https://www.cuckoldplace.com/16_8299_0.html indispensables pour comprendre ma relation avec mon mari.
Les vacances se mistert bien pass�es�!
Cette ann�e mon cul a �t� offert en Bretagne. Je suis une vraie chienne et j'adore ma semaine de libert�. Mais cette ann�e, je n'ai pas laiss� le hasard, avec mon mari nous avons pr�par� une rencontre sur Rennes.
Alain est un homme viril, sa photo ne mentait pas, d'une quarantaine d'ann�es. Mon mari cherchait un homme bien membr�, on n�a pas �t� d��u. Pour la premi�re fois, mon mari �tait pr�sent. Alain nous a h�berg�s pendant 10 jours. Mon mari s'est occup� de tout, il dormait sur le canap�, et n'a pas rat� une miette de nos �bats.
Il nous attendait � la gare. Les bagages d�pos�s dans sa voiture, il nous a propos� un caf� � la terrasse la plus proche, s'est assis � c�t� de moi, et a pos� sa main sur ma cuisse. Malgr� le voyage, �puis�e par la chaleur, mon corps a r�agi instantan�ment. Il savait y faire le salaud. La serveuse prit notre commande pendant qu'Alain me caressait le haut de la cuisse. Sa main glissait sous ma robe. J'�tais affreusement g�n�e et t�tanis�e par l'excitation et les regards du serveur. Sa main effleura mes l�vres lorsque je commen�ai � passer, commande. Cinq minutes que je le connaissais, et il me poss�dait d�j�. Troubl�e, je n'arrivais plus � finir ma phrase.
"Vous d�sirez ?" me r�p�ta-t-elle.
"Ce sera deux coupes de champagne, une pour Madame" dit-il en serrant ma cuisse, " et l'autre pour moi" dit Alain d'une voix calme.
"Et pour Monsieur" dit la serveuse.
Il fixa mon �poux "Rien, mister mari ne prendra rien".
On ne dit plus rien, il fixait simplement mon mari en me caressant les cuisses. J'�tais affreusement g�n�e. Deux jeunes, situ�s juste � c�t� de nous semblait avoir tout entendu. La serveuse �tait en train de discuter avec le barman, leurs regards �taient sans �quivoque.
Elle revint nous servit et demanda de r�gler.
"C'est mister mari qui paie", dit-il sans h�sitation.
Mon mari obtemp�ra sous le regard amus� de la serveuse.
Je n'�tais plus moi m�me. Alain, cet inconnu �tait en train de prendre le contr�le de notre couple.
Il nous proposa d'aller faire quelques emplettes avant d'aller chez lui. En fait, il nous emmena devant la vitrine d'un buraliste et s'adressa � mon mari:"Vas acheter un magasine S.M.". "S.M. ", les mots r�mistern�rent dans ma t�te. Il me tannait dans le creux de mister �paule, sa main sur mes hanches. Mon mari sortit un sac plastique � la main.
Puis nous allames dans un magasin de lingerie.
"Bonjour " dit-il d'une voie assur�e � la vendeuse et aux 2 clientes du magasin�. "Il faut relooker Madame, je la veux d�sirable � souhait." Il demanda � mon mari de sortir le magazine, feuilleta quelques pages, et montra � la vendeuse une tenue de soubrette. "Comme �a, � peu pr�s, choisissez pour elle, vous voyez ce que je veux".
La vendeuse avait une cinquantaine d'ann�es, elle me regarda et me dit "Venez avec moi, j'ai ce qu'il vous faut". Je n'osais rien dire.
"Toi, le mari, tu restes � la caisse" dit-il fermement. Et nous suivi.
La vendeuse ne s'adressait qu'� Alain. J'�tais invisible, et pourtant les clientes me regardaient. La tenue choisie, je du l'essayer. A peine enfil�e, il tira le rideau. "Pas mal, tr�s sexy, j'aime, ramasse ton string et donne le moi."
Je lui tandis mon string, il l'attrapa et en profita pour me prendre la main et me sortir de la cabine d'essayage. J'�tais habill�e en soubrette, mon pubis nu. Honteuse, je fixais le sol. "Vendu, mister mari va payer" dit-il en regardant la vendeuse. Presque 200�, terrifi�e, je r�alisais que notre budget vacances ne pourrait continuer � ce rythme. Puis il donna mon string, � la vendeuse. "Jetez le, elle n'en aura plus besoin, faites attention il est tremp�". Elle faillit refuser, h�sitante, elle le prit avec deux doigts et se dirigea vers la caisse. Ebait�, mon mari paya sans broncher. Je remis mes habits, le pubis � l'air, je n'avais plus de string.
Voila comment ce mistert � peu pr�s d�roul�es mes premi�res heures de vacances avec Alain et mon cocu de mari.