Petite vue rétrospective sur l'évolution de notre couple depuis maintenant un peu moins de deux ans.
Couple classique s'il en est. Moi mister mari, j'ai toujours été plus ou moins porté sur le libertinage.
Nous eûmes donc il y a 4 ou 5 ans nos premières expériences libertines. En club (l'Overside, Chris et Manu), mais à de très rares occasions seulement, peut-être à 5 reprises).
C'est à l'Overside justement que je lui ai proposé d'aller sur la piste et de se laisser draguer. (Précision très importante, mon épouse est très timide et réservée, donc pas question de faire le premier pas ou de se comporter telle la femme fatale ou encore la "dite salope" que l'on peut parfois rencontrer). Elle accepta, timidement, et se dirigea vers la piste. Elle dansait, sagement, sur la piste quand un garçon d'environ 25 ans, entreprit sa "danse" de séduction. Il tourna autour d'elle, essayant de la draguer et elle faisant mine de rien. Le temps faisant il commença à s'approcher et ce qui devait arriver arriva, il l'enlaça. Il commença en dansant à avoir des mains baladeuses, mais pas trop non plus étant donné la réserve de ma femme. Puis il l'invita à prendre un verre. Moi de mon côté, je les observai, fou d'excitation. Je sentais alors que j'étais en train de verser vers un type de fantasme que je n'avais jamais avoué, pas même formulé. J'avais alors seulement des velléités à ce que d'autres hommes voit mon épouse. Mais cocu, je n'y avait jamais pensé. Au bout d'un moment, l'homme l'invita un peu plus loin dans un coin câlin. Mais il sera dit que ce n'est pas là que je vivrai mon premier cocufiage. En effet, devant le manque de vigueur du garçon et du troupeau qui suivait le couple illégitime, les choses ne se concrétisèrent pas. C'est moi qui finalement profitai de mon épouse, fou d'excitation. Elle le vit. Et nous fîmes l'amour dans un degré d'excitation pas connu jusqu'à ce jour.
Le ver était dans la pomme. C'est à dire, que mon épouse sans doute pressentait-elle de nouveaux plaisirs jusqu'à alors complètement inavoués. Quant à moi, il était clair que je ne pourrai plus m'arrêter là. Trop de choses se bousculaient dans ma tête. Une sorte de vertige.