Belle journée à vous
"Eahira" mon roman vient d'être mis en ligne
Attention c'est un ouvrage vraiment réservé aux amateurs et pratiquants de soumission poussée
j'en ai été l'actrice au moins partiellement
Baisers Lisa
The hyperlink is visible to registered members only!The hyperlink is visible to registered members only!un extrait pour vous
Nous partîmes avec eux le lendemain à la ville de Houmt Souk dans une vaste mai*** au coeur de la médina. Ils
nous présentèrent à un homme d'une soixantaine d'année quisemblait être une sorte de "parrain" de ce genre d'activités. Il se nommait Karmil.
L'homme nous demanda si Caroline était vraiment prête à faire la « Eahira » -la putain- durant *** séjour, et nous répondîmes que oui, si il pouvait le lui faire faire dans de bonnes conditions et surtout protégée.
Il était à la fois ferme et sympathique et nous donna toutes assurances en ce sens.
Nous avions alors évoqué les possibilités de Caroline et il nous répondit que les deux hommes lui avaient déjà confirmé qu'elle semblait à la fois très docile et gourmande. En se faisant servir le thé, il lui demanda très naturellement d'ôter sa jupe et *** corsage, de se mettre juste en lingerie et de le sucer.
Plutôt séduite par *** ton autoritaire et direct, elle s'exécuta aussitôt, se mit à genoux et releva la djellaba de
l'homme, pendant que continuions à discuter des modalités de travail qu'il proposait.
Il disait qu'en effet une française blonde, pulpeuse et ainsi annelée aux seins et au sexe, allait être très sollicitée.
Je tempérais un peu *** offre en lui rappelant que nous étions quand même là pour le soleil et les vacances...
Il fut donc convenu avec lui qu'elle travaillerait de 16h à 2h du matin maximum. Il nous précisa qu'il était difficile qu'elle travaille ouvertement sans être « protégée » dans notre hôtel très surveillé par les autorités mais qu'elle serait mise principalement au travail dans le riad où il nous recevait qui en réalité était un bordel réputé dans toute la Tunisie, et même au-delà et qu'il verrait pour le reste... Il s'occuperait per***nellement de sa mise
au travail et *** exploitation.
Il évoqua ce que nous avions confié aux deux hommes, et nous demanda si nous voulions vraiment qu'elle porte un pendentif gravé du mot « Eahira » en arabe, et surtout lui faire tatouer cette marque d'infamie aux reins. Il nous précisa que les clients risquaient de se montrer très rudes envers elle en voyant cela, qui ici était infligé comme une terrible punition aux plus dépravées.
Je lui répondis que je comprenais mais qu'ensuite en France peu de gens comprendraient et que cela resterait
simplement un agréable souvenir pour nous. Il sourit un peu cyniquement et, tandis qu'il caressait la chevelure de Caroline toujours à ses genoux en train de s'affairer sur *** sexe, nous dit que si nous voulions vraiment cela, c'était sans aucun problème et qu'il allait s'occuper de faire parer et marquer pour toujours cette jolie chérie le jour-même.
Il me demanda ensuite si nous acceptions qu'elle soit corrigée comme les autres filles si elle désobéissait ou ne se
montrait pas assez active, et comme cela avait fait partie de notre fantasme et de ce qui devait être lié à la condition de Caroline ici, sans même hésiter je lui confirmai que oui.
Sans peut-être vraiment me rendre compte dans quoi nous nous engagions, le plaisir de franchir les interdits et de négocier Caroline avec cet homme, m'excitait au plus haut point.
Une fois d'accord, il nous précisa simplement et très crûment qu'elle serait beaucoup enculée car c'était une des
pratiques locales favorites. Et que si elle avait amené de quoi assouplir ce côté, il serait bien qu'elle s'y prépare sérieusement.
Il finit par jouir dans sa bouche. Caroline était souriante et fière de sa prestation.
Elle se leva et après m'avoir donné un bref baiser, suivit presque aussitôt un homme que Karmil avait fait entrer et à qui il avait donné des instructions pour le pendentif et le « tatouage » de Caroline
Je restai avec lui à discuter de tout ce qui allait la concerner, et une heure plus tard environ, elle revenait avec la
plaque en or gravée à *** cou. Elle n'était pas accrochée par une chaînette comme je l'avais imaginé, mais c'était un seul ensemble d'une pièce qui ne pouvais être ôté, sauf à découper la tige épaisse qui enserrait *** cou et qui avait été certainement soudée.
Elle portait aussi un léger pansement au-dessus des fesses qu'elle ôta pour nous montrer le tatouage rouge et gonflé, mais très beau et très visible sur sa peau déjà hâlée.
Bien plus que je ne l'avais prévu ! Je lui demandai pourquoi le tatouage était aussi proéminent et Karmil en souriant m'informa que puisque nous avions désiré que ce soit permanent il avait donné des instructions afin que la marque soit scarifiée avant d'être tatouée. Et qu'ainsi ce serait vraiment définitif et gravé dans sa chair. Il la félicita en nous disant cependant de faire attention et de ne pas exhiber cela hors de notre hôtel.
Il était environ 18h et alors que je pensais que nous allions en rester là pour cette fois, Karmil me dit qu'il désirait
tester lui-même et avec quelques amis toutes les possibilités de sa nouvelle « Eahira » et qu'il me la renverrai en taxi à l'hôtel d'ici deux à trois heures. Caroline me regarda interrogative, comme si cela avait été convenu d'avance entre lui et moi.
Je lui répondis que c'était normal, même si tout cela allait plus vite que je l'avais imaginé. J'étais cependant rassuré par notre entretien et la laissai avec lui en voulant paraître sûr de moi et en disant à Caroline de
se montrer à la hauteur...
Elle revint pour dîner comme promis. Elle était épanouie mais épuisée. Elle me raconta avec une certaine
gourmandise que Karmil et ses amis l'avaient tous baisée et enculée, elle les avait sucés et je vis qu'ils avaient aussi bien testé sa résistance à être fouettée.
Ils avaient épargné la zone de *** tatouage ou plutôt de *** marquage, encore sensible, mais ses fesses, ses cuisses, *** sexe et ses seins portaient de belles marques.
Je lui demandai si elle souhaitait vraiment continuer et, malgré leur rudesse, elle me confirma en souriant que oui.
Et qu'elle avait envie que ce ne soit qu'un premier pas.
Le lendemain débuta très agréablement. Ma chérie fit la grasse matinée et le per***nel attentionné nous porta le petit-déjeuner dans la chambre.
Sans beaucoup de pudeur, elle sortit du lit dans une nuisette courte et transparente pendant que deux hommes
installaient la table.
Ils gardèrent toute leur retenue, mais ne se génèrent cependant pas jeter des regards appuyés sur elle, qui ne les
remarqua même pas. D'autant plus que les marques de fouet de la veille laissaient encore un peu des traces visibles sur ses cuisses et ses fesses.
J'observais la scène depuis le balcon et je me demandais si ces hommes avaient déjà eu vent de la rencontre à
Houmt Souk et de ce que ma belle allait faire durant les jours à venir.
Elle partit vers onze heures à la plage, mais dût s'arrêter à une des boutiques de l'hôtel car le tatouage n'était pas masqué par les mini maillots qu'elle portait généralement.
Elle en acheta un, un peu plus grand, ainsi qu'un paréo puis partit s'installer sur le sable. Il n'y avait que des européens et comme d'habitude se fit bronzer seins nus. Elle portait maintenant *** pendentif de façon permanente sans plus possibilité de l'ôter, mais autour d'elle per***ne n'en connaissait la signification et elle oubliait même qu'elle affichait en le portant le fait d'être une prostituée.
Le per***nel en revanche qui lui porta *** matelas, puis ensuite des bois***s, remarquait avec étonnement et intérêt cet "aveu".
Elle s'en rendit compte lorsque l'un d'entre eux d'ordinaire si réservé et si déférent, après avoir posé un verre sur
la table près d'elle, fit négligemment glisser sa main entre ses cuisses et lui dit en souriant s'il fallait se renseigner auprès de *** mari pour savoir combien ça coûtait pour mettre sa queue dans cette fente de putain...
Elle posa *** magazine un peu interloquée et surprise pendant que l'homme pointait un index vers *** collier pour justifier sa question.
Elle bafouilla un peu, prise de court et déstabilisée et tentant de s'en sortir, lui dit que non et que c'était simplement un cadeau que Karmil, l'homme de Houmt Souk, lui avait offert.
Le serveur sourit et lui dit que c'était encore mieux et qu'il allait bien plus facilement faire affaire avec lui et, informer ses amis de cette aubaine. Il se fit alors plus ferme et direct avec elle en lui précisant que de toute façon si elle ne voulait pas avoir de problème en portant ce pendentif au milieu du per***nel, il allait être nécessaire qu'elle se montre très gentille avec eux et vienne au local de distribution des serviettes au moment du
changement de service à 14h.
Un peu interloquée elle lui dit.
- Vous voulez quoi ? Me baiser?
- Mais non, mais non belle madame, surtout si c'est Karmil qui te fait porter ça, on ne va pas se permettre de
perturber *** commerce...
- Alors quoi ?
- Tu vas venir un petit moment nous sucer tous les six, après notre service comme ça ce sera notre petite récompense pour protéger le bien de Karmil pendant que tu es ici...
T'inquiètes pas, je suis sûr qu'il sera d'accord. Et pour te baiser on ira chez lui comme les autres.
- Mais ...
-Tais-toi belle madame, tu sais une « Eahira » ne doit pas discuter avec les hommes, juste obéir, je vois par les belles marques que tu portes encore un peu, que Karmil a commencé à t'expliquer ça... Allez reposes toi bien, bronze bien, et n'oublies pas à 14h ...
Puis il se retira
le sexe sans tabous