demimolleMerci de ce compliment, ça donne du coeur à l'ouvrage. Je te dédie donc la troisième édition
Brève Numéro 3 (pas si brève que ça
)
Clarisse (31 ans, corps de déesse) et moi (32 ans, du charme, très mince) nous étions installés sur une plage pratiquement déserte pour y pique-niquer et y passer une journée de bronzage et de farniente. Juste après le repas, un jeune beur bodybuildé vint installer sa serviette à 10cm de celle de Clarisse, pour ma plus grande irritation. 19-20 ans, 1M80, avec un maillot hyper moulant contenant à peine des parties génitales plus que généreuses. Mais vu la musculature du type, je n’allais pas faire d’histoires.
« Salut Madame, qu’est-ce que t’es belle ! T’es en vacances ? »
« Heu merci du compliment, oui, nous pasmisters le week-end sur la côte avec mon mari »
Malgré la phrase de Clarisse, il m’ignore.
« C’est quoi ton prénom ma belle ? Moi c’est Mounir »
« Clarisse, enchantée Monsieur Mounir »
« Ben pour finir les présentations, faut qu’on se fasse la bise », et sans se soucier de la réponse de Clarisse ni de ma réaction, il lui embrasse les deux joues, rendant ma femme rouge pivoine.
« Y fait chaud là hein Clarisse, allez viens te baigner avec moi, ton mari va garder les affaires »
« Heu, on vient de manger là, peut-être tout à l’heure »
« Comme tu veux ma belle, mais si tu restes au soleil, faut que tu te protèges, sinon bonjour le cancer. Machin, passe-moi la créme que j’en mette à ta femme. »
Malgré moi, et trop peureux pour me rebeller, je m’exécute en rajoutant simplement :
« Moi c’est Pierrick Monsieur Mounir »
« Ouais c’est ça, on s’en fout. Mets toi sur le ventre Clarisse, je vais commencer par le dos. »
Ma femme se plie à sa voix de plus en plus autoritaire. Il la crème longuement, il en profite le salaud, et en plus il ne se prive pas de commentaires.
« Putain qu’est-ce que t’es belle Clarisse, une vraie bombe. Des nanas bonnes comme toi on en voit qu’au cinéma ou dans les magazines. T’as la peau douce et ferme, de jambes de gazelle, et ton cul, putain ton cul tout rond et cambré sans un gramme de cellulite, ça m’excite grave. »
Et dans la continuité de mister mouvement de crémage ses grosses mains viriles se mettent à masser la partie des fesses de Clarisse qui dépasse du maillot. Une fois qu’il en a bien profité, loin de s’arrêter, il repart à l’attaque, bien conscient que ce n’est pas moi qui vais le contrarier, et que Clarisse est à présent plus troublée que choquée.
« J’aime pas les traces de bronzage sur les seins Clarisse, tu vas faire du monokini. Ya presque permisterne sur la plage et c’est pas machin qui va t’en empêcher »
Il défait le haut de mister maillot de bain, la retourne avec une power et une agilité déconcertantes et l’installe sur le dos pour lui crémer le côté pile à présent. Il s’installe à genoux au dessus de la tête de Clarisse, qui doit remercier ses lunettes de soleil de cacher l’expression de ses yeux à la découverte juste devant mister front de l’énorme bosse qui déforme à présent le maillot de Mounir.
Il commence par lui crémer les épaules, puis sans vergogne malaxe le splendide 90C qui s’offre à lui sans résistance.
« Bordel, et tu voulais cacher des seins pareils. Une taille et une fermeté parfaite pour y faire coulisser un bon gros zob hein ? Haha, c’est pas machin là qui doit savoir en profiter comme il faut. »
Loin de rebuter Clarisse comme je l’aurais espéré, le mélange de caresses et de mots crus de cet étalon arabe, sans compter cette érection titanesque qui continue de s’étaler juste devant ses yeux, lui arrachent un petit gémissement qui ne semble pas être de la douleur.
Il s’attarde à présent avec mister index autour du nombril, Clarisse se mordille les lèvres.
Il a enfin fini. Il se relève comme si de rien était, s’étire, faisant ressortir les muscles incroyables de mister corps et tendant un peu plus si c’était possible mister maillot grâce à mister énorme membre tendu.
« Bon, je vais me baigner, tu viens ma gazelle »
D’une voix rauque et embrumée par l’émotion, Clarisse réplique :
« J’ai les jambes coupées par ce massage, je vais pas pouvoir bouger »
« OK, pas de problème, j’y vais tout seul » dit-il en m’adressant un sourire moqueur.
Et il plonge, un plongeon d’athlète, et il nage, un crawl rythmé et puissant, comme les coups de boutoir - que je ne peux m’empêcher d’imaginer – qu’il doit mettre aux femmes lorsqu’il les lime.
Clarisse sort de sa torpeur et me sort de la mienne.
« Viens me bouffer la chatte et tout de suite connard, pour te faire pardonner de ne pas savoir me défendre des intrus »
Penaud, je m’exécute. Je ne me souviens pas qu’elle ait déjà été aussi mouillée ni ouverte. En moins d’une minute, elle jouit avec une intensité que je n’avais jamais soupçonnée en elle. J’aimerais me dire que c’est le talent de ma langue, mais je ne me fais aucune illusion sur le fait que c’est le contact avec Mounir qui a été mister principal aphrodisiaque.
Le voilà qui sort de l’eau, avec ses muscles luisants sous l’effet de l’eau et du soleil, sa peau brune lisse et imberbe, mister regard ténébreux, même moi je dois reconnaître que ce type est un surhomme comparé à moi. J’ose enfin me retourner vers Clarisse, dont le regard, même masqué par les lunettes, est manifestement glué à la musculature de Mounir.
C'est à ce moment là que je comprends qu'un gringalet comme moi ne pourra jamais satisfaire totalement une femme de la trempe de Clarisse, et que la simple loi de la nature l'attirera toujours vers des vrais mecs comme Mounir. Si je veux la garder, je vais devoir m'accrocher à elle, montrer une dévotion sans limite, et inévitablement m'accoutumer de quelques écarts...
Il revient, se sèche et nous annonce qu’il doit y aller, ce qui provoque une mine de déception intense chez ma femme. Il enlève mister maillot sans aucune gêne, et mister sexe, à présent au repos, apparaît au grand jour. Même en sortant de l’eau fraîche, il est nettement plus long et plus épais que le mien lorsque je bande. Le gland est énorme, une véritable invitation, même aux bouches les plus réticentes. Clarisse a un sourire gourmand à cet instant. Il enfile un short sec, et en rangeant ses affaires dans mister sac, sort un bout de papier sur lequel il griffonne avant de le tendre à Clarisse.
« J’ai un pote qui fait une petite teuf ce soir, viens, j'ai tout noté là dessus. Le cocu n’est pas invité. A plus »
« Oui, à ce soir, sans faute » répond Clarisse avec un sourire radieux et en serrant le petit bout de papier
contre mister cœur.
Fin