de Denis de l'autre. Elle aussi semblait apprécier. La tête en
arrière, elle avait du mal à déglutir devant les assauts de Baakari qui lui baisait
littéralement la bouche (j'avais subi le même traitement un peu plus tôt), et
relâchait énormément de salive sur le sexe et les testicules d'ébène. Les caresses
buccales de Denis lui faisaient frétiller le bassin : elle enserrait et étreignait de
ses jambes le visage qui lui visitait la zone intime, comme pour l'obliger à la lécher
avec toujours plus d'ardeur. Evidemment, elle gémissait abondamment et manifestait mister
plaisir à chaque instant.
Charlotte finit par se libérer du sexe de Baakari et s'adressa à Denis d'un
ton à la fois autoritaire et supplicateur.
- Allez, range ta langue et remplace-la par ta bite ! Je te veux en moi, vite ! J'en
ai trop envie !
Baakari éclata de rire en entendant ces mots. Il tapota sa verge sur le visage
de ma copine, qui répondit en embrassant le gland dès qu'il passait à portée de ses
lèvres.
- Eh bien, lui dit-il, on peut dire que tu sais comment exciter un homme ! Quand il
s'agit de baise, on dirait que tu oublies complètement ton copain, n'est-ce pas ?
- Arrête de me parler de lui ! rétorqua-t-elle. C'est de vrais mecs comme vous, avec
des longues sucettes au chocolat dont j'ai envie ! Je veux les sentir en m...
Haaaaaaan !
chrislebo

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#3,237
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Charlotte interrompit sa phrase au moment où Denis, qui avait bien reçu le
message, pénétrait de mister large priape le vagin de sa femelle. Il entra en elle d'un
coup, sans précautions et surtout sans préservatif, largement aidé par la quantité de
mouille impressionnante qu'elle avait déversée. Ma copine fut immédiatement prise d'un
frismister qui lui parcourut tout le corps, et se remit à gémir de plus belle.
- Han ! Han ! Nous les salopes, on les baise sans capote pour qu'elles nous sentent
bien en elles ! Ca te plaît, petite cochonne ?
En prononçant ces mots, Denis imprimait déjà un rythme impressionnant à ses
coups de butoir. Il ôta la chemisette qu'il portait, libérant un corps puissant déjà
luisant de sueur. Son physique et mister assurance, comme pour Baakari, me faisaient
penser aux acteurs des films pornographiques. Et ma copine était entre leurs mains !
Elle entoura la taille de Denis avec ses jambes et avança une de ses mains pour
caresser les tablettes de chocolat de mister amant. La tête redressée et crispée par
l'excitation, elle criait maintenant sa jouissance, comme possédée par le plaisir.
- Ooooh ! Oui ! Oui ! Greg aussi me baise sans capote, je te sens mieux... comme ça !
Vas-y ! OUIII !
J'avais dû attendre deux ans avant d'avoir droit au sexe sans préservatif, et
cette petite salope s'offrait tous les jours à Greg sans précaution, alors qu'elle le
connaissait à peine ! Je savais qu'il lui arrivait régulièrement d'oublier sa pilule :
si ça se trouve, elle allait se faire enfanter par un de ses amants !
Après quelques minutes que je n'aurais pas su compter, puisque je commençais à
perdre toute notion du temps, les trois amants changèrent de position. Charlotte se
releva et se mit à quatre pattes sur la table basse, offrant cette fois-ci ses fesses
et mister vagin à Baakari. Elle caressa tendrement le torse de Denis, qui venait de lui
offrir un plaisir intense, et les deux amoureux s'embrassèrent langoureusement pendant
de longues secondes. Ce geste sensuel me fit très mal au cœur, car on aurait dit
qu'ils formaient un couple, au-delà de la dimension sexuelle de leur relation.
Surtout, comme j'avais joui très rapidement pendant la fellation de ma copine,
l'excitation s'était peu à peu estompée et je redevenais jaloux. Charlotte se détacha
finalement de Denis et tourna la tête vers Baakari, la provocation sexuelle dans le
regard.
- Alors, qu'est-ce que tu attends, beau gosse ? Tu me la mets, ta matraque ?
Elle colla elle-même mister cul à la verge de notre voisin et le bougea d'une
manière terriblement sensuelle, de telle sorte qu'elle masturbait l'imposant mandrin,
coincé entre les deux fesses. Dans le même temps, elle avait repris une fellation sur
le sexe de Denis, qui grognait de plaisir. Baakari agrippa des deux mains la taille de
Charlotte et s'enfonça profondément dans mister antre. Une nouvelle série de gémissements
et de jouissances s'ensuivit.
- Tu l'aimes, ma queue ? demandait Baakari. C'est autre chose que la petite bite de
Jean, hein ?
- Ooooh oui ! criait ma copine. Ce mistert vos bites que je préfère ! Baisez-moi... la
bouche et la chatte ! Je veux votre sperme partout en moi, lâchez-vous dans mes trous
quand vous aurez bien pris votre pied !
C'était terrible à entendre et incroyablement excitant à voir. Charlotte avait
le cul en l'air, les jambes écartées au maximum pour laisser Baakari aller et venir
dans mister vagin. Ses pieds étaient pointés vers le ciel, je les voyais tressaillir à
chaque coup de butoir de mister amant. Les fessées répétées du beau noir donnaient des
frismisters chaque fois plus puissants à ma copine, qui n'était plus qu'une chatte sur
pattes, ne vivant que pour les deux belles verges qui se présentaient à elle.
Il est clair que Denis et Baakari étaient de véritables athlètes du sexe,
j'aurais été incapable de faire l'amour aussi longtemps et aussi franchement. Mais ma
copine, qui délirait de plus en plus et se montrait à chaque coup de bite un peu plus
lubrique et provocatrice, eut finalement raimister de leur endurance. Dans un râle de
plaisir, Denis se déversa le premier dans la bouche et sur le visage de Charlotte.
Elle le remercia en lui nettoyant tendrement le gland, avec lequel elle continua de
jouer pendant que Baakari poursuivait sa performance. Ce-dernier, quelques minutes
après, annonça à l'assistance qu'il allait également jouir.
- Tu veux sentir mon foutre en toi, petite salope ? Demanda-t-il à ma copine.
- Ouui ! répondit-elle sans hésiter. Déverse-toi en moi, possède-moi ! Engrosse ta
petite pute ! Ma chatte t'appartient, c'est TA chatte !
Ce cri du cœur électrisa encore davantage l'ambiance de l'appartement. Je me
remis à bander, et je vis que le sexe de Denis reprenait aussi du poil de la bête.
Baakari tira Charlotte par les cheveux pour qu'elle se redresse et se colle à lui. Il
entoura sa taille de ses bras et commença à l'embrasser dans le cou. Ma copine,
entièrement conquise, jeta sa tête en arrière et la reposa sur l'épaule du beau black.
Alors qu'il la prenait par derrière, ce-dernier passait ses mains épaisses et noires
sur le corps de Charlotte. Il lui caressait les seins, le ventre, le clitoris. Le
spectacle était insensé tant il était bandant. Ma copine hurlait mister plaisir, elle
suppliait cette bête de sexe qui la besognait de se vider en elle.
- Haaaaan ! Haaaaan !... Vide-toi !... Engrosse-moi !... Prends-moi toute entière !
- Je vieeeens ! cria Baakari. Aaaaaaahhhhh !
Dans un ultime soubresaut, notre voisin se vida intégralement dans le vagin de
Charlotte. Celle-ci eut l'orgasme le plus violent qu'il m'ait été donné de voir
jusqu'à ce jour. Puis elle resta là, tremblante de plaisir, le dos collé au torse
musclé de Baakari. La sueur coulait sur leurs corps fourbus et satisfaits. Baakari
relâcha finalement le bras qui maintenait ma copine contre lui et la laissa s'écrouler
sur les coussins. Elle était manifestement épuisée.
- Quelle baise ! s'écria Denis. Tu t'es pas foutu de moi, mec !
Il s'approcha de Baakari et lui tapa dans la main. Ils eurent deux ou trois
réflexions grivoises que je ne compris pas bien (sûrement des délires entre amis),
puis ramassèrent les vêtements éparpillés un peu partout pour se rhabiller. Charlotte
se caressait doucement les seins et souriait en observant ses deux mâles dominants.
Notre voisin ramassa la robe rouge tombée près du canapé et lui tendit.
- Rhabille-toi, petite coquine ! C'est fini pour aujourd'hui ! J'avais prévu de
dépuceler ton petit cul, mais ce sera pour la prochaine fois !
Ma copine se releva et entreprit de remettre sa robe. Manifestement l'alcool
faisait toujours mister effet, car elle mit un moment pour y parvenir. Puis elle vint se
coller à Baakari et lui embrassa langoureusement le torse, encore dénudé.
- La prochaine fois ? Ce sera très vite, j'espère ! s'inquiéta-t-elle. Vous venez de
m'offrir la baise de ma vie ! Sérieusement, je ne vais pas tenir longtemps avant de
vouloir recommencer ! Mais Jean est chômeur, c'est compliqué, il est toujours là !
- Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça, la rassura Baakari. En attendant, dépêche-
toi de retourner au boulot, tu es sûrement attendue ! On reste en contact par
textos...
- Ah oui ! J'avais oublié le travail, le temps est passé si vite avec vous !... Je
passe à l'appartement prendre une douche et j'y retourne !
Charlotte retrouva ses talons sous la table basse, les enfila et embrassa
Denis et Baakari avant de se retirer. Notre voisin lui mit une petite claque sur les
fesses avant de lui ouvrir la porte.
- Essaye de tenir jusqu'à nos retrouvailles, Jean ne doit pas se douter de ton petit
manège...
- Ne t'inquiète pas, ce mec est vraiment con, il est super naïf ! Je vais me faire
sauter par Greg avant de rentrer ce soir, ça me fera du bien ! Mais à côté de vos
bites, je ne sais pas si je sentirai grand-chose...
Les trois amants éclatèrent de rire comme un seul homme. Charlotte remercia
une nouvelle fois les deux compères pour « cette baise inoubliable » et sortit de
l'appartement. Denis et Baakari se retrouvèrent seuls, le plaisir que leur avait
procuré ma copine encore en tête.

- C'était tout bonnement incroyable ! s'exclama Denis. Je crois que je n'ai jamais
baisé une femme aussi affamée de bite ! Son copain doit vraiment être un gros naze !
- Tu ne crois pas si bien dire, ironisa Baakari en regardant vers ma cachette.
- Par contre, j'aurais pu la baiser une deuxième fois ! Elle m'a trop excité quand
elle t'a demandé de te vider dans sa chatte !
- Si tu as encore envie de baiser, on peut peut-être s'arranger, proposa mon voisin.
J'ai un autre plan cul tout prêt d'ici...
- Sérieux ? Ben écoute, carrément ! Je n'ai rien de prévu cet après-midi, alors ce
serait avec plaisir ! Quelle journée !
- Très bien, déclara Baakari. Mais crois-moi, tu n'es pas au bout de tes surprises...
C'est ainsi qu'ayant assisté, impuissant et complice, au dévergondage de ma
copine Charlotte par un beau black et un métis tout aussi séduisant, j'eus le
sentiment que cette histoire était loin d'être terminée. Déboussolé, apeuré et troublé
d'avoir assisté à un tel déchaînement de plaisir, je me retirai de l'entrebâillement
de la porte et m'assis sur le lit de la chambre, redoutant et désirant tout à la fois
la suite de mes nouvelles aventures sexuelles...
chrislebo

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#3,238
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- Mon voisin Baakari offre mon cul à mister ami Denis, qui m'initie au plaisir anal !

Résumé du deuxième épisode : Mon voisin Baakari et mister copain Denis ont baisé ma
copine Charlotte comme jamais ! A cette occasion, j'ai appris qu'elle me trompait
depuis plusieurs semaines avec mister supérieur Greg. Caché dans la chambre d'amis et à
moitié nu, j'ai pu assister à l'intégralité de mon cocufiage. Une fois Charlotte
partie, nous nous retrouvons à nouveau seuls dans l'appartement, moi toujours caché
dans la chambre, Baakari et Denis riant dans le salon...

Assis sur le lit de cette petite chambre d'amis, mon esprit bouillonnait et
ressassait en boucle les récents événements. Du salon me parvenaient les rires de
Baakari et de Denis, dont je ne discernais plus la conversation, perdu dans la brume
de mes pensées. A travers le mur, l'appartement mitoyen laissait échapper un bruit
d'eau qu'on faisait couler. C'était mon appartement, et c'était certainement Charlotte
que j'entendais prendre sa douche. Elle lavait la souillure que venaient de lui
infliger ses deux amants. Peut-être se touchait-elle en repensant au plaisir insensé
qu'elle avait pris ? Un peu à l'ouest, je fus bientôt ramené à la réalité par une
agitation nouvelle qui régnait au salon. Les deux compères, qui quelques temps plus
tôt avaient volé ma copine, étaient en mouvement.
- Tu es sérieux ? demandait Denis. Il est juste là, derrière ?
- On ne peut plus sérieux ! rétorquait Baakari. Et il est entièrement à toi ! Cela
fait déjà deux fois que je me vide depuis ce matin, je ne me sens pas la power de
recommencer aussi vite...
- Comme tu veux, mec ! répondit Denis. Je vais me faire plaisir en le rassasiant...
- Bonne idée ! l'encouragea mon voisin... Ah ! Attends, prends-ça avec toi, je suis
sûr que ça va lui plaire...
Je compris en moins d'une seconde ce qui se passait. Baakari venait de trahir
ma cachette ! Qu'allait-il encore m'arriver ? Humilié, bouleversé, je m'enfonçai un
peu plus vers le fond du lit, espérant ainsi échapper aux deux mâles dominants qui
rôdaient dans l'appartement. Des pas lourds se rapprochèrent de la chambre, une ombre
large et inquiétante se dessina dans l'entrebâillement de la porte. Recroquevillé sur
la couette, je retins mon souffle et attendis. D'un coup, ce grand panneau de bois,
qui m'avait tout ce temps protégé et permis d'assister au dévergondage de Charlotte,
fut grand ouvert. Dans l'encadrement de la porte, grand et fort, se tenait Denis. Il
posa sur moi un regard de feu, qui me figea sur place autant qu'il m'excita. Il était
encore plus impressionnant de face. Pieds nus, le survêtement enfilé à la va-vite et
la chemisette encore entrouverte, Denis tenait dans la main droite un bout de tissu
noir. Je reconnus très vite le string de Charlotte ! La salope était partie en
laissant aux deux compères un petit souvenir de leur baise... Apeuré par la présence
de Denis, qui me fixait toujours des yeux, je restai immobile alors qu'il pénétrait
dans la pièce. Baakari le suivait de près.
- Salut, Jean ! déclara le beau métis avec entrain. Je suis ravi de te rencontrer !
Baakari m'a dit que tu n'étais pas farouche... Tu m'intéresses !...
- C'est le moins qu'on puisse dire ! renchérit mon voisin. Il a assisté bien sagement
à mister cocufiage, sans intervenir ! Un vrai petit soumis...
Je me sentais évidemment honteux devant ces deux bêtes de sexe, qui avaient
visité le vagin de Charlotte, et m'observaient maintenant avec amusement et mépris.
D'autant que mon accoutrement était loin d'inspirer le respect.
- Je t'avais promis ta première sodomie, m'annonça Baakari. Finalement, c'est Denis
qui va s'en charger ! Cela fait deux fois aujourd'hui que je promets à quelqu'un de
l'enculer, sans mettre mes menaces à exécution. D'abord Charlotte, maintenant toi...
Mais ne t'inquiète pas, je réglerai ça très prochainement... Crois-moi !
A vrai dire, je ne doutais pas des intentions de Baakari. Dès la fellation que
je lui avais offerte dans la matinée, j'avais senti qu'il finirait par m'avoir ! Ce
n'était que partie remise... Pour le moment, il m'offrait comme une pute à mister ami
Denis, et je n'avais aucun moyen, ni d'ailleurs aucune envie d'y échapper ! Mon beau
voisin vint s'installer sur le lit, légèrement à l'écart. Il laissait ainsi le champ
libre à mister pote et à sa future femelle. Soumis, acceptant mon sort, je tournai les
yeux vers Denis. Toujours debout près du lit, ce-dernier me fixait avec insistance. Je
lisais déjà la lubricité et l'excitation sur mister visage. Je n'avais aucun moyen de
m'observer, mais je pense que ma position, ma tenue, et même le regard que je portais
sur ce métis incroyablement musclé trahissaient également mon attirance pour lui... Il
avait donné énormément de plaisir à ma copine, et cela me rendait jaloux. Il me
fallait moi aussi goûter à la puissance et à la virilité de cet homme magnifique ! Je
le vis me faire un clin d'œil, ce à quoi je répondis en me passant la langue sur les
lèvres. Je ne sais pas d'où me vint cette idée folle, mais je ressentais un
irrésistible besoin de le chauffer, de me comporter comme une femelle en chaleur pour
mieux provoquer mister désir. C'était manifestement réussi : mister pantalon était
complètement déformé au niveau de l'entrejambe. La bite de mon homme m'appelait de ses
vœux !
- Il paraît que tu suces comme une reine, me lança-t-il soudainement. J'attends de
voir ça ! Descends du lit et viens entamer ton dessert... Vite !
Je n'attendais que cet ordre pour m'abandonner totalement à l'appel du sexe.
Denis et Baakari m'avaient très bien cerné, ils avaient su voir la petite salope qui
sommeillait au fond de moi. Chacun de leurs ordres, chaque marque de domination
m'électrisait un peu plus. J'arrachai rageusement mon t-shirt blanc, pour me retrouver
vêtu d'un simple caleçon, encore souillé par la branlette qui avait accompagné mon
cocufiage, puis je me laissai tomber au sol depuis le lit. A quatre pattes, je rampai
vers Denis en faisant danser mon petit cul. Si Charlotte avait vu ça, je crois qu'elle
m'aurait immédiatement quitté ! Arrivé à hauteur de mon homme, je me mis à genoux et
leva les yeux vers lui.
- Sors ta bite, implorai-je avec lascivité. Je vais la bouffer toute crue...
- Oouuuh ! souffla Denis. Continue comme ça, et je vais t'offrir la baise de ta vie !
Mais avant, tiens ! Enfile ça ! Cela conviendra mieux à une salope comme toi...
Mon homme fit tomber à mes pieds le string noir qu'il tenait dans sa main.
Celui de Charlotte. Je m'empressai de retirer mon caleçon et d'enfiler ce dessous
féminin à la place. Je n'avais encore jamais porté de string, j'éprouvai donc une
sensation étrange, sentant mon entre-fesse violée par cet indécent fil de tissu. A la
fois, je me rendis compte que cette tenue faisait ressortir mes deux petites fesses
rebondies, ce qui décupla mon excitation. Je rapprochai mon visage du corps de Denis
et le suppliai une nouvelle fois de libérer mister sexe puissant. Le survêtement fut
écarté et le caleçon tomba aux chevilles. Toujours à genoux, je me retrouvai nez à nez
avec l'instrument du plaisir de Charlotte. Cette belle queue, épaisse et bronzée,
éveillait en moi des sentiments jusque là inconnus. Elle était encore luisante et
recouverte d'un léger liquide, mélange du sperme de Denis et de la mouille de ma
copine. Je ne fus pas rebuté par cette apparente saleté, bien au contraire. D'un
mouvement décidé, j'ouvris la bouche pour accueillir la belle bite qui m'était
offerte. Ce n'était que ma deuxième fellation, mais je me sentais déjà expert en la
matière ! Je commençai par enrouler le gland de ma langue, en libérant sur cette verge
un premier flot de salive. J'entrepris de nettoyer la bûche de Denis avec application,
passant mes lèvres alternativement sur la tige et l'énorme champignon qui la
surplombait. Je n'oubliai pas non plus de m'occuper des testicules, les gobant et les
aspirant à l'envi. J'agrippais de mes mains les cuisses puissantes de mon amant, et je
m'efforçai de faire ressortir mon petit cul au maximum. Ce traitement dura de
nombreuses minutes, pendant lesquelles mon nouveau compagnon sexuel m'arrosa
d'insultes, trahissant le plaisir qu'il prenait en me baisant la bouche. « Oh putain !
Salope ! Vas-y... Ouais ! Même ta chienne de copine ne m'a pas aussi bien sucé !...
Petit pédé, tu vas la prendre ma queue, et tu t'en souviendras ! »
Comme j'ondulais mon corps tout en suçant Denis, le string que je portais
frottait mes testicules et mon anus avec un rythme de plus en plus soutenu. Je fus
surpris de constater que cela m'excitait énormément ! N'y tenant plus, je me sentis
soudain prêt à faire le grand saut, à abandonner ce qui me restait de virilité en
offrant mon antre à mon amant. Libérant ma bouche de sa verge, je le regardai droit
dans les yeux et lui lançai ces paroles pleines d'obscénité :
- Si tu veux me casser le cul, je suis prêt ! Je veux être ta pute !
- Tu n'auras pas à le dire deux fois ! s'exclama Denis, lui aussi électrisé par
l'énergie sexuelle qui régnait dans la chambre. Reste par terre, le cul en l'air ! Je
vais commencer par te prendre comme la petite chienne que tu es !
Obéissant aux ordres de mon maître, je me plaçai à quatre pattes, pointant mes
fesses vers le ciel. Les jambes écartées et la croupe cambrée au maximum, j'allongeai
mes bras vers l'avant et posai ma tête sur le sol, offrant ainsi le meilleur accès
possible vers mon anus. Denis avait raimister : j'avais naturellement pris une position
de chienne, attendant impatiemment la saillie de mon mâle dominant. Malgré mon envie
irrésistible de me faire baiser, ramoner, siphonner comme jamais, les dimensions
impressionnantes du sexe de Denis m'inquiétaient. Comment allait-il entrer dans un si
petit trou ?
chrislebo

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#3,239
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- Tu n'iras pas trop fort au début, hein ? m'inquiétai-je auprès de mon amant.
- Ne t'inquiète pas, me rassura Denis, des petits culs comme le tien, j'en ai brisé
des dizaines ! Je commencerai doucement, et après cinq minutes tu me supplieras de
tout te donner...
Comme il finissait sa phrase, mon homme plaça mon string sur le côté et
m'écarta les fesses de ses mains expertes. Son souffle chaud se rapprocha de mon
intimité. Je sentis alors l'humidité et la froideur de sa langue entrer en contact
avec ma rondelle. Tout mon corps frismisterna d'excitation, et je ne pus retenir un petit
cri de surprise. Le plaisir grimpa progressivement en moi, à mesure que la langue de
mon homme détendait, par l'effet de ses lapements, l'entrée de mes entrailles.
- Ton cul est magnifique, souffla Denis. Pour le moment, il est tout serré... mais
plus pour longtemps !
- Hmmmmmmm, gémis-je avec insistance. Bouffe-le ! Bouffe-moi la chatte ! Je suis ta
femme, ta femelle !... Mon trou t'appartieeeent... !
La fin de ma phrase se perdit dans un gémissement aigu et sensuel. La langue
experte de mon beau métis accélérait ma transformation en petite traînée. Je crois
qu'il me mangea ainsi le cul pendant dix minutes, mais je perdis rapidement la notion
du temps sous l'effet du plaisir. Par moments, je relevais la tête et apercevais
Baakari, sur le lit, qui nous observait avec envie. Il avait sorti sa verge pour se
masturber devant le spectacle de ma soumission. Finalement, Denis libéra sa bouche de
mon entre-fesse et se redressa. Toujours immobile, j'attendais sagement qu'il vienne à
la rencontre de mon anus, ce qu'il fit très rapidement. Le souffle bruyant du fait de
l'excitation qu'il ressentait, mon amant vint se positionner derrière moi, à genoux,
et m'infligea une violente fessée. La claque provoqua en moi une onde de plaisir, qui
se répercuta jusque dans mon anus. Je me rendis compte que moi aussi, je respirais
très bruyamment : j'avais terriblement envie de la queue de cet homme !
- Allez ! Déclara solennellement Denis. Il est temps que tu rejoignes officiellement
la famille des femelles... Ta vraie famille !
Une main m'attrapa fermement une fesse, l'autre m'appuya dans le bas du dos
pour me powerr à me cambrer. Soudain, je sentis une pression contre ma rondelle. J'y
étais ! Denis guida mister champignon pour qu'il power, tout doucement, l'entrée de mon
anus. J'étais totalement crispé et attendais calmement la suite, de peur qu'un geste
brusque ne m'empale sur la verge de mon amant. Finalement, Denis donna un ultime coup
de rein et pénétra entièrement en moi ! Je sentis ses couilles claquer contre mes
fesses.
- Haaaaan ! criai-je, secoué par la douleur qui me paralysa sur le coup.
- Doucement, ma belle ! me lança mon amant en me caressant les fesses. Attends
quelques secondes, tu vas te détendre naturellement...
La bite de Denis était enfoncée de moitié dans mon antre. J'avais le sentiment
que chaque millimètre de mon cul était occupé par cette énorme verge, qui menaçait de
me transpercer à tout moment. Puis, après quelques secondes d'immobilisme, je sentis
mon sphincter se détendre, et Denis put commencer à entreprendre de légers mouvements
de bassin.
- Voooilàààà, me rassura-t-il avec tendresse. Ton cul est cassé ! On va pouvoir passer
aux choses sérieuses, ma petite Jeanne... Tu es ma femme, maintenant !
Effectivement, j'étais à présent la traînée de Denis. Pour la première fois de
ma vie, une bite allait et venait dans mon anus, dont la douleur s'estompait peu à
peu. Mes jambes étaient écartées au maximum et mon string noir était déjà en train de
se distendre. S'en apercevant, mon amant, qui commençait à s'épanouir dans mon antre,
tira sur le tissu et l'arracha très facilement. Quelle virilité ! Je me sentais
totalement possédé, et la power avec laquelle mon assaillant me maintenait les hanches
me rendait totalement folle de lui... Le frottement de sa bite dans mon cul arracha
mes premiers gémissements de femelle.
- Alors ? me demanda-t-il. Han !... On y prend vite goût, hein ?
- Oui !... Je commence... Han !... à bien te sentir... en moi ! confiai-je à Denis, le
souffle court.
Après quelques minutes de ce traitement, la douleur des premiers instants
avait laissé place à une vague indicible de plaisir. De plus en plus sûr de lui, mon
homme me donnait maintenant de violents coups de boutoir, ponctués par ses insultes et
ses puissantes fessées.
- Traînée ! Pute ! Tu la sens bien, ma bite de cheval, hein ? T'es fait pour la baise,
t'es fait pour les grosses queues de black !
- Ouiiii ! répliquai-je, envoûté par ces paroles incroyablement viriles et
humiliantes. Je suis une affamée, une salope !
Plus je m'humiliais en reconnaissant ma soumission et ma condition de petite
pute, plus je prenais mon pied. Je m'abandonnais complètement entre les mains de
Denis, qui faisait de moi sa compagne docile et amoureuse. Je sentais dans mon anus la
chaleur et la jouissance provoquées par les assauts de mon amant. Je n'avais qu'une
envie, être baisé de la sorte pendant des heures et des heures. Et manifestement,
cette envie était partagée par mon partenaire.
- Ton cul est génial à baiser ! s'exclama-t-il. On dirait une petite chatte détrempée,
j'entre dedans comme dans du beurre !
- J'aimerais tant être une femme ! Han !... Une petite femme à tes ordres, Denis...
Han !
- Hmmm ! Tu m'excites à mort, Jeanne ! Suis-moi sur le lit, je vais te baiser comme
une femme, puisque c'est ce que tu veux !
Me tirant par les cheveux, Denis me força à me relever. Encore secoué par le
traitement que je venais de subir, je tenais à peine debout ! Mon amant me donna une
claque sur les fesses et m'invita à m'allonger sur la couette. Installé sur le dos, je
fis comme les femmes que j'avais vu faire dans les films pornographiques. J'écartai
les jambes et tendis les bras vers Denis, pour l'inviter à venir en moi. Il ne put
résister au spectacle de débauche que je lui offrais, et se jeta littéralement sur mon
corps. En bonne petite pute, j'enroulai naturellement mes cuisses autour de sa taille,
alors qu'il dirigeait une nouvelle fois sa bite vers mon anus. Je fus soulagé de le
sentir à nouveau dans mon cul, et l'accueillit avec un soupir de satisfaction !
Perdant la raimister, j'agrippai le visage de mon amoureux et l'embrassai fougueusement.
D'abord surpris, Denis finit également par sortir sa langue, et nous partageâmes alors
le moment le plus sensuel que je vécus dans ma vie. Amoureuse, j'embrassai l'homme qui
me donnait un plaisir indescriptible à l'aide de sa bite, me fourrant et me
remplissant le cul en véritable bête de sexe. Je sentais contre mon torse mister corps
musclé et viril, ruisselant de sueur. J'étais à deux doigts de délirer complètement.
- Je... Han !... vais te faire crier comme une chienne ! me confia alors Denis. Et je
jouirai en toi ! Je suis sûr que tu pourrais tomber enceinte, j'ai vraiment
l'impression... Han !... de baiser une petite femme !
Mon amant accéléra le rythme de ses coups de bite. Je l'enserrais toujours de
mes jambes, le forçant à entrer chaque fois plus profondément en moi. Je lui caressais
le dos de mes mains, j'allais au-devant de ses assauts en avançant mon bassin vers sa
queue. J'étais aux anges ! Sans m'en rendre compte, je m'étais mis à crier des
obscénités et des encouragements à l'attention de mon partenaire. Cette fois, je
délirais pour de bon ! « Plus fort ! », implorais-je, « Prends ta chatte ! »...
« J'aime ta queue ! »... Je ne vivais plus que pour le plaisir de sentir cette grosse
bite me défoncer le cul. Je pense que j'aurais fini par m'évanouir, si Denis n'avait
pas finalement lâché prise. Dans un ultime râle viril, il se vida en moi. Je sentis la
pression du foutre qui envahissait mon anus. J'avais l'impression qu'il y en avait des
litres !
- Aaaaaaaaah ! Aah ! Je t'ai rempli, salope ! Jeanne, tu m'as complètement vidé !!
Mon homme resta de longues minutes sur moi. Je pus sentir sa verge débander
doucement dans mon antre. Il m'embrassa dans le cou, sur le front, sur la bouche... Il
remerciait tendrement sa femelle après avoir bien profité de sa chatte ! Moi, heureux
d'avoir enfin connu le plaisir au féminin, je lui rendais ses baisers et lui caressais
les fesses rebondies et musclées, qui me fascinaient tant.
- Tu ne me feras pas croire que tu es hétéro ! ironisa-t-il. Tu as pris trop de
plaisir pour aimer les femmes ! C'est pour te faire enculer que tu es née, Jeanne !
- Oui... dus-je reconnaître. J'avoue qu'après ça, j'aurai du mal à me passer de
queue... Mais j'aime aussi les femmes ! Charlotte est très belle, elle...
- Charlotte n'est plus à toi ! nous interrompit soudain Baakari. Tu le sais aussi bien
que nous ! Tu es une pute, Jeanne, et tu es faite pour faire plaisir aux hommes. Mets-
toi ça dans la tête !
J'avais fini par complètement oublier la présence de mon voisin, qui s'était
masturbé à quelques centimètres de nous pendant tout ce temps. Je restai coi devant
ses provocations, rouge de honte, incapable de réagir aux offenses que
m'infligeaient Baakari et Denis. J'avais certes pris un plaisir incroyable en offrant
mon corps à un mâle dominant, mais je n'étais pas pour autant prêt à laisser tomber
Charlotte... Dans l'idéal, j'aurais souhaité qu'elle ne soit jamais au courant de
cette histoire. Mon amant se redressa finalement et partit à la recherche de ses
affaires, abandonnées çà et là dans la chambre. Puis mon voisin reprit la parole d'une
voix autoritaire.
- Maintenant, rhabille-toi et dégage ! m'ordonna-t-il. Demain soir, tu viendras avec
Charlotte prendre l'apéro. 19h chez moi, est-ce que c'est clair ?
- … Ou... oui, balbutiai-je timidement. Comme tu voudras, je... je le dirai à
Charlotte ce soir.
Je me relevai et descendis du lit pour me rhabiller. A ce moment, je sentis le
sperme de Denis couler le long de mes cuisses, en même temps qu'une grande douleur au
niveau de l'anus. J'arrivais à peine à marcher ! Le contrecoup de cette baise
mémorable était pour le moins violent... De mister côté, le pote de Baakari ne s'était
toujours pas remis de ses émotions.
- C'était vraiment dingue ! s'extasiait-il. Jeanne, tu fais partie de mes meilleures
coups ! Et pourtant, je préfère largement les femmes d'habitude... Je sais où tu
habites, alors je passerai certainement te voir de temps en temps, pour qu'on remette
ça !
- Haha ! ris-je d'un air gêné. En journée, alors ! Parce que le soir, il y a
Charlotte...
Titubant, sali par cette journée de débauche, je me dirigeai vers la porte
d'entrée. Baakari m'ouvrit la porte en me rappelant l'apéro du lendemain. « Tu n'auras
pas de mal à convaincre Charlotte de revenir me voir, je pense ! », ironisa-t-il en
guise d'aurevoir.

Lorsque je fus dans mon appartement, je me rendis compte qu'il était déjà
15h ! J'avais donc raté mon rendez-vous à Pôle Emploi. Charlotte était repartie au
travail et ne serait pas rentrée avant 20h. Depuis 10h du matin, j'étais passé par
tous les sentiments et tous les stades de la débauche. J'avais d'abord dû sucer
Baakari. Puis j'avais assisté, impuissant, au dévergondage de ma copine entre les
mains de mon voisin et de mister ami Denis. Enfin, ce même Denis m'avait initié au
plaisir homosexuel en me faisant admirablement bien l'amour. L'anus douloureux,
épuisé, fourbu, je décidai de me coucher pour me reposer un peu. Baakari nous avait
convié, Charlotte et moi, à un apéritif le lendemain soir. Il nous avait promis à
chacun une sodomie, j'étais donc inquiet pour la suite des événements. J'avais peur
que Charlotte s'abandonne une nouvelle fois entre les mains de ce beau noir. Mais plus
que tout, j'avais peur qu'elle apprenne que moi aussi, j'étais en train de devenir une
salope affamée de verge...

chrislebo

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#3,240 
Up to the first message 
- Je vais aux toilettes ! affirma-t-elle avec entrain. C'est... c'est où que
c'est ?...
Elle aussi était dans un sale état !
- A l'étage ! répondit Hervé. Je te montre si tu veux, et tu peux même t'y rendre à
dos de cheval !
Hervé se pencha et fit signe à ma copine de monter sur mister dos. Celle-ci
explosa de rire et prit mister élan pour mieux bondir sur lui. Il tituba un instant, car
il avait bu et fumé comme nous tous, puis se stabilisa et partit en hennissant.
- Hihihi ! Hue ! Hue cheval ! Portez-moi au royaume des toilettes, messire cheval !
La tête lourde et les yeux à moitié fermés, je vis la cavalière et sa monture
emprunter les escaliers qui se trouvaient dans l'axe du salon. Tous deux disparurent
bientôt à l'étage.
Puis plus rien. Le trou noir. A mes côtés, Victor aussi sombrait dans un
sommeil agité.

Lorsque je rouvris les yeux, tout était calme dans la maimister. Victor et bien
d'autres camarades du lycée dormaient toujours autour de moi, sur les canapés ou
carrément sur le sol. Il me fallut quelques temps pour sortir totalement de ma
torpeur. Un coup d'œil vers la pendule du salon m'indiqua qu'il était 2h30 du matin.
Nous avions tous beaucoup trop bu, ce qui, par la power des choses, avait drôlement
écourté la soirée ! Je finis par me rappeler que j'étais venu chez Victor avec ma
petite amie Hélène. Je la cherchais donc du regard à travers la pièce, mais dus
rapidement me rendre à l'évidence : elle n'y était pas. Je me souvenais de l'avoir vue
bourrée, j'imaginais donc qu'elle s'était affalée dans un coin pour s'endormir et
cuver mister vin... Mais après tout, peut-être allait-elle émerger comme moi, et à ce
moment là, peut-être aurait-elle envie de... sexe ! Je décidai qu'il me fallait la
retrouver et terminer la nuit à ses côtés, en espérant qu'elle se réveille et que
j'obtienne ce que je souhaitais depuis des semaines...
Au rez-de-chaussée, je ne trouvai aucune trace d'Hélène. Mais les chambres
étaient situées dans les étages, c'était donc là que j'avais le plus de chance de
tomber sur elle. Je m'engageai dans les escaliers qui partaient du salon, ceux-là
mêmes qu'avaient empruntés quelques heures plus tôt, en pleine euphorie, Hervé et ma
copine. Arrivé au premier étage, je fis quelques pas et m'arrêtai soudain, interpellé
par un bruit que j'avais cru entendre. Tendant l'oreille, je saisis en effet l'écho
d'une agitation, qui venait vraisemblablement de la pièce au fond du couloir. D'un
naturel curieux, je me rapprochai à pas feutrés de la porte, pour mieux comprendre ce
qui se passait dans cette pièce.
C'était un mélange de chuchotements et de gémissements qui filtrait au travers
de la porte. Il me semblait bien que des gens baisaient là-derrière ! Je fus
irrésistiblement attiré par une telle idée, et je voulus à tout prix observer la
scène. Par chance, la porte en question était entrouverte, ce qui me permit de jeter
un coup d'œil à l'intérieur.
Ce fut certainement la pire idée de ma vie. Ce que je découvris dans cette
chambre me figea sur place, et je crus que j'allais m'évanouir. La cochonne qu'on
entendait jouir depuis le couloir n'était autre que ma petite copine Hélène ! A quatre
pattes sur un grand lit, cambrée au maximum, elle était complètement nue, à
l'exception de ses petites chaussettes bleues qu'elle avait gardées aux pieds.
Derrière elle, entièrement nu également, se tenait ce salaud d'Hervé, qui besognait ma
chérie en levrette ! Ses grandes paluches bronzées caressaient et claquaient le petit
cul rebondi d'Hélène, qui émettait un léger cri de plaisir à chaque coup de butoir.
Son visage était transfiguré : les yeux fermés, la bouche entrouverte d'où s'échappait
un mince filet de salive, elle semblait transportée par le plaisir et l'excitation.
Encore plus humiliant pour moi, ma copine portait autour du cou la cravate d'Hervé, et
ce-dernier en agrippait la pointe de sa main : il tenait ma petite amie en laisse ! Il
tirait légèrement sur le bout de tissu, ce qui obligeait Hélène à maintenir la tête en
arrière.
- Han !... Han !... On dirait que tu l'aimes, ma bite de quadra ! lui souffla Hervé
entre deux grognements.
- Ooooh ouais ! Han !... Je la sens... bien... votre queue !...
La voix que prenait Hélène était terriblement sensuelle, je ne l'avais jamais
entendue parler ainsi.
- J'ai senti tout de suite que tu étais une petite affamée ! Han !... Je commence à
connaître les femmes...
- Hmmmmmm... Ca se voit, Monsieur Hervé ! Allez !... Oui !... Baisez-moi plus fort !
Hélène allait même au-devant des coups de pine en reculant volontairement mister
bassin vers Hervé. Ce-dernier avait vu juste : ma copine semblait véritablement
affamée de bite. Je voyais nettement sa jolie poitrine se balancer après chaque assaut
de mister amant. Parfois, Hervé passait sa main autour de la taille d'Hélène pour accéder
à ses seins et lui pincer les tétons. Cela décuplait le plaisir de ma belle, dont le
corps frismisternant ondulait d'excitation.
J'avais été figé sur place en découvrant Hélène et Hervé en plein ébat sexuel,
et je me rendis compte que cela faisait plusieurs minutes que je les observais par
l'entrebâillement de la porte, sans oser réagir. Dire que j'étais parti à sa recherche
dans l'espoir de faire l'amour ! La petite salope ne m'avait pas attendu... Je n'avais
pourtant ni la power ni le courage d'intervenir. Elle avait l'air de bien prendre mister
pied avec cet homme deux fois plus âgé qu'elle... Comment aurais-je pu l'en empêcher,
moi qui n'étais même pas capable de coucher avec elle ? Impuissant, je restais là à
les observer, à la fois jaloux et terriblement excité par la scène qui se jouait
devant moi...
Les deux amants changèrent finalement de position. Hélène se retourna pour
s'allonger sur le dos, plaça ses jambes en l'air, reposées sur les épaules d'Hervé.
Puis elle lui agrippa la taille de ses deux mains pour l'encourager à venir en elle.
Le salaud ne se fit pas prier : il enfonça mister sexe puissant, qui m'apparut d'ailleurs
bien plus gros que le mien, dans le vagin de ma copine, puis se pencha vers elle pour
l'embrasser. Ils échangèrent un long et tendre baiser, pendant qu'Hervé recommençait
les vas-et-vient énergiques.
- Tu es sûre que Nicolas te baise comme il faut ? lui demanda soudain le père de
Victor. Je sens bien que tu étais en manque !
- Non... Hmmm... Non ! On n'a jamais rien fait tous les deux ! Je n'en pouvais plus
d'attendre, c'est pour ça que j'ai sauté sur votre queue !...
- Tu es sérieuse ? s'étonna Hervé. Mais qu'est-ce que tu fais avec ce mec ? Il n'est
pas beau, et en plus il ne te baise pas ! Tu es bien trop belle pour lui !...
Cette discussion franchement humiliante pour mon grade sembla exciter encore
davantage Hélène, qui changea la position de ses jambes pour les enrouler autour du
bassin de mister amant. Elle le serra avec power, pour l'obliger à aller toujours plus
profondément en elle. Hervé lui embrassa les seins, ce qui lui arracha un petit cri
aigu de jouissance.
- Je... sais !... Han !... Il ne m'excite pas beaucoup, mais il est gentil !...
- Ha ha !... Gentil ! C'est ce que les filles disent quand elles trouvent qu'un garçon
est naze ! Hmmm... Regarde mon fils Victor, ça c'est un vrai mec ! Han !... Lui, je
suis sûr qu'il te baiserait comme une reine !
- Hmmmm... soupira Hélène. S'il tient de vous, je n'en doute pas !... C'est vrai qu'il
est mignon, mais... Han !... c'est le meilleur ami de Nicolas, et je suis sûre que je
ne suis pas à mister goût...
- Tu rigoles ! s'exclama le père de Victor. Il ne parle que de toi, et tu es une vraie
bombe ! Il faut que tu prennes conscience de ton potentiel, tu es une vraie salope en
herbe !...
Hervé s'allongea complètement sur ma copine et enfonça mister visage dans mister
cou. Les deux corps étaient parfaitement imbriqués et ondulaient selon le même rythme,
imprimé par les assauts répétés de ce vieux dégueulasse. Hélène se laissait
complètement faire, la tête en arrière et les yeux fermés, les jambes solidement
enroulés autour du corps puissant d'Hervé. D'une main, elle lui caressait les cheveux
pour l'inviter à continuer ses bisous dans le cou, de l'autre elle agrippait les
fesses musclées de mister amant. C'est vrai qu'Hervé était drôlement bien foutu pour un
homme de 42 ans. Ses muscles parfaitement dessinés et mister corps bronzé donnaient
l'impression qu'il sortait tout droit d'un film pornographique. Et quelle endurance !
Il baisait ma copine comme une reine depuis déjà longtemps (et encore, j'avais pris
« le film » en cours) et ne semblait pas décidé à ralentir mister rythme. Par-dessus le
marché, il parvenait à la troncher de la sorte tout en discutant avec elle ! Aux
anges, Hélène continuait de gémir et de le supplier « de la baiser plus fort ! ».
Heureusement pour moi, malheureusement pour ma copine, toutes les bonnes
choses ont une fin. Hervé finit par se redresser et confia à Hélène qu'il allait
jouir.
- Je vais me vider sur tes petits seins, ma chérie ! lui annonça-t-il fièrement.
- Oui ! Allez-y ! Je suis à vous, faites-vous plaisir !
Le regard que lança la salope à Hervé était plein d'admiration et de fierté.
On sentait qu'elle prenait un plaisir pervers à vouvoyer mister amant, comme pour
renpowerr l'idée qu'elle se faisait sauter par un homme mûr. Hélène attendait la
semence de mister mâle avec impatience et envie. A genoux sur le lit, elle fixait Hervé
d'un air provocateur, pour mieux l'exciter et accélérer la jouissance.
- Aaaaaaaaaah ! Je vieeeens !
Une quantité impressionnante de sperme fut déversée sur la poitrine d'Hélène.
Hervé fut remercié par une dernière pipe, mister gland fut nettoyé consciencieusement et
langoureusement. Il tenait ma copine par les cheveux, comme pour prouver
définitivement qu'elle lui appartenait. De mon côté, j'étais soulagé que tout soit
terminé, et même si je restais dévoré par la jalousie et un sentiment d'offense,
je me disais que tout pourrait maintenant revenir à la normale. Car non, je n'avais
pas l'intention de larguer Hélène : comble de la soumission, j'avais toujours l'espoir
qu'elle veuille bien faire l'amour avec moi. En attendant, elle était totalement
absorbée par la verge d'Hervé, qui commençait à débander.
- Bon ! reprit Hervé. Comme tu es une vraie petite salope, j'ai un plan pour toi !
Il ramassa mister pantalon à pinces et sortit un smartphone d'une poche. D'une
main il commença à pianoter, de l'autre il frottait toujours mister sexe sur le visage
d'Hélène.
- Un plan ?... s'inquiéta timidement ma copine. De... de quoi parlez-vous ?
- J'écris à mon fils de nous rejoindre... Il est temps que Victor goûte au plaisir des
femmes ! Et tu es parfaite pour lui servir d'entrée en matière...
- Mais ! Attendez, je...
- Ne rétorque pas ! Quand je t'ai parlé de Victor, j'ai bien senti que tu en avais
envie ! Et ne t'inquiète pas, Nicolas comate en bas, vu mister physique de poids plume il
ne risque pas d'émerger avant demain midi !
Hélène fit un petit sourire à Hervé. Manifestement, elle était d'accord ! Je
n'en revenais pas moi-même ! Le père de Victor voulait offrir ma copine à mon meilleur
ami ! Je me rappelai qu'il dormait sur un canapé quand je m'étais levé, je priai de
toutes mes powers pour qu'il ne se réveille pas...
Mes vœux ne furent pas exaucés. Quelques instants plus tard, j'entendis du
bruit dans les escaliers. Quelqu'un montait à l'étage ! Etait-ce Victor ? J'eus très
peur d'être surpris en train d'espionner aux portes, je me précipitai donc dans la
salle de bain située juste à côté, en laissant la porte entrouverte. Il ne fallut pas
longtemps avant que j'aperçoive une silhouette passer dans le couloir, et pénétrer
dans la chambre où ma copine venait de me tromper avec un homme de 42 ans. Il me
semblait bien avoir reconnu la carrure et la démarche de Victor !...

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