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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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Son gland se ramolli encore... Alors il cessa brusquement ses caresses, et repris fermement ma nuque à deux mains. Je sentis mister bas ventre se contracter...Non... il n'allait pas....

Un premier jet puissant et acre vint éclabousser le fond de ma gorge. Il pissait. Il me PISSAIT dans la bouche ! A petits jets entrecoupés que j'étais forcé d'avaler si je ne voulais pas m'étrangler...

" Avale, ma douce... Vois comme je suis gentil avec toi... Je ne pisse pas tout d'un coup... Je me contrôle... à petits jets... pour bien te faire déguster... Apprécie ce cadeau comme il se doit... Tu en profiteras souvent... Désormais je n'urinerais plus que dans ta bouche... Tu apprendras.... Au bout de quelque temps je pourrais me vider d'un seul jet. Et tu avaleras à gorgée rapide... Te synchronisant à mon débit d'urine.... Humm... Quand tu me connaîtras mieux tu sauras anticiper. Je n'aurais même plus besoin de dire que tu viennes m'emboucher.... Tu y viendras toi-même, sachant que j'ai bu ou non, et depuis quand je ne me suis pas soulagé... Et si tu oublie de venir quand j'ai envie, je serais forcé de comprendre que tu n'es pas assez attentive à ton Maître, que tu n'as pas assez bien apprise à connaître ses besoins, tous ses besoins. Je serais donc forcée de te puni.... Mais pour l'instant contente-toi de ne pas en laisser échapper une seule goutte, sinon gare à toi ! "

J'essayais d'avaler autant que je pouvais, à grandes gorgées pour ne pas laisser trop de liquide dans ma bouche et prendre le risque de baser mister urine sur mister jogging qui était pourtant déjà largement souillé de pisse, mais c'est sûr il n'appréciera pas... Je devais synchronise mes gorgées sur le rythme de ses jets... Respirant une grande goulée d'air immédiatement après une gorgée de pisse, puis bloquant ma respiration, prête à avaler de nouveau le prochain jet. Mais ce salaud faisait exprès de lancer ses jets d'urine de manière irrégulière, attenant parfois de longues secondes entre deux jets de pisse, alors que je bloquais ma respiration, prête à avaler immédiatement le liquide qui surgirait puissamment de mister méat. D'autre fois il lançait tout de suite un nouveau jet après le précédent, pour voir si j'étais prête, essayant de me faire m'étrangler avec sa pisse... Me testant... J'étais ainsi complètement à sa merci.

Puis les jets se firent moins puissants, et plus longs à venir... Je bloquais toujours ma respiration entre deux gorgées, manquant d'air maintenant, priant pour que sa vessie soit enfin vidée. J'étais complètement concentré sur lui, sur sa vessie, et ce sexe mou maintenant qui me lançait des jets de pisse au fond de la gorge.

Enfin il me tapota la nuque.

" Ah c'est bon de se vider les couilles et la vessie... Me voilà presque complètement vidé... Presque.... Tu comprends ce que cela signifie ?

" Pardon... Maître... Que voulez vous faire ? "

" Pauvre connasse ! Tu es vraiment conne ! Je vais CHIER tu m'entends ! Je vais chier pendant que tu garde mon gland en bouche et que tu commence doucement à le sucer et à le faire rouler sous ta langue de pute ! "

Oh non ! ca n'étais pas possible ! Il n'allait pas m'infliger cette horreur. C'était la dernière des dégradations ! Avoir mon nez à quelques centimètres de mister anus, pendant qu'il poussait ses étrons, mes narines justes au-dessus de la cuvette qui allait se remplir de sa merde ! Mais je ne pouvais dire mot. J'avais toujours mister gland dans la bouche, le gout âcre de sa pisse dans ma bouche t mon gosier, je venais d'avaler sa pisse et maintenant j'étais au premières loges pour sentir sa merde !

" Tu verras plus tard tu mettras d'abord ma langue dans mon anus en salivant bien pour l'assouplir et tu le suceras pour aider ma merde à sortir... Mais chaque chose en mister temps... Humm... Humm... Je sens que ca va venir. J'ai deux ou trois bon gros étrons bien épais dans mon cul pour toi. Je n'ai pas chié hier pour que tu ais de la " matière " bien consistante comme cadeau, pétasse. Humm... Ha !"

J'avis toujours le nez enfoncé dans ses poils pubiens car il avait à nouveau pris ma tête à deux mains pour l'enfoncer à fond sur sa bite ramollie. Même flaccide, le membre me remplissait complètement la bouche et le bout du gland allait buter au fond de ma gorge, bloquant ainsi totalement ma respiration. Je paniquais... S'il ne relâchait pas rapidement sa pression, j'allais finir par manquer d'air et étouffer.... J'espérais donc qu'il se vide vite de sa merde, que sa merde sorte vite de mister cul pour que je puisse enfin respirer.... Je comptais les secondes, ce salaud prenait mister temps et faisait durer le plaisir...

Enfin, au bout de presque une minute, une puissante odeur de merde, insoutenable, chatouilla mes narines. Même sans respirer je pouvais la sentir... L'étron devait être de belle taille, je l'entendis glisser à l'orée de mister anus, un bruit humide.... Puis un énorme floc dont les éclaboussures virent mouille mon menton. Il devait être énorme pour faire un tel bruit !

Alors il relâcha sa pressions, je pus reculer un peu ma tête, pou libérer ma gorge de mister gland, et prendre une profonde inspiration d'air. Mal m'en pris car j'inhalais jusqu'au plus profond de mes poumons les senteurs lourdes, fétides, musquées qui émanaient de la cuvette. C'était horrible ! Comme si j'avais eu le nez directement sur sa merde. Il me laissa respirer deux ou trois fois, j'en profitais pour respirer bien à fond, la tête me tournait tellement l'odeur était forte.

" On dirait que tu aimes ca ! Quelle surprise ! Te voilà en train de respirer à plein poumon l'odeur de ma merde ! Quelle salope ! Tu aimes ca, hein dis le moi alors. "

Il libéra ma tête, et je laissais sortir le gland baveux de ma bouche... Je balbutiais... " Oui... Maître... Oui... Je ... J'aime l'odeur.... de ... votre merde, Maître. "

" Et bien remercie moi alors connasse ! "

" Merci ... Maître... Merci de votre cadeau Maître. "
chrislebo

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" Tu verras, bientôt tu demanderas à la lécher, crois moi... Mais ce n'est pas fini, j'en ai encore au fond de mon cul, bien chaude, prête à sortir...Lèche moi les couilles maintenant ma chérie. "

Je commençais à avoir l'habitude de lécher ses couilles râpeuses et acides... Mais cela m'obligeait à placer mon nez tout près de mister orifice... Il mit ses pieds sur es épaules, prenant appui sur moi pour rehausser sur cul sur la cuvette des wc et me dévoilant ainsi complètement mister anus... On voyait bien qu'il venait de chier... des bouts de merde noire était encore accrochés à ses poils, les bords de l'anus était encore tout boursouflés, et la rosette à demie entrouverte, montrant le bout d'un étron qui était encore à l'intérieur.

Suffoqué par cette vision d'horreur je fermais les yeux, essayant de penser à autre chose (comme si c'était possible), mes narines frôlant de quelques millimètres, la merde qui engluait ses poils. Inutile de dire que j'étais aux premières loges pour en apprécier l'odeur. Cette odeur était très forte... Malgré cela, je me continuais à lui lécher ses grosses couilles velues et gonflées. Leur odeur musquée était si forte qu'elle supplantait presque l'horrible odeur de merde... Cette odeur si entêtante de ses excréments qui me rendait ivre...

Alors je me rappelais... Un souvenir que je croyais avoir effacé pour toujours de ma mémoire refaisait surface. C'était au temps de la communale, où j'étais le souffre douleur de mes camarades de récréation, où j'endurais leur coups et leur offenses constantes, mais, poussé par je ne sais quelle pulsion, au lieu de m'éloigne d'eux, je revenais constamment vers les plus vicieux qui menaient ce groupe, dans le vain espoir de " m'intégrer " à la bande.

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A nouveau les souvenirs remontèrent à la surface...

Un fois, ils avaient poussés leurs jeux encore plus loin.... Ils m'avaient trainé jusqu'aux toilettes, et, profitant de l'inattention de nos surveillants, ils avaient ouvert la porte d'un des wc et m'y avaient poussé dedans, me forçant à me mettre à genoux devant la cuvette très sale, où un magnifique étron encore tout chaud flottait.

Là, ils me traitèrent de " sale pédé ", " couilles molles ", etc. Ils appuyèrent sur ma nuque pour me powerr à entrer la tête dans la cuvette.

" T'aimes ca renifler la merde, sale pédé ? " dit le chef de la bande. Si tu veux rentrer dans la bande tu dois lécher la cuvette, pédale ! "

" Non ! Non ! Arrêtez ! Laissez-moi je vous en prie ! " Je suppliais, mais la prise sur ma nuque était toujours aussi forte...

" On va lui baisser la culotte pour lui donner la fessée à ce sale pédé " Dit un autre.

" Oui. Oui. Bonne idée. Mais il faut se dépêcher car la récré va bientôt être finie. "

Ils dégrafèrent rapidement mon pantalon court et abaissèrent mon slip en coton blanc.

" Non ! Non ! Pas ca ! Arrêtez ! Vous n'avez pas le droit ! Ce n'est plus du jeu !"

" Si ! Si ! C'est le jeu ! Oh ! Regardez, on dirait qu'il a un cul de fille avec ses fesses toutes blanches ! "

" Hou la fille ! Hou la fille ! "

" Et regardez ! Son robinet ! Je n'ai jamais vu un zizi aussi petit ! Il a un zizi de fille aussi ! "

" On dirait un petit haricot. "

" Tu vas voir ma grosse bite, on va pouvoir comparer " dit le chef de la bande.

Il défit sa braguette, et sortit sa bite. Son sexe était en érection. Malgré mister jeune âge, elle était déjà de belle taille, et surtout bien plus longue et épaisse que la mienne !

" Ca c'est une vraie bite ! Pas un petit haricot de tapette comme toi ! Admire la bien ! "

En disant cela, il approcha la bite de mon visage, et se mot à m'en gifler le visage avec le bout du gland calotté. En moi-même je me demandais où il allait chercher toutes cers perversions ! Sans doute dans des films pornos qu'il avait du regarder chez lui pendant que ses parents n'étaient pas là !

Tout ce traitement était horrible. J'étais rempli de honte, rouge des pieds à la tête. Il avait pris mon zizi entre ses doigts et tirait dessus pour le comparer... La honte qui me dominait... Je ne savais plus où j'en étais... Il me touchait la bite ! Mais c'était si bon... Bien meilleur que quand je le faisais moi-même... Il me faisait un peu mal en la tirant, mais à peine l'avait-il touché qu'une explosion de frismisters me parcouru la moelle épinière. Je ne bougeais plus et cessait de supplier... Cela dura... de longues et délicieuses secondes...

" Alors, tu dis plus rien tapette ? Regardez, elle aime ca cette salope ! Ca lui plaît d'être la tête dans une cuvette pleine de merde " dit le chef qui me tripotait.

Les autres restaient interdits, magictisés par cette scène incroyable....

C'est alors que la misternerie de la récré retentit. Ils se dispersèrent tous rapidement pour aller se mettre en rang rapidement. Je restais là, abasourdi, les jambes molles, sans power. Je me redressais à grand peine, et c'et les doigts tremblants que je me rajustais tant bien que mal, remettant mon zizi dans mon slip et reboutonnant la braguette de mon pantalon à jambes courtes.

Puis je me retournais, et filais me mettre en rang avec les autres, bon dernier bien sûr. Un rire général m'accueillît, ca le Maître d'école s'impatientait et me fis ses yeux noirs en disant : " Alors, tu en as mis un moment pour sortir des toilettes toi ! Dépêche toi donc ! Et finis donc de boutonner ta braguette ! "

Un nouveau rire accueillit cette observation du Maître. Ceux qui riaient le plus étaient ceux de la " bande ", qui venaient de m'humilier.

" Tu me copieras cent fois " Je n'oublierais pas de reboutonner ma braguette en sortant des cabinets ", et sans fautes d'orthographe ! "

" Allez, tous en classe maintenant, et plus un mot ! "
chrislebo

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C'est mécaniquement que j'avais continué à lui lécher ses couilles au gout acide qui étaient maintenant gluantes de ma salive, mais le fumet qu'elles dégageaient restait toujours là, entêtant. Au bout d'un moment il dit.

" Ca suffit maintenant. J'en ai assez. "

Il remit ses jambes entre mes épaules et se releva, sans même prendre la peine de d'essuyer l'anus, qui, je le savais pour l'avoir observé de prêt était encore tout enduit de merde.

" Ne bouge pas de là, et tu as intérêt à ne pas lever la tête. Et je veux continuer à t'entendre respirer bien fort ! "

Je m'exécutais. Cette fois pour emplir mes narines et mes poumons de l'odeur de sa merde, toujours aussi forte, sans avoir celle de ces couilles pour la masquer un peu. Dans mon dos, il farfouilla un bon moment dans le placard de la cellule.... Puis revins vers moi et une donna une grande claque sur les fesses.

" Relève-toi pétasse ! Regarde ce que j'ai pour toi ! C'est ce que tu vas porter autour du clitoris désormais, pour t'apprendre à mieux te contrôler ! "

Je me redressais et me retournais. Il tenait entre ses doigts un objet bizarre... Un cylindre de métal muni d'un cadenas sur le coté, et dont l'intérieur était entièrement tapissé de pointes métalliques. Je frismisternais d'horreur, abasourdit, sans comprendre, regardant cet objet jamais vu les yeux écarquillés. Je bafouillais.

" Que ... Quoi ... Qu'est ce que c'est Maître ? "

" Ca s'appelle un KTB ma petite salope. De l'anglais Kali Teeth Bracelet, autrement dit un bracelet aux dents de Kali. C'est la déesse suprême pour les Indous. C'est la power qui détruit les esprits mauvais et qui protège les dévots. Dans ton cas, elle va servir à briser tes résistances, parce que résister, même seulement en pensées, à ton maître est mal. Mais aussi pour chasser de ton esprit de petite fiotte tes mauvaises pensées. Celles que tu as quand tu est en érection, quand tu montre ainsi que ton esprit est tourné vers ton propre plaisir, vise ou espère un accomplissement de ce désir. Car désormais, non seulement ce clitoris ne pourra plus te donner aucun plaisir, mais tu dois même apprendre à ne plus penser à ton plaisir. Et à te concentrer uniquement sur mon plaisir, car désormais, mon plaisir est ton seul Dieu, et sa satisfaction ton seul but dans la vie. Et tu dois adorer mon corps, toutes les parcelles de mon corps, tout ce que produit mon corps, ma pisse, ma sueur, mes crachats, et ma merde, et comme encens de ce culte tu auras toutes les odeurs de mon corps, celle de mes aisselles, de mes coquilles, de ma bite, de mon cul, mais aussi celle de mets pets, de ma merde ou l'odeur de ma pisse. "

Je ne comprenais rien à mister discours délirant. Voilà qu'il se prenait pour Dieu maintenant.

" Reste bien la tête dans la cuvette et écarte les cuisses salope ! "

Je m'exécutais docilement. C'est alors qu'il prit sa serviette de toilette puante, qui n'avait pas du être lavée depuis des semaines, s'essuya la poitrine et les aisselles avec, puis me la jeta sur la tête, en l'arrangeant pour qu'elle recouvre bien toute la cuvette. Désormais, l'obscurité se fit, et je restais ainsi dans le noir, courbé dans cette cuvette, en tête à tête avec ses étrons odorants.

Je sentis qu'il me tirait le clitoris vers le bas, pour l'allonger. Puis je sentis quelque chose de froid et de métallique entourer ma tige affinée par l'élongation, une sensation de multiples piquant sur la peau de mon sexe, juste en-dessous du gland, puis des piquants qui serrent ma tige, en comprimant mon sexe flaccide.

" Aïe Maître. "

" Petite douillette.... Tu verras tout à l'heure, si tu te mets à bander alors que je te l'ai interdit, femelle, tu danseras sur place de douleur... Reste tranquille maintenant pendant que je fixe le cadenas. "

Il serra encore plus l'anneau autour de ma tige. Je me crispais, affolé à l'idée de ce qui allait se passer si je me mettais à bander... La peau de mon sexe s'enfoncerait dans les dents pointues de cet instrument de ***, et cela serait certainement extrêmement douloureux. J'entendis un " clic " métallique, voilà, j'étais primisternier des dents de cet infernal bracelet.

Le bracelet m'allongeait le sexe par mister propre poids, mais restait bloqué juste au dessus du renflement du gland, même si j'avais alors le sexe calotté. Je restait là, immobile, terrorisé.

Il me caresse alors doucement le périnée, le frottant, le frôlant presque avec mister doigt. Immédiatement je sens des frismisters me parcourir l'échine.... Il continue avec application, me frôlant aussi de temps en temps les coquilles. Je sens une chaleur dans mon bas ventre et le désir s'insinue dans mes reins.... Oh ... Non... Surtout ne pas bander... Essayer de se contrôle au maximum... Sinon cet horrible engin de *** va me appeler que je ne dois pas bander... J'essaye de me contrôler, de penser à autre chose...

" Tu aimes ce que je te fait pétasse ! "

" Oui Maître, j'aime beaucoup Maître. C'est vraiment bon Maître. "

" Tu veux que je continue alors, ma Chérie ? "

Question piège ! Si je dis oui, il va continuer et je vais finir par bander ! Et alors je subirais la punition de cet horrible engin. Si je dis non.... Mais je n'ai pas le droit de dire non !

" Je... Je ne sais pas Maître. Selon votre bon plaisir, Maître. "
chrislebo

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" Je... Je ne sais pas Maître. Selon votre bon plaisir, Maître. "

" Bonne réponse ma petite chienne. Tu vas finir par être bien dressée ! Je te sens un peu crispée là... Détends-toi ! Respire bien à fond... Que je t'entende, bien fort... Allez, dix respirations bien profondes par le nez. "

Je fort par le nez, en hyper ventilation, dix fois, ce qui finit par me faire tourner la tête. Evidement, j'inhale à plein poumon l'odeur de merde horrible et entêtante de ses étrons. J'ai l'impression d'avoir le nez collé contre ces étrons, que je ne peux plus voir à cause de l'obscurité causé par la serviette mise sur ma tête et qui recouvre ainsi complètement la cuvette. Cette affreuse m'a ôté tout désir... Je me détends, et mon sexe ne frémit plus.

" Tu sens comme elle est bonne l'odeur de ma merde ! Hein ? Dis-moi, mon cœur ? "

" Oui elle sent vraiment très bon Maître, merci infiniment Maître de me permettre de sentir aussi bien l'odeur de votre merde, Maître "

" Alors concentre toi ma douce. Pense à mes étrons... Imagine les... dis moi comment mistert-ils ? "

En disant cela, il se remet à me caresser le " clitoris " en le prenant entre deux doigts et en le masturbant doucement....

Oh ! Mon Dieu ! Il va me faire bander ! Vite, je lui réponds en essayant d'imaginer ses étrons que je viens de voir débordant de l'eau qui est au fond de la cuvette.

" Vos merdes mistert très longues et très épaisses Maître. Elles mistert bien noires Maître. "

Pendant que je dis cela, il continue à me masturber doucement. Pour éviter l'érection, alors que je sens mon sexe qui commence à réagir, j'essayer de penser à autre chose qu'à ses douces caresses sur mon sexe qui me font frémir dans tout le corps. Voilà déjà deux jours que je n'ai pas pu me masturber et je sens mes couilles, pardon, mes " ovaires " bien pleines. Mais comment penser à autre choses qu'à ces horribles étrons dont l'odeur ne me quitte pas, et qu'en plus je suis obligé d'imaginer avec le maximum de détails pour mieux les décrire !

" Vos merdes mistert très belles Maître. Leur odeur est un vrai délice Maître. "

Le fait de me concentrer à nouveau sur ses étrons m'a calmé un peu. Mais lui n'arrête pas de me caresser... Je tente de me concentrer à nouveau, cette fois sur les étrons qui surgissaient de mister cul, qui descendaient lentement vers le fond de la cuvette et s'écrasait avec un " ploc " au fond de la cuvette qui m'éclaboussait le visage.

" C'est bien mon Amour... A quoi penses-tu mon Amour adorée ? "

Je suis obligé de lui réponde, et de lui dire mes pensées. Je ne peux pas lui mentir, et en même temps me concentrer pour éviter d'avoir une érection. Je n'ai pas le choix.

" Je pense à vos étrons quand ils sortaient de votre cul, Maître. C'était si beau Maître ! "

" Hum.... tant que ca ? Vraiment ? "

Il continue toujours à me masturber, mais plus vite cette fois.

" Oui Maître, ils mistert très bien sculptés Maître. Presque cylindriques avec de beaux bourrelets Maître. "

" Oh ! Ma parole ! Tu deviens romantique ma petite chienne. Serai tu amoureuse ? Tomberais-tu amoureuse de ma merde connasse ? "

" Oui Maître... Vous avez raimister Maître... Je crois que je suis en train de devenir amoureuse de votre merde Maître. "

A ce moment là, ses manipulations rapides ont entrainées un début d'érection. Mon clitoris s'est mis à grossir, et les pointes acérées de l'anneau diabolique s'enfoncèrent dans la peau de mon " clitoris ". Ce fut comme si j'avais reçu une décharge électrique tout autour de mon pénis, juste à la base du gland.

Je criais de douleur et de surprise.

" Tais-toi connasse ! C'est ta punition pour avoir de mauvaises pensées... Souviens toi ce que je t'ai dit... Concentre toi, concentre-toi chérie, et tu verras cela va passer. "

J'essayais de me concentrer mais rien ne se passait, bien au contraire, la douleur avait entrainé une réaction en boucle, et je me mettais à bander de plus en plus maintenant. Je me mis à pleurer silencieusement, de chaudes larmes me coulaient sur les joues et j'étais secoué de sanglots nerveux...

" Oh.... Ma petite chérie adorée pleure maintenant... Tu as mal ma fille ? Mais c'est pour ton bien.... C'est Kali qui t'apprends à bien te comporter. Montre-moi ce petit visage en pleur... Comme c'est mignon ca... Un visage de petite fiotte baigné de larmes... Oh ! C'est craquant ! J'adore... Laisse moi sécher tes larmes de petite fille malheureuse ma chérie. Je vais les lécher... Humm... J'adore gouter aux larmes des pédés qui pleurent parce qu'ils mistert punis... "

Et ce fou sadique se mit à me lécher tout le visage, avec de grands " Slurp ! " dégoutants... Malgré moi e me mis à frismisterner de dégout...

" Oh ma petite chérie fait la dégoutée ! C'est donc que tu ne m'aime plus, mon Amour ? "

Je répondais vite. " Si ! Si ! Au contraire ! Je vous aime encore plus mon Maître ! "

" Ah ! Tu me rassure ma chérie. Viens prés de moi mon cœur, blottie toi contre moi, je vais te consoler ma douceur. "

Larmoyante, je me blottissais contre sa large poitrine musclée et je me pelotonnais contre lui.
chrislebo

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Chapitre 31

" Tu es mignonne, tu sais. Je vais t'embrasser ma petite femelle. Ouvre grand ta petite bouche de suceuse. "

J'obéissais et ouvrait grand ma bouche, ma tête juste sous mister visage... Il se racla la gorge plusieurs fois et me lança directement un énorme mollard dans ma bouche. Je frismisternais à nouveau par réflexe de dégout.

" Oh tu frismisterne on dirait. Aurais-tu froid ma petite chérie ? C'est vrai que tu n'es pas beaucoup couverte avec ta chemise de nuit toute transparente. Au moins la pisse a séchée durant cette nuit... Tu te souviens comme tu étais trempée ma douce, comme une petite fleur mouillée par la rosée... Ma rosée d'amour... Tu l'aimes, ma rosée d'amour ? "

" Oui... Je l'aime beaucoup Maître, elle me tient chaud une fois séchée Maître. Ma chemise de nuit en est toute empesée Maître, merci Maître "

" C'est trop mignon ca.... tu as bien avalé mon crachat ? "

" Oui Maître. Merci de votre crachat Maître. "

" Tu veux que je te donne un baiser mon cœur ? "

" Oh oui Maître, un baiser s'il vous plaît ".

" Un baiser comment, chérie, un baiser d'amour ? "

" Oui Maître, donnez-moi s'il vous plaît un baiser d'amour ... "

Il se penchant vers ma bouche entrouverte, et m'embrasse, entrant mister énorme langue entre mes lèvres, les violant, fouillant ma bouche avec sa langue épaisse et musclée... Il fait basculer ma tête, serrant ma nuque contre mister bras tandis que l'autre m'enserrait contre sa poitrine, m'étouffant presque. Je sentais ses muscles et sa peau moite de transpiration, qui collait à ma peau. Son étreinte me fis tourner la tête, c'était bon, puissant, je m'abandonnais au baiser comme une vraie femelle, devenant molle, pendant qu'une mystérieuse chaleur envahissait tout mon corps.

Je me laissais aller, me détendais, j'étais bien... et mon érection avait notablement diminuée. Je répondais à sa langue qui m'emplissait la bouche, la frôlant de la mienne, la suçant, mes lèvres écrasées par ses grosses lèvres dures de nègre. Le baiser semblait durer une éternité, mais c'était de plus en plus bon. Il salivait beaucoup, se raclant de temps en temps la gorge pour transférer toute sa salive dans ma bouche. Il avait hermétiquement fermé mes lèvres avec les siennes en appuyant très fort. J'étais obligé d'avaler sa salive avec la mienne, nos deux corps collés l'un contre l'autre tandis que je sentais mistert érection qui durcissait et grossissait contre mon ventre.... Il me caressait la nuque et le dos, les fesses aussi, me faisait frismisterner à nouveau de plaisir cette fois, mais mystérieusement sans déclencher chez moi le moindre petit début d'érection.

Mon sexe était redevenu complètement flaccide et je ne sentais presque plus les dents de l'infernal bracelet, mais j'en sentais le poids, et la pression insidieuse qu'il exerçait toujours sur une partie de mon " clitoris ".

Je m'abandonnais à ses caresses et à ses baisers fougueux qui remplissait ma bouche de sa salive. Une douce torpeur m'envahissait....

" As-tu envie que je te fasse l'amour ma petite chérie ? As-tu envie d'être prise, de sentir mon gris sexe au fond de toi, d'être ma petite femme chérie ? "

" Oui Maître, je vous en prie, prenez-moi, j'ai envie de me sentir vous appartenir, mon mari adoré. " Que pouvais-je dire d'autre ?

" Je vais être gentil avec toi. Je vais lubrifie ton sexe avant de te pénétrer la chatte. Pour que tu ais bien du plaisir ma douce. "

En disant cela, il étendit mister bras qui m'enserrait contre lui, pris un tube de lubrifiant qui était muni d'une canule, l'écrasa pour en faire sortir une noix de lubrifiant, en étendit un peu à l'orée de mon anus, puis enfonça la canule dans ma " chatte " et envoya une bonne giclée froide et gluante à l'intérieur.

" Voilà, tu es bien mouillée maintenant ma chérie. Je vais pouvoir te pénétrer facilement. Sache que désormais tu devras toujours avoir ce tube sur toi. Je veux que ma petite femme soit toujours mouillée et prête à recevoir mister Mari. Tu devras avoir constamment la chatte humide pour ton Mari. A moins que j'ai déjà déposé ma semence dans ta matrice juste auparavant. Auquel cas tu n'aura pas besoin de t'humidifier la chatte, tu mouilleras 'naturellement', chérie."

" Mais... Maître.... Je risque de tacher mes petites culottes... "

" Ton Mari a pensé à tout ma petite chérie. Même à tes problèmes de 'fille'. J'ai prévu des serviettes hygiéniques, lavables, bien sûr, que tu porteras sous ta culotte. Comme ca tu auras l'air d'une femelle réglée. Cela t'humiliera encore plus. A moins que je t'ordonne le contraire. Pour aller au réfectoire par exemple, afin que tout le monde vois bien que je viens d'honorer ma petite femme... Bien compris femelle ? "

" Oui... Maître.... "
:shy31)
chrislebo

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#3,186
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" Maintenant, soulève toi un peu et pose l'entrée de ta chatte sur mon gland... Voilà, comme cela ma douce... Maintenant, laisse-toi descendre sur mon pieu... Appuis bien fort ma chienne... "

" Aïe ! Aïe ! Ca fait mal Maître ! "

" Bien sûr que ca te fait mal chienne ! Détends toi ca va entrer dans chatte bien serrée. "

" Ouille ! Ca fait trop mal, je n'y arrive pas Maître. "

" Tu recommence à m'énerver sale connasse ! Appuie plus fort sale pédale, que je t'encule bien à fond, sale fiotte ! "

J'essayais encore de m'abaisser sur lui, mais rien à faire, le gland était trop gros, et malgré tout le lubrifiant, cela ne pouvait pas entrer... Je tremblais de peur d'être punie à nouveau...

" Putain ! Pas moyen de t'enculer comme cela sale pédé. Faut tout que je fasse moi-même. Relève-toi connasse, et vas te mettre à quatre pattes devant la cuvette. La tête dans la cuvette pauvre folle ! Prosterne-toi devant mes étrons ! "

Je remettais ma tête dans la cuvette à moitié remplie de ses énormes étrons. J'avais presque le nez dessus...

" Respire bien à fond connasse... Et écarte bien les cuisses maintenant chérie... Que je te baise bien à fond... "

Je m'exécutais et m'installais à genoux le plus confortablement possible devant cette cuvette pleine de merde.

" Baisse mieux la tête connasse, je veux que tu ai le nez sur mes merdes, pendant que je te lubrifie encore ta chatte de pédé. "

Je baissais la tête autant que je pouvais, tout en rehaussant mes fesses autant que je pouvais pour lui faciliter l'intromission et moins souffrir... Je me cramponnais aux bords de la cuvette pour ne pas tomber carrément dedans, car dans cette position j'étais en complet déséquilibre... Je sentis qu'il m'écartait les fesses, et quelque chose de froid et gluant se poser sur mon anus. Il avait pris le tube de lubrifiant et l'avait en partie introduit dans mon trou. Il m'en injecta une bonne quantité dans l'anus et retira brusquement le tube. Avec tout ce qu'il avait déjà injecté tout à l'heure j'en avais plain l'anus et cela coulait entre mes fesses et jusque sur mes cuisses.

Prends à deux mains la grosse merde qui est sur le dessus ! Vite exécution ! "

Oh mon Dieu ! De nouveau l'odeur horrible de ses étrons à pleine narines. Je mettais une main dans la cuvette, n'osant toucher ces monstrueux étrons, tremblante...

" A deux mains connasse ! Prend un étron à deux mains et suce-le comme si c'était ma bite. Je veux le voir aller et venir entre tes lèvres, que tu le pompe en creusant bien les joues. Régale-toi bien pauvre conne. Puisque tu n'es pas capable de t'enculer sur moi tu va me montrer comment tu suce ma merde ! Dépêche-toi ou la danse va recommencer pétasse ! "

Les doigts tremblants, j'approchai mes deux mains de l'étron gluant qui était sur la pile et le dégageait de la masse... C'était horrible comme sensation. Je redressais l'étron et l'approchait de mes lèvres. L'odeur se fit plus forte...

" Voilà ! Prends le bien délicatement à deux mains pour bien le déplier. Et fait cela avec douceur... Avec délicatesse... N'oublie pas que ce que tu tiens en main est très précieux. Tu tiens entre tes doigts un véritable trésor. Un formidable étron de ton Maître adoré. Montre combien tu apprécie ce cadeau... Baise le bout ! Donne-lui des petits baisers d'amour... Fait ton amoureuse, soit câline... "

J'approchais la chose de mes lèvres closes, et donnait un rapide baiser sur l'extrémité dure et suintante, puis je le retirais immédiatement.

" Allons ! Ne fait pas ta mijaurée ! Montre-toi plus amoureuse ! Sinon je te branle le clito ! Et tu sais ce qui va arriver ! "

Puis il prit mon gland entre les doigts, juste à la base de l'anneau garni de pointe qui enserrait mon " clitoris " et commença à le caresser doucement de la pointe de ses doigts. Un frismister me parcouru l'échine. Immédiatement j'approchais à nouveau la pointe de l'étron de mes lèvres retroussées et je lui donnais de rapides petits baisers...

" Tu n'as pas l'air heureuse, on dirait. Tu n'as pas l'air d'apprécier ce trésor... "

Maintenant il s'attaquait à ma tige, l'enserrant entre le pouce et l'index entre la base et l'anneau du terrible KTB, commençant à la masturbe doucement, la pression de ses doigts se faisant de plus en plus forte... Immédiatement mon sexe commença à réagir et à se tendre... Je donnais à nouveau de petits baisers sur le bout et l'extrémité de cette colonne d'excrément qui venait de sortir de mister anus, la couvrant de baiser en souillant mes lèvres avec cette horrible matière. Mais je prenais bien garde de ne pas sortir ma langue...

" Alors ? Tu fais ta timide... Donne quelques petits coups de langue d'abord. Souviens toi comment tu fais avec ma bite. Tu dois montrer que tu l'aimes autant que ma gosse bite... Allez poufiasse, lèche moi cette grosse merde... En sortant bien ta langue... "

Horrifiée, je sentais mon clitoris qui commençait à durcir... Les pointes commençaient à entrer durement dans ma peau. La douleur se faisait plus vive... Devant mon hésitation, il serra plus fort mon sexe entre ses doigts. Et se mit à me branler plus vigoureusement.

" Aïe ! Aïe ! Le KTB me fait mal Maître ! "

" Alors lèche bien ce bâton de merde connasse ! Et concentre toi pour ne pas penser qu'à ton plaisir, sale putasse égoïste ! "
chrislebo

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Mon plaisir ! Egoïste ! Tu parles ! J'étais totalement écœurée par ce que je devais faire. Mais je n'avais pas le choix. Timidement je sortis ma langue et donnait un petit coup le long de l'étron. Je la rentrais vite entre mes lèvres. Beurk ! Le gout était aussi horrible que l'odeur... Je recommençais, de manière plus marquée cette fois, en essayant de me concentrer... Je fermais les yeux... Se concentrer... Se concentrer... Mais sur quoi ? Alors je tentais d'imaginer que je léchais sa grosse bite, mister gland baveux pendant que je léchais sa merde.... Cela me rappela que j'avais du déjà lécher sa bite souillée après qu'il m'eu enculée. Mais au moins c'était ma propre merde... Et c'était une vraie bite... Tandis que là...

Je continuais à lécher sa merde en m'appliquant de plus en plus. A chaque coup de langue, j'en ramenais un peu entre mes lèvres. Le gout devenait de plus en plus fort et emplissait ma bouche. J'essayais de me concentrer plus activement. Imaginant les yeux fermés mister gros gland au bord de mes lèvres... Avec un peu d'effort, je finis par obtenir une image précise dans ma tête. Je finis par croire que j'essayais de lui donner du plaisir... Et cela fonctionna... Mon " clitoris " se ramolli, la pression des dents se fit moins forte... Ouf, j'avais réussi à contrôler mon érection...

Au bout d'un moment, dans mon rêve de fellation de sa grosse bite, sans même m'en rendre compte, je mis la tige en bouche et je me mis à la sucer comme une grosse sucette, de haut en bas.... Je ne me rendais même plus compte de ce que je faisais. Mais lui nota immédiatement mon changement d'attitude.

" Voilà, chérie ! Tu vois, quand tu veux... soit gentille avec ton Maître.... Suce la bien maintenant. Tu sais cela me fait plaisir de te voir faire ainsi mon amour. Écarte bien les cuisses maintenant. Tu as gagnée d'être bien enculée petite salope. "

Dans un état second j'écartais largement les cuisses et pendant que ses doigts lâchaient mon " clitoris " je continuais toujours à sucer cette chose. Je sentis qu'il se positionnait derrière moi, et plaçait mister gland sur l'entrée de ma rosette... Il prit alors mes hanches entre ses mains puissantes...

" Continuer à sucer ma merde ma douceur... en rythme... Je vais t'enculer et tu devras sucer ma merde en étant synchronisée avec mes allers retours dans ta chatte de pute. Bientôt je t'apprendrais à sucer une autre bite pendant que tu es enculée... alors il faut que tu t'entraine, pour ne pas me décevoir, quand je te ferais sucer la bite de mes copains et t'enculer par eux, deux à la fois, une bite dans chaque trou... "

Le salaud ! Il avait promis de me protéger ! Mais au point où j'en étais, cela n'avait plus beaucoup d'importance...

Il poussa un grand coup et .... " Han ! Aaah ! Voilà tout le gland est passé ! C'est bon ma petite enculée, ma petite fiotte... Tu as le cul bien serré... "

" Ouille ! Vous me faites mal Maître ! " Mais la douleur était quand même moins forte que la première fois. Je sentais mister gland à l'intérieur de moi qui palpitait et bougeait doucement, avec de tous petits allers et retours.... Mécaniquement, je faisais de même avec mister étron, ayant entré la longueur d'un bon pouce entre mes lèvres et le suçotant doucement. Le bout commençait à fondre entre mes lèvres, se mêlant à ma salive, que je devais avaler régulièrement...

" Tais toi connasse et suce. Je ne veux pas t'entendre, que des gémissements de plaisir, et les bruits de sucions que tu fais... Continue... bien en rythme n'oublie pas ! "

Il allait et venait maintenant toujours de plus en plus profond dans ma " chatte ". C'était de plus en plus bon… Je sentais le plaisir monter en moi… Un plaisir différent… Qui m'irradiait le ventre… Par contre mon " clitoris " était du coup devenu complètement mou et flaccide et s'était rétracté comme si, inconsciemment, je savais que cet appendice ne servait plus à rien dans ce rapport là, car j'étais sa femelle, mister trou, mister branle bite, sa chatte bien chaude et serrée… A un moment il toucha ma prostate avec le bout de mister gland de male puissant. Ce fut comme un éclair, un courant qui traversa toute mon épine dorsale et me fit frismisterner toute entière… Lui, poussait des gémissement de plus en plus fort… Et moi, je m'abandonnais de plus en plus au point que j'en arrivais à oublier de sucer mister étron.

" Ah ! Sale pute ! Branle moi bien la bite avec ta chatte… Serre bien les muscles de ta chatte sur ma queue, suce moi le dard avec ta chatte de salope ! "

Je tentais de serrer mes muscles annaux sur mister énorme tige. Je devais être complètement écartelée, l'anus bien ouvert, car j'avais du mal à resserrer mes muscles… Et je n'avais pas trop envie qu'il jouisse trop vite… car c'était si bon… Il s'aperçût que je ne réagissais pas, devenue toute molle dans mister étreinte. Il me donna alors quelques vigoureuses claques sur les fesses pour me " réveiller ".

" Tu as entendue pouffasse ! Tu n'es pas là pour prendre ton pied connasse ! Tu es à mon service ! Ta vocation c'est d'être un branle bite ! Tu dois te concentrer sur moi et penser à resserrer les muscles de ta chatte quand tu sens que je commence à prendre du plaisir. Allez ! Maintenant ! "

Par réflexe, sous les claques, je serrait mon anus sur sa tige, faiblement au début, puis de plus en plus fort… Cela provoqua des sensations encore plus fortes en moi. Moi aussi je me mis à gémir à l'unismister… Son gland et sa tige durcissaient encore. Il se mit à accélérer ses mouvements en moi, me ramonant le cul.

" Ah ! Ah ! Tu est bonne tu sais ! Tu sais y faire quand tu veux ! Oui… "

Il allait prendre mister pied. Ejaculer mister sperme tout au fond de moi. J'allais être mister réceptacle… Son éponge à foutre… Oh mon Dieu que c'était bon !

" Aaaaah ! Ouiiiii ! Prends ca tout au fond de toi sale pute ! "

Des jets de sperme brulant giclait tout au fond de mon anus, l'inondait, le remplissait, pendant que je sentais sa tige palpiter, ce qui m'arrachait des cris de plaisir… Cela sembla durer longtemps, jet après jets, il me fécondait, puis cela se calma finalement… Mais il resta collé contre moi, mister sexe monstrueux toujours logé dans mon ventre, me mordillant le bout de l'oreille en me disant des mots doux maintenant…

Moi, je n'avais pas joui. Mon " clitoris " était resté au repos. Mais j'avais eu aussi beaucoup de plaisir, mais sans être apaisée. Je me sentais toujours excitée, frustrée d'un orgasme que je n'avais pas eu.
chrislebo

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" Tu sens ma grosse bite qui est toujours en toi… Tu sens mon sperme de male qui t'a remplie la chatte. Tu as aimé, dis moi chérie ?

" Oui Maître, j'ai senti votre sperme gicler tout au fond de moi. Je vous remercie Maître, de m'avoir bien fécondée, de m'avoir fait cadeau de votre sperme bien chaud tout au fond de ma chatte. "

" Tu aurais voulu que ca continue chérie ? "

" Oui Maître, j'aurais bien voulue que ca dure plus longtemps Maître. "

" Oui mais moi j'avais envie de jouir, tu comprends ? "

" Oui Maître, je comprends, vous jouissez quand vous voulez Maître. "

" Mais il me semble que tu a bien pris du plaisir avec ta chatte, ma salope... N'est ce pas, ma pute ?

" Oui Maître, c'étais bon, Maître. Je n'ai pas eu d'orgasme à proprement parler, mais beaucoup de plaisir, oui. "

" Tu n'auras plus jamais d'orgasme comme avant, crois moi, je vais te conditionner à cela. Car tu es une femelle désormais. Et tu verras, ta chatte va devenir de plus en plus sensible, et tu y prendras de plus en plus de plaisir. Mais je ferais en sorte que tu n'éjacule plus jamais. Bien comprise Femme ? "

" Pitié Maître. Ne me castrez pas je vous en supplie. "

" Rassure-toi, pas de castration physique. Tous tes organes resteront intacts. Mais une castration mentale, ca oui. Pour que tu deviennes complètement femelle dans ta tête. Tu n'auras plus d'éjaculation pour rester frustré. Je te veux totalement et constamment frustré et toujours excité, en chaleur. Pour que tu pense tout le temps à ma bite qui seule pourra ton plaisir de femelle. Il faut que tu accepte complètement de ne plus avoir d'orgasmes comme avant. Et de n'avoir de plaisir uniquement qu'avec ta chatte. Comme une bonne femelle. Que tu oublie complètement que tu as une bite. Que pour toi aussi cela devienne un clitoris. Et tu verras, tu pourras aussi t'exciter avec ce clitoris. Mais de l'excitation uniquement, sans pouvoir culminer et jouir. Une excitation sans que tu puisses te satisfaire et la faire retomber. "

" Mais comment ferez vous pour me castre mentalement Maître. Cela me fait peur. "

" D'abord le KTB va te rendre complètement impuissant au bout de quelques semaines. Son effet est de produire un conditionnement psychologique, car tu auras mal dés que tu te mettras à bander, et tu vas associer l'érection à la douleur. Et à chaque fois que tu auras une érection, tu devras rapidement arriver à la faire retomber en te concentrant sur autre chose. Autre chose que la satisfaction de ton plaisir. Tu devras remplacer cela dans ta tête par la satisfaction de MON plaisir, et du mien UNIQUEMENT. Et je vais aussi te conditionner pour que dans ces cas là tu te concentre sur MOI, sur ma bite, mes couilles, mes fesses, mon trou du cul, et les odeurs aussi.... L'odeur de ma bite, mon sperme, mes couilles, mes aisselles. Sans oublier bien sur l'odeur de mon cul, et de ma merde. Et aussi sur le goût. Le goût de mon urine, de ma sueur, de mon sperme, et aussi, tu as déjà commencé le goût de mon cul et de ma merde. "

En disant cela, il recommença à me masturber, assez vigoureusement cette fois. Après cette sodomie si parfaite, j'étais énormément excité et je me mis immédiatement à bander... Tout de suite la douleur se fit sentir...

" S'il vous plait, arrêtez, maître. Je commence déjà à avoir mal avec ce KTB qui me mord le clitoris. "

" Je fais ce que je veux connasse. C'est de ta faute si tu bande, pas de la mienne. Parce que tu n'es pas encore complètement femelle. Alors corrige-toi. Concentre-toi pour débander... Concentre-toi sur MOI. Concentre-toi sur ma bite. Décris là à haute voix... "

" Votre belle grosse bite si noire... si épaisse... et toute dure dans ma bouche... ou dans ma chatte... Je ma sens comme une barre de fer qui me s'enfonce en moi... M'ouvre totalement à vous... J'ai honte, Maître, mais c'est si bon de la sentir dans ma chatte... Surtout quand vous êtes tout au fond de moi... Même si j'ai mal... Mais au bout d'un moment le plaisir m'emporte et me submerge... Je deviens toute molle sous votre étreinte, vos coups de butoir me défoncent totalement jusqu'au plus profond de moi... Dans ces moments là je sens que je ne suis plus qu'un trou pour vous. Je sens votre plaisir monter quand votre bite grossi encore en moi... Et quand vous éjaculez en moi, je dois dire que c'est un vrai moment de bonheur de savoir que je suis votre femelle, qui vous appartient totalement, qui est toute à vous... "

" C'est bien connasse. Moi aussi je prends beaucoup de plaisir à me branler dans ta chatte de pédale. Ca faisait un moment que je me branlais dans mon slip en pensant à une tapette en ton genre que je briserai comme je suis en train de te briser, salope. Et mon odeur de black, tu aimes mon odeur de black ? "

" Vous sentez très fort Maître. Votre odeur corporelle de noir remplit toute la cellule Maître. C'est comme si j'avais toujours le nez contre vos aisselles, Maître. C'est une odeur très prenante, très musquée... Je la sentais parfois dans le métro quand un black s'asseyait à côté de moi. Je me pinçais alors discrètement les narines, car mister odeur de nègre pas lavé m'incommodait, ou plutôt me dérangeait, non... m'émouvait... oui, c'est cela, cela devait remuer trop de choses en moi, des choses que je n'osais pas m'avouer et dont j'avais très honte... Alors, pour me rassurer, je me disais qu'il sentait mauvais... Qu'il aurait pu au moins se laver avant de prendre le métro et d'incommoder tout le monde... Quand il était reparti, je repensais encore à mister odeur, si masculine, sa mâle présence, mais je chassais vite ces pensées qui me dérangeaient trop... Et j'essayais de repenser à ma copine... Pour me sentir redevenir normal... "

" Ah ! Ah ! Tu as une copine ! Toi ! Avec ton sexe minuscule ! Elle est trop bonne celle là ! Tu te prenais donc pour un Homme, pétasse ? Ne me dis pas que tu arrivais à la faire jouir avec ta nouille toute molle... Elle devait simuler, c'est sûr... Hein dis-moi ma petite chérie à moi... "

" Heu... Je pensais... Je croyais... Elle n'était pas très expansive, dans ces moments là... Elle poussait des petits cris toujours en même temps que moi.... J'étais content car je pensais que nous jouissions toujours ensemble... Et après elle me disait toujours " Voilà, tu as fini mon chéri ? Tu as bien pris ton petit plaisir ? " Mais elle ne me parlait jamais du sien... Oh ! Mon Dieu ! Oui, je me rends compte maintenant, elle devait simuler... Oh ! Non ! Je ... Je ... croyais...Je comprenais mieux maintenant pourquoi elle insistait pour que je la lèche... Longuement... Elle poussait alors de petits cris... Et m'écrasait la tête contre sa chatte trempée... "

C'était un nouveau choc pour moi. Je réalisais maintenant que si elle avait vraiment pris mister plaisir, elle n'aurait pas été si passive quand j'étais sur elle, se contentant de ces petits gémissements. Alors que moi, quand il me prenait, j'avais l'impression de grimper aux rideaux, et je poussais de vrais cris, qui devait traverser les murs de cette cellule. Je rougie d'un coup des pieds à la tête en pensant que les primisterniers des cellules d'à coté avait du tout entendre de nos ébats, et étaient maintenant parfaitement au courant des exploits sexuels de mon compagnon de cellule. Car à l'évidence, il suffisait de nous voir côte à côte pour savoir immédiatement qui baisait qui... Tout le monde en me voyant comprendrait que c'étais moi qui était la femelle dans ces ébats si bruyants...

Cette pensée, et aussi la révélation qui se faisait jour en moi, que j'avais été totalement de donner du plaisir à ma copine, qui se comportait de manière si maternelle envers moi, comme si je n'étais qu'un petit garçon mignon à protéger, mais pas un vrai homme qui réveillait en elle la femelle, au lieu de ses pulsions maternelle... Cela me brisa totalement... Ce n'étais pas seulement dans cette cellule, que j'étais une chiffe molle, ce n'étais pas seulement par ce qu'il était plus fort que moi... En fait je n'étais qu'un pédé, qui s'ignorait, jusqu'à ce que le hasard me mette en contact avec Lui, mon vrai Maître, mon Homme, et j'avais perdu tout ce temps en m'illusionnant sur ce que j'étais vraiment...
chrislebo

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#3,189
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Je m'effondrai en larmes, secoué de sanglot incontrôlables, et je me réfugiais instinctivement dans ses bras, si fort, si puissant et protecteur quand il était doux avec moi, si sûr de lui et puissant...

" Allons... Allons... ma petite chérie... Tu as un gros chagrin on dirait... C'est de te rendre compte que tu n'as jamais été un vrai homme, juste une petite pédale qui se donnait des airs de mâle... Ma pauvre chérie... Mais tu sais maintenant qui tu es hein dis moi ? "

" Oui... Maître... Je comprends vraiment maintenant... Je suis votre femelle rien qu'à vous mon Maître... Merci mon Maître... "

" Il va falloir éclaircir la situation alors, ma douce chérie.... "

" Comment ... Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, Maître... "

" Ta copine t'attends dehors ? Elle attend que tu sortes ?

" Heu, oui... sans doute Maître, elle est quand même amoureuse, car elle me trouve trop mignon et elle était vierge quand je l'ai connue... "

" Ah ! Je comprends mieux ! C'est pour cela, elle n'a donc jamais connue de vrai Homme comme moi ! La pauvre ! Elle doit être totalement frustrée... Alors que toi tu t'envoie en l'air tout le temps. Tu devrais lui rendre un service... Tu lui dois bien cela... "

" Mais comment ? Quoi ? Quel service ? Quel service puis je lui rendre en étant ici ? À quoi pensez-vous Maître ?

" Je n'ai pas eu encore le temps de te dire poufiasse... Mais j'ai un frère jumeau qui est dehors... Aussi fort que moi... Avec comme un engin comme le mien... Et dominateur comme moi... Il pourrait bien s'occuper d'elle... "

Je restais interloqué... Comprendre que je n'étais au fond de moi qu'un pédé, était une chose, l'accepter totalement, en était une autre, un pas que je n'étais pas encore capable de franchir, mais qui viendrais je le savais maintenant. Mais de là à offrir ma copine à un Homme comme lui ! Lui avouer tout cela ! Et la convaincre d'aller se faire baiser par mister frère ! Non ! C'était trop pour moi d'un coup !

" Alors ma petite tapette, tu vas lui écrire une gentille lettre....Là, tout de suite... "

" Non... Non... Pas cela je vous en prie... Je ne peux pas faire cela... "

" Si, attends je vais prendre du papier à lettre dans mon placard.... " Il se leva et fouilla dans le placard... En sortit du papier à lettre et des enveloppes... Installa tout cela sur la petite table, et me tendis la chaise....

" Pose ton cul de salope là-dessus et écris ! "

Effondré, je m'affalais sur la chaise qu'il me tendait. Et je pris le stylo en main... Ma tête me tournait... Et je restais sans bouger en fixant la feuille blanche...

" Mais... je ne sais pas quoi lui dire... "

" Commence par lui demander pardon ! "

" Pardon ? Mais de quoi Maître ? "

" D'avoir été incapable de la faire jouir ! Autrement qu'avec ta langue.... Et pas comme un homme devrait arriver à le faire ! Commence ! "

Je commençais à écrire...

Bonjour Chérie

Je ne sais comment commencer... Mais je dois te demander pardon de t'avoir trompé...

Non, ce n'est pas ce que tu crois, je ne t'ai pas trompé avec une autre fille. Je t'ai trompé sur moi, en fait. Je t'ai fait croire que j'étais un homme qui pouvait satisfaire tes désirs, alors que je m'en rends compte maintenant, je sais qu'il n'en était rien. J'ai compris maintenant que tu ne prenais jamais vraiment du plaisir avec moi, quand je te faisais l'amour, avec mon sexe.

" C'est bien. Et bien continue ma salope, explique lui bien pourquoi tu ne pouvais pas lu donner de plaisir ! "

Je sais que tu n'a connu permisterne d'autre que moi, aussi tu ne pouvais pas comparer... Moi aussi je croyais que j'étais normal, que mon sexe était normal, je m'efforçais de ne pas reconnaître la vérité.

En fait je dois maintenant reconnaître que mon sexe est bien trop petit pour te donner du plaisir. Qu'il est bien inférieur à la normale. Et que la plupart des hommes ont un sexe bien plus grand et gros que le mien.

" Voilà... continue chérie... N'oublie pas que tu sois la vérité à ta copine après l'avoir manipulée si longtemps. Tu devrais avoir honte ! "

" Oh ! J'ai trop honte Maître, c'est si dur pour moi de reconnaître tout cela ! "

En disant cela, à nouveau je m'effondrai. Un flot de larmes coula sur les joues et quelques unes virent s'aplatir sur la feuille sur laquelle j'étais en train d'écrire...

" Regarde ce que tu fait connasse ! Tu as mouillée la feuille ! Si tu continue il va falloir recommencer ! Attends, je vais sécher tes larmes de gonzesse, ma fille. "

En disant cela, il enleva mister pantalon de survêtement tout rigide de sperme et jauni par sa pisse, et m'essuya le visage avec vulgarité.

" Sens bien les odeurs de ton maître, putasse, et cesse de renifler ! Je vais rester debout la bite bien dressée à coté de ton visage de poupée... tu me la lècheras de temps en temps, ca t'inspirera ! "

Il se rapprocha, sa bite sale posée sur ma joue, qui sentait horriblement fort le mâle en rut.

" Donne quelques coups de langues maintenant ! Voilà, comme un gros cornet de glace... Je vois que tu aimes les friandises ma salope ! "

Je léchais et suçait un peu le gros gland, goutant une fois de plus à mister gout acre d'urine et de sperme, sans compter les quelques traces qu'y avait laissée l'intérieur de mon anus... Je le débarrassais activement de toutes ses souillures....
chrislebo

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#3,190 · Edited by: chrislebo
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" Vas-y reprend ta lettre maintenant ! "

" Je ne sais plus où j'en suis Maître, pardonnez moi. "

" Relis-toi pétasse ! Tu disais que tu avais une toute petite bite ! "

J'ai honte de te l'avouer mais je te dois la vérité après t'avoir trompé si longtemps. Tu dois savoir que je n'ai qu'une toute petite bite, bien minuscule à côté de certains hommes...

" Mais, Maître, elle ne va pas comprendre, elle ne sait pas ce que c'est ... "

" Et bien on va lui montrer ! Je vais poser ma bite sur la feuille de papier et u va en dessiner les contours. Voilà, c'est tout ! "

En disant cela il posa mister énorme engin de biais sur la feuille, car transversalement elle était trop longue pour tenir toute sur la feuille. Prenant mon crayon, j'en suivais les contours, et dessinais ainsi sur la feuille la silhouette de mister énorme engin avec mister gland si protubérant...

" Voilà, continue, explique lui ce que tu viens de dessiner... "

Tu vois ce dessin... Je sais que tu risque de trouver cela obscène... Mais c'est celui d'une Vraie bite d'un Vrai Homme. C'est la bite de mon compagnon de cellule...

" Alors, continue, dis ce que tu as faite avec ma bite connasse "

Pardon de te dire cela, mais, comme tu vois elle est vraiment très grosse, bien plus grosse que la mienne qui doit te paraître toute petite à côté… Comme tu peux te l'imaginer, ce que l'on raconte sur la vie en cellule est vrai… Cet Homme m'a enculé, plusieurs fois même… Il m'a ramoné la " chatte " comme il dit pour faire de moi sa " femelle "… Et j'ai honte, mais je dois tout te dire maintenant, après t'avoir trompé en t'ayant fait croire que c'était normal, que tu me sentais à peine, comme tu disais, quand je te pénétrais… Et aussi... pardon… pardon. Non ce n'était pas normal non plus quand je jouissais si vite en toi, parfois après t'avoir immédiatement pénétré.

" Très bien… continue ma salope… vas-y, explique pourquoi tu sais maintenant que tout cela n'était pas normal… "

Oui ce n'était pas normal parce que… parce que… Celui que j'appelle mon maître, lui me baise pendant de longues minutes qui me semblent des heures, ca ne semble ne jamais s'arrêter et sa bite est si dure, si forte, si puissante, qu'elle me pénètre jusqu'au fond de l'âme… J'ai alors l'impression d'être littéralement ouverte en deux, d'être complètement offerte à mister désir si énorme et si puissant… Et c'est si bon de s'abandonner dans ses bras puissants et musclés. C'est un noir très costaud…

" Continue ma petite pute… Tu vas la rendre jalouse… "

Et je dois aussi lui sucer longuement la queue… même après qu'il m'a baisé… Je sais cela peut te paraître dégoutant, mais il dit qu'il n'y a rien de dégoutant quand on aime vraiment mister partenaire et que l'on s'abandonne totalement à lui…

" C'est bien. Parles lui de mon frère jumeau maintenant. "

Si je te dis tout cela, ce n'est pas pour te blesser… Mais aussi pour te parler de mister frère jumeau… Qui est tout comme lui, tu vois ce que je veux dire… Contacte le, lui aussi t'enverra au septième ciel et tu connaitra le bonheur d'être femme.

" Voilà. Termine en lui donnât le numéro de téléphone de mon frère... Elle va le contacter c'est sûr… avec ce dessin… Allez signe maintenant cela suffit. "

Je signais, pliais la lettre et mettais mister adresse sur l'enveloppe, en lui indiquant la mienne, en primister, au dos.

Il avait toujours sa bite près de mon visage, à quelques centimètres de mon nez…

" Et bien alors… Tu es en position… Tu attends quoi connasse ? "

" Que… Que désirez vous Maître ? Désirez vous que je vous suce ? "

" Oui… c'est toujours à toi de demander poufiasse. Tu dois être à l'attente de mes désirs, à leur écoute… sentir mes envies. Les anticiper… Pour que je n'ai pas toujours à te commander… Car cela devient fatiguant à la fin ! Et bien sûr toujours demander avec humilité, chienne !"

" Maître, puis je avoir l'honneur de sucer votre belle et grosse bite ? "

" Non, connasse. Pour l'instant j'ai une autre envie ! "

" Alors, Maître, avez vous envie que je vous lèche respectueusement le cul ? "

" Tu as tout faux encore ! Non… j'ai une autre envie… "

" Avez vous envie de pisser Maître ? "

" Oui, connasse. Toutes les heures, tu dois te mettre à genoux devant moi et me le demander… avec un peu d'habitude, tu comprendras quels mistert les rythmes biologiques de mon corps, quand j'ai envie de pisser, de chier, ou d'être sucé. Pour ce qui es te t'enculer lopette, c'est toujours moi qui décide. Car cela fait aussi partie de ton plaisir. Et c'est seulement moi qui doit décider quand tu peux avoir tu plaisir. Bien compris connasse ? "
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chrislebo

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#3,191
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" Oui maître… Pardon maître… Avez vous envie de pisser dans la bouche de votre esclave Maître ? "

" Oui ma pute chérie… j'ai envie de me vider la vessie et que tu avale ma bonne pisse bien chaude… allez, ouvre la bouche… "

J'ouvrais la bouche, sans réactions… Immédiatement le jet fusa et mister urine brulante me remplis la bouche. J'avalais une première gorgé acre… Le jet continuait sans interruption… J'avalais à nouveau, encore et encore, ayant a peine le temps de respirer, le nez englouti dans ses poils pubiens car mister sexe était flaccide et entrait totalement dans ma bouche. Heureusement cela dura peu car il n'avait pas très envie… J'avais l'impression que mon estomac était rempli de pisse. J'étais écœuré. J'étais désormais mister pissoir… J'avais l'impression de n'avoir plus rien d'humain.

" Bien, tu vas te rendre belle maintenant. "

Il sortit de mister placard tout un nécessaire à maquillage. Il me rasa le contour des sourcils pour rendre mon regard plus féminin. Puis il traça le contour de l'œil à la lisière des cils à l'aide d'un crayon à paupière, sur les trois quart de l'œil, à l'extrémité externe en soulignant à peine le bord interne des cils, en remontant le tracé du crayon vers l'extérieur de l'œil, pour donner un effet "œil de biche" m'expliqua-t-il. Ensuite, ce fut l'application du fard à paupière, pour former une ombre claire qu'il appliqua sur toute la paupière, puis une pointe d'ombre foncée appliquée au creux de l'arcade. Puis il me demanda de lever le menton, face au miroir, mes yeux se mistert inclinés et me demanda de ne plus bouger les yeux. Il appliqua alors l'eyeliner au ras des cils. L'étape suivante était m'application d'un mascara noir sur les cils. Il commença par les cils supérieurs (très près de la racine), en tenant la brosse horizontalement, et effectuant un mouvement en zigzag, tandis que je devais toujours regarder vers le bas dans le miroir. Puis il repassa la petite brosse en la faisant tourner pour donner du volume à mes cils. Il fit la même opération sur les cils inférieurs. La dernière touche fut l'application du crayon à sourcils, pour les redessinez.

Mon visage était devenu complètement féminin. La séance se termina par l'application d'une petite couche de fond de teint brillant, suivi de l'application d'une poudre rouge sur mes pommettes pour les faire ressortir, et enfin, l'application d'un gloss très rouge sur mes lèvres, ce qui leur donna une forme pulpeuse et une couleur rouge vif billant.

Avec mes cheveux longs blonds retombant sur les épaules, j'avais désormais un visage complètement féminin, et ma fois, je dois l'avouer, très attirant.

Puis il sortit les affaires que je devais porter. Il étala sur le lit une jupette blanche très courte, plissée, couvrant à peine le postérieur, et un haut très échancré, rose avec des motifs fleuris. Dans le dos il y avait écrit : " Tous les hommes mistert des machos ". Aux pieds je devais porter une paire de talons hauts, rose, d'au moins 14 centimètres. La tenue se complétait par un culotte rose en satin, en forme de boxer, ouverte devant et derrière, couverte de larges volants de dentelle rose froufroutante qui en faisait une sorte de jupon bouffant intégré.

J'étais morte de honte… Il n'allait pas tout de même me faire enfiler cela pour me rendre au réfectoire et m'exhiber ainsi devant tous les autres primisterniers. Des images terribles me venaient, et je rougis de la tête au pied et restait planté là, interdite…

" Alors pétasse ? Tu te décides ? C'est moi qui choisi tes tenues car je suis ton Maître. N'oublie pas ce qui peut t'arriver si tu me désobéie… "

Je commençais par enfiler cette culotte qui ne couvrait rien ou presque. Elle encadrait parfaitement mon clitoris toujours muni du KTB. L'ouverture sur le devant était ronde et munie d'un lacet sous forme d'un ruban rose. J'enfilait la culotte et nouait les lacets de ruban rose autour de mon zizi et de la taille. Le zizi et mes bourses disparaissaient dans les épaisses couches de dentelle, et seul le gland et l'extrémité de la tige entourée du KTB était apparente. Derrière, l'ouverture était large et dévoilait la moitié de mes fesses, encadrant largement ma fente fessière. Cette culotte était un vrai rêve de pervers !

En enfilant la jupette, je m'aperçus qu'elle était si courte, et les dentelles froufroutantes de la culotte si épaisses, que le bord de la jupette s'arrêtait pratiquement à la moitié de mes fesses, laissant largement le bas de ma raie, dévoilant le gland de mon zizi qui pendouillait sous le poids du KTB, et derrière, le début de ma raie des fesses encadrée par l'ouverture de la culotte. Si je rencontrais un autre primisternier dans cette tenue, c'est sûr, il allait me violer direct !

Voyant mon regard inquiet, il me dit : " ne t'en fait pas, permisterne ne te toucheras car ils savent que tu es à moi. Enfile le haut aussi, et vite pétasse, et mets tes talons !"

Je m'exécutais du plus vite que je pouvait. Mais il n'était pas facile de se tenir en équilibre sur des talons aussi haut.

" Le gardien va venir pour ouvrir la porte. Les portes des cellules mistert ouvertes la journée en centrale, pour les détenus tranquilles comme moi. Je vais te présenter à mes copains, puisque tu es ma femme désormais. Et je leur dois quelques services… Tu me serviras à payer mes dettes envers eux… Tu seras bien gentille, n'est ce pas. Tu as intérêt à ne pas me faire défaut devant eux, sinon je t'arrache ce qui te sert de couilles, compris !"

Oh le salaud ! Il avait promis que les autres ne me toucherait pas ! J'étais sûre qu'il allait me " prêter " à ses copains…
chrislebo

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Sur ce on entendit des pas lourds dans le couloir, et la porte d'ouvrir avec un fort bruit métallique, le gardien, gros, bedonnant, transpirant lui aussi, le visage grimaçant et hideux, se tenait dans l'encadrement de la porte, une énorme bosse déformait sa braguette.

Il s'adressa à mon tortionnaire, sans cesser de me reluquer. " Alors, content de ta nouvelle acquisition… Regardez moi cette jolie tenue de pucelle. N'oublie pas que c'est grâce à moi que tu as toutes ces affaires dans ta cellule… "

" Je n'oublie jamais mes dettes, fait en ce que tu veux, elle est à toi, je l'ai totalement brisée cette nuit. " Et il me poussa en avant vers le gardien. Déséquilibrée, je trébuchait, et tombait à genoux, nez à nez avec sa braguette et la grosse bosse qui la déformait.

Je fus immédiatement frappé par l'odeur qui s'en dégageait… Une odeur très musquée et de pisse… " Alors qu'est ce que tu attends connasse ! Tu ne vois pas dans quel état tu l'as mis, salope d'allumeuse ! Défait sa ceinture et baisse mister pantalon ! "

Tremblante et rouge de honte, je dégrafait sa ceinture et laissait tomber mister pantalon d'uniforme de gardien à ses chevilles. Il portait un slip à poche, totalement jauni et raide dont se dégageait une odeur épouvantable. J'allais baisser cet horrible slip, lorsque je reçus une gifle vigoureuse. " Laisse le slip en place salope, j'ai pas le temps putasse, sort la queue par l'ouverture et suce bien à fond, dépêche toi, j'ai les autres cellules à ouvrir. "

Je tentais maladroitement de sortir l'engin rigide de la poche du slip jauni et raide de sperme séché dans lequel il était logé. Quand je mis mes doigts dans l'ouverture de la poche, je fus surprise de constater à quel point sa verge était large. C'est à peine si j'en arrivais à faire le tour avec mes doigts à la base ! J'eu beaucoup de mal à la manœuvrer pour faire sortir la tête par l'ouverture de la poche, et la raideur de ce slip puant ne faisait rien pour me faciliter la tâche. En remuant cette énorme bite je sentais aussi mister pubis extrêmement poilu, et poisseux, les poils étaient gluants de sueur ou de je ne sais quoi ! Ce salaud avait du se branler dans mister slip la veille au soir où le matin même et avait du éjaculer directement dans le slip par celui si était encore humide. Ce remue ménage dans mister slip, à cause de ma main qui tentait en vain de courber mister membre rigide telle une barre de fer, faisait qu'encore plus d'effluves musquées s'échappaient par l'ouverture et venait annonçait à mes narines à quelque centimètre de l'énorme bosse, l'état de la grosse bite que j'allait devoir sucer.

Enfin je réussis à sortir le bout, qui était décalotté. Avec horreur, je me rendis compte que le gland était extrêmement sale, couvert d'une substance blanche gluante et qui dégageait une odeur extrêmement forte. Ce type ne devait jamais se laver la bite, et une fois qu'il s'était branlé, il devait laisser mariner mister gland dans mister sperme, sans se décalotter. De dégout, je reculais la tête.

A peine j'esquissais ce geste, et voyant ma grimace, que le surveillant me tira les cheveux d'une main et de l'autre m'envoya un formidable aller retour qui m'aurait envoyé par terre s'il n'avait pas maintenu la tête par ma chevelure d'une poigne féroce. Je vis trente six chandelles. Alors que j'étais à moitié misterné, de la main qui m'avait giflé il rapprochât ma bouche de mister gland dégoutant.

" Alors, salope, pas encore complètement dressée on dirait. Tu n'aimes pas les queues d'homme ? Allez, au travail feignasse, il y a à boire et à manger tout au bout, tu devrais me remercier pour ce petit déjeuner au contraire. Ouvre la bouche connasse ! "

Il me donna encore une tape sur la tête, et serra ma nuque d'une poigne ferme, frotta mister gland poisseux et dégoutant contre mes lèvres et mes narines…

" Elle sent bon la bite d'homme, pas vrai putasse ! Regarde tout ce bon fromage sur le gland, je vais t'en mettre plein le nez. Tu vas respirer cela, un vrai aphrodisiaque pour les lopes de merde comme toi ! " En disant cela, il n'arrêtait pas de frotter le gland recouvert de cette substance blanche contre mon nez. Inévitablement, des petits morceaux s'en détachèrent et virent se loger dans mes narines. L'odeur était extrêmement forte, une senteur épouvantable de bite pas lavée depuis des jours et des jours…

Brusquement il me pinça le nez pour me powerr à ouvrir ma bouche. Il enfonça l'horrible gland direct entre mes lèvres. Le gout était atroce. Je sentais des petits morceaux de la substance sous ma langue. Mais sa prise était ferme et je ne pouvais pas me dégager. Pour me débarrasser au plus vite de ce gout horrible, je faisais tourner la langue autour du gland sale et le suçotais doucement pour le nettoyer. Sous ces titillations, mister gland durci encore. Je commençais à pomper, creusant mes joues, pour le faire rapidement éjaculer et me débarrasser de cette corvée.

Mais il ne se contenta pas de cela. Brutalement, il prit mes oreilles avec ses deux mains, et s'en servant comme d'une poignée, en serrant ma tête entre ses deux mais d'une main ferme, il régla lui même les mouvements de ma tête, n'hésitant pas à enfoncer mister gland au fond de ma gorge, manquant de m'étouffer.

Mais je résistais. Et j'eu un haut le cœur, mon Maître desserra mister emprise. Et je pus reculer ma tête et sortir le gland de ma bouche.

" Elle va prendre sa raclée ensuite, pour m'avoir manquée " répondit mon Maître. " Elle ne sait pas encore faire gorge profonde " ajouta mon maître.

" Alors il est temps qu'elle apprenne. Il faut bien la lubrifier d'abord. " Dit le garde. " Ouvre la bouche salope, tu as besoin de lubrifiant " ajouta-t-il.

J'ouvris grand la bouche. Le garde me tira la tête en arrière, se racla la gorge et me cracha un énorme cracha dans la bouche.

" N'avale pas connasse, c'est pour que ta bouche soit bien humide autour de ma queue. "
chrislebo

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" Je vais te guider ", dit mon Maître. " Le pénis doit être abondamment lubrifié! Salive bien dans ta bouche putasse ! Sa bite glissera plus facilement dans ta gorge et le long de ta langue si elle est bien lubrifiée. Allez salive connasse ! ".

J'essayais de stocker un maximum de salive dans ma bouche. Ma langue baignait déjà dans la salive du garde et j'avais des frismisters de dégout.

" Ce n'est pas assez" dit mon Maître. " Ouvre grand la bouche pétasse ! "

J'ouvrais à nouveau la bouche. Cette fois ils crachèrent tous les deux à tour de rôle deux ou trois fois dans ma bouche. Je sentir les crachats fuser dans ma bouche jusque contre ma luette. J'avais la bouche complètement remplie de salive. Ca dégoulinait même sur mon menton.

" Surtout n'avale pas sale pute ! Maintenant incline légèrement la tête en arrière et allonge la langue. Sort ta langue de pute et pose là sur le gland, montre que tu es une gourmande. "

" Voilà ! Entre un peu le gland en bouche, seulement le gland, connasse. Le bout du pénis doit dépasser de la lèvre inferieure… Bien, tu es une bonne salope. Mais garde la langue bien sortie. Ensuite, renverse un peu la tête en arrière et abaisse le fond, l'arrière, de la langue comme tu le ferais chez le docteur lorsque qu'il utilise une spatule pour regarder le fond de ta gorge. Tu sens ? Sache que le fait d'avoir légèrement tiré la langue aide à faire baisser le fond de la langue. Ensuite, ouvre largement la gorge comme quand tu es en train de bâiller. Oui, tu es bonne. Cela va contrer le réflexe de haut-le-cœur et offrir une ouverture plus grande pour sa grosse bite. Tu dois être accueillante ma chérie."

Je tirais ma langue à l'extrême, touchait le dessus du gland où il y avait des traces blanches coincées sous le renflement du gland et ouvrait grand mes lèvres.

" Maintenant, prend une grande respiration et fait doucement entrer la bite dans ta bouche le long de ta langue. Quand tu sentiras venir un haut-le-cœur, stoppe le mouvement mais garde la verge en position le plus longtemps possible avant de te reculer un peu. "

Le gland s'enfonça dans ma bouche, glissa sur ma langue abaissée. Il était tellement énorme qu'il me remplissait toute la bouche et écrasait ma langue. Le bout du gland heurta ma luette et j'eu un mouvement de recul.

" Tenez là par les oreilles ", dit mon Maître. " Je vais lui pousser la tête pour qu'elle ne puisse pas reculer. Il faut la maintenir dans cette position un certain temps pour qu'elle s'habitue. Il est temps qu'elle apprenne à faire une gorge profonde. Et toi, connasse, tu as intérêt à être bien docile. Et à te concentrer sur ton travail. "

Ils reculèrent un peu ma tête, sans faire sortir le gland de ma bouche, puis augmentèrent à nouveau leur pression. Le gland s'enfonça un peu plus. Je commençais à paniquer.

" Ca commence à venir " dit mon Maître. " Allez, on recommence ".

Sans que je puisse bouger ma tête, il se retira complètement de ma bouche.

" Frotte bien le bout de la queue sur ses narines, étale bien ton fromage, pour qu'elle puisse bien profiter de l'odeur en suçant… Et toi tire bien à nouveau la langue à fond… encore… voilà… "

Maître bloquait l'arrière de ma nuque d'une main et tenait mes poignets derrière mon dos de l'autre, m'empêchant de reculer. Il me renversa la tête en arrière, et tout d'un coup, tiré par mes oreilles, ma nuque poussée en avant, le salaud s'enfonça d'un coup en moi, et j'englouti toute la longueur du pénis jusqu'au fond de ma gorge. Je paniquais… Je ne pouvais plus respirer… Je tentais de me débattre, mais mon Maître me remonta les poignets derrière mon dos, ce qui me causa une vive douleur. Je cessais de gigoter. Au bout de quelques secondes qui me parurent une éternité, il se retira à demi, libérant le passage de ma gorge. J'inspirais une grande goulée d'air, le nez encore dans ses poils pubiens, m'enivrant de mister odeur musquée, l'odeur de mister fromage collé dans mes narines était tellement fort que cela me fit tourner la tête.

" Cette pute a la gorge bien serrée. Putain, c'est bon ! "

Mon Maître me renversa à nouveau la tête complètement en arrière pour faciliter le passage de la tige. J'eu a peine le temps d'inspirer une goulée d'air, que le garde donna un violent coup de reins, en poussant un grand " Ah ! ". Et il renfourna mon membre au fond de ma gorge, me bloquant à nouveau toute arrivée d'air. Puis, il prit mister rythme, très lentement, poussée, puis retrait, à chaque fois attendant que j'aie le temps d'inspirer et d'expirer une fois. Ce type contrôlait ma respiration. Je sentais la puissance de sa queue épaisse et dure qui s'enfournait avec vulgarité dans ma gorge, mon nez buttant à chaque fois sur mister pubis poilu. J'étais totalement réduite à sa merci, en mister pouvoir, le pouvoir de sa queue, de mister désir d'homme érigé. Ses couilles velues venaient battre contre mon menton à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi.

Puis il commença à changer de rythme. Deux allers retours rapides, qui ne me laissait pas le temps de respirer, puis il sortait à moitié sa queue deux secondes, libérant ma gorge et me donnant le temps d'expirer et d'inspirer une profonde goulée.

" Ah putain ! ca commence à venir ! Il faut bien la dresser cette connasse ! Elle va être bonne ! Sa gorge est tellement serrée ! Ca me comprime la bite comme un anneau. Putain, c'est divin !"

Ensuite le rythme devint plus irrégulier. Tantôt rapide, tantôt lent qui me laissait le temps de respirer. J'étais totalement concentrée sur sa bite qui me violait pour ne pas perdre une seconde afin de pouvoir respire dés qu'il se retirait un peu. Ce membre rigide, dur comme du fer, devenait le centre de mon univers. Je dépendais totalement de ses mouvements.

Quand il s'enfonçait j'avais l'impression d'être totalement empalée par la bouche sur lui. Mon nez était collé dans ses poils pubiens gras de sueur et je pouvais encore sentir les effluves de mister bas ventre qu'il ne devait pratiquement jamais laver... Sans compter tout ce fromage qui me bouchait pratiquement les narines…

Quand il se retirait un peu, tant bien que mal je m'efforçais de le pomper tout en respirant, pour le faire jouir au plus vite et être enfin libéré de mister emprise...

Le va et vient dans ma gorge continuait… J'étais totalement sous emprise. Subissant la puissance du male à travers sa queue. Ce membre qui pouvait m'étouffer… Dont ma vie même dépendait… Qui avait tout pouvoir sur moi…

Je lui caressais ses couilles velues et gonflées, prêtes à éclater... Mais rien n'y faisait, il n'éjaculait toujours pas... Alors, pris d'une inspiration subite, je glissais un doigt le long de sa raie. Il y avait une telle masse de poils poisseux que je mis un moment à trouver mister anus. Pas besoin de lubrifiant. Mon doigt était complètement englué dans ses traces de merde liquéfiée par sa transpiration abondante. Inutile de se demander depuis combien de temps il n'avait pas pris une douche... ca devais faire des jours et des jours... j'enfonçais doucement la pointe de mon index dans sa rondelle, en appuyant doucement. Il poussa un gémissement. Et bien vite, le gland se durcit. Je sentis sa rondelle se serrer autour de ma phalange, et je fus récompensé de mes caresses par des jets puisant de mister foutre tout au fond de ma gorge que je ne pus qu'avaler directement, sans même en sentir le gout. Durant tout le temps qu'il éjaculait, je ne pouvais pas respirer. Mon esprit était suspendu aux pulsations de ce sexe. Les secondes paraissaient très longues. Cela sembla durer une éternité. J'étais aussi concentrée sur mister plaisir qu'il devait l'être. Il était devenu une sorte de Dieu tout puissant pour moi.

Alors il se retira un peu, me permettant à nouveau de respirer. Je continuais à le pomper doucement pour extraire les dernières gouttes de sa grosse bite. Il se détendit, relâcha mes oreilles, les mains de mon maître relâchèrent leur étreinte sur ma nuque, et doucement je tentais de me libérer de mister emprise. A peine avais je reculé ma bouche de quelques centimètre de mister membre, qu'il me tira vulgarement en arrière par les cheveux, me renversa la tête en arrière, et me donna une paire de gifles si forte que je crus sur l'instant m'évanouir.

" Sale connasse de merde ! Qui t'as dit que c'étais finis ! C'est comme cela que ton Maître t'as dressée ! Garde ma bite en bouche, et caresse là avec ta langue. Je veux débander bien au chaud dans ta bouche de pute. "

Sa bite débandait doucement. Se ramollissait…
chrislebo

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" Je dois l'emmener à la laverie maintenant. Cette feignasse doit bosser pour rapporter un peu d'agent à mister maître… " Dit le garde.

" Elle portera ce plug en elle… Mais je tiens à ce qu'elle continue mister entrainement… Elle doit de tripoter le clito en permanence tout en portant le KTB. Elle peut ralentir le rythme si elle veut, mais elle ne doit pas cesser de se masturber pendant tout mister travail. Et surtout, surtout, ne jamais jouir. Mais avec le KTB, elle n'a aucune chance d'y arriver. Elle se tordra de douleur avant. Au bout de quelques jours, mister clitoris va se mettre à couler continuellement, elle va mouiller en quelque sorte… Elle sera alors complètement conditionnée… et ne pourra plus avoir d'érection. Une tapette impuissante… car j'ai des projets… je vous en reparlerai… "

" Oui mais comment est ce qu'elle va bosser alors ! Je lui avait prévu un petit job bien tranquille… trier le linge sale… faire le tri du linge de corps des primisternier : les slips dans un panier, les tee-shirt dans un autre, les pantalons de survêtements. Séparer ce qui est vraiment sale et nécessite des soins " particulier " du tout venant. "

" Et bien elle n'aura qu'à le trier avec ses dents ! Comme cela elle profitera bien des odeurs ! Et à quels soins 'particulier s' pensez vous ? "

" Vous savez bien que nous sommes obligés de faire des économies… Nous ne pouvons pas laver à plus de 40°. Alors forcément le linge ne ressort pas toujours propre. C'est pourquoi j'ai pensé à elle pour le prélavage… Elle lèchera et sucera les tâches les plus sale avant le passage à la machine. "

" Excellente idée… Allez dégage maintenant… Et mets toi le plug pour te boucher la chatte. "

J'enfilais ma tenue du jour : talons haut de 12 centimètres noirs, body blanc moulant découpé dans un tissu de dentelles avec auréoles de seins découpés, volants de dentelles aux poignets et large volant de dentelle autour de la taille faisant une sorte d'ultra mini jupe. Le body avait mister entre jambes découpé pour laisser sortir mon le bout de zizi toujours enfermé dans l'anneau du KTB. Au jambes des bas, blancs eux aussi, qui s'attachaient à des jarretelles fixés au body. Mes longs cheveux blonds étaient arrangés en couettes maintenues par de gros nœuds de soie rose. J'étais maquillée à outrance : rouge à lèvre brillant rouge vif, longs faux cils noirs, rouge aux pommettes, fard à paupière bleu. Un collier en cuir complétait mon accoutrement, collier auquel le garde fixa une laisse en cuir. Il donna un coup sur la laisse.

" Avance sous merde ! Et commence à tripoter ta nouille de sale pédé. Tu ne dois plus t'arrêter à partir de maintenant. "

Je mis mes doigts autour de l'extrémité de mon clitoris et je commençais à le caresser doucement, à travers le prépuce qui était remonté, le plus doucement possible car j'avais peur de bander à nouveau et de sentir les dents du KTB. Je le sentis frémir à ce contact, mais rien de plus…

Il ouvrit la porte de la cellule et nous sortîmes dans le corridor, longeant les portes des autres cellules. Toues les portes étaient ouvertes car c'était l'heure de la promenade ou de se rendre aux différents ateliers pour ceux qui avaient un travail. Inutile de dire que mon passage dans le couloir ne passa pas inaperçu des autres primisterniers. Il semblait que j'étais le seul blanc dans ce block, et certainement l'un des plus frêle, sans parler du fait que j'étais le seul blond !

Le passage devant chaque porte des cellules donnait lieu à un flot d'insultes, de gestes obscènes, certains n'hésitant pas à baisser leur pantalon de jogging pour me montrer leurs gros engins en érection qu'ils branlaient frénétiquement en me voyant passer. Tous ces mâles en rut, privé de femmes depuis des années me désiraient c'est sûr, sans parler du mépris que j'inspirais à tous ces machos, pour qui je n'étais qu'un sale pédé, tout juste bon à leur vider les couilles.

Au bout du couloir nous descendîmes un escalier, puis un autre couloir, vide celui-là, une autre porte blindée, et nous entrèrent dans une pièce où régnait une chaleur étouffante et humide, avec d'énormes machines à laver le linge et des séchoirs rotatifs qui tournaient. Il y avait là des primisterniers, tous blacks, énormes, musclés, transpirant à grosses gouttes, le torse nus, en simple slips qui s'affairaient autour des machines pour remplir ou vider les tambour des machines de linge sale ou propre. Le linge était transféré dans de gros paniers rectangulaires montés sur roulettes. Au fond de la salle, il n'y avait plus de machines mais seulement des paniers alignés, certains vides et d'autres remplis à ras bord de linge sale. Des tee-shirt, des pantalons de jogging, des serviettes de bains, des chaussettes de toutes les couleurs, des slips blancs à poche, et même des draps dans certains qui étaient rangés à part.

Le gardien m'expliqua en quoi consistait mon travail. Je devais plonger la tête la première dans les paniers remplis de linge sale (sauf ceux qui contenaient des draps, en sortir en la tenant par les dents une pièce de linge quelconque, et la trier, slips d'un côté, tee-shirt d'un autre, pantalons dans un troisième et chaussettes dans un dernier, en la déposant, toujours en la maintenant par les dents, dans le panier approprié. Le gardien ajouta que je serais supervisée par trois autres primisterniers dans mon travail, qu'ils devraient veiller à ce que je n'arrête jamais de me tripoter le clitoris, et que ce serait eux qui seraient chargés de déplacer les paniers à linges. Si je n'obéissait pas correctement, ou ne travaillait pas assez vite, ils étaient autorisés à me fesser, mais à mains nues seulement. Enfin, pour " compenser " leur " surcroit " de travail du à la supervision de ma tâche, je serais à leurs ordres pour leur rendre tous les " menus services " qu'ils jugeraient utiles.

Je restais là, debout, complètement ahuri de ce que je venais d'entendre. Alors le plus fort et le plus musclé des trois blacks, j'apprendrais un peu plus tard qu'il s'appelait Hamed, et qu'il était, avec les deux autres, un ami de mon maître, d'où sa présence à mes côtés, s'avança vers moi, me gifla, et me précipita la tête la première dans un panier rempli de linge sale.

Je basculais en avant, tombant la tête la première au milieu du panier à linge qui amorti ma chute. Immédiatement je fus saisi par l'odeur rance qui se dégageait du monceau de linge. Je mordais avec dégout dans la première étoffe qui était sous mois et me redressais, en gardant le tissu en bouche, ce qui n'était pas si facile perchée que j'étais sur mes hauts talons.
chrislebo

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Alcool


Flagrant délit, ivresse sur la voie publique, mise en danger de la vie d'autrui, excès de vitesse. Comme a dit le juge des comparutions immédiates:

- À peine un an de permis et déjà un tel palmarès... Vous avez de la chance... Votre jeune âge m'oblige à restreindre la peine qu'à quatre mois de primister ferme... Je ne peux vous infliger plus... Dommage... Affaire suivante...

Direct la tôle entre deux flics. Tout cela en à peine vingt-quatre heures. J'étais en train de vivre un cauchemar. Mon boulot, ma piaule, ma copine, tout perdu en quelques minutes. Plus rien. Bâtisse lugubre, claquements de portes, couloirs, déshabillage, fouille, photo. Couloirs, bruits, annonce du règlement, de l'emploi du temps. Bureau du directeur:

- Tenez vous tranquille... Pas de problème sinon... Mitard... Cellule surpeuplée... Vous serez avec les plus jeunes que nous avons ici... Quatre mois c'est rien, nous avons ici des permisternes pour longtemps... Peut être aurez vous des jours de remise de peine...

Couloirs, bruits, chahut, cris. Les gardes m'encadrent. Des portes de fer avec des œilletons. À n'en plus finir. On s'arrête devant l'une d'elle. J'ai peur. Bruit de serrure et porte qui s'ouvre en grinçant:

- Un nouveau les gars...

- On est déjà quatre, chef!

- Rien à foutre. Il dormira par terre. Il est là que quatre mois...

Porte qui se referme en claquant. Moment de panique. Ils me dévisagent sans un mot. Je reste immobile complètement déboussolé. Je ne réalise toujours pas. Ce n'est pas possible. Comment c'est arrivé tout ça! 120 jours à vivre ici... Avec ces mecs...

Les premiers jours mistert impossibles à supporter. Ils ne me parlent pas. Humiliation de devoir faire ses besoins devant eux, séparé par une couverture tirée entre les deux murs. Promiscuité, odeurs, sueur, saleté. Matelas à même le sol entre deux lits. Ils mistert bien plus vieux que moi. Presque la quarantaine. Ils mistert là depuis longtemps. Pour longtemps. Ils se connaissent bien. C'est des durs, des squales.

Je n'ai pas faim. Impossible de manger depuis trois jours. Impossible de dormir. Trop de bruits, de ronflements, de cris. Peur de ce nouveau monde. Peur de cette jungle. Chacun pour soi. Les gardiens mistert aussi durs que les primisterniers. Je vais devenir fou. Aucune nouvelle de l'extérieur depuis huit jours. Je flotte dans mes vêtements. Première douche. Nu avec les autres. Regards provocateurs, insultants, méprisants. Je me lave à peine et remet rapidement mes vêtements.

Il n'y a rien à faire à part la bouffe et la promenade. Ils ne me parlent toujours pas. Ne mistert pas curieux de savoir pourquoi je suis ici. Ils n'hésitent pas à me montrer qu'ils ne veulent pas de moi. Qu'ils ne me considèrent pas comme l'un des leurs. Aucune pudeur devant moi. Ils pissent sans tirer la couverture et se changent devant moi. Ils échangent des blagues salaces en se montrant leurs queues. Moi je me change derrière la couverture.

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Extinction des feux. Je n'ai pas sommeil. Je couche sur un matelas taché, à même le sol. J'entends les sommiers grincer. C'est le moment ou l'angoisse est la plus forte. Une boule qui bloque la gorge. L'envie de chialer. L'envie de sortir du cauchemar. J'arrive à dormir mais très mal. Souvent des cris dans des cellules voisines me font sursauter. Il paraît que ce mistert des mecs qui font des cauchemars. J'ai appris à reconnaître les cris et je sais que des fois ce ne mistert pas des mecs qui font des cauchemars. Une nuit j'ai tremblé en entendant des bruits de lutte dans la cellule voisine de la nôtre. Après les bruits, des cris de douleurs, puis des grognements couverts par des rires discrets et des grincements de sommier. Le lendemain à la promenade, impossible de deviner ce qui c'était passé cette nuit là. Tous les mecs de la cellule voisine avaient le même visage que tous les autres jours. Seul le plus chétif regardait le sol. C'était le plus vieux et le dernier arrivé.

La nuit revient avec mister cortège d'angoisse. La toilette du soir m'a semblé interminable. Bruits d'urine, changement de vêtements. Il fait chaud. Intenable. Ils se couchent uniquement vêtu de leurs caleçons. C'est la troisième nuit et je ne connais toujours pas leurs prénoms. Ils connaissent le mien. Mon matelas est contre le mur sous la haute lucarne qui sert de fenêtre. Je ferme les yeux dans le noir. Ciel d'orage. Nuages lourds. Nuit très sombre. Au milieu de la nuit, des bruits de voix dans la même cellule que la veille. Je ne comprends pas tout les mots. On dirait qu'un des mecs supplie et pleure. D'autres voix très dures, menaçantes, violentes. Bruit de bousculade. À nouveau des supplications. Je n'arrive pas à avaler ma salive. Mon cœur veut sortir de ma poitrine. Des cris de douleurs me font sursauter. Ils ne durent pas
chrislebo

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Le lendemain matin en se rasant un des types de ma cellule dit à la cantonade qu'il y a une nouvelle femme dans la primister. Cela fait rire les autres. Moi je n'ai pas assez de poils pour me raser tous les jours. À la promenade, le vieux de la cellule voisine regarde obstinément le sol. Permisterne ne lui parle, il ne parle à permisterne. Un de ses compagnons de cellule parle avec un type de ma cellule. Ils fument une cigarette ensemble.

Vers la fin de la promenade, le vieux est entouré par les mecs de sa cellule et celui qui a fumé une cigarette se met à lui pétrir les fesses devant tout le monde. Permisterne ne dit rien et regarde la scène. Sourires ironiques au milieu de visages fermés. Le vieux, les larmes aux yeux, le laisse faire. Les gardiens regardent ailleurs. Nous regagnons tous nos cellules.

Toilette du soir. Les mecs pissent devant moi. Ils mistert costauds. Quelques tatouages sur les peaux luisantes de sueur. Leurs ventres débordent au-dessus des caleçons. Ils ne parlent pas et se couchent directement sans même se souhaiter bonne nuit. Je n'ai pas échangé plus dix mots avec eux depuis que je suis là. Les lumières s'éteignent. Je garde les yeux ouverts dans le noir. Je pense au vieux de la cellule voisine. Ce soir il n'y a pas de bruit. Peut-être qu'ils vont le laisser tranquille. Il fait très chaud. Je suis en polo et caleçon. Je n'arrive pas à trouver le sommeil. Cela fait six jours que je suis ici. Je me tourne et retourne sur mon matelas.

Le vieux hante mes pensées. Je l'ai vu à poil sous la douche. Des poils blancs, des rides, un corps maigre, moche. Il doit avoir presque cinquante ans. Les autres mecs de sa cellule doivent avoir à peine la quarantaine. Ainsi donc c'est vrai que c'est la loi du plus fort et que tu deviens vite une larve. Il va pleuvoir. Je m'assoupis...

Un mouvement dans la piaule! Un mec est debout! Il va vers les toilettes. Je ferme les yeux. J'entends le bruit de l'urine couler le long de la cuvette. Il finit de pisser. J'entrouvre les yeux. Le corps se découpe dans la pénombre. Je vois parfaitement la bosse sous le caleçon. Le type se recouche. Je me calme. J'ai eu peur. Le sang bat contre mes tempes. Je somnole avant de m'endormir...

Réveil en sursaut... Je ne peux pas bouger... J'ai du mal à réaliser ce qui se passe... Ils mistert à genoux autour de moi. Leurs silhouettes massives se découpent dans la pénombre. Seule la lumière de la lune passant par la lucarne éclaire la cellule. Je comprends tout de suite ce qu'ils veulent. Je panique. J'ouvre la bouche pour crier. Une claque me coupe le souffle. Autour de mon matelas, ils ne parlent pas et respirent fort. Des mains puissantes me bloquent, les jambes, les bras, le cou. Un tissu mouillé power ma bouche. Ils m'immobilisent la tête. Je vois les lueurs dans leurs yeux. Le tissu m'écarte violemment les mâchoires. Les doigts poussent le linge au fond de ma bouche. Je gigote sur le matelas. Ils me tiennent bien.

Je grogne. Ils frappent. Je ne sais pas pourquoi ils me tabassent. Ils me frappent en silence. Sur tout le corps à l'exception du visage. Ils ont les poings entourés de tissus. Je ne peux parer aucun coup. Je souffre en grognant de douleur. Je repense au vieux et me demande s'il entend mes gémissements dans sa cellule. Les coups pleuvent sur mon corps. Les mecs prennent leur temps et frappent à tour de rôle. Essentiellement sur mes côtes, mes cuisses, mon ventre et mon bas ventre.

- Stop!...

L'ordre n'est qu'un chuchotement, mais les coups s'arrêtent. Le visage d'un des mecs, le plus vieux, se penche sur le mien. Ses yeux méchants brillent dans le noir. Les autres m'agrippent fermement les bras et les mollets. Son haleine sent le tabac. Je le regarde complètement terrorisé. Il chuchote au dessus de mon visage.

- On a de la chance d'avoir un jeune comme toi... Tu vas être une gentille poulette et on ne te fera aucun mal... Tu verras dans quelques jours, cela te fera même du bien...

Il s'est redressé au dessus de mon visage. Je voyais bien qu'il bandait dans le noir. Une très grosse bosse sous le caleçon taché. Je tentais désespérément de leur échapper. Je savais qu'il n'y avait aucun espoir. Je les avais pourtant entendu les autres dans la nuit. Le bâillon étouffera tous mes cris de révolte, de douleur ou de peur.

Ils m'ont retourné rapidement pour me mettre à plat ventre. Une main dans mes cheveux pour plaquer mon visage contre le matelas, à la limite de l'étouffement. J'ai énormément de mal à respirer avec ce tissu mouillé dans la bouche. Ils me débarrassent vulgarement de mon caleçon avant d'écarteler mes jambes en dehors du matelas. J'étais complètement à leur merci. Je comprenais à peine ce qu'ils disaient en chuchotant:

- Il a un beau petit cul tout blanc...

- Ouais ça va être un vrai plaisir...

- Ça fait une semaine que j'en ai envie de mister cul de gonzesse...

- Va cherchez le savon... Faut pas l'abîmer...

Ils m'écartent vulgarement les fesses, mettant ma raie à nue. Des ongles cassés me griffent la peau. Je voulais les supplier de me laisser tranquille. Je grognais dans le matelas. Je ne pouvais bouger aucune partie de mon corps. Ils emprimisternaient mes jambes, ma tête, mes bras. Quand une main m'a enduit les fesses et la raie de savon, je me suis cabré. Cela les a fait rire.

- Vas-y bouge bien ton petit cul pour échapper... C'est encore plus excitant... Savonne-lui le trou...

J'ai cru que j'allais mourir quand des doigts glissants ont forcé mon anus. Pas de douleur. La honte, uniquement la honte. Les doigts enduisaient mon tunnel. Ils allaient et venaient. Je tentais vainement de me sauver. Pour aller où? Comment? Les doigts assouplissaient ma rondelle. Je n'avais pas mal. La peur me tenaillait le ventre et je tremblais en gémissant dans mon bâillon. Quand les doigts ont quittaient ma raie, j'ai cru naïvement qu'ils allaient enfin me laisser. Mais le fumeur s'est mis à genoux entre mes jambes écartelées et quand j'ai senti ses mollets poilus contres l'intérieur de mes cuisses, j'ai cru devenir fou de désespoir.

- Tenez le bien...
chrislebo

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Il s'est couché sur mon dos.

- Allez ma poulette... Bientôt tu en redemanderas...

C'est comme une décharge électrique qui m'a traversé tout le corps quand j'ai senti mister membre très dur contre mes fesses et mister haleine sur ma nuque. Les poils de mister torse grattaient mon dos. Son ventre se collait contre le bas de mon dos.

- Laisse toi faire... N'aies pas peur... Tu vas devenir une bonne petite femelle...

Son sexe était contre ma raie, entre mes fesses. Le fumeur bougeait mister bassin et mister sexe coulissait entre mes fesses à la recherche de l'entrée. Je ne bougeais plus. Je n'en avais pas la power et je serrais les fesses au maximum.

- Laisse toi faire... Ne fais pas comme le vieux d'à côté...

Je tentais de repousser le bâillon avec ma langue. Mais la boule de tissu était bien trop grosse et bien enfoncée dans ma bouche pour sortir. Je grognais de plus en plus fort en sentant le gland se poser contre mon anus savonné. Je m'en fichais de savoir que dans les cellules voisines, ils pourraient entendre mes gémissements.

- Le vieux, il ne voulait pas lui non plus... Alors ils l'ont pointé à quatre d'un coup et ils vont le faire tous les soirs... En ce moment ils mistert en train de lui casser le cul et il ne crie plus...

Il a commencé à donner des coups de reins contre mon anus. Des coups très secs et rapides. Il allait de plus en plus fort et je sentais avec effroi ma corolle se détendre. Les coups de bassins augmentaient en puissance. J'étais complètement tétanisé de peur en sentant mon conduit cédait lentement sous ses assauts.

- Laisse toi enculer et on te gardera que pour nous... Le vieux maintenant ils vont le transformer en lope pour le louer à toute la primister...

Ses doigts crochus ont serré mes épaules et après quelques secondes d'immobilité, il a donné un violent coup de rein. J'ai cru que mes testicules étaient remontés dans ma gorge. Des éclairs de douleurs dans mon cerveau... Puis plus rien... Comme du plomb dans mon ventre...

- Laisse toi faire... Ne bouge plus... Tu vois mec... T'es un enculé maintenant... Tu l'as bien profonde... T'es décapsulé... Ça ne sert à rien de te battre maintenant...

Écartelé sur le matelas, je ne criais plus. Je ne serrais plus les fesses. Je ne tentais pas non plus de bouger mes membres. Cela ne servait plus à rien. C'était trop tard... Il avait raimister. J'étais maintenant un enculé. J'avais une barre bien dure dans le cul Ils étaient trois contre moi. Il a commencé à me limer de toute la longueur de mister membre. Je me suis contentais de pleurer en mordant le bâillon de toutes mes powers.

- C'est bien mon petit enculé... Reste sage... Je vais t'assouplir la rondelle... À ton âge la douleur ne dure pas longtemps...

Il a commencé à accélérer ses mouvements de pilonnage. La douleur est vite revenue me faisant gémir à nouveau. Le savon me lubrifiait parfaitement et je commençais à sentir la grosse saucisse frottait contre mon conduit intime. Les autres m'ont lâché. Je n'ai rien fait pour me sauver ou échapper au pieu qui me forait vigoureusement les entrailles. J'attendais honteux la fin du calvaire.

- C'est bien... Tu es une bonne petite femelle... Ce soir, tu vas garder le bâillon... Il ne faut pas que les autres entendent... Mais tu vas voir, ton p'tit cul, on va en faire une vraie chatte... Bien souple...

Il n'a plus rien dit et m'a enculé lentement en prenant mister temps et en savourant sa victoire sur mon cul. Je le laissais me sodomiser. Je ne criais plus et la douleur devenait supportable.

- Tu comprends vite toi...

Mon corps bougeait sous ses assauts. Son sexe tapait contre le fond de mon ventre. À nouveaux sa voix grave:

- Tu la sens ma grosse teub... Tiens prends-la à fond mon poussin... Tu vas voir on va bien te l'élargir ton derche de gonzesse... Bientôt tu nous supplieras pour qu'on te la mette...

Les poils de mister corps grattaient ma peau, mister ventre cognait régulièrement contre le haut de mes fesses. Il sentait la sueur et le tabac. Les autres regardaient le spectacle en se branlant lentement. C'est cette nuit, que comme le vieux de la cellule mitoyenne, je suis devenu un enculé. C'est cette nuit que je suis devenu leur femelle soumise. Le fumeur m'a rempli l'anus de sa liqueur virile et moi, je me suis vidé de mes attributs de mec. Le type s'est longuement vidé au fonds de mes reins et moi j'ai docilement tendu mes fesses à sa loi du plus fort. J'ai eu froid quand sa queue a libéré mes fesses et qu'il s'est levé.

- La voie et ouverte les mecs... C'est une voie royale...

Je suis resté immobile, membres écartelés, fesses offertes, visage tourné vers la lucarne. J'attendais sagement le suivant. Je crois bien que j'ai pleuré...
chrislebo

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#3,198
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Le lendemain au réveil, j'avais encore mal au cul. Mais c'était une douleur supportable. Je me suis nettoyé la raie tant bien que mal avec du papier chiotte. Eux me regardaient de temps en temps avec des sourires méchants.

- Alors petit? Passé une bonne nuit?

C'est le plus vieux, le chef de la cellule, celui qui m'avait dépucelé qui me questionnait en riant. J'ai baissé la tête en rougissant.

Au moment de la promenade, j'ai compris pourquoi le vieux regardait tout le temps le sol. Moi non plus je n'avais pas le courage de regarder les autres. J'avais l'impression que tous les détenus savaient ce qui c'était passé la nuit précédente. Je savais que je n'aurais permisterne pour me défendre ou même à qui me confier. Terrible sentiment de silencieuse solitude. Le mot enculé était imprimé en lettres de feu dans mon cerveau. J'étais un enculé et bientôt tous les détenus allaient le savoir. Le pire c'est que le type qui m'avait dépucelé avait raimister. J'avais à peine mal et si j'étais fatigué, c'est plutôt parce que je n'avais pas dormi de la nuit. J'avais passé le restant de la nuit à chier ou à dégueuler pendant qu'ils ronflaient repus et contents de s'être soulagés les burnes comme a dit le dernier.

Le matin, ils avaient eu le même comportement que les jours précédents, m'ignorant superbement à part ces sourires et la question du vieux. On aurait dit qu'il ne s'était rien passé. La seule différence est que j'étais uniquement vêtu de mon polo au réveil et qu'il a bien fallu que je me nettoie la raie. Un des types de la cellule a fait brûler une écorce d'orange séchée en me lançant une œillade qui m'a fait rougir. J'ai su plus tard que cela servait à camoufler les odeurs suspectes.

Dans la cour, le fumeur de la cellule d'à côté discutait avec un mec d'une autre cellule qui lui a remis une cartouche de cigarette. Permisterne ne faisait attention à moi. Le vieux était seul dans un autre coin de la cour.

Au repas de midi, j'ai dû m'asseoir entre deux de mes compagnons de cellule. Ils m'ont piqué la moitié de ma bouffe. J'ai rien fait pour les empêcher. Les autres autour de la table m'ont lancé des regards de mépris. À la sortie du réfectoire, au moment de la bousculade pour sortir de la grande salle, j'ai senti une main sur mes fesses. Je me suis retourné pour voir le visage hilare d'un mec de ma cellule. Les mecs autour de moi ont bien vu que je rougissais de honte. J'ai baissé la tête. J'avais envie de chialer. À mon âge!

L'après-midi, dans l'atelier, le type qui avait donné la cartouche a accosté le vieux pour lui chuchoter quelques mots à l'oreille. Le vieux est devenu tout pâle. Il a regardé le fumeur de sa cellule qui s'est contenté de lui renvoyer un léger sourire ironique et très menaçant en lui faisant oui de la tête. Les gardes étaient loin du groupe. Deux mecs de la cellule ont encadré le vieux et l'ont littéralement porté derrière la grosse machine à laver le linge. Le type qui avait donné la cartouche les suivait. Le vieux avait les larmes aux yeux en se laissant emmener.

Le type qui m'avait dépucelé s'est approché de moi.

- Tu vois que je ne t'avais pas raconté de bobards hier. Il l'a échangé contre une cartouche de cigarette. Suis-moi... Tu vas voir ce qui peut t'arriver si tu fais le con...

Ce que j'ai vu m'a fait froid dans le dos: derrière la grosse machine bruyante, les deux mecs de la cellule tenaient le vieux penché en avant sur un établi. Le troisième s'est collé contre mister derrière et lui a rapidement baissé mister pantalon et mister caleçon sous les fesses. J'ai vu mister cul tout blanc à la peau fripée tendu vers l'autre. La bite est sortie de la braguette. Elle était d'une belle taille. Le mec a craché dans sa main et s'est masturbé rapidement. Puis le mec a positionné mister sexe entre les fesses flétries et a saisi le vieux par la taille. J'ai vu de mes propres yeux le sexe s'enfoncer d'un coup. Le vieux a redressé la tête sous la douleur et a ouvert la bouche. Un des mecs qui le tenait penché lui a mis sa main sur la bouche. Le type qui avait donné la cartouche s'est collé contre les vieilles fesses.

- Jusqu'aux couilles, direct... C'est comme ça qui faut niquer les lopes... Elles mistert là pour ça...

Puis, il a commencé à bouger. Il allait très vite et sodomisait durement le vieux cul tout blanc. La scène a à peine duré cinq minutes. Le type a déchargé, a sorti sa queue luisante et s'est rajusté avant de partir bosser. Les deux autres ont libéré le vieux qui a remonté mister pantalon en reniflant.

- Tu vois comme ils l'ont mâté... Ça peut t'arriver aussi... Il suffit simplement qu'on leur raconte et qu'on leur donne notre feu vert pour te casser le fion... Et toi t'es bien plus mignon que cette vieille peau...

Tout en me parlant, il me malaxait les fesses. Je l'ai laissé faire devant tous les autres détenus...

- C'est bien, tu comprends vite toi... Vous y touchez pas les mecs, il est à nous seulement celui là.

C'était donc vrai, je leur appartenais et j'étais un enculé... Un vrai...
chrislebo

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C'est le premier jour depuis ma détention que le temps m'a paru passer si vite. Il était déjà l'heure de la toilette du soir. Bien sûr, j'appréhendais le moment du coucher. Mais il n'y avait aucun moyen de le retarder. Et je savais déjà ce qui allait m'arriver cette nuit.

La cellule m'a paru encore plus étouffante que d'habitude. La chaleur n'arrangeait rien bien sûr. Ils se mistert changés comme à l'accoutumé, sans même me regarder ne gardant que leur caleçon. Malgré moi, je jetais des coups d'œil furtifs sur les bosses qui déformaient les calcifs. J'avais la gorge sèche... Et très peur... Je me suis changé derrière la couverture cinq minutes avant l'extinction des feux.

Les lumières se mistert éteintes et l'angoisse m'a envahie. Dans le noir de cette cellule, je me suis couché sur mon matelas en relevant mon drap jusqu'au menton comme un gamin qui a peur du noir. Et j'avais vraiment l'impression d'être un môme dans cet enfer. Je revoyais le vieux de l'atelier obligé de se pencher, obligé de tendre mister cul à un mec, obligé de subir la loi du mâle, visage crispé de douleur et d'offense. La chair pâle et flétrie de ses fesses tremblant comme de la gélatine sous les assauts de mister enculeur dansait devant mes yeux.

Je tremblais malgré la moiteur de l'air. J'avais du mal à respirer et un sentiment d'oppression me comprimait la poitrine. Je ne savais pas ce qu'ils voudraient, mais je savais que je n'aurais pas le choix. Ils voudraient encore mon cul. Mon cul de jeune mec dans la power de l'âge. Est-ce-que tous les jeunots comme moi se faisaient éclater le fion?

Il ne s'est rien passé pendant au moins deux heures ou plus. Je suis brusquement sorti de ma léthargie en sentant quelqu'un à mes côtés. C'était le fumeur. Il m'a tiré par la main.

- Viens ma poule...

Je me suis levé pour le suivre. Je n'avais pas le choix. Je savais que si je n'obéissais pas cela serait pire encore. Il m'a enlevé mon polo et mon caleçon devant mister lit. Je me doutais bien que les autres devaient regarder dans le noir. Mon corps blanc pâle devait bien ressortir.

- T'as plus besoin de t'habiller la nuit chérie...

Le fumeur s'est collé contre mon dos et j'ai très vite senti mister sexe très dur se frotter contre mes fesses.

- Tu sens Popaul ma petite chérie?...

Ses mains se mistert mises à me pincer les seins, à me caresser le ventre ou à serrer mes tétons. Il me mordillait la nuque ou les épaules. Je percevais mister excitation et je tremblais de plus belle en sachant très bien que j'étais à sa totale merci.

- Ce soir tu vas être ma petite femme... Ma bonne petite salope à moi tout seul... Tu vas coucher avec moi et te laisser faire bien gentiment...

Ses grosses mains ont empaumé mes fesses qu'il a malaxé durement. Puis il a ouvert ma raie m'obligeant à me pencher, avant de revenir me pincer très fort mes tétons et descendre sur mon pubis pour me tirer les poils sans jamais toucher à mon sexe.

- Dommage que t'as des poils ici... Tu as la peau douce partout. Une vraie peau de femme...

Son corps collé contre mon dos, dégageait une puissance telle que je savais que toute rébellion de ma part serait vouée à l'échec. De plus, dans le noir, je devinais que les autres se tenaient prêts à intervenir au moindre mouvement de révolte.

- Au pieu chérie et je te conseille de pas crier si tu ne veux pas que les autres entendent dans les cellules voisines... Couche toi ma petite salope... Montre-nous ton joli popotin...

Je me suis mis à plat ventre sur mister lit et il m'a vite couvert de mister corps noueux. Ses jambes musclées et très poilues ont écarté les miennes imberbes. Son pubis frottait contre mes fesses légèrement surélevées. Il sentait le tabac et la sueur.

- Je te préviens, si tu ne fais pas tout ce qu'on veut on te donne aux autres... Et crois moi, ils attendent que ça... C'est rare un trou neuf dans le quartier...

Pendant qu'il étalait de la salive sur ma raie et mon trou, j'ai mordu l'oreiller pour ne pas crier. J'ai serré les dents de toutes mes powers quand mister gland s'est collé contre mon œillet plissé. Il a vite trouvé la voie et quand il m'a empalé, j'ai cru que mon anus allait exploser sous la puissance de ses coups de bassin.

- Putain les mecs!... Il est vraiment royal celui là... Tu vas voir chéri, tu vas avoir bientôt un cul bien profond et bien souple... Rien que pour nous... Si t'es bien obéissant on te défendra...

Je pleurais de honte en mordant de toutes mes powers le coussin. Les autres regardaient en silence. Y en avait deux qui se branlaient.

- Écarte bien te jambes... Encore plus... Fais les sortir du pieu... C'est ça cambre toi... Vas-y... Cambre-toi pour que je t'encule à fond...

Je sentais mister sexe coulisser dans mon fondement. Il allait le plus loin possible, m'arrachant des sursauts de douleur. J'avais les yeux injectés de larmes. Mon anus s'élargissait sous les assauts de ce gourdin.

- Tu vois chéri, il y a longtemps qu'on n'a pas eu un p'tit mec comme toi avec nous...

Ses couilles lourdes tapaient contre les miennes. Ses mains étaient autour de mon cou. Son haleine empestait le tabac. Il m'a attrapé les cheveux, m'obligeant à tourner ma tête vers lui.

- Montre-moi ta petite gueule de pute... Tu dois avoir beaucoup de succès avec les filles toi... J'ai vu la photo de ta petite amie dans ton casier... Elle est mignonne... Tu vas lui manquer...

Il ne bougeait plus. Son sexe était entièrement planté dans mon fion. Mon anus me brûlait. Il me regardait droit dans les yeux.

- Tu peux pleurer... Après tout t'es comme une femme en train de perdre mister pucelage... Serre les dents, tu vas connaître l'homme...

Il a recommencé à bouger au fond de mes reins. De plus en plus vite... De plus en plus fort. Les autres se branlaient toujours. L'un d'eux a joui...

- Je vais te remplir à ras bord...

Pour eux je n'étais qu'un trou bon à les satisfaire. J'ai vite compris que cette bite qui m'éclatait l'anus misternait pour moi le début de l'enfer.
chrislebo

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Le lendemain ils ont commencé à me transformer. Leurs ordres étaient secs, péremptoires. La moitié de ma bouffe pour eux. Plus de caleçon le soir. Nu dès l'extinction. Lavage des chiottes tous les jours. Lavage de leurs chaussettes et slips. Interdiction de me faire couper les cheveux. À la moindre incartade ou rébellion, ils me frappaient. Sur le ventre, le bas ventre, les reins. Jusqu'à ce que j'obéisse. Et bien sûr les soulager...

Au bout de mon premier mois de cellule, j'étais devenu leur objet. Leur femelle soumise et consentante. Toujours à leurs ordres. Un jour j'ai retrouvé tous mes slips déchirés.

- Pas besoin d'en mettre...

Dès l'extinction des lumières, j'attendais sagement couché sur mon matelas, celui qui viendrait me chercher et m'emmènerait dans mister lit pour se soulager.

Une autre nuit, avant de m'enculer un mec prend la photo de ma meuf pour la mettre en évidence sur le matelas au niveau de ma tête;

- Comme ça j'ai l'impression que c'est elle que j'encule... Elle doit avoir un jolie cul ta donzelle...

Tous les soirs mon cul s'ouvrait de plus en plus et se remplissait à ras bord... Je n'étais qu'un trou...

Le reste du temps, ils étaient complètement indifférents. En fait, ils m'utilisaient uniquement pour se vider les burnes. Ils me traitaient comme un jouet ou comme une poupée.

Dès qu'un des type me faisait signe, je le rejoignais dans mister lit et me couchais à plat ventre ou sur le côté. Je ne portais plus aucun vêtement quand je me couchais. Ils me l'interdisaient. Il y avait même une hiérarchie pour me baiser. Toujours le fumeur en premier et après seulement les autres et toujours dans le même ordre, du plus vieux au plus jeune. Heureusement, une fois la première semaine passée, ils se contentaient de prendre leur pieds deux fois par semaine chacun, rarement plus.

Mon anus s'est bien assoupli et se dilatait sans problème. Plus besoin de savon. Uniquement de la salive. J'arrivais à m'en prendre deux ou trois d'affilé sans douleur. Je sentais les bites entrer en ouvrant le passage. Je sentais les pieux frotter contre ma corolle, progresser au fond de mon cul et taper contre ma prostate. Je sentais mon cul se remplir de leurs foutres épais et visqueux. Dès qu'ils avaient joui, ils me renvoyaient de leur lit. Mon cul coulait tout le temps. Ils ne voulaient que je reste avec leur semence au fond de mon ventre. C'était leur manière de me marquer.

Je ne disais rien à permisterne, ne me révoltais pas, acceptais cette situation. J'étais dompté, incapable de désobéir à ces quatre mecs qui n'hésiteraient pas à me livrer en pâture aux autres si je me rebellais. Une fois j'ai osé dire non. J'ai trouvé le courage de me débattre et même d'en gifler un. Mal m'en a pris. Le soir ils m'ont bloqué, couché sur un lit. Chevilles attachées aux montants d'un des pieux et bouche écartelée par le slip et les chaussettes d'un des types. Le plus vieux m'a juste montré la flamme de mister briquet. Les autres m'ont immobilisé et bâillonné. Le vieux m'a cramé les voûtes plantaires. Je ne pouvais rien faire. J'ai souffert en gémissant dans le bâillon, me tordant de douleur. Cela a été mon seul moment de révolte que j'ai payé très cher.

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Le jour du coiffeur, ils n'ont pas voulu que je me fasse couper les cheveux. Ils me préféraient les cheveux longs.

- Comme ça, tu ressembleras plus à une femme.

Les autres détenus savaient ce qui se passait le soir dans la cellule. Mais permisterne ne me touchait. Ils se contentaient de me regarder avec gourmandise, surtout les jours de la douche.

J'avais découvert qu'il y avait des règles non écrites, bien plus fortes que le règlement, qui dictaient la vie de la primister et l'une d'elle était que les gardiens se foutaient de ce qui pouvait bien se passer à l'intérieur des cellules, pourvu que cela reste discret. Je suis presque sûr que certains gardiens de nuit avaient vu ce qui se passait dans la cellule. Je reste persuadé qu'au moins un gardien est resté l'œil vissé au mouchard pendant que je me faisais sodomiser. J'ai entendu le bruit de ses pas, mister souffle, le cliquetis de mister ceinturon. Même le toubib de la primister savait sinon pourquoi il aurait voulu voir mon anus au cours d'une visite médicale de routine. Cet enfoiré avait mis un gant en latex. Il avait étalé de la vaseline sur mister index et ouvert mes fesses de mister autre main. Je ne comprenais pas pourquoi il m'a tâté le trou aussi longtemps. Naïvement, je serrais mon anus pour lui faire croire que j'étais encore vierge. Ce sourire narquois sur mister visage impassible quand il m'a dit que j'étais en pleine forme.

Je ne lui ai rien dit. Cela ne servait à rien et ne m'aurait amené que des ennuis bien plus graves encore.
chrislebo

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Ce qui arrivait au vieux de la cellule voisine me servait de leçon et je ne voulais surtout pas finir comme lui. Car après la séance de l'atelier, le vieux est rapidement devenu le souffre-douleur de tout le groupe. Les mecs de sa cellule l'utilisaient sans vergogne et sans aucune pitié. Et les mecs de ma cellule ne se privaient pas de me raconter ce qui se passait le soir. Ils le faisaient en chuchotant à mon oreille pendant qu'ils se vidaient les burnes entre mes fesses:

- Tu vois, nous on est gentil avec toi ma poule... Hier le vieux a dû lécher les pieds de toute la cellule...

- Cambre toi chérie que je vois ton joli trou... Hier le vieux a dû nettoyer les chiottes avec sa langue...

- Ne te mets pas trop de salive salope, j'aime bien quand je sens ton trou serré autour de ma bite... Il paraît que les gars d'à côté pissent dans le cul du vieux maintenant...

Il y avait aussi les scènes auxquelles j'assistais à mon corps défendant. Comme par hasard toujours à l'atelier. Comme par hasard dans un coin que les gardes ne pouvaient pas voir de leurs postes. Et comme par hasard à un moment où la tournée des gardiens n'avait plus lieu. Deux des mecs de sa cellule entraînaient le vieux derrière les ballots de linge sale. Il se débattait toujours un peu, mais quelques claques le calmaient rapidement.

Des fois ils lui baissaient mister futal en plein milieu de la salle et on pouvait tous voir ses fesses rougies de la fessée qu'il avait du recevoir dans la nuit, mister pubis épilé, et les marques de brûlures de cigarette sur ses cuisses.

Une fois devant nous tous, ils lui ont badigeonné la raie et le cul de moutarde. Le vieux a dû travailler sans avoir le droit de se toucher. Il pleurait comme un gamin. Le pire c'est que les gardiens le punissaient lui, mais le laissaient avec les autres, sans jamais le mettre au mitard.

Ce qui se passait derrière les ballots de linge était encore plus violent. Ils le foutaient cul nu et se servaient de sa bouche et de mister derrière moyennant ce qu'ils voulaient donner aux mecs de la cellule car contrairement aux règles de cet enfer, le vieux était devenu gratos.

Je ne comprenais pas cet acharnement sur cet homme qui me faisait de la peine. Je n'arrivais pas à admettre une telle sauvagerie jusqu'au jour où j'ai appris que le vieux était un pointeur.

Ce jour là, j'étais content de ce qui lui arrivait et j'essayais d'imaginer les souffrances qu'avaient dû endurer les trois garçons et cinq filles quand le vieux les violait dans les caves de sa résidence. Ce salaud était condamné à perpette pour pédophilie. En taule, on n'aime pas du tout ce genre de mec. Ils étaient la classe la plus basse de notre population. Généralement, on ne les mélangeait pas aux autres. Mais avec la surpopulation, c'était impossible de respecter cette règle. J'en faisais aussi les frais.

FIN
chrislebo

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#3,202
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Primisternier---------------------(suite & fin)



Enfin je le sentis tressaillir. Il poussa deux ou trois grognement, et éjacula des jets puissants dans le slip, qui complètement imprégné de ma salive, ne retenait plus rien, et je sentis même ses jets de sperme visqueux cracher dans ma bouche. J'avalais comme je le pouvais toute ma salive mélangée à mister sperme.

" Occupe-toi maintenant de mes deux amis ", dit l'homme dont je venais de sucer la bite à travers le slip. " Je vais laisser cela sécher sur moi, comme cela tu auras un autre slip bien odorant à t'occuper, connasse. "

Toujours à genoux, je me tournais vers les deux autres hommes, ne sachant pas ce qu'ils voulaient que je leur fasse.

" Ouais. C'est ça. Nous aussi. Tu vas nous branler tous les deux à travers le slip. " Dit un des deux autres hommes dont le sexe déformais complètement le slip jaunâtre à poche.

" Oui mais il faut qu'elle continue à se branler, je vais donc m'occuper de cette salope " dit l'homme que j'avais sucé. Il s'assis par terre près de moi et pris mon sexe dans sa main, et commença à me masturber doucement, alors que mon sexe commençait à peine à débander et que la douleur engendrée par le KTB faisait couler des larmes le long de mes joues. Pendant ce temps les deux autres hommes, debout, m'encadrèrent et commencèrent à frotter leur slip tendus et affreusement odorant sur mon visage baigné de larmes.

" Allez, commence à nous branler connasse ! Dépêche toi ! "

Je fermais mes poings autour des deux bosses formés par les glands turgides qui déformaient les slips rêches et rigidifié de sperme séché, et je commençais à frotter les deux glands par des mouvements rotatifs du pouce. J'avais toujours ces deux slips immondes, tendus, à quelques centimètres de mon visage, leurs effluves se mélangeaient, elles étaient si fortes que j'avais l'impression que ma tête me tournait. Pendant ce temps, le premier, celui que j'avais sucé, commençait à me branler plus vite. Je sentais mon sexe se durcir à nouveau. Il fallait que je réagisse, essaye de penser à autre chose, pour diminuer au plus vite l'érection que je sentais monter. Je me concentrais sur les membres que j'avais en mains.

Et je repensais à ma copine, à l'horrible lettre que j'avais été forcé de lui envoyer. Qu'allait-elle penser de moi ? Et si ce truc fonctionnait ? Si je devenais réellement impuissant… Alors je la perdrais pour toujours… Je me mis à pleurer silencieusement, et du coup mon sexe se ramollit.

J'activais les mouvements de la branlette à ces deux sexes qui se frottaient à travers leurs slips sur mon visage. Je les sentis pulser sous mes doigts… Et bien vite les deux sexes éjaculèrent de gros et épais flots de sperme dans les slips à poche, les humidifiant… Je du barbouiller mon visage avec ces deux bosses humides, me maquiller avec leur sperme qui avait traversé le slip.

" Voilà, on va laisser nos slips sécher sur nous. Avec cette chaleur nous allons aussi beaucoup transpirer… Tu vas sentir comme cela va bien parfumer nos bites et nos couilles… Quelle chance tu as… Alors remercie nous pétasse ! "

" Merci Maître de bien vouloir me faire profiter de vos odeurs intimes de vrai males. La sale tapette que je suis est très excitée par ces parfums. "

" Quelle larve ! T'es vraiment qu'une merde, un déchet humain ! "

" Recommence à te tripoter le clito, salope ! Et au boulot maintenant ! "

" Attends, on va lui bander les yeux, ce sera plus marrant "

" Oui elle devras trier les slips, les chaussettes et les tee-shirts à l'odeur ! "

Ils se servirent d'un grand slip pour me bander les yeux, en dégageant bien le nez. A tâtons sur mes hauts talons, mes doigts toujours en train de manualiser mon clito, on me conduisit contre le bord d'un panier, et on me poussa en avant. Je basculais la tête en avant dans l'immonde tas de linge sale. Le mélange d'odeurs était horrible. Je mordis dans un tissu et retirait ma tête. Une fois isolée des autres, à sa taille et à mister odeur de transpiration rance, je devinais qu'il s'agissait d'un tee-shirt. Je le lâchait dans le panier prévu à cet effet, puis je replongeait ma tête dans le panier plein, et mordait à nouveau dans la première pièce qui se présentait. Cette fois, pas de doute, c'était un slip, vraisemblablement à poche. Je continuais ainsi, encore et encore pendant un temps indéfini. Petit à petit le panier se vidait, et je devais maintenant complètement me courber pour en atteindre le fond.

Tout en " triant " le linge sale, je n'arrêtais pas de me tripoter le clito, ralentissant le rythme dés que celui-ci commençait à durcir. Assez régulièrement maintenant, une goutte s'échappait du méat et venait glisser sur mes doigts, facilitant la lubrification.

chrislebo

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#3,203
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Ce fut bientôt la pause de midi. On m'ordonna d'arrêter mon " travail ". Les hommes avaient envie de pisser. Je m'agenouillais donc devant le premier d'entre eux, sortant mister sexe flaccide par la fente du slip à poche encore humide de sperme, et approchait le gland de mes lèvres. Le séjour de cette bite dans le slip humide de sperme qui n'avait pas complètement séché malgré la chaleur, mais sans doute à cause de la moiteur ambiante, et aussi à cause de l'abondante transpiration de ces mâles noirs puissants, avait rendu leur membre poisseux. Et inutile de parler de l'odeur qui s'en dégageait ! A peine avais-je abaissé le slip que celle-ci assaillit mes narines. C'était si puissant que je me demandais comment il n'avait pas pu être incommodé par une telle infection.

A peine avais-je entrouvert mes lèvres, hésitante à engloutir ce gland poisseux et odorant, qu'il me prit par la nuque et s'enfonça dans ma bouche, jusqu'au début de ma gorge. Puis il attendit, satisfait de lui, me tenant à sa merci.

Je restais là, le nez collé contre mister bas ventre à travers le slip, bien obligée de respirer par le nez les effluves puissantes qui s'en dégageaient.

Enfin ce salaud se décida à se vider la vessie. Un premier jet gicla au fond de ma gorge, que j'avalait immédiatement, sachant bien que je serais vigoureusement punie si jamais j'en laissait échapper une seule goutte. Puis le jet se fit continu, et j'avais à peine le temps d'avaler toute l'urine âcre qui emplissait ma bouche, à larges goulées se succédant rapidement qui me laissaient à peine le temps de reprendre mon souffle. Il pissa longtemps, et j'avais l'impression qu'il remplissait tout mon estomac avec mister liquide chaud et acide.

Enfin il s'arrêta. Je du le sucer un peu pour en extraire les dernières gouttes, et me lécher les lèvres pour lui montrer à quel point j'avais apprécié mister urine. Bien entendu je le remerciais humblement.

Jeu à peine le temps de reprendre mon souffle que je dus passer au suivant. Lui aussi puait considérablement, d'une odeur différente du premier, mais tout aussi musquée et atroce, et lui aussi avait la vessie bien pleine. Là encore j'engloutis toute sa pisse chaude dans mon estomac où elle se mélangea à celle du premier homme. J'avais le sentiment de devenir un urinoir, remplis de pisse, et je sentais mon ventre qui commençait à se ballonner. Et dire que je devais encore avaler celle du dernier homme !

Pour le troisième, je n'eu même pas eu la peine de me déplacer. Il vint directement placer sa bite devant ma bouche. Le spectacle que je lui avais offert l'avait mis à moitié en érection. Il en profita pour saisir ma tête à deux mains, et enfoncer directement sa bite au fond de ma gorge. J'ai cru qu'il allait m'étouffer car je ne pouvais plus respirer. Malgré sa demie érection, il se mit à pisser un jet continu qui gicla directement au fond de ma gorge, glissant directement dans mon œsophage. J'avais l'estomac tellement remplis, que j'ai crus qu'il allait exploser tandis que je suffoquais.

Enfin il retira mister membre épais de ma gorge et de ma bouche, et il continua à pisser sur ma figure et ma poitrine. J'étais totalement trempé de sa pisse acide à l'odeur forte. Puis il m'ordonna d'ouvrir à nouveau la bouche et de le sucer. Cette fois il me laissa faire à mon rythme, faire aller et venir mes lèvres distendues sur sa grosse tige qui entre temps était devenue rigide comme du bois.

Pour accélérer sa jouissance, je me mis à lui branler l'axe de ma main libre, tandis que de l'aitre je faisais des petits mouvements circulaires avec mon pouce sur le bout de mon gland, et tout en tétant mister gros gland dans ma bouche. Cet exercice demandait de la coordination !

Enfin, le gland et la tige durcirent encore, et alors que je m'apprêtais à recevoir mister épaisse semence dans ma bouche, il se retira et éjaculat de longs et puissants jets sur mon visage. Le sperme m'inonda complètement et se mélangeât aux coulures de pisse qui souillaient déjà mon visage.

Mon maquillage était foutu, et je n'osais imaginer la tête que je devais avoir. Je puais la pisse et le sperme.

chrislebo

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#3,204
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Comment je suis devenu une vraie petite pute


J'ai 34 ans, je suis marié et père de famille et de temps en temps. J'aime me prendre une petite bite dans le cul. Je cherche souvent des mecs en voyage d'affaire (discrétion oblige) pour aller à leur hotel. Ce qui suit est le récit d'une de mes aventures qui s'est produite récemment... Ma femme est chez ma belle famille avec les enfants pour trois jours me voilà donc libre de partir en chasse aux bites; cela fait bientôt cinq mois que je n'ai plus eus une bite dans le cul. Je me connecte donc à mon site internet favori. Très vite un mec me contacte, 54 ans, mister message d'accueil "Seul à Paris à l'hôtel je cherche un plan cul now". Je le contacte très vite et voilà le dialogue qui s'engage:

— Salut, joli profil (j'aime les mecs murs), dit-il.

— Salut, je suis bi et dispo now pour venir à ton hôtel.

— Cool t'as un joli petit cul sur ton profil qu'est ce que tu aimes?

— Sucer et me prendre une bite dans le cul (capotes non négociables)

— Cool ça me plaît, tu aimes te faire dominer?

— Jamais fait, mais je suis open que me proposes-tu?

— Je voudrais que tu viennes à l'hôtel et que tu deviennes ma pute qui fera tout ce que je lui demande...

— hmm... Pourquoi pas! T'es à quel hôtel?

— Au Méridien...

— Putain, j'habite à côté! Quelle chambre?

— 2103, je t'attends maintenant ma salope.

— OK j'arrive. J'arrête le PC et je me dirige à l'hôtel. Je frappe à la porte le coeur battant.

— Entre, dit le mec. J'entre et là, je vois un mec à poil sur mister lit déjà en train de se branler... Il me dit:

— Ma petite pute a fait vite... Viens ici. Je m'approche et il me donne 1 euro je le regarde sans comprendre, il me dit:

— Une pute, ça se paye. Si tu acceptes mon un euro, tu deviens officiellement ma pute et tu dois m'obéir...

J'hésite et il le voit, il me dit alors:

— Regarde: une boîte de 12 capotes, du gel et du matos; avec ça on va s'amuser. Mets la pièce dans ta poche et tu ne le regretteras pas, foi de René (mister nom).

Je mets la pièce dans ma poche et là, je vois une lueur vicieuse passer dans mister regard.

— À poil sale pute, me dit-il.

— Oui.

Et je me fous à poil.

— Mets-toi à genoux et ferme les yeux.

— Oui.

Il me met un bandeau sur les yeux, me passe les mains dans le dos me les attache avec des menottes.

— Allonge-toi à plat, sur le dos, et ouvre la bouche bien grande.

— Oui, dis-je.

Et je m'allonge, il m'attache les jambes également. Je ne peux plus bouger.

— T'es une bonne pute.

Et là, je sens un liquide chaud sur le torse qui remonte vers ma bouche, je ne peux pas bouger, il se met à me foutre des baffes et me tort les tétons car je n'ai pas laissé la bouche ouverte.

— Maintenant, tu vas me sucer, me dit-il.

Je sens sa bite sur mes lèvres.

— Lèche, me dit-il.

Je lèche et je gémis. - Super, dit-il. Tu veux que je mette une capote ou tu veux avaler, pour le cul je suis toujours safe mais pour la bouche je suis open. - OK, j'avale, dis-je. - Super, j'ai 15 jours de réserve, tu vas déguster.

Et là, il s'enfonce dans ma bouche et me baise comme s’il baisait une chatte. J'ai des haut-le-coeur quand sa bite touche le fond de ma gorge, mais très vite je le sens se contracter et il me gicle cinq longs jets de sperme dans la bouche que j'avale goulument. Il se retire l'air satisfait. De ce que j'entends, il se met à faire des photos!

Il me détache les jambes, me retourne et me les écarte. Il me met un doigt, deux doigts, du gel. Il prend plein de photos. Soudain, je sens quelque chose de dur, ça doit être sa bite je pense et non.. le truc se met à vibrer! Un gode... Dès que je suis bien préparé, il me pénètre violemment en me traitant de salope. Il me prend par derrière, couché, debout. Il me lime comme une salope et me fesse bien fort. Je suis au bord de l'extase et je le sens se contracter. Quel pied, il reprend des photos et je l'entends trifouiller sur mister PC... J'ai pris mon pied et je lui dis merci et là il me dit en riant:

— Oh, mais ce n'est pas fini ma petite pute. Je viens de mettre tes photos en ligne et maintenant je vais me faire du bénef sur ton petit cul...

Au même moment mister téléphone misterne! Il dit:

— Oui, une belle pute, elle fait tout ce que vous voudrez avec capotes.

— ...

— 20 euros par heure. Pas de limite d'éjaculation.

— ...

— Vous êtes trois à devoir vous videz les couilles? Pas de problèmes.

— ...

— Chambre 2103 à tout de suite.

chrislebo

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#3,205
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Mon patron a fait de moi une pute à rebeux


Mon patron m’a vendu. Oui, vous avez bien lu. Un jour, un de ses clients, un arabe, est venu au bureau et il a longuement discuté avec mon patron. Les deux hommes mistert sortis pour un dîner d’affaires et lorsque mon patron est rentré, il m’a dit:

— Je t’ai vendu. Tu n’es plus à moi.

J’ai voulu rouspéter, et j’ai reçu une baffe monumentale.

— Depuis le début, tu sais que tu n’es qu’une chose, un objet de plaisir dont ton Maître pouvait finir par se lasser.

J’ai chialé.

— Arrête de chialer comme une femelle hystérique. Ton nouveau Maître va bien s’occuper de toi. Tu vas connaître de nouvelles expériences avec lui. Il a 35 ans. Tu l’as vu. C’est un mec bien viril. Il a sûrement une belle grosse bite. C’est la première fois que mon patron me parlait comme ça. Pas d’injures, pas de mots grossiers et d’ordres violents! J’étais encore plus angoissé.

— Si tu as une question, pose-la! Une seule question.

— Est-ce que... est-ce que je vais devoir quitter la France?

— Pas dans l’immédiat, puisque ton nouveau Maître habite ici et qu’il bosse dans l’informatique. Ce que je peux te dire, c’est qu’il est très macho et très vicieux. Il a décidé d’aller vivre dans ton appartement. Après la signature de notre contrat de vente, je lui ai donné tes clefs. Il t’y attend.

Très vite, donc, Ahmed est venu habiter chez moi. IL est devenu mon Maître. Je suis devenu sa «petite femme». Je le suis dans tous les sens du terme: à la cuisine et au lit. Il a tous les droits sur moi comme les hommes ont des droits sur leur femme dans mister pays. Ses désirs mistert prioritaires et impérieux. Depuis un mois, je morfle pas mal, car il m’humilie, me traite comme un esclave. Il est très exigeant pour la nourriture que je lui prépare et pour l’entretien de mon corps. J’ai beau être peu poilu, il exige que je sois épilé intégralement. En arrivant chez moi, il a trié mon linge de corps et a jeté mes sous-vêtements. En me vendant, mon patron a aussi donné mon C4 et je n’ai plus d’emploi extérieur. Je reste tout le temps à la maimister où je vis à poil. Quand je vais faire les courses, je ne porte jamais de sous-vêtement, comme une pute. Je viens de rentrer des courses et je suis douché. Comme l’exige Maître Ahmed, j’ai le cul lavé et graissé. Je prépare le repas, à poil dans la cuisine, et je l’entends qui rentre. J’arrête tout et je vais à sa rencontre pour l’accueillir. Vous l’avez compris, j’ai peur de lui et de ses punitions. Je le débarrasse de ses affaires, je lui sers un thé, je lui masse les pieds. Il n’a pas un mot pour moi. Il lit mister courrier, passe un coup de fil. Il parle en arabe et je ne comprends rien à ce qu’il dit.

— Penche-toi au-dessus de la table du salon! Lance-t-il.

D’un coup de rein, il entre en moi profondément et il me besogne avec power. Je n’ai pas le droit de me toucher sans autorisation. Il me baise longuement et jouit dans mon cul. Il va prendre une douche et je continue mes occupations. Je termine le repas. Je suis humilié en permanence mais j’ai fini par accepter ma nouvelle vie. Ahmed a énormément de charisme et je peux tout accepter de lui. Le soir, pendant qu’il regarde la télévision, je dois lui lécher les couilles, le pomper, encore offrir mon fion bien lubrifié. Jusqu’ici tout se passait bien entre nous dans l’appartement mais depuis une semaine il a commencé à m’imposer de nouveaux défis... Il m’utilise maintenant comme urinoir.

Sur un mot ou un claquement de doigt, je dois boire mister urine jusqu’à la dernière goutte. Il me donne aussi régulièrement la fessée, si un plat n’est pas à mister goût ou si je n’arrive pas assez rapidement à mister appel ou un claquement de doigt. Je sens qu’il devient plus exigeant et dur avec moi. Il m’a donné un temps d’acclimatation et maintenant il va se montrer sous mister vrai jour. Je frémis à l’idée de ce qui m’attend. De plus en plus souvent, il me fesse à mains nues ou au martinet. Il a commencé à le faire comme punition, lorsqu’il avait des reproches à me faire. Mais maintenant? Il le fait sans raimister. Enfin si, pour mister plaisir!

Je ne dois pas me plaindre sinon il double la dose. Remercier mon Maître est aussi une exigence. Comme tout bon Maître, il sait me surprendre et alterner les expériences douloureuses avec d’autres plus agréables. Parfois, alors que je travaille dans la cuisine, il m’enlace, me roule une pelle bien baveuse, me pince les tétons, me fait hurler de plaisir. Il a de gros besoins sexuels et me prend au moins trois fois par nuit. En un mois je suis devenu obsédé de sa grosse bite qui me laboure si bien le cul. Il est rapidement arrivé à me faire oublier mon ancien Maître. Il me dirige comme un clebard: un claquement de doigt, un mot et je suis à lui. Je m’abandonne complètement là où il le désire. L’autre jour, j’ai dû descendre du deuxième à poil pour aller chercher le courrier dans le hall. J’avais une trouille terrible de me faire surprendre par les autres locataires de l’immeuble. Lorsque je suis remonté, il m’a fait m’appuyer contre le mur du couloir et m’a baisé à un mètre de la porte de notre voisin. Celui-ci a peut-être vu toute la scène à travers le judas de sa porte. De toute façon, certains locataires se posent des questions à mon sujet et ça doit bien parler sur mon compte. Je m’en fous.

Hier, Ahmed n’est pas rentré seul. Il était accompagné d’une autre Arabe, plus jeune. Le mec n’avait rien d’un jeune voyou, bien au contraire... Il portait un costume trois pièces.

— Monsieur Thalid, je vous présente ma petite femelle! Vous pouvez constater que je n’ai pas menti. Elle est bien excitante, n’est-ce pas?

L’autre m’a scruté de bas en haut, et a répondu:

— Pas mal! Pour ce que je vois, ce mistert évidemment de belles promesses… Faut voir à l’usage!

J’écoutais sagement leurs commentaires en gardant bien la tête baissée et les bras derrière le dos.

— Je vous comprends, M. Thalid! Sachez que celui qui me l’a vendu avait déjà fait un excellent travail de dressage et que depuis plusieurs semaines j’ai commencé un nouveau formatage. Pensez-vous qu’il pourrait convenir?

— On va voir ça!

Maître Ahmed m’a donné l’ordre de servir un verre d’alcool à notre invité et puis de me mettre en position de chienne. Pendant que j’attendais à quatre pattes sur la table du living, mon Maître a fait visiter l’appartement à M. Thalid. J’étais toujours à me demander qui était cet homme. Lorsqu’ils mistert revenus au salon, l’invité a enlevé sa veste et s’est assis dans un fauteuil, face à moi.

— Allez, salope, montres à notre invité ce dont tu es capable. Pompe-le, fais-lui une sucette digne de la pute que tu es.

— Oui, Maître.

Je suis descendu de la table, toujours à quatre pattes et je me suis installé entre les cuisses ouvertes du jeune Arabe. En m’attaquant à sa braguette, j’ai constaté qu’il bandait déjà bien. La chose que j’ai découverte était énorme. Bien plus grosse que toutes les bites que j’avais connues jusqu’ici. J’ai eu comme un vertige.

— Allez, salope, ne te laisses pas impressionner par ma grosse saucisse. Suce-la à fond de gorge.

— Tu dois faire tout ce que notre invité désire, a grogné Maître Ahmed. M. Thalid est assez aimable pour t’utiliser dans un de ses établissements.

Comme si j’avais eu le moindre doute à ce qui m’attendait. J’allais servir de pute dans un établissement de M. Thalid. Maître Ahmed allait-il me vendre à nouveau ou plutôt me louer? À genoux, je pompais le gros dard de l’Arabe. J’avais d’énormes difficultés à le faire rentrer complètement dans ma bouche. Lorsqu’il butait au fond de ma gorge, j’en avais la nausée. Mais je faisais de mon mieux pour la réprimer. Pendant que je pompais, Maître Ahmed s’est positionné derrière moi et m’a enculé devant l’invité.

— Vous voyez comme il est résistant? Utilisé sans souci par devant et derrière en même temps. Je peux le limer des heures durant et il tiendra le coup...

— Bonne pute, c’est vrai!

— Un trou élastique et serré. Mais vous allez l’essayer vous-même!

Ils étaient là à me besogner sauvagement et à discuter de moi comme si de rien n’était. Ahmed était brute et accélérait ses coups de boutoir comme pour prouver à mister client potentiel, que j’étais l’affaire du siècle. L’autre m’obligeait à prendre sa tige jusqu’à la glotte.

Après une bonne vingtaine de minutes, ils changèrent de position. J’étais un peu inquiet car la queue que je venais de pomper était d’un calibre hors normes. Et dans mon cul, elle pouvait faire très mal. Elle était très large, mais Maître Ahmed me graissa un peu l’anus et me fit respirer du poppers en grande quantité. La queue rentra sans problème. M. Thalid s’installa doucement en moi et trouva rapidement un rythme délicieux. - Vous avez raimister, c’est vraiment une bonne chatte! Mes clients vont en raffoler et je sens que mon chiffre d’affaires va monter en flèche. - Votre décision? - Je le prends. Deux jours par semaine… Le vendredi et, peut-être, le mardi car c’est un jour creux et j’aimerais fidéliser ma clientèle grâce à un «extra». - Vous l’avez votre «extra»...

Mon regard croisa celui de Maître Ahmed qui semblait fier et satisfait. Sa petite pute venait d’être engagée par un connaisseur en la matière. L’invité me besogna longuement. Je constatais que cet homme raffiné dans sa tenue l’était aussi dans sa façon de baiser. Pas de violence, mais un savant mélange de power et de douceur. Mon cul se régalait et j’étais sur le point de jouir sans me toucher. Ça, évidemment, il fallait que je l’évite! Avec mon Maître, je ne pouvais jouir qu’avec sa permission…

chrislebo

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#3,206
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Comme prévu sur mes plannings, nous nous sommes donc retrouvés tous les trois pour la fermeture. Comme vous pouvez l’imaginer, il reste beaucoup de travail à faire lorsque le resto est fermé: passer le balai, la serpillière, faire la plonge, ranger l’ensemble des produits. J’avais à peine fini de descendre le rideau que la voix de Maître Jonathan retentit haut et fort:

— Alors Bizut, content de ta journée? Comme tu as pu le remarquer, nous avons tenu notre promesse, alors maintenant c’est à toi de jouer. Pour commencer, il va falloir te trouver une tenue pour que tu fasses le ménage, ce serait dommage que tu salisses ton joli costume.

— Ouais bizut, viens là, approche! Tout d’abord nous allons de faire de beaux cheveux avec cette belle serpillière. Ensuite, tu vas te mettre à poil. Allez bizut, exécution!

J’ai donc commencé à retirer ma cravate, ma chemise, mes chaussures, mon pantalon, puis mes chaussettes et pour finir, avec beaucoup d’hésitation, j’ai laissé descendre mon slip; j’étais alors devant eux totalement nu. Ma queue, si on peut encore appeler cela comme ça, avait comme qui dirait rétréci au lavage, ou c’est plutôt la honte d’être face à eux qui la faisait disparaître au milieu de mes poils pubiens qui je l’avoue était sans doute trop fournis à ce moment précis.

— Non sérieux Bizut, t’as que ça à nous proposer? Putain j’y crois pas, ça joue les hommes avec le pantalon mais quand on regarde de plus près, je me demande vraiment si l’expression avoir des couilles ne serait pas plutôt manquer de queue.

— (Mort de rire) J’y crois pas! Bouge pas bizut, il faut que je prenne ce truc en photo. Si je raconte ça à des potes, ils vont jamais me croire.

Les rires que j’entendais était d’une sincérité à vous mettre la honte pour le restant de vos jours. Non, ils ne se forçaient pas à se moquer de moi, j’étais vraiment totalement ridicule face à eux avec un sexe qui me trahissait au moment même où j’aurais eu besoin de mister aide pour retrouver un peu de dignité. Et je dois vous avouer que d’avoir en plus cette serpillière sur la tête en guise de cheveux n’arrangeait rien au ridicule de la situation.

— Maintenant cher bizut, tu prends une de tes chaussettes et tu te la passes sur la queue. Ensuite, tu la maintiens avec ta cravate que tu noues autour de ta zézette et de tes noisettes. Au moins ça cachera la misère. Puis tu prends la deuxième chaussette que tu te coinces entre les fesses et elle a pas intérêt à tomber sinon je te promets que tu vas te retrouver comme ça au milieu de la rue.

— Oui Chef Rafi.

— Ok très bien, là t’es au top, une vraie p’tite femme de ménage! Va chercher ton balai et commence à nettoyer ce putain de resto.

J’ai couru chercher le balai et je vous jure que j’ai serré les fesses pour maintenir à sa place ma chaussette qui pendait entre mes fesses. J’ai commencé le ménage, passé le balai dans la salle puis dans la cuisine. J’étais très concentré, la peur au ventre de me retrouver ainsi dans la rue si je les décevais.

— Bizut, amène nous une bière.

— Oui Maître Jonathan, à vos ordres.

J’ai fait au plus vite et dans ma précipitation, j’ai desserré les fesses. La chaussette est tombée, là, sous leur yeux, pendant que je leur tendais la bière.

— Ah non là bizut t’assures pas. On ne te demandait pourtant pas grand chose et une fois de plus, tu nous déçois. On va devoir encore te punir.

— S’il vous plaît, non, je vous en supplie. Ne me faîtes pas sortir ainsi dans le rue. Je ferai ce que vous me demanderez. S’il vous plaît!

La peur et la honte au ventre, je m’étais mis à genoux et me voilà, moi le directeur, en train de supplier mes employés de ne pas m’humilier d’avantage.

— Ok bizut, très bien, re-coince toi la chaussette dans la raie et retourne au ménage. Nous verrons pour ta punition plus tard...

— Merci Maître Jonathan!

— Alors Jo, t’as l’intention de lui faire quoi comme punition cette fois-ci?

— Bouge pas, donne moi deux seconde que je finisse ma bière et je te la prépare mon idée!

— Vas-y, dis-moi! T’as quoi de prévu?

— Ma cannette une fois vide, je vais la remplir tranquillement et je la lui donnerai à boire pour le féliciter d’avoir si bien fait notre fermeture, qu’en penses-tu?

— Attends, tu vas la remplir avec quoi? L’eau des chiottes?

— Mais non! Sérieux, tu manques vraiment d’imagination!

À ce moment là, Jonathan a baissé sa braguette, a pris la cannette discrètement sous la table et a commencé à pisser dedans. Moi de mon côté je finissais de nettoyer et j’étais sur le point de leur dire que j’avais fini; je n’avais rien vu.

— Mon bon Rafi, voilà mon idée pour le féliciter! À toi de trouver l’idée pour le punir. Fais marcher ton imagination s’il te plaît.

— Ok attends je réfléchis. Un bizut, que va-t-on bien pouvoir lui faire faire... C’est bon! Je l’ai l’idée du siècle. Crois-moi, on n'a pas fini de se fendre la gueule.

— Allez bizut, t’as fini ton taff de femme de ménage, ramène tes fesses ici; on a quelque chose pour toi. Tiens Bizut, y’a pas de raimister qu’on soit les seuls à boire un coup. On va trinquer à notre nouvelle collaboration. Tiens, voilà ta canette...

— Merci Maître Jonathan. Ça donne soif tout ce ménage. Je ne pensais pas que c’était autant de travail. Je suis désolé si j’ai été dur avec vous certains soirs.

— Putain, ferme ta gueule! Tu joues à quoi là? Tu essaies de nous faire changer d’avis sur toi? Mais mon bon bizut, tu n’es qu’une merde et bientôt tu seras une merde qui boit de la pisse. Alors ferme là et bois ta bière avec nous.

— Oui Maître Jonathan.

Il m’avais donné un indice et je n’ai pas su le saisir. Il m’avait fait comprendre ce qui se trouvait dans la canette et je n’ai pas compris. J’ai pris les premières gorgées à pleine bouche car ma soif était intense mais toujours sans réaliser ce que je buvais. Ensuite, j’ai senti le goût sur ma langue, ce goût salée et amer de la pisse. Et puis je dois dire que de voir leur regard écœuré et moqueur m’a fait de suite réaliser ce qui se passait.

— Allez bizut, on avale tout! On fait pas le difficile. Je me suis donné beaucoup de mal pour te faire une bonne boismister de bizut, alors ne fais pas offense à ton Maître et montre lui comme tu es reconnaissant pour ce qu’il a fait pour toi.

— Oui Maître, merci Maître.

J’avait le cœur au bord des lèvres mais j’ai bu, tout, gorgée après gorgée. Puis avec une paille, ce qui les a vraiment beaucoup amusé. J’étais rouge de honte et toujours dans ma tenue de femme de ménage, ridicule comme jamais.

— Il est super ce bizut. Maintenant à moi de te dire ce que tu mérites pour avoir fait tomber ta chaussette. Le bizutage c’est avant tout un jeu où l’on adore asperger le bizut de toute sorte de sauces. Là maintenant, tu vas gentiment remettre ton slip et nous allons le garnir avant de te laisser partir.

— Mais Chef Rafi, je suis en transport en commun et dans le métro, je risque de me faire repérer?

— Ça mon gars, c’est franchement pas mon problème. Allez, action!

— Là mon cher Rafi j’adore cette idée, je vais chercher la mayo, tu t’occupes du ketchup et la moutarde, n’oublions pas la moutarde...

— Ok bizut, approche-toi de moi... Ouvre ton slip par le devant, bien comme ça, et donc je te baptise au nom de la mayo et du ketchup comme bizut de dernière catégorie.

Et là j’ai senti les sauces couler dans mon slip, inondant mon sexe, mes poils et mes couilles. C’était super crade mais leur fou rire en disait long sur le plaisir qu’ils prenaient à m’humilier.

— Maintenant bizut, comme tu nous a prouvé que tu n’avais pas de queue mais plutôt une saucisse cocktail, nous avons eu envie de te montrer ce qu’était une saucisse de taille normale. Tu vois cette jolie saucisse à hot dog, et bien nous allons la préparer à la moutarde. Comme tu le vois, j’applique bien de la moutarde sur une des extrémité mais aussi tout le long afin que le client ne soit pas déçu de ne pas avoir de la sauce partout. Maintenant le problème, c’est qu’il va falloir la réchauffer et rien de mieux qu’une étuve à 37°C. Retourne-toi bizut et baisse ton slip.

J’avais cette fois-ci bien compris ce qu’il avait prévu pour finir en beauté cette soirée. J’étais tétanisé par la tournure que prenait les événements mais j’ai obéi, je n’ai pas osé contester. Une fois de plus, j’ai cédé et je signifiais ainsi que je serais définitivement à leurs merci et à leurs ordres. J’ai alors baissé mon slip et comme Maître Jonathan me l’a ordonné, j’ai écarté mes fesses, exposant à leur yeux mon petit trou encore vierge de toute intrusion et je sentais que la douleur ne serait pas forcément celle de la pénétration mais plutôt la brûlure qu’allait occasionner la moutarde.

— Allez mon bizut, on se décontracte et ça va aller tout seul. Bien, comme ça, tu vois ma lopette, ça rentre tout seul. Attention, la jolie saucisse va bientôt disparaître: un, deux, trois... Elle est plus là.

J’ai senti la saucisse entrer et mon anus se refermer dessus. Il m’a claqué les fesses et sans rien dire d’autre, m’a ordonné de me rhabiller en vitesse car il était temps pour eux de repartir. Mais voilà les consignes:

— Tout d’abord, mon cher bizut, tu as interdiction de te séparer de cette saucisse. Demain lorsque tu nous verras arriver, tu nous montreras qu’elle est toujours à sa place et nous verrons à ce moment précis ce que nous en ferons. Est-ce bien compris?

— Oui Maître Jonathan, oui chef Rafi.

— Bien allez, tchao! À demain.

Je les ai regardé partir et surtout entendu partir avec leur rire et leurs moqueries. Moi, j’étais là comme un con, le slip trempé par la mayo et le ketchup avec une saucisse enduite de moutarde qui me brûlait le cul.

J’ai donc pris les transports comme cela, avec l’espoir que le mélange de sauce ne finirait pas par traverser le pantalon, peur de me retrouver avec une énorme auréole de gras au niveau de mon entrejambe. Mais quoiqu’il arrive, il m’était quasiment impossible de marcher normalement et les permisternes autour de moi le remarquaient à chacun de mes mouvements. La honte me tiraillait le ventre mais ma queue, elle, ne cessait de vouloir se réveiller. Je sentais l’érection toujours à la limite de se produire. La honte mêlée à l’excitation de ce petit jeu entre ami commençait à se faire sentir. Le point de non retour...

chrislebo

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J’étais donc à quatre pattes, le cul exposé, léchant et décrassant les chaussures de mes employés pendant qu’ils buvaient tranquillement l’apéro et regardaient la télé dans mon canapé. De temps en temps, ils vérifiaient que je faisais bien mon travail de nettoyeur. Si j'avais le malheur de faire une pause car ma bouche devenait sèche, alors je me prenais une magistrale baffe en pleine tête, qui avait pour effet de me faire remettre au boulot de suite.

Lorsque j’eus finit de nettoyer leurs chaussures, ils s’amusèrent à me faire faire le chien.

— Rafi, j’ai une petite idée, que penses-tu de faire de cette lopette notre chienne? Bien sûr, pour cela il va falloir en faire une vrai chienne. Allez bizut, fous-toi complètement à poil. Une chienne, ça porte pas de fringue!

— Eh Jo, moi je pense que notre chienne est beaucoup trop poilue. Je pense qu’il faudrait la faire toiletter.

— Là, je pense que tu as entièrement raimister! Bizut, tu vas dans la salle de bain et tu me rases tout les poils que tu peux avoir. Je t’autorise seulement à garder ceux que tu as sur la tête. Allez, exécution! Et vite! Pendant ce temps, nous allons te préparer ta bouffe.

Je me suis donc tout d’abord déshabillé totalement devant eux, c’est-à-dire retirer le tablier à faux seins qui me servait de tenue. Par contre, j’ai dû garder le slip sur la tête. Et je suis parti en direction de la salle de bain pour obéir. Je sentais ma queue qui ne demandait qu’à bander mais elle était toujours coincée dans le rouleau de scotch. Malgré la douleur que cela m’occasionnait, j’avoue qu’ainsi j’évitais de leur montrer à quel point cette situation m’excitait.

J’ai donc commencé par prendre une douche. La mayo et le ketchup m’avait totalement recouvert les cheveux et une bonne partie du visage. Puis j’ai commencé par me raser sous les bras, puis les bras et les jambes, pour finir par les quelques poils de pubis qui n’étaient pas cachés par le scotch. Lorsqu'est arrivé le moment de raser les poils de mon cul, il m’a fallu me plier dans tous les sens, utiliser un glace, afin de réussir à voir ce que je faisais. Concernant les rares poils que j’avais sauvés du rasoir au niveau de mes couilles et de mon pubis, ils allaient être arrachés au moment de retirer le scotch qui entourait mes couilles et ma queue.

Lorsque je revins dans le salon après une bonne demie heure, je les trouvais assis à nouveau dans le canapé, leur verre à la main.

— Allez bizut! Montre nous comme tu es bien lisse, tel un bébé qui vient de naître, ou comme une bonne chienne qui vient d’être rasée au grand bonheur de ses maîtres.

Je fis plusieurs tour sur moi-même puis je me penchais et écartai mes fesses pour leur montrer ma raie bien lisse. La vision de mon cul ainsi exposé devant eux les fit exploser de rire. Les larmes me montaient aux yeux mais je ne voulais pas leur donner cette satisfaction de me faire pleurer.

— À quatre patte sale chienne! Où t’as vu que les chiennes ça marchait sur deux pattes? Magne-toi ou je vais perdre patience.

— Ok Médore, maintenant tu te retournes, ton cul face à nous.

— C’est bien mon chien, j’adore les chien obéissant. Oh merde, t’as vu notre chien n’a pas de queue. Il va nous falloir lui en fabriquer une, qu’en penses-tu?

— Bien sur Jo! Tiens, j’ai ce qu’il te faut.

Évidemment dans ma position, je ne pouvais qu’entendre; impossible pour moi de savoir ce qui allait m’arriver. J’ai tout d’abord entendu Jo se racler le nez, puis la gorge, et là, j'ai senti un énorme mollard atterrir entre mes fesses. Dès que le mollard eut atteint sa cible, je sentis quelque chose de froid me pénétrer le cul. Je sus après qu’il s’agissait d’une carotte qui avait encore au bout les espèces de branche verte. Une fois la carotte totalement enfoncée dans mon cul, seul le feuillage vert apparaissait et venait pendre entre mes jambes. Le chien avait enfin une queue. Je ne sais pas si sur le moment ils avaient oublié que j’avais une saucisse coincé au fond du cul ou si ils avaient juste décidé de me remplir un peu plus. J’ai eu la réponse ensuite...

— Putain, ça c’est une bonne chienne! Une saucisse et une carotte dans le fion et je suis sûr que sa chatte en demande encore. T’imagine, on pourrait presque y faire un pot au feu, ou plutôt une choucroute...

La carotte avait poussé la saucisse plus au fond et maintenant, elle me chatouillait la prostate. Je crois que j’aurais pu jouir direct si ma queue n’avait pas été comprimée.

— Médore, vas-y! Montre à tes maîtres comme tu es une chienne heureuse de nous voir... Remue la queue...

— Ouais, putain ça c’est bon, j’adore, remue la queue sale chienne! Putain la honte, quand tu penses que se mec se fait passer pour un patron! Je suis sûr que toute l’équipe adorerait voir ça... Hein le bizut, t’en penses quoi?

À ce moment précis, j’entendis le bruit d’un appareil photo; l’angoisse pouvait ce lire sur mon visage.

— Non s’il vous plait, ne faites pas ça... je vous en supplie.

J’étais rouge de honte, la tête baissée, je n’osais pas les regarder.

— Putain, d’où t’as vu qu’un chien ça parle? Aboie pauvre merde! Dépêche...

Et là, si sec, je reçois une claque sur la fesse gauche de la part de Jo, et Rafi pour ne pas être en reste, fit de même avec ma fesse droite. Les claques firent remuer la carotte au fond de mon cul, ce qui eut pour effet de faire durcir ma queue déjà très comprimée dans le scotch.

— Ouaff, Ouaff, Ouaff.

J’ai donc aboyé comme ils me l’ordonnait. J’étais, totalement ridicule, rouge de honte, le regard vers le sol.

— Putain mec, c’est sûr c’est pas l’aboiement d’un doberman ça, un p’tit teckel à sa maman plutôt! Allez bizut, montre nous que t’es un vrai chien. Aboie mieux que ça... Et oublie pas que tu es content, alors tu remues ta putain de queue.

— OUAFF, OUAFF, OUAFF, OUAFF, OUAFF!

J’aboie, je remue mon cul pour faire bouger les fanes de la carotte qu’ils m’ont si gentiment planté au fond du cul.

— Allez mon chien fait le beau... Oui c’est bien, allez tire un peu la langue...

D’un coup, sans comprendre pourquoi, alors que je suis en train de faire le beau pour mes Maîtres, je me prends un mega coup de pied dans le morceau de scotch qui me sert de couille et de queue. Mais je ne bouge pas, trop peur de désobéir, que ce soit pire après... Je suis toujours là, la langue pendante et je vois Jo qui se racle la gorge, se vide le nez, et me lâche un méga mollard en voulant viser ma bouche. Le mollard bien gras s’écrase lamentablement sur mon visage.

— Trop fort! Putain, vas-y! On fait un jeu en cinq points. Le premier qui lui met cinq mollards dans la bouche a le droit de se faire décrasser le cul par notre bon Médore. Jo, tu relèves le défi?

— Tu m’étonnes que je le relève, et je te promets que si c’est moi qui gagne, je vais d’abord allez chier un bon coup avant qu’il me le décrasse.

— Non, sérieux, t’es trop dégueux là...

— Putain sur ma vie, je vais l’utiliser comme papier toilette, et notre bon toutou il va adorer ça...

Je suis à genoux, écoutant tout ce qu’il planifient pour moi, et là mon corps se met à trembler. La peur me saisit, j’ai envie de partir en courant... Je ne peux pas, je suis à poil, une carotte et une saucisse dans le cul...

— Allez Rafi, je te laisse commencer. Le premier à cinq ok?

— Ok ça marche. C’est parti.

Reniflage de nez, raclage de gorge, et moi à genou, faisant le beau, la bouche grande ouverte et la langue pendante.

chrislebo

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donc à genoux, totalement nu et imberbe, une saucisse et une carotte bien enfoncées au fond de mon cul, face à mes deux bizuteurs, attendant que, chacun leur tour, ils visent ma bouche avec leurs mollards. L’enjeu était de taille: le vainqueur aurait le privilège de se faire décrasser la rondelle par Médore, leur chien obéissant, c’est à dire moi.

— Va-z-y, Rafi! Commence.

— Ok, ça marche. Attention, lopette! T’es prêt? il va être costaud, celui-là…

Il renifle un bon coup, se racle la gorge et puis souffle un coup sec. Le mollard part à grande vitesse. Malheureusement pour lui, il vient s’écraser sur le sol.

— Putain! sérieux! Il va être top propre ton appart après notre passage...

— Attends, Jo. On ne peut pas laisser ce truc sur le sol. Imagine que l’un de nous deux marche dedans: ce serait dégueux.

— Bien vu. Allez, bizut! Tu lèches le gros mollard à Rafi. Et, bien sûr, t’avales.

— Allez, vas-y, gobe le bien. Et n’oublie pas combien tes Maîtres font un effort pour s’occuper d’une pauvre merde dans ton genre. Alors tout ce qu’on te donnes, tu dois le respecter, le déguster, le vénérer. C’est bien compris, bizut?… - Ouaf! ouaf! ouaf!…

— Bien, bizut. Je crois qu’il commence à comprendre ce qu’il est vraiment.

Jo lança à mister tour mister mollard, direct dans ma bouche: 1–0 pour Jo.

Puis Rafi, puis Jo… Au total, je ne sais pas combien de mollards ont été crachés sur moi, ou sur le sol. Mais quoi qu’il en soit, ils ont tous fini dans ma bouche et dans mon estomac. C’était écœurant mais aussi très excitant. J’étais plus bas que terre, totalement humilié: et ça, j’adorais. Sur le moment, la honte est plus forte que l’excitation. Mais, ensuite, l’excitation a pris le dessus.

— 5–3 pour ma gueule! Rafi, je t’ai mis ta branlée. Et qui a gagné un bon décrassage de cul? C’est Maître Jo. Putain! Bizut, ce n’est vraiment pas de bol pour ta gueule, car je n’ai pas pris de douche depuis au moins 4 jours, et là j’ai une super envie de chier. Tu vas être le papier toilette le plus nettoyant et le plus doux qu’il existe sur cette terre, car c’est ta langue qui va me nettoyer tout ça.

— Sérieux, Jo? Tu vas vraiment lui faire te lécher le cul?

— Sur ma vie! Bien sûr qu’il va me le nettoyer.

— Respect, mec! Alors là, j’avoue qu’on va vraiment se marrer.

— Allez, bizut, tu t’allonges sur le dos… Rafi, tu vas lui bander les yeux car pas question qu’elle me reluque le cul et la queue, cette tafiole. Le but du jeu ce n’est pas qu’il prenne mister pied.

— Ok, ça marche. Je te le prépare.

— Yes! Et moi, je vais faire un gros caca.

Jo a quitté le salon. Mais je n’ai pas eu l’impression sur le moment qu’il prenait la direction des chiottes, mais plutôt celle de la cuisine. J’avais envie de lui dire qu’il se trompait mais je n’avais pas le droit de parler. Et puis, presque aussitôt, Rafi m’a bandé les yeux. Ainsi dans le noir le plus total, j’attendais, angoissé, l’arrivée de mon Maître. J’entendais vaguement Rafi et Jo parler. Il semblait que Rafi l’avait rejoint. Les voix se faisaient discrètes mais les rires, par contre, eux, étaient très faciles à entendre. Impossible pour moi de comprendre ce qui se passait. J’allais devoir patienter encore un peu avant de le découvrir.

Ils étaient enfin de retour.

— Allez, mon papier toilette préféré, en position! Tu vas me faire sortir ta jolie langue. Allez, on tire la langue! Bien, comme ça. Il a l’air trop con comme ça! Je vais venir passer mon cul sur ta langue. Quand je te l’ordonnerai, tu lècheras. Et quand je t’ordonnerai de ranger ta langue, tu la remettras dans ta bouche, et elle devra ressortir toute propre et légèrement humide. As-tu bien compris?

— OUAF! OUAF!…

— Putain! Il est trop con ce mec! T’es plus un chien, t’es un rouleau de PQ. Alors, un rouleau de PQ, ça parle pas, ça roule… Allez, mon joli rouleau de PQ, roule, roule…

J’ai roulé sur moi même, dans un sens, puis dans l’autre. Et encore et encore. La tête me tournait et, eux, ils se marraient.

— Stop, rouleau de PQ! Maintenant, en position.

Allongé sur le dos, les yeux bandés,j'avais la langue tirée au maximum. Le bandeau que j’avais sur les yeux me passait également sur le nez. je ne sentais quasiment rien. Mais tout de même, lorsque Jo a mis mister cul au contact de ma langue, j'ai reniflé une odeur forte que je savais être de la merde.

— Allez, mon PQ, nettoie-moi bien la raie. Putain! En plus j’ai le cul bien poilu et mes poils mistert bien trash, collés à ma raie. Tu vas me faire un beau brushing de la raie!

— Putain! Jo! Une sous merde qui lèche de la merde, là on est au top.

— Yes, frangin! C'est trop du bonheur!

J’ai donc léché, sans voir ce que je faisais, mais dans ma tête, je voyais la scène. Je voyais sa raie crasseuse, ses poils collants, sa rosette sombre, et pourtant ma langue ne pouvait plus s’arrêter de travailler. De temps en temps même, elle allait fouiller plus loin dans l’intimité de Jonathan. Tout ceci n’était pas pour lui déplaire. J’entendais ses gémissements. Putain! le con! il prenait mister pied à se faire lécher le cul! Au bout d’une demi-heure de léchage intensif, il me remercia en lâchant un énorme pet juste au niveau de mon nez et de ma bouche grande ouverte.

— Ok, bizut, c’est bien. Tu as été très obéissant et maintenant mon cul est comme neuf. Je pense que tu as mérité un bon repas. Mais avant cela, c’est toi qui va nous servir notre dîner. Occupe-toi de mettre les pizzas à chauffer, et, quand c’est prêt, tu nous apportes ça à table.

Je me suis donc dirigé dans la cuisine, j’ai mis les pizzas à cuire. Durant tout ce temps, je suis resté dans la cuisine. Sauf lorsqu’ils m’ont réclamé une nouvelle bière. J’étais toujours complètement nu, et, lorsque je passais à côté d’eux, je me prenais une ou plusieurs claques sur les fesses.

— La pizza est prête, Maître et Chef.

— Ok, bizut. Alors apporte au lieu d’ouvrir ta gueule. Ce n’est pas possible: il faut toujours qu’il l’ouvre, ce con!

J’ai donc apporté les deux assiettes avec, pour chacun, une large part de pizza.

— Putain! j’avais dit sans olives, la pizza! Sérieux, Jo: c’est vraiment un bon à rien ce bizut…

— T’inquiète pas, Rafi. Je sais ce qu’il va pouvoir en faire de ses olives…

— Se les foutre au cul. Au cul, les olives! Tiens, bizut, va chercher…

Sur ce, Jo lance une olive à travers la pièce et m’ordonne de me mettre à quatre pattes.

— Médore, tu vas chercher la jolie olive, et tu la ramènes dans ta gueule de chienne. Ensuite, tu te retournes, cul face à tes maîtres. Et tu te la fous dans le cul. Comme ça, t’auras des légumes avec ta saucisse.

— Tiens, une autre…

— Rafi, combien tu as d’olives sur ta pizza?

— 8. Et toi?

— Attends, bouge pas! Il me semble 10. Putain! 18 olives dans le cul! Plus une grosse saucisse.

— Le repas me paraît royal: ne penses-tu pas?

— Et n’oublions pas de remettre la carotte pour pousser tout ceci bien au fond du four à chaleur totalement naturelle: température approximative de 37.5°C. Que du bonheur!

Et là, ils explosent de rire. Moi, j’ai mal au cul et un peu au ventre d’avoir tout ceci au fond de moi. La honte se lit sur mon visage et les larmes ne demandent qu’à couler. Mais je ne leur ferai pas ce plaisir.

Ils ont mangé ensuite tranquillement leur pizza, continuant à boire de la bière. Et moi, je devais rester à quatre pattes, le regard baissé. Puis ils m’ont demandé de venir me placer entre le canapé et la table de salon. Ainsi ils on pu poser leur jambes sur mon dos nu. Je servais maintenant de repose pied. De temps en temps, ils s’amusaient à titiller la carotte logée au fond de mon cul et c’était plutôt douloureux. Je prenais également régulièrement des claques sur les fesses. Leur plaisir était de me faire rougir les fesses autant que ma face de fion.

— Allez, il est temps de faire manger le bizut. Nous allons te préparer ton repas. Toi, pour le moment, tu ne bouges pas, tu ne parles pas. On veut te retrouver dans la même position lorsqu’on revient.

— Bien compris, la lopette?…

J’ai bougé la tête de haut en bas pour leur signifier que j’avais compris. Hors de question de parler et risquer de me faire punir. Ils ont disparu, direction la cuisine. Porte fermée, impossible d’entendre ce qu’ils me préparaient. Ce serait la surprise. J’imaginais tant et tant de choses, mais j’étais sûrement loin de la vérité.

La seule chose que j’arrivais à entendre, c’étaient les éclats de rire qui provenaient de la cuisine. Après 20 bonnes minutes, j’entendis la porte de la cuisine s’ouvrir et mes deux Maîtres arriver. La configuration de la pièce était telle que je ne pouvais pas les voir revenir. C’est alors que Jo se mit à parler.

— Nous voilà, ma petite chienne. C’est l’heure de ton repas et, crois-moi, nous y avons mis beaucoup de nous et de notre temps. Ecarte un peu les jambes et les pieds, que je puisse poser ton assiette.

— Allez, Médore, écarte les pattes, comme une bonne chienne que tu es.

— Ok. Maintenant, je pose ton assiette. Tu vas retirer la carotte que tu as dans ton cul et, pour le moment, tu vas te la fourrer dans la bouche. Tu vas nettoyer la jolie carotte avant qu’on la remette dans ton frigo pour ton prochain repas. Aujourd’hui, on te dispense de carotte.

J’ai donc tiré sur les fanes de la carotte pour l’extraire de mon cul, et, dès qu’elle fut retirée, je la pris dans ma bouche sans regarder l’état dans lequel cette carotte pouvait se trouver. Le goût était infect mais j’essayai de prendre sur moi sachant que ce qui m’attendait ensuite serait 1000 fois pire.

— Bourricot qui mange sa carotte! Trop mignon! La prochaine fois, au lieu d’en faire une chienne, on en fera une ânesse et on pourra lui grimper dessus.

— T’as raimister, Rafi! Mais ne perdons pas de vue que notre chienne a très faim. Hein, ma chienne?

— OUAFFFFF! OUAFFFF!

— Alors maintenant que nous avons positionné ta gamelle au bon endroit, tu vas continuer de te servir ton repas. Tu vas pousser bien fort avec ton cul et sortir de là tout ce qui se trouve à l’intérieur. Allez, pauvre sous merde, obéis et vite!

J’ai donc poussé, comme si je voulais chier. Pour commencer, j’ai senti les olives sortir de mon cul, l’une après l’autre. La sensation était plutôt horrible d’un point de vue mental, mais plutôt très agréable d’un point de vue physique. Mon cul s’ouvrait, laissait passer l’olive, puis se refermait. Puis vint le tour de la saucisse, et enfin mon cul fut libre de respirer.

Tout ce que j’avais sorti de mon cul avait gentiment atterri dans l’assiette posée à mes pieds.

— Putain! C’est dégueux, mais j’adore. Je la kiffe trop, cette chienne!… Médore, la pute, tu vas pouvoir te retourner et regarder le merveilleux repas que nous t’avons préparé. Et auquel tu as tout de même, je l’avoue, un peu participé.

— Allez! Et toujours à quatre pattes, bien sûr.

Mon visage est passé du rouge de la honte au blanc de l’horreur en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. La tête que je faisais les a bien évidemment rendus hystériques et le fou rire qui a suivi était insoutenable.

— Putain! Médore, tu verrais ta tête, tu serais au moins aussi mort de rire que nous. Bon, allez, je vais reprendre mon sérieux pour t’expliquer un peu le détail de cette magnifique recette. Il s’agit d’une merveilleuse saucisse de Strasbourg aux olives que tu as magnifiquement réchauffée et sur laquelle tu as laissé un peu de merde pour en épicer le goût. Pour notre contribution, nous avons pissé tous les deux dans une casserole dans laquelle nous avons fait cuire ces quelques pâtes. Nous les avons ensuite agrémentées de poils de cul, de poils de couilles, de poils de nos aisselles. Mais on ne pouvait pas en rester là, il te fallait une bonne sauce. Alors nous avons chacun mollardé une bonne dizaine de fois et nous nous sommes mouchés au dessus de tes pâtes. On aurait pu penser que c’était bien et que tu ne méritais pas plus. Mais nous sommes royal et tes légumes devaient être à la hauteur de ta soumission. Alors nous nous sommes branlés dans cette magnifique sauce. Tu vas bouffer des pâtes au sperme de Maître. Nous avons donné pour toi tout ce que nous pouvions, mais, rassure-toi, nous avons gardé une surprise pour le dessert. Maintenant que tu connais la recette de ce délicieux plat, nous te laismisters manger et déguster ton repas. Allez, Médore, bouffe.

J’ai tout de suite compris que j’allais devoir manger comme ça, à quatre pattes. J’ai obéi, et j’ai commencé à manger, bouchée après bouchée. Je ne sais pas ce qui était le pire dans tout ça. Ce qui sortait de mon cul ou ce qui venait de mes Maîtres.

— C’est bien, Médore, tu fais honneur à notre repas. Nous sommes fiers de toi. Rafi, je crois que notre chienne doit avoir soif. T’as pas envie de pisser, toi?

— Oh! que si! Pas de problème. Bouge pas, je vais chercher un bol.

— Tu vois, lopette, tu ne pourras pas dire que l’on ne s’occupe pas bien de toi.

— Tiens, bois. On veut te voir laper. Et surtout, ne renverse pas! On veut te voir finir tout ton repas et ta boismister.

J’ai mangé et bu tout ce que j’avais devant moi posé à terre, mes maîtres me regardant à peine. Je crois que c’était cela le plus humiliant. Le fait d’avoir l’impression, à ce moment-là, qu’ils se foutaient totalement de ce que je faisais pour leur plaire, pour leur obéir. Dès que j’eus fini de tout manger et de laper toute la pisse de Rafi, je me mis à aboyer pour leur faire savoir que j’avais été une bonne chienne et que j’avais bien tout mangé.

— Putain! Ça devait être bon, car Médore n’a rien laissé. Et je vois même qu’il a bien léché mister assiette. Comme ça, pas de vaisselle à faire: c’est le top!

— Je suis impressionné. Putain! il est trop grave! Je te dis pas comment il doit puer de la gueule, le bizut. Au fait, Jo, il me semble que mister cul et que sa bouche mistert libres en ce moment et je ne voudrais pas que notre lopette prenne froid. Je pense qu’il va falloir remplir tout ça, vite fait. Je pense qu’il mérite une récompense avant d’avoir mister super dessert.

— T’es pas en train de me dire que t’es prêt à te faire sucer par cette pute et en plus lui fourrer le cul?

— Pourquoi? Pas toi? T’as pas envie de te vider les couilles autrement qu’en te branlant dans ces nouilles.

— Faut voir... Putain! Ouais, pourquoi pas? Tu me diras une bouche et un cul,c’est jamais qu’un trou à remplir. Et puis ce n’est pas un mec, c’est une chienne. Alors, ça, on a le droit.

— Ok, c’est cool! On va par contre lui bander les yeux. Hein, Médore? Comme ça, tu ne sauras pas qui tu suces et qui te baise. Allez: ACTION!

À nouveau, je me suis retrouvé avec les yeux bandés. Impossible de voir. J’allais devoir les sucer à tour de rôle et me faire enculer sans même voir le corps de mes Maîtres. À quatre pattes, le cul tendu, j’ai senti un gland s’approcher de mes lèvres. L’odeur était forte et puis, au même moment, je sentis une pression sur ma rosette.

chrislebo

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Mon patron


Je m’appelle Yves et j'ai 28 ans. Je suis roux et j’ai un physique d’adolescent. Je n’ai pas très bien vécu le divorce de mes parents et je rêvais d’indépendance. J'ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J'ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. Le patron m’a fait venir dans mister bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s'absenter pour un congé maternité, il me proposa d’assurer l’intérim.

— Je préfère cette solution! m’a-t-il dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une permisterne étrangère à la société.

Le patron est un type qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’il m’impressionne. Devoir travailler en direct avec lui, me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%... Ce qui n’était pas négligeable!

— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une permisterne disponible!

J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, il m’a parlé:

— Jusqu’ici, je suis très content de ton travail...

— Y a-t-il un «mais», monsieur?

— Non... Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.

— Je sais, monsieur. Je pense que...

— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l'accepter?

— Euh... oui, monsieur... Je vais essayer de...

— Ce n'est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.

J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.

— Le travail de la société m'accapare énormément. Je n'ai pas le temps de mener une vie permisternelle et intime en parallèle.

— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.

— Ta gueule!

Il a écarté mister siège à roulettes du bureau. Sa queue jaillissait de sa braguette ouverte.

— Allez! Suce!

Tel un natural apeuré devant un prédateur, je me suis laissé magictiser par mister engin monstrueux. Je l’ai pris en bouche.

— Tu aimes?

— Oui, monsieur.

— Continue à pomper et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?

J’ai agité la tête pour dire oui.

— Es-tu prêt à me sucer à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?

— Oui, monsieur!

— Enlève ton pantalon pour me sucer!

J’ai obtempéré directement.

— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris... plus de slip ni de caleçon... Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.

— Oui, monsieur!

Il a ouvert un tiroir et posé un large gode sur mister bureau.

— Enfonce-toi ça au fion!

— C’est... c’est très gros... je...

— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode...

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;

— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?

— Oui, monsieur!

Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour un homme vicieux et sadique. Il m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.

— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!

Il m’ordonna de m’installer à quatre pattes sur mister bureau et il me contourna. Je ne le voyais plus; j’étais inquiet. Il ôta le gode pour le remplacer par autre chose.

— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.

Il poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Il recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.

— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable!

J’ai agité la tête.

— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?

J’ai agité la tête pour dire non.

— Réponds!

La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un mister correct de ma gorge.

— Non, mechieu. Che fais de la natachion.

— Très bien! Quand, j'en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter mistert écrits sur cette liste. Lève-toi.

Je me suis dressé sur la table.

— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.

Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J'étais debout devant lui, les yeux baisés.

— Il y a aussi ces tétons qui mistert bien minuscules! On va arranger ça!

Il sortit, d’un tiroir de mister bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.

— Je sais que n'es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?

— Non, mechieu!

— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»... Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu'on les porte.

Il m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l'acier me fit frismisterner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprimisterner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Il était en face de moi, terrible.

— C'est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi... pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.

chrislebo

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Mon patron venait de nous surprendre et j’étais pétrifié. J’étais sa chose et il ne supporterait pas que j’appartienne à un autre.

— Vous n’allez pas vous arrêtez parce que je suis là, les cochons, je suis super excité. Allez, montrez-moi ce que vous alliez faire... Dites-vous que je ne suis pas là...

— Monsieur, je...

Sa main vola et claqua sur mon visage.

— Donne-toi à fond, salope! Toi, bourre-le comme il le mérite... à la dure!!! Avec une vraie bite, cette fois!

L'ordre était trop tentant pour mon collègue. Il me tira en position debout. Le gode sortit de mon trou avec un bruit de succion et il me plia en deux sur le bureau. Le patron se débarrassa de mister bloumister et de sa chemise puis déboutonna mister pantalon pour sortir mister pénis épais déjà en érection.

— Encule ma salope, Karl! Je te l’ordonne! Fais-la couiner!

Karl enfila une capote et m’enfonça sa tige d’un coup au fond du trou. Le patron n’en perdait pas une miette et il faisait ses commentaires obscènes sur la façon dont Karl me baisait. Il se masturbait debout et se rapprochait de nous. Il se positionna face à moi et me donna l’ordre de prendre sa bite dans la main et de le branler alors que Karl s’enfonçait dans mon cul. Je subissais ses coups de butoir avec plaisir. Il était très excité – encore plus depuis que le patron nous avait surpris! Karl et moi commencions à gémir en cadence. Il me titillait du bout des seins, introduisait parfois un doigt dans ma bouche pour que je le suce.

— Qu’est-ce que tu en penses de ma salope? demanda le patron.

— C'est une vraie bonne chienne, patron! Hyper chaude... Disponible...

— Tu matais mister cul depuis longtemps, hein? Tu rêvais d'y mettre ta bite?

— Tout à fait... Là, j’y suis et c’est trop bon!

Karl quitta mon cul et je me mis à genoux pour sucer sa queue. Le patron me fourra à nouveau le gode.

— C’est bon de se faire un mec, hein? lança le patron.

— Eh, patron, je ne suis pas pédé, hein. Faut pas croire... C’est juste une expérience! Un cul c’est un cul! J’avais envie de fourrer un trou... Ma femme n’est pas trop chaude pour les galipettes et...

— T'as une belle grosse queue. Elle a tort ta femme!

Le patron se pencha vers moi.

— Tu trouves aussi que sa femme a tort, hein? Toi, tu dois aimer la pomper, cette grosse bite, ma petite pute?

J’ai agité la tête pour lui répondre. Bien sûr que j’adorais ça. La bite de Karl avait maintenant atteint sa taille maximale et je n’avais jamais vu un truc pareil. Monumental!!! Le patron matait et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que celle de mister employé. Il appréciait qu’elle me ramone en cadence et m’arrache des gémissements de salope en rut. Il continuait à se branler.

— Tu sais Karl, lui dit mon patron, moi non plus, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai découvert que certains mecs étaient plus salopes que les vraies salopes! J’ai déjà fait des tas de trucs avec des mecs. Rien que des mecs soumis... Tu serais surpris du plaisir que tu aurais si tu essayais avec d’autres... Tu devrais t’en trouver un à toi, comme moi, et le dresser, le loper...

Karl ne répondit pas mais il accéléra ses coups de reins et me fit un peu mal à la mâchoire.

— Retour à l’arrière!

Le patron me plaqua contre le bureau et enleva le gode. J’étais contre la tablette froide du bureau, cul offert et jambes écartées. Karl planta sa bite d’un coup et pilonna.

— Tu fais ça comme un chef, Karl! Tu vas remonter dans mon estime si tu continues à me la baiser comme ça.

— C’est un vrai plaisir de le fourrer et de vous satisfaire, patron!

— Je le constate!

Les va-et-vient de mon enculeur étaient rapides. Ils me poignardaient le cœur. Le patron tapa sur l’épaule de Karl et lui donna un gode, un nouveau...

— Mets-lui donc ça dans le cul!

L’engin faisait près de 50 centimètres de haut et avait un diamètre hors norme.

— Vous êtes certain que...

— Ma pute prend tout! Vas-y sans crainte! Pour ne pas me l’abîmer, il va falloir dilater tout ça... Voilà du crisco... Montre-moi tes capacités de fisteur!

Karl me tartina le trou de graisse et y joua avec un puis plusieurs doigts. Il y fourra le plug en me claquant le cul. Cela dura un bon moment sous l’œil ravi du boss en pleine séance de branle. Enfin, mon cul s’était assoupli et Karl saisit le gode. Il le posa au sol et m’ordonna de me positionner au-dessus.

— Roule-lui une pelle à ma salope!

Karl hésita puis emporté par l’excitation, il m’embrassa tandis que je m'introduisais le gode dans mister cul bien graissé.

— Crache-lui à la gueule! Montre-lui qui commande...

Mon collègue semblait de plus en plus excité par la situation. Après m’avoir craché à la gueule, il se branla vigoureusement devant mon visage et ne mit pas trop longtemps à me larguer sa purée sur la tronche. Moi, je me retenais tant bien que mal. À mister tour, le patron jouit assez bruyamment, le corps parcouru de spasmes.

— Ok mon gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi en terminer avec lui maintenant. Tu peux t’en aller! Si un jour l’idée m’en dit, je ferai appel à ta grosse bite pour limer SON trou...

Karl quitta le bureau avec ses fringues sur le bras... Il ne dit pas un mot.

Le patron s'agenouilla devant moi. Il m’attrapa la queue et m'astiqua violemment. Son visage était à cinq millimètres du mien.

— Tu crois que tu vas t’en sortir comment, salope?

— Je vais être puni, monsieur!

— Pourquoi vas-tu être puni?

— Parce que je le mérite... J’ai baisé avec quelqu’un d’autre... sans votre permission...

Mon patron me branla jusqu’à l’éjaculation et mon foutre inonda le sol. Il m’ordonna de me relever, d’enlever le gode et de remettre le plug.

— Pompe-moi! Nettoie-moi la queue, putasse! Sale chienne!

Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon patron en bouche. Je lui nettoyais la queue tout en le pompant pour lui rendre sa rigidité. Lorsque la queue eut repris sa vigueur, il me renversa d’un coup de pied...

— Allez, en position de pute! Montre-moi de quoi tu as encore envie...

Je me mis sur le bureau lui présentant ma chatte de mec épilée. Il claqua mister engin contre mes lobes durs puis mit mister gland à l'orée de mon anus boursouflé et commença à pousser lentement. Sa bite entra facilement. Il m’encula un long moment puis me dit.

— Fais-moi la chienne! Excite-moi bien...

Je me mis alors à quatre pattes sur la moquette pour l’inviter dans mon cul, ouvrant mon anus à deux mains. Il adorait ça et me le fit comprendre avec des obscénités.

Il reprit le pilonnage et me saillit comme une chienne. Son corps se raidit et de longs jets de sperme chaud remplirent la capote. Mon cul se serra autour du pieu rassasié.
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