pineau
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Ce matin là, je n avais pas eu le droit de me doucher. J’avais passé la matinée à faire le ménage dans la maimister entièrement nue. Cet après midi, mon Maître m’avait mis un collier de chien bien serré et une laisse et il m avait appris à me déplacer à 4 pattes tenue en laisse, les genoux bien écartées pour laisser bien visible ma raie, mon anus et ma chatte luisante et odorante. Mes mamelles ne pouvaient pas pendre plus dans cette position de chienne et je sentais l odeur de mes aisselles avec cette chaleur et le travail de ce matin.
Il me promenait ainsi dans la maimister, je lui avais fait part de mon envie d’uriner plusieurs fois mais il ne semblait pas décider à me laisser aller aux toilettes. Il avait une longue cravache qu’il faisait glisser sur mes fesses, sur ma raie, sur ma chatte, mes cuisses et mes mamelles et parfois il donnait un petit coup sec. Il m a dit " Tu aimes les surprises et tu adores ta nouvelle condition, n’est ce pas ? " J’ai répondu oui absolument au deux. " Alors tu vas en avoir une et tu me remercieras plus tard ". Il m a mis un bandeau sur les yeux.
La misternette retentit et il m emmena avec lui dans le couloir. Il me tenait toujours en laisse et il ouvrit la porte. Là, j’entendis " Bonjour c’est nous " , c’était la voix d’une femme. Je connaissais cette voix mais je ne savais pas à qui la mettre, à quelle femme elle appartenait mais je la connaissais. Je me suis faite bousculée non par elle mais par par deux chiens de ma taille enfin dans cette position ils étaient aussi haut que moi. Elle devait les tenir en laisse, elle entra et ferma la porte. Mon Maître m emmena, il annonça " je dois la sortir " à quoi elle répondit " les miens ont juste à l instant de hors " " vous avez une belle chienne " " Merci répondit il les vôtres mistert magnifiques ".
J étais désormais sur la pelouse et ils attendaient que je pisse dans cette position à 4 pattes en laisse devant eux. J’avais tellement envie depuis longtemps que malgré la honte, j ai fait pipi alors qu’elle déclarait à oui c’est bien une femelle elle pisse dru dites donc tout en retenant ces chiens qui cherchaient à me renifler. Lorsque j ai eu fini, nous sommes rentré dans le salon. Là, elle a proposé à mon Maître de nous laisser faire connaissance. Il a lâché la laisse ainsi que elle j imagine et j ai senti ses grosses truffes venir me renifler et me laper partout sur le corps. J’étais figé à 4 pattes au milieu de la pièce je ne pouvais que les laisser faire. Ils me léchaient la raie, la chatte, les aisselles, les seins, je mouillais malgré tout et plus je mouillais et plus ils léchaient.
Oh regardez dans quel état, elle l’est à mis dit elle. Il est temps ne pensez vous pas ? ajouta t elle. Attendez répondit mon Maître. Il m a attaché, je ne pouvais plus fuir. Puis, j ai senti qu elle reprenait un de ses chiens en laisse. Elle l’a emmené derrière moi et lui dit de grimper au bout de la troisième fois il m a grimpé dessus et j ai senti sa queue sur mes fesses. J ai essayé de fuir malgré mes efforts je n arrivais à accepter cela et j ai commencé à dire " non pas ça non " et je suppliais mon Maître , je me dandinais et me penchais en avant au point que le chien descende de mon dos.
Mon Maître s’est approché de moi et m a donné une série de coup de cravache sur les fesses tout en disant à cette femme " Donnez moi votre culotte " à peine avait il fini de dire cela qu’il me fourrais ce string inondée de mouille et goût au fond de la bouche. C’est sa première saillie vous comprenez dit il. Elle présenta de nouveau mister chien et elle plaça sa queue dans ma chatte. Il m a enfilé et m a limé rapidement , sauvagement et j ai senti cette grosse queue de chien me fourrer la chatte et se vider en moi. J en pleurai sous mon bandeau. Il sortit et elle présenta le deuxième mais cette fois sa queue contre mon anus et il m encula aussi vite et aussi sauvagement que le premier. Elle demanda si je pouvais nettoyer leur queue et mon Maître de répondre oui je pense qu'elle est dompté désormais. Il m a détaché les mains et les chiens étaient allongés devant moi. On me plaça une main sur chaque queue et il me tira la tête par les cheveux pour que ma bouche trouve ces queues.
J’étais écœuré de moi, de ce que je venais de faire mais j’ai pris de plus en plus d’attention à les sucer pour les nettoyer. Leur queue encore raide, grosse et visqueuse de foutre. Mon Maître a considéré qu’il pouvait désormais me détacher complètement avilie et docile. J étais entre les chiens les suçant, l un d entre eux est venue me lécher l entrejambes.
Elle s’est penchée et m’a retiré le bandeau. Je découvrais cette queue de chien que je suçais et en levant les yeux cette femme le débardeur relevé, les seins à l’air , la jupe retroussée qui s’empalait la chatte sur le sexe de mon Maître. Elle était blonde et épilée. Celui qui était derrière m a grimpé de nouveau. J allais lui placé sa queue en moi quand elle a dit qu il t a déjà prise ta chatte de chienne mets le dans ton gros cul sale chienne. Je me suis exécutée et il m a enculé. Je suçais donc celui qui m avait enculé. Ils ont joui pratiquement les trois ensemble. J ai du venir lécher la chatte de cette femme, puis le sexe de mon mari alors que le deuxième venait pour la deuxième fois mais cette fois il avait droit à ma chatte. J ai léché ces chiens avant qu ils ne partent.
Au moment où elle m avait enlever le bandeau et que j avais levé les yeux, je l avais reconnu et en effet je connaissais cette voix ? C’était celle d’une collègue de travail qui travaillait dans un autre service et à un autre étage mais nous étions de la même société et je savais pour mon Maître avait des relations commerciales avec plus plus que j en avais entre collègue. J’étais honteuse, humiliée, détruite.
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pineau
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Babette est ma collègue que je ne côtoies jamais au travail n’étant ni dans le même service ni au même étage. Si vous avez lu Un chien, une chienne… c’est elle qui a deux chiens. Elle a la trentaine, mariée, blonde une vrai, au sexe épilé, une belle poitrine et partage certains vice avec mon Maître qu’elle rencontre dans le cadre du travail.
Depuis quelques jours mon Maître ne me parlait plus que d’elle lorsque je rentrais du travail et même le week end. Evidemment, je n’ai pas le droit à la jalousie et donc je me taisais malgré le mal que cela me faisait. Le mari de Babette étant régulièrement en déplacement durant la semaine, elle l’appelait à la maimister et il passait des heures à discuter jusqu’à se masturber chacun de leur côté et mon maître le faisait devant moi alors que j’entendais tout de leur conversation. Il m arrivait d’en pleurer et lorsqu’il venait se coucher il ne me touchait plus. J’étais punie, c’était une nouvelle punition pour ne pas progresser assez vite dans mon objectif de devenir une bonne vieille grosse truie.
Il continuait à choisir et décider de mes tenues chaque matin mais il ne faisait plus d’achat. Il ne me faisait plus raser ma chatte et mon poil dru avait envahit mon pubis largement. Le poil débordait allégrement des strings, j en étais gênée moi même désormais. Le soir lorsque je rentrais, je ne lui racontait plus ma journée alors qu auparavant je faisais mon rapport pendant qu’il vérifiait l’état de mon entrejambes et de mes mamelles.
Alors que j’allais quitter le travail, Babette a débarqué dans mon bureau et a fermé la porte. Elle a retroussé sa jupe et a retiré mister string puis elle l a mis dans un petit sachet de congélation et me l a tendu. Je l ai pris ne sachant quoi faire et elle m’a déclaré " Tu donneras cela à ton mari, je lui ai promis, il pourra vérifier que je me suis masturbée trois fois cette journée, que je ne me suis pas essuyé après le pipi ni après mes jouissances ". C’était affreux, j’étais le postier qui allait apporter à mon mari la culotte souillée de ses jus et odeurs de cette femme.
De retour à la maimister, j’ai donné le petit sac à mon Maître. J’ai vu ses yeux briller et immédiatement prendre le string et l’amener à ses narines. Il l’a humé et poussait de petit cri d’excitation tout en disant " humm la cochonne, oui une bonne cochonne, une bonne mouilleuse " et il se caressait le sexe pendant ce temps là. Elle l a appelé un peu plus tard et bien évidemment il parlait de mister string et elle de sa journée à mouiller dedans pour lui. Je l ai entendu jouir fort, j’étais dans mon lit et je pleurais.
Le lendemain, le string qu’il m avait préparé était sec et humide de mister foutre. Il avait dû jouir dedans tout en reniflant le string de Babette en discutant avec elle. Je l’ai porté mais j’étais jalouse que se soit elle qui ai permis que ce string soit inondée du foutre de mon Maître. En fin d’après midi, elle a recommencé mister petit jeu et moi j’ai ramené la culotte du jour à mon Maître. Le lendemain, j ai dû porter le string de Babette qu’elle avait donné en premier et il était encore plein de mister sperme et de sa mouille séchée. Il était petit pour moi, il me rentrait dans la chatte, dans la raie, me martyriser le clito et ma chatte sentait le foutre et les odeurs de Babette. C’était humiliant au possible. Cela a duré toute la semaine. Et je portais chaque matin, le string précédent de Babette qu’elle avait abondamment souillée et qu’il avait inondé.
Le week end, j’ai dû nettoyer les string de Babette avec ma langue jusqu a les rendre propre. Le lundi soir, elle n’est pas passé au bureau, j en étais très contente que ce manége cesse en revanche elle était là chez moi lorsque je suis arrivée prenant un verre avec mon mari. Je me suis assise avec eux mais ils ne faisaient pas attention à moi, ils discutaient. Elle a retiré sa culotte et l a offerte à mon mari. Ils ont commencé à se caresser, elle a fini juste en bas et il était entre ses jambes à lui lécher la chatte avec gourmandise sous les râles de Babette. J’ai quitté la pièce et je suis allée me coucher, je les ai entendu jouir plusieurs fois.
Ils mistert montés dans la chambre, j’ai dû sortir du lit et me mettre debout à côté du lit. Ils ont baisé longuement devant moi. Babette me disait que j’étais qu une conne que je ne savais pas ce que je perdais, de regarder comment mon mari l’a baisée magnifiquement bien, ils s’embrassaient longuement comme des bêtes en rut , elle ajoutait que si il était si bon c’était parce qu’elle avait 30 ans et qu’elle savait y faire contrairement à la vieille pouffiasse incapable que j’étais. Je pleurais et lui confirmait ses dire. J ai dû dormir au pied du lit comme ses chiens.
Au petit matin, elle m a mis mon collier de chienne et la laisse, elle m a emmené au bord du lit et j ai dû sucer mon Maître sa queue avait encore toutes les odeurs de Babette. Puis, elle m a sorti dans le jardin pour mes besoins. Nous nous sommes préparées et je l’ai emmené au travail. J avais toujours le collier et la laisse sur moi, elle ne les a enlevé que sur le parking de l’entreprise. Durant le voyage, elle avait une main sur ma chatte et m a branlé toute la route au point de me faire jouir trois fois alors que de mister autre main elle me martyrisait les tétons à travers le SG. Aux portes de l’entreprise alors que nous allions dans des directions différentes , elle m a dit passe chez moi ce soir voir les chiens, ils seront contents et ton mari te pardonnera peut être.
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pineau
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Babette est une salope née. Elle est extrême et adore me faire baiser par ses chiens, m humilier, me rabaisser et me considère vraiment comme une truie rien qu une vieille grosse truie. Elle est dure et adore baiser avec mon mari pardon mon maître. Ils ont les mêmes vices et se les partagent magnifiquement surtout, je pense, en ma présence.
Mon maître m ignorait depuis plusieurs jours. Certes, il choisissait toujours mes tenues mais de retour du travail il ne souhaitait plus connaître mon rapport ni me toucher. Il considérait que je ne progressais pas assez vite, trop lente et en plus Babette lui permettait de me passer de moi. Nous étions samedi matin, il était parti pour la matinée et m avait laissé à la maimister pour faire le ménage. J étais totalement nue.
C est ainsi que j ai reçu le facteur. Je l ai vite eu en bouche et très rapidement il est venu m enculer sans ménagement ni autre préparation. Il s est vidé dans mon cul me lâchant des mots crus à la pelle depuis qu il était entré. J ai du le sucer pour le nettoyer et il est parti mais il demanda l heure du retour de mon maître et dit " Je vais t envoyer de la bite, vieille truie ". Quelques minutes plus tard, un homme du village arriva, je le branlais alors qu il me pelotait, me palpait, me flattait le cul et il m a pris la chatte. Il me bourrait la chatte sur la table de cuisine quand un autre homme est entré. Il est venu naturellement dans ma bouche. Je me suis faite remplir ainsi, j étais la grosse truie du village. Un peu plus tard c est un jeune qui est venu, j ai du le branler et le sucer et il m a joui sur les seins. Un autre enfin est venu, je l ai pompé et il a joui sur mon visage.
Lorsque mon maître est rentrée, j avais du sperme plein le visage, les seins, la bouche et le goût de queues également, ma chatte et mon cul remplie. Il m a regardait et m a déclaré " je vois que tu fais des efforts " " mais propose moi quelque chose où tu me montreras que tu progresses en tant que vieille grosse truie ". Jusqu alors, il m ordonnait parfois m invitait à essayer et j obéissais toujours mais cette fois c était à moi de proposer et montrer ce que je pouvais faire en vieille grosse truie. Je suis allée chercher le gros collier de chienne et la laisse, je les ai mis, je me suis mise à 4 pattes, tête baissée et honteuse de ce que j allais déclarer. J ai dit " je souhaite les chiens de Babette ".
Il m a pris en laisse et je suis allée grimper dans le coffre de la voiture à 4 pattes. Babette a été ravie de nous voir arriver et particulièrement moi, " cette vieille grosse truie dans mister état naturel souillée comme j aimais l être" comme elle a précisé. Elle a sorti ses chiens et ils nous ont promené dans le jardin. J étais toujours à 4 pattes, genoux écartées, j ai pissé et déféqué devant eux ainsi. J étais dans un état second pour faire cela mais ils voulaient de la vieille grosse truie, je leur en donnais, plus de limite pour moi, du moins à ce moment là. Nous sommes rentrées, Babette et mon maître se caressaient, se branlaient. Quant à moi, j ai pris les choses en main, l un des chiens me lapait la chatte et le cul alors que j ai commencé à sucer l autre.
le premier m a vite grimpé et il a trouvé ma chatte. Je continuais à sucer le second. J arrêtais parfois de sucer pour encourager le chien qui me limé. Babette et mon Maître n en croyais pas leurs oreilles. J étais si si … qu’ils ont arrêtaient de baiser et ils m ont regardé. Après avoir eu la chatte remplie et la bouche, j ai continué avec les chiens le second est venu derrière moi et je l ai placé dans mon cul. Je suçais celui qui m avait pris la chatte. Je nettoyais sa queue gluante qui sortait de ma vieille chatte de truie. J encourageais l autre à me démonter le cul. Ils ont joui ainsi et moi également.
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