Je crois que tu fais allusion à ce récit

c'est de la fiction mon ami ... inspirée de faits réels certes .. mais c'est de la fiction

2) L'hôtel, la nuit
Après avoir récupéré un véhicule à Sète, fait un peu de tourisme et dînés sur le port, nous arrivâmes à l'hôtel en soirée. Véronique s'était débrouillée pour réserver deux chambres côte à côte. Karim me fit un petit sourire entendu en me disant "bonne nuit " qui me tordit les intestins d"un ressaut de jalousie mal placée...
J'eu l'impression de lire dans le regard de Véronique un instant de perplexité devant cette proximité géographique qui avait été prévue dans une autre configuration, à savoir une chambre qu'elle aurait partagé avec Françoise et non Karim. Pensait-elle à cet instant que cette situation risquait d'être un peu gênante pour eux .. pour moi ?.. pour eux et pour moi ?. Mystère ... Mais, d'un coup mister visage s'éclaircit et avec un large sourire dans lequel je ne lu aucune malice tendancieuse, je la vis disparaître à mister tour dans leur chambre laissant à mon intention l'écho d'un autre "bonne nuit".
Fatigué par l'heure matinale de notre départ de Paris et par une semaine laborieuse, je m"endormis assez vite, n'espérant pas trouver le sommeil du juste aussi rapidement.
Au milieu d'un rêve dont j'ai totalement oublié le contenu, je fus réveillé par un bruit sourd et lancinant aussi répétitif quéun métronome. Je regardais ma montre, il était 2 heures du matin. Après quelques minutes de tâtonnement qui me furent nécessaires pour recouvrer totalement ma lucidité, je compris que ce bruit provenait de la chambre d'à coté, celle de Véronique et Karim.
Le coeur battant, je me doutait un peu de ce qui se passait et au risque de me faire du mal, je collais mon oreille à la cloimister pour en avoir la certitude ... Bien évidemment, en plaquant mon oreille contre le mur à m'en écraser le pavillon, j'eu la confirmation de ce qui se passait. Je pu ainsi tout d'abord décrypter ce bruit sourd et lancinant qui m'avait réveillé. Je compris qu'en fait, c'était le bois de la tête de leur lit qui venait percuter la cloimister à intervalle régulier. Inutile de vous faire un dessin sur ce qui peut engendrer, un mouvement de va-et-vient dans un lit .. Cette explication scientifique et rationnelle aurait du me satisfaire, mais en collant mon oreille contre cette fichue cloimister, j'eu l'étonnement de voir à quel point cette technique indiscrète, que je considérais a priori comme rudimentaire, augmentait de façon inespérée la qualité d'écoute... Alors que je m'attendais au mieux qu'a entendre des bruits de râles étouffés et quelques grincements de matelas, j'eu la surprise de quasiment pouvoir suivre une conversation en direct entre les deux tourtereaux. Les matériaux de la cloimister étaient ils de mauvaise qualité, ou, emportés par le feu de l'action, notre petit couple parlait-il articulièrement fort en oubliant totalement le voisinage ? Peu importe ...
Je ne vous cache pas qu'en les entendant eux même commenter leur partie de jambes en l'air, j'ai commencé à m'astiquer sérieusement la queue. J'étais à la fois fou de jalousie et ivre de bonheur d'entendre les mots crus et avides avec lesquels Véronique, véritable petite pouliche blanche en chaleur, prodiguait des encouragements à l'étalon arabe qui était en train de la saillir.
Il y eu bien entendus des poses, des respirations, des interludes et des moments de décrue, mais à 3 h du mat, j'étais encore l'oreille vissée contre la cloimister ne voulant perdre aucune miette de ce moment d'anthologie inespérée.
Alors que j'allais commencer à flancher, un regain d'activité derrière la cloimister captiva mon attention avec des mots lourds de sous entendu .. Non ; non Karim, je veux pas, pas ce soir ... J'avais l'impression de m'entendre dire moi-même dans ma tête : Hou lala .. Quoi pas ce soir ? Faudrai-il en déduire que la petite Véronique, n'aime pas pomper et nettoyer un gros zob après s'être fait piner la chatte comme une pute ? Ou alors .. non, j'y crois pas .. Ce serait trop excitant .. Puis à la suite d'arguments assez volubiles mais dont j'ai mal perçu la teneur, j'entendis, Véronique continuer à couiner mollement des "ah non, non, s'il te plait, non ".
Impossible de savoir si elle était en levrette ou sur le dos jambes relevées, mais le dialogue associé ne laissait plus aucun doute.. C'était bien une bonne sodo des familles qui était en train de se dérouler derrière cette satanée cloimister à la façon dont Véronique disait désormais "non" était particulièrement excitante car totalement factice. En l'entendant parler, il était clair que dans sa bouche ce non n'était plus un non de refus mais un non destiné à exciter encore plus mister partenaire. Un partenaire qui lors d'une pénétration anale se délecte autant de faire céder la réticence de la fille que de powerr mister petit trou.
Un autre truc m'avait rétrospectivement rendu fou, le " pas ce soir " !. Lorsque qu'il se fut avéré qu'il s'agissait bien d'une sodo en bonne et du forme. L'idée que Véronique ait été déjà plusieurs fois mise par le cul par un mec qu'elle ne connaissait que depuis deux semaines était à la fois hallucinante et terriblement excitante. Tout cela n' était crédible que si cette petite salope avait couchée le "premier soir" et en ait également profité pour se faire élargir la rondelle séance tenante suivi d'une série de piqûres de rappel à intervalles réguliers et rapprochés.
J'avoue ne pas avoir pensé sur l'instant que le "pas ce soir" aurait pu être destiné à remettre à plus tard une pratique contre nature que Véronique aurait pu vouloir envisager avec un peu de recul et de réflexion préalable Mais, la suite de ce que j'ai entendu a infirmé cette hypothèse dilatoire, c'était bien un "pas ce soir" au sens de "pas encore une nouvelle fois" et non le report d'une inauguration ...
Je faillis juter, en croyant entendre Karim dire "je suis sur qu'il écoute" !, mais je me suis retenu miraculeusement, en essayant de rester concentré malgré mon pauvre pavillon d'oreille qui continuait à être martyrisé pour la bonne cause. Je ne suis pas certain d'avoir bien entendu cette phrase. Peut être est-ce "tu crois qu'il écoute" ? Ou "si on nous écoute" ? En tout cas, le fait que les toutes les opérations sodomites avec power détails crus et croustillant se déroulèrent sans que les deux protagonistes ne baissent le ton, m'incita a penser que nos deux tourtereaux trouvaient un motif d'excitation supplémentaire dans cette "exhibition auditive" qu'ils s'adressaient peut être et surtout eux-mêmes.
Les râles extatiques et les encouragements deVéronique ainsi que les saloperies les plus dégueulasses que débitait Karim en procédant à l'enculage de ma petite chérie ne pouvaient pas ne pas me faire exploser à brêve échéance. Karim me donna le coup de grâce lorsque je cru l'entendre prononcer cette phrase définitive mais qui était pourtant un modèle de correction par rapport à ce que j'avais entendu avant "je t'ai tout mis, petite salope " .. "savoure avant que je ressorte "... Ces mots me firent un effet immédiat et je me mis a juter en ayant en même temps dans un flash, la vision de Véronique empalée jusqu'à la garde sur un zob qui ne pouvait être que titanesque ...
Après cette dernière saillie qui m'obligeait désormais à faire passer Véronique de la catégorie des allumeuses à celle des petites salopes à enculer, la fatigue des uns et des autres pris le dessus et je m'écroulait sur mon lit froid alors que de l'autre coté le silence tomba sur ce qui était encore il y a quelques minutes un lieu de passion amoureuse et de tumulte sexuel.