MARIPRETE
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Ma femme m' a demand� mercredi dernier de l'aider �
lui raser la chatte. Surprise, c'�tait une vieille
demande, rest�e sans suite et qui m'�tait compl�tement
sortie de l'esprit.
Couple du milieu de la quarantaine, notre vie sexuelle
est des plus calmes et c'est un euph�misme.
Je me suis donc ex�cut� avec c�l�rit� et excitation
pensant que c'�tait le pr�lude � une chaude soir�e
mais ce fut la douche froide.
"Ce n'est pas pour toi" me dit elle.
????Je bafouillais une demande d'explication et pour
seule r�ponse elle pris mister t�l�phone portable, fit un
num�ro et me le passa.
Compl�tement �tonn�, je me contentais de bafouiller un
a-allo.
"Salut, je suis Mourad et je baise ta femme."
-Hein? Quoi?
-T'as compris, je nique ta connasse de bonne femme.
-Mais
-Ecoute, si elle m'a appel� c'est qu'elle a la chatte
� l'air et que tu la lui as ras�e.
-Euh, ouui.
-Bien, t'es pas capable de la faire grimper aux
rideaux et � mister �ge c'est normal qu'elle cherche �
prendre mister pied.
-!!!
-R�ponds!
-c, c'est vrai.
-Bien, alors je suis d'accord pour m'en charger et
gratuitement. je me paierai sur la b�te. OK?
-Ououi.
-Je parie que �a te fait bander de savoir que j'enfile
ta morue.
-Oui.
-Bien, je crois qu'on va bien s'amuser tous ensemble.
Dis lui que je l'attends � la cit�. Qu'elle se
maquille et qu'elle oublie pas ses ongles mains et
pieds, sa mini noire, bas, balconnet et string. Je
sais qu'elle n'aime pas �a, la ficelle dans le cul
mais faut qu'elle s'habitue, Non?
j'�tais mistern�, t�tanis� et une fois encore je
bafouillais un timide oui.
-je vous attends dans une heure qu'elle oublie pas ses
capotes.
Ma femme m' a demand� mercredi dernier de l'aider �
lui raser la chatte.
>Surprise, c'�tait une vieille demande, rest�e sans
suite et qui m'�tait
>compl�tement sortie de l'esprit. Couple du milieu de
la quarantaine, notre
>vie sexuelle est des plus calmes et c'est un
euph�misme. Je me suis donc
>ex�cut� avec c�l�rit� et excitation pensant que
c'�tait le pr�lude � une
>chaude soir�e mais ce fut la douche froide. "Ce n'est
pas pour toi" me dit
>elle. ????Je bafouillais une demande d'explication et
pour seule r�ponse
>elle pris mister t�l�phone portable, fit un num�ro et me
le passa.
>Compl�tement �tonn�, je me contentais de bafouiller
un a-allo. "Salut, je
>suis Mourad et je baise ta femme." -Hein? Quoi? -T'as
compris, je nique ta
>connasse de bonne femme. -Mais -Ecoute, si elle m'a
appel� c'est qu'elle a
>la chatte � l'air et que tu la lui as ras�e. -Euh,
ouui. -Bien, t'es pas
>capable de la faire grimper aux rideaux et � mister �ge
c'est normal qu'elle
>cherche � prendre mister pied. -!!! -R�ponds! -c, c'est
vrai. -Bien, alors je
>suis d'accord pour m'en charger et gratuitement. je
me paierai sur la b�te.
>OK? -Ououi. -Je parie que �a te fait bander de savoir
que j'enfile ta
>morue. -Oui. -Bien, je crois qu'on va bien s'amuser
tous ensemble. Dis lui
>que je l'attends � la cit�. Qu'elle se maquille et
qu'elle oublie pas ses
>ongles mains et pieds, sa mini noire, bas, balconnet
et string. Je sais
>qu'elle n'aime pas �a, la ficelle dans le cul mais
faut qu'elle s'habitue,
>Non? j'�tais mistern�, t�tanis� et une fois encore je
bafouillais un timide
>oui. -je vous attends dans une heure qu'elle oublie
pas ses capotes.
Compl�tement mistern� je regardai ma femme et lui
demandai ce qui se passait.
-Ecoute, je n�y peux rien, c�est peut �tre le d�mon de
midi mais j�avais tellement envie de me faire baiser
et bien baiser que je n�ai pas pu dire non. C�est
physique, je te d�go�te peut �tre mais�Allez, je me
change et on y va. C�est juste physique, je suis ton
�pouse et souhaite le rester mais j�ai un homme
maintenant.
Une heure plus tard nous misternions � l�entr�e d�une
barre HLM.
La porte s�ouvrit et je reconnus le fils de notre
femme de m�nage, un jeune beur d�� peine 17-18 ans !!!
Ma femme entra la premi�re et sans autre forme de
proc�s Mourad l�embrassa lui pelotant la poitrine et
lui pognant le cul. Il �tait patent que ma femme
r�pondait � ses assauts, sa langue s�activait et mister
bassin frottait le bas ventre de mister amant.
Lorsqu�ils se s�par�rent, Mourad affichait un sourire
radieux et il me dit :
- Ca te plait de voir ta femme se faire tripoter ? je
suis sur que tu bandes, allez d�sappe toi en vitesse.
Dans un �tat second, je me d�v�tit, exhibant
effectivement mon sexe en �rection.
Eclatant de rire, Mourad m�ass�na :
-Je comprends qu�avec ta petite bite, j�ai pas eu de
mal � me faire ta gonzesse. M�me les p�tasses de la
cit� mistert plus difficiles � choper. Je parie que tu as
envie que je la saute devant toi. R�ponds !
Et je ne pus apporter d�autre r�ponse que d��jaculer �
mes pieds, d�clenchant une cascade de rires des deux
amants.
-Petite bite et �jaculateur pr�coce, tout pour plaire.
T�es qu�une lopette hein ?
Ecarlate, les yeux baiss�s, la bite tressautante
j�articulai piteusement :
-Oui, Monsieur, d�clenchant un nouvel �clat de rire.
En moins de 5 minutes j�avais reconnu le m�le
dominant.
-Dis moi ce que tu veux.
-Que vous la sautiez et la fassiez jouir.
-et toi salope ?
-Oui prends moi mon amour.
-Devant lui ?
-Comme tu veux. Je suis � toi, tu es mon homme.
-OK mais d�abord tu nettoies tes cochonneries connard.
Devant mon air �bahi, il ajouta : -avec ta langue
abruti.
Je m�agenouillai et me mis � l�cher mon sperme sur le
carrelage sous les regards moqueurs des deux amants.
Nous entra�nant au salon, Mourad fit allonger Sandrine
sur le sofa et me dit :
-Tu lui enl�ves mister string et tu lui �cartes les
cuisses.
Ce que je fis, passant derri�re le canap� et
saisissant les chevilles de ma femme.
Mourad enfila une capote sur un sexe d�une longueur et
d�une largeur sans commune mesure avec mes attributs
et embrocha sa ma�tresse sans d�licatesse, lui
arrachant un cri. Il commen�a � la pistonner, lui
ordonnant de garder les yeux ouverts quand il la
limait.
Je vis le bas ventre de mon �pouse se contracter, elle
se mit � murmurer des oui, oui et des r�les de plaisir
de plus en plus bruyants. Je ne l�avais jamais vu dans
cet �tat, l�orgasme approchait rapidement.
Et Mourad s�arr�ta aussi soudainement qu�il �tait
entr� dans le con de mon �pouse, lui arrachant un
nouveau cri de d�pit, cette fois ci.
-Encore, continue.
-Non, la capote me g�ne. Je sens rien, tu vaux pas le
coup.
Dans un �clair de lucidit� je lui dis que le
pr�servatif �tait indispensable.
-Je crois pas, je l�utilise que pour les putes de la
cit�. Je suis s�r qu�elle ne doit baiser qu�avec des
petits blancs bien propres sur eux. Allez salope, si
t�en veux encore, tu l�enl�ves toi-m�me sinon tu te
casses.
Ma femme me regarda et dit :
-C�est trop fort, baises moi, baises moi � fond et
toujours en me regardant je la vis enlever la
protection de mister baiseur.
-T�as vraiment le feu aux fesses toi. Y a que les
bourges blanches et mari�es de ton genre que l�on peut
niquer � vif.
Ces mots et la nouvelle introduction de la bite de
Mourad d�clench�rent l�orgasme de ma femme.
Elle se mit � glapir des borborygmes, � pleurer, des
traces de mister mascara maculaient ses joues, de la bave
apparaissait � la commissures de ses l�vres.
Je n�en croyais ni mes yeux ni mes oreilles mais
curieusement j��tais plus qu�heureux de voir enfin ma
femme prendre mister pied apr�s plus de vingt ans de
mariage.
Mourad aussi affichait un sourire satisfait, il
ralentit sa cadence, laissant ma femme reprendre ses
esprits.
-Tu la veux dans le cul ?
Ma femme m�avait laiss� la sodomiser au d�but de notre
union mais la premi�re fois avait �t� la derni�re,
cette pratique l�ayant �galement laiss�e froide.
Aussi fus-je surpris quand elle laissa �chapper un
oui.
-Oui, quoi ? r�pondit Mourad.
-Encule moi, mets la moi au cul, vite j�ai envie.
-Tu l�as d�j� encul�e, lopette.
Comparant, nos attributs j�apportai une r�ponse
n�gative, ma petite bite n�avait pu casser le cul de
Sandrine.
-Non, elle est vierge de ce c�t�.
-Alors, en voiture Simone.
-Attends, il faut la lubrifier, tu vas la d�chirer.
Sans doute surpris par mon cri d�inqui�tude qui
r�v�lait une crainte sinc�re et v�ritable, Mourad me
lan�a :
-File chercher quelque chose dans la cuisine.
J�abandonnai les chevilles de mon �pouse et trouvai la
cuisine. J�en ramenai fissa un morceau de margarine.
Mourad abandonna la chatte de mon �pouse qui �mit un
bruit de siphon du plus bel effet.
Je commen�ai des mouvements circulaires avec mon
lubrifiant de fortune sur l��illet de ma femme et
rejouai le dernier tango � Paris.
J�essayai d�introduire tant bien que mal la margarine
dans mister cul.
L�exercice de m�apparut pas facile, n�est pas Marlon
Brando qui veut.
Mon index ouvrit la porte, le pouce et le majeur
poussant la mati�re grasse.
Lorsque la plus grande partie fut � l�int�rieur de mister
fondement, je repris les mouvements circulaires avec
deux doigts.
La bite de Mourad �tait � quelques centim�tres de ma
bouche et je levai les yeux, trouvant mister sourire
moqueur.
-Suce me lan�a t�il.
Timidement j�avan�ai et le pris en bouche.
-T�es vraiment une fiotte toi.
Il mit sa main sur ma t�te chauve et imprima mister
rythme.
-Allez, on passe aux choses s�rieuses.
J�abandonnai et mister sexe et le cul de ma femme.
L� encore sans m�nagement, il s�y engouffra, lui
arrachant un cri de pur souffrance.
Il s�immobilisa, lui laissant le temps de s�acclimater
� cette puissance �trang�re.
-Reste pas � rien faire, fous toi des doigts dans le
cul ! comme �a j�aurai deux encul�s.
Je m�ex�cutai pendant qu�il recommen�ait mister
pilonnage.
Petit � petit, Sandrine prit mister rythme, partag�e
entre souffrance et plaisir.
-T�as mal ?
-Ouuui.
-Tu veux arr�ter ?
-Noon, fais tout ce que tu veux, tout.
-Tout ?
-Oui, je t�aime.
-Tu m�aimes ? Tu parles, tu veux juste te faire
ramoner par une grosse bite, oui.
-Ah je vais jouir par le cul.
Une nouvelle vague submergea ma femme alors que Mourad
la pistonnait sans m�nagement.
Il �jacula relativement rapidement, d�cula et finit de
se l�cher sur l�anus b�ant de Sandrine.
-Viens me nettoyer et garde ton fion ouvert.
Une nouvelle fois agenouill� devant le nouvel homme de
mon �pouse, je le repris en bouche, absorbant mister
foutre, la mouille et la merde de Sandrine et les
restes de margarine.
Mon cholest�rol allait encore en prendre un coup.
Mon boulot achev�, Mourad se rhabilla, ma femme �tait
dans un �tat catatonique et moi compl�tement perdu.
-T�es une belle salope, tu caches bien ton jeu sous
tes allures BCBG et ton petit air sup�rieur.
Je suis sur que tu passes ton temps � te faire sauter
par tout ce qui passe. Hein, raconte moi qui a acc�s �
tes tr�sors, la liste doit �tre impressionnante.
-non, j��tais fid�le, je sais pas ce qui m�a pris.
-Envie de bites, je t�ai dit. Je crois que t�as
compris, t�as besoin de ta dose et pas d�une petite.
Qu�est ce que tu fais comme boulot ?
-Directrice juridique.
-Et dans ta boite, y a permisterne qui te drague.
-Non.
-Menteuse, y a toujours le tombeur dans ces grosses
boites, non ?
-Si.
-Qui ?
-Georges T., le responsable de la s�curit�.
-Mais encore.
-C�est un ancien militaire de pr�s de 60 balais, tout
le monde sait qu�il saute les secr�taires et les
femmes de service, ce type c�est la discr�tion
permisternifi�e.
-Il t�a dragu�e ?
-non.
-Allez.
-Au pot de nouvel an, on danse et au dernier, il m�
coll� et caress� le derri�re.
-Ca t�a excit� ?
-�
-R�ponds !
-Oui, j�y ai pens�, il est tr�s viril et j�ai senti
mister sexe. Quand on baise, il m�arrive de penser que
c�est avec lui.
-OK, si tu veux me revoir, c�est simple, je veux que
tu te le fasses. Tu le prouveras � ton cocu qui me
fera le rapport.
-C�est pas possible, si je le fais toute la boite sera
au courant en 24 heures.
-C�est ton probl�me. Et puis tu vas faire plaisir �
ton cocu. N�est ce pas ?
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