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Les confessions de ma salope

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black95xxx

Anonymous

#61
 Down to the last message
Le texte est aussi bon que les photos un régal !!! On en rêve tous d'une bonne grosse truie comme celle là avec laquelle on peut se laisser aller comme on veut.
boissenart

Anonymous

#62
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CETTE TRUIE EST UNE GROSSE SALOPE...JOLIE PUTAIN A METTRE DANS LES TOURNANTES MAIS ELLE NE REPOND PAS A MES PROPOSITIONS POUR VENIR A LA COURNEUVE.
jjhf

Member


Posts: 484 Pictures: 4 
#63
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Magnifique récit
Mon ex m'a quitté pour le Sénégal...
(Sylvie en avatar avec son aimable autorisation...)
eric007007

Member

Posts: 55
#64
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Vraiement bien ce récit j'attends la suite avec impatience !!!!!

Tu deviens vraiement un bonne salope à queue comme on cherche ici!!!!

continue d exhiber ton gros cul de salope!!!!
eric007007

Member

Posts: 55
#65
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On attend la suite!!!!!!

Ne nous laisse pas sur notre faim!!!
eric007007

Member

Posts: 55
#66
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La suite!!!!
eric007007

Member

Posts: 55
#67
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up
marcetclaire

Member

Posts: 134
#68
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Patience, j'arrive à mes 18 ans...
J'en ai 38 aujourd'hui, le récit est encore long et les hommes plus nombreux que je ne pourrais jamais m'en souvenir.
marc-le-cocu
marcetclaire

Member

Posts: 134
#69
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Vous-ai-je dit que quand je suce un mec, je m'aide toujours de mes seins?
J'ai su m'en servir très tôt
J'ai su m'en servir très tôt
une position devenue naturelle
une position devenue naturelle
ils adorent tous ça
ils adorent tous ça
et la récompense
et la récompense

marc-le-cocu
dirkschneider

Member

Posts: 141
#70
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Quelle garce, une paire de seins et un cul divin. As-tu seulement une idée du nombre de gars qui ont pu se dégorger tranquillement le poireau sur tes loches ?
dirkschneider
marcetclaire

Member

Posts: 134
#71
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La réponse à cette question est difficile à donner avec exactitude.
Dimisters entre 200 et 250.
Tableau familier...
Tableau familier...
Si souvent arrosés
Si souvent arrosés
Une vallée de sperme
Une vallée de sperme

marc-le-cocu
marcetclaire

Member

Posts: 134
#72
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Et voici la suite:

Pendant trois jours j’ai eu mal chaque fois que je m’asseyais. J’étais un peu inquiète parce que je ne savais pas encore si la sodomie était vraiment une pratique courante. J’espérais ne pas garder de séquelles de cette première expérience un peu vulgare. Moi-même j’y avais trouvé un plaisir cérébral, mais je n’avais pas joui. J’étais à la fois honteuse de m’être offerte comme ça, mais aussi terriblement excitée. Permisterne dans la classe, à part Thierry, mon prof de français, ne savait que j’avais déjà pris une bite entre les fesses.

J’ai passé la fin du trimestre sans retourner le voir. Il me faisait régulièrement des avances à la dérobée, mais je décidais de les ignorer. Je n’avais pas l’intention de remettre cela, du moins pas tout de suite.
Puis j’ai eu 18 ans et j’ai décidé d’offrir à Laurent, mon petit copain du moment, la virginité qui m’avait été laissée. J’ai passé un dimanche chez lui. Ses parents étaient partis et nous étions seuls. Il était très excité, c’était sa première fois aussi. Il était maladroit et pressé. Moi je n’arrivais pas bien à lui enfiler sa capote. C’était un peu foireux mais il a fini par jouir entre mes cuisses. Je n’ai pas vraiment eu mal et je n’ai pas vu de sang, ce qui me fait penser que peut-être avais-je déjà déchiré mon hymen sans m’en rendre compte au cours de mes doigtages divers.
Je n’ai pas joui.
Par contre, après, dans l’intimité de ma chambre, je me caressais toutes les nuits, en m’introduisant des objets, par devant et ensuite aussi par derrière. J’ai joui chaque fois intensément. Les images qui me revenaient n’étaient pas celles de Laurent, mais celles de Thierry, mon prof vicieux. Je me demandais ce que cela me ferait d’avoir sa bite dans la chatte.
Laurent ne se doutait de rien, surtout pas que j’avais déjà été sodomisée. Il était assez conventionnel et pas très doué comme amant. Pour parvenir à la jouissance, je devais le plus souvent me caresser le clito pendant qu’il me prenait, ou juste après. Je l’ai quitté à Pâques, à mister grand regret.
Pendant les vacances, j’ai eu une courte aventure avec un moniteur de ski qui était amoureux fou de mes gros seins et adorait s’en servir.
Au dernier trimestre, je préparais le bac et je n’avais permisterne avec qui me défouler. Je ne pensais qu’à cela et ma concentration était en chute libre. Mes résultats aussi, notamment en français. Mes parents ne comprenaient pas ce qui m’arrivait, à moi, d’ordinaire bonne élève. Ma mère me parla même un jour de mon professeur de français qui avait l’air si charmant. Au point que j’ai eu peur une seconde qu’elle se soit doutée de quelque chose. Ou pire, qu’elle ait couché avec lui comme d’autres mères d’élèves le faisaient. Après tout, ce n’aurait pas été la première fois que l’un de mes deux parents s’offre une aventure de mister côté. C’était totalement absurde, mais j’étais folle de jalousie.
Il me restait deux mois dans cette école et j’avais envie de laisser à Thierry un souvenir de moi et même un manque lorsque je partirais. J’avais aussi envie de lui montrer fièrement que mon cul était devenu accueillant depuis que je le travaillais régulièrement avec des objets.

Je lui ai laissé un petit mot pour le mardi suivant, mais il m’a répondu qu’il était occupé ce jour-là (le salaud, occupé avec qui? avec ma mère? non elle était à la maimister quand je suis rentrée de l’école). Mais le jeudi, il m’a fixé rendez-vous et j’ai gravi pour la troisième fois de ma vie ce escalier décrépi qui menait à sa garçonnière. Pour l’occasion, en dessous de ma robe, j’avais mis les sous-vêtements sexy que m’avait offerts mon ex moniteur de ski.
Lorsque Thierry m’ouvrit la porte, il me dit : «alors, petite garce, comme ça tu me laisse tomber pendant des mois et puis tu as de nouveau besoin de ma grosse bite? c’est ça? ça te manque entre les fesses? ou dans la chatte? ou les deux?»
Permisterne à part lui ne m’avait encore parlé comme ça. Je sentais immédiatement ma chatte se liquéfier et se gonfler de désir. Il me roula un patin tout en fouillant sous ma robe. «Regarde-moi ça quelle petite pute tu fais, tu mouilles déjà comme une grosse cochonne»
Il avait ses doigts partout, j’ai failli jouir sur place.
Sans comprendre comment, je me suis retrouvée penchée en avant sur la table de la salle à manger, la jupe relevée, sa bite entre mes cuisses. J’ai essayé de lui dire que je ne prenais pas la pilule, mais il m’a rassurée: «ne t’inquiète pas, je sais ce que je fais». Il a dégrafé mon soutien pour voir pendre mes «grosses loches» et a commencé à me limer longuement.
Il me pilonnait en faisant claquer ses couilles sur mes fesses et mes seins ballottaient dans tous les sens. J’ai senti monter la jouissance de manière incontrôlable. Puis il s’est retiré commencé à me barbouiller l’anus avec mes propres jus. Ensuite il m’a investi le cul d’un seul coup. Je me suis sentie remplie mais sans la douleur de la première fois. J’étais au bord de la jouissance. La vague m’a prise d’un seul coup et je suis presque tombée dans les pommes. Mon anus se contractait sur sa tige dure comme du bois et je n’en finissais pas d’avoir des spasmes pendant que lui me déchargeait dedans.
Cette extase, je l’ai connue pendant quelques semaines, quasi jusqu’au bac, que j’ai réussi.
Ensuite, ce furent les vacances, un copain australien, puis un espagnol avec qui j’ai eu bien du plaisir, mais seulement par devant. Sans demande de leur part, je n’ai jamais osé leur proposer de me prendre par derrière. Je ne voulais pas qu’ils me considèrent comme une nympho, même si j’en étais une. Je n’assumais pas encore officiellement d’être la grosse salope que je suis devenue plus tard. Je n’étais encore, après tout, qu’une jeune fille de 18 ans, tout juste sortie de l’école.

A suivre...
J'avais 18 ans
J'avais 18 ans
Encore une mignonne jeune fille un peu ronde
Encore une mignonne jeune fille un peu ronde

marc-le-cocu
boissenart

Anonymous

#73
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TU N' EST QU' UNE TRAINEE, N' AS TU PAS HONTE DE DONNER TON CUL COMME CELA AUX HOMMES ESPECE DE GROSSE SALOPE !!!
marcetclaire

Member

Posts: 134
#74
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Réponse à AmantAtrois

Oui tu as raimister, ce qui me complexait le plus quand j'étais ado, c'était la rondeur de mes fesses. Ma vie a commencé à changer quand je me suis rendu compte qu'elles éveillaient non seulement du désir mais aussi des idées vicieuses chez pas mal d'hommes. Thierry était de 20 ans mon aîné et m'a initiée à une pratique qui est devenue courante pour moi. Il m'a, en fait, appris à quoi pouvait servir ce gros cul que m'avait donné la nature.
Et oui, je suis de nature soumise, j'adore qu'on me guide et qu'on se serve de mon corps, même comme d'un objet de plaisir.
Au début je trouvais le terme "vide-couilles" choquant et vulgaire, maintenant je le trouve très excitant et j'assume complètement.
Et oui, j'ai épousé un homme adorable, dont le plaisir n'est pas de me dominer directement mais plutôt de me prêter à de nombreux amants. Il se caresse parfois dans un coin, prend des photos, me regarde dans les yeux, guide parfois la bite de l'amant et lèche parfois le foutre qui atterrit sur mon corps. Nous aimons qu'un amant régulier puisse me prendre sans capote et me remplir. Les autres, bien sûr, en mettent sauf quand je les suce.
Il aime aussi m'attendre à la maimister pendant que je m'envoie en l'air dans un appartement ou à l'hôtel. Je lui raconte ensuite tout en détails en rentrant.
N'hésite pas à poser encore des questions.

Petite réponse à Boissenart: oui bien sûr j'ai honte de donner mon cul comme ça, mais c'est précisément cette honte qui me fait jouir comme la salope que je suis devenue.
Quand les hommes voient ça, ils savent ce que je suis
Quand les hommes voient ça, ils savent ce que je suis

marc-le-cocu
boissenart

Anonymous

#75
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TU N' EST PAS QU' UNE VIDE COUILLE, TU ES AUSSI UNE TRUIE TOUT JUSTE BONNE A TE METTRE DANS UNE ETABLE AVEC DES PORCS QUI TU MONTERONT L' UN APRES L' AUTRE ET REMPLIRONT TA CHATTE DE FOUTRE.
dirkschneider

Member

Posts: 141
#76
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Tu es un véritable réceptacle à foutre.

Vider les burnes des mecs sur tes seins est véritablement une vocation. Tes seins mistert-ils un endroit de prédilection, ou es-tu aussi une adepte du vidage de couilles sur ta petite frimousse de chienne ?
dirkschneider
black95xxx

Anonymous

#77
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C'est clair que je n'ai qu'une seule envie : m vider dedans encore et encore...
boissenart

Anonymous

#78
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C' ETAIT DU REVE, MAIS ENFIN QUEL PLAISIR CE FUT.....
marcetclaire

Member

Posts: 134
#79
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Il ne faut pas parler au passé.
Et ce n'est pas du rêve. La réalité de la vie sexuelle de Claire dépasse la fiction.

Le récit de Claire va reprendre de plus belle.
Lorsqu'elle est entrée à la fac, elle est tombée vraiment amoureuse et a mené une vie de jeune-fille aimante et fidèle pendant un an.
Ce n'est que lorsqu'elle s'est fait plaquer qu'elle a repris, pour ne plus les lâcher, ses comportements de grosse salope.
Mais je lui laisse le soin de vous raconter cela par le menu, comme elle me l'a raconté soirée après soirée pendant que je la caressais ou que je la baisais.

En attendant la suite, deux petites photos d'elle, histoire de patienter...
elle suce les bites comme si sa vie en dépendait
elle suce les bites comme si sa vie en dépendait
avec ses grosses loches qui pendent
avec ses grosses loches qui pendent
et elle aime se donner en spectacle devant moi
et elle aime se donner en spectacle devant moi

marc-le-cocu
boissenart

Anonymous

#80
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BON ALORS NOUS ATTENDONS. TOUJOURS EST-IL C' EST QU' ELLE SUCE BIEN CETTE SALOPE.
eric007007

Member

Posts: 55
#81
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on attend la suite avec impatience
raffaelli

Member

Posts: 1696
#82
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marcetclaire
oui, on a tous envie de connaître la suite de l'initiation de cette superbe salope ! merci.
rjm20
marcetclaire

Member

Posts: 134
#83
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La suite commence à devenir un peu plus trouble

L’année suivants, à la fac, je suis tombée vraiment amoureuse, amoureuse comme je ne l’ai plus jamais été depuis. Aujourd’hui, Marc comprend cela très bien et ne m’en veut pas. Il sait qu’à 19 ans, on se fait un film qu’on ne peut plus se faire à 39 ans, ou même à 27 quand je l’ai rencontré. Surtout avec tout ce que j’ai connu entre-temps.
Je n’ai jamais été plus à mon avantage qu’à cette époque, j’étais devenue presque mince et plutôt jolie. En rencontrant Xavier, je me suis donnée entièrement, corps et âme. Je lui faisais l’amour par amour, je n’avais plus besoin d’images vicieuses pour jouir. Je lui étais fidèle. Il n’était pas très inventif mais il avait un bon sexe et il était endurant, j’adorais jouir de lui. Parfois il me prenait en levrette et j’avais peur qu’il se pose des questions sur ma virginité anale, mais il n’a jamais parlé de cela ni essayé de me prendre par là. Je me croyais guérie de mes démons d’adolescence, j’entrevoyais une vie plus traditionnelle, avec une sexualité revenue à une certaine «normalité».
Mais le conte de fées n’a même pas duré un an. Xavier m’a plaquée pour une autre et moi, je suis tombée dans une profonde déprime.
En quelques mois, j’ai pris dix kilos et perdu toute confiance en moi. Je me suis renfermée sur moi-même et je n’ai pas cherché particulièrement à séduire. C’est alors que j’ai repris la masturbation de manière intensive. Tous les soirs, dans mon lit, je me caressais, j’introduisais des objets dans mes orifices et je me faisais jouir en pensant à des choses cochonnes. Je revoyais fréquemment des images de mes premières expériences et ça m’excitait terriblement, surtout en pensant à la manière humiliante dont Thierry m’avait enculée. Outre les doigts et les godes traditionnels, j’ai essayé des objets parfois très incongrus: flacons, légumes, bouteilles. Il y avait un peu d’autodestruction dans la manière de m’élargir la chatte. Au bout d’un temps, ma main y entrait sans problème. Je n’avais par contre aucune envie d’élargir mon anus dans cette proportion et je n’ai jamais dépassé la taille du concombre. Au bout d’un temps, j’eus de nouveau envie de sentir une vraie bite. N’importe laquelle, mais une vraie.
Un soir, j’ai décidé de sortir et de me faire un mec. Je voulais aussi vérifier que j’avais encore suffisamment d’atouts pour susciter le désir. J’ai cherché dans ma garde-robe une tenue un peu sexy, mais c’était déprimant, parce que la plupart étaient devenues trop étroites surtout au niveau des fesses et des hanches. Il y a quelques tenues que je pouvais encore mettre mais qui donnaient une dégaine de grosse pouffiasse. J’avais honte, et en même temps j’étais excitée. Mais je n’ai pas osé sortir comme ça, pas cette fois-là. J’ai fini par choisir un beau décolleté. Mes seins avaient pris encore une taille, je les trouvais énormes, mais ils étaient encore beaux et je connais le goût des hommes.
C’est donc en jeans mais avec mes nichons joliment mis en valeur que je suis allée danser.
Deux cocktails et j’étais prête à tout. J’ai dansé comme une folle et j’ai senti les regards sur le lourd balancement de mes seins. Même les mecs qui étaient de toute évidence en couple avec de jolies filles me reluquaient avec avidité. J’en jouais. Je souriais à qui voulait, je mettais le feu. En tout cas, cette nuit là, je suis très loin de l’avoir passée seule...
Plus mince et jolie que je ne l'ai jamais été
Plus mince et jolie que je ne l'ai jamais été
Elancée et sexy
Elancée et sexy
J'ai commencé à prendre du poids
J'ai commencé à prendre du poids
Grosse et déprimée
Grosse et déprimée

marc-le-cocu
marcetclaire

Member

Posts: 134
#84
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Les mois de plaisirs solitaires et déprimés
je me godais toutes les nuits
je me godais toutes les nuits
je me dilatais le vagin
je me dilatais le vagin
A la dérive
A la dérive

marc-le-cocu
amicosalepepe

Member

Posts: 589
#85
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tres belle e tres truie
your italian bull in Venice
lets meet over week-ends or full weeks: your gorgeous hotwife will be my slut. From unaware sexy ladies to complete slut in training. Classy and strong. please Pm for detail. Age 49. Looks younger. Will travel to European de
boissenart

Anonymous

#86
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TIEN REVOILA LA TRAINEE. TOUJOURS AUSSI SALOPE A MONTRER SON CUL, CETTE CHIENNE.
marcetclaire

Member

Posts: 134
#87
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Suite:


Ce fut une nuit très éthylique. J’étais assez saoule et je n’ai que des souvenirs assez embrumés de mes ébats avec trois (je pense bien qu’ils étaient trois) mecs rencontrés ce soir là.
J’ai des visions de bites me pénétrant de diverses façons et je me souviens avoir passé pas mal de temps à 4 pattes pendant que ça se relayait en faisant des commentaires salaces. Assez curieusement, plus on m’insultait, plus je mouillais et j’encourageais la chose par mon excitation.
Je ne sais pas combien de fois j’ai joui, mais je sais que je me suis réveillée le lendemain seule, dans une flaque de sperme qui s’écoulait encore lentement de moi.
J’avais à nouveau mal au cul, comme la toute première fois, et je me suis dit que soit j’avais perdu l’habitude, soit ils avaient dû y aller particulièrement fort. J’ai eu très peur de mon inconscience et trois semaines après j’ai fait un test HIV, heureusement rassurant.
A partir de ce moment-là, j’ai commencé à sortir régulièrement, juste pour me faire mettre. J’en faisais un jeu, mais prudent, toujours avec capote (sauf dans la bouche).
J’étais devenue trop ronde, et petit à petit, je m’habillais de plus en plus comme une grosse pouffe pour aller draguer. Et ça marchait bien. Je ne suis jamais rentrée bredouille.

Pendant près de 5 mois, je me suis fait trois ou quatre mecs différents chaque semaine. Il y en a qui voulaient remettre ça, et ça m’arrivait de leur donner satisfaction, mais ma préférence allait vers les nouveaux. Je découvrais la diversité des bites: les petites, les grosses, les circoncises, les courbes, les larges, les longues. Je devenais de plus en plus experte et mes seins, mon ventre et mes fesses étaient arrosés régulièrement.
J’étais assez moche pendant cette période. Mais je compensais en me conduisant comme une salope. Ma réputation s’est répandue parmi les mecs. J’étais la grosse pouffe de 2e qui prend entre les fesses. Je ne devais même plus aller draguer, je me faisais aborder parfois par de parfaits inconnus, qui avaient entendu parler de moi. J’étais devenue l’enculée de service, et ça m’excitait.

En journée, j’étais assez déprimée et j’avais une image déplorable de moi-même. Mais le soir, je revivais sous les regards, les caresses, les pénétrations et les insultes de mes amants. Mon offense se transformait en excitation sans limites.

Un jour, lors d’une visite de routine chez mon gynéco, il m’a fait une allusion très limite sur le fait que mon anus était particulièrement ouvert. Je pense qu’il y aurait bien plongé autre chose que le doigt. Mais il y avait du monde dehors dans la salle d’attente et je ne lui ai pas donné ce plaisir.
J'avais vraiment pris du poids
J'avais vraiment pris du poids
Mon cul était devenu énorme
Mon cul était devenu énorme
Je m'habillais comme une pouffe
Je m'habillais comme une pouffe
Et ça semblait plaire malgré tout
Et ça semblait plaire malgré tout

marc-le-cocu
paco2244

Member

Posts: 2438
#88
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Quoting: marcetclaire
Je m'habillais comme une pouffe

Et ça semblait plaire malgré tout


Oui, c'est vrai, ça, c'est bizarre quand même !

je me demande bien, permisternellement, pourquoi les putes, notamment, ont cette étrange propension à s'habiller comme elles le font ?

Et pourquoi les hommes aiment, aussi, les gros culs comme celui de Claire ? Et les grosses mamelles comme les siennes ? Et sa belle moule bien grasse et poilue ?

Franchement, c'est étrange.

Moi, je ne comprends vraiment pas : d'ailleurs, je crois que je vais faire un topic avec rien que des "toutes maig's", comme disait Coluche, sans cul ni tétons, habillées en Col Claudine, jupes longues, talons plats, collants de contention et sous-vêtements Damart.

Je suis sûr que ça peut marcher, c'est un modèle que les mecs préfèrent vraiment : la preuve, à 90%, ce genre de nana est mariée, 2,5 gosses au compteur, statistiquement, fréquente la messe le dimanche et mister cul est comme un bénitier : on n'y trempe que les doigts, et encore, juste le dimanche matin !

Ca s'appelle une épouse...
black95xxx

Anonymous

#89
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Toute déprimée qu'elle était je l'aurais mise sur le tourne-broche avec ce cul !!!
J'ai bien aimé le "je baignais dans une flaque de sperme qui semblait s'écouler de moi...".
Juanlover

Member

Posts: 687
#90 
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Les mecs je ne comprends pas très bien pourquoi vous vous excitez sur post de marcel "claire". Notre camarade est un faker belge qui glane toutes les photos qu'il peut sur le net pour se créer une "Claire" qui ressemble à autre chose que mister oreiller. Mettez le puzzle de ces nombreuses contributions bout à bout et vous... y verrez plus claire !
Educateur strict pour tous vides couilles seule ou en couple.
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Les confessions de ma salope
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