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Brèves de cocus - A vous d'imaginer la suite

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Pierrick Hiquy

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#1
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Je démarre un petit sujet, récurrent si j'ai le temps. J'écris des fantasmes. Je pose le cadre, les permisternages, et je l'arrête au moment fatidique de la découverte de l'impitoyable vérité. A vous de trouver la suite, d'embellir, de penser à ce qui s'est passé avant, soit dans votre imaginaire, soit en participant au sujet et en écrivant une suite possible.
Pierrick Hiquy

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#2 · Edited by: Pierrick Hiquy
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Je commence

Brève Numéro 1


C’était une période de travaux dans les caves de l’immeuble dans lequel Alexia (23 ans) et moi (26) avions trouvé un 2 pièces sympa juste après nos fiançailles. Tous les locataires et propriétaires avaient été prévenus de protéger les contenus précieux ou fragiles. Pour le premier week-end après le démarrage du chantier, j’étais donc descendu faire un peu de tri pendant la sieste d’Alexia. Après une heure de travail, je fis une petite pause pour me rafraichir et me rendit au point d’eau des sous-sols, un robinet dans un petit réduit accolé aux toilettes. Avec tous les trous qui avaient été percés pour faire descendre des câbles des étages, un curieux phénomène acoustique s’était produit : one entendait plutôt bien les conversations venant de la loge de la concierge. Elle recevait apparemment Mme Mesnard pour le café, une commère pire que la concierge, vieille fille à la quarantaine ingrate et propriétaire d’un des grands apparts du dernier étage. Manifestement, elles faisaient une lecture commune de la presse people et leurs langues de vipère s’en donnaient à cœur joie sur les dernières aventures de Flavie Flament ou encore Britney Spears. Je n’y prêtais pas plus attention que cela et me remit au travail, histoire de terminer avant le réveil de ma douce. 45 minutes plus tard, j’avais fini, et plutôt que de remonter prendre une douche, ma curiosité prit le dessus et je refis un détour par le fameux robinet histoire de prêter une dernière oreille indiscrète en me débarbouillant.

C’était déjà plus intéressant, elles terminaient de médire sur un couple du 4e dont la dispute conjugale avait provoqué la venue de la police, un évènement dans notre quartier petit bourgeois tranquille. Mon propriétaire étant un ex-flic en préretraite, cela du le rappeler au bon souvenir de Mme Mesnard qui changea le sujet pour s’enquérir de ses nouvelles :

« …On revoit beaucoup Mr Campanelli récemment, il a un problème avec ses nouveaux locataires ? »

« Pensez-vous, le couple de jeunes fiancés si mignons du 2ème? Le loyer est toujours à l’heure, ils ne mistert pas bruyants, alors sûrement pas. En revanche, je crois qu’il court après la jeune fille au nez et à la barbe du jeune homme. »

« Quoi, mais c’est insensé !! Il a quoi, 30, 35 ans de plus qu’elle ? Et puis cette jeunette est ravissante, mister fiancé est gentil, il a de beaux yeux et un sourire charmeur, ce vieux satyre va se faire éconduire. »

« Eh bien là détrompez-vous, si j’en crois les bruits qui sortent de l’appartement tous les jours quand je nettoie la cage d’escalier, ça fait longtemps que ce vieux vicelard est parvenu à ses fins. Le pauvre jeune homme ne se doute de rien, alors, je ne vous ai rien dit hein ? »

« Bien sûr que non, et puis après tout, si les jeunes d’aujourd’hui ne savent pas s’occuper de leurs dames, d’autres le feront pour eux, c’est la loi de la nature. »

« Comme vous dites Mme Mesnard, et apparemment, la nature a fort bien conservé la vigueur et les aptitudes de M. Campanelli. Faut pas gâcher. Hihihihihi ! »

Fin
Pierrick Hiquy

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#3 · Edited by: Pierrick Hiquy
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Ca vous a plu?

J'attends pas de savoir, et voici tout de suite

Brève Numéro 2


Camille et moi étions partis passer un de ses longs ponts du mois de Mai dans la grande maimister de campagne de ses parents près de Macon. La semaine en amoureux vira vite au cauchemar lorsque j’appris que ma belle-sœur Coralie et mister compagnon avaient aussi prévu d’y passer 8 jours. Camille insista pour que nous n’annulions pas, elle était même ravie à l’idée de retrouver sa sœur aînée et sa nièce. En effet, Coralie avait eu avec mister compagnon Mustapha une petite Leila, que nous n’avions vu qu’une fois. Je vous passe mon enchantement à passer la semaine avec un nourrismister brailleur de 6 mois (je ne suis pas encore prêt pour être papa Gateau), mais en plus je n’appréciais ni Coralie ni Mustapha. Coralie avait un air de famille indéniable avec Camille, mais elle était une version plus petite, plus dodue (mais aux rondeurs harmonieuses) et surtout plus délurée de sa jeune soeur. Mustapha était un représentant de commerce, arrogant et imbus de sa permisterne, n’admettant jamais ses torts, et dont l’attitude hyper-machiste avec les femmes et la sienne en particulier me rebutait.

A la moitié du séjour, j’étais fatigué par les nuits de pleurs enfantins et les longues marches dans la campagne pour décompresser de ma rancœur envers Mustapha et Coralie. Il la traitait comme une domestique et cela semblait la rendre encore plus heureuse. Il s’était mis à faire la même chose avec Camille et moi. Elle réagissait étonnemment bien, elle devait prendre sur elle pour faire plaisir à sa soeur. Et moi je contenais ma rage en me disant que si Camille arrivait à lui servir ses verres, à aller lui chercher ses clopes… je pouvais moi aussi m’exécuter sans faire d’esclandre. Je réussissais même à garder mon calme et mon silence lorsqu’il faisait remarquer à Coralie sa prise de poids (normale après une grossesse et un allaitement) et qu’il la comparait ouvertement aux formes parfaites de Camille, ne manquant aucune œillade ni aucun compliment salace (« bonne comme ta soeur», « un cul bandant comme celui de ta soeur ») à destination de Camille qui ne manquait pas de rougir.

Après le déjeuner du 4eme jour, Coralie annonça qu’elle allait refaire un plein de couches et de petits pots, puis qu’elle irait faire quelques boutiques en ville. Elle nous laissait le bébé, et je devais lui reconnaître qu’elle avait bien mérité un peu de temps libre. Je sautais sur l’occasion pour enfin laisser Mustapha à ses devoirs domestiques et j’annonçais que j’allais faire une sieste dans les transates du fond du jardin (loin des braillements) avec une délicate allusion pour Camille, qu’elle en fasse autant. Mon allusion avait du être trop fine car elle annonça immédiatement qu’en bonnes tante, elle veillerait sur Leila avec Mustapha dont le visage s’éclaira d’un sourire triomphateur.

20 minutes plus tard, seul sur mon transate, je n’arrive pas à dormir malgré la fatigue, toujours énervé par l’occasion ratée de laisser Mustapha seul avec sa fille. Je me dirige tranquillement vers la cuisine me servir un peu de thé glacé lorsque j’entends un grésillement et des voix venant du salon à côté. J’imagine que c’est le babyphone que ce flemmard de Mustapha a du oublier. Je m’approche au cas où, mais ce n’est pas le bébé que l’on entend, mais la voix autoritaire de Mustapha et celle étouffée de Camille :

« Arrête de faire ta mijorée et suce mon gros zob arabe salope »

« D’accord mais promets de te retirer avant de jouir, pas comme hier pendant la ballade » (Putain, hier, j’avais eu un point de côté et j’étais rentré avant eux retrouver Coralie et Leila)

« Claaaaaaaaaaac. Ca c’est pour t’apprendre que c’est pas toi qui décide pétasse. De toute façon, aujourd’hui c’est ton cul qui va avoir l’honneur de mon zob. Voilà, tu as compris, putain tu suces bien. Saloperie de sa race de babyphone, desfois que ton cocu blanc se réveille et revienne. Haha ! Clic. »

Je remets la bouteille dans le frigo, je ressors, je retrouve mon transate et ma main trouve sous mon short le chemin de mon petit sexe tout durci.


Fin
demimolle

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#4
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Super extra tes entames !....
demimolle,
voyeur-branleur inoffensif et respectueux
Pierrick Hiquy

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#5 · Edited by: Pierrick Hiquy 
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demimolle
Merci de ce compliment, ça donne du coeur à l'ouvrage. Je te dédie donc la troisième édition

Brève Numéro 3 (pas si brève que ça )

Clarisse (31 ans, corps de déesse) et moi (32 ans, du charme, très mince) nous étions installés sur une plage pratiquement déserte pour y pique-niquer et y passer une journée de bronzage et de farniente. Juste après le repas, un jeune beur bodybuildé vint installer sa serviette à 10cm de celle de Clarisse, pour ma plus grande irritation. 19-20 ans, 1M80, avec un maillot hyper moulant contenant à peine des parties génitales plus que généreuses. Mais vu la musculature du type, je n’allais pas faire d’histoires.

« Salut Madame, qu’est-ce que t’es belle ! T’es en vacances ? »

« Heu merci du compliment, oui, nous pasmisters le week-end sur la côte avec mon mari »
Malgré la phrase de Clarisse, il m’ignore.

« C’est quoi ton prénom ma belle ? Moi c’est Mounir »

« Clarisse, enchantée Monsieur Mounir »

« Ben pour finir les présentations, faut qu’on se fasse la bise », et sans se soucier de la réponse de Clarisse ni de ma réaction, il lui embrasse les deux joues, rendant ma femme rouge pivoine.

« Y fait chaud là hein Clarisse, allez viens te baigner avec moi, ton mari va garder les affaires »
« Heu, on vient de manger là, peut-être tout à l’heure »

« Comme tu veux ma belle, mais si tu restes au soleil, faut que tu te protèges, sinon bonjour le cancer. Machin, passe-moi la créme que j’en mette à ta femme. »

Malgré moi, et trop peureux pour me rebeller, je m’exécute en rajoutant simplement :
« Moi c’est Pierrick Monsieur Mounir »

« Ouais c’est ça, on s’en fout. Mets toi sur le ventre Clarisse, je vais commencer par le dos. »

Ma femme se plie à sa voix de plus en plus autoritaire. Il la crème longuement, il en profite le salaud, et en plus il ne se prive pas de commentaires.

« Putain qu’est-ce que t’es belle Clarisse, une vraie bombe. Des nanas bonnes comme toi on en voit qu’au cinéma ou dans les magazines. T’as la peau douce et ferme, de jambes de gazelle, et ton cul, putain ton cul tout rond et cambré sans un gramme de cellulite, ça m’excite grave. »
Et dans la continuité de mister mouvement de crémage ses grosses mains viriles se mettent à masser la partie des fesses de Clarisse qui dépasse du maillot. Une fois qu’il en a bien profité, loin de s’arrêter, il repart à l’attaque, bien conscient que ce n’est pas moi qui vais le contrarier, et que Clarisse est à présent plus troublée que choquée.

« J’aime pas les traces de bronzage sur les seins Clarisse, tu vas faire du monokini. Ya presque permisterne sur la plage et c’est pas machin qui va t’en empêcher »

Il défait le haut de mister maillot de bain, la retourne avec une power et une agilité déconcertantes et l’installe sur le dos pour lui crémer le côté pile à présent. Il s’installe à genoux au dessus de la tête de Clarisse, qui doit remercier ses lunettes de soleil de cacher l’expression de ses yeux à la découverte juste devant mister front de l’énorme bosse qui déforme à présent le maillot de Mounir.
Il commence par lui crémer les épaules, puis sans vergogne malaxe le splendide 90C qui s’offre à lui sans résistance.

« Bordel, et tu voulais cacher des seins pareils. Une taille et une fermeté parfaite pour y faire coulisser un bon gros zob hein ? Haha, c’est pas machin là qui doit savoir en profiter comme il faut. »

Loin de rebuter Clarisse comme je l’aurais espéré, le mélange de caresses et de mots crus de cet étalon arabe, sans compter cette érection titanesque qui continue de s’étaler juste devant ses yeux, lui arrachent un petit gémissement qui ne semble pas être de la douleur.
Il s’attarde à présent avec mister index autour du nombril, Clarisse se mordille les lèvres.

Il a enfin fini. Il se relève comme si de rien était, s’étire, faisant ressortir les muscles incroyables de mister corps et tendant un peu plus si c’était possible mister maillot grâce à mister énorme membre tendu.
« Bon, je vais me baigner, tu viens ma gazelle »

D’une voix rauque et embrumée par l’émotion, Clarisse réplique :
« J’ai les jambes coupées par ce massage, je vais pas pouvoir bouger »

« OK, pas de problème, j’y vais tout seul » dit-il en m’adressant un sourire moqueur.
Et il plonge, un plongeon d’athlète, et il nage, un crawl rythmé et puissant, comme les coups de boutoir - que je ne peux m’empêcher d’imaginer – qu’il doit mettre aux femmes lorsqu’il les lime.

Clarisse sort de sa torpeur et me sort de la mienne.

« Viens me bouffer la chatte et tout de suite connard, pour te faire pardonner de ne pas savoir me défendre des intrus »
Penaud, je m’exécute. Je ne me souviens pas qu’elle ait déjà été aussi mouillée ni ouverte. En moins d’une minute, elle jouit avec une intensité que je n’avais jamais soupçonnée en elle. J’aimerais me dire que c’est le talent de ma langue, mais je ne me fais aucune illusion sur le fait que c’est le contact avec Mounir qui a été mister principal aphrodisiaque.

Le voilà qui sort de l’eau, avec ses muscles luisants sous l’effet de l’eau et du soleil, sa peau brune lisse et imberbe, mister regard ténébreux, même moi je dois reconnaître que ce type est un surhomme comparé à moi. J’ose enfin me retourner vers Clarisse, dont le regard, même masqué par les lunettes, est manifestement glué à la musculature de Mounir.
C'est à ce moment là que je comprends qu'un gringalet comme moi ne pourra jamais satisfaire totalement une femme de la trempe de Clarisse, et que la simple loi de la nature l'attirera toujours vers des vrais mecs comme Mounir. Si je veux la garder, je vais devoir m'accrocher à elle, montrer une dévotion sans limite, et inévitablement m'accoutumer de quelques écarts...

Il revient, se sèche et nous annonce qu’il doit y aller, ce qui provoque une mine de déception intense chez ma femme. Il enlève mister maillot sans aucune gêne, et mister sexe, à présent au repos, apparaît au grand jour. Même en sortant de l’eau fraîche, il est nettement plus long et plus épais que le mien lorsque je bande. Le gland est énorme, une véritable invitation, même aux bouches les plus réticentes. Clarisse a un sourire gourmand à cet instant. Il enfile un short sec, et en rangeant ses affaires dans mister sac, sort un bout de papier sur lequel il griffonne avant de le tendre à Clarisse.

« J’ai un pote qui fait une petite teuf ce soir, viens, j'ai tout noté là dessus. Le cocu n’est pas invité. A plus »

« Oui, à ce soir, sans faute » répond Clarisse avec un sourire radieux et en serrant le petit bout de papier
contre mister cœur.


Fin
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