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les histoires de chrislebo

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chrislebo

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#1
 Down to the last message
Voilà je me lance & vous fait bénéficier des mes meilleures histoires trouvées sur la toile

traducteur de langue: The hyperlink is visible to registered members only!



Elodie joue les infirmières

Suite à un accident, Raoul, un retraité de soixante deux ans, très séduisant, a été hospitalisé.
On lui a plâtré le poignet et la cheville gauche, pour une durée de trois semaines.
Raoul est veuf. C'est donc chez mister fils, Jérôme, vingt quatre ans, qu'il va se faire soigner.
C'est mister frère jumeau, Roger, qui le ramène. Les deux frères mistert des joyeux fêtards. Les bringues, et le sexe, c'est leur truc. Jérôme peut en témoigner.
A peine installé, Elodie, très belle blonde de dix neuf ans, et épouse de Jérôme depuis un an, arrive des courses.
-Bonjour tout le monde, bonjour chéri, dit-elle à Jérôme en l'embrassant. Que se passe-t-il ?
Je vous sens inquiet.
-Aucune infirmière n'est disponible pendant trois semaines, dit Jérôme, et moi, je pars en déplacement pendant une semaine.
-Et moi, poursuit Roger, je travaille.
-Si çà pose un problème, répond Raoul, ramenez moi à l'hôpital.
-Hors de question, reprend Elodie, on va se débrouiller. Trois semaines, c'est vite passé.
-Mais, il faut le changer, le laver, dit Jérôme. Tu vas faire çà toi ? Et à mon père en plus.
-Ah, j'avais pas pensé à çà, répond Elodie. Mais s'il le faut, pourquoi pas. Il n’est pas impotent.
- Je ne peux pas te l'exiger, dit Jérôme. C'est toi qui décides. Moi, çà ne me gêne pas. Toi papa ?
-Faites comme çà vous arrange, fait-il.
-Bon, c'est réglé, poursuit Jérôme, je vais préparer mes valises. Tonton, tu passeras de temps en temps.

Deux heures plus tard, Elodie et Raoul se retrouvent en tête à tête.
-Vous avez un traitement ? demande Elodie.
-Pas aujourd'hui, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensé.
-Je le fais pas pour çà, dit-elle, ce qui me gêne, c'est de vous voir tout nu, et de vous toucher !
-Un homme, c'est un homme, reprend Raoul, on est tous fait pareil. Passe mes béquilles, s'il te plait, je vais à la salle de bains.
Elodie reste pensive. Va-t-elle s'en sortir ? Elle pousse la porte, et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre, il va falloir l'aider.
-A partir de demain, dit Elodie, il faudra une tenue plus appropriée. Si vous ne sortez pas, un caleçon suffira, Qu'est-ce que vous en pensez ?
-Bien sur Elodie, pas de problème.
Deux minutes après, Raoul se trouve tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux.
Elodie prend un gant de toilette, et commence à laver Raoul maladroitement.
Et le sexe, il faut le nettoyer aussi. Courageusement, Elodie s'y emploie.
L'effet est immédiat. La queue grandit, jusqu'à atteindre dix huit centimètres. Elodie écarquille les yeux.
"Mais, il a rien laissé à mister fils !"
-Ben, beau papa, bel engin.
Elodie lave le sexe de Raoul. Elle est obligée de la décalotter pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. La première séance s'est bien passée, mais.....
De sa main droite, Raoul maintien la main d'Elodie sur sa queue.
-Qu'est-ce que vous voulez ? demande Elodie, vous croyez pas que.....
-Tu peux pas me laisser comme çà, la coupe Raoul.
-Et vôtre fils, dit-elle vous y pensez ? Vous croyez que çà lui fera plaisir s'il l'apprend ?
-Mais, il n'en saura rien, çà restera entre nous.
Elodie le sent triste, elle le plaint. Après tout, il mistert que tout les deux. Et l'age n'est pas un obstacle.
Elle se place derrière lui, et commence à le masturber. Elle sent un peu d'humidité envahir sa chatte. Raoul se tend.
-Vas-y ma chérie, branle ton beau père, continue, oua, oui, je joui, je crache.
-Déjà, dit-elle, voilà, je peux nettoyer la glace maintenant. Quelle giclée, çà en avait besoin hein ? Allez, il faut nettoyer vôtre queue maintenant.
-Avec ta bouche, propose-t-il, s'il te plait.
-Quoi, rugit-elle, pas question, çà va pas.

Le repas se termine vers neuf heures. Un peu de télé, et...
-Je vais me coucher, dit Raoul, çà te fait rien ?
-Pas du tout beau papa, vous m'appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit…
Elodie va à la salle de bains pour se laver. Elle se caresse la chatte et mister bouton, mais sans se faire jouir. Elle va se coucher.
Vers une heure du matin, Raoul l'appelle. C'est en chemise de nuit qu'elle va le voir.
-Que vous arrive-t-il ? demande-t-elle.
-C'est mon caleçon, dit-il, il me serre.
Elle s'approche du lit, et soulève le drap. Une bosse tend le caleçon, il est en érection.
-Et, beau papa, il faut se calmer.
Elle ne sent pas la main qui passe sous la chemise de nuit.
Raoul glisse deux doigts dans la chatte humide d'Elodie.
-Oh, mon dieu, lâchez moi, je vous en prie, dit Elodie.
Mais Raoul la tire d'avantage à lui.
La respiration d'Elodie devient plus haletante, ses seins durcissent, et tendent le tissu.
Elle pousse des petits soupirs de plaisir.
Elle fait passer sa chemise de nuit par dessus sa tête, et quitte le caleçon de Raoul. Ils mistert nus tout les deux.
-Où voulez-vous en venir, murmure-t-elle, vois voulez me baiser ? Moi aussi j'ai envie que vous me preniez.
Elodie monte sur le lit, enjambe Raoul, et s'empale sur sa queue.
-Ah, crie-t-elle, çà c'est de la bite. Allez-y, faites moi jouir, je suis toute mouillée. Sortez mon petit bouton aussi, ce vicieux. Mon dieu, comme ma petite chatte se fait prendre. Ha...ha...ha
Oui, oui, je joui. Et mes seins, caressez mes seins, surtout les bouts. Que c'est bon.
Elodie hurle mister orgasme.
-Moi aussi je joui, gémit Raoul, ha...ha.., petite pute, tu aimes te faire baiser par un vieux, et ton beau père en plus. Mais c'est tellement bon, mon fils doit se régaler.
-Moi aussi je me régale, répond-elle, je peux vous tutoyer ?
-Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l'amour ?
-J'aime que çà, dit-elle, surtout avec des grosses queues.
-Roger passe demain poursuit Raoul, tu veux qu'on le fasse à trois ?
-Et, doucement, je ne suis pas une traînée. Mais d'un autre côté, j'avoue que çà peut être intéressant. On verra demain. J'aimerai que tu me niques encore, regarde ma mounette, elle est toute mouillée. Et mon petit bouton, tu vois comme il est bien décalotté. Après, je dormirai dans tes bras. Tu veux bien beau papa
chrislebo

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#2
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Le lendemain, Roger arrive vers dix heure. C'est lui qui porte le repas.
Elodie s'est habillée sexy. Chemise nouée sur le ventre, mini-jupe, pas de dessous.
-Bonsoir tonton,dit-elle en l'embrassant.
-Bonsoir,répond Roger, que tu es belle mon dieu. Et mon frère, çà va?
Raoul rejoint Elodie et Roger dans la salon.
Elodie a Acceptée la proposition de Raoul. Elle s'approche de Roger en ôtant sa chemise.
Raoul s'éclipse dans la chambre.
Roger s'avance d'Elodie, et glisse une main sous la jupe.
-C'est quoi, demande Roger, une envie de se faire donner.
-Viens dans la chambre, répond-elle. On va jouer.
Raoul est allongé sur le lit, tout nu, prêt a l'emploie
Elodie s'incline sur le corps de Raoul, saisit la belle queue bien raide. Elle suce le gland
décalotté du bout des lèvres, et titille le méat avec sa langue. De l'autre main, elle prend
les couilles , et les fait rouler entre ses doigts
Raoul ferme les yeux, çà tête roule sur l'oreiller.
Roger, placé derrière, a glissé deux doigts dans la chatte bien écartée d'Elodie. Il l'est
retire et lubrifie la petite rosette. Il présente mister énorme queue en érection, et pénètre
doucement le petit trou d'Elodie.
Elodie ouvre grand les yeux, pousse un cri de douleur.
-Oh putain, comme il m'encule le frangin, qu'il est gros, se régale-t-elle.
Raoul a glissé une main entre les cuisses d'Elodie, sort le bouton et le caresse.
-Qu'est-ce-que vous me faites, salaud, j'ai jamais connu çà, murmure Elodie. Mais que
c'est bon. Faire une partie à trois avec deux super vieux bien montés. Et moi qui suis une
pute, vas-y Raoul, je joui oui, ouiiiiiii
-Moi aussi je viens, râle Roger. Ha...ha...hou....oui, oui, je crache.
-Et moi, dit Raoul, reprend moi en bouche, oui, avale, oui, comme çà.
Les joues creusées, Elodie avale la semence de mister beau-père.
Les trois amants ont besoin de faire une pause.
Elodie et Roger décide d'aller prendre une douche. Une fois laver, Roger caresse le corps
Elodie.
-J'ai l'impression que tu aimes te faire caresser le clitoris? Demande Roger.
-Quand on me gratte a cet endroit, répond Elodie. Je suis prête à n'importe quoi, çà me
paralyse.
Roger se tourne vers la porte, tend un doigt en arrière, main ouverte, doigts dressés.
"Oh le salaud, se dit Elodie"
Elle s'approche, et place sa chatte sur la main de Roger, pour bien sentir ses doigts.Roger saisit le clitoris d'Elodie, et sort de la salle de bains.
-Allez viens, ordonne-t-il, on va rejoindre Raoul.
Elodie, les mains appuyées sus les épaules de Roger, le suit.
-Tu vas m'avoir salaud, arrête toi que je puisse jouir, gémit Elodie, oui, oui oui c'est bon.
Roger lui sourit, et ouvre la porte de la chambre.
Raoul est toujours assis sur le canapé. Roger le rejoint.
Elodie se place devant eux, et les excitent.
-On a plus de jus, demande-t-elle. comme je vais faire.
Elle se déhanche de plus en plus, caressant ses seins, et sa chatte, effleure leur sexe
en érection et se recule. Elle regarde l'effet qu'elle fait sur les deux frères.
Elodie se met a quatre pattes sur la moquette, évolue telle une féline. Les deux frères
observent la scène.
-Permisterne est intéressé? provoque-t-elle.
Roger se sacrifie, il se met lui aussi à quatre pattes, et avance mister visage entre les fesses d'Elodie. On dirai un chien qui renifle une chienne en chaleur.
Elodie écarte ses cuisses, et se cambre pour que Roger puisse bien la lécher. Sa chatte
est toute mouillée.
Elle veut offrir ses dix neuf ans à ses deux amants. Elle veut que ce soit des experts qui
profitent de mister corps, qu'ils la forment. De vrai mâles.
Roger se tourne sur le dos, saisit Elodie par les reins, et l'oblige a s'asseoir sus sa bouche
Elle pousse un cri de plaisir quand la langue la pénètre.
-Oua, çà y est, tu m'as eu salaud. Mon clito, vite supplie-t-elle, sors le, suce le, bien avec
ta langue.
Roger a remonté ses deux mains le long du corps d'Elodie, et lui prend les seins durcit
par l'excitation. Il fait rouler les énormes bouts entre ses doigts.
-Je joui, cri Elodie, haaaaaaiiiiiii, vas-y mon amour, fais moi cracher. Que c'est bon.
-Et moi demande Raoul, j'ai pas droit à une petite faveur.
-Mais si , mon chéri, quand Roger en aura fini avec moi.
En effet, Roger prend Elodie par les hanches, et la culbute sur le dos.
Il vient placé mister sexe contre sa bouche, et l'enfonce.
-Vas-y, dit-il sèchement, branle moi, et avale tout, d'accord?
Elle fait signe oui de la tête.
En trois minutes, Roger a envoyé sa semence au fond de la gorge d'Elodie. Il l'a relève
par les cheveux, et la traine jusqu'à Raoul.
-Tiens, frangin, c'est a toi. Fais toi tailler une pipe. Comme tu l'es aime. Tu voudrais pas
être nôtre pute .Quand on veux s'amuser avec toi, on t'appelle.
-Ce serai bien , répond Elodie. Mais mon mari, il arrive demain.
-On peut le rendre à la raimister, poursuit Roger, ce serai pas la première fois.
-Doucement, dit Raoul, ne lui fat pas le coup de la dernière fois, ou tu l'a mis tout nu, et
que tu jouais avec ses attributs. Tu te rappelle comme il pleuré. Mais il se régalé aussi.

Le lendemain, Jérôme rentre de mister déplacement.
-Bonjour tout le monde, dit-il, çà va. Elodie ma chéri, ou es-tu?
-Je suis là mon amour, répond-elle, embrasse moi.
-Attend moi à la chambre, poursuit-il, une bonne douche, et je viens te baiser. j'en est trop
envie.
Jérôme sors de la douche enroulé dans une serviette, et tombe sur Roger, assis sur une
chaise.
-Ou est Elodie? Demande Jérôme méfiant.
-Elle est avec ton père en train de se le faire mettre, répond Roger.
-Quoi, rugit Jérôme, c'est quoi çà. Baiser la femme de mister fils.
-Ta femme est tellement bonne, qu'on a pas pu résister. Cà fait trois jours qu'on lui met
des coups de queues de partout. Dans le cul, dans la chatte, dans la bouche.
Roger tire Jérôme par le bras, et lui quitte la serviette.
-Allez, viens t'asseoir, ordonne-t-il. Fait moi voir tes jolies choses.
Jérôme est assis sur mister oncle, pris par les couilles.
-Pas comme l'autre fois, tonton, ne serre pas, s'il te plait, supplie Jérôme, j'obéirais.
Raoul et Elodie regarde par un coin de la porte. Elle met une main devant sa bouche pour
pas éclater de rire.
Jérôme a les jambes totalement écartées, et Roger fait rouler ses couilles entre ses doigts.
De l'autre main, il joue avec le prépuce.
-S'il te plait, tonton, implore-t-il, décalotte moi complètement, branle moi, comme j'aime.
Là, oui, comme çà, que c'est bon, je joui, ha...ha...oui. j'espère qu'Elodie n'en saura rien.
-Tu t'es bien régalé mon garçon, ironise Roger. Tu as vu ta queue comme elle a pleuré de
bonheur.Et tes couilles, elles mistert encore pleines.Un jour, je t'enculerai, tu veux bien?
-Quand on sera que tout les deux, tonton, accepte Jérôme.
Raoul et Elodie entre dans le salon.
-Oh, ma chérie, ce n'est pas ce que tu crois, essaie de se justifier Jérôme, c'est une erreur.
-Mais, mon amour, dit Elodie, je ne t'en veux pas. Si tu te aimes que Roger s'amuse avec
ta queue. Tu sais? a partir d'aujourd'hui, j'ai accepté d'être leur pute. De m'offrir a eux
quand ils veulent. C'est tellement bon. Ma petite fente, et mon petit bouton, même s'ils
mistert tout jeune, ne peuvent plus se passés de leur grosse queue. Tu verras quand Robert
t'aura enculer, et que tu l'aura sucer, toi non plus tu pourra plus t'en passé.
-Je vais te faire l'amour toute la nuit ma chérie, dit Jérôme.
-Je peux pas, répond Elodie, j'ai promis a ton père et a ton oncle de passer la nuit avec eux.
Touche, ma mounette est déjà toute mouillée. Mais tu peux regarder si tu veux. Tu verras
comme ils se servent de ma chatte, et de mon petit trou.Et je te parle pas de mes seins, et de mon clitoris. Tu va voir comme ils se servent du corps d'une fille ces salauds. Je t'es
jamais tailler des pipes comme a eux. Enfin, assez parlé, pasmisters à la chambre.

On rentre dans l'hiver, il va être long. Elodie pense aux chaudes nuits au coin du feu.
chrislebo

Member

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#3
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offense torride.


Je m'apelle sylvia j'ai 30 ans je suis brune aux yeux bleus 170 62 kg 95 c et épilée, j'ai un vice celui de voler dans les rayons non pas par nécessité mais par jeu.
Une journée banale pour moi: je vole un portable dernier cri dans une grande chaine de magazin parisien, le vigile m'arrete et m'emmene au responsable de la sécurité.
J 'arrive dans une grande pièce avec un bureau au centre, le responsable ordonne au vigile de nous laisser seuls, il est grand, brun assez typé cheveux courts avec juste un petit bouc, il porte un costume noir assez serré.

"Madame vous avez volé un portable d'une valeur de 500 euros je dois prévenir la police".
"Attendez svp je peux payer".
"Mais ce n'est pas le problème vous avez commis un délit et vous devez payer pou ça".
"Non je vous en prie ne prévenez pas la police, dites moi ce que je peux faire vous voulez un peu de cash".
Il me dévisage des pieds à la tete d'un air suffisant "ce n'est pas du cash que je veux c'est vous".
"Comment ça?".
"Vous me plaisez, je veux que vous me soyez entièrement soumise".
"Par pitié tout sauf ça".
"Désolé c'est à prendre ou à laisser".
"D'accord, que dois je faire?".
"A partir de maintenant tu m'appartiens, déshabilles toi entièrement et mets toi à 4 pattes sur mon bureau".

Je commences à enlever mes affaires, je me retrouve en sous vetement rouge de honte, je n'arrive pas à continuer, je reste pétrifiée.

"Enlèves ton soutien gorge et ta culotte, vite fais sinon je préviens la police"

Je n'ai pas le choix je m'exécute j'enlève le haut je me retourne puis j'enlève le bas, je n'aurai pas pu le faire face à lui, je monte sur le bureau et je me mets à 4 pattes dévoilant ainsi mes parties les plus intimes.
Je reste dans cette position humiliante 5 bonnes minutes, je n'ose pas rompre le silence.

"Hummm..... j'aime le spectacle bb j'aime te mater tu es vraiment bien foutue"
Il s'approche de moi ,j'ai peur que va t'il me faire?

"Je vais te lécher partout bb"

Je sens sa langue sur ma chatte qui la parcourt de haut en bas, de gauche à droite et qui s'attarde longuement sur mon clito qui le suce, le mordille , l'aspire.
Il fait ça si bien, il prend mister temps chaque centimètre de ma chatte est astiqué, il écarte mes lèvres et enfonce sa langue profondement dans mon vagin.

"T'aime ça hein tu mouilles déja comme une petite chienne"

Je pousses de petits gémissements, j'aime sa manière de me lécher je suis surprise par mon état d'excitation, une pensée m'obsède: Va t'il me lécher L'anus?
J'en ai tellement ENVIE.

"Je te fais du bien bb avec ma grosse langue"
"OH OUIiiiiiiiii"
"Maintenant je vais m'occuper de ton petit trou"

Il m'écarte les fesses et commences à titiller mon anus du bout de la langue, puis il s'attarde plus longuement, il me donne des coups de langue de plus en plus rapide.
Je suis si excitée que je me laisse aller à des phrases salaces du genre:

"Broutte moi l'anus, t'arrete pas" ou "lèche moi le fion plus fort"

Il enfonce maintenant sa langue de 2 ou 3 centimètres à l'intérieur de mon anus, je défaille de plus en plus et lui crie:

"Mange moi bien le cul bb j'en redemande ahhhhhh ouiiiiiiiiiiii"
"Avec joie chérie"

Il enfonce tout mister visage dans ma raie je sens mister nez qui s'enfonce dans mon anus pendant de longues minutes je mouillles abondamment.

"Ohhhhh ouiiiiiiii bb tu es le maitre de mon anus, j'ai plus de fierté quand tu me fais ça"
"Tu as jouis avec ma langue maintenant tu vas connaitre ma grosse queue de 20 cm"
"Oh oui defonce moi comme une pute"

Je sens mister sexe frotter ma chatte trempée il est dur, il enfonce mister gland puis sa bite entière, il me baise de plus en plus vite.

"OUIIIIIIII VAS Y A FOND DEFONCE MOI LA CHATTE"
"A TES ORDRES MA PETITE SALOPE"
Il me baise de plus en plus profond et de plus en plus vite, sa grosse queue me lime et me ramonne la chatte sans le moindre répit, elle est toujours aussi dure.
"OHHHHH AHHHHHH C'EST BONNNN JE VAIS JOUIIIIRRRRR AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH"
Ma jouissance est totale et violente mais j'en veux encore:
"PRENDS MOI PAR DERRIERE"
"OUI MA CHIENNASSE J'AI PREVU DE T'ENCULER"
"VAS Y J'ATTENDS QUE çA"
Il ecarte mes fesses crache sur mon anus étale sa salive et il me doigte avec 1 puis 2 doigts.
"HUMMMMMMMMMMMMM C'EST BON"
Il frotte mister gland sur mon petit trou déja un peu dilatté, je suis si excitée je veux qu'il me pénètre.
"JE VAIS BOURRER TON PETIT CUL DE PUTE"
Il m'enfonce sa bite d'abord par le gland puis toute entière et commence un petit va et vient, mister sexe est long et large.
"OHHH OUIIIII VAS YYYY PLUS FORTTTT PILLONNE MOI"
"JE VAIS Y ALLER TU VAS CRIER"
Il accélère le mouvement au maximum ses couilles claque sur ma chatte à chaque coup de reins.
"JE TE BAISE A FOND Là MA SALOPE HUMMMMMMMM TU LA SENS MA GROSSE BITE"
"PERSONNE NE M'A JAMAIS BAISée SI BIEN JE SUIS TOUTE A TOI BIEN SOUMISE ET OFFERTE JOUIS DANS MES FESSES"
"AHHHHHHHHHH JE VAIS GICLER DANS TON CUL PETITE GARCE"
Il jouis je sentis mister jus m'innonder l' anus, quelle joie d'avoir été humiliée de la sorte et offerte à un inconnu.
chrislebo

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#4
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Thérapie de choc.

"Il", c’est moi, Jacques, 38 ans. Marié depuis bientôt dix ans, un enfant, et le désert sexuel avec sa femme. Par trois fois, j’avais failli la tromper… par trois fois, le destin en avait décidé autrement. Mais la tentation, l’envie, le besoin se faisaient de plus en plus pressants…
Stressé comme un jour d’examen, me voici donc devant la porte. Je frappe, elle s’ouvre doucement. Permisterne dans mon champ de vision. La lumière est tamisée, mais je distingue pourtant un matelas avec un grand drap couleur brique posé à même le sol et un évier un peu plus loin, au fond de la pièce. Une discrète odeur d’encens, une musique de fond, indéfinissable. Ne pouvant être qu’au bon endroit, j’entre. La porte se referme.
Une brune élancée, les cheveux assez longs et le visage doux, me sourit. Très fine, elle me salue et me précise qu’elle s’appelle Sophie. J’arrive à peine à lui rendre mister bonsoir. Elle porte un déshabillé vert, pour ainsi dire transparent, à travers lequel je peux distinguer sa poitrine, qui me semble jolie, et même le bout de ses seins de couleur plus foncée. Un shorty en dentelle couvre ce que je découvrirai plus tard. Waouh !
À ce moment, une seconde fille apparaît au fond de la chambre. À peine habillée de sous-vêtements noirs et rouges, ses jambes me semblent interminables, gainées par des bas noirs maintenus par un porte-jarretelles.

Avec un sourire spontané, elle m’apprend qu’elle se prénomme Angélique. Le même parfum agréable, que je ne connais pas, émane de ces deux filles. Jamais, à part en film, je n’avais vu un tel spectacle.
Deux "bombes". Pour moi. Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Je suis submergé par l’émotion, mon cœur bat à tout rompre et je n’ai pas encore réussi à aligner une seule phrase… J’ai toujours été intimidé par les filles et là, la barre est haut placée !
Bon, je suis là pour une raimister précise, pas question que je flanche. Je reprends mes esprits. Sachant que je n’arriverais pas à m’exprimer, j’avais pris soin de noter ma "commande" sur un papier. J’ai également apporté un objet, ne sachant pas si les filles avaient un équivalent ou non. Sophie et Angélique lisent le papier et acquiescent. Elles me demandent de payer de suite. Les choses sérieuses peuvent à présent commencer.
Après avoir enlevé mes chaussures, chaussettes et tee-shirt, je m’allonge sur le matelas. Quatre mains caressent doucement ma poitrine, mes bras, mon ventre. Le contact est agréable, j’arrive enfin à me détendre un peu. Quelques baisers tendres, posés çà et là, commencent à m’émoustiller. Je sens soudain qu’un de mes poignets est enserré par un lien sorti de je ne sais où.

Je me laisse faire pour monter le bras au-dessus de ma tête et le voilà attaché. Les caresses n’ont jamais cessé pendant ce temps. Mieux, la langue d’Angélique s’est même insinuée dans mon nombril, m’empêchant presque de sentir mon second bras se faire attacher.
Un bandeau se pose sur mes yeux et, les deux bras liés, je me retrouve dans le noir, abandonné à ces deux belles créatures. C’est un peu dommage de ne plus pouvoir profiter du paysage, mais c’est moi qui avais fixé les règles du jeu !
Je sens mon pantalon qui s’ouvre, pendant que mon ventre et mon torse mistert toujours caressés parfois si légèrement que ça me chatouille. Éviter de le montrer, ça pourrait leur donner des idées… Une bouche vient gober le lobe d’une oreille. Divin. Très sensible à ces jeux-là, mon sexe est quasiment au garde à vous, bloqué par mon slip.
Rapidement, mon pantalon est enlevé. Une des filles ironise sur mon état d’excitation, mais, penaud, je n’ai rien à répondre… C’est à présent au tour de mes jambes d’être caressées, des orteils jusqu’à mon pubis, les mains se faisant parfois insistantes sur ma grosseur, parfois prenant soin de l’éviter. Je sens aussi le soyeux de ce qui doit être un bas frôler mes mains, remonter le long de mon bras jusqu’à mon visage. Le pied se pose sur ma bouche, mon nez, rejoint par le second. Mon nez est pincé quelques instants par les deux orteils et, lorsque je veux reprendre mon souffle, un des talons se cale sur ma bouche.
Ce que j’identifie comme des orteils nus vient me chatouiller l’oreille, tandis que ma joue est aussi caressée. Des doigts de pieds se glissent sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et ils entrent. L’odeur se fait très discrète mais un très léger goût subtil, acidulé s’offre à mes papilles. Juste ce qu’il faut. Une des filles me somme de sortir la langue, et je sens un premier pied, puis un deuxième, glisser sur celle-ci, de tout mister long, bientôt suivi par le tissu des bas de Angélique.
Les quatre pieds vont et viennent sur tout mon corps, mon visage, dans ma bouche. Un régal. L’un d’entre eux s’attarde à présent davantage sur ma virilité, qui ne demande plus à présent que de sortir du tissu tellement elle est tendue. Et c’est donc avec plaisir que je me sens libéré, toujours par ce pied. Mon sous-vêtement est vite enlevé et, rapidement, mes deux chevilles mistert également emprimisternées et attachées. Me voilà donc aveugle et écartelé, à la merci de deux professionnelles que je ne connaissais pas il y a quinze minutes…
Un mouvement m’indique qu’une des filles se rapproche, au-dessus de moi. Mon nez est touché par quelque chose de doux et, à l’odeur, je sais immédiatement qu’il s’agit de l’intimité d’une des filles. Les lèvres se frottent sur mon nez, ma bouche. Alors que je sors ma langue pour en profiter, une voix me crie de la rentrer immédiatement.

J’obtempère.
La fille s’ajuste sur mon visage, mon nez pénètre la vulve, je ne peux plus que respirer par la bouche, sur laquelle se posent à nouveau plein d’orteils. La fille se frotte maintenant sur tout mon visage. Ne tenant plus, je ressors ma langue pour lécher la chatte, mais ce mistert les doigts de pieds qui en profitent. Après quelques minutes, les filles changent de position. L’odeur de la chatte a changé, mais est tout aussi plaisante, excitante. Je bande comme un fou, mais mes deux maîtresses ne s’en préoccupent pas le moins du monde.
Je reçois à nouveau l’ordre de sortir ma langue, alors que Sophie est toujours quasi assise sur moi. Cherchant à lécher, je sens que la fille progresse doucement vers l’avant et, après avoir pu m’insinuer un peu entre ses petites lèvres, ma langue ressort et se pose sur l’œillet. Un mouvement réflexe et je la rentre dans ma bouche. Une voix me précise fermement de bien lécher le cul. À peine plus tard, je sens une main se poser et caresser ma queue. Quel bonheur. De courte durée…
Angélique m’enlève le bandeau puis vient prendre la place de Sophie. D’emblée, elle pose mister cul sur mon nez, en appuyant un peu puis me fait le nettoyer à fond avec ma langue. Elle me dit de la faire rentrer dans mister anus, ce que j’essaie de faire tant bien que mal… Aucun commentaire, je continue. Sans voir grand-chose, je sens que ma bite est léchée, très légèrement, par la seconde fille.

Elle me gobe d’un coup en entier puis vient titiller la base du gland. Je ne résisterai pas longtemps à ce rythme… La chatte a remplacé le sphincter sur ma bouche et je m’en donne à cœur joie de lécher, sucer, aspirer ce que je peux. La fille se caresse le clito en même temps, et je sens couler dans ma bouche un goût qui s’acidifie petit à petit. Divin.
D’un coup, les deux brunes s’éloignent. Sophie cherche l’objet que j’ai ramené. Elle le place dans ma bouche, l’attache derrière ma tête. C’est un cale-dent percé et je ne peux plus ni serrer les dents ni même fermer ma bouche. Une fois en place, elle sourit et fait couler de sa salive dans le trou. Je déteste ça, mais il y aura pire. Je suis venu pour me salir et ça y est, c’est ce qui se passe. Angélique vient aussi cracher dans ma bouche. Elle y met un doigt, et m’étale du liquide buccal sur mon visage.
C’est mouillé, ça devient froid, ça chatouille, j’ai envie de m’essuyer, mais je ne peux pas. Les deux filles me crachent à présent dessus. Elles mettent leurs doigts dans leurs vagins pour me faire ensuite les lécher. Sophie, vient placer un de ses pieds sur la chatte d’Angélique, pour enduire les orteils de mouille. Elle m’ordonne ensuite de lui lécher le tout. Un supplice, un régal… je bande toujours, heureusement qu’elles ne me stimulent pas de ce côté-là…

Les filles commencent à s’embrasser au-dessus de mon visage, en veillant à faire couler leurs salives mêlées juste dans l’orifice. J’ai ai plein le nez, les oreilles.
Angélique s’agenouille au-dessus de ma tête et du bout d’un doigt, caresse ma queue de haut en bas, pendant que Sophie vient cracher sur mister petit trou et me dit de venir nettoyer avec ma langue. Ce n’est pas facile avec l’embout. Après un certain temps, elles inversent les rôles. Aux anges, j’ai perdu la notion du temps.
Elles se placent à présent face à face, leur visage à hauteur de mon sexe, qui a rarement été aussi gros et tendu. À deux, elles me lèchent sur la longueur en aspirant un peu le gland. Elles savent y faire, me gardant à distance de l’orgasme. D’ailleurs, Sophie remonte me cracher dans la bouche, me pince le nez et plaque sa main sur ma bouche. Plusieurs secondes. Je ne peux plus respirer. Chaque fois que je commence à me débattre, elle me laisse reprendre un peu d’air, puis recommence.
Cela dure un long moment et mon excitation retombe franchement. Pendant ce temps, Angélique a cherché un verre que les filles ont rempli en crachant et bavant dedans. Je les ai vues se stimuler en mettant un doigt en bouche pour qu’il y ait plus de salive. Je frismisterne rien qu’à penser à ce qu’elles vont en faire.
Ça y est, un entonnoir que je n’avais pas vu est placé dans ma bouche et je suis totalement impuissant, Angélique ayant calé ma tête entre ses cuisses. Lentement, elle verse le contenu mousseux du verre ; le liquide coule dans ma bouche, sur ma langue et je le sens descendre dans mon arrière gorge. J’aimerais le recracher, mais je ne peux pas bouger. La fille prend mister temps, en veillant à ce que j’avale le tout. Dégueulasse. Je crois que je ne bande plus.
Pendant ce temps, Sophie s’est installée sur le dos et commence à me masturber avec les pieds… ça j’aime. Ma bite reprend vite une taille de circonstance et ce mistert bientôt quatre pieds qui stimulent mon plaisir. Angélique revient se faire lécher par ma langue, je pense qu’elle aime ça. Je m’applique et cette fois, je sens de la cyprine couler en moi. Elle aime vraiment ça. Moi aussi et l’idée de l’amener peut-être à l’orgasme est loin de me déranger.
Elle commence à gémir de plus en plus fort puis s’arrête. Mission accomplie ? Je ne le saurais jamais… Elle enlève ses bas mouillés à certains endroits pour me bander à nouveau les yeux. Il refait tout noir, elles ne me touchent plus, se taisent. D’un coup, je sens qu’on me touche la queue. Tout doucement d’abord puis de façon plus insistante. Je pense que mon moment est arrivé. Les deux filles me lèchent de plus en plus fort, j’aimerais les voir, j’aimerais voir leurs langues se toucher, s’embrasser peut-être.
Un doigt se pose sur mon anus, en le massant. Une des filles m’a prise en entier dans la bouche, me suçant divinement bien, en rythme, faisant cogner le gland contre sa gorge. Le bruit de succion est merveilleux. Elle accélère encore, en resserrant de plus en plus les lèvres autour de ma queue. Grâce à toutes ces stimulations, mon plaisir monte et je sens que le point de non-retour est atteint.
Je lâche un gémissement, déformé par le cale-dent toujours en place. Mes sphincters se crispent, je tente encore de lutter quelques secondes, de retarder l’arrivée de l’orgasme qui pousse, mais, dans un dernier cri, ça y est, je jouis, je jouis, je jouis, je n’en finis plus de jouir… Ma queue se contracte, le liquide monte en saccades et le jet de mon sperme emplit la bouche de la fille. J’ai l’impression d’éjaculer des litres de semence. Pas bon, ça…
La fille, consciencieusement, garde tout en bouche. Elle attend que les premiers jets se tarissent, puis la seconde fille prend sa place. Les mouvements de va-et-vient mistert à la limite du supportable, presque douloureux, mais il y a encore du sperme qui sort et pénètre dans la seconde bouche. Combien de temps ai-je joui ? Je ne sais plus. Mon corps est parcouru de frismisters, j’essaie de ne penser à rien d’autre qu’à ce plaisir. Je dois avoir la chair de poule de la tête aux pieds. Mon bassin se contracte sous les coups de langues appliqués à mon gland. Je crois que j’ai vraiment crié et là je gémis toujours… Quel pied ! Mais…
Je commence à me relâcher, quand une des filles s’agenouille à ma tête. Je n’entends plus rien, mes oreilles bouchées par les cuisses. Je ressens alors du chaud dans ma bouche. Lentement, la première fille fait couler mon sperme mélangé à sa salive dans ma bouche. Le goût dont j’ai horreur m’agresse immédiatement. Je voudrais cracher, je sors la langue pour boucher l’anneau, mais il est trop large et, d’un doigt enfoncé dans ma bouche, la fille me provoque un réflexe de déglutition et j’avale du liquide.
Elle se lève et, du lavabo, je l’entends faire couler de l’eau. Ma tête est à nouveau bloquée et j’entends qu’une des filles fait mousser du liquide dans sa bouche ; de suite après, du froid coule dans sur mes lèvres et il me faut avaler le breuvage. Beurk.
Ce que je n’avais pu voir c’est que, pendant ce temps, l’autre fille avait vidé mon sperme mélangé à sa salive dans un verre, qu’elle s’était aussi rincée la bouche et avait recraché le tout dans le verre, qui était donc quasi plein. Quand la première a achevé sa mission, elle détache les bas et j’ai pu voir Angélique à côté de moi, le verre en main, avec un sourire indéfinissable. Elle me demande : " Alors mon cochon, on a encore soif ? ". Je fais non de la tête. Erreur : à nouveau, les filles me bloquent ma respiration.
Angélique me repose la question, et je dois bien répondre "oui". Un regard entre les deux filles et Sophie présente ses orteils au-dessus de ma bouche, que je ne peux toujours pas fermer. Et Angélique de faire couler tout doucement, entre les doigts de pieds de sa copine le liquide biologique malodorant. Tranquillement, délicatement, pour que j’en profite jusqu’à la dernière goutte ; je dois bien sûr nettoyer le plus possible le pied…
Le verre vide, elle s’aperçoit qu’une goutte a perlé au bout de ma verge, qui se ramollit un peu. Elle la dépose sur la pointe de mister index puis vient m’obliger à lui nettoyer celui-ci avec ma langue. Mon excitation étant retombée, ça ne m’amuse plus, mais je ne suis pas en position de m’y opposer. Avant de détacher le cale-dent, elles crachent encore une fois, à tour de rôle dans ma bouche et attendent que j’ai bien avalé le tout. À la limite du haut-le-cœur, le cale-dent est enlevé.
Je suis toujours attaché. Mon cou colle, j’ai un peu froid, mon visage est tout mouillé, et les narines mistert pleines de l’odeur du sperme et de la salive des filles… Quelle heure est-il ? Depuis combien de temps suis-je ici ? Je ne m’en fais pas, elles ne vont pas faire des heures sup. À l’œil ! Angélique annonce à ce moment qu’il y a encore du crédit… Oups, bien ou pas ?
J’ai à peine le temps de me poser la question, qu’elle se remet à califourchon sur mon visage et, ne pouvant résister au paysage de ses lèvres, de l’entrée de sa grotte secrète et du petit bouton qui dépasse à peine de se mister capuchon, je me remets à la brouter. Ça plus quelques mouvements agiles d’une main experte et mon sexe reprend de la vigueur.

À ma surprise, Sophie lui enfile un préservatif et s’accroupit, le faisant pénétrer en elle. Elle se déchaîne. J’ai toujours adoré cette position, qui permet de voir le visage de la partenaire et ses seins qui ondulent au rythme de la chevauchée. Sauf que là, je n’ai que le cul de Angélique en visuel, mais qu’importe, je sais que cette fois-ci je pourrai tenir jusqu’à qu’elles jouissent, si c’est leur volonté…
Je suis frustré de ne pouvoir mettre les doigts ni dans la chatte que je lape ni sur les seins de celle qui me pistonne. Après… un certain temps, voilà que grâce à mes jeux de langues, la première commence à gémir de plus en plus, m’invitant à poursuivre mes mouvements. Elle semble apprécier, et, à la façon dont elle m’a vulgarement serré la tête de ses jambes, j’ai su qu’elle avait aussi au droit à un orgasme.
Confirmé d’ailleurs par la quantité de cyprine sécrétée, que j’avale au fur et à mesure qu’elle s’écoule dans ma gorge… Plus bas, un petit feulement m’informe que Sophie est aussi en train de partir. Là, je ne peux que la laisser faire, puisqu’elle se sert de ma queue comme d’un objet, réglant ses mouvements selon mister désir.
Après avoir atteint une vitesse de pilonnage très rapide, elle cesse progressivement ses mouvements jusqu’à s’arrêter. Dommage, je recommençais à remonter moi aussi. Elles s’en mistert rendu compte, et m’enlevant le préservatif, elles me masturbent en lubrifiant avec leur salive, jusqu’à ce que je revienne une seconde fois et que je crache ma semence sur leurs mains…
Je suis comblé, vidé, sali, honteux, confus, mais j’ai eu ce que je voulais. Toilette, rhabillage et salutations… je vais avoir du mal à ne pas revenir un jour… Merci les filles !
chrislebo

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#5
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Une Chaude Prof Asservie


Madame Lucy Harper, du haut de ses 43 ans était fière de ses formes académiques.

Faire classe était sa vocation!

La semaine précédente elle avait pris un de ses élèves à tricher lors d'un test sous les sifflements admiratifs de ses condisciples lorsqu'elle tourna le dos.

Elle avait l'habitude de ces sifflets d'admirateurs mâles lorsqu'elle se dé-hanchait devant eux en rentrant chez elle.

Il n'y avait pas de miracle, mister 95 c faisait tourner bien des têtes d'autant plus qu'elle portait souvent des sweaters très moulants qui mettaient ses miches en valeur et des jupes courtes.

Cependant les sifflements admiratifs de ces élèves forts impertinents étaient inacceptables.

Elle espérait que le jeune John, du haut de ses 18 ans tirerait une bonne leçon de cet incident.

Lucy appréciait sa vie rangée avec un mari qui réussissait dans mister tra-vail et mister adolescent de fils.

Ils formaient une famille unie, respectable.

Le seul nuage était les penchants de mister fils pour le jeu.

Quelques semaines après avoir surpris et sanctionnait John, elle découvrit que mister fils Brian devait beaucoup d'argent à un gang de la ville connu pour sa violence.

Il avait perdu au jeu et le gang menaçait de le tuer s'il ne payait pas rapi-dement ses dettes.

Il s'agissait d'une très grosse somme, et elle se demandait encore com-ment il était tombé dans les griffes de ce gang.

Elle accepta de rencontrer deux membres du gang dans un café pour négocier un arrangement.

Mais à l'insu de Lucy, John était membre de ce gang et, en fait c'était lui qui avait entraîné Brian à jouer et perdre de fortes sommes. C'était une façon de préparer sa revanche sur sa vieille pute de prof!

- Tiens, tiens, tiens, comme on se retrouve madame Harper... Rica-na-t-il au grand embarras de Lucy qui lui faisait face vête de longue veste brune, de sa jupe aux chevilles, et d'un chemisier blanc.

Il lui offrit alors :

- Pour vous montrer que je n'ai pas de rancune je vous offre un café!

Prenant sa tasse il feignit de lui mettre de la crème et du sucre alors qu'en fait, il versait une puissante drogue induisant une dépendance im-médiate qui venait de tomber en possession du gang.

Lucy sirota plusieurs rasades de mister café pour se relaxer puis intervint :

- Brian vous doit 20.000 $... Il ne peut pas payer une telle somme! Je ne le peux pas non plus! Peut-on trouver une solution?

- Mais oui ma chère madame Harper nous pourrons peut-être négocier un arrangement, mais pourquoi ne termineriez-vous pas votre tasse de café... Nous pourrons alors faire une promenade dans le parc, nous pourrons discuter de notre problème en dehors de toutes oreilles indiscrètes! En fait, John attendait que la drogue agisse.

Lucy avala nerveusement le fond de sa tasse. Elle n'aimait pas l'idée d'aller n'importe où avec ces voyous, mais elle avait besoin d'aider Brian à s'en sortir... En entrant dans le parc, Lucy se sentait étrange, confuse, excitée... Pourquoi?

Elle ne comprenait pas... Elle sentait ses jambes faiblir, la tête lui tour-nait.

Ouvrant ses yeux, Lucy se retrouva dans une sale petite pièce mal en-tretenue, une douzaine de jeunes hooligans l'entouraient. Ce devait être le repaire du gang.

Comment avait-elle donc pu atterrir dans cet endroit?

Elle était à genoux, ses poignets menottés à une chaîne qui pendait du plafond.

Sa veste jonchait le sol.

- Oh mon Dieu que lui arrivait-il?

Elle releva la tête et cracha misérablement :

- Que me voulez-vous? Je vous en prie laissez moi partir... Je me débrouillerai pour trouver l'argent! Je vous en prie...

Elle se débattait pour se relever.

Une gifle vicieuse lui incendia la joue.

John lui sourit

- Tout d'abord on va s'amuser avec toi! Puis nous trouverons un argent pour te permettre de GNGNER l'argent que tu nous dois... Rappelle toi bien : l'intérêt est de 20 % par semaine aussi as-tu vraiment beaucoup de fric à GAGNER pour nous rembourser.

Lucy bafouilla :

- Gagné? Comment? Que voulez-vous? Laissez-moi partir!

Ses jambes ne la soutenaient plus, la tête lui tournait, étrangement tout cela lui arrivait depuis leur arrivée au parc...

- J'espère que tu as apprécié ton café... J'y avais versé quelque chose de spécial... Ricanait maintenant John.

Cet aveu éclaira Lucy :

- VOUS M'AVEZ DROGUE? Laissez moi partir... Je vous en prie... Le suppliait misérablement Lucy alors que sa poitrine la brûlait et ses tétons raidissaient. Son visage lui semblait écarlate...

Son entrecuisse était trempé de cyprine.

Qu'y avait-il dans mister café?

Le plus grand, à l'air de brute, 20 / 25 ans se posta face à elle, souriant d'une oreille à l'autre.

Il lui caressa la joue. Sa main glissa sur mister chemisier, et la lui arracha violemment exposant sa fière poitrine enveloppée dans un joli soutien-gorge de dentelle, celui-la même qu'elle avait acheté pour allumer mister tendre mari.

Ses nichons durcirent pointant au travers du fin tissu.

- Matez-moi les nichons de cette vieille prof! Magnifiques non? Elle est chaude comme l'enfer... On va voir ce qu'elle cache encore la dessous! Poursuivit, la grosse brute alors que les spectateurs éclataient de rire. Ils la mataient tous avec concupiscence.

Accrochée à sa chaîne elle ne pouvait se défendre. Ses miches la brûlaient. Elle avait une sensation de chaleur entre les cuisses.

Oh mon Dieu! Quelle sorte de drogue cela pouvait-il bien être?

La même brute dégrafa sa très élégante jupe marron, elle chut au sol, les rires redoublèrent.

- Hey les gars! La petite culotte de la maîtresse d'école est trempée! Voyons ça de plus près...

La brute épaisse lui arracha alors sa petite culotte exhibant aux yeux de tous mister buismister fourni protégeant sa féminité. Elle haleta alors qu'un doigt fureteur forçait l'entrée de sa caverne et s'agita dans sa grotte em-brasée.

Extirpant mister doigt de sa chatte engorgée de cyprine il la montra à tous.

- Regardez les gars... Elle est trempée... Vieille mais drôlement chaude la prof! Allez prof, il est temps de gagner de quoi payer les intérêts de cette semaine... On va s'amuser avec toi!

Les rires redoublèrent à ces mots.

Les hooligans se levèrent d'un même mouvement et se mirent à poils agitant railleusement leurs bites érigées.

John laissa tomber la chaîne et l'altière et fière Lucy s'écroula au sol.

Puis les voyous dénudés s'approchèrent d'elles, lui arrachèrent mister soutien-gorge, pinçant, étirant, triturant ses mamelons.

D'autres plongeaient profondément leurs doigts dans sa chagatte la malmenant sans vergogne. Etonnement sa cramouille était très lubrifiée. Des bites la frôlaient de toutes parts. Et ils continuaient imperturbable-ment à la peloter, la caresser, la rudoyer.

- Je vous en prie arrêtez... Pas ça... Arrêtez... Arrêtez... S'il vous plait... Non, pas ça... Je vous en prie... Je vous en prie, n'arrêtez pas... N'arrêtez pas... Nonnnnnn...

Les lamentations désespérées de Lucy n'étaient ni écoutées, ni enten-dues.

Elle pouvait toujours se plaindre!

Un à un les membres du gang lui écartèrent les cuisses, plongèrent leurs épaisses bites dans sa moule et lui remplirent l'utérus de foutre.

Certains lui souriaient, un lui cracha à la figure, trois lui triturèrent vulgarement les miches, puis éjaculèrent sur mister visage et dans ses cheveux un flot épais de foutre qui coula ensuite sur ses joues.

Deux autres la retournèrent et l'enculèrent sauvagement alors que deux autres, tour à tour se vidaient les couilles dans mister arrière-gorge l'étouffant à moitié quand elle dut avaler leur semence onctueuse.

Incapable de les faire arrêter, Lucy sentait que la drogue ingurgitée amenait mister corps à se réjouir de ses abus.

Les grosses bites coulissaient à leur aise dans sa chagatte embrasée, elle se rendait compte que leurs grosses mentules risquaient de la me-ner tout droit à l'extase.

Lucy, cette femme si dévote frismisternait sous les vagues de plaisir qui couraient dans mister corps drogué.

Chaque fois qu'un des membres du gang plantait sa bite dans sa cra-mouille et le violait de nombreuses ondes de plaisir la remplissaient d'ex-tase.

Le dernier éjacula dans sa chevelure, rit à gorge déployée et se recula la regardant tremblante de honte et d'offense.

Puis ils lui tinrent bras et jambes tandis que John s'approchait un rasoir à la main.

Bientôt mister mont de Venus fut aussi glabre que le mont chauve.

Une autre brute s'approcha tenant en main un appareil garni d'aiguilles, qui vibrait.

Il traita longuement le mont de Venus rasé de Lucy et lorsque finalement il se recula pour mieux apprécier mister oeuvre il s'exclama :

- J''espère que tu aimeras ton tatouage... C'est l'emblème de notre gang... Tu porteras toujours notre blamister... Un oeil injecté de sang!

- C'était ton premier paiement... La drogue crée une forte dépendance... Tu en mourras si on arrête de t'en fournir... Tu devras faire d'autres remboursements trois fois par semaine, parfois plus si ça s'avère nécessaire!

De nombreux clients adorent les femmes mures dans ton style, si tu satisfais leurs appétits tu devrais pouvoir rembourser les intérêts hebdo-madaires et peut-être même une petite partie du principal... Ricana le chef du gang, puis il ajouta :

- Ramenez-moi cette pute dans le parc!

Elle se réveilla dans le parc, nues, le corps marqué de marques rouges.

Baisant les yeux elle vit le tatouage qui ornait maintenant mister bas ventre rasé de prêt.

Sa veste brune et sa jupe gisaient à courte distance, mais aucune trace de sa petite culotte, de mister soutien-gorge de dentelle et de mister chemi-sier.

Son cœur s'emballa au souvenir ce qui lui était arrivé.

Qu'allait-il se passer maintenant?

Allaient-ils de nouveau venir la menacer?

Pouvait-elle en parler à mister mari?

OH MON DIEU.... NON...

Réfléchissait-elle la bouche imprégnée de leurs flagrances masculines
chrislebo

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#6
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Fin


Cela faisait trois semaines maintenant et Madame Harper, la distinguée prof du lycée, était incessamment forcée de se plier aux ordres impi-toyables du gang.

Elle n'avait pas le choix, elle devait rembourser les 20.000 $ que mister fils avait perdu au jeu, et même plus, puisque chaque semaine la dette était majorée de 20 %.

La pauvre Lucy avait déjà perdu 5 kilogrammes sous l'effet de la peur, du stress et de l'offense.

Quatre fois par semaine elle devait recevoir ses clients dans une cham-bre d'un petit hôtel luxueux, que ce soit après ses cours, durant la pause de midi, ou après souper.

Elle ne savait jamais quand elle recevrait sa convocation téléphonique.

Ils ne tenaient aucun compte de ses sentiments et ses émotions.

Les clients, recrutés parmi les étrangers, des princes arabes, l'élite de la représentation française locale logée dans un luxueux hôtel géré par le gros Tony.

Ils abusaient de ses chambres des façons les plus dégradantes, parfois avec violence.

Pire encore, elle était maintenant totalement dépendante de cette puis-sante drogue qui amenait mister corps à tirer plaisir des pires dépravations.

Les manifestations de manque, lorsqu'elle se trouvait momentanément sans drogue étaient de plus en plus douloureuses.

Son mari refusait de lui parler depuis qu'il avait découvert qu'elle avait rasé mister pubis et fait tatouer un oeil injecté de sang sur sa chair dénu-dée.

Elle n'avait pas eu le choix, c'était le gang qui en avait décidé.

Elle était sure que Georges pensait qu'elle le trompait.

Le téléphone misterna. C'était John, l'étudiant qui avait entraîné mister fils dans le monde du jeu.

Il était responsable d'elle et il utilisait parfois ses services pour mister pro-pre plaisir.

Il était bien pire que tous les autres.

- Bonjour madame Harper... Comment allez-vous? Il était toujours très poli.

- Je vous en prie, pas aujourd'hui... Le supplia Lucy.

- Je pensais venir te voir pour te tenir compagnie... Ton fils Brian est à mister entraînement de football, et il est probable que tu te sen-tes toute seule... Par ailleurs nous devons discuter des modalités de remboursement, tu as un gros retard! Eclata de rire John.

- S'il te plait, non. Donne-moi juste ma dose... laisse-moi tranquille... J'ai fait tout ce que vous m'avez demandé... Je t'en prie... Lucy Harper était très angoissée.

- Ce que Brian doit... Tout doit être remboursé maintenant!

- Remboursé? Tu veux rire! Tu dois travailler bien plus dur pour y parvenir... Nous avons des frais... Ta dope coûte cher... Les commissions... Tu as beaucoup de retard... La dette est mainte-nant de 25.000 $... Je viens justement pour collecter un nouveau remboursement... J'arrive chérie... Sur ces mots il raccrocha le té-léphone.

Lucy se renfrogna, la dette avait augmenté?

Elle faillit s'évanouir

- John venait chez elle! Heureusement que Georges était en de-hors de la ville pour mister boulot...

John se pointa quelques minutes plus tard, visiblement il avait téléphoné de la cabine du coin de la route. Lucy portait un petit tailleur couleur pê-che qu'elle mettait souvent pour faire cours.

John portait un bandana rouge, un tee-shirt noir et un vieux jean. Il rica-nait en la toisant de la tête aux pieds.

- Prends ta dose chérie et montons à l'étage... Je n'ai pas encore vi-sité ta chambre à coucher...

John lui poussa une tasse de café, il y avait versé une dose de dope, puis il pointa mister doigt vers les escaliers.

La main de Lucy tremblait comme une feuille comme elle vidait sa tasse. Ses muscles faiblirent, alors qu'ils montaient à l'étage. Il lui pétrissait ru-dement les fesses. Ca sentait à nouveau le rut à plein nez.

Dans la chambre, John ricana en ouvrant les rideaux avant d'allumer la lumière.

- S'il te plait... Ferme les rideaux... Mes voisins peuvent voir ce qui se passe dans la chambre... Je t'en prie... Le suppliait Lucy comp-tant sur un reste de pitié.

- C'est très bien, on va les distraire! Rigola John avec dérision en la prenant par les épaules pour lui enlever sa veste.

Lucy, tremblante comme une feuille savait qu'il était inutile de se débat-tre. Par ailleurs la drogue commençait à agir efficacement, déjà ses mi-ches durcissaient.

Le visage ricanant de John, il la fixait droit dans les yeux alors que d'une main ferme, il lui maintenait le visage levé vers lui. Il lui caressa gentiment les joues de l'autre main, puis il l'embrassa longuement insérant sa langue dans sa bouche.

Il lui pétrissait maintenant les globes fessiers s'égarant dans sa fourche féminine alors que de l'autre main il baissait la fermeture éclair de sa jupe.

Il la repoussa soudain vers le lit tout en agrippant mister corsage rose qui se déchira de haut en bas. Les boutons sautèrent. Ses lourds nibards étaient maintenus dans un soutien-gorge de dentelle noire.

La peur l'envahit ainsi qu'une trouble sensation d'humidité entre les cuis-ses alors que les effets de la drogue entraînaient des réactions de mister corps qui la trahissait déjà.

Empoignant sa jupe, il la tira vers le bas, s'arrêta un instant pour contempler sa petite culotte de coton blanc, il inséra alors les doigts dans l'élastique de la ceinture et la descendit en même temps que la jupe.

Elle enjamba le tout tentant de serrer les cuisses pour dissimuler au mieux sa chatte rasée et tatouée.

Sa cramouille était inondée de cyprine, la drogue agissait pleinement maintenant.

Affichant mister mépris John rit entendant le bras pour lui arracher mister sou-tien-gorge, brisant l'attache dorsale.

Il la toisa des pieds à la tête allant des ses miches rougies, aux tétons bruns érigés, à ces bras tombant misérablement le long de mister corps, mister mont de Vénus chauve, ses longues jambes, mister excitation évi-dente...

- Lucy ma douce prof, déshabille moi fais-moi l'amour comme si j'étais le dernier homme sur la terre! Ricana John sarcastique-ment.

Comme elle tendait les bras pour lui obéir, le téléphone misterna.

- Réponds, mais n'arrête pas pour autant de me déshabiller. Répond quel que soit ton interlocuteur, pendant que tu me baiseras... Cela semblait l'exciter encore plus.

Lucy était horrifiée. Répondre au téléphone tandis qu'elle baisait avec John!

Elle décrocha l'appareil :

- Oui ...

- Hello chérie... C'est Georges... J'ai repensé à ces dernières se-maines... Je voudrais reprendre notre vie d'antan...

- Georges... Lucy se sentait mal. Elle avait tant espéré que Georges veuille relier avec elle, mais avec John dans la chambre! Oh mon Dieu!

La langue de John lui titillait le lobe de l'oreille tandis qu'il lui murmurait :

- Déshabille-moi vieille salope... Laisse-le entendre les bruits de no-tre baise!

Les mains tremblantes, elle continua à le déshabiller, faisant passer mister tee-shirt au-dessus de sa tête, descendant la fermeture éclair de mister vieux jean avant de le descendre sur ses chevilles.

La bite de John jaillit sous mister nez. Comme d'ordinaire il ne portait pas de sous-vêtement.

- Lucy... Tu es toujours là? Demanda brusquement Georges.

- Je... Je suis toujours là... Je t'aime Georges... lais je dois sortir... Au revoir...

John empoigna ses nichons et les tordit cruellement.

- Tu ne t'en tireras pas aussi facilement... Assure-toi qu'il reste au bout du fil salope... Sa grosse bite tressautante glissa le long de mister estomac remontant vers ses nibards.

- Je veux te parler, ma chérie... Qu'as-tu à faire de si urgent? Se plaignait George tristement.

- Je dois juste corriger quelques copies... Lucy regardait la grosse mentule de John progresser entre ses miches. Ses mains se refermèrent sur ses gros nibards et les serrèrent sur sa flamberge vibrante, elle avala sa salive.

- Tu me sembles bien nerveuse ma chérie... T'arrive-t-il quelque chose de mal? Quelque chose que tu voudrais me dire? L'inter-rogeait Georges intrigué par mister attitude.

- Georges... Mmphhhhhh... A l'instant ou Lucy commençait à lui par-ler, John venait soudainement de powerr ses lèvres récalcitrantes.

Il la baisait vulgarement en bouche, elle grommelait des misters inarticulés alors qu'elle essayait vainement de le repousser de la langue.

- Lucy! Qu'est ce que j'entends? Que se passe-t-il? S'inquiétait Georges.

Les misters inarticulés, accompagné des battements des grosses couilles de John frappant mister menton rémisternaient encore dans la pièce.

Juste comme il se sentait prêt à exploser dans sa bouche, John extirpa sa bite de sa bouche et descendit rapidement à la rencontre de sa cha-toune chauve trempée de cyprine.

Il traîna le téléphone sur mister ventre et entreprit promptement de lui buti-ner la fentine, des bruits de lapement et de sucions révélateurs de mister action s'élevèrent alors dans la chambre.

- Lucy, que se passe-t-il? Hurla Georges de plus en plus angoissé.

John cessa de lui brouter le gazon et perla dans le combiné du télé-phone d'une voix moqueuse :

- Hello Georges... Lucy est trempée de cyprine... Je l'aie d'abord baisée en bouche... Et maintenant je viens de lui bouffer la chatte... Je vais la baiser à couilles rabattues... Elle adore ça... D'ailleurs elle va te le dire!

Il tendit le téléphone à la blêmissante Lucy, lui susurrant :

- Dis-lui que tu aimes la façon que je te baise... Sinon tu n'auras ja-mais plus ta dose de drogue!

John reprit mister butinage... Au moment où il s'attaqua à mister clito, Lucy haletait au téléphone :

- Uuuhhh... Oooohhhhh... J'aime tant sa façon de me baiser!

- Elle n'entendit que le mister d'un téléphone qu'on raccroche violem-ment.

John cessa ses léchouillages, il continuait cependant à triturer mister clito dardé al faisant frismisterner alors qu'il pouffait :

- Wow... J'éspére que Georges apprécie ces instants autant que moi!

Il s'assit sur mister estomac, fourrant sa gosse bite entre ses grosses mi-ches qu'il empoigna fermement les pinçant cruellement, elle hurla de douleur.

Il adorait voir des grosses larmes ruisseler sur ses joues, sa manière de tordre sa bouche l'excitait au plus haut point.

Il malaxait le nibard gauche d'une main alors qu'il giflait fortement le droit, les faisant tous deux rougir sous la douleur.

Ses mamelons s'étaient érigés sous les doigts brutaux de John, il n'avait aucune envie d'arrêter en si bon chemin.

Il descendit jusqu'à retrouver sa douce chatoune chauve, elle était trem-pée de cyprine.

Il frotta tout d'abord ses burnes sur sa fentine embrasée puis il saisit sa bite bandée et fourra lentement sa chagatte sans défense la pénétrant jusqu'à la racine.

Le téléphone misterna à nouveau.

John l'empoigna, et, entendant la voix de Georges il le porta à l'oreille de Lucy alors qu'il commençait à coulisser vigoureusement dans sa cra-mouille.

Georges lui disait :

- Lucy, qu'est ce que c'est que ce bordel? Par l'enfer que se passe-t-il?

Elle ne parvint qu'à répondre :

- Uuuuhhh... Ooohhh... Aaaahhh... Aaahhh... Aaaahhhhh... Aaaaaaaahhhhhhh!

La longue flamberge de John martelait férocement sa tendre chatoune alors que la drogue la privait de toute résistance.

Lorsque John explosa enfin au fin fond de mister utérus, elle poussa un dernier cri d'extase et entendit à nouveau le claquement d'un téléphone qu'on raccroche vulgarement.

La misternette d'entrée retentit, John l'obligea à gagner la porte d'entrée entièrement nue, sa bite gluante en main, il ouvrit la porte en grand.

Brian eut juste le temps de dire :

- Maman, je suis rentré!

Et sa mâchoire se décrocha alors qu'il ouvrait des yeux comme des sou-coupes.

John ricana :

- Salut Brian... T'as raté une sacré séance de baise... Salut...

Georges rentra le soir même, il quitta immédiatement le domicile conju-gal en compagnie de mister fils Brian.
peakmb

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#7
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Chrislebo,
I know we are all part of the broad coalition now but I believe even the airstrikes over Libya are being coordinated in English. My French is just enough to realise that this may be a good story but not good enough to really understand it. Perhaps a deliberately induced frustration for the angophiles. If you do have a translation, I for one would appreciate it.
chrislebo

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#8
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Sorry for my Anglish


Use the translator is as its that me I make for reading lFrench to English
chrislebo

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For You peaklb


My Young Wife

01



After my second wife died, leaving me a fairly wealthy widower, at the ripe age of 69 I decided to look for a younger wife this time. I did not like being lonely, and I did not like the idea of outliving my wives, so I began looking for a younger, yet understanding, young lady who would be happy with an older “codger” like me. I still had my hair, although it was turning gray, and I had most of my original teeth and no dentures. I’d stayed in shape by walking a lot, eating right, and going to the gym three times a week. Besides, I just liked the looks of younger ladies more than women my own age.


Plus, I imagined that if I found the right young lady, one who had a man fixation, that she would putty in my hands and a nice sweet young thing to teach my sexual preferences to. At 69, my prostate was beginning to give me problems, and it took a little longer for me to “get it up” and I felt that the right young thing looking for a man substitute would be just the patient, understanding partner I needed. Right.


I met and dated several young women whom I met various ways – the internet, classified ads, etc., -- but none of them worked out, it was obvious they were just gold diggers or that they really weren’t interested in an older man like me.


But then I met Suzanne!! She was a waitress at my country club, and was one of the cutest little things I’d ever seen. She was always polite, deferential, well-spoken, intelligent, and made me feel special and I began asking for her table anytime I dined at the country club. She never openly flirted with me, but she made it clear that I was not just a nameless customer to her.


So despite our club’s policy on not fraternizing with the “hired help” I discreetly asked her out on a date. The first time I asked she just smiled at me with sincerity, took my hand, and said, “Oh, I’m sorry but I’m busy that night, but please DO ask me again.” So I asked again and this time she said YES.


Our first date was wonderful, and our relationship proceeded very quickly to tender nights in bed. She was a patient and thoughtful young woman, and seemed to enjoy our intimate time together. After a visit to my doctor, I found that the “blue pill” and the “orange pill” could give me rigid hard-ons for an evening and well into the next morning, but I had to make sure to time it right to catch Suzanne’s erotic moods. She would cook breakfast the next morning, and I would often cook dinners for us, unless I took her to some swank restaurant FAR out of town from where we lived. I seemed to win her over with my suave manner and worldliness, and she enjoyed the nice places I took her. I even took her for a weekend in Bermuda, which REALLY turned her head. We managed to keep our relationship secret from the country club, so it was a minor scandal when I announced our engagement to my friends and golf partners.


Every one of them (and the country club management too) tried in various ways to talk me out of it, but I was determined to find happiness through this young woman, even though she was one-quarter my age she was ideal for me, so I did not relent. She lost her waitress job, but it didn’t matter. We were married the following month in a civil ceremony and I assured her she would live a very comfortable life with me. I didn’t even think about a prenuptial agreement, she did not seem like the gold digger type. I maintained my membership in the country club and , I suppose because of my long-standing membership and relative wealth and that my golf partners still liked my company (and maybe even envied me for my cute new young wife), and I even paid for Suzanne to become a member of the place she formerly worked as a waitress. Many of the ladies seemed to shun her, but it didn’t seem to matter to Suzanne.


Our first year together was great, with the two of us being the talk of our community, showing up at local places and events and the country club together, and Suzanne telling anyone who would listen how we were trying to have a baby. I thought the latter was amusing…I really didn’t want a baby at my age, and besides, I was proving to be more and more impotent in bed…difficult to get and keep an erection. Viagra and Levritra helped, but it also made me woozy and sick and gave me a headache and made my face feel flushed and interfered with my relax, so after a few time using it, I discontinued it.


Suzanne told me she could be satisfied if I gave her oral sex and used a dildo on her, which I did frequently to keep her young body satisfied. I came to enjoy these sessions, me going down on her nubile snatch, wetting her completely with my tongue, and then plying her deep pussy with a long and thick dildo that we both picked out from an adult book store. It was dark brown in color, so we named it “George” as a joke…come to think of it, I think SHE named it George…as a joke, of course. She would thrust her pelvis and take the dildo deeply as I pushed it into her, saying, “Fuck me, George, oh fuck me!!” …and I found that oddly erotic, saying the name of some other man, even if he was imaginary.


At least one evening a week (and sometimes two) in that first year was spent with me, Suzanne, and “George.” Sometimes I was able to service her to completion, but just as often we had to use my tongue and George. But she seemed satisfied and never mentioned my age or inability to perform as a problem between us….she just held me and said, “It’s OK, I’m fine….really, darling.”


She also liked to dress in leather “slave” costumes, have me tie her in provocative positions – legs spread, mouth pinioned open with metal spreader, ass in the air, etc. – and have me take photos of her in submissive behaviors like sucking my near-limp cock, or me holding a whip, although I would never DREAM of scarring that beautiful skin of hers. She just said she liked the submissive role and wanted photos for her enjoyment.


It was one year and one week to the day that Suzanne sprung her surprise on me. I had just returned from my weekly golf outing with the boys at the country club, and their crude jokes about me and my young bride. Upon entering our bedroom I found Suzanne sitting up in bed, naked, alongside a naked man. Both had oddly smug looks on their faces, and I could tell from the messed up sheets and the smell in the air that they had been having sex.


Suzanne said, “Darling, I would like to introduce you to George…the REAL George.” The fact that they weren’t trying to hide their nakedness nor her infidelity was so shocking that all I could do was gape at them.


Suzanne said, “Sit down, darling, we have a lot to talk about. (I sat on a settee near the bed.) “First, it has been a little over a year since we were married, long enough in this state that our marriage is now considered legally consummated. And all the talk at the country club about us trying to have a baby will have everyone convinced that is the case, so you do not have any grounds for divorce on that issue.


“Second, Georgie here has been satisfying my sexual needs – and they are considerable, darling – for the entire time we’ve been married, even before that….we’re old friends.” And with that she turned and kissed George. I noticed George still had a raging hard-on under the sheets, which Suzanne stroked with her right hand.


“Third, I have many, many photographs of us in….let us say ‘tawdry’ scenes of vile bondage, which any court in the land would deem as cruelty and perverted behavior upon an innocent young woman as myself, heh heh heh.


“And fourth, I am quite tired – repulsed, actually – by your repeated attempts to mate with me, your fumbling, your limp little cock, your inability to keep it hard for any length of time, your leathery hands and age spots….dear, I’m just over your physical presence. The ONLY thing you provide that I enjoy is your oral attentions…you’ve become quite good at it, I will give you that.”


I attempted to answer her with, “But Suzanne, I…”


But she interrupted me, “Shhh, darling, QUIET!, you sit there quietly and listen for once. I am setting the rules now, now that all the pieces are in place and the timing is right. Here is what is going to happen. For you to avoid a nasty public divorce with charges of cruelty and a***ing your wife with your vile BDSM tastes, which the papers and your friends will just salivate over, and to avoid losing a great deal of your permisteral wealth in this COMMUNITY PROPERTY state, you will now follow the new house rules.


“Here are the New House Rules: George will move in here permanently, and to outward appearances he will be our butler or house servant or chauffeur…whatever, but only the three of us will know that he is actually my lover. You will start immediately putting $10,000 each month in my checking account to cover all my expenses…I know you can afford it darling, so don’t quibble with me, just do it. I may demand more on occasion, but for now $10,000 a month will do me nicely. I will be calling most of the shots around here, from what we have for dinner to where we go on vacation, the THREE of us. I’m thinking Mexico in a couple of months, adjoining rooms, me and George in one room and you in the next so we can call you over for your oral services.


“And finally, dear, at some point in the very near future, while we’re down to Mexico, the three of us, I’m going to take you to visit a clinic…I’m not a cruel Mistress, so I’m going to see to it that your pathetic sex drive is diminished to almost nothing…we’re going to have you castrated, dear, so you won’t miss fucking me as much.”


My eyes must have held terror at this point, because she came over and held my head in her hands….”There, there, sweetie, it’s for the best, really. You’ll still get to please me with your tongue…and George too, you’ll get used to having his cock in your mouth, OH YES YOU WILL (she said nodding), YES YOU WILL! Why don’t you start right now, dear, his cum is inside me right now, so get your head down between my legs and start eating me…make me cum the way you like to darling.” She guided my mouth toward her opening pussy…I could see her pubic hairs wet and matted with cum and her juices and my face drew nearer and nearer to the pungent smell of sex between her thighs.


I resisted and started pulling back, but her grip on my head was quite strong and insistent. And then she said, “Eat me right now, you useless prick, or I start moving today and begin divorce proceedings! Eat me!!” Knowing the shame that I would face if all the photos and her accusations became public, and also knowing that she would get half my rather sizable estate, I decided to salvage some of my remaining dignity and let her pull my face into her wet, gaping slit….


OH! …it tasted of raw bareback sex, her juices and George’s cum mixed in a cocktail that I had never tasted before…and as I got accustomed to the taste and smell, an odd thing began to happen…my limp little cock started stirring…not a hard-on like George had, of course, but enough that Suzanne noticed.


”Oh look, my boy has a little dicklet that’s beginning to show interest!” and she and George laughed. “You sort of like this, don’t you dear?” I shook my head “no” between her thighs, but she said, “Oh yes you do, you don’t fool me…you LIKE this. Well, get used to it, you’re going to be tasting a lot of this in the future. Consider it a source of protein.”


Suzanne finally orgasmed on my face and filled my mouth with more cum that she powerd out by muscle contractions, and it was dribbling down my chin.


”Don’t get that on the carpet, love, I just had them cleaned.” So I caught what was drooling out of my mouth in my hands and she handed me a towel to wipe them on.


I said, “Suzanne, please don’t castrate me, I will do as you say, just don’t do that to me.” I looked to George in appeal…he just smirked and laid back on the pillow that used to be mine.


Suzanne said, “Sorry, baby, but I’ve already decided….you’re going to be nutted and put out of my misery when we go to Mexico, just get used to the idea. And another idea you need to get used to…get over here and lick George’s cock clean.” She pulled down the sheet covering George to reveal his still-thick and engorged manhood…and “manhood” was the correct term in his case. It was 9 inches long at least and 6 or 7 inches around, and this was only at partial erection. I gasped to think what it must look like fully erect and plowing my wife’s pussy. No wonder Suzanne’s pussy was gaping so wide…he’d ruined it for me or any other man with that huge cock of his.


I hesitatingly crawled toward George’s crotch with Suzanne gently guiding me by the nape of my neck…she pushed downward, powering my mouth onto his cock, and saying, “Go on, sweetie, go on, clean it for me.”


I could see more juices and cum on his half-rigid cock and I almost wasn’t able to put my tongue to it, except for the gentle persuasion of my young wife. “Go on sweetie, lick it clean.” So I did….I licked George’s entire cock clean, tasting for the first time in my life another man’s cock on my tongue…it smelled of sweat, must, cum, and my wife’s pussy.


Then Suzanne and George smiled at each other…she said, “Oh, you’ve aroused him again, darling…why don’t you take it into your mouth now,” moving his cock into my mouth. I sucked him, slowly and hesitatingly at first, then as he started pumping my mouth I became more animated, sucking him in earnest with lots of encouragement from Suzanne, saying, “Oh yes, suck him, baby, suck that cock for me!”


George came in my mouth and I almost gagged on the stream of cum that shot to the back of my mouth, but Suzanne quickly placed a towel under my chin and told me, “Spit it into this towel, sweetie….you’re not ready to start swallowing….YET!” I wanted desperately to please this young woman, even though in the past 15 minutes she had begun emasculating me symbolically and planned to really emasculate me literally in the near future.


Suzanne then led me to the bathroom where she allowed me to clean out my mouth and was my face…she then led me to our guest bedroom down the hall and where I saw a chain was now attached to the foot of the bed, bolted into the floor and with a manacle at the end of the 4-foot length of chain. She told me to get in the bed, and then snapped the single steel manacle around my ankle and locked it with a very sturdy-looking padlock. She took the key and put it around her neck and told me to get some rest. She pointed to an antique chamber pot that we’d bought in an antique store just the previous month as a decorative item.


She told me, “Use that if nature calls…we’ll check in on you again in the morning. I’m going back to be with Georgie….you be quiet and try to get some relax, dear, I think we’re both going to need your services in the next day or so. Good night, sweetie.”


I slept fitfully that night, worrying about my new station in life, and about the future Suzanne had planned for me and my future emasculation. But I also thought about what a fool I’d been, so trusting and blind. I hadn’t seen this coming and I was mad at myself. I also slept fitfully because even though the master bedroom was at the other end of the hall, I could hear Suzanne (MY WIFE for god’s sake!!) fucking George through the night. I expected that she would have me perform more cleaning duties for her once the morning came.


The morning finally did come, and I was awakened from a light relax by George knocking on the door and walking in. . He was naked, and he held the key that Suzanne had put around her neck; he unlocked my ankle manacle he said, “C’mon boy, you’re wanted in the bedroom, chop chop!”


I resented his bossy manner, this young upstart, but I had no choice but to comply with Suzanne’s orders. I followed George down the hallway to my former bedroom. I could not help but notice what Suzanne had seen in him…muscular, very fit, hard all over, and even soft his cock was bigger than mine when it was hard, which had been rare lately.


Entering the bedroom, Suzanne said from the bed, “Oh good, you’re here…just in time to clean the mess George made last night.” She pulled down the sheets and swung her legs over the side of the bed and spread them wide.” Without needing to be told what to do, I got on my knees and resumed the job I’d performed the previous night, licking her pussy and sucking George’s cum from her. She ordered me to suck her clit and enjoyed a nice orgasm, the muscle contractions of which expelled more cum from deep inside her vagina…it was all squeezed out and into my probing mouth.


About the time I was finished I heard our front doorbell ring and Suzanne said to George, “Oh, she’s here and she’s early!” Suzanne ordered me to the bathroom, where I washed my face and rinsed the taste of cum from my mouth. When I was finished, Suzanne ordered me into the bathtub and I complied, wondering who had arrived (I thought maybe it was some new wrinkle to Suzanne’s and George’s sex life), and also wondering why I was being ordered into the tub.


As George put on a terrycloth robe and went to answer the door, Suzanne started making odd preparations for me. Liking antiques, I had installed an old-fashioned turn of the century porcelain tub with Queen Anne claw feet, which made the tub stand off the floor about 3 inches. Suzanne pulled silk ropes from the bathroom closet, the same ropes we had used previously in our bondage play and videotaping, that had wrist and hand cuffs at one end. She placed the cuffs around my wrists and ankles and then drew them taut and tied the ends to the various claws of the tub. I was stretched out in the tub with my legs and arms at uncomfortable angles and I was completely immobilized…my weight was on the bottom of the tub, but I did not have enough leverage to rise up or move anything but my head.


George came in just as Suzanne finished trussing me up, and he was escorting a rather attractive (in a rough sort of way) woman who was dressed work clothes, muddy boots, and carrying a large black doctor’s satchel. Suddenly a cold thought came to me, and Suzanne confirmed my fears by saying, “Lovie, this is a veterinarian I know from down South a bit, you’ll understand if I don’t give her name, but you won’t be addressing her anyway…keep your mouth shut and I promise you a painless castration…start talking or yelling, and she will do you without any regard for your comfort or safety, understood?”


I said, “But you told me it would happen in Mexico in a few months!”


Suzanne said, “I warned you to be quiet…one more sound from you and you get your balls merely chopped off without pain*******er or anesthetic!” As if to emphasize Suzanne’s threat, the lady vet lifted a meat cleaver from her satchel and asked, “Is that what you really want, misterny? I can make this real fast if you keep up the chatter and disobedience.”


My eyes were wide with fright and I merely shook my head “no.”


”Good,” said the vet, “you just keep quiet and I’ll take good care of you…you’ll hardly feel a thing. I’ve done this before, misterny, to horses AND men, so you’re in good hands with me.”


While she made her preparations, Suzanne explained to me, “Yes I told you it would happen in Mexico in a few months, but that was just to get you used to the idea, hon. I had already hired Dr. “X” here and she had told me to not tell you the exact date so you wouldn’t have too much anxiety about it. It’s better this way, trust me.”

chrislebo

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#10
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4 Soeurs Piégées


01


Jeannette et ses trois sœurs préparaient leur virée à Atlantic-City depuis de longs mois.

Elles avaient épargné la moindre pièce pour s'assurer qu'elles pourraient s'offrir une nuit entre filles lorsqu'elles se trouveraient à Atlantic-City.

Comme elles seraient entre elles, sans leurs hommes, ils ne pourraient pas se montrer jaloux et elles pourraient allumer et provoquer les mâles autant qu'elles le voudraient.

Les trois autres étaient d'accord et elles pénétrèrent dans un hôtel pour retenir leurs chambres, Jeannette sentait les yeux des mâles assis dans le hall évaluer sans vergogne leurs charmes.

Agée de 38 ans, Jeannette était la plus vieille des 4. Elle entretenait mister corps et avait choisi de porter un fin chemisier qui moulait sa poitrine.

Comme elle ne portait pas de soutien gorge, on devinait facilement le contour des deux collines jumelles et de leurs aréoles plus sombres au travers du fin tissu rouge.

Jennifer avait 35 ans et n'était pas plus conservatrice que sa sœur. Elle portait une jupe en cuir très courte qui lui couvrait tout juste les fesses.

Les bas noirs qu'elle portait galbait les longues jambes de Jennifer. Jennifer avait choisi un chemisier en soie blanche, elle avait une opulente poitrine qu'elle maintenait dans un soutien-gorge 90 bonnets D, elle était un peu rondelette.

Lisa n'avait que 30 ans et la même taille que Jeannette mais mister tour de poitrine n'était qu'un 90 B, elle était assez timide et s'habillait de façon plus conventionnelle.

Emme portait une jupe noire à hauteur de genoux et un chandail blanc.

Elles taquinaient souvent leur dernière sœur, Lisa la surnommant "la femme du prêcheur", mais elle avait promis de porter une tenue sexy pour cette nuit entre filles.

Ma plus jeune et la plus aventureuse s'appelait Heather, à 28 ans elle était la plus grande des 4 et n'avait aucune inhibition.

Elle portait elle aussi une jupe de cuir, mais rouge et ne portait pas de bas.

Heather montra à ses sœurs la ficelle de mister thong qui lui entrait dans la raie du cul, et elle n'hésitait pas à ouvrir en grand les cuisses pour que les hommes puisent distinguer clairement le "V" rouge qui couvrait ad minima mister entrecuisse.

Elle portait un corsage boutonné dont elle laissait les 4 premiers boutons ouverts pour exhiber ses nibards du 90 B.

Ses nichons étaient très bien galbés et semblaient plus opulents qu'ils ne l'étaient en réalité.

Son corsage déboutonné ne couvrait que partiellement ses miches.

Les 4 sœurs retinrent leurs chambres et prirent l'ascenseur pour gagner leurs chambres communicantes, toutes excitées à l'idée de sentir les regards des hommes qu'elles croiseraient lors de leur "nuit entre filles" s'appesantir sur leurs charmes.

Elle se taquinaient les unes les autres, traitant Heather de petite pute tandis qu'Heather traitait Jeannette de "femme mariée incapable de savoir quoi faire avec un véritable mâle".

Elles arrivèrent enfin à leurs suites, s'accordèrent le temps de se rafraîchir rappelant à Lisa sa promesse, elle devait se retrouver une heure plus tard pour se rendre dans un club.

Heather entra dans la chambre de Lisa et siffla en la voyant émerger de la salle de bain portant une jupe bleue marine qui moulait étroitement ses fesses.

Heather ne parvenait pas à croire que Lisa porte un corsage transparent sans soutien-gorge. Son corsage était du même ton bleu clair que sa jupe mais ses miches étaient clairement visibles au travers du tissu arachnéen.

Pas si prude que ça... Commenta Lisa alors qu'elles se rendaient dans la chambre voisine à la rencontre des deux autres sœurs.

Jeannette et Jennifer étaient impressionnées, Leurs deux cadettes exhibaient leurs charmes de façon fort provocante, elles avaient trouvé le moyen d'accentuer leurs atouts.

Jeannette et Jennifer faisaient beaucoup moins que leur âge, la beauté de leurs miches les rajeunissait fortement.

Les 4 sœurs riaient en chœur en pénétrant dans le bar, leurs tenues sexy provoquaient les réactions attendues : les yeux de tous les mâles présents s'étaient braqués sur eux.

Elles n'avaient pas à payer leurs consommations et s'amusaient considérablement à allumer leurs admirateurs.

Elles cherchaient à toujours garder l'œil les unes sur les autres, mais avec la troupe d'hommes qui les encerclait, c'était assez difficile.

Tout en repoussant les mains de mister partenaire de ses fesses, Jeannette surveillait ses 3 sœurs.

Jennifer se débattait pour les mêmes raimisters entre les mains de mister danseur, alors que Lisa et Heather étaient assise dans l'ombre avec leurs partenaires.

Jeannette voyait que le partenaire de Lisa tentait de lui palper les nibards alors que celui d'Heather cherchait à glisser une main sous sa jupe.

Ces attentions étaient extrêmement flatteuses pour une femme mariée ayant une vie professionnelle affirmée, et durant une pause elles repoussèrent leurs prétendants et se réunirent autour d'une table.

Réjouies, elles se contaient les unes aux autres leurs aventures lorsqu'un séduisant noir s'approcha d'elles une camera en mai.

Il leur proposa de les prendre en photos pour 5 dollars la série, dont une de leur petit groupe.

Il précisa qu'il s'appelait Devon et qu'il travaillait dans leur hôtel.

Les sœurs pensaient que cela ferait de bons souvenirs et elles le payèrent pour une série de photo. Il les avisa qu'il serait de retour d'ici une petite demi-heure avec leurs photos, il les abandonna sur ces mots.

Lors de la pause suivante Devon revint les rejoindre, leur donna meurs photos, et demanda s'il pouvait leur faire plaisir.

Elles déclinèrent mister offre et avant qu'il ait le temps de leur répondre, elles acceptèrent l'invitation à danser de quatre hommes.

Devon les suivit du regard alors qu'elles gagnaient la piste de danse et versa alors une poudre blanche dans leurs consommations.

-- C'est vraiment trop facile, ces petites putes provinciales mistert tellement stupides! Pensait Devon au fond de lui-même.

Les 4 sœurs dansèrent et allumèrent leurs partenaires jusqu'environ 2 heures du matin.

Heather leur révéla qu'elle avait donné mister string à l'un de ses danseurs et le leur prouva en se troussant jusqu'à la taille exhibant sa chatoune fraîchement rasée.

Elles étaient toutes 4 bien éméchées et Lisa concéda que mister partenaire lui avait sucé les tétons au coin du bar.

Jennifer s'était montrée bien plus prude en autorisant seulement mister danseur à lui palper les nichons au travers de mister corsage.

Elles furent toutes trois ébahies lorsque Jeannette leur révéla qu'un de ses partenaires avait glissé ses doigts dans sa petite culotte et qu'il lui avait titillé habilement le clito ce qui lui avait déclenché un succulent orgasme.

Bien que mariées les deux aînées avaient décidé que tant qu'elle ne ferait l'amour avec permisterne elles pouvaient jouir de tous les autres plaisirs que leurs partenaires pourraient leur dispenser.

Elles étaient toutes 4 éreintées et quittèrent le bar vers 2 heures 30 pour regagner leurs suites.

Elles étaient toutes 4 sous l'emprise de la drogue que Devon leur avait fait prendre à leur insu, cette dernière commençait à agir franchement.

Elles étaient inconscientes d'être suivie par quelqu'un qui demeurait dans l'ombre.

Devon les avait observées toute la nuit, s'assurant qu'elles vidaient bien leurs verres trafiqués.

Il les suivit carrément jusqu'à leurs chambres.

Devon savait que mister plaisir allait seulement débuter le lendemain matin alors qu'il inscrivait le numéro de leurs chambres avant de rejoindre mister appartement.

Une fois rentré chez lui il sortit le film de mister appareil photo les développa et tira des clichés, puis il commença à préparer des montages, collant le visage des 4 sœurs sur les corps de femmes entièrement nues engagées dans différents actes sexuels.

Son acolyte, le barman, l'aidait préparer ces fakes que les 4 jeunes femmes ne pourraient pas repousser de prime abord.

-Ces petites putes provinciales mistert tellement stupides! S'amusait-il en terminant le faux concernant Jeannette.

On la voyait agenouillée, nue taillant une somptueuse pipe à un noir tandis qu'un autre l'enfilait par derrière.

-Si stupides! Répéta-t-il.

Il scrutait attentivement les photos des suites qu'avaient retenues les jeunes femmes et était ravi de constater que les faux s'avéraient criants de vérité.

Devon termina sa tâche et imprima les photos des 4 sœurs avant d'admirer mister oeuvre.

-Si stupides, que c'en était si facile! Pensait-il en mister fort intérieur.

Jeannette entendit vaguement quelqu'un frapper à sa porte, cela la réveilla à peine.

Elle était en plein brouillard et cherchait à retrouver ses marques.

Jennifer gisait entièrement nue, au-dessus des couvertures dans le lit voisin, ce lui remit les pieds sur terre.

Elle jeta alors un oeil sur mister cadran de montre tout en remontant le couvre lit sur Jennifer et en enfilant une robe de chambre pour aller répondre à la porte.

Il était presque 21 heures.

-Nous avons dormi tout ce temps! S'esclaffa-t-elle

-Que c'est-il donc bien passé la nuit dernière?

Elle ouvrit la porte et se retrouva en présence d'un colosse noir qui se tenait dans l'entrebâillement, il lui sembla relativement familier, mais elle n'était sure de rien.

-Puis-je vous aider? L'interrogea Jeannette, c'est alors qu'elle vit qu'il était suivi d'un autre homme.

-Toi et tes putes de sœurs vous allez vous habiller, il est temps d'aller travailler! Devon mettait en oeuvre mister plan, il attendait sa réaction une photo prête dans sa poche.

-Pardon! S'exclama Jeannette prête à reclaquer la porte sur les deux intrus qui venaient l'insulter dans sa chambre.

C'est alors que le noir sortit une photo d'une femme nue de sa poche et lui colla sous les yeux.

Jeannette écarquilla ses yeux : il s'agissait d'Heather, elle était visiblement en train de se faire baiser.

-Allez prend-là... Vous étiez tous les 4 drôlement chaudes la nuit dernière! Poursuivit Devon menaçant.

Jeannette prit la photo en main et hébétée, l'observa attentivement.

Heather était nue à moitié emmanchée sur la grosse bite d'un colosse noir, qui tenait ses nichons à pleines mains.

Elle paraissait se trouver dans la chambre qu'elle partageait avec Lisa à en juger par l'arrière plan.

-Que voulez-vous? Le questionna-t-elle incapable de détourner les yeux de la photo.

Devon savait maintenant que mister plan marchait

-j'en ai bien d'autres... Laisse-nous rentrer, toi et tes sœurs vous êtes dans une drôle de galère!

Machinalement Jeannette enleva la chaîne de la porte et les laissa entrer tous deux, Jennifer dormait toujours, elle resserra sa robe de chambre autour de sa taille.

-Où mistert tes deux sœurs? L'interrogea Devon

-Qui êtes-vous? Lâcha enfin Jeannette extrêmement inquiète.

Devon expliqua qu'il vendait les charmes de certaines filles à ses clients, puis il lui présenta Jimmy.

-C'est le barman du bar où vous êtes allées, il veut discuter de la facture que vous avez laissé la nuit dernière... Lui expliqua Devon.

Jeannette fixait toujours avec horreur la photo qu'elle avait en main, malgré tous ses efforts elle ne parvenait pas à se rappeler ce qui s'était passé la nuit dernière.

Devon lui tendit 3 autres photos.

Jeannette avala sa salive et porta la main à sa bouche en voyant Jennifer liée sur mister lit, sur le ventre, vigoureusement enculée par un noir.

La photo suivante mettait en scène Lisa, nue, agenouillée, elle avait une bite dans chaque main, visiblement ses deux partenaires venaient de gicler sur sa poitrine couverte de filets glaireux.

Jeannette s'assit et regarda une photo d'elle, elle aussi à genoux, une grosse bite noire enfouie dans sa foufoune, la bouche grande ouverte pour en accueillir un autre, ses nichons pendant sur mister torse. Elle se mit à sangloter hystériquement alors que Jennifer commençait à remuer. C'était au tour de Jimmy d'intervenir.

-Vous avez loué l'hôtel entier pour un peu plus de 6.000 $ la nuit dernière, ce qui incluait la fourniture d'hommes... Expliqua Jimmy à la malheureuse Jeannette qui pleurait toutes les larmes de mister corps.

Elle cherchait à se reprendre et à réfléchir à ce qui avait bien pu se passer.

Elle se rappelait vaguement qu'elles s'étaient touts 4 vêtues de façon fort provocante, qu'elles avaient dansé avec de nombreux partenaires, mais le reste restait opaque. Devon voyait mister énorme confusion se peindre sur mister visage, sans aucun doute la drogue ingérée avait bien opéré.

-Que voulez-vous? Balbutia Jeannette en faisant signe à Jennifer de la rejoindre sur le sofa.

Jennifer était entortillée dans le couvre lit lorsqu'elle lui demanda ce qui se passait en s'asseyant à coté d'elle.

Dès qu'elle vit les photos elle se mit à sangloter tout autant que sa sœur.

-Fermez la salopes... Leur intima Devon

-Allez me chercher vos deux sœurs, vous avez du boulot pour ce soir!

Et Jimmy ajouta :

-Ouais, il est temps de penser à régler votre facture!

Jeannette se dirigea lentement vers la porte communiquant avec la chambre adjacente et l'ouvrit.

Heather et Lisa étaient étendues en travers de leurs lits, Heather entièrement nue, et Lisa avec sa courte jupe tire-bouchonnée autour de sa taille.

Devon pénétra dans la chambre avec elle et ordonna aux deux filles de se lever.

Heather chercha à cacher ses charmes et Lisa repoussa sa jupe sur ses cuisses, mais Devon leur enjoignit de gagner rapidement l'autre chambre.

Heather cacha ses nibards d'une main et sa foufoune de l'autre, Lisa fit de même pour ses nichons. Et elles suivirent lentement Jeannette dans la chambre où Jennifer contemplait toujours ces maudites photos.

Heather et Lisa s'assirent toutes deux sur le lit et Jennifer leur tendit les photos.

-J'en ai plein d'autres si vous voulez les voir! S'esclaffa Devon hilare.

Heather le regardait furieuse alors que Lisa se mettait à pleurer avec ses deux autres sœurs.

-Pire encore! Commença Jeannette,

-Nous avons loué la totalité de l'hôtel pour un peu plus de 6.000 $ que nous ne possédons pas! Sur ce, Jeannette se remit à pleurer.

Devon lança une mallette sur le lit.

-Vous allez devoir gagner le fric pour nous payer mes salopes, mais tout d'abord, on va vous baiser, puis vous irez au turf!

Il ouvrit alors la mallette et en sortit des fringues féminines.

-Voilà les tenues que vous porterez, mais tout d'abord on vous essaye, qui est volontaire?

Heather éclata de rire en lui répondant que ses suggestions étaient ridicules, elle lui ordonna ensuite de quitter leur chambre.

Devon pensait que sa bravoure était feinte et il sortit d'autres photos de sa poche qu'il lança sur le lit.

-C'est d'accord, on s'en va... Mais ces photos seront envoyées à vos maris et patrons! Puis il ajouta

-Allez viens Jimmy, je suppose que ces salopes savent ce qu'elles font.

Sur ces mots, ils se dirigèrent de concert vers la porte.

-Attendez! Hurla Jeannette décomposée, et elle rassembla ses sœurs autour d'elle.

Elle argumenta qu'il ne s'agissait que d'une nuit et que celà effacerait tout, et que permisterne ne le saurait.

Heather s'obstinait à refuser, Jeannette lui tendit 2 photos d'elle. Elle baissa la tête et la hocha affirmativement, Lisa et Jennifer donnèrent aussi leur accord.

-C'est d'accord nous ferons ce que vous voudrez... Concéda Jeannette.

-C'est bon, mais pour l'instant je veux savoir qui se porte volontaire pour se faire baiser... Rétorqua Devon

-Et puis après tout je te veux toi! Et il pointa mister doigt sur Jeannette.

-Je prendrai la petite... Ajouta Jimmy désignant Heather

-En outre elle est déjà à poil!

Les mâchoires d'Heather et Lisa leur en tombèrent alors qu'Heather s'informait de l'endroit où il voulait la posséder.

Devon désigna du doigt le lit et lui intima d'enlever sa robe de chambre.

-Beaux tétons! Commenta Devon alors que la robe de chambre de Jeannette chutait au sol, elle s'empourpra sous les regards concupiscents des deux hommes.

-Et maintenant vous deux à genoux et penchez-vous sur le lit.

Jeannette et Heather s'agenouillèrent face à face de chaque coté du lit et se penchèrent en avant, leurs miches reposant sur les draps.

Jeannette tremblait de peur alors qu'Heather se mordait les lèvres d'appréhension.

-Quant à vous deux à poil et agenouillez-vous à leurs cotés, on ne veut pas les engrosser aussi giclera-t-on dans vos bouches!

Lisa commença à pleurnicher alors que sa jupe tombait au sol, Devon lui prit les bras et la disposa à genoux à coté de Jeannette.

Bien que choquée Jennifer imita Lisa et se posta à coté d'Heather sans dire un mot.

Jeannette regardait Jimmy baisser la fermeture éclair de sa braguette et sortit une mentule d'au moins 23 centimètres de long.

Heather quant à elle avala sa salive en voyant la taille de la bite de Devon qui pointait sur le cul nu de Jeannette.

Elle supposa qu'elle faisait 30 bons centimètres de long pour un diamètre de 8 centimètres. Heather ne parvenait pas à détourner les yeux de ce monstrueux épieux et de l'énorme gland disparaissant petit à petit dans la foufoune de Jeannette.

Jeannette gigota des hanches en cherchant à se relaxer, sa fente était sèche comme le désert de Gobi et Devon luttait pour introduire mister massif engin entre les lèvres de sa chatoune rétive.

Jeannette fermait étroitement les yeux, grognant et couinant alors que la massive tête de noeud disparaissait dans sa caverne distendue, Devon donnait de puissants coups de boutoir enfouissant sa bite dans les tréfonds de sa chagatte endolorie.

Ses burnes vinrent frapper contre les lèvres de sa cramouille alors qu'il commentait :

-Elle aura besoin d'être élargie!

Devon se mit à coulisser dans sa chatoune douloureuse, Jeannette ouvrit les yeux pour voir Heather baisée sans merci par Jimmy.

Mais à sa grande surprise Jeannette ne grognait pas, elle gémissait en se pourléchant les babines, yeux à demi-fermés, semblant se réjouir d'être abusée.

Ma salope est trempée de mouille... Commenta Jimmy pour Devon alors qu'ils continuaient tous deux à baiser les deux sœurs disposées face à face.

Jennifer avait les yeux rivés au sol, cherchant une façon de se tirer de cette galère tandis que Lisa continuait à sangloter à la vue de la monstrueuse bite de Devon coulissant dans la moule de sa sœur.

Lisa braqua ses yeux sur Heather juste à temps pour la voir mordre ses lèvres alors que des gémissements de jouissance trahissaient mister orgasme.

Jeannette le vit aussi et luttait pour comprendre comment sa sœur pouvait avoir du plaisir à se faire violer.

C'est alors que Jimmy extirpa sa bite de la chatoune d'Heather et empoigna la tête de Jennifer pour la lui fourrer couverte des secrétions intimes de sa sœur en pleine bouche s'enfouissant profondément dans mister arrière-gorge.

Avant même qu'elle puisse réagir elle sentit le premier jet de foutre lui tapisser l'arrière-gorge. Jennifer toussa, s'étrangla essayant de reculer la tête, mais en vain, Jimmy lui tenait fermement la tête contre mister pubis et coulissait lentement dans sa bouche le temps qu'il tarisse ses burnes.

Heather était restée agenouillée, les yeux fermés jouissant des dernières secousses de l'orgasme qui venait de la terrasser vulgarement.

Alors que JImmy essuyait sa bite dans la chevelure de Jennifer il tapota la croupe d'Heather la félicitant d'être un si bon coup.

Jimmy ordonna alors aux deux sœurs de s'asseoir sur le lit, mais ne les autorisa pas à se rhabiller.
chrislebo

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#11
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Suite.....


Je ne parviens pas à comprendre que tu puisses de t'être fait baiser ainsi! Susurra Jennifer à l'oreille d'Heather tout en essuyant un filet de foutre s'écoulant de la commissure de ses lèvres. Heather se contenta de soupirer.

Devon labourait toujours Jeannette.

A chaque retrait il se cantonnait à l'orée de sa chatoune quelques secondes avant de s'engouffrer à nouveau au fin fond de sa chatoune asservie, s'enfonçant chaque fois jusqu'au col de mister utérus.

Jeannette grognait tentant d'ignorer les bruits de chair du ventre de Devon heurtant ses fesses.

Lisa rivait ses yeux au sol en entendant les plaintes de sa sœur.

-S'il vous plait pas ça... Suppliât Jeannette alors que Dave misterdait mister anus d'un majeur impatient, lui élargissant lentement le goulot... Je ne pourrai pas le supporte!

Il ignora ses lamentations et continua à lui travailler l'œillet anal cherchant à en élargir l'accès.

Jeannette commença à se tortiller lorsqu'elle sentit mister énorme bite se presser sur mister anus rétif.

-Je vous en prie pas là, aggggggghhhhhhhhhhh! Hurlait Jeannette alors que le monstrueux gland de Devon pesait sur mister ouverture anale.

Il lui semblait que mister trou du cul était en feu, Lisa se mit à sangloter de nouveau à la vue de sa sœur se faisant violenter vulgarement.

-Je vous en prie ne lui faites pas ça! Supplia-t-elle Devon alors que 3 nouveaux centimètres disparaissaient dans l'on anus distendu de Jeannette.

Son visage ruisselait de larmes tandis qu'elle cherchait à voir ce qui se passait dans mister dos, ne voyant que l'horrible sourire démoniaque de mister suborneur ravi.

Jeannette réalisa alors qu'elle ne devait en attendre aucune pitié, et elle rassembla ses powers alors que Devon parvenait à engouffrer la totalité de sa monstrueuse bite dans mister anus douloureux.

-Mon Dieu, vous me pourfendez le cul en deux, Retirez votre pénis... Enlevez la... S'époumonait Jeannette à travers ses sanglots.

Devon lui bloqua les hanches lui interdisant tout mouvement de fuite. Elle s'effondra en constatant qu'elle ne pouvait pas fuir cette horrible douleur, Devon entreprit de l'enculer lentement.

-Bordel, ce qu'elle est étroite! Elle m'écorche presque la bite! Confia Devon à Jimmy.

-Nous devrons lui élargir le goulot, je ne peux pas continuer ainsi!

Sur ces mots, Jeannette sentit l'énorme bite glisser hors de mister anus endolori avec un "plop" misterore, il replongea immédiatement mister énorme massue dans sa foufoune asservie.

A la grande surprise de Jeannette, sa chatte était maintenant convenablement lubrifiée et elle s'accommoda de sa grosse bite sans douleurs excessives.

Comme Devon se remettait à la baiser à couilles rabattues, Jeannette sentit un orgasme tout à fait inattendu monter dans ses reins.

Jeannette ne parvenait pas à croire que mister corps puisse la trahir.

Mais la taille de la bite de Devon venait masser mister clitoris avec une forte pression à chaque coup d'estoc.

Elle se mordait les lèvres pour tenter d'éviter d'afficher l'orgasme qu'elle sentait monter, mais cela ne marcha pas, un violent orgasme la terrassa, elle miaula longuement mister plaisir.

Son exultation fut aussi intense que brève et elle s'écroula sur le lit alors que Devon annonçait qu'il extirpait sa bite de sa cramouille en empoignant la tête de Lisa.

Elle refusa d'ouvrir la bouche et se débattit.

-Préférerai-tu que je replonge ma mentule dans la foufoune de ta sœur au risque de l'engrosser? Hurla Devon furieux.

Jeannette suppliait sa sœur d'ouvrir la bouche et de prendre mister énorme pénis entre ses lèvres, mais Lisa refusait toujours cherchant à lui échapper. Devon hurla à Jimmy de venir l'aider.

Jimmy s'approcha d'eux et empoigna sa tête, mais Devon lui demanda de la tirer sur le lit.

-Puisque tu ne veux pas m'accueillir dans ta bouche et que tu préférerai sacrifier ta sœur, je vais gicler dans la tienne de foufoune. Hurla Devon et sans aucun préliminaire il fora mister trou dans sa chatte aussi révulsée que sèche!

Lisa hurla et se débattit pour se libérer de l'emprise de Jimmy alors que Devon coulissait rapidement en elle.

-S'il vous plait ne jouissez pas en moi... Je sui en pleine période d'ovulation... S'il vous plait ne faite pas ça!

Lisa se débattait toujours lorsqu'elle sentit la chaude éjaculation de mister suborneur lui tapisser les parois du vagin.

Il resta un bon moment profondément planté dans sa cramouille tandis que mister foutre lui garnissait l'utérus. Lisa avait réalisé qu'il était inutile de continuer à se débattre, mister forfait était accompli, elle s'écroula sur le lit la bite de Devon toujours profondément emmanchée en elle.

-Apporte-moi les pinces et le plug!

Jimmy retrouva la mallette qu'ils avaient amené avec eux et en sortit un godemiché de caoutchouc d'environ 10 centimètres de diamètre et le tendit à Devon.

-Tu vas apprendre à obéir salope! Hurla Devon puis il extirpa sa bite de la grotte engorgée de Lisa et la remplaça par l'épais plug.

-Avec ça dans la chatte je suis sûr que tu ne perdras pas une goutte de ma précieuse semence! Et maintenant retourne-toi!

Devon empoigna Lisa par les hanches et la repoussa sur le dos. Juste au coté de Jeannette qui récupérait lentement de mister orgasme, profondément choquée que sa sœur ait pu risquer qu'on la mette enceinte pour s'épargner une fellation.

Jeannette ne dit pas un mot tandis que Devon fixait les pinces reliées à une boite en métal, sur les mamelons de Lisa.

-Regardez bien mes petites putes, c'est juste un exemple de ce qui pourrait vous arriver si vous nous désobéissez!

Devon poussa un bouton sur le tableau de commande du boîtier envoyant un courant électrique dans les mamelons de Lisa.

Lisa gémit et se tordit sur le lit cherchant à échapper aux mains de Jimmy qui la clouaient sur le lit.

Elle avait l'impression que sa poitrine allait exploser et elle promit à Devon de lui obéir en tout.

Satisfait Devon relâcha le poussoir.

Il ordonna ensuite aux quatre sœurs de prendre une douche. Jeannette lui demanda ce qui allait leur arriver maintenant et Devon lui expliqua qu'il n'allait plus tarder à les mettre au turf.

Une fois les 4 sœurs douchées, Devon leur distribua les vêtements qu'il sortit de la mallette.

Elles portèrent bientôt toutes les quatre des jupes de laine de 3 tailles inférieures aux leurs, et des bustiers moulant.

Ils contenaient à peine les nibards de Jeannette et Jennifer alors que la taille des petits nichons de Lisa et Heather se voyait accentuée.

Devon leur intima de se maquiller lourdement et e se teindre les lèvres avec un rouge aussi provoquant que vulgaire.

Jeannette jeta un oeil sur ses 3 sœurs et se rendit compte que toutes trois elles avaient l'air de putes bon marché.

Devon leur expliqua qu'elles allaient retourner au club, mais cette fois si un homme voulait danser avec elles ou leur demandait quoi que ce soit, elles se soumettraient totalement à leurs désirs.

- Après la façon dont vous les avez allumés la nuit dernière, vous allez vraiment être très populaires mes chéries! Rigola doucement Devon.

Lisa redoublant de sanglots refusa de leur obéir. Elle dit aux autres qu'elle se foutait pas mal de ce qui allait s'ensuivre mais qu'elle ne se soumettrait pas à leurs ordres.

Jeannette essaya de la convaincre que c'était la seule façon acceptable d'opérer mais elle courut s'enfermer dans la salle de bain refusant d'en sortir.

Devon murmura à l'oreille quelque chose à l'oreille de Jeannette qui secoua la tête en signe de refus mais elle prit un sachet de poudre blanche qu'elle dilua dans un verre d'eau.

Elle informa alors Lisa, au travers de la porte qu'elle n'avait pas à les suivre à condition qu'elle reste dans la chambre et taise leur mésaventure.

Lisa, sanglotante, sortit de la selle de bain enroulée dans une robe de bain alors que sa mini jupe et le top qui devaient constituer sa tenue jonchaient au sol.

Elle lui tendit le verre d'eau qu'elle avait en main et la regarda boire, puis les 3 autres abandonnèrent Lisa à mister sort et gagnèrent le bar en compagnie de Devon et Jimmy.

Devon avait entièrement raimister, à la vue des tenues des 3 salopes de sœurs, les hommes se rassemblèrent comme abeilles sur un morceau de sucre.

Elles dansèrent et flirtèrent avec leurs partenaires comme il leur était ordonné.

Une heure plus tard, Devon et Jimmy invitèrent les 3 sœurs et douzaine de candidats à les accompagner dans les suites de ces dames.

Jeannette avait les larmes aux yeux en réalisant qu'elle allait se faire baiser par des inconnus, Jennifer réagissait de même.

Heather jouait parfaitement le rôle de pute qu'ils lui faisaient endosser, elle se frottait contre ses futurs clients leur faisant admirer ses nichons.

Jeannette et Jennifer étaient écœurées lorsqu'elles entrèrent dans la chambre, elles y trouvèrent Lisa gisant inconsciente en travers du lit, assommée par la drogue ingurgitée.

Jeannette et Jennifer se serraient l'une contre l'autre regardant Jimmy et Devon collecter l'argent de leurs clients tout en installant leur matériel vidéo.

Elles durent se foutre à poil puis de déshabiller l'inconsciente Lisa.

Lorsqu'elles furent toutes 4 entièrement nues, leurs douze clients brûlaient d'envie de se les faire rapidement.

Une fulgurante douleur anale réveilla brusquement Lisa, elle réalisa tout de suite qu'un corps lourd pesait sur le sien.

Elle chercha à se débattre, mais ses chevilles étaient liées au pied de lit ce qui projetait sa croupe en l'air.

Lisa marmotta une protestation que permisterne ne put entendre au travers de mister baillon.

Elle respirait l'odeur de l'homme qui la chevauchait ainsi que celle de mister propre sexe ainsi que la douleur qui brûlait mister arrière train alors qu'il coulissait dans mister anus à grands renforts de coups de boutoirs.

Elle voulut éclaircir mister esprit et, dans ce but jeta un oeil autour d'elle.

Dans le lit, juste à coté du sien, Heather était assise sur un homme qui l'empalait par le trou du cul, deux hommes lui avaient déjà labouré la chatte.

Lisa vit un quatrième homme qui enfouissait sa grosse pine dans la bouche d'Heather, elle le suçait énergiquement jusqu'au moment ou il projeta de longs jets de foutre sur mister visage. Lisa n'en croyait pas ses oreilles lorsqu'elle entendit sa sœur Heather suppliant qu'on lui donne une autre bite à sucer.

Puis les gémissements de Jeannette, qui se trouvait dans la pire des situations, retinrent mister attention.

Lisa grognait maintenant à chaque enfouissement dans mister trou du cul tout en regardant Jeannette.

Elle était ligotée sur une chaise, mister cul débordant entre les bras du fauteuil.

Visiblement un homme l'enculait avec enthousiasme et Jeannette couinait mais Lisa ne voyait pas mister visage.

L'homme jouit rapidement dans ses entrailles et extirpas sa grosse pie de ses boyaux et Lisa vit les pinces à papiers refermées sur la partie grasse de ses fesses reliant ses jambes au siège.

Les pinces maintenaient grand ouvert le trou du cul de Jeannette exposant les muqueuses rosâtres de la face interne de mister anus.

Lisa voyait clairement un flot de foutre s'écouler de mister anus pour goutter sur le sol.

Lisa leva les yeux sur l'homme qui l'enculait vigoureusement, ce dernier commenta :

-Cette salope s'est enfin réveillée! A l'adresse de des autres clients et, lui intima :

-Bouge ton cul petite pute!

Lisa essayait de ne pas tenir compte de ce qui lui arrivait lorsqu'elle entendit :

-Whack... Whack... Ces misters provenaient de l'autre coté de la chambre où Jennifer suppliait :

-Je vous en prie... Arrêtez... Arrêtez... Je n'en peux plus!

Lisa tourna la tête en direction des cris et des bruits de chair battue et vit Jennifer liée sur un bureau, les bras étirés et liés aux pieds avants du bureau alors que ses chevilles étaient rivées aux pieds arrières.

Lisa voyait clairement les bandes rouges qui balafraient la chair blanche de mister cul. Un homme une large ceinture en main l'exhortait à réclamer qu'il l'encule .

-Dis-le! Hurla mister client en lui fouettant les fesses de trois coups de ceinture successifs.

Lisa ne pouvait pas voir le visage de Jennifer mais l'entendit hurler qu'elle dirait tout ce qu'il voudrait. Lisa s'appliquait pour entendre les suppliques de Jennifer.

-S'il vous plait enculez-moi! Marmotta misérablement Jennifer.

-C'est pas assez convaincant! Rit l'homme qui lui colla 4 nouveaux coups de ceinture.

-S'il vous plait, j'ai une chatte velue que permisterne ne veut prendre... Je veux que vous m'enculiez...... Ma chatte est bien trop velue... Je vous en prie cassez-moi le trou du cul! Je vous en prie! Répétez inlassablement Jennifer.

-C'est mieux comme ça! Reprit mister consommateur et Lisa ne vit plus que mister arrière train couvert par l'homme qui l'enculait frénétiquement.

Elle revint brusquement à sa propre situation en sentant mister enculeur extirper sa bite de mister trou du cul endolori.

De douloureuses crampes lui cisaillaient les jambes mais mister baillon étouffait ses plaintes pour venir l'aider.

Le sursis de Lisa fut de courte durée, déjà un autre client l'enfourchait et plongeait sa grosse mentule dans mister trou du cul bien rodé.

Lisa perdit à nouveau conscience.

Jeannette se réveilla la première allongée sur le sol couverte de sperme.

Elle se releva lentement et inspecta la chambre.

Jennifer était toujours ligotée sur le bureau, mister cul portait des balafres écarlates, ultimes traces des coups de ceinture. Lisa était toujours rivée au pied du lit et Heather était endormie nue sur la tête du lit.

Les 4 sœurs étaient couvertes d'un mélange de foutre, de sueur et de sang.

Jeannette regarda ses fesses et y trouva les traces des dents que lui avaient infligées les pinces à papier qui la rivaient au fauteuil.

Elle réveilla Heather et à deux elles libérèrent Jennifer et Lisa de leurs liens.

C'était dimanche et elles avaient toutes 4 en tête de rentrer le plus rapidement possible chez elle.

Après avoir pris une longue douche Jeannette était en train de faire leurs valises lorsqu'elle trouva un mot de Devon et un petit emballage.

Il intimait aux 4 sœurs de revenir quatre semaines plus tard et de le demander au bureau du casino afin qu'elles terminent de rembourser leurs dettes.

Il leur enjoignait par ailleurs, à tous les 4, de se raser la chatte :

-Vos clients n'aiment pas les chattes velues! Avait ajouté ironiquement Devon.

Me message comportait des photos de leur nuit de dépravation sexuelle, elles étaient bien claires et on les reconnaissait parfaitement.

Jeannette montra le message et les photos à ses sœurs avant de prendre le départ.

Elle ne se parlèrent pas beaucoup sur le chemin du retour, elles étaient toutes 4 satisfaites d'avoir survécu à cette éprouvante mésaventure.

Le trou du cul de Jeannette la faisait énormément souffrir mais comme les autres elle était si soulagée de s'en être tirée vivante.

Jennifer avait beaucoup de mal à rester assise alors que les grandes lèvres de la foufoune d'Heather étaient si enflées qu'elle ne supportait pas le port d'une culotte.

Lisa sanglotait continuellement évoquant la possibilité de s'être fait engrosser.

Jeannette leur fit promettre à toutes de ne jamais révéler à permisterne ce qui leur était arrivé et d'y retourner dans 4 semaines pour apurer leur dette.

-Je n'y retournerai pas, il n'en est pas question! Criait Lisa en se remettant à pleurer de plus belle.

Jeannette hocha la tête et s'assura que l'enveloppe que leur avait remit Devon se trouvait toujours dans sa poche, il savait que Lisa représenterait un problème aussi avait-il donné à jeannette le reste du flacon de drogue qu'il avait employé pour la subjuguer.

Jeannette repensait qu'elle avait failli se retrouver enceinte de la faute de Lisa lorsqu'elle avait refusé d'accueillir Devon en bouche.

Sa fureur n'était pas retombée et elle tapota le flacon dans sa poche en se félicitant :

-Nous verrons bien ma chère Lisa...
chrislebo

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4 Soeurs Piégées


02


Jeannette et Jennifer s'empressèrent de suivre les instructions de De-von, elles rasèrent totalement leurs foufounes.

L'époux de Jennifer en frémit de plaisir et la baisa deux fois de suite la nuit où il s'en aperçut.

Le mari de Jeannette aimait tant la chagatte rasée de sa femme qu'il lui fit raser aussi le pourtours de mister trou du cul pour qu'elle soit complètement nue.

Ils ne se doutaient ni l'un ni l'autre de ce qui faisait agir ainsi leurs deux épouses.

Les eux maris ne discutaient jamais de la sexualité de leurs épouses et comme ils étaient ravis de voir leur vie de couple quelque peu pimen-tée...

Lorsque Jeannette prévint mister mari Robert qu'elle allait retourner avec ses sœurs à Atlantic-City, il ne la questionna même pas sur ce projet.

Elle passa prendre Jennifer et elles gagnèrent sans un mot l'appartement d'Heather, cette dernière les rejoignit rapidement en tenue de "tra-vail".

Sa courte jupe moulante ne lui couvrait que la moitié des fesses, elles constatèrent toutes eux qu'elle ne portait pas de petite culotte. Elle avait enfilé le bustier que Devon leur avait enjoint de porter.

Comme elle se jetait sur le siège arrière elle vit que ses sœurs n'étaient pas encore en tenue et qu'elles ne paraissaient pas vraiment enthousias-tes.

- On dirait deux chattes les pieds dans les braises... Les gronda Heather

- Nous retournons à Atlantic-City pour se faire fourrer comme des folles... Ne vous rappelez-vous donc pas de vos incroyables or-gasmes?

Jeannette serra les cuisses en sentant le flot de cyprine qui déferla dans sa foufoune embrasée à l'évocation de ses jouissances clandestines.

Jennifer afficha un timide sourire alors qu'elle sentait aussi sa foufoune s'engorger de mouille.

Jeannette jeta un oeil dans le rétroviseur le temps de voir qu'Heather se maquillait lourdement.

Lorsqu'ils arrivèrent chez Lisa, il leur apparut que la maimister était vide. Jeannette gagna la porte et frappa, Lisa la laissa entrer.

- Je n'irai pas à Atlantic-City... S'écria-t-elle emphatiquement.

- Je me fous de ce qu'ils feront des photos!

Jeannette eut beau argumenter que Jennifer et elle étaient mariées et que cela pouvait ruiner leur couple, Lisa semblait s'en foutre.

Jeannette se remémora que mister égocentrisme avait déjà failli lui valoir de se faire engrosser lors de leur dernière visite à Atlantic.

Elle se servit ainsi qu'à Lisa une boismister fraîche et y versa carrément le reste du flacon que lui avait confié Devon.

- Pourquoi l'as-tu à nouveau droguée? Demanda Heather alors qu'elles toutes 4 pris le chemin d'Atlantic-City.

- Elle refusait de nous accompagner et je ne suis pas pête à voir ma vie ruinée juste parce qu'elle ne pense qu'à elle! Rétorqua vivement Jeannette, Heather ne trouva rien à y redire.

Jeannette trouva facilement leur hôtel et elles changèrent de tenues. Il se trouvait dans un quartier populeux de la ville, un vieux quartier qui puait.

Un vieil homme, la soixantaine bien tapée, mal rasé portant une chemise sale donna la clef à Jeannette en reluquant ses gros nichons.

Heather et Lisa qui supportaient Lisa, tout comme elles s'y seraient pri-ses avec une permisterne ivre gagnèrent l'ascenseur.

Permisterne ne semblait prendre garde au fait qu'elle soit inconsciente.

Une fois dans la chambre Jeannette rappela à Jennifer que Devon serait là dans quelques minutes.

Elles se changèrent toutes deux rapidement, exactement comme Devon le leur avait enjoint.

Jeannette portait une jupe similaire à celle d'Heather, noire, lui arrivant juste sous la raie des fesses. Elle sentait l'air frais courir sur ses fesses dodues, elle espérait que Devon l'autoriserait à porter une petite culotte.

La tenue de Jennifer était rouge pâle et elles portaient toutes trois les mêmes bustiers moulants.

Jennifer haïssait ce bustier qui n'apportait aucun soutien à ses opulentes miches, elle explosa de rire à mister encontre en réalisant qu'elle se prépa-rait à se faire baiser sous l'emprise d'un chantage et que donc elle ne devrait pas tant se soucier de la façon que lui seyait cette tenue de pute qui lui était imposée!

- Qu'allons nous faire pour Lisa? Les interrogea Jennifer.

Avant même que Jeannette lui réponde, Devon entra dans la chambre et referma la porte dans mister dos.

Il jeta immédiatement un oeil sur Lisa gisant inconsciente sur le lit.

- Ainsi ta salope de petite sœur ne voulait pas revenir! s'esclaffa-t-il à l'adresse de Jeannette

- Pas de problème j'ai justement ce qu'il lui faut!

Devon sortit mister portable de sa poche et gagna la salle de bain.

Jeannette l'entendait parler mais ne distinguait pas ce qu'il disait. Elle attira l'attention de Jennifer en lui montrant Heather qui, à genoux en-fouissait la bite de Jimmy dans mister arrière-gorge.

Jimmy était posté devant elle, entièrement habillé, seule sa braguette était ouverte, la tête d'Heather allait et venait sur sa hampe tendue, il lui palpait les nibards au travers de mister bustier.

Devon sortit de la salle de bain et sans faire attention à Jimmy s'adressa à Jeannette et Jennifer.

- Hey les deux salopes, suivez moi! Leur dit-il d'une voix coupante.

- Jimmy va prendre soin de la pute blonde et j'ai goupillé quelque chose pour elle... Ajouta-t-il désignant Lisa.

Sur ces mots Devon escorta Jeannette et Jennifer au rez-de-chaussée laissant Heather qui suçait toujours habilement Jimmy et Lisa gisant sans connaissance sur le lit.

Comme elles entraient dans la loge du concierge Devon s'adressa à l'homme derrière le bureau.

- Salut Pop, quelle salope veux-tu? Lui demanda-t-il convivialement.

Jeannette et Jennifer se tournèrent toutes deux vers Devon se deman-dant ce qu'il attendait d'elles.

- Mes salopes vous devez payer votre chambre, Pop a réclamé une fellation! Les informa-t-il hilare.

- Je veux celle qui a des gros nichons! Le coupa Pop en, désignant Jeannette.

Devon poussa Jeannette derrière le bureau de Pop et la força à s'age-nouiller, Pop extirpa ses 15 cm de bite molle et attendit.

Jeannette hésitait et Devon dut la pousser entre les omoplates pour la pousser à se décider. Elle prit une lon,gue respiration et inséra la bite molle entre ses lèvres commençant à le sucer.

Elle était heureuse qu'il ait une queue de taille tout à fait ordinaire, elle se lança bavant et suçant pour abréger mister épreuve, alors qu'il glissait ses mains dans mister bustier empoignait ses nibards et les palpait rudement.

Jeannette le suça pendant 10 bonnes minutes, ses mâchoires deve-naient douloureuses le vieillard ne giclait toujours pas.

Il lui palpait rudement les nichons lui étirant et pinçant les tétons.

En dépit de mister dégoût, Jeannette sentait la cyprine inonder ses babines, elle en venait à espérer que ce vieil homme la saute.

Enfin il empoigna sa nuque et s'engouffra au fin fond de sa gorge éjacu-lant une petite dose de foutre salé. Jeannette avala docilement attendant la suite de sa jouissance, mais rien ne se passa.

Il retira sa mentule de sa bouche, lui pinça une dernière fois les nibards et lui tapota la tête.

- Suis moi salope, on n'a pas toute la nuit! Intervint alors Devon en la remettant sur pieds.

Il marchait entre Jeannette et Jennifer alors qu'ils quittaient l'hôtel déam-bulant dans les rues.

Tout en se baladant Devon plaça ses mains sur les culs des deux jeunes femmes, ses doigts se postant juste à l'entrée de leurs grottes.

Jeannette humiliée sentit bientôt Devon insérer un doigt dans sa fou-foune.

Elle était inconsciente que Jennifer vivait la même offense. Les deux femmes descendaient maintenant la rue, les grosses mains de Devon posées sur leurs croupes un doigt emmanché dans leurs chatounes.

Jeannette était heureuse qu'il fasse nuit mais cependant mister offense grandissait sous les commentaires des respectables femmes qu'elles croisaient.

- Combien pour la plus petite? Lui demanda un noir après les avoir examinées toutes deux.

Devon s'arrêta et tourna les deux femmes vers l'amateur de chair blan-che.

Jeannette se sentait comme une marionnette avec le doigt de Devon en-foui dans sa craquette.

Comme elles restaient immobiles il entreprit de lui titiller le clito.

Jeannette vit Jennifer sursauter, elle comprit qu'elle subissait le même traitement.

Devon susurra dans l'oreille de Jeannette qu'il tirerait plus de fric de leurs corps si leurs chattes étaient trempées?

- Que veux-tu qu'elle te fasse? L'interrogea Devon alors que l'homme auscultait les charmes de Jennifer, il se décida finalement pour une pipe et Devon ordonna à Jennifer de s'exécuter alors qu'il rangeait les 100 $ dans sa poche.

- Vous voulez dire ici? S'étonna Jennifer ahurie.

Devon lui balança une gifle en plein visage la jetant à terre. Elle n'avait nul besoin d'explications complémentaires et elle s'agenouilla rapide-ment.

- Pour 100 $ la pipe c'est où je veux! S'esclaffa mister client.

Jennifer débraguetta mister client et tendit la main dans mister caleçon pour en extraire sa mentule, tout comme celle du vieil homme sa bite n'excé-dait pas 18 cm.

Jennifer l'accueillit dans sa bouche le caressant lentement de la pointe de la langue.

Elle décida de le faire gicler rapidement ce qui lui éviterait de rester plus longtemps en pleine rue aussi s'efforça-t-elle de le sucer de mister mieux.

Elle parcourait de la langue toute la longueur de sa hampe l'enduisant copieusement de salive avant de l'enfouir totalement dans sa bouche habile.

Son plan marcha comme sur des roulettes et après quelques minutes elle avala les jets de sperme qu'il crachait dans sa gorge, seul un mince filet s'écoula de la commissure de ses lèvres.

Jeannette regardait sa sœur prodiguer une savoureuse fellation à cet inconnu alors que Devon insérerait plusieurs doigts dans sa foufoune enfiévrée et entreprit de la doigter en pleine rue.

Jeannette se rendait compte que tous les passants voyaient ce qu'il lui faisait mais elle était incapable de l'en empêcher.

Et tandis qu'il continuait allégrement à la doigter alors qu'elle regardait sa sœur sucer ce colosse noir elle sentit des étincelles électriques exploser dans mister clito, ce qui lui signalait l'imminence d'un orgasme qui allait la terrasser.

Jeannette priait silencieusement pour que ses sens ne la trahissent pas, elle ne voulait surtout pas jouir sous les caresses de Devon.

Juste à l'instant où elle allait succomber, Devon extirpa brusquement ses doigts de sa chatte et aida Jennifer à se relever.

Jeannette fut à la fois soulagée et frustrée.

Devon remercia mister client et ils reprirent leur déambulation, lorsqu'un gros et gras blanc dans une grosse voiture ralentit et se gara à coté d'eux.

Devon se pencha vers lui et ils discutèrent quelques instants.

Jeannette vit des billets de banque changer de mains, mais elle ne sa-vait pas très bien combien payait-le client et de laquelle des deux il louait les services.

Elle n'eut pas à attendre longtemps

Devon lui enjoignit de s'installer à genoux sur le siège arrière de la voiture.

Bien entendu, dès qu'elle s'exécuta sa courte jupe remonta sur sa taille exposant sa foufoune et mister cul, le conducteur quitta mister siège et contourna la voiture pour se faire Jeannette installée à sa convenance.

Il lui ordonna de rouler sa brassière sur sa taille Jeannette lui obéit servilement, ses miches dansant librement sur mister torse.

- Bordel j'me f'rai bien un beau p'tit cul comme ça tous les soirs! S'esclaffa l'homme blanc en déboutonnant sa braguette.

Jeannette sursauta lorsqu'il lui écarta ses globes fessiers exposant mister petit anus ridelé en plein air.

Elle était terrifiée en le sentant cracher un mollard au centre de mister oeil-let tremblant, elle savait ce qui allait s'ensuivre et rassembla ses powers en sentant le gland de mister client presser mister petit annelet frémissant de peur.

- Ohhhhhhh... Grogna Jeannette alors que le gros champignon de mister client perforait mister sphincter rétif.

Sans aucune pitié mister, consommateur plongea ses 15 centimètres de bite dans mister trou du cul tout en lui pétrissant rudement les nichons.

Jeannette se balançait d'avant en arrière alors qu'il l'enculait âprement, il extirpa assez rapidement sa bite crachant de longs jets de foutre sur ses fesses avant de la relâcher.

- Un très bon coup! Commenta mister client avant de regagner le siège avant.

Jeannette sortit de la voiture alors Que Devon lui tendait une serviette pour s'essuyer les fesses avant de rabattre sa jupe sur sa croupe.

Une fois que Jeannette se fut redressée La main de Devon reprit sa place sur mister cul et ses doigts misterdèrent de nouveau sa foufoune dé-trempée alors qu'ils marchaient cote à cote.

Pendant les trois heures qui suivirent, les chattes culs et bouches de Jennifer et Jeannette furent loués à de nombreux clients issus de diffé-rentes ethnies.

Elles se firent baiser dans les entrées de garage, dans les porches de magasins fermés, dans les allées, à l'arrière de voitures.

Elles succombèrent toutes deux à plusieurs orgasmes.

Jeannette endura même une double pénétration par deux colosses noirs, sur le capot d'une voiture alors qu'un cercle d'amateurs les ma-taient avidement.

Jeannette était le cadeau d'un gang local à ces deux hommes.

Tandis que Jeannette se faisait prendre en sandwich ce qui lui procura un violent orgasme, Jeannette à genoux suçait tous les membres du gang alors qu'ils regardaient tous Jennifer.

Ils avaient payé un extra pour qu'elles opèrent entièrement nues, les ni-bards de Jeannette étaient gonflés et rouges à power d'être maltraités.

Sa chatoune était endolorie à power d'être forcée, alors que Devon les entraînait vers le bas de la rue.

Devon emmena Jennifer et Jeannette dans un théâtre, c'était un théâtre X qui passait des films pornos, Jeannette et Jennifer se demandaient ce qu'il leur réservait.

Ils les plaça au premier rang, c'est alors qu'elles virent Heather. Elle semblait beaucoup plus subjuguée qu'elles deux.

Jeannette pensa qu'elle avait du beaucoup pleurer, mais c'était difficile de le vérifier dans l'obscurité du lieu.

Devon ordonna aux deux sœurs de s'asseoir de chaque coté d'Heather.

- Ca va? Murmura Jeannette à l'oreille d'Heather.

Elle retint ses sanglots et roula mister bustier sur sa taille exposant ses mi-ches.

Jeannette porta la main à sa bouche en voyant les deux larges anneaux perçant les tétons d'Heather et les poids suspendus à ces anneaux tirant ses mamelons vers le bas.

Heather expliqua que c'était pour étirer et rallonger ses tétons. Elle ajouta que Jimmy lui avait fait percer aussi les lèvres de sa chatoune et qu'elle avait maintenant une petite plaque portant l'inscription "putain de Jimmy", suspendue à ses babines vaginales, elle poursuivit qu'il l'avait baisée à tour de bras avant de l'emmener chez le tatoueur qui avait opéré les piercings.

Jeannette voyait bien qu'Heather était traumatisée, elle se demanda alors ce qu'il en était de Lisa.

C'est à cet instant que les rideaux s'ouvrirent répondant à ses questions.

Les trois sœurs haletèrent de concert lorsqu'elles virent Lisa qui se tenait sur scène.

Elle était entièrement nue, étendue sur le ventre un chevalet. Ses cuis-ses étaient écartelées, sa chagatte était entrebâillée.

Jeannette réalisa aussi que quelqu'un avait rasé de près sa toimister pu-bienne et le pourtours de mister trou du cul.

Une sangle traversait mister dos et elle portait un collier attaché à une chaîne qui lui relevait la tête en l'air, ses poignets étaient liés dans mister dos.

Jeannette constat en voyant mister visage qu'elle était éveillée. Son visage ruisselait de larmes et elle comprit soudain qu'il lui était impossible de fermer la bouche.

Devon lui confirma que deux petits blocs de plastique lui bloquaient les mâchoires pour maintenir sa bouche grande ouverte.

- On va donner une bonne leçon à cette petite pute! S'esclaffa De-von

- Et maintenant régalez-vous du spectacle! Ordonna-t-il aux trois sœurs.

Jeannette, Jennifer, Heather regardaient toutes trois un homme, suivi d'un noir entièrement nu amener une superbe femelle de berger alle-mand sur la scène.

La chienne était visiblement en chaleur, deux hommes la tinrent en place alors que l'homme noir insérait sa grosse bite bandée dans le vagin de la chienne, il poignarda de trois coups de rein puis extirpa sa bite et la plongea dans la bouche de Lisa ou il se livra à quelques allées et ve-nues.

Les trois sœurs entendaient Lisa tousser et gargouiller cherchant à dire quelque chose.

Le noir retourna plonger sa mentule dans le vagin de la chienne en cha-leur puis il retourna vers Lisa et cette fois fourra sa bite raide dans le vagin de sa malheureuse victime.

Ils la virent s'arquer sous la violente pénétration.

Une fois encore il la laboura de quelques coups de queue avant de retourner à la chienne. Une fois qu'il eut une nouvelle fois fourré sa bite dans le sexe de la chienne en chaleur il revint à nouveau vers Lisa et aligna sa bite sur mister petit anneau culier tout tremblant.

Jeannette se demanda si Lisa pourrait accueillir une bite aussi grosse dans mister étroit anus!

Sans la préparer d'aucune façon il fora mister trou dans mister oeillet anal rétif s'enfonçant jusqu'aux couilles dans mister boyau asservi, il la laboura à plusieurs reprises et se retira.

- Le véritable spectacle va commencer maintenant... Commenta Devon hilare à l'adresse de Jeannette.

Jeannette voyait sa petite sœur se débattre dans ses liens, au fond d'elle-même elle sentait monter l'envie de la secourir, mais elle était en-core très en colère après elle aussi se contenta-t-elle de regarder en si-lence un homme arriver sur la scène avec 4 gros bergers allemands.

Jeannette et Jennifer se regardèrent l'un l'autre en réalisant ce qui allait arriver à Lisa.

Jennifer se leva pour venir à l'aide de sa petite sœur, mais Devon la fit rasseoir rapidement en la menaçant de l'envoyer sur scène remplacer Lisa.

Jeannette comprit que la bouche, la craquette et l'anus de Lisa étaient enduits de l'odeur de la femelle en rut déjà les bergers mâles tiraient sur leurs laisses, manifestant leur intérêt pour Lisa.

Le théâtre était à moitié plein, les spectateurs se mirent à murmure alors que l'on lâchait les chiens.

Les trois sœurs virent la réaction de Lisa à la vue des 4 bergers allemands, elle essaya immédiatement de fuir en se débattant dans ses liens, donnant des coups de pieds dans les airs alors que de grosses gouttes de sueur couvraient mister front.

Le premier chien flaira la bouche de Lisa, puis il lui lécha les lèvres.

Sa petite bite pointue jaillit de sa gaine, il posa ses pattes sur les épaules de Lisa alors qu'il s'alignait sur sa cible.

Lisa chercha à tourner la tête, sans aucun succès, le chien fourra sa bite déployée dans la bouche de Lisa s'enfonçant directement dans sa gorge.

Il la laboura de petits coups de reins rapides tandis que Lisa se débattait en vain.

Un autre chien reniflait sa chatoune. Jeannette vit les muscles de Lisa se contracter alors qu'elle cherchait futilement à refermer ses cuisses pour interdire l'accès de sa foufoune.

Ses sœurs la regardaient désarmées alors que le second chine la grimpait, il donna quelques coups de bite au hasard avant qu'elle ne glisse dans sa chatte lubrifiée.

La foule des spectateurs applaudit à tout rompre alors que les deux chiens labouraient frénétiquement leur malheureuse sœur à l'unismister.

Lisa abandonna toute révolte, se résignant à mister sort.

Incapable de fermer la bouche, Lisa cherchait à respirer entre deux coups de pine du chien dans sa gorge
chrislebo

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#13
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Fin


Lorsque qu'il enfouit sa bite au fin fond de sa gorge elle crut bien étouf-fer, les jets de foutre amer tapissaient mister arrière-gorge puis il extirpa sa mentule de sa bouche.

Lisa s'empressa d'avaler l'amer potion puis haleta à la recherche d'air alors que le second chien la baisait toujours en chatte.

Elle l'entendait couiner alors qu'il s'enfouissait dans sa grotte embrasée, il lui griffait les fesses en se fondant dans sa fentine.

Il la labourait de plus en plus rapidement et éjacula rapidement dans mister intimité asservie.

Il essaya alors de se retirer de sa chatte ce qui détourna mister attention du troisième chien qui posait à mister tour ses pattes sur ses épaules récla-mant mister tour.

Finalement le chien s'arracha de sa chatte, Jennifer porta la main à sa bouche en voyant un filet de sang s'écouler de la chatte béante de sa sœur.

A peine s'était-il reculé que déjà le quatrième chien prenait place dans mister dos pour la grimper.

Il rata la chatoune de Lisa et d'un seul coup ses 8 cm de pine s'engouf-frèrent dans mister trou du cul.

Les sœurs virent alors que Lisa était totalement résignée et livrait servi-lement mister corps aux deux chiens sans aucun geste de révolte.

Enfin mister épreuve se termina et les deux derniers chiens s'assirent se léchant la bite sous les applaudissements frénétiques de la foule des spectateurs.

Lisa ne bougeait plus, des épaisses traînées de foutre naturalesque s'écoulaient de mister trou du cul et de sa foufoune alors que des filets de foutre souillaient ses lèvres.

De plus sa croupe était couverte de griffures dont certaines sanguinolen-tes.

Jeannette regardait ses gardiens la délier avant de l'aider à se relever.

- Heather désigna du doigt les nibards de sa sœur, ils étaient ornés de larges anneaux, exactement comme les siens.

Les deux hommes qui la soutenaient la forcèrent à se courber en avant et la foule applaudit de nouveau alors que les trois sœurs se figeaient profondément choquées.

- Allez montez sur scène! intima Devon à Jennifer et Jeannette alors que Jimmy emmenait Heather et quittait le théâtre.

Jeannette et Jennifer se tenaient sur la scène face aux spectateurs qui trépignaient et sifflaient.

- Que m'offrez-vous pour ces splendides salopes? Lança Devon, Jeannette et Jennifer relevèrent la tête alors que les enchères montaient en flèche.

5 hommes qui sortirent leur argent enlevèrent Jennifer, ils la mirent à poil rapidement et la forcèrent à se pencher en avant sur un siège du théâtre puis ils la baisèrent chacun leur tour en chatte et en cul.

Jeannette fut gagnée par un colosse noir qui voulait juste l'enculer sur scène.

Elle se déshabilla devant la foule enthousiaste et du se positionner à 4 pattes en levrette.

Le colosse noir extirpa une véritable monstruosité de mister caleçon, un pénis de la taille d'une batte de base-ball. La foule applaudit hilare lorsqu'il écarta les fesses de Jeannette révélant le petit oeillet qu'il entendait utiliser.

Jeannette essayait de se relaxer alors qu'elle sentait l'énorme champi-gnon se presser contre mister annelet.

Elle n'était vraiment pas ure de pouvoir accueillir cet énorme outil dans mister rectum.

Elle leva les yeux sur Jennifer visiblement foudroyée par un nouvel or-gasme alors qu'on la baisait aussi en trou du cul.

Jeannette se demandait ce qu'il advenait de Lisa et Heather c'est alors qu'elle sentit mister trou du s'entrouvrir sous la pression, à sa grande sur-prise le massif pal s'inséra aisément dans mister boyau assez distendu pour s'accommoder de la taille de tels envahisseurs.

Lorsqu'elle sentit les couilles de l'homme frapper cintre ses babines enfiévrées, elle entendit le bruit de la chair heurtant la chair alors qu'il l'envahissait jusqu'au gros colon.

Il la labourait lentement tout d'abord et jeannette sentit rapidement mister inconfort se transformer en vagues de plaisir qui éclataient dans sa cha-toune.

Après plusieurs minutes il était difficile pour les spectateurs de distinguer qui baisait qui alors que Jeannette se cabrait et jetait ses hanches à la rencontre de la bite de mister client qui lui forait toujours l'anus.

- Baise-moi à couilles rabattues sale bâtard! Hurlait Jeannette alors que vagues après vagues un intense orgasme la terrassait

- Baise-moi... baise-moi... Encore... Encore... baise-moi comme une salope de pute! Hurlait-elle à tue-tête jusqu'au moment où mister, client noir se tétanisa projetant d'épais jets de foutre au fin fond de mister fondement.

Lorsqu'il extirpa sa bite de mister trou du cul fumant, Jeannette se coucha sur le dis en suppliant :

- Que quelqu'un vienne me baiser... Je vous en prie!

Devon recueillait l'argent des amateurs.

Le lendemain après-midi, Jennifer, Jeannette et Heather se trouvaient dans leur chambre d'hôtel, elle était tracassée par le sort de Lisa.

Permisterne ne parlait de ce qui s'était passé la veille au soi.

Heather leur avait annoncé qu'elle voulait rester avec Jimmy, elle allait rentrer chercher de ses vêtements puis retournerait avec lui.

Finalement la porte s'ouvrit et Lisa rentra au bras de Devon.

Les 3 sœurs n'en croyaient pas leurs yeux. Lisa portait un chemisier quasi transparent qui exposait clairement ses mamelons percés de frais et une jupe su courte qu'à chaque pas elle dévoilait mister entrejambes, elle était lourdement maquillée et semblait pleinement heureuse.

- Je suis enceinte... Leur annonça-t-elle joyeusement

- Et je vais m'installer avec Devon, il m'a promis que permisterne d'au-tre que lui ne me baiserait tant que je serai grosse!

Jeannette et Jennifer l'entendirent toutes deux. Après les horreurs qu'elle avait endurés, Lisa ne baiserait plus qu'avec Devon.

- Votre dette est payée... Leur annonça-t-il

- Après le spectacle donné par Lisa hier soir, vous avez gagné une certaine somme.

Sur ces mots il tendit à Jeannette une liasse de billets de cent dollars.

Le retour à la maimister se déroula calmement à l'exception d'Heather qui discutait de mister nouveau petit-ami Jimmy.

Jeannette fit le compte de la liasse de billets, il y en avait pour 3.000 $ qu'elle partagea entre elles trois.

Environ deux semaines plus tard Jeannette et Jennifer furent toutes les deux traitées pour une blennorragie. Elles se rendirent dans une clinique privée dans l'état voisin et inventèrent une histoire racontant qu'elles étaient ivres et avaient eu des rapports sexuels avec un étranger qui se trouvait avec elles dans le bar.

Puis, alors que leurs dettes étaient éteintes, les deux sœurs continuèrent à se rendre à Atlantic-City une fois par mois.

Leur alibi était de venir visiter Lisa et Heather, mais une fois là, elles changeaient de tenue et couraient les rues au bras de Devon à la re-cherche de clients.

Les deux sœurs trompaient sans vergogne leurs maris qui ne découvri-rent jamais leur boulot secret à la solde de Devon.
chrislebo

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#14
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Wendy And The Witchdoctor



There goes the neighborhood," said Wendy looking out the window.

Stan looked up from his dinner. His six foot tall, buxom blonde wife was framed in the sunlight staring out the window. She could have joined the Swedish bikini team she was so beautiful and stacked, everyday he was reminded of how lucky he was and today with the sunlight shining on her was no exception. "What do you mean?" he asked.

"It looks like the new neighbor's a black guy."

"Well you can cross twenty thousand dollars off the value of our house then." Stan got up and joined his wife at the window. "Man he's huge, he's probably just a moving man." The man bulged with muscles and had a shaved head. The black giant wasn't working though, three other black men were unloading boxes from a truck.

"You're probably right," she replied watching as the three workers finsihed, they bowed their heads towards the bald giant and left.

********************

Stan was wrong, the new neighbor was the black man. Stan saw him outside the next day as Stan was flipping burgers on the grill. "Hello," he called.

"Hello," said the black man coming over to the fence.

"Stan Marsh," said Stan shaking hands with the biggest man he had ever seen, watching his own normal-sized hand get swallowed up by the black man's. He was also the darkest black man Stan had ever met.

"Mobutu Tanaka, Dr Tanaka."

"Where you from Dr Tanaka?" The man had a strong accent.

"I am from Kenya. I am Masai

"What brings you to the states?"

"I am taking a class at the university on new medical techniques to take home to my people.

"Just one class?"

"Yes, you would call it a refresher, then I will go home."

Stan couldn't help being impressed. This man had bought a house to live in for only three months. He came from money. "Would you like to come in for a burger?" Stan thought Mobutu might be an interesting guy to talk too.

"Would you have Americn hot dog?

"Sure, I can throw some on the grill."

"I have not had American hot dog since college."

"Wendy, bring me out a couple dogs from the fridge," Stan yelled through an open window.

A moment later, Wendy opened the sliding glass door and walked out onto the porch with two hot dogs on a paper plate. Mobutu looked up at the statuesque blonde. "Perfect," he said.

"What?" asked Wendy. She wore an attractive business proffessional outfit, short skirt, heels, and jacket. The sunlight made her blue eyes sparkle.

"You are magnificent."

"Ah... thank you I guess," she said blushing.

Stan was frowning, but he quickly shrugged it off and took the hot dogs from his wife. The black man stared at Wendy until she became uncomfortable and returned inside.

"Your wife is tall for a white woman."

"Yes, she's six feet without the heels." Stan took the food off the grill. "Lets go inside, we have some fixins set up on the table and I will get us some takes. Would you like a beer?"

"No, milk or water please."

"Ok...I think we have some milk."

"That will be satisfactory."

Wendy returned, walking downstairs having changed into jeans and a tee shirt. The jeans hugged her perfectly round ass as did the tee shirt, stretching tight around her large, full bosom. "Here you go Mobutu," said Stan handing him a glass.

"You will call me Dr Tanaka or your highness."

Both Stan and Wendy were taken aback by his unfriendliness. "You are royalty?" she asked.

"My brother is King, he rules over many Krals."

"And you are the tribe's doctor?" asked Stan.

"I am the tribe's Shaman, what you would call a witchdoctor."

"Aren't you a real doctor?"

"A Shaman is a real doctor, but I know what you say, I also have a PHD. What do you do Wendy?"

"I'm a lawyer."

"Wendy is modest, she graduated from Harvard last year and just found a job, Dr Tanaka." Stan would be damned before he called the arrogant man "your highness."

"Intelligence and beauty."

His gaze and comments were making her uncomfortable again, she tried to change the subject. "You are not what I expected an African to look like."

"What is your meaning?"

"You know skinny, malnourished.

"My family is raised to be superior to the common warrior." Mobutu finished his hot dogs and milk. "I would relieve myself."

"The bathroom is down the hall on the right."

Mobutu stood and walked to the bathroom. He took out his long cock and relieved himself. Wet swimsuits hung over the shower curtain. Stupid Americans, he thought leaving an item that would give him control of them lying around. The beefy black man grabbed a hold of the bikini panties. The entire bikini was small, and would show off Wendy's magnificent body. He looked inside the panties, then looked again. Finally, he saw it, a small curly hair. It was blonde and handn't stood out against the material. The man's was easier, Mobutu immediately found a pubic hair in his swimsuit and he folded both his prizes in a piece of tissue paper, shoving it in his pocket.

Mobutu returned to the living room and saw that Wendy had moved next to Stan and Stan had his arm around her possessively. "Are you in good health?" he asked, Stan started to respond, but the black man added, "just Wendy."

"Yeah, perfect health. I rarely get sick and excercise regularly. My family is long-lived."

"Are they real?" he asked pointing at her breasts.

Wendy's mouth fell open. She recovered and said, "none of your business."

"They are real and all mine," interupted Stan. "I think it's time you left."

"Wendy, you are truly a genetically superior female, you should be with a gentically superior male."

Stan was pissed. "And I suppose that's you?"

"Yes."

"And I suppose you also have a twelve inch penis and can screw for hours like all black men?"

"Actually it is thirteen of your English inches and most black men are like you, pathetic and small, but the royal family of Tanaka has been breeding males superior in size, brains, and the ability to produce semen for hundreds of years. I believe your wife would be the perfect receptical for my semen. She is tall, athletic, brilliant, and physically well endowed."

"Get out of my house Moby."

Dr Tanaka glowered at the insult, that would cost the scrawny white man. "I will give you ten thousand dollars for you wife. That is the only barter I will offer."

"I said get out."

"Very well then." Mobutu turned and strolled back to his house.

*******************

Wendy stretched out cat-like on the cot in her yard. It felt good to lay out in the sun. A drop of sweat ran down her scantily clad breast and ended in her belly button. She closed her eyes, opening them later when a shadow fell across her body. Dr Tanaka was looming over her and she jumped in surprise wandering if she should scream for help. "I have been watching you," he said.

It was a week after the black man had come over to their house and she hadn't seen him since, short of the limo that picked him up for school and brought him back each morning. He was practically naked, weaing only a cheetah print loincloth. His chest was spectacular, as ridged as any body-builder's. Mobutu's skin was as black as coal and glistened with perspiration in the sunlight. "How long have you been standing there?" she asked.

"A quarter hour. You are most beautiful." The bikini was designed for maximum tanning. It was small and tight, her breasts strained at the top. The African was getting an eye full. "Have you considered my offer?"

"I'll never cheat on my husband Dr." Wendy decided to try to reamister with the big Masai. "I understand you aren't from here, but you can't just go around propositioning married women."

"Why? I take any woman of the tribe I desire. I have dozens of youngren amongst the krals. The husbands consider it an honor to raise a superior man's mister as his own."

"That's what you don't understand. This isn't Kenya. Now you should leave, my husband will be home soon.

"So? He is a weakling. I give you one last chance." Mobutu untied the side of his loincloth and pulled it asside. It was designed to confine the man's huge genitalia and when freed, the penis fell out not stopping until it nearly reached his knee. "This is what will pleaure your pussy like your husband never can."

"My god," she cried staring at the plump black monster swaying like a giant black banana. She was surprised to see that the man was circumsized, the head was as large as a small apple as were his testicles and it was thicker soft now then her husband's when hard.

"You may suck it."

"Get off my property."

Mobutu looked surprised by her rejection. His penis had even plumped up and risen a little in anticipation of her servicing him. "Remember this cock," he said turning to leave, walking naked, then running to leap over the fence between their yards.

Wendy stood up. "If you ever come back on my property again I will call the police," she yelled. What arrogance, she thought. Just because he had a huge cock...Wendy shivered, she hated that word. Just because he had a big penis, he felt he had the right to do anything. Wendy went inside, no longer comfortable outside in the skimpy bikini. She walked past a mirror and froze, her nipples were hard and prominent. She was ashamed that the situation had aroused her a little.

********************

Mobutu walked up to the doll house in his living room. Three dolls soaked in glasses filled with dirty liquid. Mama Juju, an old voodoo woman in New Orleans had sent him the necessary materials to mix the concoction. The voodoo woman had great power, but many of her spells involved the use of marijuana and Mobutu saw have use-like holy water- as a weakness. He removed the Barbie doll from it's glass and carefully dried it off. Once dried, he placed a small dollop of glue on the doll's crotch area and stuck the piece of Wendy's pubic hair into it. He repeated the process with the Ken doll and finally the black Ken doll using his own pubic hair.

Mobutu needed to see if the ritual had worked. He placed Barbie on the bed in the doll house, then drew an erect penis on Ken with a black marker, placing Ken on top Barbie in the bed. Mobutu stripped naked so that his skin would blend into the night and swiftly ran next door, leaping the fence and rolling quickly to his feet. Within another minute, he had swiftly climbed an old tree that afforded him a good view of the neighbor's bedroom. The nights were cooler and their window was cracked open.

Wendy was laying under the covers, propped up reading a file folder. "Wow," she said looking up, where'd that come from?"

Stan walked into the room sporting a strong erection, his penis pointing up towards his belly button. "I don't know," he replied, it just sort of grew on me. You up for some? I don't want it to go to waste."

"Hop in, stud." Wendy folded the covers back. They turned the lights off and Mobutu was soon listening to the soft cries of Wendy and the grunts of her husband. Her cries turned to one long moan and soon Stan cried out as he came. "Ooh that was nice," said Wendy. "Hey, you're still hard."

"You know what, I think I can keep going," said Stan and the sounds of lovemaking filtered through the window again.

Mobutu jumped down from the tree and ran back to his house. He stuck his forefinger in his mouth, making sure it was wet before grabbing the Ken doll and smearing away the drawing of the erection. He then quickly returned to the tree in time to here Wendy say, "It's ok honey, it was still great. I haven't had an orgasm like that in years."

"Sorry," said Stan. "I don't know what happened."

Mobutu left the couple alone for a few days. When Saturday rolled around, he knew Stan would leave to play golf and that was when Wendy liked to sun bath. Unfortunately, the day was overcast and Wendy's cot remained empty.

Mobutu stripped the Barbie doll and dressed it in a bikini, he laid the doll down outside the dream house and went upstairs to wait by a window. He stood there frozen like a statue until fifteen minutes later, his sexy neighbor walked outside in her skimpy bikini.

Mobutu grinned and returned downstairs. He took a joint from his wallet and lit it. He hated the stuff, but Mama Juju swore on it for clouding people's judgement. He decided to just fill his mouth up with smoke and not inhale. He blew one mouthful on the doll and pinched the joint to extinguish it. He then removed the dolls top. before returning upstairs to his window.
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Wendy didn't know what she was thinking as she removed her bikini top. She had alway wanted an all around tan, but today it was so cloudy she'd probably have been better off staying inside and doing errands. Still, she had gotten a strong urge to lay out and then to take her top off. She wasn't an exhibitionist either, the skimpy bikini was only for the backyard, she had a modest two piece for wearing in public. She hadn't feared anyone seeing her in this bikini until Dr Tanaka bought the house next door.

Thinking about the black man conjured memories of seeing him nude last week, his huge appendage starting to rise. It was an image forever frozen in her brain. His penis was just something to be admired, she'd never relax with a black man, or any man other then her husband for that matter. She even felt sorry for the black doctor, though he bragged about it, there was no way any woman could have taken his monster coc...penis. Unless, Masai women were built differently?

Now, here she was removing her bikini top when the doctor might be home and able to see her. She hadn't seen much of him since the incident and not at all this day, so she decided to risk it. Strange, but it felt good exposing herself outside. She'd have to consider going topless the next time they were in the Carribean. The white areas normally covered by the bikini stood out against her tan skin.

Wendy laid back and closed her eyes for several minutes, opening them suddenly. She looked down her topless body at the bikini bottom. Why not? Her hand untied the string at her side and she lifted her ass up long enough to pull her panties completely off exposing her trimmed blonde bush to the world.

She closed her eyes again, exposing herself had her thinking about sex, mostly her husband, but her neighbor's penis flashed in her thoughts more then once. Her right nipple grew until it extended it's full three quarters of an inch. She opened her eyes staring at her nipple. It was so hard it ached a little and sweat glistened on it making it look wet. Then her left nipple followed suit and she felt herself becoming aroused.

*******************

Mobutu stood in the window with the nude Barbie in his hand. He quit licking it's nipples and moved to it's crotch. Outside, Wendy began squirming on the cot. The nude woman parted her legs then swiftly closed them. She quickly stood up, grabbed her bikini and ran into the house.

He assumed she would be masturbating. He returnned to the doll house and played around with the Barbie and Ken, putting them in different positions. He bent Barbie's legs and put her face in Ken's laps, put them in the sixtynine position, bent her legs forward so that he could sit her on Ken's crotch, and bent her so that it resemred doggy style. Every now and then he took the Barbie and licked it's breasts and crotch. Finally, he dressed Barbie in just her bikini bottoms and left her in the house.

Stan got home just after dark when it was safe for the black man to sneak back into their yard. Wendy was standing in the kitchen window topless washing dishes and her husband was staring at her in awe with a dumb grin on his face.

Mobutu returned home and grabbed both dolls. When he got back to thier yard, he drew an erection on Ken, though it wasn't necessary, Stan already had an inferior bulge in his pants. Mobutu held Barbie's head in Ken's crotch, and watched.

Wendy turned from the dishes and walked over to her husband. "God, I'm glad your home." She dropped to her knees on the kitchen floor and carressed his bulge. "I've been so horny all day. I don't know whats come over me." Wendy quickly unzipped her husband and pulled out his dick, happy to see he had another big erection like last week. It looked good enough to eat and for the first time in her life she leaned forward and took him in her mouth. "Holy cuckolds brownie," he said startled. "You haven't done this before."

Wendy was just starting to bob her head over it when Mobutu erased the erection. "What's wrong, don't you like it?' she asked letting his limp penis roll from her mouth.

"No, it felt great. I don't know what happened. It was there and then it was gone." "Lets go upstairs and see if I can get it to come back." Wendy grabbed his hand and pulled her husband upstairs.

Mobutu climbed the tree and watched as she stripped off his clothes and pulled him into bed after turning out the lights. He drew another erection on Ken and heard her coo in delight. A few minutes later, "Yeah baby," moaned Wendy. "Harder, harder, just a lttle more, I'm close baby, real close," and then "Nooo, please not again," as Mobutu smeared out the erection.

Mobutu left the tree and returned home. He drew a limp, shriveled penis on Ken and placed him on the bed in the doll house. He waited until it was late and he assumed the couple next door would be arelax. He took Barbie and licked her breasts and crotch again before laying her in bed beside Ken. He took the black Ken and placed it on top of Barbie.

*****************

Wendy woke up with a start, the dream rapidly fading. She couldn't remember it, but it was hot. Stan was in the bathroom. "Honey, come back to bed."

Stan walked back into the room wearing boxers which was odd since he usually walked around nude until dressing. "We can't Wendy, we'll be late for church."

Wendy sighed. "Maybe when we get back then?"

"We'll see."

Wendy was so hot and bothered, she couldn't concentrate on the sermon. Her nipples were hard and rubbing against her bra. She squirmed in her seat hoping the preacher would hurry and finish before her wet pussy soaked through her clothes and stained the pew. She had a strong desire to kneel before her husband and suck on his penis again.

When they got home, Wendy thought she saw the curtains move in Dr Tanaka's house as if he was watching them. She forgot about the black man as she entered their living room when Stan suddenly said, "Hey, you still up for some afternoon fun?"

Wendy looked over at him and saw his pants were tented out. With a squeal of delight, she kneeled at his feet and pulled out his rock hard erection, taking him back in her mouth. Then it was gone, his penis withering into a limp little worm within seconds.

His huge cock was hard in her mouth, pushing into her throat and Wendy loved it. She looked up, but it wasn't Stan who was looking down at her. It was Dr Tanaka. She gasped in horror.

"Jesus, I'm sorry, but you don't have to make such a big deal over it." Stan was shaking her. "Maybe, it's stress. If this keeps up, I'll see a doctor. Trust me Wendy, it's not you, it's me."

"I'm sorry too," she said climbing to her feet. The image of kneeling before the black man wouldn't leave her mind. It stayed with her all day and into her dreams. Her dreams changed though, sometimes she was on all fours as the black man fucked her from behind, sometimes she was riding his mighty cock, and all the while, Stan was lying beside her in the bed with a limp dick seemingly frozen, doing nothing to stop them.

She had these dreams every night, Mobutu completely replaced her husband in her sex fantacies. Worse, several times a day, her nipples would grow and her pussy would get wet. Stan made no sexual moves on her at all and when she glimpsed him naked, his dick was always small and limp.

*****************

On Saturday, Mobutu placed the topless Barbie back on the cot outside the doll house and waited for Wendy to show up. This time she walked out without even bothering to wear the bikini top. He placed a naked black Ken beside her and blew marijuana smoke at the Barbie doll to cloud her judgement.

Mobutu put on the loincloth and walked next door. "May I join you?" he called.

Wendy jumped as he had startled her and held her arms across her breasts. "I don't think that's wise."

"I just want some conversation. I appologize for my behaviour previously. I was just startled by your beauty."

"Well ok then, but let me go get my top."

"Don't bother. Masai women do not cover their breasts. My people are much more comfortable with nudity. I will join you if it helps." Mobutu removed his loin cloth and laid next to her cot in the grass staring up a the sun. He was pleased to see her gaze focusing on his crotch and soon she became comfortable enough to show him her breasts. "This is nice," he said, "to lay here and not worry about cobras and mambas and lions."

"Your home sounds fascinating."

"It is."

She looked at his cock, plump and half-erect. "May I ask you a medical question?"

"Certainly."

"Do you know anything about impotence?"

"Your husband?"

She hesitated. "Yes, he's been acting weird. Occasionaly he will get an erection, but then it's gone and most of the time it doesn't stir." She sobbed a little with frustration.

"Did this start around the time I moved here?"

"Yes, I think so, but what does that have to do with it?"

"Your husband is intimidated by me."

"I find that hard to believe."

"I could be wrong, but I've seen it before. A weak man when confronted by a superior male often becomes impotent. He imagines his woman with the superior male fucking her with his superior cock like the wimp never could."

Ugh, there was that word again. Strangely, cock seemed to apply more to Mobutu's long snake-like penis.

"It has happened to me before, the woman becomes infatuated with me and the husband becomes incapable of interfering."

"I don't think that's the problem," she replied sarcastically, though the fact that she had been dreaming about the doctor scared her.

"I've offended you. I should go." He stood up near her head so that she was looking up the long dangling cock.

"Yes, I think you should." She couldn't take her eyes off his cock and wondered what it would look like fully erect.

Mobutu bowed and walked naked back to his house. He grabbed Barbie and black Ken, taking them to his vantage point upstairs. He held Barbie up to his face and licked her crotch, watching as Wendy jumped on the cot and started squirming. He quit and placed the black doll's head on her crotch and watched.

On the cot, Wendy parted her legs and thrashed her head back and forth. She was staring at his house as if afraid or hoping he would come out. Her hips were thrusting slightly and her hand would wander down to her pussy only to jerk back as she realized what she was doing. Suddenly, her back arched and her mouth opened as she came. Once again, she hurried back inside her house. Mobutu grinned then rubbed his jaw. It was sore as black Ken had power over him also
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All week Wendy played with herself imagining she was with the black man and dreaming about him at night. She was starting to wonder if she could resist him, the images were becoming so vivid and she was so horny. She hadn't even seen a short erection on her husband this week.

Friday night she awoke in a sweat from a particularily powerful dream. She feared she was drowning and had a funny taste in her mouth. All she could remember of the dream was that it involved sucking off Tanaka. She played with herself while Stan snored beside her wondering if the doctor would come talk to her again when she laid out the next day.

*******************

Mobutu squeezed the last of his sperm out of his cock and looked at the cum splattered Barbie. His balls had stored up a lot since he last had sex and the doll was covered. Tomorrow he thought, she would be ready.

The next day he stripped Barbie and black Ken placing them outside the doll house together. Barbie sat on the cot with her face in the black doll's crotch.

******************

Wendy walked completely nude out to her cot without giving it a second thought. It wasn't long at all before the black man walked out his back door wearing his loincloth. He didn't even ask to join her, just assuming she'd let him. He jumped over the fence and walked over to her.

"I thought we could talk some more," said Mobutu letting the loincloth fall down so that his cock swayed seductively before her face. The cock she fantasized about constantly, her gaze focused on it and she licked her lips. "I see the way you stare at my superior black cock. Would you like to touch it?"

She wanted to do more then touch it, but she just nodded and reached out one hand to caress his shaft and another to heft his balls. Just touching it sent a jolt of pleasure through her body. Her pleasure grew as his cock grew. The monster extended several inches and swelled, rising ponderously until it pointed directly at her mouth as if comanding her to suck it. It truly was over a foot long and as thick as her wrist.

"Isn't it magnificent?" he asked.

"Yes," said Wendy completely enthralled with the huge, dark black cock. "I've never seen anything like it in all my life."

"Now you see why your husband has been feeling inferior."

"Yes, I think I understand. Your cock is twice as big as his penis." Wendy wanted to take him in her mouth, but needed permission since he was royalty. She leaned forward and kissed the bulbous head directly on his pee-slit. She kept her lips on it and looked up at him.

"You may service my cock with your mouth if you desire."

Wendy felt a surge of pleasure and she quickly parted her lips taking the head inside her mouth, feeling complete for the first time in weeks. It was as if she belonged here, naked at his feet, slurping on his black scepter of power. Weeks ago, she wouldn't have done this for Stan, now she was willingly sucking on her arrogant black neighbor's thirteen inch cock. It was a shame, Stan's performance had been so disappointing, he would have been good practice for Dr Tanaka's cock.

Wendy took her mouth off the head to lubricate it better. She began with the tip, running her tongue all around the head, then down the shaft. He grabbed the tip and held it up for her, thrusting his balls in her face. She licked those too, amazed at how big they were.

Wendy kissed her way back up to the end and took it in her mouth again. She hadn't even taken a quarter of his cock in her mouth when it pushed into her throat and she gagged. She relaxed her throat and tried a little at a time managing half his cock. She decided to go with that and started rapidly bobbing her head while jerking the rest with both her hands. Despite her enthusiasm, he lasted a long time, almost outlasting her strength.

He came with little warning other then the fact that his cock seemed even bigger now then it had just minutes earlier. His cock seemed to be doing push-ups in her throat, then she realized he was cumming directly into her belly. Horrified at the thought of swallowing sperm, she backed up feeling it pouring down her throat, then it was in her mouth and she could taste it. It was one of the most delicious things she had ever put in her mouth. Her cheeks bulged out and sperm dribred out the sides of her mouth as she gulped and he still wasn;t done cumming. More rolled around her tongue before sliding down her throat and she jerked his cock off with one hand making sure every drop was in her mouth, but suddenly she screamed in orgasm and lost control getting one last splatter of hot cum across the face.

Confused, Wendy looked down to see what had made her orgasm and saw her free hand frantically rubbing her clit. After cumming, the guilt hit her and she fell back from his still hard cock in horror. "What have I done? Please tell me this was all a dream? My god, Stan..."

"Is a weakling, but I understand. It was a mistake, you could not help yourself. Masai cock is hard to resist. I will not go naked before you anymore, but your cock sucking s*******s were impressive and I will let you service me anytime you desire."

Wendy watched him leave then ran into her house crying. The guilt didn't last long. By the end of the weekend, she knew she both loved and prefered sucking black cock. She wanted to do it again.

*****************

Barbie sat in a chair all weekend staring at a piece of paper with writing on it that said: I want to suck more black cock, I want to eat more cum, I wish I could swallow his entire cock, I love sucking Mobutu's cock, and My husband is a wimp who can never satisfy my need for superior black cock.

Mobutu didn't move the doll until he got back from class on Monday. Then he stripped it and placed it kneeling at black Ken's feet, blowing some marijuana smoke at them just to be on the safe side.

He watched through a window as Wendy got home from work wearing another skirt and jacket. She stared at his house and she walked into her own. His doorbell rang ten minutes later. He opened his door to find a confused looking Wendy standing before him wearing a robe. She looked nervous, like she didn't know quite what to say. "P-please your h-highness, I'd like to suck on your c-cock again."

"Is this wise? I don't want you to do it if your going to regret it again."

"I won't regret it. I have to do it again. I promise I will do better. I only have an hour until Stan is home."

"Then you may." Mobutu walked over to his couch and sat down spreading his legs open. "Remove the robe and crawl to me."

Wendy dropped the robe, she was nude underneath and fell to her knees. She crawled over to him, her mouth watering at the thought of sucking him off again. "May I remove your cock your highness?" she asked when she arrived between his legs.

"You may and I want you to tell me what you think of my cock as you do."

Wendy's hands fumred with the buttons, opening his pants and pulling the zipper down. "I want to suck on your cock so bad. I was afraid I'd never see it again. Oh yes," she said when her hand closed around it and she pulled it out of his pants. "I love your black cock your highness."

"You may proceed then."

Wendy attacked his cock, quickly licking it before taking it back in her mouth. She managed another inch today before he came and she swallowed every drop. Nor did she quit there, she kept him in her mouth clamping her lips around the head and tugging on it until he turned hard again. Wendy had just swallowed his second load when she realized the time and ran home with her robe untied and flapping behind her. She made it inside just before Stan got home. Mobutu watched all this from his window grinning.

He kept the Barbie in the chair staring at the words all week not even bothering to kneel her before the black doll. Wendy came over every day after work and blew him, often swallowing several loads of cum before running home. By the end of the week, her lips were kissing his pubic hair, she had swallowed his entire shaft. "You love it in your mouth so much, imagine how it will feel in your pussy," he said as she ran out the door on Friday night.

Stan never knew why he got nothing but tv dinners and pizza that week, nor why she didn't eat much with him saying she wasn't hungry.

********************

Wendy had a rough night. "Imagine how it will feel in your pussy?" echoed through her brain. She tossed and turned in her relax alternately riding Mobutu's black cock, being crushed beneath his weight, or kneeling before him being fucked doggy style. The dreams moved to every room of her house. She was on the kitchen table, she was bent over the couch, everywhere she was fucking Mobutu.

Wendy actually had an orgasm in her relax just dreaming about it. She awoke towards dawn, breathing heavy, her body completely aroused. Her pussy was soaked with arousal and a little sore. She had dreamed Mobutu had emptied his balls into her waiting pussy.

*****************

Mobutu woke up and showered. He waited for Stan to leave and *******ed time by writing more commands for Barbie to stare at. He finished and cleaned Barbie off. The doll laid on her back with it's legs bent upwards. Mobutu had stabbed a hole in the crotch and masturbated on it again making sure plenty of sperm had poured inside the doll.

He took black Ken and laid it naked on the cot. Then he drew a baby on Barbie's belly and colored it black with the marker before sitting the Barbie astride black Ken.

*****************

Wendy walked out into her yard naked, she no longer even bothered with her bikini. Mobutu was lying naked on her cot sunning himself. She had just been fantacizing about riding his cock in just that position. Could this strange black man read minds? Did he know how bad she wanted to fuck him?

"I hope you don't mind Wendy. I saw Stan leave and thought I'd get an early start."

"No, I don't mind."

"You may suck on my cock."

"Actually, I was wondering if you'd let me try it in my pussy. I know it's too big to fit, but I'd like to try."

"I have never met a woman who can't handle my cock, though all are nervous at first. You may both fuck and suck me off. The royal family has been bred to orgasm more then ten times a day. We can fuck all day if it pleases you."

He talked like he had been with hundreds of women, the thought of which would of disgusted her if she wasn't so hot for his cock. "It pleases me," she said dropping between his legs.

Wendy sucked him until his cock was rock hard and glistening. She was reluctant to remove it from her mouth, her belly growling with hunger, but her pussy craved it more. Giving no thought at all to the fact she was unprotected, Wendy stood over his crotch, held his cock up and poised it on her labia, a place untouched by any man, but her husband until now. Closing her eyes, she lowered herself, feeling her labia part around the big cock head and it kept parting, stretching wider then it ever had before. Just when she thought it would rip her apart, the head entered her all the way.

Wendy stayed frozen squatting over the cot letting her body get used to him. She looked at Mobutu's grinning face, then down his muscular chest. She could just see the base of his cock between her breasts. His shaft was glistening as fluid flowed down it, soaking his crotch. Her pussy was lubricating it, making it easier for her. She hadn't know she could get this wet. She circled her hips around his cock head and lowered herself some more.

She felt stuffed full after five inches, the thickness filling her as much as her husband's entire, much skinnier penis. Her pussy was gripping his shaft tightly, spasming occassionaly as it continued to get wet. She was breathing heavy when she hit the half-way mark, the pee-slit just teasing areas deep in her and previously untouched. It was starting to feel good, real good.

Wendy needed to cum and started flexing her legs, raising and lowering herself along his cock, taking a little more as she got used to it. The orgasm came quickly and was unlike anything she had ever experienced. The one her husband had given her weeks ago was like comparing a firecracker to a stick of dynamite. "OH YESSS," she screamed loud enough her other neighbors might have heard her. The orgasm almost made her pass out, it curled her toes and made her legs go weak, so weak they couldn't hold her up anymore. She collapsed, impaling herself on the rest of Mobutu's cock. The shock she felt from all the pleasure and pain it gave her did make her pass out.

When she recovered the pain was gone. Mobutu was kissing her lips. She had collapsed forwards, her breasts mashing against his muscled chest. Her pussy had contoured itself around his entire cock. She could feel every ridge, vein, and bump. A thick vein ran the length of his shaft and it pulsed with each beat of his heart. Each pulse sent a spasm of pleasure throughout her body. Her heart was racing and she was filled with a sense of joy. This was were she belonged.

Mobutu cupped her ass with his strong hands and lifted her a little, begining to buck his hips while kissing her. Wendy arched her back as she came again. She took over riding him to orgasm after orgasm. They grew stronger when he leaned up and took one of her thick nipples between his lips.

Wendy rode him until her leg muscles got sore. "Do you realize what a great honor you are about to recieve," the black man asked grunting occassionally.

"I do," she said and the hose in her pussy exploded. His cum was so strong, she felt it would throw her off him like she was sitting on a geyser. Her mind was exagerating of course, but it still felt powerful. Wendy came with each wad that shot out of his cock and she collapsed again.

She came to her senses lying in the grass on her back. Mobutu was still lying on the cot. His cum crusted cock rested across his thigh, soft, but still long and plump. "That was incredible," she said staring up a him with a look of worship on her face.

"Come clean my cock off," said Mobutu. Wendy crawled to him and took his dirty cock in her mouth, it quickly turned hard again and she deep throated him until he filled her belly with his hot sperm.

He didnt cum ten times like he had bragged, but they fucked three more times after she blew him. By the time she went inside before Stan got home, her knees were grass stained and grass stuck in her sperm covered body.

Wendy wanted him again on Sunday, but there was no opportunity. By Monday, she was so cock-crazy, she left work early and was waiting on Dr Tanaka's steps when he got back from class. Wendy fucked him in his bed for as long as she dared before Stan got home. She was starting to resent her husband. He was keeping her from Mobutu's cock.

Wednesday night, Wendy woke up from another powerful dream. She was covered in sweat and now she craved his cock in her ass. Her butt-hole even stung a little and she was so sweaty, it felt like she had cum in her ass. What was happening to her? First she had sucked him off, then commited adultery, now she wanted him to sodomize her. Wendy played with herself before going back to relax. This time she used her free hand to stick a finger in her ass.
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Fin



Mobutu made sure plenty of his sperm ran into the new hole he had poked in the doll's ass. He then sat the doll back down in the chair staring at the paper with the following commands:

I am a slut for black cock. My body belongs to Mobutu, he is my master. He can put his cock anywhere. It pleases me to serve him.

******************

The pain made Wendy happy. Some of the tissue in her ass had ripped, but it meant she was one step closer to getting her ass fucked. Mobutu grunted and pushed the entire head in stretching her anus out even more. "D-don't waste time your highness," she groaned. "Push it in, I can take it."

Mobutu pulled back and thrust forward. She took about eight inches before it wedged. Wendy screamed, bucking, trying to get away from his spear, tears rolling down her eyes as Mobutu kept a firm grip on her waist.

She calmed down after a few minutes, but still sobbed. "Do you want me to pull out?" he asked.

"No master, I want you to fuck my ass." Wendy didn't know where "master" had come from, but it was appropriate. Mobutu started to move, starting slow, but picking up pace. "Fuck me master, fuck my ass. Give me that black cock." Wendy continued to babble the whole time he fucked her. Towards the end, it actually started to feel good and she looked forward to when her ass was permanately stretched out to accomodate him. His cum was like a soothing balm coating her sore insides as it swelled up to fill the vacuum left by his deflating cock.

*******************

"Greetings Stan, I thought I would pay a neighborly visit."

"That's Mr Marsh, your highness," said Stan sarcastically.

"Of course, Mr Marsh," said Mobutu stepping inside."

Wendy walked into the room and Stan was confused by the way his wife's face lit up when she saw the arrogant black man. "Dr Tanaka, what a pleasant surprise."

"Is there something going on here, that I don't know about?"

"I have come again to offer you ten thousand dollars in exchange for your wife."

"That's it ass-hole get the fuck out of my house," screamed Stan.

"Honey," interupted Wendy. "I suggest you accept Dr Tanaka's generous offer."

"Huh?"

"Yes, Mr Marsh. My offer is generous. That kind of money is worth a lot of cattle to the Masai. I have fucked your wife all week. She is no longer happy with your pathetic white man's penis. She is hooked on black cock."

Stan felt weak and the color drained from his face. Wendy hadn't contradicted the black man. "H-honey, is this true?"

"Yes, Stan. I have sucked, fucked, and taken his superior black cock up my ass. You will never satisfy me now. I'm hooked on his giant black cock, it's all I think about now."

"Think about it Mr Marsh. I need to go home and make a quick call. When I come back, I am going to fuck your wife in your marital bed."

This was all too much for Stan, his legs gave out and he fell to the floor with shock. Wendy ran upstairs and he followed. She was actually primping herself. She put on some make-up and brushed her hair before stripping and lying on the bed. He heard Mobutu slam the door as he returned.

"Wendy, I don't want you to do this."

"I have to Stan, it's what I was born to do."

"If you love me, you'll end this now."

Wendy just smiled sympathetically at him and sat up on the bed as Mobutu entered the bedroom. She thrust her breasts out prominately as if posing for the black man. Mobutu was already half-naked, like he had started stripping climbing the stairs. Stan's wife reached up, pulling open his already unbuttoned pants. "Wendy stop," he yelled at her then, "dear god." Wendy was holding what looked like a black python in her hand. The black man's cock was huge, he hadn't been lying when he said it was thirteen inches.

Stan had been harboring ***ous thoughts in his mind. There was a loaded gun in his dresser. He seriously considered getting it and putting a bullet into both of them, but he wasn't really a violent man. Instead, as Wendy wrapped her lips around the black man's cock, Stan's dick got hard.

His penis became uncomfortable and he was powerd to remove it, then touch it, soon he was stroking it as he watched his lovely wife deep throat the black man's impossibly large cock.

Later, Stan swore his wife jerked her head back from the power of the black man's orgasm. Sperm poured out of her mouth as Mobutu's large load overflowed it. Stan started sobbing as he looked away, finding himself looking at his own cum drying and flaking on his abdomen. His orgasm was pathetic compared to the one the black man had just emptied into Wendy's mouth. "Look master, my husband has his little worm in his hand."

The black man just grinned at Stan and moved between Wendy's legs. Soon Wendy was screaming with pleasure and speaking profanity as Mobutu pounded her pussy with his cock. Stan's own dick had never gone down and he found himself stroking it again, cumming long before the black man. Mobutu was kneeling between Wendy's legs with her legs in his arms. The position provided Stan with a disgusting view of the black cock pistoning in and out of Wendy's pussy.

Stan came a few more times, his penis never deflating. He watched sperm pour out of Wendy's pussy. He watched Mobutu order her on all fours before the black Masai fucked her for a while doggy style, then pushed his cock into her ass. Stan couldn't help noticing the ease in which she recieved it.

Mobutu finally left early in the morning leaving Stan staring at his wife's prone form. Stan went over to the dresser and was reaching for his gun when his legs suddenly turned weak and his erection finally disappeared. He walked on his knees and placed his face in Wendy's sperm soaked pussy. He began eating her with gusto.

For the next two weeks, Stan slept on the couch while Mobutu took over his marital bed. When the black man left in the morning, Stan would crawl between his wife's legs and suck Mobutu's sperm out of her pussy. He lied to himself thinking he was doing this to keep her from getting pregnant, but knowing billions of sperm were assaulting her womb every day. Secretly he enjoyed doing it.

The last time he ate her out, she jumped up with a start and ran to the bathroom throwing up. She immediately called Mobutu and ran next door.

*****************

Mobutu escorted the pregnant woman out of the clinic. Wendy was beaming and constantly running her hand across her belly. This was what she wanted, not to be a lawyer, but to have dozens of black babies. "Where are we going?" she asked as they got in the limo.

"To the airport," Mobutu said to the Kenyan driver. "Call and have the jet readied."

Many black Africans helped Wendy aboard the jet, smiling at her. Mobutu turned to the limo driver and said something strange, "I need you to go to my house and burn what you find in the den. Do you understand?"

The driver nodded and bowed. Minutes later the lear jet took off into the sky bound for Africa.

Unfortunatly, the driver decided to stop for lunch before carrying out Mobutu's orders.

*****************

Mobutu in his haste to get to the clinic had bumped into the dollhouse and knocked white Ken from it's spot between Barbie's legs. Stan's ***ous thoughts returned as soon as he saw the limo pull out of Dr Tanaka's driveway. Stan was no dummy, he knew his wife was probably pregnant. He grabbed his gun and walked over to Mubutu's house. He planned to wait for the limo to return and then shoot the couple as they entered the house. He broke the glass on the sliding door and walked into the house. Hie eyes falling on the dollhouse as he passed through the den.

Stan couldn't believe his eyes. The Ken doll laying on the floor, the slutty sayings written on paper in the rooms, the black Ken lying nearby. The sperm-crusted Barbie lying on the bed with holes poked in her crotch and ass. Stan was a skeptic, barely believing in god, only going to church for Wendy, but this looked for the world like a set of voodoo dolls.

He picked up Ken and examined it, seeing the little hair stuck in glue on the dolls crotch. He pulled it off, and immediately felt a strange since of relief come over him. He picked up Barbie, noticing she had the glued hair also as well as a black baby drawn on her belly. He ripped her hair out too.

Stan picked up the black Ken. He was reaching for the hair when instead his hand moved up to the doll's head. With a sudden jerk he turned the head around backwards and dropped the doll on the floor.

*****************

It was ruled a freak accident. Guards burst into the private room when the girl screamed. She was kneeling beside Prince Mobutu's prone form. His cock was hard and glistened with her saliva. However, the shaman's head was bent awkwardly backwards and his shallow breathing faded to nothing. The jet made an emergency landing in the Canary Islands.

Wendy was given the death penalty in Kenya for being alone with Mobutu when he fell and broke his neck, but King Usawe stayed the execution and took the white woman as one of his wives. Mobutu's mister was given to the tribe to raise as it's new shaman. Wendy bore Usawe many youngren as she and the King's five other wives tried to keep his carnal needs satisfied. She still lives in Kenya.

THE END
chrislebo

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#18 · Edited by: chrislebo
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A la botte de ses élèves



CHAPITRE 1

Kurt concocta mister plan pendant plusieurs semaines.

Il en avait eu l'idée initiale en regardant "Vos vidéos" un site Internet qui publiait des petites vidéos prises par des élèves sur leurs portables présentant des enseignants de différents niveaux perdant leur contrôle devant des étudiants turbulents.

Kurt et ses amis, Léo, Rod et Jake, trouvaient ces petits films extrême-ment marrants et brûlaient d'en faire autant.

Puis ils trouvèrent de plus en plus de vidéos représentant des profs déambulant de le campus ou grimpant dans leurs voitures.

Très ennuyeux, mais cela fit penser Kurt à madame Fine, sa prof d'an-glais.

Madame Fine avait longtemps été un sex-symbol pour ses étudiants de 18 ans et plus, chaque année des classes renouvelées bavaient de convoitise pendant 7 mois sur ses charmes qu'elle exposait en paradant dans la classe.

Une adorable petite prof, mariée et mère d'enfant qui portait ses cheveux bruns courts et avaient de longues jambes de rêves, c'était une des femmes les sexy, les plus classieuses que puisse imaginer Kurt.

Quelque profs plus jeunes avaient de plus grosses poitrines, mais elle respirait l'élégance et la sensualité comme aucune femme de l'établis-sement.

Kurt se masturbait souvent en évoquant de sordides aventures avec cette prof qu'en rêve, il traitait comme une pute.

Kurt et ses amis ne faisaient pas partie des meilleurs élèves, en fait ils accumulaient les consignes, les mauvaises notes, les actes d'insubordi-nation, et autres méfaits aux yeux de l'université.

Depuis leurs tendres années ils s'encourageaient les uns les autres se poussant à commettre méfaits sur méfaits.

D'une manière ou d'une autre ils devaient être diplômés au printemps, mais leur comportement individuel et collectif, leurs constantes insolences et insubordinations avaient braqué des dizaines de profs et d'administrateurs, chaque année ils leur avaient monter la tension artérielle et ils prenaient plaisir à les vexer en cours.

Quelqu'un avait commis l'erreur de les placer tous quatre dans la même classe, avec d'autres mauvais éléments dans une classe d'aînés dont madame Fine était la prof principale.

Kurt pensait qu'il n'y avait pas grand risque quand il a commencé à filmer madame Fine, sur mister portable, pendant ses heures de classe.

Une fois obtenu plusieurs rushs de ses jambes et de sa poitrine, il se fit plus hardi la suivant dans le couloir pour filmer sa démarche chaloupée, elle portait un chemisier échancré et, lorsqu'elle se penchait pour aider un de ses élèves, on apercevait le liseré de mister soutien gorge blanc.

Bientôt Kurt posséda un nombre important de rushs de sa prof favorite, sur lesquels il se branlait.

Bien sur il montrait ses vidéos à ses potes qui convoitaient tous la somp-tueuse madame Fine.

Un jour Jake suggéra de publier les rushs les plus érotiques sur le site "Vos vidéos" pour les partager avec tout le monde.

- "J'y pensais justement ....." répliqua Kurt à Jake et ses copains. ... Mais c''n serait fini si l'on se faisait pincer ...... Pourquoi mettre fin à une opération si plaisante?..... Je suis en train de chercher com-ment filmer ses petites culottes ...."

- "Nous pourrions la faire chanter si on détenait des vidéos de ses fesses juste couvertes d'une affriolante petite culotte.!..... On la menacerait de déposer la vidéo sur "Vos vidéos" si elle refusait de nous obéir!....." suggéra alors Léo qui avait le niveau le plus bas en anglais.

Cette même nuit, Kurt se branla à nouveau en regardant les vidéos de madame Fine, il repensait à ce que lui avait suggéré Léo.

- "Si seulement il parvenait à filmer madame Fine dans des situations embarrassantes!.... Succomberait-elle à un chantage?......"

C'était bien joli tout ça et surtout risqué mais l'idée lui plaisait, il ne parvenait pas l'effacer de mister esprit, il se pourlécha les babines les jours suivant à l'idée d'exercer un chantage sexuel sur la ravissante madame Fine, il l'obligerait à se livrer à des actes salaces, à lui faire des cajoleries!

Bientôt ses fantasmes débouchèrent sur un plan construit.

- "Si seulement on pouvait la pousser à faire quelque chose qui la déconsidérerait!....." Proposa Kurt à ses 3 copains.

- "Nous avons emmerdé quantité de profs au cours des années, et ils régissaient parfois de manière totalement inconsidérée; ...."

- "On pourrait la pousser à gifler un de ses élèves ou quelque chose dans ce genre!...."

- "Je ne pense pas que madame Fine puisse en venir un jour à gifler un de ses élèves!....."

- "Ce n'est pas vraiment une peau de vache, mais elle tient bien en mains ses classes ...."

- "Elle n'est pas née de la dernière pluie!...."

- "Elle ne se contrôle pas tout le temps!.... » insista Jake. "Je l'ai dé-ja vue perdre mister sang froid!..... »

- - «Si on parvient à la pousser à bout, elle est à nous!... » se marra Kurt jubilant à cette idée."

- "Parfois, elle part comme une fusée!....."

Kurt pensait qu'il n'y avait pas une chance sur mille pour que cela mar-che, mais, quelques jours plus tard alors qu'ils avaient été particulièrement perturbateurs, elle laissa partir nombre d'élèves à la misternerie de la cloche mais en retint un petite douzaine.

Ils étaient assis face à leur prof courroucée, rouge de colère, elle les en-gueula assez longuement les menaçant de leur mettre une consigne - Kurt filmait discrètement la scène.

Rod qui était assis au premier rang, face à la prof vociférante savait que Kurt filmait l'algarade, cette scène répondait à leurs espoirs les plus se-crets, il décida alors d'exaspérer la prof.

Il commença par lui sourire ironiquement tenant un discours d'une rare arrogance qui renforça encore la fureur de madame Fine.

Son teint vira au cramoisi lorsqu'elle réalisa qu'elle ne les intimidait pas le moins du monde et que Rod se payait allégrement sa tête.

Rod avait posé la main sur sa fourche et se caressait lentement la bite au travers de mister jean jusqu'à bander comme un âne, il se passait la langue sur les lèvres en un signe non équivoque, d'une rare grossièreté.

Kurt ne pouvait pas filmer mister attitude, mais madame Fine savait pertinemment que c'était une provocation d'ordre sexuel, et comme il ouvrait la bouche en grand tortillant sa langue pour évoquer une caresse sexuelle buccale elle perdit mister self-control et le gifla de toutes ses powers.

- "Tu n'es qu'un sale bâtard!...." lui jeta-t-elle ce faisant.

Léo et Jake rire discrètement.

Kurt en fit de même, mais il se concentrait sur la scène qu'il filmait, ne voulant pas laisser échapper un détail de la fureur de cette prof expéri-mentée s'en prenant physiquement à un de ses élèves.

- "Fichez moi le camp!...... Dehors!...... Vous n'êtes que des petites merdes ...." hurlait madame Fine hors d'elle.

Ils se levèrent d'un même mouvement et se dirigèrent rapidement la porte, déjà madame Fine avait repris ses esprits et s'excusait auprès de Rod

- "Je suis désolée de t'avoir giflé Rod, mais tu m'as exaspéré ..." marmotta-t-elle sourdement.

- "Tu vas t'en mordre les doigts ...." ricana Rod en franchissant la porte.

CHAPITRE 2

C'était trop beau pour être vrai, pensait Kurt, alors qu'il téléchargeait la séquence sur mister Pc et la visionnait.

- "Je vais affoler madame Fine avec ce clip!..... Un clip o* on la voit invectiver et frapper un de ses élèves!..... Qui de plus semble assis silencieux et passif, face çà elle!....." Kurt était décidé à lui mettre le feu.

Mais qu'allait-il en faire?

Depuis qu'il avait eu affaire à d'autres profs tout au long ce l'année, Kurt avait développé un profond sentiment d'amour/haine à l'égard de ma dame Fine ... C'aurait pu être une salope anonyme, juste un visage dé-testé, mais il en était amoureux!....

Il pouvait la faire chanter!...... Lui extorquer de l'argent!..... De bonne notes!......

Elle paraissait chaude!...... Peut-être bien que ses sens la titillaient?.....

Kurt développa ses pensées et les confronta à celles de ses copains.

Le soir même, utilisant un pseudonyme anonyme il envoya un message sur sa boite mail avec un clip extrait des rushs filmés en classe et un commentaire énigmatique.

- "Madame Fine regardez bien ce clip et n'en dite rien à permisterne, je vous recontacterai "......."

Kurt patienta une paire de jours, assez longtemps pour être sur que ma-dame Fine avait ouvert sa boite aux lettres et visionnait mister premier en-voi.

Il lui envoya un nouveau message

- "As-tu apprécié ce clip?......Aimerais-tu qu'on l'envoie sur "Vos Vi-déos" ... Réponds moi par oui on non!....."

Tard dans la nuit, Kurt jeta un oeil sur sa boite aux lettres, mister coeur bondit lorsqu'il vit que madame Fine lui avait répondu.

Sa réponse était brève mais claire!

- « Non ..... Je vous en prie ..... Ne montrez cela à permisterne!.... Je suis désolée que cela ait pu arriver!...."

Kurt lui retourna une réponse menaçante.

- "Nous savons tous que cette vidéo ruinerait ta vie si on la diffusait, n'est ce pas?.... Tu pourrais te chercher un autre boulot!..... Inutile d'argumenter!....."

Quelques instants plus tard, une nouvelle réponse de sa prof d'anglais lui parvint.

- "Que me voulez vous?...."

- "Tout d'abord que tu nous donnes des notes au dessus de la moyenne ...."

- "Qui êtes vous?...... A qui dois je mettre de bonnes notes?......"

Voulait-elle se plier à leur chantage ou seulement connaître leurs noms se demandait Kurt

- "Tu ne sauras pas pour l'instant qui nous sommes, bien que tu doi-ves le suspecter, sans en être sûre!...."

- "Ce semestre tu mettras de bonne notes à tous tes élèves!...."

Les mails se succédaient rapidement, puis il y eut une pause, Kurt déci-da de se coucher, mais il se releva deux heures plus tard et ouvrit à nouveau sa boite aux lettres. Il y trouva un nouveau massage de sa vic-time.

- "Que voulez vous d'autre?..... De l'argent?....."

- "L'argent ne nous intéresse pas!...... Possèdes tu un string?....."

Pas de réponse. Kurt renvoya un message une demi heure plus tard.

- "Tu ferais mieux de me répondre!..... C'était une simple question .....Possèdes tu des strings?..... Jusqu'ici on t'as toujours vu porter des maxi culottes!...."

La réponse lui parvint rapidement.

- "Oui ....."

- "Tu en mettras un demain pour faire classe!.... Avec ton sweater bleu et des caleçons bleus marine, pas de petite culotte, pas de veste!....." lui intima Kurt

- "Ne fais pas l'erreur de me désobéir ... Je ne te donnerai pas de seconde chance et tu t'en mordrais rapidement les doigts!......"

Sur ces mots, il retourna dans mister lit.

CHAPITRE 3

Le lendemain , Kurt guettait l'arrivée de madame Fine. Il se tenait dans le couloir séparant les classes.

Bordel! Elle portait mister sweater bleu et un caleçon bleu marine. Ca mar-chait!.....

Il se mit à bander comme un âne.

Mais qu'en était-il du string?.....

Il ne voyait aucune marque sous mister caleçon, mais il ne pouvait pas en être sur.

Est ce qu'elle portait bien un string noir sous mister caleçon, il semblait bien que oui!

Ce n'est que lors de sa septième heure de cours que la question du string fut réglée.

Madame Fine pénétra dans sa salle de classe une pile de papiers en main, elle se pencha sur mister bureau pour les déposer, exposant ainsi la ceinture de mister string.

Ce ne fut qu'une fois les élèves bien installés à leurs places que Kurt put prendre une courte vidéo de la ceinture du string de madame Fine qui dépassait de mister caleçon, alors qu'elle était assise à mister bureau.

Le soir même, Il envoya un nouveau message à sa prof obéissante la félicitant ironiquement.

- "C'est très bien, madame Fine, t'étais très sexy avec la ceinture de ton string débordant de ton caleçon ..... Tu devrais mettre des strings tous les jours!...... Continue à te montrer docile et on gardera pour nous la cassette qui ruinerait ta vie!..... Quel est ton numéro de téléphone?...... NE ME FAIS PAS ATTENDRE!......"

La minute suivante la réponse de madame Fine lui parvenait :

- "555-555-1212 ......"

- "Sais tu te servir des SSM?....."

- "Oui ...."

- "Très bien .......Lundi tu mettras un string de couleur pour venir en classe ... Si tu n'en as pas, achètes en un!......Tu le porteras sous ta courte jupe à carreaux avec un polo rouge ...... Dès que tu en-tameras ta septième heure de classe, garde un oeil sur l'écran de ton portable, met le en "vibration" et LIS MES MESAGES IMME-DIATEMENT!.... Si tu ne COOPERES PAS TOTALEMENT, ton clip sera diffusé sur Internet dès la nuit de lundi!...... C'EST BIEN COMPRIS MADAME FINE?....."

Elle se contenta de répondre Oui.

Le lundi, ses trois copains rapportèrent à Kurt que madame Fine portait sa courte jupe écossais et un polo rouge.

Kurt lui envoya un message la questionnant :

- "Qu'est-il prévu au programme de la septième heure?...."

Elle répondit quasi immédiatement :

- "Révision du chapitre 12 ..... Puis travail permisternel ......"

- « C'est bon ... N'oublie pas de garder ton portable à portée de main!...... » Kurt était impatient de se retrouver en dernière heure.

Dès qu'ils eurent pénétrés dans la classe, madame Fine posa ses pa-piers sur mister bureau exposant aux yeux de tous les lanières de mister string s'enfonçant dan sa raie culière.

Bordel, c'était trop facile!.....

Pendant un bref instant elle oublia de tenir mister portable prêt à recevoir des SSM, mais elle s'en rappela dès le démarrage de l'heure de cours.

- "Assieds toi sur ton bureau pendant l'appel ..... Garde ton portable ouvert le long de tes livres!...."

Kurt vit madame Fine obtempérer, disposant mister portable de façon à lire facilement mister écran, alors qu'elle s'asseyait sur mister bureau pour faire l'appel.

Sa courte jupe dévoilait ses longues jambes jusqu'à mi-cuisses.

- "Croise les jambes!...." lui ordonna t'il.

Elle jeta un bref coup d'œil sur l'écran de mister portable et croisa la jambe droite sur la gauche, exposant une large bande de chair nue.

Il ajouta quelques instants plus tard :

- "Fais remonter ta jupe plus haut ...... Encore plus haut!....."

La jolie prof d'anglais hésita un instant puis se tortilla sur mister bureau fai-sant remonter sa jupe au haut de ses cuisses, elle leur exposait mainte-nant l'intégralité de ses cuisses.

- "Repousse tes papiers, il entravent la vue!....."

Madame Fine repoussa livres et cahiers sur le coté et posa mister portable sur la pile, leur offrant une vue totalement dégagée de tout obstacle.

- "Bordel que tes jambes mistert sexy ... Décroise les maintenant!......"

Elle obéit docilement cherchant à serrer ses cuisses l'une contre l'autre, exposant un bref instant le fond rouge de sa petite culotte.

- "Laisse remonter ta jupe!...... Ecarte tes cuisses!...."

Elle ne les sépara que de quelques centimètres, mais comme sa jupe était retroussée à sa taille, elle exposait mister fond de culotte à quelques privilégiés.

- "Ecarte plus ...... " elle hésita encore et finalement se résigna à les écarter d'une trentaine de centimètres, maintenant c'est quasiment toute la classe qui avait les yeux rivés le fond rouge de sa petite culotte.

- "PLUS ENCORE!...."

Le visage de madame Fine était aussi rouge que le jour où elle avait giflé Léo, elle soupira misérablement et écarta ses cuisses en grand offrant à tous la vue totale de mister fond de culotte qui moulait avec obscénité sa moule.

Même Kurt assis au fond de la classe distinguait clairement la forme de mister chaton de plus, une touffe de poils noir s'échappait par mister entre-jambe.

- "FANTASTIQUE ... QUEL SPECTACLE!....... Reste ainsi pendant les prochaines quinze minutes!....."

Sur ces mots Kurt cessa d'envoyer ses consignes et filma la scène sur mister portable, prenant un clip sexy de sa sensuelle prof d'anglais exposant visiblement sa petite culotte à la totalité de ses élèves, ses longues jambes se balançant de part et d'autres leur offrant différents angles de vue.

Kurt filma ensuite les visages expressifs de quelques élèves reluquant ses charmes avec convoitise, l'atmosphère était tendu, la voix de madame Fine révélait sa confusion ainsi qu'une certaine difficulté à se concentrer alors qu'elle entamait mister cours.

Aux environs de la mi classe madame Fine compléta mister exhibition, sans aucun ordre écrit, elle se releva, se tourna vers le tableau et tendit le bras pour inscrire des consignes au tableau, retroussant sa jupe à la taille tout en agitant lubriquement mister postérieur uniquement

Comme elle le faisait parfois elle décida que chaque étudiant devait rédiger un paragraphe et lui amener au bureau pour qu'elle le lise.

Sur ces mots l'adorable prof d'anglais s'assit le visage empourpré alors qu'ils rédigeaient tous le petit paragraphe réclamé.

Madame Fine se tint la tête entre les mains pendant cinq bonnes minu-tes, c'est alors que ses élèves s'approchèrent du bureau leur exercice écrit à la main. semblant plus relaxée, elle répondit aux questions les plus pressantes.

La classe commença à s'agiter, les étudiants parlant entre eux, mais madame Fine n'intervint pas.

Kurt vit Jake s'approcher d'elle. Il se tenait près du bureau attendant qu'elle en eut fini avec la fille qui le précédait.............
chrislebo

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#19
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Il le rejoignit se postant aux cotés de madame Fine, ils avaient les yeux braqués sur mister fond de culotte et se sourire avec connivence.

En fait ils savouraient leur succès : ils avaient obligé leur adorable prof d'anglais à exposer ses charmes à tous.

Léo les rejoignit et ils se postèrent tous les trois autour d'elle alors qu'elle en terminait avec la jeune élève.

Léo sortit mister portable et filma alternativement les expressions de Kurt et Jake reluquant le fond de culotte de la savoureuse jeune femme qui ex-posait largement le fond de mister string aux yeux de tous.

Une fois la fille partie, Jake lui tendit sa feuille.

Madame Fine braqua ses yeux sur Kurt et Léo, mais retourna rapide-ment mister attention vers Jake qui s'accroupissait à coté d'elle et lui mon-trait mister devoir.

Il posa mister bras droit sur le dossier de sa chaise elle dut se pencher en avant.

Il descendit alors sa main lui caressant le bas du dos, mister sweater ayant remonté lorsqu'elle s'était penchée en avant il disposait d'une bande de chair nue.

Au grand étonnement de Kurt, madame Fine sembla ne prêter aucune attention à la caresse indiscrète de mister élève, il filma Jake lui caressant le bas du dos.

Voyant cela Léo se posta au coté droit de madame Fine, se pencha et tira sur la lanière de mister string qui dépassait de sa jupe.

Il posa sa main sur sa hanche s'émerveillant de ce qu'il pouvait faire im-punément alors que Kurt filmait mister exploit.

Jake sentant que Léo jouait avec la lanière du string de madame Fine se fit plus audacieux et glissa la paume de sa main sous sa jupe accrochant du pouce l'ourlet alors que ses quatre autres doigts inventoriaient ses trésors.

Léo voyait ce que faisait Jake, il batailla avec lui insérant à mister tour sa main sous ses jupes lui pelotant hardiment les fesses.

Finalement madame Fine se redressa et tenta de se saisir de la main de Léo pour la sortir de sa jupe sans jamais se retourner, mais elle dut abandonner la bataille.

Elle ne fut sauvée de leurs caresses que lorsque Kurt interrompant ses prises de vue leur signala l'arrivée d'une jeune étudiante, ils quittèrent alors mister bureau.

Lorsqu'elle vit s'approcher Rod madame Fine décida qu'elle serait plus en sécurité face à la classe que cachée derrière mister bureau, aussi se leva-t-elle se promenant de droite à gauche sur mister estrade, tout en véri-fiant le travail de ses élèves.

Mais elle se trouva désarmée lorsque se penchant pour aider une fille des rangées du fond à se lever, juste à coté de Kurt elle se trouva à sa merci.
chrislebo

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#20
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suite.....


Comme elle se courbait pour lire mister devoir, Kurt ne put résister à cares-ser ce joli petit cul qui le toisait. Il tendit la main et lui palpa la croupe.

Madame Fine rougit et braqua ses yeux sur Kurt mais ne dit et fit rien du tout pour le repousser se contentant de serrer le fesses.

Comme il ne rencontrait aucune véritable résistance, Kurt trouva plaisant de promener sa main sous sa jupe passant les doigts sous la lanière de mister string.

- "Bordel quel beau cul!..... Aussi doux que le cul d'une ado!..... Mais bien mieux formé!....." Kurt jeta un coup d'œil circulaire.

Au coté de ses trois amis, il vit quelques élèves dont une ou deux filles qui le voyaient caresser impunément les fesses de leur jolie prof asser-vie.

Finalement madame Fine s'éloigna de Kurt dévisageant fixement mister jeune admirateur.

Face à la classe madame Fine corrigea le travail d'un autre élève mais Léo qui lui tendait sa feuille se paya le plaisir de lui caresser les fesses lorsqu'elle retourna à mister bureau.

A la fin des cours, une fois la plupart des élèves sortis, madame Fine rassembla ses papiers puis appela :

- "Kurt ....."

Kurt et ses trois amis qui s'apprêtaient à sortir s'approchèrent du bureau.

Madame Fine dévisagea Kurt tandis qu'il s'approchait d'elle. Ses trois copains entourèrent la prof qui sembla soudain intimidée à la vue de ces quatre ados qui l'encerclaient.

- "Est ce vous?..... Est-ce vous quatre?......"

Kurt s'approcha d'elle la mine sévère, il se posta face à elle à quelques centimètres de mister visage.

- "Ne demande plus jamais ce genre de choses!....."

Il fit un mouvement brusque qui effaroucha la malheureuse prof, il sui saisit le bras juste au dessus du coude, l'attira vers lui et chercha à l'em-brasser.

Madame Fine rejeta la tête en arrière et détourna mister visage. Il insista cependant.

Mais une fois qu'il referma ses lèvres sur les siennes elle ne résista plus et il put explorer sa bouche de la langue.

Il posa la main sur mister nichon gauche et le palpa rudement au travers de mister fin sweater rouge.

La prof effarouchée respira profondément et tendit le buste sans offrir aucune résistance lui permettant de palper sans vergogne ses nibards à mister gré.

Lorsqu'il entendit le bruit des élèves qui arrivaient pour la classe sui-vante, Kurt la relâcha, lui sourit ironiquement et sortit calmement enca-dré par ses copains.

CHAPITRE 4

- "Bordel, t'étais drôlement chaude cet après-midi, Jackie!...."

Pour la première fois Kurt employait mister prénom dans un mail, au lieu du très respectueux madame Fine.

- "Qu'est ce que cela t-as fait de sentir tous ces yeux rivés sur ton string?..... As-tu aimé exciter tes élèves?......"

- "C'était terrible!....."

- "Pourquoi vous amusez vous à m'humilier de la sorte?....."

- "Par l'enfer on ne veut pas seulement t'humilier Jackie ...... Mais c'est très rigolo d'agir ainsi!......"

- "Demain tu mettras ta robe grise avec mister profond décolleté .....Pas de boxer ..... Pas de soutien-gorge ..... PAS DE PETITE CULOTTE ..... Tu mettras ton collier de perles blanches que tu por-tes habituellement avec cette robe ... Mais je répéte une dernière fois : PAS DE PETITE CULOTTE!...."

- "Non ... Je vous en prie ... Je ne peux pas faire ça!..... S'il vous plait ...... Je vous en prie ......Je vous en supplie ne m'obligez pas à m'habiller ainsi!...... Ce serait trop risqué ..... Combien de gens connaissent ces vidéos?....."

- "Bon si tu veux vraiment le savoir, nous ne sommes que quatre à connaître l'existence de ces cassettes!...... Mais d'autres que nous savent que tu t'habilles et tu te comportes en salope, Nous ne sommes pas que quatre à avoir joui du spectacle!..... Tu ne sais clairement pas qui nous sommes, aussi dois tu permettre à chaque étudiant qui t'approche de prendre du plaisir avec toi!..... As tu par-lé à quelqu'un de ce qui t'arrivait?..... En as tu parlé à ton mari?....."

- "J'en ai parlé ce week-end, mais qu'à mon mari ..... Ca l'a enthou-siasmé!......"

De toute manière Kurt avait fait en sorte que mister époux soit au courant, l'idée que le mari se savait cocu excitait Kurt.

Il lui renvoya rapidement un autre mail avec trois clips en pièces jointes sur la première on la voyait écarter les cuisses exposant mister string à toute la classe, sur la seconde plusieurs étudiants manipulaient mister string lui caressant la croupe alors qu'elle les laissait faire complaisamment, et sur la dernière Kurt, filmé par Léo, lui palpait allégrement les nibards l'autre main enfoncée sous sa jupe .......

- "On a dépassé le film vous te montrant en train de gifler un de tes élèves, maintenant on te voit les séduire, aussi si tu as peur des risques rends toi compte que si ces clips venaient à être connu tu risquerais la primister pour perversité!......."

- "Montre ce mail et les clips joints à ton mari!...... Duis lui que si JAMAIS il nous approchait moi ou mes amis, je diffuserai ces clips et ces photos dans le public!..... Dius lui aussi que sa femme a un très beau cul!...... N'oublie pas ce que tu dois porter demain et garde toujours ton portable à portée de main lors de la septième heure .... Bonne ma Jackie chérie, fais de beaux rêves!....."

Madame Fine portait trop souvent des pantalons kakis et parfois des hauts trop bouffants au goût de Kurt mais elle avait quelques très jolies robes comme cette robe grise qu'il voulait lui voir sur le dos.

On ne remarquait rien de spécial au premier coup d'œil, sinon la pro-fondeur du décolleté et, lorsqu'elle se penchait vers Kurt il apercevait le haut de ses nibards dans le soutien-gorge, Kurt savait que sans soutien-gorge il verrait clairement au moins un de ses nichons.

Bien que sa robe soit d'une pièce, et qu'elle ne sembla pas trop courte, lorsqu'elle s'asseyait elle remontait haut sur ses cuisses exposant large-ment ses jambes.

Dès le début de sa septième heure, Kurt ordonna à madame Fine de s'asseoir à nouveau sur mister bureau.

Elle devait supposer ce qui allait s'ensuivre.

- Obéirait-elle?

- Allait-elle à nouveau exhiber ses charmes à toute la classe?

Il poursuivit :

- "Ecarte tes cuisses en grand!...."

Même avec les jambes serrées, sa robe remontait suffisamment pour livrer une vue imprenable sur ses cuisses nues.

Elle leva les yeux au ciel, yeux rivés au plafond alors qu'elle s'exécutait. Du fond de la classe, Kurt voyait sa chatte nue, couverte de poils bruns foncés.

Son tau d'adrénaline monta si haut qu'il avait du mal à taper mister mes-sage sur mister portable.

- "Baisse les yeux ..... Regarde tous ces élèves qui contemplent ta petite chatte velue ...." lui intimait mister court message.

Les yeux de l'assistance fouillaient sous sa jupe, les têtes adoptaient le meilleur angle de vue, les cous se tendaient pour mieux voir.

Kurt l'observait se tortillant, changeant de position, exhibant largement ses cuisses découvertes.

- "Mets ta jambe sous toi!...."

- "Pose un pied sur le bureau!....."

- "Lève les genoux!....."

- "Penche toi sur la gauche!......"

- "Et maintenant vers la droite!....."

Il n'avait pas à lui commander de retrousser sa robe, elle était pratique-ment tirebouchonnée autour de sa taille.

Du fond de la classe Kurt distinguait clairement sa fente rose entourée d'un buismister de poils sombres.

La classe était abasourdie.

Habituellement il n'y avait pas d'autre moyen de se distraire que de ba-varder ensemble, pour cette majorité de jeunes mâles.

La lumière fluorescente des néons et les derniers rayons de soleil dar-dant au travers des fenêtres éclairaient crûment ses charmes.

Suffisamment de lumière pour filmer avec un portable.

Après ce qui sembla une éternité à madame Fine, mais en fait une petite vingtaine de minutes de classe, Kurt, lui envoya une nouvelle note lui suggérant de recevoir individuellement chaque élève pour discuter de ses notes.

Elle devrait se pencher sur eux et comme mister corsage baillait elle offri-rait à mister interlocuteur un fantastique point de vue sur ses nichons.

Sachant pertinemment ce qu'elle offrait à la vue lorsqu'elle portait un soutien gorge, il était impatient de voir ce qu'elle montrerait de ses ni-bards dénudés.

Un à un madame Fine appela chaque élève, garçons et filles, pour dis-cuter de leur futur passage de classe.

Comme elle se penchait en avant selon ses ordres, Kurt voyait chacun d'eux fouiller du regard dans mister décolleté.

Il se réjouit particulièrement de voir Léo, Rod et Jake plonger littérale-ment leurs yeux dans mister corsage, une main descendant dans mister dos.

Kurt ne pouvait pas savoir s'ils en profitaient pour lui peloter les fesses comme ils l'avaient fait la veille, mais ils se disaient que cela se pourrait bien.

Il se débrouilla pour trouver une excuse : le besoin de tailler mister crayon et il en profita pour la filmer rapidement penchée en avant, jambes lar-gement découvertes, foufoune exposée aux regards.

Bordel il voyait ses nibards jusqu'aux mamelons! Kurt n'en pouvait plus d'attendre mister tour de s'asseoir aux cotés de la jolie prof pour profiter de la vue de ses nibard.

Madame Fine semblait décidée à appeler Kurt en dernier. Cela l'arran-geait. Lorsqu'il se leva enfin il prit place sur une chaise à coté de mister bu-reau assez près pour que sa jambe droite frotte contre sa cuisse gauche.

Il posa sa main droite sur sa taille et la gauche sur sa hanche droite.

Il baissa la tête pour avoir les yeux au niveau de sa prof, à quelques cen-timètres de mister buste.

Il avait une vue dégagée sur ses nichons jusqu'aux mamelons dardés.

Ses nibards étaient blancs ivoires, ils ressortaient sur sa carnation mate de brune, ses mamelons étaient bruns foncés.

Sa peau semblait douce et soyeuse, elle frémit sous mister regard acéré, ses nichons se couvrirent de chair de poule, ses tétons s'érigèrent prou-vant mister émoi incontrôlable.

- "Voilà tes notes Kurt ...." lui dit timidement madame Fine.

- "Ta moyenne semble trop basse pour que tu puisses passer!...."

- « Oh mais je passerai tout de même!....." lui dit-il avec assurance.

Alors qu'il jetait un oeil dans l'entrebâillement de mister corsage, il bougea le bras qui lui tenait la taille, il glissa sa main sous le bureau et la posa sur ses cuisses nues.

Il tremblait d'excitation au contact de la soyeuse peau nue de ses cuis-ses qu'il caressait pour la première fois.

Madame Fine serra genoux et cuisses, mais lorsqu'il lui ordonna :

- "Ecarte les cuisses ma petite Jackie!..." elle obtempéra servile-ment.

Sa main remonta le long de ses cuisses, sous la jupe, il trouva bien vite sa chatte dénudée.

- "Huuuuu ....." haleta soudain madame Fine.

Mais elle ne fit aucune tentative pour entraver les gestes de mister pervers d'élève, il promenait maintenant sa main sur sa chatte velue.

En fait, instinctivement elle s'était arquée allant à la rencontre de sa main indiscrète, écartant plus largement les cuisses lui livrant de ce fait un ac-cès plus aisé.

Kurt jeta un oeil sur la classe, ils parlaient ensemble quelques uns les regardaient, mais ils restaient assis à leurs places.

Il inséra mister majeur dans sa fentine. Il la parcourut de bas en haut à plusieurs reprises réalisant qu'elle était trempée. Son doigt n'avait aucun problème pour glisser dans sa fente engorgée de cyprine.

Du coin de l'œil il vit mister adorable petite prof ouvrir la bouche laissant échapper un gémissement sourd.

Elle avait les yeux grands écarquillés alors que mister élève la doigtait avec lubricité.

Il déboutonna sa braguette de sa main gauche et descendît la fermeture éclair, au prix d'un léger effort il sortit sa bite de mister caleçon se rappro-chant d'elle, seule madame Fine pouvait voir ce qu'il faisait.

- "Oh non ...." larmoya la malheureuse prof éperdue.

Kurt saisit sa main gauche et la posa sur mister épaisse bite.

- "Branle moi ma petite chérie!...."

Madame Fine, résignée, le caressa lascivement du gros bourgeon bru-nâtre à la racine couverte de poils drus.

Elle essayait de faire des mouvements discrets pour éviter que ses élè-ves ne soupçonnent ce qu'elle faisait, présumait Kurt.

Mais s'ils y faisaient attention, il était très surprenant de voir Kurt et la jolie prof serré l'un contre l'autre, mains sous le bureau, esquissant des gestes discrets.

- "Ha ... Hummmmm ......" grogna madame Fine en sourdine alors que Kurt dénichait mister point G.

Sa chatte s'inondait de cyprine, poissant les doigts de mister suborneur.

Le jeune Kurt n'était pas un expert de la gent féminine, il était très surpris de voir qu'une jeune femme que l'on doigtait pouvait secréter autant de cyprine.

Il comprit que les chattes féminines s'inondaient de cyprine lorsqu'elles étaient profondément excitées.

Kurt lui même était excité comme un pou, alors qu'il la regardait lui bran-ler la bite, alliance et anneaux de fiançailles aux doigts.

Il jeta un nouveau coup d'œil dans mister décolleté, chaque fois que ma-dame Fine se penchait en avant, l'échancrure s'ouvrait en grand.

Kurt regarda à nouveau la classe et se rendit compte que Léo et Jake l'observaient attentivement, il leur sourit, ils avaient sortis leurs portables.

Plusieurs élèves vinrent tailler leur crayon ou jeter des feuilles de brouil-lon dans la corbeille.

Ils ne pouvaient pas s'approcher suffisamment pour distinguer clairement ce qui se passait mais assez pour comprendre qu'ils se branlaient mutuellement.

Jake s'approcha suffisamment pour les filmer en pleine action. Kurt es-pérait que cela n'effaroucherait pas trop madame Fine.

Mais madame Fine était bien trop prise dans l'action, elle tendait sa chatte en avant, tortillant ses fesses nues sur la chaise doigts enserrant lubriquement la bite de Kurt.

Sa respiration était difficile, heurtée, ses paupières étaient lourdes, elle semblait avoir bien du mal à tenir les yeux ouverts.

Finalement elle crispa ses cuisses sur la main de Kurt tout en émettant une faible roucoulement :

- Eeeeeeeeeee ....."

Ce cri étouffé attira cependant l'attention de quelques élèves , alors qu'elle posait la tête sur mister épaule.

C'est à cet instant même que Kurt perdit le contrôle de ses sens proje-tant un long jet de sperme sur ses jambes de pantalon, sur la main de madame Fine sur ses cuisses nues, et même sur les parois du bureau.

Pantelante, madame Fine le branla encore quelques instants perdue dans mister propre orgasme, la main enrobée du foutre visqueux de mister jeune "amant".

Lorsqu'elle reprit mister calme, elle ouvrit le tiroir de mister bureau et en sortit un sachet de kleenex, elle commença alors à tenter de nettoyer les dé-gâts.

Kurt avait une grosse tache graisseuse sur le devant de mister pantalon, mais elle ne pouvait rien y faire.

Kurt se releva et retourna à sa place juste au moment où la cloche mister-nait.

Dans le hall extérieur, plusieurs élèves, pas ses mais intimes lui deman-dèrent ce qu'il foutait avec la prof, la main enfoncée sous le bureau.

- "Sentez mes doigts!.... " se contenta-t-il de répondre, et il tendit mister majeur imprégné des flagrances de la délicieuse madame Fine.
chrislebo

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#21
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C'était juste à l'instant où un terrible orgasme la terrassait, elle rejetait la tête en arrière yeux clos, on entendait clairement ses gémissements de jouissance.

Après avoir envoyé la vidéo, Kurt attendit quelques minutes puis envoya un nouveau mail :

- "Fais voir la vidéo à ton mari ....."

- "L'a-t-il visionnée?...."

- "Oui ...."

- "Est-il encore avec toi?......."

- "Oui ...."

Kurt saisit mister téléphone et fit leur numéro, il lui avait déjà envoyé de nombreux SMS, mais c'était la première fois qu'il allait lui parler directe-ment.

Madame Fine lui répondit calmement.

- "Hello ...."

Kurt, essayant de déguiser sa voix, chuchota:

- "Hé, Jackie ton époux est il toujours à coté de toi?......"

- "Oui ..."

- "Passe lui le téléphone ....."

Kurt entendit quelque paroles voilées, puis une voix mâle.

- "Oui?...."

- "Ta femme est une vraie star de la branlette monsieur Fine ......"

- "Sale bâtard ..... Prend garde que je ne te tue!....."

- "Ta greule mon gars ..... Si tu ne veux pas que je diffuse ces vi-déos ... Aimerais tu que tes parents, ta famille les voient ...... Tes amis, tes collègues ...... Hey?......"

- "Non ...." murmura le malheureux époux effondré.

- "Regarde la seconde Vidéo maintenant ...... Monte le mister que je puisse l'entendre au téléphone .... Grouille toi!....."

Après quelques instants, Kurt entendit le mister de la seconde vidéo.

D'abord le tapage de la salle de classe, puis les gémissements d'extase de la gentille petite prof en plein orgasme.

- "Elle adore se faire doigter par ses élèves!...... Repasse là et écoute bien ses gémissement de chatte en rut .....

- "Mes enfants mistert dans le hall " dit alors la voix mâle.

- "Oui et il ne t'ont jamais entendu la faire miauler comme y parvien-nent ses élèves?........

Monsieur Fine restait muet mais était toujours en ligne, Kurt entendait haleter le malheureux cocu frustré.

- "Garde ton calme monsieur Fine, tout se terminera à la fin du se-mestre ...... Ne fais donc rien de stupide ... Peut-être bien que je t'enverrai d'autres vidéos de ta femme prenant mister pied avec ses élèves!..... Et maintenant dis à ta femme de porter mister soutien-gorge bordeaux et une petite culotte assortie demain, avec mister tail-leur rayé et un corsage rouge .. je veux t'entendre le lui dire!......."

Au travers du téléphone il put alors entendre monsieur Fine aviser sa femme :

- "Il veut que tu portes ton soutien-gorge bordeaux et une culotte assortie, et euh, ton tailleur rayé demain ...

- "Et mister corsage rouge avec trois boutons défait ..." précisa alors Kurt.

- "Et ton corsage rouge avec trois boutons défait ... " répéta docile-ment le malheureux mari.

- "Ca c'est un bon mari ... je te rappellerai plus tard!...." et Kurt re-posa mister téléphone.

Il prenait un plaisir fou à s'imaginer sa prof et mister cocu de mari le regar-dant la doigter lubriquement.

Il ne se masturba pour autant, il se réservait pour des instants encore plus jouissifs.
chrislebo

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#22
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CHAPITRE 6

C'était le bon moment.

Madame Fine avait pris un frugal repas seule dans sa classe pendant la quatrième heure, alors qu'elle n'avait pas de classe, elle cherchait certai-nement à éviter les commentaires et critiques qu'elle endurait constam-ment.

Kurt, Jake, Rod et Léo s'approchèrent de sa classe.

Ils entrèrent silencieusement et verrouillèrent la porte dans leur dos ,madame Fine les regardait faire avec une certaine inquiétude.

- "Salut Jackie ..." l'interpella Kurt

- "Il est temps de ...."

Madame Fine se leva et se posta devant mister bureau, les quatre ados l'entouraient.

Kurt prit une seconde pour inspecter sa tenue un très élégant corsage rayé, un blazer, et une blouse rouge.

Kurt lui saisit es cheveux à la nuque pour lui rouler un patin.

- "Je vous en prie ... Arrêtez!......" balbutiait la malheureuse entre deux baisers.

- "J'en ai marre de tes jérémiades ...." la prévint Kurt calmement.

Madame Fine recula jusqu'à sentir le haut de sn bureau contre ses fes-ses.

Les quatre jeunes hommes lui prirent les poignets et la taille, sans bruta-lité superflue, mais avec fermeté.

Ils étaient conscients qu'elle savait que toute véritable résistance était inutile.

Kurt introduisit sa main droite dans sa veste et palpa mister nibard gauche au travers de la blouse soyeuse et de mister soutien-gorge fin.

Comme ordonné elle avait déboutonné mister chemisier facilitant l'accès à mister soutien-gorge.

Ses trois autres complices commencèrent à la peloter allégrement, ils lui caressaient les hanches, et la croupe au travers de sa jupe.

Elle frismisterna de peur lorsque Kurt extirpa mister nichon de mister bonnet protecteur.

Rod et Jake repoussèrent sa veste sur ses épaules et la jetèrent au sol.

Kurt ouvrit encore plus mister corsage mais le laissa inséré dans sa jupe.

Il admira mister décolleté et sa mine en soutien gorge, un sein hors de mister bonnet, Puis Jake et Rod repoussèrent mister chemisier sur ses épaules, l'exposant torse à moitié nu.

Léo la travaillait les mains sous sa jupe.

Il descendit finalement la fermeture éclair de coté de la jupe.

Il agrippa la ceinture et la baissa sur ses cuisses, jusqu'au moment où elle tomba sur ses chevilles.

La mignonne prof se tenait maintenant jambes nues, en soutien-gorge et petite culotte.

Pour toute autre parure elle portait encore ses chaussures rouges, mister collier de perle, ses boucles d'oreilles, et mister alliance.

Rod et Jake saisirent chacun l'une des bretelles de mister soutien gorge, lui dénudant le torse.

Madame Fine laissa échapper un soupir. Elle avait les yeux rivés au pla-fond, des larmes de honte perlaient derrière ses paupières.

Il y eut alors une courte pause, les 4 gaillards admirant ses formes dé-nudées.

Ils avaient déjà vu ses nichons auparavant, lorsqu'elle se penchait vers eux par exemple, mais c'était la première fois qu'ils la voyaient torse dé-nudé.

Ses ravissants petits nichons étaient bien ronds, un peu plus gros que ce à quoi s'attendait Kurt mais ils lui semblaient cependant parfaits. Ils étaient très pales, constellés de taches de rousseurs, ses mamelons étaient érigés.

Le pelotage devint total lorsque des mains se glissèrent dans sa petite culotte trouvant leur voie dans le petit sous-vêtement.

Ils ne tardèrent pas à la doigter tout en lui pétrissant les fesses.

Enfin Léo la dépouilla de mister affriolant cache-sexe exposant aux yeux de tous sa brune toimister et sa croupe blanche.

Cette femme mature, avait quelques défauts physiques, quelques verge-tures dues à ses accouchements, et un peu de ventre mais pour les per-vers ados il s'agissait de défauts mineurs sur un corps somptueux.

Bientôt des doigts s'insinuèrent dans mister anus resserré alors que d'au-tres fouillaient sa fentine inondée de cyprine.

- "Hey les gars sa foufoune est trempée!..... " s'exclama Léo alors que mister majeur allait et venait dans sa fente avide.

- "Je vous l'avais bien dit!...." commenta Kurt qui suçait ses mame-lons.

- "C'est une vraie chatte en chaleur!....."

Les quatre ados firent le tour de ses charmes, les inspectant minutieu-sement.

Au début ils lui tenaient les mains pour bloquer toute résistance, mais comme elle s'abandonnait entre leurs mains, ils relâchèrent ses bras.

Ils avaient accès à tous ses appâts et la pelotaient sans vergogne mais sans violence ni vulgarité.

Jake se débarrassa le premier de mister pantalon et de mister caleçon expo-sant aux yeux consternés de la malheureuse prof sa bite déployée.

Il se posta en face de madame Fine, saisit sa main gauche et la posa sur sa bite l'invitant à le masturber.

Aussitôt les 3 autres se débarrassèrent à leur tour de leurs pantalons et caleçons encerclant la somptueuse prof de leurs quatre bites brandies.

Elle entreprit de branler Jake et Rod, Leo promenait sa grosse bite dans sa raie culière, alors que Kurt enfouissait la sienne dans mister pubis velu.

Kurt était prêt.

Il repoussa sa prof à plat dos sur mister bureau.

- "Allonge toi!..." fut mister seul ordre et la petite prof bien qu'hésitante s'allongea servilement sur le dos.

Les feuilles qui encombraient mister bureau, repoussées par Rod et Leo volèrent au sol.

Elle était allongée sur le dos jambes pendantes, Kurt se posta entre ses cuisses et écarta ses genoux d'une main autoritaire.

De la main gauche il écarta les lèvres de sa foufoune et guida sa gosse bite de la main droite.

Comme le gland fouillait la moiteur de sa fentine elle grogna et geint "non" mais n'offrit pas plus de résistance.

Kurt enfouit sa bite dans mister fourreau inondé de cyprine, lentement elle disparut dans mister intimité.

Madame Fine poussa un nouveau "Ohhhhh" et quelques plaintes alors que Kurt allait et venait lentement dans mister con asservi.

Kurt se positionna à mister aise et se mit à la chevaucher sur un bon rythme de croisière.

- "Ohhhh ...." grogna Kurt "T'ES SI BONNE A BAISER!......"

- "Ohhhhhh ..." soupira madame Fine ses nibards se balançaient au rythme de ses coups de boutoir.

Rod et Leo empoignèrent ses nichons et jouèrent avec alors que leur copain la baisait allégrement.

Jake biaisant vers le bureau lui tira la tête et le torse tout au bord du bu-reau la forçant à tourner mister visage vers lui et tendit sa bite vers ses lè-vres.

Madame Fine grogna lèvres serrées et secoua la tête en signe de refus, mais comme Jake persistait dans mister intention, elle entrouvrit les lèvres permettant à sa bite de s'engouffrer dans sa bouche.

Une petite claque sur la tête et tout de suite elle l'enduisit de salive.

Kurt adopta successivement différentes positions entre ses cuisses co-piant les images qu'il avait vues sur des sites pornos.

Il lui releva les chevilles sur ses épaules pour la fourrer plus profondé-ment, sa pénétration s'avérait bien plus profonde et il se mit à la baiser sur un rythme accéléré.

Rod et Leo se tenaient de chaque coté du bureau et de la prof, ils fai-saient branler à peine mains alors qu'elle se faisait baiser par les deux autres compères.

- "Mmmmmmmmmm ..... Mmmmmmmmmmmmm ....." gémissait la petite prof la bouche pleine.

Slap, slap, slap, faisait mister pelvis frappant les fesses bien fermes de sa proie entièrement livrée à sa concupiscence.

Bientôt les gémissements de la prof se firent plus misterores, elle suçait la bite de mister suborneur avec voracité alors que les deux amis qu'elle bran-lait simultanément lui pétrissaient sauvagement les nibards.

Kurt caressa longuement ses longues jambes, ses cuisses, ses genoux, et ses hanches.

Quelques jours plus tôt, juste le fait de toucher les jambes nues de sa prof aurait procuré le plus grand frismister de plaisir que Kurt ait jamais connu.

A chaque instant Kurt risquait de se voir expulsé de sa chatte tant elle roulait d'un coté à l'autre, mais il la tenait fermement et juste à l'instant ou un intense orgasme la terrassa, il projeta des flots de foutre au fin fond de mister intimité.

Kurt se retira immédiatement remplacé par Rod qui s'installa manu mili-tari entre ses cuisses grandes écartées. Il imita Kurt pilonnant ardem-ment la cramouille de leur adorable prof.

Il l'entendit soudain pousser des grognements étouffés et vit des filets de foutre suinter au point de jointure de la bite de Jake et de ses lèvres.

Kurt avait jouit quelques minutes lus tôt, sa bite avait repris de la vi-gueur, Il reprit sa place dans la sarabande, il remplaça Jake et tendit sa bite à la convoitise de madame Fine qui l'emboucha lubriquement sur le champ.

Les lèvres expérimentées de cette femme dans la plénitude de l'âge en-veloppèrent suavement sa pine et elle se mit à le sucer de tout mister cœur, il ne fallut que quelques secondes pour que Kurt se retrouve à nouveau au bord de l'explosion.

Rod jouit à cet instant dans sa foufoune embrasée, il se retira et Léo prit sa place, elle suçait de plus belle la bite de Kurt alors qu'elle grommelait, la bouche pleine, des cris d'extase tant la bite qui la travaillait lui donnait du plaisir.

Lorsque Léo se vida les couilles dans ses profondeurs, elel frémit et sombra submergée par un nouvel orgasme dévastateur.

Pendant un moment sa chatte resta inoccupée, elle put donc se concen-trer sur la pipe qu'elle exécutait sur Kurt.

- "Ohhhhh ...... Oh comme ça Jackie!....... Ohhhhh ... Je vais bientôt jouir!........ Ca y'est ça vient!......."

Il cracha de geysers de foutre bien calé au fond de sa bouche. Afin d'évi-ter d'étouffer, elle s'empressa d' avaler tout ce foutre chaud, puis selon les ordres de Kurt elle nettoya sa bite à grands coups de langue.

Madame resta étendue sur le dos sans que permisterne ne la touche pen-dant un bon moment, elle pleurait.

Jake s'approcha d'elle et la cajola quelques instants pour la consoler, puis il la fit s'asseoir sur mister bureau pour mieux s'intéresser à ses nibards livrés à sa convoitise.

Mais il n'était pas d'humeur conciliante en fait, et bien vite il lui ordonna de se lever et de se pencher sur mister bureau.

Il se posta dans mister dois et pointa mister énorme gland sur le centre de sa fentine engorgée de foutre et de cyprine.

Madame Fine grogna mister désappointement de se faire prendre à nou-veau, mais san,s résister elle écarta ses cuisses et offrit sa croupe à Jake qui glissa rapidement sa bite dans sa chatte distendue pour la bai-ser en levrette.

Léo et Rod s'étaient relevés et jouaient avec ses seins pendants alors que Jake la fourrait de dos.

Puis Léo s'agenouilla sur le bureau face au visage de madame Fine et se fit sucer alors quelle se faisait baiser âprement.

Kurt filma cette scène hautement pornographique avec mister portable, avant de se joindre à ses copains palpant avidement le corps de sa pe-tite prof chérie.

Bien qu'il ait joui quelques instants plus tôt, cela ne prit que quelques mi-nutes pour que Jake qui frappait frénétiquement sa croupe de mister pelvis éjacule à nouveau dans ses profondeurs intimes avant d'extirper sa bite de sa cramouille fumante.

Kurt voyait trembler spasmodiquement les genoux de madame Fine alors que Jake se vidait en elle, puis la prenant à bras le corps, il l'invita à se courber sur la tête du bureau la croupe bien cambrée.

Kurt, la bite en main, se positionna directement dans mister dos, il pointa mister épais gland turgescent sur le petit oeillet frémissant.

Madame Fine grommela à nouveau et soupira :

- "Je vous en prie, pas ça!....."

Kurt ignora totalement ses jérémiades et trempa mister gland dans sa fen-tine pour le lubrifier correctement.

Il savourait ces instants ou sa bite frôlait la fourche intime de la dame qui aurait du être lui interdite.

Et bien que dans mister esprit il ne soit pas meilleur de lui casser le cul que de lui défoncer la chatte, c'était là une chose qu'il n'avait jamais faite, de plus cela démontrait mister pouvoir sur mister enseignante sans défense.

La pénétration s'avérait difficile, la friction était si intense qu'en peu de vas et viens dans mister boyau asservi il se trouva sur le point d'exploser dans mister fondement.

Madame Fine grommelait et gémissait sourdement, Kurt leva la tête : se servant de mister portable, Jake filmait la scène lubrique alors que les eux autres pétrissaient toujours ses nibards pendants.

Kurt lui agrippa fermement les hanches - Elle était nantie de confortables poignées d'amour - et la releva contre lui, Leo se glissa sous madame Fine et se mit à titiller sa chatoune béante.

Il inséra sa main entière dans mister entrecuisse et débusqua vraisembla-blement un point très sensible qui la fit carrément grimper aux rideaux en poussant de brefs jappements! ... Il continua à la branloter alors que Kurt pilonnait toujours mister trou du cul.

Madame Fine grognait et se lamentait d'une manière tout à fait indigne pour une dame de sa classe.

Elle était couverte de sueur et de foutre et des gouttes de sueur roulaient le long de l'arête de mister nez.

- "Huuuungng ..... Huuungng ..... Gharrrrgggg!......".

Comme mister trou du cul s'accoutumait à mister vulgar envahisseur Kurt haussa le rythme de mister enculage la pénétrant de plus en plus profon-dément.

Jake lui caressait de plus en plus fermement sa chatoune et les deux au-tres lui malaxaient de plus en pus séchement les mamelles.

- "UUURRGGGGHHH!...... HUMMMMMMMMPHHHH!....."

Madame Fine se lovait contre le bureau, elle releva la tête, glapit un bref jappement et resserra l'emprise de ses sphincters anaux sur la hampe de Kurt, ce qui provoqua mister éjaculation, il se vida totalement au fin fond de ses intestins.

Elle soubresautait tant et si bien qu'il en fut délogé et il jeta ses derniers jets gluants sur sa croupe luisante de sueur et sur mister dos.

Sanglotante et gémissante madame Fine s'effondra à plat ventre sur mister bureau.

Son heure de liberté se terminait et une nouvelle classe devait la rejoin-dre d'ici une dizaine de minutes.

Kurt suggéra à tout le monde de se nettoyer puis de se rhabiller. Alors qu'ils cherchaient leurs vêtements, Kurt prit des kleenex dans le tiroir du bureau de madame Fine.

Par chance le sachet était quasiment plein car chaque participant à cette bacchanale avait besoin d'une bonne poignée de mouchoirs pour se net-toyer.

Toujours allongée sur mister bureau, lovée en position fœtale, madame Fine pleurait à gros sanglots, Kurt et Jake l'aidèrent à s'asseoir, attrapèrent quelques kleenex et lui nettoyèrent gentiment le visage, le dos la chatte et toutes les parties de mister corps souillées.

Finalement elle reprit mister calme, adopta mister attitude familière et regar-dant la 'horloge elle termina de se curer la fentine, endiguant le foutre qui s'écoulait à flots poissant la face interne de ses cuisses.

Tout habillés, ils assistèrent le sourire au lèvre au strip-tease inversé de leur prof .

- "Merci Jackie chérie ...... J'espère que tu as pris autant de plaisir que nous ..." la félicita Rod convivialement.

- "Il semble bien que oui ...... Elle a pris mister pied!...." gloussa Jake hilare.

Sur ces mots, ils tournèrent les talons et franchirent la porte, abandon-nant la prof encore abasourdie qui ramassait les papiers, les copies et les livres tombés au sol.
chrislebo

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#23
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CHAPITRE 7

Kurt avait décidé d'accorder un break à sa prof traumatisée, mais sa ré-putation était faite et il ne pouvait empêcher ses condisciples de profiter de ses charmes.

Quoi qu'elle puisse porter, que Kurt lui fasse mettre une tenue très pro-vocante, ou qu'il lui permette de se vêtir classiquement, chaque jour ses élèves la guettaient dans le couloir, glissant leurs mains sous sa blouse pour palper se nibards, ou bien même dans sa petite culotte testant l'humidité de sa fentine.

Certains même interpellaient Kurt dans le hall lui tendant leurs majeurs, lui proposant de savourer les effluves intimes de madame Fine.

- « Merci, c'est déjà fait!.... » répliquait-il ironiquement.

Des rumeurs traînaient selon lesquelles des jeunes inconnus la suivaient dans les escaliers pour reluquer sous ses jupes pour profiter de la vision de mister cul nu ou de sa fente apparente au milieu de ses culottes fen-dues.

Un jour Kurt lui avait fait porter une courte jupe sans culotte en dessous, il pensait que cela soulignait ses charmes, elle avait l'habitude de dénu-der sa chatte pour l'exposer à ses élèves de la septième heure, mais Kurt lui avait ordonné d'agir de même avec toutes ses classes ce jour là.

Des élèves lui firent leurs rapports et enregistrèrent la performance de leur prof si sexy sur leurs portables, prenant des images d'elle jambes grandes écartées exposant mister intimité.

Cela ne semblait pas évident sur les photos prises avec les portables, mais lors de la septième heure Kurt put constater qu'en fait on qu'on lui voyait entièrement sa chatte couverte de poils sombres.

Un autre fois il l'avait porter un chemisier à fleurs, sans soutien-gorge, alors qu'il était déboutonné jusqu'au nombril.

Entre chaque classe elle enfilait une veste, mais dès le début des cours elle lisait le programme de l'heure corsage grand ouvert exposant clai-rement ses nibards aux yeux de tous.

Kurt étouffa ses rires en entendant une naïve ado la prévenir que mister corsage était déboutonné, madame Fine avait fait mister cinéma en la re-merciant vivement en le refermant, ne le déboutonnant à nouveau que lors de l'heure suivante.

Par le passé, Kurt avait remarqué qu'elle possédait un très élégant cor-sage blanc taillé dans un tissu extrêmement fin, quasiment transparent, qu'elle ne portait que sous une veste et sur une combinaimister ou un mail-lot.

Un jour, selon les ordres de Kurt, elle le mit sans rien en dessous, et dans sa classe sans rien dessus. On aurait pu croire qu'elle faisait classe torse nu.

La forme de ses nibards étaient clairement visibles, ses aréoles contras-taient vulgarement avec la texture ivoirine de ses nichons, elle exposa ainsi ses nibards se balançant mollement au gré de ses gestes tout au long de la journée.

Lors de la septième heure, Kurt remarqua que l'impact sensuel était in-croyable, lorsqu'elle se tournait devant la fenêtre le soleil dardant ses rayons au travers de la fine texture de mister chemisier, soulignant sen-suellement ses courbes.

Madame Fine réagissait maintenant comme une esclave servile, obéis-sant sans aucune révolte aux moindres de ses désirs.

Dans un mail, il l'amena à admettre qu'elle possédait chez elle des te-nues encore plus petites et plus subjectives qu'elle ne mettait jamais pour faire classe.

- Il lui enjoignit de mettre un petit bustier noir qu'elle lui avait décrit, l'autorisant à le cacher sous un gilet pour ne pas attirer l'attention du permisternel déjà intrigué par ses attitudes et mister comportement extravagant par rapport à sa conduite habituelle.

Le lendemain madame Fine portait une minuscule jupe qui n'était en fait qu'un tube. Elle était plus courte et plus moulante que tout ce qu'elle avait déjà porté à ce jour.

Elle avait expliqué dans un Kurt mail précédent qu'elle l'avait achetée quelques années plus tôt pour se rendre à une fête, mais qu'elle ne l'avait jamais portée autrement.

Elle était très moulante, elle soulignait la rondeur de ses fesses, et met-tait en évidence mister petit ventre et si courte qu'on lui voyait les jambes jusqu'à l'aine.

Le bustier voilait à peine ses nibards qui semblaient tenter une évasion à chacune de ses respirations, elle passait mister temps à remonter les bre-telles sur ses épaules.

Il y avait un écart de plusieurs centimètres entre le bustier et la jupe lais-sant prendre l'air à mister nombril.

Pendant la plus grande partie de la journée, elle portait au dessus un chandail au col boutonné qui semblait un peu court et moulant.

Mais Kurt lui avait intimé d'enlever mister chandail lorsqu'elle entrait dans sa classe.

Tout au long de la journée, Kurt reçut des rapports lui confirmant que la chatte et le cul de madame Fine étaient bien visibles, de la même ma-nière elle exposait ses nibards, elle ne portait pas de soutien-gorge, et chaque fois qu'elle se penchait en avant, elle les étalait a sous les yeux de tous.

La dernière heure de la journée était consacrée à une assemblée assez barbante dans l'amphithéâtre.

Des enseignants et des administrateurs prenaient place parmi les étu-diants pour les tenir à l'œil.

Kurt avait invité madame Fine à s'asseoir avec lui dans un coin des gra-dins.

Comme les élèves prenaient place, Kurt avait escorté madame Fine jus-qu'à un point central dans un coin de l'amphithéâtre et s'était assis plu-sieurs rangs plus bas à sa gauche.

Elle portait mister sweater, mais ses longues jambes attiraient une foule de regards alors qu'elle escaladait les gradins sa courte robe se retroussant au dessus de sa croupe à chaque enjambée.

De nombreux étudiants avaient vérifié qu'elle ne portait pas de culotte exhibant à leurs yeux égarés sa chatoune et mister trou du cul.

Une fois madame Fine assise à sa place, ce coin de l'amphithéâtre avait surtout attiré les étudiants males, des copains de Kurt et des inconnus.

Mais il ay avait une bonne centaine de mâle excités qui encerclaient la jolie femme succinctement vêtue.

Madame Fine aurait espéré pouvoir tenir ses cuisses serrées pour ne pas livrer mister intimité aux yeux des élèves assis sur les rangs plus bas, mais Kurt était parmi eux et lui avait ordonné d'écarter les cuisses en grand, des dizaines d'élèves étaient retournés yeux vrillés sur mister entre-cuisse velu.

Kurt lui envoya alors un message lui enjoignant d'enlever mister chandail et de se pencher en avant pour livrer à tous le spectacle de ses nichons dénudés se balançant mollement au gré de ses gestes.

Dès le début des débats les élèves qui l'entouraient portèrent leur atten-tion sur ses charmes exposés à leur convoitise.

Plusieurs d'entre eux l'avaient déjà copieusement pelotée où avaient vu leurs copains la peloter allégrement en toute liberté, aussi, la première chose que firent les gars assis derrière elle fut de lui peloter hardiment les fesses.

Obligée de se pencher en avant pour offrir un meilleur point de vue sur ses nibards elle sentait sa jupe se retrousser sur sa taille alors que déjà la bande de chair qu'elle leur exposait était fort tentante.

Ils étaient plusieurs à la tenir par la taille, lui caressant sa chair nie, l'un d'eux, plus hardi ne tarda pas à glisser sa main sous sa jupe.

Ils se relayèrent pour lui caresser mister cul nu et le doigter profondément ainsi que sa fentine, alors qu'elle exposait ses nichons et sa chatte aux élèves assis en contrebas.

Un des gars alla même jusqu'à lui enfoncer un crayon dans l'anus faisant exploser de rire ses comparses.
chrislebo

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#24
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CHAPITRE 8

Madame Fine avait choisi de profiter de la quatrième séquence pendant laquelle elle n'avait pas d'élèves en charge pour se restaurer succincte-ment dans sa salle de classe.

Kurt l'avait prévenue que tant qu'elle choisissait de ne plus parader à moitié dévêtue sous les yeux de ses élèves il lui permettait de venir se réfugier dans cette classe vide à cette heure de la journée.

Le lendemain du jour ou il lui avait donné cette consigne, il vint la voir tout seul, elle se tenait devant le tableau noir qu'elle effaçait.

Elle fissionna à sa vue, mais ne dit pas un mot.

Kurt s'assit dans mister fauteuil.

- "Viens ici Jackie!......" lui intima-t-il.

Lentement elle le rejoignit et se posta sur le coté du fauteuil. Il prit sa main et la posa sur mister front.

Madame Fine se trouvait maintenant face à lui, le dos appuyé contre l'arête de mister bureau.

Kurt la toisa de la tête aux pieds, admirant sa sveltesse, bien que ses formes soient épanouies.

Elle portait un sari indien de fragile texture, qui descendait sous ses ge-noux, elle n'avait pas mis de collants.

- "Je ne me laisserai jamais de tes appâts ma chérie, je me de-mande si je veux passer dans la classe supérieure l'année pro-chaine ou si je ne préférerai pas revenir profiter tes charmes l'an-née prochaine!....."

Kurt se pencha en avant, il posa les mains sur ses genoux au dessus de sa jupe. Instinctivement madame Fine voulut reculer, mais elle se trou-vait pressée contre mister bureau.

Kurt glissa sa main sous l'ourlet de mister sari, et la remonta entre ses cuisses les lui caressant tout en retroussant mister sari au dessus de ses genoux.

- "Je ne me lasserai jamais de tes longues jambes ma petite ma-dame Fine chérie!....."

Il continuait à retrousser mister sari exposant ses longues jambes à sa convoitise.

Lorsqu'elle fut remontée à mi cuisses, il la poussa doucement en arrière, elle posa ses fesses sur le rebord du bureau.

Il lui écarta doucement les cuisses, elle se laissait manipuler servilement, il remonta alors encore plus haut mister sari jusqu'à exhiber le fond de sa petite culotte blanche en coton, à quelques centimètres de ses yeux.

Kurt bouchonna sa jupe sur ses hanches et se mit à lui caresser les mol-lets, les genoux et les cuisses les yeux rivés au fond de sa patte culotte qui dessinait distinctement la forme de sa foufoune.

Il ne s'agissait pas d'un string mais plutôt d'un brésilien coupé haut sur les hanches.

Kurt lui pétrit les cuisses pendant un bon moment; puis il se redressa et agrippa la ceinture de sa petite culotte à deux mains.

Madame Fine soupira alors qu'il la tirait vers le bas sachant pertinem-ment qu'une fois de plus elle allait offrir à sa vue de sa chatte palpitante.

Kurt fit glisser le petit sous-vêtement de coton sur ses cuisses, au-delà des genoux, jusqu'à ses chevilles, la laissant tirebouchonnée autour de mister pied droit.

Il sépara de nouveau ses cuisses et se pencha sur ses appâts, pressant mister visage contre sa féminité velue.

- "Huuummm ...." grommela madame Fine lorsqu'il parcourut d'une langue habile sa fentine.

Ce n'était pas le roi du cunnilingus, mais il savait agiter sa langue, il la léchait consciencieusement, dessinant des cercles de sa langue frétil-lante sur sa petite chatte embrasée, la pointant dans mister intimité de temps à autre aussi profondément qu'il le pouvait.

Quand il vit qu'elle appréciait ses hommages, il enfouit profondément mister visage dans mister buismister odorant, ses cheveux irritant ses joues alors que mister nez traînait sur le haut de mister vagin.

Ce mistert les frottements de mister nez dans sa chatte qui provoquèrent ses émois, elle haletait de plus en plus vivement au gré des frottements de mister nez.

Chaque fois que mister nez disparaissait dans sa fente, elle tendait mister pelvis contre le visage de Kurt écartant en grand ses cuisses.

- "Hooooooooooo ......... Whhooooooooooooooo ......" soupirait-elle se penchant en arrière sur le bureau agrippant l'arête du bureau à deux mains.

Ses mains couraient de ses cuisses à sa taille puis à sa croupe rebon-die. Il pressa mister entrecuisse contre mister visage tortillant la tête, léchant de plus en plus rapidement sa foufoune enfiévrée.

- "Oh, oh ohhhhhhhhhhh ......."

Madame Fine releva ses jambes et les posa sur le dossier de sa chaise de chaque coté de Kurt, il savourait la douce chaleur de ses cuisses soyeuses enserrant sa tête.

- "Uhhhhhhhhhhhh!....."

Madame FIne posa ses mains sur la nuque de Kurt pressant fermement mister visage dans sa toimister tout en tortillant des hanches.

- "Ahhhhh ..... AHHHHHHHHH ....... " elle serra les cuisses sur ses oreilles, relevant une fesse après l'autre pour mieux s'offrir aux ca-resses suaves de sa langue.

- "EEEEEEEEEHHHHHHHHH .... " elle poussa ses couinements habituels de juissance, mais cette fois ses plaintes se prolongèrent inhabituellement.

Madame Fine reprit ensuite ses esprits et mister souffle.

Kurt repoussa la chaise et contempla longuement sa maîtresse cuisses grandes ouvertes.

Kurt jeta un oeil sur l'horloge, la classe reprenait dans dix minutes, c'était encore beaucoup de temps pour un ado lubrique.

Il baissa rapidement mister pantalon et mister caleçon et se branla rapide-ment la bite.

Puis il pointa mister gland turgescent à l'orée de mister fourreau d'amour, sa foufoune était inondée, il s'enfourna illico au plus profond de mister utérus.

Madame Fine se taisait alors que Kurt la bourrait frénétiquement sur mister bureau. Elle avait les yeux rivés aux siens, pantelante alors qu'il tortillait des hanches entre ses cuisses accueillantes.

Il juta en moins de trois minutes au cœur de mister intimité.

Sans un seul mot il remonta mister pantalon et quitta la salle de classe.

Le lendemain Leo annonça qu'il voulait profiter en tête des charmes de madame Fine lors de la pause, ce qui se passa conformément à ses vœux.

Mais cela n'empêcha pas Jake et Kurt de flâner aux abords de sa salle de classe pour les observer aux travers des vitres et prendre quelques savoureuses photos de leur tête à tête.

Ils arrivèrent à temps pour voir Leo s'asseoir dans le fauteuil de madame Fine, tout comme Kurt la veille.

Mais cette fois madame Fine était assise sur ses genoux lui faisant face la jupe troussée haut sur les hanches.

Elle montait et descendait sur la bite de mister élève alors qu'il insérait ses mains dans mister bustier pour lui peloter les nibards à mister aise.

Quelques minutes plus tard, Madame Fine se releva, se retourna se ras-seyant sur genoux lui tournant le dos.

Elle avait ainsi plus de facilité à monter et descendre sur sa grosse queue.

Leo était penché en arrière sur la chaise alors que la ravissante prof s'empalait sur sa bite dressée.

Il avait posé ses mains sur ses nibards repoussant les bonnets de mister soutien gorge au dessus de ses miches et jouait avec ses tétons tout en la fourrant allégrement.

Jake et Kurt entendaient distinctement ses couinements, ses gémissements de plaisir, elle avait posé sa tête sur l'épaule de Leo, elle se tortilla sur lui, roula des yeux dans ses orbites et se mit à trembler comme une feuille secouée de spasmes incontrôlés. Puis elle se décontracta, mister corps s'affaissa entre les bras de Leo avant qu'il ne la repousse pour quitter la chaise.

Le lendemain ce fut au tour de Rod, lorsque Jake et Kurt leur jetèrent un coup d'œil intéressé, Rod était penché sur le bureau de madame Fine, il avait mister pantalon sur ses chevilles.

Elle était agenouillée devant lui en jupe et chemisier ouvert. mister chemi-sier, ses lèvres enserraient étroitement sa bite et sa tête montait et des-cendait sur la hampe raidie. De temps à autre elle tournait la tête pour lécher ses couilles velues.

Plus tard ils lui demandèrent si c'était lui qui lui avait demandé de lui lé-cher les burnes, en fait elle l'avait de sa propre initiative.

Le jour suivant, Jake et Kurt insistèrent pour la baiser de concert, prétex-tant avoir les couilles pleines à ras bord.

Ils réussirent à les convaincre leur disant de guetter leurs exploits au tra-vers de la fenêtre.

Dès que Kurt fut assis sur l'arête du bureau se faisant faire une savou-reuse pipe par madame Fine qui se tenait à quatre patte la tête entre ses cuisses, Jake se posta derrière elle et la baisa en levrette.

En dehors de cette période il était très difficile de rencontrer madame Fine seule pour se la faire, mais il y avait parfois des opportunités.

Une fois, alors que Kurt errait dans les couloirs vides pour rejoindre sa deuxième heure de cours, il tomba sur madame Fine qui franchissait la porte d'entrée du vestibule pour se rendre dans les bureaux.

Il se précipita sur mister chemin de retour et l'attendit le pied ferme.

Dès qu'il entendit la porte des bureaux se refermer, il vit madame Fi,ne se ruer dans les escaliers pour rejoindre sa classe.

Elle poussa un soupir en voyant qu'il l'attendait, il posa ses mains sur ses épaules.

- "Non Kurt, pas tout de suite ... Mes élèves m'attendent!....." lui su-surra-t-elle d'une voix faible.

- "Qu'ils attendent!..... Ce ne sera pas long!...."

Il la força fermement à appuyer sur les marches, le cul en l'air, descendit rapidement pantalon et caleçons sur ses genoux et se branla se tenant entre les cuisses de madame Fine.

Puis il la poussa en arrière, l'allongeant à plat dos sur les marches et re-troussa sa jupe à sa taille dévoilant une petite culotte de coton blanche. Il écarta le fond de la petite culotte exposant mister con velu et plongea sa bite dans sa petite chatte affamée.

Il s'étendit sur elle dans l'escalier allant et venant dans le compas de cuisses grandes ouvertes. Madame Fine l'attira à elle et hulula longue-ment dans les escaliers clamant mister orgasme.

Kurt savait qu'il prenait des risques, il devait en finir rapidement.

Madame Fine avait noué ses chevilles dans mister dos mains verrouillées sur sa nuque.

Elle poussait de petite cris de jouissance alors qu'il la pilonnait lubrique-ment. Il ne leur fallut pas plus de 5 minutes pour succomber tous deux à un orgasme ravageur puis madame Fine, la chatte pleine du sperme de mister jeune amant reprit le chemin de sa classe.

Un jour, lors de la septième heure il était programmé une visite à la bi-bliothèque scolaire.

Madame Fine voulait leur apprendre à choisir les bouquins requis pour leurs recherches.

Une grande table de lecture se trouvait au centre de la salle entourée par des rayons d'étagères.

Mais, sur un des cotés entre les étagères de livres et la table de lecture se trouvait un couloir ou étaient rangés les livres de grandes tailles.

Au milieu de cette visite, Kurt, Leo, Jake, Rod, et une paire de copains faisaient des recherche dans cette section. La plupart des élèves avait trouvé les livres qui leurs étaient nécessaires et, les lisaient assis autour de la grande table de lecture.

Les jeunes délinquants remarquèrent vite que madame Fine aidait un élève dans la section des grands livres.

Jake la rejoignit et se posta dans mister dos, ses compères les regardait tranquillement derrière les piles de livres.

Lorsque l'élève qu'elle aidait se retira Jake retint madame Fine par le bras, il requit mister aide pour trouver un livre dans le couloir dans leur dos.

Comme elle se penchait en avant à la recherche du titre recherché, face à la grande table, Kurt et ses potes virent Jake lui peloter les fesses.

Madame Fine se figea effrayée, mais elle réalisa que les étagères les cachaient des élèves assis autour de la table, seuls les spectateurs dans mister dos pouvaient savourer le spectacle qu'ils offraient.

Elle jeta un coup d'œil circulaire dans la grande salle histoire de voir si quelqu'un d'autre voir se qu'un de ses élèves lui malaxait allégrement la croupe. Il glissa sa main sous la jupe et reprit ses caresses à même la peau nue. L'endroit et l'instant favorisaient ses intentions.

Il se laissa tomber sur les genoux dans le dos de madame Fine, comme s'il cherchait dans les étagères basses, retroussa sa jupe à sa taille, of-frant la vue de mister cul nu à ses potes, à l'insu du reste de la classe.

Il enfouit mister visage entre ses fesses, elle se raidit et ouvrit la bouche; mais aucun mister n'en sortit.

Elle se mordait les lèvres pour garder une apparence sereine.

Jake pressait fermement mister visage dans sa raie culière, Kurt et ses amis avaient bien du mal à refreiner leurs gloussements, ils étaient aba-sourdis de voir Jake ose de telles caresses en ce lieu, cela faisait long-temps en vérité qu'il voulait fourrer mister nez dans une raie culière fémi-nine.

Jake lui tenait fermement les fesses, lui léchant la raie du cul de bas en haut, pointant sa langue dans mister anus fripé.

Madame Fine tendit la main et agrippa l'étagère qui lui faisait face.

Ses élèves pouvaient voir mister visage et le haut de mister torse mais ils ne pouvaient pas distinguer Jake, agenouillé dans mister dos, qui lui travaillait la raie culière de la langue.

Tout en lui titillant le trou du cul, il avait glissé une main sur sa chatte et parcourait sa fentine d'un doigt expert.

Elle avait maintenant les yeux fermés, elle se mordait les lèvres pour en-diguer ses cris de bonheur alors que mister corps tremblait comme une feuille.

Il inséra quatre doigts dans mister antre embrasé alors que la pointe de la langue il lui évasait le goulot.

Kurt et ses amis entendaient distinctement le clapotis des doigts fouillant la moule inondée de cyprine de leur gentille prof.

Elle poussa un misterore gémissement de plaisir que pratiquement tous les élèves entendirent alors qu'elle succombait à un orgasme d'une rare in-tensité.

Plusieurs élèves lui jetèrent un oeil étonné, mais ils ne pouvaient voir qu'une prof en détresse s'agrippant à une étagère.

Jake retira mister visage de mister entre fesse et Kurt vit avec jubilation que mister petit l'œillet frémissant était trempé de salive.

Jake rampa littéralement jusqu'à la plus haute étagère alors que ma-dame Fine rabattait sa jupe, la lissait et se laissait tomber sur la chaise la plus proche histoire de reprendre ses esprits.

suite demain
chrislebo

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#25 · Edited by: chrislebo
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CHAPITRE 9

Le vendredi soir, Madame Fine supplia Kurt de lui laisser porter des sous-vêtements le lendemain car elle avait une conférence pédagogi-que.

Kurt y consentit gentiment.

Le lendemain elle portait d'un chandail moulant et d'une jupe évasée noire, elle n'était pas très courte mais elle donnait l'illusion de révéler plus de ses charmes qu'elle ne le faisait en réalité.

En dessous elle partait un petit soutien-gorge en dentelle blanc et un tanga de soie assorti, des bas couleur chair et une ceinture porte jarre-telle blanche.

Après la septième heure, Kurt lui révéla qu'elle devait venait avec lui après les cours qu'ils avaient rendez-vous avec plusieurs élèves.

Il lui ordonna appeler mister mari pour lui demander de passer prendre les enfants à la sortie des classes, l'informant par ailleurs qu'elle rentrerait fort tard.

Elle appela donc mister mari :

- "Sam ...." c'était la première fois que Kurt entendait mister prénom.

Avant qu'elle ne raccroche, il cria dans le téléphone :

- "T'inquiète pas Sam on va prendre grand soin d'elle!..... Ne te tra-casse donc pas!......"

A 16 heures, madame Fine attendait Kurt dans le parking de la faculté.

Depuis qu'elle avait racheté ce vaste espace ils aimaient qu'elle utilise mister véhicule, mais Kurt le conduisait.

Kurt et Rod prirent place uir le siège du fond encadrant madame Fine, juste derrière trois jeunes hommes qui prirent place sur le siège passa-ger et la banquette intermédiaire.

Ils arrêtèrent tout d'abord dans une pizzeria, ou madame Fine offrait des pizzas et du coke pour ses six compagnons.

Ils s'engouffrèrent tous les sept dans la pizzeria, elle s'assit avec les ados le temps qu'ils dégustent leurs pizzas.

Kurt et ses amis lui caressèrent les cuisses, mais les choses n'allèrent pas plus loin.

De retour dans la voiture Kurt et Rod s'assirent de chaque coté de madame Fine à l'arrière et cette fois Kurt se permit des privautés intimes avec sa prof, passant la main dans mister chandail il lui pelota les nibards sous l'œil intéressé de ses comparses.

Il lui fit écarter largement les cuisses alors qu'il caressait mister mont de Venus ce qui offrait une vue excitante sur le fond de mister petit tanga en-cadré par ses bas et mister porte jarretelles blanc.

Kurt espérait que ses complices voit sa main glisser sous le coté de la culotte de madame Fine pour la doigter avidement.

Ils s'arrêtèrent ensuite pour faire provision d'alcool, et comme madame Fine était la seule à pouvoir acheter des boismisters alcoolisées et la seule ayant des revenus, elle leur procura plusieurs cartons de bière et une bouteille de gin.

L'alcool acheté, Kurt autorisa Rod à les rejoindre sur la banquette ar-rière, il empoigna sa main et la posa sur sa bite lui faisant signe de le branler, alors qu'elle branlait Rod de l'autre main.

Ils se rendirent dans la maimister de Leo, ses parents étant partis pour le week-end.

Madame Fine descendit et gagna la cuisine sous les ordres de Leo.

Le temps qu'ils transvasent les boismisters du coffre de la voiture dans le réfrigérateur, une trentaine de jeunes dont beaucoup de ses élèves se pointèrent réclamant à boire.

Certains se mirent à danser avec leur sexy prof.

Lorsqu'elle eut avalé deux verres pleins de gin, madame Fine leur fit une petite danse sous les acclamations des spectateurs, elle était le principal point d'attention de la fête.

La majorité de ces ados avaient eu madame Fine comme prof cette an-née et les années antérieurs;

Ces nichons n'étaient pas très gros mais ils se balançaient au rythme de ses pas au grand ravissement de l'assistance.

Sa jupe plissée se retroussait à chaque volte sur elle même, exposant ses longs de nylon gainant ses jambes et parfois même sa ceinture porte jarretelles et la chair nue de ses cuisses au dessus des bas.

Et cette femme cultivée dansait en se trémoussant du cul et des han-ches, excitant les autres participants buvant bières sur bières qui s'assi-rent faisant cercle autour d'elle.

En un rien de temps une bonne partie des jeunes ados se retrouva bien éméchée guettant madame Fine, seule femelle à se mettre sous la dent.

Ils s'agitaient en la regardant évoluer sensuellement. Ils se mirent à ré-clamer :

- "Bouge ton cul madame Fine!...."

- "Secoue toi le popotin!...."

- " Montre nous tes fesse!...."

Ils voulaient tous surenchérir sur les vœux de plus en plus salaces de leurs comparses.

- "Secoue te nichons!...."

- "Montre nous tes cuisses!...."

- "Montre nous ton joli petit cul!...."

- "Ouai comme ça ...... Encore ..... Plus haut la jambe ....."

Madame Fine bien programmé pour complaire à ses élèves se mit à danser de façon beaucoup plus provocante, secouant ses fesses en ca-dence.

Elle n'était ni jeune ni petite mais elle parvenait à onduler sensuellement au rythme de la musique.

Les ados qui l'entouraient jetaient des yeux concupiscents sur ses han-ches tressautantes et ses nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, d'autres jetaient des coups d'œil lubriques sous sa jupe qui volai au gré de ses voltes.

Cela ne tarda pas avant que leurs désir s'expriment :

- "A poil!...."

- "On veut te voir à poil!...."

Un groupe de jeunes se mit à psalmodier en chœur :

- "A poil ...... On veut te voir à poil ...... A poil!....." Il lui était impos-sible d'ignorer leurs souhaits.

Les chants lui réclamant un strip-tease continuaient.

Madame Fine dégrafa la fermeture éclair dorsale de sa jupe et la fit glis-ser sur ses cuisses, d'un coup de pied rageur elle s'en débarrassa conti-nuant à danser en porte-jarretelles et petite culotte blanche.

Elle était assez grande avec un cul épanoui qu'elle remuait en cadence au grand plaisir des spectateurs, qui aimait la voir rouler des hanches de façon aussi évocatrice.

Elle savait très certainement le sens de l'expression "rouler des han-ches" ......... Et lorsqu'ils lui dirent de s'exécuter, elle fit de mister mieux pour faire rouler ses fesses en cadence, Kurt et ses amis hurlèrent de plaisir à la voir mimer l'amour de façon aussi provocante.

Tout en chaloupant du cul, elle croisa les bras et saisit le revers de mister chandail qu'elle remonta lentement le faisant passer au dessus de sa tête avant de le lancer rejoindre sa jupe.

Elle baissa alors lascivement ses bretelles de soutien gorge une à une les spectateurs grondaient de plaisir.

Lorsqu'elle dégrafa le clips séparant ses bonnets, ses nibards jaillirent littéralement de leur écrin de dentelle, elle dansait maintenant torse nu.

Elle leva les bras au dessus de la tête comme une danseuse indienne et se trémoussa lentement lançant mister buste de droite et de gauche sous les yeux écarquillés de l'assistance.

Sa poitrine était très ferme pour une femme de mister âge, mais elle les balançait, les secouait, les agitait d'une façon bien plus sensuelle que n'aurait pu le faire une des jeunettes fréquentant le lycée.

Kurt et ses copains savouraient le spectacle de cette femme mure leur agitant ses nichons de façon aussi licencieuse sous leurs yeux éblouis, il se chamaillaient pour conquérir le meilleur point de vue, madame Fine se tournait et tournait faisant à tous l'offrande de ses succulents appâts.

Quelques minutes plus tard, les yeux rivés sur ses fesses et sa chatte, ils criaient et sifflaient réclamant d'en voir plus.

Madame Fine, très gênée, braquait alternativement ses yeux sur le pla-fond sur le sol, souriant timidement aux élèves qui lui faisaient face, ses yeux s'emplirent de larmes.

PLusieurs gars sortirent des dollars et les glissèrent dans mister porte-jarretelles et la ceinture de sa petite culotte.

Ce faisant, ils lui, pelotaient avidement le cul alors qu'elle cherchait o conserver un bon rythme de balancement de ses hanches.

Ils criaient maintenant :

- "Encore madame Fine!..... Montrez nous en plus!....."

Certains lui agrippaient la ceinture de sa petite culotte de leurs pouces tendus, cependant, ils hésitaient encore à la lui ôter.

Mais la foule ne voulait plus attendre et les mains qui avaient glissé des dollars dans sa ceinture lui descendaient maintenant la petite culotte sur les genoux.

Une grosse main la tira sur le coté on entendit distinctement la fine den-telle se déchirer.

Déséquilibrée elle tomba dans les bras de ses admirateurs qui jetaient sa culotte au loin.

Ils l'encerclaient si étroitement qu'ils la rattrapèrent avant qu'elle ne chute et sol et l'aidèrent promptement à rétablir mister équilibre.

La chatte à l'air madame Fine continuait de danser, elle semblait particu-lièrement vulnérable alors que ses admirateurs enfouissaient leurs visa-ges dans entrecuisse savourant à plein nez ses flagrances intimes.

Son cul n'était pas le plus ferme des femelles du lycée, mais il était tout rond, avenant sans défauts notables.

Elle secouait sa croupe et ses seins les projetant en cadence aux visa-ges de ses admirateurs qui bavant de concupiscence, sifflaient et hur-laient des encouragements.

Les mains d'ados à moitiés ivres se tendirent palpant ses chairs, parcou-rant sa fente inondée de cyprine, lui pinçant rudement ses tétons dardés rampant sur tout mister corps : les épaules, le torse, les jambes, les cuis-ses , les fesses.

Ils lui arrachèrent sa ceinture porte-jarretelles et ses bas.

Finalement épuisée de danser, madame Fine vacilla et s'effondra entre les mains de la cohorte de spectateurs qui la reluquaient avidement, ils l'entraînèrent vers le canapé le plus proche où ils l'étendirent la reluquant lubriquement.

Des mains couraient sur mister corps, des doigts pénétraient chacun de ses orifices, une langue pointue lécha brièvement mister trou du cul, des lèvres couvrirent les siennes, des langues avides fouillèrent sa bouche, la partouze débutait.

Bite après bite de nombreux ados la possédèrent, ils se vidaient rapide-ment les couilles dans sa chatte engorgée et se voyaient immédiatement remplacé par l'amateur suivant.

Au début ils avaient formés une longue queue de clients au pied du lit, attendant de prendre place entre ses cuisses pour s'allonger sur mister corps nu.

Puis ils la relevèrent et la placèrent sur les genoux d'un étudiant assis sur le lit qui la prit par le trou du cul alors que d'autres lui malaxaient les seins ou se faisaient branler à pleine main.

On entendait plus que des gémissements, des grognements, des plain-tes, des lamentations qui sortaient de la bouche de la malheureuse prof qui subissait là mister premier gang bang.

Seul Kurt qui la connaissait bien identifiait les moments où elle était ter-rassée par de puissants orgasmes, il en dénombra un nombre incroya-ble.

Plus tard, elle fut allongée sur le ventre d'un étudiant qui s'enfouit dans sa chatte alors qu'un autre, bien éméché grimpait sur le lit et l'enculait tout de go.

Prise en sandwich notre malheureuse prof poussait des hurlements d'extase.

Bien plus tard dans la nuit, lorsque madame Fine eut reçu un nombre invraisemblable de bites en bouche , en con et en cul, les jeunes hom-mes satisfaits repartaient prévenir d'autres copains que la délicieuse prof se faisait partouzer chez Leo.

Le nombre d'amateurs ne se tarissait pas de ce fait, il y avait toujours de nouvelles bites qui venaient se vider les couilles dans ses trois orifices engorgés.

Et cela dura jusqu petit matin.

Kurt avait rapidement perdu le compte des jeunes l'ayant possédé mais ils devaient y avoir 80 à 100 jeunes de 18 ans qui avaient profité des charmes de la ravissante prof éreintée, un pourcentage appréciable des élèves qui fréquentaient les classes terminales du lycée.

Aux aurores il ne restait plus qu'une poignée d'ados ivres, ils avaient tous satisfaits leurs appétits lubriques à plusieurs reprises.

Les lèvres de madame Fine étaient gonflées, et gercées a power de suce des bites.

Son maquillage avait coulé au travers de mister visage, ses cheveux étaient gluants de foutre, sa chatoune ressemblait à un cloaque engorgé de semence mister trou du cul ne valait pas mieux, elle avait bien de la peine à marcher tant mister corps était douloureux.

Elle était couverte de sperme des pieds à la tête, ils avaient fait un concours au milieu de la nuit à celui qui cracherait le plus de foutre sur mister corps, ils n'avaient pas épargnés u seul endroit, mister cou, sa poitrine, ses tétons, mister cul, ses cuisses, ses hanches étaient couvertes d'une épaisse couche de foutre poisseux.

Madame Fine hébétée se mit à la recherche de ses vêtements sous l'œil glauque des ados ivres et somnolents qui la laissèrent faire passive-ment.

Sa petite culotte était déchirée, mais elle l'enfila tout de même pour éponger les torrents de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de mister trou du cul se autres vêtements avaient été piétinés et souillés au cours de la partouze. mister porte-jarretelles était déchiré en deux et ses bas en lambeaux.

- "Enfile tes loques ....." lui enjoignit Kurt à moitié réveillé.

- "Elles mistert tellement déchirés que je ne sais pas si je pourrai les remettre .... " avança madame Fine d'une voix rauque.

- "Débrouille toi pour te couvrir!.... Je veux que ton mari te voit ren-trer ainsi attifée à ton retour chez toi!......" Kurt ressortit mister porta-ble.

- "Et maintenant dit canari!....."

Madame Fine lui jeta un coup d'œil rapide, puis se souvint de sa situa-tion et baissa la tête honteuse.

Son chandail était plein de taches, déchirés et couvert d'empreintes de mains au niveau de ses nibards.

La fermeture éclair de sa jupe était inutilisable, sa petite culotte pois-seuse et sans fond, sa jupe aussi était couvertes de flaques de foutre qui séchaient lentement.

Plusieurs gars s'étaient servis de ses effets pour s'essuyer la bite avant de rentrer chez eux.

Madame Fine retrouva mister collier et sa petite croix là ou elle les avait posés, ses chaussures avaient disparus.

Kurt qui avait gardé ses clefs de voiture, les lui tendit et la regarda se di-riger pieds nus vers la porte de sortie.

Mais il ne put résister à ironiser :

- "On se voit lundi madame Fine!...... Dis à ton mari que je vous en-verrai un mail et quelques photos prises cette nuit ..... Et ce sera ainsi jusqu'à la fin du trimestre ma petite chérie ..... N'est ce pas enviable de se sentir aussi désirée!......."

Il lui paraissait inutile de préciser que si elle en aurait fini avec lui et sa bande à la fin du trimestre ...... La fête recommencerait dès le début de l'année suivante, mister petit frère entrait en seconde et il lui remettrait tou-tes les photos, toutes les cassettes qui devraient lui pentecôte d'asservir la ravissante madame Fine pour les trois années suivantes ....... Et d'au-tres petits frères qui suivraient!.......

Fin
chrislebo

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#26
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Doctor Bitch 01


Katherine pushed down on the horn of her BMW, waiting while the old fart with the handicapped tag tried to parallel park. People on the street were staring at her, until she let go of the horn and sped off down the road. She resisted the urge to give the old guy the finger as she passed his car. Katherine was having a bad day, but then most days sucked. The pool guy and the lawn boy had just quit on her, saying they were sick of her constant criticism of their work. On top of that her husband, the doctor, had agreed to do charity work and give free medical exams to some of the homeless people in town. He had done it at one shelter, decided he didn't like it and asked her to do the exams at the next shelter. She hated working with the lower classes, but the tax deduction was too good to pass up. On top of the bad drivers, poor help, and bums, she wasn't getting any at home. The doctor hadn't touched her in over three months and she felt like she was constantly horny. Katherine parked her Beamer in the alley next to the shelter and entered the building. There were about a dozen homeless men hanging around waiting for her. A small office connected to the relaxing area was to be used for the examinations. A older man with a beard was there to assist her.

"What can I do to help, Doc," said the helper.

Katherine looked him over and sneered slightly. The words, "worthless hippie do-gooder" flashed into her mind. "Just tell the men to strip to their underwear and line up outside the door. Then you can go do whatever it is you do around here."

Snooty bitch, thought the man, but he nodded and left the room.

Katherine buttoned on a lab coat and found it was tight around her large full breasts. She heard the assistant yelling to the homeless to line up as she pulled on her rubber gloves. Some of the bums were griping about dinner and she guessed that apparently they weren't allowed to eat until finishing the exam. She got a whiff from the shelter and grabbed a mask to help filter out some of the unwashed smell from the men.

Katherine opened the door and rolled her eyes. Most of the men weren't wearing underwear and she got the feeling she was being punished for something she had done in a previous life. "Come on," she said pointing at the first guy in line.

An old man shuffled into the room and stood there while she went through her check list. She got his name, medical history, and asked him to turn around and bend over, running her hands along his back. She pulled up a chair and sat before him. His underwear was dirty and full of holes. She cupped his testicles underneath his underwear and asked him to cough. He giggled and she felt disgusted when his little penis started moving underneath his underwear. She hadn't seen an erection on her husband in months and this pissed her off even more. "Next," she yelled pushing him out of the room.

The next guy was a toothless old black man who giggled the whole time she examined him. She had never examined a black man before and crinkled her nose in disgust the whole time she touched him. Katherine pulled up her chair and gasped. He wasn't wearing any underwear and his penis was the biggest she had ever seen in her life. It was slightly erect and about seven inches long. She cupped his testicles and the big penis grew until it was pointing right at her mask covered mouth. Dear god, she thought. It must be nine inches long.

"Sorry," said he black man. "I ain't never had a pretty white lady touch old jumbo before."

"Next," she yelled pushing him out of the room. She heard several of the bums applaud when they saw his erection. Katherine briefly wished her husband had a penis that big or even one that got that hard. Anyway, god had to give that black man something to make up for what he had done to the man's life.

Katherine examined a few more white bums before coming to another black man. Now that's a penis, she thought seeing the monstrosity dangling between his legs. The man was in his late forties and except for his penis, completely forgettable. She was in a daze going through the exam, picturing his big black rod in her head. It only served to remind her of how horny she was.

Katherine sat down and cupped his balls. His penis immediately turned to steel. It was probably eight inches long and the fattest thing she had ever seen.

"Don't you want me to turn my head and cough," he asked with a grin on his face.

Embarrassed, Katherine realized she had been staring at his tool. It was also pointed right at her mouth and he was starting to make little thrusts, like he was imagining she was sucking on it. She was thankful for the mask. Angry and disgusted, she shoved him out the door.

The next patient was an old white man with a penis even more laughable then her husbands. She guessed it was as big as her thumb as she peeked through a hole in his underwear.

As she neared the end of her examinations, Katherine noticed a pattern had developed. She had examined six white men and four black men so far. The white men's penis's ranged from four to six inches and only got semi-erect. None of the black men had a penis under seven inches and to the man they were all fatter and harder then the whites. She remembered hearing a rumor that black men were bigger then whites, but had shrugged it off as nonsense. She found herself anticipating seeing how big the next black penis was.

Katherine's mood was getting worse as the day wore on. She was sick of looking and smelling all these homeless men. She was also feeling cheated. All but one of the men had a penis bigger then her husband's and with the black men, all it had taken was one look or touch to make theirs become hard as a rock. She had everything she could ever want, but was stuck with a husband with a limp little five inch noodle for a penis. Life just wasn't fair.

Katherine sighed and got out the next form. The next to the last homeless man entered and without looking up she said, "Name?"

"Big D."

"Real name?" she said looking up at him. Katherine did a double take when she saw the man. He was a handsome black man in his late teens. She could see a well defined chest beneath his tight tee shirt. He was the first black man she had examined who actually wore underwear and it looked like they were about to rip apart from the size of the penis they were imprimistering. "Dunnell Jackmister," he answered admiring her well developed body straining against her white doctor's coat. She had her long brown hair up conservatively and was wearing glasses on the edge of her nose. Big D guessed she was the type of woman who was ashamed of her body and resented all the male attention it got her. There was usually a slut lurking somewhere underneath the conservative facade of women like this, just waiting to be unleashed.

Katherine filled out the rest of her form and said. "Please remove your shirt for me." She watched him slowly pull his tee shirt off over his head revealing an extremely well chiselled chest. He certainly looked healthy from the front, she thought. She turned him around and had him touch his toes. Katherine felt a chill run up her spine as she ran her hand down his muscled back and over his spine.

"Please remove your underwear," she told him. Katherine sat in her examination chair and watched as he slid his underwear off. His ass cheeks were as hard as the rest of his body and when he turned around she gasped at the sight of his penis. It was the biggest one she had seen yet and soft it dangled down seven inches.

Katherine reached out for his testicles, but found his penis was so long and thick that it blocked her access. She gulped and reached out her other hand to lift his penis out of the way. At her touch the monster penis immediately turned fully erect and like all the other black men, it hung straight out, pointing right at her mouth. "T-turn your head and cough," she stuttered out while staring at his monster penis.

"Ten inches, if your wondering,"said Dunnell after coughing. Now she knew why they called him Big D, she thought, still staring at the thick black sausage sized penis less then a foot from her mouth. Katherine shook her head to clear it and said, "I don't care how big your penis is."

"Why you so bitchy?" he asked looking her over.

"Not that it's any of your damn business, but I just had my pool man and lawn man quit on me. Not to mention the fact that Tuesdays my only day off and I have to spend it doing charity work instead of laying out by the pool. I'm not having a good day. You can get dressed and go."

Katherine finished Dunnell's paperwork. She felt an itch on her head and removed her rubber glove to itch it.

Katherine had trouble concentrating on her paperwork as she kept thinking of Big D's perfect nude body standing before her like some kind of ebony god. She knew she'd never cheat on her husband, especially with a black man, but she couldn't help wondering what it would be like to make love to a penis that big. She was thirty-two and nearing her sexual peak. Katherine was ashamed to realize, she was a little aroused by the days events. Katherine noticed a large presence before her and said, "Name."

"Horse."

"Real name."

"Just Horse, ma'am."

Katherine sighed and stood up. She wrote Horse down as his name and looked at the man in the room. Her heart leapt with fear when she saw him. He was the biggest, ugliest, and meanest looking black man she had ever seen. He was at least six and a half feet tall. She had to strain her neck to look up at his face. He was as ugly as Dunnell was handsome. Horse's skin was dark black compared to Big D's light brown. His nose was flat and it looked like it had been broken sometime in the past. Horse's presence before her was overwhelmingly powerful. She shivered in fear and something else.

Katherine looked down his body. He had a fit fighters chest and was built similar to Mike Tymister. He was covered in muscles, she had never seen before even in an anatomy book. Her gaze kept traveling down over his stomach and towards his crotch. She gulped imagining what his penis must look like. She wasn't disappointed.

A black python, she thought, it looks like a giant black python. His penis was eleven inches long and as big around as her wrist. It was rock hard and so big that it's weight caused it to angle down slightly towards the floor. His penis was as dark as his skin from the tip to the end compared to Big D's whose tip had been lighter in color then the shaft. Dunnell had also been circumcised where Horse wasn't. The head peeking out of the foreskin was as big as a plum and the foreskin made her think of a hooded cobra instead of a python.

Katherine shook her head to clear it and asked him to turn around and bend over. He was so big that she had to lean up against his ass to run her hands down his back. She ran her hands over the muscled ridges of his back and along his spine. She looked up and was surprised to see Dunnell standing behind Horse grinning at her. He hadn't gotten dressed yet and his penis was still hard. "What are you still doing here?" she asked.

"I'm just waiting for my friend," he replied.
chrislebo

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#27 · Edited by: chrislebo
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Suite


Katherine sat on her stool and asked Horse to turn around. Shaking her head in disbelief as his penis appeared before her face. Like Dunnell, she would have to lift it up to reach his testicles. She reached out and grasped it on the foreskin. It slid back slightly so that the head of his penis emerged fully. A drop of pre-cum oozed from the pee slit of the end and then more started coming. The pre-cum flowing out of the end was as much as one of her husbands regular orgasms and she realized it must take a lot to lubricate a penis that big. Then to her horror Katherine realized that she hadn't put her glove back on after scratching her head and she was actually touching a penis that wasn't her husband's for the first time in her life. She was disgusted to touch a homeless black man's penis, but she didn't let go, and figured it would be best just to get this over with. She raised up his penis and cupped his testicles. They were sized to match his giant sex organ. His testicles hung low, they were heavy, and were as big around as two small oranges.

There was a half inch gap between her fingers that were circled around his penis and as she released his testicles she realized the gap was widening. Katherine once again couldn't believe her eyes. His penis wasn't hanging down because of gravity, it was hanging down because he hadn't been fully erect. It grew another two inches to around thirteen inches long. Fully erect, he angled slightly upward and like all the other black men, his penis seemed to point directly at her mouth. Katherine briefly pictured Horse thrusting forward powerfully ad his mighty penis ripping right through her mask and penetrating her mouth.

Horse chuckled and Katherine was horrified to see that her hand was sorry stroking his shaft. Her strokes had caused more pre-cum to ooze out and the entire head of his penis was now lubricated. Ashamed of herself, she let go of his penis, turning red with embarrassment.

Katherine held her head down towards the floor breathing heavily. When she looked up, Big D had moved around and was standing besides Horse. Both their big penis's were pointing right at her face.

"Well doc," asked Dunnell, "do you see anything wrong with us" "Oh you both seem to be completely healthy. You don't look like homeless people," said Katherine checking her watch. She was surprised to see that she had spent thirty minutes with Dunnell and Horse, where she had averaged only five minutes each with the others. Where had the time gone? She was relieved and a little upset to see that the men were starting to get dressed.

"Well Doc," said Dunnell, pulling on his shirt, "Me and Horse here lost our construction jobs and got evicted on the same day." Both he and Horse were keeping their cocks out until the last possible minute. This sexy white bitch needed to get fucked so bad, he could swear he could smell her pussy juices flowing. "Yeah, me and Horse built houses and did a lot of yard work before getting laid off." He winked at Horse's look of surprise, they had never done any yard work.

Katherine sighed when their cocks disappeared into their jeans. She couldn't remember ever being this horny and thought that even if she could get her husband's penis erect it wouldn't satisfy her. Katherine grabbed her things and said "Well, I wish you two luck.. Did you say that you did yard work?

"Yes, we did a lot of yard work."

Katherine knew it was dangerous to give out private information, but she really needed her yard taken care of. "Would you guys be willing to take care of my yard until I can find someone to do it full time? My husband won't do it."

"Sure that would be great," said Dunnell. "That could sure help us get on our feet."

"Good," said Katherine writing out her address on a slip of paper and giving it to Dunnell. "Show up in the morning next Wednesday and I will leave the shed unlocked for you."

"We'll be there bright and early," said Dunnell.

"Just be sure you do a good job and I will see your well compensated," said Katherine grabbing her car keys and heading towards the exit.

"Lady," said Horse, a blank expression on his face, "once we mow your lawn you won't want anyone else to do it."

Katherine nodded at them and left.

"I wants to fuck her," said Horse watching her leave.

Dunnell had heard those words before, he knew what was required of him. "Just follow my lead." Katherine got in her bmw and headed home. She had a habit of biting her fingernails when deep in thought and was biting them as she drove off. One problem was solved with the two black men, but where was she going to find a pool guy? She tasted something on her finger and her tongue flicked out lapping some up. It was kind of salty and she licked out, lapping up the rest, enjoying the taste. Confused, she took her hand out of her house and looked at it. Bile rose in her throat as she saw that Horse's pre-cum covered her fingers. She barely avoided getting in an accident as she sped towards the nearest store to buy some mouthwash.

* * *

Katherine sighed as she put her take down beside the pool and sat down on the cot. She stretched sensuously and laid down on her back. She reached down and took a sip of her margarita (her third of the day) enjoying her one day of relaxation. Tuesday was the only day of the week she didn't hate. Six days were spent at the hospital and seven nights were spent with her poor excuse of a husband, but on Tuesday she was able to take her troubles away and relax by the pool in a bikini that barely covered her voluptuous figure.

She had lost her free day last week when she had given the exams to the homeless men at the shelter. Not only was she upset over missing out on her tanning, but she was ashamed that the exams had such an effect on her. Every time she closed her eyes, she saw long black penises pointing at her mouth. At night she dreamt of them, not just Horse's and Dunnell's, but the toothless old man with Jumbo and all the others. It was happening now. She closed her eyes feeling the sun warming her skin and immediately imagined Horse and Dunnell were standing before her completely nude again. She was wearing her bikini in the shelter and the doctor's mask protected her from their giant penises. She was stroking Horse's massive black rod and his pre-cum was oozing out all over her hands. She wanted to taste it again and leaning forward, she parted her lips....

Katherine awoke just like she always did before doing anything wrong in her dreams. She opened her eyes and saw Horse and Big D standing above her, their eyes greedily roaming over her body. She shook her head to clear it and when she opened her eyes again, they were still there.

"Well doc," said Dunnell, "that must have been some dream you were having." He ran his eyes over the thin material of her white bikini. Her nipples were clearly visible through the top, long, fat and erect with desire. Her legs were parted and he could see that her panties were soaked from her arousal.

"What are you to doing here?" she asked desperately looking for a towel to cover up her practically nude body. The look on Horse's face frightened her. She didn't even wear a bikini in front of her husband and never in front of strangers. She was dismayed to see that she hadn't bothered getting a towel.

"You told us to come by today and mow your lawn," said Dunnell confidently.

"No," she said angrily. "I distinctly remember telling you Wednesday." Katherine was upset that her free day had been interrupted and embarrassed that she had been dreaming about the two black men. She saw that neither was wearing a shirt and sweat glistened on their muscular chests.

"Sorry Doc," replied Dunnell, "you said Tuesday and you would meet us by the pool. Then you would show us where the lawn equipment was." Katherine furrowed her brows. The heat and the margaritas were definitely having an effect on her. She couldn't think straight. She remembered saying Wednesday, but then how did they know she'd be by the pool? Did the sight of their giant penises last week confuse her that much? "Well your here now," she gave in, "so I'll show you where everything is."

She stood up and tried to stretch out her bikini to cover more of her body. They watched and she gave up when she saw that it only served to make the thin white fabric more see-thru. "Follow me," she said turning towards the shed. Katherine gulped as she pictured their eyes glued to the thong slipping between her ass cheeks. She was surprised to catch herself swaying her hips and she stopped as soon as she realized what she was doing.

Katherine showed the two black men where the lawn mower and trimmer were kept in the garage and excused herself. She could feel their eyes on her scantily clad body the entire time it took her to walk to her house. She entered and walked upstairs to change into something a lot less revealing.

She paused before the full length mirror and looked at her body. She knew that she had a figure men went crazy over, but had always covered herself up because she wanted to be taken seriously. She looked at her large, firm breasts sticking out so far over her flat stomach that it looked like her bikini top would break from stretching too far. She had a nice tan all over her whole body, except for a small white patch around her aureola and around the edges of her well-trimmed pubic hair. Her face was still beautiful and young looking except for lines around her eyes when she smiled,which she almost never did anyway. If she hadn't become a doctor, she could easily have become a stripper or a lingerie model, that is if she liked showing off her body...

Did she like showing off her body? Katherine had been embarrassed at first, but the way the two black men had ogled her had actually excited her. Her husband hadn't looked at her like that in years and it felt good to be desired. She decided not to change out of her bikini and maybe to tease them just a little. What harm could there be in a little teasing?

She fixed another margarita and returned to her spot by the pool. After takeing half, she was feeling quite takes and daring. Dunnell was on the lawn mower and Horse was trimming some bushes. It would take them about two hours to do the entire lawn.

Dunnell was around back, out of sight, but getting closer and Horse was nearby trimming the hedge. Katherine finished her margarita and got up stretching. She noticed she immediately got Horse's attention and she finally understood why some women liked using their bodies to control men. She walked over to the pool shower and stood under it, turning the water on. She couldn't hear the trimmer and guessed that Horse was watching her little show. She heard the riding mower come around the corner and then it stopped. She pictured the two black men watching the water run down her back and between her ass cheeks. She picked this bikini because it was so thin she got some sun through the material and when she turned around she knew that it was completely see-thru when wet.

She watched the men through her half closed eyes. They were definitely staring at her and she could see the outline of Horse's monster penis fattening up under his jeans. She stood on her toes and held her head back under the shower letting the water cascade over her upthrust breasts.

A shiver ran through Katherine's body when she realized the effect she was having on her two observers. Why hadn't she teased men before? This was the biggest sexual thrill of her life and her long nipples were rock hard from her excitement. She knew she'd have to do this again before her good looks were gone forever. Why had she wasted her twenties covering herself up?

Katherine turned the shower off while imagining ways she could tease men. She decided that the next day at the hospital, she'd rip a button off her blouse and pretend not to notice it. She grinned thinking of the look on the doctors and patients faces when they finally got a look at some of her cleavage.

She walked back to her cot. The black men had stopped and were staring at her lustfully as she passed in the wet see-thru bathing suit. "Come on boys," she said, "I'm not paying you to sit around." Horse's eyes suddenly went from lustful to angry and she briefly wandered if she had gotten a little carried away.

Boys! Why that snotty, racist, white bitch, thought Horse as he started trimming again. He reached down and squeezed his cock underneath his pants. She can't tease me like that and get away with it. He looked behind him. Katherine had her legs spread and was rubbing sun tan lotion between her thighs. He watched her hands move up to her belly and around her breasts. That bitch is going to get the fucking of her life, he thought, and I'm not going to take no for an answer.

Katherine was half arelax by the time they finished. She had continued to rub into her skin a lot more lotion then necessary as she continued to tease the two black men. Eventually, the combination, massage, holy water, and the sun caused her to doze off on her lawn chair.

Two giant muscular black men were standing before her, sweat glistening off their chiselled chests. She thought she was dreaming again until she realized that Dunnell and Horse were standing by her trying to get her attention. Katherine shook her head to clear it, wishing she hadn't drank so much.

"Ma'am, we were wondering if we could use your pool to cool off," said Big D. "We're finished, but it was awfully hot work."

Katherine didn't like the idea of two sweaty, homeless black men messing up her pool, but she was two takes and tired to argue. "Alright, just be quick about it."

Dunnell looked at Horse and she watched him unbutton his jeans and slowly pull the zipper down. She gasped when his beautiful, cut penis flew up from his pants hard as the cement around the pool. She looked over at Horse, he had already pulled his pants down revealing that massive black monstrosity he called a penis. It was even bigger and blacker then she remembered from last week. It frightened her and she cried, "Just a minute. What do you two think your..."
chrislebo

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fin chap 01


"Sorry," said Dunnell. "We don't have bathing suits and your a doctor, you see cocks like this every day."

Cocks, yes that's the proper term for something so big, she thought. Her husband had a penis and these were so much bigger then her husband's penis that cock seemed a more appropriate term. "No," she said takesenly, "I don't see this everyday." Katherine watched their black cocks bob and sway before them as they walked over to the pool. They jumped in and began horse playing in the water. Katherine wanted a better view so she got off her chair and sat down on the edge of the pool, letting her legs dangle in the water.

It was almost like they were teasing her, she thought. The two men would stand up and let the water cascade down their bodies while their cocks poked out of the water like black sea serpents. Impossibly, their cocks stayed hard in the cold water. She had watched her husband change once after swimming and his penis had shrank so much it looked like a little worm trying to crawl back into it's home

Big D swam over to where she was sitting. Katherine couldn't take her eyes off his sleek black form gliding through the water. He stood up before her, his cock pointing between her legs.

"Ma'am," said Dunnell, "you should get in the water and cool off. You don't want to dehydrate do you?"

"Your right," she responded. "I should know better and you can call me Katherine." Having two teenagers call her ma'am made her feel old. She pushed off the ledge and sank into the water up to her neck. This was a mistake as it put her mouth right in front of his shiny wet cock. Katherine gulped and stood up before Dunnell. Her bikini, which had dried in the sun, was now completely see-thru again and she watched his eyes flicker back and forth between her pubic hair and her nipples. She didn't know what to do, she could either show off her body to him or sink to her knees before his cock. Something deep within her wanted to kneel before him, but the feelings frightened her and she remained standing.

Dunnell grabbed her hand and pulled her deeper into the pool. Horse splashed her and she splashed back. Soon the three of them were acting like a couple of youngren playing in the water. Katherine knew it was wrong to be playing around in a pool with two naked black men almost half her age, but she was actually having fun and it made her feel young again. She was grateful that she had a private yard without any snoopy neighbors nearby.

"You have a beautiful body Kat," said Dunnell after they had paused to rest.

"Well thanks I guess," she said gasping for air and watching Horse swim around behind her. "And it's Katherine not Kat."

"Fine," he said. "You know it's not fair that you get to wear clothes while we're naked."

"Well you'll just have to find some bathing suits cause I'm not stripping," she said laughing. She paused wondering, how long had it been since she had laughed?

"Well could you at least stand up, so I can get a good look at that hot body of yours?" he asked. "I think you like showing off your body."

Katherine smiled as she sat in the shallow water. She did like showing these men her body and figuring what's the harm, so she stood up before Big D. Water cascaded off her body as she watched him ogle her again. "Well do you like?"

"Yeah, I like" he said. "You've got to be the hottest white bitch I've ever seen. Turn around so that I can see your ass."

Katherine turned, hearing Dunnell whistle. Horse was standing before her with no expression on his face except for the nostrils flaring on his flat nose. He was usually quiet and she thought he might be a little slow or something. He was an imposing, scary figure with a his thirteen inch cock jutting out before him. Once again she felt an urge to fall to her knees and she quickly turned around again.

When she faced him again Dunnell immediately said, "Put your hands on your hips." He got a smug grin on his face when she quickly obeyed him. He had yet to meet a woman who didn't like being ordered around by him, especially after seeing his cock.

Katherine breathed heavily as Dunnell put her through a series of poses accentuating her figure. She was so used to bossing her husband and the hospital staff around that it felt good to be told what to do for a change. It felt natural to obey Dunnell's orders and besides she liked showing off her body. What harm could it do?

"Now place your arms over your head and arch your back," Dunnell ordered.

Katherine thrust out her breasts and put her arms over her head. She screamed in surprise when Horse's beefy hand clamped over her wrists holding them together. Never had she felt such strength in her life and he pulled her back into his chest. "Stop," she cried. "What do you think your doing." She felt Horse's free hand undoing her bikini top and pleaded, "Dunnell please help me."

Dunnell swam towards the struggling woman. She was kicking out her legs and he grabbed them. She looked at him in horror when he yanked off her thong. She tried to kick and scream but he and Horse effortlessly held her. Dunnell pulled on her legs until her body was stretched between him and Horse floating on the water.

Katherine was scared as she writhed around, completely restrained by their strong hands. Horse reached around with his free hand and roughly grabbed her right breast and tweaked the nipple.

"You ever seen a better body then this?" Dunnell asked while running his free hand over her flat stomach and up over the firm, large mound of her left breast. Horse didn't answer intent on playing with her fat right nipple.

"Let me go you ass-holes," screamed Katherine still struggling. She was frightened of the men and especially of her reactions to their handling of her body. It had been so long since anyone had paid any attention to her that her body was starting to respond to their touches. "Please let me go," she cried again.

Dunnell looked at Horse and they let go, dropping her in the water. He grabbed her bikini and wadded it up into a ball, tossing it far off into her yard.

Katherine stood up, spitting water out of her mouth. She wiped her eyes in time to see her bikini go flying through the air. She was caught between staying in the pool where she was half covered by the water or running across the yard naked. She didn't know what they would do to her if she stayed with them in the water.

Katherine made up her mind fast and lunged for the side of the pool. It was futile because Dunnell's strong arm quickly clamped over one of her ankles and pulled her back towards him. He let go and she stood up, futilely beating his hard chest with her hands. "I'll scream," she cried, tears in her eyes.

"No one can hear you," he said grabbing her breasts.

She felt Horse grab her hips from behind and their hands roamed over her body. She tried to resist, but it felt to good to deny and she moaned in pleasure. Horse's monster cock was resting on her ass cheeks and she felt it slide down pushing her legs apart. His rod slid along her labia causing her pussy to burn with desire. Katherine shivered as she looked down seeing Horse's black python extending from between her legs. The part of the black cock visible between her legs was bigger then her husband's and she shivered again wondering what it would feel like buried in her pussy. Dunnell leaned down and kissed her mouth. She was used to passionless pecks from her husband and when Dunnell's tongue entered her mouth, she found herself kissing him back lustfully.

Katherine moaned as Horse's cock slid out from her legs and she felt the head tease her vagina. It pushed in and her pussy felt satisfied for the first time in months, but she begged, "Please stop. I can't cheat on my husband." "This ain't cheating," chuckled Horse.

Katherine realized that the object slowly moving in and out of her pussy was only slightly bigger then her husband's little worm and she saw that it was only Horse's index finger teasing her and worse, she was humping his hand like a bitch in heat.

Horse withdrew his finger saying, "I wants to taste this white pussy." He pushed her towards the side.

"No god please not that," she begged. The mere thought of anyone putting their mouths on anyone's genitals disgusted her.

Horse put his hands on her hips and effortlessly lifted her up on the side. He easily parted her legs and buried his face in her pussy. His tongue licked out teasing her labia and flicked over her extended clitoris.

"No, no," cried Katherine struggling as his arms held her. "Oh my god," she cried when his tongue reached her clit. It was the most pleasurable feeling of her life and her hips began undulating around his tongue. She felt a pressure building deep within her womb, growing stronger, getting closer. Her eyes flew open with surprise...

Dunnell quietly stood besides Horse watching for signs that she was about to cum. He knew Horse could eat white pussy for hours and wouldn't like being interrupted, but when he saw that she was close he pulled Horse back. Dunnell heard Katherine cry out in despair and frustration. Horse looked at him like he was about to rip of D's head, but calmed down when Dunnell winked at him. "Horse we should stop, this is wrong," he said. "I'm sorry Katherine, we got carried away and you were just so beautiful. We'll leave now. I know you don't want him to eat your pussy anymore."

Katherine had leaned up and was looking at them in despair. "No please don't stop, I was almost there," she cried desperately.

Horse didn't need to be told twice and buried his face in her pussy again. Dunnell knew he only had a few minutes, so he pulled himself out of the water and leaning his face next to her ear whispered, "It's only fair that if we do this for you, you should do it for us."

Katherine had never orgasmed before and desperately wanted this one to happen, but she cried, "No, I can't cheat on my husband."

"A blow job isn't cheating," he whispered.

Dunnell saw that Horse had slowed down and was watching him above her pussy. "It's only cheating if we fuck you."

"No, I can't," she said.

"Horse let's go," said Dunnell powerfully.

Katherine felt the orgasm fading away again and when Horse's tongue gave one last flick along her pussy, she changed her mind. "No wait I'll do it," she implored, "just don't stop." The feelings came back quickly as Horse once again returned to her pussy. She moaned as Dunnell tweaked her nipples between his fingers. He leaned over and kissed her passionately. She kissed him back until the feelings between her legs grew to big to ignore.

Dunnell leaned over and whispered, "You made the right decision.", just as she screamed in pleasure from a gigantic orgasm.

The orgasm seemed to explode from her body and she wondered how she had lived without them before. Something in the back of her mind linked her presentation to her orgasm, but she ignored the thought as she writhed in pleasure. She had made the right decision.

suite ...demain chp 2
chrislebo

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Chp 02


Oh god, thank you," she said after the orgasm had passed, then "Oh god," again when she realized that Horse wasn't stopping.

"Turn her over on her knees," said Dunnell kneeling before her.

Horse stopped eating her pussy and rolled her over onto her stomach. Katherine lifted herself up so that she was on all fours. Horse immediately attacked her pussy again, his tongue licking along the sensitive area between her pussy and her rectum. She looked up and found herself staring at Dunnell's beautiful cut cock.

It was perfectly shaped. The head was fat and hard. It seemed to throb with each beat of his heart. From the tip to the area just under the ridge, it was light brown in color, growing darker towards the base. "I've never done this before," she said staring in awe at his cock, though this base act had haunted her dreams since first seeing their cocks last week. "Please don't..."

"Shut up bitch," interrupted Dunnell. "We're taking care of you, now you gotta take care of us. Besides you'll enjoy it."

Katherine didn't know how she could possibly enjoy performing such a degrading act, but she had agreed to it and Dunnell had promised her it wasn't actually cheating. Horse was teasing the area around her clit with his tongue and she felt another orgasm coming. Impossible, she thought, she had never had one in her life and now a homeless black man was about to give her two within a span of minutes. Dunnell saw she was getting close again. "Katherine lean forward and show me that you love my cock. Just give it a little kiss."

Katherine was sweating and panting from the approaching orgasm. Why wasn't he licking her clit, instead of teasing around it? She bent down a little feeling dirty like an natural begging for a meal.

"Just a little kiss Katherine," said Dunnell again, "and you'll give us both a lot of pleasure."

She was moaning as she approached the head of his cock. This orgasm had built up longer and was going to be even bigger then the first. She puckered her lips and kissed the head of Dunnell's cock just above the pee slit. As she touched his cock with her lips, Horse's tongue flicked roughly over her clit until the orgasm exploded from her body. Katherine moaned in pleasure feeling Big D's cock pushing at her parted lips. She couldn't handle it at this moment and moved her head forward feeling his cock slide up her cheek as she caught her breath.

"Hey D, you gonna love this pussy," said Horse stopping for a moment. His face was covered in her juices. "She's a real creamer." He happily went back to munching on her pussy.

Katherine recovered and moved her face towards the front of the giant ten inch cock again. A strand of pre-cum hung from it's tip to her cheek. She had tasted Horse's pre-cum last week and her tongue flicked out lapping up Dunnell's. She liked the taste, but still felt that having him cum in her mouth would be disgusting. "Just promise me you'll take it out before you orgasm," she said looking up at him. He had an arrogant smirk on his face but nodded yes. She shivered at some deep desire in her to please this man. There was something right and natural about kneeling before him about to take his cock in her mouth. "Where do I start?" she asked, thinking it would all be over in a few minutes. Her husband never lasted more then three.

"Lick around the head," he instructed.

She touched her tongue to the head and began sliding it over the top. She couldn't believe she was putting another man's cock into her mouth. Up until last week she hadn't even touched a penis, with the exception of grabbing her husband's little worm to guide the limp little thing into her vagina.

Katherine licked completely around the head and moaned as she felt Horse's tongue lick a similar circle around her labia. Her hips were making little circular motions around Horse's long tongue and her own tongue was rapidly licking Dunnell's cock head.

Katherine pushed down feeling her lips part as his cock head entered her mouth. She teased his pee slit with her tongue, feeling him shake with pleasure.

"Yeah bitch," he said, "Lick my slit."

Katherine jumped when Horse's tongue began running the length of her slit.

"Now lick down the sides and kiss my balls," ordered Dunnell.

Katherine eagerly obeyed, plopping the head out of her mouth as she licked down the underside towards his balls.

Horse licked upwards, reaching the bottom of her slit when she reached Dunnell's balls. He licked along between her her pussy and her ass hole. She jumped when his tongue touched her rectum, but she kept kissing Dunnell's balls as Horse licked around the cute little rosebud of her ass.

He pushed his tongue in a little, hearing her moan. He looked at Dunnell over the curve of her beautiful ass and briefly wished that he could have this white pussy all to himself, but he needed Dunnell to loosen her up for him.

She was licking back up towards the tip of D's cock, so Horse licked down back towards her pussy. She came again when he reached her clit.

Katherine had a dazed look in her eyes as she recovered from her third orgasm. It felt like her entire body was on fire. She understood now that giving them pleasure was pleasurable for her also.

"Now bitch," said Dunnell, "I want you to take my cock in your mouth."

She felt Horse's tongue on the opening of her pussy as she took Dunnell's cock head into her mouth again.

"More bitch," ordered Dunnell.

Katherine loosened up her jaw and pushed a couple inches into her mouth, feeling Horse's tongue enter her pussy. She sucked up grasping for air, feeling Horse's tongue remove itself also. Horrified, she quickly sucked the cock back into her mouth, sighing as she felt Horse's tongue push into her again. The more she took the deeper went Horse's tongue and she desperately tried to take more of Dunnell's incredible cock. She sucked up and down feeling the giant black cock throb in her mouth as she sucked Dunnell off. She tried to take a little more with each deep throat, wanting Horse's tongue in deeper.

"Just a couple inches more, bitch," said Dunnell.

His cock was in her throat now as she powerd the last two inches in her mouth. Horse removed his tongue and her cries of displeasure were muffled by the ten inch monster in her mouth, but his tongue was immediately replace by two of his fingers. His fingers were longer and thicker then her husband's penis and she moaned around D's cock as Horse began finger fucking her.

Katherine happily sucked Big D's cock while Horse rammed his fingers into her pussy. He was nibbling along her labia as he fingered her and she could swear nothing had ever felt so good.

Dunnell's cock was behaving oddly. It was jumping in her mouth every now and then and she could swear it was swelling up even bigger. She looked up at him. His eyes were half closed and sweat was pouring off his brow. She was about to ask him if he was getting close, when Horse changed his tactics. His fingers were buried in her pussy and he was running the tips around a little knob deep inside her. Her body was jerking uncontrollably around his fingers and she felt another orgasm approaching.

Katherine sucked faster, feeling Horse tease the little knob even faster. Katherine felt Dunnell's cock head swell in her throat then it jerked and she felt what seemed like a gallon of his semen slide into her belly. Disgusted, she yanked it out of her mouth, but Horse's fingers gave her the biggest orgasm yet and she screamed in awe at the feelings of pleasure she felt throughout her body. A second blast of semen flew into her open mouth and she couldn't help but swallow most of it.

Dunnell grabbed his cock and aimed a third blast at her face, leaving a big strand of sperm from her forehead to her chin. He grabbed her head, pulling it forwards and shoved his cock into her mouth.

She felt more sperm fill her mouth, realizing for the first time how hot it was. She swallowed, liking the taste and as she recovered from her orgasm, she laid there contentedly sucking on D's cock. Horse licked up her juices around his lips then dunked himself into the water to clean his face off. He moved his jaw around to loosen it up and climbed out of the water. "My turn," he said.

Katherine realized that her knees were hurting on the cement and said, "Wait I have a better idea." She stood and waved for them to follow her.

Katherine and her husband had a small apartment above their garage and Katherine led them up the side steps into the apartment. She ran to the bathroom to check on herself and was shocked at what she saw in the mirror. She had seen herself nude plenty of times, but now her body seemed to exude sex. She felt alive and her body seemed ultra-sensitive to her touch. The only thing that upset her was Dunnell's sperm covering her face. The big strand across her face was liquefying and trickling down her cheeks. There was also sperm on the edges of her mouth and some had dribred down her chin. The sight was disgusting, but as she cleaned it off she shook with desire at the memory of Dunnell's big cock exploding in her face and mouth. Her belly growled like it wanted even more sperm.

She returned to the living room. Dunnell had made himself comfortable on the couch and Horse was standing in the middle of the room breathing heavily like he was about to explode. Her feet padded across the carpet and she stood before Horse. She looked up into his face and she could feel his thirteen inch cock poking her in the belly button. He looked down at her, nostrils flaring on his big nose. She shivered at the look he was giving her. She could see desire in his eyes and something else. His stare seemed to be telling her that she belonged to him now and he would do what ever he wanted to her.

She looked into his eyes and her knees began to wobble. They shook uncontrollably until she dropped down before his cock and stroked it lovingly with her hand. This man had given her more pleasure in an hour then her husband had in twelve years of marriage, he deserved the best blow job she could give him.

She looked at his cock. Where Dunnell's had been cut and beautiful, Horse's was ugly and frightening. It was dark black from the tip to the end. The wide spot under his foreskin was as big around as her wrist and his cock head was the size of a plum. Just like when she had given him the exam, pre-cum oozed from the urethra in unbelievable amounts.

Katherine leaned forward and kissed the tip of his cock while pulling back with her hand so that the fat head emerged from the foreskin. Something came over her then and she attacked his black monster. Everything Dunnell had taught her and then some went into her worshipping of this god-like cock in her hand. She sucked and licked around the head, then she nibred up and down the sides. She pushed it up and kissed his equally gigantic balls. She briefly wondered how much sperm those monstrosities produced and she heard her stomach growl again.

Horse withdrew his cock from her mouth and she wondered what was going on, but saw that he was just lying down on the carpet. Katherine looked over and saw that Big D was staring at them intently and she was shocked to see that his cock was rock hard again.

She turned her attention back to Horse and she crawled between his legs like she was begging for more. His massive black cock was lying on his stomach, the tip pushing up past his navel and she grabbed it pulling it upwards. Katherine bent down and took the head into her mouth. She started sucking the monstrosity taking a little more into her mouth with each suck. Thank god Dunnell's cock had already loosened up her jaws or she didn't think she could swallow something this big. She heard him moan when his cock started sliding into her throat. She tried as hard as she could, but she could only get about ten inches into her mouth. Luckily, he seemed content with that and she began to rapidly suck his cock.

Katherine found that she loved sucking cock especially Horse's king cock. Dunnell moved around behind her and began eating her pussy again. She was angry at the interuption, though she immediately felt another orgasm building. It distracted her from giving Horse his blow job and at that moment she wanted nothing more from the world then to please the possessor of that magnificent cock in her mouth. She hoped he would understand why her rhythm might be off.

She wanted to cry with joy when Horse started grunting and bucking his hips. He was enjoying the blow job despite her being distracted from the several orgasms Dunnell had given her. Big D was as talented a pussy licker as Horse, though Horse's tongue seemed a lot longer. Horse's cock started shaking in her hands and she knew he wasn't to far off. Katherine was relieved when Dunnell quit eating her pussy so that she could turn her full attention to sucking Horse's thirteen inch black cock, but Dunnell wasn't done, he had kneeled behind her and was rubbing her slit with his long dick. "Watch it," she said, disturbed that she had to take her lips off Horse's cock, "my pussy is off limits to anyones penis but my husband's. You can put your tongue or your finger in there, but not your dick." Katherine felt Dunnell remove his cock and returned her attentions to sucking Horse off. She felt the head of Dunnell's cock back on her pussy lips a second later.

"You know Kat," said Dunnell moving the head of his dick around her slit to lubricate it, "it's not really cheating unless I cum in your pussy. Why don't you let me put just the head in?"

Katherine had ten inches of Horse's cock deep in her throat and was moving her head up to say, "no way", when the volcano in her mouth erupted, spewing hot sperm into her throat and mouth. She couldn't believe how big his cock had gotten before exploding. She couldn't believe the size of his load. It was more sperm then she imagined possible. It was more sperm then her husband's penis had put out in twelve years of marriage all in one load and it just kept coming. She felt her pussy lips stretch out around the head of D's cock, wrapping around it and trying to suck it in deeper. It felt incredible, but she tried to protest, taking her mouth off Horse's cock, and getting her face soaked as it continued to squirt out sperm. She tried to speak, but her mouth was filled with more sperm then she could swallow.

"This feels good Kat," said Big D. Your pussy's nice and tight. How about if I put just a little more in." He was already pushing his cock in deeper as he spoke.
chrislebo

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My sexy wife and the old man up the street!!!!



This is a 110% true story of what happened last new years eve and how its changed our sex life for the better.
me and my wife mel(im 28 and mel is 26 and without being a stunner is still a very sexy lady)were holding a new years eve party at our house.we had invited all of the street we lived in (about 25 houses).
as the night got underway i noticed mel wasnt holding back with the wine and seemed to be really going for it.she danced with everyone even pulling Jack the old widow up for a dance.
the party went on well into the early hours until the only people left were me mel and jack.we were sat in the lounge when jack asked mel for another dance before he left.mel didnt hesitate and began dancing with jack(who we later found out was 65 years old)one dance moved straight into another as i dozed in the armchair.i awoke some time later to find the lights dimmed and the music ultra slow with jack holding mel very tightly with her head resting against his shoulder,they were hardly moving and jacks hands were resting on mels arse.
i didnt know how to react to this but admit to finding my young sexy wife in the arms of a much much older man a huge turn on. so i decided to leave them to it and head up to bed,mel made some remark about how she would join me in a min.
i stayed on the stairs and tried to listen through the door but because of the music i was struggling to hear anything,then just as i was about to give up i heard the familiar sound of mels load sexual moans,(she always moans really load during sex)
i struggled to open the door enough to get a good view,as i pushed the door open further jack saw me and looked me straight in the eyes as he fucked my wife on the lounge floor.
why dont you come in and see your wife with a real man he laughed as mels moans just got louder and louder with each push of jacks cock.i immediatly sat in the armchair and pulled my cock out without saying a word.

look how much your wife loves older cock he boasted,mel was scratching his back and almost screaming as she came really hard on jacks cock.as i watched this my spunk just shot from my cock so fiercly that i couldnt remember a time when i had come that hard before.
jack just kept up the verbal talk (humilation)as he carried on fucking mel with long hard strokes until she cried out for a second time on his cock.
tell your hubby how much you love my cock he told her.oh yesssss i love it she said i fucking love it.
hearing this made my cock spring back into life still sticky from my spunk.i began wanking again as jack ordered mel to suck his cock.when i eventually saw jacks cock it was much bigger and thicker than mine and he told mel to suck him good.
mel began sucking jacks cock slowly but jack grabbed her hair and started fucking her mouth hard and fast.how do u like watching your wife suck another mans cock he said to me.
i just nodded unsure of what to say but with my cock as hard as it as ever been and again weeping spunk.
after a while he pulled his cock out of my wifes mouth and led her over to the sofa with her bum half on the seat and half of the seat and then he fed his cock back into her soaking pussy and this time really went to town,slamming his cock so hard into mel that i had to go and cover her mouth she was screaming that load.
jack told me he was leaving me his spunk to fuck in later and groaned out as he filled mels womb with his old spunk.

as he pulled out his spunk leaked out onto the sofa.he got dressed and pulled mel up from the sofa and kissed her passionatly with his tounge.
as he left he thanked us for a lovely night and said until next time......
we were both in a state of shock but i just needed to fuck mel so badly i just pushed her down on the floor and pushed my cock into her red swollen pussy,the feeling was incredable she was so wet but still so warm her pussy felt like silk as i fucked it for all i was worth,i lasted about 3 mins before shooting what spunk i had left into her.

we didnt say a lot to each other as we went to bed,but in the morning we fucked again and her pussy was still full of spunk as we both admitted how much we had enjoyed it.
since then we have invited jack around for dinner on several occasions and each time jack ends up fucking mel and verbally (humilating) me.he as even got mel verbally humilating me when he comes around but its something we both really enjoy so wheres the harm?

fin
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