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swinging paris

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prince albert 1

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#1
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Swinging Paris

Messagede cpl75marichaste » Lun Juil 12, 2010 7:21 pm
bonjour à tous
Peut être avec vous pris plaisir à lire la tentation de catherine qui abordait les troubles plaisir du sm alliés à ceux du sexe
Sur un sujet que beaucoup partagent ici j'ai commencé à mettre en ligne "Swinging Paris" qui relate de manière très autobiographique un long et délicieux parcours de candaulisme et d'échangisme.
Parcours réel dans lequel je pense beaucoup d'entre vous trouveront des sensations qui leur mistert chères... de plaisirs , de doutes, de troubles jouissances...
Vous pourrez le trouvez sous
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en voila un extrait pour vous
amicalement
Cette fois tous deux allaient devoir assumer la réalité. Il l’embrassa
tout en regardant cette imposante main noire s’insinuer sous la jupe et
remonter jusqu'à mister intimité. Caroline ne bougeait pas, mais il perçut
un léger mouvement de ses cuisses pour permettre la progression de
l’intruse.
Un couple s’était levé puis installé dans l’espace clos par la porte en
fer forgé. La femme avait ôté jupe et corsage pour ne garder que sa
lingerie noire ses bas et ses escarpins. Son partenaire était nu, affichant
une belle érection. Ils se caressaient sans un mot, puis rapidement
l’homme commença à la pénétrer en levrette. La femme gémissait. Des
couples et certains hommes s’étaient approchés pour admirer le spectacle.
La porte sans serrure n’était qu’un obstacle virtuel mais respecté par tous.
Ce ne fut que sur un signe de l’homme, qu’un couple les rejoignit et se
fondit dans leurs ébats.
Malgré sa curiosité et mister envie d’aller voir le spectacle, l’émoi que
lui provoquait cette simple main sous la jupe de Caroline l’emportait
sans hésitation. Elle lui faisait toujours face et l’embrassait tandis que sa
jupe maintenant largement remontée découvrait ses jarretelles. L’homme
semblait, malgré sa carrure imposante, se comporter avec douceur et
délivrer des caresses aussi subtiles qu’elle les appréciait.
- Tu m’aimes ?
Pour incongrus qu’ils puissent paraître en cette situation, c’étaient
les seuls mots qui venaient spontanément à la bouche de Caroline. Mais
il savait que ce n’était qu’une phrase convenue dénuée de mister sens initial.
Cela signifiait bien plutôt « Veux tu que j’aille plus loin ? Es-tu vraiment
prêt à ce que j’offre à un autre ce qui n’était qu’à nous ? ». Mais ces
questions, ils se les étaient déjà souvent posées avant de franchir le seuil
de cet endroit. Elles n’étaient plus de mise et Nicolas savait que Caroline
ne cherchait qu’un ultime assentiment. La permission d’un plaisir
physique apparemment commun mais qu’elle goûterait seule.
Egoïstement. C’était clairement la règle du jeu. Elle n’avait accepté de
franchir cette limite que s’il n’y trouvait qu’un plaisir strictement cérébral
et qu’elle demeure l’unique objet de mister désir, même si c’était un autre
qui allait se substituer au rôle qui fut exclusivement le sien jusqu’alors.
Pour toute réponse, il plaqua ses lèvres contre sa bouche qui
trahissait mister trouble, puis lécha le lobe de mister oreille et murmura.
- Il te caresse ?
- Oui…
- C’est bon ?
- Oui… Je crois.
Nicolas sourit. Cette réponse était l’image même de cette valsehésitation
dans laquelle elle se complaisait.
- Tu veux continuer ?
- Oui … Ça t’excite ?
Joignant le geste à la parole, elle posa la main sur le sexe de Nicolas
et sentit une rigidité qui valait toutes les réponses. Satisfaite, elle tourna
enfin le buste vers l’homme et tendit le bras entre ses jambes, lui rendant
la caresse qu’il lui prodiguait.
Nicolas était enfin face à ce qui n’avait été longtemps qu’une
construction de l’esprit. Son épouse, devant ses yeux, se faisait caresser
par un inconnu et était en train de commencer à donner du plaisir à un
membre qui n’était pas sien. Et il bandait...
C’est lui qui maintenant se sentait un peu mal à l’aise. Non pas
qu’il ne soit en mesure d’assumer ce qu’il avait désiré, mais simplement
parce qu’il ne savait pas exactement quel devait être mister rôle et mister
comportement. Il avait imaginé cette scène depuis longtemps, mais avait
simplement oublié de s’y inscrire. Devait-il rester à ses côtés et la
regarder ? La caresser en même temps que cet homme ? Ce serait peutêtre
rassurant pour elle, mais en même temps il risquait de la mettre mal
à l’aise, de l’inhiber. Devait-il la laisser seule pour qu’elle ne se sente pas
seulement le jouet de ses fantasmes ? Il opta pour la seconde solution et
tandis qu’elle commençait à échanger des caresses plus marquées avec
l’homme, il rejoignit le groupe qui observait les deux couples.
Les deux femmes juste vêtues de leurs porte-jarretelles et de bas se
faisaient face à quatre pattes en s’embrassant tandis que les hommes les
prenaient en levrette. Le fait qu’ils aient tous les deux mis des
préservatifs, semblait confirmer qu’ils avaient échangé leurs compagnes
légitimes. Quelques spectateurs masculins plus ou moins discrètement se
caressaient.
Ce qui étonna le plus Nicolas ce fut qu’en dehors des gémissements
des quatre partenaires, ils n’échangeaient aucune parole. Un sexe
purement physique qui ne semblait pas nécessiter de complicité ou de
quelconque cérébralité. Il s’en dégageait une certaine sensualité, mais il
s’aperçut que cela ne provoquait chez lui aucune réelle excitation.
Aucune envie de ces femmes pourtant désirables. C’était juste un
spectacle auquel il ne s’imaginait aucunement participer.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#2
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merci à vous
le second chapitre de notre parcours dans "Swinging Paris"
est en ligne

amicalement



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#3
Up to the first message Down to the last message
bonjour voila un extrait du chapitre 2

amicalement

Caroline caressait lentement la hampe épaisse du sexe qui
emplissait sa bouche avec une régularité de métronome , presque en
parfait synchronisme avec les mouvements du bassin de celui qui la
pénétrait. Aucun ne parlait, mais leurs gémissements et ahanements
fusionnaient et s’amplifiaient progressivement comme l’annonce d’un
orgasme commun. Il ne l’avait jamais vue ainsi. Maîtresse d’elle-même,
de mister corps, du plaisir qu’elle prodiguait aux uns et aux autres.
Cette femme qui semblait l’objet de plaisir de ces trois hommes,
était bien au contraire l’ordonnatrice de cette future jouissance collective.
Elle creusait mister dos, faisait saillir ses fesses, fermait ses lèvres en un
fourreau étroit, griffait délicatement les bourses, imprimant à tous ces
gestes une unité qui en sublimait la vision. Même pour l’homme allongé,
c’est elle qui plaquait et frottait mister buste contre ses mains. Le membre
qu’elle suçait fut le premier à jouir et il la vit longuement le garder dans
sa bouche et activer sa langue tout au long de mister retour au repos.
L’homme lui tenait la tête et goûta le plus longtemps qu’il pût à la
chaleur et la douceur de cette caresse. Libérée de ce bâillon de chair,
Caroline, les yeux fermés amplifia encore mister emprise par la parole.
- Plus fort ! Prends-moi plus fort ! Oui ! Encore ! Baise-moi !
Donne-moi tout !
Elle criait presque, oubliant ou ignorant tous ceux qui l’observaient,
ne s’adressant qu’à mister baiseur, le provoquant. Elle lançait ses fesses
contre lui. Elle n’avait perdu aucun contrôle d’elle-même, mais avait
décidé que le temps de la jouissance de cet homme était venu. Provoqué,
et libéré de toute réserve, il adopta le même vocabulaire.
- Elle te plait ma queue, salope…
- Oui elle est bonne, vide-la bien ! Allez viens !
Il ne se retenait plus. Son bassin claquait contre les fesses de
Caroline. L’homme qui avait déjà profité de sa bouche, s’était
maintenant allongé contre un des murs pour savourer le terme de mister
plaisir en assistant au spectacle. Celui qui caressait sa poitrine, fit mine
de vouloir prendre sa place mais Nicolas s’installa cette fois face à elle.
Elle rejeta ses cheveux en arrière et lui sourit aussitôt sans pour
autant cesser mister échange verbal avec celui qui était en elle. Il ne savait si
elle l’avait déjà aperçu, mais noua aussitôt les bras autour de mister cou, le
fixa, puis l’embrassa. Elle accélérait ses mouvements, et ses gémissements
annonçaient un orgasme proche. Ses paroles étaient de plus en plus
crues.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#4 · Edited by: prince albert 1
Up to the first message Down to the last message
Bonjour à vous tous
le quatrième chapitre de "Swinging Paris" est en ligne
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Mais il y a une innovation, qui s'inscrit pour notre grand plaisir et le vôtre je l'espère, dans le fil de notre parcours et de nos expériences.
Si vous cliquez sur bouton "cadeau" vous aurez une surprise, très réelle, car nous vivons toujours nos fantasmes, pour l'un (ou l'une) d'entre vous et pourquoi pas un couple....
Vous en saurez plus en suivant ce qui est indiqué, mais ... chutt.
Amicalement
Un extrait pour vous

Quelques jours plus tard, vers dix-huit heures, Nicolas misternait à la
porte. Avec un sourire entendu, la jeune femme du vestiaire lui fit savoir
que l’ambiance était particulièrement animée. Les quelques marches
descendues, il chercha aussitôt Caroline du regard.
A l’issue de longues discussions, elle avait accepté de s’y rendre
seule et qu’il la rejoigne anonymement une demi-heure plus tard. Proie
consentante offerte aux mâles. Objet désirable, censé venir assouvir seul,
ses besoins sexuels. Incarnation d’une présumée nymphomanie,
fantasmée par la majorité des hommes.
Il avait envie de la laisser ainsi seule assumer ce rôle et réagir
comme elle l’entendrait, sans que sa présence interfère dans la
spontanéité de mister comportement. Puis vivre les instants délicieux de
l’attente, de l’imagination et de la découverte.
Parcourant des yeux la salle principale puis celle du lit à baldaquin,
il ne vit qu’un couple amoureusement enlacé, venu certainement abriter
des amours adultérins. Deux hommes regardaient de loin sans les
approcher. Etait-elle venue ? Repartie ? Les partenaires annoncés
n’étaient-ils qu’imaginaires ?
Du bout d’un petit couloir émergeait un bruit sourd. S’y engageant,
il devina de loin des corps, nombreux, agglutinés sur un lit circulaire qui
occupait la totalité de la pièce. Une main se posa fermement sur mister
épaule et le tira un peu en arrière
- Monsieur ! s’il vous plait. Veuillez passer au bar et régler votre
entrée.
Un peu décontenancé, Nicolas suivit l’homme et s’exécuta.
- Vous avez de la chance, cet après-midi il y a une fille superbe et
qui en veut ! Une gourmande de la queue ! Mais vous aurez peut-être du
mal à trouver une place… Des salopes comme ça c’est rare !
Nicolas sourit.
- Une blonde aux cheveux mi-longs et aux yeux noisette ? Qui est
arrivée il y a une demi-heure ?
- Oui…
- Alors je pense avoir mes chances… C’est mon épouse !
Cette fois ce fut l’homme qui perdit mister assurance.
- Excusez-moi. Je ne savais pas…
Il se perdit en justifications embrouillées. Il n’était pas là lors de leur
première venue et n’avait pu les reconnaître. Il était désolé. Ils seraient
désormais ses invités pour se faire pardonner de cette méprise.
- Je vous en prie, coupa Nicolas, ce n’est pas grave, mais j’ai hâte
d’aller voir la « salope » dans ses oeuvres… A plus tard.
Même s’il était difficile de dénombrer le nombre de participants,
autour d’une dizaine, il était clair qu’une seule femme concentrait
l’attention, les mains et les sexes des hommes présents. Tous nus, à
l’exception de leurs chaussettes, caractéristique fréquente et ridicule, qui
amusait beaucoup Caroline, ils en étaient presque à se bousculer pour
avoir accès à ses charmes.
Nicolas joua un peu des coudes pour se frayer un passage jusqu'à
elle.
- Tu as été long mon chéri !
- Je voulais te laisser le temps de t’occuper de ces messieurs…
- Oui mais maintenant ça va… J’ai trop chaud et j’ai envie de boire
un verre.
Elle se dégagea des étreintes persistantes et haussa un peu la voix.
- Merci messieurs. Je crois que me suis bien occupé de vous tous, et
pour les autres ce sera pour une prochaine fois. Maintenant je vais
m’occuper de mon mari…
Le prenant dans sa bouche, la « salope » lui prodigua une caresse
courte et vorace qu’elle dégusta jusqu'à le laisser sans ressources.





le sexe sans tabous
prince albert 1

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#5
Up to the first message Down to the last message
Bonjour à tous

si vous avez envie de passer de l'autre côté du miroir et "jouir" d'un cadeau vraiment exceptionnel et tout à fait réel lisez ci dessous, et vous prendrez place dans ce parcours....
amicalement



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#6
Up to the first message Down to the last message
Bonjour a vous

Voila un nouveau chapitre de notre parcours candauliste et libertin (et véridique...)
Les premières amours saphiques de Caroline
Le "Cadeau" est toujours d'actualité pour les gourmands et gourmandes
amicalement
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En pleine lumière de midi, au milieu d’un salon bourgeois sobrement décoré, face à deux permisternes en tenue de ville, elle seins nus débordant de mister corsage, jupe relevée, cuisses largement écartées, exposant d’intimes bijoux, elle ne ressentait ni gêne ni désir de se soustraire à cet état. Au contraire, une certaine sérénité. Etait-ce cela la soumission dont on la disait porteuse ? Le plaisir de l’abandon à une autorité bienveillante et rassurante ? Le don à celle-ci de la clé de cette porte que l’on n’ose pas franchir ? Mais alors pourquoi pas à Nicolas ? Elle n’eût pas envie d’approfondir cette ambiguïté à ce moment. Juste le savourer. Elle pensa à ces visages sereins du « Déjeuner sur l’herbe ».
Antoine à ce moment proposa un autre verre et s‘apprêtait à tendre la main vers le seau.
- Je vous en prie, c’est maintenant à cette chérie d’assumer mister rôle. Ôtes ta jupe et ton corsage, Caroline, et va chercher sur la console de l’entrée ce que j’ai préparé pour ton effectuer ton service. Et dépêche-toi !
Même si elle fut un peu surprise de la tournure que prenait cette rencontre, elle n’en fut pas déstabilisée, plutôt agréablement troublée.
Elle ôta ses vêtements devant eux avec lenteur, roula mister soutien-gorge sous ses globes laiteux, les faisant saillir encore un peu plus, puis se dirigea vers la console. Un collier de cuir, une laisse en métal et deux paires de menottes l’y attendaient.
- Apportes-les nous !
- Voulez-vous les poser vous-même à notre accorte soubrette ?
- Avec grand plaisir, chère amie.
Il prit tout d’abord une première paire de menottes reliées par une chaîne assez longue et la referma sur ses chevilles. Il fit de même avec ses poignets. Puis il lui demanda de s’agenouiller afin de lui poser le collier et y fixer la laisse.
- N’est elle pas superbe ainsi ?
- Je dirais même faite pour les porter ! Une créature de fantasme.
- Tu vas aller dans la cuisine. J’ai tout fait livrer par le traiteur. Tu nous serviras, c’est tout. Et tant qu’Antoine est là, pour toi, c’est Monsieur et Madame. Compris ?
Tous deux se levèrent et s’installèrent dans la salle à manger, la table déjà dressée. Caroline comprit en les suivant que les entraves de ses chevilles limitaient grandement ses déplacements tout en provoquant une démarche faite de petits pas hautement suggestifs pour ceux qui l’observaient.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#7
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Bonjour
D'abord merci à vous tous pour l'intérêt que vous portez aux aventures (réelles) de caroline.
Vous êtes déjà nombreux à participer au jeu du "cadeau" et elle (et moi aussi) attends avec impatience de savoir qui sera l'heureux gagnant...(ou gagnante..).
Cela sera pour bientôt maintenant... si vous en avez envie ...
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amicalement
Gabriel



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#8 · Edited by: prince albert 1
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Bonjour merci à tous et je pense que l'un de vous va très bientôt être l'heureux bénéficiaire du "Cadeau"
Voilà un nouvel extrait pour vous
amicalement
En très peu de temps, ses Pygmalions firent preuve envers Caroline d’une expérience et d’une imagination insoupçonnée. Chaque rencontre était l’occasion d’une nouvelle découverte, de nouveaux émois, de sensations et situations inconnues, de nouvelles perversions, comme disaient les autres. Une sexualité qui se nourrissait de bien d’autres choses que de simples caresses, que de contacts d’épidermes, que de pénétrations qui n’en étaient que les termes. Les aboutissements de ces mises en condition qui en décuplaient les effets.
Même s’il ne vivait ses aventures que par procuration, Nicolas était l’ultime bénéficiaire des charmes exacerbés de cette femme qui lui revenait toujours, sans qu’il éprouve la moindre inquiétude à ce sujet. De plus, qu’elle comme lui ignorassent généralement ce qui l’attendait, ne faisait qu’alimenter avec délices mister imaginaire jusqu'à mister retour. Et ce n’était pas le moindre de ses plaisirs.
Ainsi, ils la conduisirent, un soir près de la porte Dauphine en une tenue qui prêtait peu à confusion, là où stationnaient des poids lourds en quête d’une bonne fortune. Pas une professionnelle, mais une femme cherchant la virilité et la rudesse présumée des routiers pour assouvir ses pulsions. Il y avait le long du tunnel cinq ou six camions. Ils se garèrent derrière eux. Quelques-uns de leurs chauffeurs discutaient sur le trottoir et les virent tous trois descendre de la voiture.
Bernadette l’envoya frapper à la porte du premier de la file. Cette délicieuse angoisse l’étreignait. Le plaisir de la transgression imposée. En cuissardes mini jupe et chemisier de tulle ouvert sur ses seins, elle attirait le regard, mais aussi les questions.
L’homme se pencha par la vitre.
- Tu es superbe chérie…Mais c’est combien ?
- C’est gratuit…
- Vrai ?
- Mais oui je vous assure…
L’homme jeta un regard alentour afin de vérifier si ce n’était pas une sorte de traquenard. Rassuré il ouvrit la portière pour la faire monter. En short et chaussettes dans des sandales de cuir, un tee-shirt qui moulait un ventre plus que rebondi, la sensualité n’était pas vraiment au rendez-vous. Mais ce n’était justement pas ce qu’on l’envoyait découvrir. L’homme était aimable autant que rustre et pourtant un peu intimidé.
Ce fut elle qui glissa la main dans mister short, le long de ses cuisses velues jusqu’à mister sexe.
Il tira alors les rideaux de la cabine, l’entraîna sur la couchette, la mit à genoux, lui exhiba un sexe bandé qu’elle se mit aussitôt à sucer avec avidité, sans pourtant en éprouver de désir. Elle sortit de mister soutien-gorge un des préservatifs que lui avait remis Bernadette, puis d’elle-même se mit en levrette et releva sa mini jupe.
Elle sentit la bedaine taper contre ses fesses en même temps que mister sexe entrait en elle. Il la besogna fermement et rapidement en lui répétant qu’elle était belle et « bonne »…
Quelques minutes plus tard, rapidement remaquillée, elle embrassait cet homme en le remerciant et s’apprêtait à rejoindre ses amis.
Il n’avait pu, malgré les dénégations de Caroline, s’empêcher de glisser un billet dans mister décolleté. Ouvrant la porte, elle découvrit tous les chauffeurs réunis au pied des marches. Bernadette et Gérard à leurs côtés.
- Ces Messieurs t’attendaient ! lui dit-elle.
Caroline un peu décontenancée allait rétorquer qu’il n’avait été question que d’un seul, mais n’en eut pas le temps.
- C’est un quart d’heure avec chacun. Tu verras, ils mistert charmants, ne t’inquiètes pas ! Nous allons prendre un verre en t’attendant. D’ici une heure et demie, nous revenons te chercher.
Sans lui laisser le temps de dire un mot, ils s’éloignèrent, et elle vit l’Audi noire faire demi-tour.
Elle en dénombra six. On lui prit la main. Elle monta à nouveau quelques marches. Le rideau fut tiré. Elle suça, se fit prendre, redescendit, un autre homme l’attendait, elle lui souriait et le suivait.
Lorsque ce fut Gérard qui apparut, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas fait le compte et que si un autre s’était présenté, elle aurait continué. Ce ne fut qu’une fois dans la voiture qu’elle réalisa vraiment ce qu’elle venait de faire. Après quelques reproches pour la forme, le ton devient enjoué au fil des descriptions croustillantes que leur faisait Caroline. Incités par le cadeau dont l’avait gratifié le premier, et peut être aussi pour la remercier de mister application, tous avaient spontanément suivi. Les billets dépassaient de mister corsage. La somme était modeste, mais tous trois décidèrent d’appeler Nicolas et d’aller ensemble la flamber autour d’un dernier verre.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#9
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Bonjour à tous

Le récit de nos aventures se poursuit...
Nous en sommes au 9e chapitre de Swinging Paris
vous trouverez le lien dans les messages un peu plus haut

Voici un extrait du chapitre 8 Joe et Susan , qui furent nos complices
Amicalement
et n'oubliez pas de jouer au "Cadeau" c'est gratuit et c'est un merveilleux cadeau
....
Caroline étouffa une plainte dans l’oreiller qu’elle serra à pleins bras, et comme un chat en colère, arrondit mister dos. D’un simple toucher de l’index au creux des reins, Susan lui fit comprendre qu’elle devait reprendre la pose. Alternant caresses et claquements, elle conduisit rapidement mister fessier à une couleur cramoisie. Sans vraiment se rebeller, Caroline s’enquérait régulièrement de savoir si sa punition serait bientôt terminée. Susan l’éconduisait avec douceur, prenant le temps d’allumer une cigarette et d’échanger quelques mots avec les deux hommes ravis et même ragaillardis par le spectacle.
Avec ironie, elle leur dit que cela commençait à lui faire mal aux mains et se leva pour ouvrir un tiroir et en extraire de fins gants de chevreau rouge.
- Ce sera parfait avec ça…
Caroline tourna mister visage vers elle.
- Non pas ça … C’est fini, s’il te plait
- Tais toi chérie, il ne fallait pas jouer et pas perdre ! Et puis ça ne te déplait pas tant que ça.
Glissant un doigt dans mister intimité, elle la fit se trahir en exhibant le cuir brillant.
-Vous voyez ?
Caroline, vaincue, se cambra à nouveau tandis que Susan reprenait mister œuvre. La misternette retentit alors. Sans précipitation, Joe invita Nicolas à passer un peignoir et à s’installer dans un canapé tandis qu’il allait ouvrir la porte.
Les deux femmes demeuraient sur le lit dans les mêmes tenues et les mêmes positions respectives. Caroline avait eu une réaction instinctive de se relever, mais Susan l’en avait empêché. Usant de mister seul refuge, telle une autruche, elle cacha mister visage au plus profond des oreillers. Le serveur, un plaisant jeune homme blond, était maintenant au milieu de la chambre.
Dès la porte du couloir franchie, le spectacle qui s’offrait à lui sur le lit, attira évidemment mister regard, mais rompu aux étrangetés et aux caprices des clients de ce palace, il débuta mister service sans afficher d’étonnement particulier. Après un « Bonsoir, Mesdames, Messieurs, » sans affectation ni hésitation, il dressa la table et détailla les multiples mets et boismisters qu’avait commandés Joe, sans pour autant se priver de regards discrets et furtifs vers les occupantes du lit. Cela prit environ cinq minutes durant lesquelles, comme faisant fi de sa présence, Susan avait repris mister ouvrage, profitant même du silence que s’imposait Caroline pour accentuer mister ouvrage. Totalement à l’aise, elle échangeait même quelques mots avec le serveur, sur les détails de ce souper.
À sa demande et sans qu’elle quitte sa position, il lui servit une flûte de champagne et désignant avec détachement le corps qu’elle caressait, lui dit avec le plus parfait naturel que « madame » ne méritait pas encore de goûter à ce nectar.
- Cela vous convient-il ? Désirez vous autre chose ?
- Non c’est parfait, répondit Joe.
- Vous faites partie de l’équipe de nuit ?
- Oui Monsieur.
- Nous avions déjà eu à faire à un de vos collègues qui a été parfait. Vous êtes au courant ?
- A vrai dire je ne devrais pas l’être…
Joe sortit de mister peignoir une liasse de billets, et en détailla un nombre plus que respectable avant de les lui tendre. Alors qu’il allait se retirer, Susan l’interpella.
- Venez là !
Il s’approcha à distance convenable.
- Travailler aussi tard mérite d’être bien récompensé, jeune homme…
- Mais Madame, votre mari a déjà été très généreux
- C’est mister argent… Moi aussi je veux vous donner ma gratification.
- Nous devons rester à notre place, vous savez, la direction est assez stricte dans ce domaine.
- Ne vous inquiétez pas, nous sommes de très bon clients ici, on ne nous refuse rien et on ne nous fait pas de problèmes. Approchez vous !
Sa main gantée caressait doucement les fesses rougies, maintenant presque brûlantes
- Elle vous plait ?
- Elle est très belle, comme vous…
- Tu veux goûter à sa bouche ?
Il ne voyait pas mister visage mais les cheveux blonds qui jaillissaient du coton blanc lui laissaient imaginer une beauté à la mesure du reste de ce corps exposé et dont il avait pu constater la docilité.
- Oui Madame, ce serait avec plaisir …
Caroline entendait le moindre de leurs mots. L’anonymat qu’elle avait voulu conserver, était maintenant vain. Lorsque d’un tapotement, Susan lui fit comprendre qu’elle devait se relever, Caroline s’exécuta aussitôt et se retrouva face à une verge bandée de belle dimension, émergeant de sa braguette entrouverte.
Sans relever le visage pour voir qui était celui à qui elle allait donner du plaisir, sa bouche fit un fourreau autour de ce sexe et commença à glisser autour de sa hampe.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#10 · Edited by: prince albert 1
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bonsoir à vous
Caroline en compagnie de ses nouveaux amis va faire la connaissance très intime de Withney Houston et de mister mari lors d'une très chaude croisière (c'est véridique..)
vous pourrez lire la suite sur le site de Swinging
Bonne lecture

A peine était-elle prête, qu’on frappa, et qu’une voix presque rauque demanda en anglais si l’on pouvait entrer. Susan ouvrit, et tous deux étaient là. Elle referma aussitôt derrière eux. Les deux femmes s’entretirent un instant à voix basse, tandis que Bobby s’était vautré dans un fauteuil.
Susan sortit de mister sac une petite fiole emplie d’une poudre blanche dont elle fit un cône sur le miroir de mister poudrier avant de le diviser en quatre fines lignes. Elle les présenta à ses hôtes, avant d’en sniffer une, elle-même, et de s’approcher de Caroline.
- Elle me dit qu’il a un peu forcé sur l’alcool et que ça lui permettra de sa remettre en forme … Tu en veux ?
- Je n’en ai jamais pris. Et je suis en forme moi …
- Pour la suite, ça pourrait t’être utile …
Autant par désir de ne pas passer pour une non-initiée, que pour peut-être amplifier l’excitation qui était déjà la sienne, elle les imita.
Bobby s’approcha. Cette fois il ne portait plus que mister pantalon de cuir, et exposait un torse nu et musclé, quadrillé de saillantes tablettes de chocolat. Etait-ce déjà l’effet de ce qu’elle venait d’absorber, ou le simple fait que mister cadeau était encore plus désirable qu’elle ne l’avait imaginé, mais elle n’aspirait plus qu’à assouvir ses sens. Elle caressa lentement ce corps qui lui faisait face, encore sans réaction.
Whitney s’assit auprès d’elle, curieuse de ces parures qui l’intriguaient. Ses très longs ongles rouges qui terminaient de fins doigts d’ébène, jouaient à les faire tinter et les écartaient comme pour en tester la résistance. Sans s’arrêter elle s’approcha de sa bouche et posa un chaste baiser.
- Tu es superbe petite frenchie chérie… Je ne suis pas très « filles » mais j’aurais bien joué avec toi si je ne devais pas m’occuper de mes invités …Une autre fois peut être …
Elle rejoignit Susan dans un canapé et se mit à discuter. Bobby semblait avoir retrouvé toute sa vitalité et mister arrogance.
- Alors bébé, comme ça tu voulais savoir ce que ça fait de sucer la bite d’une star…
- Oui…
- Alors mets-toi en position et tu vas voir pourquoi je plais aux filles…
Caroline se mit à quatre pattes, le visage à la bonne hauteur. Il ne fit que glisser mister zip, et en fit émerger une verge qui se déplia comme un serpent endormi, tandis que de l’autre main, il dégageait de volumineuses bourses.
- C’est de la queue ça, bébé … ? Allez montre moi comment tu sais t’en occuper…
Très vite le serpent se réveilla et en moins d’une minute, elle n’en faisait plus le tour de sa main. Circoncis, terminé par un épais gland rosé qui contrastait d’avec cette hampe très brune. Elle semblait ne pas vouloir arrêter d’augmenter de volume et de taille. Caroline titillait le méat du bout de sa langue avec un délice qu’il semblait partager.
Le regard levé vers lui elle épiait la moindre de ses réactions. Peut-être était-ce la plus grosse verge qu’elle ait jamais eu à satisfaire. Elle eut d’un coup un peu peur de ne pas réussir à l’accueillir entre ses lèvres. D’autant qu’il ne semblait pas vouloir se satisfaire d’une simple caresse. Elle s’en rendit d’autant mieux compte lorsqu’il prit fermement sa chevelure à deux mains afin qu’elle passe aux choses sérieuses.
- Allez, « Big boobs », c’est bien comme ça que t’appelle Susan ?
- Oui, c’est vrai.
- Tu voulais me sucer non ? Alors vas-y et à fond…
Le gland passa la barrière de ses lèvres avec moins de difficulté qu’elle ne le redoutait , puis la verge glissa lentement jusqu’à sa gorge. Elle réprima un haut-le-coeur et un hoquètement quand il buta au fond. Elle n’en était pas une habituée, mais voulut lui monter qu’elle était capable de lui offrir une gorge profonde.



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prince albert 1

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#11 · Edited by: prince albert 1
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Bonjour à vous tous amis cocus et candaulistes

Voilà le chapitre consacré à Damien
Je ne vais pas être modeste excusez m'en, mais je suis sincère.
Je pense en relisant ces pages qu'elles relatent au plus profond tous ces sentiments
obscurs et antagonistes qui nous habitent dans notre quête.
Elles mistert empreintes à la fois de la sincérité et de la naïveté qui nous dominent lorsque nous désirons mettre en jeu et risquer ce que nous avons de plus précieux.
Elles décrivent, toujours de façon véridique, les pulsions et les tourments qui mistert les nôtres lorsque le jeu que nous croyons assumer, nous échappe.
Ce mistert aussi les faiblesses que nous devons avouer et reconnaitre lorsque le trouble va au delà de ces que nous avions imaginé et que nous nous croyions capable d'accepter.
Pour la première fois ma femme avait comme je le désirais, comme elle en avait envie, un amant. Pas un simple partenaire sexuel comme elle en avait eu de très nombreux.
Un amant qui était devenu mon complice mais surtout qui la désirait, qu'elle désirait, qui lui faisait superbement l'amour, et dont elle était follement amoureuse sans pour autant moins m'aimer.
C'était ce dont j'avais rêvé...
Mais cette réalité est moins facile à vivre que dans les rêves.

J'insère ici quelques lignes de ce chapitre, mais sans prosélytisme et pour tous ceux qui mistert animés par cette pulsions de cocufiage ou de candaulisme, peu importe le mot je vous invite à lire cette part intense de notre parcours amoureux, que vous ayez franchi le pas ou que vous désiriez le franchir, je pense que vous découvrirez ou partagerez les émois qui se produisent au delà du simple plaisir sexuel.
Une dernière chose. C'est un jeu qui se joue a deux. Si vous désirez franchir le pas, faites lire ces lignes à votre compagne ou votre épouse. Cela vous facilitera les choses à tous les deux. Pour ouvrir ou non la boite de Pandore

Amicalement à tous et j'aurais plaisir à vos réactions sur ce chapitre qui fut aussi un chapitre de notre vie.
En voilà presque le début.

Il ne cessa de tenir sa taille lorsque leurs bouches se désunirent. Damien semblait à l’aise. Peut-être parce qu’il avait longuement parlé au préalable avec Nicolas et qu’il savait que sa présence répondait au désir commun du couple qui le recevait. Un désir profond et partagé. Leur accueil le lui avait confirmé. Lettré et anglo-saxon, il évoqua alors la proximité de leur quête avec l’ambiguïté de la relation entre Scott Fizgerald et Zelda.
Caroline l’écoutait, blottie contre lui, souriant à Nicolas, comme un remerciement d’avoir entrouvert cette nouvelle porte. Ce fut elle qui prit l’initiative de rompre la virtualité qui s’était installée. Se levant, elle prit Damien par la main.
- On va aller faire connaissance avec Damien, mon chéri !
- On ?...
- Je veux dire lui et moi … c’est ce qui est convenu , non ?
- Oui, oui, bien sûr.
Il revenait d’un coup à la réalité. Elle s’approcha de lui , posa un baiser et lui murmura, mutine.
- On t’appelle dès qu’on a besoin de toi, mon chéri…
Ils se dirigèrent aussitôt vers la chambre et il entendit la porte claquer.
Il était détendu et pourtant troublé comme rarement il l’avait été. Même si c’était lui qui avait seul préparé cette rencontre, l’attrait que provoquait Damien sur elle était indéniable et, à cet instant, elle n’était plus comme auparavant l’objet complice de ses fantasmes, de leurs fantasmes. C’était un plaisir qu’elle voulait déguster seule, cette porte fermée le lui confirmait.
Il ressentit cet étrange et délicieux sentiment de jalousie qu’il n’avait plus éprouvé à ce point depuis la conquête de Caroline, puis ses premiers abandons sexuels à d’autres que lui. Il savait qu’à cet instant c’était plus que mister corps qu’elle était en train de lui offrir.
Il se retint d’aller s’approcher de la porte, et cela ne fit qu’alimenter un peu plus sa machine à fantasme et cette émotion oubliée. Il lui était cependant difficile de fixer mister attention sur autre chose que ce qui se déroulait à quelques mètres de lui. Il mit Chet Baker sur la platine. « My Funny Valentine »
Plus d’une heure passa avant que mister portable ne se mette à vibrer.
- Tu viens nous rejoindre mon chéri ?...
Sa voix était douce, presque révélatrice d’une plénitude des sens et de l’esprit. Il se contint pour ne pas les rejoindre trop vite et adopter la décontraction qui se devait être la sienne.
Dans une semi pénombre, ils étaient allongés sur le lit. Les draps froissés trahissaient la fougue des ébats qu’ils avaient accueillis. Côte à côte, Damien nu, fumant une cigarette en fixant le plafond, Caroline, encore vêtue de mister porte-jarretelles, ses bas noirs et ses escarpins, ses seins lourds et gonflés, caressant lentement le membre au repos.
Deux amants après l’amour. Beaux et repus de plaisir. C’était l’évidence qui s’offrait à ses yeux. Pas deux partenaires qui avaient baisé. Ce qui se dégageait était tout autre. Sans interrompre sa caresse, elle se tourna vers lui en souriant.
- Tu nous apportes à boire, chéri et puis tu viens nous rejoindre ?
Un peu magictisé, il ne réagit pas immédiatement, mais quelques minutes plus tard il était de retour avec les verres.
- Viens vite !
Le sexe de Damien avait maintenant repris toute sa vigueur, et il s’aperçut qu’il ne s était nullement vanté lorsqu’il lui avait évoqué une virilité que ses partenaires remarquaient. Ce n’était pas les blacks, mais il était cependant bien plus long et volumineux que le sien.
Paradoxalement cela ne fit qu’amplifier mister excitation. Il n’y avait pas de satisfaction à se mesurer à plus faible que soi. Là tout était réuni. Jeune, beau, intelligent, tendre, et maintenant viril, c’était une concurrence redoutable qu’il devait affronter.
Nu, il se glissa à la gauche de Caroline, et ses mains furent aussitôt partout sur mister corps. Cette fois, elle branlait les deux sexes ensemble. Nicolas commença par mordiller ses tétons puis remonta lentement jusqu'à sa bouche. Le baiser qu’elle lui offrit fut long, profond, sensuel comme il ne l’avait été depuis longtemps. Son sexe lui faisait presque mal tant il durcissait encore et encore.
- Je t’aime, dit elle en reprenant haleine
Sans lâcher sa virilité, presque brandie comme un trophée, ce fut pourtant vers Damien qu’elle se tourna et dont elle engloutit le sexe.
Etait-elle consciente de la jalousie qu’elle provoquait en lui préférant spontanément mister amant alors qu’il venait de les rejoindre ? Ce couple qui faisait l’amour depuis plus d’un heure. Qui affichait mister épanouissement et auprès duquel il apparaissait comme une pièce rapportée.
Il savait que non. Qu’elle se laissait seulement aller à la pulsion de l’instant, à mister désir, à ce qu’il avait lui-même voulu lui offrir. Elle qui semblait si mesurée aux yeux des autres, recelait une permisternalité dont la peur, la mesure, la culpabilité étaient exemptes. Jamais ou presque elle ne provoquait les situations que Nicolas construisait ou facilitait. Mais, le pas franchi, si elle y trouvait une satisfaction, parfois ignorée, la simple idée de limite n’existait plus.

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prince albert 1

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#12 · Edited by: prince albert 1
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Bonjour
Voilà pour vous un extrait du nouveau chapitre de notre parcours
la rencontre avec Evelyne une des icônes de la domination
c'est toujours du vécu ....
Amicalement
Gabriel


- Bernadette nous a quittées. Juste avant de partir, une femme assez jeune qui semblait bien connaître Evelyne s’est approchée et sans pour autant baisser la voix, lui dit « Tu me la prêteras ? « « On verra. Je te connais, tu ne vas pas la ménager, tu ne sais pas te retenir. Elle n’est pas prête à ça pour le moment, mais je vais te faire envie. Chérie, lève-toi, montre lui ce que tu portes entre les cuisses et embrasse là »
- Je lui ai obéi et en plein restaurant, j’ai relevé ma jupe aux hanches et un peu écarté les jambes. Elle a aussitôt pris mes anneaux à pleine main et en a testé la résistance, sans douceur, puis en me prenant par la nuque, elle a presque forcé ma bouche pour y mettre sa langue.
- Ça t’a plu ?
- Je ne sais pas vraiment. Mais je n’étais plus gênée de faire ça dans ce lieu public. Ensuite nous sommes allées à mister appartement, pas très loin , vers la gare de Lyon. Elle m’avait dit que Georges y était déjà, mais sans plus de précision. C’était un immeuble moderne, anonyme. Une fois dans mister salon, elle me fit installer dans un canapé et m’ordonna d’ôter mon tailleur et de l’attendre. Elle disparut au fond d’un couloir et en revint au bout de quelques minutes. « Suis moi ! ». Dans une grande pièce neutre, qui n’avait rien d’un décor de salle de ***, il y avait des centaines de fouets et de cravaches alignés sur des râteliers, des godemichés, des chaînes qui pendaient du plafond, des baillons, des cagoules, une croix équipée de bracelets au mur, et d’innombrables accessoires dont j’ignorais même la destination. Au sol dans une cage en barreaux de métal qui devait faire un mètre de côté, j’aperçus un corps nu accroupi, immobile, enchaîné, qui était celui de Georges. Je n’osais lui parler ni le saluer, et demandais seulement s’il était là depuis longtemps « Je l’ai installé avant de partir déjeuner avec toi. Un peu plus de quatre heures. Il va y rester jusqu'à ce soir. Mais ne t’inquiètes pas il est comblé… » Elle me tendit une ceinture de cuir à laquelle étaient reliées deux menottes de cuir par de courtes chaînes, ainsi qu’une barre d’acier terminée elle aussi par deux menottes « Tu retournes sur le canapé. Tu poses la barre entre tes chevilles, puis la ceinture et enfin les bracelets, et tu m’attends. » Je lui ai obéi, j’ai refermé les cadenas, j’étais impuissante et j’ai attendu. Lorsqu’elle est revenue, elle a juste vérifié que j’avais bien exécuté ses ordres, que mes mains pouvaient juste toucher mon sexe, m’a posé un bandeau sur les yeux et m’a dit de répéter « je suis une salope, une putain, une soumise » en me caressant.
Chapitre 14

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Juanlover

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#13 · Edited by: Juanlover
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@prince albert1, quand est-ce que tu te cherches une maimister d'édition
genre Fleuve Noir pour publier ta prose ?
Je te suggère de mettre un zest de mafia, de flics, d'exotisme, de trafic de poudre et de flingues dans tes récits et tu seras le nouveau Gérard De Villiers. Tu pourras changer ton pseudo (trop magazine Point de Vue à mon goût) pour celui de prince Malko ! Et tu kifferas en voyant les quinqua employés de bureau dévorer tes récits engoncés dans leurs pardessus gris dans le métro, le TER ou le RER (avant de rejoindre bobonne pour l'heure de la soupe. Et avec beaucoup moins de stimuli autour de la table de la cuisine.
JL
Educateur strict pour tous vides couilles seule ou en couple.
prince albert 1

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#14 · Edited by: prince albert 1
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Juanlover

Merci de ton approche circonstanciée. Non je te remercie j'ai déjà un éditeur papier en France - Les Editions Blanche - Franck Spengler/ Desforges - qui a un beau catalogue en matière de littérature érotique, et Parkers en langue anglaise. The hyperlink is visible to registered members only!
Sinon pour les ouvrages hors du champ érotique je suis édité par Gallimard.
Par ailleurs je viens ici pour le 'fun' et éventuellement faire plaisir à certains de nos amis qui trouvent plaisir aux mots et à leur charge émotionnelle.
Bien à toi
Gabriel
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prince albert 1

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#15 · Edited by: prince albert 1
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Bonjour à tous
Voilà tous les chapitres mistert maintenant en ligne. Le récit de cette partie de notre parcours est complet.
Je souhaite qu'il vous plaise et nourisse vos désirs et fantasmes car tout y est véridique
J'en dialoguerais avec plaisir avec vous ici ou sur le site
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Amicalement
un extrait du chapitre 16 "Sujétions"
Quelques minutes plus tard ils la rejoignaient. Elle lui tendit un double de mister emploi du temps et l’examina comme une vraie mère maquerelle. Caroline portait une robe noire moulante en cuir souple, zippée par le bas A mi cuisses. La poitrine saillante et agressive, largement dévoilée. Les épaules nues. Les jambes gainées de nylon noir. Les pieds glissés dans de hauts et fins escarpins.
S’il l’avait souvent vue en une telle tenue dans les cocons privés de leurs soirées, Nicolas éprouvait une émotion particulière à l’imaginer, ouvrir sa porte à un inconnu et se présenter ainsi dans cet endroit presque public.
- Parfait chérie ! Bourgeoise et pute, ils adorent ça… Par contre, donnes moi tes bijoux, on ne sait jamais ça peut attirer et poser des problèmes.
Caroline ôta bracelets, collier et bagues, et les lui tendit
- Tu conserves ton alliance, ça les excite de savoir que tu es mariée.
- Et, pour …
- Ta chatte ? tu peux les garder. C’est rare et ça plait beaucoup. Au fait, tu t’es bien épilée ? Montres-moi…
Caroline fit glisser la fermeture, releva sa jupe et écarta mister string. Patricia passa la main sur mister intimité et sembla satisfaite.
- Parfait n’oublies pas de te raser deux fois par jour pour rester parfaitement lisse. Pour le reste qu’est ce que tu as dessous ?
- Un soutien-gorge quart seins et un porte-jarretelles.
- C’est bien. Rappelles toi bien mes instructions. Tu te fais payer avant de faire quoi que ce soit. En espèces. Ensuite tu suces et tu baises c’est tout. Pour te faire enculer c’est cent euros de mieux. Et ça ne doit pas durer plus d’une heure douche comprise. D’accord !?
- Oui c’est bien compris.
- T’as envies nous montrer de quoi tu es capable ?
- Oui. Très…
- Bien, alors on va te laisser. Ton premier client se prénomme Bruno et il sera là dans dix minutes.
Nicolas était à la fois excité et inquiet. Pas parce que des hommes allaient défiler dans cette chambre, mais parce que Caroline semblait si à l’aise et si séduite par ce permisternage, si éloigné de la femme qu’il croyait connaître. Il la prit dans ses bras.
- Tu es sûre ?
- Oui mon amour. Ne t’inquiètes pas. Je penserais à toi. Tu es fier de moi ?
- Oui, très…
Il n’en était pas vraiment sûr, mais il était trop tard pour la faire douter. Il voulut l’embrasser, mais en souriant elle détourna sa bouche.
- Il faudrait que je me remaquille, chéri…
Lorsque la porte se referma , il aurait eu envie d’être le suivant à y frapper. Il salua Patricia et se dirigea vers les ascenseurs. Trois hommes en sortirent c’était certainement l’un d’entre eux. Ils disparurent de sa vue à l’angle du couloir, sans qu’il ne sache lequel.
Au soir du premier jour, Patricia lui téléphona la première. Ravie des performances de sa protégée. Six clients. Il était plus de minuit et Caroline était encore au travail. Elle appellerait une fois qu’elle aurait terminé. Vers une heure du matin, le simple timbre de sa voix le rassura.
- Tu vas bien mon amour ?
- Toi , surtout ?
- Très bien … Je suis couchée.
- Comme une bonne partie de la journée, non ?
- Mais là, pour dormir… Je suis épuisée, tu sais.
- Tu veux arrêter ?
- Non, non, mais je n’ai presque pas eu de pause et demain ça s’annonce encore plus chargé.
Elle parlait comme s’il s’agissait d’une occupation des plus anodines. Elle s’en voulut un peu.
- Tu as pensé à moi ?
- Je n’ai fait que ça… Tu le sais. Ils ont été corrects ?
- Oui, tous. Même très sympa pour la plupart.
- Ça t’a plu ?
- Oui mon amour ça m’a plu. Ils bandaient bien, tous. J’ai sucé leurs queues, ils m’ont baisée et trois m’ont enculé. Ils étaient contents.
- Et toi ?
- Moi aussi, mais tu sais, on parle aussi beaucoup. Enfin surtout eux. Moi j’écoute en les branlant et pendant qu’ils me caressent. J’en oublie parfois l’heure. Patricia m’en a fait la remarque plusieurs fois.
- Simplement la remarque…
- Tu la connais aussi bien que moi… Elle n’estime pas les mots suffisamment efficaces. Mais elle n’a pas vraiment tort.
- Elle a été dure ?
- J’ai connu pire de sa part. Et comme elle me le disait ce n’était pas permisternel, juste professionnel « pour mon bien »… J’ai les joues et l’intérieur des cuisses qui chauffent encore, mais ne t’inquiètes pas… Et puis je ferais plus attention demain.
Il aurait eu envie de la rejoindre sur le champ, mais n’aurait fait que troubler cette expérience qu’elle avait désirée, et dont il avait accepté les règles.
Lorsqu’il repassa le seuil de sa chambre très tard, le dimanche soir, Caroline avait effectué vingt-deux passes. Telle qu’il l’avait conduite, elle portait un sage tailleur gris. Sa valise était déjà bouclée. Patricia avait posé les billets sur le bureau. Trois liasses. La part de sa protégée, la sienne, et la location des chambres. Aussi fière que si c’était un prix de fin d’année, Caroline remit à Nicolas le fruit de mister travail, avec de chaleureux mais ambigus commentaires de Patricia. Elle n’en tenait pas compte. Sa fierté était flagrante. Tous avaient souhaité la revoir, et cette fois tous avaient payé le prix de disposer d’elle. Elle était épanouie et souriante. Sereine. Rien ni permisterne à cet instant, n’aurait pu en deviner le sulfureux motif.
Ils se séparèrent enfin. La nuit se partagea entre des ébats que l’attente avait rendus si prégnants, et la narration des passes qu’elle détaillait presque avec gourmandise et sans éprouver la moindre culpabilité.



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prince albert 1

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#16
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Bonjour à tous

Voilà tous les chapitres de livre mistert en ligne et il aussi existe sous une forme intégrale illustrée...
Si vous vous voulez vous faire plaisir ou troubler votre compagne ...
l'exemple des autres les fait souvent basculer ....
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Amicalement



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prince albert 1

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#17
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pour vous
un extrait du livre maintenant édité sous forme intégrale et illustrée
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Les seules remarques portèrent sur la forme et non le fond. En quelques instants, elles avaient rejoint les chambres qui leur avaient été dévolues, et se préparèrent. Les trois hommes et leur hôte, quelques verres aidant, avaient pleinement intégré eux aussi leurs rôles et anticipaient sur les résultats de leurs supposées protégées.
Les demoiselles étaient au salon lorsque les premiers clients misternèrent. Un peu anxieuses cependant, malgré le détachement affiché. Sans savoir exactement qui était qui, ces premiers arrivés étaient au courant que les maris étaient assis avec eux dans ces canapés. Qu’ils allaient choisir une de leurs épouses et cela maintenait une certaine réserve de leur part, même si leur hôte les avait informés de leur entier consentement.
Caroline avait adopté l’uniforme de l’infirmière pour cette première présentation. Poitrine saillante, cuisses largement dénudées, outrageusement maquillée, elle fut la première à être choisie. Nicolas vit mister visage s’épanouir de ce privilège. Elle se leva, et comme si cela procédait de mister quotidien, tendit la main à mister client et d’un très naturel « Tu viens chéri ?! On monte ? » l’entraîna à sa suite vers l’escalier et disparut avec lui.
Tout s’accéléra. Les coups de misternette se succédaient, les hommes entraient, discutaient, s’informaient, buvaient, jouaient puis montaient.
Les filles enchaînaient les passes. Elles ne restaient que quelques minutes au salon avant d’être choisies ou de se présenter à une table de jeu et d’aller se changer comme le désiraient ceux qui les avaient retenues. Il avait été convenu qu’elles bénéficieraient de quinze minutes de pause toutes les heures, mais la demande était si forte et leur envie d’être la meilleure si marquée, qu’aucune n’en fit usage. La noria dans l’escalier était presque incessante. Nicolas était rivé à une table de poker et prêtait à peine attention à ce qui se déroulait autour de lui. Il voyait cependant avec orgueil Caroline monter et descendre l’escalier, jamais seule, décidée, pleine d’entrain comme si tout cela était simplement normal. Elle passait de temps en temps simplement lui poser la main sur l’épaule sans lâcher celle de mister client.
- Ca marche toi ?
- Ca va, ça vient…
- Moi aussi ça va, ça vient… Et ça n’arrête pas… Bonne chance mon amour ! Puis elle s’éloignait en compagnie de l’heureux élu.



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prince albert 1

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#18 
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Bonjour à vous tous et joyeuses fêtes
pour vous et vos compagnes, pour peut etre les troubler en leur faisant découvrir les relations entre deux femmes voici la rencontre entre caroline et une dominatrice qui se prénomme Evelyne.
Ce fut loin d'être une rencontre sans suite et c'est aussi du réel ....
Offrez un chapitre ou le livre à vos compagnes pour vous donner des idées pour le nouvel an :D
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amicalement
Gabriel

- Tu es belle…Bernadette dit que tu aimerais aller plus loin que les petits jeux qu’elle t’a fait pratiquer.
- Ils n’étaient pas si anodins que ça…
- La connaissant, elle devait plus avoir envie de jouer avec toi que de te dominer.
- C’est pourtant elle qui m’a administré la pire fessée que j’aie connue…
Pour la première fois Evelyne sourit.
- C’est sûrement parce que ça été la seule …
- Oui, peut être, mais je ne suis pas maso. Je n’aime pas avoir mal gratuitement.
- Et quand ça n’est pas gratuitement ?...
- Ça peut faire partie de mon plaisir…
- Tu as du caractère chérie, c’est bien, j’aime ça. Toutes les vraies soumises en ont. Sinon quel intérêt ? Mais c’est si rare…En général elles n’ont que des idées, surtout sur elles-mêmes… C’est pour ça que je ne m’occupe plus que des hommes. Suis-moi ! Georges venez aussi !
Nicolas discutait avec Fernando au bar et les observait. Ils s‘approchèrent. Avec la même froideur Evelyne le salua, lui présenta mister compagnon et les invita à la suivre. Elle les mena jusqu’à une des petites salles qui suivaient la boutique. Les hommes discutaient de sujets très banals et convenables
- Tu ôtes ton corsage et ta jupe chérie, que je vois un peu mieux à qui j’ai à faire !
Pour autant qu’on ne le rejetât pas d’emblée, mister ton ne laissait pas place à l’hésitation. Caroline s’exécuta aussitôt. Evelyne l’observa un court instant, dégrafa elle-même mister soutien-gorge, puis sans un mot la fit se ployer sur la table de cuir rouge.
Tapotant l’intérieur de ses cuisses, Caroline écarta les jambes, obéissant à cet ordre muet. Au centre de ce sexe lisse, anneaux et pendentifs s’offraient presque exagérément au regard. Evelyne les fit tinter au creux de sa main.
- Et ça c’est seulement pour faire joli ?
- Oui…
- Tu penses que ça ne veut rien dire de plus pour ceux qui te baisent ici ?
- Je ne sais pas…
- Petite menteuse… Tu fais parler ta chatte pour éviter de bouger tes lèvres…
Elle se tourna vers Nicolas.
- Vous voulez bien lui maintenir les bras dans le dos et la plaquer au lit ?
Il ne rencontra aucune opposition de la part de Caroline.
- Je n’ai rien amené de très sophistiqué. En principe nous n’étions là que pour prendre un verre avec Georges. Mais souvent le plus simple est le plus efficace.
Elle sortit de mister sac un stylo télescopique en acier dont elle tira les sections jusqu'à ce qu’il atteigne environ quatre-vingts centimètres. Puis elle glissa autour de mister majeur un anneau surmonté d’une protubérance ovale qui se mit à vibrer. Plaquant sa main entre les lèvres de Caroline, elle obtint aussitôt une courbure voluptueuse de mister dos. D’un geste, elle fit signe aux spectateurs de s’écarter. La tige siffla et s’appliqua sur les globes avec un bruit mat. Cette fois le dos se voûta. Une fine ligne carmin apparut bientôt suivie par une seconde. À la quatrième, Caroline cria d’arrêter, mais en vain.
- Tais-toi ! Je n’aime pas les caprices et les simagrées. Remets toi en position si tu veux que je m’occupe de toi !
Le dos se creusa à nouveau et une dizaine de cinglées se succédèrent, ne lui tirant plus que de courtes et sourdes plaintes. La main vint alors se plaquer à nouveau entre ses jambes. La nature des gémissements devint ambiguë. Elle alternait maintenant cinglée et caresse de cet infernal objet. Le corps de Caroline était animé de soubresauts presque continus et enfin un profond cri de jouissance la tétanisa. Elle sembla s’effondrer sous la main de Nicolas.
Evelyne rangea posément ses instruments, sans un geste vers Caroline. Ce fut elle qui releva mister buste, se retourna, frotta mister fessier zébré, et encercla le cou de sa bourrelle, impassible. Elle lui tendit en vain ses lèvres.
- Je ne suis pas ta copine, chérie. Dis « merci », c’est tout. Embrasse mes escarpins si tu veux.
Caroline marqua une légère hésitation puis sans dramaturgie s’agenouilla, enlaça ses jambes et déposa un baiser sur la pointe de chacun des souliers.
Quelques minutes plus tard, tous quatre et Bernadette étaient attablés et devisaient plutôt gaiement sur un peu tout, sans évoquer aucunement ce qui venait de se dérouler, sinon de façon très allusive.
Ce ne fut qu’au moment de se quitter qu‘Evelyne lui demanda mister numéro de téléphone, accompagnant sa requête d’un sobre et sans appel « Je veux te revoir !»



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