francoiszTon annonce me rappelle de vieux souvenirs mais encore bien présents dans ma mémoire.
Peu de temps après mon mariage dans le milieu des années 70, je me suis rendu à l'évidence que je ne pouvais satisfaire tous les besoins sexuels de mon épouse, très gourmande de baise et très vaginale, adorant manifestement les fortes pénétrations par de gros membres, alors que je suis modestement monté et d'une endurance moyenne. J'ai donc tout naturellement rapidement fantasmé sur le triolisme, voire le pluralisme que j'estimais plus en adéquation avec la gourmandise de madame.
J'ai fini par m'en ouvrir à elle qui a opposé un non catégorique à cette proposition saugrenue. Toutefois, elle me racontait par ailleurs que dans mister milieu professionnel, elle connaissait une femme qui ne jurait que par les noirs, les meilleurs baiseurs d'après elle. Par ailleurs j'ai découvert la revue swing qui, par mister contenu, démontrait que je n'étais pas le seul à être tenté par le candaulisme. Si bien que mon fantasme de la voir baisée devant moi par un étalon, si possible noir, continuait de ma hanter. A défaut de pouvoir concrétiser mon fantasme je me suis livré à un autre jeu, par le biais du minitel, principalement et la fréquentation épisodique de la salle de projection d'un sex-shop. Par le minitel, j'ai d'abord rencontré des hommes qui avaient les mêmes penchants que moi pour le voyeurisme et l'exhibition. Il s'agissait principalement d'hommes mariés qui appréciaient de se masturber sur des photos intimes de ma femme que je leur amenaient, et qui aussi, à l'occasion, n'étaient pas contre le fait de me voir me branler sur des photos de la leur. Il m'arrivait aussi de montrer les mêmes clichés aux hommes seuls qui fréquentaient la salle plus ou moins éclairée de la salle collective du sex-shop et à qui je proposais parfois de se soulager dans un slip de madame amené pour la circonstance. Je me souviens entre autres d'un type dans la quarantaine qui avait aspergé la culotte avec un tel flot de sperme qu'elle en dégoulinait de tous les bords alors que je l'avais choisie en coton pour ses vertus absorbantes. Il y a eu aussi Jean-Jacques qui me recevait à mister bureau et acceptait que je photographie sa queue en érection et éjaculation devant le CV sexuel de ma femme. Il avait des éjaculations très puissantes dont les jets dépassaient facilement le mètre avant de s'écraser sur la table de réunion.
C'est ainsi que j'ai rencontré Eddy qui aimait non seulement exhiber sa femme en photos, mais aussi la partager, tout comme moi. Mais à la grande différence qu'il était depuis longtemps passé du fantasme à la réalité avec une femme complètement libérée. Elle pratiquait aussi bien ce que nous amis anglais appellent le dogging, que la fréquentation des boites libertines ou bien encore les rapports complets avec des amis sûrs reçus à la maimister.
Nous avons beaucoup échangé sur ce type de relations et sommes arrivés à penser qu'Eddy pourrait peut-être être l'homme providentiel, pour faire connaissance avec ma femme dans un premier temps, et si le courant passait bien, la draguer pour la sauter avec ma bénédiction.
L'idée de passer du statut de cocu à celui de cocufieur semblait amuser mon complice, au demeurant assez beau garçon et doté de surcroît d'une belle virilité.
J'ai donc présenté cet homme à ma femme comme une relation de travail avec laquelle j'avais sympathisé, et profitant de l'absence provisoire de mister épouse, j'ai proposé une invitation à dîner à la maimister, un soir de semaine pour tenter de faire avancer le projet.
Le repas s'est déroulé de la meilleure façon et à la fin, j'ai invité ma femme à danser un slow que j'avais lancé à dessein, un de ses préférés. Pendant la danse, pendant qu'Eddy nous regardait, j'ai peloté ma femme et suis allé jusqu'à lui faire ôter mister soutien-gorge avant de proposer à Eddy de la faire danser à mister tour. Bien qu'assez intimidé il ne s'est pas gêné pour peloter doucement ma femme et surtout se frotter à elle. La soirée s'est terminée ainsi. Après le départ d'Eddy, mon épouse s'est fâchée en me reprochant ce qui venait d'arriver mais elle a finalement admis que cela avait été plutôt agréable et qu'il ne fallait pas mourir idiot, et donc qu'il était possible d'envisager une expérience de trio. J'avais gagné ! Du moins je le croyais car cela a été le moment pour Eddy, de sa défiler ! Il ne voulait plus tromper sa femme et préférait en rester au stade du cocu .
Ma femme attendait de mister côté la concrétisation du projet pensant que la balle était de mon côté, un comble ! C'est à ce moment que je suis tombé sur une annonce émanant d'un jeune martiniquais de notre région qui cherchait notamment un couple mûr pour un trio. Il annonçait un âge de 26 ans (en fait, par recoupements, plutôt 24 seulement), alors que ma femme en avait 42 . Nous étions début 96.
Je passe sur les détails. Il se trouve qu'il habitait notre commune, qu'il pouvait recevoir, et se disait fortement membré. Ma femme, qui devait avoir le fantasme du black superbaiseur comme on lui en avait vanté les mérites a accepté plutôt facilement. Nous nous sommes rencontrés un samedi soir de février. Pour la première fois j'ai rapidement vu ma femme se faire déshabiller, caresser, sucer, par un autre homme. Au moment de la pénétration, patatras ! les préservatifs achetés étaient trop étroits pour la queue d'ébène du candidat au dépucelage conjugal de ma femme. Non seulement il ne devait pas avoir l'habitude des capotes (ma femme non plus …) mais il avait vraiment un sexe imposant d'environ 20 cm pour 6 de large.
Ce n'était pas le moment d'arrêter là, si bien que j'ai suggéré qu'il pénètre ma femme sans préservatif mais sans éjaculer en elle, sachant qu'il était donneur de sang régulier et à priori sain. Pendant près de 3 heures ma femme a eu 2 amants à mister service. A notre retour à la maimister, j'ai retrouvé toute l'ambivalence d'une femme, : "c'était bien, sans plus…". Mais dès le week-end suivant, c'est elle qui a demandé à être ramenée au mâle, à la condition que cela ne devienne pas une habitude !!! Aussi dit aussitôt fait, notre étalon nous a reçu au pied levé. Les préambules ont cette fois été des plus réduits et la question du préservatif a été soigneusement évitée. Nous avons baisé ma femme à tour de rôle en éjaculant chacun notre tour dans sa chatte pour la plus grande satisfaction de tous. Au bout de près de 4 heures nous étions tous épuisés, les mâles plutôt vidés, et la chatte de madame béante et copieusement souillée par nos semences mélangées, avec la mine épanouie d'une femme comblée.
Et depuis, plus rien ! NADA !
Bien sûr, "le refera quand l'occasion se présentera", mais si on ne la provoque pas, on ne risque pas de la voir de si tôt. Et puis fin 84, un nouvel espoir. Madame accepte à nouveau le principe de chercher un complice pour la combler. Mais début 85, mise au pied du mur, elle m'oppose un non catégorique dans des conditions humiliantes. Depuis, la ménopause est passée par là, avec ses diverses conséquences hormonales. Désormais, le plaisir sexuel de ma femme m'est devenu très secondaire et je n'éprouve plus de désir pour elle. Triste fin après 32 années de complicité, finalement plus ou moins réelle.
Je joins à ce texte une photo de Jean-Jacques prise en 95 dans mister bureau et en branle devant des clichés de ma femme. Il l'aurait bien volontiers baisée si l'occasion s'était présentée. Il y a une photo de ma femme en 96, telle que l'a connu mister jeune amant noir, et qui montre l'ambivalence entre la sage épouse et la salope qui sommeille en elle. Enfin, une photo récente où on peut constater combien elle s'est arrondie.