MARIPRETE
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Cela fait maintenant un mois que Clotilde et Jean-Paul mistert arriv�s � Abidjan, la grande m�tropole ivoirienne. Le poste auquel Jean-Paul a �t� nomm� doit lui permettre de gravir un �chelon cl� dans la hi�rarchie de la soci�t� qu'il sert depuis maintenant 10 ans. D�s mister arriv�e il a �t� mis dans le bain et s'est vu confier des responsabilit�s qui occupent tout mister temps. De ce fait Clotilde s'est retrouv�e livr�e � elle-m�me dans cette grande ville inconnue.
Leur villa se trouve dans le quartier r�sidentiel de Cocody. Le permisternel mis � leur service se compose de trois permisternes. Assaye le jardinier a une cinquantaine d'ann�es. Les cheveux grimisternants, il porte fi�rement une petite moustache poivre et sel au dessus de l�vres perp�tuellement rieuses. Babia la jeune bonne d'une vingtaine d'ann�es est d'un naturel gai et serviable. Ses yeux brillants de vie �clairent mister fin visage. Adjoua est une vraie "mama". Elle est la cuisini�re en charge des courses et des repas de la famille.
Apr�s une bonne semaine pass�e � s'acclimater, l'emploi du temps de Clotilde se divise entre la visite de la ville, la plage de la Rivi�ra, parfois le march� de Treichville o� elle accompagne Adjoua, mister cercle d'amies et aussi les rares sorties le soir dans le quartier de Marcory o� elle retrouve des compatriotes avec mister mari.
L'activit� envahissante et plut�t stressante de Jean-Paul ne favorise pas l'intimit� du couple. Tel est le prix � payer pour ce qui doit �tre un tremplin pour sa carri�re. En bonne �pouse Clotilde sait se soumettre � ces exigences qui mistert par ailleurs compens�es par le confort de leur train de vie. Toutefois si la libido de mister �poux souffre de mister r�gime de travail trop exigeant la sienne se met par contre peu � peu au diapamister donn� par le climat local. Le regard des hommes dans la rue ou sur la plage, ne manquent jamais de rendre un hommage appuy� et parfois d�plac� � sa beaut�. En bourgeoise s�re de sa condition, elle leur rend une indiff�rence hautaine, voire parfois un regard de m�pris lorsque celui qui ose lever les yeux sur elle appartient � une classe visiblement inf�rieure. A 30 ans Clotilde est une blonde aux yeux bleus qui sait l'effet que sa silhouette f�minine peut provoquer chez les hommes. C'est m�me un objet de fiert� autant pour elle que pour mister mari, �tant entendu que lui seul a le loisir d'en profiter.
Mais pour l'heure il n'en n'est pas moins vrai que ses envies se teintent d'un ind�niable �rotisme. Pour ajouter � mister trouble naissant, les discussions qu'elle a avec ses amies trahissent � mots couverts les infid�lit�s, fantasm�es ou r�elles des unes et des autres. Ce petit groupe d'�pouses d'hommes d'affaires fran�ais, s'est naturellement form� dans le quartier r�sidentiel o� ils habitent. Toutes mistert soumises au m�me r�gime d'un mari trop souvent absent, d'une chaleur qui �chauffe leurs sens et leur fait porter des toilettes trop l�g�res, du regard lascif des hommes dont la couleur de peau �voque un exotisme dont leur vie manque cruellement. Ainsi, au fil de leurs r�unions chacune fait �tat, de mani�re plus ou moins discr�te, de relations entretenues avec un homme du pays: un jardinier, un chauffeur, un ma�tre nageur, un portier d'h�tel, etc. Bref, Clotilde a l'impression qu'il n'y aura bient�t plus qu'elle pour ne pas avoir franchi le pas. Certaines la soup�onnent m�me de l'avoir fait sans oser l'avouer.
Malgr� ses efforts, notamment vestimentaires, mister mari s'av�re incapable de lui fournir la contrepartie qui lui permettrait d'affermir sa volont� de fid�lit�. Il semble qu'il ne s'aper�oive m�me pas du d�calage entre leurs rythmes de vie. Se sentir belle et d�sir�e dans une telle ambiance de d�s�uvrement ne peut que la conduire vers des penchants condamnables. Ses propres mains sous la douche se font de jour en jour plus attentives aux courbes naturelles de mister corps, mister reflet dans le miroir d�veloppe et entretient un sentiment narcissique focalis� sur mister esth�tique soign�e et le choix de ses toilettes, � commencer par ses dessous, devient un rituel auquel elle c�de avec sensualit�.
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Une apr�s-midi la chaleur est telle que Clotilde trouve refuge dans sa chambre ombrag�e au premier �tage de la villa, uniquement v�tue d'une petite combinaimister en soie. Comme elle se l�ve pour aller chercher un verre d'eau � la cuisine, une ombre attire mister regard alors qu'elle passe devant la fen�tre. Ecartant les lames du store elle scrute le jardin en contrebas. Oui, une silhouette s'y d�place furtivement. Inqui�te tout d'abord elle est surprise de reconna�tre la silhouette gracieuse de Babia la petite bonne. Elle se faufile entre les plantations luxuriantes du jardin pour rejoindre la cabane qui constitue le logis d'Assaye, le jardinier. Clotilde sent un trouble serrer ses entrailles. Que va-t-elle faire l� bas? Et surtout en se comportant comme une voleuse? Les doutes de la blonde autant que mister imagination �rotis�e la poussent � en savoir plus. Enfilant une robe de toile l�g�re et des sandales elle descend l'escalier.
Arriv�e devant la porte-fen�tre de la v�randa elle scrute la cabane au fond du jardin. Les minutes passent. La petite ne r�appara�t pas. Son courage relay� par une excitation qu'elle n'ose s'avouer, la pousse � mister tour dans le jardin. Le c�ur battant elle arrive en catimini sur l'arri�re de la petite maimister de bois. Elle se plaque contre la paroi chauff�e par le soleil. La premi�re fen�tre donne sur la chambre du vieux jardinier. Rien. Avalant difficilement sa salive elle continue. Avant d'atteindre la fen�tre visiblement ouverte de la salle principale, des misters la stoppent vulgarement. Un homme s'exprime sur un ton doucereux dans la langue locale. Clotilde reconna�t de suite le timbre de la voix d'Assaye mais les g�missements qui se superposent ont une tonalit� bien diff�rente. La voix claire de la petite Babia oscille entre soupirs lascifs et cris aigus, sur un rythme qui ne laisse aucun doute sur leur motivation. Lentement Clotilde risque un oeil dans la pi�ce. Le souffle coup� elle aper�oit Assaye, de dos, le pantalon baiss�. Il tient devant lui les hanches d�nud�es de Babia qui est allong�e � plat ventre sur la table, le boubou retrouss� sur les reins. Ses fines jambes noires gesticulent de part et d'autre de celles de l'homme qui ondule du bassin. De sa voix rassurante le vicieux quinquag�naire semble encourager la d�bauche de la jeune fille qui se donne enti�rement, jouissant d'�tre poss�d�e sans aucune pudeur ni retenue. Cette vision extr�me chavire la belle bourgeoise qui croit voir se mat�rialiser sous ses yeux ses propres pens�es coupables. Ne pouvant plus supporter la tension de la sc�ne elle s'�carte de la cabane � pas h�sitants et se met � courir pour rejoindre la maimister.
Cette nuit l�, comme les autres mister mari ne la rejoint que tard dans leur lit conjugal. Mais cette fois elle n'a pas r�ussi � trouver le sommeil et simule l'endormissement lorsqu'il vient lui d�poser un affectueux baiser avant de tomber comme une masse. Sans cesse mister esprit rejoue la sc�ne furtivement aper�ue. Les misters obsc�nes qui l'accompagnaient r�misternent encore � ses oreilles. Lorsque ce soir l�, la jeune bonne est venue servir le repas, mister exp�rience de la retenue et de la ma�trise de soi lui ont permis de ne pas laisser filtrer ses �motions, mais dans le secret de mister lit d�sesp�r�ment sage, la jolie blonde sent mister corps r�pondre de lui-m�me � ces �vocations.
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Le matin, apr�s une courte nuit et le d�part de mister mari, Clotilde prolonge mister petit d�jeuner sur la terrasse ombrag�e qui donne sur le jardin. V�tue d'une robe de lin boutonn�e sur le devant, elle est confortablement assise dans un fauteuil en rotin. Son regard, masqu� par des lunettes noires, se prom�ne sur les fleurs flamboyantes. Sur les fleurs et sur celui qui s'occupe d'elles, un s�cateur � la main et un air entra�nant sur les l�vres. La respiration de la belle blonde est profonde et misterore comme si elle �tait en train de faire un effort. De fait la lutte int�rieure que la jeune bourgeoise livre contre ses instincts �lectrise tout mister corps. Ses narines palpitent, ses mains f�briles se crispent imperceptiblement sur l'accoudoir en rotin et sa langue humidifie sans cesse ses l�vres rouges. Peu � peu il semble que mister esprit bascule car inconsciemment. Elle prom�ne une main sur sa robe, joue avec les boutons, tant et si bien qu'un d�collet� s'ouvre sous ses doigts, d�voilant la naissance de ses seins et l'absence de soutien-gorge. Vivement elle se l�ve et marche d'un pas f�brile entre les massifs fleuris. Peu � peu elle se rapproche des rosiers qu'Assaye est en train de tailler.
- Bonjour Assaye - Dit-elle avec mister assurance coutumi�re
- B'jour M'aam - R�pond le jardinier, mister inamovible sourire aux l�vres.
- Elles mistert superbes ces roses
- Oui M'aam
Tout en appr�ciant leur parfum Clotilde semble comme g�n�e. Comme si elle n'arrivait pas � exprimer l'id�e qui lui trotte dans la t�te.
- Voyez celle-ci M'aam comme elle est �panouie
- Comment? Euh oui. Oui c'est vrai elle est superbe.
Le contr�le de mister souffle semble lui �chapper peu � peu
- Assaye ...
- Oui M'aam - r�pond placidement le jardinier
- Tu ... tu es bien dans cette cabane?
C'est bien la premi�re fois qu'elle s'inqui�te du sort de ses domestiques. L'�tranget� de cette question ne semble pourtant pas �tonner le vieil ouvrier.
- Oh oui M'aam, j'ai l'habitude vous savez
- Tu... Je... je n'ai jamais eu l'occasion d'y p�n�trer en fait...
Le jardinier s'interrompt et tourne mister regard malicieux vers la belle blonde, d'habitude si fi�re et maintenant f�brile comme une jeune fille � mister premier rendez-vous. Ses lunettes noires masquent ses yeux dans lesquels le vieil Assaye aurait pu lire de l'affolement. Ce dernier n'en remarque pas moins le d�boutonnage excessif de la robe de sa ma�tresse qui t�moigne de mister �tat d'esprit.
- Ehhh ben, je peux vous faihe visiter M'aam.
- Ou... oui avec plaisir Assaye
- Eh Eh ... pah ici M'aam. Je vais vous faihe les honneu' du popi�taihe comm' vous dites ... hi hi hi
D'un pas mal assur� Clotilde suit le jardinier qui trottine devant elle. Faut-il qu'elle soit prise sous le coup d'une �motion intense, elle manque de se tordre la cheville comme si c'�tait la premi�re fois qu'elle portait ces sandales � talons hauts.
Assaye lui ouvre sa cabane. Elle y p�n�tre et garde ses lunettes malgr� la p�nombre soudaine. Elle sursaute nerveusement lorsque le quinquag�naire referme la porte.
- Ce ... ce n'est pas mal ici Assaye - Sa voix se fait livide tandis qu'elle cherche � fixer mister regard vers la fen�tre
Le jardinier noir ne r�pond pas
- Il... Il n'y fait pas trop chaud? - Tente-t-elle pour donner le change
Pas de r�ponse. Elle se retourne.
-Assaye? Je ... - Sa phrase s'�trangle dans sa gorge
L'homme a ouvert mister pantalon et pr�sente aux yeux exorbit�s de sa ma�tresse un membre de belle taille.
- C'est �a que tu veux M'aam?
Tremblante comme une feuille Clotilde �te ses lunettes laissant appara�tre ses yeux bleus magictis�s. Bouche b�e la belle bourgeoise ne sait quelle contenance se donner, les mots ne lui viennent plus. Une vague de panique la prend soudain. Elle recule sans regarder et heurte la table. Elle se retourne comme pour fuir cette vision qui la fascine mais s'emp�tre dans les chaises. Les mains du vieux jardinier se posent sur ses �paules. Elle pousse un cri de surprise!
- N'aie pas peuh M'aam. Ca va bien aller tu va voih
Assaye repousse sa blonde ma�tresse devant la table, lui fait courber le buste pour l'amener � s'appuyer sur ses mains. Seules des onomatop�es inarticul�es sortent de la bouche de Clotilde. L'�motion fait perler des larmes sur ses joues lorsque les noueuses mains noires l'enlacent et d�font un � un les boutons de sa robe. Le corps du m�le serr� contre mister dos se fait sentir par une pr�sence dure et longue sur ses fesses. Les bretelles de sa robe glissent sur ses bras et la caresse de la fine �toffe court le long de mister corps jusque sur ses chevilles.
- Oooh Assaye .... - G�mit la belle enti�rement d�nud�e.
Le jardinier passe ses mains polies par des ann�es de travail manuel sur le corps dor� qui s'offre � lui. Les boucles blondes fr�missent et la jeune femme soupire par saccades comme il s'empare de ses seins � pleines mains puis en frotte le bout tendre contre ses paumes. D'une voix profonde, l'homme lui murmure des mots qu'elle ne comprend pas mais le ton est rassurant. La tension qu'elle sent frotter contre les globes fermes de ses fesses la rend nerveuse. L'�rection rapide de ses mamelons montre � Assaye l'efficacit� de ses manipulations. Les deux mains viennent se poser sur ses fines �paules et l'obligent � se courber davantage.
- Laa M'aam... laaa... comm' �a....
- Oooh... ooh mon Dieu... oooh mon Dieu...
- Penche-toi M'aam.. laaa... c'est bien...... ecahte les jambes la ... allez... ecahte...
Clotilde d�barrasse d'un geste malhabile l'�toffe de sa robe qui emprimisternait encore ses chevilles et ouvre ses jambes tendues suivant l'exigence de celui qui la dirige.
D'une main ferme sur ses reins le quinquag�naire jovial maintient la femme blanche dans la position d'offrande qu'il lui a fait prendre. De l'autre il dirige la base de sa virilit� encore verte de mani�re � en frotter le gland violac� entre les nymphes d�licates orn�es de bouclettes blondes.
- Oooh ... Ohhh oh non... ooh mon Dieu.. noon
Comme si un reliquat de fiert� bourgeoise venait de faire surface, Clotilde se met � gesticuler, ses doigts se crispent sur la nappe. Mais le r�sultat de cette bouff�e de panique, fermement contr�l�e par le vieux jardinier, est de la faire encore plus courber, la poitrine coll�e sur la table et les reins impudiquement tourn�s en l'air.
- AAhhiiii hiiiih hhiiii hhiiii
Assaye envagine lentement la conque offerte de sa belle proie. Une main plaqu�e dans mister dos, l'autre sur ses hanches, il pousse imp�rieusement mister bassin � la rencontre des fesses blanches. Les traits souriants du jardinier font appara�tre un rictus de satisfaction. Son plaisir monte de sa verge ouvrant les parois lubrifi�es de l'intimit� de sa ma�tresse. Son gland est comme suc� par les d�licates muqueuses et les g�missements de la blonde accentuent encore mister envie de la poss�der sauvagement.
Enti�rement enfonc� il entame un lent va et vient qui se r�percute dans tout le corps de Clotilde et lui arrache des cris inarticul�s. Assaye contemple sa tige d'�b�ne luisante qui s'engouffre et se retire de cette f�minit� jusqu'alors fid�le. Acc�l�rant peu � peu le rythme de sa possession il savoure � la fois les d�licieuses sensations de mister p�nis fortement serr� par le fourreau soyeux, les soupirs inconvenants de la blonde et ses tortillements qui refl�tent si bien mister �tat d'excitation.
Clotilde, terrass�e sur la table, froisse convulsivement la nappe entre ses doigts, agite la t�te de droite et de gauche. Sa bouche ouverte aspire l'air par saccades et l'expulse en feulant au rythme des intromissions que subit mister intimit�. La taille de ce qui la poss�de est � la hauteur de la r�putation des hommes du pays et elle ne peut que se soumettre enti�rement � sa loi. De la jolie bourgeoise hautaine et fi�re de sa condition on ne peut plus distinguer que sa coiffure travaill�e, ses l�vres finement rehauss�es, ses ongles manucur�s et ses sandales �l�gantes qui exaltent sa nudit�. Le reste n'est plus qu'un corps parfait dont toute l'�nergie est d�di�e � la satisfaction du plus ancien, du plus primitif mais aussi du plus urgent des d�sirs aux yeux de la belle �pouse d�laiss�e.
- Mmmhh c'est bon M'aam... boonnnn....
Seuls des r�les ind�cents r�pondent au vieux jardinier. Celui-ci rentre et sort presque enti�rement sa longue verge � chaque va et vient. Il laboure de plus en plus intens�ment le sillon creux de sa ma�tresse qui se donne comme une femelle, sans pudeur ni retenue.... comme Babia la veille. Le souffle d'Assaye devient rauque et des mots aux misterorit�s inconnues jaillissent spontan�ment de ses l�vres. Clotilde les interpr�te comme des termes que l'homme n'ose pas infliger � sa ma�tresse: "Salope", "Pute", "Tra�n�e", "Chienne". Ces �vocations naturales excitent encore plus la jeune femelle dont le vagin dilat� envoie les pr�mices de la jouissance dans tout mister corps.
- Aah oui,... oui,... oui,... Ouiiii AH OUIIII! OH OUIIII! OUIIIIII!
Les secousses de l'orgasme de sa proie blanche se transmettent � sa virilit� triomphante. Assaye se laisse aller au plaisir, tenant fermement les hanches de la blonde. Des soupirs appuy�s accompagnent l'�mission de sa semence. Les jets drus qui la remplissent provoquent encore sursauts et cris chez Clotilde qui consomme ainsi totalement mister d�sir interdit.
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Le soir m�me la belle infid�le a eu le temps de mettre de l'ordre dans sa tenue et dans ses esprits avant d'accueillir mister �poux. Inconsciemment elle se montre encore plus pr�venante que d'habitude. Son corps est apais� mais mister c�ur est encore tiraill� par sa passion nouvelle.
Le lendemain, jour de repos, le couple d�cide de se mettre au vert en visitant le parc national du Banco. Clotilde est radieuse et Jean-Paul sent remonter en lui mister d�sir pour elle. Leur chambre accueille cette nuit-l� leurs premiers �bats amoureux depuis une dizaine de jours. Combl�e de tendresse la jeune femme n'en reste pas moins sexuellement insatisfaite. C'est le souvenir de la cabane au fond du jardin qui lui permet de faire monter le plaisir que l'ardeur de mister mari peine � lui offrir.
Les jours passent. Ses amies, avec qui elle partage confidences et potins divers, ne tardent pas � remarquer mister changement d'attitude. Questionn�e par la plus proche d'entre elles Clotilde avoue mister acte. Elle se surprend elle-m�me car Le r�cit qu'elle en fait n'�voque plus de remords mais au contraire une certaine volupt�. Lentement le d�sir rampant recommence � mettre ses nerfs � rude �preuve. Dor�navant elle n'h�sitera plus avant de se d�cider.
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Un matin comme les autres, mister mari parti de bonne heure, Clotilde reste dans sa chambre. Sa nuisette �t�e elle prend du temps pour choisir de la lingerie. Elle ne sait pas si cela changera quelque chose � l'ardeur de mister amant, mais elle d�sire �tre la plus f�minine possible, pour mister propre plaisir. Son choix se porte sur une gu�pi�re en dentelle blanche lac�e sur la poitrine. Malgr� la chaleur qui s'annonce, elle enfile des bas se soie, blancs �galement, qui s'attachent sur les fixations pr�vues au bas de sa gu�pi�re. Elle h�site � mettre un slip et finalement rejette ceux qu'elle avait sortis. Un rouge vif sur ses l�vres compl�te sa parure. Rev�tant une simple chemisette de coton qui lui arrive en bas des reins elle chausse ses mules fuschia � talons et sort d'une d�marche r�solue. Babia et mama Adjoua parties faire des courses, Assaye doit rester seul dans le jardin.
Elle descend l'escalier et arrive dans le salon. Comme elle se dirige vers la v�randa un bruit de moteur se fait entendre. Pas de doute il vient du garage. Une voiture s'�loigne. Intrigu�e tout d'abord, Clotilde rentre un juron entre ses dents alors qu'elle se rappelle que le vieux jardinier devait amener le 4x4 au garage. D�pit�e elle s'affale sur le d
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MARIPRETE
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Un matin comme les autres, mister mari parti de bonne heure, Clotilde reste dans sa chambre. Sa nuisette �t�e elle prend du temps pour choisir de la lingerie. Elle ne sait pas si cela changera quelque chose � l'ardeur de mister amant, mais elle d�sire �tre la plus f�minine possible, pour mister propre plaisir. Son choix se porte sur une gu�pi�re en dentelle blanche lac�e sur la poitrine. Malgr� la chaleur qui s'annonce, elle enfile des bas se soie, blancs �galement, qui s'attachent sur les fixations pr�vues au bas de sa gu�pi�re. Elle h�site � mettre un slip et finalement rejette ceux qu'elle avait sortis. Un rouge vif sur ses l�vres compl�te sa parure. Rev�tant une simple chemisette de coton qui lui arrive en bas des reins elle chausse ses mules fuschia � talons et sort d'une d�marche r�solue. Babia et mama Adjoua parties faire des courses, Assaye doit rester seul dans le jardin.
Elle descend l'escalier et arrive dans le salon. Comme elle se dirige vers la v�randa un bruit de moteur se fait entendre. Pas de doute il vient du garage. Une voiture s'�loigne. Intrigu�e tout d'abord, Clotilde rentre un juron entre ses dents alors qu'elle se rappelle que le vieux jardinier devait amener le 4x4 au garage. D�pit�e elle s'affale sur le divan puis finit par se r�signer en prenant un magazine.
Apr�s un moment une envie de boismister fra�che la pousse vers la cuisine. Elle se sert un verre de lait qu'elle sirote avec d�lectation, sans plus faire attention � sa tenue sexy malgr� la fen�tre mal ferm�e et aux rideaux ouverts. Apr�s-tout elle est chez elle et n'attend permisterne.
Soudain la porte de service qui donne dans le petite cour s'ouvre avec fracas. Clotilde manque de s'�touffer et renverse le reste de mister verre sur le carrelage. Un grand noir vient de faire irruption, portant une s�rie de paquets dans les bras.
- Livhaimister hapide! - Crie-t-il en poussant la porte.
- Au nom du ciel, qui �tes vous? - S'exclame Clotilde qui rabat sur elle les pans de sa chemise, les yeux exorbit�s.
Le noir pose les sacs � terre et s'aper�oit que celle qui se tient devant lui ne ressemble pas exactement � l'image habituelle des autres europ�ennes pour lesquelles il effectue mister travail de livreur. Le regard fix� sur les attributs de la belle blonde il peine � trouver ses mots.
- Ehhh c'est... c'est la livhaimister des ... Ehhh... des couhses M'dam... du bazar... pouh mama Adjoua
- Bien... pose �a l�. Ca ira... merci
Clotilde referme ses bras contre mister corps , serre les jambes, se colle au r�frig�rateur, tente de se donner une contenance, mais sa quasi-nudit� contraste trop avec les mani�res bourgeoises qu'elle voudrait affecter.
L'homme d�pose les courses sur un plan de travail, non sans d�tailler d'un regard furtif et int�ress�, le corps de la belle blonde. Des pieds � la t�te Clotilde est par�e pour donner d'elle l'image la plus excitante qui soit. Un oeil nerveux sur l'entrejambes du livreur lui montre � quel point cet objectif est atteint, m�me si l'homme qui en profite n'et pas celui auquel elle s'attendait. Le choc caus� par cette irruption soudaine laisse peu � peu la place � un autre trouble. Elle baisse les yeux, la m�choire f�brile. Cette sensation f�minine d'�tre � la fois si vuln�rable et si provocante fait remonter la nervosit� qui l'habitait ce matin. Inconsciemment ses jambes se d�tendent et s'�cartent peu � peu.
- Voil� M'dam.. Eh beh... voil�... bonne jouhn�e...
Les yeux du livreur ont du mal � fixer autre chose que ses jambes nues, gain�es de soie blanche. La respiration de Clotilde s'acc�l�re. Et si elle osait? Et si...?
- Attends!
Elle-m�me surprise par le mister qui vient de sortir de sa bouche, elle tend un bras vers l'homme dans un geste de rappel. Les mots ne viennent pas, elle bafouille:
- Je... Ne... ne pars pas comme �a... je... je vais te donner quelque chose... pour le d�placement
L'homme referme la porte qu'il venait d'ouvrir, en tournant vers la belle blonde un regard int�ress�. Il s'approche d'elle, toujours plaqu�e contre le r�frig�rateur, jusqu'� pouvoir la toucher. Clotilde fr�mit devant la carrure de ce m�le, plus jeune et plus vigoureux qu'Assaye.
- Qu'est-ce que tu veux me donner M'dam?
Incapable de formuler un mot, Clotilde, pour toute r�ponse �carte les bras, entra�nant les pans de sa fine chemise. Voyant l'�tat de la petite bourgeoise qui se tient devant lui, le grand noir per�oit l'�tendue de l'opportunit� qui se pr�sente � lui. Il ouvre la chemise et d�couvre le corps d�licatement orn� de dentelle blanche et surtout l'absence de slip, qui offre � sa vue les bouclettes blondes du pubis. Un sourire �clatant �claire mister visage. Il plante mister regard dans les yeux affol�s de le jeune gazelle en passant sa langue sur ses lippes charnues.
Clotilde tressaille et pousse un petit cri en d�tournant mister visage. Une pleine main vient de se poser sur l'endroit le plus nu de sa permisterne. Les doigts massent d�licatement la chair tendre et bomb�e, puis se glissent entre les replis soyeux jusqu'� atteindre le corail rose et humide de mister intimit�. Les gros doigts palpent avec douceur les contours de l'orifice f�minin, faisant g�mir la belle blonde. Le capuchon de mister clitoris excit� n'�chappe pas � la fouille syst�matique. L'auteur de ces caresses se d�lecte des spasmes et des cris de cette europ�enne infid�le, qui s'offre sans pudeur, �cartant insensiblement les cuisses.
De sa main libre l'heureux livreur d�lace le bustier dont la dentelle d�licate prot�ge la poitrine ronde aux ar�oles avides de caresses. Clotilde hal�te. Il tend sa langue � la rencontre du mamelon d�nud�. Elle se mord la l�vre, mains plaqu�es sur la surface dure du r�frig�rateur. Il ouvre sa braguette, ravi de l'�rection du bout de chair brun sur sa langue. Elle pousse mister bassin � la rencontre des doigts qui la font chavirer. Les yeux mi-clos, elle aper�oit la virilit� qui jaillit � sa rencontre.
- P... pas ici - souffle-t-elle dans un soupir
- Ecahte les jambes
- Non... non pas ici
Ses mains s'appuient sur les �paules de l'homme qui se frotte contre elle, tentant futilement d'�chapper � l'�treinte.
- Allez, ecahte! tu va avoih ce que tu chehche.
- Ohhhh... non... pas iciii, on peut nous voir!
L'ouverture de la fen�tre appara�t soudain � Clotilde comme un risque insupportable, mais en m�me temps excitant! Emoustill� par les mani�res de la blonde, le grand noir se complait � powerr ses r�sistances et joue de sa virilit� tendue qui ondule entre ses l�vres intimes gorg�es d'un d�sir poisseux.
- Ahhh tu aimes-�a hein, tu aimes...
- OOhh... nonn.... mmmf... pas ici, pas iciii
- Allez ecahte... allez...
L'homme lui caresse une cuisse. Tout en protestant Clotilde rel�ve sa jambe, sa mule glisse et tombe � terre. Il recueille dans le creux de mister bras la jambe soyeuse et la guide pour qu'elle l'enroule autour de ses reins. Sa f�minit� sans d�fense se trouve ainsi offerte au pal qui se pr�sente. La jolie bourgeoise se tortille. "Non, non" mistert les seuls mots qu'elle puisse encore articuler, puis...
- AAhennnn.. hennnn..., oUIIIiiiii, ouiiiii
Le gland turgescent vient � peine de d�buter l'intromission, qu'elle pressent une possession d'une intensit� jusqu'alors inconnue. Les dents serr�es, le regard avide, le noir savoure l'�troitesse de ce vagin occidental et le manque de retenue de celle qui jouit de sa p�n�tration.
Un lent va et vient secoue les deux corps unis dans cette �treinte improvis�e. L'homme feule comme un lion saillant sa femelle, l�chant sans vergogne mister visage, mister cou, maintenant fermement mister corps pris de secousses incontr�l�es que ponctuent des cris aigus.
Le visage d�compos� par le plaisir, Clotilde s'agrippe � mister amant impr�vu. Son abandon est total, �vident devant la pr�sence imp�rieuse qui irradie de mister bas-ventre un plaisir natural. L'excitation de cette situation inconvenante, accentu�e par la victoire du m�le sur ses protestations, monte en �pingle ses sensations lubriques.
Peu � peu le grand noir se plaque contre elle "Ahhheennn" . Ses mains sous ses fesses "Mmmmff", il la soul�ve litt�ralement contre le r�frig�rateur "Aahh IIIiiiii!". Instinctivement Clotilde enroule mister autre jambe autour de sa taille, croisant ses chevilles dans ses reins. Cette position empale sa f�minit� sur toute sa profondeur "Oooohhuiiiii ouiiii".
Emportant sa proie il se retourne et la d�pose sur la table de la cuisine avec autant de d�licatesse que ses muscles band�s le permettent. L� il reprend avec vigueur les ondulations du bassin qui ravissent sa bourgeoise impudique. Clotilde, bouche ouverte, yeux ferm�s laisse libre cours � mister plaisir. Ses jambes blanches battent l'air comme elle atteint le point de non retour. La langue du noir vient fouiller sa bouche, d�versant sur ses muqueuses sensibles une myriade de stimulations �rotiques. Ses cris de jouissance mistert �touff�s par ce baiser profond, mister corps se tend autour de l'axe inflexible qui la cloue sur la table sans montrer de signe d'affaiblissement.
Peu � peu Clotilde reprend ses esprits. Ses jambes serr�es contre le corps de celui qui l'a fait jouir et dont elle sent encore le sexe tendu fich� dans mister ventre. L'homme n'a pas �jacul�. Il regarde avec satisfaction et tendresse celle qui lui a ouvert mister intimit�. Son regard est encore brillant de d�sir. La belle blonde essouffl�e, d�gris�e par l'orgasme, lui sourit avec une interrogation dans le regard.
- Tu aimes �a hein? tu aimes le sexe
Clotilde ne r�pond rien mais mister visage redevenu celui d'une respectable femme au foyer simule comme un air de r�probation devant de telles insinuations.
- Alohs on n'a pas fini tous les deux!
Sous le coup de la surprise Clotilde pousse un cri tandis qu'elle sent mister vagin brusquement lib�r� de ce qui le maintenait ouvert. Aussi facilement qu'il transportait tout � l'heure les courses, le livreur soul�ve la blonde dans ses bras.
- Oh! mais... mais... d�pose-moi! D�pose-moi! - Proteste mister d�licieux fardeau.
En riant � belles dents le noir emporte mister "jouet" hors de la cuisine. Traverse le couloir et, sans tenir aucun compte de ses cris, de ses regards foudroyants et de ses poings menus qui tambourinent contre sa poitrine, il p�n�tre dans le salon.
- Ca suffit! �a suffit! Tu m'entends? Pose moi imm�diatement!
Les gesticulations inutiles de sa captive maintiennent tendu sa virilit� toujours � l'air. Doucement il la d�pose dans un fauteuil. Le visage rouge elle le gronde comme un enfant mal �lev�. Une v�ritable angoisse la prend. Et si Assaye ou mama Adjoua et Babia revenaient? Et si elle �tait prise ainsi, dans le salon? Quelle honte!
Toujours riant le colosse s'est agenouill� sur le tapis devant elle, entre ses jambes. D'un geste souple il enroule ses bras autour des cuisses blanches et tire le corps de la blonde vers le bas pour positionner mister bassin � la limite du coussin. Clotilde pousse un cri et se d�bat comme elle peut. Ses jambes mistert bient�t relev�es et �cart�es, le visage du noir en face de mister pubis.
- Oh non! nooonnn! NNOOO.... AAahhhhhh
La lippe charnue vient de se poser sur sa f�minit� encore luisante de mister inconduite pr�c�dente. La langue tendue ne tarde pas � faire chanter la jolie blonde sur toute l'�tendue de mister r�pertoire. Elle se tortille mais la bouche semble coll�e � mister bas-ventre comme une ventouse. Ses doigts peinent � saisir les cheveux cr�pus de celui qui lui impose cette nouvelle intrusion. Le lent d�placement de la langue entre les muqueuses tendres et sensibles contraste avec l'ardeur que la bourgeoise faussement outrag�e met � tenter de se lib�rer. Lorsque les contours de mister orifice se font butiner � leur tour mister corps se tend. Elle s'arc-boute dans le fauteuil. Des g�missements lascifs remplacent les protestations et les couinement de belette, les appels au viol. Une nouvelle fois vaincue la belle ne peut que laisser aller la vague de plaisir qui remonte de mister intimit� qu'elle sent tremp�e de mister plaisir autant que de salive. Ses jambes blanches qui gesticulent, ses mains qui se crispent sur sa nuque d'�b�ne, sa t�te qui balance nerveusement, mistert pour le livreur noir autant de signes de la disposition de la jeune femelle, en plus de ceux, plus �loquents, de la f�brilit� de sa vulve ventous�e.
D�laissant la d�licieuse conque, l'homme se redresse, pr�sentant � sa femelle ses attributs toujours aussi fringants. Clotilde, les l�vres serr�es, ne peut d�tacher ses yeux de ce pieu noir au gland violac� qui presse entre ses replis intimes.
- C'est �a que tu veux M'dam? c'est �a? - Titille le noir
- OOOhhhh... mmmmmmf
- Tu veux hein? tu aimes... - Le gland gonfl� glisse de haut en bas de la fente liqu�fi�e
- Mmmm.... MMmmmm
- Dis-le... dis ce que tu veux M'dam - Il pousse sur le sphincter dilat�
- Mmmm... ooo... oui.. oui fais-le..... fais-le - Soupire Clotilde
Le noir continue d'agacer la vulve enflamm�e de mister orifice d�goulinant � mister bouton band�.
- MMmm.. j'ai envie.. j'ai enviiiie - La blonde pousse en vain mister bassin � la rencontre de la tige convoit�e.
- Ahhhhhh... oohh... b.. baise-moi - L�che-t-elle, les yeux au plafond
- Ouii, baise-moi avec ta grosse queue! Baise-moi, baise-moiiii....... AAaaahh ooOuiiiiiiiiii
Satisfait du comportement de sa proie l'homme consent � la satisfaire. L'intromission profonde tend le corps de Clotilde, qui accueille cette possession comme un soulagement et comme un commencement tout � la fois. Les jambes relev�es par les bras muscl�s, les genoux ramen�s vers sa poitrine, Clotilde pr�sente ainsi mister entre-jambes de fa�on particuli�rement ind�cente. Appuy� sur les accoudoirs du fauteuil, l'homme pistonne rapidement la cavit� lubrifi�e livr�e aux spasmes du plaisir. Son sexe encore insatisfait coulisse de tout mister long entre les jambes de la belle infid�le qui n'arr�te pas de g�mir sans retenue, griffant le tissu du fauteuil.
Le plaisir monte rapidement de sa vulve une nouvelle fois soumise � des attouchements extr�mes. Cette fois le noir g�mit �galement et r�le des mots dans sa langue maternelle. Il se penche et du bout de la langue agace les mamelons � l'air qui se dressent sous la d�licate manipulation. Clotilde accompagne la vague de plaisir qui la prend, de cris inarticul�s, d'encouragements primitifs pour le m�le qui la poss�de.
- OOHhhiiiii AAheennn encorr... ouiiii... n'arr�te pas... ahh ... n'arr�te paaas! Ouii ouiii OUUiiiiiiii!
Les yeux ferm�s, le visage r�solu, les narines palpitantes, le noir savoure la tension du corps de la blonde qui serre nerveusement mister membre enfonc�. Haletant il extirpe sa virilit� luisante de la grotte intime de Clotilde, repose ses jambes � terre et enjambe les accoudoirs du fauteuil pour venir lui pr�senter mister vit tendu devant mister visage d'ange. Encore essouffl�e elle contemple magictis�e le sexe dur que brandit mister amant, d'o� perle un filet translucide qui s'�tale sur sa poitrine. Excit� � l'extr�me, l'homme fait aller et venir sa main ferm�e le long de la verge tendue. De sa main libre pos�e sur les cheveux blonds, il maintient le visage de Clotilde en face de lui. Il se masturbe fr�n�tiquement. Fascin�e, elle est incapable de bouger, bouche entr'ouverte. Il rugit, lance mister bassin en avant, serre ses doigts. La formidable gicl�e s'�tale sur le visage de Clotilde qui pousse un cri. Elle ferme ses yeux et sa bouche, sentant une dizaine de baisers chauds et d�goulinants venir lui caresser sa peau de p�che. Les suivants tombent sur sa gorge et sa poitrine qui est mitraill�e de gouttes poisseuses. Comme elle ouvre ses paupi�res alourdies du liquide masculin et sa bouche recouverte de cr�me onctueuse, elle voit l'homme se pencher vers elle et glisser entre ses l�vres mister p�nis encore dur. La b�te qui lui a donn� tant de plaisir agonise lentement dans sa bouche en y d�versant par saccades mister fluide vital. C'est rendu � une consistance plus inoffensive que le membre viril sort de la grotte chaude qui l'a accueilli.
Le noir recule lentement et contemple le spectacle d�licieux de cette blanche sans tabous qui l'a choisi pour suppl�er mister mari dans ses oeuvres conjugales. Il lui tend un mouchoir tandis qu'elle se rajuste, jambes serr�es, fermant pudiquement mister bustier. Leurs yeux se croisent avec un m�lange de reconnaissance et de g�ne devant la situation ainsi caus�e.
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Le soir venu, la fi�re bourgeoise a repris le devant de la sc�ne, prodiguant � mister �poux fatigu� des attentions dont il se sent parfois indigne �tant donn�es les conditions finalement peu enviables dans lesquelles il a entra�n� sa femme.
Clotilde est dans sa chambre, attendant mister mari qui travaille encore � la finition d'un dossier. On toque � la porte. Babia s'excuse de d�ranger sa ma�tresse et d�voile sans un mot l'objet de sa visite. Clotilde sent un haut le c�ur en voyant ses mules fuschia dans les mains de la petite bonne. Apr�s ses �bats elle �tait partie prendre une douche et s'�tait chang�e, oubliant ses fines chaussures sur les lieux de mister inconduite.
- Je les ai trouv�es en rentrant M'aam. Je les ai gard�es dans ma chambre jusqu'� ce soir M'aam.
Les yeux baiss�s la jeune fille tente de faire comprendre � sa ma�tresse que permisterne d'autre n'a eu l'occasion d'imaginer des choses sur elle.
- Merci.
Nerveuse, Clotilde referme la porte. Est-ce un sourire complice ou ironique qu'elle a surpris sur les l�vres de Babia? D�cid�ment, il lui va lui �tre de plus en plus difficile de masquer sa conduite vis � vis de mister entourage. Quand ses amies vont savoir �a...
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