ilote06
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#1 · Edited by: ilote06
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Je me prénomme marc, mon épouse Agnès partage ma vie depuis plus de 20, elle m’a souvent trompé au long de se années, j’ai pris peu a peu l’habitude de la voie flirter avec tant d’hommes, sans jamais savoir, pouvoir ou vouloir se refuser, elle aime les homes, elle aime le sexe et par dessus tout elle aime être entièrement disponible pour les deux ! Elle a aujourd’hui 38 ans, elle est blonde et mince, 1,71 m pour 59 kg, ses beaux yeux verts souvent rêveurs se voilent très vite sous le regard des hommes, c’est étrange comme les autres sentent tout de suite qu’elle est disponible et déjà conquise, juste en la regardant ou en échangeant avec elle ou même avec moi quelques parles, tout de suite je sens l’intimité s’installer entre elle et l’homme ou les hommes qui nous entourent. [email protected]
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#2 · Edited by: ilote06
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Nous commencions à nous fréquenter, juste après un mariage un peu raté pour ma part dont je vous relaterais peut être plus tard les détails, elle travaillait alors dans un restaurant de quartier, un de ses petits bistrots ou se font les déjeuners de bureau, ou les cadre se retrouvent avance la reprise, elle servait pendant quatre heures tout en continuant ses études, blonde ses cheveu mi long ondulés, sa haute taille et mister sourire toujours disponible lui procuraient bien des pourboires et des sourires en retour. Les mains se baladaient souvent, suivant la courbe de ses hanches ou le cambré de ses fesses dures, penchée en avant offrant une vue docile sur sa poitrine, elle leur souriait complice ‘et déjà presque disponible, parfois je déjeunais sur place, nullement gène elle poursuivait mister manège ou plutôt mister jeu avec déjà ce que j’appelais ses habitués. Elle passait a ma table, me servait s’asseyait un moment puis repartait servir, ne laissant ignorer a nul autre des convives que j’était mister petit copain, mais que cela ne posait nul problèmes, je restais la un peu gêné mais aussi excité, les regards des autres hommes, leurs sourire en me fixant pendant qu’ils lui passaient la mans sur les fesses ou lui caressaient la joue, et parfois l’un d’eux qui la suivait vers l’arrière salle, ils revenaient un moment après, elle d’abord ,le joues en feu et la mine a peine gênée, et lui ensuite regorgé et fier se rasseyant avec se amis et échangeant des mots crus a voix basse en me regardant par en dessous ,tous alors riaient et puis partait en laissant de lourds pourboires ! [email protected]
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#3 · Edited by: ilote06
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Je me souviens d’un jours, un vendredi, veille de we, les convives étaient riants, l’ambiance étant si détendue, la mode était alors aux jupes plissées très courtes portées sur des collants ou plus rarement sur des bas noirs, des dim up plus précisément ,elle virevoltait entre les tables et j’étais assis la a la regardait amoureux sans la quitter des yeux ,elle souriait, riant avec d’autres hommes qui déjeunaient ensemble, assis au coin de la salle sur un table je me vis invité a partager celle du bureau vois, 3 hommes des cadres d’entreprise me conviant vers eux, je m’asseyait ,soulagé, quelque part de ne plus être assis seul, ils me parlaient de leurs travails, de ce resto et de la serveuse si gentille et docile en riant entre eux de leurs bons mots, elle vint vers nous en ondulant des hanche la bouche aux lèvres pleines teintées de rouge déjà souriante et ses yeux verts , un peu voilés et déjà consentants, ils lui proposèrent un café, qu’elle accepta en leur servant le leurs, elle s’assit entre deux des hommes et continua a leur parler sans me jeter un regard, ils flirtaient avec elle, la frôlaient de leurs mains et l’un deux au téléphone décrivait la scène a un amis lointain, je la voyait collée a eux docile et consentant se laisser toucher lentement se laissant glisser dans se pensées obscures, un des hommes me parlait, mais je n’entendais rien, les yeux fixés sur elle, sur mister regard baissée et sur les mains qui la touchait, entendant ses soupirs légers mais distincts, je me baissais soudain et remontait les joues en faux ,sous la table, a deux mains ses deux voisins lui fouillaient l’entrecuisse, elle se trouvait la écartelée le bassin en avant soupirant sous deux mains qui la fouillaient sans douceur. Pendant un log moment, je restais sans voix a la regarder subir leurs désirs et la fébrilité de leurs doigts en elle, puis l’un d’eux se pencha et lui murmura quelque mots a l’oreille, avec a peine un rapide regard vers moi, elle se leva rabaissa sa jupe remontée jusqu’au ventre et se dirigea suivi de l’homme vers les toilettes , ondulante mais déjà docile et soumise par avance a ses désirs ! [email protected]
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#4 · Edited by: ilote06
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Un soir au restaurant alors que nous sortions en couple, nous avons rencontré l’un de ses clients du midi, un directeur de société marketing très bien de lui encore bel homme malgré ses 50 ans, Agnès je m'en souviens, portait un tailleur crème a jupe plissée très courte perchée sur ses escarpins quelle aime porter a talons hauts, sa veste entrouverte sur un joli body de dentelle noire assortie a ses bas fumés, l’homme nous reconnus et parlant a ses amis, fit porter a notre table une bouteille de champagne pour le repas, tout le long du repas tandis que nous parlions ,Agnès et moi, je sentais les regards des hommes de la table voisine la couver des yeux, leurs paroles me parvenait par moment et leurs rires aussi, vers le dessert ,Agnès ne tenait plus en place, elle me souri et tandis qu’elle se levait, me dis je vais aux toilettes pour me remettre un peu de couleurs, ses belles lèvres pleines si maquillées est ses yeux verts cerclés d’un trait de noir me souriaient en ma parlantd’une voix douce et déjà soumise par les pensées, a d’autres. Je la vis se diriger vers l’arrière salle a gauche d’un escalier un peu sombre entre deux grandes plantes vertes, suivie de prés par deux des hommes de la table voisine, les autres, sans gène commentaient a voix basse et riaient en me lançant quelques regards, ni tenant plus, je ne pu m’empêcher au bout de quelques minutes de suivre le même chemin, passant entre les tables, le regards bas et la mine sans doute gênée, je passait entre les plantes pour monter l’escalier, j’arrivait sur un minuscule pallier et devant moi deux portes closes, les toilettes hommes et femmes, tendant l’oreille j’ouvrait la porte des toilettes hommes, la devant moi, de dos, je voyait ma compagne, Agnès, penchée sur un lavabo glauque dans une lumière un peu grises se jupe plissée relevée sur les hanche les mains posées en appui pour mieux se cambrer, un home enfoncé en elle et la défonçant a grands coups de reins, un long gémissement a peine retenu s’échappait de ses lèvres rouges entrouverte, ses yeux verts un peu hagard fixaient le miroir, écarquillés ,l’homme a coté regardait la scène, le sexe déjà tendu se masturbant a coté d’eux, la voix de l’autre ahanant au plus profond d’elle, la traitant de petite salope, de p--e, de vide couille et de p--e gratuite offerte a tous, elle gémissait a chaque mots comme a chaque coups de reins qui le faisait pénétrer au pus profond d’elle, tendant ses reins pour mieux se faire prendre, tel une femelle offerte tous les hommes ! N’osant souffler mot, je redescendis l’escalier pour rejoindre notre table sous les regards hilares des autres homes de la table, elle revint au bout de 10 minutes, un peu essoufflée, les joues en feu et le body encore ouvert, elle m’embrassa a pleine bouche et me dis que nous partions, en sortant j’entendis une voix lancer a travers la salle, a lundi petite chérie !!! [email protected]
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ilote06
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marc et Agnès 6 Une semaine ou deux plus tard, si je me souviens bien, alors que nous rentrions chez nous un soir après une soirée entre amis, collée contre moi dans la voiture, sa joue si douce posée sur mon épaule d’une voix douce et un peu troublée, elle m’annonça que nous étions invités le lendemain soir a la soirée annuelle de la Sté X,me sentant me tendre un peu brusquement, elle rajouta mais si tu préfère j’y vais seule, elle n’envisageais même pas que nous puissions refuser ensemble cette invitation, je m’aperçois que je dois m’expliquer, la Ste X était la société de l’homme d’une 50 d’années qui l’avait devant moi remerciée si gentiment en lui tendant un verre d’eau fraiche, ce même homme qui presque chaque jour se pavanait dans le restaurant en la traitant comme une conquête docile et offerte sans la moindre discussion a ses désirs, devant mister petit public et devant moi souvent morfondu et honteux dans mon coin de la salle, il riait et souriait tendant sa main vers elle a chacun de ses passage, insistant pour qu’elle s’assoie prés de lui et collé a elle lui caressant le corps en public sans la moindre gène, transformant ce service a table en une exhibition a laquelle tous les convives présents étaient friands d’assister, le patron du bistrot de mister aveu même m’avait plusieurs fois dit, que cette fillette si gentille et docile faisait plus de la moitié de la réussite de mister resto, il me disait cela d’un air complice et moqueur, riant de moi si tolérant, si arrangeant, sans doute bien plus que d’Agnès. Je restais donc la, un peu tendu dans la voiture, mister visage sur mon épaule mister souffle chaud dans mon cou et sa voix un peu rauque mais si troublée, m’expliquant qu’elle ne voulait pas rater cette soirée, qu’elle envisageait peut être un poste dans cette société et qu’elle ressentait un besoin irrépressible d’aller a la rencontre de cet homme si sur de lui. Le lendemain soir, je passais la chercher a mister petit studio, nous ne partagions pas encore un appartement et elle résidait prés de sa faculté a deux pas du restaurant, dans un petit studio loué dans une villa très chic, les GSM n’existaient pas encore et nous possédions tout deux un petit appareil a message, Tam si je me souviens bien et arrivé dans sa rue, j’envoyais un message pour lui dire que j’attendais en bas, après un court instant et sans doute déjà fébrile, je la vis apparaitre en bas de mister entrée, dans la lumière du hall, alors qu’elle ouvrait la porte vitrée, je vis surgir une femme blonde platine, les cheveux mi longs plaqués au gel perchée sur des bottes en cuir noires ses si longues jambes gainées de noir une mini jupe de cuir a large ceinture et un gilet de soie beige entrouvert sur mister décoleté,alors qu’elle s’asseyais dans la voiture sa jupe remonta laissant largement voir la lisère de ses bas et une bande de sa peau mate et si douce, elle m’embrassa a pleine bouche, ses lèvres un peu tremblantes et me dit allons y ! Tournant au coin de la rue après juste quelques centaines de mètres j’entrais dans le parking souterrain de la société, un vigile nous guida jusqu'à des places réservées et tendis que je garais la voiture, je le vis mister regard se fixer sur les cuisses dénudées offertes par ma compagne a mister regard un peu obscène, je sorti le premier et alors que je me précipitais pour lui ouvrir la porte, je m’aperçu que le vigile déjà, lui tendais la main pour l’aider a sortir en lui souriant comme a une connaissance, il nous accompagna jusqu'à l’ascenseur en parlant avec elle tout en lui souriant d’un air entendu, alors que les portes se refermaient sur nous, il lança, bonne soirée Doucette !!!!!!! , ils vous attendent ! Je restais un instant interloqué par cette familiarité, avant même que j’ai eu le temps de réagir, les portes s’ouvrir et nous entrâmes de pleins pieds dans une ambiance de fête qui battait mister plein, la musique forte et le monde présent m’empêchée de demander des explications, de loin je vis l’homme, le directeur de cette société, lever la main et dire, Agnès, petite chérie viens de suite, sur un ton rieur, il était la entouré d’hommes et de femmes et il hélais ma compagne comme un familier, comme un habitué, comme un propriétaire, je sentis a l’instant tout mister corps se tendre vers lui et m’entraine a sa suite, nous traversions la salle, elle sous des regards d’envie, des regards intéressés qui la suivaient en la détaillant sans la moindre gêné, certains se penchaient vers leurs voisins et échangeaient des commentaires en riant, je suivais tète un peu basse, mal a l’aise ,honteux même et si excité !!! Arrivée devant lui, il se pencha vers elle pour lui embrasser lentement les lèvres, je vis leurs lèvres se toucher doucement sensuellement, l’espace d’un très bref instant, sans même me saluer, il se tourna vers ses « amis » et dit d’une voix assez fort, je vous présente Agnès ma petite chérie, puis après un sourire entendu et tout en passant une main possessive autour de sa taille fine, et mister compagnon, Marc ! Il lui tendis une coupe tandis que je du me servir sous le regards des témoins hilares qui embrassaient ma compagne l’un après l’autre posant leurs mains sur ses hanche ses épaules et même pour l’un deux en la tenant par le haut de ses fesses cambrées , elle ôtât alors mister gilet me le tendant sans un mot ses beaux yeux verts déjà troublés d’être aussi entourée et me dit, sois gentil, marc, porte ca au vestiaire, réagissant a peine, je tendis une main mal assurée les yeux fixés sur le spectacle qu’elle venait de révéler, sous mister gilet de soie, se cachait un body de dentelle noir a coupe brésilienne ouvert jusqu’au nombril laissant nue une large bande de sa peau mate si douce et tendu par ses seins a moitiés révélés. [email protected]
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A moitié assommé de la voir ainsi presque nue, la poitrine quasiment offerte devant cet homme, devant ces hommes et femmes, je me dirigeais un docilement vers les vestiaires, situés a l’autre bout de la salle, une porte entrouvert, j’entrais les vêtements a la main, une jeune fille très fine asiatique si mes souvenirs mistert bon, me les pris des mains tout en me demandant d’une voix douce, c’est a quel nom, Monsieur ?, ne sachant quoi répondre, je restais la , peu sot sans un mot, me retournant pour regarder vers le fond de la salle, ma femme, Agnès, ma compagne, collée contre cet homme, entourée d’autres hommes riait, parlait et se laissait toucher sans réagir , il se penchait vers elle, lui parlant a l’oreille, elle souriait en regardant les mains sur mister corps un peu gênée, une peu frémissante, mais sans un mot, la fille suivant mon regard, me dit d’une voix un peu plus forte :Ah, ok c’est pour celle la !!!,le rouge aux joues les yeux baissés, je répondis, oui c’est pour nous, elle éclata de rire, en disant : Pas nous, elle, toi tu compte pour rien, c’est elle qu’ils veulent ! Je ressortis sans un mot et tout en réfléchissant à ce que je venais d’entendre, je me dirigeais vers le groupe, juste avant d’arriver vers eux, un homme me tendis un verre et me pris par le bras, docilement et en tournant la tète pour voir ma compagne, je le suivais a l’autre bout du comptoir, il se pencha vers moi et dis d’une voix autoritaire, Arnaud veut que je t’offre un verre mais il ne te veut pas dans ses pattes, alors tu viens ! Sans un mot je le suivi et ne quittant pas le petit groupe des yeux, je pris mon verre comme un somnambule, la scène était excitante, Arnaud assis sur un tabouret les cuisses écartées, elle debout entre ses cuisses, lui ses bras autour d’elle ses mains croisées sur mister ventre elle se frottant a lui les yeux déjà voilés en se mordillant les lèvres, les hommes autour, parlant, souriant et parfois la touchant, un doigt entre ses seins, une main sur sa hanche, une autre sur sa joue ,un doigts passant doucement sur ses lèvres ! L’homme me regardait d’air rieur, il me voyait baisser les yeux mais sans pouvoir m’empêcher de regarder encore et encore, il me dit, tu sais, elle est bien la, elle est juste la ou elle veut être et elle aura tout ce qu’elle veut, Arnaud est généreux t c’et un homme très viril ! Alors que je buvais une gorgée qui avait bien du mal a passer, je vis Arnaud se le lever, la repoussant doucement et elle un peu surprise se recollant a lui d’un air effrayé comme s’il l’abandonnait, il lui souri et lui dit d’une voix assez forte pour que je l’entende, vas dans mon bureau et attends petite salope !!!! Je restait la interloqué, paralysé, l’homme a coté de moi me susurrant d’une voix rauque ; il va la baiser, il adore baiser dans mister bureau, reste la, s’il veut que tu vienne je te ferais signe, il s’éloigna sans un mot de plus et je vis Agnès, si douce et si docile se diriger vers l’autre bout de la salle, passant devant moi, elle me lança un regard doux un peu gêné mais je vis bien ses yeux troublés déjà soumis et ses lèvres pleines frémissantes de mister excitation. Arnaud la suivi de peu après avoir échangé quelques mots avec ses amis, j’étais abasourdi mais j’entendis vaguement parler d’aller se vider, de se soulager et que a d’autres auraient leur tour, il passa devant moi sans même un mot ! Ils n’avaient disparus qu’à peine quelques secondes que je sentais déjà dans la salle ^presque tous les regards braqués sur moi, l’homme, je l’apprendrais plus qui se prénommait Christian et qi était le bras droit du patron, revint vers moi et me dis en souriant, tu sais si tu veux voir, tu peux y aller, mais il interdit que tu entre ou que tu dises un mot, fais gaffe je ne plaisante pas, si tu la ramène tu risque gros ! Un peu effrayé de sa voix dure, je me dirigeais vers l’autre salle, sous les regards curieux de pas mal d’invités, arrivant dans un couloir sombre, je passait devant plusieurs portes, au fond une porte entrouvert, j’avançais sans bruit et passant a peine la tète je vis un spectacle qui me rendis la fois fou de jalousie et qui me mit dans un état d’excitation terrible, j’étais mort de honte, humilié et je bandais a mort !!! Je voyais la scène de coté, lui debout adossé au mur le corps tendu ,elle a genoux devant lui le body replié sur ses hanches, la poitrine nue la bouche ouverte en grand, elle l’avalait a fond, se pénétrant de mister sexe, de distendant les lèvres pour mieux se défoncer la bouche, ses si belles lèvres serrées autour de sa hampe, ce sexe si long et très dur qui lui baisait littéralement la bouche s’enfonçant de plus en plus, il la pénétrait a grand coups de reins, elle s’étouffais un peu mais sans doute pour mieux lui plaire se laissée baiser la bouche les bras dans le dos ses mains docilement croisées ses seins durs tremblotant sous chaque coups de reins, il la forçait avec plaisir en lui caressant les cheveux et en disant d’une voix douce un peu rauque mais incisive : « Allez petite p--e, avale, moi, vas y petite salope continue a me pomper, tu es une petite putain, tu es une petite cochonette bien docile, je vais te remplir la bouche et tu va me boire comme une bonne salope » et elle haletante a moitié étouffé qui se jetais sur ce sexe énorme qui lui distendais les mâchoires et lui défonçait la bouche, dans un dernier râle en lui tenant fermement la nuque il se vida en elle, a longs traits, lui replissant la bouche, je voyais, Agnès, a genoux les mains croisées dans le dos comme attachées, les seins tendus vers lui pointes dressées, l’avalant en totalité, sa gorge a chaque mouvement l’avalant encore plus, ses lèvres douces si pleines laissaient déborder un peu de sperme, elle hoquetait en avalant la semence jusqu’a la dernière goutte, il releva mister visage vers lui et tout en lui caressant la joue, il dit « Allez, petite salope, nettoie moi le gland et on rejoint les autres !! Docilement elle lécha mister gland encore tendu, énorme et congestionné, elle le suça, l’aspira, le téta lentement puis il la releva et mis deux doigts dans sa bouche pour qu’elle les lèche aussi, docilement comme une complice déjà soumise elle s’exécuta tandis qu’il riant en disant, je vais faire de toi une vraie petite putain docile !!!! Sursautant d’un seul coup, je réalisais qu’ils allaient sortir et je rejoignis très rapidement la salle pour m’accrocher à mon verre d’alcool. [email protected]
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Alors que je rejoignais un peu précipitamment le bar, j’entendis la voix de Christian me héler, Marc, marc, viens ici, je le vis attablé avec quelques hommes me présentant un fauteuil en face d’eux, encore un peu groggy de ce que je venais de voir, je m’asseyais en tentant de sourire, il fit les présentations en me montrant du doigts alors que je m’effondrais dans ce fauteuil : voici marc, l’ami d’Agnès, d’ailleurs elle viens nous rejoindre avec Arnaud, les hommes sourirent et tournant la tète je vis ma douce Agnès au bras d’Arnaud hanche contre hanche tout mister corps paraissant collé a lui, ondulant sur ses bottes a talons hauts, mister body encore un peu chiffonné et ses lèvres pleines gonflées et frémissantes, elle souriait, l’air comblée, heureuse et soumise a la fois, il marchait a coté d’elle, seigneur et propriétaire en la tenant par la taille, il vint vers nous s’assit dans un fauteuil entre deux hommes en face de moi et la naturellement je vis ma compagne s’assoir docilement entre ses genoux écartés sur un tout petit coin de fauteuil, en équilibre le dos cambré face a tous ces hommes. Les discussions reprirent, je n’osait dire un mot, je voyais ma femme assise entre les genoux d’un homme, ses cuisses largement dénudée par sa jupe remontée haut offrant a tous le spectacle de ses seins tendus a peines contenus par le body largement ouvert et la lisère entre bas et peau largement visible a cause de sa jupe si courte, elle se laissait aller maintenant contre Arnaud qui avait passé un bras autour de sa taille et qui d’une main lui caressait la cuisses en remontant encore un peu plus la jupe jusqu'à dévoiler mistert ventre ! Un homme se pencha vers Arnaud et lui parlant tout bas lui demanda s’il pouvait inviter sa petite Agnès pour cette danse, Arnaud, riant embrassa Agnès dans le cou et lui dit d’une voix rauque, Allez petite soit gentille avec lui ! Sans la moindre hésitation je la vit se lever et précédée de l’homme onduler jusqu'à la piste de danse ou déjà de nombreux couples dansaient entrelacés ! L’homme la pris contre lui d’un geste un peu brusque et se colla a mister ventre la serra par le taille, la lumière était faible mais je voyait nettement ma compagne collée contre cet homme je voyait chacun de ses gestes ses mains qui explorait en corps passant sur ses reins caressant ses fesses sur la mini de cuir et remontant le long du dos en la faisant frémir, elle dansait, tendue et collée a lui sa tète dans mister cou couchée sur mister épaule se laissant aller totalement, Arnauld se tournant vers Christian et sans faire le moindre cas de ma permisterne, lui dit, « Alors ,Chris, il est ok, il sait qu’il doit la fermer ? » Chris me jeta un regard et répondis : « il vous a vu tout a l’heure dans ton bureau !!! » Arnauld se tourna vers les autres et sans le moindre gène répondis : « S’il a vu ca, il peut tout avaler, elle m’a vidé comme une vraie petite salope la douce Agnès, elle m’a vidée la queue et elle a tout avalé !!!! » [email protected]
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ilote06
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Bien sûr comme vous l'aurez compris il s'agit d'un de mes ex-soumis cocufié virtuellement dont j'utilise l'accès ici...
Maître Chris
ps : profitez bien de lui...
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ilote06
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marc et Agnès 8
Un peu étourdi par la honte ressentie a ces mots, je n’osais plus quitter la piste des yeux, redoutant malgré tout de croiser le regard d’Arnaud ou des hommes qui ricanaient encore en parlant avec lui, sur la piste, Agnès entre les bras ou plutôt les mains de mister cavalier, se laissée aller dans un abandon presque total, je voyais sa tète onduler doucement au creux de mister épaule au rythme du slow, je voyais ces mains courir sur mister corps caresser ses hanches malaxer ses fesses, Christian, penché vers moi me chuchota a l’oreille :Ne dis rien, elle aime ca, accepte et tout ira bien, je me laissait convaincre peu a peu ,je réalisait qu’elle n’était plus ma compagne uniquement mais aussi leur jouet ! Un autre des hommes présents se leva et dis a Arnaud, :Je vais prendre la suite si tu le permets, Arnaud sourit et dis : A ce que je vois c’est plutôt elle qui permet tout !, déclenchant une nouvelle vague de rires parmi ses amis, une des femmes présente répliqua : Elle ne permet rien elle parait plutôt prête à tout accepter, tout ! L’homme se dirigea vers le couple entrelacé et d’autorité pris le bras d’Agnès et la colla tout contre lui, échangeant quelques mots avec le cavalier qui s’éloigna de bonne grâce en souriant, a peine de retour a notre table, il dit : Gérard, m’a dit de lui laisser la petite, il va la faire danser sur ses doigts !!!!!!
Alors que je restais plus que surpris de cette phrase étrange, Christian me dit : Regarde, tu vas comprendre comment elle va danser ta petite pute ! Fixant la piste un peu gêné par la pénombre je vis au milieu des couple l’homme qui passait une main entre leur corps, je vis les épaules d’Agnès sursauter et tout aussitôt mister corps de liane se coller plus encore a celui de mister cavalier, discernant difficilement je vis peu a peu que la main de l’homme insinuée entre leur corps était entrée par la fente de la jupe et passait entre ses cuisses, la jupe remontée dévoilait largement le haut des bas, elle dansait, la, a moitié nue la jupe relevé, les fesses cambrées frémissante sous la main qui lui fouillait le ventre ! Il l’avait littéralement plantée sur ses doigts, lui fouillant le ventre a plusieurs doigts tout en la forçant à danser collée contre lui a chaque tour je pouvais voir mister visage haletant, sa bouche entrouverte, ses beaux yeux verts carrément troubles, elle se laissait ouvrir sans un mot, gémissant doucement, penchée sur mister épaule ! Les autres se régalaient, ils commentaient sans gène et se penchaient pour mieux la voir danser, alors que le couple passait prés de la table, le cavalier, rieur, dis en parlant a Arnaud : Elle dans bien ta petite salope, elle danse même empalée sur mes doigts, ils mistert trempés !!!! Entrainant sa cavalière ou plutôt sa poupée docile loin de la table, je les vis s’enfoncer dans la pénombre ! N’y tenant plus au bout d’un court instant, je me levais, Christian regarda Arnaud sans doute pour savoir s’il devait m’empêcher de les suivre, celui ci répondis : Laisse le, qu’il voie, de toutes les manières il faudra bien qu’il apprenne à se taire !
Je m’empressais de traverser la piste et cherchant des yeux mon Agnès, je vis dans le fond derrière un pilonne un couple, corps a corps, m’approchant doucement, je vis plus nettement, l’homme, Gérard donc, avait collée ma douce Agnès contre le mur le visage écrasé sur le pilonne les fesses cambrées, sa jupe relevée sur les hanche e d’une main il la masturbait a plusieurs doigts, lui pénétrant le sexe, la défonçant sur place, le visage joue au mur, elle se mordait les lèvres tentant d’étouffer sans y arriver de longs gémissements rauques, je voyais sa main la fouiller, la pistonner ses doigts entrant au plus profond de mister ventre et lui collé a elle lui murmurant : Tu aime ma jolie pute, tu aime ca petite salope, je t’ouvre bien le ventre petite putain !!! D’entre ses lèvres si pleins et si douce que j’embrassais si souvent j’entendais s’échapper entre deux gémissements : oui oh oui encore oui encore plus fort oh oui baise moi toute, l’homme n’hésitant plus, se plaça derrière elle et tout en se dégrafant la força a se plier contre le mur pains en avant, d’un coup un seul il la pénétra de toute la longueur de sa queue, il s’enfonça en elle avec une telle aisance qu’elle devait bien plus que trempée, elle cambra ses reins pour mieux le recevoir et je vis ses dents blanches mordre ses lèvres au sang pendant qu’il la défonçait méthodiquement a grand coup de rein sans la moindre attention, il prenant mister pieds la possédant comme une poupée vivante, l’utilisant comme un objet pour se vider, il joui longuement elle tout en étouffant ses gémissements d’une main lui enfonçant ses doigts dans le bouche pour la powerr a les sucer, il écartais ses lèvres distendais ses mâchoires se servant de sa bouche comme d’une poignée pour mieux lui pénétrer le ventre pour ses grands coups de reins finals ,après avoir joui au plus profonds d’elle, il se rembrailla et dis aller petite salope on vas rejoindre ton mec !
Je retournais vivement a ma place prenant un verre dont j’avais tant besoin, autour de moi, plusieurs hommes étaient partis, il ne restait qu’Arnaud, Christian et une femme.
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marc et Agnès 9
Je restais sans un mot, penché sur mon verre, autour de moi la musique était source, l’ambiance tout d’un coup devenue étouffante, les autres convives bavardant sans me prêter la moindre attention, je vis venant du fond de la salle que je venais de quitter ,avancer ma compagne poussée main sur la nuque, d’un geste possessif par l’homme qui venait a pine de quitter mister ventre, il avançait un peu en arrière d’elle semblant la guider, elle avançais les yeux un peu perdu, le maquillage coulant et la jupe mal relève ondulant sur ses longues cuisses d’un pas mal assuré les lèvres frémissantes ! Arrivés prés de nous, il lui lâcha la nuque, passant une main le long de ses reins pour lui caresser doucement les fesses, enfin, un peu hésitante, fixant Arnaud timidement, comme attendant un geste ? Un ordre ?, voyant qu’il l’ignorait, je vis tout mister corps se crisper, elle vint assoir prés de moi sans oser me regarder, elle se coula doucement contre moi reposant sa tète sur mon épaule. L’homme, Gérard, à peine assis, se pencha vers Arnaud et dis voix repue : Si tu savais ! Je crois que tu as mis la main sur une sacrée salope et moi je viens d’y mettre bien plus que la main, déclenchant le rire d’Arnaud et de la femme assise prés de lui. Collé contre ma chérie, sentant mister corps chaud et doux contre mois, sentant aussi l’odeur de L ‘homme sur ou en elle, je luis dis : Tu veux qu’on parte, Agnès ?? Un peu hésitant n’osant me regarder, elle lança un regard vers Arnaud, qui l’ignoraient encore ! Elle répondit : Oui, marc, allons y ! Je me levais d’un coup retenant a peine un ouf de soulagement, lui tendant la main, elle me suivi, collée a moi nous passâmes devant le groupe, sans oser les regarder, je marchais le corps tendu, redoutant ou espérant un mot d’Arnaud, une parole ? Un ordre ? Mais rien, le bout de la salle atteint j’entrais suivi d’Agnès dans le vestiaire, la fille toujours souriante, me tendis nos vêtements et regardant Agnès, me dis, la pauvre elle doit être bien lasse après ce qu’elle a reçu !!!! Levant la tète, je vis les écrans des caméras de surveillance, dont l’un braqué exactement sur le pilonne ou ma douce venant de se faire prendre, la fille souri et me dit : Arnaud garde toutes les copies, il aime les offrir a ses amis !!!! Sortant un peu précipitamment, j’ouvrais la porte de la voiture et démarrais sans demander mon reste, Agnès fouillant ses poches me tendis un objet, j’arrêtais la voiture, allumait le plafonnier et vis dans sa main un «Tam Tam » tout neuf doré et un morceau de papier sur lequel était marqué d’une écriture rigide, « Pour Agnès, ma petite salope disponible », « Réponds toujours ! Et obéis » !
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paco2244
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Belles offenses, incontestablement...
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ilote06
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marc et Agnès 10
Le lundi suivant et pendants quelques jours notre vie reprit mister chemin, évitant quelques temps les déjeuners troublants, je passais chaque soir prendre ma tendre Agnès la sortie de sa fac, dans le silence complice qui s’était établi depuis cette soirée, nous réprimes notre vie ;,sans aborder ce qui s’était passé, ma petite chérie semblait douce et attentive a mes désirs et je dois vous avouer que j’étais fort comblé, la semaine était presque passée, nous étions vendredi soir rentrant chez moi pour le WE quant le « bipper » misterna, je vis ma douce compagne, se pencher sur l’appareil pour relire le message, elle se tourna vers moi et me dis d’une voix douce mais déjà un peu rauque : Dépose moi prés d’une cabine je dois téléphoner !,elle continua et dis !: Tu peux rentrer directement, je te rejoindrais a l’appart ! Un peu surpris mais pas autant que j’aurais du l’être sans doute, j’obtempérais et me garait devant une cabine, elle descendit et un peu nerveuse s’engouffra dans la cabine vitrée. Je m’aperçois qu’emporté par mon élan et le plaisir que je prends a tout vous raconter, j’ai un peu omis de vous décrire ma si tendre compagne, difficile d’être bref quant on est amoureux, mais pour permettre a votre imaginaire de mieux vous la représenter, je vais faire de mon mieux. une jeune fille, pas encore une femme, de 18 ans, grande blonde et élancée, pratiquant la natation et la gymnastique sportive 1,71 m pour quelques 56 kg une peau si douce et si mate malgré le platine de ses cheveux mi longs, des yeux si verts et doux et pourtant si troublés, des lèvres larges et si pulpeuses dans un visage un peu angulaire aux pommettes hautes et fières, des épaules un peu larges mais si bien développées , une poitrine menue aux seins bombés et durs, un ventre plat si musclé, des hanche minces une chute de reins cambrée sur des fesses musclées, des jambes sans fin et de cuisses si douces qu’on ne les quitterais pas ! Reprenons le courts de ce récit, entrant dans la cabine elle me tourna le dos, décrochant l’appareil je la vis composer un no, après quelques secondes au mouvement de ses épaules a demies nue sous un tee shirt, ras de cou, adossée a la vitre mister jean moulant tendu dans mister déhanchement, je la vis converser avec sans doute l’auteur du message, la conversation ne durant qu’un très court instant, en ressortant je la vis revenir vers la voiture, les yeux dans le vide, se mordillant les lèvres, elle se pencha vers la vitre, sans faire mine d’ouvrir la porte, et me dis : marc, peux tu rentrer seul, vraiment je te rejoindrais dans un moment ?? Interloqué, mais pas surpris, je répondis d’une voix un peu gênée : Mais, mais, bon ok, tu en as pour longtemps ???? ; A peine cette phrase prononcée que je réalisais tout ce qu’elle signifiait, je ne « disposais » plus d’elle, un autre en disposais a sa guise et je ne pouvais qu’accepter ! Se penchant un peu plus elle s’appuya des deux bras, m’offrant une vue de délice sur le sillon de sa poitrine qui tendant le tee shirt et m’embrassa a pleine bouche, faisant durer ce baiser puis se relavant me dis d’une voix rauque et déjà ailleurs : Merci, marc, a tout a l’heure ! Le cerveau en feu, et les joues sans doute aussi, je ne sus que répondre, alors qu’elle s’éloignait, je démarrais la voiture mais restait sans un geste, je la vis tourner au coin de la rue toujours sans réagir, puis une idée me vins ! La suivre !!!!! Savoir ! Un peu honteux sans doute de lui cacher cela, mais ne pouvant résister a cette envie je roulais très lentement tournant au coin sans clignotant, et tout phares éteints, a peine a quelques mètres, je la vis immobile le long du trottoir en face regardant les véhicules passer, je m’arrêtais n’osant plus avancer et alors que j’hésitais encore, je vis ralentir une Mercedes noir coupée, la vitre baisée, l’homme la héla, trop loin pour entendre je la vis sursauter lancer des regards alentours puis monter dans la voiture sans un mot. Embrayant à leur suite, je roulais lentement, laissant quelques voitures s’interposer entre nos véhicules, je roulais les suivant, a peine quelques rues plus loin, je vis la Mercedes s’engouffrer dans un parking souterrain, n’osant les suivre, je garais la voiture et fébrile je me lançais dans l’escalier piéton du parking, au 2 niveau de la rue Raimbaldi, un parking sombre presque vide, rasant les murs, passant de pilier en piler dans l’obscurité presque totale mis a part les spot de sécurité qui dispensaient une lumière très faible ,j’aperçu la Mercedes garée le long d’un mur derrière un piler, m’approchant lentement le plus silencieusement possible, je vis le couple entrelacé, ma douce Agnès le tee shirt baissé jusqu'à la taille se laissait caresser la poitrine soupirant la tète en arrière une main lui fouillant l’entrejambe par-dessus mister jean si serré, l’homme que je voyais de dos lui caressait les seins, jouant de ses tétons en lui parlant tout bas, n’y tenant plus je m’approchais encore plus, j’entendis distinctement la voix dur de mister partenaire : Tu aimes petite salope ? ca te plait petite pute ? Un coup de fil et tu te donne au premier venue comme une trainée ! Tu es vraiment un belle salope docile, Arnaud me l’avait dis mais je ne pas qu’une file puisse être aussi docile a n’importe quel moment ! Il caressait ses seins tendis que ses lèvres lui dévoraient la bouche la faisant s’étouffer dans ses gémissements de plaisir, il prit ses jambes une a une et posa ses pieds sur le tableau de bord lui écartant les cuisses, il passait sa main sur mister entrejambe, je voyais mister bassin venir vers lui, monter vers la caresses, les reins cambrées, la poitrine nue tétons tendue et se mordant les lèvres pour étouffer ses gémissements de plus en plus forts. Agnès, ma si douce compagne, écartelée sur le siège de cuir poitrine a l’air déjà soumise, le ventre avide de ses caresses brusques et même si fortes et ses gémissement longs et rauque qui s’échappaient de ses lèvres humides a demies ouvertes ! Je n’en pouvais plus caché derrière mon pilier je ne pouvais quitter la scène des yeux ! Subitement, l’homme cessa ses caresses et lui dit d’une voix dure et autoritaire : Bon petite pute, je ne suis pas venu pour te baiser, je n’ai pas le temps ce soir, mais je vais quand même me vider dans ta bouche de salope, Arnaud m’a dit que tu adorais ca ! Il se leva, sortis de la voiture et la contourna, puis ouvrant la portière opposée, lui dit : Allez petite pute, sort de la ! Docile sans même une hésitation les seins tours à l’air et sans même chercher à se couvrir, Agnès obéi et sortis de la voiture. A peine fut elle sortie, qu’il appuya sur se épaules pour la faire s’agenouiller en lui disant : A genoux salope et mains dans le dos ! Soumise a ses désirs, elle s’agenouilla et cambra tout mister corps vers lui bouche grande ouvert mains dans les dos comme attachées, il se dégrafa sortis un sexe impressionnant et sans la moindre hésitation le lui engouffra au fond de la gorge d’un violent coup de rein, hoquetant sous la pénétration je vis la nuque d’Agnès se cambrée pour encore mieux l’avaler, ses douces lèvres serrées elle recevait au plus profond d’elle ce piston qui l’étouffait sans la moindre rébellion en toute docilité, l’homme sur de lui et encouragé par cette volonté d’absorption et cette soumission tacite ,prit appui a deux mains sur le pilier et commença a lui baiser la bouche a coups de reins rageurs, haletante,etouffée,mais avide, je voyais sa bouche absorber, avaler, apprécier cette pénétration cette défonce intermittente lui laissant a peine la moindre respiration, l’homme sortait par moment presque entièrement mister sexe, la regardait en souriant et la défonçait de nouveau de quelques coups de reins, après un moment si long qu’il me parut hors du temps, je regardais la tète de ma compagne aller venir sur ce sexe tendu ses épaules dénudées cognat par moment contre le béton du pilier, ses sein durs tétons tendus et dressés ballotant au rythme de cette sauvage pénétration un filet de salive et de jus d’homme entremêlés s’coulant du coin de ses lèvres si douce et maltraitées elle haletait se lançant encore plus en avant pour mieux se défonçait de cette queue qu’elle semblait adorer, les reins de l’homme se tendirent et il dit d’une voix a moitié étouffée par le plaisir : Je vais jouir salope, av ale moi, bois moi, je veux te jour au fond de la gorge petite putain, je vais me vider dans ta bouche de salope, avale, il ponctuait chaque fois ce mot d’un coup de rein violent puis il lui prit la nuque et s’enfonçant a fond elle bloqua mister sexe au fond de sa gorge et se vida a longs trait dans sous bouche si offerte. L’homme soulagé et un peu méprisant, se rembrailla en lui disant : Ca ta plut petite pute ?, en tout ca je dirais a Arnaud que tu vide comme une vraie pompe a sperme, il a vraiment trouvé ne sacre petite salope ! Je vis ma tendre compagne se relever sans un mot, les yeux baissée, relever mister ton shirt en se léchant les lèvres, l’homme souriant en face, d’elle lui dit : Dommage que j’ai que si peu de temps, je t’aurais bien baisée petite salope, et je suis sur que tu en meurs d’envie, mais pas ce soir ! Aller casse toi, j’ai plus besoin de toi ! Un peu paniqué je reculais dans l’ombre, la voiture démarra plein phares et je vis Agnès, encore a moitié dépoitraillée, les seins a moitiés sortis du tee shirt, les yeux hagards les lèvres humides et tremblantes se coller au mur et entrant une main dans mister jean se masturber violement jouissant presque aussitôt en se retournant pour écraser sa joue contre le béton froid du pilier, sa main fouillait mister jean ses hanches ondulant mister ventre s’écartelait, elle joui longuement sous la fouille de ses propres doigts, un pue après encore toute haletante ,elle repartie vers la sortie empruntant la rampe d’accès voiture, marchant d’un pas lent un peu soumis mais soulagé. Je repris l’escalier et me précipitait dans la voiture pour rejoindre mon appartement et l’attendre !
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Ours76
Member
Posts: 187
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Quel dommage de ne pouvoir echanger directement mes experiences avec Marc... Pour une fois qu'il y a un cocu qui aime ecrire, comme moi...
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boissenart
Anonymous
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REGARDEZ CE LIEN , C' EST PAS DU CINEMA: The hyperlink is visible to registered members only!
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zaracam
Member
Posts: 22
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excellent, merci ilote
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ilote06
Anonymous
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Ours76bjr, monsieur, mon msn est [email protected]a votre disposition pour toutes questions ou critiques. Respectueusement votre, ilote06
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ilote06
Anonymous
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Je passais un nuit très agitée en attendant le retour de ma tendre cherie, les heures passaient et je fini par trouver le sommeil bien après minuit et me réveillait le matin, seul dans mon lit. Dans la matinée un peu inquiet mais bousculé par mon travail, je reçu un message d’Agnès qui me donnait RV le midi au restaurant, pas un mot d’excuses, pas d’explications : Viens a 11h30 !, bien avant le début du service qui avait lieu aux alentours des 12h30, un peu surpris mais encore inquiet malgré tout, je finissais mes travaux en cours l’esprit ailleurs, ma secrétaire me rappela deux rendez vous ,ce qui m’arrivait assez peu souvent je dois le dire. Vers 11h je prétextais un rv extérieur au grand étonnement de Laure, ma secrétaire et je sortis pour me rendre au restaurant, arrivant devant l’entrée vers les 11h20 je poussais la porte et m’installais a une table dans le fond de la salle, un peu a l’écart et dissimulée en partie derrière un paravent de plantes vertes. Le patron me voyant entrer me salua d’un grand sourire et passa dans l’arrière salle en disant a voix haute : Agnès ,prends une pose, ton copain est la !, je vis sortir de la salle ma douce chérie perchée sur ses talons si haut qu’ils rendaient sa démarche provocante au moindre geste, vêtue d’une mini ultracourte ses longues jambes musclées gainées de noir et un petit haut en dentelle largement entrouvert laissant aisément voir sa poitrine haute et tendue. Alors qu’elle avançait vers moi, de sa démarche ondulante laissant aller ses hanches et ses si belles fesses musclées au gré de ses mouvements, je remarquais aussi mister ras de cou de cuir noir porté très haut et fini par une jolie boucle d’or et mister maquillage un pelus poussé qu’a l’accoutumé qui faisait ressortir ses si beaux yeux verts et ses lèvres pulpeuses en les teignant de rouge carmin. Se penchant vers moi, alors que j’admirais avec délice et toujours autant d’envie mister décolleté plongeant qui révélait la presque totalité de sa poitrine menue mais haut placée, elle m’embrassa a pleine bouche laissant sa langue si douce joue avec la mien laissant échapper un petit soupir de plaisir qui me rendis a moitié fou d’excitation : Je suis rentrée très tard, hier, marc, j’ai préfère renter directement chez moi j’étais si lasse que je ne pensai plus qu’a mon lit, tu m’excuse ?Encore tout étourdi et excité par se baiser precieux, je répondis : Je comprends ma chérie, tu as fait trop de sport, la fatigue, je connais aussi ! En lui souriant confiant. Oui, j’ai un peu trop forcé, hier soir et je suis rentrée éreintée e les muscles moulus, mais je suis très contente, je sens que je fais des progrès et je pense que je vais intensifier mes séances a la salle, ca ne te dérange pas trop ? , alors que je la dévorais du regard un peu surpris quant même, Tu sais, ca m’aide à me sentir a l’aise et bien dans mon corps !Un peu inquiet quant même des répercutions sur notre vie presque commune, je lui dis : Oui mais, nous nous verrons moins souvent, tu va rentrer tard tous les soirs ?, elle me répondit en s’asseyant en face de moi et en se penchant d’un air contrits : Marc, j’en ai besoin, je ne peux pas m’en passer, c’est plus fort que moi, ne me demande pas d’arrêter, je ne peux pas !!!!, au mister de sa voix devenue subitement, plus rauque, plus marquée, je compris qu’elle ne parlait plus du sport mais bien de ce qui m’excitais tant ! Elle sembla hésiter un moment et puis comme pour se libérer d’un poids elle se lança et me dis alors : marc, tu es mon copain, je tiens a toi et j’ai même besoin de toi, mais j’ai besoin de lui, d’eux, de tous, je les veux en moi, sur moi a travers moi, j’en ai tellement besoin que je suis prête a tout accepter pour qu’ils me donnent ce que je veux, tout, tu m’entends tout !Encore : Tout ce que je te demande c’est ta compréhension, que tu acceptes de me voir ou non, mais que tu me laisse libre à chaque fois que j’en aurais besoin ! A moitié assommé je ne savais plus quoi répondre, je la voyais en face de moi, si belle, si douce, si excitante et aussi si tendue, en attente, de moi, de lui ou d’eux, je ne sais plus, me voyant hésitant elle dis Je resterais abasourdis par cet aveu, ce cri du cœur, elle me prit la main et la serrant très fort me dis encore : Si tu l’accepte, je serais avec toi dans la vie, mais je resterais totalement et sans limites disponible pour lui ou pour eux a chaque fois que je serais appelée, tout le reste du temps je serais pour toi !Elle se leva et dis : Je vais prendre mon service, je te vois ce soir a 19 heure a la sortie de la fac, marc, mon chéri, je t’aime beaucoup !!! Je restais la, immobile, je la vis s’éloigner ondulant des hanches ses longues jambes a la peau si douce dénudées au delà du raimisternable, perchée sur ses talons si hauts. Les clients s’installaient, lui lançant des bonjours ou des sourires complices, elle se penchait vers eux, totalement docile sans le moindre gène, quelques mains passaient sur ses hanches, des baisers mouillés sur ses joues, une main glissant vers ses fesses qu’elle cambrait aussitôt complaisante et soumise. Je vis entrer Arnaud, entouré de sa cour, mister distingué Christian e deux autres hommes si bien vêtus, sans m’adresser un signe, ils passèrent devant moi pour s’installer une table plus loin dans un recoin discret, je les vis s’assoir en devisant sans me prêter la moindre attention, Arnaud, leva la main et dit en levant la voix : Agnès petite salope,viens ici !!!! Le feu aux joues, je n’osais qu’à peine lever les yeux de mon verre, je vis Agnès pivoter rapidement et sans la moindre hésitation se diriger vers sa table sous quelques rires de clients ! Elle passa prêt de moi, me lançant un regard furtif mais le sourire déjà aux lèvres et arriva prés d’Arnaud, il la pris par les hanche la fit tourner sur elle-même come pour mieux la présenter dans une danse sensuelle, sa jupe voltant autour d’elle révélant se cuisses entièrement nues au dessus de ces jolis bas noirs, sans se gêner le moins du monde, comme usant déjà d’un corps entièrement conquis, le possédant, l’utilisant, l’exhibant pour ses amis, il dit d’une voix douce et ferme : Alors ma petite putain,il parait qu’hier soir tu a fais des merveilles, puis se tournant vers ses amis il dit en riant :Cette petite salope s’est fait défoncer par quatre de mes copains hier soir, ils l’ont baisée et rebaisée pendant plus de deux heures et elle en redemandait encore , pas vrai ma petite pute chérie ?,elle répondis en chuchotant : oui c’est vrai, il lui passa une main sous la jupe et pendant qu’elle sursautait, il répondis :Plus fort, ma truie, dis le plus fort et dis le en détail, petite salope !!!,jetant un regard un peu gêné autour d’elle, elle se retourna vers lui et s’appuyant des deux mains sur la table se pencha sous ses caresses et dis d’une voix rauque mais bien plus forte : Oui, monsieur, ils m’ont baisée pendant deux heures, ils m’ont rendue folle et j’ai aimé ca a en mourir !!!La tenant toujours par la taille, une main la fouillant doucement par-dessous la jupe, il la força a s’assoir face aux autres, les cuisses grandes ouvertes, la jupe complètement remontée sur les hanche et le ventre visible vu mister absence de toute culotte, il lui caressait les cuisses en se penchant vers elle pour l’embrasser a pleine bouche devant tous ses amis, elle lui rendait mister baiser le corps cambré comme magictisée complètement possédée tout mister corps tendu vers lui, l’un des hommes se leva et se tournant vers Arnaud, dit : Dis moi, Arnaud, je peux ?,Arnaud la fixa en souriant, laissant passer quelques instant, profitant des regards affolés et soumis d’Agnès, de mister envie visible de suivre l’homme e répandis : oui vas y, mai ne soit pas trop long on part dans 5 mn, tu aura juste le temps de te vider en elle !!!! L’homme suivi, ma douce vers l’escalier, cet escalier qu’elle montant désormais si souvent, ne pouvant plus tenir je m’agitais a ma table, lançant vers l’escalier des regards angoissés et vers la salle des regards baissés assez gênés, tous les hommes de la salle semblaient de connivence, les rires fusaient les ricanements et les remarques salées les suivirent jusqu'à ce qu’ils disparaissent derrière le rideau des plantes vertes. Christian, assis, face a Arnaud, me fis un signe ,ce signe que j’attendais, que j’espérais, celui qui me permettais de les suivre, malgré la honte d’avoir a traverser toute cette salle emplie d’homme qui connaissaient Agnès, qui l’avaient sans doute déjà possédée ou qui n’attendaient que le moment de le faire, je me levais transis mais déjà si excité et je me dirigeais regard baissé, la nuque pliée vers l’escalier alors que je passais tout prés d’une table occupée par deux hommes et un jeune fille, j’entendis l’un des homme dire tout haut : C’est mister mec a la petite pute mais mister mac c’est monsieur Arnaud, elle fait tout ce qu’il veut, c’est marrant a voir, dès qu’il parle elle obéi a tout ! Ni tenant plus de honte, je m’engouffrais dans l’escalier et montait les marches quatre a quatre, arrivé sur le pallier j’en m’enfonçais dans la pénombre et ouvrait doucement la porte des toilettes des hommes, la presque face a moi, ma douce chérie appuyée sur un lavabo pas très net, la jupe remonte sur les hanches ses fesses cambrées tendue vers l’homme qui la pénétrais a grands coups de hanches, le visage haletant qui se reflétais dans le miroir me montrais ses yeux hagards sa bouche largement ouverte ses lèvres pleines mordues par instants laissant échapper un long gémissement de plaisir pendant que l’homme toujours plus fort lui défonçait le ventre la tenant par las hanches s’enfonçant encore plus en elle a chaque pénétration ! Ses seins aux pointes tendues sortaient du chemisier largement ouvert, je les regardais sursauter au rythmes des coups de reins de celui qui la possédait, il joui longuement en elle, ses mains accrochées sur ses seins lui triturant les mamelons en se vidant longuement dans la douceur de mister ventre ouvert et accueillant : resserre toi salope, serre tes cuisses, je vais jouir dans ton ventre de putain, tu aime ca salope, dis le que tu aime ca !!! D’une voix rauque et si soumise je l’entendis répondre : Oui oh oui, j’aime ca oh oui j’ai besoin de ca, oui, oui plus fort baise moi baise moi détruit moi le ventre !!!!, je suis une salope et j’aime ca !!!L’homme lui tenant toujours les seins s’empara de ses tetons et le tirant vers lui s’enfonça encore plus se vidant en elle a long traits tout en lui torturant la poitrine pour mister plaisir et pour marquer encore un peu plus sa docilité totale, ni tenant plus ,mort de honte mais plus que tendu d’excitation je m’échappais, je m’enfuyais descendant l’escalier pour rejoindre ma table et demander l’addition ! Après a peine 5 minutes alors qu’une des serveuses en riant m’apportait l’addition, je les vis redescendre, lui l’air plus que satisfait, elle les joues en feu, le chemisier encore ouvert, les yeux perdu dans le vague et sur ses lèvres gonflées par le plaisir un sourire aussi docile que satisfait, arrivé devant la table, alors que je réglais mon addition presque paniqué par la honte et par l’excitation j’entendis l’homme dire a Arnaud : Je ne sais pas ou tu as trouvé cette salope mais je n’ai jamais vu une petite pute réagir aussi vite quand on la baise !,Arnaud souri a Agnès et dit : Elle fera de mieux en mieux, elle est née pour ca et ne vit que pour sa faire baiser, elle deviendra ma salope entièrement disponible !,se tournant vers Agnès, il lui caressa la joue en se levant, l’embrassa a pleine bouche d’un air possessif et lui dit : Ce soir 20h Gym pendant une heure, ensuite tu passe au Sauna et tu fais tout ce qu’on te dit sans aucune discussions, compris ma petite pute chérie ? Agnès lança un regard furtif derrière elle, semblant me chercher du regard, puis se tournant vers lui et dis : Oui Monsieur Arnaud, j’y serais ! Elle commença à se reboutonner, il l’arrêta d’un geste dur et dis : Je sais bien que tu y seras petite salope, et laisse ton chemisier ouvert que tout le monde puisse voir ce que tu offre ! Sans plus attendre et sans même oser regarder derrière moi, je sortis du restaurant m’ enfuyant presque !
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ilote06
Anonymous
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marc et Agnès 13
Le soir même après une demi journée de travail passée come un cauchemar ou comme un rêve pervers, je rentrais chez moi h hésitant encore sur la conduite à tenir. Je réalisais l’emprise de cet homme sur ma si douce compagne, d’un autre coté ses besoins sexuels me paraissaient si impérieux que je tremblais a l’idée de m’y opposer, le plaisir que j’en tirais d’autre part me donnait encore plus a réfléchir ! Ressentir autant de plaisir à la voir ainsi disponible pour lui, docile et si soumise, offerte a tous ses caprices et prête à s’offrir sur un seul de ses gestes, me rendait presque fou de douleur et de plaisir de honte et de peur ! L’heure passait comme un somnambule je me retrouvais dans ma voiture en route vers le club de gym, je montais les escaliers presque automatiquement réalisais qu’il était déjà bien plus de 20h, discrètement je me changeais dans le vestiaire et je passais sur le balcon, retrouvant presque sans effort mon point d’observation, je cherchais fébrilement du regard ma douce Agnès a l’intérieur de la salle de musculation, de trois quarts face a la fenêtre opacifiée, portant un short en soie ultra moulant d’une blancheur éclatante, un tee shirt vert pale moulant ses seins si durs et s’arrêtant a peine en dessous d’eux offrant mister ventre musclé et sa peau si douce a tous les regards, assise sur une machine a Pectoraux les reins clés cambré contre le dossier les mains comme attachées sur les deux bras oscillants elle forçait lentement les yeux dans le vague, ses cuisses largement écartées ,sa poitrine gonflée aux pointes déjà tendues, elle haletait doucement sous l’effort, devant elle trois hommes parlaient entre eux en la matant sans la moindre gène, commentant ses efforts et admirant mister corps cambré sous le travail, derrière elle un homme penché sur elle lui parlait a l’oreille lui soufflait dans le coup la faisant frémir a chacune de ses paroles, concentrée sur l’effort je voyais nettement quelques perles de sueur couler le long de mister cou entre ses seins tendus, l’homme derrière elle, passa ses main autour d’elle et commença doucement a lui caresser la poitrine, de plus en plus vite elle accélérait les mouvement a mister rythme, poussant ses effort tandis qu’il lui malaxait les seins de plus en plus fort de plus en plus violement elle haletait maintenant sans retenue ses mordant les lèvres pour continuer a powerr malgré la douleur et le plaisir, l’homme regardait par-dessus mister épaule admirant le travail de ses mains, le résultat sur cette si jolie poitrine, pinçant de ses doigts durs ses tétons excités, la forçant a se mordre les lèvres presque au sang pour ne pas gémir ou crier, il lui disait de plus en plus fort au rythme de ses caresses et des mouvements des bras sur la machine : Allez petite salope, power un peu plus, encore un peu plus !!! Allez petite p--e !!! Si tu crie ou si tu ralenti je te fais hurler les seins, je te les tords jusqu’au sang !!!!Les hommes de face, se rapprochaient et admiraient le travail de leu amis, le corps tendu de ma compagne, les seins en avant, mister haleine sourde et haletante, ses gémissements de plus en plus difficilement contenus et ses mouvements pourtant docilement continués sans ralentissement, toute mister attention fixée sur deux buts, powerr et souffrir de plaisir !!!! L’homme lâcha ses seins un instant, elle repris a peine mister souffle puis passant ses mains sous le tee shirt très court qui laissait mister ventre musclé a l’air il souleva le tissus dénudant entièrement sa poitrine tendue, les homme riaient fixant les marques des doigts sur cette poitrine si docilement offerte a la douleur et au plaisir, l’homme remonta le tee shirt jusqu'à au ras du cou et recommença a malaxer ses seins offerts, griffant doucement plus de plus en plus fort les tétons durcis et si sensible de ma belle Agnès en disant : Allez petite salope encore deux séries et tu passe au sauna, ils t’attendent !!!!, un des hommes s’approcha et lui passa une main entre les cuisses ,lui caressant doucement l’entre jambe, insistant sur mister sexe enserré par le short moulant, il dit en riant : Ils ont intérêt a être prêt parce qu’elle elle est plus que mouillée, la cette petite p--e !!!!Comme suspendue aux lèvres de ces hommes qui lui parlaient, comme rendue a moitié folle par les paroles qu’elle entendait, je vis ma si douce compagne accélérer le rythme ,tout mister corps se tendre et mister souffle s’accélérer encore, elle finie ses deux série, la poitrine en feu, les tétons distendus entre les doigts si durs de l’homme derrière elle, elle gémissait presque sans retenu se laissant aller a sa *** ou sa caresses ? A sa douleur ou mister plaisir !!! Finissant enfin, elle se leva docilement et suivie des quatre hommes se dirigea vers le sauna, l’homme juste derrière elle, lui dit, Petite p--e, enlève ton short et donne ton tee shirt avant d’entrer !Docilement presque machinalement elle fit passer mister tee shirt par-dessus ses cheveux si blonds plaqués par la sueur, se pliant en deux elle descendit mister short offrant à ses suiveurs mister intimité épilée et trempée avant d’entrer dans le sauna, le corps cambré !
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herminien
Anonymous
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Bonsoir : très bon style. Descriptions particulièrement excitantes car très réalistes. J'aime beaucoup. Continuez. Tous mes meilleurs voeux pour 2010.
Amicalement
Herminien
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Ilote06
Member
Posts: 16
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Pendant qu’elle se dirigeait docilement vers le sauna, le corps en sueur et la démarche un peu hésitant, un des hommes la siffla comme un chien, elle se retourna déjà soumise le regard baissé les mains le long du corps, frismisternant doucement « Tu entre sans un mot petite pute et tu vas tout droit au fond de la salle, tu reste debout face au mur mains appuyée au dessus de la tète, ton petit cul bien cambré, allez petite salope dépêche toi ! » Comme deux des hommes présents quittait la salle, j’attendit un instant avant d’entrer a mon tour, passant devant les machines de sports, je vis la porte du sauna se refermer derrière celui qui l’avait suivie, un peu hésitant mais ne pouvant m’en empêcher je me dirigeait vers la porte du sauna a leur suite, ôtant fébrilement mon tee shirt et mon slip, je m’emparais d’une serviette qui trainait sur un banc et entrait dans le sauna, une atmosphère étouffante, un brouillard très dense, une sensation de chaleur et d’humidité et surtout de nombreuses présence, ce furent mes premières impressions. En m’habituant tout doucement a cette ambiance moite, je commençais a distinguer les lieux, de longues banquettes en bois sur deux étages, des parois ne bois également, un fontaine centrale dispensant la chaleur et les jets d’eau coulant doucement, plusieures silhouettes masculines entièrement nues et au fond sur le mur appuyée docilement des deux mains les reins cambrée, Agnès ma délicate compagne le corps frismisternant et tendue ,frémissant de sentir les hommes se rapprocher d’elle si offert, si docile et déjà entièrement soumise a tous ! J’entendais clairement les hommes parler entre eux « Elle est superbe cette salope », « quelle petite pute, elle s’offre déjà a peine entrée », « tu as vu ce cul ??? », et a chaque phrase plus crues et plus vulgaire, mister corps déjà tendu se cambrait encore plus, je m’approchais le plus possible me calant a l’angle d’un pilier pour mieux voir sans risquer d’être vu ! Plusieurs des hommes présents étaient déjà en érection se pressaient contre elle, deux lui massaient les seins vulgarement profitant de sa posture offerte et de ses mains appuyées sur le mur, je l’entendais aussi haleter sous les mains qui malaxaient mister corps , ses fesses , mister sexe surement déjà humide et ouvert, ils se pressaient contre elle l’embrassant dans le cou, lui tordant la tete pour fouiller sa bouche aux lèvres gonflées de leurs langues avides et violentes, l’un d’eux la retourna sans qu’elle résiste et la força a s’agenouiller devant lui, plutôt devant eux tant ils se pressaient autour d’elle je me penchais pour mieux voir, pour mieux la voir avaler le sexe tendu qui forçait ses lèvres pleines, lui envahissant la bouche, lui distendant les mâchoires sans la moindre délicatesse. Je les entendais commenter : « Elle suce comme une vraie pute ! », « elle est vraiment douée cette petite trainée », « Arnaud avait raimister, il lui fait faire n’importe quoi, c’est sa pute permisternelle »,l’homme qui lui possédait la bouche la tenait par la nuque lui caressant doucement la tète, passant sa main dans ses cheveux trempés, il rythmait la fellation, il lui baisait la bouche tout en l’insultant d’une voix sourde et rauque « Tu aime petite pute ? », « Ca te plait de te faire défoncer la gorge ? », « Tu es née pour ca, petite pompe a bittes ! », « Tu va tous nous avaler avant qu’on te baise a mort ! », il continuait a lui parler tout en lui défonçant la bouche a grands coups de reins de plus en plus violent, je l’entendais haleter, s’étouffer, sa tète cognant parfois le mur sous la power des coups de reins qui lui ouvraient de plus en plus la bouche, la power a avaler de plus en plus loin le sexe qui la possédait, les autres autour comme magictisés par le spectacle se masturbaient lentement la regardant se soumettre a ce sexe qui la violait sans aucune défense de sa part, elle était, la, a genoux le corps nu et les reins cambrés ,sa poitrine aux tetons gonflés ballotant au rythme de la pénétration. Accélérant mister va et viens l’homme se libera au fond de la gorge de ma douce Agnès ses mains crispées sur sa nuque lui collant mister ventre sur le visage, lui envahissant totalement la bouche et se vidant en elle a longs traits de sperme mister bassin sursautant a chaque giclées l’étouffant encore un peu plus pendant qu’elle avalait en cherchant désespérément a reprendre mister souffle, il sorti sa queue de la bouche distendue, lui frappa a plusieures reprises le visage de mister sexe gluant en riant, sans le moindre délai un autre pris sa place engouffrant mister sexe distendu dans la bouche dégoulinante aux lèvres gluantes de la semence du précédent, la fellation ou plutôt le viol repris encore plus fort, pendant que deux autres hommes lui tenant les bras pour l’empêcher de se débattre. L’homme ne parvins à tenir que quelques secondes avant de se vider au fond de la gorge offerte en l’insultant d’une voix étouffée, « Avale petite salope ! », « Bois mon sperme pompe a bites », « C’est vraiement une vraie truie cette petite putain » ! Sans ménagement un troisième la releva alors qu’elle était encore en train de reprendre mister souffle, les yeux emplis de larmes encore a moitié étouffée, le sperme coulait lentement du coin de ses lèvres charnues, elle haletait, il la lève la retourna la forçant a s’appuyer sur le mur courbée les reins cambrés et la croupe offerte, plus deux hommes a coté d’elle lui malaxaient la poitrine, étirant douloureusement ses tetons déjà très durs, la faisant gémir sans arrêt sous leurs doigts si durs, l’homme derrière elle la pénétra d’un trait sans le moindre égard et avec une facilité qui démontrait l’humidité e mister sexe, elle se redressa violement en feulant sous la pénétration, il s’enfonça encore plus violement tout au fond de mister ventre, la massacrant a grands coups dd reins violents, tout mister corps tressautait au rythme de ses coups de reins ,elle cambrait ses fesses comme pour mieux l’accueillir au fond d’elle un long gémissement de jouissance s’échappant de ses lèvres entrouvertes, sa tète tournait de gauche a droite jetant autour d’elle des regards a moitié fous,elle commença a jouir en hurlant tendis que les hommes autour d’elle lui massacraient les seins, amplifiant tout autant sa jouissance, l’homme se vida en elle a grands coups de reins, sa tète cognait contre le mur, elle gémissait et poussait des cris presque sans arrêt. A peine vidé dans mister ventre, il sortit sa queue et dit aux autres, « Prenez la et allongez la sur le banc de massage au milieu, cette truie ! », plusieurs bras se tendirent, pour s’emparer de mister corps presque inerte, sa tète ballotant, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un gémissement sourd, ils la posèrent sans égard sur la table centrale, l’homme qui dirigeait les ébats, se mit a rire en disant : « Il y a a peine 15 mn qu’elle est la et elle est déjà remplie de sperme cette petite salope !, Posez la en « équilibre la tète dans le vide et les reins au bords de la table sur le dos, tenais la bien ! ». Penché derrière le pilier le sexe prêt a exploser sous la serviette, je regardait le corps de ma douce Agnès écartelé sur la table la nuque dans le vide tète en arrière, ses yeux lançant des regards angoissés mais si soumis de partout ,mister corps tendu, mister ventre soulevé ses reins cambrée ,ses bras tenus de part et d’autre par des mains dures un homme s’approchant lui écartant les cuisses et la pénétra sans la moindre hésitation,s’enfonçant au plus profond de mister ventre lui arrachant un long gémissement de douleur et de plaisir, deux hommes se penchaient sur elle pour lui aspirer les tetons, mordant, mordillant léchant, elle se tordait sous la pénétration et les caresses mammaires, ne pouvant s’empêcher de gémir de plus en plus fort, de supplier, d’implorer qu’on la baise encore et encore, un homme la contourna et en riant lui prit la nuque pour enfoncer mister sexe dans sa bouche offerte ,commençant immédiatement a lui baiser la bouche sans le moindre égard de plus en plus violement, je voyais tout mister corps tressauter sous la double pénétration et sous les morsures de plus en plus violentes, l’un des hommes tordant un mamelon entre ses doigts, le montra aux autres en disant : « Regardez, je vais lui mordre le seins a pleines dents et elle va jouir encore plus fort », joignant le geste a la parole je regardais sa bouche avide se pencher sur elle et mordre mister teton l’étirant entre ses dents lui imprimant la marque de sa soumission sur les seins !
N’y tenant plus je me sentis jouir sous la serviette, m’enfuyant honteux et le sexe encore humide pour sortir du sauna.
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