annedieuze
Member
Posts: 136
|
Soirée au club libertin
Le samedi 15 mars 2025, Nancy s'éveillait à peine au printemps, mais dans ce quartier un peu excentré, l'air vibrait d'une promesse plus sombre. Philippe et Eve avaient rendez-vous avec une facette inédite de leur intimité : une soirée dans ce club libertin réputé pour *** élégance discrète et ses alcôves secrètes. L'idée avait germé dans l'esprit d'Eve des semaines plus tôt, lors d'une nuit où, encore essoufflée d'un orgasme solitaire, elle avait susurré à Philippe : « Et si on allait voir jusqu'où tu peux me suivre ? » Il avait hésité, le ventre noué, mais *** regard à elle, mélange de défi et de tendresse perverse, l'avait convaincu.
Ils arrivèrent à 22h30, après un trajet silencieux en voiture. Eve portait une robe noire en satin, si courte qu'elle révélait le haut de ses cuisses à chaque pas, et des collants résilles noirs, volontairement déchirés à l'entrejambe – un détail qu'elle avait préparé avec soin, comme un message muet à Philippe. Ses talons aiguilles claquaient sur le trottoir humide, et ses cheveux châtains, lâchés, dansaient dans la brise froide. Philippe, en jean sombre et chemise grise, semblait presque banal à côté d'elle, mais sous *** pantalon, la cage de chasteté en acier inoxydable pesait lourdement sur *** sexe, un rappel constant de *** rôle ce soir. Eve avait verrouillé le dispositif à 18h, ses doigts fins jouant avec la petite clé qu'elle avait glissée dans *** soutien-gorge noir en dentelle. « Ce soir, tu regardes, mon cocu, avait-elle dit en l'embrassant sur le front. Et tu vas adorer ça. »
Le Club se cachait derrière une façade anodine, une porte noire marquée d'un simple croissant de lune argenté. À l'intérieur, l'atmosphère les enveloppa comme une caresse : des murs tendus de velours rouge sombre, des lampes aux abat-jours dorés diffusant une lumière tamisée, et une odeur entêtante de musc et de parfum mêlés de sueur. Une musique électro-sensuelle pulsait à un rythme lent, presque **********, tandis que des silhouettes se mouvaient dans l'ombre – des couples enlacés, des hommes seuls aux regards affamés, des femmes en lingerie fine échangeant des sourires complices. Eve guida Philippe vers le bar, une longue surface en bois verni où des verres tintaient doucement. Elle commanda deux verres de vin rouge, un Bordeaux corsé, et s'appuya contre lui, *** épaule chaude contre la sienne. « Regarde autour de toi, murmura-t-elle, les yeux brillants. Tout ça, c'est pour nous ce soir. »
Philippe sirota *** vin, les mains tremblantes, tandis qu'Eve observait la salle avec une curiosité féline. Elle jouait avec une mèche de ses cheveux, laissant le liquide rubis danser dans *** verre, et après une demi-heure – assez pour que l'alcool détende ses épaules et accélère *** pouls –, elle se leva. « Reste là, ou viens voir, mais tu ne touches rien, souffla-t-elle en effleurant sa joue d'un baiser. C'est moi qui décide. » Elle s'éloigna, ses hanches ondulant sous le satin, et Philippe, le cœur cognant dans sa poitrine, la suivit à distance, s'installant sur un fauteuil en cuir usé, à cinq mètres d'une alcôve où elle s'arrêta.
Premier inconnu : le brun barbu
Deux hommes, la trentaine, l'avaient repérée dès leur arrivée. Le premier, grand, brun, avec une barbe courte et des yeux perçants comme des éclats d'obsidienne, s'avança vers elle. Il portait une chemise noire ouverte sur un torse musclé, et *** sourire dévoilait une assurance brute. « Tu danses ? » demanda-t-il d'une voix rauque. Eve rit, un *** cristallin, et répondit : « Peut-être plus que ça, si t'es sage. » Ils échangèrent quelques mots, leurs corps se frôlant déjà, puis il posa une main possessive sur sa hanche. Elle glissa la sienne sur *** torse, sentant les battements rapides sous sa peau, et l'entraîna derrière un rideau de velours à moitié tiré.
Philippe, les poings serrés sur les accoudoirs, vit tout. Eve s'agenouilla un instant, ses doigts effleurant la bosse du pantalon de l'homme, le tissu tendu par *** érection. Elle releva les yeux vers lui, provocante, puis se redressa. L'inconnu sortit un préservatif de sa poche arrière, déchirant l'emballage avec ses dents, et le déroula sur *** sexe – long, épais, luisant sous la lumière diffuse. Eve releva sa robe d'un geste lent, exposant ses cuisses blanches et le trou béant de ses collants déchirés. Elle se pencha contre le mur, les mains appuyées sur la surface froide, et murmura quelque chose que Philippe n'entendit pas. L'homme s'approcha, aligna *** bassin au sien, et la pénétra en levrette, un grognement sourd s'échappant de sa gorge. Ses mains agrippèrent les hanches d'Eve, ses doigts s'enfonçant dans sa chair, et il commença à bouger – d'abord lentement, puis plus fort, le claquement de leurs peaux ré***nant dans l'alcôve.
Eve ferma les yeux, ses lèvres s'entrouvrant sur un gémissement discret. Philippe sentit la cage le mordre, *** sexe tentant vainement de durcir, et une sueur froide perla sur *** front. Elle bougea avec l'homme, ses hanches répondant à chaque coup, et après quelques minutes, *** corps se tendit. Un cri étouffé jaillit de sa gorge, ses ongles griffant le mur, et Philippe comprit qu'elle jouissait, là, sous ses yeux, avec un inconnu. L'homme acceléra, ses mouvements devenant désordonnés, puis se retira, arrachant le préservatif rempli pour le jeter dans une poubelle métallique à côté. Eve se retourna, le souffle court, et croisa le regard de Philippe – un éclat de triomphe dans ses pupilles dilatées – avant de rajuster sa robe et de sortir de l'alcôve.
Deuxième inconnu : le blond timide
Elle revint au bar, ses joues rosies par l'effort et l'excitation, et commanda un autre verre d'eau pétillante pour calmer sa gorge sèche. À peine avait-elle avalé une gorgée qu'un deuxième homme l'aborda – plus jeune, blond, avec des cheveux en bataille et une timidité dans les épaules qui contrastait avec l'ambiance du lieu. Il portait un tee-shirt gris moulant et un jean usé, et ses mains tremblaient légèrement quand il lui parla. « Je... t'ai vue, bafouilla-t-il. Tu veux... ? » Eve sourit, posa *** verre, et l'entraîna sans un mot vers une banquette capitonnée dans un coin sombre, près d'une colonne drapée de tissu rouge.
Philippe les suivit, s'asseyant à une table ronde à trois mètres, assez près pour entendre les murmures. Eve s'allongea sur la banquette, ses jambes pendant sur le bord, et releva sa robe jusqu'à la taille, révélant *** sexe humide et luisant sous les résilles déchirées. Le blond sortit un préservatif de *** portefeuille, ses doigts maladroits le faisant tomber une fois avant de réussir à l'ouvrir. Il l'enfila, *** sexe plus fin mais raide, et se pencha sur elle. Il caressa d'abord ses cuisses, hésitant, puis Eve guida sa main vers *** entrejambe avec un « Vas-y » impatient. Il la pénétra en missionnaire, ses mouvements d'abord lents, presque tendres, ses yeux rivés sur *** visage comme s'il cherchait *** approbation.
Philippe voyait tout : les talons d'Eve s'enfonçant dans le cuir de la banquette, les mains du blond glissant sous ses fesses pour la soulever légèrement, et *** propre souffle qui s'accélérait malgré la cage qui le comprimait. Elle murmura quelque chose à l'oreille de l'homme – « Plus fort » peut-être –, et il obéit, ses coups devenant plus assurés. Le visage d'Eve se crispa, ses dents mordant sa lèvre inférieure, et soudain, elle jouit à nouveau, un cri plus aigu cette fois, ses jambes tremblant autour de lui. Le blond, excité par sa réaction, perdit le contrôle et termina dans un gémissement étouffé, ses épaules s'affaissant. Il se retira, jetant le préservatif dans une corbeille, et Eve se redressa, ajustant ses collants avec un rire léger. Elle lança un regard à Philippe, un sourcil levé, comme pour dire : « Tu tiens le coup ? »
Troisième inconnu : l'homme mûr
Le troisième ne lui laissa pas le temps de souffler. Alors qu'elle revenait vers Philippe, un homme mûr – la cinquantaine, chauve, avec une carrure imposante et des avant-bras tatoués – l'intercepta près d'une alcôve ouverte. Il portait un polo noir et un pantalon en cuir, et *** regard était celui d'un prédateur sûr de sa proie. Sans un mot, il lui fit signe de le suivre, et Eve, après une seconde d'hésitation, acquiesça avec un sourire en coin. Ils s'arrêtèrent à deux mètres de Philippe, dans une alcôve sans rideau, comme si elle voulait qu'il soit au premier rang.
L'homme attrapa les collants de Eve et tira dessus d'un coup sec, agrandissant la déchirure jusqu'à exposer complètement *** sexe et ses fesses. Elle haleta, surprise mais excitée, et il sortit un préservatif de sa poche, l'enfilant avec une précision mécanique sur *** sexe large et veiné. Il la souleva d'une main, la plaquant contre le mur de l'alcôve, le bois grinçant sous leur poids. Eve enroula ses jambes autour de sa taille, ses talons claquant contre ses cuisses, et il la pénétra debout, face à elle, d'un mouvement brusque mais contrôlé. Philippe voyait ses yeux à elle, brillants de plaisir brut, et *** corps qui tressautait à chaque coup – le claquement de leurs peaux, le frottement du satin contre le mur, tout ré***nait dans sa tête.
L'homme grognait, ses mains massives soutenant ses fesses, et Eve, emportée, glissa une main entre eux pour se caresser, accélérant *** propre plaisir. Elle jouit la troisième fois, un cri rauque et sauvage qui fit vibrer l'air, ses ongles s'enfonçant dans les épaules de l'inconnu. Lui continua, implacable, jusqu'à ce qu'un spasme le secoue ; il se retira, arrachant le préservatif pour le laisser tomber au sol, et reposa Myriam doucement, *** torse luisant de sueur. Elle vacilla un instant, les joues écarlates, puis se tourna vers Philippe, un sourire triomphant aux lèvres.
Épilogue : retour à l'intimité
Elle revint s'asseoir près de lui, ses cuisses tremblant encore, et posa une main sur *** genou. « Alors, mon cocu chéri, t'as aimé me voir me faire baiser comme ça ? » demanda-t-elle, sa voix rauque d'épuisement et de satisfaction. Philippe, la gorge nouée, sentit la cage le ******** plus que jamais, *** sexe pulsant inutilement contre l'acier. « Oui... » murmura-t-il, à peine audible. Elle se pencha pour l'embrasser, un baiser profond, sa langue goûtant encore le vin et l'adrénaline, et glissa une main sur *** pantalon, palpant la cage. « T'es tellement beau comme ça, souffla-t-elle. À me regarder, à souffrir pour moi. »
Ils restèrent encore vingt minutes, observant les autres couples dans une torpeur étrange, avant de quitter le club. Dans la voiture, Eve, encore ivre de la soirée, posa sa tête sur l'épaule de Philippe et murmura : « Peut-être que je te libérerai demain... si t'es sage. » Il conduisit en silence, les images de ses trois jouissances tournant en boucle dans *** esprit, la cage comme une brûlure délicieuse contre sa peau.
|
