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la tentation de Catherine

Rating: 1
prince albert 1

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#1
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Chers amis et fervents de ce site

Comme vous, j’en suis membre depuis longtemps de ce site des « cocus magnifiques »…
Je le suis moi aussi depuis plus quinze ans d’un femme superbe que j’ai incitée au début à découvrir de nouveaux plaisirs avec d’autres partenaires.
Et c’est devenu rapidement pour elle très naturel. Nous nous aimons toujours passionnément, mais c’est avec d’autres qu’elle a vécu ses plaisirs, ses sensations et ses expériences les plus intenses pour notre plus grand plaisir commun.
L’année dernière j’avais publié un livre « Swinging Paris » qui racontait notre parcours sexuel et amoureux. Mais cette fois, même si cela s’inspire sur certains points de notre propre vécu j’ai décidé de publier un roman érotique qui s’intitule la « Tentation de Catherine » sous forme numérique. Pour que chacun puisse y avoir accès selon ses désirs et avec un très faible coût il est publié sous forme de chapitres hebdomadaires, comme les feuilletons.
Je l’ai installé sur un site nommé The hyperlink is visible to registered members only!
Vous pourrez en trouver un premier aperçu et j’espère que cela vous donnera envie d’aller plus loin…
Amicalement
le sexe sans tabous
slavina_fr2002

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Posts: 2
#2
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tres belle ecriture, qui magnifie Catherine. Merci
prince albert 1

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#3
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merci de ton message
j'espere que cela te donnera envie de le lire
amicalement
le sexe sans tabous
utrillocd

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Posts: 342
#4
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Je viens de lire.....excellent....très excitant!
prince albert 1

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Posts: 1909
#5
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merci de ton message
c'est fait pour donner du plaisir
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#6
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merci à tous de vos messages
j'ai l'impression que ca vous plait
bientot la suite
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#7
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bonjour voila pour vous et pour répondre a ceux qui me le demandaient
le debut du roman

La voiture traversait un Paris presque désert.
Bientôt quatre heures du matin.
Les chiffres s'affichaient à l'horloge bleutée du tableau de bord et seuls quelques taxis roulaient encore sur le Boulevard Magenta.
Il avait plu, les flaques de lumière parsemaient la chaussée, reflétant les enseignes de quelques restaurants chinois ou turcs encore ou déjà ouverts aux abords de la gare de l'Est. Catherine était assise auprès de Marc.
Son trench bordé de fourrure était largement ouvert sur une robe courte et droite en cuir souple. Elle épousait ses formes et découvrait largement ses épaules, sa poitrine et le haut de ses cuisses.
Ils sortaient d'un bar fétichiste où ils avaient terminé la soirée après l'avoir commencée dans un club dont ils étaient les habitués.
Leurs soirées, surtout le week-end, étaient le plus souvent consacrées au sexe, dans ces lieux qu'ils fréquentaient depuis bientôt quatre ans.
Les soirées y étaient plus ou moins intéressantes suivant les gens qu'ils y rencontraient et pouvaient se terminer chez eux ou chez des rencontres de passage, mais à l'avouer c'était assez rare.
Le plus souvent c'étaient les mêmes partenaires qu'ils retrouvaient et avec lesquels ils avaient pris l'habitude de se livrer à des ébats et des pratiques que la plupart des gens ne connaissaient que par des revues ou des récits.
C'est Marc qui avait conduit Catherine sur cette voie, mais si c'était lui qui avait semblé la diriger, en fait il ne faisait que lui permettre de vivre les ses propres pulsions.
À l’inverse de sa cérébralité, Catherine ne trouvait de réel plaisir que dans la réalité de qu'elle vivait.
Elle aimait se poser en victime expiatoire et ne trouvait de satisfaction que dans les situations où elle se sentait dirigée et devait se livrer aux plaisirs et fantasmes dictés par d'autres pour devenir alors siens.
Ainsi Marc lui avait fait découvrir les rapports avec des partenaires multiples auxquels elle était livrée comme une proie consentante, lui avait fait prendre des amants, l'avait offerte comme soumise à des couples pour une soirée ou un week-end, et l'avait initiée aux rapports féminins.
Leur amour pouvait paraître suivre des tournures perverses, mais paradoxalement c'est à travers cette relation ambiguë que s'était établie entre eux une symbiose qu'ils n'avaient jamais rencontrée chez d'autres couples.
Souvent Marc découvrait encore en elle une autre femme qui allait bien au-delà de ce qu'il avait pu imaginer.
Si c'était lui qui faisait passer Catherine à l'acte, c'est toujours elle qui à travers une fugitive suggestion, une attitude, lui suggérait ce qu'elle avait envie de vivre ou de découvrir.
Avant de rentrer Catherine voulait prendre un verre dans un pub du boulevard de Clichy et se promener un peu sur le terre plein central.
Ils roulaient lentement pour chercher une place et Catherine regardait avec plus que de la curiosité les quelques filles qui tapinaient.
La température leur permettait d'être plus que légèrement vêtues et certaines même ne portaient que des sous-vêtements. On les voyait s'approcher de voitures qui ralentissaient, discuter par la vitre ouverte puis monter si le client avait accepté leurs conditions.
Après être un moment restée à les observer, Catherine descendit sans pour autant retendre la robe qui était remontée à la lisière de ses bas.
Son trench était ouvert et Marc la trouvait toujours plus belle et plus désirable avec ces cheveux blonds qui s'étalaient sur ses épaules et ce corps qu'elle déplaçait lascivement.
Il la regardait à travers le pare brise et se disait que si elle avait ôté cet imper elle n'aurait pas déparé parmi les filles qui arpentaient le bitume.
Il la rejoignit rapidement et ils s'installèrent à une table près d'une vitre.
Quelques noctambules finissaient leur nuit accoudés au bar, quelques couples d'étrangers étaient venus s'encanailler, des types sortaient de peep-show ou de sex-shops.
Catherine adorait cette ambiance un peu glauque et continuait de regarder les filles au travail. Marc en avait l'habitude. Depuis longtemps quelle que soit la ville où ils allaient, elle demandait toujours à ce qu'il la conduise dans mister quartier chaud. Pour certaines à chaque fois qu'ils y retournaient. Ils avaient ainsi connu ceux de Hambourg, de New York, de Rome, d'Istanbul, de Mexico, d'Anvers et surtout celui d'Amsterdam.
Ils aimaient tout de cette ville et Catherine à chaque reprise l'emmenait déambuler devant les vitrines du "Red District". Elle ne faisait jamais de commentaires, mais cela provoquait en elle un état d'excitation sexuelle particulier lors de leurs ébats.
Ils parlaient un peu de leur soirée, mais Catherine ne quittait pas des yeux les filles du boulevard. Ils quittèrent le pub après quelques verres.
Catherine, mister imper sur le bras semblait très à l'aise à même la rue.
Marc marchait un peu derrière elle, et sur le chemin qui les ramenait à la voiture, il la fit entrer brusquement dans un sex-shop. Il avait envie de la voir ainsi exposée devant les clients qui feuilletaient des revues ou choisissaient des films.
Un des asiatiques qui tenaient la boutique les salua discrètement. L'ambiance donnait à Marc des envies de provocation et de la faire passer du rôle de spectatrice à celui d'actrice. Elle était déjà déshabillée des yeux par les quelques clients de la boutique. La tenant par la main, il la conduisit jusqu'à un rayon d'accessoires et de godemichés de toutes tailles et couleurs
- Je crois qu'il ne serait pas inutile de t'assouplir un peu les fesses ma chérie, dit-il d’une voix suffisamment forte pour être entendu des clients.
Il avait saisi sur un rayon un plug en métal dont le renflement en mister milieu atteignait la taille d'une cannette. Il avait la forme de deux cônes assemblés par leurs bases et se terminait par un disque plat et d'un anneau.
- Pas ça ! dit Catherine un peu effrayée par la taille de l'engin, tu es fou, je ne pourrais jamais le supporter.
Il en prit alors un autre moins imposant et fit signe au vendeur de s'approcher. Un second asiatique sortit alors des sous-sols et vint le remplacer à la caisse tandis que le premier les rejoignait.
- Je cherche un plug pour madame, vous pouvez me conseiller un peu?
Le type était assez émoustillé par la situation même s'il avait dû en voir d'autres.
- Oui, celui-ci est très bien et très résistant. De plus il a un anneau pour le maintenir en place par une sangle ou une chaîne autour de la taille.
Il avait déjà saisi sur un rayon les accessoires en question pour les lui montrer.
- Vous pensez qu’il est à sa taille ? Elle est déjà bien habituée à être enculée, mais je voudrais la rendre un peu plus accueillante.
Catherine rougissait de l'entendre parler ainsi mais le vendeur qui était entré dans leur jeu, ne montrait plus la moindre gêne.
- Oui certainement le plus gros est plutôt fait pour les hommes, mais je pense qu'elle supporterait un modèle plus épais que celui-la, et lui en tendit un autre.
Catherine écoutait sans rien dire leur discussion. Dans la boutique, un type qui pour la forme continuait à feuilleter des revues avait ostensiblement glissé sa main dans mister pantalon.
- Bien je pense que c'est ce qu'il lui faut. Je le prends, mais je voudrais que vous lui fassiez essayer…
Catherine écarquilla les yeux en entendant cela, mais n'osa pas dire un mot. Le visage du vendeur lui en revanche s'éclaira d'un sourire discret en se disant qu'il avait vraiment à faire à deux pervers...
- Avec plaisir, mais pas dans le magasin. Si vous voulez nous pouvons aller dans une des cabines du sous-sol.
- Pas de problème. Tu préfères les sangles en cuir ou les chaînes ?
Comme si tout cela était parfaitement normal et qu'ils s'étaient trouvés dans un magasin de vêtements, Catherine prit les deux en main et choisit les chaînes qu'elle trouvait plus "jolies".
Le vendeur prit Marc un peu à part et lui demanda si cela ne le gênait pas que mister collègue puisse assister à « l’essayage ». Il lui répondit que non, et l’homme lui demanda un moment.
Catherine regardait Marc avec un regard noir que contredisait le sourire mutin qu'elle esquissait.
Après une brève discussion avec mister collègue, le vendeur annonça aux derniers clients que le magasin fermait et les accompagna fermement jusqu'à la porte. Il rejoignit alors Catherine pour la conduire au sous-sol.
Cela faisait sourire Marc qu'il l'appelle « Madame » alors que quelques minutes plus tard il allait l'enculer à l'aide de cet objet. L’homme l’invita à les suivre, mais celui-ci lui répondit qu'il préférait les rejoindre plus tard et feuilleter quelques revues en attendant. Il les vit alors disparaître ensemble tandis que le second asiatique restait avec lui.

le sexe sans tabous
prince albert 1

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#8
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Bonjour a tous
merci d'apprécier autant les aventures de Catherine
Le second chapitre est en ligne si cela vous plait

Amicalement

Dans l'escalier qui menait à l'extérieur de la boîte, Georges était
passé devant Catherine et depuis mister portable avait appelé un homme
pour lui dire qu'il sortait et de l'attendre.
Toutes ses appréhensions avaient disparues, bien plus vite qu'elle
ne l'aurait imaginé, elle se sentait parfaitement à l'aise, totalement
consciente de sa condition auprès de cet homme.
Ils attendirent quelques instants avant de franchir le porche, puis
une limousine noire aux vitres teintées s'arrêta devant eux. Un homme en
sortit et leur ouvrit la porte. Catherine se glissa à l'intérieur à la suite de
l'homme. L'arrière était aménagé en salon avec deux banquettes en cuir
noir, un bar et tout un équipement audio visuel et téléphonique. Une
sorte de bureau ambulant. À l’avant, le chauffeur et l'homme qui leur
avait ouvert la porte étaient séparés du reste de la voiture par une vitre
intérieure restée ouverte.
- Sers nous du champagne. Tu en trouveras dans le bar. Et puis ôte
ce manteau, j'ai envie de voir ton cul.
Catherine s'exécuta, en se déplaçant avec difficulté à demi
accroupie, déséquilibrée par le balancement de la limousine, et revint
auprès de lui avec deux flûtes de cristal. Spontanément, elle se mit à
genoux sur la moquette près de lui.
- Ton mari et toi, vous me semblez faire une sacrée paire de
pervers…Cela confirme bien ce que m'a dit Ricardo. Quand on voit ce
que tu portes dans le cul et la facilité avec laquelle il a accepté de te faire
faire la pute, j'ai l'impression qu'on ne va pas s'ennuyer avec toi … En
plus je suis sûr que ton mari pense que c'est lui qui t’a forcée à te
prostituer, alors qu'il vient seulement de te donner une occasion en or de
commencer à faire ce que tu es vraiment. Et je peux te dire qu'en matière
de putains, je m'y connais…Toi tu n'es pas seulement une salope, mais
une pute dans l’âme et là ton mari joue vraiment avec le feu sans le
comprendre vraiment…. J'ai tort?

le sexe sans tabous
prince albert 1

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#9
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Bonjour a tous
merci d'apprécier autant les aventures de Catherine
Vous etes plus de 4700 à ce jour
Le troisième chapitre est en ligne si cela vous plait
Vous pouvez maintenant laisser des messages si vous le désirez

amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#10
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La suite des aventures de Catherine est en ligne
Avec une amie comme Anne, pas besoin d'ennemis ...
amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#11
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Bonjour
Le chapitre 6 est en ligne : Saigon
Le mari de catherine va découvrir des sensations tres fortes avec ses partenaires locales
(sensibles s'abstenir ... sourire)
Amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#12
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Bonjour
une nouveau chapitre...
Catherine découvre de mister côté une maimister close parisienne
Bientôt pensionnaire???

Amicalement
le sexe sans tabous
pineau

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#13
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inventif..................
prince albert 1

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#14
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merci
mais la réalité m'a bien aidé... sourire
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#15
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La suite des aventures de Catherine...
Auprès de Marina elle découvre vraiment ce qui n'était encore que fantasmes...le plaisir d'etre une putain anonyme
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Amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#16
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Bonjour
Du nouveau...
Catherine commence à devenir une véritable pensionnaire de Madame Marina
Et elle ne l'épargne pas pour ses débuts...
Amicalement
le sexe sans tabous
prince albert 1

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#17
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Bonjour

Voilà . La vie de Catherine prend cette fois un tournant irréversible
les nouveaux chapitres mistert en ligne

amicalement
Voila un extrait de ce pointe de non retour

Sonia entra enfin, portant sur les bras ce qui allait être sa tenue pour la soirée. Elle posa le tout face à Catherine et s’installa dans un fauteuil.
- Mets ça ! Ensuite on ira voir Madame.
Les vêtements lui semblaient bien moins sophistiqués qu’à l’habitude. Pourtant Marina lui avait parlé de gens importants.
Sonia la regardait s’habiller sans mot dire, mais avec une esquisse de sourire qui ne lui était pas habituelle. Plus elle découvrait la tenue qui lui avait été préparée, plus elle s’en étonnait. Elle avait d’abord passé un soutien-gorge quart seins en vinyle rouge aux bretelles en chaînettes dorées, puis un string fendu et un serre taille identiques. Les jarretelles, elles aussi en métal brillant, tendaient des bas à grosses résilles noires. Pour terminer le tout, de très hautes sandales à plateforme et à brides rouges, elles aussi. En faisant face au miroir, ce qu’elle découvrit était encore plus provocant et vulgaire qu’elle ne l’avait imaginé.
Tout à fait la tenue des mannequins en vitrine des sex-shops ou celle des filles des peep-show. Ainsi vêtue, Catherine donnait plus l’image d’une fille de la rue Saint Denis ou d’une tapineuse du bois de Boulogne, que celle des courtisanes haut de gamme que Marina avait l’habitude de proposer à ses clients, et qu’on lui avait appris à incarner.
Elle ne cachait rien de ses charmes, et cette tenue au contraire les exposait de manière la plus impudique qui soit. Elle avait envie de demander à Sonia le pourquoi de cette caricature de putain, mais elle savait qu’elle s’exposait à une réponse cinglante, et certainement peu amène. Ce fut au contraire elle qui prit la parole.
- Bouge un peu que je vois à quoi tu ressembles comme ça !
Outre le malaise qu’elle avait à assumer cette apparence, Catherine se déplaçait avec difficulté sur près de vingt centimètres de talons et de semelles compensées.
Elle ne faisait que de petit pas, arpentant la pièce sous l’oeil de Sonia qui la scrutait en silence. Cependant après quelques minutes, elle reprit assurance, et puisqu’on voulait qu’elle adopte ce rôle, elle commença à exagérer sa démarche ainsi que l’ondulation de ses fesses et mister buste. On la voulait provocante, elle le serait. Il ne lui manquait qu’un petit sac à faire tourner au bras, pour donner l’impression qu’elle racolait. Elle souriait même à Sonia pour lui montrer que même exhibée ainsi, elle n’était nullement déstabilisée. Mais dans ce petit jeu de pouvoir, Catherine savait cependant que la relation qui s’était instaurée entre elles depuis longtemps, ne serait jamais en sa faveur.
- C’est pas la peine d’en rajouter, même en tailleur tu fais déjà p--e. Va te maquiller et power la dose. Tu mettras aussi des faux cils et tu passeras du rose sur tes nichons et ta chatte.
Sonia resta à l’attendre et la renvoya à deux reprises pour qu’elle accentue encore ce qu’elle lui avait indiqué. Elle sortit enfin, et Catherine la suivit jusqu’au salon de réception. Il était vide.
- Mets toi sur le pouf et prend le gode qui est posé à côté. Tu écartes les cuisses et tu te branles jusqu'à ce que ce que Madame arrive.
Elle quitta la pièce sans un regard et Catherine s’exécuta. Cette façon d’agir n’était pas habituelle à ce qu’elle avait vécu en ces lieux. Elle n’était pas surveillée, on lui demandait de se donner du plaisir seule, elle n’était pas dirigée d’une façon ou d’une autre. Elle commença à se caresser doucement avec le godemiché. Et elle y prenait du plaisir. Elle se tourna vers un des miroirs. Se voir ainsi vêtue et outrageusement maquillée l’excitait et lui donnait envie d’être encore plus provocante. Elle releva un peu ses jambes et se regarda faire pénétrer ce sexe de plus en plus en plus profondément en elle. Elle en vint à avoir envie de se faire jouir, mais se contrôla. Ce n’était pas ce qui lui avait été ordonné. Mais elle continua se livrer à cette caresse, prenant des poses, comme magictisée par ce que lui renvoyait le miroir.
Elle fut comme une adolescente surprise en faute lorsque Marina entra. Mais celle-ci ne dit pas un mot en s’installant dans mister fauteuil habituel, laissant Catherine reprendre sa place sur le pouf face à elle.

- Alors ma chérie, heureuse de revenir au bercail ?
- Oui, Madame.
- Tu es parfaite ainsi. Tu vas beaucoup plaire à notre ami. Tu es vulgaire à souhait et c’est ce genre de fille dont il a envie. C’est un type très important qui aime les vraies pro, les tapineuses, pas le genre sophistiqué. Tu as déjà la tenue et, en sa présence je veux que ton comportement et ton langage soient crus et sans fioritures. Compris ?
- Oui, Madame.
- C’est un type très exigeant, et il aime que filles aillent au-devant de ses désirs. Tu lui proposeras tout ce qu’il peut faire de toi, et bien évidemment sans aucune restriction. Tu feras marcher ton imagination. Sonia te présentera à lui, elle vérifiera que tu te comportes comme il faut, puis ensuite tu feras en sorte qu’il soit totalement satisfait. C’est un homme important qui est à Paris pour affaires. Il veut être détendu pour le lendemain, alors ne ménage pas ta peine.
Même si la manière dont elle était présentée n’était pas vraiment valorisante pour elle, Catherine ressentait une certaine fierté à ce que Marina l’ait choisie pour une passe qui semblait revêtir autant d’importance pour elle.
- Il va être là d’ici une demi-heure. Je vais terminer de te préparer moi-même. Ça fait longtemps que je me suis pas occupée de toi ma chérie. Tu apprécies j’espère ?
- Oui, Madame.
- Lèves-toi et va à la poutre.
Catherine eut besoin de quelques secondes pour retrouver l’équilibre sur ces immenses talons, puis se rendit à une extrémité du salon où un lourd encadrement sculpté de porte thaïlandaise faisait office de portique.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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#18
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bonjour à tous

Qui a trahi Catherine? et pourquoi
Si vous êtes curieux.......
Amicalement

........

Si c’était bien ce à quoi elle s’attendait de sa part, Catherine sentit monter en elle une irrépressible sensation de plénitude. Devoir assumer de la pire façon, l’offense que lui imposait mister vainqueur. Cela semblait impossible, mais elle éprouvait un plaisir qui allait en s’amplifiant d’être pénétrée ainsi par cet homme qui venait de la priver de mister rang et mister avenir, et qu’elle méprisait par-dessus tout. Ses reins butaient de plus en plus violemment contre ses bourses. Elle avait envie de cette verge haïe dans ses chairs les plus intimes, et c’est elle qui les lançait vers lui.
- T’aime ça te faire enculer, sale pute !
- Oui j’aime ça ! J’ai envie que votre bite laboure mon cul de pute !
Plus vite qu’il ne l’aurait certainement voulu, il explosa en elle et Catherine se retint de ne pas jouir avec lui. Il se rajusta rapidement la laissant épuisée, le buste collé au cuir.
- Voilà, maintenant une page est tournée pour nous deux, chérie. On sera amenés à se revoir quand j’aurai envie de me vider les couilles ou si j’ai besoin de faire un cadeau.
Elle entendit la porte claquer. Elle se releva. Sonia lui tendit un peignoir.


- Puis-je voir Marina ?
- T’as rien à demander et de toute façon elle t’attends. Allez avance.
Elle entra dans le grand salon, Marina installée dans mister fauteuil lisait. Elle lui fit face, bras croisés dans le dos et le regard tourné vers le sol.
- Merci, Madame.
Le silence se fit. Son attitude montrait que Catherine avait compris que tout ce qui venait de se passer avait été soigneusement préparé. Et qu’elle l’avait accepté. Marina savait le sens de ses paroles, mais désirait l’entendre le dire clairement.
- Pourquoi ce merci, ma chérie ? regarde-moi.
- Merci d’avoir mis un terme à ma faiblesse de ne pas avoir su vraiment accepter ce que je suis.
- Et qu’est ce tu es ?
- Je suis une putain, Madame, je suis votre putain.
- Non, ma chérie, tu es la putain de ton mari, tant qu’il voudra de toi, ne l’oublie jamais. Moi je t’exploite à mister profit pour le moment. Un jour tu seras peut-être à moi ou à d’autres, mais putain tu le resteras et cette fois tu l’as compris.
- Oui madame.
- Tu es heureuse ?
- Oui madame, je ne me rends pas encore vraiment compte, mais je sais que c’est ce que je désirais.
- C’est bien Lisa. Maintenant tu vas rentrer chez toi. Ton mari doit t’attendre et il sait.
- Puis je vous demander quelque chose ?
- Pourquoi pas, si ça me convient.
- Je souhaiterais que cette journée et ce tournant de ma vie ne disparaissent jamais de ma mémoire et de ma chair, et j’aimerais être corrigée de votre main, plus durement que je ne l’ai jamais été, jusqu’à en perdre connaissance.
Un sourire s’esquissa sur le visage de Marina.
- Ta demande me convient parfaitement, ma chérie, mais es-tu sûre de vraiment être prête à supporter ça ? Tu sais que j’irais au bout.
- Non, Madame je n’y suis pas prête, je le sais, et je sais que je vous supplierai d’arrêter.
- Mais tu le veux quand même ?
- Oui Madame.
- C’est bien. Alors va au portique et je peux t’assurer que ça va être un vrai plaisir pour moi que d’aller au bout de ton souhait.
Quelques minutes plus tard, le bras de Marina, armé d’une cravache tressée se levait. Il n’arrêta mister cruel ouvrage qu’une vingtaine de minutes plus tard, après avoir conduit Catherine, pantelante dans ses liens, bien au-delà de qu’elle aurait pu imaginer de cette épreuve initiatique.



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prince albert 1

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#19
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Bonjour,

Le chapitre 13 de la Tentation de Catherine vient d'être mis en ligne
Bonne lecture et beaucoup de plaisir....

CHAPITRE IX
LE PAS
L’été s’était installé sur Paris. À l’arrière du taxi, Catherine
savourait cette langueur de fin d’après-midi. Rien n’occupait mister
esprit, et elle se laissait aller à la dégustation des sensations les plus
simples.
La chaleur de l’air qui glissait sur ses épaules nues, le ciel qui se
dégradait en nuances de pourpre, les reflets du soleil dans la Seine,
quelques senteurs d’herbe fraîchement coupée qui glissaient des
jardins du Trocadéro.
Elle était radieuse et rien ne semblait pouvoir ternir l’harmonie
de l’instant.
Ce n’était qu’un plaisir dénué de toute cérébralité, une
sensualité primitive que sa nouvelle existence lui avait fait découvrir
ou peut-être redécouvrir.
Elle se laissait diriger par la vie, par ceux qui la dirigeaient pour
elle, sans plus avoir à prendre de décisions. Si quelques mois encore
auparavant, elle ne l’aurait même pas envisagé, par principes ou par
éducation, la liberté d’être ne la séduisait plus.
Il n’y avait plus de demain, plus d’hier, juste le jour, l’instant,
une succession de moments, de sensations, de plaisirs, de
découvertes, d’obligations, de sanctions parfois. Une vie de parcelles
sans but précis, mais qui lui procurait une plénitude qu’elle n’avait
jamais connue.
Rien n’avait de sens ni de justification, mais rien n’en avait
besoin. Elle devait juste servir. Servir à ceux elle donnait du plaisir,
servir ceux pour qui elle travaillait, et les satisfaire tous était pour elle
un accomplissement.
Cette servitude acceptée dont elle goûtait le plaisir subtil et
tortueux qui en faisait une répulsion spontanée pour les autres. Et
elle avait été les autres…



le sexe sans tabous
prince albert 1

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Posts: 1909
#20
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Bonjour à vous tous
Catherine vit un tournant de mister existence. Elle met pour la première fois les pieds dans une vraie maimister close publique. Et pas pour une simple visite..
Beaucoup de plaisir à tous
amicalement

La femme s’était assise et Catherine restait seule debout au centre de la pièce et essayait de trouver une contenance, nue, mister verre à la main.
- Elle fait quel rythme actuellement ?
- En moyenne quatre passes quotidiennes, cinq à six jours par semaine.
- Du travail de call-girl. Ça va la changer ici …
Toujours assis à mister bureau, l’homme prit la parole.
- Viens là ma chatte.
Catherine s’approcha en se dandinant. Il flatta sa croupe nue
- Pose ton verre et mets toi à genoux à côté de moi.
Elle obéit et, instinctivement, croisa les bras dans le dos.
- Ici c’est Irina et moi, Peter, qui dirigeons les lieux et les filles. Pour toi comme pour les autres ce sera « Monsieur » et « Madame », c’est tout ce que tu auras à savoir. Et dès qu’avec ton mari nous aurons conclu les termes de ton placement, ce sera à nous que tu devras exclusivement obéir. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Maintenant, on m’a dit qu’avant de te mettre à louer ton cul, tu exerçais des responsabilités et tu jouissais de considération professionnelle et sociale. Même si ça a dû déjà pas mal changer depuis que tu fais la pute de luxe, ici on va t’apprendre que tes seules responsabilités vont être de rapporter le plus possible et que la considération qu’on va te porter sera uniquement liée à ton assiduité à ouvrir les cuisses et le reste.
- Oui Monsieur.
- Dans ton précédent job, tu étais une grande professionnelle à ce que je sais. Ici il va falloir que tu comprennes que pute est un job légal comme un autre, rien à voir avec l’amateurisme que permet la clandestinité dans laquelle vous exercez en France. Tu vas pouvoir nous montrer de quoi tu es capable et gravir les barreaux de l’échelle si tu te montres à la hauteur de ce qu’on attend de toi. Comme dans tout boulot, ici il y a des règles claires et strictes que tu devras respecter à la lettre et qui devront même devenir une seconde nature pour toi.
Il sortit du dossier une liasse de papiers reliés.
- Ça c’est ton contrat de travail. Rien de bien particulier, hormis le fait que ton activité est clairement définie selon les lois en vigueur ici. Ça n’est pas hôtesse ou escort, c’est simplement écrit « prostituée ». Dans ce document, tu reconnais que tu fais cela volontairement et que tu acceptes de plein gré toutes les pratiques sexuelles qui te mistert demandées par les clients. Quand ton mari reviendra après ta période d’essai, tu iras avec nous te faire enregistrer et ficher auprès de la police municipale comme travailleuse du sexe et ce sera ton statut officiel à partir de ce moment.
Ce n’était qu’une formalité administrative à effectuer, mais un frismister la parcourut en pensant qu’elle allait faire inscrire dans un fichier public que sa profession était de se prostituer et que cela resterait peut-être à jamais au vu et au su de tous quoiqu’elle fasse.



le sexe sans tabous
prince albert 1

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Posts: 1909
#21 · Edited by: prince albert 1
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bonjour ,
à vous tous
Catherine a accepté ce qui a été décidé pour elle
elle vient de commencer à en vivre le quotidien et va cette fois s'engager
sait elle vraiment à quoi?
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Amicalement

CHAPITRE XVI
NOUVEAU MONDE


Une berline noire l’attendait en gare de Lille. Le Thalys l’avait conduit en un peu moins d’une heure depuis Paris. Juste le temps de parcourir « Le Monde ».
- Monsieur Coster ? C’est moi qui suis chargé de vous conduire.
L’homme lui ouvrit la porte arrière, et Marc s’installa. Les vitres fumées offraient un parfait anonymat, mais en ce début d’après-midi ensoleillé, il voulut profiter de la douceur ambiante.
- Le trajet est long ?
- Non, un quart d’heure à peine. Vous trouverez devant vous un album qui a été préparé à votre intention.
Dans le dossier du siége qui lui faisait face, il aperçut une couverture de cuir qu’il identifia instantanément. Le nom de Lisa y était incrusté. Il eut une hésitation à l’ouvrir avec cet homme aussi proche, mais il esquissa un sourire en réalisant qu’il l’avait certainement déjà feuilleté et peut-être même disposé de Catherine.
La première page était juste un texte en lettres gothiques qui décrivait en une quinzaine de lignes, le profil et les possibilités de Lisa. Il était surmonté d’une photo d’elle en élégant tailleur, debout dans ce qui avait été mister bureau à Paris. Il ignorait quand cette photo avait pu être prise et comment elle était arrivée là.
Il comprit très vite en revanche ce qu’avait voulu dire Peter lors de la présentation de Catherine. Le contraste entre cette photo et le texte qui suivait, répondait vraiment au fantasme de la bourgeoise et de la putain. On la décrivait tout d’abord comme une femme mariée, de milieu aisé ayant occupé de hautes responsabilités, cultivée, parlant plusieurs langues, puis cela se poursuivait par des détails intimes de sa vie privée.

Les quelques lignes expliquaient que Lisa avait toujours été friande de sexe, fréquentait clubs échangistes et partouzes, aimait la pluralité de partenaires, était bisexuelle et avait une forte tendance à la soumission. Cela l’avait conduit progressivement à faire la call-girl de luxe, puis à quitter sa profession pour se consacrer volontairement à la prostitution et devenir pensionnaire de la « Porte Noire ». Le texte était elliptique mais suffisamment suggestif pour enflammer les imaginations.
Venaient ensuite, un encadré avec age, mensurations, caractéristiques intimes, puis la liste des prestations pour lesquelles elle était proposée. C’étaient bien celles qu’il avait acceptées pour elle, mais celle de « soumise » devait suffisamment rare pour qu’elle ait été écrite en rouge et en gras …
Il commença à feuilleter la dizaine de pages qui suivaient. Pour ouvertement pornographiques qu’elles aient été, il fut d’abord frappé par la qualité des images. C’était du travail de pro. On commençait par la voir seule en lingerie, en pose d’invite, se caressant le sexe et les seins. Marc remarqua immédiatement, qu’ainsi qu’il avait été annoncé, les anneaux de Catherine avaient été changés pour faire place à de nouveaux, plus larges et plus épais, mais en acier. La taille de celui du clitoris était particulièrement remarquable, et sur une photo, Catherine y glissait tout mister index sans difficulté.
Les photos suivantes la montraient suçant un membre de belle taille tout en caressant les bourses, puis se faisant pénétrer par un homme en levrette, se faire sodomiser, être prise par deux hommes, caresser, lécher et embrasser une femme.



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#22
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bonsoir à tous
Oubliant pour un temps Catherine à sa nouvelle condition et à mister nouveau quotidien,Marc et mister égérie goûtent sans limite
aux plaisirs sous le soleil lusitanien.
Toujours animée par mister inclination naturelle à la manipulation, celle-ci dirige mister compagnon et ses très malléables invités, à satisfaire pleinement ses pulsions et ses fantasmes.

bien à vous
voilà un extrait
Chapitre 17 / PORTIMAO


Il l’admirait sans bruit. Il bandait. Derrière ses larges lunettes de
soleil qui la rendaient inaccessible, Anne semblait fixer le ciel.
- Tu as déjà sucé un homme chéri ?
- Non jamais.
- Va chercher Antoine, s’il te plait, j’ai envie…
Marc s’éloigna un peu intrigué et revint avec lui. Anne ne
tourna pas la tête.
- Mets toi nu et à genoux devant notre ami, mon chéri. J’ai
envie que tu me prépares ce beau mâle …
Marc hésita un court instant, puis s’exécuta. Antoine restait
immobile
- Chéri, tu vas bien sucer cette superbe queue pour qu’elle
puisse me remplir. Elle est si bonne tu sais. Allez….
Marc éprouvait un sentiment étrange et ambigu. Non que
l’homosexualité n’ait jamais fait de sa part l’objet de réflexions ou de
discussions avec les uns et les autres. Il admettait parfaitement que
lui aussi était devait être sujet à cette pulsion et ne la rejetait pas.
Mais était-ce un tabou culturel ou l’image du mâle dominant qu’il
avait développé aux côtés de Catherine, et certainement envers luimême,
jamais il n’avait même envisagé de franchir le pas.
Cependant à cet instant, la curiosité et une forme de désir
encore inconnu prenaient le pas sur la transgression de mister statut. Le
fait que ce ne soit pas sa propre initiative, facilitait encore le
franchissement de ce Rubicon. Il prit les bourses d’Antoine dans une
de ses paumes, puis sa verge encore flaccide de l’autre main,
approcha mister visage et commença à lécher le gland circoncis qui lui
faisait face.
- Tu as envie ? lui demanda Anne.
- Je ne sais pas … J’ai jamais fait ça avec un mec.
- Eh bien, ce sera une première pour vous deux. Je suis sûre
que vous savez bien mieux que nous, vous occuper de vos queues.
Après tout vous les connaissez par coeur et vous n’ignorez rien des
sensations qui leur mistert les plus agréables. Je suis certaine que vous
allez y prendre goût. Allez mon chéri, montre ce tu sais faire…
Ses dernières inhibitions s’évanouirent en entendant Anne. Il y
avait presque un défi dans ces paroles et cela ne fit qu’augmenter
l’excitation qu’il n’avait plus aucune envie de réprimer.



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Bonsoir à tous

Catherine attend avec impatience le retour de mister homme et s'efpower de donner le meilleur
d'elle même dans sa maimister close.
Les choses vont pendre une tournure à laquelle elle ne s'attend pas...
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amicalement
un extrait pour vous

HORIZONS


- Et ton chauffeur t’ouvrait la porte ?
- Oui bien sûr, c’est mister job tu sais.
- Et il t’attendait ?
- Oui, ça durait parfois des heures pour des rendez-vous ou des déjeuners.
- Ça doit être super d’avoir un larbin comme ça !
- Je ne m’en rendais pas vraiment compte. C’était pratique, c’est tout. Et puis je n’étais pas une patronne très exigeante.
- Tu avais bien tort. Maintenant que c’est ton tour, tu dois comprendre que ceux qui payent et qui décident ont tous les droits. Surtout avec toi ma chatte…
- C’est sûrement vrai, mais ça n’a jamais été ma nature.
- Ça, je m’en rends compte. Pour accepter de passer de ce que tu étais à ce que tu es devenue, faut vraiment être tordue. Moi, tu vois, je t’aime bien, mais s’il fallait que je t’envoie le dans pire bordel d’Albanie, en échange du dixième de ce que tu étais, je peux t’assurer que je n’hésiterais pas une seule seconde… Mais malheureusement tu n’es pas à moi, alors faut pas rêver… Remarque déjà qu’on t’ait mise sous ma coupe, ça me fait bénéficier de pas mal d’avantages, c’est déjà ça… Alors tu comprends que moi, en dehors du plaisir que j’y prends, j’ai aucun intérêt à te faire de cadeaux.
Catherine était à genoux. Hélène nue, installée dans un fauteuil, venait de prendre un bain pour se délasser de sa journée. Sa protégée l’avait séchée coiffée, épilée, massée, avant de s’occuper d’elle-même de façon plus spartiate. Une simple douche et un shampoing à l’eau glacée, puis une friction intégrale au gant de crin. C’était sa compagne qui avait édicté cette hygiène rude.
Elle avait ensuite passé toujours avec la même appréhension cette large ceinture qui lui étranglait la taille, et à laquelle étaient fixés deux bracelets de cuir.
Se présentant ainsi devant Hélène, celle-ci, les ferma sur ses poignets. C’était ce qui lui avait été imposé après sa supplique à Marc. Elle arrivait maintenant à trouver le sommeil, mais les premières nuits, ainsi entravée, furent terribles à supporter.
La perte de l’usage de ses mains permettait par ailleurs à Hélène de l’empêcher de se caresser, même quand le sommeil ne lui permettait plus de la surveiller. Sa propre jouissance ne relevait plus de mister désir mais de l’arbitraire. Pourtant, chaque soir, une fois Catherine restreinte, Hélène sollicitait sa langue pour la conduire à l’orgasme.
- Tu as fait combien aujourd’hui ?
- Quatorze clients.
- Plus la séance avec moi ?
- Oui quinze en tout.
- C’est vraiment bien. Ils vont tous être contents.
- Tous ?
- Ceux pour qui tu bosses. Mais arrête de poser des questions. Ça, il va vraiment falloir que ça te passe.
Catherine pensa qu’elle voulait parler de Marc, de ses patrons peut-être de Marina. Mais, après tout, quelle importance. Hélène la prit par les cheveux et l’inclina vers elle.
- Allez ma belle, au boulot !

Ne jamais sortir de ces murs, n’avoir de repères qu’au travers d’évaluations hebdomadaires, donnait à l’écoulement du temps une perception brouillée. Catherine savait seulement que cela faisait maintenant bien plus de quatre semaines que Marc l’avait laissée ici. Six, sept peut être, sans compter la semaine d’essai. Elle n’avait posé qu’une fois la question à Irina, mais la sanction qui s’ensuivit, la convainquit d’attendre en silence le retour de mister homme.
Parfois, laconiquement on l’informait qu’il avait appelé et qu’il allait bien. C’était tout. Elle s’était résolue à ne consacrer ses pensées et mister énergie qu’à mister travail, et qu’à ce que ses résultats soient à mister retour une source de fierté.
Un changement de mister être s’était progressivement effectué. Catherine s’était doucement effacée pour faire place à une Lisa qui semblait parler d’une autre lorsque Hélène se délectait de lui faire raconter cette vie antérieure. De cet autre monde.



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Bonsoir à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine -Deauville-
est en ligne
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un extrait pour vous
amicalement

- Tu t’occupes de nous trouver deux grandes chambres
communicantes au Normandy ce week-end, Chéri…
- J’avais réservé ta suite préférée sur le jardin pour ton
anniversaire…
- C’est adorable, mais j’ai invité Damien. Il me baise si bien, tu
sais. Ça, ce sera un vrai cadeau…
- Tu dis pourtant qu’il est plutôt con…
- Et alors… Toi t’as besoin d’une intellectuelle pour te vider
les couilles, chéri ?
- Comme tu voudras…
- Je sais… Tu demandes à ta secrétaire de s’en occuper ?
- Oui.
- Ça la fera rêver cette salope. Elle te suce toujours au fait ?
- Ça t’intéresse vraiment ?
- Non, c’est juste comme ça… Mais je l’ai choisie pour te
détendre. Profites en… Tu passes me prendre chez lui vers quinze
heures ? J’ai mis mes affaires dans la voiture ce matin. Je t’embrasse,
à tout à l’heure.
Elle raccrocha sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit.
C’était toujours le cas avec elle. Il ne s’en plaignait pas, mais il
mesurait à quel point sa vie avait changé depuis qu’elle y était entrée,
pour ne pas dire qu’elle en avait pris la direction.
En un peu plus d’un an, il était passé du rôle de celui qui
décidait de tout, à celui qui se pliait à tout ce que décidait sa
compagne. Elle disposait d’une totale liberté de comportement et ne
l’y associait que si elle en décidait.
Il était vrai qu’en revanche qu’elle n’entravait en rien ses désirs
quels qu’ils soient.
En réalité cela lui importait peu, et si elle y participait parfois
c’était simplement parce que la situation, ou que la partenaire de
Marc provoquaient mister propre intérêt. C’était elle qui organisait la
plupart de leurs relations, et s’était aussi introduite dans sa vie
professionnelle. Elle influençait le choix de ses contrats, même de ses
collaborateurs.
Sa secrétaire par exemple, pour professionnelle qu’elle soit, était
d’abord la femme très facile d’un de ses amants, qu’elle avait placée
auprès de lui à toutes fins utiles.
Anne l’accompagnait pratiquement lors de chacun des ses
déplacements à l’étranger, et s’occupait elle-même de lui faire
découvrir ou partager les plaisirs que chacun de ces endroits pouvait
offrir.
Après l’expérience avec Antoine, elle l’avait convaincu, de ses
dispositions pour l’homosexualité.
Même s’il y trouvait sans conteste des satisfactions jusqu’ici
ignorées, jamais cependant il ne prenait d’initiatives en ce sens.
Cela se produisait généralement lors de soirées privées avec
certains couples, ou quand elle le sollicitait pendant que ses
partenaires, venaient passer la soirée, la nuit ou même le week-end
chez eux. Passivement ou activement il pratiquait parfois la sodomie,
mais elle l’invitait le plus souvent à les sucer et rester à leur
disposition.
La plupart affichaient envers lui, une certaine condescendance
non dissimulée.
Durant un séjour en Tunisie dans un luxueux complexe
hôtelier de Djerba, elle profita de l’inscription de l’homosexualité
dans la culture locale pour lui faire pratiquer presque exclusivement
ce type de rapports sexuels avec la complicité du concierge de l’hôtel.
Un peu surpris au début, que le mâle d’un couple accepte de
servir de jeunes hommes devant ce qu’ils imaginaient être sa femme,
ceux-ci comprirent vite qu’ils n’avaient pas à manifester de retenue,
et ils furent rapidement de plus en plus nombreux à fréquenter leur
suite ou même à les inviter chez eux.
Marc associait instinctivement cette sexualité à une forme de
soumission, surtout en la pratiquant sous les yeux et la direction
d’Anne.
La Tentation de Catherine
Gabriel Buffet
330
C’était un univers qu’il découvrait et qui ne lui déplaisait pas.
Bien qu’il en eût été persuadé depuis longtemps, il percevait
clairement au travers de cette nouvelle distribution des rôles, à quel
point le terme et l’acte de possession appliqué aux relations de plaisir
recouvraient un sentiment de pouvoir.
Il arrivait parfois qu’elle-même, ceinte d’un godemiché, lui
demande de la sucer tandis qu’elle se caressait, puis le prenne.
Elle avait aussi insisté pour que Marc porte comme elle, un
piercing et malgré une certaine réticence initiale de sa part, elle
l’avait accompagné pour lui faire poser un Prince Albert, un anneau
qui traversait mister gland.
Anne trouvait que cela lui procurait de fortes sensations quand
il la pénétrait et il reconnaissait quant à lui que cela le
sursensibilisait. Il était l’objet de nombreuses questions de la part de
ceux qui découvraient cela.
Un soir, à Paris, ils s’étaient rendu dans un club de la rue Sainte
Croix de la Bretonnerie, exclusivement gay, à la réputation bien
établie. Marc, vêtu d’une tenue noire stricte était loin d’arborer les
codes vestimentaires du lieu, pour lui presque caricaturaux . Cuirs
noirs, chaînes, piercings… Si l’entrée du couple avait un peu étonné,
l’attitude très directe d’Anne comme à mister habitude, avait très vite
amusé et mis à l’aise la foule d’hommes présents.
Accoudée au bar, elle avait abordé un grand type au crâne rasé
et aux pectoraux moulés dans un débardeur. Ses termes étaient sans
ambiguïté et à l’unismister des conversations et des attitudes ambiantes.
Elle lui avait annoncé que mister chéri avait des pulsions refoulées et
qu’elle l’avait amené ici, pour qu’on lui fasse découvrir ce qu’il
n’osait pas demander lui-même. Il en sourit et lui promit qu’il allait
faire le nécessaire pour en faire leur petite femme ce soir-là.
Quelques minutes plus tard il embrassait Marc à pleine bouche
tandis qu’il malaxait vigoureusement ses bourses au travers de mister
pantalon. Quand au bout d’un moment, il annonça qu’il allait
conduire Marc dans la back room pour s’occuper de ce « petit chat »,
Anne lui tendit une poignée de préservatifs en lui disant de bien
s’occuper de ces messieurs. Pour sa part elle partait passer la nuit avec
un de ses amants et lui assura qu’elle allait être très excitée de penser
à lui entre les mains de ses nouveaux amis…



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#25
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bonjour à tous
le nouveau chapitre de la tentation de Catherine - Rachat- vient d'être mis en ligne.
De nombreuses choses inattendues s'y déroulent...
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en voila un extrait pour vous
amicalement

Anne toujours plongée dans ses comptes, ce fut avec Irina et
Peter, que Marc échangea quelques banalités. Quelques instants plus
tard, sans qu’elle ait toujours prononcé un seul mot, Catherine suivit
Dimitri. Anne avait maintenant terminé mister contrôle et refermé la
mallette
- Alors sans rancune chéri ? Et puis grâce à moi, tu disposes
d’une vraie perle maintenant…
- C’est vrai, reprit Peter… Je peux vous assurer que nous
sommes nombreux à regretter votre décision, vous devez vous en
douter…
- Je peux comprendre, mais peut-être était-ce moi qui m’étais
fourvoyé. Sachez que je ne vous en veux pas. Voulez-vous que nous
trinquions ensemble à la fin de cette expérience ?
Peter misterna aussitôt pour faire monter à boire.
Anne était étonnée de mister attitude, mais elle avait obtenu ce
qu’elle voulait et peu lui importait le reste. Elle ne put cependant se
réprimer.
- Expérience qui te coûte cher mon chéri… Mais comme tu le
dis si bien, ce qui ne coûte rien ne vaut rien …
Marc esquissa un sourire.
Portant un plateau, une des filles entra. Il reconnut aussitôt
Evelyne. Elle se nommait maintenant Carla. Son exubérance avait
fait place à une attitude presque craintive et à une obéissance apprise.
- Pose ça là, dit Irina.
- Vous la connaissez, je crois ? dit-elle à Marc.
- Oui. Elle et mister mari avaient été nos invités au Portugal.
- C’est cette chère Anne qui nous les a adressés et elle a eu
raimister. Cette chatte avait d’une part de parfaites dispositions pour ce
métier et d’autre part mister mari a su très vite comprendre mister intérêt à
nous en céder entièrement l’exploitation. Il a bien sur fallu lui faire
surmonter mister chagrin et lui apprendre de nouvelles règles, mais
maintenant notre Carla s’est parfaitement adaptée. N’est-ce pas ma
chérie ?
- Oui Madame.
Tandis qu’elle se baissait pour poser le seau et les verres, Marc
reconnut le petit tatouage, et sourit. Mais les autres marques de la
maimister prouvaient mister évolution depuis. Elle sortit sans un mot.
- Je ne voulais pas en parler devant elle, mais mister mari est
vraiment nul en affaires. Il nous l’a cédée pour à peine le quart de ce
nous étions prêts à payer.
- Pour combien de temps ?
- En toute propriété et c’est extrêmement intéressant pour
nous. Il s’est laissé séduire par une gamine, a divorcé au bout de
quelques mois de mister placement, et nous a cédé la dette de Carla,
contre un petit supplément.
Irina se leva pour prendre la bouteille et emplit les verres. Ils les
levèrent, le cristal tinta. La discussion se poursuivit dans l’attente du
retour de Catherine.
Anne s’était progressivement alanguie dans mister profond fauteuil
et semblait se laisser aller à une certaine somnolence. Elle posa sa
coupe avec difficulté et quelques secondes plus tard le contrôle de
mister corps sembla lui échapper.
Les yeux toujours ouverts, elle avait mentalement quitté la
réalité de ce qui l’entourait. Marc s’était tu et observait cette
métamorphose.
- C’est fait ?
- Oui c’est pratiquement immédiat, répondit Irina, et j’ai mis
la dose nécessaire.
- Du GHB ?
- Oui.
- Elle est consciente ?
- Oui. Elle n’a perdu que toute forme de volonté, de décision
ainsi que la mémoire de ce qu’elle fait.
- C’est ce qu’elle avait fait prendre à Catherine ?
- Non. Elle, c’était des amphétamines. Elle voulait qu’elle soit
totalement consciente de ce qu’elle lui faisait subir.
- L’effet va durer combien de temps ?
- Environ deux jours.
- Parfait.
Marc sortit une épaisse enveloppe de sa veste et la leur tendit.
- Cette chérie était trop sûre d’elle pour ne pas en payer le prix.
Je pense qu’elle n’avait même pas imaginé que ce que vous aviez
accepté d’elle, vous étiez totalement ouverts à en faire autant pour
moi.
- D’autant plus qu’elle sera seule à ne pas pouvoir se souvenir
ce qu’elle va subir, sourit Irina. Dimitri sera là d’ici quelques
instants. Dans quelques heures, elle aura pris la place de Lisa à
Anvers.
- Nous sommes bien d’accord, je veux qu’elle ait le même
traitement que celui qu’elle lui a infligé.
- N’ayez crainte. Elle fera comme convenu dix jours d’abattage
intensif, et comme vous avez eu la générosité de nous offrir le
bénéfice de mister travail, nous allons faire en sorte qu’elle compense
un peu la perte de votre épouse.
- Combien en fera t elle ?
- Au moins mille deux cent
- Et elle n’aura aucun souvenir ?
- Elle, non rien de précis, mais sa chatte et mister cul… si… Et
elle sera battue avec la même fréquence que Catherine, ne serait-ce
que pour lui redonner de la vigueur. Et elle aura régulièrement sa
dose pour la maintenir dans cet état
- Parfait, et n’oubliez pas d’en faire une vidéo qui pourra
toujours m’être utile un jour.
- C’est prévu.
Marc la regardait, presque inerte, éprouvant une satisfaction
qu’il ne dissimulait pas. Il ne put se retenir de tester l’impuissance de
cette incarnation de la cruauté maintenant asservie, et s’approcha
d’elle.
- Elle n’est pas en mesure de parler, mais elle peut comprendre
et obéir.
- Lèves-toi salope ! et fous toi à poil !
Avec lenteur, mécaniquement, Anne obéit puis resta plantée
devant eux.
Marc prit une poignée de ses cheveux et la força à se mettre à
genoux en la giflant, sans provoquer de réaction.
- Suce-moi salope !
Il avait repris place dans le canapé et Anne s’exécutait comme
dans un film au ralenti.
- Irina, vous pouvez la cravacher pour lui donner un peu
d’entrain



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prince albert 1

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#26
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bonsoir à tous

la quête de catherine touche à sa fin
en voila l'avant dernier épisode
amicalement

CHAPITRE XIX
L’OUBLI
Même si l’histoire semblait se répéter, tous savaient que cette
fois l’issue allait en être bien différente.
Catherine était resplendissante. Elle était entrée dans le bureau
de Peter et Irina vêtue d’un long manteau de vimister noir côtelé.
Dessous, elle apparut dans un tailleur Chanel taillé sur mesure à sa
plastique. Jupe au genou, décolleté discret, elle était l’image de la
distinction et de l’aisance matérielle.
Un court collier de saphirs et de brillants ornait mister cou. À
chacun de ses poignets, plusieurs bracelets et épaisses gourmettes en
or. À ses doigts enfin un solitaire de plusieurs carats, une
constellation, plusieurs autres bagues serties de pierres, et mister
alliance. Tout était en harmonie et ne donnait aucune impression
d’étalage ostentatoire.
Irina avait complimenté Catherine pour mister élégance, et
comme si rien ne s’était déroulé jamais entre eux, ils furent reçus
chaleureusement , mais sans aucune familiarité.
Le vouvoiement était de mise entre tous et une discussion de
bon ton s’installa. Marc évoquait avec Peter leurs voyages, tandis
qu’Irina s’enquérait auprès de Catherine de la provenance de sa
tenue et de ses bijoux. Ce fut elle-même qui fit le service et emplit
les coupes d’un champagne millésimé.
Les lourdes tentures toujours tirées, la pièce n’était éclairée que
par plusieurs lampes dont les abat-jour dispensaient une lumière
ambrée. De grosses bûches crépitaient dans l’âtre de la cheminée et
participaient à cette ambiance chaude et feutrée



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#27
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bonjour
l'ultime chapitre de la tentation de catherine est maintenant en ligne
avec des rebondissements....

amicalement

Caroline avait adopté une simple tunique et un jean pour se mouvoir et se fondre dans cette fourmilière humaine, mais dès que le soir commençait à tomber sur la ville, elle revêtait de superbes fourreaux de soie brodée, fendus hauts sur ses cuisses, et se glissait avec délice dans la peau de ces femmes fleurs et vénéneuses qui hantaient l’imaginaire de ce pays. Sa chevelure noire remontée en savant chignon en faisait presque une autochtone plus vraie que nature. Marc lui fit découvrir les restaurants les plus typiques et les plus luxueux de la ville, mais hésita à la conduire dans les lieux de jeu ou de débauche, là où la femme dans cette culture n’avait pas sa place, en tout cas pas en tant que spectatrice ou cliente.
Mais la chaleur moite et permanente alliée à tout ce que cette ville distillait pour aiguiser les sens, leur faisait goûter dans cette chambre d’hôtel aux allures de riche pagode et aux essences fleurant le jasmin, à des plaisirs sensuels qui s’étaient mis à l’unismister de l’âme de cette ville.
Caroline y découvrit les charmes du massage et les talents de celles qui les exerçaient. Marc fit monter une jeune femme pour sa compagne, qui débuta sagement par des palpations des plus expertes, destinées à détendre un corps fourbu. Marc l’invita à poursuivre de façon plus intime et vit Caroline se laisser aller et gémir sous les mains de la fille maintenant nue, puis commencer à lui rendre ses caresses et enfin faire l’amour jusqu'à l’épuisement. Caroline était amatrice de plaisirs féminins, mais lui avoua, une fois qu’elle fut partie, qu’elle n’avait jamais eu une partenaire aussi experte.



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#28 
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bonjour à tous
la version intégrale illustrée est maintenant en ligne sur le site de la Tentation de Catherine
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Si cela vous tente pour épicer vos vacances ...
par ailleurs "Swinging Paris" qui est l'autobiographie de notre parcours sera très bientôt en ligne sous la même forme
merci à tous de vos commentaires



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la tentation de Catherine
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