Les confessions de ma salope

Je trouve toujours amusant les "justiciers" du net qui se posent en garant de la vérité et qui veulent en convaincre les autres.
Je pense que si Claire avait été fabriquée de toute pièce par l'imaginaire de mister mari cocu, il l'aurait sans doute choisie plus mince et plus belle...
cocufieur

Cavalier, notre ami Marcel, c'est le Marcel Proust des récits de cul !
J'ai reçu toute une série de photos de Claire de la part de notre romancier
via MSN.
Et je te confirme qu'il ne s'agit pas tout le temps de la même nana.
Fais de même ici en consultant les différents topic et tu pouras juger par toi même. Je ne suis pas justicier dans l'âme mais les fantasmeurs me gonflent !
Educateur strict pour tous vides couilles seule ou en couple.

https://www.cuckoldplace.com/16_38509_0.html

Pour ceux qui douteraient de mes propos, je vous invite à relire ce topic de 2007. On y apprend même que cavalier aurait sans doute photographié Claire au bois de la Cambre pour ceux qui connaissent Bruxelles puis l'aurait baisée à l'hôtel pour 100 Euro. C'est une association de malfaiteurs
nos deux amis !
Educateur strict pour tous vides couilles seule ou en couple.

Aujourd'hui, mister cul est devenu vraiment gros.
Mais il fait toujours bander les mecs

son cul de vache

Et tellement accueillant

marc-le-cocu

Bonjour marcetclaire
Si vous voulez passer aux choses sérieuses, je peux vous organiser un super gangbang parisien pour chauffer la belle bouffeuse de bites.
Si vous le souhaitez, on pourra aussi prendre des photos pour les mettre sur le site.
Alors contactez-moi et que la fiesta commence...
A bientôt.

Et c'est reparti ! vous êtes décidément incorrigibles, les garçons.
Qu'est-ce qu'on en a à a f... que Claire soit vraie ou pas, toujours la même ou parfois une autre ?
Marcel, si tel est mister prénom, nous a concocté une petite histoire sympa, plutôt bien écrite, avec des photos pas inintéressantes (si on est amateur de grosses cochonnes replètes) : que demander d'autre ? Un certificat de naissance et une photocopie de pièce d'identité de la cochonne ? Un extrait d'acte de mariage du couple ? un certificat médical attestant des mensurations de la nana ?
C'est mister fantasme, et il nous le fait partager, de quoi se plaint-on?
On sait tous qu'il n'y a pas une histoire sur dix mille qui circule sur ce genre de forum qui soit authentique, et c'est d'ailleurs pour ça qu'ils existent : pour permettre à chacun de défouler ce qui le démange entre les neurones et le fond du caleçon. Le reste n'est que foutaise.
Si on veut de la vraie vie, avec de la vraie chair, de vraies rencontres avec de vraies permisternes, on ne vient pas ici, on descend de chez soi et on sort dans la rue. Le problème demeurant le même d'ailleurs : est-on sûr de pouvoir croire tout ce que racontent les gens qu'on y rencontre ??
Et nos adorables petits pourchasseurs de fantasmes sur le net, dénonciateurs des vilains "escrocs" qui y épanchent leurs désirs imaginaires, mistert-ils bien sûrs de n'avoir jamais raconté un bobard à permisterne, pour se faire plus beaux que nature ? N'ont-ils jamais monté un bateau à une gonzesse, histoire d'améliorer leur pourcentage de chance de finir la soirée entre ses cuisses ?
Non, bien sûr, et c'est pourquoi, plutôt que de se frotter à la vraie vie, ils préfèrent venir ici se coltiner verbalement avec ceux qui font l'effort de mettre en scène des récits dont peu importe la véracité, pourvu qu'ils nous distraient, nous émeuvent et nous excitent.
Mais c'est vrai que c'est plus confortable ici : si on accuse quelqu'un en pleine face de vous mentir, on prend toujours le risque de s'en faire coller une dans la tronche !
En fait, moi, l'imaginaire et le fantasme me dégoûtent : je suis d'accord, on aurait du guillotiner Alexandre Dumas, pendre Jules Verne et faire brûler vive Emmanuelle Arsan ou Régine Desforges, tous ces escrocs minables qui nous ont raconté des histoires qu'elles n'étaient même pas vraies, na !!

PACO 2244, LE FLIC DE CUCKOLD.

Bientôt la suite du récit de Claire, ou de grosse pouffe docile, elle est devenue une vraie salope qui fait tourner la tête aux mecs.

En attendant, une petite sortie ce dimanche en forêt.
Première série de photo, à suivre également...

ses gros nibards exposés

le voyeur les tire encore vers le bas

puis les empoigne à pleines mains

avant d'y mettre la bite

marc-le-cocu

Putain Paco, je le reposte tellement pour le coup c'est vrai, mille et une fois vrai.......exactement ce que je pense aussi, qu'importe que ce soit une fiction ou un récit authentique, c'est bien écrit et on s'y croirait et c'est bandant........d'ailleurs j'ai noté qu'on emmerde toujours les fantasmeurs ici et jamais les lourdingues, c'est étrange........

PUTAIN CES MAMELLES DIGNES D' UNE BONNE TRUIE.

Cette année-là j’ai redoublé mon année de droit et mes parents m’ont coupé le vivres. Ils n’étaient pas du tout au courant de ma vie sexuelle dissolue, ils m’auraient reniée complètement s’ils savaient. Ils se doutaient sans doute de quelque chose mais ils n’en ont jamais parlé. Pour ce qui est de mes résultats, ils avaient toujours dit, pour leur trois filles, qu’ils ne financeraient pas une année redoublée.
J’ai failli abandonner mes études, mais un fond d’orgueil m’en a empêchée et j’ai décidé de me reprendre en mains. Je me suis donc réinscrite à la fac, j’ai commencé un régime et je me suis mise à travailler.
D’abord dans un snack. C’était crevant et je ne gagnais pas grand chose.
Puis, j’ai trouvé un job en soirée dans un bar latino. Il y avait un barman et deux serveuses. Ma collègue mexicaine était un vrai canon, mais j’attirais aussi les regards des mecs par ma blondeur et par mes rondeurs. Beatriz et moi, il nous arrivait de coucher parfois avec le barman et même l’une ou l’autre fois à deux. Ce fut ma première expérience avec une femme. A l’inverse de moi, elle avait un petit cul très serré, des jambes assez musclées et de petits seins pointus, elle adorait sucer mes gros tétons et fourrager dans ma chatte. Elle aimai m’introduire de gros objets, et j’aimais la laisser faire.

Pendant cette période, j’ai reperdu les kilos vraiment superflus et quand je m’habillais en jupe courte, je ne ressemblais plus à une grosse pouffe. Il m’est arrivé assez souvent de terminer la soirée dans le lit d’un mec, mais plus n’importe lequel. Je me payais le luxe de pouvoir les choisir. Par pure perversité, j’adorais allumer les autres aussi, même ceux que je trouvais moches ou cons et à qui je savais pertinemment que n’offrirais jamais mon corps.

La journée, j’étais relativement appliquée à mes études, j’allais au cour et je faisais mes travaux. Du jeudi au dimanche soir, je m’éclatais et je m’amusais à faire tourner la tête aux mecs. Après la première nuit, mes amants voulaient toujours reprendre un rendez-vous, commencer une relation. Mais moi, non. Je ne voulais plus m’attacher. Il arrivait que je recouche avec l’un ou avec l’autre, mais il arrivait plus souvent que je le rende jaloux en me laissant draguer par un nouveau candidat.

Puis j’ai rencontré Rui, un homme de quinze ans mon aîné. Il venait régulièrement au bar et me regardait toujours avec un petit sourire narquois. J’étais intriguée et donc un soir, par curiosité, je suis repartie avec lui. C’est le premier homme qui m’a emmenée à l’hôtel. A la réception, j’étais intimidée et gênée, mais apparemment il devait être connu car on ne nous posa aucune question. L’hôtel était plutôt chic et, en arrivant dans la chambre, j’ai disparu dans la salle de bains pour prendre un bain à bulles. Quand je suis sortie, il était étendu sur le lit, la bite à demi dressée, et un torse très velu dans lequel j’eus immédiatement envie de faire jouer mes nichons. En m’approchant, je vis deux billets de
500F sur la table de chevet. Je le pris d’abord très mal. Je lui dis que je n’étais pas une pute. Que j’étais venue parce que j’en avais envie et dans l’intention de faire l’amour gratuitement avec lui. Il se mit à rire en me disant que si, bien sûr j’étais une pute mais que je ne le savais pas encore. Que lui, par contre le savait pour m’avoir observée une demi-douzaine de fois en train d’allumer des mecs. Il me dit aussi qu’il fallait une première fois à tout, et qu’il préférait payer, pour avoir plus de chances de pouvoir revenir.
Là dessus, il ne me laissa pas argumenter d’avantage et il me prit de manière très autoritaire et vigoureuse. Je me laissai faire et je jouis superbement. Quand il eut déchargé sur mon ventre et sur ma chatte, je restai longuement sur le dos, les jambes écartées, abandonnée. Dans une demi conscience, je le vis se rhabiller et me dire: la chambre est payée et ton petit déjeuner aussi, moi je dois y aller, sinon ma femme va se demander quoi.
Ce n’est qu’après mister départ que je me rappelai des 1000F. Ils étaient toujours sur la table de chevet. Je les mis dans mon sac, puis je me lavai de sa jouissance et je me recouchai jusqu’au matin.

mes nichons sur son torse velu

Un cul encore gros mais plus élégant

J'avais 20 ans

marc-le-cocu

BON A 20 ANS TU ME PLAIS BIEN. TU ME DONNES RENDEZ-VOUS MAINTENANT MALGRES TON AGE AVANCE ?

Avec mister âge "avancé", elle semble vider les couilles mieux que jamais
cocufieur

Ce serait dommage de mourir sans s'être soulagé entre ses cuisses
cocufieur

Très étrange, en effet !! Merci de ton soutien, Mixli
Quant à Claire, plutôt que de se laisser démonter par les fameux lourdingues, qu'elle continue de se faire plutôt de se faire démonter pour notre plus grand plaisir !!

La suite de la petite promenade du dimanche de Claire avec l'heureux voyeur qui en a profité.

Sa vallée à bites

Sa spécialité

Escale dans la bouche de pipeuse

Et il lâche tout son foutre sur ses grosses mamelles

marc-le-cocu

TIENS LE FLIC DU SITE SE REVEILLE.
BELLE SALOPE, TU AS DES NICHONS SPLENDIDES ET BIEN LUBRIFIES AU FOUTRE. LA QUEUE ENTRE TES DEUX SEINS TE VA A RAVIR.

Après avoir servi, Claire se rafraîchit

Eliminer les traces de sperme

Remise à neuf

marc-le-cocu

Somptueuse, je l'adore !!

QUELLE JOLIE CHATTE SOUS SA DOUCHE.

Sa chatte remise à neuf est tout de suite remise à disposition

Prête à recevoir

Déjà temps de retourner dans la douche

Elle a encore servi

marc-le-cocu

LA TRUIE A LA CHATTE DEGOULINANTE DE FOUTRE. SA CHATTE EST JOLIE ET BIEN ACCEUILLANTE. CETTE PUTAI A UN TRES JOLIE CUL.

Trés en formes Encore !

Voici encore ma merveilleuse épouse avant et après la vidange d'un voyeur.
J'adore quand ils remontent leur braguette en la laissant pleine de sperme, comme une serviette qu'on abandonne après s'être soulagé...

Je remarque que ses photos ont plus de succès que mister récit. C'est un peu dommage, parce qu'elle entrait dans la phase la plus active de sa vie de grosse salope.
S'il y en a qui mistert intéressés par la suite, exprimez-vous ici...

Prête à recevoir

après avoir servi

tu peux te rhabiller maintenant

marc-le-cocu

DES NICHONS A TRAIRE. CETTE TRUIE A DES ROBERTS MERVEILLEUX.

Je veux, mon neveu, qu'on veut la suite : des photos, aussi sympas soient-elles, ne remplaceront jamais la puissance d'évocation d'un texte. J'ai hâte de connaître tout de mister évolution, de toutes les cochonneries qu'elle a faites, et de celles qu'elle a encore envie de faire...
La suite, VIIIIIITE !!!

Moi aussi, je languis aussi des aventures de la belle plantureuse !
Comment s'est-elle fait tirer ensuite ? Qu'est-il advenu de ses généreux trous à bite ?
Comment s'est-elle fait fourrer, cette belle grosse salope ??...
demimolle,
voyeur-branleur inoffensif et respectueux

OUI VIVEMENT LA SUITE DECETTE SERIE !

Je me suis franchement intéressé au "confessions de la salope" depuis jeudi dernier seulement. Jusqu'àlors, c'était un des multiples sujets que je lisais en diagonale. Qu'est-ce qui m'a fait m'y intéresser davantage depuis jeudi ? Mystère. Et ma psy n'est pas joignable tout de suite.

Quoiqu'il en soit, je l'ai lu de bout en bout depuis jeudi, avec une passion grandissante. S'agit-il d'une création littéraire plutôt que d'une réelle confession ? A vrai dire je m'en fiche un peu. J'y prend du plaisir et c'est ce qui compte.

J'aime aussi les photos, en corrolaire, et particulièrement la façon dont elles mistert légendées (il n'est pas interdit de lire ce qui est écrit en bas de la vignette).

Voici la suite du récit de Claire:

Ma relation avec Rui dura un peu moins d’un an mais me changea en profondeur. Je continuais à coucher avec d’autres hommes, mais lui m’emmenait régulièrement à l’hôtel et insistait toujours pour me payer.
Assez curieusement, je me sentais alors «obligée» de lui en donner pour mister argent, de lui «offrir un bon service», et ça me mettait dans un état second difficile à expliquer. Assez rapidement, il commença à me prendre par devant et par derrière sans capote. Après s’être soulagé en moi, il me disait de rester dans la position et de laisser couler mister sperme pendant qu’il prenait des photos. J’obéissais, avec un sentiment confus d’offense et d’excitation. Il aimait aussi m’introduire toutes sortes d’objets dans les orifices. et m’initia au fist vaginal.
Un jour, il me présenta à un «ami» qui nous accompagna à l’hôtel. Il doubla la mise et m’ordonna toute sorte de choses avec mister «ami». Ils se finirent tous les deux en même temps à l’intérieur de moi puis partirent tous les deux dans la nuit en me laissant toute souillée dans ma chambre d’hôtel. Je restai un moment couchée sur le dos, toute poisseuse de leurs plaisirs mélangés. Je me sentais à la fois vide et pleine. J’avais envie de pleurer, mais j’avais aussi envie de recommencer. Je savais que j’avais franchi un nouveau cap irréversible.
La semaine suivante, ce fut un autre «ami», puis encore un autre. Je me laissai faire, à part que j’exigeai la capote pour me pénétrer. Petit à petit, j’entrai dans une routine. Le vendredi soir, j’étais la pute de Rui, le reste de la semaine, j’étais juste une étudiante un peu délurée. J’adorais cette double vie et depuis lors, j’ai toujours eu deux visages.
Certains vendredis, Rui ne m’accompagnait même plus. Il me présentait à un mec puis nous laissait ensemble. Le mec ne payait rien, c’est Rui qui me glissait quelques billets. Je savais qu’il se faisait un bénéf au passage, mais je m’en foutais.
Les «clients» semblaient être bien au courant de ce qu’ils allaient trouver sous mes vêtements, ce qui me fit penser que Rui faisait ma pub à coup de photos. Ils savaient tous aussi que j’acceptais la sodo, parce qu’ils passaient toujours par là, parfois même sans s’intéresser à ma chatte.
Au bout de quelques mois, Rui ne me baisait plus lui-même. Il avait un peu augmenté mon argent de poche et de temps en temps, il doublait la mise et m’emmenait à une soirée où j’étais la seule femme avec plusieurs hommes.
Avec l’argent que je gagnais, je m’étais achetée de belles tenues et des tas de sous-vêtements sexy. Je vivais très richement pour une étudiante.
Je limitais mon «activité professionnelle» strictement au vendredi soir. Le reste du temps, j’avais des relations «normales» et j’eus même deux ou trois petits amis plus réguliers terriblement curieux de savoir pourquoi je n’étais jamais libre les vendredis soirs.
La dernière chose que je fis avec Rui, c’est tourner un petit film amateur qui me permit de m’acheter une petite voiture d’occasion.

Rui m'obligeait attendre qu'il me prenne en photo

Les clients savaient ce qu'ils allaient trouver sous mes vêtements

Ils passaient toujours par là

marc-le-cocu