La suite....
En montant l’escalier, je suis tombée sur ma prof de gym. Nos regards se mistert croisés et nous avons toutes les deux rougi jusqu’aux oreilles. Elle m’a dit un petit bonjour en essayant de prendre un air dégagé, mais c’était absurde, chacune de nous deux savait exactement pourquoi l’autre était là. J’ai tout d’abord eu un vent de panique en imaginant qu’elle pourrait me dénoncer, et puis j’ai repris mes esprits et j’ai réalisé que, évidemment, nous étions toutes les deux liées par le même secret.
C’est la première fois que je la voyais en jupe, elle était mince et avait de jolies jambes. Elle devait avoir la trentaine passée, presque le double de mon âge, mais mister corps était plus ferme que le mien, ses fesses plus serrées, ses seins plus légers.
Elle disparut rapidement dans la cage d’escalier et moi, je me mis à ralentir en montant vers la porte de Mr Couvreur (Thierry de mister prénom, mais je ne l’avais jamais encore appelé comme ça). Je commençais à être saisie d’un horrible doute et j’eus envie de rebrousser chemin.
Il venait sans aucun doute de baiser cette jolie femme élancée. Je lui semblerais sûrement lourde et grosse à côté d’elle. Peut-être même qu’ayant joui avec elle, il aurait du mal à retrouver une érection à mon contact. Je me sentais ridicule dans ma tenue «sexy», sans culotte en dessous, comme une jeune-fille maladroite que le loup dédaignerait de croquer.
J’étais devant sa porte. Je n’ai pas misterné. Je m’apprêtais à repartir lorsqu’il m’a ouvert. Il devait m’observer, comme un voyeur, à travers le vasisdas.
Comme j’hésitais, il m’a dit, «Eh bien, entre, on ne va pas faire ça sur le palier... Quoi, tu es troublée parce que tu est tombée sur Adeline? T’inquiète pas, juste une petite réunion de travail entre collègues...» En disant cela, il a éclaté de rire et m’a entraînée à l’intérieur. Je tremblais un peu. Il m’a prise dans ses bras et j’ai senti le parfum de l’autre sur ses vêtements, puis il m’a roulé une pelle et je me suis laissée faire. J’ai fondu dans ses bras. J’avais les larmes aux yeux, j’étais très fragile, mais je me sentais terriblement excitée et lorsqu’il glissa une main sous ma jupe, il trouva une chatte très marécageuse.
A partir de ce moment là, tout est devenu un peu flou. Il m’a caressée en m’enfonçant plusieurs doigts dans le vagin. Je me sentais boulimique, j’avais envie qu’il enfonce plus loin, qu’il en mette plus, mais il me titillait le clito aussi. Puis il m’a poussée à m’agenouiller devant lui pour lui faire ce que je fais de mieux. Je lui ai sorti la bite et j’ai commencé à sucer docilement. Il sentait le sexe. Des odeurs mélangées d’homme et de femme, mais pas de trace de latex. Il avait du la baiser sans capote, ou alors se frotter à elle après. Je me posais mille questions, mais il ne me laissait pas de répit, il enfonçait sa bite raide dans ma bouche et je finis par me concentrer sur ma tâche.
Malgré tout mon savoir faire, il tardait à jouir. Pourtant il restait dur comme du bois.
Il sortit de ma bouche et m’entraîna au salon où il me mit à quatre pattes sur le canapé défraîchi. Il releva ma jupe, je sentais que l’heure de mon dépucelage officiel avait misterné et j’essayai de sortir la boîte de préservatifs de mon sac. Mais il me dit, «laisse ça de côté, ne t’inquiète pas, je sais ce que je fais». Il me remit à 4 pattes et je sentis mister gland frotter sur mes lèvres. Je mouillais tellement que j’avais du mal à sentir exactement ce qui se passait. Il passait mister gland de haut en bas dans ma fente ouverte et trempée.
Il n’arrêtait pas de respirer bruyamment en disant: «nom de dieu quel cul, quel gros cul de salope, un vrai cul de jument cette petite pute...»
Je mouillais encore plus. Je m’apprêtais à sentir la pénétration et la douleur inconnue de ma membrane a jamais déchirée, mais au lieu de cela, c’est une toute autre sensation qui m’envahit. Mon anus fut soudain rempli à en exploser. Ca faisait mal, j’ai commencé à crier, mais il m’a mis la main devant la bouche et m’a dit «attends, ne bouge pas, ça va aller, respire».
Je me mis à respirer plus calmement et j’attendis un long moment sans bouger. la douleur s’estompa un peu et mon cul s’habitua à cette présence étrangère. Puis Thierry se mit lentement à faire des va et vient. Je le sentais pousser dans mes intestins, c’était très troublant, je recommençais à être excitée. Il me tenait fermement les hanches, j’avais le visage enfoncé dans le vieux canapé et il commençait à accélérer avec le souffle court. Moi je me concentrais pour ne pas me crisper, j’étais comme en suspension. Puis je sentis les spasmes de sa jouissance pendant qu’il criait: «putain quel cul de grosse salope». Mon anus se contracta alors sur sa bite.
J’étais excitée comme une folle, avec la conscience que je venais de franchir un cap irréversible. Je ne pourrais plus jamais me ranger dans le camp des femmes normales qui vivent une vie de famille «honnête» et tranquille.
Techniquement, j’étais encore vierge. Permisterne ne m’avait encore fait l’amour. Mais plusieurs s’étaient déjà servi de ma bouche, et maintenant de mon cul, pour soulager leur besoin de jouissance.
Ce n’est que lorsqu’il s’est retiré que j’ai compris qu’il n’avait pas mis de préservatif. Ca coulait le long de mes cuisses et il prit une serviette pour m’essuyer.
Je n’avais pas joui et je sentais mon anus très dilaté. Je me suis rassise sur la serviette en serrant les fesses, mais ça continuait à couler lentement. Alors je lui ai demandé le chemin des toilettes et je suis allée me rafraîchir un peu.
Je mis la culotte que j’avais emportée dans mon sac en vue du retour. Je me regardai dans la glace et je fus étonnée d’y voir une apparence relativement normale. Rien sur mon visage semblait trahir ce qui venait de se passer. J’étais encore une écolière de 17 ans et permisterne ne pouvait savoir que je m’étais déjà fait sodomiser.
Lorsque je sortis de la salle de bain, il était rhabillé. Il me demanda si ça allait et m’offrit un verre.
Mais je déclinai. Il se faisait déjà tard et j’avais besoin d’un sas dans ma chambre avant d’affronter mes soeurs et mes parents.
Je lui posai juste une question: «Tu me trouves vraiment grosse»?
Il eut un petit rire et me répondit: «Trop pour t’épouser mais parfaite pour te baiser».
Puis il rajouta: «Tu as un corps fait pour l’amour, tu vas avoir une vie sexuelle terrible, toi. Tu n’es qu’au tout tout début. Tu en verras passer, des bites...».
Curieusement, je ne lui en voulais pas. Ni de ce qu’il m’avait fait, ni de ce qu’il me disait. Je me sentais épuisée et inconfortable. je lui ai dit au revoir et je suis rentrée chez moi.
trop grosse pour se marier
| mais parfaite pour être baisée
| des seins tombants depuis le début
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marc-le-cocu